Page 618, légende de la lig. 311, quatorzième ligne, au lieu de fi,
sillon
limbrio- godronné, lire : t'ri. Page 080, lig
e de la vie, il existait déjà des fibres à myéline sous-jacentes au
sillon
de Rolando (Anse rolandique de Parrot). A Fle
oir examiné sa conformation extérieure 'circonvolutions, scissures,
sillons
, etc.), examiner sa configuration inté- rieure
de façon à entamer, sur une longueur de 3 centimètres et le long du
sillon
marginal antérieur de l'insula, le lobe que l'o
précédente, on dirige le scalpel d'avant en arrière, en suivant le
sillon
marginal supérieur de l'insula, tandis que la poi
u caudé. La section ne doit pas dépasser l'extrémité postérieure du
sillon
marginal supérieur de l'insula. On agit de même
, en suivant le bord postérieur de l'espace perforé antérieur et le
sillon
marginal postérieur de l'insula. On opère de même
ré antérieur. - Fe, faisceau en écharpe de Férié. - 1, insula. - i,
sillon
de l'insula. - la, circonvolutions antérieures
ie-mère, une série de coupes vertico-transversales et parallèles au
sillon
de liolando. La méthode de Pitres, très bonne q
système ner- veux naît du feuillet externe du blasto- derme.
Sillon
neural. Gouttière neurale. Le système nerveux
ion, sous forme d'un épaississement longitudinal de l'ectoderme, le
sillon
neural, situé dans l'axe de la tache embryonnai
ribuer au développement d'aucune partie du corps de l'embryon. Le
sillon
neural est limité à droite et à gauche par une cr
mitent de bonne heure du reste de l'ectoderme ; elles transforment le
sillon
neural en une large gouttière, la gouttière neu
la limite antérieure du cerveau intermé- diaire et la profondeur du
sillon
semi-lunaire. G8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
e postérieure de la vésicule cérébrale antérieure primitive, par un
sillon
curviligne assez accentué, le col du cerveau inte
e extérieure du cerveau intermédiaire, dont elle est séparée par un
sillon
semi-lunaire d'autant plus profond, que la vési
sphères est plus développée (lig. 19). L'extrémité inférieure de ce
sillon
n'atteint pas le plancher de la vésicule cérébr
sicule des hémisphères ; en arrière, elle se continue avec les deux
sillons
semi-lunaires, qui séparent de chaque côté le c
intermédiaire. La scissure interhémisphérique d'une part, les deux
sillons
semi-lunaires d'autre part, divisent donc la vési
u profonde, premier rudi- ment de la fosse Sylvienne (FS). Un léger
sillon
prolonge celle-ci en avant DÉVELOPPEMENT DU SYS
n des taenias du 4e ventricule; ligne pointillée, la la profondeur du
sillon
labial externe. AC, arrière-cerveau. - BCA, has
l'une correspond au plancher (P), l'autre à la voûte (V). Un léger
sillon
longitudinal latéral, plus rapproché de l'extré-
ranglement, qui délimite les larges trous de Monro primitifs. Les
sillons
longitudinaux latéraux de la moelle épinière peuv
l'aqueduc de Sylvius, forment au niveau du cerveau intermédiaire le
sillon
de Monro, et se ter- minent au niveau du trou d
lle d'un fer de lance. La cavité présente par conséquent quatre
sillons
, deux médians étroits et profonds, et deux laté
étroits et profonds, et deux latéraux beau- coup plus larges. Le
sillon
médian postérieur, de moitié moins profond qu
re pénétration de la voûte dans le canal central (fig. 26). Les
sillons
latéraux divisent les épaisses parois latérales
le, fortement saillante en avant, est limitée en ar- rière par un
sillon
profond, le sillon cylindrique (Cylinderfurche) (
llante en avant, est limitée en ar- rière par un sillon profond, le
sillon
cylindrique (Cylinderfurche) (se). Elle donne n
esurant 12,5 mm. de longueur. (D'après W. His.) ,1<, artère du
sillon
. - Aspa, artère spinale antérieure. - Cal, corn
e intermédiaire. Bill, racino motrice. - Ils, racine sensitive. se,
sillon
cylindrique. sm, sillon marginal. V, voûte. s
ino motrice. - Ils, racine sensitive. se, sillon cylindrique. sm,
sillon
marginal. V, voûte. so ANATOMIE DES CENTRES N
eloppement considérable des cor- dons antérieurs. Apparition du
sillon
médian antérieur. Torsion de la corne posté
bord antérieur du faisceau ova- laire, dont elle est séparée par le
sillon
marginal de His (sm) (Randfurche), au sillon
e est séparée par le sillon marginal de His (sm) (Randfurche), au
sillon
cylindrique de la moelle (se). Elle donne naiss
i- nent en avant de la commissure anté- rieure, la formation d'un
sillon
médian, le futur sillon médian antérieur, d'aut
ommissure anté- rieure, la formation d'un sillon médian, le futur
sillon
médian antérieur, d'autant plus accentué et d'aut
grise interne. Rm, racine mo- trice. - R.s, racine sensitive. - sc,
sillon
cylindrique. - S111, sillon marginal. DÉVELOP
trice. - R.s, racine sensitive. - sc, sillon cylindrique. - S111,
sillon
marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 81
légèrement déprimée à ce niveau. Cette dépression corres- pond au
sillon
médian postérieur, lequel ne peut être comparé
e; ils correspondent exactement au premier u Septum postérieur.
Sillon
médian pos- térieur. Cordon de Goll. Commis
nes et demie, mesu- rant 18,5 mm. (D'après W. His.) As, Artère du
sillon
. - Aspa, artère spinale anté- rieure. - CA, cor
aire postérieur. - Rm, racine motrice. -Rs, racine sousitive. - se,
sillon
cylindrique. - sm, sillon mar- ginal. voûte. !
ine motrice. -Rs, racine sousitive. - se, sillon cylindrique. - sm,
sillon
mar- ginal. voûte. ! 82 ANATOMIE DES CENTRES
urant 24 millim. de lon- gueur. (D'après \\'. His.) As, artère du
sillon
. - Aspa, artère spinale antérieure. - CA, corne
épendymairc. - Ilm, racine motrice. - lis, racine sensitive. - se,
sillon
cylindrique. - sm, sillon marginal. DÉVELOPPEME
e motrice. - lis, racine sensitive. - se, sillon cylindrique. - sm,
sillon
marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 83
inales antérieu- res, et qui constituent les fu- tures artères du
sillon
médian antérieur de la moelle, abor- dent la
soj. . Les deux artères spinales antérieures et les deux artères du
sillon
médian antérieur, se rapprochent de la ligne mé
re spinale antérieure, impaire et médiane, et a une seule artère du
sillon
médian antérieur (fig. 28, 29, 30). L'apparitio
ure d'un foetus humain de 3 mois. (D'après W. His.) As, artère du
sillon
. - Aspa, artère 'spinale antérieure. CA, corne
xn<lynaire. - Rm, racine mo- trice. - Ils, racine sensitive. se,
sillon
cylindrique. - sm, sillon marginal. 84 Il ANA
mo- trice. - Ils, racine sensitive. se, sillon cylindrique. - sm,
sillon
marginal. 84 Il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
érieures, et se portent vers l'extrémité postérieure de l'artère du
sillon
médian antérieur. Les artères qui pénètrent dan
ou protubérantielle, au cerveau postérieur pro- .. prement dit. Un
sillon
profond, médian et longitudinal, la tige du càlam
tricule en deux moitiés latérales; il se continue en haut avec le
sillon
médian an- térieur de l'aqueduc de 'Syl- vius
atrième ventricule, se sub- divise en deux segments par un second
sillon
longitudinal, ir- régulier et peu profond (fig.
ond sillon longitudinal, ir- régulier et peu profond (fig.31). Ce
sillon
latéral (si) du plan- cher du quatrième ventric
latéral (si) du plan- cher du quatrième ventricule, fait suite au
sillon
latéral du canal de l'épendyme, et se con- ti
latéral du canal de l'épendyme, et se con- tinue en haut avec le
sillon
de même nom de l'aqueduc de Sylvius. Il délim
située en dehors. Peu profond au niveau de la partie bulbaire, le
sillon
latéral s'élargit dans la partie protubéranti
llie dans le quatrième ventricule, et con- stitue de chaque côté du
sillon
médian, les funiculi tel'etes des anciens auteu
an- cher en portion bul- baire et portion pro- tubérantielle.
Sillon
médian an- térieur. Sillon latéral. Lame fo
ire et portion pro- tubérantielle. Sillon médian an- térieur.
Sillon
latéral. Lame fondamcn- 1. taie et noyaux d'o
lame alaire. - LF, lame fondamentale. - Le, lame épendymaire. - sa,
sillon
antérieur du 4° ventri- cule, - si, sillon laté
lame épendymaire. - sa, sillon antérieur du 4° ventri- cule, - si,
sillon
latéral du 4° ventricule. ), raphé. - V, voûte.
e. - tir, lèvre rhomboïdale. LF, lamo fondamentale. r, raphé. - sa,
sillon
antérieur du 4° ventricule. - sle, sillon labial
amentale. r, raphé. - sa, sillon antérieur du 4° ventricule. - sle,
sillon
labial externe. - sli, sillon labial interne. -
llon antérieur du 4° ventricule. - sle, sillon labial externe. - sli,
sillon
labial interne. - sl, sillon latéral du 48 vent
. - sle, sillon labial externe. - sli, sillon labial interne. - sl,
sillon
latéral du 48 ventricule. - V4 4- ventricule. -
enlippe). La lèvre rhomboïdale est séparée du segmen t jugal par un
sillon
à concavité ventrale, le sillon labial externe
st séparée du segmen t jugal par un sillon à concavité ventrale, le
sillon
labial externe de His (sic); elle est. séparée de
(sic); elle est. séparée de la mem- brane obturatrice par un second
sillon
à concavité dorsale, le sillon labial interne (
mem- brane obturatrice par un second sillon à concavité dorsale, le
sillon
labial interne (sli) de Ilis, qui s'ouvre dans
tale. Le. lame élnendymaire. - llCL restes du cordon latéral. - sa,
sillon
antérieur du -te ventricule. - si, sillon latéral
du cordon latéral. - sa, sillon antérieur du -te ventricule. - si,
sillon
latéral du .le ventricule. - sli, sillon labial i
eur du -te ventricule. - si, sillon latéral du .le ventricule. - sli,
sillon
labial interne. - S/l, substance réticulée. 8
ne enfin en pointe au-dessous de l'isthme du cerveau postérieur. Le
sillon
labial externe ne représente au niveau de la ré
labial externe ne représente au niveau de la région bulbaire qu'un
sillon
transitoire; il disparaît en effet rapidement,
ne obturatrice du 4e ventricule. - RCL, restes du cordon latéral. si,
sillon
latéral du 4e ventricule. sli, sillon labial in
restes du cordon latéral. si, sillon latéral du 4e ventricule. sli,
sillon
labial interne. - SR, substance réticulée. X, pne
partie externe de la lame alaire, vers la fin du deuxième mois; un
sillon
profond, le sillon restiforme, le délimite en d
la lame alaire, vers la fin du deuxième mois; un sillon profond, le
sillon
restiforme, le délimite en dehors et le sépare
déjà vers le troisième mois de la vie intra-utérine, trois à quatre
sillons
et circonvolutions ; les sillons des hémi- sp
ie intra-utérine, trois à quatre sillons et circonvolutions ; les
sillons
des hémi- sphères cérébelleux n'apparaissent qu
nt cervical de la moelle. renflement, lombaire de la moelle. Sih,
sillon
inter-hémispberiquo. - smp, sillon médian posté
t, lombaire de la moelle. Sih, sillon inter-hémispberiquo. - smp,
sillon
médian postérieur. - sp, sillons primitifs. st,
sillon inter-hémispberiquo. - smp, sillon médian postérieur. - sp,
sillons
primitifs. st, sillon transverse du cerveau m
uo. - smp, sillon médian postérieur. - sp, sillons primitifs. st,
sillon
transverse du cerveau moyen. sv, sillon vertica
p, sillons primitifs. st, sillon transverse du cerveau moyen. sv,
sillon
vertical du cerveau moyeu. - Vécu, vermis du ce
cinquième mois, le cervelet a atteint sa forme définitive ; quatre
sillons
profonds divisent, ainsi que K1111;,er l'a montré
latère ; la deuxième région fournit les lobes semi-lullaires, qu'un
sillon
secondaire subdivise bientôt en lobe, semi-luna
ifi- cations. Sa cavité. 01 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses
sillons
. Son plancher. l'\oyaud'ol'igine de la troi
calibre, et l'absence de plexus cho- roïdes. L'aqueduc présente un
sillon
médian antérieur assez profond (fig. 37 et 38),
an antérieur assez profond (fig. 37 et 38), qui se continue avec le
sillon
médian du plancher du quatrième ventricule, et
avec le sillon médian du plancher du quatrième ventricule, et deux
sillons
latéraux qui séparent la lame fondamentale de l
mentale de la lame alaire, et qui se continuent d'une part avec les
sillons
latéraux du quatrième ventricule et d'autre par
s sillons latéraux du quatrième ventricule et d'autre part avec les
sillons
de Monro. Le plancher du cerveau moyen, comme c
ord lisse et régulièrement convexe, on y voit apparaître bientôt un
sillon
vertical et un sillon transversal (fit. 3Gj, qui
ment convexe, on y voit apparaître bientôt un sillon vertical et un
sillon
transversal (fit. 3Gj, qui la divisent en quatr
l la façon d'un coin dans le cerveau antérieur, et se soude dans le
sillon
semi-lunaire à la paroi interne de la vésicule
ce supérieure, de la couche optique définitive, située en dedans du
sillon
choroïdien; la petite partie externe de la face s
optique définitive, étendue de l'insertion des plexus choroïdes au
sillon
opto-strié, concourt à former le plancher du vent
la cinquième semaine, deux saillies longitudinales séparées par un
sillon
, le sillon de Monro (fig. 41 à 44, 52, 53.) La sa
me semaine, deux saillies longitudinales séparées par un sillon, le
sillon
de Monro (fig. 41 à 44, 52, 53.) La saillie supér
luIl1. - Itm, recossus mamil- laire. - ro, recessus optique. - saa,
sillon
arqué antérieur. - s11, sillou de Monro. - Suit,
du de chaque côté, de l'aque- duc de Sylvius aux trous de Monro, le
sillon
de Monro, très accusé vers cette époque, fait s
n de Monro, très accusé vers cette époque, fait suite en arrière au
sillon
latéral de l'aqueduc, tandis qu'il se continue
d'autre part avec la partie inférieure du trou de Monro rétréci. Le
sillon
de Monro sépare donc dans toute son étendue, la l
deux couches optiques se soudent sur la ligne médiane, au-dessus du
sillon
de Monro, pour former la commissure molle ou mo
termédiaire. - CM, cerveau moyen. - com, commissure molle. - 1,'ci,
sillon
choroïdien. - If, corps pituitaire. - Lola, lobo
o recessus. - Rg, geniculi. - rif, recessus de l'infundibulum. - saa,
sillon
arqué antérieur. - sap, sillon arque postérieur
, recessus de l'infundibulum. - saa, sillon arqué antérieur. - sap,
sillon
arque postérieur. -sh, sillon do l'habenula. s.11
- saa, sillon arqué antérieur. - sap, sillon arque postérieur. -sh,
sillon
do l'habenula. s.11, sillon de Monro. - sp, diver
r. - sap, sillon arque postérieur. -sh, sillon do l'habenula. s.11,
sillon
de Monro. - sp, diverticulo sous-pinéal. - $tu,
e. Une fois développée, la couche optique est limitée en bas par le
sillon
de Monro (s.1), en haut par un sillon moins p
e est limitée en bas par le sillon de Monro (s.1), en haut par un
sillon
moins profond, le sillon du frein ou sillon de
le sillon de Monro (s.1), en haut par un sillon moins profond, le
sillon
du frein ou sillon de ? <z6p ? « ? (sh), q
(s.1), en haut par un sillon moins profond, le sillon du frein ou
sillon
de ? <z6p ? « ? (sh), qui la sépare de la vo
us geniculi (His); (11 ? fig. 42, 43, 44), il reçoit en avant les
sillons
de l'habenula et de Monro, en haut il est en co
otuucraticc. Il, recessus. . geniculi. - ro, recessus optique. spi,
sillon
de l'habo- nula. - s.11, sillon de Monro. ap, d
iculi. - ro, recessus optique. spi, sillon de l'habo- nula. - s.11,
sillon
de Monro. ap, diverticulo sous- pinéal. - tb, t
iculi. rif, recessus de l'infundibulum. 1'0, recessus optique. saa,
sillon
arqué antérieur. sM, sillon de Monro. -7 sp, di
infundibulum. 1'0, recessus optique. saa, sillon arqué antérieur. sM,
sillon
de Monro. -7 sp, diverticule sous-pinéal. - Sïh
sère de chaque côté, sur la région sous-thalamique qui le sépare du
sillon
de Monro; en arrière il s'insère à l'extrémité
e la vie intra-utérine, on voit appa- raître chez l'homme, un léger
sillon
médian qui divise le tubercule médian en deux t
vre le troisième ventricule et réunit les deux couches optiques. Un
sillon
transversal la sépare en arrière du cer- veau m
l est plus étendu. De très bonne heure, elle donne naissance à deux
sillons
qui la prolon- gent l'un en bas, l'autre en ava
deux sillons qui la prolon- gent l'un en bas, l'autre en avant. Le
sillon
antérieur (fig. 46, 68, paFS) atteint l'extrémi
communique largement au début avec celle du ventricule latéral. Le
sillon
inférieur (piFS), se porte vers la paroi antéri
st convexe, elle est séparée de la base du cerveau antérieur par un
sillon
presque circulaire, ouvert seulement en bas et
ire, ouvert seulement en bas et en avant et qui correspond au futur
sillon
marginal de l'insula. Cette paroi externe, liss
port à la fosse sylvienne (fig. 45, si 1 Fosse sylvienne et /
sillons
qui en nais- \ sent. il i Sillon antérieu
1 Fosse sylvienne et / sillons qui en nais- \ sent. il i
Sillon
antérieur. Sillon inférieur. Formation des di
et / sillons qui en nais- \ sent. il i Sillon antérieur.
Sillon
inférieur. Formation des dif- férents lobes d
de la vie intra-utérine, on y voit apparaître un certain nombre de
sillons
définitifs sur lesquels nous reviendrons. Pour
, correspondent du côté de la face interne de l'hémis- phère à deux
sillons
. Le premier sillon porte le nom de sillon ammoniq
ôté de la face interne de l'hémis- phère à deux sillons. Le premier
sillon
porte le nom de sillon ammonique (Ammonsfurche)
de l'hémis- phère à deux sillons. Le premier sillon porte le nom de
sillon
ammonique (Ammonsfurche), de sillon marginal (R
premier sillon porte le nom de sillon ammonique (Ammonsfurche), de
sillon
marginal (Randfurche, Arnold), ou de sillon arq
ique (Ammonsfurche), de sillon marginal (Randfurche, Arnold), ou de
sillon
arqué postérieur de His (hintere Bogenfurche) (
n arqué postérieur de His (hintere Bogenfurche) (fig. 42, sap) ; le
sillon
infé- rieur, celui de sillon choroïdien (fig. 4
ntere Bogenfurche) (fig. 42, sap) ; le sillon infé- rieur, celui de
sillon
choroïdien (fig. 42, Fch). Ces deux sillons inter
on infé- rieur, celui de sillon choroïdien (fig. 42, Fch). Ces deux
sillons
interceptent un pli arqué, le pli marginal de S
plus loin. La région préthalamique de la paroi interne présente un
sillon
vertical, le sillon arqué antérieur dc Bis (Vor
n préthalamique de la paroi interne présente un sillon vertical, le
sillon
arqué antérieur dc Bis (Vordere Bogenfurche) (lig
stérieure, le lobe olfactif postérieur. Pro- fond à son origine, le
sillon
arqué antérieur se porte verticalement en haut,
nne. . Po, protubérance. - Sik, scissure inter-hémisphérique. - st,
sillon
transverse du cerveau moyen, - tb, trou borgne.
perficiel et se perd un peu en avant de l'ex- trémité antérieure du
sillon
choroïdien. Distinct au début du sillon ammo- n
l'ex- trémité antérieure du sillon choroïdien. Distinct au début du
sillon
ammo- nique, il ne se confond avec ce dernier q
région. La partie postérieure, plus étroite, est comprise entre le
sillon
arqué antérieur et la lame terminale embryonnai
la corne frontale du ventricule latéral. Au sur et à mesure que le
sillon
arqué antérieur et en particulier l'incisara pr
rrière par l'in- cisura prima de His ; en avant et en dehors par le
sillon
qui prolonge la fosse sylvienne en avant; en av
prolonge la fosse sylvienne en avant; en avant et en dedans par un
sillon
peu profond, le sillon tardif ou fissura sémtln
ienne en avant; en avant et en dedans par un sillon peu profond, le
sillon
tardif ou fissura sémtlna de Mis, qui se continue
lon tardif ou fissura sémtlna de Mis, qui se continue en haut avec le
sillon
arqué antérieur et qui persiste chez l'adulte.
ion olfactive externe, sur la circonvolution du crochet. Un léger
sillon
, le sillon tardif on fissura serotina de His, lim
tive externe, sur la circonvolution du crochet. Un léger sillon, le
sillon
tardif on fissura serotina de His, limite 1er car
stérieur (fig. 7, u9), compris entre l'incisura prima de His, et le
sillon
qui prolonge la fosse sylvienne, en bas, est situ
recessus do l'infundibulum. S, surface suturale opto-striée. - saa,
sillon
arqué antérieur. - STh, région sous- -thalamiqu
térieur, moyen et antérieur. Le . segment postérieur, correspond au
sillon
qui prolonge la fosse sylvienne en bas; il est
mite en haut la cavité du lobe olfactif antérieur, et correspond au
sillon
qui prolonge la fosse sylvienne en avant. Le
supérieure de la couche optique au niveau du trou de Monro, par le
sillon
o<o ? 7'e. Le sommet du corps strié regarde
L'extrémité postérieure ou thalamique est aplatie latéralement; un
sillon
profond la limite en dedans et en dehors. Le sill
atéralement; un sillon profond la limite en dedans et en dehors. Le
sillon
externe corres- 1 Sa forme générale en anne
e. - Po, pédoncule optique. - rif, rcccssus de l'infundibulum. - sol,
sillon
de Monro. - sost, sillon opto-strié. - Stria, r
- rif, rcccssus de l'infundibulum. - sol, sillon de Monro. - sost,
sillon
opto-strié. - Stria, région sous-thalamique. - Th
plus étroite. pond au futur bord externe du ventricule latéral; le
sillon
interne devient le profond sillon opta-strié.
externe du ventricule latéral; le sillon interne devient le profond
sillon
opta-strié. L'extrémité antérieure au préthedam
s'accole au cerveau intermédiaire dans l'es- pace compris entre le
sillon
choroïdien et le sillon o ? Go-.v6r·ic·. Elle se
ermédiaire dans l'es- pace compris entre le sillon choroïdien et le
sillon
o ? Go-.v6r·ic·. Elle se soude avec la partie e
uture primaire, il existe un espace faisant primitivement partie du
sillon
semi-lunaire (fig. 52 à 63, ssl), au niveau duque
sphères, s'unit donc à la partie externe de l'arc thalamique, et le
sillon
choroïdien divise ce dernier en deux parties, l
tha- lamique, la plus large, comprise entre le toenia thalami et le
sillon
cho- roïdien est ext1'a-ventrlculaÙ'e (fig. 52
manteau cérébral, naroi oui donnera naissance à la lame cornée. Le
sillon
onto-strié. très profond au début, loge une vei
te la surface du manteau cérébral, abordent le corps strié entre le
sillon
qui le limite en dehors et le sillon marginal d
ordent le corps strié entre le sillon qui le limite en dehors et le
sillon
marginal de l'insula, et, le divisent en une part
le du noyau caudé, en constitue la queue; elle est effilée, suit le
sillon
marginal de l'insula, répond à la surface sutur
. - Gp, glande pinéale. - H, cir- convolution de l'hippocampe. - h,
sillon
de l'hippocampe. - l, insula. - L, lobe limbique.
troisième segment du noyau lenticulaire. - nL, nerf de Lancisi. - ot,
sillon
collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral. -
nterne du cerveau antérieur. - Pm, pli marginal de Schmidt. - purs,
sillon
prérolandique supérieur. - R, scissurede Roland
purs, sillon prérolandique supérieur. - R, scissurede Rolande sap.
sillon
arqué postérieur. - Sih, scissure inter-hémisphér
ur. - Sih, scissure inter-hémisphérique. - SI, septum lucidum. ssl,
sillon
semi-lunaire. - S(p), branche postérieure de la s
convolution temporale. - To, deuxième circonvolution temporale. - t
sillon
parallèle. - t., deuxième sillon temporal. - tee,
uxième circonvolution temporale. - t sillon parallèle. - t., deuxième
sillon
temporal. - tee, ttenia tecta. - 7'</, corps
a cap- sule interne; les fibres du segment postérieur passent parle
sillon
semi-lunaire, par conséquent entre la surface e
e. Cip (ss( segment postérieur de la capsule interne passant par le
sillon
semi-lunaire). - Cirl, segment rétro- lenticula
pallidus. - p ? scissure pariéto-occipitale. - Pttl, pulvinar. - saa,
sillon
arqué antérieur. - sap, sillon arqué postérieur
occipitale. - Pttl, pulvinar. - saa, sillon arqué antérieur. - sap,
sillon
arqué postérieur. - Sih, scissure interhémisphéri
r. - Sih, scissure interhémisphérique. - SI, Septum lucidum. - ssl,
sillon
semi-lunaire. Ssy, surface suturale primitive. -
niveau du pli marginal de Schmidt. Ce dernier pli, compris entre le
sillon
choroïdien et le sillon ammonique ou arqué postér
e Schmidt. Ce dernier pli, compris entre le sillon choroïdien et le
sillon
ammonique ou arqué postérieur, s'étend de l'ext
, le trigone n'est séparé de la circonvolution godronnée que par un
sillon
peu profond. Dans la région fronto-pariétale, c
rconvolution godronnée. - F, lobo frontal. - fp, Assura prima. fij,
sillon
fimbrio-godronné. - Fus, lobule fu- sit'orme. -
ual. - Lela, lobe olfac- tif antérieur. - 0, lobe occipital. -- oi,
sillon
collatéral. - P, lobe pariétal. - Pu, pli margi
, pli marginal de Schmidt. po, scissuro pariéto- occipitale. - sap,
sillon
arqué postérieur. SI, septum lucidum. - T, lobe
u le psalterizcm. Le trigone est situé immédiatement au-dessus du
sillon
choroïdien dont il forme la lèvre supérieure ou
eurs du trigone, et d'autre part, à la couche optique, au niveau du
sillon
choroïdien. Les plexus choroïdes des ventricule
'après Forel et Onufrowicz.) DII. bandelette optique. - C, cuneus
sillon
du cuneus. - cm, sillon calloso-marginal. coa, co
wicz.) DII. bandelette optique. - C, cuneus sillon du cuneus. - cm,
sillon
calloso-marginal. coa, com- missure antérieure.
gual. - lt, lamo terminale embryonnaire. K, scissure calcarino. - ot,
sillon
occipito-temporal. - P, pédoncule. - po, scissu
lobule paracentral. - Pu pulvinar. - R, scissuro de Rolando. - sa,
sillon
anormal. - SI, septum lucidum. Spa, espace perf
s calleux, ni trigone. 4. Lobes, développement du manteau cérébral,
sillons
et circonvolutions cérébrales définitifs. Les
paroi interne et la paroi externe du manteau cérébral, de nombreux
sillons
, dont les uns sont transitoires et les autres déf
nt les uns sont transitoires et les autres définitifs. Les premiers
sillons
définitifs qui apparaissent sont la scissure de S
t la scissure de Sylvius, à la paroi externe de l'hémisphère, et le
sillon
ammonique ou arqué postérieur, à la paroi inter
circonvolutions définitives de la face interne de l'hémisphère. Le
sillon
ammonique, sillon marginal ou sillon arqué post
éfinitives de la face interne de l'hémisphère. Le sillon ammonique,
sillon
marginal ou sillon arqué postérieur, apparaît v
ce interne de l'hémisphère. Le sillon ammonique, sillon marginal ou
sillon
arqué postérieur, apparaît vers le deuxième moi
t vers le deuxième mois de la vie embryonnaire, à l'épo- que où les
sillons
temporaires, à disposition radiaire, sillonnent l
illonnent la face externe et la face interne de l'hémisphère. Ces
sillons
temporaires, relevant d'un simple plissement de l
de la paroi hémisphérique, disparaissent vers le quatrième mois; le
sillon
ammonique, au contraire, s'accentue et contourn
la couche optique ; son segment inférieur ou sphénoïdal devient le
sillon
de l'hippocampe, son segment supérieur ou front
ros cé- rébraux. i Epaississement de leurs parois. Premiers
sillons
, définitifs. Sillon ammonique. I \-2't AN
Epaississement de leurs parois. Premiers sillons, définitifs.
Sillon
ammonique. I \-2't ANATOMIE DES CENTRES NERVE
s. Sillon ammonique. I \-2't ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
sillon
ammoni- que produit la saillie deiacorucd'Amm
on ammoni- que produit la saillie deiacorucd'Ammon. Rapports du
sillon
amuionique. Scissure calcarinc ! et erirot de
jj orcipitale. i i . 'i j ¡ i ! i i il de Monro, le
sillon
ammonique s'unit au sillon arqué antérieur de /7;
'i j ¡ i ! i i il de Monro, le sillon ammonique s'unit au
sillon
arqué antérieur de /7; il décrit une courbe en
eux, et se confond avec l'izrci.wtec·a prinza (fig. 44, p. 101). Le
sillon
ammonique déprime fortement la paroi ventriculair
els que les ruminants, les rongeurs, etc. Chez le foetus humain, le
sillon
ammonique est très peu profond dans sa partie f
ui loge l'artère cérébrale antérieure. Dans la région temporale, le
sillon
anuno- nique déprime fortement la paroi ventric
rieure, des digital ions répondant aux incisures profondes du futur
sillon
de l'hippocampe. Le sillon ammonique sépare dan
ndant aux incisures profondes du futur sillon de l'hippocampe. Le
sillon
ammonique sépare dans toute son étendue, la circo
yrus fornicatus , ou première circonvolution limbique; au niveau du
sillon
de l'hippocampe, il sépare la circonvolution go
dernière circonvolution décrit, autour de l'extrémité antérieure du
sillon
de l'hippocampe, un crochet, le gyrus uncinatus o
araît la scis- sure calcarine (fig. 64 et 66), qui déprime comme le
sillon
ammonique la paroi ventriculaire, et produit la
blanche sous-jacente. Vers le milieu du cinquième mois, apparaît le
sillon
calloso-'l1wl'ginàl (fig. 67); il commence en a
ps calleux, première circonvolution limbique (L,), compris entre le
sillon
calloso-marginal et le sinus du corps calleux
frontale in- terne (nzF,). En arrière de la partie verticale du
sillon
calloso-mar- ginal, le gyrus forni- catus se
ngual (Lq) compris entre cette scissure et la scissure calcarine.
Sillons
plus tardifs n'intéressant que o l'écorce cér
Sillons plus tardifs n'intéressant que o l'écorce cérébrale. ,
Sillon
calloso-mar- ginal. Scissure collaté- rale
le externe. Cg, circonvolution godronnée. - cm, partio verticale du
sillon
ealloso-marginâl. - con; commissure antérieure.
antérieur. lt, lame terminale embryonnaire. 0, lobe occipital. ot,
sillon
collatéral. - P, lobe pariétal. -Po, pro- tubér
infuu- dibulum. - 1-o recessus optique. - SI, septum lucidum. - sM,
sillon
de Monro. STh, région sous-thalamique. - T, lob
er en deux régions : une région centrale ou interne, qui entoure le
sillon
ammo- nique foetal et qui constitue le lobe lim
e externe. Le lobe limbique de Broca est limité en dedans, par le
sillon
ammonique, c'est-à-dire par le sinus du corps c
e sinus du corps calleux dans la région fronto-pariétale, et par le
sillon
de l'hippocampe dans la région occipito-temporale
ar le sillon de l'hippocampe dans la région occipito-temporale, et ce
sillon
sépare le lobe limbique de la circonvolution go
sélénium du corps cal- leux. - Cg, circonvolution godronnée. - cm,
sillon
calloso-marginal. - F, lobe frontal. - fp, fissur
. - Fus, lobule fusiforme. - Il, circonvolution de l'hippocampe. - h,
sillon
de l'hippocampe. - it, incisure temporale. - K,
erminale embryonnaire. - ? itri, circonvolution frontale interne.-ot,
sillon
collatéral. -PF, pôle frontal. - PO, pôle occip
e. PrC, prxcunéus. - PT, pôle temporal. - SI, septum lucidum. - so,
sillon
sus-orbitaire. - Tg, trigone. - T(Ip, pilier post
1llJ 11GLLGD. Elles sont constituées dans la région frontale par le
sillon
calloso-marqinal, Elles sont constituées dans l
oso-marqinal, Elles sont constituées dans la région frontale par le
sillon
calloso-marginal, dans la région pariétale par
r le sillon calloso-marginal, dans la région pariétale par un petit
sillon
qui apparaît vers la fin de la vie intra-utérin
n petit sillon qui apparaît vers la fin de la vie intra-utérine, le
sillon
sous-pariétal et qui sépare le praecuneus du lobe
fron- tale interne située au-dessous du genou du corps calleux, le
sillon
sus- orbitaire de Broca, et dans le reste de la
e de Broca, et dans le reste de la circonvolution, les incisures du
sillon
callo-marginal. Une de ces incisures plus importa
nvolutions rolandiques, et circonscrit avec la branche verticale du
sillon
calloso- marginal, le lobule ovalaire ou parace
ée en dedans au trigone cérébral, elle est limitée en dehors par le
sillon
ammonique. La partie sphénoïdale de la circonvolu
al, et, dans le cerveau adulte, on la trouve située dans le fond du
sillon
de l'hippocampe; la partie fronto- pariétale au
originelle, étendue du vélum terminal à l'extrémité an- térieure du
sillon
de l'hippocampe, reste lisse chez l'adulte, et fo
rique de la face interne. Circonvolution frontale interne.
Sillon
sus-orbitaire. Incisure pl'æ-ova- laire. Pr
tions définitives de la face externe de l'hémisphère cérébral. -Les
sillons
et circonvolutions de la face externe sont plus
nterne; leur appari- tion est en général plus tardive que celle des
sillons
de la face interne, sauf toutefois pour la scis
ent du dixième mois, apparaissent à sa surface quatre à cinq légers
sillons
à direction radiaire, qui délimitent les circon
nsula est nettement séparé du reste de l'hémisphère cérébral par un
sillon
circulaire, le sillon marginal, lequel peut être
paré du reste de l'hémisphère cérébral par un sillon circulaire, le
sillon
marginal, lequel peut être divisé chez le foetu
être divisé chez le foetus arrivé au terme de son développement, en
sillon
marginal anté- rieur, supérieur et postérieur.
pement, en sillon marginal anté- rieur, supérieur et postérieur. Un
sillon
oblique en haut et en arrière, le , sillon de o
érieur et postérieur. Un sillon oblique en haut et en arrière, le ,
sillon
de ou sillon insulaire, divise l'insula en deux p
térieur. Un sillon oblique en haut et en arrière, le , sillon de ou
sillon
insulaire, divise l'insula en deux parties, l'une
la fosse sylvienne. Opercule. Iusuln. Limitcs Ue l'iusula.
Sillon
Mc l'insula. Fie. GS. - Face externe du cerveau
S NERVEUX. Scissure de Rolando. Scissure pariéto- occipitale.
Sillon
pré-occipital. Division de face externe en lo
ale. Sillon pré-occipital. Division de face externe en lobes.
Sillons
secondaires. Sillons et circon- volutions du
ital. Division de face externe en lobes. Sillons secondaires.
Sillons
et circon- volutions du lobe frontal. iIlon
insula, en rapport avec l'opercule et le lobe frontal. Les autres
sillons
de la face externe, sont d'apparition beaucoup pl
e lobe pariétal du lobe occipital; vers la même époque, apparaît le
sillon
pré-occipital ou occipital antérieur de Wernicke,
s lobes frontal, pariétal, occipital et temporal (fig. 69). Des
sillons
secondaires subdi- visent ces lobes en lobules
s subdi- visent ces lobes en lobules et en circonvolutions. Les
sillons
secondaires, légè- rement indiqués au sixiè-
lobe frontal apparaît d'abord, vers la fin du sixième mois, le
sillon
frontal inférieur, qui donne en avant du sil-
ascendante, l'autre descendante, ces branches constituent le futur
sillon
pué-rolandique inférieur ; puis apparaît le sillo
nstituent le futur sillon pué-rolandique inférieur ; puis apparaît le
sillon
frontal supérieur, et à la face orbitaire le si
uis apparaît le sillon frontal supérieur, et à la face orbitaire le
sillon
olfactif. Le lobe frontal présente alors trois
n frontale ascendante , comprise entre la scissure de Rolando et le
sillon
pré-rolandique. Le lobe pariétal est limité en
sillon pré-rolandique. Le lobe pariétal est limité en avant par le
sillon
de Rolando, en arrière par la scissure pariéto-
ylvius; il forme à la face interne de l'hémisphère le præcuneus. Le
sillon
calloso-marginal incise son bord supérieur vers l
onvolution frontale. - Foi, : 1c circonvolution frontale. - f,, 1 ?
sillon
frontal. - fa, circon- volution h'onta ! casccn
. - fa, circon- volution h'onta ! casccn<iantc. 7, insnla. - ip,
sillon
inter-pariëtal. - Lola, lobe olfactif antérieur
ution pariétale. - P2, 2c pariétale. - Po, pl'oll11Jé- rance. - po,
sillon
pariuto-occipital. - pi sillon prérolandique in-
tale. - Po, pl'oll11Jé- rance. - po, sillon pariuto-occipital. - pi
sillon
prérolandique in- férieur. p1 ? sillon prérolan
llon pariuto-occipital. - pi sillon prérolandique in- férieur. p1 ?
sillon
prérolandique supérieur. Il, scissure de Holand
1° circonvolution temporale. - y T 2ç circonvolution temporale. fil
sillon
parallèle. - V, 5" paire. DÉVELOPPEMENT DU SYST
VEUX. 131 septième- mois-dè la vie intra-utérine et divise, avec le
sillon
interpariétal, la' face externe du lobe pariéta
à la face in- férieure. Il en est séparé à la face externe par le
sillon
occipital-an- térieur de Wernicke. Vers le si
iétale infé- rieure. Vers le septième mois apparaît le deuxième
sillon
temporal; vers le huitième, le troisième sillon
araît le deuxième sillon temporal; vers le huitième, le troisième
sillon
temporal . Le lobe temporal est alors formé à l
, mal délimité en avant par la scissure pa2,iéio-occipi- tale et le
sillon
occipital antérieur de Wernicke, forme à la face
circonvolution frontale. - Fas 3° circonvolution frontale. - fi, 1"
sillon
frontal. fi, 2° sillon frontal. - Fa, circonvol
- Fas 3° circonvolution frontale. - fi, 1" sillon frontal. fi, 2°
sillon
frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendan
circonvolution pariétale. po, scissure pariéto- occipitale. - pi,i,
sillon
prérolandique inférieur. - prs, sillon prérolan
riéto- occipitale. - pi,i, sillon prérolandique inférieur. - prs,
sillon
prérolandique supérieur. - R, scissure de Rolan
hérique. 132 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Circonvolutions et
sillons
du lobo occi- pital. il li Apparition dos
ez les reptiles. Chez les oiseaux. Chezles mammifères. mois, le
sillon
iozter-occipital ou occipital antérieur, qui fait
le sillon iozter-occipital ou occipital antérieur, qui fait suite au
sillon
inter-pariétal, et qui se bifurque à son extrém
ifurque à son extrémité pour donner naissance au huitième mois à un
sillon
transversal, le sillon occipital transverse. Vers
pour donner naissance au huitième mois à un sillon transversal, le
sillon
occipital transverse. Vers le huitième mois, ap
occipital transverse. Vers le huitième mois, apparaît également le
sillon
occipital inférieur à direction antéro-postérie
repré- sente un cerveau schématique pour ainsi dire, dont tous les
sillons
et cir- convolutions sont nettement indiquées.
est lisse et ne présente ni DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 133
sillons
, ni circonvolutions; l'animal est dit lissencépha
les grandes espèces, on con- state à la surface des hémisphères des
sillons
et circonvolutions plus ou moins nombreux : l'a
le est toujours nettement séparée de l'écorce environ- nante par un
sillon
constant, le sillon limbique, et constitue le rhi
ement séparée de l'écorce environ- nante par un sillon constant, le
sillon
limbique, et constitue le rhinencé- phalon de T
à l'.l'1qtl du' cordon antériéu du cordon latéral, le long d'un
sillon
irré- gulier, le futur sillon collatéral anté
u du cordon latéral, le long d'un sillon irré- gulier, le futur
sillon
collatéral antérieur (fig. 85). . Les cylin
ie et mesurant 10mm,9. de longueur. (D'après W. His.) As, artère du
sillon
.-tlspa, artère spinale antérieure. - lspp, artère
- P, plancher. - Rm, racine motrice. - Rs, racine sensitive. - se,
sillon
cylindrique. - sm, sillon marginal. - V, voûte.
ne motrice. - Rs, racine sensitive. - se, sillon cylindrique. - sm,
sillon
marginal. - V, voûte. 146 ANATOMIE DES CENTRES
forment le nerf spinal ; leur émergence se fait à égale distance du
sillon
collatéral antérieur et du sillon collatéral po
gence se fait à égale distance du sillon collatéral antérieur et du
sillon
collatéral postérieur; elle est située, par con
fibres motrices du glosso-pharyngien, qui émergent toutes le long du
sillon
latéral du bulbe, à la limite de la lame fondam
glions craniens atteignent la surface du bulbe un peu en arrière du
sillon
latéral du bulbe. Les fibres centrales du triju
. Particularités des ccllnles épendymai- res au voisinage des
sillons
. couche et leurs connexions avec les membranes
ement conique (fig. 90). Les cellules épendymaires du voisinage des
sillons
mé- dians antérieur et postérieur de la moelle
le plancher de la moelle en avant, et déterminent la formation d'un
sillon
médian, le futur sillon médian antérieur, dans le
en avant, et déterminent la formation d'un sillon médian, le futur
sillon
médian antérieur, dans lequel la pie-mère envoi
e épendymaire postérieur. 1 Faisceau épcndy- mairc antérieur.
Sillon
postérieur et sa signification. 1 1 Appar
qui se rendent dans le segment des cordons antérieurs qui répond au
sillon
médian antérieur. Au niveau de la voûte, les pr
e, une scissure médiane analogue à celle du plancher; le soi-disant
sillon
postérieur n'atteint pas, comme on l'a enseigné
é pendant longtemps, la commissure grise, mais se réduit à un léger
sillon
, qui n'est guère plus profond que le sillon d'éme
is se réduit à un léger sillon, qui n'est guère plus profond que le
sillon
d'émergence des racines postérieures (fig. 90).
troisième ventricule et s'unit à celle du côté opposé au-dessus du
sillon
de Monro pour former la commissure molle. Au ni
d'un cerveau à l'état frais.) C, cuneus. - Ce, corps calleux. - cm,
sillon
calloso-marginal ; cm', sa branche verticale. F
ons frontales. - Fa, circonvolution frontale ascendante. f, premier
sillon
frontal. - 11ci, hémisphères cérébelleux. - ip, s
te. f, premier sillon frontal. - 11ci, hémisphères cérébelleux. - ip,
sillon
interpariétal. - L,, première circonvolution du
poi, pli de passage parièlo- occipital interne de Gratiolet. - por,
sillon
post-rolandique. - PrC, proecuneus. - pl'i,sillon
e Gratiolet. - por, sillon post-rolandique. - PrC, proecuneus. - pl'i,
sillon
prérolandique inférieur. - pis, sillon prérolan
e. - PrC, proecuneus. - pl'i,sillon prérolandique inférieur. - pis,
sillon
prérolandique supérieur. - pt, sillon pariétal tr
prérolandique inférieur. - pis, sillon prérolandique supérieur. - pt,
sillon
pariétal transverse. - pla, pli de passage pari
scendante. - F3, troisième circonvolution frontale. - /3, troisième
sillon
frontal ou incisure en H. - f,, quatrième sillon
e. - /3, troisième sillon frontal ou incisure en H. - f,, quatrième
sillon
frontal ou sillon olfac- tif. - Fc fasciola cin
me sillon frontal ou incisure en H. - f,, quatrième sillon frontal ou
sillon
olfac- tif. - Fc fasciola cinerea. - Fus, lobul
- Fus, lobule fusiforme. - 11, circonvolution de l'hippocampe. /t,
sillon
de l'hippocampe. ipo, incisure pré-occilitale. -
ine et paricto-occipttale ? F,lobe frontal. Lg, lobule lingual. Ig,
sillon
lingual. L[i), isthme du lobe limbique. - LO, l
roisième circonvolutions frontales. - oF, (Gr), gyrus rectus. - 01,
sillon
collatéral ou occipito-temporal; ot', ses incisur
troisième circonvolutions temporales. - 12, 13, deuxième, troisième
sillons
temporaux. - Tc, tuber cinercum. - 7' ? ? tubercu
on frontale. - Fa, circonvolution frontale ascendante. f2, deuxième
sillon
frontal. - fui, troisième sillon frontal ou incis
frontale ascendante. f2, deuxième sillon frontal. - fui, troisième
sillon
frontal ou incisure en H. - fin, sillon fronto-
lon frontal. - fui, troisième sillon frontal ou incisure en H. - fin,
sillon
fronto-marginal. -Gsm, Gyrus supra-marginalis.
. - fin, sillon fronto-marginal. -Gsm, Gyrus supra-marginalis. - i,
sillon
insulaire. - la, circonvolution antérieure de l
illon insulaire. - la, circonvolution antérieure de l'insula. - io.
sillon
inter-occipital. - Ip, circonvolution postérieure
er-occipital. - Ip, circonvolution postérieure de l'in- sula. - ip,
sillon
inter-pariétal. - ipo, incisurc pré-occipitale. -
oisième circonvolutions occipitales. - o, 03, deuxième et troisième
sillons
occipitaux. - oa, sillon occipital antérieur. oF\
cipitales. - o, 03, deuxième et troisième sillons occipitaux. - oa,
sillon
occipital antérieur. oF\, oF" oF3, face orbitai
cendante. - Pc, pli courbe. - po, scissure pariéto-occipitalc. - por,
sillon
post- rolandique. - pré, sillon prcrolandiquc i
scissure pariéto-occipitalc. - por, sillon post- rolandique. - pré,
sillon
prcrolandiquc inférieur. - prs, sillon prérolandi
lon post- rolandique. - pré, sillon prcrolandiquc inférieur. - prs,
sillon
prérolandique supérieur. - Il, scissure de Rola
T3, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - l\,
sillon
parallèle. - 1'1,. branches verticales du sillo
temporales. - l\, sillon parallèle. - 1'1,. branches verticales du
sillon
parallèle. - 12, deuxième sillon temporal. MORP
le. - 1'1,. branches verticales du sillon parallèle. - 12, deuxième
sillon
temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 2.M partie d
stingue ces anfractuosités, en scissures qui limitent les lobes, en
sillons
qui séparent les circonvolutions clont se com-
sillons qui séparent les circonvolutions clont se com- Scissures.
Sillons
. Incisures. FiG. 151. - Face interne d'un hém
) Gll, bandelette optique. - Bol, bulbe olfactif. - C, cuncus. - c,
sillon
du cuneus. - Cal, calotte ou étage supérieur du
nou du corps calleux. - . Liez ou (rostrum) du corps calleux. - cm,
sillon
calloso-marginal. - cm', partie verti- cale du
alleux. - cm, sillon calloso-marginal. - cm', partie verti- cale du
sillon
calloso-marginal. - cola, commissure antérieure.
re. Fus, lobule fusiforme. - Il, circonvolution de l'hippocampe. h,
sillon
de l'hippocampe. - IC, scissure calcarine. K+po
mbique ou circonvolution de l'hippocampe. Lg, lobule lingual. &y,
sillon
du lobule lin- gual.)) ? face interne de la pre
rbitairede la première circonvolution frontale (gyrus reclus). -ot,
sillon
collatéral. - l'arc, lobule paraccntra). parc, si
corps calleux. - 7, sinus de \Ionro. - so, so', premier et deuxième
sillons
sus-orbitaires. - Sp, septum lucidum. sp, sciss
temporale. - Ta, troisième circonvolution temporale. - t3, troisième
sillon
temporal. - T'clt+PcltVa, toile choroïdienne et
ptiques. 244 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les scissures et les
sillons
ne présentent pas chez l'homme un type réguli
ia2Yz'îlale, scissure sous-pariétale et scissure collatérale. Les
sillons
portent encore le nom de scissures secondaires ,
le. Les sillons portent encore le nom de scissures secondaires , de
sillons
cor- ticaux, typiques ou lobulaires; ils subdiv
constants, mais souvent fort irréguliers. On donne enfin le nom de
sillons
tertiaires, atypiques, gyraires, ou simplement av
iques, gyraires, ou simplement avec Broca le nom d'incisures, à des
sillons
superficiels, fort irréguliers pour la plupart,
es incisures isolées, subdivisent les territoires compris entre les
sillons
secondaires et dédou- blent les circonvolutions
ons; les autres, dites incisures continues, sont bran- chées sur un
sillon
ou sur une scissure, et entaillent plus ou moins
lutions dont elles compliquent les sinuosités. Les scissures et les
sillons
ne présentent pas en général chez l'homme un ty
lutions voisines, anastomoses qui interrompent les scissures et les
sillons
à la façon d'un pont. Les anastomoses de lobe à
u profonds comme les plis de passage. Lorsqu'ils sont profonds, les
sillons
et les inci- sures continus, peuvent délimiter
rrait le faire croire, car la partie de l'écorce située au fond des
sillons
est presque le double de la surface apparente. La
pde la troisième circonvolution frontale. ? i ? premier et deuxième
sillons
frontaux ? sillon de la deuxième circonvolution
circonvolution frontale. ? i ? premier et deuxième sillons frontaux ?
sillon
de la deuxième circonvolution frontale. troisiè
frontaux ? sillon de la deuxième circonvolution frontale. troisième
sillon
frontal ou incisure en H. Fa. circonvolution fr
al ou incisure en H. Fa. circonvolution frontale ascendante. - fin,
sillon
fronto-marginal. - Gsm, gyrus supra-marginalis. -
Gsm, gyrus supra-marginalis. - insula. - ic, incisure du cap. - io,
sillon
inter-occipital. - ip, sillon inter-pariétal. - i
insula. - ic, incisure du cap. - io, sillon inter-occipital. - ip,
sillon
inter-pariétal. - ipo, incisure préoccipitalc.
e, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième
sillon
occipital. - oa, sillon occipital antérieur. -
me circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa,
sillon
occipital antérieur. - oF\¡oF ? oF3, partie orb
dante. - Pc, pli courbe. - po, scissure pariéto-uccipitale. - par,
sillon
post-rolandique. - pri, sillon prérolandiquc in
scissure pariéto-uccipitale. - par, sillon post-rolandique. - pri,
sillon
prérolandiquc inférieur. - prs, sillon prérolandi
llon post-rolandique. - pri, sillon prérolandiquc inférieur. - prs,
sillon
prérolandique supérieur. - R,R', sillon de Rola
érolandiquc inférieur. - prs, sillon prérolandique supérieur. - R,R',
sillon
de Rolando, interrompu par un pli de passage su
olandique. - S(v), branche verticale de la scissure de Sylvius. -soe,
sillon
orbitaire externe. 7·,,TE, 7'3, première, deuxi
'3, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - ti,
sillon
parallèle; l'ill'21 ses branches verticales. -
sillon parallèle; l'ill'21 ses branches verticales. - tQ, deuxième
sillon
temporal. - Y, pli de passage superficiel inter
troisième circonvo- lutions frontales. - fi,fi, premier et deuxième
sillons
frontaux. - ? sillon de la deuxième circonvolut
tions frontales. - fi,fi, premier et deuxième sillons frontaux. - ?
sillon
de la deuxième circonvolution frontale. - Fa, c
ic, incisure du cap. i/bp, incisure frontale de l'oper- cule. - in,
sillon
inter-parital. - ipo, incisure pré- occipitale.
p, incisure pariétale de l'opercule. - j, incisure de Jensen. - oa,
sillon
occipital anté- rieur. osa, partie orbitaire de
circonvolution frontale. - po, scissure parito-occipilalc. - pour,
sillon
post- rolandiquo.jM' ! +p)'.}, sillons prérolan
re parito-occipilalc. - pour, sillon post- rolandiquo.jM' ! +p)'.},
sillons
prérolandiques infé- rieur et supérieur. - 7tC"
mière, deuxième et troisième circonvolutions tempo- rales. - Il,
sillon
parallèle; t'i, sa branche verticale. 250 ANATO
oiet). - Pars superior sive lateralis fissu1'æ pnrieto- luc. 154. =
Sillon
de Rolando interrompu par un pli de passage s
isième circonvolutions frontales. - fi, f2, premier et ' deuxième
sillons
frontaux. - Fa, circonvolution frontale ascen
P ? Po, première et deuxième circonvolutions pariétales. - j0[,
sillon
inter-pariétal ou pre- mier sillon pariétal. pc
onvolutions pariétales. - j0[, sillon inter-pariétal ou pre- mier
sillon
pariétal. pc, sil- lonpost-rolandique. -pers, s
npost-rolandique. -pers, sil- lon prérolandique supérieur. - pa',
sillon
prérolandique infé- rieur. R, scissuredeRolando
d permettant la commu- nication de la scissure de Ro- lando et du
sillon
prérolandique supérieur. (Voy. fig. 165 et 16
;i5. - Lohe frontal droit. Les bords de la scissure de Rolando et des
sillons
frontaux ont été écartés. (D'après la photograp
troisième circonvolutions frontales. rio f2, f3, premier, deuxième
sillons
frontaux. - Fa, ci ? convolution frontale ascen
sillons frontaux. - Fa, ci ? convolution frontale ascendante. ? m,
sillon
fronto-marginal. Gsm, gyrus supra-marginatif. -
res de l'insula.- Ip, circonvolution postérieure de l'insnla. - ip,
sillon
inter-pariétal.-P,, Pa, première et deuxième circ
utions parietales. -Pa, circon- volution pariétale ascendante. -pc,
sillon
post-rolanclique. - pei, sillon prérolandique inf
volution pariétale ascendante. -pc, sillon post-rolanclique. - pei,
sillon
prérolandique inférieur. - pcs, sillon prérolan
lon post-rolanclique. - pei, sillon prérolandique inférieur. - pcs,
sillon
prérolandique supérieur. - Il. /{, scissure de Ro
. -1'10 T,,]Jrc- mière et deuxième circonvolutions temporales. -t,,
sillon
parallèle; t, sa branche verticale. 2a2 ANATOMI
! J111c orbitaire de (Iratiolct. Lolmlc frontal de Gratiolet.
Sillons
frontaux. Lcs quatre circon- volutions fronta
et. Sillons frontaux. Lcs quatre circon- volutions frontalcs.
Sillon
fronto-mar- inal. Origine, [direction et te
direction et terminaison du sil- lon prérolandique. Division du
sillon
prérolandique. Sil10n }JI'Ól'oIancli- que i
(Broca), de portion dorsale du lobe frontal (Schwalbe). ... Trois
sillons
secondaires, les sillons prérolandiques supérieur
sale du lobe frontal (Schwalbe). ... Trois sillons secondaires, les
sillons
prérolandiques supérieur et infé- rieur (prs, p
lons prérolandiques supérieur et infé- rieur (prs, pri), le premier
sillon
frontal (f,) et le deuxième sillon frontal (f2),
fé- rieur (prs, pri), le premier sillon frontal (f,) et le deuxième
sillon
frontal (f2), divisent la face externe du lobe
lobe frontal pour former la portion orbitaire de ce lobe. Un petit
sillon
horizontal et transversal, peu profond, le sillon
ce lobe. Un petit sillon horizontal et transversal, peu profond, le
sillon
fronto-mar- ginal de Wernicke (fm, fig. 15â, ·1
15 7) sépare la portion frontale du lobe de sa portion orbitaire.
Sillons
prérolandiques supérieur et inférieur (pr) (prs)
rérolandiques supérieur et inférieur (pr) (prs) (pri). Synonymie. -
Sillon
prérolandique (Broca). -Antéro-pariélal sulcus (H
y). Sulcus proecentralis inferior (Schwalbe). - Ramus descendens du
sillon
frontal moyen (Pansch). - Sulcus lJ1'æ- central
is Senkrachte Stimful'che (Ecker). Sulcus in fero-frontal (Turner). -
Sillon
parallèle frontal (Pozzi). - Notation : D'après
Broca (fr); d'après Ecker (f3); d'après Brissaud (prs, (pri). Le
sillon
prérolandique limite en avant la circonvolution f
la frontale ascendante (Fa) (fig. 154, z, 156, 157, 160). De là, le
sillon
prérolandique se porte obliquement en haut et e
ales. Lorsque ces deux plis d'insertion sont profonds (fig. 1G), le
sillon
prérolandique s'élend du voisinage de la scissure
isphérique, et peut être confondu à un examen superfi- ciel avec le
sillon
de Rolando dont il suit la direction. Mais ces pl
plus souvent superficiels (fig. 148, 150, 1.i2, ? i, 160, 1(il); le
sillon
prérolandique est alors divisé en deux segments,
lors divisé en deux segments, l'un inférieur, l'autre supérieur. Le
sillon
prérolandique inférieur (pri), le plus long et le
inférieur de la scissure de Rolando, reçoit en général le deuxième
sillon
frontal (f2) et le sillon de la deuxième circon
de Rolando, reçoit en général le deuxième sillon frontal (f2) et le
sillon
de la deuxième circonvolution frontale (f'2) (f
rontale ascendante (Fa) par deux pieds d'insertion superficiels, le
sillon
prérolandique inférieur se réduit à une courte
e inférieur se réduit à une courte incisure isolée (fig. 162). Le
sillon
prérolandique supérieur (prs), plus petit que l'i
ique supérieur (prs), plus petit que l'inférieur, reçoit le premier
sillon
frontal (fj dont il semble souvent n'être qu'une
is devenir prédominant, atteindre et même dépasser en lon- gueur le
sillon
prérolandique inférieur qu'il compense (fig. loi,
rérolandique inférieur qu'il compense (fig. loi, 155, 158). Premier
sillon
frontal (f;).- SYNo.xYMiH.scus frontalis superior
scus frontalis superior.Obere Slirn- urche (Ecker, Pansch). Premier
sillon
frontal (Broca). - SU}JC1'O-fJ'olltal sulcus Huxl
olltal sulcus Huxley.) - Notation : f, (Broca, Ecker). Le premier
sillon
frontal (f,), il direction antéro-postérieure, sé
tale de la deuxième. Il naît en arrière, entre les deux segments du
sillon
prérolandique, dont il est séparé en général pa
riable et irrégulière; tantôt il nait de l'un ou l'autre segment du
sillon
prérolandique (pri, prs) (f)g. 155, t5G), sniou
prs) (f)g. 155, t5G), sniouprôrota.n'U- quc supbriour. Premier
sillon
frontal Luc. 15G. Lobe frontal droit. (D'après
e la troi- sième circonvolution frontale. - f,, premier et deuxième
sillons
frontaux. /%, sillon de la deuxième circonvolut
convolution frontale. - f,, premier et deuxième sillons frontaux. /%,
sillon
de la deuxième circonvolution frontale. - Fa, c
ndante. - Gsm, gyrus supra-marginalis. - ic, incisure du cap. - ip,
sillon
inter-pariétal. - oF3, partie orbitaire de la t
ons pariétales. - l'a, circonvolution pariétale ascen- dante. - pr,
sillon
prérolandique. - R, scissure de Rolando. - S(a),
périeur de la branche postérieure de la scissure de Sylvius. - soe,
sillon
orbitaire externe. - Ti, T, 13, première, deuxièm
13, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. 1,,
sillon
parallèle; G ? sa branche verticale. 2 ANATOMIE
? sa branche verticale. 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Deuxième
sillon
frontal. Incisures des sil- ons frontaux.
endante (Fa), qu'il incise plus ou moins profondément en arrière du
sillon
prérolandique ' inférieur (fig. 166) ; plus exc
incisures isolées (fig. 158). Il se dirige d'arrière en avant, du
sillon
prérolandique supérieur à l'extrémité antérieur
isième pli anastomo- tique le sépare en gé- néral, en avant, du
sillon
' f ? 'onto - 'ma ? 'qi- nal de Wernicke (fm)
f ? 'onto - 'ma ? 'qi- nal de Wernicke (fm) (Eg.187). Deuxième
sillon
frontal ( £ 2)' - Synony- mie. - Sulcus front
cus frontales inferior unte1'e Stimfll1'- che (Ecker). Deuxième
sillon
frontal (Broca). - Infé1'o-fl'ontalsulcus (Hux-
e deuxième sil- lon frontal (f 2) se dé- tache à angle droit du
sillon
prérolandique inférieur, il se dirige d'arriè
(fm), dans lequel il se jette quelquefois. Les premier et deuxième
sillons
frontaux donnent, en différents points, d'assez
a troisième circonvolution frontale. - fi,f2, pre- mier et deuxième
sillons
frontaux. - /"o, sillon de la deuxième circonvo
n frontale. - fi,f2, pre- mier et deuxième sillons frontaux. - /"o,
sillon
de la deuxième circonvolution frontale. - f3, t
/"o, sillon de la deuxième circonvolution frontale. - f3, troisième
sillon
frontal ou incisure en H. - f4, quatrième sillo
e. - f3, troisième sillon frontal ou incisure en H. - f4, quatrième
sillon
frontal ou sillon olfactif. -Fa, cir- convoluti
sillon frontal ou incisure en H. - f4, quatrième sillon frontal ou
sillon
olfactif. -Fa, cir- convolution frontale ascend
u sillon olfactif. -Fa, cir- convolution frontale ascendante. - (m,
sillon
fronto-marginal. - ic, incisure du cap. - ip, s
endante. - (m, sillon fronto-marginal. - ic, incisure du cap. - ip,
sillon
interpariétal. -i/op, incisure frontale de l'op
ution pariétale. - Pa, cir- convolution pariétale ascendante. -por,
sillon
post-rolandique. - pri, sillon prérolandiquo- i
volution pariétale ascendante. -por, sillon post-rolandique. - pri,
sillon
prérolandiquo- inférieur. - pros, sillon prérolan
on post-rolandique. - pri, sillon prérolandiquo- inférieur. - pros,
sillon
prérolan- dique supérieur. - R, scissure de Rol
S(p), sa branche posté- rieure ; S(v), sa branche verticale. - soe,
sillon
orbitaire externe. - li, sillon parallèle. - t2
S(v), sa branche verticale. - soe, sillon orbitaire externe. - li,
sillon
parallèle. - t2, deuxième sillon temporal. MORP
e, sillon orbitaire externe. - li, sillon parallèle. - t2, deuxième
sillon
temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 2bo les bord
ne série d'inci- sures isolées plus ou moins obliques : Le deuxième
sillon
frontal donne en général, dans le cap de la tro
e constante, Y incisure du cap (ic) (fig. 105, 157, 160 à '162). Le
sillon
fronto-marginal de Wernicke (fm) (fig. 155, Un) e
sillon fronto-marginal de Wernicke (fm) (fig. 155, Un) est un petit
sillon
transversal, rarement interrompu, présentant le p
première circonvolution frontale aux circonvolutions orbitaires. Ce
sillon
peut ètre isolé; d'autres fois, il reçoit à ang
solé; d'autres fois, il reçoit à angle plus ou moins droit, soit le
sillon
gyraire (1"2) qui dédouble la deuxième circonvo
ion frontale, soit le deuxième (f,) (fig. 155) soit même le premier
sillon
frontal (f,). Son extrémité interne atteint quel-
e l'incisurc sus-or bitaire de Broca (fig. 180, 181, 182). Les deux
sillons
frontaux et le sillon prérolandique limitent quat
aire de Broca (fig. 180, 181, 182). Les deux sillons frontaux et le
sillon
prérolandique limitent quatre circonvolutions :
dimension; la deuxième (F2) celle de dimension moyenne. Elles ont
Sillon
l'ronto-ntar- ginal. Aspoet des I : il'eun.
La première cir- convolution frontale est dédoublée par le '
sillon
olfactif. .à i Sillon cruciforme. ï Jhu
ution frontale est dédoublée par le ' sillon olfactif. .à i
Sillon
cruciforme. ï Jhuxî¡m1P circon- volution fr
rande fente inter-hémisphérique, en avant et en dehors par le petit
sillon
fronto-marginal (fm), le lobule orbitaire forme
,) occupe la partie interne de la région, elle est dédoublée par un
sillon
rectiligne, antéro-postérieur, le sillon olfact
elle est dédoublée par un sillon rectiligne, antéro-postérieur, le
sillon
olfactif (fi) (fig. 149, 179, 183), qui loge Je p
terne est plus sinueuse, plus large et forme la limite interne d'un
sillon
irrégulier, affectant la forme d'un II, d'un K
irrégulier, affectant la forme d'un II, d'un K ou d'un X. C'est le
sillon
cruciforme de Rolando, le sillon triradié de Tu
'un II, d'un K ou d'un X. C'est le sillon cruciforme de Rolando, le
sillon
triradié de Turner, le sillon orbitaire, sulcus
t le sillon cruciforme de Rolando, le sillon triradié de Turner, le
sillon
orbitaire, sulcus orbitalig \f5) d'Ecker, l'incis
de Broca (f,) (fig. 149, 183). Les parties moyenne et externe du
sillon
cruciforme sont formées par la partie orbitaire
ormée par la deuxième cir- convolution frontale, dans les cas où le
sillon
fronto-marginal (fm) n'est pas limité par l'ana
pais, large et sinueux, souvent divisé longitudi- nalonieiit par un
sillon
tertiaire, ordinairement superficiel, et interrom
la scissure intrr-hémisphérique, et séparés l'un de l'autre par le
sillon
prérolandiquesupél'ieur(pI's) (fig. 155, 158, 159
, et se trouve généralement dédoublée dans sa partie antérieure. Le
sillon
frontal supérieur (f,) la sépare de la première c
r un ou deux plis MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 257 anastomotiques et le
sillon
frontal inférieur (fz) la sépare de la troisième
par deux ou trois racines grêles et flexueuses, qui contournent le
sillon
fronto-marginal [ïm), puis se juxtaposent pour
- sure qui subdivise cette circonvolution est connue sous le nom de
sillon
de la deuxième circonvolution frontale (fez,).
ap de la troisième circonvolution frontale. fi, premier et deuxième
sillons
frontaux. /2, sillon de la deuxième circonvolutio
convolution frontale. fi, premier et deuxième sillons frontaux. /2,
sillon
de la deuxième circonvolution frontale. Pa, circo
irconvolution frontale. Pa, circonvolution frontale ascendante. fm,
sillon
fronto-marginal. -GS11z, gyrus supra-marginalis.
ginal. -GS11z, gyrus supra-marginalis. ic, inci- sure du cap. - io,
sillon
inter-occipital. -ip, sillon inter-pari,;tal. - j
rginalis. ic, inci- sure du cap. - io, sillon inter-occipital. -ip,
sillon
inter-pari,;tal. - j, incisure de Jensen. - 0"
emière, deuxième, troisième circonvolutions occipitales. 02. deuxième
sillon
occipital. - oa, sillon occipital antérieur. -
e circonvolutions occipitales. 02. deuxième sillon occipital. - oa,
sillon
occipital antérieur. - partie orbitaire de la tro
cendante. - Pc, pli courbe. po, scissure parieto- occipitale. pal',
sillon
post-rolandiquc. pri, sillon prérolandique inféri
o, scissure parieto- occipitale. pal', sillon post-rolandiquc. pri,
sillon
prérolandique inférieur. p"8, sillon prérolandi
l', sillon post-rolandiquc. pri, sillon prérolandique inférieur. p"8,
sillon
prérolandique, supérieur. - pt, sillon pariétal
rérolandique inférieur. p"8, sillon prérolandique, supérieur. - pt,
sillon
pariétal transverse. - 7tGI, 7tG" premier et deux
*,T3, première, deuxième, troisième circonvolutions temporales. il,
sillon
parallèle; t'i, l'i, ses branches verticales. - T
anches verticales. - Tp, cir- convolution temporale profonde. - tp,
sillon
temporal profond. 1 . 1 ... 258. ANATOMIE DES
ns la région ôrbitaire, au niveau de l'extrémité pos- : térieure du
sillon
olfactif (f,,), par une racine effilée qui lui es
Sylvius et embrasse dans sa concavité l'extré- mité inférieure du
sillon
prérolandique (pri) (fig. 155] 160).. Quelque
] 160).. Quelquefois même, il est si profondé- ment situé, que le
sillon
prérolandique semble , ,. au premier abord, s
ties : l'une inférieure, or- 1jitai1'e (oF3), comprise - entre le
sillon
olfactif (f/h) et la branche hori- zontale an
ne, où elle se prolonge en avant jusqu'à la branche transversale du
sillon
t1'Í1'adié ou de Y incisure en H (f 3) et forme l
raphie d'une pièce durcie au bichromate.) . cm' ,partieyerticale du
sillon
çalloso-marginal.-F" F., F3,' z première, -deux
ons frontales. Fa, circonvolution frontale ascendante.' /r, premier
sillon
frontal. - incisure du deuxième sillon frontal.
ale ascendante.' /r, premier sillon frontal. - incisure du deuxième
sillon
frontal. ip, sillon inter-pariétal. j, incisure
premier sillon frontal. - incisure du deuxième sillon frontal. ip,
sillon
inter-pariétal. j, incisure de Jensen. - 01, 0.
- circonvolution frontale. po, scissure pariéto-occipitale.joo ? ',
sillon
post-rolandique.pr : , sil- lon prérolandique i
lon post-rolandique.pr : , sil- lon prérolandique inférieur. - prs,
sillon
prérolandique supérieur. - pt, sillon pariétal
érolandique inférieur. - prs, sillon prérolandique supérieur. - pt,
sillon
pariétal transverse. - 7tG" premier pli vertica
- Sih, scissure inter-hémisphérique. - t'i, branche verticale du
sillon
parallèle. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 259 Elle se
e la scissure de Sylvius (S [a]) et embrasse l'extrémité externe du
sillon
fronto-marginal (fm). Le bord postérieur de la
ution frontale, un pli anastomotique quilimite en avant le deuxième
sillon
frontal (fa) (fig. 155). Le cap ou partie trian
une incisure profonde, l'incisrrre du cap (ic), émise par le second
sillon
frontal. L'une ou l'autre branche de cette base e
une anastomose superficielle qui interrompt la continuité du second
sillon
frontal (fig. 155). Le pied ou partie operculai
sure verticale, émanant tantôt de la scissure de Sylvius, tantôt du
sillon
frontal inférieur (fig. 152, 135, hui8, 161). C
be à conca- vité supérieure, qui embrasse l'extrémité inférieure du
sillon
prérolan- dique inférieur (pri) et le sépare de
ent la face antérieure de l'insula, dont elles sont séparées par un
sillon
profond et vertical, le sillon marginal antérie
ula, dont elles sont séparées par un sillon profond et vertical, le
sillon
marginal antérieur de l'insula (ma) (fig. 1 î :
e de la région insulaire antérieure (la), dont il est séparé par un
sillon
antéro- postéricur, le sillon marginal supérieu
ieure (la), dont il est séparé par un sillon antéro- postéricur, le
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms). La troisiè
roca. Incisure du eap. Partie operculaire. Direction du pied.
Sillon
marginal an- térieur. La troisième cir- con
. - F3e), cap de la troisième circonvolution frontale. - fOI deuxième
sillon
frontal. - fa, sillon en H. - Fti, circonvoluti
sième circonvolution frontale. - fOI deuxième sillon frontal. - fa,
sillon
en H. - Fti, circonvolution frontale ascendante.
- fa, sillon en H. - Fti, circonvolution frontale ascendante. - fm,
sillon
fronto-marginal. - Gsm, gyrus supra- marginalis
- fm, sillon fronto-marginal. - Gsm, gyrus supra- marginalis. - i,
sillon
de l'insula. - la, insula antérieur. - ic, incisu
n de l'insula. - la, insula antérieur. - ic, incisure du cap. - io,
sillon
inter-occipital. - lp, insula postérieur. ip, sil
du cap. - io, sillon inter-occipital. - lp, insula postérieur. ip,
sillon
inter.-pariétal. - ipo, incisure pré-occipitale
deuxième et troi- sième circonvolutions occipitales. - o., deuxième
sillon
occipital. - oa, sillon occipital antérieur. -
e circonvolutions occipitales. - o., deuxième sillon occipital. - oa,
sillon
occipital antérieur. - oF,, oF ? 0F3, partie or
endante. - Pc, pli courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. -por,
sillon
post-rolandique. p ! 'if, sillon prérolandique in
scissure pariéto-occipitale. -por, sillon post-rolandique. p ! 'if,
sillon
prérolandique inférieur. - ]J1'S, sillon prérol
post-rolandique. p ! 'if, sillon prérolandique inférieur. - ]J1'S,
sillon
prérolandique supérieur. -R, scissure de Rolando.
de Sylvius. -S(v), branche verticale de la scissure de Sylvius.- soe,
sillon
orbi- taire externe. - Ti, T., T3, première, de
, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - ti,
sillon
parallèle ou premier sillon temporal. - l ? sa br
sième circonvolutions temporales. - ti, sillon parallèle ou premier
sillon
temporal. - l ? sa branche verticale. t2, deuxièm
ou premier sillon temporal. - l ? sa branche verticale. t2, deuxième
sillon
' temporal. . Tp, circonvolution temporale prof
ème sillon ' temporal. . Tp, circonvolution temporale profonde. tp,
sillon
temporal profond : .. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. «
les. c, cap de la troisième circonvolution frontale. - fit deuxième
sillon
frontal. - f.1, troisième sillon frontal ou inc
nvolution frontale. - fit deuxième sillon frontal. - f.1, troisième
sillon
frontal ou incisure en H. - Fa, circonvolution fr
onvolution frontale ascendante. - Gsm, gyrus supra-marginalis. - i,
sillon
de l'insula. - la, circonvolutions antérieures de
n de l'insula. - la, circonvolutions antérieures de l'insula. - io,
sillon
inter-occipital. - ic, incisure du cap. - tp, cir
incisure du cap. - tp, circonvolution postérieure de l'insula. ip,
sillon
inter-pariétal. - ipo, incisure pré-occipitale. -
, pre- mière et deuxième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième
sillon
occipital. - oa, sillon occipital antérieur. -
me circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa,
sillon
occipital antérieur. - or., oF3, partie orbitai
dante. - Pc, pli courbe. -po, scissure haricto-occil»talc. - 1»,i,
sillon
prérolandique infé- rieur. - prs, sillon prérol
aricto-occil»talc. - 1»,i, sillon prérolandique infé- rieur. - prs,
sillon
prérolandique supérieur. - R, scissure de Rolando
7, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,
sillon
parallèle; 1't, t ? ses branche* verticales. -
, sillon parallèle; 1't, t ? ses branche* verticales. - h, deuxième
sillon
temporal. - Tp, circonvolution temporale profonde
elques cas rares (fig. 163), divisée en deux parties par le premier
sillon
, frontal (f,) qui s'abouche dans la scissure de
oisième circonvolutions fron- ' tales (F2, Fla). L'union du premier
sillon
frontal avec la scissure de Rolando correspond
néral, dans ce cas, à la concavité qui sépare les deux genoux de ce
sillon
. La circonvolution frontale ascendante (Fa) naî
, embrasse dans - sa concavité supérieure l'extrémité inférieure du
sillon
de Rolando ; sa ' face profonde forme l'opercul
la photographie d'une pièce ayant séjourné dans l'alcool.) '. cm,
sillon
calloso-marginal. - F,, F;,f3, première, deuxième
, circonvolution frontale ascendante. - fi, f2, premier et deuxième
sillons
frontaux. ? incisure du deuxième sillon frontal
fi, f2, premier et deuxième sillons frontaux. ? incisure du deuxième
sillon
frontal. - Gsm, gyrus supra-marginalis. ifop, i
, gyrus supra-marginalis. ifop, incisure frontale de l'opercule. il),
sillon
inter-pariétal. - ipnp, incisure pariétale de l
circonvolutions frontales. - por, sil- lon post-rolandique. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - prs, sillon prérolandi
lon post-rolandique. - pri, sillon prérolandique inférieur. - prs,
sillon
prérolandique supé- rieur. -1tG1, premier pli v
landique supé- rieur. -1tG1, premier pli vertical de Gromicr. - pt,
sillon
pariétal transverse de Brissaud. - Il, scissure
euxième circonvolu- tions temporales. - ti, le, premier et deuxième
sillons
temporaux. 264 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
circ externe (po) à l'incisu ! ·e pré-occipitale de Meynert (ipo), ou
sillon
pré-occipital de Bischoff et Meynert (fig. 150,
t Meynert (fig. 150, 171). Cette incisure appar- tient au troisième
sillon
temporal (t) situé il la face inférieure de l'h
étal présente à considérer la circonvolution ascfii- dante (Pa), le
sillon
interpariétal (ip) : la circonvolution pariétale
dans les cas d'anomalies, soit de la scissure de Rolando, soit des
sillons
pré ou post-rolandique (fig. 1H6, 158, 163, 166).
oit des sillons pré ou post-rolandique (fig. 1H6, 158, 163, 166).
Sillon
interpariétal (ip). - Synonymie. Sillon pariétal
(fig. 1H6, 158, 163, 166). Sillon interpariétal (ip). - Synonymie.
Sillon
pariétal (Broca). Tnterpu- rietal fissure (Turn
Ecker (il;. No'rA'nox : d'après Broca (p). D'après Ecker (ip). Le
sillon
inlm7Hll'Ù ! lal (il)) commence en arrière de la
riétal, et pénètre dans le lobe occipital où il se continue avec le
sillon
interoccipital (io) (fi7. 150, 158, 160, 161, 1
8, 160, 161, 165, 167). Ce trajet lui a valu de Schwalbe, le nom de
sillon
pariélo-occipital, nom qu'il faut abandonner, pui
ux scissures perpendiculaires interne et externe. Chez le singe, le
sillon
interpariétal se termine dans la scissure perpend
cl se distingue ainsi nettement de celui de l'homme. La partie du
sillon
interpariétal, parallèle à la scissure de Rolando
rpariétal, parallèle à la scissure de Rolando (R), I<'JG. 104. -
Sillon
inter-pariétal et plis de passage superficiels de
tion frontale. F3, troisième circonvolution frontale.- f., deuxième
sillon
frontal.-Fa,circonvolutionfrontale ascendante.
ntale ascendante. - Gsm, gyrus supra-marginalis. - I, insula. - io,
sillon
inter-occipital. - ip, sillon inter- pariétal.-
us supra-marginalis. - I, insula. - io, sillon inter-occipital. - ip,
sillon
inter- pariétal.- Oi, première circonvolution o
cipitale. - 03, troisième circonvolution occipitale. - Os, deuxième
sillon
occipital. - oF3, partie orbi- taire de la troi
e circonvolution pariétale. - po, scissure pariéto-occipitale. - por,
sillon
post- rolandique. - p1'" pied de la circonvolut
ndique. - p1'" pied de la circonvolution pariétale inférieure. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - pi,s, sillon prérola
ariétale inférieure. - pri, sillon prérolandique inférieur. - pi,s,
sillon
prérolandique supérieur. - pt, sillon pariétal tr
rolandique inférieur. - pi,s, sillon prérolandique supérieur. - pt,
sillon
pariétal transverse de Brissaud. - 1tG" premier
n temporale. - Tt, deuxième circonvolution temporale. - ti, premier
sillon
temporal. t'i,t'i, ses branches verticales. ' t
i, premier sillon temporal. t'i,t'i, ses branches verticales. ' tp,
sillon
temporal profond. 266 ANATOMIE DES CENTRES NERV
'ensemble du tronc principal et du rameau ascendant porte le nom de
sillon
post-rolandiquc ou post-central (por) (fig..158
lon post-rolandiquc ou post-central (por) (fig..158, li9, z163). Ce
sillon
, même lorsqu'il est très ' net, est généralemen
étale ascendante. Une anastomose verticale unit quel- Fig. 16,'i. -
Sillon
inter-pariétal et plis verticaux profonds de Crom
rieure et externe de l'hémisphère gauche, dont certaines scissures et
sillons
ont t été écartés pour rendre plus apparents ce
re, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - fe, deuxième
sillon
frontal. - F3(c), cap de la troisième circonvolut
rconvolution frontale ascendante. - Gsm, gyrus supra-marginalis. - i,
sillon
de l'in- sula. - la, insula antérieur. - io, si
arginalis. - i, sillon de l'in- sula. - la, insula antérieur. - io,
sillon
intcr-occipital. - Ip, insula postérieur. - ip, s
térieur. - io, sillon intcr-occipital. - Ip, insula postérieur. - ip,
sillon
inter-pariétal. - ipo, incisure pré-occipitale.
0t, première et deuxième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième
sillon
occipital. - oF3, partie orbitaire de la troisi
e circonvolution frontale. -po, scissure pariéto-occipitale. - por,
sillon
post-rolandique. - pri, sillon préro- landique
o, scissure pariéto-occipitale. - por, sillon post-rolandique. - pri,
sillon
préro- landique inférieur. - prs, sillon prérol
on post-rolandique. - pri, sillon préro- landique inférieur. - prs,
sillon
prérolandique supérieur. - iota, pli anastomotiqu
illon prérolandique supérieur. - iota, pli anastomotique profond du
sillon
inter-occipital. - 7tG" 7tG., premier et deuxième
ylvius. - T,, Ti, première et deuxième circonvolutions temporales li,
sillon
parallèle ou premier sillon temporal. - l ? bra
deuxième circonvolutions temporales li, sillon parallèle ou premier
sillon
temporal. - l ? branche verticale du sillon paral
on parallèle ou premier sillon temporal. - l ? branche verticale du
sillon
parallèle. - Tp, circonvolution temporale profo
du sillon parallèle. - Tp, circonvolution temporale profonde. - tp,
sillon
temporal profond. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 267
iétal supérieur au lobule pariétal inférieur, de (elle sorte que le
sillon
post-rolandique pourrait, à première vue, être co
, être confondu avec la scissure de Rolando (fig. 159, H. d.). Le
sillon
interpariélal (ip) est fréquemment interrompu par
et se termine en avant de la scissure pariéto-occipitale, c'est le
sillon
pariétal transverse (pt) (Brissaud) (fig. 166);
pt) (Brissaud) (fig. 166); il donne en outre un rameau descendant, le
sillon
intermédiaire de Jensen (j) (fig. 166), qui sub
ariétal inférieur (Ecker), très flexueuse, est située au-dessous du
sillon
interpariétal et divisée en deux parties par le
u-dessous du sillon interpariétal et divisée en deux parties par le
sillon
intermédiaire de Jensen (j) (fig. 166). La partie
r- convolution pariétale inférieure s'élargit en haut, contourne le
sillon
inter- 1. Ne pas confondre avec le gyrus postér
ietale Sl1pll'iClll'c. i Deuxième circon- volution pariétale.
Sillon
mtormt-41ai- 1'0 de J cnsell. . (1-)'l'11S ?
courbe. médiaire de Jensen, puis coiffe l'extrémité postérieure du
sillon
paral- - - lèle (t,), en décrivant une courbe à
que enfin en deux anses : l'anse antérieure contourne en arrière le
sillon
parallèle pour s'anastomoser avec la deuxième c
lution frontale.-F,(c), cap de la circonvolution de Broca. f, premier
sillon
frontal.- fi, deuxième sillon frontal. - fie, s
a circonvolution de Broca. f, premier sillon frontal.- fi, deuxième
sillon
frontal. - fie, sillon de la deuxième circonvolut
ca. f, premier sillon frontal.- fi, deuxième sillon frontal. - fie,
sillon
de la deuxième circonvolution frontale. - /in, si
frontal. - fie, sillon de la deuxième circonvolution frontale. - /in,
sillon
fronto-marginal. - Gsnz, gyrus supra-marginalis
ccipitale. - 0,; troisième circonvolution occipitale. - o,, deuxième,
sillon
occipital. 03, troisième sillon occipital. - oa
olution occipitale. - o,, deuxième, sillon occipital. 03, troisième
sillon
occipital. - oa, sillon occipital antérieur. OpP.
, deuxième, sillon occipital. 03, troisième sillon occipital. - oa,
sillon
occipital antérieur. OpP., opercule de la deuxièm
circonvolution d ' Broca. - po, scissure pariéto-occipitale. - pour,
sillon
post-rolandique. - pri, purs, sillons préroland
re pariéto-occipitale. - pour, sillon post-rolandique. - pri, purs,
sillons
prérolandiques supérieur et inférieur. - pt, sill
. - pri, purs, sillons prérolandiques supérieur et inférieur. - pt,
sillon
pariétal transverse de Brissaud. - ira, pli ana
al transverse de Brissaud. - ira, pli anastomotique interrompant le
sillon
intor-pariétal. - 7tG" deuxième pli ' vertical
olution temporale. - Ta, troisième circonvolution temporale. t,,t ?
sillon
parallèle et sa branche verticale. - to, deuxiè
le. t,,t ? sillon parallèle et sa branche verticale. - to, deuxième
sillon
temporal. - et, troisième sillon temporal. MORP
branche verticale. - to, deuxième sillon temporal. - et, troisième
sillon
temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 269 ro ... ?
t le lobule marginal supérieur (Gsm), dont le deuxième contourne le
sillon
parallèle en formant lepli courbe (Pc). La régi
u pli courbe consiste à rechercher d'abord, comme point de repère, le
sillon
intermédiaire de Jensen (j), lequel se trouve s
urbe est situé, comme nous l'avons dit, immédiatement en arrière du
sillon
, intermédiaire de Jensen (fig. l(i0, 161, 162,
est bien délimité à la face interne. Silloll prd-occipi- tal.
Sillon
occipital an- térieur. chez l'homme, se prése
po)(fig.l67), qui lorme quelquefois ri la lace externe un véritable
sillon
, le sillon pré- occipital de Meynert (ipo) (fig
), qui lorme quelquefois ri la lace externe un véritable sillon, le
sillon
pré- occipital de Meynert (ipo) (fig. 1HO, 170)
et de la ligne qui réunit ces deux encoches, on trouve souvent t un
sillon
oblique en haut et en arrière, le sillon occipita
es, on trouve souvent t un sillon oblique en haut et en arrière, le
sillon
occipital antérieur de Wernicke (o a) (Gb. 171)
ière, le sillon occipital antérieur de Wernicke (o a) (Gb. 171). Ce
sillon
fort variable représente tantôt un sillon isolé
ernicke (o a) (Gb. 171). Ce sillon fort variable représente tantôt un
sillon
isolé (fig. 168), tantôt l'éperon inférieur du
nte tantôt un sillon isolé (fig. 168), tantôt l'éperon inférieur du
sillon
parallèle (fig. 171); son extrémité inférieure
nvolution frontale ascendante. - Gsm, gyrus suhraanarginalis. - ip,
sillon
inter- pariHt.aI.tpo, incisure hré-tccilitale.
troisième circonvolutions occipitales. - 0" 0" premier et deuxième
sillons
occipitaux. - Opll., opercule de la circonvolut
dante. - Pc, pli courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. - pour,
sillon
post-rolandique. - 7tG" pre- mier pli vertical
t troisième circonvolutions temporales.- t, 12, premier et deuxième
sillons
temporaux. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 2-il est sé
ALE. 2-il est séparée de la scissure perpendiculaire externe par le
sillon
interpariétal, bordé de chaque côté par les pli
ple, - la scissure perpendiculaire externe, en se réunissant au
sillon
occipital anté- rieur, parcourt toute la face
l présente à considérer outre l'iuci- sure pré-occipitale et le
sillon
occipital antérieur, trois sillons profonds, à
ci- sure pré-occipitale et le sillon occipital antérieur, trois
sillons
profonds, à direction plus ou moins horizonta
circonvolutions. Ce sont le premier, le deuxième et le troisième
sillon
oc- cipital. Le premier sillon oc- cipital,
ier, le deuxième et le troisième sillon oc- cipital. Le premier
sillon
oc- cipital, sillon inter-occipital (i o) [sill
le troisième sillon oc- cipital. Le premier sillon oc- cipital,
sillon
inter-occipital (i o) [sillon, occipital supérieu
tal. Le premier sillon oc- cipital, sillon inter-occipital (i o) [
sillon
, occipital supérieur o,] d'Ecker), n'est autre
d'Ecker), n'est autre que la continuation dans le lobe occipital du
sillon
, interpariétal (i p). Il continue la direction
du sillon, interpariétal (i p). Il continue la direction courbe du
sillon
interpariétal, et se termine quel- quefois au n
on interpariétal, et se termine quel- quefois au niveau du deuxième
sillon
occipital ou sillon occipital Irans- vcnsc (o =
se termine quel- quefois au niveau du deuxième sillon occipital ou
sillon
occipital Irans- vcnsc (o =) (fig. 1 : i0, 1 G,
vcnsc (o =) (fig. 1 : i0, 1 G, 168); le plus souvent il dépasse ce
sillon
, le coupe à angle droit, forme avec lui un sill
ent il dépasse ce sillon, le coupe à angle droit, forme avec lui un
sillon
étoile et se prolonge jusqu'au niveau de la poi
x relient le lobe pariétal an lobe occipital. Fente simienne.
Sillons
occipitaux FIG. 168. - Pointe occipitale. Hémis
'Ecker. - Fus, lobule fusiforme. - Gsm, gyrus supra-marginalis. io,
sillon
inter-occipital. - ip, sillon inter-pariétal. -
- Gsm, gyrus supra-marginalis. io, sillon inter-occipital. - ip,
sillon
inter-pariétal. - ipo, incisure pré-occipitale de
, deuxième et troisième cir- convolutions occipitales. -0" deuxième
sillon
occipital. - z oa, sillon occipital antérieur.
convolutions occipitales. -0" deuxième sillon occipital. - z oa,
sillon
occipital antérieur. - Pi, ! '. première et deuxi
les. - l'c, pli courbe. - pro, scis- sure pariéto-occipitale. - pt,
sillon
pariétal transverse. - 'i ! G1, ·r<G ? premi
première, deuxième et troisième circonvolu- tions temporales. - tl,
sillon
parallèle ou premier sillon temporal. t'i, bran
ème circonvolu- tions temporales. - tl, sillon parallèle ou premier
sillon
temporal. t'i, branche verticale du sillon para
lon parallèle ou premier sillon temporal. t'i, branche verticale du
sillon
parallèle. 1-1,1$, deuxième et troisième sillon
ranche verticale du sillon parallèle. 1-1,1$, deuxième et troisième
sillons
temporaux. 212 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
omose de ces circonvolutions avec le pli courbe (Pc). Le deuxième
sillon
occipital (o,) [sillon occipital transverse [o],
tions avec le pli courbe (Pc). Le deuxième sillon occipital (o,) [
sillon
occipital transverse [o], (Ecker), fissura occi
la deuxième (0.) : il s'enlre-croise souvent à angle droit avec le
sillon
précédent (io), puis se porte en avant vers la
récédent (io), puis se porte en avant vers la partie horizontale du
sillon
parallèle (t,) (fig. 150, 168, 171). Le troisiè
zontale du sillon parallèle (t,) (fig. 150, 168, 171). Le troisième
sillon
occipital (o3) ou sillon occipital moyen (Schwalb
le (t,) (fig. 150, 168, 171). Le troisième sillon occipital (o3) ou
sillon
occipital moyen (Schwalbe), sillon occipital in
oisième sillon occipital (o3) ou sillon occipital moyen (Schwalbe),
sillon
occipital inférieur (Ecker), est un petit sillon
moyen (Schwalbe), sillon occipital inférieur (Ecker), est un petit
sillon
antéro-postéricur superficiel, qui sépare la de
roi- s sième. Il se porte en avant vers le deuxième ou le troisième
sillon
tem- <,' poral (t,, tj et constitue souvent
isphère (fig. 166. 171). | Les circonvolutions délimitées par ces
sillons
sont au nombre de quatre : t Les trois circonvo
unéus (C) et s'étend de la scissure perpendiculaire externe (po) au
sillon
occipital transverse o.,). Sa partie antérieure
ssure inter-hémisphérique et con- tourne l'extrémité postérieure du
sillon
occipital transverse, où elle s'anas- - tomose
uxième circonvolution occipitale (02) est limitée en arrière par le
sillon
inter-occipital (io), en avant par le sillon occi
itée en arrière par le sillon inter-occipital (io), en avant par le
sillon
occipital antérieur (oa), en bas par le deuxièm
vant par le sillon occipital antérieur (oa), en bas par le deuxième
sillon
occipital (o,). en haut elle se con- tinue avec
urs simple, il est quel- quefois dédoublé par un ou plusieurs
sillons
superficiels; parfois, il inter- rompue sillo
un ou plusieurs sillons superficiels; parfois, il inter- rompue
sillon
occi- pital antérieur (oa) (fig. 173) en s'an
scendant du pli courbe, elle se dirige en arrière, contourne le
sillon
occipital transverse (02) et l'extrémité inférieu
urne le sillon occipital transverse (02) et l'extrémité inférieure du
sillon
inter-occipital (io), puis s'insère sur la circ
bichromate ; même cerveau que dans la fig. 159.) C, cuneus. - cm,
sillon
calloso-marginal. - D, gyrus descen- dons d'Eck
ndante. ? incisure de Jensen. - io, sil- lon inter-occipital. - ip,
sillon
inter-pariétal. - ipo, incisure pL'c-occipit,at
Pa, cir- convolution pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. - por,
sillon
post-rolandique. pt. sillon pariétal transverse
le ascendante. - Pc, pli courbe. - por, sillon post-rolandique. pt.
sillon
pariétal transverse. icG.pli vertical de Gromie
re, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - ti, premier
sillon
1em- poralou sillon parallèle.- t' branche vert
sième circonvolutions temporales. - ti, premier sillon 1em- poralou
sillon
parallèle.- t' branche verticale du sillon parall
mier sillon 1em- poralou sillon parallèle.- t' branche verticale du
sillon
parallèle. : 274 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
hémisphère, séparée de la circonvolution précédente par le deuxième
sillon
occipital (oz) et du lobule lingual (Lg) par le
me sillon occipital (oz) et du lobule lingual (Lg) par le troisième
sillon
occipital (03). En arrière, elle s'insère, sur le
la deuxième circonvolution temporale (T,) en interrom- pant le
sillon
occipital anté- rieur (oa) ; d'autrefois elle c
olution' frontale ascendante. - Gsm, gyrus supra- marginalis. - io,
sillon
inter-occipital. - ip, sillon inter-parital. -
- Gsm, gyrus supra- marginalis. - io, sillon inter-occipital. - ip,
sillon
inter-parital. - ipo + oa, incisure pré-occipit
parital. - ipo + oa, incisure pré-occipitale, se coMtinuant avec le
sillon
occipital antérieur. j, incisure de Jensen. - 0
xième et troisième circonvolutions occipitales. - o3, troi- sième
sillon
occipital. - OpP2, opercule de la circon- volut
- l'a, circonvolution pariétale ascen- dante. Pc, pli courbe. - po,
sillon
p : trito-occi- pital. por, sillon post-rolandi
- dante. Pc, pli courbe. - po, sillon p : trito-occi- pital. por,
sillon
post-rolandique. prs, sillon prérolandique supé
po, sillon p : trito-occi- pital. por, sillon post-rolandique. prs,
sillon
prérolandique supérieur. - R, scissure de Rolan
première, deuxième et troisième circon- volutions temporales. - Il,
sillon
parallèle. t ? branche verticale du sillon para
utions temporales. - Il, sillon parallèle. t ? branche verticale du
sillon
parallèle. - 12, deuxième sillon temporal. MO
allèle. t ? branche verticale du sillon parallèle. - 12, deuxième
sillon
temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 27o ou conve
uvre en partie. La face externe de ce lobe présente à étudier trois
sillons
et trois cir- convolutions, ce sont : Sillon
nte à étudier trois sillons et trois cir- convolutions, ce sont :
Sillon
parallèle (t). - Synonymie. - Scissure parallèl
temporalis (Pansch). An- tero-temporalissulcus (Huxley). Premier
sillon
temporal (Broca). Notations : (Ecker, Broca).
Premier sillon temporal (Broca). Notations : (Ecker, Broca). Le
sillon
parallèle (t,) constant et profond, com- menc
nt avec la scissure de Sylvius (fig. 158), plus fréquemment avec le
sillon
temporal moyen (t2) (fig. 1771). Dans sa partie
temporal moyen (t2) (fig. 1771). Dans sa partie verticale (t'1), le
sillon
parallèle présente de très grandes variétés ind
constitue l'axe du pli courbe (t,), la branche inférieure forme le
sillon
occi- pital antérieur de Wernicke (oa). '1 1
ieur de Wernicke (oa). '1 1 Limites de la face Cxtci,iic. q 1
Sillon
parallèle. Fie. 171. - Face postéro-externe de
lution frontale ascen- diante. - Gsm, gyrus supra-marginalis. - io,
sillon
inter-occipital. - ip, sillon inter-pariétal. -
- Gsm, gyrus supra-marginalis. - io, sillon inter-occipital. - ip,
sillon
inter-pariétal. - j, incisure de Jensen. - 0,,0
oisième circonvolutions occipitales. Oi,o», deuxième et troisième
sillons
occipitaux. OpP ? opercule pariétal. OpR, oper-
endante. Pc, pli courbe. - po, scissure pariéto- occipitale. - por,
sillon
post-rolandique. - prs, sillon prérolandique su
scissure pariéto- occipitale. - por, sillon post-rolandique. - prs,
sillon
prérolandique supérieur. - 1tGIo premier pli ve
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Il,
sillon
parallèle; 1'l, sa branche verticale. - l" deuxiè
- Il, sillon parallèle; 1'l, sa branche verticale. - l" deuxième
sillon
temporal. 276 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. D
ème sillon temporal. 276 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Deuxième
sillon
temporal. D'autres fois, la branche supérieur
cissure pariéto-occipitale (po), se continue souvent en bas avec le
sillon
occipital antérieur de Wernicke (oa) (fig. 16),
ion temporale (T,), à la deuxième circonvolution occipitale (0); le
sillon
occipital antérieur (oa) fait alors défaut et l
nte de la partie horizontale de la scissure parallèle, un petit
sillon
horizontal superficiel (fig. 161,168,152), qui
ns la majorité des cas, qu'une dépression creusée par une artère,
sillon
par lequel la scissure de Sylvius semble comm
on par lequel la scissure de Sylvius semble communiquer avec le
sillon
parallèle. Deuxième sillon tempo- ral (t,). -
e Sylvius semble communiquer avec le sillon parallèle. Deuxième
sillon
tempo- ral (t,). - Synonymie. - Sulcus tempor
fissure (Huxley). Postero-temporal sul- cus (Huxley). - Deuxième
sillon
temporal (Broca). - Notation : t, (Ecker, Bro
n temporal (Broca). - Notation : t, (Ecker, Broca). Le deuxième
sillon
tem- poral (t2) est un sillon peu profond, si
: t, (Ecker, Broca). Le deuxième sillon tem- poral (t2) est un
sillon
peu profond, situé au-dessous de la scissure pa
ième (T3), et se termine en arrière d'une façon variable. Tantôt ce
sillon
est limité en arrière par un pli anastomotique
pra-marginalis. - ifop, incisure frontale de l'oper- pcrcule. - io,
sillon
inter-occipital. - ip, sillon inter- pariétal.
re frontale de l'oper- pcrcule. - io, sillon inter-occipital. - ip,
sillon
inter- pariétal. -ipo, incisure pré-occipitale.
deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - oa, deuxième
sillon
occipital. - OpP, opercule pariétale. opR, oper-
dante. - Pc, pli courbe. - po, scissure pariélo- occipitale. - por,
sillon
posl,-rolandique. - pri, sillon prérolandique i
cissure pariélo- occipitale. - por, sillon posl,-rolandique. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolan
Illi(.l'c, deuxième et troisième circonvolu- tions temporales.<.,
sillon
parallèle l' 10/'10 ses branches verticales. -
,sillon parallèle l' 10/'10 ses branches verticales. - 12, deuxième
sillon
temporal. TI'. cir- convolution temporale profo
e sillon temporal. TI'. cir- convolution temporale profonde. - tri,
sillon
temporal I)rofi)ii(l. - x, connucnt de Tensen.
nnucnt de Tensen. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 277 concourt à former le
sillon
occipital antérieur de Wernicke (oa) (fig. 170),
nfin, affectant une forme étoilée (fig. 172), il reçoit le deuxième
sillon
pré-occipital (02), et l'incisure pré-occipitale
) de Jensen(x) (fig. 170, 172). De la terminaison postérieure de ce
sillon
, dépend donc l'indépendance plus ou moins com-
e ce sillon, dépend donc l'indépendance plus ou moins com- plète du
sillon
occipital antérieur (oa). Troisième sillon temp
ou moins com- plète du sillon occipital antérieur (oa). Troisième
sillon
temporal (t3). - Synonymie. - Première scissure t
srli). - Sulcus temporalis inferior sive tertius (Ecker). - Troisième
sillon
temporal (Broca). - 1 ? 21'ei-io)- tcmporo-sphe
s : t3 (Ecker, Broca), ot, (Pansch), ot3 (Brissaud). Le troisième
sillon
temporal (t3) sépare nettement, à la face inférie
cipitale de Schwalbe, qui semble alors n'être qu'une incisure de ce
sillon
(fig. 149). D'autres fois, il en est séparé par
orale (T3) à la troisième circonvolution occipitale (03). Les trois
sillons
temporaux limitent trois circonvolutions il direc
is plis anastomotiques, et dédoublées plus ou moins par le deuxième
sillon
temporal (t2) (fig. 160, 1G1, r16 ? , 171). La
nt délimitée à la face inférieure de l'hémisphère, par le troisième
sillon
temporal (t3) qui la sépare du lobule fusiforme
- Notation : T (Broca, Ecker). Confluent de Jen- sen. Troisième
sillon
temporal. Troisièmo circon- volution tempor
emière circon- volution temporale. Lobule marginal supérieur.
Sillon
temporal ,rofond. i La deuxième circonvolut
mal délimitée d'avec la circon- volution précédente par le deuxième
sillon
temporal (t2) , est le plus souvent nettement s
c la deuxième circonvolution occipitale, la branche descendante. Le
sillon
occipital anté- rieur (oa) la sépare en arrière
ond que superficiel (fig. z); elle est séparée du pli courbe par le
sillon
intermédiaire de Jensen (j) (fig. 164, 1G5,-1 ï-1
tie inférieure de l'insula, dont elle est séparée (fig. 173) par le
sillon
, marginal postérieur de l' in- sula ou rigole i
us le nom de circonvolutions temporales trans- verses de Heschl. Le
sillon
marginal postérieur (mp) sépare l'insula propre-
sulaire qui appartient a la première circon- volution temporale. Un
sillon
transversal et curviligne, le sillon temporal p
circon- volution temporale. Un sillon transversal et curviligne, le
sillon
temporal profond (tp) ou sillon temporal transv
illon transversal et curviligne, le sillon temporal profond (tp) ou
sillon
temporal transverse, sépare la région rétro-insul
sage pariéto-temporal superficiel. Par son extrémité supérieure, le
sillon
temporal profond apparaît à la face externe de
60). .. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 279 1 L'extrémité inférieure de ce
sillon
incise plus ou moins profondément la face supér
ase est toujours nettement délimitée des lobes voisins, soit par un
sillon
circulaire, la rigole de l'insula de Broca, soi
r un sillon circulaire, la rigole de l'insula de Broca, soit par un
sillon
coudé en triangle, les sillons marginaux de Cir
ole de l'insula de Broca, soit par un sillon coudé en triangle, les
sillons
marginaux de Circonvolutions do la region rét
foetus. Circonvolution do l'enceinte de l'insula de Foville.
Sillons
mar;;i- naux de l'insula. 280 ANATOMIE DES CE
ons mar;;i- naux de l'insula. 280 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Sillon
marginal su- périeur. l'insula (sulci insulse
1'iew'-(ms), antérieur (ma)etposté1'iew' (mp) (fig. 173). " . Le
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms), lu- rigole s
ris entre les deux branches extrêmes de la scissure de Sylvius, les
sillons
et circonvolutions suivantes : 1° La branche an
la troisième circonvolution frontale - (.,f3, deuxième et troisième
sillons
frontaux. Fa, circonvolution frontale ascendante.
endante. Gsm, gyrus supra-marginalis. - j, incisure de Jensen. - i,
sillon
principal de l'insula. - la, , circonvolutions
incisure du cap. /p, circonvolutions postérieure, de l'insula.- io,
sillon
inter-occipital. ip, sillon inter-pariétal. - ipo
olutions postérieure, de l'insula.- io, sillon inter-occipital. ip,
sillon
inter-pariétal. - ipop, incisure pariétale de l
llon inter-pariétal. - ipop, incisure pariétale de l'opercule.- ma;
sillon
marginal antérieur. - mp, sillon marginal postéri
sure pariétale de l'opercule.- ma; sillon marginal antérieur. - mp,
sillon
marginal postérieur. - ms, sillon marginal supé
a; sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur. - ms,
sillon
marginal supérieur. - Oi,0>,03, première, de
, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - o,, deuxième
sillon
occipital. -oa, sillon occipital 'lntÓrieur de 'V
circonvolutions occipitales. - o,, deuxième sillon occipital. -oa,
sillon
occipital 'lntÓrieur de 'V ernicke. -oF"oF2,oF3,
e la troisième circonvolution frontale. - PI, pôle de l'insula. - po,
sillon
pariéto- . occipital. - pOl', sillon post-rolan
- PI, pôle de l'insula. - po, sillon pariéto- . occipital. - pOl',
sillon
post-rolandicine. - pri, sillon prérolandique inf
illon pariéto- . occipital. - pOl', sillon post-rolandicine. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolan
ère et deuxième circonvolutions temporales. l'i, branche verticale du
sillon
parallèle. - Tp, circonvolution temporale profo
du sillon parallèle. - Tp, circonvolution temporale profonde.- Ip,
sillon
temporal profond. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 28t
le frontal de Brissaud). Incisé plus ou moins pro- fondément par le
sillon
prérolandique izzféiierzr (pri), l'opercule front
r de la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S"[p]). Le
sillon
marginal postérieur (mp) ou la rigole inférieure
postérieur (mp) ou la rigole inférieure de Broca, le plus long des
sillons
marginaux, se dirige obliquement en bas en décri-
vant une courbe à convexité postérieure, et s'unit il angle aigu -au
sillon
marginal supérieur; son segment postérieur sépa
face supérieure de la première circonvolution temporale (T,). Le
sillon
marginal antérieur (m a) ou la rigole antérieure
u la rigole antérieure de Broca se détache à angle presque droit du
sillon
marginal supérieur; il est court, presque verti
rtie orbitaire de la troisième circonvolution frontale (oF3). Les
sillons
marginaux antérieur et inférieur ne se réunissent
e, ascendante et postérieure, c'est de ce pli que part également le
sillon
principal de l'insula (sulcus insularis) (i) de S
ent tous du sommet tronqué de l'insula, du pôle de Broca (PI), som-
Sillon
marginal postérieur. · Sillon marginal anté
sula, du pôle de Broca (PI), som- Sillon marginal postérieur. ·
Sillon
marginal antérieur. Seuil de l'insula ou ho
'une crête, dont la direction est sensiblement parallèle à celle du
sillon
marginal supérieur (fig. 173). Des trois faces
a supérieure , la plus étendue, se termine en pente abrupte dans le
sillon
marginal supérieur ; l'antérieure présente égal
l'inférieure, la moins étendue, se termine en pente douce, dans le
sillon
marginal postérieur (mp). . Schnopfhagen distin
ral. Ces deux circonvolutions sont séparées l'une de l'autre par un
sillon
constant, le sillon principal de l'insula, sulc
volutions sont séparées l'une de l'autre par un sillon constant, le
sillon
principal de l'insula, sulcus insularis (i) de Sc
lon principal de l'insula, sulcus insularis (i) de Schnopfhagen. Ce
sillon
commence à la face inférieure du cerveau, au nive
eur, à 1, 1 et demi ou 2 cent, en avant de son angle postérieur. Ce
sillon
profond et constant, qui mesure au niveau de la c
près de millimètres de profondeur, se termine insensiblement dans le
sillon
marginal supérieur; il est le premier sillon qu
insensiblement dans le sillon marginal supérieur; il est le premier
sillon
qui apparaît à la surface de l'insula, et exist
extrémités, au niveau de l'espace perforé antérieur et au niveau du
sillon
marginal supérieur ; ces deux segments se portent
n de l'autre, sans arriver se souder. Mais, la partie inférieure du
sillon
sépare toujours la région anté- rieure de l'ins
vexité de l'insula, et se terminent par une large base au niveau du
sillon
marginal supérieur. La base de la circonvolutio
insula peut atteindre 4 à 4 centim. 1/2, elle est comprise entre le
sillon
marginal antérieur (ma) et le sillon principal
/2, elle est comprise entre le sillon marginal antérieur (ma) et le
sillon
principal de l'insula (i). Les branches de divisi
nsula (i). Les branches de division sont séparées par deux à quatre
sillons
courts, peu profonds, qui'n'atteignent en général
profonds, qui'n'atteignent en général ni le pôle de l'insula, ni le
sillon
marginal supérieur, mais ils peuvent dans quelq
euvent dans quelques cas être assez profonds pour sembler naître du
sillon
insulaire principal. .. i MORPHOLOGIE CEREB
convolution du crochet (U), sous forme d'un pli étroit qui borde le
sillon
marginal postérieur (mp), se porte en haut, en
ôle insulaire; cette circonvolution est en général dédoublée par un
sillon
longitudinal, qui peut se jeter dans le sillon
ral dédoublée par un sillon longitudinal, qui peut se jeter dans le
sillon
principal de l'insula, dont il semble alors émane
OLOGIE CÉRÉBRALE. 2S5 lobule, où il se continue souvent avec un des
sillons
antéro-postérieurs du cunéus (fig. 183). Scis
carinien. (L [i]), mais n'atteint jamais, malgré les apparences, le
sillon
de l'hippocampe (h). Il suffit, en général, d'é
scissure calcarine, pour s'assurer qu'elle est toujours séparée du
sillon
de l'hippocampe (h), par un mince pont, qui rel
tographie d'une pièce durcie dans le bichro- mate.) C, cuncus.-c,
sillon
du cuneus.-Cc(Spl), splé- nium du corps calleux
s.-c, sillon du cuneus.-Cc(Spl), splé- nium du corps calleux. - cm,
sillon
calloso- marginal. - D, circonvolution descenda
al. - D, circonvolution descendante. - Fus, lobule fusiforme. - It,
sillon
de l'hippo- campe. K, scissure calcarine; K', s
sa première circonvolution; 2. sa deuxième circonvolution. - 19,
sillon
du lobule lingual. - L(i), isthme anti-calcarin
étale. - 1'a, troisième cir- convolution temporale. - t3, troisième
sillon
temporal. 286 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
atiolet avait pensé que la scissure calcarine se continuait avec le
sillon
de l'hippocampe, et qu'elle déterminait dans le p
tes occipitales appartiennent à un même cerveau.) , C, cuneus. - c,
sillon
du' cunéus. - Cc(Spl), bourrelet du corps calleux
- c, sillon du' cunéus. - Cc(Spl), bourrelet du corps calleux. - cm,
sillon
calloso-marginal; cm', sa partie verticale. - D
ale. - D, circonvolution descendante. - Fus, lobule fusiforme. - h,
sillon
de l'hippocampe. - ipo, incisure pré-occipitale.
ue ou circonvolution de l'hippocampe. - Lg, lobule lin- gual. - lg,
sillon
du lobule lingual. - L(i), isthme du lobe limbiqu
iétale. - T3, troisième circonvolution temporale. - la, troi- sième
sillon
temporal. - Tg, corps du trigone. - Tgp, pilier p
choff, Turner, \Iarschall). Scissure festonnée (Pozzi). Balkenfurche (
sillon
du corps calleux) (Ecker). - Sulcus fronto-pari
alleux) (Ecker). - Sulcus fronto-parietalis intemus (Pansch). - Grand
sillon
du lobe fronto-pariétal (Gratiolet). - Scissure
première circonvolution frontale de sa partie supérieure. C'est le
sillon
sus-orbitaire de Broca (so) (fig. 181, 182, 183).
s, à la face externe, une encoche située immédiatement au-dessus du
sillon
fronto-marginal (fm) de Wcrnicke. Une autre i
e du lobule paracentral, c'est Y incisure pré-ovalaire de Broca, le
sillon
paracen- tral de Meynert (parc) (fig. 151, 177,
ERVEUX. Scissure sous-pa- riétale. détache quelquefois un petit
sillon
, la scissure sous-pariétale de Broca (sp), qui
ée à l'état frais. RG, bandelette de Giacomini. - C, cuneus. - c,
sillon
du cuneus. - CIJ, carrefour olfac- tif de Broca
urrelet du corps calleux. - Cg, cir- ' convolution godronnée. - cm,
sillon
calloso-marginal. - cm', branche verticale du sil
godronnée. - cm, sillon calloso-marginal. - cm', branche verticale du
sillon
calloso-marginal. - coa, commissure antérieure.
- Cse, circonvolutions sous-calleuses. Fc. fasciola cinerea. - f,p,
sillon
fimbrio-godronné. - Fus, lobule fusiforme. - h, s
inerea. - f,p, sillon fimbrio-godronné. - Fus, lobule fusiforme. - h,
sillon
de l'hippocampe. - ipo, incisure pré-occipitale
xième circonvolution limbique ou circonvolution de l'hippocampe. l,
sillon
intra-limbique. - L(i), isthme du lobe limbique.
ique. - L(i), isthme du lobe limbique. - Lg, lobule lin- gual. -lg,
sillon
du lobule lingual. - 22F,, circonvolution frontal
al. - 22F,, circonvolution frontale interne. - NC, noyau caude. ot,
sillon
collatéral. Parc, lobule paracentral. parc, sillo
noyau caude. ot, sillon collatéral. Parc, lobule paracentral. parc,
sillon
du lobule paracentral. - po, sillon pariéto-occ
Parc, lobule paracentral. parc, sillon du lobule paracentral. - po,
sillon
pariéto-occipital. - PrC, précunéus. - pl, sillon
aracentral. - po, sillon pariéto-occipital. - PrC, précunéus. - pl,
sillon
1>aric;to-temporal. - acl, pli cunéo-Umbiquo
rlue. - scc, sinus du corps calleux. - SI, seuil de l'insula. - si,
sillon
opto-strié. sa, sillon sus-orbitaire. sI', scissu
orps calleux. - SI, seuil de l'insula. - si, sillon opto-strié. sa,
sillon
sus-orbitaire. sI', scissure sous- pariétale. -
térieur (-pla) (fig. 180, 177), sépare l'extrémité antérieure de ce
sillon
, d'avec la scis- sure calloso-marginale, de tel
llon, d'avec la scis- sure calloso-marginale, de telle sorte que ce
sillon
, situé à la base de l'avant- coin, se présente
nsch). - Sulcus occipito-temporalis izxferioz· (Ecker). - Quatrième
sillon
temporal (Broca). - Collatéral fissure (Turner).
alement pas et où elle s'anas- tomose quelquefois avec le troisième
sillon
temporal (ot + t3) (fig. 180). Dans sa moitié p
lleux (L,), où elle est ordinairement dédoublée par un ou plusieurs
sillons
parallèles il la scissure calloso-marginale, le
cm); parmi ces incisures, l'une profonde et constante appartient au
sillon
sus-orbitaire (so) de Broca, lequel tantût consti
illon sus-orbitaire (so) de Broca, lequel tantût constitue un petit
sillon
isolé, tantôt s'abouche dans la scissure calloso-
ment rectangulaire, il limite en dedans l'extrémité supé- rieure du
sillon
de Bolando et il est formé en grande parlie par l
déprimé en fossette à sa partie moyenne, est limité en avant par le
sillon
paracentral ou pré-ovalaire (pare), en arrière, p
volutions, l'une antérieure, l'autre postérieure, sépa- rées par un
sillon
vertical plus ou moins profond, tantôt isolé, tan
rofond, tantôt isolé, tantôt réuni à la scissure sous-pariétale. Ce
sillon
, qui entaille plus ou moins le bord supérieur d
e et la première circonvolution pariétale, est connu sous le nom de
sillon
pariétal transverse (Brissaud) (pt) (fig.181, 182
corps calleux. Crln, circonvolution qnicule de Zuckerkandl. - cent,
sillon
calloso-marginal; on', sa partie verticale. Fus
so-marginal; on', sa partie verticale. Fus, lobule fusiforme. - {.,
sillon
olfactif ou quatrième sillon frontal. - Il, circo
verticale. Fus, lobule fusiforme. - {., sillon olfactif ou quatrième
sillon
frontal. - Il, circon- volution de l'hippocampe
oli, « racine » olfactive interne. scc, sinus du corps calleux. so,
sillon
sus-orbitaire. sp, scissure sous-pariétale. TI, T
, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t3, troisième
sillon
temporal. - Th. tha- lamus. - Toi, tubercule ol
troisième ventricule. 292 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cunéus.
Sillon
tln cuneus. Plis de passage et plis anastonio
(po), et le lobule fusiforme est limité en dehors par le troisième
sillon
temporal (ta) et l'incisure pré-occipitale (ipo).
urface du cuneus est irrégulièrement divisée par un petit nombre de
sillons
superficiels, dont l'un, un peu plus profond, l
nombre de sillons superficiels, dont l'un, un peu plus profond, le
sillon
du cunéus (c) (fig. 179, 180, 181, 182), affecte,
ciel (fig. 4 in, 179, 180, 181, 182). Le lobule lingual présente un
sillon
constant, le sillon du lobe lingual (lg), à dir
79, 180, 181, 182). Le lobule lingual présente un sillon constant, le
sillon
du lobe lingual (lg), à direction antéro-postér
lg), à direction antéro-postérieure, et plus ou moins si- nueux. Ce
sillon
occupe le sinus de l'angle obtus, que forme la fa
uniquer avec la partie posté- rieure de la scissure collatérale, le
sillon
du lobule lingual se porte en bas et en avant,
général superficiel, et l'inférieur profond (fig. 181, 182). i
Sillon
du lobulo '' lingual. i t Pli lingual sup
hotographie d'une pièce durcie dans le bichromate.) C, cuneus. c,
sillon
du cuneus.Ca<,calotte ou étage supérieur du pé
pédoncule.-Ce,corps calleux. -CI3, carrefour olfactif de Broca.-cm,
sillon
calloso-marginal. cm', partie verticale du sill
tif de Broca.-cm, sillon calloso-marginal. cm', partie verticale du
sillon
calloso-marginal. - f3, troisième sillon frontal.
. cm', partie verticale du sillon calloso-marginal. - f3, troisième
sillon
frontal. - fui, sillon olfactif. - Fus, lobule
du sillon calloso-marginal. - f3, troisième sillon frontal. - fui,
sillon
olfactif. - Fus, lobule fusiforme. - II(L2), ci
calcarine. - K', incisure supérieure de la scissure calcarine. - l,
sillon
intra-limbique -L,, circon- volution du lobe li
imbique. - L(i), isthme du lobe limbique. - Lg, lobule lingual.- l,g,
sillon
du lobule lingual. - mFi, circonvolution fronta
la première circonvolution frontale(gyrus supra-marginalis). - ot,
sillon
collatéral. - ot', incision du sillon collatéral.
yrus supra-marginalis). - ot, sillon collatéral. - ot', incision du
sillon
collatéral. - P, étage inférieur du pédoncule.
, étage inférieur du pédoncule. - Parc, lobule paracentral. - parc,
sillon
du lobule para-central. - Pol, pôle olfactif. -
ique. Ttl, pli temporo-limbique. scc, sinus du corps calleux. - so,
sillon
sus-orbitairc. - T,, T», T3, première, deuxième e
sième circonvolutions tem- porales. - li, f3, deuxième et troisième
sillons
temporaux. - Toi, tubercule olfactif. - U, cir-
r- convolution du crochet. 204 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
sillon
du lobule lingual (lg) divise le lobule de même n
la photographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) C,cunéns. -c,
sillon
du cunéus.-CB, carrefour olfactif de Broca. - Ce,
orps calleux. - Cc(Spl), bourrelet du corps calleux (Splénium). cm,
sillon
calloso-marginal. - cm', branche verticale du sil
Splénium). cm, sillon calloso-marginal. - cm', branche verticale du
sillon
calloso-marginal. - f4, sillon olfactif.-Fus, l
-marginal. - cm', branche verticale du sillon calloso-marginal. - f4,
sillon
olfactif.-Fus, lobule fusiforme. B(L2), circonv
ornicatus. - L(i), isthme du lobe limbique. - Lg, lobule lingual ? fy,
sillon
du lobule lingual. - face interne de la premièr
oF,, partie orbitaire de la première circonvolution frontale. - ot,
sillon
collatéral. - 01 + l" union du sillon collatéral
irconvolution frontale. - ot, sillon collatéral. - 01 + l" union du
sillon
collatéral et du troisième sillon temporal. - z
llon collatéral. - 01 + l" union du sillon collatéral et du troisième
sillon
temporal. - z Parc, lobule paracentral. - parc,
du troisième sillon temporal. - z Parc, lobule paracentral. - parc,
sillon
du lobule paracentral. - PrC, précunéus. - po,
que. - S, scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - so,
sillon
sus-orbitaire. - so' incisure sus-orbi- taire i
re, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - , troisième
sillon
temporal. - Th, thalamus (couche optique). ' U,
dedans par la scissure collatérale (ot), en dehors par le troisième
sillon
temporal (t3), cette circonvolution mérite véri
troisième circonvolution temporale (T3), dont il est séparé par un
sillon
superficiel, fréquemment interrompu, le troisième
aré par un sillon superficiel, fréquemment interrompu, le troisième
sillon
temporal (t3) (fig. 152). C'est sur ce sillon q
errompu, le troisième sillon temporal (t3) (fig. 152). C'est sur ce
sillon
que se branche, en général, lorsqu'elle '1 Pl
en dedans par la rainure du corps calleux (sec,) ou sinus et par le
sillon
de l'hippocampe (h). Ces deux sillons séparent
leux (sec,) ou sinus et par le sillon de l'hippocampe (h). Ces deux
sillons
séparent le lobe limbique d'une petite circonvo
'hippocampe ou deuxième circonvolution lim- bique (L2 [HJ). 3° Le
sillon
, de l'hippocampe (h) et le sinus du corps calleux
con- . vainc ainsi facilement qu'il sépare la scissure calcarine du
sillon
de l'hip- pocampe (h). La première circonvolu
t; elle est quelquefois dédoublée dans sa partie fron- tale, par un
sillon
parallèle au sillon calloso-marginal, désigné par
ois dédoublée dans sa partie fron- tale, par un sillon parallèle au
sillon
calloso-marginal, désigné par Manou- vrier sous
au sillon calloso-marginal, désigné par Manou- vrier sous le nom de
sillon
intra-limbique (t) (fig. 181). Les incisurcs occu
ère circon- volution limbique. Ses crêtes ou our- lets. ! Î !
Sillon
intra-lim- R bique. 1* 't ,MI Isthmo du
be brusquement en arrière, pour embrasser l'extrémité antérieure du
sillon
de l'hippocampe et former le crochet, encore co
rofondé- ment entaillé .'par incisure temporale de Schwalbe (it) ou
sillon
, pl'élln- cique de Brissaud. En dedans, la de
une anfractuosité profonde, totale, et primitive par excellence, le
sillon
de l'hippocampe (h), vestige chez l'adulte de la
e (h), vestige chez l'adulte de la scissure ammonique du foetus. Ce
sillon
déprime fortement la paroi interne du prolongemen
'Azzzzzzozx. Lorsque, sur un cerveau frais, on écarte les lèvres du
sillon
de l'hippo- campe et que l'on relève le bourrel
CÉRÉBRALE. 299 on se rend facilement compte et de la profondeur du
sillon
de l'hippocampe, et de la grande largeur de la
ie d'une pièce fraîche.) BG, bandelette de Giacomini. C, cuncus. c,
sillon
du cunéus. CB, carrefour olfactif de Broca. - C
leux; Cc(Spl), son bourrelet. - Cg, circonvolution godronnée. - cm,
sillon
calloso-marginal; cm', sa partie verticale. - Csc
, sa partie verticale. - Csc, circonvolutions sous-calleuses. - f,,
sillon
olfactif. - Fc, fasciola cinerea. - fg, sillon li
ous-calleuses. - f,, sillon olfactif. - Fc, fasciola cinerea. - fg,
sillon
limbrio-godronné. - Fus, lobule fusi- forme. -
convolution de l'hippocampe ou deuxième circonvolution limbique. h,
sillon
de l'hippocampe. - K, scissure calcarine. - K+po,
Z.i, première circonvolution limbique. - Lr, lobule lingual. - lg,
sillon
du lobule lingual. - ntF,, face interne de la pre
. - ot-1-ta, segment commun à la scissure collatérale et au troisième
sillon
tem- poral. -lJ(l1'c, lobule paracentral.-parc,
au troisième sillon tem- poral. -lJ(l1'c, lobule paracentral.-parc,
sillon
paracentral.-po, scissure hariéto-occipitale. -
l.-parc, sillon paracentral.-po, scissure hariéto-occipitale. - pt,
sillon
pariétal transverse. -1tel, pli cunén-1Î1nbique.
onvolution de l'hippocampe. sec, sinus du corps calleux. - so, so',
sillons
sus-orbitairos. - sp, scissure sous-pariétale. -
riétale. - T3, troisième circon- volution temporale.- t3, troisième
sillon
temporal. Tg, corps du trigone.- Tgp, pilier post
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche réticulée d'Arnold,
Sillon
de l'hippo- campe. w 4 Lorsqu'on enlève, à l'
l'écorce cérébrale (voyez z structure de l'écorce cérébrale). 3°.
Sillon
de l'hippocampe (h). Synonymie : Dentale sulcus (
du corps calleux (Sahatier). - Rainure du corps calleux (Broca). Le
sillon
de l'hippocampe (h), vestige de la partie inférie
a paroi ventriculaire en formant la saillie de la corne d'Ammon, le
sillon
de ? <6'cae présente en général à ce niveau, d
n du crochet (U) et le subiculum de la corne ri' Ammon (L2 [H]), le
sillon
de l'lzip- 7JOcampe se dirige en haut et en arr
a valu son nom. Arrivé au niveau du bourrelet du corps calleux, le
sillon
de l'hippo- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 301 campe
représente une petite circonvolution avortée, qui occupe le fond du
sillon
de l'hippocampe (h) et forme à la face inféro-i
ble bord d'arrêt de l'écorce cérébrale. Cachée profondément dans le
sillon
de l'hippocampe. la circon- volution godronnée
suite et s'enfoncer dans la profondeur de l'extrémité antérieure du
sillon
de l'hippocampe (h). La circonvolution godronné
de la circonvo- lution de l'hippocampe, par le profond mais étroit
sillon
de l'hippo- campe (h). En dehors, du côté du pr
comme la circonvolution godronnée (V oy. trigone. p.348). Un mince
sillon
peu pro- fond, sépare la circonvolution godronn
peu pro- fond, sépare la circonvolution godronnée de la fimbria, ce
sillon
peut être désigné sous le nom de sillon (fg) (f
godronnée de la fimbria, ce sillon peut être désigné sous le nom de
sillon
(fg) (fig. 182). Sinus du corps cal- leux.
e . à l'état frais.) BG, bandelette de Giacomini. C, cunéus. - c,
sillon
du cunéus CB, carrefour olfac- tif de Broca. Ce
rps genouillé interne, - CSc, circonvolutions sous-calleuses. - on,
sillon
calloso-marginal. coa, commissure antérieure. f,,
euses. - on, sillon calloso-marginal. coa, commissure antérieure. f,,
sillon
olfactif. - Fc, fasciola cinerea. - fg, sillon
sure antérieure. f,, sillon olfactif. - Fc, fasciola cinerea. - fg,
sillon
limbrio-godronné. - Fi, fimbria. - Fus, lobule
convolution de l'hippocampe ou deuxième circonvolution limbique. h,
sillon
de J'Ilipl)ocaiiipe. -il, incisure temporale. K,
la scissure calcarine, LI, première circonvolution lim- bique. - l,
sillon
intra-limbiquc. - L(i), isthme du lobe limbique.
iquc. - L(i), isthme du lobe limbique. - Lg, lobule lingual. - lr/,
sillon
du lobule lingual. - nl ? face interne de la prem
,, partie orbitaire de la première circonvo- lution frontale. - ot,
sillon
collatéral. ot+t3, union du sillon collatéral ave
circonvo- lution frontale. - ot, sillon collatéral. ot+t3, union du
sillon
collatéral avec le troisième, sillon temporal.
on collatéral. ot+t3, union du sillon collatéral avec le troisième,
sillon
temporal. Parc, lobule paracentral. parc, sillon
avec le troisième, sillon temporal. Parc, lobule paracentral. parc,
sillon
du lobule paracentral.' po, scis- sure pariéto-
ntral.' po, scis- sure pariéto-occipitale. - Porc, précunéus. - pl,
sillon
pariétal transverse de Brissaud. - l'ul, pulvin
ce blanche de la corne d'Ammon. - sec, [sinus du corps calleux. ? Af,
sillon
de Monro. so, sillon sus-orbitaire. - sp, sinus s
e d'Ammon. - sec, [sinus du corps calleux. ? Af, sillon de Monro. so,
sillon
sus-orbitaire. - sp, sinus sous-pariétal. - sTh,
us-optique. - T ? troisième circonvolution temporale. - ta, troisitmc
sillon
temporal. - Tgp, pilier postérieur du trigone.
eur (Lola) est séparé du postérieur par un sil- lon transversal, le
sillon
primaire ou fissura prima de Bis (fp). Situé en
ssura prima de Bis (fp). Situé en arrière du tubercule olfactif, le
sillon
primaire entaille plus ou moins la face interne
t situé sous la face orbi- taire du lobe frontal, dont il occupe le
sillon
olfactif (f;); il présente en avant un petit re
s faces latérales se moulent sur les circonvolutions qui bordent le
sillon
olfactif (f4), à savoir le gyrus reclus (oll,Gr
rs; son bord supérieur, véritable arête longitudinale logée dans le
sillon
olfactif (l,), est revêtu d'une mince couche de s
base du tubercule olfactif de Broca (Toi) est séparée par un léger
sillon
, le sillon primaire de His, de l'espace perforé a
bercule olfactif de Broca (Toi) est séparée par un léger sillon, le
sillon
primaire de His, de l'espace perforé antérieur (E
gouttière olfactive du sphénoïde, ses parois latérales occupent le
sillon
olfactif (f,) : elles sont recouvertes, comme le
limitée en arrière par l'incisure primaire de His, qui fait suite au
sillon
primaire; en bas par le sillon secondaire ou fi
e primaire de His, qui fait suite au sillon primaire; en bas par le
sillon
secondaire ou fissura serolina de His; ce derni
bas par le sillon secondaire ou fissura serolina de His; ce dernier
sillon
est souvent masqué par un pli de passage, mais on
subicu- culum. - £ 1)((, espace perforé antérieur. - f3, troisième
sillon
frontal. - f,, sillon olfactif ou quatrième sil
1)((, espace perforé antérieur. - f3, troisième sillon frontal. - f,,
sillon
olfactif ou quatrième sillon frontal. - Fe, fai
- f3, troisième sillon frontal. - f,, sillon olfactif ou quatrième
sillon
frontal. - Fe, faisceau externe du pédoncule céré
. Fus, lobule fusiforme. - Il, circonvolution de l'hippocampe. - h,
sillon
de l'hippocampe. - I, insula. ipo, incisure préoc
. - Li, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual. mp,
sillon
marginal postérieur. NA, noyau amygdalien. - oP
ie orbitaire des deuxième et troisième circonvolutions frontales. ot,
sillon
collatéral. Il, étage inférieur ou pied du pédo
cule quadrijumeau postérieur. Rôle, racine olfactive externe ? 77/,
sillon
de la troisième paire. - S(a), branche antérieure
deuxième circonvolutions temporales. 1 ? la, deuxième et troisième
sillons
temporaux. Tc, tuber cincrcum. Tm, tubercule mami
c. -Les circonvolutions portent de même les lettres majuscules, les
sillons
les lettres minuscules des lobes auxquels ils app
ons de la face inféro-interne de l'hémisphère, des scissures et des
sillons
. Ecker désigne les circonvolutions frontale et pa
e tem- poral et la désigne par la lettre T.. Quant aux scissures et
sillons
, Broca désigne les scissures principales ou lob
l'usage, au moins en France. Avec Ecker, nous avons adopté pour les
sillons
inlerpariélal et interoccipital les lettres ip
p Incisure temporale de l'oper- cule itop Lobe de l'Insula I.
Sillons
: 4. Sillon marginal antérieur.. ma 2. Sillon
mporale de l'oper- cule itop Lobe de l'Insula I. Sillons : 4.
Sillon
marginal antérieur.. ma 2. Sillon marginal post
e de l'Insula I. Sillons : 4. Sillon marginal antérieur.. ma 2.
Sillon
marginal postérieur . mp 3. Sillon marginal sup
lon marginal antérieur.. ma 2. Sillon marginal postérieur . mp 3.
Sillon
marginal supérieur.. ms 4. Sillon principal de
lon marginal postérieur . mp 3. Sillon marginal supérieur.. ms 4.
Sillon
principal de l'insula " ou sillon insulaire i
llon marginal supérieur.. ms 4. Sillon principal de l'insula " ou
sillon
insulaire i Circonvolutions : 1. Circonvoluti
rme de Broca (Seuil de l'insula).. Sf Lobe central (d'Ecker) C.
Sillons
: " 1. Scissure de Rolando..... R 2. Sillon p
ntral (d'Ecker) C. Sillons : " 1. Scissure de Rolando..... R 2.
Sillon
paracentral ..... parc Circonvolutions " 1. C
dique .... OpR 4. Lobule paracentral...... Parc Lobe frontal F.
Sillons
: . 9. Sillon prérolandique supé- rieur......
4. Lobule paracentral...... Parc Lobe frontal F. Sillons : . 9.
Sillon
prérolandique supé- rieur........... prs 2. S
llons : . 9. Sillon prérolandique supé- rieur........... prs 2.
Sillon
prérolandique infé- rieur........... pri Sill
........ prs 2. Sillon prérolandique infé- rieur........... pri
Sillon
prérolandique formé par l'union des deux sillon
ur........... pri Sillon prérolandique formé par l'union des deux
sillons
précédents pr 3. Premier sillon frontal.... s
que formé par l'union des deux sillons précédents pr 3. Premier
sillon
frontal.... si Ses incisures : .. fil 4. Deux
Premier sillon frontal.... si Ses incisures : .. fil 4. Deuxième
sillon
frontal... f Ses incisures f2l Incisure du ca
lon frontal... f Ses incisures f2l Incisure du cap....... ic 5.
Sillon
de la deuxième circon- volution frontale /"2
me circon- volution frontale /"2 6. Incisure en H ....... f3 7.
Sillon
olfactif ..... , f,. 8. Sillon fronto-marginal.
2 6. Incisure en H ....... f3 7. Sillon olfactif ..... , f,. 8.
Sillon
fronto-marginal... fin 9. Sillon orbitaire exte
. Sillon olfactif ..... , f,. 8. Sillon fronto-marginal... fin 9.
Sillon
orbitaire externe... soe 10. Sillon sus-orbitai
lon fronto-marginal... fin 9. Sillon orbitaire externe... soe 10.
Sillon
sus-orbitaire..... so Deuxième sillonsus-orbita
n cap.......... 13(c) Sa portion orbitaire 0F3 Lobe pariétal P.
Sillons
: - 4. Sillons post-rolandique ... por 2. Sil
3(c) Sa portion orbitaire 0F3 Lobe pariétal P. Sillons : - 4.
Sillons
post-rolandique ... por 2. Sillon inter-pariéta
e pariétal P. Sillons : - 4. Sillons post-rolandique ... por 2.
Sillon
inter-pariétal..... ip Ses incisures ip' Inci
ariétal..... ip Ses incisures ip' Incisure de Jensen ..... j 3.
Sillon
pariétal transverse .. pt Circonvolutions : .'
ourbe......... Pc MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 311 Lobe temporal T.
Sillons
: 1. Sillon parallèle il Ses branches vertica
Pc MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 311 Lobe temporal T. Sillons : 1.
Sillon
parallèle il Ses branches verticales .. tin, t
llon parallèle il Ses branches verticales .. tin, t ? 2. Deuxième
sillon
temporal.. tu 3. Troisième sillon temporal.. t3
ticales .. tin, t ? 2. Deuxième sillon temporal.. tu 3. Troisième
sillon
temporal.. t3 Incisure pré-occipitale.. ipo 4
. Troisième sillon temporal.. t3 Incisure pré-occipitale.. ipo 4.
Sillon
temporal profond.. tp 5. Incisure temporale....
olution temporale transverse ou profonde.. Tp Lobe occipital O.
Sillons
: . z 4. Sillon occipital antérieur.. oa 2. S
transverse ou profonde.. Tp Lobe occipital O. Sillons : . z 4.
Sillon
occipital antérieur.. oa 2. Sillon pré-occipita
ccipital O. Sillons : . z 4. Sillon occipital antérieur.. oa 2.
Sillon
pré-occipital ...... ipo 3. Scissure parié to-o
scis- sures calcarine et pariéto- occipitale........ Ti-1-po 5.
Sillon
inter-occipital.... io 6. Sillon occipital tran
occipitale........ Ti-1-po 5. Sillon inter-occipital.... io 6.
Sillon
occipital transverse. os 7. Troisième sillon oc
-occipital.... io 6. Sillon occipital transverse. os 7. Troisième
sillon
occipital.. 03 8. Sillon du.cunéus, . : .. c
on occipital transverse. os 7. Troisième sillon occipital.. 03 8.
Sillon
du.cunéus, . : .. c 9. Sillon du lobule lingual
Troisième sillon occipital.. 03 8. Sillon du.cunéus, . : .. c 9.
Sillon
du lobule lingual.. 19 10. Scissure collatérale
g 7. Lobule fusiforme ..... Fus Grand lobe limbique de Broca L.
Sillons
: i. Sillon calloso-marginal... cm . Sa parti
usiforme ..... Fus Grand lobe limbique de Broca L. Sillons : i.
Sillon
calloso-marginal... cm . Sa partie verticale ..
Sa partie verticale .... cm' 2. Scissure sous-pariétale... sp 3.
Sillon
intra-limbique.... 1 4. Sinus du corps calleux.
Sillon intra-limbique.... 1 4. Sinus du corps calleux... ses " 5.
Sillon
de l'hippocampe... h 6. Sillon fimbrio-godronné
Sinus du corps calleux... ses " 5. Sillon de l'hippocampe... h 6.
Sillon
fimbrio-godronné .. fg 7. Sillon primaire (Inci
. Sillon de l'hippocampe... h 6. Sillon fimbrio-godronné .. fg 7.
Sillon
primaire (Incisura pri- ma) ...... fp 8. Sill
Tml, pédoncule du tubercule ma- millaire latéral situé en dedans du
sillon
du nerf moteur oculaire commun 1/ entre le faisce
-optique. sec, sinus du corps calleux. - SI, septum lucidum. - sll,
sillon
de Monro. te, tuber cinereum. - Tg, corps du tr
rapprochées delà ligne médiane et séparées l'une de l'autre par un
sillon
profond (fig. 187). Uniques et médians au début d
, par ses bords latéraux aux pédoncules cérébraux dont le sépare un
sillon
assez profond, le sillon du, nerf moteur oculaire
aux pédoncules cérébraux dont le sépare un sillon assez profond, le
sillon
du, nerf moteur oculaire commun, le long duquel
ulaire commun, le long duquel émerge la troisième paire (III). Le
sillon
qui sépare les deux tubercules mamillaires parcou
tronc basilaire et des cérébrales postérieures; ils sont séparés du
sillon
du nerf moteur oculaire commun par le pédoncule d
ro- llexits de Nleyiiet*t. t 1> ? loticules cére- braux.
Sillon
longitudinal des tubercules qua- drijunteaux.
raux. Sillon longitudinal des tubercules qua- drijunteaux. Le
sillon
du nerf nculo-motcnr et le sillon latéral de
rcules qua- drijunteaux. Le sillon du nerf nculo-motcnr et le
sillon
latéral de : l'isthme séparent, à la silritec d
est légère- ment déprimé à son sommet, sur la ligne médiane, par un
sillon
longitu- dinal antéro-postérieur et rectiligne,
e, par un sillon longitu- dinal antéro-postérieur et rectiligne, le
sillon
longitudinal ou sagittal des tubercules quadrij
base est fortement échancréc et présente, sur la ligne médiane, un
sillon
profond, médian et antéro-postérieur, qui se cont
sillon profond, médian et antéro-postérieur, qui se continue avec le
sillon
médian de l'espace perforé postérieur et avec c
avec celui qui sépare les tubercules mamillaires. De chaque côté du
sillon
médian, antérieur, on trouve un second sillon o
es. De chaque côté du sillon médian, antérieur, on trouve un second
sillon
oblique en avant et en dehors, dans le fond duque
o-motettr ou de la troisième paire; ce rapport lui a valu le nom de
sillon
du nerf oculo-moteur. Ce sillon, qui sépare le pi
re; ce rapport lui a valu le nom de sillon du nerf oculo-moteur. Ce
sillon
, qui sépare le pied ou étage inférieur du pédon
91 et 1931. 1 . La face latérale du pédoncule présente également un
sillon
longitudinal, dans le fond duquel on trouve un
ans le fond duquel on trouve un peu de substance noirâtre; c'est le
sillon
latéral de l'isthme de l'I'ncéphale (sulcus later
ro-interne dont les deux cornes effilées atteignent : l'externe, le
sillon
latéral de l'isthme de l'encéphale; l'interne,
xterne, le sillon latéral de l'isthme de l'encéphale; l'interne, le
sillon
du ne1'f uculo-motr'III'. Une ligne oblique pas
enia pontis. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Syl- vius. - si,
sillon
latéral de l'isthme. - SR, substance réticulée. -
edans et en avant, contourne le pied du pédoncule, et pénètre dans le
sillon
du nerf oculo-moteur, au-dessus de l'émergence
téral de Gudden (PTml, fig. 191, 193). Après sa pénétration dans le
sillon
du nerf oculo-moteur, le tractus pedoncularis t
rieur, contourne la partie moyenne du pédoncule, et pénètre dans le
sillon
du nerf oculo-moteur. p. Le tseniapontis (Tpo,
aît à la surface du pédoncule cérébelleux supérieur ou au niveau du
sillon
qui sépare ce pédoncule du pédoncule cérébelleu
disséminés, renforcés quelquefois par un faisceau qui se détache du
sillon
latéral de l'isthme de l'encéphale, contourne l
e très petite partie de son étendue, im- médiatement en dedans du
sillon
du nerf oculo-moteur, où elle apparaît dans l'e
hme ou ruban de Reil latéral. - Uni, ruban ,de Reil médian. - si,
sillon
latéral du mésencéphale. - Th, couche optique.
îii lemnisci) (RI). Cette surface triangu- laire, comprise entre le
sillon
latéral de l'isthme d'une part (si), le tubercule
ées, disposées deux par deux de chaque côté de la ligne médiane; un
sillon
médian antéro-postérieur, croisé à angle droit
ne; un sillon médian antéro-postérieur, croisé à angle droit par un
sillon
transversal; les divisent en tubercules quadrijum
upérieurs et tubercules quadrijumeaux postérieurs ou inférieurs. Le
sillon
médian, sillon, longitudinal des tubel'culesquadl
bercules quadrijumeaux postérieurs ou inférieurs. Le sillon médian,
sillon
, longitudinal des tubel'culesquadl'ijumeaux,s'éla
li.s). Au-dessous des tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), le
sillon
longitudinal est bordé, de chaque côté, par un
ui est connu sous le nom Région des tuber- cules quadrijumeaux.
Sillon
longitudinal 1 des tuhercules qua- drijumeaux
térieur. Rl, ruban de Reil latéral. R)iî, ruban de Reil médian. sell,
sillon
choroïdien. - Sexv, surface extraventriculaire
ien. - Sexv, surface extraventriculaire de la couche optique. - si,
sillon
opto-strié. - si, sillon latéral de l'isthme de
traventriculaire de la couche optique. - si, sillon opto-strié. - si,
sillon
latéral de l'isthme de l'encéphale. Th· thalamu
pathétique (4 paire) émerge le long du côté externe du frein. Le
sillon
transversal des tubercules quadrijumeaux, peu acc
r (BrQp), qui se dirige obliquement en avant et en dehors. Un léger
sillon
le divise en deux fascicules, l'un, postérieur, q
X. Corps calleux. Trigone cérébral. Troisième ventri- cule.
Sillon
de Monro. ".Septum lucidum. Couche optique et
d'un entonnoir aplati latéralement. Sa paroi latérale pré- sente un
sillon
curviligne à direction antéro-postéricure, le sil
pré- sente un sillon curviligne à direction antéro-postéricure, le
sillon
de Monro (sM), qui se continue en arrière avec
arrière du trigone, et connu sous le nom de trou de Monro (TM). Le
sillon
de Monro divise la paroi latérale du troisième
sus-optique. sec, sinus du corps calleux. SI, septum lucidum. - sM,
sillon
de Monro. le, tuber cinereum ? , . Tg, corps du
cérébraux. Le noyau caudé, séparé de la couche optique par un petit
sillon
dit sillon intermédiaire à ces deux noyaux ou s
Le noyau caudé, séparé de la couche optique par un petit sillon dit
sillon
intermédiaire à ces deux noyaux ou sillon opto-
e par un petit sillon dit sillon intermédiaire à ces deux noyaux ou
sillon
opto-strié (si), fait saillie dans le ventricule
rontales. - Fa, circon- volution frontale ascendante. - rio premier
sillon
frontal. Fi, fimbria. - Fus, lobule fusiforme. -
io premier sillon frontal. Fi, fimbria. - Fus, lobule fusiforme. - h,
sillon
de l'hippocampe. insula. L2(il), deuxième circo
culaire et ses trois segments. - OF, faisceau occipito.frontal. ot,
sillon
collatéral. - ot + t, branche commune au sillon c
occipito.frontal. ot, sillon collatéral. - ot + t, branche commune au
sillon
collatéral et au troisième sillon temporal. Il,
ral. - ot + t, branche commune au sillon collatéral et au troisième
sillon
temporal. Il, pédoncule. Pa, circonvolution parié
roisième ventricule. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - ]Jl'i..
sillon
prérolandique inférieur. - R, scissure de ltola
. - Sge, substance grise sous-épendymairc. Si, septum lucidum. SJI,
sillon
de Monro 7 ? 7'», Ï3, première, deuxième et trois
convolutions temporales. l,, l ? 13, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. - Tch, toile choroïdienne. lec, toen
cerveau à l'état frais.) ! i i C, cunéus. Ce, corps calleux. cm,
sillon
calloso-marginal ; en ? sa branche verticale. |
rontales. Fa, circonvolution frontale ascen- j dantc. - f,, premier
sillon
frontal ? lCv, hémisphères cérébelleux. - ip, sil
c. - f,, premier sillon frontal ? lCv, hémisphères cérébelleux. - ip,
sillon
intcrpariétal. | mF" face interne de la premièr
i, pli de pas- . sage paricl,o-occipital interne do Gratiolet. por,
sillon
post-rolandique. PrC, précunéus. 1 sillon préro
nterne do Gratiolet. por, sillon post-rolandique. PrC, précunéus. 1
sillon
prérolandique inféricur.-prs, sillon prérolandiqu
-rolandique. PrC, précunéus. 1 sillon prérolandique inféricur.-prs,
sillon
prérolandique supérieur. pt, sillon pariétal tr
lon prérolandique inféricur.-prs, sillon prérolandique supérieur. pt,
sillon
pariétal transverse. 1 ! : pla, pli de passage
corps calleux. Cc(Spl), bourrelet du corps calleux (splenium). - cm,
sillon
calloso-marginal. - coa, commissure antérieure.
. - rp, récessus sous-pinéal. - sec, sinus du corps calleux. - sol,
sillon
de Monro. - sp, scissure sous-pariétale. - Spp, s
E CÉRÉBRALE. 311 forme le fond. Elle mesure 15 à 20 millimètres. Un
sillon
peu profond (fig. '196), le sinus ou ventricule
.sver.sale.s, p. 436 et suivantes), se continue directeemnt avec le
sillon
de l'hippocampe au niveau du bourrelet; il fait
de l'hippocampe au niveau du bourrelet; il fait du reste partie du
sillon
de l'hippocampe foetal (Voy p. 12'1). Sur la li
e l'hippocampe. Entre les nerfs de Lancisi on trouve quelquefois un
sillon
médian, longitudinal, plus large en arrière, ve
iveau de la première circonvolution limbique. CO, centre ovale. cm,
sillon
calloso-marginal. Fi, Fs, F3, première, deuxième
s frontales. - Fa, circonvolution frontale ascendante.- et deuxième
sillons
fron- taux. - f ? incisure du premier sillon fr
endante.- et deuxième sillons fron- taux. - f ? incisure du premier
sillon
frontal. io, sillon inter-occipital. ip, sillon i
e sillons fron- taux. - f ? incisure du premier sillon frontal. io,
sillon
inter-occipital. ip, sillon inter- pariétal. K,
? incisure du premier sillon frontal. io, sillon inter-occipital. ip,
sillon
inter- pariétal. K, scissure calcarine. - L,, p
isi. - 0,, 0, première et deuxième circonvolutions occipitales. ou,
sillon
occipital antérieur de Wernicke : /'t, deuxième
e. Pa, circonvolution pariétale ascen- dante. Pc, pli courbe. - po,
sillon
pariéto-occipital. ]101', sillon post-rolandiquc.
scen- dante. Pc, pli courbe. - po, sillon pariéto-occipital. ]101',
sillon
post-rolandiquc. pr ! , sillon prérolandique in
po, sillon pariéto-occipital. ]101', sillon post-rolandiquc. pr ! ,
sillon
prérolandique inférieur. net, pli cuneo-limbique.
e la scissure intcr-hémisphérique. - l ? l ? branches verticales du
sillon
parallèle. Voc, corne occipitale du ventricule la
corps strié.-l'c/tl, plexus choroïdes du ventricule latéral. - si,
sillon
opto-strié. -SI, septum lucidum. -Tg, trigone c
ibulum. - ro, diverticule sus-optique. - SI, septum luci- dnm.- sM,
sillon
de Monro. - STh, région sous-optique. - Teh, toil
nt la circonvolution godronnée (Cg), dont ils s sont séparés par le
sillon
fimbrio-godronné (fgl, (fig. 20 : i, 206). La fac
du corps calleux (splénium). - Cgn, circonvolution géniculée. cm,
sillon
calloso-marginal. coa, commissure antérieure. - c
um. - ro, récessus sous-optiquc. scc, sinus du corps calleux. - SM,
sillon
de Monro. SI', septum lucidum. - Spp, substance
en dedans : 1° le corps et la queue du noyau caudé (NC, NC) ; 2° un
sillon
intermédiaire au noyau caudé et à la couche opt
° un sillon intermédiaire au noyau caudé et à la couche optique, le
sillon
opto-stl'ié (si) ; 3° le tiers externe de la fa
Sa voûte. Son plancher. 3110 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. le
sillon
opto-strié et le sillon choroïdien, entre seul da
er. 3110 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. le sillon opto-strié et le
sillon
choroïdien, entre seul dans la constitution du
al. Les deux tiers internes de la couche op- tique compris entre le
sillon
choroïdien et le 1--iiia tltalami sont en effet
u corps strié. - l'chl, plexus choroïdes du ventricule latéral. - si,
sillon
opto-strié. SI, septum lucidum. - 7 ? trigone.
la partie saillante de son noyau antérieur (Na) (fig. 213). 3° Le
sillon
opto-strié (si), assez large en avant, plus étroi
(Vcst) recouverte de la lame cornée parcourt d'arrière en avant le
sillon
opto-strié. Elle reçoit, chemin faisant, toutes
faisceau de libres nerveuses qui occupe la partie inféro-externe du
sillon
opto-strié et « embrasse comme un lien l'espèce
du tubercule antérieur de la couche optique; elle longe ensuite le
sillon
opto-strié jusqu'à l'extrémité postérieure de la
amygdalien, (\'.1), situé dans la circonvolution du crochet (U).
Sillon
npto-stl'i4. Lame cornée. Veine du corps st
cool.) " Cal, calotte ou étage supérieur du pédoncule cérébral. cm,
sillon
calloso-marginal. CNC, colliculus du noyau caud
conronne rayonnante. Pul, pulvinar. R, scissure de Rolando. - sch,
sillon
choroïdien. - SI, seuil de l'insula. si, sillon
de Rolando. - sch, sillon choroïdien. - SI, seuil de l'insula. si,
sillon
opto-strié. TgV, trigone ventriculaire. Th, thala
'interne est la plus constante, etrépond à une incisure profonde du
sillon
de l'hippocampe. En dehors^ ! ? la corne d'Ammo
mon, le plancher de la corne sphénoïdale est plan, et correspond au
sillon
collatéral ou occihito-tenzporal (ot). Le fond
pond au sillon collatéral ou occihito-tenzporal (ot). Le fond de ce
sillon
forme quelquefois une véritable saillie longitudi
Malacarne, et qui s'étend en arrière dans la corne occipitale. Un
sillon
intraventriculaire profond et très étroit, le div
vo- lution limbique. - LO, lobe occipital. - LT, lobe temporal. po,
sillon
pariéto-occipital. - PT, pôle temporal. 7ri)lp,
elquefois pour former l'éminence collatérale de Meckel (Ec). Deux
sillons
inlra-venlriculaires, l'un supérieur, l'autre inf
orceps en haut, de l'éminence colla- ' térale de Meckel en bas. Ces
sillons
sont toujours très étroits, et d'autant plus pr
Les plexus choroïdes du ventricule latéral (Pchl) reposent sur le
sillon
choroïdien de la couche optique, et longent le bo
externe du corps du trigone, et le point de réflexion inférieur, au
sillon
choroïdien, de la couche optique (fig. 212). Da
Les parois latérales sont verticales et de forme triangulaire ; un
sillon
curviligne à concavité supérieure, le sillon de
orme triangulaire ; un sillon curviligne à concavité supérieure, le
sillon
de Monro (sM), divise les parois latérales du t
commissure molle ou grise (com), située immédiatement au-dessus du
sillon
de Monro, relie entre elles les deux régions th
l'in- fundibulum, une rainure profonde, médiane, qui fait suite au
sillon
médian Troisième vontri- cule. Ses parois l
optique. - sec, sinus du corps calleux. - SI, septum lucidum. - sM,
sillon
de Monro. le, tuber cinereum. Tg, corps du trigon
frontales. - Fa, circon- · volution frontale ascendante. ? premier
sillon
frontal. Fi, fimbria. - Fus, lobule fusiforme. -
? premier sillon frontal. Fi, fimbria. - Fus, lobule fusiforme. - h,
sillon
de l'hippocampe. - l, insula.- L,{1l), deuxième
culaire et ses trois segments. OF, faisceau occipito-frontal. - ot,
sillon
collatéral. - ot + t3, branche commune au sillon
ipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - ot + t3, branche commune au
sillon
collatéral cl. . au troisième sillon temporal.
- ot + t3, branche commune au sillon collatéral cl. . au troisième
sillon
temporal. P, pédoncule cérébral. Pa, circonvoluti
u troisième ventricule. - par, pied de la couronne rayonnante. - pri,
sillon
pré-rolan- dique inférieur. - R, scissure de Ro
e. Sge, substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. - SM,
sillon
de Monro. 1(p), branche postérieure de la sciss
nvo- ' lutiuns temporales. 11, 12, ? premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. 7'c/), toile choroï- dienne. tee, [r
ventricule, étendue dans le sens transversal du tænia tha- lami au
sillon
choroïdien, n'appartient pas au troisième ventric
choroïdes. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. sch,
sillon
choroïdien. Sexv, surface extra-ventriculaire d
oroïdien. Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. si,
sillon
opto-strié. SZ,septumlucidum.S7'A, région sous-
le interne. , En arrière, le noyau lenticulaire ne dépasse guère le
sillon
postérieur de l'insula; le noyau caudé, au cont
alcool.) Cal, calotte ou étage supérieur du pédoncule cérébral. cm,
sillon
calloso-marginal. : CNC, colliculus du noyau caud
couronne rayonnante. Pul, pulvinar. - R, scissure de Rolando. - sch,
sillon
choroïdien. SI, seuil de l'insula. si, sillon o
re de Rolando. - sch, sillon choroïdien. SI, seuil de l'insula. si,
sillon
opto-strié. - Tg V, trigone ventriculaire. - Th,
veine du corps strié et le tænia semi-circulm'ls, contenus dans le
sillon
opto-strié. L'extrémité antérieure ou tête, rég
rte par le .stratum zonale et di- visée en deux par- ties parle
sillon
cho- roïdieu. au-dessus duquel passe le segme
che optique du noyau caudé. Cette face est limitée en dehors par le
sillon
opto-strié (si) qui loge la lame cornée, la veine
ite en avant, plus large en arrière, la face supérieure présente un
sillon
longitudinal, large mais peu profond, oblique en
inal, large mais peu profond, oblique en arrière et en dehors, , le
sillon
choroïdien (sch), qui loge les plexus choroïdes d
(sch), qui loge les plexus choroïdes des ventricules laté- raux. Ce
sillon
, qui correspond au bord externe du trigone cérébr
supérieure de la couche optique, située en avant et ' en dehors du
sillon
choroïdien, fait partie du plancher du ventricule
supérieure de la couche optique, située en arrière et en dedans du
sillon
choroïdien, est triangulaire également, mais étro
ouche optique (Sexv). ('oy. Embryologie, p. 114 à 117.) En avant du
sillon
choroïdien, il existe, tout près du trou de Monro
rpus album sttbrotutzdrtnz de Vieussens. En arrière et en dedans du
sillon
choroïdien, on rencontre une saillie volumineus
ami (tth) .ou pédoncule antérieur (halena) de la glande pinéale. Un
sillon
curviligne à concavité supérieure, le sillon de
la glande pinéale. Un sillon curviligne à concavité supérieure, le
sillon
de Monro, étendu du trou de Monro à l'a- queduc
nula. i Ganglion de l'ha- bénula. 1 Sa face interne. ,
Sillon
do Monro. r 378 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
peu en avant de leur partie moyenne et immédiatement au- dessus du
sillon
de Monro, par la commissure grise ou molle, qui t
roïdes. - 13zel, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. sch,
sillon
choroïdien. - Sexv, surface extra-ventriculaire
dien. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - si,
sillon
opto-strié. SI, septum lucidum. - STh, région s
xterne est limité par la bandelette demi-circulaire, située dans le
sillon
opto-strié et par la portion réfléchie de la queu
cette coupe on constate nettement la différence de profon- deur des
sillons
des faces externe et interne du cerveau. Peu prof
externe et interne du cerveau. Peu profonds il la face interne, les
sillons
peuvent atteindre il la face externe presque la m
presque la moitié de la largeur de la coupe. Tels sont, le deuxième
sillon
frontal (f"), le sillon ]J ? ru[an- dique supér
largeur de la coupe. Tels sont, le deuxième sillon frontal (f"), le
sillon
]J ? ru[an- dique supérieur (prs), le sillon in
illon frontal (f"), le sillon ]J ? ru[an- dique supérieur (prs), le
sillon
inle/ïJariélal (ip); cette différence tient non s
388 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ment à la profondeur propre du
sillon
, mais encore il l'angle d'obliquité de la - sec
encore il l'angle d'obliquité de la - section. C'est ainsi que les
sillons
sectionnés obliquement, tels que le deuxième si
ainsi que les sillons sectionnés obliquement, tels que le deuxième
sillon
frontal (f2) ou le sillon interpariétal (ip), par
tionnés obliquement, tels que le deuxième sillon frontal (f2) ou le
sillon
interpariétal (ip), paraissent plus profonds que
rc, faisceau arqué. C, cunéus. Ce, corps calleux. Cing, cingulum. cm,
sillon
calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. -
t troisième circonvolutions frontales. fui, f2, premier et deuxième
sillons
frontaux. Fa, circonvolution Fic. 219. - Coupe
ACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 389 scissure de Rolando (R) ou le premier
sillon
frontal (f,) sectionnés perpendiculai- rement.
, la face interne de la première circonvolution frontale (niF,), le
sillon
calloso-marginal (cm), puis la première circonvol
dans une grande partie de sa longueur et limitée en arrière par le
sillon
sous-pariétal (sp) ; puis le précunéus (PrC), l
lutions frontales (F,, F2, F3) séparées par les premier et deuxième
sillons
frontaux (fl, puis le sillon prérolandique supé
séparées par les premier et deuxième sillons frontaux (fl, puis le
sillon
prérolandique supérieur (prs), la circonvolution
onvolution pariétale ascendante (Pa), enfin la partie antérieure du
sillon
z : irtn.rparie·tal (ip) et la deuxième circonvol
e sa longueur est limitée en avant, en arrière et en dedans, par le
sillon
irrlerparic-tcal (ip, ip, ip); elle est divisée e
p, ip); elle est divisée en deux parties par la partie verticale du
sillon
parallèle (t' 1) et les deux lèvres qui limitent
du sillon parallèle (t' 1) et les deux lèvres qui limitent ce dernier
sillon
font partie du pli courbe (Pc). En arrière de l
ceau est traversé par toutes les fibres, frontale ascendante. - ip,
sillon
. inter-pariétal. - Li, première circonvolution li
e. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. po,
sillon
parieto-occipital. Parc, précunéus. - pws, sill
, pli courbe. po, sillon parieto-occipital. Parc, précunéus. - pws,
sillon
prérolandique supérieur. - Il, scissure de Roland
pws, sillon prérolandique supérieur. - Il, scissure de Rolando. sp,
sillon
sous-pariétal. li, partie verticale du sillon par
ssure de Rolando. sp, sillon sous-pariétal. li, partie verticale du
sillon
parallèle. 390 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Ce, corps calleux.-Ce, capsule externe. - Cing, cin- gulum. - en),
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - Cli, cour
gueur, apparaissent ici en teinte foncée. Enfin, bordant le fond des
sillons
, on trouve une petite zone claire qui correspon
de la première circonvolution occipilale (0,). Le segment vertical du
sillon
paml- lnle (t,') l'incise au niveau du pli cour
postérieure de la scissure de Sylvius (S[p] et par une incisure du
sillon
inteJ'-pa/'Ù ! tal (ip). La pointe occipitale est
: la face interne de la première circonvolution frontale (mF¡), le
sillon
calloso-marginal (cm) et la première circonvoluti
uve : la même circonvolution limbique (L,), la branche verticale du
sillon
calloso-marginal (cm), le sillon sous-pariétal (s
ique (L,), la branche verticale du sillon calloso-marginal (cm), le
sillon
sous-pariétal (sp), le précunéus (PrC), la scis
troisième circonvolutions frontales. - fui, f2, premier et deuxième
sillons
frontaux. Fa, circonvolution frontale ascendante.
euxième sillons frontaux. Fa, circonvolution frontale ascendante. ip,
sillon
intcr-parietal. - L,, première circonvolution l
li courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. - PrC, précunéus. pari,
sillon
pré- rolandique inférieur. - R, scissure de lto
- Sgé, substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale. - sp,
sillon
sous- pariétal. t ? partie verticale du sillon
ne occipitale. - sp, sillon sous- pariétal. t ? partie verticale du
sillon
parallèle. -tec, tsenia tecta. - VI, ventricule l
vec les fibres d'association courtes et les fibres en U du fond des
sillons
. A la face interne, et coiffant le fond du sinu
segment externe du noyau lenticulaire (NLJ, ainsi qu'une partie du
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms). Écorce.
e dessiner. Entre la capsule externe (Ce) et l'écorce qui limite le
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms), on trouve
ing, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso- marginal. - CO, centre ovale. F,, F3,
troisième circonvolutions frontales. - ) ? f ? premier et deuxième
sillons
frontaux. - Fa, circonvolution frontalc ascenda
ascendante. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. /, insula. - ip,
sillon
intcr-pariétal. - L,, première circonvolution l
ace interne de la pre- mière circonvolution frontale interne. - mi,
sillon
marginal supérieur. NC, tête du noyau caudé. NC
li courbe. - po, scissure pariéto-occipitale, Porc, précunéus. - pri,
sillon
prerolandiquc inférieur. - R, scissure doRoland
Sgé, substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. - sp,
sillon
sous-pariétal. - slrz, stratum zonale. l\, bran
lon sous-pariétal. - slrz, stratum zonale. l\, branche verticale du
sillon
parallèle. tec.loenia tecta. - TII, thala- mils
égale à la constitution de l'écorce du lobe frontal. En arrière du
sillon
prérolandique inférieur (pri), l'écorce du lobe f
a deuxième circon- volution temporale (1'2)' la partie verticale du
sillon
parallèle, (t,') incise profon- dément l'écorce
e bordent constituent le pli courbe (Pc). La lèvre antérieure de ce
sillon
est formée par la circonvolu- tion pariétale in
temporale (T.,) avec la deuxième circonvolution occipitale (0). Le
sillon
interpariétal (ip) est remplacé par le sillon inl
on occipitale (0). Le sillon interpariétal (ip) est remplacé par le
sillon
inleroccipilal (io) qui Cc (spl), bourrelet du
e. - CÍ1'I, segment rétro lenticulaire de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - F,, I=, F
et troisième circonvolutions frontales. fi, /«, premier et deuxième
sillons
frontaux. Fa, circonvolution frontale ascendant
a, Ip, circonvolutions antérieures et postérieures de l'insula. - ip,
sillon
inter-pariétal. - L" première circonvolution Ih
cornée.mF.,face interne de la première circonvolution frontale. ? )M,
sillon
marginal supérieur.A'C,noyaucaude ? Ys,troisièm
noïdalc. po, scissure pariéto-occipitale. l'1'C, précunéus. - pli,
sillon
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolan
Sgé, substance grise sous-ilxnds-maire. - SI, septum luci- dum. sp,
sillon
sous-pariétal. Th, couche optique. T, ! gsna;, ci
re au niveau du pli marginal supérieur. - < ? branche verticale du
sillon
parallèle. Tap, tapetum. - tee, taenia tecta. -
n plus grande. Ses circonvolutions présen- tent des multiples et un
sillon
un peu plus profond, correspondant à une incisu
peu apparente. La couche optique est séparée du noyau caudé par un
sillon
profond, dans lequel on trouve la veine du corp
erne. - Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - F,, F.j. Fs, première, deux
et troisième circonvolutions frontales. f\, h, premier et deuxième
sillons
frontaux. - Fa, circonvolution frontale ascendant
nal inférieur,- I, insula. - if, incisurc frontale de l'opercule. io,
sillon
intcr-occipiLal.- K, scissure calcarinc. L" pre
e. Plch, plexus choroïdes - po, scissure pariéto-oecipitale. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - -cl, pli cunéo- limb
iolet. - S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - ses,
sillon
du corps calleux. - - .xu, surface extra-ventri
et deuxième circonvolutions tempo- rales. - t ? partie verticale du
sillon
parallèle. - Tap, tapetum. - tee, toenia tecta. -
(Tp), séparée de la première circonvolution tem- porale (T,) par le
sillon
temporal profond (tp), et limitée en avant par le
) par le sillon temporal profond (tp), et limitée en avant par le '
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp). La partie a
ois cinq circonvolutions, et séparé en deux parties inégales par un
sillon
constant, le sillon insulaire (i), qui sépare la
ions, et séparé en deux parties inégales par un sillon constant, le
sillon
insulaire (i), qui sépare la circon- volution i
ne. - Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - FI, F" F3
t troisième circonvolutions frontales. - f,, r" premier et deuxième
sillons
frontaux. - Fa, circonvolution frontale ascenda
aisceau longitudinal inférieur. - Fm, forceps major. I, insula. - ?
sillon
de l'insula. - la, insula antérieur. - io, sillon
r. I, insula. - ? sillon de l'insula. - la, insula antérieur. - io,
sillon
inter-occipital. - Ih, insula posté- rieur. - i
ur. - io, sillon inter-occipital. - Ih, insula posté- rieur. - il),
sillon
inter-pariétal. li, scissure calcarine. - LI, pre
de la première circon- volution frontale. - Mo, trou de Monro. znp,
sillon
marginal postérieur. - Na, noyau ' antérieur de
re. - Oi, Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. oa,
sillon
occipital antérieur de Wernicke. OF, faisceau o
Plch, plexus choroïdes. - po, scissure pariéto-occipitale. - pari,
sillon
prérolandique inférieur. - 7l)lp, pli pariéto-lim
et deuxième circonvolutions temporales. < ? branche verticale du
sillon
parallèle. - lec, taenia tecta.- - 1'ctp, tapet
- Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde. tp,
sillon
temporal profond. - tth, renia tlialatni.- V, r
Tp) forme une languette étroite, oblique en avant et en dehors ; le
sillon
temporal profond (tp) la sépare de la première ci
a deuxième temporale (T2). Celle-ci est limitée, en arrière, par le
sillon
occipital antérieur de lb'eraiclce (oa) qui la sé
ui est séparée de la première circonvolution occipitale (0,) par le
sillon
iufcr·-occiyilal (io). A la face interne appara
erne. Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - Csc, circ
la troisième circon- volution frontale. f,, f2, premier et deuxième
sillons
frontaux. - pli, faisceau longitudinal inférieu
u forceps. l, insul : t. ifop, incisure frontale de l'opercule. io,
sillon
inter-occipital. - K, scissuse calcarinc. ? [, ,,
e. 0,> Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa,
sillon
occipital anté- rieur dcWcrnicke. - OF, faiscea
re et deuxième circonvolutions temporales. 1\, branche verticale du
sillon
parallèle. 7'n/.), tapetum. - lec, t.enia tecta
h, couche optique. - Tp. circon- volution temporale profonde. - lp,
sillon
temporal profond. tlh, tcnia thalami. l', ruban
lution godronnée, est refoulée dans la cavité ventriculaire par le
sillon
de l'hip- pocampe et détermine dans le ventricu
lames blanches, l'une superficielle, d'aspect réticulé, étendue du
sillon
de l'hippocampe à la face externe du lobe limbiqu
erne. - Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso- marginal. CO, centre ovale. - cop, com
oisième circonvo- lutions frontales. - fui, f2, premier et deuxième
sillons
frontaux. - F3{c), cap de la troisième circonvo
re. 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa,
sillon
occipital -antérieur de Wernicke. OF, faisceau
ipital -antérieur de Wernicke. OF, faisceau occipito-frontal. - oi,
sillon
intcr-occipital. - OpF3, opercule de la troisième
et deuxième circonvolutions temporales. - t ? branche verticale du
sillon
parallèle. - Tap, tapetum. - tec, tænia tecta.
- Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde. - fp,
sillon
tCl : 1 ! '1f; : i.ro; profond. - V3, troisième
ne. - Ci·l, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - coa, commissure antérieure. -
la troisième circonvolution frontale. - fi, fi, premier et deuxième
sillons
frontaux. - Fli, faisceau longitudinal inférieur.
inal inférieur. Fm', forceps minor. - f,, f2, pre- mier et deuxième
sillons
frontaux. - FV, fibres visuelles. sillon de l'hip
f2, pre- mier et deuxième sillons frontaux. - FV, fibres visuelles.
sillon
de l'hippocampe. - la, insula antérieur. - io,
es visuelles. sillon de l'hippocampe. - la, insula antérieur. - io,
sillon
inter-occipital. - Ip, insula postérieur. - li, s
du noyau lenticulaire. - Les, lame médullaire superficielle. - ma,
sillon
marginal antérieur. - mp, sillon marginal posté
me médullaire superficielle. - ma, sillon marginal antérieur. - mp,
sillon
marginal postérieur. - 7 ? zF , face interne de l
? - 0" Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa,
sillon
occipital antérieur. - OF, faisceau occipito- f
ère et deuxième circonvolutions temporales. , l2, premier et deuxième
sillons
tempo- raux. Tap, tapetum. - lec, taenia tecta.
rrefour ventriculaire. - Tp, circonvolution temporale profonde. - tp,
sillon
tem- poral profond. - V3, troisième ventricule.
rne. - Cirl, segment rétro-lenticulaire de la cap- sule interne.cm,
sillon
calloso-marginal.- CO, centre ovale. - coa, commi
circonvolution frontale.- t'l, t'" fi, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. - FI, faisceau lenticulaire de Forci.
rci. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Il, hippocampe. - h,
sillon
de l'hippocampe. - i, sillon de l'insula. - la, i
inal inférieur. - Il, hippocampe. - h, sillon de l'hippocampe. - i,
sillon
de l'insula. - la, insula antérieur. - io, sillon
l'hippocampe. - i, sillon de l'insula. - la, insula antérieur. - io,
sillon
inter- occipital.- Ip, insula postérieur. - IC,
e. - m/'Vfacc interne de la première circonvolution frontale. - ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marg
volution frontale. - ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula.-NC, tète du no
e circonvolutions occipitales. - OF, faisceau occipito-frontal. oa,
sillon
occipital antérieur de Wernicke. Pul, pulvinar.
érieur du trigone. Th, couche optique. lit i-i, premier et deuxième
sillons
temporaux. - V3, troisième ventricule. V, ruban d
irconvolutions frontales sont séparées les unes des autres, par les
sillons
premier et deuxième frontal (f,, f.,); la coupe i
frontal (f,, f.,); la coupe intéresse en outre le fond du troisième
sillon
frontal ou sillon en H (f ? ) de la face orbi tai
la coupe intéresse en outre le fond du troisième sillon frontal ou
sillon
en H (f ? ) de la face orbi taire du lobe front
inférieure du lobe frontal. L'insula (I) est limité en avant par le
sillon
marginal antérieur de l'insula (ma), en arrière
ar le sillon marginal antérieur de l'insula (ma), en arrière par le
sillon
marginal postérieur (mp). Il comprend quatre à
comprend quatre à cinq circonvolutions irrégulières petites, qu'un
sillon
constant et assez profond, le sillon insulaire
ns irrégulières petites, qu'un sillon constant et assez profond, le
sillon
insulaire (i) divise en deux régions, l'une posté
diffère de celle de la coupe précédente par l'apparition du deuxième
sillon
temporal (t.,) l'extension plus grande du lobul
irconvolutions sous-calleuses ont en effet disparu. Dans le fond du
sillon
de l'hippocampe (h), on trouve la circonvolution
lement l'extrémité antérieure du lobe limbique (L,) et intéresse le
sillon
triradié ou sillon eu H (f3), le pôle de l'insu
antérieure du lobe limbique (L,) et intéresse le sillon triradié ou
sillon
eu H (f3), le pôle de l'insula et la partie pro
é ou sillon eu H (f3), le pôle de l'insula et la partie profonde du
sillon
collatéral (ot). Elle passe par la région sous-
rticulier le carrefour olfactif de Broca (CB), contourne ensuite le
sillon
calloso-11wruinal (cm) et le sillon sus-orbitaire
roca (CB), contourne ensuite le sillon calloso-11wruinal (cm) et le
sillon
sus-orbitaire de Broca (so), et forme l'écorce
la face externe du lobe frontal est divisée en deux parties par un
sillon
profond, le sillon en H, sillon, tl'imdié ou troi
lobe frontal est divisée en deux parties par un sillon profond, le
sillon
en H, sillon, tl'imdié ou troisième sillon fronta
est divisée en deux parties par un sillon profond, le sillon en H,
sillon
, tl'imdié ou troisième sillon frontal (f3); la
ar un sillon profond, le sillon en H, sillon, tl'imdié ou troisième
sillon
frontal (f3); la 27 418 ANATOMIE DES CENTRES
étro-lenticulaire de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - cm,
sillon
calloso-marginal. coa, commissure antérieure. -
irconvolutions frontales. f,, f" f3, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. - FOI, faisceau de Meynert. FT, faisc
inal inférieur. - Gh, ganglion de l'lialpcnula. - H, hippocampe. i,
sillon
de l'insula. - la, insula antérieur. - io, sill
H, hippocampe. i, sillon de l'insula. - la, insula antérieur. - io,
sillon
inter-occipital. - io', incisure du sillon inter-
a, insula antérieur. - io, sillon inter-occipital. - io', incisure du
sillon
inter-occipital. - Ip, insula postérieur. - K,
e. nif,, face interne de la première circonvolution frontale. - ma,
sillon
marginal antérieur de l'in- sula. mp, sillon ma
lution frontale. - ma, sillon marginal antérieur de l'in- sula. mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - NC, tète du no
3, première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales.-oa,
sillon
occipital antérieur de Wernicke. - OF, faisceau
pital antérieur de Wernicke. - OF, faisceau occipito-frontal. - ol,
sillon
collatéral. - Qa, tubercule quadrijumeau anté-
ce grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. - so,
sillon
sus-orbitaire de Broca. - T,, T2. T3, première, d
troisième circonvolutions temporales. - t,, t2, premier et deuxième
sillons
temporaux. - Tap, tapetum. - Tga, pilier antéri
tdeuxième circonvolutions frontales (1; "r) séparées par le premier
sillon
frontal (f,). La partie externe de l'écorce est
é au niveau du pôle de l'insula; il est divisé en deux régions par le
sillon
insulaire (i). La circonvolution postérieure de
première et troisième circonvolutions temporales (T,, T.,), par le
sillon
parallèle (t,) en avant, et le deuxième sillon te
es (T,, T.,), par le sillon parallèle (t,) en avant, et le deuxième
sillon
temporal (tj en arrière. La tl'oi- sième circon
vec la troisième circonvolution occipitale. (0,), dont la sépare le
sillon
occipital antérieur (oa) ; puis viennent la deu
e occipital est considéra- blement réduite. On y voit apparaître un
sillon
, entouré d'une écorce grise et d'une zone clair
orce grise et d'une zone claire de fibres courtes d'association. Ce
sillon
n'est autre que le sillon collatéral (ot), qui
laire de fibres courtes d'association. Ce sillon n'est autre que le
sillon
collatéral (ot), qui sépare le lobule f itsi fozw
rmer l'éminence collatérale de Meckel (Voy. fig. 204). En dehors du
sillon
collatéral, on rencontre encore, quoique très r
diffère de celle de la coupe précé- dente que par la profondeur du
sillon
triradié ou incisure en H (f") et du sillon col
que par la profondeur du sillon triradié ou incisure en H (f") et du
sillon
collatéral (ot). L'avant-mur (AI) présente un
ur du cingulum. CL, corps de Luys. CM, commissure de Meynert. - cm,
sillon
calloso-marginal. - coa, commissure antérieure. -
et troisième circonvolutions'frontalcs. - f,, (" premier et troisième
sillons
frontaux. - Fli, faisceau longitudinal inférieu
ongitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - fs,
sillon
tardif (fissura scrotina de His). - i, sillon d
nal postérieur. - fs, sillon tardif (fissura scrotina de His). - i,
sillon
de l'insula. - la, insula antérieur. - io, sillon
otina de His). - i, sillon de l'insula. - la, insula antérieur. - io,
sillon
inter- occipital. - io', incisure du sillon int
insula antérieur. - io, sillon inter- occipital. - io', incisure du
sillon
inter-occipital. - Ip, insula postérieur. - Fil,
édul- laize superficielle. - Il, lame terminale embryonnaire. - ma,
sillon
marginal antérieur. znp, sillon marginal postér
lame terminale embryonnaire. - ma, sillon marginal antérieur. znp,
sillon
marginal postérieur. - mF,, face interne de la pr
e. - NR, noyau rouge. - Os, deuxième circonvolution occipitale. - oa,
sillon
occi- pital antérieur. - ot, sillon collatéral.
irconvolution occipitale. - oa, sillon occi- pital antérieur. - ot,
sillon
collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral. - Qa
grise sous-épendymaire. - Sti, substance innommée, de Reichert. so,
sillon
sus-orbitaire de Broca. - T,, T2, T3, première, d
gV, tri- gons ou carrefour ventriculaire. - t ? partie verticale du
sillon
parallèle. - C ? incisure du deuxième sillon te
? partie verticale du sillon parallèle. - C ? incisure du deuxième
sillon
temporal. \'3, troisième ventricule. - V, ruban d
VEAU. 425 Cette coupe passe au-dessous de l'extrémité antérieure du
sillon
cal- loso-marginal. Elle intéresse la base du c
ente. Comme la conne nasse au-dessous de l'extrémité antérip.1l1'p du
sillon
calloso-znarin.ol, elle intéresse la face inter
ère, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f3, troisième
sillon
COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 427 cèdent.
r. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - fa, troisième
sillon
frontal. - H, hippocampe. - I, insula. - io, si
- fa, troisième sillon frontal. - H, hippocampe. - I, insula. - io,
sillon
inter-occipital. - K, scissure calcarine.- L,,
erficielle. - Ln, locus niger. - ll, lame terminale embryonnaire. ma,
sillon
marginal antérieur. - mp, sillon marginal posté
, lame terminale embryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp,
sillon
marginal postérieur. - fiice interne de la premiè
- VR, noyau rouge. - Oi, deuxième circonvolution occipitale. - oa,
sillon
occipital antérieur de Wcrnicke. of, sillon colla
ution occipitale. - oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. of,
sillon
collatéral. P, pied ou étage inférieur du pédon
substance grise centrale. -Sge, substance grise sous-épendymaire. so,
sillon
sus-orbitaire de Broca. - Spa, substance perfor
et troisième circonvolutions temporales. - l, 12, premier et deuxième
sillons
tem- poraux. - Tap, tapetum. - Te, tuber cinere
Cg, circonvolution godronnée. - Cge, corps -ciiouillé externe. - cm,
sillon
calloso- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 429
mière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - troisième
sillon
frontal. - Fli, faisceau longitudinal inférieur.
03, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - 0" deuxième
sillon
occipital. - oa, sillon occipital antérieur de
circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oa,
sillon
occipital antérieur de Wcrnicke. oi, sillon colla
sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. oi,
sillon
collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral. -
roisième circonvolutions temporales. <., 1 ? premier et deuxième
sillons
temporaux. - Tap, tapetum. - Tc, tuber cinereum.
ère, deuxième et troisième circonvolutions frontales. f3, troisième
sillon
frontal. - f4, quatrième COUPES MACROSCOPIQUES
la première circonvolution frontale (mF, ) avec le premier vestige du
sillon
olfac- tir (fI), en dehors la partie orbitaire
rtie orbitaire de la troisième circonvolution frontale (oF.,) et le
sillon
en H (f3) qui la sépare en avant d'une languette
Jol'o- occipilal les trois circonvolutions temporales (T T=, T), le
sillon
occipital anté- rieur (oa), une petite partie d
tale (02) qui se continue en dedans avec le lobule lingual (Lg). Le
sillon
collatéral (ot) sépare le lobule lingual (Lg) du
convolution, de l'hippocampe (H) ou pli rétro- limbique de Broca Le
sillon
de l'hippocampe (h) est extrêmement profond et
en dehors. La coupe intéresse, en effet, la partie antérieure de ce
sillon
, immédiatement en arrière de la circonvolution du
res au-dessous de la précé- dente (lignes 82 des fig. 217 et 218.
sillon
frontal ou sillon olfactif. - ? faisceau longitud
la précé- dente (lignes 82 des fig. 217 et 218. sillon frontal ou
sillon
olfactif. - ? faisceau longitudinal inférieur. Fu
faisceau unci- natus. - Fus, lobule fusiforme. - Il, hippocampe. h,
sillon
de l'hippocampe. - I, insula. mut,, face intern
0" deuxième et troisième circonvolu- tions occipitales. o, deuxième
sillon
occipital. - or ? partie orbitaire de la troisièm
? partie orbitaire de la troisième cir- convolution frontale. - oa,
sillon
occipital antérieur de Vcrnicl : c. - ot, sillon
tion frontale. - oa, sillon occipital antérieur de Vcrnicl : c. - ot,
sillon
collatéral. - arl, pli rétro-limbique. - RTh, r
? première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,,
sillon
parallèle. Tap, tapetum. Tgp, pilier postérieur
elle rase le lobule orbitaire, intéresse le gyrus reclus (mF,), le
sillon
olfactif (f;) et le trigone olfactif (Tol), la
3, première et troisième circonvolutions frontales. - fa, troisième
sillon
frontal. - ? sillon olfactif. Fli, faisceau longi
ième circonvolutions frontales. - fa, troisième sillon frontal. - ?
sillon
olfactif. Fli, faisceau longitudinal inférieur. -
ire des première et troisième circonvolutions frontales (Fu F3). Un
sillon
profond, le troi- sième sillon frontal ou sillo
irconvolutions frontales (Fu F3). Un sillon profond, le troi- sième
sillon
frontal ou sillon en ff{i3), limite la partie orb
ntales (Fu F3). Un sillon profond, le troi- sième sillon frontal ou
sillon
en ff{i3), limite la partie orbitaire de la premi
éfaut sur cette coupe. Une incisure postéro- interne appartenant au
sillon
en H, sépare la première circonvolution frontale
ntérieure de l'espace perforé antérieur. A la partie postérieure du
sillon
olfactif, on trouve une surface de section tria
iveau de la deuxième circonvolution temporale (T.,), on trouve deux
sillons
antéro-postéricurs, l'externe appartient au deuxi
e deux sillons antéro-postéricurs, l'externe appartient au deuxième
sillon
temporal (t.,), l'interne représente une incisu
euxième sillon temporal (t.,), l'interne représente une incisure du
sillon
, collatéral (of). Cette incisure se con- tinue
atéral (of). Cette incisure se con- tinue à la face externe avec le
sillon
occipital antérieur de IŸer·rriche (oa). A la fac
trouvons, d'avant en arrière : la circonvolution du crochet (U), un
sillon
profond, le sillon de l'hippocampe (h) qui produi
n arrière : la circonvolution du crochet (U), un sillon profond, le
sillon
de l'hippocampe (h) qui produit dans la corne sph
dale (Vsph) la saillie de la corne d'=lrz7)coJl (CA). Dans le fond du
sillon
de l'hip- pocampe (h), on trouve la circonvolut
ui correspondent aux digitalions de la corne d'Ammon. En arrière du
sillon
de l'hippocampe on trouve : la circonvolution d
ance réticulée d'Arnold (Lms), puis le lobule fusiforme (Fus), que le
sillon
collatéral (ot) sépare en avant de la circonvol
térieure de la corne sphénoïdale (Vsph) qui décrit un arc autour du
sillon
de l'hippocampe (h), arc dont le segment postér
. - Fils, lobule fusiforme. - H, circonvolution de l'hippocampe. h,
sillon
de l'hippocampe. - ipo, scissure pré-occipitale.
utions occi- pitales. - 1· ? troisième circonvolution frontale. oa,
sillon
occipital antérieur de Wernicke. - ol, sillon c
olution frontale. oa, sillon occipital antérieur de Wernicke. - ol,
sillon
collatéral. - ol', incisure du sillon collatéral.
antérieur de Wernicke. - ol, sillon collatéral. - ol', incisure du
sillon
collatéral. - RTh, radiations optiques de Grati
me et troisième circonvolu- tions temporales. - Tap, tapetum, - 1,,
sillon
parallèle. - 1 ? deuxième sillon Toi, tubercule
ns temporales. - Tap, tapetum, - 1,, sillon parallèle. - 1 ? deuxième
sillon
Toi, tubercule olfactif. U, circonvolution du c
, la laminllinvolutll (Li). Cette dernière se continue au niveau du
sillon
de l'hippocampe (h) avec la substance réticulée
), subdivisées par les nombreuses incisures du miel' et du deuxième
sillon
frontal (f,, f). Les coupes noS 33, 37 et 40 (f
une inci- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 437 sure du deuxième
sillon
, frontal (f') et sur les coupes suivantes (nos 37
onvolll- tion frontale (oF3), subdi- visée par les incisures du
sillon
en H (f3). La moitié interne est formée par la
aire de la pre- mÎl)l'e ch'convola/ion {1'01l- tale (oF,), que le
sillon
ol- factif (t ? ), subdivise en une parue exter
e (L,) (gyrus (ol'nicatus, circonvolution du corps calleux), que le
sillon
calloso-marginal (cm) sépare en haut et en bas de
(Grandeur naturelle.) Ce, corps calleux. - Cing, cingulum. - cm,
sillon
cal- loso-marginal. - F,, Fi, première et deuxi
circonvolu- tions frontales. ? 3, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. f, sillon olfactif. - f ,. /'2, incisur
frontales. ? 3, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. f,
sillon
olfactif. - f ,. /'2, incisures des premier et
. f, sillon olfactif. - f ,. /'2, incisures des premier et deuxième
sillons
frontaux. - Foa, forceps antérieur du corps cal
celle de la première circonvolution limbique (L,), séparées par le
sillon
calloso-margillal (cm), peu marqué dans la partie
naturelle.) Ces], genoux du corps calleux. - Cing, cingulum - cm,
sillon
calloso-marginal. - Fi, Fi, F3, première deuxiè
rconvolution frontale. - ru, fi, /3, premier, deuxième et troisième
sillons
fron- taux. - fui, sillon olfactif. - /'2, /3,
, fi, /3, premier, deuxième et troisième sillons fron- taux. - fui,
sillon
olfactif. - /'2, /3, incisure des pre- mier et
fui, sillon olfactif. - /'2, /3, incisure des pre- mier et deuxième
sillons
frontaux. - L,, première circonvolution limbiqu
arqué. - Cet ! ]), genou du corps calleux. - Cing, cingulum. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. -1"" r2,
rconvolution frontale. - f,, f2, f3, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. - (" incisure du deuxième sillon fron
, deuxième et troisième sillons frontaux. - (" incisure du deuxième
sillon
frontal. f,, sillon olfactif. - ic, incisure du
e sillons frontaux. - (" incisure du deuxième sillon frontal. f,,
sillon
olfactif. - ic, incisure du cap. L,, première cir
ieure, décrit uuc courbe à concavité externe, autour du fond du
sillon
en Il (f3), et se confond avec le système des
confond avec le système des fibres d'association qui entoure le
sillon
, olfactif '(fi). La partie inférieure de la c
r naturelle.) Cc(g), genou du corps calleux. -Cing, cingulum. - cm,
sillon
calloso-marginal. CO, centre ovale. - Fi, ? z,
convolution frontale. - f,, f2, f3, première, deuxième et troisième
sillons
frontaux. - fi, sillon olfactif. Fu, faisceau u
f,, f2, f3, première, deuxième et troisième sillons frontaux. - fi,
sillon
olfactif. Fu, faisceau uncinatus. - ic, incisur
A, Ts, première et deuxième circonvolutions temporales.-t,, premier
sillon
temporal. Il £ , ventricule latéral. COUPES M
a, segment antérieur de la capsule interne. - Cing, ciugulum. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - F" F" F"
onvolution frontale. - - fi, f2, /3, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. - fa, sillon olfactif. - Fu, faisceau u
fi, f2, /3, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. - fa,
sillon
olfactif. - Fu, faisceau unci- natus. - ic, inc
et deuxième circonvolutions temporales.- t,, 12, premier et deuxième
sillons
temporaux. 442 AKATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
segment antérieur de la capsule interne. - Cing, cingulum.. en ? ,
sillon
calloso-marginal. CO, centre ovale. F,, Fs, F3,
e, deuxième et troisième circon- volutions frontales. - f,, premier
sillon
frontal. - Fu, fais- ceau uncinatus. - L,, prem
troisième circonvolution frontale. l'ol, pédoncule olfactif. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - Sec, sillon du corps
, pédoncule olfactif. - pri, sillon prérolandique inférieur. - Sec,
sillon
du corps calleux. - Sge, substance grise centrale
oisième circon- volutions temporales. - l,, 12, premier et deuxième
sillons
tem- portaux. - lec, toenia tecta. - VI, ventri
) et du genou du corps calleux (Ce [gj), immédiatement au-dessus du
sillon
olfactif (U)- Lorsqu'apparait la tète du noyau
d'association du lobe frontal. Sauf pour les fibres en U du fond des
sillons
on ne peut en effet décrire, comme faisceau dis
ion sont d'autant plus courtes, qu'elles sont plus près du fond des
sillons
, et d'autant plus longues, qu'elles appartiennent
socia- liorc d'autre part, n'est pas complète, car si les fonds des
sillons
sont tapissés par de courtes fibres d'associati
ia, segment antérieur de la capsule in- terne. Ciug, cingulum. -cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - F,, F2, F
mière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f" premier
sillon
frontal. - Fa, cir- convolution frontale ascend
bique. - face interne de la première circonvolution frontale. - ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marg
volution frontale. - ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - NC, noyau ca
l, tubercule olfactif. - 11, t2, ta, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. - 17, ventricule latéral. \, pont de s
sur la coupe n° 55 (fig. 243), où elle est subdivisée par un profond
sillon
accessoire, devient plus étroite sur les coupes
de même de la deuxième circonvolution frontale (F2) que le premier
sillon
frontal (f,) sépare de la circonvolution précéd
llon frontal (f,) sépare de la circonvolution précédente, et que le
sillon
prérolandique inférieur (pri) sépare de la circ
euxième circonvolution frontale (1"2)' dont elle est séparée par le
sillon
prérolandique inférieur (pri). Les coupes nos 6
(1). L'insula (I) est séparé de l'opercule rolandique (OpR) par le
sillon
marginal SII)JrJ- rieur (ms), et du lobe tempor
le sillon marginal SII)JrJ- rieur (ms), et du lobe temporal par le
sillon
, marginal inférieur ou postérieur (mp). Au nive
partie de la convexité de l'hémisphère, et une face inférieure que le
sillon
parallèle (t,), profond en général, sépare de l
me circonvolution temporale (T.,), limitée en dehors parle deuxième
sillon
temporal (t) et en dedans par la fusion du troisi
deuxième sillon temporal (t) et en dedans par la fusion du troisième
sillon
tempo- ml et du sillon collatéral (ot+ t : ,).
(t) et en dedans par la fusion du troisième sillon tempo- ml et du
sillon
collatéral (ot+ t : ,). Sur les coupes nns 63 et
45-246), le lobule fusiforme (Fus) est délimité par une incisure du
sillon
collatéral (of). Sur la coupe n° 60 (fig. 244),
tal, la face interne de la première circonvolution frontale (mF,), le
sillon
. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 447 calios
e. Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Cing, cingulum cm,
sillon
calloso-marginal. CO, centre ovale. coa, commis
. Fi, .j, première et deuxième circonvolutions frontales. - premier
sillon
frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante
re. - mai. face interne de la première circonvolution frontale. mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - VC, noyau caud
mmissure antérieure. OpR, opercule, rolandique. - ot + É3, union du
sillon
collatéral et du troisième sillon tem- poral. o
le, rolandique. - ot + É3, union du sillon collatéral et du troisième
sillon
tem- poral. ov, orifices vasculaires (artères l
poral. ov, orifices vasculaires (artères lenticulo-cauclues). - pri,
sillon
prérolandique infé- rieur. - Syc, substance gri
onvolutions temporales. - t,, f" la, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. U, circonvolution du cro- clict. - V
erne. - Ci (g), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. -cm,
sillon
calloso-marginal. CO, centre ovale. - coa, com-
, r2, première et deuxième circonvolutions frontales. - f,, premier
sillon
frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante.
- 7nF,, fice interne de la première circonvolution frontale. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - ms, sillon m
ution frontale. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - ms,
sillon
marginal supérieur de l'insula. NA, noyau amygdal
u occipito- frontal. - OpR, opercule rolandique. - ot + t, union du
sillon
collatéral et du troisième sillon temporal. - o
le rolandique. - ot + t, union du sillon collatéral et du troisième
sillon
temporal. - ot', incisure du sillon collatéral. -
llon collatéral et du troisième sillon temporal. - ot', incisure du
sillon
collatéral. - pri, sillon prérolandique inférieur
sième sillon temporal. - ot', incisure du sillon collatéral. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. It, scissure de Roland
volu- tions temporales. - l" l" 1.1, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. - Tga, pilier antérieur du trigone.
interne. Ci (g), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. coa, comm
occipito-frontal . - OpR, opercule rolandique.. - ot + t3, union du
sillon
collatéral et du troisième sillon temporal. Pa,
le rolandique.. - ot + t3, union du sillon collatéral et du troisième
sillon
temporal. Pa, circonvolution pariétale ascendan
us choroïdes. -.PiTlz, pédoncule inféro-interne du thalamus. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolan
- Sge, substance grise sous-épendy maire. SI, septum lucidum. - sM,
sillon
de Monro. - Sti, substance innominée de Rei- ch
convolutions temporales. tl, 19, ta, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. - Tc, tuber cinereum. Tg, corps du tri
pect d'une fente étroite et verticale, divisée en 'deux parties par
sillon
de Monro (sM). La partie supérieure ou thalamiq
ularis ; en bas, il est séparé des fibres propres d'une incisure du
sillon
collatéral (ot'), par une mince couche de fibres
lution frontale. (FI) qui se continue il la face interne (mF,), où le
sillon
calloso-marginal (cm) la sépare de la première,
séparée de la deuxième circonvolution frontale (1=), par le premier
sillon
frontal (f,). On rencontre ensuite à la face exte
(f,). On rencontre ensuite à la face externe, et de haut en bas, le
sillon
prérolandique inférieur (pri), la circonvolution,
irconvolutions tempo- rales (T,, T2' T : ¡), séparées par les trois
sillons
temporaux (tp t2, ot-t- 1.,). Puis à la face in
re du cerveau, on trouve le lobule fusiforme (Fus), une incisure du
sillon
collatéral (of) et la circonvolution de l'hippoca
Cing, cingulum Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - coa, co
ère, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f,, premier
sillon
frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendan
. - ml ? face interne de la première circonvolution frontale. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - nzs, sillon ma
tion frontale. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - nzs,
sillon
marginal supérieur de l'insula. - NL3,a, ,, noy
u occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. - ot + t3, union du
sillon
collatéral et du troisième sillon temporal. - ol'
e rolandique. - ot + t3, union du sillon collatéral et du troisième
sillon
temporal. - ol', incisure du sillon collatéral. -
sillon collatéral et du troisième sillon temporal. - ol', incisure du
sillon
collatéral. - ? étage inférieur du pédoncule céré
ventricule latéral. - PNL3, pédoncule du noyau lenticulaire. - poi,
sillon
prérolandique inférieur. - Il, scissure de Roland
ésente des saillies ou digitations qui répon- dent aux incisures du
sillon
de l'hippocampe (h). Noyaux opto-striés. Le noy
ance grise centrale. - S,e, substance grise sous-ependymaire. - sM,
sillon
de Monro. - z T,, Ta, 7*3, première, deuxième e
t troisième circonvolutions temporales. t,, t ? premier et deuxième
sillons
temporaux. - Tap, tapetum. - 7 ? trigone. - 7,qa,
S NERVEUX. externe concourt à former avec le noyau caudé (NC) et le
sillon
oplo-strié le plan- F) ? 2248. - Coupe vertico-
de la capsule interne. - Cing, cingulum. - CL, corps de Luys. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - coa, comm
F,, l'.z, première et deuxième circonvolutions frontales. - premier
sillon
frontal. F, champ de Forel. - Fa, circonvolution
Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Fus, lobule fusiforme. - h,
sillon
de l'hippocampe. z ? insula. - L,, première cir
- OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. - ot,
sillon
collatéral. - ot + la, union du sillon collatéral
, opercule rolandique. - ot, sillon collatéral. - ot + la, union du
sillon
collatéral et du troisième sillon temporal. z P
lon collatéral. - ot + la, union du sillon collatéral et du troisième
sillon
temporal. z P, pied du pédoncule cérébral. - Pa
rconvolution pariétale ascendante. Il, scissure de Rolando. -l11'i,
sillon
prérolandique inférieur. S(p), branche postérieur
substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. sJl,
sillon
de de Monro. - T,, Ts, T3, première, deuxième e
troisième circonvolutions temporales. - l,, 12, premier et deuxième
sillons
temporaux. Tap, tapetum. - Tg, trigone. - Tga, pi
paroi inférieure correspond à une ligne horizontale passant par le
sillon
de Monro (sM), elle repose sur la région sous-o
segment postérieur de la capsule interne. - CL, corps de Luys. cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. ds, diver
aisceau de Tiirck. - Fus, lobule fusiforme. - 11, hippocampe. . le,
sillon
de l'hippocampe. - I, insula. - L,, première circ
OF, faisceau occi- pito-rrontal. - OpR, opercule rolandique. - ot,
sillon
collatéral. - of -1- ta, union du sillon collat
, opercule rolandique. - ot, sillon collatéral. - of -1- ta, union du
sillon
collatéral et du troisième sillon temporal. - P
collatéral. - of -1- ta, union du sillon collatéral et du troisième
sillon
temporal. - P, pied du pédoncule cérébral. -- Pa,
étale ascendante. - Parc, lobule paracentral. l'a, protubérance. pms,
sillon
prérolandique supérieur. P, faisceau pyramidal.
entral (Parc), qui occupe la face interne de l'hémisphère et que le
sillon
calloso-lIwl' ! Jil1al (cm) sépare de la première
e ascendante (Fa). Cette dernière circonvolution est très large, le
sillon
}/1 ? olllll- dique supérieur (prs) l'incise pr
mité postérieure et effilée de la circonvolution du crochet (U). Le
sillon
de l'hippocampe (h) parait très profond; il sépar
(U) et de la circon- volution godronnée (Cg), qui occupe le fond du
sillon
. En déprimant la paroi ventriculaire, le sillon
i occupe le fond du sillon. En déprimant la paroi ventriculaire, le
sillon
de l'hippocampe (h) détermine la formation de la
e lit ou de subiculum de la corne d'cll1 ! /1wn, Les deux lèvres du
sillon
de l'hippocampe (h) sont tapissées par la substan
gone (Tgp) qui la déborde en dedans et dont elle est séparée par un
sillon
peu pro- fond, le sillon fimbrio-godronné. (Voy
en dedans et dont elle est séparée par un sillon peu pro- fond, le
sillon
fimbrio-godronné. (Voy. Coupes microscopiques, fi
iculaire du thalamus.- Sage, substance grise sous- épendymaire. sM,
sillon
de Monro. - T,, T ? T.1, première, deuxième et tr
oisième circonvo- lutions temporales. - l,, 12, premier et deuxième
sillons
temporaux. - Tap. tapetum. - lLs, trou borgne s
n godronnée. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - Epp, es
fusiforme. - Gsnz, gyrus supra-marginalis. - II, hippocampe. - lz,
sillon
de l'hippocampe. -l, insula. - ip, sillon inter-p
. - II, hippocampe. - lz, sillon de l'hippocampe. -l, insula. - ip,
sillon
inter-pariétal. L,, première circonvolu- tion l
u occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. - ol + t3, union du
sillon
collatéral et du troisième silion temporal. P, ét
e ascendante. - Parc, lobule paracentral. - Po, protubérance. purs,
sillon
prérolandique supérieur. 1ttl, pli temporo-limbiq
hées l'une de l'autre; elles ne sont sépa- rées en effet que par le
sillon
opto-strié. Au niveau de la corne sphénoïdale, le
te au contraire dans la corne sphénoïdale en avant et en dehors, le
sillon
opto-strié, très étroit au niveau du carrefour ve
volutions temporales. - t,, t'2, t3, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. - tec, tienia tecta. Tap, tapetum. - T
Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne.-cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - des, dive
pra-marginalis. - H, circonvolution de l'hippocampe. /, insula. - ip,
sillon
inter-pariétal. - L,, première circonvolution l
- Or, faisceau occipito-frontal. OpR, oper- cule rolandique. - oi,
sillon
collatéral.- ol', incisure du sillon collatéral.
, oper- cule rolandique. - oi, sillon collatéral.- ol', incisure du
sillon
collatéral. - Pa, circonvolu- tion pariétale as
ral - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - Pô, protubérance. - pi-s,
sillon
prérolandique supé- rieur. - R, scissure de Rol
onvolutions temporales. - Ile i-1 13 premier, deuxième et troisième
sillons
tcmporau. - Tap, tapetum. - 1/j, trou borgne an
considérablement réduit de volume. Sur la coupe n° 83 (fig. 252) le
sillon
de 11/011/'0 (sM) exisle encore, sur la coupe n°
g, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. CO, centre ovale. de, diverticu
e (gyrus supra-marginalis). -Il, circonvolution de -l'hippocampe. ip,
sillon
intcr- pariétal. - L,, première circonvolution
OF, faisceau occipito- - frontal. - OpR, opercule rolandique. - ot,
sillon
collatéral. - \'C ? tronc du noyau caudc. - NC'
. - l'cnz, pédoncule cérébelleux moyen. - Po, protubérance. - pi-s,
sillon
prérolandique supérieurs R, scissure de Rolande
us du corps calleux. - Sge. substance grise sous-épendymaire, - sM,
sillon
de Monro. T,; 7 ? 7'3. première, deuxième et tr
irconvolutions temporales. t,, 12, 13, premier, deuxième et troisième
sillons
tem- poraux. T'ap, tapetum. - Tg, trigone. Tgp,
: Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. cm,
sillon
calloso-mâr';inal. - CO, centre ovale. - cop, c
arginale supérieure (gyrus supra-marginalis). Il, hippocampe. - ip,
sillon
intcr-pariétal. Gi, première circonvolution limbi
rouge. OF, faisceau occipito-frontal. - Opp" opercule pariétal. ot,
sillon
collatéral. - P, pédoncule cérébral. - Pu, circon
ule paracentral. - 1'eus, pédoncule céré- helleux supérieur. - prs,
sillon
prérolandique supérieur.- - R, scissure de Roland
a scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-ependymaire. - sM,
sillon
de Monro. - S/i, substance réticulée. - 7'l, 7'
isième circonvolutions tcm- porales. - t,, t3, premier et troisième
sillons
temporaux. Tap, tapetum. Tg, trigone. - 7·gl>
ongitudinal inférieur.- Fus, lobule fusiforme. - H, hippocampe. ip,
sillon
inter-pariétal. L,, première circonvo- lution l
. - OF, faisceau occipito-frontal. - OI)P.2, opercule pariétal. - ot,
sillon
collatéral. l ? (gsnt), circow·olutionmarpinale
roisième circonvolutions temporales. - t,, l,, premier et troisième
sillons
temporaux. - Tap, tapetum.- lec, toenia tecta. -
um. - Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - cop, comm
l'2ts, lobule fusiforme. - H, circonvolution de l'hippocampe. - ip,
sillon
inter-pariétal. L"premiére circonvolution limbi
eue du noyau caudé. NL3, putamen.OF, faisceau occipito-frontal. ot,
sillon
collatéral. P.{Gsm), cir- convolution pariétale
irconvolutions temporales. t, t" t3, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. Tap, tapetum. - tec, t¡cnia tecta. -
lando nous trouvons la circonvolution pariétale ascendante (Pa), le
sillon
inlcrpariélal (ip), la circonvolution pariétale i
sectionnée au niveau de la partie antérieure du pli courbe (Pc), le
sillon
parallèle (t,) et les deuxième et troisième cir
ulum. - Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. cm,
sillon
calloso-marginal. CO, centre ovalc.-cls, divcrtic
ur. Fus, lobule fusiforme. H, circonvolution de l'hippocampe. - ip,
sillon
inter-pariétal. - L,, première circonvolution l
cielle. NC, tronc du noyau caudé. - Ne,, queue du noyau cade. - ot,
sillon
collatéral. - I ? circonvolution pariétale supéri
troisième circonvolutions temporales. - 11, t2, premier et deuxième
sillons
temporaux. Tap, tapetum. - tec, toenia tecta. -
trouvons, le lobule fusiforme (Fus), subdivisé par une incisure du
sillon
collatéral (et') et limité en dedans par le sil
une incisure du sillon collatéral (et') et limité en dedans par le
sillon
collatéral (ot), puis la circonvolution de l'hipp
ps calleux. Cg, circonvolution godron- née. - Cing, cingulum. - cm,
sillon
calloso-marginU. - CO, centre ovale. - ds, divert
ur. L Fus, lobule fusiformc. - H, circonvolution de l'hippocampe. fg,
sillon
fimbrio- godronné. - ip, sillon inter-pariétal.
circonvolution de l'hippocampe. fg, sillon fimbrio- godronné. - ip,
sillon
inter-pariétal. Li, première circonvolution limbi
perficielle. NC, partie réfléchie de la queue du noyau caudé. - ot,
sillon
collatéral. - ot', incisure du sillon collatéral.
a queue du noyau caudé. - ot, sillon collatéral. - ot', incisure du
sillon
collatéral. P2, circonvolution parié- talc infé
tum. - pilier .postérieur du trigone. - t,, t2, premier et deuxième
sillons
temporaux. 1'l, ventricule latéral. - Vsph, cor
pique de l'isthme du lobe lim- bique (H(i)), limitée en haut par le
sillon
de l'hippocampe (h), en bas par la branche comm
ure enfin, à la circonvolution de l'hippocampe (H). Dans le fond du
sillon
de l'hippocampe (h), nous trouvons la circonvolut
, corps calleux. - Cg, circonvolution godronnée. Cing, cingulum.-cnz,
sillon
calloso- marginal. - CO, centre ovale. Csc, cir
partie inférieure ou hippocampique de l'isthme du lobe limbique. - h,
sillon
de l'hippo- campe. - ip, sillon inter-pariétal.
de l'isthme du lobe limbique. - h, sillon de l'hippo- campe. - ip,
sillon
inter-pariétal. - K + po, branche commune aux sci
ficielle. - z\'C', partie réfléchie de la queue du noyau caudé. - ot,
sillon
collatéral. 7, circonvolution pariétale inférie
troisième circonvolutions temporales. - t2, t3, deuxième et troisième
sillons
temporaux. tec, t,enia tecta. 1'gp, pilier post
ourrelet du corps calleux (Ce [Spl]) et la partie correspondante du
sillon
de l'hippocampe (h), au niveau du point où il se
n godronnée (Cg) abandonne sur la coupe n° 95 (fig. 258) le fond du
sillon
de l'hippocampe, elle se renfle à ce niveau, et
° 105, fig. 261). Sur les coupes nos 95 et 97 (fig. 258 et 259), le
sillon
, de l'hippocampe (h) sépare la circonvolution god
corps calleux. Cg, circonvolution godronnée. - Cing, cingulul11.- cm,
sillon
calloso- marginal. - Csc, circonvolutions sous-
artie inférieure ou hippocampique de l'isthme du lobe hmbisptc. ! /J,
sillon
inter-pariétal. /i*+/jo, branche commune aux sc
circon- volution limbique. Lms, lame médullaire superficielle. oi,
sillon
collatéral. Pa, circonvo- lution pariétale infé
roisième circonvolutions temporales. -t ? L3, deuxième et troisième
sillons
temporaux.- Tap, tapotum. tec, tcenia tecta.- T
ps calleux. Cg, circonvolution godronnée. - Cirzg, cingulum. - c71,
sillon
calloso-marginal. - CO, centre ovale. - Fc, fasci
partie inférieure ou hippocampique de l'isthme du lobe limbique. - h,
sillon
de l'hipJ1o- campe. - il), sillon intcr-pariéta
e l'isthme du lobe limbique. - h, sillon de l'hipJ1o- campe. - il),
sillon
intcr-pariétal. -la-i- po, branche commune aux sc
luiriétn- occipitale. - L,, première circonvolution limbique. - 01,
sillon
collatéral. - P,, circonvolution pariétale supé
riétale ascendante.-l'arc, lobule paracentral. Pc, pli courbe. por,
sillon
post-rolandiquo. 7ï/>fa.pli pariéto-limbique
porales. Tap, tal'etunl. -1" ti, l3, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. <ee, tænia tecta. l'oc, corne occip
erne, un aspect fusiforme; épaisse dans la région qui correspond au
sillon
parallèle (t,) et il la deuxième circonvolution t
les points où la surface de section de la coupe, est tangente à un
sillon
. Sur la coupe n° 105 (fig. 261) seulement, il e
néus, nous trouvons en contournant l'écorce, la partie verticale du
sillon
calloso-marginal (cm') et la partie postérieure
st- rolandique (por), la première circonvolution pariétale (P,), le
sillon
inler-pariélal (ip), la deuxième circonvolution
circonvolution pariétale (P2)' que subdivise la partie verticale du
sillon
parallèle (t',) dans la région du pli courbe (Pc)
(Pc); puis la deuxième circonvo- lution temporale (T2), le deuxième
sillon
temporal (t,) et la troisième circonvolution- t
e, et elle est sépa- rée du lobule fusiforme (Fus) par le troisième
sillon
temporal (t,). En dedans du lobule fusiforme (F
emporal (t,). En dedans du lobule fusiforme (Fus), nous trouvons le
sillon
collatéral (ot), le pli l'élro-lim- bique qui r
lle.) Cc, corps calleux. Cing, cingulum. - cm'. partie verticale du
sillon
calloso-margiual. - CO, centre ovale. ? Fli, fa
inor. Fus, lobule fusiforme. - H, circonvolution de l'hippocampe. IL,
sillon
de l'hip- pocampe. ip, sillon inter-pariétal. -
, circonvolution de l'hippocampe. IL, sillon de l'hip- pocampe. ip,
sillon
inter-pariétal. - K + po, branche commune aux sci
re circonvolution limbique. - L (i), isthme du lobe limbique. - ot,
sillon
collatéral. Pi, circonvolution pariétale supérieu
volution pariétale ascendante. - Parc, lobule paracen- . irais por,
sillon
post-rolandiquc. - 1'1'C, précunéus. - pli rétro-
3, troisième circonvolution temporale. ts, t3, deuxième et troisième
sillon
temporaux. - l ? branche verticale de la scissu
inue graduellement de volume à mesure qu'on se porte en arrière; le
sillon
inler-pariélal (ip) sectionné parallèlement à s
ient au pli courbe (Pc), situé à cheval sur la branche verticale du
sillon
parallèle (t',) et dans la consti- tution duque
, faisceau longitudi- nal inférieur. - Fus, lobule fusiforme. - ip,
sillon
inter-pariétal. - /(' +pro, branche com- mune a
ale ascendante. - Parc, lobule paracentral. P7,C, prcnnèus. - pour,
sillon
post-rolandiquc. nul, pli cunéo-limbique. RTh,
oi- sième circonvolutions temporales. 1 ? t3, deuxième et troisième
sillons
temporaux. Tap, tapetum. - V, ruban de Vicq d'A
dinal inférieur. - Fin, forceps major. Fus, lobule fusiforme. - ip,
sillon
inter-pariétal. - K, scissure calcarine. - K -1-
3, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. 03, troisième
sillon
occipital. - ot, sillon collatéral. Pi, circonv
me circonvolutions occipitales. 03, troisième sillon occipital. - ot,
sillon
collatéral. Pi, circonvolution pariétale supéri
circonvo- lution temporale. Tap, tapetum. fI, branche verticale du
sillon
parallèle. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Voc, co
udinal inférieur. - Fin, forceps major.-Fus lobule fusiforme. -il),
sillon
interpariétal. K, scissure calcarine. - L,q, lo
interpariétal. K, scissure calcarine. - L,q, lobule lingual. lg,
sillon
du lobe lingual. O., 03, deuxième et troisième ci
deuxième et troisième circon- volutions occipitales. o3, troisième
sillon
occipital. oi, sillon collatéral. P,, circonvol
circon- volutions occipitales. o3, troisième sillon occipital. oi,
sillon
collatéral. P,, circonvolution pariétale supéri
con- volution temporale. Tap, tapetum. - l ? branche verticale du
sillon
parallèle. - V, ruban de Vicq d'Azyr. Voc, corne
l inférieur (Fli) en dehors. La paroi inférieure répond au fond' du
sillon
collatéral (ot) qui détermine quelquefois, dans
urbées en dedans et par les courtes fibres d'association du fond du
sillon
collatéral (ot). Sur les coupes sui- vantes,
ule fusiforme et de la troisième cir- convolution occipitale. - ip,
sillon
inter-pariétal. - K, scissure, calcarine. - G,
lon inter-pariétal. - K, scissure, calcarine. - G, lobule lingual ?
sillon
du lobule lingual. - 0,. 0" première et deuxièm
- 0,. 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. - ot,
sillon
collatéral. - P,, circonvolution pariétale supéri
s optiques de Gratiolet. - Tap, tapetum. t ? branche verticale du
sillon
parallèle. V, ruban de Vicq d'Azyr. l'oc, corne o
obule fusiforme et de la troisième cir- convolution occipitale. ip,
sillon
inter-pariétal. - K, scissure calcarine. - L7,
nter-pariétal. - K, scissure calcarine. - L7, lobule lingual. - lg,
sillon
du lobule lingual. - 0[, ou, première et deuxiè
. - 0[, ou, première et deuxième circonvolu- tions occipitales.-ot,
sillon
collatéral. - P,, circonvolu- tion pariétale su
ce grise sons-epcndymaire. Tap, tapetum. - t ? branche verticale du
sillon
parallèle. - V, ruban de Vicq d'Azyr. COUPES
très voisine du plan médian de l'hémisphère, on reconnaît tous les
sillons
et toutes les circonvolutions de la face interne.
du lobule lingual (Lg). 48'6 ANATOMIE' DES CENTRES NERVEUX. Les
sillons
s'ouspariétal. (sp), calloso-ma1'ginal( cm) e
convolution frontale , est incisée assez profondé- ment par le
sillon
olfactif (fez ). A la face antérieure, un pet
ent par le sillon olfactif (fez ). A la face antérieure, un petit
sillon
peu pro- fond, le sillon fronto-ma1'- ginal d
(fez ). A la face antérieure, un petit sillon peu pro- fond, le
sillon
fronto-ma1'- ginal de Wernicke (fm), sépare l
incisures qui l'entaillent appartiennent presque toutes au premier
sillon
frontal, c'est-à-dire à la face externe de l'hémi
central (Parc), bien délimité en arrière par la partie verticale du
sillon
calloso-marginal (cm'), l'est moins bien en avant
(Pa). La scissure de Rolando (R) incise le lobule paracentral et le
sillon
]J/'é-1'Olandique supérieur (prs) et délimite c
ur (prs) et délimite ce lobule en avant. Entre la partie verticale du
sillon
calloso-1lwl'ginal (cm') et la scissure pariéto
l. -cm',partie COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 480 verticale du
sillon
calloso-marginal. coa, commissure antérieure ? i,
verticale du sillon calloso-marginal. coa, commissure antérieure ? i,
sillon
)11*;k('Iil«. - F, champ de Forel. Fa, circonvo
rontale ascendante. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - fil ! ,
sillon
fronto-marginal de Wernicke. - (i), isthme du lob
convolution pariétale ascendante. - Parc, lobule paracentral. parc,
sillon
du lobule paracentral. Pchl, plexus choroïdes d
tubérance.-po, scissure parieto-occipitale.-PrC, précunéus. - pi-s,
sillon
prérolandique supérieur. - Piil, pulvinar. - Py,
tte. -Rl, ruban de Reil latéral. - sec, sinus du corps calleux. si,
sillon
opto-strié.- SI, septum lucidum. - so, sillon sus
s du corps calleux. si, sillon opto-strié.- SI, septum lucidum. - so,
sillon
sus-orbitaire. - sp, scissure sous-pariétale -
téral, on trouve la couche optique (Th) séparée du corps strié par le
sillon
, opto-strié (si). On reconnaît dans la couche o
rappeler en effet, que les plexus cho- roïdes s'insèrent le long du
sillon
choroïdien qui se porte obliquement en arrière
me la coupe passe en dehors de cette dernière (n° 5, fig. 268), les
sillons
de la face interne sont moins profonds, et plus f
267.) La couche optique (Th) est séparée du noyau caudé (NC) par un
sillon
assez profond, le sillon opto-strié (si), en ar
Th) est séparée du noyau caudé (NC) par un sillon assez profond, le
sillon
opto-strié (si), en arrière duquel on trouve une
trié (si), en arrière duquel on trouve une veine volumi- gulum. cm,
sillon
calloso-marginal. - cm', partie verticale du sill
umi- gulum. cm, sillon calloso-marginal. - cm', partie verticale du
sillon
calloso-marginal. - coa, commissure antérieure.
rus descendons d'Ecker. - F,, première circonvolution frontale. fa,
sillon
olfactif. Fa, circonvolution frontale ascen- da
nere : v. - Floc, flocculus. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. A,
sillon
de l'hippocampe. - (i), isthme du lobe limbique.
tubérance. po, scissure pariéto-occipitale. -arc, précunéus. - prs,
sillon
prérolandique supérieur. - Pul, pulvinar. - l1j,
- scc, sinus du corps calleux. - Sfle, substance grise centrale. si,
sillon
opto-strié. - sa, sillon sus-orbitaire. - Spa,
eux. - Sfle, substance grise centrale. si, sillon opto-strié. - sa,
sillon
sus-orbitaire. - Spa, substance perforée antérieu
igine apparente du nerf trijumeau (V). ; , . Écorce. - Le fond du
sillon
calloso-marginal n'est plus représenté que par
par sa face externe et superficielle. A son extrémité postérieure, le
sillon
de l'hippocampe (h) la sépare des circonvolutio
ses (Csc) et de la cir- convolution godronnée (Cg), située entre le
sillon
de l'hippocampe et le corps du trigone (Tg), au
t l'insertion des plexus choroïdes (Pchl) et en bas, par le fond du
sillon
de l'hippocampe (h). Cet espace est exlra-ventric
former la queue du noyau caudé, séparée de la couche optique par le
sillon
opta-strié (si). Au-dessous du noyau caudé (NC),
(Grandeur na- turelle.) a, z, ilots de l'écorce grise du fond du
sillon
calloso-marginal. BG, bandelette de y Giacomini
la - capsule interne. CL, corps de Luys. cn', branche verticale du
sillon
calloso-m;rginnl. - COUPES MACROSCOPIQUES DU CE
Fa. circonvo- lution frontale ascendante. Fm, forceps major. - fm,
sillon
fronto-marginal de Wernicke. Fth, faisceau thal
faisceau thalamiquo de Forci. Il, circonvolution de l'hippocampe. h,
sillon
de l'hippocampe. (i), isthme du lobe limbique.
doncule cérébelleux moyen, - po, scissure parieto-occipitale. p7-s,
sillon
pré-rolandique supérieur. P/</. pulvi- nar.
cntt'iculairc du thalamus. Sge, substance grise sous-ependymaire. si,
sillon
intermédiaire ou opto-strié. Spa, substance per
ontre il partir de la vallée de Sylvius (VS) les circonvolutions et
sillons
suivants : les parties li/'bitaÏ1'es des troisièm
remière circon- volutions frontales (oF ? oV ? oF,) séparées par le
sillon
en // (f3); puis à la face externe, la et la de
euxième circonvolutions frontales (F,, F.,) séparées par le premier
sillon
frontal (1'1); le sillonpl'é-l'olrllldique supéri
re de Itolando (R), la circonvolution pariétale ascendante (Pa), le
sillon
jJost-rulandiqw ! (por), la première circonvoluti
! to-occipitale (po) la première circonvolution occipitale (0,), le
sillon
inln.r-occipital (io) et la deuxième circonvoluti
e par un îlot de substance grise, séparé du pli iiibi (j lie par le
sillon
, collatéral (ot). Cette circonvolution correspond
CA). Cette dernière est intéressée au niveau de la partie profonde du
sillon
de l'hippocampe (h), lequel donne en avant quel
r une mince lame de substance blanche, Valve us (Alv) et du côté du
sillon
de l'hippocampe (h), par une lame blanche, feston
lle (Lms) de la circonvolution de l'hippocampe (H). Dans le fond du
sillon
de l'hippocampe (h) on aperçoit la partie supérie
tes circonvolutions avortées entourent l'extrémité pos- térieure du
sillon
de l'hippocampe (h), elles forment les circonvolu
t deuxième circonvolutions frontales. l'l, /3, premier et troisième
sillons
frontaux. Fa, cir- convolution frontale ascenda
isceau inférieur on minor. Fus, lobule fusiforme. H, hippocampe. A,
sillon
de l'hippocampe. K + po, branche com- mnne aux
ranche com- mnne aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. io,
sillon
intel'-occipila ;7,incisure tem- porale. ? <
rc des première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. ol,
sillon
collatéral. P, pied du pédoncule cérébral. -P,,
ral. Pchl, plexus choroïdes. -po, scissure pariéto-occipitale. por,
sillon
post-rolandique. pvs, sillon pre-rotan- dique s
. -po, scissure pariéto-occipitale. por, sillon post-rolandique. pvs,
sillon
pre-rotan- dique supérieur. PThm, pédoncule moy
se continue il la partie antérieure et il la partie postérieure du
sillon
de l'hippocampe (h) avec celle de la circonvoluti
rémité antérieure recourbée, de la queue du noyau caudé (NC"). micr
sillon
frontal. ? incisure du prcmicr sillon frontal. Fa
ue du noyau caudé (NC"). micr sillon frontal. ? incisure du prcmicr
sillon
frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante
te. - Fm, forceps major; F2)2',son faisceau inférieur ou minor. - fm,
sillon
fronto- marginal de Wernicke. Fus, lobule fusif
to- marginal de Wernicke. Fus, lobule fusiforme. Il, hippocampe. h,
sillon
de l'hippo- campe.1<, incisure temporale. -K
pre- mière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - ol,
sillon
collatéral. Pi, première circonvolution pariéta
horoïdes. - Pchvsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale. por,
sillon
post-rolandique. Pul. pulvinar. il, scissure de R
ème circonvolutions frontales. f2, f3, premier, deuxième et troisième
sillons
fron- taux. Fà, circonvolution frontale ascenda
e sillons fron- taux. Fà, circonvolution frontale ascendante. - fg,
sillon
fimbrio-godrohné. Fli, faisceau longitudinal in
sillon fimbrio-godrohné. Fli, faisceau longitudinal inférieur. fm,
sillon
fronto-marginal. Fu, faisceau uncinatus. Fus, lob
u uncinatus. Fus, lobule fusiforme. - Il, hippocampe. - insula. ip,
sillon
inter-parietal. le, lame cornée et COUPES MACRO
'une part au pilier postérieur du trigone (Tgp) et d'autre part, au
sillon
opto-si21.au niveau de la lame cornée (le).' Tout
rbitaire des deuxième et troisième circonvolutions occipitales. ot,
sillon
collatéral. - P,, P2, première et deuxième circ
oroïdes. - Pchsph, plexus cho- roïdes de la corne sphénoïdale. por,
sillon
post-rolandique. prs, sillon pre-rolandique sup
- roïdes de la corne sphénoïdale. por, sillon post-rolandique. prs,
sillon
pre-rolandique supérieur, - Pul, pulvinar. - 'I
Fi, deuxième circonvolution frontale. - f , f3, deuxième et troisième
sillons
frontaux, Fa, circonvolution frontale ascendant
lution frontale ascendante. Fit, faisceau longitudinal inférieur/ fm,
sillon
fronto- marginal de Wernicke. Fu, faisceau unci
se par le troisième segment du noyau lenticulaire (NL3), le fond du
sillon
marginal supérieur de l'inslila (ms) et par la co
a face operculaire de la troisième circon- volution frontale par le
sillon
marginal antérieur (ma). La masse blanche du lo
Vsph), où il se fusionne avec l'extru- Ici, insula antérieur. - ip,
sillon
inter-pariétal. - le, lame cornée et taenia scmi-
le, lame cornée et taenia scmi-circularis. Lg, lobule lingual. ma,
sillon
marginal antérieur. ms, sillon marginal supérieur
-circularis. Lg, lobule lingual. ma, sillon marginal antérieur. ms,
sillon
marginal supérieur. NA, noyau amygdalien. - NC,
rbitaire des deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - ot,
sillon
collatéral. - P ? deuxième circonvolution parié
. - PNL" pédoncule du troisième segment du noyau lenticulaire. pri,
sillon
pré-rolandique inférieur. - R, scissure de Roland
ales. - Th, couche optique (thalamus). - t'l, partie verti- cale du
sillon
parallèle. - T'oc, corne occipitale. - Vsph, corn
oupes précédentes, elle est interrompue il sa partie moyenne par le
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms), par l'écorce
ise qui l'entoure et les fibres courtes d'association propres il ce
sillon
. En avant, elle atteint presque l'extrémité ant
ifications, lorsqu'on la compare à celle de la coupe précédente. Le
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms) est plus ac
on- volution frontale. - fI, {2, ¡ ? premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. Fa, circonvo- lution frontale ascenda
orme. H, circonvolution de l'hippocampe. - la, insua antérieur. io,
sillon
inter-occipital. - ip, sillon inter-pariétal. -ma
ippocampe. - la, insua antérieur. io, sillon inter-occipital. - ip,
sillon
inter-pariétal. -ma, sillon marginal antérieur.
érieur. io, sillon inter-occipital. - ip, sillon inter-pariétal. -ma,
sillon
marginal antérieur. zip, sillon marginal postér
. - ip, sillon inter-pariétal. -ma, sillon marginal antérieur. zip,
sillon
marginal postérieur.-ms, sillon marginal supérieu
ma, sillon marginal antérieur. zip, sillon marginal postérieur.-ms,
sillon
marginal supérieur. NC', queue du noyau caudé.
orbitaire des deuxième et troisième circonvolutions frontales. ot,
sillon
collatéral. - Pz, deuxième circonvolution parié
e.-Pa, circonvolution pariétale ascendante.-l'c, pli courbe. - pli,
sillon
pré-rolandique inférieur. il, scissure de Rolande
et troisième circonvolutions temporales. - t\, partie verticale du
sillon
parallèle ? deuxième sillon temporal. Vsph, cor
s temporales. - t\, partie verticale du sillon parallèle ? deuxième
sillon
temporal. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule
1 ? F3, deuxième et troisième circonvolutions frontales. (2, deuxième
sillon
frontal. '3(C),cap delà troisième circonvolutio
isceau longitudinal infrieur.-1'evs, lobule fusiforme. -I, insula. /,
sillon
de l'insula. la, insula antérieur. - Il), insul
on de l'insula. la, insula antérieur. - Il), insula postérieur. ip,
sillon
inter-pariétal. - ma, sillon marginal antérieur
antérieur. - Il), insula postérieur. ip, sillon inter-pariétal. - ma,
sillon
marginal antérieur. mp, sillon marginal postéri
ur. ip, sillon inter-pariétal. - ma, sillon marginal antérieur. mp,
sillon
marginal postérieur. ms, sillon marginal supérieu
ma, sillon marginal antérieur. mp, sillon marginal postérieur. ms,
sillon
marginal supérieur. 0,,03, deuxième et troisièm
rus supra-margi- nalis). - Opli, opercule rolandique. - 0" deuxième
sillon
occipital. oa, sillon occipital antérieur de Wc
is). - Opli, opercule rolandique. - 0" deuxième sillon occipital. oa,
sillon
occipital antérieur de Wcrnicke. ot, sillon col
e sillon occipital. oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. ot,
sillon
collatéral. - P" deuxième circonvolution pariétal
est extrêmement mince ; elle est légèrement refoulée en haut par le
sillon
collatéral (ot), qui produit la saillie connue
e der- nier vestige des ganglions de base. Cependant, au-dessous du
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms), dans l'esp
ution temporale profonde. Il, l" 1 ? premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. - t ? partie verticale du sillon paral
r, deuxième et troisième sillons temporaux. - t ? partie verticale du
sillon
parallèle. Si4 Il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
deuxième circonvolution frontale (1%) et les incisures du deuxième
sillon
frontal (1'2)' la circonvolution frontale ascenda
puis la circonvolution pw'iélalelinlél'iew'c(P2' Gsm), (P.,) et le
sillon
(ip). La partie antérieure de la circonvolution
nférieure (P 2) est subdivisée en deux segments par une incisure du
sillon
intel'-paJ>ÙJtal (ip) et par une incisure de l
ntel'-paJ>ÙJtal (ip) et par une incisure de la partie verticale du
sillon
parallèle (t',). Cette partie postérieure de la
deuxième circonvolution occipitale (0.,) subdivisée par le deuxième
sillon
occipital (o.,). L'angle postero-infericur de la
lution occipitale (0 : )), séparée du lobule fusiforme (Fus) par le
sillon
colla 1(;i-al (ot). Le lobule fusiforme (Fus) est
et subdivisé par plusieurs incisures : en arrière, nous trouvons le
sillon
collatéral (ot), en avant, deux incisures apparte
on collatéral (ot), en avant, deux incisures appartenant au troisième
sillon
, temporal (t3). En avant du lobule fusiforme, l
tions temporales (T3' T2, T,), séparées par les deuxième et premier
sillons
temporaux (t2, t,). La face supérieure de la prem
ssure de Sylvius (S); son écorce se continue d'une part, le long du
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp) avec l'éco
et le bord antérieur à la troisième circonvolution frontale (F.,). Le
sillon
marginal antérieur (ma) sépare l'insula de la p
ion orbitaire de la troisième cir- convolution frontale (0F,¡) : ce
sillon
, intéressé dans toute sa longueur, reçoit la br
reçoit la branche antérieure de la scissure de Sylvius (S [a]). Le
sillon
qui délimite la base de l'insula, sillon margin
ure de Sylvius (S [a]). Le sillon qui délimite la base de l'insula,
sillon
marginal supérieur (ms), est le plus long, il est
ures de l'insula se continuent avec l'opercule rolandique (OpR). Le
sillon
marginal, su- périeur (ms) reçoit en avant la b
ticale de la scissure de Sylvius (S [v],) et à sa partie moyenne le
sillon
insulaire (i), qui divise l'insula en insula anté
é- rieur (la) et en insula postérieur (Ip). Laparlie postérieure du
sillon
marginal supérieur (ms) se continue il angle ai
du sillon marginal supérieur (ms) se continue il angle aigu avec le
sillon
marginal postérieur (mp), qui sépare l'insula p
, qui sépare l'insula postérieur du lobe temporal. Dans le fond des
sillons
margi- 7//lII.I : supérieur et postérieur, l'éc
1,'3(C), cap de la troisième circonvolution frontale. - f2, deuxième
sillon
frontal. - ip, sillon inter-pariétal. - mp, sil
sième circonvolution frontale. - f2, deuxième sillon frontal. - ip,
sillon
inter-pariétal. - mp, sillon marginal postérieur.
. - f2, deuxième sillon frontal. - ip, sillon inter-pariétal. - mp,
sillon
marginal postérieur. - Os, 03, deuxième et troisi
e. -OpT,, opercule de la première circon- volution temporale. - oa,
sillon
occipital antérieur de Wernicke. - P : , circonvo
uxième circonvolution frontale est limitée en avant par le deuxième
sillon
frontal (f.,), elle est subdivisée par un certain
), elle est subdivisée par un certain nombre d'incisures de ce même
sillon
, et se continue en arrière avec la circonvolution
e avec la circonvolution frontale ascendante (Fa) dont la sépare le
sillon
prérolandique inférieur (pri). La circonvolution
tale ascendante (Pa) est étroite, et circonscrite par deux profonds
sillons
: la scissure de Rolando (R) en avant, le sillo
par deux profonds sillons : la scissure de Rolando (R) en avant, le
sillon
interpariétal (ip) en arrière. La deuxième circon
ant avec celle de la troisième circonvo- lution temporale (T.,); le
sillon
occipital antérieur (oa) la limite en avant. Au n
n'est les courtes fibres d'association qui tapissent les fonds des
sillons
. Le reste de la masse blanche est formé par l'int
on avec les fibres commissurales. Dans le lobe frontal, le deuxième
sillon
frontal (f.,) subdivise la masse blanche de ce
e la masse blanche de ce lobe, et dans le lobe temporo-pariétal, le
sillon
parallèle (t,), interrompu en deux endroits, sé
- Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - if, scissure de Rola
on temporale profonde. -L" h, t3, pre- mier, deuxième et. troisième
sillons
temporaux. 1'l, branche verticale du sillon paral
, deuxième et. troisième sillons temporaux. 1'l, branche verticale du
sillon
parallèle. tp, sillon temporal profond. - CHA
sillons temporaux. 1'l, branche verticale du sillon parallèle. tp,
sillon
temporal profond. - CHAPITRE III TEXTURE DU C
que de la figure 237. Ce, fibres calleuses. - Cing, cingulum. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. -
onvolutions frontales. - fi, /a, f3, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. - f4, quatrième sillon frontal ou sillo
f3, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. - f4, quatrième
sillon
frontal ou sillon olfactif. - 1'" incisure du d
ième et troisième sillons frontaux. - f4, quatrième sillon frontal ou
sillon
olfactif. - 1'" incisure du deuxième sillon fro
rième sillon frontal ou sillon olfactif. - 1'" incisure du deuxième
sillon
frontal. - L" première circonvolution limbique. -
volution frontale (oF,). Ce faisceau est toujours séparé du fond du
sillon
olfactif (1'4) par trois couches de fibres qui
calleuses : 1° une couche de fibres claires qui doublent le fond du
sillon
, olfactif et représentent les fibres d'associat
onvolution orbitaire (oF,), mais les fibres qui doublent le fond du
sillon
olfactif (f4) sont sectionnées parallèlement à le
t on les voit s'irradier soit dans l'écorce qui tapisse le fond des
sillons
, soit dans celle qui recouvre la crête des circ
elle qui recouvre la crête des circonvolutions. Au niveau du fond des
sillons
, elles s'entre-croisent avec les fibres d'assoc
de la figure 239. Ce, corps calleux. - Cing, Cing', cingulum. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. F,
irconvolutions frontales. A, fi, ft, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. /», quatrième sillon frontal ou sillon
i, ft, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. /», quatrième
sillon
frontal ou sillon olfactif. - r2, incisure du d
uxième et troisième sillons frontaux. /», quatrième sillon frontal ou
sillon
olfactif. - r2, incisure du deuxième sillon fro
rième sillon frontal ou sillon olfactif. - r2, incisure du deuxième
sillon
frontal. - Li, première circonvolution limbique.
Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Cing, cingulum. cm,
sillon
calloso-marginal. - CNC, colliculus du noyau caud
mière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - fi, premier
sillon
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;i29 en poi
irra- dier des libres qui appartiennent au système d'association du
sillon
marginal supé- rieur (ms) de l'insula; au nivea
e. 2zF,, face interne de la première circonvolution frontale. - ms,
sillon
marginal supérieur. - NC, noyau caudé. NL3, tro
convolution frontale. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - S, scissure de Sylvius
xième circonvolutions temporales. - li, 1 ? lii,c- mier et deuxième
sillons
temporaux. - Pl, ventricule latéral. 530 ANATOM
double au niveau de sa partie supérieure et se perd au voisinage du
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms). Au niveau
a capsule interne. Cing, cingulum. CM, commissure de Meynert. - cm,
sillon
calloso-marginal. coa, commissure antérieure. C
7 ? 1 ? première et deuxième cir- convolutions frontales. ? premier
sillon
frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante.
rouve enfin les fibres d'association courtes qui longent le fond du
sillon
marginal supérieur de l'insula (ms) et qui s'ép
u des faisceaux de projection non encore différenciés. Au niveau du
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp), entre ce si
Au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula (mp), entre ce
sillon
et l'écorce de la circon- volution du crochet (
aire. mF,, face interne de la première circonvolution frontale. mp,
sillon
marginal postérieur. - n ? s, sillon marginal s
e circonvolution frontale. mp, sillon marginal postérieur. - n ? s,
sillon
marginal supérieur. -NC, noyau c ! ).udc. ;V, ner
- OF, faisceau occipiLn-17·nt : rl. 0/j/f, opercule rolandique. ot,
sillon
collatéral. y)CR. pied de la couronne rayonnante.
ue. ot, sillon collatéral. y)CR. pied de la couronne rayonnante. pri,
sillon
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolan
volutions temporales. - il, 1.2, la, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. 7'c, tuber cine- reum. - tec, ttenia
grise du tuber cinereum (Te), est divisée en deux par- ties par le
sillon
de Monro (sM). Dans la partie inférieure, ou régi
la section transversale du corps du tri- yone (Tg). Au-dessus du
sillon
de Monro (sM), la substance grise centrale (Sgc)
capsule interne. - Cino, cingulum. CVT, commissure de Meynert. -cm,
sillon
calloso-marginal. coa, commissure antérieure. C
onne rayonnante. Fi. première circonvolution frontale. ? i, premier
sillon
frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante
ire. M : Fi, face interne de la première circonvolution frontale. mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. 1ns, sillon ma
volution frontale. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. 1ns,
sillon
marginal supérieur de l'insula.- NA, noyau amyg
culaire. OF, faisceau occipito-frontal. OpR, opercule rolandique. ot,
sillon
collatéral. Pa, circonvolution pariétale ascend
antérieur du thala- mus. pCR, pied de la'couronne rayonnante. prs,
sillon
prérolandique supérieur. PiTh, pédoncule inféri
ubstance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. - sM,
sillon
de Monro. Slh), branche postérieure de la sciss
onvolutions temporales. t,, l"2, ta, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. Te, tuber cinereum. tec, Uenia tecta.
e-ci affecte une surface de section losangique et occupe le fond du
sillon
qui sépare la circonvolution du crochet (U) du
neux, irrégulièrement quadrilatère. Sa face supérieure, étendue du
sillon
opto- slrié au taenia thalami (tth), est divisé
h), est divisée en deux parties par une encoche qui cor- respond au
sillon
choroïdien. La partie externe de cette face appar
terne de la face supérieure de la couche optique, comprise entre le
sillon
choroïdien et le tænia thalami, appar- tient il
p, segment postérieur de la capsule interne. - CL, corps de Luys. cm,
sillon
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5 If 1 prat
uche optique. A la limite inférieure du noyau interne, au-dessus du
sillon
de Monro, on trouve un autre faisceau de libres i
ce, perforée postérieure. Sa moitié supérieure, com- prise entre le
sillon
de Monro et la substance perforée postérieure, fa
rtient à la base du crâne, où elle occupe l'espace compris entre le
sillon
du nerf oculo-moleur dans lequel apparaît le lo
1, pre- mière et troisième circonvolutions frontales. - fi, premier
sillon
frontal.-F, champ de Forel. Fa, circonvolution
aire de Forel. ? fibres tangentielles. - Fus, lobule fusiforme. -h,
sillon
de l'hippocampe. - /, insula. L,, première circ
lame médullaire interne du noyau lenticulaire. Ln, locus nier.- mp,
sillon
marginal postérieur. - 112S, sillon marginal 1
enticulaire. Ln, locus nier.- mp, sillon marginal postérieur. - 112S,
sillon
marginal 1 supérieur. NA, noyau amygdalien. NC,
ntal. - Opta, opercule de la troisième circonvolution frontale. ot,
sillon
collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral. - Pa
. P.VL3, pédoncule du troisième segment du noyau lenticulaire. p) ?
sillon
prérolandique inférieur. sec, sinus du corps call
et troisième circonvolutions temporales. - Il, premier et deuxième
sillons
temporaux. Tap, tapetum tec, tæuia tecta. - Th, c
oyau caudé (NC) ne présentent rien de particulier il noter. Dans le
sillon
opto-strié on trouve la coupe transversale de trè
: H ? cingu)um. Cip, segment postérieur delà, capsule interne. cm,
sillon
calloso-marginal. CR, couronne rayonnante.C/i<
rforé postérieur. F,, première circonvolution frontale. l'" premier
sillon
frontal. Fa, cir- convolution frontale ascendan
segments interne et moyen du noyau lenticulaire ? l, hippocampe. h,
sillon
de Diippocanrnp. /, insula. ip, sillon inter-pa
iculaire ? l, hippocampe. h, sillon de Diippocanrnp. /, insula. ip,
sillon
inter-pariétal. LI, première circonvolution limbi
rouge. OF, faisceau occipitn-fmntal. OpR, opercule rolandique. ot,
sillon
collatéral. P, étage inférieur ou pied du pédoncu
et troisième circonvolutions temporales. t" l" premier et deuxième
sillons
temporaux. Tap, tapetum. tec, ttenia tecta. 1 ?
i s'insèrent d'autre part sur la couche optique (Th)au voisinage du
sillon
choroïdien. Sur cette coupe, la toile choroïdienn
surface extra-venlriculaire de la couche optique, comprise entre le
sillon
choroïdien et le lænia thalami (tth). Dans la c
étu- externe. Cg, circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. - cm,
sillon
calloso-marginal. Cip, segment postérieur de la
frontal. - Coppa. partie pariétale de l'opercule rolandique. - ol,
sillon
collatéral. - 01 + t.1, branche commune au sill
rolandique. - ol, sillon collatéral. - 01 + t.1, branche commune au
sillon
collatéral et au troisième sillon temporal. - P,
l. - 01 + t.1, branche commune au sillon collatéral et au troisième
sillon
temporal. - P, pied du pédon- . cule cérébral.
cule. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale. - ]JI'S,
sillon
prérolandique supérieur. Prl, fais- ceau pyrami
et troisième circonvolutions temporales. Il, l,. premier et deuxième
sillons
tem- poraux. Tup, tapetum. - 7'c/t, toile cl1tJ
Juin. - Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. CM,
sillon
c;tllÔso-iiiirgin;tl. - col), commissure postér
Gsm, gyrus supra- marginalis. H, circonvolution de l'hippocampe. h,
sillon
de l'hippocampe. Ip, insula postérieur. ip, sil
l'hippocampe. h, sillon de l'hippocampe. Ip, insula postérieur. ip,
sillon
inter-pariétal. L,, première circonvolution limbi
amen). OF, faisceau occipito-frontal. OpP-2, opercule pariétal. - ot,
sillon
collatéral. P, pied du pédoncule cérébral. - Pi
otu- lpérance. Pop, fibres postérieures de la protubérance. - pour,
sillon
post-rolandique. Py, faisceau pyramidal. - /in
roisième cir- convolutions temporales. - 1,, /, premier et deuxième
sillons
temporaux. 1'(tl), tapetum. tee, ténia lgl), I)
- Fus, lobule fusiforme. - H, cir- convolution de l'hippocampe. Il,
sillon
de l'hippocampe. ip, il)', sillon inter-pariétal
convolution de l'hippocampe. Il, sillon de l'hippocampe. ip, il)',
sillon
inter-pariétal et ses incisures. L,, première c
ique. Lg, lobule lingual. L111S, lame médullaire superficielle. ot,
sillon
collatéral. P,, P ? première et deuxième circonvo
troisième circon- volutions temporales. - l" l" premier et deuxième
sillons
temporaux. t ? incisure du deuxième sillon temp
l" premier et deuxième sillons temporaux. t ? incisure du deuxième
sillon
temporal. - Tap, tapetum. - tec, Uenia tecta. VI,
faisceau transverse du cunéus de- Sachs. Fus, lobule fusiforme. io,
sillon
inter-occipital. - ip, sillon inter-pa- riétal.
s de- Sachs. Fus, lobule fusiforme. io, sillon inter-occipital. - ip,
sillon
inter-pa- riétal. K, scissure calcarine. Lg, lo
, deuxième et troisième circonvo- lutions occipitales. ôs, deuxième
sillon
occipital. oa', incisure du sillon occipital anté
lutions occipitales. ôs, deuxième sillon occipital. oa', incisure du
sillon
occipital antérieur de Werniclce. - ot, sillon
al. oa', incisure du sillon occipital antérieur de Werniclce. - ot,
sillon
collatéral. P,, première circonvolution pariétale
nféro-externe de la corne sphénoïdale et se bifurquent au niveau du
sillon
marginal postérieur de l'insula, en deux faisceau
lobe occipital et en particulier au pli courbe (Pc). Le fond des
sillons
est entouré par les fibres courtes d'association,
ransverse du lobule lingual de Vialet. - Fus, lobule fusiforme. io,
sillon
inter-occipital. K, scissure calcarine. Lg, lobul
illon inter-occipital. K, scissure calcarine. Lg, lobule lingual. lg,
sillon
du lobule lingual. 0,, 02, 03, première, deuxiè
, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - o2, deuxième
sillon
occipital. et, sillon collatéral. ol', incisure d
e circonvolutions occipitales. - o2, deuxième sillon occipital. et,
sillon
collatéral. ol', incisure du sillon collatéral. p
deuxième sillon occipital. et, sillon collatéral. ol', incisure du
sillon
collatéral. po, scissure parié- to-occipitale.
omme les fibres propres sont perpen- diculaires il la direction des
sillons
, les fibres du stratum calcarinum se trouvent d
nne naissance à de nombreuses fibres, qui s'irradient en arrière du
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp) dans la cr
bres de projection. Il, fibres tangentielles du lobe limbique. - i,
sillon
de l'insula. la, insnla antérieur. ig, induscum
nia semi-circularis. Lg, lobule linguai. Mo, trou de Monro. n : jo,
sillon
marginal postérieur. -.Va, noyau antérieur de la
um xonale ? 7 ? première et deuxième convolutions temporales. - t,,
sillon
parallèle. - Tap, tapetum. - Tch, toile choroïdie
aire. - lmi, lame médul- laire interne du noyau lenticulaire. - mp,
sillon
marginal postérieur. - VC, noyau caudé. - NC',
capsule du noyau l'auge. - 0" troisième circonvolution occipitalc.-ot,
sillon
collatéral. - Plchsph, plexus choroïdes de la c
ier antérieur du trigone. - Top, pilier postérieur du trigone. - tu
sillon
parallèle. - V,, troisième ventricule. - VA, fais
t troisième circonvolutions frontales.- f,, f , premier et deuxième
sillons
frontaux. - Fli, fais- ceau longitudinal inféri
me sillons frontaux. - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. - i,
sillon
insulaire. la, Ip, insula antérieur et postérieur
ius. Sge, substance grise sous-épendymaire. SI, scptum lucidum. so,
sillon
sus-orhitaire. - T,, première circonvolution temp
face orbitaire des trois circonvolutions frontales (F,, F2' F3) le
sillon
tri-radié ou troisième sillon frontal (fg) et l'e
onvolutions frontales (F,, F2' F3) le sillon tri-radié ou troisième
sillon
frontal (fg) et l'extrémité posté- rieure du si
ié ou troisième sillon frontal (fg) et l'extrémité posté- rieure du
sillon
, olfactif (l ? ). La masse blanche du lobe fron
onné parallèlement à la direction de ses fibres et qui contourne le
sillon
marginal antérieur de l'insula : c'est le faiscea
r cette coupe que dans sa partie antérieure, celle qui contourne le
sillon
marginal antérieur de l'insula. Sur la coupe su
ieur et morcelle la partie horizontale de l'avant-mur. En dehors du
sillon
olfactif (1'1.) il existe un faisceau antéro-post
t en avant, formant un faisceau unique, qui se dédouble en avant du
sillon
olfactif au niveau des der- niers vestiges de l
de la capsule externe (Ce) sont fortement colorées au voisinage des
sillons
, marginaux antérieur et postérieur de l'insula. L
bitaire de la première circonvolution, frontale (mF,), en dehors du
sillon
olfactif (f4). Le plus grand nombre des fibres du
e, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f3, troisième
sillon
frontal. - f, quatrième sillon frontal ou sillo
onvolutions frontales. - f3, troisième sillon frontal. - f, quatrième
sillon
frontal ou sillon olfactif. Flp, faisceau longi
s. - f3, troisième sillon frontal. - f, quatrième sillon frontal ou
sillon
olfactif. Flp, faisceau longitudinal postérieur.
'association externes de Meynert (fAc). Les fibres en U du fond des
sillons
sont ici encore nettement accentuées (Voy. chap
nt ici encore nettement accentuées (Voy. chap. IV). En arrière du
sillon
olfactif (f.t) l'écorce du gyrus reclus (niF, [Gr
ommissure ;intérieure. - Epa, espace perforé antérieur. - ? troisième
sillon
frontal ou incisure en II. f4, sillon olfactif.
foré antérieur. - ? troisième sillon frontal ou incisure en II. f4,
sillon
olfactif. - fAc, libres d'association externes de
cornée et fibres du taenia, scmi-circularis. - Ln, locus niger. ma,
sillon
marginal antérieur. - mF, (Gr), partie orbitaire
interne de la première circonvolution frontale (gyrus reclus). mp,
sillon
marginal posté- rieur. Nui, noyau du moteur ocu
et il est limité en dehors par les fibres d'association propres du
sillon
, marginal postérieur de l'insula (mp). Entre le
en arrière; il est soulevé par les fibres d'association du fond du
sillon
collatéral et se trouve sectionné obliquement. En
convolution de l'hippocampe ou deuxième circonvolution limbique. h,
sillon
de l'hippocampe. - Gnts, lame médullaire superfic
- Ti, T2, première et deuxième circonvo- lutions temporales. - l,,
sillon
parallèle. - Tap, tapetum. - U, circonvolution du
nt la couche réticulée d'Arnold (Lms). Arrivée au niveau du fond du
sillon
de l'hippo- campe (h), elles se dédoublent en d
elle est intéressée en effet dans le fond de l'eyr £ antérieure du
sillon
de l'hippocampe (h), au-dessous de la bandelette
dans presque toute son étendue; elle sectionne en outre le fond des
sillons
et la partie pro- fonde de la plupart des circo
ce externe de l'hémisphère. D'arrière en avant, nous rencontrons le
sillon
illta- lranir-lal (ip), la deuxième ,.il'COIIVO
7 578 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ascendante (Fa), le fond du
sillon
]Jl'é-l'olandique inférieur (pri), les troisième
nvo- lution limbique (L,) est limitée en avant et en arrière par le
sillon
calloso- marginal (cm,cm'). De l'écorce céréb
rent toutes dans la masse blanche; celles qui proviennent du fond des
sillons
et des parties avoisinantes forment les fibres
es fibres d'association courtes; elles doublent le fond de tous les
sillons
d'une couche de fibres parallèles, d'autant plus
la couche des courtes fibres d'association qui double les fonds des
sillons
ou fibres en U est moins épaisse, il en est de mê
la masse des fibres blanches, dès qu'elles ont dépassé le fond des
sillons
. La partie externe et postérieure de la masse b
e de la figure 219. '' Cc, corps calleux. - Cing, cingulum. - cm,
sillon
calloso-marginal. cm', partie verti- cale du si
cingulum. - cm, sillon calloso-marginal. cm', partie verti- cale du
sillon
calloso-marôinal. - F" F3, deuxième et troisième
et troisième circonvolutions frontales. /i, fi- premier et deuxième
sillons
frontaux. - Fa, circonvolution frontale ascendant
e. fpL,, libres propres de la première circonvolutionjlimbique. ip,
sillon
inter-pariétal. i ! , pre- mière circonvolution
cendante. pCR, pied de la couronne rayonnante. PrC, précunéus. pri,
sillon
pré-rolandique inférieur. R, scissure de Rolando.
face, externe ne présentent rien de particulier à noter. Le fond du
sillon
inter-pariétal (ip) a en partie disparu. La circo
volution frontale (F3) sont au contraire nettement délimitées par le
sillon
pré- rolandique inférieur (pri). La première li
n aspect un peu particulier; elle est inégalement subdivisée par un
sillon
qui correspond au sinus ou. ventricule du corps c
ssement de .12 diamètres. . Ce,- corps calleux. Cing, cingulum. cm,
sillon
calloso-marginal. T Fa, Fa, deuxième et troisiè
ns frontales.Fn, circonvolution frontale ascendante.- f-2, deuxième
sillon
frontal. - ft, fibres tangentielles du tænia tect
ième sillon frontal. - ft, fibres tangentielles du tænia tecta. ip,
sillon
inter-pariétal. L,, pre- mière circonvolution l
pCR, pied de la cou- . - ronne rayonnante. PrC, précunéus. - ju''t,
sillon
pré-rolandique inférieur. - prs, sillon pré-rol
nte. PrC, précunéus. - ju''t, sillon pré-rolandique inférieur. - prs,
sillon
pré-rolandique supérieur. - R, scissure de Rola
erne, on n'aperçoit sur cette coupe que celle qui double le fond du
sillon
pré-rolandique inférieur (pri) et la branche po
20. Arc, faisceau arqué. Cc, corps calleux. - Cing, cingulum en : ,
sillon
calloso-margi- nal. - F3, troisième circonvolut
e. - pCR, pied de la couronne rayonnante. -- PrC, précunéus. - pri,
sillon
pré-rolandique inférieur. - RCc, radiations du
) L'écorce est représentée -IL la face externe par un petit fond de
sillon
qui appartient à l'extrémité postérieure du sil
un petit fond de sillon qui appartient à l'extrémité postérieure du
sillon
marginal postérieur de l'insula [ni]}) et il la
sse en effet par l'opercule ; les coupes suivantes intéresseront le
sillon
marginal supérieur de l'insula, puis les circonvo
tion limbique. - le, lame cornée et t : enia semi-circularis. - mp,
sillon
marginal postérieur. - NC, tête du noyau caude. -
passant par la ligne 5 de la figure 299. Cette coupe passe par les
sillons
marginaux supérieur (ms) et postérieur (mp) de
res (la), représentées seulement par l'écorce qui double le fond du
sillon
marginal supérieur (l11s). Le corps calleux (
optique. Line, lame médullaire externe de la couche optique. - mp,
sillon
marginal postérieur. - ms, sillon marginal supé-
externe de la couche optique. - mp, sillon marginal postérieur. - ms,
sillon
marginal supé- rieur. Sa, noyau antérieur du th
triculairo du thalamus. - Sge, substance grise sous-pendy-maire. -si,
sillon
opto-strié. - SI, septum lucidum. strz, stratum
des (Plch), qui s'étendent de l'extrémité postérieure du trigone au
sillon
opto-slrié (si). Les plexus choroïdes se trouvent
du noyau caudé (ni) et les fibres pro- pres qui doublent le fond du
sillon
, marginal postérieur (mp). Il reçoit les fibres
séparé de l'opercule de la troisième circonvolution frontale par le
sillon
marginal antérieur de l'iuszela; en arrière, le
ntale par le sillon marginal antérieur de l'iuszela; en arrière, le
sillon
marginal postérieur (mp) le sépare de la première
; il est séparé de la circonvolution postérieure de l'insula par le
sillon
insulaire (i). La petitesse des deux circonvoluti
circonvolutions, de même que les fibres en U abon- dent au fond des
sillons
. Cette couche de fibres est limitée en dedans par
rrière et se perd dans la couche des fibres qui doublent le fond du
sillon
marginal postérieur (mp) d'une part, et d'autre
e de la capsule interne. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. i,
sillon
de l'insula. la, insula antérieur. Ip, insula p
che optique. Lme, lame médullaire externe de la couche optique. mp,
sillon
marginal postérieur. Na, noyau antérieur du thala
do la couche optique. RTh, radiations optiques de Gratiolet. - si,
sillon
opto-strié. strz, stratum zonale. - T,, premièr
strz, stratum zonale. - T,, première circonvolution temporale. - t,,
sillon
parallèle ou premier sillon temporal. Tg V, car
remière circonvolution temporale. - t,, sillon parallèle ou premier
sillon
temporal. Tg V, carrefour ventriculaire. Tg, trig
térieur (PaTh) et postérieur (PpTh) de la couche optique. Dans le
sillon
opto-strié (si), qui sépare la couche optique de
laire (pulamen) (NLJ s'est étendu en arrière; il atteint le fond du
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp), et il est
noyau lenticulaire. Lmi, lame médul- laire interne du thalamus. ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. mp, sillon margin
e interne du thalamus. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. Na, noyau anté
nte. Pul, p'ulvinar. - RTh, radiations optiques de Gratio- let. si.
sillon
opto-strié. SI, septum lucidum. strz, stratum zon
couche optique. ï't, première circonvolution temporale. ti, premier
sillon
temporal (sillon paral- lèle). Tap, tapetum. -T
ï't, première circonvolution temporale. ti, premier sillon temporal (
sillon
paral- lèle). Tap, tapetum. -Tga, pilier antéri
sceau longitudinal inférieur (Fli) et les fibres propres du fond du
sillon
jiarallèle (t,). 1° Le tapetum. (Tap) se présen
élucidée (voy. cliap. V et t. II). 1° Les fibres propres du fond du
sillon
parallèle appartiennent au système des courtes
de la capsule interne. Fa, troisième circonvolu- tion frontale. fq,
sillon
mnbrio-godronne. Fli, faisceau longitudinal infér
, faisceau longitudinal inférieur. Gh, gan- glion de l'habénula. h,
sillon
de l'hippocampe. la, insula antérieur. le, lame c
ulaire. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenti- culaire. ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. mp, sillon margin
oyau lenti- culaire. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. NC, tète du no
tiolet. Sexv, surface extra-vontriculàire de la couche optique. si,
sillon
opto-strié. - strz, stratum-zonale. - T,, premièr
. - T,, première circonvolu- tion temporale. SI, septum lucidum. t"
sillon
parallèle ou premier sillon temporal. Tap, tape
tion temporale. SI, septum lucidum. t" sillon parallèle ou premier
sillon
temporal. Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur d
ou (Ci[g]), dans la substance grise sous- épendymaire qui double le
sillon
intermédiaire ou (si), on trouve les libres du
geur de la circonvolution godronnée dont il est séparé par un mince
sillon
, le sillon fimbrio-godronné (fg). Le bord externe
circonvolution godronnée dont il est séparé par un mince sillon, le
sillon
fimbrio-godronné (fg). Le bord externe du pilier
rrée de leurs fascicules; .1.0 enfin, les fibres propres du fond du
sillon
parallèle (t,), formées dans les couches profon
superficielles par des fibres parallèles qui embrassent le fond du
sillon
. ' 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche o
1'('COl'CC iiisîtlaiie, et qui se portent en dedans vers le fond du
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp). La capsule
commissure postérieure. ,Fi, troisième circonvolution frontale. fpl,
sillon
fimbrio-godronné. FI, faisceau lenticulaire do
lamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula. - H, hippocampc. - h,
sillon
de l'hippocampe. - i, sillon insulaire. la, ins
n de l'habénula. - H, hippocampc. - h, sillon de l'hippocampe. - i,
sillon
insulaire. la, insula antérieur. Ip, insula posté
e subdivisant lé segment intcl' ! lc (NLt) du noyau lenticulaire. ma.
sillon
marginal antérieur. mp, sillon marginal postéri
lc (NLt) du noyau lenticulaire. ma. sillon marginal antérieur. mp,
sillon
marginal postérieur. -NC, tète du noyau caudé. NC
xtra-vcntriculaire du thalamus. S{le, substance grise centrale. si,
sillon
opto-strié. Si, septum lucidum. strz, stratum zon
thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula. H, hippocampe. i,
sillon
insulaire. la, partie antérieure de l'insula. I
u noyau lenticulaire (NL,). Lms, lame médullaire superficielle. ma,
sillon
marginal anté- rieur de l'insula. mp, sillon ma
ire superficielle. ma, sillon marginal anté- rieur de l'insula. mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. NC, tête du noya
e cinquièmes antérieurs . - Lms, lame médullaire superficielle. ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. nzp, sillon mar
aire superficielle. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. nzp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. -NC, tète du noy
rconvolution frontale. Fcon, faisceau de la commissure postérieure.
sillon
fimbrio-goclronné. FI, faisceau lenticulaire. d
FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Türck : - h,
sillon
de l'hippocampe. la, insula antérieur. Ip, insula
ne du noyau lenticulaire. Lms, lame médullaire superficielle. - ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marg
e superficielle. - ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. NC, tète du no
taenia semi-circularis. - Lms, lame médullaire superficielle. - ma,
sillon
marginal antérieur. mp, sillon marginal postéri
lame médullaire superficielle. - ma, sillon marginal antérieur. mp,
sillon
marginal postérieur. - NC, tète du noyau caudé. N
lution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. ' fg,
sillon
fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé
Meynert. - GQp, gan- glion du tubercule quadrijumeau postérieur. h,
sillon
de l'hippocampe. - i, sillon insulaire. - la, i
du tubercule quadrijumeau postérieur. h, sillon de l'hippocampe. - i,
sillon
insulaire. - la, insula antérieur. Jp,insula po
uperficielle. Ln, locus niger. il, lame terminale embryonnaire. ma,
sillon
marginal antérieur. - mp, sillon - marginal pos
il, lame terminale embryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp,
sillon
- marginal postérieur. NA, noyau amygdalien. NC
( ? au 1)osléi-ieiii (GQp). Cette coupe passe, en effet, au niveau du
sillon
transversal qui sépare le tubercule quadrijumea
espace perforé antérieur. F3, troisième circonvolution frontale. f4,
sillon
olfactif. Fcop, faisceau de la commissure posté
le quadrijumeau postérieur. H, circonvolution de l'hippocampe. . h,
sillon
de l'hippocampe. - la, insula antérieur. Ip, insu
perficielle. -Ln, locus niger. - lt, lame terminale embryonnaire. ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. NA, noyau amygd
NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. NR, noyau rouge. ot,
sillon
collatéral. P, étage inférieur ou pied du pédoncu
t;a/0)), p. 703). La corne d'Ammon (CA) décrit un crochet autour du
sillon
de l'hippocampe (h), dans la concavité duquel s
te circonvolution avortée, la circonvolution godronnée (Cg), que le
sillon
fimbrio-godronné sépare sur la coupe n° 13 (fig
rconvolution godronnée (Cg), jusqu'ici située dans la profondeur du
sillon
de l'hippocampe (h), s'est élargie, étalée, et re
e rayonnante (IiCR), et séparée -de l'écorce qui tapisse le fond du
sillon
olfactif (fi), par des fibres propres appar- te
vec la masse blanche du lobe orbitaire, au sein duquel se trouve le
sillon
olfactif ({.;). En arrière, il est en rapport a
interne du noyau lenticulaire. Il, lame terminale embryonnaire. mp,
sillon
marginal postérieur. NC, tète du noyau caudé. N
. Fllz, faisceau thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habénula. -i,
sillon
de l'insula. la, insula antérieur. Ip, insula p
naire. ho, face interne de la première circonvolution frontale. mp,
sillon
marginal postérieur. NC, toitc du noyau caudé.
a tète du noyau caudé (NC). Elles ne sont plus seules il occuper le
sillon
qui sépare la lame terminale embryonnaire (lt)
ête du noyau caudé (NC), qui atteint la surface du cerveau, dans le
sillon
qui sépare la première circonvolution limbique de
cornée et fibres du taenia semi-circularis. Ln, locus ni.-or. - mp,
sillon
marginal postérieur. NC, queue du noyau caudé, NL
) de la capsule interne. Il est séparé de l'écorce grise du fond du
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp) par les cour
disposées en groupes. L'un de ces groupes est situé au voisinage du
sillon
d'émergence de la troisième paire (III), les autr
: ;rmale(strz). Le pédoncule cérébral est sectionné au voisinage dn
sillon
transversal qui sépare le tubercule quadrijumea
inférieure du noyau rouge (NR); la partie postérieure intéresse le
sillon
intermédiaire entre le tubercule quadrijumeau a
faisceaux radiculaires les plus externes, qui émergent au niveau du
sillon
de Voculo-moleur. Les entre-croisements du raph
de Reil médian. SgAq, suhstance grise de l'aqueduc de Sylvius. si,
sillon
latéral de l'isthme de l'encéphale. -SR, suhstanc
de la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, pour émerger dans le
sillon
qui sépare le tubercule quadrijumeau postérieur
est plus épaisse au sommet des circonvolutions que dans le fond des
sillons
, plus épaisse chez l'enfant que chez le vieillard
es des circonvolutions, mais peut atteindre 0 ? 73 dans le fond des
sillons
(Kaes). Immédiatement sous-jacente à la pie-mèr
rête et des parois latérales de la circonvolution. Mais le fond des
sillons
n'en est pas dépouvu, comme on le croyait penda
tion intm-corticales de Meynert, qui occupent au niveau du fond des
sillons
la couche des cellules polymorphes, et se con-
rie de la couche moléculaire. Plus épaisse d'après Kaes au fond des
sillons
où elle mesure en moyenne O"'nm,73, qu'au niveau
rie de 0mu,3 de lar- geur, strie qui est plus accentuée au fond des
sillons
qu'au niveau des crêtes des circonvolutions. D'
ulièrement abondantes au niveau de l'écorce qui tapisse le fond des
sillons
, où elles se présentent sous l'aspect de fibres
us la forme d'une traînée blanche, étendue de la capsule interne au
sillon
de liolando, traînée qui se bifurque à ce nivea
dimen- sions, dimensions qui augmentent de bas en haut, le long du
sillon
de liô- lando, pour arriver à leur maximum dans
voisinage du bord marginal supérieur, et sur la face qui regarde le
sillon
de l3olando. Ces cellules pyramidales géantes p
uche moléculaire de l'insula est large particulièrement au fond des
sillons
et riche en fibres tangentielles volumineuses et
usi- formes, particulièrement nombreuses et serrées au voisinage du
sillon
marginal postérieur de l'insula, où leurs dendr
ar la direction des fibres propres ou fibres en U. qui tapissent le
sillon
marginal postérieur de l'insula d'une épaisse cou
s. fU, fibres en U de Mey- nert ou fibres d'association du fond des
sillons
. K, scissure calcarine. Lg, lobule lingual. - s
llules pyramidales, et sont particulièrement accentuées au fond des
sillons
(fig. 347, fU). Toutes ces fibres à direction tra
lamus.-Fus, lobule fusiformc.-11, circonvolution de l'hippocampe ? t,
sillon
de l'hippocampe. Lms, lame médullaire superfici
3, NL2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - oi,
sillon
collatéral. l', pied du pédoncule cérébral. - l'e
hippocampe, et davantage encore au niveau de la face qui regarde le
sillon
de l'hippo- campe, c'est-à-dire au niveau du su
aire, l'écorce grise et la substance blanche qui tapissent le fond du
sillon
de l'hippocampe (fig. 350). La corne d'Ammon et
fficultés de l'étude de ces deux circonvolutions tient il ce que le
sillon
de l'hippocampe qui les sépare, au lieu d'être la
e la circonvolution 1 godronnée et de la corne d'Ammon au niveau du
sillon
de l'hippocampe ; 2° par la superposition des d
eau postérieur du cingulum, (,le, diverticule du subiculum. 1 : '1,
sillon
fimbrio-godronné. - Fli, faisceau longitudinal in
convolution de l'hippocampe ou deuxième circonvolution limbique. - h,
sillon
de l'hippocampe. - L, stratum lacunosum. 1. cel
s moléculaires (M) qui ne sont séparées l'une de l'autre que par le
sillon
de l'hippo- z campe et un seul feuillet pie-mér
de la corne d'Ammon. Arrivé au niveau de l'extrémité antérieure du
sillon
de l'hippocampe, ce galon se pose à plat sur l'
t sur l'écorce du crochet et forme la bandelette de Giacomini. Du
sillon
de l'hippocampe à la cavité ventriculaire, on com
couche moléculaire. 1° Couche moléculaire adossée au niveau du
sillon
de l'hippocampe à la couche mo- ... léculaire d
ches moléculaires, qui ne sont séparées l'une de l'autre que par le
sillon
de l'hippocampe et un seul feuillet pie-mérien.
roi latérale de la circonvolution voisine, en tapissant le fond des
sillons
et des scissures. Ce sont des libres tantôt court
de la circonvolution et la masse blanche sous-jacente. Le fond des
sillons
n'est toutefois pas dépourvu, comme le croyait
er- pendiculairement à la direction de son grand axe. Le fond des
sillons
est au contraire lisse, formé de lamelles super-
les plus superficielles, elles tapissent immédiatement le fond des
sillons
. Au sur et à mesure de leur ablation, les vallé
on. Aspect des crêtes des circonvolutions. Aspect du fond des
sillons
. Fibres courtes et longues d'associa- tion.
a, la partie orbitaire des circonvolutions frontales qui bordent le
sillon
triradié (f3) (Schnoffhagen), et en général de to
rtes et les plus superfi- cielles de ces plis tapissent le fond des
sillons
, les plus longues naissent du sommet du pli ana
projection. La direction des fibres en U varie avec la direction du
sillon
: les fibres qui doublent la scissure calcarine
l'hémisphère, il en est de même de celles qui tapissent le fond des
sillons
temporaux (C, t2, t3) de la scissure collatérale
, t2, t3) de la scissure collatérale (ot) et en général de tous les
sillons
à direction sagittale. Lorsque les sillons décriv
t en général de tous les sillons à direction sagittale. Lorsque les
sillons
décrivent des courbes, comme par exemple la sci
u plan vertico-transversal au niveau de la partie hori- zontale des
sillons
, et parallèle au plan horizontal au niveau de la
t parallèle au plan horizontal au niveau de la partie verticale des
sillons
. Les fibres en Uqui tapissent la scissure de Rola
ection des fibres en U est toujours perpendiculaire au grand axe du
sillon
qu'elles tapissent. Ces fibres en U forment au
n qu'elles tapissent. Ces fibres en U forment au niveau du fond des
sillons
une couche assez épaisse; elles se colorent int
FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7M semble que le nom du
sillon
ou de la scissure qu'elles tapissent est tout d
érieur du cingulum. - Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. - cm,
sillon
calloso-marginal. - coa, commissure antérieure.
ronne rayonnante du lobe tem- poral. - fa(ci), fibres arciformes du
sillon
calloso-marginal. zizi, faisceau basai interne
on calloso-marginal. zizi, faisceau basai interne de Burdach. - je,
sillon
fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé
onvolution frontale. - mh', (G,), face interne du gyrus rectus.-ot,
sillon
collatéral. - l'arc, lobule paracontral. - pare,
rectus.-ot, sillon collatéral. - l'arc, lobule paracontral. - pare,
sillon
paracentral. o. scissure pariéto-occipitale. -
rieur du cingulum. - Cino7(p), faisceau postérieur du cingulum. - cm,
sillon
calloso- marginal. -cm', partie verticale du si
cingulum. - cm, sillon calloso- marginal. -cm', partie verticale du
sillon
calloso-marginal. Fbi, faisceau basai interne de
. - met, face interne de la première cir- convolution frontale. ot,
sillon
collatéral. Parc, lobule paracentral. ;)a)-c, sil
on frontale. ot, sillon collatéral. Parc, lobule paracentral. ;)a)-c,
sillon
paracen- tral. - po, scissure parieto-occipital
acen- tral. - po, scissure parieto-occipitale. Pi-C, précunéus. so,
sillon
sus-orbitaire de Broca strK, stratum calcarinum
au sont aussi arquées que les libres en U qui tapissent le fond des
sillons
; c'est cette incurvation si pro- noncée qui a v
la com- missure antérieure (coa), il s'entre-croise au voisinage du
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp), avec le f
ure et la face inférieure du putamen, s'entre-croisent au niveau du
sillon
olfactif avec les libres du genou du corps call
! 1 - meut avec le faisceau longitudinal inférieur au niveau du
sillon
marginal postérieur dct'iusuta. Trajet de s
commissure antérieure. - Epa, espace perforé antérieur. /3, troisième
sillon
frontal ou incisure en H. - f5, sillon olfactif
oré antérieur. /3, troisième sillon frontal ou incisure en H. - f5,
sillon
olfactif. jilc, fibres d'association externes de
me cornée et libres du ttenia semi-circularis. Ln, locus niger. ma,
sillon
marginal antérieur. mF,(G1'), face interne de la
ON ET COMMISSURAUX. 733 circonvolution frontale (gyrus reclus). mp,
sillon
marginal postérieur. - NUI, noyau du nerr moteu
apsule externe. F., deuxième circon- volution frontale. f, deuxième
sillon
frontal. - F,(C), cap de la troisième circonvolut
frontal. - F,(C), cap de la troisième circonvolution frontale. f,,
sillon
olfactif. - Fa, circonvolution frontale ascendant
irconvolution frontale ascendante. - fa(ip), fibres arci- formes du
sillon
inter-parital. - fa(pri), libres arciformes du si
ci- formes du sillon inter-parital. - fa(pri), libres arciformes du
sillon
pré-rolandique inférieur. ' - Fit. faisceau unc
sillon pré-rolandique inférieur. ' - Fit. faisceau uncinatus. - io.
sillon
intcr-occipital. - ip, sillon inter-pariétal. - 0
r. ' - Fit. faisceau uncinatus. - io. sillon intcr-occipital. - ip,
sillon
inter-pariétal. - 0" 0 ? 0,, première, deuxième
dante. -- Pc, pli courbe. -. po, scissure pariéto-occipitale. - p0)',
sillon
post-rolandiduc. - purs, sillon pré-rolandique
cissure pariéto-occipitale. - p0)', sillon post-rolandiduc. - purs,
sillon
pré-rolandique supérieur. - Il, scissure de Rolan
ando.- Ti, T" première et deuxième circonvolutions tcmporales.- 11,
sillon
parallèle ou premier sillon temporal. - 1'l, 1'l,
uxième circonvolutions tcmporales.- 11, sillon parallèle ou premier
sillon
temporal. - 1'l, 1'l, branches . verticales du
le ou premier sillon temporal. - 1'l, 1'l, branches . verticales du
sillon
parallèle. - t2, deuxième sillon temporal. - 1'S,
1'l, 1'l, branches . verticales du sillon parallèle. - t2, deuxième
sillon
temporal. - 1'S, vallée de Sylvius. il 75G ANAT
ibres les plus inférieures et les plus superficielles atteignent le
sillon
marginal supérieur de l'insula, disso- i cient
xterne du lobe occipital (0"02,0.,). A mesure que l'on s'éloigne du
sillon
marginal postérieur de l'insula (mp), ces libre
3, deuxième et troisième circonvo- lutions frontales. - f, deuxième
sillon
frontal. - fi. troisième sillon frontal ou sillon
o- lutions frontales. - f, deuxième sillon frontal. - fi. troisième
sillon
frontal ou sillon en H. - F,;C), cap de la troi
ales. - f, deuxième sillon frontal. - fi. troisième sillon frontal ou
sillon
en H. - F,;C), cap de la troisième circonvoluti
natus. - la, la, la, circonvolutions antérieures de l'insula. - io,
sillon
inter-occipital. - Ip. Ip, circonvolutions postér
-occipital. - Ip. Ip, circonvolutions postérieures de l'insula. - ip,
sillon
intcr- pariétal. - ma, sillon marginal antérieu
tions postérieures de l'insula. - ip, sillon intcr- pariétal. - ma,
sillon
marginal antérieur. - mp, sillon marginal postéri
ip, sillon intcr- pariétal. - ma, sillon marginal antérieur. - mp,
sillon
marginal postérieur. ms, sillon marginal supéri
ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur. ms,
sillon
marginal supérieur. 0\, 0" première et deuxième
périeur. 0\, 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. oa,
sillon
occipital antérieur de \'erniclce. oF,, 07 ? op
ascendante. Pc, pli courbe. po, scissure parieto-occipitale. - por,
sillon
post-rol'1ndique ? pl'i, sillon prérol;tndiquc in
scissure parieto-occipitale. - por, sillon post-rol'1ndique ? pl'i,
sillon
prérol;tndiquc inférieur. - R, scissure de Roland
s. - Ti, 7 ? première et deuxième circonvolutions temporales. - t,,
sillon
parallèle ou premier sillon temporal. - l ? t ?
euxième circonvolutions temporales. - t,, sillon parallèle ou premier
sillon
temporal. - l ? t ? branches verticales du sill
allèle ou premier sillon temporal. - l ? t ? branches verticales du
sillon
parallèle. - 1p, circonvolution temporale profond
près Forel et Onufrowicz.) RII, bandelette optique. C, cunéus. - c.
sillon
du cunéus. - cm. sillon calloso-marginal. - coa
.) RII, bandelette optique. C, cunéus. - c. sillon du cunéus. - cm.
sillon
calloso-marginal. - coa, commissure antérieure.
Parc, lobule paracentral.PM/.pulvinar ? scissure de Rolando. - sa,
sillon
anormal. SI. septum lucidum. - Spa, espace perfor
au longitudinal inférieur. - ? circonvolution de l'hippo- campe. h,
sillon
de l'hippocampe. L,, première circonvo- lution
re. - OF, faisceau occipito-frontal de Fore] et Onufrowicz. - ot,
sillon
collatéral. - Put, pulvinar de la couche optique.
um. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - l'ut, pulvinar. - sch,
sillon
choroïdien. - 7 ? a, pilier antérieur du trigone.
sule externe. - Cing, cingulum. - CJI, commissure de Meynert. - OH,
sillon
calloso-marginal. - coa, commissure antérieure. C
F,, F ? première et deuxième circonvolutions frontales. - f, premier
sillon
frontal. Fa, circonvolution frontale ascendante
re. mF,, face interne de la première circonvolution frontale. - mp,
sillon
marginal postérieur. tns, sillon marginal supérie
ère circonvolution frontale. - mp, sillon marginal postérieur. tns,
sillon
marginal supérieur. NC, noyau caudé. - NL, nerf
ire. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. ot,
sillon
collatéral. - par, pied de la couronne rayonnan
t, sillon collatéral. - par, pied de la couronne rayonnante. - pri,
sillon
prc-rolandique inférieur. li, scissure de Rolan
convolutions temporales. II, t2, t3, premier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. Tc,tuber cinercum. - tec, ùeniL tect
et qui sont comprises entre l'épendyme ventriculaire et l'écorce du
sillon
collatéral. L'épaisseur du faisceau longitudina
. Fus, lobule fusiforme. - II, circonvolution de l'hippocampo. - h,
sillon
de l'bippocampc. -ip, ip', sillon inter-parietal
irconvolution de l'hippocampo. - h, sillon de l'bippocampc. -ip, ip',
sillon
inter-parietal et ses incisurcs. - Li, première
ue. - Lg, lobule lingual, Lus, lame médullaire superficielle. - ot,
sillon
collatéral. - l'" 1'" première et deuxième circon
oi- sième circonvolutions temporales. - l,, 1 ? premier et deuxième
sillons
temporaux. 12', incisure du deuxième sillon tem
? premier et deuxième sillons temporaux. 12', incisure du deuxième
sillon
temporal. Tap, tapetum. - tec, ttenia tecta. VI,
sceau transverse du cunéus de Sachs. - Fus, lobule fusiforme. - io,
sillon
intcr-occipital. - ip, sillon inter- pariétal.
e Sachs. - Fus, lobule fusiforme. - io, sillon intcr-occipital. - ip,
sillon
inter- pariétal. -If, scissure calcarine.- Lg,
, deuxième et troisième cir- convolutions occipitales. Os, deuxième
sillon
occipital. oa', incisure du sillon occipital an
olutions occipitales. Os, deuxième sillon occipital. oa', incisure du
sillon
occipital antérieur de Wernicke. - of, sillon c
tal. oa', incisure du sillon occipital antérieur de Wernicke. - of,
sillon
collatéral. - Pl, première circonvolution pariéta
es de projection. - fl, fibres tangentielles du lobe limbique. - i,
sillon
de l'insula. - la, insula antérieur. - ig, indu
aenia scmi-circularis. z Lg, lobule lingual. Mo, trou de Monro. mp,
sillon
marginal postérieur. .Va, noyau antérieur de la
e. - 1 ? Vs, première et deuxième circonvolutions temporales. - 1,,
sillon
parallèle. - Tap, tapetnm - Tch, toile choroïdien
convolution de l'hippocampe ou deuxième circonvolution limbique. h,
sillon
de. l'hippocampe. - Lms, lame médullaire superfic
- Ti, TB, première et deuxième 'circonvolu- tions temporales. -t,,
sillon
parallèle. Tap, tapetum. U, circonvolution du cro
g, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. - ds
ito-frontal. - OpPa, partie pariétale de l'opercule rolandique. - ot,
sillon
col- latéral. - ot + t,, branche commune au sil
olandique. - ot, sillon col- latéral. - ot + t,, branche commune au
sillon
collatéral et au troisième sillon temporal. - P
éral. - ot + t,, branche commune au sillon collatéral et au troisième
sillon
temporal. - P, pied du pédoncule cérébral. Pa,
tricule. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale. - pl'S,
sillon
pré-rolandiduo suprienr.-Pg, faisceau pyramidal
troisième circonvolutions temporales. - t1, ti, premier et deuxième
sillons
temporaux. - Tap, tapetum. - Tch, toile choroïdie
les et recouvre profondément la mince' couche des fibres propres du
sillon
parallèle. En arrière du gyrus supra-marginalis
se portent verticalement en haut, recouvrent les fibres propres des
sillons
du cunéus et s'irradient dans l'écorce du bord
faisceau transverse du cunéus de Sachs. Fus, lobule fusiforme. io,
sillon
inter-occipital. - K, scissure calcarine. - Lg, l
er-occipital. - K, scissure calcarine. - Lg, lobule lin- gual.- 19,
sillon
du lobule lingual. 0,, 0" 03, première, deuxième
deuxième et troisième circonvolu- tions occipitales.- os, deuxième
sillon
occipital. - Or, faisceau occipital vertical.-at,
e, p. 31, coupe n° I.) - Ce, fibres calleuses. Cin,g, cingulum, cm,
sillon
calloso-marginal. - CR, couronne j rayonnante.
irconvolutions frontales. fi.fi, f3, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. - f,, sillon olfactif. - f incisure du
. fi.fi, f3, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. - f,,
sillon
olfactif. - f incisure du deuxième i- sillon fr
illons frontaux. - f,, sillon olfactif. - f incisure du deuxième i-
sillon
frontal. - Lui, première circonvolution limbique.
on avec les fibres commissurales et de projection. C'est le long du
sillon
olfactif, dans le gyrus reclus et la partie orb
ing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. CR, couronne rayonnante. F,,F-&
t, troisième circonvolutions frontales. fi, f2, premier et deuxième
sillons
frontaux. - Fli, fai- sceau longitudinal inféri
ième sillons frontaux. - Fli, fai- sceau longitudinal inférieur. i,
sillon
insulaire. la, //), insula antérieur et postérieu
Sge, substance grise sous-épendymaire. - SI, scptum lucidum. - .so,
sillon
sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temp
us (C) qui regarde la scissure pariéto- occipitale (po), le fond du
sillon
inter-pariétal (ip) et le fond du deuxième sillon
le (po), le fond du sillon inter-pariétal (ip) et le fond du deuxième
sillon
temporal (ta). Les dégénérescences intéressen
C. cunus.-CI3, carrefour olfactif de Broca. Ce, corps calleux. cm,
sillon
calloso-mar- ginal. Fus, lobule fusiforme. A',
vo- lution frontale. 11lFI(Gr), face interne du gyrus rectus. ot,
sillon
collatéral. - po, scis- sure pariéto-occipitale
téral. - po, scis- sure pariéto-occipitale. - YrC, precuneus. so,
sillon
sus-orbitaire de Broca. Th, tha- lamus (couche
tale, de la partie postérieure des lobules lingual et fusiforme et du
sillon
collatéral ou occipito-temporal. La zone pointi
horizontale pratiquée sur cet hémisphère. cm', branche verticale du
sillon
calloso-marginM. - Fc, fasciola cinerca. Fli, fai
inal inférieur. Fli', faisceau longitudinal inférieur au voisinage du
sillon
collatéral (ot). 71n, forceps major ou partie p
ccil)il;tle. L(i) sthme du lobe limbique. Lg, lobule lingual.o<,
sillon
collatéral. - Il,, Pu, première et deux 3me cir
circonvolution pariétale ascendante. Parc, lobule paracentral. por,
sillon
post-rolandique. Porc, prcunéus - R, scissure de
de Gratiolct. sp, scissure sous-pariétale. t ? branche verticale du
sillon
parallèle. T2, T·3, deuxième et troisième circonv
sième circonvolutions tem- porales. U, <3, deuxième et troisième
sillons
temporaux. Tap, tapetum. lec, ttenia tecta. T'o
Ce(Spl), bourrelet du corps calleux (splénium). Cing, cingulum. cm,
sillon
calloso-marinal. - cnz', sa partie verticale. f
ion frontale. .YC, noyau caudé. - Parc, lobule paracentral. - parc,
sillon
paraccntral.- PrC, prècunéus. - rplp, pli pariéto
vertico- transversales ou horizontales sériées, jusqu'au niveau du
sillon
marginal postérieur de l'insula (lig. 401) et d
olution frontale. flop, faisceau de la commissure postérieure. zig,
sillon
nmbrio-godronne. FI, faisceau lenticulaire de F
ur. Full, faisceau rétroflexe de \Ieyncrt. FT, faisceau de Tiirck. h,
sillon
de l'hippocampe. la, insula antérieur. Ip, insu
dullaire superficielle.mastiion marginal antérieur de l'insula. mi,
sillon
marginal postérieur de l'insula. NC, tète du noya
a donné, suivant leur importance, des noms de convention : scissures,
sillons
, incisures. Les scissures, sillons et incisures
noms de convention : scissures, sillons, incisures. Les scissures,
sillons
et incisures servent ainsi de limite à des replis
ec les circonvolutions, dont il n'est qu'imparfaitement séparé par un
sillon
(PRU), le sillon prse-uncique, dirigé d'avant en
tions, dont il n'est qu'imparfaitement séparé par un sillon (PRU), le
sillon
prse-uncique, dirigé d'avant en arrière, et qui
le cervelet et par la protubérance. Celle-ci, limitée en avant par le
sillon
qui la sépare des pédoncules (sillon pédon-culo-p
elle-ci, limitée en avant par le sillon qui la sépare des pédoncules (
sillon
pédon-culo-protubérantiel) et en arrière par le s
es pédoncules (sillon pédon-culo-protubérantiel) et en arrière par le
sillon
qui la sépare du bulbe (sillon bulbo-protubéranti
o-protubérantiel) et en arrière par le sillon qui la sépare du bulbe (
sillon
bulbo-protubérantiel), est parcourue d'arrière en
milieu même du pont de Varole, transversalement, à égale distance du
sillon
bulbo-protubérantiel et du sillon pédonculo-protu
ansversalement, à égale distance du sillon bulbo-protubérantiel et du
sillon
pédonculo-protubérantiel. Pour que la section soi
limen (schéma 8, A). Elles sont séparées de l'écorce, en haut, par un
sillon
qui s'enfonce entre le Schéma 8. A. Face inte
de l'hémisphère. corps calleux et la circonvolution adjacente : ce
sillon
(sC) est le sinus du corps calleux ou limbe. La c
inale ou limbique (L). En bas, le limen est séparé de l'écorce par un
sillon
qui fait suite au sinus du corps calleux, et qu'o
un sillon qui fait suite au sinus du corps calleux, et qu'on appelle
sillon
de l'hippocampe (SH). La circonvolution adjacente
(Hip), limitée, elle aussi, par une profonde anfractuosité, le grand
sillon
occipitotemporal (o/4). A la surface du limen o
GI, bandelette de Giacomini; LMA, substance réticulaire d'Arnold; SH,
sillon
de l'hippocampe (ce sillon n'esl représenté ici q
; LMA, substance réticulaire d'Arnold; SH, sillon de l'hippocampe (ce
sillon
n'esl représenté ici que par la ligne sinueuse qu
ia dentata (Fd) ; s/i, continuation du sinus du corps calleux dans le
sillon
de l'hippocampe; PRU, sillon prœ-uncique; PS, pôl
uation du sinus du corps calleux dans le sillon de l'hippocampe; PRU,
sillon
prœ-uncique; PS, pôle sphénoïdal; EPA, espace per
bord externe, adjacent au fascia dentata, est représenté par un petit
sillon
dans lequel s'enfonce la pie-mère : c'est le sill
enté par un petit sillon dans lequel s'enfonce la pie-mère : c'est le
sillon
de l'hippocampe (S//), qui fait suite au sinus du
en avant par l'uncus ; celui-ci est limité en bas et en dedans par le
sillon
pravuncique (PRU). Toutes ces parties sont de l'é
dont se composent les lobes sont séparées les unes des autres par les
sillons
. Il ne faut pas se servir indifféremment de ces d
e anatomique, est formelle et exclusive. Comme les scissures et les
sillons
ne sont pas partout continus les territoires de l
ncisures. Les incisures qui sont branchées sur une scissure ou sur un
sillon
sont dites incisures continues ; celles qui ne co
tinues ; celles qui ne communiquent ni avec les scissures ni avec les
sillons
sont dites incisures isolées. Les sinuosités de
de telle circonvolution donnée, de tel pli, de telle scissure, de tel
sillon
. Ici encore Broca nous a laissé un admirable modè
à désigner les mêmes circonvolutions, les mêmes scissures, les mêmes
sillons
. Il est bien certain que si l'écorce du cerveau
indiquait simplement par les lettres F et P. Les scissures et. les
sillons
sont comptés et numérotés de la même façon. Pour
ation de la lecture nous avons désigné les anfractuosités (scissures,
sillons
ou incisures) non pas par un exposant, mais par u
confusion de O1 (première circonvolution occipitale) avec Ot (premier
sillon
occipital)..... et ainsi de suite. Les plis de
ttre n suivie d'un autre signe. Certaines circonvolutions, certains
sillons
ont des noms de convention. Nous emploierons souv
s sont celles qui sont situées entre les circonvolutions, au fond des
sillons
ou des scissures. Il y en a aussi qui sont superf
fascia dentata, et qui est séparé de l'écorce proprement dite par un
sillon
demi-circulaire (sC). Ce sillon représentera, dan
ré de l'écorce proprement dite par un sillon demi-circulaire (sC). Ce
sillon
représentera, dans l'avenir, le sinus du corps ca
scissure limbique; une antérieure, verticale (sME), qui sera le grand
sillon
métopique. Ces deux incisures semblent être sur l
égion temporale; Une, crochet; L, scissure limbique; sME, grand
sillon
métopique ; FI, fimbria, Fd, fascia dentata o
us de la scissure calcarine (K) s'étend, d'arrière en avant, un grand
sillon
(otK) qui sépare en deux étages ou en deux grands
le ou cuneus ; 05, gyrus lingual ; PO, pôle occipital; ott, quatrième
sillon
occipito-temporal; T8, cinquième circonvolution t
mbique; L, scissure limbique ; TJ, tubercule de jonction ; sME, grand
sillon
métopique ; F1, première circonvolution frontale
grand sillon métopique ; F1, première circonvolution frontale ; pro,
sillon
prae-ovalaire; Pa, lobule paracentral. lation a
de la cinquième temporale est appelée gyrus lingualis (O5). Le grand
sillon
qui sépare la quatrième circonvolution temporale
uatrième circonvolution temporale (T*) de cinquième (T3) est le grand
sillon
occipito-temporale de Panoch, ou quatrième sillon
e (T3) est le grand sillon occipito-temporale de Panoch, ou quatrième
sillon
temporal de Broca (oQ. La scissure limbique (L)
t se perd à la partie inférieure de ce genou, sans rejoindre le grand
sillon
métopique (sME). Tout ce qui est au-dessus de l
'écorce qu'on peut appeler le tubercule de ionction (T.l). Le grand
sillon
métopique (sME) divise le lobe frontal en deux pl
de Sylvius (S). La partie du lobe frontal qui est en arrière du grand
sillon
métopique réunit la première frontale (F1) au tub
ntale (F1) de la circonvolution limbique (C), ne rejoint pas le grand
sillon
métopique. Celui-ci se prolonge au-dessous du gen
dessous du genou du corps calleux (GC), où il prend le nom de premier
sillon
sous-frontal (sF). 11 ne garde le nom de sillon m
end le nom de premier sillon sous-frontal (sF). 11 ne garde le nom de
sillon
métopique que dans la région sus-jacente au genou
sus-jacente au genou nu corps calleux. Le pli qui est situé entre ce
sillon
et la scissure limbique es le grand pli de passag
utit, en haut et en arrière au lobule paracentral (Pa), au-dessous du
sillon
prœ-ovalaire (pro). Un second sillon sous-frontal
paracentral (Pa), au-dessous du sillon prœ-ovalaire (pro). Un second
sillon
sous-frontal (s/) plus petit que le premier divis
ux étages la partie réfléchie de la première frontale. Entre les deux
sillons
sous-frontaux (sF et sf), on voit un petit pli de
e interne faisant suite à la scissure occipitale externe ; oi^, grand
sillon
occipito-temporal; 0", cwieus; 0°, gyrus lingual;
:L, pli de passage pariéto-limbique; sP, scissure sous-pariétale; pt,
sillon
pariétal transverse; sf, premier sillon sous-fron
scissure sous-pariétale; pt, sillon pariétal transverse; sf, premier
sillon
sous-frontal; F*, première circonvolution frontal
ie; Pa, lobule paracentral; pro, incisure prae-ovaloire; sf, deuxième
sillon
sous-frontal ; -icf, petit pli de passage fronto-
trois est lui-même subdivisé en deux parties par le prolongement d'un
sillon
(pt), venu de la face externe de l'hémisphère : l
gement d'un sillon (pt), venu de la face externe de l'hémisphère : le
sillon
pariétal transverse. Au neuvième mois, la dispo
C'est ainsi qu'on voit apparaître dans la région temporale un nouveau
sillon
(o^) ou troisième sillon occi-pito-temporal ; la
paraître dans la région temporale un nouveau sillon (o^) ou troisième
sillon
occi-pito-temporal ; la face interne de la région
ion de l'hippocampe. En avant, entre la quatrième et la cinquième, un
sillon
(PRU) sépare le pôle sphénoïdal (PO) du crochet d
) sépare le pôle sphénoïdal (PO) du crochet de l'hippocampe (Une). Ce
sillon
(prse-uncique) est le prolongement antérieur du g
Une). Ce sillon (prse-uncique) est le prolongement antérieur du grand
sillon
occipito-temporal (oQ. Il sert de limite antérieu
sure occipitale envoyant une branche dans le cuneus (0") ; ot^, grand
sillon
occipito-temporal envoyant une branche (sï) dans
envoyant une branche (sï) dans le gyrus lingual (C*) ; 0/3, troisième
sillon
occipito-temporal; T', troisième circonvolution t
cipitale (0^) ou linguale, et, en avant, avec le crochet (Une) ; VKU,
sillon
prœ-uncique séparant le crochet de la quatrième t
pli postérieur du lobe carré; BQ, bourrelet du lobe carré; sM£, grand
sillon
métopique; sF, premier sillon sous-i'rontal; zF,
BQ, bourrelet du lobe carré; sM£, grand sillon métopique; sF, premier
sillon
sous-i'rontal; zF, grand pli de passage fronto-li
grand pli de passage fronto-limbique; Pa, lobule paracentral; /j?'o,
sillon
ou incisure prœ-ovalaire; «/¦, deuxième sillon so
le paracentral; /j?'o, sillon ou incisure prœ-ovalaire; «/¦, deuxième
sillon
sous-frontal; nf, petit pli de passage fronto-lim
pli de passage fronto-limbique; Bf, rectangle frontal antérieur; Sfl,
sillon
rostral ; ima, incisure métopique antérieure ; im
tion occipito-temporale, en arrière, vers le pôle occipital, le grand
sillon
occipito-temporal (0/4) envoie un prolongement co
lon occipito-temporal (0/4) envoie un prolongement constant (si) : le
sillon
du lobule lingual. La scissure calcarine [K), a
se montre déjà subdivisé en territoires distincts, d'une part, par le
sillon
pariétal transverse (pt), qui établit une séparat
e sous-pariétale, a pour base la scissure occipitale (Oe). Le grand
sillon
métopique (sME), la plupart du temps séparé du pr
e grand sillon métopique (sME), la plupart du temps séparé du premier
sillon
sous-frontal (sF) par un pli tardif, forme la lim
jonction, sous le nom du premier pli sous-frontal (GSF). Le second
sillon
sous-frontal (sf) se prolonge en avant jusqu'à un
e encoche du bord de l'hémisphère, qui est appelée, à tort peut-être,
sillon
rostral (SR). Le sillon rostral qu'on observe che
émisphère, qui est appelée, à tort peut-être, sillon rostral (SR). Le
sillon
rostral qu'on observe chez les carnivores n'a pas
n'a pas d'équivalent absolu chez les primates. Au-dessus du deuxième
sillon
sous-frontal (sf), le petit pli de passage fronto
érale (Bf) : le rectangle frontal antérieur. Au-dessous du deuxième
sillon
sous-frontal (sf) la première circonvolution fron
est l'extrémité supérieure de la,scissure de Bolando (R). En avant du
sillon
prœ-ovalaire (pro), c'est l'incisure métopique po
e la première frontale, dans une direction parallèle à celle du grand
sillon
métopique (sME). On peut la désigner, suivant son
on importance, sous les noms de petite incisure métopique ou de petit
sillon
mëtovinue Lorsqu'elle est divisée en plusieurs
et /s) apparaissent presque en même temps; elles deviendront les deux
sillons
frontaux. Dès lors, le lobe frontal est constit
sphère qui se trouve en avant de la scissure de Rolando (R). Les deux
sillons
(/i et fs) partagent ce lobe en trois plis parall
volution frontale ascendante. La région pariétale ne présente aucun
sillon
. Mais dans la région temporale, parallèlement à l
Sylvius, on reconnaît déjà une incisure allongée, qui sera le premier
sillon
temporal ou sillon parallèle, quelquefois appelé
ît déjà une incisure allongée, qui sera le premier sillon temporal ou
sillon
parallèle, quelquefois appelé scissure parallèle.
llèle, quelquefois appelé scissure parallèle. En arrière, un deuxième
sillon
(f2), deuxième sillon temporal, apparaît au voisi
elé scissure parallèle. En arrière, un deuxième sillon (f2), deuxième
sillon
temporal, apparaît au voisinage de la région occi
bulbe ; f, région frontale ; P, région pariétale ; fi, premier
sillon
frontal ; /"j, deuxième sillon frontal; premi
P, région pariétale ; fi, premier sillon frontal ; /"j, deuxième
sillon
frontal; premier sillon temporal; tt,, deuxiè
i, premier sillon frontal ; /"j, deuxième sillon frontal; premier
sillon
temporal; tt,, deuxième sillon temporal; 0, r
, deuxième sillon frontal; premier sillon temporal; tt,, deuxième
sillon
temporal; 0, région occipitale. Schéma 19. —
demi (grandeur naturelle). volutions parallèles, séparées par deux
sillons
[t^ et fj), mais confondues dans l'intervalle de
par deux sillons [t^ et fj), mais confondues dans l'intervalle de ces
sillons
. En arrière, le lobe temporal se confond avec la
dante de la scissure de Sylvius ; R, scissure de Rolande; f^, premier
sillon
frontal; /¦», deuxième sillon frontal; P', F^, F'
s ; R, scissure de Rolande; f^, premier sillon frontal; /¦», deuxième
sillon
frontal; P', F^, F', ])ro-mière, deuxième, troisi
rconvolutions frontales; F, circonvolution frontale ascendante ; prs,
sillon
prœ-rolandique supérieur ; pri, sillon pras-rolan
ion frontale ascendante ; prs, sillon prœ-rolandique supérieur ; pri,
sillon
pras-rolandique inférieur ; t.^, premier sillon t
ique supérieur ; pri, sillon pras-rolandique inférieur ; t.^, premier
sillon
temporal; t^, deuxième sillon temporal; T\ ï^, T^
ras-rolandique inférieur ; t.^, premier sillon temporal; t^, deuxième
sillon
temporal; T\ ï^, T^', première, deuxième, troisiè
isième circonvolutions temporales; t^^, branche supérieure du premier
sillon
temporal ; tii, branche inférieure du premier sil
ieure du premier sillon temporal ; tii, branche inférieure du premier
sillon
temporal ; PC, pli courbe ; Oe, scissure perpendi
temporal ; PC, pli courbe ; Oe, scissure perpendiculaire externe ; p,
sillon
pariétal ou interpariétal ; P% circonvolution par
n pariétale supérieure ; P^, circonvolution pariétale inférieure; Pi,
sillon
post-rolandique supérieur; sillon post-rolandiqae
nvolution pariétale inférieure; Pi, sillon post-rolandique supérieur;
sillon
post-rolandiqae inférieur; P, circonvolution pari
endue ; elle n'est plus rectiligne, elle devient sinueuse; les deux
sillons
frontaux {fa fi) s'allongent dans le sens antéro-
dante s'isole elle-même de plus en plus, grâce à l'apparition de deux
sillons
situés au-devant de la scissure de Rolando et qui
de Rolando et qui, plus tard, seront parallèles à cette scissure. Le
sillon
supérieur (prs) ou prœ-rolandique supérieur reçoi
ou prœ-rolandique supérieur reçoit l'extrémité postérieure du premier
sillon
frontal (/i) ; le sillon inférieur ou prœ-rolandi
ur reçoit l'extrémité postérieure du premier sillon frontal (/i) ; le
sillon
inférieur ou prœ-rolandique inférieur (pri) reçoi
rolandique inférieur (pri) reçoit l'extrémité postérieure du deuxième
sillon
frontal (/8). Dans la région temporale il n'y a
e il n'y a guère de transformations à signaler . toutefois le premier
sillon
ou sillon parallèle (tt) présente déjà à son extr
guère de transformations à signaler . toutefois le premier sillon ou
sillon
parallèle (tt) présente déjà à son extrémité post
te portion de l'écorce qui sera le pli courbe (PC). Quant au deuxième
sillon
(Q, il se compose de plusieurs tronçons isolés, l
occipitale est le lobe occipital (0). Au-dessous de cette encoche, un
sillon
profond, concave en haut et en dedans, mais dirig
ivise, en deux étages la partie supérieure de la région pariétale. Ce
sillon
, appelé interpariétal ou tout simplement pariétal
(P2) sont séparés de la scissure de Rolando (R), chacun par un petit
sillon
parallèle à cette scissure ; le sillon post-rolan
lando (R), chacun par un petit sillon parallèle à cette scissure ; le
sillon
post-rolandique supérieur (pt) et le sillon post-
èle à cette scissure ; le sillon post-rolandique supérieur (pt) et le
sillon
post-rolandique inférieur (p2) servent ainsi de l
. Le lobe pariétal est donc divisé en deux lobules (P1 etP2) par le
sillon
interpariétal (p). Ces deux lobules se subdiviser
érer comme appartenant au lobe pariétal. Au-dessus et au-dessous du
sillon
pariétal (p), le lobe pariétal est relié au lobe
ur (P1) au lobe occipital (0); un pli inférieur (71 P), au-dessous du
sillon
pariétal (p), relie le pli courbe (PC) au lobe oc
ont considérablement accentués, c'est-à-dire que les scissures et les
sillons
ont augmenté de longueur et de profondeur, de faç
ont la disposition générale qui a été décrite; toutefois, le premier
sillon
frontal (/i) se confond avec le prœ-rolandique su
eure du lobe frontal, apparaît une incisure isolée (soe), qui sera le
sillon
orhiiaire externe. Dans la région temporale et
s avons reproduit ici, la scissure occipitale externe (Oe) atteint le
sillon
pariétal (p), de telle sorte que le premier pli d
qui ne l'est certainement pas autant chez le fœtus. D'autre part, le
sillon
pariétal (p) se termine en arrière dans une petit
ans une petite incisure transversale (0,), qu'on doit appeler premier
sillon
occipital, mais qu'on peut considérer — par assim
le externe (Oe). Ce qui se trouve au-dessus et en avant de ce premier
sillon
occipital est la première circonvolution occipi
passage externe. Ce qui se trouve au-dessous et en arrière du premier
sillon
occipital (oj) est la deuxième circonvolution occ
e, troisième circonvolutions frontales ; /",,/"a, premier et deuxième
sillons
frontaux; soe, sillon orbitaire externe; P, lobe
tions frontales ; /",,/"a, premier et deuxième sillons frontaux; soe,
sillon
orbitaire externe; P, lobe pariétal ; p, sillon p
illons frontaux; soe, sillon orbitaire externe; P, lobe pariétal ; p,
sillon
pariétal ou interpariétal; p^, sillon post-roland
externe; P, lobe pariétal ; p, sillon pariétal ou interpariétal; p^,
sillon
post-rolandique supérieur ; sillon post-rolandiqu
lon pariétal ou interpariétal; p^, sillon post-rolandique supérieur ;
sillon
post-rolandique inférieur; Oe, scissure occipital
-rolandique inférieur; Oe, scissure occipitale externe ; o,,, premier
sillon
occipital ; o,, deuxième sillon occij)ital ; 0\ 0
ure occipitale externe ; o,,, premier sillon occipital ; o,, deuxième
sillon
occij)ital ; 0\ 0^, 0', première, deuxième, trois
, première, deuxième, troisième circonvolutions temporales; premier
sillon
temporal ou sillon parallèle; t^, deuxième sillon
e, troisième circonvolutions temporales; premier sillon temporal ou
sillon
parallèle; t^, deuxième sillon temporal. Enfin,
mporales; premier sillon temporal ou sillon parallèle; t^, deuxième
sillon
temporal. Enfin, cette deuxième circonvolution
occipitale est limitée en bas — mal limitée d'ailleurs — par un petit
sillon
(02), deuxième sillon occipital, qui est sur le p
en bas — mal limitée d'ailleurs — par un petit sillon (02), deuxième
sillon
occipital, qui est sur le prolongement du deuxièm
), deuxième sillon occipital, qui est sur le prolongement du deuxième
sillon
temporal {t^. Ce qui est au-dessous du deuxième s
nt du deuxième sillon temporal {t^. Ce qui est au-dessous du deuxième
sillon
occipital est la troisième circonvolution occipit
d'un hémisphère droit (fœtus à terme). R, scissure de Rolando;pro,
sillon
prse-ovalaire; L, scissure limbique ;pt, sillon p
ssure de Rolando;pro, sillon prse-ovalaire; L, scissure limbique ;pt,
sillon
pariétal transverse; F, circonvolution frontale a
ion fronto-orbitaire externe ; FO2, lobule orbitaire; ft, f%, premier
sillon
frontal et deuxième sillon frontal ; t±, t2, prem
e ; FO2, lobule orbitaire; ft, f%, premier sillon frontal et deuxième
sillon
frontal ; t±, t2, premier sillon temporal et deux
, premier sillon frontal et deuxième sillon frontal ; t±, t2, premier
sillon
temporal et deuxième sillon temporal ; T1, T2, T3
deuxième sillon frontal ; t±, t2, premier sillon temporal et deuxième
sillon
temporal ; T1, T2, T3, première, deuxième, troisi
n-sula. Ses opercules présentent des incisures profondes. Le deuxième
sillon
frontal (/"g) se prolonge en avant, de manière à
de cette scissure, sur le bord de l'hémisphère apparaît l'encoche du
sillon
prœ-ovalaire (pro) ; en arrière apparaît l'encoch
nt, de dedans en dehors, dans le lobule pariétal supérieur (P1), le
sillon
pariétal transverse (pt). Le sillon pariétal, l
ule pariétal supérieur (P1), le sillon pariétal transverse (pt). Le
sillon
pariétal, le sillon post-rolandique supérieur et
ur (P1), le sillon pariétal transverse (pt). Le sillon pariétal, le
sillon
post-rolandique supérieur et le sillon post-rolan
(pt). Le sillon pariétal, le sillon post-rolandique supérieur et le
sillon
post-rolandique inférieur se rejoignent de manièr
1-, 0-, O3). Mais leurs limites ne sont pas représentées par les deux
sillons
occipitaux (o„ ot schéma 21). C'est le prolongeme
A). Les trois plis de l'insula proprement dit sont séparés par deux
sillons
égalements convergents, partis de la base du lobu
et l'insula antérieur (IN) sont au contraire nettement séparés par un
sillon
plus profond, qui s'étend sur tout le bord postér
sur tout le bord postérieur de l'insula antérieur; on l'appelle grand
sillon
de l'insula (ir). L'ensemble des deux insulas (
ement dit ; INP, insula postérieur ; PI, pôle de l'insula ; ir, grand
sillon
de l'insula; IRA, rigole antérieure de l'insula ;
dit que toutes les parties constituantes du manteau pouvaient s.7,
sillon
prse-uncique considéré à tort comme l'extrémité a
sillon prse-uncique considéré à tort comme l'extrémité antérieure du
sillon
de l'hippocampe. HL, lobule de l'hippocampe. !
saisir. A l'extrémité antérieure du lobe sphénoïdal on remarque un
sillon
en S italique (SH, schéma 24) qui est quelquefois
ue un sillon en S italique (SH, schéma 24) qui est quelquefois appelé
sillon
de l'hippocampe. Ce sillon sert de limite externe
(SH, schéma 24) qui est quelquefois appelé sillon de l'hippocampe. Ce
sillon
sert de limite externe à une portion de l'écorce
e). Or le lobule de l'hippocampe est limité en dehors, non pas par le
sillon
de l'hippocampe, comme on l'a prétendu, mais par
ue. Broca a péremptoirement démontré, par l'anatomie comparée, que ce
sillon
(auquel il faut donner un nom spécial et que nous
pe (Une), parcouru par des rides sinueuses et limité en dehors par un
sillon
, également sinueux, qui n'est autre que le sillon
té en dehors par un sillon, également sinueux, qui n'est autre que le
sillon
prœ-uncique (voy. pl. IX et XL). On remarquera qu
itement limitée. La surface orbitaire présente à sa partie moyenne un
sillon
en II (H) ; ses deux jambages latéraux sont antér
cette dernière partie de son trajet, s'appelle gyrus reclus (GB). Un
sillon
antéro-postérieur, le sillon orbitaire interne, l
trajet, s'appelle gyrus reclus (GB). Un sillon antéro-postérieur, le
sillon
orbitaire interne, limite cette circonvoluf ion,
et le bulbe olfactif (OLB). En dehors du jambage latéral externe du
sillon
en H, s'étend aussi un pli antéro-postérieur, éma
l'hémisphère. Enfin, en arrière de la barre d'union transversale du
sillon
en H, s'étale une surface, généralement dépourvue
; A', scissure calcarine ; Oc, scissure occipitale ; oZj, grand
sillon
occipito-temporal de Pansch; si, sillon lingual
e occipitale ; oZj, grand sillon occipito-temporal de Pansch; si,
sillon
lingual; 1, premier et troisième sillons tempor
o-temporal de Pansch; si, sillon lingual; 1, premier et troisième
sillons
temporaux. //, sillon en II du lobule orbitaire
i, sillon lingual; 1, premier et troisième sillons temporaux. //,
sillon
en II du lobule orbitaire ; F^, première circonvo
B, bulbe olfactif ; FO^, deuxième circonvolution fronto-orbitaire ;
sillon
orbitaire externe ; — CAP, cap de cfette. ciKconv
rbitaire (FO). La troisième fronto-orbitaire, bornée en dedans par le
sillon
orbitaire externe (soe), marche d'avant en arrièr
superficiels. Peu d'entre eux ont considéré que les scissures et les
sillons
, s'enfonçant à une profondeur qui n'a jamais ét
des coupes sur des cerveaux durcis. L'écartement des scissures ou des
sillons
, sur les cerveaux frais, ne fournira jamais que d
une des plus typiques, est, bien souvent, moins profonde que les deux
sillons
prœ-rolandique et post-rolandique. La branche ant
ace, modifie la profondeur apparente des anfractuosités, scissures ou
sillons
. Il n'est donc possible d'apprécier exactement
le hasard. Alors seulement on se rend compte que deux scissures et un
sillon
, à l'exclusion de toutes les autres anfractuosité
constante. Les deux scissures sont la sylvienne et la calcarine ; le
sillon
est le quatrième temporal ou grand sillon occipit
vienne et la calcarine ; le sillon est le quatrième temporal ou grand
sillon
occipito-temporal de Pansch, Modification du ty
Atlas.) R, scissure de Rolande ; L, scissure limbique ; sF, premier
sillon
sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-frontal ;
L, scissure limbique ; sF, premier sillon sous-frontal ; sf, deuxième
sillon
sous-frontal ; Oe, scissure occipitale ; À', scis
che inférieure de cette scissure ;j)/'o, incisure prse-ovalaire ; pt,
sillon
pariétal transverse ; ol^, grand sillon occipito-
incisure prse-ovalaire ; pt, sillon pariétal transverse ; ol^, grand
sillon
occipito-temporal ; si, sillon du lobule lingual;
illon pariétal transverse ; ol^, grand sillon occipito-temporal ; si,
sillon
du lobule lingual; C, circonvolution limbique; PE
, à l'origine de la scissure limbique (L), et des premier et deuxième
sillons
sous-frontaux (sF et sf). Cette région, Schéma
four. L, scissure limbique; C, circonvolution limbique; sF, premier
sillon
sous-frontal; sf, deuxième sillon sous-frontal; t
irconvolution limbique; sF, premier sillon sous-frontal; sf, deuxième
sillon
sous-frontal; t:f, petit pli de passage fronto-li
i de passage fronto-limbique; Pa, lobule paracentral; 0", cuneus; pt,
sillon
pariétal transverse. sous-jacente au genou du c
tibule, tantôt le carrefour de l'hémisphère (Broca). Ici le premier
sillon
sous-frontal (sF) et le second (sf) sont confondu
mbique (tt/) naît du premier pli sous-frontal. D'autre part, le grand
sillon
métopique, au lieu de prolonger le premier sillon
utre part, le grand sillon métopique, au lieu de prolonger le premier
sillon
sous-frontal {sF), se branche sur la scissure lim
osités et des plis dépend donc exclusivement de l'anomalie du premier
sillon
sous-frontal {sF). Et ainsi se vérifie toujours c
nicke, représente la face interne d'un hémisphère gauche, où le grand
sillon
métopique fait défaut. Cette disposition n'est ni
fficile à interpréter. En somme, la scissure limbique (L) et le grand
sillon
métopique se confondent, dès leur origine, au-des
tibuli; L, scissure limbique; C, circonvolution limbique; sF, premier
sillon
sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-frontal;
rconvolution limbique; sF, premier sillon sous-frontal ; sf, deuxième
sillon
sous-frontal; SR, sillon rostral; Rf, rectangle f
, premier sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-frontal; SR,
sillon
rostral; Rf, rectangle frontal antérieur ;/)ro, s
s-frontal; SR, sillon rostral; Rf, rectangle frontal antérieur ;/)ro,
sillon
prse-ovalaire ; R, scissure de Rolande ; sP, scis
e; Oi, scissure occipitale interne; K, scissure calcarine; ot^, grand
sillon
occipito-temporal; 0^, 0^, 0°, quatrième, cinquiè
rficiel; il est au fond de la scissure. Puis, pour remplacer le grand
sillon
métopique, le tronc de la scissure limbique envoi
pique, le tronc de la scissure limbique envoie en avant, au-dessus du
sillon
rostral {SR), une branche importante qui sert de
r siUon sous-frontal (sF), ne pouvant pas servir d'origine au grand
sillon
métopique, est isolé dans la région sous-frontale
ion sous-frontale, où il se compose de deux tronçons. Quant au second
sillon
sous-frontal (sf), on le voit surgir de la face o
Sur le schéma 29 on remarquera une disposition inverse. Le premier
sillon
sous-frontal (sF) se continue normalement avec le
remier sillon sous-frontal (sF) se continue normalement avec le grand
sillon
métopique (sME). La scissure limbique (L) est sép
e limbique; C, circonvolution limbique; GR, gyrus rectus; sF, premier
sillon
sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-irontal;
que; GR, gyrus rectus; sF, premier sillon sous-frontal ; sf, deuxième
sillon
sous-irontal; sME, grand sillon métopique; R, sci
er sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-irontal; sME, grand
sillon
métopique; R, scissure de Rolando; sP, scissure s
on notera encore une disposition anormale des plis du lobe carré. Le
sillon
pariétal transverse fait défaut ; on sait que ce
obe carré. Le sillon pariétal transverse fait défaut ; on sait que ce
sillon
sert de démarcation entre le gyrus antérieur et l
s postérieur du lobe carré (GQA, GQP). Pour compenser l'absence de ce
sillon
, la scissure sous-pariétale (sP) émet une forte b
oit. L, scissure limbique ; C, circonvolution limbique; sF, premier
sillon
sous-frontal ; sME, grand sillon métopique; -nF,
circonvolution limbique; sF, premier sillon sous-frontal ; sME, grand
sillon
métopique; -nF, grand pli de passage fronto-limbi
nt de n'être plus qu'une mince incisure. Par compensation, le premier
sillon
sous-frontal (sF) prend les apparences d'une véri
ces d'une véritable scissure ; il se continue, en haut, avec le grand
sillon
métopique (sME), et sert ainsi de limite antérieu
minution de longueur (qui correspond à une diminution de surface), le
sillon
pariétal transverse se ramifie en tous sens sur l
me circonvolution occipitale (O6) à la cinquième (0S). De ce fait, le
sillon
du cuneus, au lieu de se jeter dans la scissure o
limbique; sC, sinus du corps calleux; ce, corps calleux; sF, premier
sillon
sous-frontal; sf, deuxième sillon sous-frontal; C
eux; ce, corps calleux; sF, premier sillon sous-frontal; sf, deuxième
sillon
sous-frontal; C, circonvolution limbique; GSF, pr
sous-frontale : itF, grand pli de passage fronto-limbique; sME, grand
sillon
métopique; sme, petit sillon métopique; Pa, lobul
i de passage fronto-limbique; sME, grand sillon métopique; sme, petit
sillon
métopique; Pa, lobule paracentral; R, scissure de
occipitale; K, scissure calcarine ; 06, gyrus cunéiforme ; o£4, grand
sillon
occipito-temporal ; T5, cinquième circonvolution
st d'ailleurs l'opinion de M. Manouvrier. S'il en est ainsi, le grand
sillon
métopique (sME) représente la scissure limbique.
olution frontale, une incisure isolée, allongée, parallèle au premier
sillon
frontal (/i) et qui subdivise la première circonv
deux plis secondaires. Cette incisure, qu'il faut appeler incisure ou
sillon
de la première circonvolution frontale (fi), occu
nuité de la deuxième frontale ; nous l'appelons, de même, incisure ou
sillon
de la deuxième circonvolution frontale (/V). Cell
yp). La troisième, postérieure, tantôt isolée, tantôt branchée sur le
sillon
pariétal, tantôt continue avec le sillon parallèl
olée, tantôt branchée sur le sillon pariétal, tantôt continue avec le
sillon
parallèle, sert de limite antérieure au pli courb
ariétale; it, son incisure temporale; jR, scissure de l'iolando; prs,
sillon
prœ-rolandique supérieur; pi-i, sillon prœ-roland
R, scissure de l'iolando; prs, sillon prœ-rolandique supérieur; pi-i,
sillon
prœ-rolandique inférieur; f^, f„ premier et deuxi
ur; pi-i, sillon prœ-rolandique inférieur; f^, f„ premier et deuxième
sillons
frontaux ; f/, sillon de la première frontale ; f
landique inférieur; f^, f„ premier et deuxième sillons frontaux ; f/,
sillon
de la première frontale ; f^', sillon de la deuxi
deuxième sillons frontaux ; f/, sillon de la première frontale ; f^',
sillon
de la deuxième frontale ; soe, sillon orbitaire e
de la première frontale ; f^', sillon de la deuxième frontale ; soe,
sillon
orbitaire externe ; H, sillon en H du lobule orbi
, sillon de la deuxième frontale ; soe, sillon orbitaire externe ; H,
sillon
en H du lobule orbitaire ; L, scissure limbique ;
rne ; H, sillon en H du lobule orbitaire ; L, scissure limbique ; pt,
sillon
pariétal transverse ; p, sillon pariétal ou inter
rbitaire ; L, scissure limbique ; pt, sillon pariétal transverse ; p,
sillon
pariétal ou interpariélal ; Pi sillon post-roland
sillon pariétal transverse ; p, sillon pariétal ou interpariélal ; Pi
sillon
post-rolandique supérieur;^2 sillonpost-rolandiqu
ssure calcarine; K', branche inférieure de la calcarine ; ti, premier
sillon
temporal ou sillon parallèle ; ^js, sa branche po
, branche inférieure de la calcarine ; ti, premier sillon temporal ou
sillon
parallèle ; ^js, sa branche postéro-supérieure ;
he postéro-supérieure ; tii, sa branche postéro-inférieure ; deuxième
sillon
temporal. s'enfonce dans la partie la plus infé
empêche pas qu'il soit extraordinaire : sa forme, la multiplicité des
sillons
continus ou isolés qui le parcourent, rendent pre
antérieure ; S'", sa branche verticale ; R, scissure de Rolando\prs,
sillon
prœ-rolandique supérieur; pri, sillon prœ-rolandi
e ; R, scissure de Rolando\prs, sillon prœ-rolandique supérieur; pri,
sillon
prœ-rolandique inférieur; ft, f.}, les deux sillo
ue supérieur; pri, sillon prœ-rolandique inférieur; ft, f.}, les deux
sillons
frontaux; F, circonvolution frontale ascendante ;
F2, F3, première, deuxième, troisième circonvolutions frontales; f2,
sillon
de la deuxième frontale; p, sillon pariétal ou in
ème circonvolutions frontales; f2, sillon de la deuxième frontale; p,
sillon
pariétal ou interpariétal; pt, sillon pariétal tr
lon de la deuxième frontale; p, sillon pariétal ou interpariétal; pt,
sillon
pariétal transverse; P, circonvolution pariétale
ier pli de passage externe; t;P, deuxième pli de passage externe; tt,
sillon
parallèle; l|S et ttt, ses branches supérieure et
ième circonvolution frontale ; CAP, cap delà troisième frontale; soe,
sillon
orbitaire externe. jR, scissure de Rolande; F, fr
nte; F\ F^, première et deuxième frontales; P, pariétale ascendante ;
sillon
post-rolandique supérieur; P^, P-, première et de
première et deuxième circonvolutions pariétales; PC, pli courbe; t^,
sillon
parallèle; is, sa branche inférieure; t.^, deuxiè
ourbe; t^, sillon parallèle; is, sa branche inférieure; t.^, deuxième
sillon
temporal; T*,T^,T', première, deuxième-troisième
disposition anormale. En général l'incisure du cap vient du deuxième
sillon
frontal ; si elle part de la scissure de Sylvius,
le ascendante; F5, troisième frontale (circonvolution de Broca); soe,
sillon
orbitaire externe; T1, première circonvolution te
l; le pied inférieur est situé au-dessus de l'extrémité supérieure du
sillon
prse-rolandique inférieur (pri). Cette dispositio
Sylvius ; S", sa branche antérieure; S'", sa branche verticale; pri,
sillon
praroIandique inférieur; R, scissure de Rolando;
dante; F2, deuxièm frontale ; pF2, pied de la deuxième frontale; pri,
sillon
prœ-rolandique inférieur; pFs, pied delà troisièm
illon prœ-rolandique inférieur; pFs, pied delà troisième frontale; p„
sillon
post-rolandique supérieur; p2, sillon post-roland
ied delà troisième frontale; p„ sillon post-rolandique supérieur; p2,
sillon
post-rolandique inférieur; P, pariétale ascendant
ndique inférieur; P, pariétale ascendante; L, scissure limbique ; pi,
sillon
pariétal transverse; Oe, scissure occipitale. S
tomose postérieur de la troisième frontale (Fs) à la deuxième F); ¿1,
sillon
parallèle; Tt, temporale transverse. très commu
ement sa présence, si l'on considère qu'il émerge de la profondeur du
sillon
prœ-rolandique, où il est toujours possible de le
est toujours possible de le trouver lorsqu'on écarte les lèvres de ce
sillon
. Une disposition analogue, mais beaucoup moins
ésentée sur le schéma 59. Ici le pli d'anastomose (718) qui émerge du
sillon
prœ-rolandique inférieur remonte non seulement ju
sure de Sylvius; S", branche antérieure; R, scissure de Rolande; frs,
sillon
praî-rolandique supérieur ; ^ri, sillon pra;-rola
R, scissure de Rolande; frs, sillon praî-rolandique supérieur ; ^ri,
sillon
pra;-rolandique inférieur; F\ première frontale ;
la troisième frontale; F, frontale ascendante ; L, scissure limbique;
sillon
interpariétal; pt, sillon pariétal transverse; Oe
frontale ascendante ; L, scissure limbique; sillon interpariétal; pt,
sillon
pariétal transverse; Oe, scissure occipitale; T%
euxième, ti'oisième circonvolutions temporales; branche inféiieure du
sillon
parallèle. du cap, est relié à la partie moyenn
comprendre une semblable anomalie, il faut d'abord considérer que le
sillon
prse-rolandique supérieur (prs) s'étend au devant
e cette circonvolution, et que, par conséquent, il se confond avec le
sillon
prse-rolandique inférieur [prï). Mais, d'autre pa
n arrière du pied de la troisième frontale émerge de la profondeur du
sillon
prse-rolandique inférieur [yri). Celui-ci ne prés
i ne présente donc rien d'anormal, si ce n'est son anastomose avec le
sillon
prse-rolandique supérieur [prs). Dès lors, tout s
à la base de toutes les théories présentes ou à venir : c'est que les
sillons
les plus précoces répondent, dans la profondeur d
e, ni dans leur épaisseur. Il est donc plus que vraisemblable que les
sillons
ne se montrent à la surface de l'hémisphère que l
premier système de projection. Il s'ensuit que si les incisures, les
sillons
ou les scissures apparaissent à des époques relat
de Broca. S', scissure de Sylvius; ft, scissure de Rolando ; pri,
sillon
prœ-rolandique inférieur ; ft, deuxième sillon
de Rolando ; pri, sillon prœ-rolandique inférieur ; ft, deuxième
sillon
frontal ; F, circonvolution frontale ascendante
es scissures sont les premières en date ; puis on voit se creuser les
sillons
et finalement les incisures. Les scissures et les
creuser les sillons et finalement les incisures. Les scissures et les
sillons
sont constants ; les incisures sont inconstantes.
incisures sont inconstantes. Mais si l'existence des scissures et des
sillons
est constante, leur forme, leur direction, leurs
ule pariétal inférieur; GP, lobule du pli courbe; PC, pli courbe ; p,
sillon
interpariétal ; tt, sillon parallèle ; tti, branc
lobule du pli courbe; PC, pli courbe ; p, sillon interpariétal ; tt,
sillon
parallèle ; tti, branche inférieure du sillon par
lon interpariétal ; tt, sillon parallèle ; tti, branche inférieure du
sillon
parallèle ; i4s, branche supérieure du sillon par
, branche inférieure du sillon parallèle ; i4s, branche supérieure du
sillon
parallèle; ipi, incisure du lobule pariétal infér
p, incisure du lobule du pli courbe; ipc, incisure du pli courbe; p2,
sillon
post-rolandique inférieur; t», deuxième sillon te
ure du pli courbe; p2, sillon post-rolandique inférieur; t», deuxième
sillon
temporal. centes. L'accroissement d'une circonv
ons encore signaler dès maintenant trois exemples assez communs. Le
sillon
pariétal ou interpariétal (p) émet, avons-nous di
chéma 42, on peut voir que ces branches font défaut. C'est le premier
sillon
temporal ou sillon parallèle (tt) qui se charge i
oir que ces branches font défaut. C'est le premier sillon temporal ou
sillon
parallèle (tt) qui se charge ici de faire la comp
t avec l'incisure du pli courbe (ipc). Nous savons également que le
sillon
pariétal (/;) se termine en avant dans le sillon
ons également que le sillon pariétal (/;) se termine en avant dans le
sillon
post-rolandique inférieur (p2). Ici le sillon pos
ermine en avant dans le sillon post-rolandique inférieur (p2). Ici le
sillon
post-rolandique inférieur est isolé. Toutes ces a
lobule pariétal inférieur, qui a effacé les incisures descendantes du
sillon
interpariétal. Pour compenser l'absence de commun
du sillon interpariétal. Pour compenser l'absence de communication du
sillon
interpariétal (p) avec le post-rolandique inférie
iétal supérieur; P'i, pli inférieur du lobule pariétal supérieur; pi,
sillon
pariétal transverse ; P-, lobule pariétal inférie
obule pariétal inférieur; pP^, pied dvi lobule pariétal inférieur; p,
sillon
interpariétal; p.,, sillon post-rolandique supéri
P^, pied dvi lobule pariétal inférieur; p, sillon interpariétal; p.,,
sillon
post-rolandique supérieur confondu avec l'inférie
ge externe ; t: OT, troisième pli de passage externe. antérieure du
sillon
pariétal [p), s'enfoncer profondément, d'arrière
dentique. Ici l'incisure du lobule pariétal inférieur [ipi) émerge du
sillon
interpariétal (p) pour gagner l'opercule du fond
issure de Sylvius ne présente aucune connexion avec elle; et c'est le
sillon
pariétal (p) qui la fournit. Presque toujours,
al (p) qui la fournit. Presque toujours, lorsqu'il en est ainsi, le
sillon
pariétal se jette dans un sillon post-rolandique
toujours, lorsqu'il en est ainsi, le sillon pariétal se jette dans un
sillon
post-rolandique unique (p^, et alors la région pa
ractuosité étoilée, à quatre branches : la branche postérieure est le
sillon
interpariétal (p) ; la branche antérieure est le
rieure est le sillon interpariétal (p) ; la branche antérieure est le
sillon
post-rolandique (pt) ; la branche inférieure (ipi
tal inférieur; la branche supérieure est le prolongement supérieur du
sillon
post-rolandique; il forme la limite antérieure du
té qu'on prend en général pour une seconde scissure de Rolando est le
sillon
prœ-rolandique, lorsque le segment supérieur (prs
orsque le segment supérieur (prs) et le segment inférieur (pri) de ce
sillon
se confondent; ou bien c'est le sillon post-rolan
segment inférieur (pri) de ce sillon se confondent; ou bien c'est le
sillon
post-rolandique qui, par le fait d'une fusion ana
a difficulté est plus grande, au moins en apparence, lorsque les deux
sillons
prœ-rolandique et post-rolandique représentent ch
té continue. Le schéma 44 reproduit un spécimen de cette anomalie. Le
sillon
prœ-rolandique supérieur (prs) se confond avec le
anomalie. Le sillon prœ-rolandique supérieur (prs) se confond avec le
sillon
prœ-rolandique inférieur (pri). Le pied de la deu
ied de la deuxième frontale, qui, dans l'état normal, sépare ces deux
sillons
, est donc séparé ici (pF2) de la frontale ascenda
. Mais voici où l'on trouve une compensation à la continuité des deux
sillons
prœ-rolandiques : les deux sillons frontaux qui d
pensation à la continuité des deux sillons prœ-rolandiques : les deux
sillons
frontaux qui devraient naître, le supérieur dans
les deux sillons frontaux qui devraient naître, le supérieur dans le
sillon
prœ-rolandique supérieur, l'inférieur dans le sil
upérieur dans le sillon prœ-rolandique supérieur, l'inférieur dans le
sillon
prœ-rolandique inférieur, sont isolés à la surfac
r pour une scissure de Rolando supplémentaire. Il en est de même du
sillon
post-rolandique, dont les deux tronçons (pv Pi) s
lon post-rolandique, dont les deux tronçons (pv Pi) se confondent. Le
sillon
interpariétal (p), qui devrait aboutir au sillon
i) se confondent. Le sillon interpariétal (p), qui devrait aboutir au
sillon
post-rolandique inférieur {p2),en est séparé par
ace externe d'un hémisphère droit. R, scissure de Rolando ; prs, pri,
sillons
post-rolandiques supérieur et inférieur, confondu
ost-rolandiques supérieur et inférieur, confondus en un seul; pt, p2,
sillons
post-rolandiques supérieur et inférieur confondus
s) ; P1, lobule pariétal supérieur; P2, lobule pariétal inférieur; p,
sillon
interpariétal. Nous pourrions faire voir, par d
'ascia dentata ; Ilip, circonvolution de l'hippocampe; o(i, grand
sillon
occipito-temporal de Pansch; FOm, lorceps major
a circonvolution de l'hippocampe est limitée en bas par le quatrième,
sillon
temporal (o£4), dont le cul-de-sac profond refoul
rd postérieur de la circonvolution frontale ascendante (F). prs. Le
sillon
prœ-rolandique supérieur, parallèle à la scissure
ontale (pF1). En btís* il reçoit l'extrémité postérieure du premier
sillon
frontal (f{) qui, dirigé horizontalement, sépare
are les deux premières circonvolutions frontales (F1,!*'2). pri. Le
sillon
prse-rolandique inférieur, parallèle, lui aussi,
la frontale ascendante, il reçoit l'extrémité postérieure du deuxième
sillon
frontal (Q. pro. Le sillon prae-ovalaire, situé
çoit l'extrémité postérieure du deuxième sillon frontal (Q. pro. Le
sillon
prae-ovalaire, situé immédiatement en avant de l'
ouve le pied de la première frontale (pF1), contournant l'incisure ou
sillon
prse-ovalaire, à la manière d'un TJ ouvert en ded
nte, sur la face convexe de l'hémisphère, l'extrémité supérieure d'un
sillon
de la face interne, formant la limite antérieure
limite antérieure du lobule ovalaire ou paracentral. fr Le premier
sillon
frontal s'avance horizontalement, d'arrière en av
illon frontal s'avance horizontalement, d'arrière en avant, depuis le
sillon
prse-rolandique supérieur (prs) où il riait, jusq
courbure antérieure du lobe frontal, mais se confond bientôt avec le
sillon
de la deuxième circonvolution frontale (/,,), et
circonvolution frontale (/,,), et c'est là qu'il se termine. fu. Le
sillon
de la première circonvolution frontale ne peut pa
ère circonvolution frontale ne peut pas être confondu avec le premier
sillon
frontal (Q, car il a une très petite étendue et u
e très petite étendue et une très faible profondeur. fr Le deuxième
sillon
frontal prend naissance dans le sillon prse-rolan
e profondeur. fr Le deuxième sillon frontal prend naissance dans le
sillon
prse-rolandique inférieur (pri) ; il a une direct
ieur (pri) ; il a une direction presque perpendiculaire à celle de ce
sillon
. Il forme la limite supérieure de la troisième ci
e du cap (ica). En avant et au delà de l'incisure du cap, le deuxième
sillon
frontal est arrêté par le pli d'anastomose moyen
e pli d'anastomose antérieur des deux mêmes circonvolutions (dBA). Le
sillon
qui semble alors lui faire suite est le sillon ol
convolutions (dBA). Le sillon qui semble alors lui faire suite est le
sillon
olfactif externe (soe). Entre les deux plis d'a
ieur des deuxième et troisième circonvolutions frontales, le deuxième
sillon
frontal envoie un prolongement antérieur, qui gag
gagne la convexité et même la face interne de l'hémisphère : c'est le
sillon
rostral (SR). ica. L'incisure du cap s'avance v
ndre. Elle est ici assez profonde et d'une longueur moyenne. fir Le
sillon
de la deuxième circonvolution frontale a une form
ale (dFM) ; le pli inférieur s'anastomose avec la troisième (xBM). Ce
sillon
n'occupe pas toute la longueur de la deuxième cir
oisinage de la convexité, où il a encore une forme étoiléc. soe. Le
sillon
orbitaire externe sépare la partie la plus inféri
ième frontale (FO3) de la deuxième circonvolution orbitaire (FO2). Ce
sillon
s'étend, d'avant en arrière, entre le pli d'anast
ème et troisième frontales (% BA) et le désert olfactif (DO). H. Le
sillon
en H du lobule orbitaire s'aperçoit au-dessous du
DO). H. Le sillon en H du lobule orbitaire s'aperçoit au-dessous du
sillon
orbitaire externe (soe). En réalité il est sur le
est sur le même plan horizontal et situé à sa partie interne. pr Le
sillon
post-rolandique supérieur, parallèle à la scissur
int pas la scissure interhémisphérique. En bas, il se confond avec le
sillon
post-rolandique inférieur (p,). pr Le sillon po
il se confond avec le sillon post-rolandique inférieur (p,). pr Le
sillon
post-rolandique inférieur, situé en arrière du ge
juste au-dessus de l'opercule pariétal de Sylvius (OP), est un petit
sillon
vertical, dans lequel vient se jeter l'extrémité
sillon vertical, dans lequel vient se jeter l'extrémité antérieure du
sillon
pariétal (p). Il forme la limite antérieure du pi
pariétal inférieur (pP2). Mais il se confond si complètement avec le
sillon
pariétal (p) qu'on peut considérer les deux sillo
mplètement avec le sillon pariétal (p) qu'on peut considérer les deux
sillons
comme n'en faisant qu'un seul. Il est donc vrai q
s deux sillons comme n'en faisant qu'un seul. Il est donc vrai que le
sillon
post-rolandique supérieur (px) se jette dans le p
upérieur (px) se jette dans le post-rolandique inférieur (p2) p. Le
sillon
pariétal décrit d'avant en arrière une grande cou
'avant en arrière une grande courbe à concavité inférieure, depuis le
sillon
post-rolandique inférieur (P*) jusqu'à un tronçon
i courbe (GP), parle pli courbe (PC). Dans la région supérieure, le
sillon
pariétal envoie une branche (pf) qui est le deuxi
ieure, le sillon pariétal envoie une branche (pf) qui est le deuxième
sillon
pariétal transverse. Dans la région inférieure,
qui sépare le lobule du pli courbe (GP) du pli courbe (PC). pt. Le
sillon
pariétal transverse représente la terminaison, à
nsverse représente la terminaison, à la face externe du cerveau, d'un
sillon
qui prend naissance à la face-interne, vers la pa
le premier pli de passage pariéto-occipital (tcO). ptr Le deuxième
sillon
pariétal transverse est ici, comme nous venons de
erse est ici, comme nous venons de le dire, une branche supérieure du
sillon
pariétal. ipi. L'incisure du lobule pariétal in
pli courbe lui-même (PC). ipc. L'incisure du pli courbe provient du
sillon
pariétal (p) et s'enfonce dans le pli courbe, don
dans le pli courbe, dont il augmente les sinuosités. t. Le premier
sillon
temporal ou sillon parallèle s'étend, parallèleme
, dont il augmente les sinuosités. t. Le premier sillon temporal ou
sillon
parallèle s'étend, parallèlement à la scissure de
u troisième pli de passage pariéto-occipital (mOT). Par conséquent le
sillon
parallèle se divise, à sa partie postérieure, en
ne supérieure (tls), et une inférieure (tu). Sur cet hémisphère, le
sillon
parallèle est continu dans toute son étendue; il
profonde, presque jusqu'à l'incisure de l'opercule. t%. Le deuxième
sillon
temporal, parallèle au premier, se compose de tro
(tiOT) et à la troisième circonvolution temporale. f. Le troisième
sillon
temporal ne fait qu'apparaître au-dessous de la t
confond en partie à ce niveau avec la partie postérieure du deuxième
sillon
temporal (Q. L. La scissure limbique, qui appar
irconvolution occipitale (01). Elle reçoit l'extrémité postérieure du
sillon
pariétal (p). K. La scissure calcarine, qui app
a convexité frontale; elle est, dès son origine (pF1), entamée par le
sillon
ou incisure prae-ovalaire (pro). En avant elle s'
ed unique (pF2) à la frontale ascendante (F). Elle est divisée par un
sillon
(fif) en deux plis superposés : le pli supérieur
de ce lobule qui est située en arrière de la branche transversale du
sillon
en H. Dans cette dernière partie de son trajet, o
partie de son trajet, on la voit limitée en dehors et en haut par le
sillon
orbitaire externe (soe) ; on l'appelle, dans cett
niveau de l'opercule frontal (OF). Cette racine remonte au devant du
sillon
prse-rolandique inférieur (pri), puis se recourbe
portion qui fait suite au pied; il est limité en haut parle deuxième
sillon
frontal (Q. Après un trajet de deux centimètres,
vu, en grande partie divisé par une incisure qui provient du deuxième
sillon
frontal (Q et qui mérite d'être appelée l'incisur
de la branche horizontale de Sylvius (S"), au-dessus et en dehors du
sillon
orbitaire externe (soe). Cette dernière partie dt
vius. Elle porte, alors le nom de désert olfactif (DO). En avant du
sillon
orbitaire externe (soe), la troisième circonvolut
formément à la règle générale, entre la scissure de Rolando (R) et le
sillon
post-rolandique supérieur (pj. En bas, la parié
é à la pariétale ascendante, dont il n'est séparé en avant que par le
sillon
post-rolandique supérieur (p^. En arrière, il est
upérieur (p^. En arrière, il est séparé du pli inférieur (P'i) par le
sillon
pariétal transverse (pt). A l'extrémité inférieur
n pariétal transverse (pt). A l'extrémité inférieure et externe de ce
sillon
on voit un pli antéro-postérieur réunir et confon
pariéto-occipital (%0). Il est divisé transversalement par le second
sillon
pariétal transverse (pt%) issu du sillon pariétal
ansversalement par le second sillon pariétal transverse (pt%) issu du
sillon
pariétal (p). nO. Le pli de passage pariéto-occ
ière, la scissure réapparaît pour recevoir l'extrémité postérieure du
sillon
pariétal (p). P2. Le lobule pariétal inférieur
ndante (P) par un pied bien isolé (pP2). En haut il est limité par le
sillon
pariétal (p), en bas par la scissure de Sylvius (
courbe entoure dans sa concavité le fond de la branche supérieure du
sillon
parallèle (tts). Limité en haut par le sillon par
a branche supérieure du sillon parallèle (tts). Limité en haut par le
sillon
pariétal, en avant par l'incisure du pli courbe (
oie un prolongement à la première (O1). Il est séparé, par le premier
sillon
temporal (tti), du troisième pli de passage (tuOT
re circonvolution temporale est séparée de la deuxième par le premier
sillon
temporal (£t), Ce sillon (sillon parallèle) se pr
le est séparée de la deuxième par le premier sillon temporal (£t), Ce
sillon
(sillon parallèle) se prolonge jusque dans la rég
éparée de la deuxième par le premier sillon temporal (£t), Ce sillon (
sillon
parallèle) se prolonge jusque dans la région post
(PS). Elle s'étend d'avant en arrière, entre les premier et deuxième
sillons
temporaux (t± et £2) jusqu'à la deuxième circonvo
s. R. La scissure de Rolando ne présente rien de spécial. pri. Le
sillon
prœ-rolandique inférieur, au contraire, est divis
pF2). C'est dans le tronçon antérieur que prend naissance le deuxième
sillon
frontal (f). On observe surtout cette disposition
branches antérieures de Sylvius ont un tronc commun. fr Le premier
sillon
frontal s'étend d'arrière en avant depuis le sill
. fr Le premier sillon frontal s'étend d'arrière en avant depuis le
sillon
prse-rolandique supérieur (prs) jusqu'au voisinag
e moyen de la première frontale à la deuxième (xFM). fr Le deuxième
sillon
frontal, que nous avons vu naître du tronçon anté
ième sillon frontal, que nous avons vu naître du tronçon antérieur du
sillon
prai rolandique inférieur, est interrompu par le
i d'anastomose postérieur (dB) est intermédiaire aux deux tronçons du
sillon
prœ-rolandique inférieur (pri). p. Le sillon pa
e aux deux tronçons du sillon prœ-rolandique inférieur (pri). p. Le
sillon
pariétal s'étend, d'arrière en avant, depuis le t
ronçon inférieur de la scissure perpendiculaire externe (Oe) jusqu'au
sillon
post-rolandique inférieur (p^). Il envoie une inc
r du lobule pariétal supérieur (P'i) ; cette incisure est le deuxième
sillon
pariétal transverse. ptt. Le deuxième sillon pa
cisure est le deuxième sillon pariétal transverse. ptt. Le deuxième
sillon
pariétal transverse est ici très peu profond. Par
e dedans en dehors, dans le lobule pariétal supérieur (lJ1s). pr Le
sillon
post-rolandique supérieurest séparé du sillon pos
périeur (lJ1s). pr Le sillon post-rolandique supérieurest séparé du
sillon
post-rolandique inférieur (p2) par un pli d'anast
au milieu du lobule du pli courbe. Elle fait suite à une incisure du
sillon
pariétal (p). tt. Le premier sillon temporal ou
le fait suite à une incisure du sillon pariétal (p). tt. Le premier
sillon
temporal ou sillon parallèle est continu dans tou
incisure du sillon pariétal (p). tt. Le premier sillon temporal ou
sillon
parallèle est continu dans toute son étendue, c'e
le sorte que le pli courbe forme deux saillies convexes au-dessous du
sillon
pariétal. De l'exposé qui précède, relativement
l'exposé qui précède, relativement à la disposition des scissures et
sillons
, résultent quelques particularités importantes da
fronto-orbitaire est très volumineuse. Elle est limitée en bas par le
sillon
frordo-orbitaire externe (soe), qui est très prof
la deuxième. C'est de cette double origine que résulte ce fait que le
sillon
de la deuxième frontale communique largement en a
illon de la deuxième frontale communique largement en arrière avec le
sillon
prse-rolandique inférieur (pri). Ce sillon de la
rgement en arrière avec le sillon prse-rolandique inférieur (pri). Ce
sillon
de la deuxième frontale (/"^j ne s'étend pas en a
rès égales par cette scissure. Sa limite postérieui-e est toujours le
sillon
pariétal transverse {pt), qui est ici de très fai
tient à ce que l'incisure du pli courbe {ipc), au lieu de provenir du
sillon
pariétal (p), reste isolée au milieu de la région
eux est séparée de la masse des circonvolutions qui l'entoure, par un
sillon
de faible profondeur qu'on appelle communément si
té antérieure, et se confondant, au-dessous du splenium (SPL) avec le
sillon
de l'hippocampe [sH). Le sinus du corps calleux (
le sillon de l'hippocampe [sH). Le sinus du corps calleux (sC) et le
sillon
de l'hippocampe [sH] sont, par conséquent, un B
hippocampe [sH] sont, par conséquent, un BRISSAUD. 2 seul et môme
sillon
dont nous étudierons les connexions et les rappor
rties médullaires de l'encéphale et les parties corticales : c'est le
sillon
où commence l'hémisphère ; c'est le limbe de l'hé
ce l'hémisphère ; c'est le limbe de l'hémisphère. Tout autour de ce
sillon
se développe d'avant en arrière la grande circonv
; elle se continue ensuite, au-dessus du corps calleux, avec le grand
sillon
métopiquc {sME}, qui n'est, si l'on veut, que la
devant du genou du corps calleux (GC) pour se continuer dans le grand
sillon
métopique (sME). D'autre part, on voit dans la co
on limbique une profonde incisure, parallèle et sous-jacente au grand
sillon
métopique; cette incisure doit être considérée co
portion de la circonvolution limbique qui est intermédiaire au grand
sillon
métopique (sME) et à ce tronçon de la scissure li
e part, entraîne la communication de cette scissure (L) avec le grand
sillon
métopique {SME). Mais un peu plus haut et en arri
a profondeur : à partir de ce moment la scissure limbique et le grand
sillon
métopique se confondent de nouveau, et l'on n'a p
) en arrière du splenium (SPL). Elle reçoit l'extrémité antérieure du
sillon
du cuneus {sCu). K. La scissure calcarine, hori
la face interne de l'hémisphère. Il nous reste à passer en revue les
sillons
. Mais il faut remarquer que, au nombre des scissu
l faut remarquer que, au nombre des scissures, doit figurer encore le
sillon
prse-uncique {PRU), qui, à l'extrémité du lobe te
antérieure de la scissure limbique. — On en peut dire autant du grand
sillon
occipito-temporal (ot^) ou quatrième sillon tempo
peut dire autant du grand sillon occipito-temporal (ot^) ou quatrième
sillon
temporal, dont la constance et la précocité justi
al, dont la constance et la précocité justifient l'assimilation de ce
sillon
à une scissure. ot^. Le grand sillon occipito-t
ustifient l'assimilation de ce sillon à une scissure. ot^. Le grand
sillon
occipito-temporal s'étend d'arrière en avant depu
a partie postérieure. Ce point de branchement est là reprise du grand
sillon
occipito-temporal; il sert de limite inférieure à
gual (0^) et la circonvolution limbique (ttT). — En arrière le grand
sillon
occipito-temporal [ot^) émet une branche, ici déd
autour de laquelle s'enroule le gyrus lingual (0"). sF. Le premier
sillon
sous-frontal, parallèle à l'origine anté rieure
érieur (Rf). La branche inférieure de bifurcation se continue avec le
sillon
rostral (SB), venu de la face convexe de l'hémisp
face convexe de l'hémisphère, où il prend naissance dans le deuxième
sillon
frontal. sf. Le deuxième sillon frontal n'est r
il prend naissance dans le deuxième sillon frontal. sf. Le deuxième
sillon
frontal n'est représenté que par une incisure all
au voisinage du bord inféro-interne de l'hémisphère. sME. Le grand
sillon
métopique, dont il a déjà été question, fait suit
térieur (GMA) et le gyrus métopique postérieur (GMP). sme. Le petit
sillon
métopique, en raison de la profondeur des incisur
t sillon métopique, en raison de la profondeur des incisures du grand
sillon
métopique, se trouve réduit ici à de petites inci
ites incisures, situées au milieu des deux plis métopiqucs. pro. Le
sillon
prae-ovalaire descend du bord supérieur de l'hémi
pli qui appartient au grand pli de passage fronto-limbique (tcF). Le
sillon
prse-ovalaire sépare le gyrus métopique postérieu
yrus métopique antérieur (GMP, GMA). Ces deux incisures, ainsi que le
sillon
prse-ovalaire, très sujettes à varier, quant à le
zontale, occupe l'axe horizontal du lobule paracentral (Pa). pt. Le
sillon
pariétal transverse, venu de la face convexe, s'a
onventionnelle, du lobe frontal et du lobe pariétal. Les scissures,
sillons
et incisures une fois connus, la description des
rieur du lobe carré (GQA) est séparé du gyrus postérieur (GQP) par le
sillon
pariétal transverse (pt), sauf à sa partie inféri
voisinage du pôle sphénoïdal (PS), dont elle n'est séparée que par le
sillon
prse-uncique {PRU). Revenons à la région frontale
arée de la première circonvolution sous-frontale (GSF) par le premier
sillon
sous-frontal {sF) ; mais l'origine de ces deux pl
oyenne une petite incisure étoilée {sme) qui est le rudiment du petit
sillon
métopique. Si les limites antérieure et postérieu
érieur de l'hémisphère, elles ne le sont pas moins au niveau du grand
sillon
métopique {sME), qui émet les deux grandes incisu
ures supérieures dont il a été question ; mais ces incisures du grand
sillon
métopique ne communiquent pas avec les incisures
MP). GMP. Le gyrus métopique postérieur a pour limite antérieure le
sillon
métopique postérieur {imp) et pour limite postéri
re le sillon métopique postérieur {imp) et pour limite postérieure le
sillon
prse-ovalaire {pro). Ici le petit sillon métopiqu
t pour limite postérieure le sillon prse-ovalaire {pro). Ici le petit
sillon
métopique {sme) est représenté par une incisure p
a. Le lobule paracentral, très nettement circonscrit, en avant par le
sillon
prse-ovalaire {pro), en bas par la scissure limbi
incomplètement divisée, du milieu de sa base vers son sommet, par le
sillon
pariétal transverse (pt). BQ. Le bourrelet du l
ale (0^). On constate qu'il est parcouru d'arrière en avant par trois
sillons
à convexité supérieure ; le plus important, ou si
vant par trois sillons à convexité supérieure ; le plus important, ou
sillon
du cuneus {sCu), qui est le plus élevé, se jette
il est volumineux à sa partie postérieure, où il s'enroule autour du
sillon
(si), branché sur le quatrième sillon occipital {
eure, où il s'enroule autour du sillon (si), branché sur le quatrième
sillon
occipital {oQ. Il décrit donc une courbe à concav
al {oQ. Il décrit donc une courbe à concavité antérieure autour de ce
sillon
. En arrière, en bas et en dehors, il se confond a
ue (uT). En bas, il est séparé du lobule fusiforme (0'*) par le grand
sillon
occipito-temporal (o/,^). 0*. Le gyrus fusiform
bas, elle est séparée de la troisième temporale (T") par le troisième
sillon
occipito-temporal (ot^). T\ La troisième circon
circonvolution temporale, intercalée entre les troisième et quatrième
sillons
{ot^, ot,), se confond en arrière avec le gyrus l
le sphénoïdal, séparé, en apparence, du reste du lobe temporal par le
sillon
praî-uncique {PRU) et par le troisième sillon occ
du lobe temporal par le sillon praî-uncique {PRU) et par le troisième
sillon
occipito-temporal, a une forme mamelonnée qui ne
re qu'elle entame profondément, entre l'entaille de Rolande {R) et le
sillon
pariétal transverse (pt). Elle sépare donc complè
riétal, par le pli de passage pariéto-limbique (xL). sF. Le premier
sillon
sous-frontal décrit, lui aussi, une courbure régu
ne qu'au devant du lobe paracentral (Pa). Il se confond avec le grand
sillon
1. Pour les détails de celle préparation, voy.
eux branches antérieures importantes : l'une, qui se continue dans le
sillon
rostral (SR), l'autre qui se continue dans l'inci
uble disposition concentrique de la scissure limbique (L) et du grand
sillon
métopique {sME), il résulte que la première circo
anastomose avec le lobe frontal. Le grand développement du premier
sillon
sous-frontal (sF), continué par le grand sillon m
eloppement du premier sillon sous-frontal (sF), continué par le grand
sillon
métopique {sME), a également pour conséquence la
a également pour conséquence la disparition presque complète du petit
sillon
métopique (sme). Cette compensation par défaut du
petit sillon métopique (sme). Cette compensation par défaut du petit
sillon
métopique est compensée elle-même par la présence
one du lobe carré (PEN) et le pentagone sous-ovalaire (PSO). pt. Le
sillon
pariétal transverse, venu de la convexité, se réf
P) est donc divisé en deux plis secondaires par le dédoublement de ce
sillon
. On remarquera, par compensation, l'absence des i
rré (GQA, GQP). Oi. La scissure occipitale interne ne reçoit pas le
sillon
du cuneus (sCu). Ce sillon est remplacé à la surf
issure occipitale interne ne reçoit pas le sillon du cuneus (sCu). Ce
sillon
est remplacé à la surface de cette circonvolution
étroite surface de la deuxième circonvolution occipitale (0^). Les
sillons
de la région temporale ne présentent rien qui les
en qui les différencie de ceux du premier hémisphère. ot^. Le grand
sillon
occipito-temporal, toutefois, n'est interrompu pa
de l'hippocampe, limitée en bas, dans toute son étendue, par le grand
sillon
occipito-temporal (o/J présente à son extrémité a
tata et la circonvolution de l'hippocampe on voit s'enfoncer un petit
sillon
, longitudinal dans son ensemble, mais qui suit to
ble, mais qui suit toutes les sinuosités du fascia dentata : c'est le
sillon
de l'hippocampe (SH). En haut et en arrière, ce s
ata : c'est le sillon de l'hippocampe (SH). En haut et en arrière, ce
sillon
passe, avec la circonvolution limbique au-dessus
bution du tronc et des branches de la scissure de Sylvius (-S') et du
sillon
parallèle ou premier sillon temporal {t^). S'.
hes de la scissure de Sylvius (-S') et du sillon parallèle ou premier
sillon
temporal {t^). S'. La branche externe de la sci
ius en arrière, entraîne, par compensation, une notable diminution du
sillon
pariétal en avant (p). Ce sillon n'aboutit pas au
pensation, une notable diminution du sillon pariétal en avant (p). Ce
sillon
n'aboutit pas au sillon post-rolandique inférieur
iminution du sillon pariétal en avant (p). Ce sillon n'aboutit pas au
sillon
post-rolandique inférieur (p,). 11 s'ensuit que l
utit pas au sillon post-rolandique inférieur (p,). 11 s'ensuit que le
sillon
post-rolandique inférieur (p.^) et le sillon post
(p,). 11 s'ensuit que le sillon post-rolandique inférieur (p.^) et le
sillon
post-rolandique supérieur (p^) communiquent large
dante. S"\ La branche verticale de Sylvius s'élève parallèlement au
sillon
prse-rolandique inférieur (prî) qui se dédouble p
st excessivement courte. Sa brièveté est compensée par la longueur du
sillon
orbitaire externe (soe), qui la supplée quelquefo
orbitaire externe (soe), qui la supplée quelquefois totalement. Le
sillon
parallèle, ou premier sillon temporal, suit presq
la supplée quelquefois totalement. Le sillon parallèle, ou premier
sillon
temporal, suit presque toujours, comme son nom l'
ci va se jeter dans l'incisure du lobule pariétal inférieur (ipi), le
sillon
parallèle (t^) va se jeter dans l'incisure du lob
re du lobule du pli courbe {igp). Il en résulte que la terminaison du
sillon
parallèle, au lieu de se trouver au voisinage de
inage de la convexité du lobule du pli courbe (GP). t^. Le deuxième
sillon
temporal se comporte de la même façon. Au lieu d'
importante, tandis que sa branche principale, compensant l'absence du
sillon
parallèle (t^) dans le pli courbe, va se terminer
e Sylvius, rien d'anormal. De même, on peut admettre que le premier
sillon
temporal ou sillon parallèle {t^) se termine dans
normal. De même, on peut admettre que le premier sillon temporal ou
sillon
parallèle {t^) se termine dans le pli-courbe au n
de l'incisure de ce pli (ipc). Il suffit, pour cela, de considérer le
sillon
parallèle comme devenant très peu profond et en q
résente. Personne ne contestera que, sur l'hémisphère en question, le
sillon
parallèle {Q se continue franchement et se termin
urface de la première circonvolution temporale (T*). t^. Le premier
sillon
temporal, dès lors, perd de son importance; il n'
n ne peut suppléer à la constatation de visu de cette répartition des
sillons
et des circonvolutions, assez difficile à concevo
upérieure (P's) à la pariétale inférieure (P') interrompt le cours du
sillon
pariétal [p). Mais c'est un fait assez fréquent p
haut un cap très peu proéminent (CAP). Par compensation, le deuxième
sillon
frontal (Q envoie à la surface du cap une double
tte absence presque complète de la branche horizontale de Sylvius, le
sillon
orbitaire externe [soe] prend un accroissement tr
aine une compensation (en moins) au niveau du lobule orbitaire, où le
sillon
, dit sillon en H, est réduit à deux incisures lon
pensation (en moins) au niveau du lobule orbitaire, où le sillon, dit
sillon
en H, est réduit à deux incisures longitudinales.
La distance qui sépare le milieu de la scissure de Rolando (jR) et le
sillon
rostral (SR) est plus grande que la distance qui
e la double insertion de la deuxième frontale (pF^). fj. Le premier
sillon
frontal se branche sur un sillon prse-rolandique
ème frontale (pF^). fj. Le premier sillon frontal se branche sur un
sillon
prse-rolandique supérieur à trois grands rameaux
on prse-rolandique supérieur à trois grands rameaux (prs). Ce premier
sillon
frontal (f^) s'étend d'arrière en avant dans tout
vé au voisinage de l'extrémité antérieure de l'hémisphère, le premier
sillon
frontal se recourbe en arrière et va se terminer
ans la région externe du lobule orbitaire, au-dessous et en dedans du
sillon
orbitaire externe (soe). Cette pénétration du pre
edans du sillon orbitaire externe (soe). Cette pénétration du premier
sillon
Irontal (Q dans la région orbitaire entraîne, par
région orbitaire entraîne, par compensation, une grande réduction du
sillon
en //. f^. Le deuxième sillon frontal prend nai
compensation, une grande réduction du sillon en //. f^. Le deuxième
sillon
frontal prend naissance dans un sillon prse-rolan
illon en //. f^. Le deuxième sillon frontal prend naissance dans un
sillon
prse-rolandique inférieur dédoublé (pri) ; il env
me. Il reparaît au-dessous et en avant de ce pli, où il représente le
sillon
orbitaire externe (soe). Mais ce sillon orbitaire
e ce pli, où il représente le sillon orbitaire externe (soe). Mais ce
sillon
orbitaire externe se compose de deux tronçons. Ce
ine ébauché; il s'ensuit en outre que, pour compenser son absence, le
sillon
orbitaire externe {soe) se dédouble. Le tronçon s
e sillon orbitaire externe {soe) se dédouble. Le tronçon supérieur du
sillon
orbitaire externe doit être, par conséquent, cons
ntale (GFs), et une racine inférieure (xB) entre les deux branches du
sillon
prse-rolandique inférieur dédoublé {pri). p. Le
branches du sillon prse-rolandique inférieur dédoublé {pri). p. Le
sillon
pariétal est interrompu à sa partie moyenne par u
iels. Ce qui est plus important à signaler, c'est la communication du
sillon
pariétal {p) avec la scissure perpendiculaire ext
endiculaire externe s'enfonce directement de dedans en dehors dans le
sillon
pariétal {p). Il n'y a donc pas, sur cet hémisphè
ment inusité de la première circonvolution occipitale (0') \ t^. Le
sillon
parallèle ou premier sillon temporal est interrom
circonvolution occipitale (0') \ t^. Le sillon parallèle ou premier
sillon
temporal est interrompu, dans son trajet d'avant
anches : la branche postérieure se confond en partie avec le deuxième
sillon
temporal {t^), pour former la limite inférieure d
t. F'. La première frontale, bien développée, est subdivisée par le
sillon
de la première frontale (/"/) en deux plis second
la première frontale (/"/) en deux plis secondaires et parallèles. Ce
sillon
de la première frontale (/"/) se prolonge oblique
nastomose moyen de F* à F% lequel interrompt la continuité du premier
sillon
frontal {Q. F-. La deuxième frontale, très volu
divisée, dès son origine, par une profonde incisure (/"/), tronçon du
sillon
de la deuxième frontale. /¦/. Le sillon de la d
incisure (/"/), tronçon du sillon de la deuxième frontale. /¦/. Le
sillon
de la deuxième frontale n'est parallèle au premie
. /¦/. Le sillon de la deuxième frontale n'est parallèle au premier
sillon
que dans la région antérieure. — Dans la région m
cales, soit par de grandes branches, également verticales, du premier
sillon
frontal (/¦J et du second {Q. f^. Le second sil
ales, du premier sillon frontal (/¦J et du second {Q. f^. Le second
sillon
frontal est interrompu trois fois : T en arrière,
tion absolument normale ; l'incisure du cap, prolongement du deuxième
sillon
frontal (/"J, s'avance même à une certaine distan
mieux dessinées et plus anfractueuses que sur l'hémisphère droit; le
sillon
orbitaire externe {soe), dont le dédoublement com
e la deuxième pariétale (pP^) et la deuxième pariétale (P^). t^. Le
sillon
parallèle ou premier sillon temporal s'étend, san
) et la deuxième pariétale (P^). t^. Le sillon parallèle ou premier
sillon
temporal s'étend, sans interruption et parallèlem
joignent qu'au niveau du deuxième pli de passage externe (xP). — Le
sillon
parallèle se remarque encore par ce fait qu'il co
r la lésion sur la représentation exacte du cerveau lui-même. p. Le
sillon
pariétal est continu, depuis son extrémité antéri
n pariétal est continu, depuis son extrémité antérieure, au niveau du
sillon
post-rolandique inférieur (pj jusqu'à son extrémi
's). Ce pli mamelonné s'observe très fréquemment dans cette région du
sillon
pariétal, qui présente une forme étoilée. P. La
tion comme le rudiment d'une scissure de Rolando accessoire. pt. Le
sillon
pariétal transverse et pt^ le second sillon parié
ando accessoire. pt. Le sillon pariétal transverse et pt^ le second
sillon
pariétal transverse divisent le lobule pariétal s
ès simple. Rf. Le rectangle frontal antérieur, limité en bas par le
sillon
rostral (Si?), en haut par l'incisure métopique a
ieure (ima) esta peine reconnaissable ; il est subdivisé par un petit
sillon
vertical qui lui donne l'aspect d'un bissac ; il
MA). GMP. Le gyrus métopique postérieur ne présente pas la série de
sillons
horizontaux qui forment dans leur ensemble le pet
série de sillons horizontaux qui forment dans leur ensemble le petit
sillon
métopique (sme). On ne trouve ce sillon que dans
t dans leur ensemble le petit sillon métopique (sme). On ne trouve ce
sillon
que dans le gyrus métopique antérieur (GMA). Comm
rrête dans le gyrus métopique antérieur, on ne reconnaît pas le grand
sillon
métopique (sME) au-dessous du gyrus métopique pos
ées dans le gynus métopique postérieur ; elles correspondent au grand
sillon
métopique manquant {sME). Pa. Le lobule paracen
l'incisure ovalaire qui, en réalité, supplée à l'absence du véritable
sillon
prae-ovalaire. GQA. Le gyrus antérieur du lobe
e l'hémisphère, ainsi que cela se voit sur le cerveau schématique. Le
sillon
pariétal transverse (pt) n'atteint pas en effet l
le pli de passage cunéo-limbique qui est en général profond. Enfin le
sillon
du cuneus (sCu) ne s'anastomose pas avec la sciss
ntéro-postérieur une étendue tout à fait inusitée. '¦ sME. Le grand
sillon
métopique, étant donné le très petit développemen
ieure au grand pli de passage pariéto-frontal (tcF). sF. Le premier
sillon
sous-frontal est en continuité avec le grand sill
sF. Le premier sillon sous-frontal est en continuité avec le grand
sillon
métopique (sME). 11 peut être, lui aussi, confond
e l'hémisphère, et va se jeter dans le lobule paracentral en avant du
sillon
prae-ovalaire (pro). Dans cette dernière partie d
même raison, offre un volume absolument extraordinaire ; et le petit
sillon
métopique (sme) long et profond peut être pris po
t sillon métopique (sme) long et profond peut être pris pour le grand
sillon
métopique.— En réalité nous pensons qu'on est en
étopique.— En réalité nous pensons qu'on est en droit d'appeler grand
sillon
métopique ce que nous avons appelé ici petit sill
t d'appeler grand sillon métopique ce que nous avons appelé ici petit
sillon
métopique ; mais, comme il est possible de retrou
avec le gyrus postérieur (GQP) en raison de la très petite étendue du
sillon
pariétal transverse (pt). Mais, par compensation,
ente ici. Bien plus, on voit ce pli de passage (xF) surgir du premier
sillon
sous-frontal (sF), qui se bifurque pour lui faire
ns. Elle occupe, dans la partie antérieure du lobe carré, la place du
sillon
pariétal transverse; et dans la partie postérieur
antéro-inférieurc du lobule paracentral (Pa). Pour franchir le grand
sillon
métopique (sME), ce pli de passage (xF) disparait
al doit la complication de son incisure moyenne (io). sME. Le grand
sillon
métopique, en apparence confondu avec la scissure
ais sans atteindre le bord supérieur de l'hémisphère. sme. Le petit
sillon
métopique, du fait que le grand sillon est confon
l'hémisphère. sme. Le petit sillon métopique, du fait que le grand
sillon
est confondu avec la scissure limbique, présente
, présente la continuité, la profondeur et les ramifications du grand
sillon
métopique. pt. Le sillon pariétal transverse, d
a profondeur et les ramifications du grand sillon métopique. pt. Le
sillon
pariétal transverse, du fait que la scissure limb
tions secondaires. sP. La scissure sous-pariétale, remplacée par le
sillon
pariétal transverse, n'a plus qu'une importance a
il est, comme elle, superficiel, et sa largeur est telle que le grand
sillon
métopique en est effacé; il ne se présente que so
étendue du grand pli de passage fronto-limbique (xF). sME. Le grand
sillon
métopique étant réduit à deux simples inci-sures,
llon métopique étant réduit à deux simples inci-sures, c'est le petit
sillon
métopique (sme) qui présente l'étendue et la cont
llon métopique (sme) qui présente l'étendue et la continuité du grand
sillon
. La compensation est évidente. Pa. Le lobule pa
. Il présente une grande hauteur, et son incisure (io) consiste en un
sillon
horizontal très allongé et très profond, qui comm
ontal très allongé et très profond, qui communique d'une part avec le
sillon
prae-ovalaire (pro) et s'avance d'autre part dans
ompensation du faible développement de la scissure limbique. pt. Le
sillon
pariétal transverse, qui sépare le gyrus antérieu
let du lobe carré (GQP et BQ). De cette dis position des scissures et
sillons
du lobe carré il résulte que le lobule est divisé
peu profonde (pt). Cette incisure n'est cependant autre chose que le
sillon
pariétal transverse. Si l'on voit ce sillon rédui
endant autre chose que le sillon pariétal transverse. Si l'on voit ce
sillon
réduit ici à une si faible importance, c'est parc
e sur la face externe du cerveau, pour compenser la faible étendue du
sillon
pariétal transversc (pt) qui, lui, n'atteint pas
e forme très compliquée. Cela tient à ce qu'il est parcouru par trois
sillons
horizontaux et ramifiés, dont la présence est fac
st facile à expliquer si l'on tient compte de la maigre importance du
sillon
principal (sCu). sCîi. Le sillon principal du c
compte de la maigre importance du sillon principal (sCu). sCîi. Le
sillon
principal du cuneus ne représente ici, en elTet,
sens inverse, c'est-à-dire d'arrière en avant, une branche du premier
sillon
occipital (oj venue de la face externe du cerveau
de la face externe du cerveau. Cette branche représente un tronçon du
sillon
du cuneus (sCu), anastomosée avec le premier sill
nte un tronçon du sillon du cuneus (sCu), anastomosée avec le premier
sillon
occipital. Enfin, pour parfaire la compensation,
ique. Il n'y a à relever, comme particularité, que l'absence du petit
sillon
métopique dans la partie la plus antérieure. Enco
cette absence est-elle compensée par les ramifications [sme) du grand
sillon
métopique (sME). D'ailleurs, dans le gyrus métopi
ssure limbique (L) qui correspondent aux tronçons disséminés du petit
sillon
métopique sur le cerveau schématique. PEA. Le p
tral (Pa) présente, par compensation, une hauteur anormale. pro. Le
sillon
prae-ovalaire, qui limite suffisamment le lobule
onsidérable du lobule lingual (0^), et les ramifications multiples du
sillon
(si) de ce lobule. Figure 1. nÉMISPKÈRE DROIT
érieur (GMA) et le gyrus métopique postérieur (GMP). sF. Le premier
sillon
sous-frontal circonscrit de la même façon le prem
MP) au lieu de se continuer avec le lobule paracentral (Pa). Le grand
sillon
métopique (sME) est, de cette façon, interrompu d
comme il est, malgré tout, très profond et très anfractueux, le petit
sillon
métopique (sme) n'existe pas; ou du moins il n'es
r les très nombreuses incisures verticales qui partent (sme) du grand
sillon
métopique [sME). sf. Le second sillon sous-fron
es qui partent (sme) du grand sillon métopique [sME). sf. Le second
sillon
sous-frontal, en raison de l'énorme développement
sens antéro-postérieur; l'un d'eux, le supérieur, se continue avec le
sillon
ros tral (SR). GQA. Le gyrus antérieur du lobe
ure sous-pariétale. 0^ Le gyrus lingual, limité en bas par le grand
sillon
occipito-temporal (ot^), est formé de replis nomb
rand sillon occipito-temporal (ot^), est formé de replis nombreux; le
sillon
du gyrus lingual (si) émet trois fortes incisures
mbique ne forment qu'un seul et même pli, limité en haut par le grand
sillon
méto- pique (sME). On sait cependant que le gra
r le grand sillon méto- pique (sME). On sait cependant que le grand
sillon
métopique ne peut pas servir de limite supérieure
vec la branche principale de h scissure sous-pariétale (sP), c'est le
sillon
pariétal transverse (pt] qui communique avec la s
et le gyrus postérieur du lobe carré, séparés l'un de l'autre par le
sillon
pariétal transverse (pt), sont, d'autre part, sép
ppocampe, sans toucher le fascia dentata dont elle est séparée par un
sillon
, le sillon de l'hippocampe. En avant elle se term
ans toucher le fascia dentata dont elle est séparée par un sillon, le
sillon
de l'hippocampe. En avant elle se termine sur le'
l ou pôle sphénoïdal (PS). Elle est séparée du pôle sphénoïdal par un
sillon
(PRU), le sillon prse-uncique, qui représente vir
dal (PS). Elle est séparée du pôle sphénoïdal par un sillon (PRU), le
sillon
prse-uncique, qui représente virtuellement la ter
jà rappelé ce fait, bien mis en évidence par Broca). En arrière de ce
sillon
, la circonvolution de l'hippocampe se renverse et
volution et de la portion réfléchie ou uncus que vient se terminer le
sillon
de l'hippocampe. Une. Le crochet ou uncus de la
ata dépasse cette pointe, longe la face interne du crochet au fond du
sillon
de l'hippocampe, puis se relève à angle droit, et
on (GR) va de l'extrémité antérieure du cerveau, où l'on distingue le
sillon
rostral {SB), jusqu'au voisinage du chiasma optiq
T*. La première circonvolution temporale, limitée en arrière par le
sillon
parallèle (t^), se confond en avant avec la deuxi
tion avec la troisième (T^) et interrompent la continuité du deuxième
sillon
temporal {Q ou occipito-temporal [ot^). i. Le c
sième circonvolution occipitale (0^) par un prolongement du troisième
sillon
(oL). Mais la séparation n'est qu'apparente: à la
se continue avec la troisième occipitale (0^), en dehors du troisième
sillon
. T*. La quatrième circonvolution temporale, fon
le, fondue avec la troisième en avant, borde l'hémisphère en avant du
sillon
prœ-uncique (PRU). En arrière, elle se continuera
ment avec la quatrième occipitale (0') ou gyrus fusiforme, n'était un
sillon
d'anastomose transversal entre les troisième et q
t un sillon d'anastomose transversal entre les troisième et quatrième
sillons
temporaux {oL, ot^). T. La circonvolution de l'
ot^). T. La circonvolution de l'hippocampe, limitée en avant par le
sillon
prse-uncique (PRU), apparaît sous la forme d'un l
itée en dedans par la fente de Bichat (Bf), et en dehors par le grand
sillon
occipito-tem-poral {otj dont la continuité est in
avant du pli de passage temporo-limbique. L'interruption de ce grand
sillon
occipito-temporal est une compensation évidente d
de ce grand sillon occipito-temporal est une compensation évidente du
sillon
de communication qui sépare le lobule fusiforme (
fusiforme, réellement allongé en forme de fuseau, entre le troisième
sillon
temporal {oQ et le quatrième {ot^}, communique en
ingual, limité en dedans par la calcarine (K), en dehors par le grand
sillon
occipito-temporal (ot^) est divisé en deux plis p
occipito-temporal (ot^) est divisé en deux plis par la pénétration du
sillon
lingual (si), branche du grand sillon occipito-te
deux plis par la pénétration du sillon lingual (si), branche du grand
sillon
occipito-temporal. 11 communique en dehors avec l
rne de la circonvolution fronto-orbitaire externe (FO'") est un petit
sillon
, perdu à la région externe du lobule orbitaire, p
e de Sylvius et considéré comme la continuation virtuelle du deuxième
sillon
frontal; ce sillon est le sillon orbitaire extern
sidéré comme la continuation virtuelle du deuxième sillon frontal; ce
sillon
est le sillon orbitaire externe (soe). soe. Le
a continuation virtuelle du deuxième sillon frontal; ce sillon est le
sillon
orbitaire externe (soe). soe. Le sillon orbitai
n frontal; ce sillon est le sillon orbitaire externe (soe). soe. Le
sillon
orbitaire externe est ici, au contraire, un grand
). soe. Le sillon orbitaire externe est ici, au contraire, un grand
sillon
profond, qui, loin d'être perdu dans la région or
circonvolution orbitaire externe (FO^) et du désert olfactif (DO). Ce
sillon
fait suite immédiatement au deuxième sillon front
désert olfactif (DO). Ce sillon fait suite immédiatement au deuxième
sillon
frontal (/"j, lorsque celui-ci passe de la face c
e de Sylvius (S"). Une conséquence de cette compensation est que le
sillon
en // est complètement déformé. Il n'est représen
on voit s'élever deux rameaux ; par contre, la continuité du deuxième
sillon
frontal (/"J avec le sillon orbitaire externe (so
x ; par contre, la continuité du deuxième sillon frontal (/"J avec le
sillon
orbitaire externe (soe), démontre aussi la contin
rtion de la région orbitaire qui est située au devant et en dedans du
sillon
orbitaire externe {soe), appartient au lobule orb
e frontale (F') ; tout ce qui est situé en arrière et en dehors de ce
sillon
appartient à la troisième frontale (CAP), à la fr
fronto-orbitaire externe (FO^) et au désert olfactif (DO). soi. Le
sillon
olfactif ou orbitaire interne enfin présente ici
factif (OLE) et va se terminer dans une branche antérieure du premier
sillon
frontal {f^). Celle-ci communique également avec
rontal {f^). Celle-ci communique également avec un rameau du deuxième
sillon
frontal qui aboutit au sillon rostral {SR). Ainsi
ue également avec un rameau du deuxième sillon frontal qui aboutit au
sillon
rostral {SR). Ainsi le sillon orbitaire interne {
deuxième sillon frontal qui aboutit au sillon rostral {SR). Ainsi le
sillon
orbitaire interne {soi) représente à la face infé
a face inférieure du lobe frontal le prolongement réfléchi du premier
sillon
frontal, comme la circonvolution olfactive intern
). 0*. Le gyrus fusiforme est toujours intercalé entre le troisième
sillon
occipito-temporal (or) et le grand sillon occipit
ntercalé entre le troisième sillon occipito-temporal (or) et le grand
sillon
occipito-temporal {ot^). Mais ici, tandis que le
e grand sillon occipito-temporal {ot^). Mais ici, tandis que le grand
sillon
occipito-temporal est continu et ne présente aucu
son étendue antéro-postérieure, il n'en est pas de même du troisième
sillon
. Des deux côtés, ce sillon est traversé par un la
eure, il n'en est pas de même du troisième sillon. Des deux côtés, ce
sillon
est traversé par un large pli d'anastomose qui fa
iane du lobule fusiforme qui compense par son importance le troisième
sillon
occipito-temporal (oL). On notera d'ailleurs que
roit (côté gauche de la figure) n'est pas occupé en son milieu par le
sillon
en IL Ce lobule se compose de trois circonvolutio
". La branche horizontale de Sylvius est de très petite dimension. Le
sillon
orbitaire externe (soe) ne la compense pas. Toute
dédoublé', ce qui diminue d'autant, par compensation, l'importance du
sillon
or])itaire externe (.s-oe) réduit ici à une incis
uxième (FO^). Ce refoulement fait disparaître le trait transversal du
sillon
en //; mais la forme générale du lobule orbiiaire
ales (T\ T, T) ; la première est séparée de la seconde par le premier
sillon
temporal {l^} ou sillon parallèle, toujours très
ière est séparée de la seconde par le premier sillon temporal {l^} ou
sillon
parallèle, toujours très profond. La deuxième cir
rme une longue languette oblique en avant et en dehors, que limite le
sillon
parallèle, profondément enfoncé dans le lobe temp
temporal. Toute la surface de l'écorce qui s'étend jusqu'au deuxième
sillon
temporal (t^) appartient à la deuxième circonvolu
) appartient à la deuxième circonvolution temporale. En arrière de ce
sillon
vient la troisième circonvolution (T^) ; elle est
la troisième circonvolution (T^) ; elle est séparée :par le troisième
sillon
(L) du pôle occipital (PO), où l'on voit s'enfonc
e la paroi du troisième ventricule où l'on reconnaît la dépression du
sillon
de Monro (M) ; derrière celui-ci on reconnaît le
de l'hémisphère est représentée par le lobule lingual (0^). Le grand
sillon
occipito-temporal (o/J envoie des prolongements p
ec la troisième frontale (F^H-F^). Derrière la troisième frontale, le
sillon
prae-rolan-dique inférieur (pri) s'enfonce entre
tte circonvolution et sa partie moyenne; il se jette dans le deuxième
sillon
frontal, qui s'avance en dedans de la portion du
T), la troisième (T^) ; derrière la troisième temporale, le troisième
sillon
temporal (L), dédoublé, forme la limite antéro-ex
entriculaire par la substance grise qui double le cul-de-sac du grand
sillon
occipito-temporal (o^J. La paroi supérieure est f
malgré la disparition de la corne occipitale, à la partie externe du
sillon
occipito-temporal dePansch (ot^), et en dehors de
e plancher du ventricule sphénoïdal, au-dessus du cul-de-sac du grand
sillon
occipito-temporal (0^4). En dehors, il se confond
obe frontal, il est toujours situé en dehors de la substance grise du
sillon
olfactif interne (soi). ' COUPES VERTICO-TRANSV
t sur les coupes de n'importe quel cerveau faites au môme niveau. Les
sillons
ont une grande profondeur, et les invaginations d
quième circonvolution occipito-temporale) a pour limite inférieure un
sillon
profond dirigé d'avant en arrière et, incliné sur
ace de section, de bas en haut et de dedans en dehors. C'est le grand
sillon
occipito-temporal [ot^) ou quatrième sillon tempo
en dehors. C'est le grand sillon occipito-temporal [ot^) ou quatrième
sillon
temporal. Il est d'une constance absolue dans ses
commence à s'incliner en bas et en dehors, de sorte que le troisième
sillon
occipito-temporal (0^5), situé en dehors du gyrus
emière circonvolu-tion occipitale (0'), s'étend un plan incliné, sans
sillons
ni incisures : c'est le premier pli de passage (-
re le bord supérieur de l'hémisphère et la terminaison postérieure du
sillon
interpariétal {p). Ce dernier sillon, situé ici t
et la terminaison postérieure du sillon interpariétal {p). Ce dernier
sillon
, situé ici très bas, en raison de sa courbure (vo
occipito-temporale (T^). Au-dessous de celle-ci s'enfonce le deuxième
sillon
occipito-temporal {ot^). Puis vient au-dessous de
deuxième sillon occipito-temporal {ot^). Puis vient au-dessous de ce
sillon
, presque toujours horizontal sur les coupes, la t
tout en bas et en dedans. Il est au-dessous de la calcarine [K) et du
sillon
interpariétal (p). Ses bords sont assez nettement
nous le retrouverons ; 2" un petit faisceau à cheval sur le troisième
sillon
temporal [ot^ qu'on ne peut poursuivre plus en av
d'une cavité au beau milieu de la substance blanche, entre le fond du
sillon
pariétal [p) et le fond de la scissure calcarine
lingual (0"'). Celui-ci est borné, en bas et en dehors, par le grand
sillon
occipito-temporal (de Pansch) ou quatrième sillon
ehors, par le grand sillon occipito-temporal (de Pansch) ou quatrième
sillon
temporal (o^*). Le gyrus fusiforme, situé en deho
ec la troisième circonvolution occi-pito-temporale (T^). Le troisième
sillon
teniporal, qui les sépare l'un de l'autre [oQ,
sur la coupe précédente. Cela résulte de la situation plus élevée du
sillon
pariétal [p), qui est ici, en effet, plus voisin
), en partie confondu avec le lobule pariétal supérieur (P'), puis le
sillon
pariétal, au-dessous duquel on reconnaît la coupe
rconscrit, à la manière d'un fer à cheval, l'extrémité postérieure du
sillon
parallèle (^j. Viennent ensuite le deuxième sillo
ité postérieure du sillon parallèle (^j. Viennent ensuite le deuxième
sillon
occipito-temporal {oQ et la troisième circonvolut
re calcarine [K] s'enfonce plus profondément. — A la face externe, le
sillon
parallèle [t^) acquiert de la profondeur. Le sill
face externe, le sillon parallèle [t^) acquiert de la profondeur. Le
sillon
interpariétal (p) se bifurque. Cavité ventricul
mbrassant les circonvolutions pariétales à l'extrémité postérieure du
sillon
interpariétal. Il prend son origine, comme nous l
vons déjà dit, dansPécorce du pli courbe (PC); mais toute l'écorce du
sillon
pariétal et la partie inférieure du lobule pariét
onvolutions qu'il traverse. Il est en rapport surtout avec le fond du
sillon
du cuneus [sCu] et avec le cuneus, dont il longe
postéro-supérieur du lobe carré (Q). — Sur la face interne on voit le
sillon
du cuneus {sCu) se jeter dans la scissure perpend
que l'existence de l'une d'elles est à peu près constante. — Le grand
sillon
occipito-temporal {ot^) diminue de profondeur. Il
al {ot^) diminue de profondeur. Il semble réduit aux proportions d'un
sillon
de troisième ou quatrième ordre. Mais il n'est pa
et séparées, dans la totalité de leur trajet antéro-postérieur, parce
sillon
, si peu profond qu'il soit. On peut constater ici
parce sillon, si peu profond qu'il soit. On peut constater ici que le
sillon
occipito-temporal {ot^), malgré sa faible pénétra
interne s'allonge en dedans sous forme d'une pointe, correspondant au
sillon
inféro-interric [Dsu) dont il sera question plus
sceau compact du fornix (FCF). Celui-ci, aplati par le refoulement du
sillon
du cuneus [sCu), s'accole plus intimement à la fa
nt de l'angle inféro-interne du ventricule, c'est-à-dire au-dessus du
sillon
[Dsu). On en peut dire autant de la lame feston
itement en rapport avec la paroi interne du ventricule (FI). Le grand
sillon
occipito-temporal (o^J reprend de la profondeur,
paroi inférieure de la cavité ventriculaire. — A la face externe, le
sillon
interpariétal (p) s'avance de haut en bas vers le
) s'avance de haut en bas vers le faisceau sensitif (FS). Le deuxième
sillon
temporal [ot^) est interrompu par un pli de passa
au compact du fornix traverse encore ici le cuneus (0^) et le fond du
sillon
du cuneus (sCu). Mais comme il fournit à la subst
du faisceau pariéto-frontal (FPF), et aller se jeter dans l'écorce du
sillon
interpariétal (p). FOV. Quant au faisceau occip
al (0"). FCF. Le faisceau compact du fornix s'applique au fond du ;
sillon
du cuneus, mi-partie au-dessus, mi-partie au-dess
; sillon du cuneus, mi-partie au-dessus, mi-partie au-dessous de ce i
sillon
{sCu). Au-dessous de lui, les fibres moyennes du
(0"j et le gyrus fusiforme (0^), séparés l'un de l'autre par le grand
sillon
occipito-temporal [ot^). Celui-ci a repris toute
utre que le premier pli de passage pariéto-occipital. — Au-dessous du
sillon
interpariétal {p), le lobule pariétal inférieur r
rconvolution temporale (T*), et il n'en est séparé que par le fond du
sillon
parallèle. p. Le sillon parallèle, à son extrém
), et il n'en est séparé que par le fond du sillon parallèle. p. Le
sillon
parallèle, à son extrémité postérieure, se divisa
rc, toujours représentée par le lobe carré, on voit l'encoche (pt) du
sillon
pariétal transverse, puis une profonde entaille,
0*), à peu près à égale distance de la scissure calcarine et du grand
sillon
occipito-tcniporal (o^J, on a parfois quelque pei
terne de l'hémisphère, soit avec la calcarine, soit avec le quatrième
sillon
occipito-temporal. Mais sur les coupes verticales
le plancher de la corne ventriculaire et la substance grise du grand
sillon
occipito-temporal (o^J. FCF. Le faisceau compac
a cinquième occipito-temporale (O'^) ou gyrus lingual. Le quatrième
sillon
occipito-temporal (o/j, qui sépare le gyrus fingu
eure (P'). Celle-ci est séparée de la pariétale ascendante (P) par le
sillon
postrolandique (pj. Le pH courbe (PC) s'étend e
ar le sillon postrolandique (pj. Le pH courbe (PC) s'étend entre le
sillon
interpariétal (jt?) et le premier sillon temporal
courbe (PC) s'étend entre le sillon interpariétal (jt?) et le premier
sillon
temporal {t^). Enfin, la troisième circonvolution
née à sa partie inférieure et dans toute sa longueur par le quatrième
sillon
occipito-temporal {ot^ dont le fond correspond au
les parties qu'on rencontre de haut en bas sont les suivantes : Le
sillon
postrolandique. P*. Le lobule pariétal supérieu
sé en deux plis par une profonde incisure, branche de l)ifurcation du
sillon
pariétal ou iiiterpariétal. Cette division du lob
étal inférieur (P^) sont réunis par un pli de communication (xCP). Le
sillon
pariétal {p) est donc interrompu dans sou trajet
ence moins profonde encore que la précédente, part souvent du premier
sillon
temporal {t^). D'ailleurs on voit, sur la figure
e incisure rejoint, dans la profondeur, la substance grise du premier
sillon
temporal. ti^ est le premier sillon temporal (o
, la substance grise du premier sillon temporal. ti^ est le premier
sillon
temporal (ou sillon pai^allèle). V, T, T représen
du premier sillon temporal. ti^ est le premier sillon temporal (ou
sillon
pai^allèle). V, T, T représentent les trois premi
mporales. Entre la deuxième et la troisième, à la surface du deuxième
sillon
(t^), la coupe intéresse un pli de communication
que à ce qu'elle était sur la coupe précédente. Au niveau du deuxième
sillon
temporal (£2), on voit seulement que le pli de co
suivant les sujets, dépend en grande partie de la profondeur du grand
sillon
occipito-temporal. On la décrit sous le nom de cu
nférieur, refoulé vers la paroi inférieure du ventricule par le grand
sillon
occipito-temporal (otk), se réduit de plus en plu
imitée en dedans par la scissure de Rolando (lì), et en dehors par le
sillon
postrolan-dique (p.), est en grande partie consti
24). Limité en haut par le sinus (sC), il a pour limite inférieure un
sillon
analogue, identique même, mais renversé (fig. 25
ures suivantes, on se rendra compte facilement de la continuité de ce
sillon
avec celui de l'hippocampe (sh, fig. 53). Le sinu
Le sinus du corps calleux n'est donc lui-même que la continuation du
sillon
de l'hippocampe à la face supérieure du corps cal
face supérieure du corps calleux. Ce qui fait que l'identité des deux
sillons
ne frappe pas dès le premier examen, c'est que le
té des deux sillons ne frappe pas dès le premier examen, c'est que le
sillon
supérieur, parvenu à la partie postérieure du spl
(fasciola cinerea) (Fci). Au-dessous comme au-dessus du splenium, le
sillon
s'enfonce dans la substance grise de l'écorce. Ma
e médullaire, qui recouvre la corne d'Ammon et qui souvent dépasse le
sillon
de l'hippocampe et va se répandre sur le corps go
r des coupes plus antérieures (pL XVII, fig. 59, 40). Au-dessous du
sillon
de la lame eendrée ou sinus du corps calleux (sC)
orce va (flg. 24), d'un trait, depuis le corps calleux jusqu'au grand
sillon
occipito-temporal (o/4), sans une seul inci-sure.
llon occipito-temporal (o/4), sans une seul inci-sure. otv Le grand
sillon
occipito-temporal a toujours les mêmes rapports.
atique. Les plis de communication interrompent la continuité des deux
sillons
temporaux (/2 et t.); ou bien la troisième circon
fibres du faisceau diffus du fornix (FDF) restent en dehors du grand
sillon
occipito-temporal et s'épuisent dans le gyrus fus
ue (tcL), n'est autre chose que le lobe carré; en d'autres termes, le
sillon
occipito-temporal (o/4) n'est que le prolongement
roise avec le faisceau longitudinal inférieur, toujours au-dessous du
sillon
inféro-interne du ventricule ou sillon du subicul
érieur, toujours au-dessous du sillon inféro-interne du ventricule ou
sillon
du subiculum. FOi. Le faisceau inférieur du for
des fibres supérieures du corps calleux. Sur la figure 25, le grand
sillon
occipito-temporal (o£4) s'élargit, et l'on voit,
i superficiel ; il interrompt, par conséquent, la continuité du grand
sillon
occipito-temporal (o£4) à la face inférieure de l
s, à notre connaissance, il n'in terrompt les rapports profonds de ce
sillon
, sauf en cas d'anomalies cérébrales tout à fait
de communication ne change rien aux rapports de la substance grise du
sillon
(o£4) avec le plancher du ventricule. Sur la figu
trième temporale à la cinquième, les rapports et la forme générale du
sillon
sont identiques à ce qu'ils étaient sur la figure
ans l'hémisphère. Il est séparé de l'écorce, en haut et en bas par un
sillon
que nous connaissons bien (fig. 27, sC) et qui s'
s'enfonce dans la substance grise de la circonvolution lim-bique : le
sillon
ou sinus du corps calleux. Au-dessus et au-dessou
nférieure, c'est la circonvolution de l'hippocampe (fig. 30, Hip). Le
sillon
qui continue son trajet dans la substance grise d
'est le sinus du corps calleux (sC); au-dessous du splenium, c'est le
sillon
de l'hippocampe. Toutefois il ne mérite vraiment
face inférieure, superposée médiatement à la substance grise du grand
sillon
occipito-temporal (oQ, forme avec la face interne
n du pli de passage temporo-limbique (fîg. 24, zT). La pénétration du
sillon
inféro-interne du ventricule (Dsu) dans cette cir
terne du ventricule (Dsu) dans cette circonvolution Prolongement du
sillon
du su-biculum (Dsu) sous le subi-culum (SUB) dans
UB) dans l'épaisseur de la circonvolution de l'hippocampe. — Le grand
sillon
occipito-temporal (at^) forme toujours la limite
L'étage supérieur porte plus spécialement le nom de subiculum ; et le
sillon
inféro-interne du ventricule peut être appelé sil
ubiculum ; et le sillon inféro-interne du ventricule peut être appelé
sillon
du subiculum (Dsu). Substance grise. La masse
e sont réunies. On reconnaît sans peine que cette bandelette grise du
sillon
du corps calleux (fig. 28, Fci) ne fait que se pr
xité supéro-externe. L'angle inférieur et interne du croissant est le
sillon
du subiculum (Dsu, fig. 54, 56). Substance gris
e, de la bandelette cendrée, située entre le corps calleux (ce) et le
sillon
de l'hippocampe (sh, fig. 52). — La structure de
e renforce d'un tubercule gris (Tf) situé immédiatement au-dessous du
sillon
de l'hippocampe (sh, fig. 52). Ce tubercule, appe
hose que la réflexion de la circonvolution limbique (C) au-dessous du
sillon
de l'hippocampe (sh). Pour s'en assurer on n'a qu
sence est moins évidente. Ici (fîg. 32) on la voit recouvrir (LMA) le
sillon
de l'hippocampe tout entier (sh), par conséquent
t; et elle-même est continue. Elle a son point de départ au niveau du
sillon
de l'hippocampe (sh, fig. 51 et 52) ; et de là el
e substance grise. Il s'agit maintenant de préciser les rapports du
sillon
de l'hippocampe (sh) avec les replis de la corne
pe (sh) avec les replis de la corne d'Ammon. sh. Nous savons que le
sillon
de l'hippocampe est la continuation du sinus du c
x (sC) à la face inférieure du splenium. Sur les figures 31 et 52, ce
sillon
est réduit à une toute petite fente (sh) interpos
ions des fibres entre cette paroi ventriculaire et le fond du grand
sillon
occipito-tamporal. Mais cela ne veut pas dire que
st oblique en bas et en avant, suivant toujours la direction du grand
sillon
occipito-temporal (oi4). forment une couche plu
n qui fait que le faisceau sensitif interne (FSi), parvenu au fond du
sillon
occipito-temporal (otk), paraît se stratifier en
t jusqu'à l'angle inféro-interne du ventricule, c'est-à-dire jusqu'au
sillon
du subi-culum (Dsu, fig. 56); puis, arrivé là, il
Jusqu'à présent, ces deux circonvolutions avaient été séparées par le
sillon
post-rolan-dique (p^. Désormais, les deux circonv
es forment, dans ce dernier trajet (fig. 41), la limite supérieure du
sillon
ou fente, ou diverticule du subiculum (Dm), Elles
longitudinal inférieur, sous-jacentes au plancher ventriculaire et au
sillon
du subiculum (Dsu, fig. 41), se prolongent et se
l'alveus, passe, en effet, sous la corne d'Ammon et va, au-dessus du
sillon
du subiculum (Dsu), se jeter, de dehors en dedans
old. LST, stratum lacunosum. FI, fimbria. ALV, alveus. o£4, grand
sillon
occipilo- temporal. FLI, faisceau longitudinal
circonvolution de l'hippocampe ; qu'il est séparé de celle-ci par un
sillon
(sillon de l'hippocampe) où s'enfonce le stratum
olution de l'hippocampe ; qu'il est séparé de celle-ci par un sillon (
sillon
de l'hippocampe) où s'enfonce le stratum lacunosu
L). La circonvolution de l'hippocampe située au-dessus du quatrième
sillon
occi-pito-temporal (ot^ devient la circonvolution
ancisi et s'enfonce au-dessus du taenia tecta. La fim- Réflexion du
sillon
de l'hippocampe SH dans le sinus du corps calleux
llon de l'hippocampe SH dans le sinus du corps calleux (sC). Ces deux
sillons
séparent du corps calleux (ce) les deux circonvol
la circonvolution de l'hippocampe. L, scissure limbique. ott, grand
sillon
occipitotemporal. 76. bria (corps calleux réf
u splenium s'appelle sinus du corps calleux : au-dessous il s'appelle
sillon
de l'hippocampe ; mais c'est le même sillon avec
: au-dessous il s'appelle sillon de l'hippocampe ; mais c'est le même
sillon
avec deux noms différents. Enfin les deux circonv
Enfin les deux circonvolutions situées au-dessus et au-dessous de ce
sillon
, la circonvolution du corps calleux en haut (C),
imite en haut la circonvolution limbique, n'est que la suite du grand
sillon
occipito-temporal (o£4), qui limite en bas la cir
l'hippocampe. Nous avons déjà insisté sur la constance de ce dernier
sillon
, sur la précocité de son apparition, sur la perma
us se prolonge, en do-dans, sous la lamina convoluta, qu'il sépare du
sillon
ventriculaire inféro-interne (Dsu). LST, le str
écorce de la circonvolution de l'hippocampe (Hip), nu-dessus du grand
sillon
occipitotemporal (o£4). Ces faisceaux sont : 1° L
e la quatrième circonvolution occipito-temporale, au-dessous du grand
sillon
occipitotemporal (o4). celle où toutes les couc
esque au contact du faisceau sensitif externe (FSe). En même temps le
sillon
interpariétal (p) diminue de profondeur. Sur le
inférieure, la cavité ventriculaire ne subit pas de modifications. Le
sillon
du subiculum (Dsu, fig. 51) s'enfonce toujours pl
(TRO) s'étale à la surface du thalamus. Ce prolongement situé dans le
sillon
de séparation des corps genouillés (GE, GI) (sidc
ET PAR LE TUBERCULE QUADRIJUMEAU ANTÉRIEUR Écorce. Les scissures,
sillons
et circonvolutions se profilent sur cette planche
Y); le côté inférieur ou base est toujours superposé au fond du grand
sillon
occipito-tem-poral (otk). Le faisceau longitudina
e faisceau longitudinal inférieur (FLI) est toujours sous-jacent à ce
sillon
. Aq. Aqueduc de Sylvius. Substance grise. C
'étage inférieur de l'hippocampe, juste au-dessous du prolongement du
sillon
du subiculum. FDF. Le faisceau diffus du fornix
mélange n'a lieu que tout à fait au voisinage de l'écorce, puisque le
sillon
du subiculum (Dsu, fig. 58) se poursuit virtuelle
ieure répond à un prolongement de cette scissure, en arrière, dans le
sillon
pariétal (p, fig. 66). La scissure de Sylvius (S'
d'opercule (OP, fig. 65, 64, 65). En haut, sur la face externe, le
sillon
prse-rolandique supérieur Oprs, fig. 61) sépare l
endante (F). En bas, au-dessous de la scissure de Sylvius (S'), les
sillons
et circonvolutions du lobe temporal se succèdent
on ne remarquera que le pli de communication qui, au fond du premier
sillon
(tit fig. 66), ou sillon parallèle, relie la prem
pli de communication qui, au fond du premier sillon (tit fig. 66), ou
sillon
parallèle, relie la première circonvolution tempo
n (voy. pl. XXII, fig. 69). On remarquera, d'une façon spéciale, le
sillon
que nous venons l'indiquer, séparant le pulvinar
indiquer, séparant le pulvinar et le corps genouillé interne (GI). ]e
sillon
se trouve constamment dans l'axe de la bandelette
constamment dans l'axe de la bandelette optique. ]'est au fond de ce
sillon
que certaines fibres de la bandelette optique se
région latérale de la protubérance, d'où elles émergent au niveau du
sillon
latéral de l'isthme. Elles viennent de la moelle
téral de l'isthme. Elles viennent de la moelle allongée. Au sortir du
sillon
latéral de l'isthme, elles se portent en haut dir
oduire extérieurement, c'est-à-dire à la surface du ruban de Reil, le
sillon
qui établit une démarcation entre les tubercules
. Mais déjà l'on voit s'agglomérer de la substance grise au-dessus du
sillon
très profond qui séparait le pulvinar du corps ge
tractus opticus zonalis (TRO, pl. XXI, fig. 65). Cette fissure est le
sillon
inter-géniculaire. Le pulvinar y présente parfois
les siennes. Tœ. Le taenia semi-circularis (fig. 69) est au fond du
sillon
opto-strié et se continue manifestement (fig. 70)
nce, il est un faisceau qui, parfois, s'isole assez nettement dans le
sillon
intermédiaire au corps gcnouilhî interne et au po
t entre la frontale ascendante (F) et la pariétale ascendante (P). Le
sillon
pariétal (p) sépare la pariétale ascendante de la
, elles conservent toujours les mômes rapports, et l'on voit le grand
sillon
occipito-temporal (of^, fig. 84) s'enfoncer au-de
situé au-dessus d'une concavité cratériforme, qui termine en avant le
sillon
de l'hippocampe et que nous étudierons, dans un i
nouillé externe. C'est une voûte en ogive, dont l'arête correspond au
sillon
médian du corps genouillé. Substance grise. C
eure, qu'on peut appeler recessus antérieur de Vhippocampe (RAII). Le
sillon
de l'hippocampe n'est d'ailleurs pas séparé de la
(fig. 83). Le corps genouillé se trouve ainsi à cheval sur le fond du
sillon
intergéniculaire ; il a donc un bord inférieur ex
obe pariétal, elle ne présente de spécial que l'apparition du premier
sillon
frontal (/j fig. 86) dont le cul-de-sac postérieu
e ascendante (F, fig. 85). Nous verrons, plus loin, plus en avant, ce
sillon
frontal se confondre avec le sillon prae-rolandiq
ons, plus loin, plus en avant, ce sillon frontal se confondre avec le
sillon
prae-rolandique supérieur. Au fond de la scissu
fissuraire, qui n'est autre que le prolongement le plus antérieur du
sillon
de l'hippocampe (S//, fig. 89) : celui-ci fait co
ges, mais toujours séparé de la circonvolution de l'hippocampe par le
sillon
de l'hip- Le corps godronné (Fd) cL la fimbria
ivent', dans un demi-cercle à concavité postérieure, le cul-de-sac du
sillon
de l'hippocampe (Sfl). Le cul-de-sac, ou recess
llon de l'hippocampe (Sfl). Le cul-de-sac, ou recessus antérieur du
sillon
de l'hippocampe (RÀH) est tapissé par la substanc
; cet arc est le cul-de-sac ou recessus antérieur BRISSAUD. iS du
sillon
de l'hippocampe {RÀH). Sa profondeur est variable
de Bichat. En bas et en dedans il se fait jour vers la surface par le
sillon
de l'hippocampe. De toutes parts il est tapissé p
ffer complètement (fig. 90), et s'étale dans le recessus antérieur du
sillon
de l'hippocampe dont elle forme le plancher. A ce
ent au-dessous du splcnium, elles se rejoignent finalement au fond du
sillon
de l'hippocampe, et par cette jonction ultime éta
devient de moins en moins saillante (fig. 88). Au fond du recessus ou
sillon
de l'hippocampe (pl. XXIV), la fusion sera complè
eau arqué (ARC), se montre également. plus compact au fond du premier
sillon
frontal, que la coupe commence à entamer {f\, 86,
87, 88). On voit qu'il est accolé à la substance grise qui double ce
sillon
. Mais il conserve toujours sa direction générale,
me toujours, vers la paroi inférieure du ventricule, par le quatrième
sillon
occipito-teinporal [ot^, fig. 86, 87), épuise ses
rrespond, ainsi que nous l'avons déjà dit, au prolongement virtuel du
sillon
inféro-interne du ventricule sphénoïdal (voy. plu
LION DE l'iIABÉNULE Écorce. A la face externe de l'hémisphère, le
sillon
prœrolandiquc supérieur {p7's, fîg. 92) reçoit l'
c supérieur {p7's, fîg. 92) reçoit l'extrémité postérieure du premier
sillon
frontal (/"J. Bientôt le sillon prserolandique di
it l'extrémité postérieure du premier sillon frontal (/"J. Bientôt le
sillon
prserolandique disparaît : les coupes passent au
coupes passent au devant de lui et n'intéressent plus que le premier
sillon
frontal {f, fig. 96). On reconnaît encore la scis
l'extrémité antérieure du fascia dentata et le fond du cul-de-sac du
sillon
de l'hippocampe {RAII}. Sur la coupe 94 on dist
une encoche [GES). Cette encoche répond à la section transversale du
sillon
longitudinal du corps genouillé. C'est le prolong
n longitudinal du corps genouillé. C'est le prolongement antérieur du
sillon
inter-géniculaire, qu'on peut suivre, quelquefois
la bandelette optique et qu'on voit, sur la coupe 75, entamée par le
sillon
(CES) du corps genouillé) représente les libres i
e (fig. 93), que nous appelons ainsi parce qu'il enveloppe le fond du
sillon
parallèle, est un faisceau diflùs, mais toujours
AMILLAIRE Écorce. Sur la face externe de l'hémisphère, le premier
sillon
frontal (/",, 99, 100) donne passage à un large p
uKî générale du lobe frontal ne éhangera plus maintenant. Deux grands
sillons
convergents (/',/l, hg. 99) divisent le manteau e
est devenue presque latérale; elle est toujours soulevée par le grand
sillon
occipito-tem-poral. Sa face externe est représent
st la substance réti-culaire d'Arnold, qui s'est réfléchie au fond du
sillon
de l'hippo campe (S//). De ce fait même, on peut
on de l'hippo campe (S//). De ce fait même, on peut considérer que le
sillon
de l'hippocampe {SU) interposé entre la circonvol
part (Hip) et le crochet d'autre part (Une), est la même chose que le
sillon
vasculaire du siralum lacuiiosum. ALY. L'alveus
porale et de la deuxième; il est donc à cheval sur le fond du premier
sillon
temporal ou sillon parallèle. Il conservera cette
xième; il est donc à cheval sur le fond du premier sillon temporal ou
sillon
parallèle. Il conservera cette situation et cette
circonvolutions temporales; il est donc véritablement le faisceau du
sillon
parallèle; il prend ses insertions postérieures d
end ses insertions postérieures dans la substance grise qui double ce
sillon
. ARC. Le faisceau arqué (fig. 98) est dédoublé
ntale (F3, fîg. 105) qui forme l'opercule, se relève vers le deuxième
sillon
frontal (f2); ou, en d'autres termes, que le deux
deuxième sillon frontal (f2); ou, en d'autres termes, que le deuxième
sillon
frontal s'enfonce derrière le pied de cette circo
sillon frontal s'enfonce derrière le pied de cette circonvolution. Ce
sillon
, comme on le sait, se confond avec le sillon prse
cette circonvolution. Ce sillon, comme on le sait, se confond avec le
sillon
prse-rolandique inférieur. La portion relevée de
p. lxvi). Dans la région de l'hippocampe (fîg. 105) on voit que le
sillon
de l'hippocampe (SU) n'arrive plus jusqu'à la sur
ubstance grise sous-jacente, ferme en dedans le recessus antérieur du
sillon
et la fente de Bichat. Désormais la circonvolutio
u'elle était sur les figures précédentes que par ses rapports avec le
sillon
de l'hippocampe (SH) et la fente de Bichat (Bf, f
te de Bichat (Bf, fig. 105). La coupe précédente (102) passait par le
sillon
de l'hippocampe (SH) en un Face interne de l'ex
e crochet (Unc); Fd, le fascia denlata; FI. la fimbria; SII. le
sillon
de l'bippocampe. point où celui-ci arrivait enc
t encore jusqu'à la surface corticale. Ici au contraire (fig. 105) le
sillon
de l'hippocampe n'arrive plus jusqu'à l'écorce. O
ar une scissure horizontale, correspondant au cul-de-sac antérieur du
sillon
que nous avons appelé recessus antérieur de l'hip
109); et elle n'est séparée de la troisième frontale (F5) que par un
sillon
de faible importance. Cette région de l'écorce es
ème circonvolution. Dans l'étendue même de cette dernière, on voit un
sillon
très profond, dont nous avons parlé antérieuremen
erne (fig. 110); là il se confond avec le stratum zonalc (ZS) venu du
sillon
opto-strié. En bas, le faisceau de Vicq-d'Azyr ém
les sens et vont se perdre dans l'écorce du lobule orbitaire jusqu'au
sillon
olfactif (schéma 180). Ce qu'il faut ne pas perdr
Il n'y a à signaler ici que l'apparition d'un cul-de-sac du deuxième
sillon
frontal (fy dans le manteau de la troisième circo
a troisième circonvolution (F3, fig. 115). Il ne s'agit donc pas d'un
sillon
supplémentaire, mais d'une simple ramification qu
peu profonde. Cette incisure était la branche supérieure du deuxième
sillon
frontal (f2) sur la coupe 115. A la face intern
econnaît encore leur subdivision sur les fig. 125 et 126, où un petit
sillon
en crochet, à convexité supérieure, les sépare (T
volution frontale (F3) à l'extrémité interne de laquelle s'enlonee le
sillon
olfactif interne (Soi). Soi. Le sillon orbitair
rne de laquelle s'enlonee le sillon olfactif interne (Soi). Soi. Le
sillon
orbitaire interne sépare la troisième circonvolut
rdre dans le manteau du gyrus rectus (GR), immédiatement en dedans du
sillon
orbitaire interne (Soi). Mais en réalité il ne se
LMV) avec laquelle elle se confond : elle n'en est séparée que par un
sillon
tout à fait superficiel. Nous savons, du reste, q
dehors en dedans, vers l'espace perforé antérieur ou vers le fond du
sillon
olfactif interne {Soi, fig. 130). La capsule exte
le orbi-taire; les plus internes vont gagner, en dedans, la région du
sillon
olfactif interne (soi, fig. 129, 130); les plus e
arrière. 11 s'épuise ainsi dans la substance grise -qui enveloppe le
sillon
olfactif interne {Soi, fig. 130).. FCF. Le fais
étagent sans complication, parcourues d'arrière en avant par les deux
sillons
frontaux [f, /J, La troisième frontale (F^) volum
t en bas, les parties suivantes : la première frontale (F'), le grand
sillon
méto-pique (sME), le grand pli de passage fronto-
ceau pariéto-frontal (fig. 135, 136), toujours sous-jacent au premier
sillon
frontal (/"J, s'unit, dans son trajet antéro-post
al (137), où elles forment une bande verticale sur le prolongement du
sillon
olfactif interne {Soi). COUPES HORIZONTALES L
e optique (BO) ; il est séparé du corps genouillé interne (GI) par un
sillon
où s'avance, d'avant en arrière, le tractus optic
CQ) vers la corne d'Ammon (CAM). Elle est située au devant d'un petit
sillon
qui n'est autre que le sinus du corps calleux et
st autre que le sinus du corps calleux et qui, plus bas, deviendra le
sillon
de l'hippocampe. Ce sillon est séparé de la subst
rps calleux et qui, plus bas, deviendra le sillon de l'hippocampe. Ce
sillon
est séparé de la substance réticulaire par un nod
rgot de Morand est toujours sus-jacent au cul-de-sac profond du grand
sillon
occipito-temporal (ofj. Ici ce sillon s'enfonce d
au cul-de-sac profond du grand sillon occipito-temporal (ofj. Ici ce
sillon
s'enfonce directement de dedans en dehors. Il s'e
face inférieure. On reconnaît en avant le lobule orbitaire, avec son
sillon
au devant de la substance grise du septum lucid
ec la moelle du centre ovale (LMV, fig. 4) en dedans et en arrière du
sillon
orbitaire interne (soi) ; 6" La continuité du n
nde (F^) sont intactes ; elles sont séparées en dehors par le premier
sillon
frontal (/",). On voit en dedans le nerf olfactif
factif (OL) avec son bulbe (OLB) recouvrant la plus grande étendue du
sillon
olfactif interne [soi). Sur la ligne médiane, l
; l'interne s'infléchit en dedans et en haut et, s'insinuant dans le
sillon
de l'artère cérébrale antérieure, va mourir à la
ue la pyramide grise de Sœmmering est sur le prolongement de l'axe du
sillon
olfactif interne [soi) et que, de toutes parts, e
lativement constants. Telle est la coupe qui passe dans l'axe même du
sillon
orbitaire interne (pl. LXIII, fig. 2). Telle enco
rticulum sub subiculo, fissure inféro-interne du ventricule latéral
sillon
du subiculum. Dis. Diverticulum transversale sple
ascendante. - F'. Première circonvolution frontale. . f\. Premier
sillon
frontal. f\,. Sillon de la première circonvolut
mière circonvolution frontale. . f\. Premier sillon frontal. f\,.
Sillon
de la première circonvolution frontale. ¥\ Deuxiè
nvolution frontale. ¥\ Deuxième circonvolution frontale. f]y Deuxième
sillon
frontal. f^,. Sillon de la deuxième circonvolut
Deuxième circonvolution frontale. f]y Deuxième sillon frontal. f^,.
Sillon
de la deuxième circonvolution frontale. F". Tro
. Genou de la capsule interne. GE. Corps genouillé externe. G ES.
Sillon
du corps genouillé externe. CFA. Gyrus falcifor
GSL. Substance grise du septum lucidum. GVE. Gyrus veslihuU. IL
Sillon
en II du lobule orbitaire. IIAB. Habena, habénu
du pli courbe. ipi. Incisure du lobule pariétal inférieur. ir. Grand
sillon
de l'insula. IRA. Rigole antérieure de l'insula.
ux supérieur. 0'. Première circonvolution occipitale. 0^. Premier
sillon
occipital. 0\ Deuxième circonvolution occipital
on occipital. 0\ Deuxième circonvolution occipitale. 0^. Deuxième
sillon
occipital. 0\ Troisième circonvolution occipita
occipital. 0\ Troisième circonvolution occipitale. 0.. Troisième
sillon
occipital. 0*. Quatrième circonvolution occipit
continuant avec les deuxième et troisième temporales, ot^. Deuxième
sillon
occipito-temporal. o1,. Troisième sillon occipi
temporales, ot^. Deuxième sillon occipito-temporal. o1,. Troisième
sillon
occipito-temporal. ot^. Quatrième sillon occipi
temporal. o1,. Troisième sillon occipito-temporal. ot^. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-temporal
n occipito-temporal. ot^. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-temporal de Panscli. P. Circonvolution
ito-temporal de Panscli. P. Circonvolution pariétale ascendante. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. P^ Circonvolution pa
iétal supérieur. P*s. Pli supérieur du lobule pariétal supérieur. p^.
Sillon
pariétal supérieur ou postrolandique supérieur. P
rconvolution pariétale inférieure ou lobule pariétal inférieur. p^.
Sillon
postrolandique inférieur ou pariétal inférieur. P
acentral ou ovalaire. PAR. P'aisceau parallèle, occupant le fond du
sillon
parallèle. PC. Pli courbe. Pcs. Pédoncule céréb
cule cérébral. pP\ Pied de la deuxième circonvolution pariétale. pri.
Sillon
prserolandique inférieur. pro. Sillon prae-ovalai
circonvolution pariétale. pri. Sillon prserolandique inférieur. pro.
Sillon
prae-ovalaire. prs. Sillon prœrolandique supériei
pri. Sillon prserolandique inférieur. pro. Sillon prae-ovalaire. prs.
Sillon
prœrolandique supériein\ PRU. Sillon prœ-unciqn
ro. Sillon prae-ovalaire. prs. Sillon prœrolandique supériein\ PRU.
Sillon
prœ-unciqnc, extréinitc antérieure virtuelle de l
ique. psp. Pédoncule du septum lucidum, bandelette diagonale. pt.
Sillon
pariétal transverse. pty Deuxième sillon pariét
andelette diagonale. pt. Sillon pariétal transverse. pty Deuxième
sillon
pariétal transverse. pTt. Pied de la circonvolu
". Branche verticale de Sylvius. sC. Sinus du corps calleux. sCu.
Sillon
du cuiieus. SCO. Sillon de séparation du corps
lvius. sC. Sinus du corps calleux. sCu. Sillon du cuiieus. SCO.
Sillon
de séparation du corps gcnouillé externe et du pu
de séparation du corps gcnouillé externe et du pulvinar. sF. Premier
sillon
sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. S
externe et du pulvinar. sF. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième
sillon
sous-frontal. SG. Substance grise centrale sous-é
llon sous-frontal. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire. SU.
Sillon
de l'hippocampe au niveau de la circonvolution de
e l'hippocampe au niveau de la circonvolution de l'hippocampe. sli.
Sillon
de l'hippocampe au-dessus de la circonvolution de
sus de la circonvolution de l'hippocampe, en arrière du splenium. si.
Sillon
du lobule lingual. SLM. Sillon longitudinal de la
ippocampe, en arrière du splenium. si. Sillon du lobule lingual. SLM.
Sillon
longitudinal de la protubérance. sME. Grand sillo
bule lingual. SLM. Sillon longitudinal de la protubérance. sME. Grand
sillon
métopique. sme. Petit sillon métopique ou incis
tudinal de la protubérance. sME. Grand sillon métopique. sme. Petit
sillon
métopique ou incisures métopiques. SMT. Stries
res métopiques. SMT. Stries médullaires de la couche optique. SO.
Sillon
opto-strié. soe» Sillon orbitaire externe. so
ies médullaires de la couche optique. SO. Sillon opto-strié. soe»
Sillon
orbitaire externe. soi. Sillon orbitaire intern
que. SO. Sillon opto-strié. soe» Sillon orbitaire externe. soi.
Sillon
orbitaire interne. sP. Scissure sous-pariétale.
nium, bourrelet du corps calleux. sQ. Recessus du lobe carré. SR.
Sillon
rostral. Sra. Stratum radiatum cornu Ammonis. s
rré. SR. Sillon rostral. Sra. Stratum radiatum cornu Ammonis. ss.
Sillon
du splenium. Stg. Stratum granulosum cornu Ammoni
ciola cinerea. T'. Première circonvolution temporale. tj. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle.
T'. Première circonvolution temporale. tj. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle. ^li. Branche inf
l, sillon parallèle, scissure parallèle. ^li. Branche inférieure du
sillon
parallèle. ti^. Branche supérieure du sillon pa
Branche inférieure du sillon parallèle. ti^. Branche supérieure du
sillon
parallèle. T-. Deuxième circonvolution temporal
on parallèle. T-. Deuxième circonvolution temporale. t^. Deuxième
sillon
temporal. T''. Troisième circonvolution tempora
llon temporal. T''. Troisième circonvolution temporale. Troisième
sillon
temporal. T'. Quatrième circonvolution temporale.
llon temporal. T'. Quatrième circonvolution temporale. t,^. Quatrième
sillon
temporal (voy. ot^). T'. Cinquième circonvolution
....75, 310 Gouttière de Monro [m)................ xxi, 309 Grand
sillon
occipito-temporal de Pansch (0^4).......xxx\i, 20
........... xxn Seuil de l'hémisphère.................. xvi, xvni
Sillon
bulbo-protubérantiel.................. xni Sill
..... xvi, xvni Sillon bulbo-protubérantiel.................. xni
Sillon
de l'hippocampe (S/f)..............xxvn, 152 Si
......... xni Sillon de l'hippocampe (S/f)..............xxvn, 152
Sillon
du corps genouiUé externe {GES)..........., 294.
xxvn, 152 Sillon du corps genouiUé externe {GES)..........., 294.
Sillon
du cuneus {sCu)................... 89 'èiWon dn
............ 89 'èiWon dn subiculum {Dsu).......... ......... 145
Sillon
frontal (premier), (/;)............... xli, 4 S
........ 145 Sillon frontal (premier), (/;)............... xli, 4
Sillon
frontal (deuxième), (/;)...............xu, 4 Si
...... xli, 4 Sillon frontal (deuxième), (/;)...............xu, 4
Sillon
en H du lobule orbitaire {H)............li, 5 S
.... 210 Ruban de Reil (portion profonde) (Lem)......... 199, 209
Sillon
pariétal ou interpariétal (p).............. xliv.
199, 209 Sillon pariétal ou interpariétal (p).............. xliv.
Sillon
do la lame cendrée (sC) (voy. Sinus du corps call
on do la lame cendrée (sC) (voy. Sinus du corps calleux). . xvi, 17
Sillon
lingual [si)........^.............. 26 Sillon l
calleux). . xvi, 17 Sillon lingual [si)........^.............. 26
Sillon
longitudinal de la première circonvolution fronta
on longitudinal de la première circonvolution frontale(/''i)... lxi
Sillon
longitudinal de la deuxième circonvolution fronta
lon longitudinal de la deuxième circonvolution frontale {f\)... lxi
Sillon
métopique (grand) (sME).............xxxvi, 21 S
{f\)... lxi Sillon métopique (grand) (sME).............xxxvi, 21
Sillon
métopique (petit) (sme)................ 21 Sill
......xxxvi, 21 Sillon métopique (petit) (sme)................ 21
Sillon
occipital (premier), (Oj)................ xlv S
......... 21 Sillon occipital (premier), (Oj)................ xlv
Sillon
occipital (deuxième), (o,).. . -............ xlvi
.... xlv Sillon occipital (deuxième), (o,).. . -............ xlvi
Sillon
occipital (troisième), (oj).. ............. pass.
... xlvi Sillon occipital (troisième), (oj).. ............. pass.
Sillon
occipital (quatrième), (o^).............. pass.
.... pass. Sillon occipital (quatrième), (o^).............. pass.
Sillon
occipito-temporal (premier), (o^j........... pass
. pass. Sillon occipito-temporal (premier), (o^j........... pass.
Sillon
occipito-temporal (deuxième), [ot^]........... xl
. pass. Sillon occipito-temporal (deuxième), [ot^]........... xlu
Sillon
occipito-temporal (troisième), {oQ...........xxxv
. xlu Sillon occipito-temporal (troisième), {oQ...........xxxviii
Sillon
occipito-temporal (quatrième), [of,,)........xxxv
iii Sillon occipito-temporal (quatrième), [of,,)........xxxvi, 20
Sillon
orbitaire externe [soe]...............lu, 5 Sil
.....xxxvi, 20 Sillon orbitaire externe [soe]...............lu, 5
Sillon
orbitaire interne [soi]................. 409 Si
........lu, 5 Sillon orbitaire interne [soi]................. 409
Sillon
parallèle (fj)..................... xlui Sillon
............. 409 Sillon parallèle (fj)..................... xlui
Sillon
parallèle (branche inférieure), (^jj............
.. xlui Sillon parallèle (branche inférieure), (^jj............ 7
Sillon
parallèle (branche supérieure), fjg)............
..... 7 Sillon parallèle (branche supérieure), fjg)............ 7
Sillon
pariétal ou interpariêtal (p).............. 6 S
.......... 7 Sillon pariétal ou interpariêtal (p).............. 6
Sillon
pariétal transverse [pt)............. xxxviii, 6
....... 6 Sillon pariétal transverse [pt)............. xxxviii, 6
Sillon
pôdonculo-protubérantiel.............. xin Sill
.... xxxviii, 6 Sillon pôdonculo-protubérantiel.............. xin
Sillon
postrolandique {pi)............... ^ Sillon pos
iel.............. xin Sillon postrolandique {pi)............... ^
Sillon
postrolandique inférieur (pi).............. 6 S
.......... ^ Sillon postrolandique inférieur (pi).............. 6
Sillon
postrolandique supérieur (pi).............. 5 S
.......... 6 Sillon postrolandique supérieur (pi).............. 5
Sillon
prœ-ovalaire (pro)............... xlvi, 4 Sillo
.............. 5 Sillon prœ-ovalaire (pro)............... xlvi, 4
Sillon
prse-rolandique inférieur (pti).......... xliv, 4
xlvi, 4 Sillon prse-rolandique inférieur (pti).......... xliv, 4
Sillon
prœ-rolandique supérieur {prs)............. xliv
. xliv, 4 Sillon prœ-rolandique supérieur {prs)............. xliv
Sillon
prffi-uncique (PR[/)............vu, xxvii, 3, 20
.... xliv Sillon prffi-uncique (PR[/)............vu, xxvii, 3, 20
Sillon
sous-frontal (premier), (sf).............. xxxvn
ii, 3, 20 Sillon sous-frontal (premier), (sf).............. xxxvn
Sillon
sous-frontal (deuxième), (sfj............. xxxvn
... xxxvn Sillon sous-frontal (deuxième), (sfj............. xxxvn
Sillon
rostral [SR)...................xl, 5 Sillon tem
fj............. xxxvn Sillon rostral [SR)...................xl, 5
Sillon
temporal (premier) (fj ................ 7 Sillo
...........xl, 5 Sillon temporal (premier) (fj ................ 7
Sillon
temporal (deuxième) (^2)................ Sillon
............... 7 Sillon temporal (deuxième) (^2)................
Sillon
temporal (troisième) (^3)................ 7 Sil
.............. Sillon temporal (troisième) (^3)................ 7
Sillon
temporal (quatrième) {t^)............... xxxvi
partie visible du pied de la circonvolution de Broca, mais le fond du
sillon
praerolandique, ou les plis antérieurs de l'insul
à voir à la surface même de l'hémi-sphère que dans la profondeur des
sillons
sur les coupes. Mais il faut alors laisser la pie
le couteau, entre la lame et la substance nerveuse, ne tracent pas de
sillons
sur la surface de la coupe. Mais nous ne nous arr
scendante, 8. F1. Première circonvolution frontale, 8. f. Premier
sillon
frontal, 4, 14. fi. Sillon de la première circo
circonvolution frontale, 8. f. Premier sillon frontal, 4, 14. fi.
Sillon
de la première circonvolution irontale, 4. F2.
ale, 4. F2. Deuxième circonvolution frontale, 8, 15. f%. Deuxième
sillon
frontal, 4, 14. f,. Sillon de la deuxième circo
volution frontale, 8, 15. f%. Deuxième sillon frontal, 4, 14. f,.
Sillon
de la deuxième circonvolution frontale, 5. F5.
ccipito-temporale. P. Circonvolution pariétale ascendante, 10. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal, 5, 14. PH. Pli infér
, 10. P's. Pli supérieur du lobule pariétal supérieur, 10, 15. dv
Sillon
pariétal supérieur ou post-rolandique supérieur,
on pariétale inférieure ou lobule pariétal infé-rieur, 11, 15. ;j2.
Sillon
post-rolandique inférieur ou pariétal inférieur,
ital. pP2. Pied de la deuxième circonvolution pariétale, 10. pri.
Sillon
prarolanclique inférieur, 4, 13, 15. pro. Sillo
iétale, 10. pri. Sillon prarolanclique inférieur, 4, 13, 15. pro.
Sillon
prœ-ovalaire, 4. prs. Sillon prœrolandique supé
lanclique inférieur, 4, 13, 15. pro. Sillon prœ-ovalaire, 4. prs.
Sillon
prœrolandique supérieur, 5. PS. Pôle sphénoïdal
prs. Sillon prœrolandique supérieur, 5. PS. Pôle sphénoïdal. pt.
Sillon
pariétal transverse, 6. pt%. Deuxième sillon pa
Pôle sphénoïdal. pt. Sillon pariétal transverse, 6. pt%. Deuxième
sillon
pariétal transverse, 6, 14. pTt. Pied de la cir
de Sylvius, 2,15. S'". Branche verticale de Sylvius, 2, 13. soe.
Sillon
orbitaire externe, 5. SR. Sillon rostral, 5.
erticale de Sylvius, 2, 13. soe. Sillon orbitaire externe, 5. SR.
Sillon
rostral, 5. T1. Première circonvolution tempora
rostral, 5. T1. Première circonvolution temporale, 12. tv Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle, 7
Première circonvolution temporale, 12. tv Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle, 7,14. ti{. Branche
illon parallèle, scissure parallèle, 7,14. ti{. Branche inférieure du
sillon
parallèle, 7. tv. Branche supérieure du sillon pa
Branche inférieure du sillon parallèle, 7. tv. Branche supérieure du
sillon
parallèle, 7. I2. Deuxième circonvolution tempora
n parallèle, 7. I2. Deuxième circonvolution temporale, 12. Deuxième
sillon
temporal, 7. T5. Troisième circonvolution tempora
emporal, 7. T5. Troisième circonvolution temporale, 15. t.. Troisième
sillon
temporal, 7. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.I Hé
cissure perpendiculaire ou occipitale interne, 20, 29. ot.. Troisième
sillon
occipito-temporal. ot!r Quatrième sillon occipi
ne, 20, 29. ot.. Troisième sillon occipito-temporal. ot!r Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-lem -
n occipito-temporal. ot!r Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-lem - poral de Pansch, 20, 29. Pa. Lob
9. PO. Pôle occipital, 16. PP. Pied du pédoncule cérébral. pro.
Sillon
prœ-ovalaire, 21. PRU. Sillon prse-uncique, 20.
P. Pied du pédoncule cérébral. pro. Sillon prœ-ovalaire, 21. PRU.
Sillon
prse-uncique, 20. PS. Pôle sphénoïdal, 26. PS
, 22, 29. psp. Pédoncule du septum lucidum, bandelette diagonale. pt.
Sillon
pariétal transverse, 22, 28. PV. Pont de Varole,
e frontal antérieur, 21, 24. sC. Sinus du corps calleux, 17, 18. sCu.
Sillon
du cuneus, 25. sF. Premier sillon sous-frontal, 2
inus du corps calleux, 17, 18. sCu. Sillon du cuneus, 25. sF. Premier
sillon
sous-frontal, 21, 28. sf. Deuxième sillon sous-fr
du cuneus, 25. sF. Premier sillon sous-frontal, 21, 28. sf. Deuxième
sillon
sous-frontal, 21. SH. Sillon de l'hippocampe au
lon sous-frontal, 21, 28. sf. Deuxième sillon sous-frontal, 21. SH.
Sillon
de l'hippocampe au niveau de la circonvolution de
pocampe au niveau de la circonvolution de l'hippocampe, 18, 50. si.
Sillon
du lobule lingual, 21. sME. Grand sillon métopiqu
l'hippocampe, 18, 50. si. Sillon du lobule lingual, 21. sME. Grand
sillon
métopique, 19, 21. sine. Petit sillon métopique
obule lingual, 21. sME. Grand sillon métopique, 19, 21. sine. Petit
sillon
métopique ou incisures métopiques, 21, 24. sP.
tale, 19, -j8. SPL. Splenium, bourrelet du corps calleux, 17. SR.
Sillon
rostral, 21. T3. Troisième circonvolution tempo
ascendante, F1. Première circonvolution frontale, 54. fy. Premier
sillon
frontal. /i,. Sillon de la première circonvolut
ère circonvolution frontale, 54. fy. Premier sillon frontal. /i,.
Sillon
de la première circonvolution frontale. F2. Deuxi
lution frontale. F2. Deuxième circonvolution frontale, 54. Deuxième
sillon
frontal, 54. f\,. Sillon de la deuxième circonvol
ième circonvolution frontale, 54. Deuxième sillon frontal, 54. f\,.
Sillon
de la deuxième circonvolution frontale. F5. Trois
courbe, 52. ipi. Incisure du lobule pariétal inférieur, 51. ir. Grand
sillon
de l'insula. IRA. Rigole antérieure de l'insula.
porale se continuant avec la deuxième occipitale, 33. o/2. Deuxième
sillon
occipito-temporal. P. Circonvolution pariétale
occipito-temporal. P. Circonvolution pariétale ascendante, 51. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal, 54. E'i." Pli inféri
olution pariétale inférieure ou lobule pariétal infé-rieur", 51. pr
Sillon
pariétal supérieur ou post-rolandique supérieur,
ccipital. pP2. Pied de la deuxième circonvolution pariétale. pri.
Sillon
prœrolandique inférieur, 52. pro. Sillon prœ-ov
volution pariétale. pri. Sillon prœrolandique inférieur, 52. pro.
Sillon
prœ-ovalaire. prs. Sillon prœrolandique supérie
illon prœrolandique inférieur, 52. pro. Sillon prœ-ovalaire. prs.
Sillon
prœrolandique supérieur. PS. Pôle sphénoïdal.
. prs. Sillon prœrolandique supérieur. PS. Pôle sphénoïdal. pt.
Sillon
pariétal transverse. ptv Deuxième sillon pariét
PS. Pôle sphénoïdal. pt. Sillon pariétal transverse. ptv Deuxième
sillon
pariétal transverse. pTt. Pied de la circonvolu
eSylvius, 52, 34. S'". Branche verticale de Sylvius, 52, 54. soe.
Sillon
orbitaire externe, 52, 54. SR. Sillon rostral.
le de Sylvius, 52, 54. soe. Sillon orbitaire externe, 52, 54. SR.
Sillon
rostral. T1. Première circonvolution temporale,
on rostral. T1. Première circonvolution temporale, 54. tv Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle, 5
Première circonvolution temporale, 54. tv Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle, 5!, 52, 54. T2.
52, 54. T2. Deuxième circonvolution temporale, 54. t,,. Deuxième
sillon
temporal, 52. T3. Troisième circonvolution temp
mporal, 52. T3. Troisième circonvolution temporale. t-. Troisième
sillon
temporal. T1. Quatrième circonvolution temporal
tale ascendante. F1. Première circonvolution frontale, 58. fv Premier
sillon
frontal, 56. /i,. Sillon de la première circonv
re circonvolution frontale, 58. fv Premier sillon frontal, 56. /i,.
Sillon
de la première circonvolution frontale, 58. F2.
le, 58. F2. Deuxième circonvolution frontale, 57, 58. f. Deuxième
sillon
frontal, 56, 58. f%,. Sillon de la deuxième cir
lution frontale, 57, 58. f. Deuxième sillon frontal, 56, 58. f%,.
Sillon
de la deuxième circonvolution frontale, 38. F3.
imbique. 01. Première circonvolution occipitale, 57, 40. Ov Premier
sillon
occipital. 02. Deuxième circonvolution occipita
cipital. 02. Deuxième circonvolution occipitale, 40. 02. Deuxième
sillon
occipital. 03. Troisième circonvolution occipit
troisième temporales. P. Circonvolution pariétale ascendante, 40. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal, 57, 59. P1!. Pli infér
supérieur, 40. IHs. Pli supérieur du lobule pariétal supérieur, 40.
Sillon
pariétal supérieur ou post-rolandique supérieur.
Circonvolution pariétale inférieure ou lobule pariétal inférieur p%.
Sillon
post-rolandique inférieur ou pariétal inférieur.
sula, 59. pP2. Pied de la deuxième circonvolution pariétale, 57. pri.
Sillon
prœrolandique inférieur. pro. Sillon prœ-ovalaire
rconvolution pariétale, 57. pri. Sillon prœrolandique inférieur. pro.
Sillon
prœ-ovalaire. prs. Sillon prœrolandique supérieur
. pri. Sillon prœrolandique inférieur. pro. Sillon prœ-ovalaire. prs.
Sillon
prœrolandique supérieur. PS. Pôle sphénoïdal. pt.
alaire. prs. Sillon prœrolandique supérieur. PS. Pôle sphénoïdal. pt.
Sillon
pariétal transverse, 40. ptt. Deuxième sillon par
S. Pôle sphénoïdal. pt. Sillon pariétal transverse, 40. ptt. Deuxième
sillon
pariétal transverse, 40. pTt. Pied de la circon
scissure de Sylvius, 56. S'". Branche verticale de Sylvius. soe.
Sillon
orbitaire externe, 56, 59. SR. Sillon rosirai.
verticale de Sylvius. soe. Sillon orbitaire externe, 56, 59. SR.
Sillon
rosirai. T1. Première circonvolution temporale.
illon rosirai. T1. Première circonvolution temporale. tk. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle, 5
T1. Première circonvolution temporale. tk. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle, 57, 59. ti{. Bra
n parallèle, scissure parallèle, 57, 59. ti{. Branche inférieure du
sillon
parallèle. iiS. Branche supérieure du sillon para
{. Branche inférieure du sillon parallèle. iiS. Branche supérieure du
sillon
parallèle. T2. Deuxième circonvolution temporale.
sillon parallèle. T2. Deuxième circonvolution temporale. t*. Deuxième
sillon
temporal. T3. Troisième circonvolution temporale.
illon temporal. T3. Troisième circonvolution temporale. /3. Troisième
sillon
temporal. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL.4 Hél
01. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. ot.t. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
occipitale interne. ot.t. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch. Pa. Lobule parace
lobe carré. PO. Pôle occipital. PP. Pied du pédoncule cérébral. pro.
Sillon
prœ-ovalaire, 42. PS. Pôle sphénoïdal. PSO. Penta
O. Pentagone sous-ovalaire, 44. psp. Pédoncule du septum lucidum. pt.
Sillon
pariétal transverse, 42, 44, 46. PV. Pont de Varo
le frontal antérieur, 41. ROS. Rostrum. RR. Ruban de Reil. sCu.
Sillon
du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal, 45,
Rostrum. RR. Ruban de Reil. sCu. Sillon du cuneus. sF. Premier
sillon
sous-frontal, 45, 45. sf. Deuxième sillon sous-
du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal, 45, 45. sf. Deuxième
sillon
sous-frontal. Su. Substance grise centrale sous
sous-frontal. Su. Substance grise centrale sous-épendymaire. si.
Sillon
du lobule lingual. sME. Grand sillon métopique,
ntrale sous-épendymaire. si. Sillon du lobule lingual. sME. Grand
sillon
métopique, 43, 45. sme. Petit sillon métopique
u lobule lingual. sME. Grand sillon métopique, 43, 45. sme. Petit
sillon
métopique ou incisures métopiques, 41, 44, 46.
44, 46. sP. Scissure sous-pariétale, 42, 44, 46. SPL. Splenium. SR.
Sillon
rostral. T3. Troisième circonvolution temporale
pus album subrolun-dum). NR. Noyau rouge de la calotte. Ot. Premier
sillon
occipital. 02. Deuxième circonvolution occipita
Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. otk. Quatrième
sillon
occipito-temporal. Pa. Lobule paracentral ou ov
, ourlet ou pentagone du lobe carré, 48. PO. Pôle occipital. pro.
Sillon
prœ-ovalaire, 52. PS. Pôle sphénoïdal. PSO. P
ue, 48. psp. Pédoncule du septum lucidum, bandelette diagonale. pt.
Sillon
pariétal transverse, 49, 50. Pul. Pulvinar. PV. P
l antérieur, 50. ROS. Rostrum. sC. Sinus du corps calleux. sCu.
Sillon
du cuneus, 51. sF. Premier sillon sous-frontal.
C. Sinus du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus, 51. sF. Premier
sillon
sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal.
llon du cuneus, 51. sF. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième
sillon
sous-frontal. SG. Substance grise centrale sous
sous-frontal. SG. Substance grise centrale sous-épenclymaire. si.
Sillon
du lobule lingual, 52. sME. Grand sillon métopi
e sous-épenclymaire. si. Sillon du lobule lingual, 52. sME. Grand
sillon
métopique, 49, 52. sme. Petit sillon métopique
bule lingual, 52. sME. Grand sillon métopique, 49, 52. sme. Petit
sillon
métopique ou incisures métopiques, 49. sP. Scis
es, 49. sP. Scissure sous-pariétale, 49, 50. SPL. Splenium. SR.
Sillon
rostral. T2. Deuxième circonvolution temporale.
Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. ot7t. Troisième
sillon
occipito-temporal. otK. Quatrième sillon occipi
e interne. ot7t. Troisième sillon occipito-temporal. otK. Quatrième
sillon
occipito-temporal Pa. Lobule paracentral ou ovala
lution limbique. PEN. Pli, ourlet ou pentagone du lobe carré. fjro.
Sillon
pr e-ovalaire. PRU. Sillon pra unciquc. PS. Pôle
, ourlet ou pentagone du lobe carré. fjro. Sillon pr e-ovalaire. PRU.
Sillon
pra unciquc. PS. Pôle sphénoïdal. PSO. Pli, our
urlet ou pentagone sous-ovalairc de la circonvolution limbique. pt.
Sillon
pariétal transverse, 55. PV. Pont de Varole. -F
Rf. Rectangle Irontal antérieur. sG. Sinus du corps calleux. sCu.
Sillon
du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal, 55.
sG. Sinus du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus. sF. Premier
sillon
sous-frontal, 55. sf. Deuxième sillon sous-fron
llon du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal, 55. sf. Deuxième
sillon
sous-frontal, 55. si. Sillon du lobule lingual,
illon sous-frontal, 55. sf. Deuxième sillon sous-frontal, 55. si.
Sillon
du lobule lingual, 54. sME. Grand sillon métopi
on sous-frontal, 55. si. Sillon du lobule lingual, 54. sME. Grand
sillon
métopique, 55, sme. Petit sillon métopique ou i
u lobule lingual, 54. sME. Grand sillon métopique, 55, sme. Petit
sillon
métopique ou incisures metopiques, 55. sP. Scissu
s metopiques, 55. sP. Scissure sous-pariétale, 55. SPL. Splenium. SR.
Sillon
rostral. T5. Troisième circonvolution temporale
olfactive externe. OLI. Racine olfactive interne. ot.. Troisième
sillon
occipito-temporal. o/,,,. Quatrième sillon occi
nterne. ot.. Troisième sillon occipito-temporal. o/,,,. Quatrième
sillon
occipito-temporal. Pa. Lobule paracentral ou ov
ou pentagone du lobe carré. PP. Pied du pédoncule cérébral. pro.
Sillon
pra ovalaire. PRU. Sillon prse-uncique, 60. P
PP. Pied du pédoncule cérébral. pro. Sillon pra ovalaire. PRU.
Sillon
prse-uncique, 60. PS. Pôle sphénoïdal. PSO. P
de la circonvolution limbique. psp. Pédoncule du septum lucidum. pt.
Sillon
pariétal transverse. Pul. Pulvinar, 61. PV. Pont
Rectangle frontal antérieur. ROS. Rostrum du corps calleux. sCu.
Sillon
du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal. s
ROS. Rostrum du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus. sF. Premier
sillon
sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal.
. Sillon du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième
sillon
sous-frontal. si. Sillon du lobule lingual. s
remier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. si.
Sillon
du lobule lingual. sME. Grand sillon métopique.
ème sillon sous-frontal. si. Sillon du lobule lingual. sME. Grand
sillon
métopique. sine. Petit sillon métopique ou inci
illon du lobule lingual. sME. Grand sillon métopique. sine. Petit
sillon
métopique ou incisures mélopiqucs. sP. Scissure
ous-pariétale, 57. SPL. Splenium, bourrelet du corps calleux. SR.
Sillon
rostral. T3. Troisième circonvolution temporale
ostral. T3. Troisième circonvolution temporale, 00. t.. Troisième
sillon
temporal. Tœ. Tœnia semi-circularis, 62. TC.
térieur, 63. F1. Première circonvolution frontale, 65, 65. fv Premier
sillon
frontal, 65. F"2. Deuxième circonvolution frontal
n frontal, 65. F"2. Deuxième circonvolution frontale, 65. fv Deuxième
sillon
frontal, 65. FOI Circonvolution fronto-orbitaire
e, 65, 68. GUE. Gyrus olfactif externe. GR. Gyrus reclus, 65, 65. //.
Sillon
en H du lobule orbitaire, 65. I1L. Lobule de l'hi
5. OLB. Bulbe du nerf olfactif. OR. Opercule rolandique. otr Deuxième
sillon
occipito-temporal. oL. Troisième sillon occipito-
cule rolandique. otr Deuxième sillon occipito-temporal. oL. Troisième
sillon
occipito-temporal. otr Quatrième sillon occipito-
ipito-temporal. oL. Troisième sillon occipito-temporal. otr Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-temporal
llon occipito-temporal. otr Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-temporal de Pansch, 64. PF. Pôle frontal
ème circonvolution frontale. PP. Pied du pédoncule cérébral, 63. PRU.
Sillon
prawincique. PS. Pôle sphénoïdal, 63. PY. Pont de
issure de Sylvius, 65, 66. S'". Branche verticale de Sylvius. si.
Sillon
du lobule lingual. soe. Sillon orbitaire extern
Branche verticale de Sylvius. si. Sillon du lobule lingual. soe.
Sillon
orbitaire externe, 65, 67. soi. Sillon orbitair
on du lobule lingual. soe. Sillon orbitaire externe, 65, 67. soi.
Sillon
orbitaire interne, 65. sP. Scissure sous-pariét
illon orbitaire interne, 65. sP. Scissure sous-pariétale, 63. SR.
Sillon
rosirai, 63. T1. Première circonvolution tempor
osirai, 63. T1. Première circonvolution temporale, 65. lv Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure paral-lèle.
Première circonvolution temporale, 65. lv Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure paral-lèle. T2. Deuxième ci
aral-lèle. T2. Deuxième circonvolution temporale, 64. tr Deuxième
sillon
temporal. T5. Troisième circonvolution temporal
E1. Première circonvolution frontale, 68, 72, 75, 79. f. Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale,
l. F2. Deuxième circonvolution frontale, 68, 72, 80. f2. Deuxième
sillon
frontal. F5. Troisième circonvolution frontale,
Opercule pariétal de Sylvius, opercule d'Arnold, 68. of4. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-temporal
ercule d'Arnold, 68. of4. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-temporal de Pansch, 75, 79, 80. P. Circo
nsula, pied de l'insula, 79, 80, 81. PO. Pôle occipital, 68, 72. pri.
Sillon
prserolandique inférieur, 80. Pul. Pulvinar, 70,
e de Sylvius, 69, 79, 80. sC. Sinus du corps calleux, 68. sF. Premier
sillon
sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. s
s du corps calleux, 68. sF. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième
sillon
sous-frontal. soi. Sillon orbitaire interne. T1
. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. soi.
Sillon
orbitaire interne. T1. Première circonvolution
rne. T1. Première circonvolution temporale, 69, 72, 80. ty. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure paral-lèle,
re circonvolution temporale, 69, 72, 80. ty. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure paral-lèle, 69, 72. T2. Deuxi
, 69, 72. T2. Deuxième circonvolution temporale, 69, 80. t . Deuxième
sillon
temporal. T3. Troisième circonvolution temporal
T3. Troisième circonvolution temporale, 69, 72, 80. t-. Troisième
sillon
temporal, 72, 80. Ta3. Tsenia semi-circularis,
re perpendiculaire ou occipitale interne, 86, 89, 96. ot2. Deuxième
sillon
occipito-temporal, 88, 96. ot~. Troisième sillo
6. ot2. Deuxième sillon occipito-temporal, 88, 96. ot~. Troisième
sillon
occipito-temporal, 87, 90. o/4. Quatrième sillo
. ot~. Troisième sillon occipito-temporal, 87, 90. o/4. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-temporal
to-temporal, 87, 90. o/4. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-temporal de Pansch, 87, 89, 94, 96. p.
poral, grand sillon occipito-temporal de Pansch, 87, 89, 94, 96. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal, 88, 90, 92, 96. P1.
e pli de passage externe, pli humain. Q. Lobe carré, 94, 95. sCu.
Sillon
du cuneus, 87, 89, 94, 98. si. Sillon du lobule
Q. Lobe carré, 94, 95. sCu. Sillon du cuneus, 87, 89, 94, 98. si.
Sillon
du lobule lingual, 87. tv Premier sillon tempor
eus, 87, 89, 94, 98. si. Sillon du lobule lingual, 87. tv Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure paral-lèle,
98. si. Sillon du lobule lingual, 87. tv Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure paral-lèle, 92. T2. Deuxièm
issure perpendiculaire ou occipitale interne, 99, 102. oth. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
tale interne, 99, 102. oth. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch, 100, 107. P. Circon
100, 107. P. Circonvolution pariétale ascendante, 103, 107, 108. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal, 100. P1. Circonvolut
valaire, 103, 106. PC. Pli courbe. ps. Un prolongement supérieur du
sillon
interpariétal. pl. Sillon pariétal transverse, 10
courbe. ps. Un prolongement supérieur du sillon interpariétal. pl.
Sillon
pariétal transverse, 105, 106. tcL. Pli de passag
6, 107. Q. Lobe carré, 99, 105, 106. R. Scissure de Rolando, 106. si.
Sillon
du lobule lingual, 105. sP. Scissure sous-pariéta
rré, 99, 101. T1. Première circonvolution temporale, 100. t{. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle, 1
Première circonvolution temporale, 100. t{. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle, 107. tu. Branche
illon parallèle, scissure parallèle, 107. tu. Branche inférieure du
sillon
parallèle, 100. tis. Rranche supérieure du sill
che inférieure du sillon parallèle, 100. tis. Rranche supérieure du
sillon
parallèle, 100. T2. Deuxième circonvolution tem
le, 100. T2. Deuxième circonvolution temporale, 100. t%. Deuxième
sillon
temporal. T\ Troisième circonvolution temporale
l. T\ Troisième circonvolution temporale, 100, 107. tz. Troisième
sillon
temporal. T4. Quatrième circonvolution temporal
me circonvolution occipitale, gyrus lingual, 110, 115. o/4. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
rus lingual, 110, 115. o/4. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch, 110. P. Circonvolut
e Pansch, 110. P. Circonvolution pariétale ascendante, 109, 128. p.
Sillon
pariétal ou interpariélal. P1. Circonvolution p
ution pariétale supérieure, ou lobule pariétal supé-rieur, 110. pt.
Sillon
pariétal supérieur ou postrolandique supérieur, 1
5. R. Scissure de Rolando. s(J. Sinus du corps calleux, 121, 125. si.
Sillon
du lobule lingual, 110. ¦SP. Scissure sous-pariét
lobe carré, 110. TJ. Première circonvolution temporale. tv Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle, 1
TJ. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle, 111. T2. Deuxièm
rallèle, 111. T2. Deuxième circonvolution temporale. lt. Deuxième
sillon
temporal. T-'. Troisième circonvolution tempora
temporal. T-'. Troisième circonvolution temporale. t-. Troisième
sillon
temporal. T'\ Quatrième circonvolution temporal
e la corne d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold. olh. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-temporal
ti-culaire d'Arnold. olh. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-temporal de Pansch, 155. P. Circonvolu
mporal de Pansch, 155. P. Circonvolution pariétale ascendante. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. P1. Circonvolution p
-pariétale, 152. T1. Première circonvolution temporale. tt. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle.
T1. Première circonvolution temporale. tt. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle. T2. Deuxième cir
, 155. T3. Troisième circonvolution temporale, 155. t-. Troisième
sillon
temporal, 155. T4. Quatrième circonvolution tem
ticulum sub subiculo, fissure inféro-interne du ventricule latéral,
sillon
du subiculuru, 145. F. Circonvolution frontale as
d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold, 144, 145. ot,t. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
d'Arnold, 144, 145. ot,t. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch, 141. P. Circonvol
-poral de Pansch, 141. P. Circonvolution pariétale ascendante. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. P1. Circonvolution p
convolution pariétale supérieure, ou lobule pariétal supé-rieur. pv
Sillon
pariétal supérieur ou postrolandique supérieur.
temporale. T3. Troisième circonvolution temporale. t-. Troisième
sillon
temporal. T4. Quatrième circonvolution temporal
. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 159. Dsu.
Sillon
latéral du subiculum, 158. F1. Première circonv
ulairc d'Arnold, 151, 152. P. Circonvolution pariétale ascendante. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. P1. Circonvolution p
convolution pariétale supérieure ou lobule pariétal supé-rieur. Pi.
Sillon
pariétal supérieur ou postrolandique supérieur.
P. Tubercule quadrijumeau postérieur. R. Scissure de Rolando. sh.
Sillon
de l'hippocampe au-dessus de la circonvolution de
e sous-pariétale. T1. Première circonvolution temporale. tv Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle.
T1. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle. T2. Deuxième cir
. CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 170. Dsu.
Sillon
latéral du subiculum, 165. F1. Première circonv
orne d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold, 165. o/,,. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
aire d'Arnold, 165. o/,,. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch. P. Circonvolution
o-tem-poral de Pansch. P. Circonvolution pariétale ascendante, 161.
Sillon
pariétal ou interpariétal. P'. Circonvolution p
lution pariétale supérieure, ou lobule pariétal supé-rieur, 161. pv
Sillon
pariétal supérieur ou postrolandique supérieur.
ando. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 161. SH.
Sillon
de l'hippocampe au niveau de la circonvolution de
re d'Arnold, 171, 175. LST. Stratum lacunosum, 174. ot,,. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
tum lacunosum, 174. ot,,. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch, 177. P. Circonvolut
-tem-poral de Pansch, 177. P. Circonvolution pariétale ascendante. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. P2. Circonvolution p
s calleux, 171. T1. Première circonvolution temporale. tv Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle.
T1. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle. T2. Deuxième cir
re parallèle. T2. Deuxième circonvolution temporale. ts. Deuxième
sillon
temporal. T3. Troisième circonvolution temporal
n temporal. T3. Troisième circonvolution temporale. t-. Troisième
sillon
temporal. T4. Quatrième circonvolution temporal
frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier
sillon
frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 191.
caudé, 187, 189, 190. P. Circonvolution pariétale ascendante, 192. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal, 185. pv Sillon pariéta
riétale ascendante, 192. p. Sillon pariétal ou interpariétal, 185. pv
Sillon
pariétal supérieur ou postrolandique supérieur. P
pendymaire, 188. T1. Première circonvolution temporale. tl. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle.
T1. Première circonvolution temporale. tl. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle. T2. Deuxième cir
re parallèle. T2. Deuxième circonvolution temporale. £2. Deuxième
sillon
temporal. T3. Troisième circonvolution temporal
n temporal. T3. Troisième circonvolution temporale. tz. Troisième
sillon
temporal. T4. Quatrième circonvolution temporal
ascendante. F1. Première circonvolution frontale, 204. /i. Premier
sillon
frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 203. FD
Noyau caudé, 197. NCC. Queue du noyau caudé, 197. ot,t. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
u noyau caudé, 197. ot,t. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch. P. Circonvolution
em-poral de Pansch. P. Circonvolution pariétale ascendante, 204. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. P2. Circonvolution p
pendymaire, 196. T1. Première circonvolution temporale. ty. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure paral-lèle.
T1. Première circonvolution temporale. ty. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure paral-lèle. T2. Deuxième ci
e paral-lèle. T2. Deuxième circonvolution temporale. lt. Deuxième
sillon
temporal. T3. Troisième circonvolution temporal
n temporal. T3. Troisième circonvolution temporale. t~. Troisième
sillon
temporal. T4. Quatrième circonvolution temporal
cendante, 205. F1. Première circonvolution frontale, 205. fj. Premier
sillon
frontal. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP
ercule d'Arnold, 205, 222. P. Circonvolution pariétale ascendante. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal, 204. P2. Circonvolut
, 205, 209, 216. T1. Première circonvolution temporale. tL. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle, 2
T1. Première circonvolution temporale. tL. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle, 205. T2. Deuxièm
ercule d'Arnold, 258. P. Circonvolution pariétale ascendante, 259. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. P2. Circonvolution p
étal infé-rieur, 238. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur, 227. prs.
Sillon
prserolandique supérieur. Pul. Pulvinar, 225. PV.
ndymaire, 227. T1. Première circonvolution temporale. tx. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle. T2. Deuxième circon
T1. Première circonvolution temporale. tx. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle. T2. Deuxième circonvolution temporal
on parallèle. T2. Deuxième circonvolution temporale. f2. Deuxième
sillon
temporal. T3. Troisième circonvolution temporal
n temporal. T3. Troisième circonvolution temporale. tz. Troisième
sillon
temporal. V. Quatrième circonvolution temporale
Opercule pariétal de Sylvius, opercule d'Arnold, 256. ot!t. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
ercule d'Arnold, 256. ot!t. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch. P. Circonvolution p
iatio thalami. T1. Première circonvolution temporale. ty. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle.
T1. Première circonvolution temporale. ty. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle. T2. Deuxième cir
ascendante, 272. F1. Première circonvolution frontale. fv Premier
sillon
frontal. FCF. Faisceau compact du fornix, 288.
percule pariétal de Sylvius, opercule d'Arnold, 287. ot,r Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
rcule d'Arnold, 287. ot,r Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch, 289. P. Circonvol
-poral de Pansch, 289. P. Circonvolution pariétale ascendante. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. PAR. Faisceau parall
étal ou interpariétal. PAR. Faisceau parallèle, occupant le fond du
sillon
parallèle, 287. Pcs. Pédoncule cérébelleux supéri
llèle, 287. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur, 277, 280, 281. prs.
Sillon
prœrolandique supérieur. PV. Pont de Varole, 277.
288. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 272. 877.
Sillon
de l'hippocampe au niveau de la circonvolution de
ascendante, 290. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier
sillon
frontal, 290. F2. Deuxième circonvolution front
ntal, 290. F2. Deuxième circonvolution frontale, 290. f. Deuxième
sillon
frontal. FCF. Faisceau compact du fornix. Fd.
ensitif externe, 294, 502. GE. Corps genouillé externe, 295. CES.
Sillon
du corps genouillé externe, 294. if. Incisure f
cule cérébelleux supérieur, 295. PP. Pied du pédoncule cérébral. prs.
Sillon
preerolandique supérieur, 290. PUT. Pdtamen, 294,
u noyau caudé. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SH.
Sillon
de l'hippocampe au niveau de la circonvolution de
scendante. F1. Première circonvolution frontale, 506. f\. Premier
sillon
frontal, 506, 507. F2. Deuxième circonvolution
506, 507. F2. Deuxième circonvolution frontale, 506. f%. Deuxième
sillon
frontal, 507. FCF. Faisceau compact du fornix.
vius, opercule d'Arnold. PAR. Faisceau parallèle, occupant le fond du
sillon
parallèle, 526. prs. Sillon prœrolandique sup
isceau parallèle, occupant le fond du sillon parallèle, 526. prs.
Sillon
prœrolandique supérieur. PUT. Putamen, 509, 524.
527, 552, 554. F1. Première circonvolution frontale. f\. Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale.
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale. fv Deuxième
sillon
frontal, 527. F5. Troisième circonvolution fron
552, 545. NL. Faisceau rubro-thalamique, 557, 540. otk. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-tem-pora
halamique, 557, 540. otk. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-tem-poral de Pansch. PAR. Faisceau par
o-tem-poral de Pansch. PAR. Faisceau parallèle, occupant le fond du
sillon
parallèle, 552. PUT. Putamen. PV. Pont de Var
Sylvius. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 555, 554. SE.
Sillon
de l'hippocampe au niveau de la circonvolution de
fornix ou pilier antérieur de la voûte. DL. Discus lenliformis. Dsu.
Sillon
latéral du subiculum. F1. Première circonvolution
téral du subiculum. F1. Première circonvolution frontale. fr. Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale, 55
antérieur, 584. F1. Première circonvolution frontale, 588. f. Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale. f%
er sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale. f%. Deuxième
sillon
frontal. F3. Troisième circonvolution frontale. F
au amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 577. ot,t. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-temporal
eur du thalamus, 577. ot,t. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-temporal de Pansch. pri. Sillon prserola
lon occipito-temporal, grand sillon occipito-temporal de Pansch. pri.
Sillon
prserolandique inférieur. PUT. Putamen, 577. RN
foré antérieur, 598. F1. Première circonvolution frontale. fv Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale, 59
. OP. Opercule pariétal de Sylvius, opercule d'Arnold. otk. Quatrième
sillon
occipito-temporal, grand sillon occipito-temporal
us, opercule d'Arnold. otk. Quatrième sillon occipito-temporal, grand
sillon
occipito-temporal de Pansch. PEL. Septum lucidum.
, grand sillon occipito-temporal de Pansch. PEL. Septum lucidum. pri.
Sillon
prserolandique inférieur. PUT. Putamen, 591. RN
ieur, 407, 415. F1. Première circonvolution frontale. f\. Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale,
n frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale, 407. f. Deuxième
sillon
frontal. F3. Troisième circonvolution frontale,
verticale de Sylvius, 407. sS. Sinus du corps calleux, 408. soi.
Sillon
orbitaire interne, 409, 416, 417. T1. Première
. Cingulum, 425. F1. Première circonvolution frontale /j. Premier
sillon
frontal, 419, 425. F2. Deuxième circonvolution
419, 425. F2. Deuxième circonvolution frontale, 419. f. Deuxième
sillon
frontal. F3. Troisième circonvolution frontale,
circonvolution sous-frontale, GSV. Gyrus veslibuli, 421, 426. //.
Sillon
en H du lobule orbitaire. IN. Insula de Reil.
sure de Sylvius, 419. sC. Sinus du corps calleux, 420. sME. Grand
sillon
métopique, 420. soi. Sillon orbitaire interne,
nus du corps calleux, 420. sME. Grand sillon métopique, 420. soi.
Sillon
orbitaire interne, 426. T1. Première circonvolu
ormis, 428, 452. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale.
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale. f. Deuxième
sillon
frontal. F3. Troisième circonvolution frontale.
noyau caudé, 450. NR. Noyau rouge de Stilling, 428. 02. Deuxième
sillon
occipital. Ofi. Sixième circonvolution occipita
de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps calleux. sME. Grand
sillon
métopique. SPL. Splenium. sQ. Recessus du lob
e la voûte, 456. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale.
illon frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale. fj. Deuxième
sillon
frontal. F5. Troisième circonvolution frontale.
nnante de la couche optique, 456. sC. Sinus du corps calleux. sh.
Sillon
de l'hippocampe au-dessus de la circonvolution de
circonvolution de l'hippocampe, en arrière du splenium. sME. Grand
sillon
métopique. sP. Scissure sous-pariétale. T5. Trois
ndant du fornix. F1. Première circonvolution frontale. fv Premier
sillon
frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale.
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution frontale. fv Deuxième
sillon
frontal. F5. Troisième circonvolution frontale.
ure perpendiculaire externe. Oi. Scissure perpendiculaire interne. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. PC. Pli courbe. PE
la couche optique, 440, 445. sC. Sinus du corps calleux. sME. Grand
sillon
métopique. sP. Scissure sous-pariétale. sQ. Reces
ssus du lobe carré. T1. Première circonvolution temporale. tv Premier
sillon
temporal. ttt. Rranche inférieure du sillon paral
ion temporale. tv Premier sillon temporal. ttt. Rranche inférieure du
sillon
parallèle. ti?. Branche supérieure du sillon para
t. Rranche inférieure du sillon parallèle. ti?. Branche supérieure du
sillon
parallèle. t%. Deuxième sillon temporal. Tse. Tœn
parallèle. ti?. Branche supérieure du sillon parallèle. t%. Deuxième
sillon
temporal. Tse. Tœnia semi-circularis, 445. TAP. T
frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier
sillon
frontal. fu. Sillon de la première circonvoluti
1. Première circonvolution frontale. f. Premier sillon frontal. fu.
Sillon
de la première circonvolution frontale. F2. Deu
circonvolution frontale. F2. Deuxième circonvolution frontale. f.
Sillon
de la deuxième circonvolution frontale. F5. Tro
rne du thalamus. 01. Première circonvolution occipitale. Ov Premier
sillon
occipital. 02. Deuxième circonvolution occipita
percule d'Arnold, 448. P. Circonvolution pariétale ascendante. p.
Sillon
pariétal ou interpariétal. lMi. Pli inférieur d
nterpariétal. lMi. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur. pv
Sillon
pariétal supérieur ou postrolandique supérieur.
Pli courbe. pF3. Pied de la troisième circonvolution frontale. pri.
Sillon
prserolandique inférieur. PUT. Putamen, 446. ?r
ution frontale. F2. Deuxième circonvolution frontale. f. Deuxième
sillon
frontal. F3. Troisième circonvolution frontale.
lvius, opercule d'Arnold. OR. Opercule rolandique. ot,r Quatrième
sillon
occipito-temporal, 455. PEL. Septum lucidum.
uatrième sillon occipito-temporal, 455. PEL. Septum lucidum. pri.
Sillon
prœrolandique inférieur. psp. Pédoncule du sept
a couche op-tique, 452. S'". Rranche verticale de Sylvius. sME. Grand
sillon
métopique. sP. Scissure sous-pariétale. T1. Premi
externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus. Or Deuxième
sillon
occipital. 01. Scissure perpendiculaire interne
ncule du septum lucidum. Put. Pulvinar. PUT. Putamen, 457. soi.
Sillon
orbitaire interne. SPL. Splenium. T1. Première
SPL. Splenium. T1. Première circonvolution temporale. tv Premier
sillon
temporal. T2. Deuxième circonvolution temporale
stérieur. F1. Première circonvolution frontale, 459. /*!• Premier
sillon
frontal, 459. F2. Deuxième circonvolution front
tal, 459. F2. Deuxième circonvolution frontale, 459. f2. Deuxième
sillon
frontal. F5. Troisième circonvolution frontale.
GR. Gyrus rectus, 460. GS. Pyramide grise de Sœmmering, 461. //.
Sillon
en H du lobule orbitaire. llip. Circonvolution
, 459, 460. OLB. Bulbe du nerf olfactif, 459, 460. otk. Quatrième
sillon
occipito-temporal. PI. Pôle de l'insula, 460.
Pôle de l'insula, 460. PP. Pied du pédoncule cérébral, 459. PRU.
Sillon
prœ-uncique. PS. Pôle sphénoïdal. psp. Pédonc
. Branche antérieure ou horizontale de la scissure de Sylvius. soe.
Sillon
orbitaire externe. éoi. Sillon orbitaire intern
le de la scissure de Sylvius. soe. Sillon orbitaire externe. éoi.
Sillon
orbitaire interne, 461. T1. Première circonvolu
461. T1. Première circonvolution temporale, 459, 461. ty. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle.
re circonvolution temporale, 459, 461. ty. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle. T2. Deuxième cir
rallèle. T2. Deuxième circonvolution temporale, 461. ts. Deuxième
sillon
temporal. T3. Troisième circonvolution temporal
poral. T3. Troisième circonvolution temporale, 461. t3. Troisième
sillon
temporal. TAP. Tapetum, 459. TC. Tuber cinere
antérieure, 463. CE. Capsule externe, 465. CL. Claustrum. Dsu.
Sillon
latéral du subiculum. Fd. Fascia dentata. FI. Fim
Noyau amygdalien, 463. NCC. Queue du noyau caudé, 463. otk. Quatrième
sillon
occipito-temporal. PS. Pôle sphénoïdal. RAIL Re
eure du putamen. T1. Première circonvolution temporale. ti. Premier
sillon
temporal, sillon parallèle, scissure parallèle.
T1. Première circonvolution temporale. ti. Premier sillon temporal,
sillon
parallèle, scissure parallèle. T2. Deuxième cir
ure parallèle. T2. Deuxième circonvolution temporale. tv Deuxième
sillon
temporal, T3. Troisième circonvolution temporal
n temporal, T3. Troisième circonvolution temporale. tz. Troisième
sillon
temporal. T4. Quatrième circonvolution temporal
sure de Meynert. CO. Centre ovale. DL. Discus lentiformis. Dsu.
Sillon
latéral du subiculum. FCF. Faisceau compact duf
ième circonvolution occipitale, gyrus lingual, 465. ot,t. Quatrième
sillon
occipilo-temporal. Pcs. Pédoncule cérébelleux s
rieure de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps calleux. si.
Sillon
du lobule lingual. T1. Quatrième circonvolution
rébello-thalamique. Cin. Cingulum. DL. Discus lentiformis. Dsu.
Sillon
latéral du subiculum. EPA. Espace perforé antér
terne. OLC. Fibres commissurales du nerf olfactif. otk. Quatrième
sillon
occipito-temporal. pt. Sillon pariétal transver
es du nerf olfactif. otk. Quatrième sillon occipito-temporal. pt.
Sillon
pariétal transverse. Pul. Pulvinar. PUT. Puta
isceau compact de la couronne rayonnante touche presque le fond des
sillons
principaux, tandis qu'il en est séparé chez l'adu
q, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - Cil, couronne rayonnante. - F
et troisième circonvolutions frontales. - f,, /2, premier et deuxième
sillons
frontaux. - Pli, faisceau longitudinal inférieu
ième sillons frontaux. - Pli, faisceau longitudinal inférieur. - i,
Sillon
de l'insula. -Ia,Ip, circonvolutions antérieure e
- Sge, substance grise sous-épendymaire. - Si, septum lucidum. so,
sillon
sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temp
Fig. 280, p. S2j). Ce, corps calleux. - Oing, Cinq', cingulum. cm,
sillon
calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. -
onvolutions frontales. - f" /2, fla, premier, deuxième et troisième
sillons
frontaux. - f4, quatrième sillon frontal ou sil
fla, premier, deuxième et troisième sillons frontaux. - f4, quatrième
sillon
frontal ou sillon olfactif. - f'2, incisure du
me et troisième sillons frontaux. - f4, quatrième sillon frontal ou
sillon
olfactif. - f'2, incisure du deuxième sillon fron
ième sillon frontal ou sillon olfactif. - f'2, incisure du deuxième
sillon
frontal. - Zi, première circonvolution lim- biq
T. le") ; son seg- ment interne, mince et court, tapisse le fond du
sillon
olfactif (fi) et se ter- mine à la base du gyru
sule externe. - Cg, circonvolution godronnée. - Cinq, cingulum. - cm,
sillon
calloso- marginal. Cip, segment postérieur de l
frontal. - Opl'a, partie pariétale de l'opercule rolandique. - ol,
sillon
collatéral. - ot + [3, branche commune au sillo
rolandique. - ol, sillon collatéral. - ot + [3, branche commune au
sillon
collatéral et au troisième sillon temporal. - P,
al. - ot + [3, branche commune au sillon collatéral et au troisième
sillon
temporal. - P, pied du pédon- cule cérébral. -
cule. - 7'c/Mp/t, plexus choroïdes de la corne sphénoldale. - p1'S,
sillon
prérolandique supérieur. - ? faisceau pyramidal
troisième circonvolutions temporales. - tl, lo, premier et deuxième
sillons
temporaux. - Tap, tapetum. - Tc%, toile choroidie
aisceau inférieur ou minor du forceps. - Fus, lobule fusiforme. ip,
sillon
interpariétal; ip', ses incisures. - Lg, lobule
sures. - Lg, lobule lingual. - OF, faisceau occipito-frontal. - ot,
sillon
collatéral. - Ov, faisceau occipital vertical.-
rus supra-marginalis. - ll, circonvolution de l'hip- pocampe. - ip,
sillon
interpariétal. - Li, première circonvolution limb
la circonvolution de l'l,ippocampe ? G', queue du noyau caudé. ol,
sillon
collatéral. - P,, l'z, première et deuxième circo
pariétales. - PrC, proe- cuneus. - RTh, radiations thalamiques. sp,
sillon
sous-pariétal. - T,, T2 première et deuxième ci
deuxième circonvolutions temporales. - 12, la, deuxième et troisième
sillons
temporaux. Tap, tapetum. - lec, t2nia tecta. -
res de l'insula. - Ip, circonvolution postérieure de l'insula. - i,
sillon
de l'insula. - ig, indusium briseur.- K, scissu
nia semi circularis. - Lg, lobule lingual. - Mo, trou de Monro. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau an
ique. - 1 ? 7 ? première et deuxième circonvolutions temporales. - t,
sillon
parallèle. - 1'(il), tapetum. - lec, t;unia, te
convolution de l'hippocampe ou deuxième circonvolution limbique. h.
sillon
de l'hippocampe. L ? ? ? s. lame médullaire super
i. 1'1, Ti. première et deuxième circonvo- lutions temporales. - t,
sillon
parallèle. - Tap. tapetum. - U, circonvolution du
ur ; Cirl, segment r6lrolcnLiculuirc dc la capsule interne. - cm,
sillon
calloso- marginal. - CSgl, couches sagittales
deuxième, troisième circon- volutions frontales. - f\, pre- micr
sillon
frontal. Fa, circonvolution frontale ascen- d
onnante. po, scissure parieto-occipitale. l'rC, precancus. - pri,
sillon
prérolandique. inférieur. -R, scissure de Hol
inférieur. -R, scissure de Holando. - SI, septuiii lucidum. - sp,
sillon
sous -pariétal. - l ? branche verticale de la
; Cirl, segment rétro-lenticulaire de la cap- sule interne. - cm,
sillon
calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante e
a, première, deuxième circonvolution.- frontales. - f,, premier
sillon
frontal. fla, fais- l'eau longitudinal inférieu
- '2, ? 3, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f4,
sillon
crn- cial. - Fli, faisceau longi- tudinal inf
0,, 0" première, deuxième circon- volutions occipitales. - oa,
sillon
occipital antérieur. - pcn, pied de la couronne
Fa, F3, deuxième et troisième cir- convolutions frontales. - r"
sillon
crucial. - Fli, fais- ceau longitudinal inférie
e. - 0,, 02 première, deuxième circonvolutions occipitales. - oa.
sillon
oc- cipital antérieur ? <, pul- vinar. - Q
F,, Fa, première et deuxième circonvolutious frontales. fI, premier
sillon
frontal. Fa, circonvolution frontale ascen- dan
e. - mF,, face interne de la première circom olutionfrontale. - 111p,
sillon
marginal postérieur. - ms, sillon marginal supé
e circom olutionfrontale. - 111p, sillon marginal postérieur. - ms,
sillon
marginal supérieur. - NC, noyau caudé. NL, nerf d
- OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolandique. - ol,
sillon
collatéral. - par, pied de la couronne rayonnan
l, sillon collatéral. - par, pied de la couronne rayonnante. - pri,
sillon
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando
volutions temporales. - t,, l" 13, pre- mier, deuxième et troisième
sillons
temporaux. - Te, tuber cinereum. - lec, taenia te
noyau lenticulaire. ? t, lame médul- laire interne du thalamus. ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. -mp, sillon margi
interne du thalamus. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. -mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau an
nte. l'ul, pulvinar. - ItTle, radiations optiques de Gratiolet. - si,
sillon
opto- strié. - Sl, septum lucidum. - slm, strat
couche optique. - T,, première circonvolution temporale. - premier
sillon
temporal (sillon parallèle). - Tap, tapetum.- T
- T,, première circonvolution temporale. - premier sillon temporal (
sillon
parallèle). - Tap, tapetum.- Tga, pilier antéri
u géniculé. - Ci/ ! f7), cingulum. CM, commissure de Meynert. - cm,
sillon
calloso-marginal. coa, commissure antérieure. -
e rayonnante. - Fi, première circonvolution fron- tale. fi, premier
sillon
frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante
- nzF,, face interne de la première circonvolution frontale. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - ms, sillon mar
ution frontale. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - ms,
sillon
marginal supérieur de l'insula. - Nl, noyau amy
OF, faisceau occipito-frontal. - OpR, opercule rolan- dique. - ot,
sillon
collatéral. - Pa, circonvolution pariétale ascend
antérieur du thalamus.] 'pCR, pied de la couronne rayonnante. - prs,
sillon
pré-rolan- dique supérieur. - PiTh, pédoncule i
nce grise centrale. - Soe, substance grise sous-épendymaire. - sJI,
sillon
de Alonro. - S(p), branche postérieure de la scis
olu- tions temporales.- t,, t2, la, premier, 'deuxième et troisième
sillons
temporaux. - l'e, tuber cinereum. - lec, toenia
peut-être dans la région sous-thalamique, mais n'atteignent pas le
sillon
pédonculo-pro- tubérantiel. Les fibres opercula
u lenticulaire (XL,). - iîits, lame médullaire superfi- cielle.-ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. - sillon marginal
laire superfi- cielle.-ma, sillon marginal antérieur de l'insula. -
sillon
marginal postérieur de l'in- sula.- VC, tête du
ts sur les coupes vertico-trans- versales. capsule interne. cm,
sillon
calloso-marginal. - C7 ! , couronne rayonnante. -
nglion de l'habe- nula. - 11, circonvolution de l'hippocampe. - ip,
sillon
interpariétal. - 7, première cir- convolution l
trois circonvolutions tempo- rales. - li, 13, premier et troisième
sillons
temporaux.- Tap, tapetum. - lec, ta;nia tecta.
tion frontale. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - fq,
sillon
fimbrio-godronné. - ll, faisceau lenticulaire de
M, fais- ceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Tiirck. - h,
sillon
de l'hippocampe. la, insula antérieur. - Ip, in
lenticulaire.-Lz7s, lame médullaire superficielle du subiculum, - ma,
sillon
marginal anté- il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
l anté- il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. rieur de l'insula, - mp,
sillon
marginal postérieur de l'iusula.- SC, tète du noy
et tænia semi-circularis. - Lms, lame médullaire superficielle. - ma,
sillon
mar- ginal antérieur. - 71p, sillon marginal po
médullaire superficielle. - ma, sillon mar- ginal antérieur. - 71p,
sillon
marginal postérieur. XC, tête du noyau caudé. NC'
ace perforé antérieur. - troisième circon- volution frontale. - f,,
sillon
olfactif. - Fcop, faisceau de la commissure posté
quadrijumeau pos- térieur. - Il, circonvolution de l'hippocampe. h,
sillon
de l'hippocampe. - la, insula an- térieur. -Ip,
icielle. - Ln, locus niger. - lt, lame terminale[jembryonnaire. ma,
sillon
.marginal antérieur de l'insula. - Nl, noyau am
noyau amygdalien. NC, tête du noyau caude. - NR, noyau rouge. - ol,
sillon
collatéral. - l', étage inférieur ou pied du pé
le cérébral en formant le faisceau en écharpe de Féré. Au niveau du
sillon
pédonculo-protubérantiel, elles atteignent le b
rofond. - Coupe transversale du pédoncule cérébral, au voisinage du
sillon
pédonculo-protubérantiel, passant par l'entre-cro
et le tubercule quadrijumeau antérieur; la figure 38 est voisine du
sillon
pédonculo-protubérantiel et intéresse l'entre-cro
externe (P) de la voie pédonculaire. A mesure que l'on approche du
sillon
pédonculo-protubérantiel la zone dégénérée (P(cl)
pédoncule cérébral. Elles ne quittent pas le voisinage immédiat du
sillon
pédonculo-protubérantiel peuvent être suivies,
dyme ventriculaire, sont croisées par les éléments contenus dans le
sillon
opto-slrié [veine du corps strié, et taenia sem
yau rouge. - coa, commissure antérieure. - 1, champ de Forel. - f4,
sillon
crucial. - F,11, faisceau rétroflexe de Meynert.
ieur. - Rm, ruban de Reil médian; lil, ruban de Reil latéral ; sec,
sillon
du corps calleux, Sexv, surface extraventriculair
cheminent sous l'épendyme ventriculaire, sont croisées au niveau du
sillon
opto-strié par les fibres du taenia semi-circul
capsule interne. - 7*'s. troisième circonvolution frontale. - f,g,
sillon
fimbrio-godronné. Fli, faisceau longitudinal infé
sceau longitudinal infé- rieur. - Gh, ganglion de l'habenula. - /t,
sillon
de l'hippocampe. - la, insula antérieur. - le,
uleire. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - ma,
sillon
marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon ma
au lenticulaire. - ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - \'C, tête du n
olet. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - si,
sillon
opto-strié. - strz, stratum zonale. - T,, premi
T,, première circonvolution temporale. - SI, septum lucidum. - t,,
sillon
parallèle ou premier sillon temporal. - Tap, tape
temporale. - SI, septum lucidum. - t,, sillon parallèle ou premier
sillon
temporal. - Tap, tapetum. - pilier antérieur du
ion frontale. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure. - frl,
sillon
fimbrio-godronné. - Fli, fais- ceau longitudina
e Meynert. - GQp, ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur. - h,
sillon
de l'hippocampe. - i, sillon insulaire. - la, i
ubercule quadrijumeau postérieur. - h, sillon de l'hippocampe. - i,
sillon
insulaire. - la, insu la antérieur. - Ip, insula
ficielle. - Ln, locus niger. - ll, lame terminale embryonnaire. ma,
sillon
marginal antérieur. - mp, sillon marginal postéri
, lame terminale embryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp,
sillon
marginal postérieur. - NA, noyau amygda- lien.
ommissure postérieure. - P3, troisième circonvolution frontale. fj,
sillon
fimbrio-godronnë. TL, faisceau lenticulaire de Fo
que de Forel. - Gh, ganglion de l'habénula. - II, hippocampe. - Ir,
sillon
de l'hippocampe. - i, sillon insulaire. - la, in-
de l'habénula. - II, hippocampe. - Ir, sillon de l'hippocampe. - i,
sillon
insulaire. - la, in- sula antérieur. - Ip, insu
subdi- visant le segment interne (XL,) du noyau lenticulaire.- ma,
sillon
marginal antérieur. - mp, sillon marginal posté
(XL,) du noyau lenticulaire.- ma, sillon marginal antérieur. - mp,
sillon
marginal postérieur. - A'C, tête du noyau caudé.
-ventriculaire du thalamus. - S,gc, substance grise centrale. - si,
sillon
opto-strié. - SI, septum lucidum. - slr, stratum
ci- natus. - 1, insula. - le, lame cornée. - Ln, locus niger. - mp,
sillon
marginal posté- rieur. - Nu, queue du noyau cau
spèce applicables à l'homme. Le singe possède en effet, en avant du
sillon
précentral, dans la partie antérieure du lobe f
ostéro-externe de la pyramide et celle des fibres.si tuées le long du
sillon
médian antérieur dans le cordon antérieur de la
s ; elles occupaient dans la moelle le cordon antérieur, le long du
sillon
médian antérieur. Quant aux autres fibres strié
tale, de la partie postérieure des lobules lingual et fusiforme et du
sillon
collatéral ou occipito-temporal. La zone pointi
commissure antérieure (coa) et des courtes fibres d'association du
sillon
marginal postérieur de l'insula. Méthode de Wei
omolatérales (fPylil). La pyramide droite agénésiée (Py a) borde le
sillon
médian antérieur, s'entre-croise (xPy) sur la Fig
droite agé- ncsiee forme une petite zone sclérosée qui borde le
sillon
médian anté- rieur de la moelle épi- nière. D
ubstance grise antérieure de la protubérance et n'atteignent pas le
sillon
bulbo-protuberantiel. Au niveau du collet du bu
37); une autre partie, poursuivant son trajet descendant le long du
sillon
médian antérieur (faisceau pyramidal direct) (FPy
CEREBRALE, ni ques rares fascicules (Fig. 173) atteignent seuls le
sillon
pédonculo-protubérantiel et le tiers supérieur
cinereum, le faisceau aberrant du pilier antérieur du trigone et le
sillon
pédonculo- protubérantiel. Dégénérescence de la
otubérance (Fig. 178), d'autant plus marquée que l'on s'approche du
sillon
bulbo-protubérantiel. Les libres saines du pied d
s correspond à une crête de circonvolution ou à une pro- fondeur de
sillon
. Il est particulièrement accentué au niveau de l'
antérieures du bulbe font complètement défaut et de chaque côté du
sillon
médian a ntérieur du bulbe on ne trouve que les
PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 195 on trouve, de chaque côté du
sillon
médian antérieur, une légère saillie dépourvue de
faisceaux pyramidaux directs et croisés, c'est- 'L-dire le long du
sillon
médian antérieur et à la partie postérieure du co
effet, de chaque côté, la région orbitaire du lobe frontal avec sou
sillon
crucial, l'espace perfore antérieur, la circonvol
é des hémisphères, on topographie très difficilement les différents
sillons
et circonvolutions. Les circonvolutions sont larg
s OHier,Fig.237) ou dans les agénésies du corps calleux. Le profond
sillon
transversal de la parlie postérieure de la convex
scissure pariéto-occipitale, et à la face inféro-interne droite, un
sillon
collatéral et une scissure calcarine avec un ruba
s du trigone (Tg) avec la lame intertrigonale (lit) et le pro- fond
sillon
de sa face inférieure. Plus en arrière, la corne
moyens des circonvolutions rolandiques, s'étend en arrière jusqu'au
sillon
interpariétal et comprend, en avant, les pieds
centre de l'Ppnule sur la frontale ascendante au-dessous du premier
sillon
frontal. Ils ont montré, en outre, qu'il est infi
s tiers moyen et supérieur de l'aire faciale, au niveau du genou du
sillon
de Rolando, en arrière et un peu au-dessous du de
u du sillon de Rolando, en arrière et un peu au-dessous du deuxième
sillon
fron- tal (Ilorsley, Mills, Lloyd et Deaver, lI
uxième circonvolu- tion frontale, dans l'angle formé parle deuxième
sillon
frontal avec le sillon pré- Fig. 236. - La zone
on frontale, dans l'angle formé parle deuxième sillon frontal avec le
sillon
pré- Fig. 236. - La zone motrice de l'homme d'a
aule, c'est-à-dire immédiatement en arrière et au-dessus du premier
sillon
frontal, ont obtenu l'abduction de la cuisse, s
l'oper- culc rolandiquc. du tiers moyen et du tiers inférieur du
sillon
de Rolando; à gauche, à l'union du tiers moyen
ndo; à gauche, à l'union du tiers moyen et du tiers supérieur de ce
sillon
. Disposition radiée des circonvolutions autour
ascendante immédiatement en arrière de l'extrémité infé- rieure du
sillon
précentral. L'excitation de cette région produit
eur (MS) et celui de la face ; mais il existe en outre, en avant du
sillon
précentral, un centre moteur spécial des yeux don
ntrer l'existence d'un point inexcitable situé en avant du genou du
sillon
de Rolando, entre le centre de la face et celui d
ls; le centre du gros orteil correspondant àl'extrémité supérieure du
sillon
de FiG. 240. - Les centres moteurs corticaux de
n rencontre chez le macaque. Les variantes tiennent à la coudure du
sillon
de Rolando chez l'orang et à la flexuosité des ci
tués l'un devant l'autre ; mais, que l'on redresse par la pensée le
sillon
de Rolando, et l'analogie devient complète. L'e
n applique les élec- trodes en arrière de l'extrémité supérieure du
sillon
de Rolando, on agit sur les articu- lations du
au-dessous de la zone du membre supérieur, s'étend en avant jusqu'au
sillon
précentral et contient non seulement la représe
nvolution frontale ascendante, immédiatement au-dessous du genou du
sillon
de Rolando et non, comme chez le macaque, dans l'
que, dans l'angle rentrant des branches horizontale et verticale du
sillon
prérolandique. L'excitation de ce centre déterm
sur la circonvolution pariétale ascendante, au-dessous du genou du
sillon
de Rolando. L'excitation de la partie supérieur
bande étroite de la circonvolution pariétale ascendante le long du
sillon
de Rolando, à la hauteur horizontale de l'extrémi
de Rolando, à la hauteur horizontale de l'extrémité infé- rieure du
sillon
interpariétal, détermine l'élévation de la lèvre
l, il existe dans la circonvolution frontale ascendante, le long du
sillon
de Rolando, un point dont l'excitation détermine
rticulier l'angle rentrant des branches horizontale et verticale du
sillon
prérolandique. Ferrier a montré que l'exci- tat
onvolution frontale ascendante immédiatement au-dessous du genou du
sillon
de Rolando et non, comme chez le macaque, dans l'
que, dans l'angle rentrant des branches horizontale et verticale du
sillon
prérolandique. Des mouvements des yeux peuvent
secondaires, sectionnent à angle droit les deux tiers supérieurs du
sillon
de Roland,, on obtient assez exacte- ment la di
u qu'elles proviennent de déficits corticaux plus élevés le long du
sillon
de Rolando, et ceci est tout à fait confirmatif d
re, puis occupe, avec la veine du corps strié et la lame cornée, le
sillon
opto-strié. Sur les coupes horizontales (Fig. 255
n, pied de la couronne rayonnante. - Tg, corps du trigone. - s7.q, le
sillon
médian de sa face inférieure. - Tga, le pilier
téral, situé au-dessous du corps calleux (Fig. 257,258). Un profond
sillon
médian(s Tg), d'autant plus étroit que l'on consi
deux moitiés droite et gauche, reliées entre elles dans le fond du
sillon
par une mince lamelle névroglique, la lame 1 .î
t que le corps du trigone repose sur la toile choroïdienne, qu'un
sillon
profond divise sa face inférieure en deux parti
ent en dedans et en avant, et atteint bientôt la partie profonde du
sillon
médian du corps du trigone. Il se place an-dess
indépendance dans toute la longueur du corps du trigone. Lorsque le
sillon
médian du Irigone se rétrécit (Fig. 258,3 et 4),
rétrécit (Fig. 258,3 et 4), le fascicule abandonne la profondeur du
sillon
, il contourne la face interne, puis les faces i
uvre pas le fascia dentata comme chez l'homme, mais se loge dans le
sillon
opto-strié, très large chez les mammifères macr
illie à la base du cerveau dans le losange opto-pédonculaire, et un
sillon
plus ou moins profond le sépare alors du noyau
s du nerf moteur oculaire commun (Fig. 251 et 277). Au voisinage du
sillon
pédonculo-protubérantiel, il se coude, change d
circonvolution frontale. - 11, circonvolution de l'hippocampe. - h,
sillon
de l'hippocampe. la, cir- convolutions antérieu
de l'hippocampe. la, cir- convolutions antérieures de l'insula. ma
sillon
marginal antérieur de l'insula. - ms, sillon ma
ieures de l'insula. ma sillon marginal antérieur de l'insula. - ms,
sillon
marginal supérieur de l'insula. - ? 1, noyau amyg
ncule du putamen. - SL3, putamen. j\'pA, noyaux préam3gdaliens. ol,
sillon
collatéral. l'SL3, pédoncule du putamen. - 11Tl
me circonvolution frontale. - 11, circonvolution de l'hippocampe. le,
sillon
de l'hippocampe. - il, incisure temporale. - Lm
A ? 3, NL2, \'Lr , les trois segments du noyau lenticulaire. - ol,
sillon
collatéral. - Plch, plexus choroïde du ventricule
nd, en traînée sur le gyrus supramarginal, la partie postérieure du
sillon
parallèle jusqu'à la face externe du lobe occip
I,puis s'épuisent ou réintègrent la voie pyramidale au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel. Il existe enfin une dégén
s le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral au voisinage du
sillon
pédonculo-protubéran- tiel (Fig. 309), sont due
e ce faisceau, encore cette dégénérescence ne dépasse-t-elle pas le
sillon
bulho-protubérantiel. Ce cas démontre : 1° Qu
ouche optique. Cette dégénérescence, très légère, ne dépasse pas le
sillon
pédonculo-protubérantiel. Intégrité du ruban de
u noyau rouge. - coa, commissure antérieure. - F, champ de Forel. -
sillon
olfactif. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert.
eur. - Rm, ruban de Reil médian; lil, ruban de Reil latéral; - sec,
sillon
du corps calleux. - Sexv, surface extra ventricul
- ft, fibres tangentielles du subiculum de la corne d'Ammon- - f'r
sillon
olfactif. - la, sillon de l'hippocampe. A' + po,
lles du subiculum de la corne d'Ammon- - f'r sillon olfactif. - la,
sillon
de l'hippocampe. A' + po, branche commune à la sc
es. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - si,
sillon
intermédiaire ou opto-strié. - Strz, stratum zona
ncher du ventricule latéral. Sa partie inlerne, située en dedans du
sillon
elioroidien (sch), appartient à la surface extéri
u thalamique de Forel. Gh, ganglion de l'habenula. Il, hippocampe. i,
sillon
insulaire. - la, partie antérieure de l'insula.
e superfieielle. ma, sil- lon marginal antérieur de l'insula. - mp,
sillon
marginal postérieur de l'insula. - NC, tête du
es bras (BrQa, BrQp) qui en partent; son bord externe correspond au
sillon
choroïdien (sch) et, plus en arrière, au sillon
terne correspond au sillon choroïdien (sch) et, plus en arrière, au
sillon
opto-strié (si) et au ta-niv Pulvinar. Sa sit
ieur. -Cirl, segment rétrolenticulaire de la capsule interne. - on,
sillon
calloso-marginal ; cm', sa branche verticale. cp,
Fus, lobule fusiforme. - Il, cir- convolution de l'hippocampe. ip,
sillon
inter-pariétal. - Lms, lame médullaire super- f
OF, faisceau occipito-frontal. - Opl>2, opercule pariétal. - ol,
sillon
collatéral. Pa, cir- convolution pariétale asce
partie interne du ruban de Reil médian. - l'o, protubérance. - pns,
sillon
prérolandique supérieur. - Pul, pulvinar. - P-2.
'3, les trois cir- convolutions temporales. - t,, /2, 13, les trois
sillons
temporaux. Tap, tapetum. tec, fenia tecta. - 7'
re soit par la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, soit par le
sillon
sous-pinéal. Les fibres de la commissure postér
Ses connexions. Sa structure. limité en arrière par le profond
sillon
sous-pinéal qui le sépare du tuber- cule quadri
le sépare du tuber- cule quadrijumeau antérieur; en dehors, par le
sillon
de l'habenula qui le sépare du : pulvinar; en a
gion du ruban de Reil médian ? Sgc, substance grise centrale. - sM,
sillon
de Monro. - Spp, substance perforée postérieure.
ium, Charpy), qui appartient au cerveau moyen et termine en haut le
sillon
sagittal médian des tuber- cules quadrijumeaux.
Azyr cl le pilier antérieur du trigone (Fig. 310 et 312). En haut, le
sillon
de Monro constitue du côté du troisième ventric
ame médullaire superficielle de la circonvolution du crochet. - ms,
sillon
marginal supérieur de l'insula. - SA, noyau amy
er Kolk, et située dans la calotte protubérantielle au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel. Situation. Le corps de
au rétroJIoxe de Meynert; elle s'épaissit m niveau et au-dessous du
sillon
de Monro et s'unit à la zona incerta en - recou
et du faisceau de Vicq d'Azyr et arrive à. l'aqueduc en longeant le
sillon
de Monro. Ce trajet explique pourquoi, sur les co
a plupart s'enfoncent dans sa profondeur ou se logent dans l'étroit
sillon
qui le sépare du pulvinar; elles contribuent à fo
sus du rebord du trou occipital qui imprime a sa face inférieure un
sillon
plus ou moins mar- qué suivant les sujets (eoc)
il se développe le pre- mier chez le foetus humain et présente des
sillons
et des circonvolutions à une époque où les hémi
ligne qui correspond à l'angle externe du ventricule latéral et aux
sillons
marginaux de l'insula, ou encore séparei le rho
(Gll'lclz) situé dans la région du carrefour ventriculaire. - ssl',
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - Tch, toile choroidi
vermis est séparé de chaque côté des hémisphères cérébelleux par un
sillon
sagittal très superficiel, le sillon longitudin
hémisphères cérébelleux par un sillon sagittal très superficiel, le
sillon
longitudinal supérieur (sis) droit et gauche (F
s sur les hémisphères, comme elles présentent à peine au niveau des
sillons
longitudinaux supérieurs une légère encoche, il n
g. Les hémisphères cérébelleux débordent le vermis en arrière. Un
sillon
transversal profond, le sillon supérieur de Vicq
x débordent le vermis en arrière. Un sillon transversal profond, le
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) (sillon postérie
sillon transversal profond, le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) (
sillon
postérieur et supérieur de quelques auleurs) (F
e bulbe en haut et en avant ou encore le sectionner au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel (Fig. 332). Le vermis infé
, après ablation de l'arachnoïde, et section du bulbe au-dessous du
sillon
bulbo-prolubéranliel. Aci, artère cérébelleuse
i, lobe semi-lunaire inférieur. 7'yc, pyramide de Malacarne. - sli,
sillon
longitudinal inférieur. - l'i, vermis inférieur.
) en avant, et la luette (Uv) en arrière (Fig. 31). Deux profonds
sillons
, convexes en dehors, les sillons longitudinaux
n arrière (Fig. 31). Deux profonds sillons, convexes en dehors, les
sillons
longitudinaux (sli) droit et gauche, séparent d
lobule du nerf vague ou pneu- mogastrique (Vicq d'Azyr). Un profond
sillon
, le sillon inférieur de Vicq d'A ? yr (siV, Fig
erf vague ou pneu- mogastrique (Vicq d'Azyr). Un profond sillon, le
sillon
inférieur de Vicq d'A ? yr (siV, Fig. 333), l'h
e sillon inférieur de Vicq d'A ? yr (siV, Fig. 333), l'homologue du
sillon
supérieur, divise la face inférieure de l'hémis
en dehors, lon- gent le bord supérieur du rocher; ils présentent un
sillon
large et superfi- ' ciel en dedans, mince, effi
t superfi- ' ciel en dedans, mince, effilé et profond en dehors, le
sillon
marginal antérieur (sma), qui loge le pédoncule
moyen et sur lequel s'implantent à angles plus ou moins droits les
sillons
et lamelles des faces supérieure et inférieure
correspondent à la partie horizontale du sinus latéral. Un profond
sillon
, le grand sillon circonfé- Fig. 333. -L'espace
la partie horizontale du sinus latéral. Un profond sillon, le grand
sillon
circonfé- Fig. 333. -L'espace opto-pédollculair
e Malacarne. - l'Z ri, diverticule latéral du 41 ventricule. .;il',
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - spop, sillon post-p
l du 41 ventricule. .;il', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - spop,
sillon
post-pyramidal. ssf, sillon sous-llocculnire. - T
illon inférieur de Vicq d'Azyr. - spop, sillon post-pyramidal. ssf,
sillon
sous-llocculnire. - Tm, tubercule mamillairc. - T
PHALE. 4M rentiel de Vicq d'Azyr (scf) (Fig. 338, 340, 32) ou grand
sillon
horizon- 1(il de Reil, parcourt le bord postéri
1(il de Reil, parcourt le bord postérieur, se jette en dehors dans le
sillon
marginal antérieur et s'enfonce en dedans dans
s dans le fond de l'échancrure marsupiale pour se continuer avec le
sillon
de même nom du côté opposé. Ce sillon sépare la
ale pour se continuer avec le sillon de même nom du côté opposé. Ce
sillon
sépare la face supérieure de la face inférieure d
cculus (Floc) du lobe supérieur du cervelet, puis pénètrent dans le
sillon
marginal antérieur dont ils occupent le fond. La
moyen. - 1'11'" diverticule latéral du il ventricule. - sef, grand
sillon
circonférentiel du cervelet. - siV, sillon infé
ventricule. - sef, grand sillon circonférentiel du cervelet. - siV,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - sma, sillon marginal
rentiel du cervelet. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - sma,
sillon
marginal antérieur. - spon, sillon post- nodula
n inférieur de Vicq d'Azyr. - sma, sillon marginal antérieur. - spon,
sillon
post- nodulaire. - spop, sillon post-pyramidal.
sillon marginal antérieur. - spon, sillon post- nodulaire. - spop,
sillon
post-pyramidal. - sprp, sillon pré-pyramidal. ssf
pon, sillon post- nodulaire. - spop, sillon post-pyramidal. - sprp,
sillon
pré-pyramidal. ssf, sillon sous- flocculaire. -
re. - spop, sillon post-pyramidal. - sprp, sillon pré-pyramidal. ssf,
sillon
sous- flocculaire. - ssl, sillon semi-lunaire.
- sprp, sillon pré-pyramidal. ssf, sillon sous- flocculaire. - ssl,
sillon
semi-lunaire. - ssl', sillon supérieur de Vicq d'
ssf, sillon sous- flocculaire. - ssl, sillon semi-lunaire. - ssl',
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - Uv, luette. - VT, v
LAMELLES DU CERVELET Toute la surface du cervelet est parcourue de
sillons
curvilignes, rap- prochés, sensiblement parallè
g. 333). Dans la région antéro-interne de cette face, la courbe des
sillons
se redresse et se rapproche d'autant plus du pl
se redresse et se rapproche d'autant plus du plan sagittal que les
sillons
sont plus internes; c'est ainsi que le lobule d
lus internes; c'est ainsi que le lobule digastrique est parcouru de
sillons
dont la concavité regarde en dedans et un peu e
s dont la concavité regarde en dedans et un peu en avant et que les
sillons
de l'amygdale sont presque antéro- postérieurs
Fig. 333). Sur un cervelet recouvert de la pie-mère (Fig. 331), ces
sillons
parais- sent tous égaux en profondeur, mais en
blanc central du cervelet et séparent les lobes et les lobules; les
sillons
superficiels servent à délimiter les lames et l
s superficiels servent à délimiter les lames et les lamelles. Les
sillons
profonds, inle1'lobaires ou interlobulaires occup
profondeur n'est pas forcément la même dans tout leur trajet : tel
sillon
profond au niveau des hémisphères devient super
phères devient superficiel au niveau du vermis, et, vice versa, tel
sillon
profond du vermis devient superficiel dans les
équent de voir, en particulier au niveau du ver- mis supérieur, des
sillons
interlobulaires du côté droit, par exemple, se
s interlobulaires du côté droit, par exemple, se porter non dans le
sillon
homologue gauche, mais dans le sillon situé en
xemple, se porter non dans le sillon homologue gauche, mais dans le
sillon
situé en arrière ou en avant du lobule qu'il dé
en arrière ou en avant du lobule qu'il délimite. D'autres fois, ce
sillon
se bifur- que, une branche se continue avec le
tres fois, ce sillon se bifur- que, une branche se continue avec le
sillon
homologue du côté opposé, l'autre se rend dans
ue avec le sillon homologue du côté opposé, l'autre se rend dans le
sillon
interlobulaire suivant ou dans l'intérieur du l
sulte de cette disposition que les lobes et lobules limités par ces
sillons
sont loin d'être symétriques; tantôt la partie hé
ns des lames et des lamelles qui les tapissent. Le parallélisme des
sillons
superficiels n'est jamais en outre absolu : il
face inférieure du cervelet un nombre plus ou moins considérable de
sillons
Les sillons curv i- Igncs du ccrv clct. Leu
ure du cervelet un nombre plus ou moins considérable de sillons Les
sillons
curv i- Igncs du ccrv clct. Leur profondeur
sillons curv i- Igncs du ccrv clct. Leur profondeur variable.
Sillons
profonds mtcrlolJail'c et¡utcI'- lobulaire.
s et leur asymétrie en passant du vermis sur les hémisphères.
Sillons
supcrli- ciels. 446 ANATOMIE DES CENTRES NERV
laires, qui se jettent obliquement ou à angle presque droit dans un
sillon
interlobaire ou interlobulaire. Dans l'immense
nterlobaire ou interlobulaire. Dans l'immense majorité des cas, ces
sillons
limitent une circonvolution ou une lamelle, sup
partie de son trajet et qui s'enfonce ensuite dans la profondeur du
sillon
interlobaires pour en tapisser une de ses faces o
en tapisser une de ses faces ou l'une et l'autre de ses faces. Les
sillons
interlobaires et interlobulaires sont en effet
et de lamelles, voire même de lobules, cachés dans la profondeur du
sillon
et qui triplent et quadruplent ainsi l'écorce c
s sont profondes dans tout leur trajet, longent l'une des lèvres du
sillon
ou se portent obliquement d'une lèvre à l'autre d
s du sillon ou se portent obliquement d'une lèvre à l'autre du même
sillon
(Fig. 341 et 343), disposition déjàsignalée et li
let où les hémisphères sont séparés de chaque côté du vermis par un
sillon
sagittal profond, ou encore dans la région postér
fiant t ou encore à quelques lamelles situées dans la profondeur du
sillon
: c'est ce que l'on observe dans la région post
le vermis que par les quel- ques lamelles qui tapissent le fond du
sillon
post-pyramidal. Les sillons profonds, qui attei
ques lamelles qui tapissent le fond du sillon post-pyramidal. Les
sillons
profonds, qui atteignent la substance blanche cen
let. Une classification rationnelle serait facile à établir, si les
sillons
profonds du vermis conservaient leur profondeur d
hémisphères, et vice versa. Nous avons vu qu'il n'en est rien. Les
sillons
du vermis, grâce au peu de développement de sa
des hémisphères; cette particularité est surtout évidente pour les
sillons
des parties supérieure et inférieure du cervele
le fond de l'échancrure marsupiale : il s'ensuit forcément que les
sillons
de cette région sont plus profonds dans les hém
isphères possèdent en outre un nombre beaucoup plus considérable de
sillons
profonds que le vermis, ainsi que le montre la co
s hémisphères. Le vermis présente un aspect nettement trifolié; les
sillons
des hémisphères, au nombre de 12 à 14, s'implante
érie, se développe le premier chez l'homme el montre le premier des
sillons
, qui plus tard s'étendent aux hémisphères. Kü
liker a montré qu'au troisième mois de la vie intra-utérine, quatre
sillons
principaux divisaient le vermis en cinq segments
phères, vers le quatrième mois de la vie intra- utérine, les quatre
sillons
principaux délimitent de chaque côté : 1° le lo
obule central; 3° le culmen ; 4° le déclive; ;)0 la lame trans- Les
sillons
pro- fonds no pew cnt servir de base à une
et des hémisphères appartenant à chacun de ces lobes ainsi que les
sillons
qui les séparent. A l'appui de cette classifi
lus ou moins sail- lante, limitée de chaque côte par les profonds
sillons
lon- gitudinaux inférieurs droit et ! gauche
re le cervelet des tubercules quadrijumeaux, de chaque côté par les
sillons
marginaux antérieurs (sma) (Fig. 334) dont il f
ma) (Fig. 334) dont il forme la lèvre supérieure, en arrière par le
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) qui le sépare du
eur constitue un des lobes les plus volumi- neux du cervelet. Trois
sillons
profonds qui atteignent la substance blanche ce
paration étant représenté par une simple encoche qui appartient aux
sillons
longitudinaux supérieurs. Cette fusion constitu
ment des lobes des régions inférieure et postérieure du cervelet.
Sillons
principaux du lobe supérieur. - Les sillons qui l
ostérieure du cervelet. Sillons principaux du lobe supérieur. - Les
sillons
qui limitent ces quatre lobes secondaires sont
ur. - Les sillons qui limitent ces quatre lobes secondaires sont le
sillon
précentral, le sillon post-central et le sillon
limitent ces quatre lobes secondaires sont le sillon précentral, le
sillon
post-central et le sillon transverse antérieur
secondaires sont le sillon précentral, le sillon post-central et le
sillon
transverse antérieur des anciens auteurs, ou sill
t-central et le sillon transverse antérieur des anciens auteurs, ou
sillon
préclival de Schafer, ou sillon supérieur et an
e antérieur des anciens auteurs, ou sillon préclival de Schafer, ou
sillon
supérieur et antérieur. Ils présentent comme cara
érieur. Limites. Lobes secondai'es Leurs caractère communs.
Sillons
limitant 4M ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fig
nce blanche centrale ou noyau blanc central du vermis. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sgc, substanc
ntricule. - Sgc', substance grise centrale péri-épendymaire. - spo,
sillon
post-central. -spop, sillon post-pyramidal. - spr
grise centrale péri-épendymaire. - spo, sillon post-central. -spop,
sillon
post-pyramidal. - sprp, sillon prépyramidal. -
re. - spo, sillon post-central. -spop, sillon post-pyramidal. - sprp,
sillon
prépyramidal. - SR, formation réticulée de la c
llon prépyramidal. - SR, formation réticulée de la calotte. - ssV,,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transve
ulée de la calotte. - ssV,, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sla,
sillon
transverse antérieur. - straVIII, stries acoustiq
nerf glossopharyngicn. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 453 dans le
sillon
marginal antérieur, d'atteindre la substance blan
oyenne que dans leur parties hémisphériques (Fig. 338 et 339). Le
sillon
précentral est le moins profond et le plus antéri
la lingula. Il se termine de chaque côté dans la partie interne du
sillon
marginal antérieur et se continue en haut avec le
du sillon marginal antérieur et se continue en haut avec le profond
sillon
qui sépare le cervelet des tubercules quadrijum
nd sillon qui sépare le cervelet des tubercules quadrijumeaux. Le
sillon
post-central (spo) sépare le lobe central du lobe
st-central (spo) sépare le lobe central du lobe du culmen; comme le
sillon
précédent, il devient rapidement superficiel dans
iel dans ses parties hémisphériques et se termine en dehors dans le
sillon
marginal antérieur, immédiatement en arrière du
hors dans le sillon marginal antérieur, immédiatement en arrière du
sillon
précentral. Dans la région du vermis, il attein
e médian et semble n'être qu'une dépendance du lobe dn culmen. Le
sillon
transverse antérieur ou sillon préclival (sta) es
une dépendance du lobe dn culmen. Le sillon transverse antérieur ou
sillon
préclival (sta) est le sillon le plus profond e
en. Le sillon transverse antérieur ou sillon préclival (sta) est le
sillon
le plus profond et le plus étendu du lobe supér
re très accusée, et se jette à angle droit dans le tiers interne du
sillon
marginal antérieur (Fig. 334). Il atteint sa pl
t de profondeur dans la région hémisphérique. Les deux lèvres de ce
sillon
sont tapissées non seulement de lames et de lam
pissées non seulement de lames et de lamelles, comme les lèvres des
sillons
pré et post-centraux, mais de véri- tables lobu
t saillants. Ces lobules profonds sillonnent obliquement le fond du
sillon
et deviennent exceptionnellement superficiels. Il
verser le lobe supérieur en arrière, ou enlever à l'aide de ciseaux
Sillon
preucatral. Sillon post-central Sillon trans
eur en arrière, ou enlever à l'aide de ciseaux Sillon preucatral.
Sillon
post-central Sillon trans vei ( antérieur.
ever à l'aide de ciseaux Sillon preucatral. Sillon post-central
Sillon
trans vei ( antérieur. Sa profondeur. Les l
scns. La face postérieure est libre et forme la lèvre antérieure du
sillon
pré- central ; elle est tapissée de lamelles tr
Fig. 336), est recou- verte par le lobe du culmen dont la sépare le
sillon
post-central. Le bord supérieur est libre et on
noyau caudé. - Qa, tubercule quadrijumcau anté- rieur. - scf, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'A/yr. - ssV, sV, sillon
rieur. - scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'A/yr. - ssV, sV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azr. - V(Cu), culmen du mon
du lobe du déclive, il atteint de chaque côté le tiers antérieur du
sillon
marginal antérieur et se distingue des deux lob
ieure du cervelet. La face postérieure forme la lèvre antérieure du
sillon
transverse antérieur, elle est couverte de lobu
nd la moitié antérieure du vermis. Deux à trois, quelquefois quatre
sillons
interlobulaires la sub- divisent en trois à qua
antérieur (1, Fig. 339) appartient à l'hémisphère droit, limite le
sillon
postcentral, concourt il la formation du vermis,
urt il la formation du vermis, puis s'enfonce dans la profondeur du
sillon
post-central (spo); ses lamelles se réunissent en
hémisphérique gauche rudimentaire qui s'enfonce dans la profondeur du
sillon
post- central à 1 centimètre en dehors du vermi
suivant, forme une petite partie du vermis, se rétrécit au niveau du
sillon
longitudinal Lobe du culmen. Forme, dimension
rique du lobule précédent; il forme ensuite la lèvre postérieure du
sillon
post-central gauche. Ce lobule ne présente donc
formée de trois lamelles; elle se rétrécit légèrement au niveau du
sillon
longitudinal supérieur droit (sis), s'élargit au
t (sis), s'élargit au niveau du vermis, puis se divise au niveau du
sillon
longitudinal gauche (sis) en deux lobules seconda
iieurest plus large que l'antérieur, mais qui atteignent lous deux le
sillon
mar- ginal antérieur gauche. Fie. 339. - Le l
Le lobe supérieur du cervelet, ses lobes et lobules secondaires et le
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. La pièce a été durcie
supérieur de Vicq d'Azyr. La pièce a été durcie dans l'alcool, et les
sillons
interlo- baires et interlobulaires ont été écar
aire supé- rieur. - pp, pédicule de la glande pinéale. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sis, sillon l
pinéale. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sis,
sillon
longitudinal supérieur droit et gauche. - spo, si
d'Azyr. - sis, sillon longitudinal supérieur droit et gauche. - spo,
sillon
post-central. - ssV. sillon supérieur de Vicq d
dinal supérieur droit et gauche. - spo, sillon post-central. - ssV.
sillon
supérieur de Vicq d'Aiyr et son lobule profond. -
ssV. sillon supérieur de Vicq d'Aiyr et son lobule profond. - sla,
sillon
transverse anté- rieur séparant le lobe du culm
eur du lobe quadrilatère antérieur, s'enfonce dans la profondeur du
sillon
transverse antérieur au voisinage du sillon longi
e dans la profondeur du sillon transverse antérieur au voisinage du
sillon
longitudinal droit, forme un lobule profond à l
timètres en dehors du vermis el. atteint sur l'hémisphère gauche le
sillon
marginal antérieur. Il suffit de comparer la fi
centrale du vermis (Fig. 336). Dans la région des hémisphères, les
sillons
interlobulaires gagnent rapidement en profondeu
36, 358, 359, 360). Situé en arrière du lobe précédent, en avant du
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr qui le sépare du lobe
ont la base s'adosse au vermis et dont le sommet tronqué atteint le
sillon
marginal antérieur. Dans sa partie médiane, qui
e face supérieure. La face antérieure forme la lèvre postérieure du
sillon
transverse antérieur (Fig. 336). Elle est tapis
, le déclive s'enfonce dans le fond de l'échancrure marsupiale, les
sillons
longitudinaux supérieurs sont plus profonds et
imitent mieux des parties hémisphériques (Fig. 339). Trois à quatre
sillons
interlobulaires segmentent la surface du iobe d
culmen; ils occupent toute la largeur du cervelet, s'étendent d'un
sillon
marginal antérieur à l'autre et peuvent présent
te partie médiane ou vermienne, qui s'enfonce dans la profondeur du
sillon
transverse antérieur et se termine brusquement
e dimension et de même largeur que le premier; ai rivé au niveau du
sillon
longitudinal supérieur droit, ce lobule se dédoub
mis et deux larges lobules hémisphériques gauches qui atteignent le
sillon
marginal antérieur gauche. Les lobules postérie
s'enfonce après un trajet plus ou moins long dans la profondeur du
sillon
supérieur de Vicq d'lr-r, pour former les lamel
vermis, puis se rétrécit peu à peu, à mesure que l'on s'approche du
sillon
marginal antérieur. Elle se comporte en d'autre
ans la région du vermis, s'élargit considérablement au voisinage du
sillon
marginal antérieur (Fig. 358, 359, 360). II. LO
able de ses parties hémisphériques. Séparé du lobe supérieur par le
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr (ssV), le lobe postéri
de Vicq d'Azyr (ssV), le lobe postérieur est limité en avant parle
sillon
post-pyramidal extrême- ment profond dans la ré
région du vermis, plus superficiel dans la région des hémisphères,
sillon
qui sépare le lobe postérieur du lobe inférieur.
llon qui sépare le lobe postérieur du lobe inférieur. Deux profonds
sillons
, le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr
lobe postérieur du lobe inférieur. Deux profonds sillons, le grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf) et le sill
sillons, le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf) et le
sillon
inférieur (siV) du même auteur, subdivisent sa pa
unaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire supérieur. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sis, sillon lon
supérieur. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sis,
sillon
longitudinal supérieur. - ssV, sillon supérieur
entiel de Vicq d'Azyr. - sis, sillon longitudinal supérieur. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transvers
gitudinal supérieur. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sta,
sillon
transverse antérieur. - l'(Cu), culmen du vermi
- nal. Tubercule vah u- laire Les deux lobes secondaires.
Sillon
supérieur do Vicq d'.lryr. Sa profondeur, son
n nombre plus ou moins restreint de lames et de lamelles, tantôt un
sillon
superficiel et qui fait suite en dehors au grand
, tantôt un sillon superficiel et qui fait suite en dehors au grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr le subdivise en
les et lobules transversaux et forme la lèvre supérieure du profond
sillon
post-pyramidal. Les lobes semi-lunaires supérie
considère comme tels les lames et lamelles qui tapissent le fond du
sillon
post-pyramidal. On peul donc considérer au lobe
grêle. Avant de procéder à leur élude, nous passerons en revue les
sillons
qui i les limitent, il savoir, le sillon supéri
us passerons en revue les sillons qui i les limitent, il savoir, le
sillon
supérieur, le grand sillon circonférentiel et l
illons qui i les limitent, il savoir, le sillon supérieur, le grand
sillon
circonférentiel et le sillon inférieur. Le si
savoir, le sillon supérieur, le grand sillon circonférentiel et le
sillon
inférieur. Le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (
rieur, le grand sillon circonférentiel et le sillon inférieur. Le
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) (Fig. 336, 338,339
yr (ssV) (Fig. 336, 338,339, 340,341), qui porte encore les noms de
sillon
supëro-posléricur, de sillon posl-clical (Schaf
340,341), qui porte encore les noms de sillon supëro-posléricur, de
sillon
posl-clical (Schafer), sépare le lobe supérieur
ticule (Fig. 341 et Coupes sagittales, Fig. 336, 358, 359, 3G0), le
sillon
supérieur devient rapidement profond dans la ré
onsidérable du lobe postérieur en arrière; en dehors, il atteint le
sillon
marginal anlé- MORPHOLOGIE DU RHOMBENCEPHALE. 4
illon marginal anlé- MORPHOLOGIE DU RHOMBENCEPHALE. 463 rieur. Ce
sillon
est facile il distinguer des sillons interlobaire
U RHOMBENCEPHALE. 463 rieur. Ce sillon est facile il distinguer des
sillons
interlobaires el interlo- Imlaires qui sillonne
obe déclive, s'enfoncent en effet obliquement dans la profondeur du
sillon
et sont d'autant plus courtes qu'elles sont plus
contre, transversales el sensiblement parallèles il la direction du
sillon
. Le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr
es el sensiblement parallèles il la direction du sillon. Le grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf)'(ri ? 310,31
unaire supérieur (Lsls) du lobe semi-lunaire ini'éricnr(Lsli). C'csUe
sillon
le plus profond de l'hémisphère, mais il ne s'é
q d'Azyr le faisait déjà remarquer. En dehors, il se jet le dans le
sillon
marginal antérieur (sma) du ccrvelct(li. 3 ? ? ),
e l'échan- crurc marsupiale (cm). Lorsqu'on écarte les lèvres de ce
sillon
(Fig, : H3¡, FIC, 311. - Le sillon supérieur de
orsqu'on écarte les lèvres de ce sillon (Fig, : H3¡, FIC, 311. - Le
sillon
supérieur de Vicq d'.lzyr et les lobules qui ,Lap
a photographie d'une pièce durcie dans l'alcool et dont leswlèvres du
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr ont été écartées.) Mêm
1, bourgeon terminal. - LP, lobe postérieur. - 11), lobule profond du
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr.- Lqa, lobe quadrilatè
aire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire supé- rieur. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. sta, sillon trans
pé- rieur. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. sta,
sillon
transverse antérieur. - sis, sillon longitudina
nférentiel de Vicq d'Azyr. sta, sillon transverse antérieur. - sis,
sillon
longitudinal supérieur. ssV, sillon supérieur de
on transverse antérieur. - sis, sillon longitudinal supérieur. ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr ? Tu, tubercule valvul
('11\ culmen. - V(dc), déclive. Ses lamelles pro- fondes. Grand
sillon
CII"- conférentiel. Sa prolondeur, son éten
tapissé de lamelles dont la direction est à peu près parallèle à ce
sillon
. Une mince lamelle profonde, qui unit en dehors l
ncéphale : les lobes semi-lunaires supérieur et inférieur, le grand
sillon
circonférentiel et le llocculus. (D'après la phot
RI, ruban de Reil latéral. - RsTh, région sous-optique. sel, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - si l', sillon i
optique. sel, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - si l',
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - ss t', sillon supér
de Vicq d'Azyr. - si l', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ss t',
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transvers
ur de Vicq d'Azyr. - ss t', sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sta,
sillon
transverse antérieur. - Tut, tractus pedon- cul
, nerf grand hypoglosse. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. t6 : ; Le
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr (siV) (Fig. 3H-), l'homo
Le sillon inférieur de Vicq d'Azyr (siV) (Fig. 3H-), l'homologue du
sillon
supérieur du même auteur, est un sillon, profond
(Fig. 3H-), l'homologue du sillon supérieur du même auteur, est un
sillon
, profond en dedans, plus superficiel en dehors,
li) du lobe grèle (Lbr). Il se con- tinue en dedans avec le profond
sillon
post-pyramidal (spop) qui sépare le lobe postér
e à concavité antérieure et interne, concentrique il celle du grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr .(scf), puis att
on circonférentiel de Vicq d'Azyr .(scf), puis atteint en dehors le
sillon
marginal antérieur (sma) à peu près à la hauteu
ehors le sillon marginal antérieur (sma) à peu près à la hauteur du
sillon
supérieur (ssV) dont le sépare le pédoncule céré-
r (ssV) dont le sépare le pédoncule céré- belleux moyen. Le fond du
sillon
inférieur est souvent tapissé de plis de passag
rme le bord pos- térieur du cervelet et se trouve comprise entre le
sillon
supérieur (ssV) et le grand sillon circonférent
t et se trouve comprise entre le sillon supérieur (ssV) et le grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf). Dans la r
es profondes, l'une supéro-anté- TOMK il. 30 Fic. 343. - Le grand
sillon
circonférentiel et le lobe des lames transversale
supérieur.-Li, lobe des lames transversales d'Arnold. - sc ? grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - ssl', sillon su
Arnold. - sc ? grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - ssl',
sillon
supérieur de Vie d'Azyr. - Tv, tubercule valvul
Tv, tubercule valvulaire. - 1'(Éle) déclive du vermis supérieur.
Sillon
inférieur do Vicq d'.\zyr. Son étendue. Lob
les dont la plupart parcourent toute la largeur de l'hémisphère. Un
sillon
interlobulaire profond la sépare en deux partie
La face pro- fonde supéro-antérieure forme la lèvre postérieure du
sillon
supérieur ; elle présente constamment un mince
couteau, (Fig. 341) très bien délimité, situé dans la profondeur du
sillon
supé- rieur, mais qui peut devenir superficiel
sont plus irrégulières. Elles forment la lèvre supérieure du grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr, décrivent des cou
et inférieure du cervelet et se rencontre chaque fois qu'un profond
sillon
sépare la région vermienne de la région hémisph
isphères se continuent directement avec celles du verrais et où les
sillons
longitudinaux supérieurs sont insignifiants. ,
7 valvulaire constitue un lobe considérable, compris entre le grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf) et le sill
is entre le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf) et le
sillon
post-pyramidal (spup), lobe qui comporte dans l
, p. 452). Lorsque les deux lobes sont indépendants et que le grand
sillon
circonférentiel passe sur le vermis, la face su
et comprend deux lo- bules plus ou moins développés, séparés par un
sillon
superficiel. A ce minime segment médian ou verm
ls concourent il former la moitié externe de la lèvre inférieure du
sillon
mar- ginal antérieur. Les lames et lamelles d
une courbe concave, en avant et en dedans, et concentrique au grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. Le sillon inférie
et concentrique au grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. Le
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr subdivise chaque segme
présente une face supérieure qui forme la lèvre inférieure du grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr (Fig. 313); une
qui pré- sente la forme semi-lunaire caractéristique du lobe. Un
sillon
interlobulaire profond, que l'on peul désigner so
aspect. 468 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa subdivision par le
sillon
semi-lunaire. Segment posté rieur. de sillo
bdivision par le sillon semi-lunaire. Segment posté rieur. de
sillon
semi-lunaire (ssl), subdivise la face inférieure
nfoncent, après un trajet plus ou moins long, dans la profondeur du
sillon
semi-lunaire (ssl) où ils forment un lobule pro
apissent la face supé- FIG. 3t4. - Face inférieure du cervelet. Les
sillons
interlobaires ont été écartés, le bulbe relevé
acarne. - Ilye', ailes ou expansions latérales de la pyramide. sgr,
sillon
du lobc grêle. - siV, sillon inférieur de Vicq
xpansions latérales de la pyramide. sgr, sillon du lobc grêle. - siV,
sillon
inférieur de Vicq d'.\z-r. - sli, sillon longit
llon du lobc grêle. - siV, sillon inférieur de Vicq d'.\z-r. - sli,
sillon
longitudinal inférieur. - sma, sillon marginal an
rieur de Vicq d'.\z-r. - sli, sillon longitudinal inférieur. - sma,
sillon
marginal antérieur. - spf, sillon pré-llocculai
on longitudinal inférieur. - sma, sillon marginal antérieur. - spf,
sillon
pré-llocculaire. - spon, sillon post-nodulaire. -
, sillon marginal antérieur. - spf, sillon pré-llocculaire. - spon,
sillon
post-nodulaire. - spop, sillon post-pyramidal. -
spf, sillon pré-llocculaire. - spon, sillon post-nodulaire. - spop,
sillon
post-pyramidal. - Spi']), sillon pré-pyramidal.
on, sillon post-nodulaire. - spop, sillon post-pyramidal. - Spi']),
sillon
pré-pyramidal. ssl, sillon semi-lunaire. - TV, tu
- spop, sillon post-pyramidal. - Spi']), sillon pré-pyramidal. ssl,
sillon
semi-lunaire. - TV, tubercule valvulaire. - Uu,
sphère. En dehors, ils se fusion- nent généralement au voisinage du
sillon
marginal antérieur à la partie postérieure du l
côté opposé une sorte de capuchon qui interrompt de chaque côté les
sillons
longitudinaux inférieurs droit et gauche. La di
dehors, l'autre mince en dedans et épais en dehors, séparés par un
sillon
oblique en arrière et en dedans et qui unit le
par un sillon oblique en arrière et en dedans et qui unit le grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr au sillon semi-lun
edans et qui unit le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr au
sillon
semi-lunaire (Fig. 313, côté gauche). Le lobe
3f ). Il atteint en dedans la pyramide du vermis dont le sépare le
sillon
longitudinal inférieur, et en dehors le sillon
is dont le sépare le sillon longitudinal inférieur, et en dehors le
sillon
marginal antérieur (sma) dont il concourt à forme
l antérieur (sma) dont il concourt à former la lèvre inférieure. Un
sillon
intcr-lobulaire profond, le sillon du lobe grêle
à former la lèvre inférieure. Un sillon intcr-lobulaire profond, le
sillon
du lobe grêle (sgr, Fig.3H.) (sulcus gracilis,
nes qui, le plus souvent, se continuent directement dans le fond du
sillon
post- pyramidal (spop) avec les lamelles les pl
l'ouverture loge les amygdales et le bulbe rachidien. Deux profonds
sillons
, les sillons post et pré-pyramidaux délimitent ce
oge les amygdales et le bulbe rachidien. Deux profonds sillons, les
sillons
post et pré-pyramidaux délimitent ce lobe et le
Segment I anté- rieur. Lobe gt.élc. Dimension et as- pect.
Sillon
du lobe grêle. Lobe inférieur. Itomologf em
Itomologf em- bryologiqno. i/70 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
sillon
post-pyra- nudal. Sillon pré-pyraml- dal.
. i/70 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sillon post-pyra- nudal.
Sillon
pré-pyraml- dal. Pyramide de : -Ia- acarne.
la pyra- mide. Hase d'implanta- tion. Lobe digastrique. Le
sillon
post-pyramidal (spop) est très profond dans la ré
oit sur les parties latérales de la pyramide l'extrémité interne du
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr (siV) et du sillon du
l'extrémité interne du sillon inférieur de Vicq d'Azyr (siV) et du
sillon
du lobe grêle (sgr), se dirige de chaque côté o
e du lobe grêle, puis ce dernier du lobe digastrique, et atteint le
sillon
mar- ginal antérieur (sma) en dehors du floccul
llon mar- ginal antérieur (sma) en dehors du flocculus (Floc). Le
sillon
pré-pyramidal (sprp), transversal dans la région
de pigeon ou d'hirondelle (nh, Voy. p. 473); elle n'est séparée du
sillon
post- pyramidal que par la mince crête vertical
tubercule valvulaire en arrière, et de la luette en avant, par les
sillons
post-pyramidal (spop) et pré-pyra- midal (sprp)
du quatrième ventricule; 2° le Ilocculus dont le sépare un profond
sillon
dans lequel on trouve les lobules accessoires d
soires du flocculus lorsqu'ils exis- tent (Fig. 333 et 334) ; 3° le
sillon
marginal antérieur dont elle contribue à former
e face est tapis- sée de lamelles à direction presque sagittale; un
sillon
antéro-postérieur profond (Fig. 3 ? ), le sillo
sque sagittale; un sillon antéro-postérieur profond (Fig. 3 ? ), le
sillon
digastrique, la subdivise en deux lobules secon
des lobules secondaires est tapissé de lames et de lamelles que des
sillons
plus ou moins superficiels peuvent subdiviser e
ns superficiels peuvent subdiviser en lobules tertiaires. Un de ces
sillons
peut devenir quelquefois assez profond, et le lob
de lamelles à direction curviligne et séparée du lobe grêle par le
sillon
post- pyramidal (spop). La face interne est i
en arrière et loge la face externe de l'amygdale dont la sépare le
sillon
pré- pyramidal. Elle est tapissée de lamelles h
riques; il forme une sorte de gout- Ses rapports. s. Ses faces.
Sillon
digastrique. Lobe inréro -111- terne. 4ï2 A
. - pédoncule cérébelleux moyen. Pyc, pyramide de Malacarne. - sma,
sillon
marginal antérieur. - spon, sillon post-nodulai
Pyc, pyramide de Malacarne. - sma, sillon marginal antérieur. - spon,
sillon
post-nodulaire. - sprp, sillon pré-pyramidal. -
, sillon marginal antérieur. - spon, sillon post-nodulaire. - sprp,
sillon
pré-pyramidal. - set', sillon supérieur de Vicq d
spon, sillon post-nodulaire. - sprp, sillon pré-pyramidal. - set',
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - Uo, luette. ! T, va
eux à trois lamelles transversales et forme la lèvre postérieure du
sillon
post-nodulaire (spon). La luelle est reliée de
ofonde, sorte de loge ou de niche, située à la partie antérieure du
sillon
longitudinal inférieur et connu sous le nom de
ncave en arrière où elle s'applique sur la luette dont la sépare le
sillon
longitudinal inférieur. La face externe, ou con
croisement des noyaux du toit. - Oc, olive cérébelleuse. scf, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sqi-, sillon du
belleuse. scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sqi-,
sillon
du lobe grêle. - siV, sillon inférieur de Vicq
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sqi-, sillon du lobe grêle. - siV,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. ssV, sillon supérieur
sillon du lobe grêle. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. spop, sillon post- py
inférieur de Vicq d'Azyr. ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. spop,
sillon
post- pyramidal. 6<a, sillon transverse anté
lon supérieur de Vicq d'Azyr. spop, sillon post- pyramidal. 6<a,
sillon
transverse antérieur. - Uv, luette. MORPHOLOGIE
chacun de deux à cinq ou sept lamelles, et séparés par de profonds
sillons
inter-lobulaires. Ces lobules se réunissent sur
4° ventricule.- 1*.q, fibres eu guir- lande qui coitlent le fond du
sillon
post-central. - Pj, la couche des cellules de P
cculus acces- soire. Il concourt iL former la lèvre inférieure du
sillon
marginal antérieur du cervelet, et adhère par u
vec la partie externe de la valvule de Tarin (VT) (Fig. : H8). Un
sillon
constant, dans le fond duquel on rencontre fréque
lleux moyen. "ll'" diverticule latéral du 4" ventricule. ser, grand
sillon
circonférentiel du cervelet . - si ? sillon inf
ventricule. ser, grand sillon circonférentiel du cervelet . - si ?
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - si ? ici, sillon marg
l du cervelet . - si ? sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - si ? ici,
sillon
marginal antérieur. - spon. sillon post-nodulai
érieur de Vicq d'Azyr. - si ? ici, sillon marginal antérieur. - spon.
sillon
post-nodulaire. spop, sillon post-p5·ramidal. -
ci, sillon marginal antérieur. - spon. sillon post-nodulaire. spop,
sillon
post-p5·ramidal. - sn ? , sillon prépyramidal. -'
spon. sillon post-nodulaire. spop, sillon post-p5·ramidal. - sn ? ,
sillon
prépyramidal. -'ssf, sillon sous-flocculaire. -
e. spop, sillon post-p5·ramidal. - sn ? , sillon prépyramidal. -'ssf,
sillon
sous-flocculaire. - ssl. sillon semi-lunaire. -
sn ? , sillon prépyramidal. -'ssf, sillon sous-flocculaire. - ssl.
sillon
semi-lunaire. - ss1', sillon supérieur de Vicq d'
-'ssf, sillon sous-flocculaire. - ssl. sillon semi-lunaire. - ss1',
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - Uv, luette. - l'T.
. 319). Sa limite supérieure est marquée : en avant, par un profond
sillon
, le sillon pédonculo-protubérantiel ou 1),oliibé)
limite supérieure est marquée : en avant, par un profond sillon, le
sillon
pédonculo-protubérantiel ou 1),oliibé),ciiiiiel
la protubérance des pédoncules cérébraux; en arrière, par un léger
sillon
transversal, qui sépare les tubercules quadri-
térieure. Région pontine. Limites. Trou borgne supé- rieur.
Sillon
médian. Conformation extérieure. On peut décrir
l et l'extrémité supérieure de l'apophyse odontoïde de l'axis. Un
sillon
transversal, le sillon bulbo-protubéranliel ou si
rieure de l'apophyse odontoïde de l'axis. Un sillon transversal, le
sillon
bulbo-protubéranliel ou sillon prolll- béranlie
de l'axis. Un sillon transversal, le sillon bulbo-protubéranliel ou
sillon
prolll- béranliel inférieur, divise cette face
g), corps de la moelle allongée ! . Elle est limitée en haut par le
sillon
probllbérantiel supérieur ou pédonculo- protubé
- veau. Au niveau du bord externe du pied du pédoncule cérébral, le
sillon
protubérantiel supérieur se jette à angle presq
lon protubérantiel supérieur se jette à angle presque droit dans le
sillon
latéral de l'isthme. La protubérance est conv
lleux moyens (Pcm, Fig. 333). Sur la ligne médiane elle présente un
sillon
longitudinal peu profond, bordé de chaque côté
n dedans, des pédoncules cérébelleux moyens, situés en dehors. Le
sillon
médian mesure 2 à 2,5 centimètres de hauteur; il
e 2 à 2,5 centimètres de hauteur; il com- mence en bas au niveau du
sillon
bulbo-protubérantiel (sp) où il concourt à limi
érieur de Vicq d'Azyr (tb), s'élargit en haut et se termine dans le
sillon
protubérantiel supérieur, au niveau du trou bor
artère basilaire, et on le désigne encore de ce fait sous le nom de
sillon
basilaire, mais sa dépression tient moins à la
i se porte en dehors et en arrière et pénètrl en s'effilant dans le
sillon
marginal antérieur du cervelet. Les lames c lam
ule du flocculus. - Fo, faisceai oblique de la protubérance. - sma.
sillon
médial antérieur du bulbe. - Oi, olive inférieu
ransversalement par de gros fascicules de fibres qui se dirigent du
sillon
médian de la protubérance vers le cervelet, où
dian de la protubérance vers le cervelet, où ils convergent dans le
sillon
marginal antérieur. On appelle, depuis Rolando,
rgence du trijumeau; faisceaux inférieurs, ceux qui sont voisins du
sillon
bulbo-protubérautiel, et faisceaux moyens, ceux
faisceaux supérieurs et inférieurs débordent en haut et en bas les
sillons
qui limitent la protubérance, masquant ainsi en p
sversales inférieures de la protubérance qui le recouvrent. Dans le
sillon
protubérantiel supérieur et dans le sillon latéra
i le recouvrent. Dans le sillon protubérantiel supérieur et dans le
sillon
latéral de l'isthme, on trouve constamment un p
me paire; plus rarement on le voit surgir vers la partie moyenne du
sillon
protubérantiel supérieur, entre la protubérance e
le long du pédoncule cérébelleux .moyen, un des fascicules suit le
sillon
latéral de l'isthme, l'autre croise le ruban de
érieure du cer- veau rhomboïdal présente : sur la ligne médiane, le
sillon
médian aillé- rieur du bulbe el, de chaque côté
ôté, la pyramide antérieure et l'olive bulbaire ou inférieure. Le
sillon
médian antérieur du bulbe mesure 20 à 21 millimèt
llimètres de hauteur; superficiel en bas, où il se continue avec le
sillon
médian antérieur de la moelle épinière et où il
berrant, des libres transvcr- sales du pont. Région bulbaire.
Sillon
médian an- térieur. 484 .ANATOMIE DES CENTRES
et profond, le trou borgne de Vicq d'Azyr. A sa partie moyenne, ce
sillon
est le plus souvent interrompu par les fibres a
d'Arnold) qui recouvrent les pyra- mides, puis s'enfoncent dans le
sillon
médian anlérieur et s'y enlre-croi- sent avec d
érieures du bulbe (Py) (corps pyramidaux) bordent de chaque côté le
sillon
médian antérieur. Ce sont deux faisceaux arrond
L' entre-croisement ou la décussation des pyramides occupe dans le
sillon
médian antérieur du bulbe une hauteur de 6 à 7 mi
it fascicule qui occupe la partie externe de la pyramide - et qu'un
sillon
longitudinal isole sur quelques cerveaux plus o
dans le cordon antérieur du même côté de la moelle dont il longe le
sillon
médian anté- rieur. On l'appelle faisceau pyram
corce cérébrale, par hydrocéphalie, porencéphalie, etc. ,,etc. , le
sillon
médian antérieur est à peine accusé et à la place
passer ensuite au-devant de la pyramide, et s'entre-croiser dans le
sillon
médian anté- rieur du bulbe. Ces fibres, que l'
isthme ou ruban de Reil laté- ral. - Rm, ruban de Iteil médian. si,
sillon
latéral du mésencéphale. - Th, couche optique.
te sus-oh- vaire 486 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Vol uni o.
Sillon
olivaire in- trn. Sillon olivâtre ¡''(terne
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Vol uni o. Sillon olivaire in- trn.
Sillon
olivâtre ¡''(terne'. ; Faisceau latéral d
Sillon olivâtre ¡''(terne'. ; Faisceau latéral du bulbe.
Sillon
bulbo-pro- tttbéranticl. Trou borgne infé-
des pyramides. L'olive estséparée de la pyramide antérieure par un
sillon
longitudinal dans lequel émergent les filets ra
equel émergent les filets radiculaires du nerf hypoglosse; c'est le
sillon
de l'hypoglosse ou sillon olivaire inlerne; son e
radiculaires du nerf hypoglosse; c'est le sillon de l'hypoglosse ou
sillon
olivaire inlerne; son extrémité inférieure est
la moelle. Plus rarement, il se porte en arrière et en bas, vers le
sillon
collatéral antérieur de la moelle. Le sillon
e et en bas, vers le sillon collatéral antérieur de la moelle. Le
sillon
olivaire externe ou 2él2,o-olivaii,e limite l'oli
ou faisceau latéral du bulbe (Fit). Il est limité en arrière par un
sillon
d'où émergent les racines des nerfs glosso- pha
ergent les racines des nerfs glosso- pharyngien et pneumogastrique (
sillon
des nerfs mixtes) et représente, eu partie, la
vec le cordon latéral de la moelle épinière; en haut, il atteint le
sillon
bulbo-protubérantiel, s'enfonce sous les fibres t
occupe la partie antéro-externe de la calotte protubérantielle. Le
sillon
bulbo-protubérantiel ou protubérantiel inférieur
nd en dehors jus- qu'aux corps restiformes du bulbe où il reçoit le
sillon
des nerfs mixtes. On voit sur sa ligne médiane
rment le ponlicule d'Arnold. De chaque côté de la ligne médiane, le
sillon
buibo-protubérantiel sépare la protubérance de
égion, mais en est séparée par un double feuillet pie-mérien. Les
sillons
latéraux de l'isthme qui logent le toenia ponti
ens (Pcm). Sa limite supérieure est consti- tuée en dedans par le
sillon
d'émer- gence du nerf pathétique (IV) qui la
t intimement; on peul considérer comme limite inférieure le fond du
sillon
précentral du cervelet qui sépare la lingula du
variables dans leur volume et leur dispo- sition. Elles émergent du
sillon
latéral de l'isthme, croisent le pédoncule céré
ongitudinal et saillant, le frein de la valvule, qui s'étend jusqu'au
sillon
longitudinal médian interquadrigéminal (Fig. 33
ti formes. On remarque sur la face postérieure du bul- be : le
sillon
médian po ? térieur, les pyramides postérieur
if ormes et la membrane obturatrice du quatrième ventricule. Le
sillon
médian pos- térieur (sillon longitudi- nal po
ratrice du quatrième ventricule. Le sillon médian pos- térieur (
sillon
longitudi- nal postérieur) appartient à la pa
a moelle épinière, dont il se dis- tingue par sa profondeur. Le
sillon
médian posté- rieur du bulbe représente en ef
stance grise centrale du bulbe. Au voisinage du collet du bulbe, ce
sillon
devient de plus en plus superficiel (Fig. z48 à
V, nerf triju- meau. 11', valvule de Vieusseus. Configuration.
Sillon
médian pos- térieur. 490 ANATOMIE DES CENTRES
rection. Connexion avec le pédoncule cérébel- leux inférieur.
Sillon
latéral du bulbe. comme nous le verrons plus
n latéral du bulbe. comme nous le verrons plus loin, moins par le
sillon
que par un épais septum névroglique. Les pyra
angle externe du quatrième ventricule et l'extrémité postérieure du
sillon
Imlho-protubé- rantiel ; ils s'élranglent à ce
restiforme proprement dit du pédoncule cérébelleux inférieur. Le
sillon
latéral du bulbe ou sillon des nerfs mixtes borde
t du pédoncule cérébelleux inférieur. Le sillon latéral du bulbe ou
sillon
des nerfs mixtes borde le corps res- tiforme en
r- tical dans la région cylindrique du bulbe et se continue avec le
sillon
col- latéral postérieur de la moelle ou sillon
se continue avec le sillon col- latéral postérieur de la moelle ou
sillon
de pénétration des racines médul- MORPHOLOGIE D
GIE DU RHOMBENCÉPHALE. 191 laires postérieures. C'est le long de ce
sillon
que pénètrent dans le bulbe les racines des ner
re du ligament den- telé. Dans la partie inférieure, verticale du
sillon
latéral du bulbe on trouve, plus accentuée chez
i, au-dessus du tubercule cendré, s'infléchit en arrière, croise le
sillon
latéral du bulbe et se jette sur le corps restifo
ui entourent les parties antéro-latérales du bulbe, interrompent le
sillon
des nerfs mixtes, croisent le faisceau latéral
et la pyramide antérieure, et s'enchevêtrent dans la profondeur du
sillon
médian antérieur avec des fibres analogues du c
atéraux du 4' ventricule. SbNo, substance blanche du nodule. - spe,
sillon
précentral. - 1"lI"" diverticules latéraux du 4'
Le grand axe du plancher est parcouru dans toute sa longueur par le
sillon
lon- gitudinal médian, qui se continue en haut
on lon- gitudinal médian, qui se continue en haut avec le profond
sillon
de même nom de l'aqueduc de Sylvius, s'élargit
n bulbaire où il constitue la lige du cala- mus. A la jonction du
sillon
avec le canal épendymaire,, Qn trouve, en avant
ssion encul-dc-sac, appelée ventricule d'lrazatius (Fig. 444). Le
sillon
longitudinal médian est bor- dé de chaque côté
de Sylvius avec les lames fondamentales du cerveau moyen. Deux
sillons
, les sillons latéraux (sulci limitantes de Ilis),
avec les lames fondamentales du cerveau moyen. Deux sillons, les
sillons
latéraux (sulci limitantes de Ilis), circonscri-
ies recouvrent dans ce cas toute la zone auditive, interrompent les
sillons
latéraux, voire même le sillon médian, et masquen
la zone auditive, interrompent les sillons latéraux, voire même le
sillon
médian, et masquent plus ou moins complètement
}). Le plus souvent, on voit les stries émerger un peu en dehors du
sillon
médian, par une extrémité tantôt grêle, tantôt
sont réunies à celles du côté opposé par un pont qui interrompt le
sillon
médian; d'autres fois elles émergent sur la par
les visibles, les stries transversales n'émergeant qu'en dehors des
sillons
limitants. En résumé, les stries peu- Do leur n
ente trois bandes antéro-postérieures saillantes, séparées par deux
sillons
lon- gitudinaux. La bande médiane (ms) répond à
) et s'unissent en dehors au plancher du qua- trième ventricule; un
sillon
longitudinal, le sillon latéral, les sépare en
s au plancher du qua- trième ventricule; un sillon longitudinal, le
sillon
latéral, les sépare en haut du locus ca·ruleus
if, glossopha- ryngien et vague, au-dessous de la partie externe du
sillon
bulbo-prolu- bérantiel. Elles présentent une ex
les, lames et lamelles du cervelet el se réfléchit dans le fond des
sillons
interlobulaires sur la substance blanche centra
nd au pourtour du quatrième ventricule, au hile du cer- velet et au
sillon
marginal antérieur. La partie supérieure, S2lS-
t lamelles du lobe quadrilatère, le long de la lèvre supérieure' du
sillon
marginal antérieur. La partie inférieure, sous-
finalement en bas et en dehors le long de la lèvre infé- rieure du
sillon
marginal antérieur où elle correspond à l'implant
e même de la partie du lobe digastrique situé dans la profondeur du
sillon
prédigastrique et de la plus grande partie de l
ie, pyramide de mais- carne. - Oc, olive cérébelleuse. - sef, grand
sillon
circonférentiel. - siV, sillon inférieur de Vic
- Oc, olive cérébelleuse. - sef, grand sillon circonférentiel. - siV,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - ssl', sillon supéri
on circonférentiel. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssl',
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - spop, sillon post-pyr
ur de Vicq d'Azyr. - ssl', sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - spop,
sillon
post-pyramidal. - sla, sillon transverse antéri
lon supérieur de Vicq d'Azyr. - spop, sillon post-pyramidal. - sla,
sillon
transverse antérieur. Les crêtes et les axes
de Reil (Fig. 337) qui consiste à écarter les deux lèvres du grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr (scf) et à disséqu
scalpel la substance blanche du cervelet sur le prolongement de ce
sillon
. La coupe de Vicq d'Azyr sectionne les olives;
arginaux antérieurs, au fond de l'échancrure marsupiale et du grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. A l'encontre du
fond largement en avant avec les pédoncules du cervelet le long des
sillons
marginaux antérieurs et de l'échancrure semi-luna
nes du cervelet mises à nu après ablation de la lèvre supérieure du
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. La moitié droite repr
t après ablation des circonvolutions de la face supérieure du grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. (D'après la pho
lobe semi-lunaire supérieur. - Oc, olive cérébelleuse. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Th, Thalamus.
icule. - 1'i V" diverticule latéral du 4* ventricule. - sel', grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - siV, sillon i
ricule. - sel', grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - siV,
sillon
inférieur de Vicq I'.1r5·r. - slg, sillon du lobe
el de Vicq d'Azyr. - siV, sillon inférieur de Vicq I'.1r5·r. - slg,
sillon
du lobe grêle. spo, sillon post-cen- tral. - sp
sillon inférieur de Vicq I'.1r5·r. - slg, sillon du lobe grêle. spo,
sillon
post-cen- tral. - spop, sillon post-pyramida).
r. - slg, sillon du lobe grêle. spo, sillon post-cen- tral. - spop,
sillon
post-pyramida). ssl', sillon supérieur de Vicq d
e. spo, sillon post-cen- tral. - spop, sillon post-pyramida). ssl',
sillon
supérieur de Vicq d ? zyi-. - sla, sillon trans
illon post-pyramida). ssl', sillon supérieur de Vicq d ? zyi-. - sla,
sillon
transverse antérieur. - V, nerf trijumeau. - V/
lvulaire. - sue, substance blanche centrale du vermis. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azy-r. - Sge, substan
férentiel de Vicq d'Azy-r. - Sge, substance grise centrale. - sil',
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - sprp, sillon prépyram
ance grise centrale. - sil', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - sprp,
sillon
prépyramidal. - ssV,, sillon supérieur de Vicq
llon inférieur de Vicq d'Azyr. - sprp, sillon prépyramidal. - ssV,,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transvers
illon prépyramidal. - ssV,, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sla,
sillon
transverse antérieur. 510 ANATOMIE DES CENTRES
se fusionne graduellement (au delà du plan sagittal passant par le
sillon
longitudinal supérieur) avec l'arbre de vie des l
le sorte qu'il existe dans le plan situé immédiatement en dehors du
sillon
longitudinal supérieur une véritable région de tr
ux supérieur. - l'ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - scf, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - SyR, substance
l de Vicq d'Azyr. - SyR, substance gélatineuse de Rolando,. - sil',
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - sly, sillon du lobe g
ineuse de Rolando,. - sil', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - sly,
sillon
du lobe grêle. - spop, sillon post-pyramidal. -
sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - sly, sillon du lobe grêle. - spop,
sillon
post-pyramidal. - ssl', sillon supérieur de Vic
- sly, sillon du lobe grêle. - spop, sillon post-pyramidal. - ssl',
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transvers
lon post-pyramidal. - ssl', sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sla,
sillon
transverse antérieur. - l'nz, racine motrice du
du noyau du toit, et sectionnant la protubérance un peu au-dessus du
sillon
bulbo- 516 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Hile
céré- belleux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transve
rébelleux supérieur. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sta,
sillon
transverse antérieur. - Vu, luette. - 1'1', valvu
e des hémisphères, apparaissent à l'extérieur dans la profondeur du
sillon
marginal anté- rieur (sma) (Fig. 333), puis se
ôté opposé par la valvule de Vieussens (VV) et l'écorce du fond des
sillons
pré-central et post-central. Son extrémité anté
oblique en haut et en avant du pédoncule cérébral, au voisinage du
sillon
pédonculo-protubérantiel, pas- sant par le toen
culairement à ce dernier que les coupes se rapprochent davantage du
sillon
bulbo-protubérantiel (coupes C5, H7, Fig. 361 e
à la partie supérieure du bulbe, entre la pyramide antérieure et le
sillon
d'émergence des nerfs mixtes, glosso-pharyngien,
dehors par les libres radiculaires de la VIe paire. Au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel (coupe H 8, Fig. 398, p. 5
baire et sur la substance grise antérieure du pont. Au-dessous du
sillon
bulbo-protubérantiel, le faisceau pyramidal appa-
l'olive bulbaire et de sa capsule de fibres, non seulement grâce au
sillon
olivaire interne et au trajet horizontal des fi
, Fig. 440 il 442, p. 667 à 672), en masquer la saillie, effacer le
sillon
oli- vaire interne, et cette disposition signal
s le cordon antérieur homolatéral de la moelle épinière, le long du
sillon
médian antérieur; ils forment le faisceau pyramid
et s'accole au ruban de Reil médian (Rm) au-dessus ou au niveau du
sillon
pédonculo-pro- tubérantiel, en général au-dessu
lorsqu'elles existent, le faisceau externe du pied du pédoncule et le
sillon
latéral de l'istlime (Fig. 377 et 3 iG), se por
en avant du corps genouillé interne (Cgi, Fig. 3 in, 37 i) dans le
sillon
qui sépare ce corps du faisceau do Tiirck et du b
ssous des dernières fibres transversales profondes, au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel ; dans ce dernier cas, elles
r à cheval de Wernekink. Le pied du pédoncule cérébral au niveau du
sillon
pédonculo-protubérantiel et le pes lemniscus prof
ond. - Coupe horizontale oblique en haut et en avant passant par le
sillon
pédonculo-protubérantiel et la par- tie inférie
atéral. - Rm, ruban de Iteil médian. SgPo, noyaux pontiques. - spu,
sillon
post-central du cervelet. SR, formation réticulée
ue l'on approche de la partie inférieure de la protubé- rance et du
sillon
bulbo-protubérantiel (coupe H7, Fig. 397), la for
e passant par la région protubérantielle inférieure au voisinage du
sillon
hulho-protubérantiel et intéressant les fibres ra
Coupe horizontale un peu oblique en bas et en avant, passant par le
sillon
bulbo-protubérantiel et l'extrémité supérieure de
téro-externe s'étire et atteint la périphérie du bulbe au niveau du
sillon
latéral, entre le corps restiforme et l'olive b
yramidal ; à gauche il s'étale à la surface de l'olive et masque le
sillon
olivaire interne (comparer avec la Fig. 383). - S
n) (Fig. 401). Cet entre-croisement s'étend en longueur, du fond du
sillon
médian antérieur à la substance grise central
res (fcb, coupe H10, Fig. 367, p. 532). Ce n'est qu'au voisinage du
sillon
bulbo-protubéranliel (coupe H8, Fig. 398, p. 563)
petits amas irréguliers de substance grise, situés au voisinage du
sillon
latéral de l'isthme et connus sous le nom de no
), lequel occupe toute la largeur de la calotte, du raphé médian au
sillon
latéral. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉP
réliculé (Nrt) et le noyau central inférieur(Nci). Au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel (coupes H 7, H8, Fig. 397
rême que prend la substance grise du cervelet, de la profondeur des
sillons
qui séparent les différents lobes du -ermis, et
'implantent les axes des lames et lobules du culmen qui bordent les
sillons
post-central (spo) et transverse antérieur (sta).
a branche horizontale (bh) est séparée de la branche verticale par le
sillon
transverse antérieur (sta) elles nombreux lobul
elles nombreux lobules qui tapissent les deux lèvres de ce profond
sillon
. Elle se détache de la partie postérieure du noya
eux lames et lobules profonds qui tapissent la lèvre postérieure du
sillon
transverse antérieur (sta). Sa face inférieure
de Reit. - Sbc, substance blanche centrale du vermis. - se/, grand
sillon
circonférentiel du cervelet. - Sgc, Srlc', Spic",
tronc encéphalique et de la partie supérieure de la moelle. - spo,
sillon
postcentral. - spop, sillon postpyramidal. p,p, s
partie supérieure de la moelle. - spo, sillon postcentral. - spop,
sillon
postpyramidal. p,p, sillon prép-rail-iidal. - Sli
elle. - spo, sillon postcentral. - spop, sillon postpyramidal. p,p,
sillon
prép-rail-iidal. - Sli, formation réticulée. -
al. p,p, sillon prép-rail-iidal. - Sli, formation réticulée. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transvers
formation réticulée. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sta,
sillon
transverse anté- rieur. - Slrc, stratum complex
CÉPHALE. 591 ou moins sessiles qui tapissent la lèvre supérieure du
sillon
]Jost-pYI'amidal (spop). Elle reçoit en outre,
st seulement plus mince, la coupe correspond en effet à la section du
sillon
592 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. longitudina
m, ruban de Iteil médian. SGc, substance blanche centrale. scf, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sge, substanc
nce grise centrale. - SgR, substance gélati- neuse de Hoiando. siV,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. ssF, sillon supérieur d
élati- neuse de Hoiando. siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. ssF,
sillon
supérieur de vice d'Azyr. - SR, formation rétic
sillon supérieur de vice d'Azyr. - SR, formation réticulée. - sta,
sillon
transverse antérieur. - VP, voie pédon- culaire
- Py, faisceau pyramidal. - Rna, ruban de Reil médian. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sage, substance
tion réticulée. - SRg, formation réti- culée grise du bulbe. - siV,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV,, sillon supérieu
culée grise du bulbe. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV,,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - spo, sillon post-ce
eur de Vicq d'Azyr. - ssV,, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - spo,
sillon
post-central. - sta, sillon transverse antérieur.
sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - spo, sillon post-central. - sta,
sillon
transverse antérieur. - Strs, Strc, Slip, couch
dule n'est plus représenté que par une mince lamelle qui tapisse le
sillon
post-nodulaire et correspond à la partie postéro-
u central de la calotte (Fcc). La calotte renferme, au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel, le noyau moteur bilobé du
e le vermis ' et les hémisphères, située immédiatement en dehors du
sillon
longitudinal médian et qui comprend le nid d'hi
centrale des hémisphères (coupes S 8 et S 9, Fig. 416 et 417). Les
sillons
interlobulaires augmentent de profondeur en passa
ur en passant du vermis dans les hémisphères, tandis que le profond
sillon
transverse antérieur (sta) diminue, et ne se di
nexion aucune avec la sub- stance blanche centrale et qu'un profond
sillon
sépare de la moitié pos- térieure de ce même lo
érieure de ce même lobe. L'écorce cérébelleuse qui tapisse ce profond
sillon
602 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. du globe gr
che centrale, dont les dimensions ont considérablement augmenté; le
sillon
du lobe grêle (slg) diminue de profondeur et l'
ette région à la présence du nid d'hirondelle et à la profondeur du
sillon
du lobe grêle. Dès que la région des hémisphère
ncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil médian. sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - SgR, sub- sta
l de Vicq d'Azyr. - SgR, sub- stance gélatineuse de Rolando. - siV,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérieur
élatineuse de Rolando. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - spop, sillon post-p
eur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - spop,
sillon
post-pyramidal. - spr, sillon précentral. - sta,
lon supérieur de Vicq d'Azyr. - spop, sillon post-pyramidal. - spr,
sillon
précentral. - sta, sillon trans- verse antérieu
Azyr. - spop, sillon post-pyramidal. - spr, sillon précentral. - sta,
sillon
trans- verse antérieur. - SR, formation réticul
et 415), avec la substance blanche centrale des hémisphères. Les
sillons
interlobulaires du culmen, en passant sur les hém
e vie (bv) diminue de hauteur, et égalent bientôt en profondeur les
sillons
interlobaires du lobe supérieur des hémisphères
leux inférieur. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - scf, grand
sillon
circon- férentiel de Vicq d'Azyr. Sgl ! , subst
el de Vicq d'Azyr. Sgl ! , substance gélatineuse de Rolando. - si Il,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérie
ineuse de Rolando. - si Il, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'.\zyr. - slg, sillon du lobe
eur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'.\zyr. - slg,
sillon
du lobe grêle. - spop, sillon post-pyramidal. -
lon supérieur de Vicq d'.\zyr. - slg, sillon du lobe grêle. - spop,
sillon
post-pyramidal. - sta, sillon transverse antérieu
- slg, sillon du lobe grêle. - spop, sillon post-pyramidal. - sta,
sillon
transverse antérieur. - cUv, crête de la luette.
- 1'1 V" diverticule latéral du quatrième ventricule. - scr, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sit', sillon in
ricule. - scr, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sit',
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérie
iel de Vicq d'Azyr. - sit', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - slg, sillon du lobe g
ieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - slg,
sillon
du lobe grêle. - spop, sillon post-pyramidal. -
sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - slg, sillon du lobe grêle. - spop,
sillon
post-pyramidal. - sta, sillon transverse antéri
- slg, sillon du lobe grêle. - spop, sillon post-pyramidal. - sta,
sillon
transverse antérieur. - cUv, crête de la luette e
la sub- stance blanche centrale par un large et épais pédicule; les
sillons
interlobu- laires atteignent la substance blanc
ent la substance blanche centrale et leur profondeur égale celle du
sillon
transverse antérieur (sta). Le lobe quadrilatère
e. - 1'11'" diverticule latéral du quatrième ventricule. sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - si ? sillon inf
entricule. sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - si ?
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérie
tiel de Vicq d'Azyr. - si ? sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transvers
ieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sla,
sillon
transverse antérieur. - V, trijumeau. NVlllc, n
r et postérieur et du lobe semi- lunaire supérieur, séparés par des
sillons
interlobaires et interlobulaires, de pro- fonde
baires et interlobulaires, de pro- fondeur sensiblement égale. Le
sillon
supérieur de Vicq zizi.;< ? (ssV) et le grand
t égale. Le sillon supérieur de Vicq zizi.;< ? (ssV) et le grand
sillon
circonférentiel du même auteur (scf), qui limit
as, se distinguent seuls par leur plus grande profondeur des autres
sillons
interlo- baires. Sur la coupe S 8 (Fig. 416),
-1'11 ? diverticule latéral du quatrième ven- tricule. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sil-, sillon in
tricule. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sil-,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérie
iel de Vicq d'Azyr. - sil-, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'.lzyr. - spo, sillon post-cen
eur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'.lzyr. - spo,
sillon
post-central. - spop, sillon post-pyramidal. -s
sillon supérieur de Vicq d'.lzyr. - spo, sillon post-central. - spop,
sillon
post-pyramidal. -sla, sillon transverse antérie
r. - spo, sillon post-central. - spop, sillon post-pyramidal. -sla,
sillon
transverse antérieur. - VIII, nerf auditif, conco
diverticule latéral (1'lV,) du qua- trième ventricule. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - siV, sillon inf
entricule. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - siV,
sillon
inférieur de Vico d'Azyr. - ssV, sillon supérie
tiel de Vicq d'Azyr. - siV, sillon inférieur de Vico d'Azyr. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - slg, sillon du lobe g
ieur de Vico d'Azyr. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - slg,
sillon
du lobe grêle. - spo, sillon post-central. - sp
illon supérieur de Vicq d'Azyr. - slg, sillon du lobe grêle. - spo,
sillon
post-central. - spop, sillon post-pyramidal. - st
r. - slg, sillon du lobe grêle. - spo, sillon post-central. - spop,
sillon
post-pyramidal. - sta, sillon transverse antérieu
. - spo, sillon post-central. - spop, sillon post-pyramidal. - sta,
sillon
transverse antérieur. - 1', nerf trijumeau. - 1
sectionnent le pédoncule cérébral presque parallèlement au plan du
sillon
pédonculo- protubérantiel et sont par suite obl
e, la partie externe sectionnant le pied du pédoncule au- dessus du
sillon
pédonculo-protubérantiel. Coupe P 1, (Fig. 419)
r les coupes P2, P3, P4, (Fig. 420, 421, zu ? ), jus- qu'au delà du
sillon
latéral de l'isthme de l'encéphale. Calotte péd
oblique en liaut et en avant du pédoncule cérébral, au voisinage du
sillon
pédonculo-protubérantiel, passant par la ligne
res qui s'étend du raphé et du ganglion inter-pédonculaire (Gip) au
sillon
latéral de l'isthme de l'encéphale; il s'adosse
Les fibres transversales profondes atteignent par contre presque le
sillon
latéral de l'isthme et dissocient la voie pédoncu
imite antéro-externe de la calotte; un léger étranglement voisin du
sillon
latéral de l'isthme le divise en deux parties : l
fibres transversales profondes (Strp), on rencontre au voisinage du
sillon
latéral quelques fascicules très dissociés de la
sales profondes (Strp), elles atteignent à peine sur cette coupe le
sillon
latéral de la protubérance. Un grand nombre des
e antérieur du pont ; il est particulièrement dense au voisinage du
sillon
médian antérieur, où les fascicules sont presqu
i recouvrent le ruban de Reil latéral (RI) en dehors et occupent le
sillon
latéral, appartiennent au tænia pontis (Tpo) (Voy
lleux supérieur. - SgPo, substance grise antérieure du pont. - spo,
sillon
post-central.-Sfi, formation réticulée.-Tpo, t,en
avant jusqu'au noyau du ruban de Reil laléral situé au voisinage du
sillon
latéral de la protubérance. Le ruban de Reil mé
n peu en dedans, et n'atteint plus comme sur la coupe précédente le
sillon
latéral de l'isthme de l'encéphale. On y distin
utre et atteint en avant la périphérie du pont; seuls au voisinage du
sillon
médian antérieur, les noyaux pontiques (SgPo) d
es s'étendent de la face profonde du stmclunz superficiale jusqu'au
sillon
longitudinal médian du quatrième ventricule; su
s la substance blanche du cer- velet que plus bas, aii voisinage du
sillon
bulbo-protubéranliel. Calotte. - Dans la calott
s fibres sagittales du raphé se porter en dehors, de chaque côté du
sillon
longitudinal, passer en arrière du faisceau longi
ôté opposé par l'axe de la lingula et l'écorce qui tapisse le fond du
sillon
précentral. En dehors et en arrière, il est ent
développement sur les coupes situées au voisinage et au-dessous du
sillon
bulbo-protubérantiel. Une partie des fibres sem
le épinière. CoupeH7 (Fig. 13û). - Celte coupe passe au-dessus du
sillon
bulbo- protubérantiel, intéresse les fibres inf
. FIG. 430. - La région protubérantielle inférieure au voisinage du
sillon
bulbo-protubé- rantiel. - Le faisceau pyramidal
e un trajet très complexe. Du noyau d'origine situé au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel, les fibres radiculaires se
noyau d'origine et le facial (VII) à son émergence au voisinage du
sillon
bulbo-protubé- rantiel (bp). Le noyau du mote
sectionne en avant le pédoll- cule cérébelleux moyen (Pcm) dans le
sillon
marginal antérieur du cervelet et intéresse les
e supérieur. Ce dernier lobe, complètement séparé des autres par le
sillon
supérieur de Vicq d'A : YI' (ssV), est sans conne
2,p. 616 à 622; sont obliques en haut et en avant et parallèles au
sillon
pédonculo-protubérantiel. Les coupes C 1 il C 6
, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - ssl',
sillon
supérieur de Vicq d'A\ryr. - sta, sillon trans-
moyen et supérieur. - ssl', sillon supérieur de Vicq d'A\ryr. - sta,
sillon
trans- verse antérieur. - V, nerf trijumeau.
l'olive cérébelleuse (Oc), l'em- bole (Nem) et l'écorce du fond des
sillons
hot et pré-centraux, immé- diatement au-dessus
le bouchon (Nem) et le pédoncule cérébel- leux moyen (Pcm) dans le
sillon
marginal antérieur du cervelet; elle sec- tionn
u lobe quadrilatère antérieur et du culmen qui tapissent le fond du
sillon
transverse antérieur (sta), et sectionne l'axe
ois pédoncules cérébelleux infé- rieur, moyen et supérieur. - ssl-,
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transvers
, moyen et supérieur. - ssl-, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - sta,
sillon
transverse antérieur. - Vsd, grosse racine sens
des hémisphères et séparés du lobe quadrilatère posté7'iew' par le
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr (ssV). Les lamelles de
s réduite dans le sens antéro- postérieur, grâce à la profondeur du
sillon
transverse antérieur (sta). On y con- state deu
r est con- stituée par la calotte ]J1'otuúérantielle et présente le
sillon
longitudinal médian, et de chaque côté deux émi
rois pédoncules cérc- belleux inférieur, moyen et supérieur. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - Vsd, grosse racine
ales sont convexes et font saillie dans la cavité ventriculaire; un
sillon
longitudinal, le sillon latéml du quatrième ven
nt saillie dans la cavité ventriculaire; un sillon longitudinal, le
sillon
latéml du quatrième ventricule, les subdivise e
fois il existe, en avant des lamelles qui doublent le fond du profond
sillon
transverse antérieur, quelques fascicules de fi
passe par la partie inférieure de la protubérance, au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel ; elle sec- tionne l'extré
du vermis inférieur; elle sectionne la protubérance au voisinage du
sillon
butbo-protubérantiel, intéresse le noyau d'origin
trois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq d'.lcyr. - sta, sillon transver
moyen et supérieur. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'.lcyr. - sta,
sillon
transverse anté- rieur. - l'T, valvule de Tarin
ventricule; 2° les lamelles du culmen qui tapissent la profondeur du
sillon
trans- verse antérieur (sta) et les lamelles du
e ventricule. Coupe C 6 (Fig. 437). Cette coupe passe au-dessous du
sillon
mar- ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 6
us. - "1 V" diverticule latéral du quatrième ventricule. - sef, grand
sillon
circonfé- rentiel de Vicq d'Azyr. - si1', sillo
cule. - sef, grand sillon circonfé- rentiel de Vicq d'Azyr. - si1',
sillon
inférieur de Vicq d'Azyr. - spon, sillon post-nod
tiel de Vicq d'Azyr. - si1', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - spon,
sillon
post-nodu- faire. - sppy, sillon post-pyramidal
inférieur de Vicq d'Azyr. - spon, sillon post-nodu- faire. - sppy,
sillon
post-pyramidal. - sprp, sillon pré-pyramidal. - s
on, sillon post-nodu- faire. - sppy, sillon post-pyramidal. - sprp,
sillon
pré-pyramidal. - st.ac, stries acous- tiques. -
té antérieure du lobe semi-lunaire inférieur (Lsli), compris entre le
sillon
inférieur de Vicq ? y ? ' (siV) et le grand sil
compris entre le sillon inférieur de Vicq ? y ? ' (siV) et le grand
sillon
circonférentiel (scf). Autour de l'extrémité ex
hères, elle est tapissée par l'écorce qui recouvre le fond du grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'A4yr (scf). Dans la
tale de l'arbre de vie est limitée en avant par l'écorce du profond
sillon
post-pyra- midal (sppy) ; puis on trouve, d'arr
e se fusionne de chaque côté avec la substance blanche centrale, le
sillon
prépyramidal (sprp), la section de la luette (Uv)
rale, le sillon prépyramidal (sprp), la section de la luette (Uv), le
sillon
posl- nodulaire (spon), enfin les lamelles céré
érieure et d'autant plus accentuée que la coupe est plus voisine du
sillon
hulho-protuhérantiel. Les coupes H 14 à H 23 (F
la protu- bérance et le bulbe rachidien, c'est-à-dire la région du
sillon
bulboT»·ottr- bérantiel. La coupe étant légèrem
du pont (FPoa) qui surplombent les pyramides antérieures (Py) et le
sillon
bulbo- protubérantiel. Les extrémités latéral
ig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 5/1 grandeur nature. bp,
sillon
bulbo-protubérantiel. - Ci, corps juxta-restiform
ieur ou bulbo- protubérantiel (tb), et sur les parties latérales le
sillon
bulbo-protubéranliel (bp), dans l'espace compri
oteur oculaire externe (VI), et facial (VII) à leur émergence dans le
sillon
bulbo- protubérantiel, et par le nerf vestibula
l médian (Rm) et le faisceau central de la calotte (Fcc), longer le
sillon
úulúo-p1'olllúénl11liel (bp), passer en avant d
a ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. z saillie en effaçant le
sillon
olivaire interne. C'est là une disposition un peu
épara- midales sont des plus manifestes, se continuent au niveau du
sillon
longitudinal médian du quatrième ventricule ave
terruption jusqu'au tubercule acoustique (Tub. ac). Au voisinage du
sillon
longitudinal médian, on les voit passer en avan
de l'acoustique (NVIIIv). Il est limité en dedans, au voisinage du
sillon
longitudinal médian, par un petit noyau arrondi
section représente à peine la moitié de ce qu'elle est au niveau du
sillon
bulbo- protubérantiel (coupe H8, Fig. 438, p. 6
en connexion avec le noyau arqué (Narc); elles s'enfoncent dans le
sillon
médian antérieur du bulbe, s'y entre-croisent et
polaires, le noyau de l'hypo- glosse (Nxu), situé de chaque côté du
sillon
longitudinal médian dans l'aile blanche interne
o-posté- rieur et non plus en largeur. On trouve, de chaque côté du
sillon
longitudinal médian, le noyau de l'hypoglosse (
upe la face externe de la pyramide; sur la coupe H 16, il occupe le
sillon
latéral de la pyramide; sur la coupe H 18 (Fig. 4
l. - XII, nerf hypoglosse. 680 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
sillon
longitudinal postérieur se réduit une simple enco
lumineux, saillant en avant, et séparé de celle du côté opposé par le
sillon
médian antérieur, qui atteint dans cette région
e pomme de pin, dont le sommet, dirigé en avant, atteint le profond
sillon
médian antérieur; de là le nom d'entre-croiseme
s et court, compris entre la substance grise centrale et le fond du
sillon
médian antérieur, très rapprochés l'un de l'autre
ngé de forme, elle s'est déplacée en arrière, s'en- fonçant avec le
sillon
médian antérieur; une partie de ses fibres commen
nt en arrière et en dedans, occupent tout l'espace compris entre le
sillon
médian antérieur et la substance grise centrale
sse au niveau des crêtes des lamelles, que dans la profon- deur des
sillons
. Cette différence tient surtout à l'inégale épais
blanche, tandis qu'on l'établit facilement au voisinage du fond des
sillons
. Nous étudierons successivement : 1° La couch
serrés au niveau de la crête des lamelles, plus espacés au fond des
sillons
. Ils mesurent 35 à 70 u. en moyenne, GO p. de l
ou piriformes el placés en général verticalement; dans le fond des
sillons
par contre, les corps cellulaires sont plus irrég
veau des crêtes des lames et la- melles, se réduit dans le fond des
sillons
à une mince bande de grains stratifiés. - cm, .
lamelles cérébelleuses. - pi, s, cellule de Purkinje des fonds des
sillons
. Les arborisations en bois de cerf de ces cellule
s haut, une épaisseur qui varie suivant qu'on considère le fond des
sillons
ou la crête des circonvolutions; elle est en outr
lules de Purkinje, elles sont par conséquent plus rares au fond des
sillons
où les cellules de Purkinje sont plus écartées. I
de la crête de la circonvolution; elle fait défaut dans le fond du
sillon
; ici la couche granuleuse est sillonnée de fibr
que nous avons décrites dans les couches profondes de l'écorce des
sillons
cérébraux (Voy. T. I, p. 71.8). Les libres à my
versale. Les libres d'asso- ciation iiitracorticalo du fond des
sillons
. Les libres centri- fuges de l'écorco céréb
temps les plus périphé- riques, se recourbent au niveau du fond du
sillon
interlamcllaire, pour se porter sur la face lat
ent deux lamelles ou lobules voisins, tapissent le fond de tous les
sillons
inlcrlamellaires, interlobulaires et interlobaire
ngueur de ces libres varie nécessairement suivant la profondeur des
sillons
qui délimitent les lobules et lobes aux- quels
trouve intéressé sur toutes les coupes horizontales qui avoisinent le
sillon
bulbo-protubérantiel et établit sur ces coupes
rale du cervelet : il est recouvert par les fibres en guirlande des
sillons
interlobaires et interlobulaires, dont le fond at
stance blanche centrale, reçoit en avant et en dedans, au niveau du
sillon
marginal antérieur et du bile du cerveau, les f
rois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur.- sus 17,
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr. - Is(l, grosse racine
luette. - ravi, diverticule latéral du 4° ventricule. - sef, grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sil', sillon in
ricule. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sil',
sillon
inférieur de Vicq d'.lryr. - ssV, sillon supéri
tiel de Vicq d'Azyr. - sil', sillon inférieur de Vicq d'.lryr. - ssV,
sillon
supérieur de Vicq 1 ? zyr. sla, sillon transver
ieur de Vicq d'.lryr. - ssV, sillon supérieur de Vicq 1 ? zyr. sla,
sillon
transverse antérieur. V, trijumeau. .vVllle, no
mbre. Elles se réduisenl - sur les coupes qui passent au-dessous du
sillon
bulbo-protu- bérantiel et sectionnent le tiers
ntre et sur les fesses; qui étaient très-émaciées, existaient trois
sillons
, qui ont sub- sisté pendant deux ans. Elevé au
ition. Les incisives supérieures sont crénelées et pré- sentent des
sillons
. Les canines supérieures ont chacune un cuspis
ons. Les canines supérieures ont chacune un cuspis très pointu avec
sillon
à la base. Des incisives inférieu- res, les deu
ans sa partie postérieure ; son extrémité antérieure offre un petit
sillon
parallèle, isolé de la scissure interpariétale
e temporale, qui est découpée dans sa moitié posté- rieure par deux
sillons
transversaux allant de la première à la seconde
première frontale interne bien déve- loppée, coupée par de nombreux
sillons
, envoie un pli de pas- sage de niveau, au lobul
une partie de l'insula. Le rameau ascendant est très prononcé. Le
sillon
de Rolando, est très profond, sinueux. La scis-
représentée par une vaste encoche. Le lobule orbitaire présente des
sillons
et des cir- convolutions bien développées, mais
au lobule pariétal inférieur, puis elle continue su chemin jusqu'au
sillon
occipital trans- verse. Le lobule pariétal infé
La scissure parrallèle, creuse, sinueuse, se subdivise en plusieurs
sillons
irréguliers communi- quant avec les sillons voi
subdivise en plusieurs sillons irréguliers communi- quant avec les
sillons
voisins. - La deuxième circonvolution temporale
lution temporale est grosse, contournée, découpée par de nombreux
sillons
; sa partie moyenne se trouve isolée par deux sci
de passage unissant la 3 ? frontale à la frontale ascendante. Le
sillon
séparant la première frontale de la deuxième est
u- blée en avant, ses deux parties sont sinueuses, présentent des
sillons
nombreux et sont séparées par un sillon assez p
sinueuses, présentent des sillons nombreux et sont séparées par un
sillon
assez profond et très sinueux qui se prolonge j
oppement normal; elle est coupée dans la partie supérieure par deux
sillons
; la partie ainsi isolée est reliée par un pli
r- pariétale, sinueuse, communique au-delà de son coude avec deux
sillons
profonds qui remontent vers la fente interhémis-
en découpant le lobule pariétal supérieur. Elle envoie également un
sillon
assez profond qui descend presque jusqu'à la sc
iétal infé- rieur du pli courbe; la branche verticale, parallèle au
sillon
de Rolando, s'arrête au niveau de la courbe; il
n parcours. - Le lobulé assez gros, offre vers sa partie moyenne un
sillon
en Y assez profond et dont la bran- che inférie
en Y assez profond et dont la bran- che inférieure se place dans le
sillon
calloso-marginal. La circonvolution du corps ca
pariéto- limbique postérieur est presque entièrement divisé par un
sillon
transversal, de telle sorte que la scissure cal-
loso-marginale se continuant avec la scissure sous-pariétale, ce
sillon
transverse semble se jeter dans la scissure perpe
le lobule de l'insula. Elle paraît se continuer en arrière avec un
sillon
ascendant qui prolonge la scissure parallèle sur
cendant qui prolonge la scissure parallèle sur le lobe temporal. Le
sillon
de Rolando est limité nettement en bas par la r
e, relativement peu développée ; elle est entrecoupée de nombreux
sillons
dont deux atteignent la scissure de Sylvius, La
supérieure, est sinueuse, très-découpée. A son tiers inférieur, un
sillon
transversal placé dans la direction de la scissur
n de la scissure frontale inférieure la coupe et atteint presque le
sillon
de Rolando. - La pariétale ascendante est assez
onde circonvolution 80 Lésions du rachis. Le lobe occipital a des
sillons
et des circonvolutions nor- males, mais dans so
out son parcours. - Le lobule paracenlral de grosseur moyenne, a un
sillon
médian très profond en forme de T dont la grand
arties situées au-dessus. Le lobe lempo1'O-occipilal présente des
sillons
et des circonvolutions assez bien développés. La
aison de la scissure interpariétale qui, elle, va se perdre dans le
sillon
transverse occipital. Le lobule pariétal supéri
s maigre, mais considérablement réduites et pauvres en cellules. Le
sillon
antérieur de la moelle est élargi. Dans la subs
éphalie. atavique : ainsi la calotte occipitale, la continuité du
sillon
pariétal avec la scissure occipitale externe, l
ariétal avec la scissure occipitale externe, la longueur du premier
sillon
temporal. Plus loin, les anomalies non cérébral
par petits lambeaux. Hémisphère gauche. Sa forme est globuleuse. Le
sillon
de Ilolando le sépare en deux parties égales, e
s FA et PA sont bien développées. La I' est séparée de la V- par un
sillon
profond qui, à la partie antérieure, envoie deu
pli de passage. Un second pli de passage, séparé du premier par un
sillon
à trois branches, réunit ces deux circonvolutio
IV, V et VI.) La face inférieure du lobe frontal ne présente pas de
sillon
cruciforme, mais seulement la branche antéro-po
on cruciforme, mais seulement la branche antéro-postérieure de ce
sillon
. La branche postérieure cle la scissure de Sylv
eux branches. La scissure interpariétale (S I) est remplacée par un
sillon
parallèle au sillon de Rolando et limitant en a
ssure interpariétale (S I) est remplacée par un sillon parallèle au
sillon
de Rolando et limitant en arrière la P A. En ar
u sillon de Rolando et limitant en arrière la P A. En arrière do ce
sillon
se trouve une grosse circonvolution qui représe
volution arrondie, présentant à sa partie supérieure quatre petits
sillons
superficiels dont le plus inférieur le sépare du
et au-dessous de la scissure parallèle (S P) il présente un autre
sillon
parallèle, mais qui ne correspond si moitié posté
parait absent. La face inférieure du lobe sphénoïrlal présente un
sillon
cru- ciforme superficiel irrégulier qui délimit
le reste de son étendue. Le lobule paracentral est allongé et sans
sillon
. La circonvolution du corps calleux est absolum
. X). Hémisphère droit. Même forme globuleuse que le gau- che. Le
sillon
de Rolando (n) est situé un peu en arrière de l
très développée, séparée en deux parties, vers- son milieu, par le
sillon
qui sépare Fi de Fa. La l ! prend tiais sance s
prend tiais sance sur la F A par deux racines séparées par un petit
sillon
à convexité supérieure. La F- prend naissance s
éparée au hout d'un court trajet des trois quarts antérieurs par un
sillon
cruciforme, Dans l'ti- cartement des deux branc
ruciforme, Dans l'ti- cartement des deux branches supérieures de ce
sillon
plonge une émanation de F1. Dans l'écartement d
ppée qu'à gauche : La face inférieure du lobe frontal présente deux
sillons
assez peu profonds : l'un parallèle au gyrus re
ine à la partie antérieure et inférieure du lobe temporal. Entre le
sillon
de Ilolando et cette scissure, se trouve la scis-
forme d'une simple circonvolution sép.iréc de la précédente par un
sillon
profond (S X) se terminant à la face interne de
interne de l'hémisphère. Ce lobc ne représente que quelques petits
sillons
tout à fait superficiels et sans interprétation
'0 frontale, assez sinueuse, est -composée d'un double pli avec des
sillons
superficiels. Elle s'insère sur la frontale asc
scendante par deux insertions volu- mineuses séparées par un simple
sillon
; la supérieure fait .partie du bord convexe de
e passage à la circonvolution frontale dont elle est séparée par un
sillon
sinueux et profond. La 2e frontale se confond p
à son origine avec la troisième, puis .elle en est. séparée par un
sillon
assez profond, et envoie un pli de passage à la
par places, froncée, et dans d'autres a l'apect presque normal. Les
sillons
sont rectilignes, superficiels, à bord rectangu
ectangulaires, La 31uo frontale est très large, sans pli, avec deux
sillons
superficiels, plissée dans la plus grande parti
n DU cerveau. direction est verticale. Surface un peu plissée. Deux
sillons
superficiels. Le sillon de Rolando monte à peu
st verticale. Surface un peu plissée. Deux sillons superficiels. Le
sillon
de Rolando monte à peu près verti- calement et
elles et nettement séparées des circonvolutions supérieures par un
sillon
profond dans lequel celles-ci viennent aboutir
cipitale, se recourbe en bas en s'élargissant, et se termine sur un
sillon
rectiligne. De sa partie moyenne se détache une
convolution frontale est net- tement dessinée et présente plusieurs
sillons
tout à fait superfi- ciels.Le lobe pariétal, qu
tère est volumineux et composé de plis peu sinueux, séparés par des
sillons
superficiels. La scissure pariéto-occipitale es
ine, ensuite de deux plis antéro-postérieurs d'abord séparés par un
sillon
superficiel, puis en quelque sorte soudés. Le d
répond à la 2e frontale, est séparé en masses quadrilatères par des
sillons
tout à fait superficiels et ces masses sont rid
tale et de la pariétale ascendantes est irrégulière, séparée par un
sillon
presque rectiligne, seule- ment dans son tiers
e des circonvolutions frontale et pariétale ascendan- tes existe un
sillon
, en arrière duquel on trouve : 1° le long du bo
différentes masses sont plis- sées par places et parcourues par des
sillons
qui les subdivi- sent. Le lobe temporal se co
mpose d'une masse ovoïde, séparée en avant et incomplètement par un
sillon
longitudinal de ce qui paraît être la circonvol
une longueur de 2 cent. 1/2 par un pli plus petit dont la sépare un
sillon
assez profond ; l'un et l'autre à leur extrémit
e de 15 à 20 millimètres, au-dessus de laquelle il y a un nouveau
sillon
transversal. A partir de là, le long du bord supé
perficiels en arrière. Son extrémité postérieure est limitée par le
sillon
prolongé sur la face externe et que nous avons
qui présente des plis superficiels dans le sens de la hauteur. Le
sillon
2),i ? ,iéto-occil)ital est profond. Cuneus en pa
ger vers le même point, formant ainsi une sorte de tour- billon. Un
sillon
assez creux sépare en avant le lobe occipital d
te forment une masse irrégulièrement quadrilatère, où il existe des
sillons
superfi- ciels qui ne séparent pas nettement le
On distingue à peine la fron- tale ascendante des trois autres. Le
sillon
profond qui existe en arrière de la circonvolut
rconvolution frontale ascendante est irré- gulier. En arrière de ce
sillon
, on trouve de petites circonvo- lutions transve
SPUDO-POIR);NCPfIALILr. ombiliquée répondant à la partie moyenne du
sillon
calloso- marginal. Les sillons qui les séparent
quée répondant à la partie moyenne du sillon calloso- marginal. Les
sillons
qui les séparent, sauf deux, sont super- ficiel
5 1/2. Elle est séparée de la partie postérieure du cerveau par un
sillon
irrégulier, assez profond. Toute cette partie d
lutions relativement beaucoup plus volumineuses, séparées par des
sillons
profonds à direction tortueuse et antéro-postérie
s et d'ar- rière en avant. Elles aboutissent à la partie moyenne du
sillon
calloso-marginal, en formant une sorte d'ombili
ction antéro-postérieure, enfin d'un pli à direction ascendante. Le
sillon
calloso-marginal part de l'extrémité inférieure
Le cuneus manque dans sa partie antérieure et ne présente pas un
sillon
. En arrière du lobe quadrilatère, nous trou- vo
'une masse, de forme ovoïde, de circonvolutions à bords sinueux. Un
sillon
profond sépare cette masse d'une seconde, compo
arrière en avant pour les postérieures. Elles sont séparées par des
sillons
profonds, très serrés, presque rectilignes. Un
rées par des sillons profonds, très serrés, presque rectilignes. Un
sillon
large et profond sépare cette deuxième masse de
e. La moitié postérieure peut être divisée en deux parties par un
sillon
antéro-postéricur. sinueux, profond et large, à é
se dirigeant obliquement d'avant en arrière et de haut en lias. Un
sillon
profond va s'aboucher avec le premier sillon dé
et de haut en lias. Un sillon profond va s'aboucher avec le premier
sillon
décrit sur la face convexe en produi- sant une
ant une encoche profonde sur le bord convexe de l'hémis- phère. Les
sillons
sont très superficiels. On voit sur ces circon-
cent. 1/2 de large suri cent. 1/2 de haut, limitée en bas par le
sillon
dont nous venons de parler, en haut par un sillon
tée en bas par le sillon dont nous venons de parler, en haut par un
sillon
profond, mais qui n'aboutit pas au sillon callo
de parler, en haut par un sillon profond, mais qui n'aboutit pas au
sillon
calloso-marginal. Cette masse offre de petits s
aboutit pas au sillon calloso-marginal. Cette masse offre de petits
sillons
superficiels. Les deux pre- mières masses sembl
oïde, correspondant au lobule paracentral. Ce lobule présente trois
sillons
superficiels. La scissure calloso-7nai'rinale,
travers, 3 en hauteur, et offre des plis à bords angulaires et des
sillons
assez profonds. La scissure pn1'Ïc;lo-oeeijJi-
l'empêche de communiquer, en arrière de la couche optique, avec le
sillon
qui sépare la circonvolution de l'hippocampe de
emporale. Le cuneus est assez volumineux. Ses plis sont petits, ses
sillons
superficiels. La scissure calcarine est bien de
PSEUDO-PODENctPHALOE. 185 volutions assez grêles, séparées par des
sillons
moyennement profonds. - La circonvolution de
campe est lisse. La corne cZ ? 1 11l- mon est un peu déformée et un
sillon
profond la sépare, coin-- me nous l'avons vu, d
alité, il n'en est rien et l'on constate facilement due ce sont des
sillons
naturels qui limitent la dépression et que les
très développée. Elle se termine en avant par un cap, où aboutit un
sillon
profond, ante : ro-post8ricur, allant se perdre
bientôt de nouveau en deux autres circonvolutions séparées par un
sillon
, qui va également plonger en arrière dans le kyst
ière dans le kyste. En arrière de ce dédoublement, se trouve un 3 ?
sillon
assez profond qui forme un angle saillant en av
hère, l'autre formant un bec qui plonge dans le kyste. Le dernier
sillon
contourne le bord de l'hémisphère et cir- consc
ontale est étroite, sinueuse et séparée de la 2t,le frontale par un
sillon
profond. La 2mc fron- tale est sinueuse aussi e
avec la 3 ? frontale relativement peu développée, étroite, avec des
sillons
superficiels; elle est assez développée en arri
très nette on bas et en avant, abou- tit rapidement à la poche. Le
sillon
de Rolando n'existe plus qu'à l'état de vestige
e probable de la jrontale ascendante et, en arrière, séparée par le
sillon
de Rolando, le vestige de la pariétale ascendan
une circonvolution constituant la pointe du lobe et pré- sentant un
sillon
oblique en haut et en avant qui aboutit au kyst
limitée en avant par la scissure de Sylvius, et en arrière par un
sillon
profond qui la sépare d'une circonvolution plus v
n plus volu- mineuse encore, triangulaire et divisée en deux par un
sillon
superficiel partant du bord inférieur de l'hémi
0 frontale est très large, parcourue dans toute son étendue par des
sillons
qui la divisent en deux en arrière, mais qui, e
eux en arrière, mais qui, en avant, sont surtout transversaux. Le
sillon
calloso-marginal est sinueux, peu profond. La c
assez grosse, simple en avant, subdivisée en arrière par de petits
sillons
verticaux. - Le lobule paracentral est très étr
roit, séparée de la 1 ? frontale et du lobule quadrilatère par deux
sillons
très profonds. Le lobe quadrilatère est irrégul
très profonds. Le lobe quadrilatère est irrégulier et présente un
sillon
oblique superficiel. Il descend jusqu'à la circon
it un pli de passage.-Le cuneus est petit, sillonné par de nombreux
sillons
irréguliers. Un sillon profond, allant presque
cuneus est petit, sillonné par de nombreux sillons irréguliers. Un
sillon
profond, allant presque jusqu'à la fente cérébr
'avant-coin. Le lobe temporo-occipital est bien développé, avec des
sillons
très superficiels. Le corps opta-strié paraît n
1" et la 3me frontales ; bien séparée de la '1 ? fron- tale par un
sillon
profond. 3me frontale, très développée, constit
obe frontal. Très sinueuse, elle est séparée en deux parties par un
sillon
verti- cal, qui rejoint en arrière le sillon qu
en deux parties par un sillon verti- cal, qui rejoint en arrière le
sillon
qui sépare la 2mo de la 3me frontale. La partie
a frontale ascendante est large et présente inférieurement un petit
sillon
vertical d'un centimètre, et au-dessus deux sil
ement un petit sillon vertical d'un centimètre, et au-dessus deux
sillons
transversaux qui la divisent presque complètement
transversaux qui la divisent presque complètement. En haut,nouveau
sillon
vertical qui se coude à angle droit, pour se co
llon vertical qui se coude à angle droit, pour se continuer avec le
sillon
qui sépare la lr0 de la 2me frontale. Au-dessus
elle se renfle et est de nouveau presque entièrement coupée par un
sillon
transversal, qui passe sur la face interne pour
sur la face interne pour limiter en avant le lobe paracentral. Le
sillon
de Rolando est profond, serré, formant une S ita-
arge à sa partie inférieure où elle a trois digitations, Au-dessus,
sillon
profond, étroit, formant un angle saillant et l
tions accolées dans sa partie moyenne. Très élargie au-dessus de ce
sillon
, elle, redevient simple et peu sinueuse et se r
tions sont simples, peu sinueuses, peu nette- ment séparées par des
sillons
très superficiels. Le lobule pariétal supérieur
émisphère. Il est séparé en deux dans la partie anté- rieure par un
sillon
superficiel, antéro-postérieur. Le lobule parié
e séparée de la partie moyenne de- la pariétale ascendante par un
sillon
très peu profond, s'insérant sur la pariétale asc
RIPTION DU cerveau. 191 scissure de Sylvius, prolongée par un mince
sillon
, de la pre- mière temporale. Elle est limitée e
lon, de la pre- mière temporale. Elle est limitée en arrière par un
sillon
qui la contourne et vient se continuer en bas a
re temporale est très dévelop- pée, divisée en deux en avant par un
sillon
vertical de deux centimètres, continue en arriè
vec cette 3"le temporale. Elle est séparée du lobe occipital par un
sillon
assez net. Le lobule de l'insu la constitué par
divisé en deux par- ties, une supérieure et une inférieure, par un
sillon
horizontal profond qui limite en bas une circon
Le lobe orbitaire et le gyrus reclus sont normaux. En arrière, un
sillon
transversal profond limite en avant une grosse
Face interne. - La l10 frontale est bien développée, très sinueuse.
Sillon
callo : ;o-miJT;}in;11 très profond, dentelé.-
lleux bien développée. -Lobllle paracentral mal limité en avant. Le
sillon
de Rolando pénè- tre à peine sur la face intern
mal, bien développé, séparé du cuneus et du lobe occipital par un
sillon
vertical très profond. Cuneus très développé, com
ant pas dans la poche. Lobe frontal. - La scissure du Sylvius et le
sillon
de Ro- lando n'existent plus. On trouve la 1° f
n gros pli de passage et séparée sur le reste de son étendue par un
sillon
profond. Un sillon assez net la divisé en deux
ge et séparée sur le reste de son étendue par un sillon profond. Un
sillon
assez net la divisé en deux circonvolutions par
sinueuse, étroite en avant, très développée en arrière. De profonds
sillons
transversaux la segmentent pres- que complèteme
Description du cerveau. 201 au-dessus où s'insère la 1re frontale.
Sillon
de Rolando réduit à une ligne coudée de 2 cent.
périeure assez volumineuse, formée de deux masses', séparées par un
sillon
Bifide au milieu, et distinct du lobe occipital
Bifide au milieu, et distinct du lobe occipital, grâce à un profond
sillon
. ' ' Lobe occipital. Il est formé d'une grosse
veloppée surtout en bas et séparée en deux circonvolutions par un
sillon
à digitations profondes de chaque côté. Au-dessus
sillon à digitations profondes de chaque côté. Au-dessus, nouveaux
sillons
transversaux et antéro-postérieurs en forme de
et antéro-postérieurs en forme de T, fragmentant la circonvolution.
Sillon
calloso-marginal régulier en avant, anfractueux
égulière et mince en avant, très développée et irréguliére comme le
sillon
calloso-marginal lui-même en arrière. Lobe para
be quadrilatère petit, trapézoïde en avant et séparé par un petit
sillon
de la partie postérieure, quadrilatère, très déve
a partie postérieure, quadrilatère, très développée, divisée par un
sillon
vertical parlant du bord de l'hémisphère. Cuneu
tical parlant du bord de l'hémisphère. Cuneus peu nettement limité.
Sillons
superficiels. Pli de passage se réunissant en h
lution .supérieure, très nette- ment au contraire en arrière par un
sillon
creux, bifide en avant. Lobe occipital formé
Lobe occipital formé de petites circonvolutions séparées par des
sillons
étroits et peu profonds. 202 PSDUDO-POIiI;NCPII
campe assez largo, unie, séparée en deux à sa partie moyenne par le
sillon
dont nous avons parlé pour la quatrième tempora
inue avec un pli très tortueux appartenant h l.v 2e frontale, et le
sillon
qui la sépare de la 2. frontale n'existe que da
ntinuer avec la 3° frontale. En arrière de celte masse se trouve un
sillon
assez marqué, vertical ; puis une autre masse e
quadrilatère allongé verticalement et élargi en haut, séparé par un
sillon
très profond d'une dernière masse postérieure.
'une dernière masse postérieure. Celte masse coupée, en doux par un
sillon
antero- postérieur, qui divise transversalement
s'insère largement sur cette frontale, au-dessus et au-dessous du
sillon
. La 3 frontale est séparée de la '2" frontale par
us du sillon. La 3 frontale est séparée de la '2" frontale par un
sillon
, qui n'existe que dans les ` ? //3 postérieurs, l
arge en arrière, elle est séparée presque complètement par un petit
sillon
de la frontale ascendante, sur laquelle elle ne
te en bas, elle est presque complète- ment divisée au milieu par le
sillon
dont nous avons parlé à propos de la deuxième f
sillon dont nous avons parlé à propos de la deuxième frontale. - Le
sillon
de Rolando est très sinueux. La scissure de Syl
'hémisphère. Aucun pli de passage avec le lobe parié- tal. Quelques
sillons
transversaux peu profonds. Lobule pariétal supé
circonvolutions. -Pli courbe séparé du lobule du pli courbe par un
sillon
étroit; il est composé'de deux cir- convolution
on étroit; il est composé'de deux cir- convolutions séparées par un
sillon
vertical qui rejoint la scis- sure interpariéta
ne carrée au- dessous, et une triangulaire en bas, séparées par des
sillons
transversaux. La circonvolution postérieure se
re comprise entre la scissure perpendiculaire externe et un large
sillon
qui' la sépare des circonvolutions inférieures, l
oppée, plus sinueuse que la pre- mière et présente d'assez nombreux
sillons
tranversaux peu profonds. - La 3" temporale n'e
rente de la circon- volution et séparée du lobe paracentral par un
sillon
très creux. - Sillon calloso-marginal profond,
volution et séparée du lobe paracentral par un sillon très creux. -
Sillon
calloso-marginal profond, formant une encoche pou
e interne. Lobule paracentral bien développé, traversé par un petit
sillon
vertical et un autre antéro-postéricur superfic
largit en arrière. Elle est séparée de la partie postérieure par un
sillon
qui se continue avec celui qui limite en arrièr
2Ô4 Porencéphalie ET pseudo-porencéphalie. tions séparées par des
sillons
verticaux assez profonds, qui aboutissent à un
rées par des sillons verticaux assez profonds, qui aboutissent à un
sillon
en fer à cheval limitant la circonvo- lution du
cheval limitant la circonvo- lution du corps calleux en arrière du
sillon
calloso-marginal. Scissure calcarine très profo
se compose d'une petite masse de cir- convolutions séparées par un
sillon
étoilé à quatre branches. Circonvolutions tempo
Circonvolutions temporo-occipitales. La 1' est large avec quelques
sillons
transversaux, superficiels. Une longue scis- su
ngue scis- sure étroite la sépare de la 2°. Celle-ci est unie, sans
sillons
superficiels. La 3e temporale est bien visible
inférieure. Elle est divisée en deux parties presque égales par un
sillon
transversal profond. Lobe orbitaire et gyrus rë
rès marquée ; lorsque l'enfant est debout, il existe à ce niveau un
sillon
vertical assez profond pour contenir le doigt.
st hideux; le front et la racine du nez sont couverts de rides, les
sillons
naso-labiaux sont très accusés, le nez est ca-
sont dilatées. La graisse qui se trouve à l'état normal dans les
sillons
est ici beaucoup moins abondante que d'habitude.
imètre de lar- geur ; l'artère méningée moyenne s'y est creusée des
sillons
profonds. Sur le frontal, à droite et près de l
s un trajet de 18 millimètres le long de son bord inférieur. ' Le
sillon
deRolando (S. R.), profond et sinueux,prend son o
. 41 circonvolution frontale est très profonde, mais est séparée du
sillon
fronto-marginal par une portion isolée de la de
circonvolution frontale ascendante; elle se continue en bas avec un
sillon
oblique qui va se jeter dans le sillon de Rolando
e se continue en bas avec un sillon oblique qui va se jeter dans le
sillon
de Rolando. La scissure frontale inférieure (Se
ution frontale (PL. II, F,), très irrégulière, est découpée par des
sillons
enchevêtrés et il est par suite assez difficile
nueuse, irrégulière, comme découpée en plu- sieurs tronçons par des
sillons
transversaux et obliques profonds ; un pli de p
A) assez maigre, sauf f vers sa partie médiane, est coupée par deux
sillons
antéro-posté- rieurs. Celte partie médiane isol
IOTIE CRÉTINOÏDE. passage à niveau, qui interrompt la continuité du
sillon
de Ro- lando, sur la circonvolution pariétale a
a courbe normale se continue ensuite presque dans le lit du premier
sillon
occipital. Le lobule pariétal inférieur (P2) et
et antérieure de la deuxième circonvolution occipi- tale. Tous les
sillons
et toutes les circonvolutions de ce lobe, de fo
4 millimètres, relié à la scissure calloso- marginale par un petit
sillon
également superficiel partant de son extrémité
cap simple, normal, de la troisième circonvolution fron- tale. Le
sillon
de Rolando (S. R.), sinueux, assez profond, est i
ncisure en H va se perdre 4 le IDIOTIE CItETIN01DE. dans un petit
sillon
marginal antérieur. Les circonvolutions du lobu
ont nous venons de parler; elle se prolonge ensuile presque dans le
sillon
occipital transverse. - Le lobule pariétal infé
pariétal infétiew' (P,), est sinueux, très découpé, irrégulier; le
sillon
ver- tical (b) qui le sépare du pli courbe se p
irconvolution temporale; en arrière, une de ses por- tions isolées (
sillon
occipital antérieur (d) sépare nettement en se
a première circonvolu- tion temporo-occipitale (1' 0,) sinueuse; un
sillon
oblique réunit cette scissure à la moitié posté
est normale dans ses différentes parties; elle communi- que par un
sillon
avec l'extrémité de la branche verticale de ri
le ascendantes. On remarque un peu en avant de sa partie médiane un
sillon
en y grec assez profond, et en arrière un autre
ane un sillon en y grec assez profond, et en arrière un autre petit
sillon
transversal assez superficiel. - La circonvo- l
Le lobe quadrilatère (L. Q.), très développé, présente en avant un
sillon
transversal profond, communiquant avec la scissur
de passage temporo- pariétaux à gauche, et trois à droite. 1° Les
sillons
sont remarquables par leur irrégu- larité ; la
scissure interpariétale se continue de chaque côté dans le premier
sillon
temporal, et la scissure perpendiculaire extern
cipale : ) circonvolutions sont bien dessinées et volumineuses; les
sillons
sont profonds et étroits. La dentition est très
ne. La réunion de l'occipital avec les pariétaux est marquée par un
sillon
qui pa- rait correspondre à la suture lambdoïde
nal libre. - Voûte crânienne d'épaisseur moyenne, sutures visibles,
sillon
de la méningée moyenne, profond à gauche; du re
nte rien de spécial. Les circonvolutions sont un peu maigres, les
sillons
sont très accentués par suite de l'oedème des m
ofonde, elle s'arrête à 5 millim. de la scissure interpariétale. Le
sillon
de Rolando très sinueux, assez profond, communi
rontale supérieure, si- nueuse, assez profonde, va se jeter dans le
sillon
de Rolando. La deuxième frontale s'insère à la
BÉRANCE. est coupée profondément à son cinquième supérieur par le
sillon
qui fait communiquer la scissure fron- tale sup
llon qui fait communiquer la scissure fron- tale supérieure avec le
sillon
de Rolando, de telle sorte qu'on croirait qu'el
la scissure de Sylvius, est sinueuse et va se jeter dans le premier
sillon
occipital; au niveau de sa courbe, un rameau as
es parties supérieure et postérieure et com- munique en bas avec un
sillon
qui va presque rejoindre l'incisure préoccipita
a deuxième temporale est sinueuse, bien développée, découpée par un
sillon
allant de la scissure parallèle à la deuxième s
ssures plus profondes, perpendiculaires; la médiane appartient au
sillon
de Rolando. Le lobe quadrilatère est bien dével
lim- biques, antérieurs et postérieurs, nettement séparés par des
sillons
assez profonds. La scissure perpendiculaire int
de la deuxième temporo-occipitale à la troisième temporale, et un
sillon
profond revient vers la partie antérieure de la
phère droit. La scissure de Sylvius est norma- lement conformée. Le
sillon
de Rolando est sinueux, pro- fond. La scissure
e frontale supérieure qui est sinueuse et prend son origine dans le
sillon
de la frontale ascendante. La 2e fron- tale, tr
trois frontales sont net- tement séparées du lohe orbitaire par un
sillon
assez pro- fond et s'étendant, du bord interne
tale proprement dite, après un trajet un peu sinueux, va aboutir au
sillon
occipital transverse. Le pli pariétal supérieur
t bifurquée à sa partie postérieure et communique également avec un
sillon
qui va rejoindre l'incisure préoccipitale. La 2
gauche est sinueuse. La scissure calloso-marginale est sinueuse, un
sillon
oblique d'arrière en avant et de haut en bas la
avant et de haut en bas la relie vers le milieu de son parcours au
sillon
du corps calleux ; le lobule paracentral, médio
aire. Le lobe quadrilatère est très développé, parcouru par trois
sillons
irrégulièrement verticaux qui lui sont com- mun
s sont profondes et réunies à leur partie la plus antérieure par un
sillon
transverse. Le ventricule latéral, la couche op
e.- L P volumineux, reçoit un gros pli de passage de Ft et offre un
sillon
en forme de V. - CCCa sans aucun pli.- L Q plis
n sillon en forme de V. - CCCa sans aucun pli.- L Q plissé avec des
sillons
su- perficiels ; L 0 très plissé. C II assez si
on pas de niveau avec la surface de l'hémis- phère, mais au fond du
sillon
. Il en est de même de l'in- sertion de 1<'3'
, plis plus volumineux qu'à gauche. C II, rien. Des deux côtés, les
sillons
, sauf sur les points sus-indiqués, sont en géné
ie moyenne et postérieure, atrophiée dans sa partie antérieure. Les
sillons
sont assez profonds. La scissure parallèle fron
- La frontale ascendante est bien développée, très sinueuse. -- Le
sillon
de Rolando est profond. - La pariétale ascendan
paracentral est long et coupé pro- fondément par le prolongement du
sillon
de Rolando. Le lobule quadrilatère est peu déve
ès sinueuse, donne un pli de pas- sage à la troisième frontale. Les
sillons
qui séparent ces trois circonvolutions sont pro
ère. La frontale ascendante est très sinueuse et assez maigre. - Le
sillon
de Rolando est profond. La pariétale ascendante
est irrégulière, mais assez grosse, coupée en quelque sorte par le
sillon
qui sépare les deux plis de passage dont il vie
st pro- fonde ; le même caractère se remarque sur tous les autres
sillons
. La scissure de Sylvius et le lobule de l'insula
et très sinueuse. - Le lobule paracentral est long. Il présente un
sillon
vertical, profond, en forme de T, ainsi qu'une
tical, profond, en forme de T, ainsi qu'une encoche, terminaison du
sillon
de Rolando. - La circonvolution du corps calleu
ando. - La circonvolution du corps calleux est large et unie ; le
sillon
calloso-marginal est profond. Le lobe quadrf- l
loso-marginal est profond. Le lobe quadrf- latère est borné par des
sillons
larges et profonds. La scissure calcarine et la
os sont saillants ; rides en V au-dessus de la racine du nez; les
sillons
naso-labiaux sont très-prononcés. Los membres i
xtrémité postérieure et infé- rieure de la pariétale ascendante. Le
sillon
de Rolando est normal. La scissure parallèle fr
a terminaison, sur une longueur de deux centimètres envi- ron. Le
sillon
de Rolando est normal, sinueux, assez profond.
strabisme conver- gent ; les pupilles sont moyennement dilatées. Le
sillon
naso-labial est accusé des deux côtés, sans irr
plis de passage formant une sorte de masse à la partie moyenne. Les
sillons
qui séparent les circonvolutions frontales, la
t les circonvolutions frontales, la scissure frontale parallèle, le
sillon
de Ro- lando et tous les sillons postérieurs so
la scissure frontale parallèle, le sillon de Ro- lando et tous les
sillons
postérieurs sont sinueux et pro- fonds. Face
ez volumineuse. Le lobule paracentral est bien déve- loppé, avec un
sillon
en Y, et présente deux courbes si- nueuses, rép
uses, répondant, l'une à la scissure frontale parallèle, l'autre au
sillon
de Rolando. - La circonvolution du corps calleu
ndo. - La circonvolution du corps calleux est volumineuse, avec des
sillons
superfi- ciels. Le lobe carré est composé de ci
que sur la face convexe. - Le lobe or- bitaire est développé. - Les
sillons
calloso-marginal, perpendiculaire interne et la
r est 174 EXAMEN HISTOLOGIQUE. volumineux, sinueux, avec quelques
sillons
superficiels. Le pli pariétal inférieur est éga
n par- cours. Le lobule paracentral est curviligne, avec un petit
sillon
droit, et une seule encoche due au sillon de Ro-
curviligne, avec un petit sillon droit, et une seule encoche due au
sillon
de Ro- lando. - Le lobe carré est étroit, le co
laiteuses principalement au niveau do la scis- sure de Sylvius, du
sillon
de Rolando et des lobes fron- taux. A la base,
indé- pendamment des foyers qui ont été signalés, on remarque des
sillons
transversaux nombreux et des dépressions légère
deux plis de passage au lobule de l'insula, elle est coupée par des
sillons
qui lui donnent un aspect mamelonné; elle envoi
lis de passage à la deuxième temporale qui est flexueuse, coupée de
sillons
, chagrinée dans toute son étendue, et projette
circonvolutions du lobe occipital sont amaigries et tassées ; leurs
sillons
sont très profonds. La scissure de Sylvius, l
es ; leurs sillons sont très profonds. La scissure de Sylvius, le
sillon
de Rolando et tous les autres sillons sont asse
. La scissure de Sylvius, le sillon de Rolando et tous les autres
sillons
sont assez marqués sur cette face, l'aspect cha
ypique sur le lobe occipital ; cet aspect est dû, on le sait, à des
sillons
superficiels à direction gé- nérale transverse
sinueuse. Le lobule paracentral est très irrégulier et présente un
sillon
en Y ; il se confond par sa partie moyenne avec
n de l'hippocampe est un peu chagrinée et amaigrie par places. Le
sillon
calloso-marginal est assez développé et assez l
terne et la scissure calcarine sont profondes, mais tous les autres
sillons
de cette face sont, au contraire, superficiels,
va s'insérer sur la frontale ascen- dante dont il est séparé par un
sillon
léger, un second pli plus flexueux que le premi
incisure plus complète. - Le lobe frontal est coupé en tous sens do
sillons
superficiels plus ou moins accentués ; on note
l'extrémité supérieure de la frontale ascendante et interrompre le
sillon
de Rolando,. - Le pli pariétal supérieur est fl
Le pli pariétal inférieur, de forme triangulaire, est séparé par un
sillon
profond du pli courbe avec lequel il communique
mblable à celui du côté opposé, ses circonvolutions sont coupées de
sillons
transversaux, su- perficiels,assez nombreux,et
z nombreux,et il paraît, à cause de cela,cou- vert de hachures. Les
sillons
frontaux, le sillon de Rolando, le sillon paral
ît, à cause de cela,cou- vert de hachures. Les sillons frontaux, le
sillon
de Rolando, le sillon parallèle et la scissure
vert de hachures. Les sillons frontaux, le sillon de Rolando, le
sillon
parallèle et la scissure de Sylvius sont en gén
a scissure de Sylvius sont en général profonds, mais la plupart des
sillons
secondaires sont au contraire très superficiels
st flexueuse et large,double dans presque toute sa largeur,avec des
sillons
transverses qui lui donnent un aspect mamelonné
obe paracentral. Celui-ci est large, coupé en bas et en haut par un
sillon
oblique. Le lobe carré est moitié plus petit qu
e, il existe une dépression infundibuliforme, où aboutissent quatre
sillons
. C'est là que se trouve une fente d'où sortent,
rouvent quatre rides cutanées qui se réunissent; l'une des rides ou
sillons
cutanés descend entre les deux cuisses et répon
l'occipital, dont deux courbes, linéaires et très allongées. Léger
sillon
transversal répondant à l'ar- ticulation du fro
de la base de son point d'insertion part une scissure parallèle au
sillon
de Rolando ; elle descend pres- que au niveau d
à la frontale ascendante qu'au fond de la vallée de Sylvius. Les
sillons
du lobe frontal sont profonds. La scissure de Syl
dans ses deux tiers supérieurs, grêle vers sa partie moyenne. Le
sillon
de Rolando est profond et sinueux. La pariétale
tale ascendante; elle possède un rameau ascendant assez sinueux, un
sillon
vertical descendant (Sulcus interme- clius de J
orale à la troisième occipitale, est formée à la face convexe parle
sillon
occipital, antérieur (de Wernicke), l'incisure
une sorte de confluent. Le lobe occipital, nettement séparé par les
sillons
précé- demment décrits du lobe temporal et du l
e interne. La scissure calloso-marginale est sinueuse, profonde; le
sillon
paracentral est bien déve- loppé et aboutit à l
circonvolution frontale est très sinueuse, découpée par do nombreux
sillons
parallèles et perpendi- culaires. Le lobe parac
lobe paracentral est bien développé, de forme triangulaire, avec un
sillon
curviligne assez profond. La circonvolution du
sage se rendant du tiers moyen de la frontale ascendante au fond du
sillon
vers la première frontale. La deuxième frontale
La pariétale ascendante est moins bien développée et sinueuse. Le
sillon
de Rolando est profond et sinueux. La scissure
du lobule pariétal inférieur à la pariétale ascendante ; de plus le
sillon
vertical descendant n'atteint pas tout à fait l
interne. La scissure calloso-marginale est sinueuse, profonde ; le
sillon
paracentral n'atteint pas la scissure calloso-m
obe paracentral est bien développé et tout à fait différent par son
sillon
bifurqué et profond, du lobe paracentral gauche
t ainsi une sorte de scissure parallèle frontale anté- rieure. - Le
sillon
de Rolando est sinueux, très profond. - La scis
tale parallèle; au-delà de son coude, elle fournit : 1° en haut, un
sillon
profond, divisant le pli pariétal supérieur en
, divisant le pli pariétal supérieur en deux parties; 2° en bas, un
sillon
qui se bifurque près de son origine en deux bra
pariétalo poursuit ensuite son trajet jusquo dans lo lit du premier
sillon
occipital. Le pli pariétal supérieur et le pli
autres plis de passage sont situés très profondément au niveau des
sillons
. Le pli courbe est difficile à bien délimiter,
La scissure de Sylvius est normale, profonde. Il en est de même du
sillon
de Rolando et de la scissure perpendiculaire ex
profonde. A son quart postérieur, cette dernière communique, par un
sillon
profond, avec la scissure frontale inférieure,
une partie postérieure isolée par les scissures de la région et le
sillon
faisant commu- niquer les deux scissures fronta
loin, elle se confond avec la scissure perpendiculaire externe, le
sillon
transverse occipital et le premier sillon occip
rpendiculaire externe, le sillon transverse occipital et le premier
sillon
occipital. Le pli pa- riétal supérieur est bien
sente des circonvolutions très sinueuses, découpées par de nombreux
sillons
irréguliers. Lobe temporal. - La première circo
euse ; vers sa partie moyenne, sa continuité est interrompue par un
sillon
profond, bordant postérieurement un pli de pass
t de lapremière à la deuxième circonvolution temporale. Le deuxième
sillon
temporal est oblique et presque transverse ; il
marcation entre la 3c frontale et la pariétale ascendante. S. R.,
Sillon
de Rolando. Se. p. c., Scissure perpendiculaire
a planche 1, sauf les suivantcs : e., Incisure préovalaire. d.,
Sillon
parallèle à la scissure perpendiculaire interne a
on que celles de la planche Il, à l'exception des suivantes : d.,
Sillon
occipital antérieur. b., Sillon intermédiaire a
à l'exception des suivantes : d., Sillon occipital antérieur. b.,
Sillon
intermédiaire au pli pariétal inférieur et au pli
illon intermédiaire au pli pariétal inférieur et au pli courbe. c.,
Sillon
divisant le pli courbe. p. p., Pli de passage a
l'extrémité postérieure du bord supérieur du rocher, s'ouvre dans le
sillon
transverse et livre passage à une veinule, établi
eux côtés (5,35 °/0)- Cet aqueduc de Verga n'est autre chose que le
sillon
pétro-squameux, transformé en canal dans une part
et presque toujours unique, se trouve situé sur le bord postérieur du
sillon
sigmoïde. L'orifice exocrânien est unique ou mu
e entre la grandeur de cet angle mastoïdien externe, la profondeur du
sillon
sigmoïde et l'étendue de la zone de l'antrotomie.
t l'étendue de la zone de l'antrotomie. DISTANCE CIIIPAULT-SILLON
Sillon
sigmoïde --«tai— ———-- Angle mastoïdien externe "
e de la carotide externe, creuse en dedans de la bulle digastrique le
sillon
du même nom. Elle irrigue, par ses ramifications
lquefois droit, le plus souvent obtus. Le sinus latéral, logé dans le
sillon
sigmoïde, la parcourt de haut en bas et d'arrière
a parcourt de haut en bas et d'arrière en avant. A la naissance, ce
sillon
très superficiel, côtoie, sur tout son trajet, la
vec deux bords bien marqués. La profondeur en est telle, sur quelques
sillons
procidents, que la paroi de l'apophyse est réduit
et une portion verticale. La portion horizontale prolonge en avant le
sillon
transverse, et s'étend depuis la scissure occipit
ecoude occupe la partie supérieure de cet angle. Le bord antérieur du
sillon
continue en haut la direction du bord supérieur d
ypes reproduits à la planche III : Premier type, figure temporaux à
sillons
très profonds. Deuxième type, — 2-5, — de profo
me type...................................... 12,0 La profondeur du
sillon
sigmoïde était : Egale des deux côtés Plus gran
les auteurs sont donc d'accord pour établir que, si la profondeur des
sillons
est inégale sur le même crâne, celle du côté droi
dans la proportion moyenne de trois contre un. Nous avons trouvé des
sillons
: Très profonds De profondeur moyenne Superfici
,2 Il résulte donc, ainsi que Schùlzke l'avait déjà énoncé, que les
sillons
très profonds sont en plus grand nombre chez les
ette conclusion après avoir mesuré l'épaisseur de la paroi osseuse du
sillon
transverse dans sa partie la plus mince et dans l
me nous le verrons plus loin, on ne saurait juger de la profondeur du
sillon
d'après la mesure de l'épaisseur de la paroi osse
après la mesure de l'épaisseur de la paroi osseuse, comprise entre le
sillon
et le conduit. On peut trouver, en effet, un sill
comprise entre le sillon et le conduit. On peut trouver, en effet, un
sillon
superficiel avec une paroi de faible épaisseur.
aisseur de la zone de l'antrotoinie, suivant une ligne tirée entre le
sillon
siginoïde et la zone de Chipault : c'est la mesur
tions de la mesure sillon-Chipault par les profondeurs différentes du
sillon
sigmoïde? L'analyse du tableau suivant, qui résum
14 i5 16 «7 18 19 20 — 21 — 22 — SUR DES TEMPORAUX A
SILLON
Très profonds De profondeur moyenne Superficiel
iond............) l ( a gauche.. — 11 et 22 — Sur des temporaux à
sillon
sigmoïde ] de profondeur moyenne... S (lr0'lc * *
es mesures extrêmes, on voit donc que les variations de profondeur du
sillon
sigmoïde ne semblent pas avoir d'influence sur la
nsurations élevées (i5 à 22 mill.) est plus fort pour les temporaux à
sillons
sig-moïdes superficiels (60,0 °/0), que pour les
sillons sig-moïdes superficiels (60,0 °/0), que pour les temporaux à
sillons
très profonds (^7,8 %), et, inversement, que le p
etites mensurations (8 à 12 mill.) est plus fort pour les temporaux à
sillons
très profonds (34,7 7«) que pour les temporaux à
temporaux à sillons très profonds (34,7 7«) que pour les temporaux à
sillons
superficiels (20 "/„)• Il ne faut pas cependant s
conclure, car les exceptions sont nombreuses et importantes, et à un
sillon
sigmoïde superficiel ne correspond pas toujours u
orrespond pas toujours une large zone d'antrotomie. Cela prouve que «
sillon
très profond » et « sinus procident » ne sont pas
se baser sur la mesure sillon-Chipault pour juger de la profondeur du
sillon
sigmoïde, comme l'ont fait Korner et d'autres.
ies sur.......................................... Distance entre le
sillon
transverse et le planum mastoideum, an niveau de
.......................................... Distance minima entre le
sillon
sigmoïde et la paroi postérieure du conduit. IN
cervelet ; il se continue en dehors avec le bord antéro-supérieur du
sillon
sigmoïde et se termine en dedans par une épine, r
Sur ces mêmes temporaux, la distance qui sépare la fente unguéale du
sillon
sigmoïde était de : 6 millimètres 7 8 — 9 1
le côté gauche. La surface lisse, étendue entre le bord interne du
sillon
sigmoïde et la fente unguéale, répond directement
r. Au niveau de la face postérieure de la pyramide pétreuse, entre le
sillon
sigmoïde et le méat auditif interne, on trouve, a
utir à la zone comprise entre la fente unguéale et le bord interne du
sillon
sigmoïde. Dans 86,6 pour cent des cas, on pourra
10 millimètres de largeur, mesure qu'on dépassera en empiétant sur le
sillon
transverse. Par cette voie, on ouvrira l'empyème
me d'un cylindre complet ou fendu, dont l'axe est droit ou courbe. Un
sillon
plus ou moins profond le sépare en dehors du squa
glénoïdiens s'oblitèrent. En même temps, le courant veineux trace le
sillon
sigmoïde sur la corticale endocrânienne, élargit
0 r r ' a gauche........................ 109 — 24,0 Comme pour le
sillon
sigmoïde, on peut ramener à trois types les varia
s variations de profondeur de la fosse sont corrélatives de celles du
sillon
sigmoïde, on comprend que Trautmann ait pu déduir
avec la caisse ou bien avec la fosse cérébelleuse, soit au niveau du
sillon
sigmoïde large et procident, soit plus en dedans
une extrémité postérieure mousse. La face interne est divisée par un
sillon
vertical en deux zones dont l'une, l'antérieure,
des tiers moyen et supérieur de l'aire faciale, au niveau du genou du
sillon
de Rolando, en arrière et un peu au-dessous du de
nou du sillon de Rolando, en arrière et un peu au-dessous du deuxième
sillon
frontal. (Horsley, Mills, Lloyd et Deaver, Hearn,
un dédoublement de la dure-mère pétro-cérébelleuse, s'applique sur le
sillon
sigmoïde creusé sur la face interne de l'apophyse
ales : veine antro-sigmoïdale d'Elsworth. — Très souvent, le coude du
sillon
latéral est criblé d'un grand nombre de petits or
sez considérable. Dans un cas de Jansen, le pus avait fusé le long du
sillon
sigmoïde jusqu'au trou déchiré postérieur; dans l
s bords, le premier est supéro-externe ; le second, interne, forme le
sillon
de l'hippocampe; le troisième, inféro-externe, ré
deuxième circonvolution temporale est séparée de la précédente par le
sillon
temporal supérieur, plus connu sous le nom de sil
récédente par le sillon temporal supérieur, plus connu sous le nom de
sillon
parallèle. Elle se perd en arrière au niveau de l
Elle est limitée en dehors par la scissure collatérale, ou quatrième
sillon
temporal qui la sépare du lobule fusiforme, et en
illon temporal qui la sépare du lobule fusiforme, et en dedans par le
sillon
de l'hippocampe, au fond duquel se trouve la circ
et inférieure : enfin, une base qui répond au lobe temporal. Trois
sillons
plus ou moins horizontaux indiquent très irréguli
haut, par le bord supérieur hémisphérique, en bas et en dedans par le
sillon
du lobule lingual. Elle comprend en haut le cunéu
utres, plus ou moins horizontales, très flexueuses et séparées par le
sillon
interpariétal, sont la pariétale supérieure et la
érieure. La pariétale inférieure est divisée en deux segments parle
sillon
intermédiaire de Jensen, branche de bifurcation p
intermédiaire de Jensen, branche de bifurcation postéro-inférieure du
sillon
interpariétal; le segment antérieur forme le gyru
gularis ou pli courbe, qui coiffe fa portion verticale postérieure du
sillon
parallèle. Lobe frontal. — Sur la face externe,
les micro-organismes partis du foyer osseux pénétreraient dans un des
sillons
de la face inférieure du lobe occipito-temporal e
arle prolongement sphénoïdal du ventricule latéral en dedans, par les
sillons
parallèles et deuxième temporal en dehors. Examin
onvolutions temporales, séparées en dedans de l'insula de Reil par le
sillon
marginal postérieur ; la scissure de Sylvius les
ui se dirigent vers la couronne rayonnante du lobe temporal. Entre le
sillon
marginal postérieur de l'insula et le prolongemen
ur, en refoulant le prologement sphénoïdal du ventricule latéral, les
sillons
et les circonvolutions. Il n'est donc pas étonnan
lie médiane à striation transversale, séparée des hémisphères par les
sillons
longitudinaux droits et gauches. On y considère c
le tubercule valvulaire. Hémisphères ou lobes latéraux. — Le grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr, disposé horizonta
son petit volume et la précocité de son développement. De nombreux
sillons
, qui donnent à la surface externe de l'organe un
: et que celle comprise entre la fente unguéale et le bord interne du
sillon
sigmoïde, mesure 10 millimètres au minimum dans 8
Cette planche est destinée à montrer les variations de profondeur du
sillon
sigmoïde. Ces variations sont rapportées à trois
oïde. Ces variations sont rapportées à trois types : i° Temporaux à
sillons
très profonds (fig. i à 4)ï 2° Temporaux à sill
i° Temporaux à sillons très profonds (fig. i à 4)ï 2° Temporaux à
sillons
de profondeur moyenne (fig. 2 à 5); 3° Temporau
poraux à sillons de profondeur moyenne (fig. 2 à 5); 3° Temporaux à
sillons
superficiels (fig. 3 à 6). 25 fois sur 60 crânes,
ns superficiels (fig. 3 à 6). 25 fois sur 60 crânes, la profondeur du
sillon
droit différait de celle du sillon gauche. Les ty
is sur 60 crânes, la profondeur du sillon droit différait de celle du
sillon
gauche. Les types se combinaient ainsi : Figures
t 5 : 3 — — 1 et 6 : 3 — —- 2 et 6 : 1 — Entre le bord interne du
sillon
sigmoïde et la fente unguéale, se trouve une surf
mixte, avec prédominance du tissu pneumatique à petites cellules. Le
sillon
sigmoïde est très profond. L'angle mastoïdien ext
pe pneumatique à petites cellules, avec corticale externe épaisse. Le
sillon
sigmoïde est de profondeur moyenne. L'angle masto
avec volumineuses cellules postéro-supérieures sinuso-cérébrales. Le
sillon
sigmoïde est superficiel. L'angle mastoïdien exte
'aditus. L'apophyse mastoïde est du type mixte à petites cellules. Le
sillon
sigmoïde est très profond. L'angle mastoïdien ext
'aditus. L'apophyse mastoïde est du type mixte à petites cellules. Le
sillon
sigmoïde est de profondeur moyenne. L'angle masto
est du type mixte à petites cellules avec corticale assez épaisse. Le
sillon
sigmoïde est de profondeur moyenne. L'angle masto
(portion tympano-mastoïdienne), l'apophyse mastoïde et, au-dessous du
sillon
sigmoïde, la bulle digastrique. A travers Yaditus
oblique en bas et en dedans, qui indique le bord interne ou médial du
sillon
sigmoïde. Figure !\. — Le même temporal de la f
eynert à l'extrémité postérieure de la grande scissure de Sylvius. Le
sillon
parallèle suit la direction de la scissure de Syl
re les première et deuxième circonvolutions temporales. Le deuxième
sillon
temporal, tracé parallèlement au précédent et trè
uelle on débride les abcès cérébelleux externes. On remarque le grand
sillon
circonférentiel de Vicq d'Azyr, qui sépare les lo
racé. Le plan de la paroi interne de la caisse passe par le troisième
sillon
temporal. La troisième circonvolution temporale s
ente du cervelet. La suture squamo-pariétale se trouve au niveau du
sillon
parallèle. L'écaillé est donc en rapport avec la
s de l'antre mastoïdien avec le lobe temporo-sphénoïdal. Le troisième
sillon
temporal passe sur Y eminentia arcuata. La troisi
ette coupe, la suture squamo-pariétale se trouve un peu au-dessous du
sillon
parallèle. Segment antérieur d'une coupe fronta
oupe n'est pas symétrique. A droite, en effet, elle passe en avant du
sillon
sigmoïde et, à gauche, en plein sinus transverse.
s. Ensuite vient le cerveau, divisé en deux lobes symétriques, par un
sillon
médian ; à droite et à gauche de ce sillon, une l
lobes symétriques, par un sillon médian ; à droite et à gauche de ce
sillon
, une large circonvolution déprimée en plusieurs e
lon, une large circonvolution déprimée en plusieurs endroits, puis un
sillon
latéral parallèle au premier : les autres sillons
rs endroits, puis un sillon latéral parallèle au premier : les autres
sillons
sont recourbés. On voit sur cette face, trois cir
l. S. Une ligne ponctuée partant de cette lettre,descend jusqu'à un
sillon
oblique de haut en bas et d'arrière en avant; ce
nd jusqu'à un sillon oblique de haut en bas et d'arrière en avant; ce
sillon
n'est autre chose que la scissure de Sylvius. P.
placée au-dessus de l'orbite : elle est divisée en deux par un petit
sillon
. I. Circonvolution interne. On ne voit ici qu'u
e olfactif; puis le cerveau divisé en deux parties symétriques par un
sillon
médian; puis le cervelet dont les parties latéral
angle que forme, en arrière et en haut, la seconde circonvolution. Le
sillon
qui sépare la seconde et la troisième circonvolut
ère et la seconde circonvolution (fig. 2). Entre l'une et l'autre, le
sillon
n'est pas complet, comme chez le renard : il y a
ante, pour s'en rapprocher aussitôt et former par sa jonction avec le
sillon
qui sépare les lobes cérébraux, un enfoncement cr
nterne, elles sont séparées dans toute leur étendue. La continuité du
sillon
qui se trouve entre elles, n'est interrompue chez
, et se portant en arrière et en 'bas, jusqu'au lobe d'hippocampe. Un
sillon
non interrompu la sépare des circonvolutions qui
s antérieures, en arrière les circonvolutions postérieures. si. si.
Sillon
antéro-postérieur qui sépare chaque lobe cérébral
antéro-postérieur qui sépare chaque lobe cérébral en deux moitiés; ce
sillon
se trouve entre la seconde et la troisième circon
circonvolutions postérieures. Ces deux dernières sont séparées par un
sillon
longitudinal, parallèle au précédent, mais qui s'
omme les circonvolutions correspondantes du cheval ( pl. IX). s. c.
Sillon
crucial, dont on retrouve l'analogue sur presque
retrouve l'analogue sur presque tous les cerveaux des mammifères : ce
sillon
est très bien marqué dans le mouton ; il appartie
aillie du lobe ethmoïdal e, avec cette différence cependant qu'un des
sillons
incomplets chez le chevreuil, celui qui est placé
qui est placé en avant du signe -f- , se convertit chez le daim en un
sillon
complet, au moins à l'extérieur,carsi l'on en éca
n arrière, réunies en avant. Au-dessus de ces circonvolutions, est un
sillon
antéro-pos-térieur correspondant à celui du chevr
us des chiffres I-II est une circonvolution déprimée au centre par un
sillon
longitudinal qui semble ne tenir aux circonvoluti
s compliquée et deux flèches placées obliquement indiquent au fond du
sillon
qu elles traversent, un point de communication. L
ions postérieures. I \ La plus antérieure de ces flèches indique le
sillon
crucial (s. c.) du chevreuil; la seconde flèche u
ue le sillon crucial (s. c.) du chevreuil; la seconde flèche un autre
sillon
que l'on retrouve chez le daim. Les flèches obliq
u cerveau, mais des communications placées dans l'intérieur de chaque
sillon
. Kangxjroo. Face supérieure de l'encéphale, lob
ntinuant directement avec les circonvolutions antérieures. A. A. Un
sillon
complet sépare ces circonvolutions l'une de l'aut
utre, comme chez le cochon, le chevreuil, le daim, etc., etc. s. c.
Sillon
crucial. Ai. Encéphale vu par sa face supérieur
S. S. Scissure de Sylvius, dirigée obliquement en arrière. si. si.
Sillon
latéral complet, séparant comme chez les herbivor
s unie par un prolongement que l'on découvre en séparant les bords du
sillon
1, à la circonvolution voisine. Tout-à-fait en av
éphale du même animal, vu par sa base. Tout-à-fait en avant, est un
sillon
transverse, c'est le sillon crucial. Les mêmes
r sa base. Tout-à-fait en avant, est un sillon transverse, c'est le
sillon
crucial. Les mêmes lettres indiquent les mêmes
e postérieure. A, A, A. Leur partie antérieure. si, si, si. Trois
sillons
complets qui les séparent. t. q. a., et t. q. p
e latéral. Fig. 2. Face interne du lobe droit du cerveau. si, si.
Sillon
qui sépare la circonvolution interne de la circ
ieures. En arrière de la circonvolution supérieure S. S. S., est un
sillon
, dont l'analogue existe chez l'homme et chez le s
nt l'analogue existe chez l'homme et chez le singe, et que j'ai nommé
sillon
de Rolando. Au-delà de ce sillon on voit de vol
t chez le singe, et que j'ai nommé sillon de Rolando. Au-delà de ce
sillon
on voit de volumineuses circonvolutions supérieur
.,S'S'. Circonvolutions supérieures, séparées l'une de l'autre par le
sillon
de Rolando. (Elles constituent pour nous les de
funicules grêles, dans la région du renflement cervical, limitant le
sillon
médian antérieur. n. Cordons médians postérieur
autour des corps restiformes. I. Olive. m. Pyramide antérieure. n.
Sillon
latéral postérieur. Fig. 5. Face antérieure de
rgne postérieur de Vicq-d'Azyr. i. Trou borgne antérieur. y'., /.
Sillon
médian antérieur do la moelle. Fig. 4. Face pos
dans la région intermédiaire au bulbe et au renflement cervical. a.
Sillon
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur.
u bulbe et au renflement cervical. a. Sillon médian antérieur. b.
Sillon
médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur
al. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. c.
Sillon
latéral postérieur. d. Points d'où émergent les
. Coupe de la même moelle vers le milieu du renflement cervical. a.
Sillon
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur.
le milieu du renflement cervical. a. Sillon médian antérieur. b.
Sillon
médian postérieur. f. Faisceaux disséminés. O
Coupe de la même moelle, vers le milieu du renflement lombaire. a.
Sillon
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur.
le milieu du renflement lombaire. a. Sillon médian antérieur. b.
Sillon
médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur
re. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. c.
Sillon
latéral postérieur. d. d. Amas gris symétriques
homme adulte vers le milieu du renflement cervical (Cf. fig. 6). à.
Sillon
médian antérieur, á. Sillon médian postérieur.
renflement cervical (Cf. fig. 6). à. Sillon médian antérieur, á.
Sillon
médian postérieur. Fig. 4G\ Coupe de la même mo
la même moelle vers le milieu de la région dorsale (Cf. fig. 7). a.
Sillon
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur.
de la région dorsale (Cf. fig. 7). a. Sillon médian antérieur. b.
Sillon
médian postérieur. Fig. \\. Coupe de la même mo
Coupe de la même moelle, vers le milieu du renflement lombaire. a.
Sillon
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur.
le milieu du renflement lombaire. a. Sillon médian antérieur. b.
Sillon
médian postérieur. N.B. Si l'on compare ces tro
moelle du Chat pratiquée vers le milieu du renflement lombaire. à.
Sillon
médian antérieur. á. Sillon médian postérieur.
le milieu du renflement lombaire. à. Sillon médian antérieur. á.
Sillon
médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur
re. à. Sillon médian antérieur. á. Sillon médian postérieur. c.
Sillon
latéral postérieur et racines postérieures des
. Olive, T. Touffe. P. Protubérance. a. Scissure de Sylvius. b.
Sillon
de Rolando. c. Scissure parallèle. d. Pli fro
obe occipital d'avec le lobe pariétal. a. Scissure de Sylvius. b.
Sillon
de Rolando. c. Scissure parallèle. d. Pli fro
fort rétrécie. C. Parties latérales du cervelet, séparées par un
sillon
médian où ne se voit, encore aucune trace de ve
0. Lobes optiques nettement séparés en deux masses latérales par un
sillon
médian. H. G. Hémisphères cérébraux encore vésicu
oïdal. F. S. Fosse de Sylvius largement béante. SC. II. Scissure ou
sillon
de Rolando. N.B. Des plis apparents existent su
sure parallèle. P. P. Plis de passage indiqués par la présence d'un
sillon
. Fig. 45. Face inférieure du cerveau d'un fœtus
he). M. Commissure postérieure (grise). N. Sillon antérieur. 0.
Sillon
postérieur. P. Faisceau de Tii1'li, ou pyramida
illon antérieur. G. Cordon postérieur. II. Faisceau latéral. I.
Sillon
postérieur. J. Racine postérieure. Figure 6.
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
Cordon de Goll. F. Sillon postérieur. G. Racine antérieure. II.
Sillon
antérieur. /. Racine postérieure. J. Faisceau
antérieures. B-B. Régions altérées. C. Cavité pathologique. D.
Sillon
antérieur. E. Sillon postérieur. F. Corne pos
antérieure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. Il.
Sillon
postérieur. 7. Cordon postérieur. J. Racine a
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. n.
Sillon
postérieur. E. Canal central. F. Commissure a
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
ndemne. B. Corne postérieure altérée. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur très épaissi. E. Commissure postérie
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
ostérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon postérieur. Il.
Sillon
antérieur. 1. Faisceau antérieur respecté. J.
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure antérieure. F. Comm
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Canal central. F. Commissure a
t asymétriques. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. 1 E. Commissure postérieure. F. C
on peu altérée de la corne antérieure. B. Corne postérieure. C.
Sillon
postérieur. D. Racine postérieure. E. Commiss
rieure altérée. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
Corne altérée. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure antérieure. F. Comm
mmissure antérieure. G. Canal central. H. Sillon postérieur. I.
Sillon
antérieur. J. Faisceau latéral. K. Faisceau p
e ses cellules. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure grise. H. Sillon an
ne antérieure. Il. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure antérieure. F. Comm
eure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure sclérosée. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure antérieure. F. Comm
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
eure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure sclérosée. D.
Sillon
postérieur. E. Canal central. F. Sillon antér
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
ail des lésions. .4. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C.
Sillon
postérieur. D. Commissure postérieure. E. Com
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
e antérieure. B. Corne postérieure. C. Racines postérieures. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
e antérieure. - B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
ganglionnaires. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Canal central. F. Commissure g
nglionnaires. B. Cornes postérieures. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Canal central. F. Commissure a
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure postérieure. F. Com
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Commissure antérieure. F. Comm
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Canal central. F. Commissure p
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Sillon antérieur. F. Commissur
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Sillon antérieur. F. Commissur
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Sillon antérieur. F. Partie no
de celle cavité. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure. C.
Sillon
postérieur. D. Partie restante du faisceau anté
stance nerveuse. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure. C.
Sillon
postérieur. D. Sillon antérieur. E. Cavité pa
rne antérieure. B. Racine postérieure. C. Sillon postérieur. D.
Sillon
antérieur. E. Cavité pathologique. F. Paroi d
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. 0.
Sillon
postérieur. E. Commissure antérieure. F. Sill
ceau antérieur. Û. Rariue postérieure. E. Sillon antérieur. 1-.
Sillon
postérieur. G. Cordon postérieur sclérosé. H.
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Canal central entouré d'un peu
rne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Sillon antérieur. F. Faisceau
postérieures décapitées en partie par les cordons antérieurs. C.
Sillon
antérieur. D. Substauce ;;rise centrale. E. P
onnais- sables. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C.
Sillon
antérieur. D. Sillon postérieur. E. Faisceau
Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon antérieur. D.
Sillon
postérieur. E. Faisceau latéral droit. F. Fai
ntérieures. B-B. Cornes postérieures. C. Racine postérieure. D.
Sillon
postérieur. E. Sillon antérieur. F. Cordon an
la frontale ascendante ; 4° trois îlots sur la lèvre postérieure du
sillon
de Rolando.; 5° partie posté- rieure de la 1° t
ment moins bien au niveau des circonvolutions non indu- rées. - Les
sillons
sont peu apparents, en raison du tasse- ment qu
lement de façon à recouvrir toute la largeur du noyau caudé et le
sillon
qui le sépare de la couche optique. Au fond du ve
osé en partie. L'induration s'étend jusqu'à la lèvre postérieure du
sillon
de Rolando qu'elle envahit ; sur le lobule du p
t saillie entre la moitié gauche des arcades dentaires. Au cou un
sillon
correspondant en avant à la partie supérieure d
re et du cuir chevelu, lequel est bouffi, cedéma- tié. Au niveau du
sillon
,le tissu est lardacé, nacré; le sterno- mastoid
e sont très peu plissées ; de même le lobule para- central, dont le
sillon
est reporté en avant; rien de particu- lier au
ion que du côté opposé, môme simplicité des circonvolutions. Pas de
sillon
au lo- bule paracentral; rien à la corne d'Ammo
térieure des ventricules; légère surcharge graisseuse au niveau des
sillons
; tissu ferme, hypertrophie du ventricule gauch
tions sont très distinctes ; il n'y a pas de plis de passage. Des
sillons
assez profonds les séparent nettement les unes de
erniers, ainsi que les lobes occipitaux, offraient d'assez nombreux
sillons
superficiels et les circonvolutions, sans être
. A droite, elle est divi- sée vers la moitié, au niveau du premier
sillon
frontal, par une ir.cisure perpendiculaire sur
inférieure et supérieure des parties supérieure et inférieure du
sillon
prérolandique entre lesquelles elle passe. Cette
auche qui est aussi au niveau de l'extrémité postérieure du premier
sillon
frontal, mais qui est trop courte pour produire
oduire aucune circonvolution prérolandique; de sorte que le premier
sillon
frontal semble avoir eu, des deux côtés, tendan
inférieur, par une incisure transversale continue avec le deuxième
sillon
frontal et la partie inférieure du sillon préro
continue avec le deuxième sillon frontal et la partie inférieure du
sillon
prérolandique. « Le sillon prérolandique est, d
lon frontal et la partie inférieure du sillon prérolandique. « Le
sillon
prérolandique est, des deux côtés, divisé en de
42 IDIOTIE ET ÉPILEPSIE. entre l'extrémité antérieure du premier
sillon
frontal et le coude de la scissure de Rolando.
al et le coude de la scissure de Rolando. La partie inférieure du
sillon
prérolandique est constituée à droite par un si
inférieure du sillon prérolandique est constituée à droite par un
sillon
droit, qui s'étend de l'incisure perpendiculaire
a fosse de Sylvius, et qui est continu à sa moitié avec le deuxième
sillon
frontal; à gauche, elle est plus courte, elle n
gauche, elle est plus courte, elle naît à angle droit du deuxième
sillon
frontal, de manière à représenter la l)l'anche
icale d'un T, dont la branche horizontale gauche serait le deuxième
sillon
frontal et la branche horizontale droite, l'inc
arrière par une bifurcation qui représente la partie supérieure du
sillon
prérolandique; à droite, elle gagne obliquement
ur gagner le bord de la fosse sylvienne en s'unis- sant au deuxième
sillon
frontal, de sorte que la deuxième circonvolutio
'étage orbitaire. A droite, une disposition analogue : le premier
sillon
frontal est bifurqué aussi à ses deux extrémités
mme à gauche, mais elle est sé- parée par un faible intervalle d'un
sillon
oblique en bas et en arrière, se perdant dans l
vien à peu de distance de l'extrémité antéro-inférieure du deuxième
sillon
frontal et analogue par sa position à la branch
t t à gauche les extrémités antérieures du premier et du deuxième
sillons
frontaux. « La deuxième circonvolution frontale
volution frontale comme chez les nègres, séparant ainsi le deuxième
sillon
frontal en deux parties. Dans sa partie antérie
bitaire par la branche recourbée qui unit le premier et le deuxième
sillon
frontal en avant. 11 n'en est pas de même de la
s plis à la troisième frontale et à l'étage orbitaire. «Le deuxième
sillon
frontal estdivisé en deux parties par l'anastom
ieure horizontale, continue en arrière avec la partie inférieure du
sillon
prérolandique; une anté- rieure transversale, b
la branche recour- bée émanée de l'extrémité antérieure du premier
sillon
frontal. «La troisième circonvolution frontal
sur la face inférieure de l'hémisphère, en partie confondue avec le
sillon
orbitaire externe. «A la face inférieure, la pr
ure, la première circonvolution orbitaire est mince, limitée par le
sillon
orbitaire interne rectiligne. La deuxième orbit
euxième circonvolution orbitaire est séparée de la troisième par le
sillon
orbitaire externe; ce sillon se réunit en avant
e est séparée de la troisième par le sillon orbitaire externe; ce
sillon
se réunit en avant avec la rainure du bord sylvie
roisième circonvolution o : 'bitairc, comprise d'ordinaire entre le
sillon
orbitaire externe et la branche antérieure de S
, cet intervalle n'existant pas par suite de la réunion de ces deux
sillons
. En arrière, le sil- lon orbitaire externe et l
cisure. «Lesillonpost-rolandique est interrompu et continuavec le
sillon
pariétal, avec lequel il forme une étoile à quatr
la première et de la deuxième circonvolutions pariétales sépare le
sillon
pariétal en deux fragments : l'antérieur étoile
tit pli d'anastomose. Chez le foetus, d'après Ecker et Pansch, le
sillon
pariétal, de six à huit mois, est formé de deux p
état embryonnaire, et sa petitesse indique que les deux parties du
sillon
étaient sur le point do se rejoindre à ce momen
e avec la première temporale, s'élargit vers l'extrémité du premier
sillon
temporal, dans sa partie postérieure qui présen
ie postérieure qui présente plusieurs incisures conti- nues avec le
sillon
pariétal ou le sillon temporal et se con- tinue
sente plusieurs incisures conti- nues avec le sillon pariétal ou le
sillon
temporal et se con- tinue avec la deuxième temp
ccipitale externe, se prolonge entre cette scissure et la partie du
sillon
pariétal qui lui est parallèle de ce côté et se
n pariétal qui lui est parallèle de ce côté et se continue jusqu'au
sillon
occipital latéral, sur la limite du lobe occipi
it un état d'évolution plus avancé que le côté droit. « Lepremicr
sillon
temporal, presque rectiligne, ne dépasse pas l'
ons temporales dans leur partie an- térieure, et les trois premiers
sillons
temporaux ont leur ex- trémité antérieure une g
lobe temporal. Au contraire, chez la négresse de M. Baillarger, les
sillons
temporaux s'étendaient en avant jusqu'au bord a
atrième oc- cipitale une petite anastomose qui sépare le deuxième
sillon
temporal du sillon occipital latéral. D'ailleurs
ale une petite anastomose qui sépare le deuxième sillon temporal du
sillon
occipital latéral. D'ailleurs , à gauche, il n'
sillon occipital latéral. D'ailleurs , à gauche, il n'y a aucun des
sillons
temporaux qui se conti- nue en arrière avec les
a aucun des sillons temporaux qui se conti- nue en arrière avec les
sillons
occipitaux; il en est autre- ment à droite, où
les sillons occipitaux; il en est autre- ment à droite, où tous les
sillons
temporaux se continuent sur le lobe occipital,
de l'hémisphère. Le lobule sus-occipital est limité à gauche par un
sillon
occi- pital latéral non continu en avant avec l
un sillon occi- pital latéral non continu en avant avec le deuxième
sillon
temporal, s'étendant horizontalement sur la fac
erminaison de la scissure calcarine à la face externe. A droite, le
sillon
occipital la- téral est continu en avant avec l
le sillon occipital la- téral est continu en avant avec le deuxième
sillon
tempo- ral et la scissure occipitale externe :
e ce côté aussi, vient se terminer sur la face externe. «Entre le
sillon
occipital latéral et la scissure calcarine s'ét
e et la cinquième circonvolu- tions temporales sont séparées par un
sillon
linéaire qui, en avant, s'arrête à un peu plus
e et la cinquième circon- volutions temporales sont séparées par un
sillon
très long qui, en avant, s'étend presque jusqu'
ième dans la partie postérieure et en est séparée en avant par un
sillon
étendu jusqu'à la vallée de Sylvius et représenta
se terminer un peu en avant de l'extrémité postérieure du quatrième
sillon
temporo occipi- tal. De cette déviation en bas
le cheval et le chameau. En effet, chez les osmatiques qui ont un
sillon
calcarin divisant le pli rétrolimbique en deux po
dire chez la plupart des pachydermes et chez tous les ruminants, le
sillon
calcarin ne pénètre pas dans le lobe limbique,
échit en bas comme chez Edern ; elle va même rejoindre le quatrième
sillon
occipito- temporal, séparant ainsi complètement
ement vertical de la scissure calcarine ne rejoint pas le quatrième
sillon
temporal et ne coupe pas complètement le pli ré
y voit un plisse- ment beaucoup plus considérable qu'à droite, les
sillons
occipitaux sont multipliés, leur continuité ord
ns occipitaux sont multipliés, leur continuité ordinaire avec les
sillons
temporaux est interrompue; la scissure calcarine
partie interne de la première circonvolution pariétale, présente un
sillon
sous-pariétal presque vertical qui, à gauche, s
s-pariétale se prolonge au-delà du bord sagittal pour constituer le
sillon
crucial ; quelquefois, elle ne dépasse pas le b
c, cit. p. 450.) Il y a ici une dis- position analogue; à gauche le
sillon
sous-pariétal vertical se prolonge presque jusq
ertical se prolonge presque jusqu'au bord sagittal ; à droite, le
sillon
est vertical, mais plus court et la terminaison d
aralysie faciale qui occupe le côté gauche. On note l'effacement du
sillon
naso-jugal, la déviation du nez, l'abaissement
ulaire est plus volumineuse que la droite, ce qui tient à ce que le
sillon
de l'artère vertébrale se trouve déjeté vers la
présente deux plaques d'eczéma in2pé- tigineux, l'une au niveau du
sillon
naso-labial, l'autre vers l'angle externe de l'
r (70 gr.). Il est stéatosé et offre des dépôts adi- peux, dans les
sillons
. Les deux ventricules renferment un caillot fib
circonvolutions de la face interne sont assez régulières, mais les
sillons
peu profonds. La pie- PURPURA. 155 mère, très
ralysie faciale peu accusée, que l'on retrouve surtout au niveau du
sillon
naso-lalial droit, alors que l'enfant vient à r
s détails, la dénomination de chaque circonvolution, le nom de chaque
sillon
ou scissure, l'origine apparente et réelle des ne
urne toutes les parties, mais en passant au-dessus des scissures, des
sillons
, des anfractuosités, à la manière d'un pont. La
n tangente à l'écorce, dans la substance grise qui occupe le fond des
sillons
ou des scissures. Meynert divise également la s
antérieure et externe de la couche optique, dont il est séparé par un
sillon
curviligne qui loge la lame cornée, la veine du c
s de la toile choroïdienne, en dessous de la veine de Galien, dans le
sillon
qui sépare les tubercules quadrijumeaux antérieur
escription topographique extérieure du cervelet. Un grand nombre de
sillons
curvilignes concentriques traversent la surface d
allèles, séparées les unes des autres par un repli de la pie-mère. Un
sillon
horizontal très étendu, le grand sillon circonfér
r un repli de la pie-mère. Un sillon horizontal très étendu, le grand
sillon
circonférenciel de Vicq-d'Azyr (sulcus horizontal
détachent de la substance corticale des régions supérieures au grand
sillon
circonférenciel, passent au-dessus du corps rhomb
e médian. Les fibres qui proviennent des régions inférieures au grand
sillon
se dirigent Gavoy. — Encéphale. A au-dessous
la substance gélatineuse de Ro-lando qui se voit à découvert dans le
sillon
collatéral postérieur ; elle présente une colorat
enou, le fasciculus teres, que forme le facial à la partie moyenne du
sillon
médian du plancher du quatrième ventricule. Ce no
ielles à la périphérie de la protubérance, s'entre-croise en avant au
sillon
médian ; l'autre partie s'insinue à travers les f
h. Portion motrice des pyramides offrant un aspect fascicule. i.
Sillon
médian antérieur. /. Raphé médian. t k. Cordo
phé médian formé par l'entre-croisement des cordons postérieurs. h.
Sillon
médian antérieur. i. Portion sensitive des pyra
lle est isolée de la circonvolution du corps calleux ou crêtée par un
sillon
à bords irréguliers, la scissure festonnée, qui m
ou para-central, formé par deux circonvolutions séparées par un petit
sillon
médian horizon-tal. En arrière est le lobule pari
elié au précédent par des plis de passage et limité en arrière par un
sillon
profond, formé par la scissure perpendiculaire in
borde inférieurement la circonvolution crêtée. Sabatier a désigné ce
sillon
sous le nom de ventricule du corps calleux; Vésal
t la surface périphérique du corps calleux ; elle montre en outre les
sillons
qui forment les limites des diverses régions. La
nlaçant la région supérieure et externe de la couche optique. Dans le
sillon
intermédiaire est la coupe de la veine du corps s
pe verticale antéro-postèrieure, passant par ïextrémité antérieure du
sillon
intermédiaire de la couche optique et du corps st
7. — Fibres du tœnia semi-circularis se dirigeant en arrière dans le
sillon
intermé-diaire, au-dessous du pilier postérieur d
ticale recouvrant la surface des circonvolutions et la profondeur des
sillons
, possède une superficie plus grande que celle qui
té antérieure delà corne d'Ammon ou hippocampe, séparée, par un petit
sillon
, de la substance grise du ganglion olfactif. La
ns l'intérieur de la substance médullaire indiquent l'affleurement de
sillons
profonds. Les fibres convergentes sont étalées en
convolution (13, Pl. X). En avant de la corne d'Ammon, séparée par un
sillon
, est la substance grise du ganglion olfactif (14,
médullaire. Elles sont dues aux régions profondes de scissures ou de
sillons
, atteintes par la section. La scissure qui sépare
ure de la fente cérébrale de Richat. La face supérieure présente un
sillon
médian (4) qui s'étend du genou au bour-relet; de
n médian (4) qui s'étend du genou au bour-relet; de chaque côté de ce
sillon
, on aperçoit deux saillies longitudinales (5) for
ulaire, séparée de la face supérieure de la couche optique (8) par le
sillon
intermédiaire (7). Les fibres commissurantes fo
tête, et la terminaison en queue de son extrémité postérieure. 6. —
Sillon
intermédiaire séparant le noyau caudé de la face
ant le noyau caudé de la face supérieure de la couche optique (7); ce
sillon
est recouvert par la lame cornée, repli de l'épen
dessous de cette lamelle; elle commmence à l'extrémité postérieure du
sillon
et se continue en avant, après avoir traversé le
rigine au ganglion olfactif (9, Pl. XII), parcourt toute l'étendue du
sillon
et va aboutir à la partie antérieure et externe d
celle de la substance grise corticale autour des circonvolutions, des
sillons
et des scissures profondes, dont le but paraît d'
ité du quatrième ventricule. La paroi antérieure est traversée par le
sillon
médian; de chaque côté de ce sillon apparaissent
i antérieure est traversée par le sillon médian; de chaque côté de ce
sillon
apparaissent deux saillies, les eminentia teres.
la section a atteint les circonvolutions de la scissure orbitaire au
sillon
cruciforme. Les circonvolutions de l'insula sont
, elles se groupent en un faisceau qui gagne la partie postérieure du
sillon
intermédiaire au corps strié et à la couche optiq
inale delà corne d'Ammon ou hippocampe dans la cavité sphénoïdale. Un
sillon
la sépare de la substance grise du ganglion olfac
central de la moelle; sa forme est celle d'un losange que traverse le
sillon
médian (12) qui se continue en haut avec l'aquedu
vec l'aqueduc de Sylvius et en bas avec le canal central du bulbe. Ce
sillon
représente la tige du calamus scriptorius, nom qu
ge; le bec du calamus est le sommet de cet angle. A l'embouchure du
sillon
et du canal central du bulbe, est une petite foss
cérébelleux inférieurs (17). Ils sont séparés l'un de l'autre par le
sillon
médian postérieur du bulbe, et limités sur leur b
an postérieur du bulbe, et limités sur leur bord externe par un petit
sillon
peu apparent ; on les nomme aussi cordons grêles
rise corticale entoure les centres médullaires, pénètre dans tous les
sillons
, les scissures, et indique, sur chacun des bords
bres nerveuses des cordons médians postérieurs ou cordons de Goll, le
sillon
médian postérieur du bulbe qui les sépare. Sur le
ian postérieur du bulbe qui les sépare. Sur leur bord externe, est un
sillon
très délié et au delà les fibres ner-veuses des c
obli-quement vers le bulbe rachidien, auquel ils s'unissent. 13. —
Sillon
médian du quatrième ventricule, en continuité en
e la substance grise des tubercules qua-drijumeaux. Au-dessous est le
sillon
médian du quatrième ventricule (12, Pl. XXXIV), s
IV), se terminant en bas à l'embouchure du canal central du bulbe. Ce
sillon
sépare les deux colonnes grisâtres en rapport ave
ne des nerfs moteurs oculaires externes ; l'extrémité supérieure du
sillon
avoisine le lieu d'origine des nerfs moteurs ocul
ppelé trou borgne par Vicq-d'Azyr. Cette fossette se continue avec le
sillon
médian, qui occupe la face an-térieure du bulbe r
(23) des pyramides. 24. — Trou borgne de Vicq-d'Azyr, au sommet du
sillon
médian antérieur du bulbe rachidien. 25. — Segm
ance grise corticale entoure le centre médullaire, s'enfonce dans les
sillons
profonds du lobe sphénoïdal; du lobule de l'insul
e verticale antéro-postérieure, passant par l'extrémité antérieure du
sillon
intermé-diaire de la couche optique et du corps s
. - Lobe frontal. Circonvolutions bien contournées séparées par des
sillons
assez profonds et d'aspect Saines. Les sillons
ées séparées par des sillons assez profonds et d'aspect Saines. Les
sillons
sont nombreux ainsi que les plis de passage. Le
part en divergeant irrégulièrement en éventail de l'extré- mité du
sillon
de Rolando et qui permet difficilement de les s
l'in- sula où l'on ne constate pas de lésions macroscopiques. Le
sillon
de Rolando est peu profond. Il est limité par le
et par la lA. atrophiée et étendue en grande partie. Le fond de ce
sillon
est mince et membraniformc. - Le lobe pariétal
ère gauche Aspect général globuleux, Circon- volutions compliquées,
sillons
nombreux. Lobe frontal. - Les trois circonvolut
ois circonvolutions sont bien dévelop- pées et d'aspect normal. Les
sillons
sont profonds. - Le e sillon de Rolando est net
velop- pées et d'aspect normal. Les sillons sont profonds. - Le e
sillon
de Rolando est net et régulier. -La scissurede8yl
de nombreuses petites circonvolutions séparées par de très nombreux
sillons
qui en rendent difficile la description morphol
rconvolutions dont la première et la troi- sième sont bifurquées. -
Sillon
de Rolando sinueux, profond. - Scissure perpend
inférieure : Première pariétale (P1.), très large, courte, nombreux
sillons
accessoires. - Deuxième pariétale (P2.), divisé
umineuse et sinueuse. - Pli cotcrhe (P3.), développé avec de petits
sillons
superficiels. - Lobe occipi- tal (L.O C.), circ
drilatère (L.Q.), assez volumi- neux, divisé en deux parties par un
sillon
médian, - Coin IC,), première et deuxième circo
r. Hémisphère droit. Face externe. Scissure de Syl- vius, courte.
Sillon
de Rolando et scissure interpariétale bien déve
supé- rieure, courte et larc. - l'ariétale 177/ëriettre, nombreux
sillons
accessoires. -l'li courbe, assez volumineux, avec
eux sillons accessoires. -l'li courbe, assez volumineux, avec des
sillons
plus accentués que sur l'hémisphère gauche. Lobe
c le pli courbe. Deuxième circonvolution temporale, large, nombreux
sillons
accessoires. Face interne. Scissure calloso -ma
ge mais courte. . La description des circonvolutions et surtout des
sillons
est très difficile, parce que, en vue de l'exam
ue cette scissure ainsi que le rameau ascendant sont profonds. - Le
sillon
de Rolando (8, R,) est large et sinueux; il n'e
re (Se. f. i.), est irrégulière et profonde, elle communique par un
sillon
avec la scissure frontale supérieure. - La scis
sure parallèle (Sc. p.), très accusée, régulière, communique par un
sillon
avec la deuxième tem- porale, qui, peu nette, e
développée, est nettement séparée de la frontale ascendante par un
sillon
large et profond. - La deuxième circonvolution
frontale ascendante ; en son milieu, elle est interrom- pue par un
sillon
qui fait communiquer la scissure frontale infér
, nettement distincte des autres oirconvo- lutions frontales par un
sillon
pré-rolandique, large et pro- fond : ce sillon
ons frontales par un sillon pré-rolandique, large et pro- fond : ce
sillon
n'est interrompu qu'au niveau du pied de la deu
accusé. - Le pli pariétal inférieur (P2.) est entrecoupé par des
sillons
peu profonds. - Le pli courbe (P3.) est normal.
- Le lobe occipital (L.O.C.) est trôs-irrégulier parcouru par des
sillons
nombreux et sinueux. La première circonvo- luti
olution frontale interne (F) est large, interrompue par de nombreux
sillons
, les uns pro- fonds, les autres superficiels. -
e paracelttral (L. P.), bien déve- loppé, présente en son milieu un
sillon
assez profond qui le sépare presque en deux par
sépare presque en deux parties dont chacune d'elles offre un petit
sillon
superficiel. - Le lubule quadrilatère (L.Q.), a
Le lubule quadrilatère (L.Q.), assez volumineux, offre de nombreux
sillons
irréguliers. Le coin (c.) est au contraire très
sure des ! - vius est profonde et le" lobule de l'insula normal. Le
sillon
de Rolando semble peu sinueux. La scissure perp
ure frontale supérieure, irrégulière, sinueuse, com- munique par un
Sillon
à sa partie moyenne avec la scissure frontale i
e lobule orbitaire, un peu excavé ne semble pas présenter autant de
sillons
que norma- lement.-La première frontale est ass
e ; elle est nettement séparée des circonvolutions frontales par le
sillon
prérolandique. La pariétale ascendante est étro
particulier. - Le lobe occipital est normal, entrecoupé de nombreux
sillons
. - La première - temporale est étroite, bien dé
ution frontale interne est large, bien délimitée, parcourue par des
sillons
nombreux qui, en se rejoignant, délimitent des
est de petite dimension. Le lobe occipital présente trois petits
sillons
qui s'entrecoupent en forme d'il. Les circonvolu-
de cicatrices ; bosses frontales saillantes, séparées par un léger
sillon
frontal assez appréciable au palper. - Face all
ée autour des paupières ; la lèvre supérieure est assez forte, le
sillon
médian est régulier : la lèvre inférieure est en
st formé de circonvolutions assez con- tournées coupées de nombreux
sillons
courts et peu profonds et offrent d'assez nombr
ieur. FA est assez oblique de bas en haut et d'avant en arrière, Le
sillon
de Rolando, assez pro- fond, est très légèremen
poro-sphénoïdal sont formés de circonvolutions très minces dont les
sillons
ont disparu ou persistent, mais très peu profon
on de l'hippocampe (Cil), sont aplaties au point que la plupart des
sillons
sont notablement effacés. Le pédoncule cérébr
oro-sphénoïdal, occipital et le lobule pariétal inférieur, dont les
sillons
sont très effacés. (pal. VI.) . Hémisphère ga
e gaucho diffère absolument de celle du droit. Les scissures et les
sillons
sont profonds et ont leur direction et leur asp
très marqué de la pie-mère le long de la scissure de Sylvius et du
sillon
de Rolando. Hémisphère droit. I'ie-ntère très
lobes frontaux sont formés de circonvolutions assez grêles avec des
sillons
super- ficiels, des plis de passage rares. Les
ption plus simple. Les grands plis du cerveau (scissure de Sylvius,
sillon
de Rolando, etc., etc.) y sont bien plus nettem
gulier. FI est subdivisée en doux circonvolutions parallèles par un
sillon
interrompu plusieurs fois. Ces trois circonvolu
eut être divisé en trois petites circonvo- lutions séparées par des
sillons
très peu marqués. Rien de particulier à noter a
iguration générale. La scissure de Sylvius et ses deux branches, le
sillon
de Rolando, la scissure per- pendiculaire exter
ndo, la scissure per- pendiculaire externe (,,[ tous les principaux
sillons
existent et occupent la situation normale. Fa
fissure. T2 et T3 sont unies par de nombreux plis de scissures, les
sillons
qui sont entre elles sont peu profonds, surtout
nterne ne présente aucune grosse anomalie, Fi est subdivisée par un
sillon
longitudinal. Le lobule paracentral, l'avant-co
issure centrale qui va de bas en haut et d'où rayonnent de nombreux
sillons
. Face interne. FI est très-contournée, - Le lob
Le lobe paracen- lral est peu développé en arrière de l'encoche du
sillon
de Rolando et est le siège à ce niveau d'adhére
t très dévelop- pée, semble partager le cerveau en deux. Les autres
sillons
sont aussi nettement marqués. Face externe. L
let, rien. Face externe. - La scissure de Sylvius est nette et le
sillon
de. Rolando descend jusque dans la scissure sylvi
e est nettement accusée. Les circonvolutions sont assez larges, les
sillons
peu profonds à cause de la dilatation ventricul
ré par une incisure et les 2/3 supérieurs sont aussi divisés par un
sillon
profond situé à 4 centimètres environ de la sci
scissure interhémisphérique. Un pli de passage important coiffe ce
sillon
et unit PA au lobule pariétal supérieur. Le sil
ortant coiffe ce sillon et unit PA au lobule pariétal supérieur. Le
sillon
intcrpariétal s'étend jusqu'au voisinage de la
est situé vers le 14 antérieur de F3; le noyau est di- visé par des
sillons
en trois segments et à 3 cm. 1/2 de hau- teur.
plémentaire et volumineuse entre FI et 1 ? nettement séparée par un
sillon
. Le premier, antérieur, a 2 cm. 1/2 de diamètre
en arrière sur 3 cm. )/2 de haut en bas, est divisé en deux par le
sillon
paral- lèle. Le lobe occipital est sclérosé a
Des deux cotés, il existe dans le ventricule latéral, le long du
sillon
qui sépare la couche optique du corps strié, une
Sylvius. a2, rameau antérieur horizontal de cette scissure. S 11,
sillon
de Rolando. Se. p. f., scissure parallèle front
ou convexe, de l'hémisphère droit. S S, scissure de Sylyius, S R,
sillon
de Rolando. Fj, F2, F3' première, seconde et tr
sphère cérébral droit. F,, première circonvolution frontale. S R,
sillon
de Rolando. ' L P., lobule paracentral. S P E
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. S It,
sillon
de Rolando. F A, circonvolution frontale ascend
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - S R,
sillon
de Rolando. ' - L P S, lobule pariétal supérieu
liSE (V, ]). l'.l ? ). Face interne de l'hémisphère- droit. s lt,
sillon
rlc Itolaudo. 1 I', lubnlu pnraccntrnl. L (J,
s d'axe en axe, soutenant un auvent en treillis de fer avec croi-
sillons
avançant de 4 m. 50 en bascule et élevé de 4 mè
. Fente buccale très large. Commissures non déviées. Menton droit ;
sillon
mento-labial à peine marqué. Joues maigres. Pea
ion DU cerveau. l'M majuscule classique, elle se replie autour d'un
sillon
hori" zontal qui n'aboutit pas tout-à-fait à la
grisâtre d'un a deux millimètres d'épais- seur, enfouie au fond du
sillon
de Rolando dont on est obligé d'écarter les lèv
s lèvres pour l'apercevoir. P. A. est tout à fait cachée au fond du
sillon
de Itolando; elle forme illférieu- rement une p
sinueuse qui se replie en s'amincissant inférieurcinent autour d'un
sillon
assez profond parti du bord supérieur de l'hémi
phère, et se divise en deux petites circonvolutions séparées par un
sillon
superficiel pour aller enfin s'anasto- moser av
ulum au centre de cette courbe et de cet infundibulum partent des
sillons
plus ou moins profonds qui donnent au lobule la
eure de la première frontale. La pie-mère est accolée au niveau des
sillons
dont on ne la détache qu'à grand'peine. Les ven
isure supérieure n'est pas complète et s'arrête à 4 ou 5 millim, du
sillon
de Rolando ; le tiers supérieur de cette circon
e, une incisure oblique allant du fond et de lapartie supérieure du
sillon
de Rolando vers l'extrémité frontale de l'incis
volution située au-dessus de l'incisure continue la 1 ? frontale.
Sillon
de Rolando très sinueux; il communique avec la sc
nd. Son extrémité supérieure et posté- rieure est bifurquée. . Le
sillon
post-rolandique, irrégulier, est coupé par deux p
mo- yenne est dédoublée en avant en deux branches allant l'une au
sillon
port-rolandique, l'autre descendant pour couper l
en formant un bec s'enfonçant; dans la '1 ? frontale interne. - Le
sillon
calloso-marginal, profond, est coupé par un pli
gulière et dédou- blée en arrière. La face inférieure présente un
sillon
olfactif bien prononcé. Le sillon cruciforme es
La face inférieure présente un sillon olfactif bien prononcé. Le
sillon
cruciforme est remplacé par un sillon trifurqué,
on olfactif bien prononcé. Le sillon cruciforme est remplacé par un
sillon
trifurqué, ayant une branche postérieure, une a
bilaire embrasse DESCRIPTION DU cerveau. in la branche externe du
sillon
ainsi formé ; après s'être dédoublée et réunie,
plus haut sont chagrinées, irrégulières, sinueuses, séparées par un
sillon
coupé par un pli de passage. Hémisphère droit.
ranche postérieure de ce dédoublement s'unit à la l1'0 frontale. Le
sillon
qui sépare les deux circonvolu- tions précédent
pour former la circonvolution de Broca sur laquelle on retrouve un
sillon
qui divise celte circonvolution en deux petites
e des plis de passage l'unissant aux deux pre- mières frontales. Le
sillon
prérolandique, coupé par un sillon allant de la
x deux pre- mières frontales. Le sillon prérolandique, coupé par un
sillon
allant de la scissure de Rolando à la 1 ? incis
ête en haut à un centimètre du bord supérieur de l'hé- misphère. Le
sillon
de Rolando, très sinueux, communique avec le si
misphère. Le sillon de Rolando, très sinueux, communique avec le
sillon
frontal supérieur; il s'arrête normalement en b
communiquer avec la base de la deuxième frontale en passant sur le
sillon
de Rolando et le sillon préro- landique. La par
e de la deuxième frontale en passant sur le sillon de Rolando et le
sillon
préro- landique. La partie postérieure du dédou
avant à la 3,ue, en arrière à la 11'0 dont elle est séparée par un
sillon
profond. La 3me occipitale, double ne arrière,
s sinueuse, donne en avant un pli de passage à la 1U' temporale. Le
sillon
séparant les 2 ? et 31U0 temporales est profond
on- volutions grêles. , Examen IUSTOLOGIQUE du cerveau. 77 Î Le
sillon
calloso-marginal est profond et coupé par un pli
obule fusiforme; celui-ci est très irrégulier et très sinueux, - Le
sillon
olfactif est simple et profond; le sillon cruci
ier et très sinueux, - Le sillon olfactif est simple et profond; le
sillon
cruciforme a ses branches très courtes ; les po
en dessinées, l'interne se prolonge très loin en arrière. Entre les
sillons
cruciforme et olfactif est un autre sillon. Le
n en arrière. Entre les sillons cruciforme et olfactif est un autre
sillon
. Le gyrus reclus est normal. La '2 III circonvo-
métrique ; toutefois, la suture bi-pariétale est située à gauche du
sillon
du sinus longi- tudinal supérieur. Le diplod es
ace interne- de telle sorte qu'entre eux, en avant, il n'y a pas de
sillon
de séparation sur une longueur de 6 c/m. C'est
s- sage. FI est subdivisée en doux dans ses 2/3 antérieurs par un
sillon
longitudinal ; elle est unie à la seconde frontal
tement séparée du lobe du pli courbe ; ce lobe présente de nombreux
sillons
verticaux. Les circonvolutions temporales sont
frontale. FI est subdivisée longitudinalement en 2 points par deux
sillons
interrompus par des plis de passage entre les d
est constitué par trois circonvolutions parallèles séparées par des
sillons
profonds et étroits. La Ire et la 3e qui sont l
us volumineuses sont subdivisées elles- mêmes en deux autres par un
sillon
analogue, de sorte que, dans sa partie moyenne,
eur est constitué par une seule circonvolution présentant de petits
sillons
verticaux peu profonds et dans lesquels il est
rofonds et dans lesquels il est impossible de reconnaître aucun des
sillons
nor- maux. Cette circonvolution de 2 el- enviro
ée, en avant, par un lobule de forme losangique, parcouru par des
sillons
peu profonds, mais assez larges. Une circonvoluti
on temporale. Le lobe occipital est séparé de cette dernière par un
sillon
profond qui traverse l'hémisphère dans toute sa
a la forme d'un quadrilatère allongé et est sillonné par de petits
sillons
sans direction précise. Face interne. La partie
plus antérieure est assez large, bien séparée de la seconde par un
sillon
profond et étroit, et 'présente, à sa partie mo
llon profond et étroit, et 'présente, à sa partie moyenne, un petit
sillon
perpendiculaire - au précédent. La seconde part
et s'effile en avant; elle pré- sente à sa surface quelques petits
sillons
peu profonds à -direction indéterminée. Le lobe
i vient rejoindre la le de la face interne. En arrière se trouve le
sillon
cruciforme. Le sillon olfactif fait défaut, et
e de la face interne. En arrière se trouve le sillon cruciforme. Le
sillon
olfactif fait défaut, et en arrière du sillon c
sillon cruciforme. Le sillon olfactif fait défaut, et en arrière du
sillon
cruciforme les cir- convolutions ne présentent
s et rejoint, en arrière, la .`seconde dont elle est séparée par un
sillon
profond dans ses deux tiers antérieurs. La seco
ite, se confond, en avant, avec la 3e, dont elle est séparée par un
sillon
assez large et profond. La 3e très large en ava
beaucoup la plus volumineuse, est séparée de la précédente par un
sillon
profond et divisée en deux parties, antérieure
ond et divisée en deux parties, antérieure ' et postérieure, par un
sillon
transversal qui vient rejoindre la scissure pré
ien séparées les unes des Porencéphalie vraie. 105 autres par des
sillons
profonds. Les scissures de Rolando et - de S5-l
un lobule triangulaire.-) : . A. est divisée en deux parties par un
sillon
transversal qui la coupe en son milieu. if. A. es
frontale interne est très volumineuse et parcourue par de nombreux
sillons
dont quelques-uns as- sez profonds. Le lobule p
adhé- rences. Le coeur est gros (290 gr.) et montre au niveau de$
sillons
une légère surcharge graisseuse. Son tissu est fe
rf optique. Le ganglion céphalique est divisé transversalement par un
sillon
qui le partage en deux parties, l'une antérieure
la baleine franche, je n'y ai pas trouvé de nerf olfactif, quoique le
sillon
, occupé ordinairement par ce nerf, y fut bien tra
nt se mouvoir et changer de place. Pour avancer, elles se creusent un
sillon
et marchent sur le tranchant de leurs coquilles.
te ; mais la trace de la séparation s'y voit encore, elle est dans le
sillon
du quatrième ventricule. La place qu'occupent les
trace de leur séparation. Tréviranus a donné cette interprétation au
sillon
médian qui se trouve dans la partie moyenne du qu
s-mêmes, et qui iront se rendre à l'encéphale; ouvrez au contraire le
sillon
du quatrième ventricule des vertébrés, et faites-
rdeur et persévérance. Je découvris, d'abord en cet endroit, un léger
sillon
tracé dans l'épaisseur du terrain ; il était en l
figure de l'encéphale du squale-renard (pl. 11), on y retrouvera les
sillons
transverses propres au cervelet; ces sillons exis
11), on y retrouvera les sillons transverses propres au cervelet; ces
sillons
existent seulement chez un certain nombre de pois
pendant chez les poissons, même les plus petits; ils naissent dans un
sillon
profond qui se trouve entre le cervelet et la por
roche de celle du côté opposé; l'une et l'autre arrivent au niveau du
sillon
médian inférieur de la moelle, et s'unissent en f
niés. Ils sont implantés à la partie inférieure de la moelle, près du
sillon
médian. M. Serres assure les avoir mesurés sur vi
de renflemens marqués. Son aspect est blanc, on y découvre plusieurs
sillons
qui en parcourent la longueur, et des racines ner
pinale. Elle se trouve comme divisée en deux moitiés latérales par un
sillon
médian fulcral et un autre sillon médian spinal,
ée en deux moitiés latérales par un sillon médian fulcral et un autre
sillon
médian spinal, ce dernier plus profond que l'autr
n'est autre que le quatrième ventricule. Si l'on écarte les bords du
sillon
spinal, on découvre un canal qui règne dans toute
ration qui n'a déchiré aucune partie nerveuse, car entre les bords du
sillon
dont il s'agit jusqu'au canal central, il n'y a a
esmoulins (1), on arrive directement dans le canal de la moelle. Le
sillon
fulcral est bien moins profond que le sillon spin
canal de la moelle. Le sillon fulcral est bien moins profond que le
sillon
spinal, et il ne s'ouvre pas dans le canal médull
ne s'ouvre pas dans le canal médullaire. En écartant les bords de ce
sillon
pour en découvrir le fond, on voit une substance
té à l'autre. Le résultat de cette traction est de donner, au fond du
sillon
, l'apparence de linéamens transverses, ce qui a f
nsi que je m'en suis assuré en m'aidanl du microscope. Trois autres
sillons
, moins profonds que les premiers, régnent le long
t organe en quatre faisceaux latéraux. Le défaut de profondeur de ces
sillons
est à remarquer, car on aurait tort de croire qu'
insertion à la moelle. Assez communément, on les suit jusqu'auprès du
sillon
médian, les racines fulcrales étalées sur le fais
isceau médullaire, les racines spinales pénétrant directement dans un
sillon
. On verra la raison de cette différence quand je
récemment tuée, je les ai placés sur le compresseur (1), puis, par le
sillon
spinal, j'ai pénétré jusque dans le canal central
attachées à une monture métallique, et que l'on peut rap- bords du
sillon
, j'ai étalé cette moelle comme un ruban. Alors, j
moelle, les granules confus, les vaisseaux sanguins bien visibles. Le
sillon
fulcral très facilement recon-naissable, était fo
-l'heure, qu'aucune fibre ne passait d'un côté à l'autre au niveau du
sillon
fulcral; j'ai constaté la même absence de fibre t
al. Dans ce cas, l'expérience n'était même pas nécessaire, puisque le
sillon
spinal est formé par le simple adossement des cor
e la portion étalée sur le compresseur, m'a fait voir qu'au niveau du
sillon
fulcral, il n'y a aucun entrecroisement ; j'ai ch
n croisement des racines du nerf trifacial, mais rien autre chose. Au
sillon
spinal, pas d'entrecroisement non plus. Cela cons
moelle, tandis que les racines spinales s'enfoncent dans un espèce de
sillon
où elles rencontrent de la substance grise. La mo
nes postérieures des nerfs rachidiens pénètrent dans la moelle par un
sillon
au fond duquel s'avance la substance grise, taudi
roit où naissent les nerfs qui vont se rendre à ces parties. Quatre
sillons
la parcourent dans toute sa longueur, ce sont, le
s. Quatre sillons la parcourent dans toute sa longueur, ce sont, le
sillon
fulcral, le sillon spinal, et les deux sillons la
la parcourent dans toute sa longueur, ce sont, le sillon fulcral, le
sillon
spinal, et les deux sillons latéraux. Le sillon f
a longueur, ce sont, le sillon fulcral, le sillon spinal, et les deux
sillons
latéraux. Le sillon fulcral, de même que chez les
le sillon fulcral, le sillon spinal, et les deux sillons latéraux. Le
sillon
fulcral, de même que chez les poissons, n'est int
; il n'y a donc pas d'entrecroisement dans la moelle des reptiles. Le
sillon
spinal est plus profond que le précédent, il se c
uilles, il est largement ouvert. Une lame membraneuse pénètre dans ce
sillon
et permet d'arriver, sans effort, jusqu'à la part
r un canal, comme celle des poissons. De chaque côté, et tout près du
sillon
médian spinal, se trouve un sillon presque su p
s. De chaque côté, et tout près du sillon médian spinal, se trouve un
sillon
presque su perflcíel dans lequel pénètrent les
inales et inférieures ou fulcrales, ces dernières s'enfoncent dans le
sillon
latéral dont j'ai parlé tout-à-l'heure, les autre
ann combat cette opinion ; il indique sur les lobes cérébraux un seul
sillon
: c'est la scissure de Sylvius. Il constate l'exi
a regarder comme un progrès dont l'organisation du lobe cérébral : ce
sillon
loge des vaisseaux sanguins. La partie interne
Sur la facefulcrale, la moelle épinière a dans toute sa longueur, un
sillon
médian très distinct; sur sa face spinale trois s
a longueur, un sillon médian très distinct; sur sa face spinale trois
sillons
, l'un médian, qui s'ouvre largement à l'endroit q
Call et Spurzheim, 2. La face convexe du cerveau présente un léger
sillon
, mais chez quelques oiseaux seulement. 3. Le ce
e matière grise vient presque jusqu'à l'extérieur de la moelle par le
sillon
spinal latéral, celui que traversent les racines
stance grise, forme à la moelle une sorte d'enveloppe divisée par les
sillons
dont il a été question plus haut; il n'entre dans
e la surface des faisceaux fulcraux ; les supérieures ou spinales, du
sillon
latéral-supérieur de la moelle. 2. Structure de
tandis que le corbeau en est dépourvu. Je reviendrai ailleurs sur ces
sillons
, et je dirai quels sont les vaisseaux qui les par
upides, ils devraient avoir un cerveau tout-à-fait simple, sans aucun
sillon
ou sinuosité, tandis qu'ils ont beaucoup de circo
lobe postérieur n'en a même presque aucune. Dans les carnassiers, les
sillons
sont assez nombreux, et ils observent un certain
examinant le cerveau du lapin et celui de l'agouti. De chaque côté du
sillon
médian qui s'éten danl d'avant en arrière, sépare
épare le cerveau en deux lobes, on voit une dépression parallèle à ce
sillon
qui circonscrit, surtout chez l'agouti, une porti
i d'une circonvolution. Chez le castor (pl. ni, fig. lre) on voit des
sillons
moins prolongés, mais plus profonds, et ayant la
t la même direction que chez l'agouti et le lapin. Le caviapaca a des
sillons
plus prononcés, mais moins réguliers que l'agouti
lui de l'écureuil (pl. m), qui n'a pas de circonvolutions, ni même de
sillons
, et il est inférieur de beaucoup à ceux du lapin,
latérale externe du lobe cérébral droit du renard. En S se trouve un
sillon
profond, long de sept à huit millimètres, et mont
scissure de Sylvius. Un corps arrondi PA forme, en se recourbant, le
sillon
dont il s'agit; ce corps est une circonvolution.
on de la pointe du cerveau , se trouve une sorte de pli qui croise le
sillon
antéro-poslérieur du cerveau. C'est en avant de c
érieur du cerveau. C'est en avant de ce pli auquel je donne le nom de
sillon
crucial, que s'opère la réunion de la quatrième c
du renard, seulement elles ont des dépressions plus nombreuses et un
sillon
très prolongé , sur la troisième circonvolution e
veau du renard (fig. 1), immédiatement derrière la ligne SS, un petit
sillon
qui existe à gauche sur la quatrième circonvoluti
che sur la quatrième circonvolution , et qui manque à droite; le même
sillon
se rencontre tantôt à droite et tantôt à gauche,
ue parfois quelques légères dépressions. Dans tous les cas, elle a un
sillon
pour loger le nerf olfactif. Quant à la circonv
l'endroit marqué S, chez le chat (fig. 2, pl. vi), se trouve un petit
sillon
qui représente la scissure de Sylvius; ce sillon
, se trouve un petit sillon qui représente la scissure de Sylvius; ce
sillon
est très développé chez la panthère, le lion et t
ogue. Entre la seconde et la troisième circonvolution, se trouve un
sillon
non interrompu, mais entre la troisième et la qua
unir à la quatrième circonvolution externe (fig. 3, A), en arrière du
sillon
crucial, sillon que j'ai déjà signalé à la partie
ème circonvolution externe (fig. 3, A), en arrière du sillon crucial,
sillon
que j'ai déjà signalé à la partie antérieure et s
t ir. Prolongez en avant et au-dessus de la scissure de Sylvius, le
sillon
qui se trouve en arrière de cette scissure, et vo
transition entre le cerveau de la civette, et celui de la fouine. Le
sillon
postérieur qui divise la circonvolution située en
mple et régulière chez le furet, offre en arrière, chez la fouine, un
sillon
qui se répète des deux côtés; le coati a plusieur
trouve chez le furet, la fouine, le coati, le blaireau, le putois, un
sillon
transversal qui coupe crucialement le sillon médi
blaireau, le putois, un sillon transversal qui coupe crucialement le
sillon
médian ou antéro-postérieur du cerveau : ce sillo
pe crucialement le sillon médian ou antéro-postérieur du cerveau : ce
sillon
a une direction oblique d'arrière en avant et de
ésente une sorte de V. La circonvolution qui se trouve en avant de ce
sillon
, et qui forme la pointe antérieure du cerveau, n'
ion sus-orbitaire (0 ours brun et 0 loutre, fig. 3), elle présente un
sillon
pour loger le nerf ou plutôt le lobe olfactif.
. Mais dans aucun des animaux composant ce groupe, on ne rencontre le
sillon
crucial si constant à la partie antérieure et sup
nique. Divisez-la suivant sa longueur, et vous arriverez d'un côté au
sillon
antérieur, de l'autre au sillon postérieur, et vo
gueur, et vous arriverez d'un côté au sillon antérieur, de l'autre au
sillon
postérieur, et vous aurez ainsi deux circonvoluti
interne des ondulations très marquées ; puis entre elles se trouve un
sillon
crucial (s. c), l'analogue de celui dont j'ai par
demment étudiés, puis une scissure affectant la même direction que le
sillon
crucial, et enfin une véritable division en deux
circonvolution ne s'élève jamais jusqu'à la périphérie du cerveau. Un
sillon
continu règne au-dessus d'elle, et s'étend presqu
ure ne se fait pas à la surface du cerveau, mais seulement au fond du
sillon
: celte continuité a lieu à l'endroit indiqué par
val, l'âne, etc. ; très forte chez le mouton et le bœuf. Au lieu d'un
sillon
el d'une dépression cruciale, Se sanglier a deux
il s'agit, à la place4ndiquée par les chiffres i— n, une espèce de
sillon
. Lorsqu'on a séparé les deux lobes l'un de l'au
t à l'autre de ces circonvolutions, par un prolongement caché dans le
sillon
qui leur sert de limite, aux endroits corresponda
est réunie à sa congénère par un petit prolongement placé au fond du
sillon
|. Les deux signes -f- -f- indiquent le point de
e d'hippocampe 1. h., se porte en arrière et en dehors du cerveau. Un
sillon
si., si., fig. 1, sépare l'une de l'autre les deu
ne de l'autre les deux circonvolutions de la convexité du cerveau. Ce
sillon
est dirigé d'avant en arrière comme celui de tous
llie en avant du cerveau (fig. 1, I), et se terminer en bas, entre le
sillon
médian du cerveau et la racine du nerf olfactif (
gane, et ayant deux sous-divisions en avant et trois en arrière. Le
sillon
crucial, chez le phoque, n'est pas placé au-dessu
. 2, à l'extrémité antérieure du nerf olfactif.) 12e groupe. Quatre
sillons
non interrompus partagent d'avant en arrière chac
eau jusqu'au lobe d'hippocampe (l. h., môme figure). Les trois autres
sillons
(si., si., si., fig. lle) placés à la surface ext
II A, fig. 2 et fig. h). Entre ces deux circonvolutions, il existe un
sillon
(S, R, fig. 2 et fig. 4) qui les sépare dans lout
aussi constante que celle de la scissure de Sylvius. J'ai donné à ce
sillon
le nom de sillon de Rolando, parce que cet anaiom
que celle de la scissure de Sylvius. J'ai donné à ce sillon le nom de
sillon
de Rolando, parce que cet anaiomiste l'a décrit c
circularir; la mel en dehors de la cavité du ventricule latéral. Le
sillon
dans lequel est logé le limbus posterior corporis
cérébraux. D'avant en arrière, il est divisé de chaque côté par deux
sillons
principaux qui le partagent ainsi en trois lobes
ison de sa forme a été aussi appelé flocons, touffe lami-neuse. Des
sillons
plus ou moins nombreux coupent en travers ces tro
plus ou moins nombreux coupent en travers ces trois lobes; parmi ces
sillons
les uns sont profonds, les autres superficiels; l
t dépourvues. A la face supérieure de la moelle allongée, existe un
sillon
longitudinal résultant de l'adossement des deux c
ongitudinal résultant de l'adossement des deux côtés de la moelle; ce
sillon
, appelé calamus scriptorius, se termine en bas pa
perpendiculaires et parallèles l'une à l'autre qui régnent le long du
sillon
spinal, et sont plus blanches que les faisceaux d
erniers animaux, la saillie des tubercules quadrijumeaux au fond d'un
sillon
qui sépare le cerveau du cervelet. L'unau et l'ai
ne limite l'espace occupé par ces chiffres, chez le chat, et un seul
sillon
* le sillon crucial, sépare le chiffre 1 sur le ce
l'espace occupé par ces chiffres, chez le chat, et un seul sillon* le
sillon
crucial, sépare le chiffre 1 sur le cerveau du ch
a circonvolution dont une sinuosité circonscrit ce que j'ai appelé le
sillon
crucial chez le chevreuil, le daim, et que l'on v
inférieure à celle des autres singes. fc 4° Les chiens, qui ont des
sillons
plus nombreux au cerveau que n'en ont les chats,
e temps les circonvolutions cérébrales les moins sinueuses. Comme les
sillons
qui séparent les circonvolutions sont parcourus p
tang. A tous trois les mêmes circonvolutions fondamentales ; mais tel
sillon
, à peine visible chez les makis, est, chez le pap
serruriers. - On constate une paralysie incomplète de la face ; le
sillon
naso- labial droit est effacé, la commissure la
ulier. Hémisphère droit. - La scissure de Sylvius est normale; le
sillon
de Rolando est très profond, sinueux.-La scissure
n avant, quoique très plissé, il semble ramassé sur lui-même, et le
sillon
de Rolando se trouve par suite plus rapproché d
e par le pli de passage signalé plus haut, puis se poursuit dans le
sillon
occipital supérieur jusqu'au sillon transverse.
aut, puis se poursuit dans le sillon occipital supérieur jusqu'au
sillon
transverse. - Le pli courbe est assez développé,
du pli courbe. - La deuxième circonvolution temporale, le deuxième
sillon
tem- poral et la troisième circonvolution tempo
ont bien déve- loppés et ne percutent pas d'anomalies. Il existe un
sillon
pré- occipital complet qui partant de l'incisur
é par un pli de passage, allant du pli courbe au lobe occipital. Ce
sillon
délimite nettement le lobe temporal du lobe occ
interhémisphérique ne sont pour l'antérieur que l'exa- gération du
sillon
médian paracentral prolongé en haut et en bas.
ylvius, normale, envoie trois ra- meaux antérieurs ascendants. - Le
sillon
de Rolando, très si- nueux, profond, se termine
de la met en communication avec la scissure parallèle. Il existe un
sillon
préoccipital complet, qui, partant de l'incisur
d'une part, avec la scissure sous-pariétale et d'autre part avec un
sillon
vertical profond médian du lobule paracentral à
tion frontale interne est très développée, découpée par de nombreux
sillons
verticaux; elle envoie vers sa partie médiane u
arente, est facile. Les circonvolutions sont assez développées, les
sillons
pro- fonds. Sur la face interne de la première
sinueuse. possède une insertion de niveau; pas de plis de passage,
sillons
assez profonds entourant les cir- convolutions,
de passage, sillons assez profonds entourant les cir- convolutions,
sillons
secondaires peu profonds. La frontale ascendant
peu profonds. La frontale ascendante, sinueuse, est assez large. Le
sillon
de Rolando est profond. - La pariétale ascendan
e. - La première circonvolution frontale est vo- lumineuse avec des
sillons
tout à fait superficiels se confon- dant en arr
uperficiels se confon- dant en arrière avec le lobe paracentral. Le
sillon
calloso- marginal est peu profond. - Le lobule
ond. - Le lobule paracentral est séparé du lobe quadrilatère par un
sillon
profond avec un sillon cen- tral-oblique de bas
ntral est séparé du lobe quadrilatère par un sillon profond avec un
sillon
cen- tral-oblique de bas en haut et d'arrière e
long (7 centimètres à sa partie moyenne), est plissé et possède des
sillons
superficiels. Le coin et le lobe occipital sont
courte s'insère aussi de niveau. - En avant sur le lobe frontal les
sillons
sont peu profonds, ils le sont beaucoup en arri
assez volumineuse, est séparée en haut presque complètement par un
sillon
trans- versal situé entre l'insertion de la pre
re frontale et l'inser- tion supérieure de la deuxième frontale, Le
sillon
de Rolando est assez peu profond. La circonvolu
nd. La circonvolution pariétale ascendante est volumineuse avec des
sillons
transversaux, les uns super- ficiels, l'un asse
dirait des pavés irréguliers en- tassés les uns sur les autres. Le
sillon
qui sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les
deux plis de passage à la pariétale ascendante et un en arrière. Le
sillon
situé en arrière du lobe paracentral est très a
très volumineuse en partie dédoublée sur toute sa longueur par un
sillon
assez superficiel, se confond en arrière avec le
quadrilatère, tandis qu'à droite la séparation est très marquée. Le
sillon
calloso-marginal est peu profond. La circonvolu
ier, mesure qualre centimètres et demi. En arrière de lui existe un
sillon
assez profond dans lequel existe une petite cir
nt bien développée, très découpée; à sa partie médiane se trouve un
sillon
profond allant de la première scissure fron- ta
a partie triangulaire de la troisième circon- volution frontale, ce
sillon
est bordé au niveau de la deuxième scissure fro
cours par un pli de passage profond, envoie en avant de celle-ci un
sillon
profond qui divise entièrement la première circ
CCI]JÏtale est irrégulière, divisée en tronçons dont l'un envoie un
sillon
à la deuxième scissure Lerrapornocci- pitale à
pé, bien isolé des circonvolutions envi- ronnantes ; il présente un
sillon
médian transversal. - La scissure calloso-margi
. - Le lobule quadrilatère, moins bien développé, est divisé par un
sillon
vertical, aboutissant à la scissure sous- parié
cule et la circonvolution fron- tale ascendante va se jeter dans le
sillon
précentral inférieur, l'autre situé entre l'ope
irconvolution va se perdre dans la deuxième scissure frontale. - Le
sillon
de Rolando, très profond, a la forme d'un S. --
par- tie inférieure; elle envoie un peu au-dessus de son coude uu
sillon
horizontal profond qui divise presque entièrement
us loin la scissure interpariétale va se terminer dans le premier
sillon
occipital. Le lobule01'bitalÎ'e est bien développ
est très sillonnée; à son tiers antérieur, elle est divisée par un
sillon
profond qui longe la face antérieure du pli de
un centimètre et demi environ plus en ar- rière on trouve un autre
sillon
profond qui, après cire descendu d'abord vertic
éveloppé, est isolé du pli courbe, également bien développé, par un
sillon
descendant se DE l'épilepsie PROCURSIVE. <09
iangulaire de la troisième circonvolution frontale ascendante. - Le
sillon
de Ro- lando, sinueux, profond, se termine au f
stérieure de la scissure interpariétale et par son intermédiaire le
sillon
occipital transverse. - La scissure interpariét
bien développée. - La frontale ascendante est assez grosse ; trois
sillons
transversaux antéro-postérieurs la divisent pre
sinueuse, profonde, communique à la base du lobe pariétal par deux
sillons
transverses avec la deuxième scissure temporale
à former une sorte de scissure précentrale en se continuant avec un
sillon
supérieur qui divise presque entièrement la deu
ise presque entièrement la deuxième circonvolution fron- tale. - Le
sillon
de Rolando est très profond, assez sinueux. La
rs le lobule pariétal supérieur ; elle continue son chemin jusqu'au
sillon
occipital transverse. Le lobule orbitaire est n
li courbe sont volumineux, mais irréguliers par suite de nom- breux
sillons
qui les découpent. Le lobe occipital, dont lés
vironnantes par une scissure irrégulière, sinueuse, qui prolonge le
sillon
transverse occipital jusque vers l'incisure pré
passage à niveau allant de la deuxième à la troisième temporale. Un
sillon
profond réunit la scissure parallèle à la premi
e calloso-marginale est sinueuse, très profonde, envoie de nombreux
sillons
transversaux à la circonvo- lution frontale int
. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 141 142 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE.
sillons
. Par suite de la déviation du tronc basilaire ver
e lobule de l'insula; ses rameaux antérieurs sont irré- guliers. Le
sillon
de Rolando est assez profond et très sinueux. La
arallèle presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier
sillon
occipital et envoie deux rameaux descendants, l
cendante elle fournit un rameau transversal qui va se jeter dans le
sillon
de Rolando. Le lobe orbitairc est formé de circ
temporale communique d'une part avec la scissure de Sylvius par un
sillon
profond et oblique qui longe le bord supérieur
nté- rieure est reliée à la scissure calloso-marginale par un petit
sillon
horizontal; il existe un pli pariéto-limbique p
frontale du cap et de la cir- convolution frontale ascendante. - Le
sillon
de Rolando, sinueux, communique en avant par un
ndante. - Le sillon de Rolando, sinueux, communique en avant par un
sillon
profond avec la première scissure frontale et e
e vers son tiers inférieur avec la scis- sure interpariétale par un
sillon
moins profond que le précédent. La scissure per
l supérieur au pli courbe ; plus loin, elle va se confondre avec le
sillon
occipital transverse. Le lobule orbitaire est a
première scissure fron- tale sinueuse communique en arrière avec le
sillon
de Rolando par le sillon déjà décrit; au tiers
ale sinueuse communique en arrière avec le sillon de Rolando par le
sillon
déjà décrit; au tiers antérieur on y rencontre un
ent en jeu d'une façon exagérée, la bouche s'ouvre large- ment, les
sillons
naso-labiaux se creusent profondément, les plis
de parler. Lorsqu'il parle - un peu à la manière des enfants - les
sillons
naso-labiaux se creusent, les mots sont d'ordin
Le péritoine, après avoir tapissé la face convexe du foie, gagne le
sillon
transverse, mais, en certain cas, au niveau de
out, et on observe sur les dents deux autres genres de lésions, des
sillons
et des crénelures. Les sillons sont toujours lo
s deux autres genres de lésions, des sillons et des crénelures. Les
sillons
sont toujours longitudinaux et ne présentent au
e l'éruption des dents. (Fig. 18 et 22). Jamais on ne rencontre les
sillons
blancs transversaux que le pro- fesseur Fournie
pro- fesseur Fournier a décrits dans la syphilis héréditaire. Les
sillons
longitudinaux sont extrêmement fréquents, Fig,
énérescence soit ou non le fait de convulsions. Ces trois lésions :
sillons
, érosions, crénelures se montrent d'ailleurs ra
illimètres. Les deux racines blanches existent de chaque côté et le
sillon
olfactif manque sur l'hémisphère droit où le ne
allures),' encore' moins,1 celle, de postéro- pariétale, puisque le
sillon
réside en avant du lobe pariétal. T Scissure pe
qu'elle vienne rejoindre l'extrémité postéro supérieure du premier
sillon
temporal, pour couper plus bas la limite posté-
temporal, pour couper plus bas la limite posté- rieure du deuxième
sillon
temporal. Telles sont les trois scissures qui l
ouve deux scissures : La scissure olfactive, ou (Fig. 5), premier
sillon
orbitaire de Broca, sorte degouttièrereetiligne
son renflement. La scissure orbitaire ou sulcus o,bitalis (Ecker) ;
sillon
cruci- forme (solco crociforme) de Rolando; sil
italis (Ecker) ; sillon cruci- forme (solco crociforme) de Rolando;
sillon
irradiale, lilî,(I(li(ile sulcus (Turner) ; sil
rme) de Rolando; sillon irradiale, lilî,(I(li(ile sulcus (Turner) ;
sillon
en Il, incisure en Il, de Broca. NN'eissbacli a
cli a appliqué aux deux longues branchesantéro-pos- térieures de ce
sillon
les épithètes de M/CMs /oH<<t«') ! a/ ? He&
tranversalement celle de sulcus transversus. 11 est entendu que les
sillons
de la face orbitaire ne vont pas ,\i licle Cii-
' dans la partie de substance nerveuse intermédiaire; existe un -
sillon
transversal auquel aboutit fréquemment la scissur
uel aboutit fréquemment la scissure'front tale supérieure. C'est le
sillon
froalo-nagual; de Wernicke. Quoi qu'il en soit,
uoi qu'il en soit, en tout cas,, la démarcation, déterminée par le'
sillon
fronto-marginal, n'est jamais tellement profonde
e orbitaire comprise entre son bordnnterne et la branche interne du
sillon
orbitaire relève de la première frontale. C'est
186 REVUE CRITIQUE. Le g ! 12,i(s i-ecizis, limité en dehors par le
sillon
olfactif, en dedans par la scissure interhémisp
eli 1). Tout le segment situé on dehors de la branche interne du
sillon
orbitaire relève de la deuxième frontale (Pozzi).
deuxième circonvolution) de la frontale ascendante. , , Synonymie :
Sillon
antéro-pariétal (Huxley); Sulcus proe- centrali
); Sulcus proe- centralis inferior (Schwalbe); Rameau descendant du
sillon
frontal moyen (Pansch) ; Sulcus proecenlralis o
oecenlralis ou vertical (Ecker) ; Sulcus iiiléro-fïo71al ('rurner);
Sillon
prxrolandique (Broca). La scissure frontale inf
,, -i'h'i 9 iom 1 DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 187 Synonymie :
Sillon
infero-frontal (Huxley) ; Sulcus frontalis médi
fero-frontal (Huxley) ; Sulcus frontalis médius (Pansch) ; Deuxième
sillon
frontal (Broca); Sillon frort- tal primaire (Pa
Sulcus frontalis médius (Pansch) ; Deuxième sillon frontal (Broca);
Sillon
frort- tal primaire (Pansch) ; Sulcus frontales
ior (Ecker). La scissure frontale supérieure. Synonymie : Premier
sillon
frontal (Broca), 6'M/)e ? 'n-/ ? 'oH<a/ sulc
rior (Ecker, Pansch). fournit, elle aussi, postérieurement un petit
sillon
parallèle, vertical, parallèle au sillon de Rol
, postérieurement un petit sillon parallèle, vertical, parallèle au
sillon
de Rolando, qui mérite le nom de sulcus pîoece2
'oe;'o ? ? ? M styertô· (Sclmvalbe). Il arrive parfois que lesdeux
sillons
précentraux serejoignent et l'on observe alors,
,oce)zt ? ,alis. Cette circonvolution forme la lèvre postérieure du
sillon
de Rolando. Elle naît au niveau du tiers postér
uelques instants l'esprit de l'observateur. Connue sous les noms de
sillon
pariétal (l3roca);Intraparietalssccre(`furner);
supramarginal (Gratiolet). Cette partie ascen- dante, parallèle au
sillon
de Rolando, avaitété, dans le principe, appelée
cissure interpa- riétale se continue en arrière fréquemment dans le
sillon
occi- pital transverse qui trouvera sa place ul
n elle poursuit, sans interrup- tion, sa marche dans le lit même du
sillon
occipital supérieur. C'est dans ce dernier cas,
s, au-dessus également de l'extrémité postéro-supérieure du premier
sillon
temporal (parallèle). Elle est souvent interrom
Or, du sommet de la courbe de la scissure interpariétale tombe un
sillon
vertical, généralement assez accentué (sulcus i
, généralement assez accentué (sulcus iulerntetfitts, deJensen). Ce
sillon
scinde le lobule pariétal infé- rieur entier en
a scissure de Sylvius, l'autre, l'extrémité posté- ro-supérieure du
sillon
temporal parallèle (liig. G). Ce sont les point
G. -- Face externe. Hémisphère gauche. 1, scissure de Sylvius ; 2,
sillon
de Rolando; 3, scissure iuterparü;tale; fi, sciss
trouve la scissure occipitale trarzsverse (Pozzi)f ? 1 Synonymie :
Sillon
occipital postérieur ou ti,aizstîé7-se (Ecker).
ligne d'arrêt de la première scissure occipi- tale. Ecker l'appelle
sillon
simien parce qu'elle caractérise, selon lui, ce
,epa2,allèle (temporale) (Gratiolet, Ttirner,Cliarcot). Synonymie :
Sillon
temporal supérieur ou premier (Ecker : Bischoff
temporalis (Pansch) ; Ante2o-ieînljoî,alis sulcus (Huxley); Premier
sillon
temporal (Broca). > ~ , ib Nous avons déjà s
ral (Broca). > ~ , ib Nous avons déjà signalé l'importance de ce
sillon
à propos de la subdivision du lobule pariétal i
onymie : Fissure ? H/)o;'o-sjo/no ! </a (Huxley) ;)eM.z'te ? 7)C
sillon
temporal (Broca) ; Posiero-temporal sulcus (Huxle
il importe de poser les deux questions suivantes : Qu'entend-on par
sillon
occipitale antérieur de'1 Wernicke ? Qu'entend-
rieure de.cette, scissure devient, en avant du lobule occipital, un
sillon
à part, comme on peut le voir dans une des figu
? . icrvus CRITIQUE. (hémisphère droit). C'est lui qui a été nommé
sillon
occipital an- térieur (V'erniclte). (h'ig.7.; E
représente l'incisure préoccipitale de Schwalbe, et le rudiment du
sillon
préoccipital de Meynert. Elle s'entre-croise pa
éoccipital de Meynert. Elle s'entre-croise parfois avec le deuxième
sillon
temporal,' et constitue alors le fuî,cheeiconfl
de Jensen. Une ligne élevée de cette incisure dans la direction du
sillon
occipi- tal antérieur de Wernicke irait rejoind
ccipital des lobes pariétal et temporal. Elle passerait en avant du
sillon
occipital transverse. Il nous faut également
Fiy. 7. Fnce externe. Hémisphère droit. 1, scissure (Je Syl vins ; 2,
sillon
de Z 3, scissure interpariétale; 4, scissure pa
temporal cachée dans ta'profon- deur de la scissure de Sylvius. Ces
sillons
délimitent, deux, trois ou quatre circonvolutio
re que correspond l'incisure préoccipitale, de Scirwalbe (synonyme,
sillon
préoccipital de Meynert). b. La première circon
(Pansch) ; Sulcus occipito-temporalis inferior (Ecker) ; Quatrième
sillon
temporal (Broca) ; Collatéral fissure (Turner)
e de l'asymétrie, notamment des circonvolutions frontales, certains
sillons
se jettent les uns dans les autres, d'autres af
un'défaut d'innervation, elle entraîne une asymétrie permanente des
sillons
, des plis du visage, des traits' en un mot, d'o
ve dans l'hémisphère cérébral gauche; il y a en outre asymétrie des
sillons
et des cir- convolutions des deux hémisphères.
point percuté, il se produit une dépression de la peau, en forme de
sillon
étroit et profond, indiquant la contraction du
oyen une petite dé- pression. La protubérance parait symétrique; le
sillon
médian a une largeur d'au moins deux millimètre
normal, mais sont plus élémentaires que 'celles du côté opposé; les
sillons
, sauf les principaux, sont très superficiels. L
remière circonvolution temporale est parfaitement distincte avec un
sillon
assez profond, mais la seconde n'est séparée de l
ntale (supérieure).- Le lobe paracentral est bien développé avec un
sillon
médian central. Le lobe carré est large et para
rconvolution frontale ascendante est bien développée, régulière. Le
sillon
de Rolando est normal. La EPILEPS1E JACKsON'XlK
conique vers le fond de la scissure de Sylvius. Ce pli présente un
sillon
longitudinal assez superficiel. : 1 un centimèt
on frontale est double, mais interrompue à sa partie moyenne par un
sillon
perpendicu- laire (PL. IX, s); elle se termine
Le lobule paracentral est volumineux, presque coupé en deux par un
sillon
vertical. Le lobe carré (L Q), le coin (L C), le
, Marshall). Synonymie : scissure festonnée (Pozzi) ; Balkenfurche (
sillon
du corps calleux (Ecker); Sulcus medialis front
is (Pansch) ; Scissure du cor-pus calleux (Huxley, Bischoff); Grand
sillon
du lobe fronto-par létal (Gratiolet); Scissure
ure sous-frontale (Broca). Elle commence en arrière de l'encoche du
sillon
de Rolando, sous le nom de scissure fronto-pari
(incisure préovalaire de Broca) ; mais il est à remarquer que ce
sillon
est le plus souvent séparé de la scissure calloso
calloso-marginale, au Fig. 11.- Face interne. Hémisphère gauche. 1,
sillon
de Rolando ; 2, scis- ' sure fronto-pariétale i
our rejoindre la scissure fronto- pariétale, projette en arrière un
sillon
qui va horizontalement presque jusqu'à la sciss
u'à la scissure perpendiculaire interne (pariéto-oc- cipitale) ; ce
sillon
appartient à l'avant-coin et, comme le plus hab
se de l'avant-coin. On peut avec les mêmes restrictions regarder le
sillon
sus-orbitaire, et les incisures sus-orbitaires
on s'établirait aisément à propos de la dénomina- tion de scissure,
sillon
du corps calleux (Ecker, Huxley, Bis- chofl). S
e appartient à la frontale ascendante seule, parce que l'encoche du
sillon
de Rolando est très rapprochée du sillon callos
le, parce que l'encoche du sillon de Rolando est très rapprochée du
sillon
calloso-marginal. D'après cet auteur, la pariét
du manteau des circonvolutions, entre les extrémités supérieures du
sillon
de Rolando et du sillon calloso-marginal. 3) 4
utions, entre les extrémités supérieures du sillon de Rolando et du
sillon
calloso-marginal. 3) 4 REVUE CRITIQUE. Au-des
Partie du gyrus ci ? zguli (Pansch). Selon que les quelques petits
sillons
que nous avons déjà mis en relief à propos de l
plus ou moins parfaite. Nous en avons déjà touché un mot. Un de ces
sillons
a reçu de Broca le nom de scissure sous-pariéta
étale (sitleus subpanielala's). Quand il ne rejoint pas en avant le
sillon
callosomarginal, on constate l'existence du pli
du corps calleux. C'est Fig. 12. Face interne. Hémisphère droit. 1,
sillon
de Rolando; 2, scis- sure fronto-pariétale inte
du lobe frontal) ; sulcus sub- parielalis (région de l'avant-coin);
Sillon
occipito-temporal in- férieur (Ecker), (entre l
deux circonvolutions concentriques séparées l'une de l'autre par le
sillon
du corps calleux de Schwalbe et la scissure des
directe avec la pariétale ascendante, par suite de l'abouchement du
sillon
prérolandique avec le sillon de Rolando ; le si
endante, par suite de l'abouchement du sillon prérolandique avec le
sillon
de Rolando ; le sillon prérolandique coupe par
'abouchement du sillon prérolandique avec le sillon de Rolando ; le
sillon
prérolandique coupe par conséquent la frontale
ale ascendante. En arrière de la pariétale ascendante, on trouve un
sillon
profond qui représente l'extrémité du sillon ca
cendante, on trouve un sillon profond qui représente l'extrémité du
sillon
calloso-marginal anormalement long sur la surface
lon calloso-marginal anormalement long sur la surface con- vexe. Le
sillon
interpariétal, très peu accusé, affecte une orien
lètement séparé, à la face externe, du lobe occipital, par un grand
sillon
perpendiculaire qui constitue en somme le prolo
e perpendiculaire externe, comme en témoignent ses rapports avec le
sillon
iiiterpai-iétal, la scissure parallèle, le sillon
rapports avec le sillon iiiterpai-iétal, la scissure parallèle, le
sillon
occipital transverse, ainsi que sa direction su
ure située en arrière de la scissure pariéto-occipitale, non pas le
sillon
occipital transverse, mais bien une scissure repr
re perpen- diculaire externe), qui se confond assez souvent a\ec le
sillon
occipital externe de Meynert si fréquemment abs
appé de la brièveté de la crête occipitale interne, de l'absence du
sillon
transverse et de la force des sillons destinés au
itale interne, de l'absence du sillon transverse et de la force des
sillons
destinés aux sinus occipitaux postérieurs dilat
sch, Hitzig et Ferrier, si l'on ignore la disposition des plis et des
sillons
sur la substance grise du lobe pariétal et des
rveau du singe magot (Pithecus Innuus), (D'après Broca et Gromier).
Sillons
: s r, sillon de Rolando ; —s c f, sillon courbe
magot (Pithecus Innuus), (D'après Broca et Gromier). Sillons : s r,
sillon
de Rolando ; —s c f, sillon courbe frontal s s',
après Broca et Gromier). Sillons : s r, sillon de Rolando ; —s c f,
sillon
courbe frontal s s', scissure de Sylvius ; — s p
s', scissure de Sylvius ; — s p e, scissure perpendiculaire externe (
sillon
pariéto-occipi-tal externe) ; — sp, scissure para
vements des oreilles et l'audition^ ce qui concerne les plis et les
sillons
fondamentaux, et telle disposition, qui paraît en
qu'une moindre importance. On aperçoit, en premier lieu, deux long
sillons
: l'un est le sillon de Rolando (sr), l'autre (ss
ance. On aperçoit, en premier lieu, deux long sillons : l'un est le
sillon
de Rolando (sr), l'autre (ss) la scissure de Sylv
sillon de Rolando (sr), l'autre (ss) la scissure de Sylvius. Ces deux
sillons
fondamentaux convergent en un point et délimitent
ppelle les plis de passage qui comblent plus ou moins complètement ce
sillon
. Le lobe pariétal et le lobe sphénoïdal se dist
, qui portent le nom de plis ou circonvolutions, par des scissures ou
sillons
de deuxième ordre. Lobe frontal. — Le sillon pr
par des scissures ou sillons de deuxième ordre. Lobe frontal. — Le
sillon
prœcentral ou sillon courbe frontal (se f) limite
sillons de deuxième ordre. Lobe frontal. — Le sillon prœcentral ou
sillon
courbe frontal (se f) limite en avant, surle lobe
par les centres moteurs (A) du membre supérieur du côté opposé. Des
sillons
perpendiculaires à la direction du précédent di-v
e, à cause de sa connexité avec le pli (pc) du même nom ; 3° enfin un
sillon
, plus marqué chez les singes supérieurs, isole de
ité temporaire dans l'œil du côté opposé (F). Lobe occipital. —- Un
sillon
transverse partage ce lobe en deux étages. Nous n
vérité {Fig. 3) Vous y retrouvez la scissure de Sylvius (s s) et le
sillon
de Rolando (R), circonscrivant en bas et en arriè
ariétal et sphenoidal. Vous pouvez distinguer aisément enarrière du
sillon
de Ro-lando, entre ce sillon et la scissure inter
pouvez distinguer aisément enarrière du sillon de Ro-lando, entre ce
sillon
et la scissure interpariétale (ip), la cir-convol
, Messieurs, autour du lobe pariétal, de la scissure de Sylvius et du
sillon
de Rolando, un certain nom-bre de points de repèr
n des éléments eux-mêmes, dans cha-cune des régions que dessinent les
sillons
fondamentaux à la surface des hémisphères. Il e
phères, deux régionsfonda-mentales qui sont à peu près limitées parle
sillon
de Rolando. En avant de ce sillon, l'écorce gri
ui sont à peu près limitées parle sillon de Rolando. En avant de ce
sillon
, l'écorce grise est caractérisée par laprédominan
upe de la troisième circonvolution frontale, coupe prise au fond d'un
sillon
de séparation. Pour établir un contraste, je cr
dans toute l'étendue des régions de l'hémisphère, situées en avant du
sillon
de Rolando, et un peu en arrière de lui dans une
qui sont circonscrites par l'extrémité postérieure du lobe et par un
sillon
qui délimite en arrière une région parfaitement d
— Spo, Scissure pariéto-occipitale ; — Se Scissure calearine ; — S/,
Sillon
transversal du lobule paracentral ; — S?*, Extrém
naissance nous est maintenant familière, et suivons, en remontant, le
sillon
de Rolando jus-qu'à son extrémité la plus interne
le sillon de Rolando jus-qu'à son extrémité la plus interne (Sr). Ce
sillon
s'arrête quelquefois un peu en dedans de la sciss
olution pariétale ascen-dante) ; en bas, par la partie horizontale du
sillon
calloso-marginal (Scm), sillon qui le sépare de l
; en bas, par la partie horizontale du sillon calloso-marginal (Scm),
sillon
qui le sépare de la circonvolution dite du corps
volution dite du corps calleux (gyrus fornicatus) ; — en avant par un
sillon
, en général peu profond, mais qui, se continuant
, dont le plus grand diamètre est d'avant en ar-rière. En général, un
sillon
peu profond (S£), situé à égale distance du bord
on frontale (C F) ; 2° au-dessous, et séparée de la précédente par le
sillon
calloso-marginal, est la circonvolution du corps
hes qui méritent chacune un nom particuler. Ces bran-ches suivent les
sillons
qui séparent les circonvolutions de l'insula auxq
1874, p. 312. très se distribuent sur les deux versants ou dans le
sillon
de séparation. Les artères du sommet sont vertica
es artères du versant sont obliques ; celles qui occupent le fond des
sillons
se montrent de nouveau verticales. Ces artères pé
11. —1, 1, Artères médullaires. — 1' Groupe d'artères médullaires du
sillon
situé entre deux circonvolutions voisines.— 1" Ar
l. — S, fin de la branche hori-zontale de la scissure de Sylvius. — G
sillon
central. — A. circonvolution centrale antérieure.
rconvolutions frontales supérieure, moyenne et inférieure. — F1, f 2,
sillons
frontaux supérieur et inférieur. — f 3, sillon fr
nférieure. — F1, f 2, sillons frontaux supérieur et inférieur. — f 3,
sillon
frontal vertical (sulcus prsecentralis). — P l, l
lcus calloso-marginalis. —po, po, fissura parieto-occipitalis. — t !,
sillon
temporal supérieur. — 0 première circonvolution o
a partie postérieure. F. circonvolution frontale transverse.— R, R,
sillon
de Rolando.-—P, P,'circonvolution pariétale trans
première circonvolution frontale vue du côté du plan médian. — fin du
sillon
central. — A, circonvolution centrale anté-rieure
kel). — O z, coin (Zwickel). — P o, scissure pariéto-occipitale. — 0,
sillon
occipital transverse. — Oc, fissure calcarinc; o
obulus lingualis). — t 4 sulcus occipito-temporalis inférieur. — t 3,
sillon
temporal inférieur. — t 2, sillon temporal mo /en
cipito-temporalis inférieur. — t 3, sillon temporal inférieur. — t 2,
sillon
temporal mo /en. — po, fissure parieto-occipitali
ingue deux régions : 1° les faisceaux antéro-latéraux, limités par le
sillon
antérieur et le sillon collatéral postérieur ; 2°
les faisceaux antéro-latéraux, limités par le sillon antérieur et le
sillon
collatéral postérieur ; 2° les faisceaux postérie
térieu-res. A peine prend-on en considération l'espace limité par les
sillons
intermédiaires postérieurs. b) La méthode expér
en deux parties bien distinctes. C'est ainsi que la partie voisine du
sillon
postérieur, à savoir les cordons de Goll, peuvent
etc. Leipzig, 1875. rieure des faisceaux latéraux, au voisinage du
sillon
médian une lésion nettement circonscrite. La lési
araît avoir son centre de formation, et s'avance dans la direction du
sillon
de Rolande L'autre forme une espèce d'anse blan-
e forme une espèce d'anse blan- che circonscrivant la dépression du
sillon
de Rolando au-des-sous de l'écorce grise (M. Parr
ion pariétale ascendante. Elles sont séparées l'une de l'autre par un
sillon
que, depuis Leuret (1839), on appelle le sillon d
une de l'autre par un sillon que, depuis Leuret (1839), on appelle le
sillon
de Rolando. Sur la face externe de l'hémisphère e
'épaisseur de la Fin.59.— Cerveau du chien (lac©supérieure).— S.Cr,
sillon
crucial. —G. S, gyrus sygmoïde (région des circon
E,circonvolution frontale ascendante. — F, pariétale ascendante. — G,
sillon
de Rolando — H, segment antérieur de la capsule.
u faisceau de Burdach. ^D$isron ultérieure des deux appareils par les
sillons
postérieurs intermé-diaires de Sappey. Structur
c'est-à-dire qu'ils sont, à ce niveau, limités de chaque côté par les
sillons
postérieurs intermédiaires (Sappey.) Voilà pour
des parties avoisinantes, grâce à la plus grande profondeur des deux
sillons
postérieurs intermé-diaires. Je tiens encore à vo
régions motrices du chien sont, en quelque sorte, groupées autour du
sillon
crucial et elles occupent, pour la plupart, une
, elle devient per-manente. La commissure labiale est très élevée, le
sillon
naso-labial se creuse, l'œil même paraît quelquef
à première vue, ce genre de ma-ladie. Des rides en grand nombre, des
sillons
profondément creusés, et particulièrement les sil
and nombre, des sillons profondément creusés, et particulièrement les
sillons
naso-labiaux, ainsi que ceux delà région frontale
des coupes pratiquées, après durcissement dans l'acide chromique. Les
sillons
com-pris entre les circonvolutions frontales et o
rconvolutions frontales et occipitales étaient grêles et durs, et les
sillons
précentral et central très larges et très profond
aisceau de Burdach. — Division ultérieure des deux appareils parles
sillons
postérieurs intermé-diaires de Sappey. Structur
sa constitution, 135; — ses fibres postérieures, 139. Crucial. (V.
Sillon
.) CrUSTA. (V. PrBD du pédoncule.) d Decussa
orium commune, 42, 109. Signe du tendon. (V. Phénomène du genou.)
Sillon
de Rolland, 14. Sillon crucial, 31, 235, 277.
Signe du tendon. (V. Phénomène du genou.) Sillon de Rolland, 14.
Sillon
crucial, 31, 235, 277. Sillons postérieurs inte
du genou.) Sillon de Rolland, 14. Sillon crucial, 31, 235, 277.
Sillons
postérieurs intermédiai-res, 268. Spasmodiques.
ppui aux vaisseaux et aux nerfs, qui les contournent en y traçant des
sillons
ou gouttières convertis en canaux par la superpos
a logés dans la gaîne commune, mais seulement pour profiter d'un même
sillon
eelluleux, afin de donner passage à la fois à un
breuse très dense à double compartiment, comme le muscle lui-même; le
sillon
aponévrotique intermédiaire entre les deux faisce
e ceux-ci, franchissant les limites du périoste, se forment, dans les
sillons
celluleux des parties voisines, des trajets fistu
la gaine des vaisseaux fémoraux est placée superficiellement clans le
sillon
des muscles fléchisseurs de la cuisse. Soumise à
ros vaisseaux de l'extrémité cépbalique montent verticalement dans le
sillon
placé entre le sterno-mas-toïdien et la cage du l
aisseaux cervicaux rampent dans les espaces celluleux des muscles. Le
sillon
des gros vaisseaux céphaliques offre beaucoup d'i
actions des membres, les faisceaux vasculaires sont renfermés dans le
sillon
interne commun, d'une grande importance en chirur
a main ou le pied, remonte le long des divisions vasculaires jusqu'au
sillon
principal. La même observation s'applique à toute
s gaines longitudinales, dans l'épaisseur des aponévroses ou dans les
sillons
intermusculaires. En combinant ces rapports avec
anatomique telle que, une congestion étant donnée, par le trajet des
sillons
vasculaires, la direction, l'épaisseur et l'inser
s et veines méningées moyennes, encastrées avec la dure-mère dans les
sillons
du pariétal; 4° Nerfs. Les filets nerveux sont de
aire sous-jacente; elle présente au milieu, à la lèvre supérieure, le
sillon
nasal (philtrum); au contour de l'orifice buccal,
e de bulbes pileux sur le masseter, lisse, mince et unie en regard du
sillon
parotidien. 2° Muscles. Le seul qui existe est en
3° Glande parotide. Elle occupe, dans sa portion la plus épaisse, le
sillon
vertical profond placé entre l'apophyse mastoïde
seaux sanguins et lymphatiques. La région parotidienne loge, clans le
sillon
vertical sous-maxillaire, les gros vaisseaux temp
Latéralement, en arrière, la région sus-hyoïdienne est bornée par le
sillon
dans lequel rampent l'origine des artères carotid
ous-hyoïdien, entre lui et les attaches des scalènes, sont situés les
sillons
verticaux des gros vaisseaux, artère carotide pri
x et de la trachée. Le triangle sous-hyoïdien, avec ses deux grands
sillons
latéraux, est le siège de nombre d'opérations for
nt donner lieu les maladies du corps thyroïde; latéralement, dans les
sillons
verticaux, les incisions pour les abcès, les engo
st importante à reconnaître pour ne pas le léser; (cl) enfin, dans le
sillon
des gros vaisseaux, le pneumo-gastrique, le grand
tion acromio-claviculaire. A l'extérieur la nuque est partagée par le
sillon
vertical qui en sépare les deux moitiés. A la bos
ion des enveloppes fibro-celluleuses des muscles superficiels. Sur le
sillon
moyen le ligament cervical, de nature fibro-cellu
e médiane et postérieure du dos, séparée de sa congénère par le grand
sillon
vertical, au fond duquel se distingue la saillie
t d'avant en arrière entre les régions mammaire et dorsale. Entre les
sillons
du grand pectoral et du sacro-spinal, qui forment
, à la partie supérieure de l'abdomen, séparée de sa congénère par le
sillon
médian de la ligne blanche, elle s'étend de la fo
eur cette région forme deux saillies latérales, comprises entre trois
sillons
verticaux, un médian et deux latéraux ; elle est
as entre les deux lignes précitées, limitée latéralement par les deux
sillons
externes des muscles sterno-pubiens, et partagée
ons externes des muscles sterno-pubiens, et partagée au milieu par le
sillon
vertical médian. Saillante chez l'enfant et chez
, qui constitue le flanc, est limitée transversalement entre les deux
sillons
verticaux du sterno-pubien en avant, et de la mas
crête iliaque ; et, horizontalement elle est comprise entre les deux
sillons
verticaux des bords externes des sacro-spinaux, e
s bords externes des sacro-spinaux, et séparée en deux moitiés par le
sillon
lombaire médian. A l'extérieur, les deux régions
elluleuse sous-cutanée, de texture fibreuse et très adhérente dans le
sillon
vertébral, où elle adhère très intimement au liga
e à l'extérieur, dans les sujets maigres, la double saillie, entre le
sillon
médian de la ligne blanche et les sillons latérau
la double saillie, entre le sillon médian de la ligne blanche et les
sillons
latéraux indiquant les bords externes des deux mu
, et dont les lignes concaves des côtés sont formées en dedans par le
sillon
du bord externe du muscle sterno-pubien , et en d
ulaires ou ellipsoïdes, les sphincters de l'anus et du vagin. Dans le
sillon
qui longe le contour ostéo-fibreux rampent les gr
r de l'orifice anal, et se continue au-delà en s'épaississant dans le
sillon
des fesses. Sur les côtés elle forme les sillons
'épaississant dans le sillon des fesses. Sur les côtés elle forme les
sillons
de flexion intermédiaires du périnée à chacune de
phincter rectal, puis le relevcur de l'anus, qui forme le plancher du
sillon
latéral. En avant, de chaque côté, sont le transv
x. Au milieu cette double région est partagée par les terminaisons du
sillon
vertical du dos au fond duquel saillissent sous l
selle. En travers la direction générale est nettement indiquée par le
sillon
correspondant au bord adjacent du deltoïde et du
e peut les déterminer qu'arbitrairement par deux lignes parallèles au
sillon
cutané principal, l'une 1 Planche i, n° 34; et
pouce en dehors et l'autre à deux ou trois pouces en dedans. Quant au
sillon
lui-même de forme linéaire en bas par le rapproch
Situation, configuration, délimitation. Circonscrite en haut parle
sillon
antérieur du deltoïde, en avant et en dedans par
cale ellipsoïde en saillie, formée par le biceps, inscrite entre deux
sillons
verticaux : l'un, externe, à partir du deltoïde,
indique le trajet des gros vaisseaux cpii y sont contenus. Au-delà du
sillon
interne, plusen arrière, une longue saillie verti
x grandes cloisons d'isolement externe et interne, fixées au fond des
sillons
latéraux, et séparant, en profondeur, la niasse a
interne et le grand courant lymphatique du bras. Profondément dans le
sillon
des gros vaisseaux, se rencontrent le nerf médian
Outre certaines opérations communes à toutes sortes de parties, le
sillon
brachial est particulièrement important eu égard
dans sa portion inférieure aponévro-tique, elle présente en dehors le
sillon
vertical externe, intermédiaire du triceps au bra
iagonale sous le triceps pour apparaître en bas et en dehors clans le
sillon
des supinateurs; le nerf cubital, au contraire, l
que interne pour se diriger clans la coulisse de l'épi trochlée. Le
sillon
latéral externe, en raison de l'éloignement des g
de l'avant-bras. A l'extérieur, le pli du coude est formé par deux
sillons
obliques qui se réunissent inférieurement en V où
érieurement en V où ils se continuent par une dépression médiane. Ces
sillons
indiquent au dehors les limites de la saillie moy
ines et aux nerfs sous-aponévrotiques qui en parcourent l'étendue. Au
sillon
médian aboutit la veine radiale antérieure qui fo
'interne ou basilique et l'externe ou céphaliquc qui montent dans les
sillons
latéraux. Dans son milieu, la médiane céphaliquc
urs. En dedans du tendon, sur le bord interne du biceps, est le grand
sillon
vasculaire au fond duquel est le brachial antérie
rtance à bien connaître au point de vue opératoire de la saignée. Les
sillons
latéraux sont surmontés et protégés par les masse
nerfs principaux figurent en grand nombre dans ce groupe. A partir du
sillon
médian supérieur, l'artère et les veines humé-rai
le pli de l'aine, entre les épines pubienne et iliaque; en dehors le
sillon
externe du fascia lata, étendu de l'épine iliaque
che aponé-vrotique et fémorale du grand fessier, et en arrière par le
sillon
du bord inférieur libre de ce muscle. Inférieurem
a cuisse ; dans cet espace est une légère dépression correspondant au
sillon
des gros vaisseaux. 1 Planche 1 , n° '\g ; et p
edans par le plan du pectine et des deux premiers adducteurs; dans le
sillon
intermédiaire à ces muscles sont logés les gros v
tée en haut et en dedans par le trajet du couturier, en dehors par le
sillon
d'isolement du droit antérieur avec le fascia-lat
fesse et le creux poplité, elle est limitée latéralement par les deux
sillons
externe et interne correspondant en profondeur au
dans le reste de l'étendue de la cuisse ; elle présente au milieu un
sillon
qui représente la séparation des muscles biceps e
point, la saillie de la tubérosité interne du fémur; en avant, par le
sillon
que trace le bord externe du droit antérieur; et,
épression linéaire correspondant en profondeur, sous le couturier, au
sillon
des gros vaisseaux; elle est bombée dans sa porti
deux grandes masses triangulaires, séparées en diagonale par le grand
sillon
vasculaire. Ce sont : en bas et en avant, le vast
nt dans les muscles. Le couturier, par sa position au-devant du grand
sillon
vasculaire, est, en chirurgie, le plus important
es phlegmons, les phlébites et les phlegmasies lymphatiques. Le grand
sillon
vasculaire est le trajet habituel des filtrations
nce du genou à la partie inférieure; transversalement, entre les deux
sillons
qui séparent le vaste externe, en avant, du droit
es saillies charnues du triceps, et dont l'inférieure indique, par un
sillon
circulaire de rétrécissement, la naissance des mu
s poils dans l'homme, parsemée de petites rides transversales dans le
sillon
de flexion au-dessus des jumeaux. 2° Couche sous-
rtagée verticalement par trois saillies musculaires, séparées par des
sillons
d'insertion commune. Parties composantes. i° Pe
péroné et sous la malléole externe. 5° Vaisseaux et nerfs. Au fond du
sillon
inter-osseux sont logées l'artère et les veines t
est le renflement déterminé par les muscles du mollet, séparés par le
sillon
médian des jumeaux; dans la moitié inférieure exi
toyée à son côté externe par le nerf du même nom ; en dehors, dans le
sillon
inter-osseux, l'artère et les veines péronières.
ou sous-cutanée du tibia, elle est limitée latéralement par les deux
sillons
musculaires du jam-bier antérieur et des muscles
colemens dans l'anasarque et les infiltrations purulentes. Le long du
sillon
interne rampe la grande veine saphène et le nerf
vant par la saillie du tendon du jambier antérieur, dont la sépare le
sillon
déprimé intermédiaire à ce tendon et au tibia, el
à dix centièmes de millimètres ou centimillimètres. Ils sont rayés de
sillons
et d'arêtes parallèles, obliques en arrière, du s
, les tissus se refouleront pendant un certain temps, et formeront un
sillon
sous l'instrument qui les comprime avant de se la
degrés : ce point est celui où l'extrémité du manche repose clans le
sillon
interdigital qui sépare le pouce de l'indicateur.
prenant garde (pic le lien ne glisse, pour qu'il trace exactement son
sillon
circulaire suivant le plan sur lequel on veut agi
olles, sur-tout à la cuisse, fait que les doigts tracent en commun un
sillon
courbe; de sorte que l'oblitération du vaisseau n
recte, la bande ou la pelote, en comprimant plus spécialement dans le
sillon
vasculaire, oblitère le vaisseau principal, et pa
(b) Dans le reste de son étendue, où elle est superficielle, dans le
sillon
intermédiaire du biceps, et du brachial antérieur
e petite compresse graduée, doit être en rapport avec l'étroitesse du
sillon
inter-tendineux. L'artère radiale, dans sa portio
e à entretenir propre, offrirait plus de chances de destruction qu'un
sillon
ou une cavité anguleuse dans lesquels séjournent
onde , la saillie de la ligne oblique externe et le rétrécissement du
sillon
inter-génio-gingival augmentent la difficulté de
e fait de leur écoulement, l'inconvénient de tracer sur la partie des
sillons
enflammés qui gênent le malade dans ses mou-vemen
l'artère carotide primitive sont logées plus profondément, dans leur
sillon
, entre les saillies des scalènes en dehors et les
'angle externe de l'orbite. La peau étant coupée d'abord, à partir du
sillon
de l'aile du nez se rencontrent : la veine nasale
stylo-mastoïdien, c'est-à-dire à quatorze lignes de la peau, dans un
sillon
très profond qui renferme la parotide, la veine j
la veine céphalique à sa partie supérieure, par une incision clans le
sillon
compris entre le deltoïde et le grand pectoral. O
le grand pectoral. On fera avec un bistouri convexe, sur le trajet du
sillon
, une incision d'un pouce d'étendue; après avoir d
on marque au besoin le lieu de l'incision par un trait d'encre ou un
sillon
tracé avec l'ongle. Ces dispositions préliminaire
uatre doigts assemblés de la main gauche déprimer suivant la ligne du
sillon
musculaire superficiel, qu'il faut d'abord traver
u sillon musculaire superficiel, qu'il faut d'abord traverser, et, ce
sillon
déterminé, au lieu d'inciser immédiatement, sur l
peau amenée vers soi et dont la section ne serait point parallèle au
sillon
sous-jacent soulever la main et tendre légèrement
ue bout tenu dans la paume de la main. Si l'artère est profonde et le
sillon
étroit, il vaut mieux employer les indicateurs, q
déprimer les chairs le long du bord interne du muscle pour tracer le
sillon
dans lequel on doit inciser suivant la ligne indi
rtie supérieure de la jambe, chercher, à l'œil ou au toucher, soit le
sillon
celluleux soit la ligne fibreuse intcrmusculaire
ur ou mieux avec l'extrémité de la sonde cannelée, introduite dans le
sillon
, séparer les muscles, par la rupture du tissu cel
rupture du tissu cellulaire, en promenant nettement la sonde dans le
sillon
de l'une à l'autre extrémité de la plaie. Faisant
aides intelligcns ; la gaine des vaisseaux doit se montrer au fond du
sillon
. Si elle n'est pas suffisamment découverte, avant
mière incision, on néglige de procéder méthodiquement pour trouver le
sillon
musculaire en partant du tibia, il arrive souvent
l faut revenir alors à un centimètre plus en dedans , pour trouver le
sillon
entre l'extenseur propre et le jambier antérieur.
par le bord du soléaire, la moitié inférieure étant constituée par le
sillon
graisseux intermédiaire de ce bord, continué par
ché rendent tellement difficile la recherche des vaisseaux au fond du
sillon
que c'est presque une manœuvre téméraire ; aussi
uation. Logée profondément à la face postérieure de la jambe, dans le
sillon
qui longe le bord interne du péroné; appliquée en
ral et les péroniers, déprimer avec la pulpe des doigts rassemblés le
sillon
intermusculaire des péroniers et du bord externe
x que forme son bord interne avec le jainbier postérieur ; au fond du
sillon
inter - osseux se trouve la gaîne des vaisseaux r
ales ; le point difficile de l'opération, qui consiste à atteindre le
sillon
profond, persistant quelle que soit la forme de l
e la main gauche rassemblés, reconnaître et déprimer à l'extérieur le
sillon
decartement des muscles jumeaux et la ligne moyen
imètres moins bas, doit être prolongée beaucoup plus haut, suivant le
sillon
cl'écartement des muscles de la cuisse, cle maniè
ule tournée vers l'opérateur, reconnaître avec la pulpe des doigts le
sillon
du jumeau interne en descendant de l'extrémité su
e et l'angle interne du tibia et suivant obliquement en arrière où ce
sillon
est tracé entre le bord interne clu jumeau intern
eau interne et la saillie plus avancée clu soléaire. Sur le trajet du
sillon
tracé par les doigts de la main gauche inciser da
é dit plus haut, reconnaître par t. vi. la pression des doigts le
sillon
sous-cutané, oblique en bas et en dedans, tracé p
émur par une incision verticale au-dessus du condyle interne, dans le
sillon
qui sépare le vaste interne des muscles fléchisse
ètres. Artère fémorale (pl. 39 et 47) '. Situation. Logée dans le
sillon
fémoral profond, intermédiaire des adducteurs au
jusqu'à la partie postérieure en bas. Appliquée profondément dans le
sillon
musculaire , enveloppée avec la veine fémorale et
onnaître avec la pulpe des doigts rassemblés en un plan rectiligne le
sillon
intermusculaire du vaste interne au bord antérieu
avec la sonde cannelée. A ce plan, dans l'étendue de la plaie, est le
sillon
interinusculaire du vaste interne au tendon du gr
de la direction de l'artère à ses battemens. La moitié supérieure du
sillon
, occupée par la gaîne, est grisâtre, molle au tou
étendu de l'aiguille de Deschamps étant difficile à manœuvrer dans un
sillon
aussi étroit pour sa grande profondeur. 2° Liga
turier (partie moyenne de la cuisse). Procédé de M. Roux. Déprimer le
sillon
intermédiaire du bord antérieur du couturier au d
e la cuisse). Procédé de Hanter, modifié par M. Lisfranc. Déprimer le
sillon
oblique intermédiaire du bord interne du couturie
e fémorale et jusqu'à quatre centimètres au-dessous, est logé dans le
sillon
triangulaire intermédiaire du pectine au psoas il
le radius l'artère sensible à ses battemens. Déprimer la peau dans le
sillon
vertical qui longe le tendon du long supinateur e
laie, et inciser l'aponévrose superficielle : on trouve alors à nu le
sillon
intermédiaire du long supinateur en dehors au rad
e inclinaison en dehors, appliquée sur le court supinateur au fond du
sillon
musculaire borné en dehors par le long supinatcur
soit la ligne plus ou moins favorable de l'incision ; parvenu dans le
sillon
intermusculaire des supinateurs et des pronateurs
ale , l'inciser dans l'étendue de la plaie sur la sonde cannelée : le
sillon
intermusculaire mis à découvert, fléchir légèreme
léchisseur sublime, en dedans celui du cubital antérieur : au fond du
sillon
est le faisceau vasculaire; diviser la capsule, d
u, décoller et couper de bas en haut les adhérences fibreuses dans le
sillon
d'intersection des grand et petit palmaires, sens
rtère humérale (pl. 4° ct 4 0 Situation. Logée profondément dans le
sillon
musculaire intermédiaire du coraco-brachial , du
. Tout étant disposé, reconnaître, en palpant avec les deux mains, le
sillon
vasculaire que déborde le biceps , et en particul
t les battemens de l'artère, inciser verticalement à plat, le long du
sillon
, dans une longueur de six à huit centimètres; mai
primée sur la première côte, le chirurgien déprime avec les doigts le
sillon
interne compris entre le coraco-brachial et le tr
avec la pulpe des doigts rassemblés, les tégumens en regard du grand
sillon
intermédiaire du deltoïde au grand pectoral, puis
horizontalement l'attache claviculaire du grand pectoral et, dans le
sillon
tracé, inciser du premier coup la peau et le pann
tre sur le muscle deltoïde , de manière à pouvoir ouvrir largement le
sillon
intermédiaire de ce muscle au bord adjacent du gr
t garde, vers l'angle externe, de diviser la veine céphalique dans le
sillon
deltoïdicn. Dans cette section liera mesure les b
laires étant reconnue, isoler la veine avec la sonde cannelée dans le
sillon
externe qui la sépare de l'artère, la déjeter en
'objet principal de ce procédé est de mettre largement à découvert le
sillon
des vaisseaux : dans cette intention l'auteur pre
ire, il ne s'agit que d'abaisser, à partir de son angle externe ou du
sillon
adjacent du deltoïde au grand pectoral, une autre
it plus haut, reconnaître et déprimer, avec les doigts assemblés , le
sillon
intermédiaire aux scalènes, inciser la peau dans
he antérieure de bifurcation de la carotide primitive, située dans le
sillon
intermédiaire , pour la portion cervicale , au ph
on emploi. Situation des carotides. Placées de chaque côté dans les
sillons
latéraux du cou, de longueur inégale d'un côté à
ympathique ; et à son côté externe le nerf pneumo-gastrique , dans le
sillon
qui la sépare de la jugulaire. De la surface vers
umens du cou: déprimer avec les doigts de la main gauche assemblés le
sillon
intermédiaire du larynx à la trachée en dehors et
e le tissu cellulaire sur le bord du sterno-thyroï-dien et écarter le
sillon
intermusculaire, en se gardant de prendre pour ce
ans; et s'il gêne trop, on le coupe. Alors se présentent : au fond du
sillon
, la gaîne des gros vaisseaux; en dehors et en ava
ans une longueur de six centimètres à partir de la clavicule clans le
sillon
intermédiaire aux deux faisceaux du sterno-mastoï
cellulaire en dehors pour retrouver le sterno-thyroïdien, au fond du
sillon
se trouvent les vaisseaux : mais la plaie n'en es
muscles sterno- hyoïdien et thyroïdien, puis écarter avec le doigt le
sillon
vasculaire et rompre avec ménagement le tissu cel
e, et faire glisser sa courbure pour quelle ressorte en dedans par le
sillon
de la trachée. Dans le cas de M. Mott, ce chirurg
alors le bistouri , écarter, avec le doigt et le bec de la sonde, le
sillon
cellulcux qui sépare le sterno-mastoïdien et les
bord externe du muscle sterno-pubien à sa partie inférieure. Dans ce
sillon
, à cinq centimètres au-dessus de l'arcade crurale
sin. En même temps avec l'indicateur de la main droite suivre dans le
sillon
celluleux le mouvement imprimé pour aller reconna
u trépan, pour la réappliquer ensuite, jusqu'à ce qu'il trouve que le
sillon
pénètre en plusieurs points et que la partie osse
la figure. 14. Vaisseaux péroniers vus à découvert au fond de leur
sillon
. Q. Portion interne de la loge du jumeau interne,
des vertèbres. La minceur de la pelotte permet de l'enfoncer dans le
sillon
intermédiaire du sterno-mastoïdien en dehors, au
7. Section du nerf sous-orbitaire par l'incision en dedans au fond du
sillon
labio-gingival. Figure 8. Arrachement de l'ongl
!) Saignée de la céphalique au-dessous du tendon du deltoïde, dans le
sillon
vertical intermédiaire du biceps et du brachial a
tissu cellulaire, en continuant d'écarter pour mettre à nu le fond du
sillon
où se trouve la gaine des vaisseaux. Si la sonde
e l'artère. — 7. Nerfs du plexus brachial qui limitent en dehors le
sillon
de l'artère. — 8. Artère sous-clavière, engagée d
gmens en sont renversés en dehors, de manière à dégager et montrer le
sillon
de la carotide dans le point où s'en fait la liga
aison, lorsque le couteau opère la section des tégumens en suivant Je
sillon
digital plantaire de chacun des orteils. e, f,
umé, i° le sommet des plis répond au limbe des feuillets fibreux; les
sillons
plus ou moins profonds qui séparent les plis corr
ication, on peut déterminer leur position et leur figure. Parmi les
sillons
qui séparent les processus entéroîdes. Rolando si
rf olfactif sur les parties orbitaires des lobes frontaux. Quelques
sillons
du lobe postérieur méritent une attention particu
sur la face interne, derrière la circonvolution crêtée. Un troisième
sillon
existe sur cette face interne; il se dirige, en a
postérieur. C'est ainsi qu'il signale, sur le lobe antérieur, I** le
sillon
du nerf olfactif et ses deux circonvolutions marg
tales de M. Cruveilhier.) Entre ces deux circonvolutions il existe un
sillon
qui les sépare dans toute leur longueur, et dont
i constante que celle de la scissure de Sylvius. M. Leuret donne à ce
sillon
le nom de sillon de Rolando (1). En arrière et
elle de la scissure de Sylvius. M. Leuret donne à ce sillon le nom de
sillon
de Rolando (1). En arrière et au détour de la s
singulièrement la valeur de certains caractères, par exemple celle du
sillon
de Rolando, qui, loin d'exister dans tous les Sin
du Callitriche sont très-simples, assez larges, à peine flexueux; les
sillons
qui les séparent sont, en général, très-profonds
a scissure de Sylvius. Le lobule frontal est limité en arrière par un
sillon
ascendant qui, dans le Callitriche, naît au-dessu
guerons, en premier lieu, les deux plis longitudinaux qui limitent le
sillon
du lobe olfactif. Ces deux plis sont beaucoup moi
rrière. En second lieu, plusieurs plis irréguliers séparés par deux
sillons
longitudinaux, réunis le plus souvent en forme d'
eux sillons longitudinaux, réunis le plus souvent en forme d'H par un
sillon
transversal. Ces plis offrent des variétés si nom
tants. Les deux plis ascendants sont séparés l'un de l'autre par un
sillon
très-profond. Ce sillon, auquel M. Leuret a donné
scendants sont séparés l'un de l'autre par un sillon très-profond. Ce
sillon
, auquel M. Leuret a donné le nom de sillon de Rol
un sillon très-profond. Ce sillon, auquel M. Leuret a donné le nom de
sillon
de Rolando, est facile à reconnaître dans tous le
, forment, le plus souvent, trois étages superposés, séparés par deux
sillons
parallèles. Nous distinguerons. 1" Le pli inf
ucoup de cas, et cela a particulièrement lieu dans le Callitriche, le
sillon
parallèle remonte beaucoup plus haut que la sciss
a scissure de Sylvius forme un tel angle avec la partie supérieure du
sillon
parallèle, qu'elle semble se continuer avec lui e
proximatives. § XL PLIS DE LA FACE INTERNE. FIGURE 3. Parmi les
sillons
qui séparent ces plis, nous distinguerons deux sc
Le lobe fronto-pariétal est divisé en deux plis fort simples par un
sillon
CC—ica, dont la direction reproduit assez fidèlem
n reproduit assez fidèlement la courbe du corps calleux. En avant, ce
sillon
est toujours interrompu dans le Callitriche. Nous
est toujours interrompu dans le Callitriche. Nous le nommerons grand
sillon
du lobe fronto-pariétal. L'un des deux plis que c
erons grand sillon du lobe fronto-pariétal. L'un des deux plis que ce
sillon
distingue confine au corps calleux; au-dessus du
ndante du pli courbe est plus large et peut être divisée par un petit
sillon
. En soumettant ces prévisions au jugement des n
rpendiculaire externe. Ce lobule est subdivisé très-élégamment par un
sillon
assez compliqué, qui sépare deux plis, l'un exter
résente plusieurs incisures parallèles au milieu desquelles domine le
sillon
qui sépare l'étage moyen 10 de l'étage supérieur
terne compris entre ces deux scissures est triangulaire et couvert de
sillons
peu profonds. Le lobule quadrilatère est très-gra
nde facilité, 1"* le lobule orbitaire, remarquable par la grandeur du
sillon
olfactif; 2*" le pli frontal inférieur ou pli sur
es, est triangulaire et irrégulièrement divisé par un petit nombre de
sillons
peu profonds. On remarque que ce lobule est, re
ges sont, d'ailleurs, assez faciles à distinguer dans VAtèle. 3° Le
sillon
qui limite en arrière le premier pli ascendant es
resque égale à la longueur de la portion externe de la scissure. Deux
sillons
assez profonds divisent ce pli : l'un, supérieur,
scissure longitudinale du lobe fronto-pariétal est empennée de petits
sillons
qui viennent s'y perdre. Quant aux plis du lobe o
profondément divisé, en arrière, par la scissure des hippocampes. Un
sillon
assez marqué sépare les plis ou plutôt la face in
rne. Tels sont les plis des Callithrix. Dans l'Aote Douroucouli, le
sillon
du pli courbe manque ou paraît manquer. Le pli ma
tis, sauf la scissure de Sylvius, qui existe encore, il n'y a plus ni
sillons
ni incisures, et la surface du cerveau est tout à
rveau des dernières, et en dessinant sur le cerveau des dernières les
sillons
et les plis que le type commande on reproduirait
u moins profondes; nous donnons à ces vallées le nom de scissures, de
sillons
, d'incisures, suivant leur ordre de grandeur. Qua
isons le lobe frontal en deux lobules : le lobule orbitaire, dont les
sillons
, à l'exception du sillon qui loge le lobe olfacti
eux lobules : le lobule orbitaire, dont les sillons, à l'exception du
sillon
qui loge le lobe olfactif, sont très-irréguliers,
temporal moyen. Ce pli est séparé du pli tem poral supérieur par un
sillon
très-profond, le sillon parallèle ; le pli tempor
st séparé du pli tem poral supérieur par un sillon très-profond, le
sillon
parallèle ; le pli temporal moyen fait suite à la
convolution fion- z taie (Fi) est assez développée et sinueuse; ses
sillons
sont superfi- ciels ; elle aune seule insertion
ez volumineux, re- montant le long de la frontale ascendante. - Les
sillons
qui sé- parent les circonvolutions frontales so
rontale ascendante (Fa) est très irrégulière, coupée en deux par un
sillon
transversal, profond, entre les deux extrémités d
ond, entre les deux extrémités du crochet qui la rattache à Fi . Le
sillon
de Rolando est profond. - La pariétale ascendan
de particulier. Les plia pariétaux supérieur et inférieur ont des.
sillons
superfi- ciels ; le premier est assez gros; le
nt les deux tiers de la hauteur; l'antérieur vient s'ouvrir dans le
sillon
calloso-marginal; le postérieur, dépas- sant le
aux, en partie confondus; son insertion, petite, se fait au fond du
sillon
qui la sépare de la front.ale ascendante. Entre s
r rapport aux parties voisines. Ftt est volumineuse et sinueuse. Le
sillon
de Rolando est profond. Toute la partie de l'
hémisphère que nous venons de décrire et qui est située en avant du
sillon
de Rolando présente des circonvo- lutions qui o
est plus de même de toute la portion de l'hémisphère postérieur au
sillon
de Rolando. La pariétale ascendante est plissée
a face convexe; ils le sont à peine sur les faces qui répondent aux
sillons
. Toutes ces circonvolutions ont des bords tranc
rès irr-éulier, petit; son sil- lon est vertical et s'ouvre dans le
sillon
calloso-mtrgiiial.-Le lobe quadrilatère est aus
ale as- cendante. Celle-ci est très plissée et bien développée.- Le
sillon
de Rolando est profond. La pariétale ascendante
endante, un peu irrégulière, offre à sa partie moyenne une sorte de
sillon
transversal incom- plet. Le lobule pariétal sup
. Le lobule pariétal supérieur a la forme d'un quadrilatère avec un
sillon
en forme d'x; le lobule pariétal inférieur est ré
trois centimètres, l'aspect du lobe quadrilatère, en ce sens qu'un
sillon
assez superficiel d'ailleurs le sépare de la pa
la partie postérieure de ces deux circonvolutions. Il n'y a pas de
sillon
c(illoso-inÉtî,gii2ttl. Le lobe })(l1'accntml for
s descendantes aboutissent au corps calleux et sont séparées par un
sillon
assez profond qui, lui aussi, aboutit au corps
lleux. - Le lobe quadrilatère, moitié plus long que large, offre un
sillon
supérieur transversal et un sillon vertical qui
ié plus long que large, offre un sillon supérieur transversal et un
sillon
vertical qui aboutit au corps calleux. - Le coi
artie horizontale se confond en arrière avec le lobe occipital. Les
sillons
sont assez profonds sur la face convexe, et en
unies par un pli de passage à un centimètre du bord supérieur. - Le
sillon
de Rolando est profond. La pariétale ascendante
tale, celle du corps calleux et le lobule paracentral ; absence du
sillon
DU MÉRYCISME. 73 calloBo-rr¡(l1'rrinal. Même
rge de deux centimètres et se termine par un seul ongle, offrant un
sillon
médian, indice de la réunion anormale. On ne se
ie-mère ne lui adhère qu'à son extrémité tout à fait inférieure. Le
sillon
de Rolando est assez profond et normal. La circ
r- geur de la partie correspondante de la frontale ascendante. Le
sillon
qui limite en arrière la pariétale ascendante, pr
st petit, écrasé, presque aussi large à la racine qu'à la base. Les
sillons
naso-labiaux sont très accusés quand l'enfant p
la scissure de Sylvius et qui forment deux groupes (L M, L P). Un
sillon
assez profond, s s, sépare les deux groupes, ta
olutions qui constituent chaque groupe ne sont séparées que par des
sillons
superficiels. Hémisphère droit. Face inférieure
s deux côtés aussi, les circonvolutions sont tassées, accolées; les
sillons
ressemblent par consé- quent à des lignes ; sau
des lignes ; sauf sur les lobes frontaux où un cer- tain nombre de
sillons
sont sinueux, la plupart des autres sont rectil
- f h, foyer hémorrhagique. 128 DESCRIPTION DES CIRCONVOLUTIONS.
sillons
, au lieu d'être réduits, comme à la base, à de si
enne des deux tiers antérieurs de la face convexe ; en arrière, les
sillons
sont peu larges, mais profonds. Enfin, le long
ng des deux tiers antérieurs du bord supérieur de l'hémisphère, les
sillons
sont si effacés et les circonvolu- tions si apl
volution large, amincie, divisée en trois parties par deux larges
sillons
et qui paraît répondre à la fois à la première ci
du corps calleux (fig. 3, F.). Nous n'avons pas trouvé d'indice du
sillon
calloso-marginal, à moins que l'on ne regarde c
calloso-marginal, à moins que l'on ne regarde comme tel, le second
sillon
vertical fzg. 3, s s.); dans cette hypo- thèse,
eux. En arrière existe une circonvolution allongée, aplatie, sans
sillon
, qui est peut-être le lobe paracentral (fig. 3,
entre ouale, l'amincissement du corps calleux, l'agrandissement des
sillons
au niveau de la face convexe des hémisphères, l
imètre pour la 3°, 1 cent. 5, pour la 2e, 2 cent. pour la 1 r.), un
sillon
transver- sal qui les divise en deux parties :
éveloppement, sans lésion ap- parente, mais assez plissées avec des
sillons
assez profonds ; l'autre postérieure, comprise
des sillons assez profonds ; l'autre postérieure, comprise entre ce
sillon
transversal et le sillon qui précède la frontal
; l'autre postérieure, comprise entre ce sillon transversal et le
sillon
qui précède la frontale ascendante, où les circon
n développées. Frontale et pariétale as- cendantes bien conformées.
Sillon
de Rolando normal. Le lobule de l'insula présen
égulier, mais assez gros ; le lobe carre est assez volumineux ; ses
sillons
sont relativement superficiels. Le coin est peu
e nous avons indiquée; elles sont bien plissées et séparées par des
sillons
assez profonds; leurs attaches 111 ABCÈS DU FUI
lutions fl'ontale etpai'iétale wsæ/t- ' dantes normales, sinueuses.
Sillon
de Rolando, rien de particulier. Le lobule de l
stinctes et séparées au-dessus et au-dessous de la commissure par des
sillons
plus ou moins profonds, selon les espèces. Le sil
missure par des sillons plus ou moins profonds, selon les espèces. Le
sillon
qui est au côté ventral est désigné par les auteu
on qui est au côté ventral est désigné par les auteurs sous le nom de
sillon
médian antérieur ; celui qui est au côté dorsal e
nom de sillon médian antérieur ; celui qui est au côté dorsal est le
sillon
médian postérieur. En créant ces dénominations on
ces dénominations on a eu égard à l'attitude verticale de l'homme. Le
sillon
médian antérieur est le seul dont on n'ait point
ontesté l'existence; quelques auteurs ne reconnaissent point celle du
sillon
postérieur. Suivant quelques autres, il est oblit
endue de la région cervicale, qu'au premier abord on pourrait nier le
sillon
, et conclure à l'existence d'un canal. Mais un ex
ndices de division longitudinale. Nous signalerons en premier lieu un
sillon
longitudinal et parfaitement tracé qui divise cha
trois cordons principaux. L'antérieur, le moyen, le postérieur; deux
sillons
longitudinaux distinguent ces cordons. L'un d'eux
udinaux distinguent ces cordons. L'un d'eux, assez mal défini, est le
sillon
latéral antérieur auquel sont attachées les racin
naux. L'autre, plus profond et tracé d'une manière plus ferme, est le
sillon
latéral postérieur. Les filaments des racines pos
e. En certaines régions ils semblent ne point border immédiatement le
sillon
médian postérieur; un petit funicule accessoire f
ostérieur; un petit funicule accessoire forme dans ce cas la marge du
sillon
. Tels sont les funicules grêles de certains aut
ieurs. Peut-être serait-il mieux de les nommer funicules marginaux du
sillon
médian postérieur. Que sont ces funicules? sont
n caudale, se rapprochent de plus en plus et bordent immédiatement le
sillon
médian postérieur au niveau de la région dorsale.
égion cervicale, et leurs tiactus singulièrement amoindris forment au
sillon
postérieur une bordure très-mince, sur les côtés
épinière. Nous reviendrons d'ailleurs sur ce sujet intéressant. Les
sillons
, qui dans chacune des moitiés de l'axe médullaire
doivent être considérés avec beaucoup d'attention. C'est en effet aux
sillons
latéraux que correspondent les racines des nerfs.
ffet aux sillons latéraux que correspondent les racines des nerfs. Au
sillon
mal défini que l'on désigne sous le nom de sillon
cines des nerfs. Au sillon mal défini que l'on désigne sous le nom de
sillon
latéral antérieur, se rattachent les racines anté
al antérieur, se rattachent les racines antérieures de ces nerfs ; au
sillon
latéral postérieur sont attachées leurs racines p
ins lieux, saillie à la surface de la moelle, et se montre au fond du
sillon
latéral postérieur sous la forme d'une traînée gr
nd au bord postérieur de la région de la protubérance annulaire. Un
sillon
médian divise la face antérieure du bulbe en deux
an divise la face antérieure du bulbe en deux moitiés symétriques. Ce
sillon
, beaucoup moins profond que le sillon médian de l
en deux moitiés symétriques. Ce sillon, beaucoup moins profond que le
sillon
médian de la moelle épinière, en est la suite et
es. Ainsi ces cordons antérieurs écartés par elles ne bordent plus le
sillon
médian, et cheminent au côté externe des pyramide
équent il occupe un espace qui est, dans le bulbe, la continuation du
sillon
latéral postérieur de la moelle épinière. Ce tube
substance blanche formée de fibres transversales juxtaposées, qui, du
sillon
médian antérieur du bulbe, d'où elles semblent na
exe ; on y distingue : a) Une vallée médiane qui suit la direction du
sillon
médian antérieur. b) Aux côtés de cette vallée,
s d'enroulement et le cornet fibreux de l'éventail ; sur le milieu le
sillon
médian du bulbe, la vallée de la protubérance, l'
ssez étroit, concave, et au fond de sa concavité existe la trace d'un
sillon
médian. La substance qui en forme le fond est d'u
la face postérieure de la commissure du bulbe. On y remarque : 1° un
sillon
médian très-régulier; 2° de chaque côté de ce sil
remarque : 1° un sillon médian très-régulier; 2° de chaque côté de ce
sillon
, deux tractus gris étroits, en dehors desquels so
s stries blanches obliques qui s'implantent d'avant en arrière sur le
sillon
médian. Les anciens anato mistes aimaient les c
e là ce nom fameux de calamus scriptorius. La tige de la plume est le
sillon
médian. Ses barbes sont les stries blanches obliq
ceaux sous le nom de faisceaux triangulaires latéraux de l'isthme. Un
sillon
bien distinct (sillon latéral de l'isthme) les di
aisceaux triangulaires latéraux de l'isthme. Un sillon bien distinct (
sillon
latéral de l'isthme) les distingue du pédoncule c
s juxtaposés, dont les grands axes divergeraient symétriquement. Deux
sillons
, disposés en croix, séparent ces quatre masses l'
tubercules antérieurs qu'il sépare des postérieurs. Dans le fœtus, ce
sillon
n'apparaît qu'assez tard, et longtemps après le l
tubercules testes, descend obliquement et d'arrière en avant vers le
sillon
latéral de l'isthme, en formant avec lui un angle
région superficielle du faisceau olivaire. Au point où elle touche au
sillon
latéral, on la voit se terminer dans un tubercule
distinct, s'enroule sur le bord externe de la couche optique, dans un
sillon
qui la sépare du corps strié. Ce faisceau, connu
vermis latéraux. La surface entière du cervelet est divisée par des
sillons
dont le sens est en général transversal, eu égard
est en général transversal, eu égard à la direction des parties. Ces
sillons
, très-rapprochés, séparent des feuilles', un grou
irection des feuilles est dans certains endroits parallèle aux grands
sillons
qui séparent les lobes. Dans le corps du cervelet
deux groupes sont séparés par une anfractuosité verticale, qui est le
sillon
de Rolando. L'antérieur est le lobe frontal, le p
inges, que la nature du sujet nous oblige à prendre ici pour type, un
sillon
ou plutôt une scissure verticale profonde sépare,
n de semblable chez les autres mammifères. B. Du lobe frontal. Le
sillon
de Rolando sépare ce lobe d'avec le lobe pariétal
al. Le sillon de Rolando sépare ce lobe d'avec le lobe pariétal. Ce
sillon
est compris entre deux circonvolutions ascendante
termine dans le pli frontal ascendant. Ce pli qui limite en avant le
sillon
de Rolando, est extrêmement remarquable par le
arieiai. Ce lobe situé au-dessus de la scissure de Sylvius entre le
sillon
de Rolando et la scissure perpendiculaire externe
plis, savoir : 1° un pli ascendant, qui forme la marge postérieure du
sillon
de Rolando; 2° un pli courbe. Ce pli, dans les si
phénoïdal. Si l'on prend comme point do départ de sa description le
sillon
de Rolando, on peut constater entre les parties a
rigoureusement comprise entre deux limites dont l'une est le fond du
sillon
antérieur, et l'autre la paroi antérieure du vent
th the cerebellum (Philos, trans., 183G, t. GXXV1). gent du fond du
sillon
médian antérieur, enveloppent de chaque côté les
restiforme, par des pressions et des tractions légères en partant du
sillon
latéral postérieur. On découvre aisément ainsi la
ôté du raphé entre les deux faisceaux antérieurs, émergent du fond du
sillon
médian antérieur, passent derrière et devant la p
rciformes composent des plans très-minces ; elles émergent du fond du
sillon
médian et se portent de chaque côté vers le cerve
res, et s'enroulent, ainsi que nous l'avons déjà dit, en suivant le
sillon
qui sépare la couche optique du corps strié inter
uivant le sillon qui sépare la couche optique du corps strié interne,
sillon
au fond duquel est le tœnia semicircularis. 2°
rattachent à la moelle épinière; la racine antérieure pénètre dans le
sillon
latéral antérieur de la moelle, elle ne porte poi
n ganglion, de là le nom de racine ganglionnaire; elle se rattache au
sillon
latéral postérieur de la moelle et plonge dans l'
lle et plonge dans l'arête grise gélatineuse qui occupe le fond de ce
sillon
. Les meilleurs anatomistes n'allaient guère au de
B. Racines postérieures ou ganglionnaires. Elles plongent dans les
sillons
laléro-postérieurs de la moelle. Leurs fibres son
g. Ce nerf émerge des cordons moyens du bulbe, dans le voisinage du
sillon
latéral postérieur, par un certain nombre de file
dans ( et un peu d'arrière en avant. A mesure qu'elle s'approche ( du
sillon
médian, elle devient de plus en plus superficiell
gélatineuse qui occupe, dans toute l'étendue de la moelle, le fond du
sillon
latéral postérieur. Ainsi cette racine du trijume
t sur une ligne fictive qui, dirigée un peu en avant, continuerait le
sillon
collatéral postérieur de la moelle, une série de
dans la substance grise du plancher du quatrième ventricule jusqu'au
sillon
médian. Ces fibres, obliquement dirigées vers ce
cule jusqu'au sillon médian. Ces fibres, obliquement dirigées vers ce
sillon
, ont reçu le nom de barbes du calamus. Les plus a
connaître, avec Baër, un rudiment des piliers de la voûte au fond des
sillons
semi-circulaires qui séparent du cerveau interméd
voûte. Or, dès cette époque, ces bords correspondent précisément aux
sillons
de démarcation qui séparaient le cerveau interméd
rapport ne change point ; les piliers de la voûte suivent en effet le
sillon
qui s'étend entre les couches optiques et les cor
e mufle; le cervelet représentait une lèvre supérieure divisée par un
sillon
médian, et les corps restiformes une lèvre inféri
ince, étendue entre les deux extrémités du cervelet et divisée par un
sillon
médian en deux moitiés symétriques, représentait
ire, à la surface de laquelle s'étalaient, en s'infléchissant vers le
sillon
médian, deux plans fibreux émanés des faisceaux m
r remplace ces rides, et la seule anfractuosité bien distincte est le
sillon
de Rolando, dont on aperçoit un léger vestige. Or
-ci était déjà parfaitement constituée à partir du cinquième mois. Le
sillon
médian y était rigou rcusèment tracé, et sa sur
d très-large et béante; elle se rétrécit peu à peu. La seconde est le
sillon
de Rolando. Celui-ci sépare nettement, dès le six
ian, il n'y a en effet dans le principe qu'une dépression médiane, un
sillon
. Jamais d'ailleurs ce vermis n'atteint au degré d
ture semble protester contre des similitudes spécieuses. Le premier
sillon
qui apparaît dans les singes est la scissure para
ntraire, la scissure parallèle apparaît en dernier lieu. Les premiers
sillons
qui se dessinent sont : 1° le sillon de Rolando ;
t en dernier lieu. Les premiers sillons qui se dessinent sont : 1° le
sillon
de Rolando ; 2° un petit sillon qui distingue, dè
sillons qui se dessinent sont : 1° le sillon de Rolando ; 2° un petit
sillon
qui distingue, dès cette époque, le lobe occipita
ercules quadrijumeaux était simplement divisée en deux moitiés par un
sillon
médian ; enfin le cervelet, partagé en deux masse
ncore aucune trace de vermis supérieur et ne portait ni feuilles ni
sillons
. Comparons à cet encéphale rudimentaire d'un homm
les conditions de son type futur et porte dans toutes ses parties des
sillons
et des plis fort apparents (1). (1) A certains
la moelle épinière et forme deux replis, dont l'un tapisse le fond du
sillon
médian antérieur, tandis que l'autre pénètre dans
e fond du sillon médian antérieur, tandis que l'autre pénètre dans le
sillon
postérieur. L'adossement des deux feuillets qui f
nt en une seule lame. Ils ne descendent pas toujours jusqu'au fond du
sillon
, en sorte que faisant seulement adhérer ses bords
antérieurs de la voûte; ses bords, du moins chez l'adulte, suivent le
sillon
qui sépare la couche optique du corps strié jusqu
silaire donne les petites artères cérébelleuses latérales que loge le
sillon
horizontal du cervelet. Elles se distribuent dans
oyen une petite dé- pression. La protubérance paraît symétrique; le
sillon
médian a une largeur d'au moins deux millimètre
normal, mais sont plus élémentaires que celles du côté opposé; les
sillons
, sauf les principaux, sont très superficiels. L
remière circonvolution temporale est parfaitement distincte avec un
sillon
assez profond, mais la seconde n'est séparée de l
ntale (supérieure).- Le lobe paracentral est bien développé avec un
sillon
médian central. Le lobe carré est large etparai
irconvolution frontale ascendante est bbn développée, régulière. Le
sillon
de Rolando est normal. - La EPILEPSIE JACKSONNI
conique vers le fond de la scissure de Sylvius. Ce pli présente un
sillon
longitudinal assez superficiel. A un centimètre
on frontale est double, mais interrompue à sa partie moyenne par un
sillon
perpendicu- laire (PL. IV, s); elle se termine
séparation. Le lobitle est volumineux, presque coupé en deux par un
sillon
vertical. - Le lobe carré (L Q), le coin (L C), l
ent plus développée; méplat à la partie supérieure de l'occipital ;
sillon
transversal au niveau de la fon- tanelle antéri
rande qu'à droite; la région malaire est moins développée; chute du
sillon
naso-labial gauche. 1880. Janvier. - Plwrésie s
ante est grosse, sinueuse, va presque verticalement en haut. - Le
sillon
de Rolando est profond. - La circonvolution parié
ainsi transformée en deux scissures distinctes, l'une parallèle au
sillon
de Rolando et se prolongeant avec la branche tr
llon de Rolando et se prolongeant avec la branche transversale du
sillon
médian du pli pariétal supérieur; cette partie de
ieur; cette partie delà scissure interpariétale forme ainsi avec ce
sillon
une scissure isolée, pro- fonde, bifurqnée en h
le pariétal inférieur est sinueux, bien développé, il pré- sente un
sillon
profond qui le divise presque entièrement en deux
le pre- nant sur toute sa hauteur; l'antérieur est moins marqué. Le
sillon
qui le sépare en avant de la première frontale
res environ; elle est beaucoup moins développée que la gauche. - Le
sillon
de Rolando est profond, sinueux. La pa- riétale
mité inférieure de la parié- tale ascendante, le tiers inférieur du
sillon
de Rolando, la fron- tale ascendante et se term
: atrophie de la plupart des circonvolutions situées en arrière du
sillon
de Rolando, et des circonvolutions de la face i
n- dante par deux insertions de niveau entre lesquelles existe un
sillon
. La deuxième circonvolution frontale, sinueuse,
scendante. Celle-ci, très large, présente à sa partie supérieure un
sillon
transversal très marqué. Le sillon de Rolando e
ésente à sa partie supérieure un sillon transversal très marqué. Le
sillon
de Rolando est sinueux et pro- fond. La pariéta
passage assez volumi- neux à PA. LO, assez volumineux, présente des
sillons
superficiels. - T' sinueuse dans sa partie moye
interne. F', volumineuse, est composée de parties séparées par des
sillons
transversaux. Dans sa portion ho- rizontale, le
ar des sillons transversaux. Dans sa portion ho- rizontale, le 1 er
sillon
est complètement ouvert et commu- nique avec un
le chiasma. La circon- volution du corps calleux, CCCa, présente un
sillon
super- ficiel et envoie un pli de passage au lo
eux à LQ. Le pli de passage qui de CCCa se porte à LP interrompt le
sillon
calloso-marginal. Le lobe carré, LQ, est volumi
marginal. Le lobe carré, LQ, est volumineux et interrompu par des
sillons
très profonds.-Lascissure perpendiculaire est trè
deux insertions de niveau sur FA. FA assez déve- loppée présente un
sillon
transversal près de sa parlie su- périeure. -PA
. T. R. 38°,8.-Soir : 40°,4. 9 avril. Face amaigrie, yeux excavés ;
sillons
naso- labiaux égaux ainsi que les plis du front
Hémisphère droit. - La première frontale est très sinueuse, a des
sillons
profonds, envoie un pli de passage très sinueux
rtions. - La deuxième frontale est également très sinueuse avec des
sillons
assez superficiels ; elle envoie un pli de pass
e dans sa moitié inférieure, sinueuse dans sa moitié supérieure. Le
sillon
de Rolando est profond et sinueux. La pariétale
ge au lobe occipital. Le lobe occipital est peu développé avec deti
sillons
très superficiels. Un sillon pro- fond partant
occipital est peu développé avec deti sillons très superficiels. Un
sillon
pro- fond partant de son bord inférieur et alla
supérieur et une autre considé- rable sur son bord inférieur et un
sillon
vertical. Le lobe carré est volumineux, très pl
sillon vertical. Le lobe carré est volumineux, très plissé avec des
sillons
pro- fonds. - Le coin est petit ainsi que le lo
coin est petit ainsi que le lobe occipital ; tous les deux ont des
sillons
peu profonds. ? La circonvolution de l'hippocam
. - La première circonvolution frontale, très plissée, présente des
sillons
, les uns très profonds, les autres superficiels
'une do niveau faisant partie du bord supérieur, l'autre au fond du
sillon
.- La deuxième circonvolution frontale est très
ie un peu ren- flée ; elle s'attache par deux insertions au fond du
sillon
, qui la sépare de la frontale ascendante en for
e ascendante en 142 IDIOTIE CONGÉNITALE. bas et en retrait. - Les
sillons
qui séparent les circonvo- lutions frontales so
, légère- ment oblique de bas en haut et d'avant en arrière. - Le
sillon
de Rolando est profond dans ses trois quarts supé
e occipital. - Le lobule pa- riétal inférieur est sinueux, avec des
sillons
superficiels. - Le pli courbe est sinueux, très
er ; du sommet de la scissure parallèle partent en rayonnant quatre
sillons
qui séparent le pli courbe et le rendent ainsi
ions temporales sont confondues et formées de plis transversaux; un
sillon
assez profond les sépare du lobule lingual. - L
reste de son étendue. - Le lobe paracentral est assez gros, avec un
sillon
profond en forme de V ouvert en arrière et en h
en haut. Le lobe carré est composé de plis grêles, séparés par des
sillons
profonds.- Le coin, assez peu développé, est fo
ntale. F a, Frontale ascendante. P a, Pariétale ascendante. SR,
Sillon
de Rolando. P,, Pli pariétal supérieur. PC, P
isphère gauche. FI, Première circonvolution frontale, coupée par un
sillon
ver- tical, S. C c, Circonvolution de corps c
mité inférieure de la parié- tale ascendante, le tiers inférieur du
sillon
de Rolando, etc. F[, première circonvolution fr
ule latéral, corne d'Ammon, normaux. Hémisphère cérébral droit. -
Sillon
profond entre les cir- convolutions frontales ;
atisation avec petits dépôts caséeux de 3 ou 4 millim. Au niveau du
sillon
interlobaire existe une petite masse caséeuse,
a frontale ascendante est nettement séparée, des précédentes par le
sillon
prérolandiclue. Mais ce que l'on constate sur c
la 1 ? et le tiers supérieur de la frontale ascen- dante (F.A). Le
sillon
de Rolando est nettement marqué. A l'union de l
tate les lésions de la méningo-encé- phalite. Lobe pariétal. - Le
sillon
inter-pariétal est normal. Sur la pariétale asc
ffre aucune anomalie soit dans ses circon- volutions, soit dans ses
sillons
. . Cou. - Corps thyroïde, petit et normal comme
- Les circonvolutions du lobe frontal sont à peu près normales. Les
sillons
de sépara- tion sont interrompus par des plis d
un centimètre l'écorce grise a été enlevée par des adhé- rences. Le
sillon
prérolandique n'est qu'ébauché et des plis de p
onvolutions frontales normales, réunies par des plis de passage. Le
sillon
préro- landique est encore très incomplètement
externe une largeur de deux centimètres et longée par le premier
sillon
frontal; - 2° la deuxième racine présente moins d
il existe une petite dépression où' s'arrête également le deuxième
sillon
frontal, dépression' qui semblerait au premier
e (Pr,. IV, F2), nette-. ment séparée de la première par le premier
sillon
frontal, mais réunie à la troisième par plusieu
ache de la partie moyenne de son bord inférieur, coupant en deux le
sillon
qui la sépare de la troisième frontale. Cette d
rige parallèle- ment à elle en arrière ; elle en est séparée par un
sillon
antéro- postérieur très net pour se continuer à
les, pa. Un deuxième silion la sépare de la deuxième pariétale. Le
sillon
272te1'-na)'ltaL n'existe pas. Il semble qu'il n'
r. Trois petites circonvolutions occipitales sont séparées par deux
sillons
qui se continuent avec les sillons pariétaux.
cipitales sont séparées par deux sillons qui se continuent avec les
sillons
pariétaux. De la partie inférieure de l'excavat
ge verticalement en has, sép : rée de la troisième pariétale par un
sillon
également vertical et, devenant de plus en plus
isphère où elle atteint égale- ment trois cent, de largeur, tu ; un
sillon
très net la sépare de la circonvolution précéde
rne, il existe un bouleversement complet des circonvolutions et des
sillons
et le point le plus important est l'absence, du
1 : NCGPI1 : 1LII3 vraie. qu'un léger écart dans la disposition des
sillons
et des circonvolutions. Les sillons surtout son
r écart dans la disposition des sillons et des circonvolutions. Les
sillons
surtout sont moins nets. La grande scissure cal
lutions orbitaires avec leurs sil- lons respectifs, girus rectus et
sillon
cruciforme ; en arrière du lobe orbitaire, la v
baire, notam- ment dans les cordons postérieurs de chaque côté du
sillon
médian, et à la périphérie môme dans les cordons
. - Les circonvolutions frontales sont grêles, sans induration. Les
sillons
sont assez profonds. - z Aspect chagriné du pli
e latéral. Hémisphère gauche. Môme état des ciconvolutions et des
sillons
, mais il n'existe pas d'aspect chagriné. - La cor
ccipitales, et paraissent tassées les unes contre les autres. - Les
sillons
qui les séparent sont assez profonds. Les cir
neuses, unies à leurs extrémités par des plis de passage fermant le
sillon
de Rolando, qui est assez profond. Les plis p
irconvolutions du lobe temporal (Tl, T2, T3) sont volumineuses, les
sillons
inter- médiaires sont assez profonds, les plis
scendantes (PL. IX, FA, PA) sont bien développées et régulières. Le
sillon
de Rolando est très net et assez pro- fond. - L
circonvo/¡t- tion de l'hippocampe (CH) est simple et grosse. - Les
sillons
sont moyennement profonds, les plis de passages
Pas d'asymétrie faciale si ce n'est pour les yeux. Joues pleines,
sillons
labio-nasaux égaux. Lèvres normales. - Bouche m
lambdoïde est très sinueuse et symé- trique. A la face interne, des
sillons
profonds marquent sur les pariétaux la trace de
Cerveau. Les circonvolutions paraissent assez dévelop- pées et les
sillons
assez profonds. Quelques-unes ont un aspect cha
en est de même d'une veine nestre méningée (moyenne) qui répond au
sillon
de Rolando, et cela, des deux côlés. Presque to
t FA a l'A à leur extrémité supérieure, fermant ainsi, en liant, le
sillon
de Rolando. Face interne. Elle est remarquable
FA droite, c'est sur la PA gauche qu'on la retrouve ; à gauche, le
sillon
de Rolando (SU) est coupé en son milieu par un
es. Odorat normal. - Pom- mettes régulières, sans saillie exagérée.
Sillons
naso-labiaux à peine accusés. - Bouche, assez l
isième circonvolutions cérébrales. FA, frontale ascendante. SR,
sillon
de Rolando. PS, pli pariétal supérieur. PI, p
ébrales. FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. SR,
sillon
de Rolando. PS, pli pariétal supérieur. PI, p
ions frontales. F3 est complètement détruite. FA, ascendante. SR,
sillon
de Rolando. PA, pariétale ascendante. Il', pl
oisième circonvolutions frontales. FA, frontale ascendante. SR,
sillon
de Rolando. PA, pariétale ascendante. Lys, lo
T3, troisième circonvolution temporale. LP, lobe paracentral. ,
sillon
.de Rolando. ' AC, avant-coin ou lobe quadrilatè
ntale. v Op F, opercule frontal. . FA, frontale ascendante. 5R,
sillon
de Rolando. . PA, pariétale ascendante. Op l'
-I, circonvolution de l'hippocampe. T'\ troisième temporale. SI2,
sillon
de Rolando. LP, lobe paracentral. AC, avant-c
Ons. I. - Fontanelle postérieure. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 21 blcs
sillons
pour les vaisseaux méningicns. La paroi du crâne
de la dure-mère au crâne. Aspect gélatiniforme des circonvolutions;
sillons
peu profonds. Martin... (Hermance), est née à
PA, pariétale ascendante. 1.0, lobule occipital. P, porus. sr,
sillon
de Rolando. 26 IDIOTIE. Fin. 15 Ons. IX. Hé
ante. LI'. lobe pariétal. 1,0, lobe occipital. 1', parus, sr,
sillon
de Rolando TRAITEMENT CHIRURGICAL. 37 Fin. 16
temporo-spnénolual. ce, corps calleux, co, couche optique, sr,
sillon
de Rolamio. .0 idiotie. 1 ig. lU, - Olls. l
be occipital. i' '1'2, première et seconde tem- portales- - sr,
sillon
de Rolando. ss,scissure de Sylvius. hK, pseud
- rales. LI, lobule de l'insula. ss, scissure de Sylvius. sr,
sillon
de Rolando. 44 idiotie. Fig. 22. - Ons. XI.
cidum. dupe, scissure perpendiculaire. ce, corps calleux. , sr,
sillon
de Rolando. traitement chirurgical. 45 Fig.
s temporales. 1,0, lobe occipital, ss, scissure de Sylvius. sr,
sillon
de Rolando 4G IDIOTIE. - Fig. 24. - Ou;. 11
u diploé. Les vaisseaux méningiens ont'marque sur les pariétaux des
sillons
très peu accentués. Pas de traces de la suture
sième circonvolutions tempo- rales; LI, lobule de l'insula. sr,
sillon
deRoIando. ss, scissure de Sylvius. TRAITEMEN
ophie simple ou sclé- reuse d'un grand nombre de circonvolutions. -
Sillons
peu profonds ; prédominance des lésions ttflitu
en arrière la fontanelle, a 4 centimètres et demi de longueur. Les
sillons
des artères méningées sont très creux, très ami
râne semble plus dévelop- pée. Cicatrice sur la joue droite près du
sillon
naso-labial ; deux dépressions linéaires prolon
ien de plus. - Rein droit (265 gr.), blanchâ- tre, avec de nombreux
sillons
rouges ; pas de lobulation. A la coupe, il crie
Cette atrophie et cette coloration blanche se retrouvent dans les
sillons
. Face interne. - La pie-mère est adhérente au n
et corps, striés normaux. Au niveau des circonvolutions atrophiées,
sillons
peu profonds, larges, béants. 77cmt.<phë)'e
uxième F. Les circonvolutions avec adhérences sont très grêles, les
sillons
peu profonds; d'ailleurs toutes les circon- vol
que toute la substance grise des circonvolutions ; quelques-uns des
sillons
pourtant, mais en petit nombre, sont indemnes d
ns. D'une façon générale les circonvolutions sont assez grêles, les
sillons
sont moyennement profonds. Hémisphère céréb1'
tique et corps strié rien. Même aspect des circon- volutions et des
sillons
que sur l'autre hémisphère. Cou. Le lobe gauche
lobe frontal gauche. Les circonvolutions paraissent simples et les
sillons
sont moyennement profonds. Cotc. -Corps thyroïd
pied est maigre et son corps est divisé à sa partie moyenne par un
sillon
profond allant de la scissure de Sylvius à la s
développé. Il est séparé en avant de la pariétale ascendante par un
sillon
profond n'atteignant pas tout à fait en bas la
e, elle continue sa marche Hydrocéphalie : cerveau. 4ô5' jusqu'au
sillon
occipital transverse. Le lobule pariétal- infér
obule paracentral, peu développé, est divisé en deux parties par un
sillon
transverse profond. La circonvolution du corps
rticulier. - Le lobule de l'insula ne se trouve pas à découvert. Le
sillon
de Rolando prend son origine dans la scissure d
ique en haut avec la ire scissure frontale par l'intermédiaire d'un
sillon
trans- verse profond. La scissure frontale infé
sez bien développée ; elle est divisée à son quart supérieur par un
sillon
profond faisant communiquer le sillon de Roland
à son quart supérieur par un sillon profond faisant communiquer le
sillon
de Rolando avec la scissure inter-parié- tale.
vec la scissure inter-parié- tale. La partie située au-dessus de ce
sillon
transverse est un peu en retrait et chagrinée.
de passage à niveau, transversal : il se continue au- delà jusqu'au
sillon
occipital transverse. Le lobule pariétal supéri
alite superficielle. Le pli courbe, normal, est circoncrit par deux
sillons
provenant de la scissure parallèle. Lobe occi
ème circonvolution tem- porale. De l'incisure préoccipitale part un
sillon
profond et transverse remontant jusqu'à quelque
e à cause de la dilatation ventriculaire. Le lobe frontal offre des
sillons
peu profonds, les circonvolutions assez contour
e se laisse déprimer au toucher com- me une balle de caoutchouc. Le
sillon
de Rolando qui la borne en arrière est fort min
s mêmes caractères que F. A., est coupée à sa partie moyenne par un
sillon
, ce qui lui donne plus l'aspect d'un lobule que
et amincies à leur moitié postérieure. F3 est bien conformée. Le
sillon
de Rolando est accusé et net. F A et PA, bien qu'
fontanelles. La table interne du crâne n'offre que de très faibles
sillons
pour les vaisseaux méningiens. La paroi crânien
Les saillies de la face interne du crâne sont peu accusées', les
sillons
des vaisseaux méningés sont peu profonds et plus
ès nombreux plis cle passage qui lui ôtent son aspect ordinaire. Le
sillon
cle Rolando n'existe pas, toutes les circonvolu
té. Il n'offre de circonvolutions, irrégulières et séparées par des
sillons
peu profonds, que sur une bande de 3 centimètre
te par places des points indurés. Hémisphère gauche (7(i5 gr.). Les
sillons
et les scissures de cet hémisphère sont netteme
phère droit (795 gr.) ? Les circonvolutions, les scis- sures et les
sillons
de cet hémisphère ne donnent lieu à aucune rema
ns, clairs semés, régulièrement implantés, présente par place les
sillons
bleuâtres des veines dilatées. La face est amaigr
la calotte crânienne est lisse et ne pré- sente que de très légers
sillons
pour les vaisseaux méningés. ' Hydrocéphalie :
rien d'extraordinaire : les circonvo- lutions étaient étalées, les
sillons
peu profonds, les ventricules latéraux très dil
turelle. - Ne-- court, camus, écrasé à sa racine. Narines aplaties.
Sillon
naso-gé- nien très prononcé. La respiration nas
6 : Hydrocéphalie. médian assez profond auquel viennent aboutir des
sillons
irréguliers. Palais très ogival. Le voile du pa
e externe du crâne est d'aspect rugueux, la table interne offre des
sillons
accentués. Fig. 5C. Elle représente le moulage
Les circonvolutions sont t nettement limitées, les scissures et les
sillons
sont profonds ; il n'y a pas d'altération autre
dure-mère est d'apparence normale. La pie-mère offre au niveau des
sillons
et des vaisseaux surtout vers la base, de nombr
PA, surtout dans leur partie supérieure, restent indemnes. Tous les
sillons
sont oblitérés et comme soudés par les adhérenc
ière du bulbe, entre les deux hémisphères cérébelleux, au niveau du
sillon
qui les sépare, existe un second kyste allongé
centimètres dans ce sens, et 2 centimètres de hauteur. Deux petits
sillons
le séparent en deux parties et lui donnent un a
ranches : l'une supérieure qui descend sur la face interne jusqu'au
sillon
calloso-marginal ; l'autre, très-grosse, (1 cm.
r 1 de niveau. -La F2 est grosse, sinu- euse, avec plusieurs petits
sillons
superficiels ; elle envoie en avant un pli de p
peu plus petite que FA, se termine en bas par une bifurcation ; le
sillon
qui sépare les doux branches de cette bifurcati
e un pli de passage au lobe occipital. - P2, assez volumineux, avec
sillons
superfi- ciels. - PC assez gros; mais au-dessus
ssez gros; mais au-dessus de lui et en avant, séparé de I''= par un
sillon
profond, existe un lobule qui reçoit un pli de
ule du pli courbe, situé en arrière. - LO assez gros, sinueux, avec
sillons
très-superficiels. La disposition du pli courbe
de passage à T2. - T2 est formée de trois parties séparées par des
sillons
transversaux et assez distincte de '1 ? - T3, T
assez distincte de '1 ? - T3, T1 grosses, séparées de CA par des
sillons
assez profonds. Face interne. FI grosse, formée
ace interne. FI grosse, formée de plis transversaux séparés par des
sillons
plus ou moins profonds. - SCM assez profonde, s
a été enlevée. - LP gros, avec encoche profonde entre FI et PA. Son
sillon
est court, superficiel, vertical. LI' est sépar
tical. LI' est séparé de FI (face interne), de CCCA et de LQ par un
sillon
profond. LQ gros ; sillons profonds. - SPO prof
(face interne), de CCCA et de LQ par un sillon profond. LQ gros ;
sillons
profonds. - SPO profonde. - Coin plissé, mais sup
rien. - Lobe orbi- taire, formé de circonvolutions séparées par des
sillons
assez profonds. Hémisphère gauche. - Face con
oite, et une petite insertion de niveau. - F2, assez sinueuse, avec
sillons
assez profonds, s'insère sur FA à mi-hauteur et
inueuse et s'insère en retrait sur FA. FA, grosse, si- nueuse, sans
sillons
. - Slt profond. - PA assez volumineuse dans son
le dans ses deux autres tiers. A sa partie inférieure, on trouve un
sillon
superficiel, faisant le pen- dant de la bifurca
ssées et bien séparées. - '1'1 complètement distinguée de OU par un
sillon
profond. Face interne. - ), formée de plis tr
le (face interne) et FA et petite encoche répondant à SR. ; pas de
sillon
. - LQ gros. CouT. assez pe- tit. - Scissurespar
de quinine. Réflexe pharyngien conservé ; pas de tumeurs adénoïdes.
Sillons
naso-labiaux il peine marqués. - Pommettes régu
lendemain on cherche à enlever la pie-mère et on constate que les
sillons
sont très serrés, les replis correspondants de
ITI;. sère par ses deux branches sur la frontale ascendante. - Le
sillon
de Rolando est sinueux et assez profond. - La par
ur. Le lobe paracentral et le loue carré sont volumineux et ont des
sillons
superficiels. Le second offre des adhérences à
à la troisième et s'insère sur-la frontale ascen- dante au fond du
sillon
. La troisième frontale se bifurque en arrière.
arrière. La frontale ascendante est volumineuse et sinu- euse. Le
sillon
de Rolando est assez profond. - La pariétale as
périeure parla scissure parallèle, celle-ci allant s'ouvrir dans le
sillon
qui sépare la première tempo- rale du pli courb
uelques adhérences à son origine. Le lobe paracentral est lisse, le
sillon
de Rolando y forme une enco- che. - Le lobe car
e. - Sur les doux faces, et principalement sur la face interne, les
sillons
sont larges, béants et tout à fait superficiels
eu plus grêles que de l'autre côté, et cela sur les deux faces. Les
sillons
sont encore plus larges que sur l'autre hémisph
dues, un état grole des circon- volutions, le peu de profondeur des
sillons
et l'absence complète de toute lésion en foyer.
rès développée et s'insère par deux pieds sur la l' .A. ; de petits
sillons
superficiels et surtout longitudinaux vien- nen
omplexes, unies par des plis de passage et parcourues par de petits
sillons
irréguliers. La F. A. est comme divisée par un
de petits sillons irréguliers. La F. A. est comme divisée par un
sillon
superficiel en deux parties dont l'une, supérieur
le lobule du pli courbe est par contre fort développé, parcouru de
sillons
; le pli courbe est uni aux circonvolutions vois
s deux hémisphères. Dans leur ensem- ble les circonvolutions et les
sillons
de l'hémisphère gauche, paraissent normalement
paisseur. Idiotie PIIORAI3LEntENT congénitale. 75 hachées par des
sillons
superficiels en pavés irréguliers, cette dispos
ceci s'applique principalement à la cir- convolution frontale. Les
sillons
sont peu profonds. - Les masses centrales n'off
upérieure bouffie, l'inférieure est séparée de la joue par un léger
sillon
. Cils très blonds et peu abondants. Yeux bleus,
leurs deux tiers supérieurs, s'amincissent tout-à-coup au niveau du
sillon
qui sépare la première de la seconde frontale.
sième circonvolutions fron- tales. - SS, scissure de Sylcuis. - SR,
sillon
de Rolando, - FA, frontale ascendante, - PA, pa
c une corde qu'il avait dissimulée. Tous les deux portent au cou un
sillon
ecchymotique. Ce n'est pas, d'ailleurs, la prem
qu'on lui fait sentir. Pommettes saillantes, mais surtout à gauche.
Sillon
naso-labial plus accusé à gauche qu'il droite.
26 ans (1895), MONSTRUOSITÉ ; CÉCITÉ. 143 assez abondants dans le
sillon
inter-fessier, sur ses bords jusqu'à l'extrémit
ème circonvolutions frontales. F.A., frontale ascendante. S.R.,
sillon
de Rolando. P.A., pariétale ascendante. L.P.S
ème circonvolutions frontales. F.A., frontale ascendante. S.R.,
sillon
do Rolando. P.rl., pariétale ascendante. L.l'
ème circonvolutions frontales. F.A., frontale ascendante. S.R.,
sillon
de Rolando. P.A., pariétale ascendante. L.P.S
rien d'extraordinaire : les circonvo- lutions étaient étalées, les
sillons
peu profonds, les ventricules latéraux très dil
ion du squirrhe. Le lobe paracentral est sain, mais'irrégulier ; le
sillon
propre du lobe descend jusqu'a la scissure call
éveloppée, sinueuse ; normale au toucher..L'extrémité supérieure du
sillon
de Rolando est très marquée sur le lobe paracen
r. - Le lobe paracentral est irrégulier; son 80 CLINIQUE MENTALE.
sillon
est vertical et séparé jusqu'au bord inférieur. -
r. - Le lobe carré, lui aussi, est irrégulier et présente plusieurs
sillons
. Le coin parait normal. Le sillon de Rolando, e
irrégulier et présente plusieurs sillons. Le coin parait normal. Le
sillon
de Rolando, encoche moins le lobule paracentral
nt guère que trois millimètres d'épaisseur. La partie inférieure du
sillon
de Rolando est indurée, de manière que dans son
e ascendante et de l'atrophie de la pariétale ascendante résulte un
sillon
qui sépare encore plus profondément le lobe ant
idée très exacte de l'arrêt de développement du lobe frontal et du
sillon
profond qui sépare ce lobe de la partie de l'hémi
la pariétale ascendante ont une configuration assez régulière. Les
sillons
sont géné- ralement peu profonds. Les cornes
ent ne former qu'un avec la pyramide antérieure correspondante ; le
sillon
intermédiaire fait défaut; il n'y a pas de diff
soudées dans leur moitié supérieure. Cette masse est séparée par un
sillon
transversal de la moitié infé- rieure de ces de
racen- tral est notablement déformé ; on y voit la terminaison du
sillon
de Rolando. On note aussi une déformation du lobe
E III S S, scissure de Sylvius, et S P, scissure parallèle. S R ,
sillon
de Rolando. 1 F, 1'. circonvolution frontale.
ous voyons les muscles du bras et ceux de la face groupés autour du
sillon
de Rolando de haut en bas ; par contre, le trap
x ou trois centimètres, l'introduction d'un couteau de Beer dans le
sillon
postérieur jusqu'à la paroi antérieure du canal
olution frontale ; des adhérences analogues existent au niveau du
sillon
de Rolando, sur la moitié inférieure des pariétal
comme érodée et présente une coloration chair de saumon. Dans les
sillons
qui séparent les circonvolutions malades, les r
ur l'hémisphère droit. On remarque sur les deux hémisphères, que le
sillon
de Rolando a') est très'reporté en arrière, d'o
rouve, en mesurant la distance qui sépare l'extrémité supérieure du
sillon
de Rolando de la pÔite3du-Ible frontal : ' sur
utre part, on trouve, en mesurant de l'extrémité supérieure du .6
sillon
" dé' Rolando à la pointe du lobe occipital : à dr
1**1 ? t ? \ ? ? .ll'iH ? ".l|l-) ? i on voit une configuration des
sillons
temporaux et occipitaux, ? ^· ffl7f. -fl; IrrP f
11 ? ) (J 1 Il ? , qui parait n, avoir pas été signalée : le second
sillon
.temporal ' Jil'Jj. im. un -i '"10" 1 C t· [ !
un -i '"10" 1 C t· [ ! Ym , . n ? -illi / . r,,i il et le troisième
sillon
occipital se continuent directement l'un 1N i ;
continuent directement l'un 1N i ; i 11111 sorteH "u'il"'ilfa 'lHi
sillon
C"ht. t' yIIUt : a,O1 `ai` ? nr'[trlc7Q' 'r,...
"ht. t' yIIUt : a,O1 `ai` ? nr'[trlc7Q' 'r,...-n ry "qj r.'Yr"r,' '
sillon
non interrompu qui r va CIe la pointe du lohe t
individuelles, des couches corticales du cerveau. Les anomalies des
sillons
cérébraux ne sont pas très rares,- et il est po
nna les résultats suivants : à gauche, vers la moitié supérieure du
sillon
de Rolando (slllclls centralis, de Huscke) étai
l'avant-coin ( ou lobule quadrilatère) faisait défaut. Enfin, le
sillon
calloso-marginal, qui court parallèle- ment ent
e relever vers le haut, suivant le trajet normal, arrivait jusqu'au
sillon
occipital (ou sillon pariéto-occipital), et le
suivant le trajet normal, arrivait jusqu'au sillon occipital (ou
sillon
pariéto-occipital), et le coupait à angle droit
. Une étude attentive de la surface cérébrale fait reconnaître le
sillon
frontal supérieur (PL. XI, (1), et l'inférieur (P
X, IIa : p.). Sur les deux hémisphères, se détache très finement le
sillon
pariéto-occipital (ou sillon occipital, ou scis
misphères, se détache très finement le sillon pariéto-occipital (ou
sillon
occipital, ou scissure perpendiculaire LOCALISA
ne, de Gratiolet) (PL. X, XI, po) : on distingue moins nettement le
sillon
interpariétal (PL. X, XI, C) et le sillon occip
ngue moins nettement le sillon interpariétal (PL. X, XI, C) et le
sillon
occipital transverse. Entre le lobule pariétal
riétale (PL. X, XI, C). Celle-ci se dirige en arrière, contourne le
sillon
pariéto-occipital (ou sillon occipital, ou scis
-ci se dirige en arrière, contourne le sillon pariéto-occipital (ou
sillon
occipital, ou scissure perpendiculaire externe)
scissure perpendiculaire externe), et va, des deux côtés, couper le
sillon
occipital transverse. A gauche, le sillon parié
des deux côtés, couper le sillon occipital transverse. A gauche, le
sillon
pariéto-occipital (PL. X, XI, po) est assez lar
largement béant. Sur le lobe occipital (PL. X, XI, 0), en outre du
sillon
occi- pital transversé (PL. X, XI, Tr.) on trou
sillon occi- pital transversé (PL. X, XI, Tr.) on trouve encore un
sillon
: de sorte que le lobe occipital se présente av
n remarque, sur le lobe temporal, la scissure parallèle, ou premier
sillon
temporal (PL. X, XI, il), et le 2° sillon tempo
e parallèle, ou premier sillon temporal (PL. X, XI, il), et le 2°
sillon
temporal (PL. X, XI, T2). Sur le lobule orbitai
X, XI, T2). Sur le lobule orbitaire ressortent, en particulier, le
sillon
olfactif, le sillon suprà-orbitaire transverse
lobule orbitaire ressortent, en particulier, le sillon olfactif, le
sillon
suprà-orbitaire transverse (PL. XII, ST), et tr
actif, le sillon suprà-orbitaire transverse (PL. XII, ST), et trois
sillons
suprà-orbitaires longitudinaux (PL. XII, Ss, St
l'insula. In : p, portion postérieure de l'insula. T' ', premier
sillon
temporal. T ', deuxième sillon temporal. po,
érieure de l'insula. T' ', premier sillon temporal. T ', deuxième
sillon
temporal. po, sillon pariéto-occipital. C, si
T' ', premier sillon temporal. T ', deuxième sillon temporal. po,
sillon
pariéto-occipital. C, sillon intrà-pariétal.
T ', deuxième sillon temporal. po, sillon pariéto-occipital. C,
sillon
intrà-pariétal. Tr, sillon occipital transverse
al. po, sillon pariéto-occipital. C, sillon intrà-pariétal. Tr,
sillon
occipital transverse. Planche XI. Surface ext
. Planche XI. Surface externe de l'hémisphère gauche. f premier
sillon
frontal. f*, deuxième sillon frontal. Tu', si
ne de l'hémisphère gauche. f premier sillon frontal. f*, deuxième
sillon
frontal. Tu', sillon occipital transverse. T
he. f premier sillon frontal. f*, deuxième sillon frontal. Tu',
sillon
occipital transverse. T 1, T ', premier et deux
. Tu', sillon occipital transverse. T 1, T ', premier et deuxième
sillons
temporaux. PLANCHE XII. Face inférieure du ce
sillons temporaux. PLANCHE XII. Face inférieure du cerveau. ST,
sillon
orbitaire transverse. S p, premier sillon supra
érieure du cerveau. ST, sillon orbitaire transverse. S p, premier
sillon
supra-orbitaire longitudinal. Ss, deuxième sill
e. S p, premier sillon supra-orbitaire longitudinal. Ss, deuxième
sillon
supra-orbitaire longitudinal. S T, troisième si
Ss, deuxième sillon supra-orbitaire longitudinal. S T, troisième
sillon
suprà-orbitaire longitudinal. PATHOLOGIE NERVEU
d'un pus épais, crémeux qui forme de véritables lacs confluents aux
sillons
les plus importants, elles présentent une teint
saine, la face postérieure au contraire dans l'intervalle des deux
sillons
collatéraux postérieurs, parcourue par de nom-
deuxième circonvolution frontale ; c) un dans la partie moyenne du
sillon
qui sépare cette circonvolution de la troisième
déformée à sa partie moyenne par une masse scléreuse qui comble les
sillons
voi- sins. Le groupe scléreux de la frontale as
e la pariétale ascendante, ont amené une modification profonde du
sillon
de Rolando (PL. VI, S). Signalons encore : f) u
aires gauches. L'oreillette droite étant incisée paral- lèlement au
sillon
auriculo-ventriculaire, on constate sur la cloi
; mais jamais elle ne nous a paru s'étendre jusque dans le fond des
sillons
ou des scissures. C'est donc plutôt une affecti
N, N, N, Ilots de sclérose. P c, îlot occupant le pli courbe. R,
sillon
de Rolando. S, scissure de Sylvius. PLANCHE V
e toute l'étendue du lobe frontal et s'étendent en arrière jusqu'au
sillon
de Rolando où elles s'arrêtent brusquement. Ven-
intacte dans les parties superficielles, très altérée au niveau des
sillons
. - Substance cérébrale avoisinant la tumeur, ja
ale ascendante), (PL. XIII, cm). La scissure pariéto-occipitale (ou
sillon
occipital, ou scissure perpendiculaire interne)
cédente; nous atteignons icilascissure=ipariéto-occipitalef(ou ^ "
sillon
occipital /ou scissure -perpendiculaire interne e
s circonvo- blutions jious montre desp anomalies^ junsiJ0entre deux^
sillons
, par exemple, on rencontrera plusieurs sinuosit
V ? f9o3 Longueur des circonvolutions centrales, depuis le haut du
sillon
"" 12 ilon .tllâlbsIO,`1 6.1190,3^1 rôt T ? ...
E III S S, scissure de Sylvius, et S P, scissure parallèle. S R ,
sillon
de Romande. 1 F, le circonvolution frontale.
, N, N, Ilots de sclérose. P c, ilot occupant le pli courbe. R,
sillon
de liolamlo. S, scissure de Sylvius. 674 EXPL
de l'insula. In : y, portion postérieure de l'insula. T', premier
sillon
temporal. T ', deuxième sillon temporal. po,
stérieure de l'insula. T', premier sillon temporal. T ', deuxième
sillon
temporal. po, sillon pariéto-occipital. C, si
T', premier sillon temporal. T ', deuxième sillon temporal. po,
sillon
pariéto-occipital. C, sillon intrà-pariétal.
T ', deuxième sillon temporal. po, sillon pariéto-occipital. C,
sillon
intrà-pariétal. Tr, sillon occipital transverse
al. po, sillon pariéto-occipital. C, sillon intrà-pariétal. Tr,
sillon
occipital transverse. 678 EXPLICATION DES PLANC
PLANCHE XI Surface externe de l'hémisphère gauche. f ', premier
sillon
frontal. f, deuxième sillon frontal. 7 ? sill
de l'hémisphère gauche. f ', premier sillon frontal. f, deuxième
sillon
frontal. 7 ? sillon occipital transverse. y',
e. f ', premier sillon frontal. f, deuxième sillon frontal. 7 ?
sillon
occipital transverse. y',7 ? ! , premier et deu
. 7 ? sillon occipital transverse. y',7 ? ! , premier et deuxième
sillons
temporaux. EXPLICATION DES PLANCHES. 679 9 PL
DES PLANCHES. 679 9 PLANCHE XII Face inférieure du cerveau. ST,
sillon
orbitaire transverse. S p, premier sillon supri
érieure du cerveau. ST, sillon orbitaire transverse. S p, premier
sillon
suprit-orbitllll'e longitudinal. Ss, deuxième s
S p, premier sillon suprit-orbitllll'e longitudinal. Ss, deuxième
sillon
supra-orbitaire longitudinal. S T, troisième si
Ss, deuxième sillon supra-orbitaire longitudinal. S T, troisième
sillon
snprit-orbitaire longitudinal. 680 EXPLICATION
ANCHES. PLANCHE XIII : Face interne de l'hémisphère droit. C M,
sillon
calloso-marginal. p o, sillon pariéto-occipital
interne de l'hémisphère droit. C M, sillon calloso-marginal. p o,
sillon
pariéto-occipital. f c, sillon de l'hippocampe
C M, sillon calloso-marginal. p o, sillon pariéto-occipital. f c,
sillon
de l'hippocampe (fissura calcacina ). T3, trois
. f c, sillon de l'hippocampe (fissura calcacina ). T3, troisième
sillon
temporal. T 4, quatrième sillon temporal. G C
issura calcacina ). T3, troisième sillon temporal. T 4, quatrième
sillon
temporal. G C, genou du corps calleux. G, que
, circonvolution centrale postérieure (ou pariétale ascendante). R,
sillon
de Rolando. P, lobe pariétal. lit a, lobe ant
ion de l'ourlet (grus fornicatus). PC, avant-coin. C, coin. po,
sillon
pariéto-occipital. EXPLICATION DES PLANCHES. 68
che, à 1 cent. en arrière de la coupe précédente; elle sectionne le
sillon
pariéto- occipital. Ip, substance grise de la
ée sur la peau de la face, on voit naître à sa surface des rides, des
sillons
, dans des directions diverses et clans des lieux
te surface cutanée n'est pas unie; elle offre, à l'état de repos, des
sillons
et des reliefs dus à la prédominance tonique de t
Eh bien ! toute traction limitée à un point de la face modifie ces
sillons
et ces reliefs, soit en les exagérant, soit en le
côté externe de la pommette (comme le grand zijgomaliqué) ; alors le
sillon
naso-labial se creuse, sa courbe devient sinueuse
s. La commissure a été mise en mouvement par le grand zygomatique; le
sillon
naso-labial s'est creusé sous l'influence de Vélé
et que le grand zygomatique seul produit toutes ces rides et tous ces
sillons
. Ce que je viens de dire du grand zygomatique e
n; 2° de décrire leur action partielle, les reliefs, les creux, les
sillons
, les plis, les rides, en un mot les mouvements va
au de l'espace intersourcilier a été attirée de haut en bas, et qu'un
sillon
transversal s'est creusé au niveau de la tête du
urcil, sous l'influence de la contraction musculaire électrique. — Ce
sillon
n'existe pas dans la figure li, qui représente la
ionomie au repos du même individu. Dans le point correspondant à ce
sillon
transversal, les rhéophores n'ont produit aucun m
yramidal du nez. Immédiatement au-dessous de la ligue tracée par ce
sillon
transversal intersourcilier, les rhéophores ont t
ourcilier cède facilement à l'action du pyramidal, on ne voit plus le
sillon
transversal qui indique la terminaison supérieure
idaux, au point que leurs fibres terminales supérieures ont creusé un
sillon
profond dans l'espace intersourcilier. — On voit
20, où le sourcilier est mis en contraction de chaque côté. Ici les
sillons
médians du front se rejoignent, et décrivent au c
ur la réunion du tiers interne du sourcil avec son tiers moyen. Ces
sillons
sont au nombre de quatre sur la figure 20 ; mais
gures 23, 24 et 25 nous montrent que chez l'adulte, encore jeune, les
sillons
médians du front produits par le sourcilier sont
ors, il résulte : Io que l'action exercée sur la partie inférieure du
sillon
naso-labial fait décrire à ce dernier une légère
es, la même ligne courbe qui sépare les lèvres, la même sinuosité des
sillons
naso-labiaux, la même saillie des pommettes, le
rf moteur de ce muscle ; ce dernier s'est contracté en produisant les
sillons
et les reliefs fondamentaux qui lui appartiennent
ttirée obliquement en haut et en avant ; que la portion supérieure du
sillon
naso-labial a suivi la même direction ; que la na
ue son orifice regarde en dehors, au lieu de s'ouvrir en bas ; que le
sillon
cutané qui contourne la narine en arrière est plu
figures hk et 45 montrent, en outre, qu'au maximum de contraction, le
sillon
interlabial décrit une courbe à concavité inférie
'à ce degré de contraction, la portion du bord libre des lèvres et le
sillon
naso-labiale. qui correspondent au muscle excité,
pressions aussi rieure, et que ce relief est limité en avant par un
sillon
à concavité supérieure, qui, naissant 2 centimètr
arrière du menton, remonte sur les côtés des joues, et par un second
sillon
moins profond,moins étendu, et situé un centimètr
périmentation électro-physiologique; jamais, en effet, je n'ai vu les
sillons
régner sur toute la largeur du front, comme chez
66 et 67), sans que le sourcil décrivît une courbe concentrique à ces
sillons
; et jamais je n'ai vu une contraction volontaire
direction oblique, comme dans ces mêmes figures 66, 67, sans que les
sillons
cutanés fussent limités à la partie médiane du fr
action musculaire, partielle ou combinée, ne saurait le produire. Les
sillons
et les reliefs qui régnent sur ce front devraient
s, à savoir : l'obliquité du sourcil, le gonflement de sa tôte et les
sillons
frontaux médians. Un fait d'une telle importanc
menté en s'élevant, et le front s'était creusé, chez le vieillard, de
sillons
transversaux et parallèles à la courbe des sourci
turel a agi de la même manière sur la commissure des lèvres et sur le
sillon
naso-labial. Telles sont, à tous les âges, les li
action le petit zygomatique (muscle du pleurer), j'ai toujours vu le
sillon
naso-labial devenir concave en bas et se creuser
muscle du pleurer (voyez la moitié droite de la figure 80), Alors le
sillon
naso-labial et la forme de la lèvre supérieure se
ement de ses branches le lobule de l'insula qui parait normal. Le
sillon
de Rolando est moins marqué. FI et F2 sont très c
ante sont peu développés.- FA est divisée en trois sections par des
sillons
antéro- postérieurs ; seul le tiers inférieur p
avec la branche inférieure de la scissure de Sylvius. Par contre le
sillon
de Rolando est à peine creusé. Le reste de la
ande; commissures horizontales. Lèvre supérieure peu élevée, avec
sillon
médian assez marqué. - Physionomie sans expressio
ian de la ire circon- volution frontale à l'extrémité inférieure du
sillon
de Rolando et à la petite branche de la scissur
t ne peut gonfler ses joues et parfois les aliments restent dans le
sillon
alvéolo-labial. Le cou et le corps thyroïde n'o
nt très arborisantes. L'insertion du sinus longitudinal a laissé un
sillon
profond à la table interne de la suture. On voi
outes les circonvolutions sont plus volumi- neuses qu'à gauche. Les
sillons
sont profonds; les plis de pas- sage assez nomb
Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau. 63 sula, qui est volumineux. - Les
sillons
frontaux anléro- postérieurs prennent très-nett
x tiers postérieurs de FI et F2 sont sains et bien développés. - Le
sillon
préfrontal est bien moins considérable qu'a dro
né dans sa moitié inférieure. Rien de particulier à noter pour le
sillon
de Rolando. - Aspect chagriné de PA dans sa moiti
circonvo- lutions frontale et pariétale ascendantes séparées par le
sillon
de Itolando. / Ce que nous avons dit de la si
régulières. Les circonvolutions frontales sont larges, étalées. Les
sillons
qui les séparent sont peu profonds. L'étage moy
de Rolando, jusqu'à sa terminaison à l'extrémité supé- rieure de ce
sillon
. Il s'agit là d'un véritable écartement des deu
ce sillon. Il s'agit là d'un véritable écartement des deuxbords du
sillon
de Rolando Cet écartement estminimunen bas. Il
bas. Il est maximum en haut où il atteint 3 centimètres. Le fond du
sillon
est détruit BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. 7 98
l, très rudimentaires et à peine séparées entre elles par de minces
sillons
peu accusés. Le lobe ton.poi'o-8pë)toMa est fig
présente comme particulari- tés : 1° du côté gauche du frontal deux
sillons
presque verti- caux, à un peu moins d'un centim
résente en outre une branche dirigée en dehors, et abou- tissant au
sillon
antérieur de la méningée moyenne, qu'elle prolo
présentant un certain nombre de points épaissis- Des deux côtés, le
sillon
de la méningée moyenne est trans-. lucide sur u
La scissure occipitale ne se prolonge pas sur la face externe. Les
sillons
sont en général profonds, surtout les sillons f
la face externe. Les sillons sont en général profonds, surtout les
sillons
frontaux. Cette remarque s'applique égale- ment
bre 1890. Craniectomie double du côté gauche, en avant au niveau du
sillon
de Rolando, en arrière parallèlement à la sutur
point où siège la suture métopique qui n'a laissé aucune trace. Les
sillons
des vaisseaux méningés moyens sont distinctemen
a cloi on; odorat normal. - Pommettes peu saillantes, régulière s ;
sillons
nasu-labiaux peu accentués. Bouche petite, rect
renient sur 1 js parié- taux, un nombre considérable de permis. Les
sillons
des vais- seaux méningés sont nombreux, arboris
e moyenne se creuse le long du bord antérieur des deux pariétaux un
sillon
profond dont le fond est représenté par une min
son tiers posté- rieur présente cette altération à son maximum. Le
sillon
de Rolando, très net etmoins oblique qu'à droit
ère du bulbe, entreles deux hémi- sphères cérébelleux, au niveau du
sillon
qui les sépare, existe un second kyste allongé
de hauteur. Deux ECARTEMENT DES SUTURES DU CRANE. 545 ' z petits
sillons
le séparent en deux parties, et lui donnent un as
rès courbe et très haute, offre un aspect général très anormal. Les
sillons
sont peu profonds, mal délimités en certains po
l'insula formé de 6 digitations qui ne paraissent pas altérées. Le
sillon
de Rolando, superficiel, semble continuer dans
vec F A, dans leur moitié pos- térieure, une sorte de lobule où les
sillons
ont presque com- plètement disparu, qui se dépr
en ce sens que les circonvolutions sont tout-à- fait étalées et les
sillons
réduits presque à de simples lignes, est aminci
éritable saillie convexe. Une dépression au fond de laquelle est un
sillon
assez profond perpendiculaire au sillon de Roland
au fond de laquelle est un sillon assez profond perpendiculaire au
sillon
de Rolando sépare ces deux régions. Le tobe par
t la seule remarque qu'on peut y faire est la petite profondeur des
sillon
» que l'on note du reste sur tout le cerveau.
de la corne fron- tale, une seconde, la plus profonde, au devant du
sillon
de Rolando, correspond à la partie postérieure
e. - La face externe est moins altérée que celle du côté droit. Les
sillons
ne sont pas très profonds, mais la scissure de
illons ne sont pas très profonds, mais la scissure de Sylvius et le
sillon
de Rolando ont à peu près leur disposition norm
es autres parties du lobe frontal. A sa partie moyenne cependant un
sillon
coupe F A et sa partie inférieure s'unit à ce n
e, une linéaire d'ar- rière en avant est parallèle et antérieure au
sillon
préfrontal et cause la zone qui se laisse dépri
re, on sent une dépression analogue de la voilte osseuse formant un
sillon
assez marqué ; la lèvre interne de ce sillon pr
lte osseuse formant un sillon assez marqué ; la lèvre interne de ce
sillon
proéminant plus que la lèvre externe. Les sutur
ns- versales. Langue longue, étalée. Menton arrondi, assez large,
sillon
mento-labial assez mar- qué. Joues peu remplies
aucune Fig. 32. Sutures DU crâne dans l'idiotie. 309 trace. Les
sillons
des vaisseaux méningés moyens sont distinctemen
moyenne se creuse le long du bord anté- rieur des deux pariétaux un
sillon
profond dont le fond est figuré par une mince l
Lo, lobe occipital. Tt, T2, première et seconde temporales. sr,
sillon
de Rolando. ss, scissure de Sylvius. PK, pseu
temporo-sphénoïdal. ce, corps calleux. co, couche optique. sr,
sillon
de Rolando. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. Pl. il.
emporales. LI, lobule de l'insula. ss, scissure de Sylvius. sr,
sillon
de Rolando. Bourneville, Bicétre, 1892. - Pl. I
lucidum. SPE, scissure perpendiculaire. ce, corps calleux. sr,
sillon
de Rolando. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. P ! . I
temporales. LO, lobe occipital, ss, scissure de Sylvius. sr,
sillon
de Rolando. BOURNEVILLE, Bicêtre. 1892. Pl. V.
tique. P, pédoncule. SPE, scissure perpendiculaire externe. sr,
sillon
de Rolando. Bourneville, Bicêtre, 1893. Pl. VI.
PA, pariétale ascendante. LO, lobule occipital. P, porus. sr,
sillon
de Rolando. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. Pl. IX.
oisième circonvolutions temporales. LI, lobule de l'insula. sr,
sillon
de Rolando. ss, scissure de Sylvius. Bournevi
ol,olivc bulbaire ; 1-, trijumeau ; v, vermis. habituelles : les
sillons
qui les séparent sont réduits à des fentes très
es très difficiles à distinguer. On reconnaît faci- lement le grand
sillon
circonférenciel et les deux grands sillons supé
t faci- lement le grand sillon circonférenciel et les deux grands
sillons
supérieur et inférieur. Le bord supéro-interne
exte, p. LXXIII), sur les suppléan- ces réciproques des plis et des
sillons
. Hémisphère droit. Face externe (fig. 9). A la
té de prime-abord à considérer comme étantla scissure rolandique le
sillon
marqué p. o. r. sur la figure 9, d'autant plus
re 9, d'autant plus que l'absence du segment obli- que ascendant du
sillon
calloso-marginal prive d'un des points de repèr
Brissaud, Anal, du ce¡'- 2ecczcde l'homme, texte, p. LXXV). Mais le
sillon
situé en arrière de la grande anfractuosité (ma
est indiquée par la notation de la figure 9. On remarquera que les
sillons
pré-et post-rolandiques (pr, prs, p°i et por) s
même continuer directement l'extrémité posté- rieure ; de plus, ces
sillons
sont chacun indivis sur toute sa longueur, anom
sure de Sylvius (portion non ombrée sur la figure 9) comme étant le
sillon
que Brissaud (l. c., p. LXXIII il LXXV) appelle
e du lobule pariétal infé- rieur » et qui est fourni, tantôt par le
sillon
parallèle (111cl., schéma 42,ï). tantôt par le
tantôt par le sillon parallèle (111cl., schéma 42,ï). tantôt par le
sillon
interpariétal HliJiIAGI : \1 : SII : CÉRÉBELL
ariétal HliJiIAGI : \1 : SII : CÉRÉBELLEUSE 73 (schéma43). Le
sillon
marqué port ? représenterait alors l'extrémité
t avec la continuité parfaite de la scissure de Sylvius (S) avec le
sillon
, à la vérité peu profond, marqué Sp dans la fig
nclature de Déjerine, comme pour les figures suivantes. rieure du
sillon
parallèle (tl), on peut fixer aux points marqué
'on cherche vainement les plis verticaux deGromier sur le trajet du
sillon
inlerpariétal (1t G ? ). Le lobe temporal (légè
t, mais la partie antérieure de la face supérieure de Tl offre deux
sillons
antéro- postérieurs très profonds, et sa partie
postérieurs très profonds, et sa partie postérieure pré- sente deux
sillons
dont l'un part de la profondeur de la région in
n tiers anté- rieur environ : elle cesse de l'être au niveau d'un
sillon
profond (fig. 10, en arrière de Parc) qui se con-
circonvolution frontale interne ( ? .F7). ). En avant de ce pli, un
sillon
compliqué et très pro- fond peut être considéré
llon compliqué et très pro- fond peut être considéré comme le grand
sillon
métopique (g m) pour lequel Déjerine n'emploie
fig. 180, p. 294 et 181, p. 299), et qui se continue en bas avec le
sillon
sus-orbitaire. En arrière du sillon qui continu
ui se continue en bas avec le sillon sus-orbitaire. En arrière du
sillon
qui continue R ? (fig. 9), les sillons de la face
sus-orbitaire. En arrière du sillon qui continue R ? (fig. 9), les
sillons
de la face interne se continuent radiairement j
ute la région rolandique : la région tout entière comprise entre le
sillon
continuant R' et la scissure pariéto-occipilale
, fig. 378, cm) que nous in- diquons dubitativement la situation du
sillon
calloso- marginal ( ? ) Lascissure pariéto-oc
er postérieur du trigone et se perd en avant de l'anfractuosité. Le
sillon
de l'hippocampe proprement dit est ainsi à peu
s vertical sur toute sa longueur. Il est très profond, ainsi que le
sillon
de l'uncus auquel il fait suite ; sa profondeur
erficiel (l3 ? ) très court. 78 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Le grand
sillon
occipito-temporal de Pansch n'existe pas. L'inc
irconvolution de l'hippocampe devientrapidementsu- perficielle ; le
sillon
obliquer ? ? ),quel'on voit plus en arrière, a
l n'existe pas, dans la région des lobules lingual et fusiforme, de
sillon
que l'on puisse considérer comme le continuant
eut à la rigueur être considérée comme représentant o t. Quant au
sillon
marqué t3, il est très court, se termine en arr
: on ne peut donc, lui non plus, le considérer comme étant le grand
sillon
occipito-temporal de Pansch et Brissaud, quelqu
ylvius et se conti- nue sur la face interne. Elle rappelle le grand
sillon
anormal de l'hémisphère droit (Il ? ' ? fig. 9)
mité antérieure de l'hémisphère. Elle reçoit et défigure les deux
sillons
frontaux externes ; les circonvolutions frontal
profondeur plusieurs saillies arrondies et des plis de passage. Le
sillon
très oblique (R ? ) qui est situé en ar- rière
térieure de l'hémisphère ; mais on ne peut le consi- dérer comme le
sillon
prérolandique, lequel, d'après Déjerine (.4. de
ontinue sur la face interne. D'autre part, la circonvolution que le
sillon
R ? limite en ar- 1,'ic,. 11. - Face externe de
qui déforment la région com- prise entre l'èxtrémité inférieure du
sillon
marqué R' ? et la scissure de Sylvius : il semb
usible, même en l'absence du point de repère précieux fourni par le
sillon
calloso- marginal (voir la description de la fa
: il pa- raît aussi préférable de fixer l'extrémité inférieure du
sillon
central à une dislance anormale de la scissure de
slance anormale de la scissure de Sylvius, au lieu de considérer ce
sillon
comme se conti- nuant plus bas, après interrupt
s la région marquée de deux croix; un peu au-des- sous, R envoie un
sillon
qui traverse P a et s'unit à p 0 1- 8. Le gra
et de l'incism e de Jensen (J ? ); indépendance et com plexi té des
sillons
du pli courbe (Pc) qui ne dépendent HEMtAGKNÉ
imbique est mieux différenciée. De son extrémité antérieure part un
sillon
Inc. 12. Face interne de l'hémisphère touche.
te anfractuosité se continue en outre çiir la face in- terne par un
sillon
assez large, mais superficiel, qui disparaît av
ence du point de repère fourni par la branche oblique ascendante du
sillon
cal- loso-marginal (c m ? ). Il en est de même
est bifurquée en arrière. Le lobule lingual est large et pourvu de
sillons
complexes. Il s'unit directement à la deuxième
utre une conformation plus simple : il n'est pourvu que de quelques
sillons
superficiels : il se continue en avant avec T '
uelques sillons superficiels : il se continue en avant avec T '. Le
sillon
de Pansch n'est interrompu que par un pli de pa
ale est par- faitement dislincle et séparée delà troisième par un
sillon
profond et ininterrompu qui suit les inflexions
par un sillon profond et ininterrompu qui suit les inflexions du
sillon
de Pansch. La troisième temporale s'unit au con
te couche blanche, est plus large et plus plate que normalement. Le
sillon
de l'hippocampe est distant du bord du hilc de
e 13) vient s'aboucher dans un petit tuber- cule lenticulaire qu'un
sillon
curviligne profond sépare, en arrière, en dedan
nt )de la deuxième limbique. HKMIAGUNESIE CÉRÉBELLEUSE. 83 Ce
sillon
peut être considéré comme l'extrémité posté- ri
onsidéré comme l'extrémité posté- rieure, seule représentée ici, du
sillon
de l'uncus : on pourrait rapprocher l'absence d
ce, continue avec le pédoncule cérébelleux moyen, et divisée par un
sillon
en doux parties qui répondent, l'anté- rieure a
ncienne ontégéniquement (t phylogéniquement, présente déjà quelques
sillons
transversaux vers le troisième mois (Mihalkovic
° A un centimètre en avant de la scissure de Svl- ius,au-dessous du
sillon
cruciforme, qui apparaît très nettement, on not
trémité postérieure du lobe occipital, à un centimètre en dehors du
sillon
occipito-temporal, dans la première circonvo- l
e sont très larges chez 3 myxoedémateux ce qui est à rapprocher des
sillons
faits par les vaisseaux en rapport avec l'endoc
x cavités se- condaires. Au-dessous du lobule existe sur la joue un
sillon
oblique dirigé d'arrière en avant et de haut en
lie à la partie supérieure de la conque, mais moins prononcée. Le
sillon
de la joue qui part du lobule existe également.
a troisième circonvolution frontale et plus exactement au niveau du
sillon
en H. La tumeur ne con- tracte aucune adhérence
nche inter- ne droite et l'aile grise, sans atteindre en hauteur le
sillon
bulbo- protubérantiel, ni faire saillie à la pa
fig. 2), nous voyons qu'à cette convexité (0) fait suite un profond
sillon
(e) dans lequel pénètrent de nombreux vaisseaux
on (e) dans lequel pénètrent de nombreux vaisseaux; au-dessus de ce
sillon
est une circonvolution, très nette (a, b, c, cl
e seulement est tout à fait libre (en a), le reste correspondant au
sillon
qui la sépare de la cir- convolution précédente
le-ci par les vaisseaux et la pie-mère qui remplis- sent cet étroit
sillon
. Au-dessus de la circonvolution godronnée, le m
gures de Meynert), c'est-à-dire qu'il va en s'amincis- sant vers le
sillon
qui sépare la circonvolution de l'hip- pocampe
la circonvolution godronnée et dispa- rait dans la profondeur de ce
sillon
. 2° Au-dessous du subiculum est une couche form
vient la couche médullaire de substance blanche. B. -Au niveau du
sillon
qui sépare la circonvolution godronnée de la ci
ullaire sans revêtement de substance grise corticale. D. Enfin le
sillon
qui sépare la circonvolution godronnée de celle
ois il est difficile, même avec un fort grossissement, de suivre ce
sillon
d'une manière continue, sans le confondre avec
ce que les vaisseaux, ne trouvant pas assez de place dans l'étroit
sillon
qui sépare les deux circonvolutions, viennent s
de- la face interne de l'hémisphère, on trouve d'abord un profond
sillon
séparant deux saillies : en bas c'est la circonvo
le préfère, la demi-circonvolution supérieure de l'hip- pocampe. Ce
sillon
, c'est l'anfractuosité qui les sépare et que co
rieur de la corne d'Ammon et le subiculum, par conséquent dans le
sillon
de séparation des deux branches du crochet, doi
s haute; aussi sa sur- face est-elle de plus en plus cachée dans le
sillon
qui la sépare de la circonvolution de l'hippoca
E D'AMMON. - 15 à la démonstration des deux circonvolutions et du
sillon
qui les sépare. Quant à la figure 6, pour la re
ans la moitié inférieure de la formation ammonique, séparée, par un
sillon
pro- fond, étroit, contourné, plein de vaisseau
iveau de sa prétendue continuité avec celle de l'hippocampe, par un
sillon
oblique, de telle sorte que la circonvolution d
naissable à son stratum granulosum (b) ; vient ensuite (en e) le
sillon
qui sépare cette circonvolution du reste de la
tifiée, car si la région corticale C H est limitée en dedans par un
sillon
(e), elle n'est séparée en dehors par aucune li
uand on n'examine que ses faces extérieures, il existe cependant un
sillon
et une circonvolution vers la face interne, la
convolution vers la face interne, la circonvolution godronnée et le
sillon
qui la sépare du reste de l'écorce. Sur cette f
reconnaît facilement, malgré son étroitesse, comme représentant le
sillon
qui sépare (fig. 7 et 8, e) la circonvolution d
ien caractérisée par son stratum grand- loszinz (en b) : le profond
sillon
e la sépare du reste de l'écorce, dont la parti
ne belle circonvolution séparée du reste de l'écorce par un profond
sillon
. On voit sur \a figure 10 que l'aire de la form
en effet, par exemple dans la figure 10, nous supposons effacé le
sillon
qui sépare la partie CH des parties a, b, c, il
21 millimètres) : ici la paroi cérébrale a gagné en épaisseur; ses
sillons
transitoires ont presque disparu, excepté celui
orne d'Am- mon, par un procédé très simple, par l'apparition d'un
sillon
séparant deux parties saillantes, deux cir- con
s de mouton et aux em- bryons de lapins). Mais dans la figure 15 le
sillon
en LA CORNE D'AMMON. 31 question est très net
nduisent à la formation des enve- loppes cérébrales. En avant de ce
sillon
est une véri- table circonvolution, qui sera la
geurs, est l'homologue de la circonvolution de l'hippocampe. Que le
sillon
en question se rétrécisse par accroissement en
val) d'un ensemble constitué par deux circonvolutions que sépare un
sillon
. Cette dé- monstration, empruntée à l'embryolog
rnold)'. Kupffer, au contraire, a constaté que le rétrécissement du
sillon
est dû simplement à l'accroissement en épaisseu
pie-mère dans le repli mésentéri- forme; 0, subiculum; e, entrée du
sillon
qui sépare la circonvolu- tion de l'hippocampe
campe ; b, b, stratum granulosum de la circonvolution godronnée; e,
sillon
qui sépare la circonvolution godronnée d'avec la
bryon de lapin, long de 36 millimètres; y, vaisseaux placés dans le
sillon
qui sépare deux plis, lesquels vont former les de
ui ont suivi sa naissance, V... aurait eu des convulsions (pas de
sillons
dentaires). Elle aurait eu, toute jeune encore, u
aralysie faciale qui occupe le côté gauche. On note l'effacement du
sillon
naso-jugal, la déviation du nez, l'abaissement
pour 805 grammes. L'examen super- ficiel des circonvolutions et des
sillons
confirme plus parfaite- ment la remarque que c'
nde (rareté chez l'homme, incon- nue chez le singe); la division du
sillon
interpariétal en plu- sieurs segments, au point
terpariétal en plu- sieurs segments, au point de former à gauche un
sillon
parallèle au sillon de Rolando, doit être aussi
sieurs segments, au point de former à gauche un sillon parallèle au
sillon
de Rolando, doit être aussi rangée parmi les phén
du lobe postérieur ; c'est le lobe temporal, et, par conséquent, le
sillon
qui le limite en avant représente la scissure d
l'embryon des circonvolutions frontale et pariétale. L'absence de
sillon
de Rolando ne permet pas au surplus de se rendre
rt avec une lésion située au voisi- nage de la partie inférieure du
sillon
de Rolando semble indi- quer que si les larges
nt intellectuel. L'auteur a recherché quelle était la fréquence des
sillons
anormaux ou des circonvolutions anormales sur l
t l'autre hémisphères. Sur 164 cerveaux examinés, il a trouvé 93t
sillons
surnuméraires à droite, et 1,005 à gauche ; 617 p
21 à gauche ; de cette statistique, il résulte que les variétés des
sillons
sont un peu plus fréquentes que celles des plis
lus fréquentes que celles des plis de passage ; la moyenne pour les
sillons
est de 6,12 pour l'hémisphère gauche, et de 5,6
d'après ses statistiques, loin de dire qu'ils constituent un type à
sillons
confluents, on devrait plutôt les considérer co
ie mère dans le repli mésentén- forme; - 0, subiculum; e, entrée du
sillon
qui sépare la circonvolu- tioii de l'hippocampe
e ; /i, b, stratum graiiulosum do la ciiconvolulion godronnée; - e,
sillon
qui sépare la circonvolution godronnée d'avec la
mlyon de lapin, long de 36 millimètres ; ? vaisseaux placés dans le
sillon
qui sépare deux plis, lesquels vont former les de
mmissures labiales sont situées sur la même ligne transversale. Les
sillons
naso-géniens sont éga- lement prononcés. La l
te avec le névraxe deux adhérences, situées à droite et à gauche du
sillon
médian antérieur (fig. 13 Adh) ; ces deux adhér
tour est assez régulier, sauf à l'angle antéro-gauche, au niveau du
sillon
des racines antérieures, où l'on constate la prés
t le tractus fascicule qui aboutit aux racines sensitives. Les deux
sillons
médians an- térieur et postérieur sont fortemen
ant enfin par un gros bourgeon saillant à la dure-mère au niveau du
sillon
antéro-latéral (l'l. X, D'et E, coupes 66 et-34).
ques consistent en 2 noyaux gom- meux, situés de part et d'autre du
sillon
médian antérieur, l'un un peu plus élevé que l'
lieu à une remarquable surcoloration. Autour de la moelle, dans les
sillons
antérieur et postérieur et surtout autour des r
médullaires réunissant la tumeur aux méninges de part et d'autre du
sillon
médian. Les vaisseaux pré- sentent les mêmes lé
éninges antérieures, on peut supposer que la lésion a débuté par le
sillon
antéro-latéral, et cela à un étage où les ra- c
être à l'état normal, on reconnaissait très bien, sur sa coupe, les
sillons
et les cor- nes grises. Le microscope y montra
trouvait dans la substance médul- laire et autour des vaisseaux des
sillons
et commissures, des masses vitreu- ses homogène
ment dans la région des cordons et des racines postérieurs. Près du
sillon
longitu- dinal postérieur.fortes productions fi
i bordent des 2 côtés le sil- lon postérieur. Dans la profondeur du
sillon
, productions fibreuses s'éten- dant jusqu'à la
pie-mère spinale est épaissie et infiltrée d'éléments cellulaires. Le
sillon
longitudinal antérieur dans la région dorsale,
. Sur la coupe faite immédiatement au-dessus du dédoublement, les 2
sillons
antérieurs et postérieurs sont très voisins et
e très atrophiée, moitié du volume normal ; quelques érosions et un
sillon
transversal.' Canine droite, sillons blancs, at
ormal ; quelques érosions et un sillon transversal.' Canine droite,
sillons
blancs, atrophie de la couronne. Première petit
olaire. Incisives. Bord libre abrasé ; érosions pointillées brunes,
sillons
blancs. Canines. Gauche, mêmes caractères que l
caractéristiques de la syphilis héréditaire. En haut : il existe un
sillon
profond transversal des deux molaires moyennes de
s et les deux incisives du côté gauche sont le siège d'atrophie, de
sillons
et d'érosions. « En résumé, il n'est pas douteu
té atteint d'une méningite gom- meuse siégeant dans les environs du
sillon
bulbo-protubérantiel car les nerfs oculaires et
isage. La commissure labiale gauche est tirée en haut et à gauche, le
sillon
naso-labial gauche est plus marqué que le droit
; ces phénomènes s'accentuent lorsque la malade parle ou rit. Les
sillons
de la moitié droite de la face sont moins accentu
il1fé- rieure. Dents espacées, abrasées, déformées, microdontisme,
sillons
. Toutes les grosses molaires inférieures manque
at de ses dents. - 1° Mâchoire supérieure Incisive médiane gauche :
sillon
profond transver- sal, encoche d'Hutchinson. In
roite, mêmes caractères. Incisive latérale gauche, microdontisme et
sillons
. Toutes les autres dents disparues, sauf les ir
deux incisives médianes qui sont, de plus, striées transversalement.
Sillons
pro- fonds sur la canine droite et atrophie cus
o- fonds sur la canine droite et atrophie cuspidienne de la canine.
Sillons
sur la' 1re petite molaire droite. Des grosses
uf la 2e petite. Les incisives sont abrasées sur leur bord libre.
Sillons
transversaux moins accentués qu'à la mâchoire sup
ccipital. Sauf l'union déjà nommée de la scissure pariétale avec le
sillon
occipital longitudinal supérieur rien de particul
t être à l'état normal, on reconnaissait très bien sur la coupe les
sillons
et les cornes grises. Le mi- croscope y montra
n trouvait dans la substance médullaire et autour des vaisseaux des
sillons
et commissures, des masses vitreuses homogènes.
ent dans la région des cordons et des racines postérieures. Près du
sillon
longitudinal postérieur, fortes productions fib
plication des noyaux dans les cordons qui bordent des deux côtés le
sillon
postérieur. Dans la profondeur du sillon, produ
bordent des deux côtés le sillon postérieur. Dans la profondeur du
sillon
, productions fibreuses s'étendant jusqu'à la subs
la coupe transversale. Le tractus conjonctif qui s'enfonce dans le
sillon
longitudinal antérieur est tu- méfié et forme u
ements variables. Les cornes postérieures sont rejetées en haut, le
sillon
longitudinal postérieur est déplacé vers la droit
le côté droit qui dans la première est le plus atteint. En outre le
sillon
longitudinal antérieur est considérablement élarg
rs de la partie inférieure de la moelle lombaire, de chaque côté du
sillon
sagittal médian. D'autres sont épars dans toute
ents dans son intérieur. La pie-mère est mince, elle envoie dans le
sillon
postérieur un prolon- gement peu visible qui ré
gement peu visible qui réunit les deux moitiés de la moelle, dans le
sillon
antérieur un prolongement plus épais, séparé du
ambeaux restent adhérents à la méninge, et par le même processus le
sillon
médian antérieur disparait grâce il l'accolleme
pliqué directe- ment sur le tissu conjonctif voisin. Au niveau du
sillon
médian postérieur de la moelle, à l'insertion du
sseaux mêmes sont presque sains, on remarque seulement au niveau du
sillon
anté- rieur un triangle conjonctif pie-mérien a
gique sous-arachnoïdienno dans toute la fosse sylvienne et dans les
sillons
du lobe occipital. Moelle. - Ici l'altération a
térée au niveau de l'émer- gence des racines antérieures el près du
sillon
médian postérieur. A l'aspect ordinaire du tiss
à contours vagues et arrondis, à noyau violacé sans nucléole. Le
sillon
médian antérieur est très large, on distingue enc
ttement les vaisseaux spinaux antérieurs très altérés, mais dans le
sillon
aucun vestige du septum pie-mérien ; par contre
s dans le sillon aucun vestige du septum pie-mérien ; par contre le
sillon
se prolonge dans sa partie profonde par une déc
naissa- ble. Mais d'abord elle n'est plus orientée normalement, son
sillon
médian anté- rieur au lieu de correspondre à Ta
lle-même. Le septum médian antérieur épaissi emplit complètement le
sillon
et adhère aux cordons blancs qui le bordent.
légèrement infiltrée de cellules embryonnaires et envoyant dans le
sillon
médian antérieur un septum épais, entièrement fib
-mère est peu épaisse, non adhérente, cependant elle envoie dans le
sillon
médian antérieur un septum volumineux, entièremen
de de la cou- clic supérieure. Ainsi se trouve limitée une sorte de
sillon
de profondeur variable suivant l'ongle ou la pa
ue pigmen- tée au niveau du corps thyroïde; : riz la formation d'un
sillon
trans- versal bien défini à la racine de chacun
ns sanguines. Les circon- volutions sont généralement amincies, les
sillons
sont béants et profonds. Il n'y a pas d'adhéren
UES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. '1 9 .Morphologie des hémisphères.
Sillons
et circonvolutions. L'asy- métrie entre les deu
ans la majorité des cas la scissure de Holando se forme par un seul
sillon
continu, dont la partie supérieure est plus sup
sphère droit de notre malade se voit dans l'arrangement général des
sillons
du lobe pariétal et du lobe occipital. On sait
e des sil- lons, tandis que chez les singes pithécoïdes ce sont les
sillons
ver- ticaux, dont la fente simienne est le prin
droit de notre malade a tout à fait le cachet pithécoïde. Un large
sillon
occipital antérieur (Wernicke) semble continuer l
on l'observe parfois dans les cerveaux d'idiots. Mais ici les deux
sillons
sont séparés par un très mince pli de passage pa-
pital supérieur (premier pli de passage de Gratiolet). Au devant du
sillon
occipital antérieur, le sillon intermédiaire de J
passage de Gratiolet). Au devant du sillon occipital antérieur, le
sillon
intermédiaire de Jen- sen, démesurément dévelop
e l'hémis- phère presque tout entière et se jette d'un côté dans le
sillon
interpariétal et de l'autre par une petite bran
al et de l'autre par une petite branche horizontale dans le premier
sillon
temporal. Le 1), Pfister de Fribourg en Brisgau
de 350 hémisphères. Dix fois seulement sur ces 350 hémisphères, le
sillon
transverse occi- pital était complètement sépar
ères, le sillon transverse occi- pital était complètement séparé du
sillon
interpariétal, auquel il est presque toujours r
toujours rattaché. Or, dans les deux hémisphères de notre malade le
sillon
transverse était indépendant du sillon inter- p
misphères de notre malade le sillon transverse était indépendant du
sillon
inter- pariétal. Remarquons encore que le lob
e à droite était coupée en trois parties à peu près égales par deux
sillons
transversaux. Il PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 121 e
ral du côte opposé ; dans le cordon antérieur du même côté, près du
sillon
antérieur, quatre à six mottes noires esquissen
vant les individus, mais qui toujours se traduit par le dessin d'un
sillon
rectiligne ou arqué ou par des plis convergeant
n d'un sillon rectiligne ou arqué ou par des plis convergeant en un
sillon
sur l'éminence hypothénar. Il s'agit d'un réfle
quelques minutes, apparaissent quelques convulsions dans l'aire du
sillon
et la sensation devient plus désagréable mais le
s l'aire du sillon et la sensation devient plus désagréable mais le
sillon
disparait peu à peu; exagère-t-on alors la pres
s le sillon disparait peu à peu; exagère-t-on alors la pression, le
sillon
se reforme mais pour peu de temps. Le même ré
sion à leur face libre, agrandissement des espaces, anfractuosités,
sillons
et scissures qui les séparent, ainsi que des ca
semaines après, une plaque de sphacèle se limite net- tement par un
sillon
assez profond d'où s'échappe du pus ; cette pla
uciales, d'autres abou- tissent au segment limitrophe postérieur du
sillon
coronaire. Il y a d'ailleurs quelques variétés
s pleurons aujourd'hui. Il succombe à la tâche, avant la fin de son
sillon
, en plein combat pour le soulagement de la souf
otique antérieure (Adam- kiewicz) qui continue à grimper le long du
sillon
de la moelle, et donne les artères du sillon. C
e à grimper le long du sillon de la moelle, et donne les artères du
sillon
. Celles-ci pénètrent dans la profondeur du sill
ne les artères du sillon. Celles-ci pénètrent dans la profondeur du
sillon
comme autant d'échelons d'une échelle, s'enfoncen
finit la chaîne anastomotique antérieure avec la première artère du
sillon
qui irrigue les cornes grises antérieures de la
a plus rien du tout dans la moelle lombaire même des deux côtés du
sillon
postérieur. C'est la virgule de Schultze, dégén
ce qui s'y rapporte et tous les préparatifs de cette tentative. Le
sillon
laissé par le lien montre que les deux carotide
et la pie-mère sous- jacente dans la région du tiers inférieur des
sillons
de Rolando et de S,ylvius.Au-dessous de la dure
méningiennes nombreuses. L'écorce a un aspect normal, toutefois les
sillons
frontaux semblent plus accentués à droite qu'à
ré FI). Les circonvolutions de la face interne sont grêles avec des
sillons
très superficiels. Le coin est très réduit et c
u induré, dur sur son bord inférieur. - Sur tout cet hémisphère les
sillons
sont très peu profonds alors qu'ils sont très a
territoire, c'est-à-dire de la partie de l'écorce située autour du
sillon
de Rolando que part le système du cordon latéra
0 c 5 H 1 r C EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I -
Sillons
el circonvolutions de la face externe de l'hémisp
nvolutions en centimètres, mesulées sur le cerveau durci. r 111.,
sillon
fronto-marginal ; - fi., premier sillon frontal;
r le cerveau durci. r 111., sillon fronto-marginal ; - fi., premier
sillon
frontal; - f2., deuxième sillon frontal; 1"2" s
on fronto-marginal ; - fi., premier sillon frontal; - f2., deuxième
sillon
frontal; 1"2" sillon de la deuxième circonvolutio
- fi., premier sillon frontal; - f2., deuxième sillon frontal; 1"2"
sillon
de la deuxième circonvolution frontale; - p F ?
Rolando (partie antérieure) ; P a., pariétale ascen- dante ; po r.,
sillon
po^t-rolandique ; c m., encoche du sillon callo
ale ascen- dante ; po r., sillon po^t-rolandique ; c m., encoche du
sillon
calloso-marginal ; p t., sillon pariétal transv
po^t-rolandique ; c m., encoche du sillon calloso-marginal ; p t.,
sillon
pariétal transverse; p l ? deuxième sillon pari
calloso-marginal ; p t., sillon pariétal transverse; p l ? deuxième
sillon
pariétal tmr.svrrse; - i p., sillon inter-panétal
étal transverse; p l ? deuxième sillon pariétal tmr.svrrse; - i p.,
sillon
inter-panétal; - Op.li., oper- cule rolandique;
circonvolution pariétale; Pe., deuxième circonvolution pariétale; ?
sillon
intermédiaire de Jensen; - j ? deuxième sillon in
nvolution pariétale; ? sillon intermédiaire de Jensen; - j ? deuxième
sillon
intermédiaire; l' c., pli courbe; - 7r p o ? pr
ccipital de Gra- tiolet ; p o., scissure pariéto-occipitale : o a.,
sillon
occipital anté- rieur de vVermike, i o., sillon
-occipitale : o a., sillon occipital anté- rieur de vVermike, i o.,
sillon
intpr-oecipital; - 0'" première cir- convolutio
n occipitale; D., circonvolution descendante d'Kcker : 0 ? deuxième
sillon
occipital; T ? première circonvolution temporal
ne de l'hémisphère gauche. l.. F., lobe frontal; f'2. ('), deuxième
sillon
frontal; pr i., sillon prérolandique inférieur;
he. l.. F., lobe frontal; f'2. ('), deuxième sillon frontal; pr i.,
sillon
prérolandique inférieur; - R'. (2), scissure de
R. (3), scissure de Rolando (partie postérieure); cm ? encoche du
sillon
calloso-margmal; - po r. (4), sillon post-rolandi
postérieure); cm ? encoche du sillon calloso-margmal; - po r. (4),
sillon
post-rolandique; -p t., sillon pariétal transve
sillon calloso-margmal; - po r. (4), sillon post-rolandique; -p t.,
sillon
pariétal transverse; - o. o. (5), scissure pari
tal transverse; - o. o. (5), scissure pariéto-occipntale; -o ci. (°),
sillon
occipital antérieur; - L. o., lobe occipital ;
(°), sillon occipital antérieur; - L. o., lobe occipital ; j'. ('),
sillon
intermédiaire de Jensen. (*) Marqué par erreu
I Face interne de l'hémisphère gauche. si (marqué par erreur F"),
sillon
olfactif; -so., sillon sus-orbitaire; fm. (au l
émisphère gauche. si (marqué par erreur F"), sillon olfactif; -so.,
sillon
sus-orbitaire; fm. (au lien de Sc. cm), sillon
llon olfactif; -so., sillon sus-orbitaire; fm. (au lien de Sc. cm),
sillon
fronto-marginal ; R' (an lieu de R), scissure d
issure de Rolando (partie antérieure); - c m ? portion verticale du
sillon
calloso- marginal - poo., sillon post-rolandiqu
ure); - c m ? portion verticale du sillon calloso- marginal - poo.,
sillon
post-rolandique; - pt., sillon pariétal trans-
du sillon calloso- marginal - poo., sillon post-rolandique; - pt.,
sillon
pariétal trans- verse ; - Sp., scissure sous-pa
LANCHE IV. Face externe ou convexe de l'hémisphère gauche. S. R.,
sillon
de Rolande ; - F1, F3, F3, ] ? 21, 3' circonvolut
ie mentale. Ii : j représenté par une ligne qui, placée en avant du
sillon
perpendi- culaire externe, descendrait après av
che, la direction est la même, seulement ici la ligne passe dans le
sillon
perpendiculaire lui-même et occupe dans tout so
rès marquée ; lorsque l'enfant est debout, il existe à ce niveau un
sillon
vertical assez profond pour contenir le doigt.
e la moelle lombaire et dorsale infé- rieure, (double raie entre le
sillon
médian postérieur et le bord interne de la corn
e dorsale supé- rieure, on rencontre une dégénérescence qui suit le
sillon
longi- tudiual postérieur, une atrophie partiel
éeux occupe exactement la place de la circonvolution de Broca et le
sillon
prsecentralis (frontal parallèle), mais il est
st hideux; le front et la racine du nez sont couverts de rides, les
sillons
naso-labiaux sont très accusés, le nez est ca-
sont dilatées. La graisse qui se trouve à l'état normal dans les
sillons
est ici beaucoup moins abondante que d'habitude.
imètre de lar- geur ; l'artère méningée moyenne s'y est creusée des
sillons
profonds. Sur le frontal, à droite et près de l
rès un trajet de 18 millimètres le long de son bord inférieur. Le
sillon
deRolando (S. R.), profond et sinueux,prend son o
VEUSE. circonvolution frontale est trèsprofonde, mais est séparéedu
sillon
fronto-marginal par une portion isolée de la de
circonvolution frontale ascendante; elle se continue en has avec un
sillon
oblique qui va se jeter dans le sillon de Rolando
e se continue en has avec un sillon oblique qui va se jeter dans le
sillon
de Rolando. La scissure frontale inférieure (Se
tion frontale (PL. III, F,), très irrégulière, est découpée par des
sillons
enchevêtrés et il est par suite assez difficile
nueuse, irrégulière, comme découpée en plu- sieurs tronçons par des
sillons
transversaux et obliques profonds ; un pli de p
(FA) assez maigre, sauf vers sa partie médiane, est coupée par deux
sillons
antéro-posté- rieurs. Cette partie médiane isol
PACHYDERMIQUE. 315 passage à niveau, qui intenompt la continuité du
sillon
de Ho- lando, sur la circonvolution pariétale a
a courbe normale se continue ensuite presque dans le lit du premier
sillon
occipital. Le lobule pariétal inférieur (P.) et
et antérieure de la deuxième circonvolution occipi- tale. Tous les
sillons
et toutes les circonvolutions de ce lobe, de fo
4 millimètres, relié à la scissure calloso- marginale par un petit
sillon
également superficiel partant de son extrémité
cap simple, normal, de la troisième circonvolution fron- tale. Le
sillon
deRolando (S. R.), sinueux, assez profond, est in
ase perder IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 317 dans un petit
sillon
marginal antérieur. Les circonvolutions du lobu
ont nous venons de parler; elle se prolonge ensuite presque dans le
sillon
occipital transverse. - Le lobule pariétal infé
riétal inféi'icU1' (P ,J, est sinueux, très découpé, irrégulier; le
sillon
ver- tical (b) qui le sépare du pli courbe se p
irconvolution temporale; en arrière, une de ses por- tions isolées (
sillon
occipital antérieur (d) sépare nettement en se
a première circonvolu-- tion temporo-occipitale (T 0,) sinueuse; un
sillon
oblique réunit cette scissure à la moitié posté
est normale dans ses différentes parties; elle communi- que par un
sillon
avec l'extrémité de la branche verticale de l'7
le ascendantes. On remarque un peu en avant de sa partie médiane un
sillon
en y grec assez profond, et en arrière un autre
ane un sillon en y grec assez profond, et en arrière un autre petit
sillon
transversal assez superficiel. La circonvo- lut
Le lobe quadrilatère (L. Q.), très développé, présente en avant un
sillon
transversal profond, communiquant avec la scissur
de passage temporo- pariétaux à gauche, et trois à droite. 2° Les
sillons
sont remarquables par leur irrégu- larité ; la
scissure interpariétale se continue de chaque côté dans le premier
sillon
temporal, et la scissure perpendiculaire extern
rincipales circonvolutions sont bien dessinées et volumineuses; les
sillons
sont profonds et étroits. La dentition est très
ne. La réunion de l'occipital avec les pariétaux est marquée par un
sillon
qui pa- rait correspondre à la suture lambdoïde
nal libre. - Voûte crânienne d'épaisseur moyenne, sutures visibles,
sillon
de la méningée moyenne, profond à gauche; du re
nte rien de spécial. Les circonvolutions sont un peu maigres, les
sillons
sont très accentués par suite de l'oedème des m
orps et le mur. La tête s'était aussi portée du même côté. Aussi le
sillon
que la corde forme sur le cou arrive-t-il en arri
e, on peut les soulever de la surface du cerveau et surtout de leur
sillon
, pour permettre d'enlever la substance cérébral
e ascendante, c'est-à-dire derrière la termi- naison postérieure du
sillon
frontal supérieur) se trouvait une cicatrice ca
e le point de départ était situé vers la terminaison postérieure du
sillon
frontal supérieur, point qui coïncide, comme no
i des muscles de l'abdomen est juste à l'extrémité pos- térieure du
sillon
frontal supérieur. Le professeur Ferrier a mon-
le centre des mouvements de la tête et du cou est au- dessous de ce
sillon
et que celui de l'extension du bras était à peu
la frontale antérieure et dans le voisinage de la partie moyenne du
sillon
post central ( ? ) La masse du cerveau gorgée d
arcation entre la 3- frontale et la pariétale ascendante. S. lt ,
Sillon
de Rolando. Sc. p. e., Scissure perpendiculaire
lanche Il, sauf les suivantes : e., Incisure ! m'Jovalaire, d.,
Sillon
parallèle à la scissure perpendiculaire interne a
lles de la planche III, il 1'0 : \- ception de.-) suivantes : d.,
Sillon
occipital antérieur. b., Sillon intermédiaire a
- ception de.-) suivantes : d., Sillon occipital antérieur. b.,
Sillon
intermédiaire au pli pariétal inférieur et au pli
illon intermédiaire au pli pariétal inférieur et au pli courbe. c.,
Sillon
divisant le piicombe. - iUt : : Uf \..1.1. Ubui
voir. Il paraît plus vieux que son âge. Il a la lèle- conique et le
sillon
naso-labial gauche plus creux que le droit, bien
quilin, régulier, légèrement dévié à droite. Les plis du front, les
sillons
naso-labiaux soit au repos, soit dans les mouveme
rofonde, bien marquée, laisse voir l'insula qui semble normal. Le
sillon
de Rolando est peu profond. En avant, on trouve
nirtgite, qui forment un ilôt allongé et transversal, atteignant le
sillon
de Rolando. Le reste du lobe est bien diminué d
est bien diminué de volume. - Le lobe tempo- ral parait normal, les
sillons
et scissures y sont bien accen- tués. - Sur le
rtout développées au voisi- nage du pli courbe, où elles forment un
sillon
large qui se continue avec des traces analogues
sente une scissure de Sylvius bien marquée. L'insula est normal. Le
sillon
de Rolando est peu profond et élargi. En avant
ourt, aplati; au-dessous on trouve un double menton de graisse.
sillons
naso-géniens sont ac- clissés. La bouche est
ouche est très grande. La lèvre supérieure est très épaisse ; son
sillon
médian est un peu dévié à droite. L'inférieur
le pouce écarté en dehors. Du moi- gnon de l'épaule descend un
sillon
circulaire qui passe sous la racine du bras pou
fférent de celles de gau- che. La scissure de Sylvius, l'insula, le
sillon
de Rolando déli- mitent normalement le lobe mai
que avec F2 par trois petits plis de passage F2 est coupée par un
sillon
à son tirer. postérieur, tres contournée elle com
ilice et très réduit est séparé de ses deux tiers antérieurs par un
sillon
profond, FA conserve son aspect normal, un sil-
pect normal, un sil- lon la coupe en deux à sa partie moyenne. Ce
sillon
transversal se continue dans le lobe frontal bor-
tinue dans le lobe frontal bor- dant une partie de F2 et coupant le
sillon
préfrontal et du côté du lobe pariétal en coupa
Il est parallèle à la scissure de Sylvius. Il se continue avec le
sillon
intra-pariétal de sorte que le lobe pariétal offr
e généralisée, plus abondante sur le ventre, la verge et les mains.
Sillons
dans les espaces interdigitaux (gale). Traiteme
ilaté, la couche optique et le corps strié sont très atrophiés. Les
sillons
sont relativement assez profonds. Les coupes pr
circonvolutions sont en général bien développées (PL. I et II). Les
sillons
sont assez profonds, mais les plis de passage s
ssures prin- cipales sont assez bien accusées (scissure de Sylvius,
sillon
de Rolando). Lobe frontal. Les trois circonvo
ions frontales sont nettes mais de nombreux plis de passages et des
sillons
secondaires longitudinaux compliquent leur morp
mètres carrés de FA à 3 cm. de la corne frontale sont sclérosés. Le
sillon
préfrontal sépare nettement FA du reste du lobe.
és. Le sillon préfrontal sépare nettement FA du reste du lobe. Ce
sillon
se continue par un autre formant crochet, coupant
dès la corne frontale. FA d'aspect normal est séparé de l'A par un
sillon
de Rolando normal. Les ventricules sont peu dil
uche de l'axe du crâne. Sur la face interne on trouve des traces de
sillons
, très profondément marqués. Il n'y a pas de syn
ce in- terne des hémisphères la vascularisation est générale. Les
sillons
paraissent comme fermés, accolés les uns aux au
lement accolées. Il existe des traînées blan- châtres au niveau des
sillons
et des vaisseaux. - Le corps calleux n'offre ri
le lobe occipital et le lobe temporal. Seul le lobe paracentral, le
sillon
calloso-marginal et ceux qui séparent le coin d
ement des circonvolutions qui ne permettent plus d'en retrouver les
sillons
de séparation. La surface du cer- veau se prése
partir de la moitié postérieure du lobe frontal, les deux faces des
sillons
ne présentent pas d'adhérences, et la pie-mère
mère s'enlève sans entraîner de subs- tance grise, notamment sur le
sillon
de Rolando, et sur la face interne de la scissu
ique qui se traduit par un écoulement séro-muqueux, sans odeur. Les
sillons
148 Idiotie myxoedémateuse. naso-labiaux so
ième circonvolutions frontales. F. A., frontale ascendante. S.R.,
sillon
de Rolando. P.A., pariétale ascendante. P.I.,
arrière et à gauche de l'épendyme, s'ouvrant presque dans le grand
sillon
postérieur. A la pointe de la corne postérieure
re à ce niveau est représenté par une laine fibreuse, sans trace de
sillons
, épaisse de 1/2 centimètre sur un espace de 6 cen
de la méningo-encéphalite et du tassement des circonvolutions, les
sillons
sont très peu distincts et ne permettent pas un
lésion méningée prédominante, pénétrant la substance nerveuse par les
sillons
et secondairement par un envahissement direct e
Ces amas peuvent provenir d'un tractus pie-mérieu pénétrant par un
sillon
voisin ou bien représenter une gomme isolée, co
mations méningées. Il n'y a plus aucune symétrie, ni par rapport au
sillon
antérieur, qui est élargi et dévié, ni par rapp
- breux et dilatés. Il n'y a pas d'hémorrhagie interstitielle. Le
sillon
antérieur reçoit une masse inflammatoire en forme
de tissu jeune très vascularisé pénètre en général jusqu'au fond du
sillon
antérieur, écartant et comprimant plus ou moins
ions voisines, quand le prolonge- ment pie-mérien pénétrant dans le
sillon
esl épaissi et infiltré. En raison de l'intensi
. Elles pénétraient par les cornes postérieures, laissant intact le
sillon
pos- térieur ; sur toute la périphérie de la mo
e front, une dépression de 1 centimètre de profondeur forme un fort
sillon
transversal ; puis le plan osseux se relève et fo
divers détails exté- . rieurs de la moelle cervicale. On y voit le
sillon
antérieur, les diverses racines antérieures et
ie-mère est très nettement dessinée par un petit liseré continu. Le
sillon
antérieur est libre. Le canal de l'épendyme app
re droite, et postérieure. Avec un peu d'attention, on reconnaît le
sillon
médian antérieur ; une légère ligne foncée en b
médian antérieur ; une légère ligne foncée en bas est le vestige du
sillon
médian pos- térieur, on voit aussi les régions
en même temps d'ailleurs qu'elle se dé- veloppait à gauche, que le
sillon
médian antérieur, au lieu de se trouver dans le
lon médian antérieur, au lieu de se trouver dans le prolongement du
sillon
postérieur, forme avec celui-ci un angle obtus,
ssement exister dans le prolongement que la pie-mère envoie dans le
sillon
médian antérieur. Sur le reste du pourtour de l
n, les vestiges de la topographie médullaire habituelle; en haut le
sillon
anté- rieur, et dans la profondeur de chaque cô
araissent comme deux traînées finement rameuses qui aboutissent aux
sillons
collatéraux postérieurs, entre lesquels sont nett
collatéraux postérieurs, entre lesquels sont nettement dessinés les
sillons
intermédiaires et le sillon médian-postérieur.
e lesquels sont nettement dessinés les sillons intermédiaires et le
sillon
médian-postérieur. La tumeur, ici, semble divis
urs sont bien délimités par la pie-mère ; on distingue nettement le
sillon
antérieur, les points de terminaison des cornes
les points de terminaison des cornes postérieures, et entre eux, le
sillon
postérieur. Ici le sillon posté- rieur n'est pl
des cornes postérieures, et entre eux, le sillon postérieur. Ici le
sillon
posté- rieur n'est plus interrompu au niveau de
re les cellules nerveuses principalement en avant de chaque côté du
sillon
médian antérieur, dans les régions correspondan
oints même, vis-à-vis de la corne antérieure droite, et, au fond du
sillon
antérieur, le tissu néoplasique a gagné la périph
aux centraux, arlères et veines, ra- meaux des artères et veines du
sillon
antérieur. Ces vaisseaux sont ext1'001'di- nair
ux : débarrassé de ses caillots, il pèse 510 grammes. La hauteur du
sillon
interveutriculaire, mesuré depuis la pointe du co
lon interveutriculaire, mesuré depuis la pointe du coeur jus- qu'au
sillon
interauriculo-ventriculaire, est de 13 cm. La lar
aire, est de 13 cm. La largeur maxima, me- surée suivant ce dernier
sillon
, est de 14 cm. L'anneau de la valvule mitrale a
passe directement du bord radial sur le pouce, sans présenter aucun
sillon
, ni aucune trace de cicatrice ancienne. A la pa
ale, un très léger et très étroit enfoncement central longitudinal (
sillon
moyen, sulcus medianus) qui part de la première
3-4 millimètres de distance de la muqueuse, sans l'atteindre. Le
sillon
moyen superficiel de la muqueuse dorsale de la la
e et simple que possible. La langue tirée l'extérieur présente un
sillon
moyen (a) extraordinai- rement enfoncé non seul
ORME CIIEZ UN ALIÉNÉ ÉPILEPTIQUE 955 la direction et la position du
sillon
normal et y correspond exactement : mais au lie
re de distance. A ce point, au contraire, elle rencontre trois gros
sillons
transverses (x, y, z) ondulés, courbes, parallèle
i atteint les premières papillx vallaix. , La deuxième branche du
sillon
moyen (b), un peu plus courte que la pre-i mier
ement, un peu plus tôt, à 4-5 millimètres au-dessus du premier gros
sillon
transverse (x) déjà décrit. Presque parallèleme
arallèlement aux deux branches centrales, nous trouvons deux autres
sillons
longitudinaux latéraux (c, d), de la même lon-
vement marqués et profonds, aussi bien à droite qu'à gauche, 5 gros
sillons
marginaux obliques, ronds ou presque ronds, en di
nés l'un auprès de l'autre et possédant les mêmes caractères que le
sillon
moyen et les autres décrits. Les bords de la la
n étant très irrégulière, n'arrive point à être tailladée par aucun
sillon
ou enfoncement. Au dehors des sillons que nous
int à être tailladée par aucun sillon ou enfoncement. Au dehors des
sillons
que nous avons décrits, nous trouvons encore sur'
e la langue nous donne l'impression d'une écorce cérébrale avec ses
sillons
et ses circonvolutions ou bien d'une carte géog
llation de langue cé1'éb¡'ifo1'1ne ou langue géographique. Les deux
sillons
moyens, les deux latéraux, les trois transverses
ne lame de couteau avec une disposition géométrique. Les parois des
sillons
aussi bien que leurs fonds, sont couverts par la
il est même général de voir, quand l'adipose est considérable, les
sillons
rentrants qui donnent au tégument un aspect mat
t dorsale et limitée : en dedans par une ligne virtuelle parallèle au
sillon
médian postérieur et passant par le point où la
rement la forme d'un H dont la branche verticale interne atteint le
sillon
médian postérieur qu'elle longe dans une partie s
lement de son tiers postérieur, car elle n'atteint pas le point où ce
sillon
ren- contre la superficie de la moelle ; la lon
si il peu près mesurée par la majeure partie du tiers postérieur du
sillon
médian postérieur, moins une petite étendue tou
zone sclé4 reuse respecte un petit territoire ovalaire adjacent an
sillon
médian postérieur; ce territoire intact occupe
orne postérieure ni la péri- phérie de la moelle, sauf au niveau du
sillon
médian postérieur, respectant le faisceau ovale
u effet on constate que le frontal présente sur la ligne médiane un
sillon
assez large et assez prononcé qui va encore en s'
mm.) que la gauche (8 cent.). A la région occipitale on retrouve un
sillon
moins accentué, se continuant en haut vers la rég
T. XXV. PL xxxi]4% DYSOSTOSE CL1D0-CRANIENNE On voit nettement le
sillon
frontal, la mobilité des épaules, l'ensellure lom
ci on observe encore deux dents dont la plus antérieure présente un
sillon
qui divise sa surface de section en deux moitiés,
ÏDO- CRANIENNE Radiographies du crâne très transpatent au niveau du
sillon
frontal et des fontanelles. (Maldaresco,et Parh
lle héréditaire. En effet nous trouvons un crâne brachycéphale avec
sillon
médiofrono lal lrès prononcé, ossification défe
pie-mprc, sur tout au niveau de la face antérieure, au voisinage du
sillon
antérieur, de nombreuses libres à myéline enchevê
e, jusque-là intacte, se raréfie, les cellules les plus voisines du
sillon
antérieur perdent leurs prolongements, deviennent
e un aspect asymétrique, elle semble déprimée d'un seul côté par un
sillon
profond - Sur la coupe, cet aspect asymétriqu
out marqué au niveau des branches plus grosses qui pénètrent par le
sillon
radiculaire antérieur. Il n'y a d'ailleurs pa
e péri-vasculaire des arlérioles radiculaires antérieures, cause le
sillon
profond que l'on peut voir même macroscopiquement
mmissurales de l'artère spinale antérieure qui, parvenue au fond du
sillon
médian antérieur, se bifurquent ou obliquent à dr
es perforantes, quelques-unes, plus importantes, sui- vent l'une le
sillon
médian postérieur, l'autre le sillon radiculaire
mportantes, sui- vent l'une le sillon médian postérieur, l'autre le
sillon
radiculaire anté- rieur, l'autre enfin le sillo
érieur, l'autre le sillon radiculaire anté- rieur, l'autre enfin le
sillon
radiculaire postérieur. (.'arnol'uf; ISOLÉE non
es de Kadyi que la sulco-commissurale ne se bifurque pas au fond du
sillon
anlérieurcomme le pensait Adamkiewicz, mais fourn
rables dans les cordons postérieurs et latéraux, des déviations des
sillons
antérieurs et postérieurs. Au niveau de la ré
cu- laire, elle est exclusivement centrale, limitée en avant par le
sillon
anté- rieur, dont rien ne la sépare sur une ass
branes conjonctives. Ce fait est particulièrement net : 1° dans les
sillons
des cordons posté ? rieurs et latéraux, vis-à-v
uls-de-sac cavilaires (Dvll et Dvlo), et surtout ; '20 au niveau du
sillon
antérieur. Il est habituel de voir lesvais- sea
veau du sillon antérieur. Il est habituel de voir lesvais- seaux du
sillon
antérieure ! les faisicux de tissu conjonctif qui
e Dvi, la commissure antérieure a disparu et le tissu conjonctif du
sillon
antérieur se continue sans interruption avec le
a- chidien, qui sans doute a dû filtré à travers les fissures et le
sillon
anté- rieur' jusque dans les cavités et les fen
uation des membranes papillaires avec les prolongements méningés du
sillon
antérieur et du sillon postérieur ne nous paraiss
pillaires avec les prolongements méningés du sillon antérieur et du
sillon
postérieur ne nous paraissent subordonnées l'év
ir que l'absence de commissure antérieure et l'ouverture directe du
sillon
antérieur dans la cavité ont laissé filtrer le
être envisagés comme des déformations secondaires ; l'ouverture du
sillon
antérieur de la moelle dans la cavité et l'abse
u même processus inflammatoire, qu'il faut expliquer l'ouverture du
sillon
antérieur dans la cavité et l'ab- sence de conn
7e cervical la con- formation de la moelle commence à changer. Les
sillons
antérieur et postérieur ne sont plus médians, m
r le même niveau que la corne gauche. Dans le sens descendant les
sillons
antérieur'et postérieur s'écartent de plus en p
t comme étriquée par rapport à l'homologue du côté opposé. Noter le
sillon
de la face anté- rieure de l'hémi-moelle droite
se est un peu diminuée de volume par rapport à la normale. Noter le
sillon
du bord antérieur de la corne antérieure. Fic..
pris un aspect sensiblement normal. Noter toujours du côlé droit le
sillon
de la face antérieure. Dans la substance blanch
libres myéliniques). Le bord antérieur présente encore la trace du
sillon
des coupes précédentes. Les cellules disséminées
manifeste des gaines vasculaires. Les autres détails, hémiatrophie,
sillon
anlérieur, se voient ici comme sur la figure 3.
t déprimée à ce. niveau sur une hauteur de 1 cent. 1/2 comme par un
sillon
profond. Histologiquement téphomalacie unilatér
grêle. Il existe un notable degré d'hémialrophie de la moelle avec
sillon
très marqué de la face antérieure. Du côté droit
ieures. Atrophie de la moelle avec aplatissement antéro-postérieur et
sillon
profond de la face antérieure prédominant à dro
ain et surtout sur les interosseux. Le dos de la main est creusé de
sillons
profonds dessinant les métacarpiens, le 1e'' es
ngue, la diminution des réflexes pupillaires. Une cicatrice dans le
sillon
halano-prépulial. Au point de vue psychique on
rmé, très élargi, tombant sur les épaules dont il est séparé par un
sillon
transversal très marqué que la tumeur déborde n
ère intervention chirurgicale. 484 TRÉNEL ET FASSOU Au-dessous du
sillon
cervico-scapulaire précité, et parallèlement à lu
en avant, par le bord du maxillaire inférieur, et en arrière par un
sillon
transver- sal très net qui réunit la partie moy
, de gros amas de petites tumeurs agglomérées mais séparées par des
sillons
superficiels. Tout l'espace compris entre le rebo
é la plaque de pachyrné- Fm. 2. - 1. Corne antérieure gauche. -- 2.
Sillon
longitudinal antérieur. - 3. Cor- don antérieur
aucune systématisation ; les mieux colorées sout les fibres autour du
sillon
antérieur : assez bien aussi, une large zone au
n des paupières et l'occlusion de la] bouche se font assez bien. Le
sillon
nasolabial est symétrique, la bouche est bien en
cavé par l'atrophie profonde des muscles du côté cubital ; de même le
sillon
existant entre le pouce et l'index est très acc
ériphé- rique antérieure. La zone périphérique médiane (autour du
sillon
antérieur) est presque nor maie, les lésions, s
inuscules asymétriques dans les deux cordons postérieurs, non loin du
sillon
longitudinal postérieur et un foyer en forme al
iphérique et un petit foyer dans le cor- don antérieur, non loin du
sillon
longitudinal antérieur. Les cordons postérieurs
a longueur du segment phalangien, mesuré de l'extrémité du doigt au
sillon
métacarpo- phalangien, est rapprochée de la lon
s sa partie voisine de l'articulation est recourbé, il présente des
sillons
et il est d'une épaisseur inégale. Cette irrégu
ppée. Les sutures sont très peu visibles et l'on a peine à voir les
sillons
de l'artère méningée moyenne. Les sinus frontal
es condyles sont des deux côtés bien plus grands que de coutume. Le
sillon
moyen entre les deux condyles est plus prononcé q
un peu agrandie. Parties génitales : cicatrices de date récente du
sillon
glando-prépu- tial. Urines ne contenant ni albu
sa face antérieure présente à hauteur des esquilles saillantes, un
sillon
transversal, avec léger renflement au-dessus. Il
istologique de la moelle, ne nous a montré ni sclérose au niveau du
sillon
transversal marqué par l'os, ni dégénérations des
.) FIG. 19. - Endolhélioma de la moelle épinière. 1. Tumeur. - 2.
Sillon
longitudinal antérieur. - 3. Moitié gauche de la
l de sorte que le pro- longement de la scissure de Rolando jusqu'au
sillon
calloso-marginal par- tage également ce lobule
, l'autre postérieure,séparées entre elles,en gran- departie,par un
sillon
au fond duquel nous trouvons la même structureque
que les cellules sont plus fréquentes sur le versant qui regarde le
sillon
de Rolando, puis à mesure que l'on descend, elles
disparais-' sent du versant antérieur et lorsqu'on se rapproche du
sillon
frontal supérieur, elles restent cantonnées sur
sale ; le lobule du nez, qui présente une ébauche de division ; le
sillon
labial; puis arrivant sur la muqueuse, il se ré
a langue, la ligne médiane du plancher buccal ; reparaissant sur le
sillon
médian de la lèvre inférieure, divisant le ment
e, petite, est rugueuse, légèrement concave, divisée en deux par un
sillon
; la gauche est plus large, plus longue mais ir
peu la première articulation interphalangienne de l'annulaire ; le
sillon
interdigital correspondant remonte plus haut qu
ée. La face médiane de l'hé- misphère est traversée par de nombreux
sillons
divergents. On trouve souvent une absence conco
rieure de la scissure calloso-marginale est remplacée par plusieurs
sillons
divergents et dirigés plus ou moins verticaleme
es typiques, pas même la calcarine, n'est reconnaissable ; tous les
sillons
sont courts, superficiels et irrégulièrement di
superficiels et irrégulièrement disposés. D'une façon générale, les
sillons
aussi bien de la face médiane que de la face la
une disposition rayonnante. A la face orbitaire du lobe frontal les
sillons
atypiques abondent, mais le sillon olfactif est t
e orbitaire du lobe frontal les sillons atypiques abondent, mais le
sillon
olfactif est toutefois net- tement défini. La s
s net- tement défini. La scissure de Sylvius se divise en plusieurs
sillons
diver- gents, dont un plus large et plus profon
rente et le trou deMonro ne sont pas décelables. La disposition des
sillons
est à peu près la même que dans l'hémisphère ga
uche s'est recroquevillé au point de dégarnir presque totalement le
sillon
olfactif. - Dans une seconde publication (1) co
l'écorce de la région correspondante est traversée par de nombreux
sillons
divergents. Dans un bon nombre de cas cependant
- sence doit être considérée comme étant une anomalie associée. Les
sillons
divergents représentent tout simplement une pha
ure du déve- loppement cortical. Nous savons qu'à l'état normal ces
sillons
primitifs "disparaissent; leur persistance cons
one, manquent totalement. La première circonvolution limbique et le
sillon
calloso-marginal font également défaut, et la r
ondante de la face médiane des hémisphères est tra- versée par cinq
sillons
divergents. Il existe, des deux côtés,'une micro-
enne, et s'atténue progressivement en remontant vers l'émergence du
sillon
interpédonculaire. Trijumeau et ganglion de Gas
la flexion de la première phalange du doigt court : par exemple un
sillon
vertical en Y coupant le bourrelet normal (obs.
fronto-pariétale. Le cunéus est inéga- lement divisé en deux par un
sillon
vertical profond qui descend du bord supérieur
irconvolution extrêmement irrégulière et traversée par sept ou huit
sillons
divergents qui rayonnent de bas en haut vers le
rien d'anormal, sauf quelques légères anomalies dans le trajet des
sillons
du lobe pariétal et du lobe occipital. La branc
es sont l'une et l'autre subdivisées en trois parties par de courts
sillons
superficiels.Le pli courbe est traversé d'avant
s superficiels.Le pli courbe est traversé d'avant en arrière par un
sillon
horizontal assez profond. Hémisphère gauche (PI
volution droite ne soit pas déli- mitable en raison de l'absence du
sillon
et du bulbe olfaclifs. Au niveau de la face int
s, dirigés d'avant en arrière et séparés les uns des autres par des
sillons
très superficiels. A part la très grande anomal
s circonvolutions centrales ascendantes soient bien développées, le
sillon
de Rolando parait de beaucoup plus large qu'à l'é
pariétale ascendante est irrégulièrement subdi- visée par plusieurs
sillons
obliques superficiels. Legyrus supramarginalis
isphère droit, le pli courbe est traversé d'avant en arrière par un
sillon
horizontal très profond. La scissure pariéto-occi
de l'hémisphère, descend obliquement en avant pour s'unir au second
sillon
temporal. Le lobe occipital droit a, comme le g
rogyrie. La deuxième circonvolution occipitale est traversée par un
sillon
qui relie la scissure pariéto-occipi- tale au s
aversée par un sillon qui relie la scissure pariéto-occipi- tale au
sillon
occipital inférieur. Le pied de la première circo
de la première circonvolution limbique est traversé par de nombreux
sillons
profonds qui divergent en remontant vers le bord
émerge du précunéus et en bas par la scissure collatérale. Les deux
sillons
se rencontrent en un point situé à deux centimètr
on se détache avec un relief peu ordinaire grâce à la présence d'un
sillon
profond et relativement large qui le sépare du
dernier est en- core nettement séparé du trigone sous-jacent par un
sillon
profond sur la ligne médiane, mais plus en deho
ns vasculaires en dedans des corps genouillés, dans le voisinage du
sillon
de l'hip- pocampe, entre le pied du pédoncule e
s- tance blanche profonde déterminé par une profondeur exagérée des
sillons
de la face inférieure de l'hémisphère, mais il
lles se recourbent en dedans et se terminent brusquement au fond d'un
sillon
qui sépare la lame terminale (ou le rudiment de
de la cloison transparente) de l'écorce médiane du lobe frontal. Ce
sillon
semble se prolonger sous la forme d'un septum m
i sépare le trigone du faisceau sagittal médian est remplacé par un
sillon
dans lequel s'engage un prolongement de la memb
eçoit de nombreuses fibres,l'autre antérieur qui pénètre au fond du
sillon
ci-dessus mentionné et qui semble renfermer des
une sorte de manchette, dont la partie supérieure se termine par un
sillon
circulaire presque régu- lier. Au-dessus, les t
elle s'arrête, en haut, à la clavicule et à l'acromion, en avant au
sillon
pectoro- deltoïdien ; en arrière, elle déborde
arente, est facile. Les circonvolutions sont assez développées, les
sillons
pro- fonds. Sur la face interne de la première
es serruriers. On constate une paralysie incomplets de la face ; le
sillon
naso- labial droit est effacé, la commissure la
iculier. Hémisphère droit. La scissure de Sylvius est normale; le
sillon
de Rolando est très profond, sinueux.-La scissure
n avant, quoique très plissé, il semble ramassé sur lui-même, et le
sillon
de Rolando se trouve par suite plus rapproché d
e par le pli de passage signalé plus haut, puis se poursuit dans le
sillon
occipital supérieur jusqu'au sillon transverse.
aut, puis se poursuit dans le sillon occipital supérieur jusqu'au
sillon
transverse. - Le pli courbe est assez développé,
du pli courbe. - La deuxième circonvolution temporale, le deuxième
sillon
tem- poral et la troisième circonvolution tempo
ont bien déve- loppés et ne percutent pas d'anomalies. Il existe un
sillon
pré- occipital complet qui partant de l'incisur
é par un pli de passage, allant du pli courbe au lobe occipital. Ce
sillon
délimite nettement le lobe temporal du lobe occ
interhémisphérique ne sont pour l'antérieur que l'exa- gération du
sillon
médian paracentral prolongé en haut et en bas.
Sylvius, normale, envoie trois ra- meaux antérieurs ascendants. Le
sillon
de Rolando, très si- nueux, profond, se termine
de la met en communication avec la scissure parallèle. Il existe un
sillon
préoccipital complet, qui, partant de l'incisur
d'une part, avec la scissure sous-pariétale et d'autre part avec un
sillon
vertical profond médian du lobule paracentral à
tion frontale interne est très développée, découpée par de nombreux
sillons
verticaux; elle envoie vers sa partie médiane u
e sinueuse possède une insertion de niveau; pas de plis de passage,
sillons
assez profonds entourant les cir- convolutions,
de passage, sillons assez profonds entourant les cir- convolutions,
sillons
secondaires peu profonds. La frontale ascendant
peu profonds. La frontale ascendante, sinueuse, est assez large. Le
sillon
de Rolando est profond. La pariétale ascendante
rne. La première circonvolution frontale est vo- lumineuse avec des
sillons
tout à fait superficiels se confon- dant en arr
uperficiels se confon- dant en arrière avec le lobe paracentral. Le
sillon
calloso- marginal est peu profond. - Le lobule
ond. - Le lobule paracentral est séparé du lobe quadrilatère par un
sillon
profond avec un sillon cen- tral oblique de bas
ntral est séparé du lobe quadrilatère par un sillon profond avec un
sillon
cen- tral oblique de bas en haut et d'arrière e
long (7 centimètres à sa partie moyenne), est plissé et possède des
sillons
superficiels. Le coin et le lobe occipital sont
courte s'insère aussi de niveau. - En avant sur le lobe frontal les
sillons
sont peu profonds, ils le sont beaucoup en arri
assez volumineuse, est séparée en haut presque complètement par un
sillon
trans- versal situé entre l'insertion de la pre
re frontale et l'inser- tion supérieure de la deuxième frontale, Le
sillon
de Rolando est assez peu profond. La circonvolu
nd. La circonvolution pariétale ascendante est volumineuse avec des
sillons
transversaux, les uns super- ficiels, l'un asse
dirait des pavés irréguliers en- tassés les uns sur les autres. Le
sillon
qui sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les
deux plis de passage à la pariétale ascendante et un en arrière. Le
sillon
situé en arrière du lobe paracentral est très a
très volumineuse en partie dédoublée sur toute sa longueur par un
sillon
assez superficiel, se confond en arrière avec le
quadrilatère, tandis qu'à droite la séparation est très marquée. Le
sillon
calloso-marginal est peu profond. La circonvolu
ier, mesure qualre centimètres et demi. En arrière de lui existe un
sillon
assez profond dans lequel existe une petite cir
s dents sont irrégulièrement implantées, mar- quées la plupart d'un
sillon
transversal dénotant une nutrition défectueuse
ent en jeu d'une façon exagérée, la bouche s'ouvre large- ment, les
sillons
naso-labiaux se creusent profondément, les plis
t de parler. Lorsqu'il parle un peu à la manière des. enfants - les
sillons
naso-labiaux se creusent, les mots sont d'ordin
lle de la partie toute postérieure du gyrus sigmoïde (en arrière du
sillon
crucial), du segment postérieur des première et
partie médiane de la zone antérieure du gyrus sigmoïde (en avant du
sillon
crucial), détermine une augmen- tation de press
térieur et le segment postérieur du gyrus sigmoïde (bord externe du
sillon
crucial) détermine généralement une augmentatio
es des mammifères des éminences en forme de colonnes qui bordent de
sillon
longitudi- nal de la face antérieure ou inférie
s vraies pyramides sont de deux catégories : dansjl'une, le long du
sillon
longitudinal en question, existe un trousseau p
lérose marginale du faisceau antérolatéral, plus marquée au niveau du
sillon
antérieur. Sclérose marquée des faisceaux de Go
si, comme un indice dans la marche des événements, les progrès d'un
sillon
unguéal des gros orteils. Le4 février 1904 le d
a- rine.- Li, ire circonvolution limbique. - Lg, Lobule lingual.-Lg,
Sillon
du lobule lingual.- 02, 2. circonvolution occipit
teindre tout à fait. Sur la coupe la lésion est limitée en bas par le
sillon
séparant la 1° pariétale de la 2° temporale.En
mé- diane du rachis. Parfois les deux muscles sont séparés par un
sillon
vertical très appréciable sur le nu. Dans la st
ividus peu muscles ou gras, les deux cotes supérieurs, répondant au
sillon
du grand dorsal sont à peine marqués, ou même.pas
rectus. I, insula. Ne, noyau caudé. - NI3, noyau lenticulaire. OF,
sillon
occipito-frontal. Tl, T2, circonvol. temporales
s lobes frontaux qui forment autour d'elle une sorte de chapeau ; les
sillons
ont pris une direction manifestement tangente a
Gsm,gyrus supra-marginalis. - H, circonvol. de l'hippocampe ; - ip,
sillon
interpariétal. - LI, circonvol. limbique. Pa, c
u à la rigueur, songer à une tumeur née à la base du crâne, dans le
sillon
interpédoncu- laire, qui eût lésé les deux ocul
plus volumineuse que la supérieure et partant plus saillante. Les
sillons
cutanés de la face sont très accentués, en partic
Les sillons cutanés de la face sont très accentués, en particulier le
sillon
naso-génien et le sillon palpébral inférieur.
ace sont très accentués, en particulier le sillon naso-génien et le
sillon
palpébral inférieur. 178 BALLET ET LA1GNEL-LAVA
ère et en dehors, est limitée à sa partie inférieure par un profond
sillon
, dirigé de haut en bas et d'arrière en avant, l
r retour de convalescence. L'épaule est toujours abaissée ; le même
sillon
s'accuse au-dessous de l'an- gle de l'omoplate
l'infiltration de petites cellules rondes, qui est maxima dans les
sillons
. Les grosses artères sont en dégénérescence hya
très avancée. Il existe surtout une forte vascularite au niveau du
sillon
médian postérieur. Weigert-Pal. Les cordons pos
ale. Les méninges, peu épaissies, sont infiltrées, surtout dans les
sillons
, de cellules rondes ou ovales. Les vaisseaux sont
x et des bandelettes externes des cor- dons postérieurs, le long du
sillon
postérieur (face interne des cordons de Goll),
Les méninges sont infiltrées de cellules rondes ; les vaisseaux des
sillons
médians antérieur et postérieur sont enflammés
cence hyaline des artères et épaississement chronique des veines du
sillon
médian antérieur. Weigert-Pal. Il existe une ra
. La pie-mère et l'arachnoïde sont épaissies, surtout au niveau des
sillons
; elles sont envahies par de nombreuses cellule
sont envahies par de nombreuses cellules embryonnaires. Au fond des
sillons
, la pie-mère est bourrée de noyaux prenant avec a
vicale. Dans toute la hauteur de la moelle, la pie-mère, au fond du
sillon
antérieur, est bourrée de cellules embryonnaire
es qu'à l'âge de 10 ans. Bosses frontales et pariétales exagérées ;
sillon
interfrontal large et bien marqué; oc- cipital
pposé. De plus, à la vue on constate entre l'épaule et le thorax un
sillon
vertical remplaçant la saillie claviculaire abs
us lui, le front arrondi. Les bosses frontales sont séparées par un
sillon
; les bosses pariétales et la saillie de l'occi
t t saillantes. Le sternum est normal. , Le front est énorme ; un
sillon
médian, vertical, large et profond surtout vers
acine des cheveux, le sépare en deux bosses frontales arrondies. Ce
sillon
est la trace de l'ossification de la fontanelle a
t olympien,les bosses frontales saillantes et séparées par un large
sillon
, les bosses pariétales très marquées, l'occipital
ntérieure ou bregmatique com- mence à deux centimètres au-dessus du
sillon
naso-frontal, puis va en s'élar- gissant progre
plombant la face qui est légèrement en retrait, et séparées par un
sillon
qui commence à 3 centimètres de la racine du ne
pression quadrangulaire correspondant au bregma. Le doigt qui suit ce
sillon
vient buter sur le rebord saillant que forment
ants : Le front est saillant, les bosses frontales séparées ,par un
sillon
plus ou moins profond, les bosses pariétales tr
nnant lieu à une rigole médiane antéro-postérieure, prolongement du
sillon
précé- dent. Les écailles temporales sont peu
t en continuité directe avec la peau du thorax ; parfois un ou deux
sillons
transversaux et lé- gèrement courbes, à convexi
est en général lobée superficiellement grâce à un certain nombre de
sillons
peu profonds, mais dont la disposition ne rappe
être perforée et livrer passage à une formation découpée par quatre
sillons
peu profonds en cinq lobes longitudinaux et par
ites de la tumeur, toujours absolument nettes, sont marquées par un
sillon
de profondeur variable; parfois la tumeur déborde
- lement que cette peau, loin de s'arrêter brusquement au niveau du
sillon
qui marque le pourtour du tissu pseudencéphaliq
sont très variables et leurs parois assez minces. Dans la région du
sillon
antérieur existe un paquet vasculaire, formant
cette gaîne n'est pas homogène sur tout son pourtour : vis-à-vis du
sillon
antérieur de la moelle, cette gaîne est constit
occupent l'épaisseur de la travée conjonctive qui s'enfonce dans le
sillon
antérieur. Ces vaisseaux sont les vaisseaux habit
serve nettement sur une coupe donnée, en deux points : au niveau du
sillon
antérieur et un peu à gauche du sillon postérieur
n deux points : au niveau du sillon antérieur et un peu à gauche du
sillon
postérieur (v. fig. 10); la pénétration est peu
la partie posté- rieure, mais il se produit également au niveau du
sillon
antérieur ; il se pro- duit également en dehors
us mé- ningé au très mince tractus conjonctif qui se trouve dans le
sillon
postérieur. La propagation marche lentement : l
e en a'vant, il traverse la paroi antérieure et tend à rejoindre le
sillon
antérieur de la moelle (fig. 10). Ce bou- chon
s sans forme, ayant-perdu toute cohérence. On ne reconnaît plus, ni
sillon
antérieur ni sillon postérieur ni canal de l'ép
perdu toute cohérence. On ne reconnaît plus, ni sillon antérieur ni
sillon
postérieur ni canal de l'épendyme, ce sont des
; mais elle est réduite à uu volume extrêmement petit. Cependant le
sillon
antérieur est bien visible. La pie-mère, épaissie
lées aux fibres nerveuses. A la périphérie de la moelle, au bord du
sillon
médian antérieur les fibrilles sont extrêmement
use si on ne voyait facilement leurs rapports avec la névroglie, du
sillon
médian antérieur, des travées et des vaisseaux.
st étroite. Déviation de la face légèrement à droite et profondeur du
sillon
naso-labial de ce côté, celui du côté opposé ét
rainasses ; leur surface était comme bosselée et sépa- rée par des
sillons
profonds, comme on nous a représenté les membres
s épaissis par une adiposité excessive et segmentés par de profonds
sillons
comme les achondro- plasiques. Toutefois, cette
xtrémité distale. Vers la 7" semaine (Forcer), on peut voir quatre-
sillons
qui doivent diviser les cinq doigts déjà formés
ème mois. Lorsque le développement se fait d'une façon normale, les
sillons
s'approfondissent peu à peu jusqu'à la division
par Collas (59). Entre le métatarse et les phalanges des orteils un
sillon
se forme s'approfondissant sans réaction et sans
L'hémisphère gauche du cervelet séparé par une coupe passant par le
sillon
latéral pèse 40 grammes. Un cervelet normal c
ne a été divisé en deux parties par une coupe passant à travers les
sillons
longitudinaux supérieurs et inférieurs du vermi
nje sont notablement diminuées de nombre. Sur une lame qui borde le
sillon
supérieur de Vicq d'Azyr j'ai pu compter seule-
Syphilis acquise en 1884, à l'âge de 26 ans : il eut un chancre du
sillon
et l'année suivante fit un séjour à l'Antiquail
ans le tissu de la pie-mère, débute dans la région correspondant au
sillon
postérieur. De cela, nous pou- vons inférer que
rosseur d'une noix : sa surface est lisse, interrompue par un léger
sillon
, qui traverse toute la tumeur selon une ligne par
es des circonvolutions cérébrales ; trois plis de pas- saga dans le
sillon
de Rolando ci droite; déformation de la partie
aler que le dédoublement de la frontale interne. Face convexe. Le
sillon
de Rolando est parfaitement régulier dans toute
de Sylvius par un espace d'un demi-centi- mètre environ. Le fond du
sillon
n'est interrompu par aucun pli, on n'y voit que
e. Entre ce pli et la circonvolution pariétale ascendante, ily a un
sillon
post-rolaudiclue assez réguliè- rement parallèl
ily a un sillon post-rolaudiclue assez réguliè- rement parallèle au
sillon
de Rolando et qui arrive en haut jusqu'à la sci
e qu'on trouve du côté opposé. Face externe. Lorsqu'on cherche le
sillon
de Rolando (RR', Pl. 1) on trouve bien son extr
que immédiatement, en dehors de la scissure inter-hémisphérique, le
sillon
est interrompu par un pli de passage profond, q
1). Au-dessous, au niveau de l'origine de la deuxième frontale, le
sillon
est de nouveau interrompu, mais cette fois par
ge tout à fait superficiels (4 et 5, PI. L), au-dessous desquels le
sillon
reprend sa direction normale. La circonvoluti
plis beaucoup moins volumineux que les plis de passage des autres
sillons
, et présentant une consistance plus ferme. Les mé
une malformation véritable. Quant à la déformation si spéciale du
sillon
de Rolando et des parties voisines, on ne peut pa
upée par la dépression anor- male DD. RR'. Les deux extrémités du
sillon
de Rolando, interrompu par trois plis de passag
ieures naissent des ver- tébrales, et, descendant de chaque côté du
sillon
médian, elles s'en écartent et s'en approchent
Archives, t. V. C 82 revue d'anatomie. sont : 1° Les artères du
sillon
(art. M/cz), c'est-à-dire nos artères médianes
antérieures, en suivant les racines anté- rieures, arrivent près du
sillon
médian antérieur, où elles se divisent en deux
spinales situées au-dessus et au-dessous. Il en résulte en avant du
sillon
médian antérieur une longue anastomose (anastonzo
es 8°, 9t, 10e, 110 paires nerveuses dorsales. Elle parcourt sur le
sillon
médian posté- rieur un trajet d'environ H à 15
érieurs naissent les petites branches déjà connues : les artères du
sillon
(artères médianes anté- rieures), les artères r
nales antérieures forment une seule anastomose médiane, qui suit le
sillon
médian, les artères spinales postérieures en fo
ine latérale antérieure gauche. La veine médiane antérieure suit le
sillon
médian, légèrement sinueuse d'abord, puis forma
: à ce moment on voit facilement les veines médianes qui sortent du
sillon
médian pour s'y jeter. De la veine médiane part
. M. Féré indique un moyen plus facile d'établir les rapports des
sillons
cérébraux et du crâne par la détermination des pl
e l'évolution de l'être et répondraient à l'extrémité antérieure du
sillon
dorsal, comme la fossette sacrée ou le tourbill
ent aux études contemporaines , tels ceux qui se groupent autour du
sillon
de Rolando et de l'insula et notam- ment les ce
lé- reuses ; les lésions allaient jusqu'au lobule paracentral, au
sillon
post-rolandique, aux circonvolutions pariétales,
grandes cellules avec gros noyaux siégeant à gauche au milieu du
sillon
de Rolando et intéressant les deux circonvolution
eur de cette dernière. In- tégrité de la pariétale ascendante et du
sillon
de Rolando, de l'insula. Second.foyer ancien so
ne vaste plaque d'un rouge violacé, s'étendant en largeur depuis le
sillon
interfessier jusqu'aux grands trochanters. A ce
rvienne. Tous les centres moteurs de Ferrier sont groupés autour du
sillon
de Rolaudo (singe), ou du sillon cruciforme (ch
de Ferrier sont groupés autour du sillon de Rolaudo (singe), ou du
sillon
cruciforme (chien), dans un ordre qui est préci
tion, etc. Chez les carnassiers, les centres sont groupés autour du
sillon
cruciforme ; mais il n'y a dans son voisinage i
e,' l'artère. cérébrale antérieure, vers, Impartie posté- rieure du
sillon
calloso-marginal, en un point (où sa tunique ex
ce comme gélatineuse. Celte altération dépasse un peu en arrière le
sillon
de séparation d'avec le lobe carré et, sur la c
i{1 ! u ,)f(i ,, ,nrrmi"mll» 9)) a>;> Autopsie du CLRVE1U.-Le
sillon
(le I,olando du côté;droit est. i coifTé par un
1 uniô'n de la moltle inférieure' et de'la moitié supé- rieure du,
sillon
? En" d6tacliant"Ia plaqùe'Iilélüîiâitiqlié, on
1 si 1- Il tri, r"r.)f... ' <'* nt ' > ,U . .ses.plis et ses
sillons
epidermiques,1- mais elle1 cst^epaisso'in- , 1
ve, en eilet, de ce cote, la scissure de Sylvius béante en un large
sillon
, tandis que le segment frontal a subi, l'aplati
res, de droite à gauche quatre centimètres. Limitée en avant par le
sillon
de Rolando, dont elle est séparée par une bande
pie-mérien; il est aisé d'y reconnaître les circonvolutions et les
sillons
de l'organe, ainsi que ses vaisseaux dont les b
Discussion : M. Wernicke pense que le kyste s'est développé dans un
sillon
. Il serait possible que ce fût un kyste par rét
, dans le lobe antérieur. Il avait également pris naissance dans un
sillon
; la membrane d'enveloppe ne présentait non plu
upée par la dépression anor- male DD. RR', Les deux extrémités du
sillon
de Rolando, interrompu par trois plis de passag
petits plis transversaux dont un envoie un prolongement au fond du
sillon
qui la sépare de la deuxième frontale. Un autre
ur la frontale ascen- dante une large insertion coupée par un petit
sillon
. La troi- sième circonvolution frontale, Fa, es
le ascen- dante, F A, qui est aussi sinueuse et bien développée. Le
sillon
de Rolando est large et profond. La pariétale a
nvolution frontale bien dé- veloppée, avec des plis assez profonds.
Sillon
calloso-marginal assez profond. Circonvolution
tère, LQ, volumineux et plissé. Lobe 1,P, bien développé, avec deux
sillons
dont un assez profond et l'autre superficiel. L
ffrent rien de particulier. Face orbitaire bien plissée, large. Les
sillons
principaux (scissures) et les sillons intermédi
aire bien plissée, large. Les sillons principaux (scissures) et les
sillons
intermédiaires sont généralement pro- fonds.
ÉFLEXIONS. de passage à F3, dont un de niveau et l'autre au fond du
sillon
. >â : ; est sinueuse, bien développée et s'i
inférieure de FA, qui est, elle aussi, volumineuse et sinueuse. Le
sillon
de Rolando est larrce et profond. PA, éga- leme
e longueur; l'autre 2 centimètres. LP, très irrégulier, présente un
sillon
bifurqué; pas d'encoche du sillon de Rolando. CCC
LP, très irrégulier, présente un sillon bifurqué; pas d'encoche du
sillon
de Rolando. CCCa lisse, relativement peu dévelo
très sinueux, ainsi que le coin. LO est au contraire peu développé.
Sillon
calloso- marginal et scissures parièlo-occipita
pitale, calcarine, perpen- diculaire assez profondes, ainsi que les
sillons
secondaires. Corps calleux normal. Le ventricul
che optique n'offrent rien de particulier, si ce n'est une sorte de
sillon
assez creux, qui sépare le corps strié de la cou-
eure un peu en bec de Ililte (hypospadias). La partie antérieure du
sillon
est un trou borgne. Sensibilité générale normal
capulaires ; aspect marbré de la poitrine; quelques plaques dans le
sillon
interfessier. Quelques croûtes dans les cheveux.
m ? lié. Exulcé- ration de la partie inférieure du gland et dans le
sillon
balano- préputial. Syphilide fissurée à l'anus.
de la ligne médiane à la ligne thoraco-brachiale. d'autre part. Le
sillon
thoraco- brachial droit diffère notablement de
ns sa moitié interne; sa moitié externe, séparée du deltoïde par le
sillon
delto-pec- toral, est conservée et chien dévelo
la face interne des hémisphères, vers les parties correspondant au
sillon
crucial du chien, - mais sans pouvoir l'affirmer.
te, comme je le faisais remarquer à ce sujet (1), n'a que de vagues
sillons
, des rudiments de canaux, n'aura que des orienta-
e pièce de 5~francs, légèrement saillante, divisée en lobes par des
sillons
. Cette tumeur a refoulé en arrière et en haut l
hérent ; elle présente des bosselures irrégulières séparées par des
sillons
dont la plupart sont disposés à la manière de r
constituée par trois grosses masses [principales, séparées par des
sillons
profonds, la postéro-supérieure donnant inserti
et C), à peau molle et rose, séparé dans sa partie mé- diane par un
sillon
au fond duquel se trouve un rudiment d'ongle du d
existe un gros bourrelet mou séparé de la phalangette par un petit
sillon
et de la phalange par un sillon profond. L'au
paré de la phalangette par un petit sillon et de la phalange par un
sillon
profond. L'auriculaire est bien conformé. Mai
ndulum du volume d'un petit oeuf de poule, traversé par de nombreux
sillons
devenant en cer- tains points de profondes enta
) séparé du moignon de la main par 224 4 UAUSHALTER ET BRIQUEL un
sillon
profond. Vers la partie moyenne du bord palmaire
laissant pas relever. Cet appendice est creusé en un milieu par un
sillon
et séparé du moignon par un sillon assez large et
e est creusé en un milieu par un sillon et séparé du moignon par un
sillon
assez large et profond. L'ensemble constitue un
t 4e doigts. A ce niveau, la masse est très molle et présente trois
sillons
esquissant les 2e, 3e et 48 espaces inter- digi
te n'est pas perçue nettement. Au poignet, dans le fond de l'un des
sillons
les plus marqués est un petit filament conique,
épression, MONSTRUOSITÉ HAllE DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHALE 229 un
sillon
intéressant presque toute l'épaisseur des parties
éressant presque toute l'épaisseur des parties molles, répondant au
sillon
naso-labial. Au-dessous du bourgeon supérieur d
é droit et seulement quant sa partie profonde, osseuse, laissant un
sillon
dans les parties molles, véritable bec-de-lièvre
u-dessus, du même côté, l'excavation est à homologuer peut- être au
sillon
lacrymal ou plutôt à la fossette olfactive ; c'es
l interne ou proces- sus globulaire de His, et séparé de lui par le
sillon
nasal se trouve le bourgeon nasal externe. Au-d
l externe, et le séparant du bour- geon maxillaire supérieur est le
sillon
lacrymal. Lorsque la branche maxillaire supérie
crymal. Lorsque la branche maxillaire supérieure passe au devant du
sillon
nasal, pour se fusionner avec le bourgeon nasal
vaisseaux qui rampent à sa surface, laisse voir un certain nombre de
sillons
et de scissures, le plus souvent des fissures,
et l'extrémité du lobe frontal droit existe sur le 1/3 antérieur un
sillon
large de 1 à 2 millimètres, représen- tant la p
phérique. A la face externe gauche sur sa partie postérieure est un
sillon
très net repré- sentant la partie postérieure d
e de Sylvius, large de 2 millimètres à sa partie la plus évasée. Un
sillon
profond assez régulièrement incurvé limite la p
e gauche se termine en avant par lui. En arrière nous rele- vons un
sillon
antéro-postérieur allant de gauche à droite et d'
t en arrière, et qui s'arrête à 1 centimètre du tiers postérieur du
sillon
interhémisphérique. A 3 centimètres en arrière
ieur du sillon interhémisphérique. A 3 centimètres en arrière de ce
sillon
est une scissure béante, probablement la scissu
e, nous avons vu que le ver- mis n'est pas apparent, et de plus les
sillons
classiques ne présentent ni leur répartition ty
hémisphères purent être écartés après décortication délicate. Le
sillon
interhémisphérique naît en arrière sur la face ga
r homologuera des scissures et à des circonvolutions cérébrales des
sillons
en partie vasculaires et les saillies déterminées
s pas à faire ici, comme sur un encéphale normal, à de aérita- bles
sillons
profonds d'une part, à de simples dépressions lin
nous avons parlé plus haut d'un état moyen pour ainsi dire, où les
sillons
étaient peu profonds et les dépressions vasculair
do plus tourmentée que d'ordinaire et sur laquelle se branchent des
sillons
sans importance. Le sillon prérolandiqu e sépar
inaire et sur laquelle se branchent des sillons sans importance. Le
sillon
prérolandiqu e sépare la frontale ascendante Fa
plan plus antérieur. Le lobe pariétal est de forme triangulaire. Le
sillon
interpariétal limite assez bien la pariétale as
poral et occipital ne forment qu'un ensemble peu net où courent des
sillons
ramifiés et branchés les uns sur les autres. Le
uin. A la face interne des hémisphères (pl. XXIV, fig. D), bien que
sillons
et saillies s'y dessinent avec un relief intens
ne soient le résultat d'ad- hérences et de brides amniotiques ; les
sillons
, les bourrelets qui défigu- rent les mains, la
s bourrelets qui défigu- rent les mains, la présence dans un de ces
sillons
d'un fragment de fil amniotique libre à une de
; mais le tiers postérieur est anéanti, à tel point que le quatrième
sillon
occipito-temporal se termine, en arrière, dans
de la pie-mère spinale au niveau de la 2 racine dorsale (entrée du
sillon
antérieur). Hématoxyline et éosine. Grossissement
itaire et le faisceau longitudinal postérieur; il est limité par un
sillon
d'oedème; dans son épaisseur, la myéline des tu
, les circonvolutions sont atrophiées, ratatinées, séparées par des
sillons
et des scissures très larges. Bien que l'atroph
très rouges, tan- IDIOTIE CONSÉCUTIVE. 105 dis que le nez et les
sillons
naso-labiaux avaient conservé leur coloration o
la première circonvolution frontale dans son tiers postérieur; le
sillon
calloso-marginal est à peu près sain, mais la cir
geur. Sur le lobe frontal, portions saines surtout dans le fond des
sillons
. Le lobule de l'insula, sauf à sa partie la plu
quelques petites portions saines et c'est toujours dans le fond des
sillons
. Le squelette de substance blanche a un aspect
La frontale et la pariétale ascendantes sont bien développées ; le
sillon
de Rolando est normal. Les plis pariétaux supér
gulier (près de 4 centimètres de diamètre transversal) avec deux
sillons
allant obliquement de bas en haut, d'avant en a
en haut, d'avant en arrière ; ils sont unis en bas par un troisième
sillon
allant obliquement de bas en haut, d'arrière en
a frontale ascendante simplement séparées l'une de l'autre par un
sillon
qui coupe complètement la frontale ascen- dante
cendante est volu- mineuse et coupée, comme nous l'avons dit.par un
sillon
transverse dans sa partie moyenne. Le sillon de
ous l'avons dit.par un sillon transverse dans sa partie moyenne. Le
sillon
de Rolan.o est profond. La pariétale ascendante
e est régulière, volumi- neuse. En arrière d'elle et séparée par un
sillon
profond vertical,analogue au sillon de Rolando,
rrière d'elle et séparée par un sillon profond vertical,analogue au
sillon
de Rolando, existe une deuxième circonvolution
laire, mesurant quatre centimètres en hauteur et un en bas, avec un
sillon
central en Y. Le lobe quadrila- tère mesure qua
use d'environ 6 centimètres laissant voir à la partie antérieure un
sillon
qui marque la limite des deux os, mais ne prése
de constater que si les circonvolutions sont bien développées, les
sillons
profonds, les deux hémis- phères aussi bien sur
ante que la gauche; arcades sourcillières assez prononcées, égales;
sillons
sous-orbi- taires assez profonds : 140 PARALY
e Lparpune,;loifurcation qui représenleflaipartie supérieul'ej\(lu,
sillon
1 prérolandique; ,ù. droite, elle, gagne, .obliqu
avec la première; temporale, s'élargit .vers l'extrémité du premier
sillon
temporal, dans sa partie postérieure (qui prése
petits, f ""a m- -1111[1 ? 1 ,.1 '"I,w' 't""01 ' '1{, ,,«1 Entre le
sillon
occipital et la scissure calcarme, dit Ducatle,
. et la cinquième circonvolutions temporales sont séparées par un
sillon
très long qui, en avant, s'étend presque jusqu'au
z ' > * 5 la région de l'insula et son pourtour;- " ," -n 5 du
sillon
de Rolando ? ? ' 12 la convexité des hémisphère
est épaissi, sa face supérieure est striée en travers par plusieurs
sillons
DES NÉVRITES PERIPHERIQUES NON TRAUMATIQUES. 18
ut, l'ouverture palpébrale gauche est plus grande que la droite, le
sillon
naso-génien est plus effacé à gauche. S'il se p
e dans l'hémorrhagie cérébrale. Dans l'hémisphère droit, au fond du
sillon
qui sépare la pré-; mière frontale delà deuxièm
a partie épaissie de la couche de la substance grise qui tapisse le
sillon
entre les deux circonvolutions (pre- mière et d
résultats suivants : L'épaisseur de la substance grise du fond du
sillon
entre les deux circonvolutions du côté droit es
s dans le même endroit. Les deux branches qui forment les parois du
sillon
font saillie de trois millimètres environ au-de
sen- sible, et, enfin, à un centimètre environ des deux côtés du
sillon
, les parties avoisinantes de la surface convexe n
nt se fait voir en coupe sur cinq centimètres de largeur au fond du
sillon
, en passant ensuite insensiblement dans les par
atteinte. En examinant les coupes prises vers le milieu du fond du
sillon
, et en les comparant ensuite avec celles des part
mées. Les cellules araignées n'ont été trouvées que dans le fond du
sillon
. En remontant vers la surface et en examinant l
s parties périphériques et excentriques des branches ascendantes du
sillon
. A un grossissement de 3/7 et 3/8 Vérick, les a
cel- lules offrant un degré d'altération plus avancé, au fond du
sillon
et dans les parties plus centrales indique égalem
que cette lésion ne leur a jamais paru s'étendre jusqu'au fond des
sillons
et des scissures. Ils croient que le point de d
7.) Fig. 3. Vacuolisation d'une cellule pyramidale prise du fond du
sillon
, Déplacement du noyau à la périphérie, atrophie
k 3/7 ) Fig. 4. Coupe verticale par la partie tuméfiée à la base du
sillon
, près de la substance blanche. Double coloratio
2.) Fig. 5. Coupe verticale à travers la substance grise du fond du
sillon
entre la première et deuxième frontales de l'hé
e-mère ne lui adhère qu'à son extrémité tout à fait- inférieure. Le
sillon
de Rolando est assez profond et normal. La circ
r- geur de la partie correspondante de la frontale ascendante. Le
sillon
qui limite en arrière la pariétale ascendante, pr
après, le pied droit était resté dans le même état, mais plusieurs
sillons
cornés étaient apparus sur l'autre pied. Ils ét
pageaient des deux côtés de la scissure de Rolando ; en avant de ce
sillon
, c'est-à- dire dans la circonvolution frontale
substance grise qui constitue le fond et les pa- rois latérales du
sillon
de Rolando. D'autres fibres, montant encore plu
urface de ces derniers; elles restent toujours dans le voisinage du
sillon
de Rolando. Les dernières fibres, enfin, monten
s l'abord la substance grise qui constitue le fond et les parois du
sillon
de Rolando, et s'y terminent probablement; quel
sur la surface des hémisphères sans pénétrer dans la profondeur du
sillon
, pourrait ne produire aucun dérangement dans le
imètre plus haut que la quatrième. L. f., Lobe frontal. S. f. ?
Sillon
frontal Ia. 376 REVUE CRITIQUE. Se. pr., Scis
ssement dans l'hémisphère droit. Elles commencent dans le fond d'un
sillon
qui, parti de la scissure frontale parallèle, à p
en son tiers moyen, envahissent la partie correspondante du fond du
sillon
de Rolando, de la paroi antérieure et de la par
fond de la scissure interpariétale (portion verticale parallèle au
sillon
de Rolando). La zone de' des- truction se conti
de' des- truction se continue dès lors sans interruption le long du
sillon
interpariétal jusque sur le lobule du pli courb
ontale. Fa, frontale ascendanle. Pa, pariétale ascendante. S R,
sillon
de Rolando. P', lobule pariétal supérieur. P=
7.) Fig. 3. Vacuolisation d'une cellule pyramidale prise du fond du
sillon
, Déplacement du noyau à la périphérie, atrophie
k 3/7.) Fig. 4. Coupe verticale par la partie tuméfiée à la base du
sillon
, près de la substance blanche. Double coloratio
2.) Fig 5 ? Coupe verticale à travers la substance grise du fond du
sillon
entre la première et deuxième frontales de l'hé
re plus 1 haut que la quatrième. L. f.. Lobe frontal. S. f, 1.,
Sillon
frontal le,. Se. pur., Scissure pi-wceiitrale.
ondeur. En effet sur une coupe frontale on constate, qu'à partir du
sillon
, qui sépare Pj de P2 jusqu'au sillon, qui sépar
le on constate, qu'à partir du sillon, qui sépare Pj de P2 jusqu'au
sillon
, qui sépare Ti de T2, la substance blanche est co
s l'hémisphère droit nous trouvons (Fig. 1) : 1° Au fond du premier
sillon
frontal, à sa partie antérieure, à un centimè-
lentille ; 2° Sur la coupe préfrontale, nous voyons au fond d'un
sillon
et à la partie supérieure de F3, dont il intére
omme un pois ; 4° A la partie supérieure du pied de F2 au fond d'un
sillon
, et intéres- Fig. 1. - Face externe. Hémisphère
é, gros comme une petite noisette. , 5° A la partie inférieure du
sillon
séparant P A. de la deuxième pariétale, immédia
te dans chacune des circonvolutions voisines. 6° Visible au fond du
sillon
parallèle dans le 1/3 postérieur, et se développa
un petitjpois (coutenu solide). - 7° Dans la partie antérieure du
sillon
calloso-marginal, kyste gros comme une noisette
stance grise de F2 deux kystes du volume d'un pois séparés par un '
sillon
de 3° ordre; les kystes ne sont pas visibles de l
; ils ont subi la dégénérescence stéatomateuse 2° Dans le premier
sillon
frontal, mais se développant au dépens de la subs
e FA, un kyste dégénéré du vo- lume d'un pois, visible au fond d'un
sillon
; 5° Sur la coupe pédiculo-pariétale à peu près
n ; 5° Sur la coupe pédiculo-pariétale à peu près à l'endroit où le
sillon
interpa- riétal se coude pour de vertical deven
petit kyste superficiel du volume d'un pois ; 6° Egalement dans le
sillon
interpariétal, mais à la hauteur de la scissure p
reusé la circonvolution, kyste du volume d'un gros pois. Au fond du
sillon
parallèle où ils font saillie, mais se développan
stance blanche et substance grise. 12° A la partie antérieure du 3"
sillon
temporal, kyste dégénéré gros comme une noisett
bsence du lobe médian le cervelet est diminué transversalement; ses
sillons
ont une direction non horizontale, mais incliné
elle allongée ; à son bord postérieur se 126 SOLOVTZOFF trouve un
sillon
, servant de plancher au zu ventricule (Phot. 6).
e l'autre et sont diffi- ciles à séparer; on a l'impression que les
sillons
sont effacés et réduits à une fente linéaire.
rs et en dedans par les fibres pâles myéliniques. De chaque côté du
sillon
médian longitudinal anté- rieur se trouve le fa
n colorée, commence à pâlir dans la partie à laquelle appartient le
sillon
médian postérieur. Dans la moitié voisine les f
spondant au faisceau cérébelleux venant de la moelle épinière. Par le
sillon
médian longitudinal postérieur, ayant une posit
c elle, était séparée des cordons postérieurs du côté voisin par le
sillon
médian longitudinal posté- rieur. Cette coupe n
évidence de l'un des côtés, à la périphérie même de la moelle. Les
sillons
des deux côtés existent encore et les racines p
30 ans, hypertrichose apparue à l'âge de 16 ans un peu au-dessus du
sillon
interfessier. Aucune cause apparente (Cf. Ann.de
xamine par leur face antérieure ou palmaire on soupçonne à peine le
sillon
vertical qui, à l'état normal, sépare les deux do
oigts existe, dans la partie moyenne de leur longueur seulement, un
sillon
de 3 à 4 millimètres de profondeur. De plus,
tissu adipeux qui con- duit sur la peau dorsale, faisant le fond du
sillon
interdigital anormal. Quant aux nerfs, on n'a p
Cervelet de Handeb. Le nombre des circonvolutions est diminué ; les
sillons
sont plus larges et plus profonds. On voit une zo
us. Dans le cervelet, diminution du nombre des circonvolutions, les
sillons
sont très larges. Dans l'écorce, existence d'un
isseur. Lacunes profondes dans HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 383 les
sillons
représentant de petits kystes de la pie-mère. Ils
mbre de fibres du pédoncule cérébelleux moyen. Dans le cervelet les
sillons
entre les circonvolutions étaient plus larges.
s'en- trecroiser à la partie antérieure immédiatement en arrière du
sillon
anté- rieur (Fig. 3). , Une zone de fibres fi
à leur entrecroisement très manifeste immédia- tement en arrière du
sillon
antérieur, et de les voir se jeter dans cette zon
a région est situé à la partie antérieure à très peu de distance du
sillon
antérieur. Les pyramides qui à l'oeil nu ne son
eau de Gowers et du faisceau pyramidal. Immédiatement en arrière du
sillon
antérieur on observe un entrecroisement très ma
avoir totalement disparu ou plutôt ne pas exister. En arrière du
sillon
antérieur, on observe un entrecroisement de fibre
supérieur ? VI. - Dans la moelle nous avons remarqué en arrière du
sillon
an- térieur des fibres qui s'entrecroisaient pa
artères sont épaissies considérablement sous la pin-mère et dans les
sillons
. La lumière de beaucoup d'entre elles est rétré
n'est ni douloureux, ni dépressible. Lorsqu'on intro- duit dans le
sillon
génien une petite lampe électrique, la chambre ét
ales. Une petite verrue est visible sur la muqueuse labiale dans le
sillon
menton- nier. Pas d'engorgement ganglionnaire s
ette face est fortement repliée sur elle-même, en sorte qu'un profond
sillon
semi-circulaire horizontal existe sur cette fac
e entre la moitié gauche des arcades den- taires. Au cou, il y a un
sillon
correspondant en avant la partie supé- rieure d
re et du cuir chevelu, lequel est bouffi, oedématié. Au niveau du
sillon
, le tissu est lardacé, nacré ; le sterno-mastoïdi
ment peu plissées. Face interne. La scissure calloso-marginale, les
sillons
des circonvolutions sont très profonds. La circ
tale sont très peu plissées; de même le lobule pnrncezztral dont le
sillon
est reporté en avant; rien de particulier au lo
ion que du côté opposé, même simplicité des circonvolutions. Pas de
sillon
au lobule paracentral ; rien à la corne d'Ammon
térieure des ventricules; légère surcharge graisseuse au niveau des
sillons
; tissu ferme; hyper- trophie du ventricule gauc
. Toutes sont très distinctes, il n'y a pas de plis de passage. Des
sillons
assez profonds les séparent nette- ment les une
s que les altérations des circonvolutions motrices à l'extrémité du
sillon
de Rolando ne furent pas suffisantes pour produ
e de l'ilion. Sur la face ex- terne de l'os (Fig. G) on trouve un
sillon
profond, trace d'une fracture non consolidée, q
iliaque interne (Fig. 7), on voit, suivant la même direction que le
sillon
de la face externe, une production osseuse irré
au était mis à nu et l'on constatait sur sa portion an- térieure un
sillon
long d'environ trois pouces. L'oeil gauche étai
ux bulbaires, et en artères radiculaires. Les premières occupent le
sillon
médian, les autres pénétrent dans le bulbe en s
ulaires : 1° Le système des vaisseaux centrifuges ou de l'artère du
sillon
, 2° le système des vaisseaux centripètes dans l
hériques. Pour justifier cette division, il suppose que l'artère du
sillon
antérieur, quand elle a atteint le voisinage du
ion anatomique un peu trop schématique : les rameaux de l'artère du
sillon
n'irradient pas autour de l'axe central dans to
à une nomen- clature spéciale et difficultueuse : ainsi l'artère du
sillon
médian antérieur s'appelle pour lui artère du s
si l'artère du sillon médian antérieur s'appelle pour lui artère du
sillon
(arteria sulci) ; tandis que l'artère du sillon
pour lui artère du sillon (arteria sulci) ; tandis que l'artère du
sillon
médian postérieur porte le nom d'artère de la f
osition des artères médianes répond à une loi générale. L'artère du
sillon
(ai,leza stilci), selon l'auteur allemand,est u
and que celui des capillaires (0 m. 015 à 0 m. 018). - Elle suit le
sillon
mé- dian dans toute sa longueur et se divise en
nte. La description de la distribution des rameaux de l'artère du
sillon
ne diffère pas essentiellement de la nôtre, quoiq
ation et leur distribution périphérique les branches de l'artère du
sillon
. Il donne le nom aux deux 362 revue d'anatomie.
s horizontales, apparaît comme un prolongement (processus sulci) du
sillon
médian, qui semble se bifurquer. Parmi les bran
bution des veines est semblable à celle des artères : les veines du
sillon
ou veines médianes sont en nombre égal aux artè
ies de la boite crânienne et du cerveau, des circonvolutions et des
sillons
non moins que des noyaux gris centraux. Par des
mbreuses et précises, il a établi chez l'adulte la position fixe du
sillon
de Rolando par rapport à la suture coronale, du
antérieur d'abord à la ligne bi-auriculaire. Quoi qu'on ait dit, le
sillon
de Rolando est toujours posté- rieur à la sutur
développement complet, à quelque âge qu'on les examine, sutures et
sillons
demeurent en rapports invariables. Au cas de
riétaux par deux points d'ossification, l'extrémité supé- rieure du
sillon
de Rolando et de la scissure perpendiculaire ex
érieure, il ne reste que deux cuspides pointues. Il existe un léger
sillon
sur l'incisive médiane inférieure gauche. Les c
En général, elles sont épaissies, fibreuses et opaques au niveau des
sillons
les plus accusés, et alors on les enlève sans p
et latérale du tronc. Cette couche graisseuse fait disparaître les
sillons
supérieur et inférieur des lianes. En arrière,
Nerf coccygien. ' 1 dure-mère rachidienne ; 2 ligament dentelé ; 3
sillon
collatéral postérieur ; 4.4 raci- nes postérieu
forme du muscle lui-même, en y pro- duisant des dépressions et des
sillons
bordés de saillies. Ces sillons se produi- sent
pro- duisant des dépressions et des sillons bordés de saillies. Ces
sillons
se produi- sent d'ordinaire dans le relâchement
s distincts, par suite de leur gonflement. Ils sont séparés par des
sillons
dus à la cloison fibreuse qui les sépare et ne sa
breuse qui les sépare et ne saurait se distendre en proportion. Ces
sillons
, indices de la contraction musculaire, sont donc,
aire, il faut donc ajou- ter, pour certains muscles, la présence de
sillons
non moins caractéristiques. Il convient de sign
l peu près uniforme, le tiers moyen est marqué d'un grand nombre de
sillons
qui limitent les faisceaux dis- tincts dont il
endu offre généralement un relief surbaissé marqué quel- quefois de
sillons
dans le sens des fibres musculaires. La contracti
par un relief uniforme plus ou moins arrondi, quelquefois marqué de
sillons
perpendiculaires à la direction des fibres char
de sillons perpendiculaires à la direction des fibres charnues. Ces
sillons
sont dus soit au froncement des fibres charnues
e suivant le degré de la distension. On observe en outre quel- ques
sillons
parallèles cette fois à la direction des fibres c
rties ,.voisines, tandis que dans la flexidnilen est, séparé par un
sillon
, qui indique clairement une ten- sion plus acce
e du grand dorsal. Cet espace est marqué, sur le nu, par un ou deux
sillons
obliques plus ou moins pro- fonds qui suivent l
eur du grand dentelé. On comprend très bien que la profondeur de ce
sillon
est en rapport avec le développement de la cage
ils morphologiques sur lesquels nous avons insisté, accentuation du
sillon
du grand dentelé, surbaissement du plan des mus-
sa leçon du S février 1894. Il supposa et dessina la lésion dans le
sillon
qui sépare l'olive gauche de la pyramide gauche
optëgie. 180 NOUVELLE ICONOGRAPIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE que dans le
sillon
qui sépare l'olive de la pyramide du même côté, e
eu des olives, donne le trajet des hypoglosses depuis leur noyau au
sillon
latéral. L'esamenmi- croscopique démontre dans
dorsale. La zone radiculaire moyenne est partout respectée. Près du
sillon
médian postérieur, la dé- coloration n'est pas
t moyenne, les deux triangles de substance saine s'avancent vers le
sillon
postérieur, tan- dis que dans la région dorsale
re etaussi de la substance blanche dans le domaine des vaisseaux du
sillon
postérieur. Nous avons noté que les troncs nerv
it voir dans la partie médiane du cordon postérieur qui avoisine le
sillon
postérieur un très grand nom- bre de fibres fin
infiltration devient massive dans la scissure antérieure et dans le
sillon
postérieur au renflement cervical et dans la pa
ieure de la moelle les leucocytes s'accumu- lent également dans les
sillons
antérieur et postérieur, mais ne s'avancent pas
leur calibre parfaitement libre, aussi bien l'artère et la veine du
sillon
antérieur que les vaisseaux radiculaires anté-
s parois ; en certains points, et particulièrement dans la veine du
sillon
antérieur, l'in- filtration se concentre en un
tère particulier qui puisse ; attirer l'attention ; les] rides, les
sillons
sont nets, le malade peut relever et froncer le
aires dont ils sont composés et séparés des muscles voisins par des
sillons
qui donnent à l'ensemble du corps un peu de l'asp
et s'endort ainsi. - Description de la malade. 7 ment en avant.
Sillon
naso-labial assez accentué. Lèvre inférieure pl
e ascendante est maigre. A est peu développée, très irrégulière. Le
sillon
de liolando est assez profond. P A décrit plusi
tique, corps ttrié, rien de particulier. D'une façon géné- rale les
sillons
sont peu profonds. (PL. II). En résumé, arrêt r
ose ATIIOPHIQUE : Crâne. pariétal. Face interne rien d'anormal. Les
sillons
de la méningée moyenne sont bien marqués. Trous
suture coronale et de la suture lambdoïde. - Face interne gauche :
sillons
de la méningée moyenne et trous nourriciers moi
moitié antérieure de la circonvolution d'enceinte de Sylvius. Le
sillon
de Rolando est normal comme direction et comme
e sillon de Rolando est normal comme direction et comme coudure. Le
sillon
inter-pariétal ne présente rien à signaler ; il
inter-pariétal ne présente rien à signaler ; il en est de même des
sillons
temporaux et tem- poro-occipitaux. - La scissur
be orbitaire n'offre rien d'anormal dans ses circonvolutions et ses
sillons
. Hémisphère DROIT. Face externe. - Vascularisat
pli courbe, P C, la partie moyenne de la deuxième temporale, T2. Le
sillon
de Rolando, un peu entr'ou- vert, n'est interro
s marquée; lorsque l'en- fant est debout, il existe il ce niveau un
sillon
vertical assez profond pour contenir le doigt.
ascendante, FA, est volumineuse et assez sinueuse ainsi que PA. Le
sillon
de Rolando, Sli, est très tortueux, sans interr
ns sont développées mais n'offrentque de rares plis de passage. Les
sillons
paraissent d'une profondeur à peu près normale.
nt inlimineil, l'un à failli ? quand ils s'engagent dans l ? petits
sillons
, de manière à cOlislilll.'r une iiieiii[)i-iiii
petit, arrondi, à courbe supérieure et dorsale ; narines étroites,
sillon
naso-labial assez accentué. L'odorat paraît exi
upérieures sont réunies par une bande d'un centimètre cou- vrant le
sillon
naso-frontal. En bas le piqueté hémorragique es
ni à FA que par un pli inférieur, assez grêle. FA est coupée par un
sillon
transversal à l'union de son quart inférieur av
l'union de son quart inférieur avec ses trois quarts supé- rieurs.
Sillon
de Rolando assez profond, ininterrompu. PA, lar
ital sont plutôt petites. Les plis de passage sont assez rares, les
sillons
sont peu . profonds, la corne d'Ammon parait sa
ariétale ascendante.. FA, circonvolution frontale ascendante. SR,
sillon
de Rolando. P2, pli pariétal inférieur. P3, p
pariétale ascendante. FA, Circonvolution frontale ascendante. SR,
Sillon
de Rolando. LOC, Lobe occipital. LO, Lobule o
étale ascendante. FA, circonvolution frontale ascendante. ' r SR,
sillon
de Rolando. PC, pli courbe. LOC, lobe occipit
seul pli de passage. Au niveau cle ce dernier, FA est coupée par un
sillon
. La scissure rolandique (S. R.) est profonde. L
Ce pli est grêle. Le lobe temporal est scindé très nettement par le
sillon
intra- pariêtal profond, rectiligne et tandis q
général, assez volumi- neuses, parfois même très volumineuses ; les
sillons
sont assez profonds, mais les plis cle passage
es l'une de l'autre, à peine dessinées en dehors, de sorte que le
sillon
naso-jugal n'existe pour ainsi dire pas. Les foss
nez au bord libre, elle est très épaisse au milieu et présente le
sillon
médian de sa face interne très accusé ; la colora
r niveau est assez fine et souple. On n'y remarque pas de poils. Le
sillon
labio-jugal est très peu accusé; la joue se con
plongé dans l'eau; il a un aspect lisse et un reflet jaunâtre. Les
sillons
sont assez profonds. Autant que mes souvenirs p
en arrière la fontanelle, a 4 centimètres et demi de longueur. Les
sillons
des artères méningées sont très creux, très ami
cerveau. 115' développé et offrant des digitations séparées par des
sillons
' tout à fait superficiels. Le sillon deRolando
digitations séparées par des sillons ' tout à fait superficiels. Le
sillon
deRolando presque rectiligne Fig. 8. H6> D
n développé et netteimiit séparé des parties voisines; l'encoche du
sillon
de Itolaudo y apparaît nettement; il présente u
he du sillon de Itolaudo y apparaît nettement; il présente un petit
sillon
curviligne à concavité dirigée en haut et un pe
ngue. La circon- volution du corps calleux est bien développée ; le
sillon
calloso- marginal est assez creux. ' , Descri
rgeur sur 8 millimètres de profondeur. FA est bien développée. Le
sillon
de Rolando, bien accusé, est un peu plus sinueux
olution temporale. T2,' deuxième circonvolution temporale. S. R.,
sillon
de Rollando. - S. S., scissure de Sylvius. S.
: ses rameaux ascendant et horizontal n'offrent rien de notable. Le
sillon
de Rolando est sinueux, présente deux convexité
al. Face externe. La scissure de Sylvius (Se. S) est profonde, le
sillon
de Romande (S. Il) est sinueux comme du côté gauc
er en avant pour continuer sans aucune ligne de démarcation avec le
sillon
qui sépare la troisième de la deuxième frontale
très long coupe le pied de la deuxième pour ne se terminer qu'au
sillon
qui sépare la deuxième de la première frontale.
r qu'au sillon qui sépare la deuxième de la première frontale. Le
sillon
de Rolando est normal ainsi que la scissure perpe
on est très volumineuse et excessive- ment compliquée par plusieurs
sillons
anormaux. La circon- - solution préfontale est
ormaux. La circon- - solution préfontale est bordée en avant par un
sillon
presque centinu, interrompu seulement par un pl
frontale ; elle est grêle. Lobe temporal. Très réduit de volume. Le
sillon
interpa- riétal se bifurque en arrivant au nive
l. - La première pariétale est très large, divi- sée en deux par un
sillon
transversal. La deuxième pariétale est très réd
tres. Le cuneus n'offre rien de particu- lier. Face inférieure Le
sillon
qui sépare la troisième temporale de la deuxièm
cipitale est nor- male. La circonvolution orbitaire est normale. Le
sillon
crucial est irrégulier. La circonvolution olfac
surtout celles du lobe frontal. Les plis de passage sont rares, les
sillons
peu profonds - Le lobe frontal est très distinct
ge. Il n'en existe pas non plus entre PA et FA et par conséquent le
sillon
de Rolando est ininterrompu. Les trois circonvo
caractères : circonvolu- tions élémentaires, plis de passage rares,
sillons
superficiels. Pas de lésion en foyer, pas d'asp
aussi bien sur le dôme des circonvolutions que dans l'intérieur des
sillons
. Après décorlication, il n'y a pas d'érosion de
ié postérieure de I (face interne) et la partie corres- pondante du
sillon
calloso-marginal. Porencèphalie vraie. La lésio
u lobe frontal sont assez sinueuses avec des plis de passage et des
sillons
assez profonds. La FA est peu développée ; sa p
vons vu que la branche horizon- tale du porus se confondait avec le
sillon
de Rolando. PA est déformée et incomplète, étan
ent par se fusion- ner en une commissure, à la partie inférieure du
sillon
de Rolando qu'elle paraît remplacer. D'une faço
le et pariétale ascen- dantes, se confondait extérieurement avec le
sillon
de Rolando et communiquait intérieurement avec
tales. FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. S 11,
sillon
de Rolando. S, extrémité du lobe temporal en pa
ans les deux tiers antérieurs de la face supérieure du cervelet les
sillons
superficiels sont plus profonds, plus larges qu
ervelet, a été, par une coupe sagittale passant un pen en dehors du
sillon
longitudinal supérieur gauche, divisé en deux par
s exister dans les autres parties des hémisphères et du vermis. Les
sillons
interlamaires et interlamellaires des lobes pré
s forte au niveau de la crête des lamelles qu'au niveau du fond des
sillons
interlamellaires. Dans les coupes colorées au c
te couche sont plus accusées à la crête des lamelles qu'au fond des
sillons
interlamellaires. Couche médullaire. L'état de
une raréfaction des fibres avec légère hyperplasie névroglique. Les
sillons
du cordon antéro-latéral par lesquels passent,
squement par un bourrelet circulaire au-de- sus duquel se creuse un
sillon
profond. Les pieds et les mains de notre ma- la
t-être le stade de début de l'adipose. Dans la région poplitée un
sillon
transversal profond, allant d'un condyle à l'au
s. « Le vaste externe est divisé dans le sens de sa longueur par un
sillon
profond qui fait deux muscles là où il devrait
écorchés se distinguent les uns des autres par leurs reliefs et des
sillons
de séparation suffisamment marqués. Innovation im
unir à celui-ci en avant, alors qu'en arrière il s'étend jus- qu'au
sillon
qui sépare le pulvinar du tubercule quadrijumeau
id i) . LÉSIONS ANATOIrO-PATffoLOGIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 211
sillon
. On sait bien que les artères des cordons postéro
pé- riphérie et del'auti-c côté une nécrose semblable plus près du
sillon
. Il saute aux yeux qu'une embolie gazeuse des b
ogliques demeure normal. Les branches ar- térielles centrales ou du
sillon
aussi bien que leurs ramifications fines sont d
ction. Le front bombé, olympien,les bosses frontales exagérées avec
sillon
médian, la petitesse du mas- (1) P. Marie et P.
as soudée complè- tement et, sur la ligne médiane, le doigt sent un
sillon
net. Mais si les os ne sont pas soudés, il n'en
s ; et il semble bien qu'on puisse apercevoir quelques scissures et
sillons
séparant les circonvolutions, sans toutefois qu'o
utefois qu'on puisse affirmer qu'il s'agit en tel ou tel point d'un
sillon
ou d'une circonvolution déter- minés. Même su
rès tendue ; face in- terne lisse, sèche. Circonvolutions aplaties,
sillons
fermés. Pie-mère épaissie, stase veineuse. Poid
eur a agi de la façon sui- vante : elle a fermé les scissures et le
sillon
inter hémisphérique, aplati les circonvolutions
après que tous les moyens de créer de la place, soit fermeture des
sillons
et des es- paces pie-mériens, évacuation des ve
t au contraire est aplati. Ceci s'explique par la présence, dans le
sillon
bulbo-cérébelleux droit, d'une tumeur à surface
au planimètre, je crois qu'elle s'est faite surtout aux dépens des
sillons
, des espaces sous-arachnoïdiens et de la fente in
latées, soit parce qu'en ces régions le nombre et la profondeur des
sillons
sont relativement grands, soit parce que la rés
ion à l'étude des amputations congénitales. Thèse Paris, 1892. Le
sillon
est le premier degré de la lésion ; il peut exist
roduire cette amputation, le tissu cicatriciel qui forme le fond du
sillon
agissant à la façon d'un lien élastique. Il L
anormal. Sa face antérieure est divisée en deux parties égales par un
sillon
qui ne comprend que les 2/3 de l'épaisseur de l
rieure une inflexion concave qui se marque sur les téguments par un
sillon
transversal permanent, est terminé par un moign
ne peau un peu adhérente, d'aspect presque normale, mais creusée de
sillons
. XXI. BOUIINEVILLE, Un cas d'hémimélie bi-abdom
perposés : un supérieur, du volume d'un pois séparé par un profond
sillon
des quatre autres qui, eux, ne sont isolés que
sen- tant sur son bord libre cinq petits tubercules séparés par des
sillons
et disposés exactement comme les cinq doigts d'
lacunaires qui se réalisent dans la couche moléculaire au fond des
sillons
; et la figure 2 fait bien voir une formation ide
c'est profondément qu'elles sont situées, fré- quemment au fond des
sillons
, souvent dans la substance blanche autour du no
par ce mécanisme que se produisent les amputations congénitales. Le
sillon
signalé à la surface de l'avant-bras, dans mon
ravée, suivant les données de Zer- noff et Altoukholf, la carte des
sillons
et circonvolutions des grands hémisphères du ce
idiens. Un grand nombre de ces ouvertures tom- bèrent ainsi sur les
sillons
gravés ; néanmoins cela n'a changé en rien l'in-
oupille, un seul point ou une série de points dans la direction des
sillons
intéressés, et ensuite, enlevant l'appareil, ac
arge. La cavité buccale est très ample, la langue épaisse, avec des
sillons
profonds et les papilles très prononcées. Les d
s dimen- sions normales. La môme chose se voit en arrière vers le
sillon
médian postérieur : à côté d'une artériole norm
sera question dans un instant. On la voit encore s'insinuer dans le
sillon
médian antérieur autour des vaisseaux qui sont
et plus tard coagulée par les réactifs, ait envahi la moelle par ce
sillon
. Bien qu'elle paraisse amorphe quand on l'examine
autour des capillaires (B). FiG. 3. Renflement cervical, RÉGION du
sillon
médian antérieur. (Double coloration, picro-car
our se localiser avec une intensité toute particulière au niveau du
sillon
médian antérieur (Voir planche XIII, XIV, XV, fig
fortement teinté par l'hématoxyline est accumulée à l'entrée de ce
sillon
, dans l'espace sous-arachnoï- dien et dans la p
quelques-unes sont oblitérées entièrement. Tout près de l'entrée du
sillon
antérieur, à quelque distance de la néoformatio
e allongée, pour disparaître à peu près complète- ment au niveau du
sillon
bulbo-protubérantiel. Nous n'avons pas pu examine
ulcère cratéri- forme situé à deux travers de doigt en arrière des
sillons
métatarso-pha- langiens des 2" et 3e orteils. C
ur les coupes par un coagulum, qui rempli légalementpar endroits le
sillon
médian antérieur. On a l'impression, après l'ex
tivement liquide, ayant envahi la substance grise cen- trale par le
sillon
médian antérieur, pour s'infiltrer entre les élém
postérieures ; il présente la coupe de vaisseaux à parois énormes. Le
sillon
mé- dian a disparu. b) Petit foyer de sclérose
renflement cervical, la pie-mère présente au niveau de l'entrée du
sillon
médian antérieur une infiltration embryonnaire as
infiltration embryonnaire assez abon- dante qui se prolonge dans ce
sillon
. Enfin la substance grise est le siège de petit
ment saine, nous trouvons dans l'espace arachnoïdien, à l'entrée du
sillon
antérieur et autour des vaisseaux qui pénètrent e
r la lèvre inférieure, a provoqué, sur le menton, la formation d'un
sillon
transversal assez pro- (1) Toutes ces photograp
t, pour cette raison que la forme, la profondeur et la position des
sillons
naso-lahiaux subissent des variations individue
er que la contraction du grand zy- gomatique, tout en produisant un
sillon
naso-labial bien visible ainsi qu'un agrandisse
porte de la même manière : elle est intimement soudée, au niveau du
sillon
bulho-protuhérantiel, à la face antérieure de l
gu, va se prolonger jusqu'à la substance grise de la commissure. Le
sillon
médian postérieur est complètement effacé. A l'
es méninges elles-mêmes sont touchées. Ainsi en avant, au niveau du
sillon
médian antérieur, l'artère et la veine spinales
iveau. Cette altération de la pyramide droite s'arrête au niveau du
sillon
hulbo-pro- tubérantiel. Dans la protubérance
ouche large et les lèvres épais- ses sous une moustache inculte. Le
sillon
naso-labial très accentué se perd en bas dans l
é peu accentuée. Le front se ride en plis horizontaux profonds ; le
sillon
nasolabial s'accen- tue et les lèvres se dispos
ureux ; les yeux petits, clignotants et cerclés de fines rides ; le
sillon
naso-labial très accentué et les commissures ba
ur du front un triple ou un quadruple cercle. Au-dessus du nez deux
sillons
obliquement ascendants sont l'indice de la fréq
omme il se voit fréquemment dans la race ger- manique. Un profond
sillon
sépare le nez et les lèvres des joues, gagnant le
e affecte toujours la forme d'un triangle dont la hauteur serait le
sillon
postérieur ; au ni» 56 CROUZON - veau du somm
rme quadrangulaire ; les quatre angles répondant aux extrémités des
sillons
antérieur et postérieur d'une part, aux extrémité
ration de Weigert. Fig. 1. La sclérose occupe la zone avoisinant le
sillon
postérieur et le cordon de Goll. La sclérose la
'existe pas d'épaississement de la méninge lom- baire. Au niveau du
sillon
postérieur existe une crête qui donne à la moelle
ut intense dans la partie postérieure et dans celle qui avoisine le
sillon
postérieur, c'est-à-dire dans le cordon de Goll
ant : la sclérose est marquée seulement dans la partie qui longe le
sillon
antérieur. 1re Dorsale. - Même remarque que dan
he. A la palpation on sent dans le lobe frontal droit, au niveau du
sillon
de Ro- lando, un noyau dur complètement isolé d
est-à-dire une atrophie blanche très visible des cordons de Goll ; le
sillon
pos- térieur paraît' plus visible que d'ordinai
orrhagi- qucs sout à noter. L'un, gros caillot rond, qui distend le
sillon
. médian autre- FiG. a. Coupe passant par le bor
mme dans la figure d, mais trilobée. Un gros caillot rond occupe le
sillon
médian antérieur. En plus des hémorrhagies analog
ale ie travers le Ve segment cervical de la moelle. Le caillot du
sillon
médian antérieur est réduit à une virgule sanglan
Luis Hand... 296 RYDEL élevée, cette raréfaction se rapproche du
sillon
postérieur et disparaît dans le cordon de Burda
iphérie, mais cette raréfaction est plus forte dans le voisinage du
sillon
postérieur. Dans les hauteurs dorsales inférieure
res nous trouvons une raréfaction très intense dans le voisinage du
sillon
postérieur, peu prononcée dans la zone radicula
ute la périphérie de la moelle excepté la partie qui est voisine du
sillon
antérieur. - Quoique celle raréfaction ne soit pa
ÆI °UNE FORME D'UERÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 297 respecté entre le
sillon
antérieur et la corne antérieure : ici cette dégé
eure ; une zone de fibres intactes sépare cette courbe d'un côté du
sillon
antérieur et de la commissure antérieure de l'aut
te pas de lésions appréciables. L'espace triangulaire limité par le
sillon
antérieur, les pyramides et les restes des corn
rées avec un cervelet normal, apparaissent graciles et petites. Les
sillons
basaux sont très profonds. Sur les coupes on pe
r les coupes on peut remarquer une grande profondeur et largeur des
sillons
, qui séparent les circonvolutions cérébelleuses.
e prolifération névroglique. L une des deux branches de l'artère du
sillon
médian antérieur, se portant vers la corne antéri
'être normal. Les artérioles des septa sont épaisses ; les artères du
sillon
médian antérieur , surtout à la région cervical
uit manifestement en certains points la direction de l'artériole du
sillon
médian postérieur. Si l'on se souvient aussi qu
la pie-mère. - Une autre fente très analogue se voit à la place du
sillon
médian postérieur. Les fentes, ainsi que la cavit
se montre à la partie moyenne des cordons postérieurs au niveau du
sillon
médian postérieur. Cette fente dirigée d'arrièr
s elle aboutit toujours à la périphérie, au point de pénétration du
sillon
médian. Les caractères histologiques des parois
isseaux qui commande le siège et la direc- tion des fentes (art. du
sillon
postér. et de la corne postérieure) et la grande
é centrale, mais seulement une fente antéro-postérieure occupant le
sillon
médian postérieur et qui s'élargit en avant en
l par absence de commissure grise et défaut de soudure des bords du
sillon
postérieur). Il n'y a plus tant de raison pour
e postérieure, artérioles qui entourent le canal central, artère du
sillon
antérieur qui se ramifie dans la corne antérieure
u sillon antérieur qui se ramifie dans la corne antérieure, artère du
sillon
médian postérieur, etc.). Les fentes, les fissu
e d'élection est justement le voisinage immédiat de la cavité et du
sillon
antérieur, zones où le développement du tissu con
nts pour lui valoir une place Fig. 12. - Névrome de régénération du
sillon
antérieur dans un cas de syringomyélie (th. de
ntérieure de la moelle avec saillie de son rebord de chaque côté du
sillon
médian antérieur. A un examen plus attentif, aprè
e vertébrale gauche. ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 7 Le
sillon
bulbo-protubérantiel n'est pas effacé à gauche.
utre tuméfaction tantôt unique, tantôt divisée en deux lobes par un
sillon
médian. Dans ce der- nier cas, les deux tumeurs
ent par se rapprocher au point de n'être plus séparées que par deux
sillons
réci- proquementperpendiculaires, rappelant par
tumeurs reproduisent alors la forme d'une feuille de trèfle et les
sillons
qui les L'ADÉNO-LIP011ATOSr SYMÉTRIQUE 43 sép
collier lipomateux, séparé en avant du maxillaire inférieur par un
sillon
. En avant sur la ligne médiane la masse lipomat
orps. Enorme collier lipomateux autour du cou divisé en deux par un
sillon
médian antérieur et postérieur. La peau au nive
pomateuses si- tuées à la face postérieure du cou séparées par deux
sillons
perpendicu- laires en forme de noix. La consist
é de souffrir, quand, en 1897, il contracta la syphilis (chancre du
sillon
balano-préputial, puis roséole, croûtes dans les
oculaires. Elle a dit plus ; elle a dit que les nerfs occupaient un
sillon
qu'ils avaient déterminé dans la tu- meur. Pour
à sommet antérieur; elle reparaît plus loin, réduite à un sim- ple,
sillon
par le développement exagéré du bord supérieur et
contient un petit t lipome orienté dans la direction générale de ce
sillon
» ; 2° L'aptitude que présentent les tuméfactio
on en voit .quatre lobes principaux, symétriques, séparés par deux
sillons
s'entrecroisant, grosses comme des pommes. Dans
oue socontinue, directement, sans aucune dépression avec tumeur. Un
sillon
à la sur- face de celle-ci parait séparer la ré
cines ne faisaient aucune saillie dans la cavité buccale ni dans le
sillon
gingival. Mais la persistance et la violence des
'arrière en avant, ce qui ex- plique la saillie du menton. Aussi le
sillon
naso-génien est-il très déprimé, la lèvre supér
t des fosses nasales, quatre à cinq millimètres vers le mi- lieu du
sillon
naso-génien. Ces anomalies dans les rapports réci
llaires supérieurs. Bien plus, à la place de ce rebord on trouve un
sillon
en fer à cheval circonscrivant toute la voûte p
à une teinte rosée.Dans la moitié droite de la courbe que décrit le
sillon
signalé plus haut, à peu près au niveau que devai
rte de substance mesurant 2 millimètres sur, faisant communiquer ce
sillon
avec la cavité du sinus. Les bords de cet orifi
te s'est lentement comblée presque entièrement. Du côté gauche le
sillon
est plus profond que du côté droit. Il n'existe
ais les lames et les lamelles sont très étroites et malgré cela les
sillons
peu marqués, sans doute à cause du tasse- ment
es et frontales du côté droit sont plus ou moins atrophiées, et les
sillons
correspondants élargis. La pie-mère est épaissie
les pariétales et frontales ascendantes, la scissure de Sylvius, le
sillon
de Rolando sont immédiatement au-dessous ou dan
est représentée. La couche optique FiG. 11. CO, Couche optique. SR,
Sillon
de Rolando. - VL, Ventricule central. 1 390 R
r le corps pénétrant ainsi que la substance grise située en haut du
sillon
de Rolando et un peu en arrière. La zone motrice
ne au devant du du corps strié. Le canal principal se rend jusqu'au
sillon
de Rolando et se divise en deux autres canaux d
ouchait une par- tie osseuse. La dépression est située au-dessus du
sillon
de Rolando, en un. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE
l'a- vant-bras gauche, il mesure en effet de la pointe du coude au
sillon
bien marqué qui le sépare de la main oedématiée
est arrondie en dôme et non creusé comme à l'état normal, avec des
sillons
très marqués et très rap- prochés les uns des a
lus ou moins nombreux et profonds suivant t'embount du sujet et ces
sillons
cutanés siègent du côté opposé à la v ? *. ce, ve
ophie est aussi visible que pour le segment supérieur du membre, le
sillon
médian antérieur étant plus marqué que pour le cô
ltration considérable de la pie-mère et de ses vaisseaux. L'artère du
sillon
an- térieur est moins touchée. Les cellules név
le trajet des artérioles radiculaires postérieures et de l'artère du
sillon
antérieur. celui-ci se colorant d'une manière t
cette disposition qu'il surplombe moins le globe oculaire et que le
sillon
orbitaire supérieur est moins profond que d'hab
que d'habitude. Rien cependant dans l'orbite ne paraît soulever ce
sillon
et le petit doigt introduit légèrement entre l'oe
es et demi à sa par- tie la plus large. Au niveau des chevilles, un
sillon
brusque et profond comme dans l'éléphantiasis.
LXXX). Les orteils sont en boudins, sertis à leur insertion par un
sillon
profond, la face dorsale coupée de rides transv
0 centimè- tres, c'est à niveau plus élevé que de l'autre côté. Les
sillons
sont moins pro- fonds, les doigts moins boudiné
ccupant la partie inférieure du mollet, et surtout le dos du pied ;
sillon
assez net au ni- veau de l'articulation tibio-t
ement d'un centimètre environ dans le lobule pariétal inférieur. Le
sillon
de Rolando est sinueux, profond. - La scissure
la scissure interpa- riétale sur un centimètre de longueur avec le
sillon
occipital transverse, la partie postérieure iso
ieure isolée de la seconde scissure temporale et va former enfin un
sillon
préoccipital et aboutir à l'incisure préoccipit
nt bien développée, très découpée; à sa partie médiane se trouve un
sillon
profond allant de la première scissure fron- ta
a partie triangulaire de la troisième circon- volution frontale, ce
sillon
est bordé au niveau de la deuxième scissure fro
cours par un pli de passage profond, envoie en avant de celle-ci un
sillon
profond qui divise entièrement la première circ
occipitale est irrégulicre, divisée en tronçons dont l'un envoie un
sillon
à la deuxième scissure temp01'o-occi- pitale à
pé, bien isolé des circonvolutions envi- ronnantes ; il présente un
sillon
médian transversal. - La scissure calloso-margi
it. Le lobule quadrilatère, moins bien développé, est divisé par un
sillon
vertical, aboutissant à la scissure sous- parié
cule et la circonvolution fron- tale ascendante va se jeter dans le
sillon
précentral inférieur, l'autre situé entre l'ope
circonvolution va se perdre dans la deuxième scissure frontale. Le
sillon
de Rolando, très profond, a la forme d'un S. -
par- tie inférieure; elle envoie un peu au-dessus de son coude un
sillon
horizontal profond qui divise presque entièrement
us loin la scissure interpariétale va se terminer dans le premier
sillon
occipital. Le lobule O1'bifaÙ'e est bien développ
est très sillonnée; à son tiers antérieur, elle est divisée par un
sillon
profond qui longe la face antérieure du pli de
éveloppé, est isolé du pli courbe, également bien développé, par un
sillon
descendant se rendant de la scissure interparié
triangulaire de la troisième circonvolution frontale ascendante. Le
sillon
de Ro- lando, sinueux, profond, se termine au f
stérieure de la scissure interpariétale et par son intermédiaire le
sillon
occipital'transverse. La scissure interpariétal
st bien développée. La frontale ascendante est assez grosse ; trois
sillons
transversaux antéro-postérieurs la divisent pre
sinueuse, profonde, communique à la base du lobe pariétal par deux
sillons
transverses avec la deuxième scissure temporale
à former une sorte de scissure précentrale en se continuant avec un
sillon
supérieur qui divise presque entièrement la deu
ivise presque entièrement la deuxième circonvolution fron- tale. Le
sillon
de Rolando est très profond, assez sinueux. La
rs le lobule pariétal supérieur ; elle continue son chemin jusqu'au
sillon
occipital transverse. Le lobule orbitaire est n
li courbe sont volumineux, mais irréguliers par suite de nom- breux
sillons
qui les découpent. Le lobe occipital, dont lés
vironnantes par une scissure irrégulière, sinueuse, qui prolonge le
sillon
transverse occipital jusque vers l'incisure pré
passage à niveau allant de la deuxième à la troisième temporale. Un
sillon
profond réunit la scissure parallèle à la premi
e calloso-marginale est sinueuse, très profonde, envoie de nombreux
sillons
transversaux à la circonvo- lution frontale int
amen de la bouche nous fait voir sur la voûte palatine, à droite du
sillon
médian, une dépres- 452 SOCIÉTÉS SAVANTES. si
gracilité du pied de cette circonvolution, d'où il résulte que les
sillons
avoisinants'paraissent passablement élargis. Or
ieur du pli courbe à l'endroit même où vient se terminer le premier
sillon
temporal. Fio. 2. - Deuxième observation. Les z
'atteint que 1 cent. 7. Sur un crâne normal on trouve 2 cent. 5. Le
sillon
du sinus latéral, le trou déchiré postérieur ai
ouve un angle obtus. Le col anatomique se continue par un véritable
sillon
au-dessous de la tête de l'os. La partie supéri
ar une impression rugueuse sur la face postérieure de l'os jusqu'au
sillon
occipital qui est délimité par deux crêtes rugu
mérale tandis que sur l'humérus normal il arrive le contraire. Le
sillon
de torsion est très accentué et délimité en haut
mal, cet angle est obtus. La ligne âpre est rugueuse et présente nn
sillon
médian et deux crêtes latérales. Son extrémité su
r la face postérieure et dans sa moitié supé- rieure on remarque un
sillon
profond délimité par deux crêtes accentuées, dis-
affaissé dans le sens antéropostérieur de sorte que les différents
sillons
sont plus pro- fonds que sur l'os normal. L'a
ugosités, les crêtes, les tubérosités prononcées, la profondeur des
sillons
sur les os longs et sur les os du crâne, l'accent
et ne diffèrent pas l'une de l'autre. Mobi- lité des yeux normale.
Sillons
nasolabials, symétriquement tracés. Langue, nor
llée sur les tissus 290 BERTOLOTTI - profonds, sans rides et sans
sillons
épidermiques. Le derme épaissi fait corps avec
t. La fente palpébrale gauche est plus large que la droite, mais le
sillon
qui sépare la paupière inférieure de la joue es
ongueur et son lobule est entraîné assez fortement vers la gauche. Le
sillon
naso-labial gauche est plus profond et plus arr
st attiré en haut dans toute sa portion gauche ; on remarque que le
sillon
transverse sous-labial est oblique en haut et à g
édiane du menton, et qui n'existent pas du côté droit. En dehors du
sillon
labio-génien, peu marqué des deux côtés, existe
ien, peu marqué des deux côtés, existe, du côté gauche, un deuxième
sillon
parallèle au premier, surtout appréciable dans
e, relèvement de la joue en masse, direction franchement oblique du
sillon
naso-labial, incurvation plus marquée du nez, acc
sillon naso-labial, incurvation plus marquée du nez, accentuation du
sillon
labio-génien, profondeur plus grande des fosset
ales, l'agrandissement de la fente palpé- brale et la diminution du
sillon
sous-palpébral, et se manifestant dans les mouv
eté plus grande de la joue, l'incurvation du nez, l'accentuation du
sillon
naso-labial, la déviation de la bouche et du me
e fossettes menton- nières unilatérales, la formation d'un deuxième
sillon
labio-génien. 1 3° Des mouvements associés dans
alpébral inférieur gauche est plus profond à gauche qu'à droite. Le
sillon
naso-labial gauche est plus profond et possède un
ne eu fossette, elle est nettement attirée en haut et en dehors. Le
sillon
médian de la lèvre supérieure est situé à gau-
mologues [du côté opposé. Le menton lui-même est attiré en haut; le
sillon
labio-mentonnier transverse n'est plus horizontal
te palpébrale, l'accentuation des plis palpébraux, l'exagération du
sillon
naso-labial, le relèvement de la narine, la sai
s ; elles siègent dans tout le triangle formé par l'aile du nez, le
sillon
naso-génien et la ligne supérieure d'implantati
nt laquelle la phalangine est soudée à la phalange est marquée d'un
sillon
nettement visible à la face plantaire, beaucoup
des 1 re et2" phalanges est marquée la face dorsale par un profond
sillon
. La tête de la lre phalange est facile à distin
'expression de la figure présente un cer- tain degré d'inertie, les
sillons
naso-géniens effacés, surtout du côté droit. La
. - E P. Entrecroisement des pyramides. Ensuite se trouve dans le
sillon
qui sépare la protubérance du bulbe, près de la
al et auditif, en arrière desquels on voit successivement sortir du
sillon
latéral du bulbe les filets neneux qui constitu
effet une hémiplégie gauche très accusée. Enfin yous noterez que le
sillon
naso-labial droit' est plus accusé que celui du
ongle bien conformé ; entre les deux petites phalanges existait un
sillon
. Ces deux petites phalanges beaucoup plus petit
cordon de Burdach qui n'atteint ni la périphérie de la moelle, ni le
sillon
médian postérieur. Le champ cornu-commissural,
e moyenne des zones de Lissauer, triangle de sclérose atteignant le
sillon
médian postél ieur limité par les champs postérie
re, la périphérie de la moelle, et une ligne virtuelle parallèle au
sillon
médian postérieur et passant par le point où la s
a péri- phérie de la moelle qu'il' n'atteint pas , en dedans par le
sillon
médian pos- térieur qu'il respecte, se trouve u
ssauer, moyennement dégénérées, triangles de sclérose atteignant le
sillon
médian postérieur, s'écartant un peu davantage de
er avec les fibres postérieures, une zone en forme d'L qui borde le
sillon
postérieur et la périphérie de la moelle (bandele
zone est limitée : en dedans par une ligne virtuelle, parallèle au
sillon
médian postérieur et passant par le point où la
un oeil non prévenu. En dedans de cette bordure, se voit un léger
sillon
linéaire, pâle, bleuâtre, de 1 à 2 2 millimètre
et la bande interne s'accentua légèrement. A cette époque un léger
sillon
violacé apparut sur le bord libre des paupières
terne le nerf acoustique se porte vers la partie la plus reculée du
sillon
horizontal qui sépare la protubé- rance du bulb
t plus volumineuses et plus renflées et ne laissent entre elles qu'un
sillon
plus étroit et moins long que du côté opposé.
irconvolutions épaissies et renflées, ne laissant entre elles qu'un
sillon
incomplet d'où partent quatre branches limitant l
tre branches limitant les parties les plus renflées. A gauche, le
sillon
entre Fa et Pa est si la fois complet, large, dir
large, dirigé plus obliquement. Il se continue directement avec le
sillon
de Rolando sans être interrompu comme du côté o
tre au niveau du 1/6 centi- mètre supérieur une même différence. Le
sillon
est moins marqué, les circon- volutions plus ép
r l'inspiration forcée. L'abdomen est divisé en deux parties par un
sillon
horizontal passant à 1 centimètre au-dessus de
des muscles de la face, et une très légère asymétrie du visage, le
sillon
naso-jugal est un peu moins marqué à gauche qu'
oite d'où s'écoule constamment de la salive qui érode la peau en un
sillon
vertical. Les lèvres sont trois fois plus épais
ties latérales du nez, particularité qui explique la disparition du
sillon
naso-génien droit. En saisissant entre les doigts
urnée du côté opposé à la malformation (Sa- brazès et Cabannes). Le
sillon
naso-génien est soulevé, comme comblé. L'aile d
éveloppement partiels, amputations congénitales. Miram (2) a vu des
sillons
congénitaux s'accompagner d'hypertrophie du membr
ue ne saurait être invoqué lorsqu'il n'existe pas, il l'origine, de
sillon
congénital. H. Fischer se demande alors si une
ion de volume de l'os propre du nez et de son cartilage fait que le
sillon
qui unit le nez à la joue est plus obtus ; ce sil
ge fait que le sillon qui unit le nez à la joue est plus obtus ; ce
sillon
est cependant assez marqué et à son extrémité i
de cette portion claviculaire et l'angle supéro-interne on voit un
sillon
profond, large d'un travers de doigt environ, par
oit ; elle est séparée du menton qui parait déjeté à droite, par un
sillon
assez profond; elle est comme ramassée au nivea
aussi présente une épaisseur énorme; sa face interne est creusée de
sillons
profonds dirigés en divers sens et séparés les un
l'en- fant contracte ses muscles pour sourire. En même temps, le
sillon
naso-génien droit devient plus saillant et la jou
ère. Les dents ne sont pas cariées. - Menton arrondi et petit, avec
sillon
mento-labial accusé, en raison de la proéminenc
r est le siège d'une atrophie manifeste qui s'étend en arrière du
sillon
de Rolando, sur le tiers supérieur de PA et sur l
a scissure de Sylvius est d'apparence normale. Il en est de même du
sillon
de Rolando. - Le lobe pariétal supérieur est at
dehors de l'axe, et profondément cariées. - Le menton est rond, le
sillon
mentonnier bien arqué. - Les joues sont assez p
er duvet il la lèvre supérieure et au pénil ; aisselles glabres. Le
sillon
transversal qui sépare la racine des bourses du
F3). Les circonvolutions de : la face interne sont grêles avec des
sillons
très superficiels. - Le coin est très réduit et
u induré, dur sur son bord inférieur. - Sur tout cet hémisphère les
sillons
sont très peu profonds alors qu'ils sont très a
euse des deu.v hémisphères cérébraux; petites tumeurs scléreuses du
sillon
Opto-St1'té. - Petites tumeurs des reins. Gro
ur LO et un vers la circonvolution postérieure de T1, caché dans le
sillon
marginal inférieur, enfin un autre à la partie
velop- pement. Le ventricule latéral n'est pas dilaté. Le long du
sillon
opto-strié, il existe plusieurs nodosités sclér
et LO sont composés de circonvolutions irrégulières et offrant des
sillons
superficiels. - Un îlot sur LO et trois autres
es îlots de sclérose, de la forme des circonvolutions et un peu des
sillons
super- ficiels qu'elles présentent. - T1 envoie
traînée habituelle cle petites tumeurs blanches et dures, sur le
sillon
qui sépare la couche optique du corps strié; elle
c désenfle. La décortication est assez facile. Les scissures, les
sillons
ont leur disposition naturelle mais ils sont peu
Face externe ou conuexe de l'hémisphère droit. (Page 176). S. R.,
sillon
de Rolando. Fi, F2, l ? 1 ? 2-, 3° circonvoluti
he IL Face interne de l'hémisphère droit. (Page 176). s.>t.,
sillon
de Rolando. 5c.cm., scissure calloso-marinalc.
mince. Les narines allongées dans le sens antéro-postérieur. Les
sillons
naso-géniens prononcés, surtout du côté droit. Le
la lèvre supérieure et la cloison des fosses nasales, on observe un
sillon
transversal très évident. La lèvre inférieure p
lèvre supérieure. Au-dessous de la lèvre inférieure, on observe un
sillon
dont la concavité regarde en bas, il est formé
éparées de 74 ' QUADRONE E : Pavant-bras respectif par un profond
sillon
déterminé par la forte saillie de la tête cubit
Les circonvolutions sont aplaties, plus à gauche qu'à droite ; les
sillons
sont fermés surtout dans les parties postérieur
inimum les espaces normalement ouverts entre les méninges. 2° Les
sillons
se ferment et l'hémisphère où siège la tumeur emp
imètres sur 11, sonore la la percussion, indolore, et limité par un
sillon
à pus fétide, était constitué. Le 24 août ce la
, collée sur les dessous fibro-périostiques, sans une ride, sans un
sillon
épidermique » Et Dejerine () : « La sclérodermi
ins désordres facilement reconnaissables tels que : creusement d'un
sillon
, dont la largeur est égal à la particule migra-
anique : 1° la rupture de la membrane nucléaire et la présence d'un
sillon
; 2° l'absence des modifications morphologiques s
ues spé- ciales en rapport avec l'émigration active du nucléole. Le
sillon
en ques- tion qui pourrait s'appeler sillon d'é
active du nucléole. Le sillon en ques- tion qui pourrait s'appeler
sillon
d'émigration, commence au centre du noyau, pass
s'étend jusqu'à l'endroit où se trouve le nucléole. La longueur de ce
sillon
varie avec la situation du nucléole déplacé. Pl
Plus celui-ci sera entraîné à une grande dislance du noyau, plus le
sillon
sera long et vice versa. Mais dans les cellules
et qu'il n'avait aucune tendance à s'extérioriser. La direction du
sillon
d'émigration est perpendiculaire au tranchant d
a même position que sur le microtome. Dans l'intérieur du noyau, le
sillon
apparaît limité par les filaments du réseau de
e cytoplasma et sur les pièces colorées par la méthode de Nissl, le
sillon
apparaît délimité par les corpuscules chromatophi
tive au passage du nucléole; cet orifice a la même dimension que le
sillon
qui passe à cet endroit et, par conséquent, la
que la solution de con- tinuité, dont nous avonsparlé, à propos du
sillon
d'émigration. Détail important, la membrane nuc
a solution de continuité de la membrane nucléaire et la présence du
sillon
d'émigration peuvent être considérées comme les é
se traduisant morphologiquement par la rupture de la membrane et le
sillon
d'émigration. Lorsqu'on envisage la question au
que du nucléole, on voit alors la masse homogène présenter un petit
sillon
avec une extrémité centrale et arrondie et une
ions rachidiens des individus âgés. 284 JONNESCO 2° Présence du
sillon
d'émigration qui a son point de départ du centre
du noyau, quand le phénomène a lieu dans une cellule normale. 3°
Sillon
à direction perpendiculaire au tranchant du rasoi
Louche est en point d'exclamation. La commissure peu abaissée. Le
sillon
naso-géuien moins marqué du côté gauche. L'oeil
e de la tirer au dehors. L'hémiatrophie est extrêmement marquée, le
sillon
médian dévie, la langue flasque et anémiée du c
chie par des efforts de redressement. Affaiblissement des plis et
sillons
à gauche, surtout du sillon naso-génien. Rire e
ressement. Affaiblissement des plis et sillons à gauche, surtout du
sillon
naso-génien. Rire et pleurer spasmodiques. Pa
eux et qui s'étend au reste du nez ; au niveau de' la racine et des
sillons
naso-géniens, cette teinte se dégrade et la peau
ternes, plus noires; elles se boursouflent, s'entoura. d'un étroit
sillon
et, quand on ap- puie sur elles, il sourd une s
'angle qui, de la substance gélatineuse de Roland, s'avance vers le
sillon
médian, et qu'on la dirige en arrière paral- lè
le pied de la deuxième frontale gauche, immédiatement en avant du
sillon
de Rolando. G. D. VII. Sur la maladie DES tics
e place à peu près au milieu de l'organe, de chaque côté du grand
sillon
postérieur et, dans la moelle dorsale inférieure,
R'1;. 239 240 CLINIQUE NERVEUSE. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 241
sillons
. Par suite de la déviation du tronc basilaire ver
e lobule de l'insula; ses rameaux antérieurs sont irré- guliers. Le
sillon
de Rolando est assez profond et très sinueux. La
arallèle presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier
sillon
occipital et envoie deux rameaux descendants, l
cendante elle fournit un rameau transversal qui va se jeter dans le
sillon
de Rolando. Le lobe orbitaire est formé de circ
temporale communique d'une part avec la scissure de Sylvius par un
sillon
profond et oblique qui longe le bord supérieur
nté- rieure est reliée à la scissure calloso-marginale par un petit
sillon
horizontal; il existe un pli pariéto-limbique p
n frontale du cap et de la cir- convolution frontale ascendante. Le
sillon
de Rolando, sinueux, communique en avant par un
cendante. Le sillon de Rolando, sinueux, communique en avant par un
sillon
profond avec la première scissure frontale et e
e vers son tiers inférieur avec la scis- sure interpariétale par un
sillon
moins profond que le précédent. La scissure per
al supérieur au pli courbe; plus loin, elle va se confondre avec le
sillon
occipital transverse. Le lobule orbitaire est a
première scissure fron- tale sinueuse communique en arrière avec le
sillon
de Rolando par le sillon déjà décrit; au tiers
ale sinueuse communique en arrière avec le sillon de Rolando par le
sillon
déjà décrit; au tiers antérieur on y rencontre un
t et un peu en dehors pour venir émerger par dix à douze racines du
sillon
qui sépare l'olive de la pyramide antérieure (o
dégénératives des- cendantes. Ils sont en rapport en dedans avec le
sillon
antérieur de la moelle ; en dehors, ils réponde
entral; l'un de ses bords, son bord interne répond immédiatement au
sillon
médian antérieur de la moelle. Dans quelques ca
e par une bande étroite de fibres en dégénérescence et appliquée au
sillon
antérieur. Des régions supérieures les faisceau
stérieur, chez le foetus où ils sont séparés l'un de l'autre par un
sillon
apparent, le sillon intermédiaire postérieur.
etus où ils sont séparés l'un de l'autre par un sillon apparent, le
sillon
intermédiaire postérieur. Les bandelettes ext
e. 11, 12, 13; cordons antérieurs, latéraux et postérieurs. 14, 15 ;
sillons
collatéraux antérieurs et postérieurs 10; renfl
n centrale antérieure gauche et à celle de la partie postérieure du
sillon
frontal supérieur et des bords avoisinants de l
, elle forme te p6lc fro>zGul,situé à l'extrémité postérieure du
sillon
olfactif. Nous attirons spécialement l'atten- t
1, 12, 13 ; cordons antérieurs, latéraux et postérieurs. - 11, 15 ;
sillons
collatéraux antérieurs et postérieurs. - 16; re
rge de deux centimètres et se termine par un seul ongle, offrant un
sillon
médian, indice de la réunion DE 1.'HI'STERO-EPI
tale as- cendante. Celle-ci est très plissée et bien développée. Le
sillon
de Rolando est profond. La pariétale ascendante
endante, un peu irrégulière, offre à sa partie moyenne une sorte de
sillon
transversal incom- plet. Le lobule pariétal sup
. Le lobule pariétal supérieur a la forme d'un quadrilatère avec un
sillon
en forme d'x; le lobule pariétal inférieur est ré
trois centimètres, l'aspect du lobe quadrilatère, en ce sens qu'un
sillon
assez superficiel d'ailleurs le sépare de la pa
la partie postérieure de ces deux circonvolutions. Il n'y a pas de
sillon
eallosO-rnal'[fÏ1wl. Le lobe paracentral forme un
ssent au DU MÉRYCISME. t 13 corps calleux et sont séparées par un
sillon
assez profond qui, lui aussi, aboutit au corps
lleux. - Le lobe quadrilatère, moitié plus long que large, oifre un
sillon
supérieur transversal et un sillon vertical qui
ié plus long que large, oifre un sillon supérieur transversal et un
sillon
vertical qui aboutit au corps calleux. - Le coi
artie horizontale se confond en arrière avec le lobe occipital. Les
sillons
sont assez profonds sur la face convexe, et en
es par un pli de passage à un centimètre du Il bord supérieur. - Le
sillon
de Rolando est profond. La pariétale asemdante
n- tale, celle du corps calleux et le lobule paracentml; absence du
sillon
calloso-rrHl1'yinal. Même disposition qu'à gauc
ture interne du cerveau est identique chez le porc et le mouton. Le
sillon
crucial, à son origine, constitue la délimita-
nier animal, très volumineuses et réunies en grand nombre autour du
sillon
cervical. Cette agglomération des cellules de B
ical. Cette agglomération des cellules de Betz autour de ce dernier
sillon
se rencontre chez la plupart des animaux carniv
é pour faire des grimaces. Les lèvres sont saillantes en avant; les
sillons
péri-labiaux sont conservés et égaux des deux c
nt tiraillées en haut. Le malade rit fréquemment, sans motif. Les
sillons
naso-labiaux sont peu prononcés. Le malade ne peu
atrophiée. Sur la face dorsale de cet organe on voit des rides, des
sillons
de la muqueuse, dénotant que les muscles sous-j
e la moitié droite de la langue, de nombreuses rides et de profonds
sillons
. Lorsque le malade tire la langue, la pointe es
le dorsale, une étroite bande de sclérose médiane de chaque côté du
sillon
postérieur. A un degré avancé de la maladie, le
ace qui apparaît comme un ovoïde ou un triangle circonscri- vant le
sillon
médian postérieur. Quant à la zone antérieure des
étroite bande médiane qui se dirige de l'aire moyenne sclérosée au
sillon
postérieur. La moelle cervicale est d'assez bon
éminence olivaire. W, pyra-mide antérieure. Y, corps restiforme. Il,
sillon
antérieur de la moelle épinière. D, saillie en ol
gure et dans celle des n° 2, 3, 4, 5, la lettre p indique toujours le
sillon
postérieur. La lettre a, le sillon antérieur. R
5, la lettre p indique toujours le sillon postérieur. La lettre a, le
sillon
antérieur. R, le corps restiforme. 0, l'olive.
ine des racines postérieures. Les lettres ap continuent à désigner le
sillon
an-térieur et le sillon postérieur. Dans la cou
ures. Les lettres ap continuent à désigner le sillon an-térieur et le
sillon
postérieur. Dans la coupe du n° 5 et dans les s
racine de l'auditif. Y, corps restiforme. X, pyramide postérieure. L,
sillon
postérieur de la moelle épinière. F, pointe du ca
tricule cérébelleux rétrécie conduisant dans l'aqueduc de Sylvius. A,
sillon
médian superficiel du plancher ven-triculaire. E
or- ganisme de substances toxiques spéciales. J. SÉGLAS. XII. DES
SILLONS
DE l'artère méningée MOYENNE dans L'ENDOCRANE;
icrocéphales chez lesquels prédomine l'égalité de développement des
sillons
de l'artère méningée moyenne de chaque côté du
du crâne, autrement dit la symétrie, on trouve généralement que les
sillons
sont plus manifestes à gauche qu'à droite, chez l
minels, l'écart entre les chiffres de développement plus marqué des
sillons
à gauche et celui de profondeur et de largeur é
oins que les sujets sains d'esprit. Le développement plus grand des
sillons
de l'artère méningée moyenne dans l'endocrane à
rmaux, en offrant une moins grande fréquence dans la différence des
sillons
artériels dans les deux moitiés du crâne J. SGL
rieure droite; de plus une mince fusée de tissu néoplasique suit le
sillon
postérieur dans toute sa longueur. Les limites
s racines centripètes, interrom- pues par la tumeur. Fig. 11. SP,
sillon
postérieur de la moelle; NR, névromes de régéné-
'avant t en airière, la tumeur/atteint, la\ branche; ascendante, du
sillon
cal- loso-marginal, dépasse en haut de 2 centim
ient plus que quelques rares, dans les points qui répondent à des
sillons
. A mesure que l'on se rapproche de la région rola
conservées augmentent de nombre graduellement, d'abord au fond des
sillons
; au niveau du pied des frontales l'aspect de la
plètement détruites vers la pointe, réapparaissent dans le fond des
sillons
plus en avant que du côté opposé. La lésion est
leurs faces cachées ou sur leurs faces découvertes : au fond des
sillons
elles sont absolument normales; à la périphérie l
dante gauche vers son milieu, dans la portion située au fond d'un
sillon
. Coloration de Pal. (Obj. 2, Vérick, oc. 1.)
superficielles ont presque com- plètement disparu, même dansles
sillons
, à gauche. Le lobe droit est moins altéré. En
ncée à la partie superficielle des circonvo- lutions que dans les
sillons
où l'écorce est relativement protégée contre
sa région moyenne; dessin pris dans la portion située au fond d'un
sillon
. Atrophie considérable des fibres tangentielles
s les points les plus accessibles aux réactifs, tandis que dans les
sillons
les fibres sont partout plus nombreuses, on ne
ur du front un triple ou un quadruple cercle. Au-dessus du nez deux
sillons
obliquement ascendants sont l'in- dice de la fr
live postérieure; - 4, tronc de l'hy- poglosse ; 5, la p)ramidc; 6,
sillon
préolivaire. 360 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. qui f
ffes. Ce dernier mode de pénétration est propre à la profondeur des
sillons
dans lesquels s'épandent les trousseaux radiair
nsinué entre les lobes frontaux; elle était en effet divisée par un
sillon
longitudinal en deux hémisphères, dont cha- cun
ES. cheveux. De chaque côté de la ligne médiane, on remarque cinq
sillons
profonds allant d'arrière en avant; les plus rapp
d'ailleurs visibles que lorsque les cheveux sont coupés courts. Les
sillons
du front n'ont rien d'anormal, mais deviennent
onnerait l'excitation élec- trique du cuir chevelu dans le sens des
sillons
, afin de déterminer si l'hypercontractililé des
incline à penser qu'il s'agit plutôt d'une anomalie régressive; les
sillons
de la peau du crâne sont, en effet, très fré- q
e delà contraction du sphincter anal est situé un peu en'arrière'du
sillon
crucial,'dans le segment postérieur de la circo
ion sigmoïde, immédiate- ment en arrière de' l'extrémité externe'du
sillon
crucial.' P. K. t Cr f , t j", ? ) -) " 31 ,. ?
R.-O. Dees, 325; manie et, par J. Macpherson, 330. Méningée, des
sillons
de l'artère moyenne dans l'endocrâne, par G.
ilaires gauches. L'oreillette droite étant incisée parallèlement au
sillon
auriculo-ventriculaire, on Xifl. f. - V. tr val
est hideux; le front et la racine du nez sont couverts de rides,les
sillons
naso-labiaux sont très accusés, le nez est cama
hémis- phère droit. On remarque, sur les deux hémisphères, que le
sillon
de Rolando est très reporté en arrière, d'où il r
uve, en mesurant la distance qui sépare l'extrémité supé- rieure du
sillon
de Rolando de la pointe du côté frontal de l'hé-
. D'autre part, on trouve, en mesurant de l'extrémité supérieure du
sillon
de Rolando à la pointe du côté occipital : adro
volume, égaux aussi aux circonvolutions voisines et séparés par un
sillon
aussi profond que les autressillons parallèles.
sti- tué, persiste seul sur la face convexe de cet hémisphère. Le
sillon
de Rolando ne présente ainsi qu'un seul bord,l'an
bstance intéressait toute la région cérébrale, située en arrière du
sillon
de Rolando, les convulsions débutaient par le m
achy-méningite est le moins avancée. Il existe au niveau des divers
sillons
du lobe frontal, du sillon de Rolando et sur le
avancée. Il existe au niveau des divers sillons du lobe frontal, du
sillon
de Rolando et sur le bord supérieur de l'hémisp
constitue une tumeur bilo-bée dont les deux moitiés, séparées par un
sillon
vertical, figurent assez bien, comme volume et co
reins adossés face à face et se présentant par leur bord convexe. Ce
sillon
vertical répond à l'entrée de la vulve, comme il
étantes présentent une surface inégale, mamelonnée, parcourue par des
sillons
qui, se croisant en tous sens, dessinent les tume
uait plus la contraction de ces muscles, sa face ne présentait pas de
sillons
naso-labiaux (voyez fig 3), et lorsqu'il riait sa
re d'évolution. Elle est partagée en deux portions symétriques par le
sillon
médian de la nuque, dans lequel s'avance une traî
ur de l'anus à l'espace interscrotal. A partir de ce point on voit un
sillon
recouvert d'une membrane muqueuse, sillon qui se
rtir de ce point on voit un sillon recouvert d'une membrane muqueuse,
sillon
qui se continue jusqu'au gland ; chez ce dernier,
é par une dépression imperforée offrant l'aspect d'un méat normal. Ce
sillon
, lorsque la verge est relevée, comme le montre la
n'existe que dans la moitié de la circonférence de l'organe. Dans le
sillon
médian que nous avons décrit, et à trois centimèt
u'il semblerait que la lèvre fait complètement défaut. Au niveau du
sillon
naso-génieu, l'aile du nez se continue directemen
onixis. La vitalité en est troublée, ils sont ternes, rugueux, avec
sillons
longitudinaux et ternes. Celui de l'annulaire a
bles, très dures au toucher, . offrant la résistance du cancroide ; —
sillons
plus ou moins profonds circonscrivant ces saillie
son ex- trémité supérieure, mais encore sa face antérieure, dans le
sillon
qui sépare cette circonvolution de la première
entrale, en voit qu'elles se terminent en bas dans la profondeur du
sillon
calloso-marginal, en entamant un peu la circonv
très douloureux, deux ulcérations apparaissent, la première dans le
sillon
sous-unguéal du médius, la deuxième il l'extrém
este oblitérée. Au début d'avril 1907, des douleurs apparaissent au
sillon
sous-unguéal de l'index gauche, la peau est épa
rosé; le tégument adhère à l'os, il n'existe entre eux qu'un étroit
sillon
suppurant.L'ongle forme le bord supérieur de ce
la forme d'un cylindre ; en bas, existe au niveau du cou-de-pied un
sillon
circulaire, plus marqué en avant qu'en arrière
on circulaire, plus marqué en avant qu'en arrière ; au-dessus de ce
sillon
, le cylindre jam- bier forme une sorte de bourr
non capitonné; la plante du pied a l'aspect du pied plat. Dans le
sillon
qui sépare l'oedème de la jambe de celui du pied,
avec espaces membraneux. Plus fréquente encore est la dépression en
sillon
de la su- ture médiane, surtout dans la région
phères cérébraux et qu'on pourrait même apercevoir les scissures et
sillons
du cerveau. Sans discuter davantage la ligure e
dant au corps du sphénoïde et aux parties voisines, parfois avec un
sillon
accentué traversant l'apophyse basilaire. Sur la
s transverse très peu creusée ; par contre, on remarquait plusieurs
sillons
vasculaires assez accentués allant au trou mast
i, à vrai dire, j'ai quelquefois observé chez des sujets vivants un
sillon
assez profond sur la ligne médiane, un examen a
ie de la face très peu perceptible. La bouche n'est pas déviée ; le
sillon
naso-labial est peine moins marqué à gauche. Il
ans sa partie cornu-commissurale et un demi-ovale médian le long du
sillon
médian postérieur , centre du centre ovale de Fle
fait en avant et une mince bande, le long de la moitié antérieure du
sillon
médian postérieur, correspondant au faisceau de
en évidence le triangle de Gombault et Philippe allongé le long du
sillon
médian postérieur jusqu'au bord postérieur de l
riées, montrant par l'intermédiaire de la bande allongée le long du
sillon
médian postérieur (faisceau de Hoche), la continu
ume elles atteignent lorsque les bandages sont laissés de côté. Les
sillons
causés par les bandes se voient très bien. Il y a
ise immédiatement après l'enlèvement des bandages ; elle montre des
sillons
et des plis comme la première. L'intelligence d
ivant : Les orteils sont tuméfiés sur leur face dorsale ; il y a un
sillon
trans- versal profond indiquant la place des ar
à peu près normales, mais le dos du pied est enflé et entouré d'un
sillon
profond au-devant de l'articu- lation de la che
n somme, les circonvolutions ont leur disposition normale, mais les
sillons
qui les séparent sont proportionnellement plus pr
peu saillante. Le crâne est complètement lisse : aucune saillie ni
sillons
au niveau des su- tures ; à en juger par cet ex
ons vu, nos malades présentent des crânes absolument lisses et sans
sillons
perceptibles. Ce caractère est certainement très
es parties médiales du néoplasme. C'est là que, rompant le fond des
sillons
, le sarcome s'est engagé bien avant dans la sub
ouche partout à de l'écorce il s'est en quelque sorte niché dans un
sillon
; il a causé des dégâts bien plus localisés. Il
ompression, l'aplatissement des cir- convolutions, la fermeture des
sillons
, sont peu marqués. L'hémisphère droit est plus
méplat à la partie 206 THÉRAPEUTIQUE. supérieure de l'occipital;
sillon
transversal au niveau de la fon- tanelle antéri
ande qu'à droite ; la région malaire est moins développée; chute du
sillon
naso-labial gauche. 4880. Janvier. Pleurésie sè
ndante est grosse, sinueuse, va presque verticalement en haut. Le
sillon
de Rolando est profond. - La circonvolution parié
ainsi transformée en deux scissures distinctes, l'une parallèle au
sillon
de Rolaudo et se prolongeant avec la branche tr
llon de Rolaudo et se prolongeant avec la branche transversale du
sillon
médian du pli pariétal supérieur; cette partie de
ieur; cette partie delà scissure interpariétale forme ainsi avec ce
sillon
une scissure isolée, pro- fonde, bifurquée en h
le pariétal inférieur est sinueux, bien développé, il pré- sente un
sillon
profond qui le divise presque entièrement en deux
le pre- nant sur toute sa hauteur; l'antérieur est moins marqué. Le
sillon
qui le sépare en avant de la première frontale
ètres environ; elle est beaucoup moins développée que la gauche. Le
sillon
de Rolanclo est profond, sinueux. La pa- riétnl
mité inférieure de la parié- tale ascendante, le tiers inférieur du
sillon
de Rolando, la fron- tale ascendante et se term
: atrophie de la plupart des circonvolutions situées en arrière du
sillon
de Rol(indo, et des circonvolutions de la face
hémisphère droit d'un paralytique général, la portion inférieure du
sillon
de Rolando communiquait avec le sillon frontal
al, la portion inférieure du sillon de Rolando communiquait avec le
sillon
frontal supérieur; sur l'hémisphère droit d'une
sur l'hémisphère droit d'une idiote, c'étaitla partie supérieure du
sillon
de Rolando qui s'ouvrait dans le sillon frontal
taitla partie supérieure du sillon de Rolando qui s'ouvrait dans le
sillon
frontal supérieur. Le cer- veau d'un criminel o
deux côtés une bifurcation avec prolongements anormaux en avant du
sillon
de Rolando. L'hé- misphère gauche d'un homme af
était doté de trois circonvolutions ascendantes séparées par deux
sillons
de Rolando. L'orateur n'a jamais vu de communicat
e Rolando. L'orateur n'a jamais vu de communication réelle entre le
sillon
de Rolando et la scissure de Sylvius. M. OPPENH
une préparation. Les adhérences sont des plus nettes au pourtour du
sillon
cruciforme; on voit, en outre, une araclinite dif
lles les extrémités postérieures ? Pourquoi est-ce le pour- tour du
sillon
cruciforme et de la scissure de Sylvius qui est d
rité des insu- las ; absence bilatérale de l'opercule; brièveté des
sillons
de Rolando. Aucune anomalie microscopique des n
i ? féî,ieiti,e de la pciî,iétale ascendante, le tiers inférieur du
sillon
de Rolando, etc. F,, première circonvolution fr
moyennes très profondes, avec de fortes nervures correspondant aux
sillons
du cerveau. Sinus latéral et pétreux infé- rieu
s du cer- velet effleurant presque sa face inféro-anlérieure. Les
sillons
sont partout très nets, profonds et étroits ; les
les autres. Il existe en outre une quantité de petits replis et de
sillons
accessoires, dont la topographie est mal commode
llons accessoires, dont la topographie est mal commode à faire : le
sillon
prérolandique à droite se compose de deux tronçon
rrompu ; la deuxième temporale à gauche est interrompue par un gros
sillon
. D'une façon générale, ce qui devrait être dirigé
né au même niveau et sont très rapprochées les unes des autres. Les
sillons
sont étroits. Sur les coupes transversales, le lo
irrigation si elle n'élait compensée par l'existence de nom- breux
sillons
, dont le rôle principal est de faciliter la nutri
de troubles, sauf une légère macération de l'épiderme dans le premier
sillon
interdigital. . " 13. Interprétation. A la
être blessé. On constate une petite cicatrice d'entrée au niveau du
sillon
palmaire de l'articulation métacarpo-phalangien
tater l'existence au-dessus du coude, à la limite de l'oedème, d'un
sillon
net et d'une ecchymose linéaire ; l'application d
grant délit. Dans le cas V, nous ne pûmes découvrir que deux petits
sillons
sus- pects au milieu du bras, comme si le trico
ue légèrement épaissi, seule sa moitié externe est fari- neuse, son
sillon
unguéal est bien plus nettement marqué. Le 58 doi
as d'hémorragie locale, seulement des petits caillots dans quelques
sillons
de l'hémisphère cérébelleux droit. Les vaisseaux
a racine du trijumeau. Le nerf une fois constitué soit au niveau du
sillon
bulbo- protubérantiel, en pleins noyaux pontiqu
gie faciale nucléaire. La VIle paire peut être lésée à sa sortie du
sillon
bulbo-protuUérantiel, dans son trajet infra-crâ
lr. noïde et la pie-mère, on trouve aussi dans les scissures et les
sillons
un très large épanchement de sang, qui devient
atiquées dans la région frontale du cerveau, on a découvert dans le
sillon
olfactif un foyer hémorragique de la grosseur d
mortelle. Comment faut-il se représenter l'origine du foyer dans le
sillon
olfac- tif droit, qui sépare les circonvolution
re avis, le sang s'est glissé de l'espace perforé antérieur dans le
sillon
olfactif en déchirant te trigone olfactif, et en
déchirant te trigone olfactif, et en se terminant eh avant dans ce.
sillon
par des abords très abrupts. Aucune rupture de
progressivemenl de pair avec l'atrophie musculaire qui creusait des
sillons
entre les métacarpiens, tandis que les masses m
u dossier et des apophyses clinoïdes postérieures, l'abaissement du
sillon
chiasma- tique et du fond de la selle (3). '
s cuisses,' et le malade ne peut pas le redresser. On voit un petit
sillon
transversal au-dessus de l'ombilic. Il peut se te
de longueur sur 'J de circonférence. Gland pointu, avec trace du
sillon
sur la ligne médiane de la face supérieure (le la
ont une coloration rose pâle, avec de nombreuses varicosités. Les
sillons
naso-labiaux sont peu marqués. La lèvre supé- r
, un deuxième orteil est accolé au pouce, il n'en est séparé par un
sillon
qu'au niveau de l'ongle. Ce doigt bifide est sé
ion de l'ombilic et formation do deux plis adipeux qui couvrent les
sillons
inguinaux dans la position assise. Rien à l'exa
réciproque. Les articulations des phalanges sont mas- quées par des
sillons
très creux. Les fossettes dorsales du métacarpe
es sont assez développées, ainsi que le lobe temporalen entier. Les
sillons
sont peu profonds (Fig. 47 et 48. Hémisphère
gracilité des circonvolutions frontales ; le peu do profondeur des
sillons
; en somme, de la ménin- go-encéphalite, prédom
lobe temporal et du pli courbe présentent un grand nombre de petits
sillons
superficiels. - Le ventricule latéral, la couch
te d'Ammon n'offrent rien de particulier. D'une façon générale, les
sillons
sont plutôt peu profonds. (PL. VIII et IX.) L
antes, correspondent des cavités plus profondes, mais au niveau des
sillons
qui les séparent, la pression est nulle et la p
nvolutions frontale FA, et pariétale ascen- dantes PA, ainsi que le
sillon
de Rolando SR. Face interne. On y retrouve le l
e petites circonvolutions ascendantes atro- phiées terminées par un
sillon
de Rolando très peu marqué. Une dépression asse
emeut dilaté a une topographie normale. La scissure, le Sylvius, le
sillon
de Rolando, la scissure perpendiculaire externe
ontales. FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascendante. SR,
sillon
de Rolando. SS, scissure de Sylvius. 1' Tri,
central. - Tgp, pilier postérieur du trigone ( ? . - Son, partie du
sillon
calloso-marginal. - CS, tète du corps strié, do
ariétale ascendantes confondues sur la Plan- CHE VIII, ainsi que le
sillon
de Rolando, SR. Planche XVI. Hémisphère droit
rdónique, moqueur. Les pupilles sont égales, un peu contrac-tées. Les
sillons
naso-labiaux sont plus accusés que d'habitude; le
alpébraux, ceux du front, sont aussi accusés à droite qu'à gauche. Le
sillon
naso labial droit, seul, est moins accentué que l
u niveau du cubitus est circonscrite à sa partie interne par un petit
sillon
incomplet à concavité externe. En déprimant forte
les autres points de son pourtour, elle est limitée par un très-léger
sillon
et un liséré d'un rouge un peu plus foncé que sur
lon est bien limité dans ses deux tiers inférieurs et internes par un
sillon
curviligne de 2 à 3 milli- mètres de profondeur
rofondeur ; le tiers externe et supérieur ne présente pas de trace de
sillon
. Il existe au centre du mamelon une dépression
gland ou d'un clitoris. Dans la flexion du moignon sur le bras, le
sillon
qui circonscrit le mamelon se creuse ; le mamelon
le moignon est fléchi, mais, comme il est court et qu'il n'y a pas de
sillon
au niveau du pli du coude, le moignon ne se disti
Nous ne constatons aucune différence entre les globes oculaires. —Le
sillon
naso-labial droit est moins accentué qus le gauch
ite, sont assez accusés à gauche; on note la même différence pour les
sillons
nasolabiaux. Des deux commissures labiales s'écou
ion, la pré-sence de pédicule, et la surface très-indurée offrait des
sillons
larges et profonds dans lesquels régnaient des va
nds dans lesquels régnaient des vaisseaux veineux très-dilatés. Ces
sillons
et ces vaisseaux s'entre-croisaient fréquemment :
veau apparaît généralement injecté, les circonvolutions normales, les
sillons
de profondeur ordinaire. Mais on voit aussi des f
, lisse et d'aspect fibreux, est divisée en 12 ou 15 mamelons par des
sillons
peu profonds. Aux deux extrémités et surtout en h
on observe en outre que chacun des vaisseaux correspond à l'un des
sillons
qu'on avait remarqués à la surface. Du côté du
ns qu'on avait remarqués à la surface. Du côté du tissu propre, les
sillons
et les lobes ne sont indiqués que par des dépress
du visage est épaissie et montre une coloration d'un brun jaunâtre.
Sillons
profonds sur le front, paupières plus volumi- n
dernière phalange du pouce, 2 cent. 75 du médius, 2 cent. 25). Les
sillons
entre la dernière et la moyenne phalange ont pres
proéminences terminées en pointes, et séparées entre elles par des
sillons
plus ou moins profonds. De plus, les os de la b
ur d'une pièce de 50 centimes, de consistance cornée, séparé par un
sillon
humide des parties voisines. 25 février 1889.
eur blanchâtre, grisâtres en certains points, sont séparées par des
sillons
s'entrecroisant en tous' sens. Ces "écailles so
asticité, elle est sèche, de coloration bleuâtre, parcourue par des
sillons
et des plis nombreux donnant à cette région un as
rmanente, car la lèvre est tirée en haut en dehors et il droite, le
sillon
naso-labial étant beaucoup plus accentué qu'à g
ent passage, soit aux vaisseaux, soit aux nerfs, sonl agrandis. Les
sillons
sont plus profonds et les sinuosités et les fosse
se limitée, en dedans, par la rainure interfessière, en bas, par le
sillon
courbe du pli fessier qui la sépare de la cuiss
rand trochanter; en haut, par le sacrum et la partie postérieure du
sillon
de la hanche. Ces limites circonscrivent un esp
ue au relief du moyen fessier est plus ferme et plus surbaissée. Un
sillon
peu profond et oblique sépare quelquefois la ré
vrose d'insertion. En bas, la fesse est' bornée par le pli fessier,
sillon
qui est très profond en dedans et se perd en de
appartient véritablement la partie la plus inférieure du muscle. Ce
sillon
a une direction horizontale et croise celle du bo
, ce qui, à la vérité, n'est pas rare; mais en outre on voit que le
sillon
supérieur destiné au passage de cette artère est
rales sont d'une forme compliquée avec nombreux plis de passage, le
sillon
de Rolando ne se montre nellement qu'à l'origine
des quatre doigts est en extension (main en griffe). , ? . , Les
sillons
des interosseux sont très marqués, vides pour ain
ale n'offre rien de particulier, sinon la profondeur plus grande du
sillon
de la méningée moyenne, comme encaissée entre des
nt en contact avec le sol, ne sont pas toujours les mêmes et que le
sillon
continu qu'il laisse sur le sol présente des ir
nerveux NOTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE DE LA RÉGION LOMBAIRE
SILLON
LOMBAIRE MEDIAN I Dans une de ses dernières c
la partie postérieure du tronc est traversée de haut en bas par un
sillon
médian, large et profond à la région lom- baire
moindre dû à la première vertèbre dorsale. Au-dessous commence le
sillon
dorsal médian, ou raie du, dos, au fond duquel le
région des lombes qui est ici notre principal objectif, le fond du
sillon
médian est géné- ralement occupé par une série
que nous signalions tout à l'heure chez certains sujets au fond du
sillon
lombaire, même dans la station verticale. Il no
ttitude qu'elle acquiert son maximum de développement (fig. 16). Le
sillon
médian lombaire est alors remplacé FIG. 14. - S
ouvent également, mais un peu atténuées. Dans la station droite, le
sillon
lom- baire médian est généralement uniforme, ma
verti- cale, elle a préféré la simplicité de forme qui résulte d'un
sillon
lom- baire largement dessiné et dont le fond un
terne, mousse el arrondi, est divisé longitudinalement par un léger
sillon
. Aucune fibre nerveuse ne réunit la bandelette
loppement exagéré, mais elles ne présentent pas d'anomalies. Les
sillons
ont également leurs rapports normaux. Les pédon
(u, et P) et marquant le lieu d'émergence des corps calleux (i). f.
Sillon
calloso-marginal (scissure festonnée). g. Sil-
ent augmentée; sa face supérieure présente un assez grand nombre de
sillons
, mais c'est là tout au plus l'exagération de l'
a la place de la dé- pression transversale de l'abdomen existait un
sillon
cutané, tracé de l'in- flexion forcée du thorax
où, par '< suite de la disparition des interosseux, de profonds
sillons
se voient entre les 1 métacarpiens. Parmi les
ôtés sans inté- resser les plis courbes, c'est-à-dire en arrière du
sillon
pariéto- occipital, n'entraîna aucun trouble de
partie du corps bordant lui- même, de tout le corps godronné et du
sillon
qui sépare le corps godronné d'avec la circonvo
nous l'ap- pellerons circonvolution godronnée) et séparées par un
sillon
; c'est le fond de ce sillon (sillon de l'hippo-
volution godronnée) et séparées par un sillon ; c'est le fond de ce
sillon
(sillon de l'hippo- campe) qui, comme cela arri
godronnée) et séparées par un sillon ; c'est le fond de ce sillon (
sillon
de l'hippo- campe) qui, comme cela arrive toute
mands, dont nous analy- serons plus loin les descriptions). 6° Le
sillon
qui sépare ces deux circonvolutions diffère des
6° Le sillon qui sépare ces deux circonvolutions diffère des autres
sillons
de la région corticale par sa profondeur, par u
à'concavité inférieure du bord libre de la lèvre supérieure et'' du
sillon
naso- labial, un gonflement de la' pommette 'et
le de ce muscle (Fq. 2-4). L'aile du (nez'est attirée en haut, le
sillon
naso-labial allongé et moins oblique, la portio
es commis- sures des lèvres'sont tirées'en bas et 'en' dehors, le
sillon
intér-tabial décrit une courbe à'concavité infé-
à la partie mo- Mrice (frontale) des circonvolutions qui bordent le
sillon
de DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS. 227
plus visible quand la ma- lade parle ou sourit, même chose pour le
sillon
naso-labial. Les parties molles de la moitié ga
e' des premières circonvolutions ouisuiftoutes deux, en arrière' du
sillon
'crucial, et dans six, expériences les lésions
le connue comme la première circonvolution cérébrale postérieure am
sillon
cru- cial, effectuée près de ce sillon, s'accom
ion cérébrale postérieure am sillon cru- cial, effectuée près de ce
sillon
, s'accompagne d'une augmentation de la chaleur
guement persistantes. Il se forme localement des dépressions et des
sillons
sous l'électrode excitatrice. Enfin on observe
d'un muscle détermine, suivant la force employée, la formation d'un
sillon
sous le marteau percuteur, ou la contraction to
actions se font lentement, paresseusement ; souvent il se forme des
sillons
ou des dépressions plus ou moins persistantes au-
s ou moins persistantes au-dessous de l'électrode excitatrice ; ces
sillons
sont très prononcés sur certains muscles, notamme
on voyait au début de l'exploration se produire une dépression, un
sillon
profond sous l'électrode excitatrice, au moment
ssure labiale est élevée du côté droit, abaissée du côté gauche, le
sillon
naso-labial du côté droit est beau- coup plus m
PL. X. PHOTOTYPE A. LONDE. Photocollocraphie Chêne & Longuet
SILLONS
PERSISTANTS DE LA FACE DANS L'ATHETOSE DOUBLE
e le côté droit (l'l. IX et X). Bouche pleurarde, toujours ouverte,
sillons
naso-lahiaux, relevés et profon- 62 NOUVELLE IC
début de l'excitation il se produit sous l'électrode excitatrice un
sillon
ou une dépression qu'il est facile de constater
l est facile de constater de rion pal' l'exploration directe ; (ces
sillons
sont très nets sur certains muscles, en particuli
qui descend souvent au-dessous de la ligne de repos du muscle. Ces
sillons
el par suite les affaissements de la courbe dan
le, plus marqués pour les premiè- res excitations). Mais bientôt le
sillon
disparaît, la contraction du muscle s'étend rég
ve- ment, soit parce qu'il se forme sous l'électrode excitatrice un
sillon
ou une dépression plus circonscrite apparaissan
le choc est plus fort on détermine non seulement la formation d'un
sillon
à l'endroit percuté, mais encore la contraction t
tou- ché, se traduisant par la formation plus ou moins durable d'un
sillon
, d'une dépression, parfois d'un bourrelet au po
tablissement hydrothérapique, le visage n'est pas trop amaigri, les
sillons
autour des commissures labiales et les rides du
, elles ont une coloration générale, un peu couleur hortensia ; les
sillons
paraissent assez profonds : les bords des circonv
s les plus marqués. Les fesses sont volumineuses et arron- dies. Le
sillon
de la hanche est presque effacé en arrière, où la
e ascendante était indemne. Ce foyer était adhérent à la méninge du
sillon
de Rolando. En somme il s'agit d'un cas de lési
o. En somme il s'agit d'un cas de lésion très localisée au coude du
sillon
de Rolando sous la frontale ascendante en face
l et surtout celle qui est directement située de part et d'autre du
sillon
médian postérieur est à peu près intacte. Au
ù s'exerçait la compression. Mais toute la partie située à gauche des
sillons
médians est un peu moins étendue que la partie
ce noyau ne reçoit pas de libres des régions situées en arrière du
sillon
de Rolando, c'est-à-dire des lobes pariétal, te
& Cie, Editeurs LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 21 t
sillon
calloso-marginal, le foyer sectionne toutes les f
rieurs, les pieds (PI. XL, fiez) élargis, épaissis, pré- sentent un
sillon
digito-plantaire extrêmement profond. Les orteils
du carpe est régulièrement tuméfiée. La paume est boursouflée, les
sillons
sont profonds et accusent encore davantage la s
uce non compris. Le bras se termine par un moignon sur lequel trois
sillons
peu accusés rappellent l'auriculaire, l'annulaire
rt, se détache beaucoup mieux. Il est limité à la base par un léger
sillon
dorsal et porte un ongle. La peau est lisse en
est toujours lisse, d'aspect normal, ne présentant aucun vestige de
sillon
, ni d'adhérence. Si nous examinons maintenant l
ne. Entre les deux cependant et tout il l'extrémité existe un léger
sillon
. - Comparée à la main gauche, la main droite es
uisent mutuellement. Assurément l'autour si- gnale l'existence d'un
sillon
à la base de la partie libre du troisième ortei
se de la partie libre du troisième orteil ; mais la direction de ce
sillon
de dedans en dehors et d'avant en arrière ne pe
, conséquence constante d'une inflammation; le fait qu'il s'agit de
sillons
plus ou moins profonds, provoqués par des plis
de de dire que le tout petit tubercule caché au fond de l'un de ces
sillons
correspond à un doigt. A priori, cette interpréta
ite dimension surmonté par des saillies minuscules séparées par des
sillons
. En réalilé, dans notre cas, nous nous trouvons
onduit il mettre en garde contre une interprétation trop hâtive des
sillons
et dépressions cuta- nés dans le sens de cicatr
don relativement mince; s'il entoure la jambe il doit déterminer un
sillon
tout autour de la jambe et s'il peut s'ensuivre
irconvolutions et notamment les frontales étaient atrophiées et les
sillons
paraissaient plus larges et plus profonds. Elle
égion olfactive peuvent être tracées par la scissure de Sylvius, le
sillon
présylvien, le sillon rhinal, et le sillon olfa
t être tracées par la scissure de Sylvius, le sillon présylvien, le
sillon
rhinal, et le sillon olfactif. 11. Impossible d
scissure de Sylvius, le sillon présylvien, le sillon rhinal, et le
sillon
olfactif. 11. Impossible de déterminer exacteme
spasme intermittent qui donne l'impression du mâchonne- ment. Le
sillon
jugo-nasal se trouve très accentué et aurait du r
us-orbi- taire ; la douleur descend en effet de ce point le long du
sillon
jugo-nasal, atteint la lèvre supérieure, et fin
urte durée, sorte de secousses élec- triques, d'éclairs, partant du
sillon
jugo-nasal, pour remonter sur le côté externe d
t un territoire situé à sa face externe, généralement caché dans le
sillon
interpariétal, caractérisé par une myélinisation
7° Causes de la loi de succession suivant laquelle se forment les
sillons
de la surface du cerveau. C'est de très bonne heu
la surface du cerveau. C'est de très bonne heure que se forment les
sillons
à l'intérieur ou sur le bord des territoires pr
x. Pour en apprécier le code il faut seulement distinguer entre les
sillons
transitoires et les sillons permanents. La scis
il faut seulement distinguer entre les sillons transitoires et les
sillons
permanents. La scissure de Sylvius forme une ex
e d'une case qui est presque un territoire terminal. Par contre, le
sillon
de Holando, la scissure calcarine, le sillon de
rminal. Par contre, le sillon de Holando, la scissure calcarine, le
sillon
de l'hippocampe sont chacun en dedans d'un cham
ans d'un champ cortical de sorte qu'on est autorisé à parler ici de
sillons
sensoriels, c'est-à-dire de sillons qui servent
on est autorisé à parler ici de sillons sensoriels, c'est-à-dire de
sillons
qui servent à agrandir une sphère sensible. Tou
sensible. Tous se produisent de bonne heure. Les divers segments du
sillon
interpariétal ont une genèse frac- tionnée. D'a
moyen situé entre les champs n° 14 (nouveau), et 34. ' Du premier
sillon
temporal, se développe d'abord la partie qui li
: « où il y a des districts corticaux hâtifs, exis- tent aussi des
sillons
précoces. » Les coupes en séries donnent l'impr
ante, apparaît également de bonne heure la segmentation à l'aide de
sillons
, en un mot, l'édification des circonvolutions.
suit des différences naturelles dans la segmentation à l'aide de
sillons
des divers territoires corticaux. Inversement, on
itoires corticaux. Inversement, on constate l'apparition tardive de
sillons
dans les zones où de longs faisceaux d'associat
re les champs corticaux myélogènes, et l'époque de la formation des
sillons
définitifs, c'est-à-dire des circonvolutions perm
fort remarquable. Les lobules sont séparés les uns des autres par des
sillons
profonds, remplis de tissu fibreux. La surface de
isée en grosses masses ou lobules, séparés les uns des autres par des
sillons
profonds, et supportés par un noyau commun , sur
t de l'un à l'autre des lobules, et envoyait dans le « fond de chaque
sillon
un prolongement fibro-cellulaire très consistant,
e petits lobules, couverts d'un périoste épais qui s'enfonce dans les
sillons
, lobules cartilagineux à leur surface, et osseux
res; 5° menton très allongé, semblant se continuer avec le thorax. Un
sillon
transversal sépare le menton de la lèvre inférieu
sillon transversal sépare le menton de la lèvre inférieure; un autre
sillon
, également transversal, mais moins prononcé, étab
tumeurs, une droite plus petite, une gauche plus considérable, par un
sillon
profond, verticalement dirigé. La ténuité des env
ouvert et la masse intestinale contenue dans sa cavité. On voit qu'au
sillon
vertical observé planche v correspond une bride f
piétant les unes sur les autres. J'ai été frappé de la disposition en
sillon
de certaines pertes de substance marquées SU, SU,
es d'acide, versées sur la muqueuse, y ont marqué leur passage par un
sillon
profond : dans toute la longueur du gros intestin
-fois et par le lobe gauche et par le lobe droit, refoulé à gauche du
sillon
antéro-postérieur. Cette vaste poche ou kyste é
bord cartilagineux de la base du thorax ont imprimé sur cet organe un
sillon
très prononcé. La douzième côte est marquée sur l
une ligne ponctuée. Toute la partie du foie qui est au-dessous de ce
sillon
débordait donc les côtes. La vésicule du fiel t
eu lieu, de bas en haut, entre le diaphragme et le foie, à droite du
sillon
antéro-postérieur. Je dis suintement plutôt qu'
e disposition rare chez l'homme, fréquente chez les animaux. C'est un
sillon
qui sépare de petites masses de lobules. D'une
circonscrite du côté de la clavicule, dont elle était séparée par un
sillon
profond. Il n'était pas moins évident que la tume
position lobuleuse ou mamelonnée, la profondeur et l'irrégularité des
sillons
qui séparent ces lobules ou mamelons, les macules
preintes et des éminences beaucoup plus prononcées que de coutume. Le
sillon
principal de l'artère méningée moyenne était très
et supérieure du rocher étaient mamelonnées, rugueuses, parsemées de
sillons
vasculaires, présentant en un mot les traces d'hy
lombaire et dorsale, les cordons postérieurs et les petits cordons du
sillon
médian postérieur de la moelle étaient affectés,
ons postérieurs étaient sains, et l'altération limitée aux cordons du
sillon
médian. Du reste la dégénération a des limites pa
la dégénération grise, la ligne médiane n'est pas une limite, que les
sillons
de séparation des cordons médullaires ne sont pas
is très prononcé. Au niveau de cette altération , il semble que les
sillons
médians n'existent plus, et que la moelle soit tr
n névrilème, j'ai reconnu que les cordons médullaires qui occupent le
sillon
médian postérieur, avaient subi la dégénération g
glosso-pharyngien et pneumo-gastrique, naissant, le premier, dans le
sillon
qui sépare les pyramides des olives; le deuxième,
es pyramides des olives; le deuxième, des corps restiformes à coté du
sillon
qui les sépare des olives, on ne sera pas étonné
ane très dense, qui semblait commencer à la lame cornée qu'on voit au
sillon
de séparation de la couche optique et du corps st
interne et du diploé. La table externe avait seule été respectée; les
sillons
de l'artère méningée, moyenne, étaient énormes. R
nt parfaitement libres. Cette tumeur était bosselée , divisée par des
sillons
irréguliers en de petites tumeurs secondaires ou
plus separables les unes des antres, bien qu'encore distinctes par un
sillon
très superficiel. Du reste, dans cette partie ind
e qui appartient à ce kyste. Les lames et lamelles qui avoisinent ces
sillons
sont teints en brun. Les parois du kyste sont d'u
ection dans une étendue plus ou moins considérable. On dirait que ces
sillons
ont été formés par une goutte d'acide, qui a suiv
u moins sinueuse et a linéairement entamé la surface du cervelet. Ces
sillons
n'ont quelquefois (1) Voyez Esquirol, Des Malad
ins brune, ou plutôt on dirait qu'il n'y a pas de cicatrice et que le
sillon
vient d'être creusé à la surface du cervelet. F
nt l'extrémité libre avait été entrevue à l'orifice de la vessie; les
sillons
qui les séparent. La prostate formait un cylind
itués derrière lui. 3° La disposition lobuleuse de la prostate, les
sillons
qui séparent ces lobules expliquent la rétention
autres, la facilité du cathété-risme, le bec de la sonde suivant les
sillons
de séparation des lobules et ne venant pas butter
nt dite. La tumeur commençait au dessous du foie, dont la séparait un
sillon
sonore et se terminait immédiatement au dessus du
'accolait à la paroi postérieure de l'abdomen commun et se rendait au
sillon
antéro-postérieur de ce foie postérieur. Le foi
constate que le sang pénètre profondément dans les scissures et les
sillons
du cortex, qui sont remplis par des caillots no
difficile, les caillots étant comme lixés dans les scissures et les
sillons
où le sang a dû s'épancher sous pression. On no
des deux hémisphères cérébraux; petites- tumeurs sclél'C1/sr-s du
sillon
upto-sll"é. Petites tumeurs des reins. Grosm...
ur LO et un vers la circonvolution postérieure de Tl, caché dans le
sillon
marginal inférieur, enfin un autre à la partie
développement. Le ventricule latéral n'est pas dilaté. Le long du
sillon
opto-strié, il existe plusieurs nodosités sclér
et LO sont composés de circonvolutions irrégulières et offrant des
sillons
superficiels. Un îlot sur LO et trois autres 36
es îlots de sclérose, de la forme des circonvolutions et un peu des
sillons
superficiels qu'elles présentent. I" envoie un
la traînée habituelle de petites tumeurs blanches et dures, sur le
sillon
qui sépare la couche optique du corps strié ; e
Planche I. Face externe ou convexe de l'hémisphère droit. S. R.,
sillon
de Holando. CI, F2, F3., ! CI', 2°, 3e circonvo
ubéreuse. Planche IL Face interne de l'hémisphère droit. S. R.,
sillon
de Ilolando. Sc. cm., scissure calloso-marginal
ce ventrale de l'olive recouvrant cette dernière jusqu'au niveau du
sillon
qui la sépare du pédoncule cérébelleux inférieu
du 4° ventricule parait épaissi, les nuances en sont effacées, les
sillons
exagérés, l'orifice du calamus élargi ; sur les
s occipitaux dans lesquels les sinus latéraux se sont creusés des
sillons
profonds ; le D' Dvmil L Bl UNE 1'. Le nommé
anomalie très rare, probablement congénitale. Ils sont creusés d'un
sillon
profond pour loger les sinus latéraux. Le sinus l
OLOGIE NERVEUSE. couronnes de trépan furent appliquées au niveau du
sillon
de Ho- lando et, la dure-mère incisée, on se tr
iveau du lobe frontal et dans les circonvolutions qui avoisinent le
sillon
de Holando. La pie-mère cérébrale est formée pa
les lèvres souvent crevassées et la langue grande, marquée par des
sillons
profonds dus à l'hypertrophie des papilles fung
errantes qui se détachent de la voie pédoncu- laire au voisinage du
sillon
pédonculo-protubérantiel, les unes for- ment le
elles s'incorporent dans le ruban de Reil médian au voisinage du
sillon
bulbo-protubérantiel, immédiatement au-dessus des
amollissement du pied de F3 (en paltie, délimité, en arrière par le
sillon
prérolandique, en avant par la branche ascendante
la scissure de Sylvius ; en haut la lésion n'ar- rive pas jusqu'au
sillon
frontal inférieur ; elle est limitée à l'écorce.
'horizontale; la paroi postérieure du creux axillaire a disparu; le
sillon
de Duchenne est très net, le bord postérieur et
Ces bandelettes, vues à la surface de la moelle, semblent occuper les
sillons
collatéraux postérieurs, et les racines sensi-tiv
placée exactement sur la ligne médiane, mais bien un peu à gauche du
sillon
médian antérieur qu'elle a repoussé vers la droit
les points les plus fortement comprimés, c'est-à-dire au voisinage du
sillon
médian, une épaisseur de plus de deux millimètres
— h', zone radiculaire postérieure. par suite de l'apparition d'un
sillon
latéral, en deux parties, Tune antérieure, l'autr
s encore ; on les voit apparaître vers la 6e ou la 8e semaine dans le
sillon
qui sépare encore latéralement les deux parties d
(c'est-à-dire la huitième semaine environ) se développent, dans le
sillon
qui sépare les zones radiculaires postérieures, d
(Fig. 14, m). En même temps, une formation analogue a lieu dans le
sillon
qui sépare les zones radiculaires antérieures. El
uterai que, ainsi que le montre une planche du traité de Kôlliker, un
sillon
plus ou moins prononcé dénote souvent chez le jeu
de la prédominance d'action des muscles non affectés de la face. Les
sillons
naso-labiaux sont très accentués. Ces différents
u crâne, et plus particulièrement les circon-volutions qui bordent le
sillon
de Rolando (circonvolutions pa-riétale et frontal
lésions gommeuses de la pie-mère occupaient le voisinage immédiat du
sillon
de Rolando, en ar-rière de lui, non loin delà sci
fortement portées en dehors, la bouche s'ouvre très large-ment et le
sillon
naso-labial s'accuse d'une manière exagérée. La m
cée. Petite, ratatinée, agitée de mouvements fibrillaires, creusée de
sillons
et recouverte habituellement d'un enduit noirâtre
s'appuie à la commissure blanche ; un des côtés du triangle longe le
sillon
antérieur, tandis que le sommet vient se terminer
sommet vient se terminer en s'ef-fîlant vers la partie moyenne de ce
sillon
. Ce triangle, plus large à droite qu'à gauche, ce
nivelée, ne présentant plus ni dépressions ni digitations. Seuls, les
sillons
des artères méningées sont accentués, beaucoup
male. Le thorax se rapproche de l'ahdomen dont il est séparé par un
sillon
profond très accentué. La colonne vertébrale
ent des reliefs mous et arrondis, souvent marqués d'un ou plusieurs
sillons
transversaux. Les fesses sont aplaties et leur
Le genou est lâche, la rotule descendue et saillante, et souvent un
sillon
transversal se dessine au niveau de son extrémité
ais se produit quelquefois. Elle est bordée in- férieurement par un
sillon
profond et le bord interne de la cuisse la dé-
bord interne de la cuisse la dé- borde de beaucoup latéralement. Le
sillon
interfessier est oblique. L'autre fesse est apl
sa limite inférieure et externe, elle se confond avec la cuisse. Le
sillon
médian des reins est incurvé laté- ralement, et
et distendu qu'elle continue sans démarcation arrêtée. En avant, le
sillon
médian du torse subit une inflexion analogue il c
sente un méplat qui fuit vers la tempe. Le nez est petit, épaté. Un
sillon
profond sépare les narines des joues : celles-ci
sans être hypertrophiées elles sont un peu projetées en avant et le
sillon
menlo-labial est très marqué. On ob- serve auss
les lèvres en les avançant et esquisser la moue. Dans le rire, les
sillons
naso-labiaux et jugaux s'accentuent fortement,
ieurs. Les fessiers sont atrophies et l'anus apparaît béant dans un
sillon
interfessier très élargi. Les cuisses sont très
en est de même des faits où l'on constate sur les membres soit des
sillons
congénitaux, soit surtout une cicatrice située
insi. D'une part la transmis- sion héréditaire, et, de l'autre, les
sillons
et les cicatrices peuvent faire défaut. Dans ce
Amputations congénitales et ainlwm. Th. Paris, 1889. (3) DUNAS, Des
sillons
congénitaux. Th. Bordeaux, 1890. (4) OS110NT, C
ent ses phalanges soudées entre elles : il porte un ongle auquel un
sillon
longitudinal, médian, donne une apparence de hifi
cérébrale étalée et lisse, comme turgescente presque sans trace de
sillons
. Les vaisseaux de la périphérie sont presque ex
nalogue à celle que produit la vue d'un membre éléphantiasique. Les
sillons
sont effacés ou à peine indiqués, les scissures
ranche frontale est à peine indiquée par une simple en- coche. Le
sillon
de Rolaudo est formé à gauche par un sillon sans
simple en- coche. Le sillon de Rolaudo est formé à gauche par un
sillon
sans sinuosités, légèrement convexe antérieurem
e normalement à sa partie postérieure. Sur les deux hémisphères, le
sillon
de Rolando est beaucoup moins marqué que les si
hémisphères, le sillon de Rolando est beaucoup moins marqué que les
sillons
qui lui sont parallèles et qui isolent la front
Les lobules orbitaires pré- sentent, à peine indiqués, deux légers
sillons
rectilignes dont l'un peut correspondre au sill
ués, deux légers sillons rectilignes dont l'un peut correspondre au
sillon
olfactif. Le sillon qui sépare les trois fronta
ns rectilignes dont l'un peut correspondre au sillon olfactif. Le
sillon
qui sépare les trois frontales antérieures de la
égions, deux énormes méplats, bour- soufflés, presque sans trace de
sillons
, dont l'un répond au pied des deux premières fr
rtout dans leur partie antérieure, ils ne présentent en avant qu'un
sillon
peu profond, de telle sorte que ce n'est qu'en
s l'un à l'autre. A peine quelques fossettes indiquent la place des
sillons
normaux. Le lobule paracenlral forme à gauche u
te est profondément divisé en deux moi- tiés par le prolongement du
sillon
qui sépare la frontale ascen- dante des trois f
CUEIL DE FAITS. rare. Les lobules quadrilatères présentent quelques
sillons
en forme d'X à droite, et à gauche en forme de
marques pi écédentes, il établit sur le moule crânien la bosse des
sillons
. En pratiquant des coupes à la scie sur le crân
ire, gros comme un tuyau de plume, qui peut être suivi à travers le
sillon
marginal postérieur jusqu'aux vaisseaux de l'ar
e particulier, il n'y a ni atro- phie, ni déviation des lèvres, les
sillons
nasolabiaux ne semblent pas notablement plus ac
gne en intensité dans le segment compris entt e la périphérie et le
sillon
longitudinal, puis finit par décroître. Intégri
vant d'une ligne tirée à angles droits de l'extrémité antérieure du
sillon
précentral) ne répond pas ou d'une façon très dou
douteuse à l'excitation électrique. Entre cette ligne et celle du
sillon
précentral, continuée jusqu'à la scissure longi
tie inférieure. Une excitation minima à l'extrémité inférieure du
sillon
intra- pariétal peut mettre individuellement en
eurs (fit. 1, 2, 3) en avant, et pour les inférieurs, en arrière du
sillon
de Roiando (fig..7). La région correspondante d
de coupe qui s'étend jusqu'à la base du crâne. Presque toujours, un
sillon
supérieur antéro-postérieur divise le toit en deu
ibres exercent sur la masse charnue de ce muscle, elle détermine le
sillon
qui limite supérieurement le relief inférieur
description avec celle des histologistes. Nous avons donc dans le
sillon
qui sépare la corne d'Ammon du lobule hippocamp
rémité postérieure. - La bran- che externe s'engage dans le fond du
sillon
compris entre le bourrelet calleux et la circon
calleux et la circonvolution de l'hippocampe. Ainsi placée dans ce
sillon
, elle con- tourne le bourrelet en même temps qu
ernière est relevée, la lame réticulée blanche dans le fond même du
sillon
, et sa substance grise tranchant par sa couleur
ète dans les six cas, quelques morceaux de substance grise dans les
sillons
avoisinants, étant tout ce qui pouvait représente
chez un singe, une grande femelle de Rhoesus, nous avons séparé les
sillons
qui bordent la circonvolution, et nous avons coup
n, et nous avons coupé entièrement la circonvolution du fond de ces
sillons
, de sorte qu'aucune trace de la circonvolution
spect superficiel de la lésion de l'un de ces cas et de la trace du
sillon
du cautère'. Le résultat de cette opération fut u
- z - 8, scissure Jimbjquc. -9, pli de passage retiolimbique. - 10,
sillon
subfrouL ? - il, pli de passage fronlo-limbique
cili.-ali. -Il, circonvolution de l'hippocampe. - Co, coin. - Ccll,
sillon
du corps cal- lwz. -Poc, scissme pariêto-occipi
eau qui estsituéeen al'il11tde IdlOue de ilolando et limitée par le
sillon
précentral,estunerégtondont le fonctions sont e
deux côtés par une incision transverse immédiatement extérieure au
sillon
pré- central, l'animal vécut seulement 24 heure
st dentelé en scie. Leur face antérieure présente la trace de trois
sillons
verticaux aboutissant au petit tubercule du bor
F : j, bien développée, très flexueuse, envoie des replis dans les
sillons
de la 2° frontale. - F. A. est petite et s'anas
; la 1° envoie un prolongement épais au lobule de l'insula. « Les
sillons
secondaires du lobe frontal sont très peu pro-
des lobes pariétal, temporal et occipital le sont un peu plus. Les
sillons
de la face interne sont, eux aussi, assez super
circonvolution du corps calleux; le lobe paracentral est creusé de
sillons
assez nombreux ; la scissure calcarine est prof
reliée à sa base à la pariétale ascen- dante, ferme ainsi en bas le
sillon
de Rolando, qui est profond et bien développé.
vius ; il en résulte une dépression courbe qui est inscrite dans le
sillon
du pli courbe. - La 2e pariétale est, au contra
ié et la couche optique semblent nor- maux. Sur cet hémisphère, les
sillons
sont un peu plus pro- fonds qu'à droite. Les
on voit, en effet, quelles sont très peu marquées des deux côtés du
sillon
et dans son fond. Les vaisseaux dans leur gaine
entr'ouverte; les lèvres étaient fortement renversées en dehors,les
sillons
nasolabiaux effacés. Les yeux étaient largement
e la surface des hémisphères cérébraux est couverte par de nombreux
sillons
. Le 4e ventricule est trop élargi et tout à fai
par l'éma- ciation de cet homme; les pommettes sont saillantes, les
sillons
naso- géniens nettement accusés et surmontés d'
es sillons naso- géniens nettement accusés et surmontés d'un second
sillon
sous-jacent aux pommettes. (1) [La Planche XI
ible d'emmagasiner de l'air dans la bouche; les joues se rident, le
sillon
naso-génien se tend, mais les lèvres restent fl
me, à la pulpe digitale, une ca- rapace cornée avec exagération des
sillons
normaux; autour des ongles, une hyperkératose e
s emboîtés ; la lame unguéale est épaissie, aplatie et présente des
sillons
transversaux (pouce et auriculaire de la main g
tte région, l'infiltration périvasculaire autour des artérioles des
sillons
antérieurs, postérieurs et surtout dans les' artè
ion normale. On remarque de l'instabilité linguale. Quelques légers
sillons
disséminés sur la langue. Réflexe pharyngien tr
du coude) An FS : 8 millia. Ka SF : 7 millia. N. cubital (dans le
sillon
bicipital) An SF : 10 millia. Ka SF : 7 millia.
sont fortement ondulés ; dé- pression assez forte en vallées et en
sillons
. Sclérose vasculaire. Le canal de l'épendyme es
sauf une petite portion de la première temporale, cachée au fond du
sillon
parallèle et invisible sur la pho- tographie. L
a face inféro-in- terne de la 111, temporale, qui limite en haut le
sillon
parallèle et en forme le fond, est envahie par
de la scissure de Sylvius, laquelle présente une anastomose avec le
sillon
parallèle, disposition assez rare. Au point où
olution frontale ascendante. - F2. 2 circonvolution frontale. f'...
Sillons
secondaires du lobe frontal. - Fd. Corps godron
e. - Ps, Pli courbe. - p. P. Pied de la deuxième pariétale. - p. i.
Sillon
interpariétal. -- Pt. Circonvolution de passage
andes que la jeune fille enroule autour de ses jambes dessinent des
sillons
assez longtemps persistants. Enfin les jam- bes
ans douleur. Ongles de l'annulaire et du médius hippocratiques avec
sillons
transversaux et cannelures longitudinales exagé
inégal et desquamé. L'ongle de l'index informe, cassant, creusé de
sillons
transversaux a perdu son poli et repose sur un li
ièrement celui du gros orteil droit ; l'ongle est épaissi, coupé de
sillons
transversaux et se termine par une carapace cor
ne certaine gêne en mangeant; les ali- ments s'accumulaient dans le
sillon
labio-gingival du côté gauche. Etat <'<e&
On trouve une paralysie très nette du facial inférieur gauche : .'
sillon
naso-labial effacé, commissure tirée du côté droi
gner d'un peu d'infiltration de la pie-mère spinale tout le long du
sillon
médian antérieur. Réservée pour un examen micro
surface de cette dernière était recouverte de rides et de profonds
sillons
surtout du côté gauche. , L'excitabilité élec
un pois ; le plus gros, de la grosseur d'une noisette siège dans le
sillon
de Rolando, à la partie moyenne. La paroi de ce
ment, des flocons fibrineux Ces kystes semblent s'insinuer dans les
sillons
; en écartant les deux circonvolutions voisines av
ourvues de poils. Les ongles des orteils sont bruns, présentant des
sillons
plus ou moins profonds, transversaux et longitu
cas, l'ongle jaunit, brunit. Il présente sur sa face supérieure des
sillons
transversaux ou longitudi- naux ; il est plissé
antiseptiques. Les ongles des pieds sont déformés et présentent des
sillons
transversaux et longitudinaux : ils sont feuill
-centimètre a repoussé. Les autres ongles de la main gauche ont des
sillons
transversaux et une stratification comme une éc
ns les urines. Les ongles des doigts sont bruns; ils présentent des
sillons
assez profonds, longitudinaux. Les dents sont l
as d'asymétrie faciale si ce n'est, poar les yeux. Joues plei- nes,
sillons
labio-nasaux égaux. Lèvres normales. Bouche moy
essous de la deuxième dorsale ; dans le sens transversal, depuis le
sillon
collatéral postérieur gauche jusqu'au sillon co
transversal, depuis le sillon collatéral postérieur gauche jusqu'au
sillon
collatéral antérieur droit (dans sa plus grande l
ns les dévier notablement. La tumeur ne dépasse pas latéralement le
sillon
collatéral postérieur. Entre les deux sillons c
se pas latéralement le sillon collatéral postérieur. Entre les deux
sillons
collatéraux postérieurs, sur une étendue de qua
our contourner la tumeur; celle-ci, à ce niveau, dépasse à peine le
sillon
collatéral antérieur. Les septième et huitième
érieures gauches sont beaucoup plus déviées et paraissent sortir du
sillon
médian anté- rieur ; elles sont minces et parai
sein de la tumeur elle-même; à ce niveau, celle-ci s'étend jusqu'au
sillon
collatéral antérieur droit et touche les racine
ière de fibres arciformes externes, se dirige dans la profondeur du
sillon
latéral antérieur. Ce dernier trousseau, à la h
le squelette conjonctif d'origine pie-mérienne qui pénètre dans les
sillons
médians antérieur et pos- rieur de la moelle.
es ganglions rachidiens, abordent le cordon postérieur au niveau du
sillon
collatéral ; elles ont reçu diverses appellatio
u sur et à me- sure qu'elle suit le cordon postérieur. Au niveau du
sillon
collatéral, son faisceau à fibres grêles occupe
à base postérieure, à sommet antérieur, situé d'autant plus près du
sillon
médian qu'il appartient à une racine dont le ga
e cantonner finalement dans le petit triangle situé au voisinage du
sillon
médian; donc, à partir d'un certain niveau, ce
ommissurale (b'), et il finit en dedans, à une certaine distance du
sillon
médian postérieur dont il reste séparé par un f
ombaire, le faisceau endogène descendant se place de chaque côté du
sillon
médian postérieur. 11 occupe une zone irréguliè
la région sacrée, le faisceau descendant reste situé tout contre le
sillon
médian; mais il se présente sous forme de trian
lette borde la périphérie même de la moelle et atteint en dedans le
sillon
médian ; elle apparaît quand cesse la vir- gule
rminal. Il est représenté par une zone décolorée, de chaque côté du
sillon
médian postérieur (procédé de Weigert-Pal). Cet
que, une forme définie et constante. Le nombre et la profondeur des
sillons
ne sont pas moins cons- tants et définis. Quell
ciennes idées sur les fibres arci forntes d'association du fond des
sillons
corticaux, celles sur les commissures du cervea
a décrites Meynert. « Les fibres que j'ai pu observer au fond des
sillons
des circonvolutions, écrit Lugaro, et qui affecte
bre sont à un stade plus avancé que celles qui occupent le fond des
sillons
. Lugaro a observé la constance de ces faits, no
extra-utérine, cesse plus tôt au sommet des lamelles qu'au fond des
sillons
. Cette migra- tion des grains ne s'accomplit po
d'importance secondaire, concourir à déterminer la direction des
sillons
. Outre l'action du cerveau, la forme du crâne s
olichocéphalie et la brachycéphalie d'une part, et la direction des
sillons
d'aulre part, paraît également fondé à Lugaro ;
s. L'étude de toutes ces influences sur la forme et la division des
sillons
corticaux est encore fort peu avancée. Mais, mê
traits une explication de l'origine et de la nature des plis et des
sillons
de l'écorce cérébrale 1. Dans le développement
Beaucoup de causes peuvent produire des lésions anatomiques dans le
sillon
de Rolando, mais les plus communes à Mexico sont
ermettent seules l'exploration de la partie pos- téro-supérieure du
sillon
de Rolando. Réfection totale et bilatérale du s
d'une ligne horizontale passant à quelques centimètres au-dessus du
sillon
interfessier, existe une vaste zone d'anesthési
les aisselles ; d.) les seins et la région périphérique (à part le
sillon
). - Les membres supérieurs sont totalement inse
rnes des nerfs olfactifs étaient très développées. 72 9 ANATOMIE.
sillon
qu'apparaissent la substance grise du locus nig
r coiffer le tubercule anté- rieur de la couche optique. Filet du
sillon
opto-strié. Toenia. La seconde divi- sion est u
sion est un petit faisceau, qui, en remontant, va se placer dans le
sillon
opto-strié. Il va constituer ce que les classiq
désignation assez inexplicable quand il s'agit du mince filet de
sillon
opto-strié. En résumé, le carrefour olfactif se
. Sur les dessins, où il la représente, elle dépasse notablement le
sillon
opto-strié : il la décrit comme n'étant recouve
stinct, s'enroule sur le bord externe de la couche optique, dans un
sillon
qui la sépare de la couche- optique. Ce faiscea
plus à ce point. A la face inférieure de la voûte, il y a bien un
sillon
de séparation; mais, en haut, même quand il y a
e un sarcome à cellules rondes occupant la région comprise entre le
sillon
de Rolando et la scissure perpendiculaire exter
occipital interne. - A C, avant-coin, ou lobule quadrilatère. - 1,
sillon
de Rolando. 2, scissure frottto-puriétale interne
âtres, surtout du côté droit, à la partie la plus interne et sur le
sillon
médian se dirigeant vers le calamus scriptorius
igeant vers le calamus scriptorius. Le pus concrète remarqué sur le
sillon
médian cérébelleux inférieur, adhère très intim
antérieure du renflement lombaire, la section a traversé le long du
sillon
longitudinal; les bords de la plaie sont plus p
à un ruban [ruban péri-optique) qui, après avoir fourni le filet du
sillon
opto-strié (taenia), contourne la couche optiqu
lisse, sèche et privée de cheveux recouvre immédiate- ment l'os. Le
sillon
naso-labial fait défaut. Le buccinateur du côté
grand nombre de fines ramifications; on y voit aussi les parois des
sillons
se souder par places, tandis qu'en 424 4 , SOCI
s existe une légère exfoliation épidermique et, dans quelques-uns des
sillons
qui sé-parent ces mamelons, on voit comme une exc
pénétration de l'air par les points situés en arrière au voisinage du
sillon
interfessier. Soir. — L'état du malade est auss
lobule, surtout à leur partie inférieure, où l'on trouve cinq ou six
sillons
assez profonds. L'aorte fournit à chaque rein d
net gauche est volumineux; l'uretère qui lui fait suite passe dans un
sillon
situé à la partie antérieure du rein à 2 centi-mè
fait un angle saillant en avant, sous la peau qui prései.te un petit
sillon
longitudinal répondant au sommet de cet angle. (V
se du même côté jusqu'à sa partie supé-rieure et en se rapprochant du
sillon
interfessier. Elle présente des apparences assez
la hauteur de la fesse gauche. Cette attitude laisse à dé-couvert le
sillon
interfessier qui est bordé, mais non envahi par l
mais non envahi par la tumeur. Dans l'attitude sur le côté droit, le
sillon
interfessier dis-paraît, recouvert qu'il est par
ésente des excroissances plus ou moins dé-veloppées, séparées par des
sillons
remplis de pus ichoreux, de matières sanieuses, p
u prépuce, ce que M. P... constata un jour en voyant couler du pus du
sillon
glando-prépulial. C'était au mois de décembre 187
rnier ins-trument, M. Yerneuil circonscrit la tumeur à sa base par un
sillon
qui intéresse la peau et les parties molles jusqu
ron de l'angle interne de l'œil et ne dépasse pas, des deux côtés, le
sillon
naso-labial. Au pourtour de la produc-tion morbid
us développée que la droite. Sur la ligne médiane se voit en avant un
sillon
prononcé qui se termine par une vésicule médiane
uté-rus est légèrement engagé, col en arrière, orifice externe fermé,
sillon
cervico-utérin effacé, mais le col a cependant en
Il semblerait qu'il y ait un peu de paralysie faciale à droite ; le
sillon
naso-labial gauche est beaucoup plus relevé. Mais
frontale de celui de la frontale ascendante, on constate au fond du
sillon
un foyer jaune ocreux déprimé, ne dépassant pas c
dis que l'on cons- tatait un nombre infini de circonvolutions et de
sillons
, inconnus et irréguliers. L'examen microscopiqu
RETÈRES; par A. SPANBOCK. (Neurol. Centralb., 1891.) La région du
sillon
crucial est, au début de l'urémie, parfois hype
se encore passion- nément à la science dans laquelle il a marqué un
sillon
lumineux. « Le Dr Riu a ensuite donné rendez-vo
ee un petit trépan sur le sommet de l'os frontal, de chaque côté du
sillon
lon- gitudinal supérieur. A travers ces ouvertu
fermeture de la plaie. Le périoste est ensuite enlevé des bords du
sillon
, de façon qu'il ne le recouvre pas et n'amène l
pas été incisée et avait une apparence normale. On plaça dans le
sillon
quelques mèches de crin de cheval et on pansa la
- tomie linéaire on se propose d'enlever du crâne la largeur d'un
sillon
entier, pour ainsi dire, tandis que dans la trépa
le se présente elle-même comme une crête solide, distincte, avec un
sillon
bien défini du côté droit. Durant les progrès d
bien défini du côté droit. Durant les progrès de l'ossification le
sillon
gauche avait recouvert le pariétal droit. Les m
mpression. On enleva ensuite une bande de périoste correspondant au
sillon
. On fit les sutures au catgut après y avoir pla
s sourcils, avec l'instrument de Keen, d'un quart de pouce, puis le
sillon
fut dirigé directement en dehors. On pratiqua e
llon fut dirigé directement en dehors. On pratiqua ensuite un autré
sillon
en dehors et en bas, et partant des trous du tr
aus le trou du trépan, en baissant et en soulevant, de sorte que le
sillon
d'un quart de pouce eut la largeur d'un pouce e
agittale se présentait comme une crête solide, dis- tincte, avec un
sillon
bien net à droite. C'est là une disposi- tion a
orticale qui part du lobule pariétal supérieur gauche, ou plutôt du
sillon
interpariétal, et vient à travers le lobule parié
a occupé toute la portion du cerveau gauche, située au-devant du
sillon
de Rolando, en déterminant une déformation très p
occupe presque les deux tiers de cet hémisphère, autrement dit, le
sillon
de Rolando qui sépare les zones frontale et parié
s circonvolutions de ce lobe fron- tal sont étalées, élargies : les
sillons
qui les déterminent manquent de profondeur de t
une série de huit coupes allant depuis la corne frontale jusqu'au
sillon
de Rolando et parallèles à ce sillon. Voici ce qu
uis la corne frontale jusqu'au sillon de Rolando et parallèles à ce
sillon
. Voici ce que nous avons constaté. La première
ure. Enfin la huitième et dernière coupe porte un peu en avant du
sillon
de Rolando. Nous arrivons là à la limite postérie
augmenta- tion des dimensions du lobe frontal, si volumineux que le
sillon
de Rolando, qui le limite en arrière, était bea
que les cir- convolutions étaient beaucoup plus larges, et que les
sillons
qui les séparent étaient moins sinueux et surto
ent aux cerveaux de criminels de Benedikt (anaslomose fréquente des
sillons
, présence de sillons accessoires). Il arrive as
riminels de Benedikt (anaslomose fréquente des sillons, présence de
sillons
accessoires). Il arrive assez souvent que le ce
es latérales comme dans les cerveaux de carnas- siers, anomalies du
sillon
calloso-marginal, présence du sillon orbitaire
de carnas- siers, anomalies du sillon calloso-marginal, présence du
sillon
orbitaire externe. Il y aurait donc une paren
rd'hui les neuropathologistes de tous les pays tra- vailler dans le
sillon
tracé par nos illustres compatriotes et je n'ai
ur des capillaires. Le prolongement de pie-mère qui pénètre dans le
sillon
antérieur de la moelle contient un grand nombre
e leurs Fig. 11. 4j);¡¡j;ERVATlON II. Coupe DE la RÉGION dorsale;
sillon
antérieur. Méningite : phlébite; j7EL'ÎLLLI('I'1
squelettique. Tout indique une lésion grave à gauche, au niveau du
sillon
de Rolando, s'étendant jus- qu'au centre du lan
convulsions fibrillaires et fasciculaires. A droite, existent deux
sillons
longitudinaux mais obliques. La lan- gue peut s
peu dilaté, la couche optique et le corps strié très atrophiés. Les
sillons
sont relativement assez profonds. Les coupes pr
circonvolutions sont en général bien développées (PL. 1 et II). Les
sillons
sont assez profonds, mais les plis de passage s
èmes de vaisseaux dans la moelle : 10 les artères centrales qui, du
sillon
antérieur, pénètrent dans les cornes antérieure
n enlève en une seule opération les deux centres situés au- tour du
sillon
crucial, qui, fonctionnellement, correspond assez
de dégénérescence occupant de chaque côté les deux tiers du bord du
sillon
postérieur et une petite étendue de la périphér
lette dégénérée qui occupait en haut le tiers postérieur du bord du
sillon
médian postérieur et la moitié interne de la péri
dant, quittait peu à peu la périphérie pour occuper tout le bord du
sillon
depuis son angle avec la périphérie jusqu'à la
ent dégénéré de bas en haut à l'exception de cette même bandelette (
sillon
et périphérie) demeurée saine. Enfin le cas de
dégénérescence, dans la région lombo-sacrée, de la bandelette du
sillon
et de la périphérie. Suivie jusqu'en bas elle qui
lle quitte aussi insensiblement la périphérie pour n'occuper que le
sillon
et finit dans le cône terminal en se recourbant
3° au niveau de la troisième racine lombaire il occupe la marge du
sillon
postérieur dans la partie postérieure de ce sil
cupe la marge du sillon postérieur dans la partie postérieure de ce
sillon
et la moitié de la marge de la périphérie; 4° a
ement d'étendue tout en conservant sa forme et ses rapports avec le
sillon
; 5° ses fibres se terminent en passant en avan
t à la lumière. Faiblesse de l'orbiculaire des paupières à droite :
sillon
naso-labial droit un peu effacé : du même côté, é
sième circonvolutions frontales. F.A., frontale ascendante. S.R.,
sillon
de Rolande P.A., Pariétale ascendante. P.P.I.
postérieure et les deux tiers inférieurs de F. A. qui e.t maigre. Le
sillon
de Rolando est tout à fait net. On remar-que de l
ieur de l'oreille, son diamètre transversal va de la ligne médiane au
sillon
auriculaire postérieur; pas de fluctuation, mais
nctionnel de l'œil est impossible. — Nez rouge, large, aplati, étalé;
sillon
naso-labial très marqué; pas de bifiditédu lobule
s ont leur coloration normale. La protubérance est plutôt petite, son
sillon
est assez pronon-cé. Les hémisphères cérébraux so
n pli de passage large ; les lobes occipitaux sont tout petits. Les
sillons
sont très irréguliers et peu profonds. Les deux f
émisphère. D'autres épaississe- ments opaques siègent au niveau des
sillons
les plus profonds. Les troncs artériels de la b
us rencontrons successivement, en allant de la corne postérieure au
sillon
médian postérieur, une bandelette de fibres sai
zone de dégénération moins accusée généralement, celle qui longe le
sillon
médian postérieur. Quelques fibres du centre ov
lusivement les fibres périphériques et se continue jusqu'au fond du
sillon
médian antérieur. A ce niveau, elle touche, par
gment médian de la partie antérieure du gyrus sigmoïde (en avant du
sillon
crucial), ou le segment postérieur de la même c
, ou le segment postérieur de la même circonvolution (en arrière du
sillon
crucial), ou encore les segments des première et
e subdural et ce n'est que du côté gauche qu'elle continue jusqu'au
sillon
antérieur en forme d'un mince filet. Le stroma
d'éléments sarcomateux, mais ils font un amas considérable dans le
sillon
antérieur distendu, et infiltrent abondamment l
vu le grand nombre de territoires dégénérés : la partie voisine du
sillon
antérieur est détruite par la néoforma- tion, l
tômes de myxoedème : face bouffie, en pleine lune; effa- cement des
sillons
qui entourent le nez et la bouche; existence de
épaississement et une vasculal isalion des méninges molles dans le
sillon
et une prolifération de la névroglie à la limite
Celui de droite s'étend eu surface et en largeur; en haut, jusqu'au
sillon
longitudinal : en bas, il a laissé une partie d
gnent, à la circonférence antérieure de la moelle chez le chien, le
sillon
antérieur, et pénètrent en partie profondément
ibres émanées des racines postérieures, qui comprend le pourtour du
sillon
de Rolando, le pied des circonvolutions frontal
volution de l'hippocampe ; 3° la région visuelle : c'est la zone du
sillon
de l'ergot de Morand, une partie du coin, du lo
alpébraux, ceux du front, sont aussi accusés à droite qu'à gauche. Le
sillon
naso-labial droit, seul, est moins accentué que l
Nous ne constatons aucune différence entre les globes oculaires. — Le
sillon
naso-labial droit est moins accentué que le gauch
cles de la moitié gauche de la face sont animés de ces mouvements, le
sillon
naso-labial gauche s'accentue très-fortement. L
oue gauche semblent moins épaisses que celles de la joue droite. — Le
sillon
naso-labial droit est plus accusé que le gauche,
est un peu plus petiteque la droite. Les pommettes sont égales. — Le
sillon
naso-labial droit est effacé; le gauche est accen
e a gâté hier pour la première fois. Léger érythème de chaque côté du
sillon
interfessier. La figure est souvent grimaçante.
les paupières sont ouvertes ;¦ le front est fortement plissé ; — les
sillons
naso-labiaux sont très-accusés, le gauche plus qu
nto une malformation congénitale qui consiste dans la présence d'un
sillon
transversal dans toute la largeur de la cavité
t plus nettement que sur un autre cerveau. On retrouve normaux le
sillon
de Rolando, S R, les circonvolutions frontales, F
F A, Fez, F2, F3, les circonvolutions pariétales P A, P1, P2. Le
sillon
parallèle, Sep, est bien marqué et Tri et T2 appa
e de la fontanelle antérieure. Circon- volutions grêles, luisantes,
sillons
peu profonds. - Légère hypertrophie de la gland
rien de particulier. Toutes les circonvolutions sont grêles, les
sillons
sont peu profonds. On ne constate pas d'aspect
le ascendante. I'.A., circonvolution pariétale ascendante. S.11.,
sillon
de Romande. Sc.ip., scissure interpariétale.
le ascendante. P. A., circonvolution pariétale ascendante. S. R.,
sillon
de Romande L. O., lobule orbitaire. - 1. O. C
ère est épaissie, y compris le prolongement qui s'in- sinue dans le
sillon
antérieur médian; elle contient des vaisseaux d
circonscrivent sont bien noires, bien noirs aussi les deux bords du
sillon
antérieur médian. La périphérie de la moelle es
n étendue transversale et se limite de plus en plus au voisinage du
sillon
. Par contre, la méthode de Weigert et Pal ne tr
ues ou transverses, les autres à fibres longitudinales. L'artère du
sillon
antérieur est également atteinte de proliférati
inférieure de la circonvolution sigmoïde anté- rieure, en avant du
sillon
crucial, sur une zone d'un centimètre de diamèt
nnaissance et celle qui assure à la psychologie le plus de progrès.
SillON
. XXV. De la mise en évidence par l'atrophie dit
la pie-mère de la convexité cérébrale, notamment sur le trajet des
sillons
. Légère hydrocéphalie externe. La couche cortical
et de sclérose; 4° enfin, les lésions vasculaires syphilitiques. 1
SillON
. 222 12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Folie tr
existence, et, de là, transfu- ser sa sève à celle de nos malades.
SillON
. XXII. Les folies puerpérales; pai- (Anzericata
n- tale. (Trois tableaux de classification appuient ces idées). -
SIllON
, XXV. Remarques sur la contagion mentale et l'i
eds sont gonflés, soufflés et séparés de la base des orteils par un
sillon
profond. 33 sociétés savantes. On remarque un
ctions du calomel la zone située il quatre centimètres en dehors du
sillon
interfessier en piquant de dedans en dehors ave
t cutané, d'environ deux centimètres, sur lequel on aperçoit deux
sillons
qui le divisent en trois segments. Il est tout à
bilité normale s'étend de l'angle inférieur des omoplates jusqu'aux
sillons
fessims, sauf deux petits points très sensibles
ur. A-t-elle été la dupe d'autres personnes intrigantes, ou folle ?
SillON
. XV. Stigmates de dégénérescence et aliénés cri
s lésions graves. Bien plus souvent, on ne rencontre que de simples
sillons
cicatriciels. Observation XII. S..., vingt-sept
ieure un peu en bec de fhîte {hypospadias). La partie antérieure du
sillon
est un trou borgne. Sensibilité générale normal
capulaires ; aspect marbré de la poitrine; quelques plaques dans le
sillon
interfessier. Quelques croûtes dans les cheveux.
É MENTALE. z17 7 ration de la partie inférieure du gland et dans le
sillon
balano- préputial. Syphilide fissurée à l'anus.
donné aucun résultat, mais en arrière de l'extrémité antérieure du
sillon
précentral, les mouvements latéraux de la tête
ls. Sur le gyrus marginal, les aires sont disposées au-dessous du
sillon
calloso-marginal, allant d'avant en arrière dans
on voit, en effet, quelles sont très peu marquées des deux côtés du
sillon
et dans son fond. Les vaisseaux dans leur gaine
tant mécani- quement, avec un corps obtus, les parois et le fond du
sillon
crucial du chien, on obtient des réactions motr
ndantes des membres du côté opposé. En avant comme en arrière de ce
sillon
, l'écorce a été trouvée mécaniquement inexcitab
la face externe du gyrus sigmoïde, qu'ils s'étendent jusque dans le
sillon
crucial ? Il est donc bien difficile d'extirper
omprend donc le lobe frontal, de la,pointe des hémisphères jusqu'au
sillon
crucial, et la moitié antérieure du lobe pariét
rs, surtout du côté droit et au-dessous de l'épendyme, au niveau du
sillon
longitudinal du calamus. Dans un autre cas (d'o
tracture des muscles de la face du côté correspondant. Cependant le
sillon
naso-laléral gauche sans être plus relevé est p
ntinu et très accentué des paupières; 2° une légère accentuation du
sillon
naso-labial gauche, sans déviation de la face,
e- ment, rétrécissement de la fente palpébrale, accentua- tion du
sillon
naso-labial gaucho, déviation de la pointe de l
es antérieures, dans les cordons postérieurs, sur les deux bords du
sillon
médian pos- térieur. Il y a, en outre, de petit
ment de la circonvolution du corps calleux (gyrus fornicatus) et du
sillon
callosomarginal, de non réunion du sillon parié
(gyrus fornicatus) et du sillon callosomarginal, de non réunion du
sillon
pariétooccipital avec la scissure calcarine. Le
ésente un méplat au lieu de la saillie méta- tarsienne, et quelques
sillons
cutanés transversaux qui font dé- faut du côté
é extrême de la convexité de l'hémisphère droit, - par l'absence de
sillon
de Ro- lando typique, celui qui le remplace éta
DE l'importance ET DE la signification DE la division DU cerveau EN
sillons
, par J. SEITZ. (Jahrb. f. Psych., VII, 3.) Le f
eaux tenus seuls capable de pénétrer dans la matière cérébrale. Les
sillons
en sont donc le produit. Ce sont des sillons trop
matière cérébrale. Les sillons en sont donc le produit. Ce sont des
sillons
trophiques. Voilà l'esprit fondamental de ce mé
rticales du -, par Keraval, 290 ; importance de la division du en
sillons
, par Seitz, 429 : non terminalité des artères
antes, correspondent des cavités plus profondes, mais au niveau des
sillons
qui les séparent, la pression est nulle et la p
rès minces et trans- parents ; l'artère méningée est logée dans des
sillons
profonds, mais la lame osseuse qui la recouvre
ntrale antérieure (frontale ascendante) au niveau de l'extrémité du
sillon
crucial. Des variétés des conditions expériment
trace de tuberculose méningo-encéphalique. Léger élargissement des
sillons
; ventricules un peu dilatés. Les méninges molle
rose simple dans lesquels on a constaté une fois un effacement du
sillon
nasolabial avec hypoesthésie des deux pieds, une
de l'hémisphère gauche présentaient une apparence vermiforme ; les
sillons
béants et éloignés ; les circon- volutions semb
on mais mal formées ; circonvolution inférieure très atrophiée, les
sillons
par conséquent baillanls et très irréguliers. L
le pariétal supérieur rétréci, atrophié, et irrégulier ; le premier
sillon
annexé, bien marqué, comme l'étaient aussi les
irconvolution supérieure très réduite, avec béance résul- tante des
sillons
; circonvolutions inférieure et moyenne au-des-
étaient bien développées. Lobe pariétal droit : circonvolutions et
sillons
normaux dans leur position, et, en tant que compa
riétal et temporo-sphénoïdal, très claire- ment, par les différents
sillons
annexés. Remarques. Ce cas d'idiotie congénital
mitation de la zone motrice que des ressemblances de configuration (
sillons
par ex.} sont insuffisantes pour affirmer en an
ntral. Tgp, pilier postérieur du tri- gone ( ? ). - Scnx, partie du
sillon
calloso-marginal. CS, tète du corps strié, dont
pariétale ascendantes confondues sur la Planche VIII, ainsi que le
sillon
de Rolando, SR. Planche X. Hémisphère droit : f
ervalles à peu près égaux et séparés les uns des autres par de légers
sillons
, formant par leur réunion un système réticulé, qu
cupent, leur nom l'indique, la partie centrale de chaque lobule ; les
sillons
qui entourent ces pertuis correspondent à la base
tagent les faces latérales en deux moitiés égales. Ces demi-canaux ou
sillons
se prolongent sur les faces répondant aux sommets
n y laissant toutefois une empreinte, — ou bien sont- ce de simples
sillons
, produits par dépression à la périphérie des cell
pens de la couche la plus superficielle du protoplasma, rappelant les
sillons
que tracent les racines de certains arbres à la s
ovoïdes, d'inégales dimensions, séparées les unes des autres par des
sillons
plus ou moins profonds. Pour vous guider dans l'a
led), d'une petite noix, et sont séparées les unes des autres par des
sillons
de plus en plus profonds (foie botryoïde, foie lo
de l'estomac. Ils s'enfoncent dans le foie en avant et en arrière du
sillon
transverse, se distribuent dans l'intervalle des
ent du côté du foie .* Io les unes se distribuent dans les lobules du
sillon
longitu-dinal ; 2° d'autres se jettent dans le si
▲