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1 (1913) Exposé des travaux scientifiques
ptionnellement... Je considère l'absence du réflexe achilléen comme signe d'un état pathologique. » Telle est également l
du pied », de « trépidation épileptoïde du pied ». On recherche ce signe en procédant ainsi : tenant la jambe immobile dan
aincre, il suffit de choisir quelques individus ne présentant aucun signe d'affection nerveuse, ayant simplement des réfl
z communément chez les tuberculeux ne présentant, du reste, au- cun signe d'affection organique du système nerveux. » Les
ologie. J'ai montré que l'absence du réflexe achilléen constitue un signe de grande valeur pour le diagnostic de la névri
t une manifestation plus précoce de cette dernière affection que le signe de Westphal, ce qui aujourd'hui est unanimement
r le tendon tricipital. J'ai montré que le réflexe paradoxal est un signe fréquent dans le tabes, ce qui s'explique aisém
: « Inversion du réflexe du radius. Fractures spontanées et parfois signe de Babinski dans un cas de paralysie infantile av
o- myélitiques antérieures, sa parfaite concordance avec les autres signes de locali- sation montre sa valeur sémiologique
sa valeur sémiologique topographique pour les cas où l'on trouve ce signe plus ou moins isolé. » Souques et Barré (Revue
a pris l'habitude de l'appeler, tant en France qu'à l'étran- ger, « signe de Babinski » (voir fig. 3). Etant donnée l'imp
r d'autres beaucoup plus nombreux que j'ai recueillis depuis que ce signe a attiré mon attention, je vais passer en revue
dans l'hémiplégie ancienne. « J'ai constaté aussi l'existence de ce signe chez deux sujets présen- tant une hémiplégie an
caractérisé par des douleurs fulgurantes, des troubles vésicaux, le signe de Robertson, l'absence bilatérale des réflexes
ne des orteils n'est pas proportionnée à celle de la paralysie ; ce signe est très marqué dans certains cas où l'hémiplég
plantaire est normal ; parfois pourtant j'ai constaté de ce côté le signe des orteils, moins accentué toutefois qu'au pie
ésentait aucun trouble de motilité. ' « J'ai également observé le signe des orteils chez un individu atteint de méningi
s cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine cérébrale. « Ce signe peut exister aussi dans certaines paraplégies fla
lésions étaient très limitées. « Il faut donc bien remarquer que ce signe , s'il révèle l'existence d'une perturbation dan
ut, indissoluble. Aussi observe- t-on fréquemment la réunion de ces signes chez un même sujet et c'est ce que vous avez pu
eptoïde du pied, tandis qu'inversement on observe très nettement ce signe dans des cas où, malgré l'existence RÉFLEXES CU
de l'hémiplégie hystérique ; dans un cas de ce genre l'existence du signe des orteils est particulièrement précieuse, car e
a dans le système pyramidal l'exis- tence d'un trouble qui, sans ce signe , aurait pu être méconnu. « Au commencement de c
éten- dues. Je mentionnerai toutefois quelques points relatifs au signe des orteils, sur lesquels j'ai appelé l'attenti
ur lesquels j'ai appelé l'attention ultérieurement. J'ai observé ce signe (53) dans l'épilepsie dite idiopathique ou esse
, confirmées par moi, ont montré que, chez des sujets présentant le signe des orteils, une compression du membre inférieu
énomènes réflexes qui ne sont en grande partie que des variantes du signe des orteils. Cette remarque s'applique, par exe
éflexes de défense. Il est permis de faire une critique analogue du signe qu'Oppenheim a décrit sous la dénomination d' «
bier antérieur, il s'agit, il est vrai, d'un phénomène différent du signe des orteils, et la flexion du BABINSKI. 4 sn
, 1900, n° 4t). 9" Contribution à l'étude du phénomène des orteils, signe de Babinski, par J. Charuel (Thèse, Nancy, 1900
w Krakowié). i io Valeur sémiologique du phénomène des orteils ou « signe de Babinski », par A. Charpentier (Revue intern
. 1 l¡° Remarques sur le réflexe plantaire et en particulier sur le signe de Babin- ski, par lsl : ridâe(Journal of Ameri
cademia Medico-Quirur- gica espanola, 12 de Mayo de 1902). 3o° Le signe de Babinski immédiatement consécutif aux ictus cé
o LXVI, fasci- coli 7-8). 33° Étude sur le phénomène des orteils ( signe de Babinski), par G. Marinesco (Revue neurologi
nski), par G. Marinesco (Revue neurologique, 3o mai 1903). 34° Le signe de Babinski comme signe précurseur des lésions du
(Revue neurologique, 3o mai 1903). 34° Le signe de Babinski comme signe précurseur des lésions du système pyra- midal,
gisches Ceniralblait, 1903, p. 1109). De l'abduction des orteils ( signe de l'éventail). Ce signe, que j'ai fait connaît
p. 1109). De l'abduction des orteils (signe de l'éventail). Ce signe , que j'ai fait connaître en igo3, est un compléme
. Ce signe, que j'ai fait connaître en igo3, est un complément du signe du gros orteil. Voici ce que j'ai écrit à ce suje
uiavaitété l'objet d'une expertise médico-légale, l'absence de tout signe objectif classique d'affection organique du sys
e, à l'appui du diagnostic de perturbation du système pyramidal, un signe de probabilité qui peut être précieux dans cert
qu'elle se manifeste comme un mouvement associé, la dénomination de signe de l'éventail. C'est une expression imagée qui
peut y avoir intérêt à spécifier les conditions dans lesquelles ce signe se produit, il est peut-être préférable de se c
ésentation me donnant une occasion de vous entretenir de nouveau du signe de l'éventail sur la valeur clinique duquel on n'
sance. de travail confirmatif consacré spécialement à l'étude de ce signe . Mais, dans maintes obser- vations ayant trait
ysie de la troisième RÉFLEXES PUPILLAIRES ;,9 paire, constitue un signe de syphilis acquise ou de syphilis héréditaire
temps, j'avais examiné avec Nageotte plusieurs sujets présentant le signe d'Argyll et n'ayant, sauf ce trouble, aucun sym
vidu qui se présente à l'examen du médecin. La constatation de ce signe , disions-nous, a une importance pra- tique très
philis » (The Journal of Mental Science, July 1900). Erb dit que ce signe lui paraît indiquer que le système nerveux centra
1900, p. 990). Pour Ilarris le phénomène d'Argyll Robertson est un signe presque certain de syphilis (SigniGcation de la
. Cestan et Dupuy-Dutemps, dans une Revue générale intitulée : « Le signe pupil- laire d'Argyll Robertson ; sa valeur sém
rivent : « ... grâce aux travaux de Babinski, la valeur pratique du signe d'Argyll est définitivement mise en lumière : s
e de nous avoir indiqué les rapports qui unissent la syphilis et le signe d'Argyll Robertson. Les observations de cet auteu
médicale (1902, pp. 825 et suiv.), un travail ayant pour titre : « Le signe d'Argyll Robertson et la lymphocytose du liquid
oici la con- clusion : « En résumé, chez cinq malades sur six, le signe d'Argyll existait à l'état isolé. Chez le sixiè
; chez les trois autres, on ne notait aucun accident spécifique. Le signe d'Argyll, comme l'a montré M. Babinski, est cep
ces six sujets, prouve bien, grâce à ce symptôme anatomique, que le signe d'Ar- gyll, même isolé, décèle une altération o
rveux, igio, Octave Doin, éditeur, p. 2g) écrit : « L'importance du signe d'Argyll Robertson est considérable. Ce signe e
t : « L'importance du signe d'Argyll Robertson est considérable. Ce signe est, comme l'a montré Babinski, un véritable stig
yphilis et non pas seulement, comme on l'indiquait jadis, un simple signe de tabes ou de para- lysie générale. Tous les a
mme j'ai l'habi- tude de le faire chez tous mes malades, les divers signes objectifs qui peuvent se manifester dans les af
cation des prétendues disparitions et réapparitions successives du signe d'Argyll Robertson, signalées par quelques obse
x, les crampes provoquées par la faradisation ne constituent pas un signe qu'il y aurait lieu de prendre en considération
ai eu l'occasion d'observer quelques individus, ne présentant aucun signe d'intoxication, aucune manifestation objective
ite et un peu de congestion papillaire et d'exophtalmie; à part ces signes , l'examen objectif est absolument négatif et, e
bsolument négatif et, en particulier, il n'existe aucune ébauche du signe de Kernig. Quel diagnostic porter ? La ponction
mme le résultat de la syphilis diffuse : tabes. paralysie générale, signe de Robertson, soit isolé (voir p. 58), soit ass
ma- lade. Abolition du réflexe achilléen dans la sciatique. Ce signe , objet d'un travail (7)6) publié en 1896, avait é
ue, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du nerf. « Ce signe , comme en général tous les signes objectifs, me p
l n'y ait pas lésion du nerf. « Ce signe, comme en général tous les signes objectifs, me paraît avoir une grande valeur di
i j'en juge d'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, le signe en question fait défaut. » Cette notion, conf
érifié l'exactitude de ces idées. De plus, j'ai observé de nouveaux signes (117) appartenant en propre à l'hémispasme faci
ivement l'hémispasme facial caractérisé cliniquement par les divers signes que j'ai cherché à mettre en relief, et qui est
rte un cas d'hé- mispasme facial dans lequel il a constaté tous les signes que j'ai décrits. Meige, dans un travail intitu
épileptoïde du pied. Ce syndrome constitué par la réunion de trois signes cardinaux est un « Symptomentrias » disait autr
e établi que dans la hiérarchie des irréflectivitcs tendineuses, le signe de Weslphal n'occupe pas le premier rang qui es
le soit. Les perturbations du réflexe achilléen constituent donc un signe de grande valeur et pement contribuer à reconna
aître le tabes dans sa phase initiale, encore avant l'apparition du signe de Westphal. » A. F. Hertz et W. Johnson, dans
ement l'irrélleclibilité des membres inférieurs et constituerait un signe précoce de tabès. J'ai mon- tré que cette allég
arthropathie (Société de Neurologie, séance du 6 mai i gog). « Les signes objectifs du tabes, disais-je, sont ici réduits a
et il est vrai à quelques douleurs lancinantes, il n'existait aucun signe objectif de tabes et le liquide céphalo-rachidien
ez nombreux d'arthropathies à type tabé- tique en l'absence de tout signe de tabes, chez des syphilitiques». TABES ! J1)
sèques permettant d'en établir le diagnostic, abstraction faite des signes con- comitants qui décèlent l'existence de lési
ique tabé- tique ; mais je ne trouvais chez cette femme aucun autre signe de tabes ; elle m'affirmait n'avoir jamais eu l
ait ana- logue (202). Le malade, qui ne présentait d'ailleurs aucun signe de tabes, était depuis six ans sujet à des cris
tabes ou de paralysie générale et dont l'autre, ne présentant aucun signe objectif d'affection organique, aucune manifestat
ourd'hui chose assez commune. Je connais des malades présentant des signes carac- téristiques de tabes, dont l'état est à
conduit nos observations. Je dois dire que, pour bien apprécier le signe que nous étudions, il faut éviter plusieurs cau
s faisceaux pyramidaux sont dégénérés ou sim- plement comprimés, le signe des orteils décelant seulement une per- turbati
fi- cation apparente, car je n'ai jamais constaté chez la malade de signe décelant une lésion radiculaire ; les réflexes
'une manière complète (p. 37). Je me contenterai de rappeler que ce signe apparaît d'habitude immédiatement après l'ictus
ion est plus grand du côté paralysé (voir fig. 12). C'est là un signe que j'ai désigné sous la dénomination de fle-
ec exagération des réflexes tendineux. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 119 Signe du peaucier. Ce signe consiste en ce que,1 dans
xes tendineux. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 119 Signe du peaucier. Ce signe consiste en ce que,1 dans certains mouvements aux
t. J'a- joute que tous les hémiplégiques ne présentent pas ce signe . J'ai désigné d'abord ce phéno- FIG. 13. Hémi
le du côté normal ; j'ai proposé d'appeler simplement ce trouble le signe du peaucier. Il peut exister aussi dans la para
erse avec brusquerie que le mouvement est prononcé. On observe ce signe chez la plupart des sujets atteints d'hémiplégie
émiplégie hystérique avec con- tracture et je la considère comme un signe tout à fait caractéristique. Signe de la pronat
ture et je la considère comme un signe tout à fait caractéristique. Signe de la pronation. Dans l'hémiplégie organique, a
on par un mouvement passif, on l'abandonne à elle-même. C'est là un signe qui peut aider à distinguer l'hémi- plégie orga
d'entre eux sont pathognomoniques, il en est d'autres, tels que le signe du peaucier, le signe de la pronation, le mouve
ognomoniques, il en est d'autres, tels que le signe du peaucier, le signe de la pronation, le mouvement combiné de flexio
, dans la grande majorité des cas d'hémiplégie organique, grâce aux signes intrinsèques, le diagnostic peut aujourd'hui être
RÉBRAL Diagnostic. A. J'ai attiré l'attention sur ce fait que les signes considérés comme les plus caractéristiques des
on des réflexes tendineux ; parfois, elle est dépourvue de tous les signes objectifs qui appartiennent à l'hémi- plégie or
que ». Cette forme d'hémiplégie, quand elle est associée à d'autres signes rendant acceptable l'hypothèse de tumeur cérébr
e, la catalepsie cérébelleuse. J'y ajoute les mouvements démesurés, signe que j'ai contribué à établir. Depuis 18gg, j'ai
res, ig 13) s'exprime ainsi à ce sujet : Il Il existe deux nouveaux signes qui correspondent à une perturbation du centre
ôté de la lésion. Il va sans dire que l'asynergie, comme les autres signes dont on dispose, peut manquer, que, lorsqu'elle
et Schmiedcn (Miinch. Med. IVoch., igio, n° 17) notent entre autres signes une asynergie prononcée chez une femme de 23 ans
e les troubles suivants. On constate de l'hémiparésie à droite avec signe des orteils et mouve- ment combiné de flexion d
s un trouble de l'appa- reil en question et que quelques-uns de ces signes permettent parfois de reconnaître des perturbat
ctions de l'oreille a été enrichie par l'acquisi- sition des divers signes que je viens de décrire puisque, comme on l'a v
met : « 1° De découvrir une lésion auriculaire qui, en l'absence de signes fonction- nels, passerait inaperçue, ou de dépi
ormule du vertige normal sera modifiée ; « 3° Il peut être enfin un signe objectif décelant l'existence d'une augmenta- t
observations que les modifications sus-indi- quées constituent des signes précieux au point de vue du diagnostic différenti
e cutané plantaire était normal à droite, on constatait à gauche le signe des orteils. A moins de supposer la coexistence f
l'espèce d'une perturbation organique des centres nerveux, dont le signe des orteils était le témoignage. C'est l'opinio
« mental » était associée l'extension réflexe du gros orteil ou le signe de l'éventail. Ces nouvelles observations ont f
tes descriptions du torticolis mental et, comme lui, corrigé par le signe du doigt», le signe des orteils était très net de
torticolis mental et, comme lui, corrigé par le signe du doigt», le signe des orteils était très net des deux côtés. Cest
la maladie. Or, si l'on se rappelle que ce trouble constitue un des signes objectifs les plus communs de l'hémiplégie orga
la chorée de Sydenham de la chorée hystérique, et on possède là un signe qui, sans avoir une valeur déci- sive, vient à
t de 12 ans atteint de chorée de Sydenham chez qui on constatait le signe des orteils. « Ce fait, disait-il, est rapprocher
e. Chez 10 enfants atteints de chorée de Sydenham, il a observé des signes de lésions du système nerveux (troubles du tonu
née de la cuisse et du tronc, modifications des réflexes tendineux, signe des orteils, etc.) ; de plus, ayantprati- qué l
de leurs travaux qu'on trouve assez souvent chez les choréiques les signes cliniques propres aux affections orga- niques d
lis comme cause étiologique commune, puisqu'il semble acquis que le signe d'Argyll Robertson est fonction de syphilis.
ison sur l'association fréquente de l'insuffisance aor- tique et du signe d'Argyll (syndrome de Babinski), le signe d'Argyl
ffisance aor- tique et du signe d'Argyll (syndrome de Babinski), le signe d'Argyll permettant d'affirmer la syphilis. »
hysté- rique d'une paralysie ; de même, la présence ou l'absence de signes soit d'une affection cardio-vasculaire, soit de
ce de l'hystérie. J'ai indiqué ailleurs (p. 1 6) toute une série do signes appartenant aux paralysies organiques et faisan
nes dont il s'agit. On cherche, par exemple, à faire reproduire les signes cliniques de l'hémiplégie facialo périphérique en
les ne témoignent (par la trépidation épi- leptoide vraie ou par le signe de l'orteil) de l'hyperexeitabilité des centres r
étendu pemphigus hystérique (Id.). 102. De l'abduction des orteils. Signe de l'éventail (Société de Neurologie. 3 décembr
s cutanés 37 Phénomène des orteils 37 De l'abduction des orteils ( signe de l'éventail) 52 Réflexes de défense 5G Réfl
dineux mi Phénomène des orteils 117 Hypotonicité musculaire 117 Signe du peaucier II\) kj Mouvement combiné de flexio
iné de flexion de la cuisse et du tronc 120 Griffe de la main 123 Signe de la pronation I z4 Interversion des deux mode
2 (1934) Oeuvre scientifique
elle peut être considérée INTRODUCTION A LA SEMIOLOGIE 5 comme un signe objectif ; en effet, si, par exemple, après avoir
nte- nant, examinant ce sujet à l'ophtalmoscope, vous constatez les signes objectifs qui caractérisent la névrite oedémate
, vous êtes immédiate- ment fixés d'une manière définitive, car ces signes , ai-je besoin de le dire, ne peuvent être repro
ons.de suspecter la bonne foi, à un simulateur de profession. - Les signes ophtalmoscopiques, pour le motif que je viens d
A la vérité un trouble ophtalmoscopique constitue plus qu'un simple signe de lésion, c'est la lésion même d'une portion du
dans la synergie du droit interne et du droit externe constitue un signe objectif d'autant plus remarquable qu'il permet
res- tent immobiles ; ce phénomène, connu sous la dénomination de « signe de Ch. Bell », est du à l'association d'une alt
ulaire et elle constitue alors, à condition d'être perma- nente, un signe de haute valeur. Cette dernière variété d'aboliti
de l'accommodation » ; ; c'est cette sous-variété qui constitue le signe ou mieux le syndrome décrit par Argyll-Robertson
gite chronique syphilitique (Babinski et Nageotte). Je considère ce signe comme le plus remarquable de la sémiotique des
céphalorachidien que nous avons pu, Nageotte et moi, établir que ce signe est intimement lié à une méningite, car il coïn
disais des troubles ophtalmoscopiques ; ils constituent plus que des signes de lésion, c'est la lésion même d'une partie du
ité pupillaire ; mais, en réalité, à l'état mono-symp- tomatique ce signe ne semble pas avoir de valeur clinique. Il n'en a
égitime de l'accommodation, qui peut ainsi être considérée comme un signe objectif précieux. Parles divers exemples que j
hologie oculaire fournit à la neuropathologie un fort contingent de signes objectifs capitaux. La pathologie du larynx e
iatique hystérique (Sternberg, Babinski, Biro), et constitue un des signes les plus précoces du tabes, apparaissant généra
gnes les plus précoces du tabes, apparaissant généralement avant le signe de Westphal (Babinski). L'exagération des réfle
aire, le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, le signe du peaucier, la griffe spéciale de la main (voir
réflexes cutanés étaient considérés autrefois comme fournissant des signes d'un intérêt médiocre; on savait toutefois, depui
s, il n'est pas rare que les orteils s'écartent les uns des autres ( signe de l'éventail). Ces phénomènes ne font pas partie
e direz peut-être qu'un simulateur serait capable de reproduire les signes que je viens de passer en revue ; en effet, un
sous l'influence de la volonté. Je répondrai à cela que ces divers signes sont, il est vrai, susceptibles d'être simulés et
es ophtalmoscopiques et la lymphocytose, ce ce sont là plus que des signes , ce sont des lésions qui sont symptoma- tiques
e. Ce sont encore des troubles circulatoires qui constituent un des signes les plus caractéristiques de la crise épileptique
serait intéressé à induire le médecin en erreur. Or, il existe deux signes , qui sans être constants, sont communs dans l'a
mission d'urine pendant l'accès ne pouvait être considérée comme un signe décisif, car c'est un phénomène qui peut être r
Mais n'oubliez pas que la constatation d'un ou de plusieurs de ces signes chez un malade ne permet pas d'exclure l'idée qu'
un dernier conseil pratique. Recherchez systématiquement ces divers signes objectifs ou du moins la plupart d'entre eux ch
le II 1 janvier ra : i à la Réunion neurologique de Strasbourg. Les signes sur lesquels le clinicien s'appuie pour établir l
ivisés, d'une manière générale, en deux groupes : - d'une part, les signes objectifs, notamment ceux que la volonté seule
ponse aux questions qui lui sont posées. Voici quelques exemples de signes objectifs... Mais je m'éloigne un peu du sujet
n peu du sujet que je me proposais de traiter, car ce n'est pas des signes objectifs que je voulais vous entretenir. Ce que
duquel la volonté peut avoir sa part... Comme premier exemple de signe subjectif, prenons la céphalée. Entre autres af
intracrâniennes, les abcès de l'encéphale. Sans doute, ce sont les signes objectifs qui permettent, dans les cas de ce ge
particulier que, quoique ne présentant aux membres inférieurs aucun signe de maladie locale infectieuse, telle que phlébite
siègent les dou- leurs, d'une anesthésie à type radiculaire, et du signe des orteils a permis dans quelques cas de recon
cette erreur peuvent être extrêmement graves. Mais, sans parler de signes objectifs capables d'éclairer la situa- tion, s
ns cet état 6 mois après le début des troubles. Ne constatant aucun signe objectif d'affection organique du système nerveux
la valeur, sans que leur authenticité égale celle que possèdent les signes objectifs bien caractérisés. Je dois faire re
nger de suivre une fausse piste et de s'égarer. Si la recherche des signes subjectifs est faite par lui sans la prudence r
es étant caractérisé par de l'atrophie papillaire du côté droit, le signe de Robertson, des douleurs fulgurantes, l'absen
r d'autres beaucoup plus nombreux que j'ai recueillis depuis que ce signe a attiré mon attention, je vais passer en revue
dans l'hémiplégie ancienne. J'ai constaté aussi l'existence de ce signe chez deux sujets présentant une hémiplégie anci
caractérisé par des douleurs fulgurantes, des troubles vésicaux, le signe de Robertson, l'absence des réflexes des tendons
plantaire est normal ; parfois pourtant j'ai constaté de ce côté le signe des orteils, moins accentué toutefois qu'au pie
présentait aucun trouble de la motilité. J'ai également observé le signe des orteils chez un individu atteint de méningi
les cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine cérébrale. Ce signe peut exister aussi dans certaines paraplégies fla
quelques-unes des affections du système nerveux dans lesquelles le signe des orteils paraît faire défaut. Je ne l'ai jam
sible et que jusqu'à présent, je n'ai pas observé une seule fois ce signe chez un sujet dont le système pyramidal fut sûre-
sions étaient très limi- tées. Il faut donc bien remarquer que ce signe , s'il révèle l'existence d'une perturbation dan
ut indissoluble. Aussi observe-t-on fré- quemment la réunion de ces signes chez un môme sujet et c'est ce que vous avez pu
eptoïde du pied, tandis qu'inversement on observe très nettement ce signe dans des cas où, malgré l'existence d'une lésio
de l'hémiplégie organique; dans un cas de ce genre, l'existence du signe des orteils est particulièrement précieuse, car e
nt l'existence d'un trouble dans le système pyramidal, qui, sans ce signe , aurait pu être méconnu. Au commencement de cet
matisme ayant motivé une expertise médico-légale, l'absence de tout signe objectif classique d'affection organique du systè
rteils, dans les conditions que je viens de spécifier, constitue un signe de probabilité en faveur d'une per- turbation d
onnellement. Je considère donc l'absence du réflexe achilléen comme signe d'un état pathologique. » Albert Charpentier
'absence des réllexes achilléens et des réflexes rotuliens sans autre signe d'affection du sys- tème nerveux (Nouvelle Icon
établissait que l'absence du réflexe rotulien constitue parfois un signe précoce de l'ataxie locomotrice. Ce symptôme ét
dire que, dans la hiérarchie des irréflectivités tendi- neuses, le signe de Westphal n'occupe pas le premier rang ; celui-
llement l'irréflectivité des membres inférieurs et constituerait un signe précoce du tabes. Cette allégation est inexacte.
t ou une abolition des réflexes tendineux et osseux, et c'est là un signe capital pour le diagnostic. On constate l'aboliti
ier sur l'existence de certains points douloureux (Valleix), sur le signe de Lasègue, sur la scoliose, que Charcot et moi
dès le début de l'affection dont l'amyotrophie peut être le premier signe objectif. Un groupe musculaire est parfois très a
par les lésions, et constitue pour le diagnostic et le pronostic un signe objectif de grande valeur. Il est évident que l
s reste à mentionner, parmi les maladies où l'irréflectivité est un signe cardinal, la maladie de Friedreich, variété de sc
transversale complète de la moelle s'était manifestée, entre autres signes , par une abolition des réflexes tendineux ; 2"
nus du pied », « trépidation épileptoïde du pied ». On recherche ce signe en pro- cédant ainsi : tenant la jambe immobile
vaincre il suffit de choisir quelques individus ne présentant aucun signe d'affection nerveuse, ayant simplement des réflex
sez communément chez les tuberculeux ne présentant, du reste, aucun signe d'affection organique du système nerveux. Si
oujours avec facilité. Nous conseillons, pour la constatation de ce signe , de placer le membre supérieur du sujet en demi
liers au membre inférieur, dénotant la surréflectivité : ce sont le signe de Rosso- limo et celui de Mendel-Bechterew. Le
: ce sont le signe de Rosso- limo et celui de Mendel-Bechterew. Le signe de Rossolimo consiste dans le fait qu'une chiqu
de relevant les orteils provoque une flexion réflexe de ceux-ci. Le signe de Mendel-Bechterew est constitué par une flexi
ralysie, contracture, etc., mais elle peut se présenter aussi comme signe unique d'un état pathologique. Cela est pourtant
t manifestée. L'exagération des réflexes tendineux constitue un des signes cardinaux de la sclérose latérale amyotrophique
éflexe paradoxal du coude » dont il a été question précédemment. Ce signe , comme nous l'avons vu, peut se manifester déjà
e du pied, quand on la constate des deux côtés, ne constitue pas un signe cer- tain d'un état pathologique. Je signale
e, comme M. van W oerkom le reconnaît lui-même, le lien qui unit le signe du gros orteil au « flexion reflex » n'est pas
@ confirmées par moi, ont montré que, chez des sujets présentant le signe des orteils, une compression du membre inférieu
yramidal, de trois phénomènes : exagération des réflexes tendineux, signe des orteils, exagération des réflexes de défens
en examinant les relations de la surréflectivité tendineuse avec le signe des orteils d'abord, avec les réflexes de défen
pied et parfois, en même temps, ils s'écartent les uns des autres ( signe de l'éventail). C'est là une règle qui souffre
u, sans doute, dans les observa- tions de rhumatisme chronique avec signe des orteils publiées par M. Léri. J'ai déjà eu
'une flexion des orteils. Les faits où, inversement, on constate le signe des orteils, tandis que les réflexes tendineux
euse n'apparaît d'habitude qu'après un délai plus ou moins long. Le signe des orteils, au contraire, se manifeste immédia
ns scléreuses de la moelle, il n'est pas exceptionnel d'observer le signe des orteils alors que les réflexes tendineux so
réflexes de défense légèrement exagérés ou à peu près normaux ; e) signe des orteils. Voici maintenant les caractères de
e défense toujours très forts ; e) dans la grande majorité des cas, signe des orteils. Ajoutons que la rigidité en flexio
yramidale dont la perturbation se mani- feste pendant la vie par le signe des orteils et par l'exagération des réflexes d
le plus à fausser les idées. Que l'on se reporte à l'époque où les signes dont on se sert couramment aujourd'hui pour le
es orteils, mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, signe de la pronation, signe de Mendel-Bechtereff, etc.
ombiné de flexion de la cuisse et du bassin, signe de la pronation, signe de Mendel-Bechtereff, etc.), étaient ignorés. O
mêmes effets que les altérations organiques. Aujourd'hui, grâce aux signes nouveaux que l'on possède, on n'est plus exposé
, on n'est plus exposé à se tromper ainsi. Mais déjà, avant que ces signes fussent connus, il m'a été possible de rectifie
noplégie brachiale liée à une lésion du système nerveux central. Le signe de la pronation, l'hypothermie et l'exagération
me impossible, si, pour se faire une opinion, on ne dispose que des signes différentiels classiques; il est arrivé à tout
gmates de l'hystérie, s'il est syphili- tique, ou s'il présente les signes d'une affection cardiaque, en particulier d'un
tre atteint d'une lésion artérielle du cerveau sans en présenter de signes objectifs, que, par conséquent, l'absence de ce
résenter de signes objectifs, que, par conséquent, l'absence de ces signes ne permet pas d'écarter l'hypothèse de ramollis-
e me hâte d'ajouter que tous les hémiplégiques ne présentent pas ce signe . J'ai désigné ce phénomène sous la dénomination d
scle du côté normal ; je propose d'appeler simplement ce trouble le signe du peaucier. Ce signe peut exister aussi dans l
je propose d'appeler simplement ce trouble le signe du peaucier. Ce signe peut exister aussi dans la paralysie faciale pé
ment le peaucier du cou d'un seul côté, je conçois fort bien que ce signe puisse être observé dans l'hystérie ou plutôt ê
ans vouloir y attacher une importance fondamentale, j'estime que le signe du peaucier, quand il existe nettement du côté sa
HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE gg N'ayant jamais constaté l'existence de ce signe dans l'hémiplégie hysté- rique, j'estime qu'il
paralysie hystérique. J'appelle maintenant votre attention sur un signe différentiel des deux espèces d'hémiplégie que
endance d'une lésion qui atteint le système pyramidal on observe ce signe du côté paralysé. Il existe dans la plupart des
égie récente que dans l'hémiplégie ancienne. J'ai constaté aussi ce signe chez des malades atteints à la fois d'hémiplégie
lbert Chaddock. M. Schuler, cependant, tout en reconnaissant que ce signe est un indice de lésion organique, ne le consid
'hémiplégie hystérique avec contracture et je la considère comme un signe tout à fait caractéristique. J'ai décrit ce signe
onsidère comme un signe tout à fait caractéristique. J'ai décrit ce signe pour la première fois dans mon travail que je v
ie hystérique se dis- tingue bien moins par la présence de quelques signes spéciaux que par l'absence de certains caractèr
olontaire. Il est encore facile de saisir la cause pour laquelle le signe du peau- cier manque dans l'hémiplégie hystériq
des actes dans lesquels les peau- ciers du cou interviennent. Or le signe du peaucier de l'hémiplégie organique, si l'exp
la contraction du peaucier est faible ou nulle du côté paralysé. Ce signe doit donc faire défaut dans l'hémiplégie hysté-
ister dans un cas, il s'agirait probablement d'une simulation de ce signe résultant d'une contraction volontaire unilatéral
vements inconscients ou subconscients; voilà pourquoi sans doute le signe de la flexion combinée de la cuisse et du tronc m
s ; de là résultent les deux phé- nomènes dont j'ai dénommé l'un le signe du peaucier, l'autre la flexion combinée de la
subconscients ne sont pas troublés ; de là résultent l'absence du signe du peaucier, ainsi que l'absence de la flexion
les orteils, au lieu de se fléchir, s'étendent sur le métatarse. Ce signe , auquel j'ai donné la dénomination de phé- no
est due, non à de l'hypotonicité musculaire, mais à du spasme; le signe de la flexion exagérée de l'avant-bras fait déf
iologique. Comment donc distinguer l'état pathologique et sur quels signes se fondera-t-on pour s'assurer que les réflexes
e degré dans le déplacement du membre. On peut y arriver grâce à un signe qui me parait pathognomonique : si on obtient une
pas à l'état normal. Je rappellerai ici comment fut découvert ce signe qui me semble être le critérium de l'exagératio
condition suffisante. Par leur signification ils se rapprochent du signe des orteils et de l'exagération des réflexes tend
ncerne en particulier les relations des réflexes de défense avec le signe des orteils, je rappellerai que suivant Pierre Ma
ce qui concerne l'examen des membres inférieurs, l'indi- cation des signes suivants : réflexes de défense, réflexe antagonis
e du pied permet d'affirmer qu'on a affaire à un état morbide. Ce signe à lui seul me paraît donc décisif; c'est le crite
au début de cette Conférence, je propose une expression nouvelle : signe de la flexion réflexe du pied pour désigner les
teurs qui sont des débutants sur l'intérêt qu'il y a à connaître ce signe , lequel a le double mérite d'être d'une explora
otamment la flexion du pied, a mani- festement des rapports avec le signe des orteils, puisque ces deux phéno- mènes para
très porté à admettre j'y reviendrai plus loin que la pathogénie du signe des orteils ressemble à celle de la triple flexio
n'ai pas prétendu qu'il y eût différence absolue de nature entre le signe des orteils et les réflexes cutanés de défense,
aire au mien. « Pour nous, au contraire, écrivent nos collègues, le signe de Babinski appartient à l'ensemble des mouveme
laquelle je n'offre pas d'explication et qui resterait pour moi un signe mystique et inexplicable d'affection du faiscea
eut observer non seulement le phénomène des orteils en l'absence du signe de la flexion réflexe du pied, mais aussi la di
rteils, et par une excitation minimale du bord plantaire externe le signe de Babinski nettement positif et isolé. Dans ce
a, confirmées par moi, ont montré que chez des sujets présentant le signe des orteils, une compres- sion du membre inféri
fréquent dans l'hémiplégie constituée. Il est en général associé au signe de Babinski, mais ne lui est pas superposable.
ne lui est pas superposable. On l'observe en effet en dehors de ce signe , particulièrement chez certains (') Revue Neuro
extension, le mouvement des orteils est nul ou même en flexion, le signe des raccourcisseurs établir une lésion que la rec
le signe des raccourcisseurs établir une lésion que la recherche du signe de Babinski n'avait pu dépister ». N'est-ce p
mbres inférieurs (2), écrit ceci : « Pourtant, le lien qui relie le signe de Babinski au « flexion réflexe » n'est pas indi
défense pathologiques, notamment la flexion réflexe du pied, et le signe des orteils n'est pas indissoluble, il est pourta
ns et la surréflec- tivité tendineuse qui, elle aussi, constitue un signe de perturbation de la voie pyramidale ? On peut
exe du pied peut aussi manquer de même qu'il y a parfois absence du signe des orteils. Mais ce qui est plus frappant, c'e
il relatif au phéno- mène des orteils ('), sur la coexistence de ce signe avec la subréflectivité ou l'irréflectivité ten
rreurs sont devenues bien plus rares depuis que la connaissance des signes en question s'est répandue parmi les praticiens.
nature ? Dans mon article de 1898, j'écrivais déjà ceci à propos du signe des orteils : « Il faut donc bien remar- quer q
ropos du signe des orteils : « Il faut donc bien remar- quer que ce signe , s'il révèle l'existence d'une perturbation dans
trépidation épileptoïde du pied des deux côtés. « On constate le signe des orteils des deux côtés. « Les réflexes de d
OGIE mètres et qui cependant présentait d'une manière très nette le signe des orteils et le signe de la flexion réflexe d
dant présentait d'une manière très nette le signe des orteils et le signe de la flexion réflexe du pied. On peut dire qu'
ressive des réflexes de défense préalablement exagérés peut être un signe favorable, comme dans l'observation de tumeur q
ogistes, présents à une attaque, ont eu l'occasion de constater ces signes dès la première minute. L'exagération des réfle
'à 1-) ? Réflexes rotuliens forts, trépidation épileptoïde du pied. Signe des orteils et flexion réflexe du pied très carac
) réflexes de défense légèrement exagérés ou à peu près normaux; e) signe des orteils. « Voici maintenant les caractères
de défense toujours très forts; e) dans la grande majorité des cas, signe des orteils. Ajoutons que la rigidité en flexio
pyramidale dont la perturbation se manifeste pendant la vie par le signe des orteils et par l'exagération des réflexes d
ation des sphincters, et cependant il y a persistance très nette du signe des orteils et de la flexion réflexe du pied. S
te du pied sur laquelle porte l'excitation). Plus ordinairement, le signe des orteils ne se modifie que partiellement; l'ex
tions il semble permis d'inférer que, dans le cas où l'on trouve le signe des orteils, le réflexe cutané plantaire normal n
t souvent difficile. Généralement on a recours, pour l'établir, aux signes extrin- sèques permettant d'admettre ou d'écart
ntrée à l'hôpital, en janvier 1921, le malade présente un ensemble de signes dénotant l'existence d'une lésion intéressant l
comme j'ai l'habitude de le faire chez tous mes malades, les divers signes objectifs qui peuvent se manifester dans les af
philitique ? Assurément non, car la malade ne se plaint d'aucun des signes subjectifs qui appar- tiennent à cette lésion,
ubjectifs qui appar- tiennent à cette lésion, elle n'en a aucun des signes objectifs et, cytolo- giquement, son liquide cé
ication des prétendues disparitions et réapparitions successives du signe d'Argyll-Robertson signalées par quelques obser
es expériences faites sur une vingtaine d'in- dividus n'ayant aucun signe d'affection oculaire ni de maladie organique du
on. Les réflexes achilléens sont abolis des deux côtés. Aucun autre signe objectif à noter; la malade n'a jamais eu de doul
mbres, elle n'a pas de troubles vésicaux et elle ne présente pas le signe de Romberg. SÉMIOLOGIE OCULAIRE 181 OBs. II.
est extrêmement faible à gauche, il est aboli à droite. Aucun autre signe objectif à noter; pas de douleurs, pas de troub
aire; ce qni vient à l'appui de cette manière de voir, c'est que le signe d'Argyll (') Voira) Bulletin de la Société de d
e du diagnostic, au moins autant d'impor- tance, sinon plus, que le signe de Westphal. Je suis d'avis que, malgré l'absen
gne de Westphal. Je suis d'avis que, malgré l'absence de tout autre signe de maladie organique du système nerveux, on est
'une simple lésion du sympathique ; même en l'absence de tout autre signe objectif, quand elle se présente dans les condi
et n'est pas associée à une paralysie de la 3" paire, constitue un signe de syphilis acquise ou de syphilis héré- ditair
aires dans la syphilis héréditaire, par Erb ("), qui déclare que ce signe lui paraît indiquer que le système nerveux cent
is, par Harris ('), pour qui le phénomène d'Argyll Robertson est un signe pres- que certain de syphilis, par Parinaud, qu
uvements synergiques de la pupille étant conservés) est pour moi un signe spécifique précieux. » Cestan a relaté aussi de
ond à la Salpétrière, atteints de méningo-myélite syphilitique avec signe d'Argyll Robertson. Les nouvelles observations
vingt-sept ans ; elle a des exostoses syphilitiques. On constate le signe de Robertson. Outre ce trouble il n'existe chez e
e ; il n'y a jamais eu de diplopie ; la vessie fonctionne bien ; le signe de Romberg fait totale- ment défaut; il n'y a j
med. Journ., 29 sept igoo. (6) « Méningo-myélite syphilitique avec signe d'Argyll Robertson o, Archives de Neurologie, 190
ormal. Du reste, cette malade, comme la précédente, n'a aucun autre signe objectif, aucune manifesta- tion subjective d'a
s, qui a contracté la syphilis à l'âge de trente et un ans. Il a le signe de Robertson et on ne trouve chez lui aucun aut
Enfin, cette femme, âgée de cinquante-deux ans, ne présente que le signe de Robertson comme manifestation d'affection orga
nt et les faits où l'abolition des réflexes pupillaires est le seul signe d'une affection organique du système nerveux. C
celles du laby- rinthe il faut faire appel à une autre catégorie de signes . Nous n'avons pas à nous occuper des symptômes
ements peuvent être brusques et sans mesure. Assurément, de par les signes concomitants que l'examen révèle. chez un tabétiq
s les conditions ni dans la forme, qui puisse être confondu avec le signe de Romberg. On ne peut dire d'autre part qu'il
er la valeur d'un trouble asynergique, le constater en l'absence de signes d'altération du faisceau pyramidal. On doit s'ass
s phénomènes ne sont pas influencés par l'exclusion de la vue et le signe de Romberg fait défaut. Les mouvements rapides,
tion que donne Bruns, dans laquelle nous relevons en particulier ce signe , « Hahnentritt », peut s'appliquer à la démarch
nous avons présenté ci-dessus la description méthodique des divers signes , nous nous sommes efforcés d'en donner une idée c
ment dans l'élaboration d'une sémiologie. Mais, bien entendu, ces signes ne présentent pas toujours, tant s'en faut, une
plisse- ments, des tempéraments qu'elle doit subir. Chacun de ces signes , qui d'ailleurs sont rarement tous réunis chez
stations d'affection cérébel- leuse. D'ailleurs il est rare qu'un signe suffise à lui seul pour établir un diagnostic e
présomption plus ou moins forte qui invite à la recherche d'autres signes passés d'abord inaperçus, ou à l'attente de leu
abord inaperçus, ou à l'attente de leur éclosion. Quand plusieurs signes sont observés dans un même cas, ils renforcent
rébelleuse, parfois considérable, pourra ne se tra- duire par aucun signe , aucun trouble, être latente, rester méconnue et
ON CRANIENNE a3 O. G. i/4. A part ces troubles je ne constate aucun signe objectif d'af- fection organique du système ner
racrànien extrêmement probable. En me fondant sur l'absence de tout signe décelant une perturbation soit du système pyram
m semble montrer que j'avais eu raison d'attacher de la valeur à ce signe . Mais je n'avais pas été en mesure de pousser p
x côtés, et à peine plus forts à droite wu gauche. On constate le signe de l'orteil, ainsi que le mouvement combiné de la
mouvement combiné de la cuisse et du bassin à droite, ainsi que le signe du peaucier. " ' ......... ? u ." .' .........
e des papilles. Il s'agit manifestement d'hémiplégie organique ; le signe de l'orteil, le signe du peaucier, et le mouvem
git manifestement d'hémiplégie organique ; le signe de l'orteil, le signe du peaucier, et le mouvement combiné de flexion d
ont stationnaires ; la torpeur du malade augmente ; il présente des signes de congestion pulmonaire au niveau des bases.
issance seule, d'enrayer le processus morbide. Lorsque les premiers signes de la névrite oedémateuse se sont mani- festés,
et a donné toujours les mêmes résultats. Il n'existe aucun autre signe objectif, aucun autre trouble fonctionnel. 1
« mental » était associée l'extension réflexe du gros orteil ou le signe de l'éventail. Ces nouvelles observations ont f
ique de tout le côté gauche prédominant au membre supérieur. 2° Des signes de lésion des faisceaux pyramidaux plus marqués d
s en bien et en mal. Le malade, comme nous l'avons vu, présente des signes objectifs incontestables d'une perturbation de
la maladie. Or si l'on se rappelle que ce trouble constitue un des signes objectifs les plus communs de l'hémiplégie orga
l fait défaut dans les paralysies psychiques, on peut considérer ce signe comme per- mettant de distinguer, dans certains
déraisonnable ; son intelli- gence paraît absolument intacte et par signes ou par écrit, elle se met, volontiers, en rappo
il s'occupe ; les altérations de la pyramide antérieure expliquant le signe des orteils qui avait été noté, mais sans intér
L'hémiplégie droite, très légère il est vrai, caractéri- sée par le signe des orteils ainsi que par le mouvement combiné de
pathologique qui tout d'abord ne s'était pas manifestée. Ces divers signes permettent donc de déceler des altérations même
u mercure, que l'on interrompt seulement lorsque se manifestent des signes d'intolérance. Son état présente des alternativ
uent important d'analyser chaque fait pour déterminer la valeur des signes classiques et trouver, si possible, des caractère
une association hystéro-organique. J'avoue que je ne connais pas de signe intrinsèque permettant de différencier ces deux
e ici « paralysie organique, pseudo-hystérique ». C'est à l'aide de signes extrinsèques que le diagnostic peut être établi,
embres atteints soient modifiés. Quand elle est associée à d'autres signes rendant l'hypothèse de tumeur PARALYSIE PAR COM
roversée (2), je rappel- lerai seulement qu'il se distingue par les signes suivants : contracture en (') Sur une forme de
acture. Dans la paraplégie spasmodique dont je viens de décrire les signes les plus saillants, l'anesthésie peut faire com
ections à évolution lente. Ordinairement, elle est précédée par des signes réalisant d'une manière plus ou moins parfaite le
former. Mais, dans certains cas, qui semblent rares, il est vrai, les signes essentiels de la paraplégie spinale spastique f
exes ten- dineux et des réflexes de défense, avec clonus du pied et signe de l'orteil bilatéral. Un traitement spécifique
ASMODIQUE ORGANIQUE 337 citabilité mécanique des muscles. Les mêmes signes se montrent, plus discrets, au membre inférieur
plus ou moins volontaire. Comme il n'existe, nous l'avons vu, aucun signe d'oblitération artérielle, il nous semble ratio
sance. Quant à la parésie du membre supérieur, en l'absence de tout signe objectif de lésion des cornes antérieures ou de l
itablement touchées, et l'on observerait aux membres inférieurs des signes décelant l'existence d'une altération de la voi
ettre d'établir, à cet égard, un parallèle entre ce phénomène et le signe de Westphal. Ce sont les (') Abolition du réfle
le a une aussi grande importance pour le diagnostic du tabès que le signe de Westphal. Chez la plupart des tabétiques, il
ne porte que sur le réflexe rotulien. Il est vrai- semblable que ce signe aurait été constaté s'il avait été recherché, au
la physionomie des crises gastriques tabétiques, en dehors de tout signe clinique et biologi- que de tabes ; 2° Les ca
, d'intervenir chirurgicale- ment, alors même qu'il n'existe pas de signes suffisamment convaincants pour affirmer une gas
rtain chez ces deux jeunes filles ; elles présentent, en effet, des signes caractéristiques de cette affection. La premièr
n leur pose à cet égard. Tel individu, par exemple, qui présente le signe de Robertson, l'abolition du réflexe rotulien e
ue associée à de l'atrophie papillaire, dont le mari présentait des signes de tabes fruste. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA S
plus, lorsque le tabes abolit d'un seul côté le réflexe pupillaire ( signe de Robertson uni- latéral), ce qui est rare, il
ns, ce que j'ai constaté plusieurs fois et cela paraît montrer que le signe de Robertson est sous la dépendance d'une lésio
lle sont abolis ; la pupille droite est plus petite que la gauche ; signe d'Argyll Robertson, des deux côtés ; la vision es
achilléens sont très forts, le clonus du pied facile à produire. Le signe du gros orteil est très net à droite (la jambe ga
spondant et l'autre même sont agités par de grandes secousses. Le signe du gros orteil existe à droite et à gauche ; il e
rochant ce cas des deux précédents, et considérant qu'il existe des signes d'affection médullaire, nous pensons que l'hypoth
Il. Froid. 366 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE encore un signe important qui infirme l'hypothèse de lésions radi
orant la sensibilité et en délimi- tant l'anesthésie. Cependant, ce signe n'a pas une valeur absolue ; il a conduit parfo
Mais nous devons ajouter immédiatement que dans l'appréciation du signe que nous étudions, il y a plusieurs causes d'erre
e il résulte que quand on se trouve devant un malade présentant des signes de compression de la moelle, il y a tout lieu d'a
a miction est extrêmement difficile. En présence de cet ensemble de signes , on porte le diagnostic de compression des XIe
u double. Les pupilles sont inégales, mais régulières, il existe un signe d'Argyll très net. Le fond de l'oeil est normal.
supérieurs dans leur partie interne (C', C8, D'). De plus, certains signes nous montraient que la lésion devait s'étendre
-rachidien avec réaction de Wassermann positive, la constatation du signe d'Argyll Robertson et l'étendue de la lésion no
tructives de la moelle. ' Voici un cas de ce genre (fig. 53), les signes constatés (paraplégie totale, avec abolition de
voici ce que nous constatons : paraplégie spasmodique en flexion avec signe des 3g8 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE
syndrome fruste de Brown-Séquard gauche; des deux côtés on trouve le signe des orteils, une exagération des réflexes de dé
n'est qu'au bout d'une huitaine de jours qu'apparaissent les premiers signes de régression de ces troubles : les réflexes re
e sont effacés en grande partie ; la surréflectivité tendineuse, le signe des orteils et le signe de la flexion réflexe du
partie ; la surréflectivité tendineuse, le signe des orteils et le signe de la flexion réflexe du pied existent encore et
la trépidation épileptoïde du pied des deux côtés. On constate le signe des orteils des deux côtés. Tous les réflexes a
ation des réflexes tendineux avec trépidation épileptoïde du pied, le signe des orteils et des réflexes de défense très for
u pied, le signe des orteils et des réflexes de défense très forts ( signe de la flexion réflexe du pied). Les réflexes cu
ds, légèrement parésiés. On constate encore l'existence de tous les signes d'une perturbation de la voie pyramidale à droi
ite et à gauche : exagération des réflexes tendineux avec clonus, signe des orteils, réflexes de défense. Les troubles
aire défaut en cas de néo- plasie ; mais, dans son observation, les signes de compression étaient encore très peu marqués.
seules résoudre. XVIII . MONOPLÉGIE CRURALE HYPERTONIQUE SANS SIGNES PYRAMIDAUX HOMOIA 7l ? liA UX ET A t,'L7C ANIS'
de troubles appréciables de la motilité volontaire, on trouve le signe des orteils et des réflexes de défense bien car
ce par la dénomi- nation de « monoplégie crurale hypertonique, sans signes pyramidaux homolatéraux et avec anesthésie homo
idée que j'ai soutenue. Je ferai remarquer aussi que la présence du signe des orteils, qui actuellement constitue la seul
lade, il faudrait supposer qu'il est capable de donner naissance au signe d'Argyll Robertson, ce qui, il est vrai, est admi
été confirmés par un grand nombre de médecins, établis- sant que le signe d'Argyll est pathognomonique ou tout au moins pre
ue, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du nerf. « Ce signe , comme en général tous les signes objectifs, me p
l n'y ait pas lésion du nerf. « Ce signe, comme en général tous les signes objectifs, me parait avoir une grande valeur di
i j'en juge d'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, le signe en question fait défaut. » Cette notion, confir
it impliquer la contraction synergique du long fléchisseur. (1) Les signes objectifs de la paralysie de l'adducteur du pouce
tion psychique, et que la volonté ne peut reproduire. Or, parmi les signes que j'ai passés en revue se trouvent les caractèr
n complétant l'examen de ce sujet chez qui on trouve un ensemble de signes qui condui- sent inévitablement au diagnostic d
mi- spasme : ce sont des vertiges, de la latéropulsion à gauche, le signe de l'éventail des deux côtés, mais plus marqué
ivement l'hémispasme facial caractérisé cliniquement par les divers signes que j'ai cherché à mettre en relief et qui est
aire ; cela nous paraît d'autant plus probable qu'il n'existe aucun signe pouvant faire supposer la concomitance d'une lési
dire explicitement à la personne qu'on examine qu'elle devra faire signe dès qu'elle commencera à distinguer l'index, avan
ale et la paraplégie par lésion spinale se manifestent par certains signes qui manquent toujours dans l'hémiplégie et la par
') et je me contenterai d'attirer votre atten- tion sur l'un de ces signes que je considère comme tout à fait distinctif,
es troubles respiratoires, qui, du reste, ne s'accompagnent pas des signes objectifs dénotant une perturbation dans l'héma
81 d'hématurie hystérique et chez lesquels ont apparu plus tard les signes caractéristiques de la tuberculose pulmonaire o
rapie dite rationnelle ; je lui déclare qu'il ne présente aucun des signes qui dénotent l'existence d'une affection grave,
ie manifestement organique qui, cependant, sont jeunes, n'ont aucun signe d'affection car- diaque, ne paraissent pas syph
on systématique et qu'ils n'avaient pas à leur disposition certains signes objectifs que j'ai découverts depuis. Dans un p
e du système nerveux central. Je n'ai pas besoin d'insister sur les signes objectifs nouveaux, le phénomène des orteils (e
ifs nouveaux, le phénomène des orteils (extension du gros orteil et signe de l'éventail), le mouvement combiné de flexion d
ventail), le mouvement combiné de flexion du tronc et du bassin, le signe du peaucier, l'hypotonicité musculaire, le phénom
tat général était satisfaisant et chez qui on ne consta- tait aucun signe stéthoscopique net de lésion pulmonaire, ce qu'on
nnaître, du reste, qu'aujour- d'hui déjà nous disposons de nombreux signes qui nous permettent, au moins dans beaucoup de
s dans beaucoup de cas, d'atteindre presque la certitude. Parmi ces signes , les uns sont d'ordre positif; c'est ainsi qu'on
as d'autre cause pouvant déterminer de pareils troubles. Les autres signes sont d'ordre négatif ; je dis, par exemple, qu'un
le diagnostic des accidents de nature sugges- tive se fonde sur les signes négatifs bien plus souvent que sur les signes p
tive se fonde sur les signes négatifs bien plus souvent que sur les signes positifs. La symptomatologie des phénomènes d
e objection et son souci pri- mordial consista dans la recherche de signes permettant de distinguer l'hypnotisme vrai, s'i
, nullement simulés, sans qu'ils s'associent nécessaire- ment à des signes objectifs. Soutenir une idée contraire équivaudra
ère de voir. Il s'agit d'un cas de paralysie de la main, sans aucun signe dénotant l'existence d'une lésion des centres ner
ian. Toute paralysie ou toute contracture ne présen- tant aucun des signes des affections organiques classées était, sans hé
istinguent déjà des crises épileptiques par l'absence constante des signes objectifs qui impriment leur sceau aux accès épil
ou profonde, ni de la réflectivité, ni de la vaso-motricité. Aucun signe clinique ne permet de les distinguer des contra
ccidents liés à des lésions du système nerveux central, lorsque les signes caractéristiques de ces affec- tions étaient en
raumatismes. Ces troubles de motilité ne s'accompagnent d'aucun des signes qui appartiennent en propre aux affections organi
de n'était pas notablement exagérée et nous manquions, dès lors, du signe le plus caractéristique. Enfin il y avait lieu de
des nerfs péri- phériques devait être écartée en l'absence de tout signe caractérisant de telles lésions. S'agissait-il
s muscles avec fusion anticipée des secousses faradiques ('). Des signes objectifs sur lesquels la volonté ne peut avoir a
d'une perturbation des centres médullaires, nous retrou- vâmes les signes sur lesquels nous venons d'attirer l'attention et
esquelles on avait d'abord hésité à se prononcer, s'accompagnent de signes objectifs que nous avons fait connaître et dont
(c'est-à-dire les troubles de motilité qui ne présentent aucun des signes objectifs par lesquels se manifestent les affec
La surréflectivité tendineuse, lorsqu'elle est indiscutable, est un signe de grande valeur. Elle peut être d'une apprécia
roubles moteurs en question, ne s'accompagnant du reste d'aucun des signes objectifs pathognomoniques des lésions du système
(c'est-à-dire les troubles de motilité qui ne présentent aucun des signes objectifs par lesquels se manifestent les affec
s, plus ou moins complètes, de types variés. Ils s'accompagnent des signes objectifs sui- vants qui permettent de les dist
n des orteils. La marche est légèrement incoor- donnée ; on note le signe de Romberg. Il y a quelques troubles génésiques.
u tendon d'Achille est nul à gauche, faible à droite. Des deux côtés, signe de Robertson. Depuis deux mois environ sa vue
réflexe olécrânien, une inversion du réflexe du radius à droite, le signe des orteils du même côté, une anesthésie de la
orer à cause de la contrac- ture, mais ne paraissant pas exagérés ; signe des orteils des deux côtés. Troubles de la sens
tendineux des deux côtés avec clonus du pied et danse de la rotule ; signe des orteils bilatéral ; exagération des réflexe
vers segments des membres inférieurs. Surréflectivité tendineuse et signe des orteils, comme précédemment. Exagération, d'i
trépidation CONTRACTURE GÉNÉRALISÉE 607 épileptoïde parfaite, le signe du gros orteil, le signe de l'éventail et une ten
E GÉNÉRALISÉE 607 épileptoïde parfaite, le signe du gros orteil, le signe de l'éventail et une tendance aux mouvements at
trépidation épileptoïde parfaite, extension réflexe du gros orteil et signe de l'éventail. Les réflexes tendineux et les ré
s faisceaux pyra- midaux sont dégénérés ou simplement comprimés, le signe des orteils décelant seulement une perturbation
nture, de la parésie des membres inférieurs avec épilepsie spinale, signe des orteils et une légère déformation de la col
pinale parfaite, extension réflexe du gros orteil très accentuée et signe de l'éventail. Le réflexe cutané abdominal est co
és. L'exagération des réflexes rotuliens, l'épilepsie spinale et le signe des orteils sont toujours présents. Il est inco
xagération des réflexes rotuliens, l'épilepsie spinale parfaite, le signe des orteils. La lymphocytose, quoique légère, dén
e points douloureux sur tout le trajet du sciatique et on constate le signe de Lasègue. Le malade n'accuse aucun antécédent
étendu pemphigus hystérique (Id.). 102. De l'abduction des orteils. Signe de l'éventail (Société de Neurologie, 3 décembre
aris, 16 novembre 1928). 287. Monoplégie crurale hypertonique, sans signes pyramidaux homo-latéraux avec anesthésie homola
à la région dorsale 41a XVIII. Monoplégie crurale hypertonique sans signes pyramidaux homolatéraux et avec anesthésie homo
3 (1911) La pratique neurologique
TILTTÉ INTRINSÈQUE DU GLOBE. 5 de l'accommodation, mais c'est la un signe incertain qu'il faut toujours contrôler par le
gale intensité (réaction hémianopique relative). La recherche de ce signe est difficile; il est indispensable, en effet, de
. L'amblyopie considérée dans ce sens restreint, « l'amblyopie sans signes ophtalmoscopiques)). est, dans l'immense majori
diagnostic par les caractères précédents et la coexistence d'autres signes d'hystérie. Il faut la distinguer de l'amaurose p
stensiblement mauvais. La même réflexion s'applique à plusieurs des signes oculaires qu'on a coutume d'appeler stigmates d
lumière. Stigmates oculaires de l'hystérie. Voici rémunération des signes oculaires les plus importants attribués à l'hys
(flg. 54). L'acuité visuelle s'atténue jusqu'à 1,10 cl au delà. Les signes opht : ))- tlloscopiclucs, llcul accusés, consi
le groupe des amauroses. , Le pronostic est grave quand if y a des signes ophtalmoscopiques de névrite ou d'atrophie. Les
, hémorra- gies), on peut observer une diminution de la vision sans signes oplital- moscopiques, une véritable amblyopie.
lle, simples nausées) survient brusquement une cécité absolue, sans signes ophtalmoscopiques. Les réflexes pupillaires sont
rvenir chez des gens en apparence bien portants, et qui n'ont aucun signe d'urémie, ou d'hystérie. Cette amaurose s'amé-
toxique nicotino-alcoolique. - Le scotome central est le principal signe de l'amblyopie toxique. Quelquefois absolu, il
our le blanc est fréquent dans l'hystérie, dont il constitue un des signes importants (fig. 55). Il peut, en étendue, pré-
ndu que celui du bleu. Celte inversion du champ des couleurs est un signe d'hystérie meilleur que le rétrécissement simple.
a pas conscience de son hémianopsie; il faut la mettre en évidence. Signes pour déceler l'hémianopsie. - La tête prend quelq
s cette variété d'hémianopsie, qu'on pourrait mettre en évidence le signe pupillaire de Wernicke. Tous ces faits s'expliq
urait lieu d'après "'pn11cke. Malheureusement, la re- cherche de ce signe est très difficile et dans bien des cas, il est i
s for- tement altéré; la vision centrale très diminuée; il y- a des signes ophtalmoscopiques précoces ou tardifs dans tous
mianopsie n'est qu'une ma- nifestation. Tabes : Symptômes du tabes ( signe d'Argyl Robertson, signe de Westphal). Méningit
nifestation. Tabes : Symptômes du tabes (signe d'Argyl Robertson, signe de Westphal). Méningite : Symptômes de méningite
paralytique se distingue du strabisme non paralytique par tous les signes propres au strabisme non paralytique que nous v
rrespondant est inclinée. Cette inclinaison constitue encore un bon signe pour reconnaître l'oeil paralysé. ' Nystagmus.
TEURS DES GLOBES. 61 Diagnostic A l'aide DE la DIPLOPIE. Tous les signes précédents qui accompagnent les parésies ou paral
Diagnostic du siège. Quand, il l'aide de la diplopie ou des autres signes de paralysie, on a déterminé le muscle ou les mus
sie d'origine tronculaire peut aussi présenter des dissociations. Signe d'Argyl Robertson. Il est caractérisé par la pert
crés il chacune des affections. Traumatisme. Fractures de la base : signes de fracture du crâne. - TranIl1atis\11e orbitai
légères, fugaces, récidivant facilement, quelquefois persistantes; signe d'Argyl IVoberlson. Névroses, hystérie (rare),
state lexislence d'une légère dilatation pupillaire spasmodique. Ce signe pupillaire s'accom- pagne d'autres symptômes d'
es de dilatation et de rétrécisse- ment pupillaire sont toujours un signe fâcheux au cours des maladies mentales. Dans
dans la paralysie géné- rale, le tabès, on a même pensé en faire un signe de videur pour ces affections. En réalité, on l
tances, on aurait pu, malgré une cécité en apparence complète, avec signes d'atrophie du nerf optique, produire le réflexe
e neurone périphérique de la voie photomotricc réflexe (I¡g. 30). Signe d'Argyl Robertson : Tel que l'a décrit Argyl Robe
ours, quel que soit l'oeil frappé par la lumière (Voir lit, 50). Ce signe a une grande valeur séméiologique. C'est une des
o-spinale. Certains, Babinski entre autres, le considèrent comme un signe de syphilis nerveuse. Et, de fait, presque tout
e rencontre ont été précédées de la syphilis. C'est au point que le signe d'Argyl Robertson, isolé ou associé, doit toujour
r chez 41 pour 100. le second chez 45 pour 100 des tabétiques. Ce signe n'a pas été assez bien étudié pour qu'il soit pos
re très fréquemment, il est vrai, chez des personnes présentant les signes attribués cette névrose, mais on la trouve aussi,
rétion lacrymale (paralysie de l'orbiculaire .sans larmoiement). Un signe qui dénote la prise du grand nerf pétreux super
'est pas intact et on peut souvent déceler ,sa participation. - Signe de Revillod : Si l'on demande il un hémiplégique
l- ler. L'absence d'occlusion palpébrale, dans ce cas, constitue le signe de Stehvag (Voir Goitre exophtalmique). Elle
laissent voir nne grande étendue de la sclé- rotique (fig. 64). Signe de Stelwag. Cette rétraction des paupières con-
Signe de Stelwag. Cette rétraction des paupières con- stitue le signe de Stehvag; dans les cas très accusés, l'oc-
ie du globe oculaire reste toujours à découvert (lagophtalmie). Signe de de Graefe. Consiste en une sorte de désé-
htalmique (E. Boix). 108 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Signe de Roserzhach. Ce signe est constitué par la rare
08 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Signe de Roserzhach. Ce signe est constitué par la rareté ou même l'absence d
constitué par la rareté ou même l'absence de clignement. Comme les signes de Stclwag et de de Gracie, il est dû à la rétr
il est dû à la rétraction spasmodique des paupières. A côté de ces signes , plus fréquents et plus importants, qui caractéri
diagnostic de la maladie de Basedow. II faut .toujours rechercher les signes de de Graefe, de Stelwag, de llosenbach. Mais,
xe palpébral il l'attouchement de la cornée est considérée comme un signe d'hystérie. Enfin une troisième variété d'anest
pour la rétinite pigmentaire, affection caractérisée, en dehors des signes ophtatmoscopiques, par de t'hemeratopie, un rét
rable la vision des couleurs. La dyschroma- topsie constitue un bon signe de lésion du nerf optique. Elle s'accompagne d'
tentes peuvent exister bien longtemps avant l'apparition du moindre signe ophtalmoscopiqne au fond de l'oeil. Lésions du
n refroidissement, des maux de tète violents s'installent, tous les signes d'une méningite aiguë se déclarent, (on a maint
d'une méningite aiguë se déclarent, (on a maintenant des cas où ces signes sont corroborés par l'examen positif du liquide
nts dans les tumeurs cérébrales. Ils peuvent prendre la valeur d'un signe de localisation, par exemple dans les tumeurs d
tes/ il. survient parfois de la fièvre intense à début brusque avec signes d'irritation méningée, vomissements, délire, co
pfJl1to-red']H'lIl'IIX : aux symptômes généraux des tumeurs et aux signes de compression MALADIES DU NERF AUDITIF. - 157
ymptômes accessoires. C'est ainsi qu'on pourra voir s'y ajouter des signes indiquant la participation du noyau du pneumogast
ésions méconnues de l'oreille n'ayant donné lieu qu'à un minimum de signes fonctionnels. .L'importance diagnostique du « p
sistance auor- male au vertige voltaïque peut ainsi être parfois un signe objectif per- mettant de déceler une augmentati
compli- quent d'otites, mais il peut, exister en l'absence de tout signe d'altéra- tion des voies auditives. Il serait d
de la trompe d'l,ust;lclu. \ous n'avons à insister ici, ni sur les signes des différentes lésions de l'oreille, ni sur les
ni sur les signes des différentes lésions de l'oreille, ni sur les signes des affections provocatrices des troubles auric
xamen de l'oeil complétera ce diagnostic. On ne prendra pas pour un signe de l'origine oculaire du vertige les sensations
e céphalalgie, de vomissements, parfois de syncope, très souvent de signes , oculaires ou autres, de compression ou d'oedem
sd("rose viscérale ou périphérique, soit surtout de quelques autres signes d'arterio-scierosé cérébrale : céphalalgies sur
s surtout à la crainte de tomber; Grasset, Bonifier font rentrer le signe de Roinberg parmi ces vertiges. , 5° Vertiges
ion des orteils peut être décelée quelques heures après l'ictus. Le signe de Rabinsky est beaucoup plus précoce que les s
rès l'ictus. Le signe de Rabinsky est beaucoup plus précoce que les signes de Mendel ou d'0111unlleim. Les différents mo
fois. En même temps que se récupèrent les fonctions cérébrales, les signes d'une hémiplégie s'accusent d'ordinaire, et, mê
plus, le pronostic est fatal. Ici encore se peuvent^ rencontrer les signes de gravité déjà énumérésplus haut, myosis extrême
de coma légitime avec hyperthermie fréquente; les antécédents, les signes habituels (miction, morsures, pétéchies cervica
celui-ci, de l'albumine chez cet autre. Nous n'insistons pas sur les signes capables d'affermir le diagnostic, bruit de gal
meure entre ses crises hébété, le regard atone, présentant tous les signes d'une obnu- hilalion intellectuelle profonde. L
e. Les ma- lades présentent du rire et du pleurer spasmodiques, des signes évidents d'hémiplégie cérébrale double, général
ètement et correctement formés. L'on ne constate bien entendu aucun signe manifeste de para- lysie des organes de la phon
iales dans les paralysies des lèvres. Nous n'insisterons ni sur les signes physiques concomitants, images 1,'Ilyilo,oscopi
ous lui attribuons après les dysarthries spastiques organiques. Les signes de ce bégaiement vrai sont au nombre de quatre
ions de phrases, de la faiblesse du contrôle mental. Ces différents signes de déficit (oubli, automatisme), déjà évidents da
e l'aphasie un trouble de la compré- hension et de l'expression des signes normaux du langage indépendant de la démence, d
rer au malade dans la conversation. b) Mimique conventionnelle. Les signes les plus simples sont ceux de « oui » et « non
presque toujours conservés. Il faudra doue; recourir en outre à des signes conventionnels d'un usage moins habituel; faire l
nous dit, un tronhle de la compréhension et ¡'l'l' l'expression des signes normaux du langage, indépendant de la démence e
lésions de la ré- gion pariéto-temporale; mais Liepmann en fait un signe de lésion du corps calleux, pont interhémisphér
es malades qui prononcent des paroles, font des gestes, tracent des signes graphiques qui, dans leur esprit, doivent les pro
jours de date au moment de l'admission du malade. Le médecin qui signe ne doit être ni médecin attaché à l'établissement
on continue et non par besoin; il ne s'éveille pas, ne montre aucun signe d'intelligence; il ne cherche pas à prendre les
out à fait au début de cette maladie. Nous avons déjà dit sur quels signes on pouvait baser ce diagnostic : indifférence de
les tissus mous. La douleur vive : 't la pression des nerfs est un signe important en semeio- logie; elle s'observe dans
t rencontrer de t'anesthesic des troncs nerveux à la pres- sion. Ce signe est tout particulièrement fréquent dans le tabès
rticulièrement fréquent dans le tabès où l'anes- Ihésie du cubital ( signe de lIi<'l'I1¡]ekÎ) peut être un des j'rcmiers
ourbe, et sectionne les voies visuelles. L'hémianopsie n'est pas un signe de localisation corticale; on peut également la
/ le foyer hémorragique. 514 SENSIBILITÉ. mitants les différents signes du syndrome thalamique et notamment les douleur
que ceux de l'hémianesthésie corticale ou thalamique. Mais certains signes nouveaux, résultant des rapports qu'affectent l
zig. Marincsco) les troubles sensitifs objectifs sont souvent des signes précoces, apparaissant au début de la] maladi
n. Par leur topographie, ils pourront. seuls ou mieux associés au signe de Westphall et d'Argyll Robertson, permettre
er brièvement les plus fréquentes. L'aneslhésie à la douleur est le signe le plus fréquent et le premier en date; la ther
s le tabes de la dissociation syringomyélique de la sensibilité. Un signe fréquent, qui peut également servir pour le dia
iagnostic du tabes, c'est l'anesthésie du nerf cubital à la pression ( signe de Biernacki). , C'est dans le tabes enfin, q
facile; elle est souvent même très difficile. Voyons quels sont les signes qui peuvent aider dans ce diagnostic. " Les c
de recourir, pour le diagnostic, aux autres symptômes concomitants ( signes moteurs, sphinctériens, trophi- ques, examen de
a fonction génitale (érection conservée, éjaculation abolie) est un signe qui a son importance dans les lésions sacrées e
e celles de la moelle; lorsqu'elles existent, il y a en général des signes vertébraux, permettant de poser un diagnostic de
rtébraux, permettant de poser un diagnostic de localisation. Si les signes vertébraux manquent, il s'agit presque toujours d
s ; elles sont exaspérées par l'effort, surtout dans l'éternuement ( signe de l'élernuemenl), qui provoque, par suite du c
analgésie. On a signalé l'anesthésie du nerf cubital à la pression ( signe de Biernacki), qui pourrait servir pour dia- gn
ettent de diagnostiquer l'hys- térie, et que c'est par l'absence de signes d'affection organique, par exclusion pour ainsi
ations hystéro-organiques, ce qui l'empêchera de rattacher tous les signes observés soit à l'hystérie, soit au contraire à
vra connaître enfin les TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 signes cliniques particuliers aux troubles sensitifs hys
7 signes cliniques particuliers aux troubles sensitifs hystériques, signes (lue nous avons décrits plus haut et que nous r
raphie ne répondant pas exactement il un territoire anatomique. Ces signes aideront il distinguer les troubles fonctionnels
; c'est alors qu'il faudra rechercher, très prudemment encore, les signes qui différencient les hemiauesthesies organique
dence les caractères différentiels. Nous ne reviendrons pas sur les signes de l'hémianesthésie hysté- riquc, mais il est b
objective sont très fréquentes chez les aliénés ; elles sont un des signes les plus importants que puisse révéler chez eux
musculaires, des'troncs nerveux (dans les névrites), ou des os. Le signe de Lasègue (flexion de la cuisse sur le bassin,
e, à peu près constante, est souvent le premier en date de tous les signes de l'affection. Elle fait partie des signes com
ier en date de tous les signes de l'affection. Elle fait partie des signes communs, des tumeurs cérébrales, quel qu'en soit
onvulsions, aux vomissements, à l'affaiblissement intellectuel, aux signes oculaires, prend une importance capitale dans la
Poil. Ces douleurs, ordi- nairemcut. localisées, sont un excellent signe de diagnostic et doivent être recherchées avec
ladie de Raynaud), les dysesthésies représentent à elles seules les signes subjectifs de la période d'invasion ou de synco
issent complètement après un repos de quelques minutes. Ce sont les signes avant-coureurs d'une paralysie définitivement c
stérie, elles apparaissent soit comme phénomène durable, soit comme signe passager dans la période prodromique des crises c
s chondro-stcrnajes. 2. La névralgie intercostale peut être le seul signe d'un anévrisme de l'aorte, aussi les examens ra
que' radiculaire, souvent d'origine syphilitique, se traduit par le signe de Lasègue comme la sciatique non radiculaire, pa
le avec rétrécissement pupillaire. La céphalalgie se constate comme signe prodromique de beaucoup de maladies infectieuse
ne façon continue et régulière : c'est le clonus du pied qui est le signe de l'exagération du réflexe achilléen. - , ' Ce
éfaut, sans que d'ailleurs il existât chez aucun des ces malades de signe d'une affection nerveuse. Chez les nouveau-nés,
flexe rotulien est un des symptômes les plus constants du tabès. Ce signe est devenu un des signes cardinaux de cette mal
s symptômes les plus constants du tabès. Ce signe est devenu un des signes cardinaux de cette maladie : il est connu sous le
des signes cardinaux de cette maladie : il est connu sous le nom de signe de 11'ealrltal et constitue avec le signe de Romb
est connu sous le nom de signe de 11'ealrltal et constitue avec le signe de Romberg. le signe de Hobertson et t ataxie l
m de signe de 11'ealrltal et constitue avec le signe de Romberg. le signe de Hobertson et t ataxie le syndrome caractéris
ans le tabès : c'est donc à juste litre qu'on a donné son nom il ce signe , mais il convient d'associer le nom d t'jrb il
u tabès vulgaire : démarche avec trainement des jambes. paraplégie, signe de Babinski (Pierre Marie et Crouzon). Dans les
xes achilléens seuls seront touchés. Et c'est la constatation de ce signe qui permet de faire le diagnostic de l'atteinte
éens. Enfin, l'abolition généralisée des réflexes est également, un signe qui s'observe dans la cachexie et élans les int
eurs est le plus sou- vent liée aux symptômes suivants : paralysie, signe de Babinski, troubles des fonctions des sphinct
racture ou elle en annonce l'apparition; elle s'accompagne enfin du signe de Babinski. L'exagération des réflexes s'obser
ération des réflexes, trépidation épileptoïdc; en même temps il y a signe de Babinski, le malade peut arriver alors il un v
, c'est le réflexe plan- taire avec extension des orteils, c'est le signe de Babinski que Van Gehuchten considère comme u
miologique n'approche pas, pour la plupart des auteurs, de celle du signe de Babinski. C'est le signe de Babinski qui a .
our la plupart des auteurs, de celle du signe de Babinski. C'est le signe de Babinski qui a .donc la plus grosse importance
tanés, c'est par lui que nous commencerons : Phénomène des orteils ( signe de Babinski). Le 22 février 18'.)6, dans une co
s tendant à regarder en haut, c'est lit le phénomène des orteils ou signe de Babinski. C'est au gros orteil que se voient
'être qu'une amplifica- tion ou une exagération en durée de ce même signe . Ainsi donc, l'extension des orteils, le phénom
ille, et montrant l'extension des orteils. (Phénomène des orteils, ou signe de Babinski.) (Babinski, Gazette des hôpitaux.)
qu'actuellement la presque unanimité des auteurs considère; que ce signe de Babinski est un des plus précieux que possède
et une des plus importantes acquisitions récentes delà clinique. Signe de l'éventail. Plusieurs années après la découver
de Dupré, on a coutume d'appeler maintenant ce phénomène du nom de signe de l'éventail. - . : . Nous avons donc vu quell
« au contraire normal. » A quel moment de l'hémiplégie apparaît le signe de Babinski ? Le phénomène de Babinski peut app
t Le Sourd dans 92 pour 100 des cas. Dans bon nombre de cas où le signe de Babinski n'apparaît pas dans l'hémiplégie, i
ation, point de départ du réflexe. Dans 1 hémiplégie hystérique, le signe de Babinski n'a jamais été constaté. Pierre M
te syphilitique ou 11(üdue, syringomyélie, sclérose en plaques), le signe de Babinski est presque constant ; il est, suivan
inski, par Cestan et Le Sourd, par Charnel, Crouzon et Esménard. Ce signe permet de différencier les accès épileptiques d
différencier les accès épileptiques des crises d'hystérie. 6° Le signe de Babinski se rencontre encore dans les méningit
se des cor- dons latéraux. (C'est cette dernière lésion qui crée le signe de Babinski). Le signe de Babinski se rencontre
ux. (C'est cette dernière lésion qui crée le signe de Babinski). Le signe de Babinski se rencontre également dans le tabes
dans aucune des affections où le faisceau pyramidal est intact. Le signe de Babinski a été observé également dans la fièvr
te trans- formation constante particulièrement dans l'apparition du signe de Babinski dont nous avons indiqué suffisammen
La valeur séméiologique des réflexes cutanés si l'on en excepte le signe de Babinski est beaucoup moins importante que c
on du faisceau pyramidal, et par conséquent a la même valeur que le signe de Bakinski. Crocq [Journal de Neurologie, 1901
rieur il en est de même pour le réflexe rotulien; la re- cherche du signe de Babinski, quand elle donne un résultat positif
t un peu contre le sol le pied du côté qui a été paralysé. Un autre signe à noter consiste en ce que, pendant qu'ils marc
é de fermer ou d'ouvrir isolément la paupière du côté hémiplégique ( signe de Hevitliod). La langue éprouve parfois, mais
corps anesthésiéc. de mouvements choréo-albé- tosiques, absence du signe de Babinski. y) Capsule interne. Les lésions de
il existe une exagération manifeste des réflexes tendi- neux et le signe de Babinski, et, pour peu que l'hémiplégie soit u
iplégie en présence de laquelle il se trouve présente bien tous les signes physiques qui appar- tiennent il l'hémiplégie o
physiques qui appar- tiennent il l'hémiplégie organique. Parmi ces signes , les suivants ont été signalés par M. Babinski.
lexion exagérée il l'avant-bras. " On ne constate pas non plus le signe du peaucier, qui consiste chez les organiques d
doit placé sous le menton, on résiste un peu il ce mouve- ment. Le signe de la pronation (Babinski) ne s'observe que dans
que dans un certain nom- bre de cas, mais elle parait à Babinski un signe de premier ordre pour le diagnostic différentie
muscles exten- seurs de la cuisse sur le bassin étaient entravés. Signe du peaucier. Babinski, dans les mêmes publication
us énergique du côté sain que du côté para- lysé. On peut mettre ce signe en évidence en commandant au malade d'ouvrir la
s vu plus haut due l3ahinsl : i a décrit l'abduction des orteils ou signe de l'éventail comme un phénomène de même valeur
et il reflète dans ce cas l'existence de la sclérose pyramidale. Signe de Charles Bell. Charles Bell a signalé, dans la
résultat de cacher la pupille derrière la paupière supérieure : ce signe est également un signe de paralysie or- ganique
pupille derrière la paupière supérieure : ce signe est également un signe de paralysie or- ganique et ne peut être reprod
la bouche; quelquefois ce mouvement se produit dans le côte sain. SIGNE DE KERNIG. Kernig a décrit, en 1885 et 1884 à l
tersIJollrg puis dans le Berline1' lilinische JVochensclll'1P., un signe qu'il' a considéré comme ayant une valeur très
nton et Voisin (Gazelle des hôpitaux, 27 août 1904) pour décrire ce signe et rechercher sa valeur séméloiogique. ' Techni
rechercher sa valeur séméloiogique. ' Technique de la recherche du signe de Kernig. Il faut laisser le malade assis dans
t ou, si la flexion étant empêchée, le malade ne peut s asseoir, le signe de Kernig existe. ' " , 2° On peut asseoir le
obtenir l'extension complète : si l'extension est impossible il y a signe de Kernig. 5° Enfin, on emploiera, surtout chez
est en réalité une manoeuvre absolument semblable à la recherche du signe de Lasègue dans la sciatique. Si le signe de Ke
mblable à la recherche du signe de Lasègue dans la sciatique. Si le signe de Kernig existe dans ce mouvement, on sent insen
flexion, l'extension complète est impossible. Cette constatation du signe de Kernig aux membres supérieurs a été faite pa
cture des membres supérieurs dans, les méningites, c'est surtout au signe de Kernig, au niveau des fléchisseurs des membr
ui sur lequel nous insisterons davantage. Valeur séméiologique du signe de Kernig. Le signe de Kernig, comme nous l'avo
insisterons davantage. Valeur séméiologique du signe de Kernig. Le signe de Kernig, comme nous l'avons vu, consiste dans
et pathologique. Cippolina et llaragliallo admettent, aussi, que le signe de Kernig n'est que l'exagération pathologique
phénomène. Wennagel (Deutsch A1'Cltiv sur li lin. med.) a trouvé le signe de Kernig chez un certain nombre de sujets. Amadu
ts. Amaducci a fait les mêmes constatations. M. Wilson rencontre le signe de Kernig chez 20 pour '100 de sujets normaux.
Il faut donc faire quelques ré- serves sur la valeur absolue de ce signe : associé il d'autres symptômes, il peut rendre
1(ningo-nH"dullain', La lésion de la 111(;. ningite est la cause du signe de Kernig : dans ce cas. elle est plus parti- c
ésions cellulaires. 5" Un certain nombre d'auteurs admettent que le signe de Kernig et le signe de Lasègue ne sont qu'un
Un certain nombre d'auteurs admettent que le signe de Kernig et le signe de Lasègue ne sont qu'un seul et. même symptôme,
reuse, et Abadie a pu prouver que raehicocaïnisal ion supprimait le signe de Lasègue et laissait subsister le signe de Ke
aïnisal ion supprimait le signe de Lasègue et laissait subsister le signe de Kernig. Nous venons d'exposer la valeur sémé
e Kernig. Nous venons d'exposer la valeur séméiologique générale du signe de Ivernig; nous pouvons donc en conclure que c
générale du signe de Ivernig; nous pouvons donc en conclure que ce signe est une contrac- ture musculaire qui se produit
dans lesquelles on les rencontre. Nous étudierons successivement le signe de Kernig dans' la méningite ou les réactions m
éactions méningées, puis dans les maladies du système nerveux. Le signe de Kernig, comme nous l'avons déjà dit, rt fait l
ler de la méningite cérébro-spinale. On a pensé tout d'abord que le signe de Kernig appartenait plus particulièrement à c
ue la méningite cérébro- spinale s'accompagnait plus fréquemment du signe de Kernig. Cependant, si nous rapportons le rés
uleuses. Dans les thèses récentes de Monod, Lulier et Percheron, le signe de Kel'llig est rencontré également dans la mén
éningite cérébro-spinale. On peut donc dire, dès maintenant, que ce signe appartient aussi bien il la méningite tuberculeus
icipation de ménin- gite modulaire (t)ieutafoy). 11 semble que le signe de Kernig suive la phase de la contracture et s
de syphilis, le diagnostic de cette hémiplégie était très délicat; le signe de Kernig nous permit de faire le diagnostic de
, Rist, ont observé' des cas de ce genre. Hémorragie méningée. - Le signe de Kernig est un .symptôme impor- tant de l'hém
fections. On a pu observer, dans un certain nombre d'infections, le signe de Kernig qui a pu tout d'abord faire croire à
ans la fièvre typhoïde, Netter a pu constater dans 1 1,8 des cas le signe de Kernig; dans un certain nombre de cas, il a pu
dans un certain nombre de cas, il a pu constater en même temps des signes classiques de méningites ; dans d'autres cas, il
nt, Sainton et Voisin l'ont constaté également. Netter considère ce signe comme très important non seulement au point de
il s'observe dès le début de la maladie, accompagné ou non d'autres signes méningés; quelquefois enfin il s'observe dans l
actéristique d'une véritable méningite pneumonique. La fréquence du signe de Kernig dans la pneumonie est moindre que dans
que dans la fièvre 1)'- plroïde; Voisin a observé plusieurs fois le signe de Kernig chez des enfants atteints de broncho-
. Enfin, on a pu observer égale- MOUVEMENTS ASSOCIÉS. 485 ment ce signe au cours de la pleurésie purulente à pneumocoques
ment ce signe au cours de la pleurésie purulente à pneumocoques. Le signe de Kernig peut se rencontrer dans d'autres affect
ations, dans l'urémie (Thévenet et Pélm). Walthcr a pu constater le signe de Kernig dans certains cas après la l'ac hi-co
ne de Kernig dans certains cas après la l'ac hi-cocaïnisat i 011. Signe de Kernig clans les maladies du système nerveux.
at i 011. Signe de Kernig clans les maladies du système nerveux. Le signe de Kernig a été rencontré au cours des affectio
antes dans les membres inférieurs. Dans l'intervalle des crises, ce signe disparaissait. Dans la paralysie générale, il a
ladie ; il indique l'apparition de troubles mé- dullaires et esl nn signe d'un pronostic fâcheux. Williamson ( British Mé
vant Piéri, il n'y aurait pas lieu de faire de distinction entre le signe de Lasègue et le signe de Kernig. On a constaté
it pas lieu de faire de distinction entre le signe de Lasègue et le signe de Kernig. On a constaté le signe de Kernig dan
n entre le signe de Lasègue et le signe de Kernig. On a constaté le signe de Kernig dans les affections du cerveau en foy
ves du cerveau (Abadic), dans l'abcès cérébral (Klippel). Enfin, le signe de Kernig a été rencontré dans le méningisme hyst
on brusque, présenta du méningisme hystérique. Comme on le voit, le signe de Kernig peut s'observer très rarement chez de
ngées qu'il a pu révéler cliniquement. ' 11 faut donc considérer ce signe comme ayant une valeur incontestable, peut-être
n général du sujet (troubles des membres supérieurs, état des yeux, signe d'Argyll, .psychisme). La ponction lombaire et
le aux muscles proches et même au membre voisin. La recherche des signes de Babinsky et d'Oppcnheimmontre générale- ment
esthésie des apophyses épineuses à la pression ou à la chaleur. Les signes radiculaires sont beaucoup plus difficiles iL i
ois, et de tels points peuvent se ren- PARAPLÉGIE. 4UÍ ï contrer. Signe plus intéressant et constant, ces douleurs sont a
se prononcer le clinicien en faveur de la paraplégie organique : Signes de présomption : atrophie, incontinence, fièvre,
s; de l'autre côté se constatent de l'exagération des réflexes avec signe de Babinsky en extension, de l'adduction de la cu
arésie accompagnée déjà de l'exaltation des réflexes tendineux sans signe de Babinsky en général. (Lhermitte.) L'atteinte d
our ce faire, on cherchera tout d'abord s'il n'existe point quelque signe extérieur susceptible par lui-même d'orienter l
ve en effet, dans le syndrome de la queue de cheval, l'ensemble des signes réunis des lésions de l'épicônc (se reporter à la
ans l'action de grimper. La paralysie du trapèze se traduit par des signes différents suivant la partie ! de muscle qui es
nostic du siège des paralysies radiculaires se fera par l'étude des signes oculo-pupillaires indiquant que la lésion existe
paralysies totales et des paralysies radiculaires inférieures. Les signes oculo-pupillaires manquent fréquemment ; De Pe-
les paupières, le globe de l'oeil est attiré en haut et en dehors ( signe de Ch. Bell); cette élévation du globe de l'oeil
. L'augmentation anormale du volume d'un muscle est plus souvent le signe de son atrophie que de son hypertrophie. L'atro
e de vue quand on cherche à apprécier le degré d'une amyotrophie. SIGNES DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE Le plus souvent c'est
phie de cette portion. 1. P. MAillE et GuiNoi. Rev. méd., 1885. ' SIGNES DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. ( ! 59 La palpation n
nd ils passent de I l'état de repos à l'état de contraction, est un signe d'atrophie bien plus ( [il. LEM.] 660 ATROPHI
diminution de volume des muscles, soit quand il s'y joint certains signes d'affection nerveuse. Dans le premier cas, l'affa
cas c'est la gêne fonctionnelle qui est presque toujours le premier signe , mais le degré de ce trouble est essentiellement
me tous les symptômes que l'on considère, à tort ou à raison, comme signes d'altération nerveuse ont été signalés, isolés ou
musculaire. L'amyotrophie progressive de l'adulte peut être le seul signe clinique d'une maladie, ces cas sont tout il fa
des symptômes prédominants d'une affection nerveuse que ses autres signes permettent de classer. L'atrophie musculaire prog
'absence de contractions fibrillaires a été considérée comme un bon signe différentiel des amyotrophies protopalhiques. Pou
tion de dégénérescence, elle avait été longtemps consi- dérée comme signe caractéristique de l'atrophie d'origine musculair
rophie dans les diffé- rents types. Symptômes non musculaires. ( Signes accessoires de dégénérescence.) ' Les os parais
traire que l'absence d'asthénie musculaire peut être d'ordinaire un signe différenciant la myopathie de la neurasthénie.
étr., 1,902. AMYOTROPUIE CIIARCO'I'-11AII11 ? gaz Variétés. Les signes différentiels cliniques de l'atrophie Charcot-Mar
l'exécution de certains petits mouvements des mains sont souvent le signe révélateur de l'affection, alors même que l'atr
e la sclérose en plaques : l'abo- lition des réflexes tendineux, le signe de Romberg qui n'est parfois qu'ébauché, le sig
xes tendineux, le signe de Romberg qui n'est parfois qu'ébauché, le signe d'Argyll-Robertson ou le simple affaiblissement
la peau. G08 ATROPHIES MUSCULAIRES. exophtalmie avec ébauche du signe de de Grael'e (cas de Pierre Marie) ; les troub
l'amyotrophie n'est qu'un symp- tôme dans un tableau clinique : les signes associés montrent que d'autres parties de la mo
- gnent rapidement à l'atrophie ou la précèdent et, en dehors des signes ordinaires de la sclérose en plaques (démarch
tribuer à la séreuse méningée sa véritable importance.. Plusieurs signes cliniques différentiels avaient été donnés de l
t l'exagération des réflexes rotuliens et l'e.xtension des orteils, signes de la dégénération du cor- don latéral ; enfin
a peut-être être établi avec certitude quand on observera : 1" Le signe <7'/h'< ? 7 ! o'<son, signe presque cara
e quand on observera : 1" Le signe <7'/h'< ? 7 ! o'<son, signe presque caractéristique et sou- vent précoce de
aux muscles de la face, de la langue, des yeux, etc., avait aussi des signes manifestes de tabès (douleurs fulgurantes, inco
arachnoïdiens qui entourent des sanglions enflammés, serait un bon signe pour dépister l'atteinte ganglionnaire (Dejerine,
ution rapide. e) Flasques : réflexes tendineux diminués : Tabès : Signes tabétiques. Névrites ( ? ) ou pseudo-névrites (
Névrites ( ? ) ou pseudo-névrites (myélites ? ) : saturnines, etc. ; signes propres. Poliomyélite antérieure chronique ?
st rapide et les contractions suivantes sont affaiblies. Tous ces signes de l'hypertrophie musculaire apparaissent surtout
pos, soit à l'etat de contraction. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL .^ Ces signes permettent en général de distinguer l'hypertrophi
l'aug- mentation anormale du volume d'un muscle est plus souvent le signe de son atrophie que de son hypertrophie. En deh
es sujets atteints il ! utero de sclérose cérébrale et nés avec les signes d'une hémiplégie ou d'une diplégie cérébrale in
fibre qui s'atrophie. L'hypertrophie préatrophique est donc déjà un signe de la maladie de la fibre musculaire : on compr
onc- tionnel véritable ; peut-être ce symptôme est il en réalité un signe de l'atteinte légère concomitante du faisceau p
n signe de l'atteinte légère concomitante du faisceau pyramidal, un signe de la sclérose combinée des cordons postérieurs
tiques syphilitiques tertiaires qui ne présen- taient presque aucun signe de tabès, parfois même pas le signe de V'esl- p
ne présen- taient presque aucun signe de tabès, parfois même pas le signe de V'esl- phal (cas de « tabes-cécité »). Parfo
ettement dès qu'on fait fermer les yeux ; c'est ce qu'on appelle le signe \de homberg qui est l'un des symptômes les plus p
s précautions feront reconnaître le défaut de stabilité du sujet (« signe de l'escalier » de Fournier) ; 3° Rechercher le
é du sujet (« signe de l'escalier » de Fournier) ; 3° Rechercher le signe de Romberg les pieds joints ; 4° Commander l'at
ata- xie dite « labyrinthique » par sclérose des nerfs auditifs (le signe de Rombcrgpcut être dû à la seule atrophie des
server dans le tabès, d'une façon généralement très accessoire, des signes de toutes les variétés d'ataxie et d'asynergie
soit une sclérose combinée où, à côté de l'ataxie et des différents signes ordi- naires du tabès et de la maladie causale,
oestliésie, l'abolition du réflexe rotulien, enfin de l'ataxie avec signe de Romberg ; à ces troubles médullaires se joig
lition des réflexes tendineux, atrophie musculaire; il n'y a pas de signe d'Argyll- Robertson ni généralement de Romberg.
sculaire, enfin incoordination, démarche mal assurée et talonnante, signe de Romberg; on n'observe ni troubles vésicaux,
talonnante, signe de Romberg; on n'observe ni troubles vésicaux, ni signe d'Argyll, ni atrophie papillaire. Ces troubles
des troubles de l'équilibre, de l'ataxie des membres inférieurs, le signe de Romberg, une douleur sourde dorso- lomho-sac
ration des réflexes, quelques troubles sphinctériens légers, pas de signe d'Argyll. pas de douleurs fulgurantes; l'évolut
ou sans légère incoordina- tion, ou démarche titubante, sans autre signe de tabès. Les examens his- tologiques récents d
autres anesthésie plantaire, incoordination parfois très prononcée, signe de Romberg, abolition des réflexes, qui réalise
ison presque toujours favorable, enfin la notion étiologique et les signes spéciaux de l'infection ou de l'intoxication ca
on sensitive par l'instabilité statique et l'existence constante du signe de Romberg. Certains faits montrent que le sign
tence constante du signe de Romberg. Certains faits montrent que le signe de Romberg peut être dû à la seule sclérose lab
on des cor- dons postérieurs (Collet), et Bonnier pense même que le signe de Romberg dans le tabes est sous la dépendance
l'ataxie labyrinthique est généralement complété par l'existence de signes oculaires, soit nystagmus, soit absence des mouve
l'incoordination n'est guère exagérée par l'occlusion des yeux; le signe de Romberg n'existe pas dans les lésions pures
acilite en rien la composition des mou- vements, et il n'y a pas de signe de Romberg. L'asynergie n'est d'ailleurs pas ex
are que la titllbation cérébelleuse vraie. Au contraire. les petits signes de l'asynergie sont très fréquents : que les mala
e sont très fréquents : que les malades titubent ou non, ces petits signes se révèlent soit spontanément il l'occa- sion d
e asynergie qui a d'abord conduit Babinski à reconnaître les petits signes de l'asynergie, c'est la démarche asynergique-t
cartés de la ligne de direc- tion. Petite asynergie. Les petits signes de l'asy- nergie cérébelleuse peuvent être co
ément et progressivement, comme le ferait [.A. LÉRI.] Fig. 6cL 7. Signe de la flexion combinée des cuisses et du bassin
il s'accompagne généralement de vertiges très intenses, de tous les signes accessoires que nous avons énumérés plus haut e
tous les signes accessoires que nous avons énumérés plus haut et de signes de com- pression cérébrale, souvent de signes d
mérés plus haut et de signes de com- pression cérébrale, souvent de signes d'altération d'organes voisins, du nerf vestibu
tables, mais il n'est pas vrai, comme le pensait Friedreich, que le signe de Romberg fasse toujours défaut. [A. LÉRI.]
il la Babinski ; l'asy- nergie était ébauchée, mais mélangée à des signes prédominants d'ataxie vraie. L'incoordination
du côté des membres infé- rieurs, ils sont généralement modérés; le signe de Babinski a toujours été observé. Les réflexe
, sont presque toujours absents, quelquefois seulement diminués. Le signe d'Argyll fait défaut. Les troubles de la sensib
instable, comme dans la maladie de Friedreich. Il y a pas ou peu de signe de Romberg. Les mouvements isolés des membres i
feste des membres inférieurs et supérieurs à type Charcot-Marie, le signe d'Argyll plus ou moins complet, parfois avec my
1 stopper. Les chan- gements de direction sont très difliciles. Le signe de Romberg est très accusé. La station debout n
oute sensation vertigineuse; parfois il existe aussi une ébauche du signe de Romberg ()3ouvcrel). Ces troubles, associés
es anta- . gonistes. eS.. 2° Influence du contrôle de la vision : signe de Romberg. Symptômes concomitants : .' Const
5 d) Cerveau : Ullilatémlité : hémiataxie; Faible intensité des signes d'incoordination : Concomitance d'hémiplégie av
cations aiguës : Troubles associés nerveux et gastro-intestinaux; Signes d'incoordination surtout cérébelleuse : troubles
d'incoordination surtout cérébelleuse : troubles de l'équilibre; ., Signes spéciaux suivant l'intoxication : a) Ivresses p
ce cérébcl- * leuse ? ) et de troubles de l'équilibre statique avec signe de Romberg (d'appa- rence radiculo-médullaire ?
laire ? ) ; Concomitance de lésion de l'oreille interne, souvent de signes oculaires (nystag- mus vrai, nystagmus de rotat
'où perte de l'équilibre. . b) Petite asynergie : série de petits signes décelables dans les mouvements d'épreuve (exerc
ssocié à vertiges, nystagmus, vomissements, céphalalgie occipitale, signes de compression cérébrale, souvent aiaxie labyrint
nter ici une analyse de la séméiologie bulbaire; puis, groupant les signes mor- bides conformément aux données cliniques u
ue glosso-labié. La face est pâle, on note une dyspnée intense sans signes d'ausculta- tion. Des vomissements répétés épui
quet, les pupilles sont dilatées en vénérai. Au sortir du coma, les signes observés sont des plus variables selon le siège
endu. Aux divers accidents bulbaires proprement dits s'ajoutent des signes d'hypertension crânienne. De plus, les troubles
lièrement favorable à l'hypothèse diagnostique d'une néoplasie. Les signes d'irritation bulbaire prédominent : céphalée, dou
r la poitrine. La paralysie unilatérale d'un nerf crânien serait un signe important pour 017pcnheim. L'hypertension intra
r encéphalique de siège d'abord imprécis, révélée seulement par des signes d'hypertension encéphalique et dont l'évolu- ti
Villaret, Raymond ont insisté sur la banalité d'un grand nombre des signes que l'on rencontre en les différents types : ci
ons du muscle e (amas lymphoïdes, graisse), anomalies congénitales, signes de dégéné- rescence, persistance d'organes foet
peuvent amener l'éclamp- sie. On recherche alors minutieusement les signes de ces affections en se rappelant que les crise
RISES CONVULSIVES. - 825 confirmée, on les reconnaît facilement aux signes cliniques concomitants, céphalalgie, contractur
aux résultats de la ponction lombaire, à la fièvre. Mais quand ces signes sont encore peu marqués, vagues, on doit réserv
vera quand tout sera terminé. Dans les familles nerveuses et si les signes d'épilepsie ne sont pas nets, il faut se souven
n présence de convulsions d'origine indéterminée, de rechercher les signes latents de la maladie : hyperexcitabilité élect
té électrique ou mécanique des nerfs. La constatation de ce dernier signe (signe de Chvostek), au moment d'une période d'
trique ou mécanique des nerfs. La constatation de ce dernier signe ( signe de Chvostek), au moment d'une période d'accalmi
lternatifs de la tête à droite et à gauche). Nous insistons sur ces signes parce qu'il peut arriver qu'une femme enceinte
nfectieux grave, de la fièvre, des convulsions; on ne trouve pas de signes des grandes py- rexies connues, telles que la s
frappé par l'importance des réactions nerveuses. On recherchera les signes nerveux et on reconnaîtra la méningite aiguë, l
vu comment on pouvait reconnaître une méningite tuberculeuse : ces signes valent pour l'adulte comme pour l'enfant. Chez
tristes ou ambitieuses. On reconnaîtra la cause en recherchant les signes essentiels de la paralysie générale, tremblemen
tiels de la paralysie générale, tremblement, troubles de la parole, signe d'Argyll-Robertson, etc. On pourra rencontrer q
rs avec soin s'il n'existe pas, au moins à l'état d'ébauche, un des signes suivants : céphalée et dou- leurs localisées, p
ie d'un nerf crânien, oedème papillaire en faveur d'une tumeur, des signes surtout cérébelleux en faveur d'une localisatio
un accès comitial. Le praticien recherchera alors quelques- uns des signes objectifs, que l'hystérique ne peut reproduire, c
aliser que ce que la volonté et l'imagination peuvent réaliser. Ces signes , en faveur de l'épilepsie, sont le phénomène de
malade en dehors des crises, on verra que l'hystérique présente les signes du pilhia- lisntc (Babinski), absents chez les
s, le nystagmus et surtout par l'abolition des réflexes associée au signe de Babinski. Nous rapprocherons également de
lent et quand la maladie est constituée, elle se présente avec les signes de la chorée de Sydenham. Le palper abdominal.
nt Lannois, s'arrêter sous l'influence de la volonté et c'est là un signe important entre la chorée chronique et. la CHOR
e chronique et. la CHORÉE CHRONIQUE. 8G5 chorée vulgaire. Mais ce signe est constaté par Hitet qui montre qu'il se renc
néralisés s'observent au cours de certaines névro- ses, ils sont un signe accessoire de la maladie de Basedow (Dieulafoy).
lier que le malade est un hémiplégique et il en présentera tous les signes . Les troubles moteurs, nous l'avons dit, sont p
l peine hémiplégique, il n'y a pas d'exagération des réflexes ni de signe de Babinski. Dans ce que l'on appelle les mouve
un tic purement mental « qui ne se traduit extérieurement par aucun signe », un 'il' d'idée^). A l'opposé des auteurs pré
om de spasmes. Babinski (3), ayant constaté l'existence de certains signes d'irritation du système pyramidal, extension des
e Brissaud et Meige). sun 1' : \ItIÎ : 1'(;S CLI\IQUIS. plusieurs signes objectifs, en particulier le phénomène des orteil
e (tic matériel de Pitres et Cruchet) diffère du tic autant par ses signes objectifs que par sa pathogénie. Pathogéniquement
. [A. LÉRI.] S92 ` DIAGNOSTIC. , - . - , Un certain nombre de signes , sur lesquels Babinski ,(') a justement insisté
s, on a observé non seulement une impotence fonctionnelle, mais les signes d'une paralysie organique véritable, particulière
rganique ; on trouve là le phénomène que Babinski a décrit comme un signe d'affection organique : il y a flexion exagérée
e malade et en fléchissant au même moment les deux avant-bras. Ce signe , associé à la flexion combinée de la cuisse et du
ion combinée de la cuisse et du tronc, au phénomène des orteils, au signe , du peaucier. fait partie du groupe des symptôm
istent rarement seuls ; divers stigmates de dégénéres- cerce, des signes de faiblesse intellec- tuelle leur sont fréquem
toujours la température, il y a alors dissociation des deux grands signes de la fièvre : température et pouls, c'est la fiè
, il y a constitution alors de l'état de mal opileptique, et un des signes capitaux de cet état est l'élévation de la temp
uelques jours il plusieurs mois, son intensité est variable, et les signes généraux manquent ou sont peu proportionnés au
e fruste ; il convient alors de rechercher les grands et les petits signes de l'hyperthyroïdie (Crespin). La tachycardie e
ence, de ses symptômes contraste avec l'absence presque complète de signes physiques. Un explorateur parcourt la muqueuse
tent à confusion, le dernier ne saurait tromper. Enfin, l'examen de signes physiques dont l'absence ou la faible intensité
histologiques et bactériolo- giques ; enfin rechercher les moindres signes des affections médullaires, et en particulier d
istiques, prémonitoires, et pouvant exister en dehors de tout autre signe de tabès. Il est très important de les diagnostiq
her rectal ou vaginal, joint au palper hypogastrique, donnerait des signes certains. Quant au catheterisme, dans ces cas d
ent déparier des efforts de miction; souvent enfin apparaissent des signes d'infection vésicale et de cystite : enfin un d
e, excepté à la dernière période. L'incontinence constitue un des signes pathognomoniques de l'épi- lepsie et se produit
u- lières,, on fait cesser la polyurie. On recherchera les moindres signes de néphrite interstitielle, et de toutes les au
- vent même les excitations génitales apparaissent avant tout autre signe et ont pu être considérées comme une cause plut
es provoque. l'ans la paralysie générale, l'onanisme est souvent un signe du début l'i doit mettre sur le voie du diagnos
urs, puis des membres inférieurs dans la pachyméningite, etc., tous signes qui permettent d'établir le diagnostic. Enfin,
erne et du mylo-hyoï- dien. Quand la paralysie est unilatérale, les signes sont les mêmes, mais existent d'un seul côté; l
tout à coup s'effile et disparaît. Mais, encore une fois, les seuls signes tirés de l'examen physique du malade sont en gé
ncident est parfois complètement oublié quand se déroulent tous les signes d'un ramollissement à marche souvent rapide. Aj
ts incoercibles succèdent des périodes par- faites, sans le moindre signe de dyspepsie, sauf exceptions à préciser plus l
ulgurantes. En somme, en dehors de l'absence éventuelle de certains signes du tabès, la crise de Leyden est une crise du t
ntant une diarrhée du type nerveux, il conviendra de rechercher les signes du tabes (Argyll, «'esilr,ll, llollllrer, etc.).
ne de l'anus. Comme les troubles vésicaux et rectaux sont parmi les signes précoces du tabès, il serait utile d'examiner l
t héréditaires et- familiales ; elles ont été considérées comme des signes . physiques de;la dégénérescence. - Des hypertro
Marie). Le développement exagéré dé la main est souvent le premier signe de l'acromégalie, il reste d'ordinaire l'un des
; le gonflement est régulier et généralement symétrique, sans aucun signe d'inflammation : les mouvements ne sont pas lim
sans attitude vicieuse par atropine ou contracture musculaire, sans signes d'arthrite, rougeur, chaleur ou douleur, sans c
et la pilosité fréquente de la peau, la coïncidence des deux grands signes ordinaires de la neurofibromatose, grains de iiio
ISES. 1047 mou, blanc, bleu ou rouge, les symptômes associés ou les signes des maladies causales permettront en général de
z le même malade ou chez d'autres sujets de formes convulsives, des signes généraux d'intoxi- cation permettront de penser
e étendue plus grande que la plupart des gangrènes précédentes, des signes de névrite les accompagnent, et les précèdent.
l'autre. Très souvent, c'est moins par l'examen du pied que par les signes associés de la maladie, dont le pied-bot n'est
romégalie. Chez tout géant doivent donc se rechercher avec soin les signes de cette der- nière maladie. Gigantisme avec
ntre surtout chez l'iiomme. Nous serons brefs sur le groupement des signes qui en font un infantile, devant revenir plus l
les caractères de l'infantilisme gigantesque, voyons maintenant les signes de l'acromégalo-gigantisme. - Le malade examiné a
scent et qu'il convient de rechercher systématiquement chez lui les signes d'une acromé- galie commençante. Le pronostic d
lisme. Hermaphrodisme. - Le syndrome infantile présente parfois des signes accessoires. C'est ainsi que l'infantile montre
Dr MOUTIER Nous entendrons par « stigmates de dégénérescence » les signes phy- siques ou mentaux, le plus souvent hérédit
dégénéres- cence est en somme l'aléa de l'évolution générale. Les signes que nous allons étudier sont très variables en in
étricaux, physiologiques et mentaux, et suivrons, pour l'exposé des signes anato- miques, la classification de Mayet, du m
ta). Prognathisme. Peut être supérieur ou inférieur; c'est un bon signe de dégénérescence. Il est remarquablement hérédit
ent hérédité d'une fragilité spéciale d'un système, c'est-à-dire un signe de dégénérescence. ? Stigmates obstétricaux. On p
spect clairsemé des sourcils, disparition de la queue des sourcils ( signe de l'omnibus de Fournier). Il est rare que des
stoses et de periostoses du tibia, du crâne, etc., est aussi un bon signe . L'examen des viscères pourra, dans certains ca
nerveux qui sont caractéristiques de la maladie. Tout d'abord le signe de Robertson, c'est-à-dire l'abolition du réflexe
Charpentier comme un stigmate de cette affection. L'association du signe de Robertson à l'inégalité pupillaire, à l'aortit
elques rares processus de méningite subaiguë ou chro- nique, est un signe de syphilis. ' L'apoplexie de l'adulte est égal
génération. D'autre part, l'enquête portera sur les collatéraux. Le signe le plus caractéristique c'est la polymortalité
ux de t liérédo-syphilis. Fournier signale les convulsions comme un signe de méningite syphilitique de l'enfance ; on a s
ningite syphilitique de l'enfance ; on a signalé également quelques signes d'incontinence d'urine par hérédo- syphilis. No
e temporale superfi- cielle, sur le trajet des veines frontales. Ce signe s'observe avec une no- table fréquence dans l'h
importance ca- pitale et pathognomonique pour l'hérédo-syphilis aux signes suivants : le crâne natiforme, fia dent d'Ilutc
ilatation vcntricuhure par un excès de liquide exagère la sonorité ( signe de Mac Ewcn'l. Le malade doit être assis la têt
témoigne surtout d'un amincissement de la paroi, « c'est plutôt un signe d'altération de l'os qu'un signe de localisatio
ent de la paroi, « c'est plutôt un signe d'altération de l'os qu'un signe de localisation des tumeurs » (Duret). La matité
s nécessairement imputable il l'inondation méningée et peut être le signe d'une hémorragie cérébrale à topographie normal
nucléaires à la ponc- tion lombaire de malades qui présentaient des signes très discrets de méningite cérébro-spinale et q
taté des faits anale gués. Sicard et Descomps considèrent comme des signes de. guérison la substi- tution des polynucléair
onstaté l'absence d'éléments figurés, et ont montré l'utilité de ce signe , pour le diagnostic d'avec la' méningite cérébro-
et Ravaut (Soc. médic. des Hôpitaux, 21 novembre l ! ->0`). Le signe d'Argyll-Robertson qui est, comme l'ont montré Ba
l-Robertson qui est, comme l'ont montré Babinski et Charpentier, un signe de syphilis acquise ou héréditaire a été particul
gnos- tic de fracture du crâne sur un sujet plongé dans le coma. Ce signe n'a de valeur qu'en présence d'un commémoratif
que (thérapeutique). Schématiquement, il est constitué par : a) des signes nerveux (céré- 1]rau, cérébelleux, pédonculaire
mes toxi-infectieux; c) des modifications du liquide venlriculaire. Signes nerveux. Déterminés en grande partie tout au moin
n grande partie tout au moins par 1 hypertension ventriculaire, les signes cérébraux sont nombreux et variés, mais de fréq
e stupeur, démentielle d'origine curéhru-malaciclue. " A côté des signes fondamentaux qui viennent d'être décrits, prennen
s, la raideur de la nuque (von Beck). L'opistholonos (Tillgren), le signe de Kcrnig, le tremblement (Mocquin, Tillgren), so
cérébelleuse (Parkes-Weber, Finkelburg, l'eurath, Oppenheim). Les signes pédonculaires sont le ptosis, la diplopie par par
on s'ap- plique aux manifestations bulbo-protubérantielles. Comme signes protubérantiels, on peut citer la névralgie légèr
inthiques engendrée par les altérations de la huitième paire. Les signes bulbaires sont à la fois beaucoup plus nombreux e
e pression) peuvent être soupçonnées non seulement par la clinique ( signes d'hypertension intra- cranienne) mais encore pa
on lombaire n'améliore pas ou aggrave, lorsqu'elle est répétée, les signes d'hypertension cérébrale ; on peut en inférer q
t avoir des convulsions. La rigidité de la nuque et des membres, le signe de Kernig l'ont ordinai- rement défaut, mais, d
ments, plus rarement de la constipation. La raideur de la nuque, le signe de Kel'l11g existent. Les convulsions sont fréq
buer, en toute connaissance de cause, quelques-uns des innombrables signes accessoires de 1 hyperten- sion intra-cranienne
gèrement abaissée (50°, 8). D'autres fois, on a observé, à côté des signes cardinaux qui viennent, d'être passés en revue,
La difficulté du diagnostic ne tient, pas ici il l'imprécision des signes mais à la difficulté de les rattacher clillirlu
logie mécanique est mise en évidence par la disparition de certains signes cérébraux (céphalée, convulsions) et bulbaires
ires proviennent d'altérations nucléaires toxiques, la majorité des signes bulbaires et la presque totalité des signes céréb
xiques, la majorité des signes bulbaires et la presque totalité des signes cérébraux proviennent des effets purement mécan
a selle turcique ou une destruction des apophyses clinoïdes sont un signe im- portant de tumeur hypophysaire : on peut dé
d'arrêt plus considérable, et d'autre part la para- plégie brusque, signe habituel en cas de pénétration dans la moelle, pe
TIC. Il 611 i rurgien. Nous voulons parler, pour le crâne, soit des signes de compres- sion inira-crttnienne, soit des mon
arfois de long- temps tout autre symptôme préataxique. parfois tout signe pupillaire. c'est essentiellement dans ces cas
dépendre d'altérations des fibres musculaires. Elles constituent des signes objectifs important ? pour le diagnostic de la
l'hystérie et dans le goitre exophtalmique, on crut avoir trouvé des signes importants pour l'électrodiagnostic et on reche
ité et de la contractilité de ces muscles. On en est averti par des signes subjectifs (sensation de raideur dans la joue r
nsation de raideur dans la joue ressentie par le malade) et par des signes objectifs (redressement et élévation de la comm
ts ou à l'occa- sion d'excitations cutanées ou électriques) ; à ces signes s'ajoutent plus tard des mouvements associés d'
cellulaires, coloration de Ramon y Cajal, 1570. Argyll-Robertson ( Signe d' -), 74, 95. Arriération intellectuelle, 269.
s. Grande asynergie. Dé- marche type, 769. Petite asynergie, 770. Signe de la flexion combinée des cuisses et du bassin
tumeurs cérébrales, 122. Atrophies musculaires. Définition, 657. Signes , 658. Diagnostic différentiel, 661. Formes clin
w, 107. Valeur séméiologique, '108. bilatérale, unilatérale, 108. Signes de Stclwag, de Graefc, de Rosenbach, 107. Mod
Glossy-skin, 111a. Goitre exophtalmique. Exophtalmie, 107. " - Signes oculaires, 107, 108. - A Troubles de la sensibi
ion des mains, 10` ? ! E. - Déformation des pieds, zut. Graefe ( Signe de de), 107. Grand cOI1 ! ]Jle : cus, petit com
16. fltalctttticlztc, z11. Hémianopsié, 45. homolalérale, 44. - Signes pour la déceler, 45. - Carac- tères du champ vi
octf'.s, 477. - Flexion combinée de la cuisse et du tronc, 478. - Signe du peaucier. 479. - Signe de l'éventail. 480. P
mbinée de la cuisse et du tronc, 478. - Signe du peaucier. 479. - Signe de l'éventail. 480. Phéno- mène de Stiunipell,
u névraxe. examen ' du liquide céphalorachidien, 1135. méningées, signe de Kernig, 484. intestinales, 998. Hémosialém
logie, 540. K Kératite 7/i'llro-pamlytique, 116, 955. Kernig ( Signe de -). ). Recherche, 481. - Valeur séméiologiqu
énière (Svndrome de ), )52, 166, 995. Méningite cérébro-shirtale, signe de Ker- nig, 485. - Traitement électrique de
ctrique de ses complications. ]501. - ologène, 111. tuberculeuse, signe de Kernig, z tuberculeuse du nourrisson, somn
Marie, 696. - Hypertrophie des troncs ner- veux, cypho-scoliose, signe d'Argyll, 697. - optique dans les tumeurs céré-
ue, 105. - phénomènes auriculaires, 128. d'origine otique, 140. - Signe de Charles Bell, 480. - Autre mouvement assoc
s, 450. - créniastérien, 455. - des orteils, 447. Recherche, 4H). Signe de l'évenlail, 450. - du fascia Iota, 455. -
ius de Santoi-iiii. Innervation, phy- siologie, 585. - ' Romberg ( Signe de -), 756. Rond pronateur. Innervation, physio
physiologie, 527. Rosbach (Gastroxynsis de -), 995. Rosenbach ( Signe de), 108. Rumination, 1005. S Sacré (Syndro
a perception d'une impression sensitive, 286. thermique, 288. Signe de l'éventail, 450, 480. - de Charles Bell, 480
per- trophie, 928. - Atrophies et déforma- tions, 929. Stelwag ( Signe de), 107. Stéréoagnosie, 502. dans l'hémiplégie
gie, 542. Tétanie. Troubles de la sensibilité objec- tive, 556. - signes , 995. La main, 101. - Le pied, 1059. Tétraplé
érébraux. Syndromes ven- l'ItICUL.IIRFS. Syndrome' inflammatoire, signes nerveux, 1147. - Symptômes toxi-infectieux, 114
4 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tomatique qu'elle offre est accusé, très en relief et composé de signes saillants qui s'imposent à première vue ; il s'ag
vertiges ; en peu de temps sont apparus successivement trois grands signes , la céphalée, des vomissements à type cérébral,
pace dans une cavité inextensible, la boîte crânienne : ce sont des signes de compression cérébrale; et je trouve comme la
onsidérée comme un phénomène de compression. Ainsi, j'ai là plus de signes qu'il n'en faut pour affirmer l'existence d'une
cussion me mènerait trop loin. Je ferai seulement remarquer que les signes locali- sateurs, l'ophtatmoplégie externe et in
(Hoffmann) des symptômes tabétiformes plus précis : incoordination, signe de Romberg, etc. Mais si les auteurs dont je vi
rai expressément qu'en dehors de ce phénomène important, les autres signes sont d'une recherche et d'une appréciation bien
sions même quand on comprime la tumeur. Au bout de vingt-six jours, signes de collapsus brusque et mort en état de dyspnée
bilité cutanée,- à cette époque on a déjà à sa disposition d'autres signes permettant d'établir le diagnostic. Il'faut se
abo- lition complète des réflexes achilléens. C'est sur ce dernier signe que l'auteur s'appuie en même temps que sur une
res intellectuels; usage ou reception inadéquats par le cerveau des signes verbaux (Annales médical" psychologiques, avril
st excellent. Pen- dant leur cours on a pu constater la présence du signe d'Argyll Robertson qui disparait ensuite. Mais
e d'Argyll Robertson qui disparait ensuite. Mais il existe d'autres signes per- manents du tabès chez cette jeune fille, c
le par hérédité syphilitique et crises gastriques consécutives avec signe d'Argyll Roberstson intermittent. Atrophie mu
thyroïdiens. 80 SOCIÉTÉS SAVANTES. De l'abduction des orteils ( signe de l'éventail). M. G. Babinski. J'ai montré dan
ation d'une enfant de huit mois ayant présenté pen- dant la vie les signes d'un syndrome de Weber incomplet et double,- ca
ut-être du droit supé- rieur) avec strabisme divergent, sans autres signes oculaires; de la parésie ou plutôt de la faible
trouva celle-ci étendue à terre dans sa cuisine, et ne donnant plus signe de vie. Autour du cou, la pauvre femme avait un
es et 52 hommes, que ce sont les sujets qui présentent le plus de signes apparents de dégénérescence physique, parmi les
tiel d'aliments, teinte subicté- rique des téguments, constipation, signes somatiques très accen- tués. '. En septembre,
mes relevés par le médecin traitant chez le .mari, nous trouvons le signe d'Argyll Robertson dont l'ori- 'gine, si nous e
teur traite de l'hypnose. 11 commence par montrer, en analysant les signes pré- sentés par les sujets hypnotisés, que la c
des réflexes tendineux, ni épilepsie spinale légitime, ni aucun des signes décelant une irritation de la voie pyramidale.
e, suffit ordinairement à faire apparaître sur la face du sujet des signes évidents de douleur. En persuadant à l'hypnotis
rique et clinique de leur conception, nous avons à envisager les signes somatiques de l'hypnose et les rapports de l'hypn
it le phénomène des orteils, la flexion com- binée de la cuisse, le signe du peaucier, l'hypotonicité musculaire comme ca
on des réflexes tendineux, ni phé- nomène des orteils, ni aucun des signes caractérisant une lésion organique; comme dans
e de neuf ans par l'apparition de symptômes cérébraux graves, les signes de dégénérescence et l'arrêt de développement des
t s'il s'agit d'épileptiques en voie de démence présentant certains signes physiques rappelant ceux de la ménin- go-encéph
in tout état neurasthénique. Le diagnostic peut être fait avant les signes physiques, si l'on a clairement à l'esprit le con
si l'on a clairement à l'esprit le con- traste qui existe entre les signes qui relèvent seulement d'un état de fatigue chr
ignes qui relèvent seulement d'un état de fatigue chronique, et les signes au contraire d'affaiblissement et de déchéance
il 1902, p. 625, 633). Contribution à l'étude des limites entre les signes physiologiques de la vieillesse et les caractèr
'habitude de le dire, une suracti- vité mentale. SIMON. 1,X1. Les signes auxquels se reconnaît la folie et les problèmes d
acultés menta ! es. permet,.seul de conclure à son existence. Aucun signe physique n'y suffit. SIMON. REVUE DE PATHOLOG
accès de folie à double forme pour finir dans la démence, avec des signes de paralysie générale. Ce malade était, en outr
ralysie générale, l'intermittence est peut-être considérée comme un signe du début. ' . M. Ballet. La paralysie générale
es à évoluer, tout en pré- 164 -il SOCIÉTÉS SAVANTES. sentant les signes caractéristiques de la méningo-encéphalite dif-
rami- dale, les auteurs ont trouvé ce réflexe 34 fois, alors que le signe de Babinski existait 38 fois. Mais, dans 8 des
o-spinale), le réflexe adduc- teur existait nettement, alors que le signe de Babinski manquait ou etait peu net. C'est
réflexes achilléens et rotuliens sans trépidation épileptoïde ni signe des orteils. 11 n'existe aucune paralysie des s
èvre typhoïde pro- longée il cinquante ans. Tabès affirmé par les signes suivants : analgésie presque abso- lue, à topog
tiques; trijumeau, avec paresthésies superposées. Myosis permanent, signe d'A. Robertson, analgésie du globe a la pressio
radial et cubital. Aucun déficit psychique. L'absence de certains signes cardinaux de la série tabétique, dans ce tabes
n côté; il y a de l'agitation et du subdélire. -- La recherche du signe de Kernig détermine de violentes dou- leurs dan
ocytes ne constitue donc plus aujourd'hui,. ainsi qu'on l'a dit, un signe différentiel qui per- mette d'en faire le diagn
le ade temps à autre quelques impulsions violentes; pleurnicheries. Signes physiques : pupilles dilatées et ' inégales; le
l'ouïe de caractère pénible. -Pas d'idées délirantes. Inconscience. Signes physiques : faiblesse musculaire accentuée ; tr
q ans, entrée le 3 juillet 1899. A présenté dès son entrée tous les signes de paralysie générale à forme maniaque. Le 10 s
uel; conscience très nette de son état. Atténuation très grande des signes physiques. Les pupilles égales et moyennement d
avec agitation par intervalles. Quelquefois réactions violentes.- Signes physiques : léger tremblement fibrillaire de la l
Mir..., 55 ans ; entrée le 21 avril 1903. A présenté à l'entrée les signes de paralysie générale à forme maniaque. Actuell
E FOND DE L'ÛEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 195' de grandeurs. Signes physiques : parole empâtée et bredouil- lante ;
lade est, de temps à autre, en proie à de l'agita- tion maniaque. - Signes physiques très marqués, tremblement de la langu
son entrée, symptômes de paralysie générale à forme maniaque, avec signes physiques prononcés. Examen du 14 septembre 190
maladene s'alimente passpontanément. Absence d'idées délirantes. Signes physiques très atténués; pas de troubles de la pa
el dû à l'alcoolisme chronique dont on relève les stigmates, et des signes physiques de paralysie générale. Aujourd'hui, 8
es idées délirantes de richesses ; embarras très net de la parole ; signes phy- siques très marqués; elle s'est fait arrac
pré- texte qu'elles étaient cariées. Examen du 8 septembre 1903. Signes physiques très marqués, trouble léger de la par
ec idées de satisfaction, euphorie, incons- cience de son état. Les Signes physiques qui étaient très prononcés au début s
n'est pas trop désorientée et s'occupe activement dans le quartier. Signes physiques : tremblement de la langue et de la m
s délirantes, mais la malade n'a aucune conscience de sa situation. Signes physiques très peu marqués, pas de troubles de
nie, trente-huit ans; entrée le 29 mai 1903. Elle ne présente aucun signe de paralysie générale. Elle est excitée et croi
isposition ; avec cette somme elle va fonder une maison de soierie. Signes physiques très accentués, mais par intervalles
jurier sans cesse, la menacer, lui tenir des propos orduners. - - Signes physiques très nets. Inégalité pupillaire, pupill
Délire mélancolique avec préoccupations hypochondriaques. Quelques signes de tabès ; signe d'Argyll Hobertson; signe de R
ue avec préoccupations hypochondriaques. Quelques signes de tabès ; signe d'Argyll Hobertson; signe de Romberg. Inégalité
ochondriaques. Quelques signes de tabès ; signe d'Argyll Hobertson; signe de Romberg. Inégalité pupillaire. Examen du 9 s
laquelle elle se trouve l'a poussée à deux tentatives de suicide. Signes physiques caractéristiques : paralysie faciale ga
iples ; des hommes la poursuivent et lui disent de vilaines choses. Signes physiques assez nets : tremblement de la langue
floues. Troisième groupe. - Paralytiques générales présentant les signes de l'atrophie papillaire en voie d'évolution des
n maniaqne. Examen du 7 septembre 1903. Dépression avec angoisse. Signes physiques. Pas de tremblement de la langue ni des
alade qui se dit âgée de vingt-deux ans, ne sait où elle se trouve. Signes physiques très marqués; parole extrêmement emba
otale; idées de satisfac- tion ; rires et pleurnicheries enfantins. Signes physiques : em- barras de la parole; langue tré
oscope, la papille droite est floue, la papille gauche présente les signes certains de l'atrophie blanche en voie d'évolut
faction; eupho- rie ; affaiblissement intellectuel très prononcé. Signes physiques très marqués : tremblêment-de l'a langu
n du 10 septembre 1903. Affaiblissement intellectuel très marqué. Signes physiques très nets : tremblement accentué de la
ement intellectuel; idées de satisfaction ; inconscience absolue. Signes physiques peu marqués; pas de tremblement de la l
yait riche au point d'entourer le Luxem- bourg de chaînes d'or. - Signes somatiques très nets ; troubles de la parole très
III. - Rohr ? femme Gai..., trente ans, entrée le 15 novembre 1901. Signes de paralysie générale avec halluci- nations gén
amen du 9 septembre 1903. Rémission intellectuelle. Persistance des signes physiques ; dilatation pupillaire bilatérale av
late en sanglots quand on lui rappelle ses tentatives de suicide. Signes physiques très marqués. Pupilles dilatées et inég
e 1902 avec le diagnostic; démence, gâtisme, inconscience absolue ; signes physiques très nets. Examen du 9 septembre 1903
les intel- lectuels. La malade est très consciente de son état. . Signes physiques très marqués : mouvements de trombone d
pileptiformes fréquentes. Il est difficile d'obtenir une réponse. Signes physiques au complet : inégalité pupillaire très
e 1903. -Malade obnubilée, anxieuse : hallucinations de l'ouïe. ° Signes physiques peu marqués. Léger tremblement de la
ts; agitation intermittente; hallucinations de caractère pénible. Signes physigucs peu nets. Parole embarrassée et empâtée
vec laquelle il impres- sionne les centres nerveux par tels ou tels signes bruyants ou bien manifestes, confusion mentale,
pouvant s'expliquer par le défaut d'oxygénation, car il n'y a aucun signe de cyanose et le sang est facilement artérialis
iques de Homburger, Dejérine, etc., dans lesquels la disparition du signe des orteils a coïncidé avec une destruction des
nerveux faisant croire à une affectation médullaire. G. C. L. Du signe de l'orbiculaire dans le diagnoctic de- la paraly
évidence la paralysie du facial supérieur, le plus efficace est le signe de l'orbiculaire signalé par le professeur l3ev
'oeil du côté paralysé, l'antre restant ouvert. PôurRevilliod, ce signe serait constant dans l'hémiplégie alésions cent
occasion de vérifier l'existence du 244 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. signe de l'orbiculaire dans la paralysie faciale hémipl
tensité plus grande de l'effort en pareil cas. ' Pour M. Bard, le signe de l'orbiculaire a une importance clinique de p
e 30 mai; le 24 juin il donne des REVUE DE MÉDECINE LEGALE. - 245 signes d'aliénation mentale et fut transféré à l'asile l
e demande à être examinée par un magistrat. Lé 2 novembre, l'auteur signe un certificat qui la déclare aliénée, atteinte
ions d'usage. Depuis quelque temps déjà, Eugène llallet offrait des signes de dérangement céré- mais depuis la mort de sa
onalité se rapproche du souffle tubaire, sans gargouillements, tous signes qui militent en faveur d'une induration du pare
es points d'émergence des nerfs provoque d'atroces douleurs. ' Le signe de Lasègue est des plus nets. Les réflexes rotu-
ire, les vives douleurs à la pression des nerfs et des muscles, les signes stéthoscopiques, nous avions porté le diagnosti
ommunicantes du sympathique avec le pre- mier ganglion dorsal. Ce signe ne saurait donc exister que lorsque la lésion a
des troncs nerveux. C'est à ce moment une véri- table névrite, sans signes médullaires...La symptoinalo- logie de la moell
x encore par comparaison avec le côté sain. 11 n'existe pas d'autre signe appréciable de paralysie des extenseurs. - No
rimordial. En outre, il y a lieu de tenir compte de tous les autres signes caractéristiques des névrites d'une part, des m
'une part, des myélopathies d'autre part (secousses fibril- laires, signes électriques, etc). Nous n'envisageons d'ailleur
e dia- gnostic serait toujours basé sur la coexistence des autres signes de saturnisme et sur l'histoire du malade. Notre
tic. A ce moment le malade a succombé brusquement en présentant les signes d'une occlusion intestinale. L'autopsie révèl
al. XXV. Syndrome cérébro-spinal, vraisemblablement urémique avec signe de Kernig; par THÉVENGT et Péhu. (Lyon médical, 1
ne néphrite probablement typhiquc. A ces symptômes s'ajoutaient des signes d'irritation des méninges, caractérisés par des
caractérisés par des douleurs céphalo-rachidiennes intenses et le signe de Kernig. La malade passa trois mois à l'hôpital
n des méninges dénoncée par les douleurs céphalo-rachidiennes et le signe de Kernig à l'hypertension par hypersécrétion p
,pour ainsi dire, organiser à elle seule le méningisme y compris le signe de Kernig ainsi que tendent à le démontrer deux
lir que ce trouble psychique ne peut jamais être considéré comme le signe d'une insuffisance renale, d'une intoxication g
t son existence. L'auteur ne croit pas que le délire soit jamais le signe d'une intoxication générale, il peut coïncider
anévrysme de l'aorte. Ce cas est remarquable par l'absence de tout signe physique et de tout phénomène de compression pou-
ait oedematié ainsi que les poumons. Malgré l'oedème cérébral aucun signe de comptes- sion ne fut constaté. Le cas' a par
rois ans, syphilisée à vingt ans et entrée à Ville- Evrard avec des signes de paralysie générale ; elle y exprime un délir
Mai 1904. N° 101. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Des signes oculaires dans la pàralysie générale; Par A. JO
Messieurs, Je désire aujourd'hui attirer votre attention sur les signes oculaires de la paralysie générale, et vous mon
constituent le plus souvent, au début de la paralysie générale des signes assez caractérisés pour permettre d'affirmer d'
n diagnostic jusqu'alors indécis. Seulement la constatation de ce signe présente quelques difficultés; il faut pratiquer
para- lysie générale. C'est pour tous ces motifs que l'étude des signes oculaires doit continuer à tenir une très grand
r cliniquement l'exa- men microscopique après centrifugation. DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 355 ainsi
de beaucoup les plus fréquents. 356 CLINIQUE MENTALE. Le premier signe , noté depuis longtemps par Baillarger. est l'in
ie générale il en est fait mention 'comme s'observant parfois. Ce signe , à notre avis, mérite davantage d'attirer l'atten
ire. Deux fois nous avons constaté cette irrégularité du con- DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 357 î tou
puis la paralysie du réflexe lumineux s'établir. Pas plus que le signe d'Argyll cette déformation n'est particulière a
us avons pu voir, c'est qu'elle est antérieure à l'établissement du signe d'Argyll dont, dans laplupart des cas, elle est
d'Argyll dont, dans laplupart des cas, elle est en quelque sorte le signe précurseur et l'équivalent. Mais si les dimen
lumineux avec persistance'du réflexe accommodateur cons- titue le signe d'Argyll-Robertson. Signalé en 1869 par Argyll-
tson. Signalé en 1869 par Argyll-Robertson chez des ataxiques, ce signe est considéré comme très important et très fré-
Dufour). Aussi y a-t-il grand intérêt à rechercher soigneusement'ce signe . Mais cette recherche, celle surtout du réflexe
l du malade qui continue à épeler à haute voix les lettres de DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 359 l'éch
proché on aurait trouvé chez lui les réflexes lumineux abolis. Le signe d'Argyll s'établit donc d'une façon progressive e
tacts) on peut attribuer à cet affaiblissement la même valeur qu'au signe d'Argyll. Cet affaiblissement progressif du réf
est bien la règle et, le plus généralement, une fois installé, le signe d'Argyll reste immuable. Il peut cependant en êtr
ent et deux fois il nous a été donné d'assister à la disparition du signe d'Argyll chez des malades qui venaient d'entrer
s. Ce que vous devez surtout retenir c'est l'extrême fréquence du signe d'Argyll-Robertson chez les paralytiques généraux
portun. Le réflexe accommodateur est lui, beaucoup moins sou- DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 361 vent
ètement pendant que persiste le réflexe accommodateur ; c'est là le signe d'Argyll-Roberston. Dans des cas peu nombreux o
tteint. Indépendamment des troubles de l'iris, on peut encore DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 363 trouv
ane de la vision chez les paralytiques généraux. La fréquence des signes oculaires et leur ordre d'apparition leur donnent
troubles oculaires constatés au début de la paralysie générale. Les signes oculaires concourent grandement au diagnostic d
x. Cette distension était si considérable que, en l'absence de tout signe précis révélant un anévrysme, il était impossible
rès,en s'accom- pagnant de frissons et d'obscurcissement de la vue. Signe de Ker- nig des deux côtés. Ecoulement abondant
les autopsies d'asile chez des épileptiques n'ayant présenté aucun signe de porencéphalie; 2° Le second point à noter es
corticale doit imposer des réserves sur la valeur rigoureuse de ce signe . Quant à la fièvre, deux hypothèses peuvent l'e
hilis secondaire, ainsi que dans quelques cas où il n'y avait aucun signe de dégénération nerveuse. M. WIlson a démontré
ant artificiellement son attention. Mais, me dira-t-on, beaucoup de signes manquent ici : on n'observe ni négativisme, ni
re un examen attentif permettrait-il de dépister, dans ces cas, des signes de déficience intellec- tuelle analogues à ceux
ion' ? Peut-être, dès cette époque, 111. N... a-t-il présenté des signes qui auraient pu faire penser à la gravité de l'af
levée est impossible. La conception deKraepelin, en précisant les signes précoces d'affaiblissement intellectuel, a permis
comme dangereux. A son entrée à l'asile de Leyme, C... présente les signes physiques et psychiques de la paralysie général
ques de la paralysie générale. A l'examen somatique on constate les signes suivants : Myosis, inégalité pupillaire ; les p
e attention est attirée par l'air béat et atone de la malade. Comme signes somatiques on trouve de l'inégalité pupillaire,
e physiologique n'existe certainement pas. Quand nous voyons que le signe de la vie et la propriété fondamentale de la ma
ns la vivacité et la curiosité de l'enfance. On a donné aussi comme signe des tumeurs cérébrales les impulsions, puis un
groupe : Atte- SOCIÉTÉS SAVANTES. 493 nuation ou disparition des signes somatiques, amendement très incomplet des troub
ence reste affaiblie mais atténuation ou disparition com- plète des signes somatiques : 5 observations. 3e groupe : Intelli-
polynévrite des deux mains et de synovites des poignets. Parmi les signes observés, la réaction de dégénérescence, l'hypoes
novites professionnelles. R. et C. insistent, en terminant, sur les signes qui, dans un cas comme celui-là, permettent de
ctères de celui delà sclérose en plaques. Mais il n'y a aucun autre signe de sclérose en plaques ; il n'y a non plus aucun
ion stéréognostique, perte du sens des attitudes; 4° L'ab- sence du signe de Babinsky est remarquable car elle contraste
s de la vision sont apparus il y a environ quinze ans alors que les signes du tabes étaient encore peu accentués. Depuis,
et pénètre jusqu'à l'os et provoque de la douleur; c'est le premier signe de sensibilité qui se manifeste depuis près de
155. maniaque dépressive avec autop- sies, par l'atoll, 160, Les signes auxquels se rfconnut la - et les problèmes de
durée, par Brunet, 163. - générale, voir Troubles trophiques. Du signe de 1'oil)i(;tlldire dans le diagnostic de la
ans leurs rapports avec le goitre exophtalmique, par Callum. 229. Signes oculaires. Des - dans la paralysie générale, pa
és. Syndrome. cérébro-spinal vrai- semblablement urémique, avec signe de Iiernit;, par Thévenet et Péhn, 321. - bulba
5 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
as de tabès ordinaire, la région de la moelle lombaire présente des signes de dégénération locale, et comme les colla- tér
u'une dégénération des fibres des colonnes de Clarke appartient aux signes les plus précoces du tabès lombaire ; en d'autres
cinq ans, pratique le traitement par le lit, c'est surtout dans les signes physiques qu'il faut cher- cher les indications
ivise en trois catégories : 1° ceux qui ont promptement donné des signes de dérangement mental, ou qui, en d'autres termes
n'étaient pas guéris ; 2° ceux qui après leur sortie ont donné des signes d'affaiblissement mental ou de bizarrerie, leur p
es ; 3° ceux qui un an au moins après leur sortie n'ont donné aucun signe de trouble mental et ont repris à la fois leur
sujet, ayant résisté à la tendance héréditaire, ne présente aucun signe de maladie nerveuse. Dans chaque région mentale
uatrième ventri- cule. R. DE IUSGRAVE-CL2 £ Y. VIII. Sur certains signes physiques dans la mélancolie ; par W.-H.-B. STO
. Les raisons de l'auteur pour faire de cette rigidité un véritable signe physique de ta mélancolie sont les suivantes : el
il marque celle qui est privée de cellules ganglionnaires. Un autre signe distinctif de haute valeur existe dans le caractè
seux des membres inférieurs aussi bien à droite qu'à gauche, par le signe de Romberg, par l'inégalité pupillaire avec myosi
lité pupillaire avec myosis à gauche, pupille déformée et ovalaire, signe d'Argyll Robertson, par des analgésies viscéral
mais surtout on met facilement en évidence du côté hémiplégie le signe des orteils de Babinski, tandis que du côté sain
ain le réflexe plantaire se traduit par une flexion des orteils. Le signe du peau- 76 . - SOCIÉTÉS SAVANTES. cier est a
à la période flaccide. Nous insistons à nouveau sur l'importance du signe de Rabinski qui permet seul dans des cas sembla
rt de douleurs ful- gurantes, mais ne présentaient pas toutefois le signe d'Arg,11. Le diagnostic de tabès lombaire incip
e que l'exagération des réflexes tendineux et la contracture, seuls signes que l'on avait à sa disposition jusque dans ces
réflexes tendineux sont abolis Or, depuis que je connais ce nouveau signe et que je le cherche systématiquement chez tous
vue du diagnostic du tabes, autant d'importance, sinon plus que le signe de Westphal. Je vous présente deux malades de c
l'abolition des réflexes du tendon d'Achille constituent les seuls signes objectifs d'une affection organique du système
gnes objectifs d'une affection organique du système nerveux. Si ces signes n'avaient pas été recherchés, les malades aurai
-dessus du niveau de l'émergence de la troisième racine sacrée. Les signes cliniques des affections du cône se composent,
sistait dans tous ses cas en : 10 Intégrité des réflexes rotuliens ( signe de la limite supérieure) ; 2U Intégrité des sph
ard de la sensibilité se trouve dans le tabès dorsalis VARIA. 93 ( signe de Remak), ce relard atteint d'après M. Raymond p
olution fréquente dans le sens de la démence précoce sont autant de signes qui révèlent la tare dégénératrice. Et, à tout
s trop l'entendre à la lettre, car, à bien observer les choses, ces signes n'existent jamais que d'une façon approxi- mati
battre étant ivre. Prudence commença un peu plus lard à donner des signes de dérangement cérébral ; cela commença par des
, assez grande, sa taille étant de 1 mètre 61, sans infirmité,'sans signes marqués de dégénérescence à part une plagiocéph
e se plaint aussi de ne pas .voir clair ou de voir très peu. Pas de signes d'hystérie. Irritable, difficile à interroger, im
degré, le faciès du délirant chronique. Il n'y a pas, chez lui, de signe bien net de démence ; la mémoire, sans être trè
empté du service militaire. Depuis l'âge de vingt ans, il donne des signes de trouble mental. On ne pouvait s'aider de lui
e chromatique, altération dans laquelle les auteurs ne voient qu'un signe anatomique d'une réaction plus ou moins aiguë d
. sont si nets que l'auteur pro- ' pose de les comprendre parmi les signes cardinaux du goitre exophtalmique. - lg6 SOCI
e dans les deux affections, différence qui peut être utilisée comme signe de diagnostic diffé- rentiel entre l'hémiplégie
e désire nullement contester la valeur du réflexe de Babinski comme signe pathognomonique de l'hémiplégie organique ; je
existe très peu de réflexes qui pourraient être considérés comme signe pathognomonique de certains états morbides. Ceci
M. liotii ont bien voulu passer en revue quelques-uns des nouveaux signes distinctifs de l'hémiplégie organique et de l'h
cherches, et M. Fer- rier est de ceux-là, admettent avec moi que ce signe est caracté- ristique d'un trouble dans le syst
loir bien présenter les malades chez lesquels ils constateraient le signe des orteils dans des cas d'hystérie pure. Jusqu
nécessaire pour donner naissance à ce phé- nomène. J'ai dit que ce signe dénotait « perturbation du système pyramidal »,
ulté des mou- vements des jambes. Abolition des réflexes rotuliens; signe d'Argyll- Ilobertson; troubles de la sensibilit
de la langue vers la droite, SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 3 sans autre signe de paralysie facial; intégrité motrice des membre
à la localisa- tion médullaire de la maladie de Recklinghausen. Les signes cuta- nés de la de)'mo- ? ! eM)'o ? 6<'o ? M
forme de la maladie et même une aggra- vation et ne voit pas là un signe d'amélioration. ' M. Séglas répond que son mala
oïde 3 fois, alcoolisme 1 fois, nervosisme 3 fois, hystérie 1 fois, signes de dégénérescence 1 fois). La bacillose pour
rteil de ce côté aurait été « mort ». On cons- tate une esquisse du signe de Romberg. Les phénomènes douloureux qui resse
tout abus d'alcool, dit ne pas faire d'excès. il ne présente pas de signes d'alcoolisme. Il n'a jamais eu de ma- ladies vé
ment exagéré, mais il n'existait pas de clonus. 11 n'y avait pas de signe de Romberg. Les membres supérieurs étaient inde
ctions fibrillaires des muscles de la jambe gauche. 11 n'y a pas de signe de Babinski. Le sujet étant dans le décubitus d
e est moyenne, l'instruction rudimentaire, le malade lit à peine et signe difficile- ment son nom. La langue est bonne,
nt. Les urines ne renferment ni sucre, ni albumine. Il n'y a pas de signe de nervo- sisme ou de neurasthénie. 11 n'y a pa
ion des réflexes patellaires, mais, pas de clonus. Il 'existait du. signe de Hombergr Il n'y avait pas de troubles de la
à une seule reprise, ne présente plus au moment de l'examen aucun signe permettant de reconnaître la bizarre affection
n de froid du membre inférieur corres- pondant. Mais ce sont là des signes trop obscurs et trop peu définis pour permettre
le pluspiofondément atteint parce qu'il conserve le maximum' des signes morbides : une légère exagération des réflexes
considérer le père comme absolument et totalement guéri ; le seul signe présenté en commun par les trois sujets est une
CLINIQUE NERVEUSE. légère exquisse de Romberg. Mais du reste aucun signe absolu de dégénérescence du cordon pyramidal. P
comme entachés d'hystérie, car aucun d'eux n'a jamais présenté les signes caractéristiques de cet état mor- bide. Notre
u tout au moins s'atténuer au point de ne plus .donner lieu à aucun signe appréciable. Cependant quelques symptômes cadre
nce d'une tumeur située hors du cerveau et présentant plusieurs des signes caractéristiques des tumeurs du cerveau, notamm
digestion, l'irritabilité nerveuse et le malaise générale. Mais le signe décisif sera toujours l'étrangle- emt nde la pa
on enlevait-la partie postérieure des vertèbres. Il n'y avait aucun signe de dépla- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 25S c
ferme, avait la forme normale et ne présentait extérieurement aucun signe ni de ramolissement ni de lésion due aune compr
t été ou non fracturés, mais leur examen in sitit-ne révélait aucun signe de fracture. L'accident était survenu un lundi
de diagnostiquer l'origine grippale d'une encéphalopathie : un bon signe sera tiré du pouls qui augmente de fréqueuce da
it plutôt dans les encéphalopathies d'autre origine. A défaut de ce signe , il faut avoir recours à la bactérioscopie : 1 ex
et s'accompagna de fièvre, de gonflement du corps thyroïde, etde signes de compression de la trachée. L'aspect intérieur
des membres inférieurs. Les réflexes sont exagérés. On constate le signe de Babinski (extension du gros orteil par la pi
ns notre climat et les climats analogues, le thermomètre fournit un signe certain de la réalité de la mort. . V. Au poi
nt la mort s'élevait à 40-3. Revenons maintenant sur les différents signes présentés par noire malade. Le 30 octobre, jo
lalgie datait de quatre mois, elle avait été parfois accompagnée de signes d'une valeur clinique considérable : migraine o
avant les ABCÈS DU LOBE TEMPORAL DROIT DU CERVEAU. 301 L premiers signes de l'encéphalite et nous avons trouvé un petit
e l'évolution naturelle de la rage et leur constatation est donc un signe certain delà rage. En outre ce sont ces lésions
nte de l'abaissement de la température et ne s'accom- pagne d'aucun signe objectif d'altérations vasculaires dans la. rég
s, il s'agissait de malades chez lesquels on ne put découvrir aucun signe formel d'affection organique du système nerveux
de la table interne de la voûte du crâne, mais il y avait aussi dn. signes de carie récente, en sorte que l'on peut se deman
n ou la diminution de l'olfaction peut être considérée comme un des signes de la paralysie générale. Sur 22 paralytiques,
olfaction et de la gustation, la perte du goût pour le sel sont des signes qu'on peut trouver aussi bien au début de l'aff
ressants détails. L'au- teur ajoute que, bien entendu, l'examen des signes physiques pe REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 323
ont été ceux des tumeurs cérébrales en général, mais pas le moindre signe de localisation n'a permis de reconnaître le si
aisemblable qu'elle résulte d'un trouble de la circula- tion. Aucun signe ne plaide en faveur d'un néoplasme. Ce qui fait
alade a guéri en trois mois, mais la diplégie faciale persiste avec signes de réaction de dégénérescence. Chez le second m
ndante très nette, rapide, avec abolition des réflexes rotuliens et signe de Uabinski. Du côté de l'encéphale les lésions
ions minimes. Le second cas a trait à une femme présentant tous les signes d'une tuberculose pulmonaire avancée accompagné
la- tète. Il n'existe aucune modification du fond deToeil et aucun signe de lésion nucléaire. Cas fruste de sclérose en
31. Brissaud et Monod. Il s'agit d'un malade pour lequel malgré des signes incontestables de paralysie générale le dia- gn
e hésitant en raison de l'absence momentanée de quelques-uns de ces signes (signes pupillaires), les lymphocytes observés
nt en raison de l'absence momentanée de quelques-uns de ces signes ( signes pupillaires), les lymphocytes observés dans le
à propos de ce malade insiste sur la contingence de la plupart des signes de la paralysie générale sauf pour l'affai- bli
te hypothèse est affirmée par l'existence chez ces mélancoliques,de signes physiques dont les plus importants sont les tro
ortants sont les troubles pupillaires et l'hypotension artérielle ; signes trouvés par l'auteur chez tous les malades exam
âgée de trente-cinq ans. qui, depuis quelque temps, présentait des signes d'aliénation mentale. Celle-ci. profi- tant de
il était très estimé de ses amis, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale et déjà, il y a un an envi
ervations non suivies d'autopsie l'examen clinique avait révélé des signes d'artério- sclérose. Louis Deluas. LVII. Sur
l; J. CONA. (Ibid.) - Traumatisme remontant à dix ans ; aucun autre signe que l'épi- lepsie jacksonienne. Trépanation qui
ie transitoire et incomplète plutôt que permanente ; ce sont là des signes qui ne sont pas sans valeur pour le diagnostic.
. dont se comportent les pupilles, alors même que tous les autres signes de la syphilis manquent : les particularités pupi
. On n'oubliera pas non plus que la né- vrite optique double est un signe de réelle valeur. L'auteur entre ensuite dans q
s communément atteinte. Les modi- fications pupillaires sont un bon signe précoce : le myosis est la règle. Plus signific
conjonctive palpébrale, innervée par la cinquième paire est un bon signe de début. Enfin, dans le tabès dit amaurotique,
ent une analgésie plus ou moins marquée du testicule et du scrotum ( signe de Pitres). On sait que le signe de Westphal (a
arquée du testicule et du scrotum (signe de Pitres). On sait que le signe de Westphal (abolition du réflexe du genou) est
le signe de Westphal (abolition du réflexe du genou) est souvent un signe très précoce et toujours un signe constant. Bea
réflexe du genou) est souvent un signe très précoce et toujours un signe constant. Beaucoup de troubles trophiques peuve
ne constant. Beaucoup de troubles trophiques peuvent être aussi des signes très précoces, depuis la chute prématurée des c
rde hérédité mentale et qui présentait depuis sa petite enfance des signes d'insuffisance intellectuelle et d'hémiplégie ;
accommodation ; leur inégalité et leur absence de réaction sont des signes de lésions profondes de dégénérescence. Le diag
volonté. Quelquefois, il est vrai, il peut se faire comprendre par signes ou en écrivant; mais dans la majorité tout au m
voque quelquefois à la suite des efforts chez les parturientes. Les signes ordinaires des fractures de côté ont naturellem
die, une manifestation de la névrose. Il y a, fait-il remarquer des signes morbides caractérisés par l'excès d'une fonc- t
il trouva les deux corps étroitement unis. L'enfant ne donnait plus signe dévie. La folle a été sauvée. (Le Bonhomme norman
, demeurant rue des Envierges, 26, donnait depuis quelque temps des signes non équivoques d'aliénation men- tale. Son mari
igure. Depuis ce temps, on remarqua que l'enfant ne donnait pas des signes d'intelligence, et les convulsions se répétaient
l'examinai et opéré, et jusqu'alors il n'avait pas donné le moindre signe d'intelligence. Lorsque je voulus le mettre deb
sante au point de vue clinique et social. SÉMÉIOLOGIE. Un nouveau signe physique spécial à l'intoxication alcoolique :
n nouveau signe physique spécial à l'intoxication alcoolique : « le signe de Quinquaud » ; I'ar le D I : u. <1GBR1-,
rée en ces derniers temps par notre chef de service M. Paris sur un signe nouveau d'alcoo- lisme propre à l'alcoolisme, e
et son opi- nion à cet égard a par conséquent une réelle valeur. Ce signe qu'il recherche quotidiennement a été étudié, p
de les appuyer fortement et perpendiculairement contre le fond de SIGNE PHYSIQUE SPÉCIAL A I,'lNT0XlCATION ALCOOLIQUE. 47
et -menait frapper vôtre paume '. » " ' . Nous avons recherché ce signe chez les malades de l'asile de Maréville en emp
la plupart de ceux que nous avons pu voir, ne présentaient plus de signes physiques d'in- toxication ; en outre nous n'av
at de mal que dans des moments sans crises, une fois seulement le signe de Quinquaud existait : c'était chez une ancienne
ées depuis cinq ans au moins, et ne subsistait plus chez elle aucun signe apparent de leur intoxication passée. > Pa
autres paralytiques anciens alcooliques se répartissaient ainsi : SIGNE PHYSIQUE SPÉCIAL A L'iNTOXICATION ALCOOLIQUE. 477
e. Nous nous résumerons donc en disant que nous n'avons trouvé le signe de Quinquaud ni chez les épileptiques, ni chez
point n'ait pas été rigoureuse, nous pouvons dire cependant que le signe de Quinquaud se rencontrait non seulement chez
a liberté de boire est absolue. Nous pouvons donc conclure que le signe de Quinquaud est vraisemblablement un phénomène
un dont l'abstinence n'est pas absolue. Il paraît de plus être un signe habituellement précoce puis- qu'il existe si fr
sant rapidement après le sevrage il peut être considéré comme un signe d'alcoolisme entretenu. Quelle en est la pathog
a confirmées dans une lettre récente. Si la valeur spécifique de ce signe pouvait être démontrée, on aurait au moins un m
a fois à l'alcoolisme et à la sénilité ; elle ne pré- sentait aucun signe physique d'alcoolisme, même pas le signe de Qui
elle ne pré- sentait aucun signe physique d'alcoolisme, même pas le signe de Quinquaud si précoce cependant, nous avons c
aient conséquence et non cause de l'altération de l'état mental. Le signe de Quinquaud pourrait être encore un élément de
s, chose que chacun nie au médecin. Il nous semble cependant que le signe que nous venons de décrire pourrait beaucoup ai
us souhaitons surtout que d'autres recherches viennent définir le « signe de Quinquaud » mieux que nous n'avons pu le fai
itiale suivie d'une diminution dans le volume du pouls; 8° Comme ce signe est constant, tandis que l'élévation de la temp
ougeur de la face avec irritabilité cutanée, et la malade donna des signes d'agitation et de mauvaise humeur. 486 REVUE
aucoup présentaient, outre la défectuosité iutellectuel'e, d'autres signes de dégénérescence : paralysies infantiles hémil
nt de la langue, des muscles de la face et surtout des lèvres, tous signes d'une lésion du cerveau. Il est très-probable q
ce de M. le Dr Briand où nous l'avons observée. Elle présentait des signes très nets d'hérédo-syphilis et d'infantilisme.
mplies par la malade d'une façon tout à fait niaise et absurde. Les signes physiques de paralysie générale consistent' en un
de 79 ans, qui à la suite d'un trau- matisme présenta les premiers signes (actuellement au complet) de la maladie de Uerc
malade n'ayant éprouvé que les symptômes généraux d'une tumeur sans signes de localisation. Spasme névropathique d'élévati
e hypothèse semblait s'adapter aux faits observés. Je ne vois aucun signe essentiel qui permette de séparer ce cas des au
ade atteint d'hémiplégie droite ancienne avec aphasie, l'examen des signes considérés en eux mêmes feraient'diagnostiquer
t AUBINE.4U (de Brest). Il s'agit de deux frères ayant présenté des signes se rattachant nettement à l'héredo- alaxie céré
ignes se rattachant nettement à l'héredo- alaxie cérébelleuse ; des signes de la maladie de luiedreiclr, et des signes se
axie cérébelleuse ; des signes de la maladie de luiedreiclr, et des signes se rattachant à ces deux t pes cliniques. 1111.
électrique n'a pas été faitetne donnerait vraisemblablement que les signes communs de la myopathie. Paralysie radiale do
e jamais. La disparition du réflexe du tendon d'Achille est même un signe très précoce de tabès. Il est aboli en effet ch
olique. Effets d'une lésion de i tête eliez un -, par Raw, 937. - Signe plnsique de l'intoxication, , par Aubry, 474.
édecin expert. Vade inecum du - , par Lacassa;·ne. 190 Méhncolie. Signes physiques de la - ,-par Stoddait, 52. L âge et
6 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Le nombre des séances ne peut être limité que par l'ensemble des signes pathologiques à traiter. Comme pour la pendai-
et demi et pas une seule fois nous n'avons pu constater le moindre signe de défaillance. En · TRAITEMENT DES MALADIES NE
jambes bien qu'il n'y ait pas de paralysie proprement dite. Pas de signe de Romberg. Atrophie des masses musculaires des m
ucre. En présence de ces symptômes un peu vagues accompagnant les signes cardinaux de l'alcoolisme dont nous avons d'ail-
r M. Decroly. (Journ. de Neurologie, 1900, n° 22.) Les principaux signes qui ont permis. d'affirmer chez le malade 48 RE
début de l'affection d'abord d'un côté,-puis de l'autre, sans aucun signe de congestion ni d'hémorhagie cérébrales ; 3° l
Iconogr. de la Salyclricre, n° 4, 1900.) Dans l'absence de certains signes importants considérés comme caractéristiques de
inrent permanents avec strabisme en plus quand se montrèrent divers signes d'infection tuberculeuse. M. Bonafonte diagnost
ais augure quand il y a coïncidence d'hémiparesthésie. Le principal signe de migraine essentielle est la tare héréditaire
ne prouve qu'une migraine simple puisse jouer un tel rôle. 5° Le signe externe de l'homogénéité clinique de la migraine
l'accès arrive, le malade, en pleine conscience, ne présente aucun signe extérieur, il éprouve un mal de tête occipital.
l'éclat spécial des yeux, accompagné de mydriase, et les accès. Ce signe est surtout accusé chez les jeunes épileptiques.
p- tique et porteur de noevus. Ce malade est atteint entre autres signes de dégénérescence « d'une diminution du nombre et
e la scarlatine; un jury serait-il convaincu au début par de légers signes physiques, suffisants cependant pour le médecin ;
nt chez les fous avant l'intelligence. Les illusions ne sont pas un signe plus ferme. Elles sont seule- ment une marque d
complète, intéressant à la fois les nerfs sciatique et crural, avec signe de Kernig et abondant dépôt, après centrifugati
s objectifs de la sensibili'é, mais accompa- gnée de rachialgie, du signe de Kernig et du passage de lympho- cytes dans l
réaction méningée que l'on refuse à la névrite (avec rachial- gie, signe de Kernig et lymphocytes dans le liquide céphalo-
t l'état de la cellule de la corne anté- rieure ; 3° L'absence de signe permettant d'affirmer ou d'infirmer la poliomyé
teurs chez les délirants chroniques. . Du syndrome musculaire comme signe pronostic. M. DuFOUR communique l'observation d
e par certains malades dans le décubitus dorsal, il y a plus que le signe de Kernig et plus qu'un trouble synergique céré-
Weitzfelder, Bidan, Rondel, Benedikt et Tripier. Amélioration du signe de Romberg : M. Clark, Eulenburg, Mendel, Rosen
xe rotulien : Erb, Althaus, Bonjour et Re- nault. Suppression -du signe . d'Argyl-Robertson : Motchout- kowski. - - Ai
oration notable des troubles moteurs, des douleurs fulgurantes,' du signe de Romberg, etc. En somme sur 10 cas nous obten
e. Il y a trois ans le malade sentait son genou gauche se fléchir : signe de Romberg, signe d'Argyl-Itobertson, signe de
s le malade sentait son genou gauche se fléchir : signe de Romberg, signe d'Argyl-Itobertson, signe de Westphal en plein
u gauche se fléchir : signe de Romberg, signe d'Argyl-Itobertson, signe de Westphal en plein développement. ' TRAITEMEN
is par semaine. Le 2 avril 1901. Marche améliorée : amélioration du signe de Ilomberg. Le 18 juin 1901. Malgré le temps
as revenir les réflexes rotuliens. Les douleurs fulgurantes et le signe de Romberg sont les deux symptômes qui bénéfici
is présenté de. l'incoordination. Présente, cependant, nettement le signe de Westphal, la perte des réflexes achilliens, et
gne de Westphal, la perte des réflexes achilliens, et légèrement le signe de Romberg et le signe d'Argyl-Robertson. 124 i
te des réflexes achilliens, et légèrement le signe de Romberg et le signe d'Argyl-Robertson. 124 ik " THÉRAPEUTIQUE. N'
e ressente plus ses douleurs pendant trois règles successives. Le signe de Romberg est celui qui profite aussi de la susp
ataxiquesenamé- TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 12o liorantle signe de Romberg et l'incoordination. Nous savons mai
axie plus vite et parfois la fait passer presque inaperçue. Pour le signe de Romberg l'action de la suspension est aussi
utes. Chez le malade de la première observation citée plus haut, le signe de Romberg s'est atténué à tel point, que le ma
istique du professeur Motchoutkowsky montre . que l'amélioration du signe de Romberg est moins fréquente que l'améliorati
éliorations de l'incoordi- nation et seulement 155 améliorations du signe de Romberg. Ce désavantage pour le signe de Rom
ement 155 améliorations du signe de Romberg. Ce désavantage pour le signe de Romberg résulte, comme il nous semble, de ce
difficile d'indiquer la limite - exacte entre la disparition de ce signe et celle de son exis- tence. Parmi les autres
ent tranchant à la partie supérieure et latérale gauche du cou. Les signes étant allés s'atténuant pro- gressivement, on n
900, p. 501-50G.) , L'idée inspirant ce travail était de trouver un signe aidant à la diagnose des premières périodes de
re, et les grands cylindraxes sont de couleur rouge-brun : c'est un signe que les petits cylindraxes et les fins cordons co
upart des cas frustes ou légers diagnostiqués aujourd'hui grâce aux signes actuellement connus ne pouvaient pas être dépis
pas être dépistés il y a quelques années, alors par exemple que le signe de Robertson échappait à Duchenne lui-même. Il
oi qu'on fasse. Un homme mort d'un sar- come et qui n'avait que des signes très légers de tabès depuis vingt-cinq ans mont
et, dit que depuis vingt ans nous connaissons la valeur de tous les signes et que si depuis lors nous voyons des tabès plu
tuellement le malade a repris son travail et ne présente plus aucun signe ni inconvénient. Seul le ton de la voix a un pe
ala méningite cérébro-spinale ont été constatés, sauf un seul : le signe de Kernig. L'affection, tout en débutant d'une
t aisément reconstituer le drame. Sylvain Pourbaix, qui donnait des signes de dérangements cérébraux et avait, en outre, d
2° par une crainte de rougir qui peut à certains moments offrir les signes de l'obsession. Je ne peux préciser la date de so
oit ? 'La plante des pieds est libre, les fourmis ont passé. ' Le signe + signifie : sentez thivantagu. , 204 RECUEIL D
s). Dans quelle mesure le paludisme a-t-il provoqué l'explosion des signes paralytiques. Bien que le rapport semble éviden
'épuisement de la lactation. Les 218 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. signes cliniques sont ceux du délire aigu pouvant s'amen
E DE PATHOLOGIE MKNTRLE. raie progressive ; 2° il n'est pas un seul signe diagnostique tiré des troubles moteurs qui puis
aralysie générale ne se peut établir que par la réunion de tous les signes tant moteurs que psychiques, qui, dans la plupa
utanés avec perte d'une narine, ces trois sujets présen- taient des signes de tabes sans être des tabétiques, comme l'auto
e ans, porteur d'un vitiligo du tronc avec très vieille syphilis et signe d'Argyll, mais non tabétique. De tels malades s
le nom d'hypotonie généralisée'. Névrite motrice généralisée avec signe de Babinski., M. Lortat-Jacob rapporte un cas d
ki., M. Lortat-Jacob rapporte un cas de névrite périphérique avec signe de Babinski. M. Crocq admet d'ailleurs la présenc
evers, rue du Docteur-Roche, qui donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale, s'est dérobé hier soir à la
ffaire de Margueritte, qui, comme on le sait, semble manifester des signes d'hallucination ce qui provoqua la dési- gnatio
t à la suite de l'emploi du sulfonal... Elle n'est d'ailleurs qu'un signe de peu de valeur pour le diagnostic ou le prono
e a permis de constater la- névrite qui ne se manifestait par aucun signe subjectif. Etude minutieuse de ces observations
vident que la névrite multiple est seule en jeu. 11 n'existe pas de signes de lésions de la moelle, sauf dans l'observatio
roduit une névrorétinite stasique progressive, de la titubation, le signe de Romberg, du ralentissement du pouls, une som
5.) L'inégalité pupillaire, considérée pendant longtemps comme un signe très important dans les affections mentales, n'a
, qui peut précéder de dix ans le début de la maladie. Souvent à ce signe sont associées des modifications du réflexe du
née, montrent les variations notables - de l'orifice pupillaire. Ce signe précède parfois le début de la ' maladie. On pe
e, la perte des réflexes pupillaires est rare. Sur 9.160 aliénés ce signe n'a été trouvé que 1.G39 fois, soit : REVUE D'A
laires sont beau- coup plus fréquents chez les sujets présentant le signe de Westphal. La perte des réflexes pupillaires
t paraissant guérie. En même temps qu'apparais- saient les premiers signes de la paralysie générale, ce malade faisait; au
e faisait en flexion et il était intact. Pourquoi cette absence du. signe de Babinski dans un cas aussi net ? J. 13,\J3
on avec mes idées sur le phénomène des orteils. J'ai soutenu que ce signe est caractéristique d'une pertur- bation du sys
Souques présente un homme de soixante-neuf ans porteur de de trois signes : parésie de la corde vocale gauche, myosis avec
e bonne foi la syphi- lis, cet homme est un syphilitique avéré. Son signe d'Argyll dure depuis dix ans; il peut-être cons
un candidat perpé- tuel au Tabes auquel il ne parviendra jamais. Le signe d'Argyll est SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 un symptô
vitiligo dans leur service. Ils en ont trouvé six. Deux n'ont aucun signe pouvant se rattacher au tabes. Un présente'de la
sociétés savantes. Des rapports de l'irrégularité pupillaire et du signe d'A 1'[fyt Ilobe1'toon. 1L11. Joffroy et Scii
qui est pathologique. , La déformation pupillaire est le premier signe en date des troubles indiquant l'altération de
ède l'affaiblissement de l'un ou de deux réflexes pupillaires et le signe d'Argyll. ' \111. ,Iorrnoo et Sciirameck ont pu
u voir plusieurs fois se développer peu à peu et progressivement le signe d'Argyll chez des paraly- tiques généraux où l'
flexes pupillaires sont encore intacts, être ' · considéré comme un signe probable de tabes, de paralysie géné- rale, de
e syphilis, et que sa valeur séméiologique est la même que celle du signe d'Argyll licberlson dont elle marque le début.
on que nous avons soutenue, M. Charpentier et moi, il savoir que le signe de liôbertson parait dénoter la syphilis; les f
es diverses statistiques qui ont été publiées, reconnaissent que le signe d'Argyll, ainsi que les affections dont je viens
bétique, un paralytique général ou un sujet présentant seulement le signe de llobertson. . M. Joffroy. Mais, si l'on ne
ni albumine. La sensibilité est normale. Pas de paralysie, aucun signe de rachitisme. Aucun sligmate de syphilis. - Ce
jardin, il écrivait correcte^ ment de la main gauche. Il n'a aucun signe de dégénérescence; sa taille est de 1 m60 1.
der à son internement. Il présentait lors de son admission tous les signes de la paralysie générale progressive à forme ly
ongestion cérébrale » et depuis cette époque, aurait donné quelques signes d'aliénation mentale. Ce n'est toutefois que si
il n'existe plus, et n'a donc pas besoin de manger. Bien que les signes physiques manquassent à cette époque, le diagnost
générale fut posé. Ce diagnostic ne tarda pas a être confirmé; les signes physiques de la paralysie générale apparurent.
sa maladie se présenta tout à coup, peu de jours avant, sans aucun signe de troubles cérébraux. Exploré par moi, il avai
exagérée. Il s'agit d'un individu frêle chez lequel on constate des signes d'infantilisme : quoiqu'il n'ait jamais eu de dés
forme fruste. P. KERAVAL. . LXXI. Encore quelques mots sur les signes objectifs de l'hyperes- thésie et de l'anesthés
une recherche attentive permet la plupart du temps de découvrir un signe objectif de l'hyperesthésie et de l'anesthésie,
lieu quand on agit sur les régions insensibles. Mais l'absence du signe de Mankopf ne doit nullement sans façon être cons
animaux (on a réséqué le sciatique à plus de 100) présentèrent les signes accentués de l'épilepsie. Or il y a dix ans, su
endineux patellaires et podaliques allant jusqu'au clo- nisme, sans signes de dégénérescence des voies conductrices. Paral
e la sensibilité au tronc ni sur les extrémités : s'il n'y a pas de signes d'une lésion des racines postérieures et des nerf
a syphilis du système nerveux indé- pendamment des commémoratifs. Signes directs : La sypliilis étant une maladie générale
res, le diagnostic peut être difficile : on le fera surtout par les signes généraux et par le traitement : 9° Syringe- myé
x ; reins et coeur sains. Après une petite opération (hémorroïdes), signes de dépres- sion et crainte de la mort, bien que
s de paralysie spinale syphilitique ou de myélite trans- verse. Les signes diagnostiques sont tellement caractéristiques q
'hyperesthésie; mais quand elle existe, elle constitue néanmoins un signe de grande valeur : elle succède généralement à
mplique pour être valable, libre consentement de la personne qui le signe , et par conséquent ' nullité de tout engagement
E LEGALE. 405 stigmates, à la relation qui parait exister entre les signes phy- siques et l'état mental. 0 SmoN. XVI. Mo
dans les maisons de correction, lorsque ces sujets ont présenté des signes d'aliénation mentale ou des états d'excitation
n type à part. Le criminel juvénile, en un mot, n'est pas pourvu de signes vérita- blement distinctifs qui le rendraient i
t. Elle n'ap- prend plus rien. Au demeurant, elle ne présente aucun signe somatique, susceptible d'éveiller le soupçon d'
écédentes de rhumatisme articulaire aigu, elle ne présente pas de signes appréciables d'une lésion organique du coeur. Je
on entrée dans le service. On ne constate pas, chez lui, le moindre signe révélateur d'une démence paralytique ou d'un ra
ou du pul- vinar. 4 Laissez-moi vous rappeler en quoi consiste ce signe : Quand on approche des yeux une source de lumi
pilles se contractent aussitôt, dans les circonstances normales. Le signe de Wernicke consiste en ce que cette réaction p
es par les efforts d'accommodation, continuent de se manifester. Le signe de Wernicke n'est donc pas autre chose que le s
manifester. Le signe de Wernicke n'est donc pas autre chose que le signe d'Argyll, avec cette différence : il se manifes
rice dans les membres (compression des pédoncules cérébraux), c'est signe que les deux bandelettes optiques, ou l'une d'e
de la cécité cor- ticale. Toujours, à ce que l'on a prétendu, le signe de Werniqke (réaction pupillaire hémianopsique)
de constater la réac- lion pupillaire hémianopsique ; toutefois, ce signe manque souvent. 3° L'hémianopsie symptomatiqu
ante-trois ans. Accidents neuro-pathologiques chez les collatéraux. Signes physiques de dégénérescence. Rien autre à noter
aralysie générale tandis qu'apparaissent chez la femme les premiers signes d'un tabes préparalytique. - , Mais la syphilis
nts et de douleurs périphériques. Actuellement il présente tous les signes physiques de la para- lysie générale : visage s
très malade lors de son retour, elle présente actuellement tous les signes de la paralysie générale progressive, arrivée à
de suicide, il est à demi stupide ; on ne constate pas chez lui les signes physiques de la paralysie générale. 11 n'en est
amais ce que j'ai fait ! » En décembre 1896, elle présente tous les signes physiques et psychiques d'une paralysie générale
rnement. Affaiblissement considérable des facultés intellectuelles, signes physiques de plus en plus marqués. Gâtisme. Cac
nnue, il eut une congestion céré- brale ; depuis lors, il donne des signes d'aliénation mentale, cet état s'est aggravé ce
jambes, rien ne va plus. Paralysie générale probable, bien que les signes physiques fassent défaut. Ces derniers ne tardère
V. Rappelons enfin que dans l'observation I la femme présenta des signes de tabes plusieurs années avant de faire de la pa
opération, la malade se porta bien. Le lendemain, elle présenta des signes d'inquiétude, pleura toute la journée, ayant peur
eut être attribué à l'atropine, puisque la malade ne présenta aucun signe d'intoxication par cette substance. La malade p
un signe d'intoxication par cette substance. La malade présenta des signes de dégénération et par conséquent offrit un ter
ur demeure conservée; 9° le rétrécissement du champ visuel est le signe le plus précoce, le plus sûr. le plus caractérist
récisse- ment du champ visuel chez les paralytiques généraux est le signe d'une atrophie commençante du nerf oplique; 10°
emblement des mains et de la langue, l'exagération des réflexes, le signe de Romberg peu accusé. Il parait y avoir eu une
gie de la jambe droite, exagération de tous les réflexes tendineux, signe de Babinski. Le seul faisceau nettement dégénér
était le faisceau allant du noyau rouge à l'olive cérébelleuse. Les signes dominants étaient donc franchement cérébelleux
-dire un retour à l'état normal chez des malades ayant présenté des signes caractéristiques du tabes, mais, à l'appui de s
ésentent un malade, ouvrier en peaux de lapins, atteint de tous les signes de l'hydrargyrisme chronique avec le tremblemen
t donc bien directement organique. M. Ballet. S'il constituait un signe d'hystérie toxique, cette dernière trancherait
té organique liée à des lésions de l'oreille ; il peut être le seul signe objectif permettant d'établir le diagnostic et
ades ont à leur disposition, lequel diminue rapidement. C'est là un signe d'une grande importance, au point de vue du dia
des sentiments de famille. Cette indiffé- rence émotionnelle est un signe important au point de vue du dia- gnostic préco
distinguer dans les formes cliniques les symptômes essentiels des signes accessoires. Il est des symptômes que l'on trouve
ignification pour le diagnostic. Bien plus importants sont d'autres signes tels que la fuite des idées, l'orientation, la
LL lODE5 ! PSO ? Des rapports de I'irlé,,ulitt,ité pupillaire et du signe d' -, par Jotfroy et Schrameek, 332. All1lE
soixante-seize ans, par Faiez, 162. d'angoisse, par de Buck. 231. Signes objectifs de l'hyperesthésie et de l'aneathé-
7 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ière, nous avons cru mieux servir la science en cherchant surtout les signes diagnostiques physiques et facilement appréciable
x malades de prévoir le moment où elles vont tomber en attaque. Ces signes précurseurs sont nombreux et variés ; ils trahiss
s sont précédées d'une période prodromique marquée par la plupart des signes sur lesquels nous insisterons plus loin. Gen... c
tion de son regard. Elle semble écouter, faisant de temps à autre des signes d'intelligence. Puis elle cherche à fuir sans mot
de même. Nous retrouverons la tympanite et les borborygmes parmi les signes de l'attaque elle-même. 1. Briquet, Traité de l
ait intéressant à plus d'un titre et dans lequel l'attaque avait pour signe précurseur une sensation de froid et une décolora
rs alternait avec des attaques épileptiformes. Celles-ci avaient pour signes précurseurs une sensation subjective de froid et
avec sensation d'engourdissement dans les doigts et les orteils. Ces signes indiquaient toujours infailliblement l'approche d
lité qui gagnait progressivement de la périphérie au centre, était un signe certain du retour prochain de la connaissance. Ta
urs de ventre très vives, dans la région de l'ovaire gauche, puis les signes ordinaires de l'aura hystérique, qui reviennent,
e attaque, et plusieurs jours à l'avance se mêlent parfois aux autres signes prodromiques. 3 juillet 1878. — Gen... est sous
douloureux, qui constituent à proprement parler Y aura hysterica. Les signes prodromiques dont il a été question jusqu'ici, pe
dont il a été déjà question, L. Gl... Gl... est tourmentée par les signes prùdromiques de l'attaque pendant environ cinq jo
ine commencée. Lorsque l'attaque doit suivre, en même temps que les signes de l'aura se produisent, Gl... sent sa langue s'i
viens! viens! » Elle appelle d'une façon, plus pressante en faisant signe avec le doigt. En même temps elle montre une plac
bjet d'une mystification. Nous sommes heureusement en possession de signes certains qui mettent l'observateur à l'abri de
Pour terminer, je résumerai en quelques propositions, les prin-cipaux signes distinctifs de cet état nerveux particulier qui c
res personna-ges : « Ah ! il est venu au cours!... Je lui faisais des signes avec mon mou-choir. On croyait que c'était à M. X
moment où finissent ses attaques, Gl..., écoute la musique, elle fait signe du doigt. C'est la musique des militaires rouges.
st dans une sorte de rage de ne pouvoir entendre ni parler. Elle fait signe qu'elle souffre beaucoup dans l'épaule droite.
signalées par tous les auteurs. Pour Sydenham, l'urine claire est un signe pathognomo-nique de l'hystérie. Mathieu parle d
1er février 1878. — Marc..., pendant que nous la questionnons sur les signes prodromiques qu'elle ressent depuis le matin, tom
défait, ne tarde pas à reprendre sa colora-tion habituelle, et aucun signe sur la physionomie ne trahit la gra-vité des acci
là-bas, faut lui mettre de l'eau (A part.) il ne bouge pas. Faites un signe si vous entendez, êtes-vous sourd : Il faut lui d
endez, êtes-vous sourd : Il faut lui donner de l'eau. » Elle fait des signes avec la main, regardant en bas, penchée sur le bo
; d'autres fois elle manifeste un contentement qui se traduit par des signes non équivoques. Elle demeure parfois comme en ext
VI. — 11 h. 19. Cette nouvelle attaque commence par une phase où les signes épileptoïdes sont un peu plus accusés que nous ne
sie à crises combinées », dont la malade présente d'ailleurs d'autres signes importants. Elle est hémianesthésique à gauche et
de nouveau en haut ; geste de défi. Elle se mord les doigts; fait un signe avec la main comme pour éloigner. III —a). Tout
r quelqu'un;—vision plus gaie en haut et à gauche, elle fait quelques signes de dénégation. —Elle regarde à gauche dans son li
. Je ne t'aime pas, du reste; non je ne t'aime pas... » Elle fait des signes de tête et son regard est dirigé en haut et à dro
ngle ne mo-difie en rien l'attitude cataleptique et ne provoque aucun signe de sensation. Les paupières clignent quand on tou
Nous retrouvons là l'écume à la bouche au début de l'attaque comme signe épileptoïde, puis, comme dans l'observation précé
). Mlle Anne F..., âgée alors de onze ans, présenta dans la suite les signes les plus variés de la grande hystérie : contractu
Lepère, une jeune fille qui présentait à un haut degré la plupart des signes de la grande hystérie et dont les attaques ont of
dre de succession des différents phénomènes est toujours le même. Les signes prodro-miques de l'accès sont si conformes à ceux
s extravagants. Ainsi, la jeune fille se met à son balcon et fait des signes inconvenants aux passants (hommes et surtout jeun
sonne ne répondait point aux questions adressées, et ne donnait aucun signe de connaissance; ses bras se raidissaient avec co
d'une constitution faible; elle tousse fréquemment, sans présenter de signes de tuberculisation à l'auscultation. Elle louche
idents hystériques, puis les épileptiques. On trouve ici réunis les signes de la période épileptoïde et de la période de clo
ng déjà, elle a reconnu les personnes qui l'entourent, ré-pondant par signes de tête aux questions qu'on lui adresse, et cepen
iration; elle fait des efforts pour retirer votre main, et répond par signes à vos questions. Puis, on la voit prendre une ou
les divers phénomènes de l'aura hysterica; dans le second degré, des signes épileptoïdes évidents, puis l'indication des cont
ille1 s'applique à exclure de la symptomatologie de l'hys-térie, tout signe épileptique. « Je ne crois pas, avec beaucoup d
ent l'essence même de l'hysté-rie, des difficultés que la plupart des signes différentiels tracés plus haut ne peuvent toujour
rcé aurait de la peine à se reconnaître. Nous parlerons ail-leurs des signes précurseurs ou prodromes d'une crise ou accès par
les entend, nous avons vu, dans les descriptions des auteurs, que les signes épileptoïdes, aussi bien que les hallucinations e
ravité apparente des accidents pourrait en imposer au médecin, si des signes diagnos-tiques certains, dont nous parlerons dans
effet, un observateur expérimenté pourra le plus souvent, à quelcpjes signes qui pour RICllER 19 tout autre se perdent dan
paupières, ou de la contracture générale ou partielle, sont autant de signes en faveur de l'hystérie. Entre deux accès, on v
tiquer la compression ova-rienne avec certitude de succès ^ Mais le signe diagnostic le plus important entre l'état de mal
. Si l'on se souvient de ce que nous avons dit plus haut au sujet des signes différentiels des attitudes tétaniques de la prem
e que l'auteur a jomte à sa description. Sur ce dessin on remarque un signe d'apparence tout épilcptiquc et que nous avons dé
et que nous avons déjà relevé sm^ le soldat de Ch. Bell (fig. 38). Ce signe consiste dans la situation des membres inférieurs
ques la commotion épileptoïde. Mais pai^fois il s'y ajoute quelques signes plus particulièrement hystériques, comme quelques
mencé. Pendant ces intervalles de repos relatif, elle fait quelques signes de tète, émet quelques sons inarticulés ((ui peuv
[lertlu connaissance. Lorsque je demande le chloroforme elle fait des signes non douteux de mécontentements, et elle résiste a
age, les mouvements désordonnés que j'ai décrits éga-lement parmi les signes de cette même seconde période. Prenez en outre to
OLENCE DES «GRANDS MOUVEMENTS» ADelaliaye et E,Lecrosnier, légers signes de tète, quelques mouvements des lèvres, semblaie
de treize ans, pour la première fois (mai 1838), elle donna quel-ques signes d'hallucinations; entre autres, elle revint un jo
'hospice. Elle est dans un état de faiblesse extrême. On constate les signes d'un état chlorotique très accusé. Mais, sous r
nous ont été donnés, cette jeune fille n'avait jamais présenté aucun signe d'aliénation mentale. Elle était laborieuse, inte
s travaux des champs. Sa sauté a été relativement bonne. Vers 16 ans, signes d'hystérie. Plus tard hallucinations nocturnes te
c Toi qui aimes tant la fille ! (Allusion à son père) » L... fait des signes de la tête, air de mépris : « De quoi?... Tu es u
p. 182. éclats de tonnerre, et pour la première fois donne quelques signes de trouble intellectuel. On lui applique des sina
t guère qu'un peu avant la période d'agitation: ils en sont comme les signes avant-coureurs, et par leur degré d'intensité on
rtante, mais qui, dans ses pre-mières années, avait présenté quelques signes d'hystérie. En outre des antécédents hystériques,
gorge, saignement du nez, douleur fixe dans le côté abdominal gauche, signes d'in-flammafion localisée, s'étendant rapidement
ière, nous avons cru mieux servir la science en cherchant surtout les signes diagnostiques physiques et facilement appréciable
xpériences faites en 4878, nous nous attachâmes surtout à étudier les signes pliysiques ou somatiques qui pouvaient caractéris
lade avec le monde extérieur semble interdite, et elle ne donne aucun signe d'intelligence aux diverses interpellations qu'on
ompagnée de quelques mouvements bruyants de déglutition. Ces derniers signes et la chute en arrière rappellent, jusqu'à un cer
e plus souvent dans la résolution la plus absolue. A ces différents signes se joignent, pour caractériser la léthargie hysté
er les paupières de la malade léthargique pour faire revenir tous les signes de l'état cataleptique. Dans ce cas la catalepsie
l avait été progressive, sans la moindre secousse, sans le plus petit signe épileptoïde. On examine alors l'état de la contra
en haut, l'expression devient riante, et l'on y voit quelquefois les signes d'une hallucination gaie; lorsqu'au con-traire le
ême façon, à la manière d'une machine et sans manifester le moindre signe de mécontentement. Fait singulier, si l'on vient
'état de léthargie provoquée parla fixité du regard présente tous les signes de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. La sensi
re, et le nouvel état nerveux ainsi produit se révèle par de nouveaux signes . L'état des sens demeure le même que précédemment
nt de hre. L'hyperexcitabilité musculaire, qui est également un des signes de la léthargie hystérique, n'existe pas ici. Il
est le phénomène de la suggestion (Obs. 1,1'" série). Tels sont les signes de cet état qui nous paraît présenter les ca-ract
les auteurs ont toujours confondu avec le premier. Nous donnerons les signes différentiels de ces deux états, qui, tout en pré
citabilité musculaire. Je fais de l'hyperexcitabilité musculaire un signe obligé de cette variété de sommeil, pour le disti
rra au paragraphe suivant que si ces deux états de somniation ont des signes communs, ils diltèrent assez dans leur mode de pr
sommeil hypnotique et le second au sommeil dit magnétique. Parmi les signes qui peuvent servir à les différencier, l'hyperexc
ste pas seulementdaiis cciii- seule modification musculaire, d'autres signes y sont également, comme on peut le voir par ce qu
faible et répétée, le début passe inaperçu et n'est marqué par aucun signe extérieur. 2° Même insensibilité à la douleur d
s paupières se ferment, elle dort. Il ne s'est pas produit le moindre signe épileptoïde. Réveillée une deuxième fois par le
oquée, la malade, au moment où survient le sommeil, présente quelques signes épilep-toïdes, inspiration sifflante, mouvement d
plume brûlée, ni ammoniaque, ni piqûres, ne purent nous donner aucun signe de sensibilité : le galvanisme fut employé sans q
ellement précédée de phénomènes convulsii^, tantôt réduits à quelques signes épileptoïdes, tantôt plus étendus. Ce sei\ait don
rdinairement toniques dans la face et dans les membres; il existe des signes manifestes de congestion céré-brale, qui sont ren
usculaire, la durée de l'accès, son retour périodique, sont autant de signes en faveur de cette dernière opinion. Voici la r
le. Enfin, les frictions amènent la résolution musculaire. Tous ces signes éloignent l'idée de véritable catalepsie, et plai
me. L'attaque était précédée d'aura céphalique et s'accompagnait de signes épileptoïdes et d'arc de cercle. Bourdin dans s
talepsie, Archives cjén. de médecine, 1857; 5° série, t. X, p. 206. signes cataleptiques, sans que pour cela il soit nécessa
qui, d'autre part, a des attaques convulsives ou simple-ment d'autres signes d'hystérie. a) LA CATALErSIE COMPLIQUE LES ATTI
mpassible; à l'oreille droite, au contraire, elle fait de très légers signes d'intelligence qui indiquent que la connaissance
persiste à un certain degré. « Entendez-vous? » — Elle fait un léger signe affirmatif. « Pouvez-vous remuer? » — Léger signe
Elle fait un léger signe affirmatif. « Pouvez-vous remuer? » — Léger signe négatif. « Soulfrez-vous? » — Léger signe affir
uvez-vous remuer? » — Léger signe négatif. « Soulfrez-vous? » — Léger signe affirmatif. « Où souffrez-vous? » — Elle abaiss
vez-vous où sont vos jambes? » — Elle élève légèrement les épaules en signe de doute. L'oc-clusion des yeux ne modifie en rie
nt voici les caractères : Que les yeux soient ouverts ou fermés les signes ne changent pas. 11 existe un état cataleptique
tout ce temps, lejouretla nuit, sans parler et sans donner le moindre signe de vie. Elle mangeait très 1. Brierre de Boismo
analogues à ceux de la grande at-taque est marqué à son début par des signes épileptoïdes. « En général, dit M. Briquet, apr
t plus ou moins profondément. » Nous voyons, dans d'autres cas, les signes de la grande attaque acquérir une plus grande imp
des aiguilles dans les bras et les jambes, sans qu'elle donnât aucun signe de douleur; il n'y avait que le pouls qui, en con
isait un cercle sur sa tête comme si on eût dû la couronner. Tous ces signes faisaient dire au peuple que c'était une sainte,
i. Bien que la malade qui en fait le sujet n'ai pas présenté d'autres signes d'hystérie (du moins il n'en est pas parlé), les
eu, on lui criait même aux oreilles qu'elle gagnerait son procès; nul signe de vie. C'était une catalepsie parfaite. M. Att
mpirer depuis deux années consécutives, et dont le terme, d'après les signes antérieurs, paraissait plutôt éloigné, qu'immédia
ptiques et qu'il sur-vient toujours au milieu de la veille; autant de signes qui le rap-prochent du somnambulisme hystérique.
d'une autre névrose (hystérie ou épi-lepsie, par exemple), aux autres signes de laquelle il se trouve plus ou moins mêlé. He
qui, d'autre part, a des attaques convulsives ou sim-plement d'autres signes d'hystérie. a) le somnambulisme apparait mêlé a
demeure immobile. Me substi-tuant alors à mon confrère, qui m'a fait signe de prendre sa place, je répète sa mimique; innnéd
ez Arman-dine H... dans le cours de l'accès. Souvent elle donnait des signes de terreur ou de joie, sa figure exprimait la sou
E QUI d'AUTRE PART A DES ATTAQUES CONVUL-SIVES OU SIMPLEMENT d'AUTRES SIGNES d'hYSTÉRIE. Presque toutes les malades dont les
sceptibilité nerveuse, il tressaute au moindre bruit, en don-nant des signes de frayeur. Afin d'obtenir un effet très rapide
rare-ment gênés. Beaucoup sont anesthésiques sans le savoir. C'est un signe qui demande à être cherché et sur lequel les prem
el à celui des variétés cliniques. En s'appuyant sur l'ensemble des signes qui servent à caracté- 1. Recherches sur la con
eule malade qui ne présentât, sinon l'ensemble, au moins certains des signes les plus caractérisés de l'état de contrac-ture;
signes les plus caractérisés de l'état de contrac-ture; et parmi ces signes les plus précieux sont ceux que nous avons déjà s
ravant signalé à l'attention des cliniciens par M. Char-cot. Ces deux signes ont une même signification, mais sont d'une inéga
e vulgaire, et nous sommes arrivés à cette conclusion que, malgré des signes d'apparence épileptique, il n'y avait pas lieu de
tement de l'épilepsie véritable. Je ne rappellerai pas ici tous les signes sur lesquels insistent avec raison la généralité
elques-uns de ses symptômes, et je vais exposer ici som-mairement les signes diagnostiques sur lesquels se base la dis-tinctio
,. voyant une harpe dans la chambre d'une malade qui ne donnait aucun signe de vie, conçut l'idée de faire venir quel-qu'un q
ce ou pour mieux dire par induction et se charge d'une électricité de signe contraire k celle du patient. La forme aiguë de l
nues on trouverait facilement dans quels cas ces actions sont de même signe et dans quels cas de signe contraire Ce serait
nt dans quels cas ces actions sont de même signe et dans quels cas de signe contraire Ce serait sortir de notre sujet que d
marche déterminée ; dans ce cas l'action éesthésiogénique est de même signe des deux côtés du corps. 2" AnestJiésie général
remplacées par des plaques sensibles. Là encore l'action est de même signe des deux côtés du corps, mais de signes différent
Là encore l'action est de même signe des deux côtés du corps, mais de signes différents que dans l'expérience précédente. En u
que dans le n" 1 avec cette différence que l'action n'est pas de mêni signe dans les deux côtés du corps. Ainsi aux plaques d
tant que donnent les premières séances dans l'anesthésie totale. de signe différent des deux côtés du corps. Seulement ici
ndice certain d'attaque très prochaine et souvent, c'est le seul, les signes prémonitoires familiers à la malade n'ayant pas e
possibilité de produire l'anesthésie par les sesthésiogènes, comme un signe diagnostic précieux de l'hystérie dans les cas do
isaient des ecchymoses, des mor-sures, et tout cela sans donner aucun signe de douleur. L'une d'entre elles, Anne Langon, q
s historiques qui s'y trouvèrent mêlés. La trame est la même. Des signes de possession démoniaque apparaissent dans un cou
enre de celles de notre malade Gen... et devient par cela même un des signes les plus intéressants de l'affection nerveuse don
rasser d'elle en la faisant enfermer à La Salpêtrière et que tous les signes que nous avions constatés chez elle, les attaques
le P. Surin ressentir les atteintes du démon. C'était là les premiers signes d'une affection mentale à laquelle le malheureux
mis en croix... ^ » Plusieurs malades présentaient par instants les signes de l'extase et de la cata-lepsie. On lit dans l'o
pour Béhémot et qui fut pris pour lui, de se prosterner en terre avec signe de révérence et de sujétion, pour honorer l'enfan
es écrits des auteurs du temps un certain nombre de 1. Les premiers signes de possession se déclarèrent enlGl2 parmi les rel
sait, un jeune homme parut tout nu dans notre cellule. Je faisais des signes de croix, je disais : Verbum, caro /ac-^Mm esi, j
e, l'habitude, touché le pouls et pris garde soigneusement à tous les signes qui servent à reconnaître la santé et les maladie
un jugement certain qu'ils ne reconnaissaient en aucune d'elles aucun signe d'indisposition naturelle pour légère et peu cons
it-on voir là l'action de l'attouchcmeiit d'un point liystérogène ? signes qu'ils y purent remarquer, qu'il n'y avait en ell
Dieu de laisser â la fille l'ouïe hbre... et qu'ehe leur en donnât un signe en leur serrant la main. H fut donc forcé d'obéir
ent faire pour elle. Elle donc consentit aussitôt et leur en donna le signe en leur serrant la main, et à l'instant le démon
l'histoire de ces premières malades, il est facile de reconnaître les signes de la grande hystérie. Perronne T..., âgée de d
e malade, jeune fdle de vingt-six ans, présentait depuis huit ans des signes d'hystérie : boule, gastralgie, etc., auxquels se
elle est placée sur le marbre même du tombeau on peut retrouver les signes des deux premières périodes de l'attaque de grand
ombeau sans aucun soula-gement sensible pour la première fois. Je fis signe qu'on me transportât dans fé-glise. Dès que j'y f
ommence à leur porter de légers coups, et continue ,à donner tous les signes d'une exaltation cérébrale alarmante. On se déc
ntin... Vers le milieu du jour, la veuve Thévenet présenta tous les signes de l'extase; pendant ce nouvel état, elle récite
es de ses livres pieux. Vers les cinq heures du matin, elle donna des signes de frayeur, se fit asperger d'eau bénite, et épro
ant, dit Calmeil, plusieurs inspirés improvisaient sans présenter les signes du raptus extatique; l'explosion d'une simple cri
rsant la tête en bas, les jambes en l'air, et en donnant mille autres signes d'indécence en présence non seulement des personn
ide comme celui d'un mort, qui pendant ce temps-là ne donnaient aucun signe de vie qu'une respiration très faible et presque
nvulsionnaires de Saint-Médard, qui pour la plupart présen-taient les signes de l'hystérie la mieux confirmée, je mettrai en v
lui donne du vinaigre avec des cendres, qu'elle avale après bien des signes de croix. A dix heures trente-cinq minutes, on
tads. Quelques-uns éprouvaient bien un peu d'indisposiUon pendant les signes précur-seurs; mais la majeure partie ne ressentai
s'être jamais mieux portés. Le peuple envisageait le spasme comme un signe infaillible de la présence du Saint-Esprit dans l
elle devait faire au ciel; car avant qu'elle sût bien parler, faisait signe d'oraison et preuve de contemjdation au ciel, ain
me. En dehors des crises extatiques, Marie de Mœrl avait présenté des signes non douteux d'hystérie. Pendant les extases, les
a s'échapper. Alors le visage s'incline, et la tête, portant tous les signes de la mort, s'affaisse dans un complet épuisement
silence depuis longtemps, elle cherche à se faire comprendre par des signes ; et quand cela ne suffit pas, semblable à un enf
ade qui d'autre parta des attaques convulsives ou simplement d'autres signes d'hystérie......................................
8 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
trouver, en cherchant en d'autres régions chez votre malade, d'autres signes qui n'appartiennent qu'à la sclérodermie et qui l
présence du masque sclérodermique, dans la lèpre, vous avez un autre signe , bien spécial aussi, et qui existe là seulement.
igmates les plus nets et les mieux accentués. Pour ne prendre que les signes locaux de cette paralysie que présente Desf..., c
la syringomyélie. Mais, d'autre part, à ne considérer que les autres signes de chacune des deux affections, que de différence
Jamais le malade, à la suite de ces étourdissements, n'a présenté de signes d'hémiplégie. Son âge est, de plus, en contradict
endant quelque temps, avait fini par être dépistée par lui, grâce aux signes spéciaux qui la caractérisaient et sur lesquels j
t, vous aurez à signaler probablement la coexistence de quelque autre signe univoque de l'hystérie. Il en a été ainsi chez un
ics convulsifs. Lui-même n'a jamais été malade; il ne présente pas de signes d'alcoolisme et n'a jamais eu la syphilis. Fig.
, ni à la paralysie générale progressive, ni à l'alcoolisme, dont les signes sont complètement absents chez ce malade. Mais ce
aires dans les membres ni la face ; pas d'épilepsie partielle. Pas de signes actuels de syphilis, acquise ou héréditaire. Rien
mai 1890, le ptosis est encore appréciable, quoique peu accentué. Les signes de paralysie de la 3e paire du côté droit, avec l
s deux examens pratiqués le 3 et le 10 mai par M. Parinaud). Pas de signes d'hémiplégie faciale; pas de parésie du côté des
, à la douleur, à la température. Pas de douleurs fulgurantes. Pas de signe de Romberg. Rien du côté des appareils sensorie
e, car, ainsi que je vous le disais tout à l'heure, elle n'est pas un signe univoque de la syringomyélie, mais peut parfaitem
divers caractères de l'inflammation plus ou moins étendue seront des signes d'une grande importance. Je vous ai néanmoins sig
elle le grand hypnotisme avec ses trois états caractérisés par leurs signes somatiques respectifs : léthargie, catalepsie, so
d., 1890. T. xvn, Supplement-Heft. par ses états séparés avec leurs signes physiques typiques, ne s'accompagnait d'aucun phé
élection sur l'articulation coxo-fémorale est doulou- reuse. Pas de signe de Brodie ici, pas plus qu'au genou. La percuss
thésiques ni hystérogènes nulle part. On a vu qu'il n'existait pas de signe de Brodie au niveau des articulations malades.
nt en se renversant en dehore. En résumé, pendant quinze jours, les signes sont ceux d'une lésion non seulement du sciatique
re et de la cuisse réagissent énergiquement. » On constate tous les signes d'un phlegmon du ligament large (toucher vaginal,
longues courses et jamais il n'était fatigué. Il ne présente aucun signe d'intoxication alcoolique. Il boit ordinairement
cation plombique ou à quelque autre que ce soit. Il ne présente aucun signe de diabète. Il n'a jamais eu de symptômes d'une a
sont extrêmement faibles des deux côtés et s'épuisent facilement. Ce signe est encore plus prononcé à gauche qu'à droite. —
r, l'absence de résistance aux mouvements passifs de flexion sont des signes d'une valeur absolue à ce sujet. L'absence de réa
gnostic; aujourd'hui, l'état général est meilleur, et en l'absence de signe de carcinose viscérale, de douleur et de déformat
ctions les plus diverses ; et ceci nous conduit à reconnaître que ces signes dérivent d'une paralysie de toutes les branches e
aussi, être affecté à un certain degré. Il existe, de plus, d'autres signes de l'ophthalmoplégie nucléaire qui sont la mobili
s de la parole et de la déglutition, puis présenta ultérieurement les signes de l'ophthalmoplégie externe. — Il s'agit alors d
uscles parésiés sont atrophiés sans réaction de dégénérescence. Comme signes fonctionnels il existe un peu de difficulté à mar
ns les muscles des mollets et des cuisses. Il présente enfin tous les signes de l'ophthalmoplégie externe. J'ajoute qu'il n'a
fois que cette réaction faisait complètement défaut. L'absence de ce signe n'est clone pas suffisante pour éloigner l'idée d
il serait possible que l'on se fût un peu hâté en voulant faire de ce signe un caractère de ces myopathies, et, si l'on y reg
halmoplégique. Dans le suivant, le début se fait au contraire par les signes paralysie la-bio-glosso-laryngée. On peut le clas
ractères du faciès d'Hutchinson. Le second malade, qui présente les signes de la po-liencéphalomyélite, le nommé Peyn .., es
ur la parésie des membres supérieurs. État actuel (juin 1890). — Le signe le plus frappant est le double ptosis, qui est tr
périeur est impuissant à mettre en mouvement. On ne constate pas de signes bien nets de paralysie faciale nucléaire. Le fron
sie de l'orbiculaire des paupières. Mais on peut constater quelques signes , peu accentués à la vérité, de paralysie bulbaire
doit être toujours possible, sinon facile, on s'appuiera sur quelques signes , qui, soit isolément, soit dans leur ensemble, pr
hénomènes de paralysie bulbaire inférieure sont venus s'adjoindre les signes qui caractérisent la lésion de la moitié supérieu
polioencéphalite et nous avons constaté aussi chez nos malades, deux signes qui sont constants dans la myopathie et qui sont
ont constants dans la myopathie et qui sont même considérés comme des signes diagnostiques de cette dernière affection. Nous v
plète pour l'œil gauche, et diplopie. On constatait en outre tous les signes d'une paralysie bulbaire inférieure qui s'était d
ât le diagnostic avec quelques développements si l'on n'y trouvait un signe bien caractéristique qui est la dissociation part
un caractère presque pathognomonique de cette affection. Une fois ce signe constaté on ne sera plus embarrassé pour explique
es, scoliose, habituels dans la syringomyélie. Il n'est pas jusqu'aux signes oculaires qui ne permettent de différencier nette
ours reconnaître assez facilement en somme, grâce à l'ensemble de ces signes très particuliers et qu'on ne rencontre ainsi réu
2° Troubles de la, sensibilité. C'est parmi ceux-ci que se range ce signe capital que j'ai proposé d'appeler la dissociatio
constaté sur les muscles de l'éminence thénar de la main affectée les signes de la réaction de dégénérescence. Quelle est, M
eudo-tabes \ Ces phénomènes moteurs seraient caractérisés : 1° par le signe deRom-berg, et 2° par un trouble de la démarche q
tique. Dans ces conditions, la présence de douleurs fulgurantes et du signe de Romberg, l'absence des réflexes rotuliens, la
complète, c'est-à-dire lorsque le malade marche encore, on trouve le signe de Rom-berg et la démarche ataxique, d'où l'appar
lexes rotuliens qui ne reparaissent pas par le procédé de Jendrassik. Signe de Romberg très net. Réflexe pupillaire absolum
devez penser naturellement tout d'abord à la paralysie alcoolique. Le signe de Romberg, l'absence des réflexes rotuliens ne v
eau jour, par suite d'une double hérédité de transformation, tous les signes du diabète et de l'ataxie locomotrice progressive
s employé chez lui d'une façon suivie. Reprenons un par un les divers signes de cette paraplégie. La démarche est évidemment u
normale. Il y a donc une amélioration aussi de ce côté. De plus le signe de Romberg, qui était autrefois parfaitement cara
'hémiplégie chez cette jeune fille a respecté la face. Or c'est là un signe négatif qui acquiert, dans l'espèce, une grosse
tombante n'offre ni secousses ni résistance spéciale, de connaître un signe qui permit d'établir ce diagnostic. Je sais bien
il n'est permis de recourir qu'en dernière ressource. D'autant que ce signe précieux et désirable, ce caractère différentiel,
passé inaperçu que parce que nous ne savions pas le voir. C'est là un signe que je crois appelé à rendre de réels services da
s'il connaissait quelque caractère qui pût permettre, en l'absence de signes habituels du blépharospasme, de diagnostiquer la
chute paralytique de la paupière (fig. 39 et 40). En l'absence des signes ordinaires du blépharo-spasme, cet abaissement du
blépharospasme hystérique1. Nous sommes donc en possession de plus de signes qu'il n'en faudrait pour asseoir notre diagnostic
éjà depuis fort longtemps, ne s'étant jusqu'alors révélée que par des signes très différents de ceux qui servent à la diagnost
ès ; cela résulte peut-être encore davantage do l'absence de tous les signes fondamentaux de la période praataxique : ni les p
xique : ni les phénomènes visuels, ni les douleurs fulgurantes, ni le signe de Romberg, rien enfin. M. Charcot affirme donc à
ever le pied. Dans cette forme « on balaie le sol en marchant. » Ce signe est suffisant pour rejeter l'hypothèse d'une lési
lade, ne s'est pas déclarée tout à coup, soudainement ; elle a eu des signes précurseurs. Le 8 janvier, il est pris dans la ru
ec tant d'insistance, parce qu'elle est, dans la majorité des cas, un signe révélateur de la plus haute importance. Oui, j'ai
Le mal datait de trois mois environ, disait-il, et était survenu sans signes prodrômiques. Espérons, vous disais-je, que la
ans sa symptomatologie cépha-lique, vous ne rencontrerez que certains signes déterminés, comme l'embarras de la parole, le nys
ne répondaient pas au type de Duchenne, à qui il manquait tel ou tel signe vulgaire, l'incoordination motrice par exemple...
a scène. Ayant déjà remarqué antérieurement que le tremblement est le signe qui disparaît de préférence, lorsque la sclérose
ctus apoplectiques, de cécité passagère, de tremblement..... 2° Les signes concomitants, que l'on constate souvent sous form
encore com- pliquer la situation, c'est l'intervention de quelques signes surajoutés qui n'appartiennent pas à la sympto-ma
elle peut pourtant s'installer d'une manière définitive et devenir le signe prédominant. Vous avez alors devant vous la forme
ques. Ici vous verrez figurer au tableau les douleurs fulgurantes, le signe de Romberg....., l'incoordination motrice peut-êt
pelle ataxie héréditaire ou de famille, dans laquelle on constate des signes de tabes et des signes de sclérose disséminée. La
e ou de famille, dans laquelle on constate des signes de tabes et des signes de sclérose disséminée. La maladie de Friedreich
ble dans la sclérose multi-loculaire. Or, c'est là précisément un des signes fondamentaux de la sclérose latérale. D'autre par
je vous en montrerai un exemple frappant. Ne sont-ce pas là aussi des signes de sclérose latérale ? Enfin les cellules des cor
s disparu). L'état actuel de cette jeune fille est le suivant : les signes d'une hémiplégie droite pour les membres sont auj
considérable que la déviation primitive et il fit de ce caractère un signe distinctif du strabisme paralytique et du strabis
plausible. Nous voyons, d'autre part, que la malade présente quelques signes , peu accentués il est vrai, mais indéniables cepe
es n'ont pas paru depuis le mois d'avril. Il n'existe cependant aucun signe de grossesse. De taille moyenne, elle conserve
mmun qui se juge par les phénomènes prémonitoires de l'accès, par les signes et symptômes constitutifs de l'aura. Avant la c
ique : mal fondé de cette expression, 268. Ptosis spasmodique, 323; Signe du sourcil dans le —, 325. Pupille : troubles d
ingomyélie, 105; — de la céphalée syphilitique, 366, 378. Sourcil : signe du — dans le diagnostic du ptosis paralytique et
9 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es traces de cette circulation collatérale par voie nerveuse ou les signes cliniques qui pourraient la révéler. Mais, dans
amations de L... Mais ce qu'il y a de curieux, c'est que, tantôt il signe ses écrits de son véritable nom, et demande sim
de sa femme et de son fils, pour reprendre son commerce ; tantôt il signe Henri de Bourbon, fils du comte de Chambord, héri
s. La peau est de couleur normale sans sécheresse manifeste. Pas de signe de Romberg. Absence totale des réflexes rotulie
is centimètres. L'oeil est franchement tabétique. Myosis bilatéral. Signe d'Ar- yll-Robertson avec absence complète de ré
a- bétique, d'oeil tabétique au grand complet : myosis bilatéral, signe d'Argyll Robertson, rétrécissement irrégulier d
tte atrophie relève ici du tabes. En outre, le myosis bilatéral, le signe ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABETE SUCRÉ. 55
t du diabète sucré. En' somme, nous trouvons d'une part absence des signes oculaires classiques du diabète et d'autre part
nt normaux. La vue est bonne, mais les pupilles sont inégales et le signe d'Argyll Robertson est très net. Absence des ré
ne d'Argyll Robertson est très net. Absence des réflexes rotuliens. Signe de Romberg. L'incoordination motrice est absolu
l'incoordination motrice particulière, l'iné- galité pupillaire, le signe d'Argyll, les signes de Rom- berg et de Westpha
rice particulière, l'iné- galité pupillaire, le signe d'Argyll, les signes de Rom- berg et de Westphal, les troubles urina
enfin, et surtout parce qu'elle ne s'ac. compagne point de cerlains signes habituels, concomi- tants : fréquence du pouls,
te-neuf ans par les douleurs fulgurantes. ETVT actuel (mai 1889). Signe de Westphal. Signe de Romberg très accentué.
ouleurs fulgurantes. ETVT actuel (mai 1889). Signe de Westphal. Signe de Romberg très accentué. Myosis avec signe d'A
). Signe de Westphal. Signe de Romberg très accentué. Myosis avec signe d'Argyll Robertson. Pas de cataracte. Douleurs
ens sont abolis totalement, même par le pro- cédé de Jendrassik. Le signe de Romberg est poussé à l'extrême; le malade es
lycosurie diabétique et l'in- terrogatoire ne révèle plus aucun des signes habituels au diabète. Mais, par une coïnciden
les de la sen- sibilité, incoordination motrice à évolution rapide, signe de Westphal et de Romberg. Ces phénomènes s'ins
phéno- mènes nerveux, en l'absence de la glycosurie et des autres signes du diabète. Au surplus, un certain nombre de si
et des autres signes du diabète. Au surplus, un certain nombre de signes , entre autres l'incoordination typi- que, ne sa
ent vu le malade depuis celte époque et constata la persistance des signes spéciaux. Le sucre di- minua sans disparaître.
ngés concomitants; pas de secrétion laryngée ou bronchique ; pas de signes particuliers à l'auscultation. Il ne faut pas o
rs ou à la suite d'un rhume, qui se traduira de son côté par. des signes stéthoscopiques plus ou moins accentués ; 4° Ce
YPE CHORÉIQUE. 89 Trois soeurs, ayant une santé délicate, mais sans signes de ner-' vosisme.. -- ' Antécédents personnel
gré l'état parfait de la nutrition générale de la malade,- tous ces signes militent en faveur d'une lésion du sympathique
parésie spasmodique de l'extrémité inférieure gauche. Tels sont les signes d'un processus chronique progressif qui dure de
pupille étranglée. Malheureusement, elle est loin de constituer un signe du début, il n'est pas rare qu'elle ne se manifes
jusqu'à la mort sont très rares; et alors on ne trouve pas d'autres signes d'exagé- ration de la pression intra-cérébrale.
ession intra-cérébrale est déjà ancien. La pupille étranglée est le signe le plus important d'une 'tumeur cérébrale, aprè
ntelligence et de la parole, disparition des réflexes patellaires,' signe de Romberg peu marqué ; hypalgésie des orteils. A
ns ataxie statique et loco- motrice - atrophie des N. 0. absence du signe de Romberg, de parésies, de contractures, de tr
tié gauche; il s'agissait d'un ramol- lissement récent. Aucun des signes qu'on a donnés comme pouvant faire recon- naîtr
t également loin d'être identique à lui-même; enfin, on constate, signe important, des phénomènes bulbaires passagers.
, organisation anormale puis- qu'elle porte l'empreinte de tous les signes dégénératifs. La criminalité fleurit sur, un te
une importance que les auteurs ont bien mise en lumière; il est le signe d'une intoxication générale de l'organisme, ce
; ;nerf spinal. L'épreuve orale a été : diagnostic de la pneumonie; signes et diagnostic de l'étran- glement herniaire. So
s'aimer beaucoup. Mais ces temps derniers, le jeune homme donna des signes de dérangement d'esprit, qui inquiétèrent ceux
s que nous avons récemment observé et chez lequel les pre-. miers signes de la maladie se sont manifestés, il y a au moi
de quatorze ans chez un jeune garçon actuellement Qgé de seize ans. Signes somatiques bien caractérisés. Démence simple, san
ssent à l'accommodation, mais le réflexe est aboli pour la lumière ( signe de A. Robertson). Pas de lésions du fond de l'o
arole si spécial, si caractéristique, l'inégalité de pupilles, le signe d'Argyl Robertson, le tremblement des mains, et
il est souvent (associé ou non à la migraine oph- thalmique) un des signes avant-coureurs. Remarquons enfin, que ni la syp
ade devient un incapable et bientôt un dément. Pendant ce temps les signes somatiques apparaissent et s'accusent à un haut
ée les symp- tômes physiques l'emportent par leur netteté sur les signes d'ordre psychique qui restent au second plan. L
commis par un aliéné sous l'influence de l'épilepsie, il existe des signes spéciaux qui permettent ordinairement de diagno
nonciation tel qu'on comprend difficilement, ce qu'il dit. Avec ces signes physiques de dégénérescence, développement très i
aujourd'hui que le diabète et le tabes offrent un certain nombre de signes communs sur lesquels il est impossible de table
ymptômes propres à chacune d'elles qu'il faudra se baser. Parmi les signes communs, il faut citer : . 1° Les douleurs fulg
rte des sueurs locales. 5° La frigidité et l'impuissance. G° Le signe de Romberg. Si tous ces symptômes se trouvaient
pourraient assurément faire songer au tabes. Sans doute, ces divers signes offrent bien, dans les deux maladies, quelques
symptômes classiques du diabète sans influencer paral- lèlement les signes tabétiformes, on aurait, sinon la certitude, au
,. 184 PATHOLOGIE NERVEUSE. A côté de cette première catégorie de signes com- muns aux deux maladies diabète et tabès, i
ennent à l'ataxie loco- motrice progressive le myosis bilatéral, le signe d'Argyll Robertson. Fischer signale bien le myo
DU TABÈS AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 191 1 Viennent en second ordre les signes suivants : 3° Crises gastriques et laryngées; 4
vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents nerveux se bornent à des signes tels que : pertes des reflxes rotuliens, douleu
ouleurs fulgurantes, troubles divers de la sensibilité objective... signes de la première catégorie, le tabes vrai peut êt
tabes, mais rien que des présomptions, car, il faut savoir que le signe de Westphal relevant du diabète, n'est pas touj
du diabète, n'est pas toujours influencé parallèlement aux autres signes spinaux. Si, par contre, l'amendement de ces 19
s- tence d'un faux tabès. S'il survient au cours d'un diabète des signes de la seconde catégorie : troubles oculaires, v
entre le diabète et le tabes les symptômes observés. Aisé pour les signes de la seconde catégorie, ce par- tage sera très
atégorie, ce par- tage sera très délicat pour ceux de la première : signe de Westphal, troubles de la sensibilité... L'in
er de la manière suivante : a. Il s'agit d'un diabétique avéré avec signes nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiab
nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique amende ces signes nerveux en même temps que les symptômes habitue
u vrai tabes. Et l'existence ou l'apparition ultérieure de certains signes tabétiques : incoordination spéciale, troubles
pendance de l'ataxie locomotrice progressive. Si, au contraire, ces signes concomitants manquent, il y aura de fortes prob
évropalhiques, qui entra volontairement à l'asile en présentant les signes du délire de la persécution : on ne lui connais
on valvulaire du coeur, mais chez lequel on n'avait découvert aucun signe d'anévrysmes, et qui avait seulement eu plusieu
leur sortie) qui, à la suite d'une fièvre typhoïde, a présenté des signes de stupeur ou de démence aiguë : il a été admis
u point d'être dépouillées de leur périoste, on ne constatait aucun signe de décomposition, ni d'une action chimique quel
bsence de contractions musculaires, de résistance, de spasmes et de signes de détresse, lorsqu'on irrite telle ou telle pa
l pour les couleurs dans un ordre insolite et inégal. C'est donc un signe qui n'a dans l'espèce aucune valeur. Du reste, qu
ête, l'oeil gauche. Les éléments du tabès dorsal apparurent avec le signe de Romberg et de Westphal, les symptômes précéd
ue et plusieurs fois répété des antécédents, des commémoralifs, des signes actuels et de l'évolution, et par suite de fair
èvement au jour où on lui a repris sa fille, Louise n'a donné aucun signe de dérange- ment mental... ' ' Elle travailla
malade à plusieurs reprises. Depuis quelque temps, elle donnait des signes de dérangement d'esprit. Après examen médical, il
iration à 27 - son poulsà66- sa température normale. Elle n'a aucun signe de souffrance; l'expression de sa physionomie e
tombait sans mouvement, sans trace de sensibilité, n'ayant -aucun signe de souffrance, point d'altération des traits, n
qu'il entend, mais continue à parler, à écrire, à exprimer par des signes ce qu'il pense, on sait aujourd'hui que cet éta
permet de localiser sur le pli courbe. Quand ce centre est lésé, le signe représentatif de l'écriture ne peut plus être p
mages passant dans la région fron- tale deviennent les schémas, les signes représentatifs de la pensée. Toutes les fois qu
ologie des associations d'idées. Une sensation devient une sorte de signe , à propos duquel naissent dans l'esprit des sou
clé et d'une force exceptionnelle. Il ne présente pas le plus léger signe de dégénérescence physique. D'après les renseig
! Cette dame allaitait à ce moment et de plus, elle présentait des signes d'hystérie (boule, ovarie gauche, diminution de
le len- demain, elle est dans le plus profond coma; on constate les signes d'une convulsion épileptiforme, des troubles va
qué chez elle aucun trouble oculaire ni des sens spéciaux, aucun signe de paralysie. ' L'apparition de ce gonflement f
signe de paralysie. ' L'apparition de ce gonflement fut le premier signe objectif d'une tumeur qui grossit rapidement, s
ditions physiologiques du cerveau qui lui permettent de révéler les signes de l'intelligence sont les suivantes : 1<* Une
es. (84). Conclusion : - L'auteur espère avoir fourni de nouveaux signes à l'observation physique : les postures et les mo
rvation physique : les postures et les mouvements du corps sont des signes produits par l'action des centres nerveux et l'
influence des forces ambiantes, parait déterminer la production des signes de l'intelligence active. Enfin certaines pro
côté qui est en rapport avec les circonvolutions : en général, les signes de leptoméningite fibreuse chronique. -Par- foi
e la maladie, alors que la substance cérébrale ne pré- sente pas de signe de sclérose et d'atrophie, porte à faire accepter
nt éveiller les soupçons de simulation; elles constituent plutôt le signe du vice que l'indice de folie. M. CHRISTIA1V. S
aliénés persécutés. Si le délirant per- sécuté peut guérir, à quels signes certains peut-on reconnaître sa guérison ? S'il
elle est impossible à trouver ; mais il demande qu'on détermine les signes qui permet- tent d'affirmer que tel malade peut
ésenté dès la naissance ou dans les premières années de la vie, des signes certains de syphilis congénitale. Par conséquent,
es peuvent également être sollicités. Ce qui le prouve, ce sont les signes pathologiques de l'atteinte de l'organe sensori
es à l'examen du médecin. Dans la première partie, ils étudient les signes présents, et dans la seconde les signes commé-
re partie, ils étudient les signes présents, et dans la seconde les signes commé- moratifs. Dans les signes présents, ce q
s présents, et dans la seconde les signes commé- moratifs. Dans les signes présents, ce qui frappe d'abord, ce sont les tr
cin, ceux de la motilité et des réflexes qui tous consti- tuent les signes directs. L'étude des signes indirects, troubles t
des réflexes qui tous consti- tuent les signes directs. L'étude des signes indirects, troubles tro- phiques. signes généra
ignes directs. L'étude des signes indirects, troubles tro- phiques. signes généraux et anttliropologigues vient après. Quant
ndiaire le fils Adrien Digard qui depuis quelque temps, donnait des signes d'aliénation mentale et terrorisait les habitan
in âge, rue Fontaine-au-Roi, s'est asphyxiée hier. Elle donnait des signes d'aliénation mentale. Elle 4â4 VARIA . se pré
années, un pauvre vigneron, Lutrat Arthur, donnait fréquemment des signes d'aliénation men- tale. De plus, ce malheureux,
ouve actuellement à l'Hôtel-Dieu jusqu'à ce que le médecin traitant signe son exeat. Nous regrettons, avec la commission
10 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
alors secondaire à l'atrophie optique. Du côté du crâne, l'un des signes de pression les plus nets à l'autopsie est l'ex
n plus ancienne, l'oxycéphalie. Outre l'atrophie du nerf optique, ces signes oculaires indiquent qu'il s'agit d'une paralysi
les fibres tangentielles ont dis- paru à la périphérie. , , Comme signes de l'oxycéphalie, remarquons la hauteur exagérée
moyennes, dont l'empreinte est si marquée des deux côtés du crâne ( signe de pression), n'irriguent pas le cerveau. Les
s tendineux et cutanés sont normaux et égaux des deux côtés. Pas de signe de Babinski. L'examen radiographique n'a montré
arfois presque subitement l'un dans l'autre ; 3° pour l'absence des signes indubitables désignant une lésion organique dès o
ables désignant une lésion organique dès oies'cëi-él)ro spi- nales ( signe de Babinski, parésies et contractures montrant le
pond pas à nos questions. Quand elle commence à revenir à elle, par signes elle nous fait com- prendre qu'elle ne peut pas
e l'ouïe et de la vue, murmure quelques mots de supplication, fait le signe de la croix, il veut s'en aller, il se cache de
fois considérable du premier espace interosseux dorsal. C'est là le signe le plus fidèle d'une lésion du cubital, plus fi
taillée.. Que ces nerfs soient touchés au bras ou à l'aisselle, les signes sont identiques. Très souvent il,s'y ajoute une
sociées aux lésions DES nerfs PÉRIPHÉRIQUES. Toutes les fois qu'aux signes habituels de la paralysie d'un ou plusieurs ner
ques peuvent intéresser tous les tissus. La peau peut présenter des signes de dégénérescence divers. cc) Elle est tantôt f
ologiques militaires ; qui ne pré- sentent pas dès l'abord les gros signes brutaux d'une affection organique du système ne
parmi ces troubles beaucoup s'accompagnent d'un certain nombre de signes physiques faciles à reconnaître et relèvent de pe
onnels, c'est-à-dire se manifestant en dehors de toute la série des signes physiques reconnus caractéristiques d'une affecti
ur sémiologique des manifestations objectives qu'on a données comme signes des troubles moteurs d'ordre réflexe. A. Physio
et ces troubles vaso-moteurs, témoins les III, XV, IX où il y a les signes nets d'une lésion des nerfs de la main et où les
ette étude nous a permis de reconnaître la valeur de la plupart des signes constitutifs du syndrome réflexe de Babznski et F
dence avec des inactivités musculaires plus ou moins élonnanles des signes physiques de perturbations réflexes ou de lésio
s des 3° et 90 ; à la face pal- (1) Henri MEIGE et Mme BÉNISTY, Les signes cliniques des lésions de l'appareil sym- pathiq
très réelle, des troubles vaso-moteurs et surtout trophiques comme signe diagnostic d'une section nerveuse complète. M.
anévrisme, grosse congestion locale, etc.), soit simplement par les signes cliniques (pouls filiforme, pression artérielle
aires. En tout cas, il semble que les douleurs caùsalgiques sont un signe à peu près certain d'une lésion DEFORMATIONS DE
main, en col de cygne, a été justement considérée comme un des bons signes de la section complète du nerf radial. Il faudr
ète du nerf radial. Il faudrait pourtant se garder d'attribuer à ce signe une trop grande valeur. S'il y a, en effet, d
la paralysie radiale la plus complète. Enfin, si l'hypotonie est un signe organique que l'hystérie ne peut reproduire et
que ()/4 inférieur du bras, fracture de l'humérus) ; tous les autres signes de paralysie radiale complète, cliniques et éle
que poplité interne) et insisté sur l'importance diagnostique de ce signe organique dans les cas où la douleur est presqu
MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 137 est souvent le seul signe organique d'une lésion qui peut ne se révéler q
quelle peut être l'importance de la constatation dans ces cas d'un signe nettement organique et indiscutable, qui affirm
achilléen parfaitement conservé. Ce qui donne aussi sa valeur à ce signe du « pied effilé », c'est qu'il peut se produir
se produisent pas dans les sections complètes et qu'il s'agit d'un signe d'irritation nerveuse et non de destruction ; c
ue de cette déformation est très grande, car elle peut être le seul signe organique indiscutable d'une lésion de ce nerf
couverte de la simulation, expertises médico-légales, etc.). ' Ce signe a d'autant plus de valeur qu'il peut être très pr
des diverses parties du corps est nor- male, et ne présente pas de signes de sclérodermie (1). Il nous est difficile de d
main droite puis chacun porte la sienne à sa poitrine et à sa tête en signe d'affection et de soumission. lis se promènent
nus du pied prolongé à gauche. 4, 5 tré- pidations à droite. Pas de signes de Babinski. La sensibilité à la piqûre et à la
gération des réflexes rotuliens. 2 juin. Réflexes très accentués. Signe de Babinski, positif à gauche avec orteils en ext
trée. T. : 38°3. P. : 100. Langue sale, plate, saburrale. Nul autre signe objectif. Marche de la maladie. 4 août 1915. -
sière. , En raison de ces douleurs, on ne peut pas explorer pour le signe de Kernig. Bruits du coeur réguliers, égaux. Ri
semblent moins aiguës. Langue toujours chargée. Il s'assied. Pas de signes de Kerniâ, 9. Température hier soir : 36°8; le
geant pendant longtemps (Il est examiné à droite seulement). Pas de signe de Kernig. 10. Urine : 1.200 grammes, Plus d'al
congestion à la base gauche. Amélioration de l'état général. Pas de signe .de Kernig. 11, - Amélioration très sensible.
es. Persistance d'une petite quantité de pigment biliaire. Pas de signe de Kernig. , 12. Urines : 2.750 grammes environ
ant, la symptomatologie est restée essentiellement médullaire, sans signe encéphalique autre que la céphalée, atroce au dé-
utre que la céphalée, atroce au dé- but dans l'observation I ; sans signe méningé précis ; sans modification notable du l
ense à la possibilité d'une méningite aiguë, on peut trouver un bon signe , dans les formes très diffuses, dans le relâche
n'obtient pas de dou- leurs par la pression. 228 PETREN 29. Le signe de Lasègue est positif (à 60°), et la pression su
. Réflexes rotuliens et plan- taires normaux. Ni clonus du pied, ni signe de Babinski,. 5 septembre. Pas d'albumine. 6.
ectum, on ne trouve pas maintenant de douleurs par pression. Pas de signe de stomatite. 19. L'éruption syphilitique sur l
empire, plus petit et plus fréqueut. Le malade n'a pas toussé. Pas de signe du côté des poumons. Le malade succombe le jour
t elles ont atteint une très grande intensité. Il y avait encore le signe de Lasègue, et les troncs du grand sciatique ét
rvé cette différence. Par exemple, pour ce qui est du cas de Grosz ( signes de névrite d'un cubi- tal avec des douleurs spo
n tremblement, puis d'une parésie des quatre membres. Il y avait le signe de Romberg. La réaction d'électricité nor- male
pour la maladie de Korsakoff. La ponction lombaire ne donne pas de signes pathologiques. Le malade a reçu un traitement iod
malade. Il nie toute contagion syphilitique et n'en présente aucun signe (ni éruption, ni leucoplasie, ni aortite, pupil
re poids, il en fait alors l'adduction. Il existe un léger degré de signe de la préhension de Froment. Les doigts peuvent
ause, le traumatisme survenu trois à quatre mois avant les premiers signes d'atrophie. Il semble que ce traumatisme n'a pu
que et qui n'en présentait aucun stigmate (pas d'érup- tion, pas de signe d'Argyll-Robertson, pas de leucoplasie, pas d'aor
ge adulte d'une amyo- 268 LÉRI. ' ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES signe d'Argyll-Robertson, dont Babinski a montré les re
capulaire était déjà manifeste. La malade n'a jamais présenté aucun signe de faiblesse aux membres inférieurs : le lourd tr
si inerte. Les globes oculaires se convulsent en haut et en dehors ( signe de Bell). Réflexe palpébral aboli. Front comp
à droite. Rinne, négatif à droite. Transcrânien à gauche. Pas de signe de participation du labyrinthe. Aspect du tympa
te, intervient aussi bien à droite qu'à gauche. Cette intervention, signe d'intégrité relative sinon absolue, s'explique
iagnostic de prosoplégie. Il faut rechercher soigneusement tous les signes pour arriver à cette conclusion. Et même après
ause. L'asthénie des muscles in- ternes de l'oeil se révèle par des signes d'asthénopie accommodative, très marqués chez l
s Boissier de Sauvages mérite cependant d'être tirée de l'oubli. 1) SIGNES . L'asthénie (asthenia, languor virium), « c'est u
c droit ou penché, que pour rester couché horizontalement. C'est un signe que les malades sont extrêmement affaiblis, lor
également négatifs. Les réflexes rotuliens sont très exagérés et le signe de Babinski est positif. Notre diagnostic est :
e. Bâille de temps en temps. Importante raideur de la nuque. Pas de signe de Kernig. Le phénomène de Lasègue négatif. Pup
és ou dans la face. Réagit vivement aux sensations de dou- leur. Le signe de Babinski se produit en extension au pied gauch
ir à faire des mouvements défensifs avec les bras et les jambes. Le signe de Babinski se produit en extension au pied gau
é les cellules épithéliales des canaux un peu tuméfiées, mais aucun signe d'inflammation ou d'altération chronique. Les
qui a eu lieu le 4 mai, a donné le résultat suivant. Pas un seul signe extérieur de violence. La botte crânienne est int
ur à l'examen sans particularité. Raideur prononcée de la nuque. Le signe de Lasègue se produit aux deux jambes. Du reste
eurs de tête se sont un peu diminuées. La raideur de la nuque et le signe de Lasègue comme auparavant. La démarche montre
s dans le bas du dos. La raideur de la nuque toujours prononcée. Le signe de Lasègue positif des deux côtés à 30. 'La tem
a dure-mère, d'une tension aug- mentée. La dure-mère elle-même sans signes de particularité. Dans l'espace sous-dural pas
'- 16 août. Après son entrée, le patient a continué à présenter les signes d'un coma profond comme à son arrivée. Toujours
orme kystique, autour de laquelle la substance cérébrale montre des signes de" ramollissement dans une largeur de 1 centim
m fibrineux et un liquide centrifugé couleur brun ou jaune sont les signes infailli- bles qu'il ne s'agit pas d'une hémorr
ASTINE ET COURBON A son entrée, on constate une aphonie vocale sans signe de bitonalhé et une hypoesthésie dans le territ
à toute la section. Au cours de l'examen on découvrit, outre les signes précédents, une exophtalmie bilatérale marquée,
ne du trapèze ; 4° Une aphonie hystérique sans bitonalité et sans signes laryngoscopi- ques de paralysie récurrentielle.
ne révèle en général aucune modification des réactions. Il n'y a ni signe de dégénérescence, ni modification apparente de l
yperesthésie nerveuse peut encore être mise en lumière par un autre signe que nous avons décrit (1) sous le nom de a sign
mière par un autre signe que nous avons décrit (1) sous le nom de a signe de l'élongation douloureuse ». Il consiste en ce
brusque et passagère de la pupille. (1) M. CHIRAY et E. ROGER, Le signe de l'élongation douloureuse dans la névrite irr
trois nerfs du bras, à l'avant-bras et à la main. Il n'existe aucun signe de R. D., même pour le médian, aurun galvanoton
hial par les méthodes ordinaires ne révèle, malgré l'importance des signes cliniques, que des symptômes insigni- fiants. T
ésions dégénératives. Pour le cubital, il y a élévation du rapport, signe d'irritation. On trouve en. effet pour ce nerf
nque ici. Enfin des troubles oculaires, tels que le nystagmus et le signe d'Argyll signalés comme fréquents, sont absents
it, la névrite hypertrophique classique se caractérise : a) Par des signes de la série tabétique (Romberg, ataxie des membre
gnes de la série tabétique (Romberg, ataxie des membres supérieurs, signe d'Argyll), ici limités au minimum. b) Par des s
s supérieurs, signe d'Argyll), ici limités au minimum. b) Par des signes de la série cérébelleuse (asynergie, tremblement
roubles oculaires, et des troubles moteurs différents. é) Par des signes de la série névritique (steppage, amyotrophie dis
. L'épo- que tardive du début explique la légèreté ou l'absence des signes révélant t une sclérose à type tabétiforme ou c
rait être soutenue, d'abord parce que notre sujet ne présente aucun signe objectif de tabes, ensuite parce que, même au gen
Dans les cas communs, la dystrophie génito-glandulaire présente des signes qui permettent un diagnostic immédiat, à la seule
lype de dystrophie génito- glandulaire, c'est-à-dire un type où les signes de l'infantilisme sont pri- mitivement subordin
Widal et Lutier, atrophie congénitale et complète des testicules sans signes d'infantilisme ou de féminisme, les caractères
interprétation du cas comme étant d'infantilisme testiculaire, tous signes qui pourraient mettre en évidence la coparticipat
ivement l'arrêt de développement des or- ganes génitaux, sans aucun signe d'hypothyroïdisme. Or une fois vérifié que la p
qui évitera des répétitions, tout en faisant ressortir à propos les signes différentiels de l'un et de l'autre. Ce sont in
ine, avec une fréquence telle que cela lui a permis d'incorporer ce signe à deux autres auxquels il donne la plus grande im
sions ne permettent de faire entrer dans le type géroder- mique les signes acromégaliques que Pende pense avoir rencontrés :
en- sions normales dans le type gérodermiqne (voir fig. VII). Les signes acromégaliques tirés du système osseux, auxquels
ifications de taille font défaut), au moins par quelques-uns de ses signes (adipose eunuchoïde). Hors cela il s'agira du t
c du syndrome de Frôhlich : l'adiposité, l'hypoplasie génitale, des signes de tumeurcérébrale. L'adiposité, accentuée et s
ue de développement des caractères sexuels secondaires. Parmi les signes de tumeur cérébrale, la céphalée, diffuse, souven
il y ait, par compression, paralysie de nerfs crâniens. Outre les signes indiqués, on en a décrit d'autres d'importance mo
ide assurément dans la présence, dans le syn- drome de Frohlich, de signes de tumeur hypophysaire ou d'une, zone voisine d
la phase aiguë, tant qu'il y a des ecchymoses, des contusions, des signes organiques, tant que les douleurs sont très vives
11 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ne sont point à dédaigner. Voici encore une autre combinaison : Les signes de l'épilepsie paracentrale sont bien marqués; on
ni de ramollissement, ni de syphilis qu'il s'agit. D'autre part, les signes de phthisie pulmonaire ne sont pas très nets, l'é
fut pris, il y a deux ans passés, d'une hémoptysie suivie bientôt des signes rationnels de la tuberculose pulmonaire au début.
léthargie, catalepsie et somnambulisme, caractérisées chacune par les signes somatiques et physiques qui permettent d'écarter
physionomie dénote le tristesse. Verre jaune. — Elle donne tous les signes d'une grande frayeur. Verre vert foncé. — Sa ph
gne. — La scène change subitement. La malade sourit et donne tous les signes d'un grand contentement. Elle regarde dans le loi
tain. Puis sourit et salue de la main. Tout à coup elle fait quelques signes de tête et agite l'index comme on fait pour faire
ait quelques signes de tête et agite l'index comme on fait pour faire signe à quelqu'un de venir vers elle ou de s'arrêter ;
ues gouttes de sirop de groseilles ; aussitôt elle se met, avec des signes de contentement, à porter à sa bouche un verre im
, à porter à sa bouche un verre imaginaire et à boire. Puis elle fait signe qu'elle en a assez, qu'elle n'en veut plus. Enfin
cerveau du malade est plus difficile à saisir lorsqu'il ne donne les signes extérieurs que de sentiments simples, tels que le
thé, et recommence à manger. Puis, il se remet au lit on donnant des signes do fatigue. Essence de térébenthine. — Il fixe
d, des discontinuités de la vie psychique normale. C'est pourquoi les signes cliniques offriront actuellement plus de prise po
d'abord, comme sous le coup d'une poursuite, en manifestant tous les signes delà terreur, sautait par (1) Il est question d
ui caractérise le somnambulisme hypnotique. Au réveil, et c'est là un signe très important, le somnambule a complètement oubl
véritables vertiges ou même des accès d'épilepsie convulsive, et ces signes , dans certains de ces cas, ont précédé immédiatem
se peut qu'il n'en soit pas ainsi. C'est alors, en se basant sur des signes plutôt négatifs — absence de stigmates hystérique
ités qui s'ignorent l'une l'autre. Dans son état n° 2, elle offre les signes somatiques de la contracture somnam-bulique qui n
est rien, ainsi qu'on peut s'en rendre compte parla constatation des signes somatiques de cet état. Il existe une hyperexcita
cin pour consulter M. Charcot, il présentait dès son arrivée tous les signes de l'hystérie infantile avec attaques dans lesque
de soldats. Ah ! si, le voilà. Il m'a bien reconnue, lui; il me fait signe avec son mouchoir. Tiens, mon chéri, je t'aime (e
. 1, qui est incomplète; deux points sur les j des 5e et 6" vers; des signes de ponctuation qui manquent aux fig. 1 et 2 : un
qui, d'autre part, a des attaques convul-sives ou simplement d'autres signes d'hystérie. » Cette catégorie de cas comprend cel
s et sensorielles sur la direction des hallucinations, sont autant de signes d'une valeur indiscutable. Malheureusement on n'a
traire, sans parler de la présence, dans les grands cas au moins, des signes somatiques, de la contracture cutano-musculaire,
us le classer ? Dans le second groupe, sans aucun doute, mais avec ce signe par- li) Ribot. — Loc. cit., p. 145 et suiv„
ar ce seul fait que l'oubli existe toujours au réveil (2). » D'autres signes paraissent exister à peu près constamment, ainsi
vue dans la chapelle et, l'ayant entre les mains, elle « donna grand signe de liesse. Et commença (comme les enfants jouent
que dans un grand nombre de cas de ce genre, on ne trouve noté aucun signe permettant de conclure à l'identité des deux phén
atre, ou trente-cinq, mais ne peut dire le nombre formé par les trois signes . On lui dit alors d'écrire trois cent cinquante-q
ée de la malade à l'hôpital, je m'aperçus qu'elle présentait certains signes que l'on est habitué à rencontrer dans l'hypnotis
ré de bristol, au verso duquel on a fait au préalable tout en haut un signe invisible pour elle. On fixe avec énergie, par de
bas, disposition toujours facile à contrôler, grâce à la situation du signe de convention. Les suggestions peuvent même par
ter sans révolte. Je n'insisterai pas sur la présence chez elle des signes somatiques et psychiques que l'on rencontre habit
spéciale des membres, qui gardent la position qu'on leur donne, sans signes manifestes de fatigue (tremblement du membre, eff
eau jour, par suite d'une double hérédité de transformation, tous les signes du diabète et del'ataxie locomotrice progressive.
tômes précédents, on constatait : Ja perte des réflexes rotuliens, le signe de Rotnberg, une sensation de constriction en cei
ées. La peau est de couleur normale sans sécheresse manifeste. Pas de signe de Romberg. Absence totale des réflexes rotuliens
e 3 centimètres. L'œil est franchement tabétique. Myosis bilatéral. Signe d'Ar-gyll-Robertson avec absence complète de réac
re place à une amaurose complète transitoire. Actuellement, outre les signes classiques du diabète, on constate un certain nom
-pie tabélique, d'œil tabélique au grand complet : myo-sis bilatéral, signe d'Argyll Robertscn, rétrécissement irrégulier du
tte atrophie relève ici du tabès. En outre, le myosis bilatéral, le signe d'Argyll, la diplopie qui a duré deux mois ne rel
oint du diabète sucré. En somme, nous trouvons d'une part absence des signes oculaires classiques du diabète et d'autre part p
sont normaux. La vue est bonne, mais les pupilles sont inégales et le signe d'Argyll Robertson est très net. Absence des réfl
igne d'Argyll Robertson est très net. Absence des réflexes rotuliens. Signe de Romberg. L'incoordination motrice est absolume
re, Vin-coordination motrice particulière, l'inégalité pupillaire, le signe d'Argyll, les signes de Romberg et de West-phal,
motrice particulière, l'inégalité pupillaire, le signe d'Argyll, les signes de Romberg et de West-phal, les troubles urinaire
s et au diabète, il en est d'autres, comme l'inégalité pupillaire, le signe de Robertson, la démarche ataxique, les troubles
ue, enfin, et surtout parce qu'elle ne s'accompagne point de certains signes habituels, concomitants : fréquence du pouls, tro
ante-neuf ans, parles douleurs fulgurantes. Etat actuel (mai 1889). Signe de Westphal. Signe de Romberg très accentué. My
es douleurs fulgurantes. Etat actuel (mai 1889). Signe de Westphal. Signe de Romberg très accentué. Myosis avec signe d'A
89). Signe de Westphal. Signe de Romberg très accentué. Myosis avec signe d'Argyll Robertson. Pas de cataracte. Douleurs
otuliens sont abolis totalement même par le procédé de Jendrassik. Le signe de Romberg est poussé à l'extrême ; Je malade est
la glycosurie diabétique et l'interrogatoire ne révèle plus aucun des signes habituels au diabète. Mais, par une coïncidence
roubles de la sensibilité, incoordination motrice à évolution rapide, signe de Westphal et de Romberg. Ces phénomènes s'insta
n des phénomènes nerveux, en l'absence de la glycosurie et des autres signes du diabète. Au surplus, un certain nombre de sign
rie et des autres signes du diabète. Au surplus, un certain nombre de signes , entre autres l'incoordination typique, ne saurai
uvent vu le malade depuis cette époque et constata la persistance des signes spéciaux. Le sucre diminua sans disparaître. —^
t aujourd'hui que le diabète et le tabès offrent un certain nombre de signes communs sur lesquels il est impossible de tabler
symptômes propres à chacune d'elles qu'il faudra se baser. Parmi les signes communs, il faut citer : 1° Les douleurs fulgur
perle des sueurs locales. 5° La frigidité et l'impuissance. 6° Le signe de Romberg. Si tous ces symptômes se trouvaient
s pourraient assurément faire songer au tabès. Sans doute, ces divers signes offrent bien, dans les deux maladies, quelques tr
s symptômes classiques du diabète sans influencer parallèlement les signes tabétiformes, on aurait, sinon la certitude, au m
ue en faveur du pseudo-tabes. A côté de cette première catégorie de signes communs aux deux maladies diabète et tabès, il en
artiennent à l'ataxie locomotrice progressive le myosis bilatéral, le signe d'Argyll Robertson. Fischer signale bien le myosi
ccéléré dans l'observation de Fischer. Viennent en second ordre les signes suivants : 3° Crises gastriques et laryngées ;
vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents nerveux se bornent à des signes tels que : pertes des réflexes rotuliens, douleur
uleurs fulgu rantes, troubles divers de la sensibilité objective... signes de la première catégorie, le tabès vrai peut être
le tabès, mais rien que des présomptions, car, il faut savoir que le signe de Westphal, relevant du diabète, n'est pas toujo
ant du diabète, n'est pas toujours influencé parallèlement aux autres signes spinaux. Si, par contre, l'amendement de ces acci
'existence d'un faux tabès. S'il survient au cours d'un diabète des signes de la seconde catégorie : troubles oculaires, vés
er entre le diabète et le tabès les symptômes observés. Aisé pour les signes de la seconde catégorie, ce partage sera très dél
de catégorie, ce partage sera très délicat pour ceux de la première : signe de Westphal, troubles de la sensibilité... L'infl
de la manière suivante : a. — Il s'agit d'un diabétique avéré avec signes nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiab
es nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique amende ces signes nerveux en même temps que les symptômes habituels
du vrai tabès. Et l'existence ou l'apparition ultérieure de certains signes tabétiques : incoordination spéciale, troubles vé
dépendance de l'ataxie locomotrice progressive. Si, au contraire, ces signes concomitants manquent, il y aura de fortes probab
ne de l'œil gauche se contractait pour la convergence. Ce sont là les signes typiques de la paralysie nucléaire de la sixième
ne. En effet, dès 1874, M. Landouzy faisait, le premier, connaître le signe de l'orbiculaire aies pan- (1) Par Georges Guin
u type facio-scapulo-huméral. — Face nettement envahie, niais sans le signe de l'or-biculaire des paupières. — Pseudo-hypertr
sculaires. Bien que l'absence des contractions fibrillaires soit un signe distinctif des amyotrophies myopathiques, il n'y
sante pour infirmer ce diagnostic, qui est imposé par tous les autres signes : habitus du malade, envahissement delà face, loc
c. Il semble que l'on doive désormais attacher moins d'importance aux signes tirés de l'examen électrique des muscles dans ces
ès myopathique n'était pas absolument complet, et qu'il y manquait le signe de Landouzy, l'inocclusion des paupières par para
la conférence qu'il fit à son sujet à la Salpêtrière. En effet, le signe de l'orbiculaire des paupières ne doit pas être c
jaune, » l'immobilité du front, etc., sont, lorsqu'ils existent, des signes suffisants pour diagnostiquer la participation de
s muscles d'une part et leur pouvoir fonctionnel d'autre part, est le signe distinctif de cette sorte de lésion musculaire-
ystérique, en ce qui concerne l'attaque, abstraction faite des autres signes différentiels, que le premier tombe instantanémen
on entourage qu'il a réveillées, soit par la constatation de certains signes dont il a l'habitude, comme la morsure de la lang
istoire, il était rendu suffisamment évident par la présence d'autres signes (caractères de l'accès, morsure de la langue, mic
re d'éviter la chute. Hémianopsie homonyme droite, sans aucun autre signe . Il n'a pas été noté si l'examen du champ visuel
lade présente depuis deux mois, dans l'intervalle des accès, tous les signes d'une migraine ophthalmique très violente et très
doigts de la main droite, jamais dans les lèvres ou la face. Aucun signe d'hystérie, sauf un double rétrécissement concent
faiblesse ou mieux maladresse du membre supérieur gauche. Mais pas de signe d'hémiplégie véritable. Observation XX. Lav..
on assez difficile. Il s'agissait d'un malade qui présentait tous les signes classiques de la maladie de Charcot et de plus av
ryngés concomitants; pas de sécrétion laryngée ou bronchique ; pas de signes particuliers à l'auscultation. Il ne faut pas oub
e cours ou à la suite d'un rhume, qui se traduira de son côté par des signes stéthoscopiques plus eu moins accentués. 4° Ce
les oculaires dans le —, 314, 332; Influence du tabes sur le —, 325 ; Signes communs au tabes et au —, 330 ; Association du —
— , 342. G Galéanthropie, 81. Glycosurie: — tabétique, 291, 335; Signes de la — tabétique, 338. H Hallucinations : pr
oculaires dans le —, 314, 332 ; Influence du — sur le diabète, 325 ; Signes communs au — et au diabète, 330; Statistique des
12 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
sang. Le petit resta de 3 heures jusqu'à 6 heures sans donner aucun signe de vie. La sage-femme lui frottait l'estomac av
encore, comme chez les autres sujets oxycéphales nous trouvons des signes certains de rachitisme, Nous avons déjà noté l'
ilaires, comme dans l'achon- droplasie. Muitkrantz donne comme un signe très caractéristique de la dysoslose le dévelop
onformation ogivale de la voûte palatine doit être relenue comme un signe caractéristique de l'oxy- céphalie, ainsi que c
cas de Feindel et Froussard (1), le moins concluant des trois ; les signes acromégaliques se réduisaient à l'aspect caractér
ctéris- tiques de la tête et à des troubles visuels, sans aucun des signes accessoires de cette espèce morbide. Les auteur
rétraction du membre inférieur tout entier. Il ne se produit pas le signe de Babinski. Le réflexe crémastérien est exagér
ent étendus et ceux-ci sont animés de mouvements athétoïdes. Pas de signes de Romberg. La parole est chuchotée, mal articu
is et du pied, le caractère familial. En ce qui concerne ce dernier signe , on sait qu'il est inconstant dans la maladie de
liales. Soderberg en a signalé récemment un cas qui réunissait des signes de maladie de Friedreich, d'hérédo-ataxie céréb
on du réflexe patellaire dans cette maladie porta ensuite le nom de signe de Westphal plutôt que la dénomination de signe
a ensuite le nom de signe de Westphal plutôt que la dénomination de signe d'Erb. Depuis son entrée dans la sémiologie, l'
gne d'Erb. Depuis son entrée dans la sémiologie, l'importance de ce signe est de- venue considérable ; sa recherche n'est
ustifiée par l'expérience clinique. Celle-ci montre en effet que le signe de Westphal existe avec une constance remarquable
un inter- rogatoire serré de très près, plus précis, et ayant eu le signe de Westphal comme point de départ, permettait e
nt par ailleurs une symptomatologie caractéristique, la présence du signe indique nettement un tabes. Pour ces raisons, ce
qu'on lui accorde ? Telle est l'impression générale que chacun a du signe de Westphal. , DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR
er, elles ne comportent pas autant de garantie. Si l'existence d'un signe de West- phal pour ainsi dire congénital ou phy
e pas de retenir l'attention, et la signification patholo- gique du signe de Westphal de rester entière ? Elle aussi, la
fréquence de cette exception. Erb (4) a soigneusement relevé les signes initiaux dans 56 cas de la- bes ; sur ce nombre
die remontait à 5 ans au moins ; au point de vue de la précocité du signe , Erb dit l'avoir trouvé dans des cas où le débu
e légère, d'une ophlalmoplégie totale à gauche, partielle à droite; signe de Romberg; pas d'incoordination; conservation de
e troubles de la sensibilité à disposition radiculaire,nepréseutaitni signe de Westphal, ni signe de Romberg, ni alaxie, ni
lité à disposition radiculaire,nepréseutaitni signe de Westphal, ni signe de Romberg, ni alaxie, ni hypotonie (ti). Signa
labétiques osléo-articulaires chez des malades ayant un minimum de signes de labes et notamment pas de signe de Westpltal.
des malades ayant un minimum de signes de labes et notamment pas de signe de Westpltal. Sans aucun doute, il existe d'aut
HALIER 1·.T NOVJ-JOSSERAND ment que dans certaines circonstances le signe de Westpllal fait défaut dans des tabes indiscu
blent les plus exactes. · On peut conclure que, si la constance du signe de Westphal dans le tabès reste vraie en généra
malade est apyrétique ; il a en- graissé de 3 kilogs. Cependant des signes d'induration et de ramollissement aux deux somm
A l'examen, la tuberculose pulmonaire s'est notablement étendue avec signes cavitaires des sommets et infiltration sous-jac
s très étendues des cordons posté* rieurs, qui ne présentent pas le signe de 1,Vestphal. Ce sont des ta- bes supérieurs,
ui méritent il peine ce nom cliniquement tant ils présentent peu de signes de celte maladie ait moment où on les observe,
t moment où on les observe, puisque souvent le seul symptôme est le signe de TVestpltal ; dans ce cas, la lésion siège da
n'être traduits que par des crises névralgiques, - dans lesquels le signe de Westpltal manque, et pourtant la lésion sièg
r un certain nombre de tabès incipiens analogues à ceux- là et sans signe de Westphai. Par contre, le cas précisément de ta
geotte (1) écrivait les lignes précédentes, paraissait présenter le signe de Westplial ; l'observation a été égarée, dit
s les tabès avancés, il n'est pas pqssible de dire que l'absence du signe de Westplial soit une caractéristique des tabes
DU RETOUR 111.S RÉFLEXES ROTULIENS 8 ! 1 tent ou se cantonnent, le signe de Westphal peut manquer, apparaître précocemen
M. Donath rapporte l'histoire d'un tabétique de 33 ans, chez qui le signe de Westplial était apparu 5 mois après les prem
la première forme comprend des tabéti- ques classiques avec ataxie, signe de Romberg, trouble delà nutrition générale; cl
donner le change et faire croire à une simple gastropathie, tant les signes de tabès sont latents. « .1 notre avis, écriven
- Il existe des tabes avec conservation des réflexes roluliens; le signe de Westplial est inconstant ; il peut apparaître
i d'autres symptômes y invitent. If. - La présence ou l'absence des signes de Westplial est unique- ment subordonnée à la
ent subordonnée à la localisation anatomique de la lésion. Quand ce signe existe, la lésion intéresse, à la région dorso-lo
il ». Cette zone peut rester intacte dans quelques cas rares, et le signe de Westplial manque, alors que le tabes est cli
s caractérisé. D'autre part, cetle zone peut être seule atteinte elle signe de Westplial exister sans qu'il y ait aucune de
n (4) et M. Meige (5). Notre géant qui a, nous l'avons vu, quelques signes physiques de fémi- nisme, présente néanmoins un
légère coudure fémorale juxta-épiphysaire ; mais il manque quelques signes d'une importance capitale : telle l'égalité des d
oné jusqu'au niveau de l'articulation du genou. Il y a en outre des signes qui ne font pas partie du tableau clinique de l'a
a- cun est souvent déterminé par l'importance accordée à tel ou tel signe , MICROMÉLIE RHIZOMELIQUE PARTIELLE 143 alors
nicien voisin, le diagnostic sera tout autre parce que le précédent signe n'aura pas pour lui la même valeur. Ainsi le ca
hésite. 148 ANGLADA Quand il fit son service militaire aucun des signes actuels ne se serait encore produit. C'est vers
odifications du côté de l'appareil urinaire, pas de crampes, pas de signes de brightisme. La compression de la région réna
ade ne peut nous fournir aucun renseignement), elles constituent un signe de grande valeur dans le diagnostic de la maladie
S REFLEXES AGI-IILLLL\T3 ET DES RÉFLEXES ROTULIENS . , SANS AUTRE SIGNE D'AFFECTION DU SYSTÈME NERVEUX PAR le D' Loui
t constatée souvent chez des sujets très vigoureux et n'ayant aucun signe do \ vieillesse. Elle est constatée avec une pr
Le réflexe achilléen existe il gauche, est nul à droite. Pas d'autre signe actuel- lement. Oust. - Ch..., fantassin, 43
s, trouve chez 9 d'entre eux les réflexes rotuliens nuls sans autre signe de maladie nerveuse. Les auteurs trouvent ces ré-
mois, il a des convulsions ; A 4fi ans, il entre à Tenon, avec des signes d'appendicite légère : vomisse- ments, douleur
a radioscopie et la radiographie. Examen direct. Poumons : on a des signes de pleurésie du côté gauche. mais, ce qui nous
ade, rien à signaler, pas de syphilis, pas de blennorrhagie, pas de signe de tuberculose, cependant éthylisme pro- bable.
rs en sens inverse ; il existe des rachis qui offrent à la fois des signes de réversion et des signes de progression, . 6°
ste des rachis qui offrent à la fois des signes de réversion et des signes de progression, . 6° Théorie de l'intercalation
vertèbres. C'est que l'attention n'avait pas été attirée par trois signes importants : La limitation nette des mouvements
tein on trouve notée une petite dépression ster- nale ainsi que des signes de rachitisme. Dans celui de Carpenter, il exis-
). Le malade de Ilamillon présentait une scoliose avec lordose, des signes rachitiques pendant l'en- fance, il ne marcha q
rnier auteur, au moins, rejette aussi cette opinion, les principaux signes de rachitisme manquant chez son malade. Couvela
, s'occupant convenablement de son intérieur et ne présentant aucun signe de troubles psychiques. Ce cas tire son caractè
nnaissances ne pourront pas, vu son cas, être considérées comme des signes d'une infériorité intellec- tuelle. Autant qu
nt conser- vées ; il n'y a pas d'ataxie dans les mouvements, pas de signe de Romberg. Comme pendant son séjour précédent,
modes. Réactions électriques diminuées dans les muscles atrophiés. Signe d'Argyll-Bobertson incomplet. Mort à 80 ans. Ex
et profonde, prédominant à la périphérie ; incoordination motrice, signe de Romberg, douleurs fulgurantes ; intégrité de
lgurantes ; intégrité des sphincters et des fonctions géni- tales ; signe d'Argyll-Robertson. Examen histologique : Dans la
des troncs nerveux, appréciable à la palpation, et qui constitue un signe clinique de grande importance. Mais nous rappel
a- tion dans laquelle cette hypertrophie faisait défaut en tant que signe clinique ; or les .coupes histologiques montrai
légères douleurs. L'anesthésie cutanée et profonde, l'ataxie et le signe de Romberg ont fait t défaut. Quant à l'absence
ICONE AVEC LIPOMATOSE 311 1 on ne constate ni points de Valleix, ni signe de Lasègue ; par contre la sensi- bilité object
e plan- taire semble également disparu, en tout cas il n'y a pas de signe de Babinski. Les troubles de la sensibilité son
e, également une atrophie des muscles de la cuisse. A gauche, aucun signe d'atrophie, sauf la tendance de l'omoplate à pren
E HÉMILATÉHALE 329 Il ne me semble pas opportun de rappeler ici les signes de l'hémiatrophie progressive de la face (et du
enteur, d'où il serait permis de déduire qu'il n'y avait pas là les signes de la R. D. Par contre, dans le second groupe de
viser en deux groupes suivant qu'il existe ou qu'il n'existe pas de signes évidents de syphilis du système nerveux. I Sur
à proprement parler tabétique, l'un d'entre eux cependant avait un signe de Robertson bilatéral et de la diminution (des
ngo-myétites. - Deuxième catégorie e où se révélèrent plus lard des signes desyringomyéiie. Troisième caté- gorie où il su
, la tuberculose des vertèbres peut surgir et suivre son cours sans signe apparent de'déformation, et que les seuls sympt
de Pott avec symptômes nerveux à un âge avancé et : sans qu'il y ait signe extérieur évident de tuberculose des vertèbres.
ypertrophica externa. Il man- quait dans notre cas non seulement le signe visible de la déformation de la colonne vertébr
externe, on obtient, mais pas toujours, l'extension du gros orteil ( signe de Babinski) ; au pied gauche on n'a ni extensi
ni extension ni flexion, généralement. A droite, il existe aussi le signe de MenJei-Bechterew et il est plus évident quan
ociée à d'autres mouvements des orteils, du pied, de la jambe. Le signe de Marie-Foix est positif quand la manoeuvre, fle
caractère radiculaire, l'inversion bilatérale du réflexe du radius ( signe de Babinski), la parésie spastique des quatre mem
lons seule- ment ajouter qu'au premier examen du malade, le nouveau signe de Babinski inversion du réflexe du radius dont
e : lagophtalmie, déviation oblique ovalaire de la bouche à gauche, signe du peaucier de Babinski.. " Le VIe nerf droit e
ercep- tible quand le malade ferme les yeux lentement. Pas d'autres signes de para- lysie faciale. Réflexes. Pupillaires
tres réflexes, un peu vifs. Peut-être un peu plus vifs à droite. Le signe de la flexion combinée du tronc et des jam- bes
ion combinée du tronc et des jam- bes (Babinski) est positif. a les signes de Raimiste et Grasset à l'état d'ébauche. Sens
neux sont diminués des deux côtés, mais existent. Il n'y a pas de signe de Babinski. Les réactions pupillaires sont norma
équilibre. Les troubles de la marche sont disproportionnés avec les signes d'hémiplégie. 428 P. MAR1E ET FOIx En 1910, t
re manque souvent, se ferait plutôt en flexion. En tout cas, pas de signe de Babinski net. Pas de troubles de la sensibil
droite, faible à gauche. Réaction à l'accommodation conservée avec signe de Robertson unilatéral. Le malade meurt le 9 d
rminale des réflexes tendineux de la rotule et du tendon d'Achille, signe de Babinski positif à droite. A l'autopsie, lés
touchée; cependant la marche est possible. Du côté des yeux pas de signe d'Argyll Robertson, pas de paralysie oculaire,
r, mais il n'est pas possible de les re- chercher convenablement. Signe de Babinski. En flexion bilatérale. Réflexes abdo
lade atteinte d'arthrite chronique de la colonne et des genoux sans signe d'affectation caractérisée du système nerveux on
poignet, radial et cubital sont également conservés et normaux. Le signe de Babinski se fait en Ilexion. Il n'y a pas de c
uis 18 ans chez un syphilitique avec Wassermann positif, sans autre signe clinique de syphilis des centres nerveux. Obser
de. Wassermann négatif. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de signe Rien du côté de la sensorialité. Mouvements com
ur (voir plus loin). Pas de clonus, pas de raccourcissement. Pas de signe de Romberg net. Pas de troubles marqués de la sen
g net. Pas de troubles marqués de la sensibilité. Du côté des yeux, signe d'Argyll Robertson bilatéral complet. Paralysie b
oculaire commun, portant sur les trois branches du nerf. En résumé, signe d'Argyll Robertson, douleurs fulgurantes. Paralys
Les réflexes rotuliens et achilléens sont normaux. Il n'y a pas de signe d'Ar- gyll, pas de signe de Babinski, pas d'iné
t achilléens sont normaux. Il n'y a pas de signe d'Ar- gyll, pas de signe de Babinski, pas d'inégalité pupillaire, ni de pa
ûrement syphilitique. . Parmi nos 6 cas cliniques, 3 présentent des signes de syphilis nerveuse. La syphilis sera donc d'e
0, de tension moyenne. Les urines sont claires, elles renferment un signe moyen d'albumine à teinte un peu rosée ; pas de
nous pûmes la suivre, nous don- nions la plus grande importance aux signes urémiques, et cette hypo- thèse ne fut même pas
8, p. 73. ACROMÉRALDS Ex URÉMIE Il 1 de Duchesneau meurt avec les signes d'une néphrite intolérante, on trouve des cas s
es,l'anesthésie ne reçoit aucune contre-indication particulière des signes d'excitation du système nerveux. C'est une thér
qu'accusait le reste du corps et ne s'accompa- gnait d'aucun autre signe pathologique. On peut se demander si l'épithète
- achilléens (Absence des - et des réflexes rotuliens sans autre signe d'affection du système nerveux), par Dupuy, 153
INIJ, 76. - (Absence des réflexes achilléens et des z sans autre signe d affection du système nerveux), par Dupuy, 153
ence des réflexes achilléens et des réflexes rotuliens sans autre signe d'affection du système ner- veux, 153. 1<'
13 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
à l'extrême exagération ; il fait remarquer l'extrême importance du signe de Babinski, pour apprécier ce qui revient à la m
sensitifs sont très variables; enfin, plus tard, à la constipation, signe précoce, s'ajoutent des troubles sphinctériens et
pation, signe précoce, s'ajoutent des troubles sphinctériens et des signes d'excita- tion motrice : spasmes toniques et cl
savons seulement que la spasmodicité avec exaltation des réflexes, le signe de Babinski et la rétention des réservoirs indi
Pott, d'après leur seul aspect clinique, en 3 groupes : 1° Cas avec signes de compression de la moelle ou des racines dorsal
lle ou des racines dorsales et lombaires supérieures. 2° Cas avec signes de compression radiculo-médullaire du cône termi-
ne termi- nal, de l'épicône et de la queue de cheval. 3° Cas avec signes de compression de la moelle ou des racines cervic
de compression de la moelle ou des racines cervicales. I. Cas avec signes de compression de la moelle ou des racines dorsal
e plusieurs examens du rachis aient permis de découvrir aucun autre signe de mal de Pott. Après une accalmie complète de
du sacrum : le tout s'était fait en 3 jours de temps avec fièvre et signes de décubitus acutus. Chipault ayant pratiqué la
-bras gauche. Deux mois plus tard, l'examen permet de constater les signes d'une sciatique double, avec hypoesthésie diffu
n nouvel abcès par con- gestion dans la fosse iliaque droite. Aucun signe rachidien. Bresci rapporte dans sa thèse (i) «
ace épidural. Le mal de Pott avait - évolué d'un bout l'autre, sans signe rachidien. , Citons enfin, à titre de curiosité
9 9 mois après le début on constate une paraplégie spasmodique avec signe de Babinski, rétention et incontinence des sphi
nant par crises, tantôt en pseudo-névralgies en ceinture sans aucun signe d'affection gastrique. Pendant 9 mois, ces dou-
raplégie est spasmodique avec clonus, exagé- rations des réflexes ; signes d'une sciatique double, hypoesthésie pour tous le
sement progressif. Mort 16 mois après les premières douleurs. Aucun signe rachidien. A l'autopsie (V. PI. I, fig. B), cav
moins souple que dans le jeune âge, on ne saisit pas aussi bien un signe précoce, très important chez l'enfant, et qui e
ique, avec contracture, exagération des réflexes rotuliens, clonus, signe de Babinski. Elle peut être absolue, le malade
its, car les troubles nerveux dus à un mal de Pott lombo-sacré sans signes rachidiens nets sont d'un diagnostic extrêmement
é était caractérisée par l'exaltation des réflexes, du clonus et le signe de Babinski à gauche. L'auteur diagnostique un
urtout marquée à gauche, un raccour- cissement notable du cou, sans signes de lésion en activité ; aux membres su- périeur
eurs, ataxie, légère parésie avec exagération des réflexes, clonus, signe de Babinski net à gauche, douteux à droite. Inéga
s le début, mort de tu- berculose pulmonaire. Il n'y avait d'autres signes rachidiens que la gêne et la limitation des mou
réflexes du poignet sont plutôt forts, réflexes rotuliens exagérés, signe de Babinski à gauche ; à droite on obtient l'ab
, même pour un neurologiste exercé, lorsque viennent à' manquer les signes de certitude de mal de Pott, c'est-à-dire les s
à' manquer les signes de certitude de mal de Pott, c'est-à-dire les signes rachidiens, ou bien que ceux-ci sont seulement
douleurs qui, pendant plus ou moins longtemps, peuvent être le seul signe . Il est classique de dire que ces douleurs ont le
a face postérieure des membres inférieurs, et qu'on trouve, soit le signe de Lasègne, soit la douleur à la pression du nerf
mal de Pott, quel que soit l'âge du sujet. La douleur deviendra un signe de bien plus grande valeur lorsqu'elle sera bilat
. Faisons observer, d'ailleurs, que, si la douleur est un excellent signe de mal de Pott, son siège est loin de correspon
odique des membres inférieurs : exagération des réflexes rotuliens, signe de Babinski, etc. 2° La paralysie flasque des m
é des membres inférieurs avec intégrité des membres supérieurs, les signes ressemblent beaucoup à ceux d'une myélite trans
énéral, moins douloureuse que le mal de Pott ; la cons- tatation du signe d'Argyll Robertson vient, dans bien des cas de sy
corroborer le diagnostic ; enfin la ponction lombaire donne un bon signe différentiel, lymphocytose dans la syphilis, résu
lésions dégénératives. II. Eléments du diagnostic positif. Les signes positifs, permettant de rapporter au mal de Pott
uberculose, les autres indiquent une lésion vertébrale : t a) Les signes de tuberculose sont : d'abord les signes généraux
on vertébrale : t a) Les signes de tuberculose sont : d'abord les signes généraux de l'in- fection tuberculeuse, quelle
- sion de la tuberculose ; si, peu de temps après, apparaissent des signes de compression nerveuse sans cause bien évident
e bien évidente, on doit penser au mal de Pott et en rechercher les signes ; d'autre part, si l'état général du sujet est
valeur dans ces cas à l'épreuve de la tuberculine. b) L'étude des signes rachidiens annonçant le début du mal de Pott a ét
i serait à citer tout entière : L'abcès par congestion n'est pas un signe de début ; il correspond à un stade assez avanc
début du mal de Pott, une physionomie assez spéciale. La raideur, signe de début le plus banal de toute tumeur blanche, s
douleurs, pour n'y plus reve- nir : les douleurs irradiées sont un signe de compression radiculaire, non un signe de lés
douleurs irradiées sont un signe de compression radiculaire, non un signe de lésion osseuse. Il n'en est pas de même de la
uelquefois jusqu'à 38-5. Je répète encore, qu'on n'a pu trouver des signes de la tuberculose, ni dans les, sommets des pou
isparaissant par la pression, et qui persistent pourtant longtemps, signe d'une action contraire des nerfs vaso-moteurs. Et
érale. Au moins je ne saurais expliquer autrement la cyanose et les signes d'une action du coeur insuffisante après des effo
amais dans l'acromégalie. Vous voyez donc, Messieurs, que plusieurs signes , caractéristiques pour l'acromé- galie manquent
ement que notre F..., à côté d'une acromégalie partielle montre les signes les plus classiques de l'infantilisme. Sur- tou
s individus qui se rattachent à l'achondroplasie par un ensemble de signes positifs, mais s'en différencient par l'absence d
examen de notre malade fait tout d'abord reconnaître un ensemble de signes assez complexes et qu'on peut diviser en trois gr
nes assez complexes et qu'on peut diviser en trois groupes : 1° Des signes qui marquent des arrêts de développements localis
taté à plusieurs reprises ne paraît plus exister actuel- lement. Le signe de Babinski est en flexion et les réflexes cutané
te chez elle aucune trace de rachitisme ; il n'y a pas davantage de signes de myxoedème, le corps thyroïde est normal ; la
être congénitale et ne s'être révélée que tardivement par quelques signes subjectifs, mais ce qui établit une différence ca
un rétrécissement mitral pur : avec le rétrécissement il existe des signes d'une insuffisance concomitante non douteuse.
égère puisque la spasmodicité n'est pas très considérable et que le signe de Babinski est négatif. La ponction lombaire q
objective et ces lésions pathologiques des nerfs ajoutés à d'autres signes cliniques décrits (1) Le morceau du nerf enlevé
habituelle, nutrition générale satisfaisante, teint coloré. Pas de signe révélateur d'alcoolisme, pas de syphilis* Pas de
490). Cette suractivité fonctionnelle peut être considérée comme un signe de vigueur physique ; 4° L'ichthyose reconnue d
ns la jeunesse, coliques de plomb il y a deux ans. Etat actuel. - Signes physiques de ramollissement des .deux sommets.
l'ab- sence de réaction plantaire. 14. On constate, à droite, le signe de Babinski et des secousses spas- modiques dan
agencement du réseau chromatinien est beaucoup moins net. Nissl dé- signe sous le nom de « Gemstete Zellen » (littéralement
ent comme « une condition d'aptitude », suivant son expression. Les signes fondamentaux du syndrome sont constitués par une
riphériques sans que la malade ressente de douleurs bien nettes. Le signe de Lasègue est absent ; et s'il existe une doul
14 ; les artères périphériques dans deux cas ne présentaient aucun signe d'athérome, dans les autres les radiales étaien
tait le phénomène de Babinski, l'exaltation des réflexes tendineux, signes qui éloignent l'idée d'une affection à siège excl
men objectif peut encore lever les doutes. La recherche négative du signe de l'orteil ou du phénomène d'Oppenheim, l'exis
es de la cachexie démentielle sans avoir jamais présenté le moindre signe clinique de tabes dorsal. , A l'autopsie, l'exa
e manifestent chez un garçon qui présente en même temps deux autres signes indiquant un état de myopsychie de Joffroy, de pr
nglionnaires de l'un et de l'autre côté. Il pense même que certains signes de dégénérescence cellulaire, tels que l'excentri
à myéline de la racine sont encore intactes, et ne présentent aucun signe de dégénères- SECTION expérimentale DES racines
sens des attitudes segmentaires semble peu touché. Clonus du pied, signe de Babinski des deux côtés. Légère exagération de
une des formes de l'asymbolie. un mode d'altération de l'emploi des signes dont l'homme se sert pour exprimer ou pour comp
es notes comme le mathématicien entend et écrit des chiffres ou des signes algébriques ; le mécanisme psychologique de cel
symptôme que signalent les traités et articles classiques parmi les signes des hémor- rhagies protubérantielles, c'est le
oin les détails démon- tre une fois de plus comment, en présence de signes incontestables d'a- cromégalie, l'existence d'u
econd plan pour traiter la néphrite. Le sujet présente en effet des signes évidents d'acromégalie, l'aspect de sa face, de
lendemain il se plaint d'un point de côté à gauche et présente les signes d'un épanchement léger dans la plèvre de ce mêm
aphie de la face et de la boîte crânienne pour rechercher les trois signes décrits par Béclére (épaissis- sement très irré
guère faite dans le sens antérieur puisque nous ne trouvions pas le signe caractérique de la com- pression du chiasma à s
n traumatisme violent du rachis. A ce moment il présentait tous les signes d'une section complète de la moelle ; à savoir :
mmédiatement au-dessus de la région comprimée nous avons trouvé des signes de régénérescence nerveuse consistant dans la pré
t fléchis- seur des doigts) sont totalement abolis. La recherche du signe de Babinski est impossible parce que l'orteil n
a température s'élève un peu. 22. Pâleur, dyspnée ; on constate des signes de broncho-pneumonie à la base gauche. Pendant
LÉVY. - SYRINGOMYÉLIE OU LÈPRE '455 coutume ; un an après les mêmes signes de faiblesse se constatent à la main droite. La
t de compter les éosinophiles (l'éosinophilie n'été donnée comme un signe hématologique de la lèpre). Bien que la majorit
sente aucun symptôme anormal. Le pouls est à 90°. Il n'existe aucun signe clinique de chloro-anémie. ' L'examen du sang f
dée ne font qu'attirer l'attention sur elle. Toutefois, l'élude des signes physiques ne permet pas de conclure dans ce sens
aduit littéralement, vouloir dire : qu'il accomplisse de nou- veaux signes , qu'il ajoute les miracles aux prodiges ; aucun s
e nou- veaux signes, qu'il ajoute les miracles aux prodiges ; aucun signe (signe de puissance supérieure) ne sera plus gr
veaux signes, qu'il ajoute les miracles aux prodiges ; aucun signe ( signe de puissance supérieure) ne sera plus grand qu'
ns la trans- mission ; douleurs fulgurantes, nystagmus, myosis avec signe d'Argyll- Robertson, cyphoscoliose ; hypertroph
urs avec im- possibilité de marcher la nuit. Dérobement des jambes. Signe de Romberg : Nystagmus dynamique. Myosis avec s
ent des jambes. Signe de Romberg : Nystagmus dynamique. Myosis avec signe d'Argyll-Roberlson. Surdité. Pa- ralysie de la
nformés d'une façon spéciale, il peut seulement faire quelques pas. Signe de Romberg très accusé. Membres supérieurs Atro
de myosis. Réflexe lumineux aboli, réflexe accommodatif con- servé ( signe d'Argyll-Robertson). A l'état de repos, pas de
es laryngées sont loin d'être rares. En 1900 le malade présente des signes très nets de tuberculose pulmonaire. Il entre à
et incertaine. Impossibilité de se tenir debout les yeux fermés, - signe de Rom- berg. Légers mouvements cloréjformes de
cence. Incoordination marquée des membres supérieurs et inférieurs. Signe de Romberg très accusé. Altérations très pronon
égalité pupil- I- laire. Myosis à droite, mydriase légère à gauche. Signe d'Argyll-Robertson. Nystagmus dynamique. Hypert
iase. Réflexe lumineux aboli. Réflexe de la con- vergence conservé. Signe d'Argyll-Robertson. Acuité visuelle normale. Cham
contrac- tion (obs. II) jusqu'à l'immobilité complète de la pupille signe d'Argyll- Robertson (obs. I et III). Dans ce de
même Pierre Marie invoque comme une deuxième dirîérence l'absence de signe d'Argyll-Robertson chez ses malades, mais il a
tion ne doit-elle pas être considérée à son tour comme le début du signe d'Argyll et n'est-ce pas de cette façon qu'elle
te affection ne leur manque et ils ne présentent d'autre part aucun signe qui permette de créer une nou- velle affection.
, et cependant nous les rangeons dans le même groupe pourvu que les signes capitaux de la maladie soient nettement constat
uche était paralysée en adduction ; cette paralysie laryngée, et le signe d'Argyll-Robertson rappro- chent encore la symp
ertrophi- que de celle du tabes classique ; par contre l'absence de signes génito- urinaires l'en distingue nettement. L
itielle hypertrophique est une des rares'affectionsoùse constate le signe d'Argyll-Robertson, en dehors de la syphilis, du
en dehors de la syphilis, du tabès et de la paralysie générale. Ce signe existait dans deux de nos cas (obs. I et III).
de rapporter l'observation et l'autopsie(obs. I) la présence de ce signe a moins de valeur, puisqu'il avait contracté tr
qui n'avait pas eu la syphilis, bien qu'il n'y eut chez elle pas de signe d'Argyll-Ro- bertson, la réaction à la lumière
ement, absolument comme l'oedème précoce, qui est l'un des premiers signes d'une tumeur blanche, ou d'une coxalgie (Ménard
que réveillent des bains sulfureux : il n'y avait alors pas d'autre signe rachidien qu'un peu de gêne de la rotation du t
emain, paralysie complète des membres inférieurs,flasque, mais avec signe de Babinski. Anesthésie complète pour tous les mo
fférent. Masses musculaires légèrement douloureuses à la pression : signe de Lasègue net des deux côtés. Hypoesthé- sie p
res inférieurs, avec spasmodicité,exaltation des réflexes rotuliens, signe de Babinski bilatéral, amaigrissement diffus de
e 886 le sera bientôt). Ces. VII (n° 681). Mal de Pott sacré sans signes rachidiens. - Englo- bement et lésions des raci
paraît ; il meurt de broncho-pneumonie 7 mois après le début. Aucun signe rachidien, pendant toute l'évolution. Autopsie.
en rose par l'éosine. Ors. VIII (n° 886). Mal de Pott lombaire sans signes rachidiens ; syn- drome des affections de la qu
ion, conservation des extenseurs, adducteurs et du psoas-iliaque : [ signes d'une sciatique double; anesthésie dans le domain
chexie avec fièvre hectique ; mort - 47 mois après le début. Pas de signes rachidiens pendant toute l'évolution. Autopsie.
Inconti- nence des réservoirs. Aggravation rapide, apparition du signe de Babinski, fièvre avec délire tran- quille, m
s jours, il se paralyse complètement; les réflexes sont forts, avec signe de Babinski bi- latéral ; à droite,hypoesthésie
membres inférieurs, très spasmodique, avec exaltation des réflexes, signes de Babinski et d'Oppenheim particulièrement net
. Rien aux membres supérieurs ni à la face ; myosis gauche ; pas de signes pul- monaires. Escarre fessière vaste et profon
du foyer, et jusque dans le VIIe segment cer- vical, on trouve des signes de myélite diffuse légère ; désintégration diffus
res dorsales, et cepen- dant, il n'y avait dans ce cas, aucun autre signe clinique de compres- sion du plexus brachial in
urs névralgiques dans le domaine des plexus lombaire et sacré, avec signes d'une névralgie sciatique double. Il mourut au
E 531 férieurs complète à droite, moins intense à gauche, mais avec signe de Babinski bilatéral sans amyotrophie. Signe d
e à gauche, mais avec signe de Babinski bilatéral sans amyotrophie. Signe d'Argyll,troubles sphinctériens par moments. Es
douloureuses de la Ville à la Xle .Au cou,adénopathie «scrofuleuse». Signe d'Argyll avec quelques secousses nystagmiforl1l
cliniquement, paraissaient indemnes ; dans l'observation VIII, les signes indiquaient une compression des racines lombo-s
s résultant de la confrontation des symptômes et des lésions. Les signes rachidiens : endolorissement à la pression, raide
t n'ont pas manqué une seule fois et constituent l'un des meilleurs signes , précoces. Leur constatation prend une importan
oposées comme moyens de diagnostic dans le cas de mal de Pott, sans signes rachidiens. Enfin, la radiographie pratiquée, d
ation. L... P...., 80 ans, industriel. Cliniquement il présente les signes de cardio- néphro-sclérose avec des accès d'hyp
14 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
roit et le devoir d'être plus dif- ficiles, de nous appuyer sur des signes positifs et de ne qualifier d'hys- tériques que
rer, avec observations à l'appui, que, dans des cas déterminés, les signes de l'hystérie se réunissent, se groupent chez un
ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 13 hystérique ces signes réunis, et l'on aura la notion véridique d'un syn
parfois il éprouve de la peine à détacher ses pieds du sol. Pas de signe de Romberg. La marche est possible les yeux fer
ion adonner il ses membres; il était toutefois vite fatigué. Pas de signe de Romberg. Les réflexes tant plantaires que rotu
le sein gauche, de la diminution de l'ouie du côté gauche, assez de signes , en un mot, pour que l'hystérie ne puisse être mi
pseudo-maladies organiques », pour des névroses nou- velles que nul signe , de l'avis de Westphal, Langer, Oppenheim, etc.,
tive, admettre comme hystériques que les malades qui en portent des signes appréciables. Or, c'est précisément parce que, da
du langage. Douleurs et faiblesse dans les bras. Aggra- vation des signes antérieurs. Deux ou trois ans avant son entrée, s
la fin d'août 1877, subitement, amélioration étonnante de lous les signes paralytiques. Le malade sort. Le même jour, il re
s. Etat actuel. Durant les premières semaines, on ne constate aucun signe évident d'affection spinale. Vers le milieu de
, que sa démarche était maladroite et qu'il était menacé de tomber. Signe de Romberg. Il resta peu de temps à l'hôpital.
UES « SIMULATEURS ». 17 Le 9 septembre, à son entrée, on trouve les signes suivants, caractéristiques de la sclérose en pl
J'écrivis au D Playfair, en lui disant que je n'avais trouvé aucun signe évident de lésions organiques. M. Playfair me r
argie, catalepsie et somnambulisme, caractérisées cha- cune par les signes somatiques'et physiques qui permettent d'écarter
physionomie dénote la tristesse. Verre jaune. Elle donne tous les signes d'une grande frayeur. Verre vert foncé. Sa phys
CE DES EXCITATIONS SENSITIVES ET SENSORIELLES. 79 et donne tous les signes d'un grand contentement. Elle regarde dans le l
in. Puis sourit et salue de la main. Tout à coup elle fait quelques signes de tête et agite l'index comme on fait pour fai
t quelques signes de tête et agite l'index comme on fait pour faire signe à quelqu'un de venir vers soi ou de s'arrêter; al
s gouttes de sirop de gro- - seilles; aussitôt elle se met avec des signes de contentement à porter à sa bouche un verre i
à porter à sa bouche un verre imaginaire et à boire. Puis elle fait signe qu'elle en a assez, qu'elle n'en veut plus. Enf
orsqu'il ne 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. donne les signes extérieurs que de sentiments simples tels que le
sera un indice impor- tant surtout s'il paraît en harmonie avec les signes qui dépendent des localisations des altérations
peut se maintenir ainsi relativement longtemps sans présenter aucun signe de fatigue, ni d'asphyxie. Même lorsqu'il parle
e l'atrophie partielle du nerf optique. du nystagmus. A côté de ces signes qui rendaient certain le diagnostic de sclérose e
ous aurez à signaler probable- ment la coexistence de quelque autre signe univoque de l'hystérie z. » B. Dire si le compl
HYSTERIQUES « SIMULATEURS ». 135 C'est là, jusqu'à nouvel ordre, un signe d'une haute importance. Il manque dans le syndr
ait sortir des limites de notre cadre que d'approfondir l'étude des signes qui permettent de localiser, sur la hauteur du ra
La distribution seule de l'anesthésie suffirait, à défaut d'autres signes , pour pei mettre de reconnaître la. paraplégie
rs, il faut donc penser à l'hystérie. Il n'est peut-être qu'un seul signe qui permette d'affirmer, à coup sûr, la présence
une lésion médullaire. En somme, on peut admettre trois groupes de signes différentiels. Pour la lésion spinale, on aura
de signes différentiels. Pour la lésion spinale, on aura : 1° Des signes de présomption : atrophie musculaire, incontinenc
algie osseuse, abolition des réflexes, troubles électriques; 2° Des signes de qltasi-certitude : eschares, cystite purulente
es signes de qltasi-certitude : eschares, cystite purulente; 3" Des signes de certitude : distribution de l'anesthésie cutan
ur la parésie des membres supérieurs. État actuel (juin 1890). Le signe le plus frappant est le double ptosis, qui est
périeur est impuissant à mettre en mouvement. On ne constate pas de signe bien net de paralysie faciale nucléaire. Le fro
e de l'orbiculaire des paupières. Mais on peut constater quelques signes , peu accentués à la vérité, de paralysie bulbai
et les réflexes cutanés paresseux. Et cependant n'y a ni ataxic, ni signe de Romberg, ni troubles de la sensibilité. L'état
nser à un tabes dorsal comme dans le cas de Westphal; mais tous les signes de cette affection font défaut. La perte des ré
ssement dans les mains, ni douleurs en éclair dans les pieds; aucun signe d'ataxie locomotrice. 1. John Bristowe, Cases o
rps. Il s'approchait dé chaque malade, lui traçait sur le visage le signe de la croix avec la main droite, en allant du f
ment concentrique et permanent du champ visuel (examen du 26 août), signes qui faisaient encore défaut à l'époque où le ma
s que cette réaction faisait complètement défaut. L'ab- sence de ce signe n'est donc pas suffisante pour éloigner l'idée d'
tableau cli- nique. Il est inutile d'insister sur la valeur de ces signes tant positifs que négatifs au point de vue du d
it être toujours possible, sinon facile, on s'appuiera sur quelques signes , qui, soit isolément, soit dans leur ensemble, pr
nomènes de paralysie bulbaire inférieure sont venus s'adjoindre les signes qui caractérisent la lésion de la moitié supéri
olioencéphalite et nous avons constaté aussi chez nos malades, deux signes qui sont constants dans la myopathie et qui son
constants dans la myopathie et qui sont même considérés comme des signes diagnostiques de cette dernière affection. Nous v
te pour l'oeil gauche, et diplopie. On constatait en outre tous les signes d'une paralysie bulbaire infé- rieure qui s'éta
le diagnostic avec quelques développements si l'on n'y trouvait un signe bien caractéristique qui est la dissociation part
n caractère presque pathognomonique de cette affection. Une fois ce signe constaté on ne sera plus embarrassé pour explique
, scoliose, habituels dans la syringomyélie. Il n'est pas jusqu'aux signes oculaires qui ne permettent de différencier net
rs reconnaître assez facilement en somme, grâce à l'ensemble de ses signes très parti- culiers et qu'on ne rencontre ainsi
plomb, mais il y a bien des années qu'elles n'ont point reparu; les signes d'intoxication font défaut; enfin son atrophie
subaiguë, la mort parait fatale dès que se manifestent les premiers signes de paralysie bulbaire. Dans le cas contraire, il
umeau, une atrophie des nerfs optiques, de violentes céphalées, des signes d'ataxie et de la paresthésie. Mort après sept an
ement de la vue; depuis six mois, douleurs ful- gurantes. Outre les signes habituels de l'ataxie, il présente les symptômes
persiste et le malade a la notion de la position de ses membres. Le signe de Romberg est très net, ainsi que la suppression
médecin, qui accompagne le général en chef, veut lui faire voir le signe caracté- ristique du mal, le bubon. Sur son ord
articuler, faire les sutures, sans que le malade ait donné le moindre signe de souffrance, sans qu'il ait souffert le moins
ndti, autant de troubles de développement et devien- nent ainsi des signes d'infériorité individuelle. Néanmoins, à mon se
icile à vivre, etc.), une toux aboyante survenant par accès et sans signe d'auscultation (elle existe encore aujourd'hui).
le bras droit. Les membres illfé- rieurs sont complètement raides. Signe de Brodie au niveau des articula- tions du geno
rhythmée. Nous l'avons vue le 10 août 1890 et nous avons trouvé les signes suivants : Troubles de la sensibilité. Hyperest
d'abasie en un mot. Outre ces troubles moteurs et sensitifs et ces signes probables d'hérédo- syphilis, la malade présent
plus scrupuleuse exactitude. On reconnais- sait à première vue les signes caractéristiques de cette terrible maladie. Sur
pour le lépreux d'Albert Durer, le mal est reconnais- sable à deux signes caractéristiques. On constate, en effet, sur le c
uvert, les plaies ulcéreuses et les tubercules. En second lieu, les signes de l'atrophie musculaire sont indiscutables. Si l
bien en lumière et cela d'une façon presque schématique deux grands signes de la lèpre pris sur le vif et si bien représenté
sensibilité à la douleur. Léger degré,de der- mO{fraph ie. Aucun signe de rachitisme. La concavité sternale débute au
ndouzy sous le nom de camptodactylie et considérée par lui comme un signe d'arthritisme'. Du côlé gauche, les os de l'ava
ne qui, comme tous nos malades précédents, ne pré- sentait point de signe de rachitisme et n'avait subi aucun traumatisme t
avec violence dans le cinquième espace intercostal et présente les signes d'un rétrécissement aortique avec hypertrophie !
e tableau précédent résume, au point de vue de l'état mental et des signes physiques de dégénérescence, les traits caractéri
e, une malformation de plus à ajouter au tableau déjà si chargé des signes physiques dégénératifs du malade. Cependant on co
étudié la poitrine en entonnoir n'ont trouvé chez leurs sujets des signes de rachitisme, lundis qu'ils ont pu constater p
e et de l'autre. Il ne se traduit, dans l'état ordinaire, par aucun signe objectif; le malade qui en est atteint con- ser
nt les suivants : 1° Exaltation des réflexes tendineux. C'est là un signe constant. Je n'ai jamais vu la diathèse de cont
ence rend compte des récidives fréquentes : sa dispa- rition est le signe de la guérison définitive. La diathèse de contr
t excellente, sauf la sensation perma- nente de froid. Il n'a aucun signe d'affection cardiaque ou pulmonaire. Le 12 nove
et demi vient nous voir assez régulièrement et n'a jamais eu aucun signe qui puisse faire penser il quoi que ce soit de
rophie musculaire n'est pas rare dans l'hystérie. Le décubitus avec signes généraux graves, serait caractéristique de l'orga
ents du diagnostic. Lorsqu'en fin de compte, on ne constatera aucun signe pathogno- monique de myélite, et que le malade
paraplégie monosymptomatique et procéder par exclusion. L'étude des signes actuels, des commémoratifs et de l'évolution le c
. 380 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Presque tous les signes de la série tabétique peuvent se retrouver dans
ans la névrose la perle ou la diminution des réflexes rotuliens, le signe de Romberg, etc. Il n'en faut pas davantage p
induration grise du nerf optique, les arthropathies déformantes, le signe d'Argyll Roberlson, les fractures spontanées...
ntanées... qui restent, dans l'espèce, l'apanage du tabes. Mais ces signes spé- ciaux, ces stigmates sont inconstants dans
ous ou presque tous leur sosie dans l'hystérie. Si l'on combine les signes de la série tabétique de mille manières, on aur
sont des exemples. D'autre part, Angèle P... ne présente aucun des signes spéciaux du tabes, aucun « stigmate tabétique »,
abes, aucun « stigmate tabétique », à savoir : atrophie papillaire, signe de Robertson, de Weslphal, etc. Elle n'a du tab
étention d'urine, paresse pupillaire, amblyopie et achroma- topsie, signe de Romberg, etc. Et cependant il ne saurait êtr
çon très modérée. L'eaopUlbalmie est double et très manifeste, sans signe de de Graefc. Cetle saillie oculaire s'accentue a
en ceinture, des douleurs rachidiennes, des crises gastriques, les signes de Romberg et de Westphal, des troubles oculair
e et la maladie de Basedow suffisent amplement à expliquer tous les signes constatés chez ce malade; les douleurs, les cri
e malade; les douleurs, les crises gastriques, l'incoordination, le signe de Romberg, se voient assez souvent dans la név
mberg, se voient assez souvent dans la névrose hystérique. Reste le signe de Westphal. Mais on sait que les réflexes rotu
e avec troubles dans la sensibi- lité. L'incoordination motrice, le signe de Romberg, les douleurs dans les membres infér
tes, les troubles oculaires, vésicaux, sont absents. L'existence du signe de Westphal n'y est pas mentionnée. Par contre, i
erveux central ne se tra- duisent pas forcément en clinique par des signes révélateurs. D'autre pari, une malade qui prése
ire. Le tabès est-il primitif ? On peut voir exceptionnellement les signes tabétiques s'atténuer; règle générale ils ne so
vulgaires de l'ataxie locomotrice progressive, un ou plusieurs des signes en quelque sorte pathognomoniques du tabès : «
abès : « stigmates tabétiques », tels que : atrophie de la papille, signe d'drgyll Roberlson, signe de Westphal, lésions
ues », tels que : atrophie de la papille, signe d'drgyll Roberlson, signe de Westphal, lésions osseuses et articulaires (fr
stérie et absence de « stigmates tabétiques ». Il n'y a ici que les signes vulgaires, « superficiels » de l'ataxie locomotri
s viscérales, incoordination motrice, troubles vésicaux, etc., tous signes qui peuvent avoir leur représentant dans la név
toujours des nuances qui trahissent la névrose hystérique. (b) Le signe de Romberg n'est pas un signe différentiel; il ex
ssent la névrose hystérique. (b) Le signe de Romberg n'est pas un signe différentiel; il existe dans la névrose et dans
nous semble inutile d'ajouter que la recherche des antécédents, des signes concomitants, des anamnestidues est un complément
égénérescence dans les masses musculaires en voie d'atrophie est un signe commun aux amyotrophies spinales et aux atrophi
sur l'hémalo- myélie centrale, qui se traduit cliniquement par des signes identiques à ceux de la gliomatose. Que les lés
t qu'on peut invoquer en faveur de l'hystérie un certain nombre des signes présentés par cette malade, il incline à penser q
fonde ce diagnostic sur les raisons suivantes : 1° Sur l'absence de signes franchement hystériques; 2° Sur le caractère né
le complexus morbide, sous peine d'attribuer à la syringomyélie des signes qui appartiennent il la névrose hystérique, et
erve dans les entreprises chirurgicales, tant qu'il n'existe pas de signes de com- pression. La coexistence de lésions p
d'aide et ils peuvent mar- cher sans s'appuyer sur une canne. Le signe de Romberg et les paresthésies s'amendent considé
l Clarke (31) insiste surtout sur l'amélioration de la marche et du signe de Romberg, et ne place qu'en seconde ligne la
souvent le retour du sommeil, l'amélioration de l'état général, du signe de Romberg et des troubles de la miction. Ils n
malade que' s'apprête à recevoir son valet magnétiseur. En haut les signes du Zodiaque couverts de nuages, allusion à la t
15 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ette à paresser. Sensibi- tité spéciale et générale normales. Aucun signe d'hystérie. Som- meil bon, naturel. Sentiments
neux et de couleur rouge brun, et on trouvait vers leur surface des signes de néphrite inters- titielle au début. Les memb
de l'oeil qui, au début, pouvait fort bien représenter les premiers signes de la papille étranglée, firent, 62 REVUE D'ANA
mais nerveux, l'acuité visuelle est diminuée, il y a une ébauche de signe de Romberg et une légère altération de l'écritu
ue, mais les réactions vestibulaires sont intactes, il n'y a pas de signes cérébelleux, pas de paraphasie, '64 , SOCIÉTÉS
ite hypertrophique serait donc la seule affection pouvant donner le signe d'Argyll sans syphilis. M. Meunier communique u
âge dans un état de déchéance navrante présentent dix ans après des signes d'une simple arriération. Cette distinction de M.
l étudie la séméiologie des systèmes de la moelle, c'est-à-dire les signes auxquels on reconnaît le siège de l'altération
ation de tous les réflexes tendineux sans trépidation spinale, sans signe de Babinski. Asynergie cérébelleuse à droite. T
t certains d'entre eux il nous a été possible de retrouver d'autres signes indiquant la participation du sys- tème nerveux
E. du Nystagmus simples aux formes rendues plus complexes par les signes nouveaux qu'ils présentaient à l'examen. Bien q
s, bouche etc.), pas de pla- ques ptérygoïdiennes de Parrot. Pas de signes morbides dans les poumons ou au coeur, pas de p
des réflexes iriens. En résumé, sur 4 sujets, 3 présentent déjà des signes indéniables d'altérations du système nerveux cent
bien constituée sans tare organique : elle ne présente pas d'autres signes que des dents crénelées avec une den- tition lé
Il n'existe pas de trépidation épileptoïde du pied. 11 n'y a pas de signe de Babinski. Les réflexes oMo'6[)tte ? ! S sont
e clonus du pied qui ne se reproduit pas au deuxième examen. Pas de signe de Habinski. A un nouvel examen on constate tou
? Cette opinion est inadmissible parce qu'en dehors de l'absence de signes plus caractérisés de cette dernière affection,
oppe- ment du système nerveux central a entraîné l'apparition des signes morbides. C. Nystagmus essentiels familiaux.
ellaires sont normaux. Il ne présente pas de troubles nerveux ni de signes d'une affection des centres ner- veux. Il off
ôté. Il n'y a pas d'atrophie, pas de modifications du thorax, aucun signe de troubles du côté du système nerveux. Obser
eures sont écartées les unes des autres. L'enfant ne présente aucun signe anormal au coeur ni aux poumons. Il n'a pas de
es. Le réflexe palellaire gauche est plus mar- qué qu'à droite : ce signe est surtout sensible quand on percute les réfle
deux ou trois mouve- ments de trépidation épileptoïde très nette. Signes cérébraux. L'enfant s'est bien élevé, est venu au
os observations, on verra que le plus souvent se surajoutent à ce signe primordial des manifestations nerveuses de même
symptôme (tremblement) isolé ou associé à plus ou moins d'autres signes nerveux surajoutés. 1 Une pareille classificati
vue physique. Les organes sont sains ; l'urine est normale; pas de signes d'hystérie ; une morsure profonde de la langue;
apportée pour mieux juger mon état ». Enfin, ne trouvant plus aucun signe de vie dans Thérèse, on fut si persuadé de son
ablement parce qu'il est moins volatil. G. Deny. XIV. A propos du signe de Ch.-Bell dans la paralysie faciale péri- phé
côté malade, étaient tout différents de ceux qui caractérisent les signes de Ch. Bell : le globe oculaire au lieu .de se
rait volon- tiers une lésion, sans oser l'affirmer, en l'absence de signes objec- tifs. Les auteurs donnent le détail des
mission par les os est très raccourcie, alors qu'il n'existe pas de signes d'une affection de l'oreille interne et que l'a
ntal Science, octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-sept ans; comme signes de syphilis congénitale, on trouve le crâne vol
noduleux avec nombreuses cicatrices pigmentées sur leurs crêtes. Signes de nanisme. Au point de vue mental, n'a pu appr
s l'autre le mari était tabé- tique et la femme présentait tous les signes d'une myélite de' la région lombaire. Chez aucu
rapportés dans cette note concernent des femmes ne présentant aucun signe d'hys- térie et qui avaient subi une interventi
ait perdu beau- coup de son poids : les urines étaient normales. Le signe de Rom- berg était légèrement accusé, le réflex
l'état mental des aliénés avec conscience de leur état, l'étude des signes physiques de la folie raisonnante, celle de cer
on suprême hommage à Jules Falret. La séance est ensuite levée en signe de deuil. Délire et insuffisance hépatique. M
llet et Matrice Faure, MM. Vigouroux et Juquelier rap-' pellent les signes habituels (cliniques et urinaires) de la petite
cosurie alimen- taire, etc). - Ils ont retrouvé la plupart de ces signes chez des sujets présen- tant des troubles psych
également intermittents d'insuffisance hépatique; 3° Celles où des signes d'insuffisance hépatique s'observent chez des d
inations, perte de conscience, agitation motrice et automatique). Signes physiques de démence précoce. M. IASSELO4, au n
, au nom de M. Sérieux et au sien, fait une commu- nication sur les signes physiques de la démence précoce. D'après - SOCI
oté aussi parfois du dermographisme. M. Séglas ne croit pas que les signes physiques de la démence précoce aient une const
ontre, en général exagérés, surtout chez les catatoniques. Pour les signes pupillaires, il faut craindre des erreurs possi
il admet cependant la fréquence de la dilatation pupil- laire ; les signes pupillaires sont d'ailleurs variables et probable
cas analogue à cette dernière observation. M. ÏRÉNEL pen-e que les signes pupillaires sont peut-être moins importants que
oraux et de la cyanose des mains, ni l'un ni l'autre ne portent des signes de rachitisme. OEeH : e hystérique. M. DurouR
n de volume du coeur à la suite d'efforts. L'accès terminé tous les signes d'insuffisance tri" SOCIÉTÉS SAVANTES. 177 cu
mment avec de la guimauve pour que le malade puisse les écarter. Ce signe est presque tou- jours fâcheux, car la plupart
rerait, puisque je ne pouvais l'en empêcher, je fisse contre lui un signe de mépris. » Or le remède que ce confesseur con
m'était un extrême supplice de me servir à son égard de la higa, ce signe de moquerie, 'et l'on m'aurait plutôt mise en p
a pensée est mesurée, analysée dans sa genèse et dans sa structure. Signe des temps : on voit des Facultés des Lettres el
ine hystérique, neurasthénique, si on doit le classer au nombre des signes de l'angoissé, de l'abou- lique, de l'obsédé, e
meil hypnotique. Cette modification de la tension artérielle est un signe objectif indéniable de la réalité de l'hyp- not
pour quelques-uns mêmes les portes restent ouvertes. Ce sont là les signes d'une louable tendance à se rapprocher de la vie
uxième étage dans la rue. Minodier donnait depuis quelque temps des signes de dérangements cérébraux et avait dû cesser to
re est informe; prié d'écrire son nom, le malade trace une série de signes incompréhensibles dont la première lettre le G
pérature oscille autour de 38° : quelques râles de bronchite et des signes de congestion pulmonaire. Le 18, la température
d'un certain degré d'hébétude. Néanmoins, loin de s'améliorer les signes démentiels et moteurs s'aggravent et l'autopsie n
quide céphalo-rachidien est le plus constant et le plus précoce des signes physiques de la paralysie générale, et sa décou
ces malades est entré à la cli- nique il y a sept ans avec tous les signes de la paralysie générale, puis après une périod
o-pédagogique1 doit être faite dès que l'on a remarqué les premiers signes de l'idiotie, au plus tard, à deux nzzs. Plus o
UD. Les deux frères dont il s'agit présentaient l'un et l'autre les signes très nets de paralysie géné- rale, embarras de
paralysie géné- rale, embarras de la parole, inégalité pupillaire, signe d'Argyll, perte de la mémoire, idées délirantes
ait chez les héréditaires vésaniques. M. de Penm (de Bordeaux). Des signes somatiques peu accu- sés, un délire faiblement
constances de l'infraction et dans l'interrogatoire du prévenu; les signes d'un trouble mental possible. Il me semble que
entraînés. Extension durable ou prolongée du gros orteil associé au signe de Babinski. M. Pailiias (d'Albi). -J'ai eu l
, de la façon la plus nette, la réaction réflexe qui caractérise le signe de Babin : ki. - L'intérêt de ces observations
ons m'a paru résider : : 1° dans la cor- rélation existant entre le signe de Babinski et cette extension durable ou prolo
ne am- plitication ou une exagération, en durée surtout, de ce même signe 2° dans le fait que l'extension du gros orteil
l semble établir, par assimilation, la véritable significa- tion du signe de Babinski, en le représentant comme un indice
ées, puisque dans deux cas d'hémiplégie complète, nous avons vu ces signes s'ac- cuser bien plus du côté non paralysé. 3
ncernant une femme de trente ans qui s'est présenté à nous avec les signes , somatiques et psychiques, de la paralysie géné
urs « idées corollaires », et insiste tout particulièrement sur les signes physiques, sur l'anxiété, l'insom- nie, la cons
s. Les antécé- dents psychopathiques antérieurs sont fréquents. Les signes somatiques sont moins accusés au début. Le déli
mposer à tout son entourage; elle en présentait, du reste, tous les signes extérieurs : gonflement des seins, aug- mentati
nion de Short Lunier et Feré. SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 391.. u Sur le signe pupillaire cl'lrgyll-Ro6erssou. , , 11111. CI :
ouver un réflexe paradoxal de la pupille. Dans le tabes, lorsque le signe Cl'1L·gyll était unilatéral, toujours ils ont tro
x réflexes. Mais ils ont particulièrement' envisagé les rapports du signe d'Argyll et de la syphilis. Ils n'ont jamais tr
rts du signe d'Argyll et de la syphilis. Ils n'ont jamais trouvé le signe au cours de la sclérose en plaques (35 cas), de
de névrite interstitielle hypertro- phique et de syringomyélie avec signe d'Argyll et sans syphilis. Mais dans la pratiqu
ne d'Argyll et sans syphilis. Mais dans la pratique, la présence du signe d'Argyll doit faire soupçonner la syphilis, sel
e par l'anatomie pathologique, il faudrait plutôt admettre que le signe d'Arcyll dénonce un tabes ou une paralysie généra
nte-cinq ans; la ' veuve Citéron, journalière, ayant déjà donné des signes d'aliénation 'mentale, est disparue de son domi
(Progrès de l'Eure, 8 août). Comme cette femme avait déjà donné des signes de . folie, elle aurait dû être hospitalisée à
nvier 1902. : J... R... est devenue maussade, donne fréquemment des signes d'impatience, de nervosité, ne dort plus, est a
t assez fré- quemment confondues ; il existe cependant une série de signes qui i permettent de les distinguer : l'auteur l
'une façon cons- tante au tronc et peuvent être considérés comme un signe initial du tabes. 5° Des troubles de la sensibi
idal gauche n'a été interrompue, pas une seule ne montre le moindre signe de dégénérescence secondaire. Pour ex- pliquer
longtemps de crises d'épilepsie, mais présentant en même temps des signes manifestes d'hystérie. D'autres améliorations n
tération est absolument généralisée dans un cas où, d'ailleurs. les signes cliniques furent très accusés; elle est plus di
rent très accusés; elle est plus discrète dans le second cas où les signes cliniques furent moins accusés. Les observation
nt, à la physionomie inintelli- gente et quelque peu bestiale, sans signes de dégénérescence net- tement accusés. Archiv
e décèle à ce moment aucun symptôme objec- tif intéressant. - Les signes suhjectifs sont nuls, ce qui est compréhensible,
que c'en était pourtant une et donna les raisons de l'anomalie des signes objec- tifs et des degrés thermiques. §4. AUT
ont manqué par suite de la très faible sensibilité du sujet. Les signes donnés par la percussion furent négatifs et les
sujet. Les signes donnés par la percussion furent négatifs et les signes stéthoscopiques peu nets, à cause de la localisat
et acquérir ainsi une valeur aussi grande pour le diagnostic que le signe de Babinski. Pourquoi ce réflexe se produit-t-i
rmi ceux qui, dans leurs premières années, n'ont jamais présenté un signe quelconque de trouble moral ou d'anomalie intel
, 1 m. 94, à vingt-sept ans, 1 m. 99. Il présente en outre tous les signes de l'infantilisme. L'unique testicule qui occupe
ssAUD présente un malade de cinquante-trois ans atteint de tous les signes objectifs de la sclérose en plaques et sujet en
dix ans qui, après avoir présenté, durant un mois et demi, tous les signes d'une méningite tuberculeuse classique, parut c
'enfant mourut subitement par asphyxie d'origine bulbaire, avec des signes absolument analogues à ceux que provoquent les
paraissant à la suite de deux ictus surventes dans la même journée. Signe des orteils. M. Dufour. La paralysie pseudo-bul
complète, sauf l'existence d'uie légère faiblesse du côté droit, du signe des orteils de Babinski, mais avec disparition de
dique, qui ont rétrocédé incomplètement dans la suite, laissant les signes très nets de la paralysie pseudo-bulbaire. -
issant les signes très nets de la paralysie pseudo-bulbaire. - Le signe des orteils de Babiiiski,qtii a accompagnéchaque
raitre, faisant place à la trépidation spinale. Je me demande si le signe de Babinski, qui n'existe pas de l'avis de son
tonicité musculaire. En un mot, l'hypothèse serait la suivante : le signe des outils est liée à des phénomènes de paialys
itation de la voie motrice. M. BAR)NSKt insiste sur le point que le signe qui porte son nom caractérise la lésion pyramid
tabétiques, en particulier, ne le présentent pas; c'est donc là un signe qui peut contribuer à distinguer de l'ataxie tabé
rin, âgé de quarante-deux ans, don- nait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation mentale. Or, hier, dans l'après-mi
du suicide, par \\-ood et Urquhart, 157. Argyll ROBERTSON. Sur le signe pupillaire d' -, par Cestan et Dupuy-Dutemps.
1131N1,1, Voir 7fe'/<ee. Voir Gros orteil. liEI.L. A propos du signe de - dans la paralysie faciale périphérique,
ce. Altérations pathologiques dans- la ? par J. Sltaw Hotron, 53. Signes physiques de pré- coce, par Masselou et Sérieux
gles, 46. Gros orteil Extension durable ou prolongé du associé au signe de L3alïnsl : i, par Pailhas, 3j9. Hallucinat
ille, 53. pseudobul- baire chez un jeune homme de vingt-huit ans. Signe des orteils par Dufour. 535. I'dR.111'oULOVUS
16 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ès rarement noté. Nous n'avons point recherché chez notre malade le signe de Kernig, et il est probable que cette recherc
é très nette dans notre cas, nous paraît devoir consti- tuer un bon signe diagnostique de l'hémorrhagie méningée d'avec l
s années sont restés à la phase initiale bien qu'ils présentent les signes physiques caractéristiques de la paralysie géné
urant la grossesse, Accouchement et naissance, rien de particulier. Signes d'idiotie à l'âge de trois mois. Séries de conv
. L'un de ses enfants est mort à dix-neuf mois : « Il n'avait aucun signe d'intelligence ; il était comme mon enfant. » Rie
orts. Point de vertiges ni de secousses. Jamais Gro... n'a donné de signes d'intelligence ni parlé. Il res- tait toujours
3 34 RECUEIL DE FAITS. 20-26. Aggravation des symptômes généraux. Signes de tuberculose pulmonaire. - Mort le 5 mai. D
n cas de folie de la puberté, car le malade ne présentait aucun des signes de cet état de transition; il faut donc admettre
nt aux simples buveurs d'habi- tude qui ne présentent pas encore de signes d'intoxication spéci- fique, ils ne peuvent êtr
ne organique centrale, ce que vient corroborer la présence d'autres signes de lésion des centres nerveux tels que affaibli
porte le cas d'une jeune fille de dix-sept ans, morte avec tous les signes d'une tumeur cérébrale. A l'autopsie : épithéli
ige lit pour M. Vihes, de Montpellier une intéressante étude sur le signe des orteils de Ilalil1ski. M. Touche présente l
rvient un état de mal au cours duquel pendant une crise Léonie fait signe avec son bras droit encore libre que le 100 THÉ
'intervention chirurgicale se justifiait pleinement. Seuls quelques signes de dégénérescence (oreilles, voûte palatine) et
ervention. PATHOLOGIE NERVEUSE. Méningo-myélite syphilitique avec signe d'Argyll-Robertson ; Par CESTAN. Chef dç cl
mond, quatre malades atteints de méningo- myélite syphilitique avec signe d'Argyll-Robertson. Observation Il Lej ? cinqua
une lourdeur lombaire. Le réflexe crémas- térien est conservé et le signe de Romberg fait défaut. 11 n'existe ni atrophie
dans le tabes ; d'ailleurs nous trouvons très nettement à droite le signe d'Argyll Robertson ; il est impossible, de par
ens articulaire conservé ; absence d'incoordi- nation motrice et de signe de Romberg. Absence d'atrophie mus- culaire et
re l'absence de nystagmus et de diplopie, mais, met en évidence, le signe cl'Argyll-Itoùerlsozz ; le fond de l'oeil est n
rine. Enfin les deux yeux sont en myosis et présentent nettement le signe d'Argyll l1obcrtson. Observation IV. - Can...,
mais les deux pupilles sont ovaluires, en myosis et pré- sentent le signe d'Argyll-Robertson. En résumé, nos 4 malades so
e, l'exagération des réflexes tendineux, la trépidation spinale, le signe des orteils de Babinski, les troubles urinaires
m- baires ; d'autre part, l'aspect tabétiforme par la présence du signe d'Argyll-Robertson. Comment pouvons-nous interpré
udo-tabéti- que, mais par l'existence de troubles sphinctériens, du signe de Romberg et de douleurs fulgurantes associés
surlout mettre en lumière, nos malades diffèrent de ce type par un signe nouveau, le signe d'Argyll-Robertson. Certes,
lumière, nos malades diffèrent de ce type par un signe nouveau, le signe d'Argyll-Robertson. Certes, nous ignorons enc
rtes, nous ignorons encore le mécanisme pathologique qui produit ce signe . Ne faudrait-il pas, d'ailleurs, en pre- 108 PA
thique nous démontrent que la sympathectomie ne détermine jamais le signe d'Argyll- Robertson, mais uniquement du myosis
puisque leur malade, syringomyélique, présentait du côté gauche les signes de la lésion du grand sympathique (myo- sis, di
rand sympathique (myo- sis, diminution de la fente palpébrale, sans signe d'Argyll); du côté droit, au contraire, le sign
e palpébrale, sans signe d'Argyll); du côté droit, au contraire, le signe d'Argyll-Robertson. Ainsi nous ne pouvons suppo
re, le nombre des maladies au cours desquelles. on peut observer le signe d'Argyll. Or, M. Parinaud dit l'avoir observé d
groupes. Au contraire, tous les neurologistes reconnaissent que le signe d'Argyll est un des meilleurs signes du tabes e
rologistes reconnaissent que le signe d'Argyll est un des meilleurs signes du tabes et de la paralysie générale. Or, il ne
entier, dans la syphilis héréditaire ou acquise, ont pu observer le signe d'Argyll en dehors de tout autre trouble du sys
s lors, faire de la syphilis la cause fréquente, sinon exclusive du signe d'Ar- gyll, problème très important que des rec
x chez nos malades, la syphilis créant la myélite spasmodique et le signe d'Argyll, ce dernier, par une lésion encore inc
ne lésion encore inconnue. Cependant nous ferons remarquer que ce signe n'a été que très rarement observé au cours des my
tabétiques. On peut bien observer chez des ataxiques l'existence du signe d'Argyll Robertson avec la persistance ou l'iné
ons jamais constaté ni l'exagération des reflexes rotuliens ni le signe des orteils de Babinski ; nous avons examiné une
se manifestait par la flexion du gros orteil, de telle sorte que le signe de Babinski, comme nous l'avons montré dans des
cléroses médul- laires combinées, et se manifeste uniquement par le signe des orteils de Babinski. Mais il en est tout au
uvons, par suite, supposer que nos malades sont des tabétiques avec signe d'Argyll et persistance des reflexes ten- dineu
yramidal va se scléroser, ils seront des lors des spasmodiques avec signe d'Argyll. Très rarement la lésion du faisceau p
ainsi une hémiplégie ou une diplégie cérébrale syphi- litique avec signe d'Argyll, comme nous avons pu en obser- ver un
é- sente des douleurs fulgurantes, des troubles sphinctériens, le signe de Romberg, le signe d'Argyll ; fait ensuite une
rs fulgurantes, des troubles sphinctériens, le signe de Romberg, le signe d'Argyll ; fait ensuite une hé= miplégie cérébr
cérébrale, paralysie qui évolue avec des douleurs fulgurantes et le signe d'Argyll. Mais nos 4 malades sont des spasmodiq
ignalées des observations de paraplégie spasmodique forme Erb, avec signe d'Argyll. Le plus souvent on décrit soit des my
les deux hypothèses qui nous permettent d'expliquer la présence du signe d'Argyll chez nos deux ma- lades, d'une part qu
ésence du signe d'Argyll chez nos deux ma- lades, d'une part que ce signe soit créé par la syphilis en dehors de toute lé
de lésions tabeliformes avec des lésions de myélite transverse, le signe d'Argyll dénonçant l'altération des cordons pos
l'altération des cordons postérieurs, la trépidation spinale et le signe des orteils, de Babinski, celle du faisceau pyram
ion morbide, para- plégie spasmodique progressive syphilitique avec signe d'Argyll-Robertson. RECUEIL DE FAITS. Folie
ids et la taille ont aug-' menté. Jamais nous n'avons observé aucun signe d'hystérie, contrairement à la mention du certi
109.) Homme cinquante-trois ans ; troubles présentant d'abord les signes de la paralysie générale et enfin ceux d'une tume
.) Malade atteint d'alrophie double de la papille. Il présente le signe de Bomberg d'une manière très accentuée, et tombe
aduelle de la vue. Le Dr H ? I. Thomas, de Baltimore a rencontré ce signe de Romberg deux fois chez des aveugles. Le D1'
OLOGIE NERVEUSE. il ne peut pas parler, mais se fait comprendre par signes . Le bras et la jambe droits sonttrès affaiblis.
« infan- tilisme thyroïpnve ». Les antécédents s'accordent avec ces signes pour diagnostiquer ce genre d'infantilisme, qui
tômes classiques du tabes ; immobi- lité fixe réflexe des pupilles, signe de Westphal (unilatéral). Les symptômes relatif
ion de M. le Dr Déjeune. La seconde malade chez laquelle on voit ce signe aussi très nettement est une tabétique du service
mènes. Permettez-moi encore quelques mots sur l'explication de ce signe . - Le rétrécissement pupillaire qui accompagne
tiques. M. Babinski présente deux malades présentant d'une part des signes de tabes, abolition des réflexes, troubles de l
che, troubles capillaires, douleurs fulgurantes et d'autre part des signes de néoplasme syphilitique intracranien. Ces der
, rue de Cha- 186 VARIA. renton, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale. Ce malheureux était pris
ie d'une enfant de sept ans, qui avait présenté, de son vivant, les signes d'une ophtalmoplégie nucléaire progressive : pa
tache au myxoedème. Ces symptômes ont apparu à une période où les signes de goitre exophtalmique s'étaient sensiblement am
. André Chaintrier, propriétaire au lieu des Noguez, et donnait des signes d'aliénation mentale. M. le docteur Cadenaule, de
rapporteurs du Congrès n'ont pas suffisamment insisté sur certains signes psychiques de l'hébéphrénie : les attitudes thé
nétisme, et que, depuis cette époque, toutes deux avaient donné des signes de trou- bles cérébraux; que 'sa belle-soeur ét
un éclat du regard très notable sans grande exophtalmie. Les autres signes de la maladie de Basedow, signes de Graefe et d
ans grande exophtalmie. Les autres signes de la maladie de Basedow, signes de Graefe et de Moebius, faisaient défaut; mais
10 battements à la minute : à aucun moment, le coeur ne présenta de signes d'affaiblissement, ni de dilatation. Toutefois,
et, au moment où le fait fut publié, le sujet pré- sentait tous les signes de la maladie de Basedow. D'autres infections,
YPIIOÏDIQUE. 295 dite, de la paresthésie des mains. Il considère ce signe comme l'indice d'un trouble fonctionnel de la g
s les fonctions thyroïdiennes, qui, cliniquement est révélé par les signes de la maladie de Basedow. Pour le myxoedème de
pement imparfait du frontal : vertex conique et occiput défectueux; signes caractéristiques de ce type. Nous ne reconnais-
pure : c'est la perte absolue de la parole, le mutisme complet. Ce signe suffirait à lui seul pour différencier les apha
ts, mais sans trépidation spinale. On ne constatait pas non plus le signe de Babinski. L'hypoesthésie du côté gauche, trè
de la cinquantième année, commen- cent à se manifester les premiers signes de l'involution psychique par l'apparition de f
ns les plus évidentes. Dans un petit nombre de cas apparaissent des signes catatoni- ques : mutisme, attitudes anormales,
générale des manifestations catatoniques. . Ça et là on observe des signes de modifications séniles du côté du cerveau : v
es intenses, fuite des idées, idées de grandeur, humeur gaie sans signes de faiblesse psychique) serviront au diagnostic,
ction rare d'ailleurs à cet âge), surtout lorsque se produisent des signes de catatonie, si on constate un négati- visme o
peuvent rester longtemps incertains, en rai- son de l'analogie des signes psychiques. Plus de lucidité et de clarté, un é
la mélan- colie ; la paralysie générale sera admise s'il existe des signes d'af- faiblissement psychique accentué et des s
'il existe des signes d'af- faiblissement psychique accentué et des signes physiques, si la maladie a évolué progressiveme
Sommelet. Cette pauvre femme, qui depuis quelque temps donnait des signes de dérangement céré- bral, était sortie de chez
ctrophysiologie ET d'électrothérapie. peut être considérée comme un signe certain de l'envahissement du muscle par un pro
lement de bas en haut de l'abdomen vers le cou. Si on cherche le signe du pôle qui le premier développe les phénomènes
sent la réaction de dégénérescence ne peut être considérée comme un signe apparte- nant aux atrophies musculaires d'origi
. fait certaines opinions qu'il défendait naguère chaudement. Les signes anatomiques d,fférenliels fondamentaux qui distin
tion- niste-impulsif, on y trouve, d'ordinaire, tout un ensemble de signes révélateurs de l'état de déséquilibration menta
générale associée au tubes d'origine syphi- litique, l'existence du signe de Babinski vient révéler une altération du fai
nom de ((phénomène des orteils ». On tend aujourd'hui à l'appeler signe de Babinski, et non sans juste raison. IV. Nos
sui- 1 Vires et Calmetle, Recherches sur le phénomène des orteils ( signe de Babinski). Société de Xeurologie, 7 juin 190
tableau à la fois plus simple et plus clair, nous avons employé des signes particuliers représentant soit une exagération,
servé une modalité parti- culière du réflexe plantaire rappelant le signe de Babinski et décrite plus haut (voir A, 2°).
ble paraplégique indiquant une altération médullaire quelconque. Le signe de Babinski avec l'exagération des réflexes rot
lll'ologie, nos ai et 59, t. X, p. 193 et 371. 474 ENSEIGNEMENT. ( signe de \Veslphal), sur la paralysie générale, l'agora
(Krafft-Ebing), il importe avant tout d'en retenir les véri- tables signes distinctifs qui l'isolent si nettement du vice. C
que l'observation médico-légale a pris note de tout cet ensemble de signes précis, ce n'est plus seulement une opinion qu'on
pect du tabes à un degré le plus souvent très prononcé avec ataxie, signe de Rom- berg, trouble de la nutrition générale.
is un grand nombre d'années atteints de tabes se traduisant par des signes caractéristiques (signe de Hobertson, abolition
atteints de tabes se traduisant par des signes caractéristiques ( signe de Hobertson, abolition des réflexes rotuliens, d
maladie du reste, avec ses symptômes ordinaires : douleurs, ataxie, signe de Romberg, etc., ait été arrêtée, mais pourtant
ls s'étendent mais il est impossible de faire de celte extension un signe i Ltliognomoniclue d'altération des cordons lat
moelle dorsale, l'autre la moelle lombaire et ayant donné tous les signes de compression médullaire localisée aux points
t d'une lésion des tubercules quadri- jumeaux d'origine typhique. Signe de Babinski dans la fièvre typhoïde.-M. Léopold L
e. Signe de Babinski dans la fièvre typhoïde.-M. Léopold LÉvi. Le signe de Babinski s'est rencontré dans 10/20 cas de fiè
été fréquemment observé. Dans aucun cas, il n'y a eu coïncidence du signe de Konig, ni de phénomènes méningés. La trépi
phénomènes méningés. La trépidation épileptoïde a coexisté avec le signe de Babinski 5 fois, Le signe de Babinski a ex
ation épileptoïde a coexisté avec le signe de Babinski 5 fois, Le signe de Babinski a existé sans trépidation 5 fois. L
nski a existé sans trépidation 5 fois. La trépidation a existé sans signe de Babinsky 4 fois. L'exagération des réflexes,
4 fois. L'exagération des réflexes, la trépidation épileptoïde, le signe de Babinski indiquent une altération de la marc
la marche (1 rC étape de la myélite typhoïdique). L'existence du signe de Babinsky au cours de la fièvre typhoïde ne s
psie. - M. CROUSON, dans le service de M. Bourneville, a cherché ce signe au cours des attaques. Dans une première catégo
ochon, épicière, boulevard du Roi, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale. Pendant que son mari faisai
"e Mill, demeu- rant rue Franklin, donnait depuis quelque temps des signes d'alié- nation mentale qui inquiétaient ses voi
ont et Cade. sypliilitique avec J\IÉIGo-m ÜI rE syphilitique avec signe d'Argyll- ltobertson, pai Cestan, 102. Ménopa
Sciatique. Névralgie -, d'origine grippale, par Dubois, 217. 0 Signe DE Babinski,- par Vires, G7. - dans la lièvre t
17 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
e, aboutissent à la formation des lésions pagétiques). Il y a là un signe qu'il faudra dorénavant rechercher dans tous les
S D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 9 bruit claqué au coeur; absence du signe de la temporale, etc.), mais la radiale pourtan
resseux ; la parole est malaisée. Au coeur, existent maintenant des signes d'insuffisance aortique. 11 décembre 1905. La m
a famille. Antécédents personnels. Aucune maladie antérieure, aucun signe ni d'éthylisme ni de syphilis, pas de fausses c
naso-labiaux sont symétriques, la bouclie est bien en place, aucun signe d'atropine des lèvres, la langue est tirée dans l
- vements associés, ont un fonctionnement normal. Il n'existe aucun signe d'exophtahnie, ni de syndrome oculaire sympathi
, la toux galvanique apparaît avec un milliampère et demi. Tous ces signes démontrent bien l'intégrité de la sensibilité end
s est parfaitement régulier et rythmique (70-80 à la minute). Aucun signe de bradycardie ou de tachycardie pas même paroxys
ne fausse grossesse. xxii 4 50 BERTOLOTTI Pas de clonus, pas de signe de Babinski. Le réflexe cutané abdominal existe
s demeure parfaitement intacte. A l'examen électrique on trouve les signes d'une réaction dégénérative par- tielle dans le
ervicales. Dans les cas de ce genre, il existe presque toujours des signes de rigidité ou de contracture des muscles de la n
des troubles de la sensibilité, à des altérations trophiques, à des signes oculo-pupillaires, à une distribution moins sym
cas en discussion il nous ait été impossible de déceler le moindre signe d'une altération du faisceau pyramidal, mais ch
les réflexes tendi- neux et cutanés sont normaux, il n'existe aucun signe d'altération du faisceau pyramidal. L'examen
e. En présence du syndrome de Ferrio ou ptosis de la tête, avec les signes d'une lésion bilatérale et symétrique de la XIe
e nous avons déjà résumé. Ici nous avons vu qu'il existait tous les signes d'une lésion bilatérale des noyaux de la XIe pa
venait de nous décrire. L'examen cardio-vasculaire montra plusieurs signes fort intéressants. Le coeur avait une matité ab
mme à droite, une ondée sanguine extrêmement faible (fig. 1). Ces signes paradoxaux donnaient l'impression dune lésion emp
tité aortique déborde très légèrement le bord droit du sternum. Les signes d'aus- cultation sont absolument les mêmes qu'e
une origine corticale évidente. Localement, le malade présentait un signe intéressant : c'était de l'acro- cyanose. Les d
La sensibilité de la main droite est parfaite ; on ne trouve aucun signe périphérique pouvant expli- quer la crampe. Sou
n découvrir, dans ce qu'on connaît de ces disgraciés physiques, des signes de débilité mentale chez les uns, chez d'autres
rouver raison de certains délires de possession qu'en l'absence des signes somatiques évi- dents on ne saurait rapporter à
nt souples. Pas de tabagisme. Aucune intoxication chronique; pas de signes ou de symptômes de pellagre. Début et marche de
it même en frappant au-dessus de la rotule, ce qui est pour nous un signe caractéristique de l'exagération dégéné- rative
gauche et l'extension de ses orteils par l'attouchement de la plante ( signe de Babinski). Du côté du membre supérieur gauch
pas d'une thrombose ni d'une compression. Son âge et le manque de signes caractéristiques excluent aussi l'idée d'un ath
éflectivité tendineuse est dans son ensemble exagérée, on trouve le signe de Bahinski positif. Il n'y a pas de tremblements
l intéressant à examiner, les autres appareils ne présentent pas de signes pathologiques à relever ; la formule uri- naire
tement, la commissure buccale est tirée en haut. A gauche, pas de signes particuliers. La langue est normale, même intégri
du pied et la danse de la rotule ; le réflexe du genou est vif, le signe de Babinski positif. Il y a des troubles manife
z marqués. Lorsque S... mobilise les muscles de la face, ces divers signes sont plus marqués. La sensibilité cutanée est p
un grande paresse mentale. Les réflexes sont exagérés à droite avec signe de Babinski positif; à gauche ils sont plutôt d
e situation sociale qu'il lui faudra peut-être abandonner. Autres signes distinctifs en faveur du spasme : l'impossibilité
plus souvent agrandi ; chez notre nain la macrocéphalie (sans aucun signe clinique d'hy- drocéphalie) est des plus éviden
é- ritable membrane interdigitale. Il n'y a chez notre nain aucun signe de dystrophie du système pileux ; les poils son
: l'abondance de l'indican, du scatol et du phénol, c'est-à-dire un signe non douteux de putréfactions intestinales anorm
de et, à moins que de la noyer dans le vin, ne disparait pas sur un signe . Il faut qu'il se produise d'énergi- qués diver
e la vie courante sont exécutés sans aucune gêne. Il n'existe aucun signe d'affection périphérique. M. Mal... a appris à éc
d'une crampe professionnelle, et en même temps apparnrent de petits signes de brightisme. Il abandonna le télégraphe penda
bruit de galop, une tension artérielle exagérée, et tous les petits signes du mal de Brigue. Sous l'influence du régime lact
On peut éliminer chez M. A... l'éthylisme dont il ne présente aucun signe . Il n'est pas là non plus question d'hystérie, ca
as syphilitique ; il a sept enfants bien portants ; il n'y a point de signe d'Argyll, et une ponction lombaire est négative
uire ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 211 la pensée par des signes l'acte mental est le même, ou du moins fort ana
ient un appareil difficile il manier, les combinai- sons des divers signes entre eux deviennent défectueuses ; les contacts
e de Parkinson, qui s'accom- pagneront toujours de quelques-uns des signes cardinaux correspondants. Il faut toujours song
fessionnelles. Il importera donc d'y penser, et d'en rechercher les signes . Le diagnostic se précisera ensuite par un exam
t la ceinture scapu- laire. Il y a comme aux membres inférieurs des signes d'hypertrophie et 252 VIRES ET ANGLADA de pse
r malade du mémoire classique de Paget, l'auteur avait constaté des signes d'insuffisance mitrale et à l'au- topsie on déc
ques et qui actuellement ressemble à l'éléphantiasis, sont autant de signes que l'on peut rapporter à un trouble de la fonc
il y a dix-huit mois, me fil part qu'alors il n'y avait non plus de signes INTERVENTION CHIRURGICALE DANS UN CAS DE PSYCHA
dix-huit mois, avant l'opération, quand j'avais constaté les mêmes signes de psychalgie. Or, il semble évident que l'opér
les côtes cer- vicales peuvent être considérées seulement comme un signe de dégénéres- cence (Oppenheim, Lévi) et elles
lentement que possible, et en fixant son esprit sur l'exécution des signes de l'écriture. Lorsqu'on juge qu'il est arrivé
durs, indolents et roulent sous le doigt. Bientôt apparaissent des signes de propagation cancéreuse et de localisation né
es existent sur le TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 335 gland. Ces signes sont évidemment l'indice d'une atteinte cancéreus
morragie cérébrale. Le 24 janvier 1908, le malade présente tous les signes et symptômes ca ractéristiques de l'aphasie que
ttements du coeur sont mous et pré- cipités et on constate tous les signes d'une broncho-pnenmonie très grave entraînant r
e nie énergique- ment la syphilis et, de fait, on n'en trouve aucun signe , malgré les douleurs de tête violentes qu'elle
nt diminué à gauche. Il existe quelquefois à gauche une esquisse du signe de Babinski qui manque à droite. On ne note ni
d droit est impossible. ' Tous les muscles paraissent atrophiés. Le signe de Babinski n'existe pas. La trépidation épilep
ST1N 6 mois en état de macération. En même temps se manifestent les signes d'une intoxication grave, myocardite, albuminur
re affection peut également être accompagnée d'amyotrophie. Comme signes distinctifs on signale, le plus habituellement, l
iner. Aucun trouble morbide aux membres supérieurs et à la tête, le signe d'Argyll n'est pas évident. Rien aux viscères,
et surtout de l'étude de la méningite aiguë dont on peut noter les signes dans la période d'invasion. En même temps nous
cas-là, d'une mé- ningite ; au contraire, il propose d'employer le signe de Kernig pour le diagnostic différentiel entre
l'a pas lui-même essayé (car il aurait certaine- ment trouvé que ce signe existait réellement, étant donnés les symptômes
inférieur gauche, combinée d'atrophie musculaire. Par ailleurs aucun signe de maladie. Nous l'avons traité deux mois à l
La pression sur la colonne vertébrale ne cause pas de douleurs. Le signe de Kernig est présent. I On trouve une parési
le 22 janvier au soir. 11 y a une raideur prononcée de la nuque. Le signe de Lasègue-Kernig est bien développé, car les mem
ronc dans le lit à un angle de 90°, et de même on ne trouve plus le signe de Lasègue. Depuis un mois nous avons fait asseoi
Etat le 9 novembre. La température est normale. Il n'existe aucun signe d'irritation, aucune douleur, aucun symptôme, qu'
iens, qui sont cependant très faibles. En même temps nous trouvons le signe de Babinski, présent des deux côtés, mais irrég
type spas- modique avec exagération des réflexes, clonisme du pied, signe de Ba- binski et apparition de fortes contracti
e dos et douleurs si l'on exerce une pression sur les vertèbres. Le signe de Kernig n'a pas été souvent remarqué dans les
t contre l'infection générale par des vomissements. Pour les autres signes incontestables d'une localisation cérébrale de
ssin (quand les genoux sont extendus), n'est pas autre chose que le signe de Kernig. Celte impossibilité d'amener le tr
tilité passive est, dans les cas de sciatique, appelée en géné- ral signe de Lasègue. En réalité, l'un de nous (P.) (81) a
ogy and 1)sychiait-y) insisté sur ce fait que ces deux si- gnes, le signe de Kernig et le signe de Lasègue, sont identiques
insisté sur ce fait que ces deux si- gnes, le signe de Kernig et le signe de Lasègue, sont identiques, quoi- qu'ils aient
e observer que Kernig, dans une étude récente et approfondie sur le signe qui porte son nom, recommande de faire l'exa- m
ur le signe qui porte son nom, recommande de faire l'exa- men de ce signe exactement de la même façon qu'on le fait en géné
la même façon qu'on le fait en général, dans la sciatique, pour le signe de Lasègue. Pour le cas qui nous occupe, il y a
urs persistantes des membres inférieurs et l'existence constante du signe de Lasègue-Kernig (nom sous lequel j'ai proposé
spinale ; dans la méningite cérébro-spinale épidémique, il y a des signes évidents d'une localisation de la méningite et
os et l'enfant se trouve tou- jours dans le décubitus latéral. Le signe de Kernig-Lasègue est présent (la flexion n'est p
on pour la lumière (ce qu'elles ont fait les jours précédents) ; le signe de Babinski est présent des deux côtés (ce qui
donne un nombre de 10,600 par millimètre cube. Le 29 janvier, le signe de Kernig-Lasègue est encore présent, mais mainte
ée. Le si- gne de Kernig-Lasègue est présent des deux côtés. Il y a signe de Babinski il droite, mais pas à gauche. Les
la ménin- gite. La raideur de la nuque est nette mais diminuée. Le signe de Kernig-La- sègue est encore bien marqué. L
olonne vertébrale situées au-dessous des vertèbres cervicales. Le signe de Lasègue-Kernig est très marqué ; en effet, son
de douleurs du dos quand on vient près de la position verticale. Le signe de Lasègue-Kernig est beaucoup diminué, mais en
ion de la force expiraloire. En considérant ces symptômes comme des signes d'une paralysie des muscles abdominaux, il ne f
e miction involontaire. 27. - On constate nettement aujourd'hui des signes d'ophtalmoplégie ex- terne. Il n'existe pas de
e révèle rien d'anormal. Il n'y a aucun trouble respiratoire, aucun signe anormal à l'auscultation du poumon. - Au coeu
ablement hérédo-sttplilitiqzce ; réaction de Wassermann po- sitive, signe d'A 7-gyll- Robertson, abolition des réflexes ten
x patellaires et ach'dléens, papille petite, légèrement atrophique. Signes d'arrêt de déve- (1) La partie clinique, radiog
toute la surface du corps. Les ongles des pieds présentent quelques signes dystrophiques. Les organes génitaux sont énorme
qui restent sont grandes, bien con- formées, et ne présentent aucun signe dystrophique. Au maxillaire inférieur elles son
es ongles sont rayées longitudinalement ; elles ne présentent aucun signe dystrophique. 460 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANC
it expliquer par elle la séro-réaction de Wasser- mann positive, le signe d'Argyll-Robertson, la légère atrophie pupillaire
uf Apis des anciens Egyptiens devait être marqué, par les dieux, de signes particuliers sur sa robe. Plus tard se fit jour
muscles du cou; tremblement de la langue. On observe aussi quelques signes de la paralysie progressive : faiblesse de la m
des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale montrent des différents signes de dégénérescence et d'atrophie (tigrolyse, atr
ie des cellules nerveuses ganglionnaires. La plupart présentent des signes de dégénérescence (tigrolyse, pyknose, dégénéresc
sive. Certaines modili- cations de la moelle épinière, à savoir les signes d'une méningo-myélite à évo- lution lente, sont
ien dont l'évolution est complètement terminée. On ne trouve pas de signes de dégénérescence récente ni au niveau de la dure
cas de rhumatisme vertébral ankylosant ? Teissier lui attribue les signes cliniques suivants : la colonne vertébrale devi
ait supprimé. Le réflexe plantaire en flexion. Etaient présents les signes de Sarbo et de Biernacki.Les testicules fortement
ée de la musculature des membres in- férieurs. Pas d'ataxie. Pas de signe de Romberg. L'examen de la sensibilité objectiv
méfaction osseuse n'ont pas subi de modifications. Il présente le signe d'Abadie. Le long de la face inféro-interne de
on d'une radiogra- phie, dans les cas où l'on peut admettre que les signes cliniques d'une ostéo-arthropathie vertébrale s
sidérables siégeant dans l'autre, notre malade ne présentait pas le signe de Romberg et n'est pas ataxique. SUR UN cas d'
s de rétractions musculaires ni d'altérations capsulaires, ni aucun signe d'inflammation de l'ar. ticulation du coude. Ce
beaucoup plus rare dans la suite, la théorie qui voyait en elle un signe de la tendance de tout l'organisme aux néoforma
ts reste encore obscure. L'absence de symp- tômes médullaires et de signes du côté du système nerveux périphérique rend le
ilité cutanée est normale. Pas de troubles de la conscience. Pas de signes que l'on puisse attribuer à une syphilis manifest
ormations données par le malade, on ne peut décider si les premiers signes de la paralysie sont apparus au tronc ou aux me
à la clinique, chez qui le dia- gnostic était encore indécis et les signes d'une maladie organique du cerveau non évidents
on artificielle et, au bout de dix minutes, il n'y avait plus aucun signe de fonctionnement du coeur..L'autopsie a révélé
Ref. Rev. Neurol., 1905, p. 483. Russ,- Tumeur de l'hypophyse sans signes d'acromégalie, Bull. de la Soc, des méd. de Jas
ur signification. Dans beaucoup de cas, elles représentent aussi un signe de reconnaissance entre associés d'une même ban
igne de reconnaissance entre associés d'une même bande. Comme autre signe de reconnaissance, les points au nombre de troi
nait de vives douleurs dans la région anale. L'examen me révéla les signes indiscutables d'actes pédérasti- ques récents.
s d'autre tatouage. J'ai, à diverses reprises, constaté sur lui des signes indubitables de pédérastie passive. Dans toutes
taires parmi les hommes tatoués à Toulon. Ce tatouage doit être un signe de reconnaissance pour les affiliés d'une assoc
xplique S.... Sur la région deltoidienne gauche, on voit un trèfle, signe de reconnais- sance pour les affiliés d'une ban
l'étoile déjà signalée à plusieurs reprises et qui a la valeur d'un signe de reconnaissance pour les affiliés d'une bande.
ême côté et trois petites étoi- les sur la face dorsale du poignet, signe de reconnaissance pour les affiliés d'une bande
é contemporaine et ne se maintenir qu'à l'état de survivance, comme signe de caste et de corporation, comme passeport aup
paume de la main. A droite tous les réflexes étaient exagérés et le signe de BabinSKi positif, il n'y avait pas de clonus
. La nature de la lésion restait toutefois obscure : les principaux signes de tumeur cérébrale (papilles de stase, vomisse
évelopement amena la compression delà voie pyramidale gauche et les signes d'hémiplégie spastique droite. L'infil- tration
alique comporte, au point de vue du diagnostic, la constatation des signes généraux de néoplasme intra-cranien (céphalée,
ypertension du liquide céphalo-rachi- dien), et la constatation des signes de localisation. Quel été le volume atteint par
gnes de localisation. Quel été le volume atteint par la tumeur, les signes généraux, et notamment un des plus précieux, la
nt desgliomes. Notre cas démontre une fois de plus l'absence de ces signes généraux. Le diagnostic de localisation bulbo-p
ent il droite. Quelquefois il se produit du clonus de la rotule. Le signe de Ba- binski se produit des deux côtés, il est
s dorsal dans la position assise, il présente très manifestement le signe de Kernig. Du côté des yeux on observe une diff
ir. La force dynamométrique est de 10 à droite et de 5 à gauche, le signe de Babinski se produit nettement à droite, à ga
l'accès se maintient pen- dant 20 heures entre 39 et 40 degrés. Le signe de Babinski est manifeste des deux côtés, les r
dans le même état qu'avant l'ictus apoplectiforme du 14 octobre. Le signe de Babinski ne se produit plus qu'au pied gauche.
et tricipitaux sont brusques et exagérés. Pas de clonus du pied. Le signe de Babinski se produit des [deux côtés. Les réf
it retourner brusquement autour de son axe. Il présente en outre le signe de Romberg. Rien par rapport aux réservoirs.
xes rotuliens et du tendon d'Achille absents des deux côtés. Pas de signe de B ibinski. A droite le crémastérien se manifes
encéphalite aiguë, mais d'un autre côlé, ces cas n'ont montré aucun signe d'une poliomyélite. En effet, le fait qu'on voi
s les auteurs comme étant dus souvent à une poliomyélile) comme des signes d'une poliencéphalite (ce qui, je crois, correspo
faut admettre que les symptômes indiqués par Medin comme étant des signes d'une polynévrite peuvent tout aussi bien se rapp
s plus persistantes. Le phénomème de Lasègue a été regardé comme un signe presque sûr qu'il s'agit d'une affection des ne
conception ne peut plus être admise depuis que j'ai démontré que le signe de Lasègue est identique au signe de Kernig qui
e depuis que j'ai démontré que le signe de Lasègue est identique au signe de Kernig qui est, comme on sait, à peu près co
er de paralysie complète, sinon de la flexion dorsale des pieds. Le signe de Lasègue existe des deux côtés (dans le décubit
Les dysesthésies, indiquées ci- dessus, persistent; on constate le signe de Lasègue-Kernig des deux côtés. Pas de symptô
ecouverts d'un corps étranger. Je considère ces symptômes comme des signes de la polynévrite, non constants, mais du moins d
raphie d'une jeune fille qui se rattache à l'achondroplasie par les signes suivants : facies, taille, ensellure lombaire,
ménopause survint vers l'âge de 45 ans ; jamais de grossesse. Aucun signe de syphilis ni dans le passé, ni au moment de l
18 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
més par le TI ? pa1l0soma Cruzi. i CHAGAS mine l'apparition des signes cliniques d'une méllingo-encéphalite aiguë, rap
ndrome de diplégie cérébrale sont, presque toujours, accompagnés de signes cliniques de la paralysie pseudo-bulbaire. Celle-
(i chagas die, pas même dans celles qui étaient accompagnées des signes les plus intenses d'hypotityroïdisme, l'idiotie
des malades dénués de troubles moteurs et qui ne présentent que les signes d'insuf- fisance thyroïdienne, sans compter les
cas d'ataxie cérébelleuse, dans lesquels on rencontre aussi tous les signes de la diplégie cérébrale. Nous donnons, comme s
es plantaires considérablement exagérés, sans toutefois présence du signe de Babinski. L'excitation de la plante des pieds
u double. Les pupilles sont inégales, mais régulières, il existe un signe d'Argyll très net. Le fond de l'aeil est normal
pé- rieurs dans leur partie interne (C7, C s, D'). De plus,certains signes nous montraient que la lésion devait s'étendre
-rachidien avec réaction de Wassermann positive, la constatation du signe d'Argyll Robertson et l'étendue de la lésion no
e iiémiatkopiiie linguale gauche, avec tremblements fibrillai- res, signe le plus net, une déviation légère de la luette, u
uette, une parésie faciale droite, une sensation de faiblesse, sans signes objectifs nets, dans la moitié droite du corps,
utition, à peine une certaine gêne dans la prononciation des s. Les signes physiques sont caractéristiques : incurva- lion
très marquée et les tremblements fibrillaires, qui restent de bons signes des lésions des neurones moteurs bulbo-médullai
llaire et clonus du pied bilatéral (clonus de droite intermittent), signe de Babinski ; crémastérien faible, absence de s
ements achilléens également très vifs avec trépi- dation des pieds. Signe de Babinski bilatéral ; pas de réflexes abdominau
répidation ; réflexes achilléens vifs et faible clonus du pied ; le signe de Babinski persiste. Lorsque le malade respire p
l ne resta uniquement que des réflexes tendineux très prononcés, le signe de Ba- binski bilatéral et une démarche lente e
tellaire ; réflexes achilléens très accrus avec clonus des pieds. Signe de Babinski bilatéral ; pas de réflexes abdominau
t spasmodique avant le traitement, pouvait être considérée comme un signe défavorable; nous savons cependant que la paral
re ; réflexes achilléens de vivacité moyenne, sans clonus du pied ; signe de Babinski bilatéral. Réflexes abdominaux fa
es et reprise parallèle de la croissance. Enfin re- crudescence des signes de tumeurs et de nouveau arrêt de développe- me
ppement normal jusqu'à 10 ans. Elle cesse alors de grandir et aucun signe de puberté n'appa- raît. Quelques années plus t
ire, de l'adiposité et souvent L INFANTILISME HYPOPHYSAIRE 79 des signes d'aaéplaébie (1) ; hypoplasie ou aplasie des orga
eige ayant montré que les « contractions parcellaires » sont un des signes caractéristiques de ce spasme facial (1). En
n type dis- tinct du paramyoclonus multiplex, quand tous les autres signes de l'affec- tion (début, durée, évolution, tend
lacée et douloureuse et fut débarrassée le jour suivant de tous ces signes subjectifs et objectifs, dès que le médecin l'eut
s névrogliques de la subs- tance blanche du cervelet (fig. 9 i) des signes d'involution bien avancée (raréfaction et vacuo
vrogliques jeunes. 136 HASKOVEC ET RASTA névrogliques portant les signes d'altérations régressives qui, presque con- flu
ance quant au tissu névroglique, bien que nous ne possédions pas de signes absolument certains de différenciation. Weigert a
à la thionine. Les cellules offrent outre leurpigmentation quelques signes de picnomorphie et d'altération du noyau. De mê
leu de toluidine)etdansquelqués cellules on y observe également les signes de la neuronophagie. Dans les coupes provenant
nt également des cellules amiboïdes vraies par la pauvreté de leurs signes de métamorphose régressive. Lewy (3) ne croit p
eaux dans nos deux cas de paralysie agitante, nous avons trouvé des signes d'une légère artério-sclérose et çà et là une dég
comme une réaction contre celte altération des inclusions, comme le signe d'une hyperplasie supplémentaire, d'une réactio
aladie s'aggrave (1). » Dès cette période, Jeanne présente donc les signes caractéristiques du syndrome mélancolique : ine
nes psychiques pour le diagnostic de l'infantilisme, même là où les signes somatiques ne sont pas le plus caractéristique, j
lle on pourra aisément passer à d'autres tableaux cliniques, où les signes d'achondroplasie sont si peu prononcés, qu'il f
quiert une certaine valeur quand on le met en rapport avec d'autres signes de dystrophie relevables dans notre sujet. Parm
au- Ire pied et des mains. Ce genre de dystrophie, uni à d'autres signes du développement dés- 178 FERRUCCIO RAVENNA -
et étudié. Enfin dans ma première observation, comme les différents signes de dystrophie, bien qu'existants, étaient peu mar
est d'ordre général ; c'est-à-dire qu'il représente un des nombreux signes de dystrophie que l'on peut trou- ver chez les
écrétion produisent un arrêt de développement du squelette avec des signes d'infantilisme somatique, psychique et sexuel, qu
s faibles. Du côté droit nous pensons avoir remarqué une ébauche du signe de Babinski. L'intelligence de ce malade ne sem
dominaux, l'exagération du rotulien droit, ainsi que la présence du signe de Babinski du côté droit. Du côté gauche, l'ex
l enfants vivants. Six sont morts en has-àge, aucun n'a présenté de signes de nanisme. La malade est la dixième. Une cousi
mplet dé- veloppement ; en même temps^se manifestaient les premiers signes de l'adiposité. On trouve chez la malade des bo
e lequel, comme nous le voyons dans l'examen objectif, montrait des signes indéniables de cette maladie. Je résume les rés
fer : s'il se trouve, dit celui-ci, chez un adulte malade, avec les signes d'une hydrocéphalie hy- diopalhique, une tête é
ue comme un symptôme provoqué par les efforts musculaires. C'est un signe de constitution que l'on désigne ordinairement pa
soigneu- sement prises, on ne-recherche pas assez, en généra l,les signes fournis par l' l'écriture. On y relève cependan
nous allons publier une brève observation. Dans cette écriture, les signes d'incoordination sont très nombreux. Les plus c
t les douleurs fulgurantes, dans les membres inférieurs, de 1902. - Signes de tabes classiques à début lombaire. Parésie de
he) : abolition des réflexes du poignet et du coude, astéréognosie, signe de Biernacki, engourdissement dans la zone du c
meurs siégeant dans la fosse postérieure du crâne présente certains signes dont l'origine ne peut tre expliquée par les se
es et notamment de la moelle épinière. Nous pouvons rattacher à ces signes les troubles de la mic- tion, le malade se trou
absolument sains. Pas de ganglions au niveau des carrefours. Aucun signe d'hérédo-syphilis au niveau de la bouche ou des
jour à St-Bruno au mois de janvier dernier. On lui trouva alors des signes de tuberculose pulmonaire bilatérale. A son sec
rculose pulmonaire bilatérale. A son second séjour, on constate des signes cavitaires au sommet gauche, et l'on perçoit de
rge adipeuse. Notre sujet est maigre. On ne relève aucun des petits signes d'hypothyroïdisme, si ce n'est peut-être un peu
peut-être un peu de frilosité. Le corps thyroïde parait normal. Aucun signe d'insuffisance surrénale ou hypophysaire. Pas d
iques. Malgré une observation minutieuse, nous n'avons relevé aucun signe qui puisse permettre d'incriminer un trouble de
n seulement il n'y a ni goitre, ni myxoedème, mais aucun des petits signes d'insuffisance thyroïdienne n'a pu être décelé.
manifeste quoique pas trop in- tense, une légère exophtalmie et le signe de Stellwag positif. Wick consi- dère comme bas
de la malade est fixe, on remarque une exophtalmie très légère, le signe de Stellwag est positif, la convergence des yeux
ande irritabilité nerveuse, des pulsations intenses des carotides, le signe de Stellwag et le goitre qui atteint le volume
s thyroïde était imperceptible. Sachs (7) a observé dans un cas des signes d'insuffisance thyroïdienne. Von Nôthhaft (8) m
ie la présence d'une selle turcique volumineuse et cliniquement des signes indéniables d'hypothyroïdisme. Notre cas se prê
une formation croûteuse blanchâtre d'apparence calcaire sans aucun signe de suppuration bien nette au niveau de ces bouton
égulier, pas de troubles du côté de l'innervation cardiaque, pas de signes de lésions orifi- cielles. Le foie et la rate
nsuffisance thyroïdienne. En résumé, femme de 36 ans présentant des signes certains d'hypo- thyroïdisme (atrophie de la gl
i partent de ces muscles sont rétractés, indurés, et présentent des signes véritables de tendinite calcifiante (tendon rotul
porta, lui aussi, un cas de vitiligo chez un malade pré- sentant le signe d'Argyll,du myoss,une paralysie de la corde vocal
1902, in Revue neurol., 1902, p. 154. 11. SOUQUES. - Vitiligo et signe d'Argyll Robertson d'origine syphilitique, Revue
tal, qu'il est dans la plupart des cas symétrique, et qu'il y a des signes de troubles trophiques, tels que les petits ulcèr
guer ces états de « contracture frémissante », peut-on se fier à un signe donné comme distinctif du spasme facial essentiel
es analogues à celles de l'observation précédente. A notre avis, le signe différentiel le plus important dans ce diagnostic
peaucier se contracte parfaitement du côté droit. Il n'existe pas de signe de l'épaule, ni à droite, ni à gauche. Tous les
ibilité dans tous ses modes est normale et égale des deux côtés. Le signe de Kernig est très net. L'examen des autres app
chycardie avec cardiasthénie. Pouls mou et dépressible à 92. Pas de signes pulmonaires. Appareil digestif normal. Les jo
reuse- ment,contre l'origine rénale des accidents, nous avons trois signes capitaux. D'abord l'absence de cylindres dans l
sang elles hu- meurs. Etant donné que nous pouvons dissocier les signes observés en deux grandes catégories, des symptô
ion subjective pouvant mettre sur la voie de ce diagnostic. Seul un signe pouvait être rapporté à la lésion verté- brale,
En outre ce médecin a constaté chez lui depuis plusieurs années des signes de bacillose indiscutables des sommets. Ces lés
ivre avec soin, MM. Souques et. Chauvet (2) inclinent, en raison de signes nets de tumeur pituitaire, à faire jouer un rôl
à savoir l'existence de stigmates objectifs de tumeur hypophysaire ( signes de compression infra-crânienne, troubles graves
rairement à ce qui distingue la nôtre, va jusqu'à la coexistence de signes indéniables de tumeur hypo- physaire (on peut a
ée d'atrophie hypophysaire. Quoi qu'il en soit, l'absence de tout signe physique de tumeur hypophy- saire - fait tout n
r (1), chez un adulte présentant le syndrome adiposo-génital et des signes objectifs locaux de tumeur hypophysaire, observ
Chez le second il y a dé- formation de la selle turcique mais sans signe d'insuffisance hypophysaire. Tous deux ont une
porte très bien, a une taille et un déve- loppement normaux. Pas de signe .s d'insuffisance glandulaire. Examen du Dr Fage
cipital et sur les pariétaux de nombreuses impressions digitales. Ces signes sont les mêmes que ceux des sujets de Bertolott
Notre enfant a bien une déformation de la elle turcique, mais aucun signe d'insuffisance pituitaire ; la malformation du
s si la coexistence des troubles fonctionnels glandulaires avec les signes classiques du rachitisme est fréquente, est-on en
s lésions du système nerveux furent plus tard vérifiées. Tous les signes cliniques, donnés pour distinguer les amyotrophie
existence de la psemlo-liypertropltie et l'évolution lente sont des signes qui viennent à l'appui d'une atrophie musculaire
ute la musculature est flasque; pas d'ataxie, ni de rigidité, ni de signe de Romberg. A l'hôpital on constata des attaque
nt comme un phénomène utile. En somme, en nous fondant sur les deux signes que nous avons mis comme base de différen- ciat
E CRANIENNE SIMPLE FAMILIALE 449 malade, mais l'absence de certains signes cardinaux de ces affections nous permettra de l
c'est très certainement à cela qu'on doit de ne jamais observer de signes d'hypertension intracrânienne chez les pagétiqu
de tout le pourtour de la base, on peut constater nettement, autre signe de compensation, que tous les diamètres de la '
ravée dans ces derniers temps. Pas d'ataxie aux membres supérieurs. Signe de Rllmbprg très net. L'examen de la motilité d
bolis aux membres inférieurs; les réflexes cutanés sont faibles. Le signe d' \ rgyll-Roht'I'tsou est très net. Pas de tro
ble complètement ; il reste toujours une petite fente. On note le signe de de Graefe (les paupières supérieures n'accompa
mais en- core très faibles. De même les réflexes abdominaux. Pas de signe de Babinski, pas de troubles sphynctériens. 9
x. Pas de signe de Babinski, pas de troubles sphynctériens. 9. Le signe de de Graefe n'est plus constatable. 28. Le mal
de la démarche, douieurs lombaires et sur le trajet des sciatiques, signe de Lasègue (Lépine), jusqu'à la complète impote
me que des paraplégies spasmodiques, avec exagération des réflexes, signe de Babinski, contracture musculaire (Babinski,
avail les réflexes abolis et complète résolution musculaire. Les signes de localisation de la lésion manquent parfois, le
la ponction lombaire rend toujours un liquide présentant les trois signes caractéristiques : 1° Coagulation spontanée ou
la présence du fibrinogène, mais aussi du fibrin ferment. Tous les signes peuvent donc indiquer le syndrome de la coa- gu
aits constatés par Nonne et son élève Raven qui ont considéré comme signe distinctif de tout néoplasme rachi- dien l'hype
ase du liquide céphalo-rachidien, el par conséquent considéré comme signe distincte de toute compression médul- laire : s
g un cas nouveau (séance de 25 juin 1912) dans lequel, basé sur ces signes , il a pu dingnos- tiquer une tumeur médullaire
19 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
obtenue, pourrait-on dire par suggestion à l'état de veille, aucun signe d'hypnose n'ayant été constaté chez lui. L'occl
er l'aliénation mentale proprement dite. Ils présentent souvent les signes de la dégé- nérescence physique et morale. L'
és normaux, laquelle scoliose est parfaitement caractérisée par les signes classiques de toutes les scolioses : incurvatio
en 1892, atteint la même année de polynévrite avec toute sorte de signes physiques et intellectuels de la dégénérescence d
ément et à la pression, la démarche est incertaine; on constate 1 : signe de Romberg, la réaction dégénérative, la dispa-
forme démentielle chez une fillette de dix-neuf ans, vierge; aucun signe de syphilis héré- ditaire ou acquise, aucune ta
sie générale tabétique, démence, mort, chez le mari; chez la femme, signes physiques, commémoratifs et intellectuels de pa
t des cornes antérieures. Comme dans tous ces cas, on a constaté le signe de Westphal, il y a lieu de croire que la paral
heures de service. Discussion : M. Steiner demande quels sont les signes caracté- ristiques de la narcolepsie et comment
t nettement leurs antécédents héréditaires psychopathiques, leurs signes de dégénérescence psychiques et somatiques et l'a
is sur l'hérédité des délinquants. On a décrit un grand nombre de signes spécifiques de la crimi- ' ? alité, les uns psy
té, les uns psychologiques, les autres biologiques, sans parler des signes de dégénérescence somatique. Dans les prisons, c'
dmise par la majeure partie des auteurs allemands, à savoir que les signes physiques n'ont pas, dans la criminalité, l'imp
du crâne. En revanche, en recherchant dans des cas particuliers les signes dits caractéristiques de la criminalité, il n'a
détenus âgés que chez les jeunes. Pour Lombroso le tatouage est un signe spécifique du criminel-né. 'De même pour Kurell
question écrite : Cordon postérieur de la moelle. Question orale : Signes et diagnostic du mal de Bright. Les candidats a
amollissement; même marche graduelle, identité des symp- tômes. Les signes précurseurs manqueut, mais cela arrive souvent
Gendrin insinue qu'on ne saurait distinguer cette lésion dont les signes se confondent avec ceux de tant d'autres 3. Plus
n, on pense, selon la systématisation ou la diffusion relatives des signes à une tumeur ou à un ramollissement. En présenc
de nouveau à se remettre, mais avec un accroissement évident des signes démentiels, lorsque le 30 novembre il fut frappé
i bien caractérisé en apparence. L'âge du patient, la diffusion des signes , leur progression régulière, leur aggra- vation
s auteurs donnent toutes ses mesures anthropométriques. Plusieurs signes de dégénérescence : bosses frontales très dévelop
ent-ils, est un héréditaire vésanique, c'est un maltoïde porteur de signes physiques et psychiques de dégénérescence. Ainsi
t été un véritable criminel, on trouverait dans ses antécédents des signes de criminalité latente, bien loin de là, tous c
(Annales médico-psychologiques, avril 1896.) E. B. VII. REVUE DES SIGNES DE dégénérescence ET DES MÉTHODES DESTINÉES A l
A. Meyeu. La valeur pratique de nos connaissances actuelles sur les signes de dégénérescence a été peut-être exagérée par
a été peut-être exagérée par ceux qui croient avoir trouvé dans ces signes de dégénérescence une phrénologie REVUE DE PATH
physiques de l'individu; - aussi voyons-nous l'étude des prétendus signes de dégénérescence n'être pas d'une importance p
ant, à savoir la question du mariage pour ceux qui sont affligés de signes de dégénérescence. Certes tous les points de ce
ment contre des conclusions prématurées. Pour faciliter l'étude des signes de dégénérescence et la compa- raison des résul
a méthode systématique nécessaire pour la recherche complète de ces signes . Les stigmates sont divisés en trois groupes :
dice d'une perturba- tion générale de l'écorce. Et si, parfois, les signes d'altération cor- ticale paraissent se limiter
tuel de nos connaissances sur la nature et la signi- fication de ce signe , et décrit les procédés qui doivent être em- pl
éraux chez lesquels on trouve des modifications caractéristiques du signe du genou, dans des proportions déterminées; -
éveiller le soupçon de paralysie générale. C'est donc en général un signe dont le pro- nostic est mauvais; 4° La perte
général un signe dont le pro- nostic est mauvais; 4° La perte du signe du genou dans la convalescence de la manie, dan
xagération du réflexe rotulien peut, par exemple, associée d'autres signes , servir à différencier la manie d'états analogues
s ; 10" Les cas de paralysie générale dans lesquels on observe le signe de Westphall, paraissent évoluer plus lentement,
réflexes. Pour ap- précier à sa juste valeur la signification de ce signe , il convient donc de ne pas tenir compte seulem
ion a noté l'absence du réflexe patellaire. Depuis qu'on connaît ce signe , il l'a recherché chez chacun des aliénés qu'il
dégénérative » chez les vieillards. M. MOELI remarque l'absence du signe de Westphall dans les cas de psychoses séniles
eur. Sur 21 malades qu'il observe actuellement et qui présentent le signe de Westphall sans qu'on puisse l'attribuer ni a
teints de névrites, un certain nombre de patients qui présentent le signe en question d'une façon permanente. Parmi eux s
ssibilité d'une paralysie générale tardive. On ne peut attribuer le signe de Westphall chez ces sujets à aucune altératio
érieures étaient peu accentuées. En résumé, il faut convenir que le signe de Westphall peut exis- ter sans lésions bien p
nous ont été présentés, l'absence du réflexe pa- tellaire parait un signe des plus importants en faveur de la para- SOCIÉ
qui a paru prévaloir quand M. Sommer a parlé de la signification du signe de Westphall. Sans doute il est de la plus haut
ou dans la paralysie générale, de mettre en lumière la valeur de ce signe . Mais il ne faut pas vouloir diminuer la signif
tic, de l'exa- gération du phénomène du genou, sous prétexte que ce signe peut se rencontrer assez fréquemment chez des s
. D'ailleurs on voit souvent des malades qui ne présentent point de signes de débilité mentale et dont la cause première d
prouver le besoin de s'as- seoir. Chose plus remarquable encore, le signe de Romberg qui était très prononcé chez lui a p
mélioration subjective, et qu'objectivement à part l'atténuation du signe de Romberg, on constate peu de changement dans
Sée diagnostiqua tabès dorsalis malgré l'absence à cette époque du signe de Westphal. Il conseilla des douches froides et
pieds, marcher à reculons, marcher les genoux fléchis, etc.). Le signe de Romberg s'est atténué à un tel point, que le m
ion du membre donnent, au bout de trois à quatre minutes, les mêmes signes physiques et fonctionnels observés à gauche, qu
ente aucune trace d'une intoxi- cation quelconque. La recherche des signes de l'alcoolisme, qui est trop de tradition dans
AVANTES. rible dont l'homme puisse être atteint, parce qu'il est le signe de son amoindrissement moral ou de sa déchéance
par la coloration spéciale des extrémités qui présentaient tous les signes de ce que nous avons appelé l'acrocyanose. Cett
nostic de ces évolutions anormales. Je ne crois pas qu'il existe de signes permettant de l'établir, cependant je crois qu'
ostic est loin d'être favorable, alors que M. Parant considérait ce signe comme indice de curabilité. M. Pitre5, revena
u menton au sommet de la tumeur frontale, 246 milli- mètres. Pas de signes apparents de dégénérescence physique, intellige
trie faciale, une adhérence anor- male du lobule de l'oreille ; ces signes sont d'ailleurs peu accusés, et c'est surtout l
re rapportés sans conteste possible au bégaiement ! La majorité des signes observés plaide assurément en faveur de cette m
te des analogies dans le mode de début qui est émotionnel, mais les signes qui peuvent servir à les différencier de l'affe
s les groupes musculaires qui y prennent part, ce sont là autant de signes de première impor- tance qui permettent, malgré
branches offraient-elles une difficulté spéciale ? A quel âge les signes de la puberté devinrent-ils manifestes ? Quel é
des appétits impérieux ou des désirs spéciaux ? A-t-on observé des signes d'apoplexie ? Des attaques épileptiques ? Les p
ulation... Correspondance du développement physique avec l'âge... Signes de sénilité prématurée... Forme du crâne... M
os malaires... Ecartement des angles de la mâchoire inférieure... Signes de dégénérescence : Crâne... Yeux... Nez... Ore
, c'est à peine si parfois l'on rencontre, et à un faible degré, le signe de Romberg. Enfin il peut arriver que des muscl
Meige. (Nouv. iconog. de la Salpêtrière, 1895, n° 6.) Les grands signes de la maladie de Parkinson sont tellement carac
et la malade vacille dans l'obscurité sans cependant pré- senter le signe de Romberg. Conservation des réflexes patellaires
ie, assise elle s'aperçoit qu'elle ne peut plus se lever. Voici les signes morbides qu'on note à ce moment : les membres inf
manifestent des états de confusion avec hallucina- tions. Quand les signes ordinaires des lésions en foyer du cerveau font
riminels. Mais il ne faut pas considérer seulement la fréquence des signes anthropologiques, il, faut considérer aussi leu
principes qui doivent guider l'obser- vateur : on doit négliger les signes anthropologiques lrès légers, parce qu'ils sont
x, la nature a pour ainsi dire horreur de la symétrie parfaite. Les signes légers doivent êtres pris on considération s'il
égers doivent êtres pris on considération s'ils sont multiples. Les signes plus pro- noncés d'un degré doivent être notés,
noncés d'un degré doivent être notés, même s'ils sont isolés. Les signes très prononcés ont une grande valeur clinique, la
s, quand l'arrêt de développement est extra- utérin. On connaît les signes de l'infantilisme : face arrondie, lèvres charn
si de se rappeler qu'on a SOCIÉTÉS SAVANTES. 323 observé d'autres signes d'hystérie (hémianalgésie et rétrécissement du
s d'avril 1888. Guérison com- plète du symptôme ataxie y compris le signe Romberg après quatre mois de traitement. A. F
lles sont puncti- formes, légèrement déformées. Elles présentent le signe d'Argyll- Roberlsou. Il n'y a pas de retrécisse
malade ne peut pas se tenir immobile dans la station verticale. Le signe de Rom- berg est très net. En marche le pied es
n mo- trice, la malade reste néanmoins tabétique : elle conserve le signe de Westphal, le signe d'Argyll-Robertson, le ph
reste néanmoins tabétique : elle conserve le signe de Westphal, le signe d'Argyll-Robertson, le phénomène plantaire. Le
e Westphal, le signe d'Argyll-Robertson, le phénomène plantaire. Le signe de Romberg est très atténué, mais jusqu'à un cert
. Elle entre à la Salpêtrière présentant nettement la plupart des signes de tabes (Westphal, Romberg), impossibilité de ma
entuées du côté droit du corps. La force musculaire est intacte. Le signe de Romberg est très prononcé. Locomotion. La
nsibilité, tant cutanée, que profonde (articulaire, musculaire). Le signe de Rom- berg reste toujours aussi prononcé qu'a
Pas de strabisme. Les deux pupilles sont égales et très rétrécies. Signe d'Argyll Robertson. Elles régissent bien à l'ac-
as quels sont ces mouvements et il se ,trompe continuellement. Le signe de Romberg a notablement diminué. Appuyésur sacan
en marchant. La jambe gauche restait en arrière. A cette époque le signe de Romberg existait déjà, puisque le malade tom
r les genoux, il les fléchit alternativement l'un après l'autre. Le signe de Romberg est très prononcé. Locomotion. En
iblisse- ment de la puissance génésique et incontinence des urines. Signe de Romberg dès le début. En 1885, douleurs fulg
premier. Le malade s'assoit lourdement et se lève difficilement. Le signe de Romberg est très prononcé. Locomotion. Le ma
fin il fait tous les exercices avec beaucoup de régularité. Seul le signe de Romberg n'est pas modifié. La sensibilité
r publie quelques cas cliniques destinés à montrer la pré- sence de signes physiques de dégénérescence dans les psychoses
sion profonde ét persistante (deux mois), calme pendant un mois; 7° signes physiques de paralysie générale avec déchéance
auvais sujet sans cesse puni. - Ce jeune homme présente de nombreux signes physiques et psychiques de dégénérescence : gra
chez ces trois individus, on note de l'hérédité mor- bide, de forts signes physiques et psychiques de dégénérescence, des
V, 1895.) . L'observation concerne un jeune garçon de quatorze ans. Signes craniens de dégénérescence; impossibilité d'app
iblie en raison directe des troubles intellectuels. Tels sont les signes cliniques que présente un malade frappé d'une l
mit en prière : tout à coup sa main droite s'ouvrit et il fit trois signes de croix. Nous continuions à psalmo- dier, et n
Je compris que les trois coups qu'il avait donnés étaient les trois signes de croix qu'il avait faits. Il gisait sur son lit
lle crise tout aussi épouvantable, pendant laquelle il fil un grand signe de croix. Il me dit quand elle fut passée : a J
ophes imminentes si on ne l'écoute pas. Ces écrits sont émaillés de signes hébraïques (le malade est israélite). (A suivre
ns bien importantes. Il arrive qu'on note, pendant la vie, tous les signes de la compression, et qu'à l'autopsie, la moell
D. LXIV. DE LA DEFORMATION ET DE la paralysie DE la LUETTE COMME SIGNE DE DÉGÉNÉRESCENCE; par le Dr DAN.\. Les anomali
rtion des déformations de la luette augmente avec la proportion des signes de dégénérescence. Examinés au point de vue de
us tard devien- dront aliénés, présentent déjà dès leur enfance des signes de neurasthénie qui peuvent facilement passer i
, 126. Dégénéré persécuté par Lefilliâtre. 390. Dégénérescence. Signes de -, par A. vleyer, 130. Délire des persécut
chez l'homme. par Ellis, 3S2. Luette. Déformation de la- comme signe de dégénérescence, par Dana, t70. Mariage. Lo
20 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
clrillccns et rotuliens faibles à gauche, abo- lis à droite. Pas de signe de Babinski : l'enfant cric quand on 20 CLINI
s mouve- ments volontaires. d) Pas d'exophtalmie appréciable. Les signes de Stclhvag, de yon gracie et de Modiius font d
cissements des champs sensoriels ; on ne retrouve pas davantage les signes physiques de l'alcoolisme. Pour cette raison, e
des réflexes rotulien et achilléen, clonus du pied et de la rotule, signe de Babinski bilatéral, etc. A la suite de l'e
l'origine de cet abcès n'a pu être élucidée. L'absence complète de signes de localisation (la céphalée était bilatérale e
et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 49 surtout sur la fréquence du signe d'Argyll-Robertson, que M. Babinski considère c
n- neté de son affection, car un enfant bien portant n'est pas un signe de guérison certaine. L. WAHL. Il. - Quelques r
it provoqué. Le rire immodéré spontané peut être considéré comme un signe précurseur d'hystérie. Le rire peut précéder ou
, sont bien connues, et l'on sait qu'il n'existe, au dé- but, aucun signe permettant d'affirmer le pronostic, dans un sen
nente des réflexes, l'influence du shock étant éliminée, était un signe de pronostic plutôt mauvais, contre-indiquant l'i
s, conscrit de cette année, bien constitué, taille moyenne ; pas de signes notables de dégénérescence. N'a jamais fait de
24 ans d'une affection cardiaque. Le malade nie la syphilis. Comme signes physiques, il pré- sente de l'inégalité pupilla
Comme signes physiques, il pré- sente de l'inégalité pupillaire, le signe d'Argyll-Robertson. La parole est traînante ave
t de lui-même et des autres. Attention dif- ficile à maintenir. ' Signes physiques. Légers accrocs aux mots d'épreuve, m
flexes rotu- liens. Démarche peu nette comme tabès ; ne fauche pas. Signe de Romberg. Les maux plantaires perforants et s
a cepen- dant été suivie dans deux cas d'un état de rémission des signes physiques et mentaux. Dans l'autre, l'aggrava-
réflexe des orteils peut, avec le réflexe de Babinski, conslituerun signe diagnostique important pour les affections orga
un vicieux, voleur, indiscipliné, masturbatuur, mais il n'a pas de signe d'hys- Lérie : cet état ne rappelle ni la malad
éline) ; l'absence des réflexes cutanés abdominaux ; l'existence du signe du Babinski ; un léger vacillement du bras à l'
s réflexes acliilléens ont toujours persisté. Très rares ont été le signe (le Romberg, l'alaxie, celle-ci d'ailleurs fort
- clus de la langue. Depuis, graduellement se sont développés des signes d'impotence motrice à l'occasion de certains mouv
ces mêmes troubles chez des gens normaux. )1. Dupré n'y voit qu'un signe du fatigue chez des spasliques. M. Crouzon pr
malade, et faisait un bon diagnostic. Tous les symptômes, tous les signes , étaient instantanément per- çus, coordonnés da
marqué, pas de déviation de la langue. Un n'observe néanmoins aucun signe ni vestige de paralysie faciale. Pas d'asymétri
tremblements fibrillaires sur la face interne des cuisses : mais ce signe est inconstant. On observe également un tremble
du llosenbach et cu- tané plantaire sont également normaux. Pas de signe de Ba- binski. - L'incoordination motrice dan
qui pourrait faire son- ger au tabès, n'est accompagnée d'aucun des signes essentiels à cette affection. (le la malade d
ssi complètement que possible par la théo- rie nerveuse, malgré les signes certains o'auto-intoxica- tion gravidique que p
c denx observations personnelles, faisant ressortir l'intérêt de ce signe comme révélateur de pcl'lul'1m ! i ons dans la
oli. Dans certaines affections nerveuses, le réflexe peut être un signe différentiel, comme par exemple dans le tabes et
Depuis 1889. M. Teissier considère eu symptôme comme un des bons signes de la névrose, un véritable stigmate méritant de
. Tablettes de corps thyroïde. Disparition en moins de deux ans des signes de myxoedème, amélioration des fondions respirato
ité, des organes des sens, et l'état mental. Ils discutent certains signes spéciaux, tels que : nystagmus,pa- mUysies des
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 215 d'Achille sont fortement tendus. Le signe de Trousseau existe, le signe de Weiss existe é
d'Achille sont fortement tendus. Le signe de Trousseau existe, le signe de Weiss existe également. Ce cas de tétanie ré
environ une iluini-huuru. Pas du stig- mates d'hystérie. Au coeur, signe d'un rétrécissement mitral. Il s'agit d'une epi
me hypertension du liquide céphalo-rachidien caractérisée par les signes vulgaires de compression cérébrale avec augmentat
augmentation pro- gressive de la tète et bruit de pot télé, par des signes de com- pression radicule-ganglionnaire se trad
xes avec clonus indéfini du la rotule et trépida- tion du pied sans signe du Babinski, origine fonctionnelle pro- bable.
I.\IY, r. H \BI1'SKI montre que 101'SI[I\'1111 ? uje ! . simule le signe de l'orteil, ce dernier que la tension du tasci
oduit pas la contraction du tenseur su produisant toujours dans Il' signe vrai de Babinski. Névrite ascendante . 1l)I.
contracture. Le clonus à l'état de relâchement musculaire reste un signe très probant. Syndrome de 1lorsalwlr che; un lé
tantôt la présence, tantôt l'absence de quelques-uns de ces grands signes classiques, (iliaque cas comporte ses variation
tate, pendant les sommeils, une indigence il peu près com- plète de signes somatiques : ainsi 11r entina etait dans un étal
'environne (meu- bles et gens) et ne se calme que lorsque l'on fait signe de le conduire en cellule. A l'entrée idiotie c
calcul. Cet enfant a toujours besoin d'être encouragé, au moindre signe d'impatience, à la plus légère remontrance, il
de juin, tout délire a disparu, le calme est complet. B ? sort sans signes physiques persistants, le 9 juillet 1900, sur l
par démence tardive consécutive. Le plus souvent quelques petits signes existent dès le trauma : céphalée intense et fr
ause de sa turbulence dans la rue, il entre au dépôt; le Dr Garnicr signe le certificat suivant : « Affaiblissement des f
uin de la même année, il est ramené à l'asile, où on lui trouve des signes de paralysie générale, euphorie, idées de gran-
ctus fugace précocepar exemple, peut avoir précédé de longtemps les signes de méninge-encéphalite comprimée, mais servir d
l'examen des dates comparées de l'acci- dent et du ou des premiers signes physiques constatés de la paralysie générale; s
miers signes physiques constatés de la paralysie générale; si aucun signe ne l'a décelée antérieu- rement et si le trauma
e cas particulier du plomb, un ancien traumatisé peut présenter les signes de la paralysie générale satur- nine. Le paragr
ze ans après (janvier 1898) l'examen clinique décèle un ensemble de signes très complexe ; titubation, nystagmus, tremblem
gmus, tremblement intentionnel des membres inférieurs, hypotonie, signe de Romberg, signe de Babinski, réflexes patellair
t intentionnel des membres inférieurs, hypotonie, signe de Romberg, signe de Babinski, réflexes patellaires exa- gérés. L
s est facile ; ils sont dus aux lésions cérébelleuses. Les autres signes cliniques devaient faire penser- il une sclérose
eux, pour des parts inégales, l'apparition du tremblement. Quant au signe de Babinski il est indépendant d'une dégénéra-
'une certaine importance à l'étude du mécanisme physiologique de ce signe . Il s'agit d'Un cas de paraplégie pot- tique, d
deux côtés.Par contre, le pied gauche sur lequel faisait défaut le signe de Babinski différait de son congénère par une dé
pfomatique observée. S'agissait-il à gauche d'une simple absence du signe de Babinski ou d'une véritable inver- sion du p
aiblisse- ment du réflexe lumineux de ce côté. Cinq mois plus tard, signe de Weslphal, de nouveau constaté trois mois apr
ion, à la convergence alors la pupille droite irrégulière trahit le signe l'Argyll llobertson. Il va de soi que lorsqu'il
durée de ces affections, marche progressive dans certains cas, avec signes indéniahles d'une lésion maté- rielle organique
ns delà scarlatine, luxa- tion de l'épaule ; 2° Varioloïde (causes, signes et marche de la maladie) - Signes et diagnostic
l'épaule ; 2° Varioloïde (causes, signes et marche de la maladie) - Signes et diagnostic de la hernie étranglée. z Séance
tisme, la simulation ou du moins l'exa- gération voulue de certains signes n'est pas, en principe, impossible, bien que ra
rs, pendant la courte période d'observation, n'avait présenté aucun signe bien net de la folie. L'opportunité d'un spéc
ificat présente deux parts bien distinctes, celle de deux ordres de signes objectifs faci- les à constater, puis celle éga
ue hasard imprévu. 5° Ces deux maladies sont également précédées de signes précurseurs et d'une aura. - 60 Un épuisement e
leurs attaques. Toutes les deux sont presque toujours précédées de signes précurseurs qui leur sont communs tels que : se
de migraine où la dou- leur fait défaut et où l'accès se borne aux signes précur- seurs et aux spasmes. Toute distinction
eptiques isolées. Enfin, une colère non motivée peut être encore le signe avant-coureur d'une attaque épileptique convuls
entendre qu'un gazouillement tout à fait incompréhensible; aucun signe , aucun geste ne suppléait à la parole, l'enfant
n complète des phénomè- nes méningitiques ; on y rencontre certains signes qui ne trom- pent pas un médecin exercé, troubl
quand on rencontre ces rêves chez des sujets n'ayant point d'autres signes comitiaux, néanmoins ils paraissent constituer
nt l'observation d'une malade, chez qui ils ont relevé, en plus des signes d'une tumeur de la base, de nature tuberculeuse
serva- tions déjà publiées, en s'appuyant sur l'existence des trois signes essentiels : Argyll, Romberg et Westphall. (La
de compte, et les constatations nécropsiques font défaut.) Mais le signe d'Argyll ne saurait,être patllognomoniyue et n'
yue et n'est qu'une manifestation de syphilis nerveuse ; de môme le signe de Romberg ne peut être exigé au début. C'est d
môme le signe de Romberg ne peut être exigé au début. C'est donc le signe de Westphall qui doit avoirla plus grande impor
ont constaté la disparition des réflexes achilléens, l'existence du signe d'AI'gyll el d'une lympho- cytose très accentué
e rotu- lien existe v droite seulement; il n'y a ni trépidation, ni signes de Babinski. La jambe et la cuisse gauches surt
lésions corticales. A mesure que l'affection progresse, de nouveaux signes 438 CLINIQUE MENTALE. psychopathiques se fo
e a en partie conservé les mou- vements et il n'y a pas non plus de signes de paralysie du voile du palais. L'impossibil
jour à l'asile, qui dura un peu plus de trois mois, on constata les signes habituels du délire de persé- cution sénile, de
re dyspnée intermittente, surtout quand il fait froid. Pas d'autres signes bulbaires ; fourmillements fréquents dans les m
s organes paraissent normaux, à part le coeur, où l'on constate les signes d'une légère lésion ou malformation de l'origin
ndre les questions qu'on lui pose et répond comme au hasard par des signes de déné- gation ou d'affirmation. L'humeur cont
à être celle d'un malade gai et optimiste. Pas de gâtisme, pas de signes de paralysie générale. Pas de signes oculaires,
iste. Pas de gâtisme, pas de signes de paralysie générale. Pas de signes oculaires, à part une tendance de la pupille gauc
exes rotuliens sont très exagérés, surtout celui de gauche ; pas de signe de Babinski ; conservation des réflexes cutanés
relâchement ; pas de rire ni de pleu- rer spasmodiques, pas d'autre signe bulbaire que la difficulté à parler. Il compr
re,comme symptômes somatiques à l'appui de ce dia- gnostic,que deux signes : l'inégalité pupillaire et l'ataxie linguale ;
esoins et gouverne ses sphincters. Notons enfin la multiplicité des signes bulbo -médullaires, qui sont ceux, presque au c
tique de même. Elle gâtait du matin au soir, ne demandait par aucun signe à aller aux cabinets. Un grand changement s'e
. Commencer le traitement médico-pédagogique dès que les premiers signes de l'idiotie sont constatés. En- registrer sur
veux en se substituant à lui. C'est la méningite qu'expriment les signes fonctionnels consta- tés : respiration de Chcyn
s dans ce travail, l'une appar- tenait à une famille présentant des signes de dégénérescence avancée (stérilité, mort préc
ce avancée (stérilité, mort précoce). Chez deux, on relève divers signes de dégénérescence, chez une la, surémotivité et
ade atteint de vitiligo qui ne présentait à l'examen clinique aucun signe d'affection du système nerveux. Mais l'examen his
deux frères, qui, en outre des symptômes habituels, présentent des signes d'al- teinte du cordon postérieur. L'hérédité v
Il s'y ajoute, à droite, de l'exagération du réflexe rotulien et le signe de Babinski, reliquats d'une hémiplégie, ancienne
par \feens, 108. p'tne forme d'affection nerveuse présentant les signes extérieurs de la , par Rechte- revv, 147. M
21 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
eige, que l'on fît des radiographies de géants ne présentant pas de signes d'acromégalie. Et il est très vraisemblable que
résente cet arrêt de développement sexuel, qui, avec un ensemble de signes morphologiques, caractérise l'infantilisme vrai (
et large, et les lèvres assez épaissies. On dira,peut-être,que ces signes ne sont pas bien caractéristiques ; qu'il n'y a
en présence desquels le dia- gnostic hésite : Il me semble que ces signes sont suffisants, et assez accusés, pour caracté
endant signalé. Un sujet étudié par Sacchi présentait* les premiers signes de gigantisme à l'âge de 9 ans (1 m.43), un suj
ssentiellement caractérisé par l'absence (parfois complète) de tout signe effectif de puberté. Ce que nous voyons, au con
s rares dans leur moitié externe. La malade ne présente donc pas le signe du sourcil. Les ouvertures palpébrales sont éga
al détermine la contraction des muscles des territoires respectifs ( signe de Weiss). On constate également le signe de Tr
s territoires respectifs (signe de Weiss). On constate également le signe de Trousseau, bien que le phénomène ne soit pas a
Une fois les crampes intéressèrent aussi les membres supérieurs. Le signe de Trousseau n'existait pas dans l'intervalle d
lade présente en même temps une cyphoscoliose, de l'exophtalmie, le signe dé Graefe et de Moebins. Les dents étaient cariée
alement. L'examen microscopique montre qne la moelle présentait les signes d'une activité marquée, il n'y avait que peu de
nourri, au teint brun. On ne peut observer nulle part les moindres signes de ra- chitisme ancien. Le rachis est normal de
lie et de la fréquence avec laquelle elle se trouve unie à d'autres signes de dégénérescence. Comme on le sait d'ailleurs,
ce. Comme on le sait d'ailleurs, bien des auteurs attribuent il ces signes la valeur de phénomènes réversifs. C'est dans l
que que les auteurs mettent souvent en relief l'existence d'autres signes de dégénérescence (alcoolisme, épilepsie, etc.)
lesquelles il est impossible de relever chez les ascendants quelque signe que ce soit de dégénérescence (2). Notre cas mê
in que, selon Devay, les doigts surnuméraires représen- teraient le signe le plus sûr de la consanguinité des ascendants (3
olynévritique, à son stade de chronicité. Vous rencontrez les mêmes signes de désorientation allo- psychique, avec absence
En outre, abstraction faite d'antécédents alcooliques, notamment de signes de polynévrite, les presbyophréniques sont beauco
de Presbyophrénie, il y a lieu de recher- cher systématiquement les signes de polynévrite, et en particulier, l'abo- · lit
la presbyophrénie (1) s'observe chez des malades qui présentent des signes manifestes de polynévrite, surtout accusée aux me
chose de Korsakoff que par l'étiologie, l'évolution et l'absence de signes de polynévrite. La plupart des observations de
gionale précise, dans l'écorce de l'encéphale. Ces foyers qu'il dé- signe d'abord sous le nom de « Gourmes (Di-use),puis de
presbyophrénie, s'ajoutent et se superposent, pour ainsi dire, aux signes ordinaires, soit de la démence sénile, soit de
n, c'est s'exposer à négliger, par idée préconçue, la recherche des signes de polynévrite, comme il arrive souvent dans le
che, avec exagération des réflexes tendineux, plus marquée à gauche, signe de Babinski survenu il y a quelques mois la sui
mois la suite d'un ictus. Depuis deux ans, le malade présentait des signes d'artério-sclérose cérébrale, du rire et du pleu-
ait bouclier, souffrait de varices, et a eu la jambe cassée. Pas de signes de polynévrite. (1) Observation recueillie dans
s les questions avec conviction ; elle est légèrement euphorique. Signes de polynévrite : abolition des réflexes rotuliens
trophie musculaire du quadriceps, parésie des membres inférieurs. Signes d'éthylisme : cauchemars, pituites, tremblement.
t disparition des achilléens, douleurs à la malaxation des mollets. Signes d'éthylisme chronique. Observation VI. Démenc
qu'on lui désigne. Réflexes rotuliens et achilléens normaux. Pas de signes de polynévrite. Réactions pupillaires à la lumi
eu la syphilis'. Etat du malade au moment de l'examen. Assez chétif Signes de tu- berculose pulmonaire. Cyphose de la colo
partout intacte, les réflexes existent du côté sain. Il n'y a aucun signe de tabes (pas de douleurs fulgurantes, pas d'a-
signe de tabes (pas de douleurs fulgurantes, pas d'a- taxie, pas de signe d'Argyll.Robertson). Le malade a parfois de la ré
s contracté la syphilis. Vu cette réaction positive et le manque de signes d'une maladie quel- conque de la moelle épinièr
iculaires ? Nous ne le croyons pas, puisque le malade n'a pas eu de signes de tabes évidents, ni d'autre maladie de la moe
es et diverses vertèbres (Prof. Askanazy). La dure-mère est tendue, signe d'exagération de la pression intra-cra- nienne.
férencier de l'en- semble des mouvements de défense, si bien que le signe de Babinski parait douteux. La contracture est
e diminue l'amplitude de celui du côté droit. Pas de clonus, pas de signe de Babinski. Pendant l'examen on note encore qu
(membres supérieurs et inférieurs, nuque, trismus invincible). Pas de signe de Kernig, pas de Babinski, pas de photophobie.
. A droite les réflexes sont normaux. 2. Coma moins profond ; mêmes signes d'hémiplégie gauche. 3. Le malade présente dans
forts à droite qu'à gauche. Les réflexes abdominaux existent, et le signe de Babinski est impossible à affirmer en raison
que pourquoi la plupart d'entre eux ne ne sont manifestés par aucun signe clinique appréciable et ont permis une longue s
s papillaires flous : l'atrophie est consécutive à une stase dont les signes (saillie papillaire, dilatations veineuses) ont
. A gauche, très légère exagération des réflexes tendineux, sans le signe de Babinski, mais, avec une légère flexion de l
Mocquin (2) A l'autopsie d'un homme de 32 ans ayant présenté des signes d'hypertension cérébrale avec troubles mentaux le
uteur rapporte la dilatation des trois premiers ventricules, et les signes d'hypertension intra-cranienne. Des faits que n
. -- Entre dans le cabinet du médecin avec une démarche lente, sans signe de politesse, la casquette sur la tête ; le corps
XIII). Embrasse le bol ou le gobelet qui lui sert à boire, fait des signes de croix au-dessus, regarde dessous, puis absor
des cellules lymphatiques (fig. 12, PI. XXVIII). On ne voit pas de signes d'inflammation, quoique NOUV, ICONOGRAPHIE DE L
rales de l'anatomie pathologique de la spondylose rhizo- mélique et signes anatomiques différentiels des quatre formes les p
cette forme dernière avec celle de la spondylose rhizomélique. Les signes cliniques différentiels sont : l'aplatissement de
des articulations. En 1905, M. Berger a décrit un cas analogue. Les signes communs des deux cas sont les suivants : le jeune
ieuse capable d'expliquer toutes ces altérations; il n'existe aucun signe de processus inflammatoire. C'est pour cela que c
- tion ? Il n'y a pas de doute qu'on trouve chez l'homme adulte des signes certains d'involution. Les auteurs antérieurs e
2 ans qu'à l'âge de U4 ans. Déjà chez les jeunes gens on trouve des signes de processus de dégénérescence ; par contre même
a pas de clonus du pied, pas de réflexes des raccourcisseurs. Le signe de Babinski se fait en flexion à droite, à gauche
us ou moins bilatérale. ' Au reste notre malade ne présente aucun signe de tabes. Les réflexes sont conservés, il n'y a
flexes sont conservés, il n'y a pas de douleurs fulgurantes, pas de signe d'Argyll Roberston. Les syndromes strictement
s voies pyramidales ou des voies cérébel- leuses. Or il n'existe ni signe d'hémiplégie, ni syndrome cérébelleux rap- pela
ation à une seule moitié de la tête. Cette affection comporte trois signes ; l'hém ia trophie de la langue, le syn- dromed
ons qu'il n'y a pas de stase papillaire. La stase papillaire est un signe inconstant de tumeur, mais son absence dans un
e sans que celle douleur soit suffisamment nette pour constituer un signe important. Enfin la malade se plaint de douleur
important relativement à l'abondance de l'albumine. Autour de ce signe constant se groupent d'autres modifications : xan
cations du liquide manquaient complètement chez notre malade, et ce signe ajouté aux considérations que nous avons déjà exp
otre malade nous a montré qu'il existait chez lui tout un groupe de signes qu'il est classique de décrire dans l'acromégal
géant, ni un infantile. Et cependant, on retrouve chez lui quelques signes , plus ou moins nettement ébauchés de ces divers
un tiroir fermé à clef la clef étant dans la serrure. A côté de ces signes d'un grand affaiblissement intellectuel, on obs
soutiennent qu'elles sont presque toujours associées à de nombreux signes somatiques et parfois même psychiques de dégéné
; elles réagissent à la distance et ne réagissent pas à la lumière ( signe d'Argyll Robertson positif). Quoique n'observ
ns étaient plus intenses encore ; autrement dit, il pré- sentait le signe de Romberg, sans avoir des troubles de la sensibi
ace, même avec les yeux fermés, tandis qu'avant ils présentaient le signe de Romberg. Si le malade marche, on observe que
lui. Il est certain que s'il fermait les yeux, l'incoordination le signe de Romberg - réapparaîtrait, mais à un degré mo
e au repos ne pré- sente ni à l'oeil, ni à la palpation, le moindre signe d'altération. Nous ne pouvons pas nous associer
brûlure à la plante des pieds, de l'ataxie 362 HEIMANOWLTSCH avec signe de Romberg, des érections insuffisantes et des re
uelque chose conformément à la loi pénale, sont soignés par nous en signe de protection. Ou : « Vous comme maîtresse d'éc
enfance souffreteuse ; ils n'ont qu'exceptionnellement présenté des signes de scrofule ou de tuberculose (ganglions, otite
oujours d'une façon rapide, pres- que brusque et se distingue comme signe de début : c'est de suite après la baisse des f
nés : sécheresse, ichthyose, état cassant et sec des cheveux. Les signes fonctionnels sont moins bien et plus rarement sig
trouvé la raie de Sergent avec une grande netteté Bien entendu ces signes d'hypoépinëphrie sont inconstants (4 fois sur 20)
ussi profondes, c'est à la faveur d'un état général grave, avec des signes d'athyroïdie et de déchéance totale qu'aucun de
ôle symploinalologiq ne secon- daire de la viciation strumiyue. Les signes qui y ressortissent sont d'abord inconstants et
avoir une autonomie non moins manifeste, et que ce ne sont pas les signes de l'at- teinte, d'ailleurs inconstante, de la
ue et clinique nous a en effet permis de mettre au premier plan les signes testiculaires puis thy- roïdiens ; et dans le p
e, Gallavardin et Rebattu. Chez celui de Cordier et Francillon, des signes de myxoedème, d'ailleurs très discrets, n'apparur
nitale paraissait plus probable. Notons aussi l'absence complète de signes d'hypothyroïdie chez les malades de Gallavardin
rmatique. On voit des lésions très étendues du pancréas, sans aucun signe d'insuffi- sance pancréatique. Pourquoi n'en se
onsidérer deux variétés étiologiques, suivant que l'atteinte et les signes d'insuffisance testiculaire ont été précédés ou n
e service du professeur Courmont. A ce moment ont été constatés des signes de régression infantile et des signes de tuberc
moment ont été constatés des signes de régression infantile et des signes de tuberculose pulmonaire au début s'accompagnant
éminine). Le corps thyroïde n'est pas perçu à la palpation, mais ce signe n'a pas beaucoup de valeur; d'autre part, il n'
facial tout entier s'est atrophié, aplati. Pas d'ostéomalacie, pas de signe de Laszko. La radiographie des membres a montré
oridiqne normales. Le ceellr n'offre rien d'anormal. Aux poumons, signes bilatéraux et antéro-postérieurs de tuberculose u
droit), de pleurésie en voie de dispari- tion à la base gauche. Ces signes ne sont apparus que depuis septembre 1910 et s'
it le principal intérêt, de l'observation, c'était l'association de signes hypophysaires. Le malade que nous a présenté M. C
y a de la bouffissure du visage ; il présente depuis huit mois des signes de tuberculose pulmonaire. Il est difficile d
nne parfaitement ; les poumons ne présentent sub- jectivement aucun signe anormal et en particulier de tuberculose; la temp
mplexe d'insuf- fisance pluriglandulaire où l'on retrouve mêlés les signes plus ou moins évidents, individualisés dans les
idu et surtout des organes génitaux chez les enfants présentant des signes d'hypertension crânienne (4). Sous des titres p
is de- quelle nature était celte infection qui précéda les premiers signes de la maladie ? La bacillose associée à cette inf
tôt aggravé. Dans ce cas, la lésion tro- phique des os constitua un signe précoce, peut-être même un signe pré- curseur d
on tro- phique des os constitua un signe précoce, peut-être même un signe pré- curseur de grande valeur. Un fait isolé
es et une perte des forces qui ne paraissent pas justifiées par les signes objectifs, qu'il s'agisse des membres supérieur
s, mais ne réagissent pas à la lumière et réagissent à la distance ( signe d'Argyll- Roberston positif). ' Le membre sup
ABÉTIQUE 495 ' En fermant la parenthèse, nous avons remarqué que le signe de Romberg existait dans ce cas et qu'il était
22 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
es. Les dents sont très fortes, volumineuses et ne présentent aucun signe dystrophique. La langue est très large et lon
es à des états différents : chez lui il y a, à n'en par douter, des signes certains d'infantilisme, de gigantisme et d'acr
saires parfaitement conservés sans toutefois pré- senter le moindre signe de gigantisme. A ce propos, je ne crois pas inu
asard un géant infantile typique qui ne présentait absolument aucun signe d'acromégalie. Il s'agissait d'un prêtre, jeune
rieux. Il avait une taille imposante, au moins 1 m. 95, et tous les signes de l'infantilisme classique. Sa voix, son teint
rcalcification des épiphyses. Il nous reste à présent à étudier les signes acromégaliques présentés par notre sujet : ils
xplicable. M. E. Levi admet que la non-soudure des épiphyses est un signe patho- gnomonique de l'infantilisme de Brissaud
valeur à la non-soudure des épi- physes, a tenu grand compte de ce signe . Il en est résulté que, dans ce travail, M. E.
», dont les parents syphilitiques semblent avoir présenté quelques signes d'hypothyroïdie, a « tendance à faire de l'adip
u aplati ; bouche : grande ; menton : rond ; visage : teint foncé ; signes divers : les membres courts et courbés. Antécéd
emière phalange et il s'en écarte à partir de la pha- langine. Un signe digne de remarque est qu'on peul imprimer à la ma
, ni chez les collatéraux, comme on voit par son obser- vation. Les signes et les troubles qui seraient à considérer comme d
suivant : le membre inférieur gauche est plus faible que le droit. Le signe de Lasègue de deux côtés (faiblement marqué). L
ux côtés sont très vifs, de même que ceux des tendons d'Achille. Le signe de Ba- binski du côté droit, est faiblement mar
t faiblement marqué, du côté gauche le grand orteil reste immobile. Signe de Lasègue, à droite. La sensibilité est conservé
réflexes patellaires, une trépidation épileptoïde du côté droit, le signe de Babinski non appréciable (tendance des orteils
de Babinski non appréciable (tendance des orteils de s'étendre), te signe de Lasègue des deux côtés. Douleurs à la palpatio
droit un peu plus faible ; les réllexes tendineux un peu exagérés, signe de Babinski à peine marqué à droite ; signe de
dineux un peu exagérés, signe de Babinski à peine marqué à droite ; signe de Lasègue à droite. Sensibilité intacte (de
les réflexes tendineux aux membres inférieurs étaient exagérés, le signe de Babinski, légèrement marqué du côté droit. Pen
fai- blissement de la ïambe droite, la trépidation épileptoïde avec signe de Babinski léger. Observation IV. Le malad
DE NEUROLOGIE DE PARIS Séance du 2 décembre 1909. SUR UN NOUVEAU SIGNE D'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE par' M. VINCENZO NERI.
par' M. VINCENZO NERI. Je désirerais attirer l'attention sur un signe que j'ai constaté avec une certaine fréquence d
r ce sujet de- puis que M. Babinski nous a donné toute une série de signes d'hémiplégie organique d'une valeur si fondamen
ntale Je le fais parce que si dans la plus grande partie des cas ce signe se pré- sente associé aux autres signes classiq
lus grande partie des cas ce signe se pré- sente associé aux autres signes classiques du côté du membre inférieur, dans qu
Il Iconographie DE la J.1LI'C1RIRE. T. XXIII. Pl. VIII UN NOUVEAU SIGNE D'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE (péri) . Masson &
E ORGANIQUE (péri) . Masson & Cie, Editeurs. SUR UN NOUVEAU SIGNE d'hÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 89 Cela dit, la flexion
it le mécanisme du phénomène, le fait existe. Peut-on considérer ce signe comme pathognomonique d'hémiplégie or- ganique
ns tombantes était caractéristique (PI. IX). On constatait tous les signes d'une double paralysie du nerf radial, sans att
hez eux le long supinateur était atteint comme les extenseurs et ce signe , joint à la présence des troubles de la sensibi
me normal ou presque normal. Ces faits indiquent encore que si le signe du cubital a une valeur capi- tale dans le diag
s d'une certaine incoordina- tion motrice ; il n'y a du reste aucun signe ni de chorée, ni d'athétose. L'atrophie muscula
un peu moins développées que chez sa soeur, mais on ne relève aucun signe d'atrophie musculaire dans cette région. Le c
Aurélie n'a relevé aucune altération bien nette. Il n'existe aucun signe de thermo-anesthésie ; de même la sensibilité à
relâchée, les dents sont mal plantées, avec diastase dentaire et les signes les plus évidents d'altération trophique avec r
de nystagmus ni de secousses nystagmiformes.On ne peut relever aucun signe de diplopie. Examen de l'acuité visuelle. Eli
tion d'Iligier, il y avait, en plus des phé- nomènes cérébraux, des signes certains de participation médullaire, par le fa
ter des alté- rations oculaires caractérisées par du myosis, par le signe d'Argill-Robert- son, l'abolition du réflexe à
profonds avait été considérée avec raison par les auteurs comme un signe d'irritation non douteuse du faisceau pyramidal
e quadriceps fémoral était très atrophié et où il existait tous les signes d'une lésion névritique intense des membres inf
ostique est conservé. L'équilibre et la marche sont normaux. Pas de signe de Romberg. Léger tremblement des extrémités.
al. Les réflexes patellaires sont exa- gérés des deux côtés. Pas de signe de Babinski à gauche. Du côté droit, les orteil
elles. Il est probable que ce symptôme (l'engourdissement) était un signe précurseur dénotant le début de la maladie de l
servation XIII). Les cellules des cornes antérieures montraient des signes de lésions qui dépendent des lésions des racine
- \\ni . li 210 U ROUX de se reconnaître parmi les innombrables signes qui ont été donnés. Il suffit de se souvenir de
térie, il faudra donc tout simplement s'attacher à dépister quelque signe , que volonté, parlant.la simulation, soit impui
rester un moment immobile car les antagonistes étaient contractés ( signe de Hosslin) (1). 7° La volonté ne sait pas comm
ersistent dans des muscles soi-disant paralysés. Un grand nombre de signes sont basés là- dessus. Dans la soi-disant par
erait plus facile que de contracter inégalement ses deux peauciers ( signe du peaucier de Babinski). (1) I\, Von IIOSSLI
dessus du lit, sous l'action du psoas qui n'est plus contrebalancé-( signe de Babinski de la-flexion combinée de la cuisse e
ce qui n'a rien d'étonnant puisqu'il en est un. 8° Il est enfin un signe , dont nous n'indiquerons pas la physiologie patho
du gros orteil, il s'agit presque toujours d'une lésion organique ( signe du gros orteil de Babinski). Malheureuse- ment
ie TRAUMATIQUE 213 lence habituelle d'anestllésie ; dj l'absence de signes de lésion organi'que, et le contraste qui exist
régularités, des dissemblances, des exagérations surtout. Parmi les signes distinctifs qui ont été donnés, trois (1) sont tr
ue le sujet couché à plat ventre fléchit les' jambes à angle droit ( signe de Seeligmuller) ; dans le tremblement des memb
, tracer un dessin et, vous verrez l'autre main cesser de trembler ( signe deFuchs). En fait de myoclonies, ce que l'on
vrite.-Le pronostic fatal car l'apparition de la psychose semble un signe de mort prochaine. La fixité de l'étal coenesth
plus serrée des observations n'a pas vérifié cette conjecture : les signes d'asymétrie ne sont pas plus apparents chez les
le mécanisme intime» de cette défaillance que d'en reconnaître les signes appréciables à la, fois, comme je le pense, .da
ineux sont forts ; la trépidation spinale existe du côté droit ; le signe de Babinski est bilatéral ; pas de gâtisme. Il
es espaces intercostaux sont amples, les côtes normales, sans aucun signe de rachitisme. Le sternum est long et large, qu
ficiels et profonds et les achilléens sont normaux. Il n'y a pas de signe de Babinski. xxm ' 17 250 GIUSEPPE FRANCHI NI
ample, carré et long. Clavicules et côtes normales ; il n'a pas de signes de chapelet rachitique ; le sternum est long et l
'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 257 raccourcies, sont tous des signes typiques et caractéristiques de telle maladie.
ôt larges, le sternum est long et large; les côtes normales ; aucun signe de chapelet rachitique. Postérieure- ment le th
chez les parents. L'examen objectif nous a révélé de particulier le signe de Groefe à l'oeil et une légère augmentation d
étion interne ou de quelques-unes d'entre elles. Nous savons que le signe de Groefe est une des caractéristiques de la ma
nous avons exposées sur la pathogénèse de l'achondroplasie. Mais le signe de Grcofe ne suffit pas pour faire admettre une
aire admettre une altération de la thyroïde lorsque tous les autres signes qui en général vont avec une byperfonction de cet
nt peut être regardé comme un petit obèse), donc aucun des au- tres signes qui d'ordinaire accompagnent celui de Grcefeet qu
n conservés et ils se font sans douleurs et sans craquements. Aucun signe de rachitisme. La main est petite .les os du ca
ux viennent presque à se toucher avec leur sur- face interne. Aucun signe de rhumatisme aux pieds. Les artères périphériq
. Affectivité émoussée. Viscères : léger emphysème pulmonaire aucun signe de bronchite ; bruits du coeur normaux, sauf le
diagnostic d'ostéo-tu- berculose, dont la malade ne présente aucun signe , ni sur celui d'ostéo- syphilose du moment que
hilitique intense. Mais le malade continua toujours à présenter des signes de syphilis cérébrale. Nonne, dans la dernière
Polyclinique. Mais il n'y resta que quelques jours, car, donnant des signes de folie, il fut interné à l'asile des aliénés.
qui, trois mois après une grave lésion de la tête, apparu- rent les signes d'une hémiplégie gauche, hémianopsie et polyurie.
otilité, avec exa- gération des réflexes des membres inférieurs, et signe de Babinski bilaté- ral. Dans la région dorsale
us ces points parlaient en faveur d'une tu- meur. L'absence de tout signe de tuberculose ou de syphilis rendait ce diagno
pourtant pas d'élargis- sement des espaces périvasculaires. Pas de signes histologiques d'une stase sanguine. La région p
- tié gauche de la moelle que dans la droite.On n'y constate pas de signes de stase. 1 Plus en haut ces lésions disparaiss
es cloisons, avec les vaisseaux plus larges que normalement. Pas de signes de stase. Dans la région du pôle inférieur de
atés, gorgés de sang et augmentés en nombre. Nulle part pourtant de signes de stase, pas de dilatation des espaces péri- v
r est recouverte par la dure-mère qui lui adhère intimement. Pas de signes d'inflammation. Bientôt mesure qu'on s'éloigne
s de ce ni- veau. Les vaisseaux sont dilatés, gorgés du sang.Pas de signes d'inflammation. Ce cas est donc,au point de vue
s foyers nécrobiotiques. , Ici également on n'a pas pu constater de signes inflammatoires ! OBSERVATION XX. ,. ' ' La ma
hie, ni contracture. Réflexes rotuliens exagé- rés, avec absence du signe des orteils. Le malade peut marcher étant soutenu
effet, à faire exclure la première hypothèse, concourent, outre les signes anamnesti- ques, l'absence du tremblement inten
ormal, à terme, d'une fillette qui mourut au bout d'un mois. Pas de signe d'Ar4,yll ; réflexes normaux. Aucun signe de tu
au bout d'un mois. Pas de signe d'Ar4,yll ; réflexes normaux. Aucun signe de tuberculose. Rien au coeur et en particuli
t médiocre surtout à gauche. Il n'y pas de trépidation spinale ; le signe de Babinski existe à gauche. L'intelligence est
ère (jusqu'à ce moment le malade 480 O FLATAU ne présentait aucun signe de tuberculose). Bruns pense que les douleurs r
on contraire. Selon Pellizzi, il n'y a pas d'infantilisme là où les signes de menta- lité infantile font défaut. Nous cr
t jamais qu'un symptôme se- condaire ; tous ces sujets montrent des signes psychiques et physiques de leur maladie nerveus
out par la microsomie, cependant que ce symplôme est loin d'être le signe principal dans les cas de cérébropathie dont nous
in. ' Von Hansemann nous dit que Dobos ne présentait pis le moindre signe pathologique digne de mention , mais de sa note
ppement presque normal des poils. Malgré cela, l'existence d'autres signes caractéristiques d'infantilisme, surtout psychi
un peu flasque à leur surface dorsale. Les ongles ne présentent aucun signe de dystrophie. · Les bras ne sont pas revêtus
aussi dans les conduits inguinaux ; cryptorcfidie bilatérale Aucun signe de réveil sexuel. Extrémités supérieures et inf
sont, comme chez le père, implantés sur une base com- mune. Aucun signe distrophique de la peau et des ongles. Les bras
ité profonde étaient ex- trêmement accusés. Abolition des réflexes, signe d'Argyll Robertson, puis abolition du réflexe à
rice du même nerf. 566 ANDRÉ-THOMAS Il. LES nerfs ciliaires ET LE signe D'ARGYLL-ROBERTSON. La pathogénie du signe d'Ar
ES nerfs ciliaires ET LE signe D'ARGYLL-ROBERTSON. La pathogénie du signe d'Argyll-Robertson est encore très obscure, et
anglion ciliaire ou les nerfs ciliaires la lésion qui donne lieu au signe d'Argyll-Robertson ; dans quelques cas de tabes
vraisemblablement aux mêmes lésions. Les autopsies de tabes avec signe d'Argyll-Robertson pur - c'est-à- dire la perte
uer dans ces dernières années deux autop- sies de tabes fruste avec signe d'Argyll-Robertson pur, vérifié peu de jours av
DE la Salpltrili 'l'. Y\111. Pl. L\\'I LES NERFS CILIAIRES ET LE SIGNE D'ARGYLL RO)3ER'l'SOT. ))'f'77M ? Masson 8&am
DE la S.1.1'ÉIRIÈRE. T. XX ! H. P).LX\']j LES NERFS CILIAIRES ET LE SIGNE D'ARGYLL R013EI(TO. (André Thomas). Cas I.
eurs (rotuliens, achilléens) étaient abolis. De plus il existait un signe d'Argyll-Robertson bilatéral. La malade a succo
it atteinte d'hémiplégie droite. On constatait chez elle, outre les signes de l'hé- . ÉTUDES SUR LES NERFS CILIAIRES 569
ptégie, l'abolition des réflexes tendineux aux membres inférieurs, le signe de Romberg, les troubles sphinctériens, l'ataxi
mplète et la plus démonstrative, et à elle seule elle prouve que le signe d'Argyll-Robertson peut exister au cours du tab
serait bien surprenant que les lésions susceptibles de produire le signe d'Argyll,et remontant généralement plusieurs mois
des ganglions. Si de ces trois observations on peut conclure que le signe d'Argyll- Robertson peut se manifester sans qu'
roit d'exclure complètement les nerfs ciliaires de la pathogénie du signe d'Argyll-Ro- bertson, puisque ces nerfs n'ont p
sseuse. Après guérison complète, le métacarpien présente encore des signes de raréfaction osseuse. La phalange adjacente
arpiennes ... Chez ces enfants nous vîmes bientôt se développer les signes de rachitisme ». Or « les dystrophies osseuses
gnostic. En général, lorsqu'un personnage historique a présenté des signes de folie, le psychiatre, malgré la richesse et
que une zone déprimée, d'aspect cicatriciel et présentant. tous les signes d'une lésion vasculaire ancienne : pie- mère' é
it à ce sujet à propos de nos observations de microsomie,sans aucun signe de dysthyroïdie. nous invite à nous maintenir t
t totalement chez notre su- jet ; on n'a [d'ailleurs pas le moindre signe d'éveil sexuel : son âge très juvénile peut exp
années une infection pulmonaire aiguë. Actuellement elle n'a aucun signe net de lésions. Les amygdales sont grosses, sou
E LA DÉGÉNÉRESCENCE), PAR It M. V. V. SELETSKI (de Kiew). Les signes physiques de la dégénérescence peuvent être consi
ompacte des os. LITTÉRATURE MÉDICALE 1. Vaschide et VURPAS. - Les signes physiques de dégénérescence . Annali di Nevro-
-) (4 pl.), par BER- TOLOTTI, 1. Hémiplégie organique (Un nouveau signe d'-) (1 pl.), par NERI, 88. Hugo van der Goes
chinois (1 pi.), 43. 712 TABLE DKS AUTEURS New. Sur un nouveau signe d'hémiplégie organique (1 pi.), 88. ' Pastine
-infantile (BERTO- LOTTI), I à IV. Hémiplégie organique , nouveau signe (Néri), VIII. Hugo van der Goes (Mélancolie d
23 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'intégrité du facial supé- rieur dans les lésions cérébrales comme signe différentiel avec la paralysie faciale périphér
rcil gauche est un peu abaissé par rapport au sourcil droit. Pas de signe de Revillod. OBERVATION VII. M... Jean-Pierre,
lus abaissée sur le rebord de l'orbite à gauche qu'à droite. Pas de signes de Revillod. OBSERVATION X. P... Etienne, soi
che, 10 CLINIQUE NERVEUSE. environ d'un demi-centimètre, Pas de signe de Revillod. Chez cette femme la corde vocale d
sait pas au premier examen. Cet abaissement du sourcil est un des signes les plus constants de la paralysie du facial supé
l'oeil du côté sain, et ne peut en faire autant du côté malade, le signe de Revillod n'a pas une valeur absolue. Nous av
c là une cause d'erreur qu'il faudra éviter. Quoi qu'il en soit, le signe de Revillod mérite d'être recherché, et dans ce
st notablement diminuée. Les sens spéciaux normaux. Il n'y a pas de signes de syphilis. Le foie, le coeur et tous les autres
à l'accommodation et par réaction sensitive. Il ne présente aucun signe pathologique nerveux (signe de Romberg, signe d
ction sensitive. Il ne présente aucun signe pathologique nerveux ( signe de Romberg, signe de Biernacki, etc., absents).
Il ne présente aucun signe pathologique nerveux (signe de Romberg, signe de Biernacki, etc., absents). Légers tremblements
table de la respiration; des troubles cardiaques (tachycardie); les signes classiques de la paralysie du facial inférieur
cale, 27 août 1898.) MM. Hordier et Frenkel (de Lyon) ont décrit un signe clinique nouveau des paralysies faciales d'orig
clinique nouveau des paralysies faciales d'origine périphérique. Ce signe consiste essentiellement en ce que le sujet ne
ement de la température du corps, la sécheresse de la peau sont des signes communs à ces deux affections. L'assoupisse- me
nde une observation plus complète. L'analgésie du cubital au coude ( signe dé Bernatzki) man- que fréquemment au début du
uve quelquefois de très bonne heure alors qu'on ne rencontre pas le signe de Ber- natzlii. L'insensibilité du muscle à la
a suivi et traité 47 malades. Huit n'avaient eu ni chancre mou, ni signes constatables de syphilis, quoique celle- ci fût
illeurs dans l'épilepsie, pourra régler le pronostic, mais dont les signes différentiels sont nombreux. Dans les seconds q
l'usage de 25 à 30 centigrammes de morphine, l'organisme donne des signes de défaillance, l'appétit se perd, l'amaigrisse
paralysie des sphincters, inégalité pupillaire, parfois diplopie et signe de Rom- ])erg, mais en même temps exagération d
et demeurant rue Croulebarbe, donnait depuis quelque temps déjà des signes évidents de dérangement cérébral. Hier ma- lin,
OLOGIE CLINIQUE MENTALE. RECHERCHES SUR L'ANALGÉSIE DU CUBITAL ( signe de Biei,zachi) CHEZ LES ALIÉNÉS ; - PAR LES DOC
pré- sence ou de l'absence de la réaction douloureuse. Tel est le signe décrit par Biernaclci sous le nom d'anal- gésie
analgésie dit tronc du cubital ne peut pas être considérée comme un signe typique de para- lysie générale, et que, par co
ainement pas, et d'ailleurs la paralysie générale ne possède pas de signes pathogno- moniques ; mais rapprochée d'autres s
possède pas de signes pathogno- moniques ; mais rapprochée d'autres signes de paralysie générale, l'analgésie cubitale aur
raux dont l'affection était nettement confirmée, 44 présentaient le signe de Biernacki, 32 avaient une sensibilité cubita
MENTALE. Le nombre de nos paralytiques généraux qui présentent le signe de Biernacki, nous donne la proportion de 53/100,
eau d'en- semble de ces derniers, il est facile de constater que le signe de Biernacki ne donne pas d'indications nouvell
ls de nature à faire admettre avec Cramer, qu'il faille accorder au signe de Biernacki une valeur quelconque au point de
Cramer que : réuni à d'autres symptômes de paralysie générale, le signe de Biernacki pourra constituer un élément déplus
pressions dentaires. Des tremblements des doigts des deux côtés. Le signe de Biernaclii existe aussi de chaque côté. Le r
le gauche en dehors; il y a aussi des trem- blements des doigts. Le signe de 131ernachi existe de deux côtés. Il y a auss
de 131ernachi existe de deux côtés. Il y a aussi un commencement de signe de Romberg. Le réflexe pharyngien aboli, les ré
rtout du côté gauche, à cause de l'ulcé- ration de la jambe. Pas de signes de syphilis. Etat psychique. L'attitude est tra
te. Rien de pathologique à noter du côté des autres organes. Pas de signe de syphilis. Etat psychique. - La malade se tie
e sentait comme des aiguilles qui lui traversaient le corps. Pas de signe de syphilis. Quel- ques stigmates de dégénéresc
icile. Le malade marchant les yeux fermés, est pris d'oscillations ( signe de Romberg). Il ne peut pas rester sur un pied.
goût et l'olfac- tion se trouvent à 1'état normal. Il n'y a pas de signe de syphilis. Etat psychique. La malade se tient
nos questions ; nous ne pouvons même pas le décider à nous faire un signe d'affirmation ou de négation. Insistant dans no
aces d'un séton qu'on lui a appliqué à la région cervi- cale. Comme signes de dégénérescence à noter : une asymétrie fa- c
ormaux. Quelques légers tremblements de la langue et des doigts. Le signe de Biernacki existe à droite et à gauche à l'état
e gauche ; à 8-10 centimètres pour la jambe droite. Il n'y a pas de signes de syphilis. Le foie douloureux à la pression,
1878. Elle a été notée comme idiote et en effet, outre les nombreux signes de dégé- néresce qui vont être relevés, elle ne
s ou attachés, et explique les motifs de ces mesures. Il prépare et signe un certificat médical de tout nouvel entrant, i
e : chez les malades atteints, il fut impossible de découvrir aucun signe de maladie organique du système central ou péri
sur la tombe au nom de la Société. La séance est ensuite levée en signe de deuil. Séance dit 28 novembre. -PRÉSIDENCE d
técédents héréditaires connus. Elle pré- sentait cependant quelques signes de dégénérescence et notam- ment de l'asymétrie
III, 2 ce. du sérum sanguin ont suffi pour donner des malaises, des signes d'intoxication à un lapin de 880 gram., tandis
nt, dans nombre de cas, coïncider chez le même individu. Les divers signes du début sont ensuite décrits et analysés : iné
e d'incu- bation de durée variable avant de se caractériser par les signes suivants : dépression mentale; insomnie persist
ospec- tion morbide avec tendances égoïstes; phobies. Tels sont les signes de la mélancolie simple au début. Doit-on tra
états myxoedé- mateux et crétinoïdes. Le malade a succombé avec des signes de oléninâo-encéphalite, le cinquième jour de s
des muscles ; la réaction de dégénérescence, même partielle, est un signe défa- vorable ; le syndrome de dégénérescence t
n de l'acuité auditive, anes- thésie cornéenne. La constatation des signes suivants : provoca- tion de mouvements fibrilla
nt le traitement, était de 88 centimètres. La malade présentait des signes non équivoques de myxoedème, des altéra- tions
myxoedème, des altéra- tions rachitiques du squelette, une série de signes de dégénéres- cence, un manque de développement
l'orateur rattache le malade D, au type Lorain, bien que certains signes le rapproche du type myxoedémateux, tandis que la
en tout cas le précédent immédiatement. C'est là, à notre avis, un signe de la plus haute valeur et qui, à lui seul, lor
a céphalalgie, nous devons signaler l'insomnie qui est également un signe de début à peu près constant. Un autre symptô
l'insuffisance hépatique. Nous ne parlons pas, bien entendu, des signes tirés de l'analyse chimique des humeurs, souven
'est pas éteinte, elle est comme lointaine, comme absente. Un des signes les plus caractéristiques de cette obnubiiation
rmet un pronostic favorable alors que l'ab- sence du réflexe est un signe de lésion organique et aggrave' le pronostic. P
ence, car il est bien plus souvent senti que vu. L'importance de ce signe peut être grande dans les questions de viol, de p
re est un REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 307 signe . La conception rappelée par l'autre est l'image o
ective. C'est ainsi qu'un noeud fait à mon mouchoir de poche est un signe qui me rappelle une commission (idée objective)
elle une commission (idée objective) que j'ai à faire à un ami. Les signes , ce sont les images phonétiques (idées des mots
la symptomatologie mentale était la même, associée chez l'une à des signes manifestes et à des lésions accusées de polynév
omatolyse à siège central), bien qu'il soit démontré que ce dernier signe n'a qu'une valeur très relative, à établir que
vec l'atrophie céré- belleuse, mais, au point de vue clinique aucun signe ne permet- tait de songer à une affection céréb
paupière supé- rieure (symptôme de Stellwag) disparut tandis que le signe de Groefe persista, c'est-à-dire la dissociatio
topsie; par J. ABDIE, Il s'agit d'un malade ayant présenté tous les signes de la pré- tendue aphasie motrice sous-cortical
en même temps qu'à la corrélation intime de ces analyses avec les signes physiques de la maladie, établis par Charcot d'un
ie des tendancce psychiques des individus. M. CII.4.111'ENTIER. Les signes physiques de la dégénérescence mentale ne sont
pas plus fixes que ceux de la criminalité. M. MAGNAN croit que les signes physiques de dégénérescence ont une importance
quoique irrégulière, est cependant suffisante et spontanée; pas de signes d'auscultation aux poumons, battements du coeur
nt ce caractère particulier qu'ici nous observons bien souvent le signe d'Argyll Robertson (ou de Vincent) renversé, c'es
tance, le réflexe lumineux étant complètement conservé. Ce dernier signe assez caractéristique et d'une constatation rela-
e feuilles de membranes hydatides et présentent à la coloration les signes de la dégénérescence polychromatophw- lique des
ne constitution spéciale qu'il est difficile de reconnaitre par des signes précis avant la manifestation. du délire. Cet
lysie du droit externe. De plus, nous avons constaté l'existence du signe d'Argyll Robertson. Nous attirons l'attention s
s, j'acquis la conviction que jamais )1-0 X... n'avait présenté des signes d'intoxication éthylique. Le confrère qui, avan
nsi que je l'ai dit, les nerfs de l'avant-bras se trouvèrent pris ; signe d'Argyll Robertson, paralysie de la sixième pai
analyser cette particularité qui, tout d'abord ferait croire que le signe classique de la sclérose en plaques n'existe pas
t fièvre. Mort en février 1893. A l'autopsie on constate, à côté de signes de polynévrite parenchymateuse, des foyers de r
y ne croit pas l'amélioration des troubles de la mémoire comme un signe pathognomonique. M. Minor dit que la description
idées de jalousies, des idées de persécution et puis seulement des signes physiques d'alcoolisme. Chez les chroniques, c'es
us ou moins tarés, qui, anté- rieurement déjà, ont pu présenter des signes divers de désé- quilibration mentale. Souvent m
nous avons signalée plus haut. Enfin, il est à remarquer que les signes somatiques font défaut : les fonctions organiqu
rantes d'auto-accusation. Mais nous ne pûmes trouver chez lui aucun signe qui nous permit de les rattacher à la mélancolie.
à ce moment aussi actit qu au début, nous ne pouvions relever aucun signe qui nous permit de le rattacher à la mélancolie
e de début de ce délire, ses caractères particuliers, l'absence des signes pathognomoniques de l'état mélancolique, ne pou
e l'écorce ou à l'abréviation de la voûte palatine qui est un des signes de dégénérescence. Le nasonnement d'origine subco
celle qui a été constatée dans le premier cas. La comparaison des signes anatomiques et microscopiques soigneusement recue
le a une aussi grande importance pour le diagnostic du tabès que le signe de Westphal. f XLVL Des altérations des cel
constater que la très grande majorité d'entre eux présentaient des signes très accusés de dégénérescence qui les rendaient
re. Le 10, disparition des mouvements athétosiques, on constate les signes d'une caverne au sommet du poumon gauche; cette
24 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
T-ÉLOI DE MONTPELLIER. CLINIQUE MÉDICALE. DU VERTIGE DES ATAXIQUES ( Signe DE ROllBEIIG); Par le Professeur J. GRASSET.
re des ataxiques; ce symptôme porte, comme vous le savez, le nom de signe de Romberg. 1 Classiquement, ce symptôme est co
sensibilité musculaire. Mais vous verrez que chez notre malade, le signe de Romberg existe très bien et que cependant to
disais-je =, le symp- tôme qui, chez les ataxiques, porte le nom de signe de Rom- berg et qui consiste, vous le savez, da
avez, dans la perte de l'équilibre lors de l'occlusion des yeux. Le signe de Romberg répond à la définition du vertige, p
cette anesthésie est surtout très développée, ne présentent pas le signe de Romberg. « Ce symptôme, dont le mécanisme in
onde, et vous trouverez une réponse récente à cette conception du signe de Romberg dans le livre, du reste fort intéressa
1, à l'exemple du professeur Grasset, ranger parmi les vertiges le signe de Romberg. La perte de l'équilibre qui survien
thésie cutanée de la plante des pieds ne présentent pas en effet le signe de Rom- berg, ce signe se manifeste au contrair
ante des pieds ne présentent pas en effet le signe de Rom- berg, ce signe se manifeste au contraire chez les mêmes ma- la
n formulée en z1890, et accepter avec les auteurs classiques que le signe de Romberg est la conséquence de la perte de la
à réagir sous l'in- fluence de la lumière et de l'accommodation; le signe d'Argill Robertson n'existe donc pas. La sensib
froids). Je tiens surtout à vous dire que notre malade n'a aucun signe d'anesthésie plantaire; il sent fort bien les pav
s réflexes rotuliens, la di- plopie, la miction retardée ; tous ces signes le distinguent des paraplégiques et en font un
de départ clinique que nous étudierons, dans la prochaine leçon, le signe de Romberg en détail, dans sa nature, sa sympto
e moment où l'examen a porté. Si la maladie est une, la plupart des signes qui la caractérisent sont inconstants et variab
ganes fonctionnent bien; le coeur, les poumons ne présentent pas de signe d'une lésion quelconque. Non encore réglée. L'é
que, trahissent les contorsions dont le membre est agité. ' A ces signes extérieurs s'ajoutent ceux emprumtés à l'héré-
ns la répétition automa- tique de mots ou de bruils (écholalie), de signes (échocinésie), et dans des troubles psychiques
cas, l'écholalie seule est manifeste. Quelle est la valeur de ce signe ? Pour M. Charcot, l'écholalie se trouve seulemen
es, loc. cit., p. 33, 351. DE LA MALADIE DES TICS. 39 compris, ce signe a une valeur de premier ordre, et sa présence c
bronchiques qu'elle présentait. Chez le deuxième, nous trouvons des signes de bacillose à l'apex pulmonaire droit, des con
els, de nombreux traumatismes sur la tête. Chez le quatrième, des signes de rachitisme dans la déformation vertébrale, des
istants de maladies orga- niques nous a fourni pour tous les cas un signe utile. Ceci nous a servi comme un argument de r
mais le long des mem- Ures : sur la paroi abdominale apparurent les signes d'une contu- L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQ
t légitime ; nous croyons pourtant très utile de discuter sur quels signes elle était basée. En première ligne, il manquai
rique. Déjà Tancquerel avait dit que strabisme et diplopie sont des signes prodromiques de l'encéphalopathie saturnine. P.
la personnalité, puis une troisième ou terminale dans laquelle les signes de démence ont peu à peu rem- placé les concept
e nutritif aboutissant à une atrophie générale, ona- nisme avec les signes habituels du myxoeJème et un état de perturbati
une série de vingt observations, l'auteur met en relief un nouveau signe de dégénérescence des plus importants pour la c
etc. Quoi qu'il en soit, cette raie ou strie intra- oculaire est le signe matériel de la mémoire. (Mendel-Meynert.) 116 R
ère et 118 SOCIÉTÉS SAVANTES. trouve dans ces sortes de folies 12 signes communs qu'on peut ainsi résumer : 1° L'assoc
absence de délire contrastant avec leurs propos déraisonnables. Ces signes permettent d'apprécier les rapports de ces indi
ion précoce; d'ailleurs les derniers malades présentent souvent des signes physiques de sénilité. Ces faits diffèrent donc
bles de modifier les états de conscience d'origine cen- trale : les signes extérieurs de ces divers états de conscience peu-
ce des excitations sensorielles (vision colorée, synesthésies), les signes physiques des sensations; en nous mon- trant, a
hoses. De même qu'on ne peut affirmer une émotion en l'absence de signes physiques extérieurs, de même le diagnostic des t
me le diagnostic des troubles mentaux ne peut être basé que sur les signes physiques. Les répré- sentations hallucinatoire
iner les' individus que les autorités considèrent comme donnant des signes d'aliénation mentale, d) recevoir des aliénés c
orain, âgée de vingt-neuf ans, qui depuis quelque temps donnait des signes d'aliénation mentale, s'est jetée dans un puits
uses aucun autre trouble, aucun stigmate. DU VERTIGE DES ATAXIQUES ( Signe de ROMBEnG)' J Par le Professeur J. GRASSET.
EES P,Ir le D' J. SACAZE, chef de clinique médicale. \ II. Le signe de Romberg, ainsi appelé pour indiquer le premier
rité sur la marche et la station des tabétiques. C'est souvent un signe précoce qui peut révéler la maladie dans des ci
ce, on avait donné de la quinine. Mais en réalité, il s'agissait du signe de Romberg. D'autres fois les malades n'ont pas
ces divers procédés, on apprécie les nuances les plus délicates du signe de Romberg, et surtout on constate que l'oc- cl
t à mettre en relief dans cette analyse symptomatique, c'est'que le signe de Romberg est dû au brusque passage de la lumi
e point l'opinion de Vulpian ' qui dit à propos de la pathogénie du signe de - Romberg, : « On conçoit donc que la cécité
se - de Folie-Desjardins 1. Voilà donc l'analyse symptomatique du signe de Romberg ; examinons maintenant sa nature et
s, et sur lequel je suis d'accord avec eux, c'est l'indépendance du signe de Romberg, et de l'ataxie ; il n'y a ni parall
question n'a jamais été trouvé. » Cela est parfaitement vrai ; le signe de Romberg est un symptôme distinct, séparé, ne
tous les livres; pour vous le prouver, les témoignages abondent. Le signe de Romberg, dit Vanlair 1 dépend uniquement de
a lumière à l'obscurité est un élément pathogé- nique nécessaire du signe de Romberg, et pourquoi l'ataxique aveugle marc
ant plus follement ses jambes. L'explication généralement admise du signe de Romberg ne rend pas compte de ces différence
adapte mieux aux faits. 3. Si la théorie classique était exacte, le signe de Romberg ne devrait pas exister lorsque le se
e le nôtre, l'indépendance de la paralysie du sens musculaire et du signe de Romberg. Axenfeld * constate que les mêmes p
pétent et d'être récentes. Il reconnaît que dans certains cas, le signe de Romberg peut exister sans trouble objectif d
donner la théorie classique, il se déclare obligé d'admettre que ce signe est le premier et le plus léger symptôme d'une
rie clas- sique. 4. La preuve inverse peut être fournie aussi. Le signe de Romberg existe parfois, vous l'avez vu, sans
es qu'ils présentent sont différents de ceux qui appartiennent au signe de Romberg. Duchenne ' et Lasègue 2 ont très bi
On a multiplié et contrôlé ces expériences : il n'y a là rien du signe de Romberg. Donc je ne nie pas que la perte ou
coud ' note « le sentiment profond de terreur » des malades dans le signe de Romberg. Le malade, dit Vaulair 2, en décriv
r mot pour finir. Il ne faut pas confondre ce ver- tige spécial, le signe de Romberg avec les autres vertiges ordi- naire
souvent artério-scléreux. Mais s'il s'agit là de faits courants, le signe de Romberg est au contraire un symp- tôme spéci
lieu, Léonie présenta, un an après son entrée à l'hôpital, tous les signes de V hystéro-épilepsie : grandes atta- ques cla
inet, Babinski, etc.. Enfin, on lui reconnut, il y a trois ans, les signes de la tuberculose pulmonaire au début. Les lési
bsolument dou- loureuse : il y avait du reste du même côté d'autres signes d'hypéresthésie. Chez les hystériques, quelquef
, ont abouti à la surdité uni ou bilatérale, dont ils étaient les signes avant-coureurs ; mais au début, il n'y avait aucu
aient les signes avant-coureurs ; mais au début, il n'y avait aucun signe objectif. J'ai déjà dit que ces états d'éréthis
tif. J'ai déjà dit que ces états d'éréthisme sont fréquem- ment des signes prémonitoires de la surdité par sclérose, plus
. Je citerai le fait suivant qui met bien en relief la va- leur des signes auriculaires au point de vue de la localisation
en conformé ainsi que les membres supérieurs et infé- rieurs. Aucun signe de rachitisme. Le dos des mains présente des du
arche de la paralysie des - muscles des yeux et la simultanéité des signes spinaux et céré- braux. Il y a cependant des ca
it une nouvelle maladie qui serait caractérisée par trois ordres de signes : 1° des troubles de la vision; 2° des parésies
dans leur rédaction, enfin les modifi- cations de la syntaxe et des signes graphiques eux-mêmes. De nombreuses reproductio
par jour et de l'eau-de-vie pour trois sous tous les matins. Pas de signes d'alcoolisme, pas de syphi- lis. Soldat pendant
ait tout d'abord. Le scotome dans ce cas semble bien avoir été le signe pré- curseur de la migraine, ou plutôt comme un
fréquemment, et puis parce que nous ne découvrons aucun des autres signes habituels (déformations 366 CLINIQUE NERVEUSE.
uelques mots la vie du'professeur Ball et lève ensuite la séance en signe de deuil. Séance du 27 mars 1893. Présidence
'est que l'indice révélateur d'un autre désordre intellec- tuel, le signe extérieur par lequel ce trouble se manifeste : c'
s membres déchiquetés, ils s'en retournèrent chez eux en donnant le signe d'une satisfac- tion profonde. La gendarmerie a
sujet a les mêmes aptitudes, les mêmes paroles, il obéit aux mêmes signes , change d'état suivant qu'on le touche ici ou l
chaque geste du sujet, mais nous pouvons supposer d'après bien des signes que l'attaque d'hystérie vulgaire est la reprod
debout. Néanmoins, les différentes articulations ne présentent pas signe d'une lésion quelconque; seulement si on cherche
que quelques-uns de ses stigmates habi- tuels ont coexisté avec les signes essentiels de la paralysie agitante. Or, toutes
r insiste surtout sur ce fait que cette femme ne présentait aucun signe de dégénérescence, aucun antécédent héréditaire.
de contact. C'est ainsi que la fréquence du « délire, les nombreux signes de dégénérescence, la fréquence de « l'épilepsi
ns. Pas d'cedème. Un an après, état mental très amélioré et plus de signes de néphrite. 4° Maniaque avec idées de perséc
25 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
musculaire, ni l'hypertrophie douloureuse des troncs nerveux, ni le signe d'Argyll-Robertson, communément observés dans c
e hyperesthésie cutanée ; chez un autre s'adjoignait l'existence du signe d'ryll-Robertson. Il est avéré d'autre part que l
région anesthésiqup, etc. ; mais nous tenonscomme certains ces deux signes im- portants et suflisants pour esquisser un co
e mal connu, et comme la sclérose en plaques lui emprunte nombre de signes , comme d'autre part, certaines lésions scléreus
ne. J'ai revu, il y a cinq mois, mon malade et je lui ai trouvé les signes capitaux que depuis Thomas (1897) nous attribuo
e 1904. (2) Clinique de la Pitié, 6 janvier 1885. 32 SCHERB les signes aussi que M. Babinski reconnaît à l'asynergie cér
eul, il cause de sa maladresse (1). Donc, dès ce moment, les grands signes du syndrome cérébelleux, asthénie et ataxie. Le
... marche plutôt comme un ataxique. Les réflexes sont diminués, le signe de Babinski est douteux, je n'ai pu arri- ver à
alade à man- ger (Soc. anatomique, 1900). xvm 3 34 SCIIERB Ce signe m'a paru vrai dans toutes les directions, en avan
d, la jambe et la cuisse se détendent en deux temps. - Ce dernier signe n'est pas évident chez D... Ce qui paraît dominer
moins d'oscillations qu'un individu normal. J'ai recherché d'autres signes qui mettent en relief ce déficit de l'appareil cé
D... entend très bien, n'accuse pas de vertige. Mais il présente un signe curieux qui, pour moi, montre bien cette asynergi
nts (Pasquale de Michèle, Rev. Neurologique, 1875, p. 474) sont les signes des tumeurs du lobe médian et du vermis. Mais l
cembre, frissons, malaise général. A l'auscultation on constate les signes d'une broncho-pneumonie pseudo-lobaire. Après q
a vue, le palper fait faire le diagnostic. Après avoir étudié les signes communs aux deux affections, après avoir vu les
té et l'animation de la vie. On aperçoit, sur ce croquis, outre les signes de la décrépitude sénile, et l'expression mimiq
crapauds de Meudon. Les Monstres; selon Paré, sont ordinairement le signe de quelque malheur à venir. Ils ont différentes
nouvelées comme les donne la nature même, noter un détail n'est pas signe qu'on ne goûte pas l'ensemble, mais seulement q
ans la station debout, nous ne constatons ni chute cérébelleuse, ni signe de Romberg ; jamais il n'a éprouvé de vertiges au
s, alors que leur exa- gération est considérée d'ordinaire comme un signe d'importance capitale au point de vue du diagno
lade que je vous présente ; tout en réalisant en majeure partie les signes de l'hérédo-ataxie cérébelleuse, Henri R .. a v
était normale et jamais on ne constata de troubles pupillaires; le signe d'Argyll fit toujours défaut. Eu égard aux réfl
e de Mlle Pesker, le syndrome cérébelleux s'associe à la fois à des signes accusés de déchéance intel- lectuelle et à une
. Ce dernier n'est point délimité exactement et à son pourtour tous signes de réaction inflammatoire font défaut. Il appar
cachecti- que ; à l'examen de ses poumons on note tout de suite les signes certains d'une infiltration des deux sommets.
à droite et on provoque même très facilement le clonus du pied et le signe des orteils de ce côté, . NOUVELLE ICONOGRAYU
pituitaire sans voir se produire, même après plusieurs mois, aucun signe d'acromégalie. Néanmoins nous devons ajouter qu
le-ci n'était en défaut dans notre observation même où les premiers signes d'acromégalie n'ont apparu qu'à 66 ans. Quelle qu
ement fléchies, les autres en extension. L'enfant présente tous les signes de l'hémiplégie organique à gauche. On note en
on des or- teils, la flexion combinée de la cuisse et du bassin, le signe du peaucier. Le foie et la rate ne sont pas aug
té, des réflexes fut toujours négatif. Jamais je n'ai pu trouver un signe d'hystérie. La température rectale oscillait 20
entait de lésion rénale, ni du coeur, ni des vaisseaux, ni même des signes d'hystérie, notre diagnostic n'est pas douteux.
, silence respira- toire au-dessus de la ligne mamelonnaire. - Le signe du sou n'est perçu en arrière que sur une hauteur
Il accuse de temps à autre des douleurs dans le côté droit. Pas de signes de tuberculose. Dans cette observation, quelque
lente, et ne se manifesterait que pendant l'exécution de tel ou tel signe conventionnel de l'écriture. C'est ainsi qu'on
t tous ceux qui attribuent la perturbation dans la coordination des signes conventionnels de l'écriture, ont raison d'atti
dique, se trouvent au repos et 'la main exécute plus facilement les signes conventionnels. S'il nous était LA CRAMPE PROFE
ent. Ensuite, faut recommander au patient de suivre l'exécution des signes conventionnels avec son cerveau, car souvent l'
ar le rythme plus ou moins prolongé qu'on apporte à exécuter chaque signe d'écriture. «Il suffit, dit M. Gilbert Ballet,
versée entraine par elle-même une exécution plus ou moins lente des signes conventionnels. LA CRAMPE PROFESSIONNELLE . 229
jours avant l'entrée à l'hôpital. A l'examen, on retrouve tous les signes de la névralgie sciatique, les points douloureu
sciatique, les points douloureux (fessier, trochantérien, poplité). Signe de Lasègue. La douleur est continuelle avec par
e en talonnant et en écartant les jambes ;'il présente nettement le signe de Romberg. M... se plaint de douleurs vives dans
pupilles sont inégales, les réflexes pupillaires n'exis- tent pas. Signe de Romberg. .D'après les renseignements fournis
c idées hypochondriaques (Dr Magnan). A son entrée, il présente les signes physiques suivants : léger strabisme conver- ge
rvation du réflexe plantaire en flexion et du réflexe crémastérien, signe de Romberg et démarche ataxique. Foie petit, doul
gnostic de P. G. porté par les D" Legras et Magnan. Il présente les signes physiques suivants : parésie faciale gauche, inég
physiques suivants : parésie faciale gauche, inégalité pupillaire, signe d'Arg,yl-Hoberlson, nystagmus latéral, tremblemen
es plantaires et crémastériens, pas de trouble de la sen- sibilité, signe de Romberg, faiblesse musculaire peut-être plus a
ssive avec agitation. A son entrée dans le service, il présente les signes classiques de paralysie générale, démence et eu
laire est diminuée surtout à gauche. Tremblement généralisé. Pas de signe de Romberg, pas de troubles des sphincters. A c
usculaire le malade reste alité et progressivement s'accentuent les signes de méningo-encéphalite, embarras de la parole, tr
tômes tabétiques. Six mois après son entrée, en septembre 1902, les signes de tabes sont mani- festes. A la disparition du
festes. A la disparition du réflexe patellaire viennent s'ajouter le signe de Romberg et un certain degré d'ataxie ; il ta
ue le réflexe à la distance. Un an après son entrée, en mars 1903, le signe d'Argyll-Robertson est à son tour manifeste et
diagnostiquée par M. Garnier et par M. Magnan. Il en présentait les signes cardinaux : embarras de la parole; inégalité pu
o-dilatation intense de tout son corps ; il paraît écarlate. Pas de signes pulmonaires. Le soir même, on constate que la f
st inconscient de sa situation et incohérent dans ses réponses. Les signes physiques sont au complet : inégalité pupillaire,
NE fut confirmé à son arrivée à l'asile ; il présentait en plus des signes de tabès : abolition des réflexes patellaires,
t en plus des signes de tabès : abolition des réflexes patellaires, signes d'Argyl-Hobertson, ptosis de la pau- pière droi
semaines après le début des accidents, après avoir été précédées des signes prémonitoires tels que l'exagération des réflex
ès exagérés, ils sont un peu vifs du côté gauche. La recherche du signe des orteils (signe de Babinski) ne donne pas de r
nt un peu vifs du côté gauche. La recherche du signe des orteils ( signe de Babinski) ne donne pas de ré- sultats précis
urs ; la fatigue vocale est facile et rapide. Mais on ne note aucun signe de paralysie bulbaire : il n'existe de troubles
couleur ? C'est le caractère d'une importance majeure, car c'est le signe de l'état des vaisseaux superficiels. Bazin (30)
es tendineux sont un peu forts, mais égaux des deux côtés. Pas de signe de Babinski. Notre malade présente donc une cra
oins que deux frères présentent, eux, d'une façon indiscutable, les signes de cette affection. Dans quelques-uns des cas d
héréditaire et qui est caractérisée essentiellement par les quatre signes principaux suivants : développement exagéré du
exes cutanés et pupillaires, l'acuité visuelle sont normaux. Pas de signes de lésion du faisceau pyramidal, pas de trouble
donné son nom qui résume d'une façon précise et concise les quatre signes princi- paux de l'affection. Nous reproduisons
Montréal, en 1899, signala chez une femme de 38 ans les principaux signes du syndrome, sans parler cependant du ca- ractè
qui explique que certains savants comme Sachs, ne trou- vent pas ce signe , et que certains autres même, comme Gross, le nie
Il existe d'ailleurs assez d'exemples pour prouver la valeur de ce signe important (familles de P. Marie et Sainton, de
ces auteurs ont vu depuis quelques années se dé- velopper tous les signes d'une hydromyélie très accentuée caractérisée par
soudure des fonta- nelles ; nous savons quelle est' la valeur de ce signe méconnue par cet au- teur. Carpenter invoque ch
i-même rejette d'ailleurs cette opinion, n'ayant pu cons- tater les signes principaux du rachitisme. Une hypothèse plus vr
ues, bien connues des zootechnistes, que l'école néodarwinienne dé- signe , avec de Vries, sous le nom de mutations ». Les d
Marie et Sainton est une entité bien définie, caractérisée par des signes bien nets que nous retrouvons au complet dans l
retrouvons au complet dans la famille que nous avons décrite. 2° Le signe qui, à côté de l'aplasie claviculaire, nous a par
cial restent aussi carac- téristiques que possible. 9o A côté des signes cardinaux de l'affection existent des signes seco
ossible. 9o A côté des signes cardinaux de l'affection existent des signes secon- daires qui ont leur importance : parmi c
développement. - I. Vue d'en- semble du processus méningitique. II. Signes fonctionnels de la méningite. III. Actions méca
che provo- que une trémulation qui peut amener de la contracture. Signe de Babinski. Sphincters intacts. 31 mai 1899. E
. Exagération considérable des réflexes patellaires. Achil- léens : signe de Babinski, sans parésie. Troubles de l'équili
que avec accès d'agitation. En terminant nous insisterons sur les signes négatifs du tableau cli- nique, c'est-à-dire su
rb, Naef, Krafft-Ebing (1892), etc.), nous voyons dans d'autres des signes d'une localisation su- périeure s'y adjoindre.
u du caractère. Mais dans aucune autre observation on ne trouve des signes bulbo-protubérantiels ou pédonculaires aussi pron
rvelet, elle produirait l'hérédo-alaxie de Marie, et cer- tains des signes du Friedreich et de quelques formes de maladies f
tion psychique, et que la volonté ne peut reproduire. Or, parmi les signes que j'ai passés en revue se trouvent les caractèr
n complétant l'examen de ce sujet chez qui on trouve un ensemble de signes qui con- duisent inévitablement au diagnostic d
mi- spasme : ce sont des vertiges, de la latéropulsion à gauche, le signe de l'é- ventail des deux côtés, mais plus marqu
ivement l'hémispasme facial caractérisé cliniquement par les divers signes que j'ai cherché à mettre en relief et qui est
é- cocité de la complication est telle que nous ne trouvons pas les signes physiques d'ordinaire évidents de la tumeur bla
s points doulou- reux à la pression qui, jointe à l'absence de tout signe appréciable en dehors de la contracture, nous f
tiquer l'hystérie. Nous allons retrouver chez nos autres malades ce signe , plus important que chez l'a- dulte peut-être,
La pression des testicules est particulièrement douloureuse. Aucun signe sensoriel. Devant une telle évolution, on n'hés
pouls 92. La recherche de stigmates hystériques est négative,pas de signes d'anesthé- sie, ni d'hyperesthésie, aucun signe
st négative,pas de signes d'anesthé- sie, ni d'hyperesthésie, aucun signe sensoriel. Malgré tout on porte le diagnostic d
n- contré chez l'enfant, et d'autre paît, dans le cas actuel, aucun signe de sciatique. L'absence de toute atrophie muscu
nts de la colonne lombaire et dorsale sont parfaitement normaux. Le signe de Romberg n'existe pas. L'enfant ne s'est jamais
e, des mamelons, et surtout au niveau de la région ovarienne. Aucun signe sensoriel. Etat psychique assez spécial : carac-
léchi à angle droit. L'enfant couché, on remarqua l'absence de tout signe physique dans le genou, de toute atro- phie mus
lignes, offrent des caractères plus pathognomoniques que les seuls signes cliniques qui peuvent être réalisés, au moins en
des épiphyses, la synos- tose prématurée des os de la base sont des signes de plus de valeur. Il en est de même de l'éléva
vement à la taille du sujet. Ces nains, qui prennent rapidement les signes d'une vieillesse précoce, sont dégénérés non seul
t avant tout symptôme clinique (Kassovitz, Spillmann). L'absence de signes A classiques extérieurs ne suffit donc pas pour
spécifique, il ne s'ensuit pas que cette altération osseuse soit un signe de syphilis : N'oublions pas que la syphilis, à c
s appréciables de la sensibilité objective, il présente pourtant le signe de Biernacki. La marche est difficile, le malade
. Les urines sont peu abondantes, et ne contiennent pas d'albumine. Signes d'emphysème pulmonaire. Pas de souffle au nivea
bulbe, de la protubérance, du cervelet présentent presque tous les signes d'une altération plus ou moins grave. La paroi
4 ou 5 ans après une syphilis sérieuse, vit apparaître les premiers signes d'une atrophie musculaire progressive dont l'év
la face. On n'oubliera pas non plus l'importance de la présence du signe d'Ar- gyll-Robertson. Quant la lymphocytose, el
e dans des limites assez étendues sous diver- ses influences. II. SIGNES FONCTIONNELS de la MÉNINGITE. A ces lésions ana
lente ou rapide, correspondent nécessairement un certain nombre de signes fonctionnels. Ces signes fonctionnels, nous les
ondent nécessairement un certain nombre de signes fonctionnels. Ces signes fonctionnels, nous les retrouvons aussi bien chez
ique des centres ner- veux, la méningite foetale se traduit par des signes indiscutables. Sans doute, le tableau clinique
tables. Sans doute, le tableau clinique n'est pas complet; certains signes font défaut; on ne peut, par exemple, distingue
e son côté, souligne la « vivacié » du foetus (2). A vrai dire, ces signes n'ont pas été constatés dans tous les cas où ils
de. Grâce au remaniement opéré par la contraction muscu- laire, les signes fonctionnels se trouvent pour ainsi dire figés su
nstate, en effet, dans tout le tiers supérieur du poumon gauche des signes cavitaires et il est facile aussi de reconaître
-Air à l'autopsie du nommé César L... Dès l'ouverture du crâne, les signes d'une pression exagérée apparu- rent si évident
euses. Il en était résulté une dilatation ventriculaire avec tous les signes d'une pression exagérée. C'est sans doute de ce
a pour une vul- vite très accentuée. Enfant bien développée, pas de signes de rachitisme, pas de stigmates de syphilis hér
abord la coexistence avec cette malformation oculaire de quel- ques signes de dégénérescence (en prenant ce mot dans le sens
d'incriminer en semblable cas, nous avons signalé l'absence de tout signe positif relevable dans les antécédents ou actue
res est négatif. Que reste-t-il, en somme, de cette accumulation de signes négatifs ? Voilà un homme de 25 ans, d'une sant
. La déformation connue sous le nom de scapulce alatce constitue un signe diagnostique important des formes scapulo-humér
tremblement fibrillaire et la réaction de dégéné- rescence sont des signes constants dans les atrophies musculaires myélo-
méningite de l'enfant ou de l'adulte, elle se traduit par les mêmes signes fonctionnels, touchant surtout aux contractions
l (Anencéphales des auteurs). VIII. A ces lésions correspondent des signes fonctionnels qui se traduisent par les mouvemen
u foetus et par diverses dispositions morpho- logiques qui sont les signes fonctionnels fixés. IX. L'attitude particulière
ociété de Biologie, 1904. - L'attitude des pseudencéphaliens et les signes de la méningite foetale. Société de Biologie, 1
26 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
édité elle-même reste cachée, alors la prédispo- sition n'a d'autre signe révélateur que la toxicomanie elle-même. Comm
ire esl bien développé ; la taille correspond à l'âge. , Point de signes visibles d'une dégénérescence quelconque. Ilien
et des réflexes de l'avant-bras, lympho- cylose très faible, pas de signe d'Argyll. MM. Marie et Babinski n'acceptent pas
rois ans de troubles de l'écriture, puis de lamar- che ; ébauche de signe de Romberg; exagération des réflexes et signes
r- che ; ébauche de signe de Romberg; exagération des réflexes et signes de Babinski ; pas d'asynergie cérébelleuse. Du cô
ve, surajoutés à laforme mentale pour laquelle on les internés, les signes psy- chiques et physiques de l'intoxication alc
eurs que l'exa- men montre être surtout névralgiques. Il a tous les signes d'une sciatique double ; signe de Lasègue très
surtout névralgiques. Il a tous les signes d'une sciatique double ; signe de Lasègue très net des deux côtés, dou- leur à
c oscillations dont le maximum ne dépasse pas 3J ? et on trouve les signes d'une broncho-pneumonie au poumon droit. Le mal
s dans les racines de la queue de cheval, qui ne présentaient aucun signe d'inflamma- tion. Des coupes faites au niveau d
ssion douloureuse au niveau du sa- crum ou des vertèbres lombaires, signes d'affection de la symphyse sacro-iliaque. C'e
de avait survécu plus longtemps, les phé- nomènes nerveux sinon les signes de localisation osseuse de la tuberculose serai
er que les mélancoliques présentent des troubles physiques et des signes cliniques, qui attestent bien que le foie est l
e, la constipation ou les crises diar- rliéiqucs sont également des signes de cholémie. Ces symptômes se rencontrent -ils
les symptômes d'une dégénérescence men- tale et, d'autre part, les signes cliniques d'une affection biliaire familiale.
diagnostic de la « paralysie générale, la lymphocytose n'est qu'un signe morbide « isolé, qui ne peut être utilisé qu'en
« isolé, qui ne peut être utilisé qu'en le rapprochant des autres « signes cliniques. Le résultat cytologique n'a sent de ri
Dans la première il s'agit d'un tailleur de 17 ans qui présente les signes de Chyoslek, Hoffmann et Trousseau ; mais ce dern
: 1. L'onde musculaire ou contraction idiomusculaire, constitue un signe de réaction locale extérieure du muscle loca- l
s après des douleurs ostéocopes et sont accompa- gnées seulement de signes d'Argyll sans autre phénomène tabéti- que. Le t
Monlélimar. Un nommé Callus, qui, depuis quelque temps donnait des signes d'aliénation mentale, se promenait le long de l
nce, dont nul ne sem- bla blâmer la liberté ; si bien que celui qui signe ces lignes put avoir l'illusion, sinon d'avoir
les lésions cérébrales syphilitiques. Dans le tabes on observe : le signe d'Argyll Robertson, le myosis et l'inégalité pu
TES ET NEUROLOGISTES. L'irrégularité pupillaire ne constitue pas un signe de tabes C'est un état normal n'apparaissant pa
yphilis seule ne donne pas lieu au phénomène d'Argyll-Robertson. Ce signe indique toujours le tabes et une autre lésion m
re correspond toujours à un trouble dans la motricité de l'iris. Le signe d'Argyll-Robertson n'y est jamais pur comme dan
et une névrite ascendante, il n'y a qu'une question de degrés. Les signes de la névrite se ré- vèlent par la douleur, les
troubles de la sensibilité objective, et surtout par l'absence des signes positifs de névrite, signalés plus haut. Anat
hercher, à l'avenir, dans la ponction lombaire faite précocement un signe caractéris- tique de la phase radiculo-médullai
ement l'apparition du symptôme chez les paralytiques généraux. Le signe de Kernig dans la paralysie générale. Dr DARCAN
de Kernig dans la paralysie générale. Dr DARCANNE (de Fougères). Le signe de Kernig est fré- quent dans la paralysie géné
lytiques généraux. Sur les 26 malades de Bégard, 10 présentaient le signe de Kernig d'une façon nette ; une autre, d'une
n nette ; une autre, d'une façon douteuse. Sur les 10 présentant le signe de Kernig avec évidence, 8 étaient à la période
ions recueillies chez des hommes, c'était à la phase de début. LE SIGNE DE KERNIG DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 Le si
e de début. LE SIGNE DE KERNIG DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 Le signe de. Kernig est considéré, généralement, comme s
qu'elle peut succéder au tabes. Nous pouvons donc considérer notre signe de Kernig,dans la paralysie générale, comme tra
esprit est une réalité en clinique : en effet, nous avons trouvé le signe de Kernigconcomitamment avec une légère exagéra
ation des ré- flexes, avec le clonus du pied et fréquemment avec le signe de Babinski. La présence de ces derniers signes
fréquemment avec le signe de Babinski. La présence de ces derniers signes indique bien qu'il y a lésion des méninges rach
ennes ou des faisceaux pyramidaux. Chez les 10 femmes présentant le signe de Ker- nig, nous avons trouvé six fois les réf
les réflexes exagérés, cinq fois le clonus du pied, et cinq fois le signe de Babinski. Tous ces paralytiques généraux ava
des jambes jusqu'à l'impossibilité complète de se tenir debout. Le signe de Ker- nig signifiait bien lésion médullaire.
ne de Ker- nig signifiait bien lésion médullaire. Dans le cas où le signe de Kernig existait au début de la paralysie gén
des ménin- ges cérébrales. Il résulte de ces observations que le signe de Kernig pos- sède une grande valeur. Le signe
observations que le signe de Kernig pos- sède une grande valeur. Le signe de Kernig est, en effet, un signe de diagnostic
pos- sède une grande valeur. Le signe de Kernig est, en effet, un signe de diagnostic, puisqu'on le trouve à toutes les p
d'importance, car dans les cas de paralysie générale fruste, sans signe d'Argyll-Robertson,il peut mettre le clinicien su
eut mettre le clinicien sur la voie du diagnostic. C'est aussi un signe important du pronostic. Il indique, en effet, l
roubles de la marche qui peuvent même confiner le malade au lit. Le signe de Kernig, dans la paralysie générale, indique,
ou aux affections aiguës tendant très lentement à l'apaisement des signes de l'excita- tion psychique, certaines applicat
trices et psyclio-inhibitrices, ,'d'liillucin*ations psychiques, de signes physiques (dermato-psychiés -insuffisance hépato-
aranoïde ne peut se séparer des formes hébé- nhréno-catatoniaues. SIGNES OCULAIRES DANS L\ DÉMENCE PRÉCOCE. 231 232 CONG
d'une moda- lité pathologique du réflexe lumineux bien distincte du signe d'Argyll, qui est un symptôme fixe et permanent
e lésion de la couche optique. On arrivera peut- être à faire de ce signe un phénomène de déficit (ou d'exci- tation ? )
nand Dijon, avait dû être interné à Sainte-Anne, car il donnait des signes d'aliénation VARIA. z53 mentale très prononcé
qu'en l'absence d'aucun trouble objectif de la sensibilité, d'aucun signe d'une lésion orga- nique, les idées de transfor
ité réalisent donc, au moins dans une certaine mesure, un véritable signe de localisation. Les notions de figuration spat
aliéna- tion mentale confirmée » . Quoi qu'il en soit, il est des signes qui peuvent per- mettre au médecin d'établir le
eurs réactions souvent désordonnées et violentes et malgré certains signes de déchéance en 272 .. PATHOLOGIE MENTALE. ap
convient de rechercher s'il existe dans les faits de conscience des signes positifs grâce auxquels le problème pourra se p
se préciser. , Avant de commencer la recherche et l'examen de ces signes ,' nous devons prendre position sur une question
ante des phénomènes biologiques. Ceci établi, passons à l'étude des signes positifs de la conscience et de l'époque de leu
hypothèse. Ce qu'il dit du réflexe de Babinski est aussi exact du signe de Strumpctt. « L'existence de pareils faits dé
r, c'esl qu'il y des paraplégies ou des hémiplégies accompagnées du signe de Babinski, et où ce signe a disparu avec la g
gies ou des hémiplégies accompagnées du signe de Babinski, et où ce signe a disparu avec la guérison ». (Marinesco : Elud
eils. Revue Neurologique, 1903, p. 493.) - « Toutes les fois que le signe de l3altinski : tltl>nr : al au cours d'une
ans le service du Der 51erklen, a Lacnnec ; il présentait, outre le signe de Kernig, du myxoedème ( ? ) du triceps, et ab
uivants, la température s'élèveet,la veille de la mort, apparaît le signe de fal>insl : i-evtension. A l'autopsie, on
ti- ques généraux; et dans la symptomatologie, la constatation du signe tl'Arnll-llobertsou, semblent donner à la syphili
ccès, puis, que, jusqu'au coucher, il était hébété : ce sont là des signes qu'il importe du noter car ils amènent à perler
l y.a 4 ans ; son mari l'a quittée il y a 18 mois et n'a plus donné signe de vie. Le départ et l'absence de son mari l'ont
. par litre. Le sèriun, examiné il différentes reprises, a donné le signe de Gmelin. Observation IX. Folie il double form
, F..., fut rendu à sa femme. Pendant 8 ans, il ne donna plus aucun signe de troubles psy- chiques. En 1900, il fut repri
P. 11ER.\1' tL. - RI-,tUI : DE PATHOLOGIE MENTALE. : 3n IX. Des signes extérieurs de l'onanisme habituel chez les garç
rulente ni ra- nltirlicnne, ni bulbaire, ni cérébrale, pas même des signes appa- l'cn[,,llel11l'ningile aiguë conge.-live.
se pro- duit pas,' comme s'il avait avorté dès la manifestation des signes précurseurs, et c'est, précisément celle crise
alysie générale, muntrant que dans le stade initial il n'y a pas de signe permettant d'aflirmerlediagnostic. Des signes de
nitial il n'y a pas de signe permettant d'aflirmerlediagnostic. Des signes de né- vrite seront en faveur du Korsakovv, des
gnostic. Des signes de né- vrite seront en faveur du Korsakovv, des signes de sclérose com- binée en faveur de la P. G. Ce
plus que dans les autres endroits, mais largement perméables. Aucun signe d'inflamma- tion dans les vaisseaux radicntaire
ils en extension nette des deux côtés. Pas d'atrophie musculaire. Signe d'Argill flohertson à la pupille gauche ; la droi
s, même les plus petites, très congestionnés ; on ne relève aucun signe d'infiltration ; les espaces périvasculaires, ain
ple. Au niveau de celle-ci, nous avons constaté l'absence de tout signe d'inflammation, tant des méninges que de la moe
mentation de la pression du liquide cc·1>ltalo-raclti- dien : le signe dcWcstpIml ne peut pas non plus être ex- plique
pathologique, l'cxistenccd'nnvrai tabès, bien que la pré- sence du signe d'Argill-Roberston plaide en faveur d'un tabès
és, clonus du pied bilatéral, phénomène de l'orleil indif- l'érenl, signes objectifs et subjectifs de scialiqup double, dill
ment (le la phalangine. (Fig. `5.) Assez 011\ enton cons tale des signes multiples de dégénéres- ccnce ; malformations d
ns qui succomba six mois après son entrée, après avoir présenté les signes caractéristiques delà démence précoce : négativ
SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 précoce type, est mort, cachectique avec des signes de tubercu- lose pulmonaire. A l'autopsie, on t
lho-protu- héranliolle. L'excitabilité électrique n'est donc pas un signe pro- . (I) Nous avons eu l'occasion, bien des f
. - Femme présentant une démarche hési- tante avec propulsion, sans signe de Romberg, ni asynergie céré- ])eIIeuse, ni pa
se, ni paralysie. Abolition des réflexes rotulicns et achil- léens, signe de Babinski. Nystagmus; pas de troubles sensoriel
Kéca- mcy, p. 142. - - Jorns \L. Viuvoiiil . p. 79. Kehnig. Le signe de dans la paralysie générale, par Darcanne,
sensibilisatrices microbiennes, par Didc et Sncquépée, p. 232. Signes oculaires dans la dé- mence précoce, par Dide e
: ¡- Lwn, 11,n 1)I'IJlI;" p 111 La - (Ic l'uniforme et des in- signes ]}lJll1dll'(I. pal' Lux, p. 142. Voir Mutisme.
27 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hamp visuel il conclue que le rétrécissement du champ visuel est le signe le plus précoce, le plus sûr, le plus carac- té
quarante-neuf ans, entré en août 1901, donnait depuis six mois des signes d'aliénation mentale. Dégé- néré, alcoolique (i
, on lui vole ses effets. Aucune systématisation. Mémoire abolie. Signes physiques : marqués de paralysie générale. Trembl
hysiques de dégénérescence. Athérome artériel. Il présente tous les signes de la paralysie générale à la der- nière périod
dut être interné d'urgence. Il présentait à l'entrée la plupart des signes de la paralysie générale progressive. Etat m6
'après il disait .n'avoir pas un sou. Excitation intermittente. " Signes physiques très marqués. Tremblement fibrillaire d
rapporter aux indications du malade et on tiendra compte plutôt des signes physiques capables de trahir la fatigue, c'est-
, officier. Tabétique depuis neuf ans. Depuis trois ans et demi les signes d'incoordination sont apparus et l'ont depuis f
ant l'équilibre. Celui-ci se rétablit à mesure que se corrigent les signes observés du côté du tronc. Aujourd'hui B... n'a
oppée la diminution de la réaction pupil- laire. L'importance de ce signe en médecine légale saute aux yeux. P. IEIiAVAL.
ous forme d'excitation maniaque avec idées de persécution, puis des signes de basedo- wisme moins l'exophtalmie. Ces troub
Il s'agit d'un homme de soixante-neuf ans, qui présentait tous les signes d'une pachy-méningite hémorrhagique (état comateu
s l'ictus. Chez les quatre sujets il a trouvé très manifestement le signe de Babinsktri. M. Marie a observé le même fait
plaques cérébello-spasmodiques, ils croient, en conséquence, que ce signe peut être différenciateur de l'hystérie et d'un
n traumatisme occipital. Examen de la moelle d'un malade porteur du signe 6t'A)'o ? ? o ! 'e)'(M : . Tabes fruste. M. H
ovenant d'un malade mort tuberculeux et n'ayant présenté comme seul signe clinique de la série tabétique que le signe d'A
ant présenté comme seul signe clinique de la série tabétique que le signe d'Argyll-Robertson. Il n'existe pas de sclérose
tabétiques avérés un certain nombre de malades qui n'ont pour tout signe clinique que l'Argyll-ltobertson. M. Dejerine c
nique que l'Argyll-ltobertson. M. Dejerine chez un sujet atteint de signe d'Argyll et de douleurs fulgurantes n'a pas tro
tate l'exagération des réflexes rotuliens, du clonus du pied et le signe de Babinski. Cette association flascospasinodique
és avec des types intermédiaires. Mais ne prend-il pas lui aussi le signe , pour la chose elle-même . Ribot admet les sens
ent de l'occlusion intestinale. Questions restées dans l'urne : Des signes de l'accouchement imminent; soins à donner à la p
romu chef de bataillon. Il paraît que depuis un mois il donnait des signes de dérangement cérébral et l'on a tout lieu de
eorgette. Depuis quelque lemps, la marchande de légumes donnait des signes de dérangement cérébral : « Je ne sais pas ce q
de-Grâce. Quelques temps après l'installation, Mme Dufois donna des signes fréquents d'absence et d'aliénation mentale. Pl
an et de son école, se traduit au dehors par un certain nombre de signes physiques et psychiques classiques, généralement
psychiques dans leurs manifestations extérieures s'accompagnent des signes devenus classiques : lutte angoissante, irrésis
us classiques : lutte angoissante, irrésistibilité, exagération des signes phy- siques de l'émotion, répétition et persist
physique de dégénérescence, mais il fait découvrir en revanche des signes bien nets d'hystérie : douleurs à la pression dan
é physique, elle ' DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 173 présente des signes hystériques manifestes : un rétrécissement du c
L'étude minutieuse de l'ensemble des éléments qui précèdent et des signes différentiels entre la paralysie asthénique et la
paralysie bulbaire asthénique. Elle se caractérise surtout par des signes bulbaires comparables à la fois à ceux de la pa
au cours d'une endocardite infec- tieuse pneumococcique. Valeur du signe de Kernig ; par MM. JOSSERAND et Lesieur. (Soci
gétations de l'endocarde et de la pulpe splénique après la mort. Le signe de Kernig a permis de faire un diagnostic et un
E NERVEUSE. 18S d'une façon très précoce en l'absence de tout autre signe de ménin- gite. Le signe de Kernig est importan
on très précoce en l'absence de tout autre signe de ménin- gite. Le signe de Kernig est important; rare dans la méningite
ne de Kernig est important; rare dans la méningite tuberculeuse, ce signe se rencontre fréquemment dans les autres méning
iagnostic de la paralysie générale. La présence des éléments est un signe de début. Ils apparaissent avant l'inégalité pu
signe de début. Ils apparaissent avant l'inégalité pupillaire et le signe d'Argyll. Elle permet de diagnostiquer la par
rose en plaques, maladie dont le sujet présentait exactement les signes , mais dont les centres nerveux ne portent aucune
s chez des hystériques. Cependant, ce jeune homme ne présente aucun signe d'hystérie. On peut se demander s'il ne s'agit
du tendon. L'épilepsie spinale n'a donc pas de valeur absolue comme signe de lésion du système pyramidal, le phénomène de
aggravant progressivement. ' Le malade rentre en mars 1900 avec des signes indéniables de tuberculose pulmonaire il la pér
, de larmes, de gémissements, de lamenta- tions. Il n'existe pas de signes physiques contestables, tels que troubles pupil
sance mitrale. Mydriase permanente, très prononcée à droite; pas de signes d'hystérie. Signification, non encore élucidée;
ssements. Bourdonnements dans les oreilles. Tremblements des mains. Signe de mélancolie, ne veut plus sortir de chez elle
tégument et des parties pro- fondes. , Cette hyperesthésie est un signe à peu près constant dans toutes les névralgies
llée d'un dégénéré. Tares héréditaires, convulsions dans l'enfance, signes de dégénérescence physiques, faible résistance
une lésion protubé- rantielle, et d'autre part il put constater des signes de paralysie alterne : une hémianesthésie droit
ité des lésions ont été con- sidérés par certains auteurs comme des signes distinctifs des porencéphalies traumatiques ; m
VIOT. {Revue deàiéde- cine 1899). Le cas observé présentait comme signe particulier une hémi- plégie droite à évolution
ce de douleurs fulgu- rantes et d'incoordination motrice et dont le signe le. plus marqué a été une atrophie musculaire à
érieure avec évo- lution très rapide et mort dans le marasme. Les signes pupillaires et la constatation à l'autopsie de la
. Dagonet ayant été Président de la Société, la séance est levée en signe de deuil. Reprise de la séance. Présidence de M
te-huit ans, le diagnostic, appuyé sur la constatation de plusieurs signes de petite urémie, fut confirmé par le retour et
hallucinatoire de leurs manifestations sensorielles pénibles est un signe probable d'intoxication non alcoolique. Il cite
ez rapide. Une malade observée par l'auteur et atteinte de tous les signes du tabès présente exactement tous les mêmes phé
. Delherm présentent un malade qui permet d'affirmer que sans aucun signe de lésion ou* d'irritation perma- nente de ce f
tude et de fatigue générale habituelle. On ne relève chez lui aucun signe de lésion cérébrale ou spinale ; l'examen du li
mptômes neurasthéniques et SOCIÉTÉS SAVANTES. 295 indemne de tout signe dedésion organique du faisceau pyramidal, on pe
ion que chez les sujets normaux. En somme, elle n'a de valeur comme signe que quand elle est unilatérale et très accentué
l'avis général que l'épilepsie spinale perd de son importance comme signe de lésion organique. Atrophie des membres de na
s cliniques ouvertes où ces malades, dès le début et les premiers signes de maladie, puissent être traités durant un temps
oit faite de celle qu'elle avoit portée, avec laquelle je fis trois signes de croix sur mon côté malade, la priant que, co
Aussitôt surviennent des élancements douloureux qui constituent le signe précurseur, puis un engourdissement général; ensu
signaler que son père a eu des douleurs fulgurantes et' d'autres signes tabétiques, que sa mère a souffert également d'un
e). Toutefois, s'il n'y a pas de réflexes rotuliens, il n'existe ni signe de Romberg, ni signe d'Argyll, ni lésions de l'oe
'y a pas de réflexes rotuliens, il n'existe ni signe de Romberg, ni signe d'Argyll, ni lésions de l'oeil. L'examen de l'a
ma- tisme, hystérie, tabes, etc). Pas de troubles oculaires, pas de signe 356 CLINIQUE NERVEUSE. d'it,-yll. Syphilis im
nome qui appartient au groupe des psychoses dégénératives. 2. Les signes s'en manifestent généralement à vingt ans, mais i
éflexes tendineux sont abolis, les réflexes cutanés conservés et le signe de Babinski très net. Le trai- tement spécifiqu
es combinées. MM. P. Marie et Crouzon ont cherché quels étaient les signes permettant de faire le diagnostic de cette form
importance diagnos- tique à la paraplégie compliquant le tabes. Ce signe mentionné pour la'première fois par Leyden et B
Ils ont pu, par une autopsie, vérifier dans un cas, la valeur de ce signe . Ils signalent la fréquence de la cécité dans la
elever chez un de leurs malades un début subaigu qui présentait les signes d'une infection cérébro- spinale. MM. Marie et
stence de flexion combinée de la cuisse et du tronc et peut-être du signe de Babinski de con- clure à une affection organ
is abondante dans 3 tabes confirmés, elle a manqué une fois dans un signe d'Argyll comme symptôme isolé et unique. · M.
e atrophié ainsi que la totalité de la pyramide correspondante, les signes cliniques pen- dant la vie n'étaient pas adéqua
ntre eux diversement et offrir des variantes individuelles. Mais le signe essentiel, qui consti- tue le fond même de l'af
r toutes ces raisons, je con- clus à une hallucination auditive. Ce signe de mort est connu dans le monde des mystiques s
on plus le reproche d'avoir voulu « proposer une classification des signes de dégénérescence, dans laquelle ils ont rangé
que du cône médullaire et de la queue de cheval : il peut servir de signe de l'état des fonctions sexuelles. (Bévue neuro
font un cas d'hystérie monosymptomatique en l'absence de tout autre signe d'hystérie. Ils demandent à ce sujet l'opinion de
ale, on obtient au contraire un nuage très opaque des plus nets. Ce signe peut suppléer la cytoscopie pour le praticieu q
nt dès qu'il a un travail devant lui. Ce malade ne présente pas des signes d'hystérie, mais il a dans sa famille des tares
s ont une abolition complète du réflexe pupillaire sans aucun autre signe de tabès ou de méningo-encé- phalite. Etude c
e fit rétrocéder les symptômes. Etude sur le phénomène des orteils ( signe de Babinski). h1. G. M : 1RINRSCO. -J'ai étudié
-nés. Sur 100 sujets atteints d'hémiplégie organique j'ai trouvé le signe de Babinski dans 86 cas. Parmi les 30 cas de pa
tabès combiné (2 cas), sclérose latérale amyotrophique (1 cas). Le signe de Babinski fait défaut dans 3 cas de section tra
ue. Sur 16 enfants nouveau-nés, je n'ai trouvé qu'une seule fois le signe de Babinski, sous forme d'extension, plus accus
ard. Le sommeil chloroformique opère une dissociation inverse, le signe de Babinski disparait avant ou en même temps que
phénomènes plus inté- ressants encore, à savoir : la disparition du signe de Babinski et l'apparition d'un réflexe planta
ait pas auparavant. Tous ces faits démontreraient à mon avis que le signe de Babinski est un trouble fonctionnel des voie
ologique), il existe un type paraclinique caract risé par le double signe de l'accoutumance et du besoin. » kt il en mont
, âgé de qua- rante-trois ans, demeurant rue Damrémont, donnait des signes de varia. 575 dérangement cérébral. Hier soir
père et de leur mère dans un flot de sang. La mère ne donnait plus signe de vie, mais le père respirait encore. On cro
ier et directeur de la fromagerie, donnant depuis quelques mois des signes de dérangement cérébral, s'est noyé dimanche. I
. ARG1LL-130BERTSO\. Examen de la moelle d'un malade porteur du signe - - Tabes fruste, par Du- four.103. ARRES'rvT
urs d'u ne en docard i te infectieuse pneu- mococcique. Valeur du signe de Kernig, par Josseiaud et Lesieur, 84. Sur
28 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ectuel de plus en plus évident succède à la simple conlusion et les signes physi- ques de la paralysie générale apparaisse
n, mais bien son antagoniste. Dans un cas de coma profond, où aucun signe de lésion locale ne pouvait être décelé, S. dia
u tendon d'Achille, Les 10 malades de L. présentaient en outre le signe de Babinski : la « zone réflexogène » du phénomèn
ne des or- teils n'est donc pas localisée à la plante du pied et le signe de Schae- fer ne diffère de celui de Babinski q
exion plantaire ; plusieurs de ces malades présentaient en outre le signe de Babinski. Une nouvelle série d'examens permi
d la percussion portait sur le dos du pied près du bord externe. Le signe de Babinski fut né- gatif 48 fois, mais, dit l'
ses en plaques), il y eut 35 fois flexion plantaire. Dans 45 cas le signe de Babinski fut positif. Le réflexe pathologique
la question d'une lésion du faisceau pyramidal malgré l'absence du signe de Babinski. M. rapporte l'histoire d'un malade
ski. M. rapporte l'histoire d'un malade pour lequel l'absence de ce signe avait fait porter le diagnostic de neurasthénie
n effet, après quel- ques mois, apparaître successivement plusieurs signes de sclérose en plaque et, notamment, le signe d
essivement plusieurs signes de sclérose en plaque et, notamment, le signe de Babinski. M. passe en revue plusieurs cas d'
ues, de « paralysie progressive » de l'enfant et de l'adulte, où le signe de Babinski manquait, tandis que le ré- flexe d
à gauche dans la moelle lombaire supérieure. 2° Femme de 35 ans ; signe de Romberg ; les phénomènes du genou manquent d
mbe arrive à faire avec le plan horizontal un angle de 16 à 20°. Ce signe est constant quand il y a ataxie des membres in
droite. Mort en 2 jours d'une pneumo- nie réduite à peu près à ses signes physiques, sans aucun phéno- mène nerveux nouve
dans ie mode de généralisation de l'infection. L'A. rattache les signes nerveux mentionnés plus haut à l'an- cienne hém
u début, est devenue rapidement totale. Cette atrophie,qui est le signe d'une altération profonde du nerf optique sembl
s les périodes intermédiaires, il y a souvent des paresthésies, des signes de myxoedème, plusieurs ou la totalité des sign
paresthésies, des signes de myxoedème, plusieurs ou la totalité des signes de la triade (voir plus bas); ces cas pourraient
comme des formes à récidives aiguës. Quant à la symptomatologie, le signe de Trousseau (que l'A. re- cherchait en comprim
surexcitabilité galva- nique des nerfs « sensitifs et sensoriels » ( signe d'Erb) ; la surexci- tabilité faradique n'est p
a surexcitabilité galvanique, surtout dans la tétanie chronique. Le signe de Chvostek (percussion du facial en avant de l
ujets sains, dans la neurasthénie, l'hystérie, l'épilepsie, etc. Le signe d'Hoffmann (percussion d'un tronc nerveux : sensa
Vulpian ; extension du bras vers la main. Examen à 29 ans; quelques signes bulbaires : légère parésie du facial inférieur
isolés, indépendants de toute autre cause, et qui sont souvent les signes précurseurs de l'affection. Comme d'autres,ces
est plus grave ; les en- fants qui ont le visage régulier et peu de signes de dégénérescence sont réfractaires à l'éducati
observateur de lui-même pour s'y tromper, et il a noté les premiers signes de sa décadence intellectuelle en termes d'une
n rapport avec des lésions cérébrales à évolution lente, et sont un signe précurseur d'un dénouement fatal. Elles s'obser
jacent. - Au point de vue pronostique, on doit tenir compte des signes suivants qui militent en faveur de la guérison pr
es, mais dans les cas pris au début, chez les malades présentant le signe d'Argyll uni ou bilatéral, avec ou sans l'aboli
onos permanent. Il n'existait pas de paralysie véri- table et aucun signe ne permettait de rapporter l'affection à une lé
UROLOGISTES. 163 tion des réflexes rotuliens, troubles viscéraux et signe d'Ar- gyll-Robertson. Ici encore les racines po
l'hérédité syphilitique et tabétique, la pré- sence au complet des signes du tabes, la paralysie des deux mus- cles oculo
ion clinique à l'ap- pui de son opinion émise antérieurement que le signe de Babinski est un réflexe cutané. dont l'arc e
ion du bord externe du pied, produire un écartement du gros orteil, signe d'atteinte du faisceau pyramidal, comme le réfl
porteur aux pompes funèbres, donnait, depuis quelques semaines des signes de dérangement cérébral. Hier soir, comme il ve
l'accès épileptique. Ainsi que Delasiauve l'a fait pour les autres signes prodro- miqucs de l'attaque, on peut diviser le
ravail (2) nous paraît toute conventionnelle en ce qui concerne les signes visuels, car les troubles prodromiques immédiat
es manifestations oculaires qui peuvent annoncer l'attaque. Le seul signe qui signale parfois Une aura motrice est un cli
e dans le tabes. M. ETiENNE. Il s'agit d'un tabétique présentant le signe de Romberg et des phénomènes d'ataxie oculo-mot
smodique, avec exa- gération des réflexes, trépidation épileptoïde, signe de Ba- binski. Cette paraplégie s'accompagne de
indiqueront le but poursuivi : En vérité,messieurs, n'est-ce pas un signe du développement'de la courtoisie international
i répété qu'il n'y avait pas de clonus dans les paraplégies, pas de signe d'Argyll dans les troubles de la vision. J'ajou
urd'hui qu'après l'avoir re- cherché je n'ai pas trouvé non plus le signe de l'extension des- orteils dans les paralysies
et l'autre côté, le phénomène du genou était très accentué et le signe de Babinski se faisait en extension. Réflexe achi
on, l'état général de la malade s'aggrava elle présentait les mêmes signes somatiques. Nouvelle interven- tion partant de
e, enlève son col et ses manchettes et les dépose sur l'estrade, en signe de renonciation. Lps femmes enlèvent leurs chap
- à Sai¡1l-[<rézal-de Ventalon, donnait depuis quelque temps des signes non équivoques de dérangement céré- bral. Aussi
ntier demeurant (le la Héllnion, donnait depuis quel- que temps des signes d'aliénalion mentale. Il était l'objet d'une su
ntérieurs sont sains. Du côté du système nerveux on ne trouve aucun signe de lésion organique, quant aux troubles de la n
mence ; enfin, l'exagération de la coquetterie devient parfois un signe d'exagération des tendances sexuelles CONTRIBUT
qué l'onanisme ni le coït. Pas d'antécédents héréditaires, pas de signes morphologiques de dégénéresence, pas de trouble
héréditaires nous manquent complètement ; il n'y a pas non plus de signes morphologiques de dégéné- rescence chez le mala
eprésente subitement telle personne accom- plissant tel acte, c'est signe que tel acte a eu lieu, telle autre vision sera
elle visite plusieurs chaque jour, des prêtres toussent ou font des signes .De même les bedeaux, les quêteurs et les dévote
L'absence de douleurs spontanées sert jus- qu'à un certain point de signe distinctif entre la névrite alcoolique et des n
nt les mots, les paroles qu'elle voit ou entend, et les gestes, les signes qu'elle observe. Il est diffi- cile de savoir e
.émiettait aussi du pain pour les moineaux. «Tout cela, ce sont des signes ». Les infirmiers, les malades, exécutent eux a
inq cas de tabes, dont un au début, S. constata, au con- traire,des signes évidents d'inflammation dans tout l'appareil con-
eil con- jonctivo-vasculaire que la pie-mère envoie dans la moelle, signes plus nets dans le cas de tabes incipiens, mais
toujours en rapport avec celui de la lésion ; puis surviennent los signes de compression radiculo-médullaire consistant e
sies spasmo- diques ou flasques. Le diagnostic est facile quand les signes rachi- diens sont nets,. en est autrement quand
t pour cause des lésions des racines et des cordons postérieurs. Le signe principal est la diminution puis la disparition d
diminution puis la disparition des réflexes tendineux ; les autres signes , moins constants et d'appréciation plus diffici
iginelle et de lésions organiques. Ch. Bu z XXXVIL-Des principaux signes objectifs que la volonté, la sug- gestion etl'h
es achilléens; trépidation épileptoïde du pied légitime et parfaite signe de Babinski. Pour les réflexes achilléens il fa
e plus, la ponction lom- baire est précieuse pour le diagnostic. Le signe de Kernig,au con- traire, est des plus trompeur
la volonté est aidée par la suggestion (faradisation sans courant). Signes évidents de parésie de la moitié droite de la f
fuses et faiblesse extrême ; puis crampes dans le bras gauche; puis signes de tétanie et hémianesthésie gauche, puis pares
la main gauche; paralysie transitoire de l'abducens à gauche. Aucun signe d'hystérie. IV. Femme 37 ans : début par oedè
de formes communes de la névrose vasomotrice avec presque tous les signes accessoires du goitre, exophthalmi- que, mais s
xophthalmi- que, mais sans les symptômes cardinaux». L'existence de signes cardiaques, dans un cas et, dans deux autres,de
réflexes consécutifs à la percussion des muscles et du périoste, le signe de Hitzig-Cassirer du côté simplement parésie :
trécissement du champ visuel avec in- version des couleurs sont des signes faciles à observer, impossibles à simuler. Dans
ie, 1907," I. Il. 25 386 REVUE de Pathologie nerveuse de nombreux signes d'hystérie entre autres la polyopie monoculaire
chy, femme du propriétaire du café du Champ -de-Mars, don- nait des signes de dérangement d'esprit. Hier matin, alors que
ononcé; les yeux fermés, le malade ne peut pas du tout marcher ; le signe de Romberg est aussi très net. Tous les mou- ve
l'ataxie des extrémités supérieures et infé- rieures, ainsi que le signe de Romberg,sont encore plus manifestes. Tous le
'état du malade par rapport aux examens précé- dents : l'ataxie, le signe de Romberg, les douleurs et les paresthé- sies
0,003 pro die. 40(i CLINIQVE NERVEUSE. marche s'est améliorée, le signe de Domberg est moins prononcé ; les troubles de
ôté droit, elle existe aussi presque dans tous les mou- vements. Le signe de Bamberg et le caractère ataxique de la mar-
e de la face plantaire et l'hypoesthésie vibratoire. L'ataxie et le signe de Romberg ont disparu. L'état général du ma- l
u'il existe, outre le syn- drome nommé chez notre malade, plusieurs signes qui démontrent clairement la localisation beauc
a- hissant les membres inférieurs et supérieurs en entier ; 4° le signe de Romberg, qui a été constaté au moment où il
d'affection des nerfs périphériques ca- ractérisée par l'ataxie, le signe de Romberg, l'abolition des réflexes profonds e
état eût été si grave que les médecins craignirent pour sa vie. Ce signe clinique très important, cette particularité de
ongénitale aggravée par des convulsions por- tant sur lecôté droit. Signes de méningite. Epilep- sie. Mort en état de mal.
icule pas une seule syllabe ; elle ne cherche ni par gestes, ni par signes à se faire comprendre. Au réfectoire, la tenue
nctionnel, soit à une maladie organique définie, et dans lequel les signes physiques prennent le premier plan. Le' terrain
est due à un défaut d'équilibre statique de la tête. Existence du signe d'Argyll Robertson dans la syringomyèlie. MM. R
la démonstration en reste à faire, la possibilité de l'existence du signe d'Argyll, sans syphilis. Bléphaarospasme. M
rations générales sur l' -, par Rav inond, p. 372. Des principaux signes objectifs que la volonté, la suggestion et l'
ngénitale aggravée par des convulsions portant sur le côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal.
à une incision d'abeesden- taire, par Bicbclonne, p. 378. Sur un signe de - orgnnique du membre inférieur, p : 11' Noi
29 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
de sa famille, il est un peu nerveux. Nous n'avons pu déceler aucun signe de syphilis ou de tuberculose. Les réflexes ten
e un acromégalique fruste est assez sé- duisant, mais l'absence des signes capitaux de l'affection nous porte plu- tôt à r
t hippocratique et l'ostéopathie hypertrophiante, il n'existe aucun signe clinique différentiel, et des erreurs ont été com
La papille est très- petite : ce qui peut être interprété comme un signe d'arrêt de développement des nerfs optiques de
modifications importantes de la température et du pouls. A de tel signes de souffrance endocranienne générale, il faut ajo
s très ancien. Or d'une part, tandis que cliniquement on relève des signes en faveur d'une tumeur de la base du crâne, d'a
tumeurs hypophysaires; à tel point que l'on a prétendu en faire un signe diagnostic différentiel (Hoffmann, Falta, Kumme
t psychique. L'intérêt des cliniciens est sans doute de trouver des signes qui aident à distinguer les cas fonction- nels
yant observé chez un malade atteint de blépharospasme hystérique un signe qui, selon nous, sera peut-être utile dans cett
en aucune façon et le sourcil, au lieu de se baisser, se relève. Ce signe a été trouvé par M. Babinski et indiqué par lui
mptôme différentiel entre le spasme et le tic. Selon nous, un autre signe a une valeur remarquable pour le caractère foncti
tre distingué complètement delà ptose à bascule de Pacelti. Dans le signe de Pacetti, la fermeture de l'oeil sain peut déte
de lésion organique, tandis qu'on rencontre très probablement notre signe , c'est-à-dire le spasme à bascule, seulement dans
gauche. Nous pouvons affirmer cela, même n'ayant pu nous servir du signe suggéré par Gowers, c'est-à-dire de la résistan
ntagoniste. Dans la paralysie faciale d'origine centrale, il y a le signe de Revilliod qui consiste en ceci : le patient pe
t par Wilson. Tantôt-c'étaient les symptômes psychiques, tantôt les signes somatiques qui ouvraient la scène. Les malades de
es malades de Gowers l'intelligence serait restée intacte. Mais les signes phy- siques étaient plus caractéristiques. La r
t 4.30 grammes. Examen microscopique. Méninges molles (van Gieson). Signes de proli- fération des éléments fixes : les fib
vésicules. Les vaisseaux sont souvent en dégénération hyaline ; les signes d'inflamma- tion sont absents. Les grandes co
aladie du foie, se manifestant par l'ictère, des oedèmes, l'ascite. Signes de lésions cérébrales ; somnolence, crises d'ir
rononcé et la somnolence extrême. Quant à notre deuxième cas, comme signe de la lésion des centres ner- veux, il ne prése
tive, désorientée, incohérente, né- gativiste et stéréotypée. Ces signes de profonde perturbation psychique et motrice, jo
aient normaux, même les réflexes cutanés plantaires. Comme autres signes physiques, nous n'avons relevé chez Mme R... qu'u
viscéraux quelconques. Sous l'influence du repos forcé au lit, les signes d'asphyxie locale que nous venons de décrire on
s participent à ce mouvement et on note de plus, de chaque côté, le signe de l'éventail. Chaque excitation de la plante dét
ent ces dernières. Le malade a présenté dans une première phase les signes d'une para- plégie spasmodique qu'on pourrait d
n une tendance des membres à se fléchir. En quelques semaines les signes se sont transformés et la paraplégie a présenté
une série d'actes stéréotypés dans l'ordre rituel (génu- flexions, signes de croix). En 1910, on le trouve un jour occupé à
seconde scène du drame est une réaction contre l'absence réelle de signes physiques pouvant démontrer le mal et contre l'as
e. La fai- blesse de la paupière inférieure esl pour Kondriavsky un signe précoce caractéristique. » Quoique le plus so
gravité croissante. Je dois indiquer que l'on ne trouve point le signe de Homberg dans les cas d'anesthésie des tissus
e sujet je donne dans la figure 1G l'image d'un lépreux chez qui le signe de Romberg est bien manifeste. Ce malade est
les yeux ouverts. Tous nous voyons des tabétiques qui présentent le signe de Romherg Fig. 31 Fig. 33 Fig. 34 Fig. 3
ffisance du sens de l'espace. Cette femme labyrinlhique présente le signe de Homberg très marqué comme je l'ai observé pl
rbiculaires dans l'acle de fermer les yeux. Il est sourd et il a le signe de Romberg très clairement. Les oscillations so
ns la figure 10, avec paralysie double de la VII" paire, n'a pas le signe parce que la VIII" paire ne se trouve pas intét
e, quand elle n'est pas unie il la paralysie, ne présente point les signes physiques de ! a dégénération neuro-musculaire.
dant à la diminution volumétrique du muscle jambier antérieur. Les signes physiques corroborent le mal musculaire dégénér
d à la figure 10, dans lesquels la réaction électrique présente des signes de dégénération avancée, sont également atteints
d'observer chez lui, tant lorsqu'il parle que lorsqu'il mange, les signes propres de la parésie de l'orbiculaire labial.
la longueur des muscles extenseurs des articles et ils n'ont pas de signes de dégénération. Dans la lèpre nerveuse les con
lienne. On sait que l'exagération du réflexe tendineux constitue un signe qui indique l'état anormal du neurone périphéri
mptomatologie nerveuse Dans cette maladie on trouve les plus graves signes de dégénération neuro-musculaire dans les régio
que M. et Mme Long ont signalé dans celle même famille Lehongre le signe de Babinski chez deux amyo- Irophiques âgés l'u
és par Westph1l1 et Berto- lotti ; l'exagération des réflexes et le signe de Babinski, cités la première par Lejonne et R
COT-MAHIE 18S une incoordination extrême des membres inférieurs, le signe de Romberg, une ataxie moins marquée des membre
une polyurie abondante Au cours de l'année 1911, alors que tous les signes précédents ne faisaient que s'exagérer, en part
La fin de l'année 1912 est marquée par une aggravation de tous les signes précédents, tout spécialement de l'asthénie'qui d
les signes précédents, tout spécialement de l'asthénie'qui devient signe de premier plan et de la céphalée qui, par son
an. , Mais en dehors de cette réaction thyroïdienne il n'y a pas de signes d'altération d'ordre surrénal par excès ou par
nc, dans certains cas, on peut noter au cours de l'acromégalie, des signes traduisant un trouble fonctionnel au niveau des o
ci d'un cas des plus nels de dissociation albrcnmitto-cytologique. Ce signe , indiqué par Sicard et Foix (2), été considéré
pensent que d'une façon générale, tout particu- lièrement quand les signes caractéristiques de la lésion hypophysaire font
ils contestent que, dans les cas d'hypertension inlracranienne, ce signe ait une valeur indi- catrice supérieure à l'élé
uverte sur la valeur séméiologique qu'il 1 convient d'accorder à ce signe ; à l'heure actuelle, il serait prématuré et mê
poids du corps et le fléchissement de l'état général, tels sont les signes principaux qui manifestent cliniquement le pass
oentgen. o Il est certain que, chez notre malade, la plupart de ces signes de dé- chéance existaient déjà lors de l'hospit
nce : d'après Weigert-Pal pas d'altérations, d'après Van Gieson des signes légers d'involution généralisée. Parmi les ce
s des cornes antérieures et surtout des colonnes de Clarke sont les signes de l'involution sénile. Cervelet. -- Dans les c
sont bien marqués. - EN résumé, nous constatons dans ce cerveau les signes ordinaires de la vieillesse. L'écorce cérébrale
la zone ré Il exogène ne dépasse pas les limites physiologiques. Le signe de Ba- binski est absent. Par contre les gros o
rivasculaires, un pigment brun jaune abonde à certaines places. Les signes d'inflammation vasculaire sont presque absents,
noyau rouge ont, dans ces coupes, un volume à peu près normal, les signes d'inflammation vasculaire sont presque absents, l
de la moelle : lymphocytose rachidienne, exagération des réllexes, signe de Babinski, etc. ; d'autre part, dans ces même
réflexe consensuel sont nuls ; l'accommodo- convergence existe ; le signe d'Argyll-Robertson est donc positif. Il n'y a pas
troubles des réflexes cutanés. Du côté des organes des sens, aucun signe objectif. Les pupilles réagissent à la lumière
. Les réflexes sont normaux aux membres inférieurs. Il n'y a pas de signe de Babinski, ni de clonus. Les réflexes abdom
gomyélie (A. Thomas [5], Lhermitle et Artomm [6]). - . Mais aucun signe ne nous permet d'incriminer la gliomatose cavitai
'ailleurs se fonderait le diagnostic d'acromégalie : il n'y a aucun signe hypophysaire chez notre malade; pas de glycosurie
sard est tout à fait douteux. Dans l'observation de E. Piollet, les signes morphologiques sont nets, mais il n'y a pas de
ités en long et non en large avec céphalée, troubles intellectuels, signes de la série diabolique : polyphagie, polydypsie ;
ssions cutanées serait très grande si la radiogra- phie montrait un signe quelconque donnant à croire que le membre a sub
ications du caractère devenant plus manifestes, pourraient être les signes d'une in- toxication chronique, et que ces phén
sidérer alors la prédominance de l'usage de la main gauche comme un signe de dégénérescence qui se montre avec alternance.
teint) que dans l'épilepsie essentielle, où elle se produit t comme signe de dégénérescence. Steiner, lui-même, reconnaît a
avec, toutefois, un cerveau primitivement intact, qui ne donne des signes de défaillance que par suite de l'intoxication ch
pond pas aux questions qui lui sont posées ; quelquefois il fait un signe négatif de la tête. Il n'a pas de confusion men
rt pas la nuit. 7. Parle toujours très peu. Ne répond guère que par signes , pu dit : oui, non. Toujours couché dans le déc
agnait. 12. - Reçoit la visite de deux amis, mais ne répond que par signes à leurs questions. Constipation : purgations ré
30 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
porter son diagnostic. Comme nous le disons plus haut, pour nous le signe capital différentiel est l'état gastrique du su
ne habituel et il n'a peut-être d'autre signification que d'être le signe banal d'une constitution névropathique : c'est à
d'une psychose (mélancolie ou démence apathique) il se présente des signes de stase veineuse, 44 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
s, l'erreur de diag- nostic est commise. Quelques années après, les signes physiques et psychiques de la paralysie général
normalement dévelop pées, il n'y a pas de mauvais instincts, pas de signes de folie morale. L'émotivité est extrême et se
araitre, sont devenues chroniques en restant très légères. D'où les signes de réaction de dégénérescence qui sont leurs ma
t en équin direct, le tendon d'Achille est raccourci. Il existe des signes de syphilis héréditaire. Intelligence très déve-
e Iconog. de la Salpêtrière, 1894, n° 6.) On désigne sous le nom de signe de Weber une paralysie croisée comprenant le mo
st sans doute tuberculeuse. Noter que quand l'aphasie accompagne de signe de Weber, la lésion siège toujours dans le pédo
'une différence quantitative et non qualitative. La fré- quence ues signes de dégénérescence doit faire penser, chez les c
e, ouvrier tailleur à façon, âgé de quarante-trois ans, donnait des signes non équi- voques de dérangement cérébral. Hie
lucides, d'apparence normale et présentant tout au plus quelques signes vagues d'un état mental peu caractérisé. En parei
et les membres de sa propre famille reconnurent chez Marie C... les signes d'une nouvelle grossesse. Cependant elle nia to
e même jour, le médecin, expert, chargé de l'examiner, constate les signes indubitables d'un accouchement récent remontant
idées sans parole, n'est-ce pas parce qu'ils ont à la place de ces signes oraux, pour ainsi dire, d'autres signes visible
u'ils ont à la place de ces signes oraux, pour ainsi dire, d'autres signes visibles qui en tiennent lieu ? Du reste cette
cinq vocables. Nous ne chercherons pas tout d'abord à modifier ces signes vocaux plus ou moins altérés ; au contraire nou
conducteurs utilisés. Notons seulement une de ces études, celles du signe de Romberg, parce qu'elle nous intéresse partic
périphériques : la vue, laquelle est supprimée dans la recherche du signe de Romberg; il reste l'orientation subjective d
ue l'un ou l'autre ou l'un et l'autre de ces appareils est lésé, le signe ' de Romberg prend des caractères différents. D
ectifier une attitude qu'il n'a pas même senti se fausser. C'est le signe de Romberg complet. C. , XX. Un cas DE BIDACTYL
on du sujet, de l'absence de tout arrêt de développement et de tout signe de dégé- nérescence dans la famille, croit, mal
rait avoir été sin- cère. A son entrée à Broadmoor, il présenta des signes évidents de trouble mental, des idées de riches
formes avaient été prises pour de l'épilepsie vraie : mais tous les signes somatiques de la paralysie générale faisaient a
ue dans la para- lysie générale se rencontrent très fréquemment des signes précoces du côté des yeux et que ces signes pou
nt très fréquemment des signes précoces du côté des yeux et que ces signes pouvant survenir de un à trois ans avant l'appa
par conséquent une intervention thérapeutique plus efficace. Ces signes seraient une décoloration de la papille qui, d'ab
, nés de parents malades, présentent donc, à des degrés divers, des signes qui les différencient de leurs ancê- tres, mais
nce comme des indi- vidus normaux, il faut rechercher avec soin les signes de désé- quilibration et les stigmates mentaux
d en marchant ou en se levant) et elle déclare que c'est un mauvais signe , parce qu'elle a remarqué cela, pour la premièr
invisible la lui tire ; elle trouve un papier quelconque, c'est un signe laissé par le diable ; le vent pousse la porte,
st caractéristique. Notons en passant que nous n'enregistrons aucun signe de lésion en foyer. L'histoire antérieure de la
es profondes et humides où le goitre est endémique pré- sentent des signes analogues et parfois même identiques à ceux de
itre exophtalmique fruste. Dans tout syndrome, il est toujours un signe primordial. Dans - l'épilepsie c'est l'absence;
ait dans l'organisme un état d'intoxication dont la fièvre était un signe révélateur. Le syndrome de Graves est, dans cet
roubles digestifs divers. La diarrhée, sanguinolente ou non, est un signe habituel. L'un des chiens soumis à des doses re
hymus. Notre sujet, prédisposée hérédi- taire, présentait outre les signes physiques de la maladie, des troubles mentaux c
me E... Elle n'a jamais cessé d'être en puissance d'hystérie et les signes cliniques qu'elle présente encore aujourd'hui p
lmie, la tachycardie et le tremblement; elle présente, de plus, les signes de la cirrhose hypertrophique du foie : ictère
dant la crise impulsive. L'amnésie doit être considérée comme le signe le plus impor- tant des impulsions irrésistible
ion elle-même est une simple question de fait et la concordance des signes dont nous avons parlé permet d'en faire le diag
morbides. La connaissance des accidents convulsifs et des divers signes de l'épilepsie proprement dite est assurément le
ttent d'affirmer l'exis- tence de la paralysie générale ? Parmi les signes anatomiques microscopiques, les plus importants
observées chez des sujets non paralytiques. En résumé, aucun de ces signes ne peut, à lui seul, faire affirmer la paralysie
cinatoires. La mobilité des symptômes au début de la maladie est un signe im- portant. Les accès d'obnubilation, les lacu
ière ni à l'accommodation. Les réflexes patellaires sont abolis; le signe de Romberg est absent; il n'existe pas d'ataxie d
Il est certain que tous les paralytiques généraux qui présentent le signe de Westphal sont fortement suspects de tabes, n
, dérobement des jambes, mais pas d'ataxie des membres supérieurs ; signe de Westphal et de Rom- b'erg. Pupilles égales,
s ; signe de Westphal et de Rom- b'erg. Pupilles égales, rétrécies, signe d'Ar=yll-Roberlson. Ily aen outre de la paralys
aire. Les pupilles, en état de myosis, sont égales et présentent le signe d'lrgyll-Rohertson ; il n'y a pas eu de paralys
bres inférieurs. Réflexes rotuliens abolis. Iné- galité pupillaire; signe d'Argyll-Robertson; légère décoloration des ner
optiques. Vessie paresseuse; constipation. Incoordination motrice; signe de Romberg. Quelques signes de satisfaction att
constipation. Incoordination motrice; signe de Romberg. Quelques signes de satisfaction attirent l'attention sur l'état
e le malade est fatigué, un léger trem- blement des mains. Tous ces signes vont en s'accentuant rapidement; l'état mental
amendent. Au dixième jour état semi-comateux, suivi le lendemain de signes de compression céré- brale : coma complet, poul
le juvénile, mais bien des symptômes importants manquent : pas de signes oculaires, pas d'embarras de la parole, et comme
dégénéré héréditaire. MM. BR1 ? ND et IscovEsco (de Paris). Sur le signe du cubital (analgésie) dans la paralysie généra
dans la paralysie générale. Décrit par Biernacki, dans le tabes, ce signe n'a qu'une importance diagnostique très relative
l'auteur un an après sa sortie de l'hôpital, ne présentait aucun signe de rechute. (The alienist and neurologist, octobr
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lysie bulbaire progressive. Le signe le plus important est constitué par les variati
lté de médecine de Vienne. Les deux premiers cas pré- sentent comme signes particuliers : le jeune âge des malades, le dév
phie musculaire et le dénouement fatal. L'ordre de l'apparition des signes paralyti- ques était différent dans les deux ca
après dix semaines. En 1890, second accès caractérisé par les mêmes signes et d'une durée de quatre semaines. En 1892, tro
re, une légère diminution de la sensibilité à la douleur; en outre, signe de Romberg, démarche ataxique, parole lente et
celui de la paralysie générale dont elle est quelquefois plutôt le signe que la cause. Les auteurs français exagèrent l'
t l'examen d'éléments nerveux excités faradiquement. En outre des signes caractéristiques fournis par l'imprégnation des
st d'ailleurs toujours très délicat. M. OEI3EKG cherche à fixer les signes qui permettent de distinguer les persécuteurs e
on juive, au volapuk, etc., etc. On le voit, ce malade présente les signes décrits plus haut : absence d'idées délirantes,
Ce phénomène essentiellement passager ne s'accompagne d'aucun autre signe de diabète. ' La glycosurie transitoire se voit
eurs années à l'asile d'aliénés de l'Alabama, l'auteur a trouvé des signes de lésions chroniques du rein chez 50 p. 100 de
nettement du tra- vail de l'auteur que l'élément passionnel est un signe clinique dont il faut tenir plus grand compte,
belleuse et spinale; que l'absence du réflexe rotulien peut être un signe important en faveur de l'affection spinale sans
t la marche sont possibles; mouvements compliqués des mains, pas de signes d'hémiplégie, ni d'aphasie, mais symp- tômes tr
' - PRÉSIDENCE DE M. Laiir. MM. Boedeker et FALKENBERG, Note sur le signe du cubital (131C1'- nacki) dans lu parulysie gé
tention (Munchener Aled. Wochenscïzrifl, 1894, nos 28 et 29) sur un signe observé pour la première fois par Biernacki dans
dans le tabes et qu'il a étudié chez les paralytiques généraux. Ce signe consiste dans l'analgésie du tronc du cubital à
sujet chez lequel il avait constaté l'existence, d'un seul côté, du signe de Biernacki. Le tronc nerveux était intact ce qu
la moelle). Il n'a jamais présenté l'analgésie du cubital comme un signe caractéristique pouvant servir au diagnostic di
p courte pour lui permettre d'affirmer aussi nettement la valeur du signe en question. MM. BOEDEKCR et F.1L6ENBEAG ont
'asile où M. Cramer a fait ses observations. Quoi qu'il en soit, le signe de Biernacki n'est pas dénué de valeur, malgré
importante dans le diagnostic de la paralysie générale, bien que ce signe ne se rencontre chez les paralytiques que dans
iques. Associé aux autres symptômes de la paralysie progressive, le signe du cubital aura donc une certaine signification
que, mais combien y a-t-il de symptômes pathognomoniques ? Enfin le signe du cubital permet de mettre en évidence d'une f
M. Mendel a fait faire, dans sa polyclinique, des recherches sur le signe de Biernacki dans le tabes, la paralysie générale
bes, la paralysie générale et diverses névroses. L'importance de ce signe ne lui semble pas démontrée. Sa valeur sera d'a
auties modifications de la sensibilité. M. M\x LAEHR a recherché le signe du cubital chez trente tabé- tiques de la clini
ntensité variable, des deux oculo-moteurs communs (pas de ptosis) ; signe d'Ai,g,1 : -Robeitsoi), tremblement des extré-
tre ans, demeurant rue Thiers, qui donnait depuis quelque temps des signes d'aliéna- tion mentale, était prise, samedi, ve
e de 60 à 65 ans. Depuis quelque temps, paraît-il, elle donnait des signes d'aliénation mentale. Cette femme vivait seule;
rent aussi dans quelle situation difficile se trouve le médecin qui signe la sortie des malades aliénés. BULLETIN BIBLI
asmodiques et contractures permanentes dans la , par Trenel, 425. Signe du cubital dans la , par lloedeker et Fal- ke
31 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
observons, il nous est arrivé souvent de ne pouvoir utiliser les signes subjectifs du petit brightisme, souvent si précie
cité des urines. Dans quelques cas, nous avons trouvé à la fois des signes d'insuffisance hépatique et d'insuffisance réna
iquement pratiqué, nous avons recherché chez tous nos malades les signes cliniques manifestant l'insuffisance rénale. Il s
par conséquent), nous avons poussé l'enquête du côté des pe- tits signes du brightisme, réunis par ie professeur Dieulafoy
, la pollakiurie, les déman- geaisons, les crampes douloureuses, le signe du doigt mort, les sifflements et les bourdonne
chez un sujet, d'une part des troubles psychiques, d'autre part des signes d'in- suffisance rénale pour établir entre les
n. Il n'y a pas dans les manifestations psychiques du brightisme de signe carac- téristique du brightisme. M. Cullère 3 a
es de rêve et se confond avec eux : de telle sorte, que lorsque les signes physiques du brightisme n'attirent pas l'attent
ui les accidents délirants ont disparu en même temps que les divers signes de néphrite subaiguë (oligurie, albumi- nurie,
ée sur un grand nom- bre de nos malades, surtout chez ceux dont les signes clini- ques d'intoxication urémique étaient rar
une Société de secours mutuels, etc., on exigera de la personne qui signe la demande d'admission une obligation par laque
s et demi. A quatorze ans, a eu un eczéma. Pas de migraines, pas de signes de syphilis. Intelligence moyenne. Famille de l
te et à la face. On n'aurait pas remar- qué de rumination` ? -Aucun signe de connaissance et d'affection. La mère, à qui
. Lorsqu'on l'appelle pour lire, il se frotte les mains et saute en signe de satisfaction. 11 reconnaît et nomme les peti
l'environne (meubles et gens) et ne se calme que lorsque l'on fait signe de le conduire en cellule. (Fig. 11). · Puber
e corps, au pénil ; organes génitaux peu développés, en somme aucun signe de puberté malgré son âge (seize ans). Pas d'on
réciser les cas favorables à une intervention chirurgicale, car les signes physiques sont souvent très obscurcis et les re
utour de lui, et arrivait, moitié par ses marmottements, moitié par signes , à se faire comprendre ; il succomba à une affe
âne indépendam- ment de la brèche mastoïdienne; malheureusement les signes de de localisation sont trop souvent absents ou
lisation sont trop souvent absents ou insuffisants. Dans ce cas les signes qui pouvaient mettre sur la voie du dia- gnosti
stique des lésions du cer- velet, puis la douleur occipitale et les signes de compression bulbo protubérentielle causée pa
'une forme particulière caractérisée : 10 Par le début précoce de signes oculaires dans l'enfance et leur évolution prog
die de Friedreich. On constate, en effet, chez les frères G.... des signes se ratta- chant nettement à l'hérédo-ataxie cér
des réflexes rotuliens, incertitude motrice dans l'obscurité) ; des signes de la maladie de Friedreich (conservation de l'
ence, migraines, réflexes abolis d'un côté chez un malade) ; et des signes communs à ces deux types cliniques (nystagmus,
sableàcelledu premiersujet. Cettemalade asuccombé en présentant des signes nets de tumeur cérébrale (céphalée, vomis- seme
nsibilité. Incoordination légèie. Abolition des réflexes tendineux. Signe d'Arôyll-lobertson. C'est donc un tabes à incub
cette dénomination la valeur d'une entité morbide définie dans ses signes et dans ses lésions. Paralysie associée des g
sme est le théâtre. Relation de la profession religieuse avec les signes de dégénérescence. Hui. Binet-Sanglé continue s
ar Archives, 2e série, t. XVI. G 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. certains signes de dégénérescence, en particulier la stérilité et
her (1t), répond au plan de l'mion. op, plan du trou occipital. Les signes XX répondent aux bosses frontales et pariétales.-
des aliénés d'Armentières le 8 juin 1901, présentant la plupart des signes de la paralysie générale. C'est un syphilitique
sonde, Etat démentiel des l ? Lculiés, dé,orientalion absolue. - Signes physiques de la paralysie géné'ale. Faciès sans e
caractéristique; tremblement des mains. Réllexe rotulien exagéré. Signes physiques de dégénérescence. Athérome artériel.
e donne un résultat positif, l'albuminurie persiste avec les autres signes déjà DÉLIRE ET PETIT BRIGHTISME. 139 signalés
de paralysie générale, confirmée à l'examen par la constatation des signes suivants : Inégalité pupillaire, tremblement de l
lade jusqu'à sa mort fit que cet examen ne fut pas renouvelé, aucun signe physique n'attirant l'attention sur l'insuffisa
que l'auteur entend désigner la dose suffi- sante pour produire des signes nets d'intoxication, dose qu'il con- vient ordi
e ne se manifeste que vers l'âge de cinq ou six ans, et son premier signe est souvent fourni par une discordance entre les
nsion artérielle s'abaisse. Les autres, au contraire, offrent comme signe caractéristique de l'hypotension artérielle et
épassé l'âge moyen d'apparition de la maladie et qui présentent des signes de sénilité prématurée, et Cullerre a noté la f
n'en parait pas plus de treize à quatorze. Immobilité des pupilles, signes de West- plial et Homberg, troubles vé-icaux, t
mort; la femme présente une intoxication légère; le mari offre les signes d'une grave maladie cérébro-spinale. L'auteur att
sont une preuve indéniable de syndrome cérébi lieux. Quelen estle signe ? S'agit-il d'une sclérose en masse du cer- REV
variété de néoplasie évolue avec une physionomie clinique spéciale, signes de tumeur cérébrale avec titulation cérébelleuse
eau pvramidat est encre incomplètement développé. C'est donc un bon signe qui peut se rencontrer là où le réflexe en exte
térieur pendant la flexion, phénomène que Strumpel a rattaché comme signe à l'hémiplégie. Dans les auteurs, ce phénomène
de la société au sujet d'une femme hémiparétique gauche dont les signes tels que l'extension des orteils sont intermitten
M. l3asmsRr trouve à gauche l'abduction des orteils, et constate le signe du peaucier. Il conclut à la nature organique des
de la dysbasie spasmodique et titu- bante. Réflexes très exagères : signe de Babinski à gauche. Agé- nésie. Pas de troubl
sultat négatif du cyto-diagnostic, s'est traduit par un ensemble de signes d'apparence hautement grave, parmilesquels l'lype
u'à plus de 41°, le strabisme interne, l'appari- tion épisodique du signe de Babmski, constituent les plus intéres- sants
de l'asile dont j'étais le médecin. Je constatai chez elle tous les signes classiques d'une manie aiguë non hallucinatoire
nnent de l'albumine et qu'il existe au coeur un bruit de galop. Ces signes d'insuffisance urinaire, s'améliorent sous l'in
rofuleuse. Pas de vers, ni de trauma- tisme, ni de sévices. Comme signes avant-coureurs de la maladie des tics, nous avons
sieurs concours, etc., présenta à l'âge de vingt-six ans tous les signes d'un accès de dépression mélancolique, lequel s'a
des habillements à fournir, il remplit un borde- reau ad hoc, et le signe ; le médecin contrôle le bordereau et le magasi
d'un an et demi à deux ans qu'étaient apparus chez eux les premiers signes de l'i- diotie. Dans la plupart des cas égale
nous en avons observé une vingtaine de cas. En voici les principaux signes : Tète petite, arrondie; fontanelles fermées ré
évolution 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. rapide et fatale, avec fièvre et signes infectieux. C'est une forme fébrile de tahes qu
plus grandes peines, ou même ne marche pas du tout. et présente les signes classiques de paraplégie spasmodique. Ce sont c
pièce. On dit que le malheureux donnait, depuis quelque temps, des signes de troubles cérébraux. (L'Aurore du 13 août 1903.
'est tuée sur le coup. Cette femme donnait depuis quelque temps des signes de dérangement cérébral. Ces faits montrent u
à chaque instant il monte à la fenêtre de sa cellule en faisant des signes de croix ou bien en se livrant à des mimiques d
ntécédents hérédi- 304 MÉDECINE LÉGALE. taires et personnels, les signes de dégénérescence anatomiques et fonctionnels q
à évolu- tion déterminée, il serait très précieux de connaître des signes permettant d'établir le pronostic des cas parti
i la simulent (stupeur, troubles anec- tifs) ; 2° à reconnaître les signes d'une démence commençante ou légère. Pour rés
ou légère. Pour résoudre la première difficulté, il n'y a pas de signe certain; il faut se baser surtout sur la dispro
ladie; il est bon d'être réservé dans son pronostic. Les premiers signes de la démence sont variables ; il faut citer 34
ellectuel. Il n'y a pas de critérium de la démence, c'est-à-dire de signe exislant toujours dans l'affaiblis- sement psyc
uses privations. Quelques années plus tard' apparurent les premiers signes : douleurs, paré- sie des sphincters, d'une syr
enfin la fatigue, la torpeur physique et psychique sont pat mi les signes les plus importants de la maladie d'Addison. 37
faire à une gangrène séuile, mais le membre amputé n'en a pas les signes ; il faut donc admettre un ulcère variqueux, et la
digne d'être noté ici, aujourd'hui que tout le monde s'intéresse au signe de Babinski '. Bien à vous, M. Laigxel-Lavasiin
haleine fétide, le ventre ballonné. L'auscultation ne révèle pas de signes certains de tuberculose. Les idées sont extrême
bli que, par la méthode de Goertner, on fût en mesure d'obtenir des signes physiques précis, dans des conditions déter- mi
és, on est autorisé à croire que le soupçon, déjà basé sur d'autres signes , est confirmé. Cette hyper pression, bien établ
caution d'usage, par un observateur maître de la méthode, a rang de signe diagnostique pratique. Dans une observation tou
notique, cardiaque et tuberculeux, qui, en deux jours, présente les signes graduels d'une paralysie du membre supérieur gauc
l'estomac est douloureux, l'équilibre est difficile, on constate le signe de llom- berg ; la disparition des réflexes par
injection des veines et des capil- laires. P. Keraval. \111 ? Les signes objectifs des troubles de la sensibilité suggérés
mêmes conditions, des oscillations marquées. La régularité de ce signe rigoureusement proportionnel à l'intensité de l'a
pas le pro- duit de l'imagination, et, comme telle, accompagnée du signe en question, peut servir à distinguer une sugge
tat ma- niaque avec idées de persécution, alcoolisme. Parole nette. Signe d'Argyll Robertson. Mort après plusieurs attaqu
e maniaque avec exci- tation, si bien que lorsqu'un Arabe donne des signes de mélanco- lie, on le considère immédiatement
aumatique initial. Nous en avons la preuve dans la com- plexité des signes cliniques présentés dès cette époque par le mal
ec mimique ou non. On peut dire d'une façon générale, qu'il est des signes tirés de l'étude des caractères extrinsèques de
par suite, une durée un peu plus longue. Chez elle prédominent des signes de déchéance, et la forme démen- tielle de la m
e de bien que la mort nous a ravi. La séance est ensuite levée en signe de deuil. Reprise de la séance. Présidence de
gue à celle qui se produit au niveau du pied chez ces malades. « Le signe de la main bote » doit donc prendre sa place à
siégeant à la protubérance et intéressant le faisceau pyra- midal ( signe de l'abduction des orteils de Babinski). Enfin le
é cireuse cérébelleuse et insiste sur l'utilité medico-légale de ce signe en présence des accidents du travail. M. S)Ct
en présence des accidents du travail. M. S)CtttD ajoute que si ces signes imposent le diagnostic de lésion organique la p
Dégénérescence. Itelation de la pro- feasl0u lelll ense a\ec les signes de -, par Blot-Saorill, 81. - et mysticisme,
8. Sélection négative, partoutielil(iiie, 532. Sensibilité. Les signes objectifs des troubles de la - suggérés pen-
32 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntes des membres inférieurs. Leur origine tabétique est manifeste : Signe d'Argyll Robertson, abolition des réflexes rotu
bétique a passé inaperçu dans les trois cas rapportés, soit que les signes subjectifs aient été masqués par l'état démenti
nes subjectifs aient été masqués par l'état démentiel, soit que les signes physiques aient été très frustes. comme cela se
inution des cel- lules dlromophiles de l'hypophyse c'est-à-dire les signes de son insuffisance fonctionnelle ; '10 Dans la
des pieds, etc. Il existait en outre de la toux, de la fièvre, des signes d'induration des pou- mons et une dilatation du
e générale : « un s5mlrome clinique, caractérisé par un ensemble de signes et une évolution qui sont les mêmes sous l'infl
n maniaque, affaiblissement intellectuel, idées de grandeur) et des signes physiques (dysarthrie, tremblement de la langue
ue, il pense que c'est un point de clinique qui révèle peut-être un signe important dans le diagnosticoüle le pronostic d
era lasynergiedes mouvements et à lutter contre l'inertie. Certains signes cliniques se rapportent à cette dernière foncti
du transport dans un asile commencèrent à se manifester les divers signes pré- monitoires du réveil ;c'est un nouvel argu
at faible, -qu'il il fautséparer de l'hallucination, état fort. Les signes physiques sont ensuite passés en revue ; au suj
période, TROUBLES PUPILL 11RES. -y L'inégalité des pupilles est le signe le plus fréquemment observé au début de la para
tôme isolé : l'inégalité pupillaire, dans la paralysie générale. Ce signe n'a de valeur que parce qu'il s'accompagne, che
idus non paralytiques généraux soumis aux mêmes instillations. Le signe d'A 1'g,ljll-Robe1'tson : perte de la réaction à
et les deux yeux ne sont pas atteints égale- ment. En sorte que le signe d'Argyll-ltobertson peut être unilatéral ; mais
c raison sur l'intérêt de ces troubles pupillaires. Du reste, ces signes se retrouvent dans toufes les psychoses aussi b
utemps(2) se rattache à la fois à la déformation pupil- laire et au signe d' Argyll- Hobertson. Cet amincisse- ment de l'
y. Journal de médecine et de chirurgie, 10 juin 18S, .lor.rnov. Des signes oculaires dans la la paralysie générale. i)-cii
la dilatation de la pupille sous l'influence d'une vive lumière (ce signe , décrit par lloukhine, n'a de valeur que s'il s
une lésion périphérique de l'appareil innervateur de la pupille. Ce signe accompagne d'or- dinaire la mydriase paralytiqu
tion pour le diagnostic rétrospectif ou ctiologique. Lors- que ce signe se présente au moment des ictus, il persiste tr
ès peu de temps. Le zona ophtalmique (2) est, dans ccrîains cas, un signe très précoce du début de la pa- ralysie général
n excellent symptôme du début qui (toit faire rechercher les autres signes de la paralysie générale. De même, l'importance
il des para- lytiques généraux, dès la première période, certains signes qui n'ont d'importance qu'à la condition de les
ation et les /lexuo.sités variqueuses des veines rétiniennes. Ces signes se retrouvent aussi chez les déments, les imbéc
nt très nets et immuables , qu'ils se présentent sous la forme de : Signe d'A7gyll Robertson ou de pseudo-Argyll Robertso
s'explique par ce fait que les noyaux sont très rapprochés. A ces signes s'ajoutent quelques symptômes de moin- dre impo
éné- ral est complet quelquefois dès le début; d'autres fois, les signes observés sont très peu manifestes, alors que la
roniques, comme pour la paralysie générale, c'est beaucoup plus les signes physiques que le délire qui donnent à cette aff
ent cérébrale, on en trouve ailleurs des si- gnes somatiques. Les signes de l'artério-sclérose cérébrale ne sont pas pro
sont pas proportionnés à l'intensité des lésions vasculaires. Les signes de l'artériosclérose cérébrale présentent le ca-
io - sclérose s'accompagnent d'un plus ou moins grand nom- bre de signes somatiques de l'artério sclérose cérébrale ou g
ème, il préconise la suspension du travail aussitôt qu'il y a a des signe » manifestes de fatigue intellectuelle. J. Séglas.
cture, exagération des réflexes tendineux, trépidation épiléptoïde, signe de Babinski, guérison.) Par M. le D' NOICA, M
rotuliens et achilléens sont exagérés. 11 y existe du clonus et le signe de Bahinski des deux côtés. Les membres supér
uliens et achillécns très légèrement exagérés. Plus de clonus et de signe de Babinski à droite. A gauche le signe de liab
gérés. Plus de clonus et de signe de Babinski à droite. A gauche le signe de liabinski existe encore et une ébau- che de
dans la catégorie de ceux qui clinique- ment se présentent avec des signes de spasmodicité, mais qui anatomiquement ne s'a
ie, présente un nouveau cas. On peut déduire de ces faits que les signes cliniques de spasmodicité ne coïncident pas tou
s bains de boue, et le massage, la pla- que a pu se résorber et les signes de spasmodicité dispa- raître complètement. Un
. Un mot avant de finir. Notre ma- lade présentait, à l'hôpital, le signe de Babinski des deux cotés, mais quand il est r
Probablement qu'avec le temps il disparaîtra aussi. En somme, ce signe clinique ne nous autorisait pas, chez notre mal
st en honne santé physique, il est grand, bien pro- portionné, sans signe notable de dégénérescence ; il y a du stra- bis
l'impossibilité absolue d'établir -un diagnostic pour l'avenir. Le signe le plus impor- tant est peut-être le «rire» de
tout une obnubilation intellectuelle générale. Il existait quelques signes de compression cérébrale : céphalée, vomissemen
puis, deux mois et demi avant sa mort, se sont montrés de nombreux signes : avant tout une hémiparésie gauche progressive
rps calleux. C'est donc ce syndrome mental particulier qui est le signe caractéristique d'une localisation dans le corps
es dentelures nombreuses,des os wormiens en abondance,autant t de signes qui démontrent la difficulté que les membranes
t paru donner des résultats positifs.Les lapins sont morts avec des signes de rage. Ce n'est que, par suite, grâce aux ino
êtrière, 1905, n° 5.) Observation intéressante par l'étiologie (les signes de sclérose ont débuté à la suite du choléra) e
tion. Sy- philis probable. A un examen plus attentif, on trouve des signes d'hystérie : crises nerveuses anciennes ; actue
les-ci n'obéissant à aucun type fonctionnel déter- miné. Tous ces signes , bien entendu, doivent être corroborés par l'ab-
s symptômes légers surajoutés, le troisième est la forme grave avec signe de Calins.11 Il existe des formes complexes ave
1904, v. 65,p. Vl0. Netter. Diag. de la méningite cérébro-spinale ( signe de Kernig, ponct. lomb.). Semaine Met., Par., 1
, 1901, n. s.. v. 5, p. 537-564, 3 tr. Sainton. P. et Voison, R. L2 signe de Kernig. Gaz. des hop.. Par., 1904, v. 77, p.
années. Il fait mine de chercher et de ne pas se souvenir. Il fait signe qu'il ne sait où il est ; il comprend ce que no
de fait, il lui est impossible d'émettre le moindre son. Il fait signe qu'il peut écrire, demande qu'on lui donne de quo
t au pied des circonvo- lutions frontales gauches; il fait en outre signe qu'il est attiré en avant. L'examen sommaire
de l'amnésie et de l'aphonie. On trou- vera enfin rémunération des signes physiques présentés par lo malade. , Cette ét
tant d'un côté que de l'autre. Rappelons ici que le malade nous fit signe le jour du MUTISME, APHONIE, AMNÉSIE, APHASIE
son amnésie et avec la crainte de ne plus pouvoir travailler. Les signes physiques constatés sont un hémispasme facial g
e, des psychoses prétuberculeuses. Il est inutile de discuter les signes physiques des cas avancés et le traitement médi
e facile- ment les cas d'excitation et de paralysie générale. Les signes basés sur les antécédents du sujet, son facies
INTERNE. moyens de diagnostic précoce. Toutefois en l'absence de signes généraux marqués, faute de renseignements fourn
nternational de la tuberculose de 1905) de la façon suivante : 1° Signes de probabilité ; ce sont : l'instabilité ther-
la radiographie qui n'est qu'un moyen tardif. 2° Il considère comme signes de certitude l'existence du bacille, la réactio
concordances fonctionnelles pulmonaire et cardiaque, qui serait un signe prémonitoire caractéristique d'état de moindre
ts injectés, 7 n'ont pas réagi et n'ont présenté par la suite aucun signe d'évolution bacillaire. Sur les 15 cas qui ont
urs spéciales ot des paralysies tem- poraires sont, fréquemment les signes avant-coureurs des ,fats graves. L'appareil lui
ns le deuxième cas, l'auteur ne considère pas comme démontré que ce signe caractérise les cys- ticerques libres dans la c
; ces symptô- mes ont la variabilité d'aspect et l'inconstance des signes l'on ? lionnels ; mais tandis qu'il serait illo
f ans, demeurant rue des Haies, présentait depuis quelques mois des signes évidents de dérangement cérébral. Il prétendait
syphilis. Les symptômes relevant du (abcs sont les plus nombreux : signe de liomberg, signe d'Argyll, perle du sens musc
tômes relevant du (abcs sont les plus nombreux : signe de liomberg, signe d'Argyll, perle du sens musculaire, incoordinat
l'en- fance. Recrudescence depuis un mois. Jeune homme de 16 ans, signes de réaction mastoïdienne avec symptômes cérébraux
'adulte. Leur symptomatologie est toujours vague par l'absence de signes de localisation. Le diagnostic, précis est fait e
e, présentant un tabès caractérisé par des douleurs fulgurantes, le signe d'Ar- gyll, un Westphall incomplet, une insuffi
oniques à ankyloses mul- tiples et irréductibles, mais de malades à signes articulaires mo- dérés. Les accidents médullair
les accidents nerveux sont à localisation radiculaire, ce sont des signes de compres- sion des racines que présentent les
ingo-myélite, leur cerveau n'est pas toujours indemne. A côté des signes médullaires on trouve parfois chez ces ma- lade
33 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
rd externe. Réflexes patellaires exagérés. Pas de clonus du pied. Signe de Babinski positif à gauche. Sensibilité : I
angrène et ne peut être respon- sable des artérites. Il n'y a aucun signe de syringomyélie. Faisant la revue de la longue
mplètement dans la moitié supérieure. En dehors d'un léger degré de signe de Lasègue, aussi marqué à droite qu'à gauche, et
èrement emphysémateux ; les organes abdominaux ne présentent pas de signes pathologiques ; il n'y a ni sucre ni albumine dan
nsion très nette ; il existe à droite et à gauche un léger degré de signe de Lassèguc ; la vue baisse depuis quelques année
4), abbé, porte sur sa poitrine une fleur de laurier-rose, comme un signe de reconnaissance, signifiant l'ardeur de la char
poitrine : pour toute explication, le ma- lade répond que c'est un signe qui doit toujours rester du côté du coeur, pour
homme est rouge; à un autre moment, il voit dans la ficelle même le signe que tous les hommes doivent être égaux. Le même
ns le maniaque et dans le dément la persis- tance dans l'usage d'un signe donné, sans qu'ils persistent à lui donner la m
re que nous considérons, des objets analogues cités ci-dessus. Un signe plutôt tout particulier de l'ornement d'un maniaq
t dans la malade de la figure 1 f, Au contraire, je n'ai trouvé les signes symboliques que dans les malades beaucoup plus
dans la partie supérieure et bombée dans la partie inférieure. Un signe très caractéristique,c'est le renfoncement ou la
roplasie. On trouve encore, dans les crânes dysostosiques, d'autres signes , indiquant des troubles dans le développement d
fonde que la plupart des auteurs ont observée ne semble pas être un signe absolument constant. Chez tous mes sujets vivan
givalité de la voûte palatine doit être néanmoins regardée comme un signe caractéristique de la dysostose. Certains aut
NEUX D'UNE BRANCHE DE L'ARTÈRE CÉRÉBRALE MOYENNE OU SYLVIENNE , SIGNES CLASSIQUES DE TUMEUR CÉRÉBRALE, DURÉE DE CINQUANT
symplôme faitdéfaut,en effet. Un jour, surviennent brusquement les signes d'une hémorragie cérébrale foudroyante, et à l'
-être un vestige de parésie faciale infé- rieure du côté gauche. Le signe du peaucier, la flexion combinée de la cuisse et
es, raideur, exagération des réflexes tendineux, ébauche de clonus, signe de Babinski bilatéral, abolition des réflexes cut
sence de syphilis, et l'auscultation révélant, au sommet droit, des signes de tuberculose, on crut pouvoir s'arrêter au diag
envahit l'abdo- men, puis les autres parties du corps ; les autres signes de l'asystolie devinrent manifestes ; le malade
, en effet,ni dans l'évolution des ac- cidents nerveux, ni dans les signes physiques fournis par l'exploration du Nouvelll
it d'un sarcome du médias- tin non révélé par la radiographie : les signes avaient été ceux d'une con- gestion pulmonaire
urs éprouvées. Padoa insiste encore aujourd'hui sur la valeur de ce signe . Dans ce cas particulier, elle était nulle. (1)
e des cornes antérieures que seu- lement de leur cylindre-axe. Un signe important, tiré de la ponction lombaire, permit i
n, le pied en équin-varus, avec le gros orteil en extension forcée ( signe de Babinski). Il est important de remarquer que
t prêts à signer ce très romanesque aveu. Et voilà déjà M. X... qui signe pour tous les deux.En effet, le mot aime est pl
le tout surmonté d'une croix à triple traverse, à peu près effacée, signe particulier au Souverain Pon- tife. Aux pages
violets dans l'eau froide, mais il ne futpas possible de trouver de signes évidents de maladie de Raynaud. L'examen du sang
es faciles, émotivité excessive. A ces symptômes il faut ajouter un signe capital : la non-soudure des épiphyses, qui est
e chez ces hypothyroïdiens, qui ne sont pas des malades, les petits signes de l'insuffisance thyroïdienne : oedèmes transito
nie) des chiens partiellement thyroïdectomisés qui ont présenté des signes évidents de troubles psychi- ques plus ou moins
yndrome de Basedow fruste au point qu'on peut n'y reconnaître qu'un signe de la série basedowienne. Ce sont ces faits que
t de pleurs ; des obèses enfin, avec hémorrhoïdes, froid aux pieds, signe du , sourcil, rhumes faciles, asthénie, nerveus
Woch., 2 mars 1899. Léopold-Lévi et H. de Rothschild. - Les petits signes de l'insuffisance thyroïdienne. Gaz. des hôp.,
eÀ¡(]OEW = tourner) (Homère appelle les boeufs : e¡j,m1Jocx.ç). Le signe le plus frappant dans la démarche de Todd (dit
e paradoxal. Si on fait marcher le malade à quatre pattes, tous les signes de paralysie disparaissent, et il accomplit dan
ette démarche attentivement examinée on trouve à chaque instant des signes deparadoxalité. Dans tous ces cas c'est l'absur
abduction et rotation en dedans. Mais cela ne saurait constituer un signe différentiel, puisque les deux positions peuven
et refusera de quitter son lit. Il y a là, comme vous le voyez, un signe malheureu- sement non constant, mais d'une impo
les vraies lésions des articulations, remarque que : « La valeur du signe de la claudication dans le diagnostic est la même
as dans lesquels la claudication ou autre espèce d'impotence est le signe principal ou le seul signe manifeste d'une affec-
ation ou autre espèce d'impotence est le signe principal ou le seul signe manifeste d'une affec- tion articulaire, vous t
droite. A l'exa- men objectif de cette malade on ne trouvait aucun signe d'affection or- ganique, au contraire tous les
trouvait aucun signe d'affection or- ganique, au contraire tous les signes caractéristiques d'une coxalgie hystérique (PI.
i maintenant est complètement guérie, j'ai relevé presque les mêmes signes de marche paradoxale que je viens de décrire. I
une apparence féminine. A la même époque se révélaient chez lui les signes delà puberté. Depuis lors, ses seins ont conservé
ie vraie. Du côté physique, aspect plus vieux que son âge; quelques signes d'artério-sclérose ; arc sénile assez prononcé,
galement dans la partie externe du sommet droit en avant. - Mêmes signes stéthoscopiques dans la fosse sus-épineuse gauche
ifs pour pouvoir être analysés; restent donc 16 malades : 11 ont le signe de Babinski par excitation' du côté malade, et
étérogène par excitation' du côté sain (= 68,7 0/0) ; 2 n'ont ni le signe de Babinski ni le réflexe plantaire controlatér
le signe de Babinski ni le réflexe plantaire controlatéral ; 1 a le signe de Babinski, mais non pas le signe controlatéra
plantaire controlatéral ; 1 a le signe de Babinski, mais non pas le signe controlatéral; 1 n'a pas le signe de Babinski,
igne de Babinski, mais non pas le signe controlatéral; 1 n'a pas le signe de Babinski, mais présente le réflexe controlat
on irritation provoque un mouvement controlatéral d'extension, un « signe de Babinski controlatéral », incomplet il est v
dylose rhizomélique a été relevée par Donetti (3) qui a constaté le signe de Kernig ; par Vi- nokosoff, et, plus récemmen
lexes rotuliens et achilléens existaient, à. l'exclusion des autres signes de la série tabétique. Babinski admet qu'il s'a
exes tendineux sont abolis dans les deux membres inférieurs. Pas de signes de Babinski. Les réflexes crémasté- riens, plan
bservation siège dans la coexistence de l'ankylose vertébral et des signes de tabes. Il ne s'agit plus, en effet, ici, de
al et des signes de tabes. Il ne s'agit plus, en effet, ici, de ces signes limités à la suppression des réflexes et aux do
Il s'agit, chez notre malade, d'un tabès vrai, caractérisé par les signes les plus nets : troubles sensitifs accentués, i
male, semble-t-il, n'a rien d'excessif; la conservation de certains signes de virilité chez les eunuques, qui les faisait ap
ts. Dans ses antécédents on ne relève absolument aucun des1« petits signes de la dysthyroïdie ». La mère, àgée de 47 ans,
sance ; et à l'âge du développement sexuel elle ne montra aucun des signes annonciateurs de la puberté, Le développement int
i- culier quant aux aïeux paternels et maternels. Elle présente des signes dis- .\Xl 22 Fig. 1. 330 GIUSEPPE FRANCHINI
e ; dans un cas de Warda (5), un des enfants du malade accusait des signes évidents d'acromégalie, dans mon cas enfin il s
myxoedémateux. Dans d'autres cas le tremblement, t'exophthatmie, le signe de Graëfe, le goitre, les sueurs abondantes, le
hypertro- phie totale de la langue ; or cette altération est un des signes les plus ca- ractéristiques de l'acromégalie ;
e, des mains et des pieds, et où jusqu'à présent il n'y a pas eu de signes de tu- meur endo-crânienne, sauf céphalée, la^
tique secondaire, diagnostiqué par la lésion papillaire. ' 3° Des signes oculaires accessoires : L'exophtalmie : un des
action à la lumière douteuse, existe peut-être faiblement à droite. Signes de papillite. Vision extrêmement (1) Voy. Nouve
a tumeur. Elle n'était pas visible extérieurement; mais outre les signes macros- copiques usuels de la pression exagérée
ique, à moins qu'ils ne les y aient fait naître par suggestion, des signes propres à chacune de ces affections. Je plains
son père et sou frère. Son visage est bouleversé ; il manifeste les signes de la plus violente colère, il ges- ticule et a
s évidente, et elle s'est manifestée dès l'enfance chez lui par des signes multiples, qui l'ont toujours fait considérer c
diens seraient toujours positifs, on aurait c'est-à-dire les petits signes de la dysthyroïdie. Selon Hertoghe tous les inf
te et même de ce qu'on appelle aujourd'hui avec Hertoghe les petits signes de l'hy- pothyroïdie fruste; symptômes qui étai
ait avec effroi qu'il n'est pas indemne de quelques- uns des petits signes si nombreux et si divers de la dysthyroïdie. Je
du squelette dans l'infantilisme peuvent être interprétées comme un signe de maladie de la moelle osseuse qui pourrait êt
phalie. Toujours selon ¡1lurri il n'y a aucune proportion entre les signes de l'inflammation et la quantité du liquide cér
et l'on peut voir de l'hy- drocéphalie évidente avec de très petits signes de méningite, et au con- traire des méningites
iclinico, Sez.Pratica, 1908. LÉvI LÉOPOLD et Rothschild. Les petits signes d'insuffisance thyroïdienne. Gazette des hôpita
r de Van Swieten pendant quelques semaines) ; en 1900, les premiers signes du tabes apparurent ; celui-ci eut une évolution
lement en 1894, la mère se soigna mal, et en 1900 présenta quelques signes de tabes. Tabes confirmé à l'heure actuelle (abol
e entre autres phénomènes de l'abolition des réflexes tendineux, le signe d'Argyll, un mal perforant plantaire. Le signe
flexes tendineux, le signe d'Argyll, un mal perforant plantaire. Le signe de Romberg existe, mais peu marqué. · La marche
eut de plus curieux ce fut en quelque sorte l'arrêt du tabes. Le signe de Romberg qui existait, bien que très léger en j
, l'enfant est mythomane et plutôt méchante, mais sans excès. Les signes de paralysie générale vont donc en s'aggravant.
symptôme : les convulsions étaient, pourrait-on presque dire, le seul signe de la gangrène pulmonaire. Celle-ci les avait p
depuis le matin recouvrait l'endroit où il y avait la lésion, pas les signes tangibles d'une brûlure avec un objet métalliqu
umineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne. Signes classiques de tu- meur cérébrale, durée de cinq
mineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne : signes de tumeur cérébrale ; durée de 55 ans ; termina
nne(Anévrysme'volu- mineux d'une branche de l' -) ou syl- vienne. signes de tumeur cérébrale : durée de 55 a-s - termina
mineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne ; signes de-; durée de 55 «ns,lerrninaison par suicide)
34 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e de plus ennuyeux, de plus ridicule, sans doute parce que c'est un signe de timi- dité, de faiblesse, de féminisme. Pa
e certaines images de piété représentant la Vierge affligée ; mais, signe caractéristique, elle a su résister à tous ces ma
soit 6,85 p. 100. Chez la plupart de ces 12 malades plu- sieurs des signes principaux du diabète proprement dit manquaient,
e tremblement peut être le plus habituel- lement considéré comme un signe pronostique favorable. (Annales médico-psycholo
de granulations. En somme il existe dans ce cas une combinaison de signes cliniques avec des modifications du système ner
atteint, depuis plusieurs années, d'une insuffisance aortique, sans signe d'anévrisme (pas de para- lysie du récurrent) ;
ant les draps et les oreiller-. Pas de vomissements, pas le moindre signe rappelant l'existence de l'atfec- tion gastriqu
strique dans le moment. Mais les antécédents connus, l'ab- sence de signes de lésions des centres nerveux l'ensemhle des sym
même impossible. Ce n'est pas une impossibilité de reconnaître les signes graphiques simples ou associés, et de leur attr
e l'ataxie, une des formes de l'ophasie optique, parce qu'alors les signes gra- phiques ont perdu leur signification intel
muscle quadriceps fémoral. Les centres nerveux n'ont présenté aucun signe d'altération. Il n'en n'est pas de même du nerf
onie, bien qu'il ne paraisse pas exister de rapport direct entre le signe de l'ataxie et celui de 'hypotomie, rapport qui à
s ou moins profondé- ment atteintes à la suite de ces lésions. Le signe -j- indique une dégénérescence complète; le trait
ères habituelsdu délire éthylique. Ces femmes ne présentaient aucun signe de paralysie générale ou d'hystérie et leur mal
i, en dehors des attaques et de toute simulation ne présente pas de signe précis permettant de la reconnaître. MM. Mai- 1
académie DE médecine ret et Vires se sont attachés à déterminer des signes constants réalisés indépendamment de la volonté
ttaque de dépister la névrose épileptique; au second il fournira un signe conducteur pour l'étude encore si obscure de l'
taire) viennent en aide à leur langage mimique au moyen de certains signes conventionnels, tels que des dessins grossiers
loris que soit son langage mimique, quelque nombreux que soient ces signes conventionnels aux- quels je me réfère, combien
es nuits qu'il devait passer isolé dans sa cellule. La présence des signes objectifs des hallucinations visuelles nous fit
nt lar- gement du repos, ce n'est pas en eux, mais surtout dans les signes physiques qu'il faudra chercher l'indication du
symp- tômes paralytiques, d'états séniles avec prterio-sclérose et signes paralytiques, de cas d'épilepsie ancienne. Au
ions ou la paralysie sou- daine qui sont ordinairement les premiers signes d'une thrombose des veines cérébrales dans la p
a peu de rigidité et pas de mouvements spasmodiques : mais ces deux signes peuvent manquer. En somme, il y a plus de raiso
glycosurie disparaissait. Dans cinq cas sur douze il existait des signes manifestes de dégénérescence vasculaire. La quant
pu être faites, et comme on pouvait le prévoir, elles ontfourni les signes d'un arrêt de développement du cerveau et de se
ouvertes, os du crâne mous; brièveté des jambes et des bras; pas de signes de rachitisme. C'est le premier enfant d'un jeu
médecin doit avoir des connaissances spéciales sur la valeur de ces signes , qu'il doit être un aliéniste. Celui-ci n'a pas
ico- légale : 1° troubles intellectuels observés chez l'inculpé; 2° signes somatiques tels que : absence de douleur consta
es et injurieux : on l'interne à l'asile. Nicolas, qui présente des signes de dégéné- rescence, est intelligent et tranqui
la pitui- taire et de la muqueuse linguale, mais chez lesquels les signes nécessitent une recherche et sont dans un plan
recherche et sont dans un plan fort éloigne par rapport aux autres signes de la maladie. Cette seconde catégorie de cas n
particulières qui s'accompagnaient presque constamment de quelques signes d'embarras gastrique. Les malades les indiquaie
moins léger, qu'on cherche cependant en vain à rattacher à d'autres signes et qui n'existe pas en réalité. Ce n'est pas à
t donc liés aux formes bulbaires du tabes et accompagnés d'autres signes habituels à ces formes que s'observent les trou
ls se manifestent avec une grande intensité. Ajoutons enfin que les signes de l'alcoolisme sont souvent présents ; il nous a
euvent se montrer dès le début du tabes. Peuvent-ils en être un des signes révélateurs à une époque précoce et servir par
goût et de l'odorat rentrent souvent dans cette même catégorie des signes précoces et dont la valeur doit être la même.
tes, seraient peut-être devenus de grands saints ; et, à propos des signes de dégénérescence, M. Maudsley demande ironique
dou- tant de sa portée pratique, l'auteur s'en félicite comme d'un signe de la préoccupation des pouvoirs et du public d
ires, du strabisme, des vomissements répétés. Pendant six semaines, signes d'induration du lobe infé- rieur droit. Pendant
. Ils ont quelquefois des illusions sensorielles sans aucun autre signe de folie : Galezowski a signalé les hallucination
t sur des bases solides, car les goitres base- dowifiés offrent des signes et une réaction à la médication thy- roïdienne
rné, s'il y a lieu, en 1900, à l'auteur du meilleur ouvrage sur les signes diagnostiques de la mort et sur les moyens de p
imentés, si bien qu'en présence de la fré- quence avec laquelle les signes de dégénérescence sont signalés, il y a souvent
alées soit du côté du corps, soit du côté de l'esprit sont bien des signes de dégénérescence ou non, s'il existe bien là des
t bien des signes de dégénérescence ou non, s'il existe bien là des signes d'infériorité constitutionnelle, tendant à deve
opérations de même nature, mais moins graves, le singe présente des signes de paralysie très accusée et sa guérison est poss
cience personnelle. En un mot, le délire systématisé est le premier signe , l'indice de la transformation paranoïaque de tou
me chambre que lui, commence dès l'âge de douze ans à présenter des signes de perversion sexuelle ; devenu maître d'école,
e paraît avoir été congénitale : c'est du moins ce qu'indiquent les signes physiques. L'ablation des testicules parait avo
une famille névrôpathique; père : syphilis anté- rieure au mariage. Signes probables d'hérédo-syphilis chez la malade. Hyd
euse lorsqu'il se produit des symptômes de paralysie motrice ou des signes évi- dents d'affaiblissement intellectuel. Mais
a- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 381 lysie générale. Alors que les signes évidents d'affaiblissement psy- chique fout enc
de ce genre dans lesquels une rechute s'est produite avec tous les signes de la paralysie générale. En voici deux brièvem
ssive accompagnée d'idées de persécution et d'empoisonnement. Aucun signe de para- lysie générale, ni physiques, ni psych
elevant de la paralysie générale, surtout par suite de l'absence de signes physiques. Le début du premier accès s'est fait
onner la paralysie générale et peut-être qu'un examen minutieux des signes psychiques aurait alors permis de faire d'emblé
accès, des symp- mes somatiques qui facilitent le diagnostic ? Les signes de dégé- nérescence sont plus fréquents chez ce
uites immédiates des accès (morsure de la langue, ecchymoses) aucun signe physique caractéristique. La présence, SOCIÉTÉS
pendant l'accès délirant ils ont, ainsi que cet accès lui-même, des signes caractéristiques connus. Discussion. M. 11R.1
atée, après certains états de confusion, et qui constituait le seul signe d'épilepsie. M. TaczEK fait remarquer que certa
ctions qu'on tirerait de la présence SOCIÉTÉS SAVANTES. 393 de ce signe . Ces troubles peuvent se rencontrer dans toutes l
sions fantastiques du souvenir signalées par Tuczek ne sont pas des signes épileptiques spécifiques ; elles se rencontrent
tic, d'un symp- tôme psychique unique ; il ne faut invoquer que des signes dont la valeur soit bien certaine. Il serait mê
out grandes chez les enfants et les adolescents. Il n'existe pas de signes différentiels nets entre les manifestations de l'
sychoses fonctionnelles. Il ne les considère pas toujours comme des signes d'altérations organiques, mais voit en eux des
nt de vue du diagnostic différentiel clinique, il faut citer, comme signes importants, les relations étroites de la maladie
uction artificielle, post-mortem. M. 13ESS (Stephansfeld). Sur le signe du cubital (Biernacki) chez les aliénés. L'au
paralytiques hommes, de l'asile de Stephansfeld, au point de vue du signe du cubital. Une pression énergique exercée sur
sie unilatérale. Résultat : 76,6 p. 100 de malades présentant le signe de Biernacki, 16,6 sans ce signe. Sur 12 femmes p
,6 p. 100 de malades présentant le signe de Biernacki, 16,6 sans ce signe . Sur 12 femmes paralyti- ques, 5 ont présenté u
it diminuée. Résultat : 50 p. 100 de malades femmes présentaient le signe de Biernacki. Pour les deux sexes réunis, la pr
r arrive au résultat suivant, au point de vue de la fréquence de ce signe : sur 417 tabéliques et paralytiques, 66,9 p. 100
s : et la moitié environ des paralytiques femmes présentent donc le signe de Biernacki. Sur 100 aliénés hommes, non paral
lysie générale, surtout dans le sexe masculin. L'importance de ce signe au point de vue du diagnostic s'accroîtra lorsqu'
psychique), l'analgésie à la pression du cubital pourra devenir un signe précieux et d'une grande importance pratique. (
de son affection était bien spéciale. Après avoir présenté tous les signes physiques et psychiques d'une paralysie général
et qu'il y a lieu de remanier complètement, en ce qui concerne les signes physiques, le tableau uniforme que les auteurs
1890 1. Cet aliéniste distingué a étudié surtout les rap- ports des signes physiques avec l'état mental et le délire, et i
phyxie grave; ce à quoi, en réalité, devaient s'attribuer les rares signes de vie qui ont accompagné la naissance de cet e
il y avait accompagnement d'opisthotonos. Enfin, développement des signes classiques d'une méningite basilaire, suivie de m
ien, avec la peau blanche, les jambes enflées, et présenta tous les signes cliniques d'une anémie pernicieuse. L'examen
stl'eptotl'ix, ressemblant à un cladotrix t11,tél'oïdes et dont le signe particulier de la culture consiste dans une coule
tion des fosses nasales, entérop- tose, etc.); 3° Avant tout, les signes physiques qui accompagnent l'état d'anxiété son
ule la rachialgie des neurasthéniques n'a pas d'ana- logue dans les signes de l'état d'anxiété; 4° Il n'y a pas de neurast
utres symptômes, comme il a été dit plus haut, se superposent aux signes physiques de l'anxiété. L'auteur pense qu'il sera
iminels. Dégénérescence chez les - , par Mac Corn, 223. CUISIT1L. Signe du chez les alié- nés, par Hess, 408. Dégénér
35 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Mon hypothèse que ces mouvements de la tête et des yeux sont les signes d'une sensation visuelle subjective et dus à une
'ac- cordait aucune attention aux menaces, aux grimaces et autres signes pour fixer sa vue. On le tua alors pour pouvoir d
minutes, il se calma et refusa de marcher. Il ne manifestait aucun signe de crainte aux menaces, et il ne clignait pas lor
il se traîna. De pareils faits se répétèrent. il ne montrait aucun signe de perception lorsqu'on l'approchait avec soin,
jeta sur ses yeux la lumière d'une lan- terne, mais il ne fit aucun signe . En rampant avec précaution vers lui sans excit
quoique les yeux grands ouverts et tournés vers nous, ne fit aucun signe de perception. Des grimaces effiavaiites furent
ir. On essaya à droite et à gauche de même, mais on ne trouva aucun signe de vision ni d'un côté ni de l'autre. Le jour s
droit, on obtint une hémiopie complète gauche qui dura, sans aucun signe d'amélioration, jusqu'à la mort de l'animal, tioi
, il ne mar- chait pas au delà du bord de la table, il montrait des signes de perception quand on lui projetait de la lumi
intact et nullement t diminué de volume par rapport au premier Un signe distinctif entre l'hémiopie d'origine centrale et
ause l'hémiopie mais laisse intacte la réaction pupillaire. Mais ce signe demande un grand soin dans son application, car
ns lequel l'ani- mal a été habitué à boire, dans un autre, c'est le signe de donner la patte auquel l'animal à été habitu
tous les obstacles sur sa route. Au bout de ce temps, il y eut des signes de vision mais qu'on trouva dus à une fermeture
e chez deux de ces malades : mais il n'existe, dit M. Zacher, aucun signe clinique qui caractérise la paralysie géné- ral
aits de Koch, Wundt, Leibnitz. P. K. XV. Contribution L'ÉTUDE DES SIGNES DE la dégénérescence; par J. METZGER. (Allg. Ze
. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLV, 5.) Il s'agit dans ce mémoire des signes de dégénérescence phy- sique. Examen du palais,
p. 109 des aliénés indemnes de tares héréditaires présentaient des signes de dégénérescence physique quelconque, tandis q
0 en étaient porteurs. L'étude analytique et statistique des divers signes démontre que l'associa- tion et l'accumulation
es divers signes démontre que l'associa- tion et l'accumulation des signes de dégénérescence physique sont bien plus fréqu
de la tem- pérature, et l'amygdalite justifiait amplement ces deux signes . L'examen de l'abdomen pratiqué quotidiennement
inq ans d'ataxie des membres inférieurs avec titubation (absence du signe de Romberg), d'ataxie des mains (difl'érenciabl
- triques dysurie ralentissement de la sensibilité à la douleur - signe de Homberg - atrophie du nerf optique droit. C'es
s, l'attention sur l'inégalité des pupilles comme symptôme et comme signe précurseur de la para- lysie générale. Et tous,
d'affaiblissement intellectuel et quelques troubles de la motililé, signes révélateurs de la dé- mence paralytique persist
elief, dù à la contraction musculaire, mais dans un sens opposé, un signe révélateur de l'état physiologique dans lequel
ologique. Le repli sus-rotulien de Gerdy est, chez notre malade, le signe révélateur d'un état patholo- gique. Sa présenc
qu'on ne constate pas, même dans les cas les plus frustes, certains signes , auxquels on a attribué une valeur pathognomoni
on a attribué une valeur pathognomonique précoce. Au nomhre de ces signes figurent, en première ligne, les paralysies ocu
en première ligne, les paralysies oculaires transi- toires, puis le signe d'Argyll Robertson, le myosis unilatéral ou bil
latéral ou la mydriase et plus souvent l'inégalité pupil- laire, le signe de Romberg, etc.. Rien de tout cela n'a jamais
ui se rencontre chez beaucoup d'animaux (langage par des mines, des signes , des attouchements, des cris et des sons) reste
tête ; ces oscillations thermiques du crâne, qui ne sont que des signes atténués des oscillations thermiques corres- po
n visuelle subjective, nous avons, je pense, dans ces réactions des signes plus caractéristiques d'une sensation auditive
avec précaution et jusqu'au moment où il me vit, il ne donna aucun signe indiquant qu'il eût conscience de ma présence.
expériences sur le lobe temporal 2 qu'on ne pouvait trouver au- cun signe de trouble de l'ouie, quand tout le lobe temporal
normal. Pendant les quatre premiers jours après l'opération, aucun signe de l'ouïe ne put être obtenu par des bruits fai
uger. La même expérience chez les trois autres singes a produit des signes d'alarme et de perturbation. » A peu près à c
t les friandises n'ont jamais produit ni un mouvement, ni aucun des signes animés de vif intérêt qui étaient si caractéris
nsibilité tactile ni du sens musculaire. Il courait sans le moindre signe d'ataxie, il grimpait avec son aisance habituel
Sujet âgé de dix-neuf ans, à antécédents familiaux, présentant les signes classiques de celte affection ; mode spécial de l
. Quand on constate la propagation des ondes contractiles, c'est un signe d'excès de prédisposition, elle n'a lieu chez l'a
Baillarger, l'un des fondateurs delà Société, et lève la séance en signe de deuil. Marcel DAIAND. XXIX- CONGRÈS DES ALIÉ
ême, rien d'anormal dans les cordons blancs et on ne constate aucun signe de sclérose descendante. Les racines antérieure
de précision dans les chapitres consacrés à la symptomatologie, les signes sont plutôt énumérés qu'étudiés, nous ne trouvo
vision dans le temple, parce qu'il le leur faisait entendre par des signes ; et il demeura muet. 23. Et lorsque les jours d
e dans ta parenté qui soit appelé de ce nom. 62. Alors ils firent signe à son père de marquer comment il vou- lait qu'i
que semblable et la pauvre femme donnait depuis quel- que temps des signes évidents d'aliénation mentale. Hier soir elle n
juge d'après les titres : Délire hypochondriaque comme symptôme et signe précurseur de la paralysie générale (1860). De
iplégie chez cette jeune fille a respecté la face. Or c'est là un signe négatif qui acquiert, dans l'espèce, une grosse
'est permis de recourir qu'en der- nière ressource. D'autant que ce signe précieux et désirable, ce caractère différentie
ssé inaperçu que parce que nous ne savions pas le voir. C'est là un signe que je crois appelé à rendre de réels services
il connaissait quelque caractère qui pût permettre, en l'absence de signes habituels du blépharospasme, de diagnostiquer la
hute paralytique de la paupière (fis. 27 et 28). En l'absence des signes ordinaires du blépharo- spasme, cet abaissement
107. 340 CLINIQUE NERVEUSE. sommes donc en possession de plus de signes qu'il n'en faudrait pour asseoir notre diagnost
hé, et recommence à manger. Puis, il se remet au lit en donnant des signes de fatigue. Essence de térébenthine.- II fixe q
intermittent présenté par le bégayement ; c'est en quelque sorte un signe pathognomonique de cette affection. Tel qui lira
rouble des organes sensitifs ou moteurs. Donc, voici quels sont les signes principaux du bégayement or- dinaire : 1° début
dans le bégayement hystérique. J'ai indiqué quels étaient les cinq signes principaux du bégaye- ment. Mais j'écarte tout
ne droite ; la même épreuve à gauche produisait des grimaces et des signes évidents de malaise. L'animal pouvait bouger se
ile de déterminer l'appréciation des odeurs chez les singes par des signes extérieurs. L'odeur que nous considérions comme
oès dans sa bouche. 11 paraissait indifférent et ne manifesta aucun signe de dégoût. La même substance placée dans la bou
ureuse, comme de pincer ou d'approcher un fer chaud. produisait des signes évidents de sensations comme de l'autre côté. C
de l'hémisphère gauche. L'animal répondait invariablement par des signes de mécontentement au plus léger contact. Bechtere
er, afin d'éviter une erreur toujours possible du jury. « A quels signes reconnaitra-t-on que l'accusé a azi sciemment e
ue. - Quoi qu'il en soit, l'adjonction d'un délire ambitieux est le signe d'une haute gravité, sinon de l'incurabilité.
dans ses études remarquables, considère ce trouble mental comme un signe direct et immédiat de l'hérédité morbide en en fa
es cardinaux qui permettent de déjouer la simu- lation, ce sont les signes physiques tels que les anesthésies, le rétrécis
ues de la régression. L'aliéné inoffensif ne présente, lui, que les signes du dégénéré. En montrant que l'aliéné criminel es
lles des examens réitérés et attentifs ne pou- vaient découvrir des signes déterminés d'un trouble mental quel- conque. Su
abiale était propre aux épileptiques; plus tard, on a trouvé que ce signe est plutôt général parmi les dégénérés. Fére a
tôt général parmi les dégénérés. Fére a indiqué l'hémiparésie comme signe caractéristique de l'épilepsie. L'auteur insist
cation a provoqué la discussion suivante : M. SrRDsKi demande si le signe indiqué par M. Sikorski est exclu- sivement pro
u que l'irrégularité dans la mimique de la face ne constitue pas un signe exclusif de l'épilepsie; il peut servir de sign
e constitue pas un signe exclusif de l'épilepsie; il peut servir de signe général dans la dégénérescence, mais dans la dégé
M. Baar;iVOr·F (Moscou) émet le doute sur l'importance du nouveau signe indiqué par M. Sikorski. D'après lui, ce n'est pa
gique et naturelle des travaux antérieurs et qu'il est analogue aux signes indiquées par Feré. Il demande à l'auditoire de
signes indiquées par Feré. Il demande à l'auditoire de vérifier ce signe et non pas de l'accepter sans discussion. M. SA
he du - parloeh, 29 ? Crimini.ls, 172. Di' c,Ud : ;HLSCI,1\t.L ( signes de), par Metzer, 118. DUBi,1r. insipide guéri
36 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
du tube digestif, le mésoblaste a commencé également à présenter les signes de change-ments internes qui se sont produits. (F
du tube digestif, le mésoblaste a commencé également à présenter les signes de changements internes qui se sont produits (Fiy
marquée cliniquement par la disparition également rapide ou lente des signes physiques. En même temps les pro-duits d'exsudati
nature de cette indura-tion était d'ailleurs restée indéterminée. Les signes de gan-grène pulmonaire persistèrent pendant huit
pectoraux. Quand elle est entrée à l'hôpital, elle n'offrait aucun signe d'amaigrissement, quoiqu'elle fût souffrante depu
n'a pu être examiné. Le pouls est à 120 ; la respiration à 28. Mêmes signes physiques, si ce n'est que pendant la toux on ent
tartre stibié, 30 centigrammes; opium, 3 cen-tigrammes). 25. Mêmes signes physiques ; le souffle est plus fort qu'à l'épo-q
note relative à un malade qui succomba après avoir présenté tous les signes de la phtisie tuberculeuse: Souffle caverneux et
indurées s'annonce par quelques phénomènes généraux particuliers. Les signes obtenus par l'examen physique de la poitrine, ou
tés, les pom-mettes rouges ; il a peu d'appétit et mange à peine: les signes d'induration pulmonaire persistent. — Le 9 mai, l
i-grissement rapide ; cependant il n'y a pas de dévoiement ; tous les signes d'induration pulmonaire persistent. Pendant ce te
ntité de pus séreux. Le poumon est examiné à plusieurs re-prises, les signes physiques indiquent toujours l'existence d'une in
L'auscultation et la percussion de la poitrine ne fournis-sent aucun signe qui soit véritablement propre à la maladie. La ma
rcules. Par contre, rauscultation a pu quelquefois ne donne?" que des signes néga-tifs; c'est-à-dire qu'en pareille circonstan
obe atteint d'induration pneumonique. — Si l'auscultation donnait des signes négatifs au niveau d'un point du poumon où la per
qu'elle présente depuis longtemps. Le toucher vaginal donne tous les signes d'une antéversion complète de l'utérus. Pendant s
es est sans rapport avec la quantité de l'expectoration. Fox a vu les signes physiques disparaître dans un cas où la pneumonie
nation sont retardés par suite de circon-stances mal définies, et les signes physiques de l'induration pulmonaire persistent p
attaque de pneumonie aiguë, la fièvre cesse momen-tanément; mais les signes physiques persistent, et la lésion chronique s'ét
érature au-dessous delà normale; comme cela a lieu chez l'adulte, les signes locaux persistent ; bientôt la fièvre reparaît, u
s attaques de pneu-monie aiguë ont été régulières (crachats rouilles, signes sté-thoscopiques classiques, courbe thermique par
tre souvent dans les poumons des sujets qui, après avoir présenté les signes de la phtisie pulmonaire, sont revenus à la santé
t succombé, vers le quinzième jour d'une maladie pendant laquelle les signes stéthoscopiques avaient été abso-lument négatifs,
nts respiratoires profonds, énergi-ques. Cependant rien à ajouter aux signes obtenus par l'ausculta-tion le 1er août, si ce n'
d'un bon appétit; pendant le jour, il paraît calme, et ne donne aucun signe d'aliénation men-tale , mais, pendant la nuit, il
ffaiblissement considé-rable. — Souffles vasculaires et cardiaques. — Signes d'excava-tions pulmonaires. — Expectoration purif
res. — Expectoration puriforme. — Œdème. — Hypertrophie de la rate. — Signes de péricardite. — Urines albu-mineuses. — Dyspnée
rdu complètement l'usage de la parole et ne peut s'exprimer que par signes . Elle ne peut avaler les liquides qu'à l'aide d'u
ient excessive ; mais le ventre reste volumineux et présente tous les signes de l'hydropisie ascite. Dans les dernières semain
e ; la langue est sèche ; la rate peut être volumineuse. Parfois, les signes d'un catarrhe bron-chique se manifestent et il y
Pitié, chez une femme parvenue au huitième mois de la grossesse, les signes d'une insuffisance aortique des plus prononcées s
osées lenticu-laires, il y a de la bronchite ; mais en même temps les signes d'une affection cardiaque se dessinent, de plus e
des réserves. On a vu qu'elle était l'expression de la vé-rité. Les signes fournis par l'auscultation étaient très remarqua-
ns de ta maison s'agitent autour d'elle sans qu'elle donne le moindre signe de vie. Après quelques minutes de confu-sion, on
econnaître à l'autopsie les inflammations de l'aorte, mais encore des signes pour les diagnostiquer pendant la vie. Cet édific
té du vaisseau, comme le prouve l'observation de Rokitansky; mais les signes de l'infection purulente, surve-nant brusquement
u à l'avulsion d'une plaque crétacée. Symptômes et Diagnostic — Les signes physiques d'une induration calcaire de l'aorte ma
rmettra quelquefois de constater cette aug-mentation de volume. Les signes rationnels fournissent au diagnostic des indices
mpossible de parvenir à une certitude absolue aussi longtemps que les signes physiques lui font défaut. C'est ce qui arrive ha
présence, même à une période peu avancée de son développement. Les signes d'un anévrisme aortique doivent donc se diviser e
à passer successivement en revue ces deux ordres de phénomènes. 1° Signes fournis par l'inspection et la palpation. — L'exi
pulsatile, sur un point qui correspond au trajet de l'artère, est le signe palhognomonique des ané-vrismes de l'aorte. Longt
En somme, l'existence de deux centres distincts de pulsa-tion est le signe presque pathognomonique des anévrismes de l'aorte
s faits analogues dans beaucoup d'auteurs, preuve évidente qu'un seul signe ne suffit jamais pour carac-tériser les anévrisme
pareille lésion sera facilement reconnue à la région thoracique. Les signes qui la révèlent sont plus obscurs à la région abd
peu les diverses altérations que nous avons signalées plus haut. 2° Signes fournis par rauscultation et la percussion. — a)
u doigt est également augmentée. M. Piorry, en se fondant sur ce seul signe , est quelquefois parvenu à recon-naître des anévr
récieuses pour le diagnostic, chez les sujets qui présentent déjà les signes rationnels d'un ané-vrisme inlra-thoracique. On
cas où l'aorte abdo-minale est affectée, le pouls crural donnera des signes analo- gues à ceux que nous venons de signaler
ro-phie des muscles correspondants (Law). Comme la plupart des autres signes fonctionnels des anévrismes aortiques, ce phénomè
Lebert. D'après cet auteur, les maux de reins sont l'un des premiers signes des anévrismes de l'aorte sous-diapliragmalique.
, en ce qu'elle est plus tardive à se manifester, et moins liée à des signes évidents d'une gêne de la circulation. Morgagni,
onnaître la présence d'un anévrisme de l'aorte avant l'apparition des signes physiques qui peuvent seuls le caractériser avec
ujours possible à repro-duire. C'est donc surtout au point de vue des signes physiques que nous allons nous placer pour étudie
e tou-jours de nature cancéreuse ou tuberculeuse, coïncident avec les signes généraux de l'une ou l'autre diathèse. Elles pré-
it point enten-dre aucun bruit de souffle. c) C'est surtout par des signes négatifs que Y asthme se dis- tingue des anévri
n-nels sont quelquefois communs à l'une et l'autre maladie. Quand les signes physiques fournis par l'exploration du tho-rax fo
es cas difficiles, que par une exploration très attentive de tous les signes physiques qui peuvent mettre sur la voie du diag-
ostic, car, dans l'œdème de la glotte, on voit souvent man- quer le signe patliognomonique indiqué par les auteurs, c'est-à
es tumeurs ané-vrismales, mais à une sorte de mouvement onduleux. Les signes stéthoscopiques ne sont pas les mêmes au début de
grande intensité des troubles généraux ; enfin, l'élude attentive des signes , fournis par l'auscultation et la percussion, tel
nt établi avec une grande précision les caractères anatomiques et les signes pathognomoniques de cette intéres-sante lésion. T
cavités du cœur. Ces trois variétés, qui se distinguent par quelques signes particuliers, ont cepen-dant des caractères commu
nce de toute lésion, de tout épaississement des tuni-ques. Ce dernier signe , invoqué par MM. Barth et Cruveilhier, n'est poin
h et Cruveilhier, n'est point considéré par tous les auteurs comme un signe caractéristique des rétrécissements congénitaux;
ur. Nous ne savons pas si l'autopsie a confirmé le dia-gnostic. Les signes fonctionnels sont à la fois moins constants et mo
appui. On comprend donc qu'il est très intéressant de consta-ter les signes qui révèlent l'existence de cette lésion chez le
forces, il tombe sur le sol, où il reste étendu, en donnant tous les signes d'une vive douleur; les membres sont roides, cont
r le forcer à accélérer son allure, et on le verra bientôt donner les signes de la plus vive anxiété; il est pris d'un tremble
souffle continu à double cou-rant dans les vaisseaux du cou ; pas de signes d'hypertrophie car-diaque; des battements énergiq
ier. Je signalerai chez lui l'existence d'un arc sénile avec d'autres signes non équivoques d'artério-sclérose et, dans les an
que, si on le pince avec une force égale du côté opposé, il donne des signes de douleur. Chaque jour depuis lors jusqu'à l'é
culière-ment chez des individus qui, pendant la vie, ont présenté les signes d'une affection organique du cœur, et chez lesque
is-son, du point de côté, de la fièvre, et quoique ayant présenté des signes stéthoscopiques incontestables, tels que râle cré
actères propres à la phleg-masie pulmonaire : point de côté, frisson, signes stéthoscopiques, etc., puis cessent brusquement a
: — symptômes locaux, 4C4; — étiologie, 405; — observation, 405 ; — signes d'auscultation, 417; Entozoaires de l'aorle, hi
50; — symptômes locaux, 154; — auscultation et percussion, 15^; — signes négatifs, 156; — dia-gnostic, 157. Pneumonie ch
37 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es libres motrices ou sensitives, ce qui explique l'absence de tout signe bul- baire, et l'impossibilité, dans ce cas, de
te depuis avril 1904 les symptômes de l'hébéphrénie ; il existe des signe * d'affaiblisse- ment intellectuel mais la démen
é la persistance de l'état maniaque. Après 71 jours d'emploi, aucun signe d'accoutu- maure. ' De ces deux observations
L'examen de la poitrine permet de constater, aux deux sommets, des signes très nets de tuberculose au 2° degré. A l'auscu
t tousse de temps à autre, maigrit, mais ne reste pas alitée. Mêmes signes à l'auscultation. 1904. Janvier. L'enfant est p
la tête; elle dort peu. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 31 Les signes d'auscultation augmentent beaucoup, en intensité
ppression a reparu, 52 res- pirations à la minute. Pouls 144. Mêmes signes d'auscultation. L'enfant commence à gâter. -
lruclifs aigus cl chroniques. 8. Mais leur importance, en tant, que signes de lésions ana lonlopaLllOlogilj1H's s'étant pr
vations I et 111 de M. Bielschowsky, caractérisées par l'absence de signes certains d'inflammation, témoignent des effets
t d'un de- lire généralisé et incohérent avec agitation et quelques signes physiques de paral;siegenerale,al'autopsieduque
toujours plus rapidement que celles où 70 SOCIÉTÉS SAVANTES. ces signes font défaut. En ce qui concerne les affections de
uvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc adroite, el le signe du peaucier à gauche. C'est une hémiplégie spa
muscles antagonistes). .le ne trouve chez cette malade aucun des signes objectifs qu'on douve dans l'hémiplégie ou dans
auteurs tirent des conclusions au point de vue de l'importance des signes objectifs et de l'histoire gêné-, raie de l'hys
ractions lilrrillai- res, Pas du troubles de la sensibilité, pas de signes du paralysie bulllaire. Réactions électriques s
sciatique. Le malade ne peutcomptete- ment fermer les paupières, ce signe remontant L'extrême jeu- nesse. llCtlttclia d
é dans Son puits. E ! lI1(/1'(I, depuis quelque temps, donnait des signes d'aliénation mentale, Si, contrairement aux p
IL .. est slirloul malade depuis cinq semaine-, mais les premier- signes de trouble mental remontent àuu moins six mois. C
maniaque légère; divagations religieu- ses incohérentes : « J'ai un signe de Dieu sur la langue... Ce sont des dorures...
.. Un homme qui tournait autour de ma maison m'a dit que j'avais un signe de Dieu et m'empêchait de sortir. J'ai vu saint
e et un mort pendant la guerre de 1870. Père aliéné. Les premier* signes de folie se sont manifestés il l'âge de 20 ans,
affaiblissement intellectuel, la perle de la mémoire, en un mot les signes de la démence sénile ; des élourdisse- ments, u
des filles du main aise lie, présentait indubila- blement tous les signes d'une paralysie générale, acc excitation maniaq
s symptômes morbides, tant sont en effet net- tement déterminés les signes qui leur sont propres. Ce n'est pas d'aujourd'h
au point que le début en remonte il un an déjà, sinon plus ; et les signes physiques qui l'accompagnent, embarras de la pa
papille proemine au moins de 2/3 de mill. (2 Dioptries). Parmi les signes cliniques il ne faut pas oublier : les obscurci
Chez le ch ien, la lésion des lobes frontaux détermine surtout des signes de démence; ce n'est pas la vue qui est atteinte,
duit par un affai- blissement du lieu de la vision distincte et les signes de la cécité psychique. En l'espèce, la partie
adies organiques de la moelle, on rencontre très llWluemmenL de ces signes de dégénérescence, ou, comme chez noire malade,
L de ces signes de dégénérescence, ou, comme chez noire malade, des signes d'atavisme ayant alors pour la neuropathologie
portance qu'ils ont. pour laltsycltopalltolo- gie. En fout cas, ces signes n'expriment qu'une prédisposition ; l'explosion
érie ; b) Idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe ; c) Signes ressemblant il ceux de l'alcoolisme avec période
l'alcoolisme avec période som- Incil. 1. Ce sont précisément ces signes qui ont amené son internement ; elle a eu à un
ntéres- sant, est l'aptitude de ce cheval à percevoir les, moindres signes des paupières ou les moindres mouvements résult
efl'L,t, Jà qU'l'sL lc noeud de la question. En se conformant à des signes qui lui sont faits, ce cheval ne fait que réali
éances d'hypnotisme. La guérison se maintient depuis six mois. Le signe du salut dans la sciatique. M. Maurice 1LOCH. D
er l'origine dans un état stuporeux, car le sujet ne présente aucun signe de stupeur. Il obéit parfai- tement aux sollici
finir avec la stéréotypie du langage écrit, di- sons encore que les signes hiéroglyphiques qui sont à l'écriture ce queles
raités. ' III. Valeur clinique. A. Fréquence. S'il est vrai qu'un signe clinique a d'autant, plus de valeur qu'il oc- c
définitif d'affaiblis- sement intellectuel relatif. Or, parmi les signes capables de faire augurer pareil dénouement, la
e gué- rison, dans les cas bénins. Or. la stéréotypie est-elle un signe capable de faire prévoir, au cours d'une démence
ule. Nous avons laissé entendre que la stéréotypie, en tant t que signe démentiel, avait une valeur pronostique de fu-
riences exécutées par l'auteur ont .porté sur 23 chats. L. W. XX. Signe d'Argyll et méningite syphilitique ; par BER- T
se majorité com- mence par un processus méningé (I3rissaud) ; 2° le signe d'Ar- gyll peut se rencontrer assez fréquemment
ion vient à l'appui del'hypo- thèse de l3abinki d'après laquelle ce signe serait un symptôme pathognomonique de l'infecti
nfection ludique acquise ou héréditaire des centres nerveux ; 3° le signe d'Argyii est un épiphénomène de la méningite sp
lité des méninges cérébro-spinales au virus syhltililiclue ; ,1° le signe d'Argot n'est donc pas un symptôme purement tab
l, Cent1'albl, XX, 1901.) Jeune homme de 23 an·,l>résentantles signes de l'ohlul'atiun de/ l'e,\lrémité inf{>rieur
de, la myasthénie est associée à une neurasthénie décelable par les signes suivants : développement de la maladie à la suite
places, douleurs erratiques, dyspepsie alonique, concoinilante. Ces signes sonl au second plan par rapport à la myasthénie
gérés sans qu'on constate d'ailleurs ni trépidation épileploule, ni signe de Ba- Linski. Après discussion, les auteurs ad
s d'août dernier à la Salpélrièreon constatait une grande atwie, le signe de Rombcrg, de la dysarthrie, de la dysphagic,
s'amendèrent. Aujourd'hui (janvier 1905), il n'a plus ni alaxie, ni signe de Homberg, ni dysarthrie. Mais l'abolition des
qu'on puisse affirmer chez lui l'épilepsie : il pré- sente assez de signes tératologiques pour le considérer comme un dégé
eut la considérer comme un moyen de défense naturelle. , D'autres signes subjectifs précoces de la fécondation, qui pass
férents mouvements réflexes montre que l'extension du gros orteil - signe de Babinski n'est pas uniquement un phénomène p
rouve à l'état normal. C'est son exagération seule qui constitue le signe pathologique. Il. C. LXXIX. Sur l'aspect extéri
présenté à côté des b) mptômes généraux des tumeurs cérébrales, les signes de la dé- mence parais tique el un symptôme de
pouls de 95 a RE\Tr- : nE P.\' ! HOLOGm IOER\'ITsr. 313 10, sans signes objectifs ; de l'hyperidrosc po()ali(p)e avec sen
(Jouleurs,clui peuvent exister seules plus de dix ans avant que les signes objectifs lini- mobihte réflexe des pupilles, a
iagnostiquer le Lahesâ un stade précoce, avant même l'apparition du signe de \1'usLphal. Le réflexe achilléen a la même v
complet de celle dernière. La syphilis esl niée, il n'en existe nul signe , et cependant.Ia.guerisonb'en'ectue complètemen
thérapeutiques satisfaisants. Uss. 111. Jeune femme présentant les signes prodromiques de l'excitation des méninges par d
Bordeaux le 3 ou 't sel)- tembre. Sa mère constate alors les mêmes signes que le 20 août : mais l'oeil gauche est-un peu
-à-dire normale à gauche ; elle est complètement indolore à droite ( signe d'Abadie-Ilocher.) Les pupilles sont égales et ré
tatait dans la région tboracique et dans les membres supérieurs les signes d'une dys- trophie musculaire progressive. Les
sque absolu- ment. Le corps calleux fait défaut. 11 n'existe pas de signes mani- festes d'un processus pathologique dans l
qui persista pendant dix jours. La source se tarit et les premiers signes réapparurent. 2c temps : Recherche de la tumeur
hialgie, douleurs dans les membres inférieurs à droite surtout avec signe de 'Ker- nig. ) : pendant les crises, la hernie
faiblie. Toutefois la jalousie morbide, sans cause, est toujours un signe de dégénérescence; quand ces enfants sont très dé
espaces et les vastes penser.» ! 1 . Le Président lève la séance en signe de deuil. Reprise de la séance. Persistance d
è.\UIE eUlI1l11unique )'obsen alion d'un jeune homme présentant des signes physiques très accusés de dégénérescence mental
si l'un recherchait chez tous les syphilitiques un peu anciens les signes légers de la période pré-ataxique du tubes. \Vl
peu, il devient impotent, est confiné au lit et meurt cachectique ; signes généraux des contractures : exagération des réf
lexes rotuliens ; trépidation épileptoïde, clonus de la rotule ; le signe de Dabinski est incons- tant. Le psychisme est
e la dysarthricylu rire et du pleurer spasmodiques. On constate les signes physiques ordinaires de l'artério-sclérose généra
débute par l'atrophie musculaire progressive ; un quatrième par des signes de tahes spasniodique. Il y a un certain parallé
is de grandes dif- (1) Ou mieux dès que l'on a reconnu les premiers signes de l'idiotie. On les admet il et il ln Salpêlri
e chronique, sur la classification des maladies menta- les, sur les signes physiques, intellectuels et moraux des folies h
déterminer le volume de l'encéphale, par Reiclr, 134. AItcoLr.. Signe d'-et méningite syphilitique, par Bertolotti,
erc et Beutter, 382. SAC;is..Voir Système nerveux. Sciatique. "Le signe du salut dans la , par Bloc ! ), 1G4. Scléros
38 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mmes qui désirent et prennent la chair, puis négligent l'âme ; « le signe de la décadence d'un peuple provient de la direct
ne, et c'est " aux âmes qu'on juge les hommes, non aux corps, seuls signes 26 CLINIQUE MENTALE. « distinctifs des races,
d'une malade âgée de 81 ans chez laquelle ils trouvèrent, outre les signes d'ostéoma- lacie des côtes, du sternum et de la
me que l'on observe chez le vieillard. Les auteurs insistent sur un signe que présenta leur malade, signe sur lequel a in
ard. Les auteurs insistent sur un signe que présenta leur malade, signe sur lequel a insisté M. Latzko et auquel il attri
s, qui, peu de temps après le début de sa profession a présenté des signes multiples de l'in- toxication saturnine : coliq
tabétiques et dix-huit P. G. sans cécité et sept syphilitiques sans signes de tabes mais avec ou sans troubles visuels. No
tion aiguë, géné- ralement accompagnée de céphalées frontales et de signes d'irrita- tion du nerf optique, de phosphènes q
née Renard, âgée de cinquante ans, donnait depuis quelque temps des signes de dérangement cérébral. Hier, vers six heures du
ns et s'accompagnant de troubles profonds de la sensibilité; or ces signes sont bien ceux que nous avons rencontrés chez n
lades l'ab- sence de toute déviation rachidienne, c'est-à-dire d'un signe que nous considérons à bon droit comme constant
as constaté d'exagération des réflexes tendineux, pas plus qu'aucun signe despasmodicité : bien au contraire, je vous ai,
à localiser les éléments nerveux affectés, non pas à rattacher les signes cliniques à la lésion anatomique, mais bien à r
droit et de la jambe gauche, exagération des réflexes tendineux, et signe de Babinski à gauche, ongles en verre de montre
ntent un jeune infantile myxoedé- mateux de dix-huit ans porteur de signes évidents de sclérose en plaques (tremblement in
ngue avec l'extrémité d'une aiguille sans qu'ils donnent le moindre signe de frayeur. Seule, la réflectivité automatique
ableau sympto- matique de la démence précoce, à passer en revue les signes phy- siques de cette affection, mais comme ils
qui semble indiquer une diminution de la perméabilité rénale. Les signes physiques que nous venons de passer en revue sont
cependant, d'après l'étude comparative qui a été faite de ces mêmes signes dans quelques autres formes d'aliénation mental
e précoce parait devoir comporter, comme la paralysie générale, des signes physi- ques dont aucun, considéré isolément, n'
ognomonique. mais dont le groupement offre une certaine valeur. Les signes vasomoteurs sont à citer en première ligne : ce
ts indiscutables peu nombreux, il est vrai où la constatation de ce signe , bien qu'encore inexpliquée, ne doit pas infirm
doc- trine de Iiraepelin intégralement : le premier insiste sur les signes physiques de la démence précoce, si utiles pour
oirs, les tendons ramollis, les parties molles nécrosées. En outre, signes de tuberculose pulmonaire à la 2e période. Mai-
ques (phénomènes des orteils de Babinski ; abduction des orteils ou signe de l'éventail) l'auteur arrive aux conclusions su
lus fré- quente que l'abolition du réflexe pharyngien, constitue un signe au moins aussi précieux que ce dernier pour éta
ons-nous pouvoir considérer le phénomène plantaire combiné comme un signe spécial à l'hys- térie ; 5° L'anesthésie plan
téries ; au contraire nous avons noté dans 8 cas, soit 8 p. 100, le signe de l'éventail. Nous, croyons donc que ce dernie
8 p. 100, le signe de l'éventail. Nous, croyons donc que ce dernier signe n'a pas une valeur clinique \ 0 SOCIÉTÉS SAVA
s tics unilatéraux et montre qu'à chacune d'elles correspondent des signes particuliers qui permettent d'en faire le diagn
atomiques. Anomalies de volume et de forme du crâne et de la face ; signes fournis par les organes des sens, la bouche (as
du cheval -et ceux que Morel et Magnan ont décrit chez l'homme. Ces signes n'acquièrent, chez le cheval comme chez l'homme
rhagiques de la rétine voisine (le long des veines). Ultérieurement signes de l'atrophie post-névritique avec ses carac- t
champ visuel, ou un scotome central des plus évidents, et tous les signes ordinaires de la névrite rétro-bul- baire. Le
mentaux, les auteurs insistent sur l'importance de la recherche des signes du diabète chez toutes les névroses ou les psyc
isse- ment dans l'écorce ou la substance blanche du cerveau ; nul signe de processus infectieux; base du cerveau normale.
es anomalies du cercle de Willis sous le même niveau que les autres signes physiques de dégénérescence que l'on rencontre
Obozréniè psichiatl'ii, VI, 1901.) Ces phénomènes constituent des signes "plus ou moins perma- nents de l'hystérie. La c
des semaines, des mois, des années et constituent non seulement des signes paroxystiques, mais des signes plus ou moins pe
ées et constituent non seulement des signes paroxystiques, mais des signes plus ou moins permanents de l'hystérie. G° Ils
ns les affections organiques du cerveau. Quand il n'existe pas de signes de ces dernières on doit toujours penser à l'hyst
ndie). P. Keraval. LUI. Un arrêt de développement du nez; nouveau signe de dégé- nérescence ; par H. GUDDEN (Neurolog.
exe patellaire y est très exa- géré, il existe du clonus podalique. Signe de Babinsky à gauche, point à droite. L'avant-b
plus de la moitié de la coupe tra Les phénomènes spasmodiques et le signe de Babinsky témoi- gnent de la participation de
gnements commé- moratifs, la coexistence simultanée de tels et tels signes , et sur- tout le succès du traitement spécifiqu
ue incontestable, parce que parfois elles précèdent l'apparition du signe d'Argyll Robertson et peuvent constituer pour ain
ertson et peuvent constituer pour ainsi dire le stade initial de ce signe . VI. Les altérations de forme de la pupille que
. P. Keraval. XLIL De la sensibilité de l'arcade zygomatique, comme signe d'af- fection organique des parties essentielle
r W.-M. llCHTElOEW. (06oj : re't : ! e psiehiutnü, VII, 1902.) Ce signe aurait de la valeur dans les lésions syphilitique
quatre ans, chaudronnier, 18, rue des Panoyaux, présentait quelques signes d'aliénation mentale, prétendant à qui voulait
s de l'âge, et qu'il soit interrompu à la plus légère apparition de signes de fatigue cérébrale ou d'obtusion intellectuel
nocturnes, qui, chez des épilep- tiques continents, constituent un signe avant-coureur d'une attaque d'épilepsie. , Le
parésié, oedématié. Phénomènes réflexes augmentés. Clonus du pied. Signe de Romberg positif. Intelli- gence obtuse. Le m
l s'arrête, il manifeste, dès que le bol arrive dans la bouche, les signes du contentement le plus évident, il passe la la
mnie, épigaslralgie, oppression, lypothymie, etc., peuvent être des signes d'angoisse fruste. Au point de vue physico-path
sujet n'a qu'une conscience vague, mais qui se manifestent par des signes objectifs frustes de l'angoisse, ne sont pas de
ilité mentale, l'hystérie, la neurasthénie avec gastropathie et des signes de tabes. L'apport à la conscience des incitation
S Éamox. XX. De la réaction pupillaire prolongée aux toxiques comme signe précoce de la paralysie générale; par 1\11\1. T
te ampliation des ventri- cules latéraux constitue un des meilleurs signes des démences. Dans la paralysie générale, la pr
personnels et qui n'a pas eu de convulsions dans son enfance. Aucun signe physique de dégénérescence, état général très b
apparent à l'état physiolo- gique ; il n'en constitue pas moins un signe spécial il la paralysie de l'orbiculaire puisqu
rémission qui répond brillamment et ne présente que peu ou pas de signes physiques. Le médecin affirme que c'est un paraly
l'acuité visuelle, hébétude) et doit ètie conseillée. G. C. XCII. Signe de Kernig et signe de Lasègue. Pathogénie du sign
hébétude) et doit ètie conseillée. G. C. XCII. Signe de Kernig et signe de Lasègue. Pathogénie du signe de Kernig; par
lée. G. C. XCII. Signe de Kernig et signe de Lasègue. Pathogénie du signe de Kernig; par M. Piéry. (Lyon médical, n° 17,
éry. (Lyon médical, n° 17, p. 696.) Pour M. Piéry, la pathogénie du signe de Kernig peut se fur- muler ainsi : « Ce signe
y, la pathogénie du signe de Kernig peut se fur- muler ainsi : « Ce signe est dû. à la contracture de défense des muscles
été examinée) du fait, courte revue bibliogra- phique. Noter comme signes de tumeur des lobes frontaux : la raideur de la
sensibilité. Les malades présentent, en outre presque toujours des signes centraux ou périphériques d'athérome artériel.
et clonus de la rotule. Les réflexes cutanés sont souvent normaux; signe de Babinski inconstant. Pas de troubles de la s
urer spasmodiques, dysarthne. On trouve, en outre constamment des signes d'athérome. La terminaison a lieu quelquefois par
giques entre- prises sur les moelles d'individus ayant présenté les signes cli- niques de l'ostéomalacie nerveuse, ils ont
it une exophtalmie exceptionnelle, 500 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. le signe de Groefe, la convergence était impossible. Tachy
ie pratiquée quatre ans après l'opération per- met de constater les signes suivants : Ecartement de deux bouts mesurant 'd
cédents spécifiques prouvés. Il y a trois ans, troubles de la vue : signe de Romberg. Depuis lors, affaiblissement intellec
des erreurs de diagnostics. Je ne comprends pas le gâtisme comme un signe de démence. La confusion mentale est souvent le
ans, syphilitique depuis l'âge de vingt et un ans, qui présente les signes classiques de laparaly- sie générale. Le malade
ménin- giliques : attitude en chien de fusil, raideur de la nuque, signe de Kernis, vomissements, fièvre (38° 6). Les at
fait de même. L'action de cette dernière se manifeste même par des signes objectifs, par exemple, augmentation de la tens
fut reconnu atteint de manie, peut-être par alcoolisme, mais sans signes de paralysie générale. Comme au dehors, il se m
a mort accidentelle par suffoca- tion, mais qui en auraient été des signes certains pour le vulgaire, la famille, les amis
401. Juges ET experts, par Hoche, 430. par Noecke, 430. KERNIG. Signe de , pathogénie, par Piéry, 480. KoRSAKoFF. C
S MATIÈRES. un aliéné alcoolique, par Bian- chmi, 498. LASÈGNE. Signe de -, par Iliéry, 480. Léchage. Voir Tics :
, par A Marie, 526. NEZ. Un arrêt de développement du - , nouveau signe de dégénéres- cence, par Gudden, 334. - Voir
Cabannes et Robineau, 249. De la - de l'arcade zygomatique, comme signe d'affection organi- que des parties essentielle
39 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
parce que c'est ainsi, répond ou pense l'aliéné. 3° Quels sont les signes différentiels de l'idée fixe et de Y obsession
écutif à la satisfaction donnée aux.centres surexcités, - voilà les signes de l'obsession dont l'état lucide de la conscie
devient la raison première (Leitmotiv) de tous ses actes, voilà les signes de l'idée fixe. - Le mode d'origine psychique
loppés que les enfants normaux du même âge; ils avaient tous des signes de rachitisme, qu'il a trouvés être la cause auss
7zte, et s'agile quand on lui dit que le médecin n'a constaté aucun signe de celle-ci. Il s'y cramponne plus que jamais,
inte-Anne le 2 décembre. P... présente l'attitude extérieure et les signes phy- siques de la dégénérescence mentale : orei
et la recherche de plus en plus maladive de la guérison. D'autres signes , moins précis, montrent que le délire s'étend,
ersonnels : aucune maladie grave; pas d'excès alcooliques. Mais les signes de la dégénérescence ont pu être constatés de b
l ne peut encore préciser de quel personnage il descend ; tantôt il signe : Wilhelm de lioheuzollern; tantôt, Alphonse Ca
es anciens internes. Chez cette imbécile, entrée à l'asile avec les signes cliniques d'une paralysie générale associée, le
feuillet ectodermique seul a eu son évolution troublée ; de là les signes extérieurs de la maladie de Reckhnghausen ; mais
te observation est un argument en faveur de cette opinion que : les signes physiques de la maladie de Recklinghausen sont
OCIÉTÉS SAVANTES. A l'examen on constate de l'ataxie manifeste, les signes de Romberg et de Westphall et des troubles de l
é des organes pelviens, parfois inégalité pupil- laire, allusion au signe d'Argyll Robertson, nystagmus horizontal dynami
uf ans avec tous les caractères de l'épilepsie classique sans aucun signe de paralysie générale. Puis, brusquement, elle
flexe cutané plantaire était redevenu normal. J'ai observé aussi le signe en question au moment de la crise pendant un es
le réflexe cutané plantaire était normal en dehors des crises. Le signe des orteils dans les cas de ce genre est tantôt u
ne fait constamment défaut. Il en résulte que la constatation de ce signe pendant une crise chez un sujet dont le réflexe
blir le diagnostic d'épilepsie. Je dois ajouter que l'absence de ce signe ne prouverait pas que l'épilepsie n'est pas en
sacre ensuite quelques pages au diagnostic. Après avoir rappelé les signes qui révèlent la tuberculose à sa période de ger
les signes qui révèlent la tuberculose à sa période de germination, signes d'uue haute valeur pour l'aliéniste, M. Chartier
oanny Roux. Réflexes rélino-réliniens (arc. d'opht., juin 1898). Le signe d'Argyll Robeolson (Province médicale, avril 1898
tante, mais chez les malades dans.le demi- coma, c'est un excellent signe qui permet de soupçonner le trouble de la visio
férent du réflexe, irien de la vision rapprochée (V. Dr J. Roux, Le signe d',Ii ? 7yll Roberlson, loc. cil.). 2 Grassel.
ciation de ces mouvements dans le goitre exophtalmique constitue le signe de de Graefe. 2 Cette partie de notre sujet vie
ier'1897, vol. VII, n° 1, p. 14) a fait remarquer que tandis que ce signe ne s'observe que chez 27 p. 100 des individus n
eur et le frontal, association rompue dans le goitre exophtalmique ( signe de Joffroy). 190 PHYSIOLOGIE. base à la conce
ce, titubation très forte du patient dans la situa- tion verticale. Signe de Romberg. Impossibilité de se tenir sur une j
, achilléens, du coude ; à droite absence du réflexe radial. Pas de signe de Romberg ; elle se tient même sur une jambe s
inution de l'ouïe à gauche; acuité auditive normale à droite. Aucun signe positif relativement à l'oreille moyenne droite
usculaiie du côté gauche du corps. fous les réflexes sont exagérés. Signe de Romberg extrêmement marqué; elle tombe. Impo
les vingt-huit heures qui suivent la forcipressure on voit déjà des signes de réparation (exp. V111), ils s'accompagnent che
lie ce fait : « Depuis quelque temps, M. Honoré Parisot donnait des signes non équivoques d'aliénation mentale. Pour se so
NTALE. fecta, une fièvre intense apparut, et le malade présenta les signes ordinaires d'une septicémie aiguë. Huit jours
s l'opération, l'entourage de C... com- mença à observer en lui des signes dénotant une légère altération de ses facultés
rs, le malade est atteint d'une légère bron- chite, et présente des signes de congestion aux bases des poumons, conséquenc
emiers symptômes de folie. Ceux-ci ont apparu en même temps que les signes d'une septicémie aiguë, consé- quence de l'infe
nt d'une suspension par- tielle du fonctionnement cérébral. Mais ce signe a été mas- qué dans une certaine mesure, pendan
état fut grave pendant une semaine ; après avoir présenté tous les signes d'une myocardite confirmée, elle entra en conva
es règles, il n'y a ni douleurs, ni hémorragies supplémentaires, ni signes de rétention; toutes les autres fonctions s'accom
e des globules. A vrai dire, aujourd'hui, elle ne présente pas de signes d'anémie. Elle a le teint et les muqueuses coloré
ous les aisselles. Pas de déformation thoracique. A l'auscultation, signes d'em- physème pulmonaire. Le coeur est un peu g
t satisfaisant ; rien au coeur ni aux poumons, si ce n'est quelques signes d'emphysème. La malade meurt subitement le lend
302 . RECUEIL DE FAITS. dias est la cause même de l'apparition des signes féminins. L'hypospadias étant créé, a entraîné
it rien faire pour lui. Un examen 'minutieux décelait chez lui sept signes évidents de tabes : 1° signe de Bomberg; 2° sig
men 'minutieux décelait chez lui sept signes évidents de tabes : 1° signe de Bomberg; 2° signe de Wesphal; 3° crises gas-
it chez lui sept signes évidents de tabes : 1° signe de Bomberg; 2° signe de Wesphal; 3° crises gas- triques ; 4° douleur
ot d'hystérie ou d'hystérisme sans approfondir plus avant. Certains signes pourraient cependant différencier ce qui relève
connut alors l'existence latente de cette névrose, attestée par les signes suivants : anesthé- sie à tous les modes de sen
ait la bouche close, sans manifester pendant son sommeil le moindre signe d'insuffisance nasale. Ce fait peut être rangé
'une lésion métamérique bien déterminée. Le symptôme labyrinthique ( signe de liomberg, difficulté de la marche dans l'obs
enteraient une fréquence et une fixité bien supérieures il d'autres signes comme le nystag- mus et les troubles.de la mict
NERVEUSE. 313 rée ; mais dans les deux cas de La Biva l'absence du signe de Bechtereew (perte de l'expression réflexe de
nesthésies, contractures). Il insiste en terminant sur la valeur du signe de Babinski sur le phénomène des orteils. XXX
de l'élévaleur de la pau- pière supérieure est donc probablement un signe de réaction dégé- nérative dans les paralysies
partage pas l'opinion de M. Nordau qui considère ce mouvement comme signe de décadence. Il pense que ces ten- dances myst
ageotte n'attache aucune impor- tance à l'atrophie du cerveau comme signe de la paralysie générale. At. Christian se mont
et elle-même un peu triste, qui présenta progressivement tous les signes de la paralysie générale, en même temps que se mo
du 14 mai 1899. A. Beiistein. Contribution à la symptomatologie des signes physiques des maladies mentales. (Communication
otie : M. Hricon (1.200 francs). 1889, - Hechercher s'il existe des signes anatomiques, physiolo- giques et psychologiques
il sous le menton. Depuis quelque temps la pauvre femme donnait des signes de dérangement cérébral. Le nommé Léandre Gesse
. M. A..., commandant en retraite, donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale; sa femme avait introduit
ère aliénée. - Début des habitudes alcooliques à vingt-trois uns. Signes d'alcoolisme chronique à trente-cinq uns. - Hallu
. Idées de persécution. - Dans la rue, les passants faisaient des signes pour lui nuire, pour le taquiner ; on le regardai
le lendemain. C'est un homme de taille moyenne, bien musclé; pas de signes apparents de dégénérescence si ce n'est l'adhér
directement l'interruption spinale. Mais il n'y avait aucun autre signe d'affection tuberculeuse, et par contre les sympt
apides, se manifestèrent subitement, en août 1897, un en- semble de signes réalisant bien nettement le syndrome du goitre
uve aucune cause ; ni syphilis, ni affection auriculaire ; point de signe de lésion des méninges à la base, de lésion de
QUE NERVEUSE. paru au moment de l'admission. Il ne persiste que des signes d'embarras gastrique, de violentes douleurs cép
aptitudes délirantes dusujetse révèlent, précédant ou masquant les signes d'affaiblissement intellec- tuel : tels sont, p
s résultats suivants : (mai 1894). Abolition du réflexe rotulien ( signe de Westphal). Impossibilité de se tenir debout
gne de Westphal). Impossibilité de se tenir debout les yeux fermés ( signe de Rom- berg). Disparition du réflexe à la lu
réflexe à la lumière et conservation du réflexe à l'accommodation ( signe d'Argyll Robertson). Le D1' Trousseau des Quinz
ue, lorsque, chez un épilep- tique avéré ou individu présentant des signes d'un accès convulsif récent, on se trouvera en
gnée par les symptômes d'une inhibition cérébrale profonde, par les signes nettement accusés de la perte de l'influx nerve
fonctionnelles qui nous occupent. Rapprochant et différenciant ces signes des troubles d'oxydation constatés dans l'hysté
t aux accès convulsifs et les remplacent. Plus tard on constate les signes d'une démence paralytique avec obnubilation épi
graduel des symptômes, la longue durée de l'évolution, l'absence de signes d'abcès ou autres affections (auriculaires ou n
zlreilh., XXI, N. F. IX, 1898.) Aide relieur de trente-cinq ans. Le signe de Westphal, le signe de Romberg, les douleurs
X, 1898.) Aide relieur de trente-cinq ans. Le signe de Westphal, le signe de Romberg, les douleurs lancinantes, les troub
M. Paul Janet, ancien président de la Société et lève la séance en signe de deuil. Le traitement des psychoses aiguës pa
sa physionomie clinique et surtout par ses réac- tions électriques ( signe d'Erb), réalisait le tableau classique. Elle mo
t soumis dix malades délirants, chez lesquels on ne trouvait pas de signes permettant d'affirmer l'existence d'une tubercu
es de pièces, concernant un homme de son service ayant présenté les signes d'une méningite aiguë avec signe de Kernig mani
de son service ayant présenté les signes d'une méningite aiguë avec signe de Kernig manifeste. L'autopsie démontra qu'il
leurs vêtements du dimanche. Ni elle ni les fillettes ne donnaient signe de vie. Les voisins pré- vinrent aussitôt le co
1899.) La femme Truchet, de Loisé, près Mortagne, qui donnait des signes d'aliénation, s'est noyée volontairement. (Le Bon
apmski, 231. Maladies mentales. Contribution à la symptologie des signes physi- ques des -, par Bemstein, 339. Travail
40 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ferme les yeux en appuyant-sur les paupières il trébuche fortement ( signe de Romberg). Mais il prétend que son vertige ne
e plaint de fourmillements et d'engourdissement dans les ex- (1) Le signe de Gerlaaodt,comme l'appellent OPPENIIEIM et SIEM
arité Anna- lén, 12e année, 1887, p. 351). C'est la recherche de ce signe qui a permis à 1110ESEa (Deulsches Archiv für k
oubles qu'il accuse, pollakiurie, dysurie, etc., on ne trouve aucun signe objectif de cystite. Ce qui frappe il ce moment
age au 2° service de blessés où l'on confirme l'absence actuelle de signes de syphilis, il retourne à son corps. Tant mal
ay, au dire de Cadet ( 1), avait fait de la rapidité du météorisme un signe de l'hystérie : le malade assiste en quelque so
e 9 104 F. SOCA mai la température monte à 38°,c'était le premier signe d'une bronchopneumo- nie tuberculeuse qui enlev
surtout insisté sur ce point) que le symptôme de Bernhardt était un signe habituel, sinon constanl, de la tumeur de l'hyp
constanl, de la tumeur de l'hypophyse. On sait en quoi consiste le signe de Bernhardt. C'estle contraste entre une vision
le que l'abaissement subjectif de la vision ; c'est le contraire du signe de Bernhardt. Mais comme il n'y a pas eu examen
multiples seront, selon qu'elles existent ou manquent, d'excellents signes positifs ou négatifs de tumeur de la fosse moyenn
bral. Et je passe les conditions vitales. Conclusion : L'absence de signes de compression d'un organe devant être atteint
pas une raison suffisante pour renoncer à un diagnostic que d'autres signes imposent. Si le fait est connu, rarement un exe
ubite des hanches. Se traîne depuis à la façon des culs-de-jatte. Signes non douteux de tabes. Luxation double des hanch
uinze ans après, fracture spontanée des deux os de la jambe gauche. Signes non douteux de tabes. Arthropathies profondes c
hanche droite : marche difficile. Premier examen à 37 ans, en 1884. Signes non douteux de tabès avec ataxie confirmée des
es lésions articulaires de la hanche et les trou- bles ataxiques. Signe de Romberg assez net. Impossibilité de se tenir
d'embonpoint. Quelques rares modifications sont survenues dans les signes généraux de l'ataxie. Françoise Ch... s'est ape
esthésie. Perte complète du sens musculaire. Hy- potonie manifeste. Signe de Romberg. * - c) Réflexes rotuliens et réflex
rteils n'existe pas. d) Les pupilles sont inégales et irrégulières. Signes d'Argyll-Nobertson. Ni diplopie, ni amblyopie.
ente un raccourcissement d'un travers de main environ. Les autres signes du tabes chez cette malade, sont : l'abolition de
ont : l'abolition des réflexes rotuliens et du tendon d'Achille, le signe d'Argyll-Robertson, le signe de Rom- berg à un
s rotuliens et du tendon d'Achille, le signe d'Argyll-Robertson, le signe de Rom- berg à un degré très léger, l'engourdis
pupilles sont immobiles à la lumière et à l'accommodation. Tous ces signes n'ont pas une très grande netteté, mais leur rapp
age, ni abolition des réflexes des tendons rotulien et d'Achille ni signe de Romberg,ni signe de Lasègue, ni douleurs spont
s réflexes des tendons rotulien et d'Achille ni signe de Romberg,ni signe de Lasègue, ni douleurs spontanées ou provoquées
inution de la force segmentaire des 4 membres, si- gne de Westphal, signe de Romberg, démarche ataxique. Un traitement iodo
avec hyperesthésie de la peau, ou parfois des douleurs en ceinture, signes de l'inflammation des racines postérieures. La
avec parésie et troubles de la 'sensibilité des membres inférieurs, signe de Romberg, signe de Wesphal, démarche ataxique,
oubles de la 'sensibilité des membres inférieurs, signe de Romberg, signe de Wesphal, démarche ataxique, tout trouble amé
tes subaiguës ou chroniques (Thèse de Poussard). Il n'existe pas un signe clinique certain pour trancher la question, cep
e son cylindraxe. Mais de pareils cas sont exceptionnels et par ses signes cli- niques la polynévrite syphilitique se dist
la paralysie diphtérique ; mais l'ab- 168 R. CESTAN sence de ces signes excellents lorsqu'ils existent pour affirmer la n
ce point délicat de pathogénie et démontré qu'il n'existait pas de signe clinique différentiel ni dans la physionomie de
e septembre dernier, j'ai vu cette malade, elle présentait tous les signes d'une hémiplégie droite de forme moyenne. Le br
tes les unes des autres. De plus on trouve chez les gens obèses les signes habituels de l'adipose viscérale ou pérhiscérat
x tableaux. Il est un fait intéressant, selon nous, c'est celui des signes tracés par le soufflet que tient la sorcière as
tion ; ce ne sont point là de simples jeux de lumière mais bien des signes cabalistiques, ou une signature. Nous concluons
ve, ainsi que nous le verrons dans deux cas de Browning. Un autre signe est peut-être un peu plus fréquent dans l'hémiplé
Ce que nous qualifions de période aiguë et qui comprend les grands signes immédiatement consécutifs à l'accident ne dure pa
e quatre semaines le malade était encore au lit et offrait tous les signes d'une paralysie,. comme il n'était pas alcoolique
rvenait. Le professeur Krafft-Ebing signale ensuite l'apparition de signes .qui d'après lui doivent toujours éveiller l'id
) est, au contraire de celle qui apparaît chez de jeunes sujets, le signe cons- tant d'une paralysie à venir. L'hémicrani
igraine peut s'y joindre comme dans le cas présent. Voici donc un signe d'une réelle importance. Malheureusement il ne
n en octobre 1898, à l'âge de quarante-cinq ans. Etat squelettique. Signes non douteux de tabes avec très légère incoordinat
es dans les mouvements du tronc. Déviation vertébrale à la suite. Signes évidents de tabès. Scoliose dorso-lombaire à co
otalement impossible. Les pupilles sont égales, elles présentent le signe d'Argyll Robertson. Les réflexes abdominaux sont
ns, déviation progressive et insidieuse de la colonne vertébrale. Signes évidents de tabes. Légère incoordination motrice
sie. M. P..., âgé de cinquante-quatre ans, présente en mai 1889 des signes non douteux de tabes. H est atteint en outre de
parcsthésiques dans les membres. Doulcurs ombilicales nocturnes. Signes non douteux de tabès. Ataxie confirmée des membre
ents. A 53 ans, strabisme et ptosis. A 54 ans, troubles vésicaux. Signes de tabes. Peu d'incoordination motrice des membre
, développement rapide d'une grosse arthropatltie du genou droit. Signes non douteux de tabès. Déformations thoraciques.
s oscillations et les hésitations ; en , résumé, il n'existe pas de signe de Romberg. Il ne lui a été prescrit comme trai
augmente très légèrement l'instabilité, mais qu'il n'existe pas de signe de Rombergà proprement parler; de môme il peut
le). Le réllexe cutané plantaire est normal, par conséquent, pas de signe de Babinski. Le chatouillement de la plante du
; il n'y a ni paralysie, ni diminution de l'énergie musculaire.' Le signe de Romberg fait défaut de même que les troubles s
Menzel présentait de l'incoordination des membres supé- rieurs, du signe de Romberg, la tonicité des muscles des bras et d
, les oscillations du tronc pendant la station debout, l'absence de signe de Romberg. A une période plus avancée, les mem
nt à énumérer les symptômes fondamentaux de la maladie de Duchenne, signe de Westphal, signe d'Argyll Robertson, signe de R
ymptômes fondamentaux de la maladie de Duchenne, signe de Westphal, signe d'Argyll Robertson, signe de Rom- berg, etc. ;
a maladie de Duchenne, signe de Westphal, signe d'Argyll Robertson, signe de Rom- berg, etc. ; rappelons à ce propos que
Robertson, signe de Rom- berg, etc. ; rappelons à ce propos que le signe de Romberg ne s'observe pas dans les atrophies
bre d'observations d'hérédo-ataxie céré- belleuse, Marie relève des signes oculaires tels que l'atrophie papillaire, le ré
ls que l'atrophie papillaire, le rétrécissement du champ visuel, le signe d'Argyll Robertson, symptômes d'une grande rare
ui est bilatérale et très intense sinon absolue, il existe quelques signes qui faci- litent le diagnostic. Dans l'otite
es qui faci- litent le diagnostic. Dans l'otite labyrinthique, le signe de Romberg est de règle, les varia- tions d'att
eints d'affection cérébelleuse. Cependant chez quelques malades les signes précédents n'existent pas au complet et Egger (
mouvements passifs de rotation étaient conservés chez ce malade; le signe de Romberg et t'influence des variations d'attitu
atismecrânien (et c'est un symptôme de commotion cérébrale), et les signes de compression tels que : somnolence, ralentissem
Il dit que cet intervalle de lucidité peut être considéré comme un signe de l'hémorrhagie de l'artère méningée moyenne o
n'être ou que de deux heures ou aller jusqu'à deux mois. Un autre signe de cette hémorrhagie serait naturellement le nomb
sont comprimées. Au point de vue de l'intervention, il est un autre signe de lésion de l'artère méningée moyenne que Schl
aitpratiquéune fois la trépanation avec succès rien que sur ce seul signe . En ce qui concerne l'hémiplégie traumatique en
is sur quarante-sept cas. Il ne nous est pas possible d'en tirer un signe clinique quant au siège de la lésion, car nous n'
'est vraiment pas suf- fisant pour proposer cette coïncidence comme signe clinique. Hutchinson explique cette dilatation
a- tions,mais comme au bout d'un certain temps ils présentaient des signes de paralysie, ils s'alitèrent, et moururent. A
t l'absence de fracture coïncidant avec une hémiplégie est- elle le signe certain d'une hémorrhagie ? Les faits qui rentr
s troubles de la conscience, en dehors du sopor et du coma, sont le signe d'un hématome de la dure- mère. La lésion qui
ttre à la malade l'usage de ses membres. Mais il restait encore des signes de paralysie organique constatés par M. le doct
ysie organique constatés par M. le docteur Babinski (entre autres : signes du peaucier, flexion combinée de la cuisse sur
dant à poser le diagnostic du trajet de la balle, en l'inférant des signes cliniques observés, du point d'entrée du projecti
situation de la cicatrice.... à une telle lésion correspondent les signes d'une lésion vascu- laire considérable : la per
plusieurs années auparavant, nous n'avons retrouvé absolument aucun signe de paralysie. Peut-être 'Li-aine-t-il un peu la j
sse par rapport il celle de la jambe. Il manque d'ailleurs bien des signes ordinaires de l'acro- mégalie. En particulier,
lgie n'existe pour ainsi dire pas, en sorte qu'on ne trouve pas les signes de compression qui permettraient d'incriminer l
nir. Ils n'en ont pas moins existé; ce sont eux qui constituent les signes du début, ce sont eux qui conduiront l'ataxique
l. En revanche nous n'avons rencontré qu'une seule fois (obs. X) un signe dont la fréquence doit être vraisemblablement plu
onnus des plus grosses arthropathies tabétiques. Quant L aux autres signes fonctionnels, ils sont de moindre importance. Ils
ansition est inopinée : elle se fait bruyamment par cette série' de signes que Ilallion considère à tort comme les signes du
par cette série' de signes que Ilallion considère à tort comme les signes du début. Subi- tement le malade s'aperçoit qu'
a moelle. Les symptômes habituels du tabes se compliquent alors des signes d'une myé- lite par compression et à la scléros
écé- demment sur leur évolution : nous résumerons seulement ici les signes qui caractérisent les différentes périodes. A l
juin 1900. - Fille bien développée, robuste, ne montrant* point 'de signes de dégénérescence. On remarque immédiatement le
de l'aorte dans le sinus caverneux gau- che, puisqu'il n'y a aucun signe d'une lésion pareille. Si l'on considère les de
n nette du sens musculaire, de la notion de position des mem- bres. Signe de Romberg, difficile à constater, à cause de l'i
itude de la station debout sans béquilles, due à l'état des genoux. Signe d'A. Ro- bertson positif : papilles inégales, d
ssitôt et la troi- sième période va se dérouler longuement avec des signes plus nets. L'ostéo-arthropathie est localisée d
ession symptomatique avait dû varier, devait-on trouver à la fois des signes iudiquant deux modifications opposées. Observ
docteur Delatour le trépane dans le point douloureux. Il trouve des signes de fracture ancienne,en avant et en haut, une l
rurgien qu'il appela. Au moment où je le vis il présentait quelques signes de paralysie provenant d'une blessure à la base d
gauche ; à droite, la sensibilité est conservée. Au pied gauche, signe de Babinski. Température, 36° 8 ; - pouls, 60.
rigueur copier du chinois ou de l'arabe, sans savoir la valeur des signes écrits de ces lan- gues, comme nous le ferions
nt est venue au monde en très bonne santé, elle n'a pas présenté de signes d'as- phyxie des nouveau-nés. Elle a marché à 1
ten- tion. notre diagnostic fut hésitant.. , Il n'existait pas de signes d'une affection primitive des' vertèbres pou- v
pasmodique ou de la sclérose latérale amyotrophique. C'est dans les signes d'une paraplégie spasmodique accompagnée de troub
41 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
, à chaque mouvement d'inspiration. Il n'a pas non plus présenté de signe d'une paralysie du voile du palais. Cependant l
mond) MASSON & Cte, Editeurs POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE' O signe de Lasègue existait au plus haut degré. Le malade
lectrique de la face a fait constater de la façon la plus nette les signes de la IL D., des deux côtés, dans les muscles du
uscles du menton, dans les zygomatiques et dans le frontal. , Les signes de la R. D. se manifestaient d'une façon moins ne
tachycardie et de l'accélération des mouvements respiratoires, sans signes stéthoscopiques concomitants, susceptibles de ren
ces deux phénomènes. Enfin l'examen électrique a fait constater les signes de la R. D., à l'ex- ploration d'un certain nom
quel on exposait ses troncs nerveux et en particulier le sciatique ( signe de Lasègue) développait des douleurs d'une extr
pression de Ch..., des fourmillements douloureux. Voilà en- core un signe qui plaide en faveur de l'existence d'une polynév
, pas de modification des réactions élec- triques ; parésie légère, signes en rapport avec une ébauche de réaction de dégé
innervés par la 7° paire, on a constaté, d'une façon très nette, les signes de la R. D. dans quelques-uns de ces muscles ;
difficulté qui existe au début des mouvements voulus et qui est le signe pathognomonique de la maladie de Thomsen. Ces a
ntre éveillé, gai, comprenant tout ce qui se dit; il ne donne aucun signe d'insuffisance intellectuelle. Peau,. On note u
Tout le problème est de savoir si les lésions, les symptômes ou les signes localisés à des tronçons de membre et limités p
vicale inférieure; toutes les autres portions ne présentaient aucun signe de traumatisme post-mortem. Ce ramollissement p
istolo;iquement, les éléments se colorant bien, ne montraient aucun signe notable d'altération cadavérique, et, d'autre p
de plus il comprend toute une partie de la symp- tomalologie : les signes et symptômes relevant de lésions dorsales. - On
et disparaissant avec elles, et cela sans qu'il y ait eu le moindre signe de tabès, les symptômes suivants : Le signe de
'il y ait eu le moindre signe de tabès, les symptômes suivants : Le signe de Romberg et l'incertitude de la marche dans l
verses des troubles de l'oculo-mo- tricité, la forme spasmodique du signe de Ch. Bell, les oscillations paraly- tiques de
, les yeux fermés, dans l'attitude où il présente ce qu'on nomme le signe de Romberg, c'est-à-dire l'incapacité de se ten
ens des attitudes segmentai- res se manifeste par une des formes du signe de Romberg. L'exercice mus- culaire destiné au
us précieuse de la vue. Quand celle-ci nous man- que, comme dans le signe de Romberg ou dans l'obscurité, nous sommes liv
, et qui est fréquent chez les vertigineux labyrinthiques, c'est le signe de Rom- berg. Dans la grande majorité des cas,
ans la grande majorité des cas, il n'y a aucune différence entre le signe de Romberg des labyrinthiques simples et celui qu
hique et le tabétique perdent leur équilibre de la même façon, elle signe de Romberg est identique chez eux ; quand l'ataxi
'est la perte de l'équilibre, et non sa recherche, qui constitue le signe de Romberg. Il est évident qu'un hémiplégique,
nt chacun cherche à rétablir la correction de son attitude, mais le signe de Romberg, c'est-à-dire l'oscillation avec ou sa
, sa motricité au maintien de l'attitude d'équilibre. Il n'a pas le signe de Romberg. 2° Il oscille plus ou moins, mais
ant à cette attitude est elle-même flottante et hé- (1) BONNIER, Le signe de Romberg. Soc. de Biologie, 2 novembre 1895.
ibre absolu, sait néanmoins corriger les écarts grossiers. C'est le signe de Romberg compensé. On le rencontre presque cons
te correction manque chez les tabétiques ordinaires. Cette forme de signe de Romberg est de règle dans beaucoup d'affecti
rinthique. Il n'est relativement corrigé que par la vue. Tel est le signe de Romberg de l'irritation lahy- rinthique, et
e de rechercher l'équilibre perdu ; il faut donc distinguer dans le signe de Romberg l'insuffisance ou l'irritation ampulla
ase de sustentation sur la même verticale. Le tabétique présente le signe de Romberg en qualité de sujet dont l'appareil
s attitudes pédieuses qui lui manque. Nous n'avons jamais trouvé le signe de Romberg chez un ataxique sans qu'il nous ait
des segmentaires, le sujet tombe sans le sentir. En résumé, dans le signe de Romberg, nous pensons que la perte de l'équi
de l'appareil ampullaire, ou de ses noyaux et conducteurs ; car ce signe apparaît presque constamment dans les cas d'ins
n, la sécurité et la certitude de notre marche, s'en ressentent. Ce signe , comme le signe de Romberg, se trouve fréquemme
t la certitude de notre marche, s'en ressentent. Ce signe, comme le signe de Romberg, se trouve fréquemment et passagèremen
a à voir double. Quand je le vis (trois mois après), je cherchai le signe de Romberg; le malade tombait invariablement à ga
hée, le bourdonnement et le strabisme disparurent. Le vertige et le signe de Romberg persistèrent plus longtemps. La para
ntrairement à ce que l'on pourrait supposer d'abord et que ces deux signes , sans être infaillibles, ont une grande valeur cl
llaire. Si celui-ci est lésé le malade présente l'une des formes du signe de Rom- berg, de l'incertitude dans la marche c
té pupillaire, d'qrigine labyrinthique. Je n'ai jamais rencontré le signe d'Ar- gyl-Robertson unilatéral, dans une affect
entrée il l'hôpital, le malade présente il la base droite tous les signes d'une pneumonie lobaire franche aiguë ; la temp
sque complète des symptômes pulmonaires. En môme temps, de nouveaux signes avaient apparu (lâches rosées, gargouillement de
tard, il était incapable d'élever son bras droit et présentait les signes ordinaires de la paralysie du grand dentelé.
chenne (1) que la morphologie de l'épaule n'est pas troublée. « Les signes palhognomoniques de l'atrophie du grand dentelé
sur le côté du tronc. » « Je démontrerai plus loin qu'il existe un signe pathognomonique, à l'aide duquel on peut établir
é. » A la page suivante, Duchenne explique ainsi le mécanisme de ce signe : « Dans le mouvement des épaules en avant, le
grand dentelé a perdu son action. » Duchenne donne encore un autre signe . qui permet de reconnaître la paralysie du gran
telé, lorsque l'élévation du bras est impossible. Pour percevoir ce signe , il faut appliquer une main sur chaque épaule du
re saillir davantage son bord spinal sous la peau. Ce sont là des signes intéressants à connaître, dans un cas donné d'élé
telé, dans l'élévation volontaire du bras. Il est tout d'abord un signe que nous ne discuterons point : c'est la dé- fo
s croûtelles, de nombreuses papules exco- riées, en un mot tous les signes d'une eczématisation diffuse; mais en examinant
pathique spéciale (2). Le « mal d'amour » se manifeste donc par des signes psychiques. Mais il s'accompagne aussi d'un cor
r des signes psychiques. Mais il s'accompagne aussi d'un cortège de signes physiques ; ceux-ci nous inté- ressent tout par
image, et, seul, peut prêtera un examen comparatif. Au surplus, ces signes physiques, bien étudiés par les vieux cliniciens,
ds dési- gnent la chlorose. En tout cas, c'est, au premier chef, le signe pathogno- monique du mal d'amour. Sauvages le p
rent souvent, dit Moriez, fuient la société, et présentent tous les signes d'une mélancolie, qui va parfois jusqu'à l'alié-
leur à la vue de l'objet aimé, la fréquence du pouls ; c'est par ce signe que le médecin de Ptolémée découvrit son amour po
, son adolescence ? Quand s'est établie chez elle la puberté et son signe visible, la menstruation ? Comment s'est- elle
u de temps après, il quitta son emploi. Il présente du myosis et le signe d'Aryll-Robertsou, sa parole est embarrassée ma
pond à une question antérieure. Il marche convenablement, n'a aucun signe d'incoordination, il a de temps en temps des se
, urinaire. A l'examen oculaire (1) : myosis, inégalité pupillaire, signe d'Argyl Robert- son. Pas de dyschromatopsie ; a
gère inégalité pupillaire : la droite est plus large que la gauche, signe d'Argyl Robertson. A l'ophtalmos- cope, on cons
r blafarde de la malade, son affaissement, sa langueur en' sont des signes présomptifs. Le citron a demi pelé que l'on voit
amaigri. Le bras et la main gauche présentent exactement les mêmes signes que la main droite il y a un an. Atrophie des m
génital depuis 4 ans ; pas de spormatorrhée. Appareil respiratoire. Signes stéthoscopiques nets d'induration bacillaires à
nostic différentiel avec la syringomyélie se posait ; mais tous les signes d'ordre sensitifs de cette maladie faisaient dé
fant qui est mort de la coqueluche à 3 ans 1/2 ; on ne relève aucun signe syphilitique. Début de la maladie. - Il Y a qua
dure, l'artère temporale sinueuse. Pas de troubles urinaires. Le signe d'Argyll Robertson existe des deux côtés. Elle
l'abolition des réflexes tendineux, les douleurs fulgu- rantes, le signe d'Argyll et autres manifestations du tabes incipi
urologue, procédant à son examen, s'aperçoit que rien ne révèle les signes d'une hydropisie. Il lui faut bien trouver une
bleraient non' moins expli- cables. Ne sont-elles pas au nombre des signes prodromiques de la gesta- tion ? ... (lot. II
? Oui une bête. Qu'a-t-elle sur la tête ? Ça comme ça. (Elit ! fait signe qu'elle a des cornes.) La malade est incapable
t le simulacre d'allumer une pipe). Un livre. - C'est pour ça (fait signe d'écrire). Une chaise. - Une chai, une chai, c'
ça (elle brosse) une poi, unpeu. Une montre. - Pour faire ça (fait signe de la mettre à son oreille), une po, mne po.
ça j'ai bien dit. On montre un dé. Pour coudre, pour faire ça (fait signe de coudre). 448 TRÉNEL Est-ce une aiguille, d
., âgée de 13 ans, lé frère de Fe... et de Ar..., présente déjà les signes du début de la même affection. Son pied droit, le
jet du nerf, pas de troubles de la sen- sibil.i[é) X... présente un signe qui ne se retrouve que dans le torticolis spéci
42 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
, l'anes- thésie dissociée telle que je viens de la définir, est un signe de grande valeur dans un cas de syringomyélie p
igne de grande valeur dans un cas de syringomyélie présumée. Or, ce signe fait défaut chez notre malade. Chez elle, l'abo
oyer de mortification représenté par l'eschare. Quant au reste, les signes sur lesquels je me suis étendu longuement subsi
ues dans la bouche. - - Il n'est pas buveur el ne présente pas de signes d'éthylisme. Il est assez malingre, mais cepend
rche facilement, fait demi-tour sans osciller et ne présente pas de signe de Romberg : Elle sent bien le sol sous ses pie
u- me, isolés, roulant sous le doigt. Mais il n'existe pas d'autres signes de spécificité, il n'y a pas d'éruption cutanée
réditaires et collatéraux assez chargés, pré- sentant elle-même des signes incontestables de bacillose pulmonaire. Sans ra
VATION DES RÉFLEXES 23 attiré l'attention sur la polynatalité comme signe de tuberculose surtout lorsque le plus grand no
ants issus de tels parents mouraient jeunes. Elle-même présente des signes précis de tuberculose pulmonaire localisée au s
Nous ne relevons en effet dans l'histoire clinique de V..... aucun signe précis de la participation des mé- ninges. Elle
..., ne saurait relever d'une pareille cause. Ici encore les grands signes d'une compression de l'encéphale sont absents.
sents. Les lésions oculaires elles-mê- mes (ophtalmoplégie interne, signe d'Argyll Robertson, état des papilles) à défaut
nous trouvions. Nous avons procédé à une recherche minu- tieuse des signes de spécificité sans aucun résultat. Sans doute la
malade, soi- gneuse d'elle-même, n'a jamais observé sur elle aucun signe suspect. Le 24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
doncu- laire, la paralysie est double et le plus souvent totale. Le signe d'Argyll n'existe pas ou plutôt on trouve une o
, sur V... à un tabes. L'objection que le sujet ne pré- sente aucun signe de spécificité n'est pas absolue. Si M.Quinquand
rieur. On constate assez fréquemment dans ces formes l'ab- sence du signe de Westphal et du reste nous avons assez d'argume
a période préataxique du tabes. Peu à peu se mani- festent d'autres signes non moins importants : le dérobement des jambes,
pro- cessus que le tabes. Ajoutons qu'au moins pour l'oeil droit le signe d'Ar- gyll est incontestable, et qu'enfin la pu
mais cette fois l'arthropathie évoluait insi- dieusement, tous les signes de l'inflammation articulaire étant très atténués
sans trembler et donner dès le début de cette petite expérience des signes manifestes de fatigue musculaire. N'ayant pas d
aigu, pour ses blennorrhagies, chez un malade ne présentant pas les signes ordinaires de l'alcoolisme; mais qui buvait pourt
te tentative de flexion de la tête. Nous compléterons plus loin les signes fournis pas l'examen du sys- tème nerveux. De
, crevassé. Il tousse un peu, mais l'ausculta- tion ne révèle aucun signe stétboscopique anormal. Le rythme respiratoire
nt encore atteints. 9 Les racines postérieures ne présentent pas de signes de dégénérescence; quelques-unes seulement renf
que brutale, il ne présentait comme symptômes médul- laires que des signes très médiocres, compatibles avec la continuation
l'autopsie, des manifestations viscérales, osseuses ou autres. Les signes cliniques font donc complètement défaut. Lais
par des manifestations convulsives de l'hystérie, considérés comme signes de la possession démoniaque. (1) PAUL Richer, E
d'aveugles où elle apprend bien, est intelligente et ne donne aucun signe de troubles psychiques. , A 12 ans (avril 1886)
bres inférieurs pendant la nuit. Ni pituites ni tremblement; pas de signes d'é- tliylisme. , , 136 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
des yeux, dans la station verticale, produit immédiatement la chute ( signe de Romberg). Les réflexes rotuliens sont abolis
ensibilité, ni d'atrophie musculaire des membres inférieurs. Pas de signe de Romberg. Incontinence d'urine permanente et
nce d'urine et constipation opiniâtre. La malade ayant présenté des signes indéniables de syphilis, tels qu'une gomme du f
ut à gauche où il existe un léger degré de trépidation spinale. - Signe de Romberg, les pieds joints, les yeux fermés.
e perd plus ses jambes dans le vide lorsqu'elle ferme les yeux ; le signe de Romberg n'existe plus. Le réflexe rotulien e
es qui avaient disparu au début de l'affection ont reparu. Pas de signe de Romberg. Les réflexes rotuliens sont normaux,
précédents. Elle a marché très tard, vers 4 ans seulement ; pas de signes appréciables de rachitisme, si ce n'est une lég
de vue moteur proprement dit, la malade ne présente que fort peu de signes ; il est vrai que la démarche particulière due il
ouble luxation coxo-fémorale, rend l'appréciation difficile. Pas de signe de Romberg. Les ré- llexes rotuliens sont aboli
ales os- sertses ou autres qui ne permettaient guère la survie. Les signes cliniques font donc complètement défaut. Les
la Se sont très saillantes. Du côté de la face on note de nombreux signes de dégénérescence, strabisme interne de l'oeil
eur et la consistance de l'infiltration cutanée, jointes aux autres signes fonctionnels, permettent seules la différenciatio
l'on en juge les rides qui sillonnent son visage : mais c'est là un signe de sénilité tou- jours précoce chezjes individu
s, et, du côté gauche, l'oreille repose sur le deltoïde. Tous ces signes réunis confirment le diagnostic de Mal de Pott.
rrhoïdes, elc. Il manque, dit-il, à chacun de ces diagnos- tics des signes trop importants 'pour qu'on puisse s'arrêter à au
és par une légère incontinence d'urine. Il présente actuellement le signe de Westphal, une ataxie aisément cons- tatable
Une arlhropatltie de la hanche gauche ne permet de rechercher ni le signe de Romberg, ni l'incoordination dans la marche.
le signe de Romberg, ni l'incoordination dans la marche. Il a le signe d'Argyll Roberlson, avec diminution de l'acuité v
il nie toute intoxication chroni- que éthylique, il n'en a pas les signes . Il n'a de plus aucune autre cause d'intoxicati
ralysie générale ? La chose est possible, mais en l'état actuel, ce signe ne peut tufs plus être con- (1) Notre maître M.
ulu partir non guéri et nous avons su qu'il avait succombé avec les signes d'infection purulente. Dans la crainte de voir
ndeur variable. Malgré leur aspect massif on n'y rencontre guère de signes de changements ré- gressifs. A certaines places
ns la plupart des cas où elles existent, nous avons trouvé quelques signes d'infiltration spécifique; c'est tantôt au mili
opsie). Le foetus extrait immédiatement après la mort n'a pas donné signe de vie, bien (1) HunELO, Lésions viscérales dan
ns électriques, actuellement on constate d'une façon très nette les signes de la réaction de dégénérescence partielle, dan
pas davantage douloureuse. Par contre on peut mettre en évidence le signe de Lasègue. Vous savez ce qu'on entend par ces mo
Je vous ferai remarquer, en passant, que chez notre jeune malade le signe de Lasègue est plus accusé à gauche qu'à droite.
état, elle s'accompagne d'une abolition des réflexes tendineux, des signes de la réac- tion de dégénérescence, d'une atrop
oubles de la sensibilité, l'a- bolition des réflexes tendineux, les signes de la réaction de dégénéres- cence. ' Vers la
st accompagnée d'atrophie musculaire, de la perte des réflexes, des signes de la réaction de dégénérescence. (1) Bailtox
stations du tabes, telles que l'abolition du phénomène du genou, le signe de Romberg, des douleurs lancinantes, de l'anes
cidant avec de l'hyperesthésie, céphalalgie continue, tels sont les signes avant-coureurs de la paralysie. Puis les pieds
acines. L'espace extradural est fibreux, des vaisseaux anfractueux, signe de rétraction des tissus voisins, se voient sur
43 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
même encore plus loin, en disant qu'elle peut être à elle seule un signe certain d'infantilisme lorsqu'elle constitue un
l'état adulte ; puis quelque temps après une grossesse, les premiers signes d'un état d'infantilisme apparurent et s'accusè
revoir sous un nou- vel aspect certaines manifestations ou certains signes de dégénérescence dont la pathogénie était rest
cer- taines circonstances, au début de la maladie, en l'absence de signes phy- siques, le diagnostic de l'affection fonda
llectuel considérable, embarras de la parole, inégalité pupillaire, signe d'Argyll, trémulation de^la langue, des lèvres, d
n de^la langue, des lèvres, des mains; réflexes rotu- liens abolis, signe de Homberg ; paralysie générale manifeste ; syphi
ses incohérentes, achats inconsidérés, excitation par intervalles ; signes pupillaires, embarras de la parole... Au bout d
Observation IV B..., 40 ans, présentait depuis quelques mois des signes manifestes de paraly- sie générale à forme déme
C'est dans cet état qu'il est entré dans le service. La recherche des signes physiques est négative, la malade est calme ; p
» Confusion notable des idées. Pas d'embarras de la parole, pas de signes pupillaires, pas de troubles des réflexes. Atti
réau, le pantalon dans les souliers, « pour s'entraîner ». Pas de signes physiques constatables, grosse lymphocytose. 26
dées de persécu- tion. Pas de troubles nets de la parole ; pas de signes pupillaires, pas de tremble- ment des mains ; t
rce, 34 ans, entré le 3 décembre 1906. Paralysie générale avancée ; signes physiques, affaiblissement intellectuel ; idées
science de son état ; embarras de la parole ; inégalité pupillaire, signe d'Argyll ; tremblement de la langue. des mains,
e, 40 ans, entré le 14 février 1900. Paralysie générale confirmée ; signes physiques, affaiblissement des facul- tés ; idé
la langue ; secousses de la face ; nombreux accrocs* de la parole ; signe d'Argyll ; réflexes tendineux plutôt exagérés ;
en vins, 45 ans, entré le 2 mai 1906. Paralysie générale avancée ; signes physiques ; affaiblissement notable des faculté
umeur. Inconscience complète de sa situation. Inégalité pupillaire, signe d'Argyll ; réflexes tendineux normaux ; trembleme
tes (PI. IV). Sur le plus petit de ces deux fragments, existent des signes incontestables d'envahissement du fibro-cartila
nnées, un type spécial d'anky- lose vertébrale, caractérisé par les signes suivants : 1) immobilité totale ou partielle de
re malade n'est pas une rhumati- sante ; elle ne présente aucun des signes cliniques décrits par M. Fores- tier ; elle acc
des douleurs du type fulgurant, de l'incoordi- nation motrice avec signe de Romberg, des symptômes pupillaires, etc. Mai
on lente el progressive, avec exagération des réflexes rotuliens et signe de Babinski; un type ataxo-spasmodique caractér
un type ataxo-spasmodique caractérisé par l'adjonction de quelques signes de labes aux signes de la parésie spasmodique,
odique caractérisé par l'adjonction de quelques signes de labes aux signes de la parésie spasmodique, et, enfin, un type a
ue le mouvement est un peu saccadé, des deux côtés. La recherche du signe de l'agenouillement de Babinski permet de constat
ses jambés, surtout au début des mouvements. Pas de latéropnlsion. Signe de Romberg. La force musculaire est bien conser
e sol avant de le quitter (Obs. 11-111)- Dans un seul cas existe le signe de Romberg (Obs. 111). Il y a encore chez les t
plexe sur les rapports qui peuvent exister entre ces lésions et les signes cliniques d'ordre secondaire qu'on retrouve dan
ux qu'elle ne les monte. Dans la station debout les yeux fermés, le signe de Romberg est ébauché. La force musculaire est
; paralysie des deux droits- externes et des deux droits supérieurs ! signe d'Argyll-Robertson bilatéral, et enfin une atro
ordres. Les unes semblent relever nettement du tabès, ce sont : les signes d'in- coordination, l'abolition des réflexes, l
les troubles de la sensibilité osseuse, les phénomènes oculaires : signe d'Argyll, paralysies diverses de la mus- culatu
e que nous observons chez cette malade. \ Les arthropathies ont des signes bien connus : début rapide, indolence, gonfleme
e supérieure commence à se couvrir de poils, ce qui est le meilleur signe d'une puberté qui com- mence. Le teint du visag
er- tains points de vue, se fait normalement. Il ne présente pas de signes d'hyperthyroïdisme, bien qu'on ne puisse pas ex
agissent néanmoins à la lumière, mais nullement à l'accommodation : signe d'Argyll Robertson bi- latéral. xi 8 118 s
e je me rallierais le plus volon- tiers ; car la malade présente le signe d'Argyll Robertson,et une abolition du réflexe
PARALYSIE SPINALE INFANTILE 131 Il faut aussi noter la présence du signe de Babinski des deux côtés, même dans le membre
ntant une atrophie musculaire totale très accusée. La présence du signe de Babinski a été, bien que rarement, signalée
aralysie cérébrale infantile ? S'il en était t réellement ainsi, le signe de Babinski à gauche serait, à cause de la lésion
sé. Redlich, à la même séance, faisait remarquer que la présence du signe de Babinski du côté op- posé à la paralysie pou
souvent aussi les imposants symptômes cérébraux masquent les autres signes d'une maladie infectieuse. Donc l'infection en
ar Negro 5 mois plus tard révèle dans le membre inférieur droit les signes résiduels d'une poliomyélite antérieure aiguë (at
alisée. L'état mental de la malade ne permet point de connaître les signes subjectifs qui ont pu précéder ou accompagner l'a
droit. Pas de troubles sphinctériens. Le malade ne présente aucun signe d'aphasie, il lit et écrit très bien de la main
a paraplégie spasmodique chronique (exaltation énorme des réflexes, signe de Babinski, marche spasmodique et quel- quefoi
ques, galvaniques et faradiques, directes et indirectes, sans aucun signe de réaction de dégénérescence. '. Le petit mala
mal si elle l'exécutait avec lenteur : il y avait, cepen- dant, des signes d'atrophie dans toute l'extrémité, 3 centimètres
On nous permettra de faire une remarque importante à ce sujet. Les signes que tous les auteurs attribuent à la mydriase par
ce nerf jusqu'à leur entrée dans le ganglion ciliaire. De même les signes de la mydriase spasmodique sont ceux que provoq
ter sous deux types : 1 Paralysie du moteur oculaire commun : les signes sont identiques à ceux des paralysies organique
épidation spinale bilatérable ainsi que la danse de la rotule. Le signe de Babinski et celui d'Oppenheim sont positifs, t
surtout en une paraplégie spasmo- dique avec trépidation spinale et signe de Babinski et une parésie du membre supérieur
vrome), et l'on ne voit guère une lèpre évoluant avec un cortège de signes aussi complet, sans s'accompagner de symptômee cu
droit du malade quand il regarde en bas et en dehors semble bien le signe d'une parésie du muscle grand oblique droit, c'
x pyramidaux sont comprimés et irrités (paraplégie spasmodique avec signe de Babinski), enfin, la corne antérieure à la ré-
d'acromégalie surajoutée. Dans le cas de F... il n'existe aucun des signes classiques de l'acromégalie et ce diagnostic n'
ait par exemple en mangeant. Grin- cements des dents. Vomissements. Signe de Kernig. Titube comme un homme ivre. Sensatio
. Poids du cerveau avec leptominiuge : 1.650 grammes. Ceci sont les signes habituels de la compression cérébrale par augmen-
e hémimèle est née de parents bien constitués, sobres, sains. Aucun signe ne permet de dépister la syphilis chez les ascend
ne permet de dépister la syphilis chez les ascendants directs. Mais signes nets d'endométrite maternelle, antérieure à la co
hez notre malade : c'est-à-dire la longue durée de l'affection, les signes simulant une simple sténose du cardia, rage de
rveuses, dont les manifestations sont généralement consécutives aux signes précédents bien qu'elles puissent cependant les
essante par le contraste qu'elle offre entre l'absence prolongée de signes localisateurs et l'extrême volume de la tumeur.
au dynamomètre on obtient 46 à gauche, 51 à droite. Il n'y a aucun signe de parésie droite ou gauche, aucune parésie des n
forts des deux côtés, exagérés même. Clonus du pied à droite, avec signe de Babinski des deux côtés. Pas de troubles de la
bjectifs de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont exagérés. Signe de Babinski à droite. A gauche ce signe est inc
es rotuliens sont exagérés. Signe de Babinski à droite. A gauche ce signe est inconstant. Pas de troubles des nerfs crâni
Réflexes rotuliens exagérés, plus à droite. Esquisse de clonus avec signe de Babinski de ce côté. Il n'y a ni albumine
s égal, régulier, faible, bat à 90. Le malade sent la forte piqûre. Signe de Babinski bilatéral. La température monte, le s
cès d'épilepsiejacksonnienne II est probable que l'intermittence du signe de Babinski est en rapport avec les crises de c
ar compression du faisceau pyramidal, il peut donc y avoir quelques signes de dégénération secondaire, permanents ou transi-
e malade, exagération des réflexes rotuliens et clonus du pied. Ces signes peuvent, du reste, faire défaut, comme dans l'o
de 77 ans,était entrée à la Salpêtrière, salle Cruveilhier,avec les signes classiques d'une paralysie pseudo-bulbaire dont i
aux quatre membres, notable- ment exagérés ; le clonus du pied, le signe de Babinski sont très nets des deux côtés : l'i
notre cas). Les altérations de la peau facilement visibles sont un signe différentiel moins trompeur. Il est rare que la
plement d'un tubercule cutané, sont généralement regardés comme des signes certains d'un arrêt de développement. « Il es
bres inférieurs, et cela d'une façon symétrique. Il n'existe pas de signe de Babinski, ni de flexion unilatérale de la cu
nique ne doit pas se limiter à la recher- che et à l'indication des signes énumérés dans des observations anté- rieures.
plus faible, et cela, selon ces auteurs, doit être retenu comme un signe d'améliora- tion de la paralysie. M. Bernhard
44 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ous trouvons de l'hystérie et un délire des persécutions. « Comme signes de dégénérescence, nous notons de la si MÉDECIN
uoique nous n'ayons jamais été témoin de crises, il existe d'autres signes qui nous suffisent pour établir notre diagnosti
Rouen. Dans ce dernier établissement, quoi qu'il n'ait donné aucun signe de fo- lie ou de désordres cérébraux, son carac
passerait pas à la session la plus proche, com- mença à donner des signes d'aliénation mentale. Transféré, en fé- vrier 1
mentée de Cing..., on remarqua sans peine qu'il n'avait donné aucun signe de dérangement céré- bral jusqu'en 1892. Depuis
pas davantage le cas de Cing..., qui ne manifesta subitement des signes de folie qu'à vingt-quatre ans, sans avoir présen
e, alors que cette anesthésie était autrefois si marquée et le seul signe objectif de la névrose prétendue. Le polymorphi
onservation de ces réflexes se rencontre surtout avec un minimum de signes physiques; dans les rémissions, il n'est pas ra
le adju- vant très efficace dans l'une et l'autre. Les deux seuls signes qui, peut-être, pourront parfois faciliter le d
DE-MÉDECINE LÉGALE. En même temps on constatait chez ce malade des signes d'al- coolisme : tremblement très accentué et é
que chez l'homme, etil consiste le plus ordinairement en lettres et signes simples tels que coeur, anneaux, sur les bras et
te à dénoncer la maladie. C'est la « marque de fabrique », c'est le signe évident d'une construction défectueuse de l'org
use de l'organe psychique, d'une anomalie de l'évolution ; c'est le signe de la maladie mentale. C'est donc assez pour le
ialisé et le plus récemment acquis sont les premières à montrer des signes de nutrition défectueuse dans les parties les p
Arcuives, 2e série, t. IX. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. sente tous les signes du delirium tremens. La seule différence entre
de tous, en est un exemple re- marquable. A côté des adissoniens à signes complets, au nombre desquels se trouve l'asthén
jeune fille présentant une fracture de la première lombaire, et les signes systématiques exacts de l'écrasement de la queue
omyélie et mérite d'être considérée quand elle existe, comme un des signes diagnostiques capitaux de cette affection ; 3°
ec hémorragie abondante dans la cavité péritonéale ; et de plus des signes de péritonite récente. Le juge d'instruction de
nes de la poitrine et de l'abdomen ne permettait de découvrir aucun signe patho- logique dans les viscères de ces cavités
à leur suite, ont signalé l'irritabilité du caractère comme un des signes les plus habituels de la chorée. Ce trouble psy
un cas de sa clinique dans lequel on aurait trouvé à l'autopsie les signes typiques de la paralysie générale, ajoutant qu'
une sensation légère, mais nette, de fluc- tuation. En dehors de ce signe rien ne faisait prévoir un abcès. Une intervent
ées comme 'des troubles trophiques : le malade présente plu- sieurs signes de présomption en faveur du tabès. M. Pierre Ma
uzon, mais le phénomène signalé ne peut pas être considéré comme un signe prodromique de paralysie générale, pas plus qu'il
aison et une bonne qui vivait dans l'appartement présen- tèrent des signes de l'état de besoin lorsqu'ils ne furent plus s
nande, âgée de cinq ans. Depuis quelque temps, la mère donnait des signes de dérangement cérébral; mais ces troubles étaien
douleur. On cherche soigneusement les uns après les autres tous les signes de néphrite, sans en rencontrer un seul au moment
signalée par presque tous les auteurs ; elle est regardée comme un signe au début et considérée comme un symptôme banal,
3. Sentez votre cheville droite : Elle remue les orteils et le ' Le signe + signifie : sentez davantage. 214 zip THÉRAPEU
aladies, en se super- 236 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. posant aux signes vraiment pathognomoniques et se modifiant en co
est peut-être plus souvent qu'on ne pense chez l'enfant le premier signe de l'épilepsie ; mais on n'a jusqu'ici attaché qu
inaire de l'éjaculation, mais qu'il s'a- gissait effectivement d'un signe probant de l'épilepsie. Dans ces cas, l'examen
- blement des muscles de la face et de ceux des extrémités est un signe précoce; les troubles de la parole dépendent de d
li avec un degré considérable de certitude, en se basant non sur un signe palhognomonique, mais sur un grou- pement de sy
p- tômes initiaux sont reconnus plus tôt. Parmi ces symptômes les signes de trouble mental ont surtout une importance prép
agnostic sur la foi des seuls symptômes physiques. Mais lorsque les signes physiques coïncident avec un trouble mental que
sie générale. zu SOCIÉTÉS SAVANTES. toute autre valeur; parmi ces signes de début il faut noter le tremblement de la fac
du langage et les anomalies de la réaction pupillaire. Ce dernier signe doit être étudié avec beaucoup de soin, car il fo
re ce syndrome et celui présenté par le malade examiné, chez qui le signe de Babinski dénote une altération pyramidale.
ion pyramidale. M. Gilles de la TOURETTE. La valeur diagnostique du signe de Babinski est-elle absolue ou relative ? Une
d'espérer que ces accidents n'étaient que le fait de la névrose. Le signe de Babinski devait trancher cette question; il fu
on. Je pourrai par contre citer des cas de lésions organiques où le signe des or- teils a fait défaut. l. SOCIÉTÉS SAVA
la a lieu dans l'épilepsie, où pendant la crise on peut observer le signe des orteils, alors que le réflexe est normal en
fixer définitivement la valeur caractéristique absolue ou non de ce signe . Diabète hydrurique au cours de la Tuberculose.
nt de le quitter, je lui recommandai de nouveau de faire souvent le signe de la croix, lui disant qu'avec ce signe il pou
ouveau de faire souvent le signe de la croix, lui disant qu'avec ce signe il pourrait chasser le mauvais esprit. Singulie
s dont il ne sortait guère que pour quereller la vieille femme. Les signes de dérangement cérébral qu'on avait autrefois rem
etc. Ces objets ne sont pas, pour nom- bre de croyants, de simples signes , de pures images, mais des choses qui participe
gonflée de gaz et est d'une teinte rouge vineux uniforme. Pas de signes de péritonite. Foie, rein=, rate exsangues, pâles
'épilepsie, qui montrent, qu'en dehors d'antécédent traumatique, de signe de tumeurs ou de trace bien nette de localisati
e la maladie, le diamètre pupillaire et les réflexes est souvent un signe pronostique de valeur. Con- trairement à l'opin
réactions. Dans les névralgies, la pupille est très variable et le signe de Seeling-Muller inconstant. Dans les tumeurs
la mydriase est plus fréquente. Dans le tabes dorsalis, myosis, et signe de Robertson constants. J. SÉGLAS. XXXV. Asym
e, vertiges, névrite optique) ; de l'hémianopsie, un des principaux signes d'affection de l'hypophyse ; des troubles visue
'ataxie fut donc légère. Dans deux de ces cas d'atrophie optique le signe de Romberg existait en dépit de la cécité. Para
dépit de la cécité. Paralysie des muscles de l'oeil : dans 33 cas. Signe d'Argyl- Robertson : dans 70 cas. Puissance s
ssive, les yeux vifs, les dents bien plantées, ne présentant pas de signes physiques apparents de dégénérescence. Pas de t
gure toute rouge, les yeux brillants. Tremblement généralisé. Comme signe physique de dégénérescence, on trouve que les b
il ne mène pas si vite à la stomatite, ordinairement regardée comme signe de la saturation mer- curielle de l'organisme.
rme agissant à la fois sur tout l'individu ». Calmeil1 à propos des signes physiques fait les remarques suivantes : « beau
lisme chronique, syphilis en tant que virus, saturnisme, etc., sans signes de lésion cérébrale localisée ; 3° cas hystéroïde
euses; seulement on est obligé de désigner ces modifications par le signe appréciable qui les représente. Pendant longtemps
u ayant été Président de la Société, la séance est ensuite levée en signe de deuil. Séance du 26 février 1900. - Présiden
n leur pose à cet égard. Tel individu, par exemple, qui présente le signe de Robertson, l'abolition du réflexe rotulien e
ssociée à de l'atrophie papil- laire et dont le mari présentait des signes de tabes fruste. M. Souques. La paralysie génér
à la pendaison, mais on a cherché à l'expliquer par la présence de signes d'hysté- rie chez les sujets. Ici le malade n'a
agnoscies portant sur tous les sym- boles, mots, lettres, chiffres, signes , notes de musique, formules, gestes, expression
âgé de quarante-quatre ans, qui, depuis quelque temps, donnait des signes de folie, s'est tout à coup rué sur sa famille
-Cenis, 68, à Montmartre, qui, depuis quel- ques jours, donnait des signes manifeste de démence, a tenté, hier, de se suic
ne : Symptômes et diagnostic de la hernie étranglée. Mal de Pott. - Signes et diagnostic de la cuoealgie. En ce qui concer
e, t. IX. 30 46G PATHOLOGIE NERVEUSE. de démence, et présente les signes classiques de la chorée chroni- que de Huntingt
lade dès son arrivée. L'examen physique dénote chez lui de nombreux signes de dégénérescence. Asymétrie faciale marquée. F
fenêtre : « c'est qu'il y a des hommes, répond-il, qui lui font des signes derrière les barreaux ; ils sont trois, celui q
pendant la station debout, indiquant l'atteinte du cervelet. Pas de signe de Romberg; titubation surtout prononcée à droi
dant, les symptômes nerveux se développent avant l'apparition ,des signes d'anémie extrême. ' ' Symptômes : Comme symptôm
sées. Les autres auteurs, Oppenheim, Brissaud, soutiennent que le signe prédominant de ces tumeurs est le trouble de l'in
ubercule et du lobe occipital. Le malade n'avait jamais présenté de signes d'aphasie sensorielle. Névrites professionnelle
pidation spinale et ils ont observé au contraire très facilement le signe des orteils de Babinski. 1 M. SCIIEI\B d'Alge
s habentes, qui ne se distinguent des enfants normaux que par des signes négatifs. Le traitement médico-pédagogique ne p
45 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
et prompte devance la volonté, nous décèle et rend au dehors, par des signes pathétiques, les images de nos plus secrètes agit
e la face en mouvement. Or, ces lignes et ces plis sont justement les signes qui, par leurs combinaisons variées, servent à l'
s passions), avec ceux qui se sont livrés spécialement à l'examen des signes des penchants et des habitudes, à l'étude de la p
faudrait, pour cela, sacrifier la peau sur laquelle se dessinent les signes du langage expressif de la physionomie. C'est i
p multiplier les contractions des muscles qui servent à en tracer les signes et dont le nombre est limité. Reconnaissons ici
a face, et gonfle la moitié antérieure du cou, sans tracer le moindre signe physionomique qui décèle une expression quelconqu
ne pouvait cependant dissiper les traces d'une douleur récente ou les signes d'un chagrin habituel : ainsi je me représente un
e, un seul ou plusieurs muscles à la fois, lorsqu'il a voulu (pie les signes caractéristiques des passions, même les plus fuga
2e partie. Il était certainement possible de doubler le nombre des signes expressifs de la physionomie; il fallait, pour ce
tilité d'un langage qui ne serait pas compris? Exprimer et sentir les signes de la physionomie en mouvement me semblent des fa
Pour être universel, ce langage devait se composer toujours des mêmes signes , ou, en d'autres termes, devait être placé sous l
ement expressif se composent de lignes fondamentales, qui en sont les signes patho-gnomoniques, et de lignes que j'appellerai
s tout encore : le fond sur lequel se peignent ou s'écrivent tous ces signes du langage muet de l'âme n'est jamais le même ; e
côté opposé vous reconnaîtrez, dans son regard et sur son front, les signes caractéristiques de ce mouvement expressif; signe
sur son front, les signes caractéristiques de ce mouvement expressif; signes qui ont été exposés page 2, figures 7 et 8. Si
est peu favorable à l'étude de ces lignes verticales, qui sont un des signes caractéristiques d'une action plus violente de l'
combinaison du transverse du nez avec le triangulaire des lèvres. Les signes du mécontentement se sont alors dessinés beaucoup
On reconnaît certainement, sur la face du Laocoon de Bruxelles, les signes de la douleur; mais le mouvement convulsif de sa
ule en honneur, et le culte de la tonne était poussé si loin, que les signes expressifs des émotions de rame lui étaient presq
: sous l'influence de mes rhéo-phores, on la voyait ennoblie par les signes de la pensée (l'attention, la réflexion), ou anim
e peut éviter de se trouver dans le champ de la plaque. Enfin, par un signe convenu, il indique à l'aide le moment où il doit
rir d'une vive douleur morale et physique; mais loin d'en trouver les signes sur sa face, on y lit plutôt un bonheur extatique
té la marche de la maladie, et découvrant sur ses traits les premiers signes de cette heureuse crise, elle s'écrie : « Il est
sse et ne pouvait rire que des lèvres. Afin d'appeler sur sa face les signes vrais de la joie, j'ai dû exciter sa gaieté en ag
pouvait cependant dissiper les traces d'une dou-» leur récente ou les signes d'un chagrin habituel. Ainsi je » me représente u
chement laborieux, les douleurs ne disparaissent pas entièrement; les signes s'en traduisent sur la figure de la mère par une
sthétique, à différents degrés, sur le muscle qui met en relief les signes caractéristiques des passions agressives (sur le
ait tourne en iiel (2) ! Un muscle destiné à mettre en évidence les signes des plus mauvaises passions (le pyramidal du nez)
en l'exagérant, que l'on a représenté le génie du mal, le démon. Ce signe de la méchanceté se reconnaît aussi sur la physio
uissant au point de tracer, par sa contraction électrique isolée, les signes de la méchanceté et des instincts les plus cruels
145. On a vu, dans les figures 30 et 32 (partie scientifique), les signes différentiels de la joie vraie et de la joie faus
que), les signes différentiels de la joie vraie et de la joie fausse, signes caractérisés, pour la première, par une dépressio
46 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des lésions syphi- litiques des artères de la rétine : c'est là un signe trop rare pour qu'on puisse compter sur lui.
s autres formes par les pro- dromes mais aussi parce que, outre les signes de paralysie générale, il y a certains symptôme
énérale. M. Auguste Voisin', dans son traité, décrit les moindres signes et signale les troubles trophiques de la paralysi
s pourraient être constatés deux à trois ans avant l'apparition des signes cliniques ordinaires de la paralysie générale.
optique dans les maladies cérébrales (Union août 1866). ' Magnan. Signes essentiels et accessoires de la paralysie général
observer un cas de zona ophtalmique survenu quelques mois avant les signes physiques et psy- chiques de la paralysie génér
e centre de convergence. P. KERAVAL. V. Du PHÉNOMÈNE ROTULIEN COMME SIGNE DIAGNOSTIQUE D'AFFECTIONS NERVEUSES ET D'AUTRES
es deux côtés semblait devoir, dans un cas de l'auteur, en faire un signe de lésion organique, tandis que d'autre part in
xement la personne qui lui parle; de là son attitude. Il n'a pas de signe objectif de lésion ver- tébrale, rectale, sexue
souvent qu'on ne le croit d'ordinaire, le siège de ces abcès. Les signes spéciaux aux abcès du cervelet.(titubation cérébe
ation conjuguée des yeux du côté opposé à la lésion; et de quelques signes secondaires : contractures et accès convulsifs
ille de dix- sept ans, ayant présenté successivement la plupart des signes de la paralysie générale : hésitation de la par
Elle se préseute avec une allure qui lui est propre, mais avec des signes suffisants pour qu'on ne doive la méconnaître.
e la méconnaître. Elle se distingue surtout par la prédominance des signes soma- tiques et la rareté du délire. M. Vallo
un jeune sujet, soupçonné de paralysie générale, on trouve tous les signes macroscopiques de paralysie générale, il est bi
l'insomnie et l'excitation signalées par M. Charpentier soient des signes caractéristiques. 84 SOCIÉTÉS savantes. M : V
du père n'était pas douteuse, mais elle ne se traduisait par aucun signe chez la malade. Le traitement spécifique est de
r compression du chiasma. L'examen ophtalmoscopique nous révèle des signes impor- tants. Le plus souvent on trouve de la n
isse les rapporter à aucun organe. On retrouve à l'examen les mêmes signes objectifs que plus haut. Pendant les crises dou
un violent point de côté et un peu de dyspnée. A l'auscultation, signes d'épanchement pleural gauche, remontant jusqu'à 3
antiseptiques intestinaux : amélioration des troubles visuels, les signes opletulmoscopigues reslunt les mêmes. Apparition
pt ans après Son mariage. Il n'y a pas eu de fausses couches. Aucun signe pouvant faire songer à la syphilis si ce n'est
oncée depuis un mois. Elle ne tousse pas, n'a jamais présenté aucun signe de tubercu- lose pulmonaire. Pas d'alcoolisme n
roubles visuels sont bien moins accentués, l'acuité a augmenté; les signes opbtalmosco- piques sont les mêmes. On présent
Les troubles visuels ont presque entièrement disparu. Cependant les signes ophtatmoscopiques restent les mêmes. 30. - La m
les mêmes. 30. - La malade sort paraissant entièrement guérie. Les signes oplitalmoscopiques restent les mêmes. Rentrée
a paralysie générale n'in- diquent-elles pas par leur diversité des signes de diagnostic différenciel, n'impliquent-elles
étiologie et quant à sa symptomatologie complète, sans négliger les signes de second plan, et quant à son évolution et à s
ique de l'auteur montre son existence dans 59 p. 100 des cas, et ce signe peut, lorsqu'il est joint à quelques autres, pr
itoires du langage, de la marche, vertiges etc. Le ver- tige est un signe important et est probablement dû aux conditions
le cerveau, donnant naissance dans le premier de ces organes à des signes d'ataxie locomotrice progressive, et dans le se
ence. Pour établir la dégénérescence, il ne faut pas s'en tenir aux signes physiques, il faut chercher le début des altéra
simulés, polymorphes, absurdes, théâtraux. Greffés sur le tout, les signes de dégénéres- cence de tous ordres. Le traiteme
n pas seulement le représentant d'une multiplication centésimale de signes de dégénérescence par rapport aux gens normaux.
ité presque complète. Elle est surtout indiquée quand il existe des signes de compression cérébrale, c'est- à-dire quand o
ace, est. entré à Ville- juif le 5 juillet 1896. M. le D'' Vallon signe le certificat suivant : c Est atteint de para-
a été affirmé plus tard, et le malade présente maintenant tous les signes psychiques et somatiques de la paralysie généra
allon dans son certificat du 5 novembre 1896. 11 présente tous [les signes psychiques et physiques de la paralysie général
Il nous semble pourtant que l'alo- pécie commence un peu avant les signes caractéristiques de la paralysie générale., L
lesse, déformant le portrait de l'homme et de la femme, efface les signes distinctifs du sexe que l'individu avait acquis.
car il peut arriver que des jeunes filles, chez lesquelles tous les signes distinc- tifs de leur sexe ne se sont pas encor
ce à la démence. Confirmé en 1890. Eu 1804 on constate chez lui des signes de paralysie bulbaire, bientôt suivie d'ataxis
érations du fond de I'oeil. Il insiste tout particulièrement sur le signe diffé- rentiel suivant : à savoir que, souvent,
divers troubles mentaux, de diverses chorées ne pré- sentant aucun signe qui puisse les différencier des troubles men- t
sieurs exemples. Dans un premier cas, un enfant présentait tous les signes cli- 'niques d'une méningite tuberculeuse de la
nt, malgré les lésions classiques de la soi-disant méningite, aucur signe clinique n'avait permis de diagnostiquer ces lési
rave, soit qu'elles guérissent, soit qu'elles ne soient nul- lement signe d'une affection mortelle. On peut établir trois
nérien. Quand les perversions de l'appétit vénérien ne sont pas les signes extérieurs de là dissolution congénitale de la
vait présenté aucune particularité qui pût être considérée comme un signe pré- curseur d'anomalies sexuelles, elle jouait
ous les cas, en général, on rencontre une première période avec des signes de méningite ; des symptômes cérébraux transi-
lis cérébrale, les symp- tômes les plus graves sont précédés par un signe prodromique des plus importants au point de vue
les remplacer, des mouvements rythmiques vibratoires ayant tous les signes d'un tremblement bien caractérisé. (The alienist
TI5liES; par le Dr BONARDI. Cliniquement le malade présentait des signes de maladie d'Addi- sou, associés à quelques sym
-artielil aire des organes atteints de ces mouvements ; 3° Comme le signe de Romberg dans les cas peu avancés d'ataxie, l
ents sains ( ? ), convulsions épileptiformes à trois ans ; premiers signes de la maladie actuelle remarqués à seize ans. M
? écartées, genoux légèrement flé- chis, démarche pelvienne. Pas de signe de Romherg, incoordina- tion moins accentuée au
éristique (ébrieuse) ; tremble- ment pendant les mouvements. Pas de signe de Romberg ; force musculaire intacte, gâtisme
e, dystocie de la mère, une attaque convulsive à quatre ans. Pas de signe d'Ar-yll Robertson, vision bonne; station debou
cordiale). Cela fait, M. Ilead cherche avec quelles conjonctions de signes physiques se rencontrent l'absence et la présen
ant et qui présente un très grand intérêtclinique parlaprésence des signes s inaccoutumés dans un cas de paralysie bulbair
s'en ressentait de la même façon ; 2° Une atrophie très nette avec signe de dégénérescence peut être observée dans les m
ile de dépister l'ataxie loco- motrice à son début lorsque les gros signes classiques font défaut; 1 dans ces cas, ce; tai
voir une valeur pathognomonique ; toutefois elle peut constituer-un signe d'une certaine valeur, lorsqu'il existe en même
éels sont cons- tants ; il n'est certainemdnt pas de vésanie où les signes physiques soient aussi accentués que dans la mé
z les malades de cette catégorie. Si j'ai tenu à insister sur les signes cliniques de la maladie, c'est que le diagnosti
tituent, sans doute, dans plusieurs cas le substratum anatomique du signe de Westphal. (Revue neu- rologiçzle, mai 1897.)
ce cas l'état morbide; mais avant tout l'anamnèse et la présence de signes objectifs de la syphilis sous forme de céphalal
hémorrhagique aiguë, qui n'a pas eu le temps de s'affirmer par des signes anatomiques bien manifestes, par suite de l'évo
ed en avant et talonne. Pas de trouble de la station debout, pas de signe de Romberg. Le= réflexes rotuliens sont exagé
érieurs nous trou- UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 447 1 vions des signes très nets de lésion extra-médullaire, de cont-
de l'extrémité céphalique. En résumé, pour les membres inférieurs, signes de lésion transverse de la moelle ; pour les me
es de lésion transverse de la moelle ; pour les membres supérieurs, signes de compressions radiculaires; au-dessus, intégr
nd l'in- dividu est fils de sorcier, quand il porte sur la peau des signes faits par le diable, quand il parle tout seul,
mélancolie ordinaires, peut cependant en être distin- guée par des signes à peu près certains. - Au dire de Plater, on re
rment les noms indiquant la pensée et transformation de ces sons en signes graphiques; 2° inscription de ces signes gra- p
nsformation de ces sons en signes graphiques; 2° inscription de ces signes gra- phiques. Le premier de ces actes est sous
ue. La symptomato- logie est peu variée. On constate les principaux signes de vraie méningite ; seuls manquent ceux qui so
es deux enfants. Cette malheureuse donnait depuis quelque temps des signes évidents de dérangement d'esprit ; elle était a
agi dans un accès de folie, car depuis quelque temps il donnait des signes de dérangement cérébral. (Le Républicain Orléanai
47 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
é parle tremblement, qui seul l'inquiète, il présente cependant les signes non équivoques de la maladie de Parkinson, dont
yphilitique, étant donné que le malade présente, actuelle- ment, le signe d'Argyll-Robertson. Ni le malade, ni aucun membre
, et que notre malade a lui- même remarqués ; enfin la recherche du signe de Babinski vous montre la flexion de l'orteil,
s. Quand on a fait cliniquement un diagnostic de tabes basé sur les signes classiques de cette affection, on s'attend à tr
es, incontinence d'urine, myosis, abolition des réflexes rotuliens, signe de Romberg, ataxie, affaiblissement et atrophie
u gros orteil. Cette extension du gros orteil constitue pour eux le signe le plus sensible et le plus constant d'une affe
comme on pourrait le croire tout d'abord, la valeur sémiologique du signe de Babinski. Nous avons montré il est vrai, que
nie, ou il peut être produit par l'augmentation de poids ; c'est un signe sans intérêt cli- nique à l'état isolé.Il est l
autres beaucoup moins. Au membre droit aucun point douloureux. Signe de Lasègue : très net. Réflexe achilléen : net
nt de l'affection. Enfin, il y a scoliose homologue. Ce sont là les signes prin- cipaux de la sciatique spasmodique, décri
n n'en trouve aucune traduction exté- rieure : pas d'impulsions, ni signes d'irritabilité ou de méfiance .Cet état se com-
s dans toute leur intégrité. Pas d'incoordination motrice. Pas de signe de Romberg. Les réflexes rotuliens sont très ne
et 38°4 le matin ; elle monte pendant ces deux jours à 40°. Pas de signes pulmonaires. L'état général s'altère progressiv
umeur d'origine syphilitique ou tuberculeuse, mais il n'existe pas de signes certains. Les préparations ont été examinées ob
t présenté à côté des symptômes généraux des tumeurs cérébrales les signes de la démence paralytique et un symptôme de loc
n notable s'est produite dans l'état du malade. Sans qu'il y ait de signe d'occlusion, se sont produits des vomissements
TYPE INFANTILE DU GIGANTISME 169 corporelle : c'est parce qu'à des signes non douteux d'infantilisme, s'a- joutent chez l
ès obtus, la branche inférieure de l'os est notablement élargie. Ce signe , bien plus que le prognathisme proprement dit,
sur la radiographie, paraît grande. Si l'on ajoute à ces différents signes l'aspect très particulier de la peau 170 BRISSA
t son appétit ne sont pas exagérés. On ne note non plus aucun petit signe de diabète : ni furoncle, ni intertrigo, ni ecz
Archives générales de médecine, 5 mai 1903). Notre malade n'a aucun signe d'acromégalie. (1) Examens histologiques de thy
xcitation |du réflexe plantaire amène l'extension des orteils et le signe de l'éventail à gauche, et déplus le gros ortei
alade présente un peu de dysarthrie. Il n'y a pas d'aphasie. Pas de signe de Robertson. Trois à quatre semaines après cet
est conservé au membre supérieur droit. On constate la présence des signes de Babinski et de Strumpell. Le réflexe contral
est impossible de rechercher chez elle l'hémianopsie. On constate le signe du peaucier. Son membre supérieur droit est i
Il n'existe pas de trépidation épileptoïde. On constate à droite le signe de Babinski et l'abduction des orteils en évent
i et l'abduction des orteils en éventail ; on constate égaleméut le signe de Strumpell. La sensibilité à la piqûre est di
avant son hémiplégie de l'oedème des jambes et elle présenta il des signes d'insuffisance mitrale, un souffle systoiique aor
les reins étaient augmentés de volume et présentaient à la fois des signes de congestion et de néphrite interstitielle. Il
inférieurs. Réflexe cutané plan- taire aboli. Inégalitépupillaire. Signe d'Argyll-Robertson. Incontinence d'urine. Le 2
a marche : l'ataxie fait défaut, mais la fatigue survient vite : le signe de Romberg existe. Signe d'Argyll Robertson. Hy
faut, mais la fatigue survient vite : le signe de Romberg existe. Signe d'Argyll Robertson. Hyperesthésie au niveau de la
rés. Depuis son entrée dans le service, cette malade a présenté des signes d'agi- tation cérébrale ; elle est entrée dans
entrée dans un service d'aliénés, où elle a succombé avec tous les signes de la paralysie générale. Examen ANATOMIQUE. -
bilités pro- fondes et de la notion de position. Rétention d'urine. Signe d'Argyll Robertson. Tuberculose pulmonaire. E
des réflexes tendineux. Incontinence d'urine. Inégalité pupillaire. Signe d'Argyll-Robertson à gauche : à droite, la pupill
es, ni sensitives; pas de troubles à la vessie, ni au rectum; pasde signes d'atrophie muscu- laire, ni de réaction électri
lement externe, comme dans la paralysie myasthénique, ce qui est un signe de grande valeur (1) ; elle est toujours unilat
et quand elle envahit les noyaux bulho-prot.ubé- rantiels, par les signes d'amyotrophie et les modifications respectives de
s totales, avec ptosis, sont toujours accompagnées de myosis, ou du signe d'Argyll-Robertson, ou d'ophtalmoplégie interne e
res si- gnes tabétiques (troubles sensitifs, abolition de réflexes, signe de Romberg, etc.). Les opiitalmoplégies syphi
phénomène morbide du côté des membres. Il existe chez ce malade des signes de paralysie motrice et sensitive de la majorit
affection cérébrale, à l'âge de 29 ans, nous ne trouvons donc aucun signe permettant d'affir- mer une infection syphiliti
é pour se mettre en marche, impossibilité de s'arrêter brusquement. Signe de Romberg. Démarche ébrieuse. Réflexes très '
et abolie au-dessous du genou ; sensibilité à la piqûre conservée. Signe d'Argyll Ro- bertson. 1894. - Réflexes rotuli
rd un peu vague, quoi- que sans strabisme proprement dit. 1900. - Signe de Babinski. Les autres réflexes abolis. Un léger
. Démarche difficile, ébrieuse. Tremblement des membres inférieurs. Signe de Romberg. Réflexes rotuliens conservés. Lenteur
es yeux ouverts et les pieds joints, il ne peut pas se tenir droit. Signe de Romberg. ' Les réflexes rotuliens plutôt exa
la parole très marqués et les phéno- mènes spastiques, ce sont les signes qui classent ces cas dans l'hérédo- ataxie céré
'esprit exalté, gai, accélération des associations d'idées et comme signe extérieur des deux, exubérance extrême et variété
tôt traversé par des éclairs d'excitation maniaque,tan- tôt par les signes d'une dépression profonde, de l'angoisse, etc. So
profondes, de véritables muti- lations, sans manifester le moindre signe de douleur. Ici encore, inter- viennent une mus
ticulier. Il n'a ja- n mais eu de crises nerveuses, il n'y a pas de signes d'une syphilis antérieure. Notons seulement une
re est montée à 40° ; l'auscultation pulmonaire a montré, outre des signes de ramollissement des deux sommets, une série de
onc qui malgré l'atrophie permettait au malade de marcher, tous ces signes , anor- maux en apparence, sont expliqués par le
ancien presque aveugle depuis près de 10 ans sans avoir présenté de signes de tabès et de 6 syphilitiques non amaurotiques
philitique tertiaire , aveugle depuis 10 ans sans avoir présenté de signe de tabes (Turb...). - Nombreu- ses fibres resta
notre descrip- tion identifiées aux tabès vrais, bien que quelques signes permettent au- jourd'hui de les en distinguer.
etrouvés bien plus nettement chez un syphili- tique qui, sans autre signe de tabes, était aveugle depuis 7 ou 8 ans (nerf
laire exagéré à droite, plutôt affaibli à gauche. Clonus du pied et signe de Babinski des deux côtés. La tête est forteme
r, qui doit avoir dépassé la quarantaine ; il porte sur la face les signes indiscutables d'une lésion grave, lupus ou lèpr
re dans des cas de ce genre de s'attacher à la recherche des autres signes , et en particulier dé rechercher avec soin les
ig. 13. Ecriture de la malade 18 mois après l'apparition des premiers signes de la paralysie générale. - La malade a essayé
scence (2). Des stigma- tes physiques et psychiques constituent les signes distinctifs de cette dégéné- rescence. Abstract
déac sur la séméiologie du sys- tème nerveux des animaux (4). I Signes morphologiques OU stigmates physiques DE DÉGÉNÉRE
t une importance pratique considérable du fait de l'identité de ces signes anatomiques avec les « pseudostimates anatomiqu
visage, de la bouche, la forme de la mâchoire in- férieure, et ces signes , relevés par nous chez les équidés liqueurs, répo
ue chez l'homme, des stigmates anatomiques de dégénérescence. Les signes fournispar la tête doivent primer les autres cara
ment, de psychoses ou de névroses et, il ce titre, constituent des signes de dégénérescence. 2. Activité réflexe. - L'é
igmates psychiques et des dégénérés infé- rieurs avec un maximum de signes anatomiques. Quoi qu'il en soit, il est à remar
pas considérés isolément et, en quelquesorte, indé- pendamment des signes morphologiques de la dégénérescence. « Tout fait
s leurs rapports les élé- ments de ce système, les trois groupes de signes anatomiques, physiologi- 488 KUDLEK et cuomel
celle des dégénérés, déséquilibrés, héréditaires humains. Chaque signe de dégénérescence, pris individuellement, n'a de
e, mais une simple présomption de dégénérescence ; on associera les signes psychiques aux signes physiques pour avoir tout
somption de dégénérescence ; on associera les signes psychiques aux signes physiques pour avoir toute leur signification,
48 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
des grandes jointures à l'âge de onze ans et présente également des signes de l'arthrite déformante aux mains seulement. I
s malheureuses possédées montrent aux assistants émerveillés, comme signes indéniables de la possession. En 161fla), dans
tte femme les progrès de la lésion vertébrale par la succession des signes qu'elle a présentés depuis le jour où la métast
ns lacontemplation d'un ami qui cntr'ouvre la porte et lui fait des signes d'intelligence pendant que.son mari est tout en
ce de la commère qui, lorsqu'elle ne coupe pas l'emplâtre, fait des signes d'intelligence à quelqu'un qui ne lui est certain
n'ont pas paru depuis le mois d'avril. Il n'existe cependant aucun signe de grossesse. De taille moyenne, elle conserve
un qui se juge par les phénomènes prémonitoires de l'accès, par les signes et symptômes constitutifs de l'aura. Avant la c
s, sans qu'il y ait de changement dans les troubles oculaires et le signe de Wcstphall. 30 à 35 ressentent, à des degrés
oit la déformation caractéristique de la main-bote cubito-palmaire, signe de l'atrophie cérébrale de l'enfance. Cet infir
manifestement atrophiés et l'on peut très clairement reconnaître ce signe donné comme caractéristique de l'atrophie cérébra
isme interne et le père sont bien portants tous deux et n'ont aucun signe d'alcoolisme ou de syphilis. Ils sont de taille
t une large part. Après avoir bien mis en évidence les trois grands signes précédents : à savoir l'hypertrophie des pieds,
s mains et de la face, il nous reste à terminer l'exposé des autres signes rencontrés chez notre sujet. La tête penchée
s une névrite optique double aboutissant à la cécité, tels sont les signes qui complètent dans ses lignes générales le table
ession du cli- gnement est-elle quelquefois désignée sous le nom de signe de Stelhuag. ' z Mais, dans le goitre exophth
e la sclérotique au-dessus de la cornée est désignée sous le nom du signe de de Graefe qui l'a décrite le premier. ( Le
us le nom du signe de de Graefe qui l'a décrite le premier. ( Les signes de Stellwag et de de Graefe, surtout lorsqu'ils s
rares et mal déter- minés relevés par MM. de 'Wecker et Landolt, le signe de Stellwag a été rencontré sans autre symptôme
de troubles mentaux et le même auteur a observé la combinaison des signes de et de de Graefe chez un homme paraissant' ab
omme on peut le voir sur les figures 2 et 3 de la planche XXVI, les signes de Stclhvag et de de Graefe'. Ce malade, âgé de
une bande de la sclérotique et que le clignement est très rare. Ce signe s'accentue lorsque le malade est excité, il décou
de la cornée un espace de à 3 millimètres (fig 3). En somme, les signes de Stellwag et de de Graefe sont bien carac- té
ouverait en tout cas que le syndrôme palpébral peut être le premier signe de la maladie de Graves. Sur deux autres épilep
f à ce sujet. Il a fait voir d'autre part qu'il n'existait point de signe positif de maladie de Basedow à laquelle on aur
t bien au-dessus de la moyenne. On ne trouve d'ailleurs aucun autre signe de maladie de Basedow, ni goitre, ni tachycardi
Ainsi que cela se voit parfois dans celle paralysie, il y avait des signes d'une affection périphérique du trijumeau : sen
intégrité complète de l'iris et du muscle accommodateur. Ce dernier signe a donc une valeur incontestable pour le diagnosti
r. Nous aurons du reste l'occasion de rappeler, chemin faisant, les signes propres à cette dernière localisation. Enfin no
l'accommodation. Pas n'est besoin de revenir sur l'importance de ce signe , considéré en général comme pathognomonique. Qu
pharynx dans un état normal, pas de modification électrique. Pas de signes de tabes. Ni syphilis, ni tare héréditaire. A l
oute la région, et malgré cette prolifération on ne constate pas de signe de division indirecte (Pl. XXXII, fig. 5 c). Le
éclosion d'une pneumonie qui n'en était probablement que le premier signe , la malade est atteinte d'une bronchite chronique
st atteinte d'une bronchite chronique, et présente actuellement les signes classiques de la tuberculose pulmo- naire et la
ns- nous, en présence des considérations suivantes. D'une part, les signes tabetiques sont rares dans cette affection et,
missements. L'état actuel de cette jeune fille est le suivant : les signes d'une hémiplégie droite pour les membres sont a
E SUR UN cvs DE PARALYSIE. 7 primitive et il fit de ce caractère un signe distinctif du strabisme paralytique et du strab
ausible. Nous voyons, d'autre part, que la malade présente quelques signes , peu accentués il est vrai, mais indéniables cepe
use. 236 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI');'fltIl : RE. Outre le signe de Lasègue qui réveille la douleur, outre les dou
que n'est donc guérie qu'en apparence, puisque persistent encore le signe de Lasègue et l'impossibilité de l'extension comp
? Et dans ces cas quels sont ceux qui doivent guérir ? Y a-t-il des signes qui puis- sent faire soupçonner la guérison ? A
symptomatologie ni l'évolution de la paralysie spinale. Après ces signes négatifs en quelque sorte, il nous reste à faire
risée anatomiquemcnt par une poly- névrite, et cliniquement par des signes plus ou moins accusés du 270 NOUVELLE ICONOGRAP
s cérébraux dont la participation au processus est attestée par les signes cliniques jouent un rôle pathogène dans les cas
ns ses antécédents ni rhu- matisme ni alcoolisme, non plus qu'aucun signe de syphilis. Il y a onze ans, apparition de dip
uscles des yeux. Réaction pupillaire et accommodation conservées. - Signes de la paralysie de l'hypo- glosse. Acuité visue
lons nous occuper maintenant, le début se fait au contraire par les signes de paralysie labio-glosso-laryngée. On peut les
49 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, mais qui, symptoma- tiquement, se traduiraient par un ensemble de signes simu- lant plus ou moins le tabes. Plus tard,
l. Mais ce diagnostic ne pouvait se soutenir en présence des autres signes présentés par le. malade. C'est ainsi que les s
us de la tête et ayant trouvé un calendrier où étaient dessinés les signes du zodiaque, elle dit que ce sont des animaux s
points principaux de ces recherches sont : A. Il n'existait aucun signe clinique permettant d'affirmer le diagnostic de c
o-aortique (liyperthropie du coeur et insuffisance aortique) et les signes cli- niques ordinaires du goitre exophtalmique,
urs d'une neurasthénie et ayant guéri sans avoir donné lieu à aucun signe de lésion apparente. Cette absence complète d
lieu à aucun signe de lésion apparente. Cette absence complète de signes physiques permet d'éliminer toute cause organiq
observés de tumeur du corps calleux, se demandent s'il y aquelques signes cliniques permettant de diagnostiqueur la local
e poils, phlyctène atrophie des muscles paralysés. Ces différents signes , d'ailleurs spéciaux aux polynévrites, ne se co
ce-de la peau. Puis arrive le paramyoclonus multiple, avec tous les signes de Frie- dreich : convulsions cloniques d'une c
x minutes au maximum et devant toujours être suspendue au moindre signe de fatigue. Résultat du traitement : deux succès
barras de sa parole, embarras dont il ne s'aperçoit pas, est un bon signe de paralysie générale sur lequel les auteurs ont
la paralysie générale ont une importance au moins égale à celle des signes physiques. M. TOULOUSE. En dehors des signes dé
oins égale à celle des signes physiques. M. TOULOUSE. En dehors des signes démentiels, il n'y a, dans les cas douteux, qu'
latérales. M. Minor ter- mine en faisant ressortir la valeur de ces signes dyskynésiques dans le diagnostic des simulation
s, demeurant 104, rue de l'Ouest, donnant depuis longtemps déjà des signes d'aliénation mentale, était pris, hier dans la
gnostic de paralysie générale avait été contrôlé et vérifié par les signes anatomiques qui la carac- térisent. On nous acc
ès quel- ques jours de fixation, mérite de prendre rang parmi les signes macroscopiques les plus importants de la paralysi
troubles trophiques de la para- lysie générale, qui sont autant de signes de névrites. Presque toutes les lésions médulla
ses isolément , elles méritent une bonne place à côté des meilleurs signes anatomo-pathologiques de la paralysie générale.
tense pour ressem- bler à celle du tabes. On devrait voir alors les signes du tabes s'ajouter à ceux de la paralysie génér
ralysie générale. Quand elle n'est pas arrivée à ce degré, quelques signes seulement pour- ront se manifester. Nous avon
adie; elles méritent cependant de prendre rang à côté des meilleurs signes ana- tomopathologiques de la maladie. De leur c
Sommaire. Délire systématisé de persécution et de grandeur. Pas de signes antérieurs de dégénérescence. Fièvre typhoïde sui
ires seraient bons, d'après ses enfants, et qui ne présentait aucun signe de déséquilibration mentale avant le début de la
aintient très élevée; taches rosées, langue rôtie, presque tous les signes d'une fièvre typhoïde à la période d'état. La m
s neurasthéniques qui présentent en même temps des stigmates ou des signes d'hystérie, ils donnent la préférence à la fran
st suivie parfois de phénomènes délirants. Tels sont les principaux signes qui permettent, d'après le Dr Bonjour, de décid
r beaucoup du côté droit. L'auteur constate avec étonnement que les signes pul- monaires ont disparu au côté droit et se r
La force motrice n'a pas subi d'atteinte. On constate chez lui les signes de l'alcoolisme chronique (injection des petits
élégué par lui, remplit les fonctions d'ordonnateur et, à ce titre, signe et délivre tous mandats pour l'acquittement des d
ion, du Conseil d'administration et de l'Assemblée générale, et les signe avec le Président. Il a la surveillance et la gar
eil d'administration; il vise toutes les pièces de comptabilité; il signe , en vertu d'auto- risations spéciales du Consei
ment intentionnel des mains, des vertiges, etc., l'ensemble de ces signes morbides rappelait à un certain degré la sclé-
auteurs (Westphal, Busch) trouvent même dans cette circonstance un signe particulier de la sarcomatose méningée, tandis
ération. Mais cette émotivité poussée à l'extrême n'est-elle pas le signe d'une dégénérescence manifeste ? Faut-il être é
a des absences de mémoire. Un peu plus tard M. Magnan note quelques signes de démence, de l'inégalité pupillaire et quelqu
te-huit heures après son admission, on constatait chez lui tous les signes d'une paraplégie spasmodique avec exagération des
ge un peu, les idées deviennent 'confuses, elle s'énerve, donne des signes d'impatience, de découra- gement, pleure, parle
par le développement du tissu scléreux. En un mot, on trouvait les signes d'une thyroïdite en voie d'évolution. La caus
'attribuer à un trouble mental. La microcéphalie se reconnaît à des signes assez caractéristiques dans la forme et les dim
cours du traitement et noter avec soin la température. Au moindre signe de malaise, il faut prendre la température, et si
tômes d'Argyll-Robertson n et de Westphall constitueraient les deux signes prodromiques prin- cipaux de la paralysie génér
é à l'âge mûr, ancien syphilitique, sans que l'on constate d'autres signes du tabès, le soupçon d'une paralysie générale e
existe en même temps des stigmates de neuras- thénie. Les autres signes précoces de la paralysie générale sont les opht
ements du caractère, etc.), est minime en comparaison de celles des signes mentionnés ci- dessus. Un sujet nerveux sans ré
plus. Mais jusqu'au mois d'avril 1858 on ne constate encore aucun signe évident de paralysie générale ; tandis que le res
le reste de l'année se passe dans la torpeur mentale avec quelques signes de paralysie. 1859. Dès le mois de janvier, R..
isparu de son domicile depuis trois jours. Ce vieillard donnait des signes d'aliénation mentale. LES aliénés EN liberté
ou une incohérence énorme rappelant celle des simulateurs. Tous ces signes font songer au brightisme et à ce titre sont pr
e de l'auto-intoxica- tion d'origine hépatique. Cela dit, à quels signes reconnaîtra-t-on la folie d'origine hépatique ?
signes reconnaîtra-t-on la folie d'origine hépatique ? D'abord aux signes révélateurs d'un mauvais fonctionnement du foie
ie et enfin modifications de la toxi- cité urinaire. Ajoutons-y les signes physiques, d'ailleurs inconstants, tirés de l'e
de cette triple cause que le foie sur- mené a commencé à donner des signes d'une défaillance qui s'est immédiatement tradu
r, au même moment et à des intervalles assez rapprochés, tous les signes qu'il contient sur un nombre assez élevé de para-
surément très rare chez les hémiplégiques, c'est la persistance des signes ordinaires de la paralysie du facial supérieur,
de Parkinson. (Revue neurologique, février 1898.) E. B. XCIIL LE SIGNE DE CH. BELL dans la paralysie faciale périphériqu
n définitive, on ne doit pas moins considérer le processus comme un signe caractéristique de l'encéphalite aiguë spontanée.
ale. La pathologie se charge d'ailleurs dé les dissocier : c'est le signe d'Argyll-Robertson '. II. Ajustement des neur
1 Nous avons développé ces idées ailleurs. Voir Dr Joanny Roux. Le signe d'Argyll Robel tson (l'rovizzce médicale, mai 189
du Nord, juillet 1898. An. in Presse méd.) a développé à propos du signe d'Argyll-Robertson absolument les mêmes idées que
es corticales prolongées, en dehors de la paralysie générale, comme signes d'une dégénérescence diffuse du territoire mote
on du réflexe patellaire est toujours en rapport avec un minimum de signes physiques, puisque cotte conservation est plus
ssions, les altérations du patellaire persistent alors même que les signes physiques se sont considérablement amendés au p
es deux hémisphères dans leur accroissement. P. Keraval. XIX. LES signes DE dégénérescence (extérieurs) dans la paralysie
degrés plus accusés d'un seul et même stigmate, qu'ils avaient les signes de dégénérescence les plus graves, et que les s
ls avaient les signes de dégénérescence les plus graves, et que les signes de dégénéres- cence étaient chez eux aussi plus
liés difficile avec la paralysie générale au début se fait par les signes physiques objectifs ou avec le temps par l'appari
gnes physiques objectifs ou avec le temps par l'apparition d'autres signes . 1.'Lystéro-ueurastliéme traumatique mérite une
fuatureÉpiiPp- tique par Hyier, 3` ? i. - fuciale périphérique et signe de Ch. l3ell, jarHonner.m.j.butbairssspas- mo
es aux diverses éloques cle l, -, par 3larancion de Montyel, 475. Signes de dégéné- rescence dans la -, par t\oecke, .
50 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
llerai latente, est celle qui ne se traduit pas à l'extérieur par des signes physiques. Elle a quelquefois une longue durée, e
mouvements, l'existence des abcès, la paralysie. La douleur est un signe vague, car elle peut dépendre de beaucoup d'autre
bituelle. Il faut explorer le malade dans toutes les positions. Ces signes sont équivoques; ils se rencontrent dans des état
ra s'éclairer des antécédents, de l'état général. 2e période. — Les signes sont encore peu marqués au début. La déformation
de la gibbosité. La première condition pour savoir tirer parti de ce signe , c'est d'aller à sa recherche, c'est de ne pas né
vertèbre est soulevée en pointe et isolée des vertèbres voisines, ce signe est pathognomonique ; on ne l'observe que dans le
i, dans cette courbe générale, vous découvrez une ou deux pointes, ce signe conserve toute sa valeur diagnostique, il est pat
e, distinguer une deuxième courbure supérieure à convexité gauche. Ce signe pourrait manquer. La deuxième courbure est parfoi
nt le mal de Pott de la déviation essentielle du rachis. Malgré ces signes , la confusion est quelquefois possible. C'est ain
tte série de nodosités à l'union des côtes avec leurs cartilages? ces signes ne laissent aucun doute sur l'existence du rachit
ion bien tranchée avec le reste de la colonne dans le rachitisme. Ces signes peuvent être insuffisants; on diagnostique alors
stique alors la maladie par l'examen du reste du corps. On trouve des signes de rachitisme dans un cas, et non dans l'autre.
irement globuleuse. Leur siège peut aider au diagnostic. Un autre bon signe est celui-ci : en pressant sur ces abcès, on fait
ins que sa grande habitude de la plessimétrie pour tirer partie de ce signe . Nous n'admettons pas d'ailleurs, avec notre sava
avec les abcès phlegmoneux. Ils présentent alors, comme ceux-ci, les signes d'une forte inflammation, rougeur, chaleur de la
telle est la diathèse syphilitique. Si vous avez pu en découvrir les signes , opposez-lui un traitement convenable; vous guéri
venue plus saillante. N'accordez pas toutefois trop de valeur à ces signes ; ils varient du pins au moins et sont presque to
osseuses ne se trouvent plus situées sur une même ligne verticale. Ce signe a de la valeur et doit toujours être recherché.
Neuvième leçon, 13 juillet 1855. 6. IV. lésions nerveuses. — Les signes fournis par la lésion de la moelle et du cerveau
arthrite sous-occipitale. v. Abcès. — Les abcès peuvent fournir des signes d'une grande valeur, lorsqu'ils se développent du
essier (de Lyon). Ce fait, je ne le rejette pas entièrement; mais les signes de la luxation sous-occipitale sont en général as
culation, des fongosités dues à l'épaississement de la synoviale. Ces signes sont évidemment ceux d'une coxalgie; il n'existai
e époque plus reculée. Qu'on prouve qu'il existe, à la naissance, des signes de coxalgie ancienne, on pourra croire alors à ce
est propre aux pseudarthroses coxo-fémorales congénitales et forme un signe précieux pour différencier ces lésions des luxati
e coxalgie. M. Parise se fonde sur l'abondance de la synovie; mais ce signe est insuffisant pour caractériser l'arthrite coxo
nostic. (1) Dupuytren a le premier tracé avec détail le tableau des signes de la luxation congénitale du fémur sur le sujet
oucher: tel est le grand trochanter ; c'est lui qui nous fournira les signes nécessaires pour apprécier exactement le déplacem
ir les moindres différences de conformation d'un côté à l'autre. Ce signe peut être plus obscur si la luxation est double.
nclinaison en sens inverse. V. État des mouvements. — Tels sont les signes de la pseu-darthrose fémorale à l'état de repos;
s signes de la pseu-darthrose fémorale à l'état de repos; ce sont les signes anatomi-ques ; nous avons aussi des symptômes phy
isse, je la retrouve sur la face externe de l'os des îles. Les autres signes sont rationnels; celui-ci est pathognomonique ; b
mpossible de sentir les têtes des fémurs, et cependant nous avons des signes de luxation évidente. Cette enfant est courte des
Delpech (1). Ce savant professeur décrit chez un jeune sujet tous les signes d'une luxation de la hanche, ensellure lombaire,
ands arcs de cercle décrits sur l'ilium par la tête fémorale. A ces signes physiques s'ajoute le commémoratif fourni par les
traumatique. Dupuytren a mis en relief, avec raison, la valeur de ces signes négatifs. M. Malgaigne exigerait en outre, pour q
fique ouvrage de Sandifort (1). La luxation intra-cotyloïdienne a des signes propres ; si vous avez affaire à une tête qui ne
trochanter. L'étendue des mouvements de la tête du fémur fournira le signe distinctif principal entre la syndesmose et la di
rès son traitement, c'est-à-dire parce qu'il n'en apercevait plus les signes . Voilà ce qui résulte d'une lecture attentive des
aux os de la jambe. Le reste du pied ne présente quelquefois aucun signe de déformation, comme vous le voyez sur ce moule.
et dans les cas les plus légers. On pourrait dire qu'il constitue ce signe pathognomonique unique, que Glisson semble avoir
ue moi, la déformation des côtes comme un symptôme constant, comme un signe pathognomoniquedu rachitisme; que l'éminent profe
itisme; que l'éminent professeur attribue, comme moi, l'absence de ce signe , dans certains cas de rachitisme ancien, à ce qu'
il commence à faire quelques pas sans soutien. Cet enfant n'a pas de signes de rachitisme crânien ; la colonne vertébrale est
isme se déduit de ses caractères anatomi-ques et physiologiques. I. Signes anatomiques.— (1) Les signes anatomiques vous son
res anatomi-ques et physiologiques. I. Signes anatomiques.— (1) Les signes anatomiques vous sont déjà connus : ce sont toute
Le chapelet, le thorax en carène, les courbures des membres, sont des signes pathognomoniques, quand ils existent. Après eux v
dive et l'altération des dents, la flexibilité des os. Aucun de ces signes n'avait échappé à Glisson, si ce n'est le dernier
sième période. L'âge exerce une influence marquée sur la nature des signes que l'on observe. Le grand volume et la mollesse
s membres, sont plus prononcés chez les sujets un peu plus âgés. IL Signes physiologiques. — Les signes physiologiques sont
s chez les sujets un peu plus âgés. IL Signes physiologiques. — Les signes physiologiques sont constitués par les troubles f
elles recherches me paraissent nécessaires pour fixer la valeur de ce signe . Les symptômes de compression, dans l'hydrocéphal
nnaître, pour peu qu'on la cherche avec soin ; elle se trahit par les signes de l'affection primitive. Voici quelques exempl
r les saisir. La saillie latérale, lorsqu'elle existe seule, n'est un signe de courbure que si elle est circonscrite, bornée
le doute sur l'existence de la courbure, si elle n'avait pas d'autres signes . Comme je l'ai dit pour la courbure aortique, c
ses épineuses ne sont pas déviées, ce qui, joint à l'absence d'autres signes , indique que la déformation est très-légère; peut
elte alternative de saillies et de dépressions est, vous le savez, le signe pathogno-monique de la scoliose quand les apophys
e courbure à la région dorsale du rachis. Cependant nous trouvons les signes pathognomoniques d'une scoliose, la rondeur des c
el. — J'ai insisté, à l'occasion de plusieurs de nos malades, sur les signes caractéristiques de la courbure latérale du rachi
bres, qui s'y joignait, n'était pas moins clairement indiquée par les signes qui lui sont propres. Je ne m'étends pas sur le
é dans un sens, résistance au redressement, et d'ailleurs réunion des signes extérieurs de la déformation et des signes physiq
et d'ailleurs réunion des signes extérieurs de la déformation et des signes physiques de la rétraction. Je vous ai déjà montr
...... 305 .§ IL —Diagnostic du rachitisme................ 311 I. Signes anatomiques.................... ib. II. Signes
........... 311 I. Signes anatomiques.................... ib. II. Signes physiologiques................... ib. Diagnosti
51 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ologie s'attachait beaucoup aux bâillements morbides considérés comme signes pronostiques dans les maladies aiguës : ainsi, po
ujours compter sur le chapitre des anomalies et qu'il n'existe pas de signes absolument pathognomoniques. Je terminerai ce q
moscopique de la rétine ou des milieux. Sans doute ce n'est pas là un signe absolument pathognomonique de la névrose, — il n'
e la maladie hystérique, et à leur défaut, nous avons relevé assez de signes caractéristiques pour nous permettre de conclure
ns ad hoc : le malade prévoit qu'il va avoir son attaque ; le premier signe précurseur est une douleur vive qu'il ressent dan
tre question : Quels sont, étant donnée la chorée chez un adulte, les signes prochains propres à indiquer que les choses prenn
terai que nulle part ailleurs nous ne rencontrons dans ces organes de signes d'une lésion quelconque appréciable par nos moyen
e commença à répondre à mes questions et d'un air fort étonné faisant signe qu'elle ne comprenait rien à la situation, elle n
és,la malade oscille et menace de choir; c'est là ce qu'on appelle le signe de Romberg. M. Charcot prie la malade de marche
ions normales, dans l'acte d'accommodation pour une courte distance. ( Signe d'Argyll Robertson). Voici donc, de ce côté, un n
x y fait défaut tandis que les réflexes de la convergence persistent ( Signe d'Argyll Robertson). Voilà cette fois un phénomèn
culaire, micropsie et macropsie (Parinaud). Troubles pupillaires. Signe de Vincent, Goingt et Argyll Robertson : Insensib
ptôme-là n'appartient ni à l'ataxie ni à la sclérose en plaques. Le signe d'Argyll Robertson appartient exclusivement à l'a
s pupillaires sont normaux : pas de myosis spasmodique, pas traces du signe d'Argyll-Robertson. Polyopie monoculaire : c'est
ène du pied) assez prononcée et depuis que j'ai appris à connaître le signe de Westphal, une exaltation très manifeste de la
bosité ne s'est pas encore produite ; et aussi comment l'ensemble des signes classiques sur lesquels reposent le diagnostic de
ant, l'examen attentif des voies respiratoires ne nous a fourni aucun signe propre à justifier positivement ces craintes. D
ibles. L'incoordination motrice est portée à un très haut degré et le signe de Romberg est très prononcé. Les réflexes rotuli
on des douleurs en ceinture. Retour de la sensibilité normale ; 4° le signe de Romberg n'existe plus ; 5° augmentation légère
llements et d'une sensation de froid. Absence des réflexes rotuliens. Signe de Romberg ; papilles normales : myosis, pupilles
e sommeil. Miction difficile ; la vessie se vide en cinq ou six fois. Signe de Romberg nettement prononcé. Impuissance complè
é depuis deux ans. — Quinzième séance : On constate la disparition du signe de Romberg. Le « dérobement » des membres inférie
x ans. Démarche tabétique datant d'un an. Réflexes rotuliens absents. Signe de Romberg. Signe d'Argyll Robertson. Miction dif
bétique datant d'un an. Réflexes rotuliens absents. Signe de Romberg. Signe d'Argyll Robertson. Miction difficile. Impuissanc
lus rares et très supportables. Elles n'empêchent plus le sommeil. Le signe de Romberg a en grande partie disparu. Réflexes r
oton dans les pieds et les jambes; réflexes rotuliens absents, pas de signe de Romberg. Erections rares et imparfaites. Déb
de la sensibilité de la plante des pieds. Réflexes rotuliens absents. Signe de Romberg très net. Difficulté de la miction ; u
tion ; un peu d'incontinence de temps à autre. Mal perforant du pied. Signe d'Argyll Robertson. Début du traitement,le 10 o
ion et des sensations pathologiques qui existaient dans les pieds. Le signe de Romberg a disparu òu, tout au moins, il est de
mbres inférieurs et une difficulté rapidement prononcée de la marche. Signe de Westphal, signe de Romberg, signe d'Argyll Rob
une difficulté rapidement prononcée de la marche. Signe de Westphal, signe de Romberg, signe d'Argyll Robertson. Les douleur
pidement prononcée de la marche. Signe de Westphal, signe de Romberg, signe d'Argyll Robertson. Les douleurs fulgurantes se s
e, les douleurs ont cessé d'exister,les pieds sentent mieux lesol; le signe de Romberg ost moins accusé. Après la douzième sé
octurne depuis trois mois. Marche très difficile, très incoordonnée : signe de Romberg très accentué, absence des réflexes ro
a miction s'était améliorée, l'anesthésie plantaire avait disparu, le signe de Romberg était devenu moins prononcé ; mais de
canne, faire des courses assez longues, etc., etc. La disparition du signe de Romberg, lorsqu'elle a eu lieu, a été presque
séances, a obtenu des améliorations très remarquables portant sur le signe de Romberg et, sur la titubation qui étaient très
fulgurantes, les troubles vésicaux divers, la faiblesse générale, le signe de Romberg enfin, sont surtout favorablement infl
à des douleurs fulgurantes; la vessie fonctionne normalement; pas de signe de Romberg, etc. etc. Enfin, il est facile de méc
le premier point les résultats ont été rassurants ; il n'existe aucun signe d'une lésion viscérale quelconque; les poumons en
lie l'incoordination motrice qui, aujourd'hui, est fort accentuée. Le signe de Romberg existe. Parésie vésicale, fréquemment
la pantomime à laquelle se livre notre malade ; vous voyez, elle fait signe d'abord qu'elle ne peut rien dire : mais la voilà
lui, en marchant, son pied sur le soàl la manière d'un corps inerte ( signe de Todd) ; réflexe rotulien très faible de ce côt
our laquelle elle a été traitée aux Quinze-Vingts. Aujourd'hui, si le signe d'Argyll Roberston fait défaut, il existe par con
cas-là n'est pas le meilleur. A l'âge de 31 ans se manifestent des signes de tuberculisation pulmonaire dont on reconnaît e
ésie cutanée généralisée absolue, et qu'il présentait quelques autres signes qui le désignaient comme un hystérique. Je ne dem
es, que l'incoordination motrice des membres inférieurs, et le 45 signe de Romberg, ne laissant planer aucun doute sur l'
es troubles gastriques apparaissent tout à coup, le plus souvent sans signes prémonitoires, et ils se terminent également tout
cette observation: néanmoins, en supposant même que quelques-uns des signes tabétiques qui se dissimulent le plus facilement,
projetés et retombent lourdement sur le sol en frappant du talon. Le signe de Romberg est très accentué. Les douleurs fulgur
e complète, depuis trois ans. Jamais il n'y a eu de diplopie, mais le signe d'Argyll Robertson est bien dessiné. Les crises g
l'examen que nous fîmes de son état nous apprit ce qui suit. Aucun signe d'une lésion viscérale organique quelconque. En d
inférieurs la liberté de tous ses mouvements et ne présente aucun des signes révélant une affection spinale connue, soit de l'
le. Nous avons suffisamment constaté, d'ailleurs, qu'il n'offre aucun signe d'une paraplégie soit molle, soit spasmodique, qu
, soumis les membres inférieurs, elle a le plus souvent manifesté des signes de douleur ; c'est qu'en effet, ces membres sont
e, puis d'une inégalité pupillaire aujourd'hui encore présentes, avec signe d'Argyll Robertson, il est impossible également d
xamen des membres nous permet de constater. A la face, pas le moindre signe d'atrophie musculaire : les lèvres ne paraissent
ésente les symptômes classiques de la myopathie primitive. Le premier signe qui l'ait frappé est qu'il ne pouvait plus siffle
n'est pas du tout ce qu'on appelle un nerveux et n'a jamais donné de signes d'émotivité maladive. Il ne paraît présenter, à l
souvent question pendant toute la durée du cours. Il faut voir là un signe des temps. Sous l'influence des études récentes,
sement concentrique et permanent du champ visuel (examen du 26 août), signes qui faisaient encore défaut à l'époque où le mala
omplexus en apparence autonome, il n'en a pas toujours été ainsi. Les signes de la neurasthénie ont apparu chez Claw... trois
our le tabes, 204, sq. Arago, 443. Aran, 412. Argyll Robertson ( Signe d') 158, 164, 166 et passim. Arithmomanie, 468.
gnostic avec Fabasie), 366. — (Périodes de la grande attaque), 33. — ( Signe de Todd dans l'hémiplégie). 268. — Sommeil (Voy.
111. Rissler, 418. Robertson, 226. Roche, 225. Rœderer, 5. Romrerg ( Signe de) ; — dans le Tabes, 157« — et suspension, 20
213, 214, 216. — Réflexes, 201, 202, 216. — Statistique, 218 sq. — Signe de Romberg, 201. — Symptômes oculaires, 201,
. — Réflexes, 157. — Réflexes exagérés, 278. — Sensitif (tabès)499. — Signe d'Argyll Robertson, 158, 164. — Signe de Romberg,
, 278. — Sensitif (tabès)499. — Signe d'Argyll Robertson, 158, 164. — Signe de Romberg, 157. — (Suspension dans le), 199,200.
5. Tillaux, 225. TlLMANN, 225. Tissié, 327. TODD, 46. Todd ( Signe de), 268. topinard, 332. Tourdes, 446, 450. T
72, 273. Vulfian, 77, 161, 334, 336, 340, 343, 416. w Westphal ( Signe de), 178. Weir Mitghell, 362, 518. Wilde, 225. Wi
52 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
le corps thyroïde semblent normaux. Cliniquement. R. offre tous les signes de l'asystolie. Le pouls est petit, misérable,
les, elle conserve son individualité, et se trahit toujours par des signes non équivoques. Aussi, en raison de la variété
comme pour les crises de convul- sions démoniaques, cet ensemble de signes qu'on peut appeler patllogno- moniques ». Cet
profondes, de véri- tables mutilations, sans manifester le moindre signe de douleur. Ici encore la crise est provoquée p
cérémonies religieuses où ces mouvements étranges passaient pour un signe de la possession des dieux. Certaines poses, par
qui gène considérable- ment le malade, pas d'incoordination, pas de signe de Romberg. Le malade est sujet à une constipat
s semées de curieuses anecdotes chirurgicales. Après avoir noté les signes « conjectura tifs» et les signes certains des f
hirurgicales. Après avoir noté les signes « conjectura tifs» et les signes certains des fractures du crâne, Paré étudie le
ns lésion nerveuse, et cependant l'on a constaté pendant la vie des signes certains d'une affection du sys- tème nerveux.
e retomber en talonnant, il a de la diplopie intermittente, il a le signe de Rombcrg, le signe de Westphal le signe d'Arg
nt, il a de la diplopie intermittente, il a le signe de Rombcrg, le signe de Westphal le signe d'Argyil-Robertson, il a l
ie intermittente, il a le signe de Rombcrg, le signe de Westphal le signe d'Argyil-Robertson, il a la miction entrecoupée,
ptoma- tique se trouve aujour(l'hui réalisé à peu près au complet : signe de Westphal, signe d'tlryll-l3ol)ertson, amauro
uve aujour(l'hui réalisé à peu près au complet : signe de Westphal, signe d'tlryll-l3ol)ertson, amaurose, arthropathies, et
l'incoordination caractéristique du tabès : elle n'a pas en effet le signe de Ronll)crj qui, presque toujours, annonce l'a
nes. En dehors des arthropathies des genoux, la malade présente les signes tabé- tiques suivants : le signe do Romhcrg, du
es genoux, la malade présente les signes tabé- tiques suivants : le signe do Romhcrg, du myosis bilatéral avec perte du réf
oir passé plusieurs mois à Vichy, est revenue à la Salpêtrière. Les signes précédents sont identiques sauf l'amblyopie qui
ui lui remit par écrit les symptômes qu'il cons- tata alors, soit : signe de I ? Oïiibl'i9, signe de Westphal et persistanc
es symptômes qu'il cons- tata alors, soit : signe de I ? Oïiibl'i9, signe de Westphal et persistance telle des douleurs f
qu'il s'était fait faire pendant son séjour dans les colonies. Les signes de tabès qu'il possède sont les suivants : Douleu
la région lombaire pré- sente une zone limitée d'hyperesthésio. Le signe de Westphal étant donné la déformation des doux
de cette région soit intacte, le réflexe plantaire n'existe pas. Le signe de Romborg ne peut être recherché, la station d
rg ne peut être recherché, la station debout étant impossible. (Ces signes avant l'apparition des arthropathies avaient ét
pparition des arthropathies avaient été constatés par M. Charcot). Le signe d'Aryll-Robertson est très net. Aucun trouble d
d'opinions, la scoliose rentre dans les troubles trophiques et les signes polio-myéliques médians de Charcot. C'est aussi
et pourtant parmi les 4 observations qu'il en rapporte le pre- mier signe de l'arthropathie s'est révélé 2 fois avant 20 an
e; c'est souvent entre 15 et 25 ans. Or l'arthropathie peut être un signe précurseur; il n'est donc pas étonnant qu'elle su
ente. Lorsque le médecin voit t pour la première fois le malade les signes polio-myélites antérieurs atro- phie musculaire
malade de J.B. Charcot reconnue syringomyélique depuis deux ans. Signes antérieurs. Les symptômes qui ordinairement précè
la Transfiguration de Raphaël, il est im- possible de retrouver des signes caractéristiques de l'hystérie, le mérite du ta
, empreint d'un tel caché de vérité qu'on peut y découvrir tous les signes d'une affection nerveuse alors méconnue. L'Ecol
déplacé de figurer la pro- trusion de la langue, et l'absence de ce signe enlève encore un carac- tère de vérité son esqu
rtige; rien du côté du larynx, ni de la langue, Pas de goitre, pas de signe de Romhcr. Sphincters intacts. Fin juin. L'ét
l'a- myotrophie, bien qu'elle ne soit pas très évidente, plusieurs signes vien- nent témoigner de l'existence des trouble
ingomyélie (1). Mais, sans vouloir résoudre ce point de litige, les signes qui caractérisent la lèpre : pigmentation spéci
es visuels font également écarter l'ataxie. Nous n'y trouvons aucun signe de sclérose en plaques. Notre malade présente p
aucun signe de sclérose en plaques. Notre malade présente plusieurs signes de la maladie de Morvan : la sensibilité tactil
connu et de signification presque pathognomonique : je veux parler du signe d'Argyll Robertson. Sous l'influence d'une exci
tracte plus. C'est un acte réllexe qui manque ; c'est l'équivalent du signe de Westphal caractérisé par l'absence du réflex
i a précédé t'arthropathie, il devrait y avoir réaction fébrile, et signes inflammatoires locaux. L'absence de douleur n'a
ce qui sera le premier point à éclaircir, l'indolence ne sera pas un signe suffisant. Il faudra tenir compte de l'absence
nnent à une époque où la syringomyélie était peu ou pas connue. Les signes à invo- quer en faveur de la syringomyélie sont
». Sont au contraire en faveur de la lèpre pour le même auteur les signes suivants : l'abolition de la sensibilité tactil
miques n'appartiennent qu'à la lèpre. Par contre la scoliose est un signe de syringomyélie. Il n'était peut-être pas inut
ns le cas de M. Charcot de faire le diagnostic c'est l'ensemble des signes positifs précédents et l'absence de tout phénomèn
l'une et à l'autre arthropathies. Ainsi pour conclure, le meilleur signe qui permettrait de les distinguer, celui qui pa
région de la hanche, l'articulation coxo-fémorale ne présentent ni signe actuel ni vestige de coxalgie. Toute douleur sp
e du corps autour de la verticale. L'étude de la signification du signe de Bomberg (1) nous permettra d'ex- poser brièv
n perspective à chaque déplacement de la tête. Dans la recherche du signe de Romberg, la vue est supprimée. Il reste l'orie
entation segmentaire se trouve lésé, irrité, faussé ou supprimé, le signe de Romberg prend des caractères différents. L
nerf labyrinthique est en plus (1) P. l3owcEn, Syndrome de Ménière, Signe de Homberg et agoraphobie dans la maladie de l3
ÊTRIÈRE étranglé de sclérose, tombe sans même s'en douter. C'est le signe de Itom- berg complet. Le malade n'a pas le bes
s transsudations exagérées ou les paroxysmes neurovascu- laires, le signe de Romberg est tout différent, que l'appareil d'o
sréactionsoculomotrices quenousavons exposées ailleurs (3). Dans le signe de Romberg l'incohérence labyrinthique se manifes
53 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
te une sorte d’équilibre entre la valeur estimative des denrées et le signe représentative de cette même valeur; de sorte qu’
sentative de cette même valeur; de sorte qu’à mesure que la valeur du signe représentative est diminué, le prix des denrées s
, n’ayant qu’une valeur vague et incertaine, ils ont cessé d’être le signe d’une valeur effective et positive. L’opinion pub
is. 11 n’y a pas à hésiter, sans quoi Duriflard enlève Hélène. Urbain signe . Partons, dit le commissaire infernal. — Mais ce
nous, ils ne pourraient jamais nous tromper, puisqu’il suffirait d’un signe de notre volonté pour les obliger d’être sincères
vec la vérité, ne doit- on pas être en garde contre elles ? Et à quel signe reconnaître le vrai, si ce n’est par l’accord, la
de ce nombre est une décision qui oblige tous les membres à porter un signe distinctif de leur qualité. Cette sorte de déco
nte la force, n’eût-elle pas été plus convenable ? Considérée comme signe de reconnaissance entre les magnétistes, comme la
sion. Je lui fis la ponction, et l’injection habituelle eut lieu sans signe apparent de sensibilité. Le malade s’éveilla de l
s fois soulevés en l’air, et violemment rejetés sur le lit sans aucun signe de mouvements volontaires. Il ne parut pas non pl
expulsion du loliurn autour delà sonde, mais il n’apparut aucun autre signe de sensation. Ce commencement n’était pas propice
ent. Ayant injecté la vessie, je fis l’opération. Nous ne vîmes aucun signe d’insensibilité, je crois, jusqu’à ce que mon doi
achine électro-magnétique, portée au second degré, sans montrer aucun signe de mouvements volontaires. Il s’éveilla environ
’un jour l’opération. Le 9. L’opération a eu Heu aujourd’hui, aucun signe de sensibilité n’est apparu jusqu’à ce que j’euss
nces aux esprits, des pactes avec eux, des onguents, dos paroles, des signes , et tout un code de formules propres à troubler l
les rêves d’insensés. Expérimentons. J’ai tracé sur le parquet un signe avec du charbon ; ce signe n’a aucune vertu par l
érimentons. J’ai tracé sur le parquet un signe avec du charbon ; ce signe n’a aucune vertu par lui-même , mais il en acquie
t, qu’est-ce que le magnétisme minéral auprès de l'humain? Lorsque le signe magique a en puissance la propriété que vous y av
que vous arriviez à temps pour les saisir et les transporter loin du signe magique. Empêchez-leur, autant que possible, tout
rement, ainsi que l’expérimenté, qui décrira des cercles autour de ce signe . Ayez, si vous voulez, un siège bas, et sans doss
ans dossier; car souvent le voyant cherche à s’approcher très-près du signe ; il se penche et finit par se précipiter par ter
rre. Ayez encore un couvercle opaque pour couvrir instantanément le signe en cas de besoin ; car souvent les émotions sont
ait franchir la limite sans être instruit des règles. Je reviens au signe magique. Toutes précautions prises, vous laisse
uoi qu’il en soit, nos lecteurs ont pu voir que M. Gravé a obtenu des signes certains de son action , une modification ré,el
à une perfection sublime; taudis qu’ici, iis ne représentent que des signes de corrélation, que des images associées que la v
ute sa vie animique. Mais ses traits, sa physionomie, son attitude, signes visibles de ses émotions internes, n’étaient pas
e foule nombreuse, il dirige sans cesse ses yeux dans la direction du signe magique, semble faire appel à ses souvenirs, et s
bsence, deux personnes de l’assemblée, saisies, impressionnées par le signe magique, s’étaient levées avec effort d’abord, et
yants devinrent pacifiques. L’un s’agenouille, approche son visage du signe magique, sa tête oscille d’une étrange manière; o
re, d’un sérieux de glace, il plongeait ses yeux pleins de feu sur le signe . Saisi bientôt de mouvements convulsifs, il dit a
sera personnel à mes expérimentations. Continuons. Je découvre le signe caché, devant une jeune fille qui n’a encore assi
ôle! comme c'est drôle! Voulant, pour d’autres épreuves, dérober le signe magique à la vue, je m’avisai de réduire en pouss
seul, et plusieurs jours avant les épreuves, que je la déposai sur le signe magique. Aucune personne n’était confidente de me
de magnétisme simple, je découvre aux regards de toute l’assemblée le signe magique ainsi dissimulé. L’effet en fut prompt, e
il tremble, veut s’enfuir; mais une force secrète le ramène près du signe magique, cl nous l’emportons rapidement ; il étai
ide, Je le vois au haut des cicux, Décrivant, astre splendide, l)es signes mystérieux,... Dans sa marche solennelle, L’hum
e réservée pour mes opérations est de deux ou trois mètres carrés. Le signe magique, dont je varie à mon gré les dimensions,
ientôt d’être distraits, et semblent ne considérer qu’une chose, le signe magique. Leurs yeux deviennent ardents, expressif
orte d’aimant les attire : ils se lèvent enfin, et tournent autour du signe , tantôt s’arrêtent auprès de lui, et s’inclinent
nt sur le parquet, et enlacent de leurs deux bras la circonférence du signe . On ne peut douter qu’ils voient; la certitude
inaire. Puis, s’élançant à travers tous les obstacles, elle arrive au signe magique en maltraitant trois personnes qui y plon
emie par jour, du •>.§ mai au 4 juin, il fut opéré sans le moindre signe de sensibilité. Inutile de dire qu’il ignorait, c
qu’aux organes du mouvement ; lame et les sens ne laissent voir aucun signe de perception ; la vie semble toute concentrée da
s, et aidé par cet instrument si parfait qu’il possède, et qui est le signe de son immense puissance, qu’il est parvenu à réa
ous voulons n’embrasser aucune croyance à tout jamais, ni porter un signe qui enchaîne noire esprit. Nos idées sur ce point
odiquement. Je recommençai à le piquer et sans exciter le plus faible signe de sensibilité. Une heure après il s’éveilla natu
t le supporter : ce fut comme si on lui eût mis de l’eau tiède. Aucun signe de sensibilité n’apparut, et, en s’éveillant, il
gastre et les deux côtés du ventre. Le mouvement des bras imitait les signes télégraphiques les plus variés. Une émission de l
d’aménité. A ses yeux nous sommes tous des jongleurs, et cependant il signe , en collaboration de M. Jobard, les articles très
re-t-il dans l’état de veille, que le nom de l’individu, tel qu’il le signe , apparaît à ses yeux : les lettres se tracent et
ons nerveuses ; l’insensibilité du corps était même regardée comme le signe le plus certain de la possession. Chez les conv
nrent l’adorer dans l’asile même de la souffrance, dont elle était le signe rédempteur. Préludant à son destin par des faits
in de grandes combinaisons pour manifester sa puissance. Par quelques signes et quelques traits, je puis isoler la vie, faire
me soucierais-je pas trop de la donner ! Je trace sur le parquet un signe magique, figuré par des traits de charbon. Je pla
nt brusquement la position de l’expérimenté, nous le soutenons sur un signe différent du premier. Petit à petit, il revient à
on, 185, 397. — Existence conjecturale des esprits, 187, 213 , 332. — Signes magiques, 215, 634. — Dangers à éviter dans les e
54 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
éliorée, tout en laissant beaucoup à désirer. Dans tous les cas, le signe de Rombergest de- venu moins prononcé. Quant au
ption, dans l'autre après 15 jours; les troubles de la marche et le signe de Romherg étaient plus accusés (tout en n'arri
s, et les vomissements si fréquents ne les exas- péraient pas, tous signes qui ne s'accordent pas avec la péritonite. L'an
lordose lombaire, le malade marche comme une femme enceinte. Pas de signes de Romberg,, ses yeux ne peuvent pas rester fer-
mpérature sur les mouvements athétosiques. Spasme. Rigidité. Un des signes les plus caractéristiques de l'a- thétose doubl
juste litre un élément nécessaire de la maladie. Ce caractère, ce signe spasmodique des mouvements est signalé dan» pre
douleurs, sensibilité générale conservée. Pas de nystagmus ; pas de signe de Romherg. Troubles vaso-moteurs : les mains et
lus muets compren- nent facilement les demandes, et y répondent par signes , d'autres, en assez grand nombre, savent parfai
(cas de Warner et Mitchell). Greenless signale chez son client des signes d'aliéna- tion mentale et de démence secondaire
nférieurs. Pas de trépidation épileptoide. Pas de nystagmus. Pas de signe de Roml)erg. La sensibilité générale parait con
me les douleurs fulgurantes, l'absence des ré- flexes rotuliens, le signe d'Argyll Robertson, tandis que d'autres, les cris
, les désordres vésicaux, les paralysies oculaires, le myosis et le signe d'A. Robertson, occupent tout d'abord la scène, e
e sont : -1° les douleurs fulgurantes à retours périodiques ; 2° le signe d'A. Robertson et la paralysie de certains musc
t devançant à plus ou moins longue échéance l'apparition des autres signes de la ma- ladie. Ce que je viens de vous dire
regardant de près nous trouvâmes de l'inégalité des pupilles el le signe d'Argyll Ho- bertson. Cette association d'une d
ation d'une double arthropathie à évolution si particu- lière et du signe pupillaire nous fit immédiatement chercher dans l
s avons déjà accumulé, je crois, un nombre suffisant de symptômes : signe d'Argyll Robertson, troubles vésicaux, douleurs f
arthro- pathies, cet autre symptôme c'est le masque tabétique. Ce signe m'a été indiqué autrefois par Duchenne (de Boulog
trouble pendant 15 jours, il la suite d'un refroidissement : pas de signes objectifs concomitants du côté des yeux ( ? ) z
Le 26 novembre, la malade examinée présente, outre sa fracture, des signes divers de tabes. Ar tllropatliies tabétiques de
symptômes caractéristiques du tabès : perte du réflexe pupillaire, signes de Romberg, douleurs fulgurantes, crises viscéral
ses occupations pour un temps plus ou moins long. z L'intérêt des signes objectifs se concentre sur la région lombaire. C'
ut les faire suspendre. Iluet est le premier d'avoir insisté sur un signe capital dans l'athétose double : c'est la raideur
adie. Le plus souvent elle reste en élat stationnaire ainsi que les signes concomitants de la maladie; pen- dant longtemps
atteinte de la chorée de Sydenham, à la période d'état, le premier signe qui nous frappe comme dans l'athétose dou- ble
- ment. Marie croit que la symétrie peut être considérée comme un signe carac- téristique et que les spasmes musculaire
double. La guérison est fréquente avec récidives. Enfin les trois signes caractéristiques et qui n'existent pas dans l'ath
ttitude est la même dans les deux cas. On tiendra compte des autres signes de la névrose, de l'hyper- esthésie des tégumen
, à une hauteur variable, généralement dans la région lombaire, des signes qui révèlent v 15 218 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
ente aucun vestige stéthoscopique de l'affec- tion pleurale ; aucun signe de tuberculose ; il n'a que de la bronchite banal
tatée des modifications qui constituent cette réaction, fournit des signes objectifs autorisant ;'1 affirmer le diagnostic d
enfin la parole est aussi modifiée. - Mais en analysant ces divers signes , on trouvera des différences fonda- mentales qu
ique de l'a- thétose double. A l'ataxie héréditaire appartient le signe de Romberg, les verliges, le nyslagmus, l'absen
côté doit suffire il lever tous les doutes. Je n'insiste pas sur les signes anam- nestiques ou actuels d'hémiplégie spasmod
ar attaques. L'attaque de tétanie commence d'ordinaire par certains signes précur- seurs qui consistent en un malaise géné
die qui survient par accès, et caractérisée par certains prodromes, signes n'existant pas dans l'athétose double, maladie
ience, le diagnostic est peu embar- rassant, car il n'y a ici qu'un signe unique pour simuler t'athétose double. (1) Arch
ceux-ci étaient limités aux extrémités seulement. Tous les autres signes de l'athétose double faisaient défaut. De plus l'
s en ferons toujours le diagnostic par le manque de tous les autres signes habituels de l'athétose double. Hystérie. Il ex
ceux de l'athétose double vraie et que d'autre part tous les autres signes de cette dernière font défaut. D'après cela ce
de l'hémiathétose primitive qui, elle aussi, n'est pas précédée des signes ordinaires d'une lésion cérébrale. Il existerai
ed. Pas d'incoordination véritable des mem- bres inférieurs. Pas de signe de Romberg. Pas de nystagmus. Pas de strabisme;
s de certitude mathématique dans le dia- gnostic que n'importe quel signe d'auscultation pulmonaire dont l'inter- prétati
xisterait, sans raccour- cissement des membres, ce ne serait pas un signe suffisant pour rejeter l'hystérie (3). La con
umentation, en examinant les trois points suivants : 1° Par quels signes notre malade se rapproche du type clinique de l'h
plégie spasmodique infantile, avec lésions organiques; 2° Par quels signes il s'en éloigne ; 3° Enfin, sur quelles bases o
s bases on peut asseoir le diagnostic de syndrome hystérique. Les signes qui plaidaient en faveur du type clinique de l'hé
elles singularités permettaient d'éviter cette erreur, et par quels signes notre malade s'éloignait du type clinique de l'
urs plus ferme et plus correcte. Il est plus difficile d'amender le signe de Romberg. Cependant on observe souvent que la
aux cellules motrices de la moelle et aux fibres qui en partent. Le signe de Romberg est à mon avis un phénomène d'un aut
'toute leur jeunesse et' leur grâce. Mais l'artiste y a ajouté les. signes delà virilité sous la forme d'organes génitaux do
toute la partie antérieure jusqu'au dessus du pubis pour montrer le signe de la virilité. Le pénis est en érec- tion comp
55 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la vue (le malade voit sa femme et ses enfants, qui lui font des signes par-dessus le mur de sa sec- tion). Le 20. Il e
ux ; le soiràlO h. 1/2, soit 7 heures 30 après, sans qu'aucun autre signe ne les ait annoncées, il a des hallucinations t
font remarquer MM. Rodiet, Dubos et Pansier, on peut rencontrer ce signe dans bien d'autres affections que dans la paral
ansier estiment que l'on a jusqu'ici attaché trop d'importance à ce signe ; ils font remarquer, avec juste raison que, si
bable, à des troubles des réflexes ou à toute autre cause, est un signe plus fréquemment constaté (trois lois plus d'aprè
aralysie géné- rale que dans les autres affections mentales. ' Le signe d'Argyll Robertson se rencontre encore plus fré
dation; mais lente- ment et incomplètement. Il nous a paru que le signe d'Argyll Robertson se ren- contre beaucoup plus
fond de l'oeil, Le fond de l'oeil des hallucinés présente les mêmes signes que ceux des para- lytiques généraux, aussi bie
de ces lésions banales, pour ainsi dire, nous avons rencontré deux signes , dont la fréquence semble digne d'être notée ch
er avec l'idée d'un oedème d'origine névritique. D'ail- leurs, ce signe nous a toujours paru très fugace ; il nous est
ent artériel, mais la proportion des cas où nous avons constaté ces signes ophtalmoscopiques était la même pour les mélanc
culier dans des cas d'inter- mittences irrégulières, où aucun autre signe clinique ne laissait entrevoir une modification
ues généraux. Thèse de Lille, 1902. CESTAN et Dupuy Dutemps. Sur le signe pupil- taire d'Argyll Robertson. Cong. M. N. et
res de l'épilepsie. Annales d'Oculietique, 1897. - Dide et ASSICOT. Signes oculaires dans la démence précoce. Tr. ref. pup
s cérébro-spinales. Cong. des M. al et neur., 1905. Jour- FROY. Des signes oculaires de la paralysie générale. Arch. neurol.
le, plus REVUE DE 'PATHOLOGIE NERVEUSE. 5t t les symptômes et les signes de toxémie sont accusés ; ; 5° dans les cas rap
stinal, et il est reconnu que l'excès d'indoxyl dans l'urine est le signe indé- niable de processus morbides de putréfact
moins qu'elle ne soit très gros- sière ou que l'on ait constaté des signes nettement apocryphes. Maison sait que les crise
arement des mains. Elle perdait aussi la vue subitement (sans aucun signe ophtalmoscopique), et par intervalles elle la r
uvé le 10 courant dans la matinée étendu suraonlit, ne donnant plus signe dévie. Le cadavre portait un sillon bleuâ- tre
la guérison ne survient pas. Au contraire, chez le chronique, ces signes qui masquaient le délire ont disparu, et celui-ci
nr- raleilu malade est certaine et toulà l'ail classique : démence, signes LES FUGUES DANS LES PSYCHOSES ET LES DEMENCES.
use, moins par leurs caractères propres que par la constatation des signes concomitants de cette altection mentale. En ce
- traction sal'cnplasmatiquc qui est continue et silencieuse. Aux signes déjà connus de la réaction de dégénérescence on p
res il existe de l'instabilité mentale, des lies variés et d'autres signes de dégénérescence physique ou intellectuelle (imb
avec les tumeurs, les hémorragies, les ramollissements qui ont des signes spéciaux. Les méningites s'accompagnent de raid
, les vomissements et les douleurs occipitales apparurent; enfin le signe de Kernig. A l'autopsie, tumeur du cervelet. L.
sonienne typique. Elle présente actuel- lement outre les principaux signes du tabès, quelques symptômes qui ont fait pense
autrement qu'à petits pas, lents et hésitants ; l'ab- sence de tout signe organique amena AIAI. Charpentier et Babinski a
e deux mois, un tailleur d'habits nommé Charles Despouy donnait des signes de dérangement cérébral. II vivait à Cazarilh,
on des mots, et pour four- nir les images ou idées évoquées par les signes vus ou en- SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS.
l'autre côté. Cette fusion paraît même nécessaire à la création des signes locaux quels qu'ils soient,comme elle l'est à la
ue a un caractère spatial, « chaque fibre sensorielle conduisant un signe spatial se termine d'un seul côté du cerveau ?
ier que le médecin doit se montrer prudent, d'au- tant plus que les signes dénotant le degré exact de prédisposition, de r
l'aptitude à lire et à écrire SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 constitue un signe important de tendance à la guérison. Ce re- tou
la douleur) que l'on trouve dans la mélancolie anxieuse. Parmi les signes secondaires, il faut signaler le clignement des
pénibles et hypochondriaques variées. Insomnie ». JI. le 1) Magnan signe le certificat suivant : 1)éprea- sion mélancoli
aux, mais dimidiés. 1° Dans la première, deux moi se succèdent sans signes organiques dimidiés. Tel est le cas de cette «
pruntés à M. Ribot, comme exemples de simultanéité de deux moi sans signes organiques dimidiés : les deux cas sont d'ordre
e par une manifestation qui n'est déjà plus la sensation, mais un signe , naturel ou conventionnel, représentant cette s
GRAND et Charles Nollen. Epreuve écrite de 3 heures : Pneumothorax; signes et diagnostic des fractures du, crâne. Res- tai
les secoue de leur torpeur, leur anesthésie enfin qui n'est que le signe objec- tif de l'inactivité de leur cerveau , en
iers, évoqués pour la délibération, les uns vont donc avoir le même signe affectif que l'état évocateur, les autres un si-
mprend un état physique, une série de conditions physiques dont les signes diffè- rent, non dans leur nature, mais dans le
dans leur nature, mais dans leur groupement et leurs rapports, des signes physiques morbides que nous ne considérons pas
Par- ticulièrement on aura à étudier ce qui a été défini comme les signes physiques de la folie. En procédant ainsi, on v
d'acquisition récente; d) l'apparition précoce de la démence est un signe très défavorable. Peu de mélancoliques surviven
a lenteur de leurs réactions, leur alternance rapide sont autant de signes dé- favorables. Leur réaction normale à la lumi
t les nOEI pigmentaires. De la deuxième, il a tout un en- semble de signes : luxation spontanée de l'épaule, glissement de
tuberculeux quand ils y sont entrés. Les symptômes cliniques et les signes physiques de la tuberculose pulmonaire diffèren
le plus souvent avalés) ; l'hémoptysie est rare. La diarrhée est un signe incertain. En examinant un aliéné au point de vue
'arrêter avec complaisance à la présence ou à l'absence de certains signes ou symptômes. Il. de MUSGRAVE CLAY. IX. Sur les
ou irrégulières de la langue, l'hypertrophie des papilles sont des signes si fréquents qu'on serait tenté de les considér
DE JI. 13ABINSKi : ! Communication de M. 13ABINSKI sur deux cas de signe d'Ar- gyll-Roberison sans lymphocytose du liqui
r et disproportion entre les troubles fonctionnels accentués et les signes vagues de paralysie glosso- ],Ibio-Ial,¥ngée. c
ateurs ; la constatation de l'abolition duréfleae Pa- tcllaire etdu signe d'Argyll font diagnostiquer un début de tabes;
ortent deux cas sur celte question; / bibliographie. 441 L Un signe de paralysie organique du membre inférieur. )1.
'accidents graves. 2° Epreuves orales : 1° Pneumothorax (étiologie, signes , diagnostic et traite- ment) : 2°anurie (causes
(étiologie, signes, diagnostic et traite- ment) : 2°anurie (causes, signes , diagnostic) ; 3° accidents de la lithiase bili
cidents de la lithiase biliaire ; 4° fractures de la base du crâne ( signes , dia- gnostic). Le concours d'adjuvat des méd
planche stéréotype : « les mêmes phrases, les mêmes mots, les mêmes signes sont invariablement toujours au même endroit, à
par l'association des caractères physiques de l'infantilisme et de signes certains d'acromégalie manifestes dès la naissanc
rière, 1906, nua 2,) Observation comportant l'existence de certains signes nets d'achondroplasie et l'absence de certains
ée chez une fille de dix-sept ans, deux mois après l'apparition des signes primitifs de syphilis ; les auteurs pensent qu'
s cérébraux, à l'excellente constitution dont sagaité n'était qu'un signe , sabelle santé ». 2e Dans les '-le et 3° partie
e traitement doitêtre commencé de bonne heure, dès que les premiers signes de l'idiotie sont constatés. Le traite-' ment d
ant une balle dans la tête. Depuis quelque temps. Jouve donnait des signes d'aliénation mentale. Les EFFETS du spiritisme.
rale ; par A. Marie, p. 495. ARQYLI.-HoBEIISTO ? Sur deux cas de signe d'- sans lympho- cytose du liquide céphalo-ra-
halite. - faciale récidi- vante ; par Huct et Lejonne, p. 439. Un signe de - organique du membre inférieur; par Gras-
56 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ase de tous les délires, elle en est le facteur prédominant, un des signes capitaux, sinon toujours facile à dépister. Ell
dans les Archives de Neurologie de 1894 ; en voici le résumé : « Signes somatiques et psychiques de paralysie générale. A
richesse, ayant perdu complètement le snmmeil. 11 présente tous les signes somatiques de la paralysie générale : ses pupille
réflexes rotuliens sont exagérés surtout à droite, il n'y a pas de signe de Romberg, mais instabilité dans la station de
roite avec ptosis droit, énorme dilatation pupillaire droite, aucun signe paralytique dans les membres droits. Le 24 ma
satisfaisant et paraît tirer profit des piqûresde sérum ioduré. Les signes somatiques restent les mêmes et l'évolution de
sont ni les choses elles- mêmes ni leurs images réelles, mais leurs signes ou sym- boles Toutefois, dès que les phénomènes
dans les grandes attaques hystériques, et qu'on ne peut utiliser ce signe pour le diagnostic différentiel de l'hystérie e
encore au niveau des os. Comme il n'existait, chez ce malade, aucun signe de lésion organique en dehors d'un commencement
tion d'un homme de trente-un ans chez lequel on cons- tate tous les signes de la syringomyélie, mais localisés au côté dro
bien des sortes de langage intérieur qui doivent correspondre aux signes ]et manifestations externes de toutgenre chez les
n discerne, à côté de nombre d'actions réflexes héréditaires, des signes assurés d'une mémoire individuelle; bref, que ces
ue, à un moment où l'écoulement s'était interrompu, il existait des signes de compression du cer- veau. Quelle est la lé
or- bide des neurones supérieurs. R. de âlUSGIIIVE-CLkY. VII. Les signes physiques de la folie; par F. GRAHAM Caooxsuaw.
he Journal of Mental Science, janvier 1900.) L'auteur pense que les signes physiques de la folie sont à l'heure actuelle t
gmates sont les indices d'un vice protoplasmique général et non des signes proprement dits de folie. . REVUE-.DE pathologi
eux, car ils-ne se prêtent pas à une classification rigoureuse, les signes physiques de la folie. 1 ICI .considère d'abord
çant, comme la maladie de Landry peut elle-même le faire, par des signes d'une affection fébrile aiguë, elle affecte un no
= Nulle. Elle ne peut pas 'distinguer une lumière concentrée. Aucun signe extérieur d'affec- tion oculaire. Aucune douleu
ntôt corticale, tantôt périphérique, il est difficile de donner des signes différentiels entre ces deux variétés. Il n'est
teur, de la position des doigts ou l'ataxie du mouvement sans aucun signe d'affection nerveuse périphérique ou médullaire,
ion endothéliale des vaisseaux sous-épithé- liaux de l'épendyme. Ce signe de début plaidait donc en faveur de la lésion v
analogue à celle qu'impose la maladie. Il existe chez le malade des signes d'irritation du faisceau pyramidal. MM. LAIGNEL
la névrite optique oedémateuse, des céphalées et dés vomissements, signes révélateurs d'une tumeur cérébrale. Le diagnost
use et normale à droite; elle ne provoque aucune réaction à gauche ( signe d'Abadie-Rocher). Le nez est bien con- formé ;
exe du tendon d'Achille existe ; pas de phénomène de Babinski ni de signe de Schoeffer. La sensibilité cutanée sous ses d
nsibilité plantaire est nulle. Pas de phé- nomène de Babinski ni de signe de Schoeffer. Dans la marche, le membre ne décr
ne sensation de vert, ici au niveau de- l'oeil droit exclusivement ( signe de Le Dantec). L'acuité visuelle normale à droi
sensibilité rétinienne devient hyperes- thésie rétinienne, dont le signe le plus constant est la pho- tophobie -. C'es
s lui piquons fort le bras anes- thésique, malgré l'absence de tout signe de douleur ! ? » Un raisonnement identique pous
e de sept cent malades chez lesquels on rechercha spécialement le signe de Babinski; par G. L. VaLTO et W. E. PAUL. (Tite
auxquelles ont abouti les soigneuses recherches des auteurs sur le signe de Babinski : 1° A l'état de santé, la recher
r la valeur diagnostique de ce phénomène qui reste un des meilleurs signes permettant de reconnaître les lésions pyra- mid
ifférence peu en harmonie avec la gravité de son état et qui est un signe précurseur de la mort prochaine. 11 tombe ensuite
n- tal à la suite d'une chute de bicyclette. Il ne présentait aucun signe d'hystérie. Cet état durait depuis deux ans san
e de l'oreille : il est indispensable de rechercher tous les autres signes individuels, héréditaires, organiques et mentau
uchet, propriétaire à Rochepaul, donnait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation mentale. Mais comme il était de so
Sainte-Anne. Le malheureux, qui donnait depuis quelque temps des signes de dérangement cérébral, vient d'être frappé d'al
des aliénés, de l'internement, dès que l'on a constaté ies premiers signes de la folie. - La femme Reynier, habitant Pau (
tre leur internement aussi rapide que pos- sible après les premiers signes d'aliénation ! A Nouvoitou (Ille-et-Vilaine), l
oduire à Saulles. Le nommé Royer donnait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation mentale. Comme il revenait des cha
debout a toujours été possible. Nous n'avons jamais pu observer de signe de Romberg. Chez deux tabétiques dépour- vus de
la possibilité de la station debout et de la mar- che, l'absence de signe de Romberg et d'ataxie; 7° Il n'a été remarqué,
ces symptômes d'irri- tation et d'inflammation sont suivis par des signes de dégénéra- tion. On Voit alors survenir une p
0 cas, environ 75 p. 100 des cas). La névrite a peu de valeur comme signe de localisation des lésions. Un autre symptôme
du médecin une attention suffisante, qu'ils sont assez souvent des signes de névrose, et que beaucoup de cas d'hys- térie
r comme une névrose primitive, alors qu'elle est le plus souvent le signe d'un trouble nerveux profond), les crises de la
uche du sens du goût. Réflexe du genou actif des deux côtés. Pas de signe de Romberg. Dynamo- mètre : U. 3^, G. 27. Presq
Charcot pensait qu'il ne fallait pas attacher grande importance aux signes analomo-patho- logiques de dégénérescence obser
)iétlic(i-pétia- goqiqllc le plus tôt possible dès que les premiers signes de l'idiotie ont été reconnus, à deux ans, même
e leur valeur aux trou- bles unilatéraux de la mimique, en tant que signes de dégénéres- cence ou symptomatique d'une égal
a femme, sans l'atteindre. Sirigue donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale, et proférait souvent des
lie ayant déjà une certaine durée est ordinairement un très mauvais signe ; mais il y a des exceptions, et l'attaque d'épi
elle le trouva déshabillé, gisant sur le parquet,- ne donnant plus signe de vie. 11 s'était tiré une balle de revolver d
tatoniques, des poses extatiques, des altitudes cala- leptif01'mes, signes que j'ai contribué, avec divers auteurs, à ratt
e fait aussi d'un ton emphatique des incantations accompagnées de « signes excavalatiques » pour magnétiser tout ce qui l'
médecine, membre de l'Acadé- mie. Elle est magnétisée et fait des « signes excavalatiques ». ' Cela tient sans doute à ce
iorables par la volonté. V. -Les stéréotypies peuvent constituer un signe pronostic d'une certaine valeur. On conçoit en
nd aussi que les stéréotypies sont dans l'étude "" des démences des signes précieux pour nous faire diagnosti- quer la for
vée, il lui était impossible de se faire entendre autrement que par signes . Cette observation de mutisme intermittent est
l a pro- noncé sur la tombe de M. Meuriot. - La séance est levée en signe de deuil. M. B. Séance du 20 mai 1901. Pérsid
e malade fut pris d'agitation et présenta pour la première fois des signes de paralysie générale qui se sont graduellement
n symptôme du myxoedème ? En est-elle indépendante ? Quels sont les signes qui peuvent différencier les-deux espèces ? Tel
ralysie générale. Le diagnostic s'étayait d'ailleurs sur les autres signes habituels de la méningo-encéphalite chro- nique
-il placer dans les -, par A. Marie pela. Vigoul'oUX. 4\6. Folie. Signes physiques de la - par Crookshand, 131. - syphth
57 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
la trépidation spinale. En même temps il existe du myosis, mais le signe de Romberg est fréquemment ab- sent. Nous possé
donné la faiblesse des membres inférieurs, de juger s'il existe le signe de Romberg. Les membres supérieurs participent
ine. En effet, dès 1874 M. Landouzy faisait le premier connaitre le signe de l'orbiculaire des paupières, caractérisé par
pe facio-scap2clo-Ituzzéral. - Face nettement envahie, mais sans le signe de l'orbiculaire des paupières. - Pseudo-hypertl'
sculaires. Bien que l'absence des contractions fibrillaires soit un signe distinctif des amyotrophies myopatlliques, il n
sante pour infirmer le diagnostic, qui est imposé par tous les autres signes : habitus du malade, envahissement de la face,
Il semble que l'on doive désormais attacher moins d'importance aux signes tirés de l'examen électrique des muscles dans c
myopathique n'était pas absolument complet, et qu'il y manquait le signe cleLandouzy, l'inocclusion des paupières par pa
confé- rence qu'il fit à son sujet à la Salpêtrière. En effet le signe de l'orbiculaire des paupières ne doit pas être c
e »), l'immobilité du front, etc.. sont, lorsqu'ils exis- tent, des signes suffisants pour diagnostiquer la participation de
muscles d'une part et leur pouvoir fonctionnel d'autre part, est le signe distinctif de cette sorte de lésion musculaire.
néanmoins un caractère bizarre, se croit persécutée et présente des signes de dégénérescence : gloutonnerie véritable, colèr
ne hémiparésie étendue à tout le côté droit du corps, et en fait un signe avant-coureur d'hémiplégie com- plète par lésio
avaient précédé l'amyotrophie. Ici, rien de pareil. Les meilleurs signes en faveur de l'hystérie reposaient donc dans les
63), on s'était habitué à considérer l'épilepsie partielle comme un signe certain et exclusif de lésions corticales organiq
RGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CUEZ LES ENFANTS 35 Cette dissociation des signes de la névrose se produit dans les cas d'hysté-
d'HYS'rÉuiE locale ne sont souvent que de simples épi- sodes et des signes avant-coureurs de phénomènes plus graves dans l'h
ières manifestations de l'hystérie qui ne se trahit par aucun autre signe ; la nature de la paralysie reste alors d'autant
DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 45 Dans cette observation, bien des signes sont en faveur de l'hystérie, le début brusque
otiques, il faut décider, d'après seulement les commémora tifs et les signes subjectifs, s'ils sont le fait de lésions organ
utour du cou de l'enfant, nous pûmes dédaigner l'esprit immonde. Ce signe , en effet, qui exprime la puissance du prêtre, lu
rimaces horribles du visage, avec de hauts gémissements et avec les signes d'une vive douleur, ad- juré d'abandonner l'enf
té je te conjure, pour la troisième fois, de faire connaître par un signe , si tes compagnons et toi êtes réellement en enfe
esse. Alors des larmes coulèrent en abondance des yeux de l'enfant, signe que le malin esprit l'avait réellement quitté.
ns le sanctuaire récita le rosaire, entouré de nombreux fidèles, en signe de reconnaissance. Et tous les yeux se mouillèr
nous constatâmes en même temps l'intégrité des os ; pas le moindre signe de fracture, pas d'apparence de cal, c'était donc
r exemple, quand on examine le malade (nous avons pu cons- tater ce signe chez notre jeune blessé). Les poils deviennent gr
ns articulaires. On ne peut apprécier s'il y a de l'ataxie, mais le signe de Rombergest très accusé. Aussitôt, en effet, qu
e des deux côtés. Les pupilles sont puncti- formes et présentent le signe d'Argyll Roberlson. Pas d'atrophie papil- laire
s, myosis sthénique, acuité vi- suelle un peu diminuée, mais pas de signe d'Argyll Roberson, pas de strabisme, pas de dip
IÈRE. L'ataxie est très marquée aux membres inférieurs ainsi que le signe de Romberg. Dans l'obscurité ou les yeux fermés
complète et flasque, jambe, bras, face inférieure et supé- rieure ( signe de l'orbiculaire. L. Revilliod) (1). La sensibi
à droite. Un nouvel examen de la vue dénote toujours la présence du signe d'Ar- gyll Robertson. L'acuité visuelle est de
60 à droite. Tout vestige de l'hémiplégie gauche a disparu, sauf le signe de l'orbiculaire qui persiste. La vue s'est amé
acuité visuelle est normale des deux côtés. Le / (1) Boïadjew. Le signe de l'orbiculaire. Thèse de Genève, 1802. NOUVEL
CIO JIJI"FUF.... TROIS cas d'arthropathies i)IYÉLOPAT111QUES 83 signe d'Argyll Robertson persiste. A l'incontinence d'u
ate de l'anesthésie pha- rongée, de l'ovaralgie ci droite. Ces deux signes rapprochés des crises nerveuses d'autrefois for
nt examiné le malade ilsnous déclarèrent qu'ils ne trouvaient aucun signe permettant d'affirmer qu'il était lépreux. Nous p
les vaisseaux, siège de la néoformation. Ici nous trouvons tous les signes d'une inflammation intense : néofor- mation abo
r très justement Spielmann) est privée de toute expression (1). Les signes particuliers de la physionomie d'un malade en dém
t celui de l'oeil gauche. (l'l. XXII-XXV, Fig. 1 et 2. Hormis les signes dont je viens déparier, si la peau est peu élasti
Il ne s'agit pas du tabes, car le réflexe rotulien est exagéré, les signes de Romberj et d'A. Roberson manquent absolument
et dans la poitrine » et elle indique la région sternalc. Pas de signe de Romberg. Face. L'oeil gauche est complètemen
: constatation des phénomènes hypnoti- ques d'après un ensemble de signes physiques impossibles à simuler; pas de divagat
cher assez librement et assez vite. Pas d'incoordination, pas de signe de Romberg. La sensibilité est fort peu intéres
faut du sens musculaire. On ne saurait voir là rien de semblable au signe de Romberg : l'oc- clusion des yeux n'augmente
rotuliens, on pouvait produire la trépidation du pied; plus tard le signe de Westphal fit place à une exaltation consi- d
le résumé de cette auto-observation où se retrouvent la plupart des signes classiques de la neurasthénie : Céphalée persis
malade est presque immobile; son visage et ses yeux présentent des signes d'abattement ; elle ne répond pas aux questions
une importance exagérée à ces souffrances, croyant qu'elles sont le signe d'une maladie pulmonaire grave quand elles sièg
t fréquente, accompagnée de rêves pénibles et de cauche- mars. Un signe sur lequel tous attirent l'attention, c'est l'éta
58 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
out,à les en retirer. Nous nous trouvions donc bien en présence des signes d'une paralysie dettoïdienne. Vous savez tous,
rses parties du deltoïde était très affaiblie; et on constatait les signes de la réaction partielle de dégél1eres- cence,
e résolution ; l'atrophie muscu- laire est fort peu accusée, et les signes de la réaction de dégénérescence tendent, si je
la discussion. C'est l'observation d'un malade que j'ai vu avec les signes d'un tabes classique, plus tard il devient para
891, je fus consulté par un malade âgé de 37 ans, / présentant l'es signes d'un tabes classique. La marche était possible, m
lui-même remarqué que la nuit il chancelait comme un homme ivre. Le signe deJRomberg était très manifeste et la station deb
heresse de la langue avec fuliginosilés des lèvres, on constata les signes d'une vive congestion pulmonaire et le ma- lade
yons la maladie débuter par des phéno- mènes nettement tabétiques : signes de Homberg, d'Argyll Roberston, et de West plia
un trouble intellec- tuel. Puis quelques années après le début, les signes de la paralysie géné- rale s'établissent en mêm
le. De plus, l'examen électrique pratiqué par M. Iluet a révélé les signes de la réaction de dégéné- rescence dans tous le
domaine d'innervation du sciatique poplité externe, accompagnée des signes de la réaction de dégéné- rescence, et qui est
ne pouvait rechercher ni les points douloureux de la cuisse, ni le signe de Lasègue. Pourtant on pouvait constater, d'un
douloureux fixes, bien faciles à mettre en évidence, l'existence du signe de Lasègue, sont des caractères suffisants pour
s mus- cles ; on constate une diminution des réflexes tendineux, le signe de Rom- ber, une incoordination motrice peu mar
fulgu- rantes, l'abolition du phénomène du genou des deux côtés, le signe d'Argyll-Robertson, quelquefois le phénomène de
ve-t-on signalée, dans l'une ou l'autre observation, l'existence du signe de Romberg (impossibilité de se tenir d'aplomb
onstate, à l'exploration de certains nerfs et de leurs muscles, les signes de la réaction de dégénéres- cence ; notre mala
les membres inférieurs. Je dis qu'en présence d'un tel ensemble de signes objectifs et subjectifs, vous pouvez affirmer,
l n'existe pas d'atro- phie musculaire ou seulement des traces, les signes de la réaction de dégénérescence faisant défaut
alysés; l'exploration électrique des nerfs et des muscles donne les signes de la réaction de dégénérescence. La sensibilité
ût pu trouver aucun chan- gement de volume ou de consistance, aucun signe de dégénérescence, aucun des caractères propres
RE 1 l'ulcération de la peau ou plus particulièrement du mamelon, signe si pré- cieux, en clinique, des tumeurs maligne
) est revenu récemment sur ce sujet el a longuement insisté sur les signes qui permettent de dis- tinguer les lésions de l
éaire et, dans le second, d'une paralysie radiculaire. Le principal signe différentiel entre ces deux variétés de paralys
ucléaires. .J'ai insisté, dans mes précédentes leçons, sur un autre signe différentiel. Je vous disais alors que, dans le
le scoliose dorso-lombaire gauche, bien dûment caractérisée par les signes vulgaires : incurvation de la colonne vertébrale,
le supporte le poids du torse, comme il arrive dans la station. Les signes les plus évidents et les plus faciles à constat
d'un côté, la déviation de la langue du même côté. Dans ce cas, ce signe est en général peu prononcé ; il est transitoire
membres droits et de l'hypoglosse gauche. L'ab- sence de tout autre signe ou symptôme pouvant laisser supposer d'antres l
e. Elle était' cependant il celle 'époque âgée de trente ans. Aucun signe extérieur ne révèle chez elle la transformation s
, et la syncope qui la renverse inanimée sur son fauteuil, sont des signes in- discutables d'un oedème généralisé consécut
ou quand on a beu trop de vin fort, puissant et sans eau... « Les signes sont-que les malades on[ la veiie perturbée, si t
ivement suivi l'évolution des phénomènes. Ainsi, en mars 1895, deux signes nouveaux étaient survenus, à savoir, un nystagmus
sont complètement respectés. Que va-t-il se passer ? Quels sont les signes qui vont traduire la présence d'une pareille lé
e doit donc participer à l'hé- miplégie. - Voilà donc un deuxième signe . Ce n'est pas tout. Il pourra survenir encore d
pelais plus haut, explique suffisamment l'existence de ces derniers signes . Est-il besoin maintenant de vous faire remarqu
de Trous- seau que nous avons signalés, n'hésite pas à attribuer le signe de Trousseau et celui de Weiss (contracture pro
rs sous l'influence d'une impulsion morbide de même ordre. Or ces signes sont des syndromes épisodiques de la folie hérédi
sède les équivalents psychiques cons- titutifs des fugues. Mais les signes de la folie- héréditaire sont chez lui assez ac
sente un certain nombre de symptômes dont l'ab- sence constitue des signes négatifs des plus importants pour le diagnostic
emarquable. Aussi a-t-on pu tracer un tableau quasi-schématique des signes extérieurs de cette maladie, et l'on peut l'app
t on est en demeure de diagnostiquer la maladie à l'occasion. Ces signes physiques si caractéristiques demandent cependant
encore, au point de vue morphologique, dis- tinguer deux ordres de signes , ceux qui dépendent de la vieillesse et ceux qu
ction. La corde qu'il forme ici, acquiert presque l'importance d'un signe pathognomonique. Au bras, le biceps malgré la p
rait à la classification des fractures du crâne; la seconde à leurs signes , pronostic et traitement. La première partie, s
, la symptomatologie des fractures du crâne et, pour commencer, les signes de la lésion osseuse même : signes présomptifs
du crâne et, pour commencer, les signes de la lésion osseuse même : signes présomptifs et signes « manifestes aux sens ».
encer, les signes de la lésion osseuse même : signes présomptifs et signes « manifestes aux sens ». Il n'accorde pas confian
ère cérébrale est moins mauvaise qu'on ne dit; mais de très mauvais signes sont : l'affais- sement des lèvres de la plaie,
59 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
jours au lit, toussant et crachant, les deux poumons présentant des signes indiscutables de tuberculose pulmonaire. Il est
ne doit pas, à la vérité, faire négliger la recherche des autres signes , des stigmates hystériques ; mais en admettant
e partie est exactement faite ? Il est inutile d'insister sur les signes nombreux et importants que le clinicien peut re
araissant se passer dans la gaine tendineuse du j- fléchisseur. Ces signes sont aussi manifestes des deux côtés. La sensibi-
ux qui l'ont vu à ce moment n'oublieront pas ce tableau où tous les signes plastiques de la maladie se montraient si accentu
rieure dont il est seulement question ici, à celle qui constitue le signe presque exclusifd'une autre affection d'origine e
il- lations sont beaucoup plus étendues et, dans ces conditions, le signe de llom- berg devient encore plus marqué que pr
oscillations du corps. L'occlusion des yeux provoquerait la chute ( signe de liombcrg). L'enfant peut marcher sans aides
lle tomberait si on n'avait soin de lui rendre aussitôt la lumière ( signe de Romberg). Lorsqu'elle est assise, on remarqu
debout, les jambes rapprochées et les yeux fermés, est impossible ( signe de Romberg). Le trouble paraît augmenté par l'o
1 l'incoordination motrice des membres inférieurs, accompagnée du signe de Romberg et de l'absence du réflexe patellaire;
a douleur et du gonflement, soit un épanchcment ou des frottements, signes habituels des altérations de ces synoviales.
'entre eux, sans compter qu'à aucun moment on n'a pu observer aucun signe a) testant la période initiale inflammatoire de
ous les autres, selon l'individu. De même, on comprend l'absence de signes inflammatoires. Enfin, il n'est plus besoin de
ns avoir à nous étendre ici sur ce que la réunion de ces différents signes présente de Caractéristique pour spécifier une af
r (fig. 40). Au moyen âge, cette protrusion de la langue devient un signe de moquerie, ou bien, comme on le voit sur quel
'il ne s'agit ici que d'une simple grimace. Toute la face porte les signes exagérés du rire, mais ne présente en aucune fa
grotesque, parce que l'absence de la saillie de la langue enlève un signe d'une importance décisive , le diagnostic peut
plaignit de toux et d'op- pression ; à l'auscultation on trouva des signes manifestes de tubercu- lose pulmonaire : gargou
le comme une masse diffuenle, son tissu ne présente cependant aucun signe de ramollissement interstitiel, ni injection, n
dination des membres inférieurs; abolition des réflexes rotuliens : signe de Rombcrg. Les troubles trophiques sont très m
ODIQUE (Suite et fin'.) III. - Etudions maintenant quels sont les signes qui nous per- mettront de savoir si l'on pcut i
ntracture cesse et fait place à la simple rétrac- tion. C'est là un signe excellent qui sert à différencier les deux étals
ux étals des muscles. M. Charcot a particulièrement insisté sur ces signes , dans la leçon que j'ai signalée plus haut. E
out. Des secousses énormes surviennent, etle malade tombe. C'est le signe de Romberg, aussi net que possible. La démarche e
ile d'accuser plus directement, tout en restant dans la vérité, les signes du rachitisme. Mais, là ou'nous devons faire qu
le professeur Damaschino ; nous croyons inutile de décrire tous les signes d'ataxie locomotrice qu'il présente : abolition d
qu'il présente : abolition des réflexes, incoor- dination motrice, signe de Romberg, (roubles de la sensibilité, etc. Se
. Plus tard, douleurs fulgurantes. Pertes des réflexes tendineux, signe d'Argyll Robertson, perle des membres dans le l
' Dans la plupart des cas, le diagnostic sera facilité, non par les signes particuliers à l'arthropathie tabétique, mais p
nt les malades au début de leur ataxie loco- motrice, alors que les signes de cette maladie sont peu nombreux et à peine m
r notre malade, sur- tout lorsqu'il s'y ajoute l'absence d'un autre signe capital tel que le tremblement. Cette variété d
au niveau de la douzième ver- tèbre dorsale, datant de sept ans. - Signes d'hémilésions de la moelle. - Paralysie et atro
de la moelle. - Paralysie et atrophie du membre inférieur droit. - Signes de myé- lite ascendante. Cail, Eugène, parque
qui nous fait regretter de n'avoir pas du moins cherché chez lui le signe d'Argyll Robertson. Quand nous le vîmes pour la
ns, les mêmes altérations. A gauche, un chevalier qui n'offre aucun signe de maladie est age- nouillé. Il porte l'étendar
ption qui couvre la jambe et le bras droîl ne trouvons-nous pas les signes de la syphilis, des pustules catanëûs ans leurs
60 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. Et même lorsque les malades ont présenté depuis peu de temps des signes cliniques et qu'ils viennent à succomber une af
ales que nous allons décrire chez des sujets n'ayant présenté aucun signe clinique. Nous avons déjà eu l'occasion d'étudi
éclairer le pronostic ; l'examen de l'état du rein, la recherche du signe de Cheyne-Stokes et de celle de l'hyperpyrexie.
cipation de la peau et du sens musculaire de la main droite ; ces signes disparurent après quelque temps. Comme signes per
la main droite ; ces signes disparurent après quelque temps. Comme signes permanents on nota de la parésie, une hémianops
d'attaques épileptiformes et d'une bronchite grave. Ana- lysant les signes observés, Hedlich trouve l'hémianopsie droite c
ésente une atrophie de ses faisceaux. Le fornix gauche présente des signes de dégénérescence. Interprétation des lésions
toutefois que l'état de la nutrition est plus impor- tant des deux signes , et que si la perte de poids va ou menace d'all
. A peine sorti du sommeil chloro- formique, le malade présente des signes évidents d'amélioration ; la céphalalgie a disp
eux, affaissé, sans énergie physique, toussant, présentant quelques signes physi- ques de tuberculose pulmonaire; et parai
abituel et le criminel-né. Le criminel-né présente généralement des signes évidents de dégénérescence ; s'il fallait s'en
tement régulière et honnête; seulement, on ne saurait nier que ces signes de dégénérescence, qui sont plus ordinaires chez
l de comparaison ; la fréquence des exceptions. D'autre part, les signes caractéristiques moraux et mentaux de la crimin
nce. Chez le criminel d'occasion, on peut ne rencontrer aucun des signes caractéristiques physiques ou moraux de la crimin
criminel-né n'a jamais de remords, et l'on peut dire que là est le signe pathognomonique de la criminalité congénitale.
ernard - est bien connu, et Brazier a observé un fait de cécité des signes musicaux (amusie visuelle) sans aucun mélange d
es lésions morbides dans le grand appareil nerveux de contrôle. Des signes cliniques indéniables montrent que c'est ce sys
xie locomotrice typique : la constriction éprouvée il la gorge, les signes d'acidité stomacale étaient dues probablement à
e du genou, la'démarche ataxique, l'engourdissement des pieds et le signe d'Aryll Robertson. En revanche la rapidité de la
psycho-pathologique très chargée ; mais n'auraient pas présenté de signes de dégénérescence. L'auteur ne croit pas qu'on pu
fection générale de l'or- ganisme. L'apparition de la fièvre est un signe important, mais elle peut se produire dans la p
r les troubles intellectuels à la lésion cérébelleuse. Beaucoup des signes qui aident à établir le diagnostic d'une affec-
était demeuré irritable, puis était devenu dément ; il présenta des signes de phtisie et mourut de tuberculose péritonéale
i- gnement au moins probable, qui sera confirmé par l'absence des signes caractéristiques d'une lésion parenchymateuse. De
quente que, pratiquement, on peut considérer ces troubles comme des signes de l'existence d'une lacération. En somme le di
e, janvier 1895.) L'auteur se propose d'attirer l'attention sur les signes dissé- minés de dégénérescence artérielle que l
ise. Les artères de la base du crâne offrent presque toujours des signes de dégénérescence; leurs parois sont épaissies, o
rarement dans la paralysie générale, mais n'ont pas la valeur d'un signe caractéristique. L'auteur pense que ces petits
ent de la confiance en eux; Sa le sens mus- culaire se rétablit; le signe de Romberg s'atténue, mais les signes d'Argyll
s mus- culaire se rétablit; le signe de Romberg s'atténue, mais les signes d'Argyll Robertson et de Westphal subsistent te
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 235 au début de signes non douteux d'une lésion cérébrale localisée. C
er) enlèvent les ovaires même si ces organes ne présentent pas de signes d'altérations : il leur suffit que les troubles g
e vertiges, s'alimente, mais reste plus affaissée que jamais. Mêmes signes que précédemment à l'auscultation du coeur. La
r sur la localisation de cette lésion, elles n'apparaissent à aucun signe . Quoi qu'il en soit, les deux lésions, rupture
oux et la base du thorax appuyée et comprimée sur les poings. Les signes cliniques et anatomo-pathologiques indiquent que
qu'il n'y a de ce côté, secondairement envahi par la douleur, aucun signe de névrite. A l'occasion de chacun de ces faits
és : les ganglions extirpés furent reconnus tuberculeux. Le premier signe qui attira l'attention du côté d'une paralysie
e 45 fois la douleur ou la sensibilité de la région occipitale : ce signe est douteux dans 30 cas; dans 8 il n'est pas in
u trouver dans l'inclinaison de la démarche à droite et à gauche un signe propre à préciser le côté de la lésion : les ob
ins, ni de l'athétose. ni de la tétanie, ni des tics. 11 relève les signes dégénératifs tels que la complexion féminine, l
plante du pied, troubles de sensibilité douloureuse et thermique, signe de Romberg. Absence d'ataxie, de diplopie, de pto
avec détails par d'autres auteurs je m'abstiens d'énumérer ici les signes diag- nostiques différentiels de l'oedème bleu
hoïde évolue avec des symptômes graves adynamiques et l' ' tous les signes cliniques classiques. La température reste au-des
ition se produit brusquement en même temps que se manifes- tent les signes detnxhémie intercurrents, et, dans les deux seuls
sé est assez fort pour que l'hypnotisé, devant une tierce personne, signe un testa- ment, un chèque, en requérant cette t
és, à moins de les étudier à fond ; ils présentent généralement les signes phy- siques et mentaux de la folie morale, et d
tions, et par la difficulté, sinon l'impossibilité de constater les signes physiques directs de la maladie ; elle est par co
genou. Dans l'épilepsie (26 h. 27, f.), l'analgésie cubitale est un signe de la maladie, quand on n'a pas affaire à de la
la dégénérescence celle qu'a donnée- Morel, l'auteur montre que les signes de dégénérescence sont fré- quents, puisqu'on e
ment avec la mutilé ; dans la troisième le bégaiement reste seul. Signes différentiels du bégaiement hystérique : 1° il ne
es convulsions des muscles de la face - 5° il s'accompagne d'autres signes de l'hystérie (Higier, Remak). Pathogénie. Tous
re. Le troisième présentait d'une façon particu- lièrement nette le signe de Wernicke; l'oeil droit était amblyope et l'o
és divers, et légère altération des autres modes de sensi- bilité ; signes d'ataxie dans le membre inférieur gauche, absence
sceaux pyramidaux ? Pas plus que le phénomène du genou, il n'est un signe certain de lésions organiques du sys- tème nerv
stérie, névrose traumatique), surtout si l'on examine avec soin les signes objectifs tels que la réaction pupillaire, les
a s'altérer à son tour et la maladie va emprunter quelque chose des signes de la sclérose latérale amyotrophique; l'hémipl
tant au point de vue de la sensibilité que de la contractilité, les signes sont plus pro- noncés à droite qu'à gauche aux
rainure du condyle interne de l'humérus (Biernacki) parait être un signe pathogno- monique, un élément de diagnostic de
sentiment ne se montre que chez des individus tarés, c'est donc un signe de dégé- nérescence. P. Keraval. LXXII. Contr
nt pas le caractère ataxique chez la malade qui a pourtant tous les signes du tabes. Ce fait n'avait pas passé inaperçu. R
es. Sous ce titre M. Grasset réunit d'in- téressantes leçons sur le signe de Romberg, publiées en 1893 par son élève Saca
61 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
devait le faire le plus tôt possible, dès qu'on avait constaté les signes de l'idiotie ou de l'arriération intellectuelle
ments, toux, changements rapides de coloration de la face. Mêmes signes stélhoscopiques. 23 mars. Les vomissements ont
bre, se barbouille les mains avec ses excréments. 18 juin. - Mêmes signes douteux aux sommets. - Abcès profond à la face
on appelle une enfant sérieuse. Au point de vue phy- sique, aucun signe de dégénérescence. III. Dans sa douzième année,
tement du crâne. Cou : rien de particulier. Thorax présentant des signes indiscutables de rachitisme ; il est légèrement
ièvre typhoïde. plaignant de mal de tète et de mal de gorge. Pas de signes locaux d'angine, pas de diarrhée, pas de troubl
eptembre. Matt'n : T. R. 3S ? E. - Soir : T. R. 40°,3. 6 septembre. Signes stéthoscopiques diminués d'inten- sité. Quelque
e. Jusqu'au 14 septembre la température baisse régulièrement, les signes stéthoscopiques diminuent peu à peu. Etat général
était à 39".3 tombe brusquement à 36, en même temps que tous les signes s'atténuent, et à partir de ce jour la convalesce
chite généralisés. - Soir : 'f.I2. 39°, 5. Les jours suivants les signes pulmonaires s'accentuent et le 19 novembre on o
es signes pulmonaires s'accentuent et le 19 novembre on observe les signes très nets d'une bron- cho-pneumonie localisée a
nes très nets d'une bron- cho-pneumonie localisée au poumon gauche. Signes gas- tro-intestinaux nuls. - Le malade est trai
alimenter le malade, la température remonte. Pas d'aggravation des signes pulmonaires ; mais la langue 110 Epidémie de fi
égère hypertro- phie de la rate. Pas d'épistaxis, toux légère, sans signes sté- thoscopiques nets. Examen des urines impos
décembre, température très élevée, se maintenant outre 40° et 4)°. Signes pulmonaires minimes, par contre signes gastro-
maintenant outre 40° et 4)°. Signes pulmonaires minimes, par contre signes gastro- intestinaux très intenses : fuliginosit
ntièrement disparu; -mais' 126 Épidémie DE fièvre typhoïde. les signes pulmonaires persistent ; les quintes de toux, e
2 décembre. La température descend : T. R. 37°, 8 et 37°, 1. Les signes stéthoscopiques diminuent, la toux se fait de p
s. 28 octobre. - Entré au pavillon d'isolement, en présentant les signes d'une fièvre scarlatine au début. - La maladie,
rrêt de développemei2t congéni- tal des circonvolutions. III. Les signes de dégénérescence physique sont peu accusés. En
ssion et l'auscultation des pou- mons et du coeur ne décèlent aucun signe pathologique. - Abdomen normal. - Puberté. - Co
plus discrète sur les membres ; toux .rauque, mais cependant peu de signes à l'auscultation; rhi- nite et conjonctivite ca
ni de gan- glions. - Thorax. : côté droit plus développé ;'pas de signes de rachi- tisme, pas de déviation notable de la
s symptômes gastrô-intestinaux étaient peu marqués, alors que les signes pulmonaires se sont montrés d'une manière const
tait lorsque ceux- ci refusaient de manger : c'est la assurément un signe d'une grande importance quand il s'agit d'idiot
nature, l'intensité du mal, la plupart des malades présentaient des signes réactionnels tout 16G Épidémie de fièvre typhoï
s'ac- centue la bizarrerie des idées et apparaissent les premiers signes A' in stabilité (achats non autorisés, placemen
cet état qu'il est amené à l'Institut médico-pédagogique III. Les signes do dégénérescence physique sont insi- gnifiants
Préhension presque nulle. - Gâtisme. Attention noa2 fixable, Aucun signe d'intelligence, mar- che très limitée. - DeSC7,
scuits, pain. Elle jetait les jouets. Jamais elle n'a donné aucun signe d'intelligence. « Sauf ce qui concernait les al
62 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'défaut dans l'urine examinée à £ de'nombreuses,'reprises; maistëeT signe manque souvent dans le cours des néphrites, ce
nsisté dans macommüüicàtiônprécédénte, e est, qu'elle - est un des, signes 1 s,ply sconst ,- "1.11 ? Ur le 1. un de, ceux
munauté, un sorcier nommé Poitrin se présenta à elle et que, sur un signe fait à ce sorcier par soeur Buvée qui était pré
re. Or, il n'y eut aucune preuve des crimes d'infanticide-, ni de signes de grossesse antérieure. Du reste, on ne put jama
t exorcisée, avait déclaré à son sujet, qu'elle n'avait donné aucun signe de possession. Au lieu du prêtre- qui avait acc
é prétendaient démontrer la réa- lité de la possession par tous les signes déjà donnés plus haut, et lorsqu'ils étaient pr
l a commencé, par se courber en avant et progressivement tous les signes de,.l'ostéite ..déformante généralisée se,sont ma
es d'exorcisme ou de posses- sion, des personnages présentaient des signes incontestables de l'hystérie. L'antiquité 'ne'
de siçne, dé 13omberg. Pas de plégié'spàsmôdique incomplète. Pas de signe , de Z5 Pas de tr6ub)ësde)a .sensibittté. Pas,'d
me facio-scapulo-liuriiérale. 0 Faciès myopathiquë typique avec le' signe des' paupières. Pseudo-hyper- trophie de certai
iculaires ne permettant pas à la malade de faire. un seul pas ? Le. signe de Romberg est très accusé ? Les réflexes, pate
s patho- logiques indiquant, une vie .cérébrale morbide : Quant aux signes de l'atavisme, il faut se montrer très prudent.
didats ont eu à traiter comme question de pathologie : à Bordeaux : Signes et prophylaxie de la fièvre typhoïde; à Toulouse
a fièvre typhoïde; à Toulouse : Fractures de côtes; à Montpellier : Signes et diagnostic de la pleurésie. - · · Parmi le
Affaiblissement des facultés; 2° pas d'inégalité pupillaire. Pas de signe de Robertson ; 3° tremblement de la langue. Tro
es de la parole caractéristiques. Tremblement de.s mains; 4° pas de signe de Romberg. Pas d'incoordination dans la marche
IE NERVEUSE. une à trois périodes neurasthéniques, sans aucun autre signe de paludisme, guéries promptement par les injec
les commendemens fussent exprimés, n'y par paroles, n'y par aucun signe extérieur, dont ledit Seigneur Evesque a fait plu
es exorcismes en la présence du Saint-Sacrement ont paru donner des signes surnaturels et convainquants, que la nommée Den
ée Denise, les démons ayants receue commandement de sortir, et pour signe de casser une vitre qui leur fust monstrée du d
de plusieurs démons le iour de saint Grégoire le Tauma- turge, pour signe de' cette grâce rendit par la bouche un morceau
E MENTALE. 135 -très difficile à établir le plus souvent. Parmi les signes diagnos- tiques, le plus fidèle, jusqu'à présen
ssant en avant dans la région frontale, deviennent les schémas, les signes représentatifs de la pensée et fournissent les
e. Questions orales : Colique hépa- tique ; Etranglement herniaire, signes et diagnostic. Restées dans l'urne : Fièvre typ
gnostic. Restées dans l'urne : Fièvre typhoïde; Fracture du rocher, signes et diagnostic ; Erysipèle de la face; Rétréciss
s et diagnostic ; Erysipèle de la face; Rétrécissement de l'urètre, signes et diagnostic. Sur les 7 candidats, 5 ont été d
riare, apercevant le train qui arrive à Gien à 4 h. 22, faisait des signes en agitant un pan- talon rouge. Le conducteur f
e syphilis ni, comme on le verra, de stigmates hystériques, ni de signes de maladies organiques de l'encéphale, et qu'en f
suelles semblent tenir une place considé- rable dans sa mémoire des signes du langage. Cela cadre d'ailleurs avec ce fait
D'ailleurs, certains souve- nirs ? notammÏnt"ce'ux- portant sur les signes du'langage ne sont qu'éclipsés, puisqu'ils réap
ssoupissement, et pour tesmoi- gner que Dieu vouloit qu'il donna ce signe laissa les bras libres et sans mouvemens et les
dessus de la nature. Cependant il y en a qui demandent encore un signe univoque, et voila qu'en deux jours j'en ai veu
une part, l'ataxie locomotrice est af- firmée chez le sujet par les signes caractéristiques de la série tabétique, tels qu
s fulgurantes typiques, douleurs en ceinture, diplopie transitoire, signe d'Argyll Robertson, parésie vésicale, abolition
utre part, le diabète est démontré également chez le malade par ses signes ordinaires : polydypsie, polyphagie, abondance
e et dont la recherche chez les myopathiques peut être la source de signes diagnostiques intéressants. Tout d'abord un fait
impossible au malade de détacher du sol la pointe de ses pieds. Ce signe a une réelle importance, car, alors même que l'a-
s les symptômes du tabes : crises douloureuses, troubles urinaires, signes de Romberg et d'Argyll Robertson, etc., etc., a
ait une amélioration très marquée de la marche et la disparition du signe de Romberg. L'examen histologique de la moelle
élioration si remarquable des symptômes moteurs et ladisparitiou du signe de Romberg. ' Ces faits ne sont pas absolument
l'un d'eux les symptômes du tabès au complet; puis survin- rent les signes de la paralysie générale avec disparition des sym
sie générale avec disparition des sym- tômes d'incoordination et du signe de Romberg. En résumé, mal- gré des analogies c
plus tard, de myxoedème. A son entrée à la Salpêtrière, elle a les signes habituels, mais atténués, du myxoedème, c'est-à
couchant à la belle étoile. 11 avait déjà précédemment donné des signes manifestes de folie. C'est aux difficultés mises
dans l'état somatique ou psychique de la malade qui comprend les signes , les gestes que l'on fait, les mots que l'on écri
après Boech et Slosse, a montré que l'acétone ne fournissait aucun signe pathologique en rapport avec l'état psychique ;
ue peut dire, les yeux fermés,- de quel côté porte l'excitation. Le signe de la sensibilité ou signe du spectre est carac
és,- de quel côté porte l'excitation. Le signe de la sensibilité ou signe du spectre est caractéristique d'une anesthésie e
mme cela a lieu dans l'hystérie anesthésique. La constatation de ce signe permettra de poser un diagnostic précis entre u
le délire. Mais il n'en faut tenter l'essai que lorsque les autres signes cliniques parlent en faveur d'un début d'améliora
aturelle et la nostalgie pathologique ? M. Schuele. Il n'y a pas de signes différentiels. C'est affaire de sentiment. M. D
e. Réglée sans difficulté à quinze ans, elle n'a jamais présenté de signes de nervosisme. Son adoles- cence s'est écoulée,
é. Maintenant les persécu- teurs ne se contentent plus de faire des signes ; ils commencent à parler sur son passage. Ce ne
tomyélite syphilitique ne donne souvent lieu clini- quement à aucun signe d'irritation méningée. Elle correspond donc aux
sous le nom de Vernùcktlceit, invariablement, une folio primitive à signes positifs, à la rigueur curable ». Pour cet aute
tuer Je type clinique, si on avait tenté, d'après les traits et les signes du tableau morbide, de déter- miner ceux qui ét
écillité, ou plutôt une démence congénitale indiscu- table dont les signes apparaissent d'ailleurs dès les premiers stades
uelle complète en dehors de leur délire. , En réalité ce sont les signes de la démence qui nous ont servi de guides, au
et d'après ses degrés. Nous n'aurons pas de peine à reconnaître des signes de celle-ci souvent précoce et légère chez les
a aiguë ou de paranoïa chronique; n'est-ce donc pas là un premier signe en faveur de la possibilité de cette troisième te
chiques. Pour moi, en effet, la démence (derneittia) appartient aux signes de la folie systématique chronique et non à ceu
outes les variétés que nous venons d'énumérer de l'amentia ont pour signes distinctifs communs : l'état de trouble de la con
tre elles que dans la variété de rapidité de l'évolution et que les signes . fondamentaux des deux affections sont les mêm
63 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de notre paragraphe de la symptomatologie. t " Je ne parle pas des signes qui permettent de recon- naître tout d'abord qu
t vraie. De plus, on peut ajouter que c'est là le plus souvent un signe de début. Donc, toutes les fois qu'on trouve, a
souvent la distinction doit être impossible. Cependant il y a des signes qui, dans beaucoup de cas, permettront un diagn
te, pas de discontinuité.. . Je reconnais que ce ne sont pas là des signes dis- tinctifs absolus, fixes et généraux ; ce s
; il n'a conservé qu'un vague souvenir de ce qui s'est passé. Aucun signe d'épilepsie. L'auteur conclut à l'irresponsabil
y ait eu préalablement syphilis, comme il n'existe pas non plus de signe anatomo-pathologique REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
s plus com- plexes en ce sens que des symptômes spéciaux (tels, les signes de dégénérescence) viennent se surajouter aux a
jeunesse, à un ralentissement dans le développement phy- sique. Ces signes sont d'autantplus accentués, que l'on a principal
ou d'une folie systématique quelconques. Il en est de même pour des signes dégénératifs qui se confondent avec ceux-ci ou
eur commun des doigts (parésie surtout frappante à droite). Aucun signe de lésion du système nerveux central. P. K. REV
lié ailleurs*. Discussion : M. BENHARDT. N'y aurait-il pas eu des signes de fièvre intermit- tente (tuméfaction de la ra
le diagnostic était impossible. Plus tard se montrèrent les autres signes d'une névrite multiloculaire, ainsi qu'une névrit
des réflexes rotuliens dans la chorée. Rapprochant ce phénomène du signe de Westphal dans l'ataxie, on arrive à comparer
le, mais l'enfant reconnaissait ses parents et manifestait quelques signes de volonté ; elle cherchait à se faire asseoir
primés. Les ouvriers présents, s'aperce- vant de l'accident, firent signe au machiniste qui, aussitôt, fit reculer la loc
mouvements inten- tionnels, oscillations pendant la station debout, signe de liornberg, impossibilité de localiser les pi
muscles de la nuque, ataxie et affaiblissement des quatre membres, signe de Romberg, disparition des réflexes tendineux,
885 : courbe fébrile le jour de la mort. L'autopsie décèle tous les signes de la stase encéphaloméningée avec oedème inter
ni les commémoratifs, ni-l'examen ne fournissent aucune trace de signe en faveur de ce diagnostic. Mort malgré la prescr
até de phé- nomènes intermédiaires entre la grossesse et le premier signe de la syphilis passée, dans l'espèce, inaperçue
. z Dans une assez forte proportion d'observations, il existe des signes morbides qui indiquent certainement une lésion or
s amères ou aromatiques (14 épilepsies sur 30). P. K. LV. Sur les signes DE dégénérescence dans la folie; par FROEN- KEL
. Psych., XLII, I ). Revue critique dont voici les conclusions. Les signes de dégéné- rescence offrent la plus grande impo
onvainquissent de la valeur de toutes les anomalies de formation ou signes phy- siques de dégénérescence (adhérence du lob
and du Saulle, décédé récemment, et propose de lever la séance en signe de deuil. La proposition est acceptée par acclama
ibuer à l'étude des gué- risons de la folie par l'hypnotisme. Des signes physiques, intellectuels et moraux de la folie hé
B. I Sautée du 28 Juin 1886. Présidence de M. Sémelaigne. Des signes physiques intellectuels et moraux de la folie hér
ue congestive. Le premier fait se fait remarquer par l'ensemble des signes de la catatonie typique de Kahlbaum : mutisme,
lle ne se rapporte certainement pas à un épanchement sanguin (aucun signe nécroscopique). Dans le second cas, la rapidité d
; elle n'entraîne un pronostic fàcheux que lorsqu'il s'y ajoute des signes de paralysie générale. M. HANS LOEllR. Action d
e tout d'un coup sans choc apoplectique. Le malade fit entendre par signes qu'il avait été frappé de cette maladie sous l'
pendant plusieurs heures, il ne peut parler et fait comprendre par signes qu'il a des- spasmes au larynx et à la poitrine
tous les enfants de son âge; il était affectueux, donnait quelques signes d'intelligence et prononçait un petit nombre de
près de vingt ans), nous le trouvons à Bicêtre, présentant tous les signes de l'idiotie avec cachexie acladernziue. Dura
oussait un cri pour attirer l'attention. Nous ajouterons que tout signe de puberté faisait défaut et que Th..., tant au
ntellectuel consécutif. Etat du malade à seize ans et demi. - Aucun signe de puberté. - Idiotie : parole limitée à quelqu
seulement des faits an- té1'ieurs à l'tige de sept ans; absence de signes de puberté. Elise H..., âgée de vingt-cinq ans,
. A la nais- sance, l'enfant était fort et n'offrait pas le moindre signe d'as- phyxies. Elevé au sein par sa mère, il ve
09.) Victor Ch..., par sa taille et par l'absence de presque tout signe de puberté; par son développement intellec- tue
tion, de la peau, la sen- sibilitéau.froid, etc., présente tous les signes d'un idiot crétinoïde ; il est vivement à regre
petite; 1>rachi- céphalie; épaississement des lèvres; absence de signes de puberté ; marche nulle. 11 s'agit d'un nom
res tirés de l'examen des urines, etc., et enfin par l'absence de signes importants rencontrés dans le myxoedème. La lip
ans les fosses sus-claviculaires, mais alors l'absence des autres signes myxoedémateux permet de faire facilement le dia
e immédiatement coupée, B... est étendue par terre et ne donne plus signe de vie ; on la flagelle avec des li nges trempés
QUE Séance du 26 juillet 1886. - Présidence de M. SEMELAIGNE. Des signes physiques, intellectuels et moraux de la folie hé
orales faites le 28 juillet se composent des questions suivantes : Signes et diagnostic de la fièvre typhoïde. Diagnostie d
Fractures des côtes. La question traitée par les candidats était : Signes et diagnostic de la fièvre typhoïde et diagnost
64 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il comprend très bien ce qu'on lui dit et répond oui et non par des signes de tête. Il porte fréquemment la main gauche à
nstatait chez lui à ce mo- ment, comme symptômes tabétiques, que le signe d'Ar- gyll Robertson et quelques douleurs fulgu
ractures, et en fait, quand elles sont permanentes et complètes, un signe d'incurabilité presque constante. Enfin, un sig
et complètes, un signe d'incurabilité presque constante. Enfin, un signe de la plus grande valeur appuyait notre opinion
observé l'hémiopie, la paralysie du grand oblique de l'oeil, etc. ; signes habituels de lésion ou de compression de la bande
s s'est accompa- gnée de contractures tardives et permanentes : ces signes appar- tiennent aux dégénérescences scléreuses
ement psychiques de la maladie, il est souvent donné d'observer des signes physiques de dégénérescence. Tels sont, par exe
r- mations des organes génitaux, l'hermaphrodisme, etc. Voilà des signes indéniables de dégénérescence phy- sique. Pourq
un diabétique succombe dans le. coma sans avoir présenté le moindre signe de lésion rénale, ni albuminurie, ni anurie, et
cette espèce de dyspnée spéciale avec inspirations énergiques, sans signe physique à l'auscultation. Le pouls est vif, pr
emblent devoir être absolument séparées des cas de coma où ces deux signes se constatent. Il faut ajouter que la quantit
l ne faut pratiquer l'examen gynécologique que lorsqu'il existe des signes d'affection génitale et quand on n'a pas à lutt
131 tence d'une paralysie générale au début ; cependant quelques signes se rattachant à l'habitus extérieur du malade nou
ntre que la terminai- son heureuse d'une maladie qui a présenté les signes de la paralysie générale n'est pas un motif suf
e plus ordinairement, dit Esquirol ' , la manie éclate sans aucun signe fébrile; mais quelquefois son inva sion est mar
tes, les anesthésies, l'abolition des réflexes rotu- liens sont des signes très nets. Mais à côté de cela on découvre faci
u nerf optique, et leur diagnostic est facilité par la présence des signes de la paralysie des autres nerfs crâniens ou d'
tique d'un intérêt extrême, en ce que l'hémianopsie a été le seul signe pendant vingt-trois ans, et que la cicatrice de l
n coeur donne lesouffle de l'insuffi- sance mitrale; à propos de ce signe physique, un détail à rap- peler : le maximum d
euf minutes, aux divers procédés employés pour faire apparaître ces signes -là; il y aurait alors une sorte d'épui- sement
e sa constatation ordinaire, depuis longtemps, la détermination des signes caractérisant les phases, n'amène pas le même r
es du sujet à fléchir le bras ne peuvent être considérées que comme signe de faiblesse. Plu- sieurs sujets en expérience
re. L'absence du réflexe tendineux rotulien fut par conséquent le signe unique et précoce de la lésion spinale dont la dé
ntéressant compte rendu du congrès anthro- pologique de Rome. Des signes physiques intellectuels et moraux de la folie hér
été un malade qui, après vingt ans, a pu retrouver la parole. Des signes physiques, intellectuels et moraux de la folie hé
cela, une folie particulière, se manifestant dès l'enfance par des signes particuliers. C'est cette opinion que partage M
B. Séance du 22 février 1886. Présidence de M. Semelaigne. ' Des signes physiques intellectuels et moraux de la folie hér
se plaint de douleurs dans le sinciput; en même temps, il offre les signes de perturbations vaso-motrices (visage un peu rou
excitation et de paralysie formant par leur com- binaison autant de signes pathognomoniques des états patholo- giques suiv
frait de violentes crises gastri- ques, d'inappétence et offrait le signe de Romberg. Le malade atteint de paralysie spin
basse; actuellement, on constate de l'a- .taxie dans les jambes, le signe de Romberg ; la perte de la viri- lité ; l'inté
ment prononcée dansles quatre membres; ne peut marcher sans canne ; signe de Romberg très accusé ; la jambe gauche est mo
yosis pupillaire très prononcée; absence de réflexe pa- stellaire ; signe de Romberg; intégrité de la sensibilité; pas de
déses- poir. Peut-être en cherchant bien, rencontrerait-on d'autres signes permettant d'établir un diagnostic différentiel
u cerveau du paralytique général est constante, elle n'est point un signe pathognomonique de cette maladie. La confirmati
rentes, cette confirmation renversera l'espérance d'avoir trouvé le signe microscopique uni- voque de la démence paralyti
lose pulmonaire est alors nettement confirmée et se traduit par les signes non douteux d'une petite excavation localisée a
rs et l'influence (quoique légère) de l'occlusion des yeux sont des signes de tabes ataxique qui rendent plus probable le
s fus- sent antérieurs au travail de Westphal sur la valeur de ce signe dans le tabes, soit pour toute autre cause. Sur
s et des organes des sens. On trouve à l'auscultation du coeur, les signes d'une insuffisance mitrale. Pas de troubles de
en- tricules, en un mot d'une apoplexie séreuse. D'autre part les signes de congestion veineuse (faisaient tota- lement
lioration suivie d'aggravation , troubles de coordination , alaxie. signe de Romberg. Finalement, démarche spasmodique av
sont suicidées; des deux autres, l'un, le fils aîné a présenté des signes de dépres- sion mentale que l'auteur incline fo
chez lequel on notait en même temps que des trouble^ cérébraux, les signes parfaitement caractérisés de la maladie d'Addis
'endormait qu'après une résistance de trois ou quatre heures. Des signes physiques intellectuels et moraux de la folie hér
quelle exactitude se retrouvent dans les descriptions anciennes les signes de la grande hystérie et de ses variétés qui on
n cherchant à répondre à la question : A 451 BIBLIOGRAPHIE. quels signes peut-on reconnaître la folie héréditaire, qu'il a
une cause de dégénérescence autre que l'hérédité de la folie. Comme signes intellectuels plus fré- quents, l'auteur note l
ecture d'une observation d'un aliéné manifestement héréditaire avec signes physiques, mais sans aucun trouble intellectuel
1877; -Etude clinique sur la peur des espaces (agoraphobie), 1878; Signes physiques des folies rai- sonnantes, 4878; -Etu
65 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
atteinte d'une paraplégie spasmodique avec tré- pidation spinale et signe des orteils en extension, il n'existe cependant n
xes rotuliens sont vifs, mais il n'existe ni trépidation spinale ni signe des orteils en extension. Les globes oculaires so
qui appartient, pour ainsi dire, au. tabès y manque ; l'ataxie, le signe d'Argill-Robertson, la distribution radiculaire
e est très rapide et très sûre. Elle ne présente pas non plus aucun signe somatique de souffrance cérébrale : elle n'est
é envahies par des douleurs. Une eschare s'est formée au siège. Des signes d'infection urinaire ont fait leur apparition, et
ression ; ils avaient perdu leurcontraclilité idio- musculaire. Les signes de la R. D. ont été constatés à l'exploration des
du membre inférieur maintenu en extension provoquait de la douleur ( signe de Lasègue). Le réflexe achilléen était aboli d
nérale, le réflexe rotulien est conservé. Quand il est aboli, c'est signe que les lésions remontent jusqu'au troisième segm
e inférieur maintenu en extension lui occasionne une forte douleur ( signe de Lasè- gue), ainsi qu'il arrive dans les cas
égèrement diminué. Pas de modifications du type respiratoire, aucun signe anormal à l'ausculta- tion. La voix est faibl
. Montagnana publiait, en 184.7 (1), un très curieux traité sur les signes fournis par les urines, qui futplus tard reprod
l'on place le malade debout, les pieds réunis, on ne constate pas le signe de Romberg ; mais on voit cependant, par les mo
insèque, ni trouble de la musculature intrinsèque de l'oeil (pas de signe d'Argyll-Robertson). Etat mental. II n'y a pas
Hyperesthésie extrême de la peau du thorax. Inégalité pupil- laire. Signe d'Argyll-Robertson. Acuité visuelle diminuée. Dip
l... 55 ans (1). Tabes remontant à plusieurs années à marche lente. Signes classiques. Incoordination des membres inférieurs
férieurs. Incontinence complète des urines et des matières fécales. Signe d'Argyll-Robertson. Examen ANATOMIQUE. - Les ga
'occlusion des yeux. Station debout très difficile les yeux fermés; signe de Romberg. Abolition des réflexes patellaires et
servation des réflexes tendineux. Diminution de l'acuité visuelle ; signe d'Argyll-Robertson. Sphincters intacts. Affai-
1900. Troubles de la marche, la malade talonne et lance les jambes. Signe de Romberg, incoordination et faiblesse dans le
réflexes et de la sensibilité. Névralgies intercostales. Myosisavec signe d'Argyll-Robertson. Pas de diminution de l'acuité
tion des réflexes tendineux aux membres supérieurs et in- férieurs. Signe de Romberg. Douleurs sous forme de lancées aux me
ions manifestes de la sensibilité objective aux membres inférieurs. Signe d'Argyll-Roberlson. De 1896 à 1899 l'état de la
tivisme habituel. Il semble que P.... s'applique à s'opposer à tout signe de réaction : C'est ainsi qu'une excitation cut
il est tellement raidi à l'avance, qu'il est impossible de saisir un signe de réaction. D'ailleurs, lorsque P... consent à
s (1). Les réflexes tendineux et cutanés sont très exagérés, pas de signe de Rom- berg. Il y a un degré très accentué de
erg. Il y a un degré très accentué de dermostéréographisme (2). Aucun signe pupillaire. (1) J. SEGLAS, Signes physiques d
dermostéréographisme (2). Aucun signe pupillaire. (1) J. SEGLAS, Signes physiques dans la démence précoce (Soc. méd. psyc
de la raideur. Les réflexes tendineux sont très exa- gérés, pas de signes de Romberg. Dermostéréographisme (PI. XLV, II) ex
éographisme (PI. XLV, II) extrê- mement marqué et persistant; aucun signe pupillaire. Observation III. L... Louis, âgé
amais les reproduire complètement dans toute leur ampleur. Pas de signes objectifs d'idées délirantes, ni d'hallucinations
a réaction à l'excitation. Réflexes tendineux très exagérés. Pas de signes pupillaires. Cyto-diagnostic du liquide rachidi
démarche est nor- male ; il n'y a pas d'atrophie musculaire, ni de signe de Babinski. Les réflexes tendineux, achilléen,
ux côtés. Comme altérations viscérales, le malade présente tous les signes d'une infil- tration tuberculeuse du poumon gau
é à des spasmes du bras et de la jambe du même côté. En présence du signe des orteils, il n'hésitait pas à rattacher ces di
tes descriptions du torticolis mental et, comme lui, corrigé par le signe du doigt. Les réflexes rotuliens sont exagérés
rés et les cutanés abolis. Il y a un léger clo- nus du pied. , Le signe des orteils est très net des deux côtés. Les gr
sphincters sont intacts. Pas d'incoordination,ni de titubation,ni de signe de Romberg. La force musculaire est conservée
la question du torticolis un regain d'actualité, ni l'importance du signe des orteils, mise en évidence par M. Babinski, au
dique : Démarche spasmodique sans titubation, ni incoordination, ni signe de Romberg, réflexes rotuliens exagérés, clonus
ni signe de Romberg, réflexes rotuliens exagérés, clonus du pied et signe des orteils, intégrité des sphincters et de la
me remarque au sujet de notre malade.. Nous retrouvons chez elle le signe du doigt, cet acte de foi qui sauve, caractéris
e les yeux, il se produit un tremblement fibrillaire des paupières, signe dont Bard a noté l'importance dans le diagnostic
n hémianopsique, Le réflexe à l'accommodation est normal ; pas de signe d'Argyll Robertson. Pupilles normales, sans myd
n instant. Les réflexes rotuliens sont exagérés chez Marie Fou,avec signe des orteils et, au contraire, ils sont tous abo
considérable de l'excitabilité. Nous ne trouvons pas chez Vig. des signes bien manifestes de névrite. Les réflexes rotuli
(1) Loc. cit., p. 55. , , 408 DESTAHAC rant l'attention sur le signe des orteils, que nous avons nous-même signalé é
voulu reconnaître lui-même comme identique au torticolis mental, le signe des orteils a été constaté dés le début de la ma-
les points doulou- reux classiques, sur le trajet du sciatique ; le signe de Lasègue faisait défaut. En fait de troubles
nelle. Les troncs nerveux ne sont pas douloureux à la palpation. Le signe de Lasègue fait défaut. L'examen de la sensib
rotoplasma. La zone médullaire des lamelles cérébelleuses offre des signes nets d'augmen- tation des grains névrogliques q
adventice. Pour la substance cérébrale sous-jacente, elle offre les signes d'une inflam- mation diffuse et certainement su
travers de l'infiltration de noyaux ronds ou ovales. En somme, les signes histologiques d'une inflammation subaiguë de la p
Comme nous l'avons constaté dans les deux cas précédents, le premier signe chronologique de l'atrophie est la disparition
le développement ordinaire. Les cellules de l'olive ne montrent ni signes d'atrophie ni diminution de nombre. En résumé,
u valaum ; et c'est, d'autre part, l'absence presque totale de tout signe effectif de puberté. La hauteur, dans la statio
tions. Il faut rapprocher de cette atrophie testiculaire les autres signes d'infanti- lisme. Si quelques rares poils exist
'autopsie d'èpiphyses partout ossifiées. En revanche, on trouva les signes d'un retard très anor- mal dans l'ossification
(1), que l'on fit des radiographies de géants ne présentant pas de signes d'acromégalie. Il est très vraisemblable que, pen
el et la rapproche de la polyphagie et de la polydipsie ; parmi les signes objectifs, inconstants, il signale l'atrophie d
forces. Janvier 1896. L'amaigrissement continue (poids : 96 legs.). Signes très nets d'infiltration des deux sommets, malg
vouloir bien pratiquer cette recher- che. D'après cet auteur, trois signes seraient caractéristiques du crâne acromégaliqu
e du crâne du grand Charles (PI. LXIX) qu'il ne manque aucun de ces signes . En outre, on y voit d'une façon re- marquable
66 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
sieurs muscles. Or, depuis qu'on a pris l'habitude de rechercher le signe du tendon dans les maladies nerveuses, c'est à
e. La marche, il est vrai, est souvent impos- sible. 2° Le second signe auquel M. Babinski attache une certaine valeur
. ' * Fig. 10. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQUES. 18 signe diagnostique, devenu aujourd'hui classique en F
cuisse, lorsque la jambe est fléchie, peut être poussée plus loin ( signe de Lasègue). -- v. Le membre malade et le membr
a sciatique n'est pas rare au début de cette maladie et deux autres signes encore plaidaient en faveur de ce diagnostic :
onstaté dans des cas de sciatique simple, depuis qu'on recherche le signe de Lasègue. Quant à l'ankylose coxo-fémorale, e
araître au moment où on sou- lève une jambe fracturée. Les autres signes de contracture, et en particulier ceux qui donn
ntres nerveux, car nous n'avons pu déceler chez le malade aucun des signes objectifs permanents qui accompagnent les lésio
lations. Vers la périphérie, surtout de la lésion, on distingue les signes d'une myélite, les tuniques des vaisseaux se sont
par l'artère oblitérée. Est-il nécessaire d'affirmer que ces légers signes de myélite que nous avons constaté dans la moel
s 60 - ' CLINIQUE NERVEUSE. postérieurs offrait plus ou moins les signes de la myélite paren- chymateuse c'est-à-dire le
oubles de la sensibilité cutanée et musculaire étaient presque un signe pathognomonique servant à distinguer une lé- si
pleure à la plus légère contrariété. Dans ses crises elle fait des signes de répulsion, grince des dents quand d'autres p
nt un symptôme fréquent mais un symptôme précoce, et par suite un signe diagnostique important de paralysie générale. M
vers, des tics, une sensibilité et une émotivité très grandes, tous signes pour l'auteur d'une intoxication hérédi- taire
la moindre excitation (émotion, frayeur, etc.), présentent tous les signes de l'alcoolisme aigu. C'est souvent après l'abs
'absorption d'une très faible quantité d'alcool qu'apparaissent ces signes , accom- pagnés de nausées, de vomissements, de
cés sur sa tombe , par \1M. Calret et Ritti, la séance est levée en signe de deuil. M. B. Séance du 11 novembre 1889. - P
st commode de diagnostiquer ces lésions-là. On indique bien comme signe général l'affaiblissement du choc de la pointe au
de soixante- quinze ans, fermier, donnait depuis quelque temps des signes d'a- liénation mentale. Hier soir, il prévien
e qui, sous le nom de plagiocé- phalie, est considérée comme un des signes les plus nets de dégénérescence par l'école ita
pileptiques, la plagiocéphalie est considérée par Roscioli comme un signe manifeste de dégénérescence. Sommer a proposé d
héréditaire, d'un arrêt de développement du cerveau, bref, comme un signe de dégénérescence de cet organe et de ses fonct
à insinuer que les progrès de l'anémie constitueraient le meilleur signe de soulagement. Je puis me permettre de saisir
s prononcée des jambes, un certain degré d'ataxie dans les bras, le signe de Itomberg, un trouble du sens musculaire aux
sujet. M. IIIARANDON DE Montyel demande si le malade portait des signes physiques de dégénérescence. M. LEGRAIN répond
èrent comme dégénérées ou des formes d'oreilles rangées parmi les signes de dégénérescences physiques l'entrent dans l'éch
des illettrés et inattentifs, et il n'est pas prouvé que ce soit un signe certain de diagnoslic; les troubles de la sensibi
des rap- ports écrits. La simulation totale est d'ailleurs rare. Le signe le plus important au point de vue du diagnostic
sti- nales, il s'adresse surtout à la sensibilité, aussi le premier signe de la narcose intestinale est-il la sensation d
celle du canard; quant aux douleurs osseuses, elles constituent un signe important d'ostéomalacie au début. M. Laquer
s d'excitation maniaque; myosis, pronostic grave. Trois mois après, signes physiques de la paralysie générale de plus en p
logie nerveuse; il a décrit le premier l'agoraphobie. On connaît le signe dit de Westphal. On nous pardonnera de ne pas i
do-tabes'. Ces phénomènes moteurs seraient caractérisés : 1° par le signe deRom- berg, et 26 par un trouble de la démarch
Dans ces conditions, la présence de douleurs fulgu- rantes et du signe de Romberg, l'absence des réflexes rotuliens, l
DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 317 i malade marche encore, on trouve le signe de Rom- berg et la démarche ataxique, d'où l'ap
s rotuliens qui ne repa- raissent pas par le procédé de Jendrassik. Signe de Romberg très net. Réflexe pupillaire absol
vez penser naturellement tout d'abord à la paralysie alcoolique. Le signe de Romberg, l'absence des réflexes rotuliens ne
jour, par suite d'une double hérédité de trans- formation, tous les signes du diabète et de l'ataxie locomotrice progressi
employé chez lui d'une façon suivie. Reprenons un par un les divers signes de cette paraplégie. La démarche est évidemment
ormale. Il y a donc une amélioration aussi de ce côté, De plus le signe de Romberg, qui était autrefois parfaitement ca
approchés, les oscillations augmentent, et dans ces condi- tions le signe de Romberg devient encore plus marqué que pré-
tout autre maladie, ne se doutant pas qu'ils étaient porteurs des signes , protéiformes mais indélébiles, de la grande né
uggestion ou de l'autosuggestion, et de la maladie elle-même, comme signes inhérents à elle. L'étude différentielle entre
rave influe sur la manière d'être des malades (démarche ataxique, signe de Romberg, etc.) et bien souvent elle est reliée
laisirs vénériens; 8° il a pré- senté à l'âge de trenle-six ans les signes prémonitoires de la para- lysie générale, laque
67 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
it alors les oreilles trouées, suivant le vieil usage espagnol, et ce signe seul le rendait odieux aux habitants, qui ne pouv
un point qui peut paraître encore obscur, c'est celui du rapport des signes et leur cause. La graphologie est bien une scienc
t un aphorisme à démontrer. Si donc un nombre A de personnes ont un signe commun dans leur écriture, il s'agit simplement d
ement de vérifier, par l'expérience, si ces A personnes ont tontes an signe commun dans leur écriture et une même qualité psy
s servons aujourd'hui des résultats obtenus, lorsque nous trouvons un signe caractérisé, nous disons : « Ce signe représente
tenus, lorsque nous trouvons un signe caractérisé, nous disons : « Ce signe représente telle faculté ». Nous synthétisons. Si
tons les jours par nos travaux. - Mais alors, nous dit-on. oui, le signe est exact, c'est vrai ; mais pourquoi en est-il a
hysiologique qui fait que telle faculté psychique se reproduit par un signe et que ce signe est tel plutôt que tel autre ? C'
fait que telle faculté psychique se reproduit par un signe et que ce signe est tel plutôt que tel autre ? C'est-à-dire quel
tel plutôt que tel autre ? C'est-à-dire quel est le rapport entre un signe et la faculté qu'il représente? » L'homme, quan
e est affectée de surdité verbale. Pour lui rendre l'intelligence des signes du langage articulé, Rainaldi percute le T1 gauch
permettait pas d'expérimenter sur le centre de la mémoire motrice des signes graphiques ou de récriture, c'est-à-dire sur le p
aires et Incoordonnés du membre inférieur gauche. Elle présente des signes d'alcoolisme et quelques stigmates hystériques.
iquer en aucune façon ce qu'on attendait de lui, je loi fis seulement signe de regarder. Au bout de dix minutes, il était évi
vre fut répétée trois fois, et après la troisième fois, le malade fit signe avec la main qu'il commençait à entendre de l'ore
, à Ribeau ville, un Parisien qui endort les gens en leur faisant des signes el qui les force a parler. Je vous demande un peu
s, attentifs et les yeux fixés sur celui qui parle, témoigner par des signes d'approbation que le discours porte la lumière da
a volonté d'un homme ne puisse pas agir, sans l'intermédiaire d'aucun signe conscient, sur la volonté d'un autre homme? l'a
n homme qui a l'air de croire que tout cela est arrivé, qui donne des signes manifestes d'épouvante on de commisération, son e
r est de produire ses sentiments au dehors; de les manifester par les signes les plus expressifs ; et surtout, c'est la chose
chronique depuis plusieurs années, mais n'ayant jamais présenté aucun signe d'affection hépatique; dans les examens antérieur
ise couvulsive d'hystéro-épilepsie est complète. Enfin, comme dernier signe caractéristique, elle se termine par une émission
n corps volumineux comme le membre viril; 4° Du coté de l'anus, les signes habituels de l'intromission d'un corps volumi-min
en apparence, guérie, elle n'avait pas lardé à moutrer de nouveau des signes d'aliénation. Elle ne dormait pas, elle était pri
alade. Mme X... a vingt-huit ans. Des sa Jennesse. elle a donné des signes d'un tempérament névropaihique excessif et d'une
ise passée, sans que l'état antérieur ail été modifié, la malade fait signe qu'elle veut le crayon et écrit ce qui suit : (
traverse ses bras d'une longue aiguille sans qu'elle donne le moindre signe de douleur et même de sensibilité. Cette expérien
nte ; Mme N... dormit d'un excellent sommeil ; elle donna fort peu de signes d'agiu-tion lorsque je la vis un moment avant d'e
eurs médecins — et nous-même — ne trouvèrent, à l'auscultation, aucun signe de lésion organique du cœur. Ces accès sont deven
sortir du trottoir, même tenu avec un cordon. Il manifestait tous les signes de la peur ; on était obligé de le porter. Même e
e la veille, il fut impossible d'obtenir le moindre mot ni le moindre signe de la petite malade, saut lorsqu'elle voulait all
patients de cette catégorie ne peuvent exécuter certains mouvements, signe qu'ils sont vraiment dans l'hypnose. Chez de te
uis plus de huit ans commencèrent à se manifester chez lui différents signes de l'intoxication chronique par l'alcool, tout d'
la région, pratiqué plusieurs fois depuis le début, n'a révélé aucun signe local de coxalgie. Un n'a pas pu découvrir non pl
le et très vive ; le simple pincement de la peau est très douloureux ( signe de Brodie). Ce signe n'existait pas chez notre ma
simple pincement de la peau est très douloureux (signe de Brodie). Ce signe n'existait pas chez notre malade, mais chaque foi
actère s'est manifesté chez notre malade. Si donc nous résumons les signes de pseudo-coxalgie présentés par cette enfant, no
de par compression de l'arcade fémorale, ni atrophie. Pour ce dernier signe , je crois, et Plicque le reconnaît, qu'il faut fa
ulation atteinte » (3). Au résumé, il s'agit de ne pas rencontrer les signes articulaires que l'on rencontre dans la coxalgie
chloroforme. Dans l'espèce nous avons, sans insister davantage, un signe qui nous permet d'éliminer d'emblée la coxalgie v
ue « ces phénomènes d'hystêrie locale ne sont que des épisodes et des signes avant-coureurs de phénomènes plus graves dans l'h
lites empruntèrent cette opération, dont ils firent, par la suite, le signe indélébile de leur croyaucc. Elle constitua plus
ux, à la même espérance, à la même foi et aux mêmes coutumes. Si ce signe est imprimé sur notre chair, son symbole s'incarn
ui-ci sera fortement imprégné des stigmates moraux représentés par ce signe indélébile, et ces stigmates influenceront a tel
e, la circoncision est un acte aussi social que politique. C'est un signe qui réunit ceux qui en sont marqués dans l'espéra
nt les circoncis de Jéhovah parce que la circoncision est pour eux un signe tout à la fois religieux et politique. Religieu
de papier que j'ai eu soin de choisir bien blanc, ne présentant aucun signe visible et légèrement transparent. Lui ayant mont
vre jaune. La sensibilité cutanée est normale. Il ne présente pas des signes physiques de dégénérescence. Pas de trouble de la
Au retour, vers les six heures du soir, le camarade donna a table des signes d'excitation et de trouble intellectuel. Ces trou
68 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
e plusieurs vésicatoires. Réformé du service militaire. Alcoolique. Signes d'hystérie ; hémianesthésie droite, céphalalgie,
, la peau était tendue ; la pression n'y déter- minait aucun godet. Signes d'hystérie. La malade présentant une métrite, o
réflexe achilléen. On ne constate ni trémulation épilep- toïde, ni signe de Babinski. Le réflexe pharyngien est aboli. Réf
els, tous symptômes qui manquent dans l'acrocyanose, au moins comme signes cardinaux ; de plus, la forme des doigts presqu
ires qui apparaissent un jour pour disparaître bientôt. On note des signes conco- mitants d'hystérie. La coloration bleue
point de cette sorte. Au lieu de phénomènes de cyanose, ce sont des signes vaso moteurs actifs qui dominent la scène ; les
rès grand d'un succès, certain d'ailleurs. C'est qu'en effet si les signes cliniques de l'aci-o-oyanose chronique hypertro
tion fondamentale : Les sensations sont, pour notre conscience, des signes dont l'interprétation est livrée à notre intellig
exes rotuliens sont un peu exagérés. Il n'y a pas de clonus, pas de signe de Babinski. Pas de scoliose. Aucun phénomène b
laint d'éprouver un peu de raideur dans la marche. D'ailleurs aucun signe de paraplégie spasmodique. En mars, douleurs de
mois après, il n'y a plus trace de cette poussée articulaire. Les signes de tuberculose pulmonaire sont moins prononcés. L
'un très léger dépoli- de ses surfaces cartilagineuses. D'après les signes clini- ques que l'on observa au niveau de cette
la constatation de stigmates caractéristiques sur l'individu ou les signes de l'infection causale chez les ascendants. Cet
é dans les lésions tuberculeuses des centres nerveux. A défaut de signes cliniques, le diagnostic peut être établi avec ce
'es- pace, dit Soury (1), est peu à peu envahi et recouvert par les signes , de l'espace visuel, il en résulte que, quand n
rappellent ceux du tabes de l'adulte sauf que les paresthésies, le signe de Romberg, les phénomènes ataxiques ne sont pas
as de tabes in- fantile réunis par l'auteur, il existait 9 fois des signes de syphilis héré- ditaire dents d'Hutchinson, e
re 1902). MONSTRUEUSE DÉFORMATION DU TIBIA DROIT . 119 2 ans, des signes classiques de tabes. L'hérédo-syphilis se trahit
une mère ayant accouché avant terme d'un foetus macéré, présente le signe d'Argyll, de la lymphocytose du liquide céphalo-
l'appareil génital. ' On ne constate aux poumons rien autre que des signes d'un léger degré d'emphysème. Les forces persis
tion debout. Pas d'incertitude de la marche, même à reculons ; pas de signe de Romberg ; pas de claudication , pas de stepp
r des crises gastriques, par l'abolition des réflexes tendineux. Le signe de Romberg, l'incoordination motrice, les troub
blancs. Dans certaines régions de la tumeur on constate aussi des signes de stase lymphatique, des lésions d'oedème. Les
laires étant connues, il nous est loisible de reprendre un à un les signes cliniques et de chercher il les rapporter à leur
s et trophiques rapidement consécutifs, peuvent en imposer pour les signes d'une polynévrite, et cela d'autant plus facileme
la polydipsie, la polyphagie avaient fait leur ap- parition. A ces signes fonctionnels s'était joint bientôt un amaigrissem
éguliers. - L'ausculta- tion du poumon permet de percevoir tous les signes d'un ramollissement du sommet gauche (submatité
Rôntgen. L'image fournie par la ra- dioscopie du crâne constitue le signe le plus indiscutable de l'acromégalie ; il a un
NTISME ET .lCIioJ1( : G1LI1 : 179 oculaires. « On ne trouve pas les signes de compression qui permettraient d'incriminer l
t de IL Meige et Brissaud (2), qui, à huit ans offrait les premiers signes d'une croissance excessive. Enfin celui de Sacchi
exagéré du corps, souvent la présence du sucre dans l'urine et les signes généraux des tumeurs cérébrales, auxquels peuve
ous a soutenu aussi avec R. Oppenheim (4), que la présence des deux signes physiques cardinaux. de la maladie de Recklinghau
ctuelle avec des faiblesses certaines de la mé- moire. Ces derniers signes appartiennent, il est vrai, au myxoedème éga- l
e de l'articulation tibio-tarsienne droite ; forme tropho-suppurée. Signes médullaires peu marqués; labes fruste probable. -
uvements dans la marche sont désordonnés, presque ataxiques. Pas de signe de Romberg. Pas de perte de la sensibilité musc
ces sortes de lésions est encore des plus discutées. I. De tous les signes cliniques décrits dans cette observation on peut
vrai que Babinski a singulièrement diminué la valeur clinique de ce signe depuis qu'il a montré sa fréquence chez les syp
t des mictions involontaires. Nous pensons que de la réunion de ces signes positifs et malgré la persistance des réflexes
lequel il fit l'arthrotomie; les premiers jours, il y eut quelques signes d'infection, et le résultat ne parut pas tout d
vrai. Mais certainement personne ne peut mécon- naître que tous ces signes ne sont pas suffisants pour constituer une forme
rations de la substance grise, mais on a pu remarquer, comme un des signes caractéristiques du tabes, l'intégrité des cellul
a existé des tabétiques qui, pendant la vie, n'ont pas présenté les signes de paralysie générale et qui, à l'autopsie, ont
s signes de paralysie générale et qui, à l'autopsie, ont montré les signes les plus classiques de la méningo-encéphalite (Na
sa fille se souvient qu'à l'examen des médecins elle présentait le signe de Romberg. Toujours d'après les renseignements o
car on a observé des cas dans lesquels à l'autopsie on a trouvé des signes évidents depériencéphalite, sans que pendant la
hilitique d'une lésion, là où sont absents ou incertains les autres signes de cette origine morbide. Or, comme il est très
sion diabolique bien caractérisés. On sait que, de bonne heure, les signes diagnostiques de la possession furent précisés,
grelots. Il est possible que des bonnets de ce genre aient servi de signe distinctif aux aliénés qui vivaient mélangés à la
e d'aliénés de Rennes toute une série de malades qui présentent les signes manifestes d'insuffisance thyroïdienne périphériq
a stupeur (Jeandelize) (3). Dans ce dernier cas vu d'autre part les signes physiques on peut se demander s'il ne s'agit pas
éformation d'une hanche. L'examen de la bouche révèle, de plus, des signes particuliers : hyper- trophie de la parotide dr
éalité, il constitue une stéréotypie. Le malade ne présente pas les signes d'un grand déséquilibre mental : mais il a des
69 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sens musculaire. Ces troubles ont consisté chez nos malades : 1° au signe de Romberg qui a existé dans toutes les observa
ive des membres. Etat actuel (13 juillet 1886). Demnrc/te alaxique. Signe de Romberg. Impossibilité de marcher sans le co
tes et peut faire une heure de chemin sans se fatiguer beaucoup. Le signe do Romberg est bien moins mar- qué. Les douleur
entait de mois en mois. Etat actuel (la mai 1885). Ataxie ébauchée. Signe de Rom- bers. Anesthésie de la surface antérieu
ntement et avec une grande circonspection, en s'aidant de la rampe ( signe ). Il marche très difficilement, sans le concour
il vomissait de la bile ou des glaires, mais non ses aliments. 4° Signe de Romberg. - L'occlusion des yeux déterminait
fatiguer beaucoup, mais la démarche était encore in- certaine : le signe de Romberg était bien moins * marqué, les doule
Anesihésie en plaques assez étendues. Retards dans la sensibilité. Signe de Romberg. Difficulté de la marche dans l'obsc
a plus qu'une très légère diminution de la sensibilité et le seul signe qui trahisse la préexistence de la monoplégie spa
e. Passons en revue ces symptômes. 1° Exaltation des réflexes. Ce signe n'a man- qué dans aucune de nos observations. I
F... présente l'état crétinoïde au degré le plus avancé. Aucun des signes énumérés par M. Bourneville ne fait défaut. N
onstituent une preuve matérielle de l'absence de la simulation. Ces signes objectifs de l'hypnose appartiennent au domaine
thme irrégulier et on constate de profondes et rapides dépressions, signes du trouble de la respiration qui accom- pagne l
place dans la série des phases hypnotiques. La présence de divers signes physiques est donc, comme nous venons de le dire,
peut être prouvée directement tant qu'ils ne s'accompagnent d'aucun signe extérieur. La réa- lité ou pour mieux direla si
s déforma- lions ou malformations des membres, enfin des différents signes de troubles nerveux ou de dégénérescence. Ces r
oduction indispensable, afin de bien fixer les idées, à l'étude des signes et de leur valeur diagnostique; 0° Examen du cr
x, anomalies de la salivation et de l'urine, recherche de l'ovarie, signes de dégénérescence physiques; pour ne mentionner
estions posées à l'épreuve orale ont été : 1° luxation de l'épaule; signes et diagnostic de l'insuffisance aortique; 2° frac
ic de l'insuffisance aortique; 2° fracture compliquée des jambes et signes , et diagnostic de l'érysipèle de la face ; 3° p
],es-syphilitiques (,)Iiastiitzskaïa), et que dans les cas II, les signes de l'infection syphilitique exis- taient encore
IE NERVEUSE. ans et dans un cas de seize ans. Par conséquent, les signes de tabes visibles pour les malades se sont pro-
pas parlé, je ne les ai pas pris en considération; j'ai marqué d'un signe particulier ceux où la syphilis était probable.
ale, c'esl la perte de la vision des mots, ou plus généralement des signes écrits. La forme de cécité corticale qu'on a l'
stoire clinique, on voit que le malade avait perdu toute notion des signes du langage écrit au point de vue de la réceptio
ù l'on fit jaillir sur lui une lumière éclatante, il ne donna aucun signe de perception. Schafer, en commentant ces expér
n journal à lire; lui ayant demandé s'il comprenait, il m'a fait un signe affirmatif. Mais, pour être plus sûr, je lui ai
ible de déchiffrer un seul mot : je vois, mais fait-il observer par signes , mais je ne comprends pas. Si on lui propose d'
nce que la faculté que l'homme possède d'exprimer sa pensée par des signes peut être atteinte tantôt d'une manière isolée,
emme de soixante-dix ans, offrait depuis l'âge de cinquante ans les signes de la démence sénile. Rapports entre la structu
ppement et des rapports avec les organes voisins. Ainsi, deux des signes de l'Hydi-o-méîziî2gocèle considérés comme de g
ments pulsatiles. Or, un cas de M. Tchoudnowky, montre que ces deux signes n'ont pas la valeur qu'on leur attribue. Voici
trémités; les choses se passaient de même pour les réflexes. Pas de signes d'hystérie. C'était pourtant probablement croyo
sie isolée de la convergence avec en- térorrhée, parmi les premiers signes du tabès. Aucun des yeux ne fixe bien un objet
r L. Minor (Neurol. CentanlLl., 1887). Observation dans laquelle le signe de Westphal fut le seul symp- tôme névropathiqu
t-il, sans jamais la rencontrer, la bienveillance qu'on donne comme signe diagnostic différentiel de la paralysie général
ation des réflexes, tendineux sur les extrémités supérieures, à des signes de para- lysie spinale spasmodique ; sept exemp
modérément, et qui, à certains moments, peuvent présenter les mêmes signes du délire. La plupart de ces faits restent inaper
reurs du delirimz tremens. 11 est donc utile de rechercher tous les signes de l'alcoolisme, d'interroger les malades et le
ux chapitres, il est vrai fort intéressants : 1° l'hérédité, 20 les signes et lésions de l'alcoo- lisme aigu et chronique.
Iwaiioff, trente-deux ans, célibataire. On ne peut re- lever aucun signe d'hérédité. Buvait, parfois même avec abus. Le
bes, 1885; Lille. .lucmna, t. 1\ IL 2j 386 pathologie nerveuse. signes qui distinguent la pseudo-tabes du tabes vul- g
ent une place à part, grâce à leur étiologie spéciale et à quelques signes particuliers, dépendant de cette étiologie. Ce
ulière - de. graves affections nerveuses qui portent en elles des signes caractéristiques grâce auxquels il est pos- sib
son capitaine. Ayant constaté qu'il ne pouvait pas parler, il fait signe , par la mimique, qu'il se trouve très mal. Il con
on de sutfocation et d'une sueur abondante. Immédiatement il fait signe de le faire monter. Ses compagnons troublés l'ont
a mort assurent qu'un peu avant de mourir, il aurait donné quelques signes d'intelligence et de souffrance; mais la paraly
Sceur hémiplégique. Rien de particulier à la naissance. Premiers signes de cachexie pachydermique. Etat intellectuel et 2
ganiques, d'où obscurité du diagnostic. M. le D1 Séguin dit que les signes subjectifs sont de peu de valeur, attendu que l
des cas de tumeurs sous- corticales opérées, ayant donné les mêmes signes que dans les cas du Dr Dana. Deuxième jour. 1
du tissu conjonctif sous-cutané, des bras et du dos, associée a des signes de myxoedème. Le tissu sous-cutané présente un
ognerie vice, nous donne les symptômes de la première, mais non les signes de la seconde en sorte que le lecteur n'est nul
70 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ins cas de morbus coxse senilis peu avancés, par exemple, lorsque les signes physiques sont encore difficilement appréciables,
sme ou l'intoxication saturnine ; mais comme nous ne retrouvons aucun signe de ces affections chez notre malade. 1. Ch. Fér
^if^ues., la faculté que possède l'homme d'exprimer sa pensée par des signes (facilitas signa-tri x^àe Kant). Or, cette facu
l'intelligence ; les seuls troubles appartiennent à la catégorie des signes (Facilitas signalrix). En outre de l'impossibilit
e des notions fournies par les mouvements dans la lecture mentale des signes écrits, on fait fermer les yeux aux malades, on a
t appeler, ainsi que nous le dirons ailleurs, la mémoire visuelle des signes du langage. Ces vues de M. Kussmaul n'ont pas é
Sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets (formes et couleurs)1. Sommaire.
més; qui, par conséquent, lorsqu'il s'agit d'exprimer une idée par un signe du langage, évoquent Y équivalent visuel àw motel
ulté d'expression par le langage ; car la représentation visuelle des signes lui fait défaut en somme, aus-i bien que celle de
es paroles. C'est dire que, privé actuellement de l'image visuelle du signe , il a appris à évoquer son image auditive ou, en
re le plus grand nombre, — lorsqu'il s'agit de traduire l'idée par le signe correspondant, évoquent exclusivement l'élément a
pression, ou l'obnubilation tout au moins, de la vision intérieure du signe , devra, chez lui, entraîner nécessairement avec e
de la bouche et des yeux permettrait-il de retrouver quelques-uns des signes de la forme infantile de Duchenne. Chez presque t
orée. Duchenne (de Boulogne), qui avait bien distingué l'ensemble des signes de la sclérose en plaques, mais qui ne la connais
'hystéro-épilepsie. Actuellement, il ne reste chez notre malade aucun signe permanent d'hystérie, et on ne trouve rien d'autr
accidents qu'on puisse rattacher à l'intoxication mercurielle. Pas de signes d'alcoolisme. Pas de syphilis. Une première att
l'Hôtel-Dieu. Là, il fut examiné avec soin; on reconnut ce qui suit: signes bien caractérisés d'insuffisance aortique. Les pa
vant les données d'une certaine hypothèse que la présence même de ces signes , si réellement ils existent, viendra confirmer et
dérables avec la vraie coxalgie organique. — Caractères distinctifs : signe de Brodie, hémianesthésie, anesthésie pharyngée,
errer le diagnostic aux conséquences les plus graves. Mais à quels signes pourra-t-on reconnaître ces arthralgies sine mate
coxalgie hystérique; elle mériterait vraiment d'être désignée sous le signe deBrodie, car c'est au célèbre chirurgien anglais
es excitations de la peau de l'aine et du genou, Ch... présentait les signes d'une anxiété extrême, que sa face rougissait, en
e chez les sujets sains, et qu'on peut trouver là, par conséquent, un signe , un stigmate qui, au même titre que le rétrécisse
lades ont conservé la faculté d'écrire couramment et de converser par signes . — Diagnostic du mutisme hystérique. Son importan
ge mimé dans sa pleine intégrité ; on pourrait converser avec eux par signes ; mais la conversation sera singulièrement facili
muet, en même temps qu'il est sans voix. Maintenant, voici d'autres signes également caractéristiques. Non seulement le muet
de ces accès de prétendue aphasie. J'abordai le malade, et il me fit signe , en portant la main à sa gorge — geste ordinaire
avez-vous ? Quel est le mal que vous sentez ? Lucinde (répond par signes en portant sa main à sa bouche, à sa tète et sous
fait normales. Jamais la malade n'a eu de rhumatisme, il n'y a aucun signe de lésion cardiaque. Maintenant que vous connai
t tout à l'heure, repris en partie ses forces et ne présente plus les signes d'une paralysie véritable et totale, mais plutôt
ais la malade comprend ce qu'on lui demande, au moins répond-elle par signes à des questions simples. La commissure labiale es
depuis un an, elle n'a pu prononcer un seul mot. Elle répond par des signes de tête et en écrivant sur une ardoise. Wilks, co
uleur à la pression du larynx; aneslhésie assez prononcée du pharynx. Signes de phlhisie pulmonaire commençante. La malade est
pendant lesquels ayant retrouvé tout son entrain, elle répondait par signes quand on lui parlait. Le matin du neuvième jour,
^31 àfeSftliMIiBt rnnseryée : sitôt qu'on l'interroge, et c'est là un signe bien caractéristique, le malade, conscient de son
es toujours très nettes, très précises. Nous disons que c'est là un signe caractéristique. Plus d'une fois, M. Charcot a re
est pas un élément de diagnostic ; ce sont, au contraire, dit-il, les signes bien constatés de l'hystérie qui permettront de d
monde extérieur. Prenons, par exemple, le centre de la mémoire des signes du langage écrit, ou centre visuel des mots, CVM,
sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision mentale des signes et des objets (formes et couleurs). Sommaire. —
idérables avec la vraie coxalgie organique. — Caractères distinctifs: signe de Brodie, hémianesthésie, anesthésie pharyngée,
lades ont conservé la faculté d'écrire couramment et de converser par signes . — Diagnostic du mutisme hystérique. Son importan
ystérie, 412. B Blépharospasme chez une hystérique, 48. Brodie, signes des arthralgies hystériques, 370-380. Bromure (
71 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
le bouton de leur chemise ou épingler leur cravate. - Et ces mêmes signes nous les rencontrons chez la plupart des hémi-
mbien la démarche de chacun de nous diffère, au point de devenir un signe caractéristique de notre physionomie. Bien mieux,
se ou de joie, d'humilité ou d'orgueil, etc, etc.. elle se revêt de signes distinctifs. Je n'ai pas ici à entrer dans l'ex
, car s'il existait un moment de suspension, si court soit-il, tout signe distinctif entre la marche et la course aurait di
tue souvent un symptôme précoce. Cependant les cas cliniques, où ce signe a fait défaut, sont loin d'être rares, au moins
S î9). (2) Hamilton, Valeur de l'absence du réflexe tendineux comme signe diagnostique de l'ataxie locomotrice (The Bosto
térale, par paralysie de tous les mouvements de l'oeil gau- che. Le signe d'A. Robertson existe des deux côtés. Il n'y a pa
sont conservés : normal à droite, diminué à gauche. Il n'existe ni signe de Romberg, ni incoordination motrice. OBS. I
bles oculaires ; la pupille droite est plus large que la gauche, le signe d'A. Robertson est présent des deux côtés. Atroph
ns, présente de la diplopie par parésie du droit externe gauche, le signe d'A. Ro- bertson, des douleurs fulgurantes dans
suite des troubles vésicaux sur le système nerveux. On constate le signe d'A. Robertson, mais les pupilles s'accommodent m
e démarche tabétique ; il talonne fortement des deux pieds. Il a le signe de Rom- berg. L'incoordination des membres infé
cette voie est interrompue en un point quelconque de son trajet, le signe de Westphal apparaît. Dans le tabes dorsalis. S
tait déjà plus accentuée. Enfin dans l'observation de Kreisiger, le signe de Westphal fut constaté 3 mois avant la mort.
presque exclusivement sur le côté morphologique de la maladie : les signes extérieurs étaient étudiés avec les soins les plu
ner- veux central était très en relief, le malade observé avait des signes très marqués de dégénérescence et de sclérose e
tout ce qui a été décrit ci-dessus, on a trouvé chez le malade les signes de dégénérescence suivants : l'ossification préma
réditairement prédisposé aux maladies du système nerveux, ayant des signes marqués de dégénérescence, se borne distinctement
i- ration soufflante, râles disséminés dans tout le poumon droit et signes cavitaires aux deux sommets. La voix est un peu
ulcérations à la couronne du gland, guéries par l'iodoforme. Pas de signes de syphilis, Le malade s'aperçoit par hasard qu
débute la myosite au milieu de symp- tômes généraux fébriles et de signes locaux parfois assez marqués, com- ment se form
is complète, c'est-à-dire jamais caracté- risée par cet ensemble de signes qu'on rencontre dans les paralysies fa- ciales
gie gauche chez une gauchère. Embolie du tronc Grachio- céphalique. Signe de l'orbiculaire (Rev. médicale de la Suisse roma
1 Ce qui est rare chez les hémiplégiques, c'est la persistance des signes grossiers de la paralysie du facial supérieur ;
sont incapa- bles de fermer isolément un oeil ou l'autre : aussi le signe basé sur la comparaison n'a-l-il aucune valeur
f- frent ; les règles ne se montrent pas ou se montrent lard et les signes de vi- rilité font défaut (Vlenlcewitscli, Ryer
d, notre malade n'est pas en état d'urémie ; elle ne présente aucun signe d'une lé- sion rénale. En second lieu, dans les
tre affection que l'hérédo-syphilis, et qu'elle devient dès lors un signe presquepathognomonique de l'hérédité spécifique.
rusquement en bas du sinciput à la pointe de l'occi- pital. Aucun signe d'intelligence; aucune ébauche de parole; quelque
ienne en propre, et je suis à cent lieues de prétendre vous donner ce signe comme un symptôme syphilitique. Mais je dis cec
nner ce signe comme un symptôme syphilitique. Mais je dis ceci : le signe en question s'observe avec une notable fréquenc
ité. L'épididyme, les vésicules séminales, la vessie présentent des signes de localisation tubercu- leuse. On note la da
développement à partir de t'age de 10 ans, il n'a jamais donné des signes de virilité. La peau adhère intimement aux musc
a fin de la 2e année. Dans le cas de Montgomery (1893) le premier signe du mal date de l'âge de 10 ans. Un à deux ans a
est déformé et légèrement dévié. Cette déformation, dont le premier signe appréciable aurait été une augmentation de volume
plus que tout autre, Charcot a contribué à nous faire connaître les signes latents, plus ou moins fixes, les 410 INAUGURAT
la symp- tomatologie de l'hypnotisme. Il nous a fait connaître des signes qui échappent à la connaissance et la volonté d
celles-ci doivent être comparées et superposées pour expliquer les signes et la marche des maladies. Conçues dans cet esp
nt l'épaule sur le tronc et le bras sur l'épaule. « Dans ce cas,les signes pathognomoniques de la paralysie du grand dentelé
bras pend normalement le long du corps. Il est vrai de dire que ce signe différentiel a été contesté par Berger (2) en par
dentelé. * .... Il nous faut maintenant analyser les principaux signes de la paralysie associée, que nous avons en vue
e nous avons en vue, et discuter la physiologie pathologique de ces signes . Cela fait, il ne nous restera qu'à formuler quel
res, parotidiens, et surtout ceux des lèvres. Ces derniers ont comme signes particuliers d'être très envahissants, très ére
a- tions, il en manquait une. Il n'existait aucun bruit anormal, ni signe de dilatation. Cette nouvelle attaque, traitée
loration nous permet de constater de grandes modifications dans les signes physiques, l'état général et les phénomènes res
t la pectoriloquie aphone sont très nettes. Nous avions là tous les signes d'un épanchement pleural, épanchement exclusiveme
au côté gauche; les vibrations vocales sont exagérées. En avant les signes sont exactement semblables. Nous avions donc un s
sion provoque les mêmes réac- tions hystériques. Le lendemain les signes physiques étaient exactement les mêmes, tandis qu
cal s'est peu modifié et est demeuré le même (à l'atté- nuation des signes physiques) qu'au lendemain de la ponction évacuan
ans cette affection pleuro- pulmonaire c'est le contraste entre les signes physiques insignifiants et les symptômes foncti
e des lésions aussi superficielles que celles qui correspondent aux signes indiqués sont capables de déter- miner une oppr
a donc au- cun rapport rationnel entre les lésions relevées par les signes physiques et les symptômes fonctionnels : une d
nes physiques extraordinaires. Il est vrai que le rapport entre les signes physiques et les phénomènes fonctionnels n'est pa
e. Nous ne prétendons pas d'ailleurs tirer du con- traste entre les signes physiques et fonctionnels qu'un argument de pré-
cun parallélisme entre l'évolution' delà dyspnée et l'évolutiond es signes physiques. Le jour où nous avons constaté pour la
aque de dyspnée qui force notre intervention. Après l'opération les signes physiques, et certainement les lésions, ont été
ous rendre compte lors de sa seconde rentrée à l'hôpital. Alors les signes étaient réduits aux vestiges qui restent toujou
pulmouaire. Eh bien ! malgré l'atténuation, la disparition même des signes physiques, éclatent d'autres attaques de dyspnée
tion pleuro- pulmonaire était à peu près guérie. Ainsi donc : des signes physiques restant stationnaires la dyspnée se m
72 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a pas voulu l'écouter, parce que ceux qui la possèdent lui feraient signe . Un de ses ne- veux, qui est prêtre, a voulu l'
tion des réflexes, des troubles de lacontractilité électrique, tous signes qui man- queraient dans les cas types d'hystéro
nature est indiscutable : nous avons constaté chezD... entre autres signes que la peau était « froide, marbrée de ta- ches
on trouve le cobaye crevé. En faisant l'au- topsie, on trouve des signes d'asphyxie. La moelle épinière est plongée dans
tat d'extension ; cette extrémité pendant la marche ne montre aucun signe des mouvements volontaires. Le cobaye se sert m
droite sont parfaitement libres. L'extrémité gauche ne donne aucun signe de mouvements volontaires, elle est bien plus m
jours. Une semaine après l'opération se manifestèrent les premiers signes du rétablissement des mouvements volontaires da
1, N. XVV. 62 ANATOMIE. 1 - \ quelle on ne put découvrir aucun signe de fibres dégénérées ; en outre, dans la moitié
la moelle épinière dans la région dorsale, il ne se développa aucun signe de mouvements volontaires dans les extrémités p
, formée à l'endroit de la section, Schiellerdecker ne trouva aucun signe de régénéra- tion des éléments nerveux. Les o
ts et les convulsions observés dans ces expériences. 111 Tous les signes caractéristiques qui accompagnent et sui- vent,
à les différencier. L'unitéralité des convulsions n'est pas plus un signe absolu de l'épilepsie partielle ou jacksonienne
des gardiennes; on l'observe sur 61 p. 100 des délinquantes. Les signes de dégénérescence physiques n'ont aucune valeur s
'abandon moral, la débilité intellectuelle ; elles présen- tent les signes de la folie morale, l'instinctivité et les anomal
iminel. Il convient de ne pas généraliser non plus l'importance des signes de dégénéres- cence, de ne pas les rattacher à
tout la débilité mentale et la tendance au délire systématique. Les signes de dégénérescence physique y compris le tatouage
ait eu ni mélancolie, ni manie; enfin que de malades présentent des signes de l'anémie ou de l'hyperémie cérébrale sans êt
nouvelle observation provenant de l'hôpital de Jaouse. Parmi les signes convaincants du caractère systématique de la lé
important est la disposition symétrique de la lésion. Cependant ce signe ne doit pas être considéré comme absolu, car de
du réflexe anal ». L'état du réflexe anal peut (au milieu d'autres signes ) aider le diagnostic différentiel entre les affec
autre côté, l'ur- gence de l'opération ne s'impose encore par aucun signe sérieux également pressant. ' Le pus sort suf
'altération. 11 semble s'y être simplement déposé. Discussion DES SIGNES ET conclusions. Il est facile de suivre pas à p
onction orga- nique. Cependant, nous avons constaté plus tard des signes mani- festes de parésie du côté gauche, s'accen
. En résumé, les lésions trouvées à l'autopsie de ce cerveau, les signes correspondants observés pendant la maladie, confi
29. Dans l'extrémité gauche postérieure, on aperçoit les pre- miers signes du rétablissement des mouvements volontaires. Les
ie du côté opposé est la même, on ne peut remarquer ;que de faibles signes de sensibilité cutanée de la plante du pied.
dans l'élat d'extension et d'abduction ; elles ne présentent aucun signe de mou- vements volontaires. La sensmutte pour
rieure de la région dorsale de la moelle épinière, on remarque les signes d'une inflammation légère ; hyperémie des ménin
pondérés; mais il est inutile de chercher dans leur encéphale les signes de cette infériorité mentale : leurs circonvoluti
Débilité mentale congéniale, surtout au point de vue du sens moral, signes de plus en plus accentués et des plus nets avant
és entrant en état d'excitation maniaque à l'entrée et montrant des signes de paralysie générale cliniquement cons- tatés.
malades sont morts, 68 ont été autopsiés. 25 ne présentaient pas de signes d'alcoolisme suffisamment ancien pour entrer en
omptions tirées, soit d'autres troubles mentaux intérieurs, soit de signes physiques ou psychiques dits de dégénérescence;
ence d'un mobile délirant; il se peut aussi que le malade donne des signes d'aliénation n'ayant cependant pas influé sur l'a
ent préférable, l'ap- plication en parait difficile en l'absence de signes certains ; ces dernières ne pourraient se baser
ue, immobilité fixe des deux pupilles, blépharoptose du côté droit, signe de Westphal, signe de Romberg. Affaiblissement
des deux pupilles, blépharoptose du côté droit, signe de Westphal, signe de Romberg. Affaiblissement et légerdegré d'ataxi
avec myosite. Une femme de cinquante et un ans présentant tous les signes de l'alcoolisme chronique, est depuis Noël 1887
rs; parésie plus accusée des membres inférieurs, surtout à gauche ; signe de Westphal des deux côtés. La pression sur les o
té consécutif à une chute résultant dn rejet de la tête en arrière, signe que nous avons vu marquer souvent le début de l
jour, par suite d'une double hérédité de transforma- tion, tous les signes du diabète et de l'ataxie locomo- trice progres
mes précédents, on constatait : la perte des réflexes rotuliens, le signe de Romberg, une sensation de constriction en ce
ambitieux. Morel voyait dans l'apparition des idées de grandeur un signe d'incurabilité. Magnan professe que le délire a
. « Des événements extraordinaires ont présidé à sa naissance. » Il signe tous ses écrits de la même façon : « M., révéla
fessait dans un lycée de province, quand il a commencé à donner des signes de folie. Sa maladie mentale a suivi la marche cl
'on l'em- poisonne, qu'on se moque de lui ; on crache devant lui en signe de mépris; des sodomistes et autres individus i
de cavalerie ; et c'est à cette époque qu'il parait avoir donné des signes de dérangement mental : il se plai- gnait amère
personne, d'ailleurs, ne saurait déchiffrer, car ils sont pleins de signes caba- listiques, de chiffres, de mots hébreux (
it jours, au bout desquels il refuse de rentrer à Bicêtre et on lui signe sa sortie. Réflexions. -I. Nous retrouvons ici
e de voiture, il se frac- turait la cuisse gauche. Il présentaitles signes d'un tabes-type, mais ces accidents étaient plu
73 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
it peu à peu. Les idées de jugement, sa volonté s'exprimant par des signes paraissent intacts ; la parole ne se rétablit p
ante-quatre ans, albuminurique. Le 22 jan- vier 1867, aphasie, sans signes prémonitoires ; conscience con- servée ; légère
minorité et, dans l'état actuel de la science, je ne connais aucun signe permettant de les distinguer l'une de l'autre.
mais si la maladie est à évolution con- tinue, je ne connais aucun signe différentiel autorisant le diagnostic. En prése
'agit d'une loi comme le divorce. 28 CLINIQUE MENTALE. Seuls, les signes perçus par raisonnement font les diagnostics di
vorce n'est pas révocable comme l'interdiction. Qu'on fournisse des signes cli- niques certains et on trouvera sans doute
utelle de personne ». Je vois dans cette réclamation de l'aliéné le signe d'une amélioration qui commence. En effet, enferm
ide profonde qu'elle porte entre les deux sourcils est pour elle le signe de sa personnalité diabolique. A celte époque,
e délire ne tarde pas à reprendre sa forme caractéris- tique. Les signes physiques sont aussi ceux que l'on observe chez
ente, tandis que dans ces cas particuliers, lorsqu'apparaissent les signes sur lesquels nous avons insisté, il n'y a plus d'
a); aussitôt un des hommes qui m'accompagnaient se mit à donner les signes de la frayeur la plus exagérée, cherchant avec
itôt sur lui, lui ouvrit la mâchoire avec un pieu sans donner aucun signe de frayeur, alors que ses compagnons se tenaien
que de rationnel. « Vingt-quatre heures plus tard, nous tirions en signe de réjouissance une fusée-signal et, je me prép
tre terre en poussant un cri inintelligible, accompagné de tous les signes de la plus violente frayeur. Je fus très étonné
a mer, et, le voyant sur le rivage, j'agitai la main de son côté en signe d'adieu. Il se mit à agiter frénétiquement la m
Aubanel. Le sujet proposé était ainsi conçu 1 : « Existe-t-il des signes ou desindices qui permettent de reconnaître qu'un
s par M. Claus, et la condensation des renseignements, qu'il con- signe d'après un aliéniste du pays, sur un autre établi
que les phénomènes tendineux sont d'origine réflexe. Envisageant le signe du tendon rotulien dans le tabes. il insiste su
ente avec l'épilepsie partielle par lésion cérébrale, il existe des signes qui permettent d'établir avec certitude le diag
ès le début des accidents, notre attention est appelée sur certains signes qui avaient échappé tout d'abord, ou qui peut-ê
'intervalle des crises) de l'amblyopie à droite avec achromatopsie, signes sur lesquels nous reviendrons. Pas de changem
face d'une malade chez laquelle on n'avait pas encore constaté les signes permanents de 1'liys- térie (anesthésie et autr
esthésie et autres), soit qu'on eût insuffisam- ment recherché ces. signes , soit- qu'ils n'existassent pas à l'époque -où
exigé dans les faits qui vont suivre. Mais il est encore un autre signe diagnostique de premier ordre, qui permettra de
e la fausse épilepsie jacksonnienne de la vraie ; la valeur de ce signe apparaîtra évidente si l'on veut bien comparer
va le voir, à un cas d'épilepsie partielle par lésion cérébrale. Ce signe négatif, c'est l'absence de paralysie des membr
gistrat et l'ex- pert ; c'est que, l'accusé n'ayant jamais donné de signes d'aliéna- tion, ils n'ont l'un et l'autre d'aut
nm ni ,, ? 1 ? ^ i ... ,. r , malade meurt aprèslavoir présenté les signes de 1 albuminurie et rlâ resplrâLiôïl'de Ché3nié
épression : L'expert constata dans son rapport, outre l'absence des signes ordinaires.propres à divers troubles mentaux, l
on la dégéné- rescence physique des criminels et rapports entre les signes de 1 nérescence et les névropathies, sera l'obj
ssion.- M. Jastrowitz. De noml)retixbindividus; sans pré- senter de signes de dégénérescence, sont atteints 'de .'psychoses
constatée quand il a pu exercer un con- trôle. Sous la rubrique : « Signes de dégénérescence », il a compris les mêmes élé
strait à la morphine; cet état signalé parm. Charcot est le premier signe de l'imprégnation mor- phinique ; léger amaigri
est plutôt un peu grêle. Tout d'abord, nous constatons chez lui les signes classiques de la paralysie pseudo- hypertrophiq
uit : la malade perd connaissance, ou du moins cesse de donner tout signe de conscience, la tête s'incline vers l'épaule
ssion pour déterminer de la rougeur cutanée. Malgré l'absence des signes qui révèlent d'ordinaire l'état hystérique, il
uant alors un véritable état de mal épilepti forme; 7° Il est des signes qui permettent de diagnosti- quer la fausse épi
érique) de l'épilepsie partielle vraie. a) Le plus important de ces signes est l'absence d'hypertlaermie dans la fausse ép
omme de trente-sept ans, présente, quelques semaines plus tard, les signes de diabète aux- quels se joignent bientôt de la
dix semaines, on constatait une atro- 1 Voy. poar l'explication des signes allemands la leçon de M. Charcot Maladies du sy
, dans un certain nombre de cas, chez des sujets ayant présenté les signes de l'aliénation mentale. Toutefois, je ne conse
t le directeur de la prison (18 mai 1882), il n'a ma- nifesté aucun signe de dérangement intellectuel. Plus tard une seco
n en juge d'après ses liaisons avant son mariage. Il y a neuf mois, signes somatiques et psychiques de la paralysie généra
74 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
évidemment, à cause de l'inces- sance du travail mental, aura pour signe la généralité et la permanence. L'irrégularité
s vague et de plus incomplet que la mélan- colie de Pinel ? A quels signes précis reconnaître sa manie sans délire et sa f
us mauvais mo- ments, Justine est capable de comprendre; mais les signes qu'on en donne se bornent à quelques ré- ponses
égie céré- brale. Je me proposais en les commençant d'étudier les signes cliniques des altérations bilatérales de la moe
ayant une valeur suffisante pour permettre en l'absence d'autres signes de faire le diagnostic entre l'hystérie et l'épil
de l'une des facultés de l'intelligence, celle d'inter- préter les signes lus ou entendus, qui est parfaitement compa- ti
l'élaboration intellectuelle, à l'interprétation d'une catégorie de signes abstraits, ce qui est fort différent. Donc les
ertain temps il a été gâteux. En même temps, on voit apparaître des signes d'anémie et de revue de pathologie mentale. 105
vraie (10 obser- vations à l'appui). Il n'y aurait d'ailleurs aucun signe clinique différentiel entre ces formes nécrosco
stion méningo- corticale. Le diagnostic repose sur la recherche des signes de la pneumonie, l'examen thermométrique; la di
doptent tous, une extrême acuité, en même temps qu'apparaissent les signes de l'épuise- ment somatique : T. 37° ou 36°,9;
stème nerveux. , Dès sa première enfance, on remarqua chez X... des signes non équivoques de ces mauvaises prédispositions
le signal ; c) lui faire faire un mouvement subit de volte-face; 2° signe de l'escalier, (gêne surtout pour descendre) : 3o
te-face; 2° signe de l'escalier, (gêne surtout pour descendre) : 3o signe four- ni par l'occlusion des yeux (signe de Rom
rtout pour descendre) : 3o signe four- ni par l'occlusion des yeux ( signe de Romberg), le malade appuyant sur les deux pi
yeux (signe de Romberg), le malade appuyant sur les deux pieds; 4° signe déduit de l'attitude à cloche-pied; ? station à c
e un voleur de nuit; elle signale son approche, son arrivée par des signes variés. Il résulte de cette étiologie et de ce
bien au-dessus du phénomène de Romberg (la chute les yeux fermés), signe qui n'apparait qu'as- sez tard et existe dans d
chaine les deux questions suivantes : Prix Aubanel. Existe-t-il des signes ou des indices qui per- mettent de reconnaître
se manifestant par exemple au moindre bruit imprévu par tous les signes de la crainte, accompagnés de crise convulsive in
hie cérébrale à l'autopsie. 51. MEYXERT insiste à ce propos sur les signes cadavériques permettant de conclure à l'épileps
s, nous avons cru qu'il était utile et convenable d'indiquer par un signe facile à reconnaître tous les développements qu
donnements d'oreilles si caractéristiques que M. Charcot en fait un signe de l'affection" et que les malades le reconnais
rd,- loin des regards; il n'est pas étonnant que le vertige soit un signe précoce de ces maladies longtemps méconnues, pa
n signe précoce de ces maladies longtemps méconnues, parce' que les signes objectifs font alors le plus souvent défaut.
pas le résultat d'une affection des fenêtres ovale et ronde. Divers signes différentiels ont été pro- posés par les otolog
stch, etc., que la diminution de la perception osseuse est un bon signe différentiel, entre un affaiblissement de l'ouïe,
exact de dire que la diminu- tion de la perception osseuse, est un signe qu'il existe un obstacle à l'accès des ondes so
ystériques, les idées hypochondriaques, les hallucina- tions et les signes physiques de dégénérescence. Observation IV. Fa
llectuel est peu élevé ctles facultés mal équilibrées, présente des signes physiques de dégénérescence; son crâne est mal
Mar- chai (de Calvi)' voit dans l'union de ces deux symptômes le signe principal do l'influence du diabète sur l'axe cér
prolonge assez longtemps. L'am- blyopie grave peut être le premier signe du diabète, c'est-à-dire apparaître quand tous
le premier signe du diabète, c'est-à-dire apparaître quand tous les signes de l'affection font encore défaut, la glycosuri
ême. Rarement myodésopsie. Parfois s'observe de la dyschromatopsie, signe d'une atrophie du nerf 1 Mialhe. Chimie appliqu
e des sinus ne pourrait être diagnostiquée que lorsqu'il existe des signes de pyohémie. Les observations d'un grand nombre
observations d'un grand nombre d'auteurs prouvent cependant que le signe indiqué par Gehrardt et Grie- singer comme path
ibue une grande importance dans le diagnostic de l'ataxie vraie aux signes suivants : l'impuissance à toucher un point don
systématique (Meyer). Souvent, ajoute M. Kohn, avant même qu'aucun signe psychique se soit montré,' la pupille change, t
at mental. Pendant plus de dix mois reste à l'asile, présentant les signes d'une amélioration progressive, mais lente ; el
e les deux questions suivantes. P)'i'OEAt<6aMe : Existe-t-il des signes ou des indices qui permettent de reconnaitre qu'u
75 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ents nerveux. Pendant l'enfance, la malade n'a présenté aucun grand signe de nervosisme; elle n'eut ni somnambulisme, ni
roubles de la sen- sibilité faradique peuvent s'observer avant tout signe d'inflam- mation articulaire. Barbillon attribu
le peu troublée, persistance de l'appétit. Dès qu'apparaît l'un des signes énumérés, on suspend le médi- cament et tout re
e ; il s'agite, lorsqu'on lui dit que le médecin n'a constaté aucun signe de celle-ci. Il s'y cramponne plus que jamais,
xterne. Les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de l'urémie et de la hernie étran
hernie étranglée; 2° Insuffisance aortique, plaies de poitrine; 3° Signes et diagnostic de la pneumonie et des tumeurs de
des ma- nifestations d'ordre varié, dont les principales sont : des signes d'irritation dorso-spinale avec douleur dans le
d'hui disparu. Actuellement ce qui domine chez M. X..., ce sont les signes de la Neurasthénie classique, épuisement nerveu
ction organique du sys- tème nerveux; malgré l'existence d'un léger signe d'athérome on ne peut songer à la claudication
hilis de la moelle en dehors de l'aveu même du malade, par certains signes caractéristiques, comme Erb a cherché déjà à ét
, part. III, 1893, p. 431.) Parésie des quatre membres. Diplopie. Signe de Romberg; ataxie des quatre membres; absence
a priori, il est probable que l'analgésie du cubital peut servir de signe diagnostique différentiel entre la démence para
t unanimes à décla- rer que jamais ils n'ont remarqué chez Maumy de signes de déran- Arciiives, t. XXIX. 11 1 '1R2 MÉDEC
s l'avons vu pour la première fois, à Mazas, il ne présentait aucun signe psychique ou physique d'in- toxication par l'al
mais la notion de la dégénérescence est trop compréhensive, car les signes de dégénérescence sont tellement nombreux qu'on
triques, exagération des réflexes, troubles vaso- moteurs, etc. Ces signes de névroses s'accompagnaient d'un état de dépre
agnostic différentiel. On constate d'une manière générale les mêmes signes dans les diverses espèces de mélancolie' et de
, à la paralysie générale, à l'épilepsie, aux intoxications par les signes physiques viscéraux, la lièvre, l'existence d'u
s cocaïnique, haschischique, atropinique, alcoolique ont chacun ses signes caractéristiques. Mais ceux de la septicémie, d
it. Aussi est-ce faire de la médecine incomplète que de séparer des signes somatiques les symptômes intellectuels Envi- sa
els Envi- sager les phénomènes mentaux en dehors de tous les autres signes organiques n'est pas non plus faire de la psych
même parfois de les prévenir. De plus leur per- sistance en fait un signe précieux ; elle permet d'affirmer ou non la fin
t de tout l'ensemble symptomatique habituel d'une intoxication. Ces signes précoces n'apparaissent pas seulement au moment
gastriques apparaître en même temps que la généralisation. Tous ces signes dont l'évo- lution est parallèle, précèdent les
que les formes chroniques. Or l'évolution chronique type est un des signes caractéristiques du délire chronique qui ne survi
xtrême- ment rare et qu'on ne saurait faire de la dégénérescence un signe de diagnostic différentiel, dans les termes que
s rénales. Aussi bien, ne suffit-il pas de dire : la paranoïa a les signes propres ou spécifiques suivants. Il faut encore
propres ou spécifiques suivants. Il faut encore dire : elle a tels signes différentiels. La paranoïa purement fonctionnel
t pas d'en tirer de renseignements utiles. Démarche vertigineuse, signe de Romberg, exagération des réilexesrotulions,
é, janvier, 1894.) ' ' ' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, signes DE dégénérescence ' ' DANS. D'ÉTUDE D E,s' 1 ma
prouver déjà ethniquement. Ce'n'est donc que l'accumulation de ces' signes qui peut être de quelque.valeur diagnostique, e
', puisque 21 p. 100 des femmes normales examinées avaient quatre signes , et ehex 9 p. 100, trois parties'du 'corps en éta
: ' ? t "" ,·vus. L'auteur donne, comme chiffre approximatif, cinq signes sur quatre parties du'corps. .' . (] '' ' " ,
MENTALE, i 311 que appui au diagnostic : un homme qui présente des signes nom- breux de dégénérescence sera toujours susp
brile et le délire d'inanition, par exemple, présentent parfois les signes de la confusion mentale; mais l'en- semble symp
soit acquise ou héréditaire, la diathèse de la folie pré- sente des signes à peu près identiques, avec cette différence que,
est acquise, le traitement peut présenter plus d'effica-, cité. Ces signes sont tout d'abord une perte du contrôle inbihitoi
tales. L'auteur, à ce propos, passe ensuite en revue les principaux signes de dégénères cence, intellectuels, moraux ou, s
tion de l'aliéniste. , " , i - i - 1 - 1,1 1. e , , " ' · sd 'Les signes de dégénérescence sont si fréquents qu'on a'voulu
mais ne présente pas de trouble intellectuel; sommeil agité. Aucun signe d'urémie, de lésion phy- sique du cerveau, de f
avec retard des impressions' tactiles tactilité généralement bonne signe de ltomberg - réflexe plantaire, tantôt absent,
s de Neurologie, XV Congrès ? .' ' ' SOCIÉTÉS : SAVANTES. ` ''329 Signe de 13rachetRomberr -parésie faible des bras, mais
des déclaraient ne. pas percevoir se manifestait cependant par- des signes indubitables, par exemple une couleur rouge non
' " ? - z llâtivëment. >Jssaie-t-on de leur faire comprendre par signes qu'on les prie d'écrire, ils,se mettent , en 1
dans le courant de janvier. Mais la malade ne présente plus que des signes très faibles de chorée. Je la revois une fois par
ique. Il s'agit d'une malade qui présentait, depuis quinze ans, les signes d'une chorée chronique des membres, et chez qui
t autonomes, qui peuvent se montrer à l'état d'accès accompagnés de signes phy- siques. Discussion. M. QCHULTZE. 11 ne f
téral de la sensibilité cutanée, insensibilité pharyngée. Tous ces signes disparaissent les jours suivants, seule l'insensi
les jours suivants, seule l'insensibilité pharyn- gée demeure comme signe permanent de l'hystérie. Le congrès d'automne a
ur tenter un essai pathogénique. Rappelons-nous à quel moment ces signes font leur appa- rition. Le malade n'a pas encor
vient de nouveaux paroxysmes. Cet état saburral de la langue est un signe que la série n'est pas épuisée; donc, pendant t
57 Dans son travail, M. II. Bordier étudie d'abord l'influence du signe de l'étincelle et constate : 10 que la contractio
mps primitifs, une description classique de cas de folie avec leurs signes précur- seurs, leur début, leur période d'étate
la folie systématisée, parSéglas,218. Dégénérescence, valeur des signes de - par 1\ceche, 310. Délire, les systématis
76 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a Revue de médecine (1889-1890), Lemoine et Lemaire donnent comme signe caractéristique du paramyoclonus : 1' l'instan-
ents rappelant en quoi que ce soit des mouvements volon- taires. Ce signe encore est constant; il se retrouve dans toutes
toire de notre malade, un trait important quoiqu'il s'agisse d'un signe négatif : c'est l'absence complète, malgré les re
es ? , 40 CLli\IQUE NERVEUSE. On entend pàr ce mot un ensemble de signes , très variables d'aspect, qui semblent prouver
lésions vont également en dimi- nuant, mais on en trouve encore des signes même dans les parties les plus inférieures de l
ne d'années, un chancre induré sur la verge; il ne présentait aucun signe de syphilis et l'autopsie n'a constaté sur aucu
bbosité et la constatation d'un abcès par congestion sont les seuls signes pathognomoniques. Dans les cas où l'anesthésie,
enues dans ce travail, les auteurs croient pouvoir conclure que les signes les plus fréquents et les plus importants.des t
ux ; suivant l'intensité de l'agent pathogène, il existe ou non des signes physiques. Selon que les réflexes psy- chiques
, tandis que la pression en arrière ne détermine pas de douleur. Ce signe physique a pour cortège les troubles fonctionne
la pie-mère. II. Tumeur de la glande pinéale. En l'absence de tout signe objectif local précis, on diagnostique : tumeur
e le centre cérébral qui correspond à cette région présenterait les signes d'un développement dél'ecteux. Les circonvoluti
ltés, qui devait surtout faire penser à la démence primitive. Les signes physiques indiquaient une affection généralisée o
e- ment revêtu le caractère des phénomènes post-épileptiques. Les signes physiques de l'intoxication saturnine, se sont am
atients moururent. On put pratiquer quatre autopsies; on trouva les signes d'une encéphalite franchement aiguë avec atroph
ivi cette recherche avec le plus grand soin. Mal- heureusement, les signes de dégénérescence qu'on rencontre n'ont rien de
ysie du genre spasmodique les leucomyélitiques postérieurs, par des signes tabétiques. Le début est juvénile, la durée trè
nt en se renversant en dehors. En résumé, pendant quinze jours, les signes sont ceux d'une lésion non seulement du sciatiq
t de la cuisse réagissent éner- giquement. » On constate tous les signes d'un phlegmon du ligament large (toucher vagina
longues courses et jamais il n'était fatigué. Il ne présente aucun signe d'intoxication alcoolique. Il boit or- dinairem
tion plombique ou à quelque autre que ce soit. Il ne présente aucun signe de diabète. Il n'a jamais eu de symptômes d'une
ont extrêmement faibles des deux côtés et s'épuisent facilement. Ce signe est encore plus prononcé à gauche qu'à droite.
'absence de résistance aux mouve- ments passifs de flexion sont des signes d'une valeur absolue à ce sujet. L'absence de r
orsqu'on dit à la malade de porter un verre à sa bouche. Les autres signes de la maladie de Parkinson, la sensation de cha
blement céphalique, opposé à la trépidation des membres, comme un signe caractéristique et d'une valeur absolue; avec cet
contraire, est complète. Au premier abord, je n'ai pas attaché à ce signe une grande importance, en raison de la médicati
insister davantage et sans .exagérer, outre mesure la valeur de ce signe , que nous avons là un argu-, ment de plus à l'a
formes, l'une chronique, l'autre aiguë. Dans le pre- mier cas, les signes de l'empoisonnement passent presque inaperçus.
rouve pas la déviation habi- tuelle de la langue et des lèvres. Ces signes un peu spé- ciaux qu'affectent alors ces hémipl
aralysie des membres supérieurs, du nerf facial, et mort avec des signes de paralysie labio-glosso-larynée. Anatomie pat
ent pro- bable ; sucre danslesurines d'unedensité de 1015.-Obs. [Il, Signes du tabes; notamment ataxie indubitable; sucre d
lom- baire ; disparition du réflexe patellaire; démarche ataxique; signe de Romberg. Quelques jours après, paralysie des
pitations de coeur, développement d'un goitre; puis, , exophtalmie, signe très-accusé de de Groefe, accès d'angoisse noc-
La syphilis, au contraire, ne marque la paralysie générale d'aucun signe particulier. Les excès sexuels, l'abus du tabac
sont chez d'autres malades; mais il est impossible d'en faire un signe diagnostique différentiel, car il y a des sujets
s dont il s'agit. On cherche, par exemple, à faire reproduire les signes cliniques de l'hémiplégie faciale périphérique,
a même heure, survenant brusquement sans être annoncées par quelque signe précurseur. A partir du quinzième jour environ
et dit que depuis un mois il n'a plus éprouvé aucun trouble. Les signes constatés, lors du premier examen, hémianesthésie
des étaient des tabétiques avancés avec des douleurs fulgurantes, signe de Westphal, signe de Romberg, ataxie, altéra-
abétiques avancés avec des douleurs fulgurantes, signe de Westphal, signe de Romberg, ataxie, altéra- tions de la sensibi
xpérience passée est envolée; et elle regarde avec indifférence les signes et les menaces qui autrefois l'auraient mise en
osion causaient un départ subit, mais qu'au delà il n'y avait aucun signe indiquant l'impressionnabilité aux excitants au
isphères cérébraux sont complètement aveugles, et ne montrent aucun signe qu'ils sont influencés par la lumière, excepté
ent des mouvements avec tous leurs muscles. Ils ne montraient aucun signe de plaisir; ' Op. cit., p. 134. LES LOCALISAT
er, on pouvait diagnostiquer : thrombose des veines iliaques avec signes de péritonite. Le 2 mars, la malade accuse des do
77 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ion qui s'adresse à l'intelligence du sujet sous forme de symboles ou signes représentatifs d'idées que celui-ci doit interpré
gestion sans épithète, il sera entendu que c'est de la suggestion par signes (signes parlés, écrits, visuels, auditifs, tactil
sans épithète, il sera entendu que c'est de la suggestion par signes ( signes parlés, écrits, visuels, auditifs, tactiles, etc.
ulières et des plus profondes — mon « état hypota-nique », — qu'aucun signe extérieur ne trahit toutefois, et continuant d'of
ère et s'effectue, il est indispensable que son énoncé, ou les divers signes qui peuvent en tenir lieu, soient compris du suje
ification inimaginable qui consiste à lui faire prendre des mots, des signes , des riens, pour ses excitateurs naturels et maté
angoisse ne se manifeste pas seulement par le récit de l'obsédé. Des signes physiques, tels que rougeur ou pâleur du visage,
morale, est-ce en agissant sur la « créditivité » de sa proie par un signe affirmatif que le serpent attire de loin, et sans
C'est un fétiche, c'est un talisman, c'est une amulette, ce sont des signes bizarres dits cabalistiques, ce sont des ABRACADA
ni-empoisonner ses hommes, grimpa sur la revers du fossé et montra en signe do mépris aux Hollandais, la partie la plus étoff
que les personnes de leur entourage qui n'en recherchent pas les signes caractéristiques et qui n'y sont pas exercés puis
permises ; mais, pour être des anomalies, elles n'ont pas « encore de signes et se refusent aux classifications accoutumées de
profond avec catalepsie, automatisme et amnésie au réveil (ce dernier signe n'a pas toujours été constant). En douze séances
r avec la vie. Observation III. — Neurasthénie viscérale liée à des signes de dégénérescence mentale. — Gastro-entéroptose d
ars, à cinq heures, M. le DT Max Nordau fera une conférence sur : Les signes précoces et les formes frustes de la paralysie gé
que : léger tremblement de la langue et des mains. II présente divers signes de dégénérescence: crâne mal formé, oreilles asym
la période où ont eu lieu les actes incriminés, n'ont remarqué aucun signe de trouble mental. Pendant son séjour à l'asile
e rendre compte de tous leurs actes, mais, cependant, ils donnent des signes de dérangement cérébral. A certains- moments, on
t incriminé. Enfin, en interrogeant les témoins, on recherchera les signes , même les plus légers, de perturbation mentale, t
périences, c'est qu'il faut que le sujet ne puisse soupçonner à aucun signe l'intention de l'expérimentateur : il doit être e
en regardant le sommeil du sujet de M. W. Je leur fis comprendre par signes que j'étais la cause de ce sommeil, mais je vis b
ars, à cinq heures, M. le Dr Max Nordau fera une conférence sur : Les signes précoces et les formes frustes de la paralysie gé
x-286 p. Liège, 1865. — Logique algorithmique : Essai d'un système de signes appliqué à la logique ; in-8", 99 p. Liège, 1876.
ars, à cinq heures. M. le Dr Max Nordau fera une conférence sur : Les signes précoces et les /ormes frustes de la paralysie gé
et. Usant inconsciemment de la suggestion, il les aura transformés en signes habituels ; il se sera attaché, toujours sans te
s qu'on fit aller et venir, sans que la jeune fille donnât le moindre signe de douleur ou fit mine de la retirer. » Notre a
blessé, elle y augmente le désordre organique dont la douleur est le signe ; l'idée du mal y entretient et y développe le mal
ars, à cinq heures, M. le Dr Max Nordau fera une conférence sur : Les signes précoces et les formes frustes de la paralysie gé
yglotte. L'étude de toute langue débute par l'alphabet, ensemble de signes et de caractères avec lesquels elle s'écrit. Ici,
es débutants, provient de la nécessité d'apercevoir simultanément les signes écrits sur les deux portées et de les lire en mêm
ar le rectum. L'examen de la paroi abdominale permet d'observer les signes suivants : cette paroi est extrêmement mince, trè
ars, a cinq heures. M. le Dr Max Nordau fera une conférence sur : Les signes précoces et les /ormes frustes de la paralysie gé
ur la nécessité du détatouage chez les jeunes détenus, « Le tatouage, signe matériel du lien qui unit le condamné à un milieu
gauche. Du côté droit, le sourcil était plus abaissé qu'à gauche. Ce signe objectif est à noter, il permet de distinguer le
inologie de M. Parinaud et en attachant une très grande importance au signe de Gilles de la Tourette (superposition du spasme
sans profession. Grande hystérique, elle aussi, présentant tous les signes de cette redoutable névrose, elle vint me consult
croit en possession de la vérité. La confiance exagérée en soi est un signe indéniable de la bélise. L'absence du doute est
vue utérin en arrive jamais, par une influence psychique, à avoir des signes assez marqués de gestation pour en imposer à un e
ette luxation à répétition survenant la nuit, a été pour Trousseau le signe diagnostique d'une épilepsie nocturne méconnue.
le, dans l'intervalle des crises douloureuses, qu'il n'existait aucun signe réel de tuberculose locale. Or, toute investigati
ans, son caractère avait été normal et il n'avait jamais présenté de signes de pusillanimité. Ses antécédents héréditaires so
teint d'onychophagie. Dès l'âge de deux ans, Louis B... donnait des signes de peur quand on le laissait dans l'obscurité, qu
78 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
buée qu'à une action de la tumeur sur le trijumeau. Ces différents signes indiquaient une tumeur située dans la région du
it aucun moyen pour communiquer avec la société, pas plus par les signes (hors quelques gestes des plus naturels), que par
gner aux sourds- muets la langue française sans l'intermédiaire des signes ; de l'abbé Tarra : Esquisse historique et court
ile et ne pouvait se faire que par exclusion. Etant donnés tous ces signes de compression de la moelle, l'opération était
nous montre le symptôme sans la lésion. Le malade avait tous les signes spasmodiques de la maladie de Charcot; il n'y ava
résie gauche. A son entrée à l'hôpital on constate unique- ment les signes suivants : hémianesthésie gauche, rétrécissement
vants apparaît une polyu- rie abondante, en même temps que tous les signes disparaissent sauf le pouls lent et le rétrécis
llègues, sur la tombe de M. Loiseau. La séance est ensuite levée en signe de deuil. Séance du 22 février 1897. PRÉSIDENCE
x sont possibles et que l'atrophie peut se manifester même, par les signes de dégénérescence. M. le professeur RoTH. - Un
ofesseur Raymond insiste sur les grandes lignes de l'affection, les signes cardinaux qui ne man- quent pour ainsi dire jam
était probablement d'origine hépatique ; l'aspect delà malade, les signes d'arthritisme les troubles biliaires, l'impuiss
gens absolument normaux qui d'ailleurs n'ont jamais présenté aucun signe de dégénérescence. Enfin si quelques-uns ont de
-uns ont des tares héréditaires, chez beaucoup d'autres invertis un signe de dégénérescence ne suffit pas pour qu'on y vo
nes mentaux moins profonds dans les tumeurs cérébelleuses. Quelques signes secondaires tels que hyperalgésie frontale, tum
ple, qui a débuté à l'âge de treize ans. Elle présente en outre des signes d'acromégalie, qui ont évolué lentement : le ne
ante. Le nez, les lèvres sont épaissis. Les mains sont énormes. Les signes de la maladie de Basedow (goitre, exophlalmie,
le lobe occipital, il y a destruction des images commémoratives des signes visuels de l'écriture; c'est en ce cas qu'il y a
omet des lettres ou des frag- ments de lettres et de syllabes, des signes diacritiques, comprend très bien ce qu'on lui d
On n'est pas autorisé à poser le diagnostic uniquement d'après les signes physiques ou d'après les symptômes psychiques ;
é. Devant un malade ayant dépassé cinquante ans et présentant des signes d'artério-sclérose, il faut se souvenir que l'ath
autres qui,; après avoir présenté pendant un certain temps tous les signes de la méningo-encéphalite chronique diffuse, gu
quatorze ans qui présente réunis d'une façon incontestable tous les signes physiques et psychiques de la paralysie général
'idées délirantes a été constatée. M. BRIAND (de Villejuif). - Le « signe du cubital, » qui a été considéré pendant quelq
nts nerveux antérieurs. M. GIII.IUD (de Saint-Yon). - Il y a deux signes de la paralysie générale qui, de très fréquents
is). - D'après M. Garnier, on pourrait croire que la démence est un signe de début de la paralysie géné- rale ; or, il es
uestion du diagnostic de la paralysie générale, il résulte qu'aucun signe vraiment pathognomonique n'est encore venu éluc
léments nerveux différents; de là des variétés cli- niques avec des signes initiaux également différents pouvant se généra
qui tendraient à prouver que la réaction de dégéné- rescence est un signe sans valeur puisqu'on le rencontre dans l'atrop
Saint-Aubin, près Arras. Cet homme donnait depuis quelque temps des signes non équivoques d'aliénation mentale. Tout réc
... vingt-six mois, enfant mâle bien constitué, ne présentant aucun signe physique de dégénérescence et paraissant avoir, p
chargée; père alcoolique avec des stigmates très nets d'hystérie et signes non moins nets de dégénérescence mentale. Mère tr
eul Irait 1 litre de vin sans paraître incommodé, sans donner aucun signe d'ivresse. Je n'entendais plus parler de notre
shner, en raison de son apparition précoce et en l'absence d'autres signes indiquant une affection organique, constitue bi
ou qu'on saisit quelque chose. Rien ou presque rien au repos. Aucun signe de paralysie musculaire, pas d'altération élec-
sence d'aura, de perte de connaissance et de chutes. Il n'y a aucun signe de tabes. L'épilepsie à aura laryngée ne peut ê
ntelligente : front fuyant, crâne asymé- trique ; elle présente les signes physiques de dégénérescence. Sa mère qui me don
erser la seconde et la troisième enfance sans donner plus jamais de signes évidents d'hystérie. Ce n'est pas ainsi que se
n'y faut pas songer chez l'enfant en bas âge. Et pourtant tous ces signes ont une valeur séméiologique considérable, le r
égales mais ne réagissant pas à la lumière et à l' accommodation . Signe de Bombera. Signe de Biemacki (analgésie du ner
agissant pas à la lumière et à l' accommodation . Signe de Bombera. Signe de Biemacki (analgésie du nerf cubital des deux
doigts innervés par ces nerfs ne se contractent pas à la pression ( signe de 131ernachi). Le réflexe pharyngien diminué.
plupart du temps, mais, vers la troisième semaine apparaissent les signes avant-coureurs de la paralysie; c'est dire que
ut acquérir une grande valeur au point de vue mé- dico-légal, comme signe différentiel. VIII. 11 y a lieu d'admettre que
e sera appliqué qu'avec les précautions d'usage et s'il n'y a aucuu signe de sclérose rénale ; dans le cas contraire, on em
. Entrée à l'asile de Bailleul au mois d'août 1893. On cons- tate : signes de dégénérescence physique, stigmates hystériques
. Pre- mière attaque à seize ans à l'occasion des premières règles. Signes physiques de dégénérescence. Obnubitation intel
que de la puberté (quatorze ans), les attaques sont plus violentes. Signes de dégénérescence. Débilité mentale avec fond m
d'ail- leurs que ses frères, soeurs et parents n'ont présenté de signes d'acromégalie ; cette maladie chez elle est donc
itale et la porencé- phalie acquise. Déjà Kahlden a fait justice du signe de Kundrat relatif au rayonnement des circonvol
eK<)'«<6 ? XV, 1890.) Fillette de dix-neuf ans présentant les signes d'une lésion de la base du côté gauche (hématom
e pré-opératoire était indiscutable. Les autres troubles oculaires, signe de Graefe, signe de Stellwag, signe de Moebius,
était indiscutable. Les autres troubles oculaires, signe de Graefe, signe de Stellwag, signe de Moebius, signe de Ballet,
Les autres troubles oculaires, signe de Graefe, signe de Stellwag, signe de Moebius, signe de Ballet, quand ils existent
es oculaires, signe de Graefe, signe de Stellwag, signe de Moebius, signe de Ballet, quand ils existent, comme dans mon tro
isparaissent aussi après l'opération. Ceci s'explique, car tous ces signes sont d'une façon directe ou indirecte dus à l'exc
79 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
o rob the authors of the merit due to them ».— C'est toujours un -bon signe de la valeur des initiatives et des recherches sc
it, l'oubli au réveil a été considéré par beaucoup d'auteurs comme le signe fondamental de l'état hypnotique. M. Bérillon a
ir. Aussitôt, elle fut prise d'un tremblement plus prononcé : par ses signes et ses cris inarticulés, elle montra qu'elle se r
livres utiles. Puis, la Science amusante, en 3 volumes; l'auteur, qui signe Tom TU, est un ingénieur fort remarquable, et don
une opération sous l'Influence du chloroforme, et qui depuis ne donne signe de vie que pour quelques Instants, toutes les dou
poisonnement et en devenant des alcooliques chroniques présentent des signes de l'activité psychique affaiblie, la faiblesse d
ergie.une tendance vers la mélancolie, le sommeil J mauvais, quelques signes physiques comme le tremblement 1 général, la cong
3° Des personnes qui, avant de devenir alcooliques, présentaient des signes de dégénérescence psychique. 11 ne s'agit ici que
d'humeur qui devient calme et forte. Ce changement d'humeur est un signe très important pour le! pronostic. Dans tous les
au jour le jour dans la vie de la sainte ct.de mettre en lumière les signes diagnostiques qui permettent de reconnaître l'ori
peuvent y être introduits; 3' Le nom et la hauteur des notes ; 4° Les signes accidentels qui sont destinés à élever ou à abais
és à élever ou à abaisser momentanément la hauteur d'une note; 5° Les signes d'expression qui s'appliquent à l'ensemble du mor
s irréguliers et plus difficiles entre différentes notessuccessives ; signes accidentels inattendus etmultipliés, etc. tout ce
titude extraordinaire. » (5) En effet « elle aima si fort l'usage des signes , quoique d'abord c'eût été de ces choses dont ell
n avoient un peu de peine, parce qu'elles ne pouvoient comprendre les signes qu'elle composoit quelquefois, ne les comprenant
l'état du rêve ; mais la pathologie générale ne doit pas négliger les signes qui peuvent lui Être fournis de ce côté. Le rêv
s l'aliénation mentale est longuement étudié : on a dans les rêves un signe précurseur fréquent des maladies mentales, au mom
ctualités médicales, rendra service au médecin qui n'a jamais trop de signes pour aider à son diagnostic, parfois délicat et d
te nécessité que Jésus fît des miracles. Car les Juifs exigeaient des signes de l'homme en qui ils devaient avoir foi (Paul, é
i et les pharisiens l'abordent en lui demandant de leur faire voir un signe (Mat. XXII, 23). Une autre fois ils précisent et
un signe (Mat. XXII, 23). Une autre fois ils précisent et exigent un signe du ciel (Mat. XVI : Marc VIII, il). Car les anc
un homme accrédité auprès des Juifs, parles eflets de puissance, les signes et les miracles que Dieu a faits en lui. » (A s
aux ; c'est une incurable et une dégénérée. Je ne pense pas que ces signes se retrouvent avec la même netteté chez les mastu
ns l'hystérie. Quelquefois il s'est mordu la langue et ce fait est un signe de probabilité en faveur de l'épilepsie. Par cont
menteur et impudent; il lui commandait de partir et de donner quelque signe de son départ, o Je renverserai telle statue », c
P... estâgéde 45 ans.; c'est un ancien syphilitique. Il présente les signes essentiels du tabès : douleurs fulgurantes, aboli
1° Y a-t-il. dans la recrudescence du mysticisme de notre époque, un signe de dégénérescence dans la marche de l'esprit huma
sujet cataleptisé est un automate qui ne répond réflectivement qu'aux signes extérieurs. A un degré plus profond encore du
ggestion ne peut pas améliorer cette névrose sénile même lorsqu'aucun signe ne peut faire penser à l'hystérie franche. Pour n
mes réflexions à la seconde sur la persistance de ses règles, et les signes négatifs de mon examen. Cependant, il est à rem
aphié dans le service : il est absolument intact et ne présente aucun signe de fracture récente ou ancienne; il n'y a pas non
lle dans la môme proportion, disparaissent seulement avec son dernier signe et ne restent absentes que tout le temps que dure
en ne justifie, ni de près, ni de loin, ce diagnostic. Il n'existe ni signe somatique se rapportant à cette affection (incoor
perte du réflexe lumineux, tremblement de la langue, etc., etc.), ni signe psychique [affaiblissementglobal des facultés int
duction du sommeil provoqué. Il est très intéressant de connaître les signes précurseurs du sommeil et leur constatation peut
tiseur pour la direction de l'opération. Par la connaissance de ces signes , on peut déterminer souvent d'une façon précise l
rarement, on constate du larmoiement, également passager. D'autres signes objectifs sont d'une constatation plus difficile.
ous ces phénomènes précèdent l'apparition du sommeil. Ils en sont les signes avant-coureurs et leur cessation brusque marque l
elle nous présente sont ceux de Vhémisomnarnbulisme hystérique. Les signes de son hystérie sont très nets; elle a un fort ré
matique. Les tics qui apparaissent dès les premières années sont un signe de psychasthénïc : l'enfant est marqué au sceau d
; le « criminel-né » n'apporte en lui rien de fixe, ni d'absolu ; les signes diagnostics de la criminalité native, tels que le
80 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
valeur d’un esprit qui prend souvent la parole inopinément? Aux mêmes signes que nous reconnaissons la valeur du premier venu
hand de bois se place en donnant de la façon la plus marquée tous les signes d’une incrédulité choquante ; il croise les bras,
l fallait le relever, aussi le fit-il de bonne grâce, et commença ses signes et passes. 11 n’allait pas vite en besogne avec M
entre eux deux et commença ses passes. Peu à peu cet homme donna des signes non équivoques de la puissance qui agissait sur l
’arrivai chez mon voisin, où tout le monde était en émoi. Sur un seul signe attractif, le sujet vint d’un bond se coller la p
placé. Je fermai la porte et priai l’individu de me dire ou me faire signe quand il voudrait que le somnambule vînt. Au sign
donc et soyons prêts, car il peut venir à toute heure. Mais à quel signe le reconnaîtrons-nous ? Aux écailles de sa chrysa
pareillement son échelle de proportion. La liquidité du sang étant un signe d'appauvrissement de ce liquide, les sujets alïai
aux médiums parlants, quoiqu’il y ait ordinairement chez eux quelque signe extérieur du pouvoir qui agit. 0 Une autre, et
rs, sans cause impulsive apparente, et répondent, dit-on, au moyen de signes convenus d’avance, aux diverses questions qu’on l
ment dans les ouvrages qui traitent de cette science humanitaire, des signes à l’aide desquels on pût reconnaître à priori si
s artères sont en bon état, pourra être, dans la majorité des cas, un signe présomptif de la sensibilité magnétique, et sera
x, me déclara avoir le sang très-pauvre, ce que confirmaient tous les signes extérieurs. IX. — L’épouse de M. Ogier, notre c
u Planty et Léger, me dire, depuis que j’ai appelé l’attention sur ce signe , qu’ils l’avaient constaté plusieurs fois sur des
es au magnétisme. 2° Attraction du petit doigt. Indépendamment du signe dont il vient d’être question, il en est un autre
non à l'action de ses plaques. » h° Hérédité. Reste un quatrième signe , sur lequel M. Hébert a appelé, l’attention, ('.e
un quatrième signe, sur lequel M. Hébert a appelé, l’attention, ('.e signe ne se tire pas, comme les trois précédents, de ph
ur nourrice que de leur mère. •> 5° Divers. Indépendamment des signes dont je viens de parler, il en existe encore un a
les précédents, méritent au moins d’être mentionnés. En (ôte de ces signes accessoires je mettrai la perte d'appétit, un éta
r la marche et autres exercices de locomotion. Je le répète, tous ces signes ne se rencontrent pas constamment avec les préc
espère, après qu’ils auront été constatés, que la connaissance de ces signes pourra être de quelque utilité, puisqu’elle contr
ulement les tables tournent et parlent, mais elles s’arrêtent par des signes de croix, ou lorsqu’une main quelconque pose sur
naturel de poursuivre. On se remit en place. o Dis-nous, selon les signes convenus, lui dit la même personne, la première l
stacles. Il endort «5 personnes sur 100 (sic), ni plus ni moins. A un signe de lui, les pulsations s’accélèrent ou diminuent;
ar M. le général Noizet. 1 vol. in-8. Pion frères, éditeurs. Un des signes les plus caractéristiques des progrès du magnétis
à tout autre point du symbole catholique, sera pour un catholique le signe authentique de la mission d’un bon esprit; ce ser
t nous espérons que vous lui décernerez une médaille de bronze en que signe d’approbation. 6° M. L. CLAPIER, agriculteur, d
est plus heureusement doué que ses confrères, car chez ta plupart le signe a généralement soin de se cacher dans uu endroit
années, les paroles de l'homme qui aurait osé proclamer que quelques signes mystérieux faits sur le front d’un individu suffi
pas que les communications faites au nom d’uii esprit, même quand il signe son nom, soient, par cela seul, authentiques et a
exprimées, converse avec les âmes sans avoir besoin de langage ou de signes matériels; il voit l’être moral aussi nettement q
Par les divers détails qui précèdent, vous jugerez sans doute qu’un signe d'encouragement est bien légitimement dû au candi
-Dame de Paris, il dit que te siècle présent a été marqué au front du signe de la publicité. La conspiration du silence don
e fois, et en notre présence, le 9 février 1852. Indépendamment des signes locaux dont nous avons parlé, la malade accusa le
damment des signes locaux dont nous avons parlé, la malade accusa les signes sympathiques suivants : perte d’appétit, digestio
la perte d’appétit et l'amaigrissement progressif, sont pour nous des signes qui nous font penser que cette dame est affectée
artout oit il y a des dupes à faire et quelques sous à extorquer. Des signes particuliers, des mouvements des mains ou des pie
et la foudre qui éclate? ti C’est le signal de mon heure dernière; on signe l’ordre «de mon exécution.» Ses camarades se prir
à 2"',50 du sol. Elle tomba en jetant un cri, et elle ne donna plus signe de vie..... Aussitôt on accourt, on lui fait re
me d’une bougie, sans que cette jeune fille laissât percer le moindre signe qui pût accuser la douleur. Et, chose extraordina
d’entre toutes cul lieu vers l’âge de la puberté; à cette époque, des signes précurseurs de la menstruation se manifestèrent ;
. Je vais chercher à établir un diagnostic certain, par la preuve des signes morbides qui les caracté-saient. Dans les sympt
existaient plus. L’époque menstruelle arrivait, et avec elle tous les signes morbides qui la précédaient ordinairement. Déjà l
uvée démagnétisée assez pour être réveillée, elle a fait entendre par signes qu’elle n’y voyait pas et ne pouvait parler. Comm
es et le peu de succès des agents thérapeutiques étaient pour moi des signes précurseurs d’une mort prochaine. De tous les moy
On lui parle, elle ne répond pas ; je la pince, elle ne donne aucun signe de sensibilité. Les bras élevés retombent sur le
ournées en haut; elle ne répond à aucune question, ne manifeste aucun signe de sensibilité lorsque je la pince. Le pouls n’of
flammation du rein (néphrite), bornée à un seul côté. Voici sur quels signes j’ai cru pouvoir établir mon diagnostic. Après
ure s’anime enfin un peu et son pouls revient lentement, ses premiers signes sont un mouvement d’affaissement qui entraîne le
eulement vus, mais perçus parles assistants au moyen du toucher. A ce signe évident de l’existence de la circulation s’en joi
xistait pas (1), je voulus essayer d’un moyen qui (1) Au nombre des signes certains de la mort, on doit mettre en première l
duit, devons-nous tout à coup crier au miracle et battre des mains en signe de contentement? Avant qu’il en soit ainsi, ne de
S'assurer si les sujets présentent le bruit de souffle, indiqué comme signe présomptif de la sensibilité magnétique; et, s’il
il faudrait expliquer ce que c’est que le témoignage de Dieu, à quels signes il se manifeste, sur quoi on se fonde pour affirm
n se répondre. Cagliostro ne cessait de me regarder ; mon mari me fit signe de partir ; je ne vis pas ce signe, mais je senti
t de me regarder ; mon mari me fit signe de partir ; je ne vis pas ce signe , mais je sentis ce regard entrant dans mon sein c
voir le diable. Ce diable-là était un beau jeune homme dont tous les signes île diablerie se bornaient à de jolies petites
r M. Edmonds, 92; par M . Louisy, 180. Sensibilité magnétique. Voy. Signes présomptifs. Signes présomptifs de la sensibili
M . Louisy, 180. Sensibilité magnétique. Voy. Signes présomptifs. Signes présomptifs de la sensibilité magnétique : — Brui
ap- portés par M Moreau, libraire au Palais-Royal, 196. Objets et signes magiques, 19, 514 Objet perdu retrouvé par un e
81 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
ette indétermination primitive, à laquelle ne se rattachent point les signes d'une ruine, d'une dégradation antérieure, est, e
fon, un reste de resemblance avec l'homme rend plus odieux encore les signes d'une dégradation universelle. § XVI. PLIS CÉ
main, mais sur la face dorsale de la deuxième phalange (1), sont des signes communs d'élévation; mais, quelque importants que
raux de VOrang. Le Chimpanzé présente, sous ce point de vue, quelques signes d'infériorité. Les plis cérébraux offrant, dans l
et fait étinceler sur la plus importante région du cerveau humain le signe de la puissance souveraine. § XXY. Voilà, d'u
veloppement anormal. Ce cerveau, dans la Femme bojesmane, n'est qu'un signe d'infériorité; c'est un signe de dégradation dans
u, dans la Femme bojesmane, n'est qu'un signe d'infériorité; c'est un signe de dégradation dans un Homme blanc. Ces faits s
faitemenf proportionnés et très-vifs , très-gais, et ne donnent aucun signe d'idiotisme. Cette circonstance seule oblige de l
ur, dont le langage extérieur n'est que l'image. Il confond à tort le signe avec la chose, il se trompe et Tyson se trompe av
ganisée, ne peut produire ni la pensée , « ni la parole qui en est le signe , à moins qu'elle ne soit animée par un principe s
ar la métamorphose singulière à l'aide de laquelle certains organes , signes d'infériorité sériale, sont transformés en organe
bien loin de là; et cependant, malgré cette infériorité actuelle, des signes de supériorité apparaissent, des incisures sèment
dont on retrouve des traces dans l'Orang et dans le Chimpanzé, est un signe évident de perfection relative. Les plis pariét
eur du deuxième pli ascendant est, dans chaque groupe pris à part, un signe d'élévation sériale. Le pli courbe présente aus
dent que ce pli n'a aucune importance sériale, et que sa valeur comme signe est d'un ordre tout à fait accessoire. C. Du lo
ser que la longueur de ce lobe est, au contraire de son épaisseur, un signe d'élévation sériale. Mais les Gibbons échappent à
nce est nécessaire. Or plus elle est nécessaire, et moins elle est un signe d'élévation. Cette proposition mériterait peut-êt
t du lobe occipital et du pli marginal sont, dans tous les Singes, un signe d'élévation. Sur la face interne de l'hémisphèr
élévation. Sur la face interne de l'hémisphère, nous noterons Comme signe d'élévation la grandeur du lobule quadrilatère, e
82 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
e résolution complète. La constatation de cette aptitude constitue un signe des plus favorables à la production de l'hypnotis
aine. PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dégénérescence ? Un rédacteur de la Province
pour désigner les rongeurs d'ongles ei aussi l'opinion qui en fait un signe de dégénérescence. Il considère qu'il y a là un
ngles, depuis le matin jusqu'au soir, devrait être considéré comme un signe de supériorité intellectuelle II a sans doute pou
démontré que le prognatisme de la mâchoire inférieure constituait un signe indéniable de dégénérescence : un certain nombre
era montrée impuissante. D'ailleurs, si l'onychophagie n'était pas un signe de dégénérescence, elle n'en serait que plus dépl
vre.) , PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dégénérescence ? (1) Depuis plusieurs années
: « Est-ce toi Georges ?» « Georges mon fils ». « L'apparition fit signe que oui, et quoiqu'elle ne put parler, on sentait
ncé des paroles inutiles en présence de l'hypnotisé ; on a montré des signes d'inquiétude ; on a laissé échapper des exclamati
uivre). PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dégénérescence ? (1) (Suite) Mon cher Dire
(A suivre). ¦ PÉDAGOGIE DES ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dégénérescence ? (1) I. L'OXTCHOPHALGIE DASS
ES PIEDS Ce n'est pas le fait de ronger ses ongles qui constitue un signe de dégénérescence. L'animal qui se trouve géné pa
s avant qu'il ait chanté deux fois. Vous la trayez, vous faites trois signes de croix sur son pis et vous vous en allez sans r
tte. S'il y reste collé, l'enfant guérira ; sinon, c'est bien mauvais signe . Pour plus de sûreté, on fait dire une messe ou,
nférence ayant pour centre l'enfant malade. Ensuite, il faisait force signes de croix par tout le corps, en murmurant des paro
re. Beaucoup, sans employer de formules, se contentent de faire des signes de croix, en soufflant alternativement sur la brû
nent surtout chez des hystériques lesquelles présentent très vite les signes d'une grossesse vraie : les malades sont rapideme
sur la suggestion à l'état de rêve et dans la vie normale : étude de signe pupillaire. Broch. in-S 7 pages. Dr Bérillox :
ma nicut îo ni déjà portées à l'ordre dv jour: (° D* Bèrillon : Le signe de la'détente musculaire. Sa valeur en neuropatho
oldats, en même temps qne de bons citoyens. None avons même adopté le signe de la Croix-Rouge de la convention de Genève pour
, entrait donc dans le choix de sa compagne. ear celle odeur était le signe sensible et permanent de sa parenté avec lui, l'o
prétatiou anatomo-physio-logique de l'hypnotisme. Dr Bérlllox. — Le signe de la détente musculaire ; sa valeur en clinique
membre titulaire de la Société. La séance est levée il 6 h. 50. Le signe de la détente musculaire Sa valeur en clinique
D' Békillos, professeur à l'Ecole de psychologie La recherche du - signe de la détente musculaire » s'effectue de la façon
les recherches dynamométriques de divers auteurs. La recherche du ¦ signe de la détente musculaire » nous a appris que l'ét
e perturbation dans le fonctionnement des opérations cérébrales. Le signe de la détente musculaire donne des indications si
on progressive de la souplesse dans les mouvements musculaires est le signe le plue certain d'une évolution vers la guérison.
psychasthénie. Lorsque l'attention des malades a été appelée sur ce signe , ils ne tardent pas a en apprécier toute l'import
ercices d'à s son plissement ayant pour but de favoriser le retour du signe de la détente musculaire peuvent être utilement a
ps déjà, me semblent très intéressantes. Elles mettent en évidence un signe important en clinique psychologique ; elles montr
te musculaire auxquels a pratiquement conduit M. Bérillon. l'étude du signe qu'il vient de vous indiquer ont à cet égard une
gisme par la suggestion hypnotique. 6° D'Hôtel, de Polx-Terron : Le signe pupillaire : sa valeur psychologique. Question
d'urine. — La rééducation urînaire. 8° D'H6tel, do Poix-Terron : Le signe puplllalre : sa valeur psychologique. 4° M. Mo
avec joie. « Un franc éclat de rire qui gagne toute la classe est un signe de santé morale » par ce que rire est le propre d
suivant : Dr D'Hôtel (de Poix-Terron) : Ls valeur psychologique du signe pupil-laire. Discussion : Dr Bérillon Dr P. Far
Leicester^ sont adoptées à l'unanimité. La valeur psychologique du signe pupillaire par M. le Dr Georqks d'Hôtel, de Poi
produit le phénomène physiologique et psychique de la persuasion avec signe pupillaire. nous remonterons ensuite à ses causes
a défense, l'échec ou le succès, suivant que j'avais obtenu ou non le signe pupillaire. D était par contre des pupilles réf
dans plusieurs régiments, elles concordent. Elles nous donnent le signe pupillaire dans les deux cas : auto-suggestion à
t le pré-hypnotisme, c'est l'attention, c'est la persuasion, arec son signe pupit/aire, où nous avons voulu limiter celte étu
ssus sont faciles à déduire ; nous les énoncerons simplement. 1° Le signe pnpillaire, dans la vie courante, indique un état
osé par un état d'anie antérieur qui fait prédominer I sur B. 2° Le signe pupillaire doit être, en pédagogie, pour le maîtr
(Recherches sur la), par Jules Voisin, p. 360. Détente musculaire (Le signe de la), par Bérillon, p. 275. Dormir ? (Combien
nisme chez des enfants, par Régis, p. 366. Onychophagie est-elle un signe de dégénérescence (L'), p. 27, 57, 88, 115. Opi
tics, par Cha-vigny, p. 277. Pupillaire (La valeur psychologique du signe ., par d'Hôtel, p. Religions nouvelles en Austra
83 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rchives, 1. xv. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous venons de voir les signes qui caractérisent la déformation de la sciatiqu
brale. Lorsqu'on appuie légèrement sur ces points, elle donne des signes de douleur vive et s'écarte. L'hypéresthésie, quo
t ne sont pas nerveuses. Lui-même étant jeune, ne présentait pas de signes de ner- vosisme, mais des migraines : il est d'
ie moyenne et latérale du thorax du côté droit, mais il n'y a aucun signe de névralgie intercostale. Cependant la pressio
est normale et égale des deux côtés du corps. On ne trouve aucun signe de tabes, de paralysie générale, de tumeur céré
s à bout par un mariage déraisonnable, le jeune Mistral donnant des signes évi- dents d'aliénation mentale fut, sur la dem
me ou de son RAPPORT SUR MISTRAL. 87 I frère ne lui arrache aucun signe de sensibilité. Sa volonté est nulle; il fait e
n léger souffle à la base du coeur, on n'observe chez Mistral aucun signe de déchéance organique. A en juger par les résu
nna, commença la dite femme à se mouvoir et démons- trer par autres signes qu'elle Ùvoit encore, dont tous les assistants
s, près d'un individu plongé dans le coma le plus profond. Certains signes qu'il constate peuvent lui faire penser à une a
qui n'a rien à voir avec l'auditif est identique àce que Roller dé- signe sous le nom de racine ascendante de l'acoustique
les, mais par des lignes plus horizontales, sont, à notre avis, des signes typiques de la glioma- tose de la moelle épiniè
leurs excentriques de la nuque, l'arthropathie de l'épaule sont des signes caractéristiques, confirmant le diagnostic. A c
les mouvements des membres inférieurs. Enfin, il existe d'autres signes : absence des réflexes, troubles oculaires, dou
upement laisse peu de doute pour le diagnostic. Or ici tout autre signe fait défaut : quant aux autres symptômes du tab
e juger eu dernier ressort. Observation LUI. Mère morte maniaque. Signes légers de dégénérescence. Début à vingt-deux an
et sans changement des troubles intellectuels mélancoliques. Des signes importants pour le diagnostic seront alors la rép
leurs peu im- portantes. Il admet aussi que la stupeur n'est pas un signe forcé de dépression mélancolique, mais qu'elle
s de Rieger2 de ramener les phénomènes cataleptiques et autres, les signes d'opposition, etc ? à la même cause, c'est-à- d
, après un temps beaucoup plus pro- longé il est vrai, présente les signes d'un amaigrissement con- sidérable. Cet amaigri
ce pieux personnage. Cependant, au bout de plusieurs jours, nuls signes de putréfaction ne se manifestant, il transpira p
its dits de mort apparente. C'est même là, on le comprend, un des signes sur lesquels on s'appuyait le plus autrefois pour
ume brûlée, ni ammoniaque, ni piqûres ne purent nous donner aucun signe de sensibilité; le galvanisme fut employé sans qu
Passons, du reste, car nous croyons qu'il existe de bien meilleurs signes en dehors de l'aspect du malade, qui, d'ail- Ar
IQUE. leurs, prête un peu trop à l'appréciation individuelle. Ces signes sont tirés : 1° de l'état de la température ; 2°
é de la face pourront également éclairer le dia- gnostic ; mais ces signes paraitront surtout évidents et plus précis si n
ne laisse aucun doute sur la valeur diagnostique de ces différents signes . Pas un de ces auteurs ne signale, en effet, un
DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 297 1 en dehors même des autres signes propres aux dormeurs hys- tériques, pour établi
vec la mort réelle et, aller plus loin, ce serait énumérer tous les signes de la mort. Nous croyons avoir assez fait pour
ne ratissé. Pendant cette opé- ration, le malade ne manifesta aucun signe de douleur; seule- ment il soupira d'une manièr
s qui séparent le délirant chronique des dégénérés. Malgré certains signes communs, l'on ne saurait assimiler, sans erreur
l'autopsie de sujets n'ayant présenté pendant leur vie aucun des signes habituels du tabes. Plus récemment les recherch
la marche. Sensations de gonflement des pieds et de dénivellement. Signe de Rorn6eg. Excitation génitale suivie de frigidi
est toujours incertaine. La sensation de dénivellement persiste. Le signe de Romberg est très net. Les réflexes rotuliens
ion de Todd, vésicatoire.) Du côté de l'appareil respiratoire mêmes signes que précédem- ment et, de plus, râles, assez fi
statistique de cas divers d'aliénation dans lesquels il trouve des signes qu'on attribue à la catatonie : -. il n'admet n
pro- noncé. Morsures de la langue. Aura en forme de boule; aucun signe d'hystérie, pas de perte de la sensibilité au tac
as de raideur chez lui quand un membre est étendu. D'ailleurs aucun signe d'hystérie, aucune perte de sensibilité ou du s
arquons tout d'abord qu'après avoir donné la verbigération comme un signe diagnostique important, Kalhbaum ajoute qu'au c
de ses symp- tômes en particulier. En somme, isolément, aucun des signes que nous venons de passer en revue ne peut à lu
es aliénés; mais malgré leur absence, il est évi- dent que tous ces signes réunis "Ill' une seule et même tête suffiraient
emporté, violent, etc. Non, nous savons que l'un ou l'autre de ces signes considérés isolément ne saurait impliquer la dégé
roniques aient ou n'aient pas de tares héréditaires accusés par des signes de dé- générescence. On peut les considérer com
conteste que dans le délire des persécutions il y a quelquefois des signes de dégénérescence. M. B. 462 SOCIÉTÉS SAVANTES.
vingt-cinq malades. Sur quinze paralytiques généraux présentant le signe de Westphal, le phénomène du genou ne put être pr
84 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
à terme, et l'enfant est aujourd'hui bien portant. Il y a cinq mois, signes d'une nouvelle grossesse. Ajoutons que, dans l'in
les ca-ractères d'un fœtus de 5 mois, et présente, en outre, tous les signes qui dénotent une mort remontant déjà à plusieurs
uit le col utérin et a envahi même une partie du vagin ; les premiers signes de l'affection utérine remontent à un an environ.
ur qu'autant que la pathologie nous aurait appris à distin-guer à des signes certains, ou du moins probables, les cas dans les
essentielle de térébenthine, mélangée ' avec l'huile de ricin? Si les signes d'une péritonite viennent à se déclarer, mainteni
provoquée par l'administration d'un purgatif. Il peut arriver que les signes de bronchite latente, qu'on rencontre si souvent
s plus tôt, rarement plus tard. Il constitue, suivant les auteurs, un signe diagnostique de la plus haute importance ; il ser
dultes, et surtout chez les vieil-lards (Guéneau de Mussy). Parmi les signes défavorables, les auteurs signalent en première l
Dans l'une de ces formes, la fièvre pestilentielle est accompagnée de signes extérieurs, tels que bubons, charbons ou pétéchie
charbons ou pétéchies (pestilens fe-bris comitata). Dans l'autre, ces signes extérieurs font défaut (pestilens fe-bris incomit
issent plus tard que les bubons, et tandis que ceux-ci constituent le signe extérieur le plus constant de la peste, ceux-là p
difficile que de prévoir l'issue d'un cas donné de peste. — Parmi les signes d'heureux augure, on a noté les suivants : appari
ours; un pouls plein et régulier. — On range, au contraire, parmi les signes funestes, les pétéchies larges et nombreuses, l'h
pouls tombe soudain et descend à 80, 70. Quelquefois, et c'est là un signe presque toujours funeste, on ne compte même plus
s, l'algidité, la syncope, les mouvements con-vulsifs, sont aussi des signes du plus fâcheux augure. La forme congeslive est e
traitement incertain et l'issue plus fréquemment funeste. — Parmi les signes favorables, on a noté surtout la prolongation du
de à laquelle elle est parvenue. Dans les deux premiers jours; si les signes d'hyposlhénie sont bien marqués et que le sujet s
ne émotionnelle, mais de nature héréditaire. « Les Rohan avaient pour signe une touffe de cheveux d'albinos au milieu du fron
l'exploration du thorax fait découvrir au sommet du poumon droit les signes physiques en rapport avec l'existence de tubercul
5° La sortie d'un ou plusieurs acéphalocystes est, pendant la vie, le signe caractéristique de ces tumeurs. J'ai constaté, da
tion, le fré-missement hydatique déterminé par la percussion était un signe d'autant plus précieux que, ni dans le foie, ni a
meurs enkystées de la même région. Nos tumeurs ont cependant quelques signes pathognomoniques ; tels sont, par exemple : 1° le
ait été soumis au traitement par les inspirations iodées, à cause des signes non douteux de tubercules qu'il présen-tait ; mai
e ; d'ailleurs, nous avons aussi fait déjà remarquer que les premiers signes des tubercules pulmonaires ne se sont manifestés
ns avoir nécessité aucune manœuvre. L'enfant donne à peine quelques signes de vie. On parvient ce-pendant à le ranimer ; mai
vation. Ajoutons que la face interne du péritoine ne présentait aucun signe de phlegmasie, aucune trace de for-mation pseudo-
te est préférable à Vexpectante, et celle-ci à ïagissante; et à quels signes le médecin reconnaît qu'il doit agir ou rester da
et auxquelles convient la méthode expec-tante. Reste à savoir à quels signes plus ou moins certains ou probables on pourra rec
état de malaise. Le lendemain à la visite, elle me présenta tous les signes locaux et généraux d'une pleurésie des plus inten
es jours, dans le cours de certaines fièvres typhoïdes, alors que les signes d'hypersthénie du début ont été combattus par une
anifestée en moyenne le septième jour, et la disparition complète des signes physiques ayant eu lieu en moyenne le onzième jou
n'y a eu d'é-vacuations involontaires. Nous constatons, en outre, les signes les mieux accusés d'une ataxie locomotrice progre
on peut lui marcher sur les pattes ou la queue sans pro-voquer aucun signe de douleur. Bientôt, l'asphyxie faisant des progr
hez ce sujet, qui présentait, de la manière la plus accusée, tous les signes caractéristiques de l'ataxie locomotrice progres-
85 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
t parfait. Cette fusion de plusieurs ganglions en un seul est donc un signe de supériorité, et ce signe ne saurait être mécon
lusieurs ganglions en un seul est donc un signe de supériorité, et ce signe ne saurait être méconnu dans la tige nerveuse rac
anisation de ces êtres. Toutefois, il ne peut être considéré comme un signe (l'élévation, car il est beaucoup plus grand eu é
, dans Y Éléphant (1). Dans le type des primates leur grandeur est un signe d'abaissement. Ils sont très-grands dans les ca
s communications directes des nerfs optiques avec les hémisphères, un signe d'élévation. L'absence de ces communications rend
e; mais il n'y a encore, Voici donc, sous une forme inférieure, des signes de perfection commençante ou, si l'on aime mieux,
oïncide avec un développement normal du front, est-elle en général un signe d'intelligence, en tant qu'elle accuse un grand d
lant l'œil, envahit le domaine de la face, comme pour exprimer par un signe visible le règne de l'Intelligence sur la Matière
différentes; et quand le frontal est petit, elle est au contraire un signe d'idiotie. Toutefois, malgré cet envahissement du
llie de la face exprimant un plus grand développement du crâne est un signe d'intelligence. Par là, sa race est évidemment la
développement incomplet de la forme crânienne, en tant qu'elle est le signe d'un médiocre développement du cerveau. Mais on p
En effet, d'une part on considère en général un grand front comme un signe d'intelligence, et d'autre part certains auteurs
oitesse du crâne, ou du moins son aplatissement sur les côtés, est le signe de la pré dominance des facultés sociales sur l
t les sentiments, et les phrénologistes verront dans cette saillie le signe du développement de l'organe de l'alimentivité. M
ut aplatissement de cette courbe des deux côtés du plan médian est un signe fâcheux. Nous signalerons particulièrement à ce s
in, leur longueur, leur largeur, leur convexité, seront pour nous les signes d'une perfection humaine plus haute, et ces signe
ront pour nous les signes d'une perfection humaine plus haute, et ces signes nous les trouvons au maximum dans la race caucasi
soit enfin qu'elle ait une valeur purement esthétique, fournissant le signe plutôt que la condition d'une plus grande perfect
herchaient à exprimer cette tendance en ramenant en avant le frontal, signe du développement cérébral et de la puissance inte
ment motrices; en effet, quand on les irrite, l'animal donne quelques signes de douleur qui disparaissent d'ailleurs quand les
irritation des racines antérieures cesse à l'instant de provoquer des signes de douleur. M. Brown Séquard a fait voir, dans ce
poser l'animal, la plus légère irritation suffisait pour éveiller des signes de douleur du coté tranché. trajet probable de
aissons par leurs qualités, par leur manière d'agir sur nous, par des signes naturels, c'est-à-dire, par une voie indirecte, .
e sont point des expressions adéquates des choses, ce sont de simples signes . A cet égard, d'ailleurs, ce sont des indicateu
ner, choisir, classer et arranger des sons, de manière à en faire les signes par excellence de toutes ses idées. Ainsi l'homme
oute faite des mains de la nature. L'ouïe n'a point le monopole des signes auquel l'esprit attache en quelque sorte ses idée
tés les plus rapides, aide aux allures libres de la pensée, comme les signes algébriques à la promptitude des calculs du géomè
qui l'écoutent, car le langage n'est pas seulement une exposition de signes , il y a en lui un élément de persuasion si fort,
mages toutes faites. La vue n'indique pas seulement les objets par un signe ; elle les représente à l'esprit par des peintures
une couleur et un son, un certain cri et un certain acte, un certain signe et un certain instinct viennent-ils à coïncider
e discours les noms de leurs amis les plus chers, les désigner par un signe ou par une qualification caractéristique. Ces f
l n'y a point là d'ordre général, c'est une association fortuite d'un signe et d'une chose, c'est une coïncidence dont l'idée
ouvent dans le discours, tandis que l'autre, celui qui se contente du signe , perdra tout en perdant la mémoire des noms. Mais
ur des inspirations miraculeuses. Mais cette lucidité maladive est un signe redoutable qu'accompagnent, dans la plupart des c
nombre, c'est avoir une tendence énergique à l'exprimer par certains signes . 11 peut donc y avoir chez un questionneur intére
éveillé, « qu'y a-t-il d'étonnant, dit-il, que certains songes soient signes ou causes (2); » mais il ajoute aussitôt : « D'ai
, M. Chevreul apprit assez tardivement la mort d'un vieil ami qui, en signe de souvenir, lui léguait sa bibliothèque ; cette
culte, sans se douter qu'il y a, d'un côté, des indices d'action, des signes réels de volonté, et, de l'autre, une idée précon
isposition par la foi. D'ailleurs, quand la foi sera vive, le moindre signe su'fira, parce que la foi amène l'attente; et l'a
« beau être dans un assoupissement apparent, sa voix, un « regard, un signe les en relire. On ne peut s'empêcher de « reconna
révèle, sous une forme intelligible, l'état intérieur de l'âme. Ces signes sont si simples, que le premier coup d'œil les fa
e une foule de gestes dont l'origine est en général mal appréciée. Le signe par lequel nous accédons à une proposition n'est
'intelligence s'éveille-t-elle à la lumière d'une idée? Il surgit des signes d'excitation expansive dans tout le corps et les
hanteurs s'appellent de loin par des stridulations assidues. Or, tout signe qui annonce naturellement la présence d'un objet
nvention arbitraire, une idée quelconque peut être représentée par un signe quelconque. M. Flourens dit fort bien, en compara
e. Dans ma langue même, j'ai le « mot parlé et le mot écrit. Tout est signe pour l'homme, « tout peut lui être langage : nos
'idée abstraite dHmité et peut être représenté par M 4- 1, M étant le signe d'une collection définie d'unités. Or, une pareil
86 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
la pantomime à laquelle se livre nctre malade ; vous voyez, elle fait signe d'abord qu'elle ne peut rien dire : mais la voilà
e Nancy. « Pour éviter le danger de la simulation, nous cherchons des signes objectifs, c'est-à dire des signes qui ne peuvent
la simulation, nous cherchons des signes objectifs, c'est-à dire des signes qui ne peuvent être produits par la volonté. De t
dire des signes qui ne peuvent être produits par la volonté. De tels signes peuvent être produits par la suggestion ou sans c
ur décider la question de la simulation. I1 n'est pas douteux que des signes objectifs ne puissent naître par la suggestion pa
M. Charcot disent que les- expérimentateurs de Nancy n'aient pas des signes objectifs et ne se gardent pas contre la simulati
et ne se gardent pas contre la simulation. L'école de Nancy a vu des signes objectifs, mais seulement à la suite de la sugges
ents de ceux de l'école de la Salpé-trière, qui affirme qu'il y a des signes objectifs indépendants de la suggestion. Ce n'est
ion dès qu'il s'agit de tourner sur soi-même, et tendance aux chutes ( signe de Rhomberg), dès que les paupières sont closes,
MM Panl Richer et Bérillon. Le professeur Brown-Sèquard n'a-t-il pas signe la pré-tace de la traduction française de livre d
ou à l'acte suggérés. La suggestion a pour point de départ un mot. un signe , un indice quelconque, si peu explicite qu'il soi
motion, survenant chez la mère en gestation peuvent-ils déterminer un signe quelconque sur le corps de l'enfant ? Le père de
tases sanguines dans le système de la veine-cave inférieure. Point de signes de grossesse ni de tumeur. Sachant qu'il n'y avai
titeépoque), à un moment, en un mot, ou existaient antérieurement des signes de fluxion utérine et ovarienne. Cette dernière p
ont pas encore l'expérience suffisante, se bissent influencer par des signes de conscience que présente le sujet, tels que rir
le nez Un médecin humouriste (ne pas confondre avec humoriste) qui signe modestement D'Oméga, a envoyé au journal « Archiv
es hommes à nez aquilin ; Plutarque voyait dans les nez retroussés un signe d'imprudence, et Aristote pensait qu'un nez long
arde au nez, etc., et à Naples. par exemple, on le considère comme un signe de bonne éducation d'où le proverbe : ?hi ,cne ??
unie cl ne présentait aucun caractère distinctif), des points et des signes particuliers qui réveil-laient dans son esprit la
s ou moins inconscientes d'un hypnotiseur passé. (M. Bernheim fait un signe d'assentiment). Eh bien! je Le demande : commen
iler cette élection. Plusieurs de ses convives manifestèrent quelques signes d'ébriété ; or, bien qu'il n'eût bu que d« l'eau,
, puis tomba dans la torpeur. Il fut porté dans son lit avec tous les signes de l'ivresse alcoolique, mais il se rétablit, et,
ractée au Tonkin, je suis dyspeptique -et présente un grand nombre de signes habituels aux névropathes. Sans insister sur les
sion d'une folle. D'après mon jugement, elle a montré plutôt tous les signes d'une mélancolie. Quoique je n'eusse que de fai
ates physiques et des trois états. Elt-il nécessaire de retrouver les signes du grand hypnotisme pour établir l'état de sugges
depuis six mois ; souftle cardiaque, systoli-que, à la base. Pas de signes de tuberculisation pulmonaire. Dyspepsie flatul
pportât des pioches et des pelles pour chercher son père, mais il fit signe de ne pas se presser,et les outils ne furent appo
ou un lion supposés, et l'hypnotisé manifeste immédiatement tous les signes de la terreur; s; je lui dis une minute après que
uants aux antécédents personnels, nous trouvons chez notre malade des signes de dégénérescence psychique. Ainsi, elle était to
Enfin, pour compléter notre examen.nous avons cherché chez elle les signes de la dégénérescence physique: nous n'en avons tr
tre d'indiquer les méthodes d'hypnotisation dans les réponses par les signes suivants : (a) Méthode de Braid et de Charcot.
on mollet où il a reçu une morsure fictive; tout cela sans le moindre signe d'effroi, sans que sa physionomie trahisse la moi
crit au tableau de l'ordre des avocats à Paris. X...,a présenté les signes les plus manifestes de la grande hystérie, (attaq
ières années, on a appelé les stigmates hystériques, c'est-à-dire des signes fixes et permanents, qu'il faut rechercher pour l
ession des globes oculaires, la malade ne peut plus parler, elle fait signe qu'elle entend, produit les gestes d'une conversa
lcoolique stéréotypé. Chaque malade y ajoute sa note personnelle. Les signes de l'intoxication et les signes révélateurs de la
ade y ajoute sa note personnelle. Les signes de l'intoxication et les signes révélateurs de la prédisposition héréditaire cons
e Vaucluse, le 7 mars 1888. C'est un arriéré simple chez lequel les signes de dégénérescence sont surtout psychiques. Au poi
nçue : que le diable marquait le plus souvent sa présence par quelque signe particulier apparent a la surface du corps: une t
ement sans douleur, l'insensibilité à la piqûre d'une épingle étaient signes certains, de même que les empreintes, considérées
a griffe dn démon. - Il arrivait même souvent, qu'en dehors de tout signe extérieur propre à l'accusé, le fait seul entraîn
ème du mois et l'année de l'expérience; sur la poitrine, une série de signes cabalistiques. (Fig. 1 et Fig. 2). Tout dans ce
ouveaux adeptes. Ces marques, ces stigmates étaient, entre tous les signes de possession, le plus démonstratif le plus fatal
ppliqués sur la peau. Une cicatrice — où qu elle fut placée — était signe de possession ancienne ; une rougeur avec gonflem
oquer de chatouillement, sans autre effet qu'un larmoiement abondant, signe de la conservation du réflexe lacrvmal. Si, lui
, un excédant de garçons supérieur au rapport normal des sexes est un signe de faiblesse et non de force ; cet excédant croit
rre : Lloyd Tuckey (15) ; en Suède: Wetterstrand etc..etc. Comme un signe caractéristique de l'état présent de d'histoire d
87 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nes dans des dispositions maladives similaires de la mère, mais les signes de la dégéné- rescence sont nombreux, chez elle
s aucune anesthésie. La sensibilité tactile est délicate, plus de signe de Romberg, plus de rétrécissement du champ visue
sive d'aucune espèce, jamais d'absences ni de vertiges ; bref aucun signe apparent de mal comitial. Au point de vue hysté
nt la scène. L... n'est pas alcoolique. On ne trouve chez lui aucun signe d'intoxication chronique. La santé générale, se
te. L'inconstance dans la position de ces entailles en constitue un signe invariable dans le type moyen; - 3° chez presque
notamment du vin, tremblent moins. La malade actuelle présente les signes de la sclérose en plaques. L'examen du frère de
de décèle que le tremblement est en voie d'amélioration, sans autre signe de sclé- rose en plaques, son tremblement dimin
de la pression intra-céré- brale (papille étranglée bilatérale) un signe essentiel de la maladie fondamentale. Il y en a
aussi bien, est-ce presque exclusivement, par l'appréciation des signes qui le constituent que nous jugeons chez les autr
ur l'écriture auto- matique, enfin les troubles de la formation des signes graphiques, par vice d'éducation, par malformat
légué par lui, remplit les fonctions d'ordonnateur, et, à ce titre, signe et délivre tous mandats pour l'acquittement des
au président, et avant la séance, le registre des délibérations. Il signe avec le président du conseil d'administration e
ère de la Société. Il vise toutes les pièces de comp- tabilité ; il signe , en vertu d'autorisations spéciales du conseil
temps, un boucher, M. Montet, établi rue Mont- martre, donnait des signes d'aliénation mentale des plus vifs. Le malheure
images ou inscriptions malfaisantes, poussant ci la répétition des signes de croix, à l'abandon des vêtements, à ,la susp
dehors de la répétition des actes fait des prières mentales et des signes de croix; elle se cache, croit les mal faire, et
lesse de lui prêter son concours et en arrive à faire avec elle des signes préservateurs de croix. Obskrvation XVIII. Dé
s, etc. Dans ce cas, et lorsque le sujet ne présente pas d'autres signes de névropathies, l'amblyopie transitoire constitu
u bout des doigts de la main gauche, et, comme il sait que c'est le signe précurseur de l'accès, 1 Je dois ces observatio
ifficile d'en juger car le malade sait à peine écrire. Cependant il signe son nom sans plus de difficulté que d'habitude,
APEUTIQUE. observer une tendance, durant la lecture, à traduire les signes écrits dans leurs articulations équivalentes. M
dente d'un traumatisme bien défini, ou qu'en outre, on constate des signes d'irritation locale de la région de l'écorce ou
itables osléomalaciques (accidents parétiques, démarche de la cane, signe de Romberg, exagération du phénomène du genou,
vation que lit M. Sé- glas. Aussi, pour trancher le diagnostic, les signes pathognomoni- ques habituels de la paralysie gé
es hallucinations kines- thétiques. des impulsions de toute espèce, signes d'un dédouble- ment de la personnalité et très
élires de négation. Pour le pronostic, le délire de négation est un signe de chronicité, mais non d'incurabilité absolue.
lysie générale à la dernière période. Au bout de quelques mois, les signes du satur- nisme avaient disparu, il s'était pro
assistance publique et l'enseignement public sont, dit-il, les deux signes auxquels se reconnaît une civilisation véritable,
propos de son enfant, âgé de près de neuf mois, qui présentait les signes de l'imbécillité mentale. Au jour indiqué, elle
lettre H, a eu de meilleurs résultats. L'en- fant vit, et donne des signes non équivoques d'amélioration intel- lectuelle.
avoir son chapeau sur la tête, car elle sait que c'est pour elle le signe qu'elle va sortir. Toutes les sutures sont ferm
et ils recourent pour le conjurer à des moyens variés et fatigants; signes de croix, abandon des vêtements, changement de
us verrons encore une malade se hâter anxieusement de substituer le signe graphique mouton ou boeuf à celui de chien qui
dans la syphilis cérébrale. Si l'on ajoute à cela l'absence de tout signe de l'in- fection syphilitique, nous aurons un e
station debout, la démarche ne présentent pas d'anomalie. Pas de signe de Romberg. Le membre supérieur droit est le si
cher dans l'emphysème pulmonaire diffus, dont nous avons trouvé les signes dans Cha.... Du reste Ziemssen observe que l'év
. La démarche, la station debout, ne présentent aucune anomalie. Le signe de Romberg est absent. La force musculaire est
i, dans l'hypothèse d'une lésion organique, aurait dû constituer un signe non douteux de son aggravation), tandis que ni
érature. L'on peut m'objecter que dans notre cas furent absents les signes les plus caractéris- tiques de la fulguration,
et de vide, parfois le vertige, c'est-à-dire en général les mêmes signes que pour l'anémie cérébrale, et ils s'effacent au
rises d'amblyopie transitoire. Or, tous ces troubles sont encore un signe du siège superficiel (centres et fibres corticaux
s prodromes et le premier temps de la douleur, on remarque tous les signes du spasme artériel (Pembester Peake), suivi plu
ttaque de migraine ophtalmique, lorsque le malade en pré- sente les signes avant-coureurs (Baralt), qui lui permettent, -
re communication, chez une malade du service de M. Falret. C'est un signe de plus de la faiblesse de l'attention chez les
isuels : 476 RECUEIL DE faits. et nous aurons au complet tous les signes qui, pour M. Char- cot, caractérisent le mutism
le mélange de folie morale et intel- lectuelle forment également un signe caractéristique de dégénéres- cence chez une ce
e dix ans après le début de la maladie que se montrent les premiers signes d'idées - ambitieuses. En somme, un cas type
. Actuellement, on constate de l'ataxie statique et locomotrice, le signe de Westphal, de l'atrophie de certains muscles
ie générale : diminution du réflexe patellaire douleurs lancinantes signe de Romberg z vertiges - troubles de la parole a
rement à l'examen galvanique et faradique comme présentant tous les signes de la réaction démé- néralive complète ou moyen
es, la chute des dents, l'impuissance, des douleurs lancinantes, le signe de Romberg, l'incontinence d'urine, le signe de
uleurs lancinantes, le signe de Romberg, l'incontinence d'urine, le signe de Westphal. Ni ataxie, ni trouble de la sensib
88 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ervé par 5 personnes. VI. Phénomènes lumineux. 13 personnes. VII. Signes apparaissant d'une manière extraordinaire : a)
ques secondes, l'émotion provoque l'apparition d'un certain nombre de signes frappants : les narines se resserrent, les pupill
ique, la région correspondant au moignon du membre amputé donnait des signes de douleur. J'ai noté en même temps que cette sen
le papier, une manchette ou une tablette, sans l'aide du crayon, des signes d'une forme indéterminée ou bien de simples ligne
, des signes d'une forme indéterminée ou bien de simples lignes ; les signes paraissent écrits à l'aide du crayon, mais le méd
médecins prit un crayon, le tourna par la gomme en bas et traçait des signes sur une feuille de papier blanc, à l'ombre de plu
touchait seulement le crayon), bientôt apparurent sur le papier des signes visibles, tracés au crayon. D'ailleurs, j'ai obse
autre fois Eusapia produisit sur la manchette d'un des assistants un signe rouge, en faisant à la lumière un mouvement de ma
s expérimentateurs, lorsque, par exemple, ils recherchent d'abord les signes distinctifs pathologiques ainsi que par l'atmosph
a leur insu au moment même, et sans qu'ils puissent manifester par un signe quelconque, que leur esprit en idée fixe d'un cot
demande, et du même coup il devient cataleptique comme le somnambule, signe évident du rapport qui commence à s'établir. Ains
ie a Xe- S et 9. m'avait été impossible de leur faire auparavant un signe . Eusapia arracha momentanément sa main droite, do
ssolution du complexus normal des idées, dans laquelle nous voyons le signe caractéristique commun au rêve et à l'hypnose, es
parait communément chez tout le monde ; phénomènes variant par leurs signes et leur intensité selon les idées qui sont à leur
s reproduire toutes par affirmation. Dans le sommeil, on retrouve des signes de chacune d'elles : idées fixes, au pôle passif;
insensibilité, mouvements irrésistibles, stigmates, oubli, etc., tous signes qui les caractérisent plus ou moins en partie. Le
'une assez grande inertie de la volonté, sans qu'il s'y mêle d'autres signes marquants de folie; mais le plus souvent l'abouli
Ateneum (revue mensuelle) Varsovie, an 1879, septembre, décembre. — signes mécaniques (1), mouvements — lumière (2), — et po
le médium, M. Szydlowski, se tenait éloigné et n'approcha que sur le signe des assistants. Les bras nus jusqu'aux coudes, il
et faire soupçonner d'innocence un homme qui n'aura jamais montré de signe de folie, qui aura gardé toutes les apparences de
re a-t-il fait connaître la mise à prix, 6,000 francs, que je fais un signe d'assentiment. Il m'est adjugé. Je rentre chez mo
rmont, de vieilles femmes guérissent la maille (kératite) au moyen de signes de croix et de cette sorte de prière rythmée :
endent, sous les flèches de l'ennemi, que les victimes présentent des signes favorables. Deux, trois, quatre victimes sont suc
lèves, et, comme la plupart des maladies nerveuses s'accusent par des signes extérieurs, il pouvait faire des démonstrations i
oit à la veille soit au sommeil, que, dans la veille, il survient des signes du sommeil: ainsi des hallucinations physiologiqu
seule fois. La peau du corps entier deviendra si vigoureuse que tout signe d'eczéma disparaîtra. Les dermalologistes avaie
mais deux semaines, au moins, avant qu'elle cessât ses visites, tout signe d'eczéma avait disparu et l'état général de la ma
ment étonné, car je n'avais communiqué mon dessein à personne ; aucun signe , si minime fût-il, aucun regard ne m'avait trahi,
lui sont adéquates. Un son, un mot, une image, au besoin un geste, un signe signifient telle ou telle pensée ; ce sont instru
ote, je dirai donc : Le problème de la transmission de la pensée sans signes ni contact, posé par des esprits éminents, existe
s sujets que l'on hypnotise, ces deux états étant caractérisés par ce signe commun : l'absence ou la diminution de la volonté
tion convulsive que nous avons à traiter. Je n'insisterai que sur les signes essentiels et pathognomiques. L'attaque d'épile
t ne se contractent pas à la lumière artificielle. C'est un excellent signe que je recommande toujours aux employées de mon s
ndre compte de ce qui se passe dans l'intervalle de mes visites. Ce signe n'existe pas dans l'hystérie. Les convulsions p
ière. L'incontinence d'urine et quelquefois des fèces est encore un signe pathognomonique de l'épilepsie. Il n'existe jamai
epsie. Il n'existe jamais dans l'hystérie. Il est un autre ordre de signes des plus importants que révèle le sphyg-mographe,
and et le petit mal et qui était interné à l'Asile de Clermont. Ces signes n'existent pas non plus chez l'hystérique. Aprè
et de l'attention. Ces divers symptômes fondamentaux constituent les signes de la faiblesse mentales des stigmates de psychas
dant son sommeil elle urinait toutes les nuits dans son lit. Bien des signes sur lesquels je ne puis insister nous montrent qu
89 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avons observé aussi des bâillements et des ravalements. Ces trois signes sont très importants. Après des mouvements d'un
pendant le balancement de l'animal ni la salivation, ni les autres signes caractéristiques du vertige marin produit par n
et font des mouvements de mastication ; ils ont de plus les autres signes . Mais ils souffrent moins que les lapins. - c
utres elle a été abondante. Nous considérons la salivation comme le signe le plus important du vertige marin expérimental
une faculté spéciale qu'on pourrait appeler la mémoire visuelle des signes du langage. (Charcot, in Ler., t. lit, p. 166,
oite étant plus dilatée, du tremblement très caractérisé des mains, signe d'alcoolisme et de l'embarras de la démarche ;
tion fébrile, le 9 octobre 1887. A l'autopsie, nous trouvâmes les signes ordinaires de la méningo- encéphalite chronique
lirants remontent à treize jours. M"° Ch... a commencé à donner des signes d'agitation; elle n'était plus mai- tresse d'el
xtrémités; aménorrhée. Insomnie. Analgésie presque complète; pas de signes constatés d'hystérie ; pas de raideurs. Taille él
riture donnés par Neisser dans lesquels les mêmes mots ou les mêmes signes sont répétés de façon à constituer une sorte de
e de ses parentes dont elle partageait le lit, étant enfant. Pas de signes d'hystérie. Sortie guérie. 45 novembre 1886. Le
e que par l'un quelconque 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de ses signes , la maladie des tics convulsifs est toujours l'ex
excepté dans la protubérance et les vaisseaux du cerveau, avec des signes de dénutrition de la substance blanche. (New-Yo
relation pathogénétique ; enfin sur cent autopsies, on ne note nul signe caractéristique de syphilis dans l'encéphale et
effacer en grande partie le délire des persécutions. Déjà même des signes non équivoques de démence prochaine se manifest
des lésions secondaires ? M. Kussmaul. Dans l'espèce il n'y a aucun signe d'altéra- tion articulaire. M. DE RECKUNGHAUf
ut à fait caractéristique. La rigidité musculaire est alors le seul signe de la paralysie agitante, signe suffisant pour
gidité musculaire est alors le seul signe de la paralysie agitante, signe suffisant pour les particularités spé- ciales q
e trépidation épileptoïde soit spontanée, soit provoquée. Le seul signe qui existe comme vestige de la paraplégie spas-
côté des organes génitaux. Enfin, le seul 170 CLINIQUE NERVEUSE. signe qui existait comme souvenir pour ainsi dire et co
musculaire parfaitement normal, sauf peut-être un certain degré de signe de Romberg. Les parties anesthésiées sont froid
attes et il reste couché. L'augmentation de ce liquide provoque les signes de la compression du cer- veau. La systole card
e pourtant élait bien facile. L'examen physique n'a donné aucun des signes qu'on trouve si souvent chez les dégénérés, et
cem- REVUE D'ANATOMtE PATHOLOGIQUE 277 -i bre 1886, avec tous les signes caractéristiques d'une intoxica- tion arsenical
- sique. M. Binswanper n'a cependant pu retrouver constamment les signes de Charcot. L'hypnose par suggestion de Liébeault
at lui-même (ordon- nance pour Berlin) demande-t-il qu'un praticien signe avec lui ? Ce sont là conditions tout bonnement
e de ce syndrome. 1). Exaltation des réflexes roluliens. C'est un signe qui n'a manqué dans aucune de nos observations.
augmenté plus ou moins d'intensité. 2). Epilepsie spinale. C'est un signe constant. En effet, tous les paraplégiques, par
eul chez lequel nous n'ayons pu constater de visu l'existence de ce signe , au moment de notre examen; mais si l'on jette
ent une grande quantité de pus et de mucus, laissant voir ainsi les signes d'un catarrhe vésical chronique qui a compliqué
stérieurs, c'est-à-dire les douleurs fulguran- tes, en ceinture, le signe de Romberg, l'incoordination motrice et l'absen
ouillement très fort si la plante des pieds, anesthésie en plaques, signe de Romberg. Traitement : travail dans l'air com
ndait la marche presque impossible n'a presque plus d'influence. Le signe de Rombprg est en très grande amélioration, il
constriclives. Perte de notion de position des membres inférieurs. Signe de Itonzberg. Histoire. Nicolas Thermiotis, âgé
de douleurs fulgu- rantes. Crises gastriques. Douleurs en ceinture. Signe de Romberg. Perte de notion de position des mem
tômes sont bien plus marqués au membre droit. Douleurs fulgurantes, signe de Romberg, difficulté très grande à marcher da
é. Les douleurs fulgurantes sont plus rares et moins intenses. Le signe de Romberg est très marqué. La marche devient trè
appui. Etat actuel (30 janvier 1885). - Syiî(12-ônze spasmodique. Signe de Romberg. l'as de notion exacte de différentes
(10 juin 1884). Syndrome spasmodique prédo- minant au membre droit. Signe de Romberg, difficulté de mar- cher sans le con
reconnaît ses parents, ses voisines, sait expliquer, sur- tout par signes , ce qu'elle veut; elle mange seule, ne gâte pas,
sant, apparaissent les troubles sensibles et l'ataxie du muscle, le signe de Romberg. Enfin, tout à fait à la fin, les tron
d'un homme qui, auparavant bien portant, présentait néanmoins le signe de Westphat ; peut-être était-il déjà en proie à
n'amènera pas devant le tribunal un homme -qui n'aura pas donné des signes d'aliénation mentale, évidemment; mais com- men
» Le reste du travail de M. Combomalle est con- sacré à l'étude des signes physiques des dégénérés alcooliques; il reprend
90 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
imer, à peine arrive-t-on jusqu'à cet organe : aussi n'acquiert-on de signe matériel vraiment caractéristique sur l'existence
urs obtuses dans l'abdomen, qui est volumineux , et présente tous les signes d'une ascite commençante. A travers un flot de li
'interroge pour savoir si des frissons, des bâillemens, en un mot les signes ordinaires d'un accès fébrile surviennent à quelq
us grande attention et le thorax et l'abdomen : aucune douleur, aucun signe de lésion. Soupçonnant néanmoins l'inflammation l
confirme mes soupçons sur l'existence d'une hépatite ; mais point de signe local. L a langue, très-rouge, humide jusque - là
la plus grande attention. La crépitation du poumon n'est donc pas un signe constant de pneumonie. Béflexions. — Ainsi cett
lques points, coagulé dans d'autres. L'hémoptysie n'est donc pas le signe le plus constant de l'apoplexie pulmonaire, et n'
petitesse extrême du pouls avec expectoration de sang noir, voilà les signes de l'apoplexie pulmonaire moyenne ; une dyspnée e
enne ; une dyspnée extrême, subite, avec ou sans hémoptysie, voilà le signe d'une apoplexie pulmonaire foudroyante qui se con
la percussion, je crois que c'est a priori que Laennec a indiqué les signes que l'une et l'autre fournissent dans l'apoplexie
re, âgée de soixante ans, présentait depuis plusieurs années tous les signes d'une dilatation avec hypertrophie du cœur. Elle
ables : Ergo pulmonum excavatio gangrœnosa non est incurabilis. 4°. Signes diagnostiques. L'air expiré et les produits de l'
gargouillement considérable dans toute l'étendue du foyer, voilà les signes les plus constans de la gangrène du poumon : mais
oilà les signes les plus constans de la gangrène du poumon : mais ces signes sont bien loin d'être caractéristiques. J'ai do
ar excellence; mais cette hémoptysie, que Laennec a donnée comme le signe le plus général de l'apoplexie du poumon, n'était
même côté. La peau était saine et mobile, et con-sequemment point de signe d'une rupture prochaine au dehors. La paroi ant
n vomissant une grande quantité de sang sans avoir jamais donné aucun signe de maladie. A l'ouverture, on trouve que la porti
un jour sans dormir. Du reste, face naturelle, aucune douleur, aucun signe de maladie. M. Gauthier appelé pense, comme le ma
sie complète du sentiment et du mouvement. Mais je ne vois là que des signes de compression de la moelle, et toute cause qui c
muqueuse laryngée ressemble exactement au croup. Je ne connais pas de signes différentiels; seulement le pharynx, le voile du
maladies de laquelle elle participe toujours plus ou moins. Quant au signe caractéristique très-rationnel donné par le docte
s le rapport du volume et de la forme de l'abdomen. A l'aide de quels signes établirons-nous donc le diagnostic différentiel d
ccès, pour débarrasser les malades de kystes ovariques énormes. Les signes pathognomoniques différentiels de l'hydropisie en
ne dépendance de la tumeur abdominale. Dois-je rappeler à côté de ces signes positifs que l'hydropisie enkystée de l'ovaire se
ion involontaire des urines, la stupeur, l'immobilité sont encore des signes extrêmement funestes. La gravité de mon pronostic
la pseudo-membrane d'apparence lardacée, et peut-être, à l'aide de ce signe , pourrait-on reconnaître le moment où se forme ce
erait un grand service à rendre aux praticiens que de leur donner des signes certains à l'aide desquels ils puissent, dans tou
bdomen ouvert, le canal intestinal ne présente au premier abord aucun signe d'altération ; les deux derniers pieds de Fimcoti
diagnostic auxquelles elle peut donner lieu. Ici existaient tous les signes rationnels d'une tumeur carcinomateuse externe ou
le 16 août 1829. » « autopsie. L'état général du corps offrait des signes de putréfaction avancée. — Tête. Une assez grande
le 16 août 182g. » « Autopsie. L'état général du corps offrait des signes de putréfaction avancée. — Tête. Une assez grande
s, sur sa mollesse, sur le défaut absolu de douleur. J'eus recours au signe pathognomonique de l'hydrocèfe, et je découvris u
nous avons remarqué dans les deux cas représentés pl. 3 et pl. 4- Les signes de cette luxation, savoir, la pronation avec impo
. — Comme dans tous les cas d'usure des cartilages, nous trouvons des signes non équivoques d'inflammation des synoviales, car
uls lent et irrégulier, le froid des extrémités, voilà la réunion des signes les plus propres à différencier le ramollissement
ale. VIII. Du reste, le cancer aréolaire gélatiniforme ne donne des signes de son existence que lorsqu'il gêne mécaniquement
il est facile de voir qu'aucun de ces symptômes ne peut être érigé en signe pathognomonique. Parmi ces phénomènes morbides, l
jamais prononcer sur l'existence d'un cancer à l'estomac, à moins de signes physiques bien positifs, sans avoir éprouvé les b
des symptômes généraux et locaux que les pathologistes donnent comme signes caractéristiques de l'inflammation viscérale ; 4°
état nerveux, fréquence extrême du pouls; l'hypogastre ne donne aucun signe de sensibilité. L'exploration du thorax ne donne
e la face et le gargouillement reconnu par l'auscultation ; jamais ce signe ne nous a trompé. J'ai plusieurs fois rencontré l
à la fétidité. D'une autre part la fétidité toute seule n'est pas un signe univoque de gangrène; tous les jours on l'observe
'ai vue dans un cas de bronchite chronique purulente. Enfin, tous les signes de la gangrène peuvent manquer: tel est le cas su
Une femme âgée de quarante-cinq ans, qui n'offrait d'ailleurs aucun signe de grossesse, expulsa, au milieu de douleurs utér
l'ascite, si commune dans les périodes avancées de cette maladie. Ce signe est pathognomonique. Du reste, lorsque la tumeur
pour faire soupçonner cette maladie. Combien de fois l'absence de ce signe caractéristique ou le défaut d'exploration suffis
uls. Les poumons sont perméables partout ; on ne peut méconnaître les signes d'une hypertrophie du » cœur avec un commencement
ité et d'instruction, la violence des battemens du cœur, le défaut de signes positifs du côté du foie et xiie livraison. 3 d
saines. Réflexions. La fréquence considérable dans le pouls est un signe presque constamment mortel dans le typhus puerpér
l est bien difficile de l'établir d'après un seul fait. L'absence des signes de la péritonite, une douleur hypogastrique légèr
pléent mutuellement. Le rétablissement de la sécrétion d'urine est un signe non équivoque d'amélioration. Chez plusieurs de m
. La suppression complète du pouls aux radiales est regardée comme le signe certain d'une réaction impossible. Cette règle n'
faissement extrême; coma profond. Toutefois, la malade donne quelques signes d'intelligence, lorsqu'elle est fortement excitée
(psorentérie de M. Serres). 5° La rougeur, les ecchymoses et autres signes d'inflammation observés dans un certain nombre de
éniale; et j'ai pu me convaincre combien sont dénués de fondement les signes que l'on donne généralement comme différentiels d
ouge de l'estomac soit par points isolés , soit par lignes, est-il un signe d'inflammation ? S'il en était ainsi, rien ne ser
un pouce. Cet enfant avait vécu dix-huit mois; il n'avait donné aucun signe d'intelligence: ses membres étaient continuelleme
foration a eu lieu au moment de la naissance, car elle présentait des signes non équivoques de récence, et le liquide qui s'éc
entré à l'Hôpital Saint-Antoine pour une maladie qui offrait tous les signes rationnels et sensibles d'un squirrhe au pylore,
ion ; l'exploration du thorax donne, à droite et en arrière, tous les signes du catarrhe pulmonaire ; l'abdomen assez consista
s un kyste inerte, séjourne jusqu'à la mort de l'individu sans donner signe de sa présence. Les cas de fœtus momifiés qui o
e avait fait une fausse couche la première année de son mariage). Les signes ordinaires de l'accouchement se manifestèrent; il
de l'organe; elle n'était point cadavérique, car il n'existait aucun signe de putréfaction ; et d'ailleurs la coloration ard
ont le liquide était couleur de bistre. L'impossibilité d'acquérir le signe pathognomonique de l'hydrocèle, la transparence,
ité dans le lieu douloureux et à la crépitation. Cependant ce dernier signe n'était pas franc comme celui que donne une fract
faire soupçonner le ramollissement; ou plutôt, en m'en rapportant aux signes diagnostics établis par M. Lallemand entre l'apop
e pathologique ; i° que bien qu'il n'existe à proprement parler aucun signe pathognomonique qui puisse différencier au lit du
91 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
Il était impossible de méconnaître une fracture du col du fémur aux signes suivans : raccourcissement très considérable de l
mur, ou bien fracture de la partie supérieure du corps de cet os? Les signes ordinaires de la fracture du col du fémur existai
heresse de la langue, je soupçonne la pneumonie ; il est rare que les signes locaux d'auscultation et de percussion ne viennen
ion, qui est notablement rapprochée de la crête iliaque, voilà un des signes les plus importans; je l'ai observé dans deux aut
col du fémur m'a toujours paru plus facile à reconnaître à l'aide des signes fournis par l'examen de la région postérieure du
ercule. La capsule nouvelle est fort lâche, et présente elle-même des signes non équivoques d'usure, de lacération. La directi
de. Voici le fait : Une femme de 5o ans environ présentait tous les signes physiques et rationnels d'un cancer au foie. A un
rois abdominales ont été distendues par plusieurs grossesses. Le seul signe vraiment caractéristique d'une hernie ombilicale
'récente et du fait de l'accouchement, tantôt ancienne et portant des signes non équivoques de son existence antérieure. Il
es pulmonaires. J'en ai rencontré dans des cas où il n'existait aucun signe actuel ni aucun vestige de phthisie pulmonaire.
jours; puis parotide, et, avec elle, prostration excessive sans aucun signe de réaction générale. La vie semble échapper par
s, vomissemens, météorismede l'abdomen. Fondé sur l'absence de tout signe positif de dégénération cancéreuse , je diagnosti
, au soir, M. Villeneuve et moi nous fûmes stupéfaits en trouvant les signes d'une péritonite des plus graves; ventre ballonné
jà été publiée un grand nombre de fois. Elle établit en outre que les signes donnés par les pathologistes comme propres à la h
en l'absence de toute réduction et de toute contention, tels sont les signes à l'aide desquels on peut diagnostiquer la pneumo
ommunication entre ce phlegmon diffus et l'épanchement pleural, aucun signe de travail de perforation des muscles intercostau
ue expectoration forcée et de la toux, une vibration particulière. Ce signe pourrait mettre sur Ja voie. La gangrène du pou
s suivant. Sur un sujet qui n'avait présenté, pendant sa vie, aucun signe d'affection des organes de la respiration , j'ai
agulation du sang avec adhérence, quelque faible qu'elle soit, est un signe de phlébite. Qu'on ne croie pas que les veines qu
sans changement de couleur à la peau, précède de plusieurs jours les signes physiques de la gangrène. Dans un cas de ce genre
e. — Gangrène spontanée du membre inférieur droit présentant tous les signes de la paralysie. — Décoloration simple du membre
me ordinaire (planche i et 2). Le ventricule gauche ne présente aucun signe d'hypertrophie, preuve bien évidente que si, dans
es caractères de cette paraplégie, dans laquelle je reconnus tous les signes d'une paraplégie par compression de la moelle. Ma
non-seulement au niveau de la tumeur, mais encore au voisinage. A ces signes , je reconnus une tumeur anévrysmale, et, dans cet
et dans toutes leurs divisions : et les auteurs qui ont dit qu'un des signes diagnostiques fondamentaux des anévrysmes de l'ar
meur un double battement isochrone au double battement de cœur. A ces signes , il était impossible de méconnaître une tumeur an
ien que son sommet présentât un commencement de poche fibreuse. Aucun signe n'avait pu faire soupçonner pendant la vie la moi
dormi depuis quatre heures du soir jusqu'à huit heures du matin. Les signes de l'épanchement dans les plèvres diminuent: il n
ait pas été insoluble aujourd'hui. Nous ne trouvions d'ailleurs aucun signe de dilatation notable, aucun signe de rétrécissem
Nous ne trouvions d'ailleurs aucun signe de dilatation notable, aucun signe de rétrécissement dans les orifices. M. N. fut
ester cachés dans l'épaisseur de l'organe et guérir sans donner aucun signe de leur présence; ils peuvent s'ouvrir au dedans,
onstration; que souvent dans les points adhérens je n'ai trouvé aucun signe de lésion ni dans la membrane interne ni dans le
ans l'abdomen. Région du foie un peu sensible à la pression. Point de signes d'épanchement dans les plèvres. Induration du som
ours et une énorme matité dans la région du cœur et l'absence de tout signe d'épanchement dans les plèvres. Toujours souffle
re-vingt-huit pulsations par minute. Le cœur exploré ne donnait aucun signe de lésion, et j'ai mis de la manière la plus form
depuis l'entrée du malade, et qui ne m'avait donné jusqu'alors aucun signe de lésion. Matité à la région précordiale; bruit
je dirai que, dansl'épanchement pleural gauche, l'absence de tous les signes de l'épanchement dans le péricarde, autres que la
ecte pouvant produire les mêmes effets que la compression directe, ce signe a beaucoup moins de valeur que je le croyais jusq
y fut transportée de nouveau le 26 septembre. Je reconnus tous les signes rationnels d'une pneumonie aiguë, parvenue à sa d
ent sous le nom d'asthme. L'auscultation et la percussion donnent les signes du catarrhe pulmonaire; en outre, l'auscultation
s les autres. Il m'arrive souvent de reconnaître, à l'aide de ce seul signe , chez un malade que je vois pour la première fois
pour la première fois, quel est le côté paralysé. Sur le cadavre, ce signe est à-peu-près infaillible. Chez Dupuytren, l'aff
llonnées par des cicatrices superficielles. 3° Je ne connais pas de signes caractéristiques pour l'apoplexie de la protubéra
emue. Je crois pouvoir déduire du caractère des symptômes un second signe différentiel entre l'apoplexie et le ramollisseme
rité des facultés intellectuelles, est beaucoup plus rare : les mots, signes représentatifs de nos idées, s'associent tellemen
prouve amplement, qu'il peut arriver des circonstances telles que le signe manque à la pensée. C'est ainsi que les recueils
ulté d'articuler les sons manque seule, c'est que les malades font un signe approbatif toutes les fois qu'on prononce les mot
ut suivi de vives douleurs dans l'abdomen. Le 18, je trouvai tous les signes d'une péritonite: intumescence gazeuse et sensibi
la-fois l'atrophie du cerveau et l'hydrocéphalie. Je ne connais aucun signe diagnostic déduit de la conformation extérieure d
dissections : Premier fait. Chez un enfant qui n'avait donné aucun signe d'intelligence, qui mourut à l'âge de huit mois,
les anciens qui attachaient une si grande importance à l'œdème comme signe de lésion intra-crânieune, n'étaient donc pas com
it écarté les bords : cette tumeur n'avait donné pendant la vie aucun signe de sa présence. L'inflammation aiguë ou chroniq
: i° Que, dans un certain nombre de cas, ces calculs ne donnent aucun signe de leur présence ; 2° Que, dans d'autres cas, ils
ssu cellulaire, par cela seul qu'il est coagulé,le sang ne donne plus signe de vie, à plus forte raison n'est-il pas suscepti
par suite de la marche fatalement progressive de l'infection. Un des signes les plus fréquens de l'infection cancéreuse, c'es
fférencier l'épanchement pleurétique de l'épanchement hydropique. Les signes rationnels, déduits du point de côté et de la fiè
uleur ardoisée des muqueuses, et je dois ajouter des séreuses, est le signe le plus infaillible d'une phlegmasie chronique, f
la veine. Le membre est insensible dans tous les autres points. A ces signes , je reconnais une phlébite limitée à la région in
divers écoulemens qui peuvent avoir lieu par la vulve ne sont pas des signes plus positifs que la douleur; ils annoncent une l
terai le fait suivant. Une femme, âgée de 5o ans, présentait tous les signes rationnels du cancer de l'utérus : teint jaune pa
illerées de pus épais, phlegmoneux, dans le bassin, et pourtant aucun signe anatomique de péritonite, de même qu'aucun symptô
constitue le ramollissement de l'utérus. Mais je n'ai trouvé là aucun signe de dégénération cancéreuse; du reste, la base qui
en moins d'une minute. Ni l'un ni l'autre de ces jumeaux n'ont donné signe de vie. Cependant il paraît que le premier vivait
l. i, p. 3. — L'hémoptysie n'est ni le plus conslant ni le plus grave signe de l'apoplexie pulmonaire. = Thérapeutique de l'a
ce ne sont pas toujours mortelles. 21e liv. pl. v, p. ó. — Absence de signes caractéristiques. 21e liv., pl. v, p. 6. — Apople
anée.Gangrène spontanée du membre inférieur droit présentant tous les signes de la paralysie.Décoloration sim pie du membre pa
latini-forme de l'ovaire simulant une ascite. 5e liv., pl. m, p. 2. — Signes pathognomiques différentiels entre l'bydropisie e
cancer de l'estomac, de même que sa présence n'en est pas non plus un signe certain. 31e liv. pl. 1, p. 2. — Double cancer
s toujours mortelle ; ses effets. 21e liv., pl. v, p. 5. — Absence de signes caractéristiques de celte apoplexie. 21e liv., pl
cancer de Tesiomac, de même que sa présence n'en est pas non plus un signe certain. 31e liv., pl. 1, p. 2. — Transformation
poumon. 3e liv., pl. 11,4.— Gangrène sèche ou sans odeur du poumon ; signes diagnostiques et thérapeutiques de la gangrène sè
e liv., pl. iv, p. 1.—'Rareté de la gangrène primitive du poumon; ses signes . 11e liv., pl. iv, p. 2. —Gangrène de l'intestin
ie. Gangrène spontanée du membre inférieur droit, présentant tous les signes de la paralysie. Décoloration simple du membre pa
HÉMOPTYSIE. L'hémoptysie n'est ni le plus constant ni le plus grave signe de l'apoplexie pulmonaire. 3e liv., pl. 1, p. 4.
cancer de l'estomac, de même que sa présence n'en est pas non plus un signe certain. = Hémorrhagies gastriques par exhalation
RDITE. 40« liv., pl. iv, p. 1. — Traitement. 40e liv., pl. iv, p. 2.— Signes distinctifsde l'épanchement pleural gauche et de
YDROPISIE. Hydropisies enkystées de l'ovaire. 5e liv-, pl. m, p. 4. — Signes pathognomoniques différentiels de l'hydropisie en
rs dans le cancer mammaire. 27e liv., pl. m, p. S. — De l'œdème comme signe de lésion inlra-crânienne. 33e liv-, pl. m, p. 4.
simulant une ascite. Ponctions sans résultat. 5e liv., pl. m, p. 2. — Signes pathognomoniques différentiels de l'hy-dropisie e
liv., pl. ni, p. 3. PNEUMONIE. La crépitation du poumon n'est pas un signe constant de pneumonie. 2e liv., pl. v, p. 3.— Pne
le cours d'une maladie grave se terminent souvent par la gangrène. = Signes de la terminaison par la gangrène. 11e liv., pl.
iv, v, p. /. POULS. La fréquence considérable dans le pouls est un signe presque constamment mortel dans le typhus puerpér
11, m, iv, v. p. ig. POUMONS. La crépitation du poumon n'est pas un signe constant de pneumonie. 2eliv., pl. v, p.3.—Apople
l. 1, p. 2.— L'hémoptysie n'est ni le plus constant, ni le plus grave signe de l'apoplexie pulmonaire. 3e liv., pl. 1, p. 4.
3e liv., pl. n , p. 4. — Gangrène sèche ou sans odeur du poumon. = Signes diagnostiques. = Thérapeutique. 3L' liv., pl. ii,
ment blanc du cerveau. 33e liv., pl. 11, p. i ; 36e liv., pl. 1, p. — Signes différentiels entre l'apoplexie et le ramollissem
92 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
pés pour que le sujet perçoive les sensations, comprenne même les signes et le langage, mais est cependant suivi d'une amn
che à la dernière. Bien que très importants dans la clinique, ces signes n'ont pas la portée théorique qu'il faut attribue
ataxie bien prononcée des extrémités supérieures et inférieures. Signe de Romberg. Démarche tabético-cérébellaire, troub
dans les deux grands asiles de Bicêtre et de la Salpêtrière, aucun signe de distinction n'est venu montrer qu'on tînt co
92 faits DIVERS. Leclerc, qui, à plusieurs reprises, a donné des signes d'aliéna- tion mentale, accusait à tout propos
des faisceaux latéraux. Je ne me dissimulai pas que l'ensemble des signes que j'observais était loin de correspondre à la
ns;'1 ayant eu, à plusieurs reprises," de petits' ictus.r.Démence ; signes fd'àtite .moyenne suppurée,' n'expliquant J ¡'J
à une famille' de car'-% diaq'ueSj'et'de névropathes présente' les1 signes r dé la maladie dé Basedo"les']'p]us"éaràclél'i
état peut subsiste^ très longtemps. En) même temps, on constate les signes de la neurasthénie : insomnie-. mélancolie inca
nom des médecins de la Salpêtrière. La séance est ensuite levée en signe de deuil. M. B. 164 SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈ
étrange, il con- vient, quant à présent, de s'attacher à saisir les signes cliniques, les caractères physiologiques facile
e de sommeil hystérique; Des tics et des tiqueurs (1888) ; Nouveaux signes de la maladie de Ba.iedow; Accès d'automatisme
uatre membres. Sensibilité générale et sens spéciaux normaux. Aucun signe d'hystérie ni de neurasthénie. Foie et rate trè
s exprès pour examiner le malade, nous retrouvons encore tous les signes classiques de la sclérose en plaques, signes qui
ouvons encore tous les signes classiques de la sclérose en plaques, signes qui malgré leur atténuation, sont encore assez
sentant bien il a laissé tout traitement. Il ne présente plus aucun signe de la sclérose en plaques. Mai 1893. - Depuis c
évroglie éparses dans l'écorce augmenter de volume et présenter des signes évidents dé multiplication directe : forme allo
derniers temps de sa vie seulement cette femme avait pré- senté des signes de tumeur, mais la( duplicité des formations né
nent à deux catégo- ries : 1° les alcooliques vrais, présentant les signes cliniques de l'in- toxication aiguë ou chroniqu
cette forme d'embolie ou la diagnostiquer lorsque l'on constate les signes suivants : a) col- lapsus brusque avec refroidi
amais on n'a cons- taté de disparition complète;des symptômes.. Les signes caractéris- tiques de la maladie des tics convu
é- très faible. ? l '' ? .n",f 'f 3(''3')'1 , \, Ces deux, derniers signes permettent de relier la maladie des tics convul
e jusqu'en 1883, Nothnagel * s'attache à montrer la fréquence de ce signe et à en relever la trace même dans les observat
dation épileptoïde très facile à obtenir Nous abordons l'étude d'un signe qui est pour ainsi dire caractéristique de la s
es cordes vocales observé chez une malade qui présentait tous les signes rationnels de la sclérose multiple. L'observation
vocales, chez une jeune fille qui présentait depuis quinze mois les signes d'une tumeur cérébelleuse (nystagmus oculaire,
en plaques. Le diagnostic ne peut se baser que sur la recherche des signes concomitants de l'affection cérébelleuse; or le
ractérisent le cortège symptomatique de la dégénérescence. C'est le signe qui dénote chez le malade une hérédité morbide
t de ne voir dans l'épilepsie que la convulsion qui n'en est pas le signe pathognomonique, puisqu'elle fait défaut dans l
que, puisqu'elle fait défaut dans le vertige, dans « l'absence . Ce signe pathognomonique, il faut le chercher dans la pe
ion de consistance du tissu cérébral manquent presque toujours. Les signes de congestion ne se montrent guère que dans le
ine. (Voir le même n° des Archives.) La séance est ensuite levée en signe de deuil. Séance du 24 juillet 1893. -PRÉSIDENC
D'' Sémidalov et insiste tout particulièrement sur le fait que, les signes d'une lésion de la moelle épinière que l'on n'o
à l'aide d'objets lui ayant appar- tenu et sur lesquels il fait des signes . S'il communique ces objets à d'autres personne
ot. Cette malade est manifestement une débile; elle n'offre 'pas de signes constatables d'hystérie. Enfin l'évolution de
debout et elle est sans voix. Elle se fait comprendre seulement par signes et par le mouvement des lèvres. Il lui est impo
e également nerveux. Tous les enfants de cette femme présentent des signes manifestes de la névrose hystérique. Depuis cin
el, plaque hystérogène sous le sein gauche. D'un autre côté, pas de signes physiques de dégénérescence, tête à conformatio
ces peurs, même faiblement. L'agoraphobie, selon moi, peut être un signe de dégénérescence mentale, mais là l'hypnotisme
ence mentale, mais là l'hypnotisme n'y fait rien, elle peut être un signe de l'hystérie, et là l'hypnotisme au contraire
l'étouffant, une diminution de la sensibilité à droite, etc. Pas de signe de dégénérescence ni de dé- bilité mentale. Ces
e font porter un pronostic très grave, puisque, malgré l'absence de signes stéthoscopiques, je crois à la phtisie, le diag
'ayant "été' président' de la Société1, 'la séance1 ? est levée en signe de Jdeuil' : 11 1-uiv'tu ! l JuibiMn un- JImltyil
nséquent, quand l'herpès labial apparaltdans la méningite, ilest le signe certain d'un processus inflammatoire aigu. Mais
s insupportables, de fourmillements, et cependant il n'existe aucun signe de névrite, névralgie, ni aucune altération mat
res, notamment chez les nerveux, la réparation est si lente que les signes de la fatigue subsistent encore assez longtemps a
ptions personnelles est peu solide. Toutefois ce ne sont pas là les signes de la fatigue car ils disparaissent, si l'on co
réflexes rotuliens; la démarche est celle du steppeur; il a un faux signe de Romberg, présentant ce que M. Grasset a désign
ses fort intéressantes, par exemple que l'hystérie possède quelques signes qui lui sont propres (p. 236), que l'isolement
W tm · n.· <)') ? } Palatine. Ronllement de la, voûte; ? nouveau signe ., de .degene- , iescence, par Ncecl : e" 183 ?
93 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ière l'apo- physe mastoïde; le surlendemain se manifestent tous les signes de la paralysie faciale du coté gauche ; l'hémi
de la contraction à l'anode; en un mot, les muscles présentent les signes de la réaction de dégénérescence partielle. 0
de la contractilité galvanique, réaction de dégé- nérescence. Les signes de la réaction de dégénérescence ont disparu de
tat de terreur dans lequel je me souciais peu de l'endormir, je fis signe au dentiste qui, avec la clef, lui arracha vive
religieuses la tiennent absolument à l'écart et marquée de quelque signe qui rappelle son infériorité. A l'homme la reli
e pour empêcher la tête d'obéir aux lois de la pesanteur. Les seuls signes de la sensibilité générale furent un mouvement
qui nous occupe, et dans lequel il y a, de plus, absence totale de signes généraux. - On doit écarter également l'idée d'
rs se sont appliqués à démontrer l'importance de la constatation du signe de Westphall chez les diabétiques pour le diagn
de la glycosurie, commandées par la perte du réflexe rotu- lien. Le signe de Westphall imposera donc presque toujours l'ana
ngt-cinq observations qu'il a réunies, n'offrent au clinicien aucun signe même incertain pour établir le diagnostic de ce g
oulant par le nez. Le malade mourut le cinquième jour avec tous les signes du mal de Bright. L'autopsie ne put être faite.
rence normale ; la moelle était comprimée, mais ne présentait aucun signe de myélite. Les muscles et lesgros troncs nerve
gne de myélite. Les muscles et lesgros troncs nerveux portaient des signes de processus inflammatoire. Pendant la vie, ces
riels, illusions et hallucinations. Si l'on consi- dère enfin comme signes caractéristiques de la démence ses deux symptôm
vons dans la figure du possédé tout un ensemble de caractères et de signes que le hasard seul n'a pu réunir, et des traits
étude détaillée de la nature, la figure du démoniaque dépouille les signes de la convention archaïque ou de la fantaisie p
te l'importance. Les modifications dans la perception des couleurs, signe clinique moins facile- ment palpable, mais très
ropie ou micropie), enfin l'anesthésie pharyngienne constituent des signes confirmatifs qui dans les cas douteux rendent l
u moment de son entrée à l'hôpital (9 mars 1887), on cons- tate les signes suivants la forme et l'aspect du membre supé- r
, bien équili- brée au physique et au moral. Elle ne présente aucun signe apparent d'hystérie, pas de douleurs ovariennes
'hystérie chez sa malade ; il repousse ce diagnostic, parce que les signes géné- raux de l'hystérie manquent, et à cause d
es, et on les constate déjà chez deux des enfants. Les pre- miers signes d'affaiblissement intellectuel remontent à un a
s pieds; elle succombait quelques mois après. Déjà V... donnait des signes non douteux de paralysie générale : des attaque
rabisme diver- gent de l'oeil du côté blessé. Vers 1882, premiers signes de la paralysie générale à laquelle il succomba
rite alcoolique. A ces symptômes, le D Warrington Haward ajoute des signes de refroidissement de la main, avec aspect viol
es » dont on rit si agréablement à nos dépens, sont pour nous des signes d'une exceptionnelle gravité et nous permettent d
ne détruit pas le fait même de la rémission qui s'affirme par des signes suffisamment manifestes, bien que l'équilibre men
'assurance et d'attention le jeu de cartes, mais n'y jouant que par signes . Sa femme est venue le voir une fois ; il ne lu
s. Il reste de six à huit jours sans parler; et s'exprime alors par signes : c'est un ordre de Dieu.-II. Homme de trente a
nt au chiffre moyen des mêmes diamètres chez les paysannes, que les signes physiques de dégénérescence, tels que l'irrégul
période de la maladie. On peut tirer de cette étude comparative des signes d'une réelle valeur pour caractériser cer- tain
agents oesthésiogènes ou de la suggestion. Dans les autres cas, les signes de l'hystérie se montrent en toute évidence. Un
cérébrales ; les sujets frappés n'offrent point à première vue les signes de l'hystérie et le diagnostic de l'apoplexie org
ses remarquables travaux sur cette affection avait déjà indiqué ces signes possi- bles de l'ectasie gastrique. L'auteur in
onvulsifs ordinairement toniques dans la face et les membres et des signes de congés- 340 CLINIQUE NERVEUSE. tion cérébr
supérieurs. Contorsions du tronc, du cou, des muscles de la face; signes plus marqués du côté droit. Parole scandée et e
urtout ceux du pied droit, sont;animés.de mouvements d'athétose. Le signe de Rot- berg n'existe pas : le malade se tient
role a toujours été absente, il cherchait à se faire comprendre par signes , par des grognements. La mémoire est bonne; il.su
nue à être propre. Même état choréique. Il continue à indiquer par signes ce que les autres font, et avertit en cas d'accid
igts fermés. Il comprend ce qu'on lui dit, fait remar- quer par ses signes les irrégularités qui se commettent dans la sal
94 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
s antécédents, les détails qu'il nous fournit : ii n'aurait pas eu de signes de scrofule dans l'enfance; à deux mois et demi,
ins on ne peut invoquer, comme cause 1 Elle répond sur la figure au signe o. 2 L'observation du malade est consignée dans
labar dans le traitement du tétanos. 1867. 3 Voici l'explication de signes de la figure 2 : — température deux jours après l
ndément anémié, et l'auscultation des poumons permet de constater des signes avancés de tuberculisation pulmo-naire. Il meurt
ues craquements, et encore sont-ils inconstants, on ne remarque aucun signe précurseur, et la fièvre, douteuse pour nous, n'a
aires est bien dif-férente. L'hydarthrose, en général, est le premier signe d'une tu-meur blanche; or les fongosités, les abc
n les rencontre chez un grand nombre d'hémiplégiques indemnes de tout signe de diathèse rhumatismale, et qu'elles n'af-fecten
ne bien. Son caractère est doux, timide ; ses allures n'offrent aucun signe d'excentricité. — Les accès ont suivi la marche s
ts épiphy-saires plus ou moins complels, qui se manifestent par leurs signes anatomiques habituels; l'envahissement des arlicu
rite aiguë se présentent avec des carac-tères nettement tranchés. Les signes qui appartiennent à la pre-mière ne sont que l'ex
aux phases les plus avancées de son évolution. Existe-t-il quelque signe qui permette d'indiquer, à coup sûr, le caractère
cela, il faut que le kyste soit superficiel, et en- core ce sera un signe assez délicat, puisque nous ne voyons dans aucun
un signe assez délicat, puisque nous ne voyons dans aucun cas que ce signe ait été observé par le clinicien. Ainsi donc, pou
ficile de différencier des kystes de la rate ; quand on n'aura pas de signes certains d'affection rénale, telles que coliques
envie permanente d'uriner et par duténesme. Ces phénomènes sont le signe certain que le petit calcul a été poussé avec l'u
le diagnostic des syphilides de la langue peut être fait à l'aide des signes objectifs seuls, indépen-damment des antécédents
audra alors faire un examen clinique appro-fondi , et quelquefois les signes physiques pourront mettre sur la voie. La rate,
la chevelure, etc., ne présentent pas de différence. Il n'y a pas de signes de paralysie fa-ciale. Membre supérieur droit.
; cepen-dant, comme la rate dépasse rarement le rebord des côtes, ce signe peut manquer. — Par la percussion, on pourra le p
ang, de sorte que la rougeur, la congestion ne sont pas les meilleurs signes de l'inflammation ; quant au ramollisse-ment, on
on exacte de l'organe ne peut être fixée que par la percussion. Les signes généraux sont des plus variables, et nous ne fero
on, l'illustre ophthalmologiste s'est proposé de donner un exposé des signes des paralysies musculaires de l'œil. L'ouvrage
s extrêmes, c'est qu'un des agents du mou-vement est inactif. Mais ce signe nous dira peu de chose sur les faibles degrés de
is volontiers essentielle ou nerveuse, car elle ne correspond à aucun signe physique d'une altération des organes respiratoir
s tous les sens et dans les limites normales; enfin il n'existe aucun signe d'altération dans les régions voisines. B... a
fixité de la tumeur sur les parties profondes, s'accordent avec les signes ac-tuels : intégrité de la peau, limitation exact
ection générale de l'organisme, est assez nettement démontrée par les signes locaux et par l'état général pour faire re-pousse
peu près complète. Pour cela, il faut étudier les commémoratifs, les signes locaux et les signes géné-raux. Pour les commémor
our cela, il faut étudier les commémoratifs, les signes locaux et les signes géné-raux. Pour les commémoratifs, il faudra rech
, à la hauteur de l'ombilic, mesure lm,02 de cir-conférence. Tous les signes de l'ascite sont évidents. Il n'y a ni œdème des
95 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
dernier ordre de raisonnement imaginé par les incrédules, ce sont des signes sensibles constatés après coup par des personnes
i-dessous. Jl y eut aussi M. Briant, médecin de Louyiers. par les signes suivants distingués en trois chefs. Premièrement
t tier-cement en ce qui dépend des choses sacrées, sans s'arrêter aux signes présomptifs, dont les théologiens font 12 sortes,
ologiens font 12 sortes, par ce qu’ils ne concluent nécessairement. Signes remarques auxdites religieuses dépendant de Cespr
es noms, et les démons s’appellent l’un l’autre par les mêmes noms. Signes des choses qui dépendent du corps. 1° Qu’elles
issolues, et le tout presque en même temps. Après avoir énuméré les signes dépendant des choses sacrées , signes moins curie
emps. Après avoir énuméré les signes dépendant des choses sacrées , signes moins curieux que les précédents, et que leur lon
publier, ils ont trouvé bon de ne les employer. Pour tous lesquels signes lesdits médecins ont jugé la vé- ri té de ces
s échangèrent entre eux les quatre hosties, qu’ils se présentèrent en signe d’alliance ; que Boullé se fit désigner par Picar
fa 'Corbeille, qui n>st pas sotte, re promène lentement «1 épie un signe de ta» part, qui trahisse votre pensée. Quelquefo
GRÈS DU MAGNÉTISME. LA PRESSE PÉRIODIQUE ET LE MAGNÉTISME. Un des signes les plus manifestes des progrès du magnétisme, c’
é, nous dit-on, il ne faut écouter que les bons esprits ; mais à quel signe les reconnaître ? On nous répond que c’est à la n
ésultats sans employer ces plantes. On prend des disques, on écrit le signe de la planète dont chaque disque lire sa protecti
rit le signe de la planète dont chaque disque lire sa protection , le signe du zodiaque, etc., et C action èi produire; et la
uteur un reproche plus grave. Pourquoi cet attirail de planètes et de signes du zodiaque ? Croit-il réellement que les sept pl
rtuelles du chrétien sont encoi e aidées par l’action des sacrements ( signes sensibles ayant une puissance réelle par une vert
sacrements, qui infusent dans l’homme la rie divine déposée dans des signes sensibles; vous comprendrez les prières de l’Egli
ît l'au- tome des faits et se propose de les expliquer. Parmi les signes qui caractérisent le somnambulisme artificiel, il
a magie et le magnétisme, et cependant il reconnaît la réalité de ces signes sut- certains individus. Quant aux loups-garous
c’était un des plus grands événements de l'histoire de l’humanité, un signe éclatant par lequel la Providence nous annonçait
déposé sous la table, je le trouvai tel que je l’avais mis sans aucun signe d’écriture. Le 1" mars, le cercle ne se composa
et avoir constaté......................... (Suit la description des signes qui nous ont permis de conclure qu’elle était enc
re, voilà un pauvre prestidigitateur qui place là ses gobelets en signe de deuil. Le public ne lui demande pas de tours d
gations qui demeurent tôt ou tard à leurs auteurs comme une tache, un signe de faiblesse d’esprit ou de volonté quand, par ft
le troisième appartient principalement à la psychologie ; voici leurs signes caractéristiques : Le premier groupe se réduit
de, et qui n’est pas sans danger. Le second groupe se reconnaît aux signes suivants : Après avoir donné l’un ou l'autre de
naît aux signes suivants : Après avoir donné l’un ou l'autre de ces signes , certains sujets tombent quelquefois dans un état
prit sa tabatière et redescendit au salon. Quand il y entra, aucun signe d’émotion ne parut sur son visage. 11 se mêla à l
puissance diabolique. Voici leurs raisons : Io Ce sont d'abord les signes que le Rituel romain, d’une si grande autorité da
ns l'Eglise, donne pour reconnaître la possession du démon. Voici ces signes : a ) Parler ou comprendre une langue étrangère
ce beaucoup plus que dans le reste du corps, on vit paraître quelques signes de sensibilité. L’opérateur ayant soufflé à froid
roid sur les régions temporales et auriculaires, ou remarqua quelques signes d’impatience. Puis, les membres se relâchèrent un
eu se rétablir. La malade ne pouvait pas encore parler, mais, par des signes de tète, elle exprimait le oui et le non. Elle fi
lle exprimait le oui et le non. Elle fit comprendre , à l’aide de ces signes ,qu’elle souffrait de la tète et de l’estomac, qu’
sivement et était près de disparaître ; la malade n'accusait plus par signes que les douleurs d’estomac. Elle posa ses mains l
s yeux étaient encore fermés. Invitée à lever les paupières, elle fit signe qu’elle ne le pouvait pas. L’opérateur fit, un ef
il soit âgé seulement de douze à quatorze ans, qu’il soit né sous les signes du Sagittaire, ou des Gémeaux, ou de la Vierge, e
. Pourtant la malade devint en état de répondre aux questions par des signes de tête, mais sans pouvoir encore parler. Elle
néra comme le plus sage des mortels. Si du moins on avait dit à quels signes on devait distinguer la sagesse et quelle en étai
ne explication satisfaisante, soit du fait en lui-même, soit a de ces signes et « de ce latin eu apparence intraduisibles. »
mort de l’indrtidu. Or, il est reconnu en médecine, qu’il n’y a aucun signe certain de la mort, et quelle' n’est indubitable
somnambule naturel. Depuis 1 âge de sept ans, il donna lui-même des signes de somnambulisme pendant une période de sept à hu
uteuil pour marcher, et puis, lorsqu’il veut y retourner, il fait des signes avec ses doigts, et de suite la lumière se fait p
e qu’on doit croire de ses affirmations'. Il ferait bien de mettre un signe à la clef, pour avertir les lecteurs s’il plaisan
ette pierre contre l’arbre qui est vis-à-vis de moi; si je le touche, signe de salut; si je le manque, signe de damnation. To
t vis-à-vis de moi; si je le touche, signe de salut; si je le manque, signe de damnation. Tout en disant ainsi, je jette ma p
voir le diable. Ce diable-là était un beau jeune homme dont tous les signes de diablerie se bornaient à de, jolies petites co
96 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e l'oeil gauche, qui est à peu près perdu. Cinq ans après, premiers signes de déran- gement mental, puis paralysie général
les effets du traumatisme, et il ne subsiste et persiste que des signes de surdité psychique. En d'autres termes, l'ani-
lue; puis celle-ci diminue peu à peu, et il ne reste encore que des signes de surdité psychique. Fig. 2. LES FONCTIONS D
de s'appuyer sur deux cannes ; ne peut sortir sans être accompagné. Signe de Romberg très accentué ; abolition des réflex
Signe de Romberg très accentué ; abolition des réflexes rotuliens ; signe d'A. Robertson. Troubles vésicaux. Difficultés
marquée : Le malade peut à peine marcher à l'aide de deux cannes; signe de Romberg très accentué. Signe de Westphall ;
ne marcher à l'aide de deux cannes; signe de Romberg très accentué. Signe de Westphall ; myosis ; il y a quelques jours H
ans cannes, faire des courses assez longues, etc. La disparition du signe de Romberg, lorsqu'elle a eu lieu, a été presqu
n des douleurs en ceinture. Retour de la sensibilité normale; 4° le signe de Romberg '- n'existe plus; 5° augmentation lé
s très vives, incoordination motrice, marche et miction difficiles, signe de Romberg, impuissance sexuelle depuis un an,
s douleurs fulgurantes ont à peine reparu. Après la '18° séance, le signe de Romberg et l'incoordination ont disparu. Après
es, démarche tabétique depuisun an, absence des réflexes rotuliens, signe de Romberg, signe d'Argyl Robertson, difficulté
ique depuisun an, absence des réflexes rotuliens, signe de Romberg, signe d'Argyl Robertson, difficulté de la miction, et
courses à pied, les douleurs fulgurantes sont toujours absentes. Le signe de Bomberg est presque disparu, mais les réflex
n des douleurs s'est faite au bout de la 4° séance; après la 5°, le signe de Romberg existait à peine; et après la 6°, l'
, l'impotence sexuelle ont disparu : l'incoordination motrice, le signe de Romberg ont cessé d'exister. Un malade atteint
du Du E. Bloch ; il s'est produit chez un tabétique présentant des signes de para- lysie générale. Le médecin, après avoi
que nous parlerons seule- ment des encéphalites chroniques à petits signes ma· croscopiques, et que dans ces cas nous envi
é aliénée, arrive jus- qu'à l'âge de 30 ans, en présentant tous les signes d'une intelligence parfaitement équilibrée : à
ue débarrassé de cet appendice d'un autre sexe, la malade donna des signes évidents de salisfac- tion, et dans un délai as
paralysie géné- rale. On peut ainsi résumerrapidement les quelques signes sur lesquels on peut se fonder pour les disting
es DE la TOURETTE fait observer qu'il n'y a pas d'hypno- tisme sans signes physiques. Quant à admettre que l'aimantation,
e nous prouve que l'état d'hypnotisme s'annonce fatalement par un signe physique qui le décèle sûrement : rien ne nous pr
ue qui le décèle sûrement : rien ne nous prouve que l'absence de ce signe se doive énoncer par la non-existence de l'hypn
bides, si la première condition du dia- gnostic était de trouver un signe objectif 2 ? C'est parce qu'on perd de vue cett
ine positive (P.-K.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 299 ne saurait servir de signe à cet égard. Il est une foule d'hypno- tisés à
a parole et de démence trop accusés, pour établir le diagnostic. Le signe de Westphal s'est montré seul dans 20 p. 100 de
cas dans lequel la migraine oph- talmique est apparue non pas comme signe de début, ainsi que dans les observations précé
e du cerveau, et suivant cette hypothèse, des plus acceptables, ses signes dépendraient de la lésion de cette région déter
Dans ce cas, la migraine ophtalmique a été le pre- mier et le seul signe de début tout d'abord. Il s'agis- sait à la vér
accompagnées. Ce n'est qu'assez long- temps après qu'ont apparu les signes révélateurs et caractéristiques de la paralysie
barras de la parole... Or, s'il arrive par exemple que ce dernier signe , l'embarras de la parole vienne à persister chez
ns ceux de migraine ophtalmique accompagnée, plus enfin si l'un des signes ' Gilles de la Tourette et P. Blocq. Sur le tra
syndrome de la migraine, celle-ci précédera ou accom- pagnera les signes de la méningo-encéphalite. ANATOMIE PATHOLOGIQU
ient la surface de la base et de la partie moyenne du cerveau : les signes de méningite trau- matique adhésive étaient trè
. Pendant la vie, cette tumeur n'avait décelé sa présence par aucun signe clinique, sans doute parce qu'elle n'intéressai
elle; par M. L. Guinon. (Gaz. 172é1. de Paris, 1887.) . Outre les signes vulgaires de l'hydlargyrisme chronique, le ma-
puis du propeptone.' En bien des cas, le propeptone est le premier signe d'une influence exercée par le cerveau sur les
97 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
l'environne (meubles et gens) et ne se calme que lorsque l'on fait signe de le conduire en cellule. - 1\ l'entrée idioli
l'habiller ; qu'il est gâteux, ne parle pas, ne sait même pas, par signes , exprimer ses besoins. Son attention est absolu
ement \((;l>ICO-I'I : D : 1GOGIQUE. niées en gros caractères, le signe qui correspond a ce nombre. Cet exercice, que
t entendre qu'un gazouillement tout-à-fait incompréhensible aucun signe , aucun geste ne suppléait à la parole, l'enfant
tique de même. Elle gâtait du matin au soir, ne demandait par aucun signe à aller aux cabinets. Un grand changement s'est
Seine- et-Marne a demandé son transfert, le père s'y refusant, on signe la sortie. - Depuis son admission, cette enfant
pédicules bronchiques. La sonorité est peu modifiée iL gauche. Les signes d'auscultation sont les mêmes que le premier jo
n sont les mêmes que le premier jour. 21 mai. - Dyspnéc, cyanose, signes physiques plus pronon- cés, râles ronflants et
yspnée. Toux sèche qui se produit quand on déplace le petit malade. Signes physiques : sonorité exagérée dans tout le poum
s 120. Trait. : oxygène, cataplasmes sinapisés, etc. Le 27. Mêmes signes physiques et mêmes signes fonction- nels. Pouls
cataplasmes sinapisés, etc. Le 27. Mêmes signes physiques et mêmes signes fonction- nels. Pouls 130. Même traitement. Mor
E, diplégie : sclérose atrophique. 69 Joh... n'a jamais donné aucun signe d'intelligence : il était atteint d'idiotie com
ître la séméiologie de l'extension des orteils : il a montré que le signe signifiait « trouble dans le système pyramidal
éflexe lumineux est le seul important en clinique : son absence est signe de tabès, de paralysie géné- rale ou d'affectio
r (R), répond au plan de l'inion. - op, plan du trou occipital. Les signes XX répondent aux bosses frontales et pariétales.
s et demi. A quatorze ans, a eu un eczéma. Pas de migraines, pas de signes de syphilis. Intelligence moyenne. Famille DE l
te et à la face. On n'aurait pas remar- qué de rumination ? - Aucun signe de connaissance et d'affection. La mère, à qui
. Lorsqu'on l'appelle pour lire, il se frotte les mains et saule en signe de satisfaction. Il reconnaît et nomme les peti
l'environne (meubles et gens) et ne se calme que lorsque l'on fait signe de le conduire en cellule. (Fig. 26). Puberté
e corps, au pénil ; organes génitaux peu développés, en somme aucun signe de puberté malgré son âge (seize ans). Pas d'on
rofuleuse. Pas de vers, ni de trauma- tisme, ni de sévices. Comme signes avant-coureurs de la maladie des tics, nous avons
aît après 3 ou 4 jours. La santé générale est bonne, il n'y a aucun signe de cachexie. Nous revoyons le malade le 13 mars
it des bêtes dans son corps, les objets changent de forme, voit des signes de deuil partout, tout le monde a de l'aver- si
groupes je suis restée moi à côté de Julie (2) et l'on faisait des signes on interrogeait et l'on se montrait des photogr
te. T. Il. 39°, 7. 21 juillet. T. R. matin, 38°, 9; soir, 40° mêmes signes à l'auscultation et à la percussion. Pas de dys
r (R), répond au plan de l'inion. op, plan du trou occipital. - Les signes XX répondent aux bosses frontales et pariétales
98 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ital, la malade y succomba le 29 octobre, sans a\oir présenté aucun signe nouveau. Autopsie (résumée). Hémisphère cérébra
ttitude de la femme grosse (rejet du centre gravité en arrière), le signe de Romberg, de l'inégalité et de l'inertie pupi
isse le fait; en effet, diverses observa- 'tions ont montré que les signes physiques de la' névrite optique et de'la neuro
t réfléchi, représenté. Aussi nos conceptions ne sont-elles que des signes , des symboles. Aussi n'y a-t-il pas .de vérité
gravant de ses ongles le front pour d'illec tollir le Chrefme & signe baptifmal (Fig. 4). Quartement luy faiet reno
es mamelles ou es parties hon- teufes pour les femmes, marqués d'un signe auqueldevient la peau infensible. La forme de c
marqués d'un signe auqueldevient la peau infensible. La forme de ce signe n'eft toujours la même; tantoft c'eft patte de
s (1880) : De l'épilepsie. Plaies des artères; 2° concours (1880) : Signes et diagnostic de la fièvre ty- pAotde. Signes e
2° concours (1880) : Signes et diagnostic de la fièvre ty- pAotde. Signes et diagnostic de la fracture du col du fémur. Les
rs : De l'insuffisance aortique. Diagnostic de la hernie étranglée. Signes et diagnostic 126 VARIA. de la pneumonie. Cor
a pneumonie. Corps étrangers de l'oesophage. 21 concours : Variole. Signes et diagnostic de la fracture de côtes. Pneumonie
ances ; les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de la pleurésie ; signes et diagn
les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de la pleurésie ; signes et diagnostic des fractures de l'ex- trémité in
2° Insuffisance aortique ; plaies pénétrantes de la poitrine; - 3° Signes et diagnostic delà péritonite aiguë ; anthrax;
t diagnostic delà péritonite aiguë ; anthrax; 4° névralgie faciale; signes et dia- gnostic des fractures du rocher. 11 y a
lui procure aucune sensation, aucun malaise, aucun réflexe. Le seul signe d'in- telligence qu'on signale est qu'elle conn
ure des fléchisseurs (griffe), de l'analnésie accompagnée d'ataxie ( signe de Romberg), de l'hésitation de la parole avec
choses en général (mélancolies graves, démences paralytiques) et le signe REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 d'une profon
psie était contestable : réinterrogé, il finit par admettre que ces signes pouvaient manquer dans l'épilepsie vraie. L'acc
rriver que les réflexes, au lieu d'être abolis, soient exagérés. Le signe de Westphal n'a donc qu'une valeur relative, qu
et sa terminaison. Cil. F. XI. Le délire des grandeurs n'est pas un signe exclusif de la paralysie générale progressive ;
ances ; les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de la pleurésie ; Signes' et diag
; 2° Insuffisance aortique; plaies pénétrantes de la poitrine ; 3° Signes et dia- gnostic de la péritonite aiguë ; anthra
- gnostic de la péritonite aiguë ; anthrax; 4° Névralgie faciale; signes et diagnostic des fractures du rocher. Il y avait
ncomplètes en apparence qu'en réalité. Nous avons insisté sur ces signes fournis par la sen- sibilité oculaire et par l'
regard possède une fixité sur laquelle nous insistons comme un des signes les plus importants. La physionomie est impassi
peut n'en présenter pas moins, pendant l'état de som- mation, les signes les plus complets de t'hyperexcitabi- lité neur
te la journée sans rien dire; d'autres fois il faisait avec la main signe d'approcher, et quand on était près de lui : «
Etat, qui l'entretient; c'est le ministre et non plus le préfet qui signe l'entrée ou la sortie des individus qui y sont
icile, maisce n'est qu'à l'âge de trente-neuf ans qu'il a donné des signes bien manifestes d'aliénation mentale : il devin
terrain solide. Les faits les plus simples, les plus grossiers, les signes did- BIBLIOGRAPHIE. 373 gnostiques physiques,
ques, de l'excitation des zones bystéro-épilepto- gènes, jointe aux signes déjà indiqués, distinguera 1'li,stéro-épilep- s
. Délire chronique, 10'i. Délire des grandeurs (il n'est pas un signe exclusif de la paralysie générale par Lau- ta
99 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ue la moitié droite ( ? ? ). Léger tremblement à la pointe. Aucun signe de paralysie du voile du palais. La parole est
sant devant la malade et l'invitant à nous faire comprendre par des signes de tête s'il n'y avait rien à modifier. Les ant
outenue. Quand la malade veut, pendant qu'on l'inter- roge faire un signe négatif, elle est obligée de remuer presque tou
la vacuolisation, preuve certaine de la dégénérescence. Tous ces signes d'altération morbide que nous ve- nons d'énumér
ition complète de tous les symptômes et non réapparition, soit d'un signe , soit d'un symptôme, n'ont été réalisées que da
s troubles oculaires de la sclérose en plaques, qui fournissént des signes si précieux au diagnostic de cette maladie, surto
ositives ou négatives d'une cure d'eau froide et d'eau chaude comme signe indica- teur de la conduite électrothérapique à
ut-être, en conséquence, le transfert dans ces conditions est-il un signe pronostique favorable. P. K. IV. Contribution
ourd'hui disparu, mais qui n'en a pas moins marqué sa trace par des signes caractéristiques; Clotilde a été en effet frappée
ent, dans l'esprit du suggesteur doivent naître les contours ou les signes écrits répondant au mot, à la figure ou au chif
nt bulbaire ; c'est plus tard seulement et peu à peu que les autres signes de la sclérose latérale amyotrophique sont appa
été soigné aux En- fants-malades : il avait alors douze ans. Pas de signes de scrofule : quelques glandes seulement au cou
er au 31 juillet 1885, B... a eu 80 accès toujours nocturnes. - Les signes de la puberté se sont accentués, les moustaches
;%'. : n '' -.«> - , ? t t- - - ' . . ' éhxir poly bromure). Les signes delà puberté ne se-sont'pas accu- sés au visage
ons, quoi d'étonnant à ce que nous trouvions chez les enfants ces signes de déchéance que nous avons rapportés en détail p
.-Pas d'al- bumine. La percussion etl'auscultation donnent tous les signes d'une congestion pulmonaire intense, localisée
ès fréquentes et très superficielles. Pas de bruits adventices. Les signes de congestion pulmonaire du sommet droit ont di
froide, les traits tirés. Il ne répond plus aux questions, même par signes ; le regard est fixe et sans expression. - La te
acité dans les manifestations congestives, l'ex- trême mobilité des signes physiques qui les traduisent, l'ab- sence de fi
'aitd'unejeune fille de dix-neuf ans,sur laquelle on nerelève aucun signe évident d'hystérie, qui futprisc de monoplégie br
e par le déplacement de 1 os fracture. L abcès du cerveau dont les, signes , cliniques sont, encore .assez mal détermines-^
t peu après de pneumonie càtar'rhale. 11 n'a jamais manifesté aucun signe témoignant d'une activité psy- chique spontanée
e mo- bile n'est-elle donc pas la caractéristique essentielle, le signe pathoguomonique de l'impulsion irrésistible ? S
taient tout aussi unanimes, - que jamais Claude n'avait présente de signes ostensibles d'aliéna- tion, et il était encore
recherchent le coupable, il écrit une lettre compro- mettante qu'il signe du nom abhorré, puis la jette dans une cour où
eux qui l'ont connu affirmaient que jamais il n'avait donné aucun signe d'aliénation mentale. Le prévenu, dans ses long
e à l'infirmerie, se plaignant de douleurs de côté à droite. Pas de signes stéthoscopiques; à la percussion, on constate,
existant avec l'instabilité mentale, peuvent, à notre avis, être un signe de plus de la tare héréditaire. Ainsi donc du
ils digestif, respiratoire, circulatoire, génito-urinaire. - Pas de signes de dégénérescence ; adhérence du lobule de l'or
ite, siégeant principalement à la base, était venue s'ajouter à des signes de tuberculose pulmo- naire : outre les lésions
itici, bien qu'il n'y eût point de tubercules à la base, et que les signes d'inflammation fussent très peu marqués. La zon
e et bien localisée des tubercules, est rare. Il existait aussi des signes d'irri- tation,peut-êtremêmed'intlammation légè
vail de M. Parant, sur la simu- lation des maladies mentales. Des signes physiques intellectuels et moraux de la folie hé1
folie hé1'édi- tai1'c. - M. FALIl.ln. Il me semble que question des signes spéciaux des folies héréditaires pourrait faire
orme héréditaire. Ces aliénés présentent dès l'enfance une foule de signes tels que l'asymétrie du crâne et de la face, st
(pieds bots, hernies). A côté de ces .lignes physiques il y a des signes intellectuels, comme des inégalités énormes dans
liberté et les asiles. Ce qui est intéressant, c'est d'étudier les signes physiques qui cor- respondent à ces troubles in
s aliénés ont l'air d'individus normaux à certains intervalles, les signes phy- siques n'en persistent pas moins, ainsi qu
sant en avant, dans la région frontale, deviennent des schémas, les signes repré- sentatifs de la pensée. Cette région pos
es; en un mot, il y a désharmonie, défaut d'équilibre, c'est-à-dire signe de dégénérescence. M. Jules Voisin communique u
100 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
e un moyen de cultiver, dans l'être humain, le pouvoir d'arrêt. Les signes principaux des névroses et des psycho-névroses po
tablement sur la frontière qui sépare les deux affections. Aussi tout signe , tout moyen d'investigation capable de nous éclai
ltats surprenants. « Une jeune fille de 15 ans, présentant tous les signes de l'idiotie, « parole presque nulle, marche péni
issent leurs frères et sœurs et prononcent quelques paroles. Un bon signe en faveur de l'intervention chirurgicale est que
en consultation une de ses ouailles, qui, d'après lui, présentait des signes de dérangement cérébral. La seule indication qu'i
is le3 conserve comme un vrai talisman et les porte chaque fois qu'il signe un engagement ou le soir d'une première. L'Alli
rassse de son col et de ses manchettes et les dépose sur l'estrade en signe de renonciation, de même des femmes enlèvent leur
e fois. Dans le cours de sa convalescence, elle fut prise de tous les signes d'une fissure à l'anus intolérante, amenant un ét
ous fut de nous rendre à l'évidence. Cette malade présentait tous les signes d'une monoplégie incomplète du membre inférieur g
t l'expérience suivante. La patiente est endormie, on lui dît qu'à un signe donné elle aura un accès, mais qu'elle ne se mord
aura un accès, mais qu'elle ne se mordra pas la langue ; à un second signe l'accès cessera. Il en est ainsi. Au signal, la j
à l'indocilité coïncident d'une façon évidente avec l'apparition des signes de la puberté. Elles sont si caractéristiques, qu
est des peuples chez lesquels les pleurs seraient considérés comme un signe de démoralisation. Un anglais ne se laisse aller
mère, elle leur adresse le télégramme qu'on a lu plus haut et qu'elle signe du nom d'une amie, originaire, comme elle, de la
rer le sultan Abd-ul-Aziz qui déjà, depuis quelques mois, donnait des signes d'irritabilité et d'énervement. Comme il devenait
mes présentant d'une façon permanente, on pourrait dire chronique, le signe des yeux cernés. Ce signe coïncide avec une pâl
ermanente, on pourrait dire chronique, le signe des yeux cernés. Ce signe coïncide avec une pâleur très manifeste des tégum
corail rouge est considéré à Java (comme aussi en Hollande), comme un signe de maladie lorsque les grains sont pâles, et de b
la mémoire, troubles du langage, vocabulaire restreint, sont tous les signes qui confirment cette opinion. c Son émotivité,
t certainement plus d'importance que ne le faisait le juge romain aux signes objectifs, aux symptômes pathogno-moniques de l'a
pieds, soit môme des anomalies des organes génitaux, il verra là des signes de dégénérescence qui lui permettront d'asseoir s
à l'état permanent, chez certaines jeunes filles ou jeunes femmes, du signe des yeux cernés, donnant à la physionomie l'impre
par des personnes présentant cette disposition. Il n'attribue pas ce signe à la pratique de l'onanisme, mais à un trouble de
l'intoxication paludéenne. Elle ne fait pas usage de médicaments. Le signe des yeux cernés est chez cette dernière très acce
ontinuerai à recevoir avec intérêt les communications, relatives à ce signe , qui pourraient m'ètre adressées. Dr Bérillon.
ouls est à 90, les réflexes cutanés sont augmentés d'intensité. Ces signes suffisent amplement pour établir le diagnostic d'
A l'examen clinique, la malade apparaît de constitution normale, sans signes d'aucune affection viscérale ; le pouls est à 80
ère, Aaron, et une sœur, Myriam, qui présentaient, tous les deux, des signes manifestes de dégénérescence mentale ; Myriam éta
rouve placée, la maltresse de maison attachant trop d'importance à ce signe , lui en a fait plusieurs fois, en présence de tie
moins le très grand mérite d'avoir permis de distinguer, grâce à des signes certains, les troubles hystériques des affections
apporta des pioches et des pelles pour dégager son père, maïs il fit signe de ne pas se presser. Les outils ne furent apport
a Bible où il est question de la lèpre, on note la blancheur comme un signe caractéristique de la lèpre, tandis que la blanch
ituelle, comme un péché intérieur que le doigt de Dieu indique par un signe extérieur, un stigmate qui est Ve vitíligo ou la
esprits un empire tout aussi grand que la suggestion elle-même, et un signe somatique peut n'être que l'extériorisation d'une
ndigne à la pensée que l'onychophagie puisse être considérée comme un signe de dégénérescence. Il ne s'agit là que de la prot
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