ptionnellement... Je considère l'absence du réflexe achilléen comme
signe
d'un état pathologique. » Telle est également l
du pied », de « trépidation épileptoïde du pied ». On recherche ce
signe
en procédant ainsi : tenant la jambe immobile dan
aincre, il suffit de choisir quelques individus ne présentant aucun
signe
d'affection nerveuse, ayant simplement des réfl
z communément chez les tuberculeux ne présentant, du reste, au- cun
signe
d'affection organique du système nerveux. » Les
ologie. J'ai montré que l'absence du réflexe achilléen constitue un
signe
de grande valeur pour le diagnostic de la névri
t une manifestation plus précoce de cette dernière affection que le
signe
de Westphal, ce qui aujourd'hui est unanimement
r le tendon tricipital. J'ai montré que le réflexe paradoxal est un
signe
fréquent dans le tabes, ce qui s'explique aisém
: « Inversion du réflexe du radius. Fractures spontanées et parfois
signe
de Babinski dans un cas de paralysie infantile av
o- myélitiques antérieures, sa parfaite concordance avec les autres
signes
de locali- sation montre sa valeur sémiologique
sa valeur sémiologique topographique pour les cas où l'on trouve ce
signe
plus ou moins isolé. » Souques et Barré (Revue
a pris l'habitude de l'appeler, tant en France qu'à l'étran- ger, «
signe
de Babinski » (voir fig. 3). Etant donnée l'imp
r d'autres beaucoup plus nombreux que j'ai recueillis depuis que ce
signe
a attiré mon attention, je vais passer en revue
dans l'hémiplégie ancienne. « J'ai constaté aussi l'existence de ce
signe
chez deux sujets présen- tant une hémiplégie an
caractérisé par des douleurs fulgurantes, des troubles vésicaux, le
signe
de Robertson, l'absence bilatérale des réflexes
ne des orteils n'est pas proportionnée à celle de la paralysie ; ce
signe
est très marqué dans certains cas où l'hémiplég
plantaire est normal ; parfois pourtant j'ai constaté de ce côté le
signe
des orteils, moins accentué toutefois qu'au pie
ésentait aucun trouble de motilité. ' « J'ai également observé le
signe
des orteils chez un individu atteint de méningi
s cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine cérébrale. « Ce
signe
peut exister aussi dans certaines paraplégies fla
lésions étaient très limitées. « Il faut donc bien remarquer que ce
signe
, s'il révèle l'existence d'une perturbation dan
ut, indissoluble. Aussi observe- t-on fréquemment la réunion de ces
signes
chez un même sujet et c'est ce que vous avez pu
eptoïde du pied, tandis qu'inversement on observe très nettement ce
signe
dans des cas où, malgré l'existence RÉFLEXES CU
de l'hémiplégie hystérique ; dans un cas de ce genre l'existence du
signe
des orteils est particulièrement précieuse, car e
a dans le système pyramidal l'exis- tence d'un trouble qui, sans ce
signe
, aurait pu être méconnu. « Au commencement de c
éten- dues. Je mentionnerai toutefois quelques points relatifs au
signe
des orteils, sur lesquels j'ai appelé l'attenti
ur lesquels j'ai appelé l'attention ultérieurement. J'ai observé ce
signe
(53) dans l'épilepsie dite idiopathique ou esse
, confirmées par moi, ont montré que, chez des sujets présentant le
signe
des orteils, une compression du membre inférieu
énomènes réflexes qui ne sont en grande partie que des variantes du
signe
des orteils. Cette remarque s'applique, par exe
éflexes de défense. Il est permis de faire une critique analogue du
signe
qu'Oppenheim a décrit sous la dénomination d' «
bier antérieur, il s'agit, il est vrai, d'un phénomène différent du
signe
des orteils, et la flexion du BABINSKI. 4 sn
, 1900, n° 4t). 9" Contribution à l'étude du phénomène des orteils,
signe
de Babinski, par J. Charuel (Thèse, Nancy, 1900
w Krakowié). i io Valeur sémiologique du phénomène des orteils ou «
signe
de Babinski », par A. Charpentier (Revue intern
. 1 l¡° Remarques sur le réflexe plantaire et en particulier sur le
signe
de Babin- ski, par lsl : ridâe(Journal of Ameri
cademia Medico-Quirur- gica espanola, 12 de Mayo de 1902). 3o° Le
signe
de Babinski immédiatement consécutif aux ictus cé
o LXVI, fasci- coli 7-8). 33° Étude sur le phénomène des orteils (
signe
de Babinski), par G. Marinesco (Revue neurologi
nski), par G. Marinesco (Revue neurologique, 3o mai 1903). 34° Le
signe
de Babinski comme signe précurseur des lésions du
(Revue neurologique, 3o mai 1903). 34° Le signe de Babinski comme
signe
précurseur des lésions du système pyra- midal,
gisches Ceniralblait, 1903, p. 1109). De l'abduction des orteils (
signe
de l'éventail). Ce signe, que j'ai fait connaît
p. 1109). De l'abduction des orteils (signe de l'éventail). Ce
signe
, que j'ai fait connaître en igo3, est un compléme
. Ce signe, que j'ai fait connaître en igo3, est un complément du
signe
du gros orteil. Voici ce que j'ai écrit à ce suje
uiavaitété l'objet d'une expertise médico-légale, l'absence de tout
signe
objectif classique d'affection organique du sys
e, à l'appui du diagnostic de perturbation du système pyramidal, un
signe
de probabilité qui peut être précieux dans cert
qu'elle se manifeste comme un mouvement associé, la dénomination de
signe
de l'éventail. C'est une expression imagée qui
peut y avoir intérêt à spécifier les conditions dans lesquelles ce
signe
se produit, il est peut-être préférable de se c
ésentation me donnant une occasion de vous entretenir de nouveau du
signe
de l'éventail sur la valeur clinique duquel on n'
sance. de travail confirmatif consacré spécialement à l'étude de ce
signe
. Mais, dans maintes obser- vations ayant trait
ysie de la troisième RÉFLEXES PUPILLAIRES ;,9 paire, constitue un
signe
de syphilis acquise ou de syphilis héréditaire
temps, j'avais examiné avec Nageotte plusieurs sujets présentant le
signe
d'Argyll et n'ayant, sauf ce trouble, aucun sym
vidu qui se présente à l'examen du médecin. La constatation de ce
signe
, disions-nous, a une importance pra- tique très
philis » (The Journal of Mental Science, July 1900). Erb dit que ce
signe
lui paraît indiquer que le système nerveux centra
1900, p. 990). Pour Ilarris le phénomène d'Argyll Robertson est un
signe
presque certain de syphilis (SigniGcation de la
. Cestan et Dupuy-Dutemps, dans une Revue générale intitulée : « Le
signe
pupil- laire d'Argyll Robertson ; sa valeur sém
rivent : « ... grâce aux travaux de Babinski, la valeur pratique du
signe
d'Argyll est définitivement mise en lumière : s
e de nous avoir indiqué les rapports qui unissent la syphilis et le
signe
d'Argyll Robertson. Les observations de cet auteu
médicale (1902, pp. 825 et suiv.), un travail ayant pour titre : « Le
signe
d'Argyll Robertson et la lymphocytose du liquid
oici la con- clusion : « En résumé, chez cinq malades sur six, le
signe
d'Argyll existait à l'état isolé. Chez le sixiè
; chez les trois autres, on ne notait aucun accident spécifique. Le
signe
d'Argyll, comme l'a montré M. Babinski, est cep
ces six sujets, prouve bien, grâce à ce symptôme anatomique, que le
signe
d'Ar- gyll, même isolé, décèle une altération o
rveux, igio, Octave Doin, éditeur, p. 2g) écrit : « L'importance du
signe
d'Argyll Robertson est considérable. Ce signe e
t : « L'importance du signe d'Argyll Robertson est considérable. Ce
signe
est, comme l'a montré Babinski, un véritable stig
yphilis et non pas seulement, comme on l'indiquait jadis, un simple
signe
de tabes ou de para- lysie générale. Tous les a
mme j'ai l'habi- tude de le faire chez tous mes malades, les divers
signes
objectifs qui peuvent se manifester dans les af
cation des prétendues disparitions et réapparitions successives du
signe
d'Argyll Robertson, signalées par quelques obse
x, les crampes provoquées par la faradisation ne constituent pas un
signe
qu'il y aurait lieu de prendre en considération
ai eu l'occasion d'observer quelques individus, ne présentant aucun
signe
d'intoxication, aucune manifestation objective
ite et un peu de congestion papillaire et d'exophtalmie; à part ces
signes
, l'examen objectif est absolument négatif et, e
bsolument négatif et, en particulier, il n'existe aucune ébauche du
signe
de Kernig. Quel diagnostic porter ? La ponction
mme le résultat de la syphilis diffuse : tabes. paralysie générale,
signe
de Robertson, soit isolé (voir p. 58), soit ass
ma- lade. Abolition du réflexe achilléen dans la sciatique. Ce
signe
, objet d'un travail (7)6) publié en 1896, avait é
ue, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du nerf. « Ce
signe
, comme en général tous les signes objectifs, me p
l n'y ait pas lésion du nerf. « Ce signe, comme en général tous les
signes
objectifs, me paraît avoir une grande valeur di
i j'en juge d'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, le
signe
en question fait défaut. » Cette notion, conf
érifié l'exactitude de ces idées. De plus, j'ai observé de nouveaux
signes
(117) appartenant en propre à l'hémispasme faci
ivement l'hémispasme facial caractérisé cliniquement par les divers
signes
que j'ai cherché à mettre en relief, et qui est
rte un cas d'hé- mispasme facial dans lequel il a constaté tous les
signes
que j'ai décrits. Meige, dans un travail intitu
épileptoïde du pied. Ce syndrome constitué par la réunion de trois
signes
cardinaux est un « Symptomentrias » disait autr
e établi que dans la hiérarchie des irréflectivitcs tendineuses, le
signe
de Weslphal n'occupe pas le premier rang qui es
le soit. Les perturbations du réflexe achilléen constituent donc un
signe
de grande valeur et pement contribuer à reconna
aître le tabes dans sa phase initiale, encore avant l'apparition du
signe
de Westphal. » A. F. Hertz et W. Johnson, dans
ement l'irrélleclibilité des membres inférieurs et constituerait un
signe
précoce de tabès. J'ai mon- tré que cette allég
arthropathie (Société de Neurologie, séance du 6 mai i gog). « Les
signes
objectifs du tabes, disais-je, sont ici réduits a
et il est vrai à quelques douleurs lancinantes, il n'existait aucun
signe
objectif de tabes et le liquide céphalo-rachidien
ez nombreux d'arthropathies à type tabé- tique en l'absence de tout
signe
de tabes, chez des syphilitiques». TABES ! J1)
sèques permettant d'en établir le diagnostic, abstraction faite des
signes
con- comitants qui décèlent l'existence de lési
ique tabé- tique ; mais je ne trouvais chez cette femme aucun autre
signe
de tabes ; elle m'affirmait n'avoir jamais eu l
ait ana- logue (202). Le malade, qui ne présentait d'ailleurs aucun
signe
de tabes, était depuis six ans sujet à des cris
tabes ou de paralysie générale et dont l'autre, ne présentant aucun
signe
objectif d'affection organique, aucune manifestat
ourd'hui chose assez commune. Je connais des malades présentant des
signes
carac- téristiques de tabes, dont l'état est à
conduit nos observations. Je dois dire que, pour bien apprécier le
signe
que nous étudions, il faut éviter plusieurs cau
s faisceaux pyramidaux sont dégénérés ou sim- plement comprimés, le
signe
des orteils décelant seulement une per- turbati
fi- cation apparente, car je n'ai jamais constaté chez la malade de
signe
décelant une lésion radiculaire ; les réflexes
'une manière complète (p. 37). Je me contenterai de rappeler que ce
signe
apparaît d'habitude immédiatement après l'ictus
ion est plus grand du côté paralysé (voir fig. 12). C'est là un
signe
que j'ai désigné sous la dénomination de fle-
ec exagération des réflexes tendineux. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 119
Signe
du peaucier. Ce signe consiste en ce que,1 dans
xes tendineux. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 119 Signe du peaucier. Ce
signe
consiste en ce que,1 dans certains mouvements aux
t. J'a- joute que tous les hémiplégiques ne présentent pas ce
signe
. J'ai désigné d'abord ce phéno- FIG. 13. Hémi
le du côté normal ; j'ai proposé d'appeler simplement ce trouble le
signe
du peaucier. Il peut exister aussi dans la para
erse avec brusquerie que le mouvement est prononcé. On observe ce
signe
chez la plupart des sujets atteints d'hémiplégie
émiplégie hystérique avec con- tracture et je la considère comme un
signe
tout à fait caractéristique. Signe de la pronat
ture et je la considère comme un signe tout à fait caractéristique.
Signe
de la pronation. Dans l'hémiplégie organique, a
on par un mouvement passif, on l'abandonne à elle-même. C'est là un
signe
qui peut aider à distinguer l'hémi- plégie orga
d'entre eux sont pathognomoniques, il en est d'autres, tels que le
signe
du peaucier, le signe de la pronation, le mouve
ognomoniques, il en est d'autres, tels que le signe du peaucier, le
signe
de la pronation, le mouvement combiné de flexio
, dans la grande majorité des cas d'hémiplégie organique, grâce aux
signes
intrinsèques, le diagnostic peut aujourd'hui être
RÉBRAL Diagnostic. A. J'ai attiré l'attention sur ce fait que les
signes
considérés comme les plus caractéristiques des
on des réflexes tendineux ; parfois, elle est dépourvue de tous les
signes
objectifs qui appartiennent à l'hémi- plégie or
que ». Cette forme d'hémiplégie, quand elle est associée à d'autres
signes
rendant acceptable l'hypothèse de tumeur cérébr
e, la catalepsie cérébelleuse. J'y ajoute les mouvements démesurés,
signe
que j'ai contribué à établir. Depuis 18gg, j'ai
res, ig 13) s'exprime ainsi à ce sujet : Il Il existe deux nouveaux
signes
qui correspondent à une perturbation du centre
ôté de la lésion. Il va sans dire que l'asynergie, comme les autres
signes
dont on dispose, peut manquer, que, lorsqu'elle
et Schmiedcn (Miinch. Med. IVoch., igio, n° 17) notent entre autres
signes
une asynergie prononcée chez une femme de 23 ans
e les troubles suivants. On constate de l'hémiparésie à droite avec
signe
des orteils et mouve- ment combiné de flexion d
s un trouble de l'appa- reil en question et que quelques-uns de ces
signes
permettent parfois de reconnaître des perturbat
ctions de l'oreille a été enrichie par l'acquisi- sition des divers
signes
que je viens de décrire puisque, comme on l'a v
met : « 1° De découvrir une lésion auriculaire qui, en l'absence de
signes
fonction- nels, passerait inaperçue, ou de dépi
ormule du vertige normal sera modifiée ; « 3° Il peut être enfin un
signe
objectif décelant l'existence d'une augmenta- t
observations que les modifications sus-indi- quées constituent des
signes
précieux au point de vue du diagnostic différenti
e cutané plantaire était normal à droite, on constatait à gauche le
signe
des orteils. A moins de supposer la coexistence f
l'espèce d'une perturbation organique des centres nerveux, dont le
signe
des orteils était le témoignage. C'est l'opinio
« mental » était associée l'extension réflexe du gros orteil ou le
signe
de l'éventail. Ces nouvelles observations ont f
tes descriptions du torticolis mental et, comme lui, corrigé par le
signe
du doigt», le signe des orteils était très net de
torticolis mental et, comme lui, corrigé par le signe du doigt», le
signe
des orteils était très net des deux côtés. Cest
la maladie. Or, si l'on se rappelle que ce trouble constitue un des
signes
objectifs les plus communs de l'hémiplégie orga
la chorée de Sydenham de la chorée hystérique, et on possède là un
signe
qui, sans avoir une valeur déci- sive, vient à
t de 12 ans atteint de chorée de Sydenham chez qui on constatait le
signe
des orteils. « Ce fait, disait-il, est rapprocher
e. Chez 10 enfants atteints de chorée de Sydenham, il a observé des
signes
de lésions du système nerveux (troubles du tonu
née de la cuisse et du tronc, modifications des réflexes tendineux,
signe
des orteils, etc.) ; de plus, ayantprati- qué l
de leurs travaux qu'on trouve assez souvent chez les choréiques les
signes
cliniques propres aux affections orga- niques d
lis comme cause étiologique commune, puisqu'il semble acquis que le
signe
d'Argyll Robertson est fonction de syphilis.
ison sur l'association fréquente de l'insuffisance aor- tique et du
signe
d'Argyll (syndrome de Babinski), le signe d'Argyl
ffisance aor- tique et du signe d'Argyll (syndrome de Babinski), le
signe
d'Argyll permettant d'affirmer la syphilis. »
hysté- rique d'une paralysie ; de même, la présence ou l'absence de
signes
soit d'une affection cardio-vasculaire, soit de
ce de l'hystérie. J'ai indiqué ailleurs (p. 1 6) toute une série do
signes
appartenant aux paralysies organiques et faisan
nes dont il s'agit. On cherche, par exemple, à faire reproduire les
signes
cliniques de l'hémiplégie facialo périphérique en
les ne témoignent (par la trépidation épi- leptoide vraie ou par le
signe
de l'orteil) de l'hyperexeitabilité des centres r
étendu pemphigus hystérique (Id.). 102. De l'abduction des orteils.
Signe
de l'éventail (Société de Neurologie. 3 décembr
s cutanés 37 Phénomène des orteils 37 De l'abduction des orteils (
signe
de l'éventail) 52 Réflexes de défense 5G Réfl
dineux mi Phénomène des orteils 117 Hypotonicité musculaire 117
Signe
du peaucier II\) kj Mouvement combiné de flexio
iné de flexion de la cuisse et du tronc 120 Griffe de la main 123
Signe
de la pronation I z4 Interversion des deux mode
elle peut être considérée INTRODUCTION A LA SEMIOLOGIE 5 comme un
signe
objectif ; en effet, si, par exemple, après avoir
nte- nant, examinant ce sujet à l'ophtalmoscope, vous constatez les
signes
objectifs qui caractérisent la névrite oedémate
, vous êtes immédiate- ment fixés d'une manière définitive, car ces
signes
, ai-je besoin de le dire, ne peuvent être repro
ons.de suspecter la bonne foi, à un simulateur de profession. - Les
signes
ophtalmoscopiques, pour le motif que je viens d
A la vérité un trouble ophtalmoscopique constitue plus qu'un simple
signe
de lésion, c'est la lésion même d'une portion du
dans la synergie du droit interne et du droit externe constitue un
signe
objectif d'autant plus remarquable qu'il permet
res- tent immobiles ; ce phénomène, connu sous la dénomination de «
signe
de Ch. Bell », est du à l'association d'une alt
ulaire et elle constitue alors, à condition d'être perma- nente, un
signe
de haute valeur. Cette dernière variété d'aboliti
de l'accommodation » ; ; c'est cette sous-variété qui constitue le
signe
ou mieux le syndrome décrit par Argyll-Robertson
gite chronique syphilitique (Babinski et Nageotte). Je considère ce
signe
comme le plus remarquable de la sémiotique des
céphalorachidien que nous avons pu, Nageotte et moi, établir que ce
signe
est intimement lié à une méningite, car il coïn
disais des troubles ophtalmoscopiques ; ils constituent plus que des
signes
de lésion, c'est la lésion même d'une partie du
ité pupillaire ; mais, en réalité, à l'état mono-symp- tomatique ce
signe
ne semble pas avoir de valeur clinique. Il n'en a
égitime de l'accommodation, qui peut ainsi être considérée comme un
signe
objectif précieux. Parles divers exemples que j
hologie oculaire fournit à la neuropathologie un fort contingent de
signes
objectifs capitaux. La pathologie du larynx e
iatique hystérique (Sternberg, Babinski, Biro), et constitue un des
signes
les plus précoces du tabes, apparaissant généra
gnes les plus précoces du tabes, apparaissant généralement avant le
signe
de Westphal (Babinski). L'exagération des réfle
aire, le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, le
signe
du peaucier, la griffe spéciale de la main (voir
réflexes cutanés étaient considérés autrefois comme fournissant des
signes
d'un intérêt médiocre; on savait toutefois, depui
s, il n'est pas rare que les orteils s'écartent les uns des autres (
signe
de l'éventail). Ces phénomènes ne font pas partie
e direz peut-être qu'un simulateur serait capable de reproduire les
signes
que je viens de passer en revue ; en effet, un
sous l'influence de la volonté. Je répondrai à cela que ces divers
signes
sont, il est vrai, susceptibles d'être simulés et
es ophtalmoscopiques et la lymphocytose, ce ce sont là plus que des
signes
, ce sont des lésions qui sont symptoma- tiques
e. Ce sont encore des troubles circulatoires qui constituent un des
signes
les plus caractéristiques de la crise épileptique
serait intéressé à induire le médecin en erreur. Or, il existe deux
signes
, qui sans être constants, sont communs dans l'a
mission d'urine pendant l'accès ne pouvait être considérée comme un
signe
décisif, car c'est un phénomène qui peut être r
Mais n'oubliez pas que la constatation d'un ou de plusieurs de ces
signes
chez un malade ne permet pas d'exclure l'idée qu'
un dernier conseil pratique. Recherchez systématiquement ces divers
signes
objectifs ou du moins la plupart d'entre eux ch
le II 1 janvier ra : i à la Réunion neurologique de Strasbourg. Les
signes
sur lesquels le clinicien s'appuie pour établir l
ivisés, d'une manière générale, en deux groupes : - d'une part, les
signes
objectifs, notamment ceux que la volonté seule
ponse aux questions qui lui sont posées. Voici quelques exemples de
signes
objectifs... Mais je m'éloigne un peu du sujet
n peu du sujet que je me proposais de traiter, car ce n'est pas des
signes
objectifs que je voulais vous entretenir. Ce que
duquel la volonté peut avoir sa part... Comme premier exemple de
signe
subjectif, prenons la céphalée. Entre autres af
intracrâniennes, les abcès de l'encéphale. Sans doute, ce sont les
signes
objectifs qui permettent, dans les cas de ce ge
particulier que, quoique ne présentant aux membres inférieurs aucun
signe
de maladie locale infectieuse, telle que phlébite
siègent les dou- leurs, d'une anesthésie à type radiculaire, et du
signe
des orteils a permis dans quelques cas de recon
cette erreur peuvent être extrêmement graves. Mais, sans parler de
signes
objectifs capables d'éclairer la situa- tion, s
ns cet état 6 mois après le début des troubles. Ne constatant aucun
signe
objectif d'affection organique du système nerveux
la valeur, sans que leur authenticité égale celle que possèdent les
signes
objectifs bien caractérisés. Je dois faire re
nger de suivre une fausse piste et de s'égarer. Si la recherche des
signes
subjectifs est faite par lui sans la prudence r
es étant caractérisé par de l'atrophie papillaire du côté droit, le
signe
de Robertson, des douleurs fulgurantes, l'absen
r d'autres beaucoup plus nombreux que j'ai recueillis depuis que ce
signe
a attiré mon attention, je vais passer en revue
dans l'hémiplégie ancienne. J'ai constaté aussi l'existence de ce
signe
chez deux sujets présentant une hémiplégie anci
caractérisé par des douleurs fulgurantes, des troubles vésicaux, le
signe
de Robertson, l'absence des réflexes des tendons
plantaire est normal ; parfois pourtant j'ai constaté de ce côté le
signe
des orteils, moins accentué toutefois qu'au pie
présentait aucun trouble de la motilité. J'ai également observé le
signe
des orteils chez un individu atteint de méningi
les cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine cérébrale. Ce
signe
peut exister aussi dans certaines paraplégies fla
quelques-unes des affections du système nerveux dans lesquelles le
signe
des orteils paraît faire défaut. Je ne l'ai jam
sible et que jusqu'à présent, je n'ai pas observé une seule fois ce
signe
chez un sujet dont le système pyramidal fut sûre-
sions étaient très limi- tées. Il faut donc bien remarquer que ce
signe
, s'il révèle l'existence d'une perturbation dan
ut indissoluble. Aussi observe-t-on fré- quemment la réunion de ces
signes
chez un môme sujet et c'est ce que vous avez pu
eptoïde du pied, tandis qu'inversement on observe très nettement ce
signe
dans des cas où, malgré l'existence d'une lésio
de l'hémiplégie organique; dans un cas de ce genre, l'existence du
signe
des orteils est particulièrement précieuse, car e
nt l'existence d'un trouble dans le système pyramidal, qui, sans ce
signe
, aurait pu être méconnu. Au commencement de cet
matisme ayant motivé une expertise médico-légale, l'absence de tout
signe
objectif classique d'affection organique du systè
rteils, dans les conditions que je viens de spécifier, constitue un
signe
de probabilité en faveur d'une per- turbation d
onnellement. Je considère donc l'absence du réflexe achilléen comme
signe
d'un état pathologique. » Albert Charpentier
'absence des réllexes achilléens et des réflexes rotuliens sans autre
signe
d'affection du sys- tème nerveux (Nouvelle Icon
établissait que l'absence du réflexe rotulien constitue parfois un
signe
précoce de l'ataxie locomotrice. Ce symptôme ét
dire que, dans la hiérarchie des irréflectivités tendi- neuses, le
signe
de Westphal n'occupe pas le premier rang ; celui-
llement l'irréflectivité des membres inférieurs et constituerait un
signe
précoce du tabes. Cette allégation est inexacte.
t ou une abolition des réflexes tendineux et osseux, et c'est là un
signe
capital pour le diagnostic. On constate l'aboliti
ier sur l'existence de certains points douloureux (Valleix), sur le
signe
de Lasègue, sur la scoliose, que Charcot et moi
dès le début de l'affection dont l'amyotrophie peut être le premier
signe
objectif. Un groupe musculaire est parfois très a
par les lésions, et constitue pour le diagnostic et le pronostic un
signe
objectif de grande valeur. Il est évident que l
s reste à mentionner, parmi les maladies où l'irréflectivité est un
signe
cardinal, la maladie de Friedreich, variété de sc
transversale complète de la moelle s'était manifestée, entre autres
signes
, par une abolition des réflexes tendineux ; 2"
nus du pied », « trépidation épileptoïde du pied ». On recherche ce
signe
en pro- cédant ainsi : tenant la jambe immobile
vaincre il suffit de choisir quelques individus ne présentant aucun
signe
d'affection nerveuse, ayant simplement des réflex
sez communément chez les tuberculeux ne présentant, du reste, aucun
signe
d'affection organique du système nerveux. Si
oujours avec facilité. Nous conseillons, pour la constatation de ce
signe
, de placer le membre supérieur du sujet en demi
liers au membre inférieur, dénotant la surréflectivité : ce sont le
signe
de Rosso- limo et celui de Mendel-Bechterew. Le
: ce sont le signe de Rosso- limo et celui de Mendel-Bechterew. Le
signe
de Rossolimo consiste dans le fait qu'une chiqu
de relevant les orteils provoque une flexion réflexe de ceux-ci. Le
signe
de Mendel-Bechterew est constitué par une flexi
ralysie, contracture, etc., mais elle peut se présenter aussi comme
signe
unique d'un état pathologique. Cela est pourtant
t manifestée. L'exagération des réflexes tendineux constitue un des
signes
cardinaux de la sclérose latérale amyotrophique
éflexe paradoxal du coude » dont il a été question précédemment. Ce
signe
, comme nous l'avons vu, peut se manifester déjà
e du pied, quand on la constate des deux côtés, ne constitue pas un
signe
cer- tain d'un état pathologique. Je signale
e, comme M. van W oerkom le reconnaît lui-même, le lien qui unit le
signe
du gros orteil au « flexion reflex » n'est pas
@ confirmées par moi, ont montré que, chez des sujets présentant le
signe
des orteils, une compression du membre inférieu
yramidal, de trois phénomènes : exagération des réflexes tendineux,
signe
des orteils, exagération des réflexes de défens
en examinant les relations de la surréflectivité tendineuse avec le
signe
des orteils d'abord, avec les réflexes de défen
pied et parfois, en même temps, ils s'écartent les uns des autres (
signe
de l'éventail). C'est là une règle qui souffre
u, sans doute, dans les observa- tions de rhumatisme chronique avec
signe
des orteils publiées par M. Léri. J'ai déjà eu
'une flexion des orteils. Les faits où, inversement, on constate le
signe
des orteils, tandis que les réflexes tendineux
euse n'apparaît d'habitude qu'après un délai plus ou moins long. Le
signe
des orteils, au contraire, se manifeste immédia
ns scléreuses de la moelle, il n'est pas exceptionnel d'observer le
signe
des orteils alors que les réflexes tendineux so
réflexes de défense légèrement exagérés ou à peu près normaux ; e)
signe
des orteils. Voici maintenant les caractères de
e défense toujours très forts ; e) dans la grande majorité des cas,
signe
des orteils. Ajoutons que la rigidité en flexio
yramidale dont la perturbation se mani- feste pendant la vie par le
signe
des orteils et par l'exagération des réflexes d
le plus à fausser les idées. Que l'on se reporte à l'époque où les
signes
dont on se sert couramment aujourd'hui pour le
es orteils, mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin,
signe
de la pronation, signe de Mendel-Bechtereff, etc.
ombiné de flexion de la cuisse et du bassin, signe de la pronation,
signe
de Mendel-Bechtereff, etc.), étaient ignorés. O
mêmes effets que les altérations organiques. Aujourd'hui, grâce aux
signes
nouveaux que l'on possède, on n'est plus exposé
, on n'est plus exposé à se tromper ainsi. Mais déjà, avant que ces
signes
fussent connus, il m'a été possible de rectifie
noplégie brachiale liée à une lésion du système nerveux central. Le
signe
de la pronation, l'hypothermie et l'exagération
me impossible, si, pour se faire une opinion, on ne dispose que des
signes
différentiels classiques; il est arrivé à tout
gmates de l'hystérie, s'il est syphili- tique, ou s'il présente les
signes
d'une affection cardiaque, en particulier d'un
tre atteint d'une lésion artérielle du cerveau sans en présenter de
signes
objectifs, que, par conséquent, l'absence de ce
résenter de signes objectifs, que, par conséquent, l'absence de ces
signes
ne permet pas d'écarter l'hypothèse de ramollis-
e me hâte d'ajouter que tous les hémiplégiques ne présentent pas ce
signe
. J'ai désigné ce phénomène sous la dénomination d
scle du côté normal ; je propose d'appeler simplement ce trouble le
signe
du peaucier. Ce signe peut exister aussi dans l
je propose d'appeler simplement ce trouble le signe du peaucier. Ce
signe
peut exister aussi dans la paralysie faciale pé
ment le peaucier du cou d'un seul côté, je conçois fort bien que ce
signe
puisse être observé dans l'hystérie ou plutôt ê
ans vouloir y attacher une importance fondamentale, j'estime que le
signe
du peaucier, quand il existe nettement du côté sa
HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE gg N'ayant jamais constaté l'existence de ce
signe
dans l'hémiplégie hysté- rique, j'estime qu'il
paralysie hystérique. J'appelle maintenant votre attention sur un
signe
différentiel des deux espèces d'hémiplégie que
endance d'une lésion qui atteint le système pyramidal on observe ce
signe
du côté paralysé. Il existe dans la plupart des
égie récente que dans l'hémiplégie ancienne. J'ai constaté aussi ce
signe
chez des malades atteints à la fois d'hémiplégie
lbert Chaddock. M. Schuler, cependant, tout en reconnaissant que ce
signe
est un indice de lésion organique, ne le consid
'hémiplégie hystérique avec contracture et je la considère comme un
signe
tout à fait caractéristique. J'ai décrit ce signe
onsidère comme un signe tout à fait caractéristique. J'ai décrit ce
signe
pour la première fois dans mon travail que je v
ie hystérique se dis- tingue bien moins par la présence de quelques
signes
spéciaux que par l'absence de certains caractèr
olontaire. Il est encore facile de saisir la cause pour laquelle le
signe
du peau- cier manque dans l'hémiplégie hystériq
des actes dans lesquels les peau- ciers du cou interviennent. Or le
signe
du peaucier de l'hémiplégie organique, si l'exp
la contraction du peaucier est faible ou nulle du côté paralysé. Ce
signe
doit donc faire défaut dans l'hémiplégie hysté-
ister dans un cas, il s'agirait probablement d'une simulation de ce
signe
résultant d'une contraction volontaire unilatéral
vements inconscients ou subconscients; voilà pourquoi sans doute le
signe
de la flexion combinée de la cuisse et du tronc m
s ; de là résultent les deux phé- nomènes dont j'ai dénommé l'un le
signe
du peaucier, l'autre la flexion combinée de la
subconscients ne sont pas troublés ; de là résultent l'absence du
signe
du peaucier, ainsi que l'absence de la flexion
les orteils, au lieu de se fléchir, s'étendent sur le métatarse. Ce
signe
, auquel j'ai donné la dénomination de phé- no
est due, non à de l'hypotonicité musculaire, mais à du spasme; le
signe
de la flexion exagérée de l'avant-bras fait déf
iologique. Comment donc distinguer l'état pathologique et sur quels
signes
se fondera-t-on pour s'assurer que les réflexes
e degré dans le déplacement du membre. On peut y arriver grâce à un
signe
qui me parait pathognomonique : si on obtient une
pas à l'état normal. Je rappellerai ici comment fut découvert ce
signe
qui me semble être le critérium de l'exagératio
condition suffisante. Par leur signification ils se rapprochent du
signe
des orteils et de l'exagération des réflexes tend
ncerne en particulier les relations des réflexes de défense avec le
signe
des orteils, je rappellerai que suivant Pierre Ma
ce qui concerne l'examen des membres inférieurs, l'indi- cation des
signes
suivants : réflexes de défense, réflexe antagonis
e du pied permet d'affirmer qu'on a affaire à un état morbide. Ce
signe
à lui seul me paraît donc décisif; c'est le crite
au début de cette Conférence, je propose une expression nouvelle :
signe
de la flexion réflexe du pied pour désigner les
teurs qui sont des débutants sur l'intérêt qu'il y a à connaître ce
signe
, lequel a le double mérite d'être d'une explora
otamment la flexion du pied, a mani- festement des rapports avec le
signe
des orteils, puisque ces deux phéno- mènes para
très porté à admettre j'y reviendrai plus loin que la pathogénie du
signe
des orteils ressemble à celle de la triple flexio
n'ai pas prétendu qu'il y eût différence absolue de nature entre le
signe
des orteils et les réflexes cutanés de défense,
aire au mien. « Pour nous, au contraire, écrivent nos collègues, le
signe
de Babinski appartient à l'ensemble des mouveme
laquelle je n'offre pas d'explication et qui resterait pour moi un
signe
mystique et inexplicable d'affection du faiscea
eut observer non seulement le phénomène des orteils en l'absence du
signe
de la flexion réflexe du pied, mais aussi la di
rteils, et par une excitation minimale du bord plantaire externe le
signe
de Babinski nettement positif et isolé. Dans ce
a, confirmées par moi, ont montré que chez des sujets présentant le
signe
des orteils, une compres- sion du membre inféri
fréquent dans l'hémiplégie constituée. Il est en général associé au
signe
de Babinski, mais ne lui est pas superposable.
ne lui est pas superposable. On l'observe en effet en dehors de ce
signe
, particulièrement chez certains (') Revue Neuro
extension, le mouvement des orteils est nul ou même en flexion, le
signe
des raccourcisseurs établir une lésion que la rec
le signe des raccourcisseurs établir une lésion que la recherche du
signe
de Babinski n'avait pu dépister ». N'est-ce p
mbres inférieurs (2), écrit ceci : « Pourtant, le lien qui relie le
signe
de Babinski au « flexion réflexe » n'est pas indi
défense pathologiques, notamment la flexion réflexe du pied, et le
signe
des orteils n'est pas indissoluble, il est pourta
ns et la surréflec- tivité tendineuse qui, elle aussi, constitue un
signe
de perturbation de la voie pyramidale ? On peut
exe du pied peut aussi manquer de même qu'il y a parfois absence du
signe
des orteils. Mais ce qui est plus frappant, c'e
il relatif au phéno- mène des orteils ('), sur la coexistence de ce
signe
avec la subréflectivité ou l'irréflectivité ten
rreurs sont devenues bien plus rares depuis que la connaissance des
signes
en question s'est répandue parmi les praticiens.
nature ? Dans mon article de 1898, j'écrivais déjà ceci à propos du
signe
des orteils : « Il faut donc bien remar- quer q
ropos du signe des orteils : « Il faut donc bien remar- quer que ce
signe
, s'il révèle l'existence d'une perturbation dans
trépidation épileptoïde du pied des deux côtés. « On constate le
signe
des orteils des deux côtés. « Les réflexes de d
OGIE mètres et qui cependant présentait d'une manière très nette le
signe
des orteils et le signe de la flexion réflexe d
dant présentait d'une manière très nette le signe des orteils et le
signe
de la flexion réflexe du pied. On peut dire qu'
ressive des réflexes de défense préalablement exagérés peut être un
signe
favorable, comme dans l'observation de tumeur q
ogistes, présents à une attaque, ont eu l'occasion de constater ces
signes
dès la première minute. L'exagération des réfle
'à 1-) ? Réflexes rotuliens forts, trépidation épileptoïde du pied.
Signe
des orteils et flexion réflexe du pied très carac
) réflexes de défense légèrement exagérés ou à peu près normaux; e)
signe
des orteils. « Voici maintenant les caractères
de défense toujours très forts; e) dans la grande majorité des cas,
signe
des orteils. Ajoutons que la rigidité en flexio
pyramidale dont la perturbation se manifeste pendant la vie par le
signe
des orteils et par l'exagération des réflexes d
ation des sphincters, et cependant il y a persistance très nette du
signe
des orteils et de la flexion réflexe du pied. S
te du pied sur laquelle porte l'excitation). Plus ordinairement, le
signe
des orteils ne se modifie que partiellement; l'ex
tions il semble permis d'inférer que, dans le cas où l'on trouve le
signe
des orteils, le réflexe cutané plantaire normal n
t souvent difficile. Généralement on a recours, pour l'établir, aux
signes
extrin- sèques permettant d'admettre ou d'écart
ntrée à l'hôpital, en janvier 1921, le malade présente un ensemble de
signes
dénotant l'existence d'une lésion intéressant l
comme j'ai l'habitude de le faire chez tous mes malades, les divers
signes
objectifs qui peuvent se manifester dans les af
philitique ? Assurément non, car la malade ne se plaint d'aucun des
signes
subjectifs qui appar- tiennent à cette lésion,
ubjectifs qui appar- tiennent à cette lésion, elle n'en a aucun des
signes
objectifs et, cytolo- giquement, son liquide cé
ication des prétendues disparitions et réapparitions successives du
signe
d'Argyll-Robertson signalées par quelques obser
es expériences faites sur une vingtaine d'in- dividus n'ayant aucun
signe
d'affection oculaire ni de maladie organique du
on. Les réflexes achilléens sont abolis des deux côtés. Aucun autre
signe
objectif à noter; la malade n'a jamais eu de doul
mbres, elle n'a pas de troubles vésicaux et elle ne présente pas le
signe
de Romberg. SÉMIOLOGIE OCULAIRE 181 OBs. II.
est extrêmement faible à gauche, il est aboli à droite. Aucun autre
signe
objectif à noter; pas de douleurs, pas de troub
aire; ce qni vient à l'appui de cette manière de voir, c'est que le
signe
d'Argyll (') Voira) Bulletin de la Société de d
e du diagnostic, au moins autant d'impor- tance, sinon plus, que le
signe
de Westphal. Je suis d'avis que, malgré l'absen
gne de Westphal. Je suis d'avis que, malgré l'absence de tout autre
signe
de maladie organique du système nerveux, on est
'une simple lésion du sympathique ; même en l'absence de tout autre
signe
objectif, quand elle se présente dans les condi
et n'est pas associée à une paralysie de la 3" paire, constitue un
signe
de syphilis acquise ou de syphilis héré- ditair
aires dans la syphilis héréditaire, par Erb ("), qui déclare que ce
signe
lui paraît indiquer que le système nerveux cent
is, par Harris ('), pour qui le phénomène d'Argyll Robertson est un
signe
pres- que certain de syphilis, par Parinaud, qu
uvements synergiques de la pupille étant conservés) est pour moi un
signe
spécifique précieux. » Cestan a relaté aussi de
ond à la Salpétrière, atteints de méningo-myélite syphilitique avec
signe
d'Argyll Robertson. Les nouvelles observations
vingt-sept ans ; elle a des exostoses syphilitiques. On constate le
signe
de Robertson. Outre ce trouble il n'existe chez e
e ; il n'y a jamais eu de diplopie ; la vessie fonctionne bien ; le
signe
de Romberg fait totale- ment défaut; il n'y a j
med. Journ., 29 sept igoo. (6) « Méningo-myélite syphilitique avec
signe
d'Argyll Robertson o, Archives de Neurologie, 190
ormal. Du reste, cette malade, comme la précédente, n'a aucun autre
signe
objectif, aucune manifesta- tion subjective d'a
s, qui a contracté la syphilis à l'âge de trente et un ans. Il a le
signe
de Robertson et on ne trouve chez lui aucun aut
Enfin, cette femme, âgée de cinquante-deux ans, ne présente que le
signe
de Robertson comme manifestation d'affection orga
nt et les faits où l'abolition des réflexes pupillaires est le seul
signe
d'une affection organique du système nerveux. C
celles du laby- rinthe il faut faire appel à une autre catégorie de
signes
. Nous n'avons pas à nous occuper des symptômes
ements peuvent être brusques et sans mesure. Assurément, de par les
signes
concomitants que l'examen révèle. chez un tabétiq
s les conditions ni dans la forme, qui puisse être confondu avec le
signe
de Romberg. On ne peut dire d'autre part qu'il
er la valeur d'un trouble asynergique, le constater en l'absence de
signes
d'altération du faisceau pyramidal. On doit s'ass
s phénomènes ne sont pas influencés par l'exclusion de la vue et le
signe
de Romberg fait défaut. Les mouvements rapides,
tion que donne Bruns, dans laquelle nous relevons en particulier ce
signe
, « Hahnentritt », peut s'appliquer à la démarch
nous avons présenté ci-dessus la description méthodique des divers
signes
, nous nous sommes efforcés d'en donner une idée c
ment dans l'élaboration d'une sémiologie. Mais, bien entendu, ces
signes
ne présentent pas toujours, tant s'en faut, une
plisse- ments, des tempéraments qu'elle doit subir. Chacun de ces
signes
, qui d'ailleurs sont rarement tous réunis chez
stations d'affection cérébel- leuse. D'ailleurs il est rare qu'un
signe
suffise à lui seul pour établir un diagnostic e
présomption plus ou moins forte qui invite à la recherche d'autres
signes
passés d'abord inaperçus, ou à l'attente de leu
abord inaperçus, ou à l'attente de leur éclosion. Quand plusieurs
signes
sont observés dans un même cas, ils renforcent
rébelleuse, parfois considérable, pourra ne se tra- duire par aucun
signe
, aucun trouble, être latente, rester méconnue et
ON CRANIENNE a3 O. G. i/4. A part ces troubles je ne constate aucun
signe
objectif d'af- fection organique du système ner
racrànien extrêmement probable. En me fondant sur l'absence de tout
signe
décelant une perturbation soit du système pyram
m semble montrer que j'avais eu raison d'attacher de la valeur à ce
signe
. Mais je n'avais pas été en mesure de pousser p
x côtés, et à peine plus forts à droite wu gauche. On constate le
signe
de l'orteil, ainsi que le mouvement combiné de la
mouvement combiné de la cuisse et du bassin à droite, ainsi que le
signe
du peaucier. " ' ......... ? u ." .' .........
e des papilles. Il s'agit manifestement d'hémiplégie organique ; le
signe
de l'orteil, le signe du peaucier, et le mouvem
git manifestement d'hémiplégie organique ; le signe de l'orteil, le
signe
du peaucier, et le mouvement combiné de flexion d
ont stationnaires ; la torpeur du malade augmente ; il présente des
signes
de congestion pulmonaire au niveau des bases.
issance seule, d'enrayer le processus morbide. Lorsque les premiers
signes
de la névrite oedémateuse se sont mani- festés,
et a donné toujours les mêmes résultats. Il n'existe aucun autre
signe
objectif, aucun autre trouble fonctionnel. 1
« mental » était associée l'extension réflexe du gros orteil ou le
signe
de l'éventail. Ces nouvelles observations ont f
ique de tout le côté gauche prédominant au membre supérieur. 2° Des
signes
de lésion des faisceaux pyramidaux plus marqués d
s en bien et en mal. Le malade, comme nous l'avons vu, présente des
signes
objectifs incontestables d'une perturbation de
la maladie. Or si l'on se rappelle que ce trouble constitue un des
signes
objectifs les plus communs de l'hémiplégie orga
l fait défaut dans les paralysies psychiques, on peut considérer ce
signe
comme per- mettant de distinguer, dans certains
déraisonnable ; son intelli- gence paraît absolument intacte et par
signes
ou par écrit, elle se met, volontiers, en rappo
il s'occupe ; les altérations de la pyramide antérieure expliquant le
signe
des orteils qui avait été noté, mais sans intér
L'hémiplégie droite, très légère il est vrai, caractéri- sée par le
signe
des orteils ainsi que par le mouvement combiné de
pathologique qui tout d'abord ne s'était pas manifestée. Ces divers
signes
permettent donc de déceler des altérations même
u mercure, que l'on interrompt seulement lorsque se manifestent des
signes
d'intolérance. Son état présente des alternativ
uent important d'analyser chaque fait pour déterminer la valeur des
signes
classiques et trouver, si possible, des caractère
une association hystéro-organique. J'avoue que je ne connais pas de
signe
intrinsèque permettant de différencier ces deux
e ici « paralysie organique, pseudo-hystérique ». C'est à l'aide de
signes
extrinsèques que le diagnostic peut être établi,
embres atteints soient modifiés. Quand elle est associée à d'autres
signes
rendant l'hypothèse de tumeur PARALYSIE PAR COM
roversée (2), je rappel- lerai seulement qu'il se distingue par les
signes
suivants : contracture en (') Sur une forme de
acture. Dans la paraplégie spasmodique dont je viens de décrire les
signes
les plus saillants, l'anesthésie peut faire com
ections à évolution lente. Ordinairement, elle est précédée par des
signes
réalisant d'une manière plus ou moins parfaite le
former. Mais, dans certains cas, qui semblent rares, il est vrai, les
signes
essentiels de la paraplégie spinale spastique f
exes ten- dineux et des réflexes de défense, avec clonus du pied et
signe
de l'orteil bilatéral. Un traitement spécifique
ASMODIQUE ORGANIQUE 337 citabilité mécanique des muscles. Les mêmes
signes
se montrent, plus discrets, au membre inférieur
plus ou moins volontaire. Comme il n'existe, nous l'avons vu, aucun
signe
d'oblitération artérielle, il nous semble ratio
sance. Quant à la parésie du membre supérieur, en l'absence de tout
signe
objectif de lésion des cornes antérieures ou de l
itablement touchées, et l'on observerait aux membres inférieurs des
signes
décelant l'existence d'une altération de la voi
ettre d'établir, à cet égard, un parallèle entre ce phénomène et le
signe
de Westphal. Ce sont les (') Abolition du réfle
le a une aussi grande importance pour le diagnostic du tabès que le
signe
de Westphal. Chez la plupart des tabétiques, il
ne porte que sur le réflexe rotulien. Il est vrai- semblable que ce
signe
aurait été constaté s'il avait été recherché, au
la physionomie des crises gastriques tabétiques, en dehors de tout
signe
clinique et biologi- que de tabes ; 2° Les ca
, d'intervenir chirurgicale- ment, alors même qu'il n'existe pas de
signes
suffisamment convaincants pour affirmer une gas
rtain chez ces deux jeunes filles ; elles présentent, en effet, des
signes
caractéristiques de cette affection. La premièr
n leur pose à cet égard. Tel individu, par exemple, qui présente le
signe
de Robertson, l'abolition du réflexe rotulien e
ue associée à de l'atrophie papillaire, dont le mari présentait des
signes
de tabes fruste. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA S
plus, lorsque le tabes abolit d'un seul côté le réflexe pupillaire (
signe
de Robertson uni- latéral), ce qui est rare, il
ns, ce que j'ai constaté plusieurs fois et cela paraît montrer que le
signe
de Robertson est sous la dépendance d'une lésio
lle sont abolis ; la pupille droite est plus petite que la gauche ;
signe
d'Argyll Robertson, des deux côtés ; la vision es
achilléens sont très forts, le clonus du pied facile à produire. Le
signe
du gros orteil est très net à droite (la jambe ga
spondant et l'autre même sont agités par de grandes secousses. Le
signe
du gros orteil existe à droite et à gauche ; il e
rochant ce cas des deux précédents, et considérant qu'il existe des
signes
d'affection médullaire, nous pensons que l'hypoth
Il. Froid. 366 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE encore un
signe
important qui infirme l'hypothèse de lésions radi
orant la sensibilité et en délimi- tant l'anesthésie. Cependant, ce
signe
n'a pas une valeur absolue ; il a conduit parfo
Mais nous devons ajouter immédiatement que dans l'appréciation du
signe
que nous étudions, il y a plusieurs causes d'erre
e il résulte que quand on se trouve devant un malade présentant des
signes
de compression de la moelle, il y a tout lieu d'a
a miction est extrêmement difficile. En présence de cet ensemble de
signes
, on porte le diagnostic de compression des XIe
u double. Les pupilles sont inégales, mais régulières, il existe un
signe
d'Argyll très net. Le fond de l'oeil est normal.
supérieurs dans leur partie interne (C', C8, D'). De plus, certains
signes
nous montraient que la lésion devait s'étendre
-rachidien avec réaction de Wassermann positive, la constatation du
signe
d'Argyll Robertson et l'étendue de la lésion no
tructives de la moelle. ' Voici un cas de ce genre (fig. 53), les
signes
constatés (paraplégie totale, avec abolition de
voici ce que nous constatons : paraplégie spasmodique en flexion avec
signe
des 3g8 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE
syndrome fruste de Brown-Séquard gauche; des deux côtés on trouve le
signe
des orteils, une exagération des réflexes de dé
n'est qu'au bout d'une huitaine de jours qu'apparaissent les premiers
signes
de régression de ces troubles : les réflexes re
e sont effacés en grande partie ; la surréflectivité tendineuse, le
signe
des orteils et le signe de la flexion réflexe du
partie ; la surréflectivité tendineuse, le signe des orteils et le
signe
de la flexion réflexe du pied existent encore et
la trépidation épileptoïde du pied des deux côtés. On constate le
signe
des orteils des deux côtés. Tous les réflexes a
ation des réflexes tendineux avec trépidation épileptoïde du pied, le
signe
des orteils et des réflexes de défense très for
u pied, le signe des orteils et des réflexes de défense très forts (
signe
de la flexion réflexe du pied). Les réflexes cu
ds, légèrement parésiés. On constate encore l'existence de tous les
signes
d'une perturbation de la voie pyramidale à droi
ite et à gauche : exagération des réflexes tendineux avec clonus,
signe
des orteils, réflexes de défense. Les troubles
aire défaut en cas de néo- plasie ; mais, dans son observation, les
signes
de compression étaient encore très peu marqués.
seules résoudre. XVIII . MONOPLÉGIE CRURALE HYPERTONIQUE SANS
SIGNES
PYRAMIDAUX HOMOIA 7l ? liA UX ET A t,'L7C ANIS'
de troubles appréciables de la motilité volontaire, on trouve le
signe
des orteils et des réflexes de défense bien car
ce par la dénomi- nation de « monoplégie crurale hypertonique, sans
signes
pyramidaux homolatéraux et avec anesthésie homo
idée que j'ai soutenue. Je ferai remarquer aussi que la présence du
signe
des orteils, qui actuellement constitue la seul
lade, il faudrait supposer qu'il est capable de donner naissance au
signe
d'Argyll Robertson, ce qui, il est vrai, est admi
été confirmés par un grand nombre de médecins, établis- sant que le
signe
d'Argyll est pathognomonique ou tout au moins pre
ue, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du nerf. « Ce
signe
, comme en général tous les signes objectifs, me p
l n'y ait pas lésion du nerf. « Ce signe, comme en général tous les
signes
objectifs, me parait avoir une grande valeur di
i j'en juge d'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, le
signe
en question fait défaut. » Cette notion, confir
it impliquer la contraction synergique du long fléchisseur. (1) Les
signes
objectifs de la paralysie de l'adducteur du pouce
tion psychique, et que la volonté ne peut reproduire. Or, parmi les
signes
que j'ai passés en revue se trouvent les caractèr
n complétant l'examen de ce sujet chez qui on trouve un ensemble de
signes
qui condui- sent inévitablement au diagnostic d
mi- spasme : ce sont des vertiges, de la latéropulsion à gauche, le
signe
de l'éventail des deux côtés, mais plus marqué
ivement l'hémispasme facial caractérisé cliniquement par les divers
signes
que j'ai cherché à mettre en relief et qui est
aire ; cela nous paraît d'autant plus probable qu'il n'existe aucun
signe
pouvant faire supposer la concomitance d'une lési
dire explicitement à la personne qu'on examine qu'elle devra faire
signe
dès qu'elle commencera à distinguer l'index, avan
ale et la paraplégie par lésion spinale se manifestent par certains
signes
qui manquent toujours dans l'hémiplégie et la par
') et je me contenterai d'attirer votre atten- tion sur l'un de ces
signes
que je considère comme tout à fait distinctif,
es troubles respiratoires, qui, du reste, ne s'accompagnent pas des
signes
objectifs dénotant une perturbation dans l'héma
81 d'hématurie hystérique et chez lesquels ont apparu plus tard les
signes
caractéristiques de la tuberculose pulmonaire o
rapie dite rationnelle ; je lui déclare qu'il ne présente aucun des
signes
qui dénotent l'existence d'une affection grave,
ie manifestement organique qui, cependant, sont jeunes, n'ont aucun
signe
d'affection car- diaque, ne paraissent pas syph
on systématique et qu'ils n'avaient pas à leur disposition certains
signes
objectifs que j'ai découverts depuis. Dans un p
e du système nerveux central. Je n'ai pas besoin d'insister sur les
signes
objectifs nouveaux, le phénomène des orteils (e
ifs nouveaux, le phénomène des orteils (extension du gros orteil et
signe
de l'éventail), le mouvement combiné de flexion d
ventail), le mouvement combiné de flexion du tronc et du bassin, le
signe
du peaucier, l'hypotonicité musculaire, le phénom
tat général était satisfaisant et chez qui on ne consta- tait aucun
signe
stéthoscopique net de lésion pulmonaire, ce qu'on
nnaître, du reste, qu'aujour- d'hui déjà nous disposons de nombreux
signes
qui nous permettent, au moins dans beaucoup de
s dans beaucoup de cas, d'atteindre presque la certitude. Parmi ces
signes
, les uns sont d'ordre positif; c'est ainsi qu'on
as d'autre cause pouvant déterminer de pareils troubles. Les autres
signes
sont d'ordre négatif ; je dis, par exemple, qu'un
le diagnostic des accidents de nature sugges- tive se fonde sur les
signes
négatifs bien plus souvent que sur les signes p
tive se fonde sur les signes négatifs bien plus souvent que sur les
signes
positifs. La symptomatologie des phénomènes d
e objection et son souci pri- mordial consista dans la recherche de
signes
permettant de distinguer l'hypnotisme vrai, s'i
, nullement simulés, sans qu'ils s'associent nécessaire- ment à des
signes
objectifs. Soutenir une idée contraire équivaudra
ère de voir. Il s'agit d'un cas de paralysie de la main, sans aucun
signe
dénotant l'existence d'une lésion des centres ner
ian. Toute paralysie ou toute contracture ne présen- tant aucun des
signes
des affections organiques classées était, sans hé
istinguent déjà des crises épileptiques par l'absence constante des
signes
objectifs qui impriment leur sceau aux accès épil
ou profonde, ni de la réflectivité, ni de la vaso-motricité. Aucun
signe
clinique ne permet de les distinguer des contra
ccidents liés à des lésions du système nerveux central, lorsque les
signes
caractéristiques de ces affec- tions étaient en
raumatismes. Ces troubles de motilité ne s'accompagnent d'aucun des
signes
qui appartiennent en propre aux affections organi
de n'était pas notablement exagérée et nous manquions, dès lors, du
signe
le plus caractéristique. Enfin il y avait lieu de
des nerfs péri- phériques devait être écartée en l'absence de tout
signe
caractérisant de telles lésions. S'agissait-il
s muscles avec fusion anticipée des secousses faradiques ('). Des
signes
objectifs sur lesquels la volonté ne peut avoir a
d'une perturbation des centres médullaires, nous retrou- vâmes les
signes
sur lesquels nous venons d'attirer l'attention et
esquelles on avait d'abord hésité à se prononcer, s'accompagnent de
signes
objectifs que nous avons fait connaître et dont
(c'est-à-dire les troubles de motilité qui ne présentent aucun des
signes
objectifs par lesquels se manifestent les affec
La surréflectivité tendineuse, lorsqu'elle est indiscutable, est un
signe
de grande valeur. Elle peut être d'une apprécia
roubles moteurs en question, ne s'accompagnant du reste d'aucun des
signes
objectifs pathognomoniques des lésions du système
(c'est-à-dire les troubles de motilité qui ne présentent aucun des
signes
objectifs par lesquels se manifestent les affec
s, plus ou moins complètes, de types variés. Ils s'accompagnent des
signes
objectifs sui- vants qui permettent de les dist
n des orteils. La marche est légèrement incoor- donnée ; on note le
signe
de Romberg. Il y a quelques troubles génésiques.
u tendon d'Achille est nul à gauche, faible à droite. Des deux côtés,
signe
de Robertson. Depuis deux mois environ sa vue
réflexe olécrânien, une inversion du réflexe du radius à droite, le
signe
des orteils du même côté, une anesthésie de la
orer à cause de la contrac- ture, mais ne paraissant pas exagérés ;
signe
des orteils des deux côtés. Troubles de la sens
tendineux des deux côtés avec clonus du pied et danse de la rotule ;
signe
des orteils bilatéral ; exagération des réflexe
vers segments des membres inférieurs. Surréflectivité tendineuse et
signe
des orteils, comme précédemment. Exagération, d'i
trépidation CONTRACTURE GÉNÉRALISÉE 607 épileptoïde parfaite, le
signe
du gros orteil, le signe de l'éventail et une ten
E GÉNÉRALISÉE 607 épileptoïde parfaite, le signe du gros orteil, le
signe
de l'éventail et une tendance aux mouvements at
trépidation épileptoïde parfaite, extension réflexe du gros orteil et
signe
de l'éventail. Les réflexes tendineux et les ré
s faisceaux pyra- midaux sont dégénérés ou simplement comprimés, le
signe
des orteils décelant seulement une perturbation
nture, de la parésie des membres inférieurs avec épilepsie spinale,
signe
des orteils et une légère déformation de la col
pinale parfaite, extension réflexe du gros orteil très accentuée et
signe
de l'éventail. Le réflexe cutané abdominal est co
és. L'exagération des réflexes rotuliens, l'épilepsie spinale et le
signe
des orteils sont toujours présents. Il est inco
xagération des réflexes rotuliens, l'épilepsie spinale parfaite, le
signe
des orteils. La lymphocytose, quoique légère, dén
e points douloureux sur tout le trajet du sciatique et on constate le
signe
de Lasègue. Le malade n'accuse aucun antécédent
étendu pemphigus hystérique (Id.). 102. De l'abduction des orteils.
Signe
de l'éventail (Société de Neurologie, 3 décembre
aris, 16 novembre 1928). 287. Monoplégie crurale hypertonique, sans
signes
pyramidaux homo-latéraux avec anesthésie homola
à la région dorsale 41a XVIII. Monoplégie crurale hypertonique sans
signes
pyramidaux homolatéraux et avec anesthésie homo
TILTTÉ INTRINSÈQUE DU GLOBE. 5 de l'accommodation, mais c'est la un
signe
incertain qu'il faut toujours contrôler par le
gale intensité (réaction hémianopique relative). La recherche de ce
signe
est difficile; il est indispensable, en effet, de
. L'amblyopie considérée dans ce sens restreint, « l'amblyopie sans
signes
ophtalmoscopiques)). est, dans l'immense majori
diagnostic par les caractères précédents et la coexistence d'autres
signes
d'hystérie. Il faut la distinguer de l'amaurose p
stensiblement mauvais. La même réflexion s'applique à plusieurs des
signes
oculaires qu'on a coutume d'appeler stigmates d
lumière. Stigmates oculaires de l'hystérie. Voici rémunération des
signes
oculaires les plus importants attribués à l'hys
(flg. 54). L'acuité visuelle s'atténue jusqu'à 1,10 cl au delà. Les
signes
opht : ))- tlloscopiclucs, llcul accusés, consi
le groupe des amauroses. , Le pronostic est grave quand if y a des
signes
ophtalmoscopiques de névrite ou d'atrophie. Les
, hémorra- gies), on peut observer une diminution de la vision sans
signes
oplital- moscopiques, une véritable amblyopie.
lle, simples nausées) survient brusquement une cécité absolue, sans
signes
ophtalmoscopiques. Les réflexes pupillaires sont
rvenir chez des gens en apparence bien portants, et qui n'ont aucun
signe
d'urémie, ou d'hystérie. Cette amaurose s'amé-
toxique nicotino-alcoolique. - Le scotome central est le principal
signe
de l'amblyopie toxique. Quelquefois absolu, il
our le blanc est fréquent dans l'hystérie, dont il constitue un des
signes
importants (fig. 55). Il peut, en étendue, pré-
ndu que celui du bleu. Celte inversion du champ des couleurs est un
signe
d'hystérie meilleur que le rétrécissement simple.
a pas conscience de son hémianopsie; il faut la mettre en évidence.
Signes
pour déceler l'hémianopsie. - La tête prend quelq
s cette variété d'hémianopsie, qu'on pourrait mettre en évidence le
signe
pupillaire de Wernicke. Tous ces faits s'expliq
urait lieu d'après "'pn11cke. Malheureusement, la re- cherche de ce
signe
est très difficile et dans bien des cas, il est i
s for- tement altéré; la vision centrale très diminuée; il y- a des
signes
ophtalmoscopiques précoces ou tardifs dans tous
mianopsie n'est qu'une ma- nifestation. Tabes : Symptômes du tabes (
signe
d'Argyl Robertson, signe de Westphal). Méningit
nifestation. Tabes : Symptômes du tabes (signe d'Argyl Robertson,
signe
de Westphal). Méningite : Symptômes de méningite
paralytique se distingue du strabisme non paralytique par tous les
signes
propres au strabisme non paralytique que nous v
rrespondant est inclinée. Cette inclinaison constitue encore un bon
signe
pour reconnaître l'oeil paralysé. ' Nystagmus.
TEURS DES GLOBES. 61 Diagnostic A l'aide DE la DIPLOPIE. Tous les
signes
précédents qui accompagnent les parésies ou paral
Diagnostic du siège. Quand, il l'aide de la diplopie ou des autres
signes
de paralysie, on a déterminé le muscle ou les mus
sie d'origine tronculaire peut aussi présenter des dissociations.
Signe
d'Argyl Robertson. Il est caractérisé par la pert
crés il chacune des affections. Traumatisme. Fractures de la base :
signes
de fracture du crâne. - TranIl1atis\11e orbitai
légères, fugaces, récidivant facilement, quelquefois persistantes;
signe
d'Argyl IVoberlson. Névroses, hystérie (rare),
state lexislence d'une légère dilatation pupillaire spasmodique. Ce
signe
pupillaire s'accom- pagne d'autres symptômes d'
es de dilatation et de rétrécisse- ment pupillaire sont toujours un
signe
fâcheux au cours des maladies mentales. Dans
dans la paralysie géné- rale, le tabès, on a même pensé en faire un
signe
de videur pour ces affections. En réalité, on l
tances, on aurait pu, malgré une cécité en apparence complète, avec
signes
d'atrophie du nerf optique, produire le réflexe
e neurone périphérique de la voie photomotricc réflexe (I¡g. 30).
Signe
d'Argyl Robertson : Tel que l'a décrit Argyl Robe
ours, quel que soit l'oeil frappé par la lumière (Voir lit, 50). Ce
signe
a une grande valeur séméiologique. C'est une des
o-spinale. Certains, Babinski entre autres, le considèrent comme un
signe
de syphilis nerveuse. Et, de fait, presque tout
e rencontre ont été précédées de la syphilis. C'est au point que le
signe
d'Argyl Robertson, isolé ou associé, doit toujour
r chez 41 pour 100. le second chez 45 pour 100 des tabétiques. Ce
signe
n'a pas été assez bien étudié pour qu'il soit pos
re très fréquemment, il est vrai, chez des personnes présentant les
signes
attribués cette névrose, mais on la trouve aussi,
rétion lacrymale (paralysie de l'orbiculaire .sans larmoiement). Un
signe
qui dénote la prise du grand nerf pétreux super
'est pas intact et on peut souvent déceler ,sa participation. -
Signe
de Revillod : Si l'on demande il un hémiplégique
l- ler. L'absence d'occlusion palpébrale, dans ce cas, constitue le
signe
de Stehvag (Voir Goitre exophtalmique). Elle
laissent voir nne grande étendue de la sclé- rotique (fig. 64).
Signe
de Stelwag. Cette rétraction des paupières con-
Signe de Stelwag. Cette rétraction des paupières con- stitue le
signe
de Stehvag; dans les cas très accusés, l'oc-
ie du globe oculaire reste toujours à découvert (lagophtalmie).
Signe
de de Graefe. Consiste en une sorte de désé-
htalmique (E. Boix). 108 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.
Signe
de Roserzhach. Ce signe est constitué par la rare
08 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Signe de Roserzhach. Ce
signe
est constitué par la rareté ou même l'absence d
constitué par la rareté ou même l'absence de clignement. Comme les
signes
de Stclwag et de de Gracie, il est dû à la rétr
il est dû à la rétraction spasmodique des paupières. A côté de ces
signes
, plus fréquents et plus importants, qui caractéri
diagnostic de la maladie de Basedow. II faut .toujours rechercher les
signes
de de Graefe, de Stelwag, de llosenbach. Mais,
xe palpébral il l'attouchement de la cornée est considérée comme un
signe
d'hystérie. Enfin une troisième variété d'anest
pour la rétinite pigmentaire, affection caractérisée, en dehors des
signes
ophtatmoscopiques, par de t'hemeratopie, un rét
rable la vision des couleurs. La dyschroma- topsie constitue un bon
signe
de lésion du nerf optique. Elle s'accompagne d'
tentes peuvent exister bien longtemps avant l'apparition du moindre
signe
ophtalmoscopiqne au fond de l'oeil. Lésions du
n refroidissement, des maux de tète violents s'installent, tous les
signes
d'une méningite aiguë se déclarent, (on a maint
d'une méningite aiguë se déclarent, (on a maintenant des cas où ces
signes
sont corroborés par l'examen positif du liquide
nts dans les tumeurs cérébrales. Ils peuvent prendre la valeur d'un
signe
de localisation, par exemple dans les tumeurs d
tes/ il. survient parfois de la fièvre intense à début brusque avec
signes
d'irritation méningée, vomissements, délire, co
pfJl1to-red']H'lIl'IIX : aux symptômes généraux des tumeurs et aux
signes
de compression MALADIES DU NERF AUDITIF. - 157
ymptômes accessoires. C'est ainsi qu'on pourra voir s'y ajouter des
signes
indiquant la participation du noyau du pneumogast
ésions méconnues de l'oreille n'ayant donné lieu qu'à un minimum de
signes
fonctionnels. .L'importance diagnostique du « p
sistance auor- male au vertige voltaïque peut ainsi être parfois un
signe
objectif per- mettant de déceler une augmentati
compli- quent d'otites, mais il peut, exister en l'absence de tout
signe
d'altéra- tion des voies auditives. Il serait d
de la trompe d'l,ust;lclu. \ous n'avons à insister ici, ni sur les
signes
des différentes lésions de l'oreille, ni sur les
ni sur les signes des différentes lésions de l'oreille, ni sur les
signes
des affections provocatrices des troubles auric
xamen de l'oeil complétera ce diagnostic. On ne prendra pas pour un
signe
de l'origine oculaire du vertige les sensations
e céphalalgie, de vomissements, parfois de syncope, très souvent de
signes
, oculaires ou autres, de compression ou d'oedem
sd("rose viscérale ou périphérique, soit surtout de quelques autres
signes
d'arterio-scierosé cérébrale : céphalalgies sur
s surtout à la crainte de tomber; Grasset, Bonifier font rentrer le
signe
de Roinberg parmi ces vertiges. , 5° Vertiges
ion des orteils peut être décelée quelques heures après l'ictus. Le
signe
de Rabinsky est beaucoup plus précoce que les s
rès l'ictus. Le signe de Rabinsky est beaucoup plus précoce que les
signes
de Mendel ou d'0111unlleim. Les différents mo
fois. En même temps que se récupèrent les fonctions cérébrales, les
signes
d'une hémiplégie s'accusent d'ordinaire, et, mê
plus, le pronostic est fatal. Ici encore se peuvent^ rencontrer les
signes
de gravité déjà énumérésplus haut, myosis extrême
de coma légitime avec hyperthermie fréquente; les antécédents, les
signes
habituels (miction, morsures, pétéchies cervica
celui-ci, de l'albumine chez cet autre. Nous n'insistons pas sur les
signes
capables d'affermir le diagnostic, bruit de gal
meure entre ses crises hébété, le regard atone, présentant tous les
signes
d'une obnu- hilalion intellectuelle profonde. L
e. Les ma- lades présentent du rire et du pleurer spasmodiques, des
signes
évidents d'hémiplégie cérébrale double, général
ètement et correctement formés. L'on ne constate bien entendu aucun
signe
manifeste de para- lysie des organes de la phon
iales dans les paralysies des lèvres. Nous n'insisterons ni sur les
signes
physiques concomitants, images 1,'Ilyilo,oscopi
ous lui attribuons après les dysarthries spastiques organiques. Les
signes
de ce bégaiement vrai sont au nombre de quatre
ions de phrases, de la faiblesse du contrôle mental. Ces différents
signes
de déficit (oubli, automatisme), déjà évidents da
e l'aphasie un trouble de la compré- hension et de l'expression des
signes
normaux du langage indépendant de la démence, d
rer au malade dans la conversation. b) Mimique conventionnelle. Les
signes
les plus simples sont ceux de « oui » et « non
presque toujours conservés. Il faudra doue; recourir en outre à des
signes
conventionnels d'un usage moins habituel; faire l
nous dit, un tronhle de la compréhension et ¡'l'l' l'expression des
signes
normaux du langage, indépendant de la démence e
lésions de la ré- gion pariéto-temporale; mais Liepmann en fait un
signe
de lésion du corps calleux, pont interhémisphér
es malades qui prononcent des paroles, font des gestes, tracent des
signes
graphiques qui, dans leur esprit, doivent les pro
jours de date au moment de l'admission du malade. Le médecin qui
signe
ne doit être ni médecin attaché à l'établissement
on continue et non par besoin; il ne s'éveille pas, ne montre aucun
signe
d'intelligence; il ne cherche pas à prendre les
out à fait au début de cette maladie. Nous avons déjà dit sur quels
signes
on pouvait baser ce diagnostic : indifférence de
les tissus mous. La douleur vive : 't la pression des nerfs est un
signe
important en semeio- logie; elle s'observe dans
t rencontrer de t'anesthesic des troncs nerveux à la pres- sion. Ce
signe
est tout particulièrement fréquent dans le tabès
rticulièrement fréquent dans le tabès où l'anes- Ihésie du cubital (
signe
de lIi<'l'I1¡]ekÎ) peut être un des j'rcmiers
ourbe, et sectionne les voies visuelles. L'hémianopsie n'est pas un
signe
de localisation corticale; on peut également la
/ le foyer hémorragique. 514 SENSIBILITÉ. mitants les différents
signes
du syndrome thalamique et notamment les douleur
que ceux de l'hémianesthésie corticale ou thalamique. Mais certains
signes
nouveaux, résultant des rapports qu'affectent l
zig. Marincsco) les troubles sensitifs objectifs sont souvent des
signes
précoces, apparaissant au début de la] maladi
n. Par leur topographie, ils pourront. seuls ou mieux associés au
signe
de Westphall et d'Argyll Robertson, permettre
er brièvement les plus fréquentes. L'aneslhésie à la douleur est le
signe
le plus fréquent et le premier en date; la ther
s le tabes de la dissociation syringomyélique de la sensibilité. Un
signe
fréquent, qui peut également servir pour le dia
iagnostic du tabes, c'est l'anesthésie du nerf cubital à la pression (
signe
de Biernacki). , C'est dans le tabes enfin, q
facile; elle est souvent même très difficile. Voyons quels sont les
signes
qui peuvent aider dans ce diagnostic. " Les c
de recourir, pour le diagnostic, aux autres symptômes concomitants (
signes
moteurs, sphinctériens, trophi- ques, examen de
a fonction génitale (érection conservée, éjaculation abolie) est un
signe
qui a son importance dans les lésions sacrées e
e celles de la moelle; lorsqu'elles existent, il y a en général des
signes
vertébraux, permettant de poser un diagnostic de
rtébraux, permettant de poser un diagnostic de localisation. Si les
signes
vertébraux manquent, il s'agit presque toujours d
s ; elles sont exaspérées par l'effort, surtout dans l'éternuement (
signe
de l'élernuemenl), qui provoque, par suite du c
analgésie. On a signalé l'anesthésie du nerf cubital à la pression (
signe
de Biernacki), qui pourrait servir pour dia- gn
ettent de diagnostiquer l'hys- térie, et que c'est par l'absence de
signes
d'affection organique, par exclusion pour ainsi
ations hystéro-organiques, ce qui l'empêchera de rattacher tous les
signes
observés soit à l'hystérie, soit au contraire à
vra connaître enfin les TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557
signes
cliniques particuliers aux troubles sensitifs hys
7 signes cliniques particuliers aux troubles sensitifs hystériques,
signes
(lue nous avons décrits plus haut et que nous r
raphie ne répondant pas exactement il un territoire anatomique. Ces
signes
aideront il distinguer les troubles fonctionnels
; c'est alors qu'il faudra rechercher, très prudemment encore, les
signes
qui différencient les hemiauesthesies organique
dence les caractères différentiels. Nous ne reviendrons pas sur les
signes
de l'hémianesthésie hysté- riquc, mais il est b
objective sont très fréquentes chez les aliénés ; elles sont un des
signes
les plus importants que puisse révéler chez eux
musculaires, des'troncs nerveux (dans les névrites), ou des os. Le
signe
de Lasègue (flexion de la cuisse sur le bassin,
e, à peu près constante, est souvent le premier en date de tous les
signes
de l'affection. Elle fait partie des signes com
ier en date de tous les signes de l'affection. Elle fait partie des
signes
communs, des tumeurs cérébrales, quel qu'en soit
onvulsions, aux vomissements, à l'affaiblissement intellectuel, aux
signes
oculaires, prend une importance capitale dans la
Poil. Ces douleurs, ordi- nairemcut. localisées, sont un excellent
signe
de diagnostic et doivent être recherchées avec
ladie de Raynaud), les dysesthésies représentent à elles seules les
signes
subjectifs de la période d'invasion ou de synco
issent complètement après un repos de quelques minutes. Ce sont les
signes
avant-coureurs d'une paralysie définitivement c
stérie, elles apparaissent soit comme phénomène durable, soit comme
signe
passager dans la période prodromique des crises c
s chondro-stcrnajes. 2. La névralgie intercostale peut être le seul
signe
d'un anévrisme de l'aorte, aussi les examens ra
que' radiculaire, souvent d'origine syphilitique, se traduit par le
signe
de Lasègue comme la sciatique non radiculaire, pa
le avec rétrécissement pupillaire. La céphalalgie se constate comme
signe
prodromique de beaucoup de maladies infectieuse
ne façon continue et régulière : c'est le clonus du pied qui est le
signe
de l'exagération du réflexe achilléen. - , ' Ce
éfaut, sans que d'ailleurs il existât chez aucun des ces malades de
signe
d'une affection nerveuse. Chez les nouveau-nés,
flexe rotulien est un des symptômes les plus constants du tabès. Ce
signe
est devenu un des signes cardinaux de cette mal
s symptômes les plus constants du tabès. Ce signe est devenu un des
signes
cardinaux de cette maladie : il est connu sous le
des signes cardinaux de cette maladie : il est connu sous le nom de
signe
de 11'ealrltal et constitue avec le signe de Romb
est connu sous le nom de signe de 11'ealrltal et constitue avec le
signe
de Romberg. le signe de Hobertson et t ataxie l
m de signe de 11'ealrltal et constitue avec le signe de Romberg. le
signe
de Hobertson et t ataxie le syndrome caractéris
ans le tabès : c'est donc à juste litre qu'on a donné son nom il ce
signe
, mais il convient d'associer le nom d t'jrb il
u tabès vulgaire : démarche avec trainement des jambes. paraplégie,
signe
de Babinski (Pierre Marie et Crouzon). Dans les
xes achilléens seuls seront touchés. Et c'est la constatation de ce
signe
qui permet de faire le diagnostic de l'atteinte
éens. Enfin, l'abolition généralisée des réflexes est également, un
signe
qui s'observe dans la cachexie et élans les int
eurs est le plus sou- vent liée aux symptômes suivants : paralysie,
signe
de Babinski, troubles des fonctions des sphinct
racture ou elle en annonce l'apparition; elle s'accompagne enfin du
signe
de Babinski. L'exagération des réflexes s'obser
ération des réflexes, trépidation épileptoïdc; en même temps il y a
signe
de Babinski, le malade peut arriver alors il un v
, c'est le réflexe plan- taire avec extension des orteils, c'est le
signe
de Babinski que Van Gehuchten considère comme u
miologique n'approche pas, pour la plupart des auteurs, de celle du
signe
de Babinski. C'est le signe de Babinski qui a .
our la plupart des auteurs, de celle du signe de Babinski. C'est le
signe
de Babinski qui a .donc la plus grosse importance
tanés, c'est par lui que nous commencerons : Phénomène des orteils (
signe
de Babinski). Le 22 février 18'.)6, dans une co
s tendant à regarder en haut, c'est lit le phénomène des orteils ou
signe
de Babinski. C'est au gros orteil que se voient
'être qu'une amplifica- tion ou une exagération en durée de ce même
signe
. Ainsi donc, l'extension des orteils, le phénom
ille, et montrant l'extension des orteils. (Phénomène des orteils, ou
signe
de Babinski.) (Babinski, Gazette des hôpitaux.)
qu'actuellement la presque unanimité des auteurs considère; que ce
signe
de Babinski est un des plus précieux que possède
et une des plus importantes acquisitions récentes delà clinique.
Signe
de l'éventail. Plusieurs années après la découver
de Dupré, on a coutume d'appeler maintenant ce phénomène du nom de
signe
de l'éventail. - . : . Nous avons donc vu quell
« au contraire normal. » A quel moment de l'hémiplégie apparaît le
signe
de Babinski ? Le phénomène de Babinski peut app
t Le Sourd dans 92 pour 100 des cas. Dans bon nombre de cas où le
signe
de Babinski n'apparaît pas dans l'hémiplégie, i
ation, point de départ du réflexe. Dans 1 hémiplégie hystérique, le
signe
de Babinski n'a jamais été constaté. Pierre M
te syphilitique ou 11(üdue, syringomyélie, sclérose en plaques), le
signe
de Babinski est presque constant ; il est, suivan
inski, par Cestan et Le Sourd, par Charnel, Crouzon et Esménard. Ce
signe
permet de différencier les accès épileptiques d
différencier les accès épileptiques des crises d'hystérie. 6° Le
signe
de Babinski se rencontre encore dans les méningit
se des cor- dons latéraux. (C'est cette dernière lésion qui crée le
signe
de Babinski). Le signe de Babinski se rencontre
ux. (C'est cette dernière lésion qui crée le signe de Babinski). Le
signe
de Babinski se rencontre également dans le tabes
dans aucune des affections où le faisceau pyramidal est intact. Le
signe
de Babinski a été observé également dans la fièvr
te trans- formation constante particulièrement dans l'apparition du
signe
de Babinski dont nous avons indiqué suffisammen
La valeur séméiologique des réflexes cutanés si l'on en excepte le
signe
de Babinski est beaucoup moins importante que c
on du faisceau pyramidal, et par conséquent a la même valeur que le
signe
de Bakinski. Crocq [Journal de Neurologie, 1901
rieur il en est de même pour le réflexe rotulien; la re- cherche du
signe
de Babinski, quand elle donne un résultat positif
t un peu contre le sol le pied du côté qui a été paralysé. Un autre
signe
à noter consiste en ce que, pendant qu'ils marc
é de fermer ou d'ouvrir isolément la paupière du côté hémiplégique (
signe
de Hevitliod). La langue éprouve parfois, mais
corps anesthésiéc. de mouvements choréo-albé- tosiques, absence du
signe
de Babinski. y) Capsule interne. Les lésions de
il existe une exagération manifeste des réflexes tendi- neux et le
signe
de Babinski, et, pour peu que l'hémiplégie soit u
iplégie en présence de laquelle il se trouve présente bien tous les
signes
physiques qui appar- tiennent il l'hémiplégie o
physiques qui appar- tiennent il l'hémiplégie organique. Parmi ces
signes
, les suivants ont été signalés par M. Babinski.
lexion exagérée il l'avant-bras. " On ne constate pas non plus le
signe
du peaucier, qui consiste chez les organiques d
doit placé sous le menton, on résiste un peu il ce mouve- ment. Le
signe
de la pronation (Babinski) ne s'observe que dans
que dans un certain nom- bre de cas, mais elle parait à Babinski un
signe
de premier ordre pour le diagnostic différentie
muscles exten- seurs de la cuisse sur le bassin étaient entravés.
Signe
du peaucier. Babinski, dans les mêmes publication
us énergique du côté sain que du côté para- lysé. On peut mettre ce
signe
en évidence en commandant au malade d'ouvrir la
s vu plus haut due l3ahinsl : i a décrit l'abduction des orteils ou
signe
de l'éventail comme un phénomène de même valeur
et il reflète dans ce cas l'existence de la sclérose pyramidale.
Signe
de Charles Bell. Charles Bell a signalé, dans la
résultat de cacher la pupille derrière la paupière supérieure : ce
signe
est également un signe de paralysie or- ganique
pupille derrière la paupière supérieure : ce signe est également un
signe
de paralysie or- ganique et ne peut être reprod
la bouche; quelquefois ce mouvement se produit dans le côte sain.
SIGNE
DE KERNIG. Kernig a décrit, en 1885 et 1884 à l
tersIJollrg puis dans le Berline1' lilinische JVochensclll'1P., un
signe
qu'il' a considéré comme ayant une valeur très
nton et Voisin (Gazelle des hôpitaux, 27 août 1904) pour décrire ce
signe
et rechercher sa valeur séméloiogique. ' Techni
rechercher sa valeur séméloiogique. ' Technique de la recherche du
signe
de Kernig. Il faut laisser le malade assis dans
t ou, si la flexion étant empêchée, le malade ne peut s asseoir, le
signe
de Kernig existe. ' " , 2° On peut asseoir le
obtenir l'extension complète : si l'extension est impossible il y a
signe
de Kernig. 5° Enfin, on emploiera, surtout chez
est en réalité une manoeuvre absolument semblable à la recherche du
signe
de Lasègue dans la sciatique. Si le signe de Ke
mblable à la recherche du signe de Lasègue dans la sciatique. Si le
signe
de Kernig existe dans ce mouvement, on sent insen
flexion, l'extension complète est impossible. Cette constatation du
signe
de Kernig aux membres supérieurs a été faite pa
cture des membres supérieurs dans, les méningites, c'est surtout au
signe
de Kernig, au niveau des fléchisseurs des membr
ui sur lequel nous insisterons davantage. Valeur séméiologique du
signe
de Kernig. Le signe de Kernig, comme nous l'avo
insisterons davantage. Valeur séméiologique du signe de Kernig. Le
signe
de Kernig, comme nous l'avons vu, consiste dans
et pathologique. Cippolina et llaragliallo admettent, aussi, que le
signe
de Kernig n'est que l'exagération pathologique
phénomène. Wennagel (Deutsch A1'Cltiv sur li lin. med.) a trouvé le
signe
de Kernig chez un certain nombre de sujets. Amadu
ts. Amaducci a fait les mêmes constatations. M. Wilson rencontre le
signe
de Kernig chez 20 pour '100 de sujets normaux.
Il faut donc faire quelques ré- serves sur la valeur absolue de ce
signe
: associé il d'autres symptômes, il peut rendre
1(ningo-nH"dullain', La lésion de la 111(;. ningite est la cause du
signe
de Kernig : dans ce cas. elle est plus parti- c
ésions cellulaires. 5" Un certain nombre d'auteurs admettent que le
signe
de Kernig et le signe de Lasègue ne sont qu'un
Un certain nombre d'auteurs admettent que le signe de Kernig et le
signe
de Lasègue ne sont qu'un seul et. même symptôme,
reuse, et Abadie a pu prouver que raehicocaïnisal ion supprimait le
signe
de Lasègue et laissait subsister le signe de Ke
aïnisal ion supprimait le signe de Lasègue et laissait subsister le
signe
de Kernig. Nous venons d'exposer la valeur sémé
e Kernig. Nous venons d'exposer la valeur séméiologique générale du
signe
de Ivernig; nous pouvons donc en conclure que c
générale du signe de Ivernig; nous pouvons donc en conclure que ce
signe
est une contrac- ture musculaire qui se produit
dans lesquelles on les rencontre. Nous étudierons successivement le
signe
de Kernig dans' la méningite ou les réactions m
éactions méningées, puis dans les maladies du système nerveux. Le
signe
de Kernig, comme nous l'avons déjà dit, rt fait l
ler de la méningite cérébro-spinale. On a pensé tout d'abord que le
signe
de Kernig appartenait plus particulièrement à c
ue la méningite cérébro- spinale s'accompagnait plus fréquemment du
signe
de Kernig. Cependant, si nous rapportons le rés
uleuses. Dans les thèses récentes de Monod, Lulier et Percheron, le
signe
de Kel'llig est rencontré également dans la mén
éningite cérébro-spinale. On peut donc dire, dès maintenant, que ce
signe
appartient aussi bien il la méningite tuberculeus
icipation de ménin- gite modulaire (t)ieutafoy). 11 semble que le
signe
de Kernig suive la phase de la contracture et s
de syphilis, le diagnostic de cette hémiplégie était très délicat; le
signe
de Kernig nous permit de faire le diagnostic de
, Rist, ont observé' des cas de ce genre. Hémorragie méningée. - Le
signe
de Kernig est un .symptôme impor- tant de l'hém
fections. On a pu observer, dans un certain nombre d'infections, le
signe
de Kernig qui a pu tout d'abord faire croire à
ans la fièvre typhoïde, Netter a pu constater dans 1 1,8 des cas le
signe
de Kernig; dans un certain nombre de cas, il a pu
dans un certain nombre de cas, il a pu constater en même temps des
signes
classiques de méningites ; dans d'autres cas, il
nt, Sainton et Voisin l'ont constaté également. Netter considère ce
signe
comme très important non seulement au point de
il s'observe dès le début de la maladie, accompagné ou non d'autres
signes
méningés; quelquefois enfin il s'observe dans l
actéristique d'une véritable méningite pneumonique. La fréquence du
signe
de Kernig dans la pneumonie est moindre que dans
que dans la fièvre 1)'- plroïde; Voisin a observé plusieurs fois le
signe
de Kernig chez des enfants atteints de broncho-
. Enfin, on a pu observer égale- MOUVEMENTS ASSOCIÉS. 485 ment ce
signe
au cours de la pleurésie purulente à pneumocoques
ment ce signe au cours de la pleurésie purulente à pneumocoques. Le
signe
de Kernig peut se rencontrer dans d'autres affect
ations, dans l'urémie (Thévenet et Pélm). Walthcr a pu constater le
signe
de Kernig dans certains cas après la l'ac hi-co
ne de Kernig dans certains cas après la l'ac hi-cocaïnisat i 011.
Signe
de Kernig clans les maladies du système nerveux.
at i 011. Signe de Kernig clans les maladies du système nerveux. Le
signe
de Kernig a été rencontré au cours des affectio
antes dans les membres inférieurs. Dans l'intervalle des crises, ce
signe
disparaissait. Dans la paralysie générale, il a
ladie ; il indique l'apparition de troubles mé- dullaires et esl nn
signe
d'un pronostic fâcheux. Williamson ( British Mé
vant Piéri, il n'y aurait pas lieu de faire de distinction entre le
signe
de Lasègue et le signe de Kernig. On a constaté
it pas lieu de faire de distinction entre le signe de Lasègue et le
signe
de Kernig. On a constaté le signe de Kernig dan
n entre le signe de Lasègue et le signe de Kernig. On a constaté le
signe
de Kernig dans les affections du cerveau en foy
ves du cerveau (Abadic), dans l'abcès cérébral (Klippel). Enfin, le
signe
de Kernig a été rencontré dans le méningisme hyst
on brusque, présenta du méningisme hystérique. Comme on le voit, le
signe
de Kernig peut s'observer très rarement chez de
ngées qu'il a pu révéler cliniquement. ' 11 faut donc considérer ce
signe
comme ayant une valeur incontestable, peut-être
n général du sujet (troubles des membres supérieurs, état des yeux,
signe
d'Argyll, .psychisme). La ponction lombaire et
le aux muscles proches et même au membre voisin. La recherche des
signes
de Babinsky et d'Oppcnheimmontre générale- ment
esthésie des apophyses épineuses à la pression ou à la chaleur. Les
signes
radiculaires sont beaucoup plus difficiles iL i
ois, et de tels points peuvent se ren- PARAPLÉGIE. 4UÍ ï contrer.
Signe
plus intéressant et constant, ces douleurs sont a
se prononcer le clinicien en faveur de la paraplégie organique :
Signes
de présomption : atrophie, incontinence, fièvre,
s; de l'autre côté se constatent de l'exagération des réflexes avec
signe
de Babinsky en extension, de l'adduction de la cu
arésie accompagnée déjà de l'exaltation des réflexes tendineux sans
signe
de Babinsky en général. (Lhermitte.) L'atteinte d
our ce faire, on cherchera tout d'abord s'il n'existe point quelque
signe
extérieur susceptible par lui-même d'orienter l
ve en effet, dans le syndrome de la queue de cheval, l'ensemble des
signes
réunis des lésions de l'épicônc (se reporter à la
ans l'action de grimper. La paralysie du trapèze se traduit par des
signes
différents suivant la partie ! de muscle qui es
nostic du siège des paralysies radiculaires se fera par l'étude des
signes
oculo-pupillaires indiquant que la lésion existe
paralysies totales et des paralysies radiculaires inférieures. Les
signes
oculo-pupillaires manquent fréquemment ; De Pe-
les paupières, le globe de l'oeil est attiré en haut et en dehors (
signe
de Ch. Bell); cette élévation du globe de l'oeil
. L'augmentation anormale du volume d'un muscle est plus souvent le
signe
de son atrophie que de son hypertrophie. L'atro
e de vue quand on cherche à apprécier le degré d'une amyotrophie.
SIGNES
DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE Le plus souvent c'est
phie de cette portion. 1. P. MAillE et GuiNoi. Rev. méd., 1885. '
SIGNES
DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. ( ! 59 La palpation n
nd ils passent de I l'état de repos à l'état de contraction, est un
signe
d'atrophie bien plus ( [il. LEM.] 660 ATROPHI
diminution de volume des muscles, soit quand il s'y joint certains
signes
d'affection nerveuse. Dans le premier cas, l'affa
cas c'est la gêne fonctionnelle qui est presque toujours le premier
signe
, mais le degré de ce trouble est essentiellement
me tous les symptômes que l'on considère, à tort ou à raison, comme
signes
d'altération nerveuse ont été signalés, isolés ou
musculaire. L'amyotrophie progressive de l'adulte peut être le seul
signe
clinique d'une maladie, ces cas sont tout il fa
des symptômes prédominants d'une affection nerveuse que ses autres
signes
permettent de classer. L'atrophie musculaire prog
'absence de contractions fibrillaires a été considérée comme un bon
signe
différentiel des amyotrophies protopalhiques. Pou
tion de dégénérescence, elle avait été longtemps consi- dérée comme
signe
caractéristique de l'atrophie d'origine musculair
rophie dans les diffé- rents types. Symptômes non musculaires. (
Signes
accessoires de dégénérescence.) ' Les os parais
traire que l'absence d'asthénie musculaire peut être d'ordinaire un
signe
différenciant la myopathie de la neurasthénie.
étr., 1,902. AMYOTROPUIE CIIARCO'I'-11AII11 ? gaz Variétés. Les
signes
différentiels cliniques de l'atrophie Charcot-Mar
l'exécution de certains petits mouvements des mains sont souvent le
signe
révélateur de l'affection, alors même que l'atr
e la sclérose en plaques : l'abo- lition des réflexes tendineux, le
signe
de Romberg qui n'est parfois qu'ébauché, le sig
xes tendineux, le signe de Romberg qui n'est parfois qu'ébauché, le
signe
d'Argyll-Robertson ou le simple affaiblissement
la peau. G08 ATROPHIES MUSCULAIRES. exophtalmie avec ébauche du
signe
de de Grael'e (cas de Pierre Marie) ; les troub
l'amyotrophie n'est qu'un symp- tôme dans un tableau clinique : les
signes
associés montrent que d'autres parties de la mo
- gnent rapidement à l'atrophie ou la précèdent et, en dehors des
signes
ordinaires de la sclérose en plaques (démarch
tribuer à la séreuse méningée sa véritable importance.. Plusieurs
signes
cliniques différentiels avaient été donnés de l
t l'exagération des réflexes rotuliens et l'e.xtension des orteils,
signes
de la dégénération du cor- don latéral ; enfin
a peut-être être établi avec certitude quand on observera : 1" Le
signe
<7'/h'< ? 7 ! o'<son, signe presque cara
e quand on observera : 1" Le signe <7'/h'< ? 7 ! o'<son,
signe
presque caractéristique et sou- vent précoce de
aux muscles de la face, de la langue, des yeux, etc., avait aussi des
signes
manifestes de tabès (douleurs fulgurantes, inco
arachnoïdiens qui entourent des sanglions enflammés, serait un bon
signe
pour dépister l'atteinte ganglionnaire (Dejerine,
ution rapide. e) Flasques : réflexes tendineux diminués : Tabès :
Signes
tabétiques. Névrites ( ? ) ou pseudo-névrites (
Névrites ( ? ) ou pseudo-névrites (myélites ? ) : saturnines, etc. ;
signes
propres. Poliomyélite antérieure chronique ?
st rapide et les contractions suivantes sont affaiblies. Tous ces
signes
de l'hypertrophie musculaire apparaissent surtout
pos, soit à l'etat de contraction. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL .^ Ces
signes
permettent en général de distinguer l'hypertrophi
l'aug- mentation anormale du volume d'un muscle est plus souvent le
signe
de son atrophie que de son hypertrophie. En deh
es sujets atteints il ! utero de sclérose cérébrale et nés avec les
signes
d'une hémiplégie ou d'une diplégie cérébrale in
fibre qui s'atrophie. L'hypertrophie préatrophique est donc déjà un
signe
de la maladie de la fibre musculaire : on compr
onc- tionnel véritable ; peut-être ce symptôme est il en réalité un
signe
de l'atteinte légère concomitante du faisceau p
n signe de l'atteinte légère concomitante du faisceau pyramidal, un
signe
de la sclérose combinée des cordons postérieurs
tiques syphilitiques tertiaires qui ne présen- taient presque aucun
signe
de tabès, parfois même pas le signe de V'esl- p
ne présen- taient presque aucun signe de tabès, parfois même pas le
signe
de V'esl- phal (cas de « tabes-cécité »). Parfo
ettement dès qu'on fait fermer les yeux ; c'est ce qu'on appelle le
signe
\de homberg qui est l'un des symptômes les plus p
s précautions feront reconnaître le défaut de stabilité du sujet («
signe
de l'escalier » de Fournier) ; 3° Rechercher le
é du sujet (« signe de l'escalier » de Fournier) ; 3° Rechercher le
signe
de Romberg les pieds joints ; 4° Commander l'at
ata- xie dite « labyrinthique » par sclérose des nerfs auditifs (le
signe
de Rombcrgpcut être dû à la seule atrophie des
server dans le tabès, d'une façon généralement très accessoire, des
signes
de toutes les variétés d'ataxie et d'asynergie
soit une sclérose combinée où, à côté de l'ataxie et des différents
signes
ordi- naires du tabès et de la maladie causale,
oestliésie, l'abolition du réflexe rotulien, enfin de l'ataxie avec
signe
de Romberg ; à ces troubles médullaires se joig
lition des réflexes tendineux, atrophie musculaire; il n'y a pas de
signe
d'Argyll- Robertson ni généralement de Romberg.
sculaire, enfin incoordination, démarche mal assurée et talonnante,
signe
de Romberg; on n'observe ni troubles vésicaux,
talonnante, signe de Romberg; on n'observe ni troubles vésicaux, ni
signe
d'Argyll, ni atrophie papillaire. Ces troubles
des troubles de l'équilibre, de l'ataxie des membres inférieurs, le
signe
de Romberg, une douleur sourde dorso- lomho-sac
ration des réflexes, quelques troubles sphinctériens légers, pas de
signe
d'Argyll. pas de douleurs fulgurantes; l'évolut
ou sans légère incoordina- tion, ou démarche titubante, sans autre
signe
de tabès. Les examens his- tologiques récents d
autres anesthésie plantaire, incoordination parfois très prononcée,
signe
de Romberg, abolition des réflexes, qui réalise
ison presque toujours favorable, enfin la notion étiologique et les
signes
spéciaux de l'infection ou de l'intoxication ca
on sensitive par l'instabilité statique et l'existence constante du
signe
de Romberg. Certains faits montrent que le sign
tence constante du signe de Romberg. Certains faits montrent que le
signe
de Romberg peut être dû à la seule sclérose lab
on des cor- dons postérieurs (Collet), et Bonnier pense même que le
signe
de Romberg dans le tabes est sous la dépendance
l'ataxie labyrinthique est généralement complété par l'existence de
signes
oculaires, soit nystagmus, soit absence des mouve
l'incoordination n'est guère exagérée par l'occlusion des yeux; le
signe
de Romberg n'existe pas dans les lésions pures
acilite en rien la composition des mou- vements, et il n'y a pas de
signe
de Romberg. L'asynergie n'est d'ailleurs pas ex
are que la titllbation cérébelleuse vraie. Au contraire. les petits
signes
de l'asynergie sont très fréquents : que les mala
e sont très fréquents : que les malades titubent ou non, ces petits
signes
se révèlent soit spontanément il l'occa- sion d
e asynergie qui a d'abord conduit Babinski à reconnaître les petits
signes
de l'asynergie, c'est la démarche asynergique-t
cartés de la ligne de direc- tion. Petite asynergie. Les petits
signes
de l'asy- nergie cérébelleuse peuvent être co
ément et progressivement, comme le ferait [.A. LÉRI.] Fig. 6cL 7.
Signe
de la flexion combinée des cuisses et du bassin
il s'accompagne généralement de vertiges très intenses, de tous les
signes
accessoires que nous avons énumérés plus haut e
tous les signes accessoires que nous avons énumérés plus haut et de
signes
de com- pression cérébrale, souvent de signes d
mérés plus haut et de signes de com- pression cérébrale, souvent de
signes
d'altération d'organes voisins, du nerf vestibu
tables, mais il n'est pas vrai, comme le pensait Friedreich, que le
signe
de Romberg fasse toujours défaut. [A. LÉRI.]
il la Babinski ; l'asy- nergie était ébauchée, mais mélangée à des
signes
prédominants d'ataxie vraie. L'incoordination
du côté des membres infé- rieurs, ils sont généralement modérés; le
signe
de Babinski a toujours été observé. Les réflexe
, sont presque toujours absents, quelquefois seulement diminués. Le
signe
d'Argyll fait défaut. Les troubles de la sensib
instable, comme dans la maladie de Friedreich. Il y a pas ou peu de
signe
de Romberg. Les mouvements isolés des membres i
feste des membres inférieurs et supérieurs à type Charcot-Marie, le
signe
d'Argyll plus ou moins complet, parfois avec my
1 stopper. Les chan- gements de direction sont très difliciles. Le
signe
de Romberg est très accusé. La station debout n
oute sensation vertigineuse; parfois il existe aussi une ébauche du
signe
de Romberg ()3ouvcrel). Ces troubles, associés
es anta- . gonistes. eS.. 2° Influence du contrôle de la vision :
signe
de Romberg. Symptômes concomitants : .' Const
5 d) Cerveau : Ullilatémlité : hémiataxie; Faible intensité des
signes
d'incoordination : Concomitance d'hémiplégie av
cations aiguës : Troubles associés nerveux et gastro-intestinaux;
Signes
d'incoordination surtout cérébelleuse : troubles
d'incoordination surtout cérébelleuse : troubles de l'équilibre; .,
Signes
spéciaux suivant l'intoxication : a) Ivresses p
ce cérébcl- * leuse ? ) et de troubles de l'équilibre statique avec
signe
de Romberg (d'appa- rence radiculo-médullaire ?
laire ? ) ; Concomitance de lésion de l'oreille interne, souvent de
signes
oculaires (nystag- mus vrai, nystagmus de rotat
'où perte de l'équilibre. . b) Petite asynergie : série de petits
signes
décelables dans les mouvements d'épreuve (exerc
ssocié à vertiges, nystagmus, vomissements, céphalalgie occipitale,
signes
de compression cérébrale, souvent aiaxie labyrint
nter ici une analyse de la séméiologie bulbaire; puis, groupant les
signes
mor- bides conformément aux données cliniques u
ue glosso-labié. La face est pâle, on note une dyspnée intense sans
signes
d'ausculta- tion. Des vomissements répétés épui
quet, les pupilles sont dilatées en vénérai. Au sortir du coma, les
signes
observés sont des plus variables selon le siège
endu. Aux divers accidents bulbaires proprement dits s'ajoutent des
signes
d'hypertension crânienne. De plus, les troubles
lièrement favorable à l'hypothèse diagnostique d'une néoplasie. Les
signes
d'irritation bulbaire prédominent : céphalée, dou
r la poitrine. La paralysie unilatérale d'un nerf crânien serait un
signe
important pour 017pcnheim. L'hypertension intra
r encéphalique de siège d'abord imprécis, révélée seulement par des
signes
d'hypertension encéphalique et dont l'évolu- ti
Villaret, Raymond ont insisté sur la banalité d'un grand nombre des
signes
que l'on rencontre en les différents types : ci
ons du muscle e (amas lymphoïdes, graisse), anomalies congénitales,
signes
de dégéné- rescence, persistance d'organes foet
peuvent amener l'éclamp- sie. On recherche alors minutieusement les
signes
de ces affections en se rappelant que les crise
RISES CONVULSIVES. - 825 confirmée, on les reconnaît facilement aux
signes
cliniques concomitants, céphalalgie, contractur
aux résultats de la ponction lombaire, à la fièvre. Mais quand ces
signes
sont encore peu marqués, vagues, on doit réserv
vera quand tout sera terminé. Dans les familles nerveuses et si les
signes
d'épilepsie ne sont pas nets, il faut se souven
n présence de convulsions d'origine indéterminée, de rechercher les
signes
latents de la maladie : hyperexcitabilité élect
té électrique ou mécanique des nerfs. La constatation de ce dernier
signe
(signe de Chvostek), au moment d'une période d'
trique ou mécanique des nerfs. La constatation de ce dernier signe (
signe
de Chvostek), au moment d'une période d'accalmi
lternatifs de la tête à droite et à gauche). Nous insistons sur ces
signes
parce qu'il peut arriver qu'une femme enceinte
nfectieux grave, de la fièvre, des convulsions; on ne trouve pas de
signes
des grandes py- rexies connues, telles que la s
frappé par l'importance des réactions nerveuses. On recherchera les
signes
nerveux et on reconnaîtra la méningite aiguë, l
vu comment on pouvait reconnaître une méningite tuberculeuse : ces
signes
valent pour l'adulte comme pour l'enfant. Chez
tristes ou ambitieuses. On reconnaîtra la cause en recherchant les
signes
essentiels de la paralysie générale, tremblemen
tiels de la paralysie générale, tremblement, troubles de la parole,
signe
d'Argyll-Robertson, etc. On pourra rencontrer q
rs avec soin s'il n'existe pas, au moins à l'état d'ébauche, un des
signes
suivants : céphalée et dou- leurs localisées, p
ie d'un nerf crânien, oedème papillaire en faveur d'une tumeur, des
signes
surtout cérébelleux en faveur d'une localisatio
un accès comitial. Le praticien recherchera alors quelques- uns des
signes
objectifs, que l'hystérique ne peut reproduire, c
aliser que ce que la volonté et l'imagination peuvent réaliser. Ces
signes
, en faveur de l'épilepsie, sont le phénomène de
malade en dehors des crises, on verra que l'hystérique présente les
signes
du pilhia- lisntc (Babinski), absents chez les
s, le nystagmus et surtout par l'abolition des réflexes associée au
signe
de Babinski. Nous rapprocherons également de
lent et quand la maladie est constituée, elle se présente avec les
signes
de la chorée de Sydenham. Le palper abdominal.
nt Lannois, s'arrêter sous l'influence de la volonté et c'est là un
signe
important entre la chorée chronique et. la CHOR
e chronique et. la CHORÉE CHRONIQUE. 8G5 chorée vulgaire. Mais ce
signe
est constaté par Hitet qui montre qu'il se renc
néralisés s'observent au cours de certaines névro- ses, ils sont un
signe
accessoire de la maladie de Basedow (Dieulafoy).
lier que le malade est un hémiplégique et il en présentera tous les
signes
. Les troubles moteurs, nous l'avons dit, sont p
l peine hémiplégique, il n'y a pas d'exagération des réflexes ni de
signe
de Babinski. Dans ce que l'on appelle les mouve
un tic purement mental « qui ne se traduit extérieurement par aucun
signe
», un 'il' d'idée^). A l'opposé des auteurs pré
om de spasmes. Babinski (3), ayant constaté l'existence de certains
signes
d'irritation du système pyramidal, extension des
e Brissaud et Meige). sun 1' : \ItIÎ : 1'(;S CLI\IQUIS. plusieurs
signes
objectifs, en particulier le phénomène des orteil
e (tic matériel de Pitres et Cruchet) diffère du tic autant par ses
signes
objectifs que par sa pathogénie. Pathogéniquement
. [A. LÉRI.] S92 ` DIAGNOSTIC. , - . - , Un certain nombre de
signes
, sur lesquels Babinski ,(') a justement insisté
s, on a observé non seulement une impotence fonctionnelle, mais les
signes
d'une paralysie organique véritable, particulière
rganique ; on trouve là le phénomène que Babinski a décrit comme un
signe
d'affection organique : il y a flexion exagérée
e malade et en fléchissant au même moment les deux avant-bras. Ce
signe
, associé à la flexion combinée de la cuisse et du
ion combinée de la cuisse et du tronc, au phénomène des orteils, au
signe
, du peaucier. fait partie du groupe des symptôm
istent rarement seuls ; divers stigmates de dégénéres- cerce, des
signes
de faiblesse intellec- tuelle leur sont fréquem
toujours la température, il y a alors dissociation des deux grands
signes
de la fièvre : température et pouls, c'est la fiè
, il y a constitution alors de l'état de mal opileptique, et un des
signes
capitaux de cet état est l'élévation de la temp
uelques jours il plusieurs mois, son intensité est variable, et les
signes
généraux manquent ou sont peu proportionnés au
e fruste ; il convient alors de rechercher les grands et les petits
signes
de l'hyperthyroïdie (Crespin). La tachycardie e
ence, de ses symptômes contraste avec l'absence presque complète de
signes
physiques. Un explorateur parcourt la muqueuse
tent à confusion, le dernier ne saurait tromper. Enfin, l'examen de
signes
physiques dont l'absence ou la faible intensité
histologiques et bactériolo- giques ; enfin rechercher les moindres
signes
des affections médullaires, et en particulier d
istiques, prémonitoires, et pouvant exister en dehors de tout autre
signe
de tabès. Il est très important de les diagnostiq
her rectal ou vaginal, joint au palper hypogastrique, donnerait des
signes
certains. Quant au catheterisme, dans ces cas d
ent déparier des efforts de miction; souvent enfin apparaissent des
signes
d'infection vésicale et de cystite : enfin un d
e, excepté à la dernière période. L'incontinence constitue un des
signes
pathognomoniques de l'épi- lepsie et se produit
u- lières,, on fait cesser la polyurie. On recherchera les moindres
signes
de néphrite interstitielle, et de toutes les au
- vent même les excitations génitales apparaissent avant tout autre
signe
et ont pu être considérées comme une cause plut
es provoque. l'ans la paralysie générale, l'onanisme est souvent un
signe
du début l'i doit mettre sur le voie du diagnos
urs, puis des membres inférieurs dans la pachyméningite, etc., tous
signes
qui permettent d'établir le diagnostic. Enfin,
erne et du mylo-hyoï- dien. Quand la paralysie est unilatérale, les
signes
sont les mêmes, mais existent d'un seul côté; l
tout à coup s'effile et disparaît. Mais, encore une fois, les seuls
signes
tirés de l'examen physique du malade sont en gé
ncident est parfois complètement oublié quand se déroulent tous les
signes
d'un ramollissement à marche souvent rapide. Aj
ts incoercibles succèdent des périodes par- faites, sans le moindre
signe
de dyspepsie, sauf exceptions à préciser plus l
ulgurantes. En somme, en dehors de l'absence éventuelle de certains
signes
du tabès, la crise de Leyden est une crise du t
ntant une diarrhée du type nerveux, il conviendra de rechercher les
signes
du tabes (Argyll, «'esilr,ll, llollllrer, etc.).
ne de l'anus. Comme les troubles vésicaux et rectaux sont parmi les
signes
précoces du tabès, il serait utile d'examiner l
t héréditaires et- familiales ; elles ont été considérées comme des
signes
. physiques de;la dégénérescence. - Des hypertro
Marie). Le développement exagéré dé la main est souvent le premier
signe
de l'acromégalie, il reste d'ordinaire l'un des
; le gonflement est régulier et généralement symétrique, sans aucun
signe
d'inflammation : les mouvements ne sont pas lim
sans attitude vicieuse par atropine ou contracture musculaire, sans
signes
d'arthrite, rougeur, chaleur ou douleur, sans c
et la pilosité fréquente de la peau, la coïncidence des deux grands
signes
ordinaires de la neurofibromatose, grains de iiio
ISES. 1047 mou, blanc, bleu ou rouge, les symptômes associés ou les
signes
des maladies causales permettront en général de
z le même malade ou chez d'autres sujets de formes convulsives, des
signes
généraux d'intoxi- cation permettront de penser
e étendue plus grande que la plupart des gangrènes précédentes, des
signes
de névrite les accompagnent, et les précèdent.
l'autre. Très souvent, c'est moins par l'examen du pied que par les
signes
associés de la maladie, dont le pied-bot n'est
romégalie. Chez tout géant doivent donc se rechercher avec soin les
signes
de cette der- nière maladie. Gigantisme avec
ntre surtout chez l'iiomme. Nous serons brefs sur le groupement des
signes
qui en font un infantile, devant revenir plus l
les caractères de l'infantilisme gigantesque, voyons maintenant les
signes
de l'acromégalo-gigantisme. - Le malade examiné a
scent et qu'il convient de rechercher systématiquement chez lui les
signes
d'une acromé- galie commençante. Le pronostic d
lisme. Hermaphrodisme. - Le syndrome infantile présente parfois des
signes
accessoires. C'est ainsi que l'infantile montre
Dr MOUTIER Nous entendrons par « stigmates de dégénérescence » les
signes
phy- siques ou mentaux, le plus souvent hérédit
dégénéres- cence est en somme l'aléa de l'évolution générale. Les
signes
que nous allons étudier sont très variables en in
étricaux, physiologiques et mentaux, et suivrons, pour l'exposé des
signes
anato- miques, la classification de Mayet, du m
ta). Prognathisme. Peut être supérieur ou inférieur; c'est un bon
signe
de dégénérescence. Il est remarquablement hérédit
ent hérédité d'une fragilité spéciale d'un système, c'est-à-dire un
signe
de dégénérescence. ? Stigmates obstétricaux. On p
spect clairsemé des sourcils, disparition de la queue des sourcils (
signe
de l'omnibus de Fournier). Il est rare que des
stoses et de periostoses du tibia, du crâne, etc., est aussi un bon
signe
. L'examen des viscères pourra, dans certains ca
nerveux qui sont caractéristiques de la maladie. Tout d'abord le
signe
de Robertson, c'est-à-dire l'abolition du réflexe
Charpentier comme un stigmate de cette affection. L'association du
signe
de Robertson à l'inégalité pupillaire, à l'aortit
elques rares processus de méningite subaiguë ou chro- nique, est un
signe
de syphilis. ' L'apoplexie de l'adulte est égal
génération. D'autre part, l'enquête portera sur les collatéraux. Le
signe
le plus caractéristique c'est la polymortalité
ux de t liérédo-syphilis. Fournier signale les convulsions comme un
signe
de méningite syphilitique de l'enfance ; on a s
ningite syphilitique de l'enfance ; on a signalé également quelques
signes
d'incontinence d'urine par hérédo- syphilis. No
e temporale superfi- cielle, sur le trajet des veines frontales. Ce
signe
s'observe avec une no- table fréquence dans l'h
importance ca- pitale et pathognomonique pour l'hérédo-syphilis aux
signes
suivants : le crâne natiforme, fia dent d'Ilutc
ilatation vcntricuhure par un excès de liquide exagère la sonorité (
signe
de Mac Ewcn'l. Le malade doit être assis la têt
témoigne surtout d'un amincissement de la paroi, « c'est plutôt un
signe
d'altération de l'os qu'un signe de localisatio
ent de la paroi, « c'est plutôt un signe d'altération de l'os qu'un
signe
de localisation des tumeurs » (Duret). La matité
s nécessairement imputable il l'inondation méningée et peut être le
signe
d'une hémorragie cérébrale à topographie normal
nucléaires à la ponc- tion lombaire de malades qui présentaient des
signes
très discrets de méningite cérébro-spinale et q
taté des faits anale gués. Sicard et Descomps considèrent comme des
signes
de. guérison la substi- tution des polynucléair
onstaté l'absence d'éléments figurés, et ont montré l'utilité de ce
signe
, pour le diagnostic d'avec la' méningite cérébro-
et Ravaut (Soc. médic. des Hôpitaux, 21 novembre l ! ->0`). Le
signe
d'Argyll-Robertson qui est, comme l'ont montré Ba
l-Robertson qui est, comme l'ont montré Babinski et Charpentier, un
signe
de syphilis acquise ou héréditaire a été particul
gnos- tic de fracture du crâne sur un sujet plongé dans le coma. Ce
signe
n'a de valeur qu'en présence d'un commémoratif
que (thérapeutique). Schématiquement, il est constitué par : a) des
signes
nerveux (céré- 1]rau, cérébelleux, pédonculaire
mes toxi-infectieux; c) des modifications du liquide venlriculaire.
Signes
nerveux. Déterminés en grande partie tout au moin
n grande partie tout au moins par 1 hypertension ventriculaire, les
signes
cérébraux sont nombreux et variés, mais de fréq
e stupeur, démentielle d'origine curéhru-malaciclue. " A côté des
signes
fondamentaux qui viennent d'être décrits, prennen
s, la raideur de la nuque (von Beck). L'opistholonos (Tillgren), le
signe
de Kcrnig, le tremblement (Mocquin, Tillgren), so
cérébelleuse (Parkes-Weber, Finkelburg, l'eurath, Oppenheim). Les
signes
pédonculaires sont le ptosis, la diplopie par par
on s'ap- plique aux manifestations bulbo-protubérantielles. Comme
signes
protubérantiels, on peut citer la névralgie légèr
inthiques engendrée par les altérations de la huitième paire. Les
signes
bulbaires sont à la fois beaucoup plus nombreux e
e pression) peuvent être soupçonnées non seulement par la clinique (
signes
d'hypertension intra- cranienne) mais encore pa
on lombaire n'améliore pas ou aggrave, lorsqu'elle est répétée, les
signes
d'hypertension cérébrale ; on peut en inférer q
t avoir des convulsions. La rigidité de la nuque et des membres, le
signe
de Kernig l'ont ordinai- rement défaut, mais, d
ments, plus rarement de la constipation. La raideur de la nuque, le
signe
de Kel'l11g existent. Les convulsions sont fréq
buer, en toute connaissance de cause, quelques-uns des innombrables
signes
accessoires de 1 hyperten- sion intra-cranienne
gèrement abaissée (50°, 8). D'autres fois, on a observé, à côté des
signes
cardinaux qui viennent, d'être passés en revue,
La difficulté du diagnostic ne tient, pas ici il l'imprécision des
signes
mais à la difficulté de les rattacher clillirlu
logie mécanique est mise en évidence par la disparition de certains
signes
cérébraux (céphalée, convulsions) et bulbaires
ires proviennent d'altérations nucléaires toxiques, la majorité des
signes
bulbaires et la presque totalité des signes céréb
xiques, la majorité des signes bulbaires et la presque totalité des
signes
cérébraux proviennent des effets purement mécan
a selle turcique ou une destruction des apophyses clinoïdes sont un
signe
im- portant de tumeur hypophysaire : on peut dé
d'arrêt plus considérable, et d'autre part la para- plégie brusque,
signe
habituel en cas de pénétration dans la moelle, pe
TIC. Il 611 i rurgien. Nous voulons parler, pour le crâne, soit des
signes
de compres- sion inira-crttnienne, soit des mon
arfois de long- temps tout autre symptôme préataxique. parfois tout
signe
pupillaire. c'est essentiellement dans ces cas
dépendre d'altérations des fibres musculaires. Elles constituent des
signes
objectifs important ? pour le diagnostic de la
l'hystérie et dans le goitre exophtalmique, on crut avoir trouvé des
signes
importants pour l'électrodiagnostic et on reche
ité et de la contractilité de ces muscles. On en est averti par des
signes
subjectifs (sensation de raideur dans la joue r
nsation de raideur dans la joue ressentie par le malade) et par des
signes
objectifs (redressement et élévation de la comm
ts ou à l'occa- sion d'excitations cutanées ou électriques) ; à ces
signes
s'ajoutent plus tard des mouvements associés d'
cellulaires, coloration de Ramon y Cajal, 1570. Argyll-Robertson (
Signe
d' -), 74, 95. Arriération intellectuelle, 269.
s. Grande asynergie. Dé- marche type, 769. Petite asynergie, 770.
Signe
de la flexion combinée des cuisses et du bassin
tumeurs cérébrales, 122. Atrophies musculaires. Définition, 657.
Signes
, 658. Diagnostic différentiel, 661. Formes clin
w, 107. Valeur séméiologique, '108. bilatérale, unilatérale, 108.
Signes
de Stclwag, de Graefc, de Rosenbach, 107. Mod
Glossy-skin, 111a. Goitre exophtalmique. Exophtalmie, 107. " -
Signes
oculaires, 107, 108. - A Troubles de la sensibi
ion des mains, 10` ? ! E. - Déformation des pieds, zut. Graefe (
Signe
de de), 107. Grand cOI1 ! ]Jle : cus, petit com
16. fltalctttticlztc, z11. Hémianopsié, 45. homolalérale, 44. -
Signes
pour la déceler, 45. - Carac- tères du champ vi
octf'.s, 477. - Flexion combinée de la cuisse et du tronc, 478. -
Signe
du peaucier. 479. - Signe de l'éventail. 480. P
mbinée de la cuisse et du tronc, 478. - Signe du peaucier. 479. -
Signe
de l'éventail. 480. Phéno- mène de Stiunipell,
u névraxe. examen ' du liquide céphalorachidien, 1135. méningées,
signe
de Kernig, 484. intestinales, 998. Hémosialém
logie, 540. K Kératite 7/i'llro-pamlytique, 116, 955. Kernig (
Signe
de -). ). Recherche, 481. - Valeur séméiologiqu
énière (Svndrome de ), )52, 166, 995. Méningite cérébro-shirtale,
signe
de Ker- nig, 485. - Traitement électrique de
ctrique de ses complications. ]501. - ologène, 111. tuberculeuse,
signe
de Kernig, z tuberculeuse du nourrisson, somn
Marie, 696. - Hypertrophie des troncs ner- veux, cypho-scoliose,
signe
d'Argyll, 697. - optique dans les tumeurs céré-
ue, 105. - phénomènes auriculaires, 128. d'origine otique, 140. -
Signe
de Charles Bell, 480. - Autre mouvement assoc
s, 450. - créniastérien, 455. - des orteils, 447. Recherche, 4H).
Signe
de l'évenlail, 450. - du fascia Iota, 455. -
ius de Santoi-iiii. Innervation, phy- siologie, 585. - ' Romberg (
Signe
de -), 756. Rond pronateur. Innervation, physio
physiologie, 527. Rosbach (Gastroxynsis de -), 995. Rosenbach (
Signe
de), 108. Rumination, 1005. S Sacré (Syndro
a perception d'une impression sensitive, 286. thermique, 288.
Signe
de l'éventail, 450, 480. - de Charles Bell, 480
per- trophie, 928. - Atrophies et déforma- tions, 929. Stelwag (
Signe
de), 107. Stéréoagnosie, 502. dans l'hémiplégie
gie, 542. Tétanie. Troubles de la sensibilité objec- tive, 556. -
signes
, 995. La main, 101. - Le pied, 1059. Tétraplé
érébraux. Syndromes ven- l'ItICUL.IIRFS. Syndrome' inflammatoire,
signes
nerveux, 1147. - Symptômes toxi-infectieux, 114
tomatique qu'elle offre est accusé, très en relief et composé de
signes
saillants qui s'imposent à première vue ; il s'ag
vertiges ; en peu de temps sont apparus successivement trois grands
signes
, la céphalée, des vomissements à type cérébral,
pace dans une cavité inextensible, la boîte crânienne : ce sont des
signes
de compression cérébrale; et je trouve comme la
onsidérée comme un phénomène de compression. Ainsi, j'ai là plus de
signes
qu'il n'en faut pour affirmer l'existence d'une
cussion me mènerait trop loin. Je ferai seulement remarquer que les
signes
locali- sateurs, l'ophtatmoplégie externe et in
(Hoffmann) des symptômes tabétiformes plus précis : incoordination,
signe
de Romberg, etc. Mais si les auteurs dont je vi
rai expressément qu'en dehors de ce phénomène important, les autres
signes
sont d'une recherche et d'une appréciation bien
sions même quand on comprime la tumeur. Au bout de vingt-six jours,
signes
de collapsus brusque et mort en état de dyspnée
bilité cutanée,- à cette époque on a déjà à sa disposition d'autres
signes
permettant d'établir le diagnostic. Il'faut se
abo- lition complète des réflexes achilléens. C'est sur ce dernier
signe
que l'auteur s'appuie en même temps que sur une
res intellectuels; usage ou reception inadéquats par le cerveau des
signes
verbaux (Annales médical" psychologiques, avril
st excellent. Pen- dant leur cours on a pu constater la présence du
signe
d'Argyll Robertson qui disparait ensuite. Mais
e d'Argyll Robertson qui disparait ensuite. Mais il existe d'autres
signes
per- manents du tabès chez cette jeune fille, c
le par hérédité syphilitique et crises gastriques consécutives avec
signe
d'Argyll Roberstson intermittent. Atrophie mu
thyroïdiens. 80 SOCIÉTÉS SAVANTES. De l'abduction des orteils (
signe
de l'éventail). M. G. Babinski. J'ai montré dan
ation d'une enfant de huit mois ayant présenté pen- dant la vie les
signes
d'un syndrome de Weber incomplet et double,- ca
ut-être du droit supé- rieur) avec strabisme divergent, sans autres
signes
oculaires; de la parésie ou plutôt de la faible
trouva celle-ci étendue à terre dans sa cuisine, et ne donnant plus
signe
de vie. Autour du cou, la pauvre femme avait un
es et 52 hommes, que ce sont les sujets qui présentent le plus de
signes
apparents de dégénérescence physique, parmi les
tiel d'aliments, teinte subicté- rique des téguments, constipation,
signes
somatiques très accen- tués. '. En septembre,
mes relevés par le médecin traitant chez le .mari, nous trouvons le
signe
d'Argyll Robertson dont l'ori- 'gine, si nous e
teur traite de l'hypnose. 11 commence par montrer, en analysant les
signes
pré- sentés par les sujets hypnotisés, que la c
des réflexes tendineux, ni épilepsie spinale légitime, ni aucun des
signes
décelant une irritation de la voie pyramidale.
e, suffit ordinairement à faire apparaître sur la face du sujet des
signes
évidents de douleur. En persuadant à l'hypnotis
rique et clinique de leur conception, nous avons à envisager les
signes
somatiques de l'hypnose et les rapports de l'hypn
it le phénomène des orteils, la flexion com- binée de la cuisse, le
signe
du peaucier, l'hypotonicité musculaire comme ca
on des réflexes tendineux, ni phé- nomène des orteils, ni aucun des
signes
caractérisant une lésion organique; comme dans
e de neuf ans par l'apparition de symptômes cérébraux graves, les
signes
de dégénérescence et l'arrêt de développement des
t s'il s'agit d'épileptiques en voie de démence présentant certains
signes
physiques rappelant ceux de la ménin- go-encéph
in tout état neurasthénique. Le diagnostic peut être fait avant les
signes
physiques, si l'on a clairement à l'esprit le con
si l'on a clairement à l'esprit le con- traste qui existe entre les
signes
qui relèvent seulement d'un état de fatigue chr
ignes qui relèvent seulement d'un état de fatigue chronique, et les
signes
au contraire d'affaiblissement et de déchéance
il 1902, p. 625, 633). Contribution à l'étude des limites entre les
signes
physiologiques de la vieillesse et les caractèr
'habitude de le dire, une suracti- vité mentale. SIMON. 1,X1. Les
signes
auxquels se reconnaît la folie et les problèmes d
acultés menta ! es. permet,.seul de conclure à son existence. Aucun
signe
physique n'y suffit. SIMON. REVUE DE PATHOLOG
accès de folie à double forme pour finir dans la démence, avec des
signes
de paralysie générale. Ce malade était, en outr
ralysie générale, l'intermittence est peut-être considérée comme un
signe
du début. ' . M. Ballet. La paralysie générale
es à évoluer, tout en pré- 164 -il SOCIÉTÉS SAVANTES. sentant les
signes
caractéristiques de la méningo-encéphalite dif-
rami- dale, les auteurs ont trouvé ce réflexe 34 fois, alors que le
signe
de Babinski existait 38 fois. Mais, dans 8 des
o-spinale), le réflexe adduc- teur existait nettement, alors que le
signe
de Babinski manquait ou etait peu net. C'est
réflexes achilléens et rotuliens sans trépidation épileptoïde ni
signe
des orteils. 11 n'existe aucune paralysie des s
èvre typhoïde pro- longée il cinquante ans. Tabès affirmé par les
signes
suivants : analgésie presque abso- lue, à topog
tiques; trijumeau, avec paresthésies superposées. Myosis permanent,
signe
d'A. Robertson, analgésie du globe a la pressio
radial et cubital. Aucun déficit psychique. L'absence de certains
signes
cardinaux de la série tabétique, dans ce tabes
n côté; il y a de l'agitation et du subdélire. -- La recherche du
signe
de Kernig détermine de violentes dou- leurs dan
ocytes ne constitue donc plus aujourd'hui,. ainsi qu'on l'a dit, un
signe
différentiel qui per- mette d'en faire le diagn
le ade temps à autre quelques impulsions violentes; pleurnicheries.
Signes
physiques : pupilles dilatées et ' inégales; le
l'ouïe de caractère pénible. -Pas d'idées délirantes. Inconscience.
Signes
physiques : faiblesse musculaire accentuée ; tr
q ans, entrée le 3 juillet 1899. A présenté dès son entrée tous les
signes
de paralysie générale à forme maniaque. Le 10 s
uel; conscience très nette de son état. Atténuation très grande des
signes
physiques. Les pupilles égales et moyennement d
avec agitation par intervalles. Quelquefois réactions violentes.-
Signes
physiques : léger tremblement fibrillaire de la l
Mir..., 55 ans ; entrée le 21 avril 1903. A présenté à l'entrée les
signes
de paralysie générale à forme maniaque. Actuell
E FOND DE L'ÛEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 195' de grandeurs.
Signes
physiques : parole empâtée et bredouil- lante ;
lade est, de temps à autre, en proie à de l'agita- tion maniaque. -
Signes
physiques très marqués, tremblement de la langu
son entrée, symptômes de paralysie générale à forme maniaque, avec
signes
physiques prononcés. Examen du 14 septembre 190
maladene s'alimente passpontanément. Absence d'idées délirantes.
Signes
physiques très atténués; pas de troubles de la pa
el dû à l'alcoolisme chronique dont on relève les stigmates, et des
signes
physiques de paralysie générale. Aujourd'hui, 8
es idées délirantes de richesses ; embarras très net de la parole ;
signes
phy- siques très marqués; elle s'est fait arrac
pré- texte qu'elles étaient cariées. Examen du 8 septembre 1903.
Signes
physiques très marqués, trouble léger de la par
ec idées de satisfaction, euphorie, incons- cience de son état. Les
Signes
physiques qui étaient très prononcés au début s
n'est pas trop désorientée et s'occupe activement dans le quartier.
Signes
physiques : tremblement de la langue et de la m
s délirantes, mais la malade n'a aucune conscience de sa situation.
Signes
physiques très peu marqués, pas de troubles de
nie, trente-huit ans; entrée le 29 mai 1903. Elle ne présente aucun
signe
de paralysie générale. Elle est excitée et croi
isposition ; avec cette somme elle va fonder une maison de soierie.
Signes
physiques très accentués, mais par intervalles
jurier sans cesse, la menacer, lui tenir des propos orduners. - -
Signes
physiques très nets. Inégalité pupillaire, pupill
Délire mélancolique avec préoccupations hypochondriaques. Quelques
signes
de tabès ; signe d'Argyll Hobertson; signe de R
ue avec préoccupations hypochondriaques. Quelques signes de tabès ;
signe
d'Argyll Hobertson; signe de Romberg. Inégalité
ochondriaques. Quelques signes de tabès ; signe d'Argyll Hobertson;
signe
de Romberg. Inégalité pupillaire. Examen du 9 s
laquelle elle se trouve l'a poussée à deux tentatives de suicide.
Signes
physiques caractéristiques : paralysie faciale ga
iples ; des hommes la poursuivent et lui disent de vilaines choses.
Signes
physiques assez nets : tremblement de la langue
floues. Troisième groupe. - Paralytiques générales présentant les
signes
de l'atrophie papillaire en voie d'évolution des
n maniaqne. Examen du 7 septembre 1903. Dépression avec angoisse.
Signes
physiques. Pas de tremblement de la langue ni des
alade qui se dit âgée de vingt-deux ans, ne sait où elle se trouve.
Signes
physiques très marqués; parole extrêmement emba
otale; idées de satisfac- tion ; rires et pleurnicheries enfantins.
Signes
physiques : em- barras de la parole; langue tré
oscope, la papille droite est floue, la papille gauche présente les
signes
certains de l'atrophie blanche en voie d'évolut
faction; eupho- rie ; affaiblissement intellectuel très prononcé.
Signes
physiques très marqués : tremblêment-de l'a langu
n du 10 septembre 1903. Affaiblissement intellectuel très marqué.
Signes
physiques très nets : tremblement accentué de la
ement intellectuel; idées de satisfaction ; inconscience absolue.
Signes
physiques peu marqués; pas de tremblement de la l
yait riche au point d'entourer le Luxem- bourg de chaînes d'or. -
Signes
somatiques très nets ; troubles de la parole très
III. - Rohr ? femme Gai..., trente ans, entrée le 15 novembre 1901.
Signes
de paralysie générale avec halluci- nations gén
amen du 9 septembre 1903. Rémission intellectuelle. Persistance des
signes
physiques ; dilatation pupillaire bilatérale av
late en sanglots quand on lui rappelle ses tentatives de suicide.
Signes
physiques très marqués. Pupilles dilatées et inég
e 1902 avec le diagnostic; démence, gâtisme, inconscience absolue ;
signes
physiques très nets. Examen du 9 septembre 1903
les intel- lectuels. La malade est très consciente de son état. .
Signes
physiques très marqués : mouvements de trombone d
pileptiformes fréquentes. Il est difficile d'obtenir une réponse.
Signes
physiques au complet : inégalité pupillaire très
e 1903. -Malade obnubilée, anxieuse : hallucinations de l'ouïe. °
Signes
physiques peu marqués. Léger tremblement de la
ts; agitation intermittente; hallucinations de caractère pénible.
Signes
physigucs peu nets. Parole embarrassée et empâtée
vec laquelle il impres- sionne les centres nerveux par tels ou tels
signes
bruyants ou bien manifestes, confusion mentale,
pouvant s'expliquer par le défaut d'oxygénation, car il n'y a aucun
signe
de cyanose et le sang est facilement artérialis
iques de Homburger, Dejérine, etc., dans lesquels la disparition du
signe
des orteils a coïncidé avec une destruction des
nerveux faisant croire à une affectation médullaire. G. C. L. Du
signe
de l'orbiculaire dans le diagnoctic de- la paraly
évidence la paralysie du facial supérieur, le plus efficace est le
signe
de l'orbiculaire signalé par le professeur l3ev
'oeil du côté paralysé, l'antre restant ouvert. PôurRevilliod, ce
signe
serait constant dans l'hémiplégie alésions cent
occasion de vérifier l'existence du 244 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE.
signe
de l'orbiculaire dans la paralysie faciale hémipl
tensité plus grande de l'effort en pareil cas. ' Pour M. Bard, le
signe
de l'orbiculaire a une importance clinique de p
e 30 mai; le 24 juin il donne des REVUE DE MÉDECINE LEGALE. - 245
signes
d'aliénation mentale et fut transféré à l'asile l
e demande à être examinée par un magistrat. Lé 2 novembre, l'auteur
signe
un certificat qui la déclare aliénée, atteinte
ions d'usage. Depuis quelque temps déjà, Eugène llallet offrait des
signes
de dérangement céré- mais depuis la mort de sa
onalité se rapproche du souffle tubaire, sans gargouillements, tous
signes
qui militent en faveur d'une induration du pare
es points d'émergence des nerfs provoque d'atroces douleurs. ' Le
signe
de Lasègue est des plus nets. Les réflexes rotu-
ire, les vives douleurs à la pression des nerfs et des muscles, les
signes
stéthoscopiques, nous avions porté le diagnosti
ommunicantes du sympathique avec le pre- mier ganglion dorsal. Ce
signe
ne saurait donc exister que lorsque la lésion a
des troncs nerveux. C'est à ce moment une véri- table névrite, sans
signes
médullaires...La symptoinalo- logie de la moell
x encore par comparaison avec le côté sain. 11 n'existe pas d'autre
signe
appréciable de paralysie des extenseurs. - No
rimordial. En outre, il y a lieu de tenir compte de tous les autres
signes
caractéristiques des névrites d'une part, des m
'une part, des myélopathies d'autre part (secousses fibril- laires,
signes
électriques, etc). Nous n'envisageons d'ailleur
e dia- gnostic serait toujours basé sur la coexistence des autres
signes
de saturnisme et sur l'histoire du malade. Notre
tic. A ce moment le malade a succombé brusquement en présentant les
signes
d'une occlusion intestinale. L'autopsie révèl
al. XXV. Syndrome cérébro-spinal, vraisemblablement urémique avec
signe
de Kernig; par THÉVENGT et Péhu. (Lyon médical, 1
ne néphrite probablement typhiquc. A ces symptômes s'ajoutaient des
signes
d'irritation des méninges, caractérisés par des
caractérisés par des douleurs céphalo-rachidiennes intenses et le
signe
de Kernig. La malade passa trois mois à l'hôpital
n des méninges dénoncée par les douleurs céphalo-rachidiennes et le
signe
de Kernig à l'hypertension par hypersécrétion p
,pour ainsi dire, organiser à elle seule le méningisme y compris le
signe
de Kernig ainsi que tendent à le démontrer deux
lir que ce trouble psychique ne peut jamais être considéré comme le
signe
d'une insuffisance renale, d'une intoxication g
t son existence. L'auteur ne croit pas que le délire soit jamais le
signe
d'une intoxication générale, il peut coïncider
anévrysme de l'aorte. Ce cas est remarquable par l'absence de tout
signe
physique et de tout phénomène de compression pou-
ait oedematié ainsi que les poumons. Malgré l'oedème cérébral aucun
signe
de comptes- sion ne fut constaté. Le cas' a par
rois ans, syphilisée à vingt ans et entrée à Ville- Evrard avec des
signes
de paralysie générale ; elle y exprime un délir
Mai 1904. N° 101. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Des
signes
oculaires dans la pàralysie générale; Par A. JO
Messieurs, Je désire aujourd'hui attirer votre attention sur les
signes
oculaires de la paralysie générale, et vous mon
constituent le plus souvent, au début de la paralysie générale des
signes
assez caractérisés pour permettre d'affirmer d'
n diagnostic jusqu'alors indécis. Seulement la constatation de ce
signe
présente quelques difficultés; il faut pratiquer
para- lysie générale. C'est pour tous ces motifs que l'étude des
signes
oculaires doit continuer à tenir une très grand
r cliniquement l'exa- men microscopique après centrifugation. DES
SIGNES
OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 355 ainsi
de beaucoup les plus fréquents. 356 CLINIQUE MENTALE. Le premier
signe
, noté depuis longtemps par Baillarger. est l'in
ie générale il en est fait mention 'comme s'observant parfois. Ce
signe
, à notre avis, mérite davantage d'attirer l'atten
ire. Deux fois nous avons constaté cette irrégularité du con- DES
SIGNES
OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 357 î tou
puis la paralysie du réflexe lumineux s'établir. Pas plus que le
signe
d'Argyll cette déformation n'est particulière a
us avons pu voir, c'est qu'elle est antérieure à l'établissement du
signe
d'Argyll dont, dans laplupart des cas, elle est
d'Argyll dont, dans laplupart des cas, elle est en quelque sorte le
signe
précurseur et l'équivalent. Mais si les dimen
lumineux avec persistance'du réflexe accommodateur cons- titue le
signe
d'Argyll-Robertson. Signalé en 1869 par Argyll-
tson. Signalé en 1869 par Argyll-Robertson chez des ataxiques, ce
signe
est considéré comme très important et très fré-
Dufour). Aussi y a-t-il grand intérêt à rechercher soigneusement'ce
signe
. Mais cette recherche, celle surtout du réflexe
l du malade qui continue à épeler à haute voix les lettres de DES
SIGNES
OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 359 l'éch
proché on aurait trouvé chez lui les réflexes lumineux abolis. Le
signe
d'Argyll s'établit donc d'une façon progressive e
tacts) on peut attribuer à cet affaiblissement la même valeur qu'au
signe
d'Argyll. Cet affaiblissement progressif du réf
est bien la règle et, le plus généralement, une fois installé, le
signe
d'Argyll reste immuable. Il peut cependant en êtr
ent et deux fois il nous a été donné d'assister à la disparition du
signe
d'Argyll chez des malades qui venaient d'entrer
s. Ce que vous devez surtout retenir c'est l'extrême fréquence du
signe
d'Argyll-Robertson chez les paralytiques généraux
portun. Le réflexe accommodateur est lui, beaucoup moins sou- DES
SIGNES
OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 361 vent
ètement pendant que persiste le réflexe accommodateur ; c'est là le
signe
d'Argyll-Roberston. Dans des cas peu nombreux o
tteint. Indépendamment des troubles de l'iris, on peut encore DES
SIGNES
OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 363 trouv
ane de la vision chez les paralytiques généraux. La fréquence des
signes
oculaires et leur ordre d'apparition leur donnent
troubles oculaires constatés au début de la paralysie générale. Les
signes
oculaires concourent grandement au diagnostic d
x. Cette distension était si considérable que, en l'absence de tout
signe
précis révélant un anévrysme, il était impossible
rès,en s'accom- pagnant de frissons et d'obscurcissement de la vue.
Signe
de Ker- nig des deux côtés. Ecoulement abondant
les autopsies d'asile chez des épileptiques n'ayant présenté aucun
signe
de porencéphalie; 2° Le second point à noter es
corticale doit imposer des réserves sur la valeur rigoureuse de ce
signe
. Quant à la fièvre, deux hypothèses peuvent l'e
hilis secondaire, ainsi que dans quelques cas où il n'y avait aucun
signe
de dégénération nerveuse. M. WIlson a démontré
ant artificiellement son attention. Mais, me dira-t-on, beaucoup de
signes
manquent ici : on n'observe ni négativisme, ni
re un examen attentif permettrait-il de dépister, dans ces cas, des
signes
de déficience intellec- tuelle analogues à ceux
ion' ? Peut-être, dès cette époque, 111. N... a-t-il présenté des
signes
qui auraient pu faire penser à la gravité de l'af
levée est impossible. La conception deKraepelin, en précisant les
signes
précoces d'affaiblissement intellectuel, a permis
comme dangereux. A son entrée à l'asile de Leyme, C... présente les
signes
physiques et psychiques de la paralysie général
ques de la paralysie générale. A l'examen somatique on constate les
signes
suivants : Myosis, inégalité pupillaire ; les p
e attention est attirée par l'air béat et atone de la malade. Comme
signes
somatiques on trouve de l'inégalité pupillaire,
e physiologique n'existe certainement pas. Quand nous voyons que le
signe
de la vie et la propriété fondamentale de la ma
ns la vivacité et la curiosité de l'enfance. On a donné aussi comme
signe
des tumeurs cérébrales les impulsions, puis un
groupe : Atte- SOCIÉTÉS SAVANTES. 493 nuation ou disparition des
signes
somatiques, amendement très incomplet des troub
ence reste affaiblie mais atténuation ou disparition com- plète des
signes
somatiques : 5 observations. 3e groupe : Intelli-
polynévrite des deux mains et de synovites des poignets. Parmi les
signes
observés, la réaction de dégénérescence, l'hypoes
novites professionnelles. R. et C. insistent, en terminant, sur les
signes
qui, dans un cas comme celui-là, permettent de
ctères de celui delà sclérose en plaques. Mais il n'y a aucun autre
signe
de sclérose en plaques ; il n'y a non plus aucun
ion stéréognostique, perte du sens des attitudes; 4° L'ab- sence du
signe
de Babinsky est remarquable car elle contraste
s de la vision sont apparus il y a environ quinze ans alors que les
signes
du tabes étaient encore peu accentués. Depuis,
et pénètre jusqu'à l'os et provoque de la douleur; c'est le premier
signe
de sensibilité qui se manifeste depuis près de
155. maniaque dépressive avec autop- sies, par l'atoll, 160, Les
signes
auxquels se rfconnut la - et les problèmes de
durée, par Brunet, 163. - générale, voir Troubles trophiques. Du
signe
de 1'oil)i(;tlldire dans le diagnostic de la
ans leurs rapports avec le goitre exophtalmique, par Callum. 229.
Signes
oculaires. Des - dans la paralysie générale, pa
és. Syndrome. cérébro-spinal vrai- semblablement urémique, avec
signe
de Iiernit;, par Thévenet et Péhn, 321. - bulba
as de tabès ordinaire, la région de la moelle lombaire présente des
signes
de dégénération locale, et comme les colla- tér
u'une dégénération des fibres des colonnes de Clarke appartient aux
signes
les plus précoces du tabès lombaire ; en d'autres
cinq ans, pratique le traitement par le lit, c'est surtout dans les
signes
physiques qu'il faut cher- cher les indications
ivise en trois catégories : 1° ceux qui ont promptement donné des
signes
de dérangement mental, ou qui, en d'autres termes
n'étaient pas guéris ; 2° ceux qui après leur sortie ont donné des
signes
d'affaiblissement mental ou de bizarrerie, leur p
es ; 3° ceux qui un an au moins après leur sortie n'ont donné aucun
signe
de trouble mental et ont repris à la fois leur
sujet, ayant résisté à la tendance héréditaire, ne présente aucun
signe
de maladie nerveuse. Dans chaque région mentale
uatrième ventri- cule. R. DE IUSGRAVE-CL2 £ Y. VIII. Sur certains
signes
physiques dans la mélancolie ; par W.-H.-B. STO
. Les raisons de l'auteur pour faire de cette rigidité un véritable
signe
physique de ta mélancolie sont les suivantes : el
il marque celle qui est privée de cellules ganglionnaires. Un autre
signe
distinctif de haute valeur existe dans le caractè
seux des membres inférieurs aussi bien à droite qu'à gauche, par le
signe
de Romberg, par l'inégalité pupillaire avec myosi
lité pupillaire avec myosis à gauche, pupille déformée et ovalaire,
signe
d'Argyll Robertson, par des analgésies viscéral
mais surtout on met facilement en évidence du côté hémiplégie le
signe
des orteils de Babinski, tandis que du côté sain
ain le réflexe plantaire se traduit par une flexion des orteils. Le
signe
du peau- 76 . - SOCIÉTÉS SAVANTES. cier est a
à la période flaccide. Nous insistons à nouveau sur l'importance du
signe
de Rabinski qui permet seul dans des cas sembla
rt de douleurs ful- gurantes, mais ne présentaient pas toutefois le
signe
d'Arg,11. Le diagnostic de tabès lombaire incip
e que l'exagération des réflexes tendineux et la contracture, seuls
signes
que l'on avait à sa disposition jusque dans ces
réflexes tendineux sont abolis Or, depuis que je connais ce nouveau
signe
et que je le cherche systématiquement chez tous
vue du diagnostic du tabes, autant d'importance, sinon plus que le
signe
de Westphal. Je vous présente deux malades de c
l'abolition des réflexes du tendon d'Achille constituent les seuls
signes
objectifs d'une affection organique du système
gnes objectifs d'une affection organique du système nerveux. Si ces
signes
n'avaient pas été recherchés, les malades aurai
-dessus du niveau de l'émergence de la troisième racine sacrée. Les
signes
cliniques des affections du cône se composent,
sistait dans tous ses cas en : 10 Intégrité des réflexes rotuliens (
signe
de la limite supérieure) ; 2U Intégrité des sph
ard de la sensibilité se trouve dans le tabès dorsalis VARIA. 93 (
signe
de Remak), ce relard atteint d'après M. Raymond p
olution fréquente dans le sens de la démence précoce sont autant de
signes
qui révèlent la tare dégénératrice. Et, à tout
s trop l'entendre à la lettre, car, à bien observer les choses, ces
signes
n'existent jamais que d'une façon approxi- mati
battre étant ivre. Prudence commença un peu plus lard à donner des
signes
de dérangement cérébral ; cela commença par des
, assez grande, sa taille étant de 1 mètre 61, sans infirmité,'sans
signes
marqués de dégénérescence à part une plagiocéph
e se plaint aussi de ne pas .voir clair ou de voir très peu. Pas de
signes
d'hystérie. Irritable, difficile à interroger, im
degré, le faciès du délirant chronique. Il n'y a pas, chez lui, de
signe
bien net de démence ; la mémoire, sans être trè
empté du service militaire. Depuis l'âge de vingt ans, il donne des
signes
de trouble mental. On ne pouvait s'aider de lui
e chromatique, altération dans laquelle les auteurs ne voient qu'un
signe
anatomique d'une réaction plus ou moins aiguë d
. sont si nets que l'auteur pro- ' pose de les comprendre parmi les
signes
cardinaux du goitre exophtalmique. - lg6 SOCI
e dans les deux affections, différence qui peut être utilisée comme
signe
de diagnostic diffé- rentiel entre l'hémiplégie
e désire nullement contester la valeur du réflexe de Babinski comme
signe
pathognomonique de l'hémiplégie organique ; je
existe très peu de réflexes qui pourraient être considérés comme
signe
pathognomonique de certains états morbides. Ceci
M. liotii ont bien voulu passer en revue quelques-uns des nouveaux
signes
distinctifs de l'hémiplégie organique et de l'h
cherches, et M. Fer- rier est de ceux-là, admettent avec moi que ce
signe
est caracté- ristique d'un trouble dans le syst
loir bien présenter les malades chez lesquels ils constateraient le
signe
des orteils dans des cas d'hystérie pure. Jusqu
nécessaire pour donner naissance à ce phé- nomène. J'ai dit que ce
signe
dénotait « perturbation du système pyramidal »,
ulté des mou- vements des jambes. Abolition des réflexes rotuliens;
signe
d'Argyll- Ilobertson; troubles de la sensibilit
de la langue vers la droite, SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 3 sans autre
signe
de paralysie facial; intégrité motrice des membre
à la localisa- tion médullaire de la maladie de Recklinghausen. Les
signes
cuta- nés de la de)'mo- ? ! eM)'o ? 6<'o ? M
forme de la maladie et même une aggra- vation et ne voit pas là un
signe
d'amélioration. ' M. Séglas répond que son mala
oïde 3 fois, alcoolisme 1 fois, nervosisme 3 fois, hystérie 1 fois,
signes
de dégénérescence 1 fois). La bacillose pour
rteil de ce côté aurait été « mort ». On cons- tate une esquisse du
signe
de Romberg. Les phénomènes douloureux qui resse
tout abus d'alcool, dit ne pas faire d'excès. il ne présente pas de
signes
d'alcoolisme. Il n'a jamais eu de ma- ladies vé
ment exagéré, mais il n'existait pas de clonus. 11 n'y avait pas de
signe
de Romberg. Les membres supérieurs étaient inde
ctions fibrillaires des muscles de la jambe gauche. 11 n'y a pas de
signe
de Babinski. Le sujet étant dans le décubitus d
e est moyenne, l'instruction rudimentaire, le malade lit à peine et
signe
difficile- ment son nom. La langue est bonne,
nt. Les urines ne renferment ni sucre, ni albumine. Il n'y a pas de
signe
de nervo- sisme ou de neurasthénie. 11 n'y a pa
ion des réflexes patellaires, mais, pas de clonus. Il 'existait du.
signe
de Hombergr Il n'y avait pas de troubles de la
à une seule reprise, ne présente plus au moment de l'examen aucun
signe
permettant de reconnaître la bizarre affection
n de froid du membre inférieur corres- pondant. Mais ce sont là des
signes
trop obscurs et trop peu définis pour permettre
le pluspiofondément atteint parce qu'il conserve le maximum' des
signes
morbides : une légère exagération des réflexes
considérer le père comme absolument et totalement guéri ; le seul
signe
présenté en commun par les trois sujets est une
CLINIQUE NERVEUSE. légère exquisse de Romberg. Mais du reste aucun
signe
absolu de dégénérescence du cordon pyramidal. P
comme entachés d'hystérie, car aucun d'eux n'a jamais présenté les
signes
caractéristiques de cet état mor- bide. Notre
u tout au moins s'atténuer au point de ne plus .donner lieu à aucun
signe
appréciable. Cependant quelques symptômes cadre
nce d'une tumeur située hors du cerveau et présentant plusieurs des
signes
caractéristiques des tumeurs du cerveau, notamm
digestion, l'irritabilité nerveuse et le malaise générale. Mais le
signe
décisif sera toujours l'étrangle- emt nde la pa
on enlevait-la partie postérieure des vertèbres. Il n'y avait aucun
signe
de dépla- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 25S c
ferme, avait la forme normale et ne présentait extérieurement aucun
signe
ni de ramolissement ni de lésion due aune compr
t été ou non fracturés, mais leur examen in sitit-ne révélait aucun
signe
de fracture. L'accident était survenu un lundi
de diagnostiquer l'origine grippale d'une encéphalopathie : un bon
signe
sera tiré du pouls qui augmente de fréqueuce da
it plutôt dans les encéphalopathies d'autre origine. A défaut de ce
signe
, il faut avoir recours à la bactérioscopie : 1 ex
et s'accompagna de fièvre, de gonflement du corps thyroïde, etde
signes
de compression de la trachée. L'aspect intérieur
des membres inférieurs. Les réflexes sont exagérés. On constate le
signe
de Babinski (extension du gros orteil par la pi
ns notre climat et les climats analogues, le thermomètre fournit un
signe
certain de la réalité de la mort. . V. Au poi
nt la mort s'élevait à 40-3. Revenons maintenant sur les différents
signes
présentés par noire malade. Le 30 octobre, jo
lalgie datait de quatre mois, elle avait été parfois accompagnée de
signes
d'une valeur clinique considérable : migraine o
avant les ABCÈS DU LOBE TEMPORAL DROIT DU CERVEAU. 301 L premiers
signes
de l'encéphalite et nous avons trouvé un petit
e l'évolution naturelle de la rage et leur constatation est donc un
signe
certain delà rage. En outre ce sont ces lésions
nte de l'abaissement de la température et ne s'accom- pagne d'aucun
signe
objectif d'altérations vasculaires dans la. rég
s, il s'agissait de malades chez lesquels on ne put découvrir aucun
signe
formel d'affection organique du système nerveux
de la table interne de la voûte du crâne, mais il y avait aussi dn.
signes
de carie récente, en sorte que l'on peut se deman
n ou la diminution de l'olfaction peut être considérée comme un des
signes
de la paralysie générale. Sur 22 paralytiques,
olfaction et de la gustation, la perte du goût pour le sel sont des
signes
qu'on peut trouver aussi bien au début de l'aff
ressants détails. L'au- teur ajoute que, bien entendu, l'examen des
signes
physiques pe REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 323
ont été ceux des tumeurs cérébrales en général, mais pas le moindre
signe
de localisation n'a permis de reconnaître le si
aisemblable qu'elle résulte d'un trouble de la circula- tion. Aucun
signe
ne plaide en faveur d'un néoplasme. Ce qui fait
alade a guéri en trois mois, mais la diplégie faciale persiste avec
signes
de réaction de dégénérescence. Chez le second m
ndante très nette, rapide, avec abolition des réflexes rotuliens et
signe
de Uabinski. Du côté de l'encéphale les lésions
ions minimes. Le second cas a trait à une femme présentant tous les
signes
d'une tuberculose pulmonaire avancée accompagné
la- tète. Il n'existe aucune modification du fond deToeil et aucun
signe
de lésion nucléaire. Cas fruste de sclérose en
31. Brissaud et Monod. Il s'agit d'un malade pour lequel malgré des
signes
incontestables de paralysie générale le dia- gn
e hésitant en raison de l'absence momentanée de quelques-uns de ces
signes
(signes pupillaires), les lymphocytes observés
nt en raison de l'absence momentanée de quelques-uns de ces signes (
signes
pupillaires), les lymphocytes observés dans le
à propos de ce malade insiste sur la contingence de la plupart des
signes
de la paralysie générale sauf pour l'affai- bli
te hypothèse est affirmée par l'existence chez ces mélancoliques,de
signes
physiques dont les plus importants sont les tro
ortants sont les troubles pupillaires et l'hypotension artérielle ;
signes
trouvés par l'auteur chez tous les malades exam
âgée de trente-cinq ans. qui, depuis quelque temps, présentait des
signes
d'aliénation mentale. Celle-ci. profi- tant de
il était très estimé de ses amis, donnait depuis quelque temps des
signes
d'aliénation mentale et déjà, il y a un an envi
ervations non suivies d'autopsie l'examen clinique avait révélé des
signes
d'artério- sclérose. Louis Deluas. LVII. Sur
l; J. CONA. (Ibid.) - Traumatisme remontant à dix ans ; aucun autre
signe
que l'épi- lepsie jacksonienne. Trépanation qui
ie transitoire et incomplète plutôt que permanente ; ce sont là des
signes
qui ne sont pas sans valeur pour le diagnostic.
. dont se comportent les pupilles, alors même que tous les autres
signes
de la syphilis manquent : les particularités pupi
. On n'oubliera pas non plus que la né- vrite optique double est un
signe
de réelle valeur. L'auteur entre ensuite dans q
s communément atteinte. Les modi- fications pupillaires sont un bon
signe
précoce : le myosis est la règle. Plus signific
conjonctive palpébrale, innervée par la cinquième paire est un bon
signe
de début. Enfin, dans le tabès dit amaurotique,
ent une analgésie plus ou moins marquée du testicule et du scrotum (
signe
de Pitres). On sait que le signe de Westphal (a
arquée du testicule et du scrotum (signe de Pitres). On sait que le
signe
de Westphal (abolition du réflexe du genou) est
le signe de Westphal (abolition du réflexe du genou) est souvent un
signe
très précoce et toujours un signe constant. Bea
réflexe du genou) est souvent un signe très précoce et toujours un
signe
constant. Beaucoup de troubles trophiques peuve
ne constant. Beaucoup de troubles trophiques peuvent être aussi des
signes
très précoces, depuis la chute prématurée des c
rde hérédité mentale et qui présentait depuis sa petite enfance des
signes
d'insuffisance intellectuelle et d'hémiplégie ;
accommodation ; leur inégalité et leur absence de réaction sont des
signes
de lésions profondes de dégénérescence. Le diag
volonté. Quelquefois, il est vrai, il peut se faire comprendre par
signes
ou en écrivant; mais dans la majorité tout au m
voque quelquefois à la suite des efforts chez les parturientes. Les
signes
ordinaires des fractures de côté ont naturellem
die, une manifestation de la névrose. Il y a, fait-il remarquer des
signes
morbides caractérisés par l'excès d'une fonc- t
il trouva les deux corps étroitement unis. L'enfant ne donnait plus
signe
dévie. La folle a été sauvée. (Le Bonhomme norman
, demeurant rue des Envierges, 26, donnait depuis quelque temps des
signes
non équivoques d'aliénation men- tale. Son mari
igure. Depuis ce temps, on remarqua que l'enfant ne donnait pas des
signes
d'intelligence, et les convulsions se répétaient
l'examinai et opéré, et jusqu'alors il n'avait pas donné le moindre
signe
d'intelligence. Lorsque je voulus le mettre deb
sante au point de vue clinique et social. SÉMÉIOLOGIE. Un nouveau
signe
physique spécial à l'intoxication alcoolique :
n nouveau signe physique spécial à l'intoxication alcoolique : « le
signe
de Quinquaud » ; I'ar le D I : u. <1GBR1-,
rée en ces derniers temps par notre chef de service M. Paris sur un
signe
nouveau d'alcoo- lisme propre à l'alcoolisme, e
et son opi- nion à cet égard a par conséquent une réelle valeur. Ce
signe
qu'il recherche quotidiennement a été étudié, p
de les appuyer fortement et perpendiculairement contre le fond de
SIGNE
PHYSIQUE SPÉCIAL A I,'lNT0XlCATION ALCOOLIQUE. 47
et -menait frapper vôtre paume '. » " ' . Nous avons recherché ce
signe
chez les malades de l'asile de Maréville en emp
la plupart de ceux que nous avons pu voir, ne présentaient plus de
signes
physiques d'in- toxication ; en outre nous n'av
at de mal que dans des moments sans crises, une fois seulement le
signe
de Quinquaud existait : c'était chez une ancienne
ées depuis cinq ans au moins, et ne subsistait plus chez elle aucun
signe
apparent de leur intoxication passée. > Pa
autres paralytiques anciens alcooliques se répartissaient ainsi :
SIGNE
PHYSIQUE SPÉCIAL A L'iNTOXICATION ALCOOLIQUE. 477
e. Nous nous résumerons donc en disant que nous n'avons trouvé le
signe
de Quinquaud ni chez les épileptiques, ni chez
point n'ait pas été rigoureuse, nous pouvons dire cependant que le
signe
de Quinquaud se rencontrait non seulement chez
a liberté de boire est absolue. Nous pouvons donc conclure que le
signe
de Quinquaud est vraisemblablement un phénomène
un dont l'abstinence n'est pas absolue. Il paraît de plus être un
signe
habituellement précoce puis- qu'il existe si fr
sant rapidement après le sevrage il peut être considéré comme un
signe
d'alcoolisme entretenu. Quelle en est la pathog
a confirmées dans une lettre récente. Si la valeur spécifique de ce
signe
pouvait être démontrée, on aurait au moins un m
a fois à l'alcoolisme et à la sénilité ; elle ne pré- sentait aucun
signe
physique d'alcoolisme, même pas le signe de Qui
elle ne pré- sentait aucun signe physique d'alcoolisme, même pas le
signe
de Quinquaud si précoce cependant, nous avons c
aient conséquence et non cause de l'altération de l'état mental. Le
signe
de Quinquaud pourrait être encore un élément de
s, chose que chacun nie au médecin. Il nous semble cependant que le
signe
que nous venons de décrire pourrait beaucoup ai
us souhaitons surtout que d'autres recherches viennent définir le «
signe
de Quinquaud » mieux que nous n'avons pu le fai
itiale suivie d'une diminution dans le volume du pouls; 8° Comme ce
signe
est constant, tandis que l'élévation de la temp
ougeur de la face avec irritabilité cutanée, et la malade donna des
signes
d'agitation et de mauvaise humeur. 486 REVUE
aucoup présentaient, outre la défectuosité iutellectuel'e, d'autres
signes
de dégénérescence : paralysies infantiles hémil
nt de la langue, des muscles de la face et surtout des lèvres, tous
signes
d'une lésion du cerveau. Il est très-probable q
ce de M. le Dr Briand où nous l'avons observée. Elle présentait des
signes
très nets d'hérédo-syphilis et d'infantilisme.
mplies par la malade d'une façon tout à fait niaise et absurde. Les
signes
physiques de paralysie générale consistent' en un
de 79 ans, qui à la suite d'un trau- matisme présenta les premiers
signes
(actuellement au complet) de la maladie de Uerc
malade n'ayant éprouvé que les symptômes généraux d'une tumeur sans
signes
de localisation. Spasme névropathique d'élévati
e hypothèse semblait s'adapter aux faits observés. Je ne vois aucun
signe
essentiel qui permette de séparer ce cas des au
ade atteint d'hémiplégie droite ancienne avec aphasie, l'examen des
signes
considérés en eux mêmes feraient'diagnostiquer
t AUBINE.4U (de Brest). Il s'agit de deux frères ayant présenté des
signes
se rattachant nettement à l'héredo- alaxie céré
ignes se rattachant nettement à l'héredo- alaxie cérébelleuse ; des
signes
de la maladie de luiedreiclr, et des signes se
axie cérébelleuse ; des signes de la maladie de luiedreiclr, et des
signes
se rattachant à ces deux t pes cliniques. 1111.
électrique n'a pas été faitetne donnerait vraisemblablement que les
signes
communs de la myopathie. Paralysie radiale do
e jamais. La disparition du réflexe du tendon d'Achille est même un
signe
très précoce de tabès. Il est aboli en effet ch
olique. Effets d'une lésion de i tête eliez un -, par Raw, 937. -
Signe
plnsique de l'intoxication, , par Aubry, 474.
édecin expert. Vade inecum du - , par Lacassa;·ne. 190 Méhncolie.
Signes
physiques de la - ,-par Stoddait, 52. L âge et
Le nombre des séances ne peut être limité que par l'ensemble des
signes
pathologiques à traiter. Comme pour la pendai-
et demi et pas une seule fois nous n'avons pu constater le moindre
signe
de défaillance. En · TRAITEMENT DES MALADIES NE
jambes bien qu'il n'y ait pas de paralysie proprement dite. Pas de
signe
de Romberg. Atrophie des masses musculaires des m
ucre. En présence de ces symptômes un peu vagues accompagnant les
signes
cardinaux de l'alcoolisme dont nous avons d'ail-
r M. Decroly. (Journ. de Neurologie, 1900, n° 22.) Les principaux
signes
qui ont permis. d'affirmer chez le malade 48 RE
début de l'affection d'abord d'un côté,-puis de l'autre, sans aucun
signe
de congestion ni d'hémorhagie cérébrales ; 3° l
Iconogr. de la Salyclricre, n° 4, 1900.) Dans l'absence de certains
signes
importants considérés comme caractéristiques de
inrent permanents avec strabisme en plus quand se montrèrent divers
signes
d'infection tuberculeuse. M. Bonafonte diagnost
ais augure quand il y a coïncidence d'hémiparesthésie. Le principal
signe
de migraine essentielle est la tare héréditaire
ne prouve qu'une migraine simple puisse jouer un tel rôle. 5° Le
signe
externe de l'homogénéité clinique de la migraine
l'accès arrive, le malade, en pleine conscience, ne présente aucun
signe
extérieur, il éprouve un mal de tête occipital.
l'éclat spécial des yeux, accompagné de mydriase, et les accès. Ce
signe
est surtout accusé chez les jeunes épileptiques.
p- tique et porteur de noevus. Ce malade est atteint entre autres
signes
de dégénérescence « d'une diminution du nombre et
e la scarlatine; un jury serait-il convaincu au début par de légers
signes
physiques, suffisants cependant pour le médecin ;
nt chez les fous avant l'intelligence. Les illusions ne sont pas un
signe
plus ferme. Elles sont seule- ment une marque d
complète, intéressant à la fois les nerfs sciatique et crural, avec
signe
de Kernig et abondant dépôt, après centrifugati
s objectifs de la sensibili'é, mais accompa- gnée de rachialgie, du
signe
de Kernig et du passage de lympho- cytes dans l
réaction méningée que l'on refuse à la névrite (avec rachial- gie,
signe
de Kernig et lymphocytes dans le liquide céphalo-
t l'état de la cellule de la corne anté- rieure ; 3° L'absence de
signe
permettant d'affirmer ou d'infirmer la poliomyé
teurs chez les délirants chroniques. . Du syndrome musculaire comme
signe
pronostic. M. DuFOUR communique l'observation d
e par certains malades dans le décubitus dorsal, il y a plus que le
signe
de Kernig et plus qu'un trouble synergique céré-
Weitzfelder, Bidan, Rondel, Benedikt et Tripier. Amélioration du
signe
de Romberg : M. Clark, Eulenburg, Mendel, Rosen
xe rotulien : Erb, Althaus, Bonjour et Re- nault. Suppression -du
signe
. d'Argyl-Robertson : Motchout- kowski. - - Ai
oration notable des troubles moteurs, des douleurs fulgurantes,' du
signe
de Romberg, etc. En somme sur 10 cas nous obten
e. Il y a trois ans le malade sentait son genou gauche se fléchir :
signe
de Romberg, signe d'Argyl-Itobertson, signe de
s le malade sentait son genou gauche se fléchir : signe de Romberg,
signe
d'Argyl-Itobertson, signe de Westphal en plein
u gauche se fléchir : signe de Romberg, signe d'Argyl-Itobertson,
signe
de Westphal en plein développement. ' TRAITEMEN
is par semaine. Le 2 avril 1901. Marche améliorée : amélioration du
signe
de Ilomberg. Le 18 juin 1901. Malgré le temps
as revenir les réflexes rotuliens. Les douleurs fulgurantes et le
signe
de Romberg sont les deux symptômes qui bénéfici
is présenté de. l'incoordination. Présente, cependant, nettement le
signe
de Westphal, la perte des réflexes achilliens, et
gne de Westphal, la perte des réflexes achilliens, et légèrement le
signe
de Romberg et le signe d'Argyl-Robertson. 124 i
te des réflexes achilliens, et légèrement le signe de Romberg et le
signe
d'Argyl-Robertson. 124 ik " THÉRAPEUTIQUE. N'
e ressente plus ses douleurs pendant trois règles successives. Le
signe
de Romberg est celui qui profite aussi de la susp
ataxiquesenamé- TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 12o liorantle
signe
de Romberg et l'incoordination. Nous savons mai
axie plus vite et parfois la fait passer presque inaperçue. Pour le
signe
de Romberg l'action de la suspension est aussi
utes. Chez le malade de la première observation citée plus haut, le
signe
de Romberg s'est atténué à tel point, que le ma
istique du professeur Motchoutkowsky montre . que l'amélioration du
signe
de Romberg est moins fréquente que l'améliorati
éliorations de l'incoordi- nation et seulement 155 améliorations du
signe
de Romberg. Ce désavantage pour le signe de Rom
ement 155 améliorations du signe de Romberg. Ce désavantage pour le
signe
de Romberg résulte, comme il nous semble, de ce
difficile d'indiquer la limite - exacte entre la disparition de ce
signe
et celle de son exis- tence. Parmi les autres
ent tranchant à la partie supérieure et latérale gauche du cou. Les
signes
étant allés s'atténuant pro- gressivement, on n
900, p. 501-50G.) , L'idée inspirant ce travail était de trouver un
signe
aidant à la diagnose des premières périodes de
re, et les grands cylindraxes sont de couleur rouge-brun : c'est un
signe
que les petits cylindraxes et les fins cordons co
upart des cas frustes ou légers diagnostiqués aujourd'hui grâce aux
signes
actuellement connus ne pouvaient pas être dépis
pas être dépistés il y a quelques années, alors par exemple que le
signe
de Robertson échappait à Duchenne lui-même. Il
oi qu'on fasse. Un homme mort d'un sar- come et qui n'avait que des
signes
très légers de tabès depuis vingt-cinq ans mont
et, dit que depuis vingt ans nous connaissons la valeur de tous les
signes
et que si depuis lors nous voyons des tabès plu
tuellement le malade a repris son travail et ne présente plus aucun
signe
ni inconvénient. Seul le ton de la voix a un pe
ala méningite cérébro-spinale ont été constatés, sauf un seul : le
signe
de Kernig. L'affection, tout en débutant d'une
t aisément reconstituer le drame. Sylvain Pourbaix, qui donnait des
signes
de dérangements cérébraux et avait, en outre, d
2° par une crainte de rougir qui peut à certains moments offrir les
signes
de l'obsession. Je ne peux préciser la date de so
oit ? 'La plante des pieds est libre, les fourmis ont passé. ' Le
signe
+ signifie : sentez thivantagu. , 204 RECUEIL D
s). Dans quelle mesure le paludisme a-t-il provoqué l'explosion des
signes
paralytiques. Bien que le rapport semble éviden
'épuisement de la lactation. Les 218 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
signes
cliniques sont ceux du délire aigu pouvant s'amen
E DE PATHOLOGIE MKNTRLE. raie progressive ; 2° il n'est pas un seul
signe
diagnostique tiré des troubles moteurs qui puis
aralysie générale ne se peut établir que par la réunion de tous les
signes
tant moteurs que psychiques, qui, dans la plupa
utanés avec perte d'une narine, ces trois sujets présen- taient des
signes
de tabes sans être des tabétiques, comme l'auto
e ans, porteur d'un vitiligo du tronc avec très vieille syphilis et
signe
d'Argyll, mais non tabétique. De tels malades s
le nom d'hypotonie généralisée'. Névrite motrice généralisée avec
signe
de Babinski., M. Lortat-Jacob rapporte un cas d
ki., M. Lortat-Jacob rapporte un cas de névrite périphérique avec
signe
de Babinski. M. Crocq admet d'ailleurs la présenc
evers, rue du Docteur-Roche, qui donnait depuis quelque temps des
signes
d'aliénation mentale, s'est dérobé hier soir à la
ffaire de Margueritte, qui, comme on le sait, semble manifester des
signes
d'hallucination ce qui provoqua la dési- gnatio
t à la suite de l'emploi du sulfonal... Elle n'est d'ailleurs qu'un
signe
de peu de valeur pour le diagnostic ou le prono
e a permis de constater la- névrite qui ne se manifestait par aucun
signe
subjectif. Etude minutieuse de ces observations
vident que la névrite multiple est seule en jeu. 11 n'existe pas de
signes
de lésions de la moelle, sauf dans l'observatio
roduit une névrorétinite stasique progressive, de la titubation, le
signe
de Romberg, du ralentissement du pouls, une som
5.) L'inégalité pupillaire, considérée pendant longtemps comme un
signe
très important dans les affections mentales, n'a
, qui peut précéder de dix ans le début de la maladie. Souvent à ce
signe
sont associées des modifications du réflexe du
née, montrent les variations notables - de l'orifice pupillaire. Ce
signe
précède parfois le début de la ' maladie. On pe
e, la perte des réflexes pupillaires est rare. Sur 9.160 aliénés ce
signe
n'a été trouvé que 1.G39 fois, soit : REVUE D'A
laires sont beau- coup plus fréquents chez les sujets présentant le
signe
de Westphal. La perte des réflexes pupillaires
t paraissant guérie. En même temps qu'apparais- saient les premiers
signes
de la paralysie générale, ce malade faisait; au
e faisait en flexion et il était intact. Pourquoi cette absence du.
signe
de Babinski dans un cas aussi net ? J. 13,\J3
on avec mes idées sur le phénomène des orteils. J'ai soutenu que ce
signe
est caractéristique d'une pertur- bation du sys
Souques présente un homme de soixante-neuf ans porteur de de trois
signes
: parésie de la corde vocale gauche, myosis avec
e bonne foi la syphi- lis, cet homme est un syphilitique avéré. Son
signe
d'Argyll dure depuis dix ans; il peut-être cons
un candidat perpé- tuel au Tabes auquel il ne parviendra jamais. Le
signe
d'Argyll est SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 un symptô
vitiligo dans leur service. Ils en ont trouvé six. Deux n'ont aucun
signe
pouvant se rattacher au tabes. Un présente'de la
sociétés savantes. Des rapports de l'irrégularité pupillaire et du
signe
d'A 1'[fyt Ilobe1'toon. 1L11. Joffroy et Scii
qui est pathologique. , La déformation pupillaire est le premier
signe
en date des troubles indiquant l'altération de
ède l'affaiblissement de l'un ou de deux réflexes pupillaires et le
signe
d'Argyll. ' \111. ,Iorrnoo et Sciirameck ont pu
u voir plusieurs fois se développer peu à peu et progressivement le
signe
d'Argyll chez des paraly- tiques généraux où l'
flexes pupillaires sont encore intacts, être ' · considéré comme un
signe
probable de tabes, de paralysie géné- rale, de
e syphilis, et que sa valeur séméiologique est la même que celle du
signe
d'Argyll licberlson dont elle marque le début.
on que nous avons soutenue, M. Charpentier et moi, il savoir que le
signe
de liôbertson parait dénoter la syphilis; les f
es diverses statistiques qui ont été publiées, reconnaissent que le
signe
d'Argyll, ainsi que les affections dont je viens
bétique, un paralytique général ou un sujet présentant seulement le
signe
de llobertson. . M. Joffroy. Mais, si l'on ne
ni albumine. La sensibilité est normale. Pas de paralysie, aucun
signe
de rachitisme. Aucun sligmate de syphilis. - Ce
jardin, il écrivait correcte^ ment de la main gauche. Il n'a aucun
signe
de dégénérescence; sa taille est de 1 m60 1.
der à son internement. Il présentait lors de son admission tous les
signes
de la paralysie générale progressive à forme ly
ongestion cérébrale » et depuis cette époque, aurait donné quelques
signes
d'aliénation mentale. Ce n'est toutefois que si
il n'existe plus, et n'a donc pas besoin de manger. Bien que les
signes
physiques manquassent à cette époque, le diagnost
générale fut posé. Ce diagnostic ne tarda pas a être confirmé; les
signes
physiques de la paralysie générale apparurent.
sa maladie se présenta tout à coup, peu de jours avant, sans aucun
signe
de troubles cérébraux. Exploré par moi, il avai
exagérée. Il s'agit d'un individu frêle chez lequel on constate des
signes
d'infantilisme : quoiqu'il n'ait jamais eu de dés
forme fruste. P. KERAVAL. . LXXI. Encore quelques mots sur les
signes
objectifs de l'hyperes- thésie et de l'anesthés
une recherche attentive permet la plupart du temps de découvrir un
signe
objectif de l'hyperesthésie et de l'anesthésie,
lieu quand on agit sur les régions insensibles. Mais l'absence du
signe
de Mankopf ne doit nullement sans façon être cons
animaux (on a réséqué le sciatique à plus de 100) présentèrent les
signes
accentués de l'épilepsie. Or il y a dix ans, su
endineux patellaires et podaliques allant jusqu'au clo- nisme, sans
signes
de dégénérescence des voies conductrices. Paral
e la sensibilité au tronc ni sur les extrémités : s'il n'y a pas de
signes
d'une lésion des racines postérieures et des nerf
a syphilis du système nerveux indé- pendamment des commémoratifs.
Signes
directs : La sypliilis étant une maladie générale
res, le diagnostic peut être difficile : on le fera surtout par les
signes
généraux et par le traitement : 9° Syringe- myé
x ; reins et coeur sains. Après une petite opération (hémorroïdes),
signes
de dépres- sion et crainte de la mort, bien que
s de paralysie spinale syphilitique ou de myélite trans- verse. Les
signes
diagnostiques sont tellement caractéristiques q
'hyperesthésie; mais quand elle existe, elle constitue néanmoins un
signe
de grande valeur : elle succède généralement à
mplique pour être valable, libre consentement de la personne qui le
signe
, et par conséquent ' nullité de tout engagement
E LEGALE. 405 stigmates, à la relation qui parait exister entre les
signes
phy- siques et l'état mental. 0 SmoN. XVI. Mo
dans les maisons de correction, lorsque ces sujets ont présenté des
signes
d'aliénation mentale ou des états d'excitation
n type à part. Le criminel juvénile, en un mot, n'est pas pourvu de
signes
vérita- blement distinctifs qui le rendraient i
t. Elle n'ap- prend plus rien. Au demeurant, elle ne présente aucun
signe
somatique, susceptible d'éveiller le soupçon d'
écédentes de rhumatisme articulaire aigu, elle ne présente pas de
signes
appréciables d'une lésion organique du coeur. Je
on entrée dans le service. On ne constate pas, chez lui, le moindre
signe
révélateur d'une démence paralytique ou d'un ra
ou du pul- vinar. 4 Laissez-moi vous rappeler en quoi consiste ce
signe
: Quand on approche des yeux une source de lumi
pilles se contractent aussitôt, dans les circonstances normales. Le
signe
de Wernicke consiste en ce que cette réaction p
es par les efforts d'accommodation, continuent de se manifester. Le
signe
de Wernicke n'est donc pas autre chose que le s
manifester. Le signe de Wernicke n'est donc pas autre chose que le
signe
d'Argyll, avec cette différence : il se manifes
rice dans les membres (compression des pédoncules cérébraux), c'est
signe
que les deux bandelettes optiques, ou l'une d'e
de la cécité cor- ticale. Toujours, à ce que l'on a prétendu, le
signe
de Werniqke (réaction pupillaire hémianopsique)
de constater la réac- lion pupillaire hémianopsique ; toutefois, ce
signe
manque souvent. 3° L'hémianopsie symptomatiqu
ante-trois ans. Accidents neuro-pathologiques chez les collatéraux.
Signes
physiques de dégénérescence. Rien autre à noter
aralysie générale tandis qu'apparaissent chez la femme les premiers
signes
d'un tabes préparalytique. - , Mais la syphilis
nts et de douleurs périphériques. Actuellement il présente tous les
signes
physiques de la para- lysie générale : visage s
très malade lors de son retour, elle présente actuellement tous les
signes
de la paralysie générale progressive, arrivée à
de suicide, il est à demi stupide ; on ne constate pas chez lui les
signes
physiques de la paralysie générale. 11 n'en est
amais ce que j'ai fait ! » En décembre 1896, elle présente tous les
signes
physiques et psychiques d'une paralysie générale
rnement. Affaiblissement considérable des facultés intellectuelles,
signes
physiques de plus en plus marqués. Gâtisme. Cac
nnue, il eut une congestion céré- brale ; depuis lors, il donne des
signes
d'aliénation mentale, cet état s'est aggravé ce
jambes, rien ne va plus. Paralysie générale probable, bien que les
signes
physiques fassent défaut. Ces derniers ne tardère
V. Rappelons enfin que dans l'observation I la femme présenta des
signes
de tabes plusieurs années avant de faire de la pa
opération, la malade se porta bien. Le lendemain, elle présenta des
signes
d'inquiétude, pleura toute la journée, ayant peur
eut être attribué à l'atropine, puisque la malade ne présenta aucun
signe
d'intoxication par cette substance. La malade p
un signe d'intoxication par cette substance. La malade présenta des
signes
de dégénération et par conséquent offrit un ter
ur demeure conservée; 9° le rétrécissement du champ visuel est le
signe
le plus précoce, le plus sûr. le plus caractérist
récisse- ment du champ visuel chez les paralytiques généraux est le
signe
d'une atrophie commençante du nerf oplique; 10°
emblement des mains et de la langue, l'exagération des réflexes, le
signe
de Romberg peu accusé. Il parait y avoir eu une
gie de la jambe droite, exagération de tous les réflexes tendineux,
signe
de Babinski. Le seul faisceau nettement dégénér
était le faisceau allant du noyau rouge à l'olive cérébelleuse. Les
signes
dominants étaient donc franchement cérébelleux
-dire un retour à l'état normal chez des malades ayant présenté des
signes
caractéristiques du tabes, mais, à l'appui de s
ésentent un malade, ouvrier en peaux de lapins, atteint de tous les
signes
de l'hydrargyrisme chronique avec le tremblemen
t donc bien directement organique. M. Ballet. S'il constituait un
signe
d'hystérie toxique, cette dernière trancherait
té organique liée à des lésions de l'oreille ; il peut être le seul
signe
objectif permettant d'établir le diagnostic et
ades ont à leur disposition, lequel diminue rapidement. C'est là un
signe
d'une grande importance, au point de vue du dia
des sentiments de famille. Cette indiffé- rence émotionnelle est un
signe
important au point de vue du dia- gnostic préco
distinguer dans les formes cliniques les symptômes essentiels des
signes
accessoires. Il est des symptômes que l'on trouve
ignification pour le diagnostic. Bien plus importants sont d'autres
signes
tels que la fuite des idées, l'orientation, la
LL lODE5 ! PSO ? Des rapports de I'irlé,,ulitt,ité pupillaire et du
signe
d' -, par Jotfroy et Schrameek, 332. All1lE
soixante-seize ans, par Faiez, 162. d'angoisse, par de Buck. 231.
Signes
objectifs de l'hyperesthésie et de l'aneathé-
ière, nous avons cru mieux servir la science en cherchant surtout les
signes
diagnostiques physiques et facilement appréciable
x malades de prévoir le moment où elles vont tomber en attaque. Ces
signes
précurseurs sont nombreux et variés ; ils trahiss
s sont précédées d'une période prodromique marquée par la plupart des
signes
sur lesquels nous insisterons plus loin. Gen... c
tion de son regard. Elle semble écouter, faisant de temps à autre des
signes
d'intelligence. Puis elle cherche à fuir sans mot
de même. Nous retrouverons la tympanite et les borborygmes parmi les
signes
de l'attaque elle-même. 1. Briquet, Traité de l
ait intéressant à plus d'un titre et dans lequel l'attaque avait pour
signe
précurseur une sensation de froid et une décolora
rs alternait avec des attaques épileptiformes. Celles-ci avaient pour
signes
précurseurs une sensation subjective de froid et
avec sensation d'engourdissement dans les doigts et les orteils. Ces
signes
indiquaient toujours infailliblement l'approche d
lité qui gagnait progressivement de la périphérie au centre, était un
signe
certain du retour prochain de la connaissance. Ta
urs de ventre très vives, dans la région de l'ovaire gauche, puis les
signes
ordinaires de l'aura hystérique, qui reviennent,
e attaque, et plusieurs jours à l'avance se mêlent parfois aux autres
signes
prodromiques. 3 juillet 1878. — Gen... est sous
douloureux, qui constituent à proprement parler Y aura hysterica. Les
signes
prodromiques dont il a été question jusqu'ici, pe
dont il a été déjà question, L. Gl... Gl... est tourmentée par les
signes
prùdromiques de l'attaque pendant environ cinq jo
ine commencée. Lorsque l'attaque doit suivre, en même temps que les
signes
de l'aura se produisent, Gl... sent sa langue s'i
viens! viens! » Elle appelle d'une façon, plus pressante en faisant
signe
avec le doigt. En même temps elle montre une plac
bjet d'une mystification. Nous sommes heureusement en possession de
signes
certains qui mettent l'observateur à l'abri de
Pour terminer, je résumerai en quelques propositions, les prin-cipaux
signes
distinctifs de cet état nerveux particulier qui c
res personna-ges : « Ah ! il est venu au cours!... Je lui faisais des
signes
avec mon mou-choir. On croyait que c'était à M. X
moment où finissent ses attaques, Gl..., écoute la musique, elle fait
signe
du doigt. C'est la musique des militaires rouges.
st dans une sorte de rage de ne pouvoir entendre ni parler. Elle fait
signe
qu'elle souffre beaucoup dans l'épaule droite.
signalées par tous les auteurs. Pour Sydenham, l'urine claire est un
signe
pathognomo-nique de l'hystérie. Mathieu parle d
1er février 1878. — Marc..., pendant que nous la questionnons sur les
signes
prodromiques qu'elle ressent depuis le matin, tom
défait, ne tarde pas à reprendre sa colora-tion habituelle, et aucun
signe
sur la physionomie ne trahit la gra-vité des acci
là-bas, faut lui mettre de l'eau (A part.) il ne bouge pas. Faites un
signe
si vous entendez, êtes-vous sourd : Il faut lui d
endez, êtes-vous sourd : Il faut lui donner de l'eau. » Elle fait des
signes
avec la main, regardant en bas, penchée sur le bo
; d'autres fois elle manifeste un contentement qui se traduit par des
signes
non équivoques. Elle demeure parfois comme en ext
VI. — 11 h. 19. Cette nouvelle attaque commence par une phase où les
signes
épileptoïdes sont un peu plus accusés que nous ne
sie à crises combinées », dont la malade présente d'ailleurs d'autres
signes
importants. Elle est hémianesthésique à gauche et
de nouveau en haut ; geste de défi. Elle se mord les doigts; fait un
signe
avec la main comme pour éloigner. III —a). Tout
r quelqu'un;—vision plus gaie en haut et à gauche, elle fait quelques
signes
de dénégation. —Elle regarde à gauche dans son li
. Je ne t'aime pas, du reste; non je ne t'aime pas... » Elle fait des
signes
de tête et son regard est dirigé en haut et à dro
ngle ne mo-difie en rien l'attitude cataleptique et ne provoque aucun
signe
de sensation. Les paupières clignent quand on tou
Nous retrouvons là l'écume à la bouche au début de l'attaque comme
signe
épileptoïde, puis, comme dans l'observation précé
). Mlle Anne F..., âgée alors de onze ans, présenta dans la suite les
signes
les plus variés de la grande hystérie : contractu
Lepère, une jeune fille qui présentait à un haut degré la plupart des
signes
de la grande hystérie et dont les attaques ont of
dre de succession des différents phénomènes est toujours le même. Les
signes
prodro-miques de l'accès sont si conformes à ceux
s extravagants. Ainsi, la jeune fille se met à son balcon et fait des
signes
inconvenants aux passants (hommes et surtout jeun
sonne ne répondait point aux questions adressées, et ne donnait aucun
signe
de connaissance; ses bras se raidissaient avec co
d'une constitution faible; elle tousse fréquemment, sans présenter de
signes
de tuberculisation à l'auscultation. Elle louche
idents hystériques, puis les épileptiques. On trouve ici réunis les
signes
de la période épileptoïde et de la période de clo
ng déjà, elle a reconnu les personnes qui l'entourent, ré-pondant par
signes
de tête aux questions qu'on lui adresse, et cepen
iration; elle fait des efforts pour retirer votre main, et répond par
signes
à vos questions. Puis, on la voit prendre une ou
les divers phénomènes de l'aura hysterica; dans le second degré, des
signes
épileptoïdes évidents, puis l'indication des cont
ille1 s'applique à exclure de la symptomatologie de l'hys-térie, tout
signe
épileptique. « Je ne crois pas, avec beaucoup d
ent l'essence même de l'hysté-rie, des difficultés que la plupart des
signes
différentiels tracés plus haut ne peuvent toujour
rcé aurait de la peine à se reconnaître. Nous parlerons ail-leurs des
signes
précurseurs ou prodromes d'une crise ou accès par
les entend, nous avons vu, dans les descriptions des auteurs, que les
signes
épileptoïdes, aussi bien que les hallucinations e
ravité apparente des accidents pourrait en imposer au médecin, si des
signes
diagnos-tiques certains, dont nous parlerons dans
effet, un observateur expérimenté pourra le plus souvent, à quelcpjes
signes
qui pour RICllER 19 tout autre se perdent dan
paupières, ou de la contracture générale ou partielle, sont autant de
signes
en faveur de l'hystérie. Entre deux accès, on v
tiquer la compression ova-rienne avec certitude de succès ^ Mais le
signe
diagnostic le plus important entre l'état de mal
. Si l'on se souvient de ce que nous avons dit plus haut au sujet des
signes
différentiels des attitudes tétaniques de la prem
e que l'auteur a jomte à sa description. Sur ce dessin on remarque un
signe
d'apparence tout épilcptiquc et que nous avons dé
et que nous avons déjà relevé sm^ le soldat de Ch. Bell (fig. 38). Ce
signe
consiste dans la situation des membres inférieurs
ques la commotion épileptoïde. Mais pai^fois il s'y ajoute quelques
signes
plus particulièrement hystériques, comme quelques
mencé. Pendant ces intervalles de repos relatif, elle fait quelques
signes
de tète, émet quelques sons inarticulés ((ui peuv
[lertlu connaissance. Lorsque je demande le chloroforme elle fait des
signes
non douteux de mécontentements, et elle résiste a
age, les mouvements désordonnés que j'ai décrits éga-lement parmi les
signes
de cette même seconde période. Prenez en outre to
OLENCE DES «GRANDS MOUVEMENTS» ADelaliaye et E,Lecrosnier, légers
signes
de tète, quelques mouvements des lèvres, semblaie
de treize ans, pour la première fois (mai 1838), elle donna quel-ques
signes
d'hallucinations; entre autres, elle revint un jo
'hospice. Elle est dans un état de faiblesse extrême. On constate les
signes
d'un état chlorotique très accusé. Mais, sous r
nous ont été donnés, cette jeune fille n'avait jamais présenté aucun
signe
d'aliénation mentale. Elle était laborieuse, inte
s travaux des champs. Sa sauté a été relativement bonne. Vers 16 ans,
signes
d'hystérie. Plus tard hallucinations nocturnes te
c Toi qui aimes tant la fille ! (Allusion à son père) » L... fait des
signes
de la tête, air de mépris : « De quoi?... Tu es u
p. 182. éclats de tonnerre, et pour la première fois donne quelques
signes
de trouble intellectuel. On lui applique des sina
t guère qu'un peu avant la période d'agitation: ils en sont comme les
signes
avant-coureurs, et par leur degré d'intensité on
rtante, mais qui, dans ses pre-mières années, avait présenté quelques
signes
d'hystérie. En outre des antécédents hystériques,
gorge, saignement du nez, douleur fixe dans le côté abdominal gauche,
signes
d'in-flammafion localisée, s'étendant rapidement
ière, nous avons cru mieux servir la science en cherchant surtout les
signes
diagnostiques physiques et facilement appréciable
xpériences faites en 4878, nous nous attachâmes surtout à étudier les
signes
pliysiques ou somatiques qui pouvaient caractéris
lade avec le monde extérieur semble interdite, et elle ne donne aucun
signe
d'intelligence aux diverses interpellations qu'on
ompagnée de quelques mouvements bruyants de déglutition. Ces derniers
signes
et la chute en arrière rappellent, jusqu'à un cer
e plus souvent dans la résolution la plus absolue. A ces différents
signes
se joignent, pour caractériser la léthargie hysté
er les paupières de la malade léthargique pour faire revenir tous les
signes
de l'état cataleptique. Dans ce cas la catalepsie
l avait été progressive, sans la moindre secousse, sans le plus petit
signe
épileptoïde. On examine alors l'état de la contra
en haut, l'expression devient riante, et l'on y voit quelquefois les
signes
d'une hallucination gaie; lorsqu'au con-traire le
ême façon, à la manière d'une machine et sans manifester le moindre
signe
de mécontentement. Fait singulier, si l'on vient
'état de léthargie provoquée parla fixité du regard présente tous les
signes
de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. La sensi
re, et le nouvel état nerveux ainsi produit se révèle par de nouveaux
signes
. L'état des sens demeure le même que précédemment
nt de hre. L'hyperexcitabilité musculaire, qui est également un des
signes
de la léthargie hystérique, n'existe pas ici. Il
est le phénomène de la suggestion (Obs. 1,1'" série). Tels sont les
signes
de cet état qui nous paraît présenter les ca-ract
les auteurs ont toujours confondu avec le premier. Nous donnerons les
signes
différentiels de ces deux états, qui, tout en pré
citabilité musculaire. Je fais de l'hyperexcitabilité musculaire un
signe
obligé de cette variété de sommeil, pour le disti
rra au paragraphe suivant que si ces deux états de somniation ont des
signes
communs, ils diltèrent assez dans leur mode de pr
sommeil hypnotique et le second au sommeil dit magnétique. Parmi les
signes
qui peuvent servir à les différencier, l'hyperexc
ste pas seulementdaiis cciii- seule modification musculaire, d'autres
signes
y sont également, comme on peut le voir par ce qu
faible et répétée, le début passe inaperçu et n'est marqué par aucun
signe
extérieur. 2° Même insensibilité à la douleur d
s paupières se ferment, elle dort. Il ne s'est pas produit le moindre
signe
épileptoïde. Réveillée une deuxième fois par le
oquée, la malade, au moment où survient le sommeil, présente quelques
signes
épilep-toïdes, inspiration sifflante, mouvement d
plume brûlée, ni ammoniaque, ni piqûres, ne purent nous donner aucun
signe
de sensibilité : le galvanisme fut employé sans q
ellement précédée de phénomènes convulsii^, tantôt réduits à quelques
signes
épileptoïdes, tantôt plus étendus. Ce sei\ait don
rdinairement toniques dans la face et dans les membres; il existe des
signes
manifestes de congestion céré-brale, qui sont ren
usculaire, la durée de l'accès, son retour périodique, sont autant de
signes
en faveur de cette dernière opinion. Voici la r
le. Enfin, les frictions amènent la résolution musculaire. Tous ces
signes
éloignent l'idée de véritable catalepsie, et plai
me. L'attaque était précédée d'aura céphalique et s'accompagnait de
signes
épileptoïdes et d'arc de cercle. Bourdin dans s
talepsie, Archives cjén. de médecine, 1857; 5° série, t. X, p. 206.
signes
cataleptiques, sans que pour cela il soit nécessa
qui, d'autre part, a des attaques convulsives ou simple-ment d'autres
signes
d'hystérie. a) LA CATALErSIE COMPLIQUE LES ATTI
mpassible; à l'oreille droite, au contraire, elle fait de très légers
signes
d'intelligence qui indiquent que la connaissance
persiste à un certain degré. « Entendez-vous? » — Elle fait un léger
signe
affirmatif. « Pouvez-vous remuer? » — Léger signe
Elle fait un léger signe affirmatif. « Pouvez-vous remuer? » — Léger
signe
négatif. « Soulfrez-vous? » — Léger signe affir
uvez-vous remuer? » — Léger signe négatif. « Soulfrez-vous? » — Léger
signe
affirmatif. « Où souffrez-vous? » — Elle abaiss
vez-vous où sont vos jambes? » — Elle élève légèrement les épaules en
signe
de doute. L'oc-clusion des yeux ne modifie en rie
nt voici les caractères : Que les yeux soient ouverts ou fermés les
signes
ne changent pas. 11 existe un état cataleptique
tout ce temps, lejouretla nuit, sans parler et sans donner le moindre
signe
de vie. Elle mangeait très 1. Brierre de Boismo
analogues à ceux de la grande at-taque est marqué à son début par des
signes
épileptoïdes. « En général, dit M. Briquet, apr
t plus ou moins profondément. » Nous voyons, dans d'autres cas, les
signes
de la grande attaque acquérir une plus grande imp
des aiguilles dans les bras et les jambes, sans qu'elle donnât aucun
signe
de douleur; il n'y avait que le pouls qui, en con
isait un cercle sur sa tête comme si on eût dû la couronner. Tous ces
signes
faisaient dire au peuple que c'était une sainte,
i. Bien que la malade qui en fait le sujet n'ai pas présenté d'autres
signes
d'hystérie (du moins il n'en est pas parlé), les
eu, on lui criait même aux oreilles qu'elle gagnerait son procès; nul
signe
de vie. C'était une catalepsie parfaite. M. Att
mpirer depuis deux années consécutives, et dont le terme, d'après les
signes
antérieurs, paraissait plutôt éloigné, qu'immédia
ptiques et qu'il sur-vient toujours au milieu de la veille; autant de
signes
qui le rap-prochent du somnambulisme hystérique.
d'une autre névrose (hystérie ou épi-lepsie, par exemple), aux autres
signes
de laquelle il se trouve plus ou moins mêlé. He
qui, d'autre part, a des attaques convulsives ou sim-plement d'autres
signes
d'hystérie. a) le somnambulisme apparait mêlé a
demeure immobile. Me substi-tuant alors à mon confrère, qui m'a fait
signe
de prendre sa place, je répète sa mimique; innnéd
ez Arman-dine H... dans le cours de l'accès. Souvent elle donnait des
signes
de terreur ou de joie, sa figure exprimait la sou
E QUI d'AUTRE PART A DES ATTAQUES CONVUL-SIVES OU SIMPLEMENT d'AUTRES
SIGNES
d'hYSTÉRIE. Presque toutes les malades dont les
sceptibilité nerveuse, il tressaute au moindre bruit, en don-nant des
signes
de frayeur. Afin d'obtenir un effet très rapide
rare-ment gênés. Beaucoup sont anesthésiques sans le savoir. C'est un
signe
qui demande à être cherché et sur lequel les prem
el à celui des variétés cliniques. En s'appuyant sur l'ensemble des
signes
qui servent à caracté- 1. Recherches sur la con
eule malade qui ne présentât, sinon l'ensemble, au moins certains des
signes
les plus caractérisés de l'état de contrac-ture;
signes les plus caractérisés de l'état de contrac-ture; et parmi ces
signes
les plus précieux sont ceux que nous avons déjà s
ravant signalé à l'attention des cliniciens par M. Char-cot. Ces deux
signes
ont une même signification, mais sont d'une inéga
e vulgaire, et nous sommes arrivés à cette conclusion que, malgré des
signes
d'apparence épileptique, il n'y avait pas lieu de
tement de l'épilepsie véritable. Je ne rappellerai pas ici tous les
signes
sur lesquels insistent avec raison la généralité
elques-uns de ses symptômes, et je vais exposer ici som-mairement les
signes
diagnostiques sur lesquels se base la dis-tinctio
,. voyant une harpe dans la chambre d'une malade qui ne donnait aucun
signe
de vie, conçut l'idée de faire venir quel-qu'un q
ce ou pour mieux dire par induction et se charge d'une électricité de
signe
contraire k celle du patient. La forme aiguë de l
nues on trouverait facilement dans quels cas ces actions sont de même
signe
et dans quels cas de signe contraire Ce serait
nt dans quels cas ces actions sont de même signe et dans quels cas de
signe
contraire Ce serait sortir de notre sujet que d
marche déterminée ; dans ce cas l'action éesthésiogénique est de même
signe
des deux côtés du corps. 2" AnestJiésie général
remplacées par des plaques sensibles. Là encore l'action est de même
signe
des deux côtés du corps, mais de signes différent
Là encore l'action est de même signe des deux côtés du corps, mais de
signes
différents que dans l'expérience précédente. En u
que dans le n" 1 avec cette différence que l'action n'est pas de mêni
signe
dans les deux côtés du corps. Ainsi aux plaques d
tant que donnent les premières séances dans l'anesthésie totale. de
signe
différent des deux côtés du corps. Seulement ici
ndice certain d'attaque très prochaine et souvent, c'est le seul, les
signes
prémonitoires familiers à la malade n'ayant pas e
possibilité de produire l'anesthésie par les sesthésiogènes, comme un
signe
diagnostic précieux de l'hystérie dans les cas do
isaient des ecchymoses, des mor-sures, et tout cela sans donner aucun
signe
de douleur. L'une d'entre elles, Anne Langon, q
s historiques qui s'y trouvèrent mêlés. La trame est la même. Des
signes
de possession démoniaque apparaissent dans un cou
enre de celles de notre malade Gen... et devient par cela même un des
signes
les plus intéressants de l'affection nerveuse don
rasser d'elle en la faisant enfermer à La Salpêtrière et que tous les
signes
que nous avions constatés chez elle, les attaques
le P. Surin ressentir les atteintes du démon. C'était là les premiers
signes
d'une affection mentale à laquelle le malheureux
mis en croix... ^ » Plusieurs malades présentaient par instants les
signes
de l'extase et de la cata-lepsie. On lit dans l'o
pour Béhémot et qui fut pris pour lui, de se prosterner en terre avec
signe
de révérence et de sujétion, pour honorer l'enfan
es écrits des auteurs du temps un certain nombre de 1. Les premiers
signes
de possession se déclarèrent enlGl2 parmi les rel
sait, un jeune homme parut tout nu dans notre cellule. Je faisais des
signes
de croix, je disais : Verbum, caro /ac-^Mm esi, j
e, l'habitude, touché le pouls et pris garde soigneusement à tous les
signes
qui servent à reconnaître la santé et les maladie
un jugement certain qu'ils ne reconnaissaient en aucune d'elles aucun
signe
d'indisposition naturelle pour légère et peu cons
it-on voir là l'action de l'attouchcmeiit d'un point liystérogène ?
signes
qu'ils y purent remarquer, qu'il n'y avait en ell
Dieu de laisser â la fille l'ouïe hbre... et qu'ehe leur en donnât un
signe
en leur serrant la main. H fut donc forcé d'obéir
ent faire pour elle. Elle donc consentit aussitôt et leur en donna le
signe
en leur serrant la main, et à l'instant le démon
l'histoire de ces premières malades, il est facile de reconnaître les
signes
de la grande hystérie. Perronne T..., âgée de d
e malade, jeune fdle de vingt-six ans, présentait depuis huit ans des
signes
d'hystérie : boule, gastralgie, etc., auxquels se
elle est placée sur le marbre même du tombeau on peut retrouver les
signes
des deux premières périodes de l'attaque de grand
ombeau sans aucun soula-gement sensible pour la première fois. Je fis
signe
qu'on me transportât dans fé-glise. Dès que j'y f
ommence à leur porter de légers coups, et continue ,à donner tous les
signes
d'une exaltation cérébrale alarmante. On se déc
ntin... Vers le milieu du jour, la veuve Thévenet présenta tous les
signes
de l'extase; pendant ce nouvel état, elle récite
es de ses livres pieux. Vers les cinq heures du matin, elle donna des
signes
de frayeur, se fit asperger d'eau bénite, et épro
ant, dit Calmeil, plusieurs inspirés improvisaient sans présenter les
signes
du raptus extatique; l'explosion d'une simple cri
rsant la tête en bas, les jambes en l'air, et en donnant mille autres
signes
d'indécence en présence non seulement des personn
ide comme celui d'un mort, qui pendant ce temps-là ne donnaient aucun
signe
de vie qu'une respiration très faible et presque
nvulsionnaires de Saint-Médard, qui pour la plupart présen-taient les
signes
de l'hystérie la mieux confirmée, je mettrai en v
lui donne du vinaigre avec des cendres, qu'elle avale après bien des
signes
de croix. A dix heures trente-cinq minutes, on
tads. Quelques-uns éprouvaient bien un peu d'indisposiUon pendant les
signes
précur-seurs; mais la majeure partie ne ressentai
s'être jamais mieux portés. Le peuple envisageait le spasme comme un
signe
infaillible de la présence du Saint-Esprit dans l
elle devait faire au ciel; car avant qu'elle sût bien parler, faisait
signe
d'oraison et preuve de contemjdation au ciel, ain
me. En dehors des crises extatiques, Marie de Mœrl avait présenté des
signes
non douteux d'hystérie. Pendant les extases, les
a s'échapper. Alors le visage s'incline, et la tête, portant tous les
signes
de la mort, s'affaisse dans un complet épuisement
silence depuis longtemps, elle cherche à se faire comprendre par des
signes
; et quand cela ne suffit pas, semblable à un enf
ade qui d'autre parta des attaques convulsives ou simplement d'autres
signes
d'hystérie......................................
trouver, en cherchant en d'autres régions chez votre malade, d'autres
signes
qui n'appartiennent qu'à la sclérodermie et qui l
présence du masque sclérodermique, dans la lèpre, vous avez un autre
signe
, bien spécial aussi, et qui existe là seulement.
igmates les plus nets et les mieux accentués. Pour ne prendre que les
signes
locaux de cette paralysie que présente Desf..., c
la syringomyélie. Mais, d'autre part, à ne considérer que les autres
signes
de chacune des deux affections, que de différence
Jamais le malade, à la suite de ces étourdissements, n'a présenté de
signes
d'hémiplégie. Son âge est, de plus, en contradict
endant quelque temps, avait fini par être dépistée par lui, grâce aux
signes
spéciaux qui la caractérisaient et sur lesquels j
t, vous aurez à signaler probablement la coexistence de quelque autre
signe
univoque de l'hystérie. Il en a été ainsi chez un
ics convulsifs. Lui-même n'a jamais été malade; il ne présente pas de
signes
d'alcoolisme et n'a jamais eu la syphilis. Fig.
, ni à la paralysie générale progressive, ni à l'alcoolisme, dont les
signes
sont complètement absents chez ce malade. Mais ce
aires dans les membres ni la face ; pas d'épilepsie partielle. Pas de
signes
actuels de syphilis, acquise ou héréditaire. Rien
mai 1890, le ptosis est encore appréciable, quoique peu accentué. Les
signes
de paralysie de la 3e paire du côté droit, avec l
s deux examens pratiqués le 3 et le 10 mai par M. Parinaud). Pas de
signes
d'hémiplégie faciale; pas de parésie du côté des
, à la douleur, à la température. Pas de douleurs fulgurantes. Pas de
signe
de Romberg. Rien du côté des appareils sensorie
e, car, ainsi que je vous le disais tout à l'heure, elle n'est pas un
signe
univoque de la syringomyélie, mais peut parfaitem
divers caractères de l'inflammation plus ou moins étendue seront des
signes
d'une grande importance. Je vous ai néanmoins sig
elle le grand hypnotisme avec ses trois états caractérisés par leurs
signes
somatiques respectifs : léthargie, catalepsie, so
d., 1890. T. xvn, Supplement-Heft. par ses états séparés avec leurs
signes
physiques typiques, ne s'accompagnait d'aucun phé
élection sur l'articulation coxo-fémorale est doulou- reuse. Pas de
signe
de Brodie ici, pas plus qu'au genou. La percuss
thésiques ni hystérogènes nulle part. On a vu qu'il n'existait pas de
signe
de Brodie au niveau des articulations malades.
nt en se renversant en dehore. En résumé, pendant quinze jours, les
signes
sont ceux d'une lésion non seulement du sciatique
re et de la cuisse réagissent énergiquement. » On constate tous les
signes
d'un phlegmon du ligament large (toucher vaginal,
longues courses et jamais il n'était fatigué. Il ne présente aucun
signe
d'intoxication alcoolique. Il boit ordinairement
cation plombique ou à quelque autre que ce soit. Il ne présente aucun
signe
de diabète. Il n'a jamais eu de symptômes d'une a
sont extrêmement faibles des deux côtés et s'épuisent facilement. Ce
signe
est encore plus prononcé à gauche qu'à droite. —
r, l'absence de résistance aux mouvements passifs de flexion sont des
signes
d'une valeur absolue à ce sujet. L'absence de réa
gnostic; aujourd'hui, l'état général est meilleur, et en l'absence de
signe
de carcinose viscérale, de douleur et de déformat
ctions les plus diverses ; et ceci nous conduit à reconnaître que ces
signes
dérivent d'une paralysie de toutes les branches e
aussi, être affecté à un certain degré. Il existe, de plus, d'autres
signes
de l'ophthalmoplégie nucléaire qui sont la mobili
s de la parole et de la déglutition, puis présenta ultérieurement les
signes
de l'ophthalmoplégie externe. — Il s'agit alors d
uscles parésiés sont atrophiés sans réaction de dégénérescence. Comme
signes
fonctionnels il existe un peu de difficulté à mar
ns les muscles des mollets et des cuisses. Il présente enfin tous les
signes
de l'ophthalmoplégie externe. J'ajoute qu'il n'a
fois que cette réaction faisait complètement défaut. L'absence de ce
signe
n'est clone pas suffisante pour éloigner l'idée d
il serait possible que l'on se fût un peu hâté en voulant faire de ce
signe
un caractère de ces myopathies, et, si l'on y reg
halmoplégique. Dans le suivant, le début se fait au contraire par les
signes
paralysie la-bio-glosso-laryngée. On peut le clas
ractères du faciès d'Hutchinson. Le second malade, qui présente les
signes
de la po-liencéphalomyélite, le nommé Peyn .., es
ur la parésie des membres supérieurs. État actuel (juin 1890). — Le
signe
le plus frappant est le double ptosis, qui est tr
périeur est impuissant à mettre en mouvement. On ne constate pas de
signes
bien nets de paralysie faciale nucléaire. Le fron
sie de l'orbiculaire des paupières. Mais on peut constater quelques
signes
, peu accentués à la vérité, de paralysie bulbaire
doit être toujours possible, sinon facile, on s'appuiera sur quelques
signes
, qui, soit isolément, soit dans leur ensemble, pr
hénomènes de paralysie bulbaire inférieure sont venus s'adjoindre les
signes
qui caractérisent la lésion de la moitié supérieu
polioencéphalite et nous avons constaté aussi chez nos malades, deux
signes
qui sont constants dans la myopathie et qui sont
ont constants dans la myopathie et qui sont même considérés comme des
signes
diagnostiques de cette dernière affection. Nous v
plète pour l'œil gauche, et diplopie. On constatait en outre tous les
signes
d'une paralysie bulbaire inférieure qui s'était d
ât le diagnostic avec quelques développements si l'on n'y trouvait un
signe
bien caractéristique qui est la dissociation part
un caractère presque pathognomonique de cette affection. Une fois ce
signe
constaté on ne sera plus embarrassé pour explique
es, scoliose, habituels dans la syringomyélie. Il n'est pas jusqu'aux
signes
oculaires qui ne permettent de différencier nette
ours reconnaître assez facilement en somme, grâce à l'ensemble de ces
signes
très particuliers et qu'on ne rencontre ainsi réu
2° Troubles de la, sensibilité. C'est parmi ceux-ci que se range ce
signe
capital que j'ai proposé d'appeler la dissociatio
constaté sur les muscles de l'éminence thénar de la main affectée les
signes
de la réaction de dégénérescence. Quelle est, M
eudo-tabes \ Ces phénomènes moteurs seraient caractérisés : 1° par le
signe
deRom-berg, et 2° par un trouble de la démarche q
tique. Dans ces conditions, la présence de douleurs fulgurantes et du
signe
de Romberg, l'absence des réflexes rotuliens, la
complète, c'est-à-dire lorsque le malade marche encore, on trouve le
signe
de Rom-berg et la démarche ataxique, d'où l'appar
lexes rotuliens qui ne reparaissent pas par le procédé de Jendrassik.
Signe
de Romberg très net. Réflexe pupillaire absolum
devez penser naturellement tout d'abord à la paralysie alcoolique. Le
signe
de Romberg, l'absence des réflexes rotuliens ne v
eau jour, par suite d'une double hérédité de transformation, tous les
signes
du diabète et de l'ataxie locomotrice progressive
s employé chez lui d'une façon suivie. Reprenons un par un les divers
signes
de cette paraplégie. La démarche est évidemment u
normale. Il y a donc une amélioration aussi de ce côté. De plus le
signe
de Romberg, qui était autrefois parfaitement cara
'hémiplégie chez cette jeune fille a respecté la face. Or c'est là un
signe
négatif qui acquiert, dans l'espèce, une grosse
tombante n'offre ni secousses ni résistance spéciale, de connaître un
signe
qui permit d'établir ce diagnostic. Je sais bien
il n'est permis de recourir qu'en dernière ressource. D'autant que ce
signe
précieux et désirable, ce caractère différentiel,
passé inaperçu que parce que nous ne savions pas le voir. C'est là un
signe
que je crois appelé à rendre de réels services da
s'il connaissait quelque caractère qui pût permettre, en l'absence de
signes
habituels du blépharospasme, de diagnostiquer la
chute paralytique de la paupière (fig. 39 et 40). En l'absence des
signes
ordinaires du blépharo-spasme, cet abaissement du
blépharospasme hystérique1. Nous sommes donc en possession de plus de
signes
qu'il n'en faudrait pour asseoir notre diagnostic
éjà depuis fort longtemps, ne s'étant jusqu'alors révélée que par des
signes
très différents de ceux qui servent à la diagnost
ès ; cela résulte peut-être encore davantage do l'absence de tous les
signes
fondamentaux de la période praataxique : ni les p
xique : ni les phénomènes visuels, ni les douleurs fulgurantes, ni le
signe
de Romberg, rien enfin. M. Charcot affirme donc à
ever le pied. Dans cette forme « on balaie le sol en marchant. » Ce
signe
est suffisant pour rejeter l'hypothèse d'une lési
lade, ne s'est pas déclarée tout à coup, soudainement ; elle a eu des
signes
précurseurs. Le 8 janvier, il est pris dans la ru
ec tant d'insistance, parce qu'elle est, dans la majorité des cas, un
signe
révélateur de la plus haute importance. Oui, j'ai
Le mal datait de trois mois environ, disait-il, et était survenu sans
signes
prodrômiques. Espérons, vous disais-je, que la
ans sa symptomatologie cépha-lique, vous ne rencontrerez que certains
signes
déterminés, comme l'embarras de la parole, le nys
ne répondaient pas au type de Duchenne, à qui il manquait tel ou tel
signe
vulgaire, l'incoordination motrice par exemple...
a scène. Ayant déjà remarqué antérieurement que le tremblement est le
signe
qui disparaît de préférence, lorsque la sclérose
ctus apoplectiques, de cécité passagère, de tremblement..... 2° Les
signes
concomitants, que l'on constate souvent sous form
encore com- pliquer la situation, c'est l'intervention de quelques
signes
surajoutés qui n'appartiennent pas à la sympto-ma
elle peut pourtant s'installer d'une manière définitive et devenir le
signe
prédominant. Vous avez alors devant vous la forme
ques. Ici vous verrez figurer au tableau les douleurs fulgurantes, le
signe
de Romberg....., l'incoordination motrice peut-êt
pelle ataxie héréditaire ou de famille, dans laquelle on constate des
signes
de tabes et des signes de sclérose disséminée. La
e ou de famille, dans laquelle on constate des signes de tabes et des
signes
de sclérose disséminée. La maladie de Friedreich
ble dans la sclérose multi-loculaire. Or, c'est là précisément un des
signes
fondamentaux de la sclérose latérale. D'autre par
je vous en montrerai un exemple frappant. Ne sont-ce pas là aussi des
signes
de sclérose latérale ? Enfin les cellules des cor
s disparu). L'état actuel de cette jeune fille est le suivant : les
signes
d'une hémiplégie droite pour les membres sont auj
considérable que la déviation primitive et il fit de ce caractère un
signe
distinctif du strabisme paralytique et du strabis
plausible. Nous voyons, d'autre part, que la malade présente quelques
signes
, peu accentués il est vrai, mais indéniables cepe
es n'ont pas paru depuis le mois d'avril. Il n'existe cependant aucun
signe
de grossesse. De taille moyenne, elle conserve
mmun qui se juge par les phénomènes prémonitoires de l'accès, par les
signes
et symptômes constitutifs de l'aura. Avant la c
ique : mal fondé de cette expression, 268. Ptosis spasmodique, 323;
Signe
du sourcil dans le —, 325. Pupille : troubles d
ingomyélie, 105; — de la céphalée syphilitique, 366, 378. Sourcil :
signe
du — dans le diagnostic du ptosis paralytique et
es traces de cette circulation collatérale par voie nerveuse ou les
signes
cliniques qui pourraient la révéler. Mais, dans
amations de L... Mais ce qu'il y a de curieux, c'est que, tantôt il
signe
ses écrits de son véritable nom, et demande sim
de sa femme et de son fils, pour reprendre son commerce ; tantôt il
signe
Henri de Bourbon, fils du comte de Chambord, héri
s. La peau est de couleur normale sans sécheresse manifeste. Pas de
signe
de Romberg. Absence totale des réflexes rotulie
is centimètres. L'oeil est franchement tabétique. Myosis bilatéral.
Signe
d'Ar- yll-Robertson avec absence complète de ré
a- bétique, d'oeil tabétique au grand complet : myosis bilatéral,
signe
d'Argyll Robertson, rétrécissement irrégulier d
tte atrophie relève ici du tabes. En outre, le myosis bilatéral, le
signe
ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABETE SUCRÉ. 55
t du diabète sucré. En' somme, nous trouvons d'une part absence des
signes
oculaires classiques du diabète et d'autre part
nt normaux. La vue est bonne, mais les pupilles sont inégales et le
signe
d'Argyll Robertson est très net. Absence des ré
ne d'Argyll Robertson est très net. Absence des réflexes rotuliens.
Signe
de Romberg. L'incoordination motrice est absolu
l'incoordination motrice particulière, l'iné- galité pupillaire, le
signe
d'Argyll, les signes de Rom- berg et de Westpha
rice particulière, l'iné- galité pupillaire, le signe d'Argyll, les
signes
de Rom- berg et de Westphal, les troubles urina
enfin, et surtout parce qu'elle ne s'ac. compagne point de cerlains
signes
habituels, concomi- tants : fréquence du pouls,
te-neuf ans par les douleurs fulgurantes. ETVT actuel (mai 1889).
Signe
de Westphal. Signe de Romberg très accentué.
ouleurs fulgurantes. ETVT actuel (mai 1889). Signe de Westphal.
Signe
de Romberg très accentué. Myosis avec signe d'A
). Signe de Westphal. Signe de Romberg très accentué. Myosis avec
signe
d'Argyll Robertson. Pas de cataracte. Douleurs
ens sont abolis totalement, même par le pro- cédé de Jendrassik. Le
signe
de Romberg est poussé à l'extrême; le malade es
lycosurie diabétique et l'in- terrogatoire ne révèle plus aucun des
signes
habituels au diabète. Mais, par une coïnciden
les de la sen- sibilité, incoordination motrice à évolution rapide,
signe
de Westphal et de Romberg. Ces phénomènes s'ins
phéno- mènes nerveux, en l'absence de la glycosurie et des autres
signes
du diabète. Au surplus, un certain nombre de si
et des autres signes du diabète. Au surplus, un certain nombre de
signes
, entre autres l'incoordination typi- que, ne sa
ent vu le malade depuis celte époque et constata la persistance des
signes
spéciaux. Le sucre di- minua sans disparaître.
ngés concomitants; pas de secrétion laryngée ou bronchique ; pas de
signes
particuliers à l'auscultation. Il ne faut pas o
rs ou à la suite d'un rhume, qui se traduira de son côté par. des
signes
stéthoscopiques plus ou moins accentués ; 4° Ce
YPE CHORÉIQUE. 89 Trois soeurs, ayant une santé délicate, mais sans
signes
de ner-' vosisme.. -- ' Antécédents personnel
gré l'état parfait de la nutrition générale de la malade,- tous ces
signes
militent en faveur d'une lésion du sympathique
parésie spasmodique de l'extrémité inférieure gauche. Tels sont les
signes
d'un processus chronique progressif qui dure de
pupille étranglée. Malheureusement, elle est loin de constituer un
signe
du début, il n'est pas rare qu'elle ne se manifes
jusqu'à la mort sont très rares; et alors on ne trouve pas d'autres
signes
d'exagé- ration de la pression intra-cérébrale.
ession intra-cérébrale est déjà ancien. La pupille étranglée est le
signe
le plus important d'une 'tumeur cérébrale, aprè
ntelligence et de la parole, disparition des réflexes patellaires,'
signe
de Romberg peu marqué ; hypalgésie des orteils. A
ns ataxie statique et loco- motrice - atrophie des N. 0. absence du
signe
de Romberg, de parésies, de contractures, de tr
tié gauche; il s'agissait d'un ramol- lissement récent. Aucun des
signes
qu'on a donnés comme pouvant faire recon- naîtr
t également loin d'être identique à lui-même; enfin, on constate,
signe
important, des phénomènes bulbaires passagers.
, organisation anormale puis- qu'elle porte l'empreinte de tous les
signes
dégénératifs. La criminalité fleurit sur, un te
une importance que les auteurs ont bien mise en lumière; il est le
signe
d'une intoxication générale de l'organisme, ce
; ;nerf spinal. L'épreuve orale a été : diagnostic de la pneumonie;
signes
et diagnostic de l'étran- glement herniaire. So
s'aimer beaucoup. Mais ces temps derniers, le jeune homme donna des
signes
de dérangement d'esprit, qui inquiétèrent ceux
s que nous avons récemment observé et chez lequel les pre-. miers
signes
de la maladie se sont manifestés, il y a au moi
de quatorze ans chez un jeune garçon actuellement Qgé de seize ans.
Signes
somatiques bien caractérisés. Démence simple, san
ssent à l'accommodation, mais le réflexe est aboli pour la lumière (
signe
de A. Robertson). Pas de lésions du fond de l'o
arole si spécial, si caractéristique, l'inégalité de pupilles, le
signe
d'Argyl Robertson, le tremblement des mains, et
il est souvent (associé ou non à la migraine oph- thalmique) un des
signes
avant-coureurs. Remarquons enfin, que ni la syp
ade devient un incapable et bientôt un dément. Pendant ce temps les
signes
somatiques apparaissent et s'accusent à un haut
ée les symp- tômes physiques l'emportent par leur netteté sur les
signes
d'ordre psychique qui restent au second plan. L
commis par un aliéné sous l'influence de l'épilepsie, il existe des
signes
spéciaux qui permettent ordinairement de diagno
nonciation tel qu'on comprend difficilement, ce qu'il dit. Avec ces
signes
physiques de dégénérescence, développement très i
aujourd'hui que le diabète et le tabes offrent un certain nombre de
signes
communs sur lesquels il est impossible de table
ymptômes propres à chacune d'elles qu'il faudra se baser. Parmi les
signes
communs, il faut citer : . 1° Les douleurs fulg
rte des sueurs locales. 5° La frigidité et l'impuissance. G° Le
signe
de Romberg. Si tous ces symptômes se trouvaient
pourraient assurément faire songer au tabes. Sans doute, ces divers
signes
offrent bien, dans les deux maladies, quelques
symptômes classiques du diabète sans influencer paral- lèlement les
signes
tabétiformes, on aurait, sinon la certitude, au
,. 184 PATHOLOGIE NERVEUSE. A côté de cette première catégorie de
signes
com- muns aux deux maladies diabète et tabès, i
ennent à l'ataxie loco- motrice progressive le myosis bilatéral, le
signe
d'Argyll Robertson. Fischer signale bien le myo
DU TABÈS AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 191 1 Viennent en second ordre les
signes
suivants : 3° Crises gastriques et laryngées; 4
vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents nerveux se bornent à des
signes
tels que : pertes des reflxes rotuliens, douleu
ouleurs fulgurantes, troubles divers de la sensibilité objective...
signes
de la première catégorie, le tabes vrai peut êt
tabes, mais rien que des présomptions, car, il faut savoir que le
signe
de Westphal relevant du diabète, n'est pas touj
du diabète, n'est pas toujours influencé parallèlement aux autres
signes
spinaux. Si, par contre, l'amendement de ces 19
s- tence d'un faux tabès. S'il survient au cours d'un diabète des
signes
de la seconde catégorie : troubles oculaires, v
entre le diabète et le tabes les symptômes observés. Aisé pour les
signes
de la seconde catégorie, ce par- tage sera très
atégorie, ce par- tage sera très délicat pour ceux de la première :
signe
de Westphal, troubles de la sensibilité... L'in
er de la manière suivante : a. Il s'agit d'un diabétique avéré avec
signes
nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiab
nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique amende ces
signes
nerveux en même temps que les symptômes habitue
u vrai tabes. Et l'existence ou l'apparition ultérieure de certains
signes
tabétiques : incoordination spéciale, troubles
pendance de l'ataxie locomotrice progressive. Si, au contraire, ces
signes
concomitants manquent, il y aura de fortes prob
évropalhiques, qui entra volontairement à l'asile en présentant les
signes
du délire de la persécution : on ne lui connais
on valvulaire du coeur, mais chez lequel on n'avait découvert aucun
signe
d'anévrysmes, et qui avait seulement eu plusieu
leur sortie) qui, à la suite d'une fièvre typhoïde, a présenté des
signes
de stupeur ou de démence aiguë : il a été admis
u point d'être dépouillées de leur périoste, on ne constatait aucun
signe
de décomposition, ni d'une action chimique quel
bsence de contractions musculaires, de résistance, de spasmes et de
signes
de détresse, lorsqu'on irrite telle ou telle pa
l pour les couleurs dans un ordre insolite et inégal. C'est donc un
signe
qui n'a dans l'espèce aucune valeur. Du reste, qu
ête, l'oeil gauche. Les éléments du tabès dorsal apparurent avec le
signe
de Romberg et de Westphal, les symptômes précéd
ue et plusieurs fois répété des antécédents, des commémoralifs, des
signes
actuels et de l'évolution, et par suite de fair
èvement au jour où on lui a repris sa fille, Louise n'a donné aucun
signe
de dérange- ment mental... ' ' Elle travailla
malade à plusieurs reprises. Depuis quelque temps, elle donnait des
signes
de dérangement d'esprit. Après examen médical, il
iration à 27 - son poulsà66- sa température normale. Elle n'a aucun
signe
de souffrance; l'expression de sa physionomie e
tombait sans mouvement, sans trace de sensibilité, n'ayant -aucun
signe
de souffrance, point d'altération des traits, n
qu'il entend, mais continue à parler, à écrire, à exprimer par des
signes
ce qu'il pense, on sait aujourd'hui que cet éta
permet de localiser sur le pli courbe. Quand ce centre est lésé, le
signe
représentatif de l'écriture ne peut plus être p
mages passant dans la région fron- tale deviennent les schémas, les
signes
représentatifs de la pensée. Toutes les fois qu
ologie des associations d'idées. Une sensation devient une sorte de
signe
, à propos duquel naissent dans l'esprit des sou
clé et d'une force exceptionnelle. Il ne présente pas le plus léger
signe
de dégénérescence physique. D'après les renseig
! Cette dame allaitait à ce moment et de plus, elle présentait des
signes
d'hystérie (boule, ovarie gauche, diminution de
le len- demain, elle est dans le plus profond coma; on constate les
signes
d'une convulsion épileptiforme, des troubles va
qué chez elle aucun trouble oculaire ni des sens spéciaux, aucun
signe
de paralysie. ' L'apparition de ce gonflement f
signe de paralysie. ' L'apparition de ce gonflement fut le premier
signe
objectif d'une tumeur qui grossit rapidement, s
ditions physiologiques du cerveau qui lui permettent de révéler les
signes
de l'intelligence sont les suivantes : 1<* Une
es. (84). Conclusion : - L'auteur espère avoir fourni de nouveaux
signes
à l'observation physique : les postures et les mo
rvation physique : les postures et les mouvements du corps sont des
signes
produits par l'action des centres nerveux et l'
influence des forces ambiantes, parait déterminer la production des
signes
de l'intelligence active. Enfin certaines pro
côté qui est en rapport avec les circonvolutions : en général, les
signes
de leptoméningite fibreuse chronique. -Par- foi
e la maladie, alors que la substance cérébrale ne pré- sente pas de
signe
de sclérose et d'atrophie, porte à faire accepter
nt éveiller les soupçons de simulation; elles constituent plutôt le
signe
du vice que l'indice de folie. M. CHRISTIA1V. S
aliénés persécutés. Si le délirant per- sécuté peut guérir, à quels
signes
certains peut-on reconnaître sa guérison ? S'il
elle est impossible à trouver ; mais il demande qu'on détermine les
signes
qui permet- tent d'affirmer que tel malade peut
ésenté dès la naissance ou dans les premières années de la vie, des
signes
certains de syphilis congénitale. Par conséquent,
es peuvent également être sollicités. Ce qui le prouve, ce sont les
signes
pathologiques de l'atteinte de l'organe sensori
es à l'examen du médecin. Dans la première partie, ils étudient les
signes
présents, et dans la seconde les signes commé-
re partie, ils étudient les signes présents, et dans la seconde les
signes
commé- moratifs. Dans les signes présents, ce q
s présents, et dans la seconde les signes commé- moratifs. Dans les
signes
présents, ce qui frappe d'abord, ce sont les tr
cin, ceux de la motilité et des réflexes qui tous consti- tuent les
signes
directs. L'étude des signes indirects, troubles t
des réflexes qui tous consti- tuent les signes directs. L'étude des
signes
indirects, troubles tro- phiques. signes généra
ignes directs. L'étude des signes indirects, troubles tro- phiques.
signes
généraux et anttliropologigues vient après. Quant
ndiaire le fils Adrien Digard qui depuis quelque temps, donnait des
signes
d'aliénation mentale et terrorisait les habitan
in âge, rue Fontaine-au-Roi, s'est asphyxiée hier. Elle donnait des
signes
d'aliénation mentale. Elle 4â4 VARIA . se pré
années, un pauvre vigneron, Lutrat Arthur, donnait fréquemment des
signes
d'aliénation men- tale. De plus, ce malheureux,
ouve actuellement à l'Hôtel-Dieu jusqu'à ce que le médecin traitant
signe
son exeat. Nous regrettons, avec la commission
alors secondaire à l'atrophie optique. Du côté du crâne, l'un des
signes
de pression les plus nets à l'autopsie est l'ex
n plus ancienne, l'oxycéphalie. Outre l'atrophie du nerf optique, ces
signes
oculaires indiquent qu'il s'agit d'une paralysi
les fibres tangentielles ont dis- paru à la périphérie. , , Comme
signes
de l'oxycéphalie, remarquons la hauteur exagérée
moyennes, dont l'empreinte est si marquée des deux côtés du crâne (
signe
de pression), n'irriguent pas le cerveau. Les
s tendineux et cutanés sont normaux et égaux des deux côtés. Pas de
signe
de Babinski. L'examen radiographique n'a montré
arfois presque subitement l'un dans l'autre ; 3° pour l'absence des
signes
indubitables désignant une lésion organique dès o
ables désignant une lésion organique dès oies'cëi-él)ro spi- nales (
signe
de Babinski, parésies et contractures montrant le
pond pas à nos questions. Quand elle commence à revenir à elle, par
signes
elle nous fait com- prendre qu'elle ne peut pas
e l'ouïe et de la vue, murmure quelques mots de supplication, fait le
signe
de la croix, il veut s'en aller, il se cache de
fois considérable du premier espace interosseux dorsal. C'est là le
signe
le plus fidèle d'une lésion du cubital, plus fi
taillée.. Que ces nerfs soient touchés au bras ou à l'aisselle, les
signes
sont identiques. Très souvent il,s'y ajoute une
sociées aux lésions DES nerfs PÉRIPHÉRIQUES. Toutes les fois qu'aux
signes
habituels de la paralysie d'un ou plusieurs ner
ques peuvent intéresser tous les tissus. La peau peut présenter des
signes
de dégénérescence divers. cc) Elle est tantôt f
ologiques militaires ; qui ne pré- sentent pas dès l'abord les gros
signes
brutaux d'une affection organique du système ne
parmi ces troubles beaucoup s'accompagnent d'un certain nombre de
signes
physiques faciles à reconnaître et relèvent de pe
onnels, c'est-à-dire se manifestant en dehors de toute la série des
signes
physiques reconnus caractéristiques d'une affecti
ur sémiologique des manifestations objectives qu'on a données comme
signes
des troubles moteurs d'ordre réflexe. A. Physio
et ces troubles vaso-moteurs, témoins les III, XV, IX où il y a les
signes
nets d'une lésion des nerfs de la main et où les
ette étude nous a permis de reconnaître la valeur de la plupart des
signes
constitutifs du syndrome réflexe de Babznski et F
dence avec des inactivités musculaires plus ou moins élonnanles des
signes
physiques de perturbations réflexes ou de lésio
s des 3° et 90 ; à la face pal- (1) Henri MEIGE et Mme BÉNISTY, Les
signes
cliniques des lésions de l'appareil sym- pathiq
très réelle, des troubles vaso-moteurs et surtout trophiques comme
signe
diagnostic d'une section nerveuse complète. M.
anévrisme, grosse congestion locale, etc.), soit simplement par les
signes
cliniques (pouls filiforme, pression artérielle
aires. En tout cas, il semble que les douleurs caùsalgiques sont un
signe
à peu près certain d'une lésion DEFORMATIONS DE
main, en col de cygne, a été justement considérée comme un des bons
signes
de la section complète du nerf radial. Il faudr
ète du nerf radial. Il faudrait pourtant se garder d'attribuer à ce
signe
une trop grande valeur. S'il y a, en effet, d
la paralysie radiale la plus complète. Enfin, si l'hypotonie est un
signe
organique que l'hystérie ne peut reproduire et
que ()/4 inférieur du bras, fracture de l'humérus) ; tous les autres
signes
de paralysie radiale complète, cliniques et éle
que poplité interne) et insisté sur l'importance diagnostique de ce
signe
organique dans les cas où la douleur est presqu
MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 137 est souvent le seul
signe
organique d'une lésion qui peut ne se révéler q
quelle peut être l'importance de la constatation dans ces cas d'un
signe
nettement organique et indiscutable, qui affirm
achilléen parfaitement conservé. Ce qui donne aussi sa valeur à ce
signe
du « pied effilé », c'est qu'il peut se produir
se produisent pas dans les sections complètes et qu'il s'agit d'un
signe
d'irritation nerveuse et non de destruction ; c
ue de cette déformation est très grande, car elle peut être le seul
signe
organique indiscutable d'une lésion de ce nerf
couverte de la simulation, expertises médico-légales, etc.). ' Ce
signe
a d'autant plus de valeur qu'il peut être très pr
des diverses parties du corps est nor- male, et ne présente pas de
signes
de sclérodermie (1). Il nous est difficile de d
main droite puis chacun porte la sienne à sa poitrine et à sa tête en
signe
d'affection et de soumission. lis se promènent
nus du pied prolongé à gauche. 4, 5 tré- pidations à droite. Pas de
signes
de Babinski. La sensibilité à la piqûre et à la
gération des réflexes rotuliens. 2 juin. Réflexes très accentués.
Signe
de Babinski, positif à gauche avec orteils en ext
trée. T. : 38°3. P. : 100. Langue sale, plate, saburrale. Nul autre
signe
objectif. Marche de la maladie. 4 août 1915. -
sière. , En raison de ces douleurs, on ne peut pas explorer pour le
signe
de Kernig. Bruits du coeur réguliers, égaux. Ri
semblent moins aiguës. Langue toujours chargée. Il s'assied. Pas de
signes
de Kerniâ, 9. Température hier soir : 36°8; le
geant pendant longtemps (Il est examiné à droite seulement). Pas de
signe
de Kernig. 10. Urine : 1.200 grammes, Plus d'al
congestion à la base gauche. Amélioration de l'état général. Pas de
signe
.de Kernig. 11, - Amélioration très sensible.
es. Persistance d'une petite quantité de pigment biliaire. Pas de
signe
de Kernig. , 12. Urines : 2.750 grammes environ
ant, la symptomatologie est restée essentiellement médullaire, sans
signe
encéphalique autre que la céphalée, atroce au dé-
utre que la céphalée, atroce au dé- but dans l'observation I ; sans
signe
méningé précis ; sans modification notable du l
ense à la possibilité d'une méningite aiguë, on peut trouver un bon
signe
, dans les formes très diffuses, dans le relâche
n'obtient pas de dou- leurs par la pression. 228 PETREN 29. Le
signe
de Lasègue est positif (à 60°), et la pression su
. Réflexes rotuliens et plan- taires normaux. Ni clonus du pied, ni
signe
de Babinski,. 5 septembre. Pas d'albumine. 6.
ectum, on ne trouve pas maintenant de douleurs par pression. Pas de
signe
de stomatite. 19. L'éruption syphilitique sur l
empire, plus petit et plus fréqueut. Le malade n'a pas toussé. Pas de
signe
du côté des poumons. Le malade succombe le jour
t elles ont atteint une très grande intensité. Il y avait encore le
signe
de Lasègue, et les troncs du grand sciatique ét
rvé cette différence. Par exemple, pour ce qui est du cas de Grosz (
signes
de névrite d'un cubi- tal avec des douleurs spo
n tremblement, puis d'une parésie des quatre membres. Il y avait le
signe
de Romberg. La réaction d'électricité nor- male
pour la maladie de Korsakoff. La ponction lombaire ne donne pas de
signes
pathologiques. Le malade a reçu un traitement iod
malade. Il nie toute contagion syphilitique et n'en présente aucun
signe
(ni éruption, ni leucoplasie, ni aortite, pupil
re poids, il en fait alors l'adduction. Il existe un léger degré de
signe
de la préhension de Froment. Les doigts peuvent
ause, le traumatisme survenu trois à quatre mois avant les premiers
signes
d'atrophie. Il semble que ce traumatisme n'a pu
que et qui n'en présentait aucun stigmate (pas d'érup- tion, pas de
signe
d'Argyll-Robertson, pas de leucoplasie, pas d'aor
ge adulte d'une amyo- 268 LÉRI. ' ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES
signe
d'Argyll-Robertson, dont Babinski a montré les re
capulaire était déjà manifeste. La malade n'a jamais présenté aucun
signe
de faiblesse aux membres inférieurs : le lourd tr
si inerte. Les globes oculaires se convulsent en haut et en dehors (
signe
de Bell). Réflexe palpébral aboli. Front comp
à droite. Rinne, négatif à droite. Transcrânien à gauche. Pas de
signe
de participation du labyrinthe. Aspect du tympa
te, intervient aussi bien à droite qu'à gauche. Cette intervention,
signe
d'intégrité relative sinon absolue, s'explique
iagnostic de prosoplégie. Il faut rechercher soigneusement tous les
signes
pour arriver à cette conclusion. Et même après
ause. L'asthénie des muscles in- ternes de l'oeil se révèle par des
signes
d'asthénopie accommodative, très marqués chez l
s Boissier de Sauvages mérite cependant d'être tirée de l'oubli. 1)
SIGNES
. L'asthénie (asthenia, languor virium), « c'est u
c droit ou penché, que pour rester couché horizontalement. C'est un
signe
que les malades sont extrêmement affaiblis, lor
également négatifs. Les réflexes rotuliens sont très exagérés et le
signe
de Babinski est positif. Notre diagnostic est :
e. Bâille de temps en temps. Importante raideur de la nuque. Pas de
signe
de Kernig. Le phénomène de Lasègue négatif. Pup
és ou dans la face. Réagit vivement aux sensations de dou- leur. Le
signe
de Babinski se produit en extension au pied gauch
ir à faire des mouvements défensifs avec les bras et les jambes. Le
signe
de Babinski se produit en extension au pied gau
é les cellules épithéliales des canaux un peu tuméfiées, mais aucun
signe
d'inflammation ou d'altération chronique. Les
qui a eu lieu le 4 mai, a donné le résultat suivant. Pas un seul
signe
extérieur de violence. La botte crânienne est int
ur à l'examen sans particularité. Raideur prononcée de la nuque. Le
signe
de Lasègue se produit aux deux jambes. Du reste
eurs de tête se sont un peu diminuées. La raideur de la nuque et le
signe
de Lasègue comme auparavant. La démarche montre
s dans le bas du dos. La raideur de la nuque toujours prononcée. Le
signe
de Lasègue positif des deux côtés à 30. 'La tem
a dure-mère, d'une tension aug- mentée. La dure-mère elle-même sans
signes
de particularité. Dans l'espace sous-dural pas
'- 16 août. Après son entrée, le patient a continué à présenter les
signes
d'un coma profond comme à son arrivée. Toujours
orme kystique, autour de laquelle la substance cérébrale montre des
signes
de" ramollissement dans une largeur de 1 centim
m fibrineux et un liquide centrifugé couleur brun ou jaune sont les
signes
infailli- bles qu'il ne s'agit pas d'une hémorr
ASTINE ET COURBON A son entrée, on constate une aphonie vocale sans
signe
de bitonalhé et une hypoesthésie dans le territ
à toute la section. Au cours de l'examen on découvrit, outre les
signes
précédents, une exophtalmie bilatérale marquée,
ne du trapèze ; 4° Une aphonie hystérique sans bitonalité et sans
signes
laryngoscopi- ques de paralysie récurrentielle.
ne révèle en général aucune modification des réactions. Il n'y a ni
signe
de dégénérescence, ni modification apparente de l
yperesthésie nerveuse peut encore être mise en lumière par un autre
signe
que nous avons décrit (1) sous le nom de a sign
mière par un autre signe que nous avons décrit (1) sous le nom de a
signe
de l'élongation douloureuse ». Il consiste en ce
brusque et passagère de la pupille. (1) M. CHIRAY et E. ROGER, Le
signe
de l'élongation douloureuse dans la névrite irr
trois nerfs du bras, à l'avant-bras et à la main. Il n'existe aucun
signe
de R. D., même pour le médian, aurun galvanoton
hial par les méthodes ordinaires ne révèle, malgré l'importance des
signes
cliniques, que des symptômes insigni- fiants. T
ésions dégénératives. Pour le cubital, il y a élévation du rapport,
signe
d'irritation. On trouve en. effet pour ce nerf
nque ici. Enfin des troubles oculaires, tels que le nystagmus et le
signe
d'Argyll signalés comme fréquents, sont absents
it, la névrite hypertrophique classique se caractérise : a) Par des
signes
de la série tabétique (Romberg, ataxie des membre
gnes de la série tabétique (Romberg, ataxie des membres supérieurs,
signe
d'Argyll), ici limités au minimum. b) Par des s
s supérieurs, signe d'Argyll), ici limités au minimum. b) Par des
signes
de la série cérébelleuse (asynergie, tremblement
roubles oculaires, et des troubles moteurs différents. é) Par des
signes
de la série névritique (steppage, amyotrophie dis
. L'épo- que tardive du début explique la légèreté ou l'absence des
signes
révélant t une sclérose à type tabétiforme ou c
rait être soutenue, d'abord parce que notre sujet ne présente aucun
signe
objectif de tabes, ensuite parce que, même au gen
Dans les cas communs, la dystrophie génito-glandulaire présente des
signes
qui permettent un diagnostic immédiat, à la seule
lype de dystrophie génito- glandulaire, c'est-à-dire un type où les
signes
de l'infantilisme sont pri- mitivement subordin
Widal et Lutier, atrophie congénitale et complète des testicules sans
signes
d'infantilisme ou de féminisme, les caractères
interprétation du cas comme étant d'infantilisme testiculaire, tous
signes
qui pourraient mettre en évidence la coparticipat
ivement l'arrêt de développement des or- ganes génitaux, sans aucun
signe
d'hypothyroïdisme. Or une fois vérifié que la p
qui évitera des répétitions, tout en faisant ressortir à propos les
signes
différentiels de l'un et de l'autre. Ce sont in
ine, avec une fréquence telle que cela lui a permis d'incorporer ce
signe
à deux autres auxquels il donne la plus grande im
sions ne permettent de faire entrer dans le type géroder- mique les
signes
acromégaliques que Pende pense avoir rencontrés :
en- sions normales dans le type gérodermiqne (voir fig. VII). Les
signes
acromégaliques tirés du système osseux, auxquels
ifications de taille font défaut), au moins par quelques-uns de ses
signes
(adipose eunuchoïde). Hors cela il s'agira du t
c du syndrome de Frôhlich : l'adiposité, l'hypoplasie génitale, des
signes
de tumeurcérébrale. L'adiposité, accentuée et s
ue de développement des caractères sexuels secondaires. Parmi les
signes
de tumeur cérébrale, la céphalée, diffuse, souven
il y ait, par compression, paralysie de nerfs crâniens. Outre les
signes
indiqués, on en a décrit d'autres d'importance mo
ide assurément dans la présence, dans le syn- drome de Frohlich, de
signes
de tumeur hypophysaire ou d'une, zone voisine d
la phase aiguë, tant qu'il y a des ecchymoses, des contusions, des
signes
organiques, tant que les douleurs sont très vives
ne sont point à dédaigner. Voici encore une autre combinaison : Les
signes
de l'épilepsie paracentrale sont bien marqués; on
ni de ramollissement, ni de syphilis qu'il s'agit. D'autre part, les
signes
de phthisie pulmonaire ne sont pas très nets, l'é
fut pris, il y a deux ans passés, d'une hémoptysie suivie bientôt des
signes
rationnels de la tuberculose pulmonaire au début.
léthargie, catalepsie et somnambulisme, caractérisées chacune par les
signes
somatiques et physiques qui permettent d'écarter
physionomie dénote le tristesse. Verre jaune. — Elle donne tous les
signes
d'une grande frayeur. Verre vert foncé. — Sa ph
gne. — La scène change subitement. La malade sourit et donne tous les
signes
d'un grand contentement. Elle regarde dans le loi
tain. Puis sourit et salue de la main. Tout à coup elle fait quelques
signes
de tête et agite l'index comme on fait pour faire
ait quelques signes de tête et agite l'index comme on fait pour faire
signe
à quelqu'un de venir vers elle ou de s'arrêter ;
ues gouttes de sirop de groseilles ; aussitôt elle se met, avec des
signes
de contentement, à porter à sa bouche un verre im
, à porter à sa bouche un verre imaginaire et à boire. Puis elle fait
signe
qu'elle en a assez, qu'elle n'en veut plus. Enfin
cerveau du malade est plus difficile à saisir lorsqu'il ne donne les
signes
extérieurs que de sentiments simples, tels que le
thé, et recommence à manger. Puis, il se remet au lit on donnant des
signes
do fatigue. Essence de térébenthine. — Il fixe
d, des discontinuités de la vie psychique normale. C'est pourquoi les
signes
cliniques offriront actuellement plus de prise po
d'abord, comme sous le coup d'une poursuite, en manifestant tous les
signes
delà terreur, sautait par (1) Il est question d
ui caractérise le somnambulisme hypnotique. Au réveil, et c'est là un
signe
très important, le somnambule a complètement oubl
véritables vertiges ou même des accès d'épilepsie convulsive, et ces
signes
, dans certains de ces cas, ont précédé immédiatem
se peut qu'il n'en soit pas ainsi. C'est alors, en se basant sur des
signes
plutôt négatifs — absence de stigmates hystérique
ités qui s'ignorent l'une l'autre. Dans son état n° 2, elle offre les
signes
somatiques de la contracture somnam-bulique qui n
est rien, ainsi qu'on peut s'en rendre compte parla constatation des
signes
somatiques de cet état. Il existe une hyperexcita
cin pour consulter M. Charcot, il présentait dès son arrivée tous les
signes
de l'hystérie infantile avec attaques dans lesque
de soldats. Ah ! si, le voilà. Il m'a bien reconnue, lui; il me fait
signe
avec son mouchoir. Tiens, mon chéri, je t'aime (e
. 1, qui est incomplète; deux points sur les j des 5e et 6" vers; des
signes
de ponctuation qui manquent aux fig. 1 et 2 : un
qui, d'autre part, a des attaques convul-sives ou simplement d'autres
signes
d'hystérie. » Cette catégorie de cas comprend cel
s et sensorielles sur la direction des hallucinations, sont autant de
signes
d'une valeur indiscutable. Malheureusement on n'a
traire, sans parler de la présence, dans les grands cas au moins, des
signes
somatiques, de la contracture cutano-musculaire,
us le classer ? Dans le second groupe, sans aucun doute, mais avec ce
signe
par- li) Ribot. — Loc. cit., p. 145 et suiv„
ar ce seul fait que l'oubli existe toujours au réveil (2). » D'autres
signes
paraissent exister à peu près constamment, ainsi
vue dans la chapelle et, l'ayant entre les mains, elle « donna grand
signe
de liesse. Et commença (comme les enfants jouent
que dans un grand nombre de cas de ce genre, on ne trouve noté aucun
signe
permettant de conclure à l'identité des deux phén
atre, ou trente-cinq, mais ne peut dire le nombre formé par les trois
signes
. On lui dit alors d'écrire trois cent cinquante-q
ée de la malade à l'hôpital, je m'aperçus qu'elle présentait certains
signes
que l'on est habitué à rencontrer dans l'hypnotis
ré de bristol, au verso duquel on a fait au préalable tout en haut un
signe
invisible pour elle. On fixe avec énergie, par de
bas, disposition toujours facile à contrôler, grâce à la situation du
signe
de convention. Les suggestions peuvent même par
ter sans révolte. Je n'insisterai pas sur la présence chez elle des
signes
somatiques et psychiques que l'on rencontre habit
spéciale des membres, qui gardent la position qu'on leur donne, sans
signes
manifestes de fatigue (tremblement du membre, eff
eau jour, par suite d'une double hérédité de transformation, tous les
signes
du diabète et del'ataxie locomotrice progressive.
tômes précédents, on constatait : Ja perte des réflexes rotuliens, le
signe
de Rotnberg, une sensation de constriction en cei
ées. La peau est de couleur normale sans sécheresse manifeste. Pas de
signe
de Romberg. Absence totale des réflexes rotuliens
e 3 centimètres. L'œil est franchement tabétique. Myosis bilatéral.
Signe
d'Ar-gyll-Robertson avec absence complète de réac
re place à une amaurose complète transitoire. Actuellement, outre les
signes
classiques du diabète, on constate un certain nom
-pie tabélique, d'œil tabélique au grand complet : myo-sis bilatéral,
signe
d'Argyll Robertscn, rétrécissement irrégulier du
tte atrophie relève ici du tabès. En outre, le myosis bilatéral, le
signe
d'Argyll, la diplopie qui a duré deux mois ne rel
oint du diabète sucré. En somme, nous trouvons d'une part absence des
signes
oculaires classiques du diabète et d'autre part p
sont normaux. La vue est bonne, mais les pupilles sont inégales et le
signe
d'Argyll Robertson est très net. Absence des réfl
igne d'Argyll Robertson est très net. Absence des réflexes rotuliens.
Signe
de Romberg. L'incoordination motrice est absolume
re, Vin-coordination motrice particulière, l'inégalité pupillaire, le
signe
d'Argyll, les signes de Romberg et de West-phal,
motrice particulière, l'inégalité pupillaire, le signe d'Argyll, les
signes
de Romberg et de West-phal, les troubles urinaire
s et au diabète, il en est d'autres, comme l'inégalité pupillaire, le
signe
de Robertson, la démarche ataxique, les troubles
ue, enfin, et surtout parce qu'elle ne s'accompagne point de certains
signes
habituels, concomitants : fréquence du pouls, tro
ante-neuf ans, parles douleurs fulgurantes. Etat actuel (mai 1889).
Signe
de Westphal. Signe de Romberg très accentué. My
es douleurs fulgurantes. Etat actuel (mai 1889). Signe de Westphal.
Signe
de Romberg très accentué. Myosis avec signe d'A
89). Signe de Westphal. Signe de Romberg très accentué. Myosis avec
signe
d'Argyll Robertson. Pas de cataracte. Douleurs
otuliens sont abolis totalement même par le procédé de Jendrassik. Le
signe
de Romberg est poussé à l'extrême ; Je malade est
la glycosurie diabétique et l'interrogatoire ne révèle plus aucun des
signes
habituels au diabète. Mais, par une coïncidence
roubles de la sensibilité, incoordination motrice à évolution rapide,
signe
de Westphal et de Romberg. Ces phénomènes s'insta
n des phénomènes nerveux, en l'absence de la glycosurie et des autres
signes
du diabète. Au surplus, un certain nombre de sign
rie et des autres signes du diabète. Au surplus, un certain nombre de
signes
, entre autres l'incoordination typique, ne saurai
uvent vu le malade depuis cette époque et constata la persistance des
signes
spéciaux. Le sucre diminua sans disparaître. —^
t aujourd'hui que le diabète et le tabès offrent un certain nombre de
signes
communs sur lesquels il est impossible de tabler
symptômes propres à chacune d'elles qu'il faudra se baser. Parmi les
signes
communs, il faut citer : 1° Les douleurs fulgur
perle des sueurs locales. 5° La frigidité et l'impuissance. 6° Le
signe
de Romberg. Si tous ces symptômes se trouvaient
s pourraient assurément faire songer au tabès. Sans doute, ces divers
signes
offrent bien, dans les deux maladies, quelques tr
s symptômes classiques du diabète sans influencer parallèlement les
signes
tabétiformes, on aurait, sinon la certitude, au m
ue en faveur du pseudo-tabes. A côté de cette première catégorie de
signes
communs aux deux maladies diabète et tabès, il en
artiennent à l'ataxie locomotrice progressive le myosis bilatéral, le
signe
d'Argyll Robertson. Fischer signale bien le myosi
ccéléré dans l'observation de Fischer. Viennent en second ordre les
signes
suivants : 3° Crises gastriques et laryngées ;
vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents nerveux se bornent à des
signes
tels que : pertes des réflexes rotuliens, douleur
uleurs fulgu rantes, troubles divers de la sensibilité objective...
signes
de la première catégorie, le tabès vrai peut être
le tabès, mais rien que des présomptions, car, il faut savoir que le
signe
de Westphal, relevant du diabète, n'est pas toujo
ant du diabète, n'est pas toujours influencé parallèlement aux autres
signes
spinaux. Si, par contre, l'amendement de ces acci
'existence d'un faux tabès. S'il survient au cours d'un diabète des
signes
de la seconde catégorie : troubles oculaires, vés
er entre le diabète et le tabès les symptômes observés. Aisé pour les
signes
de la seconde catégorie, ce partage sera très dél
de catégorie, ce partage sera très délicat pour ceux de la première :
signe
de Westphal, troubles de la sensibilité... L'infl
de la manière suivante : a. — Il s'agit d'un diabétique avéré avec
signes
nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiab
es nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique amende ces
signes
nerveux en même temps que les symptômes habituels
du vrai tabès. Et l'existence ou l'apparition ultérieure de certains
signes
tabétiques : incoordination spéciale, troubles vé
dépendance de l'ataxie locomotrice progressive. Si, au contraire, ces
signes
concomitants manquent, il y aura de fortes probab
ne de l'œil gauche se contractait pour la convergence. Ce sont là les
signes
typiques de la paralysie nucléaire de la sixième
ne. En effet, dès 1874, M. Landouzy faisait, le premier, connaître le
signe
de l'orbiculaire aies pan- (1) Par Georges Guin
u type facio-scapulo-huméral. — Face nettement envahie, niais sans le
signe
de l'or-biculaire des paupières. — Pseudo-hypertr
sculaires. Bien que l'absence des contractions fibrillaires soit un
signe
distinctif des amyotrophies myopathiques, il n'y
sante pour infirmer ce diagnostic, qui est imposé par tous les autres
signes
: habitus du malade, envahissement delà face, loc
c. Il semble que l'on doive désormais attacher moins d'importance aux
signes
tirés de l'examen électrique des muscles dans ces
ès myopathique n'était pas absolument complet, et qu'il y manquait le
signe
de Landouzy, l'inocclusion des paupières par para
la conférence qu'il fit à son sujet à la Salpêtrière. En effet, le
signe
de l'orbiculaire des paupières ne doit pas être c
jaune, » l'immobilité du front, etc., sont, lorsqu'ils existent, des
signes
suffisants pour diagnostiquer la participation de
s muscles d'une part et leur pouvoir fonctionnel d'autre part, est le
signe
distinctif de cette sorte de lésion musculaire-
ystérique, en ce qui concerne l'attaque, abstraction faite des autres
signes
différentiels, que le premier tombe instantanémen
on entourage qu'il a réveillées, soit par la constatation de certains
signes
dont il a l'habitude, comme la morsure de la lang
istoire, il était rendu suffisamment évident par la présence d'autres
signes
(caractères de l'accès, morsure de la langue, mic
re d'éviter la chute. Hémianopsie homonyme droite, sans aucun autre
signe
. Il n'a pas été noté si l'examen du champ visuel
lade présente depuis deux mois, dans l'intervalle des accès, tous les
signes
d'une migraine ophthalmique très violente et très
doigts de la main droite, jamais dans les lèvres ou la face. Aucun
signe
d'hystérie, sauf un double rétrécissement concent
faiblesse ou mieux maladresse du membre supérieur gauche. Mais pas de
signe
d'hémiplégie véritable. Observation XX. Lav..
on assez difficile. Il s'agissait d'un malade qui présentait tous les
signes
classiques de la maladie de Charcot et de plus av
ryngés concomitants; pas de sécrétion laryngée ou bronchique ; pas de
signes
particuliers à l'auscultation. Il ne faut pas oub
e cours ou à la suite d'un rhume, qui se traduira de son côté par des
signes
stéthoscopiques plus eu moins accentués. 4° Ce
les oculaires dans le —, 314, 332; Influence du tabes sur le —, 325 ;
Signes
communs au tabes et au —, 330 ; Association du —
— , 342. G Galéanthropie, 81. Glycosurie: — tabétique, 291, 335;
Signes
de la — tabétique, 338. H Hallucinations : pr
oculaires dans le —, 314, 332 ; Influence du — sur le diabète, 325 ;
Signes
communs au — et au diabète, 330; Statistique des
sang. Le petit resta de 3 heures jusqu'à 6 heures sans donner aucun
signe
de vie. La sage-femme lui frottait l'estomac av
encore, comme chez les autres sujets oxycéphales nous trouvons des
signes
certains de rachitisme, Nous avons déjà noté l'
ilaires, comme dans l'achon- droplasie. Muitkrantz donne comme un
signe
très caractéristique de la dysoslose le dévelop
onformation ogivale de la voûte palatine doit être relenue comme un
signe
caractéristique de l'oxy- céphalie, ainsi que c
cas de Feindel et Froussard (1), le moins concluant des trois ; les
signes
acromégaliques se réduisaient à l'aspect caractér
ctéris- tiques de la tête et à des troubles visuels, sans aucun des
signes
accessoires de cette espèce morbide. Les auteur
rétraction du membre inférieur tout entier. Il ne se produit pas le
signe
de Babinski. Le réflexe crémastérien est exagér
ent étendus et ceux-ci sont animés de mouvements athétoïdes. Pas de
signes
de Romberg. La parole est chuchotée, mal articu
is et du pied, le caractère familial. En ce qui concerne ce dernier
signe
, on sait qu'il est inconstant dans la maladie de
liales. Soderberg en a signalé récemment un cas qui réunissait des
signes
de maladie de Friedreich, d'hérédo-ataxie céréb
on du réflexe patellaire dans cette maladie porta ensuite le nom de
signe
de Westphal plutôt que la dénomination de signe
a ensuite le nom de signe de Westphal plutôt que la dénomination de
signe
d'Erb. Depuis son entrée dans la sémiologie, l'
gne d'Erb. Depuis son entrée dans la sémiologie, l'importance de ce
signe
est de- venue considérable ; sa recherche n'est
ustifiée par l'expérience clinique. Celle-ci montre en effet que le
signe
de Westphal existe avec une constance remarquable
un inter- rogatoire serré de très près, plus précis, et ayant eu le
signe
de Westphal comme point de départ, permettait e
nt par ailleurs une symptomatologie caractéristique, la présence du
signe
indique nettement un tabes. Pour ces raisons, ce
qu'on lui accorde ? Telle est l'impression générale que chacun a du
signe
de Westphal. , DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR
er, elles ne comportent pas autant de garantie. Si l'existence d'un
signe
de West- phal pour ainsi dire congénital ou phy
e pas de retenir l'attention, et la signification patholo- gique du
signe
de Westphal de rester entière ? Elle aussi, la
fréquence de cette exception. Erb (4) a soigneusement relevé les
signes
initiaux dans 56 cas de la- bes ; sur ce nombre
die remontait à 5 ans au moins ; au point de vue de la précocité du
signe
, Erb dit l'avoir trouvé dans des cas où le débu
e légère, d'une ophlalmoplégie totale à gauche, partielle à droite;
signe
de Romberg; pas d'incoordination; conservation de
e troubles de la sensibilité à disposition radiculaire,nepréseutaitni
signe
de Westphal, ni signe de Romberg, ni alaxie, ni
lité à disposition radiculaire,nepréseutaitni signe de Westphal, ni
signe
de Romberg, ni alaxie, ni hypotonie (ti). Signa
labétiques osléo-articulaires chez des malades ayant un minimum de
signes
de labes et notamment pas de signe de Westpltal.
des malades ayant un minimum de signes de labes et notamment pas de
signe
de Westpltal. Sans aucun doute, il existe d'aut
HALIER 1·.T NOVJ-JOSSERAND ment que dans certaines circonstances le
signe
de Westpllal fait défaut dans des tabes indiscu
blent les plus exactes. · On peut conclure que, si la constance du
signe
de Westphal dans le tabès reste vraie en généra
malade est apyrétique ; il a en- graissé de 3 kilogs. Cependant des
signes
d'induration et de ramollissement aux deux somm
A l'examen, la tuberculose pulmonaire s'est notablement étendue avec
signes
cavitaires des sommets et infiltration sous-jac
s très étendues des cordons posté* rieurs, qui ne présentent pas le
signe
de 1,Vestphal. Ce sont des ta- bes supérieurs,
ui méritent il peine ce nom cliniquement tant ils présentent peu de
signes
de celte maladie ait moment où on les observe,
t moment où on les observe, puisque souvent le seul symptôme est le
signe
de TVestpltal ; dans ce cas, la lésion siège da
n'être traduits que par des crises névralgiques, - dans lesquels le
signe
de Westpltal manque, et pourtant la lésion sièg
r un certain nombre de tabès incipiens analogues à ceux- là et sans
signe
de Westphai. Par contre, le cas précisément de ta
geotte (1) écrivait les lignes précédentes, paraissait présenter le
signe
de Westplial ; l'observation a été égarée, dit
s les tabès avancés, il n'est pas pqssible de dire que l'absence du
signe
de Westplial soit une caractéristique des tabes
DU RETOUR 111.S RÉFLEXES ROTULIENS 8 ! 1 tent ou se cantonnent, le
signe
de Westphal peut manquer, apparaître précocemen
M. Donath rapporte l'histoire d'un tabétique de 33 ans, chez qui le
signe
de Westplial était apparu 5 mois après les prem
la première forme comprend des tabéti- ques classiques avec ataxie,
signe
de Romberg, trouble delà nutrition générale; cl
donner le change et faire croire à une simple gastropathie, tant les
signes
de tabès sont latents. « .1 notre avis, écriven
- Il existe des tabes avec conservation des réflexes roluliens; le
signe
de Westplial est inconstant ; il peut apparaître
i d'autres symptômes y invitent. If. - La présence ou l'absence des
signes
de Westplial est unique- ment subordonnée à la
ent subordonnée à la localisation anatomique de la lésion. Quand ce
signe
existe, la lésion intéresse, à la région dorso-lo
il ». Cette zone peut rester intacte dans quelques cas rares, et le
signe
de Westplial manque, alors que le tabes est cli
s caractérisé. D'autre part, cetle zone peut être seule atteinte elle
signe
de Westplial exister sans qu'il y ait aucune de
n (4) et M. Meige (5). Notre géant qui a, nous l'avons vu, quelques
signes
physiques de fémi- nisme, présente néanmoins un
légère coudure fémorale juxta-épiphysaire ; mais il manque quelques
signes
d'une importance capitale : telle l'égalité des d
oné jusqu'au niveau de l'articulation du genou. Il y a en outre des
signes
qui ne font pas partie du tableau clinique de l'a
a- cun est souvent déterminé par l'importance accordée à tel ou tel
signe
, MICROMÉLIE RHIZOMELIQUE PARTIELLE 143 alors
nicien voisin, le diagnostic sera tout autre parce que le précédent
signe
n'aura pas pour lui la même valeur. Ainsi le ca
hésite. 148 ANGLADA Quand il fit son service militaire aucun des
signes
actuels ne se serait encore produit. C'est vers
odifications du côté de l'appareil urinaire, pas de crampes, pas de
signes
de brightisme. La compression de la région réna
ade ne peut nous fournir aucun renseignement), elles constituent un
signe
de grande valeur dans le diagnostic de la maladie
S REFLEXES AGI-IILLLL\T3 ET DES RÉFLEXES ROTULIENS . , SANS AUTRE
SIGNE
D'AFFECTION DU SYSTÈME NERVEUX PAR le D' Loui
t constatée souvent chez des sujets très vigoureux et n'ayant aucun
signe
do \ vieillesse. Elle est constatée avec une pr
Le réflexe achilléen existe il gauche, est nul à droite. Pas d'autre
signe
actuel- lement. Oust. - Ch..., fantassin, 43
s, trouve chez 9 d'entre eux les réflexes rotuliens nuls sans autre
signe
de maladie nerveuse. Les auteurs trouvent ces ré-
mois, il a des convulsions ; A 4fi ans, il entre à Tenon, avec des
signes
d'appendicite légère : vomisse- ments, douleur
a radioscopie et la radiographie. Examen direct. Poumons : on a des
signes
de pleurésie du côté gauche. mais, ce qui nous
ade, rien à signaler, pas de syphilis, pas de blennorrhagie, pas de
signe
de tuberculose, cependant éthylisme pro- bable.
rs en sens inverse ; il existe des rachis qui offrent à la fois des
signes
de réversion et des signes de progression, . 6°
ste des rachis qui offrent à la fois des signes de réversion et des
signes
de progression, . 6° Théorie de l'intercalation
vertèbres. C'est que l'attention n'avait pas été attirée par trois
signes
importants : La limitation nette des mouvements
tein on trouve notée une petite dépression ster- nale ainsi que des
signes
de rachitisme. Dans celui de Carpenter, il exis-
). Le malade de Ilamillon présentait une scoliose avec lordose, des
signes
rachitiques pendant l'en- fance, il ne marcha q
rnier auteur, au moins, rejette aussi cette opinion, les principaux
signes
de rachitisme manquant chez son malade. Couvela
, s'occupant convenablement de son intérieur et ne présentant aucun
signe
de troubles psychiques. Ce cas tire son caractè
nnaissances ne pourront pas, vu son cas, être considérées comme des
signes
d'une infériorité intellec- tuelle. Autant qu
nt conser- vées ; il n'y a pas d'ataxie dans les mouvements, pas de
signe
de Romberg. Comme pendant son séjour précédent,
modes. Réactions électriques diminuées dans les muscles atrophiés.
Signe
d'Argyll-Bobertson incomplet. Mort à 80 ans. Ex
et profonde, prédominant à la périphérie ; incoordination motrice,
signe
de Romberg, douleurs fulgurantes ; intégrité de
lgurantes ; intégrité des sphincters et des fonctions géni- tales ;
signe
d'Argyll-Robertson. Examen histologique : Dans la
des troncs nerveux, appréciable à la palpation, et qui constitue un
signe
clinique de grande importance. Mais nous rappel
a- tion dans laquelle cette hypertrophie faisait défaut en tant que
signe
clinique ; or les .coupes histologiques montrai
légères douleurs. L'anesthésie cutanée et profonde, l'ataxie et le
signe
de Romberg ont fait t défaut. Quant à l'absence
ICONE AVEC LIPOMATOSE 311 1 on ne constate ni points de Valleix, ni
signe
de Lasègue ; par contre la sensi- bilité object
e plan- taire semble également disparu, en tout cas il n'y a pas de
signe
de Babinski. Les troubles de la sensibilité son
e, également une atrophie des muscles de la cuisse. A gauche, aucun
signe
d'atrophie, sauf la tendance de l'omoplate à pren
E HÉMILATÉHALE 329 Il ne me semble pas opportun de rappeler ici les
signes
de l'hémiatrophie progressive de la face (et du
enteur, d'où il serait permis de déduire qu'il n'y avait pas là les
signes
de la R. D. Par contre, dans le second groupe de
viser en deux groupes suivant qu'il existe ou qu'il n'existe pas de
signes
évidents de syphilis du système nerveux. I Sur
à proprement parler tabétique, l'un d'entre eux cependant avait un
signe
de Robertson bilatéral et de la diminution (des
ngo-myétites. - Deuxième catégorie e où se révélèrent plus lard des
signes
desyringomyéiie. Troisième caté- gorie où il su
, la tuberculose des vertèbres peut surgir et suivre son cours sans
signe
apparent de'déformation, et que les seuls sympt
de Pott avec symptômes nerveux à un âge avancé et : sans qu'il y ait
signe
extérieur évident de tuberculose des vertèbres.
ypertrophica externa. Il man- quait dans notre cas non seulement le
signe
visible de la déformation de la colonne vertébr
externe, on obtient, mais pas toujours, l'extension du gros orteil (
signe
de Babinski) ; au pied gauche on n'a ni extensi
ni extension ni flexion, généralement. A droite, il existe aussi le
signe
de MenJei-Bechterew et il est plus évident quan
ociée à d'autres mouvements des orteils, du pied, de la jambe. Le
signe
de Marie-Foix est positif quand la manoeuvre, fle
caractère radiculaire, l'inversion bilatérale du réflexe du radius (
signe
de Babinski), la parésie spastique des quatre mem
lons seule- ment ajouter qu'au premier examen du malade, le nouveau
signe
de Babinski inversion du réflexe du radius dont
e : lagophtalmie, déviation oblique ovalaire de la bouche à gauche,
signe
du peaucier de Babinski.. " Le VIe nerf droit e
ercep- tible quand le malade ferme les yeux lentement. Pas d'autres
signes
de para- lysie faciale. Réflexes. Pupillaires
tres réflexes, un peu vifs. Peut-être un peu plus vifs à droite. Le
signe
de la flexion combinée du tronc et des jam- bes
ion combinée du tronc et des jam- bes (Babinski) est positif. a les
signes
de Raimiste et Grasset à l'état d'ébauche. Sens
neux sont diminués des deux côtés, mais existent. Il n'y a pas de
signe
de Babinski. Les réactions pupillaires sont norma
équilibre. Les troubles de la marche sont disproportionnés avec les
signes
d'hémiplégie. 428 P. MAR1E ET FOIx En 1910, t
re manque souvent, se ferait plutôt en flexion. En tout cas, pas de
signe
de Babinski net. Pas de troubles de la sensibil
droite, faible à gauche. Réaction à l'accommodation conservée avec
signe
de Robertson unilatéral. Le malade meurt le 9 d
rminale des réflexes tendineux de la rotule et du tendon d'Achille,
signe
de Babinski positif à droite. A l'autopsie, lés
touchée; cependant la marche est possible. Du côté des yeux pas de
signe
d'Argyll Robertson, pas de paralysie oculaire,
r, mais il n'est pas possible de les re- chercher convenablement.
Signe
de Babinski. En flexion bilatérale. Réflexes abdo
lade atteinte d'arthrite chronique de la colonne et des genoux sans
signe
d'affectation caractérisée du système nerveux on
poignet, radial et cubital sont également conservés et normaux. Le
signe
de Babinski se fait en Ilexion. Il n'y a pas de c
uis 18 ans chez un syphilitique avec Wassermann positif, sans autre
signe
clinique de syphilis des centres nerveux. Obser
de. Wassermann négatif. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de
signe
Rien du côté de la sensorialité. Mouvements com
ur (voir plus loin). Pas de clonus, pas de raccourcissement. Pas de
signe
de Romberg net. Pas de troubles marqués de la sen
g net. Pas de troubles marqués de la sensibilité. Du côté des yeux,
signe
d'Argyll Robertson bilatéral complet. Paralysie b
oculaire commun, portant sur les trois branches du nerf. En résumé,
signe
d'Argyll Robertson, douleurs fulgurantes. Paralys
Les réflexes rotuliens et achilléens sont normaux. Il n'y a pas de
signe
d'Ar- gyll, pas de signe de Babinski, pas d'iné
t achilléens sont normaux. Il n'y a pas de signe d'Ar- gyll, pas de
signe
de Babinski, pas d'inégalité pupillaire, ni de pa
ûrement syphilitique. . Parmi nos 6 cas cliniques, 3 présentent des
signes
de syphilis nerveuse. La syphilis sera donc d'e
0, de tension moyenne. Les urines sont claires, elles renferment un
signe
moyen d'albumine à teinte un peu rosée ; pas de
nous pûmes la suivre, nous don- nions la plus grande importance aux
signes
urémiques, et cette hypo- thèse ne fut même pas
8, p. 73. ACROMÉRALDS Ex URÉMIE Il 1 de Duchesneau meurt avec les
signes
d'une néphrite intolérante, on trouve des cas s
es,l'anesthésie ne reçoit aucune contre-indication particulière des
signes
d'excitation du système nerveux. C'est une thér
qu'accusait le reste du corps et ne s'accompa- gnait d'aucun autre
signe
pathologique. On peut se demander si l'épithète
- achilléens (Absence des - et des réflexes rotuliens sans autre
signe
d'affection du système nerveux), par Dupuy, 153
INIJ, 76. - (Absence des réflexes achilléens et des z sans autre
signe
d affection du système nerveux), par Dupuy, 153
ence des réflexes achilléens et des réflexes rotuliens sans autre
signe
d'affection du système ner- veux, 153. 1<'
à l'extrême exagération ; il fait remarquer l'extrême importance du
signe
de Babinski, pour apprécier ce qui revient à la m
sensitifs sont très variables; enfin, plus tard, à la constipation,
signe
précoce, s'ajoutent des troubles sphinctériens et
pation, signe précoce, s'ajoutent des troubles sphinctériens et des
signes
d'excita- tion motrice : spasmes toniques et cl
savons seulement que la spasmodicité avec exaltation des réflexes, le
signe
de Babinski et la rétention des réservoirs indi
Pott, d'après leur seul aspect clinique, en 3 groupes : 1° Cas avec
signes
de compression de la moelle ou des racines dorsal
lle ou des racines dorsales et lombaires supérieures. 2° Cas avec
signes
de compression radiculo-médullaire du cône termi-
ne termi- nal, de l'épicône et de la queue de cheval. 3° Cas avec
signes
de compression de la moelle ou des racines cervic
de compression de la moelle ou des racines cervicales. I. Cas avec
signes
de compression de la moelle ou des racines dorsal
e plusieurs examens du rachis aient permis de découvrir aucun autre
signe
de mal de Pott. Après une accalmie complète de
du sacrum : le tout s'était fait en 3 jours de temps avec fièvre et
signes
de décubitus acutus. Chipault ayant pratiqué la
-bras gauche. Deux mois plus tard, l'examen permet de constater les
signes
d'une sciatique double, avec hypoesthésie diffu
n nouvel abcès par con- gestion dans la fosse iliaque droite. Aucun
signe
rachidien. Bresci rapporte dans sa thèse (i) «
ace épidural. Le mal de Pott avait - évolué d'un bout l'autre, sans
signe
rachidien. , Citons enfin, à titre de curiosité
9 9 mois après le début on constate une paraplégie spasmodique avec
signe
de Babinski, rétention et incontinence des sphi
nant par crises, tantôt en pseudo-névralgies en ceinture sans aucun
signe
d'affection gastrique. Pendant 9 mois, ces dou-
raplégie est spasmodique avec clonus, exagé- rations des réflexes ;
signes
d'une sciatique double, hypoesthésie pour tous le
sement progressif. Mort 16 mois après les premières douleurs. Aucun
signe
rachidien. A l'autopsie (V. PI. I, fig. B), cav
moins souple que dans le jeune âge, on ne saisit pas aussi bien un
signe
précoce, très important chez l'enfant, et qui e
ique, avec contracture, exagération des réflexes rotuliens, clonus,
signe
de Babinski. Elle peut être absolue, le malade
its, car les troubles nerveux dus à un mal de Pott lombo-sacré sans
signes
rachidiens nets sont d'un diagnostic extrêmement
é était caractérisée par l'exaltation des réflexes, du clonus et le
signe
de Babinski à gauche. L'auteur diagnostique un
urtout marquée à gauche, un raccour- cissement notable du cou, sans
signes
de lésion en activité ; aux membres su- périeur
eurs, ataxie, légère parésie avec exagération des réflexes, clonus,
signe
de Babinski net à gauche, douteux à droite. Inéga
s le début, mort de tu- berculose pulmonaire. Il n'y avait d'autres
signes
rachidiens que la gêne et la limitation des mou
réflexes du poignet sont plutôt forts, réflexes rotuliens exagérés,
signe
de Babinski à gauche ; à droite on obtient l'ab
, même pour un neurologiste exercé, lorsque viennent à' manquer les
signes
de certitude de mal de Pott, c'est-à-dire les s
à' manquer les signes de certitude de mal de Pott, c'est-à-dire les
signes
rachidiens, ou bien que ceux-ci sont seulement
douleurs qui, pendant plus ou moins longtemps, peuvent être le seul
signe
. Il est classique de dire que ces douleurs ont le
a face postérieure des membres inférieurs, et qu'on trouve, soit le
signe
de Lasègne, soit la douleur à la pression du nerf
mal de Pott, quel que soit l'âge du sujet. La douleur deviendra un
signe
de bien plus grande valeur lorsqu'elle sera bilat
. Faisons observer, d'ailleurs, que, si la douleur est un excellent
signe
de mal de Pott, son siège est loin de correspon
odique des membres inférieurs : exagération des réflexes rotuliens,
signe
de Babinski, etc. 2° La paralysie flasque des m
é des membres inférieurs avec intégrité des membres supérieurs, les
signes
ressemblent beaucoup à ceux d'une myélite trans
énéral, moins douloureuse que le mal de Pott ; la cons- tatation du
signe
d'Argyll Robertson vient, dans bien des cas de sy
corroborer le diagnostic ; enfin la ponction lombaire donne un bon
signe
différentiel, lymphocytose dans la syphilis, résu
lésions dégénératives. II. Eléments du diagnostic positif. Les
signes
positifs, permettant de rapporter au mal de Pott
uberculose, les autres indiquent une lésion vertébrale : t a) Les
signes
de tuberculose sont : d'abord les signes généraux
on vertébrale : t a) Les signes de tuberculose sont : d'abord les
signes
généraux de l'in- fection tuberculeuse, quelle
- sion de la tuberculose ; si, peu de temps après, apparaissent des
signes
de compression nerveuse sans cause bien évident
e bien évidente, on doit penser au mal de Pott et en rechercher les
signes
; d'autre part, si l'état général du sujet est
valeur dans ces cas à l'épreuve de la tuberculine. b) L'étude des
signes
rachidiens annonçant le début du mal de Pott a ét
i serait à citer tout entière : L'abcès par congestion n'est pas un
signe
de début ; il correspond à un stade assez avanc
début du mal de Pott, une physionomie assez spéciale. La raideur,
signe
de début le plus banal de toute tumeur blanche, s
douleurs, pour n'y plus reve- nir : les douleurs irradiées sont un
signe
de compression radiculaire, non un signe de lés
douleurs irradiées sont un signe de compression radiculaire, non un
signe
de lésion osseuse. Il n'en est pas de même de la
uelquefois jusqu'à 38-5. Je répète encore, qu'on n'a pu trouver des
signes
de la tuberculose, ni dans les, sommets des pou
isparaissant par la pression, et qui persistent pourtant longtemps,
signe
d'une action contraire des nerfs vaso-moteurs. Et
érale. Au moins je ne saurais expliquer autrement la cyanose et les
signes
d'une action du coeur insuffisante après des effo
amais dans l'acromégalie. Vous voyez donc, Messieurs, que plusieurs
signes
, caractéristiques pour l'acromé- galie manquent
ement que notre F..., à côté d'une acromégalie partielle montre les
signes
les plus classiques de l'infantilisme. Sur- tou
s individus qui se rattachent à l'achondroplasie par un ensemble de
signes
positifs, mais s'en différencient par l'absence d
examen de notre malade fait tout d'abord reconnaître un ensemble de
signes
assez complexes et qu'on peut diviser en trois gr
nes assez complexes et qu'on peut diviser en trois groupes : 1° Des
signes
qui marquent des arrêts de développements localis
taté à plusieurs reprises ne paraît plus exister actuel- lement. Le
signe
de Babinski est en flexion et les réflexes cutané
te chez elle aucune trace de rachitisme ; il n'y a pas davantage de
signes
de myxoedème, le corps thyroïde est normal ; la
être congénitale et ne s'être révélée que tardivement par quelques
signes
subjectifs, mais ce qui établit une différence ca
un rétrécissement mitral pur : avec le rétrécissement il existe des
signes
d'une insuffisance concomitante non douteuse.
égère puisque la spasmodicité n'est pas très considérable et que le
signe
de Babinski est négatif. La ponction lombaire q
objective et ces lésions pathologiques des nerfs ajoutés à d'autres
signes
cliniques décrits (1) Le morceau du nerf enlevé
habituelle, nutrition générale satisfaisante, teint coloré. Pas de
signe
révélateur d'alcoolisme, pas de syphilis* Pas de
490). Cette suractivité fonctionnelle peut être considérée comme un
signe
de vigueur physique ; 4° L'ichthyose reconnue d
ns la jeunesse, coliques de plomb il y a deux ans. Etat actuel. -
Signes
physiques de ramollissement des .deux sommets.
l'ab- sence de réaction plantaire. 14. On constate, à droite, le
signe
de Babinski et des secousses spas- modiques dan
agencement du réseau chromatinien est beaucoup moins net. Nissl dé-
signe
sous le nom de « Gemstete Zellen » (littéralement
ent comme « une condition d'aptitude », suivant son expression. Les
signes
fondamentaux du syndrome sont constitués par une
riphériques sans que la malade ressente de douleurs bien nettes. Le
signe
de Lasègue est absent ; et s'il existe une doul
14 ; les artères périphériques dans deux cas ne présentaient aucun
signe
d'athérome, dans les autres les radiales étaien
tait le phénomène de Babinski, l'exaltation des réflexes tendineux,
signes
qui éloignent l'idée d'une affection à siège excl
men objectif peut encore lever les doutes. La recherche négative du
signe
de l'orteil ou du phénomène d'Oppenheim, l'exis
es de la cachexie démentielle sans avoir jamais présenté le moindre
signe
clinique de tabes dorsal. , A l'autopsie, l'exa
e manifestent chez un garçon qui présente en même temps deux autres
signes
indiquant un état de myopsychie de Joffroy, de pr
nglionnaires de l'un et de l'autre côté. Il pense même que certains
signes
de dégénérescence cellulaire, tels que l'excentri
à myéline de la racine sont encore intactes, et ne présentent aucun
signe
de dégénères- SECTION expérimentale DES racines
sens des attitudes segmentaires semble peu touché. Clonus du pied,
signe
de Babinski des deux côtés. Légère exagération de
une des formes de l'asymbolie. un mode d'altération de l'emploi des
signes
dont l'homme se sert pour exprimer ou pour comp
es notes comme le mathématicien entend et écrit des chiffres ou des
signes
algébriques ; le mécanisme psychologique de cel
symptôme que signalent les traités et articles classiques parmi les
signes
des hémor- rhagies protubérantielles, c'est le
oin les détails démon- tre une fois de plus comment, en présence de
signes
incontestables d'a- cromégalie, l'existence d'u
econd plan pour traiter la néphrite. Le sujet présente en effet des
signes
évidents d'acromégalie, l'aspect de sa face, de
lendemain il se plaint d'un point de côté à gauche et présente les
signes
d'un épanchement léger dans la plèvre de ce mêm
aphie de la face et de la boîte crânienne pour rechercher les trois
signes
décrits par Béclére (épaissis- sement très irré
guère faite dans le sens antérieur puisque nous ne trouvions pas le
signe
caractérique de la com- pression du chiasma à s
n traumatisme violent du rachis. A ce moment il présentait tous les
signes
d'une section complète de la moelle ; à savoir :
mmédiatement au-dessus de la région comprimée nous avons trouvé des
signes
de régénérescence nerveuse consistant dans la pré
t fléchis- seur des doigts) sont totalement abolis. La recherche du
signe
de Babinski est impossible parce que l'orteil n
a température s'élève un peu. 22. Pâleur, dyspnée ; on constate des
signes
de broncho-pneumonie à la base gauche. Pendant
LÉVY. - SYRINGOMYÉLIE OU LÈPRE '455 coutume ; un an après les mêmes
signes
de faiblesse se constatent à la main droite. La
t de compter les éosinophiles (l'éosinophilie n'été donnée comme un
signe
hématologique de la lèpre). Bien que la majorit
sente aucun symptôme anormal. Le pouls est à 90°. Il n'existe aucun
signe
clinique de chloro-anémie. ' L'examen du sang f
dée ne font qu'attirer l'attention sur elle. Toutefois, l'élude des
signes
physiques ne permet pas de conclure dans ce sens
aduit littéralement, vouloir dire : qu'il accomplisse de nou- veaux
signes
, qu'il ajoute les miracles aux prodiges ; aucun s
e nou- veaux signes, qu'il ajoute les miracles aux prodiges ; aucun
signe
(signe de puissance supérieure) ne sera plus gr
veaux signes, qu'il ajoute les miracles aux prodiges ; aucun signe (
signe
de puissance supérieure) ne sera plus grand qu'
ns la trans- mission ; douleurs fulgurantes, nystagmus, myosis avec
signe
d'Argyll- Robertson, cyphoscoliose ; hypertroph
urs avec im- possibilité de marcher la nuit. Dérobement des jambes.
Signe
de Romberg : Nystagmus dynamique. Myosis avec s
ent des jambes. Signe de Romberg : Nystagmus dynamique. Myosis avec
signe
d'Argyll-Roberlson. Surdité. Pa- ralysie de la
nformés d'une façon spéciale, il peut seulement faire quelques pas.
Signe
de Romberg très accusé. Membres supérieurs Atro
de myosis. Réflexe lumineux aboli, réflexe accommodatif con- servé (
signe
d'Argyll-Robertson). A l'état de repos, pas de
es laryngées sont loin d'être rares. En 1900 le malade présente des
signes
très nets de tuberculose pulmonaire. Il entre à
et incertaine. Impossibilité de se tenir debout les yeux fermés, -
signe
de Rom- berg. Légers mouvements cloréjformes de
cence. Incoordination marquée des membres supérieurs et inférieurs.
Signe
de Romberg très accusé. Altérations très pronon
égalité pupil- I- laire. Myosis à droite, mydriase légère à gauche.
Signe
d'Argyll-Robertson. Nystagmus dynamique. Hypert
iase. Réflexe lumineux aboli. Réflexe de la con- vergence conservé.
Signe
d'Argyll-Robertson. Acuité visuelle normale. Cham
contrac- tion (obs. II) jusqu'à l'immobilité complète de la pupille
signe
d'Argyll- Robertson (obs. I et III). Dans ce de
même Pierre Marie invoque comme une deuxième dirîérence l'absence de
signe
d'Argyll-Robertson chez ses malades, mais il a
tion ne doit-elle pas être considérée à son tour comme le début du
signe
d'Argyll et n'est-ce pas de cette façon qu'elle
te affection ne leur manque et ils ne présentent d'autre part aucun
signe
qui permette de créer une nou- velle affection.
, et cependant nous les rangeons dans le même groupe pourvu que les
signes
capitaux de la maladie soient nettement constat
uche était paralysée en adduction ; cette paralysie laryngée, et le
signe
d'Argyll-Robertson rappro- chent encore la symp
ertrophi- que de celle du tabes classique ; par contre l'absence de
signes
génito- urinaires l'en distingue nettement. L
itielle hypertrophique est une des rares'affectionsoùse constate le
signe
d'Argyll-Robertson, en dehors de la syphilis, du
en dehors de la syphilis, du tabès et de la paralysie générale. Ce
signe
existait dans deux de nos cas (obs. I et III).
de rapporter l'observation et l'autopsie(obs. I) la présence de ce
signe
a moins de valeur, puisqu'il avait contracté tr
qui n'avait pas eu la syphilis, bien qu'il n'y eut chez elle pas de
signe
d'Argyll-Ro- bertson, la réaction à la lumière
ement, absolument comme l'oedème précoce, qui est l'un des premiers
signes
d'une tumeur blanche, ou d'une coxalgie (Ménard
que réveillent des bains sulfureux : il n'y avait alors pas d'autre
signe
rachidien qu'un peu de gêne de la rotation du t
emain, paralysie complète des membres inférieurs,flasque, mais avec
signe
de Babinski. Anesthésie complète pour tous les mo
fférent. Masses musculaires légèrement douloureuses à la pression :
signe
de Lasègue net des deux côtés. Hypoesthé- sie p
res inférieurs, avec spasmodicité,exaltation des réflexes rotuliens,
signe
de Babinski bilatéral, amaigrissement diffus de
e 886 le sera bientôt). Ces. VII (n° 681). Mal de Pott sacré sans
signes
rachidiens. - Englo- bement et lésions des raci
paraît ; il meurt de broncho-pneumonie 7 mois après le début. Aucun
signe
rachidien, pendant toute l'évolution. Autopsie.
en rose par l'éosine. Ors. VIII (n° 886). Mal de Pott lombaire sans
signes
rachidiens ; syn- drome des affections de la qu
ion, conservation des extenseurs, adducteurs et du psoas-iliaque : [
signes
d'une sciatique double; anesthésie dans le domain
chexie avec fièvre hectique ; mort - 47 mois après le début. Pas de
signes
rachidiens pendant toute l'évolution. Autopsie.
Inconti- nence des réservoirs. Aggravation rapide, apparition du
signe
de Babinski, fièvre avec délire tran- quille, m
s jours, il se paralyse complètement; les réflexes sont forts, avec
signe
de Babinski bi- latéral ; à droite,hypoesthésie
membres inférieurs, très spasmodique, avec exaltation des réflexes,
signes
de Babinski et d'Oppenheim particulièrement net
. Rien aux membres supérieurs ni à la face ; myosis gauche ; pas de
signes
pul- monaires. Escarre fessière vaste et profon
du foyer, et jusque dans le VIIe segment cer- vical, on trouve des
signes
de myélite diffuse légère ; désintégration diffus
res dorsales, et cepen- dant, il n'y avait dans ce cas, aucun autre
signe
clinique de compres- sion du plexus brachial in
urs névralgiques dans le domaine des plexus lombaire et sacré, avec
signes
d'une névralgie sciatique double. Il mourut au
E 531 férieurs complète à droite, moins intense à gauche, mais avec
signe
de Babinski bilatéral sans amyotrophie. Signe d
e à gauche, mais avec signe de Babinski bilatéral sans amyotrophie.
Signe
d'Argyll,troubles sphinctériens par moments. Es
douloureuses de la Ville à la Xle .Au cou,adénopathie «scrofuleuse».
Signe
d'Argyll avec quelques secousses nystagmiforl1l
cliniquement, paraissaient indemnes ; dans l'observation VIII, les
signes
indiquaient une compression des racines lombo-s
s résultant de la confrontation des symptômes et des lésions. Les
signes
rachidiens : endolorissement à la pression, raide
t n'ont pas manqué une seule fois et constituent l'un des meilleurs
signes
, précoces. Leur constatation prend une importan
oposées comme moyens de diagnostic dans le cas de mal de Pott, sans
signes
rachidiens. Enfin, la radiographie pratiquée, d
ation. L... P...., 80 ans, industriel. Cliniquement il présente les
signes
de cardio- néphro-sclérose avec des accès d'hyp
roit et le devoir d'être plus dif- ficiles, de nous appuyer sur des
signes
positifs et de ne qualifier d'hys- tériques que
rer, avec observations à l'appui, que, dans des cas déterminés, les
signes
de l'hystérie se réunissent, se groupent chez un
ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 13 hystérique ces
signes
réunis, et l'on aura la notion véridique d'un syn
parfois il éprouve de la peine à détacher ses pieds du sol. Pas de
signe
de Romberg. La marche est possible les yeux fer
ion adonner il ses membres; il était toutefois vite fatigué. Pas de
signe
de Romberg. Les réflexes tant plantaires que rotu
le sein gauche, de la diminution de l'ouie du côté gauche, assez de
signes
, en un mot, pour que l'hystérie ne puisse être mi
pseudo-maladies organiques », pour des névroses nou- velles que nul
signe
, de l'avis de Westphal, Langer, Oppenheim, etc.,
tive, admettre comme hystériques que les malades qui en portent des
signes
appréciables. Or, c'est précisément parce que, da
du langage. Douleurs et faiblesse dans les bras. Aggra- vation des
signes
antérieurs. Deux ou trois ans avant son entrée, s
la fin d'août 1877, subitement, amélioration étonnante de lous les
signes
paralytiques. Le malade sort. Le même jour, il re
s. Etat actuel. Durant les premières semaines, on ne constate aucun
signe
évident d'affection spinale. Vers le milieu de
, que sa démarche était maladroite et qu'il était menacé de tomber.
Signe
de Romberg. Il resta peu de temps à l'hôpital.
UES « SIMULATEURS ». 17 Le 9 septembre, à son entrée, on trouve les
signes
suivants, caractéristiques de la sclérose en pl
J'écrivis au D Playfair, en lui disant que je n'avais trouvé aucun
signe
évident de lésions organiques. M. Playfair me r
argie, catalepsie et somnambulisme, caractérisées cha- cune par les
signes
somatiques'et physiques qui permettent d'écarter
physionomie dénote la tristesse. Verre jaune. Elle donne tous les
signes
d'une grande frayeur. Verre vert foncé. Sa phys
CE DES EXCITATIONS SENSITIVES ET SENSORIELLES. 79 et donne tous les
signes
d'un grand contentement. Elle regarde dans le l
in. Puis sourit et salue de la main. Tout à coup elle fait quelques
signes
de tête et agite l'index comme on fait pour fai
t quelques signes de tête et agite l'index comme on fait pour faire
signe
à quelqu'un de venir vers soi ou de s'arrêter; al
s gouttes de sirop de gro- - seilles; aussitôt elle se met avec des
signes
de contentement à porter à sa bouche un verre i
à porter à sa bouche un verre imaginaire et à boire. Puis elle fait
signe
qu'elle en a assez, qu'elle n'en veut plus. Enf
orsqu'il ne 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. donne les
signes
extérieurs que de sentiments simples tels que le
sera un indice impor- tant surtout s'il paraît en harmonie avec les
signes
qui dépendent des localisations des altérations
peut se maintenir ainsi relativement longtemps sans présenter aucun
signe
de fatigue, ni d'asphyxie. Même lorsqu'il parle
e l'atrophie partielle du nerf optique. du nystagmus. A côté de ces
signes
qui rendaient certain le diagnostic de sclérose e
ous aurez à signaler probable- ment la coexistence de quelque autre
signe
univoque de l'hystérie z. » B. Dire si le compl
HYSTERIQUES « SIMULATEURS ». 135 C'est là, jusqu'à nouvel ordre, un
signe
d'une haute importance. Il manque dans le syndr
ait sortir des limites de notre cadre que d'approfondir l'étude des
signes
qui permettent de localiser, sur la hauteur du ra
La distribution seule de l'anesthésie suffirait, à défaut d'autres
signes
, pour pei mettre de reconnaître la. paraplégie
rs, il faut donc penser à l'hystérie. Il n'est peut-être qu'un seul
signe
qui permette d'affirmer, à coup sûr, la présence
une lésion médullaire. En somme, on peut admettre trois groupes de
signes
différentiels. Pour la lésion spinale, on aura
de signes différentiels. Pour la lésion spinale, on aura : 1° Des
signes
de présomption : atrophie musculaire, incontinenc
algie osseuse, abolition des réflexes, troubles électriques; 2° Des
signes
de qltasi-certitude : eschares, cystite purulente
es signes de qltasi-certitude : eschares, cystite purulente; 3" Des
signes
de certitude : distribution de l'anesthésie cutan
ur la parésie des membres supérieurs. État actuel (juin 1890). Le
signe
le plus frappant est le double ptosis, qui est
périeur est impuissant à mettre en mouvement. On ne constate pas de
signe
bien net de paralysie faciale nucléaire. Le fro
e de l'orbiculaire des paupières. Mais on peut constater quelques
signes
, peu accentués à la vérité, de paralysie bulbai
et les réflexes cutanés paresseux. Et cependant n'y a ni ataxic, ni
signe
de Romberg, ni troubles de la sensibilité. L'état
nser à un tabes dorsal comme dans le cas de Westphal; mais tous les
signes
de cette affection font défaut. La perte des ré
ssement dans les mains, ni douleurs en éclair dans les pieds; aucun
signe
d'ataxie locomotrice. 1. John Bristowe, Cases o
rps. Il s'approchait dé chaque malade, lui traçait sur le visage le
signe
de la croix avec la main droite, en allant du f
ment concentrique et permanent du champ visuel (examen du 26 août),
signes
qui faisaient encore défaut à l'époque où le ma
s que cette réaction faisait complètement défaut. L'ab- sence de ce
signe
n'est donc pas suffisante pour éloigner l'idée d'
tableau cli- nique. Il est inutile d'insister sur la valeur de ces
signes
tant positifs que négatifs au point de vue du d
it être toujours possible, sinon facile, on s'appuiera sur quelques
signes
, qui, soit isolément, soit dans leur ensemble, pr
nomènes de paralysie bulbaire inférieure sont venus s'adjoindre les
signes
qui caractérisent la lésion de la moitié supéri
olioencéphalite et nous avons constaté aussi chez nos malades, deux
signes
qui sont constants dans la myopathie et qui son
constants dans la myopathie et qui sont même considérés comme des
signes
diagnostiques de cette dernière affection. Nous v
te pour l'oeil gauche, et diplopie. On constatait en outre tous les
signes
d'une paralysie bulbaire infé- rieure qui s'éta
le diagnostic avec quelques développements si l'on n'y trouvait un
signe
bien caractéristique qui est la dissociation part
n caractère presque pathognomonique de cette affection. Une fois ce
signe
constaté on ne sera plus embarrassé pour explique
, scoliose, habituels dans la syringomyélie. Il n'est pas jusqu'aux
signes
oculaires qui ne permettent de différencier net
rs reconnaître assez facilement en somme, grâce à l'ensemble de ses
signes
très parti- culiers et qu'on ne rencontre ainsi
plomb, mais il y a bien des années qu'elles n'ont point reparu; les
signes
d'intoxication font défaut; enfin son atrophie
subaiguë, la mort parait fatale dès que se manifestent les premiers
signes
de paralysie bulbaire. Dans le cas contraire, il
umeau, une atrophie des nerfs optiques, de violentes céphalées, des
signes
d'ataxie et de la paresthésie. Mort après sept an
ement de la vue; depuis six mois, douleurs ful- gurantes. Outre les
signes
habituels de l'ataxie, il présente les symptômes
persiste et le malade a la notion de la position de ses membres. Le
signe
de Romberg est très net, ainsi que la suppression
médecin, qui accompagne le général en chef, veut lui faire voir le
signe
caracté- ristique du mal, le bubon. Sur son ord
articuler, faire les sutures, sans que le malade ait donné le moindre
signe
de souffrance, sans qu'il ait souffert le moins
ndti, autant de troubles de développement et devien- nent ainsi des
signes
d'infériorité individuelle. Néanmoins, à mon se
icile à vivre, etc.), une toux aboyante survenant par accès et sans
signe
d'auscultation (elle existe encore aujourd'hui).
le bras droit. Les membres illfé- rieurs sont complètement raides.
Signe
de Brodie au niveau des articula- tions du geno
rhythmée. Nous l'avons vue le 10 août 1890 et nous avons trouvé les
signes
suivants : Troubles de la sensibilité. Hyperest
d'abasie en un mot. Outre ces troubles moteurs et sensitifs et ces
signes
probables d'hérédo- syphilis, la malade présent
plus scrupuleuse exactitude. On reconnais- sait à première vue les
signes
caractéristiques de cette terrible maladie. Sur
pour le lépreux d'Albert Durer, le mal est reconnais- sable à deux
signes
caractéristiques. On constate, en effet, sur le c
uvert, les plaies ulcéreuses et les tubercules. En second lieu, les
signes
de l'atrophie musculaire sont indiscutables. Si l
bien en lumière et cela d'une façon presque schématique deux grands
signes
de la lèpre pris sur le vif et si bien représenté
sensibilité à la douleur. Léger degré,de der- mO{fraph ie. Aucun
signe
de rachitisme. La concavité sternale débute au
ndouzy sous le nom de camptodactylie et considérée par lui comme un
signe
d'arthritisme'. Du côlé gauche, les os de l'ava
ne qui, comme tous nos malades précédents, ne pré- sentait point de
signe
de rachitisme et n'avait subi aucun traumatisme t
avec violence dans le cinquième espace intercostal et présente les
signes
d'un rétrécissement aortique avec hypertrophie !
e tableau précédent résume, au point de vue de l'état mental et des
signes
physiques de dégénérescence, les traits caractéri
e, une malformation de plus à ajouter au tableau déjà si chargé des
signes
physiques dégénératifs du malade. Cependant on co
étudié la poitrine en entonnoir n'ont trouvé chez leurs sujets des
signes
de rachitisme, lundis qu'ils ont pu constater p
e et de l'autre. Il ne se traduit, dans l'état ordinaire, par aucun
signe
objectif; le malade qui en est atteint con- ser
nt les suivants : 1° Exaltation des réflexes tendineux. C'est là un
signe
constant. Je n'ai jamais vu la diathèse de cont
ence rend compte des récidives fréquentes : sa dispa- rition est le
signe
de la guérison définitive. La diathèse de contr
t excellente, sauf la sensation perma- nente de froid. Il n'a aucun
signe
d'affection cardiaque ou pulmonaire. Le 12 nove
et demi vient nous voir assez régulièrement et n'a jamais eu aucun
signe
qui puisse faire penser il quoi que ce soit de
rophie musculaire n'est pas rare dans l'hystérie. Le décubitus avec
signes
généraux graves, serait caractéristique de l'orga
ents du diagnostic. Lorsqu'en fin de compte, on ne constatera aucun
signe
pathogno- monique de myélite, et que le malade
paraplégie monosymptomatique et procéder par exclusion. L'étude des
signes
actuels, des commémoratifs et de l'évolution le c
. 380 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Presque tous les
signes
de la série tabétique peuvent se retrouver dans
ans la névrose la perle ou la diminution des réflexes rotuliens, le
signe
de Romberg, etc. Il n'en faut pas davantage p
induration grise du nerf optique, les arthropathies déformantes, le
signe
d'Argyll Roberlson, les fractures spontanées...
ntanées... qui restent, dans l'espèce, l'apanage du tabes. Mais ces
signes
spé- ciaux, ces stigmates sont inconstants dans
ous ou presque tous leur sosie dans l'hystérie. Si l'on combine les
signes
de la série tabétique de mille manières, on aur
sont des exemples. D'autre part, Angèle P... ne présente aucun des
signes
spéciaux du tabes, aucun « stigmate tabétique »,
abes, aucun « stigmate tabétique », à savoir : atrophie papillaire,
signe
de Robertson, de Weslphal, etc. Elle n'a du tab
étention d'urine, paresse pupillaire, amblyopie et achroma- topsie,
signe
de Romberg, etc. Et cependant il ne saurait êtr
çon très modérée. L'eaopUlbalmie est double et très manifeste, sans
signe
de de Graefc. Cetle saillie oculaire s'accentue a
en ceinture, des douleurs rachidiennes, des crises gastriques, les
signes
de Romberg et de Westphal, des troubles oculair
e et la maladie de Basedow suffisent amplement à expliquer tous les
signes
constatés chez ce malade; les douleurs, les cri
e malade; les douleurs, les crises gastriques, l'incoordination, le
signe
de Romberg, se voient assez souvent dans la név
mberg, se voient assez souvent dans la névrose hystérique. Reste le
signe
de Westphal. Mais on sait que les réflexes rotu
e avec troubles dans la sensibi- lité. L'incoordination motrice, le
signe
de Romberg, les douleurs dans les membres infér
tes, les troubles oculaires, vésicaux, sont absents. L'existence du
signe
de Westphal n'y est pas mentionnée. Par contre, i
erveux central ne se tra- duisent pas forcément en clinique par des
signes
révélateurs. D'autre pari, une malade qui prése
ire. Le tabès est-il primitif ? On peut voir exceptionnellement les
signes
tabétiques s'atténuer; règle générale ils ne so
vulgaires de l'ataxie locomotrice progressive, un ou plusieurs des
signes
en quelque sorte pathognomoniques du tabès : «
abès : « stigmates tabétiques », tels que : atrophie de la papille,
signe
d'drgyll Roberlson, signe de Westphal, lésions
ues », tels que : atrophie de la papille, signe d'drgyll Roberlson,
signe
de Westphal, lésions osseuses et articulaires (fr
stérie et absence de « stigmates tabétiques ». Il n'y a ici que les
signes
vulgaires, « superficiels » de l'ataxie locomotri
s viscérales, incoordination motrice, troubles vésicaux, etc., tous
signes
qui peuvent avoir leur représentant dans la név
toujours des nuances qui trahissent la névrose hystérique. (b) Le
signe
de Romberg n'est pas un signe différentiel; il ex
ssent la névrose hystérique. (b) Le signe de Romberg n'est pas un
signe
différentiel; il existe dans la névrose et dans
nous semble inutile d'ajouter que la recherche des antécédents, des
signes
concomitants, des anamnestidues est un complément
égénérescence dans les masses musculaires en voie d'atrophie est un
signe
commun aux amyotrophies spinales et aux atrophi
sur l'hémalo- myélie centrale, qui se traduit cliniquement par des
signes
identiques à ceux de la gliomatose. Que les lés
t qu'on peut invoquer en faveur de l'hystérie un certain nombre des
signes
présentés par cette malade, il incline à penser q
fonde ce diagnostic sur les raisons suivantes : 1° Sur l'absence de
signes
franchement hystériques; 2° Sur le caractère né
le complexus morbide, sous peine d'attribuer à la syringomyélie des
signes
qui appartiennent il la névrose hystérique, et
erve dans les entreprises chirurgicales, tant qu'il n'existe pas de
signes
de com- pression. La coexistence de lésions p
d'aide et ils peuvent mar- cher sans s'appuyer sur une canne. Le
signe
de Romberg et les paresthésies s'amendent considé
l Clarke (31) insiste surtout sur l'amélioration de la marche et du
signe
de Romberg, et ne place qu'en seconde ligne la
souvent le retour du sommeil, l'amélioration de l'état général, du
signe
de Romberg et des troubles de la miction. Ils n
malade que' s'apprête à recevoir son valet magnétiseur. En haut les
signes
du Zodiaque couverts de nuages, allusion à la t
ette à paresser. Sensibi- tité spéciale et générale normales. Aucun
signe
d'hystérie. Som- meil bon, naturel. Sentiments
neux et de couleur rouge brun, et on trouvait vers leur surface des
signes
de néphrite inters- titielle au début. Les memb
de l'oeil qui, au début, pouvait fort bien représenter les premiers
signes
de la papille étranglée, firent, 62 REVUE D'ANA
mais nerveux, l'acuité visuelle est diminuée, il y a une ébauche de
signe
de Romberg et une légère altération de l'écritu
ue, mais les réactions vestibulaires sont intactes, il n'y a pas de
signes
cérébelleux, pas de paraphasie, '64 , SOCIÉTÉS
ite hypertrophique serait donc la seule affection pouvant donner le
signe
d'Argyll sans syphilis. M. Meunier communique u
âge dans un état de déchéance navrante présentent dix ans après des
signes
d'une simple arriération. Cette distinction de M.
l étudie la séméiologie des systèmes de la moelle, c'est-à-dire les
signes
auxquels on reconnaît le siège de l'altération
ation de tous les réflexes tendineux sans trépidation spinale, sans
signe
de Babinski. Asynergie cérébelleuse à droite. T
t certains d'entre eux il nous a été possible de retrouver d'autres
signes
indiquant la participation du sys- tème nerveux
E. du Nystagmus simples aux formes rendues plus complexes par les
signes
nouveaux qu'ils présentaient à l'examen. Bien q
s, bouche etc.), pas de pla- ques ptérygoïdiennes de Parrot. Pas de
signes
morbides dans les poumons ou au coeur, pas de p
des réflexes iriens. En résumé, sur 4 sujets, 3 présentent déjà des
signes
indéniables d'altérations du système nerveux cent
bien constituée sans tare organique : elle ne présente pas d'autres
signes
que des dents crénelées avec une den- tition lé
Il n'existe pas de trépidation épileptoïde du pied. 11 n'y a pas de
signe
de Babinski. Les réflexes oMo'6[)tte ? ! S sont
e clonus du pied qui ne se reproduit pas au deuxième examen. Pas de
signe
de Habinski. A un nouvel examen on constate tou
? Cette opinion est inadmissible parce qu'en dehors de l'absence de
signes
plus caractérisés de cette dernière affection,
oppe- ment du système nerveux central a entraîné l'apparition des
signes
morbides. C. Nystagmus essentiels familiaux.
ellaires sont normaux. Il ne présente pas de troubles nerveux ni de
signes
d'une affection des centres ner- veux. Il off
ôté. Il n'y a pas d'atrophie, pas de modifications du thorax, aucun
signe
de troubles du côté du système nerveux. Obser
eures sont écartées les unes des autres. L'enfant ne présente aucun
signe
anormal au coeur ni aux poumons. Il n'a pas de
es. Le réflexe palellaire gauche est plus mar- qué qu'à droite : ce
signe
est surtout sensible quand on percute les réfle
deux ou trois mouve- ments de trépidation épileptoïde très nette.
Signes
cérébraux. L'enfant s'est bien élevé, est venu au
os observations, on verra que le plus souvent se surajoutent à ce
signe
primordial des manifestations nerveuses de même
symptôme (tremblement) isolé ou associé à plus ou moins d'autres
signes
nerveux surajoutés. 1 Une pareille classificati
vue physique. Les organes sont sains ; l'urine est normale; pas de
signes
d'hystérie ; une morsure profonde de la langue;
apportée pour mieux juger mon état ». Enfin, ne trouvant plus aucun
signe
de vie dans Thérèse, on fut si persuadé de son
ablement parce qu'il est moins volatil. G. Deny. XIV. A propos du
signe
de Ch.-Bell dans la paralysie faciale péri- phé
côté malade, étaient tout différents de ceux qui caractérisent les
signes
de Ch. Bell : le globe oculaire au lieu .de se
rait volon- tiers une lésion, sans oser l'affirmer, en l'absence de
signes
objec- tifs. Les auteurs donnent le détail des
mission par les os est très raccourcie, alors qu'il n'existe pas de
signes
d'une affection de l'oreille interne et que l'a
ntal Science, octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-sept ans; comme
signes
de syphilis congénitale, on trouve le crâne vol
noduleux avec nombreuses cicatrices pigmentées sur leurs crêtes.
Signes
de nanisme. Au point de vue mental, n'a pu appr
s l'autre le mari était tabé- tique et la femme présentait tous les
signes
d'une myélite de' la région lombaire. Chez aucu
rapportés dans cette note concernent des femmes ne présentant aucun
signe
d'hys- térie et qui avaient subi une interventi
ait perdu beau- coup de son poids : les urines étaient normales. Le
signe
de Rom- berg était légèrement accusé, le réflex
l'état mental des aliénés avec conscience de leur état, l'étude des
signes
physiques de la folie raisonnante, celle de cer
on suprême hommage à Jules Falret. La séance est ensuite levée en
signe
de deuil. Délire et insuffisance hépatique. M
llet et Matrice Faure, MM. Vigouroux et Juquelier rap-' pellent les
signes
habituels (cliniques et urinaires) de la petite
cosurie alimen- taire, etc). - Ils ont retrouvé la plupart de ces
signes
chez des sujets présen- tant des troubles psych
également intermittents d'insuffisance hépatique; 3° Celles où des
signes
d'insuffisance hépatique s'observent chez des d
inations, perte de conscience, agitation motrice et automatique).
Signes
physiques de démence précoce. M. IASSELO4, au n
, au nom de M. Sérieux et au sien, fait une commu- nication sur les
signes
physiques de la démence précoce. D'après - SOCI
oté aussi parfois du dermographisme. M. Séglas ne croit pas que les
signes
physiques de la démence précoce aient une const
ontre, en général exagérés, surtout chez les catatoniques. Pour les
signes
pupillaires, il faut craindre des erreurs possi
il admet cependant la fréquence de la dilatation pupil- laire ; les
signes
pupillaires sont d'ailleurs variables et probable
cas analogue à cette dernière observation. M. ÏRÉNEL pen-e que les
signes
pupillaires sont peut-être moins importants que
oraux et de la cyanose des mains, ni l'un ni l'autre ne portent des
signes
de rachitisme. OEeH : e hystérique. M. DurouR
n de volume du coeur à la suite d'efforts. L'accès terminé tous les
signes
d'insuffisance tri" SOCIÉTÉS SAVANTES. 177 cu
mment avec de la guimauve pour que le malade puisse les écarter. Ce
signe
est presque tou- jours fâcheux, car la plupart
rerait, puisque je ne pouvais l'en empêcher, je fisse contre lui un
signe
de mépris. » Or le remède que ce confesseur con
m'était un extrême supplice de me servir à son égard de la higa, ce
signe
de moquerie, 'et l'on m'aurait plutôt mise en p
a pensée est mesurée, analysée dans sa genèse et dans sa structure.
Signe
des temps : on voit des Facultés des Lettres el
ine hystérique, neurasthénique, si on doit le classer au nombre des
signes
de l'angoissé, de l'abou- lique, de l'obsédé, e
meil hypnotique. Cette modification de la tension artérielle est un
signe
objectif indéniable de la réalité de l'hyp- not
pour quelques-uns mêmes les portes restent ouvertes. Ce sont là les
signes
d'une louable tendance à se rapprocher de la vie
uxième étage dans la rue. Minodier donnait depuis quelque temps des
signes
de dérangements cérébraux et avait dû cesser to
re est informe; prié d'écrire son nom, le malade trace une série de
signes
incompréhensibles dont la première lettre le G
pérature oscille autour de 38° : quelques râles de bronchite et des
signes
de congestion pulmonaire. Le 18, la température
d'un certain degré d'hébétude. Néanmoins, loin de s'améliorer les
signes
démentiels et moteurs s'aggravent et l'autopsie n
quide céphalo-rachidien est le plus constant et le plus précoce des
signes
physiques de la paralysie générale, et sa décou
ces malades est entré à la cli- nique il y a sept ans avec tous les
signes
de la paralysie générale, puis après une périod
o-pédagogique1 doit être faite dès que l'on a remarqué les premiers
signes
de l'idiotie, au plus tard, à deux nzzs. Plus o
UD. Les deux frères dont il s'agit présentaient l'un et l'autre les
signes
très nets de paralysie géné- rale, embarras de
paralysie géné- rale, embarras de la parole, inégalité pupillaire,
signe
d'Argyll, perte de la mémoire, idées délirantes
ait chez les héréditaires vésaniques. M. de Penm (de Bordeaux). Des
signes
somatiques peu accu- sés, un délire faiblement
constances de l'infraction et dans l'interrogatoire du prévenu; les
signes
d'un trouble mental possible. Il me semble que
entraînés. Extension durable ou prolongée du gros orteil associé au
signe
de Babinski. M. Pailiias (d'Albi). -J'ai eu l
, de la façon la plus nette, la réaction réflexe qui caractérise le
signe
de Babin : ki. - L'intérêt de ces observations
ons m'a paru résider : : 1° dans la cor- rélation existant entre le
signe
de Babinski et cette extension durable ou prolo
ne am- plitication ou une exagération, en durée surtout, de ce même
signe
2° dans le fait que l'extension du gros orteil
l semble établir, par assimilation, la véritable significa- tion du
signe
de Babinski, en le représentant comme un indice
ées, puisque dans deux cas d'hémiplégie complète, nous avons vu ces
signes
s'ac- cuser bien plus du côté non paralysé. 3
ncernant une femme de trente ans qui s'est présenté à nous avec les
signes
, somatiques et psychiques, de la paralysie géné
urs « idées corollaires », et insiste tout particulièrement sur les
signes
physiques, sur l'anxiété, l'insom- nie, la cons
s. Les antécé- dents psychopathiques antérieurs sont fréquents. Les
signes
somatiques sont moins accusés au début. Le déli
mposer à tout son entourage; elle en présentait, du reste, tous les
signes
extérieurs : gonflement des seins, aug- mentati
nion de Short Lunier et Feré. SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 391.. u Sur le
signe
pupillaire cl'lrgyll-Ro6erssou. , , 11111. CI :
ouver un réflexe paradoxal de la pupille. Dans le tabes, lorsque le
signe
Cl'1L·gyll était unilatéral, toujours ils ont tro
x réflexes. Mais ils ont particulièrement' envisagé les rapports du
signe
d'Argyll et de la syphilis. Ils n'ont jamais tr
rts du signe d'Argyll et de la syphilis. Ils n'ont jamais trouvé le
signe
au cours de la sclérose en plaques (35 cas), de
de névrite interstitielle hypertro- phique et de syringomyélie avec
signe
d'Argyll et sans syphilis. Mais dans la pratiqu
ne d'Argyll et sans syphilis. Mais dans la pratique, la présence du
signe
d'Argyll doit faire soupçonner la syphilis, sel
e par l'anatomie pathologique, il faudrait plutôt admettre que le
signe
d'Arcyll dénonce un tabes ou une paralysie généra
nte-cinq ans; la ' veuve Citéron, journalière, ayant déjà donné des
signes
d'aliénation 'mentale, est disparue de son domi
(Progrès de l'Eure, 8 août). Comme cette femme avait déjà donné des
signes
de . folie, elle aurait dû être hospitalisée à
nvier 1902. : J... R... est devenue maussade, donne fréquemment des
signes
d'impatience, de nervosité, ne dort plus, est a
t assez fré- quemment confondues ; il existe cependant une série de
signes
qui i permettent de les distinguer : l'auteur l
'une façon cons- tante au tronc et peuvent être considérés comme un
signe
initial du tabes. 5° Des troubles de la sensibi
idal gauche n'a été interrompue, pas une seule ne montre le moindre
signe
de dégénérescence secondaire. Pour ex- pliquer
longtemps de crises d'épilepsie, mais présentant en même temps des
signes
manifestes d'hystérie. D'autres améliorations n
tération est absolument généralisée dans un cas où, d'ailleurs. les
signes
cliniques furent très accusés; elle est plus di
rent très accusés; elle est plus discrète dans le second cas où les
signes
cliniques furent moins accusés. Les observation
nt, à la physionomie inintelli- gente et quelque peu bestiale, sans
signes
de dégénérescence net- tement accusés. Archiv
e décèle à ce moment aucun symptôme objec- tif intéressant. - Les
signes
suhjectifs sont nuls, ce qui est compréhensible,
que c'en était pourtant une et donna les raisons de l'anomalie des
signes
objec- tifs et des degrés thermiques. §4. AUT
ont manqué par suite de la très faible sensibilité du sujet. Les
signes
donnés par la percussion furent négatifs et les
sujet. Les signes donnés par la percussion furent négatifs et les
signes
stéthoscopiques peu nets, à cause de la localisat
et acquérir ainsi une valeur aussi grande pour le diagnostic que le
signe
de Babinski. Pourquoi ce réflexe se produit-t-i
rmi ceux qui, dans leurs premières années, n'ont jamais présenté un
signe
quelconque de trouble moral ou d'anomalie intel
, 1 m. 94, à vingt-sept ans, 1 m. 99. Il présente en outre tous les
signes
de l'infantilisme. L'unique testicule qui occupe
ssAUD présente un malade de cinquante-trois ans atteint de tous les
signes
objectifs de la sclérose en plaques et sujet en
dix ans qui, après avoir présenté, durant un mois et demi, tous les
signes
d'une méningite tuberculeuse classique, parut c
'enfant mourut subitement par asphyxie d'origine bulbaire, avec des
signes
absolument analogues à ceux que provoquent les
paraissant à la suite de deux ictus surventes dans la même journée.
Signe
des orteils. M. Dufour. La paralysie pseudo-bul
complète, sauf l'existence d'uie légère faiblesse du côté droit, du
signe
des orteils de Babinski, mais avec disparition de
dique, qui ont rétrocédé incomplètement dans la suite, laissant les
signes
très nets de la paralysie pseudo-bulbaire. -
issant les signes très nets de la paralysie pseudo-bulbaire. - Le
signe
des orteils de Babiiiski,qtii a accompagnéchaque
raitre, faisant place à la trépidation spinale. Je me demande si le
signe
de Babinski, qui n'existe pas de l'avis de son
tonicité musculaire. En un mot, l'hypothèse serait la suivante : le
signe
des outils est liée à des phénomènes de paialys
itation de la voie motrice. M. BAR)NSKt insiste sur le point que le
signe
qui porte son nom caractérise la lésion pyramid
tabétiques, en particulier, ne le présentent pas; c'est donc là un
signe
qui peut contribuer à distinguer de l'ataxie tabé
rin, âgé de quarante-deux ans, don- nait, depuis quelque temps, des
signes
d'aliénation mentale. Or, hier, dans l'après-mi
du suicide, par \\-ood et Urquhart, 157. Argyll ROBERTSON. Sur le
signe
pupillaire d' -, par Cestan et Dupuy-Dutemps.
1131N1,1, Voir 7fe'/<ee. Voir Gros orteil. liEI.L. A propos du
signe
de - dans la paralysie faciale périphérique,
ce. Altérations pathologiques dans- la ? par J. Sltaw Hotron, 53.
Signes
physiques de pré- coce, par Masselou et Sérieux
gles, 46. Gros orteil Extension durable ou prolongé du associé au
signe
de L3alïnsl : i, par Pailhas, 3j9. Hallucinat
ille, 53. pseudobul- baire chez un jeune homme de vingt-huit ans.
Signe
des orteils par Dufour. 535. I'dR.111'oULOVUS
ès rarement noté. Nous n'avons point recherché chez notre malade le
signe
de Kernig, et il est probable que cette recherc
é très nette dans notre cas, nous paraît devoir consti- tuer un bon
signe
diagnostique de l'hémorrhagie méningée d'avec l
s années sont restés à la phase initiale bien qu'ils présentent les
signes
physiques caractéristiques de la paralysie géné
urant la grossesse, Accouchement et naissance, rien de particulier.
Signes
d'idiotie à l'âge de trois mois. Séries de conv
. L'un de ses enfants est mort à dix-neuf mois : « Il n'avait aucun
signe
d'intelligence ; il était comme mon enfant. » Rie
orts. Point de vertiges ni de secousses. Jamais Gro... n'a donné de
signes
d'intelligence ni parlé. Il res- tait toujours
3 34 RECUEIL DE FAITS. 20-26. Aggravation des symptômes généraux.
Signes
de tuberculose pulmonaire. - Mort le 5 mai. D
n cas de folie de la puberté, car le malade ne présentait aucun des
signes
de cet état de transition; il faut donc admettre
nt aux simples buveurs d'habi- tude qui ne présentent pas encore de
signes
d'intoxication spéci- fique, ils ne peuvent êtr
ne organique centrale, ce que vient corroborer la présence d'autres
signes
de lésion des centres nerveux tels que affaibli
porte le cas d'une jeune fille de dix-sept ans, morte avec tous les
signes
d'une tumeur cérébrale. A l'autopsie : épithéli
ige lit pour M. Vihes, de Montpellier une intéressante étude sur le
signe
des orteils de Ilalil1ski. M. Touche présente l
rvient un état de mal au cours duquel pendant une crise Léonie fait
signe
avec son bras droit encore libre que le 100 THÉ
'intervention chirurgicale se justifiait pleinement. Seuls quelques
signes
de dégénérescence (oreilles, voûte palatine) et
ervention. PATHOLOGIE NERVEUSE. Méningo-myélite syphilitique avec
signe
d'Argyll-Robertson ; Par CESTAN. Chef dç cl
mond, quatre malades atteints de méningo- myélite syphilitique avec
signe
d'Argyll-Robertson. Observation Il Lej ? cinqua
une lourdeur lombaire. Le réflexe crémas- térien est conservé et le
signe
de Romberg fait défaut. 11 n'existe ni atrophie
dans le tabes ; d'ailleurs nous trouvons très nettement à droite le
signe
d'Argyll Robertson ; il est impossible, de par
ens articulaire conservé ; absence d'incoordi- nation motrice et de
signe
de Romberg. Absence d'atrophie mus- culaire et
re l'absence de nystagmus et de diplopie, mais, met en évidence, le
signe
cl'Argyll-Itoùerlsozz ; le fond de l'oeil est n
rine. Enfin les deux yeux sont en myosis et présentent nettement le
signe
d'Argyll l1obcrtson. Observation IV. - Can...,
mais les deux pupilles sont ovaluires, en myosis et pré- sentent le
signe
d'Argyll-Robertson. En résumé, nos 4 malades so
e, l'exagération des réflexes tendineux, la trépidation spinale, le
signe
des orteils de Babinski, les troubles urinaires
m- baires ; d'autre part, l'aspect tabétiforme par la présence du
signe
d'Argyll-Robertson. Comment pouvons-nous interpré
udo-tabéti- que, mais par l'existence de troubles sphinctériens, du
signe
de Romberg et de douleurs fulgurantes associés
surlout mettre en lumière, nos malades diffèrent de ce type par un
signe
nouveau, le signe d'Argyll-Robertson. Certes,
lumière, nos malades diffèrent de ce type par un signe nouveau, le
signe
d'Argyll-Robertson. Certes, nous ignorons enc
rtes, nous ignorons encore le mécanisme pathologique qui produit ce
signe
. Ne faudrait-il pas, d'ailleurs, en pre- 108 PA
thique nous démontrent que la sympathectomie ne détermine jamais le
signe
d'Argyll- Robertson, mais uniquement du myosis
puisque leur malade, syringomyélique, présentait du côté gauche les
signes
de la lésion du grand sympathique (myo- sis, di
rand sympathique (myo- sis, diminution de la fente palpébrale, sans
signe
d'Argyll); du côté droit, au contraire, le sign
e palpébrale, sans signe d'Argyll); du côté droit, au contraire, le
signe
d'Argyll-Robertson. Ainsi nous ne pouvons suppo
re, le nombre des maladies au cours desquelles. on peut observer le
signe
d'Argyll. Or, M. Parinaud dit l'avoir observé d
groupes. Au contraire, tous les neurologistes reconnaissent que le
signe
d'Argyll est un des meilleurs signes du tabes e
rologistes reconnaissent que le signe d'Argyll est un des meilleurs
signes
du tabes et de la paralysie générale. Or, il ne
entier, dans la syphilis héréditaire ou acquise, ont pu observer le
signe
d'Argyll en dehors de tout autre trouble du sys
s lors, faire de la syphilis la cause fréquente, sinon exclusive du
signe
d'Ar- gyll, problème très important que des rec
x chez nos malades, la syphilis créant la myélite spasmodique et le
signe
d'Argyll, ce dernier, par une lésion encore inc
ne lésion encore inconnue. Cependant nous ferons remarquer que ce
signe
n'a été que très rarement observé au cours des my
tabétiques. On peut bien observer chez des ataxiques l'existence du
signe
d'Argyll Robertson avec la persistance ou l'iné
ons jamais constaté ni l'exagération des reflexes rotuliens ni le
signe
des orteils de Babinski ; nous avons examiné une
se manifestait par la flexion du gros orteil, de telle sorte que le
signe
de Babinski, comme nous l'avons montré dans des
cléroses médul- laires combinées, et se manifeste uniquement par le
signe
des orteils de Babinski. Mais il en est tout au
uvons, par suite, supposer que nos malades sont des tabétiques avec
signe
d'Argyll et persistance des reflexes ten- dineu
yramidal va se scléroser, ils seront des lors des spasmodiques avec
signe
d'Argyll. Très rarement la lésion du faisceau p
ainsi une hémiplégie ou une diplégie cérébrale syphi- litique avec
signe
d'Argyll, comme nous avons pu en obser- ver un
é- sente des douleurs fulgurantes, des troubles sphinctériens, le
signe
de Romberg, le signe d'Argyll ; fait ensuite une
rs fulgurantes, des troubles sphinctériens, le signe de Romberg, le
signe
d'Argyll ; fait ensuite une hé= miplégie cérébr
cérébrale, paralysie qui évolue avec des douleurs fulgurantes et le
signe
d'Argyll. Mais nos 4 malades sont des spasmodiq
ignalées des observations de paraplégie spasmodique forme Erb, avec
signe
d'Argyll. Le plus souvent on décrit soit des my
les deux hypothèses qui nous permettent d'expliquer la présence du
signe
d'Argyll chez nos deux ma- lades, d'une part qu
ésence du signe d'Argyll chez nos deux ma- lades, d'une part que ce
signe
soit créé par la syphilis en dehors de toute lé
de lésions tabeliformes avec des lésions de myélite transverse, le
signe
d'Argyll dénonçant l'altération des cordons pos
l'altération des cordons postérieurs, la trépidation spinale et le
signe
des orteils, de Babinski, celle du faisceau pyram
ion morbide, para- plégie spasmodique progressive syphilitique avec
signe
d'Argyll-Robertson. RECUEIL DE FAITS. Folie
ids et la taille ont aug-' menté. Jamais nous n'avons observé aucun
signe
d'hystérie, contrairement à la mention du certi
109.) Homme cinquante-trois ans ; troubles présentant d'abord les
signes
de la paralysie générale et enfin ceux d'une tume
.) Malade atteint d'alrophie double de la papille. Il présente le
signe
de Bomberg d'une manière très accentuée, et tombe
aduelle de la vue. Le Dr H ? I. Thomas, de Baltimore a rencontré ce
signe
de Romberg deux fois chez des aveugles. Le D1'
OLOGIE NERVEUSE. il ne peut pas parler, mais se fait comprendre par
signes
. Le bras et la jambe droits sonttrès affaiblis.
« infan- tilisme thyroïpnve ». Les antécédents s'accordent avec ces
signes
pour diagnostiquer ce genre d'infantilisme, qui
tômes classiques du tabes ; immobi- lité fixe réflexe des pupilles,
signe
de Westphal (unilatéral). Les symptômes relatif
ion de M. le Dr Déjeune. La seconde malade chez laquelle on voit ce
signe
aussi très nettement est une tabétique du service
mènes. Permettez-moi encore quelques mots sur l'explication de ce
signe
. - Le rétrécissement pupillaire qui accompagne
tiques. M. Babinski présente deux malades présentant d'une part des
signes
de tabes, abolition des réflexes, troubles de l
che, troubles capillaires, douleurs fulgurantes et d'autre part des
signes
de néoplasme syphilitique intracranien. Ces der
, rue de Cha- 186 VARIA. renton, donnait depuis quelque temps des
signes
d'aliénation mentale. Ce malheureux était pris
ie d'une enfant de sept ans, qui avait présenté, de son vivant, les
signes
d'une ophtalmoplégie nucléaire progressive : pa
tache au myxoedème. Ces symptômes ont apparu à une période où les
signes
de goitre exophtalmique s'étaient sensiblement am
. André Chaintrier, propriétaire au lieu des Noguez, et donnait des
signes
d'aliénation mentale. M. le docteur Cadenaule, de
rapporteurs du Congrès n'ont pas suffisamment insisté sur certains
signes
psychiques de l'hébéphrénie : les attitudes thé
nétisme, et que, depuis cette époque, toutes deux avaient donné des
signes
de trou- bles cérébraux; que 'sa belle-soeur ét
un éclat du regard très notable sans grande exophtalmie. Les autres
signes
de la maladie de Basedow, signes de Graefe et d
ans grande exophtalmie. Les autres signes de la maladie de Basedow,
signes
de Graefe et de Moebius, faisaient défaut; mais
10 battements à la minute : à aucun moment, le coeur ne présenta de
signes
d'affaiblissement, ni de dilatation. Toutefois,
et, au moment où le fait fut publié, le sujet pré- sentait tous les
signes
de la maladie de Basedow. D'autres infections,
YPIIOÏDIQUE. 295 dite, de la paresthésie des mains. Il considère ce
signe
comme l'indice d'un trouble fonctionnel de la g
s les fonctions thyroïdiennes, qui, cliniquement est révélé par les
signes
de la maladie de Basedow. Pour le myxoedème de
pement imparfait du frontal : vertex conique et occiput défectueux;
signes
caractéristiques de ce type. Nous ne reconnais-
pure : c'est la perte absolue de la parole, le mutisme complet. Ce
signe
suffirait à lui seul pour différencier les apha
ts, mais sans trépidation spinale. On ne constatait pas non plus le
signe
de Babinski. L'hypoesthésie du côté gauche, trè
de la cinquantième année, commen- cent à se manifester les premiers
signes
de l'involution psychique par l'apparition de f
ns les plus évidentes. Dans un petit nombre de cas apparaissent des
signes
catatoni- ques : mutisme, attitudes anormales,
générale des manifestations catatoniques. . Ça et là on observe des
signes
de modifications séniles du côté du cerveau : v
es intenses, fuite des idées, idées de grandeur, humeur gaie sans
signes
de faiblesse psychique) serviront au diagnostic,
ction rare d'ailleurs à cet âge), surtout lorsque se produisent des
signes
de catatonie, si on constate un négati- visme o
peuvent rester longtemps incertains, en rai- son de l'analogie des
signes
psychiques. Plus de lucidité et de clarté, un é
la mélan- colie ; la paralysie générale sera admise s'il existe des
signes
d'af- faiblissement psychique accentué et des s
'il existe des signes d'af- faiblissement psychique accentué et des
signes
physiques, si la maladie a évolué progressiveme
Sommelet. Cette pauvre femme, qui depuis quelque temps donnait des
signes
de dérangement céré- bral, était sortie de chez
ctrophysiologie ET d'électrothérapie. peut être considérée comme un
signe
certain de l'envahissement du muscle par un pro
lement de bas en haut de l'abdomen vers le cou. Si on cherche le
signe
du pôle qui le premier développe les phénomènes
sent la réaction de dégénérescence ne peut être considérée comme un
signe
apparte- nant aux atrophies musculaires d'origi
. fait certaines opinions qu'il défendait naguère chaudement. Les
signes
anatomiques d,fférenliels fondamentaux qui distin
tion- niste-impulsif, on y trouve, d'ordinaire, tout un ensemble de
signes
révélateurs de l'état de déséquilibration menta
générale associée au tubes d'origine syphi- litique, l'existence du
signe
de Babinski vient révéler une altération du fai
nom de ((phénomène des orteils ». On tend aujourd'hui à l'appeler
signe
de Babinski, et non sans juste raison. IV. Nos
sui- 1 Vires et Calmetle, Recherches sur le phénomène des orteils (
signe
de Babinski). Société de Xeurologie, 7 juin 190
tableau à la fois plus simple et plus clair, nous avons employé des
signes
particuliers représentant soit une exagération,
servé une modalité parti- culière du réflexe plantaire rappelant le
signe
de Babinski et décrite plus haut (voir A, 2°).
ble paraplégique indiquant une altération médullaire quelconque. Le
signe
de Babinski avec l'exagération des réflexes rot
lll'ologie, nos ai et 59, t. X, p. 193 et 371. 474 ENSEIGNEMENT. (
signe
de \Veslphal), sur la paralysie générale, l'agora
(Krafft-Ebing), il importe avant tout d'en retenir les véri- tables
signes
distinctifs qui l'isolent si nettement du vice. C
que l'observation médico-légale a pris note de tout cet ensemble de
signes
précis, ce n'est plus seulement une opinion qu'on
pect du tabes à un degré le plus souvent très prononcé avec ataxie,
signe
de Rom- berg, trouble de la nutrition générale.
is un grand nombre d'années atteints de tabes se traduisant par des
signes
caractéristiques (signe de Hobertson, abolition
atteints de tabes se traduisant par des signes caractéristiques (
signe
de Hobertson, abolition des réflexes rotuliens, d
maladie du reste, avec ses symptômes ordinaires : douleurs, ataxie,
signe
de Romberg, etc., ait été arrêtée, mais pourtant
ls s'étendent mais il est impossible de faire de celte extension un
signe
i Ltliognomoniclue d'altération des cordons lat
moelle dorsale, l'autre la moelle lombaire et ayant donné tous les
signes
de compression médullaire localisée aux points
t d'une lésion des tubercules quadri- jumeaux d'origine typhique.
Signe
de Babinski dans la fièvre typhoïde.-M. Léopold L
e. Signe de Babinski dans la fièvre typhoïde.-M. Léopold LÉvi. Le
signe
de Babinski s'est rencontré dans 10/20 cas de fiè
été fréquemment observé. Dans aucun cas, il n'y a eu coïncidence du
signe
de Konig, ni de phénomènes méningés. La trépi
phénomènes méningés. La trépidation épileptoïde a coexisté avec le
signe
de Babinski 5 fois, Le signe de Babinski a ex
ation épileptoïde a coexisté avec le signe de Babinski 5 fois, Le
signe
de Babinski a existé sans trépidation 5 fois. L
nski a existé sans trépidation 5 fois. La trépidation a existé sans
signe
de Babinsky 4 fois. L'exagération des réflexes,
4 fois. L'exagération des réflexes, la trépidation épileptoïde, le
signe
de Babinski indiquent une altération de la marc
la marche (1 rC étape de la myélite typhoïdique). L'existence du
signe
de Babinsky au cours de la fièvre typhoïde ne s
psie. - M. CROUSON, dans le service de M. Bourneville, a cherché ce
signe
au cours des attaques. Dans une première catégo
ochon, épicière, boulevard du Roi, donnait depuis quelque temps des
signes
d'aliénation mentale. Pendant que son mari faisai
"e Mill, demeu- rant rue Franklin, donnait depuis quelque temps des
signes
d'alié- nation mentale qui inquiétaient ses voi
ont et Cade. sypliilitique avec J\IÉIGo-m ÜI rE syphilitique avec
signe
d'Argyll- ltobertson, pai Cestan, 102. Ménopa
Sciatique. Névralgie -, d'origine grippale, par Dubois, 217. 0
Signe
DE Babinski,- par Vires, G7. - dans la lièvre t
e, aboutissent à la formation des lésions pagétiques). Il y a là un
signe
qu'il faudra dorénavant rechercher dans tous les
S D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 9 bruit claqué au coeur; absence du
signe
de la temporale, etc.), mais la radiale pourtan
resseux ; la parole est malaisée. Au coeur, existent maintenant des
signes
d'insuffisance aortique. 11 décembre 1905. La m
a famille. Antécédents personnels. Aucune maladie antérieure, aucun
signe
ni d'éthylisme ni de syphilis, pas de fausses c
naso-labiaux sont symétriques, la bouclie est bien en place, aucun
signe
d'atropine des lèvres, la langue est tirée dans l
- vements associés, ont un fonctionnement normal. Il n'existe aucun
signe
d'exophtahnie, ni de syndrome oculaire sympathi
, la toux galvanique apparaît avec un milliampère et demi. Tous ces
signes
démontrent bien l'intégrité de la sensibilité end
s est parfaitement régulier et rythmique (70-80 à la minute). Aucun
signe
de bradycardie ou de tachycardie pas même paroxys
ne fausse grossesse. xxii 4 50 BERTOLOTTI Pas de clonus, pas de
signe
de Babinski. Le réflexe cutané abdominal existe
s demeure parfaitement intacte. A l'examen électrique on trouve les
signes
d'une réaction dégénérative par- tielle dans le
ervicales. Dans les cas de ce genre, il existe presque toujours des
signes
de rigidité ou de contracture des muscles de la n
des troubles de la sensibilité, à des altérations trophiques, à des
signes
oculo-pupillaires, à une distribution moins sym
cas en discussion il nous ait été impossible de déceler le moindre
signe
d'une altération du faisceau pyramidal, mais ch
les réflexes tendi- neux et cutanés sont normaux, il n'existe aucun
signe
d'altération du faisceau pyramidal. L'examen
e. En présence du syndrome de Ferrio ou ptosis de la tête, avec les
signes
d'une lésion bilatérale et symétrique de la XIe
e nous avons déjà résumé. Ici nous avons vu qu'il existait tous les
signes
d'une lésion bilatérale des noyaux de la XIe pa
venait de nous décrire. L'examen cardio-vasculaire montra plusieurs
signes
fort intéressants. Le coeur avait une matité ab
mme à droite, une ondée sanguine extrêmement faible (fig. 1). Ces
signes
paradoxaux donnaient l'impression dune lésion emp
tité aortique déborde très légèrement le bord droit du sternum. Les
signes
d'aus- cultation sont absolument les mêmes qu'e
une origine corticale évidente. Localement, le malade présentait un
signe
intéressant : c'était de l'acro- cyanose. Les d
La sensibilité de la main droite est parfaite ; on ne trouve aucun
signe
périphérique pouvant expli- quer la crampe. Sou
n découvrir, dans ce qu'on connaît de ces disgraciés physiques, des
signes
de débilité mentale chez les uns, chez d'autres
rouver raison de certains délires de possession qu'en l'absence des
signes
somatiques évi- dents on ne saurait rapporter à
nt souples. Pas de tabagisme. Aucune intoxication chronique; pas de
signes
ou de symptômes de pellagre. Début et marche de
it même en frappant au-dessus de la rotule, ce qui est pour nous un
signe
caractéristique de l'exagération dégéné- rative
gauche et l'extension de ses orteils par l'attouchement de la plante (
signe
de Babinski). Du côté du membre supérieur gauch
pas d'une thrombose ni d'une compression. Son âge et le manque de
signes
caractéristiques excluent aussi l'idée d'un ath
éflectivité tendineuse est dans son ensemble exagérée, on trouve le
signe
de Bahinski positif. Il n'y a pas de tremblements
l intéressant à examiner, les autres appareils ne présentent pas de
signes
pathologiques à relever ; la formule uri- naire
tement, la commissure buccale est tirée en haut. A gauche, pas de
signes
particuliers. La langue est normale, même intégri
du pied et la danse de la rotule ; le réflexe du genou est vif, le
signe
de Babinski positif. Il y a des troubles manife
z marqués. Lorsque S... mobilise les muscles de la face, ces divers
signes
sont plus marqués. La sensibilité cutanée est p
un grande paresse mentale. Les réflexes sont exagérés à droite avec
signe
de Babinski positif; à gauche ils sont plutôt d
e situation sociale qu'il lui faudra peut-être abandonner. Autres
signes
distinctifs en faveur du spasme : l'impossibilité
plus souvent agrandi ; chez notre nain la macrocéphalie (sans aucun
signe
clinique d'hy- drocéphalie) est des plus éviden
é- ritable membrane interdigitale. Il n'y a chez notre nain aucun
signe
de dystrophie du système pileux ; les poils son
: l'abondance de l'indican, du scatol et du phénol, c'est-à-dire un
signe
non douteux de putréfactions intestinales anorm
de et, à moins que de la noyer dans le vin, ne disparait pas sur un
signe
. Il faut qu'il se produise d'énergi- qués diver
e la vie courante sont exécutés sans aucune gêne. Il n'existe aucun
signe
d'affection périphérique. M. Mal... a appris à éc
d'une crampe professionnelle, et en même temps apparnrent de petits
signes
de brightisme. Il abandonna le télégraphe penda
bruit de galop, une tension artérielle exagérée, et tous les petits
signes
du mal de Brigue. Sous l'influence du régime lact
On peut éliminer chez M. A... l'éthylisme dont il ne présente aucun
signe
. Il n'est pas là non plus question d'hystérie, ca
as syphilitique ; il a sept enfants bien portants ; il n'y a point de
signe
d'Argyll, et une ponction lombaire est négative
uire ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 211 la pensée par des
signes
l'acte mental est le même, ou du moins fort ana
ient un appareil difficile il manier, les combinai- sons des divers
signes
entre eux deviennent défectueuses ; les contacts
e de Parkinson, qui s'accom- pagneront toujours de quelques-uns des
signes
cardinaux correspondants. Il faut toujours song
fessionnelles. Il importera donc d'y penser, et d'en rechercher les
signes
. Le diagnostic se précisera ensuite par un exam
t la ceinture scapu- laire. Il y a comme aux membres inférieurs des
signes
d'hypertrophie et 252 VIRES ET ANGLADA de pse
r malade du mémoire classique de Paget, l'auteur avait constaté des
signes
d'insuffisance mitrale et à l'au- topsie on déc
ques et qui actuellement ressemble à l'éléphantiasis, sont autant de
signes
que l'on peut rapporter à un trouble de la fonc
il y a dix-huit mois, me fil part qu'alors il n'y avait non plus de
signes
INTERVENTION CHIRURGICALE DANS UN CAS DE PSYCHA
dix-huit mois, avant l'opération, quand j'avais constaté les mêmes
signes
de psychalgie. Or, il semble évident que l'opér
les côtes cer- vicales peuvent être considérées seulement comme un
signe
de dégénéres- cence (Oppenheim, Lévi) et elles
lentement que possible, et en fixant son esprit sur l'exécution des
signes
de l'écriture. Lorsqu'on juge qu'il est arrivé
durs, indolents et roulent sous le doigt. Bientôt apparaissent des
signes
de propagation cancéreuse et de localisation né
es existent sur le TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 335 gland. Ces
signes
sont évidemment l'indice d'une atteinte cancéreus
morragie cérébrale. Le 24 janvier 1908, le malade présente tous les
signes
et symptômes ca ractéristiques de l'aphasie que
ttements du coeur sont mous et pré- cipités et on constate tous les
signes
d'une broncho-pnenmonie très grave entraînant r
e nie énergique- ment la syphilis et, de fait, on n'en trouve aucun
signe
, malgré les douleurs de tête violentes qu'elle
nt diminué à gauche. Il existe quelquefois à gauche une esquisse du
signe
de Babinski qui manque à droite. On ne note ni
d droit est impossible. ' Tous les muscles paraissent atrophiés. Le
signe
de Babinski n'existe pas. La trépidation épilep
ST1N 6 mois en état de macération. En même temps se manifestent les
signes
d'une intoxication grave, myocardite, albuminur
re affection peut également être accompagnée d'amyotrophie. Comme
signes
distinctifs on signale, le plus habituellement, l
iner. Aucun trouble morbide aux membres supérieurs et à la tête, le
signe
d'Argyll n'est pas évident. Rien aux viscères,
et surtout de l'étude de la méningite aiguë dont on peut noter les
signes
dans la période d'invasion. En même temps nous
cas-là, d'une mé- ningite ; au contraire, il propose d'employer le
signe
de Kernig pour le diagnostic différentiel entre
l'a pas lui-même essayé (car il aurait certaine- ment trouvé que ce
signe
existait réellement, étant donnés les symptômes
inférieur gauche, combinée d'atrophie musculaire. Par ailleurs aucun
signe
de maladie. Nous l'avons traité deux mois à l
La pression sur la colonne vertébrale ne cause pas de douleurs. Le
signe
de Kernig est présent. I On trouve une parési
le 22 janvier au soir. 11 y a une raideur prononcée de la nuque. Le
signe
de Lasègue-Kernig est bien développé, car les mem
ronc dans le lit à un angle de 90°, et de même on ne trouve plus le
signe
de Lasègue. Depuis un mois nous avons fait asseoi
Etat le 9 novembre. La température est normale. Il n'existe aucun
signe
d'irritation, aucune douleur, aucun symptôme, qu'
iens, qui sont cependant très faibles. En même temps nous trouvons le
signe
de Babinski, présent des deux côtés, mais irrég
type spas- modique avec exagération des réflexes, clonisme du pied,
signe
de Ba- binski et apparition de fortes contracti
e dos et douleurs si l'on exerce une pression sur les vertèbres. Le
signe
de Kernig n'a pas été souvent remarqué dans les
t contre l'infection générale par des vomissements. Pour les autres
signes
incontestables d'une localisation cérébrale de
ssin (quand les genoux sont extendus), n'est pas autre chose que le
signe
de Kernig. Celte impossibilité d'amener le tr
tilité passive est, dans les cas de sciatique, appelée en géné- ral
signe
de Lasègue. En réalité, l'un de nous (P.) (81) a
ogy and 1)sychiait-y) insisté sur ce fait que ces deux si- gnes, le
signe
de Kernig et le signe de Lasègue, sont identiques
insisté sur ce fait que ces deux si- gnes, le signe de Kernig et le
signe
de Lasègue, sont identiques, quoi- qu'ils aient
e observer que Kernig, dans une étude récente et approfondie sur le
signe
qui porte son nom, recommande de faire l'exa- m
ur le signe qui porte son nom, recommande de faire l'exa- men de ce
signe
exactement de la même façon qu'on le fait en géné
la même façon qu'on le fait en général, dans la sciatique, pour le
signe
de Lasègue. Pour le cas qui nous occupe, il y a
urs persistantes des membres inférieurs et l'existence constante du
signe
de Lasègue-Kernig (nom sous lequel j'ai proposé
spinale ; dans la méningite cérébro-spinale épidémique, il y a des
signes
évidents d'une localisation de la méningite et
os et l'enfant se trouve tou- jours dans le décubitus latéral. Le
signe
de Kernig-Lasègue est présent (la flexion n'est p
on pour la lumière (ce qu'elles ont fait les jours précédents) ; le
signe
de Babinski est présent des deux côtés (ce qui
donne un nombre de 10,600 par millimètre cube. Le 29 janvier, le
signe
de Kernig-Lasègue est encore présent, mais mainte
ée. Le si- gne de Kernig-Lasègue est présent des deux côtés. Il y a
signe
de Babinski il droite, mais pas à gauche. Les
la ménin- gite. La raideur de la nuque est nette mais diminuée. Le
signe
de Kernig-La- sègue est encore bien marqué. L
olonne vertébrale situées au-dessous des vertèbres cervicales. Le
signe
de Lasègue-Kernig est très marqué ; en effet, son
de douleurs du dos quand on vient près de la position verticale. Le
signe
de Lasègue-Kernig est beaucoup diminué, mais en
ion de la force expiraloire. En considérant ces symptômes comme des
signes
d'une paralysie des muscles abdominaux, il ne f
e miction involontaire. 27. - On constate nettement aujourd'hui des
signes
d'ophtalmoplégie ex- terne. Il n'existe pas de
e révèle rien d'anormal. Il n'y a aucun trouble respiratoire, aucun
signe
anormal à l'auscultation du poumon. - Au coeu
ablement hérédo-sttplilitiqzce ; réaction de Wassermann po- sitive,
signe
d'A 7-gyll- Robertson, abolition des réflexes ten
x patellaires et ach'dléens, papille petite, légèrement atrophique.
Signes
d'arrêt de déve- (1) La partie clinique, radiog
toute la surface du corps. Les ongles des pieds présentent quelques
signes
dystrophiques. Les organes génitaux sont énorme
qui restent sont grandes, bien con- formées, et ne présentent aucun
signe
dystrophique. Au maxillaire inférieur elles son
es ongles sont rayées longitudinalement ; elles ne présentent aucun
signe
dystrophique. 460 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANC
it expliquer par elle la séro-réaction de Wasser- mann positive, le
signe
d'Argyll-Robertson, la légère atrophie pupillaire
uf Apis des anciens Egyptiens devait être marqué, par les dieux, de
signes
particuliers sur sa robe. Plus tard se fit jour
muscles du cou; tremblement de la langue. On observe aussi quelques
signes
de la paralysie progressive : faiblesse de la m
des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale montrent des différents
signes
de dégénérescence et d'atrophie (tigrolyse, atr
ie des cellules nerveuses ganglionnaires. La plupart présentent des
signes
de dégénérescence (tigrolyse, pyknose, dégénéresc
sive. Certaines modili- cations de la moelle épinière, à savoir les
signes
d'une méningo-myélite à évo- lution lente, sont
ien dont l'évolution est complètement terminée. On ne trouve pas de
signes
de dégénérescence récente ni au niveau de la dure
cas de rhumatisme vertébral ankylosant ? Teissier lui attribue les
signes
cliniques suivants : la colonne vertébrale devi
ait supprimé. Le réflexe plantaire en flexion. Etaient présents les
signes
de Sarbo et de Biernacki.Les testicules fortement
ée de la musculature des membres in- férieurs. Pas d'ataxie. Pas de
signe
de Romberg. L'examen de la sensibilité objectiv
méfaction osseuse n'ont pas subi de modifications. Il présente le
signe
d'Abadie. Le long de la face inféro-interne de
on d'une radiogra- phie, dans les cas où l'on peut admettre que les
signes
cliniques d'une ostéo-arthropathie vertébrale s
sidérables siégeant dans l'autre, notre malade ne présentait pas le
signe
de Romberg et n'est pas ataxique. SUR UN cas d'
s de rétractions musculaires ni d'altérations capsulaires, ni aucun
signe
d'inflammation de l'ar. ticulation du coude. Ce
beaucoup plus rare dans la suite, la théorie qui voyait en elle un
signe
de la tendance de tout l'organisme aux néoforma
ts reste encore obscure. L'absence de symp- tômes médullaires et de
signes
du côté du système nerveux périphérique rend le
ilité cutanée est normale. Pas de troubles de la conscience. Pas de
signes
que l'on puisse attribuer à une syphilis manifest
ormations données par le malade, on ne peut décider si les premiers
signes
de la paralysie sont apparus au tronc ou aux me
à la clinique, chez qui le dia- gnostic était encore indécis et les
signes
d'une maladie organique du cerveau non évidents
on artificielle et, au bout de dix minutes, il n'y avait plus aucun
signe
de fonctionnement du coeur..L'autopsie a révélé
Ref. Rev. Neurol., 1905, p. 483. Russ,- Tumeur de l'hypophyse sans
signes
d'acromégalie, Bull. de la Soc, des méd. de Jas
ur signification. Dans beaucoup de cas, elles représentent aussi un
signe
de reconnaissance entre associés d'une même ban
igne de reconnaissance entre associés d'une même bande. Comme autre
signe
de reconnaissance, les points au nombre de troi
nait de vives douleurs dans la région anale. L'examen me révéla les
signes
indiscutables d'actes pédérasti- ques récents.
s d'autre tatouage. J'ai, à diverses reprises, constaté sur lui des
signes
indubitables de pédérastie passive. Dans toutes
taires parmi les hommes tatoués à Toulon. Ce tatouage doit être un
signe
de reconnaissance pour les affiliés d'une assoc
xplique S.... Sur la région deltoidienne gauche, on voit un trèfle,
signe
de reconnais- sance pour les affiliés d'une ban
l'étoile déjà signalée à plusieurs reprises et qui a la valeur d'un
signe
de reconnaissance pour les affiliés d'une bande.
ême côté et trois petites étoi- les sur la face dorsale du poignet,
signe
de reconnaissance pour les affiliés d'une bande
é contemporaine et ne se maintenir qu'à l'état de survivance, comme
signe
de caste et de corporation, comme passeport aup
paume de la main. A droite tous les réflexes étaient exagérés et le
signe
de BabinSKi positif, il n'y avait pas de clonus
. La nature de la lésion restait toutefois obscure : les principaux
signes
de tumeur cérébrale (papilles de stase, vomisse
évelopement amena la compression delà voie pyramidale gauche et les
signes
d'hémiplégie spastique droite. L'infil- tration
alique comporte, au point de vue du diagnostic, la constatation des
signes
généraux de néoplasme intra-cranien (céphalée,
ypertension du liquide céphalo-rachi- dien), et la constatation des
signes
de localisation. Quel été le volume atteint par
gnes de localisation. Quel été le volume atteint par la tumeur, les
signes
généraux, et notamment un des plus précieux, la
nt desgliomes. Notre cas démontre une fois de plus l'absence de ces
signes
généraux. Le diagnostic de localisation bulbo-p
ent il droite. Quelquefois il se produit du clonus de la rotule. Le
signe
de Ba- binski se produit des deux côtés, il est
s dorsal dans la position assise, il présente très manifestement le
signe
de Kernig. Du côté des yeux on observe une diff
ir. La force dynamométrique est de 10 à droite et de 5 à gauche, le
signe
de Babinski se produit nettement à droite, à ga
l'accès se maintient pen- dant 20 heures entre 39 et 40 degrés. Le
signe
de Babinski est manifeste des deux côtés, les r
dans le même état qu'avant l'ictus apoplectiforme du 14 octobre. Le
signe
de Babinski ne se produit plus qu'au pied gauche.
et tricipitaux sont brusques et exagérés. Pas de clonus du pied. Le
signe
de Babinski se produit des [deux côtés. Les réf
it retourner brusquement autour de son axe. Il présente en outre le
signe
de Romberg. Rien par rapport aux réservoirs.
xes rotuliens et du tendon d'Achille absents des deux côtés. Pas de
signe
de B ibinski. A droite le crémastérien se manifes
encéphalite aiguë, mais d'un autre côlé, ces cas n'ont montré aucun
signe
d'une poliomyélite. En effet, le fait qu'on voi
s les auteurs comme étant dus souvent à une poliomyélile) comme des
signes
d'une poliencéphalite (ce qui, je crois, correspo
faut admettre que les symptômes indiqués par Medin comme étant des
signes
d'une polynévrite peuvent tout aussi bien se rapp
s plus persistantes. Le phénomème de Lasègue a été regardé comme un
signe
presque sûr qu'il s'agit d'une affection des ne
conception ne peut plus être admise depuis que j'ai démontré que le
signe
de Lasègue est identique au signe de Kernig qui
e depuis que j'ai démontré que le signe de Lasègue est identique au
signe
de Kernig qui est, comme on sait, à peu près co
er de paralysie complète, sinon de la flexion dorsale des pieds. Le
signe
de Lasègue existe des deux côtés (dans le décubit
Les dysesthésies, indiquées ci- dessus, persistent; on constate le
signe
de Lasègue-Kernig des deux côtés. Pas de symptô
ecouverts d'un corps étranger. Je considère ces symptômes comme des
signes
de la polynévrite, non constants, mais du moins d
raphie d'une jeune fille qui se rattache à l'achondroplasie par les
signes
suivants : facies, taille, ensellure lombaire,
ménopause survint vers l'âge de 45 ans ; jamais de grossesse. Aucun
signe
de syphilis ni dans le passé, ni au moment de l
més par le TI ? pa1l0soma Cruzi. i CHAGAS mine l'apparition des
signes
cliniques d'une méllingo-encéphalite aiguë, rap
ndrome de diplégie cérébrale sont, presque toujours, accompagnés de
signes
cliniques de la paralysie pseudo-bulbaire. Celle-
(i chagas die, pas même dans celles qui étaient accompagnées des
signes
les plus intenses d'hypotityroïdisme, l'idiotie
des malades dénués de troubles moteurs et qui ne présentent que les
signes
d'insuf- fisance thyroïdienne, sans compter les
cas d'ataxie cérébelleuse, dans lesquels on rencontre aussi tous les
signes
de la diplégie cérébrale. Nous donnons, comme s
es plantaires considérablement exagérés, sans toutefois présence du
signe
de Babinski. L'excitation de la plante des pieds
u double. Les pupilles sont inégales, mais régulières, il existe un
signe
d'Argyll très net. Le fond de l'aeil est normal
pé- rieurs dans leur partie interne (C7, C s, D'). De plus,certains
signes
nous montraient que la lésion devait s'étendre
-rachidien avec réaction de Wassermann positive, la constatation du
signe
d'Argyll Robertson et l'étendue de la lésion no
e iiémiatkopiiie linguale gauche, avec tremblements fibrillai- res,
signe
le plus net, une déviation légère de la luette, u
uette, une parésie faciale droite, une sensation de faiblesse, sans
signes
objectifs nets, dans la moitié droite du corps,
utition, à peine une certaine gêne dans la prononciation des s. Les
signes
physiques sont caractéristiques : incurva- lion
très marquée et les tremblements fibrillaires, qui restent de bons
signes
des lésions des neurones moteurs bulbo-médullai
llaire et clonus du pied bilatéral (clonus de droite intermittent),
signe
de Babinski ; crémastérien faible, absence de s
ements achilléens également très vifs avec trépi- dation des pieds.
Signe
de Babinski bilatéral ; pas de réflexes abdominau
répidation ; réflexes achilléens vifs et faible clonus du pied ; le
signe
de Babinski persiste. Lorsque le malade respire p
l ne resta uniquement que des réflexes tendineux très prononcés, le
signe
de Ba- binski bilatéral et une démarche lente e
tellaire ; réflexes achilléens très accrus avec clonus des pieds.
Signe
de Babinski bilatéral ; pas de réflexes abdominau
t spasmodique avant le traitement, pouvait être considérée comme un
signe
défavorable; nous savons cependant que la paral
re ; réflexes achilléens de vivacité moyenne, sans clonus du pied ;
signe
de Babinski bilatéral. Réflexes abdominaux fa
es et reprise parallèle de la croissance. Enfin re- crudescence des
signes
de tumeurs et de nouveau arrêt de développe- me
ppement normal jusqu'à 10 ans. Elle cesse alors de grandir et aucun
signe
de puberté n'appa- raît. Quelques années plus t
ire, de l'adiposité et souvent L INFANTILISME HYPOPHYSAIRE 79 des
signes
d'aaéplaébie (1) ; hypoplasie ou aplasie des orga
eige ayant montré que les « contractions parcellaires » sont un des
signes
caractéristiques de ce spasme facial (1). En
n type dis- tinct du paramyoclonus multiplex, quand tous les autres
signes
de l'affec- tion (début, durée, évolution, tend
lacée et douloureuse et fut débarrassée le jour suivant de tous ces
signes
subjectifs et objectifs, dès que le médecin l'eut
s névrogliques de la subs- tance blanche du cervelet (fig. 9 i) des
signes
d'involution bien avancée (raréfaction et vacuo
vrogliques jeunes. 136 HASKOVEC ET RASTA névrogliques portant les
signes
d'altérations régressives qui, presque con- flu
ance quant au tissu névroglique, bien que nous ne possédions pas de
signes
absolument certains de différenciation. Weigert a
à la thionine. Les cellules offrent outre leurpigmentation quelques
signes
de picnomorphie et d'altération du noyau. De mê
leu de toluidine)etdansquelqués cellules on y observe également les
signes
de la neuronophagie. Dans les coupes provenant
nt également des cellules amiboïdes vraies par la pauvreté de leurs
signes
de métamorphose régressive. Lewy (3) ne croit p
eaux dans nos deux cas de paralysie agitante, nous avons trouvé des
signes
d'une légère artério-sclérose et çà et là une dég
comme une réaction contre celte altération des inclusions, comme le
signe
d'une hyperplasie supplémentaire, d'une réactio
aladie s'aggrave (1). » Dès cette période, Jeanne présente donc les
signes
caractéristiques du syndrome mélancolique : ine
nes psychiques pour le diagnostic de l'infantilisme, même là où les
signes
somatiques ne sont pas le plus caractéristique, j
lle on pourra aisément passer à d'autres tableaux cliniques, où les
signes
d'achondroplasie sont si peu prononcés, qu'il f
quiert une certaine valeur quand on le met en rapport avec d'autres
signes
de dystrophie relevables dans notre sujet. Parm
au- Ire pied et des mains. Ce genre de dystrophie, uni à d'autres
signes
du développement dés- 178 FERRUCCIO RAVENNA -
et étudié. Enfin dans ma première observation, comme les différents
signes
de dystrophie, bien qu'existants, étaient peu mar
est d'ordre général ; c'est-à-dire qu'il représente un des nombreux
signes
de dystrophie que l'on peut trou- ver chez les
écrétion produisent un arrêt de développement du squelette avec des
signes
d'infantilisme somatique, psychique et sexuel, qu
s faibles. Du côté droit nous pensons avoir remarqué une ébauche du
signe
de Babinski. L'intelligence de ce malade ne sem
dominaux, l'exagération du rotulien droit, ainsi que la présence du
signe
de Babinski du côté droit. Du côté gauche, l'ex
l enfants vivants. Six sont morts en has-àge, aucun n'a présenté de
signes
de nanisme. La malade est la dixième. Une cousi
mplet dé- veloppement ; en même temps^se manifestaient les premiers
signes
de l'adiposité. On trouve chez la malade des bo
e lequel, comme nous le voyons dans l'examen objectif, montrait des
signes
indéniables de cette maladie. Je résume les rés
fer : s'il se trouve, dit celui-ci, chez un adulte malade, avec les
signes
d'une hydrocéphalie hy- diopalhique, une tête é
ue comme un symptôme provoqué par les efforts musculaires. C'est un
signe
de constitution que l'on désigne ordinairement pa
soigneu- sement prises, on ne-recherche pas assez, en généra l,les
signes
fournis par l' l'écriture. On y relève cependan
nous allons publier une brève observation. Dans cette écriture, les
signes
d'incoordination sont très nombreux. Les plus c
t les douleurs fulgurantes, dans les membres inférieurs, de 1902. -
Signes
de tabes classiques à début lombaire. Parésie de
he) : abolition des réflexes du poignet et du coude, astéréognosie,
signe
de Biernacki, engourdissement dans la zone du c
meurs siégeant dans la fosse postérieure du crâne présente certains
signes
dont l'origine ne peut tre expliquée par les se
es et notamment de la moelle épinière. Nous pouvons rattacher à ces
signes
les troubles de la mic- tion, le malade se trou
absolument sains. Pas de ganglions au niveau des carrefours. Aucun
signe
d'hérédo-syphilis au niveau de la bouche ou des
jour à St-Bruno au mois de janvier dernier. On lui trouva alors des
signes
de tuberculose pulmonaire bilatérale. A son sec
rculose pulmonaire bilatérale. A son second séjour, on constate des
signes
cavitaires au sommet gauche, et l'on perçoit de
rge adipeuse. Notre sujet est maigre. On ne relève aucun des petits
signes
d'hypothyroïdisme, si ce n'est peut-être un peu
peut-être un peu de frilosité. Le corps thyroïde parait normal. Aucun
signe
d'insuffisance surrénale ou hypophysaire. Pas d
iques. Malgré une observation minutieuse, nous n'avons relevé aucun
signe
qui puisse permettre d'incriminer un trouble de
n seulement il n'y a ni goitre, ni myxoedème, mais aucun des petits
signes
d'insuffisance thyroïdienne n'a pu être décelé.
manifeste quoique pas trop in- tense, une légère exophtalmie et le
signe
de Stellwag positif. Wick consi- dère comme bas
de la malade est fixe, on remarque une exophtalmie très légère, le
signe
de Stellwag est positif, la convergence des yeux
ande irritabilité nerveuse, des pulsations intenses des carotides, le
signe
de Stellwag et le goitre qui atteint le volume
s thyroïde était imperceptible. Sachs (7) a observé dans un cas des
signes
d'insuffisance thyroïdienne. Von Nôthhaft (8) m
ie la présence d'une selle turcique volumineuse et cliniquement des
signes
indéniables d'hypothyroïdisme. Notre cas se prê
une formation croûteuse blanchâtre d'apparence calcaire sans aucun
signe
de suppuration bien nette au niveau de ces bouton
égulier, pas de troubles du côté de l'innervation cardiaque, pas de
signes
de lésions orifi- cielles. Le foie et la rate
nsuffisance thyroïdienne. En résumé, femme de 36 ans présentant des
signes
certains d'hypo- thyroïdisme (atrophie de la gl
i partent de ces muscles sont rétractés, indurés, et présentent des
signes
véritables de tendinite calcifiante (tendon rotul
porta, lui aussi, un cas de vitiligo chez un malade pré- sentant le
signe
d'Argyll,du myoss,une paralysie de la corde vocal
1902, in Revue neurol., 1902, p. 154. 11. SOUQUES. - Vitiligo et
signe
d'Argyll Robertson d'origine syphilitique, Revue
tal, qu'il est dans la plupart des cas symétrique, et qu'il y a des
signes
de troubles trophiques, tels que les petits ulcèr
guer ces états de « contracture frémissante », peut-on se fier à un
signe
donné comme distinctif du spasme facial essentiel
es analogues à celles de l'observation précédente. A notre avis, le
signe
différentiel le plus important dans ce diagnostic
peaucier se contracte parfaitement du côté droit. Il n'existe pas de
signe
de l'épaule, ni à droite, ni à gauche. Tous les
ibilité dans tous ses modes est normale et égale des deux côtés. Le
signe
de Kernig est très net. L'examen des autres app
chycardie avec cardiasthénie. Pouls mou et dépressible à 92. Pas de
signes
pulmonaires. Appareil digestif normal. Les jo
reuse- ment,contre l'origine rénale des accidents, nous avons trois
signes
capitaux. D'abord l'absence de cylindres dans l
sang elles hu- meurs. Etant donné que nous pouvons dissocier les
signes
observés en deux grandes catégories, des symptô
ion subjective pouvant mettre sur la voie de ce diagnostic. Seul un
signe
pouvait être rapporté à la lésion verté- brale,
En outre ce médecin a constaté chez lui depuis plusieurs années des
signes
de bacillose indiscutables des sommets. Ces lés
ivre avec soin, MM. Souques et. Chauvet (2) inclinent, en raison de
signes
nets de tumeur pituitaire, à faire jouer un rôl
à savoir l'existence de stigmates objectifs de tumeur hypophysaire (
signes
de compression infra-crânienne, troubles graves
rairement à ce qui distingue la nôtre, va jusqu'à la coexistence de
signes
indéniables de tumeur hypo- physaire (on peut a
ée d'atrophie hypophysaire. Quoi qu'il en soit, l'absence de tout
signe
physique de tumeur hypophy- saire - fait tout n
r (1), chez un adulte présentant le syndrome adiposo-génital et des
signes
objectifs locaux de tumeur hypophysaire, observ
Chez le second il y a dé- formation de la selle turcique mais sans
signe
d'insuffisance hypophysaire. Tous deux ont une
porte très bien, a une taille et un déve- loppement normaux. Pas de
signe
.s d'insuffisance glandulaire. Examen du Dr Fage
cipital et sur les pariétaux de nombreuses impressions digitales. Ces
signes
sont les mêmes que ceux des sujets de Bertolott
Notre enfant a bien une déformation de la elle turcique, mais aucun
signe
d'insuffisance pituitaire ; la malformation du
s si la coexistence des troubles fonctionnels glandulaires avec les
signes
classiques du rachitisme est fréquente, est-on en
s lésions du système nerveux furent plus tard vérifiées. Tous les
signes
cliniques, donnés pour distinguer les amyotrophie
existence de la psemlo-liypertropltie et l'évolution lente sont des
signes
qui viennent à l'appui d'une atrophie musculaire
ute la musculature est flasque; pas d'ataxie, ni de rigidité, ni de
signe
de Romberg. A l'hôpital on constata des attaque
nt comme un phénomène utile. En somme, en nous fondant sur les deux
signes
que nous avons mis comme base de différen- ciat
E CRANIENNE SIMPLE FAMILIALE 449 malade, mais l'absence de certains
signes
cardinaux de ces affections nous permettra de l
c'est très certainement à cela qu'on doit de ne jamais observer de
signes
d'hypertension intracrânienne chez les pagétiqu
de tout le pourtour de la base, on peut constater nettement, autre
signe
de compensation, que tous les diamètres de la '
ravée dans ces derniers temps. Pas d'ataxie aux membres supérieurs.
Signe
de Rllmbprg très net. L'examen de la motilité d
bolis aux membres inférieurs; les réflexes cutanés sont faibles. Le
signe
d' \ rgyll-Roht'I'tsou est très net. Pas de tro
ble complètement ; il reste toujours une petite fente. On note le
signe
de de Graefe (les paupières supérieures n'accompa
mais en- core très faibles. De même les réflexes abdominaux. Pas de
signe
de Babinski, pas de troubles sphynctériens. 9
x. Pas de signe de Babinski, pas de troubles sphynctériens. 9. Le
signe
de de Graefe n'est plus constatable. 28. Le mal
de la démarche, douieurs lombaires et sur le trajet des sciatiques,
signe
de Lasègue (Lépine), jusqu'à la complète impote
me que des paraplégies spasmodiques, avec exagération des réflexes,
signe
de Babinski, contracture musculaire (Babinski,
avail les réflexes abolis et complète résolution musculaire. Les
signes
de localisation de la lésion manquent parfois, le
la ponction lombaire rend toujours un liquide présentant les trois
signes
caractéristiques : 1° Coagulation spontanée ou
la présence du fibrinogène, mais aussi du fibrin ferment. Tous les
signes
peuvent donc indiquer le syndrome de la coa- gu
aits constatés par Nonne et son élève Raven qui ont considéré comme
signe
distinctif de tout néoplasme rachi- dien l'hype
ase du liquide céphalo-rachidien, el par conséquent considéré comme
signe
distincte de toute compression médul- laire : s
g un cas nouveau (séance de 25 juin 1912) dans lequel, basé sur ces
signes
, il a pu dingnos- tiquer une tumeur médullaire
obtenue, pourrait-on dire par suggestion à l'état de veille, aucun
signe
d'hypnose n'ayant été constaté chez lui. L'occl
er l'aliénation mentale proprement dite. Ils présentent souvent les
signes
de la dégé- nérescence physique et morale. L'
és normaux, laquelle scoliose est parfaitement caractérisée par les
signes
classiques de toutes les scolioses : incurvatio
en 1892, atteint la même année de polynévrite avec toute sorte de
signes
physiques et intellectuels de la dégénérescence d
ément et à la pression, la démarche est incertaine; on constate 1 :
signe
de Romberg, la réaction dégénérative, la dispa-
forme démentielle chez une fillette de dix-neuf ans, vierge; aucun
signe
de syphilis héré- ditaire ou acquise, aucune ta
sie générale tabétique, démence, mort, chez le mari; chez la femme,
signes
physiques, commémoratifs et intellectuels de pa
t des cornes antérieures. Comme dans tous ces cas, on a constaté le
signe
de Westphal, il y a lieu de croire que la paral
heures de service. Discussion : M. Steiner demande quels sont les
signes
caracté- ristiques de la narcolepsie et comment
t nettement leurs antécédents héréditaires psychopathiques, leurs
signes
de dégénérescence psychiques et somatiques et l'a
is sur l'hérédité des délinquants. On a décrit un grand nombre de
signes
spécifiques de la crimi- ' ? alité, les uns psy
té, les uns psychologiques, les autres biologiques, sans parler des
signes
de dégénérescence somatique. Dans les prisons, c'
dmise par la majeure partie des auteurs allemands, à savoir que les
signes
physiques n'ont pas, dans la criminalité, l'imp
du crâne. En revanche, en recherchant dans des cas particuliers les
signes
dits caractéristiques de la criminalité, il n'a
détenus âgés que chez les jeunes. Pour Lombroso le tatouage est un
signe
spécifique du criminel-né. 'De même pour Kurell
question écrite : Cordon postérieur de la moelle. Question orale :
Signes
et diagnostic du mal de Bright. Les candidats a
amollissement; même marche graduelle, identité des symp- tômes. Les
signes
précurseurs manqueut, mais cela arrive souvent
Gendrin insinue qu'on ne saurait distinguer cette lésion dont les
signes
se confondent avec ceux de tant d'autres 3. Plus
n, on pense, selon la systématisation ou la diffusion relatives des
signes
à une tumeur ou à un ramollissement. En présenc
de nouveau à se remettre, mais avec un accroissement évident des
signes
démentiels, lorsque le 30 novembre il fut frappé
i bien caractérisé en apparence. L'âge du patient, la diffusion des
signes
, leur progression régulière, leur aggra- vation
s auteurs donnent toutes ses mesures anthropométriques. Plusieurs
signes
de dégénérescence : bosses frontales très dévelop
ent-ils, est un héréditaire vésanique, c'est un maltoïde porteur de
signes
physiques et psychiques de dégénérescence. Ainsi
t été un véritable criminel, on trouverait dans ses antécédents des
signes
de criminalité latente, bien loin de là, tous c
(Annales médico-psychologiques, avril 1896.) E. B. VII. REVUE DES
SIGNES
DE dégénérescence ET DES MÉTHODES DESTINÉES A l
A. Meyeu. La valeur pratique de nos connaissances actuelles sur les
signes
de dégénérescence a été peut-être exagérée par
a été peut-être exagérée par ceux qui croient avoir trouvé dans ces
signes
de dégénérescence une phrénologie REVUE DE PATH
physiques de l'individu; - aussi voyons-nous l'étude des prétendus
signes
de dégénérescence n'être pas d'une importance p
ant, à savoir la question du mariage pour ceux qui sont affligés de
signes
de dégénérescence. Certes tous les points de ce
ment contre des conclusions prématurées. Pour faciliter l'étude des
signes
de dégénérescence et la compa- raison des résul
a méthode systématique nécessaire pour la recherche complète de ces
signes
. Les stigmates sont divisés en trois groupes :
dice d'une perturba- tion générale de l'écorce. Et si, parfois, les
signes
d'altération cor- ticale paraissent se limiter
tuel de nos connaissances sur la nature et la signi- fication de ce
signe
, et décrit les procédés qui doivent être em- pl
éraux chez lesquels on trouve des modifications caractéristiques du
signe
du genou, dans des proportions déterminées; -
éveiller le soupçon de paralysie générale. C'est donc en général un
signe
dont le pro- nostic est mauvais; 4° La perte
général un signe dont le pro- nostic est mauvais; 4° La perte du
signe
du genou dans la convalescence de la manie, dan
xagération du réflexe rotulien peut, par exemple, associée d'autres
signes
, servir à différencier la manie d'états analogues
s ; 10" Les cas de paralysie générale dans lesquels on observe le
signe
de Westphall, paraissent évoluer plus lentement,
réflexes. Pour ap- précier à sa juste valeur la signification de ce
signe
, il convient donc de ne pas tenir compte seulem
ion a noté l'absence du réflexe patellaire. Depuis qu'on connaît ce
signe
, il l'a recherché chez chacun des aliénés qu'il
dégénérative » chez les vieillards. M. MOELI remarque l'absence du
signe
de Westphall dans les cas de psychoses séniles
eur. Sur 21 malades qu'il observe actuellement et qui présentent le
signe
de Westphall sans qu'on puisse l'attribuer ni a
teints de névrites, un certain nombre de patients qui présentent le
signe
en question d'une façon permanente. Parmi eux s
ssibilité d'une paralysie générale tardive. On ne peut attribuer le
signe
de Westphall chez ces sujets à aucune altératio
érieures étaient peu accentuées. En résumé, il faut convenir que le
signe
de Westphall peut exis- ter sans lésions bien p
nous ont été présentés, l'absence du réflexe pa- tellaire parait un
signe
des plus importants en faveur de la para- SOCIÉ
qui a paru prévaloir quand M. Sommer a parlé de la signification du
signe
de Westphall. Sans doute il est de la plus haut
ou dans la paralysie générale, de mettre en lumière la valeur de ce
signe
. Mais il ne faut pas vouloir diminuer la signif
tic, de l'exa- gération du phénomène du genou, sous prétexte que ce
signe
peut se rencontrer assez fréquemment chez des s
. D'ailleurs on voit souvent des malades qui ne présentent point de
signes
de débilité mentale et dont la cause première d
prouver le besoin de s'as- seoir. Chose plus remarquable encore, le
signe
de Romberg qui était très prononcé chez lui a p
mélioration subjective, et qu'objectivement à part l'atténuation du
signe
de Romberg, on constate peu de changement dans
Sée diagnostiqua tabès dorsalis malgré l'absence à cette époque du
signe
de Westphal. Il conseilla des douches froides et
pieds, marcher à reculons, marcher les genoux fléchis, etc.). Le
signe
de Romberg s'est atténué à un tel point, que le m
ion du membre donnent, au bout de trois à quatre minutes, les mêmes
signes
physiques et fonctionnels observés à gauche, qu
ente aucune trace d'une intoxi- cation quelconque. La recherche des
signes
de l'alcoolisme, qui est trop de tradition dans
AVANTES. rible dont l'homme puisse être atteint, parce qu'il est le
signe
de son amoindrissement moral ou de sa déchéance
par la coloration spéciale des extrémités qui présentaient tous les
signes
de ce que nous avons appelé l'acrocyanose. Cett
nostic de ces évolutions anormales. Je ne crois pas qu'il existe de
signes
permettant de l'établir, cependant je crois qu'
ostic est loin d'être favorable, alors que M. Parant considérait ce
signe
comme indice de curabilité. M. Pitre5, revena
u menton au sommet de la tumeur frontale, 246 milli- mètres. Pas de
signes
apparents de dégénérescence physique, intellige
trie faciale, une adhérence anor- male du lobule de l'oreille ; ces
signes
sont d'ailleurs peu accusés, et c'est surtout l
re rapportés sans conteste possible au bégaiement ! La majorité des
signes
observés plaide assurément en faveur de cette m
te des analogies dans le mode de début qui est émotionnel, mais les
signes
qui peuvent servir à les différencier de l'affe
s les groupes musculaires qui y prennent part, ce sont là autant de
signes
de première impor- tance qui permettent, malgré
branches offraient-elles une difficulté spéciale ? A quel âge les
signes
de la puberté devinrent-ils manifestes ? Quel é
des appétits impérieux ou des désirs spéciaux ? A-t-on observé des
signes
d'apoplexie ? Des attaques épileptiques ? Les p
ulation... Correspondance du développement physique avec l'âge...
Signes
de sénilité prématurée... Forme du crâne... M
os malaires... Ecartement des angles de la mâchoire inférieure...
Signes
de dégénérescence : Crâne... Yeux... Nez... Ore
, c'est à peine si parfois l'on rencontre, et à un faible degré, le
signe
de Romberg. Enfin il peut arriver que des muscl
Meige. (Nouv. iconog. de la Salpêtrière, 1895, n° 6.) Les grands
signes
de la maladie de Parkinson sont tellement carac
et la malade vacille dans l'obscurité sans cependant pré- senter le
signe
de Romberg. Conservation des réflexes patellaires
ie, assise elle s'aperçoit qu'elle ne peut plus se lever. Voici les
signes
morbides qu'on note à ce moment : les membres inf
manifestent des états de confusion avec hallucina- tions. Quand les
signes
ordinaires des lésions en foyer du cerveau font
riminels. Mais il ne faut pas considérer seulement la fréquence des
signes
anthropologiques, il, faut considérer aussi leu
principes qui doivent guider l'obser- vateur : on doit négliger les
signes
anthropologiques lrès légers, parce qu'ils sont
x, la nature a pour ainsi dire horreur de la symétrie parfaite. Les
signes
légers doivent êtres pris on considération s'il
égers doivent êtres pris on considération s'ils sont multiples. Les
signes
plus pro- noncés d'un degré doivent être notés,
noncés d'un degré doivent être notés, même s'ils sont isolés. Les
signes
très prononcés ont une grande valeur clinique, la
s, quand l'arrêt de développement est extra- utérin. On connaît les
signes
de l'infantilisme : face arrondie, lèvres charn
si de se rappeler qu'on a SOCIÉTÉS SAVANTES. 323 observé d'autres
signes
d'hystérie (hémianalgésie et rétrécissement du
s d'avril 1888. Guérison com- plète du symptôme ataxie y compris le
signe
Romberg après quatre mois de traitement. A. F
lles sont puncti- formes, légèrement déformées. Elles présentent le
signe
d'Argyll- Roberlsou. Il n'y a pas de retrécisse
malade ne peut pas se tenir immobile dans la station verticale. Le
signe
de Rom- berg est très net. En marche le pied es
n mo- trice, la malade reste néanmoins tabétique : elle conserve le
signe
de Westphal, le signe d'Argyll-Robertson, le ph
reste néanmoins tabétique : elle conserve le signe de Westphal, le
signe
d'Argyll-Robertson, le phénomène plantaire. Le
e Westphal, le signe d'Argyll-Robertson, le phénomène plantaire. Le
signe
de Romberg est très atténué, mais jusqu'à un cert
. Elle entre à la Salpêtrière présentant nettement la plupart des
signes
de tabes (Westphal, Romberg), impossibilité de ma
entuées du côté droit du corps. La force musculaire est intacte. Le
signe
de Romberg est très prononcé. Locomotion. La
nsibilité, tant cutanée, que profonde (articulaire, musculaire). Le
signe
de Rom- berg reste toujours aussi prononcé qu'a
Pas de strabisme. Les deux pupilles sont égales et très rétrécies.
Signe
d'Argyll Robertson. Elles régissent bien à l'ac-
as quels sont ces mouvements et il se ,trompe continuellement. Le
signe
de Romberg a notablement diminué. Appuyésur sacan
en marchant. La jambe gauche restait en arrière. A cette époque le
signe
de Romberg existait déjà, puisque le malade tom
r les genoux, il les fléchit alternativement l'un après l'autre. Le
signe
de Romberg est très prononcé. Locomotion. En
iblisse- ment de la puissance génésique et incontinence des urines.
Signe
de Romberg dès le début. En 1885, douleurs fulg
premier. Le malade s'assoit lourdement et se lève difficilement. Le
signe
de Romberg est très prononcé. Locomotion. Le ma
fin il fait tous les exercices avec beaucoup de régularité. Seul le
signe
de Romberg n'est pas modifié. La sensibilité
r publie quelques cas cliniques destinés à montrer la pré- sence de
signes
physiques de dégénérescence dans les psychoses
sion profonde ét persistante (deux mois), calme pendant un mois; 7°
signes
physiques de paralysie générale avec déchéance
auvais sujet sans cesse puni. - Ce jeune homme présente de nombreux
signes
physiques et psychiques de dégénérescence : gra
chez ces trois individus, on note de l'hérédité mor- bide, de forts
signes
physiques et psychiques de dégénérescence, des
V, 1895.) . L'observation concerne un jeune garçon de quatorze ans.
Signes
craniens de dégénérescence; impossibilité d'app
iblie en raison directe des troubles intellectuels. Tels sont les
signes
cliniques que présente un malade frappé d'une l
mit en prière : tout à coup sa main droite s'ouvrit et il fit trois
signes
de croix. Nous continuions à psalmo- dier, et n
Je compris que les trois coups qu'il avait donnés étaient les trois
signes
de croix qu'il avait faits. Il gisait sur son lit
lle crise tout aussi épouvantable, pendant laquelle il fil un grand
signe
de croix. Il me dit quand elle fut passée : a J
ophes imminentes si on ne l'écoute pas. Ces écrits sont émaillés de
signes
hébraïques (le malade est israélite). (A suivre
ns bien importantes. Il arrive qu'on note, pendant la vie, tous les
signes
de la compression, et qu'à l'autopsie, la moell
D. LXIV. DE LA DEFORMATION ET DE la paralysie DE la LUETTE COMME
SIGNE
DE DÉGÉNÉRESCENCE; par le Dr DAN.\. Les anomali
rtion des déformations de la luette augmente avec la proportion des
signes
de dégénérescence. Examinés au point de vue de
us tard devien- dront aliénés, présentent déjà dès leur enfance des
signes
de neurasthénie qui peuvent facilement passer i
, 126. Dégénéré persécuté par Lefilliâtre. 390. Dégénérescence.
Signes
de -, par A. vleyer, 130. Délire des persécut
chez l'homme. par Ellis, 3S2. Luette. Déformation de la- comme
signe
de dégénérescence, par Dana, t70. Mariage. Lo
clrillccns et rotuliens faibles à gauche, abo- lis à droite. Pas de
signe
de Babinski : l'enfant cric quand on 20 CLINI
s mouve- ments volontaires. d) Pas d'exophtalmie appréciable. Les
signes
de Stclhvag, de yon gracie et de Modiius font d
cissements des champs sensoriels ; on ne retrouve pas davantage les
signes
physiques de l'alcoolisme. Pour cette raison, e
des réflexes rotulien et achilléen, clonus du pied et de la rotule,
signe
de Babinski bilatéral, etc. A la suite de l'e
l'origine de cet abcès n'a pu être élucidée. L'absence complète de
signes
de localisation (la céphalée était bilatérale e
et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 49 surtout sur la fréquence du
signe
d'Argyll-Robertson, que M. Babinski considère c
n- neté de son affection, car un enfant bien portant n'est pas un
signe
de guérison certaine. L. WAHL. Il. - Quelques r
it provoqué. Le rire immodéré spontané peut être considéré comme un
signe
précurseur d'hystérie. Le rire peut précéder ou
, sont bien connues, et l'on sait qu'il n'existe, au dé- but, aucun
signe
permettant d'affirmer le pronostic, dans un sen
nente des réflexes, l'influence du shock étant éliminée, était un
signe
de pronostic plutôt mauvais, contre-indiquant l'i
s, conscrit de cette année, bien constitué, taille moyenne ; pas de
signes
notables de dégénérescence. N'a jamais fait de
24 ans d'une affection cardiaque. Le malade nie la syphilis. Comme
signes
physiques, il pré- sente de l'inégalité pupilla
Comme signes physiques, il pré- sente de l'inégalité pupillaire, le
signe
d'Argyll-Robertson. La parole est traînante ave
t de lui-même et des autres. Attention dif- ficile à maintenir. '
Signes
physiques. Légers accrocs aux mots d'épreuve, m
flexes rotu- liens. Démarche peu nette comme tabès ; ne fauche pas.
Signe
de Romberg. Les maux plantaires perforants et s
a cepen- dant été suivie dans deux cas d'un état de rémission des
signes
physiques et mentaux. Dans l'autre, l'aggrava-
réflexe des orteils peut, avec le réflexe de Babinski, conslituerun
signe
diagnostique important pour les affections orga
un vicieux, voleur, indiscipliné, masturbatuur, mais il n'a pas de
signe
d'hys- Lérie : cet état ne rappelle ni la malad
éline) ; l'absence des réflexes cutanés abdominaux ; l'existence du
signe
du Babinski ; un léger vacillement du bras à l'
s réflexes acliilléens ont toujours persisté. Très rares ont été le
signe
(le Romberg, l'alaxie, celle-ci d'ailleurs fort
- clus de la langue. Depuis, graduellement se sont développés des
signes
d'impotence motrice à l'occasion de certains mouv
ces mêmes troubles chez des gens normaux. )1. Dupré n'y voit qu'un
signe
du fatigue chez des spasliques. M. Crouzon pr
malade, et faisait un bon diagnostic. Tous les symptômes, tous les
signes
, étaient instantanément per- çus, coordonnés da
marqué, pas de déviation de la langue. Un n'observe néanmoins aucun
signe
ni vestige de paralysie faciale. Pas d'asymétri
tremblements fibrillaires sur la face interne des cuisses : mais ce
signe
est inconstant. On observe également un tremble
du llosenbach et cu- tané plantaire sont également normaux. Pas de
signe
de Ba- binski. - L'incoordination motrice dan
qui pourrait faire son- ger au tabès, n'est accompagnée d'aucun des
signes
essentiels à cette affection. (le la malade d
ssi complètement que possible par la théo- rie nerveuse, malgré les
signes
certains o'auto-intoxica- tion gravidique que p
c denx observations personnelles, faisant ressortir l'intérêt de ce
signe
comme révélateur de pcl'lul'1m ! i ons dans la
oli. Dans certaines affections nerveuses, le réflexe peut être un
signe
différentiel, comme par exemple dans le tabes et
Depuis 1889. M. Teissier considère eu symptôme comme un des bons
signes
de la névrose, un véritable stigmate méritant de
. Tablettes de corps thyroïde. Disparition en moins de deux ans des
signes
de myxoedème, amélioration des fondions respirato
ité, des organes des sens, et l'état mental. Ils discutent certains
signes
spéciaux, tels que : nystagmus,pa- mUysies des
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 215 d'Achille sont fortement tendus. Le
signe
de Trousseau existe, le signe de Weiss existe é
d'Achille sont fortement tendus. Le signe de Trousseau existe, le
signe
de Weiss existe également. Ce cas de tétanie ré
environ une iluini-huuru. Pas du stig- mates d'hystérie. Au coeur,
signe
d'un rétrécissement mitral. Il s'agit d'une epi
me hypertension du liquide céphalo-rachidien caractérisée par les
signes
vulgaires de compression cérébrale avec augmentat
augmentation pro- gressive de la tète et bruit de pot télé, par des
signes
de com- pression radicule-ganglionnaire se trad
xes avec clonus indéfini du la rotule et trépida- tion du pied sans
signe
du Babinski, origine fonctionnelle pro- bable.
I.\IY, r. H \BI1'SKI montre que 101'SI[I\'1111 ? uje ! . simule le
signe
de l'orteil, ce dernier que la tension du tasci
oduit pas la contraction du tenseur su produisant toujours dans Il'
signe
vrai de Babinski. Névrite ascendante . 1l)I.
contracture. Le clonus à l'état de relâchement musculaire reste un
signe
très probant. Syndrome de 1lorsalwlr che; un lé
tantôt la présence, tantôt l'absence de quelques-uns de ces grands
signes
classiques, (iliaque cas comporte ses variation
tate, pendant les sommeils, une indigence il peu près com- plète de
signes
somatiques : ainsi 11r entina etait dans un étal
'environne (meu- bles et gens) et ne se calme que lorsque l'on fait
signe
de le conduire en cellule. A l'entrée idiotie c
calcul. Cet enfant a toujours besoin d'être encouragé, au moindre
signe
d'impatience, à la plus légère remontrance, il
de juin, tout délire a disparu, le calme est complet. B ? sort sans
signes
physiques persistants, le 9 juillet 1900, sur l
par démence tardive consécutive. Le plus souvent quelques petits
signes
existent dès le trauma : céphalée intense et fr
ause de sa turbulence dans la rue, il entre au dépôt; le Dr Garnicr
signe
le certificat suivant : « Affaiblissement des f
uin de la même année, il est ramené à l'asile, où on lui trouve des
signes
de paralysie générale, euphorie, idées de gran-
ctus fugace précocepar exemple, peut avoir précédé de longtemps les
signes
de méninge-encéphalite comprimée, mais servir d
l'examen des dates comparées de l'acci- dent et du ou des premiers
signes
physiques constatés de la paralysie générale; s
miers signes physiques constatés de la paralysie générale; si aucun
signe
ne l'a décelée antérieu- rement et si le trauma
e cas particulier du plomb, un ancien traumatisé peut présenter les
signes
de la paralysie générale satur- nine. Le paragr
ze ans après (janvier 1898) l'examen clinique décèle un ensemble de
signes
très complexe ; titubation, nystagmus, tremblem
gmus, tremblement intentionnel des membres inférieurs, hypotonie,
signe
de Romberg, signe de Babinski, réflexes patellair
t intentionnel des membres inférieurs, hypotonie, signe de Romberg,
signe
de Babinski, réflexes patellaires exa- gérés. L
s est facile ; ils sont dus aux lésions cérébelleuses. Les autres
signes
cliniques devaient faire penser- il une sclérose
eux, pour des parts inégales, l'apparition du tremblement. Quant au
signe
de Babinski il est indépendant d'une dégénéra-
'une certaine importance à l'étude du mécanisme physiologique de ce
signe
. Il s'agit d'Un cas de paraplégie pot- tique, d
deux côtés.Par contre, le pied gauche sur lequel faisait défaut le
signe
de Babinski différait de son congénère par une dé
pfomatique observée. S'agissait-il à gauche d'une simple absence du
signe
de Babinski ou d'une véritable inver- sion du p
aiblisse- ment du réflexe lumineux de ce côté. Cinq mois plus tard,
signe
de Weslphal, de nouveau constaté trois mois apr
ion, à la convergence alors la pupille droite irrégulière trahit le
signe
l'Argyll llobertson. Il va de soi que lorsqu'il
durée de ces affections, marche progressive dans certains cas, avec
signes
indéniahles d'une lésion maté- rielle organique
ns delà scarlatine, luxa- tion de l'épaule ; 2° Varioloïde (causes,
signes
et marche de la maladie) - Signes et diagnostic
l'épaule ; 2° Varioloïde (causes, signes et marche de la maladie) -
Signes
et diagnostic de la hernie étranglée. z Séance
tisme, la simulation ou du moins l'exa- gération voulue de certains
signes
n'est pas, en principe, impossible, bien que ra
rs, pendant la courte période d'observation, n'avait présenté aucun
signe
bien net de la folie. L'opportunité d'un spéc
ificat présente deux parts bien distinctes, celle de deux ordres de
signes
objectifs faci- les à constater, puis celle éga
ue hasard imprévu. 5° Ces deux maladies sont également précédées de
signes
précurseurs et d'une aura. - 60 Un épuisement e
leurs attaques. Toutes les deux sont presque toujours précédées de
signes
précurseurs qui leur sont communs tels que : se
de migraine où la dou- leur fait défaut et où l'accès se borne aux
signes
précur- seurs et aux spasmes. Toute distinction
eptiques isolées. Enfin, une colère non motivée peut être encore le
signe
avant-coureur d'une attaque épileptique convuls
entendre qu'un gazouillement tout à fait incompréhensible; aucun
signe
, aucun geste ne suppléait à la parole, l'enfant
n complète des phénomè- nes méningitiques ; on y rencontre certains
signes
qui ne trom- pent pas un médecin exercé, troubl
quand on rencontre ces rêves chez des sujets n'ayant point d'autres
signes
comitiaux, néanmoins ils paraissent constituer
nt l'observation d'une malade, chez qui ils ont relevé, en plus des
signes
d'une tumeur de la base, de nature tuberculeuse
serva- tions déjà publiées, en s'appuyant sur l'existence des trois
signes
essentiels : Argyll, Romberg et Westphall. (La
de compte, et les constatations nécropsiques font défaut.) Mais le
signe
d'Argyll ne saurait,être patllognomoniyue et n'
yue et n'est qu'une manifestation de syphilis nerveuse ; de môme le
signe
de Romberg ne peut être exigé au début. C'est d
môme le signe de Romberg ne peut être exigé au début. C'est donc le
signe
de Westphall qui doit avoirla plus grande impor
ont constaté la disparition des réflexes achilléens, l'existence du
signe
d'AI'gyll el d'une lympho- cytose très accentué
e rotu- lien existe v droite seulement; il n'y a ni trépidation, ni
signes
de Babinski. La jambe et la cuisse gauches surt
lésions corticales. A mesure que l'affection progresse, de nouveaux
signes
438 CLINIQUE MENTALE. psychopathiques se fo
e a en partie conservé les mou- vements et il n'y a pas non plus de
signes
de paralysie du voile du palais. L'impossibil
jour à l'asile, qui dura un peu plus de trois mois, on constata les
signes
habituels du délire de persé- cution sénile, de
re dyspnée intermittente, surtout quand il fait froid. Pas d'autres
signes
bulbaires ; fourmillements fréquents dans les m
s organes paraissent normaux, à part le coeur, où l'on constate les
signes
d'une légère lésion ou malformation de l'origin
ndre les questions qu'on lui pose et répond comme au hasard par des
signes
de déné- gation ou d'affirmation. L'humeur cont
à être celle d'un malade gai et optimiste. Pas de gâtisme, pas de
signes
de paralysie générale. Pas de signes oculaires,
iste. Pas de gâtisme, pas de signes de paralysie générale. Pas de
signes
oculaires, à part une tendance de la pupille gauc
exes rotuliens sont très exagérés, surtout celui de gauche ; pas de
signe
de Babinski ; conservation des réflexes cutanés
relâchement ; pas de rire ni de pleu- rer spasmodiques, pas d'autre
signe
bulbaire que la difficulté à parler. Il compr
re,comme symptômes somatiques à l'appui de ce dia- gnostic,que deux
signes
: l'inégalité pupillaire et l'ataxie linguale ;
esoins et gouverne ses sphincters. Notons enfin la multiplicité des
signes
bulbo -médullaires, qui sont ceux, presque au c
tique de même. Elle gâtait du matin au soir, ne demandait par aucun
signe
à aller aux cabinets. Un grand changement s'e
. Commencer le traitement médico-pédagogique dès que les premiers
signes
de l'idiotie sont constatés. En- registrer sur
veux en se substituant à lui. C'est la méningite qu'expriment les
signes
fonctionnels consta- tés : respiration de Chcyn
s dans ce travail, l'une appar- tenait à une famille présentant des
signes
de dégénérescence avancée (stérilité, mort préc
ce avancée (stérilité, mort précoce). Chez deux, on relève divers
signes
de dégénérescence, chez une la, surémotivité et
ade atteint de vitiligo qui ne présentait à l'examen clinique aucun
signe
d'affection du système nerveux. Mais l'examen his
deux frères, qui, en outre des symptômes habituels, présentent des
signes
d'al- teinte du cordon postérieur. L'hérédité v
Il s'y ajoute, à droite, de l'exagération du réflexe rotulien et le
signe
de Babinski, reliquats d'une hémiplégie, ancienne
par \feens, 108. p'tne forme d'affection nerveuse présentant les
signes
extérieurs de la , par Rechte- revv, 147. M
eige, que l'on fît des radiographies de géants ne présentant pas de
signes
d'acromégalie. Et il est très vraisemblable que
résente cet arrêt de développement sexuel, qui, avec un ensemble de
signes
morphologiques, caractérise l'infantilisme vrai (
et large, et les lèvres assez épaissies. On dira,peut-être,que ces
signes
ne sont pas bien caractéristiques ; qu'il n'y a
en présence desquels le dia- gnostic hésite : Il me semble que ces
signes
sont suffisants, et assez accusés, pour caracté
endant signalé. Un sujet étudié par Sacchi présentait* les premiers
signes
de gigantisme à l'âge de 9 ans (1 m.43), un suj
ssentiellement caractérisé par l'absence (parfois complète) de tout
signe
effectif de puberté. Ce que nous voyons, au con
s rares dans leur moitié externe. La malade ne présente donc pas le
signe
du sourcil. Les ouvertures palpébrales sont éga
al détermine la contraction des muscles des territoires respectifs (
signe
de Weiss). On constate également le signe de Tr
s territoires respectifs (signe de Weiss). On constate également le
signe
de Trousseau, bien que le phénomène ne soit pas a
Une fois les crampes intéressèrent aussi les membres supérieurs. Le
signe
de Trousseau n'existait pas dans l'intervalle d
lade présente en même temps une cyphoscoliose, de l'exophtalmie, le
signe
dé Graefe et de Moebins. Les dents étaient cariée
alement. L'examen microscopique montre qne la moelle présentait les
signes
d'une activité marquée, il n'y avait que peu de
nourri, au teint brun. On ne peut observer nulle part les moindres
signes
de ra- chitisme ancien. Le rachis est normal de
lie et de la fréquence avec laquelle elle se trouve unie à d'autres
signes
de dégénérescence. Comme on le sait d'ailleurs,
ce. Comme on le sait d'ailleurs, bien des auteurs attribuent il ces
signes
la valeur de phénomènes réversifs. C'est dans l
que que les auteurs mettent souvent en relief l'existence d'autres
signes
de dégénérescence (alcoolisme, épilepsie, etc.)
lesquelles il est impossible de relever chez les ascendants quelque
signe
que ce soit de dégénérescence (2). Notre cas mê
in que, selon Devay, les doigts surnuméraires représen- teraient le
signe
le plus sûr de la consanguinité des ascendants (3
olynévritique, à son stade de chronicité. Vous rencontrez les mêmes
signes
de désorientation allo- psychique, avec absence
En outre, abstraction faite d'antécédents alcooliques, notamment de
signes
de polynévrite, les presbyophréniques sont beauco
de Presbyophrénie, il y a lieu de recher- cher systématiquement les
signes
de polynévrite, et en particulier, l'abo- · lit
la presbyophrénie (1) s'observe chez des malades qui présentent des
signes
manifestes de polynévrite, surtout accusée aux me
chose de Korsakoff que par l'étiologie, l'évolution et l'absence de
signes
de polynévrite. La plupart des observations de
gionale précise, dans l'écorce de l'encéphale. Ces foyers qu'il dé-
signe
d'abord sous le nom de « Gourmes (Di-use),puis de
presbyophrénie, s'ajoutent et se superposent, pour ainsi dire, aux
signes
ordinaires, soit de la démence sénile, soit de
n, c'est s'exposer à négliger, par idée préconçue, la recherche des
signes
de polynévrite, comme il arrive souvent dans le
che, avec exagération des réflexes tendineux, plus marquée à gauche,
signe
de Babinski survenu il y a quelques mois la sui
mois la suite d'un ictus. Depuis deux ans, le malade présentait des
signes
d'artério-sclérose cérébrale, du rire et du pleu-
ait bouclier, souffrait de varices, et a eu la jambe cassée. Pas de
signes
de polynévrite. (1) Observation recueillie dans
s les questions avec conviction ; elle est légèrement euphorique.
Signes
de polynévrite : abolition des réflexes rotuliens
trophie musculaire du quadriceps, parésie des membres inférieurs.
Signes
d'éthylisme : cauchemars, pituites, tremblement.
t disparition des achilléens, douleurs à la malaxation des mollets.
Signes
d'éthylisme chronique. Observation VI. Démenc
qu'on lui désigne. Réflexes rotuliens et achilléens normaux. Pas de
signes
de polynévrite. Réactions pupillaires à la lumi
eu la syphilis'. Etat du malade au moment de l'examen. Assez chétif
Signes
de tu- berculose pulmonaire. Cyphose de la colo
partout intacte, les réflexes existent du côté sain. Il n'y a aucun
signe
de tabes (pas de douleurs fulgurantes, pas d'a-
signe de tabes (pas de douleurs fulgurantes, pas d'a- taxie, pas de
signe
d'Argyll.Robertson). Le malade a parfois de la ré
s contracté la syphilis. Vu cette réaction positive et le manque de
signes
d'une maladie quel- conque de la moelle épinièr
iculaires ? Nous ne le croyons pas, puisque le malade n'a pas eu de
signes
de tabes évidents, ni d'autre maladie de la moe
es et diverses vertèbres (Prof. Askanazy). La dure-mère est tendue,
signe
d'exagération de la pression intra-cra- nienne.
férencier de l'en- semble des mouvements de défense, si bien que le
signe
de Babinski parait douteux. La contracture est
e diminue l'amplitude de celui du côté droit. Pas de clonus, pas de
signe
de Babinski. Pendant l'examen on note encore qu
(membres supérieurs et inférieurs, nuque, trismus invincible). Pas de
signe
de Kernig, pas de Babinski, pas de photophobie.
. A droite les réflexes sont normaux. 2. Coma moins profond ; mêmes
signes
d'hémiplégie gauche. 3. Le malade présente dans
forts à droite qu'à gauche. Les réflexes abdominaux existent, et le
signe
de Babinski est impossible à affirmer en raison
que pourquoi la plupart d'entre eux ne ne sont manifestés par aucun
signe
clinique appréciable et ont permis une longue s
s papillaires flous : l'atrophie est consécutive à une stase dont les
signes
(saillie papillaire, dilatations veineuses) ont
. A gauche, très légère exagération des réflexes tendineux, sans le
signe
de Babinski, mais, avec une légère flexion de l
Mocquin (2) A l'autopsie d'un homme de 32 ans ayant présenté des
signes
d'hypertension cérébrale avec troubles mentaux le
uteur rapporte la dilatation des trois premiers ventricules, et les
signes
d'hypertension intra-cranienne. Des faits que n
. -- Entre dans le cabinet du médecin avec une démarche lente, sans
signe
de politesse, la casquette sur la tête ; le corps
XIII). Embrasse le bol ou le gobelet qui lui sert à boire, fait des
signes
de croix au-dessus, regarde dessous, puis absor
des cellules lymphatiques (fig. 12, PI. XXVIII). On ne voit pas de
signes
d'inflammation, quoique NOUV, ICONOGRAPHIE DE L
rales de l'anatomie pathologique de la spondylose rhizo- mélique et
signes
anatomiques différentiels des quatre formes les p
cette forme dernière avec celle de la spondylose rhizomélique. Les
signes
cliniques différentiels sont : l'aplatissement de
des articulations. En 1905, M. Berger a décrit un cas analogue. Les
signes
communs des deux cas sont les suivants : le jeune
ieuse capable d'expliquer toutes ces altérations; il n'existe aucun
signe
de processus inflammatoire. C'est pour cela que c
- tion ? Il n'y a pas de doute qu'on trouve chez l'homme adulte des
signes
certains d'involution. Les auteurs antérieurs e
2 ans qu'à l'âge de U4 ans. Déjà chez les jeunes gens on trouve des
signes
de processus de dégénérescence ; par contre même
a pas de clonus du pied, pas de réflexes des raccourcisseurs. Le
signe
de Babinski se fait en flexion à droite, à gauche
us ou moins bilatérale. ' Au reste notre malade ne présente aucun
signe
de tabes. Les réflexes sont conservés, il n'y a
flexes sont conservés, il n'y a pas de douleurs fulgurantes, pas de
signe
d'Argyll Roberston. Les syndromes strictement
s voies pyramidales ou des voies cérébel- leuses. Or il n'existe ni
signe
d'hémiplégie, ni syndrome cérébelleux rap- pela
ation à une seule moitié de la tête. Cette affection comporte trois
signes
; l'hém ia trophie de la langue, le syn- dromed
ons qu'il n'y a pas de stase papillaire. La stase papillaire est un
signe
inconstant de tumeur, mais son absence dans un
e sans que celle douleur soit suffisamment nette pour constituer un
signe
important. Enfin la malade se plaint de douleur
important relativement à l'abondance de l'albumine. Autour de ce
signe
constant se groupent d'autres modifications : xan
cations du liquide manquaient complètement chez notre malade, et ce
signe
ajouté aux considérations que nous avons déjà exp
otre malade nous a montré qu'il existait chez lui tout un groupe de
signes
qu'il est classique de décrire dans l'acromégal
géant, ni un infantile. Et cependant, on retrouve chez lui quelques
signes
, plus ou moins nettement ébauchés de ces divers
un tiroir fermé à clef la clef étant dans la serrure. A côté de ces
signes
d'un grand affaiblissement intellectuel, on obs
soutiennent qu'elles sont presque toujours associées à de nombreux
signes
somatiques et parfois même psychiques de dégéné
; elles réagissent à la distance et ne réagissent pas à la lumière (
signe
d'Argyll Robertson positif). Quoique n'observ
ns étaient plus intenses encore ; autrement dit, il pré- sentait le
signe
de Romberg, sans avoir des troubles de la sensibi
ace, même avec les yeux fermés, tandis qu'avant ils présentaient le
signe
de Romberg. Si le malade marche, on observe que
lui. Il est certain que s'il fermait les yeux, l'incoordination le
signe
de Romberg - réapparaîtrait, mais à un degré mo
e au repos ne pré- sente ni à l'oeil, ni à la palpation, le moindre
signe
d'altération. Nous ne pouvons pas nous associer
brûlure à la plante des pieds, de l'ataxie 362 HEIMANOWLTSCH avec
signe
de Romberg, des érections insuffisantes et des re
uelque chose conformément à la loi pénale, sont soignés par nous en
signe
de protection. Ou : « Vous comme maîtresse d'éc
enfance souffreteuse ; ils n'ont qu'exceptionnellement présenté des
signes
de scrofule ou de tuberculose (ganglions, otite
oujours d'une façon rapide, pres- que brusque et se distingue comme
signe
de début : c'est de suite après la baisse des f
nés : sécheresse, ichthyose, état cassant et sec des cheveux. Les
signes
fonctionnels sont moins bien et plus rarement sig
trouvé la raie de Sergent avec une grande netteté Bien entendu ces
signes
d'hypoépinëphrie sont inconstants (4 fois sur 20)
ussi profondes, c'est à la faveur d'un état général grave, avec des
signes
d'athyroïdie et de déchéance totale qu'aucun de
ôle symploinalologiq ne secon- daire de la viciation strumiyue. Les
signes
qui y ressortissent sont d'abord inconstants et
avoir une autonomie non moins manifeste, et que ce ne sont pas les
signes
de l'at- teinte, d'ailleurs inconstante, de la
ue et clinique nous a en effet permis de mettre au premier plan les
signes
testiculaires puis thy- roïdiens ; et dans le p
e, Gallavardin et Rebattu. Chez celui de Cordier et Francillon, des
signes
de myxoedème, d'ailleurs très discrets, n'apparur
nitale paraissait plus probable. Notons aussi l'absence complète de
signes
d'hypothyroïdie chez les malades de Gallavardin
rmatique. On voit des lésions très étendues du pancréas, sans aucun
signe
d'insuffi- sance pancréatique. Pourquoi n'en se
onsidérer deux variétés étiologiques, suivant que l'atteinte et les
signes
d'insuffisance testiculaire ont été précédés ou n
e service du professeur Courmont. A ce moment ont été constatés des
signes
de régression infantile et des signes de tuberc
moment ont été constatés des signes de régression infantile et des
signes
de tuberculose pulmonaire au début s'accompagnant
éminine). Le corps thyroïde n'est pas perçu à la palpation, mais ce
signe
n'a pas beaucoup de valeur; d'autre part, il n'
facial tout entier s'est atrophié, aplati. Pas d'ostéomalacie, pas de
signe
de Laszko. La radiographie des membres a montré
oridiqne normales. Le ceellr n'offre rien d'anormal. Aux poumons,
signes
bilatéraux et antéro-postérieurs de tuberculose u
droit), de pleurésie en voie de dispari- tion à la base gauche. Ces
signes
ne sont apparus que depuis septembre 1910 et s'
it le principal intérêt, de l'observation, c'était l'association de
signes
hypophysaires. Le malade que nous a présenté M. C
y a de la bouffissure du visage ; il présente depuis huit mois des
signes
de tuberculose pulmonaire. Il est difficile d
nne parfaitement ; les poumons ne présentent sub- jectivement aucun
signe
anormal et en particulier de tuberculose; la temp
mplexe d'insuf- fisance pluriglandulaire où l'on retrouve mêlés les
signes
plus ou moins évidents, individualisés dans les
idu et surtout des organes génitaux chez les enfants présentant des
signes
d'hypertension crânienne (4). Sous des titres p
is de- quelle nature était celte infection qui précéda les premiers
signes
de la maladie ? La bacillose associée à cette inf
tôt aggravé. Dans ce cas, la lésion tro- phique des os constitua un
signe
précoce, peut-être même un signe pré- curseur d
on tro- phique des os constitua un signe précoce, peut-être même un
signe
pré- curseur de grande valeur. Un fait isolé
es et une perte des forces qui ne paraissent pas justifiées par les
signes
objectifs, qu'il s'agisse des membres supérieur
s, mais ne réagissent pas à la lumière et réagissent à la distance (
signe
d'Argyll- Roberston positif). ' Le membre sup
ABÉTIQUE 495 ' En fermant la parenthèse, nous avons remarqué que le
signe
de Romberg existait dans ce cas et qu'il était
es. Les dents sont très fortes, volumineuses et ne présentent aucun
signe
dystrophique. La langue est très large et lon
es à des états différents : chez lui il y a, à n'en par douter, des
signes
certains d'infantilisme, de gigantisme et d'acr
saires parfaitement conservés sans toutefois pré- senter le moindre
signe
de gigantisme. A ce propos, je ne crois pas inu
asard un géant infantile typique qui ne présentait absolument aucun
signe
d'acromégalie. Il s'agissait d'un prêtre, jeune
rieux. Il avait une taille imposante, au moins 1 m. 95, et tous les
signes
de l'infantilisme classique. Sa voix, son teint
rcalcification des épiphyses. Il nous reste à présent à étudier les
signes
acromégaliques présentés par notre sujet : ils
xplicable. M. E. Levi admet que la non-soudure des épiphyses est un
signe
patho- gnomonique de l'infantilisme de Brissaud
valeur à la non-soudure des épi- physes, a tenu grand compte de ce
signe
. Il en est résulté que, dans ce travail, M. E.
», dont les parents syphilitiques semblent avoir présenté quelques
signes
d'hypothyroïdie, a « tendance à faire de l'adip
u aplati ; bouche : grande ; menton : rond ; visage : teint foncé ;
signes
divers : les membres courts et courbés. Antécéd
emière phalange et il s'en écarte à partir de la pha- langine. Un
signe
digne de remarque est qu'on peul imprimer à la ma
, ni chez les collatéraux, comme on voit par son obser- vation. Les
signes
et les troubles qui seraient à considérer comme d
suivant : le membre inférieur gauche est plus faible que le droit. Le
signe
de Lasègue de deux côtés (faiblement marqué). L
ux côtés sont très vifs, de même que ceux des tendons d'Achille. Le
signe
de Ba- binski du côté droit, est faiblement mar
t faiblement marqué, du côté gauche le grand orteil reste immobile.
Signe
de Lasègue, à droite. La sensibilité est conservé
réflexes patellaires, une trépidation épileptoïde du côté droit, le
signe
de Babinski non appréciable (tendance des orteils
de Babinski non appréciable (tendance des orteils de s'étendre), te
signe
de Lasègue des deux côtés. Douleurs à la palpatio
droit un peu plus faible ; les réllexes tendineux un peu exagérés,
signe
de Babinski à peine marqué à droite ; signe de
dineux un peu exagérés, signe de Babinski à peine marqué à droite ;
signe
de Lasègue à droite. Sensibilité intacte (de
les réflexes tendineux aux membres inférieurs étaient exagérés, le
signe
de Babinski, légèrement marqué du côté droit. Pen
fai- blissement de la ïambe droite, la trépidation épileptoïde avec
signe
de Babinski léger. Observation IV. Le malad
DE NEUROLOGIE DE PARIS Séance du 2 décembre 1909. SUR UN NOUVEAU
SIGNE
D'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE par' M. VINCENZO NERI.
par' M. VINCENZO NERI. Je désirerais attirer l'attention sur un
signe
que j'ai constaté avec une certaine fréquence d
r ce sujet de- puis que M. Babinski nous a donné toute une série de
signes
d'hémiplégie organique d'une valeur si fondamen
ntale Je le fais parce que si dans la plus grande partie des cas ce
signe
se pré- sente associé aux autres signes classiq
lus grande partie des cas ce signe se pré- sente associé aux autres
signes
classiques du côté du membre inférieur, dans qu
Il Iconographie DE la J.1LI'C1RIRE. T. XXIII. Pl. VIII UN NOUVEAU
SIGNE
D'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE (péri) . Masson &
E ORGANIQUE (péri) . Masson & Cie, Editeurs. SUR UN NOUVEAU
SIGNE
d'hÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 89 Cela dit, la flexion
it le mécanisme du phénomène, le fait existe. Peut-on considérer ce
signe
comme pathognomonique d'hémiplégie or- ganique
ns tombantes était caractéristique (PI. IX). On constatait tous les
signes
d'une double paralysie du nerf radial, sans att
hez eux le long supinateur était atteint comme les extenseurs et ce
signe
, joint à la présence des troubles de la sensibi
me normal ou presque normal. Ces faits indiquent encore que si le
signe
du cubital a une valeur capi- tale dans le diag
s d'une certaine incoordina- tion motrice ; il n'y a du reste aucun
signe
ni de chorée, ni d'athétose. L'atrophie muscula
un peu moins développées que chez sa soeur, mais on ne relève aucun
signe
d'atrophie musculaire dans cette région. Le c
Aurélie n'a relevé aucune altération bien nette. Il n'existe aucun
signe
de thermo-anesthésie ; de même la sensibilité à
relâchée, les dents sont mal plantées, avec diastase dentaire et les
signes
les plus évidents d'altération trophique avec r
de nystagmus ni de secousses nystagmiformes.On ne peut relever aucun
signe
de diplopie. Examen de l'acuité visuelle. Eli
tion d'Iligier, il y avait, en plus des phé- nomènes cérébraux, des
signes
certains de participation médullaire, par le fa
ter des alté- rations oculaires caractérisées par du myosis, par le
signe
d'Argill-Robert- son, l'abolition du réflexe à
profonds avait été considérée avec raison par les auteurs comme un
signe
d'irritation non douteuse du faisceau pyramidal
e quadriceps fémoral était très atrophié et où il existait tous les
signes
d'une lésion névritique intense des membres inf
ostique est conservé. L'équilibre et la marche sont normaux. Pas de
signe
de Romberg. Léger tremblement des extrémités.
al. Les réflexes patellaires sont exa- gérés des deux côtés. Pas de
signe
de Babinski à gauche. Du côté droit, les orteil
elles. Il est probable que ce symptôme (l'engourdissement) était un
signe
précurseur dénotant le début de la maladie de l
servation XIII). Les cellules des cornes antérieures montraient des
signes
de lésions qui dépendent des lésions des racine
- \\ni . li 210 U ROUX de se reconnaître parmi les innombrables
signes
qui ont été donnés. Il suffit de se souvenir de
térie, il faudra donc tout simplement s'attacher à dépister quelque
signe
, que volonté, parlant.la simulation, soit impui
rester un moment immobile car les antagonistes étaient contractés (
signe
de Hosslin) (1). 7° La volonté ne sait pas comm
ersistent dans des muscles soi-disant paralysés. Un grand nombre de
signes
sont basés là- dessus. Dans la soi-disant par
erait plus facile que de contracter inégalement ses deux peauciers (
signe
du peaucier de Babinski). (1) I\, Von IIOSSLI
dessus du lit, sous l'action du psoas qui n'est plus contrebalancé-(
signe
de Babinski de la-flexion combinée de la cuisse e
ce qui n'a rien d'étonnant puisqu'il en est un. 8° Il est enfin un
signe
, dont nous n'indiquerons pas la physiologie patho
du gros orteil, il s'agit presque toujours d'une lésion organique (
signe
du gros orteil de Babinski). Malheureuse- ment
ie TRAUMATIQUE 213 lence habituelle d'anestllésie ; dj l'absence de
signes
de lésion organi'que, et le contraste qui exist
régularités, des dissemblances, des exagérations surtout. Parmi les
signes
distinctifs qui ont été donnés, trois (1) sont tr
ue le sujet couché à plat ventre fléchit les' jambes à angle droit (
signe
de Seeligmuller) ; dans le tremblement des memb
, tracer un dessin et, vous verrez l'autre main cesser de trembler (
signe
deFuchs). En fait de myoclonies, ce que l'on
vrite.-Le pronostic fatal car l'apparition de la psychose semble un
signe
de mort prochaine. La fixité de l'étal coenesth
plus serrée des observations n'a pas vérifié cette conjecture : les
signes
d'asymétrie ne sont pas plus apparents chez les
le mécanisme intime» de cette défaillance que d'en reconnaître les
signes
appréciables à la, fois, comme je le pense, .da
ineux sont forts ; la trépidation spinale existe du côté droit ; le
signe
de Babinski est bilatéral ; pas de gâtisme. Il
es espaces intercostaux sont amples, les côtes normales, sans aucun
signe
de rachitisme. Le sternum est long et large, qu
ficiels et profonds et les achilléens sont normaux. Il n'y a pas de
signe
de Babinski. xxm ' 17 250 GIUSEPPE FRANCHI NI
ample, carré et long. Clavicules et côtes normales ; il n'a pas de
signes
de chapelet rachitique ; le sternum est long et l
'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 257 raccourcies, sont tous des
signes
typiques et caractéristiques de telle maladie.
ôt larges, le sternum est long et large; les côtes normales ; aucun
signe
de chapelet rachitique. Postérieure- ment le th
chez les parents. L'examen objectif nous a révélé de particulier le
signe
de Groefe à l'oeil et une légère augmentation d
étion interne ou de quelques-unes d'entre elles. Nous savons que le
signe
de Groefe est une des caractéristiques de la ma
nous avons exposées sur la pathogénèse de l'achondroplasie. Mais le
signe
de Grcofe ne suffit pas pour faire admettre une
aire admettre une altération de la thyroïde lorsque tous les autres
signes
qui en général vont avec une byperfonction de cet
nt peut être regardé comme un petit obèse), donc aucun des au- tres
signes
qui d'ordinaire accompagnent celui de Grcefeet qu
n conservés et ils se font sans douleurs et sans craquements. Aucun
signe
de rachitisme. La main est petite .les os du ca
ux viennent presque à se toucher avec leur sur- face interne. Aucun
signe
de rhumatisme aux pieds. Les artères périphériq
. Affectivité émoussée. Viscères : léger emphysème pulmonaire aucun
signe
de bronchite ; bruits du coeur normaux, sauf le
diagnostic d'ostéo-tu- berculose, dont la malade ne présente aucun
signe
, ni sur celui d'ostéo- syphilose du moment que
hilitique intense. Mais le malade continua toujours à présenter des
signes
de syphilis cérébrale. Nonne, dans la dernière
Polyclinique. Mais il n'y resta que quelques jours, car, donnant des
signes
de folie, il fut interné à l'asile des aliénés.
qui, trois mois après une grave lésion de la tête, apparu- rent les
signes
d'une hémiplégie gauche, hémianopsie et polyurie.
otilité, avec exa- gération des réflexes des membres inférieurs, et
signe
de Babinski bilaté- ral. Dans la région dorsale
us ces points parlaient en faveur d'une tu- meur. L'absence de tout
signe
de tuberculose ou de syphilis rendait ce diagno
pourtant pas d'élargis- sement des espaces périvasculaires. Pas de
signes
histologiques d'une stase sanguine. La région p
- tié gauche de la moelle que dans la droite.On n'y constate pas de
signes
de stase. 1 Plus en haut ces lésions disparaiss
es cloisons, avec les vaisseaux plus larges que normalement. Pas de
signes
de stase. Dans la région du pôle inférieur de
atés, gorgés de sang et augmentés en nombre. Nulle part pourtant de
signes
de stase, pas de dilatation des espaces péri- v
r est recouverte par la dure-mère qui lui adhère intimement. Pas de
signes
d'inflammation. Bientôt mesure qu'on s'éloigne
s de ce ni- veau. Les vaisseaux sont dilatés, gorgés du sang.Pas de
signes
d'inflammation. Ce cas est donc,au point de vue
s foyers nécrobiotiques. , Ici également on n'a pas pu constater de
signes
inflammatoires ! OBSERVATION XX. ,. ' ' La ma
hie, ni contracture. Réflexes rotuliens exagé- rés, avec absence du
signe
des orteils. Le malade peut marcher étant soutenu
effet, à faire exclure la première hypothèse, concourent, outre les
signes
anamnesti- ques, l'absence du tremblement inten
ormal, à terme, d'une fillette qui mourut au bout d'un mois. Pas de
signe
d'Ar4,yll ; réflexes normaux. Aucun signe de tu
au bout d'un mois. Pas de signe d'Ar4,yll ; réflexes normaux. Aucun
signe
de tuberculose. Rien au coeur et en particuli
t médiocre surtout à gauche. Il n'y pas de trépidation spinale ; le
signe
de Babinski existe à gauche. L'intelligence est
ère (jusqu'à ce moment le malade 480 O FLATAU ne présentait aucun
signe
de tuberculose). Bruns pense que les douleurs r
on contraire. Selon Pellizzi, il n'y a pas d'infantilisme là où les
signes
de menta- lité infantile font défaut. Nous cr
t jamais qu'un symptôme se- condaire ; tous ces sujets montrent des
signes
psychiques et physiques de leur maladie nerveus
out par la microsomie, cependant que ce symplôme est loin d'être le
signe
principal dans les cas de cérébropathie dont nous
in. ' Von Hansemann nous dit que Dobos ne présentait pis le moindre
signe
pathologique digne de mention , mais de sa note
ppement presque normal des poils. Malgré cela, l'existence d'autres
signes
caractéristiques d'infantilisme, surtout psychi
un peu flasque à leur surface dorsale. Les ongles ne présentent aucun
signe
de dystrophie. · Les bras ne sont pas revêtus
aussi dans les conduits inguinaux ; cryptorcfidie bilatérale Aucun
signe
de réveil sexuel. Extrémités supérieures et inf
sont, comme chez le père, implantés sur une base com- mune. Aucun
signe
distrophique de la peau et des ongles. Les bras
ité profonde étaient ex- trêmement accusés. Abolition des réflexes,
signe
d'Argyll Robertson, puis abolition du réflexe à
rice du même nerf. 566 ANDRÉ-THOMAS Il. LES nerfs ciliaires ET LE
signe
D'ARGYLL-ROBERTSON. La pathogénie du signe d'Ar
ES nerfs ciliaires ET LE signe D'ARGYLL-ROBERTSON. La pathogénie du
signe
d'Argyll-Robertson est encore très obscure, et
anglion ciliaire ou les nerfs ciliaires la lésion qui donne lieu au
signe
d'Argyll-Robertson ; dans quelques cas de tabes
vraisemblablement aux mêmes lésions. Les autopsies de tabes avec
signe
d'Argyll-Robertson pur - c'est-à- dire la perte
uer dans ces dernières années deux autop- sies de tabes fruste avec
signe
d'Argyll-Robertson pur, vérifié peu de jours av
DE la Salpltrili 'l'. Y\111. Pl. L\\'I LES NERFS CILIAIRES ET LE
SIGNE
D'ARGYLL RO)3ER'l'SOT. ))'f'77M ? Masson 8&am
DE la S.1.1'ÉIRIÈRE. T. XX ! H. P).LX\']j LES NERFS CILIAIRES ET LE
SIGNE
D'ARGYLL R013EI(TO. (André Thomas). Cas I.
eurs (rotuliens, achilléens) étaient abolis. De plus il existait un
signe
d'Argyll-Robertson bilatéral. La malade a succo
it atteinte d'hémiplégie droite. On constatait chez elle, outre les
signes
de l'hé- . ÉTUDES SUR LES NERFS CILIAIRES 569
ptégie, l'abolition des réflexes tendineux aux membres inférieurs, le
signe
de Romberg, les troubles sphinctériens, l'ataxi
mplète et la plus démonstrative, et à elle seule elle prouve que le
signe
d'Argyll-Robertson peut exister au cours du tab
serait bien surprenant que les lésions susceptibles de produire le
signe
d'Argyll,et remontant généralement plusieurs mois
des ganglions. Si de ces trois observations on peut conclure que le
signe
d'Argyll- Robertson peut se manifester sans qu'
roit d'exclure complètement les nerfs ciliaires de la pathogénie du
signe
d'Argyll-Ro- bertson, puisque ces nerfs n'ont p
sseuse. Après guérison complète, le métacarpien présente encore des
signes
de raréfaction osseuse. La phalange adjacente
arpiennes ... Chez ces enfants nous vîmes bientôt se développer les
signes
de rachitisme ». Or « les dystrophies osseuses
gnostic. En général, lorsqu'un personnage historique a présenté des
signes
de folie, le psychiatre, malgré la richesse et
que une zone déprimée, d'aspect cicatriciel et présentant. tous les
signes
d'une lésion vasculaire ancienne : pie- mère' é
it à ce sujet à propos de nos observations de microsomie,sans aucun
signe
de dysthyroïdie. nous invite à nous maintenir t
t totalement chez notre su- jet ; on n'a [d'ailleurs pas le moindre
signe
d'éveil sexuel : son âge très juvénile peut exp
années une infection pulmonaire aiguë. Actuellement elle n'a aucun
signe
net de lésions. Les amygdales sont grosses, sou
E LA DÉGÉNÉRESCENCE), PAR It M. V. V. SELETSKI (de Kiew). Les
signes
physiques de la dégénérescence peuvent être consi
ompacte des os. LITTÉRATURE MÉDICALE 1. Vaschide et VURPAS. - Les
signes
physiques de dégénérescence . Annali di Nevro-
-) (4 pl.), par BER- TOLOTTI, 1. Hémiplégie organique (Un nouveau
signe
d'-) (1 pl.), par NERI, 88. Hugo van der Goes
chinois (1 pi.), 43. 712 TABLE DKS AUTEURS New. Sur un nouveau
signe
d'hémiplégie organique (1 pi.), 88. ' Pastine
-infantile (BERTO- LOTTI), I à IV. Hémiplégie organique , nouveau
signe
(Néri), VIII. Hugo van der Goes (Mélancolie d
l'intégrité du facial supé- rieur dans les lésions cérébrales comme
signe
différentiel avec la paralysie faciale périphér
rcil gauche est un peu abaissé par rapport au sourcil droit. Pas de
signe
de Revillod. OBERVATION VII. M... Jean-Pierre,
lus abaissée sur le rebord de l'orbite à gauche qu'à droite. Pas de
signes
de Revillod. OBSERVATION X. P... Etienne, soi
che, 10 CLINIQUE NERVEUSE. environ d'un demi-centimètre, Pas de
signe
de Revillod. Chez cette femme la corde vocale d
sait pas au premier examen. Cet abaissement du sourcil est un des
signes
les plus constants de la paralysie du facial supé
l'oeil du côté sain, et ne peut en faire autant du côté malade, le
signe
de Revillod n'a pas une valeur absolue. Nous av
c là une cause d'erreur qu'il faudra éviter. Quoi qu'il en soit, le
signe
de Revillod mérite d'être recherché, et dans ce
st notablement diminuée. Les sens spéciaux normaux. Il n'y a pas de
signes
de syphilis. Le foie, le coeur et tous les autres
à l'accommodation et par réaction sensitive. Il ne présente aucun
signe
pathologique nerveux (signe de Romberg, signe d
ction sensitive. Il ne présente aucun signe pathologique nerveux (
signe
de Romberg, signe de Biernacki, etc., absents).
Il ne présente aucun signe pathologique nerveux (signe de Romberg,
signe
de Biernacki, etc., absents). Légers tremblements
table de la respiration; des troubles cardiaques (tachycardie); les
signes
classiques de la paralysie du facial inférieur
cale, 27 août 1898.) MM. Hordier et Frenkel (de Lyon) ont décrit un
signe
clinique nouveau des paralysies faciales d'orig
clinique nouveau des paralysies faciales d'origine périphérique. Ce
signe
consiste essentiellement en ce que le sujet ne
ement de la température du corps, la sécheresse de la peau sont des
signes
communs à ces deux affections. L'assoupisse- me
nde une observation plus complète. L'analgésie du cubital au coude (
signe
dé Bernatzki) man- que fréquemment au début du
uve quelquefois de très bonne heure alors qu'on ne rencontre pas le
signe
de Ber- natzlii. L'insensibilité du muscle à la
a suivi et traité 47 malades. Huit n'avaient eu ni chancre mou, ni
signes
constatables de syphilis, quoique celle- ci fût
illeurs dans l'épilepsie, pourra régler le pronostic, mais dont les
signes
différentiels sont nombreux. Dans les seconds q
l'usage de 25 à 30 centigrammes de morphine, l'organisme donne des
signes
de défaillance, l'appétit se perd, l'amaigrisse
paralysie des sphincters, inégalité pupillaire, parfois diplopie et
signe
de Rom- ])erg, mais en même temps exagération d
et demeurant rue Croulebarbe, donnait depuis quelque temps déjà des
signes
évidents de dérangement cérébral. Hier ma- lin,
OLOGIE CLINIQUE MENTALE. RECHERCHES SUR L'ANALGÉSIE DU CUBITAL (
signe
de Biei,zachi) CHEZ LES ALIÉNÉS ; - PAR LES DOC
pré- sence ou de l'absence de la réaction douloureuse. Tel est le
signe
décrit par Biernaclci sous le nom d'anal- gésie
analgésie dit tronc du cubital ne peut pas être considérée comme un
signe
typique de para- lysie générale, et que, par co
ainement pas, et d'ailleurs la paralysie générale ne possède pas de
signes
pathogno- moniques ; mais rapprochée d'autres s
possède pas de signes pathogno- moniques ; mais rapprochée d'autres
signes
de paralysie générale, l'analgésie cubitale aur
raux dont l'affection était nettement confirmée, 44 présentaient le
signe
de Biernacki, 32 avaient une sensibilité cubita
MENTALE. Le nombre de nos paralytiques généraux qui présentent le
signe
de Biernacki, nous donne la proportion de 53/100,
eau d'en- semble de ces derniers, il est facile de constater que le
signe
de Biernacki ne donne pas d'indications nouvell
ls de nature à faire admettre avec Cramer, qu'il faille accorder au
signe
de Biernacki une valeur quelconque au point de
Cramer que : réuni à d'autres symptômes de paralysie générale, le
signe
de Biernacki pourra constituer un élément déplus
pressions dentaires. Des tremblements des doigts des deux côtés. Le
signe
de Biernaclii existe aussi de chaque côté. Le r
le gauche en dehors; il y a aussi des trem- blements des doigts. Le
signe
de 131ernachi existe de deux côtés. Il y a auss
de 131ernachi existe de deux côtés. Il y a aussi un commencement de
signe
de Romberg. Le réflexe pharyngien aboli, les ré
rtout du côté gauche, à cause de l'ulcé- ration de la jambe. Pas de
signes
de syphilis. Etat psychique. L'attitude est tra
te. Rien de pathologique à noter du côté des autres organes. Pas de
signe
de syphilis. Etat psychique. - La malade se tie
e sentait comme des aiguilles qui lui traversaient le corps. Pas de
signe
de syphilis. Quel- ques stigmates de dégénéresc
icile. Le malade marchant les yeux fermés, est pris d'oscillations (
signe
de Romberg). Il ne peut pas rester sur un pied.
goût et l'olfac- tion se trouvent à 1'état normal. Il n'y a pas de
signe
de syphilis. Etat psychique. La malade se tient
nos questions ; nous ne pouvons même pas le décider à nous faire un
signe
d'affirmation ou de négation. Insistant dans no
aces d'un séton qu'on lui a appliqué à la région cervi- cale. Comme
signes
de dégénérescence à noter : une asymétrie fa- c
ormaux. Quelques légers tremblements de la langue et des doigts. Le
signe
de Biernacki existe à droite et à gauche à l'état
e gauche ; à 8-10 centimètres pour la jambe droite. Il n'y a pas de
signes
de syphilis. Le foie douloureux à la pression,
1878. Elle a été notée comme idiote et en effet, outre les nombreux
signes
de dégé- néresce qui vont être relevés, elle ne
s ou attachés, et explique les motifs de ces mesures. Il prépare et
signe
un certificat médical de tout nouvel entrant, i
e : chez les malades atteints, il fut impossible de découvrir aucun
signe
de maladie organique du système central ou péri
sur la tombe au nom de la Société. La séance est ensuite levée en
signe
de deuil. Séance dit 28 novembre. -PRÉSIDENCE d
técédents héréditaires connus. Elle pré- sentait cependant quelques
signes
de dégénérescence et notam- ment de l'asymétrie
III, 2 ce. du sérum sanguin ont suffi pour donner des malaises, des
signes
d'intoxication à un lapin de 880 gram., tandis
nt, dans nombre de cas, coïncider chez le même individu. Les divers
signes
du début sont ensuite décrits et analysés : iné
e d'incu- bation de durée variable avant de se caractériser par les
signes
suivants : dépression mentale; insomnie persist
ospec- tion morbide avec tendances égoïstes; phobies. Tels sont les
signes
de la mélancolie simple au début. Doit-on tra
états myxoedé- mateux et crétinoïdes. Le malade a succombé avec des
signes
de oléninâo-encéphalite, le cinquième jour de s
des muscles ; la réaction de dégénérescence, même partielle, est un
signe
défa- vorable ; le syndrome de dégénérescence t
n de l'acuité auditive, anes- thésie cornéenne. La constatation des
signes
suivants : provoca- tion de mouvements fibrilla
nt le traitement, était de 88 centimètres. La malade présentait des
signes
non équivoques de myxoedème, des altéra- tions
myxoedème, des altéra- tions rachitiques du squelette, une série de
signes
de dégénéres- cence, un manque de développement
l'orateur rattache le malade D, au type Lorain, bien que certains
signes
le rapproche du type myxoedémateux, tandis que la
en tout cas le précédent immédiatement. C'est là, à notre avis, un
signe
de la plus haute valeur et qui, à lui seul, lor
a céphalalgie, nous devons signaler l'insomnie qui est également un
signe
de début à peu près constant. Un autre symptô
l'insuffisance hépatique. Nous ne parlons pas, bien entendu, des
signes
tirés de l'analyse chimique des humeurs, souven
'est pas éteinte, elle est comme lointaine, comme absente. Un des
signes
les plus caractéristiques de cette obnubiiation
rmet un pronostic favorable alors que l'ab- sence du réflexe est un
signe
de lésion organique et aggrave' le pronostic. P
ence, car il est bien plus souvent senti que vu. L'importance de ce
signe
peut être grande dans les questions de viol, de p
re est un REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 307
signe
. La conception rappelée par l'autre est l'image o
ective. C'est ainsi qu'un noeud fait à mon mouchoir de poche est un
signe
qui me rappelle une commission (idée objective)
elle une commission (idée objective) que j'ai à faire à un ami. Les
signes
, ce sont les images phonétiques (idées des mots
la symptomatologie mentale était la même, associée chez l'une à des
signes
manifestes et à des lésions accusées de polynév
omatolyse à siège central), bien qu'il soit démontré que ce dernier
signe
n'a qu'une valeur très relative, à établir que
vec l'atrophie céré- belleuse, mais, au point de vue clinique aucun
signe
ne permet- tait de songer à une affection céréb
paupière supé- rieure (symptôme de Stellwag) disparut tandis que le
signe
de Groefe persista, c'est-à-dire la dissociatio
topsie; par J. ABDIE, Il s'agit d'un malade ayant présenté tous les
signes
de la pré- tendue aphasie motrice sous-cortical
en même temps qu'à la corrélation intime de ces analyses avec les
signes
physiques de la maladie, établis par Charcot d'un
ie des tendancce psychiques des individus. M. CII.4.111'ENTIER. Les
signes
physiques de la dégénérescence mentale ne sont
pas plus fixes que ceux de la criminalité. M. MAGNAN croit que les
signes
physiques de dégénérescence ont une importance
quoique irrégulière, est cependant suffisante et spontanée; pas de
signes
d'auscultation aux poumons, battements du coeur
nt ce caractère particulier qu'ici nous observons bien souvent le
signe
d'Argyll Robertson (ou de Vincent) renversé, c'es
tance, le réflexe lumineux étant complètement conservé. Ce dernier
signe
assez caractéristique et d'une constatation rela-
e feuilles de membranes hydatides et présentent à la coloration les
signes
de la dégénérescence polychromatophw- lique des
ne constitution spéciale qu'il est difficile de reconnaitre par des
signes
précis avant la manifestation. du délire. Cet
lysie du droit externe. De plus, nous avons constaté l'existence du
signe
d'Argyll Robertson. Nous attirons l'attention s
s, j'acquis la conviction que jamais )1-0 X... n'avait présenté des
signes
d'intoxication éthylique. Le confrère qui, avan
nsi que je l'ai dit, les nerfs de l'avant-bras se trouvèrent pris ;
signe
d'Argyll Robertson, paralysie de la sixième pai
analyser cette particularité qui, tout d'abord ferait croire que le
signe
classique de la sclérose en plaques n'existe pas
t fièvre. Mort en février 1893. A l'autopsie on constate, à côté de
signes
de polynévrite parenchymateuse, des foyers de r
y ne croit pas l'amélioration des troubles de la mémoire comme un
signe
pathognomonique. M. Minor dit que la description
idées de jalousies, des idées de persécution et puis seulement des
signes
physiques d'alcoolisme. Chez les chroniques, c'es
us ou moins tarés, qui, anté- rieurement déjà, ont pu présenter des
signes
divers de désé- quilibration mentale. Souvent m
nous avons signalée plus haut. Enfin, il est à remarquer que les
signes
somatiques font défaut : les fonctions organiqu
rantes d'auto-accusation. Mais nous ne pûmes trouver chez lui aucun
signe
qui nous permit de les rattacher à la mélancolie.
à ce moment aussi actit qu au début, nous ne pouvions relever aucun
signe
qui nous permit de le rattacher à la mélancolie
e de début de ce délire, ses caractères particuliers, l'absence des
signes
pathognomoniques de l'état mélancolique, ne pou
e l'écorce ou à l'abréviation de la voûte palatine qui est un des
signes
de dégénérescence. Le nasonnement d'origine subco
celle qui a été constatée dans le premier cas. La comparaison des
signes
anatomiques et microscopiques soigneusement recue
le a une aussi grande importance pour le diagnostic du tabès que le
signe
de Westphal. f XLVL Des altérations des cel
constater que la très grande majorité d'entre eux présentaient des
signes
très accusés de dégénérescence qui les rendaient
re. Le 10, disparition des mouvements athétosiques, on constate les
signes
d'une caverne au sommet du poumon gauche; cette
T-ÉLOI DE MONTPELLIER. CLINIQUE MÉDICALE. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (
Signe
DE ROllBEIIG); Par le Professeur J. GRASSET.
re des ataxiques; ce symptôme porte, comme vous le savez, le nom de
signe
de Romberg. 1 Classiquement, ce symptôme est co
sensibilité musculaire. Mais vous verrez que chez notre malade, le
signe
de Romberg existe très bien et que cependant to
disais-je =, le symp- tôme qui, chez les ataxiques, porte le nom de
signe
de Rom- berg et qui consiste, vous le savez, da
avez, dans la perte de l'équilibre lors de l'occlusion des yeux. Le
signe
de Romberg répond à la définition du vertige, p
cette anesthésie est surtout très développée, ne présentent pas le
signe
de Romberg. « Ce symptôme, dont le mécanisme in
onde, et vous trouverez une réponse récente à cette conception du
signe
de Romberg dans le livre, du reste fort intéressa
1, à l'exemple du professeur Grasset, ranger parmi les vertiges le
signe
de Romberg. La perte de l'équilibre qui survien
thésie cutanée de la plante des pieds ne présentent pas en effet le
signe
de Rom- berg, ce signe se manifeste au contrair
ante des pieds ne présentent pas en effet le signe de Rom- berg, ce
signe
se manifeste au contraire chez les mêmes ma- la
n formulée en z1890, et accepter avec les auteurs classiques que le
signe
de Romberg est la conséquence de la perte de la
à réagir sous l'in- fluence de la lumière et de l'accommodation; le
signe
d'Argill Robertson n'existe donc pas. La sensib
froids). Je tiens surtout à vous dire que notre malade n'a aucun
signe
d'anesthésie plantaire; il sent fort bien les pav
s réflexes rotuliens, la di- plopie, la miction retardée ; tous ces
signes
le distinguent des paraplégiques et en font un
de départ clinique que nous étudierons, dans la prochaine leçon, le
signe
de Romberg en détail, dans sa nature, sa sympto
e moment où l'examen a porté. Si la maladie est une, la plupart des
signes
qui la caractérisent sont inconstants et variab
ganes fonctionnent bien; le coeur, les poumons ne présentent pas de
signe
d'une lésion quelconque. Non encore réglée. L'é
que, trahissent les contorsions dont le membre est agité. ' A ces
signes
extérieurs s'ajoutent ceux emprumtés à l'héré-
ns la répétition automa- tique de mots ou de bruils (écholalie), de
signes
(échocinésie), et dans des troubles psychiques
cas, l'écholalie seule est manifeste. Quelle est la valeur de ce
signe
? Pour M. Charcot, l'écholalie se trouve seulemen
es, loc. cit., p. 33, 351. DE LA MALADIE DES TICS. 39 compris, ce
signe
a une valeur de premier ordre, et sa présence c
bronchiques qu'elle présentait. Chez le deuxième, nous trouvons des
signes
de bacillose à l'apex pulmonaire droit, des con
els, de nombreux traumatismes sur la tête. Chez le quatrième, des
signes
de rachitisme dans la déformation vertébrale, des
istants de maladies orga- niques nous a fourni pour tous les cas un
signe
utile. Ceci nous a servi comme un argument de r
mais le long des mem- Ures : sur la paroi abdominale apparurent les
signes
d'une contu- L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQ
t légitime ; nous croyons pourtant très utile de discuter sur quels
signes
elle était basée. En première ligne, il manquai
rique. Déjà Tancquerel avait dit que strabisme et diplopie sont des
signes
prodromiques de l'encéphalopathie saturnine. P.
la personnalité, puis une troisième ou terminale dans laquelle les
signes
de démence ont peu à peu rem- placé les concept
e nutritif aboutissant à une atrophie générale, ona- nisme avec les
signes
habituels du myxoeJème et un état de perturbati
une série de vingt observations, l'auteur met en relief un nouveau
signe
de dégénérescence des plus importants pour la c
etc. Quoi qu'il en soit, cette raie ou strie intra- oculaire est le
signe
matériel de la mémoire. (Mendel-Meynert.) 116 R
ère et 118 SOCIÉTÉS SAVANTES. trouve dans ces sortes de folies 12
signes
communs qu'on peut ainsi résumer : 1° L'assoc
absence de délire contrastant avec leurs propos déraisonnables. Ces
signes
permettent d'apprécier les rapports de ces indi
ion précoce; d'ailleurs les derniers malades présentent souvent des
signes
physiques de sénilité. Ces faits diffèrent donc
bles de modifier les états de conscience d'origine cen- trale : les
signes
extérieurs de ces divers états de conscience peu-
ce des excitations sensorielles (vision colorée, synesthésies), les
signes
physiques des sensations; en nous mon- trant, a
hoses. De même qu'on ne peut affirmer une émotion en l'absence de
signes
physiques extérieurs, de même le diagnostic des t
me le diagnostic des troubles mentaux ne peut être basé que sur les
signes
physiques. Les répré- sentations hallucinatoire
iner les' individus que les autorités considèrent comme donnant des
signes
d'aliénation mentale, d) recevoir des aliénés c
orain, âgée de vingt-neuf ans, qui depuis quelque temps donnait des
signes
d'aliénation mentale, s'est jetée dans un puits
uses aucun autre trouble, aucun stigmate. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (
Signe
de ROMBEnG)' J Par le Professeur J. GRASSET.
EES P,Ir le D' J. SACAZE, chef de clinique médicale. \ II. Le
signe
de Romberg, ainsi appelé pour indiquer le premier
rité sur la marche et la station des tabétiques. C'est souvent un
signe
précoce qui peut révéler la maladie dans des ci
ce, on avait donné de la quinine. Mais en réalité, il s'agissait du
signe
de Romberg. D'autres fois les malades n'ont pas
ces divers procédés, on apprécie les nuances les plus délicates du
signe
de Romberg, et surtout on constate que l'oc- cl
t à mettre en relief dans cette analyse symptomatique, c'est'que le
signe
de Romberg est dû au brusque passage de la lumi
e point l'opinion de Vulpian ' qui dit à propos de la pathogénie du
signe
de - Romberg, : « On conçoit donc que la cécité
se - de Folie-Desjardins 1. Voilà donc l'analyse symptomatique du
signe
de Romberg ; examinons maintenant sa nature et
s, et sur lequel je suis d'accord avec eux, c'est l'indépendance du
signe
de Romberg, et de l'ataxie ; il n'y a ni parall
question n'a jamais été trouvé. » Cela est parfaitement vrai ; le
signe
de Romberg est un symptôme distinct, séparé, ne
tous les livres; pour vous le prouver, les témoignages abondent. Le
signe
de Romberg, dit Vanlair 1 dépend uniquement de
a lumière à l'obscurité est un élément pathogé- nique nécessaire du
signe
de Romberg, et pourquoi l'ataxique aveugle marc
ant plus follement ses jambes. L'explication généralement admise du
signe
de Romberg ne rend pas compte de ces différence
adapte mieux aux faits. 3. Si la théorie classique était exacte, le
signe
de Romberg ne devrait pas exister lorsque le se
e le nôtre, l'indépendance de la paralysie du sens musculaire et du
signe
de Romberg. Axenfeld * constate que les mêmes p
pétent et d'être récentes. Il reconnaît que dans certains cas, le
signe
de Romberg peut exister sans trouble objectif d
donner la théorie classique, il se déclare obligé d'admettre que ce
signe
est le premier et le plus léger symptôme d'une
rie clas- sique. 4. La preuve inverse peut être fournie aussi. Le
signe
de Romberg existe parfois, vous l'avez vu, sans
es qu'ils présentent sont différents de ceux qui appartiennent au
signe
de Romberg. Duchenne ' et Lasègue 2 ont très bi
On a multiplié et contrôlé ces expériences : il n'y a là rien du
signe
de Romberg. Donc je ne nie pas que la perte ou
coud ' note « le sentiment profond de terreur » des malades dans le
signe
de Romberg. Le malade, dit Vaulair 2, en décriv
r mot pour finir. Il ne faut pas confondre ce ver- tige spécial, le
signe
de Romberg avec les autres vertiges ordi- naire
souvent artério-scléreux. Mais s'il s'agit là de faits courants, le
signe
de Romberg est au contraire un symp- tôme spéci
lieu, Léonie présenta, un an après son entrée à l'hôpital, tous les
signes
de V hystéro-épilepsie : grandes atta- ques cla
inet, Babinski, etc.. Enfin, on lui reconnut, il y a trois ans, les
signes
de la tuberculose pulmonaire au début. Les lési
bsolument dou- loureuse : il y avait du reste du même côté d'autres
signes
d'hypéresthésie. Chez les hystériques, quelquef
, ont abouti à la surdité uni ou bilatérale, dont ils étaient les
signes
avant-coureurs ; mais au début, il n'y avait aucu
aient les signes avant-coureurs ; mais au début, il n'y avait aucun
signe
objectif. J'ai déjà dit que ces états d'éréthis
tif. J'ai déjà dit que ces états d'éréthisme sont fréquem- ment des
signes
prémonitoires de la surdité par sclérose, plus
. Je citerai le fait suivant qui met bien en relief la va- leur des
signes
auriculaires au point de vue de la localisation
en conformé ainsi que les membres supérieurs et infé- rieurs. Aucun
signe
de rachitisme. Le dos des mains présente des du
arche de la paralysie des - muscles des yeux et la simultanéité des
signes
spinaux et céré- braux. Il y a cependant des ca
it une nouvelle maladie qui serait caractérisée par trois ordres de
signes
: 1° des troubles de la vision; 2° des parésies
dans leur rédaction, enfin les modifi- cations de la syntaxe et des
signes
graphiques eux-mêmes. De nombreuses reproductio
par jour et de l'eau-de-vie pour trois sous tous les matins. Pas de
signes
d'alcoolisme, pas de syphi- lis. Soldat pendant
ait tout d'abord. Le scotome dans ce cas semble bien avoir été le
signe
pré- curseur de la migraine, ou plutôt comme un
fréquemment, et puis parce que nous ne découvrons aucun des autres
signes
habituels (déformations 366 CLINIQUE NERVEUSE.
uelques mots la vie du'professeur Ball et lève ensuite la séance en
signe
de deuil. Séance du 27 mars 1893. Présidence
'est que l'indice révélateur d'un autre désordre intellec- tuel, le
signe
extérieur par lequel ce trouble se manifeste : c'
s membres déchiquetés, ils s'en retournèrent chez eux en donnant le
signe
d'une satisfac- tion profonde. La gendarmerie a
sujet a les mêmes aptitudes, les mêmes paroles, il obéit aux mêmes
signes
, change d'état suivant qu'on le touche ici ou l
chaque geste du sujet, mais nous pouvons supposer d'après bien des
signes
que l'attaque d'hystérie vulgaire est la reprod
debout. Néanmoins, les différentes articulations ne présentent pas
signe
d'une lésion quelconque; seulement si on cherche
que quelques-uns de ses stigmates habi- tuels ont coexisté avec les
signes
essentiels de la paralysie agitante. Or, toutes
r insiste surtout sur ce fait que cette femme ne présentait aucun
signe
de dégénérescence, aucun antécédent héréditaire.
de contact. C'est ainsi que la fréquence du « délire, les nombreux
signes
de dégénérescence, la fréquence de « l'épilepsi
ns. Pas d'cedème. Un an après, état mental très amélioré et plus de
signes
de néphrite. 4° Maniaque avec idées de perséc
musculaire, ni l'hypertrophie douloureuse des troncs nerveux, ni le
signe
d'Argyll-Robertson, communément observés dans c
e hyperesthésie cutanée ; chez un autre s'adjoignait l'existence du
signe
d'ryll-Robertson. Il est avéré d'autre part que l
région anesthésiqup, etc. ; mais nous tenonscomme certains ces deux
signes
im- portants et suflisants pour esquisser un co
e mal connu, et comme la sclérose en plaques lui emprunte nombre de
signes
, comme d'autre part, certaines lésions scléreus
ne. J'ai revu, il y a cinq mois, mon malade et je lui ai trouvé les
signes
capitaux que depuis Thomas (1897) nous attribuo
e 1904. (2) Clinique de la Pitié, 6 janvier 1885. 32 SCHERB les
signes
aussi que M. Babinski reconnaît à l'asynergie cér
eul, il cause de sa maladresse (1). Donc, dès ce moment, les grands
signes
du syndrome cérébelleux, asthénie et ataxie. Le
... marche plutôt comme un ataxique. Les réflexes sont diminués, le
signe
de Babinski est douteux, je n'ai pu arri- ver à
alade à man- ger (Soc. anatomique, 1900). xvm 3 34 SCIIERB Ce
signe
m'a paru vrai dans toutes les directions, en avan
d, la jambe et la cuisse se détendent en deux temps. - Ce dernier
signe
n'est pas évident chez D... Ce qui paraît dominer
moins d'oscillations qu'un individu normal. J'ai recherché d'autres
signes
qui mettent en relief ce déficit de l'appareil cé
D... entend très bien, n'accuse pas de vertige. Mais il présente un
signe
curieux qui, pour moi, montre bien cette asynergi
nts (Pasquale de Michèle, Rev. Neurologique, 1875, p. 474) sont les
signes
des tumeurs du lobe médian et du vermis. Mais l
cembre, frissons, malaise général. A l'auscultation on constate les
signes
d'une broncho-pneumonie pseudo-lobaire. Après q
a vue, le palper fait faire le diagnostic. Après avoir étudié les
signes
communs aux deux affections, après avoir vu les
té et l'animation de la vie. On aperçoit, sur ce croquis, outre les
signes
de la décrépitude sénile, et l'expression mimiq
crapauds de Meudon. Les Monstres; selon Paré, sont ordinairement le
signe
de quelque malheur à venir. Ils ont différentes
nouvelées comme les donne la nature même, noter un détail n'est pas
signe
qu'on ne goûte pas l'ensemble, mais seulement q
ans la station debout, nous ne constatons ni chute cérébelleuse, ni
signe
de Romberg ; jamais il n'a éprouvé de vertiges au
s, alors que leur exa- gération est considérée d'ordinaire comme un
signe
d'importance capitale au point de vue du diagno
lade que je vous présente ; tout en réalisant en majeure partie les
signes
de l'hérédo-ataxie cérébelleuse, Henri R .. a v
était normale et jamais on ne constata de troubles pupillaires; le
signe
d'Argyll fit toujours défaut. Eu égard aux réfl
e de Mlle Pesker, le syndrome cérébelleux s'associe à la fois à des
signes
accusés de déchéance intel- lectuelle et à une
. Ce dernier n'est point délimité exactement et à son pourtour tous
signes
de réaction inflammatoire font défaut. Il appar
cachecti- que ; à l'examen de ses poumons on note tout de suite les
signes
certains d'une infiltration des deux sommets.
à droite et on provoque même très facilement le clonus du pied et le
signe
des orteils de ce côté, . NOUVELLE ICONOGRAYU
pituitaire sans voir se produire, même après plusieurs mois, aucun
signe
d'acromégalie. Néanmoins nous devons ajouter qu
le-ci n'était en défaut dans notre observation même où les premiers
signes
d'acromégalie n'ont apparu qu'à 66 ans. Quelle qu
ement fléchies, les autres en extension. L'enfant présente tous les
signes
de l'hémiplégie organique à gauche. On note en
on des or- teils, la flexion combinée de la cuisse et du bassin, le
signe
du peaucier. Le foie et la rate ne sont pas aug
té, des réflexes fut toujours négatif. Jamais je n'ai pu trouver un
signe
d'hystérie. La température rectale oscillait 20
entait de lésion rénale, ni du coeur, ni des vaisseaux, ni même des
signes
d'hystérie, notre diagnostic n'est pas douteux.
, silence respira- toire au-dessus de la ligne mamelonnaire. - Le
signe
du sou n'est perçu en arrière que sur une hauteur
Il accuse de temps à autre des douleurs dans le côté droit. Pas de
signes
de tuberculose. Dans cette observation, quelque
lente, et ne se manifesterait que pendant l'exécution de tel ou tel
signe
conventionnel de l'écriture. C'est ainsi qu'on
t tous ceux qui attribuent la perturbation dans la coordination des
signes
conventionnels de l'écriture, ont raison d'atti
dique, se trouvent au repos et 'la main exécute plus facilement les
signes
conventionnels. S'il nous était LA CRAMPE PROFE
ent. Ensuite, faut recommander au patient de suivre l'exécution des
signes
conventionnels avec son cerveau, car souvent l'
ar le rythme plus ou moins prolongé qu'on apporte à exécuter chaque
signe
d'écriture. «Il suffit, dit M. Gilbert Ballet,
versée entraine par elle-même une exécution plus ou moins lente des
signes
conventionnels. LA CRAMPE PROFESSIONNELLE . 229
jours avant l'entrée à l'hôpital. A l'examen, on retrouve tous les
signes
de la névralgie sciatique, les points douloureu
sciatique, les points douloureux (fessier, trochantérien, poplité).
Signe
de Lasègue. La douleur est continuelle avec par
e en talonnant et en écartant les jambes ;'il présente nettement le
signe
de Romberg. M... se plaint de douleurs vives dans
pupilles sont inégales, les réflexes pupillaires n'exis- tent pas.
Signe
de Romberg. .D'après les renseignements fournis
c idées hypochondriaques (Dr Magnan). A son entrée, il présente les
signes
physiques suivants : léger strabisme conver- ge
rvation du réflexe plantaire en flexion et du réflexe crémastérien,
signe
de Romberg et démarche ataxique. Foie petit, doul
gnostic de P. G. porté par les D" Legras et Magnan. Il présente les
signes
physiques suivants : parésie faciale gauche, inég
physiques suivants : parésie faciale gauche, inégalité pupillaire,
signe
d'Arg,yl-Hoberlson, nystagmus latéral, tremblemen
es plantaires et crémastériens, pas de trouble de la sen- sibilité,
signe
de Romberg, faiblesse musculaire peut-être plus a
ssive avec agitation. A son entrée dans le service, il présente les
signes
classiques de paralysie générale, démence et eu
laire est diminuée surtout à gauche. Tremblement généralisé. Pas de
signe
de Romberg, pas de troubles des sphincters. A c
usculaire le malade reste alité et progressivement s'accentuent les
signes
de méningo-encéphalite, embarras de la parole, tr
tômes tabétiques. Six mois après son entrée, en septembre 1902, les
signes
de tabes sont mani- festes. A la disparition du
festes. A la disparition du réflexe patellaire viennent s'ajouter le
signe
de Romberg et un certain degré d'ataxie ; il ta
ue le réflexe à la distance. Un an après son entrée, en mars 1903, le
signe
d'Argyll-Robertson est à son tour manifeste et
diagnostiquée par M. Garnier et par M. Magnan. Il en présentait les
signes
cardinaux : embarras de la parole; inégalité pu
o-dilatation intense de tout son corps ; il paraît écarlate. Pas de
signes
pulmonaires. Le soir même, on constate que la f
st inconscient de sa situation et incohérent dans ses réponses. Les
signes
physiques sont au complet : inégalité pupillaire,
NE fut confirmé à son arrivée à l'asile ; il présentait en plus des
signes
de tabès : abolition des réflexes patellaires,
t en plus des signes de tabès : abolition des réflexes patellaires,
signes
d'Argyl-Hobertson, ptosis de la pau- pière droi
semaines après le début des accidents, après avoir été précédées des
signes
prémonitoires tels que l'exagération des réflex
ès exagérés, ils sont un peu vifs du côté gauche. La recherche du
signe
des orteils (signe de Babinski) ne donne pas de r
nt un peu vifs du côté gauche. La recherche du signe des orteils (
signe
de Babinski) ne donne pas de ré- sultats précis
urs ; la fatigue vocale est facile et rapide. Mais on ne note aucun
signe
de paralysie bulbaire : il n'existe de troubles
couleur ? C'est le caractère d'une importance majeure, car c'est le
signe
de l'état des vaisseaux superficiels. Bazin (30)
es tendineux sont un peu forts, mais égaux des deux côtés. Pas de
signe
de Babinski. Notre malade présente donc une cra
oins que deux frères présentent, eux, d'une façon indiscutable, les
signes
de cette affection. Dans quelques-uns des cas d
héréditaire et qui est caractérisée essentiellement par les quatre
signes
principaux suivants : développement exagéré du
exes cutanés et pupillaires, l'acuité visuelle sont normaux. Pas de
signes
de lésion du faisceau pyramidal, pas de trouble
donné son nom qui résume d'une façon précise et concise les quatre
signes
princi- paux de l'affection. Nous reproduisons
Montréal, en 1899, signala chez une femme de 38 ans les principaux
signes
du syndrome, sans parler cependant du ca- ractè
qui explique que certains savants comme Sachs, ne trou- vent pas ce
signe
, et que certains autres même, comme Gross, le nie
Il existe d'ailleurs assez d'exemples pour prouver la valeur de ce
signe
important (familles de P. Marie et Sainton, de
ces auteurs ont vu depuis quelques années se dé- velopper tous les
signes
d'une hydromyélie très accentuée caractérisée par
soudure des fonta- nelles ; nous savons quelle est' la valeur de ce
signe
méconnue par cet au- teur. Carpenter invoque ch
i-même rejette d'ailleurs cette opinion, n'ayant pu cons- tater les
signes
principaux du rachitisme. Une hypothèse plus vr
ues, bien connues des zootechnistes, que l'école néodarwinienne dé-
signe
, avec de Vries, sous le nom de mutations ». Les d
Marie et Sainton est une entité bien définie, caractérisée par des
signes
bien nets que nous retrouvons au complet dans l
retrouvons au complet dans la famille que nous avons décrite. 2° Le
signe
qui, à côté de l'aplasie claviculaire, nous a par
cial restent aussi carac- téristiques que possible. 9o A côté des
signes
cardinaux de l'affection existent des signes seco
ossible. 9o A côté des signes cardinaux de l'affection existent des
signes
secon- daires qui ont leur importance : parmi c
développement. - I. Vue d'en- semble du processus méningitique. II.
Signes
fonctionnels de la méningite. III. Actions méca
che provo- que une trémulation qui peut amener de la contracture.
Signe
de Babinski. Sphincters intacts. 31 mai 1899. E
. Exagération considérable des réflexes patellaires. Achil- léens :
signe
de Babinski, sans parésie. Troubles de l'équili
que avec accès d'agitation. En terminant nous insisterons sur les
signes
négatifs du tableau cli- nique, c'est-à-dire su
rb, Naef, Krafft-Ebing (1892), etc.), nous voyons dans d'autres des
signes
d'une localisation su- périeure s'y adjoindre.
u du caractère. Mais dans aucune autre observation on ne trouve des
signes
bulbo-protubérantiels ou pédonculaires aussi pron
rvelet, elle produirait l'hérédo-alaxie de Marie, et cer- tains des
signes
du Friedreich et de quelques formes de maladies f
tion psychique, et que la volonté ne peut reproduire. Or, parmi les
signes
que j'ai passés en revue se trouvent les caractèr
n complétant l'examen de ce sujet chez qui on trouve un ensemble de
signes
qui con- duisent inévitablement au diagnostic d
mi- spasme : ce sont des vertiges, de la latéropulsion à gauche, le
signe
de l'é- ventail des deux côtés, mais plus marqu
ivement l'hémispasme facial caractérisé cliniquement par les divers
signes
que j'ai cherché à mettre en relief et qui est
é- cocité de la complication est telle que nous ne trouvons pas les
signes
physiques d'ordinaire évidents de la tumeur bla
s points doulou- reux à la pression qui, jointe à l'absence de tout
signe
appréciable en dehors de la contracture, nous f
tiquer l'hystérie. Nous allons retrouver chez nos autres malades ce
signe
, plus important que chez l'a- dulte peut-être,
La pression des testicules est particulièrement douloureuse. Aucun
signe
sensoriel. Devant une telle évolution, on n'hés
pouls 92. La recherche de stigmates hystériques est négative,pas de
signes
d'anesthé- sie, ni d'hyperesthésie, aucun signe
st négative,pas de signes d'anesthé- sie, ni d'hyperesthésie, aucun
signe
sensoriel. Malgré tout on porte le diagnostic d
n- contré chez l'enfant, et d'autre paît, dans le cas actuel, aucun
signe
de sciatique. L'absence de toute atrophie muscu
nts de la colonne lombaire et dorsale sont parfaitement normaux. Le
signe
de Romberg n'existe pas. L'enfant ne s'est jamais
e, des mamelons, et surtout au niveau de la région ovarienne. Aucun
signe
sensoriel. Etat psychique assez spécial : carac-
léchi à angle droit. L'enfant couché, on remarqua l'absence de tout
signe
physique dans le genou, de toute atro- phie mus
lignes, offrent des caractères plus pathognomoniques que les seuls
signes
cliniques qui peuvent être réalisés, au moins en
des épiphyses, la synos- tose prématurée des os de la base sont des
signes
de plus de valeur. Il en est de même de l'éléva
vement à la taille du sujet. Ces nains, qui prennent rapidement les
signes
d'une vieillesse précoce, sont dégénérés non seul
t avant tout symptôme clinique (Kassovitz, Spillmann). L'absence de
signes
A classiques extérieurs ne suffit donc pas pour
spécifique, il ne s'ensuit pas que cette altération osseuse soit un
signe
de syphilis : N'oublions pas que la syphilis, à c
s appréciables de la sensibilité objective, il présente pourtant le
signe
de Biernacki. La marche est difficile, le malade
. Les urines sont peu abondantes, et ne contiennent pas d'albumine.
Signes
d'emphysème pulmonaire. Pas de souffle au nivea
bulbe, de la protubérance, du cervelet présentent presque tous les
signes
d'une altération plus ou moins grave. La paroi
4 ou 5 ans après une syphilis sérieuse, vit apparaître les premiers
signes
d'une atrophie musculaire progressive dont l'év
la face. On n'oubliera pas non plus l'importance de la présence du
signe
d'Ar- gyll-Robertson. Quant la lymphocytose, el
e dans des limites assez étendues sous diver- ses influences. II.
SIGNES
FONCTIONNELS de la MÉNINGITE. A ces lésions ana
lente ou rapide, correspondent nécessairement un certain nombre de
signes
fonctionnels. Ces signes fonctionnels, nous les
ondent nécessairement un certain nombre de signes fonctionnels. Ces
signes
fonctionnels, nous les retrouvons aussi bien chez
ique des centres ner- veux, la méningite foetale se traduit par des
signes
indiscutables. Sans doute, le tableau clinique
tables. Sans doute, le tableau clinique n'est pas complet; certains
signes
font défaut; on ne peut, par exemple, distingue
e son côté, souligne la « vivacié » du foetus (2). A vrai dire, ces
signes
n'ont pas été constatés dans tous les cas où ils
de. Grâce au remaniement opéré par la contraction muscu- laire, les
signes
fonctionnels se trouvent pour ainsi dire figés su
nstate, en effet, dans tout le tiers supérieur du poumon gauche des
signes
cavitaires et il est facile aussi de reconaître
-Air à l'autopsie du nommé César L... Dès l'ouverture du crâne, les
signes
d'une pression exagérée apparu- rent si évident
euses. Il en était résulté une dilatation ventriculaire avec tous les
signes
d'une pression exagérée. C'est sans doute de ce
a pour une vul- vite très accentuée. Enfant bien développée, pas de
signes
de rachitisme, pas de stigmates de syphilis hér
abord la coexistence avec cette malformation oculaire de quel- ques
signes
de dégénérescence (en prenant ce mot dans le sens
d'incriminer en semblable cas, nous avons signalé l'absence de tout
signe
positif relevable dans les antécédents ou actue
res est négatif. Que reste-t-il, en somme, de cette accumulation de
signes
négatifs ? Voilà un homme de 25 ans, d'une sant
. La déformation connue sous le nom de scapulce alatce constitue un
signe
diagnostique important des formes scapulo-humér
tremblement fibrillaire et la réaction de dégéné- rescence sont des
signes
constants dans les atrophies musculaires myélo-
méningite de l'enfant ou de l'adulte, elle se traduit par les mêmes
signes
fonctionnels, touchant surtout aux contractions
l (Anencéphales des auteurs). VIII. A ces lésions correspondent des
signes
fonctionnels qui se traduisent par les mouvemen
u foetus et par diverses dispositions morpho- logiques qui sont les
signes
fonctionnels fixés. IX. L'attitude particulière
ociété de Biologie, 1904. - L'attitude des pseudencéphaliens et les
signes
de la méningite foetale. Société de Biologie, 1
édité elle-même reste cachée, alors la prédispo- sition n'a d'autre
signe
révélateur que la toxicomanie elle-même. Comm
ire esl bien développé ; la taille correspond à l'âge. , Point de
signes
visibles d'une dégénérescence quelconque. Ilien
et des réflexes de l'avant-bras, lympho- cylose très faible, pas de
signe
d'Argyll. MM. Marie et Babinski n'acceptent pas
rois ans de troubles de l'écriture, puis de lamar- che ; ébauche de
signe
de Romberg; exagération des réflexes et signes
r- che ; ébauche de signe de Romberg; exagération des réflexes et
signes
de Babinski ; pas d'asynergie cérébelleuse. Du cô
ve, surajoutés à laforme mentale pour laquelle on les internés, les
signes
psy- chiques et physiques de l'intoxication alc
eurs que l'exa- men montre être surtout névralgiques. Il a tous les
signes
d'une sciatique double ; signe de Lasègue très
surtout névralgiques. Il a tous les signes d'une sciatique double ;
signe
de Lasègue très net des deux côtés, dou- leur à
c oscillations dont le maximum ne dépasse pas 3J ? et on trouve les
signes
d'une broncho-pneumonie au poumon droit. Le mal
s dans les racines de la queue de cheval, qui ne présentaient aucun
signe
d'inflamma- tion. Des coupes faites au niveau d
ssion douloureuse au niveau du sa- crum ou des vertèbres lombaires,
signes
d'affection de la symphyse sacro-iliaque. C'e
de avait survécu plus longtemps, les phé- nomènes nerveux sinon les
signes
de localisation osseuse de la tuberculose serai
er que les mélancoliques présentent des troubles physiques et des
signes
cliniques, qui attestent bien que le foie est l
e, la constipation ou les crises diar- rliéiqucs sont également des
signes
de cholémie. Ces symptômes se rencontrent -ils
les symptômes d'une dégénérescence men- tale et, d'autre part, les
signes
cliniques d'une affection biliaire familiale.
diagnostic de la « paralysie générale, la lymphocytose n'est qu'un
signe
morbide « isolé, qui ne peut être utilisé qu'en
« isolé, qui ne peut être utilisé qu'en le rapprochant des autres «
signes
cliniques. Le résultat cytologique n'a sent de ri
Dans la première il s'agit d'un tailleur de 17 ans qui présente les
signes
de Chyoslek, Hoffmann et Trousseau ; mais ce dern
: 1. L'onde musculaire ou contraction idiomusculaire, constitue un
signe
de réaction locale extérieure du muscle loca- l
s après des douleurs ostéocopes et sont accompa- gnées seulement de
signes
d'Argyll sans autre phénomène tabéti- que. Le t
Monlélimar. Un nommé Callus, qui, depuis quelque temps donnait des
signes
d'aliénation mentale, se promenait le long de l
nce, dont nul ne sem- bla blâmer la liberté ; si bien que celui qui
signe
ces lignes put avoir l'illusion, sinon d'avoir
les lésions cérébrales syphilitiques. Dans le tabes on observe : le
signe
d'Argyll Robertson, le myosis et l'inégalité pu
TES ET NEUROLOGISTES. L'irrégularité pupillaire ne constitue pas un
signe
de tabes C'est un état normal n'apparaissant pa
yphilis seule ne donne pas lieu au phénomène d'Argyll-Robertson. Ce
signe
indique toujours le tabes et une autre lésion m
re correspond toujours à un trouble dans la motricité de l'iris. Le
signe
d'Argyll-Robertson n'y est jamais pur comme dan
et une névrite ascendante, il n'y a qu'une question de degrés. Les
signes
de la névrite se ré- vèlent par la douleur, les
troubles de la sensibilité objective, et surtout par l'absence des
signes
positifs de névrite, signalés plus haut. Anat
hercher, à l'avenir, dans la ponction lombaire faite précocement un
signe
caractéris- tique de la phase radiculo-médullai
ement l'apparition du symptôme chez les paralytiques généraux. Le
signe
de Kernig dans la paralysie générale. Dr DARCAN
de Kernig dans la paralysie générale. Dr DARCANNE (de Fougères). Le
signe
de Kernig est fré- quent dans la paralysie géné
lytiques généraux. Sur les 26 malades de Bégard, 10 présentaient le
signe
de Kernig d'une façon nette ; une autre, d'une
n nette ; une autre, d'une façon douteuse. Sur les 10 présentant le
signe
de Kernig avec évidence, 8 étaient à la période
ions recueillies chez des hommes, c'était à la phase de début. LE
SIGNE
DE KERNIG DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 Le si
e de début. LE SIGNE DE KERNIG DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 Le
signe
de. Kernig est considéré, généralement, comme s
qu'elle peut succéder au tabes. Nous pouvons donc considérer notre
signe
de Kernig,dans la paralysie générale, comme tra
esprit est une réalité en clinique : en effet, nous avons trouvé le
signe
de Kernigconcomitamment avec une légère exagéra
ation des ré- flexes, avec le clonus du pied et fréquemment avec le
signe
de Babinski. La présence de ces derniers signes
fréquemment avec le signe de Babinski. La présence de ces derniers
signes
indique bien qu'il y a lésion des méninges rach
ennes ou des faisceaux pyramidaux. Chez les 10 femmes présentant le
signe
de Ker- nig, nous avons trouvé six fois les réf
les réflexes exagérés, cinq fois le clonus du pied, et cinq fois le
signe
de Babinski. Tous ces paralytiques généraux ava
des jambes jusqu'à l'impossibilité complète de se tenir debout. Le
signe
de Ker- nig signifiait bien lésion médullaire.
ne de Ker- nig signifiait bien lésion médullaire. Dans le cas où le
signe
de Kernig existait au début de la paralysie gén
des ménin- ges cérébrales. Il résulte de ces observations que le
signe
de Kernig pos- sède une grande valeur. Le signe
observations que le signe de Kernig pos- sède une grande valeur. Le
signe
de Kernig est, en effet, un signe de diagnostic
pos- sède une grande valeur. Le signe de Kernig est, en effet, un
signe
de diagnostic, puisqu'on le trouve à toutes les p
d'importance, car dans les cas de paralysie générale fruste, sans
signe
d'Argyll-Robertson,il peut mettre le clinicien su
eut mettre le clinicien sur la voie du diagnostic. C'est aussi un
signe
important du pronostic. Il indique, en effet, l
roubles de la marche qui peuvent même confiner le malade au lit. Le
signe
de Kernig, dans la paralysie générale, indique,
ou aux affections aiguës tendant très lentement à l'apaisement des
signes
de l'excita- tion psychique, certaines applicat
trices et psyclio-inhibitrices, ,'d'liillucin*ations psychiques, de
signes
physiques (dermato-psychiés -insuffisance hépato-
aranoïde ne peut se séparer des formes hébé- nhréno-catatoniaues.
SIGNES
OCULAIRES DANS L\ DÉMENCE PRÉCOCE. 231 232 CONG
d'une moda- lité pathologique du réflexe lumineux bien distincte du
signe
d'Argyll, qui est un symptôme fixe et permanent
e lésion de la couche optique. On arrivera peut- être à faire de ce
signe
un phénomène de déficit (ou d'exci- tation ? )
nand Dijon, avait dû être interné à Sainte-Anne, car il donnait des
signes
d'aliénation VARIA. z53 mentale très prononcé
qu'en l'absence d'aucun trouble objectif de la sensibilité, d'aucun
signe
d'une lésion orga- nique, les idées de transfor
ité réalisent donc, au moins dans une certaine mesure, un véritable
signe
de localisation. Les notions de figuration spat
aliéna- tion mentale confirmée » . Quoi qu'il en soit, il est des
signes
qui peuvent per- mettre au médecin d'établir le
eurs réactions souvent désordonnées et violentes et malgré certains
signes
de déchéance en 272 .. PATHOLOGIE MENTALE. ap
convient de rechercher s'il existe dans les faits de conscience des
signes
positifs grâce auxquels le problème pourra se p
se préciser. , Avant de commencer la recherche et l'examen de ces
signes
,' nous devons prendre position sur une question
ante des phénomènes biologiques. Ceci établi, passons à l'étude des
signes
positifs de la conscience et de l'époque de leu
hypothèse. Ce qu'il dit du réflexe de Babinski est aussi exact du
signe
de Strumpctt. « L'existence de pareils faits dé
r, c'esl qu'il y des paraplégies ou des hémiplégies accompagnées du
signe
de Babinski, et où ce signe a disparu avec la g
gies ou des hémiplégies accompagnées du signe de Babinski, et où ce
signe
a disparu avec la guérison ». (Marinesco : Elud
eils. Revue Neurologique, 1903, p. 493.) - « Toutes les fois que le
signe
de l3altinski : tltl>nr : al au cours d'une
ans le service du Der 51erklen, a Lacnnec ; il présentait, outre le
signe
de Kernig, du myxoedème ( ? ) du triceps, et ab
uivants, la température s'élèveet,la veille de la mort, apparaît le
signe
de fal>insl : i-evtension. A l'autopsie, on
ti- ques généraux; et dans la symptomatologie, la constatation du
signe
tl'Arnll-llobertsou, semblent donner à la syphili
ccès, puis, que, jusqu'au coucher, il était hébété : ce sont là des
signes
qu'il importe du noter car ils amènent à perler
l y.a 4 ans ; son mari l'a quittée il y a 18 mois et n'a plus donné
signe
de vie. Le départ et l'absence de son mari l'ont
. par litre. Le sèriun, examiné il différentes reprises, a donné le
signe
de Gmelin. Observation IX. Folie il double form
, F..., fut rendu à sa femme. Pendant 8 ans, il ne donna plus aucun
signe
de troubles psy- chiques. En 1900, il fut repri
P. 11ER.\1' tL. - RI-,tUI : DE PATHOLOGIE MENTALE. : 3n IX. Des
signes
extérieurs de l'onanisme habituel chez les garç
rulente ni ra- nltirlicnne, ni bulbaire, ni cérébrale, pas même des
signes
appa- l'cn[,,llel11l'ningile aiguë conge.-live.
se pro- duit pas,' comme s'il avait avorté dès la manifestation des
signes
précurseurs, et c'est, précisément celle crise
alysie générale, muntrant que dans le stade initial il n'y a pas de
signe
permettant d'aflirmerlediagnostic. Des signes de
nitial il n'y a pas de signe permettant d'aflirmerlediagnostic. Des
signes
de né- vrite seront en faveur du Korsakovv, des
gnostic. Des signes de né- vrite seront en faveur du Korsakovv, des
signes
de sclérose com- binée en faveur de la P. G. Ce
plus que dans les autres endroits, mais largement perméables. Aucun
signe
d'inflamma- tion dans les vaisseaux radicntaire
ils en extension nette des deux côtés. Pas d'atrophie musculaire.
Signe
d'Argill flohertson à la pupille gauche ; la droi
s, même les plus petites, très congestionnés ; on ne relève aucun
signe
d'infiltration ; les espaces périvasculaires, ain
ple. Au niveau de celle-ci, nous avons constaté l'absence de tout
signe
d'inflammation, tant des méninges que de la moe
mentation de la pression du liquide cc·1>ltalo-raclti- dien : le
signe
dcWcstpIml ne peut pas non plus être ex- plique
pathologique, l'cxistenccd'nnvrai tabès, bien que la pré- sence du
signe
d'Argill-Roberston plaide en faveur d'un tabès
és, clonus du pied bilatéral, phénomène de l'orleil indif- l'érenl,
signes
objectifs et subjectifs de scialiqup double, dill
ment (le la phalangine. (Fig. `5.) Assez 011\ enton cons tale des
signes
multiples de dégénéres- ccnce ; malformations d
ns qui succomba six mois après son entrée, après avoir présenté les
signes
caractéristiques delà démence précoce : négativ
SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 précoce type, est mort, cachectique avec des
signes
de tubercu- lose pulmonaire. A l'autopsie, on t
lho-protu- héranliolle. L'excitabilité électrique n'est donc pas un
signe
pro- . (I) Nous avons eu l'occasion, bien des f
. - Femme présentant une démarche hési- tante avec propulsion, sans
signe
de Romberg, ni asynergie céré- ])eIIeuse, ni pa
se, ni paralysie. Abolition des réflexes rotulicns et achil- léens,
signe
de Babinski. Nystagmus; pas de troubles sensoriel
Kéca- mcy, p. 142. - - Jorns \L. Viuvoiiil . p. 79. Kehnig. Le
signe
de dans la paralysie générale, par Darcanne,
sensibilisatrices microbiennes, par Didc et Sncquépée, p. 232.
Signes
oculaires dans la dé- mence précoce, par Dide e
: ¡- Lwn, 11,n 1)I'IJlI;" p 111 La - (Ic l'uniforme et des in-
signes
]}lJll1dll'(I. pal' Lux, p. 142. Voir Mutisme.
hamp visuel il conclue que le rétrécissement du champ visuel est le
signe
le plus précoce, le plus sûr, le plus carac- té
quarante-neuf ans, entré en août 1901, donnait depuis six mois des
signes
d'aliénation mentale. Dégé- néré, alcoolique (i
, on lui vole ses effets. Aucune systématisation. Mémoire abolie.
Signes
physiques : marqués de paralysie générale. Trembl
hysiques de dégénérescence. Athérome artériel. Il présente tous les
signes
de la paralysie générale à la der- nière périod
dut être interné d'urgence. Il présentait à l'entrée la plupart des
signes
de la paralysie générale progressive. Etat m6
'après il disait .n'avoir pas un sou. Excitation intermittente. "
Signes
physiques très marqués. Tremblement fibrillaire d
rapporter aux indications du malade et on tiendra compte plutôt des
signes
physiques capables de trahir la fatigue, c'est-
, officier. Tabétique depuis neuf ans. Depuis trois ans et demi les
signes
d'incoordination sont apparus et l'ont depuis f
ant l'équilibre. Celui-ci se rétablit à mesure que se corrigent les
signes
observés du côté du tronc. Aujourd'hui B... n'a
oppée la diminution de la réaction pupil- laire. L'importance de ce
signe
en médecine légale saute aux yeux. P. IEIiAVAL.
ous forme d'excitation maniaque avec idées de persécution, puis des
signes
de basedo- wisme moins l'exophtalmie. Ces troub
Il s'agit d'un homme de soixante-neuf ans, qui présentait tous les
signes
d'une pachy-méningite hémorrhagique (état comateu
s l'ictus. Chez les quatre sujets il a trouvé très manifestement le
signe
de Babinsktri. M. Marie a observé le même fait
plaques cérébello-spasmodiques, ils croient, en conséquence, que ce
signe
peut être différenciateur de l'hystérie et d'un
n traumatisme occipital. Examen de la moelle d'un malade porteur du
signe
6t'A)'o ? ? o ! 'e)'(M : . Tabes fruste. M. H
ovenant d'un malade mort tuberculeux et n'ayant présenté comme seul
signe
clinique de la série tabétique que le signe d'A
ant présenté comme seul signe clinique de la série tabétique que le
signe
d'Argyll-Robertson. Il n'existe pas de sclérose
tabétiques avérés un certain nombre de malades qui n'ont pour tout
signe
clinique que l'Argyll-ltobertson. M. Dejerine c
nique que l'Argyll-ltobertson. M. Dejerine chez un sujet atteint de
signe
d'Argyll et de douleurs fulgurantes n'a pas tro
tate l'exagération des réflexes rotuliens, du clonus du pied et le
signe
de Babinski. Cette association flascospasinodique
és avec des types intermédiaires. Mais ne prend-il pas lui aussi le
signe
, pour la chose elle-même . Ribot admet les sens
ent de l'occlusion intestinale. Questions restées dans l'urne : Des
signes
de l'accouchement imminent; soins à donner à la p
romu chef de bataillon. Il paraît que depuis un mois il donnait des
signes
de dérangement cérébral et l'on a tout lieu de
eorgette. Depuis quelque lemps, la marchande de légumes donnait des
signes
de dérangement cérébral : « Je ne sais pas ce q
de-Grâce. Quelques temps après l'installation, Mme Dufois donna des
signes
fréquents d'absence et d'aliénation mentale. Pl
an et de son école, se traduit au dehors par un certain nombre de
signes
physiques et psychiques classiques, généralement
psychiques dans leurs manifestations extérieures s'accompagnent des
signes
devenus classiques : lutte angoissante, irrésis
us classiques : lutte angoissante, irrésistibilité, exagération des
signes
phy- siques de l'émotion, répétition et persist
physique de dégénérescence, mais il fait découvrir en revanche des
signes
bien nets d'hystérie : douleurs à la pression dan
é physique, elle ' DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 173 présente des
signes
hystériques manifestes : un rétrécissement du c
L'étude minutieuse de l'ensemble des éléments qui précèdent et des
signes
différentiels entre la paralysie asthénique et la
paralysie bulbaire asthénique. Elle se caractérise surtout par des
signes
bulbaires comparables à la fois à ceux de la pa
au cours d'une endocardite infec- tieuse pneumococcique. Valeur du
signe
de Kernig ; par MM. JOSSERAND et Lesieur. (Soci
gétations de l'endocarde et de la pulpe splénique après la mort. Le
signe
de Kernig a permis de faire un diagnostic et un
E NERVEUSE. 18S d'une façon très précoce en l'absence de tout autre
signe
de ménin- gite. Le signe de Kernig est importan
on très précoce en l'absence de tout autre signe de ménin- gite. Le
signe
de Kernig est important; rare dans la méningite
ne de Kernig est important; rare dans la méningite tuberculeuse, ce
signe
se rencontre fréquemment dans les autres méning
iagnostic de la paralysie générale. La présence des éléments est un
signe
de début. Ils apparaissent avant l'inégalité pu
signe de début. Ils apparaissent avant l'inégalité pupillaire et le
signe
d'Argyll. Elle permet de diagnostiquer la par
rose en plaques, maladie dont le sujet présentait exactement les
signes
, mais dont les centres nerveux ne portent aucune
s chez des hystériques. Cependant, ce jeune homme ne présente aucun
signe
d'hystérie. On peut se demander s'il ne s'agit
du tendon. L'épilepsie spinale n'a donc pas de valeur absolue comme
signe
de lésion du système pyramidal, le phénomène de
aggravant progressivement. ' Le malade rentre en mars 1900 avec des
signes
indéniables de tuberculose pulmonaire il la pér
, de larmes, de gémissements, de lamenta- tions. Il n'existe pas de
signes
physiques contestables, tels que troubles pupil
sance mitrale. Mydriase permanente, très prononcée à droite; pas de
signes
d'hystérie. Signification, non encore élucidée;
ssements. Bourdonnements dans les oreilles. Tremblements des mains.
Signe
de mélancolie, ne veut plus sortir de chez elle
tégument et des parties pro- fondes. , Cette hyperesthésie est un
signe
à peu près constant dans toutes les névralgies
llée d'un dégénéré. Tares héréditaires, convulsions dans l'enfance,
signes
de dégénérescence physiques, faible résistance
une lésion protubé- rantielle, et d'autre part il put constater des
signes
de paralysie alterne : une hémianesthésie droit
ité des lésions ont été con- sidérés par certains auteurs comme des
signes
distinctifs des porencéphalies traumatiques ; m
VIOT. {Revue deàiéde- cine 1899). Le cas observé présentait comme
signe
particulier une hémi- plégie droite à évolution
ce de douleurs fulgu- rantes et d'incoordination motrice et dont le
signe
le. plus marqué a été une atrophie musculaire à
érieure avec évo- lution très rapide et mort dans le marasme. Les
signes
pupillaires et la constatation à l'autopsie de la
. Dagonet ayant été Président de la Société, la séance est levée en
signe
de deuil. Reprise de la séance. Présidence de M
te-huit ans, le diagnostic, appuyé sur la constatation de plusieurs
signes
de petite urémie, fut confirmé par le retour et
hallucinatoire de leurs manifestations sensorielles pénibles est un
signe
probable d'intoxication non alcoolique. Il cite
ez rapide. Une malade observée par l'auteur et atteinte de tous les
signes
du tabès présente exactement tous les mêmes phé
. Delherm présentent un malade qui permet d'affirmer que sans aucun
signe
de lésion ou* d'irritation perma- nente de ce f
tude et de fatigue générale habituelle. On ne relève chez lui aucun
signe
de lésion cérébrale ou spinale ; l'examen du li
mptômes neurasthéniques et SOCIÉTÉS SAVANTES. 295 indemne de tout
signe
dedésion organique du faisceau pyramidal, on pe
ion que chez les sujets normaux. En somme, elle n'a de valeur comme
signe
que quand elle est unilatérale et très accentué
l'avis général que l'épilepsie spinale perd de son importance comme
signe
de lésion organique. Atrophie des membres de na
s cliniques ouvertes où ces malades, dès le début et les premiers
signes
de maladie, puissent être traités durant un temps
oit faite de celle qu'elle avoit portée, avec laquelle je fis trois
signes
de croix sur mon côté malade, la priant que, co
Aussitôt surviennent des élancements douloureux qui constituent le
signe
précurseur, puis un engourdissement général; ensu
signaler que son père a eu des douleurs fulgurantes et' d'autres
signes
tabétiques, que sa mère a souffert également d'un
e). Toutefois, s'il n'y a pas de réflexes rotuliens, il n'existe ni
signe
de Romberg, ni signe d'Argyll, ni lésions de l'oe
'y a pas de réflexes rotuliens, il n'existe ni signe de Romberg, ni
signe
d'Argyll, ni lésions de l'oeil. L'examen de l'a
ma- tisme, hystérie, tabes, etc). Pas de troubles oculaires, pas de
signe
356 CLINIQUE NERVEUSE. d'it,-yll. Syphilis im
nome qui appartient au groupe des psychoses dégénératives. 2. Les
signes
s'en manifestent généralement à vingt ans, mais i
éflexes tendineux sont abolis, les réflexes cutanés conservés et le
signe
de Babinski très net. Le trai- tement spécifiqu
es combinées. MM. P. Marie et Crouzon ont cherché quels étaient les
signes
permettant de faire le diagnostic de cette form
importance diagnos- tique à la paraplégie compliquant le tabes. Ce
signe
mentionné pour la'première fois par Leyden et B
Ils ont pu, par une autopsie, vérifier dans un cas, la valeur de ce
signe
. Ils signalent la fréquence de la cécité dans la
elever chez un de leurs malades un début subaigu qui présentait les
signes
d'une infection cérébro- spinale. MM. Marie et
stence de flexion combinée de la cuisse et du tronc et peut-être du
signe
de Babinski de con- clure à une affection organ
is abondante dans 3 tabes confirmés, elle a manqué une fois dans un
signe
d'Argyll comme symptôme isolé et unique. · M.
e atrophié ainsi que la totalité de la pyramide correspondante, les
signes
cliniques pen- dant la vie n'étaient pas adéqua
ntre eux diversement et offrir des variantes individuelles. Mais le
signe
essentiel, qui consti- tue le fond même de l'af
r toutes ces raisons, je con- clus à une hallucination auditive. Ce
signe
de mort est connu dans le monde des mystiques s
on plus le reproche d'avoir voulu « proposer une classification des
signes
de dégénérescence, dans laquelle ils ont rangé
que du cône médullaire et de la queue de cheval : il peut servir de
signe
de l'état des fonctions sexuelles. (Bévue neuro
font un cas d'hystérie monosymptomatique en l'absence de tout autre
signe
d'hystérie. Ils demandent à ce sujet l'opinion de
ale, on obtient au contraire un nuage très opaque des plus nets. Ce
signe
peut suppléer la cytoscopie pour le praticieu q
nt dès qu'il a un travail devant lui. Ce malade ne présente pas des
signes
d'hystérie, mais il a dans sa famille des tares
s ont une abolition complète du réflexe pupillaire sans aucun autre
signe
de tabès ou de méningo-encé- phalite. Etude c
e fit rétrocéder les symptômes. Etude sur le phénomène des orteils (
signe
de Babinski). h1. G. M : 1RINRSCO. -J'ai étudié
-nés. Sur 100 sujets atteints d'hémiplégie organique j'ai trouvé le
signe
de Babinski dans 86 cas. Parmi les 30 cas de pa
tabès combiné (2 cas), sclérose latérale amyotrophique (1 cas). Le
signe
de Babinski fait défaut dans 3 cas de section tra
ue. Sur 16 enfants nouveau-nés, je n'ai trouvé qu'une seule fois le
signe
de Babinski, sous forme d'extension, plus accus
ard. Le sommeil chloroformique opère une dissociation inverse, le
signe
de Babinski disparait avant ou en même temps que
phénomènes plus inté- ressants encore, à savoir : la disparition du
signe
de Babinski et l'apparition d'un réflexe planta
ait pas auparavant. Tous ces faits démontreraient à mon avis que le
signe
de Babinski est un trouble fonctionnel des voie
ologique), il existe un type paraclinique caract risé par le double
signe
de l'accoutumance et du besoin. » kt il en mont
, âgé de qua- rante-trois ans, demeurant rue Damrémont, donnait des
signes
de varia. 575 dérangement cérébral. Hier soir
père et de leur mère dans un flot de sang. La mère ne donnait plus
signe
de vie, mais le père respirait encore. On cro
ier et directeur de la fromagerie, donnant depuis quelques mois des
signes
de dérangement cérébral, s'est noyé dimanche. I
. ARG1LL-130BERTSO\. Examen de la moelle d'un malade porteur du
signe
- - Tabes fruste, par Du- four.103. ARRES'rvT
urs d'u ne en docard i te infectieuse pneu- mococcique. Valeur du
signe
de Kernig, par Josseiaud et Lesieur, 84. Sur
ectuel de plus en plus évident succède à la simple conlusion et les
signes
physi- ques de la paralysie générale apparaisse
n, mais bien son antagoniste. Dans un cas de coma profond, où aucun
signe
de lésion locale ne pouvait être décelé, S. dia
u tendon d'Achille, Les 10 malades de L. présentaient en outre le
signe
de Babinski : la « zone réflexogène » du phénomèn
ne des or- teils n'est donc pas localisée à la plante du pied et le
signe
de Schae- fer ne diffère de celui de Babinski q
exion plantaire ; plusieurs de ces malades présentaient en outre le
signe
de Babinski. Une nouvelle série d'examens permi
d la percussion portait sur le dos du pied près du bord externe. Le
signe
de Babinski fut né- gatif 48 fois, mais, dit l'
ses en plaques), il y eut 35 fois flexion plantaire. Dans 45 cas le
signe
de Babinski fut positif. Le réflexe pathologique
la question d'une lésion du faisceau pyramidal malgré l'absence du
signe
de Babinski. M. rapporte l'histoire d'un malade
ski. M. rapporte l'histoire d'un malade pour lequel l'absence de ce
signe
avait fait porter le diagnostic de neurasthénie
n effet, après quel- ques mois, apparaître successivement plusieurs
signes
de sclérose en plaque et, notamment, le signe d
essivement plusieurs signes de sclérose en plaque et, notamment, le
signe
de Babinski. M. passe en revue plusieurs cas d'
ues, de « paralysie progressive » de l'enfant et de l'adulte, où le
signe
de Babinski manquait, tandis que le ré- flexe d
à gauche dans la moelle lombaire supérieure. 2° Femme de 35 ans ;
signe
de Romberg ; les phénomènes du genou manquent d
mbe arrive à faire avec le plan horizontal un angle de 16 à 20°. Ce
signe
est constant quand il y a ataxie des membres in
droite. Mort en 2 jours d'une pneumo- nie réduite à peu près à ses
signes
physiques, sans aucun phéno- mène nerveux nouve
dans ie mode de généralisation de l'infection. L'A. rattache les
signes
nerveux mentionnés plus haut à l'an- cienne hém
u début, est devenue rapidement totale. Cette atrophie,qui est le
signe
d'une altération profonde du nerf optique sembl
s les périodes intermédiaires, il y a souvent des paresthésies, des
signes
de myxoedème, plusieurs ou la totalité des sign
paresthésies, des signes de myxoedème, plusieurs ou la totalité des
signes
de la triade (voir plus bas); ces cas pourraient
comme des formes à récidives aiguës. Quant à la symptomatologie, le
signe
de Trousseau (que l'A. re- cherchait en comprim
surexcitabilité galva- nique des nerfs « sensitifs et sensoriels » (
signe
d'Erb) ; la surexci- tabilité faradique n'est p
a surexcitabilité galvanique, surtout dans la tétanie chronique. Le
signe
de Chvostek (percussion du facial en avant de l
ujets sains, dans la neurasthénie, l'hystérie, l'épilepsie, etc. Le
signe
d'Hoffmann (percussion d'un tronc nerveux : sensa
Vulpian ; extension du bras vers la main. Examen à 29 ans; quelques
signes
bulbaires : légère parésie du facial inférieur
isolés, indépendants de toute autre cause, et qui sont souvent les
signes
précurseurs de l'affection. Comme d'autres,ces
est plus grave ; les en- fants qui ont le visage régulier et peu de
signes
de dégénérescence sont réfractaires à l'éducati
observateur de lui-même pour s'y tromper, et il a noté les premiers
signes
de sa décadence intellectuelle en termes d'une
n rapport avec des lésions cérébrales à évolution lente, et sont un
signe
précurseur d'un dénouement fatal. Elles s'obser
jacent. - Au point de vue pronostique, on doit tenir compte des
signes
suivants qui militent en faveur de la guérison pr
es, mais dans les cas pris au début, chez les malades présentant le
signe
d'Argyll uni ou bilatéral, avec ou sans l'aboli
onos permanent. Il n'existait pas de paralysie véri- table et aucun
signe
ne permettait de rapporter l'affection à une lé
UROLOGISTES. 163 tion des réflexes rotuliens, troubles viscéraux et
signe
d'Ar- gyll-Robertson. Ici encore les racines po
l'hérédité syphilitique et tabétique, la pré- sence au complet des
signes
du tabes, la paralysie des deux mus- cles oculo
ion clinique à l'ap- pui de son opinion émise antérieurement que le
signe
de Babinski est un réflexe cutané. dont l'arc e
ion du bord externe du pied, produire un écartement du gros orteil,
signe
d'atteinte du faisceau pyramidal, comme le réfl
porteur aux pompes funèbres, donnait, depuis quelques semaines des
signes
de dérangement cérébral. Hier soir, comme il ve
l'accès épileptique. Ainsi que Delasiauve l'a fait pour les autres
signes
prodro- miqucs de l'attaque, on peut diviser le
ravail (2) nous paraît toute conventionnelle en ce qui concerne les
signes
visuels, car les troubles prodromiques immédiat
es manifestations oculaires qui peuvent annoncer l'attaque. Le seul
signe
qui signale parfois Une aura motrice est un cli
e dans le tabes. M. ETiENNE. Il s'agit d'un tabétique présentant le
signe
de Romberg et des phénomènes d'ataxie oculo-mot
smodique, avec exa- gération des réflexes, trépidation épileptoïde,
signe
de Ba- binski. Cette paraplégie s'accompagne de
indiqueront le but poursuivi : En vérité,messieurs, n'est-ce pas un
signe
du développement'de la courtoisie international
i répété qu'il n'y avait pas de clonus dans les paraplégies, pas de
signe
d'Argyll dans les troubles de la vision. J'ajou
urd'hui qu'après l'avoir re- cherché je n'ai pas trouvé non plus le
signe
de l'extension des- orteils dans les paralysies
et l'autre côté, le phénomène du genou était très accentué et le
signe
de Babinski se faisait en extension. Réflexe achi
on, l'état général de la malade s'aggrava elle présentait les mêmes
signes
somatiques. Nouvelle interven- tion partant de
e, enlève son col et ses manchettes et les dépose sur l'estrade, en
signe
de renonciation. Lps femmes enlèvent leurs chap
- à Sai¡1l-[<rézal-de Ventalon, donnait depuis quelque temps des
signes
non équivoques de dérangement céré- bral. Aussi
ntier demeurant (le la Héllnion, donnait depuis quel- que temps des
signes
d'aliénalion mentale. Il était l'objet d'une su
ntérieurs sont sains. Du côté du système nerveux on ne trouve aucun
signe
de lésion organique, quant aux troubles de la n
mence ; enfin, l'exagération de la coquetterie devient parfois un
signe
d'exagération des tendances sexuelles CONTRIBUT
qué l'onanisme ni le coït. Pas d'antécédents héréditaires, pas de
signes
morphologiques de dégénéresence, pas de trouble
héréditaires nous manquent complètement ; il n'y a pas non plus de
signes
morphologiques de dégéné- rescence chez le mala
eprésente subitement telle personne accom- plissant tel acte, c'est
signe
que tel acte a eu lieu, telle autre vision sera
elle visite plusieurs chaque jour, des prêtres toussent ou font des
signes
.De même les bedeaux, les quêteurs et les dévote
L'absence de douleurs spontanées sert jus- qu'à un certain point de
signe
distinctif entre la névrite alcoolique et des n
nt les mots, les paroles qu'elle voit ou entend, et les gestes, les
signes
qu'elle observe. Il est diffi- cile de savoir e
.émiettait aussi du pain pour les moineaux. «Tout cela, ce sont des
signes
». Les infirmiers, les malades, exécutent eux a
inq cas de tabes, dont un au début, S. constata, au con- traire,des
signes
évidents d'inflammation dans tout l'appareil con-
eil con- jonctivo-vasculaire que la pie-mère envoie dans la moelle,
signes
plus nets dans le cas de tabes incipiens, mais
toujours en rapport avec celui de la lésion ; puis surviennent los
signes
de compression radiculo-médullaire consistant e
sies spasmo- diques ou flasques. Le diagnostic est facile quand les
signes
rachi- diens sont nets,. en est autrement quand
t pour cause des lésions des racines et des cordons postérieurs. Le
signe
principal est la diminution puis la disparition d
diminution puis la disparition des réflexes tendineux ; les autres
signes
, moins constants et d'appréciation plus diffici
iginelle et de lésions organiques. Ch. Bu z XXXVIL-Des principaux
signes
objectifs que la volonté, la sug- gestion etl'h
es achilléens; trépidation épileptoïde du pied légitime et parfaite
signe
de Babinski. Pour les réflexes achilléens il fa
e plus, la ponction lom- baire est précieuse pour le diagnostic. Le
signe
de Kernig,au con- traire, est des plus trompeur
la volonté est aidée par la suggestion (faradisation sans courant).
Signes
évidents de parésie de la moitié droite de la f
fuses et faiblesse extrême ; puis crampes dans le bras gauche; puis
signes
de tétanie et hémianesthésie gauche, puis pares
la main gauche; paralysie transitoire de l'abducens à gauche. Aucun
signe
d'hystérie. IV. Femme 37 ans : début par oedè
de formes communes de la névrose vasomotrice avec presque tous les
signes
accessoires du goitre, exophthalmi- que, mais s
xophthalmi- que, mais sans les symptômes cardinaux». L'existence de
signes
cardiaques, dans un cas et, dans deux autres,de
réflexes consécutifs à la percussion des muscles et du périoste, le
signe
de Hitzig-Cassirer du côté simplement parésie :
trécissement du champ visuel avec in- version des couleurs sont des
signes
faciles à observer, impossibles à simuler. Dans
ie, 1907," I. Il. 25 386 REVUE de Pathologie nerveuse de nombreux
signes
d'hystérie entre autres la polyopie monoculaire
chy, femme du propriétaire du café du Champ -de-Mars, don- nait des
signes
de dérangement d'esprit. Hier matin, alors que
ononcé; les yeux fermés, le malade ne peut pas du tout marcher ; le
signe
de Romberg est aussi très net. Tous les mou- ve
l'ataxie des extrémités supérieures et infé- rieures, ainsi que le
signe
de Romberg,sont encore plus manifestes. Tous le
'état du malade par rapport aux examens précé- dents : l'ataxie, le
signe
de Romberg, les douleurs et les paresthé- sies
0,003 pro die. 40(i CLINIQVE NERVEUSE. marche s'est améliorée, le
signe
de Domberg est moins prononcé ; les troubles de
ôté droit, elle existe aussi presque dans tous les mou- vements. Le
signe
de Bamberg et le caractère ataxique de la mar-
e de la face plantaire et l'hypoesthésie vibratoire. L'ataxie et le
signe
de Romberg ont disparu. L'état général du ma- l
u'il existe, outre le syn- drome nommé chez notre malade, plusieurs
signes
qui démontrent clairement la localisation beauc
a- hissant les membres inférieurs et supérieurs en entier ; 4° le
signe
de Romberg, qui a été constaté au moment où il
d'affection des nerfs périphériques ca- ractérisée par l'ataxie, le
signe
de Romberg, l'abolition des réflexes profonds e
état eût été si grave que les médecins craignirent pour sa vie. Ce
signe
clinique très important, cette particularité de
ongénitale aggravée par des convulsions por- tant sur lecôté droit.
Signes
de méningite. Epilep- sie. Mort en état de mal.
icule pas une seule syllabe ; elle ne cherche ni par gestes, ni par
signes
à se faire comprendre. Au réfectoire, la tenue
nctionnel, soit à une maladie organique définie, et dans lequel les
signes
physiques prennent le premier plan. Le' terrain
est due à un défaut d'équilibre statique de la tête. Existence du
signe
d'Argyll Robertson dans la syringomyèlie. MM. R
la démonstration en reste à faire, la possibilité de l'existence du
signe
d'Argyll, sans syphilis. Bléphaarospasme. M
rations générales sur l' -, par Rav inond, p. 372. Des principaux
signes
objectifs que la volonté, la suggestion et l'
ngénitale aggravée par des convulsions portant sur le côté droit.
Signes
de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal.
à une incision d'abeesden- taire, par Bicbclonne, p. 378. Sur un
signe
de - orgnnique du membre inférieur, p : 11' Noi
de sa famille, il est un peu nerveux. Nous n'avons pu déceler aucun
signe
de syphilis ou de tuberculose. Les réflexes ten
e un acromégalique fruste est assez sé- duisant, mais l'absence des
signes
capitaux de l'affection nous porte plu- tôt à r
t hippocratique et l'ostéopathie hypertrophiante, il n'existe aucun
signe
clinique différentiel, et des erreurs ont été com
La papille est très- petite : ce qui peut être interprété comme un
signe
d'arrêt de développement des nerfs optiques de
modifications importantes de la température et du pouls. A de tel
signes
de souffrance endocranienne générale, il faut ajo
s très ancien. Or d'une part, tandis que cliniquement on relève des
signes
en faveur d'une tumeur de la base du crâne, d'a
tumeurs hypophysaires; à tel point que l'on a prétendu en faire un
signe
diagnostic différentiel (Hoffmann, Falta, Kumme
t psychique. L'intérêt des cliniciens est sans doute de trouver des
signes
qui aident à distinguer les cas fonction- nels
yant observé chez un malade atteint de blépharospasme hystérique un
signe
qui, selon nous, sera peut-être utile dans cett
en aucune façon et le sourcil, au lieu de se baisser, se relève. Ce
signe
a été trouvé par M. Babinski et indiqué par lui
mptôme différentiel entre le spasme et le tic. Selon nous, un autre
signe
a une valeur remarquable pour le caractère foncti
tre distingué complètement delà ptose à bascule de Pacelti. Dans le
signe
de Pacetti, la fermeture de l'oeil sain peut déte
de lésion organique, tandis qu'on rencontre très probablement notre
signe
, c'est-à-dire le spasme à bascule, seulement dans
gauche. Nous pouvons affirmer cela, même n'ayant pu nous servir du
signe
suggéré par Gowers, c'est-à-dire de la résistan
ntagoniste. Dans la paralysie faciale d'origine centrale, il y a le
signe
de Revilliod qui consiste en ceci : le patient pe
t par Wilson. Tantôt-c'étaient les symptômes psychiques, tantôt les
signes
somatiques qui ouvraient la scène. Les malades de
es malades de Gowers l'intelligence serait restée intacte. Mais les
signes
phy- siques étaient plus caractéristiques. La r
t 4.30 grammes. Examen microscopique. Méninges molles (van Gieson).
Signes
de proli- fération des éléments fixes : les fib
vésicules. Les vaisseaux sont souvent en dégénération hyaline ; les
signes
d'inflamma- tion sont absents. Les grandes co
aladie du foie, se manifestant par l'ictère, des oedèmes, l'ascite.
Signes
de lésions cérébrales ; somnolence, crises d'ir
rononcé et la somnolence extrême. Quant à notre deuxième cas, comme
signe
de la lésion des centres ner- veux, il ne prése
tive, désorientée, incohérente, né- gativiste et stéréotypée. Ces
signes
de profonde perturbation psychique et motrice, jo
aient normaux, même les réflexes cutanés plantaires. Comme autres
signes
physiques, nous n'avons relevé chez Mme R... qu'u
viscéraux quelconques. Sous l'influence du repos forcé au lit, les
signes
d'asphyxie locale que nous venons de décrire on
s participent à ce mouvement et on note de plus, de chaque côté, le
signe
de l'éventail. Chaque excitation de la plante dét
ent ces dernières. Le malade a présenté dans une première phase les
signes
d'une para- plégie spasmodique qu'on pourrait d
n une tendance des membres à se fléchir. En quelques semaines les
signes
se sont transformés et la paraplégie a présenté
une série d'actes stéréotypés dans l'ordre rituel (génu- flexions,
signes
de croix). En 1910, on le trouve un jour occupé à
seconde scène du drame est une réaction contre l'absence réelle de
signes
physiques pouvant démontrer le mal et contre l'as
e. La fai- blesse de la paupière inférieure esl pour Kondriavsky un
signe
précoce caractéristique. » Quoique le plus so
gravité croissante. Je dois indiquer que l'on ne trouve point le
signe
de Homberg dans les cas d'anesthésie des tissus
e sujet je donne dans la figure 1G l'image d'un lépreux chez qui le
signe
de Romberg est bien manifeste. Ce malade est
les yeux ouverts. Tous nous voyons des tabétiques qui présentent le
signe
de Romherg Fig. 31 Fig. 33 Fig. 34 Fig. 3
ffisance du sens de l'espace. Cette femme labyrinlhique présente le
signe
de Homberg très marqué comme je l'ai observé pl
rbiculaires dans l'acle de fermer les yeux. Il est sourd et il a le
signe
de Romberg très clairement. Les oscillations so
ns la figure 10, avec paralysie double de la VII" paire, n'a pas le
signe
parce que la VIII" paire ne se trouve pas intét
e, quand elle n'est pas unie il la paralysie, ne présente point les
signes
physiques de ! a dégénération neuro-musculaire.
dant à la diminution volumétrique du muscle jambier antérieur. Les
signes
physiques corroborent le mal musculaire dégénér
d à la figure 10, dans lesquels la réaction électrique présente des
signes
de dégénération avancée, sont également atteints
d'observer chez lui, tant lorsqu'il parle que lorsqu'il mange, les
signes
propres de la parésie de l'orbiculaire labial.
la longueur des muscles extenseurs des articles et ils n'ont pas de
signes
de dégénération. Dans la lèpre nerveuse les con
lienne. On sait que l'exagération du réflexe tendineux constitue un
signe
qui indique l'état anormal du neurone périphéri
mptomatologie nerveuse Dans cette maladie on trouve les plus graves
signes
de dégénération neuro-musculaire dans les régio
que M. et Mme Long ont signalé dans celle même famille Lehongre le
signe
de Babinski chez deux amyo- Irophiques âgés l'u
és par Westph1l1 et Berto- lotti ; l'exagération des réflexes et le
signe
de Babinski, cités la première par Lejonne et R
COT-MAHIE 18S une incoordination extrême des membres inférieurs, le
signe
de Romberg, une ataxie moins marquée des membre
une polyurie abondante Au cours de l'année 1911, alors que tous les
signes
précédents ne faisaient que s'exagérer, en part
La fin de l'année 1912 est marquée par une aggravation de tous les
signes
précédents, tout spécialement de l'asthénie'qui d
les signes précédents, tout spécialement de l'asthénie'qui devient
signe
de premier plan et de la céphalée qui, par son
an. , Mais en dehors de cette réaction thyroïdienne il n'y a pas de
signes
d'altération d'ordre surrénal par excès ou par
nc, dans certains cas, on peut noter au cours de l'acromégalie, des
signes
traduisant un trouble fonctionnel au niveau des o
ci d'un cas des plus nels de dissociation albrcnmitto-cytologique. Ce
signe
, indiqué par Sicard et Foix (2), été considéré
pensent que d'une façon générale, tout particu- lièrement quand les
signes
caractéristiques de la lésion hypophysaire font
ils contestent que, dans les cas d'hypertension inlracranienne, ce
signe
ait une valeur indi- catrice supérieure à l'élé
uverte sur la valeur séméiologique qu'il 1 convient d'accorder à ce
signe
; à l'heure actuelle, il serait prématuré et mê
poids du corps et le fléchissement de l'état général, tels sont les
signes
principaux qui manifestent cliniquement le pass
oentgen. o Il est certain que, chez notre malade, la plupart de ces
signes
de dé- chéance existaient déjà lors de l'hospit
nce : d'après Weigert-Pal pas d'altérations, d'après Van Gieson des
signes
légers d'involution généralisée. Parmi les ce
s des cornes antérieures et surtout des colonnes de Clarke sont les
signes
de l'involution sénile. Cervelet. -- Dans les c
sont bien marqués. - EN résumé, nous constatons dans ce cerveau les
signes
ordinaires de la vieillesse. L'écorce cérébrale
la zone ré Il exogène ne dépasse pas les limites physiologiques. Le
signe
de Ba- binski est absent. Par contre les gros o
rivasculaires, un pigment brun jaune abonde à certaines places. Les
signes
d'inflammation vasculaire sont presque absents,
noyau rouge ont, dans ces coupes, un volume à peu près normal, les
signes
d'inflammation vasculaire sont presque absents, l
de la moelle : lymphocytose rachidienne, exagération des réllexes,
signe
de Babinski, etc. ; d'autre part, dans ces même
réflexe consensuel sont nuls ; l'accommodo- convergence existe ; le
signe
d'Argyll-Robertson est donc positif. Il n'y a pas
troubles des réflexes cutanés. Du côté des organes des sens, aucun
signe
objectif. Les pupilles réagissent à la lumière
. Les réflexes sont normaux aux membres inférieurs. Il n'y a pas de
signe
de Babinski, ni de clonus. Les réflexes abdom
gomyélie (A. Thomas [5], Lhermitle et Artomm [6]). - . Mais aucun
signe
ne nous permet d'incriminer la gliomatose cavitai
'ailleurs se fonderait le diagnostic d'acromégalie : il n'y a aucun
signe
hypophysaire chez notre malade; pas de glycosurie
sard est tout à fait douteux. Dans l'observation de E. Piollet, les
signes
morphologiques sont nets, mais il n'y a pas de
ités en long et non en large avec céphalée, troubles intellectuels,
signes
de la série diabolique : polyphagie, polydypsie ;
ssions cutanées serait très grande si la radiogra- phie montrait un
signe
quelconque donnant à croire que le membre a sub
ications du caractère devenant plus manifestes, pourraient être les
signes
d'une in- toxication chronique, et que ces phén
sidérer alors la prédominance de l'usage de la main gauche comme un
signe
de dégénérescence qui se montre avec alternance.
teint) que dans l'épilepsie essentielle, où elle se produit t comme
signe
de dégénérescence. Steiner, lui-même, reconnaît a
avec, toutefois, un cerveau primitivement intact, qui ne donne des
signes
de défaillance que par suite de l'intoxication ch
pond pas aux questions qui lui sont posées ; quelquefois il fait un
signe
négatif de la tête. Il n'a pas de confusion men
rt pas la nuit. 7. Parle toujours très peu. Ne répond guère que par
signes
, pu dit : oui, non. Toujours couché dans le déc
agnait. 12. - Reçoit la visite de deux amis, mais ne répond que par
signes
à leurs questions. Constipation : purgations ré
porter son diagnostic. Comme nous le disons plus haut, pour nous le
signe
capital différentiel est l'état gastrique du su
ne habituel et il n'a peut-être d'autre signification que d'être le
signe
banal d'une constitution névropathique : c'est à
d'une psychose (mélancolie ou démence apathique) il se présente des
signes
de stase veineuse, 44 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
s, l'erreur de diag- nostic est commise. Quelques années après, les
signes
physiques et psychiques de la paralysie général
normalement dévelop pées, il n'y a pas de mauvais instincts, pas de
signes
de folie morale. L'émotivité est extrême et se
araitre, sont devenues chroniques en restant très légères. D'où les
signes
de réaction de dégénérescence qui sont leurs ma
t en équin direct, le tendon d'Achille est raccourci. Il existe des
signes
de syphilis héréditaire. Intelligence très déve-
e Iconog. de la Salpêtrière, 1894, n° 6.) On désigne sous le nom de
signe
de Weber une paralysie croisée comprenant le mo
st sans doute tuberculeuse. Noter que quand l'aphasie accompagne de
signe
de Weber, la lésion siège toujours dans le pédo
'une différence quantitative et non qualitative. La fré- quence ues
signes
de dégénérescence doit faire penser, chez les c
e, ouvrier tailleur à façon, âgé de quarante-trois ans, donnait des
signes
non équi- voques de dérangement cérébral. Hie
lucides, d'apparence normale et présentant tout au plus quelques
signes
vagues d'un état mental peu caractérisé. En parei
et les membres de sa propre famille reconnurent chez Marie C... les
signes
d'une nouvelle grossesse. Cependant elle nia to
e même jour, le médecin, expert, chargé de l'examiner, constate les
signes
indubitables d'un accouchement récent remontant
idées sans parole, n'est-ce pas parce qu'ils ont à la place de ces
signes
oraux, pour ainsi dire, d'autres signes visible
u'ils ont à la place de ces signes oraux, pour ainsi dire, d'autres
signes
visibles qui en tiennent lieu ? Du reste cette
cinq vocables. Nous ne chercherons pas tout d'abord à modifier ces
signes
vocaux plus ou moins altérés ; au contraire nou
conducteurs utilisés. Notons seulement une de ces études, celles du
signe
de Romberg, parce qu'elle nous intéresse partic
périphériques : la vue, laquelle est supprimée dans la recherche du
signe
de Romberg; il reste l'orientation subjective d
ue l'un ou l'autre ou l'un et l'autre de ces appareils est lésé, le
signe
' de Romberg prend des caractères différents. D
ectifier une attitude qu'il n'a pas même senti se fausser. C'est le
signe
de Romberg complet. C. , XX. Un cas DE BIDACTYL
on du sujet, de l'absence de tout arrêt de développement et de tout
signe
de dégé- nérescence dans la famille, croit, mal
rait avoir été sin- cère. A son entrée à Broadmoor, il présenta des
signes
évidents de trouble mental, des idées de riches
formes avaient été prises pour de l'épilepsie vraie : mais tous les
signes
somatiques de la paralysie générale faisaient a
ue dans la para- lysie générale se rencontrent très fréquemment des
signes
précoces du côté des yeux et que ces signes pou
nt très fréquemment des signes précoces du côté des yeux et que ces
signes
pouvant survenir de un à trois ans avant l'appa
par conséquent une intervention thérapeutique plus efficace. Ces
signes
seraient une décoloration de la papille qui, d'ab
, nés de parents malades, présentent donc, à des degrés divers, des
signes
qui les différencient de leurs ancê- tres, mais
nce comme des indi- vidus normaux, il faut rechercher avec soin les
signes
de désé- quilibration et les stigmates mentaux
d en marchant ou en se levant) et elle déclare que c'est un mauvais
signe
, parce qu'elle a remarqué cela, pour la premièr
invisible la lui tire ; elle trouve un papier quelconque, c'est un
signe
laissé par le diable ; le vent pousse la porte,
st caractéristique. Notons en passant que nous n'enregistrons aucun
signe
de lésion en foyer. L'histoire antérieure de la
es profondes et humides où le goitre est endémique pré- sentent des
signes
analogues et parfois même identiques à ceux de
itre exophtalmique fruste. Dans tout syndrome, il est toujours un
signe
primordial. Dans - l'épilepsie c'est l'absence;
ait dans l'organisme un état d'intoxication dont la fièvre était un
signe
révélateur. Le syndrome de Graves est, dans cet
roubles digestifs divers. La diarrhée, sanguinolente ou non, est un
signe
habituel. L'un des chiens soumis à des doses re
hymus. Notre sujet, prédisposée hérédi- taire, présentait outre les
signes
physiques de la maladie, des troubles mentaux c
me E... Elle n'a jamais cessé d'être en puissance d'hystérie et les
signes
cliniques qu'elle présente encore aujourd'hui p
lmie, la tachycardie et le tremblement; elle présente, de plus, les
signes
de la cirrhose hypertrophique du foie : ictère
dant la crise impulsive. L'amnésie doit être considérée comme le
signe
le plus impor- tant des impulsions irrésistible
ion elle-même est une simple question de fait et la concordance des
signes
dont nous avons parlé permet d'en faire le diag
morbides. La connaissance des accidents convulsifs et des divers
signes
de l'épilepsie proprement dite est assurément le
ttent d'affirmer l'exis- tence de la paralysie générale ? Parmi les
signes
anatomiques microscopiques, les plus importants
observées chez des sujets non paralytiques. En résumé, aucun de ces
signes
ne peut, à lui seul, faire affirmer la paralysie
cinatoires. La mobilité des symptômes au début de la maladie est un
signe
im- portant. Les accès d'obnubilation, les lacu
ière ni à l'accommodation. Les réflexes patellaires sont abolis; le
signe
de Romberg est absent; il n'existe pas d'ataxie d
Il est certain que tous les paralytiques généraux qui présentent le
signe
de Westphal sont fortement suspects de tabes, n
, dérobement des jambes, mais pas d'ataxie des membres supérieurs ;
signe
de Westphal et de Rom- b'erg. Pupilles égales,
s ; signe de Westphal et de Rom- b'erg. Pupilles égales, rétrécies,
signe
d'Ar=yll-Roberlson. Ily aen outre de la paralys
aire. Les pupilles, en état de myosis, sont égales et présentent le
signe
d'lrgyll-Rohertson ; il n'y a pas eu de paralys
bres inférieurs. Réflexes rotuliens abolis. Iné- galité pupillaire;
signe
d'Argyll-Robertson; légère décoloration des ner
optiques. Vessie paresseuse; constipation. Incoordination motrice;
signe
de Romberg. Quelques signes de satisfaction att
constipation. Incoordination motrice; signe de Romberg. Quelques
signes
de satisfaction attirent l'attention sur l'état
e le malade est fatigué, un léger trem- blement des mains. Tous ces
signes
vont en s'accentuant rapidement; l'état mental
amendent. Au dixième jour état semi-comateux, suivi le lendemain de
signes
de compression céré- brale : coma complet, poul
le juvénile, mais bien des symptômes importants manquent : pas de
signes
oculaires, pas d'embarras de la parole, et comme
dégénéré héréditaire. MM. BR1 ? ND et IscovEsco (de Paris). Sur le
signe
du cubital (analgésie) dans la paralysie généra
dans la paralysie générale. Décrit par Biernacki, dans le tabes, ce
signe
n'a qu'une importance diagnostique très relative
l'auteur un an après sa sortie de l'hôpital, ne présentait aucun
signe
de rechute. (The alienist and neurologist, octobr
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lysie bulbaire progressive. Le
signe
le plus important est constitué par les variati
lté de médecine de Vienne. Les deux premiers cas pré- sentent comme
signes
particuliers : le jeune âge des malades, le dév
phie musculaire et le dénouement fatal. L'ordre de l'apparition des
signes
paralyti- ques était différent dans les deux ca
après dix semaines. En 1890, second accès caractérisé par les mêmes
signes
et d'une durée de quatre semaines. En 1892, tro
re, une légère diminution de la sensibilité à la douleur; en outre,
signe
de Romberg, démarche ataxique, parole lente et
celui de la paralysie générale dont elle est quelquefois plutôt le
signe
que la cause. Les auteurs français exagèrent l'
t l'examen d'éléments nerveux excités faradiquement. En outre des
signes
caractéristiques fournis par l'imprégnation des
st d'ailleurs toujours très délicat. M. OEI3EKG cherche à fixer les
signes
qui permettent de distinguer les persécuteurs e
on juive, au volapuk, etc., etc. On le voit, ce malade présente les
signes
décrits plus haut : absence d'idées délirantes,
Ce phénomène essentiellement passager ne s'accompagne d'aucun autre
signe
de diabète. ' La glycosurie transitoire se voit
eurs années à l'asile d'aliénés de l'Alabama, l'auteur a trouvé des
signes
de lésions chroniques du rein chez 50 p. 100 de
nettement du tra- vail de l'auteur que l'élément passionnel est un
signe
clinique dont il faut tenir plus grand compte,
belleuse et spinale; que l'absence du réflexe rotulien peut être un
signe
important en faveur de l'affection spinale sans
t la marche sont possibles; mouvements compliqués des mains, pas de
signes
d'hémiplégie, ni d'aphasie, mais symp- tômes tr
' - PRÉSIDENCE DE M. Laiir. MM. Boedeker et FALKENBERG, Note sur le
signe
du cubital (131C1'- nacki) dans lu parulysie gé
tention (Munchener Aled. Wochenscïzrifl, 1894, nos 28 et 29) sur un
signe
observé pour la première fois par Biernacki dans
dans le tabes et qu'il a étudié chez les paralytiques généraux. Ce
signe
consiste dans l'analgésie du tronc du cubital à
sujet chez lequel il avait constaté l'existence, d'un seul côté, du
signe
de Biernacki. Le tronc nerveux était intact ce qu
la moelle). Il n'a jamais présenté l'analgésie du cubital comme un
signe
caractéristique pouvant servir au diagnostic di
p courte pour lui permettre d'affirmer aussi nettement la valeur du
signe
en question. MM. BOEDEKCR et F.1L6ENBEAG ont
'asile où M. Cramer a fait ses observations. Quoi qu'il en soit, le
signe
de Biernacki n'est pas dénué de valeur, malgré
importante dans le diagnostic de la paralysie générale, bien que ce
signe
ne se rencontre chez les paralytiques que dans
iques. Associé aux autres symptômes de la paralysie progressive, le
signe
du cubital aura donc une certaine signification
que, mais combien y a-t-il de symptômes pathognomoniques ? Enfin le
signe
du cubital permet de mettre en évidence d'une f
M. Mendel a fait faire, dans sa polyclinique, des recherches sur le
signe
de Biernacki dans le tabes, la paralysie générale
bes, la paralysie générale et diverses névroses. L'importance de ce
signe
ne lui semble pas démontrée. Sa valeur sera d'a
auties modifications de la sensibilité. M. M\x LAEHR a recherché le
signe
du cubital chez trente tabé- tiques de la clini
ntensité variable, des deux oculo-moteurs communs (pas de ptosis) ;
signe
d'Ai,g,1 : -Robeitsoi), tremblement des extré-
tre ans, demeurant rue Thiers, qui donnait depuis quelque temps des
signes
d'aliéna- tion mentale, était prise, samedi, ve
e de 60 à 65 ans. Depuis quelque temps, paraît-il, elle donnait des
signes
d'aliénation mentale. Cette femme vivait seule;
rent aussi dans quelle situation difficile se trouve le médecin qui
signe
la sortie des malades aliénés. BULLETIN BIBLI
asmodiques et contractures permanentes dans la , par Trenel, 425.
Signe
du cubital dans la , par lloedeker et Fal- ke
observons, il nous est arrivé souvent de ne pouvoir utiliser les
signes
subjectifs du petit brightisme, souvent si précie
cité des urines. Dans quelques cas, nous avons trouvé à la fois des
signes
d'insuffisance hépatique et d'insuffisance réna
iquement pratiqué, nous avons recherché chez tous nos malades les
signes
cliniques manifestant l'insuffisance rénale. Il s
par conséquent), nous avons poussé l'enquête du côté des pe- tits
signes
du brightisme, réunis par ie professeur Dieulafoy
, la pollakiurie, les déman- geaisons, les crampes douloureuses, le
signe
du doigt mort, les sifflements et les bourdonne
chez un sujet, d'une part des troubles psychiques, d'autre part des
signes
d'in- suffisance rénale pour établir entre les
n. Il n'y a pas dans les manifestations psychiques du brightisme de
signe
carac- téristique du brightisme. M. Cullère 3 a
es de rêve et se confond avec eux : de telle sorte, que lorsque les
signes
physiques du brightisme n'attirent pas l'attent
ui les accidents délirants ont disparu en même temps que les divers
signes
de néphrite subaiguë (oligurie, albumi- nurie,
ée sur un grand nom- bre de nos malades, surtout chez ceux dont les
signes
clini- ques d'intoxication urémique étaient rar
une Société de secours mutuels, etc., on exigera de la personne qui
signe
la demande d'admission une obligation par laque
s et demi. A quatorze ans, a eu un eczéma. Pas de migraines, pas de
signes
de syphilis. Intelligence moyenne. Famille de l
te et à la face. On n'aurait pas remar- qué de rumination` ? -Aucun
signe
de connaissance et d'affection. La mère, à qui
. Lorsqu'on l'appelle pour lire, il se frotte les mains et saute en
signe
de satisfaction. 11 reconnaît et nomme les peti
l'environne (meubles et gens) et ne se calme que lorsque l'on fait
signe
de le conduire en cellule. (Fig. 11). · Puber
e corps, au pénil ; organes génitaux peu développés, en somme aucun
signe
de puberté malgré son âge (seize ans). Pas d'on
réciser les cas favorables à une intervention chirurgicale, car les
signes
physiques sont souvent très obscurcis et les re
utour de lui, et arrivait, moitié par ses marmottements, moitié par
signes
, à se faire comprendre ; il succomba à une affe
âne indépendam- ment de la brèche mastoïdienne; malheureusement les
signes
de de localisation sont trop souvent absents ou
lisation sont trop souvent absents ou insuffisants. Dans ce cas les
signes
qui pouvaient mettre sur la voie du dia- gnosti
stique des lésions du cer- velet, puis la douleur occipitale et les
signes
de compression bulbo protubérentielle causée pa
'une forme particulière caractérisée : 10 Par le début précoce de
signes
oculaires dans l'enfance et leur évolution prog
die de Friedreich. On constate, en effet, chez les frères G.... des
signes
se ratta- chant nettement à l'hérédo-ataxie cér
des réflexes rotuliens, incertitude motrice dans l'obscurité) ; des
signes
de la maladie de Friedreich (conservation de l'
ence, migraines, réflexes abolis d'un côté chez un malade) ; et des
signes
communs à ces deux types cliniques (nystagmus,
sableàcelledu premiersujet. Cettemalade asuccombé en présentant des
signes
nets de tumeur cérébrale (céphalée, vomis- seme
nsibilité. Incoordination légèie. Abolition des réflexes tendineux.
Signe
d'Arôyll-lobertson. C'est donc un tabes à incub
cette dénomination la valeur d'une entité morbide définie dans ses
signes
et dans ses lésions. Paralysie associée des g
sme est le théâtre. Relation de la profession religieuse avec les
signes
de dégénérescence. Hui. Binet-Sanglé continue s
ar Archives, 2e série, t. XVI. G 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. certains
signes
de dégénérescence, en particulier la stérilité et
her (1t), répond au plan de l'mion. op, plan du trou occipital. Les
signes
XX répondent aux bosses frontales et pariétales.-
des aliénés d'Armentières le 8 juin 1901, présentant la plupart des
signes
de la paralysie générale. C'est un syphilitique
sonde, Etat démentiel des l ? Lculiés, dé,orientalion absolue. -
Signes
physiques de la paralysie géné'ale. Faciès sans e
caractéristique; tremblement des mains. Réllexe rotulien exagéré.
Signes
physiques de dégénérescence. Athérome artériel.
e donne un résultat positif, l'albuminurie persiste avec les autres
signes
déjà DÉLIRE ET PETIT BRIGHTISME. 139 signalés
de paralysie générale, confirmée à l'examen par la constatation des
signes
suivants : Inégalité pupillaire, tremblement de l
lade jusqu'à sa mort fit que cet examen ne fut pas renouvelé, aucun
signe
physique n'attirant l'attention sur l'insuffisa
que l'auteur entend désigner la dose suffi- sante pour produire des
signes
nets d'intoxication, dose qu'il con- vient ordi
e ne se manifeste que vers l'âge de cinq ou six ans, et son premier
signe
est souvent fourni par une discordance entre les
nsion artérielle s'abaisse. Les autres, au contraire, offrent comme
signe
caractéristique de l'hypotension artérielle et
épassé l'âge moyen d'apparition de la maladie et qui présentent des
signes
de sénilité prématurée, et Cullerre a noté la f
n'en parait pas plus de treize à quatorze. Immobilité des pupilles,
signes
de West- plial et Homberg, troubles vé-icaux, t
mort; la femme présente une intoxication légère; le mari offre les
signes
d'une grave maladie cérébro-spinale. L'auteur att
sont une preuve indéniable de syndrome cérébi lieux. Quelen estle
signe
? S'agit-il d'une sclérose en masse du cer- REV
variété de néoplasie évolue avec une physionomie clinique spéciale,
signes
de tumeur cérébrale avec titulation cérébelleuse
eau pvramidat est encre incomplètement développé. C'est donc un bon
signe
qui peut se rencontrer là où le réflexe en exte
térieur pendant la flexion, phénomène que Strumpel a rattaché comme
signe
à l'hémiplégie. Dans les auteurs, ce phénomène
de la société au sujet d'une femme hémiparétique gauche dont les
signes
tels que l'extension des orteils sont intermitten
M. l3asmsRr trouve à gauche l'abduction des orteils, et constate le
signe
du peaucier. Il conclut à la nature organique des
de la dysbasie spasmodique et titu- bante. Réflexes très exagères :
signe
de Babinski à gauche. Agé- nésie. Pas de troubl
sultat négatif du cyto-diagnostic, s'est traduit par un ensemble de
signes
d'apparence hautement grave, parmilesquels l'lype
u'à plus de 41°, le strabisme interne, l'appari- tion épisodique du
signe
de Babmski, constituent les plus intéres- sants
de l'asile dont j'étais le médecin. Je constatai chez elle tous les
signes
classiques d'une manie aiguë non hallucinatoire
nnent de l'albumine et qu'il existe au coeur un bruit de galop. Ces
signes
d'insuffisance urinaire, s'améliorent sous l'in
rofuleuse. Pas de vers, ni de trauma- tisme, ni de sévices. Comme
signes
avant-coureurs de la maladie des tics, nous avons
sieurs concours, etc., présenta à l'âge de vingt-six ans tous les
signes
d'un accès de dépression mélancolique, lequel s'a
des habillements à fournir, il remplit un borde- reau ad hoc, et le
signe
; le médecin contrôle le bordereau et le magasi
d'un an et demi à deux ans qu'étaient apparus chez eux les premiers
signes
de l'i- diotie. Dans la plupart des cas égale
nous en avons observé une vingtaine de cas. En voici les principaux
signes
: Tète petite, arrondie; fontanelles fermées ré
évolution 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. rapide et fatale, avec fièvre et
signes
infectieux. C'est une forme fébrile de tahes qu
plus grandes peines, ou même ne marche pas du tout. et présente les
signes
classiques de paraplégie spasmodique. Ce sont c
pièce. On dit que le malheureux donnait, depuis quelque temps, des
signes
de troubles cérébraux. (L'Aurore du 13 août 1903.
'est tuée sur le coup. Cette femme donnait depuis quelque temps des
signes
de dérangement cérébral. Ces faits montrent u
à chaque instant il monte à la fenêtre de sa cellule en faisant des
signes
de croix ou bien en se livrant à des mimiques d
ntécédents hérédi- 304 MÉDECINE LÉGALE. taires et personnels, les
signes
de dégénérescence anatomiques et fonctionnels q
à évolu- tion déterminée, il serait très précieux de connaître des
signes
permettant d'établir le pronostic des cas parti
i la simulent (stupeur, troubles anec- tifs) ; 2° à reconnaître les
signes
d'une démence commençante ou légère. Pour rés
ou légère. Pour résoudre la première difficulté, il n'y a pas de
signe
certain; il faut se baser surtout sur la dispro
ladie; il est bon d'être réservé dans son pronostic. Les premiers
signes
de la démence sont variables ; il faut citer 34
ellectuel. Il n'y a pas de critérium de la démence, c'est-à-dire de
signe
exislant toujours dans l'affaiblis- sement psyc
uses privations. Quelques années plus tard' apparurent les premiers
signes
: douleurs, paré- sie des sphincters, d'une syr
enfin la fatigue, la torpeur physique et psychique sont pat mi les
signes
les plus importants de la maladie d'Addison. 37
faire à une gangrène séuile, mais le membre amputé n'en a pas les
signes
; il faut donc admettre un ulcère variqueux, et la
digne d'être noté ici, aujourd'hui que tout le monde s'intéresse au
signe
de Babinski '. Bien à vous, M. Laigxel-Lavasiin
haleine fétide, le ventre ballonné. L'auscultation ne révèle pas de
signes
certains de tuberculose. Les idées sont extrême
bli que, par la méthode de Goertner, on fût en mesure d'obtenir des
signes
physiques précis, dans des conditions déter- mi
és, on est autorisé à croire que le soupçon, déjà basé sur d'autres
signes
, est confirmé. Cette hyper pression, bien établ
caution d'usage, par un observateur maître de la méthode, a rang de
signe
diagnostique pratique. Dans une observation tou
notique, cardiaque et tuberculeux, qui, en deux jours, présente les
signes
graduels d'une paralysie du membre supérieur gauc
l'estomac est douloureux, l'équilibre est difficile, on constate le
signe
de llom- berg ; la disparition des réflexes par
injection des veines et des capil- laires. P. Keraval. \111 ? Les
signes
objectifs des troubles de la sensibilité suggérés
mêmes conditions, des oscillations marquées. La régularité de ce
signe
rigoureusement proportionnel à l'intensité de l'a
pas le pro- duit de l'imagination, et, comme telle, accompagnée du
signe
en question, peut servir à distinguer une sugge
tat ma- niaque avec idées de persécution, alcoolisme. Parole nette.
Signe
d'Argyll Robertson. Mort après plusieurs attaqu
e maniaque avec exci- tation, si bien que lorsqu'un Arabe donne des
signes
de mélanco- lie, on le considère immédiatement
aumatique initial. Nous en avons la preuve dans la com- plexité des
signes
cliniques présentés dès cette époque par le mal
ec mimique ou non. On peut dire d'une façon générale, qu'il est des
signes
tirés de l'étude des caractères extrinsèques de
par suite, une durée un peu plus longue. Chez elle prédominent des
signes
de déchéance, et la forme démen- tielle de la m
e de bien que la mort nous a ravi. La séance est ensuite levée en
signe
de deuil. Reprise de la séance. Présidence de
gue à celle qui se produit au niveau du pied chez ces malades. « Le
signe
de la main bote » doit donc prendre sa place à
siégeant à la protubérance et intéressant le faisceau pyra- midal (
signe
de l'abduction des orteils de Babinski). Enfin le
é cireuse cérébelleuse et insiste sur l'utilité medico-légale de ce
signe
en présence des accidents du travail. M. S)Ct
en présence des accidents du travail. M. S)CtttD ajoute que si ces
signes
imposent le diagnostic de lésion organique la p
Dégénérescence. Itelation de la pro- feasl0u lelll ense a\ec les
signes
de -, par Blot-Saorill, 81. - et mysticisme,
8. Sélection négative, partoutielil(iiie, 532. Sensibilité. Les
signes
objectifs des troubles de la - suggérés pen-
ntes des membres inférieurs. Leur origine tabétique est manifeste :
Signe
d'Argyll Robertson, abolition des réflexes rotu
bétique a passé inaperçu dans les trois cas rapportés, soit que les
signes
subjectifs aient été masqués par l'état démenti
nes subjectifs aient été masqués par l'état démentiel, soit que les
signes
physiques aient été très frustes. comme cela se
inution des cel- lules dlromophiles de l'hypophyse c'est-à-dire les
signes
de son insuffisance fonctionnelle ; '10 Dans la
des pieds, etc. Il existait en outre de la toux, de la fièvre, des
signes
d'induration des pou- mons et une dilatation du
e générale : « un s5mlrome clinique, caractérisé par un ensemble de
signes
et une évolution qui sont les mêmes sous l'infl
n maniaque, affaiblissement intellectuel, idées de grandeur) et des
signes
physiques (dysarthrie, tremblement de la langue
ue, il pense que c'est un point de clinique qui révèle peut-être un
signe
important dans le diagnosticoüle le pronostic d
era lasynergiedes mouvements et à lutter contre l'inertie. Certains
signes
cliniques se rapportent à cette dernière foncti
du transport dans un asile commencèrent à se manifester les divers
signes
pré- monitoires du réveil ;c'est un nouvel argu
at faible, -qu'il il fautséparer de l'hallucination, état fort. Les
signes
physiques sont ensuite passés en revue ; au suj
période, TROUBLES PUPILL 11RES. -y L'inégalité des pupilles est le
signe
le plus fréquemment observé au début de la para
tôme isolé : l'inégalité pupillaire, dans la paralysie générale. Ce
signe
n'a de valeur que parce qu'il s'accompagne, che
idus non paralytiques généraux soumis aux mêmes instillations. Le
signe
d'A 1'g,ljll-Robe1'tson : perte de la réaction à
et les deux yeux ne sont pas atteints égale- ment. En sorte que le
signe
d'Argyll-ltobertson peut être unilatéral ; mais
c raison sur l'intérêt de ces troubles pupillaires. Du reste, ces
signes
se retrouvent dans toufes les psychoses aussi b
utemps(2) se rattache à la fois à la déformation pupil- laire et au
signe
d' Argyll- Hobertson. Cet amincisse- ment de l'
y. Journal de médecine et de chirurgie, 10 juin 18S, .lor.rnov. Des
signes
oculaires dans la la paralysie générale. i)-cii
la dilatation de la pupille sous l'influence d'une vive lumière (ce
signe
, décrit par lloukhine, n'a de valeur que s'il s
une lésion périphérique de l'appareil innervateur de la pupille. Ce
signe
accompagne d'or- dinaire la mydriase paralytiqu
tion pour le diagnostic rétrospectif ou ctiologique. Lors- que ce
signe
se présente au moment des ictus, il persiste tr
ès peu de temps. Le zona ophtalmique (2) est, dans ccrîains cas, un
signe
très précoce du début de la pa- ralysie général
n excellent symptôme du début qui (toit faire rechercher les autres
signes
de la paralysie générale. De même, l'importance
il des para- lytiques généraux, dès la première période, certains
signes
qui n'ont d'importance qu'à la condition de les
ation et les /lexuo.sités variqueuses des veines rétiniennes. Ces
signes
se retrouvent aussi chez les déments, les imbéc
nt très nets et immuables , qu'ils se présentent sous la forme de :
Signe
d'A7gyll Robertson ou de pseudo-Argyll Robertso
s'explique par ce fait que les noyaux sont très rapprochés. A ces
signes
s'ajoutent quelques symptômes de moin- dre impo
éné- ral est complet quelquefois dès le début; d'autres fois, les
signes
observés sont très peu manifestes, alors que la
roniques, comme pour la paralysie générale, c'est beaucoup plus les
signes
physiques que le délire qui donnent à cette aff
ent cérébrale, on en trouve ailleurs des si- gnes somatiques. Les
signes
de l'artério-sclérose cérébrale ne sont pas pro
sont pas proportionnés à l'intensité des lésions vasculaires. Les
signes
de l'artériosclérose cérébrale présentent le ca-
io - sclérose s'accompagnent d'un plus ou moins grand nom- bre de
signes
somatiques de l'artério sclérose cérébrale ou g
ème, il préconise la suspension du travail aussitôt qu'il y a a des
signe
» manifestes de fatigue intellectuelle. J. Séglas.
cture, exagération des réflexes tendineux, trépidation épiléptoïde,
signe
de Babinski, guérison.) Par M. le D' NOICA, M
rotuliens et achilléens sont exagérés. 11 y existe du clonus et le
signe
de Bahinski des deux côtés. Les membres supér
uliens et achillécns très légèrement exagérés. Plus de clonus et de
signe
de Babinski à droite. A gauche le signe de liab
gérés. Plus de clonus et de signe de Babinski à droite. A gauche le
signe
de liabinski existe encore et une ébau- che de
dans la catégorie de ceux qui clinique- ment se présentent avec des
signes
de spasmodicité, mais qui anatomiquement ne s'a
ie, présente un nouveau cas. On peut déduire de ces faits que les
signes
cliniques de spasmodicité ne coïncident pas tou
s bains de boue, et le massage, la pla- que a pu se résorber et les
signes
de spasmodicité dispa- raître complètement. Un
. Un mot avant de finir. Notre ma- lade présentait, à l'hôpital, le
signe
de Babinski des deux cotés, mais quand il est r
Probablement qu'avec le temps il disparaîtra aussi. En somme, ce
signe
clinique ne nous autorisait pas, chez notre mal
st en honne santé physique, il est grand, bien pro- portionné, sans
signe
notable de dégénérescence ; il y a du stra- bis
l'impossibilité absolue d'établir -un diagnostic pour l'avenir. Le
signe
le plus impor- tant est peut-être le «rire» de
tout une obnubilation intellectuelle générale. Il existait quelques
signes
de compression cérébrale : céphalée, vomissemen
puis, deux mois et demi avant sa mort, se sont montrés de nombreux
signes
: avant tout une hémiparésie gauche progressive
rps calleux. C'est donc ce syndrome mental particulier qui est le
signe
caractéristique d'une localisation dans le corps
es dentelures nombreuses,des os wormiens en abondance,autant t de
signes
qui démontrent la difficulté que les membranes
t paru donner des résultats positifs.Les lapins sont morts avec des
signes
de rage. Ce n'est que, par suite, grâce aux ino
êtrière, 1905, n° 5.) Observation intéressante par l'étiologie (les
signes
de sclérose ont débuté à la suite du choléra) e
tion. Sy- philis probable. A un examen plus attentif, on trouve des
signes
d'hystérie : crises nerveuses anciennes ; actue
les-ci n'obéissant à aucun type fonctionnel déter- miné. Tous ces
signes
, bien entendu, doivent être corroborés par l'ab-
s symptômes légers surajoutés, le troisième est la forme grave avec
signe
de Calins.11 Il existe des formes complexes ave
1904, v. 65,p. Vl0. Netter. Diag. de la méningite cérébro-spinale (
signe
de Kernig, ponct. lomb.). Semaine Met., Par., 1
, 1901, n. s.. v. 5, p. 537-564, 3 tr. Sainton. P. et Voison, R. L2
signe
de Kernig. Gaz. des hop.. Par., 1904, v. 77, p.
années. Il fait mine de chercher et de ne pas se souvenir. Il fait
signe
qu'il ne sait où il est ; il comprend ce que no
de fait, il lui est impossible d'émettre le moindre son. Il fait
signe
qu'il peut écrire, demande qu'on lui donne de quo
t au pied des circonvo- lutions frontales gauches; il fait en outre
signe
qu'il est attiré en avant. L'examen sommaire
de l'amnésie et de l'aphonie. On trou- vera enfin rémunération des
signes
physiques présentés par lo malade. , Cette ét
tant d'un côté que de l'autre. Rappelons ici que le malade nous fit
signe
le jour du MUTISME, APHONIE, AMNÉSIE, APHASIE
son amnésie et avec la crainte de ne plus pouvoir travailler. Les
signes
physiques constatés sont un hémispasme facial g
e, des psychoses prétuberculeuses. Il est inutile de discuter les
signes
physiques des cas avancés et le traitement médi
e facile- ment les cas d'excitation et de paralysie générale. Les
signes
basés sur les antécédents du sujet, son facies
INTERNE. moyens de diagnostic précoce. Toutefois en l'absence de
signes
généraux marqués, faute de renseignements fourn
nternational de la tuberculose de 1905) de la façon suivante : 1°
Signes
de probabilité ; ce sont : l'instabilité ther-
la radiographie qui n'est qu'un moyen tardif. 2° Il considère comme
signes
de certitude l'existence du bacille, la réactio
concordances fonctionnelles pulmonaire et cardiaque, qui serait un
signe
prémonitoire caractéristique d'état de moindre
ts injectés, 7 n'ont pas réagi et n'ont présenté par la suite aucun
signe
d'évolution bacillaire. Sur les 15 cas qui ont
urs spéciales ot des paralysies tem- poraires sont, fréquemment les
signes
avant-coureurs des ,fats graves. L'appareil lui
ns le deuxième cas, l'auteur ne considère pas comme démontré que ce
signe
caractérise les cys- ticerques libres dans la c
; ces symptô- mes ont la variabilité d'aspect et l'inconstance des
signes
l'on ? lionnels ; mais tandis qu'il serait illo
f ans, demeurant rue des Haies, présentait depuis quelques mois des
signes
évidents de dérangement cérébral. Il prétendait
syphilis. Les symptômes relevant du (abcs sont les plus nombreux :
signe
de liomberg, signe d'Argyll, perle du sens musc
tômes relevant du (abcs sont les plus nombreux : signe de liomberg,
signe
d'Argyll, perle du sens musculaire, incoordinat
l'en- fance. Recrudescence depuis un mois. Jeune homme de 16 ans,
signes
de réaction mastoïdienne avec symptômes cérébraux
'adulte. Leur symptomatologie est toujours vague par l'absence de
signes
de localisation. Le diagnostic, précis est fait e
e, présentant un tabès caractérisé par des douleurs fulgurantes, le
signe
d'Ar- gyll, un Westphall incomplet, une insuffi
oniques à ankyloses mul- tiples et irréductibles, mais de malades à
signes
articulaires mo- dérés. Les accidents médullair
les accidents nerveux sont à localisation radiculaire, ce sont des
signes
de compres- sion des racines que présentent les
ingo-myélite, leur cerveau n'est pas toujours indemne. A côté des
signes
médullaires on trouve parfois chez ces ma- lade
rd externe. Réflexes patellaires exagérés. Pas de clonus du pied.
Signe
de Babinski positif à gauche. Sensibilité : I
angrène et ne peut être respon- sable des artérites. Il n'y a aucun
signe
de syringomyélie. Faisant la revue de la longue
mplètement dans la moitié supérieure. En dehors d'un léger degré de
signe
de Lasègue, aussi marqué à droite qu'à gauche, et
èrement emphysémateux ; les organes abdominaux ne présentent pas de
signes
pathologiques ; il n'y a ni sucre ni albumine dan
nsion très nette ; il existe à droite et à gauche un léger degré de
signe
de Lassèguc ; la vue baisse depuis quelques année
4), abbé, porte sur sa poitrine une fleur de laurier-rose, comme un
signe
de reconnaissance, signifiant l'ardeur de la char
poitrine : pour toute explication, le ma- lade répond que c'est un
signe
qui doit toujours rester du côté du coeur, pour
homme est rouge; à un autre moment, il voit dans la ficelle même le
signe
que tous les hommes doivent être égaux. Le même
ns le maniaque et dans le dément la persis- tance dans l'usage d'un
signe
donné, sans qu'ils persistent à lui donner la m
re que nous considérons, des objets analogues cités ci-dessus. Un
signe
plutôt tout particulier de l'ornement d'un maniaq
t dans la malade de la figure 1 f, Au contraire, je n'ai trouvé les
signes
symboliques que dans les malades beaucoup plus
dans la partie supérieure et bombée dans la partie inférieure. Un
signe
très caractéristique,c'est le renfoncement ou la
roplasie. On trouve encore, dans les crânes dysostosiques, d'autres
signes
, indiquant des troubles dans le développement d
fonde que la plupart des auteurs ont observée ne semble pas être un
signe
absolument constant. Chez tous mes sujets vivan
givalité de la voûte palatine doit être néanmoins regardée comme un
signe
caractéristique de la dysostose. Certains aut
NEUX D'UNE BRANCHE DE L'ARTÈRE CÉRÉBRALE MOYENNE OU SYLVIENNE ,
SIGNES
CLASSIQUES DE TUMEUR CÉRÉBRALE, DURÉE DE CINQUANT
symplôme faitdéfaut,en effet. Un jour, surviennent brusquement les
signes
d'une hémorragie cérébrale foudroyante, et à l'
-être un vestige de parésie faciale infé- rieure du côté gauche. Le
signe
du peaucier, la flexion combinée de la cuisse et
es, raideur, exagération des réflexes tendineux, ébauche de clonus,
signe
de Babinski bilatéral, abolition des réflexes cut
sence de syphilis, et l'auscultation révélant, au sommet droit, des
signes
de tuberculose, on crut pouvoir s'arrêter au diag
envahit l'abdo- men, puis les autres parties du corps ; les autres
signes
de l'asystolie devinrent manifestes ; le malade
, en effet,ni dans l'évolution des ac- cidents nerveux, ni dans les
signes
physiques fournis par l'exploration du Nouvelll
it d'un sarcome du médias- tin non révélé par la radiographie : les
signes
avaient été ceux d'une con- gestion pulmonaire
urs éprouvées. Padoa insiste encore aujourd'hui sur la valeur de ce
signe
. Dans ce cas particulier, elle était nulle. (1)
e des cornes antérieures que seu- lement de leur cylindre-axe. Un
signe
important, tiré de la ponction lombaire, permit i
n, le pied en équin-varus, avec le gros orteil en extension forcée (
signe
de Babinski). Il est important de remarquer que
t prêts à signer ce très romanesque aveu. Et voilà déjà M. X... qui
signe
pour tous les deux.En effet, le mot aime est pl
le tout surmonté d'une croix à triple traverse, à peu près effacée,
signe
particulier au Souverain Pon- tife. Aux pages
violets dans l'eau froide, mais il ne futpas possible de trouver de
signes
évidents de maladie de Raynaud. L'examen du sang
es faciles, émotivité excessive. A ces symptômes il faut ajouter un
signe
capital : la non-soudure des épiphyses, qui est
e chez ces hypothyroïdiens, qui ne sont pas des malades, les petits
signes
de l'insuffisance thyroïdienne : oedèmes transito
nie) des chiens partiellement thyroïdectomisés qui ont présenté des
signes
évidents de troubles psychi- ques plus ou moins
yndrome de Basedow fruste au point qu'on peut n'y reconnaître qu'un
signe
de la série basedowienne. Ce sont ces faits que
t de pleurs ; des obèses enfin, avec hémorrhoïdes, froid aux pieds,
signe
du , sourcil, rhumes faciles, asthénie, nerveus
Woch., 2 mars 1899. Léopold-Lévi et H. de Rothschild. - Les petits
signes
de l'insuffisance thyroïdienne. Gaz. des hôp.,
eÀ¡(]OEW = tourner) (Homère appelle les boeufs : e¡j,m1Jocx.ç). Le
signe
le plus frappant dans la démarche de Todd (dit
e paradoxal. Si on fait marcher le malade à quatre pattes, tous les
signes
de paralysie disparaissent, et il accomplit dan
ette démarche attentivement examinée on trouve à chaque instant des
signes
deparadoxalité. Dans tous ces cas c'est l'absur
abduction et rotation en dedans. Mais cela ne saurait constituer un
signe
différentiel, puisque les deux positions peuven
et refusera de quitter son lit. Il y a là, comme vous le voyez, un
signe
malheureu- sement non constant, mais d'une impo
les vraies lésions des articulations, remarque que : « La valeur du
signe
de la claudication dans le diagnostic est la même
as dans lesquels la claudication ou autre espèce d'impotence est le
signe
principal ou le seul signe manifeste d'une affec-
ation ou autre espèce d'impotence est le signe principal ou le seul
signe
manifeste d'une affec- tion articulaire, vous t
droite. A l'exa- men objectif de cette malade on ne trouvait aucun
signe
d'affection or- ganique, au contraire tous les
trouvait aucun signe d'affection or- ganique, au contraire tous les
signes
caractéristiques d'une coxalgie hystérique (PI.
i maintenant est complètement guérie, j'ai relevé presque les mêmes
signes
de marche paradoxale que je viens de décrire. I
une apparence féminine. A la même époque se révélaient chez lui les
signes
delà puberté. Depuis lors, ses seins ont conservé
ie vraie. Du côté physique, aspect plus vieux que son âge; quelques
signes
d'artério-sclérose ; arc sénile assez prononcé,
galement dans la partie externe du sommet droit en avant. - Mêmes
signes
stéthoscopiques dans la fosse sus-épineuse gauche
ifs pour pouvoir être analysés; restent donc 16 malades : 11 ont le
signe
de Babinski par excitation' du côté malade, et
étérogène par excitation' du côté sain (= 68,7 0/0) ; 2 n'ont ni le
signe
de Babinski ni le réflexe plantaire controlatér
le signe de Babinski ni le réflexe plantaire controlatéral ; 1 a le
signe
de Babinski, mais non pas le signe controlatéra
plantaire controlatéral ; 1 a le signe de Babinski, mais non pas le
signe
controlatéral; 1 n'a pas le signe de Babinski,
igne de Babinski, mais non pas le signe controlatéral; 1 n'a pas le
signe
de Babinski, mais présente le réflexe controlat
on irritation provoque un mouvement controlatéral d'extension, un «
signe
de Babinski controlatéral », incomplet il est v
dylose rhizomélique a été relevée par Donetti (3) qui a constaté le
signe
de Kernig ; par Vi- nokosoff, et, plus récemmen
lexes rotuliens et achilléens existaient, à. l'exclusion des autres
signes
de la série tabétique. Babinski admet qu'il s'a
exes tendineux sont abolis dans les deux membres inférieurs. Pas de
signes
de Babinski. Les réflexes crémasté- riens, plan
bservation siège dans la coexistence de l'ankylose vertébral et des
signes
de tabes. Il ne s'agit plus, en effet, ici, de
al et des signes de tabes. Il ne s'agit plus, en effet, ici, de ces
signes
limités à la suppression des réflexes et aux do
Il s'agit, chez notre malade, d'un tabès vrai, caractérisé par les
signes
les plus nets : troubles sensitifs accentués, i
male, semble-t-il, n'a rien d'excessif; la conservation de certains
signes
de virilité chez les eunuques, qui les faisait ap
ts. Dans ses antécédents on ne relève absolument aucun des1« petits
signes
de la dysthyroïdie ». La mère, àgée de 47 ans,
sance ; et à l'âge du développement sexuel elle ne montra aucun des
signes
annonciateurs de la puberté, Le développement int
i- culier quant aux aïeux paternels et maternels. Elle présente des
signes
dis- .\Xl 22 Fig. 1. 330 GIUSEPPE FRANCHINI
e ; dans un cas de Warda (5), un des enfants du malade accusait des
signes
évidents d'acromégalie, dans mon cas enfin il s
myxoedémateux. Dans d'autres cas le tremblement, t'exophthatmie, le
signe
de Graëfe, le goitre, les sueurs abondantes, le
hypertro- phie totale de la langue ; or cette altération est un des
signes
les plus ca- ractéristiques de l'acromégalie ;
e, des mains et des pieds, et où jusqu'à présent il n'y a pas eu de
signes
de tu- meur endo-crânienne, sauf céphalée, la^
tique secondaire, diagnostiqué par la lésion papillaire. ' 3° Des
signes
oculaires accessoires : L'exophtalmie : un des
action à la lumière douteuse, existe peut-être faiblement à droite.
Signes
de papillite. Vision extrêmement (1) Voy. Nouve
a tumeur. Elle n'était pas visible extérieurement; mais outre les
signes
macros- copiques usuels de la pression exagérée
ique, à moins qu'ils ne les y aient fait naître par suggestion, des
signes
propres à chacune de ces affections. Je plains
son père et sou frère. Son visage est bouleversé ; il manifeste les
signes
de la plus violente colère, il ges- ticule et a
s évidente, et elle s'est manifestée dès l'enfance chez lui par des
signes
multiples, qui l'ont toujours fait considérer c
diens seraient toujours positifs, on aurait c'est-à-dire les petits
signes
de la dysthyroïdie. Selon Hertoghe tous les inf
te et même de ce qu'on appelle aujourd'hui avec Hertoghe les petits
signes
de l'hy- pothyroïdie fruste; symptômes qui étai
ait avec effroi qu'il n'est pas indemne de quelques- uns des petits
signes
si nombreux et si divers de la dysthyroïdie. Je
du squelette dans l'infantilisme peuvent être interprétées comme un
signe
de maladie de la moelle osseuse qui pourrait êt
phalie. Toujours selon ¡1lurri il n'y a aucune proportion entre les
signes
de l'inflammation et la quantité du liquide cér
et l'on peut voir de l'hy- drocéphalie évidente avec de très petits
signes
de méningite, et au con- traire des méningites
iclinico, Sez.Pratica, 1908. LÉvI LÉOPOLD et Rothschild. Les petits
signes
d'insuffisance thyroïdienne. Gazette des hôpita
r de Van Swieten pendant quelques semaines) ; en 1900, les premiers
signes
du tabes apparurent ; celui-ci eut une évolution
lement en 1894, la mère se soigna mal, et en 1900 présenta quelques
signes
de tabes. Tabes confirmé à l'heure actuelle (abol
e entre autres phénomènes de l'abolition des réflexes tendineux, le
signe
d'Argyll, un mal perforant plantaire. Le signe
flexes tendineux, le signe d'Argyll, un mal perforant plantaire. Le
signe
de Romberg existe, mais peu marqué. · La marche
eut de plus curieux ce fut en quelque sorte l'arrêt du tabes. Le
signe
de Romberg qui existait, bien que très léger en j
, l'enfant est mythomane et plutôt méchante, mais sans excès. Les
signes
de paralysie générale vont donc en s'aggravant.
symptôme : les convulsions étaient, pourrait-on presque dire, le seul
signe
de la gangrène pulmonaire. Celle-ci les avait p
depuis le matin recouvrait l'endroit où il y avait la lésion, pas les
signes
tangibles d'une brûlure avec un objet métalliqu
umineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne.
Signes
classiques de tu- meur cérébrale, durée de cinq
mineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne :
signes
de tumeur cérébrale ; durée de 55 ans ; termina
nne(Anévrysme'volu- mineux d'une branche de l' -) ou syl- vienne.
signes
de tumeur cérébrale : durée de 55 a-s - termina
mineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne ;
signes
de-; durée de 55 «ns,lerrninaison par suicide)
e de plus ennuyeux, de plus ridicule, sans doute parce que c'est un
signe
de timi- dité, de faiblesse, de féminisme. Pa
e certaines images de piété représentant la Vierge affligée ; mais,
signe
caractéristique, elle a su résister à tous ces ma
soit 6,85 p. 100. Chez la plupart de ces 12 malades plu- sieurs des
signes
principaux du diabète proprement dit manquaient,
e tremblement peut être le plus habituel- lement considéré comme un
signe
pronostique favorable. (Annales médico-psycholo
de granulations. En somme il existe dans ce cas une combinaison de
signes
cliniques avec des modifications du système ner
atteint, depuis plusieurs années, d'une insuffisance aortique, sans
signe
d'anévrisme (pas de para- lysie du récurrent) ;
ant les draps et les oreiller-. Pas de vomissements, pas le moindre
signe
rappelant l'existence de l'atfec- tion gastriqu
strique dans le moment. Mais les antécédents connus, l'ab- sence de
signes
de lésions des centres nerveux l'ensemhle des sym
même impossible. Ce n'est pas une impossibilité de reconnaître les
signes
graphiques simples ou associés, et de leur attr
e l'ataxie, une des formes de l'ophasie optique, parce qu'alors les
signes
gra- phiques ont perdu leur signification intel
muscle quadriceps fémoral. Les centres nerveux n'ont présenté aucun
signe
d'altération. Il n'en n'est pas de même du nerf
onie, bien qu'il ne paraisse pas exister de rapport direct entre le
signe
de l'ataxie et celui de 'hypotomie, rapport qui à
s ou moins profondé- ment atteintes à la suite de ces lésions. Le
signe
-j- indique une dégénérescence complète; le trait
ères habituelsdu délire éthylique. Ces femmes ne présentaient aucun
signe
de paralysie générale ou d'hystérie et leur mal
i, en dehors des attaques et de toute simulation ne présente pas de
signe
précis permettant de la reconnaître. MM. Mai- 1
académie DE médecine ret et Vires se sont attachés à déterminer des
signes
constants réalisés indépendamment de la volonté
ttaque de dépister la névrose épileptique; au second il fournira un
signe
conducteur pour l'étude encore si obscure de l'
taire) viennent en aide à leur langage mimique au moyen de certains
signes
conventionnels, tels que des dessins grossiers
loris que soit son langage mimique, quelque nombreux que soient ces
signes
conventionnels aux- quels je me réfère, combien
es nuits qu'il devait passer isolé dans sa cellule. La présence des
signes
objectifs des hallucinations visuelles nous fit
nt lar- gement du repos, ce n'est pas en eux, mais surtout dans les
signes
physiques qu'il faudra chercher l'indication du
symp- tômes paralytiques, d'états séniles avec prterio-sclérose et
signes
paralytiques, de cas d'épilepsie ancienne. Au
ions ou la paralysie sou- daine qui sont ordinairement les premiers
signes
d'une thrombose des veines cérébrales dans la p
a peu de rigidité et pas de mouvements spasmodiques : mais ces deux
signes
peuvent manquer. En somme, il y a plus de raiso
glycosurie disparaissait. Dans cinq cas sur douze il existait des
signes
manifestes de dégénérescence vasculaire. La quant
pu être faites, et comme on pouvait le prévoir, elles ontfourni les
signes
d'un arrêt de développement du cerveau et de se
ouvertes, os du crâne mous; brièveté des jambes et des bras; pas de
signes
de rachitisme. C'est le premier enfant d'un jeu
médecin doit avoir des connaissances spéciales sur la valeur de ces
signes
, qu'il doit être un aliéniste. Celui-ci n'a pas
ico- légale : 1° troubles intellectuels observés chez l'inculpé; 2°
signes
somatiques tels que : absence de douleur consta
es et injurieux : on l'interne à l'asile. Nicolas, qui présente des
signes
de dégéné- rescence, est intelligent et tranqui
la pitui- taire et de la muqueuse linguale, mais chez lesquels les
signes
nécessitent une recherche et sont dans un plan
recherche et sont dans un plan fort éloigne par rapport aux autres
signes
de la maladie. Cette seconde catégorie de cas n
particulières qui s'accompagnaient presque constamment de quelques
signes
d'embarras gastrique. Les malades les indiquaie
moins léger, qu'on cherche cependant en vain à rattacher à d'autres
signes
et qui n'existe pas en réalité. Ce n'est pas à
t donc liés aux formes bulbaires du tabes et accompagnés d'autres
signes
habituels à ces formes que s'observent les trou
ls se manifestent avec une grande intensité. Ajoutons enfin que les
signes
de l'alcoolisme sont souvent présents ; il nous a
euvent se montrer dès le début du tabes. Peuvent-ils en être un des
signes
révélateurs à une époque précoce et servir par
goût et de l'odorat rentrent souvent dans cette même catégorie des
signes
précoces et dont la valeur doit être la même.
tes, seraient peut-être devenus de grands saints ; et, à propos des
signes
de dégénérescence, M. Maudsley demande ironique
dou- tant de sa portée pratique, l'auteur s'en félicite comme d'un
signe
de la préoccupation des pouvoirs et du public d
ires, du strabisme, des vomissements répétés. Pendant six semaines,
signes
d'induration du lobe infé- rieur droit. Pendant
. Ils ont quelquefois des illusions sensorielles sans aucun autre
signe
de folie : Galezowski a signalé les hallucination
t sur des bases solides, car les goitres base- dowifiés offrent des
signes
et une réaction à la médication thy- roïdienne
rné, s'il y a lieu, en 1900, à l'auteur du meilleur ouvrage sur les
signes
diagnostiques de la mort et sur les moyens de p
imentés, si bien qu'en présence de la fré- quence avec laquelle les
signes
de dégénérescence sont signalés, il y a souvent
alées soit du côté du corps, soit du côté de l'esprit sont bien des
signes
de dégénérescence ou non, s'il existe bien là des
t bien des signes de dégénérescence ou non, s'il existe bien là des
signes
d'infériorité constitutionnelle, tendant à deve
opérations de même nature, mais moins graves, le singe présente des
signes
de paralysie très accusée et sa guérison est poss
cience personnelle. En un mot, le délire systématisé est le premier
signe
, l'indice de la transformation paranoïaque de tou
me chambre que lui, commence dès l'âge de douze ans à présenter des
signes
de perversion sexuelle ; devenu maître d'école,
e paraît avoir été congénitale : c'est du moins ce qu'indiquent les
signes
physiques. L'ablation des testicules parait avo
une famille névrôpathique; père : syphilis anté- rieure au mariage.
Signes
probables d'hérédo-syphilis chez la malade. Hyd
euse lorsqu'il se produit des symptômes de paralysie motrice ou des
signes
évi- dents d'affaiblissement intellectuel. Mais
a- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 381 lysie générale. Alors que les
signes
évidents d'affaiblissement psy- chique fout enc
de ce genre dans lesquels une rechute s'est produite avec tous les
signes
de la paralysie générale. En voici deux brièvem
ssive accompagnée d'idées de persécution et d'empoisonnement. Aucun
signe
de para- lysie générale, ni physiques, ni psych
elevant de la paralysie générale, surtout par suite de l'absence de
signes
physiques. Le début du premier accès s'est fait
onner la paralysie générale et peut-être qu'un examen minutieux des
signes
psychiques aurait alors permis de faire d'emblé
accès, des symp- mes somatiques qui facilitent le diagnostic ? Les
signes
de dégé- nérescence sont plus fréquents chez ce
uites immédiates des accès (morsure de la langue, ecchymoses) aucun
signe
physique caractéristique. La présence, SOCIÉTÉS
pendant l'accès délirant ils ont, ainsi que cet accès lui-même, des
signes
caractéristiques connus. Discussion. M. 11R.1
atée, après certains états de confusion, et qui constituait le seul
signe
d'épilepsie. M. TaczEK fait remarquer que certa
ctions qu'on tirerait de la présence SOCIÉTÉS SAVANTES. 393 de ce
signe
. Ces troubles peuvent se rencontrer dans toutes l
sions fantastiques du souvenir signalées par Tuczek ne sont pas des
signes
épileptiques spécifiques ; elles se rencontrent
tic, d'un symp- tôme psychique unique ; il ne faut invoquer que des
signes
dont la valeur soit bien certaine. Il serait mê
out grandes chez les enfants et les adolescents. Il n'existe pas de
signes
différentiels nets entre les manifestations de l'
sychoses fonctionnelles. Il ne les considère pas toujours comme des
signes
d'altérations organiques, mais voit en eux des
nt de vue du diagnostic différentiel clinique, il faut citer, comme
signes
importants, les relations étroites de la maladie
uction artificielle, post-mortem. M. 13ESS (Stephansfeld). Sur le
signe
du cubital (Biernacki) chez les aliénés. L'au
paralytiques hommes, de l'asile de Stephansfeld, au point de vue du
signe
du cubital. Une pression énergique exercée sur
sie unilatérale. Résultat : 76,6 p. 100 de malades présentant le
signe
de Biernacki, 16,6 sans ce signe. Sur 12 femmes p
,6 p. 100 de malades présentant le signe de Biernacki, 16,6 sans ce
signe
. Sur 12 femmes paralyti- ques, 5 ont présenté u
it diminuée. Résultat : 50 p. 100 de malades femmes présentaient le
signe
de Biernacki. Pour les deux sexes réunis, la pr
r arrive au résultat suivant, au point de vue de la fréquence de ce
signe
: sur 417 tabéliques et paralytiques, 66,9 p. 100
s : et la moitié environ des paralytiques femmes présentent donc le
signe
de Biernacki. Sur 100 aliénés hommes, non paral
lysie générale, surtout dans le sexe masculin. L'importance de ce
signe
au point de vue du diagnostic s'accroîtra lorsqu'
psychique), l'analgésie à la pression du cubital pourra devenir un
signe
précieux et d'une grande importance pratique. (
de son affection était bien spéciale. Après avoir présenté tous les
signes
physiques et psychiques d'une paralysie général
et qu'il y a lieu de remanier complètement, en ce qui concerne les
signes
physiques, le tableau uniforme que les auteurs
1890 1. Cet aliéniste distingué a étudié surtout les rap- ports des
signes
physiques avec l'état mental et le délire, et i
phyxie grave; ce à quoi, en réalité, devaient s'attribuer les rares
signes
de vie qui ont accompagné la naissance de cet e
il y avait accompagnement d'opisthotonos. Enfin, développement des
signes
classiques d'une méningite basilaire, suivie de m
ien, avec la peau blanche, les jambes enflées, et présenta tous les
signes
cliniques d'une anémie pernicieuse. L'examen
stl'eptotl'ix, ressemblant à un cladotrix t11,tél'oïdes et dont le
signe
particulier de la culture consiste dans une coule
tion des fosses nasales, entérop- tose, etc.); 3° Avant tout, les
signes
physiques qui accompagnent l'état d'anxiété son
ule la rachialgie des neurasthéniques n'a pas d'ana- logue dans les
signes
de l'état d'anxiété; 4° Il n'y a pas de neurast
utres symptômes, comme il a été dit plus haut, se superposent aux
signes
physiques de l'anxiété. L'auteur pense qu'il sera
iminels. Dégénérescence chez les - , par Mac Corn, 223. CUISIT1L.
Signe
du chez les alié- nés, par Hess, 408. Dégénér
Mon hypothèse que ces mouvements de la tête et des yeux sont les
signes
d'une sensation visuelle subjective et dus à une
'ac- cordait aucune attention aux menaces, aux grimaces et autres
signes
pour fixer sa vue. On le tua alors pour pouvoir d
minutes, il se calma et refusa de marcher. Il ne manifestait aucun
signe
de crainte aux menaces, et il ne clignait pas lor
il se traîna. De pareils faits se répétèrent. il ne montrait aucun
signe
de perception lorsqu'on l'approchait avec soin,
jeta sur ses yeux la lumière d'une lan- terne, mais il ne fit aucun
signe
. En rampant avec précaution vers lui sans excit
quoique les yeux grands ouverts et tournés vers nous, ne fit aucun
signe
de perception. Des grimaces effiavaiites furent
ir. On essaya à droite et à gauche de même, mais on ne trouva aucun
signe
de vision ni d'un côté ni de l'autre. Le jour s
droit, on obtint une hémiopie complète gauche qui dura, sans aucun
signe
d'amélioration, jusqu'à la mort de l'animal, tioi
, il ne mar- chait pas au delà du bord de la table, il montrait des
signes
de perception quand on lui projetait de la lumi
intact et nullement t diminué de volume par rapport au premier Un
signe
distinctif entre l'hémiopie d'origine centrale et
ause l'hémiopie mais laisse intacte la réaction pupillaire. Mais ce
signe
demande un grand soin dans son application, car
ns lequel l'ani- mal a été habitué à boire, dans un autre, c'est le
signe
de donner la patte auquel l'animal à été habitu
tous les obstacles sur sa route. Au bout de ce temps, il y eut des
signes
de vision mais qu'on trouva dus à une fermeture
e chez deux de ces malades : mais il n'existe, dit M. Zacher, aucun
signe
clinique qui caractérise la paralysie géné- ral
aits de Koch, Wundt, Leibnitz. P. K. XV. Contribution L'ÉTUDE DES
SIGNES
DE la dégénérescence; par J. METZGER. (Allg. Ze
. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLV, 5.) Il s'agit dans ce mémoire des
signes
de dégénérescence phy- sique. Examen du palais,
p. 109 des aliénés indemnes de tares héréditaires présentaient des
signes
de dégénérescence physique quelconque, tandis q
0 en étaient porteurs. L'étude analytique et statistique des divers
signes
démontre que l'associa- tion et l'accumulation
es divers signes démontre que l'associa- tion et l'accumulation des
signes
de dégénérescence physique sont bien plus fréqu
de la tem- pérature, et l'amygdalite justifiait amplement ces deux
signes
. L'examen de l'abdomen pratiqué quotidiennement
inq ans d'ataxie des membres inférieurs avec titubation (absence du
signe
de Romberg), d'ataxie des mains (difl'érenciabl
- triques dysurie ralentissement de la sensibilité à la douleur -
signe
de Homberg - atrophie du nerf optique droit. C'es
s, l'attention sur l'inégalité des pupilles comme symptôme et comme
signe
précurseur de la para- lysie générale. Et tous,
d'affaiblissement intellectuel et quelques troubles de la motililé,
signes
révélateurs de la dé- mence paralytique persist
elief, dù à la contraction musculaire, mais dans un sens opposé, un
signe
révélateur de l'état physiologique dans lequel
ologique. Le repli sus-rotulien de Gerdy est, chez notre malade, le
signe
révélateur d'un état patholo- gique. Sa présenc
qu'on ne constate pas, même dans les cas les plus frustes, certains
signes
, auxquels on a attribué une valeur pathognomoni
on a attribué une valeur pathognomonique précoce. Au nomhre de ces
signes
figurent, en première ligne, les paralysies ocu
en première ligne, les paralysies oculaires transi- toires, puis le
signe
d'Argyll Robertson, le myosis unilatéral ou bil
latéral ou la mydriase et plus souvent l'inégalité pupil- laire, le
signe
de Romberg, etc.. Rien de tout cela n'a jamais
ui se rencontre chez beaucoup d'animaux (langage par des mines, des
signes
, des attouchements, des cris et des sons) reste
tête ; ces oscillations thermiques du crâne, qui ne sont que des
signes
atténués des oscillations thermiques corres- po
n visuelle subjective, nous avons, je pense, dans ces réactions des
signes
plus caractéristiques d'une sensation auditive
avec précaution et jusqu'au moment où il me vit, il ne donna aucun
signe
indiquant qu'il eût conscience de ma présence.
expériences sur le lobe temporal 2 qu'on ne pouvait trouver au- cun
signe
de trouble de l'ouie, quand tout le lobe temporal
normal. Pendant les quatre premiers jours après l'opération, aucun
signe
de l'ouïe ne put être obtenu par des bruits fai
uger. La même expérience chez les trois autres singes a produit des
signes
d'alarme et de perturbation. » A peu près à c
t les friandises n'ont jamais produit ni un mouvement, ni aucun des
signes
animés de vif intérêt qui étaient si caractéris
nsibilité tactile ni du sens musculaire. Il courait sans le moindre
signe
d'ataxie, il grimpait avec son aisance habituel
Sujet âgé de dix-neuf ans, à antécédents familiaux, présentant les
signes
classiques de celte affection ; mode spécial de l
. Quand on constate la propagation des ondes contractiles, c'est un
signe
d'excès de prédisposition, elle n'a lieu chez l'a
Baillarger, l'un des fondateurs delà Société, et lève la séance en
signe
de deuil. Marcel DAIAND. XXIX- CONGRÈS DES ALIÉ
ême, rien d'anormal dans les cordons blancs et on ne constate aucun
signe
de sclérose descendante. Les racines antérieure
de précision dans les chapitres consacrés à la symptomatologie, les
signes
sont plutôt énumérés qu'étudiés, nous ne trouvo
vision dans le temple, parce qu'il le leur faisait entendre par des
signes
; et il demeura muet. 23. Et lorsque les jours d
e dans ta parenté qui soit appelé de ce nom. 62. Alors ils firent
signe
à son père de marquer comment il vou- lait qu'i
que semblable et la pauvre femme donnait depuis quel- que temps des
signes
évidents d'aliénation mentale. Hier soir elle n
juge d'après les titres : Délire hypochondriaque comme symptôme et
signe
précurseur de la paralysie générale (1860). De
iplégie chez cette jeune fille a respecté la face. Or c'est là un
signe
négatif qui acquiert, dans l'espèce, une grosse
'est permis de recourir qu'en der- nière ressource. D'autant que ce
signe
précieux et désirable, ce caractère différentie
ssé inaperçu que parce que nous ne savions pas le voir. C'est là un
signe
que je crois appelé à rendre de réels services
il connaissait quelque caractère qui pût permettre, en l'absence de
signes
habituels du blépharospasme, de diagnostiquer la
hute paralytique de la paupière (fis. 27 et 28). En l'absence des
signes
ordinaires du blépharo- spasme, cet abaissement
107. 340 CLINIQUE NERVEUSE. sommes donc en possession de plus de
signes
qu'il n'en faudrait pour asseoir notre diagnost
hé, et recommence à manger. Puis, il se remet au lit en donnant des
signes
de fatigue. Essence de térébenthine.- II fixe q
intermittent présenté par le bégayement ; c'est en quelque sorte un
signe
pathognomonique de cette affection. Tel qui lira
rouble des organes sensitifs ou moteurs. Donc, voici quels sont les
signes
principaux du bégayement or- dinaire : 1° début
dans le bégayement hystérique. J'ai indiqué quels étaient les cinq
signes
principaux du bégaye- ment. Mais j'écarte tout
ne droite ; la même épreuve à gauche produisait des grimaces et des
signes
évidents de malaise. L'animal pouvait bouger se
ile de déterminer l'appréciation des odeurs chez les singes par des
signes
extérieurs. L'odeur que nous considérions comme
oès dans sa bouche. 11 paraissait indifférent et ne manifesta aucun
signe
de dégoût. La même substance placée dans la bou
ureuse, comme de pincer ou d'approcher un fer chaud. produisait des
signes
évidents de sensations comme de l'autre côté. C
de l'hémisphère gauche. L'animal répondait invariablement par des
signes
de mécontentement au plus léger contact. Bechtere
er, afin d'éviter une erreur toujours possible du jury. « A quels
signes
reconnaitra-t-on que l'accusé a azi sciemment e
ue. - Quoi qu'il en soit, l'adjonction d'un délire ambitieux est le
signe
d'une haute gravité, sinon de l'incurabilité.
dans ses études remarquables, considère ce trouble mental comme un
signe
direct et immédiat de l'hérédité morbide en en fa
es cardinaux qui permettent de déjouer la simu- lation, ce sont les
signes
physiques tels que les anesthésies, le rétrécis
ues de la régression. L'aliéné inoffensif ne présente, lui, que les
signes
du dégénéré. En montrant que l'aliéné criminel es
lles des examens réitérés et attentifs ne pou- vaient découvrir des
signes
déterminés d'un trouble mental quel- conque. Su
abiale était propre aux épileptiques; plus tard, on a trouvé que ce
signe
est plutôt général parmi les dégénérés. Fére a
tôt général parmi les dégénérés. Fére a indiqué l'hémiparésie comme
signe
caractéristique de l'épilepsie. L'auteur insist
cation a provoqué la discussion suivante : M. SrRDsKi demande si le
signe
indiqué par M. Sikorski est exclu- sivement pro
u que l'irrégularité dans la mimique de la face ne constitue pas un
signe
exclusif de l'épilepsie; il peut servir de sign
e constitue pas un signe exclusif de l'épilepsie; il peut servir de
signe
général dans la dégénérescence, mais dans la dégé
M. Baar;iVOr·F (Moscou) émet le doute sur l'importance du nouveau
signe
indiqué par M. Sikorski. D'après lui, ce n'est pa
gique et naturelle des travaux antérieurs et qu'il est analogue aux
signes
indiquées par Feré. Il demande à l'auditoire de
signes indiquées par Feré. Il demande à l'auditoire de vérifier ce
signe
et non pas de l'accepter sans discussion. M. SA
he du - parloeh, 29 ? Crimini.ls, 172. Di' c,Ud : ;HLSCI,1\t.L (
signes
de), par Metzer, 118. DUBi,1r. insipide guéri
du tube digestif, le mésoblaste a commencé également à présenter les
signes
de change-ments internes qui se sont produits. (F
du tube digestif, le mésoblaste a commencé également à présenter les
signes
de changements internes qui se sont produits (Fiy
marquée cliniquement par la disparition également rapide ou lente des
signes
physiques. En même temps les pro-duits d'exsudati
nature de cette indura-tion était d'ailleurs restée indéterminée. Les
signes
de gan-grène pulmonaire persistèrent pendant huit
pectoraux. Quand elle est entrée à l'hôpital, elle n'offrait aucun
signe
d'amaigrissement, quoiqu'elle fût souffrante depu
n'a pu être examiné. Le pouls est à 120 ; la respiration à 28. Mêmes
signes
physiques, si ce n'est que pendant la toux on ent
tartre stibié, 30 centigrammes; opium, 3 cen-tigrammes). 25. Mêmes
signes
physiques ; le souffle est plus fort qu'à l'épo-q
note relative à un malade qui succomba après avoir présenté tous les
signes
de la phtisie tuberculeuse: Souffle caverneux et
indurées s'annonce par quelques phénomènes généraux particuliers. Les
signes
obtenus par l'examen physique de la poitrine, ou
tés, les pom-mettes rouges ; il a peu d'appétit et mange à peine: les
signes
d'induration pulmonaire persistent. — Le 9 mai, l
i-grissement rapide ; cependant il n'y a pas de dévoiement ; tous les
signes
d'induration pulmonaire persistent. Pendant ce te
ntité de pus séreux. Le poumon est examiné à plusieurs re-prises, les
signes
physiques indiquent toujours l'existence d'une in
L'auscultation et la percussion de la poitrine ne fournis-sent aucun
signe
qui soit véritablement propre à la maladie. La ma
rcules. Par contre, rauscultation a pu quelquefois ne donne?" que des
signes
néga-tifs; c'est-à-dire qu'en pareille circonstan
obe atteint d'induration pneumonique. — Si l'auscultation donnait des
signes
négatifs au niveau d'un point du poumon où la per
qu'elle présente depuis longtemps. Le toucher vaginal donne tous les
signes
d'une antéversion complète de l'utérus. Pendant s
es est sans rapport avec la quantité de l'expectoration. Fox a vu les
signes
physiques disparaître dans un cas où la pneumonie
nation sont retardés par suite de circon-stances mal définies, et les
signes
physiques de l'induration pulmonaire persistent p
attaque de pneumonie aiguë, la fièvre cesse momen-tanément; mais les
signes
physiques persistent, et la lésion chronique s'ét
érature au-dessous delà normale; comme cela a lieu chez l'adulte, les
signes
locaux persistent ; bientôt la fièvre reparaît, u
s attaques de pneu-monie aiguë ont été régulières (crachats rouilles,
signes
sté-thoscopiques classiques, courbe thermique par
tre souvent dans les poumons des sujets qui, après avoir présenté les
signes
de la phtisie pulmonaire, sont revenus à la santé
t succombé, vers le quinzième jour d'une maladie pendant laquelle les
signes
stéthoscopiques avaient été abso-lument négatifs,
nts respiratoires profonds, énergi-ques. Cependant rien à ajouter aux
signes
obtenus par l'ausculta-tion le 1er août, si ce n'
d'un bon appétit; pendant le jour, il paraît calme, et ne donne aucun
signe
d'aliénation men-tale , mais, pendant la nuit, il
ffaiblissement considé-rable. — Souffles vasculaires et cardiaques. —
Signes
d'excava-tions pulmonaires. — Expectoration purif
res. — Expectoration puriforme. — Œdème. — Hypertrophie de la rate. —
Signes
de péricardite. — Urines albu-mineuses. — Dyspnée
rdu complètement l'usage de la parole et ne peut s'exprimer que par
signes
. Elle ne peut avaler les liquides qu'à l'aide d'u
ient excessive ; mais le ventre reste volumineux et présente tous les
signes
de l'hydropisie ascite. Dans les dernières semain
e ; la langue est sèche ; la rate peut être volumineuse. Parfois, les
signes
d'un catarrhe bron-chique se manifestent et il y
Pitié, chez une femme parvenue au huitième mois de la grossesse, les
signes
d'une insuffisance aortique des plus prononcées s
osées lenticu-laires, il y a de la bronchite ; mais en même temps les
signes
d'une affection cardiaque se dessinent, de plus e
des réserves. On a vu qu'elle était l'expression de la vé-rité. Les
signes
fournis par l'auscultation étaient très remarqua-
ns de ta maison s'agitent autour d'elle sans qu'elle donne le moindre
signe
de vie. Après quelques minutes de confu-sion, on
econnaître à l'autopsie les inflammations de l'aorte, mais encore des
signes
pour les diagnostiquer pendant la vie. Cet édific
té du vaisseau, comme le prouve l'observation de Rokitansky; mais les
signes
de l'infection purulente, surve-nant brusquement
u à l'avulsion d'une plaque crétacée. Symptômes et Diagnostic — Les
signes
physiques d'une induration calcaire de l'aorte ma
rmettra quelquefois de constater cette aug-mentation de volume. Les
signes
rationnels fournissent au diagnostic des indices
mpossible de parvenir à une certitude absolue aussi longtemps que les
signes
physiques lui font défaut. C'est ce qui arrive ha
présence, même à une période peu avancée de son développement. Les
signes
d'un anévrisme aortique doivent donc se diviser e
à passer successivement en revue ces deux ordres de phénomènes. 1°
Signes
fournis par l'inspection et la palpation. — L'exi
pulsatile, sur un point qui correspond au trajet de l'artère, est le
signe
palhognomonique des ané-vrismes de l'aorte. Longt
En somme, l'existence de deux centres distincts de pulsa-tion est le
signe
presque pathognomonique des anévrismes de l'aorte
s faits analogues dans beaucoup d'auteurs, preuve évidente qu'un seul
signe
ne suffit jamais pour carac-tériser les anévrisme
pareille lésion sera facilement reconnue à la région thoracique. Les
signes
qui la révèlent sont plus obscurs à la région abd
peu les diverses altérations que nous avons signalées plus haut. 2°
Signes
fournis par rauscultation et la percussion. — a)
u doigt est également augmentée. M. Piorry, en se fondant sur ce seul
signe
, est quelquefois parvenu à recon-naître des anévr
récieuses pour le diagnostic, chez les sujets qui présentent déjà les
signes
rationnels d'un ané-vrisme inlra-thoracique. On
cas où l'aorte abdo-minale est affectée, le pouls crural donnera des
signes
analo- gues à ceux que nous venons de signaler
ro-phie des muscles correspondants (Law). Comme la plupart des autres
signes
fonctionnels des anévrismes aortiques, ce phénomè
Lebert. D'après cet auteur, les maux de reins sont l'un des premiers
signes
des anévrismes de l'aorte sous-diapliragmalique.
, en ce qu'elle est plus tardive à se manifester, et moins liée à des
signes
évidents d'une gêne de la circulation. Morgagni,
onnaître la présence d'un anévrisme de l'aorte avant l'apparition des
signes
physiques qui peuvent seuls le caractériser avec
ujours possible à repro-duire. C'est donc surtout au point de vue des
signes
physiques que nous allons nous placer pour étudie
e tou-jours de nature cancéreuse ou tuberculeuse, coïncident avec les
signes
généraux de l'une ou l'autre diathèse. Elles pré-
it point enten-dre aucun bruit de souffle. c) C'est surtout par des
signes
négatifs que Y asthme se dis- tingue des anévri
n-nels sont quelquefois communs à l'une et l'autre maladie. Quand les
signes
physiques fournis par l'exploration du tho-rax fo
es cas difficiles, que par une exploration très attentive de tous les
signes
physiques qui peuvent mettre sur la voie du diag-
ostic, car, dans l'œdème de la glotte, on voit souvent man- quer le
signe
patliognomonique indiqué par les auteurs, c'est-à
es tumeurs ané-vrismales, mais à une sorte de mouvement onduleux. Les
signes
stéthoscopiques ne sont pas les mêmes au début de
grande intensité des troubles généraux ; enfin, l'élude attentive des
signes
, fournis par l'auscultation et la percussion, tel
nt établi avec une grande précision les caractères anatomiques et les
signes
pathognomoniques de cette intéres-sante lésion. T
cavités du cœur. Ces trois variétés, qui se distinguent par quelques
signes
particuliers, ont cepen-dant des caractères commu
nce de toute lésion, de tout épaississement des tuni-ques. Ce dernier
signe
, invoqué par MM. Barth et Cruveilhier, n'est poin
h et Cruveilhier, n'est point considéré par tous les auteurs comme un
signe
caractéristique des rétrécissements congénitaux;
ur. Nous ne savons pas si l'autopsie a confirmé le dia-gnostic. Les
signes
fonctionnels sont à la fois moins constants et mo
appui. On comprend donc qu'il est très intéressant de consta-ter les
signes
qui révèlent l'existence de cette lésion chez le
forces, il tombe sur le sol, où il reste étendu, en donnant tous les
signes
d'une vive douleur; les membres sont roides, cont
r le forcer à accélérer son allure, et on le verra bientôt donner les
signes
de la plus vive anxiété; il est pris d'un tremble
souffle continu à double cou-rant dans les vaisseaux du cou ; pas de
signes
d'hypertrophie car-diaque; des battements énergiq
ier. Je signalerai chez lui l'existence d'un arc sénile avec d'autres
signes
non équivoques d'artério-sclérose et, dans les an
que, si on le pince avec une force égale du côté opposé, il donne des
signes
de douleur. Chaque jour depuis lors jusqu'à l'é
culière-ment chez des individus qui, pendant la vie, ont présenté les
signes
d'une affection organique du cœur, et chez lesque
is-son, du point de côté, de la fièvre, et quoique ayant présenté des
signes
stéthoscopiques incontestables, tels que râle cré
actères propres à la phleg-masie pulmonaire : point de côté, frisson,
signes
stéthoscopiques, etc., puis cessent brusquement a
: — symptômes locaux, 4C4; — étiologie, 405; — observation, 405 ; —
signes
d'auscultation, 417; Entozoaires de l'aorle, hi
50; — symptômes locaux, 154; — auscultation et percussion, 15^; —
signes
négatifs, 156; — dia-gnostic, 157. Pneumonie ch
es libres motrices ou sensitives, ce qui explique l'absence de tout
signe
bul- baire, et l'impossibilité, dans ce cas, de
te depuis avril 1904 les symptômes de l'hébéphrénie ; il existe des
signe
* d'affaiblisse- ment intellectuel mais la démen
é la persistance de l'état maniaque. Après 71 jours d'emploi, aucun
signe
d'accoutu- maure. ' De ces deux observations
L'examen de la poitrine permet de constater, aux deux sommets, des
signes
très nets de tuberculose au 2° degré. A l'auscu
t tousse de temps à autre, maigrit, mais ne reste pas alitée. Mêmes
signes
à l'auscultation. 1904. Janvier. L'enfant est p
la tête; elle dort peu. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 31 Les
signes
d'auscultation augmentent beaucoup, en intensité
ppression a reparu, 52 res- pirations à la minute. Pouls 144. Mêmes
signes
d'auscultation. L'enfant commence à gâter. -
lruclifs aigus cl chroniques. 8. Mais leur importance, en tant, que
signes
de lésions ana lonlopaLllOlogilj1H's s'étant pr
vations I et 111 de M. Bielschowsky, caractérisées par l'absence de
signes
certains d'inflammation, témoignent des effets
t d'un de- lire généralisé et incohérent avec agitation et quelques
signes
physiques de paral;siegenerale,al'autopsieduque
toujours plus rapidement que celles où 70 SOCIÉTÉS SAVANTES. ces
signes
font défaut. En ce qui concerne les affections de
uvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc adroite, el le
signe
du peaucier à gauche. C'est une hémiplégie spa
muscles antagonistes). .le ne trouve chez cette malade aucun des
signes
objectifs qu'on douve dans l'hémiplégie ou dans
auteurs tirent des conclusions au point de vue de l'importance des
signes
objectifs et de l'histoire gêné-, raie de l'hys
ractions lilrrillai- res, Pas du troubles de la sensibilité, pas de
signes
du paralysie bulllaire. Réactions électriques s
sciatique. Le malade ne peutcomptete- ment fermer les paupières, ce
signe
remontant L'extrême jeu- nesse. llCtlttclia d
é dans Son puits. E ! lI1(/1'(I, depuis quelque temps, donnait des
signes
d'aliénation mentale, Si, contrairement aux p
IL .. est slirloul malade depuis cinq semaine-, mais les premier-
signes
de trouble mental remontent àuu moins six mois. C
maniaque légère; divagations religieu- ses incohérentes : « J'ai un
signe
de Dieu sur la langue... Ce sont des dorures...
.. Un homme qui tournait autour de ma maison m'a dit que j'avais un
signe
de Dieu et m'empêchait de sortir. J'ai vu saint
e et un mort pendant la guerre de 1870. Père aliéné. Les premier*
signes
de folie se sont manifestés il l'âge de 20 ans,
affaiblissement intellectuel, la perle de la mémoire, en un mot les
signes
de la démence sénile ; des élourdisse- ments, u
des filles du main aise lie, présentait indubila- blement tous les
signes
d'une paralysie générale, acc excitation maniaq
s symptômes morbides, tant sont en effet net- tement déterminés les
signes
qui leur sont propres. Ce n'est pas d'aujourd'h
au point que le début en remonte il un an déjà, sinon plus ; et les
signes
physiques qui l'accompagnent, embarras de la pa
papille proemine au moins de 2/3 de mill. (2 Dioptries). Parmi les
signes
cliniques il ne faut pas oublier : les obscurci
Chez le ch ien, la lésion des lobes frontaux détermine surtout des
signes
de démence; ce n'est pas la vue qui est atteinte,
duit par un affai- blissement du lieu de la vision distincte et les
signes
de la cécité psychique. En l'espèce, la partie
adies organiques de la moelle, on rencontre très llWluemmenL de ces
signes
de dégénérescence, ou, comme chez noire malade,
L de ces signes de dégénérescence, ou, comme chez noire malade, des
signes
d'atavisme ayant alors pour la neuropathologie
portance qu'ils ont. pour laltsycltopalltolo- gie. En fout cas, ces
signes
n'expriment qu'une prédisposition ; l'explosion
érie ; b) Idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe ; c)
Signes
ressemblant il ceux de l'alcoolisme avec période
l'alcoolisme avec période som- Incil. 1. Ce sont précisément ces
signes
qui ont amené son internement ; elle a eu à un
ntéres- sant, est l'aptitude de ce cheval à percevoir les, moindres
signes
des paupières ou les moindres mouvements résult
efl'L,t, Jà qU'l'sL lc noeud de la question. En se conformant à des
signes
qui lui sont faits, ce cheval ne fait que réali
éances d'hypnotisme. La guérison se maintient depuis six mois. Le
signe
du salut dans la sciatique. M. Maurice 1LOCH. D
er l'origine dans un état stuporeux, car le sujet ne présente aucun
signe
de stupeur. Il obéit parfai- tement aux sollici
finir avec la stéréotypie du langage écrit, di- sons encore que les
signes
hiéroglyphiques qui sont à l'écriture ce queles
raités. ' III. Valeur clinique. A. Fréquence. S'il est vrai qu'un
signe
clinique a d'autant, plus de valeur qu'il oc- c
définitif d'affaiblis- sement intellectuel relatif. Or, parmi les
signes
capables de faire augurer pareil dénouement, la
e gué- rison, dans les cas bénins. Or. la stéréotypie est-elle un
signe
capable de faire prévoir, au cours d'une démence
ule. Nous avons laissé entendre que la stéréotypie, en tant t que
signe
démentiel, avait une valeur pronostique de fu-
riences exécutées par l'auteur ont .porté sur 23 chats. L. W. XX.
Signe
d'Argyll et méningite syphilitique ; par BER- T
se majorité com- mence par un processus méningé (I3rissaud) ; 2° le
signe
d'Ar- gyll peut se rencontrer assez fréquemment
ion vient à l'appui del'hypo- thèse de l3abinki d'après laquelle ce
signe
serait un symptôme pathognomonique de l'infecti
nfection ludique acquise ou héréditaire des centres nerveux ; 3° le
signe
d'Argyii est un épiphénomène de la méningite sp
lité des méninges cérébro-spinales au virus syhltililiclue ; ,1° le
signe
d'Argot n'est donc pas un symptôme purement tab
l, Cent1'albl, XX, 1901.) Jeune homme de 23 an·,l>résentantles
signes
de l'ohlul'atiun de/ l'e,\lrémité inf{>rieur
de, la myasthénie est associée à une neurasthénie décelable par les
signes
suivants : développement de la maladie à la suite
places, douleurs erratiques, dyspepsie alonique, concoinilante. Ces
signes
sonl au second plan par rapport à la myasthénie
gérés sans qu'on constate d'ailleurs ni trépidation épileploule, ni
signe
de Ba- Linski. Après discussion, les auteurs ad
s d'août dernier à la Salpélrièreon constatait une grande atwie, le
signe
de Rombcrg, de la dysarthrie, de la dysphagic,
s'amendèrent. Aujourd'hui (janvier 1905), il n'a plus ni alaxie, ni
signe
de Homberg, ni dysarthrie. Mais l'abolition des
qu'on puisse affirmer chez lui l'épilepsie : il pré- sente assez de
signes
tératologiques pour le considérer comme un dégé
eut la considérer comme un moyen de défense naturelle. , D'autres
signes
subjectifs précoces de la fécondation, qui pass
férents mouvements réflexes montre que l'extension du gros orteil -
signe
de Babinski n'est pas uniquement un phénomène p
rouve à l'état normal. C'est son exagération seule qui constitue le
signe
pathologique. Il. C. LXXIX. Sur l'aspect extéri
présenté à côté des b) mptômes généraux des tumeurs cérébrales, les
signes
de la dé- mence parais tique el un symptôme de
pouls de 95 a RE\Tr- : nE P.\' ! HOLOGm IOER\'ITsr. 313 10, sans
signes
objectifs ; de l'hyperidrosc po()ali(p)e avec sen
(Jouleurs,clui peuvent exister seules plus de dix ans avant que les
signes
objectifs lini- mobihte réflexe des pupilles, a
iagnostiquer le Lahesâ un stade précoce, avant même l'apparition du
signe
de \1'usLphal. Le réflexe achilléen a la même v
complet de celle dernière. La syphilis esl niée, il n'en existe nul
signe
, et cependant.Ia.guerisonb'en'ectue complètemen
thérapeutiques satisfaisants. Uss. 111. Jeune femme présentant les
signes
prodromiques de l'excitation des méninges par d
Bordeaux le 3 ou 't sel)- tembre. Sa mère constate alors les mêmes
signes
que le 20 août : mais l'oeil gauche est-un peu
-à-dire normale à gauche ; elle est complètement indolore à droite (
signe
d'Abadie-Ilocher.) Les pupilles sont égales et ré
tatait dans la région tboracique et dans les membres supérieurs les
signes
d'une dys- trophie musculaire progressive. Les
sque absolu- ment. Le corps calleux fait défaut. 11 n'existe pas de
signes
mani- festes d'un processus pathologique dans l
qui persista pendant dix jours. La source se tarit et les premiers
signes
réapparurent. 2c temps : Recherche de la tumeur
hialgie, douleurs dans les membres inférieurs à droite surtout avec
signe
de 'Ker- nig. ) : pendant les crises, la hernie
faiblie. Toutefois la jalousie morbide, sans cause, est toujours un
signe
de dégénérescence; quand ces enfants sont très dé
espaces et les vastes penser.» ! 1 . Le Président lève la séance en
signe
de deuil. Reprise de la séance. Persistance d
è.\UIE eUlI1l11unique )'obsen alion d'un jeune homme présentant des
signes
physiques très accusés de dégénérescence mental
si l'un recherchait chez tous les syphilitiques un peu anciens les
signes
légers de la période pré-ataxique du tubes. \Vl
peu, il devient impotent, est confiné au lit et meurt cachectique ;
signes
généraux des contractures : exagération des réf
lexes rotuliens ; trépidation épileptoïde, clonus de la rotule ; le
signe
de Dabinski est incons- tant. Le psychisme est
e la dysarthricylu rire et du pleurer spasmodiques. On constate les
signes
physiques ordinaires de l'artério-sclérose généra
débute par l'atrophie musculaire progressive ; un quatrième par des
signes
de tahes spasniodique. Il y a un certain parallé
is de grandes dif- (1) Ou mieux dès que l'on a reconnu les premiers
signes
de l'idiotie. On les admet il et il ln Salpêlri
e chronique, sur la classification des maladies menta- les, sur les
signes
physiques, intellectuels et moraux des folies h
déterminer le volume de l'encéphale, par Reiclr, 134. AItcoLr..
Signe
d'-et méningite syphilitique, par Bertolotti,
erc et Beutter, 382. SAC;is..Voir Système nerveux. Sciatique. "Le
signe
du salut dans la , par Bloc ! ), 1G4. Scléros
mmes qui désirent et prennent la chair, puis négligent l'âme ; « le
signe
de la décadence d'un peuple provient de la direct
ne, et c'est " aux âmes qu'on juge les hommes, non aux corps, seuls
signes
26 CLINIQUE MENTALE. « distinctifs des races,
d'une malade âgée de 81 ans chez laquelle ils trouvèrent, outre les
signes
d'ostéoma- lacie des côtes, du sternum et de la
me que l'on observe chez le vieillard. Les auteurs insistent sur un
signe
que présenta leur malade, signe sur lequel a in
ard. Les auteurs insistent sur un signe que présenta leur malade,
signe
sur lequel a insisté M. Latzko et auquel il attri
s, qui, peu de temps après le début de sa profession a présenté des
signes
multiples de l'in- toxication saturnine : coliq
tabétiques et dix-huit P. G. sans cécité et sept syphilitiques sans
signes
de tabes mais avec ou sans troubles visuels. No
tion aiguë, géné- ralement accompagnée de céphalées frontales et de
signes
d'irrita- tion du nerf optique, de phosphènes q
née Renard, âgée de cinquante ans, donnait depuis quelque temps des
signes
de dérangement cérébral. Hier, vers six heures du
ns et s'accompagnant de troubles profonds de la sensibilité; or ces
signes
sont bien ceux que nous avons rencontrés chez n
lades l'ab- sence de toute déviation rachidienne, c'est-à-dire d'un
signe
que nous considérons à bon droit comme constant
as constaté d'exagération des réflexes tendineux, pas plus qu'aucun
signe
despasmodicité : bien au contraire, je vous ai,
à localiser les éléments nerveux affectés, non pas à rattacher les
signes
cliniques à la lésion anatomique, mais bien à r
droit et de la jambe gauche, exagération des réflexes tendineux, et
signe
de Babinski à gauche, ongles en verre de montre
ntent un jeune infantile myxoedé- mateux de dix-huit ans porteur de
signes
évidents de sclérose en plaques (tremblement in
ngue avec l'extrémité d'une aiguille sans qu'ils donnent le moindre
signe
de frayeur. Seule, la réflectivité automatique
ableau sympto- matique de la démence précoce, à passer en revue les
signes
phy- siques de cette affection, mais comme ils
qui semble indiquer une diminution de la perméabilité rénale. Les
signes
physiques que nous venons de passer en revue sont
cependant, d'après l'étude comparative qui a été faite de ces mêmes
signes
dans quelques autres formes d'aliénation mental
e précoce parait devoir comporter, comme la paralysie générale, des
signes
physi- ques dont aucun, considéré isolément, n'
ognomonique. mais dont le groupement offre une certaine valeur. Les
signes
vasomoteurs sont à citer en première ligne : ce
ts indiscutables peu nombreux, il est vrai où la constatation de ce
signe
, bien qu'encore inexpliquée, ne doit pas infirm
doc- trine de Iiraepelin intégralement : le premier insiste sur les
signes
physiques de la démence précoce, si utiles pour
oirs, les tendons ramollis, les parties molles nécrosées. En outre,
signes
de tuberculose pulmonaire à la 2e période. Mai-
ques (phénomènes des orteils de Babinski ; abduction des orteils ou
signe
de l'éventail) l'auteur arrive aux conclusions su
lus fré- quente que l'abolition du réflexe pharyngien, constitue un
signe
au moins aussi précieux que ce dernier pour éta
ons-nous pouvoir considérer le phénomène plantaire combiné comme un
signe
spécial à l'hys- térie ; 5° L'anesthésie plan
téries ; au contraire nous avons noté dans 8 cas, soit 8 p. 100, le
signe
de l'éventail. Nous, croyons donc que ce dernie
8 p. 100, le signe de l'éventail. Nous, croyons donc que ce dernier
signe
n'a pas une valeur clinique \ 0 SOCIÉTÉS SAVA
s tics unilatéraux et montre qu'à chacune d'elles correspondent des
signes
particuliers qui permettent d'en faire le diagn
atomiques. Anomalies de volume et de forme du crâne et de la face ;
signes
fournis par les organes des sens, la bouche (as
du cheval -et ceux que Morel et Magnan ont décrit chez l'homme. Ces
signes
n'acquièrent, chez le cheval comme chez l'homme
rhagiques de la rétine voisine (le long des veines). Ultérieurement
signes
de l'atrophie post-névritique avec ses carac- t
champ visuel, ou un scotome central des plus évidents, et tous les
signes
ordinaires de la névrite rétro-bul- baire. Le
mentaux, les auteurs insistent sur l'importance de la recherche des
signes
du diabète chez toutes les névroses ou les psyc
isse- ment dans l'écorce ou la substance blanche du cerveau ; nul
signe
de processus infectieux; base du cerveau normale.
es anomalies du cercle de Willis sous le même niveau que les autres
signes
physiques de dégénérescence que l'on rencontre
Obozréniè psichiatl'ii, VI, 1901.) Ces phénomènes constituent des
signes
"plus ou moins perma- nents de l'hystérie. La c
des semaines, des mois, des années et constituent non seulement des
signes
paroxystiques, mais des signes plus ou moins pe
ées et constituent non seulement des signes paroxystiques, mais des
signes
plus ou moins permanents de l'hystérie. G° Ils
ns les affections organiques du cerveau. Quand il n'existe pas de
signes
de ces dernières on doit toujours penser à l'hyst
ndie). P. Keraval. LUI. Un arrêt de développement du nez; nouveau
signe
de dégé- nérescence ; par H. GUDDEN (Neurolog.
exe patellaire y est très exa- géré, il existe du clonus podalique.
Signe
de Babinsky à gauche, point à droite. L'avant-b
plus de la moitié de la coupe tra Les phénomènes spasmodiques et le
signe
de Babinsky témoi- gnent de la participation de
gnements commé- moratifs, la coexistence simultanée de tels et tels
signes
, et sur- tout le succès du traitement spécifiqu
ue incontestable, parce que parfois elles précèdent l'apparition du
signe
d'Argyll Robertson et peuvent constituer pour ain
ertson et peuvent constituer pour ainsi dire le stade initial de ce
signe
. VI. Les altérations de forme de la pupille que
. P. Keraval. XLIL De la sensibilité de l'arcade zygomatique, comme
signe
d'af- fection organique des parties essentielle
r W.-M. llCHTElOEW. (06oj : re't : ! e psiehiutnü, VII, 1902.) Ce
signe
aurait de la valeur dans les lésions syphilitique
quatre ans, chaudronnier, 18, rue des Panoyaux, présentait quelques
signes
d'aliénation mentale, prétendant à qui voulait
s de l'âge, et qu'il soit interrompu à la plus légère apparition de
signes
de fatigue cérébrale ou d'obtusion intellectuel
nocturnes, qui, chez des épilep- tiques continents, constituent un
signe
avant-coureur d'une attaque d'épilepsie. , Le
parésié, oedématié. Phénomènes réflexes augmentés. Clonus du pied.
Signe
de Romberg positif. Intelli- gence obtuse. Le m
l s'arrête, il manifeste, dès que le bol arrive dans la bouche, les
signes
du contentement le plus évident, il passe la la
mnie, épigaslralgie, oppression, lypothymie, etc., peuvent être des
signes
d'angoisse fruste. Au point de vue physico-path
sujet n'a qu'une conscience vague, mais qui se manifestent par des
signes
objectifs frustes de l'angoisse, ne sont pas de
ilité mentale, l'hystérie, la neurasthénie avec gastropathie et des
signes
de tabes. L'apport à la conscience des incitation
S Éamox. XX. De la réaction pupillaire prolongée aux toxiques comme
signe
précoce de la paralysie générale; par 1\11\1. T
te ampliation des ventri- cules latéraux constitue un des meilleurs
signes
des démences. Dans la paralysie générale, la pr
personnels et qui n'a pas eu de convulsions dans son enfance. Aucun
signe
physique de dégénérescence, état général très b
apparent à l'état physiolo- gique ; il n'en constitue pas moins un
signe
spécial il la paralysie de l'orbiculaire puisqu
rémission qui répond brillamment et ne présente que peu ou pas de
signes
physiques. Le médecin affirme que c'est un paraly
l'acuité visuelle, hébétude) et doit ètie conseillée. G. C. XCII.
Signe
de Kernig et signe de Lasègue. Pathogénie du sign
hébétude) et doit ètie conseillée. G. C. XCII. Signe de Kernig et
signe
de Lasègue. Pathogénie du signe de Kernig; par
lée. G. C. XCII. Signe de Kernig et signe de Lasègue. Pathogénie du
signe
de Kernig; par M. Piéry. (Lyon médical, n° 17,
éry. (Lyon médical, n° 17, p. 696.) Pour M. Piéry, la pathogénie du
signe
de Kernig peut se fur- muler ainsi : « Ce signe
y, la pathogénie du signe de Kernig peut se fur- muler ainsi : « Ce
signe
est dû. à la contracture de défense des muscles
été examinée) du fait, courte revue bibliogra- phique. Noter comme
signes
de tumeur des lobes frontaux : la raideur de la
sensibilité. Les malades présentent, en outre presque toujours des
signes
centraux ou périphériques d'athérome artériel.
et clonus de la rotule. Les réflexes cutanés sont souvent normaux;
signe
de Babinski inconstant. Pas de troubles de la s
urer spasmodiques, dysarthne. On trouve, en outre constamment des
signes
d'athérome. La terminaison a lieu quelquefois par
giques entre- prises sur les moelles d'individus ayant présenté les
signes
cli- niques de l'ostéomalacie nerveuse, ils ont
it une exophtalmie exceptionnelle, 500 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. le
signe
de Groefe, la convergence était impossible. Tachy
ie pratiquée quatre ans après l'opération per- met de constater les
signes
suivants : Ecartement de deux bouts mesurant 'd
cédents spécifiques prouvés. Il y a trois ans, troubles de la vue :
signe
de Romberg. Depuis lors, affaiblissement intellec
des erreurs de diagnostics. Je ne comprends pas le gâtisme comme un
signe
de démence. La confusion mentale est souvent le
ans, syphilitique depuis l'âge de vingt et un ans, qui présente les
signes
classiques de laparaly- sie générale. Le malade
ménin- giliques : attitude en chien de fusil, raideur de la nuque,
signe
de Kernis, vomissements, fièvre (38° 6). Les at
fait de même. L'action de cette dernière se manifeste même par des
signes
objectifs, par exemple, augmentation de la tens
fut reconnu atteint de manie, peut-être par alcoolisme, mais sans
signes
de paralysie générale. Comme au dehors, il se m
a mort accidentelle par suffoca- tion, mais qui en auraient été des
signes
certains pour le vulgaire, la famille, les amis
401. Juges ET experts, par Hoche, 430. par Noecke, 430. KERNIG.
Signe
de , pathogénie, par Piéry, 480. KoRSAKoFF. C
S MATIÈRES. un aliéné alcoolique, par Bian- chmi, 498. LASÈGNE.
Signe
de -, par Iliéry, 480. Léchage. Voir Tics :
, par A Marie, 526. NEZ. Un arrêt de développement du - , nouveau
signe
de dégénéres- cence, par Gudden, 334. - Voir
Cabannes et Robineau, 249. De la - de l'arcade zygomatique, comme
signe
d'affection organi- que des parties essentielle
parce que c'est ainsi, répond ou pense l'aliéné. 3° Quels sont les
signes
différentiels de l'idée fixe et de Y obsession
écutif à la satisfaction donnée aux.centres surexcités, - voilà les
signes
de l'obsession dont l'état lucide de la conscie
devient la raison première (Leitmotiv) de tous ses actes, voilà les
signes
de l'idée fixe. - Le mode d'origine psychique
loppés que les enfants normaux du même âge; ils avaient tous des
signes
de rachitisme, qu'il a trouvés être la cause auss
7zte, et s'agile quand on lui dit que le médecin n'a constaté aucun
signe
de celle-ci. Il s'y cramponne plus que jamais,
inte-Anne le 2 décembre. P... présente l'attitude extérieure et les
signes
phy- siques de la dégénérescence mentale : orei
et la recherche de plus en plus maladive de la guérison. D'autres
signes
, moins précis, montrent que le délire s'étend,
ersonnels : aucune maladie grave; pas d'excès alcooliques. Mais les
signes
de la dégénérescence ont pu être constatés de b
l ne peut encore préciser de quel personnage il descend ; tantôt il
signe
: Wilhelm de lioheuzollern; tantôt, Alphonse Ca
es anciens internes. Chez cette imbécile, entrée à l'asile avec les
signes
cliniques d'une paralysie générale associée, le
feuillet ectodermique seul a eu son évolution troublée ; de là les
signes
extérieurs de la maladie de Reckhnghausen ; mais
te observation est un argument en faveur de cette opinion que : les
signes
physiques de la maladie de Recklinghausen sont
OCIÉTÉS SAVANTES. A l'examen on constate de l'ataxie manifeste, les
signes
de Romberg et de Westphall et des troubles de l
é des organes pelviens, parfois inégalité pupil- laire, allusion au
signe
d'Argyll Robertson, nystagmus horizontal dynami
uf ans avec tous les caractères de l'épilepsie classique sans aucun
signe
de paralysie générale. Puis, brusquement, elle
flexe cutané plantaire était redevenu normal. J'ai observé aussi le
signe
en question au moment de la crise pendant un es
le réflexe cutané plantaire était normal en dehors des crises. Le
signe
des orteils dans les cas de ce genre est tantôt u
ne fait constamment défaut. Il en résulte que la constatation de ce
signe
pendant une crise chez un sujet dont le réflexe
blir le diagnostic d'épilepsie. Je dois ajouter que l'absence de ce
signe
ne prouverait pas que l'épilepsie n'est pas en
sacre ensuite quelques pages au diagnostic. Après avoir rappelé les
signes
qui révèlent la tuberculose à sa période de ger
les signes qui révèlent la tuberculose à sa période de germination,
signes
d'uue haute valeur pour l'aliéniste, M. Chartier
oanny Roux. Réflexes rélino-réliniens (arc. d'opht., juin 1898). Le
signe
d'Argyll Robeolson (Province médicale, avril 1898
tante, mais chez les malades dans.le demi- coma, c'est un excellent
signe
qui permet de soupçonner le trouble de la visio
férent du réflexe, irien de la vision rapprochée (V. Dr J. Roux, Le
signe
d',Ii ? 7yll Roberlson, loc. cil.). 2 Grassel.
ciation de ces mouvements dans le goitre exophtalmique constitue le
signe
de de Graefe. 2 Cette partie de notre sujet vie
ier'1897, vol. VII, n° 1, p. 14) a fait remarquer que tandis que ce
signe
ne s'observe que chez 27 p. 100 des individus n
eur et le frontal, association rompue dans le goitre exophtalmique (
signe
de Joffroy). 190 PHYSIOLOGIE. base à la conce
ce, titubation très forte du patient dans la situa- tion verticale.
Signe
de Romberg. Impossibilité de se tenir sur une j
, achilléens, du coude ; à droite absence du réflexe radial. Pas de
signe
de Romberg ; elle se tient même sur une jambe s
inution de l'ouïe à gauche; acuité auditive normale à droite. Aucun
signe
positif relativement à l'oreille moyenne droite
usculaiie du côté gauche du corps. fous les réflexes sont exagérés.
Signe
de Romberg extrêmement marqué; elle tombe. Impo
les vingt-huit heures qui suivent la forcipressure on voit déjà des
signes
de réparation (exp. V111), ils s'accompagnent che
lie ce fait : « Depuis quelque temps, M. Honoré Parisot donnait des
signes
non équivoques d'aliénation mentale. Pour se so
NTALE. fecta, une fièvre intense apparut, et le malade présenta les
signes
ordinaires d'une septicémie aiguë. Huit jours
s l'opération, l'entourage de C... com- mença à observer en lui des
signes
dénotant une légère altération de ses facultés
rs, le malade est atteint d'une légère bron- chite, et présente des
signes
de congestion aux bases des poumons, conséquenc
emiers symptômes de folie. Ceux-ci ont apparu en même temps que les
signes
d'une septicémie aiguë, consé- quence de l'infe
nt d'une suspension par- tielle du fonctionnement cérébral. Mais ce
signe
a été mas- qué dans une certaine mesure, pendan
état fut grave pendant une semaine ; après avoir présenté tous les
signes
d'une myocardite confirmée, elle entra en conva
es règles, il n'y a ni douleurs, ni hémorragies supplémentaires, ni
signes
de rétention; toutes les autres fonctions s'accom
e des globules. A vrai dire, aujourd'hui, elle ne présente pas de
signes
d'anémie. Elle a le teint et les muqueuses coloré
ous les aisselles. Pas de déformation thoracique. A l'auscultation,
signes
d'em- physème pulmonaire. Le coeur est un peu g
t satisfaisant ; rien au coeur ni aux poumons, si ce n'est quelques
signes
d'emphysème. La malade meurt subitement le lend
302 . RECUEIL DE FAITS. dias est la cause même de l'apparition des
signes
féminins. L'hypospadias étant créé, a entraîné
it rien faire pour lui. Un examen 'minutieux décelait chez lui sept
signes
évidents de tabes : 1° signe de Bomberg; 2° sig
men 'minutieux décelait chez lui sept signes évidents de tabes : 1°
signe
de Bomberg; 2° signe de Wesphal; 3° crises gas-
it chez lui sept signes évidents de tabes : 1° signe de Bomberg; 2°
signe
de Wesphal; 3° crises gas- triques ; 4° douleur
ot d'hystérie ou d'hystérisme sans approfondir plus avant. Certains
signes
pourraient cependant différencier ce qui relève
connut alors l'existence latente de cette névrose, attestée par les
signes
suivants : anesthé- sie à tous les modes de sen
ait la bouche close, sans manifester pendant son sommeil le moindre
signe
d'insuffisance nasale. Ce fait peut être rangé
'une lésion métamérique bien déterminée. Le symptôme labyrinthique (
signe
de liomberg, difficulté de la marche dans l'obs
enteraient une fréquence et une fixité bien supérieures il d'autres
signes
comme le nystag- mus et les troubles.de la mict
NERVEUSE. 313 rée ; mais dans les deux cas de La Biva l'absence du
signe
de Bechtereew (perte de l'expression réflexe de
nesthésies, contractures). Il insiste en terminant sur la valeur du
signe
de Babinski sur le phénomène des orteils. XXX
de l'élévaleur de la pau- pière supérieure est donc probablement un
signe
de réaction dégé- nérative dans les paralysies
partage pas l'opinion de M. Nordau qui considère ce mouvement comme
signe
de décadence. Il pense que ces ten- dances myst
ageotte n'attache aucune impor- tance à l'atrophie du cerveau comme
signe
de la paralysie générale. At. Christian se mont
et elle-même un peu triste, qui présenta progressivement tous les
signes
de la paralysie générale, en même temps que se mo
du 14 mai 1899. A. Beiistein. Contribution à la symptomatologie des
signes
physiques des maladies mentales. (Communication
otie : M. Hricon (1.200 francs). 1889, - Hechercher s'il existe des
signes
anatomiques, physiolo- giques et psychologiques
il sous le menton. Depuis quelque temps la pauvre femme donnait des
signes
de dérangement cérébral. Le nommé Léandre Gesse
. M. A..., commandant en retraite, donnait depuis quelque temps des
signes
d'aliénation mentale; sa femme avait introduit
ère aliénée. - Début des habitudes alcooliques à vingt-trois uns.
Signes
d'alcoolisme chronique à trente-cinq uns. - Hallu
. Idées de persécution. - Dans la rue, les passants faisaient des
signes
pour lui nuire, pour le taquiner ; on le regardai
le lendemain. C'est un homme de taille moyenne, bien musclé; pas de
signes
apparents de dégénérescence si ce n'est l'adhér
directement l'interruption spinale. Mais il n'y avait aucun autre
signe
d'affection tuberculeuse, et par contre les sympt
apides, se manifestèrent subitement, en août 1897, un en- semble de
signes
réalisant bien nettement le syndrome du goitre
uve aucune cause ; ni syphilis, ni affection auriculaire ; point de
signe
de lésion des méninges à la base, de lésion de
QUE NERVEUSE. paru au moment de l'admission. Il ne persiste que des
signes
d'embarras gastrique, de violentes douleurs cép
aptitudes délirantes dusujetse révèlent, précédant ou masquant les
signes
d'affaiblissement intellec- tuel : tels sont, p
s résultats suivants : (mai 1894). Abolition du réflexe rotulien (
signe
de Westphal). Impossibilité de se tenir debout
gne de Westphal). Impossibilité de se tenir debout les yeux fermés (
signe
de Rom- berg). Disparition du réflexe à la lu
réflexe à la lumière et conservation du réflexe à l'accommodation (
signe
d'Argyll Robertson). Le D1' Trousseau des Quinz
ue, lorsque, chez un épilep- tique avéré ou individu présentant des
signes
d'un accès convulsif récent, on se trouvera en
gnée par les symptômes d'une inhibition cérébrale profonde, par les
signes
nettement accusés de la perte de l'influx nerve
fonctionnelles qui nous occupent. Rapprochant et différenciant ces
signes
des troubles d'oxydation constatés dans l'hysté
t aux accès convulsifs et les remplacent. Plus tard on constate les
signes
d'une démence paralytique avec obnubilation épi
graduel des symptômes, la longue durée de l'évolution, l'absence de
signes
d'abcès ou autres affections (auriculaires ou n
zlreilh., XXI, N. F. IX, 1898.) Aide relieur de trente-cinq ans. Le
signe
de Westphal, le signe de Romberg, les douleurs
X, 1898.) Aide relieur de trente-cinq ans. Le signe de Westphal, le
signe
de Romberg, les douleurs lancinantes, les troub
M. Paul Janet, ancien président de la Société et lève la séance en
signe
de deuil. Le traitement des psychoses aiguës pa
sa physionomie clinique et surtout par ses réac- tions électriques (
signe
d'Erb), réalisait le tableau classique. Elle mo
t soumis dix malades délirants, chez lesquels on ne trouvait pas de
signes
permettant d'affirmer l'existence d'une tubercu
es de pièces, concernant un homme de son service ayant présenté les
signes
d'une méningite aiguë avec signe de Kernig mani
de son service ayant présenté les signes d'une méningite aiguë avec
signe
de Kernig manifeste. L'autopsie démontra qu'il
leurs vêtements du dimanche. Ni elle ni les fillettes ne donnaient
signe
de vie. Les voisins pré- vinrent aussitôt le co
1899.) La femme Truchet, de Loisé, près Mortagne, qui donnait des
signes
d'aliénation, s'est noyée volontairement. (Le Bon
apmski, 231. Maladies mentales. Contribution à la symptologie des
signes
physi- ques des -, par Bemstein, 339. Travail
ferme les yeux en appuyant-sur les paupières il trébuche fortement (
signe
de Romberg). Mais il prétend que son vertige ne
e plaint de fourmillements et d'engourdissement dans les ex- (1) Le
signe
de Gerlaaodt,comme l'appellent OPPENIIEIM et SIEM
arité Anna- lén, 12e année, 1887, p. 351). C'est la recherche de ce
signe
qui a permis à 1110ESEa (Deulsches Archiv für k
oubles qu'il accuse, pollakiurie, dysurie, etc., on ne trouve aucun
signe
objectif de cystite. Ce qui frappe il ce moment
age au 2° service de blessés où l'on confirme l'absence actuelle de
signes
de syphilis, il retourne à son corps. Tant mal
ay, au dire de Cadet ( 1), avait fait de la rapidité du météorisme un
signe
de l'hystérie : le malade assiste en quelque so
e 9 104 F. SOCA mai la température monte à 38°,c'était le premier
signe
d'une bronchopneumo- nie tuberculeuse qui enlev
surtout insisté sur ce point) que le symptôme de Bernhardt était un
signe
habituel, sinon constanl, de la tumeur de l'hyp
constanl, de la tumeur de l'hypophyse. On sait en quoi consiste le
signe
de Bernhardt. C'estle contraste entre une vision
le que l'abaissement subjectif de la vision ; c'est le contraire du
signe
de Bernhardt. Mais comme il n'y a pas eu examen
multiples seront, selon qu'elles existent ou manquent, d'excellents
signes
positifs ou négatifs de tumeur de la fosse moyenn
bral. Et je passe les conditions vitales. Conclusion : L'absence de
signes
de compression d'un organe devant être atteint
pas une raison suffisante pour renoncer à un diagnostic que d'autres
signes
imposent. Si le fait est connu, rarement un exe
ubite des hanches. Se traîne depuis à la façon des culs-de-jatte.
Signes
non douteux de tabes. Luxation double des hanch
uinze ans après, fracture spontanée des deux os de la jambe gauche.
Signes
non douteux de tabes. Arthropathies profondes c
hanche droite : marche difficile. Premier examen à 37 ans, en 1884.
Signes
non douteux de tabès avec ataxie confirmée des
es lésions articulaires de la hanche et les trou- bles ataxiques.
Signe
de Romberg assez net. Impossibilité de se tenir
d'embonpoint. Quelques rares modifications sont survenues dans les
signes
généraux de l'ataxie. Françoise Ch... s'est ape
esthésie. Perte complète du sens musculaire. Hy- potonie manifeste.
Signe
de Romberg. * - c) Réflexes rotuliens et réflex
rteils n'existe pas. d) Les pupilles sont inégales et irrégulières.
Signes
d'Argyll-Nobertson. Ni diplopie, ni amblyopie.
ente un raccourcissement d'un travers de main environ. Les autres
signes
du tabes chez cette malade, sont : l'abolition de
ont : l'abolition des réflexes rotuliens et du tendon d'Achille, le
signe
d'Argyll-Robertson, le signe de Rom- berg à un
s rotuliens et du tendon d'Achille, le signe d'Argyll-Robertson, le
signe
de Rom- berg à un degré très léger, l'engourdis
pupilles sont immobiles à la lumière et à l'accommodation. Tous ces
signes
n'ont pas une très grande netteté, mais leur rapp
age, ni abolition des réflexes des tendons rotulien et d'Achille ni
signe
de Romberg,ni signe de Lasègue, ni douleurs spont
s réflexes des tendons rotulien et d'Achille ni signe de Romberg,ni
signe
de Lasègue, ni douleurs spontanées ou provoquées
inution de la force segmentaire des 4 membres, si- gne de Westphal,
signe
de Romberg, démarche ataxique. Un traitement iodo
avec hyperesthésie de la peau, ou parfois des douleurs en ceinture,
signes
de l'inflammation des racines postérieures. La
avec parésie et troubles de la 'sensibilité des membres inférieurs,
signe
de Romberg, signe de Wesphal, démarche ataxique,
oubles de la 'sensibilité des membres inférieurs, signe de Romberg,
signe
de Wesphal, démarche ataxique, tout trouble amé
tes subaiguës ou chroniques (Thèse de Poussard). Il n'existe pas un
signe
clinique certain pour trancher la question, cep
e son cylindraxe. Mais de pareils cas sont exceptionnels et par ses
signes
cli- niques la polynévrite syphilitique se dist
la paralysie diphtérique ; mais l'ab- 168 R. CESTAN sence de ces
signes
excellents lorsqu'ils existent pour affirmer la n
ce point délicat de pathogénie et démontré qu'il n'existait pas de
signe
clinique différentiel ni dans la physionomie de
e septembre dernier, j'ai vu cette malade, elle présentait tous les
signes
d'une hémiplégie droite de forme moyenne. Le br
tes les unes des autres. De plus on trouve chez les gens obèses les
signes
habituels de l'adipose viscérale ou pérhiscérat
x tableaux. Il est un fait intéressant, selon nous, c'est celui des
signes
tracés par le soufflet que tient la sorcière as
tion ; ce ne sont point là de simples jeux de lumière mais bien des
signes
cabalistiques, ou une signature. Nous concluons
ve, ainsi que nous le verrons dans deux cas de Browning. Un autre
signe
est peut-être un peu plus fréquent dans l'hémiplé
Ce que nous qualifions de période aiguë et qui comprend les grands
signes
immédiatement consécutifs à l'accident ne dure pa
e quatre semaines le malade était encore au lit et offrait tous les
signes
d'une paralysie,. comme il n'était pas alcoolique
rvenait. Le professeur Krafft-Ebing signale ensuite l'apparition de
signes
.qui d'après lui doivent toujours éveiller l'id
) est, au contraire de celle qui apparaît chez de jeunes sujets, le
signe
cons- tant d'une paralysie à venir. L'hémicrani
igraine peut s'y joindre comme dans le cas présent. Voici donc un
signe
d'une réelle importance. Malheureusement il ne
n en octobre 1898, à l'âge de quarante-cinq ans. Etat squelettique.
Signes
non douteux de tabes avec très légère incoordinat
es dans les mouvements du tronc. Déviation vertébrale à la suite.
Signes
évidents de tabès. Scoliose dorso-lombaire à co
otalement impossible. Les pupilles sont égales, elles présentent le
signe
d'Argyll Robertson. Les réflexes abdominaux sont
ns, déviation progressive et insidieuse de la colonne vertébrale.
Signes
évidents de tabes. Légère incoordination motrice
sie. M. P..., âgé de cinquante-quatre ans, présente en mai 1889 des
signes
non douteux de tabes. H est atteint en outre de
parcsthésiques dans les membres. Doulcurs ombilicales nocturnes.
Signes
non douteux de tabès. Ataxie confirmée des membre
ents. A 53 ans, strabisme et ptosis. A 54 ans, troubles vésicaux.
Signes
de tabes. Peu d'incoordination motrice des membre
, développement rapide d'une grosse arthropatltie du genou droit.
Signes
non douteux de tabès. Déformations thoraciques.
s oscillations et les hésitations ; en , résumé, il n'existe pas de
signe
de Romberg. Il ne lui a été prescrit comme trai
augmente très légèrement l'instabilité, mais qu'il n'existe pas de
signe
de Rombergà proprement parler; de môme il peut
le). Le réllexe cutané plantaire est normal, par conséquent, pas de
signe
de Babinski. Le chatouillement de la plante du
; il n'y a ni paralysie, ni diminution de l'énergie musculaire.' Le
signe
de Romberg fait défaut de même que les troubles s
Menzel présentait de l'incoordination des membres supé- rieurs, du
signe
de Romberg, la tonicité des muscles des bras et d
, les oscillations du tronc pendant la station debout, l'absence de
signe
de Romberg. A une période plus avancée, les mem
nt à énumérer les symptômes fondamentaux de la maladie de Duchenne,
signe
de Westphal, signe d'Argyll Robertson, signe de R
ymptômes fondamentaux de la maladie de Duchenne, signe de Westphal,
signe
d'Argyll Robertson, signe de Rom- berg, etc. ;
a maladie de Duchenne, signe de Westphal, signe d'Argyll Robertson,
signe
de Rom- berg, etc. ; rappelons à ce propos que
Robertson, signe de Rom- berg, etc. ; rappelons à ce propos que le
signe
de Romberg ne s'observe pas dans les atrophies
bre d'observations d'hérédo-ataxie céré- belleuse, Marie relève des
signes
oculaires tels que l'atrophie papillaire, le ré
ls que l'atrophie papillaire, le rétrécissement du champ visuel, le
signe
d'Argyll Robertson, symptômes d'une grande rare
ui est bilatérale et très intense sinon absolue, il existe quelques
signes
qui faci- litent le diagnostic. Dans l'otite
es qui faci- litent le diagnostic. Dans l'otite labyrinthique, le
signe
de Romberg est de règle, les varia- tions d'att
eints d'affection cérébelleuse. Cependant chez quelques malades les
signes
précédents n'existent pas au complet et Egger (
mouvements passifs de rotation étaient conservés chez ce malade; le
signe
de Romberg et t'influence des variations d'attitu
atismecrânien (et c'est un symptôme de commotion cérébrale), et les
signes
de compression tels que : somnolence, ralentissem
Il dit que cet intervalle de lucidité peut être considéré comme un
signe
de l'hémorrhagie de l'artère méningée moyenne o
n'être ou que de deux heures ou aller jusqu'à deux mois. Un autre
signe
de cette hémorrhagie serait naturellement le nomb
sont comprimées. Au point de vue de l'intervention, il est un autre
signe
de lésion de l'artère méningée moyenne que Schl
aitpratiquéune fois la trépanation avec succès rien que sur ce seul
signe
. En ce qui concerne l'hémiplégie traumatique en
is sur quarante-sept cas. Il ne nous est pas possible d'en tirer un
signe
clinique quant au siège de la lésion, car nous n'
'est vraiment pas suf- fisant pour proposer cette coïncidence comme
signe
clinique. Hutchinson explique cette dilatation
a- tions,mais comme au bout d'un certain temps ils présentaient des
signes
de paralysie, ils s'alitèrent, et moururent. A
t l'absence de fracture coïncidant avec une hémiplégie est- elle le
signe
certain d'une hémorrhagie ? Les faits qui rentr
s troubles de la conscience, en dehors du sopor et du coma, sont le
signe
d'un hématome de la dure- mère. La lésion qui
ttre à la malade l'usage de ses membres. Mais il restait encore des
signes
de paralysie organique constatés par M. le doct
ysie organique constatés par M. le docteur Babinski (entre autres :
signes
du peaucier, flexion combinée de la cuisse sur
dant à poser le diagnostic du trajet de la balle, en l'inférant des
signes
cliniques observés, du point d'entrée du projecti
situation de la cicatrice.... à une telle lésion correspondent les
signes
d'une lésion vascu- laire considérable : la per
plusieurs années auparavant, nous n'avons retrouvé absolument aucun
signe
de paralysie. Peut-être 'Li-aine-t-il un peu la j
sse par rapport il celle de la jambe. Il manque d'ailleurs bien des
signes
ordinaires de l'acro- mégalie. En particulier,
lgie n'existe pour ainsi dire pas, en sorte qu'on ne trouve pas les
signes
de compression qui permettraient d'incriminer l
nir. Ils n'en ont pas moins existé; ce sont eux qui constituent les
signes
du début, ce sont eux qui conduiront l'ataxique
l. En revanche nous n'avons rencontré qu'une seule fois (obs. X) un
signe
dont la fréquence doit être vraisemblablement plu
onnus des plus grosses arthropathies tabétiques. Quant L aux autres
signes
fonctionnels, ils sont de moindre importance. Ils
ansition est inopinée : elle se fait bruyamment par cette série' de
signes
que Ilallion considère à tort comme les signes du
par cette série' de signes que Ilallion considère à tort comme les
signes
du début. Subi- tement le malade s'aperçoit qu'
a moelle. Les symptômes habituels du tabes se compliquent alors des
signes
d'une myé- lite par compression et à la scléros
écé- demment sur leur évolution : nous résumerons seulement ici les
signes
qui caractérisent les différentes périodes. A l
juin 1900. - Fille bien développée, robuste, ne montrant* point 'de
signes
de dégénérescence. On remarque immédiatement le
de l'aorte dans le sinus caverneux gau- che, puisqu'il n'y a aucun
signe
d'une lésion pareille. Si l'on considère les de
n nette du sens musculaire, de la notion de position des mem- bres.
Signe
de Romberg, difficile à constater, à cause de l'i
itude de la station debout sans béquilles, due à l'état des genoux.
Signe
d'A. Ro- bertson positif : papilles inégales, d
ssitôt et la troi- sième période va se dérouler longuement avec des
signes
plus nets. L'ostéo-arthropathie est localisée d
ession symptomatique avait dû varier, devait-on trouver à la fois des
signes
iudiquant deux modifications opposées. Observ
docteur Delatour le trépane dans le point douloureux. Il trouve des
signes
de fracture ancienne,en avant et en haut, une l
rurgien qu'il appela. Au moment où je le vis il présentait quelques
signes
de paralysie provenant d'une blessure à la base d
gauche ; à droite, la sensibilité est conservée. Au pied gauche,
signe
de Babinski. Température, 36° 8 ; - pouls, 60.
rigueur copier du chinois ou de l'arabe, sans savoir la valeur des
signes
écrits de ces lan- gues, comme nous le ferions
nt est venue au monde en très bonne santé, elle n'a pas présenté de
signes
d'as- phyxie des nouveau-nés. Elle a marché à 1
ten- tion. notre diagnostic fut hésitant.. , Il n'existait pas de
signes
d'une affection primitive des' vertèbres pou- v
pasmodique ou de la sclérose latérale amyotrophique. C'est dans les
signes
d'une paraplégie spasmodique accompagnée de troub
, à chaque mouvement d'inspiration. Il n'a pas non plus présenté de
signe
d'une paralysie du voile du palais. Cependant l
mond) MASSON & Cte, Editeurs POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE' O
signe
de Lasègue existait au plus haut degré. Le malade
lectrique de la face a fait constater de la façon la plus nette les
signes
de la IL D., des deux côtés, dans les muscles du
uscles du menton, dans les zygomatiques et dans le frontal. , Les
signes
de la R. D. se manifestaient d'une façon moins ne
tachycardie et de l'accélération des mouvements respiratoires, sans
signes
stéthoscopiques concomitants, susceptibles de ren
ces deux phénomènes. Enfin l'examen électrique a fait constater les
signes
de la R. D., à l'ex- ploration d'un certain nom
quel on exposait ses troncs nerveux et en particulier le sciatique (
signe
de Lasègue) développait des douleurs d'une extr
pression de Ch..., des fourmillements douloureux. Voilà en- core un
signe
qui plaide en faveur de l'existence d'une polynév
, pas de modification des réactions élec- triques ; parésie légère,
signes
en rapport avec une ébauche de réaction de dégé
innervés par la 7° paire, on a constaté, d'une façon très nette, les
signes
de la R. D. dans quelques-uns de ces muscles ;
difficulté qui existe au début des mouvements voulus et qui est le
signe
pathognomonique de la maladie de Thomsen. Ces a
ntre éveillé, gai, comprenant tout ce qui se dit; il ne donne aucun
signe
d'insuffisance intellectuelle. Peau,. On note u
Tout le problème est de savoir si les lésions, les symptômes ou les
signes
localisés à des tronçons de membre et limités p
vicale inférieure; toutes les autres portions ne présentaient aucun
signe
de traumatisme post-mortem. Ce ramollissement p
istolo;iquement, les éléments se colorant bien, ne montraient aucun
signe
notable d'altération cadavérique, et, d'autre p
de plus il comprend toute une partie de la symp- tomalologie : les
signes
et symptômes relevant de lésions dorsales. - On
et disparaissant avec elles, et cela sans qu'il y ait eu le moindre
signe
de tabès, les symptômes suivants : Le signe de
'il y ait eu le moindre signe de tabès, les symptômes suivants : Le
signe
de Romberg et l'incertitude de la marche dans l
verses des troubles de l'oculo-mo- tricité, la forme spasmodique du
signe
de Ch. Bell, les oscillations paraly- tiques de
, les yeux fermés, dans l'attitude où il présente ce qu'on nomme le
signe
de Romberg, c'est-à-dire l'incapacité de se ten
ens des attitudes segmentai- res se manifeste par une des formes du
signe
de Romberg. L'exercice mus- culaire destiné au
us précieuse de la vue. Quand celle-ci nous man- que, comme dans le
signe
de Romberg ou dans l'obscurité, nous sommes liv
, et qui est fréquent chez les vertigineux labyrinthiques, c'est le
signe
de Rom- berg. Dans la grande majorité des cas,
ans la grande majorité des cas, il n'y a aucune différence entre le
signe
de Romberg des labyrinthiques simples et celui qu
hique et le tabétique perdent leur équilibre de la même façon, elle
signe
de Romberg est identique chez eux ; quand l'ataxi
'est la perte de l'équilibre, et non sa recherche, qui constitue le
signe
de Romberg. Il est évident qu'un hémiplégique,
nt chacun cherche à rétablir la correction de son attitude, mais le
signe
de Romberg, c'est-à-dire l'oscillation avec ou sa
, sa motricité au maintien de l'attitude d'équilibre. Il n'a pas le
signe
de Romberg. 2° Il oscille plus ou moins, mais
ant à cette attitude est elle-même flottante et hé- (1) BONNIER, Le
signe
de Romberg. Soc. de Biologie, 2 novembre 1895.
ibre absolu, sait néanmoins corriger les écarts grossiers. C'est le
signe
de Romberg compensé. On le rencontre presque cons
te correction manque chez les tabétiques ordinaires. Cette forme de
signe
de Romberg est de règle dans beaucoup d'affecti
rinthique. Il n'est relativement corrigé que par la vue. Tel est le
signe
de Romberg de l'irritation lahy- rinthique, et
e de rechercher l'équilibre perdu ; il faut donc distinguer dans le
signe
de Romberg l'insuffisance ou l'irritation ampulla
ase de sustentation sur la même verticale. Le tabétique présente le
signe
de Romberg en qualité de sujet dont l'appareil
s attitudes pédieuses qui lui manque. Nous n'avons jamais trouvé le
signe
de Romberg chez un ataxique sans qu'il nous ait
des segmentaires, le sujet tombe sans le sentir. En résumé, dans le
signe
de Romberg, nous pensons que la perte de l'équi
de l'appareil ampullaire, ou de ses noyaux et conducteurs ; car ce
signe
apparaît presque constamment dans les cas d'ins
n, la sécurité et la certitude de notre marche, s'en ressentent. Ce
signe
, comme le signe de Romberg, se trouve fréquemme
t la certitude de notre marche, s'en ressentent. Ce signe, comme le
signe
de Romberg, se trouve fréquemment et passagèremen
a à voir double. Quand je le vis (trois mois après), je cherchai le
signe
de Romberg; le malade tombait invariablement à ga
hée, le bourdonnement et le strabisme disparurent. Le vertige et le
signe
de Romberg persistèrent plus longtemps. La para
ntrairement à ce que l'on pourrait supposer d'abord et que ces deux
signes
, sans être infaillibles, ont une grande valeur cl
llaire. Si celui-ci est lésé le malade présente l'une des formes du
signe
de Rom- berg, de l'incertitude dans la marche c
té pupillaire, d'qrigine labyrinthique. Je n'ai jamais rencontré le
signe
d'Ar- gyl-Robertson unilatéral, dans une affect
entrée il l'hôpital, le malade présente il la base droite tous les
signes
d'une pneumonie lobaire franche aiguë ; la temp
sque complète des symptômes pulmonaires. En môme temps, de nouveaux
signes
avaient apparu (lâches rosées, gargouillement de
tard, il était incapable d'élever son bras droit et présentait les
signes
ordinaires de la paralysie du grand dentelé.
chenne (1) que la morphologie de l'épaule n'est pas troublée. « Les
signes
palhognomoniques de l'atrophie du grand dentelé
sur le côté du tronc. » « Je démontrerai plus loin qu'il existe un
signe
pathognomonique, à l'aide duquel on peut établir
é. » A la page suivante, Duchenne explique ainsi le mécanisme de ce
signe
: « Dans le mouvement des épaules en avant, le
grand dentelé a perdu son action. » Duchenne donne encore un autre
signe
. qui permet de reconnaître la paralysie du gran
telé, lorsque l'élévation du bras est impossible. Pour percevoir ce
signe
, il faut appliquer une main sur chaque épaule du
re saillir davantage son bord spinal sous la peau. Ce sont là des
signes
intéressants à connaître, dans un cas donné d'élé
telé, dans l'élévation volontaire du bras. Il est tout d'abord un
signe
que nous ne discuterons point : c'est la dé- fo
s croûtelles, de nombreuses papules exco- riées, en un mot tous les
signes
d'une eczématisation diffuse; mais en examinant
pathique spéciale (2). Le « mal d'amour » se manifeste donc par des
signes
psychiques. Mais il s'accompagne aussi d'un cor
r des signes psychiques. Mais il s'accompagne aussi d'un cortège de
signes
physiques ; ceux-ci nous inté- ressent tout par
image, et, seul, peut prêtera un examen comparatif. Au surplus, ces
signes
physiques, bien étudiés par les vieux cliniciens,
ds dési- gnent la chlorose. En tout cas, c'est, au premier chef, le
signe
pathogno- monique du mal d'amour. Sauvages le p
rent souvent, dit Moriez, fuient la société, et présentent tous les
signes
d'une mélancolie, qui va parfois jusqu'à l'alié-
leur à la vue de l'objet aimé, la fréquence du pouls ; c'est par ce
signe
que le médecin de Ptolémée découvrit son amour po
, son adolescence ? Quand s'est établie chez elle la puberté et son
signe
visible, la menstruation ? Comment s'est- elle
u de temps après, il quitta son emploi. Il présente du myosis et le
signe
d'Aryll-Robertsou, sa parole est embarrassée ma
pond à une question antérieure. Il marche convenablement, n'a aucun
signe
d'incoordination, il a de temps en temps des se
, urinaire. A l'examen oculaire (1) : myosis, inégalité pupillaire,
signe
d'Argyl Robert- son. Pas de dyschromatopsie ; a
gère inégalité pupillaire : la droite est plus large que la gauche,
signe
d'Argyl Robertson. A l'ophtalmos- cope, on cons
r blafarde de la malade, son affaissement, sa langueur en' sont des
signes
présomptifs. Le citron a demi pelé que l'on voit
amaigri. Le bras et la main gauche présentent exactement les mêmes
signes
que la main droite il y a un an. Atrophie des m
génital depuis 4 ans ; pas de spormatorrhée. Appareil respiratoire.
Signes
stéthoscopiques nets d'induration bacillaires à
nostic différentiel avec la syringomyélie se posait ; mais tous les
signes
d'ordre sensitifs de cette maladie faisaient dé
fant qui est mort de la coqueluche à 3 ans 1/2 ; on ne relève aucun
signe
syphilitique. Début de la maladie. - Il Y a qua
dure, l'artère temporale sinueuse. Pas de troubles urinaires. Le
signe
d'Argyll Robertson existe des deux côtés. Elle
l'abolition des réflexes tendineux, les douleurs fulgu- rantes, le
signe
d'Argyll et autres manifestations du tabes incipi
urologue, procédant à son examen, s'aperçoit que rien ne révèle les
signes
d'une hydropisie. Il lui faut bien trouver une
bleraient non' moins expli- cables. Ne sont-elles pas au nombre des
signes
prodromiques de la gesta- tion ? ... (lot. II
? Oui une bête. Qu'a-t-elle sur la tête ? Ça comme ça. (Elit ! fait
signe
qu'elle a des cornes.) La malade est incapable
t le simulacre d'allumer une pipe). Un livre. - C'est pour ça (fait
signe
d'écrire). Une chaise. - Une chai, une chai, c'
ça (elle brosse) une poi, unpeu. Une montre. - Pour faire ça (fait
signe
de la mettre à son oreille), une po, mne po.
ça j'ai bien dit. On montre un dé. Pour coudre, pour faire ça (fait
signe
de coudre). 448 TRÉNEL Est-ce une aiguille, d
., âgée de 13 ans, lé frère de Fe... et de Ar..., présente déjà les
signes
du début de la même affection. Son pied droit, le
jet du nerf, pas de troubles de la sen- sibil.i[é) X... présente un
signe
qui ne se retrouve que dans le torticolis spéci
, l'anes- thésie dissociée telle que je viens de la définir, est un
signe
de grande valeur dans un cas de syringomyélie p
igne de grande valeur dans un cas de syringomyélie présumée. Or, ce
signe
fait défaut chez notre malade. Chez elle, l'abo
oyer de mortification représenté par l'eschare. Quant au reste, les
signes
sur lesquels je me suis étendu longuement subsi
ues dans la bouche. - - Il n'est pas buveur el ne présente pas de
signes
d'éthylisme. Il est assez malingre, mais cepend
rche facilement, fait demi-tour sans osciller et ne présente pas de
signe
de Romberg : Elle sent bien le sol sous ses pie
u- me, isolés, roulant sous le doigt. Mais il n'existe pas d'autres
signes
de spécificité, il n'y a pas d'éruption cutanée
réditaires et collatéraux assez chargés, pré- sentant elle-même des
signes
incontestables de bacillose pulmonaire. Sans ra
VATION DES RÉFLEXES 23 attiré l'attention sur la polynatalité comme
signe
de tuberculose surtout lorsque le plus grand no
ants issus de tels parents mouraient jeunes. Elle-même présente des
signes
précis de tuberculose pulmonaire localisée au s
Nous ne relevons en effet dans l'histoire clinique de V..... aucun
signe
précis de la participation des mé- ninges. Elle
..., ne saurait relever d'une pareille cause. Ici encore les grands
signes
d'une compression de l'encéphale sont absents.
sents. Les lésions oculaires elles-mê- mes (ophtalmoplégie interne,
signe
d'Argyll Robertson, état des papilles) à défaut
nous trouvions. Nous avons procédé à une recherche minu- tieuse des
signes
de spécificité sans aucun résultat. Sans doute la
malade, soi- gneuse d'elle-même, n'a jamais observé sur elle aucun
signe
suspect. Le 24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
doncu- laire, la paralysie est double et le plus souvent totale. Le
signe
d'Argyll n'existe pas ou plutôt on trouve une o
, sur V... à un tabes. L'objection que le sujet ne pré- sente aucun
signe
de spécificité n'est pas absolue. Si M.Quinquand
rieur. On constate assez fréquemment dans ces formes l'ab- sence du
signe
de Westphal et du reste nous avons assez d'argume
a période préataxique du tabes. Peu à peu se mani- festent d'autres
signes
non moins importants : le dérobement des jambes,
pro- cessus que le tabes. Ajoutons qu'au moins pour l'oeil droit le
signe
d'Ar- gyll est incontestable, et qu'enfin la pu
mais cette fois l'arthropathie évoluait insi- dieusement, tous les
signes
de l'inflammation articulaire étant très atténués
sans trembler et donner dès le début de cette petite expérience des
signes
manifestes de fatigue musculaire. N'ayant pas d
aigu, pour ses blennorrhagies, chez un malade ne présentant pas les
signes
ordinaires de l'alcoolisme; mais qui buvait pourt
te tentative de flexion de la tête. Nous compléterons plus loin les
signes
fournis pas l'examen du sys- tème nerveux. De
, crevassé. Il tousse un peu, mais l'ausculta- tion ne révèle aucun
signe
stétboscopique anormal. Le rythme respiratoire
nt encore atteints. 9 Les racines postérieures ne présentent pas de
signes
de dégénérescence; quelques-unes seulement renf
que brutale, il ne présentait comme symptômes médul- laires que des
signes
très médiocres, compatibles avec la continuation
l'autopsie, des manifestations viscérales, osseuses ou autres. Les
signes
cliniques font donc complètement défaut. Lais
par des manifestations convulsives de l'hystérie, considérés comme
signes
de la possession démoniaque. (1) PAUL Richer, E
d'aveugles où elle apprend bien, est intelligente et ne donne aucun
signe
de troubles psychiques. , A 12 ans (avril 1886)
bres inférieurs pendant la nuit. Ni pituites ni tremblement; pas de
signes
d'é- tliylisme. , , 136 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
des yeux, dans la station verticale, produit immédiatement la chute (
signe
de Romberg). Les réflexes rotuliens sont abolis
ensibilité, ni d'atrophie musculaire des membres inférieurs. Pas de
signe
de Romberg. Incontinence d'urine permanente et
nce d'urine et constipation opiniâtre. La malade ayant présenté des
signes
indéniables de syphilis, tels qu'une gomme du f
ut à gauche où il existe un léger degré de trépidation spinale. -
Signe
de Romberg, les pieds joints, les yeux fermés.
e perd plus ses jambes dans le vide lorsqu'elle ferme les yeux ; le
signe
de Romberg n'existe plus. Le réflexe rotulien e
es qui avaient disparu au début de l'affection ont reparu. Pas de
signe
de Romberg. Les réflexes rotuliens sont normaux,
précédents. Elle a marché très tard, vers 4 ans seulement ; pas de
signes
appréciables de rachitisme, si ce n'est une lég
de vue moteur proprement dit, la malade ne présente que fort peu de
signes
; il est vrai que la démarche particulière due il
ouble luxation coxo-fémorale, rend l'appréciation difficile. Pas de
signe
de Romberg. Les ré- llexes rotuliens sont aboli
ales os- sertses ou autres qui ne permettaient guère la survie. Les
signes
cliniques font donc complètement défaut. Les
la Se sont très saillantes. Du côté de la face on note de nombreux
signes
de dégénérescence, strabisme interne de l'oeil
eur et la consistance de l'infiltration cutanée, jointes aux autres
signes
fonctionnels, permettent seules la différenciatio
l'on en juge les rides qui sillonnent son visage : mais c'est là un
signe
de sénilité tou- jours précoce chezjes individu
s, et, du côté gauche, l'oreille repose sur le deltoïde. Tous ces
signes
réunis confirment le diagnostic de Mal de Pott.
rrhoïdes, elc. Il manque, dit-il, à chacun de ces diagnos- tics des
signes
trop importants 'pour qu'on puisse s'arrêter à au
és par une légère incontinence d'urine. Il présente actuellement le
signe
de Westphal, une ataxie aisément cons- tatable
Une arlhropatltie de la hanche gauche ne permet de rechercher ni le
signe
de Romberg, ni l'incoordination dans la marche.
le signe de Romberg, ni l'incoordination dans la marche. Il a le
signe
d'Argyll Roberlson, avec diminution de l'acuité v
il nie toute intoxication chroni- que éthylique, il n'en a pas les
signes
. Il n'a de plus aucune autre cause d'intoxicati
ralysie générale ? La chose est possible, mais en l'état actuel, ce
signe
ne peut tufs plus être con- (1) Notre maître M.
ulu partir non guéri et nous avons su qu'il avait succombé avec les
signes
d'infection purulente. Dans la crainte de voir
ndeur variable. Malgré leur aspect massif on n'y rencontre guère de
signes
de changements ré- gressifs. A certaines places
ns la plupart des cas où elles existent, nous avons trouvé quelques
signes
d'infiltration spécifique; c'est tantôt au mili
opsie). Le foetus extrait immédiatement après la mort n'a pas donné
signe
de vie, bien (1) HunELO, Lésions viscérales dan
ns électriques, actuellement on constate d'une façon très nette les
signes
de la réaction de dégénérescence partielle, dan
pas davantage douloureuse. Par contre on peut mettre en évidence le
signe
de Lasègue. Vous savez ce qu'on entend par ces mo
Je vous ferai remarquer, en passant, que chez notre jeune malade le
signe
de Lasègue est plus accusé à gauche qu'à droite.
état, elle s'accompagne d'une abolition des réflexes tendineux, des
signes
de la réac- tion de dégénérescence, d'une atrop
oubles de la sensibilité, l'a- bolition des réflexes tendineux, les
signes
de la réaction de dégénéres- cence. ' Vers la
st accompagnée d'atrophie musculaire, de la perte des réflexes, des
signes
de la réaction de dégénérescence. (1) Bailtox
stations du tabes, telles que l'abolition du phénomène du genou, le
signe
de Romberg, des douleurs lancinantes, de l'anes
cidant avec de l'hyperesthésie, céphalalgie continue, tels sont les
signes
avant-coureurs de la paralysie. Puis les pieds
acines. L'espace extradural est fibreux, des vaisseaux anfractueux,
signe
de rétraction des tissus voisins, se voient sur
même encore plus loin, en disant qu'elle peut être à elle seule un
signe
certain d'infantilisme lorsqu'elle constitue un
l'état adulte ; puis quelque temps après une grossesse, les premiers
signes
d'un état d'infantilisme apparurent et s'accusè
revoir sous un nou- vel aspect certaines manifestations ou certains
signes
de dégénérescence dont la pathogénie était rest
cer- taines circonstances, au début de la maladie, en l'absence de
signes
phy- siques, le diagnostic de l'affection fonda
llectuel considérable, embarras de la parole, inégalité pupillaire,
signe
d'Argyll, trémulation de^la langue, des lèvres, d
n de^la langue, des lèvres, des mains; réflexes rotu- liens abolis,
signe
de Homberg ; paralysie générale manifeste ; syphi
ses incohérentes, achats inconsidérés, excitation par intervalles ;
signes
pupillaires, embarras de la parole... Au bout d
Observation IV B..., 40 ans, présentait depuis quelques mois des
signes
manifestes de paraly- sie générale à forme déme
C'est dans cet état qu'il est entré dans le service. La recherche des
signes
physiques est négative, la malade est calme ; p
» Confusion notable des idées. Pas d'embarras de la parole, pas de
signes
pupillaires, pas de troubles des réflexes. Atti
réau, le pantalon dans les souliers, « pour s'entraîner ». Pas de
signes
physiques constatables, grosse lymphocytose. 26
dées de persécu- tion. Pas de troubles nets de la parole ; pas de
signes
pupillaires, pas de tremble- ment des mains ; t
rce, 34 ans, entré le 3 décembre 1906. Paralysie générale avancée ;
signes
physiques, affaiblissement intellectuel ; idées
science de son état ; embarras de la parole ; inégalité pupillaire,
signe
d'Argyll ; tremblement de la langue. des mains,
e, 40 ans, entré le 14 février 1900. Paralysie générale confirmée ;
signes
physiques, affaiblissement des facul- tés ; idé
la langue ; secousses de la face ; nombreux accrocs* de la parole ;
signe
d'Argyll ; réflexes tendineux plutôt exagérés ;
en vins, 45 ans, entré le 2 mai 1906. Paralysie générale avancée ;
signes
physiques ; affaiblissement notable des faculté
umeur. Inconscience complète de sa situation. Inégalité pupillaire,
signe
d'Argyll ; réflexes tendineux normaux ; trembleme
tes (PI. IV). Sur le plus petit de ces deux fragments, existent des
signes
incontestables d'envahissement du fibro-cartila
nnées, un type spécial d'anky- lose vertébrale, caractérisé par les
signes
suivants : 1) immobilité totale ou partielle de
re malade n'est pas une rhumati- sante ; elle ne présente aucun des
signes
cliniques décrits par M. Fores- tier ; elle acc
des douleurs du type fulgurant, de l'incoordi- nation motrice avec
signe
de Romberg, des symptômes pupillaires, etc. Mai
on lente el progressive, avec exagération des réflexes rotuliens et
signe
de Babinski; un type ataxo-spasmodique caractér
un type ataxo-spasmodique caractérisé par l'adjonction de quelques
signes
de labes aux signes de la parésie spasmodique,
odique caractérisé par l'adjonction de quelques signes de labes aux
signes
de la parésie spasmodique, et, enfin, un type a
ue le mouvement est un peu saccadé, des deux côtés. La recherche du
signe
de l'agenouillement de Babinski permet de constat
ses jambés, surtout au début des mouvements. Pas de latéropnlsion.
Signe
de Romberg. La force musculaire est bien conser
e sol avant de le quitter (Obs. 11-111)- Dans un seul cas existe le
signe
de Romberg (Obs. 111). Il y a encore chez les t
plexe sur les rapports qui peuvent exister entre ces lésions et les
signes
cliniques d'ordre secondaire qu'on retrouve dan
ux qu'elle ne les monte. Dans la station debout les yeux fermés, le
signe
de Romberg est ébauché. La force musculaire est
; paralysie des deux droits- externes et des deux droits supérieurs !
signe
d'Argyll-Robertson bilatéral, et enfin une atro
ordres. Les unes semblent relever nettement du tabès, ce sont : les
signes
d'in- coordination, l'abolition des réflexes, l
les troubles de la sensibilité osseuse, les phénomènes oculaires :
signe
d'Argyll, paralysies diverses de la mus- culatu
e que nous observons chez cette malade. \ Les arthropathies ont des
signes
bien connus : début rapide, indolence, gonfleme
e supérieure commence à se couvrir de poils, ce qui est le meilleur
signe
d'une puberté qui com- mence. Le teint du visag
er- tains points de vue, se fait normalement. Il ne présente pas de
signes
d'hyperthyroïdisme, bien qu'on ne puisse pas ex
agissent néanmoins à la lumière, mais nullement à l'accommodation :
signe
d'Argyll Robertson bi- latéral. xi 8 118 s
e je me rallierais le plus volon- tiers ; car la malade présente le
signe
d'Argyll Robertson,et une abolition du réflexe
PARALYSIE SPINALE INFANTILE 131 Il faut aussi noter la présence du
signe
de Babinski des deux côtés, même dans le membre
ntant une atrophie musculaire totale très accusée. La présence du
signe
de Babinski a été, bien que rarement, signalée
aralysie cérébrale infantile ? S'il en était t réellement ainsi, le
signe
de Babinski à gauche serait, à cause de la lésion
sé. Redlich, à la même séance, faisait remarquer que la présence du
signe
de Babinski du côté op- posé à la paralysie pou
souvent aussi les imposants symptômes cérébraux masquent les autres
signes
d'une maladie infectieuse. Donc l'infection en
ar Negro 5 mois plus tard révèle dans le membre inférieur droit les
signes
résiduels d'une poliomyélite antérieure aiguë (at
alisée. L'état mental de la malade ne permet point de connaître les
signes
subjectifs qui ont pu précéder ou accompagner l'a
droit. Pas de troubles sphinctériens. Le malade ne présente aucun
signe
d'aphasie, il lit et écrit très bien de la main
a paraplégie spasmodique chronique (exaltation énorme des réflexes,
signe
de Babinski, marche spasmodique et quel- quefoi
ques, galvaniques et faradiques, directes et indirectes, sans aucun
signe
de réaction de dégénérescence. '. Le petit mala
mal si elle l'exécutait avec lenteur : il y avait, cepen- dant, des
signes
d'atrophie dans toute l'extrémité, 3 centimètres
On nous permettra de faire une remarque importante à ce sujet. Les
signes
que tous les auteurs attribuent à la mydriase par
ce nerf jusqu'à leur entrée dans le ganglion ciliaire. De même les
signes
de la mydriase spasmodique sont ceux que provoq
ter sous deux types : 1 Paralysie du moteur oculaire commun : les
signes
sont identiques à ceux des paralysies organique
épidation spinale bilatérable ainsi que la danse de la rotule. Le
signe
de Babinski et celui d'Oppenheim sont positifs, t
surtout en une paraplégie spasmo- dique avec trépidation spinale et
signe
de Babinski et une parésie du membre supérieur
vrome), et l'on ne voit guère une lèpre évoluant avec un cortège de
signes
aussi complet, sans s'accompagner de symptômee cu
droit du malade quand il regarde en bas et en dehors semble bien le
signe
d'une parésie du muscle grand oblique droit, c'
x pyramidaux sont comprimés et irrités (paraplégie spasmodique avec
signe
de Babinski), enfin, la corne antérieure à la ré-
d'acromégalie surajoutée. Dans le cas de F... il n'existe aucun des
signes
classiques de l'acromégalie et ce diagnostic n'
ait par exemple en mangeant. Grin- cements des dents. Vomissements.
Signe
de Kernig. Titube comme un homme ivre. Sensatio
. Poids du cerveau avec leptominiuge : 1.650 grammes. Ceci sont les
signes
habituels de la compression cérébrale par augmen-
e hémimèle est née de parents bien constitués, sobres, sains. Aucun
signe
ne permet de dépister la syphilis chez les ascend
ne permet de dépister la syphilis chez les ascendants directs. Mais
signes
nets d'endométrite maternelle, antérieure à la co
hez notre malade : c'est-à-dire la longue durée de l'affection, les
signes
simulant une simple sténose du cardia, rage de
rveuses, dont les manifestations sont généralement consécutives aux
signes
précédents bien qu'elles puissent cependant les
essante par le contraste qu'elle offre entre l'absence prolongée de
signes
localisateurs et l'extrême volume de la tumeur.
au dynamomètre on obtient 46 à gauche, 51 à droite. Il n'y a aucun
signe
de parésie droite ou gauche, aucune parésie des n
forts des deux côtés, exagérés même. Clonus du pied à droite, avec
signe
de Babinski des deux côtés. Pas de troubles de la
bjectifs de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont exagérés.
Signe
de Babinski à droite. A gauche ce signe est inc
es rotuliens sont exagérés. Signe de Babinski à droite. A gauche ce
signe
est inconstant. Pas de troubles des nerfs crâni
Réflexes rotuliens exagérés, plus à droite. Esquisse de clonus avec
signe
de Babinski de ce côté. Il n'y a ni albumine
s égal, régulier, faible, bat à 90. Le malade sent la forte piqûre.
Signe
de Babinski bilatéral. La température monte, le s
cès d'épilepsiejacksonnienne II est probable que l'intermittence du
signe
de Babinski est en rapport avec les crises de c
ar compression du faisceau pyramidal, il peut donc y avoir quelques
signes
de dégénération secondaire, permanents ou transi-
e malade, exagération des réflexes rotuliens et clonus du pied. Ces
signes
peuvent, du reste, faire défaut, comme dans l'o
de 77 ans,était entrée à la Salpêtrière, salle Cruveilhier,avec les
signes
classiques d'une paralysie pseudo-bulbaire dont i
aux quatre membres, notable- ment exagérés ; le clonus du pied, le
signe
de Babinski sont très nets des deux côtés : l'i
notre cas). Les altérations de la peau facilement visibles sont un
signe
différentiel moins trompeur. Il est rare que la
plement d'un tubercule cutané, sont généralement regardés comme des
signes
certains d'un arrêt de développement. « Il es
bres inférieurs, et cela d'une façon symétrique. Il n'existe pas de
signe
de Babinski, ni de flexion unilatérale de la cu
nique ne doit pas se limiter à la recher- che et à l'indication des
signes
énumérés dans des observations anté- rieures.
plus faible, et cela, selon ces auteurs, doit être retenu comme un
signe
d'améliora- tion de la paralysie. M. Bernhard
ous trouvons de l'hystérie et un délire des persécutions. « Comme
signes
de dégénérescence, nous notons de la si MÉDECIN
uoique nous n'ayons jamais été témoin de crises, il existe d'autres
signes
qui nous suffisent pour établir notre diagnosti
Rouen. Dans ce dernier établissement, quoi qu'il n'ait donné aucun
signe
de fo- lie ou de désordres cérébraux, son carac
passerait pas à la session la plus proche, com- mença à donner des
signes
d'aliénation mentale. Transféré, en fé- vrier 1
mentée de Cing..., on remarqua sans peine qu'il n'avait donné aucun
signe
de dérangement céré- bral jusqu'en 1892. Depuis
pas davantage le cas de Cing..., qui ne manifesta subitement des
signes
de folie qu'à vingt-quatre ans, sans avoir présen
e, alors que cette anesthésie était autrefois si marquée et le seul
signe
objectif de la névrose prétendue. Le polymorphi
onservation de ces réflexes se rencontre surtout avec un minimum de
signes
physiques; dans les rémissions, il n'est pas ra
le adju- vant très efficace dans l'une et l'autre. Les deux seuls
signes
qui, peut-être, pourront parfois faciliter le d
DE-MÉDECINE LÉGALE. En même temps on constatait chez ce malade des
signes
d'al- coolisme : tremblement très accentué et é
que chez l'homme, etil consiste le plus ordinairement en lettres et
signes
simples tels que coeur, anneaux, sur les bras et
te à dénoncer la maladie. C'est la « marque de fabrique », c'est le
signe
évident d'une construction défectueuse de l'org
use de l'organe psychique, d'une anomalie de l'évolution ; c'est le
signe
de la maladie mentale. C'est donc assez pour le
ialisé et le plus récemment acquis sont les premières à montrer des
signes
de nutrition défectueuse dans les parties les p
Arcuives, 2e série, t. IX. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. sente tous les
signes
du delirium tremens. La seule différence entre
de tous, en est un exemple re- marquable. A côté des adissoniens à
signes
complets, au nombre desquels se trouve l'asthén
jeune fille présentant une fracture de la première lombaire, et les
signes
systématiques exacts de l'écrasement de la queue
omyélie et mérite d'être considérée quand elle existe, comme un des
signes
diagnostiques capitaux de cette affection ; 3°
ec hémorragie abondante dans la cavité péritonéale ; et de plus des
signes
de péritonite récente. Le juge d'instruction de
nes de la poitrine et de l'abdomen ne permettait de découvrir aucun
signe
patho- logique dans les viscères de ces cavités
à leur suite, ont signalé l'irritabilité du caractère comme un des
signes
les plus habituels de la chorée. Ce trouble psy
un cas de sa clinique dans lequel on aurait trouvé à l'autopsie les
signes
typiques de la paralysie générale, ajoutant qu'
une sensation légère, mais nette, de fluc- tuation. En dehors de ce
signe
rien ne faisait prévoir un abcès. Une intervent
ées comme 'des troubles trophiques : le malade présente plu- sieurs
signes
de présomption en faveur du tabès. M. Pierre Ma
uzon, mais le phénomène signalé ne peut pas être considéré comme un
signe
prodromique de paralysie générale, pas plus qu'il
aison et une bonne qui vivait dans l'appartement présen- tèrent des
signes
de l'état de besoin lorsqu'ils ne furent plus s
nande, âgée de cinq ans. Depuis quelque temps, la mère donnait des
signes
de dérangement cérébral; mais ces troubles étaien
douleur. On cherche soigneusement les uns après les autres tous les
signes
de néphrite, sans en rencontrer un seul au moment
signalée par presque tous les auteurs ; elle est regardée comme un
signe
au début et considérée comme un symptôme banal,
3. Sentez votre cheville droite : Elle remue les orteils et le ' Le
signe
+ signifie : sentez davantage. 214 zip THÉRAPEU
aladies, en se super- 236 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. posant aux
signes
vraiment pathognomoniques et se modifiant en co
est peut-être plus souvent qu'on ne pense chez l'enfant le premier
signe
de l'épilepsie ; mais on n'a jusqu'ici attaché qu
inaire de l'éjaculation, mais qu'il s'a- gissait effectivement d'un
signe
probant de l'épilepsie. Dans ces cas, l'examen
- blement des muscles de la face et de ceux des extrémités est un
signe
précoce; les troubles de la parole dépendent de d
li avec un degré considérable de certitude, en se basant non sur un
signe
palhognomonique, mais sur un grou- pement de sy
p- tômes initiaux sont reconnus plus tôt. Parmi ces symptômes les
signes
de trouble mental ont surtout une importance prép
agnostic sur la foi des seuls symptômes physiques. Mais lorsque les
signes
physiques coïncident avec un trouble mental que
sie générale. zu SOCIÉTÉS SAVANTES. toute autre valeur; parmi ces
signes
de début il faut noter le tremblement de la fac
du langage et les anomalies de la réaction pupillaire. Ce dernier
signe
doit être étudié avec beaucoup de soin, car il fo
re ce syndrome et celui présenté par le malade examiné, chez qui le
signe
de Babinski dénote une altération pyramidale.
ion pyramidale. M. Gilles de la TOURETTE. La valeur diagnostique du
signe
de Babinski est-elle absolue ou relative ? Une
d'espérer que ces accidents n'étaient que le fait de la névrose. Le
signe
de Babinski devait trancher cette question; il fu
on. Je pourrai par contre citer des cas de lésions organiques où le
signe
des or- teils a fait défaut. l. SOCIÉTÉS SAVA
la a lieu dans l'épilepsie, où pendant la crise on peut observer le
signe
des orteils, alors que le réflexe est normal en
fixer définitivement la valeur caractéristique absolue ou non de ce
signe
. Diabète hydrurique au cours de la Tuberculose.
nt de le quitter, je lui recommandai de nouveau de faire souvent le
signe
de la croix, lui disant qu'avec ce signe il pou
ouveau de faire souvent le signe de la croix, lui disant qu'avec ce
signe
il pourrait chasser le mauvais esprit. Singulie
s dont il ne sortait guère que pour quereller la vieille femme. Les
signes
de dérangement cérébral qu'on avait autrefois rem
etc. Ces objets ne sont pas, pour nom- bre de croyants, de simples
signes
, de pures images, mais des choses qui participe
gonflée de gaz et est d'une teinte rouge vineux uniforme. Pas de
signes
de péritonite. Foie, rein=, rate exsangues, pâles
'épilepsie, qui montrent, qu'en dehors d'antécédent traumatique, de
signe
de tumeurs ou de trace bien nette de localisati
e la maladie, le diamètre pupillaire et les réflexes est souvent un
signe
pronostique de valeur. Con- trairement à l'opin
réactions. Dans les névralgies, la pupille est très variable et le
signe
de Seeling-Muller inconstant. Dans les tumeurs
la mydriase est plus fréquente. Dans le tabes dorsalis, myosis, et
signe
de Robertson constants. J. SÉGLAS. XXXV. Asym
e, vertiges, névrite optique) ; de l'hémianopsie, un des principaux
signes
d'affection de l'hypophyse ; des troubles visue
'ataxie fut donc légère. Dans deux de ces cas d'atrophie optique le
signe
de Romberg existait en dépit de la cécité. Para
dépit de la cécité. Paralysie des muscles de l'oeil : dans 33 cas.
Signe
d'Argyl- Robertson : dans 70 cas. Puissance s
ssive, les yeux vifs, les dents bien plantées, ne présentant pas de
signes
physiques apparents de dégénérescence. Pas de t
gure toute rouge, les yeux brillants. Tremblement généralisé. Comme
signe
physique de dégénérescence, on trouve que les b
il ne mène pas si vite à la stomatite, ordinairement regardée comme
signe
de la saturation mer- curielle de l'organisme.
rme agissant à la fois sur tout l'individu ». Calmeil1 à propos des
signes
physiques fait les remarques suivantes : « beau
lisme chronique, syphilis en tant que virus, saturnisme, etc., sans
signes
de lésion cérébrale localisée ; 3° cas hystéroïde
euses; seulement on est obligé de désigner ces modifications par le
signe
appréciable qui les représente. Pendant longtemps
u ayant été Président de la Société, la séance est ensuite levée en
signe
de deuil. Séance du 26 février 1900. - Présiden
n leur pose à cet égard. Tel individu, par exemple, qui présente le
signe
de Robertson, l'abolition du réflexe rotulien e
ssociée à de l'atrophie papil- laire et dont le mari présentait des
signes
de tabes fruste. M. Souques. La paralysie génér
à la pendaison, mais on a cherché à l'expliquer par la présence de
signes
d'hysté- rie chez les sujets. Ici le malade n'a
agnoscies portant sur tous les sym- boles, mots, lettres, chiffres,
signes
, notes de musique, formules, gestes, expression
âgé de quarante-quatre ans, qui, depuis quelque temps, donnait des
signes
de folie, s'est tout à coup rué sur sa famille
-Cenis, 68, à Montmartre, qui, depuis quel- ques jours, donnait des
signes
manifeste de démence, a tenté, hier, de se suic
ne : Symptômes et diagnostic de la hernie étranglée. Mal de Pott. -
Signes
et diagnostic de la cuoealgie. En ce qui concer
e, t. IX. 30 46G PATHOLOGIE NERVEUSE. de démence, et présente les
signes
classiques de la chorée chroni- que de Huntingt
lade dès son arrivée. L'examen physique dénote chez lui de nombreux
signes
de dégénérescence. Asymétrie faciale marquée. F
fenêtre : « c'est qu'il y a des hommes, répond-il, qui lui font des
signes
derrière les barreaux ; ils sont trois, celui q
pendant la station debout, indiquant l'atteinte du cervelet. Pas de
signe
de Romberg; titubation surtout prononcée à droi
dant, les symptômes nerveux se développent avant l'apparition ,des
signes
d'anémie extrême. ' ' Symptômes : Comme symptôm
sées. Les autres auteurs, Oppenheim, Brissaud, soutiennent que le
signe
prédominant de ces tumeurs est le trouble de l'in
ubercule et du lobe occipital. Le malade n'avait jamais présenté de
signes
d'aphasie sensorielle. Névrites professionnelle
pidation spinale et ils ont observé au contraire très facilement le
signe
des orteils de Babinski. 1 M. SCIIEI\B d'Alge
s habentes, qui ne se distinguent des enfants normaux que par des
signes
négatifs. Le traitement médico-pédagogique ne p
et prompte devance la volonté, nous décèle et rend au dehors, par des
signes
pathétiques, les images de nos plus secrètes agit
e la face en mouvement. Or, ces lignes et ces plis sont justement les
signes
qui, par leurs combinaisons variées, servent à l'
s passions), avec ceux qui se sont livrés spécialement à l'examen des
signes
des penchants et des habitudes, à l'étude de la p
faudrait, pour cela, sacrifier la peau sur laquelle se dessinent les
signes
du langage expressif de la physionomie. C'est i
p multiplier les contractions des muscles qui servent à en tracer les
signes
et dont le nombre est limité. Reconnaissons ici
a face, et gonfle la moitié antérieure du cou, sans tracer le moindre
signe
physionomique qui décèle une expression quelconqu
ne pouvait cependant dissiper les traces d'une douleur récente ou les
signes
d'un chagrin habituel : ainsi je me représente un
e, un seul ou plusieurs muscles à la fois, lorsqu'il a voulu (pie les
signes
caractéristiques des passions, même les plus fuga
2e partie. Il était certainement possible de doubler le nombre des
signes
expressifs de la physionomie; il fallait, pour ce
tilité d'un langage qui ne serait pas compris? Exprimer et sentir les
signes
de la physionomie en mouvement me semblent des fa
Pour être universel, ce langage devait se composer toujours des mêmes
signes
, ou, en d'autres termes, devait être placé sous l
ement expressif se composent de lignes fondamentales, qui en sont les
signes
patho-gnomoniques, et de lignes que j'appellerai
s tout encore : le fond sur lequel se peignent ou s'écrivent tous ces
signes
du langage muet de l'âme n'est jamais le même ; e
côté opposé vous reconnaîtrez, dans son regard et sur son front, les
signes
caractéristiques de ce mouvement expressif; signe
sur son front, les signes caractéristiques de ce mouvement expressif;
signes
qui ont été exposés page 2, figures 7 et 8. Si
est peu favorable à l'étude de ces lignes verticales, qui sont un des
signes
caractéristiques d'une action plus violente de l'
combinaison du transverse du nez avec le triangulaire des lèvres. Les
signes
du mécontentement se sont alors dessinés beaucoup
On reconnaît certainement, sur la face du Laocoon de Bruxelles, les
signes
de la douleur; mais le mouvement convulsif de sa
ule en honneur, et le culte de la tonne était poussé si loin, que les
signes
expressifs des émotions de rame lui étaient presq
: sous l'influence de mes rhéo-phores, on la voyait ennoblie par les
signes
de la pensée (l'attention, la réflexion), ou anim
e peut éviter de se trouver dans le champ de la plaque. Enfin, par un
signe
convenu, il indique à l'aide le moment où il doit
rir d'une vive douleur morale et physique; mais loin d'en trouver les
signes
sur sa face, on y lit plutôt un bonheur extatique
té la marche de la maladie, et découvrant sur ses traits les premiers
signes
de cette heureuse crise, elle s'écrie : « Il est
sse et ne pouvait rire que des lèvres. Afin d'appeler sur sa face les
signes
vrais de la joie, j'ai dû exciter sa gaieté en ag
pouvait cependant dissiper les traces d'une dou-» leur récente ou les
signes
d'un chagrin habituel. Ainsi je » me représente u
chement laborieux, les douleurs ne disparaissent pas entièrement; les
signes
s'en traduisent sur la figure de la mère par une
sthétique, à différents degrés, sur le muscle qui met en relief les
signes
caractéristiques des passions agressives (sur le
ait tourne en iiel (2) ! Un muscle destiné à mettre en évidence les
signes
des plus mauvaises passions (le pyramidal du nez)
en l'exagérant, que l'on a représenté le génie du mal, le démon. Ce
signe
de la méchanceté se reconnaît aussi sur la physio
uissant au point de tracer, par sa contraction électrique isolée, les
signes
de la méchanceté et des instincts les plus cruels
145. On a vu, dans les figures 30 et 32 (partie scientifique), les
signes
différentiels de la joie vraie et de la joie faus
que), les signes différentiels de la joie vraie et de la joie fausse,
signes
caractérisés, pour la première, par une dépressio
des lésions syphi- litiques des artères de la rétine : c'est là un
signe
trop rare pour qu'on puisse compter sur lui.
s autres formes par les pro- dromes mais aussi parce que, outre les
signes
de paralysie générale, il y a certains symptôme
énérale. M. Auguste Voisin', dans son traité, décrit les moindres
signes
et signale les troubles trophiques de la paralysi
s pourraient être constatés deux à trois ans avant l'apparition des
signes
cliniques ordinaires de la paralysie générale.
optique dans les maladies cérébrales (Union août 1866). ' Magnan.
Signes
essentiels et accessoires de la paralysie général
observer un cas de zona ophtalmique survenu quelques mois avant les
signes
physiques et psy- chiques de la paralysie génér
e centre de convergence. P. KERAVAL. V. Du PHÉNOMÈNE ROTULIEN COMME
SIGNE
DIAGNOSTIQUE D'AFFECTIONS NERVEUSES ET D'AUTRES
es deux côtés semblait devoir, dans un cas de l'auteur, en faire un
signe
de lésion organique, tandis que d'autre part in
xement la personne qui lui parle; de là son attitude. Il n'a pas de
signe
objectif de lésion ver- tébrale, rectale, sexue
souvent qu'on ne le croit d'ordinaire, le siège de ces abcès. Les
signes
spéciaux aux abcès du cervelet.(titubation cérébe
ation conjuguée des yeux du côté opposé à la lésion; et de quelques
signes
secondaires : contractures et accès convulsifs
ille de dix- sept ans, ayant présenté successivement la plupart des
signes
de la paralysie générale : hésitation de la par
Elle se préseute avec une allure qui lui est propre, mais avec des
signes
suffisants pour qu'on ne doive la méconnaître.
e la méconnaître. Elle se distingue surtout par la prédominance des
signes
soma- tiques et la rareté du délire. M. Vallo
un jeune sujet, soupçonné de paralysie générale, on trouve tous les
signes
macroscopiques de paralysie générale, il est bi
l'insomnie et l'excitation signalées par M. Charpentier soient des
signes
caractéristiques. 84 SOCIÉTÉS savantes. M : V
du père n'était pas douteuse, mais elle ne se traduisait par aucun
signe
chez la malade. Le traitement spécifique est de
r compression du chiasma. L'examen ophtalmoscopique nous révèle des
signes
impor- tants. Le plus souvent on trouve de la n
isse les rapporter à aucun organe. On retrouve à l'examen les mêmes
signes
objectifs que plus haut. Pendant les crises dou
un violent point de côté et un peu de dyspnée. A l'auscultation,
signes
d'épanchement pleural gauche, remontant jusqu'à 3
antiseptiques intestinaux : amélioration des troubles visuels, les
signes
opletulmoscopigues reslunt les mêmes. Apparition
pt ans après Son mariage. Il n'y a pas eu de fausses couches. Aucun
signe
pouvant faire songer à la syphilis si ce n'est
oncée depuis un mois. Elle ne tousse pas, n'a jamais présenté aucun
signe
de tubercu- lose pulmonaire. Pas d'alcoolisme n
roubles visuels sont bien moins accentués, l'acuité a augmenté; les
signes
opbtalmosco- piques sont les mêmes. On présent
Les troubles visuels ont presque entièrement disparu. Cependant les
signes
ophtatmoscopiques restent les mêmes. 30. - La m
les mêmes. 30. - La malade sort paraissant entièrement guérie. Les
signes
oplitalmoscopiques restent les mêmes. Rentrée
a paralysie générale n'in- diquent-elles pas par leur diversité des
signes
de diagnostic différenciel, n'impliquent-elles
étiologie et quant à sa symptomatologie complète, sans négliger les
signes
de second plan, et quant à son évolution et à s
ique de l'auteur montre son existence dans 59 p. 100 des cas, et ce
signe
peut, lorsqu'il est joint à quelques autres, pr
itoires du langage, de la marche, vertiges etc. Le ver- tige est un
signe
important et est probablement dû aux conditions
le cerveau, donnant naissance dans le premier de ces organes à des
signes
d'ataxie locomotrice progressive, et dans le se
ence. Pour établir la dégénérescence, il ne faut pas s'en tenir aux
signes
physiques, il faut chercher le début des altéra
simulés, polymorphes, absurdes, théâtraux. Greffés sur le tout, les
signes
de dégénéres- cence de tous ordres. Le traiteme
n pas seulement le représentant d'une multiplication centésimale de
signes
de dégénérescence par rapport aux gens normaux.
ité presque complète. Elle est surtout indiquée quand il existe des
signes
de compression cérébrale, c'est- à-dire quand o
ace, est. entré à Ville- juif le 5 juillet 1896. M. le D'' Vallon
signe
le certificat suivant : c Est atteint de para-
a été affirmé plus tard, et le malade présente maintenant tous les
signes
psychiques et somatiques de la paralysie généra
allon dans son certificat du 5 novembre 1896. 11 présente tous [les
signes
psychiques et physiques de la paralysie général
Il nous semble pourtant que l'alo- pécie commence un peu avant les
signes
caractéristiques de la paralysie générale., L
lesse, déformant le portrait de l'homme et de la femme, efface les
signes
distinctifs du sexe que l'individu avait acquis.
car il peut arriver que des jeunes filles, chez lesquelles tous les
signes
distinc- tifs de leur sexe ne se sont pas encor
ce à la démence. Confirmé en 1890. Eu 1804 on constate chez lui des
signes
de paralysie bulbaire, bientôt suivie d'ataxis
érations du fond de I'oeil. Il insiste tout particulièrement sur le
signe
diffé- rentiel suivant : à savoir que, souvent,
divers troubles mentaux, de diverses chorées ne pré- sentant aucun
signe
qui puisse les différencier des troubles men- t
sieurs exemples. Dans un premier cas, un enfant présentait tous les
signes
cli- 'niques d'une méningite tuberculeuse de la
nt, malgré les lésions classiques de la soi-disant méningite, aucur
signe
clinique n'avait permis de diagnostiquer ces lési
rave, soit qu'elles guérissent, soit qu'elles ne soient nul- lement
signe
d'une affection mortelle. On peut établir trois
nérien. Quand les perversions de l'appétit vénérien ne sont pas les
signes
extérieurs de là dissolution congénitale de la
vait présenté aucune particularité qui pût être considérée comme un
signe
pré- curseur d'anomalies sexuelles, elle jouait
ous les cas, en général, on rencontre une première période avec des
signes
de méningite ; des symptômes cérébraux transi-
lis cérébrale, les symp- tômes les plus graves sont précédés par un
signe
prodromique des plus importants au point de vue
les remplacer, des mouvements rythmiques vibratoires ayant tous les
signes
d'un tremblement bien caractérisé. (The alienist
TI5liES; par le Dr BONARDI. Cliniquement le malade présentait des
signes
de maladie d'Addi- sou, associés à quelques sym
-artielil aire des organes atteints de ces mouvements ; 3° Comme le
signe
de Romberg dans les cas peu avancés d'ataxie, l
ents sains ( ? ), convulsions épileptiformes à trois ans ; premiers
signes
de la maladie actuelle remarqués à seize ans. M
? écartées, genoux légèrement flé- chis, démarche pelvienne. Pas de
signe
de Romherg, incoordina- tion moins accentuée au
éristique (ébrieuse) ; tremble- ment pendant les mouvements. Pas de
signe
de Romberg ; force musculaire intacte, gâtisme
e, dystocie de la mère, une attaque convulsive à quatre ans. Pas de
signe
d'Ar-yll Robertson, vision bonne; station debou
cordiale). Cela fait, M. Ilead cherche avec quelles conjonctions de
signes
physiques se rencontrent l'absence et la présen
ant et qui présente un très grand intérêtclinique parlaprésence des
signes
s inaccoutumés dans un cas de paralysie bulbair
s'en ressentait de la même façon ; 2° Une atrophie très nette avec
signe
de dégénérescence peut être observée dans les m
ile de dépister l'ataxie loco- motrice à son début lorsque les gros
signes
classiques font défaut; 1 dans ces cas, ce; tai
voir une valeur pathognomonique ; toutefois elle peut constituer-un
signe
d'une certaine valeur, lorsqu'il existe en même
éels sont cons- tants ; il n'est certainemdnt pas de vésanie où les
signes
physiques soient aussi accentués que dans la mé
z les malades de cette catégorie. Si j'ai tenu à insister sur les
signes
cliniques de la maladie, c'est que le diagnosti
tituent, sans doute, dans plusieurs cas le substratum anatomique du
signe
de Westphal. (Revue neu- rologiçzle, mai 1897.)
ce cas l'état morbide; mais avant tout l'anamnèse et la présence de
signes
objectifs de la syphilis sous forme de céphalal
hémorrhagique aiguë, qui n'a pas eu le temps de s'affirmer par des
signes
anatomiques bien manifestes, par suite de l'évo
ed en avant et talonne. Pas de trouble de la station debout, pas de
signe
de Romberg. Le= réflexes rotuliens sont exagé
érieurs nous trou- UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 447 1 vions des
signes
très nets de lésion extra-médullaire, de cont-
de l'extrémité céphalique. En résumé, pour les membres inférieurs,
signes
de lésion transverse de la moelle ; pour les me
es de lésion transverse de la moelle ; pour les membres supérieurs,
signes
de compressions radiculaires; au-dessus, intégr
nd l'in- dividu est fils de sorcier, quand il porte sur la peau des
signes
faits par le diable, quand il parle tout seul,
mélancolie ordinaires, peut cependant en être distin- guée par des
signes
à peu près certains. - Au dire de Plater, on re
rment les noms indiquant la pensée et transformation de ces sons en
signes
graphiques; 2° inscription de ces signes gra- p
nsformation de ces sons en signes graphiques; 2° inscription de ces
signes
gra- phiques. Le premier de ces actes est sous
ue. La symptomato- logie est peu variée. On constate les principaux
signes
de vraie méningite ; seuls manquent ceux qui so
es deux enfants. Cette malheureuse donnait depuis quelque temps des
signes
évidents de dérangement d'esprit ; elle était a
agi dans un accès de folie, car depuis quelque temps il donnait des
signes
de dérangement cérébral. (Le Républicain Orléanai
é parle tremblement, qui seul l'inquiète, il présente cependant les
signes
non équivoques de la maladie de Parkinson, dont
yphilitique, étant donné que le malade présente, actuelle- ment, le
signe
d'Argyll-Robertson. Ni le malade, ni aucun membre
, et que notre malade a lui- même remarqués ; enfin la recherche du
signe
de Babinski vous montre la flexion de l'orteil,
s. Quand on a fait cliniquement un diagnostic de tabes basé sur les
signes
classiques de cette affection, on s'attend à tr
es, incontinence d'urine, myosis, abolition des réflexes rotuliens,
signe
de Romberg, ataxie, affaiblissement et atrophie
u gros orteil. Cette extension du gros orteil constitue pour eux le
signe
le plus sensible et le plus constant d'une affe
comme on pourrait le croire tout d'abord, la valeur sémiologique du
signe
de Babinski. Nous avons montré il est vrai, que
nie, ou il peut être produit par l'augmentation de poids ; c'est un
signe
sans intérêt cli- nique à l'état isolé.Il est l
autres beaucoup moins. Au membre droit aucun point douloureux.
Signe
de Lasègue : très net. Réflexe achilléen : net
nt de l'affection. Enfin, il y a scoliose homologue. Ce sont là les
signes
prin- cipaux de la sciatique spasmodique, décri
n n'en trouve aucune traduction exté- rieure : pas d'impulsions, ni
signes
d'irritabilité ou de méfiance .Cet état se com-
s dans toute leur intégrité. Pas d'incoordination motrice. Pas de
signe
de Romberg. Les réflexes rotuliens sont très ne
et 38°4 le matin ; elle monte pendant ces deux jours à 40°. Pas de
signes
pulmonaires. L'état général s'altère progressiv
umeur d'origine syphilitique ou tuberculeuse, mais il n'existe pas de
signes
certains. Les préparations ont été examinées ob
t présenté à côté des symptômes généraux des tumeurs cérébrales les
signes
de la démence paralytique et un symptôme de loc
n notable s'est produite dans l'état du malade. Sans qu'il y ait de
signe
d'occlusion, se sont produits des vomissements
TYPE INFANTILE DU GIGANTISME 169 corporelle : c'est parce qu'à des
signes
non douteux d'infantilisme, s'a- joutent chez l
ès obtus, la branche inférieure de l'os est notablement élargie. Ce
signe
, bien plus que le prognathisme proprement dit,
sur la radiographie, paraît grande. Si l'on ajoute à ces différents
signes
l'aspect très particulier de la peau 170 BRISSA
t son appétit ne sont pas exagérés. On ne note non plus aucun petit
signe
de diabète : ni furoncle, ni intertrigo, ni ecz
Archives générales de médecine, 5 mai 1903). Notre malade n'a aucun
signe
d'acromégalie. (1) Examens histologiques de thy
xcitation |du réflexe plantaire amène l'extension des orteils et le
signe
de l'éventail à gauche, et déplus le gros ortei
alade présente un peu de dysarthrie. Il n'y a pas d'aphasie. Pas de
signe
de Robertson. Trois à quatre semaines après cet
est conservé au membre supérieur droit. On constate la présence des
signes
de Babinski et de Strumpell. Le réflexe contral
est impossible de rechercher chez elle l'hémianopsie. On constate le
signe
du peaucier. Son membre supérieur droit est i
Il n'existe pas de trépidation épileptoïde. On constate à droite le
signe
de Babinski et l'abduction des orteils en évent
i et l'abduction des orteils en éventail ; on constate égaleméut le
signe
de Strumpell. La sensibilité à la piqûre est di
avant son hémiplégie de l'oedème des jambes et elle présenta il des
signes
d'insuffisance mitrale, un souffle systoiique aor
les reins étaient augmentés de volume et présentaient à la fois des
signes
de congestion et de néphrite interstitielle. Il
inférieurs. Réflexe cutané plan- taire aboli. Inégalitépupillaire.
Signe
d'Argyll-Robertson. Incontinence d'urine. Le 2
a marche : l'ataxie fait défaut, mais la fatigue survient vite : le
signe
de Romberg existe. Signe d'Argyll Robertson. Hy
faut, mais la fatigue survient vite : le signe de Romberg existe.
Signe
d'Argyll Robertson. Hyperesthésie au niveau de la
rés. Depuis son entrée dans le service, cette malade a présenté des
signes
d'agi- tation cérébrale ; elle est entrée dans
entrée dans un service d'aliénés, où elle a succombé avec tous les
signes
de la paralysie générale. Examen ANATOMIQUE. -
bilités pro- fondes et de la notion de position. Rétention d'urine.
Signe
d'Argyll Robertson. Tuberculose pulmonaire. E
des réflexes tendineux. Incontinence d'urine. Inégalité pupillaire.
Signe
d'Argyll-Robertson à gauche : à droite, la pupill
es, ni sensitives; pas de troubles à la vessie, ni au rectum; pasde
signes
d'atrophie muscu- laire, ni de réaction électri
lement externe, comme dans la paralysie myasthénique, ce qui est un
signe
de grande valeur (1) ; elle est toujours unilat
et quand elle envahit les noyaux bulho-prot.ubé- rantiels, par les
signes
d'amyotrophie et les modifications respectives de
s totales, avec ptosis, sont toujours accompagnées de myosis, ou du
signe
d'Argyll-Robertson, ou d'ophtalmoplégie interne e
res si- gnes tabétiques (troubles sensitifs, abolition de réflexes,
signe
de Romberg, etc.). Les opiitalmoplégies syphi
phénomène morbide du côté des membres. Il existe chez ce malade des
signes
de paralysie motrice et sensitive de la majorit
affection cérébrale, à l'âge de 29 ans, nous ne trouvons donc aucun
signe
permettant d'affir- mer une infection syphiliti
é pour se mettre en marche, impossibilité de s'arrêter brusquement.
Signe
de Romberg. Démarche ébrieuse. Réflexes très '
et abolie au-dessous du genou ; sensibilité à la piqûre conservée.
Signe
d'Argyll Ro- bertson. 1894. - Réflexes rotuli
rd un peu vague, quoi- que sans strabisme proprement dit. 1900. -
Signe
de Babinski. Les autres réflexes abolis. Un léger
. Démarche difficile, ébrieuse. Tremblement des membres inférieurs.
Signe
de Romberg. Réflexes rotuliens conservés. Lenteur
es yeux ouverts et les pieds joints, il ne peut pas se tenir droit.
Signe
de Romberg. ' Les réflexes rotuliens plutôt exa
la parole très marqués et les phéno- mènes spastiques, ce sont les
signes
qui classent ces cas dans l'hérédo- ataxie céré
'esprit exalté, gai, accélération des associations d'idées et comme
signe
extérieur des deux, exubérance extrême et variété
tôt traversé par des éclairs d'excitation maniaque,tan- tôt par les
signes
d'une dépression profonde, de l'angoisse, etc. So
profondes, de véritables muti- lations, sans manifester le moindre
signe
de douleur. Ici encore, inter- viennent une mus
ticulier. Il n'a ja- n mais eu de crises nerveuses, il n'y a pas de
signes
d'une syphilis antérieure. Notons seulement une
re est montée à 40° ; l'auscultation pulmonaire a montré, outre des
signes
de ramollissement des deux sommets, une série de
onc qui malgré l'atrophie permettait au malade de marcher, tous ces
signes
, anor- maux en apparence, sont expliqués par le
ancien presque aveugle depuis près de 10 ans sans avoir présenté de
signes
de tabès et de 6 syphilitiques non amaurotiques
philitique tertiaire , aveugle depuis 10 ans sans avoir présenté de
signe
de tabes (Turb...). - Nombreu- ses fibres resta
notre descrip- tion identifiées aux tabès vrais, bien que quelques
signes
permettent au- jourd'hui de les en distinguer.
etrouvés bien plus nettement chez un syphili- tique qui, sans autre
signe
de tabes, était aveugle depuis 7 ou 8 ans (nerf
laire exagéré à droite, plutôt affaibli à gauche. Clonus du pied et
signe
de Babinski des deux côtés. La tête est forteme
r, qui doit avoir dépassé la quarantaine ; il porte sur la face les
signes
indiscutables d'une lésion grave, lupus ou lèpr
re dans des cas de ce genre de s'attacher à la recherche des autres
signes
, et en particulier dé rechercher avec soin les
ig. 13. Ecriture de la malade 18 mois après l'apparition des premiers
signes
de la paralysie générale. - La malade a essayé
scence (2). Des stigma- tes physiques et psychiques constituent les
signes
distinctifs de cette dégéné- rescence. Abstract
déac sur la séméiologie du sys- tème nerveux des animaux (4). I
Signes
morphologiques OU stigmates physiques DE DÉGÉNÉRE
t une importance pratique considérable du fait de l'identité de ces
signes
anatomiques avec les « pseudostimates anatomiqu
visage, de la bouche, la forme de la mâchoire in- férieure, et ces
signes
, relevés par nous chez les équidés liqueurs, répo
ue chez l'homme, des stigmates anatomiques de dégénérescence. Les
signes
fournispar la tête doivent primer les autres cara
ment, de psychoses ou de névroses et, il ce titre, constituent des
signes
de dégénérescence. 2. Activité réflexe. - L'é
igmates psychiques et des dégénérés infé- rieurs avec un maximum de
signes
anatomiques. Quoi qu'il en soit, il est à remar
pas considérés isolément et, en quelquesorte, indé- pendamment des
signes
morphologiques de la dégénérescence. « Tout fait
s leurs rapports les élé- ments de ce système, les trois groupes de
signes
anatomiques, physiologi- 488 KUDLEK et cuomel
celle des dégénérés, déséquilibrés, héréditaires humains. Chaque
signe
de dégénérescence, pris individuellement, n'a de
e, mais une simple présomption de dégénérescence ; on associera les
signes
psychiques aux signes physiques pour avoir tout
somption de dégénérescence ; on associera les signes psychiques aux
signes
physiques pour avoir toute leur signification,
des grandes jointures à l'âge de onze ans et présente également des
signes
de l'arthrite déformante aux mains seulement. I
s malheureuses possédées montrent aux assistants émerveillés, comme
signes
indéniables de la possession. En 161fla), dans
tte femme les progrès de la lésion vertébrale par la succession des
signes
qu'elle a présentés depuis le jour où la métast
ns lacontemplation d'un ami qui cntr'ouvre la porte et lui fait des
signes
d'intelligence pendant que.son mari est tout en
ce de la commère qui, lorsqu'elle ne coupe pas l'emplâtre, fait des
signes
d'intelligence à quelqu'un qui ne lui est certain
n'ont pas paru depuis le mois d'avril. Il n'existe cependant aucun
signe
de grossesse. De taille moyenne, elle conserve
un qui se juge par les phénomènes prémonitoires de l'accès, par les
signes
et symptômes constitutifs de l'aura. Avant la c
s, sans qu'il y ait de changement dans les troubles oculaires et le
signe
de Wcstphall. 30 à 35 ressentent, à des degrés
oit la déformation caractéristique de la main-bote cubito-palmaire,
signe
de l'atrophie cérébrale de l'enfance. Cet infir
manifestement atrophiés et l'on peut très clairement reconnaître ce
signe
donné comme caractéristique de l'atrophie cérébra
isme interne et le père sont bien portants tous deux et n'ont aucun
signe
d'alcoolisme ou de syphilis. Ils sont de taille
t une large part. Après avoir bien mis en évidence les trois grands
signes
précédents : à savoir l'hypertrophie des pieds,
s mains et de la face, il nous reste à terminer l'exposé des autres
signes
rencontrés chez notre sujet. La tête penchée
s une névrite optique double aboutissant à la cécité, tels sont les
signes
qui complètent dans ses lignes générales le table
ession du cli- gnement est-elle quelquefois désignée sous le nom de
signe
de Stelhuag. ' z Mais, dans le goitre exophth
e la sclérotique au-dessus de la cornée est désignée sous le nom du
signe
de de Graefe qui l'a décrite le premier. ( Le
us le nom du signe de de Graefe qui l'a décrite le premier. ( Les
signes
de Stellwag et de de Graefe, surtout lorsqu'ils s
rares et mal déter- minés relevés par MM. de 'Wecker et Landolt, le
signe
de Stellwag a été rencontré sans autre symptôme
de troubles mentaux et le même auteur a observé la combinaison des
signes
de et de de Graefe chez un homme paraissant' ab
omme on peut le voir sur les figures 2 et 3 de la planche XXVI, les
signes
de Stclhvag et de de Graefe'. Ce malade, âgé de
une bande de la sclérotique et que le clignement est très rare. Ce
signe
s'accentue lorsque le malade est excité, il décou
de la cornée un espace de à 3 millimètres (fig 3). En somme, les
signes
de Stellwag et de de Graefe sont bien carac- té
ouverait en tout cas que le syndrôme palpébral peut être le premier
signe
de la maladie de Graves. Sur deux autres épilep
f à ce sujet. Il a fait voir d'autre part qu'il n'existait point de
signe
positif de maladie de Basedow à laquelle on aur
t bien au-dessus de la moyenne. On ne trouve d'ailleurs aucun autre
signe
de maladie de Basedow, ni goitre, ni tachycardi
Ainsi que cela se voit parfois dans celle paralysie, il y avait des
signes
d'une affection périphérique du trijumeau : sen
intégrité complète de l'iris et du muscle accommodateur. Ce dernier
signe
a donc une valeur incontestable pour le diagnosti
r. Nous aurons du reste l'occasion de rappeler, chemin faisant, les
signes
propres à cette dernière localisation. Enfin no
l'accommodation. Pas n'est besoin de revenir sur l'importance de ce
signe
, considéré en général comme pathognomonique. Qu
pharynx dans un état normal, pas de modification électrique. Pas de
signes
de tabes. Ni syphilis, ni tare héréditaire. A l
oute la région, et malgré cette prolifération on ne constate pas de
signe
de division indirecte (Pl. XXXII, fig. 5 c). Le
éclosion d'une pneumonie qui n'en était probablement que le premier
signe
, la malade est atteinte d'une bronchite chronique
st atteinte d'une bronchite chronique, et présente actuellement les
signes
classiques de la tuberculose pulmo- naire et la
ns- nous, en présence des considérations suivantes. D'une part, les
signes
tabetiques sont rares dans cette affection et,
missements. L'état actuel de cette jeune fille est le suivant : les
signes
d'une hémiplégie droite pour les membres sont a
E SUR UN cvs DE PARALYSIE. 7 primitive et il fit de ce caractère un
signe
distinctif du strabisme paralytique et du strab
ausible. Nous voyons, d'autre part, que la malade présente quelques
signes
, peu accentués il est vrai, mais indéniables cepe
use. 236 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI');'fltIl : RE. Outre le
signe
de Lasègue qui réveille la douleur, outre les dou
que n'est donc guérie qu'en apparence, puisque persistent encore le
signe
de Lasègue et l'impossibilité de l'extension comp
? Et dans ces cas quels sont ceux qui doivent guérir ? Y a-t-il des
signes
qui puis- sent faire soupçonner la guérison ? A
symptomatologie ni l'évolution de la paralysie spinale. Après ces
signes
négatifs en quelque sorte, il nous reste à faire
risée anatomiquemcnt par une poly- névrite, et cliniquement par des
signes
plus ou moins accusés du 270 NOUVELLE ICONOGRAP
s cérébraux dont la participation au processus est attestée par les
signes
cliniques jouent un rôle pathogène dans les cas
ns ses antécédents ni rhu- matisme ni alcoolisme, non plus qu'aucun
signe
de syphilis. Il y a onze ans, apparition de dip
uscles des yeux. Réaction pupillaire et accommodation conservées. -
Signes
de la paralysie de l'hypo- glosse. Acuité visue
lons nous occuper maintenant, le début se fait au contraire par les
signes
de paralysie labio-glosso-laryngée. On peut les
, mais qui, symptoma- tiquement, se traduiraient par un ensemble de
signes
simu- lant plus ou moins le tabes. Plus tard,
l. Mais ce diagnostic ne pouvait se soutenir en présence des autres
signes
présentés par le. malade. C'est ainsi que les s
us de la tête et ayant trouvé un calendrier où étaient dessinés les
signes
du zodiaque, elle dit que ce sont des animaux s
points principaux de ces recherches sont : A. Il n'existait aucun
signe
clinique permettant d'affirmer le diagnostic de c
o-aortique (liyperthropie du coeur et insuffisance aortique) et les
signes
cli- niques ordinaires du goitre exophtalmique,
urs d'une neurasthénie et ayant guéri sans avoir donné lieu à aucun
signe
de lésion apparente. Cette absence complète d
lieu à aucun signe de lésion apparente. Cette absence complète de
signes
physiques permet d'éliminer toute cause organiq
observés de tumeur du corps calleux, se demandent s'il y aquelques
signes
cliniques permettant de diagnostiqueur la local
e poils, phlyctène atrophie des muscles paralysés. Ces différents
signes
, d'ailleurs spéciaux aux polynévrites, ne se co
ce-de la peau. Puis arrive le paramyoclonus multiple, avec tous les
signes
de Frie- dreich : convulsions cloniques d'une c
x minutes au maximum et devant toujours être suspendue au moindre
signe
de fatigue. Résultat du traitement : deux succès
barras de sa parole, embarras dont il ne s'aperçoit pas, est un bon
signe
de paralysie générale sur lequel les auteurs ont
la paralysie générale ont une importance au moins égale à celle des
signes
physiques. M. TOULOUSE. En dehors des signes dé
oins égale à celle des signes physiques. M. TOULOUSE. En dehors des
signes
démentiels, il n'y a, dans les cas douteux, qu'
latérales. M. Minor ter- mine en faisant ressortir la valeur de ces
signes
dyskynésiques dans le diagnostic des simulation
s, demeurant 104, rue de l'Ouest, donnant depuis longtemps déjà des
signes
d'aliénation mentale, était pris, hier dans la
gnostic de paralysie générale avait été contrôlé et vérifié par les
signes
anatomiques qui la carac- térisent. On nous acc
ès quel- ques jours de fixation, mérite de prendre rang parmi les
signes
macroscopiques les plus importants de la paralysi
troubles trophiques de la para- lysie générale, qui sont autant de
signes
de névrites. Presque toutes les lésions médulla
ses isolément , elles méritent une bonne place à côté des meilleurs
signes
anatomo-pathologiques de la paralysie générale.
tense pour ressem- bler à celle du tabes. On devrait voir alors les
signes
du tabes s'ajouter à ceux de la paralysie génér
ralysie générale. Quand elle n'est pas arrivée à ce degré, quelques
signes
seulement pour- ront se manifester. Nous avon
adie; elles méritent cependant de prendre rang à côté des meilleurs
signes
ana- tomopathologiques de la maladie. De leur c
Sommaire. Délire systématisé de persécution et de grandeur. Pas de
signes
antérieurs de dégénérescence. Fièvre typhoïde sui
ires seraient bons, d'après ses enfants, et qui ne présentait aucun
signe
de déséquilibration mentale avant le début de la
aintient très élevée; taches rosées, langue rôtie, presque tous les
signes
d'une fièvre typhoïde à la période d'état. La m
s neurasthéniques qui présentent en même temps des stigmates ou des
signes
d'hystérie, ils donnent la préférence à la fran
st suivie parfois de phénomènes délirants. Tels sont les principaux
signes
qui permettent, d'après le Dr Bonjour, de décid
r beaucoup du côté droit. L'auteur constate avec étonnement que les
signes
pul- monaires ont disparu au côté droit et se r
La force motrice n'a pas subi d'atteinte. On constate chez lui les
signes
de l'alcoolisme chronique (injection des petits
élégué par lui, remplit les fonctions d'ordonnateur et, à ce titre,
signe
et délivre tous mandats pour l'acquittement des d
ion, du Conseil d'administration et de l'Assemblée générale, et les
signe
avec le Président. Il a la surveillance et la gar
eil d'administration; il vise toutes les pièces de comptabilité; il
signe
, en vertu d'auto- risations spéciales du Consei
ment intentionnel des mains, des vertiges, etc., l'ensemble de ces
signes
morbides rappelait à un certain degré la sclé-
auteurs (Westphal, Busch) trouvent même dans cette circonstance un
signe
particulier de la sarcomatose méningée, tandis
ération. Mais cette émotivité poussée à l'extrême n'est-elle pas le
signe
d'une dégénérescence manifeste ? Faut-il être é
a des absences de mémoire. Un peu plus tard M. Magnan note quelques
signes
de démence, de l'inégalité pupillaire et quelqu
te-huit heures après son admission, on constatait chez lui tous les
signes
d'une paraplégie spasmodique avec exagération des
ge un peu, les idées deviennent 'confuses, elle s'énerve, donne des
signes
d'impatience, de découra- gement, pleure, parle
par le développement du tissu scléreux. En un mot, on trouvait les
signes
d'une thyroïdite en voie d'évolution. La caus
'attribuer à un trouble mental. La microcéphalie se reconnaît à des
signes
assez caractéristiques dans la forme et les dim
cours du traitement et noter avec soin la température. Au moindre
signe
de malaise, il faut prendre la température, et si
tômes d'Argyll-Robertson n et de Westphall constitueraient les deux
signes
prodromiques prin- cipaux de la paralysie génér
é à l'âge mûr, ancien syphilitique, sans que l'on constate d'autres
signes
du tabès, le soupçon d'une paralysie générale e
existe en même temps des stigmates de neuras- thénie. Les autres
signes
précoces de la paralysie générale sont les opht
ements du caractère, etc.), est minime en comparaison de celles des
signes
mentionnés ci- dessus. Un sujet nerveux sans ré
plus. Mais jusqu'au mois d'avril 1858 on ne constate encore aucun
signe
évident de paralysie générale ; tandis que le res
le reste de l'année se passe dans la torpeur mentale avec quelques
signes
de paralysie. 1859. Dès le mois de janvier, R..
isparu de son domicile depuis trois jours. Ce vieillard donnait des
signes
d'aliénation mentale. LES aliénés EN liberté
ou une incohérence énorme rappelant celle des simulateurs. Tous ces
signes
font songer au brightisme et à ce titre sont pr
e de l'auto-intoxica- tion d'origine hépatique. Cela dit, à quels
signes
reconnaîtra-t-on la folie d'origine hépatique ?
signes reconnaîtra-t-on la folie d'origine hépatique ? D'abord aux
signes
révélateurs d'un mauvais fonctionnement du foie
ie et enfin modifications de la toxi- cité urinaire. Ajoutons-y les
signes
physiques, d'ailleurs inconstants, tirés de l'e
de cette triple cause que le foie sur- mené a commencé à donner des
signes
d'une défaillance qui s'est immédiatement tradu
r, au même moment et à des intervalles assez rapprochés, tous les
signes
qu'il contient sur un nombre assez élevé de para-
surément très rare chez les hémiplégiques, c'est la persistance des
signes
ordinaires de la paralysie du facial supérieur,
de Parkinson. (Revue neurologique, février 1898.) E. B. XCIIL LE
SIGNE
DE CH. BELL dans la paralysie faciale périphériqu
n définitive, on ne doit pas moins considérer le processus comme un
signe
caractéristique de l'encéphalite aiguë spontanée.
ale. La pathologie se charge d'ailleurs dé les dissocier : c'est le
signe
d'Argyll-Robertson '. II. Ajustement des neur
1 Nous avons développé ces idées ailleurs. Voir Dr Joanny Roux. Le
signe
d'Argyll Robel tson (l'rovizzce médicale, mai 189
du Nord, juillet 1898. An. in Presse méd.) a développé à propos du
signe
d'Argyll-Robertson absolument les mêmes idées que
es corticales prolongées, en dehors de la paralysie générale, comme
signes
d'une dégénérescence diffuse du territoire mote
on du réflexe patellaire est toujours en rapport avec un minimum de
signes
physiques, puisque cotte conservation est plus
ssions, les altérations du patellaire persistent alors même que les
signes
physiques se sont considérablement amendés au p
es deux hémisphères dans leur accroissement. P. Keraval. XIX. LES
signes
DE dégénérescence (extérieurs) dans la paralysie
degrés plus accusés d'un seul et même stigmate, qu'ils avaient les
signes
de dégénérescence les plus graves, et que les s
ls avaient les signes de dégénérescence les plus graves, et que les
signes
de dégénéres- cence étaient chez eux aussi plus
liés difficile avec la paralysie générale au début se fait par les
signes
physiques objectifs ou avec le temps par l'appari
gnes physiques objectifs ou avec le temps par l'apparition d'autres
signes
. 1.'Lystéro-ueurastliéme traumatique mérite une
fuatureÉpiiPp- tique par Hyier, 3` ? i. - fuciale périphérique et
signe
de Ch. l3ell, jarHonner.m.j.butbairssspas- mo
es aux diverses éloques cle l, -, par 3larancion de Montyel, 475.
Signes
de dégéné- rescence dans la -, par t\oecke, .
llerai latente, est celle qui ne se traduit pas à l'extérieur par des
signes
physiques. Elle a quelquefois une longue durée, e
mouvements, l'existence des abcès, la paralysie. La douleur est un
signe
vague, car elle peut dépendre de beaucoup d'autre
bituelle. Il faut explorer le malade dans toutes les positions. Ces
signes
sont équivoques; ils se rencontrent dans des état
ra s'éclairer des antécédents, de l'état général. 2e période. — Les
signes
sont encore peu marqués au début. La déformation
de la gibbosité. La première condition pour savoir tirer parti de ce
signe
, c'est d'aller à sa recherche, c'est de ne pas né
vertèbre est soulevée en pointe et isolée des vertèbres voisines, ce
signe
est pathognomonique ; on ne l'observe que dans le
i, dans cette courbe générale, vous découvrez une ou deux pointes, ce
signe
conserve toute sa valeur diagnostique, il est pat
e, distinguer une deuxième courbure supérieure à convexité gauche. Ce
signe
pourrait manquer. La deuxième courbure est parfoi
nt le mal de Pott de la déviation essentielle du rachis. Malgré ces
signes
, la confusion est quelquefois possible. C'est ain
tte série de nodosités à l'union des côtes avec leurs cartilages? ces
signes
ne laissent aucun doute sur l'existence du rachit
ion bien tranchée avec le reste de la colonne dans le rachitisme. Ces
signes
peuvent être insuffisants; on diagnostique alors
stique alors la maladie par l'examen du reste du corps. On trouve des
signes
de rachitisme dans un cas, et non dans l'autre.
irement globuleuse. Leur siège peut aider au diagnostic. Un autre bon
signe
est celui-ci : en pressant sur ces abcès, on fait
ins que sa grande habitude de la plessimétrie pour tirer partie de ce
signe
. Nous n'admettons pas d'ailleurs, avec notre sava
avec les abcès phlegmoneux. Ils présentent alors, comme ceux-ci, les
signes
d'une forte inflammation, rougeur, chaleur de la
telle est la diathèse syphilitique. Si vous avez pu en découvrir les
signes
, opposez-lui un traitement convenable; vous guéri
venue plus saillante. N'accordez pas toutefois trop de valeur à ces
signes
; ils varient du pins au moins et sont presque to
osseuses ne se trouvent plus situées sur une même ligne verticale. Ce
signe
a de la valeur et doit toujours être recherché.
Neuvième leçon, 13 juillet 1855. 6. IV. lésions nerveuses. — Les
signes
fournis par la lésion de la moelle et du cerveau
arthrite sous-occipitale. v. Abcès. — Les abcès peuvent fournir des
signes
d'une grande valeur, lorsqu'ils se développent du
essier (de Lyon). Ce fait, je ne le rejette pas entièrement; mais les
signes
de la luxation sous-occipitale sont en général as
culation, des fongosités dues à l'épaississement de la synoviale. Ces
signes
sont évidemment ceux d'une coxalgie; il n'existai
e époque plus reculée. Qu'on prouve qu'il existe, à la naissance, des
signes
de coxalgie ancienne, on pourra croire alors à ce
est propre aux pseudarthroses coxo-fémorales congénitales et forme un
signe
précieux pour différencier ces lésions des luxati
e coxalgie. M. Parise se fonde sur l'abondance de la synovie; mais ce
signe
est insuffisant pour caractériser l'arthrite coxo
nostic. (1) Dupuytren a le premier tracé avec détail le tableau des
signes
de la luxation congénitale du fémur sur le sujet
oucher: tel est le grand trochanter ; c'est lui qui nous fournira les
signes
nécessaires pour apprécier exactement le déplacem
ir les moindres différences de conformation d'un côté à l'autre. Ce
signe
peut être plus obscur si la luxation est double.
nclinaison en sens inverse. V. État des mouvements. — Tels sont les
signes
de la pseu-darthrose fémorale à l'état de repos;
s signes de la pseu-darthrose fémorale à l'état de repos; ce sont les
signes
anatomi-ques ; nous avons aussi des symptômes phy
isse, je la retrouve sur la face externe de l'os des îles. Les autres
signes
sont rationnels; celui-ci est pathognomonique ; b
mpossible de sentir les têtes des fémurs, et cependant nous avons des
signes
de luxation évidente. Cette enfant est courte des
Delpech (1). Ce savant professeur décrit chez un jeune sujet tous les
signes
d'une luxation de la hanche, ensellure lombaire,
ands arcs de cercle décrits sur l'ilium par la tête fémorale. A ces
signes
physiques s'ajoute le commémoratif fourni par les
traumatique. Dupuytren a mis en relief, avec raison, la valeur de ces
signes
négatifs. M. Malgaigne exigerait en outre, pour q
fique ouvrage de Sandifort (1). La luxation intra-cotyloïdienne a des
signes
propres ; si vous avez affaire à une tête qui ne
trochanter. L'étendue des mouvements de la tête du fémur fournira le
signe
distinctif principal entre la syndesmose et la di
rès son traitement, c'est-à-dire parce qu'il n'en apercevait plus les
signes
. Voilà ce qui résulte d'une lecture attentive des
aux os de la jambe. Le reste du pied ne présente quelquefois aucun
signe
de déformation, comme vous le voyez sur ce moule.
et dans les cas les plus légers. On pourrait dire qu'il constitue ce
signe
pathognomonique unique, que Glisson semble avoir
ue moi, la déformation des côtes comme un symptôme constant, comme un
signe
pathognomoniquedu rachitisme; que l'éminent profe
itisme; que l'éminent professeur attribue, comme moi, l'absence de ce
signe
, dans certains cas de rachitisme ancien, à ce qu'
il commence à faire quelques pas sans soutien. Cet enfant n'a pas de
signes
de rachitisme crânien ; la colonne vertébrale est
isme se déduit de ses caractères anatomi-ques et physiologiques. I.
Signes
anatomiques.— (1) Les signes anatomiques vous son
res anatomi-ques et physiologiques. I. Signes anatomiques.— (1) Les
signes
anatomiques vous sont déjà connus : ce sont toute
Le chapelet, le thorax en carène, les courbures des membres, sont des
signes
pathognomoniques, quand ils existent. Après eux v
dive et l'altération des dents, la flexibilité des os. Aucun de ces
signes
n'avait échappé à Glisson, si ce n'est le dernier
sième période. L'âge exerce une influence marquée sur la nature des
signes
que l'on observe. Le grand volume et la mollesse
s membres, sont plus prononcés chez les sujets un peu plus âgés. IL
Signes
physiologiques. — Les signes physiologiques sont
s chez les sujets un peu plus âgés. IL Signes physiologiques. — Les
signes
physiologiques sont constitués par les troubles f
elles recherches me paraissent nécessaires pour fixer la valeur de ce
signe
. Les symptômes de compression, dans l'hydrocéphal
nnaître, pour peu qu'on la cherche avec soin ; elle se trahit par les
signes
de l'affection primitive. Voici quelques exempl
r les saisir. La saillie latérale, lorsqu'elle existe seule, n'est un
signe
de courbure que si elle est circonscrite, bornée
le doute sur l'existence de la courbure, si elle n'avait pas d'autres
signes
. Comme je l'ai dit pour la courbure aortique, c
ses épineuses ne sont pas déviées, ce qui, joint à l'absence d'autres
signes
, indique que la déformation est très-légère; peut
elte alternative de saillies et de dépressions est, vous le savez, le
signe
pathogno-monique de la scoliose quand les apophys
e courbure à la région dorsale du rachis. Cependant nous trouvons les
signes
pathognomoniques d'une scoliose, la rondeur des c
el. — J'ai insisté, à l'occasion de plusieurs de nos malades, sur les
signes
caractéristiques de la courbure latérale du rachi
bres, qui s'y joignait, n'était pas moins clairement indiquée par les
signes
qui lui sont propres. Je ne m'étends pas sur le
é dans un sens, résistance au redressement, et d'ailleurs réunion des
signes
extérieurs de la déformation et des signes physiq
et d'ailleurs réunion des signes extérieurs de la déformation et des
signes
physiques de la rétraction. Je vous ai déjà montr
...... 305 .§ IL —Diagnostic du rachitisme................ 311 I.
Signes
anatomiques.................... ib. II. Signes
........... 311 I. Signes anatomiques.................... ib. II.
Signes
physiologiques................... ib. Diagnosti
ologie s'attachait beaucoup aux bâillements morbides considérés comme
signes
pronostiques dans les maladies aiguës : ainsi, po
ujours compter sur le chapitre des anomalies et qu'il n'existe pas de
signes
absolument pathognomoniques. Je terminerai ce q
moscopique de la rétine ou des milieux. Sans doute ce n'est pas là un
signe
absolument pathognomonique de la névrose, — il n'
e la maladie hystérique, et à leur défaut, nous avons relevé assez de
signes
caractéristiques pour nous permettre de conclure
ns ad hoc : le malade prévoit qu'il va avoir son attaque ; le premier
signe
précurseur est une douleur vive qu'il ressent dan
tre question : Quels sont, étant donnée la chorée chez un adulte, les
signes
prochains propres à indiquer que les choses prenn
terai que nulle part ailleurs nous ne rencontrons dans ces organes de
signes
d'une lésion quelconque appréciable par nos moyen
e commença à répondre à mes questions et d'un air fort étonné faisant
signe
qu'elle ne comprenait rien à la situation, elle n
és,la malade oscille et menace de choir; c'est là ce qu'on appelle le
signe
de Romberg. M. Charcot prie la malade de marche
ions normales, dans l'acte d'accommodation pour une courte distance. (
Signe
d'Argyll Robertson). Voici donc, de ce côté, un n
x y fait défaut tandis que les réflexes de la convergence persistent (
Signe
d'Argyll Robertson). Voilà cette fois un phénomèn
culaire, micropsie et macropsie (Parinaud). Troubles pupillaires.
Signe
de Vincent, Goingt et Argyll Robertson : Insensib
ptôme-là n'appartient ni à l'ataxie ni à la sclérose en plaques. Le
signe
d'Argyll Robertson appartient exclusivement à l'a
s pupillaires sont normaux : pas de myosis spasmodique, pas traces du
signe
d'Argyll-Robertson. Polyopie monoculaire : c'est
ène du pied) assez prononcée et depuis que j'ai appris à connaître le
signe
de Westphal, une exaltation très manifeste de la
bosité ne s'est pas encore produite ; et aussi comment l'ensemble des
signes
classiques sur lesquels reposent le diagnostic de
ant, l'examen attentif des voies respiratoires ne nous a fourni aucun
signe
propre à justifier positivement ces craintes. D
ibles. L'incoordination motrice est portée à un très haut degré et le
signe
de Romberg est très prononcé. Les réflexes rotuli
on des douleurs en ceinture. Retour de la sensibilité normale ; 4° le
signe
de Romberg n'existe plus ; 5° augmentation légère
llements et d'une sensation de froid. Absence des réflexes rotuliens.
Signe
de Romberg ; papilles normales : myosis, pupilles
e sommeil. Miction difficile ; la vessie se vide en cinq ou six fois.
Signe
de Romberg nettement prononcé. Impuissance complè
é depuis deux ans. — Quinzième séance : On constate la disparition du
signe
de Romberg. Le « dérobement » des membres inférie
x ans. Démarche tabétique datant d'un an. Réflexes rotuliens absents.
Signe
de Romberg. Signe d'Argyll Robertson. Miction dif
bétique datant d'un an. Réflexes rotuliens absents. Signe de Romberg.
Signe
d'Argyll Robertson. Miction difficile. Impuissanc
lus rares et très supportables. Elles n'empêchent plus le sommeil. Le
signe
de Romberg a en grande partie disparu. Réflexes r
oton dans les pieds et les jambes; réflexes rotuliens absents, pas de
signe
de Romberg. Erections rares et imparfaites. Déb
de la sensibilité de la plante des pieds. Réflexes rotuliens absents.
Signe
de Romberg très net. Difficulté de la miction ; u
tion ; un peu d'incontinence de temps à autre. Mal perforant du pied.
Signe
d'Argyll Robertson. Début du traitement,le 10 o
ion et des sensations pathologiques qui existaient dans les pieds. Le
signe
de Romberg a disparu òu, tout au moins, il est de
mbres inférieurs et une difficulté rapidement prononcée de la marche.
Signe
de Westphal, signe de Romberg, signe d'Argyll Rob
une difficulté rapidement prononcée de la marche. Signe de Westphal,
signe
de Romberg, signe d'Argyll Robertson. Les douleur
pidement prononcée de la marche. Signe de Westphal, signe de Romberg,
signe
d'Argyll Robertson. Les douleurs fulgurantes se s
e, les douleurs ont cessé d'exister,les pieds sentent mieux lesol; le
signe
de Romberg ost moins accusé. Après la douzième sé
octurne depuis trois mois. Marche très difficile, très incoordonnée :
signe
de Romberg très accentué, absence des réflexes ro
a miction s'était améliorée, l'anesthésie plantaire avait disparu, le
signe
de Romberg était devenu moins prononcé ; mais de
canne, faire des courses assez longues, etc., etc. La disparition du
signe
de Romberg, lorsqu'elle a eu lieu, a été presque
séances, a obtenu des améliorations très remarquables portant sur le
signe
de Romberg et, sur la titubation qui étaient très
fulgurantes, les troubles vésicaux divers, la faiblesse générale, le
signe
de Romberg enfin, sont surtout favorablement infl
à des douleurs fulgurantes; la vessie fonctionne normalement; pas de
signe
de Romberg, etc. etc. Enfin, il est facile de méc
le premier point les résultats ont été rassurants ; il n'existe aucun
signe
d'une lésion viscérale quelconque; les poumons en
lie l'incoordination motrice qui, aujourd'hui, est fort accentuée. Le
signe
de Romberg existe. Parésie vésicale, fréquemment
la pantomime à laquelle se livre notre malade ; vous voyez, elle fait
signe
d'abord qu'elle ne peut rien dire : mais la voilà
lui, en marchant, son pied sur le soàl la manière d'un corps inerte (
signe
de Todd) ; réflexe rotulien très faible de ce côt
our laquelle elle a été traitée aux Quinze-Vingts. Aujourd'hui, si le
signe
d'Argyll Roberston fait défaut, il existe par con
cas-là n'est pas le meilleur. A l'âge de 31 ans se manifestent des
signes
de tuberculisation pulmonaire dont on reconnaît e
ésie cutanée généralisée absolue, et qu'il présentait quelques autres
signes
qui le désignaient comme un hystérique. Je ne dem
es, que l'incoordination motrice des membres inférieurs, et le 45
signe
de Romberg, ne laissant planer aucun doute sur l'
es troubles gastriques apparaissent tout à coup, le plus souvent sans
signes
prémonitoires, et ils se terminent également tout
cette observation: néanmoins, en supposant même que quelques-uns des
signes
tabétiques qui se dissimulent le plus facilement,
projetés et retombent lourdement sur le sol en frappant du talon. Le
signe
de Romberg est très accentué. Les douleurs fulgur
e complète, depuis trois ans. Jamais il n'y a eu de diplopie, mais le
signe
d'Argyll Robertson est bien dessiné. Les crises g
l'examen que nous fîmes de son état nous apprit ce qui suit. Aucun
signe
d'une lésion viscérale organique quelconque. En d
inférieurs la liberté de tous ses mouvements et ne présente aucun des
signes
révélant une affection spinale connue, soit de l'
le. Nous avons suffisamment constaté, d'ailleurs, qu'il n'offre aucun
signe
d'une paraplégie soit molle, soit spasmodique, qu
, soumis les membres inférieurs, elle a le plus souvent manifesté des
signes
de douleur ; c'est qu'en effet, ces membres sont
e, puis d'une inégalité pupillaire aujourd'hui encore présentes, avec
signe
d'Argyll Robertson, il est impossible également d
xamen des membres nous permet de constater. A la face, pas le moindre
signe
d'atrophie musculaire : les lèvres ne paraissent
ésente les symptômes classiques de la myopathie primitive. Le premier
signe
qui l'ait frappé est qu'il ne pouvait plus siffle
n'est pas du tout ce qu'on appelle un nerveux et n'a jamais donné de
signes
d'émotivité maladive. Il ne paraît présenter, à l
souvent question pendant toute la durée du cours. Il faut voir là un
signe
des temps. Sous l'influence des études récentes,
sement concentrique et permanent du champ visuel (examen du 26 août),
signes
qui faisaient encore défaut à l'époque où le mala
omplexus en apparence autonome, il n'en a pas toujours été ainsi. Les
signes
de la neurasthénie ont apparu chez Claw... trois
our le tabes, 204, sq. Arago, 443. Aran, 412. Argyll Robertson (
Signe
d') 158, 164, 166 et passim. Arithmomanie, 468.
gnostic avec Fabasie), 366. — (Périodes de la grande attaque), 33. — (
Signe
de Todd dans l'hémiplégie). 268. — Sommeil (Voy.
111. Rissler, 418. Robertson, 226. Roche, 225. Rœderer, 5. Romrerg (
Signe
de) ; — dans le Tabes, 157« — et suspension, 20
213, 214, 216. — Réflexes, 201, 202, 216. — Statistique, 218 sq. —
Signe
de Romberg, 201. — Symptômes oculaires, 201,
. — Réflexes, 157. — Réflexes exagérés, 278. — Sensitif (tabès)499. —
Signe
d'Argyll Robertson, 158, 164. — Signe de Romberg,
, 278. — Sensitif (tabès)499. — Signe d'Argyll Robertson, 158, 164. —
Signe
de Romberg, 157. — (Suspension dans le), 199,200.
5. Tillaux, 225. TlLMANN, 225. Tissié, 327. TODD, 46. Todd (
Signe
de), 268. topinard, 332. Tourdes, 446, 450. T
72, 273. Vulfian, 77, 161, 334, 336, 340, 343, 416. w Westphal (
Signe
de), 178. Weir Mitghell, 362, 518. Wilde, 225. Wi
le corps thyroïde semblent normaux. Cliniquement. R. offre tous les
signes
de l'asystolie. Le pouls est petit, misérable,
les, elle conserve son individualité, et se trahit toujours par des
signes
non équivoques. Aussi, en raison de la variété
comme pour les crises de convul- sions démoniaques, cet ensemble de
signes
qu'on peut appeler patllogno- moniques ». Cet
profondes, de véri- tables mutilations, sans manifester le moindre
signe
de douleur. Ici encore la crise est provoquée p
cérémonies religieuses où ces mouvements étranges passaient pour un
signe
de la possession des dieux. Certaines poses, par
qui gène considérable- ment le malade, pas d'incoordination, pas de
signe
de Romberg. Le malade est sujet à une constipat
s semées de curieuses anecdotes chirurgicales. Après avoir noté les
signes
« conjectura tifs» et les signes certains des f
hirurgicales. Après avoir noté les signes « conjectura tifs» et les
signes
certains des fractures du crâne, Paré étudie le
ns lésion nerveuse, et cependant l'on a constaté pendant la vie des
signes
certains d'une affection du sys- tème nerveux.
e retomber en talonnant, il a de la diplopie intermittente, il a le
signe
de Rombcrg, le signe de Westphal le signe d'Arg
nt, il a de la diplopie intermittente, il a le signe de Rombcrg, le
signe
de Westphal le signe d'Argyil-Robertson, il a l
ie intermittente, il a le signe de Rombcrg, le signe de Westphal le
signe
d'Argyil-Robertson, il a la miction entrecoupée,
ptoma- tique se trouve aujour(l'hui réalisé à peu près au complet :
signe
de Westphal, signe d'tlryll-l3ol)ertson, amauro
uve aujour(l'hui réalisé à peu près au complet : signe de Westphal,
signe
d'tlryll-l3ol)ertson, amaurose, arthropathies, et
l'incoordination caractéristique du tabès : elle n'a pas en effet le
signe
de Ronll)crj qui, presque toujours, annonce l'a
nes. En dehors des arthropathies des genoux, la malade présente les
signes
tabé- tiques suivants : le signe do Romhcrg, du
es genoux, la malade présente les signes tabé- tiques suivants : le
signe
do Romhcrg, du myosis bilatéral avec perte du réf
oir passé plusieurs mois à Vichy, est revenue à la Salpêtrière. Les
signes
précédents sont identiques sauf l'amblyopie qui
ui lui remit par écrit les symptômes qu'il cons- tata alors, soit :
signe
de I ? Oïiibl'i9, signe de Westphal et persistanc
es symptômes qu'il cons- tata alors, soit : signe de I ? Oïiibl'i9,
signe
de Westphal et persistance telle des douleurs f
qu'il s'était fait faire pendant son séjour dans les colonies. Les
signes
de tabès qu'il possède sont les suivants : Douleu
la région lombaire pré- sente une zone limitée d'hyperesthésio. Le
signe
de Westphal étant donné la déformation des doux
de cette région soit intacte, le réflexe plantaire n'existe pas. Le
signe
de Romborg ne peut être recherché, la station d
rg ne peut être recherché, la station debout étant impossible. (Ces
signes
avant l'apparition des arthropathies avaient ét
pparition des arthropathies avaient été constatés par M. Charcot). Le
signe
d'Aryll-Robertson est très net. Aucun trouble d
d'opinions, la scoliose rentre dans les troubles trophiques et les
signes
polio-myéliques médians de Charcot. C'est aussi
et pourtant parmi les 4 observations qu'il en rapporte le pre- mier
signe
de l'arthropathie s'est révélé 2 fois avant 20 an
e; c'est souvent entre 15 et 25 ans. Or l'arthropathie peut être un
signe
précurseur; il n'est donc pas étonnant qu'elle su
ente. Lorsque le médecin voit t pour la première fois le malade les
signes
polio-myélites antérieurs atro- phie musculaire
malade de J.B. Charcot reconnue syringomyélique depuis deux ans.
Signes
antérieurs. Les symptômes qui ordinairement précè
la Transfiguration de Raphaël, il est im- possible de retrouver des
signes
caractéristiques de l'hystérie, le mérite du ta
, empreint d'un tel caché de vérité qu'on peut y découvrir tous les
signes
d'une affection nerveuse alors méconnue. L'Ecol
déplacé de figurer la pro- trusion de la langue, et l'absence de ce
signe
enlève encore un carac- tère de vérité son esqu
rtige; rien du côté du larynx, ni de la langue, Pas de goitre, pas de
signe
de Romhcr. Sphincters intacts. Fin juin. L'ét
l'a- myotrophie, bien qu'elle ne soit pas très évidente, plusieurs
signes
vien- nent témoigner de l'existence des trouble
ingomyélie (1). Mais, sans vouloir résoudre ce point de litige, les
signes
qui caractérisent la lèpre : pigmentation spéci
es visuels font également écarter l'ataxie. Nous n'y trouvons aucun
signe
de sclérose en plaques. Notre malade présente p
aucun signe de sclérose en plaques. Notre malade présente plusieurs
signes
de la maladie de Morvan : la sensibilité tactil
connu et de signification presque pathognomonique : je veux parler du
signe
d'Argyll Robertson. Sous l'influence d'une exci
tracte plus. C'est un acte réllexe qui manque ; c'est l'équivalent du
signe
de Westphal caractérisé par l'absence du réflex
i a précédé t'arthropathie, il devrait y avoir réaction fébrile, et
signes
inflammatoires locaux. L'absence de douleur n'a
ce qui sera le premier point à éclaircir, l'indolence ne sera pas un
signe
suffisant. Il faudra tenir compte de l'absence
nnent à une époque où la syringomyélie était peu ou pas connue. Les
signes
à invo- quer en faveur de la syringomyélie sont
». Sont au contraire en faveur de la lèpre pour le même auteur les
signes
suivants : l'abolition de la sensibilité tactil
miques n'appartiennent qu'à la lèpre. Par contre la scoliose est un
signe
de syringomyélie. Il n'était peut-être pas inut
ns le cas de M. Charcot de faire le diagnostic c'est l'ensemble des
signes
positifs précédents et l'absence de tout phénomèn
l'une et à l'autre arthropathies. Ainsi pour conclure, le meilleur
signe
qui permettrait de les distinguer, celui qui pa
région de la hanche, l'articulation coxo-fémorale ne présentent ni
signe
actuel ni vestige de coxalgie. Toute douleur sp
e du corps autour de la verticale. L'étude de la signification du
signe
de Bomberg (1) nous permettra d'ex- poser brièv
n perspective à chaque déplacement de la tête. Dans la recherche du
signe
de Romberg, la vue est supprimée. Il reste l'orie
entation segmentaire se trouve lésé, irrité, faussé ou supprimé, le
signe
de Romberg prend des caractères différents. L
nerf labyrinthique est en plus (1) P. l3owcEn, Syndrome de Ménière,
Signe
de Homberg et agoraphobie dans la maladie de l3
ÊTRIÈRE étranglé de sclérose, tombe sans même s'en douter. C'est le
signe
de Itom- berg complet. Le malade n'a pas le bes
s transsudations exagérées ou les paroxysmes neurovascu- laires, le
signe
de Romberg est tout différent, que l'appareil d'o
sréactionsoculomotrices quenousavons exposées ailleurs (3). Dans le
signe
de Romberg l'incohérence labyrinthique se manifes
te une sorte d’équilibre entre la valeur estimative des denrées et le
signe
représentative de cette même valeur; de sorte qu’
sentative de cette même valeur; de sorte qu’à mesure que la valeur du
signe
représentative est diminué, le prix des denrées s
, n’ayant qu’une valeur vague et incertaine, ils ont cessé d’être le
signe
d’une valeur effective et positive. L’opinion pub
is. 11 n’y a pas à hésiter, sans quoi Duriflard enlève Hélène. Urbain
signe
. Partons, dit le commissaire infernal. — Mais ce
nous, ils ne pourraient jamais nous tromper, puisqu’il suffirait d’un
signe
de notre volonté pour les obliger d’être sincères
vec la vérité, ne doit- on pas être en garde contre elles ? Et à quel
signe
reconnaître le vrai, si ce n’est par l’accord, la
de ce nombre est une décision qui oblige tous les membres à porter un
signe
distinctif de leur qualité. Cette sorte de déco
nte la force, n’eût-elle pas été plus convenable ? Considérée comme
signe
de reconnaissance entre les magnétistes, comme la
sion. Je lui fis la ponction, et l’injection habituelle eut lieu sans
signe
apparent de sensibilité. Le malade s’éveilla de l
s fois soulevés en l’air, et violemment rejetés sur le lit sans aucun
signe
de mouvements volontaires. Il ne parut pas non pl
expulsion du loliurn autour delà sonde, mais il n’apparut aucun autre
signe
de sensation. Ce commencement n’était pas propice
ent. Ayant injecté la vessie, je fis l’opération. Nous ne vîmes aucun
signe
d’insensibilité, je crois, jusqu’à ce que mon doi
achine électro-magnétique, portée au second degré, sans montrer aucun
signe
de mouvements volontaires. Il s’éveilla environ
’un jour l’opération. Le 9. L’opération a eu Heu aujourd’hui, aucun
signe
de sensibilité n’est apparu jusqu’à ce que j’euss
nces aux esprits, des pactes avec eux, des onguents, dos paroles, des
signes
, et tout un code de formules propres à troubler l
les rêves d’insensés. Expérimentons. J’ai tracé sur le parquet un
signe
avec du charbon ; ce signe n’a aucune vertu par l
érimentons. J’ai tracé sur le parquet un signe avec du charbon ; ce
signe
n’a aucune vertu par lui-même , mais il en acquie
t, qu’est-ce que le magnétisme minéral auprès de l'humain? Lorsque le
signe
magique a en puissance la propriété que vous y av
que vous arriviez à temps pour les saisir et les transporter loin du
signe
magique. Empêchez-leur, autant que possible, tout
rement, ainsi que l’expérimenté, qui décrira des cercles autour de ce
signe
. Ayez, si vous voulez, un siège bas, et sans doss
ans dossier; car souvent le voyant cherche à s’approcher très-près du
signe
; il se penche et finit par se précipiter par ter
rre. Ayez encore un couvercle opaque pour couvrir instantanément le
signe
en cas de besoin ; car souvent les émotions sont
ait franchir la limite sans être instruit des règles. Je reviens au
signe
magique. Toutes précautions prises, vous laisse
uoi qu’il en soit, nos lecteurs ont pu voir que M. Gravé a obtenu des
signes
certains de son action , une modification ré,el
à une perfection sublime; taudis qu’ici, iis ne représentent que des
signes
de corrélation, que des images associées que la v
ute sa vie animique. Mais ses traits, sa physionomie, son attitude,
signes
visibles de ses émotions internes, n’étaient pas
e foule nombreuse, il dirige sans cesse ses yeux dans la direction du
signe
magique, semble faire appel à ses souvenirs, et s
bsence, deux personnes de l’assemblée, saisies, impressionnées par le
signe
magique, s’étaient levées avec effort d’abord, et
yants devinrent pacifiques. L’un s’agenouille, approche son visage du
signe
magique, sa tête oscille d’une étrange manière; o
re, d’un sérieux de glace, il plongeait ses yeux pleins de feu sur le
signe
. Saisi bientôt de mouvements convulsifs, il dit a
sera personnel à mes expérimentations. Continuons. Je découvre le
signe
caché, devant une jeune fille qui n’a encore assi
ôle! comme c'est drôle! Voulant, pour d’autres épreuves, dérober le
signe
magique à la vue, je m’avisai de réduire en pouss
seul, et plusieurs jours avant les épreuves, que je la déposai sur le
signe
magique. Aucune personne n’était confidente de me
de magnétisme simple, je découvre aux regards de toute l’assemblée le
signe
magique ainsi dissimulé. L’effet en fut prompt, e
il tremble, veut s’enfuir; mais une force secrète le ramène près du
signe
magique, cl nous l’emportons rapidement ; il étai
ide, Je le vois au haut des cicux, Décrivant, astre splendide, l)es
signes
mystérieux,... Dans sa marche solennelle, L’hum
e réservée pour mes opérations est de deux ou trois mètres carrés. Le
signe
magique, dont je varie à mon gré les dimensions,
ientôt d’être distraits, et semblent ne considérer qu’une chose, le
signe
magique. Leurs yeux deviennent ardents, expressif
orte d’aimant les attire : ils se lèvent enfin, et tournent autour du
signe
, tantôt s’arrêtent auprès de lui, et s’inclinent
nt sur le parquet, et enlacent de leurs deux bras la circonférence du
signe
. On ne peut douter qu’ils voient; la certitude
inaire. Puis, s’élançant à travers tous les obstacles, elle arrive au
signe
magique en maltraitant trois personnes qui y plon
emie par jour, du •>.§ mai au 4 juin, il fut opéré sans le moindre
signe
de sensibilité. Inutile de dire qu’il ignorait, c
qu’aux organes du mouvement ; lame et les sens ne laissent voir aucun
signe
de perception ; la vie semble toute concentrée da
s, et aidé par cet instrument si parfait qu’il possède, et qui est le
signe
de son immense puissance, qu’il est parvenu à réa
ous voulons n’embrasser aucune croyance à tout jamais, ni porter un
signe
qui enchaîne noire esprit. Nos idées sur ce point
odiquement. Je recommençai à le piquer et sans exciter le plus faible
signe
de sensibilité. Une heure après il s’éveilla natu
t le supporter : ce fut comme si on lui eût mis de l’eau tiède. Aucun
signe
de sensibilité n’apparut, et, en s’éveillant, il
gastre et les deux côtés du ventre. Le mouvement des bras imitait les
signes
télégraphiques les plus variés. Une émission de l
d’aménité. A ses yeux nous sommes tous des jongleurs, et cependant il
signe
, en collaboration de M. Jobard, les articles très
re-t-il dans l’état de veille, que le nom de l’individu, tel qu’il le
signe
, apparaît à ses yeux : les lettres se tracent et
ons nerveuses ; l’insensibilité du corps était même regardée comme le
signe
le plus certain de la possession. Chez les conv
nrent l’adorer dans l’asile même de la souffrance, dont elle était le
signe
rédempteur. Préludant à son destin par des faits
in de grandes combinaisons pour manifester sa puissance. Par quelques
signes
et quelques traits, je puis isoler la vie, faire
me soucierais-je pas trop de la donner ! Je trace sur le parquet un
signe
magique, figuré par des traits de charbon. Je pla
nt brusquement la position de l’expérimenté, nous le soutenons sur un
signe
différent du premier. Petit à petit, il revient à
on, 185, 397. — Existence conjecturale des esprits, 187, 213 , 332. —
Signes
magiques, 215, 634. — Dangers à éviter dans les e
éliorée, tout en laissant beaucoup à désirer. Dans tous les cas, le
signe
de Rombergest de- venu moins prononcé. Quant au
ption, dans l'autre après 15 jours; les troubles de la marche et le
signe
de Romherg étaient plus accusés (tout en n'arri
s, et les vomissements si fréquents ne les exas- péraient pas, tous
signes
qui ne s'accordent pas avec la péritonite. L'an
lordose lombaire, le malade marche comme une femme enceinte. Pas de
signes
de Romberg,, ses yeux ne peuvent pas rester fer-
mpérature sur les mouvements athétosiques. Spasme. Rigidité. Un des
signes
les plus caractéristiques de l'a- thétose doubl
juste litre un élément nécessaire de la maladie. Ce caractère, ce
signe
spasmodique des mouvements est signalé dan» pre
douleurs, sensibilité générale conservée. Pas de nystagmus ; pas de
signe
de Romherg. Troubles vaso-moteurs : les mains et
lus muets compren- nent facilement les demandes, et y répondent par
signes
, d'autres, en assez grand nombre, savent parfai
(cas de Warner et Mitchell). Greenless signale chez son client des
signes
d'aliéna- tion mentale et de démence secondaire
nférieurs. Pas de trépidation épileptoide. Pas de nystagmus. Pas de
signe
de Roml)erg. La sensibilité générale parait con
me les douleurs fulgurantes, l'absence des ré- flexes rotuliens, le
signe
d'Argyll Robertson, tandis que d'autres, les cris
, les désordres vésicaux, les paralysies oculaires, le myosis et le
signe
d'A. Robertson, occupent tout d'abord la scène, e
e sont : -1° les douleurs fulgurantes à retours périodiques ; 2° le
signe
d'A. Robertson et la paralysie de certains musc
t devançant à plus ou moins longue échéance l'apparition des autres
signes
de la ma- ladie. Ce que je viens de vous dire
regardant de près nous trouvâmes de l'inégalité des pupilles el le
signe
d'Argyll Ho- bertson. Cette association d'une d
ation d'une double arthropathie à évolution si particu- lière et du
signe
pupillaire nous fit immédiatement chercher dans l
s avons déjà accumulé, je crois, un nombre suffisant de symptômes :
signe
d'Argyll Robertson, troubles vésicaux, douleurs f
arthro- pathies, cet autre symptôme c'est le masque tabétique. Ce
signe
m'a été indiqué autrefois par Duchenne (de Boulog
trouble pendant 15 jours, il la suite d'un refroidissement : pas de
signes
objectifs concomitants du côté des yeux ( ? ) z
Le 26 novembre, la malade examinée présente, outre sa fracture, des
signes
divers de tabes. Ar tllropatliies tabétiques de
symptômes caractéristiques du tabès : perte du réflexe pupillaire,
signes
de Romberg, douleurs fulgurantes, crises viscéral
ses occupations pour un temps plus ou moins long. z L'intérêt des
signes
objectifs se concentre sur la région lombaire. C'
ut les faire suspendre. Iluet est le premier d'avoir insisté sur un
signe
capital dans l'athétose double : c'est la raideur
adie. Le plus souvent elle reste en élat stationnaire ainsi que les
signes
concomitants de la maladie; pen- dant longtemps
atteinte de la chorée de Sydenham, à la période d'état, le premier
signe
qui nous frappe comme dans l'athétose dou- ble
- ment. Marie croit que la symétrie peut être considérée comme un
signe
carac- téristique et que les spasmes musculaire
double. La guérison est fréquente avec récidives. Enfin les trois
signes
caractéristiques et qui n'existent pas dans l'ath
ttitude est la même dans les deux cas. On tiendra compte des autres
signes
de la névrose, de l'hyper- esthésie des tégumen
, à une hauteur variable, généralement dans la région lombaire, des
signes
qui révèlent v 15 218 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
ente aucun vestige stéthoscopique de l'affec- tion pleurale ; aucun
signe
de tuberculose ; il n'a que de la bronchite banal
tatée des modifications qui constituent cette réaction, fournit des
signes
objectifs autorisant ;'1 affirmer le diagnostic d
enfin la parole est aussi modifiée. - Mais en analysant ces divers
signes
, on trouvera des différences fonda- mentales qu
ique de l'a- thétose double. A l'ataxie héréditaire appartient le
signe
de Romberg, les verliges, le nyslagmus, l'absen
côté doit suffire il lever tous les doutes. Je n'insiste pas sur les
signes
anam- nestiques ou actuels d'hémiplégie spasmod
ar attaques. L'attaque de tétanie commence d'ordinaire par certains
signes
précur- seurs qui consistent en un malaise géné
die qui survient par accès, et caractérisée par certains prodromes,
signes
n'existant pas dans l'athétose double, maladie
ience, le diagnostic est peu embar- rassant, car il n'y a ici qu'un
signe
unique pour simuler t'athétose double. (1) Arch
ceux-ci étaient limités aux extrémités seulement. Tous les autres
signes
de l'athétose double faisaient défaut. De plus l'
s en ferons toujours le diagnostic par le manque de tous les autres
signes
habituels de l'athétose double. Hystérie. Il ex
ceux de l'athétose double vraie et que d'autre part tous les autres
signes
de cette dernière font défaut. D'après cela ce
de l'hémiathétose primitive qui, elle aussi, n'est pas précédée des
signes
ordinaires d'une lésion cérébrale. Il existerai
ed. Pas d'incoordination véritable des mem- bres inférieurs. Pas de
signe
de Romberg. Pas de nystagmus. Pas de strabisme;
s de certitude mathématique dans le dia- gnostic que n'importe quel
signe
d'auscultation pulmonaire dont l'inter- prétati
xisterait, sans raccour- cissement des membres, ce ne serait pas un
signe
suffisant pour rejeter l'hystérie (3). La con
umentation, en examinant les trois points suivants : 1° Par quels
signes
notre malade se rapproche du type clinique de l'h
plégie spasmodique infantile, avec lésions organiques; 2° Par quels
signes
il s'en éloigne ; 3° Enfin, sur quelles bases o
s bases on peut asseoir le diagnostic de syndrome hystérique. Les
signes
qui plaidaient en faveur du type clinique de l'hé
elles singularités permettaient d'éviter cette erreur, et par quels
signes
notre malade s'éloignait du type clinique de l'
urs plus ferme et plus correcte. Il est plus difficile d'amender le
signe
de Romberg. Cependant on observe souvent que la
aux cellules motrices de la moelle et aux fibres qui en partent. Le
signe
de Romberg est à mon avis un phénomène d'un aut
'toute leur jeunesse et' leur grâce. Mais l'artiste y a ajouté les.
signes
delà virilité sous la forme d'organes génitaux do
toute la partie antérieure jusqu'au dessus du pubis pour montrer le
signe
de la virilité. Le pénis est en érec- tion comp
de la vue (le malade voit sa femme et ses enfants, qui lui font des
signes
par-dessus le mur de sa sec- tion). Le 20. Il e
ux ; le soiràlO h. 1/2, soit 7 heures 30 après, sans qu'aucun autre
signe
ne les ait annoncées, il a des hallucinations t
font remarquer MM. Rodiet, Dubos et Pansier, on peut rencontrer ce
signe
dans bien d'autres affections que dans la paral
ansier estiment que l'on a jusqu'ici attaché trop d'importance à ce
signe
; ils font remarquer, avec juste raison que, si
bable, à des troubles des réflexes ou à toute autre cause, est un
signe
plus fréquemment constaté (trois lois plus d'aprè
aralysie géné- rale que dans les autres affections mentales. ' Le
signe
d'Argyll Robertson se rencontre encore plus fré
dation; mais lente- ment et incomplètement. Il nous a paru que le
signe
d'Argyll Robertson se ren- contre beaucoup plus
fond de l'oeil, Le fond de l'oeil des hallucinés présente les mêmes
signes
que ceux des para- lytiques généraux, aussi bie
de ces lésions banales, pour ainsi dire, nous avons rencontré deux
signes
, dont la fréquence semble digne d'être notée ch
er avec l'idée d'un oedème d'origine névritique. D'ail- leurs, ce
signe
nous a toujours paru très fugace ; il nous est
ent artériel, mais la proportion des cas où nous avons constaté ces
signes
ophtalmoscopiques était la même pour les mélanc
culier dans des cas d'inter- mittences irrégulières, où aucun autre
signe
clinique ne laissait entrevoir une modification
ues généraux. Thèse de Lille, 1902. CESTAN et Dupuy Dutemps. Sur le
signe
pupil- taire d'Argyll Robertson. Cong. M. N. et
res de l'épilepsie. Annales d'Oculietique, 1897. - Dide et ASSICOT.
Signes
oculaires dans la démence précoce. Tr. ref. pup
s cérébro-spinales. Cong. des M. al et neur., 1905. Jour- FROY. Des
signes
oculaires de la paralysie générale. Arch. neurol.
le, plus REVUE DE 'PATHOLOGIE NERVEUSE. 5t t les symptômes et les
signes
de toxémie sont accusés ; ; 5° dans les cas rap
stinal, et il est reconnu que l'excès d'indoxyl dans l'urine est le
signe
indé- niable de processus morbides de putréfact
moins qu'elle ne soit très gros- sière ou que l'on ait constaté des
signes
nettement apocryphes. Maison sait que les crise
arement des mains. Elle perdait aussi la vue subitement (sans aucun
signe
ophtalmoscopique), et par intervalles elle la r
uvé le 10 courant dans la matinée étendu suraonlit, ne donnant plus
signe
dévie. Le cadavre portait un sillon bleuâ- tre
la guérison ne survient pas. Au contraire, chez le chronique, ces
signes
qui masquaient le délire ont disparu, et celui-ci
nr- raleilu malade est certaine et toulà l'ail classique : démence,
signes
LES FUGUES DANS LES PSYCHOSES ET LES DEMENCES.
use, moins par leurs caractères propres que par la constatation des
signes
concomitants de cette altection mentale. En ce
- traction sal'cnplasmatiquc qui est continue et silencieuse. Aux
signes
déjà connus de la réaction de dégénérescence on p
res il existe de l'instabilité mentale, des lies variés et d'autres
signes
de dégénérescence physique ou intellectuelle (imb
avec les tumeurs, les hémorragies, les ramollissements qui ont des
signes
spéciaux. Les méningites s'accompagnent de raid
, les vomissements et les douleurs occipitales apparurent; enfin le
signe
de Kernig. A l'autopsie, tumeur du cervelet. L.
sonienne typique. Elle présente actuel- lement outre les principaux
signes
du tabès, quelques symptômes qui ont fait pense
autrement qu'à petits pas, lents et hésitants ; l'ab- sence de tout
signe
organique amena AIAI. Charpentier et Babinski a
e deux mois, un tailleur d'habits nommé Charles Despouy donnait des
signes
de dérangement cérébral. II vivait à Cazarilh,
on des mots, et pour four- nir les images ou idées évoquées par les
signes
vus ou en- SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS.
l'autre côté. Cette fusion paraît même nécessaire à la création des
signes
locaux quels qu'ils soient,comme elle l'est à la
ue a un caractère spatial, « chaque fibre sensorielle conduisant un
signe
spatial se termine d'un seul côté du cerveau ?
ier que le médecin doit se montrer prudent, d'au- tant plus que les
signes
dénotant le degré exact de prédisposition, de r
l'aptitude à lire et à écrire SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 constitue un
signe
important de tendance à la guérison. Ce re- tou
la douleur) que l'on trouve dans la mélancolie anxieuse. Parmi les
signes
secondaires, il faut signaler le clignement des
pénibles et hypochondriaques variées. Insomnie ». JI. le 1) Magnan
signe
le certificat suivant : 1)éprea- sion mélancoli
aux, mais dimidiés. 1° Dans la première, deux moi se succèdent sans
signes
organiques dimidiés. Tel est le cas de cette «
pruntés à M. Ribot, comme exemples de simultanéité de deux moi sans
signes
organiques dimidiés : les deux cas sont d'ordre
e par une manifestation qui n'est déjà plus la sensation, mais un
signe
, naturel ou conventionnel, représentant cette s
GRAND et Charles Nollen. Epreuve écrite de 3 heures : Pneumothorax;
signes
et diagnostic des fractures du, crâne. Res- tai
les secoue de leur torpeur, leur anesthésie enfin qui n'est que le
signe
objec- tif de l'inactivité de leur cerveau , en
iers, évoqués pour la délibération, les uns vont donc avoir le même
signe
affectif que l'état évocateur, les autres un si-
mprend un état physique, une série de conditions physiques dont les
signes
diffè- rent, non dans leur nature, mais dans le
dans leur nature, mais dans leur groupement et leurs rapports, des
signes
physiques morbides que nous ne considérons pas
Par- ticulièrement on aura à étudier ce qui a été défini comme les
signes
physiques de la folie. En procédant ainsi, on v
d'acquisition récente; d) l'apparition précoce de la démence est un
signe
très défavorable. Peu de mélancoliques surviven
a lenteur de leurs réactions, leur alternance rapide sont autant de
signes
dé- favorables. Leur réaction normale à la lumi
t les nOEI pigmentaires. De la deuxième, il a tout un en- semble de
signes
: luxation spontanée de l'épaule, glissement de
tuberculeux quand ils y sont entrés. Les symptômes cliniques et les
signes
physiques de la tuberculose pulmonaire diffèren
le plus souvent avalés) ; l'hémoptysie est rare. La diarrhée est un
signe
incertain. En examinant un aliéné au point de vue
'arrêter avec complaisance à la présence ou à l'absence de certains
signes
ou symptômes. Il. de MUSGRAVE CLAY. IX. Sur les
ou irrégulières de la langue, l'hypertrophie des papilles sont des
signes
si fréquents qu'on serait tenté de les considér
DE JI. 13ABINSKi : ! Communication de M. 13ABINSKI sur deux cas de
signe
d'Ar- gyll-Roberison sans lymphocytose du liqui
r et disproportion entre les troubles fonctionnels accentués et les
signes
vagues de paralysie glosso- ],Ibio-Ial,¥ngée. c
ateurs ; la constatation de l'abolition duréfleae Pa- tcllaire etdu
signe
d'Argyll font diagnostiquer un début de tabes;
ortent deux cas sur celte question; / bibliographie. 441 L Un
signe
de paralysie organique du membre inférieur. )1.
'accidents graves. 2° Epreuves orales : 1° Pneumothorax (étiologie,
signes
, diagnostic et traite- ment) : 2°anurie (causes
(étiologie, signes, diagnostic et traite- ment) : 2°anurie (causes,
signes
, diagnostic) ; 3° accidents de la lithiase bili
cidents de la lithiase biliaire ; 4° fractures de la base du crâne (
signes
, dia- gnostic). Le concours d'adjuvat des méd
planche stéréotype : « les mêmes phrases, les mêmes mots, les mêmes
signes
sont invariablement toujours au même endroit, à
par l'association des caractères physiques de l'infantilisme et de
signes
certains d'acromégalie manifestes dès la naissanc
rière, 1906, nua 2,) Observation comportant l'existence de certains
signes
nets d'achondroplasie et l'absence de certains
ée chez une fille de dix-sept ans, deux mois après l'apparition des
signes
primitifs de syphilis ; les auteurs pensent qu'
s cérébraux, à l'excellente constitution dont sagaité n'était qu'un
signe
, sabelle santé ». 2e Dans les '-le et 3° partie
e traitement doitêtre commencé de bonne heure, dès que les premiers
signes
de l'idiotie sont constatés. Le traite-' ment d
ant une balle dans la tête. Depuis quelque temps. Jouve donnait des
signes
d'aliénation mentale. Les EFFETS du spiritisme.
rale ; par A. Marie, p. 495. ARQYLI.-HoBEIISTO ? Sur deux cas de
signe
d'- sans lympho- cytose du liquide céphalo-ra-
halite. - faciale récidi- vante ; par Huct et Lejonne, p. 439. Un
signe
de - organique du membre inférieur; par Gras-
ase de tous les délires, elle en est le facteur prédominant, un des
signes
capitaux, sinon toujours facile à dépister. Ell
dans les Archives de Neurologie de 1894 ; en voici le résumé : «
Signes
somatiques et psychiques de paralysie générale. A
richesse, ayant perdu complètement le snmmeil. 11 présente tous les
signes
somatiques de la paralysie générale : ses pupille
réflexes rotuliens sont exagérés surtout à droite, il n'y a pas de
signe
de Romberg, mais instabilité dans la station de
roite avec ptosis droit, énorme dilatation pupillaire droite, aucun
signe
paralytique dans les membres droits. Le 24 ma
satisfaisant et paraît tirer profit des piqûresde sérum ioduré. Les
signes
somatiques restent les mêmes et l'évolution de
sont ni les choses elles- mêmes ni leurs images réelles, mais leurs
signes
ou sym- boles Toutefois, dès que les phénomènes
dans les grandes attaques hystériques, et qu'on ne peut utiliser ce
signe
pour le diagnostic différentiel de l'hystérie e
encore au niveau des os. Comme il n'existait, chez ce malade, aucun
signe
de lésion organique en dehors d'un commencement
tion d'un homme de trente-un ans chez lequel on cons- tate tous les
signes
de la syringomyélie, mais localisés au côté dro
bien des sortes de langage intérieur qui doivent correspondre aux
signes
]et manifestations externes de toutgenre chez les
n discerne, à côté de nombre d'actions réflexes héréditaires, des
signes
assurés d'une mémoire individuelle; bref, que ces
ue, à un moment où l'écoulement s'était interrompu, il existait des
signes
de compression du cer- veau. Quelle est la lé
or- bide des neurones supérieurs. R. de âlUSGIIIVE-CLkY. VII. Les
signes
physiques de la folie; par F. GRAHAM Caooxsuaw.
he Journal of Mental Science, janvier 1900.) L'auteur pense que les
signes
physiques de la folie sont à l'heure actuelle t
gmates sont les indices d'un vice protoplasmique général et non des
signes
proprement dits de folie. . REVUE-.DE pathologi
eux, car ils-ne se prêtent pas à une classification rigoureuse, les
signes
physiques de la folie. 1 ICI .considère d'abord
çant, comme la maladie de Landry peut elle-même le faire, par des
signes
d'une affection fébrile aiguë, elle affecte un no
= Nulle. Elle ne peut pas 'distinguer une lumière concentrée. Aucun
signe
extérieur d'affec- tion oculaire. Aucune douleu
ntôt corticale, tantôt périphérique, il est difficile de donner des
signes
différentiels entre ces deux variétés. Il n'est
teur, de la position des doigts ou l'ataxie du mouvement sans aucun
signe
d'affection nerveuse périphérique ou médullaire,
ion endothéliale des vaisseaux sous-épithé- liaux de l'épendyme. Ce
signe
de début plaidait donc en faveur de la lésion v
analogue à celle qu'impose la maladie. Il existe chez le malade des
signes
d'irritation du faisceau pyramidal. MM. LAIGNEL
la névrite optique oedémateuse, des céphalées et dés vomissements,
signes
révélateurs d'une tumeur cérébrale. Le diagnost
use et normale à droite; elle ne provoque aucune réaction à gauche (
signe
d'Abadie-Rocher). Le nez est bien con- formé ;
exe du tendon d'Achille existe ; pas de phénomène de Babinski ni de
signe
de Schoeffer. La sensibilité cutanée sous ses d
nsibilité plantaire est nulle. Pas de phé- nomène de Babinski ni de
signe
de Schoeffer. Dans la marche, le membre ne décr
ne sensation de vert, ici au niveau de- l'oeil droit exclusivement (
signe
de Le Dantec). L'acuité visuelle normale à droi
sensibilité rétinienne devient hyperes- thésie rétinienne, dont le
signe
le plus constant est la pho- tophobie -. C'es
s lui piquons fort le bras anes- thésique, malgré l'absence de tout
signe
de douleur ! ? » Un raisonnement identique pous
e de sept cent malades chez lesquels on rechercha spécialement le
signe
de Babinski; par G. L. VaLTO et W. E. PAUL. (Tite
auxquelles ont abouti les soigneuses recherches des auteurs sur le
signe
de Babinski : 1° A l'état de santé, la recher
r la valeur diagnostique de ce phénomène qui reste un des meilleurs
signes
permettant de reconnaître les lésions pyra- mid
ifférence peu en harmonie avec la gravité de son état et qui est un
signe
précurseur de la mort prochaine. 11 tombe ensuite
n- tal à la suite d'une chute de bicyclette. Il ne présentait aucun
signe
d'hystérie. Cet état durait depuis deux ans san
e de l'oreille : il est indispensable de rechercher tous les autres
signes
individuels, héréditaires, organiques et mentau
uchet, propriétaire à Rochepaul, donnait, depuis quelque temps, des
signes
d'aliénation mentale. Mais comme il était de so
Sainte-Anne. Le malheureux, qui donnait depuis quelque temps des
signes
de dérangement cérébral, vient d'être frappé d'al
des aliénés, de l'internement, dès que l'on a constaté ies premiers
signes
de la folie. - La femme Reynier, habitant Pau (
tre leur internement aussi rapide que pos- sible après les premiers
signes
d'aliénation ! A Nouvoitou (Ille-et-Vilaine), l
oduire à Saulles. Le nommé Royer donnait, depuis quelque temps, des
signes
d'aliénation mentale. Comme il revenait des cha
debout a toujours été possible. Nous n'avons jamais pu observer de
signe
de Romberg. Chez deux tabétiques dépour- vus de
la possibilité de la station debout et de la mar- che, l'absence de
signe
de Romberg et d'ataxie; 7° Il n'a été remarqué,
ces symptômes d'irri- tation et d'inflammation sont suivis par des
signes
de dégénéra- tion. On Voit alors survenir une p
0 cas, environ 75 p. 100 des cas). La névrite a peu de valeur comme
signe
de localisation des lésions. Un autre symptôme
du médecin une attention suffisante, qu'ils sont assez souvent des
signes
de névrose, et que beaucoup de cas d'hys- térie
r comme une névrose primitive, alors qu'elle est le plus souvent le
signe
d'un trouble nerveux profond), les crises de la
uche du sens du goût. Réflexe du genou actif des deux côtés. Pas de
signe
de Romberg. Dynamo- mètre : U. 3^, G. 27. Presq
Charcot pensait qu'il ne fallait pas attacher grande importance aux
signes
analomo-patho- logiques de dégénérescence obser
)iétlic(i-pétia- goqiqllc le plus tôt possible dès que les premiers
signes
de l'idiotie ont été reconnus, à deux ans, même
e leur valeur aux trou- bles unilatéraux de la mimique, en tant que
signes
de dégénéres- cence ou symptomatique d'une égal
a femme, sans l'atteindre. Sirigue donnait depuis quelque temps des
signes
d'aliénation mentale, et proférait souvent des
lie ayant déjà une certaine durée est ordinairement un très mauvais
signe
; mais il y a des exceptions, et l'attaque d'épi
elle le trouva déshabillé, gisant sur le parquet,- ne donnant plus
signe
de vie. 11 s'était tiré une balle de revolver d
tatoniques, des poses extatiques, des altitudes cala- leptif01'mes,
signes
que j'ai contribué, avec divers auteurs, à ratt
e fait aussi d'un ton emphatique des incantations accompagnées de «
signes
excavalatiques » pour magnétiser tout ce qui l'
médecine, membre de l'Acadé- mie. Elle est magnétisée et fait des «
signes
excavalatiques ». ' Cela tient sans doute à ce
iorables par la volonté. V. -Les stéréotypies peuvent constituer un
signe
pronostic d'une certaine valeur. On conçoit en
nd aussi que les stéréotypies sont dans l'étude "" des démences des
signes
précieux pour nous faire diagnosti- quer la for
vée, il lui était impossible de se faire entendre autrement que par
signes
. Cette observation de mutisme intermittent est
l a pro- noncé sur la tombe de M. Meuriot. - La séance est levée en
signe
de deuil. M. B. Séance du 20 mai 1901. Pérsid
e malade fut pris d'agitation et présenta pour la première fois des
signes
de paralysie générale qui se sont graduellement
n symptôme du myxoedème ? En est-elle indépendante ? Quels sont les
signes
qui peuvent différencier les-deux espèces ? Tel
ralysie générale. Le diagnostic s'étayait d'ailleurs sur les autres
signes
habituels de la méningo-encéphalite chro- nique
-il placer dans les -, par A. Marie pela. Vigoul'oUX. 4\6. Folie.
Signes
physiques de la - par Crookshand, 131. - syphth
la trépidation spinale. En même temps il existe du myosis, mais le
signe
de Romberg est fréquemment ab- sent. Nous possé
donné la faiblesse des membres inférieurs, de juger s'il existe le
signe
de Romberg. Les membres supérieurs participent
ine. En effet, dès 1874 M. Landouzy faisait le premier connaitre le
signe
de l'orbiculaire des paupières, caractérisé par
pe facio-scap2clo-Ituzzéral. - Face nettement envahie, mais sans le
signe
de l'orbiculaire des paupières. - Pseudo-hypertl'
sculaires. Bien que l'absence des contractions fibrillaires soit un
signe
distinctif des amyotrophies myopatlliques, il n
sante pour infirmer le diagnostic, qui est imposé par tous les autres
signes
: habitus du malade, envahissement de la face,
Il semble que l'on doive désormais attacher moins d'importance aux
signes
tirés de l'examen électrique des muscles dans c
myopathique n'était pas absolument complet, et qu'il y manquait le
signe
cleLandouzy, l'inocclusion des paupières par pa
confé- rence qu'il fit à son sujet à la Salpêtrière. En effet le
signe
de l'orbiculaire des paupières ne doit pas être c
e »), l'immobilité du front, etc.. sont, lorsqu'ils exis- tent, des
signes
suffisants pour diagnostiquer la participation de
muscles d'une part et leur pouvoir fonctionnel d'autre part, est le
signe
distinctif de cette sorte de lésion musculaire.
néanmoins un caractère bizarre, se croit persécutée et présente des
signes
de dégénérescence : gloutonnerie véritable, colèr
ne hémiparésie étendue à tout le côté droit du corps, et en fait un
signe
avant-coureur d'hémiplégie com- plète par lésio
avaient précédé l'amyotrophie. Ici, rien de pareil. Les meilleurs
signes
en faveur de l'hystérie reposaient donc dans les
63), on s'était habitué à considérer l'épilepsie partielle comme un
signe
certain et exclusif de lésions corticales organiq
RGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CUEZ LES ENFANTS 35 Cette dissociation des
signes
de la névrose se produit dans les cas d'hysté-
d'HYS'rÉuiE locale ne sont souvent que de simples épi- sodes et des
signes
avant-coureurs de phénomènes plus graves dans l'h
ières manifestations de l'hystérie qui ne se trahit par aucun autre
signe
; la nature de la paralysie reste alors d'autant
DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 45 Dans cette observation, bien des
signes
sont en faveur de l'hystérie, le début brusque
otiques, il faut décider, d'après seulement les commémora tifs et les
signes
subjectifs, s'ils sont le fait de lésions organ
utour du cou de l'enfant, nous pûmes dédaigner l'esprit immonde. Ce
signe
, en effet, qui exprime la puissance du prêtre, lu
rimaces horribles du visage, avec de hauts gémissements et avec les
signes
d'une vive douleur, ad- juré d'abandonner l'enf
té je te conjure, pour la troisième fois, de faire connaître par un
signe
, si tes compagnons et toi êtes réellement en enfe
esse. Alors des larmes coulèrent en abondance des yeux de l'enfant,
signe
que le malin esprit l'avait réellement quitté.
ns le sanctuaire récita le rosaire, entouré de nombreux fidèles, en
signe
de reconnaissance. Et tous les yeux se mouillèr
nous constatâmes en même temps l'intégrité des os ; pas le moindre
signe
de fracture, pas d'apparence de cal, c'était donc
r exemple, quand on examine le malade (nous avons pu cons- tater ce
signe
chez notre jeune blessé). Les poils deviennent gr
ns articulaires. On ne peut apprécier s'il y a de l'ataxie, mais le
signe
de Rombergest très accusé. Aussitôt, en effet, qu
e des deux côtés. Les pupilles sont puncti- formes et présentent le
signe
d'Argyll Roberlson. Pas d'atrophie papil- laire
s, myosis sthénique, acuité vi- suelle un peu diminuée, mais pas de
signe
d'Argyll Roberson, pas de strabisme, pas de dip
IÈRE. L'ataxie est très marquée aux membres inférieurs ainsi que le
signe
de Romberg. Dans l'obscurité ou les yeux fermés
complète et flasque, jambe, bras, face inférieure et supé- rieure (
signe
de l'orbiculaire. L. Revilliod) (1). La sensibi
à droite. Un nouvel examen de la vue dénote toujours la présence du
signe
d'Ar- gyll Robertson. L'acuité visuelle est de
60 à droite. Tout vestige de l'hémiplégie gauche a disparu, sauf le
signe
de l'orbiculaire qui persiste. La vue s'est amé
acuité visuelle est normale des deux côtés. Le / (1) Boïadjew. Le
signe
de l'orbiculaire. Thèse de Genève, 1802. NOUVEL
CIO JIJI"FUF.... TROIS cas d'arthropathies i)IYÉLOPAT111QUES 83
signe
d'Argyll Robertson persiste. A l'incontinence d'u
ate de l'anesthésie pha- rongée, de l'ovaralgie ci droite. Ces deux
signes
rapprochés des crises nerveuses d'autrefois for
nt examiné le malade ilsnous déclarèrent qu'ils ne trouvaient aucun
signe
permettant d'affirmer qu'il était lépreux. Nous p
les vaisseaux, siège de la néoformation. Ici nous trouvons tous les
signes
d'une inflammation intense : néofor- mation abo
r très justement Spielmann) est privée de toute expression (1). Les
signes
particuliers de la physionomie d'un malade en dém
t celui de l'oeil gauche. (l'l. XXII-XXV, Fig. 1 et 2. Hormis les
signes
dont je viens déparier, si la peau est peu élasti
Il ne s'agit pas du tabes, car le réflexe rotulien est exagéré, les
signes
de Romberj et d'A. Roberson manquent absolument
et dans la poitrine » et elle indique la région sternalc. Pas de
signe
de Romberg. Face. L'oeil gauche est complètemen
: constatation des phénomènes hypnoti- ques d'après un ensemble de
signes
physiques impossibles à simuler; pas de divagat
cher assez librement et assez vite. Pas d'incoordination, pas de
signe
de Romberg. La sensibilité est fort peu intéres
faut du sens musculaire. On ne saurait voir là rien de semblable au
signe
de Romberg : l'oc- clusion des yeux n'augmente
rotuliens, on pouvait produire la trépidation du pied; plus tard le
signe
de Westphal fit place à une exaltation consi- d
le résumé de cette auto-observation où se retrouvent la plupart des
signes
classiques de la neurasthénie : Céphalée persis
malade est presque immobile; son visage et ses yeux présentent des
signes
d'abattement ; elle ne répond pas aux questions
une importance exagérée à ces souffrances, croyant qu'elles sont le
signe
d'une maladie pulmonaire grave quand elles sièg
t fréquente, accompagnée de rêves pénibles et de cauche- mars. Un
signe
sur lequel tous attirent l'attention, c'est l'éta
out,à les en retirer. Nous nous trouvions donc bien en présence des
signes
d'une paralysie dettoïdienne. Vous savez tous,
rses parties du deltoïde était très affaiblie; et on constatait les
signes
de la réaction partielle de dégél1eres- cence,
e résolution ; l'atrophie muscu- laire est fort peu accusée, et les
signes
de la réaction de dégénérescence tendent, si je
la discussion. C'est l'observation d'un malade que j'ai vu avec les
signes
d'un tabes classique, plus tard il devient para
891, je fus consulté par un malade âgé de 37 ans, / présentant l'es
signes
d'un tabes classique. La marche était possible, m
lui-même remarqué que la nuit il chancelait comme un homme ivre. Le
signe
deJRomberg était très manifeste et la station deb
heresse de la langue avec fuliginosilés des lèvres, on constata les
signes
d'une vive congestion pulmonaire et le ma- lade
yons la maladie débuter par des phéno- mènes nettement tabétiques :
signes
de Homberg, d'Argyll Roberston, et de West plia
un trouble intellec- tuel. Puis quelques années après le début, les
signes
de la paralysie géné- rale s'établissent en mêm
le. De plus, l'examen électrique pratiqué par M. Iluet a révélé les
signes
de la réaction de dégéné- rescence dans tous le
domaine d'innervation du sciatique poplité externe, accompagnée des
signes
de la réaction de dégéné- rescence, et qui est
ne pouvait rechercher ni les points douloureux de la cuisse, ni le
signe
de Lasègue. Pourtant on pouvait constater, d'un
douloureux fixes, bien faciles à mettre en évidence, l'existence du
signe
de Lasègue, sont des caractères suffisants pour
s mus- cles ; on constate une diminution des réflexes tendineux, le
signe
de Rom- ber, une incoordination motrice peu mar
fulgu- rantes, l'abolition du phénomène du genou des deux côtés, le
signe
d'Argyll-Robertson, quelquefois le phénomène de
ve-t-on signalée, dans l'une ou l'autre observation, l'existence du
signe
de Romberg (impossibilité de se tenir d'aplomb
onstate, à l'exploration de certains nerfs et de leurs muscles, les
signes
de la réaction de dégénéres- cence ; notre mala
les membres inférieurs. Je dis qu'en présence d'un tel ensemble de
signes
objectifs et subjectifs, vous pouvez affirmer,
l n'existe pas d'atro- phie musculaire ou seulement des traces, les
signes
de la réaction de dégénérescence faisant défaut
alysés; l'exploration électrique des nerfs et des muscles donne les
signes
de la réaction de dégénérescence. La sensibilité
ût pu trouver aucun chan- gement de volume ou de consistance, aucun
signe
de dégénérescence, aucun des caractères propres
RE 1 l'ulcération de la peau ou plus particulièrement du mamelon,
signe
si pré- cieux, en clinique, des tumeurs maligne
) est revenu récemment sur ce sujet el a longuement insisté sur les
signes
qui permettent de dis- tinguer les lésions de l
éaire et, dans le second, d'une paralysie radiculaire. Le principal
signe
différentiel entre ces deux variétés de paralys
ucléaires. .J'ai insisté, dans mes précédentes leçons, sur un autre
signe
différentiel. Je vous disais alors que, dans le
le scoliose dorso-lombaire gauche, bien dûment caractérisée par les
signes
vulgaires : incurvation de la colonne vertébrale,
le supporte le poids du torse, comme il arrive dans la station. Les
signes
les plus évidents et les plus faciles à constat
d'un côté, la déviation de la langue du même côté. Dans ce cas, ce
signe
est en général peu prononcé ; il est transitoire
membres droits et de l'hypoglosse gauche. L'ab- sence de tout autre
signe
ou symptôme pouvant laisser supposer d'antres l
e. Elle était' cependant il celle 'époque âgée de trente ans. Aucun
signe
extérieur ne révèle chez elle la transformation s
, et la syncope qui la renverse inanimée sur son fauteuil, sont des
signes
in- discutables d'un oedème généralisé consécut
ou quand on a beu trop de vin fort, puissant et sans eau... « Les
signes
sont-que les malades on[ la veiie perturbée, si t
ivement suivi l'évolution des phénomènes. Ainsi, en mars 1895, deux
signes
nouveaux étaient survenus, à savoir, un nystagmus
sont complètement respectés. Que va-t-il se passer ? Quels sont les
signes
qui vont traduire la présence d'une pareille lé
e doit donc participer à l'hé- miplégie. - Voilà donc un deuxième
signe
. Ce n'est pas tout. Il pourra survenir encore d
pelais plus haut, explique suffisamment l'existence de ces derniers
signes
. Est-il besoin maintenant de vous faire remarqu
de Trous- seau que nous avons signalés, n'hésite pas à attribuer le
signe
de Trousseau et celui de Weiss (contracture pro
rs sous l'influence d'une impulsion morbide de même ordre. Or ces
signes
sont des syndromes épisodiques de la folie hérédi
sède les équivalents psychiques cons- titutifs des fugues. Mais les
signes
de la folie- héréditaire sont chez lui assez ac
sente un certain nombre de symptômes dont l'ab- sence constitue des
signes
négatifs des plus importants pour le diagnostic
emarquable. Aussi a-t-on pu tracer un tableau quasi-schématique des
signes
extérieurs de cette maladie, et l'on peut l'app
t on est en demeure de diagnostiquer la maladie à l'occasion. Ces
signes
physiques si caractéristiques demandent cependant
encore, au point de vue morphologique, dis- tinguer deux ordres de
signes
, ceux qui dépendent de la vieillesse et ceux qu
ction. La corde qu'il forme ici, acquiert presque l'importance d'un
signe
pathognomonique. Au bras, le biceps malgré la p
rait à la classification des fractures du crâne; la seconde à leurs
signes
, pronostic et traitement. La première partie, s
, la symptomatologie des fractures du crâne et, pour commencer, les
signes
de la lésion osseuse même : signes présomptifs
du crâne et, pour commencer, les signes de la lésion osseuse même :
signes
présomptifs et signes « manifestes aux sens ».
encer, les signes de la lésion osseuse même : signes présomptifs et
signes
« manifestes aux sens ». Il n'accorde pas confian
ère cérébrale est moins mauvaise qu'on ne dit; mais de très mauvais
signes
sont : l'affais- sement des lèvres de la plaie,
jours au lit, toussant et crachant, les deux poumons présentant des
signes
indiscutables de tuberculose pulmonaire. Il est
ne doit pas, à la vérité, faire négliger la recherche des autres
signes
, des stigmates hystériques ; mais en admettant
e partie est exactement faite ? Il est inutile d'insister sur les
signes
nombreux et importants que le clinicien peut re
araissant se passer dans la gaine tendineuse du j- fléchisseur. Ces
signes
sont aussi manifestes des deux côtés. La sensibi-
ux qui l'ont vu à ce moment n'oublieront pas ce tableau où tous les
signes
plastiques de la maladie se montraient si accentu
rieure dont il est seulement question ici, à celle qui constitue le
signe
presque exclusifd'une autre affection d'origine e
il- lations sont beaucoup plus étendues et, dans ces conditions, le
signe
de llom- berg devient encore plus marqué que pr
oscillations du corps. L'occlusion des yeux provoquerait la chute (
signe
de liombcrg). L'enfant peut marcher sans aides
lle tomberait si on n'avait soin de lui rendre aussitôt la lumière (
signe
de Romberg). Lorsqu'elle est assise, on remarqu
debout, les jambes rapprochées et les yeux fermés, est impossible (
signe
de Romberg). Le trouble paraît augmenté par l'o
1 l'incoordination motrice des membres inférieurs, accompagnée du
signe
de Romberg et de l'absence du réflexe patellaire;
a douleur et du gonflement, soit un épanchcment ou des frottements,
signes
habituels des altérations de ces synoviales.
'entre eux, sans compter qu'à aucun moment on n'a pu observer aucun
signe
a) testant la période initiale inflammatoire de
ous les autres, selon l'individu. De même, on comprend l'absence de
signes
inflammatoires. Enfin, il n'est plus besoin de
ns avoir à nous étendre ici sur ce que la réunion de ces différents
signes
présente de Caractéristique pour spécifier une af
r (fig. 40). Au moyen âge, cette protrusion de la langue devient un
signe
de moquerie, ou bien, comme on le voit sur quel
'il ne s'agit ici que d'une simple grimace. Toute la face porte les
signes
exagérés du rire, mais ne présente en aucune fa
grotesque, parce que l'absence de la saillie de la langue enlève un
signe
d'une importance décisive , le diagnostic peut
plaignit de toux et d'op- pression ; à l'auscultation on trouva des
signes
manifestes de tubercu- lose pulmonaire : gargou
le comme une masse diffuenle, son tissu ne présente cependant aucun
signe
de ramollissement interstitiel, ni injection, n
dination des membres inférieurs; abolition des réflexes rotuliens :
signe
de Rombcrg. Les troubles trophiques sont très m
ODIQUE (Suite et fin'.) III. - Etudions maintenant quels sont les
signes
qui nous per- mettront de savoir si l'on pcut i
ntracture cesse et fait place à la simple rétrac- tion. C'est là un
signe
excellent qui sert à différencier les deux étals
ux étals des muscles. M. Charcot a particulièrement insisté sur ces
signes
, dans la leçon que j'ai signalée plus haut. E
out. Des secousses énormes surviennent, etle malade tombe. C'est le
signe
de Romberg, aussi net que possible. La démarche e
ile d'accuser plus directement, tout en restant dans la vérité, les
signes
du rachitisme. Mais, là ou'nous devons faire qu
le professeur Damaschino ; nous croyons inutile de décrire tous les
signes
d'ataxie locomotrice qu'il présente : abolition d
qu'il présente : abolition des réflexes, incoor- dination motrice,
signe
de Romberg, (roubles de la sensibilité, etc. Se
. Plus tard, douleurs fulgurantes. Pertes des réflexes tendineux,
signe
d'Argyll Robertson, perle des membres dans le l
' Dans la plupart des cas, le diagnostic sera facilité, non par les
signes
particuliers à l'arthropathie tabétique, mais p
nt les malades au début de leur ataxie loco- motrice, alors que les
signes
de cette maladie sont peu nombreux et à peine m
r notre malade, sur- tout lorsqu'il s'y ajoute l'absence d'un autre
signe
capital tel que le tremblement. Cette variété d
au niveau de la douzième ver- tèbre dorsale, datant de sept ans. -
Signes
d'hémilésions de la moelle. - Paralysie et atro
de la moelle. - Paralysie et atrophie du membre inférieur droit. -
Signes
de myé- lite ascendante. Cail, Eugène, parque
qui nous fait regretter de n'avoir pas du moins cherché chez lui le
signe
d'Argyll Robertson. Quand nous le vîmes pour la
ns, les mêmes altérations. A gauche, un chevalier qui n'offre aucun
signe
de maladie est age- nouillé. Il porte l'étendar
ption qui couvre la jambe et le bras droîl ne trouvons-nous pas les
signes
de la syphilis, des pustules catanëûs ans leurs
e. Et même lorsque les malades ont présenté depuis peu de temps des
signes
cliniques et qu'ils viennent à succomber une af
ales que nous allons décrire chez des sujets n'ayant présenté aucun
signe
clinique. Nous avons déjà eu l'occasion d'étudi
éclairer le pronostic ; l'examen de l'état du rein, la recherche du
signe
de Cheyne-Stokes et de celle de l'hyperpyrexie.
cipation de la peau et du sens musculaire de la main droite ; ces
signes
disparurent après quelque temps. Comme signes per
la main droite ; ces signes disparurent après quelque temps. Comme
signes
permanents on nota de la parésie, une hémianops
d'attaques épileptiformes et d'une bronchite grave. Ana- lysant les
signes
observés, Hedlich trouve l'hémianopsie droite c
ésente une atrophie de ses faisceaux. Le fornix gauche présente des
signes
de dégénérescence. Interprétation des lésions
toutefois que l'état de la nutrition est plus impor- tant des deux
signes
, et que si la perte de poids va ou menace d'all
. A peine sorti du sommeil chloro- formique, le malade présente des
signes
évidents d'amélioration ; la céphalalgie a disp
eux, affaissé, sans énergie physique, toussant, présentant quelques
signes
physi- ques de tuberculose pulmonaire; et parai
abituel et le criminel-né. Le criminel-né présente généralement des
signes
évidents de dégénérescence ; s'il fallait s'en
tement régulière et honnête; seulement, on ne saurait nier que ces
signes
de dégénérescence, qui sont plus ordinaires chez
l de comparaison ; la fréquence des exceptions. D'autre part, les
signes
caractéristiques moraux et mentaux de la crimin
nce. Chez le criminel d'occasion, on peut ne rencontrer aucun des
signes
caractéristiques physiques ou moraux de la crimin
criminel-né n'a jamais de remords, et l'on peut dire que là est le
signe
pathognomonique de la criminalité congénitale.
ernard - est bien connu, et Brazier a observé un fait de cécité des
signes
musicaux (amusie visuelle) sans aucun mélange d
es lésions morbides dans le grand appareil nerveux de contrôle. Des
signes
cliniques indéniables montrent que c'est ce sys
xie locomotrice typique : la constriction éprouvée il la gorge, les
signes
d'acidité stomacale étaient dues probablement à
e du genou, la'démarche ataxique, l'engourdissement des pieds et le
signe
d'Aryll Robertson. En revanche la rapidité de la
psycho-pathologique très chargée ; mais n'auraient pas présenté de
signes
de dégénérescence. L'auteur ne croit pas qu'on pu
fection générale de l'or- ganisme. L'apparition de la fièvre est un
signe
important, mais elle peut se produire dans la p
r les troubles intellectuels à la lésion cérébelleuse. Beaucoup des
signes
qui aident à établir le diagnostic d'une affec-
était demeuré irritable, puis était devenu dément ; il présenta des
signes
de phtisie et mourut de tuberculose péritonéale
i- gnement au moins probable, qui sera confirmé par l'absence des
signes
caractéristiques d'une lésion parenchymateuse. De
quente que, pratiquement, on peut considérer ces troubles comme des
signes
de l'existence d'une lacération. En somme le di
e, janvier 1895.) L'auteur se propose d'attirer l'attention sur les
signes
dissé- minés de dégénérescence artérielle que l
ise. Les artères de la base du crâne offrent presque toujours des
signes
de dégénérescence; leurs parois sont épaissies, o
rarement dans la paralysie générale, mais n'ont pas la valeur d'un
signe
caractéristique. L'auteur pense que ces petits
ent de la confiance en eux; Sa le sens mus- culaire se rétablit; le
signe
de Romberg s'atténue, mais les signes d'Argyll
s mus- culaire se rétablit; le signe de Romberg s'atténue, mais les
signes
d'Argyll Robertson et de Westphal subsistent te
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 235 au début de
signes
non douteux d'une lésion cérébrale localisée. C
er) enlèvent les ovaires même si ces organes ne présentent pas de
signes
d'altérations : il leur suffit que les troubles g
e vertiges, s'alimente, mais reste plus affaissée que jamais. Mêmes
signes
que précédemment à l'auscultation du coeur. La
r sur la localisation de cette lésion, elles n'apparaissent à aucun
signe
. Quoi qu'il en soit, les deux lésions, rupture
oux et la base du thorax appuyée et comprimée sur les poings. Les
signes
cliniques et anatomo-pathologiques indiquent que
qu'il n'y a de ce côté, secondairement envahi par la douleur, aucun
signe
de névrite. A l'occasion de chacun de ces faits
és : les ganglions extirpés furent reconnus tuberculeux. Le premier
signe
qui attira l'attention du côté d'une paralysie
e 45 fois la douleur ou la sensibilité de la région occipitale : ce
signe
est douteux dans 30 cas; dans 8 il n'est pas in
u trouver dans l'inclinaison de la démarche à droite et à gauche un
signe
propre à préciser le côté de la lésion : les ob
ins, ni de l'athétose. ni de la tétanie, ni des tics. 11 relève les
signes
dégénératifs tels que la complexion féminine, l
plante du pied, troubles de sensibilité douloureuse et thermique,
signe
de Romberg. Absence d'ataxie, de diplopie, de pto
avec détails par d'autres auteurs je m'abstiens d'énumérer ici les
signes
diag- nostiques différentiels de l'oedème bleu
hoïde évolue avec des symptômes graves adynamiques et l' ' tous les
signes
cliniques classiques. La température reste au-des
ition se produit brusquement en même temps que se manifes- tent les
signes
detnxhémie intercurrents, et, dans les deux seuls
sé est assez fort pour que l'hypnotisé, devant une tierce personne,
signe
un testa- ment, un chèque, en requérant cette t
és, à moins de les étudier à fond ; ils présentent généralement les
signes
phy- siques et mentaux de la folie morale, et d
tions, et par la difficulté, sinon l'impossibilité de constater les
signes
physiques directs de la maladie ; elle est par co
genou. Dans l'épilepsie (26 h. 27, f.), l'analgésie cubitale est un
signe
de la maladie, quand on n'a pas affaire à de la
la dégénérescence celle qu'a donnée- Morel, l'auteur montre que les
signes
de dégénérescence sont fré- quents, puisqu'on e
ment avec la mutilé ; dans la troisième le bégaiement reste seul.
Signes
différentiels du bégaiement hystérique : 1° il ne
es convulsions des muscles de la face - 5° il s'accompagne d'autres
signes
de l'hystérie (Higier, Remak). Pathogénie. Tous
re. Le troisième présentait d'une façon particu- lièrement nette le
signe
de Wernicke; l'oeil droit était amblyope et l'o
és divers, et légère altération des autres modes de sensi- bilité ;
signes
d'ataxie dans le membre inférieur gauche, absence
sceaux pyramidaux ? Pas plus que le phénomène du genou, il n'est un
signe
certain de lésions organiques du sys- tème nerv
stérie, névrose traumatique), surtout si l'on examine avec soin les
signes
objectifs tels que la réaction pupillaire, les
a s'altérer à son tour et la maladie va emprunter quelque chose des
signes
de la sclérose latérale amyotrophique; l'hémipl
tant au point de vue de la sensibilité que de la contractilité, les
signes
sont plus pro- noncés à droite qu'à gauche aux
rainure du condyle interne de l'humérus (Biernacki) parait être un
signe
pathogno- monique, un élément de diagnostic de
sentiment ne se montre que chez des individus tarés, c'est donc un
signe
de dégé- nérescence. P. Keraval. LXXII. Contr
nt pas le caractère ataxique chez la malade qui a pourtant tous les
signes
du tabes. Ce fait n'avait pas passé inaperçu. R
es. Sous ce titre M. Grasset réunit d'in- téressantes leçons sur le
signe
de Romberg, publiées en 1893 par son élève Saca
devait le faire le plus tôt possible, dès qu'on avait constaté les
signes
de l'idiotie ou de l'arriération intellectuelle
ments, toux, changements rapides de coloration de la face. Mêmes
signes
stélhoscopiques. 23 mars. Les vomissements ont
bre, se barbouille les mains avec ses excréments. 18 juin. - Mêmes
signes
douteux aux sommets. - Abcès profond à la face
on appelle une enfant sérieuse. Au point de vue phy- sique, aucun
signe
de dégénérescence. III. Dans sa douzième année,
tement du crâne. Cou : rien de particulier. Thorax présentant des
signes
indiscutables de rachitisme ; il est légèrement
ièvre typhoïde. plaignant de mal de tète et de mal de gorge. Pas de
signes
locaux d'angine, pas de diarrhée, pas de troubl
eptembre. Matt'n : T. R. 3S ? E. - Soir : T. R. 40°,3. 6 septembre.
Signes
stéthoscopiques diminués d'inten- sité. Quelque
e. Jusqu'au 14 septembre la température baisse régulièrement, les
signes
stéthoscopiques diminuent peu à peu. Etat général
était à 39".3 tombe brusquement à 36, en même temps que tous les
signes
s'atténuent, et à partir de ce jour la convalesce
chite généralisés. - Soir : 'f.I2. 39°, 5. Les jours suivants les
signes
pulmonaires s'accentuent et le 19 novembre on o
es signes pulmonaires s'accentuent et le 19 novembre on observe les
signes
très nets d'une bron- cho-pneumonie localisée a
nes très nets d'une bron- cho-pneumonie localisée au poumon gauche.
Signes
gas- tro-intestinaux nuls. - Le malade est trai
alimenter le malade, la température remonte. Pas d'aggravation des
signes
pulmonaires ; mais la langue 110 Epidémie de fi
égère hypertro- phie de la rate. Pas d'épistaxis, toux légère, sans
signes
sté- thoscopiques nets. Examen des urines impos
décembre, température très élevée, se maintenant outre 40° et 4)°.
Signes
pulmonaires minimes, par contre signes gastro-
maintenant outre 40° et 4)°. Signes pulmonaires minimes, par contre
signes
gastro- intestinaux très intenses : fuliginosit
ntièrement disparu; -mais' 126 Épidémie DE fièvre typhoïde. les
signes
pulmonaires persistent ; les quintes de toux, e
2 décembre. La température descend : T. R. 37°, 8 et 37°, 1. Les
signes
stéthoscopiques diminuent, la toux se fait de p
s. 28 octobre. - Entré au pavillon d'isolement, en présentant les
signes
d'une fièvre scarlatine au début. - La maladie,
rrêt de développemei2t congéni- tal des circonvolutions. III. Les
signes
de dégénérescence physique sont peu accusés. En
ssion et l'auscultation des pou- mons et du coeur ne décèlent aucun
signe
pathologique. - Abdomen normal. - Puberté. - Co
plus discrète sur les membres ; toux .rauque, mais cependant peu de
signes
à l'auscultation; rhi- nite et conjonctivite ca
ni de gan- glions. - Thorax. : côté droit plus développé ;'pas de
signes
de rachi- tisme, pas de déviation notable de la
s symptômes gastrô-intestinaux étaient peu marqués, alors que les
signes
pulmonaires se sont montrés d'une manière const
tait lorsque ceux- ci refusaient de manger : c'est la assurément un
signe
d'une grande importance quand il s'agit d'idiot
nature, l'intensité du mal, la plupart des malades présentaient des
signes
réactionnels tout 16G Épidémie de fièvre typhoï
s'ac- centue la bizarrerie des idées et apparaissent les premiers
signes
A' in stabilité (achats non autorisés, placemen
cet état qu'il est amené à l'Institut médico-pédagogique III. Les
signes
do dégénérescence physique sont insi- gnifiants
Préhension presque nulle. - Gâtisme. Attention noa2 fixable, Aucun
signe
d'intelligence, mar- che très limitée. - DeSC7,
scuits, pain. Elle jetait les jouets. Jamais elle n'a donné aucun
signe
d'intelligence. « Sauf ce qui concernait les al
'défaut dans l'urine examinée à £ de'nombreuses,'reprises; maistëeT
signe
manque souvent dans le cours des néphrites, ce
nsisté dans macommüüicàtiônprécédénte, e est, qu'elle - est un des,
signes
1 s,ply sconst ,- "1.11 ? Ur le 1. un de, ceux
munauté, un sorcier nommé Poitrin se présenta à elle et que, sur un
signe
fait à ce sorcier par soeur Buvée qui était pré
re. Or, il n'y eut aucune preuve des crimes d'infanticide-, ni de
signes
de grossesse antérieure. Du reste, on ne put jama
t exorcisée, avait déclaré à son sujet, qu'elle n'avait donné aucun
signe
de possession. Au lieu du prêtre- qui avait acc
é prétendaient démontrer la réa- lité de la possession par tous les
signes
déjà donnés plus haut, et lorsqu'ils étaient pr
l a commencé, par se courber en avant et progressivement tous les
signes
de,.l'ostéite ..déformante généralisée se,sont ma
es d'exorcisme ou de posses- sion, des personnages présentaient des
signes
incontestables de l'hystérie. L'antiquité 'ne'
de siçne, dé 13omberg. Pas de plégié'spàsmôdique incomplète. Pas de
signe
, de Z5 Pas de tr6ub)ësde)a .sensibittté. Pas,'d
me facio-scapulo-liuriiérale. 0 Faciès myopathiquë typique avec le'
signe
des' paupières. Pseudo-hyper- trophie de certai
iculaires ne permettant pas à la malade de faire. un seul pas ? Le.
signe
de Romberg est très accusé ? Les réflexes, pate
s patho- logiques indiquant, une vie .cérébrale morbide : Quant aux
signes
de l'atavisme, il faut se montrer très prudent.
didats ont eu à traiter comme question de pathologie : à Bordeaux :
Signes
et prophylaxie de la fièvre typhoïde; à Toulouse
a fièvre typhoïde; à Toulouse : Fractures de côtes; à Montpellier :
Signes
et diagnostic de la pleurésie. - · · Parmi le
Affaiblissement des facultés; 2° pas d'inégalité pupillaire. Pas de
signe
de Robertson ; 3° tremblement de la langue. Tro
es de la parole caractéristiques. Tremblement de.s mains; 4° pas de
signe
de Romberg. Pas d'incoordination dans la marche
IE NERVEUSE. une à trois périodes neurasthéniques, sans aucun autre
signe
de paludisme, guéries promptement par les injec
les commendemens fussent exprimés, n'y par paroles, n'y par aucun
signe
extérieur, dont ledit Seigneur Evesque a fait plu
es exorcismes en la présence du Saint-Sacrement ont paru donner des
signes
surnaturels et convainquants, que la nommée Den
ée Denise, les démons ayants receue commandement de sortir, et pour
signe
de casser une vitre qui leur fust monstrée du d
de plusieurs démons le iour de saint Grégoire le Tauma- turge, pour
signe
de' cette grâce rendit par la bouche un morceau
E MENTALE. 135 -très difficile à établir le plus souvent. Parmi les
signes
diagnos- tiques, le plus fidèle, jusqu'à présen
ssant en avant dans la région frontale, deviennent les schémas, les
signes
représentatifs de la pensée et fournissent les
e. Questions orales : Colique hépa- tique ; Etranglement herniaire,
signes
et diagnostic. Restées dans l'urne : Fièvre typ
gnostic. Restées dans l'urne : Fièvre typhoïde; Fracture du rocher,
signes
et diagnostic ; Erysipèle de la face; Rétréciss
s et diagnostic ; Erysipèle de la face; Rétrécissement de l'urètre,
signes
et diagnostic. Sur les 7 candidats, 5 ont été d
riare, apercevant le train qui arrive à Gien à 4 h. 22, faisait des
signes
en agitant un pan- talon rouge. Le conducteur f
e syphilis ni, comme on le verra, de stigmates hystériques, ni de
signes
de maladies organiques de l'encéphale, et qu'en f
suelles semblent tenir une place considé- rable dans sa mémoire des
signes
du langage. Cela cadre d'ailleurs avec ce fait
D'ailleurs, certains souve- nirs ? notammÏnt"ce'ux- portant sur les
signes
du'langage ne sont qu'éclipsés, puisqu'ils réap
ssoupissement, et pour tesmoi- gner que Dieu vouloit qu'il donna ce
signe
laissa les bras libres et sans mouvemens et les
dessus de la nature. Cependant il y en a qui demandent encore un
signe
univoque, et voila qu'en deux jours j'en ai veu
une part, l'ataxie locomotrice est af- firmée chez le sujet par les
signes
caractéristiques de la série tabétique, tels qu
s fulgurantes typiques, douleurs en ceinture, diplopie transitoire,
signe
d'Argyll Robertson, parésie vésicale, abolition
utre part, le diabète est démontré également chez le malade par ses
signes
ordinaires : polydypsie, polyphagie, abondance
e et dont la recherche chez les myopathiques peut être la source de
signes
diagnostiques intéressants. Tout d'abord un fait
impossible au malade de détacher du sol la pointe de ses pieds. Ce
signe
a une réelle importance, car, alors même que l'a-
s les symptômes du tabes : crises douloureuses, troubles urinaires,
signes
de Romberg et d'Argyll Robertson, etc., etc., a
ait une amélioration très marquée de la marche et la disparition du
signe
de Romberg. L'examen histologique de la moelle
élioration si remarquable des symptômes moteurs et ladisparitiou du
signe
de Romberg. ' Ces faits ne sont pas absolument
l'un d'eux les symptômes du tabès au complet; puis survin- rent les
signes
de la paralysie générale avec disparition des sym
sie générale avec disparition des sym- tômes d'incoordination et du
signe
de Romberg. En résumé, mal- gré des analogies c
plus tard, de myxoedème. A son entrée à la Salpêtrière, elle a les
signes
habituels, mais atténués, du myxoedème, c'est-à
couchant à la belle étoile. 11 avait déjà précédemment donné des
signes
manifestes de folie. C'est aux difficultés mises
dans l'état somatique ou psychique de la malade qui comprend les
signes
, les gestes que l'on fait, les mots que l'on écri
après Boech et Slosse, a montré que l'acétone ne fournissait aucun
signe
pathologique en rapport avec l'état psychique ;
ue peut dire, les yeux fermés,- de quel côté porte l'excitation. Le
signe
de la sensibilité ou signe du spectre est carac
és,- de quel côté porte l'excitation. Le signe de la sensibilité ou
signe
du spectre est caractéristique d'une anesthésie e
mme cela a lieu dans l'hystérie anesthésique. La constatation de ce
signe
permettra de poser un diagnostic précis entre u
le délire. Mais il n'en faut tenter l'essai que lorsque les autres
signes
cliniques parlent en faveur d'un début d'améliora
aturelle et la nostalgie pathologique ? M. Schuele. Il n'y a pas de
signes
différentiels. C'est affaire de sentiment. M. D
e. Réglée sans difficulté à quinze ans, elle n'a jamais présenté de
signes
de nervosisme. Son adoles- cence s'est écoulée,
é. Maintenant les persécu- teurs ne se contentent plus de faire des
signes
; ils commencent à parler sur son passage. Ce ne
tomyélite syphilitique ne donne souvent lieu clini- quement à aucun
signe
d'irritation méningée. Elle correspond donc aux
sous le nom de Vernùcktlceit, invariablement, une folio primitive à
signes
positifs, à la rigueur curable ». Pour cet aute
tuer Je type clinique, si on avait tenté, d'après les traits et les
signes
du tableau morbide, de déter- miner ceux qui ét
écillité, ou plutôt une démence congénitale indiscu- table dont les
signes
apparaissent d'ailleurs dès les premiers stades
uelle complète en dehors de leur délire. , En réalité ce sont les
signes
de la démence qui nous ont servi de guides, au
et d'après ses degrés. Nous n'aurons pas de peine à reconnaître des
signes
de celle-ci souvent précoce et légère chez les
a aiguë ou de paranoïa chronique; n'est-ce donc pas là un premier
signe
en faveur de la possibilité de cette troisième te
chiques. Pour moi, en effet, la démence (derneittia) appartient aux
signes
de la folie systématique chronique et non à ceu
outes les variétés que nous venons d'énumérer de l'amentia ont pour
signes
distinctifs communs : l'état de trouble de la con
tre elles que dans la variété de rapidité de l'évolution et que les
signes
. fondamentaux des deux affections sont les mêm
de notre paragraphe de la symptomatologie. t " Je ne parle pas des
signes
qui permettent de recon- naître tout d'abord qu
t vraie. De plus, on peut ajouter que c'est là le plus souvent un
signe
de début. Donc, toutes les fois qu'on trouve, a
souvent la distinction doit être impossible. Cependant il y a des
signes
qui, dans beaucoup de cas, permettront un diagn
te, pas de discontinuité.. . Je reconnais que ce ne sont pas là des
signes
dis- tinctifs absolus, fixes et généraux ; ce s
; il n'a conservé qu'un vague souvenir de ce qui s'est passé. Aucun
signe
d'épilepsie. L'auteur conclut à l'irresponsabil
y ait eu préalablement syphilis, comme il n'existe pas non plus de
signe
anatomo-pathologique REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
s plus com- plexes en ce sens que des symptômes spéciaux (tels, les
signes
de dégénérescence) viennent se surajouter aux a
jeunesse, à un ralentissement dans le développement phy- sique. Ces
signes
sont d'autantplus accentués, que l'on a principal
ou d'une folie systématique quelconques. Il en est de même pour des
signes
dégénératifs qui se confondent avec ceux-ci ou
eur commun des doigts (parésie surtout frappante à droite). Aucun
signe
de lésion du système nerveux central. P. K. REV
lié ailleurs*. Discussion : M. BENHARDT. N'y aurait-il pas eu des
signes
de fièvre intermit- tente (tuméfaction de la ra
le diagnostic était impossible. Plus tard se montrèrent les autres
signes
d'une névrite multiloculaire, ainsi qu'une névrit
des réflexes rotuliens dans la chorée. Rapprochant ce phénomène du
signe
de Westphal dans l'ataxie, on arrive à comparer
le, mais l'enfant reconnaissait ses parents et manifestait quelques
signes
de volonté ; elle cherchait à se faire asseoir
primés. Les ouvriers présents, s'aperce- vant de l'accident, firent
signe
au machiniste qui, aussitôt, fit reculer la loc
mouvements inten- tionnels, oscillations pendant la station debout,
signe
de liornberg, impossibilité de localiser les pi
muscles de la nuque, ataxie et affaiblissement des quatre membres,
signe
de Romberg, disparition des réflexes tendineux,
885 : courbe fébrile le jour de la mort. L'autopsie décèle tous les
signes
de la stase encéphaloméningée avec oedème inter
ni les commémoratifs, ni-l'examen ne fournissent aucune trace de
signe
en faveur de ce diagnostic. Mort malgré la prescr
até de phé- nomènes intermédiaires entre la grossesse et le premier
signe
de la syphilis passée, dans l'espèce, inaperçue
. z Dans une assez forte proportion d'observations, il existe des
signes
morbides qui indiquent certainement une lésion or
s amères ou aromatiques (14 épilepsies sur 30). P. K. LV. Sur les
signes
DE dégénérescence dans la folie; par FROEN- KEL
. Psych., XLII, I ). Revue critique dont voici les conclusions. Les
signes
de dégéné- rescence offrent la plus grande impo
onvainquissent de la valeur de toutes les anomalies de formation ou
signes
phy- siques de dégénérescence (adhérence du lob
and du Saulle, décédé récemment, et propose de lever la séance en
signe
de deuil. La proposition est acceptée par acclama
ibuer à l'étude des gué- risons de la folie par l'hypnotisme. Des
signes
physiques, intellectuels et moraux de la folie hé
B. I Sautée du 28 Juin 1886. Présidence de M. Sémelaigne. Des
signes
physiques intellectuels et moraux de la folie hér
ue congestive. Le premier fait se fait remarquer par l'ensemble des
signes
de la catatonie typique de Kahlbaum : mutisme,
lle ne se rapporte certainement pas à un épanchement sanguin (aucun
signe
nécroscopique). Dans le second cas, la rapidité d
; elle n'entraîne un pronostic fàcheux que lorsqu'il s'y ajoute des
signes
de paralysie générale. M. HANS LOEllR. Action d
e tout d'un coup sans choc apoplectique. Le malade fit entendre par
signes
qu'il avait été frappé de cette maladie sous l'
pendant plusieurs heures, il ne peut parler et fait comprendre par
signes
qu'il a des- spasmes au larynx et à la poitrine
tous les enfants de son âge; il était affectueux, donnait quelques
signes
d'intelligence et prononçait un petit nombre de
près de vingt ans), nous le trouvons à Bicêtre, présentant tous les
signes
de l'idiotie avec cachexie acladernziue. Dura
oussait un cri pour attirer l'attention. Nous ajouterons que tout
signe
de puberté faisait défaut et que Th..., tant au
ntellectuel consécutif. Etat du malade à seize ans et demi. - Aucun
signe
de puberté. - Idiotie : parole limitée à quelqu
seulement des faits an- té1'ieurs à l'tige de sept ans; absence de
signes
de puberté. Elise H..., âgée de vingt-cinq ans,
. A la nais- sance, l'enfant était fort et n'offrait pas le moindre
signe
d'as- phyxies. Elevé au sein par sa mère, il ve
09.) Victor Ch..., par sa taille et par l'absence de presque tout
signe
de puberté; par son développement intellec- tue
tion, de la peau, la sen- sibilitéau.froid, etc., présente tous les
signes
d'un idiot crétinoïde ; il est vivement à regre
petite; 1>rachi- céphalie; épaississement des lèvres; absence de
signes
de puberté ; marche nulle. 11 s'agit d'un nom
res tirés de l'examen des urines, etc., et enfin par l'absence de
signes
importants rencontrés dans le myxoedème. La lip
ans les fosses sus-claviculaires, mais alors l'absence des autres
signes
myxoedémateux permet de faire facilement le dia
e immédiatement coupée, B... est étendue par terre et ne donne plus
signe
de vie ; on la flagelle avec des li nges trempés
QUE Séance du 26 juillet 1886. - Présidence de M. SEMELAIGNE. Des
signes
physiques, intellectuels et moraux de la folie hé
orales faites le 28 juillet se composent des questions suivantes :
Signes
et diagnostic de la fièvre typhoïde. Diagnostie d
Fractures des côtes. La question traitée par les candidats était :
Signes
et diagnostic de la fièvre typhoïde et diagnost
il comprend très bien ce qu'on lui dit et répond oui et non par des
signes
de tête. Il porte fréquemment la main gauche à
nstatait chez lui à ce mo- ment, comme symptômes tabétiques, que le
signe
d'Ar- gyll Robertson et quelques douleurs fulgu
ractures, et en fait, quand elles sont permanentes et complètes, un
signe
d'incurabilité presque constante. Enfin, un sig
et complètes, un signe d'incurabilité presque constante. Enfin, un
signe
de la plus grande valeur appuyait notre opinion
observé l'hémiopie, la paralysie du grand oblique de l'oeil, etc. ;
signes
habituels de lésion ou de compression de la bande
s s'est accompa- gnée de contractures tardives et permanentes : ces
signes
appar- tiennent aux dégénérescences scléreuses
ement psychiques de la maladie, il est souvent donné d'observer des
signes
physiques de dégénérescence. Tels sont, par exe
r- mations des organes génitaux, l'hermaphrodisme, etc. Voilà des
signes
indéniables de dégénérescence phy- sique. Pourq
un diabétique succombe dans le. coma sans avoir présenté le moindre
signe
de lésion rénale, ni albuminurie, ni anurie, et
cette espèce de dyspnée spéciale avec inspirations énergiques, sans
signe
physique à l'auscultation. Le pouls est vif, pr
emblent devoir être absolument séparées des cas de coma où ces deux
signes
se constatent. Il faut ajouter que la quantit
l ne faut pratiquer l'examen gynécologique que lorsqu'il existe des
signes
d'affection génitale et quand on n'a pas à lutt
131 tence d'une paralysie générale au début ; cependant quelques
signes
se rattachant à l'habitus extérieur du malade nou
ntre que la terminai- son heureuse d'une maladie qui a présenté les
signes
de la paralysie générale n'est pas un motif suf
e plus ordinairement, dit Esquirol ' , la manie éclate sans aucun
signe
fébrile; mais quelquefois son inva sion est mar
tes, les anesthésies, l'abolition des réflexes rotu- liens sont des
signes
très nets. Mais à côté de cela on découvre faci
u nerf optique, et leur diagnostic est facilité par la présence des
signes
de la paralysie des autres nerfs crâniens ou d'
tique d'un intérêt extrême, en ce que l'hémianopsie a été le seul
signe
pendant vingt-trois ans, et que la cicatrice de l
n coeur donne lesouffle de l'insuffi- sance mitrale; à propos de ce
signe
physique, un détail à rap- peler : le maximum d
euf minutes, aux divers procédés employés pour faire apparaître ces
signes
-là; il y aurait alors une sorte d'épui- sement
e sa constatation ordinaire, depuis longtemps, la détermination des
signes
caractérisant les phases, n'amène pas le même r
es du sujet à fléchir le bras ne peuvent être considérées que comme
signe
de faiblesse. Plu- sieurs sujets en expérience
re. L'absence du réflexe tendineux rotulien fut par conséquent le
signe
unique et précoce de la lésion spinale dont la dé
ntéressant compte rendu du congrès anthro- pologique de Rome. Des
signes
physiques intellectuels et moraux de la folie hér
été un malade qui, après vingt ans, a pu retrouver la parole. Des
signes
physiques, intellectuels et moraux de la folie hé
cela, une folie particulière, se manifestant dès l'enfance par des
signes
particuliers. C'est cette opinion que partage M
B. Séance du 22 février 1886. Présidence de M. Semelaigne. ' Des
signes
physiques intellectuels et moraux de la folie hér
se plaint de douleurs dans le sinciput; en même temps, il offre les
signes
de perturbations vaso-motrices (visage un peu rou
excitation et de paralysie formant par leur com- binaison autant de
signes
pathognomoniques des états patholo- giques suiv
frait de violentes crises gastri- ques, d'inappétence et offrait le
signe
de Romberg. Le malade atteint de paralysie spin
basse; actuellement, on constate de l'a- .taxie dans les jambes, le
signe
de Romberg ; la perte de la viri- lité ; l'inté
ment prononcée dansles quatre membres; ne peut marcher sans canne ;
signe
de Romberg très accusé ; la jambe gauche est mo
yosis pupillaire très prononcée; absence de réflexe pa- stellaire ;
signe
de Romberg; intégrité de la sensibilité; pas de
déses- poir. Peut-être en cherchant bien, rencontrerait-on d'autres
signes
permettant d'établir un diagnostic différentiel
u cerveau du paralytique général est constante, elle n'est point un
signe
pathognomonique de cette maladie. La confirmati
rentes, cette confirmation renversera l'espérance d'avoir trouvé le
signe
microscopique uni- voque de la démence paralyti
lose pulmonaire est alors nettement confirmée et se traduit par les
signes
non douteux d'une petite excavation localisée a
rs et l'influence (quoique légère) de l'occlusion des yeux sont des
signes
de tabes ataxique qui rendent plus probable le
s fus- sent antérieurs au travail de Westphal sur la valeur de ce
signe
dans le tabes, soit pour toute autre cause. Sur
s et des organes des sens. On trouve à l'auscultation du coeur, les
signes
d'une insuffisance mitrale. Pas de troubles de
en- tricules, en un mot d'une apoplexie séreuse. D'autre part les
signes
de congestion veineuse (faisaient tota- lement
lioration suivie d'aggravation , troubles de coordination , alaxie.
signe
de Romberg. Finalement, démarche spasmodique av
sont suicidées; des deux autres, l'un, le fils aîné a présenté des
signes
de dépres- sion mentale que l'auteur incline fo
chez lequel on notait en même temps que des trouble^ cérébraux, les
signes
parfaitement caractérisés de la maladie d'Addis
'endormait qu'après une résistance de trois ou quatre heures. Des
signes
physiques intellectuels et moraux de la folie hér
quelle exactitude se retrouvent dans les descriptions anciennes les
signes
de la grande hystérie et de ses variétés qui on
n cherchant à répondre à la question : A 451 BIBLIOGRAPHIE. quels
signes
peut-on reconnaître la folie héréditaire, qu'il a
une cause de dégénérescence autre que l'hérédité de la folie. Comme
signes
intellectuels plus fré- quents, l'auteur note l
ecture d'une observation d'un aliéné manifestement héréditaire avec
signes
physiques, mais sans aucun trouble intellectuel
1877; -Etude clinique sur la peur des espaces (agoraphobie), 1878;
Signes
physiques des folies rai- sonnantes, 4878; -Etu
atteinte d'une paraplégie spasmodique avec tré- pidation spinale et
signe
des orteils en extension, il n'existe cependant n
xes rotuliens sont vifs, mais il n'existe ni trépidation spinale ni
signe
des orteils en extension. Les globes oculaires so
qui appartient, pour ainsi dire, au. tabès y manque ; l'ataxie, le
signe
d'Argill-Robertson, la distribution radiculaire
e est très rapide et très sûre. Elle ne présente pas non plus aucun
signe
somatique de souffrance cérébrale : elle n'est
é envahies par des douleurs. Une eschare s'est formée au siège. Des
signes
d'infection urinaire ont fait leur apparition, et
ression ; ils avaient perdu leurcontraclilité idio- musculaire. Les
signes
de la R. D. ont été constatés à l'exploration des
du membre inférieur maintenu en extension provoquait de la douleur (
signe
de Lasègue). Le réflexe achilléen était aboli d
nérale, le réflexe rotulien est conservé. Quand il est aboli, c'est
signe
que les lésions remontent jusqu'au troisième segm
e inférieur maintenu en extension lui occasionne une forte douleur (
signe
de Lasè- gue), ainsi qu'il arrive dans les cas
égèrement diminué. Pas de modifications du type respiratoire, aucun
signe
anormal à l'ausculta- tion. La voix est faibl
. Montagnana publiait, en 184.7 (1), un très curieux traité sur les
signes
fournis par les urines, qui futplus tard reprod
l'on place le malade debout, les pieds réunis, on ne constate pas le
signe
de Romberg ; mais on voit cependant, par les mo
insèque, ni trouble de la musculature intrinsèque de l'oeil (pas de
signe
d'Argyll-Robertson). Etat mental. II n'y a pas
Hyperesthésie extrême de la peau du thorax. Inégalité pupil- laire.
Signe
d'Argyll-Robertson. Acuité visuelle diminuée. Dip
l... 55 ans (1). Tabes remontant à plusieurs années à marche lente.
Signes
classiques. Incoordination des membres inférieurs
férieurs. Incontinence complète des urines et des matières fécales.
Signe
d'Argyll-Robertson. Examen ANATOMIQUE. - Les ga
'occlusion des yeux. Station debout très difficile les yeux fermés;
signe
de Romberg. Abolition des réflexes patellaires et
servation des réflexes tendineux. Diminution de l'acuité visuelle ;
signe
d'Argyll-Robertson. Sphincters intacts. Affai-
1900. Troubles de la marche, la malade talonne et lance les jambes.
Signe
de Romberg, incoordination et faiblesse dans le
réflexes et de la sensibilité. Névralgies intercostales. Myosisavec
signe
d'Argyll-Robertson. Pas de diminution de l'acuité
tion des réflexes tendineux aux membres supérieurs et in- férieurs.
Signe
de Romberg. Douleurs sous forme de lancées aux me
ions manifestes de la sensibilité objective aux membres inférieurs.
Signe
d'Argyll-Roberlson. De 1896 à 1899 l'état de la
tivisme habituel. Il semble que P.... s'applique à s'opposer à tout
signe
de réaction : C'est ainsi qu'une excitation cut
il est tellement raidi à l'avance, qu'il est impossible de saisir un
signe
de réaction. D'ailleurs, lorsque P... consent à
s (1). Les réflexes tendineux et cutanés sont très exagérés, pas de
signe
de Rom- berg. Il y a un degré très accentué de
erg. Il y a un degré très accentué de dermostéréographisme (2). Aucun
signe
pupillaire. (1) J. SEGLAS, Signes physiques d
dermostéréographisme (2). Aucun signe pupillaire. (1) J. SEGLAS,
Signes
physiques dans la démence précoce (Soc. méd. psyc
de la raideur. Les réflexes tendineux sont très exa- gérés, pas de
signes
de Romberg. Dermostéréographisme (PI. XLV, II) ex
éographisme (PI. XLV, II) extrê- mement marqué et persistant; aucun
signe
pupillaire. Observation III. L... Louis, âgé
amais les reproduire complètement dans toute leur ampleur. Pas de
signes
objectifs d'idées délirantes, ni d'hallucinations
a réaction à l'excitation. Réflexes tendineux très exagérés. Pas de
signes
pupillaires. Cyto-diagnostic du liquide rachidi
démarche est nor- male ; il n'y a pas d'atrophie musculaire, ni de
signe
de Babinski. Les réflexes tendineux, achilléen,
ux côtés. Comme altérations viscérales, le malade présente tous les
signes
d'une infil- tration tuberculeuse du poumon gau
é à des spasmes du bras et de la jambe du même côté. En présence du
signe
des orteils, il n'hésitait pas à rattacher ces di
tes descriptions du torticolis mental et, comme lui, corrigé par le
signe
du doigt. Les réflexes rotuliens sont exagérés
rés et les cutanés abolis. Il y a un léger clo- nus du pied. , Le
signe
des orteils est très net des deux côtés. Les gr
sphincters sont intacts. Pas d'incoordination,ni de titubation,ni de
signe
de Romberg. La force musculaire est conservée
la question du torticolis un regain d'actualité, ni l'importance du
signe
des orteils, mise en évidence par M. Babinski, au
dique : Démarche spasmodique sans titubation, ni incoordination, ni
signe
de Romberg, réflexes rotuliens exagérés, clonus
ni signe de Romberg, réflexes rotuliens exagérés, clonus du pied et
signe
des orteils, intégrité des sphincters et de la
me remarque au sujet de notre malade.. Nous retrouvons chez elle le
signe
du doigt, cet acte de foi qui sauve, caractéris
e les yeux, il se produit un tremblement fibrillaire des paupières,
signe
dont Bard a noté l'importance dans le diagnostic
n hémianopsique, Le réflexe à l'accommodation est normal ; pas de
signe
d'Argyll Robertson. Pupilles normales, sans myd
n instant. Les réflexes rotuliens sont exagérés chez Marie Fou,avec
signe
des orteils et, au contraire, ils sont tous abo
considérable de l'excitabilité. Nous ne trouvons pas chez Vig. des
signes
bien manifestes de névrite. Les réflexes rotuli
(1) Loc. cit., p. 55. , , 408 DESTAHAC rant l'attention sur le
signe
des orteils, que nous avons nous-même signalé é
voulu reconnaître lui-même comme identique au torticolis mental, le
signe
des orteils a été constaté dés le début de la ma-
les points doulou- reux classiques, sur le trajet du sciatique ; le
signe
de Lasègue faisait défaut. En fait de troubles
nelle. Les troncs nerveux ne sont pas douloureux à la palpation. Le
signe
de Lasègue fait défaut. L'examen de la sensib
rotoplasma. La zone médullaire des lamelles cérébelleuses offre des
signes
nets d'augmen- tation des grains névrogliques q
adventice. Pour la substance cérébrale sous-jacente, elle offre les
signes
d'une inflam- mation diffuse et certainement su
travers de l'infiltration de noyaux ronds ou ovales. En somme, les
signes
histologiques d'une inflammation subaiguë de la p
Comme nous l'avons constaté dans les deux cas précédents, le premier
signe
chronologique de l'atrophie est la disparition
le développement ordinaire. Les cellules de l'olive ne montrent ni
signes
d'atrophie ni diminution de nombre. En résumé,
u valaum ; et c'est, d'autre part, l'absence presque totale de tout
signe
effectif de puberté. La hauteur, dans la statio
tions. Il faut rapprocher de cette atrophie testiculaire les autres
signes
d'infanti- lisme. Si quelques rares poils exist
'autopsie d'èpiphyses partout ossifiées. En revanche, on trouva les
signes
d'un retard très anor- mal dans l'ossification
(1), que l'on fit des radiographies de géants ne présentant pas de
signes
d'acromégalie. Il est très vraisemblable que, pen
el et la rapproche de la polyphagie et de la polydipsie ; parmi les
signes
objectifs, inconstants, il signale l'atrophie d
forces. Janvier 1896. L'amaigrissement continue (poids : 96 legs.).
Signes
très nets d'infiltration des deux sommets, malg
vouloir bien pratiquer cette recher- che. D'après cet auteur, trois
signes
seraient caractéristiques du crâne acromégaliqu
e du crâne du grand Charles (PI. LXIX) qu'il ne manque aucun de ces
signes
. En outre, on y voit d'une façon re- marquable
sieurs muscles. Or, depuis qu'on a pris l'habitude de rechercher le
signe
du tendon dans les maladies nerveuses, c'est à
e. La marche, il est vrai, est souvent impos- sible. 2° Le second
signe
auquel M. Babinski attache une certaine valeur
. ' * Fig. 10. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQUES. 18
signe
diagnostique, devenu aujourd'hui classique en F
cuisse, lorsque la jambe est fléchie, peut être poussée plus loin (
signe
de Lasègue). -- v. Le membre malade et le membr
a sciatique n'est pas rare au début de cette maladie et deux autres
signes
encore plaidaient en faveur de ce diagnostic :
onstaté dans des cas de sciatique simple, depuis qu'on recherche le
signe
de Lasègue. Quant à l'ankylose coxo-fémorale, e
araître au moment où on sou- lève une jambe fracturée. Les autres
signes
de contracture, et en particulier ceux qui donn
ntres nerveux, car nous n'avons pu déceler chez le malade aucun des
signes
objectifs permanents qui accompagnent les lésio
lations. Vers la périphérie, surtout de la lésion, on distingue les
signes
d'une myélite, les tuniques des vaisseaux se sont
par l'artère oblitérée. Est-il nécessaire d'affirmer que ces légers
signes
de myélite que nous avons constaté dans la moel
s 60 - ' CLINIQUE NERVEUSE. postérieurs offrait plus ou moins les
signes
de la myélite paren- chymateuse c'est-à-dire le
oubles de la sensibilité cutanée et musculaire étaient presque un
signe
pathognomonique servant à distinguer une lé- si
pleure à la plus légère contrariété. Dans ses crises elle fait des
signes
de répulsion, grince des dents quand d'autres p
nt un symptôme fréquent mais un symptôme précoce, et par suite un
signe
diagnostique important de paralysie générale. M
vers, des tics, une sensibilité et une émotivité très grandes, tous
signes
pour l'auteur d'une intoxication hérédi- taire
la moindre excitation (émotion, frayeur, etc.), présentent tous les
signes
de l'alcoolisme aigu. C'est souvent après l'abs
'absorption d'une très faible quantité d'alcool qu'apparaissent ces
signes
, accom- pagnés de nausées, de vomissements, de
cés sur sa tombe , par \1M. Calret et Ritti, la séance est levée en
signe
de deuil. M. B. Séance du 11 novembre 1889. - P
st commode de diagnostiquer ces lésions-là. On indique bien comme
signe
général l'affaiblissement du choc de la pointe au
de soixante- quinze ans, fermier, donnait depuis quelque temps des
signes
d'a- liénation mentale. Hier soir, il prévien
e qui, sous le nom de plagiocé- phalie, est considérée comme un des
signes
les plus nets de dégénérescence par l'école ita
pileptiques, la plagiocéphalie est considérée par Roscioli comme un
signe
manifeste de dégénérescence. Sommer a proposé d
héréditaire, d'un arrêt de développement du cerveau, bref, comme un
signe
de dégénérescence de cet organe et de ses fonct
à insinuer que les progrès de l'anémie constitueraient le meilleur
signe
de soulagement. Je puis me permettre de saisir
s prononcée des jambes, un certain degré d'ataxie dans les bras, le
signe
de Itomberg, un trouble du sens musculaire aux
sujet. M. IIIARANDON DE Montyel demande si le malade portait des
signes
physiques de dégénérescence. M. LEGRAIN répond
èrent comme dégénérées ou des formes d'oreilles rangées parmi les
signes
de dégénérescences physiques l'entrent dans l'éch
des illettrés et inattentifs, et il n'est pas prouvé que ce soit un
signe
certain de diagnoslic; les troubles de la sensibi
des rap- ports écrits. La simulation totale est d'ailleurs rare. Le
signe
le plus important au point de vue du diagnostic
sti- nales, il s'adresse surtout à la sensibilité, aussi le premier
signe
de la narcose intestinale est-il la sensation d
celle du canard; quant aux douleurs osseuses, elles constituent un
signe
important d'ostéomalacie au début. M. Laquer
s d'excitation maniaque; myosis, pronostic grave. Trois mois après,
signes
physiques de la paralysie générale de plus en p
logie nerveuse; il a décrit le premier l'agoraphobie. On connaît le
signe
dit de Westphal. On nous pardonnera de ne pas i
do-tabes'. Ces phénomènes moteurs seraient caractérisés : 1° par le
signe
deRom- berg, et 26 par un trouble de la démarch
Dans ces conditions, la présence de douleurs fulgu- rantes et du
signe
de Romberg, l'absence des réflexes rotuliens, l
DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 317 i malade marche encore, on trouve le
signe
de Rom- berg et la démarche ataxique, d'où l'ap
s rotuliens qui ne repa- raissent pas par le procédé de Jendrassik.
Signe
de Romberg très net. Réflexe pupillaire absol
vez penser naturellement tout d'abord à la paralysie alcoolique. Le
signe
de Romberg, l'absence des réflexes rotuliens ne
jour, par suite d'une double hérédité de trans- formation, tous les
signes
du diabète et de l'ataxie locomotrice progressi
employé chez lui d'une façon suivie. Reprenons un par un les divers
signes
de cette paraplégie. La démarche est évidemment
ormale. Il y a donc une amélioration aussi de ce côté, De plus le
signe
de Romberg, qui était autrefois parfaitement ca
approchés, les oscillations augmentent, et dans ces condi- tions le
signe
de Romberg devient encore plus marqué que pré-
tout autre maladie, ne se doutant pas qu'ils étaient porteurs des
signes
, protéiformes mais indélébiles, de la grande né
uggestion ou de l'autosuggestion, et de la maladie elle-même, comme
signes
inhérents à elle. L'étude différentielle entre
rave influe sur la manière d'être des malades (démarche ataxique,
signe
de Romberg, etc.) et bien souvent elle est reliée
laisirs vénériens; 8° il a pré- senté à l'âge de trenle-six ans les
signes
prémonitoires de la para- lysie générale, laque
it alors les oreilles trouées, suivant le vieil usage espagnol, et ce
signe
seul le rendait odieux aux habitants, qui ne pouv
un point qui peut paraître encore obscur, c'est celui du rapport des
signes
et leur cause. La graphologie est bien une scienc
t un aphorisme à démontrer. Si donc un nombre A de personnes ont un
signe
commun dans leur écriture, il s'agit simplement d
ement de vérifier, par l'expérience, si ces A personnes ont tontes an
signe
commun dans leur écriture et une même qualité psy
s servons aujourd'hui des résultats obtenus, lorsque nous trouvons un
signe
caractérisé, nous disons : « Ce signe représente
tenus, lorsque nous trouvons un signe caractérisé, nous disons : « Ce
signe
représente telle faculté ». Nous synthétisons. Si
tons les jours par nos travaux. - Mais alors, nous dit-on. oui, le
signe
est exact, c'est vrai ; mais pourquoi en est-il a
hysiologique qui fait que telle faculté psychique se reproduit par un
signe
et que ce signe est tel plutôt que tel autre ? C'
fait que telle faculté psychique se reproduit par un signe et que ce
signe
est tel plutôt que tel autre ? C'est-à-dire quel
tel plutôt que tel autre ? C'est-à-dire quel est le rapport entre un
signe
et la faculté qu'il représente? » L'homme, quan
e est affectée de surdité verbale. Pour lui rendre l'intelligence des
signes
du langage articulé, Rainaldi percute le T1 gauch
permettait pas d'expérimenter sur le centre de la mémoire motrice des
signes
graphiques ou de récriture, c'est-à-dire sur le p
aires et Incoordonnés du membre inférieur gauche. Elle présente des
signes
d'alcoolisme et quelques stigmates hystériques.
iquer en aucune façon ce qu'on attendait de lui, je loi fis seulement
signe
de regarder. Au bout de dix minutes, il était évi
vre fut répétée trois fois, et après la troisième fois, le malade fit
signe
avec la main qu'il commençait à entendre de l'ore
, à Ribeau ville, un Parisien qui endort les gens en leur faisant des
signes
el qui les force a parler. Je vous demande un peu
s, attentifs et les yeux fixés sur celui qui parle, témoigner par des
signes
d'approbation que le discours porte la lumière da
a volonté d'un homme ne puisse pas agir, sans l'intermédiaire d'aucun
signe
conscient, sur la volonté d'un autre homme? l'a
n homme qui a l'air de croire que tout cela est arrivé, qui donne des
signes
manifestes d'épouvante on de commisération, son e
r est de produire ses sentiments au dehors; de les manifester par les
signes
les plus expressifs ; et surtout, c'est la chose
chronique depuis plusieurs années, mais n'ayant jamais présenté aucun
signe
d'affection hépatique; dans les examens antérieur
ise couvulsive d'hystéro-épilepsie est complète. Enfin, comme dernier
signe
caractéristique, elle se termine par une émission
n corps volumineux comme le membre viril; 4° Du coté de l'anus, les
signes
habituels de l'intromission d'un corps volumi-min
en apparence, guérie, elle n'avait pas lardé à moutrer de nouveau des
signes
d'aliénation. Elle ne dormait pas, elle était pri
alade. Mme X... a vingt-huit ans. Des sa Jennesse. elle a donné des
signes
d'un tempérament névropaihique excessif et d'une
ise passée, sans que l'état antérieur ail été modifié, la malade fait
signe
qu'elle veut le crayon et écrit ce qui suit : (
traverse ses bras d'une longue aiguille sans qu'elle donne le moindre
signe
de douleur et même de sensibilité. Cette expérien
nte ; Mme N... dormit d'un excellent sommeil ; elle donna fort peu de
signes
d'agiu-tion lorsque je la vis un moment avant d'e
eurs médecins — et nous-même — ne trouvèrent, à l'auscultation, aucun
signe
de lésion organique du cœur. Ces accès sont deven
sortir du trottoir, même tenu avec un cordon. Il manifestait tous les
signes
de la peur ; on était obligé de le porter. Même e
e la veille, il fut impossible d'obtenir le moindre mot ni le moindre
signe
de la petite malade, saut lorsqu'elle voulait all
patients de cette catégorie ne peuvent exécuter certains mouvements,
signe
qu'ils sont vraiment dans l'hypnose. Chez de te
uis plus de huit ans commencèrent à se manifester chez lui différents
signes
de l'intoxication chronique par l'alcool, tout d'
la région, pratiqué plusieurs fois depuis le début, n'a révélé aucun
signe
local de coxalgie. Un n'a pas pu découvrir non pl
le et très vive ; le simple pincement de la peau est très douloureux (
signe
de Brodie). Ce signe n'existait pas chez notre ma
simple pincement de la peau est très douloureux (signe de Brodie). Ce
signe
n'existait pas chez notre malade, mais chaque foi
actère s'est manifesté chez notre malade. Si donc nous résumons les
signes
de pseudo-coxalgie présentés par cette enfant, no
de par compression de l'arcade fémorale, ni atrophie. Pour ce dernier
signe
, je crois, et Plicque le reconnaît, qu'il faut fa
ulation atteinte » (3). Au résumé, il s'agit de ne pas rencontrer les
signes
articulaires que l'on rencontre dans la coxalgie
chloroforme. Dans l'espèce nous avons, sans insister davantage, un
signe
qui nous permet d'éliminer d'emblée la coxalgie v
ue « ces phénomènes d'hystêrie locale ne sont que des épisodes et des
signes
avant-coureurs de phénomènes plus graves dans l'h
lites empruntèrent cette opération, dont ils firent, par la suite, le
signe
indélébile de leur croyaucc. Elle constitua plus
ux, à la même espérance, à la même foi et aux mêmes coutumes. Si ce
signe
est imprimé sur notre chair, son symbole s'incarn
ui-ci sera fortement imprégné des stigmates moraux représentés par ce
signe
indélébile, et ces stigmates influenceront a tel
e, la circoncision est un acte aussi social que politique. C'est un
signe
qui réunit ceux qui en sont marqués dans l'espéra
nt les circoncis de Jéhovah parce que la circoncision est pour eux un
signe
tout à la fois religieux et politique. Religieu
de papier que j'ai eu soin de choisir bien blanc, ne présentant aucun
signe
visible et légèrement transparent. Lui ayant mont
vre jaune. La sensibilité cutanée est normale. Il ne présente pas des
signes
physiques de dégénérescence. Pas de trouble de la
Au retour, vers les six heures du soir, le camarade donna a table des
signes
d'excitation et de trouble intellectuel. Ces trou
e plusieurs vésicatoires. Réformé du service militaire. Alcoolique.
Signes
d'hystérie ; hémianesthésie droite, céphalalgie,
, la peau était tendue ; la pression n'y déter- minait aucun godet.
Signes
d'hystérie. La malade présentant une métrite, o
réflexe achilléen. On ne constate ni trémulation épilep- toïde, ni
signe
de Babinski. Le réflexe pharyngien est aboli. Réf
els, tous symptômes qui manquent dans l'acrocyanose, au moins comme
signes
cardinaux ; de plus, la forme des doigts presqu
ires qui apparaissent un jour pour disparaître bientôt. On note des
signes
conco- mitants d'hystérie. La coloration bleue
point de cette sorte. Au lieu de phénomènes de cyanose, ce sont des
signes
vaso moteurs actifs qui dominent la scène ; les
rès grand d'un succès, certain d'ailleurs. C'est qu'en effet si les
signes
cliniques de l'aci-o-oyanose chronique hypertro
tion fondamentale : Les sensations sont, pour notre conscience, des
signes
dont l'interprétation est livrée à notre intellig
exes rotuliens sont un peu exagérés. Il n'y a pas de clonus, pas de
signe
de Babinski. Pas de scoliose. Aucun phénomène b
laint d'éprouver un peu de raideur dans la marche. D'ailleurs aucun
signe
de paraplégie spasmodique. En mars, douleurs de
mois après, il n'y a plus trace de cette poussée articulaire. Les
signes
de tuberculose pulmonaire sont moins prononcés. L
'un très léger dépoli- de ses surfaces cartilagineuses. D'après les
signes
clini- ques que l'on observa au niveau de cette
la constatation de stigmates caractéristiques sur l'individu ou les
signes
de l'infection causale chez les ascendants. Cet
é dans les lésions tuberculeuses des centres nerveux. A défaut de
signes
cliniques, le diagnostic peut être établi avec ce
'es- pace, dit Soury (1), est peu à peu envahi et recouvert par les
signes
, de l'espace visuel, il en résulte que, quand n
rappellent ceux du tabes de l'adulte sauf que les paresthésies, le
signe
de Romberg, les phénomènes ataxiques ne sont pas
as de tabes in- fantile réunis par l'auteur, il existait 9 fois des
signes
de syphilis héré- ditaire dents d'Hutchinson, e
re 1902). MONSTRUEUSE DÉFORMATION DU TIBIA DROIT . 119 2 ans, des
signes
classiques de tabes. L'hérédo-syphilis se trahit
une mère ayant accouché avant terme d'un foetus macéré, présente le
signe
d'Argyll, de la lymphocytose du liquide céphalo-
l'appareil génital. ' On ne constate aux poumons rien autre que des
signes
d'un léger degré d'emphysème. Les forces persis
tion debout. Pas d'incertitude de la marche, même à reculons ; pas de
signe
de Romberg ; pas de claudication , pas de stepp
r des crises gastriques, par l'abolition des réflexes tendineux. Le
signe
de Romberg, l'incoordination motrice, les troub
blancs. Dans certaines régions de la tumeur on constate aussi des
signes
de stase lymphatique, des lésions d'oedème. Les
laires étant connues, il nous est loisible de reprendre un à un les
signes
cliniques et de chercher il les rapporter à leur
s et trophiques rapidement consécutifs, peuvent en imposer pour les
signes
d'une polynévrite, et cela d'autant plus facileme
la polydipsie, la polyphagie avaient fait leur ap- parition. A ces
signes
fonctionnels s'était joint bientôt un amaigrissem
éguliers. - L'ausculta- tion du poumon permet de percevoir tous les
signes
d'un ramollissement du sommet gauche (submatité
Rôntgen. L'image fournie par la ra- dioscopie du crâne constitue le
signe
le plus indiscutable de l'acromégalie ; il a un
NTISME ET .lCIioJ1( : G1LI1 : 179 oculaires. « On ne trouve pas les
signes
de compression qui permettraient d'incriminer l
t de IL Meige et Brissaud (2), qui, à huit ans offrait les premiers
signes
d'une croissance excessive. Enfin celui de Sacchi
exagéré du corps, souvent la présence du sucre dans l'urine et les
signes
généraux des tumeurs cérébrales, auxquels peuve
ous a soutenu aussi avec R. Oppenheim (4), que la présence des deux
signes
physiques cardinaux. de la maladie de Recklinghau
ctuelle avec des faiblesses certaines de la mé- moire. Ces derniers
signes
appartiennent, il est vrai, au myxoedème éga- l
e de l'articulation tibio-tarsienne droite ; forme tropho-suppurée.
Signes
médullaires peu marqués; labes fruste probable. -
uvements dans la marche sont désordonnés, presque ataxiques. Pas de
signe
de Romberg. Pas de perte de la sensibilité musc
ces sortes de lésions est encore des plus discutées. I. De tous les
signes
cliniques décrits dans cette observation on peut
vrai que Babinski a singulièrement diminué la valeur clinique de ce
signe
depuis qu'il a montré sa fréquence chez les syp
t des mictions involontaires. Nous pensons que de la réunion de ces
signes
positifs et malgré la persistance des réflexes
lequel il fit l'arthrotomie; les premiers jours, il y eut quelques
signes
d'infection, et le résultat ne parut pas tout d
vrai. Mais certainement personne ne peut mécon- naître que tous ces
signes
ne sont pas suffisants pour constituer une forme
rations de la substance grise, mais on a pu remarquer, comme un des
signes
caractéristiques du tabes, l'intégrité des cellul
a existé des tabétiques qui, pendant la vie, n'ont pas présenté les
signes
de paralysie générale et qui, à l'autopsie, ont
s signes de paralysie générale et qui, à l'autopsie, ont montré les
signes
les plus classiques de la méningo-encéphalite (Na
sa fille se souvient qu'à l'examen des médecins elle présentait le
signe
de Romberg. Toujours d'après les renseignements o
car on a observé des cas dans lesquels à l'autopsie on a trouvé des
signes
évidents depériencéphalite, sans que pendant la
hilitique d'une lésion, là où sont absents ou incertains les autres
signes
de cette origine morbide. Or, comme il est très
sion diabolique bien caractérisés. On sait que, de bonne heure, les
signes
diagnostiques de la possession furent précisés,
grelots. Il est possible que des bonnets de ce genre aient servi de
signe
distinctif aux aliénés qui vivaient mélangés à la
e d'aliénés de Rennes toute une série de malades qui présentent les
signes
manifestes d'insuffisance thyroïdienne périphériq
a stupeur (Jeandelize) (3). Dans ce dernier cas vu d'autre part les
signes
physiques on peut se demander s'il ne s'agit pas
éformation d'une hanche. L'examen de la bouche révèle, de plus, des
signes
particuliers : hyper- trophie de la parotide dr
éalité, il constitue une stéréotypie. Le malade ne présente pas les
signes
d'un grand déséquilibre mental : mais il a des
sens musculaire. Ces troubles ont consisté chez nos malades : 1° au
signe
de Romberg qui a existé dans toutes les observa
ive des membres. Etat actuel (13 juillet 1886). Demnrc/te alaxique.
Signe
de Romberg. Impossibilité de marcher sans le co
tes et peut faire une heure de chemin sans se fatiguer beaucoup. Le
signe
do Romberg est bien moins mar- qué. Les douleur
entait de mois en mois. Etat actuel (la mai 1885). Ataxie ébauchée.
Signe
de Rom- bers. Anesthésie de la surface antérieu
ntement et avec une grande circonspection, en s'aidant de la rampe (
signe
). Il marche très difficilement, sans le concour
il vomissait de la bile ou des glaires, mais non ses aliments. 4°
Signe
de Romberg. - L'occlusion des yeux déterminait
fatiguer beaucoup, mais la démarche était encore in- certaine : le
signe
de Romberg était bien moins * marqué, les doule
Anesihésie en plaques assez étendues. Retards dans la sensibilité.
Signe
de Romberg. Difficulté de la marche dans l'obsc
a plus qu'une très légère diminution de la sensibilité et le seul
signe
qui trahisse la préexistence de la monoplégie spa
e. Passons en revue ces symptômes. 1° Exaltation des réflexes. Ce
signe
n'a man- qué dans aucune de nos observations. I
F... présente l'état crétinoïde au degré le plus avancé. Aucun des
signes
énumérés par M. Bourneville ne fait défaut. N
onstituent une preuve matérielle de l'absence de la simulation. Ces
signes
objectifs de l'hypnose appartiennent au domaine
thme irrégulier et on constate de profondes et rapides dépressions,
signes
du trouble de la respiration qui accom- pagne l
place dans la série des phases hypnotiques. La présence de divers
signes
physiques est donc, comme nous venons de le dire,
peut être prouvée directement tant qu'ils ne s'accompagnent d'aucun
signe
extérieur. La réa- lité ou pour mieux direla si
s déforma- lions ou malformations des membres, enfin des différents
signes
de troubles nerveux ou de dégénérescence. Ces r
oduction indispensable, afin de bien fixer les idées, à l'étude des
signes
et de leur valeur diagnostique; 0° Examen du cr
x, anomalies de la salivation et de l'urine, recherche de l'ovarie,
signes
de dégénérescence physiques; pour ne mentionner
estions posées à l'épreuve orale ont été : 1° luxation de l'épaule;
signes
et diagnostic de l'insuffisance aortique; 2° frac
ic de l'insuffisance aortique; 2° fracture compliquée des jambes et
signes
, et diagnostic de l'érysipèle de la face ; 3° p
],es-syphilitiques (,)Iiastiitzskaïa), et que dans les cas II, les
signes
de l'infection syphilitique exis- taient encore
IE NERVEUSE. ans et dans un cas de seize ans. Par conséquent, les
signes
de tabes visibles pour les malades se sont pro-
pas parlé, je ne les ai pas pris en considération; j'ai marqué d'un
signe
particulier ceux où la syphilis était probable.
ale, c'esl la perte de la vision des mots, ou plus généralement des
signes
écrits. La forme de cécité corticale qu'on a l'
stoire clinique, on voit que le malade avait perdu toute notion des
signes
du langage écrit au point de vue de la réceptio
ù l'on fit jaillir sur lui une lumière éclatante, il ne donna aucun
signe
de perception. Schafer, en commentant ces expér
n journal à lire; lui ayant demandé s'il comprenait, il m'a fait un
signe
affirmatif. Mais, pour être plus sûr, je lui ai
ible de déchiffrer un seul mot : je vois, mais fait-il observer par
signes
, mais je ne comprends pas. Si on lui propose d'
nce que la faculté que l'homme possède d'exprimer sa pensée par des
signes
peut être atteinte tantôt d'une manière isolée,
emme de soixante-dix ans, offrait depuis l'âge de cinquante ans les
signes
de la démence sénile. Rapports entre la structu
ppement et des rapports avec les organes voisins. Ainsi, deux des
signes
de l'Hydi-o-méîziî2gocèle considérés comme de g
ments pulsatiles. Or, un cas de M. Tchoudnowky, montre que ces deux
signes
n'ont pas la valeur qu'on leur attribue. Voici
trémités; les choses se passaient de même pour les réflexes. Pas de
signes
d'hystérie. C'était pourtant probablement croyo
sie isolée de la convergence avec en- térorrhée, parmi les premiers
signes
du tabès. Aucun des yeux ne fixe bien un objet
r L. Minor (Neurol. CentanlLl., 1887). Observation dans laquelle le
signe
de Westphal fut le seul symp- tôme névropathiqu
t-il, sans jamais la rencontrer, la bienveillance qu'on donne comme
signe
diagnostic différentiel de la paralysie général
ation des réflexes, tendineux sur les extrémités supérieures, à des
signes
de para- lysie spinale spasmodique ; sept exemp
modérément, et qui, à certains moments, peuvent présenter les mêmes
signes
du délire. La plupart de ces faits restent inaper
reurs du delirimz tremens. 11 est donc utile de rechercher tous les
signes
de l'alcoolisme, d'interroger les malades et le
ux chapitres, il est vrai fort intéressants : 1° l'hérédité, 20 les
signes
et lésions de l'alcoo- lisme aigu et chronique.
Iwaiioff, trente-deux ans, célibataire. On ne peut re- lever aucun
signe
d'hérédité. Buvait, parfois même avec abus. Le
bes, 1885; Lille. .lucmna, t. 1\ IL 2j 386 pathologie nerveuse.
signes
qui distinguent la pseudo-tabes du tabes vul- g
ent une place à part, grâce à leur étiologie spéciale et à quelques
signes
particuliers, dépendant de cette étiologie. Ce
ulière - de. graves affections nerveuses qui portent en elles des
signes
caractéristiques grâce auxquels il est pos- sib
son capitaine. Ayant constaté qu'il ne pouvait pas parler, il fait
signe
, par la mimique, qu'il se trouve très mal. Il con
on de sutfocation et d'une sueur abondante. Immédiatement il fait
signe
de le faire monter. Ses compagnons troublés l'ont
a mort assurent qu'un peu avant de mourir, il aurait donné quelques
signes
d'intelligence et de souffrance; mais la paraly
Sceur hémiplégique. Rien de particulier à la naissance. Premiers
signes
de cachexie pachydermique. Etat intellectuel et 2
ganiques, d'où obscurité du diagnostic. M. le D1 Séguin dit que les
signes
subjectifs sont de peu de valeur, attendu que l
des cas de tumeurs sous- corticales opérées, ayant donné les mêmes
signes
que dans les cas du Dr Dana. Deuxième jour. 1
du tissu conjonctif sous-cutané, des bras et du dos, associée a des
signes
de myxoedème. Le tissu sous-cutané présente un
ognerie vice, nous donne les symptômes de la première, mais non les
signes
de la seconde en sorte que le lecteur n'est nul
ins cas de morbus coxse senilis peu avancés, par exemple, lorsque les
signes
physiques sont encore difficilement appréciables,
sme ou l'intoxication saturnine ; mais comme nous ne retrouvons aucun
signe
de ces affections chez notre malade. 1. Ch. Fér
^if^ues., la faculté que possède l'homme d'exprimer sa pensée par des
signes
(facilitas signa-tri x^àe Kant). Or, cette facu
l'intelligence ; les seuls troubles appartiennent à la catégorie des
signes
(Facilitas signalrix). En outre de l'impossibilit
e des notions fournies par les mouvements dans la lecture mentale des
signes
écrits, on fait fermer les yeux aux malades, on a
t appeler, ainsi que nous le dirons ailleurs, la mémoire visuelle des
signes
du langage. Ces vues de M. Kussmaul n'ont pas é
Sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision mentale des
signes
et des objets (formes et couleurs)1. Sommaire.
més; qui, par conséquent, lorsqu'il s'agit d'exprimer une idée par un
signe
du langage, évoquent Y équivalent visuel àw motel
ulté d'expression par le langage ; car la représentation visuelle des
signes
lui fait défaut en somme, aus-i bien que celle de
es paroles. C'est dire que, privé actuellement de l'image visuelle du
signe
, il a appris à évoquer son image auditive ou, en
re le plus grand nombre, — lorsqu'il s'agit de traduire l'idée par le
signe
correspondant, évoquent exclusivement l'élément a
pression, ou l'obnubilation tout au moins, de la vision intérieure du
signe
, devra, chez lui, entraîner nécessairement avec e
de la bouche et des yeux permettrait-il de retrouver quelques-uns des
signes
de la forme infantile de Duchenne. Chez presque t
orée. Duchenne (de Boulogne), qui avait bien distingué l'ensemble des
signes
de la sclérose en plaques, mais qui ne la connais
'hystéro-épilepsie. Actuellement, il ne reste chez notre malade aucun
signe
permanent d'hystérie, et on ne trouve rien d'autr
accidents qu'on puisse rattacher à l'intoxication mercurielle. Pas de
signes
d'alcoolisme. Pas de syphilis. Une première att
l'Hôtel-Dieu. Là, il fut examiné avec soin; on reconnut ce qui suit:
signes
bien caractérisés d'insuffisance aortique. Les pa
vant les données d'une certaine hypothèse que la présence même de ces
signes
, si réellement ils existent, viendra confirmer et
dérables avec la vraie coxalgie organique. — Caractères distinctifs :
signe
de Brodie, hémianesthésie, anesthésie pharyngée,
errer le diagnostic aux conséquences les plus graves. Mais à quels
signes
pourra-t-on reconnaître ces arthralgies sine mate
coxalgie hystérique; elle mériterait vraiment d'être désignée sous le
signe
deBrodie, car c'est au célèbre chirurgien anglais
es excitations de la peau de l'aine et du genou, Ch... présentait les
signes
d'une anxiété extrême, que sa face rougissait, en
e chez les sujets sains, et qu'on peut trouver là, par conséquent, un
signe
, un stigmate qui, au même titre que le rétrécisse
lades ont conservé la faculté d'écrire couramment et de converser par
signes
. — Diagnostic du mutisme hystérique. Son importan
ge mimé dans sa pleine intégrité ; on pourrait converser avec eux par
signes
; mais la conversation sera singulièrement facili
muet, en même temps qu'il est sans voix. Maintenant, voici d'autres
signes
également caractéristiques. Non seulement le muet
de ces accès de prétendue aphasie. J'abordai le malade, et il me fit
signe
, en portant la main à sa gorge — geste ordinaire
avez-vous ? Quel est le mal que vous sentez ? Lucinde (répond par
signes
en portant sa main à sa bouche, à sa tète et sous
fait normales. Jamais la malade n'a eu de rhumatisme, il n'y a aucun
signe
de lésion cardiaque. Maintenant que vous connai
t tout à l'heure, repris en partie ses forces et ne présente plus les
signes
d'une paralysie véritable et totale, mais plutôt
ais la malade comprend ce qu'on lui demande, au moins répond-elle par
signes
à des questions simples. La commissure labiale es
depuis un an, elle n'a pu prononcer un seul mot. Elle répond par des
signes
de tête et en écrivant sur une ardoise. Wilks, co
uleur à la pression du larynx; aneslhésie assez prononcée du pharynx.
Signes
de phlhisie pulmonaire commençante. La malade est
pendant lesquels ayant retrouvé tout son entrain, elle répondait par
signes
quand on lui parlait. Le matin du neuvième jour,
^31 àfeSftliMIiBt rnnseryée : sitôt qu'on l'interroge, et c'est là un
signe
bien caractéristique, le malade, conscient de son
es toujours très nettes, très précises. Nous disons que c'est là un
signe
caractéristique. Plus d'une fois, M. Charcot a re
est pas un élément de diagnostic ; ce sont, au contraire, dit-il, les
signes
bien constatés de l'hystérie qui permettront de d
monde extérieur. Prenons, par exemple, le centre de la mémoire des
signes
du langage écrit, ou centre visuel des mots, CVM,
sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision mentale des
signes
et des objets (formes et couleurs). Sommaire. —
idérables avec la vraie coxalgie organique. — Caractères distinctifs:
signe
de Brodie, hémianesthésie, anesthésie pharyngée,
lades ont conservé la faculté d'écrire couramment et de converser par
signes
. — Diagnostic du mutisme hystérique. Son importan
ystérie, 412. B Blépharospasme chez une hystérique, 48. Brodie,
signes
des arthralgies hystériques, 370-380. Bromure (
le bouton de leur chemise ou épingler leur cravate. - Et ces mêmes
signes
nous les rencontrons chez la plupart des hémi-
mbien la démarche de chacun de nous diffère, au point de devenir un
signe
caractéristique de notre physionomie. Bien mieux,
se ou de joie, d'humilité ou d'orgueil, etc, etc.. elle se revêt de
signes
distinctifs. Je n'ai pas ici à entrer dans l'ex
, car s'il existait un moment de suspension, si court soit-il, tout
signe
distinctif entre la marche et la course aurait di
tue souvent un symptôme précoce. Cependant les cas cliniques, où ce
signe
a fait défaut, sont loin d'être rares, au moins
S î9). (2) Hamilton, Valeur de l'absence du réflexe tendineux comme
signe
diagnostique de l'ataxie locomotrice (The Bosto
térale, par paralysie de tous les mouvements de l'oeil gau- che. Le
signe
d'A. Robertson existe des deux côtés. Il n'y a pa
sont conservés : normal à droite, diminué à gauche. Il n'existe ni
signe
de Romberg, ni incoordination motrice. OBS. I
bles oculaires ; la pupille droite est plus large que la gauche, le
signe
d'A. Robertson est présent des deux côtés. Atroph
ns, présente de la diplopie par parésie du droit externe gauche, le
signe
d'A. Ro- bertson, des douleurs fulgurantes dans
suite des troubles vésicaux sur le système nerveux. On constate le
signe
d'A. Robertson, mais les pupilles s'accommodent m
e démarche tabétique ; il talonne fortement des deux pieds. Il a le
signe
de Rom- berg. L'incoordination des membres infé
cette voie est interrompue en un point quelconque de son trajet, le
signe
de Westphal apparaît. Dans le tabes dorsalis. S
tait déjà plus accentuée. Enfin dans l'observation de Kreisiger, le
signe
de Westphal fut constaté 3 mois avant la mort.
presque exclusivement sur le côté morphologique de la maladie : les
signes
extérieurs étaient étudiés avec les soins les plu
ner- veux central était très en relief, le malade observé avait des
signes
très marqués de dégénérescence et de sclérose e
tout ce qui a été décrit ci-dessus, on a trouvé chez le malade les
signes
de dégénérescence suivants : l'ossification préma
réditairement prédisposé aux maladies du système nerveux, ayant des
signes
marqués de dégénérescence, se borne distinctement
i- ration soufflante, râles disséminés dans tout le poumon droit et
signes
cavitaires aux deux sommets. La voix est un peu
ulcérations à la couronne du gland, guéries par l'iodoforme. Pas de
signes
de syphilis, Le malade s'aperçoit par hasard qu
débute la myosite au milieu de symp- tômes généraux fébriles et de
signes
locaux parfois assez marqués, com- ment se form
is complète, c'est-à-dire jamais caracté- risée par cet ensemble de
signes
qu'on rencontre dans les paralysies fa- ciales
gie gauche chez une gauchère. Embolie du tronc Grachio- céphalique.
Signe
de l'orbiculaire (Rev. médicale de la Suisse roma
1 Ce qui est rare chez les hémiplégiques, c'est la persistance des
signes
grossiers de la paralysie du facial supérieur ;
sont incapa- bles de fermer isolément un oeil ou l'autre : aussi le
signe
basé sur la comparaison n'a-l-il aucune valeur
f- frent ; les règles ne se montrent pas ou se montrent lard et les
signes
de vi- rilité font défaut (Vlenlcewitscli, Ryer
d, notre malade n'est pas en état d'urémie ; elle ne présente aucun
signe
d'une lé- sion rénale. En second lieu, dans les
tre affection que l'hérédo-syphilis, et qu'elle devient dès lors un
signe
presquepathognomonique de l'hérédité spécifique.
rusquement en bas du sinciput à la pointe de l'occi- pital. Aucun
signe
d'intelligence; aucune ébauche de parole; quelque
ienne en propre, et je suis à cent lieues de prétendre vous donner ce
signe
comme un symptôme syphilitique. Mais je dis cec
nner ce signe comme un symptôme syphilitique. Mais je dis ceci : le
signe
en question s'observe avec une notable fréquenc
ité. L'épididyme, les vésicules séminales, la vessie présentent des
signes
de localisation tubercu- leuse. On note la da
développement à partir de t'age de 10 ans, il n'a jamais donné des
signes
de virilité. La peau adhère intimement aux musc
a fin de la 2e année. Dans le cas de Montgomery (1893) le premier
signe
du mal date de l'âge de 10 ans. Un à deux ans a
est déformé et légèrement dévié. Cette déformation, dont le premier
signe
appréciable aurait été une augmentation de volume
plus que tout autre, Charcot a contribué à nous faire connaître les
signes
latents, plus ou moins fixes, les 410 INAUGURAT
la symp- tomatologie de l'hypnotisme. Il nous a fait connaître des
signes
qui échappent à la connaissance et la volonté d
celles-ci doivent être comparées et superposées pour expliquer les
signes
et la marche des maladies. Conçues dans cet esp
nt l'épaule sur le tronc et le bras sur l'épaule. « Dans ce cas,les
signes
pathognomoniques de la paralysie du grand dentelé
bras pend normalement le long du corps. Il est vrai de dire que ce
signe
différentiel a été contesté par Berger (2) en par
dentelé. * .... Il nous faut maintenant analyser les principaux
signes
de la paralysie associée, que nous avons en vue
e nous avons en vue, et discuter la physiologie pathologique de ces
signes
. Cela fait, il ne nous restera qu'à formuler quel
res, parotidiens, et surtout ceux des lèvres. Ces derniers ont comme
signes
particuliers d'être très envahissants, très ére
a- tions, il en manquait une. Il n'existait aucun bruit anormal, ni
signe
de dilatation. Cette nouvelle attaque, traitée
loration nous permet de constater de grandes modifications dans les
signes
physiques, l'état général et les phénomènes res
t la pectoriloquie aphone sont très nettes. Nous avions là tous les
signes
d'un épanchement pleural, épanchement exclusiveme
au côté gauche; les vibrations vocales sont exagérées. En avant les
signes
sont exactement semblables. Nous avions donc un s
sion provoque les mêmes réac- tions hystériques. Le lendemain les
signes
physiques étaient exactement les mêmes, tandis qu
cal s'est peu modifié et est demeuré le même (à l'atté- nuation des
signes
physiques) qu'au lendemain de la ponction évacuan
ans cette affection pleuro- pulmonaire c'est le contraste entre les
signes
physiques insignifiants et les symptômes foncti
e des lésions aussi superficielles que celles qui correspondent aux
signes
indiqués sont capables de déter- miner une oppr
a donc au- cun rapport rationnel entre les lésions relevées par les
signes
physiques et les symptômes fonctionnels : une d
nes physiques extraordinaires. Il est vrai que le rapport entre les
signes
physiques et les phénomènes fonctionnels n'est pa
e. Nous ne prétendons pas d'ailleurs tirer du con- traste entre les
signes
physiques et fonctionnels qu'un argument de pré-
cun parallélisme entre l'évolution' delà dyspnée et l'évolutiond es
signes
physiques. Le jour où nous avons constaté pour la
aque de dyspnée qui force notre intervention. Après l'opération les
signes
physiques, et certainement les lésions, ont été
ous rendre compte lors de sa seconde rentrée à l'hôpital. Alors les
signes
étaient réduits aux vestiges qui restent toujou
pulmouaire. Eh bien ! malgré l'atténuation, la disparition même des
signes
physiques, éclatent d'autres attaques de dyspnée
tion pleuro- pulmonaire était à peu près guérie. Ainsi donc : des
signes
physiques restant stationnaires la dyspnée se m
a pas voulu l'écouter, parce que ceux qui la possèdent lui feraient
signe
. Un de ses ne- veux, qui est prêtre, a voulu l'
tion des réflexes, des troubles de lacontractilité électrique, tous
signes
qui man- queraient dans les cas types d'hystéro
nature est indiscutable : nous avons constaté chezD... entre autres
signes
que la peau était « froide, marbrée de ta- ches
on trouve le cobaye crevé. En faisant l'au- topsie, on trouve des
signes
d'asphyxie. La moelle épinière est plongée dans
tat d'extension ; cette extrémité pendant la marche ne montre aucun
signe
des mouvements volontaires. Le cobaye se sert m
droite sont parfaitement libres. L'extrémité gauche ne donne aucun
signe
de mouvements volontaires, elle est bien plus m
jours. Une semaine après l'opération se manifestèrent les premiers
signes
du rétablissement des mouvements volontaires da
1, N. XVV. 62 ANATOMIE. 1 - \ quelle on ne put découvrir aucun
signe
de fibres dégénérées ; en outre, dans la moitié
la moelle épinière dans la région dorsale, il ne se développa aucun
signe
de mouvements volontaires dans les extrémités p
, formée à l'endroit de la section, Schiellerdecker ne trouva aucun
signe
de régénéra- tion des éléments nerveux. Les o
ts et les convulsions observés dans ces expériences. 111 Tous les
signes
caractéristiques qui accompagnent et sui- vent,
à les différencier. L'unitéralité des convulsions n'est pas plus un
signe
absolu de l'épilepsie partielle ou jacksonienne
des gardiennes; on l'observe sur 61 p. 100 des délinquantes. Les
signes
de dégénérescence physiques n'ont aucune valeur s
'abandon moral, la débilité intellectuelle ; elles présen- tent les
signes
de la folie morale, l'instinctivité et les anomal
iminel. Il convient de ne pas généraliser non plus l'importance des
signes
de dégénéres- cence, de ne pas les rattacher à
tout la débilité mentale et la tendance au délire systématique. Les
signes
de dégénérescence physique y compris le tatouage
ait eu ni mélancolie, ni manie; enfin que de malades présentent des
signes
de l'anémie ou de l'hyperémie cérébrale sans êt
nouvelle observation provenant de l'hôpital de Jaouse. Parmi les
signes
convaincants du caractère systématique de la lé
important est la disposition symétrique de la lésion. Cependant ce
signe
ne doit pas être considéré comme absolu, car de
du réflexe anal ». L'état du réflexe anal peut (au milieu d'autres
signes
) aider le diagnostic différentiel entre les affec
autre côté, l'ur- gence de l'opération ne s'impose encore par aucun
signe
sérieux également pressant. ' Le pus sort suf
'altération. 11 semble s'y être simplement déposé. Discussion DES
SIGNES
ET conclusions. Il est facile de suivre pas à p
onction orga- nique. Cependant, nous avons constaté plus tard des
signes
mani- festes de parésie du côté gauche, s'accen
. En résumé, les lésions trouvées à l'autopsie de ce cerveau, les
signes
correspondants observés pendant la maladie, confi
29. Dans l'extrémité gauche postérieure, on aperçoit les pre- miers
signes
du rétablissement des mouvements volontaires. Les
ie du côté opposé est la même, on ne peut remarquer ;que de faibles
signes
de sensibilité cutanée de la plante du pied.
dans l'élat d'extension et d'abduction ; elles ne présentent aucun
signe
de mou- vements volontaires. La sensmutte pour
rieure de la région dorsale de la moelle épinière, on remarque les
signes
d'une inflammation légère ; hyperémie des ménin
pondérés; mais il est inutile de chercher dans leur encéphale les
signes
de cette infériorité mentale : leurs circonvoluti
Débilité mentale congéniale, surtout au point de vue du sens moral,
signes
de plus en plus accentués et des plus nets avant
és entrant en état d'excitation maniaque à l'entrée et montrant des
signes
de paralysie générale cliniquement cons- tatés.
malades sont morts, 68 ont été autopsiés. 25 ne présentaient pas de
signes
d'alcoolisme suffisamment ancien pour entrer en
omptions tirées, soit d'autres troubles mentaux intérieurs, soit de
signes
physiques ou psychiques dits de dégénérescence;
ence d'un mobile délirant; il se peut aussi que le malade donne des
signes
d'aliénation n'ayant cependant pas influé sur l'a
ent préférable, l'ap- plication en parait difficile en l'absence de
signes
certains ; ces dernières ne pourraient se baser
ue, immobilité fixe des deux pupilles, blépharoptose du côté droit,
signe
de Westphal, signe de Romberg. Affaiblissement
des deux pupilles, blépharoptose du côté droit, signe de Westphal,
signe
de Romberg. Affaiblissement et légerdegré d'ataxi
avec myosite. Une femme de cinquante et un ans présentant tous les
signes
de l'alcoolisme chronique, est depuis Noël 1887
rs; parésie plus accusée des membres inférieurs, surtout à gauche ;
signe
de Westphal des deux côtés. La pression sur les o
té consécutif à une chute résultant dn rejet de la tête en arrière,
signe
que nous avons vu marquer souvent le début de l
jour, par suite d'une double hérédité de transforma- tion, tous les
signes
du diabète et de l'ataxie locomo- trice progres
mes précédents, on constatait : la perte des réflexes rotuliens, le
signe
de Romberg, une sensation de constriction en ce
ambitieux. Morel voyait dans l'apparition des idées de grandeur un
signe
d'incurabilité. Magnan professe que le délire a
. « Des événements extraordinaires ont présidé à sa naissance. » Il
signe
tous ses écrits de la même façon : « M., révéla
fessait dans un lycée de province, quand il a commencé à donner des
signes
de folie. Sa maladie mentale a suivi la marche cl
'on l'em- poisonne, qu'on se moque de lui ; on crache devant lui en
signe
de mépris; des sodomistes et autres individus i
de cavalerie ; et c'est à cette époque qu'il parait avoir donné des
signes
de dérangement mental : il se plai- gnait amère
personne, d'ailleurs, ne saurait déchiffrer, car ils sont pleins de
signes
caba- listiques, de chiffres, de mots hébreux (
it jours, au bout desquels il refuse de rentrer à Bicêtre et on lui
signe
sa sortie. Réflexions. -I. Nous retrouvons ici
e de voiture, il se frac- turait la cuisse gauche. Il présentaitles
signes
d'un tabes-type, mais ces accidents étaient plu
it peu à peu. Les idées de jugement, sa volonté s'exprimant par des
signes
paraissent intacts ; la parole ne se rétablit p
ante-quatre ans, albuminurique. Le 22 jan- vier 1867, aphasie, sans
signes
prémonitoires ; conscience con- servée ; légère
minorité et, dans l'état actuel de la science, je ne connais aucun
signe
permettant de les distinguer l'une de l'autre.
mais si la maladie est à évolution con- tinue, je ne connais aucun
signe
différentiel autorisant le diagnostic. En prése
'agit d'une loi comme le divorce. 28 CLINIQUE MENTALE. Seuls, les
signes
perçus par raisonnement font les diagnostics di
vorce n'est pas révocable comme l'interdiction. Qu'on fournisse des
signes
cli- niques certains et on trouvera sans doute
utelle de personne ». Je vois dans cette réclamation de l'aliéné le
signe
d'une amélioration qui commence. En effet, enferm
ide profonde qu'elle porte entre les deux sourcils est pour elle le
signe
de sa personnalité diabolique. A celte époque,
e délire ne tarde pas à reprendre sa forme caractéris- tique. Les
signes
physiques sont aussi ceux que l'on observe chez
ente, tandis que dans ces cas particuliers, lorsqu'apparaissent les
signes
sur lesquels nous avons insisté, il n'y a plus d'
a); aussitôt un des hommes qui m'accompagnaient se mit à donner les
signes
de la frayeur la plus exagérée, cherchant avec
itôt sur lui, lui ouvrit la mâchoire avec un pieu sans donner aucun
signe
de frayeur, alors que ses compagnons se tenaien
que de rationnel. « Vingt-quatre heures plus tard, nous tirions en
signe
de réjouissance une fusée-signal et, je me prép
tre terre en poussant un cri inintelligible, accompagné de tous les
signes
de la plus violente frayeur. Je fus très étonné
a mer, et, le voyant sur le rivage, j'agitai la main de son côté en
signe
d'adieu. Il se mit à agiter frénétiquement la m
Aubanel. Le sujet proposé était ainsi conçu 1 : « Existe-t-il des
signes
ou desindices qui permettent de reconnaître qu'un
s par M. Claus, et la condensation des renseignements, qu'il con-
signe
d'après un aliéniste du pays, sur un autre établi
que les phénomènes tendineux sont d'origine réflexe. Envisageant le
signe
du tendon rotulien dans le tabes. il insiste su
ente avec l'épilepsie partielle par lésion cérébrale, il existe des
signes
qui permettent d'établir avec certitude le diag
ès le début des accidents, notre attention est appelée sur certains
signes
qui avaient échappé tout d'abord, ou qui peut-ê
'intervalle des crises) de l'amblyopie à droite avec achromatopsie,
signes
sur lesquels nous reviendrons. Pas de changem
face d'une malade chez laquelle on n'avait pas encore constaté les
signes
permanents de 1'liys- térie (anesthésie et autr
esthésie et autres), soit qu'on eût insuffisam- ment recherché ces.
signes
, soit- qu'ils n'existassent pas à l'époque -où
exigé dans les faits qui vont suivre. Mais il est encore un autre
signe
diagnostique de premier ordre, qui permettra de
e la fausse épilepsie jacksonnienne de la vraie ; la valeur de ce
signe
apparaîtra évidente si l'on veut bien comparer
va le voir, à un cas d'épilepsie partielle par lésion cérébrale. Ce
signe
négatif, c'est l'absence de paralysie des membr
gistrat et l'ex- pert ; c'est que, l'accusé n'ayant jamais donné de
signes
d'aliéna- tion, ils n'ont l'un et l'autre d'aut
nm ni ,, ? 1 ? ^ i ... ,. r , malade meurt aprèslavoir présenté les
signes
de 1 albuminurie et rlâ resplrâLiôïl'de Ché3nié
épression : L'expert constata dans son rapport, outre l'absence des
signes
ordinaires.propres à divers troubles mentaux, l
on la dégéné- rescence physique des criminels et rapports entre les
signes
de 1 nérescence et les névropathies, sera l'obj
ssion.- M. Jastrowitz. De noml)retixbindividus; sans pré- senter de
signes
de dégénérescence, sont atteints 'de .'psychoses
constatée quand il a pu exercer un con- trôle. Sous la rubrique : «
Signes
de dégénérescence », il a compris les mêmes élé
strait à la morphine; cet état signalé parm. Charcot est le premier
signe
de l'imprégnation mor- phinique ; léger amaigri
est plutôt un peu grêle. Tout d'abord, nous constatons chez lui les
signes
classiques de la paralysie pseudo- hypertrophiq
uit : la malade perd connaissance, ou du moins cesse de donner tout
signe
de conscience, la tête s'incline vers l'épaule
ssion pour déterminer de la rougeur cutanée. Malgré l'absence des
signes
qui révèlent d'ordinaire l'état hystérique, il
uant alors un véritable état de mal épilepti forme; 7° Il est des
signes
qui permettent de diagnosti- quer la fausse épi
érique) de l'épilepsie partielle vraie. a) Le plus important de ces
signes
est l'absence d'hypertlaermie dans la fausse ép
omme de trente-sept ans, présente, quelques semaines plus tard, les
signes
de diabète aux- quels se joignent bientôt de la
dix semaines, on constatait une atro- 1 Voy. poar l'explication des
signes
allemands la leçon de M. Charcot Maladies du sy
, dans un certain nombre de cas, chez des sujets ayant présenté les
signes
de l'aliénation mentale. Toutefois, je ne conse
t le directeur de la prison (18 mai 1882), il n'a ma- nifesté aucun
signe
de dérangement intellectuel. Plus tard une seco
n en juge d'après ses liaisons avant son mariage. Il y a neuf mois,
signes
somatiques et psychiques de la paralysie généra
évidemment, à cause de l'inces- sance du travail mental, aura pour
signe
la généralité et la permanence. L'irrégularité
s vague et de plus incomplet que la mélan- colie de Pinel ? A quels
signes
précis reconnaître sa manie sans délire et sa f
us mauvais mo- ments, Justine est capable de comprendre; mais les
signes
qu'on en donne se bornent à quelques ré- ponses
égie céré- brale. Je me proposais en les commençant d'étudier les
signes
cliniques des altérations bilatérales de la moe
ayant une valeur suffisante pour permettre en l'absence d'autres
signes
de faire le diagnostic entre l'hystérie et l'épil
de l'une des facultés de l'intelligence, celle d'inter- préter les
signes
lus ou entendus, qui est parfaitement compa- ti
l'élaboration intellectuelle, à l'interprétation d'une catégorie de
signes
abstraits, ce qui est fort différent. Donc les
ertain temps il a été gâteux. En même temps, on voit apparaître des
signes
d'anémie et de revue de pathologie mentale. 105
vraie (10 obser- vations à l'appui). Il n'y aurait d'ailleurs aucun
signe
clinique différentiel entre ces formes nécrosco
stion méningo- corticale. Le diagnostic repose sur la recherche des
signes
de la pneumonie, l'examen thermométrique; la di
doptent tous, une extrême acuité, en même temps qu'apparaissent les
signes
de l'épuise- ment somatique : T. 37° ou 36°,9;
stème nerveux. , Dès sa première enfance, on remarqua chez X... des
signes
non équivoques de ces mauvaises prédispositions
le signal ; c) lui faire faire un mouvement subit de volte-face; 2°
signe
de l'escalier, (gêne surtout pour descendre) : 3o
te-face; 2° signe de l'escalier, (gêne surtout pour descendre) : 3o
signe
four- ni par l'occlusion des yeux (signe de Rom
rtout pour descendre) : 3o signe four- ni par l'occlusion des yeux (
signe
de Romberg), le malade appuyant sur les deux pi
yeux (signe de Romberg), le malade appuyant sur les deux pieds; 4°
signe
déduit de l'attitude à cloche-pied; ? station à c
e un voleur de nuit; elle signale son approche, son arrivée par des
signes
variés. Il résulte de cette étiologie et de ce
bien au-dessus du phénomène de Romberg (la chute les yeux fermés),
signe
qui n'apparait qu'as- sez tard et existe dans d
chaine les deux questions suivantes : Prix Aubanel. Existe-t-il des
signes
ou des indices qui per- mettent de reconnaître
se manifestant par exemple au moindre bruit imprévu par tous les
signes
de la crainte, accompagnés de crise convulsive in
hie cérébrale à l'autopsie. 51. MEYXERT insiste à ce propos sur les
signes
cadavériques permettant de conclure à l'épileps
s, nous avons cru qu'il était utile et convenable d'indiquer par un
signe
facile à reconnaître tous les développements qu
donnements d'oreilles si caractéristiques que M. Charcot en fait un
signe
de l'affection" et que les malades le reconnais
rd,- loin des regards; il n'est pas étonnant que le vertige soit un
signe
précoce de ces maladies longtemps méconnues, pa
n signe précoce de ces maladies longtemps méconnues, parce' que les
signes
objectifs font alors le plus souvent défaut.
pas le résultat d'une affection des fenêtres ovale et ronde. Divers
signes
différentiels ont été pro- posés par les otolog
stch, etc., que la diminution de la perception osseuse est un bon
signe
différentiel, entre un affaiblissement de l'ouïe,
exact de dire que la diminu- tion de la perception osseuse, est un
signe
qu'il existe un obstacle à l'accès des ondes so
ystériques, les idées hypochondriaques, les hallucina- tions et les
signes
physiques de dégénérescence. Observation IV. Fa
llectuel est peu élevé ctles facultés mal équilibrées, présente des
signes
physiques de dégénérescence; son crâne est mal
Mar- chai (de Calvi)' voit dans l'union de ces deux symptômes le
signe
principal do l'influence du diabète sur l'axe cér
prolonge assez longtemps. L'am- blyopie grave peut être le premier
signe
du diabète, c'est-à-dire apparaître quand tous
le premier signe du diabète, c'est-à-dire apparaître quand tous les
signes
de l'affection font encore défaut, la glycosuri
ême. Rarement myodésopsie. Parfois s'observe de la dyschromatopsie,
signe
d'une atrophie du nerf 1 Mialhe. Chimie appliqu
e des sinus ne pourrait être diagnostiquée que lorsqu'il existe des
signes
de pyohémie. Les observations d'un grand nombre
observations d'un grand nombre d'auteurs prouvent cependant que le
signe
indiqué par Gehrardt et Grie- singer comme path
ibue une grande importance dans le diagnostic de l'ataxie vraie aux
signes
suivants : l'impuissance à toucher un point don
systématique (Meyer). Souvent, ajoute M. Kohn, avant même qu'aucun
signe
psychique se soit montré,' la pupille change, t
at mental. Pendant plus de dix mois reste à l'asile, présentant les
signes
d'une amélioration progressive, mais lente ; el
e les deux questions suivantes. P)'i'OEAt<6aMe : Existe-t-il des
signes
ou des indices qui permettent de reconnaitre qu'u
ents nerveux. Pendant l'enfance, la malade n'a présenté aucun grand
signe
de nervosisme; elle n'eut ni somnambulisme, ni
roubles de la sen- sibilité faradique peuvent s'observer avant tout
signe
d'inflam- mation articulaire. Barbillon attribu
le peu troublée, persistance de l'appétit. Dès qu'apparaît l'un des
signes
énumérés, on suspend le médi- cament et tout re
e ; il s'agite, lorsqu'on lui dit que le médecin n'a constaté aucun
signe
de celle-ci. Il s'y cramponne plus que jamais,
xterne. Les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1°
Signes
et diagnostic de l'urémie et de la hernie étran
hernie étranglée; 2° Insuffisance aortique, plaies de poitrine; 3°
Signes
et diagnostic de la pneumonie et des tumeurs de
des ma- nifestations d'ordre varié, dont les principales sont : des
signes
d'irritation dorso-spinale avec douleur dans le
d'hui disparu. Actuellement ce qui domine chez M. X..., ce sont les
signes
de la Neurasthénie classique, épuisement nerveu
ction organique du sys- tème nerveux; malgré l'existence d'un léger
signe
d'athérome on ne peut songer à la claudication
hilis de la moelle en dehors de l'aveu même du malade, par certains
signes
caractéristiques, comme Erb a cherché déjà à ét
, part. III, 1893, p. 431.) Parésie des quatre membres. Diplopie.
Signe
de Romberg; ataxie des quatre membres; absence
a priori, il est probable que l'analgésie du cubital peut servir de
signe
diagnostique différentiel entre la démence para
t unanimes à décla- rer que jamais ils n'ont remarqué chez Maumy de
signes
de déran- Arciiives, t. XXIX. 11 1 '1R2 MÉDEC
s l'avons vu pour la première fois, à Mazas, il ne présentait aucun
signe
psychique ou physique d'in- toxication par l'al
mais la notion de la dégénérescence est trop compréhensive, car les
signes
de dégénérescence sont tellement nombreux qu'on
triques, exagération des réflexes, troubles vaso- moteurs, etc. Ces
signes
de névroses s'accompagnaient d'un état de dépre
agnostic différentiel. On constate d'une manière générale les mêmes
signes
dans les diverses espèces de mélancolie' et de
, à la paralysie générale, à l'épilepsie, aux intoxications par les
signes
physiques viscéraux, la lièvre, l'existence d'u
s cocaïnique, haschischique, atropinique, alcoolique ont chacun ses
signes
caractéristiques. Mais ceux de la septicémie, d
it. Aussi est-ce faire de la médecine incomplète que de séparer des
signes
somatiques les symptômes intellectuels Envi- sa
els Envi- sager les phénomènes mentaux en dehors de tous les autres
signes
organiques n'est pas non plus faire de la psych
même parfois de les prévenir. De plus leur per- sistance en fait un
signe
précieux ; elle permet d'affirmer ou non la fin
t de tout l'ensemble symptomatique habituel d'une intoxication. Ces
signes
précoces n'apparaissent pas seulement au moment
gastriques apparaître en même temps que la généralisation. Tous ces
signes
dont l'évo- lution est parallèle, précèdent les
que les formes chroniques. Or l'évolution chronique type est un des
signes
caractéristiques du délire chronique qui ne survi
xtrême- ment rare et qu'on ne saurait faire de la dégénérescence un
signe
de diagnostic différentiel, dans les termes que
s rénales. Aussi bien, ne suffit-il pas de dire : la paranoïa a les
signes
propres ou spécifiques suivants. Il faut encore
propres ou spécifiques suivants. Il faut encore dire : elle a tels
signes
différentiels. La paranoïa purement fonctionnel
t pas d'en tirer de renseignements utiles. Démarche vertigineuse,
signe
de Romberg, exagération des réilexesrotulions,
é, janvier, 1894.) ' ' ' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES,
signes
DE dégénérescence ' ' DANS. D'ÉTUDE D E,s' 1 ma
prouver déjà ethniquement. Ce'n'est donc que l'accumulation de ces'
signes
qui peut être de quelque.valeur diagnostique, e
', puisque 21 p. 100 des femmes normales examinées avaient quatre
signes
, et ehex 9 p. 100, trois parties'du 'corps en éta
: ' ? t "" ,·vus. L'auteur donne, comme chiffre approximatif, cinq
signes
sur quatre parties du'corps. .' . (] '' ' " ,
MENTALE, i 311 que appui au diagnostic : un homme qui présente des
signes
nom- breux de dégénérescence sera toujours susp
brile et le délire d'inanition, par exemple, présentent parfois les
signes
de la confusion mentale; mais l'en- semble symp
soit acquise ou héréditaire, la diathèse de la folie pré- sente des
signes
à peu près identiques, avec cette différence que,
est acquise, le traitement peut présenter plus d'effica-, cité. Ces
signes
sont tout d'abord une perte du contrôle inbihitoi
tales. L'auteur, à ce propos, passe ensuite en revue les principaux
signes
de dégénères cence, intellectuels, moraux ou, s
tion de l'aliéniste. , " , i - i - 1 - 1,1 1. e , , " ' · sd 'Les
signes
de dégénérescence sont si fréquents qu'on a'voulu
mais ne présente pas de trouble intellectuel; sommeil agité. Aucun
signe
d'urémie, de lésion phy- sique du cerveau, de f
avec retard des impressions' tactiles tactilité généralement bonne
signe
de ltomberg - réflexe plantaire, tantôt absent,
s de Neurologie, XV Congrès ? .' ' ' SOCIÉTÉS : SAVANTES. ` ''329
Signe
de 13rachetRomberr -parésie faible des bras, mais
des déclaraient ne. pas percevoir se manifestait cependant par- des
signes
indubitables, par exemple une couleur rouge non
' " ? - z llâtivëment. >Jssaie-t-on de leur faire comprendre par
signes
qu'on les prie d'écrire, ils,se mettent , en 1
dans le courant de janvier. Mais la malade ne présente plus que des
signes
très faibles de chorée. Je la revois une fois par
ique. Il s'agit d'une malade qui présentait, depuis quinze ans, les
signes
d'une chorée chronique des membres, et chez qui
t autonomes, qui peuvent se montrer à l'état d'accès accompagnés de
signes
phy- siques. Discussion. M. QCHULTZE. 11 ne f
téral de la sensibilité cutanée, insensibilité pharyngée. Tous ces
signes
disparaissent les jours suivants, seule l'insensi
les jours suivants, seule l'insensibilité pharyn- gée demeure comme
signe
permanent de l'hystérie. Le congrès d'automne a
ur tenter un essai pathogénique. Rappelons-nous à quel moment ces
signes
font leur appa- rition. Le malade n'a pas encor
vient de nouveaux paroxysmes. Cet état saburral de la langue est un
signe
que la série n'est pas épuisée; donc, pendant t
57 Dans son travail, M. II. Bordier étudie d'abord l'influence du
signe
de l'étincelle et constate : 10 que la contractio
mps primitifs, une description classique de cas de folie avec leurs
signes
précur- seurs, leur début, leur période d'étate
la folie systématisée, parSéglas,218. Dégénérescence, valeur des
signes
de - par 1\ceche, 310. Délire, les systématis
a Revue de médecine (1889-1890), Lemoine et Lemaire donnent comme
signe
caractéristique du paramyoclonus : 1' l'instan-
ents rappelant en quoi que ce soit des mouvements volon- taires. Ce
signe
encore est constant; il se retrouve dans toutes
toire de notre malade, un trait important quoiqu'il s'agisse d'un
signe
négatif : c'est l'absence complète, malgré les re
es ? , 40 CLli\IQUE NERVEUSE. On entend pàr ce mot un ensemble de
signes
, très variables d'aspect, qui semblent prouver
lésions vont également en dimi- nuant, mais on en trouve encore des
signes
même dans les parties les plus inférieures de l
ne d'années, un chancre induré sur la verge; il ne présentait aucun
signe
de syphilis et l'autopsie n'a constaté sur aucu
bbosité et la constatation d'un abcès par congestion sont les seuls
signes
pathognomoniques. Dans les cas où l'anesthésie,
enues dans ce travail, les auteurs croient pouvoir conclure que les
signes
les plus fréquents et les plus importants.des t
ux ; suivant l'intensité de l'agent pathogène, il existe ou non des
signes
physiques. Selon que les réflexes psy- chiques
, tandis que la pression en arrière ne détermine pas de douleur. Ce
signe
physique a pour cortège les troubles fonctionne
la pie-mère. II. Tumeur de la glande pinéale. En l'absence de tout
signe
objectif local précis, on diagnostique : tumeur
e le centre cérébral qui correspond à cette région présenterait les
signes
d'un développement dél'ecteux. Les circonvoluti
ltés, qui devait surtout faire penser à la démence primitive. Les
signes
physiques indiquaient une affection généralisée o
e- ment revêtu le caractère des phénomènes post-épileptiques. Les
signes
physiques de l'intoxication saturnine, se sont am
atients moururent. On put pratiquer quatre autopsies; on trouva les
signes
d'une encéphalite franchement aiguë avec atroph
ivi cette recherche avec le plus grand soin. Mal- heureusement, les
signes
de dégénérescence qu'on rencontre n'ont rien de
ysie du genre spasmodique les leucomyélitiques postérieurs, par des
signes
tabétiques. Le début est juvénile, la durée trè
nt en se renversant en dehors. En résumé, pendant quinze jours, les
signes
sont ceux d'une lésion non seulement du sciatiq
t de la cuisse réagissent éner- giquement. » On constate tous les
signes
d'un phlegmon du ligament large (toucher vagina
longues courses et jamais il n'était fatigué. Il ne présente aucun
signe
d'intoxication alcoolique. Il boit or- dinairem
tion plombique ou à quelque autre que ce soit. Il ne présente aucun
signe
de diabète. Il n'a jamais eu de symptômes d'une
ont extrêmement faibles des deux côtés et s'épuisent facilement. Ce
signe
est encore plus prononcé à gauche qu'à droite.
'absence de résistance aux mouve- ments passifs de flexion sont des
signes
d'une valeur absolue à ce sujet. L'absence de r
orsqu'on dit à la malade de porter un verre à sa bouche. Les autres
signes
de la maladie de Parkinson, la sensation de cha
blement céphalique, opposé à la trépidation des membres, comme un
signe
caractéristique et d'une valeur absolue; avec cet
contraire, est complète. Au premier abord, je n'ai pas attaché à ce
signe
une grande importance, en raison de la médicati
insister davantage et sans .exagérer, outre mesure la valeur de ce
signe
, que nous avons là un argu-, ment de plus à l'a
formes, l'une chronique, l'autre aiguë. Dans le pre- mier cas, les
signes
de l'empoisonnement passent presque inaperçus.
rouve pas la déviation habi- tuelle de la langue et des lèvres. Ces
signes
un peu spé- ciaux qu'affectent alors ces hémipl
aralysie des membres supérieurs, du nerf facial, et mort avec des
signes
de paralysie labio-glosso-larynée. Anatomie pat
ent pro- bable ; sucre danslesurines d'unedensité de 1015.-Obs. [Il,
Signes
du tabes; notamment ataxie indubitable; sucre d
lom- baire ; disparition du réflexe patellaire; démarche ataxique;
signe
de Romberg. Quelques jours après, paralysie des
pitations de coeur, développement d'un goitre; puis, , exophtalmie,
signe
très-accusé de de Groefe, accès d'angoisse noc-
La syphilis, au contraire, ne marque la paralysie générale d'aucun
signe
particulier. Les excès sexuels, l'abus du tabac
sont chez d'autres malades; mais il est impossible d'en faire un
signe
diagnostique différentiel, car il y a des sujets
s dont il s'agit. On cherche, par exemple, à faire reproduire les
signes
cliniques de l'hémiplégie faciale périphérique,
a même heure, survenant brusquement sans être annoncées par quelque
signe
précurseur. A partir du quinzième jour environ
et dit que depuis un mois il n'a plus éprouvé aucun trouble. Les
signes
constatés, lors du premier examen, hémianesthésie
des étaient des tabétiques avancés avec des douleurs fulgurantes,
signe
de Westphal, signe de Romberg, ataxie, altéra-
abétiques avancés avec des douleurs fulgurantes, signe de Westphal,
signe
de Romberg, ataxie, altéra- tions de la sensibi
xpérience passée est envolée; et elle regarde avec indifférence les
signes
et les menaces qui autrefois l'auraient mise en
osion causaient un départ subit, mais qu'au delà il n'y avait aucun
signe
indiquant l'impressionnabilité aux excitants au
isphères cérébraux sont complètement aveugles, et ne montrent aucun
signe
qu'ils sont influencés par la lumière, excepté
ent des mouvements avec tous leurs muscles. Ils ne montraient aucun
signe
de plaisir; ' Op. cit., p. 134. LES LOCALISAT
er, on pouvait diagnostiquer : thrombose des veines iliaques avec
signes
de péritonite. Le 2 mars, la malade accuse des do
ion qui s'adresse à l'intelligence du sujet sous forme de symboles ou
signes
représentatifs d'idées que celui-ci doit interpré
gestion sans épithète, il sera entendu que c'est de la suggestion par
signes
(signes parlés, écrits, visuels, auditifs, tactil
sans épithète, il sera entendu que c'est de la suggestion par signes (
signes
parlés, écrits, visuels, auditifs, tactiles, etc.
ulières et des plus profondes — mon « état hypota-nique », — qu'aucun
signe
extérieur ne trahit toutefois, et continuant d'of
ère et s'effectue, il est indispensable que son énoncé, ou les divers
signes
qui peuvent en tenir lieu, soient compris du suje
ification inimaginable qui consiste à lui faire prendre des mots, des
signes
, des riens, pour ses excitateurs naturels et maté
angoisse ne se manifeste pas seulement par le récit de l'obsédé. Des
signes
physiques, tels que rougeur ou pâleur du visage,
morale, est-ce en agissant sur la « créditivité » de sa proie par un
signe
affirmatif que le serpent attire de loin, et sans
C'est un fétiche, c'est un talisman, c'est une amulette, ce sont des
signes
bizarres dits cabalistiques, ce sont des ABRACADA
ni-empoisonner ses hommes, grimpa sur la revers du fossé et montra en
signe
do mépris aux Hollandais, la partie la plus étoff
que les personnes de leur entourage qui n'en recherchent pas les
signes
caractéristiques et qui n'y sont pas exercés puis
permises ; mais, pour être des anomalies, elles n'ont pas « encore de
signes
et se refusent aux classifications accoutumées de
profond avec catalepsie, automatisme et amnésie au réveil (ce dernier
signe
n'a pas toujours été constant). En douze séances
r avec la vie. Observation III. — Neurasthénie viscérale liée à des
signes
de dégénérescence mentale. — Gastro-entéroptose d
ars, à cinq heures, M. le DT Max Nordau fera une conférence sur : Les
signes
précoces et les formes frustes de la paralysie gé
que : léger tremblement de la langue et des mains. II présente divers
signes
de dégénérescence: crâne mal formé, oreilles asym
la période où ont eu lieu les actes incriminés, n'ont remarqué aucun
signe
de trouble mental. Pendant son séjour à l'asile
e rendre compte de tous leurs actes, mais, cependant, ils donnent des
signes
de dérangement cérébral. A certains- moments, on
t incriminé. Enfin, en interrogeant les témoins, on recherchera les
signes
, même les plus légers, de perturbation mentale, t
périences, c'est qu'il faut que le sujet ne puisse soupçonner à aucun
signe
l'intention de l'expérimentateur : il doit être e
en regardant le sommeil du sujet de M. W. Je leur fis comprendre par
signes
que j'étais la cause de ce sommeil, mais je vis b
ars, à cinq heures, M. le Dr Max Nordau fera une conférence sur : Les
signes
précoces et les formes frustes de la paralysie gé
x-286 p. Liège, 1865. — Logique algorithmique : Essai d'un système de
signes
appliqué à la logique ; in-8", 99 p. Liège, 1876.
ars, à cinq heures. M. le Dr Max Nordau fera une conférence sur : Les
signes
précoces et les /ormes frustes de la paralysie gé
et. Usant inconsciemment de la suggestion, il les aura transformés en
signes
habituels ; il se sera attaché, toujours sans te
s qu'on fit aller et venir, sans que la jeune fille donnât le moindre
signe
de douleur ou fit mine de la retirer. » Notre a
blessé, elle y augmente le désordre organique dont la douleur est le
signe
; l'idée du mal y entretient et y développe le mal
ars, à cinq heures, M. le Dr Max Nordau fera une conférence sur : Les
signes
précoces et les formes frustes de la paralysie gé
yglotte. L'étude de toute langue débute par l'alphabet, ensemble de
signes
et de caractères avec lesquels elle s'écrit. Ici,
es débutants, provient de la nécessité d'apercevoir simultanément les
signes
écrits sur les deux portées et de les lire en mêm
ar le rectum. L'examen de la paroi abdominale permet d'observer les
signes
suivants : cette paroi est extrêmement mince, trè
ars, a cinq heures. M. le Dr Max Nordau fera une conférence sur : Les
signes
précoces et les /ormes frustes de la paralysie gé
ur la nécessité du détatouage chez les jeunes détenus, « Le tatouage,
signe
matériel du lien qui unit le condamné à un milieu
gauche. Du côté droit, le sourcil était plus abaissé qu'à gauche. Ce
signe
objectif est à noter, il permet de distinguer le
inologie de M. Parinaud et en attachant une très grande importance au
signe
de Gilles de la Tourette (superposition du spasme
sans profession. Grande hystérique, elle aussi, présentant tous les
signes
de cette redoutable névrose, elle vint me consult
croit en possession de la vérité. La confiance exagérée en soi est un
signe
indéniable de la bélise. L'absence du doute est
vue utérin en arrive jamais, par une influence psychique, à avoir des
signes
assez marqués de gestation pour en imposer à un e
ette luxation à répétition survenant la nuit, a été pour Trousseau le
signe
diagnostique d'une épilepsie nocturne méconnue.
le, dans l'intervalle des crises douloureuses, qu'il n'existait aucun
signe
réel de tuberculose locale. Or, toute investigati
ans, son caractère avait été normal et il n'avait jamais présenté de
signes
de pusillanimité. Ses antécédents héréditaires so
teint d'onychophagie. Dès l'âge de deux ans, Louis B... donnait des
signes
de peur quand on le laissait dans l'obscurité, qu
buée qu'à une action de la tumeur sur le trijumeau. Ces différents
signes
indiquaient une tumeur située dans la région du
it aucun moyen pour communiquer avec la société, pas plus par les
signes
(hors quelques gestes des plus naturels), que par
gner aux sourds- muets la langue française sans l'intermédiaire des
signes
; de l'abbé Tarra : Esquisse historique et court
ile et ne pouvait se faire que par exclusion. Etant donnés tous ces
signes
de compression de la moelle, l'opération était
nous montre le symptôme sans la lésion. Le malade avait tous les
signes
spasmodiques de la maladie de Charcot; il n'y ava
résie gauche. A son entrée à l'hôpital on constate unique- ment les
signes
suivants : hémianesthésie gauche, rétrécissement
vants apparaît une polyu- rie abondante, en même temps que tous les
signes
disparaissent sauf le pouls lent et le rétrécis
llègues, sur la tombe de M. Loiseau. La séance est ensuite levée en
signe
de deuil. Séance du 22 février 1897. PRÉSIDENCE
x sont possibles et que l'atrophie peut se manifester même, par les
signes
de dégénérescence. M. le professeur RoTH. - Un
ofesseur Raymond insiste sur les grandes lignes de l'affection, les
signes
cardinaux qui ne man- quent pour ainsi dire jam
était probablement d'origine hépatique ; l'aspect delà malade, les
signes
d'arthritisme les troubles biliaires, l'impuiss
gens absolument normaux qui d'ailleurs n'ont jamais présenté aucun
signe
de dégénérescence. Enfin si quelques-uns ont de
-uns ont des tares héréditaires, chez beaucoup d'autres invertis un
signe
de dégénérescence ne suffit pas pour qu'on y vo
nes mentaux moins profonds dans les tumeurs cérébelleuses. Quelques
signes
secondaires tels que hyperalgésie frontale, tum
ple, qui a débuté à l'âge de treize ans. Elle présente en outre des
signes
d'acromégalie, qui ont évolué lentement : le ne
ante. Le nez, les lèvres sont épaissis. Les mains sont énormes. Les
signes
de la maladie de Basedow (goitre, exophlalmie,
le lobe occipital, il y a destruction des images commémoratives des
signes
visuels de l'écriture; c'est en ce cas qu'il y a
omet des lettres ou des frag- ments de lettres et de syllabes, des
signes
diacritiques, comprend très bien ce qu'on lui d
On n'est pas autorisé à poser le diagnostic uniquement d'après les
signes
physiques ou d'après les symptômes psychiques ;
é. Devant un malade ayant dépassé cinquante ans et présentant des
signes
d'artério-sclérose, il faut se souvenir que l'ath
autres qui,; après avoir présenté pendant un certain temps tous les
signes
de la méningo-encéphalite chronique diffuse, gu
quatorze ans qui présente réunis d'une façon incontestable tous les
signes
physiques et psychiques de la paralysie général
'idées délirantes a été constatée. M. BRIAND (de Villejuif). - Le «
signe
du cubital, » qui a été considéré pendant quelq
nts nerveux antérieurs. M. GIII.IUD (de Saint-Yon). - Il y a deux
signes
de la paralysie générale qui, de très fréquents
is). - D'après M. Garnier, on pourrait croire que la démence est un
signe
de début de la paralysie géné- rale ; or, il es
uestion du diagnostic de la paralysie générale, il résulte qu'aucun
signe
vraiment pathognomonique n'est encore venu éluc
léments nerveux différents; de là des variétés cli- niques avec des
signes
initiaux également différents pouvant se généra
qui tendraient à prouver que la réaction de dégéné- rescence est un
signe
sans valeur puisqu'on le rencontre dans l'atrop
Saint-Aubin, près Arras. Cet homme donnait depuis quelque temps des
signes
non équivoques d'aliénation mentale. Tout réc
... vingt-six mois, enfant mâle bien constitué, ne présentant aucun
signe
physique de dégénérescence et paraissant avoir, p
chargée; père alcoolique avec des stigmates très nets d'hystérie et
signes
non moins nets de dégénérescence mentale. Mère tr
eul Irait 1 litre de vin sans paraître incommodé, sans donner aucun
signe
d'ivresse. Je n'entendais plus parler de notre
shner, en raison de son apparition précoce et en l'absence d'autres
signes
indiquant une affection organique, constitue bi
ou qu'on saisit quelque chose. Rien ou presque rien au repos. Aucun
signe
de paralysie musculaire, pas d'altération élec-
sence d'aura, de perte de connaissance et de chutes. Il n'y a aucun
signe
de tabes. L'épilepsie à aura laryngée ne peut ê
ntelligente : front fuyant, crâne asymé- trique ; elle présente les
signes
physiques de dégénérescence. Sa mère qui me don
erser la seconde et la troisième enfance sans donner plus jamais de
signes
évidents d'hystérie. Ce n'est pas ainsi que se
n'y faut pas songer chez l'enfant en bas âge. Et pourtant tous ces
signes
ont une valeur séméiologique considérable, le r
égales mais ne réagissant pas à la lumière et à l' accommodation .
Signe
de Bombera. Signe de Biemacki (analgésie du ner
agissant pas à la lumière et à l' accommodation . Signe de Bombera.
Signe
de Biemacki (analgésie du nerf cubital des deux
doigts innervés par ces nerfs ne se contractent pas à la pression (
signe
de 131ernachi). Le réflexe pharyngien diminué.
plupart du temps, mais, vers la troisième semaine apparaissent les
signes
avant-coureurs de la paralysie; c'est dire que
ut acquérir une grande valeur au point de vue mé- dico-légal, comme
signe
différentiel. VIII. 11 y a lieu d'admettre que
e sera appliqué qu'avec les précautions d'usage et s'il n'y a aucuu
signe
de sclérose rénale ; dans le cas contraire, on em
. Entrée à l'asile de Bailleul au mois d'août 1893. On cons- tate :
signes
de dégénérescence physique, stigmates hystériques
. Pre- mière attaque à seize ans à l'occasion des premières règles.
Signes
physiques de dégénérescence. Obnubitation intel
que de la puberté (quatorze ans), les attaques sont plus violentes.
Signes
de dégénérescence. Débilité mentale avec fond m
d'ail- leurs que ses frères, soeurs et parents n'ont présenté de
signes
d'acromégalie ; cette maladie chez elle est donc
itale et la porencé- phalie acquise. Déjà Kahlden a fait justice du
signe
de Kundrat relatif au rayonnement des circonvol
eK<)'«<6 ? XV, 1890.) Fillette de dix-neuf ans présentant les
signes
d'une lésion de la base du côté gauche (hématom
e pré-opératoire était indiscutable. Les autres troubles oculaires,
signe
de Graefe, signe de Stellwag, signe de Moebius,
était indiscutable. Les autres troubles oculaires, signe de Graefe,
signe
de Stellwag, signe de Moebius, signe de Ballet,
Les autres troubles oculaires, signe de Graefe, signe de Stellwag,
signe
de Moebius, signe de Ballet, quand ils existent
es oculaires, signe de Graefe, signe de Stellwag, signe de Moebius,
signe
de Ballet, quand ils existent, comme dans mon tro
isparaissent aussi après l'opération. Ceci s'explique, car tous ces
signes
sont d'une façon directe ou indirecte dus à l'exc
o rob the authors of the merit due to them ».— C'est toujours un -bon
signe
de la valeur des initiatives et des recherches sc
it, l'oubli au réveil a été considéré par beaucoup d'auteurs comme le
signe
fondamental de l'état hypnotique. M. Bérillon a
ir. Aussitôt, elle fut prise d'un tremblement plus prononcé : par ses
signes
et ses cris inarticulés, elle montra qu'elle se r
livres utiles. Puis, la Science amusante, en 3 volumes; l'auteur, qui
signe
Tom TU, est un ingénieur fort remarquable, et don
une opération sous l'Influence du chloroforme, et qui depuis ne donne
signe
de vie que pour quelques Instants, toutes les dou
poisonnement et en devenant des alcooliques chroniques présentent des
signes
de l'activité psychique affaiblie, la faiblesse d
ergie.une tendance vers la mélancolie, le sommeil J mauvais, quelques
signes
physiques comme le tremblement 1 général, la cong
3° Des personnes qui, avant de devenir alcooliques, présentaient des
signes
de dégénérescence psychique. 11 ne s'agit ici que
d'humeur qui devient calme et forte. Ce changement d'humeur est un
signe
très important pour le! pronostic. Dans tous les
au jour le jour dans la vie de la sainte ct.de mettre en lumière les
signes
diagnostiques qui permettent de reconnaître l'ori
peuvent y être introduits; 3' Le nom et la hauteur des notes ; 4° Les
signes
accidentels qui sont destinés à élever ou à abais
és à élever ou à abaisser momentanément la hauteur d'une note; 5° Les
signes
d'expression qui s'appliquent à l'ensemble du mor
s irréguliers et plus difficiles entre différentes notessuccessives ;
signes
accidentels inattendus etmultipliés, etc. tout ce
titude extraordinaire. » (5) En effet « elle aima si fort l'usage des
signes
, quoique d'abord c'eût été de ces choses dont ell
n avoient un peu de peine, parce qu'elles ne pouvoient comprendre les
signes
qu'elle composoit quelquefois, ne les comprenant
l'état du rêve ; mais la pathologie générale ne doit pas négliger les
signes
qui peuvent lui Être fournis de ce côté. Le rêv
s l'aliénation mentale est longuement étudié : on a dans les rêves un
signe
précurseur fréquent des maladies mentales, au mom
ctualités médicales, rendra service au médecin qui n'a jamais trop de
signes
pour aider à son diagnostic, parfois délicat et d
te nécessité que Jésus fît des miracles. Car les Juifs exigeaient des
signes
de l'homme en qui ils devaient avoir foi (Paul, é
i et les pharisiens l'abordent en lui demandant de leur faire voir un
signe
(Mat. XXII, 23). Une autre fois ils précisent et
un signe (Mat. XXII, 23). Une autre fois ils précisent et exigent un
signe
du ciel (Mat. XVI : Marc VIII, il). Car les anc
un homme accrédité auprès des Juifs, parles eflets de puissance, les
signes
et les miracles que Dieu a faits en lui. » (A s
aux ; c'est une incurable et une dégénérée. Je ne pense pas que ces
signes
se retrouvent avec la même netteté chez les mastu
ns l'hystérie. Quelquefois il s'est mordu la langue et ce fait est un
signe
de probabilité en faveur de l'épilepsie. Par cont
menteur et impudent; il lui commandait de partir et de donner quelque
signe
de son départ, o Je renverserai telle statue », c
P... estâgéde 45 ans.; c'est un ancien syphilitique. Il présente les
signes
essentiels du tabès : douleurs fulgurantes, aboli
1° Y a-t-il. dans la recrudescence du mysticisme de notre époque, un
signe
de dégénérescence dans la marche de l'esprit huma
sujet cataleptisé est un automate qui ne répond réflectivement qu'aux
signes
extérieurs. A un degré plus profond encore du
ggestion ne peut pas améliorer cette névrose sénile même lorsqu'aucun
signe
ne peut faire penser à l'hystérie franche. Pour n
mes réflexions à la seconde sur la persistance de ses règles, et les
signes
négatifs de mon examen. Cependant, il est à rem
aphié dans le service : il est absolument intact et ne présente aucun
signe
de fracture récente ou ancienne; il n'y a pas non
lle dans la môme proportion, disparaissent seulement avec son dernier
signe
et ne restent absentes que tout le temps que dure
en ne justifie, ni de près, ni de loin, ce diagnostic. Il n'existe ni
signe
somatique se rapportant à cette affection (incoor
perte du réflexe lumineux, tremblement de la langue, etc., etc.), ni
signe
psychique [affaiblissementglobal des facultés int
duction du sommeil provoqué. Il est très intéressant de connaître les
signes
précurseurs du sommeil et leur constatation peut
tiseur pour la direction de l'opération. Par la connaissance de ces
signes
, on peut déterminer souvent d'une façon précise l
rarement, on constate du larmoiement, également passager. D'autres
signes
objectifs sont d'une constatation plus difficile.
ous ces phénomènes précèdent l'apparition du sommeil. Ils en sont les
signes
avant-coureurs et leur cessation brusque marque l
elle nous présente sont ceux de Vhémisomnarnbulisme hystérique. Les
signes
de son hystérie sont très nets; elle a un fort ré
matique. Les tics qui apparaissent dès les premières années sont un
signe
de psychasthénïc : l'enfant est marqué au sceau d
; le « criminel-né » n'apporte en lui rien de fixe, ni d'absolu ; les
signes
diagnostics de la criminalité native, tels que le
valeur d’un esprit qui prend souvent la parole inopinément? Aux mêmes
signes
que nous reconnaissons la valeur du premier venu
hand de bois se place en donnant de la façon la plus marquée tous les
signes
d’une incrédulité choquante ; il croise les bras,
l fallait le relever, aussi le fit-il de bonne grâce, et commença ses
signes
et passes. 11 n’allait pas vite en besogne avec M
entre eux deux et commença ses passes. Peu à peu cet homme donna des
signes
non équivoques de la puissance qui agissait sur l
’arrivai chez mon voisin, où tout le monde était en émoi. Sur un seul
signe
attractif, le sujet vint d’un bond se coller la p
placé. Je fermai la porte et priai l’individu de me dire ou me faire
signe
quand il voudrait que le somnambule vînt. Au sign
donc et soyons prêts, car il peut venir à toute heure. Mais à quel
signe
le reconnaîtrons-nous ? Aux écailles de sa chrysa
pareillement son échelle de proportion. La liquidité du sang étant un
signe
d'appauvrissement de ce liquide, les sujets alïai
aux médiums parlants, quoiqu’il y ait ordinairement chez eux quelque
signe
extérieur du pouvoir qui agit. 0 Une autre, et
rs, sans cause impulsive apparente, et répondent, dit-on, au moyen de
signes
convenus d’avance, aux diverses questions qu’on l
ment dans les ouvrages qui traitent de cette science humanitaire, des
signes
à l’aide desquels on pût reconnaître à priori si
s artères sont en bon état, pourra être, dans la majorité des cas, un
signe
présomptif de la sensibilité magnétique, et sera
x, me déclara avoir le sang très-pauvre, ce que confirmaient tous les
signes
extérieurs. IX. — L’épouse de M. Ogier, notre c
u Planty et Léger, me dire, depuis que j’ai appelé l’attention sur ce
signe
, qu’ils l’avaient constaté plusieurs fois sur des
es au magnétisme. 2° Attraction du petit doigt. Indépendamment du
signe
dont il vient d’être question, il en est un autre
non à l'action de ses plaques. » h° Hérédité. Reste un quatrième
signe
, sur lequel M. Hébert a appelé, l’attention, ('.e
un quatrième signe, sur lequel M. Hébert a appelé, l’attention, ('.e
signe
ne se tire pas, comme les trois précédents, de ph
ur nourrice que de leur mère. •> 5° Divers. Indépendamment des
signes
dont je viens de parler, il en existe encore un a
les précédents, méritent au moins d’être mentionnés. En (ôte de ces
signes
accessoires je mettrai la perte d'appétit, un éta
r la marche et autres exercices de locomotion. Je le répète, tous ces
signes
ne se rencontrent pas constamment avec les préc
espère, après qu’ils auront été constatés, que la connaissance de ces
signes
pourra être de quelque utilité, puisqu’elle contr
ulement les tables tournent et parlent, mais elles s’arrêtent par des
signes
de croix, ou lorsqu’une main quelconque pose sur
naturel de poursuivre. On se remit en place. o Dis-nous, selon les
signes
convenus, lui dit la même personne, la première l
stacles. Il endort «5 personnes sur 100 (sic), ni plus ni moins. A un
signe
de lui, les pulsations s’accélèrent ou diminuent;
ar M. le général Noizet. 1 vol. in-8. Pion frères, éditeurs. Un des
signes
les plus caractéristiques des progrès du magnétis
à tout autre point du symbole catholique, sera pour un catholique le
signe
authentique de la mission d’un bon esprit; ce ser
t nous espérons que vous lui décernerez une médaille de bronze en que
signe
d’approbation. 6° M. L. CLAPIER, agriculteur, d
est plus heureusement doué que ses confrères, car chez ta plupart le
signe
a généralement soin de se cacher dans uu endroit
années, les paroles de l'homme qui aurait osé proclamer que quelques
signes
mystérieux faits sur le front d’un individu suffi
pas que les communications faites au nom d’uii esprit, même quand il
signe
son nom, soient, par cela seul, authentiques et a
exprimées, converse avec les âmes sans avoir besoin de langage ou de
signes
matériels; il voit l’être moral aussi nettement q
Par les divers détails qui précèdent, vous jugerez sans doute qu’un
signe
d'encouragement est bien légitimement dû au candi
-Dame de Paris, il dit que te siècle présent a été marqué au front du
signe
de la publicité. La conspiration du silence don
e fois, et en notre présence, le 9 février 1852. Indépendamment des
signes
locaux dont nous avons parlé, la malade accusa le
damment des signes locaux dont nous avons parlé, la malade accusa les
signes
sympathiques suivants : perte d’appétit, digestio
la perte d’appétit et l'amaigrissement progressif, sont pour nous des
signes
qui nous font penser que cette dame est affectée
artout oit il y a des dupes à faire et quelques sous à extorquer. Des
signes
particuliers, des mouvements des mains ou des pie
et la foudre qui éclate? ti C’est le signal de mon heure dernière; on
signe
l’ordre «de mon exécution.» Ses camarades se prir
à 2"',50 du sol. Elle tomba en jetant un cri, et elle ne donna plus
signe
de vie..... Aussitôt on accourt, on lui fait re
me d’une bougie, sans que cette jeune fille laissât percer le moindre
signe
qui pût accuser la douleur. Et, chose extraordina
d’entre toutes cul lieu vers l’âge de la puberté; à cette époque, des
signes
précurseurs de la menstruation se manifestèrent ;
. Je vais chercher à établir un diagnostic certain, par la preuve des
signes
morbides qui les caracté-saient. Dans les sympt
existaient plus. L’époque menstruelle arrivait, et avec elle tous les
signes
morbides qui la précédaient ordinairement. Déjà l
uvée démagnétisée assez pour être réveillée, elle a fait entendre par
signes
qu’elle n’y voyait pas et ne pouvait parler. Comm
es et le peu de succès des agents thérapeutiques étaient pour moi des
signes
précurseurs d’une mort prochaine. De tous les moy
On lui parle, elle ne répond pas ; je la pince, elle ne donne aucun
signe
de sensibilité. Les bras élevés retombent sur le
ournées en haut; elle ne répond à aucune question, ne manifeste aucun
signe
de sensibilité lorsque je la pince. Le pouls n’of
flammation du rein (néphrite), bornée à un seul côté. Voici sur quels
signes
j’ai cru pouvoir établir mon diagnostic. Après
ure s’anime enfin un peu et son pouls revient lentement, ses premiers
signes
sont un mouvement d’affaissement qui entraîne le
eulement vus, mais perçus parles assistants au moyen du toucher. A ce
signe
évident de l’existence de la circulation s’en joi
xistait pas (1), je voulus essayer d’un moyen qui (1) Au nombre des
signes
certains de la mort, on doit mettre en première l
duit, devons-nous tout à coup crier au miracle et battre des mains en
signe
de contentement? Avant qu’il en soit ainsi, ne de
S'assurer si les sujets présentent le bruit de souffle, indiqué comme
signe
présomptif de la sensibilité magnétique; et, s’il
il faudrait expliquer ce que c’est que le témoignage de Dieu, à quels
signes
il se manifeste, sur quoi on se fonde pour affirm
n se répondre. Cagliostro ne cessait de me regarder ; mon mari me fit
signe
de partir ; je ne vis pas ce signe, mais je senti
t de me regarder ; mon mari me fit signe de partir ; je ne vis pas ce
signe
, mais je sentis ce regard entrant dans mon sein c
voir le diable. Ce diable-là était un beau jeune homme dont tous les
signes
île diablerie se bornaient à de jolies petites
r M. Edmonds, 92; par M . Louisy, 180. Sensibilité magnétique. Voy.
Signes
présomptifs. Signes présomptifs de la sensibili
M . Louisy, 180. Sensibilité magnétique. Voy. Signes présomptifs.
Signes
présomptifs de la sensibilité magnétique : — Brui
ap- portés par M Moreau, libraire au Palais-Royal, 196. Objets et
signes
magiques, 19, 514 Objet perdu retrouvé par un e
ette indétermination primitive, à laquelle ne se rattachent point les
signes
d'une ruine, d'une dégradation antérieure, est, e
fon, un reste de resemblance avec l'homme rend plus odieux encore les
signes
d'une dégradation universelle. § XVI. PLIS CÉ
main, mais sur la face dorsale de la deuxième phalange (1), sont des
signes
communs d'élévation; mais, quelque importants que
raux de VOrang. Le Chimpanzé présente, sous ce point de vue, quelques
signes
d'infériorité. Les plis cérébraux offrant, dans l
et fait étinceler sur la plus importante région du cerveau humain le
signe
de la puissance souveraine. § XXY. Voilà, d'u
veloppement anormal. Ce cerveau, dans la Femme bojesmane, n'est qu'un
signe
d'infériorité; c'est un signe de dégradation dans
u, dans la Femme bojesmane, n'est qu'un signe d'infériorité; c'est un
signe
de dégradation dans un Homme blanc. Ces faits s
faitemenf proportionnés et très-vifs , très-gais, et ne donnent aucun
signe
d'idiotisme. Cette circonstance seule oblige de l
ur, dont le langage extérieur n'est que l'image. Il confond à tort le
signe
avec la chose, il se trompe et Tyson se trompe av
ganisée, ne peut produire ni la pensée , « ni la parole qui en est le
signe
, à moins qu'elle ne soit animée par un principe s
ar la métamorphose singulière à l'aide de laquelle certains organes ,
signes
d'infériorité sériale, sont transformés en organe
bien loin de là; et cependant, malgré cette infériorité actuelle, des
signes
de supériorité apparaissent, des incisures sèment
dont on retrouve des traces dans l'Orang et dans le Chimpanzé, est un
signe
évident de perfection relative. Les plis pariét
eur du deuxième pli ascendant est, dans chaque groupe pris à part, un
signe
d'élévation sériale. Le pli courbe présente aus
dent que ce pli n'a aucune importance sériale, et que sa valeur comme
signe
est d'un ordre tout à fait accessoire. C. Du lo
ser que la longueur de ce lobe est, au contraire de son épaisseur, un
signe
d'élévation sériale. Mais les Gibbons échappent à
nce est nécessaire. Or plus elle est nécessaire, et moins elle est un
signe
d'élévation. Cette proposition mériterait peut-êt
t du lobe occipital et du pli marginal sont, dans tous les Singes, un
signe
d'élévation. Sur la face interne de l'hémisphèr
élévation. Sur la face interne de l'hémisphère, nous noterons Comme
signe
d'élévation la grandeur du lobule quadrilatère, e
e résolution complète. La constatation de cette aptitude constitue un
signe
des plus favorables à la production de l'hypnotis
aine. PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un
signe
de dégénérescence ? Un rédacteur de la Province
pour désigner les rongeurs d'ongles ei aussi l'opinion qui en fait un
signe
de dégénérescence. Il considère qu'il y a là un
ngles, depuis le matin jusqu'au soir, devrait être considéré comme un
signe
de supériorité intellectuelle II a sans doute pou
démontré que le prognatisme de la mâchoire inférieure constituait un
signe
indéniable de dégénérescence : un certain nombre
era montrée impuissante. D'ailleurs, si l'onychophagie n'était pas un
signe
de dégénérescence, elle n'en serait que plus dépl
vre.) , PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un
signe
de dégénérescence ? (1) Depuis plusieurs années
: « Est-ce toi Georges ?» « Georges mon fils ». « L'apparition fit
signe
que oui, et quoiqu'elle ne put parler, on sentait
ncé des paroles inutiles en présence de l'hypnotisé ; on a montré des
signes
d'inquiétude ; on a laissé échapper des exclamati
uivre). PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un
signe
de dégénérescence ? (1) (Suite) Mon cher Dire
(A suivre). ¦ PÉDAGOGIE DES ANORMAUX L'onychophagie est-elle un
signe
de dégénérescence ? (1) I. L'OXTCHOPHALGIE DASS
ES PIEDS Ce n'est pas le fait de ronger ses ongles qui constitue un
signe
de dégénérescence. L'animal qui se trouve géné pa
s avant qu'il ait chanté deux fois. Vous la trayez, vous faites trois
signes
de croix sur son pis et vous vous en allez sans r
tte. S'il y reste collé, l'enfant guérira ; sinon, c'est bien mauvais
signe
. Pour plus de sûreté, on fait dire une messe ou,
nférence ayant pour centre l'enfant malade. Ensuite, il faisait force
signes
de croix par tout le corps, en murmurant des paro
re. Beaucoup, sans employer de formules, se contentent de faire des
signes
de croix, en soufflant alternativement sur la brû
nent surtout chez des hystériques lesquelles présentent très vite les
signes
d'une grossesse vraie : les malades sont rapideme
sur la suggestion à l'état de rêve et dans la vie normale : étude de
signe
pupillaire. Broch. in-S 7 pages. Dr Bérillox :
ma nicut îo ni déjà portées à l'ordre dv jour: (° D* Bèrillon : Le
signe
de la'détente musculaire. Sa valeur en neuropatho
oldats, en même temps qne de bons citoyens. None avons même adopté le
signe
de la Croix-Rouge de la convention de Genève pour
, entrait donc dans le choix de sa compagne. ear celle odeur était le
signe
sensible et permanent de sa parenté avec lui, l'o
prétatiou anatomo-physio-logique de l'hypnotisme. Dr Bérlllox. — Le
signe
de la détente musculaire ; sa valeur en clinique
membre titulaire de la Société. La séance est levée il 6 h. 50. Le
signe
de la détente musculaire Sa valeur en clinique
D' Békillos, professeur à l'Ecole de psychologie La recherche du -
signe
de la détente musculaire » s'effectue de la façon
les recherches dynamométriques de divers auteurs. La recherche du ¦
signe
de la détente musculaire » nous a appris que l'ét
e perturbation dans le fonctionnement des opérations cérébrales. Le
signe
de la détente musculaire donne des indications si
on progressive de la souplesse dans les mouvements musculaires est le
signe
le plue certain d'une évolution vers la guérison.
psychasthénie. Lorsque l'attention des malades a été appelée sur ce
signe
, ils ne tardent pas a en apprécier toute l'import
ercices d'à s son plissement ayant pour but de favoriser le retour du
signe
de la détente musculaire peuvent être utilement a
ps déjà, me semblent très intéressantes. Elles mettent en évidence un
signe
important en clinique psychologique ; elles montr
te musculaire auxquels a pratiquement conduit M. Bérillon. l'étude du
signe
qu'il vient de vous indiquer ont à cet égard une
gisme par la suggestion hypnotique. 6° D'Hôtel, de Polx-Terron : Le
signe
pupillaire : sa valeur psychologique. Question
d'urine. — La rééducation urînaire. 8° D'H6tel, do Poix-Terron : Le
signe
puplllalre : sa valeur psychologique. 4° M. Mo
avec joie. « Un franc éclat de rire qui gagne toute la classe est un
signe
de santé morale » par ce que rire est le propre d
suivant : Dr D'Hôtel (de Poix-Terron) : Ls valeur psychologique du
signe
pupil-laire. Discussion : Dr Bérillon Dr P. Far
Leicester^ sont adoptées à l'unanimité. La valeur psychologique du
signe
pupillaire par M. le Dr Georqks d'Hôtel, de Poi
produit le phénomène physiologique et psychique de la persuasion avec
signe
pupillaire. nous remonterons ensuite à ses causes
a défense, l'échec ou le succès, suivant que j'avais obtenu ou non le
signe
pupillaire. D était par contre des pupilles réf
dans plusieurs régiments, elles concordent. Elles nous donnent le
signe
pupillaire dans les deux cas : auto-suggestion à
t le pré-hypnotisme, c'est l'attention, c'est la persuasion, arec son
signe
pupit/aire, où nous avons voulu limiter celte étu
ssus sont faciles à déduire ; nous les énoncerons simplement. 1° Le
signe
pnpillaire, dans la vie courante, indique un état
osé par un état d'anie antérieur qui fait prédominer I sur B. 2° Le
signe
pupillaire doit être, en pédagogie, pour le maîtr
(Recherches sur la), par Jules Voisin, p. 360. Détente musculaire (Le
signe
de la), par Bérillon, p. 275. Dormir ? (Combien
nisme chez des enfants, par Régis, p. 366. Onychophagie est-elle un
signe
de dégénérescence (L'), p. 27, 57, 88, 115. Opi
tics, par Cha-vigny, p. 277. Pupillaire (La valeur psychologique du
signe
., par d'Hôtel, p. Religions nouvelles en Austra
rchives, 1. xv. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous venons de voir les
signes
qui caractérisent la déformation de la sciatiqu
brale. Lorsqu'on appuie légèrement sur ces points, elle donne des
signes
de douleur vive et s'écarte. L'hypéresthésie, quo
t ne sont pas nerveuses. Lui-même étant jeune, ne présentait pas de
signes
de ner- vosisme, mais des migraines : il est d'
ie moyenne et latérale du thorax du côté droit, mais il n'y a aucun
signe
de névralgie intercostale. Cependant la pressio
est normale et égale des deux côtés du corps. On ne trouve aucun
signe
de tabes, de paralysie générale, de tumeur céré
s à bout par un mariage déraisonnable, le jeune Mistral donnant des
signes
évi- dents d'aliénation mentale fut, sur la dem
me ou de son RAPPORT SUR MISTRAL. 87 I frère ne lui arrache aucun
signe
de sensibilité. Sa volonté est nulle; il fait e
n léger souffle à la base du coeur, on n'observe chez Mistral aucun
signe
de déchéance organique. A en juger par les résu
nna, commença la dite femme à se mouvoir et démons- trer par autres
signes
qu'elle Ùvoit encore, dont tous les assistants
s, près d'un individu plongé dans le coma le plus profond. Certains
signes
qu'il constate peuvent lui faire penser à une a
qui n'a rien à voir avec l'auditif est identique àce que Roller dé-
signe
sous le nom de racine ascendante de l'acoustique
les, mais par des lignes plus horizontales, sont, à notre avis, des
signes
typiques de la glioma- tose de la moelle épiniè
leurs excentriques de la nuque, l'arthropathie de l'épaule sont des
signes
caractéristiques, confirmant le diagnostic. A c
les mouvements des membres inférieurs. Enfin, il existe d'autres
signes
: absence des réflexes, troubles oculaires, dou
upement laisse peu de doute pour le diagnostic. Or ici tout autre
signe
fait défaut : quant aux autres symptômes du tab
e juger eu dernier ressort. Observation LUI. Mère morte maniaque.
Signes
légers de dégénérescence. Début à vingt-deux an
et sans changement des troubles intellectuels mélancoliques. Des
signes
importants pour le diagnostic seront alors la rép
leurs peu im- portantes. Il admet aussi que la stupeur n'est pas un
signe
forcé de dépression mélancolique, mais qu'elle
s de Rieger2 de ramener les phénomènes cataleptiques et autres, les
signes
d'opposition, etc ? à la même cause, c'est-à- d
, après un temps beaucoup plus pro- longé il est vrai, présente les
signes
d'un amaigrissement con- sidérable. Cet amaigri
ce pieux personnage. Cependant, au bout de plusieurs jours, nuls
signes
de putréfaction ne se manifestant, il transpira p
its dits de mort apparente. C'est même là, on le comprend, un des
signes
sur lesquels on s'appuyait le plus autrefois pour
ume brûlée, ni ammoniaque, ni piqûres ne purent nous donner aucun
signe
de sensibilité; le galvanisme fut employé sans qu
Passons, du reste, car nous croyons qu'il existe de bien meilleurs
signes
en dehors de l'aspect du malade, qui, d'ail- Ar
IQUE. leurs, prête un peu trop à l'appréciation individuelle. Ces
signes
sont tirés : 1° de l'état de la température ; 2°
é de la face pourront également éclairer le dia- gnostic ; mais ces
signes
paraitront surtout évidents et plus précis si n
ne laisse aucun doute sur la valeur diagnostique de ces différents
signes
. Pas un de ces auteurs ne signale, en effet, un
DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 297 1 en dehors même des autres
signes
propres aux dormeurs hys- tériques, pour établi
vec la mort réelle et, aller plus loin, ce serait énumérer tous les
signes
de la mort. Nous croyons avoir assez fait pour
ne ratissé. Pendant cette opé- ration, le malade ne manifesta aucun
signe
de douleur; seule- ment il soupira d'une manièr
s qui séparent le délirant chronique des dégénérés. Malgré certains
signes
communs, l'on ne saurait assimiler, sans erreur
l'autopsie de sujets n'ayant présenté pendant leur vie aucun des
signes
habituels du tabes. Plus récemment les recherch
la marche. Sensations de gonflement des pieds et de dénivellement.
Signe
de Rorn6eg. Excitation génitale suivie de frigidi
est toujours incertaine. La sensation de dénivellement persiste. Le
signe
de Romberg est très net. Les réflexes rotuliens
ion de Todd, vésicatoire.) Du côté de l'appareil respiratoire mêmes
signes
que précédem- ment et, de plus, râles, assez fi
statistique de cas divers d'aliénation dans lesquels il trouve des
signes
qu'on attribue à la catatonie : -. il n'admet n
pro- noncé. Morsures de la langue. Aura en forme de boule; aucun
signe
d'hystérie, pas de perte de la sensibilité au tac
as de raideur chez lui quand un membre est étendu. D'ailleurs aucun
signe
d'hystérie, aucune perte de sensibilité ou du s
arquons tout d'abord qu'après avoir donné la verbigération comme un
signe
diagnostique important, Kalhbaum ajoute qu'au c
de ses symp- tômes en particulier. En somme, isolément, aucun des
signes
que nous venons de passer en revue ne peut à lu
es aliénés; mais malgré leur absence, il est évi- dent que tous ces
signes
réunis "Ill' une seule et même tête suffiraient
emporté, violent, etc. Non, nous savons que l'un ou l'autre de ces
signes
considérés isolément ne saurait impliquer la dégé
roniques aient ou n'aient pas de tares héréditaires accusés par des
signes
de dé- générescence. On peut les considérer com
conteste que dans le délire des persécutions il y a quelquefois des
signes
de dégénérescence. M. B. 462 SOCIÉTÉS SAVANTES.
vingt-cinq malades. Sur quinze paralytiques généraux présentant le
signe
de Westphal, le phénomène du genou ne put être pr
à terme, et l'enfant est aujourd'hui bien portant. Il y a cinq mois,
signes
d'une nouvelle grossesse. Ajoutons que, dans l'in
les ca-ractères d'un fœtus de 5 mois, et présente, en outre, tous les
signes
qui dénotent une mort remontant déjà à plusieurs
uit le col utérin et a envahi même une partie du vagin ; les premiers
signes
de l'affection utérine remontent à un an environ.
ur qu'autant que la pathologie nous aurait appris à distin-guer à des
signes
certains, ou du moins probables, les cas dans les
essentielle de térébenthine, mélangée ' avec l'huile de ricin? Si les
signes
d'une péritonite viennent à se déclarer, mainteni
provoquée par l'administration d'un purgatif. Il peut arriver que les
signes
de bronchite latente, qu'on rencontre si souvent
s plus tôt, rarement plus tard. Il constitue, suivant les auteurs, un
signe
diagnostique de la plus haute importance ; il ser
dultes, et surtout chez les vieil-lards (Guéneau de Mussy). Parmi les
signes
défavorables, les auteurs signalent en première l
Dans l'une de ces formes, la fièvre pestilentielle est accompagnée de
signes
extérieurs, tels que bubons, charbons ou pétéchie
charbons ou pétéchies (pestilens fe-bris comitata). Dans l'autre, ces
signes
extérieurs font défaut (pestilens fe-bris incomit
issent plus tard que les bubons, et tandis que ceux-ci constituent le
signe
extérieur le plus constant de la peste, ceux-là p
difficile que de prévoir l'issue d'un cas donné de peste. — Parmi les
signes
d'heureux augure, on a noté les suivants : appari
ours; un pouls plein et régulier. — On range, au contraire, parmi les
signes
funestes, les pétéchies larges et nombreuses, l'h
pouls tombe soudain et descend à 80, 70. Quelquefois, et c'est là un
signe
presque toujours funeste, on ne compte même plus
s, l'algidité, la syncope, les mouvements con-vulsifs, sont aussi des
signes
du plus fâcheux augure. La forme congeslive est e
traitement incertain et l'issue plus fréquemment funeste. — Parmi les
signes
favorables, on a noté surtout la prolongation du
de à laquelle elle est parvenue. Dans les deux premiers jours; si les
signes
d'hyposlhénie sont bien marqués et que le sujet s
ne émotionnelle, mais de nature héréditaire. « Les Rohan avaient pour
signe
une touffe de cheveux d'albinos au milieu du fron
l'exploration du thorax fait découvrir au sommet du poumon droit les
signes
physiques en rapport avec l'existence de tubercul
5° La sortie d'un ou plusieurs acéphalocystes est, pendant la vie, le
signe
caractéristique de ces tumeurs. J'ai constaté, da
tion, le fré-missement hydatique déterminé par la percussion était un
signe
d'autant plus précieux que, ni dans le foie, ni a
meurs enkystées de la même région. Nos tumeurs ont cependant quelques
signes
pathognomoniques ; tels sont, par exemple : 1° le
ait été soumis au traitement par les inspirations iodées, à cause des
signes
non douteux de tubercules qu'il présen-tait ; mai
e ; d'ailleurs, nous avons aussi fait déjà remarquer que les premiers
signes
des tubercules pulmonaires ne se sont manifestés
ns avoir nécessité aucune manœuvre. L'enfant donne à peine quelques
signes
de vie. On parvient ce-pendant à le ranimer ; mai
vation. Ajoutons que la face interne du péritoine ne présentait aucun
signe
de phlegmasie, aucune trace de for-mation pseudo-
te est préférable à Vexpectante, et celle-ci à ïagissante; et à quels
signes
le médecin reconnaît qu'il doit agir ou rester da
et auxquelles convient la méthode expec-tante. Reste à savoir à quels
signes
plus ou moins certains ou probables on pourra rec
état de malaise. Le lendemain à la visite, elle me présenta tous les
signes
locaux et généraux d'une pleurésie des plus inten
es jours, dans le cours de certaines fièvres typhoïdes, alors que les
signes
d'hypersthénie du début ont été combattus par une
anifestée en moyenne le septième jour, et la disparition complète des
signes
physiques ayant eu lieu en moyenne le onzième jou
n'y a eu d'é-vacuations involontaires. Nous constatons, en outre, les
signes
les mieux accusés d'une ataxie locomotrice progre
on peut lui marcher sur les pattes ou la queue sans pro-voquer aucun
signe
de douleur. Bientôt, l'asphyxie faisant des progr
hez ce sujet, qui présentait, de la manière la plus accusée, tous les
signes
caractéristiques de l'ataxie locomotrice progres-
t parfait. Cette fusion de plusieurs ganglions en un seul est donc un
signe
de supériorité, et ce signe ne saurait être mécon
lusieurs ganglions en un seul est donc un signe de supériorité, et ce
signe
ne saurait être méconnu dans la tige nerveuse rac
anisation de ces êtres. Toutefois, il ne peut être considéré comme un
signe
(l'élévation, car il est beaucoup plus grand eu é
, dans Y Éléphant (1). Dans le type des primates leur grandeur est un
signe
d'abaissement. Ils sont très-grands dans les ca
s communications directes des nerfs optiques avec les hémisphères, un
signe
d'élévation. L'absence de ces communications rend
e; mais il n'y a encore, Voici donc, sous une forme inférieure, des
signes
de perfection commençante ou, si l'on aime mieux,
oïncide avec un développement normal du front, est-elle en général un
signe
d'intelligence, en tant qu'elle accuse un grand d
lant l'œil, envahit le domaine de la face, comme pour exprimer par un
signe
visible le règne de l'Intelligence sur la Matière
différentes; et quand le frontal est petit, elle est au contraire un
signe
d'idiotie. Toutefois, malgré cet envahissement du
llie de la face exprimant un plus grand développement du crâne est un
signe
d'intelligence. Par là, sa race est évidemment la
développement incomplet de la forme crânienne, en tant qu'elle est le
signe
d'un médiocre développement du cerveau. Mais on p
En effet, d'une part on considère en général un grand front comme un
signe
d'intelligence, et d'autre part certains auteurs
oitesse du crâne, ou du moins son aplatissement sur les côtés, est le
signe
de la pré dominance des facultés sociales sur l
t les sentiments, et les phrénologistes verront dans cette saillie le
signe
du développement de l'organe de l'alimentivité. M
ut aplatissement de cette courbe des deux côtés du plan médian est un
signe
fâcheux. Nous signalerons particulièrement à ce s
in, leur longueur, leur largeur, leur convexité, seront pour nous les
signes
d'une perfection humaine plus haute, et ces signe
ront pour nous les signes d'une perfection humaine plus haute, et ces
signes
nous les trouvons au maximum dans la race caucasi
soit enfin qu'elle ait une valeur purement esthétique, fournissant le
signe
plutôt que la condition d'une plus grande perfect
herchaient à exprimer cette tendance en ramenant en avant le frontal,
signe
du développement cérébral et de la puissance inte
ment motrices; en effet, quand on les irrite, l'animal donne quelques
signes
de douleur qui disparaissent d'ailleurs quand les
irritation des racines antérieures cesse à l'instant de provoquer des
signes
de douleur. M. Brown Séquard a fait voir, dans ce
poser l'animal, la plus légère irritation suffisait pour éveiller des
signes
de douleur du coté tranché. trajet probable de
aissons par leurs qualités, par leur manière d'agir sur nous, par des
signes
naturels, c'est-à-dire, par une voie indirecte, .
e sont point des expressions adéquates des choses, ce sont de simples
signes
. A cet égard, d'ailleurs, ce sont des indicateu
ner, choisir, classer et arranger des sons, de manière à en faire les
signes
par excellence de toutes ses idées. Ainsi l'homme
oute faite des mains de la nature. L'ouïe n'a point le monopole des
signes
auquel l'esprit attache en quelque sorte ses idée
tés les plus rapides, aide aux allures libres de la pensée, comme les
signes
algébriques à la promptitude des calculs du géomè
qui l'écoutent, car le langage n'est pas seulement une exposition de
signes
, il y a en lui un élément de persuasion si fort,
mages toutes faites. La vue n'indique pas seulement les objets par un
signe
; elle les représente à l'esprit par des peintures
une couleur et un son, un certain cri et un certain acte, un certain
signe
et un certain instinct viennent-ils à coïncider
e discours les noms de leurs amis les plus chers, les désigner par un
signe
ou par une qualification caractéristique. Ces f
l n'y a point là d'ordre général, c'est une association fortuite d'un
signe
et d'une chose, c'est une coïncidence dont l'idée
ouvent dans le discours, tandis que l'autre, celui qui se contente du
signe
, perdra tout en perdant la mémoire des noms. Mais
ur des inspirations miraculeuses. Mais cette lucidité maladive est un
signe
redoutable qu'accompagnent, dans la plupart des c
nombre, c'est avoir une tendence énergique à l'exprimer par certains
signes
. 11 peut donc y avoir chez un questionneur intére
éveillé, « qu'y a-t-il d'étonnant, dit-il, que certains songes soient
signes
ou causes (2); » mais il ajoute aussitôt : « D'ai
, M. Chevreul apprit assez tardivement la mort d'un vieil ami qui, en
signe
de souvenir, lui léguait sa bibliothèque ; cette
culte, sans se douter qu'il y a, d'un côté, des indices d'action, des
signes
réels de volonté, et, de l'autre, une idée précon
isposition par la foi. D'ailleurs, quand la foi sera vive, le moindre
signe
su'fira, parce que la foi amène l'attente; et l'a
« beau être dans un assoupissement apparent, sa voix, un « regard, un
signe
les en relire. On ne peut s'empêcher de « reconna
révèle, sous une forme intelligible, l'état intérieur de l'âme. Ces
signes
sont si simples, que le premier coup d'œil les fa
e une foule de gestes dont l'origine est en général mal appréciée. Le
signe
par lequel nous accédons à une proposition n'est
'intelligence s'éveille-t-elle à la lumière d'une idée? Il surgit des
signes
d'excitation expansive dans tout le corps et les
hanteurs s'appellent de loin par des stridulations assidues. Or, tout
signe
qui annonce naturellement la présence d'un objet
nvention arbitraire, une idée quelconque peut être représentée par un
signe
quelconque. M. Flourens dit fort bien, en compara
e. Dans ma langue même, j'ai le « mot parlé et le mot écrit. Tout est
signe
pour l'homme, « tout peut lui être langage : nos
'idée abstraite dHmité et peut être représenté par M 4- 1, M étant le
signe
d'une collection définie d'unités. Or, une pareil
la pantomime à laquelle se livre nctre malade ; vous voyez, elle fait
signe
d'abord qu'elle ne peut rien dire : mais la voilà
e Nancy. « Pour éviter le danger de la simulation, nous cherchons des
signes
objectifs, c'est-à dire des signes qui ne peuvent
la simulation, nous cherchons des signes objectifs, c'est-à dire des
signes
qui ne peuvent être produits par la volonté. De t
dire des signes qui ne peuvent être produits par la volonté. De tels
signes
peuvent être produits par la suggestion ou sans c
ur décider la question de la simulation. I1 n'est pas douteux que des
signes
objectifs ne puissent naître par la suggestion pa
M. Charcot disent que les- expérimentateurs de Nancy n'aient pas des
signes
objectifs et ne se gardent pas contre la simulati
et ne se gardent pas contre la simulation. L'école de Nancy a vu des
signes
objectifs, mais seulement à la suite de la sugges
ents de ceux de l'école de la Salpé-trière, qui affirme qu'il y a des
signes
objectifs indépendants de la suggestion. Ce n'est
ion dès qu'il s'agit de tourner sur soi-même, et tendance aux chutes (
signe
de Rhomberg), dès que les paupières sont closes,
MM Panl Richer et Bérillon. Le professeur Brown-Sèquard n'a-t-il pas
signe
la pré-tace de la traduction française de livre d
ou à l'acte suggérés. La suggestion a pour point de départ un mot. un
signe
, un indice quelconque, si peu explicite qu'il soi
motion, survenant chez la mère en gestation peuvent-ils déterminer un
signe
quelconque sur le corps de l'enfant ? Le père de
tases sanguines dans le système de la veine-cave inférieure. Point de
signes
de grossesse ni de tumeur. Sachant qu'il n'y avai
titeépoque), à un moment, en un mot, ou existaient antérieurement des
signes
de fluxion utérine et ovarienne. Cette dernière p
ont pas encore l'expérience suffisante, se bissent influencer par des
signes
de conscience que présente le sujet, tels que rir
le nez Un médecin humouriste (ne pas confondre avec humoriste) qui
signe
modestement D'Oméga, a envoyé au journal « Archiv
es hommes à nez aquilin ; Plutarque voyait dans les nez retroussés un
signe
d'imprudence, et Aristote pensait qu'un nez long
arde au nez, etc., et à Naples. par exemple, on le considère comme un
signe
de bonne éducation d'où le proverbe : ?hi ,cne ??
unie cl ne présentait aucun caractère distinctif), des points et des
signes
particuliers qui réveil-laient dans son esprit la
s ou moins inconscientes d'un hypnotiseur passé. (M. Bernheim fait un
signe
d'assentiment). Eh bien! je Le demande : commen
iler cette élection. Plusieurs de ses convives manifestèrent quelques
signes
d'ébriété ; or, bien qu'il n'eût bu que d« l'eau,
, puis tomba dans la torpeur. Il fut porté dans son lit avec tous les
signes
de l'ivresse alcoolique, mais il se rétablit, et,
ractée au Tonkin, je suis dyspeptique -et présente un grand nombre de
signes
habituels aux névropathes. Sans insister sur les
sion d'une folle. D'après mon jugement, elle a montré plutôt tous les
signes
d'une mélancolie. Quoique je n'eusse que de fai
ates physiques et des trois états. Elt-il nécessaire de retrouver les
signes
du grand hypnotisme pour établir l'état de sugges
depuis six mois ; souftle cardiaque, systoli-que, à la base. Pas de
signes
de tuberculisation pulmonaire. Dyspepsie flatul
pportât des pioches et des pelles pour chercher son père, mais il fit
signe
de ne pas se presser,et les outils ne furent appo
ou un lion supposés, et l'hypnotisé manifeste immédiatement tous les
signes
de la terreur; s; je lui dis une minute après que
uants aux antécédents personnels, nous trouvons chez notre malade des
signes
de dégénérescence psychique. Ainsi, elle était to
Enfin, pour compléter notre examen.nous avons cherché chez elle les
signes
de la dégénérescence physique: nous n'en avons tr
tre d'indiquer les méthodes d'hypnotisation dans les réponses par les
signes
suivants : (a) Méthode de Braid et de Charcot.
on mollet où il a reçu une morsure fictive; tout cela sans le moindre
signe
d'effroi, sans que sa physionomie trahisse la moi
crit au tableau de l'ordre des avocats à Paris. X...,a présenté les
signes
les plus manifestes de la grande hystérie, (attaq
ières années, on a appelé les stigmates hystériques, c'est-à-dire des
signes
fixes et permanents, qu'il faut rechercher pour l
ession des globes oculaires, la malade ne peut plus parler, elle fait
signe
qu'elle entend, produit les gestes d'une conversa
lcoolique stéréotypé. Chaque malade y ajoute sa note personnelle. Les
signes
de l'intoxication et les signes révélateurs de la
ade y ajoute sa note personnelle. Les signes de l'intoxication et les
signes
révélateurs de la prédisposition héréditaire cons
e Vaucluse, le 7 mars 1888. C'est un arriéré simple chez lequel les
signes
de dégénérescence sont surtout psychiques. Au poi
nçue : que le diable marquait le plus souvent sa présence par quelque
signe
particulier apparent a la surface du corps: une t
ement sans douleur, l'insensibilité à la piqûre d'une épingle étaient
signes
certains, de même que les empreintes, considérées
a griffe dn démon. - Il arrivait même souvent, qu'en dehors de tout
signe
extérieur propre à l'accusé, le fait seul entraîn
ème du mois et l'année de l'expérience; sur la poitrine, une série de
signes
cabalistiques. (Fig. 1 et Fig. 2). Tout dans ce
ouveaux adeptes. Ces marques, ces stigmates étaient, entre tous les
signes
de possession, le plus démonstratif le plus fatal
ppliqués sur la peau. Une cicatrice — où qu elle fut placée — était
signe
de possession ancienne ; une rougeur avec gonflem
oquer de chatouillement, sans autre effet qu'un larmoiement abondant,
signe
de la conservation du réflexe lacrvmal. Si, lui
, un excédant de garçons supérieur au rapport normal des sexes est un
signe
de faiblesse et non de force ; cet excédant croit
rre : Lloyd Tuckey (15) ; en Suède: Wetterstrand etc..etc. Comme un
signe
caractéristique de l'état présent de d'histoire d
nes dans des dispositions maladives similaires de la mère, mais les
signes
de la dégéné- rescence sont nombreux, chez elle
s aucune anesthésie. La sensibilité tactile est délicate, plus de
signe
de Romberg, plus de rétrécissement du champ visue
sive d'aucune espèce, jamais d'absences ni de vertiges ; bref aucun
signe
apparent de mal comitial. Au point de vue hysté
nt la scène. L... n'est pas alcoolique. On ne trouve chez lui aucun
signe
d'intoxication chronique. La santé générale, se
te. L'inconstance dans la position de ces entailles en constitue un
signe
invariable dans le type moyen; - 3° chez presque
notamment du vin, tremblent moins. La malade actuelle présente les
signes
de la sclérose en plaques. L'examen du frère de
de décèle que le tremblement est en voie d'amélioration, sans autre
signe
de sclé- rose en plaques, son tremblement dimin
de la pression intra-céré- brale (papille étranglée bilatérale) un
signe
essentiel de la maladie fondamentale. Il y en a
aussi bien, est-ce presque exclusivement, par l'appréciation des
signes
qui le constituent que nous jugeons chez les autr
ur l'écriture auto- matique, enfin les troubles de la formation des
signes
graphiques, par vice d'éducation, par malformat
légué par lui, remplit les fonctions d'ordonnateur, et, à ce titre,
signe
et délivre tous mandats pour l'acquittement des
au président, et avant la séance, le registre des délibérations. Il
signe
avec le président du conseil d'administration e
ère de la Société. Il vise toutes les pièces de comp- tabilité ; il
signe
, en vertu d'autorisations spéciales du conseil
temps, un boucher, M. Montet, établi rue Mont- martre, donnait des
signes
d'aliénation mentale des plus vifs. Le malheure
images ou inscriptions malfaisantes, poussant ci la répétition des
signes
de croix, à l'abandon des vêtements, à ,la susp
dehors de la répétition des actes fait des prières mentales et des
signes
de croix; elle se cache, croit les mal faire, et
lesse de lui prêter son concours et en arrive à faire avec elle des
signes
préservateurs de croix. Obskrvation XVIII. Dé
s, etc. Dans ce cas, et lorsque le sujet ne présente pas d'autres
signes
de névropathies, l'amblyopie transitoire constitu
u bout des doigts de la main gauche, et, comme il sait que c'est le
signe
précurseur de l'accès, 1 Je dois ces observatio
ifficile d'en juger car le malade sait à peine écrire. Cependant il
signe
son nom sans plus de difficulté que d'habitude,
APEUTIQUE. observer une tendance, durant la lecture, à traduire les
signes
écrits dans leurs articulations équivalentes. M
dente d'un traumatisme bien défini, ou qu'en outre, on constate des
signes
d'irritation locale de la région de l'écorce ou
itables osléomalaciques (accidents parétiques, démarche de la cane,
signe
de Romberg, exagération du phénomène du genou,
vation que lit M. Sé- glas. Aussi, pour trancher le diagnostic, les
signes
pathognomoni- ques habituels de la paralysie gé
es hallucinations kines- thétiques. des impulsions de toute espèce,
signes
d'un dédouble- ment de la personnalité et très
élires de négation. Pour le pronostic, le délire de négation est un
signe
de chronicité, mais non d'incurabilité absolue.
lysie générale à la dernière période. Au bout de quelques mois, les
signes
du satur- nisme avaient disparu, il s'était pro
assistance publique et l'enseignement public sont, dit-il, les deux
signes
auxquels se reconnaît une civilisation véritable,
propos de son enfant, âgé de près de neuf mois, qui présentait les
signes
de l'imbécillité mentale. Au jour indiqué, elle
lettre H, a eu de meilleurs résultats. L'en- fant vit, et donne des
signes
non équivoques d'amélioration intel- lectuelle.
avoir son chapeau sur la tête, car elle sait que c'est pour elle le
signe
qu'elle va sortir. Toutes les sutures sont ferm
et ils recourent pour le conjurer à des moyens variés et fatigants;
signes
de croix, abandon des vêtements, changement de
us verrons encore une malade se hâter anxieusement de substituer le
signe
graphique mouton ou boeuf à celui de chien qui
dans la syphilis cérébrale. Si l'on ajoute à cela l'absence de tout
signe
de l'in- fection syphilitique, nous aurons un e
station debout, la démarche ne présentent pas d'anomalie. Pas de
signe
de Romberg. Le membre supérieur droit est le si
cher dans l'emphysème pulmonaire diffus, dont nous avons trouvé les
signes
dans Cha.... Du reste Ziemssen observe que l'év
. La démarche, la station debout, ne présentent aucune anomalie. Le
signe
de Romberg est absent. La force musculaire est
i, dans l'hypothèse d'une lésion organique, aurait dû constituer un
signe
non douteux de son aggravation), tandis que ni
érature. L'on peut m'objecter que dans notre cas furent absents les
signes
les plus caractéris- tiques de la fulguration,
et de vide, parfois le vertige, c'est-à-dire en général les mêmes
signes
que pour l'anémie cérébrale, et ils s'effacent au
rises d'amblyopie transitoire. Or, tous ces troubles sont encore un
signe
du siège superficiel (centres et fibres corticaux
s prodromes et le premier temps de la douleur, on remarque tous les
signes
du spasme artériel (Pembester Peake), suivi plu
ttaque de migraine ophtalmique, lorsque le malade en pré- sente les
signes
avant-coureurs (Baralt), qui lui permettent, -
re communication, chez une malade du service de M. Falret. C'est un
signe
de plus de la faiblesse de l'attention chez les
isuels : 476 RECUEIL DE faits. et nous aurons au complet tous les
signes
qui, pour M. Char- cot, caractérisent le mutism
le mélange de folie morale et intel- lectuelle forment également un
signe
caractéristique de dégénéres- cence chez une ce
e dix ans après le début de la maladie que se montrent les premiers
signes
d'idées - ambitieuses. En somme, un cas type
. Actuellement, on constate de l'ataxie statique et locomotrice, le
signe
de Westphal, de l'atrophie de certains muscles
ie générale : diminution du réflexe patellaire douleurs lancinantes
signe
de Romberg z vertiges - troubles de la parole a
rement à l'examen galvanique et faradique comme présentant tous les
signes
de la réaction démé- néralive complète ou moyen
es, la chute des dents, l'impuissance, des douleurs lancinantes, le
signe
de Romberg, l'incontinence d'urine, le signe de
uleurs lancinantes, le signe de Romberg, l'incontinence d'urine, le
signe
de Westphal. Ni ataxie, ni trouble de la sensib
ervé par 5 personnes. VI. Phénomènes lumineux. 13 personnes. VII.
Signes
apparaissant d'une manière extraordinaire : a)
ques secondes, l'émotion provoque l'apparition d'un certain nombre de
signes
frappants : les narines se resserrent, les pupill
ique, la région correspondant au moignon du membre amputé donnait des
signes
de douleur. J'ai noté en même temps que cette sen
le papier, une manchette ou une tablette, sans l'aide du crayon, des
signes
d'une forme indéterminée ou bien de simples ligne
, des signes d'une forme indéterminée ou bien de simples lignes ; les
signes
paraissent écrits à l'aide du crayon, mais le méd
médecins prit un crayon, le tourna par la gomme en bas et traçait des
signes
sur une feuille de papier blanc, à l'ombre de plu
touchait seulement le crayon), bientôt apparurent sur le papier des
signes
visibles, tracés au crayon. D'ailleurs, j'ai obse
autre fois Eusapia produisit sur la manchette d'un des assistants un
signe
rouge, en faisant à la lumière un mouvement de ma
s expérimentateurs, lorsque, par exemple, ils recherchent d'abord les
signes
distinctifs pathologiques ainsi que par l'atmosph
a leur insu au moment même, et sans qu'ils puissent manifester par un
signe
quelconque, que leur esprit en idée fixe d'un cot
demande, et du même coup il devient cataleptique comme le somnambule,
signe
évident du rapport qui commence à s'établir. Ains
ie a Xe- S et 9. m'avait été impossible de leur faire auparavant un
signe
. Eusapia arracha momentanément sa main droite, do
ssolution du complexus normal des idées, dans laquelle nous voyons le
signe
caractéristique commun au rêve et à l'hypnose, es
parait communément chez tout le monde ; phénomènes variant par leurs
signes
et leur intensité selon les idées qui sont à leur
s reproduire toutes par affirmation. Dans le sommeil, on retrouve des
signes
de chacune d'elles : idées fixes, au pôle passif;
insensibilité, mouvements irrésistibles, stigmates, oubli, etc., tous
signes
qui les caractérisent plus ou moins en partie. Le
'une assez grande inertie de la volonté, sans qu'il s'y mêle d'autres
signes
marquants de folie; mais le plus souvent l'abouli
Ateneum (revue mensuelle) Varsovie, an 1879, septembre, décembre. —
signes
mécaniques (1), mouvements — lumière (2), — et po
le médium, M. Szydlowski, se tenait éloigné et n'approcha que sur le
signe
des assistants. Les bras nus jusqu'aux coudes, il
et faire soupçonner d'innocence un homme qui n'aura jamais montré de
signe
de folie, qui aura gardé toutes les apparences de
re a-t-il fait connaître la mise à prix, 6,000 francs, que je fais un
signe
d'assentiment. Il m'est adjugé. Je rentre chez mo
rmont, de vieilles femmes guérissent la maille (kératite) au moyen de
signes
de croix et de cette sorte de prière rythmée :
endent, sous les flèches de l'ennemi, que les victimes présentent des
signes
favorables. Deux, trois, quatre victimes sont suc
lèves, et, comme la plupart des maladies nerveuses s'accusent par des
signes
extérieurs, il pouvait faire des démonstrations i
oit à la veille soit au sommeil, que, dans la veille, il survient des
signes
du sommeil: ainsi des hallucinations physiologiqu
seule fois. La peau du corps entier deviendra si vigoureuse que tout
signe
d'eczéma disparaîtra. Les dermalologistes avaie
mais deux semaines, au moins, avant qu'elle cessât ses visites, tout
signe
d'eczéma avait disparu et l'état général de la ma
ment étonné, car je n'avais communiqué mon dessein à personne ; aucun
signe
, si minime fût-il, aucun regard ne m'avait trahi,
lui sont adéquates. Un son, un mot, une image, au besoin un geste, un
signe
signifient telle ou telle pensée ; ce sont instru
ote, je dirai donc : Le problème de la transmission de la pensée sans
signes
ni contact, posé par des esprits éminents, existe
s sujets que l'on hypnotise, ces deux états étant caractérisés par ce
signe
commun : l'absence ou la diminution de la volonté
tion convulsive que nous avons à traiter. Je n'insisterai que sur les
signes
essentiels et pathognomiques. L'attaque d'épile
t ne se contractent pas à la lumière artificielle. C'est un excellent
signe
que je recommande toujours aux employées de mon s
ndre compte de ce qui se passe dans l'intervalle de mes visites. Ce
signe
n'existe pas dans l'hystérie. Les convulsions p
ière. L'incontinence d'urine et quelquefois des fèces est encore un
signe
pathognomonique de l'épilepsie. Il n'existe jamai
epsie. Il n'existe jamais dans l'hystérie. Il est un autre ordre de
signes
des plus importants que révèle le sphyg-mographe,
and et le petit mal et qui était interné à l'Asile de Clermont. Ces
signes
n'existent pas non plus chez l'hystérique. Aprè
et de l'attention. Ces divers symptômes fondamentaux constituent les
signes
de la faiblesse mentales des stigmates de psychas
dant son sommeil elle urinait toutes les nuits dans son lit. Bien des
signes
sur lesquels je ne puis insister nous montrent qu
avons observé aussi des bâillements et des ravalements. Ces trois
signes
sont très importants. Après des mouvements d'un
pendant le balancement de l'animal ni la salivation, ni les autres
signes
caractéristiques du vertige marin produit par n
et font des mouvements de mastication ; ils ont de plus les autres
signes
. Mais ils souffrent moins que les lapins. - c
utres elle a été abondante. Nous considérons la salivation comme le
signe
le plus important du vertige marin expérimental
une faculté spéciale qu'on pourrait appeler la mémoire visuelle des
signes
du langage. (Charcot, in Ler., t. lit, p. 166,
oite étant plus dilatée, du tremblement très caractérisé des mains,
signe
d'alcoolisme et de l'embarras de la démarche ;
tion fébrile, le 9 octobre 1887. A l'autopsie, nous trouvâmes les
signes
ordinaires de la méningo- encéphalite chronique
lirants remontent à treize jours. M"° Ch... a commencé à donner des
signes
d'agitation; elle n'était plus mai- tresse d'el
xtrémités; aménorrhée. Insomnie. Analgésie presque complète; pas de
signes
constatés d'hystérie ; pas de raideurs. Taille él
riture donnés par Neisser dans lesquels les mêmes mots ou les mêmes
signes
sont répétés de façon à constituer une sorte de
e de ses parentes dont elle partageait le lit, étant enfant. Pas de
signes
d'hystérie. Sortie guérie. 45 novembre 1886. Le
e que par l'un quelconque 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de ses
signes
, la maladie des tics convulsifs est toujours l'ex
excepté dans la protubérance et les vaisseaux du cerveau, avec des
signes
de dénutrition de la substance blanche. (New-Yo
relation pathogénétique ; enfin sur cent autopsies, on ne note nul
signe
caractéristique de syphilis dans l'encéphale et
effacer en grande partie le délire des persécutions. Déjà même des
signes
non équivoques de démence prochaine se manifest
des lésions secondaires ? M. Kussmaul. Dans l'espèce il n'y a aucun
signe
d'altéra- tion articulaire. M. DE RECKUNGHAUf
ut à fait caractéristique. La rigidité musculaire est alors le seul
signe
de la paralysie agitante, signe suffisant pour
gidité musculaire est alors le seul signe de la paralysie agitante,
signe
suffisant pour les particularités spé- ciales q
e trépidation épileptoïde soit spontanée, soit provoquée. Le seul
signe
qui existe comme vestige de la paraplégie spas-
côté des organes génitaux. Enfin, le seul 170 CLINIQUE NERVEUSE.
signe
qui existait comme souvenir pour ainsi dire et co
musculaire parfaitement normal, sauf peut-être un certain degré de
signe
de Romberg. Les parties anesthésiées sont froid
attes et il reste couché. L'augmentation de ce liquide provoque les
signes
de la compression du cer- veau. La systole card
e pourtant élait bien facile. L'examen physique n'a donné aucun des
signes
qu'on trouve si souvent chez les dégénérés, et
cem- REVUE D'ANATOMtE PATHOLOGIQUE 277 -i bre 1886, avec tous les
signes
caractéristiques d'une intoxica- tion arsenical
- sique. M. Binswanper n'a cependant pu retrouver constamment les
signes
de Charcot. L'hypnose par suggestion de Liébeault
at lui-même (ordon- nance pour Berlin) demande-t-il qu'un praticien
signe
avec lui ? Ce sont là conditions tout bonnement
e de ce syndrome. 1). Exaltation des réflexes roluliens. C'est un
signe
qui n'a manqué dans aucune de nos observations.
augmenté plus ou moins d'intensité. 2). Epilepsie spinale. C'est un
signe
constant. En effet, tous les paraplégiques, par
eul chez lequel nous n'ayons pu constater de visu l'existence de ce
signe
, au moment de notre examen; mais si l'on jette
ent une grande quantité de pus et de mucus, laissant voir ainsi les
signes
d'un catarrhe vésical chronique qui a compliqué
stérieurs, c'est-à-dire les douleurs fulguran- tes, en ceinture, le
signe
de Romberg, l'incoordination motrice et l'absen
ouillement très fort si la plante des pieds, anesthésie en plaques,
signe
de Romberg. Traitement : travail dans l'air com
ndait la marche presque impossible n'a presque plus d'influence. Le
signe
de Rombprg est en très grande amélioration, il
constriclives. Perte de notion de position des membres inférieurs.
Signe
de Itonzberg. Histoire. Nicolas Thermiotis, âgé
de douleurs fulgu- rantes. Crises gastriques. Douleurs en ceinture.
Signe
de Romberg. Perte de notion de position des mem
tômes sont bien plus marqués au membre droit. Douleurs fulgurantes,
signe
de Romberg, difficulté très grande à marcher da
é. Les douleurs fulgurantes sont plus rares et moins intenses. Le
signe
de Romberg est très marqué. La marche devient trè
appui. Etat actuel (30 janvier 1885). - Syiî(12-ônze spasmodique.
Signe
de Romberg. l'as de notion exacte de différentes
(10 juin 1884). Syndrome spasmodique prédo- minant au membre droit.
Signe
de Romberg, difficulté de mar- cher sans le con
reconnaît ses parents, ses voisines, sait expliquer, sur- tout par
signes
, ce qu'elle veut; elle mange seule, ne gâte pas,
sant, apparaissent les troubles sensibles et l'ataxie du muscle, le
signe
de Romberg. Enfin, tout à fait à la fin, les tron
d'un homme qui, auparavant bien portant, présentait néanmoins le
signe
de Westphat ; peut-être était-il déjà en proie à
n'amènera pas devant le tribunal un homme -qui n'aura pas donné des
signes
d'aliénation mentale, évidemment; mais com- men
» Le reste du travail de M. Combomalle est con- sacré à l'étude des
signes
physiques des dégénérés alcooliques; il reprend
imer, à peine arrive-t-on jusqu'à cet organe : aussi n'acquiert-on de
signe
matériel vraiment caractéristique sur l'existence
urs obtuses dans l'abdomen, qui est volumineux , et présente tous les
signes
d'une ascite commençante. A travers un flot de li
'interroge pour savoir si des frissons, des bâillemens, en un mot les
signes
ordinaires d'un accès fébrile surviennent à quelq
us grande attention et le thorax et l'abdomen : aucune douleur, aucun
signe
de lésion. Soupçonnant néanmoins l'inflammation l
confirme mes soupçons sur l'existence d'une hépatite ; mais point de
signe
local. L a langue, très-rouge, humide jusque - là
la plus grande attention. La crépitation du poumon n'est donc pas un
signe
constant de pneumonie. Béflexions. — Ainsi cett
lques points, coagulé dans d'autres. L'hémoptysie n'est donc pas le
signe
le plus constant de l'apoplexie pulmonaire, et n'
petitesse extrême du pouls avec expectoration de sang noir, voilà les
signes
de l'apoplexie pulmonaire moyenne ; une dyspnée e
enne ; une dyspnée extrême, subite, avec ou sans hémoptysie, voilà le
signe
d'une apoplexie pulmonaire foudroyante qui se con
la percussion, je crois que c'est a priori que Laennec a indiqué les
signes
que l'une et l'autre fournissent dans l'apoplexie
re, âgée de soixante ans, présentait depuis plusieurs années tous les
signes
d'une dilatation avec hypertrophie du cœur. Elle
ables : Ergo pulmonum excavatio gangrœnosa non est incurabilis. 4°.
Signes
diagnostiques. L'air expiré et les produits de l'
gargouillement considérable dans toute l'étendue du foyer, voilà les
signes
les plus constans de la gangrène du poumon : mais
oilà les signes les plus constans de la gangrène du poumon : mais ces
signes
sont bien loin d'être caractéristiques. J'ai do
ar excellence; mais cette hémoptysie, que Laennec a donnée comme le
signe
le plus général de l'apoplexie du poumon, n'était
même côté. La peau était saine et mobile, et con-sequemment point de
signe
d'une rupture prochaine au dehors. La paroi ant
n vomissant une grande quantité de sang sans avoir jamais donné aucun
signe
de maladie. A l'ouverture, on trouve que la porti
un jour sans dormir. Du reste, face naturelle, aucune douleur, aucun
signe
de maladie. M. Gauthier appelé pense, comme le ma
sie complète du sentiment et du mouvement. Mais je ne vois là que des
signes
de compression de la moelle, et toute cause qui c
muqueuse laryngée ressemble exactement au croup. Je ne connais pas de
signes
différentiels; seulement le pharynx, le voile du
maladies de laquelle elle participe toujours plus ou moins. Quant au
signe
caractéristique très-rationnel donné par le docte
s le rapport du volume et de la forme de l'abdomen. A l'aide de quels
signes
établirons-nous donc le diagnostic différentiel d
ccès, pour débarrasser les malades de kystes ovariques énormes. Les
signes
pathognomoniques différentiels de l'hydropisie en
ne dépendance de la tumeur abdominale. Dois-je rappeler à côté de ces
signes
positifs que l'hydropisie enkystée de l'ovaire se
ion involontaire des urines, la stupeur, l'immobilité sont encore des
signes
extrêmement funestes. La gravité de mon pronostic
la pseudo-membrane d'apparence lardacée, et peut-être, à l'aide de ce
signe
, pourrait-on reconnaître le moment où se forme ce
erait un grand service à rendre aux praticiens que de leur donner des
signes
certains à l'aide desquels ils puissent, dans tou
bdomen ouvert, le canal intestinal ne présente au premier abord aucun
signe
d'altération ; les deux derniers pieds de Fimcoti
diagnostic auxquelles elle peut donner lieu. Ici existaient tous les
signes
rationnels d'une tumeur carcinomateuse externe ou
le 16 août 1829. » « autopsie. L'état général du corps offrait des
signes
de putréfaction avancée. — Tête. Une assez grande
le 16 août 182g. » « Autopsie. L'état général du corps offrait des
signes
de putréfaction avancée. — Tête. Une assez grande
s, sur sa mollesse, sur le défaut absolu de douleur. J'eus recours au
signe
pathognomonique de l'hydrocèfe, et je découvris u
nous avons remarqué dans les deux cas représentés pl. 3 et pl. 4- Les
signes
de cette luxation, savoir, la pronation avec impo
. — Comme dans tous les cas d'usure des cartilages, nous trouvons des
signes
non équivoques d'inflammation des synoviales, car
uls lent et irrégulier, le froid des extrémités, voilà la réunion des
signes
les plus propres à différencier le ramollissement
ale. VIII. Du reste, le cancer aréolaire gélatiniforme ne donne des
signes
de son existence que lorsqu'il gêne mécaniquement
il est facile de voir qu'aucun de ces symptômes ne peut être érigé en
signe
pathognomonique. Parmi ces phénomènes morbides, l
jamais prononcer sur l'existence d'un cancer à l'estomac, à moins de
signes
physiques bien positifs, sans avoir éprouvé les b
des symptômes généraux et locaux que les pathologistes donnent comme
signes
caractéristiques de l'inflammation viscérale ; 4°
état nerveux, fréquence extrême du pouls; l'hypogastre ne donne aucun
signe
de sensibilité. L'exploration du thorax ne donne
e la face et le gargouillement reconnu par l'auscultation ; jamais ce
signe
ne nous a trompé. J'ai plusieurs fois rencontré l
à la fétidité. D'une autre part la fétidité toute seule n'est pas un
signe
univoque de gangrène; tous les jours on l'observe
'ai vue dans un cas de bronchite chronique purulente. Enfin, tous les
signes
de la gangrène peuvent manquer: tel est le cas su
Une femme âgée de quarante-cinq ans, qui n'offrait d'ailleurs aucun
signe
de grossesse, expulsa, au milieu de douleurs utér
l'ascite, si commune dans les périodes avancées de cette maladie. Ce
signe
est pathognomonique. Du reste, lorsque la tumeur
pour faire soupçonner cette maladie. Combien de fois l'absence de ce
signe
caractéristique ou le défaut d'exploration suffis
uls. Les poumons sont perméables partout ; on ne peut méconnaître les
signes
d'une hypertrophie du » cœur avec un commencement
ité et d'instruction, la violence des battemens du cœur, le défaut de
signes
positifs du côté du foie et xiie livraison. 3 d
saines. Réflexions. La fréquence considérable dans le pouls est un
signe
presque constamment mortel dans le typhus puerpér
l est bien difficile de l'établir d'après un seul fait. L'absence des
signes
de la péritonite, une douleur hypogastrique légèr
pléent mutuellement. Le rétablissement de la sécrétion d'urine est un
signe
non équivoque d'amélioration. Chez plusieurs de m
. La suppression complète du pouls aux radiales est regardée comme le
signe
certain d'une réaction impossible. Cette règle n'
faissement extrême; coma profond. Toutefois, la malade donne quelques
signes
d'intelligence, lorsqu'elle est fortement excitée
(psorentérie de M. Serres). 5° La rougeur, les ecchymoses et autres
signes
d'inflammation observés dans un certain nombre de
éniale; et j'ai pu me convaincre combien sont dénués de fondement les
signes
que l'on donne généralement comme différentiels d
ouge de l'estomac soit par points isolés , soit par lignes, est-il un
signe
d'inflammation ? S'il en était ainsi, rien ne ser
un pouce. Cet enfant avait vécu dix-huit mois; il n'avait donné aucun
signe
d'intelligence: ses membres étaient continuelleme
foration a eu lieu au moment de la naissance, car elle présentait des
signes
non équivoques de récence, et le liquide qui s'éc
entré à l'Hôpital Saint-Antoine pour une maladie qui offrait tous les
signes
rationnels et sensibles d'un squirrhe au pylore,
ion ; l'exploration du thorax donne, à droite et en arrière, tous les
signes
du catarrhe pulmonaire ; l'abdomen assez consista
s un kyste inerte, séjourne jusqu'à la mort de l'individu sans donner
signe
de sa présence. Les cas de fœtus momifiés qui o
e avait fait une fausse couche la première année de son mariage). Les
signes
ordinaires de l'accouchement se manifestèrent; il
de l'organe; elle n'était point cadavérique, car il n'existait aucun
signe
de putréfaction ; et d'ailleurs la coloration ard
ont le liquide était couleur de bistre. L'impossibilité d'acquérir le
signe
pathognomonique de l'hydrocèle, la transparence,
ité dans le lieu douloureux et à la crépitation. Cependant ce dernier
signe
n'était pas franc comme celui que donne une fract
faire soupçonner le ramollissement; ou plutôt, en m'en rapportant aux
signes
diagnostics établis par M. Lallemand entre l'apop
e pathologique ; i° que bien qu'il n'existe à proprement parler aucun
signe
pathognomonique qui puisse différencier au lit du
Il était impossible de méconnaître une fracture du col du fémur aux
signes
suivans : raccourcissement très considérable de l
mur, ou bien fracture de la partie supérieure du corps de cet os? Les
signes
ordinaires de la fracture du col du fémur existai
heresse de la langue, je soupçonne la pneumonie ; il est rare que les
signes
locaux d'auscultation et de percussion ne viennen
ion, qui est notablement rapprochée de la crête iliaque, voilà un des
signes
les plus importans; je l'ai observé dans deux aut
col du fémur m'a toujours paru plus facile à reconnaître à l'aide des
signes
fournis par l'examen de la région postérieure du
ercule. La capsule nouvelle est fort lâche, et présente elle-même des
signes
non équivoques d'usure, de lacération. La directi
de. Voici le fait : Une femme de 5o ans environ présentait tous les
signes
physiques et rationnels d'un cancer au foie. A un
rois abdominales ont été distendues par plusieurs grossesses. Le seul
signe
vraiment caractéristique d'une hernie ombilicale
'récente et du fait de l'accouchement, tantôt ancienne et portant des
signes
non équivoques de son existence antérieure. Il
es pulmonaires. J'en ai rencontré dans des cas où il n'existait aucun
signe
actuel ni aucun vestige de phthisie pulmonaire.
jours; puis parotide, et, avec elle, prostration excessive sans aucun
signe
de réaction générale. La vie semble échapper par
s, vomissemens, météorismede l'abdomen. Fondé sur l'absence de tout
signe
positif de dégénération cancéreuse , je diagnosti
, au soir, M. Villeneuve et moi nous fûmes stupéfaits en trouvant les
signes
d'une péritonite des plus graves; ventre ballonné
jà été publiée un grand nombre de fois. Elle établit en outre que les
signes
donnés par les pathologistes comme propres à la h
en l'absence de toute réduction et de toute contention, tels sont les
signes
à l'aide desquels on peut diagnostiquer la pneumo
ommunication entre ce phlegmon diffus et l'épanchement pleural, aucun
signe
de travail de perforation des muscles intercostau
ue expectoration forcée et de la toux, une vibration particulière. Ce
signe
pourrait mettre sur Ja voie. La gangrène du pou
s suivant. Sur un sujet qui n'avait présenté, pendant sa vie, aucun
signe
d'affection des organes de la respiration , j'ai
agulation du sang avec adhérence, quelque faible qu'elle soit, est un
signe
de phlébite. Qu'on ne croie pas que les veines qu
sans changement de couleur à la peau, précède de plusieurs jours les
signes
physiques de la gangrène. Dans un cas de ce genre
e. — Gangrène spontanée du membre inférieur droit présentant tous les
signes
de la paralysie. — Décoloration simple du membre
me ordinaire (planche i et 2). Le ventricule gauche ne présente aucun
signe
d'hypertrophie, preuve bien évidente que si, dans
es caractères de cette paraplégie, dans laquelle je reconnus tous les
signes
d'une paraplégie par compression de la moelle. Ma
non-seulement au niveau de la tumeur, mais encore au voisinage. A ces
signes
, je reconnus une tumeur anévrysmale, et, dans cet
et dans toutes leurs divisions : et les auteurs qui ont dit qu'un des
signes
diagnostiques fondamentaux des anévrysmes de l'ar
meur un double battement isochrone au double battement de cœur. A ces
signes
, il était impossible de méconnaître une tumeur an
ien que son sommet présentât un commencement de poche fibreuse. Aucun
signe
n'avait pu faire soupçonner pendant la vie la moi
dormi depuis quatre heures du soir jusqu'à huit heures du matin. Les
signes
de l'épanchement dans les plèvres diminuent: il n
ait pas été insoluble aujourd'hui. Nous ne trouvions d'ailleurs aucun
signe
de dilatation notable, aucun signe de rétrécissem
Nous ne trouvions d'ailleurs aucun signe de dilatation notable, aucun
signe
de rétrécissement dans les orifices. M. N. fut
ester cachés dans l'épaisseur de l'organe et guérir sans donner aucun
signe
de leur présence; ils peuvent s'ouvrir au dedans,
onstration; que souvent dans les points adhérens je n'ai trouvé aucun
signe
de lésion ni dans la membrane interne ni dans le
ans l'abdomen. Région du foie un peu sensible à la pression. Point de
signes
d'épanchement dans les plèvres. Induration du som
ours et une énorme matité dans la région du cœur et l'absence de tout
signe
d'épanchement dans les plèvres. Toujours souffle
re-vingt-huit pulsations par minute. Le cœur exploré ne donnait aucun
signe
de lésion, et j'ai mis de la manière la plus form
depuis l'entrée du malade, et qui ne m'avait donné jusqu'alors aucun
signe
de lésion. Matité à la région précordiale; bruit
je dirai que, dansl'épanchement pleural gauche, l'absence de tous les
signes
de l'épanchement dans le péricarde, autres que la
ecte pouvant produire les mêmes effets que la compression directe, ce
signe
a beaucoup moins de valeur que je le croyais jusq
y fut transportée de nouveau le 26 septembre. Je reconnus tous les
signes
rationnels d'une pneumonie aiguë, parvenue à sa d
ent sous le nom d'asthme. L'auscultation et la percussion donnent les
signes
du catarrhe pulmonaire; en outre, l'auscultation
s les autres. Il m'arrive souvent de reconnaître, à l'aide de ce seul
signe
, chez un malade que je vois pour la première fois
pour la première fois, quel est le côté paralysé. Sur le cadavre, ce
signe
est à-peu-près infaillible. Chez Dupuytren, l'aff
llonnées par des cicatrices superficielles. 3° Je ne connais pas de
signes
caractéristiques pour l'apoplexie de la protubéra
emue. Je crois pouvoir déduire du caractère des symptômes un second
signe
différentiel entre l'apoplexie et le ramollisseme
rité des facultés intellectuelles, est beaucoup plus rare : les mots,
signes
représentatifs de nos idées, s'associent tellemen
prouve amplement, qu'il peut arriver des circonstances telles que le
signe
manque à la pensée. C'est ainsi que les recueils
ulté d'articuler les sons manque seule, c'est que les malades font un
signe
approbatif toutes les fois qu'on prononce les mot
ut suivi de vives douleurs dans l'abdomen. Le 18, je trouvai tous les
signes
d'une péritonite: intumescence gazeuse et sensibi
la-fois l'atrophie du cerveau et l'hydrocéphalie. Je ne connais aucun
signe
diagnostic déduit de la conformation extérieure d
dissections : Premier fait. Chez un enfant qui n'avait donné aucun
signe
d'intelligence, qui mourut à l'âge de huit mois,
les anciens qui attachaient une si grande importance à l'œdème comme
signe
de lésion intra-crânieune, n'étaient donc pas com
it écarté les bords : cette tumeur n'avait donné pendant la vie aucun
signe
de sa présence. L'inflammation aiguë ou chroniq
: i° Que, dans un certain nombre de cas, ces calculs ne donnent aucun
signe
de leur présence ; 2° Que, dans d'autres cas, ils
ssu cellulaire, par cela seul qu'il est coagulé,le sang ne donne plus
signe
de vie, à plus forte raison n'est-il pas suscepti
par suite de la marche fatalement progressive de l'infection. Un des
signes
les plus fréquens de l'infection cancéreuse, c'es
fférencier l'épanchement pleurétique de l'épanchement hydropique. Les
signes
rationnels, déduits du point de côté et de la fiè
uleur ardoisée des muqueuses, et je dois ajouter des séreuses, est le
signe
le plus infaillible d'une phlegmasie chronique, f
la veine. Le membre est insensible dans tous les autres points. A ces
signes
, je reconnais une phlébite limitée à la région in
divers écoulemens qui peuvent avoir lieu par la vulve ne sont pas des
signes
plus positifs que la douleur; ils annoncent une l
terai le fait suivant. Une femme, âgée de 5o ans, présentait tous les
signes
rationnels du cancer de l'utérus : teint jaune pa
illerées de pus épais, phlegmoneux, dans le bassin, et pourtant aucun
signe
anatomique de péritonite, de même qu'aucun symptô
constitue le ramollissement de l'utérus. Mais je n'ai trouvé là aucun
signe
de dégénération cancéreuse; du reste, la base qui
en moins d'une minute. Ni l'un ni l'autre de ces jumeaux n'ont donné
signe
de vie. Cependant il paraît que le premier vivait
l. i, p. 3. — L'hémoptysie n'est ni le plus conslant ni le plus grave
signe
de l'apoplexie pulmonaire. = Thérapeutique de l'a
ce ne sont pas toujours mortelles. 21e liv. pl. v, p. ó. — Absence de
signes
caractéristiques. 21e liv., pl. v, p. 6. — Apople
anée.Gangrène spontanée du membre inférieur droit présentant tous les
signes
de la paralysie.Décoloration sim pie du membre pa
latini-forme de l'ovaire simulant une ascite. 5e liv., pl. m, p. 2. —
Signes
pathognomiques différentiels entre l'bydropisie e
cancer de l'estomac, de même que sa présence n'en est pas non plus un
signe
certain. 31e liv. pl. 1, p. 2. — Double cancer
s toujours mortelle ; ses effets. 21e liv., pl. v, p. 5. — Absence de
signes
caractéristiques de celte apoplexie. 21e liv., pl
cancer de Tesiomac, de même que sa présence n'en est pas non plus un
signe
certain. 31e liv., pl. 1, p. 2. — Transformation
poumon. 3e liv., pl. 11,4.— Gangrène sèche ou sans odeur du poumon ;
signes
diagnostiques et thérapeutiques de la gangrène sè
e liv., pl. iv, p. 1.—'Rareté de la gangrène primitive du poumon; ses
signes
. 11e liv., pl. iv, p. 2. —Gangrène de l'intestin
ie. Gangrène spontanée du membre inférieur droit, présentant tous les
signes
de la paralysie. Décoloration simple du membre pa
HÉMOPTYSIE. L'hémoptysie n'est ni le plus constant ni le plus grave
signe
de l'apoplexie pulmonaire. 3e liv., pl. 1, p. 4.
cancer de l'estomac, de même que sa présence n'en est pas non plus un
signe
certain. = Hémorrhagies gastriques par exhalation
RDITE. 40« liv., pl. iv, p. 1. — Traitement. 40e liv., pl. iv, p. 2.—
Signes
distinctifsde l'épanchement pleural gauche et de
YDROPISIE. Hydropisies enkystées de l'ovaire. 5e liv-, pl. m, p. 4. —
Signes
pathognomoniques différentiels de l'hydropisie en
rs dans le cancer mammaire. 27e liv., pl. m, p. S. — De l'œdème comme
signe
de lésion inlra-crânienne. 33e liv-, pl. m, p. 4.
simulant une ascite. Ponctions sans résultat. 5e liv., pl. m, p. 2. —
Signes
pathognomoniques différentiels de l'hy-dropisie e
liv., pl. ni, p. 3. PNEUMONIE. La crépitation du poumon n'est pas un
signe
constant de pneumonie. 2e liv., pl. v, p. 3.— Pne
le cours d'une maladie grave se terminent souvent par la gangrène. =
Signes
de la terminaison par la gangrène. 11e liv., pl.
iv, v, p. /. POULS. La fréquence considérable dans le pouls est un
signe
presque constamment mortel dans le typhus puerpér
11, m, iv, v. p. ig. POUMONS. La crépitation du poumon n'est pas un
signe
constant de pneumonie. 2eliv., pl. v, p.3.—Apople
l. 1, p. 2.— L'hémoptysie n'est ni le plus constant, ni le plus grave
signe
de l'apoplexie pulmonaire. 3e liv., pl. 1, p. 4.
3e liv., pl. n , p. 4. — Gangrène sèche ou sans odeur du poumon. =
Signes
diagnostiques. = Thérapeutique. 3L' liv., pl. ii,
ment blanc du cerveau. 33e liv., pl. 11, p. i ; 36e liv., pl. 1, p. —
Signes
différentiels entre l'apoplexie et le ramollissem
pés pour que le sujet perçoive les sensations, comprenne même les
signes
et le langage, mais est cependant suivi d'une amn
che à la dernière. Bien que très importants dans la clinique, ces
signes
n'ont pas la portée théorique qu'il faut attribue
ataxie bien prononcée des extrémités supérieures et inférieures.
Signe
de Romberg. Démarche tabético-cérébellaire, troub
dans les deux grands asiles de Bicêtre et de la Salpêtrière, aucun
signe
de distinction n'est venu montrer qu'on tînt co
92 faits DIVERS. Leclerc, qui, à plusieurs reprises, a donné des
signes
d'aliéna- tion mentale, accusait à tout propos
des faisceaux latéraux. Je ne me dissimulai pas que l'ensemble des
signes
que j'observais était loin de correspondre à la
ns;'1 ayant eu, à plusieurs reprises," de petits' ictus.r.Démence ;
signes
fd'àtite .moyenne suppurée,' n'expliquant J ¡'J
à une famille' de car'-% diaq'ueSj'et'de névropathes présente' les1
signes
r dé la maladie dé Basedo"les']'p]us"éaràclél'i
état peut subsiste^ très longtemps. En) même temps, on constate les
signes
de la neurasthénie : insomnie-. mélancolie inca
nom des médecins de la Salpêtrière. La séance est ensuite levée en
signe
de deuil. M. B. 164 SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈ
étrange, il con- vient, quant à présent, de s'attacher à saisir les
signes
cliniques, les caractères physiologiques facile
e de sommeil hystérique; Des tics et des tiqueurs (1888) ; Nouveaux
signes
de la maladie de Ba.iedow; Accès d'automatisme
uatre membres. Sensibilité générale et sens spéciaux normaux. Aucun
signe
d'hystérie ni de neurasthénie. Foie et rate trè
s exprès pour examiner le malade, nous retrouvons encore tous les
signes
classiques de la sclérose en plaques, signes qui
ouvons encore tous les signes classiques de la sclérose en plaques,
signes
qui malgré leur atténuation, sont encore assez
sentant bien il a laissé tout traitement. Il ne présente plus aucun
signe
de la sclérose en plaques. Mai 1893. - Depuis c
évroglie éparses dans l'écorce augmenter de volume et présenter des
signes
évidents dé multiplication directe : forme allo
derniers temps de sa vie seulement cette femme avait pré- senté des
signes
de tumeur, mais la( duplicité des formations né
nent à deux catégo- ries : 1° les alcooliques vrais, présentant les
signes
cliniques de l'in- toxication aiguë ou chroniqu
cette forme d'embolie ou la diagnostiquer lorsque l'on constate les
signes
suivants : a) col- lapsus brusque avec refroidi
amais on n'a cons- taté de disparition complète;des symptômes.. Les
signes
caractéris- tiques de la maladie des tics convu
é- très faible. ? l '' ? .n",f 'f 3(''3')'1 , \, Ces deux, derniers
signes
permettent de relier la maladie des tics convul
e jusqu'en 1883, Nothnagel * s'attache à montrer la fréquence de ce
signe
et à en relever la trace même dans les observat
dation épileptoïde très facile à obtenir Nous abordons l'étude d'un
signe
qui est pour ainsi dire caractéristique de la s
es cordes vocales observé chez une malade qui présentait tous les
signes
rationnels de la sclérose multiple. L'observation
vocales, chez une jeune fille qui présentait depuis quinze mois les
signes
d'une tumeur cérébelleuse (nystagmus oculaire,
en plaques. Le diagnostic ne peut se baser que sur la recherche des
signes
concomitants de l'affection cérébelleuse; or le
ractérisent le cortège symptomatique de la dégénérescence. C'est le
signe
qui dénote chez le malade une hérédité morbide
t de ne voir dans l'épilepsie que la convulsion qui n'en est pas le
signe
pathognomonique, puisqu'elle fait défaut dans l
que, puisqu'elle fait défaut dans le vertige, dans « l'absence . Ce
signe
pathognomonique, il faut le chercher dans la pe
ion de consistance du tissu cérébral manquent presque toujours. Les
signes
de congestion ne se montrent guère que dans le
ine. (Voir le même n° des Archives.) La séance est ensuite levée en
signe
de deuil. Séance du 24 juillet 1893. -PRÉSIDENC
D'' Sémidalov et insiste tout particulièrement sur le fait que, les
signes
d'une lésion de la moelle épinière que l'on n'o
à l'aide d'objets lui ayant appar- tenu et sur lesquels il fait des
signes
. S'il communique ces objets à d'autres personne
ot. Cette malade est manifestement une débile; elle n'offre 'pas de
signes
constatables d'hystérie. Enfin l'évolution de
debout et elle est sans voix. Elle se fait comprendre seulement par
signes
et par le mouvement des lèvres. Il lui est impo
e également nerveux. Tous les enfants de cette femme présentent des
signes
manifestes de la névrose hystérique. Depuis cin
el, plaque hystérogène sous le sein gauche. D'un autre côté, pas de
signes
physiques de dégénérescence, tête à conformatio
ces peurs, même faiblement. L'agoraphobie, selon moi, peut être un
signe
de dégénérescence mentale, mais là l'hypnotisme
ence mentale, mais là l'hypnotisme n'y fait rien, elle peut être un
signe
de l'hystérie, et là l'hypnotisme au contraire
l'étouffant, une diminution de la sensibilité à droite, etc. Pas de
signe
de dégénérescence ni de dé- bilité mentale. Ces
e font porter un pronostic très grave, puisque, malgré l'absence de
signes
stéthoscopiques, je crois à la phtisie, le diag
'ayant "été' président' de la Société1, 'la séance1 ? est levée en
signe
de Jdeuil' : 11 1-uiv'tu ! l JuibiMn un- JImltyil
nséquent, quand l'herpès labial apparaltdans la méningite, ilest le
signe
certain d'un processus inflammatoire aigu. Mais
s insupportables, de fourmillements, et cependant il n'existe aucun
signe
de névrite, névralgie, ni aucune altération mat
res, notamment chez les nerveux, la réparation est si lente que les
signes
de la fatigue subsistent encore assez longtemps a
ptions personnelles est peu solide. Toutefois ce ne sont pas là les
signes
de la fatigue car ils disparaissent, si l'on co
réflexes rotuliens; la démarche est celle du steppeur; il a un faux
signe
de Romberg, présentant ce que M. Grasset a désign
ses fort intéressantes, par exemple que l'hystérie possède quelques
signes
qui lui sont propres (p. 236), que l'isolement
W tm · n.· <)') ? } Palatine. Ronllement de la, voûte; ? nouveau
signe
., de .degene- , iescence, par Ncecl : e" 183 ?
ière l'apo- physe mastoïde; le surlendemain se manifestent tous les
signes
de la paralysie faciale du coté gauche ; l'hémi
de la contraction à l'anode; en un mot, les muscles présentent les
signes
de la réaction de dégénérescence partielle. 0
de la contractilité galvanique, réaction de dégé- nérescence. Les
signes
de la réaction de dégénérescence ont disparu de
tat de terreur dans lequel je me souciais peu de l'endormir, je fis
signe
au dentiste qui, avec la clef, lui arracha vive
religieuses la tiennent absolument à l'écart et marquée de quelque
signe
qui rappelle son infériorité. A l'homme la reli
e pour empêcher la tête d'obéir aux lois de la pesanteur. Les seuls
signes
de la sensibilité générale furent un mouvement
qui nous occupe, et dans lequel il y a, de plus, absence totale de
signes
généraux. - On doit écarter également l'idée d'
rs se sont appliqués à démontrer l'importance de la constatation du
signe
de Westphall chez les diabétiques pour le diagn
de la glycosurie, commandées par la perte du réflexe rotu- lien. Le
signe
de Westphall imposera donc presque toujours l'ana
ngt-cinq observations qu'il a réunies, n'offrent au clinicien aucun
signe
même incertain pour établir le diagnostic de ce g
oulant par le nez. Le malade mourut le cinquième jour avec tous les
signes
du mal de Bright. L'autopsie ne put être faite.
rence normale ; la moelle était comprimée, mais ne présentait aucun
signe
de myélite. Les muscles et lesgros troncs nerve
gne de myélite. Les muscles et lesgros troncs nerveux portaient des
signes
de processus inflammatoire. Pendant la vie, ces
riels, illusions et hallucinations. Si l'on consi- dère enfin comme
signes
caractéristiques de la démence ses deux symptôm
vons dans la figure du possédé tout un ensemble de caractères et de
signes
que le hasard seul n'a pu réunir, et des traits
étude détaillée de la nature, la figure du démoniaque dépouille les
signes
de la convention archaïque ou de la fantaisie p
te l'importance. Les modifications dans la perception des couleurs,
signe
clinique moins facile- ment palpable, mais très
ropie ou micropie), enfin l'anesthésie pharyngienne constituent des
signes
confirmatifs qui dans les cas douteux rendent l
u moment de son entrée à l'hôpital (9 mars 1887), on cons- tate les
signes
suivants la forme et l'aspect du membre supé- r
, bien équili- brée au physique et au moral. Elle ne présente aucun
signe
apparent d'hystérie, pas de douleurs ovariennes
'hystérie chez sa malade ; il repousse ce diagnostic, parce que les
signes
géné- raux de l'hystérie manquent, et à cause d
es, et on les constate déjà chez deux des enfants. Les pre- miers
signes
d'affaiblissement intellectuel remontent à un a
s pieds; elle succombait quelques mois après. Déjà V... donnait des
signes
non douteux de paralysie générale : des attaque
rabisme diver- gent de l'oeil du côté blessé. Vers 1882, premiers
signes
de la paralysie générale à laquelle il succomba
rite alcoolique. A ces symptômes, le D Warrington Haward ajoute des
signes
de refroidissement de la main, avec aspect viol
es » dont on rit si agréablement à nos dépens, sont pour nous des
signes
d'une exceptionnelle gravité et nous permettent d
ne détruit pas le fait même de la rémission qui s'affirme par des
signes
suffisamment manifestes, bien que l'équilibre men
'assurance et d'attention le jeu de cartes, mais n'y jouant que par
signes
. Sa femme est venue le voir une fois ; il ne lu
s. Il reste de six à huit jours sans parler; et s'exprime alors par
signes
: c'est un ordre de Dieu.-II. Homme de trente a
nt au chiffre moyen des mêmes diamètres chez les paysannes, que les
signes
physiques de dégénérescence, tels que l'irrégul
période de la maladie. On peut tirer de cette étude comparative des
signes
d'une réelle valeur pour caractériser cer- tain
agents oesthésiogènes ou de la suggestion. Dans les autres cas, les
signes
de l'hystérie se montrent en toute évidence. Un
cérébrales ; les sujets frappés n'offrent point à première vue les
signes
de l'hystérie et le diagnostic de l'apoplexie org
ses remarquables travaux sur cette affection avait déjà indiqué ces
signes
possi- bles de l'ectasie gastrique. L'auteur in
onvulsifs ordinairement toniques dans la face et les membres et des
signes
de congés- 340 CLINIQUE NERVEUSE. tion cérébr
supérieurs. Contorsions du tronc, du cou, des muscles de la face;
signes
plus marqués du côté droit. Parole scandée et e
urtout ceux du pied droit, sont;animés.de mouvements d'athétose. Le
signe
de Rot- berg n'existe pas : le malade se tient
role a toujours été absente, il cherchait à se faire comprendre par
signes
, par des grognements. La mémoire est bonne; il.su
nue à être propre. Même état choréique. Il continue à indiquer par
signes
ce que les autres font, et avertit en cas d'accid
igts fermés. Il comprend ce qu'on lui dit, fait remar- quer par ses
signes
les irrégularités qui se commettent dans la sal
s antécédents, les détails qu'il nous fournit : ii n'aurait pas eu de
signes
de scrofule dans l'enfance; à deux mois et demi,
ins on ne peut invoquer, comme cause 1 Elle répond sur la figure au
signe
o. 2 L'observation du malade est consignée dans
labar dans le traitement du tétanos. 1867. 3 Voici l'explication de
signes
de la figure 2 : — température deux jours après l
ndément anémié, et l'auscultation des poumons permet de constater des
signes
avancés de tuberculisation pulmo-naire. Il meurt
ues craquements, et encore sont-ils inconstants, on ne remarque aucun
signe
précurseur, et la fièvre, douteuse pour nous, n'a
aires est bien dif-férente. L'hydarthrose, en général, est le premier
signe
d'une tu-meur blanche; or les fongosités, les abc
n les rencontre chez un grand nombre d'hémiplégiques indemnes de tout
signe
de diathèse rhumatismale, et qu'elles n'af-fecten
ne bien. Son caractère est doux, timide ; ses allures n'offrent aucun
signe
d'excentricité. — Les accès ont suivi la marche s
ts épiphy-saires plus ou moins complels, qui se manifestent par leurs
signes
anatomiques habituels; l'envahissement des arlicu
rite aiguë se présentent avec des carac-tères nettement tranchés. Les
signes
qui appartiennent à la pre-mière ne sont que l'ex
aux phases les plus avancées de son évolution. Existe-t-il quelque
signe
qui permette d'indiquer, à coup sûr, le caractère
cela, il faut que le kyste soit superficiel, et en- core ce sera un
signe
assez délicat, puisque nous ne voyons dans aucun
un signe assez délicat, puisque nous ne voyons dans aucun cas que ce
signe
ait été observé par le clinicien. Ainsi donc, pou
ficile de différencier des kystes de la rate ; quand on n'aura pas de
signes
certains d'affection rénale, telles que coliques
envie permanente d'uriner et par duténesme. Ces phénomènes sont le
signe
certain que le petit calcul a été poussé avec l'u
le diagnostic des syphilides de la langue peut être fait à l'aide des
signes
objectifs seuls, indépen-damment des antécédents
audra alors faire un examen clinique appro-fondi , et quelquefois les
signes
physiques pourront mettre sur la voie. La rate,
la chevelure, etc., ne présentent pas de différence. Il n'y a pas de
signes
de paralysie fa-ciale. Membre supérieur droit.
; cepen-dant, comme la rate dépasse rarement le rebord des côtes, ce
signe
peut manquer. — Par la percussion, on pourra le p
ang, de sorte que la rougeur, la congestion ne sont pas les meilleurs
signes
de l'inflammation ; quant au ramollisse-ment, on
on exacte de l'organe ne peut être fixée que par la percussion. Les
signes
généraux sont des plus variables, et nous ne fero
on, l'illustre ophthalmologiste s'est proposé de donner un exposé des
signes
des paralysies musculaires de l'œil. L'ouvrage
s extrêmes, c'est qu'un des agents du mou-vement est inactif. Mais ce
signe
nous dira peu de chose sur les faibles degrés de
is volontiers essentielle ou nerveuse, car elle ne correspond à aucun
signe
physique d'une altération des organes respiratoir
s tous les sens et dans les limites normales; enfin il n'existe aucun
signe
d'altération dans les régions voisines. B... a
fixité de la tumeur sur les parties profondes, s'accordent avec les
signes
ac-tuels : intégrité de la peau, limitation exact
ection générale de l'organisme, est assez nettement démontrée par les
signes
locaux et par l'état général pour faire re-pousse
peu près complète. Pour cela, il faut étudier les commémoratifs, les
signes
locaux et les signes géné-raux. Pour les commémor
our cela, il faut étudier les commémoratifs, les signes locaux et les
signes
géné-raux. Pour les commémoratifs, il faudra rech
, à la hauteur de l'ombilic, mesure lm,02 de cir-conférence. Tous les
signes
de l'ascite sont évidents. Il n'y a ni œdème des
dernier ordre de raisonnement imaginé par les incrédules, ce sont des
signes
sensibles constatés après coup par des personnes
i-dessous. Jl y eut aussi M. Briant, médecin de Louyiers. par les
signes
suivants distingués en trois chefs. Premièrement
t tier-cement en ce qui dépend des choses sacrées, sans s'arrêter aux
signes
présomptifs, dont les théologiens font 12 sortes,
ologiens font 12 sortes, par ce qu’ils ne concluent nécessairement.
Signes
remarques auxdites religieuses dépendant de Cespr
es noms, et les démons s’appellent l’un l’autre par les mêmes noms.
Signes
des choses qui dépendent du corps. 1° Qu’elles
issolues, et le tout presque en même temps. Après avoir énuméré les
signes
dépendant des choses sacrées , signes moins curie
emps. Après avoir énuméré les signes dépendant des choses sacrées ,
signes
moins curieux que les précédents, et que leur lon
publier, ils ont trouvé bon de ne les employer. Pour tous lesquels
signes
lesdits médecins ont jugé la vé- ri té de ces
s échangèrent entre eux les quatre hosties, qu’ils se présentèrent en
signe
d’alliance ; que Boullé se fit désigner par Picar
fa 'Corbeille, qui n>st pas sotte, re promène lentement «1 épie un
signe
de ta» part, qui trahisse votre pensée. Quelquefo
GRÈS DU MAGNÉTISME. LA PRESSE PÉRIODIQUE ET LE MAGNÉTISME. Un des
signes
les plus manifestes des progrès du magnétisme, c’
é, nous dit-on, il ne faut écouter que les bons esprits ; mais à quel
signe
les reconnaître ? On nous répond que c’est à la n
ésultats sans employer ces plantes. On prend des disques, on écrit le
signe
de la planète dont chaque disque lire sa protecti
rit le signe de la planète dont chaque disque lire sa protection , le
signe
du zodiaque, etc., et C action èi produire; et la
uteur un reproche plus grave. Pourquoi cet attirail de planètes et de
signes
du zodiaque ? Croit-il réellement que les sept pl
rtuelles du chrétien sont encoi e aidées par l’action des sacrements (
signes
sensibles ayant une puissance réelle par une vert
sacrements, qui infusent dans l’homme la rie divine déposée dans des
signes
sensibles; vous comprendrez les prières de l’Egli
ît l'au- tome des faits et se propose de les expliquer. Parmi les
signes
qui caractérisent le somnambulisme artificiel, il
a magie et le magnétisme, et cependant il reconnaît la réalité de ces
signes
sut- certains individus. Quant aux loups-garous
c’était un des plus grands événements de l'histoire de l’humanité, un
signe
éclatant par lequel la Providence nous annonçait
déposé sous la table, je le trouvai tel que je l’avais mis sans aucun
signe
d’écriture. Le 1" mars, le cercle ne se composa
et avoir constaté......................... (Suit la description des
signes
qui nous ont permis de conclure qu’elle était enc
re, voilà un pauvre prestidigitateur qui place là ses gobelets en
signe
de deuil. Le public ne lui demande pas de tours d
gations qui demeurent tôt ou tard à leurs auteurs comme une tache, un
signe
de faiblesse d’esprit ou de volonté quand, par ft
le troisième appartient principalement à la psychologie ; voici leurs
signes
caractéristiques : Le premier groupe se réduit
de, et qui n’est pas sans danger. Le second groupe se reconnaît aux
signes
suivants : Après avoir donné l’un ou l'autre de
naît aux signes suivants : Après avoir donné l’un ou l'autre de ces
signes
, certains sujets tombent quelquefois dans un état
prit sa tabatière et redescendit au salon. Quand il y entra, aucun
signe
d’émotion ne parut sur son visage. 11 se mêla à l
puissance diabolique. Voici leurs raisons : Io Ce sont d'abord les
signes
que le Rituel romain, d’une si grande autorité da
ns l'Eglise, donne pour reconnaître la possession du démon. Voici ces
signes
: a ) Parler ou comprendre une langue étrangère
ce beaucoup plus que dans le reste du corps, on vit paraître quelques
signes
de sensibilité. L’opérateur ayant soufflé à froid
roid sur les régions temporales et auriculaires, ou remarqua quelques
signes
d’impatience. Puis, les membres se relâchèrent un
eu se rétablir. La malade ne pouvait pas encore parler, mais, par des
signes
de tète, elle exprimait le oui et le non. Elle fi
lle exprimait le oui et le non. Elle fit comprendre , à l’aide de ces
signes
,qu’elle souffrait de la tète et de l’estomac, qu’
sivement et était près de disparaître ; la malade n'accusait plus par
signes
que les douleurs d’estomac. Elle posa ses mains l
s yeux étaient encore fermés. Invitée à lever les paupières, elle fit
signe
qu’elle ne le pouvait pas. L’opérateur fit, un ef
il soit âgé seulement de douze à quatorze ans, qu’il soit né sous les
signes
du Sagittaire, ou des Gémeaux, ou de la Vierge, e
. Pourtant la malade devint en état de répondre aux questions par des
signes
de tête, mais sans pouvoir encore parler. Elle
néra comme le plus sage des mortels. Si du moins on avait dit à quels
signes
on devait distinguer la sagesse et quelle en étai
ne explication satisfaisante, soit du fait en lui-même, soit a de ces
signes
et « de ce latin eu apparence intraduisibles. »
mort de l’indrtidu. Or, il est reconnu en médecine, qu’il n’y a aucun
signe
certain de la mort, et quelle' n’est indubitable
somnambule naturel. Depuis 1 âge de sept ans, il donna lui-même des
signes
de somnambulisme pendant une période de sept à hu
uteuil pour marcher, et puis, lorsqu’il veut y retourner, il fait des
signes
avec ses doigts, et de suite la lumière se fait p
e qu’on doit croire de ses affirmations'. Il ferait bien de mettre un
signe
à la clef, pour avertir les lecteurs s’il plaisan
ette pierre contre l’arbre qui est vis-à-vis de moi; si je le touche,
signe
de salut; si je le manque, signe de damnation. To
t vis-à-vis de moi; si je le touche, signe de salut; si je le manque,
signe
de damnation. Tout en disant ainsi, je jette ma p
voir le diable. Ce diable-là était un beau jeune homme dont tous les
signes
de diablerie se bornaient à de, jolies petites co
e l'oeil gauche, qui est à peu près perdu. Cinq ans après, premiers
signes
de déran- gement mental, puis paralysie général
les effets du traumatisme, et il ne subsiste et persiste que des
signes
de surdité psychique. En d'autres termes, l'ani-
lue; puis celle-ci diminue peu à peu, et il ne reste encore que des
signes
de surdité psychique. Fig. 2. LES FONCTIONS D
de s'appuyer sur deux cannes ; ne peut sortir sans être accompagné.
Signe
de Romberg très accentué ; abolition des réflex
Signe de Romberg très accentué ; abolition des réflexes rotuliens ;
signe
d'A. Robertson. Troubles vésicaux. Difficultés
marquée : Le malade peut à peine marcher à l'aide de deux cannes;
signe
de Romberg très accentué. Signe de Westphall ;
ne marcher à l'aide de deux cannes; signe de Romberg très accentué.
Signe
de Westphall ; myosis ; il y a quelques jours H
ans cannes, faire des courses assez longues, etc. La disparition du
signe
de Romberg, lorsqu'elle a eu lieu, a été presqu
n des douleurs en ceinture. Retour de la sensibilité normale; 4° le
signe
de Romberg '- n'existe plus; 5° augmentation lé
s très vives, incoordination motrice, marche et miction difficiles,
signe
de Romberg, impuissance sexuelle depuis un an,
s douleurs fulgurantes ont à peine reparu. Après la '18° séance, le
signe
de Romberg et l'incoordination ont disparu. Après
es, démarche tabétique depuisun an, absence des réflexes rotuliens,
signe
de Romberg, signe d'Argyl Robertson, difficulté
ique depuisun an, absence des réflexes rotuliens, signe de Romberg,
signe
d'Argyl Robertson, difficulté de la miction, et
courses à pied, les douleurs fulgurantes sont toujours absentes. Le
signe
de Bomberg est presque disparu, mais les réflex
n des douleurs s'est faite au bout de la 4° séance; après la 5°, le
signe
de Romberg existait à peine; et après la 6°, l'
, l'impotence sexuelle ont disparu : l'incoordination motrice, le
signe
de Romberg ont cessé d'exister. Un malade atteint
du Du E. Bloch ; il s'est produit chez un tabétique présentant des
signes
de para- lysie générale. Le médecin, après avoi
que nous parlerons seule- ment des encéphalites chroniques à petits
signes
ma· croscopiques, et que dans ces cas nous envi
é aliénée, arrive jus- qu'à l'âge de 30 ans, en présentant tous les
signes
d'une intelligence parfaitement équilibrée : à
ue débarrassé de cet appendice d'un autre sexe, la malade donna des
signes
évidents de salisfac- tion, et dans un délai as
paralysie géné- rale. On peut ainsi résumerrapidement les quelques
signes
sur lesquels on peut se fonder pour les disting
es DE la TOURETTE fait observer qu'il n'y a pas d'hypno- tisme sans
signes
physiques. Quant à admettre que l'aimantation,
e nous prouve que l'état d'hypnotisme s'annonce fatalement par un
signe
physique qui le décèle sûrement : rien ne nous pr
ue qui le décèle sûrement : rien ne nous prouve que l'absence de ce
signe
se doive énoncer par la non-existence de l'hypn
bides, si la première condition du dia- gnostic était de trouver un
signe
objectif 2 ? C'est parce qu'on perd de vue cett
ine positive (P.-K.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 299 ne saurait servir de
signe
à cet égard. Il est une foule d'hypno- tisés à
a parole et de démence trop accusés, pour établir le diagnostic. Le
signe
de Westphal s'est montré seul dans 20 p. 100 de
cas dans lequel la migraine oph- talmique est apparue non pas comme
signe
de début, ainsi que dans les observations précé
e du cerveau, et suivant cette hypothèse, des plus acceptables, ses
signes
dépendraient de la lésion de cette région déter
Dans ce cas, la migraine ophtalmique a été le pre- mier et le seul
signe
de début tout d'abord. Il s'agis- sait à la vér
accompagnées. Ce n'est qu'assez long- temps après qu'ont apparu les
signes
révélateurs et caractéristiques de la paralysie
barras de la parole... Or, s'il arrive par exemple que ce dernier
signe
, l'embarras de la parole vienne à persister chez
ns ceux de migraine ophtalmique accompagnée, plus enfin si l'un des
signes
' Gilles de la Tourette et P. Blocq. Sur le tra
syndrome de la migraine, celle-ci précédera ou accom- pagnera les
signes
de la méningo-encéphalite. ANATOMIE PATHOLOGIQU
ient la surface de la base et de la partie moyenne du cerveau : les
signes
de méningite trau- matique adhésive étaient trè
. Pendant la vie, cette tumeur n'avait décelé sa présence par aucun
signe
clinique, sans doute parce qu'elle n'intéressai
elle; par M. L. Guinon. (Gaz. 172é1. de Paris, 1887.) . Outre les
signes
vulgaires de l'hydlargyrisme chronique, le ma-
puis du propeptone.' En bien des cas, le propeptone est le premier
signe
d'une influence exercée par le cerveau sur les
l'environne (meubles et gens) et ne se calme que lorsque l'on fait
signe
de le conduire en cellule. - 1\ l'entrée idioli
l'habiller ; qu'il est gâteux, ne parle pas, ne sait même pas, par
signes
, exprimer ses besoins. Son attention est absolu
ement \((;l>ICO-I'I : D : 1GOGIQUE. niées en gros caractères, le
signe
qui correspond a ce nombre. Cet exercice, que
t entendre qu'un gazouillement tout-à-fait incompréhensible aucun
signe
, aucun geste ne suppléait à la parole, l'enfant
tique de même. Elle gâtait du matin au soir, ne demandait par aucun
signe
à aller aux cabinets. Un grand changement s'est
Seine- et-Marne a demandé son transfert, le père s'y refusant, on
signe
la sortie. - Depuis son admission, cette enfant
pédicules bronchiques. La sonorité est peu modifiée iL gauche. Les
signes
d'auscultation sont les mêmes que le premier jo
n sont les mêmes que le premier jour. 21 mai. - Dyspnéc, cyanose,
signes
physiques plus pronon- cés, râles ronflants et
yspnée. Toux sèche qui se produit quand on déplace le petit malade.
Signes
physiques : sonorité exagérée dans tout le poum
s 120. Trait. : oxygène, cataplasmes sinapisés, etc. Le 27. Mêmes
signes
physiques et mêmes signes fonction- nels. Pouls
cataplasmes sinapisés, etc. Le 27. Mêmes signes physiques et mêmes
signes
fonction- nels. Pouls 130. Même traitement. Mor
E, diplégie : sclérose atrophique. 69 Joh... n'a jamais donné aucun
signe
d'intelligence : il était atteint d'idiotie com
ître la séméiologie de l'extension des orteils : il a montré que le
signe
signifiait « trouble dans le système pyramidal
éflexe lumineux est le seul important en clinique : son absence est
signe
de tabès, de paralysie géné- rale ou d'affectio
r (R), répond au plan de l'inion. - op, plan du trou occipital. Les
signes
XX répondent aux bosses frontales et pariétales.
s et demi. A quatorze ans, a eu un eczéma. Pas de migraines, pas de
signes
de syphilis. Intelligence moyenne. Famille DE l
te et à la face. On n'aurait pas remar- qué de rumination ? - Aucun
signe
de connaissance et d'affection. La mère, à qui
. Lorsqu'on l'appelle pour lire, il se frotte les mains et saule en
signe
de satisfaction. Il reconnaît et nomme les peti
l'environne (meubles et gens) et ne se calme que lorsque l'on fait
signe
de le conduire en cellule. (Fig. 26). Puberté
e corps, au pénil ; organes génitaux peu développés, en somme aucun
signe
de puberté malgré son âge (seize ans). Pas d'on
rofuleuse. Pas de vers, ni de trauma- tisme, ni de sévices. Comme
signes
avant-coureurs de la maladie des tics, nous avons
aît après 3 ou 4 jours. La santé générale est bonne, il n'y a aucun
signe
de cachexie. Nous revoyons le malade le 13 mars
it des bêtes dans son corps, les objets changent de forme, voit des
signes
de deuil partout, tout le monde a de l'aver- si
groupes je suis restée moi à côté de Julie (2) et l'on faisait des
signes
on interrogeait et l'on se montrait des photogr
te. T. Il. 39°, 7. 21 juillet. T. R. matin, 38°, 9; soir, 40° mêmes
signes
à l'auscultation et à la percussion. Pas de dys
r (R), répond au plan de l'inion. op, plan du trou occipital. - Les
signes
XX répondent aux bosses frontales et pariétales
ital, la malade y succomba le 29 octobre, sans a\oir présenté aucun
signe
nouveau. Autopsie (résumée). Hémisphère cérébra
ttitude de la femme grosse (rejet du centre gravité en arrière), le
signe
de Romberg, de l'inégalité et de l'inertie pupi
isse le fait; en effet, diverses observa- 'tions ont montré que les
signes
physiques de la' névrite optique et de'la neuro
t réfléchi, représenté. Aussi nos conceptions ne sont-elles que des
signes
, des symboles. Aussi n'y a-t-il pas .de vérité
gravant de ses ongles le front pour d'illec tollir le Chrefme &
signe
baptifmal (Fig. 4). Quartement luy faiet reno
es mamelles ou es parties hon- teufes pour les femmes, marqués d'un
signe
auqueldevient la peau infensible. La forme de c
marqués d'un signe auqueldevient la peau infensible. La forme de ce
signe
n'eft toujours la même; tantoft c'eft patte de
s (1880) : De l'épilepsie. Plaies des artères; 2° concours (1880) :
Signes
et diagnostic de la fièvre ty- pAotde. Signes e
2° concours (1880) : Signes et diagnostic de la fièvre ty- pAotde.
Signes
et diagnostic de la fracture du col du fémur. Les
rs : De l'insuffisance aortique. Diagnostic de la hernie étranglée.
Signes
et diagnostic 126 VARIA. de la pneumonie. Cor
a pneumonie. Corps étrangers de l'oesophage. 21 concours : Variole.
Signes
et diagnostic de la fracture de côtes. Pneumonie
ances ; les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1°
Signes
et diagnostic de la pleurésie ; signes et diagn
les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de la pleurésie ;
signes
et diagnostic des fractures de l'ex- trémité in
2° Insuffisance aortique ; plaies pénétrantes de la poitrine; - 3°
Signes
et diagnostic delà péritonite aiguë ; anthrax;
t diagnostic delà péritonite aiguë ; anthrax; 4° névralgie faciale;
signes
et dia- gnostic des fractures du rocher. 11 y a
lui procure aucune sensation, aucun malaise, aucun réflexe. Le seul
signe
d'in- telligence qu'on signale est qu'elle conn
ure des fléchisseurs (griffe), de l'analnésie accompagnée d'ataxie (
signe
de Romberg), de l'hésitation de la parole avec
choses en général (mélancolies graves, démences paralytiques) et le
signe
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 d'une profon
psie était contestable : réinterrogé, il finit par admettre que ces
signes
pouvaient manquer dans l'épilepsie vraie. L'acc
rriver que les réflexes, au lieu d'être abolis, soient exagérés. Le
signe
de Westphal n'a donc qu'une valeur relative, qu
et sa terminaison. Cil. F. XI. Le délire des grandeurs n'est pas un
signe
exclusif de la paralysie générale progressive ;
ances ; les candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1°
Signes
et diagnostic de la pleurésie ; Signes' et diag
; 2° Insuffisance aortique; plaies pénétrantes de la poitrine ; 3°
Signes
et dia- gnostic de la péritonite aiguë ; anthra
- gnostic de la péritonite aiguë ; anthrax; 4° Névralgie faciale;
signes
et diagnostic des fractures du rocher. Il y avait
ncomplètes en apparence qu'en réalité. Nous avons insisté sur ces
signes
fournis par la sen- sibilité oculaire et par l'
regard possède une fixité sur laquelle nous insistons comme un des
signes
les plus importants. La physionomie est impassi
peut n'en présenter pas moins, pendant l'état de som- mation, les
signes
les plus complets de t'hyperexcitabi- lité neur
te la journée sans rien dire; d'autres fois il faisait avec la main
signe
d'approcher, et quand on était près de lui : «
Etat, qui l'entretient; c'est le ministre et non plus le préfet qui
signe
l'entrée ou la sortie des individus qui y sont
icile, maisce n'est qu'à l'âge de trente-neuf ans qu'il a donné des
signes
bien manifestes d'aliénation mentale : il devin
terrain solide. Les faits les plus simples, les plus grossiers, les
signes
did- BIBLIOGRAPHIE. 373 gnostiques physiques,
ques, de l'excitation des zones bystéro-épilepto- gènes, jointe aux
signes
déjà indiqués, distinguera 1'li,stéro-épilep- s
. Délire chronique, 10'i. Délire des grandeurs (il n'est pas un
signe
exclusif de la paralysie générale par Lau- ta
ue la moitié droite ( ? ? ). Léger tremblement à la pointe. Aucun
signe
de paralysie du voile du palais. La parole est
sant devant la malade et l'invitant à nous faire comprendre par des
signes
de tête s'il n'y avait rien à modifier. Les ant
outenue. Quand la malade veut, pendant qu'on l'inter- roge faire un
signe
négatif, elle est obligée de remuer presque tou
la vacuolisation, preuve certaine de la dégénérescence. Tous ces
signes
d'altération morbide que nous ve- nons d'énumér
ition complète de tous les symptômes et non réapparition, soit d'un
signe
, soit d'un symptôme, n'ont été réalisées que da
s troubles oculaires de la sclérose en plaques, qui fournissént des
signes
si précieux au diagnostic de cette maladie, surto
ositives ou négatives d'une cure d'eau froide et d'eau chaude comme
signe
indica- teur de la conduite électrothérapique à
ut-être, en conséquence, le transfert dans ces conditions est-il un
signe
pronostique favorable. P. K. IV. Contribution
ourd'hui disparu, mais qui n'en a pas moins marqué sa trace par des
signes
caractéristiques; Clotilde a été en effet frappée
ent, dans l'esprit du suggesteur doivent naître les contours ou les
signes
écrits répondant au mot, à la figure ou au chif
nt bulbaire ; c'est plus tard seulement et peu à peu que les autres
signes
de la sclérose latérale amyotrophique sont appa
été soigné aux En- fants-malades : il avait alors douze ans. Pas de
signes
de scrofule : quelques glandes seulement au cou
er au 31 juillet 1885, B... a eu 80 accès toujours nocturnes. - Les
signes
de la puberté se sont accentués, les moustaches
;%'. : n '' -.«> - , ? t t- - - ' . . ' éhxir poly bromure). Les
signes
delà puberté ne se-sont'pas accu- sés au visage
ons, quoi d'étonnant à ce que nous trouvions chez les enfants ces
signes
de déchéance que nous avons rapportés en détail p
.-Pas d'al- bumine. La percussion etl'auscultation donnent tous les
signes
d'une congestion pulmonaire intense, localisée
ès fréquentes et très superficielles. Pas de bruits adventices. Les
signes
de congestion pulmonaire du sommet droit ont di
froide, les traits tirés. Il ne répond plus aux questions, même par
signes
; le regard est fixe et sans expression. - La te
acité dans les manifestations congestives, l'ex- trême mobilité des
signes
physiques qui les traduisent, l'ab- sence de fi
'aitd'unejeune fille de dix-neuf ans,sur laquelle on nerelève aucun
signe
évident d'hystérie, qui futprisc de monoplégie br
e par le déplacement de 1 os fracture. L abcès du cerveau dont les,
signes
, cliniques sont, encore .assez mal détermines-^
t peu après de pneumonie càtar'rhale. 11 n'a jamais manifesté aucun
signe
témoignant d'une activité psy- chique spontanée
e mo- bile n'est-elle donc pas la caractéristique essentielle, le
signe
pathoguomonique de l'impulsion irrésistible ? S
taient tout aussi unanimes, - que jamais Claude n'avait présente de
signes
ostensibles d'aliéna- tion, et il était encore
recherchent le coupable, il écrit une lettre compro- mettante qu'il
signe
du nom abhorré, puis la jette dans une cour où
eux qui l'ont connu affirmaient que jamais il n'avait donné aucun
signe
d'aliénation mentale. Le prévenu, dans ses long
e à l'infirmerie, se plaignant de douleurs de côté à droite. Pas de
signes
stéthoscopiques; à la percussion, on constate,
existant avec l'instabilité mentale, peuvent, à notre avis, être un
signe
de plus de la tare héréditaire. Ainsi donc du
ils digestif, respiratoire, circulatoire, génito-urinaire. - Pas de
signes
de dégénérescence ; adhérence du lobule de l'or
ite, siégeant principalement à la base, était venue s'ajouter à des
signes
de tuberculose pulmo- naire : outre les lésions
itici, bien qu'il n'y eût point de tubercules à la base, et que les
signes
d'inflammation fussent très peu marqués. La zon
e et bien localisée des tubercules, est rare. Il existait aussi des
signes
d'irri- tation,peut-êtremêmed'intlammation légè
vail de M. Parant, sur la simu- lation des maladies mentales. Des
signes
physiques intellectuels et moraux de la folie hé1
folie hé1'édi- tai1'c. - M. FALIl.ln. Il me semble que question des
signes
spéciaux des folies héréditaires pourrait faire
orme héréditaire. Ces aliénés présentent dès l'enfance une foule de
signes
tels que l'asymétrie du crâne et de la face, st
(pieds bots, hernies). A côté de ces .lignes physiques il y a des
signes
intellectuels, comme des inégalités énormes dans
liberté et les asiles. Ce qui est intéressant, c'est d'étudier les
signes
physiques qui cor- respondent à ces troubles in
s aliénés ont l'air d'individus normaux à certains intervalles, les
signes
phy- siques n'en persistent pas moins, ainsi qu
sant en avant, dans la région frontale, deviennent des schémas, les
signes
repré- sentatifs de la pensée. Cette région pos
es; en un mot, il y a désharmonie, défaut d'équilibre, c'est-à-dire
signe
de dégénérescence. M. Jules Voisin communique u
e un moyen de cultiver, dans l'être humain, le pouvoir d'arrêt. Les
signes
principaux des névroses et des psycho-névroses po
tablement sur la frontière qui sépare les deux affections. Aussi tout
signe
, tout moyen d'investigation capable de nous éclai
ltats surprenants. « Une jeune fille de 15 ans, présentant tous les
signes
de l'idiotie, « parole presque nulle, marche péni
issent leurs frères et sœurs et prononcent quelques paroles. Un bon
signe
en faveur de l'intervention chirurgicale est que
en consultation une de ses ouailles, qui, d'après lui, présentait des
signes
de dérangement cérébral. La seule indication qu'i
is le3 conserve comme un vrai talisman et les porte chaque fois qu'il
signe
un engagement ou le soir d'une première. L'Alli
rassse de son col et de ses manchettes et les dépose sur l'estrade en
signe
de renonciation, de même des femmes enlèvent leur
e fois. Dans le cours de sa convalescence, elle fut prise de tous les
signes
d'une fissure à l'anus intolérante, amenant un ét
ous fut de nous rendre à l'évidence. Cette malade présentait tous les
signes
d'une monoplégie incomplète du membre inférieur g
t l'expérience suivante. La patiente est endormie, on lui dît qu'à un
signe
donné elle aura un accès, mais qu'elle ne se mord
aura un accès, mais qu'elle ne se mordra pas la langue ; à un second
signe
l'accès cessera. Il en est ainsi. Au signal, la j
à l'indocilité coïncident d'une façon évidente avec l'apparition des
signes
de la puberté. Elles sont si caractéristiques, qu
est des peuples chez lesquels les pleurs seraient considérés comme un
signe
de démoralisation. Un anglais ne se laisse aller
mère, elle leur adresse le télégramme qu'on a lu plus haut et qu'elle
signe
du nom d'une amie, originaire, comme elle, de la
rer le sultan Abd-ul-Aziz qui déjà, depuis quelques mois, donnait des
signes
d'irritabilité et d'énervement. Comme il devenait
mes présentant d'une façon permanente, on pourrait dire chronique, le
signe
des yeux cernés. Ce signe coïncide avec une pâl
ermanente, on pourrait dire chronique, le signe des yeux cernés. Ce
signe
coïncide avec une pâleur très manifeste des tégum
corail rouge est considéré à Java (comme aussi en Hollande), comme un
signe
de maladie lorsque les grains sont pâles, et de b
la mémoire, troubles du langage, vocabulaire restreint, sont tous les
signes
qui confirment cette opinion. c Son émotivité,
t certainement plus d'importance que ne le faisait le juge romain aux
signes
objectifs, aux symptômes pathogno-moniques de l'a
pieds, soit môme des anomalies des organes génitaux, il verra là des
signes
de dégénérescence qui lui permettront d'asseoir s
à l'état permanent, chez certaines jeunes filles ou jeunes femmes, du
signe
des yeux cernés, donnant à la physionomie l'impre
par des personnes présentant cette disposition. Il n'attribue pas ce
signe
à la pratique de l'onanisme, mais à un trouble de
l'intoxication paludéenne. Elle ne fait pas usage de médicaments. Le
signe
des yeux cernés est chez cette dernière très acce
ontinuerai à recevoir avec intérêt les communications, relatives à ce
signe
, qui pourraient m'ètre adressées. Dr Bérillon.
ouls est à 90, les réflexes cutanés sont augmentés d'intensité. Ces
signes
suffisent amplement pour établir le diagnostic d'
A l'examen clinique, la malade apparaît de constitution normale, sans
signes
d'aucune affection viscérale ; le pouls est à 80
ère, Aaron, et une sœur, Myriam, qui présentaient, tous les deux, des
signes
manifestes de dégénérescence mentale ; Myriam éta
rouve placée, la maltresse de maison attachant trop d'importance à ce
signe
, lui en a fait plusieurs fois, en présence de tie
moins le très grand mérite d'avoir permis de distinguer, grâce à des
signes
certains, les troubles hystériques des affections
apporta des pioches et des pelles pour dégager son père, maïs il fit
signe
de ne pas se presser. Les outils ne furent apport
a Bible où il est question de la lèpre, on note la blancheur comme un
signe
caractéristique de la lèpre, tandis que la blanch
ituelle, comme un péché intérieur que le doigt de Dieu indique par un
signe
extérieur, un stigmate qui est Ve vitíligo ou la
esprits un empire tout aussi grand que la suggestion elle-même, et un
signe
somatique peut n'être que l'extériorisation d'une
ndigne à la pensée que l'onychophagie puisse être considérée comme un
signe
de dégénérescence. Il ne s'agit là que de la prot
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