ie du côté gauche. C'est toujours le côté- le moins contracture qui
sent
moins bien, mais on remarque actuellement une m
coin dont le tissu est rodé, par eux. Les vertèbres voisines subis-
sent
, comme par compensation, le processus hypertrophi
de dégénérescence et stigmates de dégénérescence, mais il ne pré-
sente
ni caractère familial, ni contractures fibrillair
e sont pas perçus, la douleur et les agents thermiques sont à peine
sentis
. Cette anes- thésie du nerf fémoro-cutané n'est
résultats divers. Dans les 8 premières, une amélioration s'est fait
sentir
. Dans les observations 9 et 10, le mercure a ex
missements; chez beaucoup aussi, l'idée, le souvenir d'un objet qui
sent
mau-* vais, d'un cadavre, par exemple, engendre
rapporte l'observation d'une femme qui pré- 92 SOCIÉTÉS SAVANTES.
sente
des crises de masturbation trois fois par an pend
jours, le malade fait la fête et se saoule. Le lendemain matin, il
sent
que sa main et son bras droits sont moins vigou
be gauche, parfois dans la jambe droite. Il y a trois ans le malade
sentait
son genou gauche se fléchir : signe de Romberg,
te et descend l'es- calier très bien. Pas d'anesthésie de la jambe,
sent
facilement la piqûre d'épingle et la différence
e réveillé par les douleurs. Le il septembre 1901. - Le malade ne
sent
plus de douleurs fulgu- rantes depuisjrois jour
par l'humidité de la saison. A présent il ne les ressent plus et se
sent
plus rassuré en marchant. Le 10 octobre 1901. -
1. - Le malade n'a plus eu de douleurs; il dort bien, marche mieux,
sent
facilement la différence du sol. Le 9 décembre
e dépassant pas l'angle de 40°. Après quelques séances le malade se
sentait
mieux et nous croyons bien arriver à un résulta
ment indiqué plus bas, elles sont devenues plus atténuées et repré-
sentent
encore leur acuité de début aussi forte qu'au mom
. M. Appert montre les pièces d'autopsie d'un malade qu'il a pré-
sente
à la séance de novembre et qui était atteint d'an
e tact et d'humanité ; 4° les SOCIÉTÉS SAVANTES. 'lUt) malades se
sentent
très satisfaits de leur nouveau milieu d'exis-
utes les autres influences qui déter- minent ma façon de penser, de
sentir
, d'agir. Je serai donc obligé de faire interven
passé par une phase de pâleur; les troubles psychiques disparais-
sent
. Je ressens un soulagement, une sorte de fraîcheu
s par fixation ; le sommeil vient au bout d'une minute. Je lui fais
sentir
la jambe droite qui exécute des mouvements de f
6. Je commence la progression de la resensibilisatiou et lui fais
sentir
la plante du pied droit. Le pied fléchit et s'éte
des pieds est libre, les fourmis ont passé. ' Le signe + signifie :
sentez
thivantagu. , 204 RECUEIL DE FAITS. Sentez le
Le signe + signifie : sentez thivantagu. , 204 RECUEIL DE FAITS.
Sentez
les orteils du pied droit : mouvements de flexion
mbre inférieur. Les orteils sont libres au bout de dix minutes. -
Sentez
la peau du cou-de-pied : mouvements de flexion et
doigts. - Cinq minutes après, la peau du cou-de-pied est réveillée.
Sentez
le pied : mouvements assez étendus de flexion et
. très légers des doigts de la main droite. Durée de dix minutes.
Sentez
la cheville : craquements à chaque mouvement d'ex
dus du pouce + La cheville se débloque au bout de cinq minutes. -
Sentez
la peau de la jambe : mouvements de flexion, d'ex
ochrones + Le frottement du drap est perçu. Durée de dix minutes.
Sentez
le mollet : mouvement de flexion et d'extension d
llet, des noeuds; le tout disparait au bout de dix mi- nutes. ' -
Sentez
l'os de la jambe : mouvements de flexion et d'ext
ue l'on ronge son tibia + Tout est libre au bout de huit minutes.
Sentez
le pied et la jambe : mouvements de flexion et d'
répond plus. Kéveil après soixante-quinze minutes de travail. 7.
Sentez
le genou droit : mouvements de flexion et d'exten
euds dans l'articulation, qui craque et se débloque Cinq minutes.
Sentez
la peau de la cùisse : mouvements très étendus de
sensibilit , GRANDE HYSTERIE AVEC CRISES PARAXYSTIQUES, ETC. 205
Sentez
la chair, les muscles de la cuisse : mouvements d
cuisse + Les tiraillements. les noeuds disparaissent rapidement.
Sentez
l'os de la cuisse : il est collé, dans l'articula
il est collé, dans l'articulation. Il me fait mal. Il est libre.
Sentez
les membres inférieurs : grands mouvements de fle
accompagnent de mouvements de rotation du membre supérieur droit.
Sentez
la hanche, les fesses, le bassin : mouvements alt
bassin. Le tronc participe aux mouvements +-j- Tout est débloqué.
Sentez
la verge et les testicules : Louis frotte avec la
n droite verge et testicules qui, bientôt après, ne brûlent plus.
Sentez
le derrière : mêmes mouvements que pour la resens
la resensibi- lisation du bassin + On le brûle z- Tout disparaît.
Sentez
la main droite : mouvements de flexion et d'exten
et qui brûlent. Le pouce reste presque immobile, en demi-flexion.
Sentez
le poignet : mouvements de flexion et d'extension
y a de très légers mouvements extenseurs de la jambe et du pied.
Sentez
le membre supérieur droit : mouvements de flexion
oit : mouvements de flexion en demi-supination et d'extension. 8.
Sentez
le membre supérienr droit : la percussion de la z
oque + La tète ne brûle plus- L'épaule a récupéré sa sensibilité.
Sentez
votre ventre : la peau brûle, on dirait d'une bar
rojection qu'il imprime aux intestins de bas en haut et en avant.
Sentez
l'estomac : les mêmes mouvements se produisent, m
de plus en plus grand ? Ça se débloque + Je sens l'air là dedans.
Sentez
la poitrine : larges mouvements respiratoires.
là dedans. Sentez la poitrine : larges mouvements respiratoires.
Sentez
le cou-j- Mouvements de salutation qui amènent ra
ut était débloqué. Seulement, je ne sais pas qui me par- lait. 9.
Sentez
votre nez : Louis renifle et ses lèvres exécutent
uis renifle et ses lèvres exécutent des mouvements de latéralité.
Sentez
les oreilles : Louis entend du vent, du sifflemen
le il dit : ne me touchez pas la tète qui brûle (pariétal droit).
Sentez
les paupières et les yeux : mouvements d'élévatio
la montre ? Que vous écrivez avec la montre avec la main gauche.
Sentez
votre tête, votre cerveau : Ça me brûle sur la tè
j'ai à la main, parce que quelque chose lui a claqué dans la tète.
Sentez
votre tête : ma tête est libre + Mouvements de
t de la colonne. suit mon bras en dedans et fait mouvoir ma main.
Sentez
l'oreille : j'entends le tonnerre Tout d'un coup,
it qu'il est conscrit et tire au sortà Gardanne(févrierl896). 18. -
Sentez
votre cerveau : il y a toujours quelque chose de
di + Il y a quelque chose de pro- fond qui est encore bloqué. 19.
Sentez
votre cerveau : crise de contracture ? Tiens, F..
. Quel âge avez-vous; Je ne sais pas. Criez fort. Je n'entends pas.
Sentez
votre cer- veau : je suis dans le bois, je me p
eresthésiée (bord postérieur du frontal droit) : Louis me dit qu'il
sent
des fils qui descendent dans le côté gauche + T
prend la main et me dit : Je n'ai plus rien et je suis bien. 23. -
Sentez
votre cerveau : Tout est libre, rien n'est bloqué
rt de sa mère, dès qu'il se couche le soir et ferme les yeux, il se
sent
étouffé, a chaud, puis voit et entend sa mère a
ls causent tous deux pendant quelques minutes. J'ordonne à Louis de
sentir
212 1-) RECUEIL DE FAITS. davantage son cerve
t et entend sa mère ; il me répond que non. Je lui ordonne alors de
sentir
de moins en moins son cerveau et je puis consta
la scène du chien, puis il progresse jusqu'à hier, 14 septembre. Il
sent
qu'il a quelque chose de bloqué en arrière du p
loqué en arrière du pubis et c'est ce qui l'ennuie : je le lui fais
sentir
fortement et tout se dénoue. A la resensibilisa
s courbé à cause de la douleur ; maintenant je me tiens bien droit.
Sentez
la poitrine, les bras : le bras droit est encor
n peu imbécile + Le coude est encore bloqué -E- Tout se débloque. +
Sentez
la face, la langue : paralysie de la langue -f-
ls, j'ai fait un soubresaut et je me suis réveillé en me rappelant.
Sentez
les yeux, les oreilles, la tête : rien n'y est
peu d'air frais a passé qui m'a soulagé; je suis tout à fait bien.
Sentez
l'estomac : il me semble qu'il y a, depuis same
s'est désemparé en dedans de l'estomac ? J'ai diminué de volume. -
Sentez
la poitrme, la face, les lèvres, les mâchoires,
tuteur, j'entendais l'instituteur qui médisait de remuer la langue.
Sentez
les yeux : j'ai som- meil, les yeux comme fatig
répond. - C'est à l'odeur que j'ai reconnu la présence de Monsieur.
Sentez
l'oreille : Soubresauts + On m'a arraché quelqu
reille : Soubresauts + On m'a arraché quelque chose dans l'oreille.
Sentez
votre tète : Régression immédiate jusqu'à l'âge
pas + Mon idée me le dit + Je ne l'ai pas entendue, ni vue, je l'ai
sentie
. (Madame Vial sort) : la dame a disparu, je ne
onnes, mais je sens que nous 214 RECUEIL DE FAITS. , sommes cinq.
Sentez
votre tête ? --1- Soubresaut ? Il s'est débloqu
c violence dans la mâchoire. J'ordonnais de plus en plus à Louis de
sentir
, de réveiller ses mâchoires, Ses dents et, malg
re à Louis du réveil général et voici ce que j'ai obtenu : Louis se
sent
revenir d'un autre monde; il vit une vie nouvel
oupçonnée, une vie d'action consciente, pleine de joie, parce qu'il
sent
les forces lui revenir, parce qu'il se donne to
par l'intermédiaire de ce rêve particu- lier. Le jeune homme ne se
sentait
plus lui-même, il s'isolait, évitait les gens,
environ, se plaint que, pendant qu'il dormait dans le foin, il a
senti
le corps froid d'un serpent se glisser dans son g
rrêter les mouvements. Depuis l'animal ronge son intérieur. ' Il en
sent
continuellement les déplacements, qui, par instan
erpent s'est faufilé pendant le sommeil dans le gosier. Le paysan a
senti
également qu'il l'avalait et s'est alors réveil
; - 3° la folie périodique s'ac- compagne souvent de phénomènes qui
sentent
la paralysie géné- rale sans cependant que cell
d'attirer l'attention des médecins. A chaque page de l'ouvrage, on
sent
que l'auteur cherche à dégager les facteurs nor
is rire de moi. Mais j'avais toujours un sentiment de torture et je
sentais
en moi un besoin irrésistible qui me poussait à t
é de toutes les préoc- cupations absurdes qui m'assaillaient. Je me
sentais
rivé au ta- bleau qui se déroulait devant moi e
stoire, et la conta aux autres; j'en fus à tel point affecté que je
sentis
des frissons m'envahir, je devins pour la premi
e solution à mon mal, que Dieu me prit la vie. En même temps que je
sentais
mes jambes lourdes comme du plomb et agitées d'
e société, mes sens et mes sentiments étaient comme voilés, je me
sentais
oppressé et sans cesse dans une étrange anxiété,
vieilles souffrances revinrent. Il ne se passa pas de midi où je ne
sentis
l'anxiété et je rougissais à en devenir pourpre
à l'occasion d'une traduction ou d'une simple inter- pellation, je
sentais
un saisissement à en perdre haleine. Je luttais
. Cela me fortifia en vérité et après ces exercices violents, je me
sentis
mieux mais le fonds resta ce qu'il était. Je pa
cuper, seulement je m'impatientais quelquefois. Comme je ne res-
sentais
plus du tout ma maladie, je me croyais guéri et j
rait à travers la foule et me causait une terreur intérieure. Je me
sentais
envahi par l'angoisse et le tremblement et le s
ccupations d'esprit, un dégoût de tout, j.e dormais longtemps et je
sentais
lorsque je me levais, cette pénible lourdeur et
monde mon épouvan- table état. Si malgré la présence des hommes je
sentais
de l'in- térêt pour quelque chose, je cherchais
es moments de paroxysmes dans lesquels je fermais les yeux et je me
sentais
mieux. Le chagrin que j'éprouverais de la perte
poir qu'il avait mis dans le fard n'existait plus. Il déclara qu'il
sentait
très bien « qu'il rougissait » sous le fard et qu
poque à laquelle le malade s'apercut pour la première fois qu'il ne
sentait
pas de douleur à la brûlure Autant qu'on peut e
tion ». Les circulaires ministérielles qui commentent la loi préci-
sent
que l'opération doit laisser des traces dans les
qu'elle tenait à la main. Aujourd'hui (11 janvier), la malade se
sent
mal à son aise; elle se plaint de vertiges et d
eigle ergoté (3 x 0,30 par jour). 31. Plus de fièvre ; la malade se
sent
beaucoup mieux. 3 février. - Ce matin, assez fo
ite (à 9 h. 1/2 du matin), la malade vient de se réveiller; elle se
sent
très fatiguée et se plaint de douleurs dans la
de la langue et de la lèvre supérieure. 22. La malade, qui s'est
sentie
relativement bien depuis sa dernière attaque, s
. il y a dix jours, est au- jourd'liui de 62 kg. 14. La malade se
sent
bien en ce moment; elle a toutefois un peu de p
s avec ses camarades de salle, demande à quitter l'hôpital. Elle se
sent
relativement bien en ce moment. - 23 décembre
plus reparu depuis le printemps dernier. Aujourd'hui, la malade se
sent
très énervée; elle se plaint de maux de tête et
- taque. Au moment de la visite, elle est encore couchée; elle se
sent
très énervée et se plaint de palpitations; le pou
e). Traitement : Seigle ergoté (3 x 0,3 par jour). 25. La malade se
sent
bien, aujourd'hui. Elle me montre trois ecchymo
opique ne révèle rien d'anormal. Peu après cet examen, la malade se
sent
mal à son aise; elle se couche et, à peine au l
ore ses membres sont agités de légères secousses. 6. La malade se
sent
parfaitement à son aise ce matin. Elle dit qu'e
rendu compte de ce qui se passait autour d'elle. - 14. La malade se
sent
fatiguée et découragée; elle se plaint de viole
selles abondantes après son lavement 358 CLINIQUE NERVEUSE. et se
sent
beaucoup mieux aujourd'hui. Le matin, tempéra-
37°,2; pouls 116; le soir, tempéra- ture 38°,1. 27. La malade se
sent
bien et n'a plus de fièvre aujourd'hui. Elle at
, circonscrite et lègèrement papuleuse. leur Février - La malade se
sent
bien ces derniers temps, sauf que l'appétit est
toujours encore diminué. Poids : 58 kilogrammes. Hier soir, elle a
senti
une légère douleur à la face interne de la cuis
t son sommeil; elle ne se souvient plus de rien ce matin, mais se
sent
fatiguée. Peu après la visite, elle est prise-d'u
, où elle ne tarde pas à s'endormir profondément. 9. La malade se
sent
très abattue, ce matin. Elle dit qu'elle n'a pa
La malade se sent très abattue, ce matin. Elle dit qu'elle n'a pas
senti
venir l'attaque d'hier et qu'elle a été tout éton
a palpation de la face antérieure et cubitale de ce membre pour y
sentir
nettement une puissante contraction des muscles q
s, à l'aide des muscles qui s'attachent à l'épitrochlée, et dont on
sentait
la contraction énergique. Ce mouvement, bien qu
sceau externe du brachial antérieur, innervé par le radial, dont on
sent
nettement le tendon à côté du long supinateur, au
lle. Son enfant, c'était sa chose. Et sa chose, sans doute, elle se
sentait
l'insurmontable envie de la détruire pour la 'sou
discrètes et peu profondes des régions frontale et temporale, pré-
sente
une plaque de méningo-encéphalite, d'intensité ex
par la méthode de Marchi. Des faits qu'ils ont observés, ils dédui-
sent
les conclusions suivantes : 1° Les fibres émané
ns le Royaume-Uni 00,000 personnes, hommes et femmes, qui se gri-
sent
tous les jours. L'Armée du Salut tâchera de s'aff
el. ' La malade n'a plus d'hallucinations de la vue. Elle ne pré-
sente
pas de troubles aphasiques : elle parle, elle écr
e dans le service, en novembre de l'année 1900. Voici l'étatpl'é-
sent
, qu'on a relevé à cette date : La santé général
'exé- cution des actes réflexes, de ceux notamment qui se tradui-
sent
par des changements de diamètre des pupilles. Eu
le en lui-même, classer ses pensées ou même vivre des impressions
senties
, rappelées ou perçues à un moment donné, sans que
dents héréditaires, s' adonnant à la boisson depuis longtemps, pré-
sente
un an après l'internement du mari un affaiblissem
mal, voici ce qu'elle raconta : le lendemain de l'opération elle se
sentit
entrainée loin de la clinique; ensuite elle ape
ation : Il est frappé d'être aussi somnolent, aussi fatigué : il se
sent
incapable de se lever brusquement, quoique le m
graduellement, avec circonspection - en essayant d'épier comment il
sent
. Je tâche d'examiner à la déro- bée qui je renc
blissement, bien qu'il ait été construit morceau par morceau, pré-
sente
un ensemble harmonieux, et tout y est empreint d'
d’être indifférent aux beautés des arts et de la nature ; car plus il
sent
, plus il est malheureux, et il voile son regard p
rement animé du désir d’exciter leur système nerveux. Eh bien , elles
sentaient
mon action , m’avertissaient que je les magnétisa
la même époque, j’ai magnétisé au Val-de-Gràce un M. Desruelles, qui
sentit
les effets aussi vivement, si ce n’est davantage.
suppose de bonne foi et capable de bien observer, a dit n’avoir rien
senti
, ou seulement quelques effets obscurs, il arrive
tion ou expansion de la sensibilité morale. Est-il des êtres qui no
sentent
absolument rien? Je ne le crois pas; car, ayant f
nt que j’ai pu le constater, quand le magnétisé assurait n’avoir rien
senti
, il se trouvait cependant dans la condition de qu
d’uriner, disposition au sommeil; s'il y a un émonctoire, le malade y
sent
des picotements et de la démangeaison; s’il y a e
ntinuité, il peut constater en cet endroit un travail singulier; il y
sent
quelque chose qui lui rappelle lo dérangement don
les paupières ne s’abaissaient plus. Si le besoin de boire se faisait
sentir
, il était de toute impossibilité de le satisfaire
ance, elle but aussi, ce qui n’avait plus lieu depuis longtemps. Elle
sentit
vivement les parties sur lesquelles on avait appl
ès nos premiers pas dans la carrière que nous poursuivons, nous avons
senti
qu’aucune des grandes découvertes, dont l’esprit
elconque, placé entre vous et le malade, ne pourra l'empécher de vous
sentir
. CHOLÉRA-MORBUS. « M. le docteur Douin , suje
qu’ils ont existé anciennement; le malade vous dira qu’il les a déjà
sentis
. Continuez. Vous ne devez vous arrêter que dans u
— Oui, à moitié seulement ; il l'aut que je dorme toute la nuit sans
sentir
nies sangsues ni le sang qui coulera jusqu'au m
min 's et dans une jubilation profonde. Jusqu’à la fin du diner je me
sentis
parfaitement calme, bien que les prunelles de mon
é l’arme du ridicule, dont on nous a si souvent flagellés, nous avons
senti
que la noble mission que nous adonnée l’auteur de
ance de ce qu’elle m’avait dit; elle me confirma seulement qu’elle se
sentait
beaucoup mieux; elle connaissait par ouï-dire le
« M. B..., le premier chez lequel les effets du médicament se firent
sentir
, éprouva de l’aridité à la gorge et des tiraillem
us grand bonheur; il ne peut trouver de termes pour exprimer ce qu’ii
sent
; il ne voudrait pas sortir de cet état; il est si
Il magnétise de la tête aux extrémités inférieures; rien de plus. Que
sentent
alors les malades? un dégagement quelquefois subi
alades qui peuvent vous rendre compte de leurs sensations vous disent
sentir
comme si une sorte de galvanisation y était dirig
x, qu’il est engourdi et dans un état singulier d’assou pissement; il
sent
aussi un fourmillement dans le bras gauche. Après
gnétique, que de légères contractions dia-phragmatiques, le malade se
sentit
immédiatement soulagé et fit une assez longue cou
hors n’arrivent plus à lui; il est dominé, anéanti, comme mort; il ne
sent
plus rien, excepté vous; une espèce de rapport my
e dans cet état acquiert une extension prodigieuse dans la faculté de
sentir
. Plusieurs de ses organes extérieurs, ordinaireme
qui ne contrarie point en lui les idées de justice et de vérité. —11
sent
la volonté de son magnétiseur. —11 voit ou plutôt
de vérité. —11 sent la volonté de son magnétiseur. —11 voit ou plutôt
sent
l’intérieur de son corps et celui des autres; mai
eflet d’une vérité qui n’a encore trouvé aucun homme qui puisse faire
sentir
sa grandeur et scs bienfaits. L’enfant qui appr
ritable somnambulisme lucide. Il y alors un choc d'âme à âme que vous
sentez
parfaitement, une sorte d’illumination subite de
ble. Ces somnambules cachent quelque temps ces réminiscences, mais ne
sentent
plus qu’imparfaitement. C’est dans ce moment qu’i
littéralement, dans des souterrains et des abîmes sans fond, et je me
sentais
descendre sans avoir jamais l’espérance de pouvoi
dents, se présenter à ses yeux comme dans un miroir, et qu’il s’était
senti
en même temps la faculté singulière d’en saisir l
dans la nuit. En posant la main à terre pour relever mon oreiller, je
sentais
quelque chose (1) C’est un grande Térilé que j’
approcher; car, outre fe poids de sa masse informe et dégoûtante, je
sentais
une odeur pestilentielle découler des baisers dof
enait lire par-dessus mon épaule le livre que je tenais à la main. Je
sentais
Sés poils dégoûtants m’effleurer le cou éi le vis
s faits qu’elle représente; plusieurs magnétiseurs l’ont parfaitement
senti
. De là les mots de noctambule, somnilo/jue, onéro
a plus grande, de la plus belle, delà plus admirable vérité, m’a fait
sentir
qu’on ne saurait donner trop de publicité à de pa
malade entend tout ce qu'on dit, éprouve un bien-être indéfinissable,
sent
ses palpitations considérablement affaiblies et d
Petey, a pu, pendant une heure, lui limer les dents sans qu’elle ait
senti
la plus légère douleur; huit ou dix personnes éta
s-« chargée de moutarde; brûlure et irritation qui étaient « vivement
senties
et extrêmement douloureuses lors-« que la peau re
onne qui était en rapport avec elle. Rien no nous put déceler qu’elle
sentait
, par la plus petite contraction des muscles de la
a sensibilité; il refoule au loin, dans d’autres cas, le principe qui
sent
; il paralyse la fonction du système nerveux de ma
dans les chairs; le magnétisé, aussi surpris que vous, les voit et ne
sent
rien. Notez bien que rien ne parait changé dans l
instrument tranchant est dans les chairs, l’individu peut tout à coup
sentir
. Voici un fait récent propre à fixer votre jugeme
jugement; vous allez reconnaître pourquoi l’individu opéré a pourtant
senti
lorsqu’on faisait la ligature des artères : la fa
l’opération, mais quelques jours après; cependant elle n’avait point
senti
. Peut-être le sommeil magnétique avait-il été tro
oute la vio est à la surface; la sensibilité alors semble doublée; on
sent
, on perçoit ce qui échappe dans l’état d’équilibr
nous croyons être si fort éveillés, entendre, voir, goûter, flairer,
sentir
et jouir des plaisirs de l’univers, n’est qu’un s
re cet agent médicamenteux, et l’ayant éprouvé lui-même, il dit qu’il
sentait
se développer en lui, après l’administration de c
lorsqu’il fait chaud. Que voulez-vous! il faut qu’ils souffrent pour
sentir
, ce n’est qu’à cette condition qu’ils peuvent déc
de plusieurs pas, et aussitôt je détermine une crise. Cette crise est
sentie
par l’autre malade , et bientôt on vient nous ave
tein-dre, et, chose curieuse, dans leur délire toutes deux semblaient
sentir
l’effet de coups qui n’avaient pu être tefUS. Ell
s’obtiennent plus tôt en employant une main que l'autre; les malades
sentent
la différence qu’il y a dans l’action de ces cond
n plus pourtant, mais on ne l’aperçoit point, pas plus que l’on ne se
sent
croître ou décroître, et cependant, dans ces cas,
tion. Mais je me retirai par complaisance pour mon imagination que je
sentais
vouloir entrer en goguette. Car je puis dire que
minute suffit bientôt pour produire le sommeil ; enfin le patient ne
sent
pas du sel volatil (carbonate d’ammoniaque) qu’on
niaque) qu’on lui met sous le nez. Les piqûres d’épingles ne sont pas
senties
. Plus de doute, l’opération pendant le coma magné
là une belle occasion pour les magnétiseurs. Nous espérons qu’ils en
sentiront
l'importance et qu'ils répondront à l appel du Co
sir d’étro endormie, vos vœux ne seront qu’en partie satisfaits. Vous
sentirez
les atteintes du sommeil, ou plutôt, bercée par d
a donnéqu’une leçon, et,quelque docile écolier que j’aie été, il doit
sentir
que ce n’est pas assez. J'attends. Vous, M. ***
rmie , placée près d’un malade , doit, lorsque le rapport est établi,
sentir
dans sa propre organisation les désordres pour le
TENTS. Ces cas sont assez nombreux et demandent un examen. On ne se
sent
ni croître ni décroître; on voit le fait, il se p
ni croître ni décroître; on voit le fait, il se produit, mais nous ne
sentons
pas le travail moléculaire qui se fait en nous. C
ans que vous ayez en rien cherché celle crise; d’aulres, sans dormir,
sentent
s’opérer en eux des changements que l’on a désesp
mais le ventre devient un peu plus tendu; de légères coliques se font
sentir
, enfin surviennent des garde-robes toutes séreuse
moyen, et les malades (bien que souvent ils ne fussent pas prévenus)
sentaient
en eux-mêmes naître les symptômes qu’une magnétis
tation de la sensibilité dont les somnambules ont souvent besoin pour
sentir
les maux d’autrui, ils sont exposés h prendre et
que souvent les somnambules trouvent des moyens de guérison. Plus ils
sentent
, mieux ils trouvent. Us causent très-peu, mais il
espèces do « maux, parce que leur volonté el leur action en repous-«
sent
les influences, au lieu que les crises donnent et
instant il n’y souffrait plus, mois qu’habituellement le mal qu’il y
sentait
était intolérable. Je cessai mes expériences, et
it complètement produit. Mais j’affirme que pendant cette séance j’ai
senti
en moi quelque chose qui m’était étranger, et j’a
anteries el gaillardises ou qu'un signe quelconque dénotât quelle eut
senti
! et (I) Vove» pages 321 et suivantes. pourtan
âme, pourraient trouver leur explication. La phrase vulgaire du Je
sentais
ça! vient encore parfaitement et surtout naturell
e je veux qu’ils soient pour toi invisibles, et que lu ne puisses les
sentir
ni les entendre, s'ils le touchent ou s’ils te pa
gnétisés qui ne se connaissaient point, et ce qu’éprouvait l’un était
senti
par l’autre, quoique souvent ils fussent séparés
et méditez ceci. Par quel mystère s’opère la réunion des cœurs? On
sent
le travail commencer en nous ; un regard, une mai
e magnétiseur, qui, forcé de se cacher pour faire une action louable,
sentait
battre son cœur et voyait abaisser un homme qu’il
l’envie. Si la science du magnétisme animal n’était qu’un système, je
sentirais
toute mon insuffisance de la faire adopter. Un sy
ien certains qu’il 11’y ait pour nous qu'une seule manière d’être, de
sentir
et de connaître, et s'il y a en nous ou chez quel
portait que peu de différence, assez pourtant pour que les malades la
sentissent
. Mais aujourd’hui que chacun a ses idées à lui,
e tel n’était pas mon désir, et que j’avais voulu seulement lui faire
sentir
énergiquement l’action magnétique. Plusieurs fo
en fut ainsi débarrassé. J’ai placé là cet exemple pour vous faire
sentir
la différence des cas, vous faire remarquer qu’ic
apport entre vos systèmes nerveux esl bien établi, votre approche est
sentie
. Que vous ayez ou non alors la volonlé, le désir
r!... Oh! merci! merci! Messieurs. » Priée de dire ce qu’elle avait
senti
ou éprouvé pendant son sommeil, elle répondit : a
ue. A ce pansement, ordinairement fort douloureux, la malade n’a rien
senti
; au réveil elle n’a pas eu non plus la conscience
Et la séance suivante, la frictionnant à deux pouces de distance, je
sentis
, en mettant mes doigts au-dessus du sein, une sen
e au loin ; alors vous deviendrez maître, on entendra votre voix, 011
sentira
votre action bienfaisante et régulière; mais surt
fets ostensibles, mais point de sommeil; les trois dernières enfin ne
sentiront
. (pie faiblement votre action, et par conséquent
gnétiser do suite plusieurs personnes. Vous vous attachez à celle qui
sent
le plus vivement, et les expériences que vous pou
éclairés n’osent frôler mon habit, car selon plusieurs mes vêtements
sentent
le soufre et je liante Satan. Les médecins rica
ent tous magnétisés! Tout à l’heure on leur dira : « Vous n’avez rien
senti
, vous n’avez rien vu ; le charlatan vous a fascin
r ces douleurs. » Après quelques instants de magnétisation, elle sc
sent
presque guérie; clic marche, et sa joie esl diffi
les marins, qu'à des rares exceptions près, les animaux ne vomis-
sent
non plus, quand ils ont le vertige marin à bord
8té droit latéralement; en- fin, les deux cin- quièmes repré-
sentent
le mo- ment où la tête était en bas, pour r
3 manque d'air pur, etc. Tout ce cortège prédispose le passager à
sentir
plus ou moins selon son individua- lité, l'acti
dent à cette affirmation, que la plupart des voyageurs commencent à
sentir
les pre- miers symptômes au début des mouvement
nts spéciaux que le bateau subit par la tempête. Ainsi nous avons
senti
, à Corinthe, les premiers symptômes aussitôt le
rps, neltement limitée par la ligne moyenne (fig. L7). La main ne z
sent
pas une différence de température jusqu'à 150;
celle de 5°; le cou, la poitrine, la nuque et le membre inférieur
sentent
des diffé- rences de température moindres, mais
Le loucher est normal et fin. Des attou- chements légers sont bien
sentis
etjuste- ment localisés. Le sens musculaire est
ence de 7°. Mais la région du plexus sacré est quand même celle qui
sent
mieux que toutes les autres parties innervées p
'analgésie est presque absolue. Mais aussi les deux membres gauches
sentent
la dou- leur moins bien que les droits. A la fa
obie marquée, mais le malade se DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 33
sent
plus mal au milieu d'une grande place ou en haut
mémoire et la force intel- lectuelle ne sont pas affaiblies. 11 se
sent
mieux le soir. Le sommeil varie, mais l'insom
la sen- sibilité thermique n'est pas le même partout. Les doigts
sentent
relativement bien, l'avant-bras moins bien. Dan
les autres régions de la sphère thermanes- thésique, le malade ne
sent
pas par places la différence de 400, mais par
e sent pas par places la différence de 400, mais par d'autres, il
sent
la différence de 2°. La main droite est frileus
e syphilis ni des fièvres intermittentes. Il y a longtemps qu'il se
sent
malade sans pouvoir préciser le début de la mal
ermique. Son degré n'est pas élevé. Les mains et l'épaule droite ne
sentent
que la différence de 3-4" ; la région sus et so
- ments continuels de faisceaux volumineux isolés. La langue pré-
sente
aussi des mouvements fasciculaires. L'augmentat
rité des observations publiées de mélancolie avec stupeur ne pré-
sente
pas de traces de phénomènes catatoniques. Nous-
ont un délire ambitieux, qu'ils dissimulent ou plutôt qu'ils n'o-
sent
pas avouer et dont on ne s'aperçoit qu'à la longu
gne du nom de délire chronique à évolution progressive et en pré-
sente
un cas type. Martel BRIAND. XII CONGRÈS DES NEU
bjections ; et si la commission n'avait pas eu la douleur, vivement
sentie
par elle, de perdre son excellent secré- taire,
e médico-légale; mais, dans les conditions où la question se pré-
sente
dans le projet de loi, comment trouver dans chaqu
n'est pas tout. Pour qu'ils aboutissent, pour qu'ils vous procuras-
sent
une satisfaction quelconque, les magistrats à qui
ccroître le nombre et les sièges des magistrats se feront également
sentir
. D'après les statistiques consignées dans le tr
, pathologie qui pré- ? ncmvFS, t. XVI. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE.
sente
plusieurs formes morbides dont chacune se ma- n
ment d'intensité que le malade, ayant essayé de se tenir debout,
sentit
immédiatement que le bateau montait avec lui, per
e et sans convulsions. Deux heures après, le malade revenu à lui se
sent
parfaitement bien sans vertiges et sans aucun a
nviron, un nouvel aspect clinique se présente. Soudain le malade se
sent
affaissé sous lui ; se plaint de douleurs fortes
aralysés. Quelque temps après, il lui arrivait souvent, la nuit, de
sentir
ses membres s'étendre, sans pouvoir les fléchir
ut au plus. Immé- diatement après l'enlèvement du casque, le malade
sent
des douleurs aux lombes, sa parésie légère des
malaise indéfinissable à la région lombaire. Aussitôt que le malade
sent
le besoin d'aller à la selle, il se presse, car
respiration. En même temps que ces symptômes gastriques, le malade
sentait
un engour- dissement et une faiblesse, qui, cro
é à tourmenter le malade, surtout la nuit. Plusieurs fois aussi, il
sentait
dans son lit ses membres paralysés se raidir et
urtout la nuit, dans son lit. Quand on fait mouvoir ses membres, on
sent
une résistance sensible, sans que sa volonté s'y
endant six minutes après l'enlèvement du casque, le malade n'a rien
senti
; mais, au bout de ce court délai, il est pris d'u
les. Le malade est tourmenté la nuit de secousses fréquentes : il
sent
aussi souvent ses membres se raidir dans l'extens
nt des secousses fréquentes, surtout la nuit. Le 2 juillet, il se
sent
capable de se lever, de se tenir debout, et de
ut, et de faire quelques petits pas à l'aide de deux béquilles : il
sentait
, dit-il, ses membres inférieurs très lourds, ri
iant lq et 20 mètres et chaque fois une demi-heure de séjour. 11 se
sent
très amélioré au point qu'après vingt jours, c'
fréquentes pendant la nuit, plus souvent à droite. Le malade au lit
sent
ses membres se raidir dans l'extension : toutefoi
. La sensibilité des membres paralysés a commencé à revenir, car il
sentait
quoique vaguement la piqûre. Ce jour-là le mala
éveil et sous l'influence des émotions morales et de la fatigue. Il
sent
ses membres se raidir de temps en temps, mais s
ses et qu'il séjournait plus d'un quart d'heure dans le fond, il se
sentait
pris d'une paralysie subite et complète aussi bie
rès-midi, et qu'après sa montée il est resté trois heures sans rien
sentir
; mais vers 5 heures du soir, il est pris de do
tes; aussitôt après l'enlèvement' du casque, à 5 heures du soir, il
sentit
des douleurs très fortes à l'épigastre, sans go
age ont complètement disparu. Six heures se passent et le malade se
sent
parfaitement bien, sans aucun symptôme cépha- l
èdent. La nuit, le malade est tourmenté de secousses fréquentes. Il
sent
aussi ses membres se raidir dans l'extension pe
onné un résultat complètement négatif. Le sens musculaire ne pré-
sente
aucune altération. Pas de troubles vaso-moteurs
abitude, c'est-à-dire en une minute. Aussitôt après sa montée, il a
senti
un malaise général que le malade ne peut défini
qu'il se prépare à quitter l'échelle du bateau pour se plonger, il
sent
une douleur à la région hypogastrique, et il pe
. Outre les symptômes décrits, la respiration était très gênée : il
sent
aussi un besoin impérieux d'uriner et d'aller à
4 CLINIQUE NERVEUSE. Si l'on fait mouvoir les membres du malade, on
sent
une résis- tance considérable sans opposition d
: si on pique ou l'on touche simplement son membre gauche, alors il
sent
depuis le genou jusqu'au pied une sensation dés
en du côté de la vessie. A 10 heures du matin, le malade commence à
sentir
et à mou- voir ses membres paralysés qui, jusqu
alade faisait des courses avec son bâton sans boiter; toutefois, il
sentait
ses membres paresseux et la fatigue venait vite
eur très forte et continue entre les omoplates. Bientôt après, il a
senti
un grand poids à la région épigastrique, avec g
males. Rien aux membres supérieurs, sauf un tremblement qui se fait
sentir
quand le ma- lade étend les mains et écarte les
un seul verre. A 8 heures du soir, - étant encore au cabaret, il a
senti
tout d'un coup ses membres infé- rieurs lourds
ngement dans les troubles urinaires. D'un jour à l'autre, le malade
sentait
ses membres infé- rieurs plus libres, au point
lade nous dit qu'il fait une heure de chemin sans se fatiguer. Il
sent
ses membres bien plus forts et plus légers, dit-i
res de ce qu'on appelle vertiges de translation, en effet ce malade
sentait
que tout se mouvait autour de lui et avec lui ;
ayant essayé de se tenir debout et de faire quelques petits pas, il
sent
immédiatement que le bateau monte dans l'air, s
ouvements respiratoires sont gênés par le grand poids que le malade
sent
à la région épigastrique. La deuxième catégorie
de sa gêne respiratoire occasionnée par les douleurs gastriques,
sentait
aussi sur la poitrine un poids étouffant. C).
IDENTS PAR LES SCAPHANDRES. trace de paraplégie, dont le malade n'a
senti
le déve- loppement qu'à minuit, après son révei
ôme gastrique. Pas de douleurs, pas de gonflement. Le malade res-
sentait
seulement à la région épigastrique un grand poi
bsolue du sens de la tem- pérature est relativement rare. Le malade
sentie
froid de la neige, l'eau chaude lui donne une s
trois nerfs. Dans d'autres cas, toute la région therma- nesthétique
sent
les attouchements d'une façon diffé- rente, et
sies ne se localisent pas exclusivement sur la peau : elles se font
sentir
aussi dans les muscles, sous forme de légère do
t avaient été observées assez souvent. D'ordi- naire les malades ne
sentent
pas ces fractures; le ma- lade décrit par Schul
nous trouvâmes la mer dans une folle agitation. Immédiatement, nous
sentons
le vertige. Nous essayons de rester encore sur
'ex- DU VERTIGE MARIN. 1 ception près, presque tous prédestinés à
sentir
plus ou moins les symptômes du vertige. Nous re
ans l'espace de douze ans, même en forte tempête, n'a jamais rien
senti
, excepté une seule fois où même l'équipage du n
pagnies, n'ont pas de médecins; ensuite, la plupart des voyageurs
sentent
simultanément leur vertige marin, dès que la te
noyaux. La troisième couche, celle des grandes cellules, ne pré-
sente
que des séries de cellules petites, à fins noyaux
moelle avons-nous dit, conduisent à penser que ces cordons repré-
sentent
un système médullaire sensitif spécial'. Enfin, l
atières fécales; leur muqueuse ne parait pas malade. La rate pré-
sente
un volume normal; son tissu est compacte. Les d
il faut qu'il ait pleine conscience de sa maladie passée, qu'il se
sente
en possession naturelle de lui-même, qu'il ait ré
pas que les mesures de prudence entravent les admissions et nui-
sent
au rôle curatif des asiles. C'est donc une loi de
ptible, pas tout à fait régulier. Les accidents paralytiques crois-
sent
; la démarche devient difficile; la parole, indis
aliénés, ce sont des mesures de police aussi. Les aliénés produi-
sent
des désordres publics ; ils commettent souvent de
ques des autres Facultés. Limitée t Paris c'est une prérogative qui
sent
le favoritisme. VARIA. 317 Tableau détermin
ression, on « exerce sur elle » au moyen d'engains qu'on lui a fait
sentir
et qu'on lui envoie par ses portes et par ses f
: «Est-ce que tu ne sens pas ? » Elle répond « oui, je crois que ça
sent
, » et aujourd'hui, interrogée à ce sujet, elle
rogée à ce sujet, elle répond encore : « Il me semblait bien que ça
sentait
, mais je n'y attachais pas d'importance u. Le
e auprès des cadavres dans un état com- plet de putréfaction : « ça
sentait
très mauvais, » ajoute-t-elle sans s'émouvoir.
ica- lement le délirant actif, des malades sur lesquels il a fait
sentir
son influence, et interner le premier qui pourr
articulations. - Quand on fait mouvoir les membres des malades, on
sent
une résis- tance plus ou moins marquée, proport
les membres de ces malades sont rigides et quasi lourds et ils les
sentent
comme de véritables barres de fer. 6.) Démarc
lis- sement immédiat et impérieux du besoin de défécation à peine
senti
. Cela démontre une fois de plus la marche émine
bre infé- rieur gauche. Si on veut mouvoir les membres du malade on
sent
une résistance assez marquée, grâce à la rigidi
usculaires. Aussitôt après la disparition du poids gastrique, il se
sent
affaibli et tout à coup, il tombe paraplégique
à six minutes de séjour et une minute de décompression sans rien
sentir
, il descend pour la quatrième fois dans les mêmes
pation opiniâtre a disparu. L'amélioration n'a pas lardé à se faire
sentir
et, au bout de quinze jours, c'est-à-dire le 18
âce à elle, si on communique aux membres des mouvements passifs, on
sent
une résistance notable. Tous les réflexes créma
écrire. Il avait, en outre, des vertiges de translation. Le malade
sentait
le bateau fortement s'agiter sans qu'il y ait eu
, a présenté les caractères de vertige de la translation. Le malade
sentait
le bateau s'agiter sans qu'il y ait eu du vent
l'âge de quinze à trente-cinq ans. La différence du sexe se fait
sentir
dans ce sens que le nombre d'hommes est à peu p
re. « Les phénomènes étranges d'impulsions irrésistibles que pré-
sentent
certains sujets qui sont invinciblement entraînés
cou est court et ni M. le Dr Guillaumin, ni nous-même, n'a- vons pu
sentir
la glande thyroïde. Il existe des paquets jiseudo
; pariétaux très fuyants; fontanelle antérieure non oblitérée : on
sent
une rainure large de cinq à six millimètres et
2.) Une femme de cinquante-deux ans, toujours bien portante, pré-
sente
au mois d'août 1883, un affaiblissement du bras d
is empruntées pour la plupart à des auteurs anciens elles ne pré-
sentent
pas la rigueur scientifique qu'on a l'liallude de
la nuque, sur la joue, des épingles qui restent fixées et qu'elle ne
sent
pas; je lui place sous le nez un flacon d'ammonia
nullement ; je lui chatouille les narines avec un corps dur, elle ne
sent
rien. Rendue à son état normal, elle a tout oubli
ortent, lorsqu'il faut prendre une décision délicate ou difficile. On
sent
, on voit, on touche du doigt combien les médecins
. On sent, on voit, on touche du doigt combien les médecins belges se
sentent
parfois dépositaires d'une portion des intérêts d
out homme qui a le moindre souci de sa dignité, que tout homme qui se
sent
une part de responsabilité morale, doit nécessair
ttc et par tant d'autres. Il vint me demander conseil, parce qu'il se
sentait
entraîné à se prêter aux séances ultérieures et p
objection qui lui est ici faite; on peut s'étonner qu'il n'en ait pas
senti
la portée. Un savant qui n'eût été que savant, se
mais il a ses vouloirs personnels, ses aspirations. Plus durement il
sentira
qu'on le comprime, plus ardemment il s'ingéniera
on la pique, elle retire vivement son bras ; si je la pique, elle ne
sent
rien ; je lui plante des épingles qui restent sus
e qui laissent intacte la faculté de raisonnement. QUESTIONS Vous
sentez
— vous bien ? Comment vous appe-lez-vous ? Qu
t trois? Comment te fait-il que vous ne vous rappeliez pas ? Vont
sentez
une dé-mangenison sur sur le nez (j'insiste avec
x lieux. Je ne sens rien (je me gratte le nez), mais c'est vous qui
sentez
une démangeaison au nez. ce n'est pas moi. Ce q
l'ordre mental, a répondu qu'il n'en avait pas conscience, mais qu'il
sentait
ses muscles se raidir peu à peu pour accomplir ce
s avec lesquelles on le met en rapport ; il s'imagine à tel point les
sentir
lui-même, qu'il se lamente sur son triste état, l
e et sont des impies. Donc, en raison de la haine que les démons se
sentent
incessamment pour le vrai, ils s'acharnent à fair
ible, que les plus violentes attaques de ses adversaires. L'Eglise le
sent
, et le P. de Bonniot le sent comme elle. Aussi,
attaques de ses adversaires. L'Eglise le sent, et le P. de Bonniot le
sent
comme elle. Aussi, en ce qui regarde l'hypnotis
hallucinations dans l'esprit et les sens de l'hypnotise ; lui faisant
sentir
à son gré le chaud ou le froid, le plaisir ou la
les seuls produits par la suggestion. L'hypnotisme non seulement fait
sentir
ce qui n'est pas, mais encore il empêche de s
seulement fait sentir ce qui n'est pas, mais encore il empêche de
sentir
ce qui est. Ainsi, une personne présente pourra c
aperçue sur la suggestion de l'hypnotiseur ; son contact ne sera plus
senti
par l'hypnotisé. Cette cause s'appelle Dieu, s'
s la peine de discuter ! » Il semble impossible que son jugement ne
sente
pas ici toute son inconséquence; et pourtant il n
ée de 43 ans. Est atteinte d'hypocondrie à un très haut degré. Elle
sent
pour ainsi dire tous les organes de son corps; le
bon résultat final. Avant de s'endormir complètement, la malade se
sent
légèrement angoissée. — La respiration devient ha
nze secondes. — Au réveil, soit spon- tané, soit suggéré, elle se
sent
parfaitement bien et reposée comme après un bon s
nisée ou mieux développée, et dont les etfets se feront plus ou moins
sentir
dans la suite: car il en est sans doute des modif
ssions et les combine suivant les lois de sa raison ; dès lors, il ne
sent
plus, il juge, et aucune certitude ne peut accomp
s objets sur lesquels on dirige son attention... Il voit ou plutôt il
sent
l'intérieur de son corps; mais il n'y remarque or
si clic ne connaît pas d'avance les noms de ce qu'elle voit; ou bien
sent
, souvent très vivement, les mêmes souffrances que
lence absolu fut observé, à l'exclusion d'une question nécessaire : «
Sentez
-vous quelque chose? » Cette question était pronon
rfois pour se coucher à terre et renifler en maugréant de ce qu'il ne
sentait
presque plus ; enfin, après quelques crochets ver
e Lyon qui n'y fût trompé. « Je lui demandai, ajoute-t-il. si elle ne
sentait
point une aura passant de la main au bras et de l
aperçue sur la suggestion de l'hypnotiseur ; son contact ne sera plus
senti
par l'hypnotisé. • Au lieu de : 1 Cette cause s
est, au contraire, un état éminemment actif, pendant lequel le sujet
sent
bien et accomplit toutes sortes d'actes, parfois
rale et physique: c'est l'âme, maîtresse de la force vitale, qui fait
sentir
son action a tous les points et dans toutes les p
érer de se servir de la force vitale, à déterminer la volonté 4 faire
sentir
au corps son action, sa puissance, son influence
titution psychologique. a voirl'étrangcté de la peinture de Maoet, on
sent
qu'il était foncièrement incapable d'évoquer Tima
ns une activité féconde, ou bien y provoqueront de funestes éclats.
Sent
-on. à présent, le péril qui menace? Apprécic-t-on
pas à leur réveil, ne me voient pas: mais ils entendent ma voix, ils
sentent
mes impressions tactiles. Les uns sont étonnés de
mes impressions tactiles. Les uns sont étonnés de m'entendre et de se
sentir
piqués, sans me voir; les autres ne cherchent pas
i : « A votre réveil, s! je vous touche, si je vous pique, vous ne le
sentirez
pas; (i) Dans la cceitc* perchique des auteurs,
as me voir ! Donc, elle m'a vu en réalité, elle m'a entendu, elle m'a
senti
, malgré son inertie apparente. Seulement, convain
oralement; elle ne me voyait pas. elle ne m'entendait pas, elle ne me
sentait
pas! Elle me voyait avec les yeux du corps, elle
cience de ce qui se passait autour d'elle. Au lieu de dormir, elle se
sentait
devenir raide, ne pouvait plus remuer : deux fois
i a dit qu'il allait la brûler avec une lame de couteau. Elle n'a pas
senti
de brûlure, dit-elle, mais elle avait très peur,
urines non; jamais été très abondantes, la soif ne s'est jamais lait
sentir
. Pas Je sucre ddB Ici urines, pas d'albumine, 6 g
nante qu'il n'est pas nécessaire de les absorber, qu'il suffit de les
sentir
. Sur 100 malades, il en guérit 99 par le seul sec
) : « A votre réveil, si je vous touche, si je vous pique, vous ne le
sentirez
pas ; si je vous parle, vous ne m'entendrez pas:
us ne leur ayez expressément suggéré qu'ils iront s'y heurter sans le
sentir
. On me répondra c-être qu'une grenouille privée d
tat de veille, elle ne garde nul souvenir? N'est-il pas naturel de se
sentir
vivement impressionné, lorsquTon voit la somnambu
r de ce même jour que la police nous l'amène à l'hôpital. La malade
sent
toujours approcher son attaque. La première phase
turellement, les contractures disparaissent peu à peu et la malade se
sent
brisie; elle se plaint de la tete, des reins et d
es assistants, calme et indifférente. Elle ne me voit pas; elle ne me
sent
pas. Si j'essaie de la rendormir, je ne peux pas.
'il me voyait ; il était convaincu que je n'étais pas là, qu'il ne me
sentait
pas, qu'il ne m'entendait pas. J'affirme que le v
st celle-ci : L'acte est d'emblée psycho-sensoriel : le sujet voit,
sent
et entend. Mais l'imagination" actionnée par la s
disant c qu'on peut, si l'on veut, lui couper les jambes, sans qu'il
sente
rien. » Pas de réaction aux courants électriques;
ement obtenue parla simple fixation du regard. Suggestion. — a Vous
sentirez
; vous marcherez; vos jambes ne seront pins froide
etc.. » A un moment donné, tandis qu'on affirme au malade qu'il va
sentir
, oalepin^e dans une zone, auparavant complèteme
mplètement anesthésiéc, et il s'éveille subitement, affirmant qu'il
sent
, en effet; il est rendormi sur-lc-*bimp. Réve
s; il va d'une salle i l'autre, sans plus traîner sa jambe gauche. Il
sent
le contact du sol, et réagit au courant électriqu
les autres manières déraisonner; avec l'instinct de la précision, on
sent
, dans les cas même de probabilité, les écarts plu
lus la puissance d'assimilation d'un homme est développée, plus il se
sent
d'initiative, plus ses œuvres sont frappées au co
nvariablement semblables à elles-mêmes. Marie ne voit, n'entend, ne
sent
que quiconque l'a endormie, ou sous l'influen
devant ses yeux, au contact de ses lèvres, sans qu'elle le voie ni le
sente
. D. — Vous n'avez plus soif: lui dis-je. R. — O
lement, il y porte la main ; il est même des personnes qui croient en
sentir
la piqûre. » Oui, la crédivité persiste durant
e tout ce qu'ils leur racontent et. dans cet état de crédivité. à
sentir
tout ce qu'ils leur suggèrent. Je prends ensuit
mon apparence cataleptique, envoyer chercher le médecin, car je ne me
sentais
pas en état de lui faire sentir son erreur. De
er chercher le médecin, car je ne me sentais pas en état de lui faire
sentir
son erreur. De là, en partie, les efforts déses
ainsi sous le charme de son exécution, que de phénomènes complexes on
sent
se dérouler! Que d'études et de travaux accumulés
carte, disant que malgré l'attention qu'elles y apportaient, elles ne
sentaient
absolument rien sur aucune des cartes de la figur
essayez donc vous-même et vous le saurez. » Alors elles essayaient et
sentaient
, comme nous venons de le dire, de manières très d
rentes. Ici l'imitation joue naturellement un grand rôle, la façon de
sentir
jenoncée par un sujet devient suggestive pour les
omme dangereuse, disant que lorsqu'on la lui faisait repéter, « il se
sentait
vivement impressionné et s'en trouvait mal. >
ux — a prétendu qu'au moment où elle regardait la carte. « elle avait
senti
que son regard y était invinciblement attiré. »
ettre, à la manière du chien qui reconnaît la piste de son maître, de
sentir
la trace odorante laissée sur un objet (la pièce
airées, l'une des pièces don: je n'ai touché aucune en son absence, ?
sent
la même odeur que j'ai qualifiée, que je lui ai s
ale. Cette dernière devient plastique et tombe à la merci de A ; B se
sent
subjugué, et ses dynamismes cérébraux inconscient
, tant à moi qu'à d'autres personnes ensuite, n'avoir absolument rien
senti
. L'effet est surtout miraculeux lorsqu'on produit
réveil : et. en effet, au réveil, il üéclare n'avoir absolument rien
senti
. Je le fais observer et interpeller plus tard par
ste, un garçon brave et véridiqjje) :à toutes il déclare n'avoir rien
senti
. Il est clair qu'il s'agit ici de l'inhibition d'
auquel on suggère, par exemple, qu'une porte de la chambre a disparu,
sente
ou ne sente pas cette porte lorsqu'il promène sa
ggère, par exemple, qu'une porte de la chambre a disparu, sente ou ne
sente
pas cette porte lorsqu'il promène sa main dessus,
épondrai i M. Delbœufqu'un de mes malades atteint de delirium tremens
sentit
toute la nuit, sous son bras, sa têtequ'on avait
une personne, tout en lui permettant de continuer à l'entendre, ou de
sentir
son contact. Plusieurs auteurs ont publié sur ce
sables dans l'espèce pour déjouer la simulation. Achaque instant nous
sentons
le terrain s'effondrer sous nos pas. Nous ne pour
soit à ceux des autres. Tout ce qu'il voit, ce qu'il entend, ce qu'il
sent
, ce qu'il éprouve, le parfum inusité d'un mouchoi
nnut à peine son mari qui arrivait. Lorsqu'elle voulut se lever, elle
sentit
un engourdissement dans tout le côté gauche, qui
ais du sentiment que nous voulons parler, de l'aptitude de l'esprit i
sentir
vivement et a discerner promptement les qualités
rfection, comme de bonté ou de maturité djns la nature ; celui qui le
sent
et qui l'aime a le goût parfait; celui qui ne le
; celui qui le sent et qui l'aime a le goût parfait; celui qui ne le
sent
pas, et qui aime en deçà ou au delà, a le goût dé
ds et les dissonances, etc. Par lui-même, sans aide, sans secours, il
sent
, il jupe, il analyse les beautés et les imperfect
. Ces derniers, en effet, nous apprendront à connaître, à analyser, à
sentir
, à aimer tout ce que l'admiration des hommes a co
analogue à celui qui se passe chez l'hystérique analgésique qui ne
sent
pas les piqûres. Comme l'anesthésie de ce derni
e dont la formule doit varier selon les cas : ne pas pisser au lit,
sentir
le besoin et se réveiller aussitôt; s'éveiller
ond avec oubli au réveil. Suggestion : « Il ne pissera plus au lit;
sentira
toujours quand il aura besoin et se réveillera
egard; attitudes calaleptoïdes. Suggestion : Ne plus piaser au lit,
sentir
le besoin d'uriner et se réveiller aussitôt. »
e grande difficulté à retenir ses urines et quand le besoin se fait
sentir
, il doit le satisfaire immédiatement. Mère norm
ques; suggestion de ne plus pisser au lit, de retenir son urine, de
sentir
le besoin et de se réveiller. Il reviendra deux
é habituel; hypnose légère. Suggestion de ne plus pisser au lit, de
sentir
le besoin et de se réveiller aussitôt. 30 jui
tobre 1894. Hypnose légère. Suggestion de ne plus pisser au lit, de
sentir
le besoin, de se réveiller. 4 novembre. Il n'a
er. Sa mère trouve que c'est bien souvent. Suggestion : continuer à
sentir
le besoin d'uriner mais ce besoin sera de moins
vrier 1895. Hypnose légère. Suggestion de ne plus pisser au lit. de
sentir
le besoin et de se réveiller. 24. Une seule nui
e, pas d'amnésie au réveil. Suggestion de ne plus pisser au lit, de
sentir
le besoin et de se réveiller. 3 mars. - Une seu
de ne plus uriner au lit, d'avoir un sommeil léger, sans rêves, de
sentir
le besoin d'uriner et de se réveiller aussitôt.
oïdes, pas d'amnésie au réveil. Suggestion : ne plus pisser au lit,
sentir
le besoin et se réveiller. 45. Les quatre pre
verbale; catalepsie suggestive. Suggestion : ne plus pisser au lit,
sentir
le besoin et se réveiller. 29. Une seule nuit s
maladies graves; dans sa première enfance, bronchites dont il ne se
sent
plus. Il a des oxyures vermiculaires pour lesquel
aut lui tenir les yeux fer- més. Suggestion : ne plus uriner au ht;
sentir
le besoin et se réveiller. 16. Trois nuits hu
correspondant à la fonction urinaire. A remar- quer que l'enfant ne
sent
pas sa vessie se vider. On ne peut invoquer ici
de phénomènes cataleptoïdes. Suggestion ; ne plus pisser au lit;
sentir
le besoin et se réveiller aussitôt. 11. Deux nu
bre 1895. Hypnose légère avec catalepsie suggestive. Suggestion : «
Sentir
le besoin d'uriner et se réveiller; ne plus pis
. Suggestion : «Ne pissera plus au lit; quand il aura besoin, il le
sentira
et se réveillera aussitôt. » 18 Les cinq premiè
le calmer. Hypnose légère ; suggestion de ne plus pisser au lit, de
sentir
le besoin et de se réveiller. 28. Deux nuits
eints appartiennent à des familles où la tare névropathique se fait
sentir
sous les formes les plus diverses, mais où ne p
muqueuses participent à l'anesthésie, c'est ainsi que le malade ne
sent
rien quand on le sonde ; il ne sent rien non pl
e, c'est ainsi que le malade ne sent rien quand on le sonde ; il ne
sent
rien non plus lorsqu'il éjacule, car l'appétit
olontaires exaspérant les douleurs. Pour se mettre au lit, quand il
sent
venir les attaques, il fléchità peinela cuisse,
re séparée de celle que nous éludions, la même difficulté se pré-
sente
, nous faisons allusion ici à l'existence ou à la
orte- ments deviennent plus fréquents et plus pénibles pour lui; il
sent
qu'il devient nerveux. A la fin de cette même a
gnostic est une lettre qu'il écrivit du manicome. On y lit qu'il se
sentait
comme éveillé d'un long sommeil tout rempli d'hal
ple phénomène d'optique. Et les prêtres l'ont bien compris, ils ont
senti
que le terrain n'était pas assez solide pour co
produire un noeud coulant en fil de fer serré brusquement : elle se
sent
coupée en deux instantanément;' · elle est éton
eur Raymond, rendant hommage à la mémoire de son maître, avait fait
sentir
à ses auditeurs le travail considérable qu'il a
ion de fatigue. En effet nous avons observé des malades qui ne se
sentaient
nullement fatigués après avoir fait une très long
ades d'une longueur insensée, et ils étaient tout heureux de ne pas
sentir
de fatigue au bout de leur promenade. Eh bien,
ec les exercices, cette fatigue cérébrale se fait de moins en moins
sentir
. Nous avons l'habitude de faire durer la séance
ns insisté sur ce.fait, que tous les symptômes cliniques que pré-
sente
un tabétique ne doivent pas être mis uniquement s
tales est très com- pliqué. On pourrait dire des hystériques qu'ils
sentent
sans sentir. Surtout leur anesthésie musculaire
com- pliqué. On pourrait dire des hystériques qu'ils sentent sans
sentir
. Surtout leur anesthésie musculaire et articulair
nt de grande amplitude, car ce sont les seuls, qu'il est capable de
sentir
. Il lui faut aussi une grande concentration de
s et généralement moins intenses. Tous les malades affirment qu'ils
sentent
mieux leurs jambes, qu'ils les « perdent moins
ncée par notre méthode de traitement. Quelques-uns de nos malades
sentaient
certainement mieux les mouvements qu'on imprima
vent de l'anesthésie à la fatigue musculaire, ces préa- taxiques se
sentent
épuisés et courbaturés après le moindre effort
t épuisés et courbaturés après le moindre effort musculaire, ils se
sentent
lourds, les jambes en plomb, ils accusent des c
i à la plante des deux pieds, sur le reste des extrémités le malade
sent
et localise bien le moindre frôlement de la pea
aux jambes. Dans les articulations des genoux et des hanches il ne
sent
que les grands mouvements. Incoordination motri
bout de six mois de traitement. Le malade, a} anl1es yeux fermés,
sent
maintenant parfaitement les moindres mouvement,
isson arrive ensuite, avec sensation d'horri- pilation, le malade «
sent
ses cheveux D. Chose curieuse il n'y a pas, à p
; pas de sécrétion nasale exagérée. Les émotions dans lesquelles il
sent
« le sang lui monter à la tête », peuvent déter
on une perception sans objet. L'hallucination, en effet, consiste à
sentir
alors que rien n'impressionne le sens, c'est un
exigeraient que les malades confiés à chaque chef de service fus-
sent
beaucoup moins nombreux afin de pouvoir être suiv
eur volonté ; un homme, ancien aliéné se promenant dans Londres, se
sentit
tout à coup envahir par une impulsion homicide
l'événement qui a été le point de départ de leur délire et s'adres-
sent
aux personnes qui ont été mêlées à cet événement
quelques régions ont conservé leur sensibilité normale, d'autres ne
sentent
plus les piqûres, d'autres la chaleur, le conta
ne sonde métal- lique, le malade ayant les yeux bandés, celui-ci ne
sent
pas la sonde et n'accuse rien ; donc il y a ane
e l'autre, et deux prolongements de ramollissement central dépas-
sent
en haut et en bas l'étage des tumeurs proprement
s ou moins éloignée de la tête; l'action de la cocaïne se fait-elle
sentir
à travers la peau, l'os cranien et les méninges s
diminués. Anes- thésie absolue des mêmes membres, la malade ne les
sent
pas. T = 38°. Rétention d'urine. Intelligence i
circonvolutions frontales. Le malade observé par M : Lührmauu pré-
sentait
lui aussi, dans la seconde période de sa maladie,
bilité. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité cutanée. La malade
sent
le moindre frôlement. La perception de la douleur
ouleur n'est pas retardée. Le chaud et le froid sont également bien
sentis
. Sensibilité musculaire et articulaire. < :
ire et articulaire. < : Jambe droite. Dans cette jambe la malade
sent
tous les mou- vements qu'on imprime aux différe
ments régulièrement sans saccades. Jambe gauche. Ici la malade ne
sent
pas du tout les mouve- ments qu'on imprime aux
est incapable de con- tracter un seul muscle de cette jambe. On les
sent
du reste com- plètement flasques. Quand la ma
des contractions dans les muscles de la jambe gauche. On commence à
sentir
une certaine résistance dans cette jambe. Elle
89, quelques mois avant.la mort de son mari, la malade a commencé à
sentir
des douleurs aux reins surtout du côté gauche.
ses dents. Troubles de la sensibilité.- Le toucher. - La malade ne
sent
pas le frôlement, ni la pression sur toute la s
(au bout d'un mois de traitement) cela n'a plus lieu. La malade se
sent
plus légère. Elle peut se retourner et s'asseoir
plus légère. Elle peut se retourner et s'asseoir dans son lit. Elle
sent
mieux ses jambes, qui ne sont plus pour elle un
lade étant forcée de marcher beaucoup et de se fatiguer, commence à
sentir
une certaine lassi- tude dans les jambes. A cet
ieurs. Elle perd les jambes dans son lit. Quand elle marche elle ne
sent
pas bien le sol et croit toujours ne pas touche
esoins fréquents et impé- rieux d'aller à la selle. Parfois elle ne
sentait
pas les matières partir. La malade nie la syp
Dès les premiers jours du traitement, le progresse fait rapidement
sentir
. La malade apprend très vite tous les exercices.
malade arrive à faire de longues promenades toute seule. Elle se
sent
d'aplomb sur ses jambes, les genoux ne fléchissen
des promenades dans le jardin, monte et descend les escaliers. Elle
sent
ses jambes plus déliées. Depuis longtemps, elle
toujours fortement ataxique. Cependant la malade affirme qu'elle se
sent
plus ferme sur ses jambes. Elle marche sans canne
ieures. Sensibilité. Le malade dit qu'il a le toucher moins fin, il
sent
les objets comme à travers un gant. Cependant l
le malade restait beaucoup dans l'eau en péchant la crevette, il
sentait
en marchant une raideur dans les jambes. En essay
d'anesthésie urétrale ou au col de la vessie, puisque le malade ne
sent
pas quand il urine, ni quand il a fini d'uriner.
côtés. Extrémités inférieures. Sensibilité.-Le frôlement n'est pas
senti
sur la surface des jambes, y compris la plante
s, jusqu'à la hauteur du ligament de Poupart. La forte pression est
sentie
par- tout. La piqûre d'épingle est perçue avec
e rapproche de la racine des. membres inférieurs. Le froid est bien
senti
sur toute la surface des jambes, le chaud moins n
droit et dans toutes les articulations de la jambe gauche le malade
sent
qu'on imprime des mouvements à ses articulation
atroces à l'endroit de la fracture. Au mois de mars 1893 le malade
sent
de la gêne en marchant. La jambe gauche restait e
tactile de la verge. Le malade a des érections normales, mais il ne
sent
pas le contact de la femme. Etat actuel (12 m
de la perception, aux deux cuisses. Le froid et le chaud sont bien
sentis
. Phénomène plantaire. La friction rapide avec l
éningite à l'âge de cinq ans. Début du tabes.- En 1882, le malade
sentait
ses jambes lourdes, il lui semblait qu'il march
la main droite. Main gauche. - Le malade ayant les yeux fermés ne
sent
pas les positions qu'on donne aux doigts de cet
ation cubitale et scapulo-humorale du même côté sont parfai- tement
sentis
. Il y a un certain degré d'incoordination dans le
la surface des jambes, excepté à la plante des pieds, où le malade
sent
un peu moins nettement. Il y a un certain retard
pas les mouvements qu'on leur fait prendre. Aux genoux le malade
sentie
moindre mouvement. Aux hanches le malade ne sent
genoux le malade sentie moindre mouvement. Aux hanches le malade ne
sent
que les mouvements à grande amplitude. Les peti
ver. A quinze ans, troubles uri- naires particuliers ; dès qu'il se
sentait
le besoin d'uriner, il fallait qu'il se satisfi
j'allai rejoindre le malheureux Hugues, qui, as>is et tremblant,
sentit
la main de Dieu s'appesantir sur lui. Il tomba
fut passée : a J'ai vu trois hommes c armés de lances d'un feu qui
sentait
le soufre, entrer dans ma « cellule pour me per
onduite, le Seigneur qui l'a frappé et guéri, le Seigneur dont il a
senti
la main, et auquel soit honneur, gloire et puissa
ais, ils voient le diable, ils l'entendent, ils le touchent, ils le
sentent
; seulement ils ne le portent pas dans leurs co
uivant les divagations communes aux anciens démonolàtres, le diable
sentait
le roussi, le soufre (hallucinations olfactives).
les idées habituelles 1 Odeur spirituelle. C'est lorsque Dieu fait
sentir
une odeur d'une suavité inefTable, soit que cet
résentes, des idées qui viennent de les saisir d'une manière qu'ils
sentent
être surnaturelle ; mais après avoir exprimé pe
nt derechef abandonnés à leur génie, et peu après ils s'étonnent de
sentir
que leur bouche parle sans consulter leur volon
urs questions, dans l'oreille; ou bien s'ils les entendent, ils les
sentent
monter de l'épigastre, du ventre, ou du larynx,
it rien sans consulter intérieurement un bon génie auquel elle se
sent
forcée d'obéir. Une malade de Charpignon ne peut
us possesseurs. » « L'illuminé, dit également Moreau (de Tours), se
sent
iden- tifié à la Divinité et il le dit. Mais ce
d'autrui, qu'elle semble ne plus leur appartenir; ce qu'ils pen-
sent
, comme ce qu'ils écrivent, leurs paroles leurs ac
i tenait les lèvres fermées, il a en- tendait encore la voix, et on
sentait
très distinctement les lè- vres remuer sous les
le D'' Baratou, citée par MM. Séglas et Besançon (p. 25). La malade
sent
en elle deux esprits. Un bon qui lui veut du bi
té par des esprits qui diri- geaient toutes ses actions. Tantôt, il
sentait
un contact à son oreille dextre, « alors il fai
digestives sont troublées, des toxines dont l'action nocive se fait
sentir
sur tout l'organisme, principalement sur le systè
a céphalalgie, les douleurs, les paresthésies des doigts disparais-
sent
, ceux-ci récupèrent leur mobilité, la malade se r
évolution similaire dans la manière de percevoir, de comprendre et de
sentir
a rénové les arts comme la littérature et changé
que les nègres trouvent leur piste au désert grâce aux odeurs qu'ils
sentent
, et des objets volés et les voleurs grâce aux tra
arèrent que dans deux ou troix heures on trouverait de l'eau, car ils
sentaient
l'odeur d'un troupeau qui, dans les déserts, rest
tu n'es qu'un mot. » 2° Des martyrs chrétiens qui semblaient ne pas
sentir
les plus atroces tortures, car leur attention éta
car leur attention était fixée ailleurs; ne pensant qu'à Dieu, il ne
sentaient
pas. 3° Des soldats qui ne sentent pas leurs bl
s; ne pensant qu'à Dieu, il ne sentaient pas. 3° Des soldats qui ne
sentent
pas leurs blessures dans les batailles. On a rapp
est âgée de 36 ans. Elle mange à peine, ne peut plus travailler et se
sent
très fatiguée, parce qu'elle ne dort pas; ou plut
e que les temps soient révolus, il y a des chances pour que l'univers
sente
indéfiniment frémir, hurler et pleurer la meute h
agir avec une nouvelle énergie. Le besoin de sommeil se fait ainsi
sentir
de période en période, sans qu'il faille pour cel
paraissons avoir entièrement perdu la notion de la causalité. Nous ne
sentons
plus aucune différence entre les perceptions et l
place avec vous et au centre de laquelle vous vivez, circulez et vous
sentez
vivifiés. Cette atmosphère, ce milieu nécessaire,
teur arrêté sur les bêtes féroces ; de même il arrive à l'homme de se
sentir
paralysé par la crainte, au point de rester immob
e peut marcher seule et, à partir de janvier 1896, la jeune malade se
sent
tout à fait rétablie; elle s'adonne alors à la mu
d'attente; et elle tousse d'autant plus souvent et violemment qu'elle
sent
bien qu'elle incommode les autres personnes. De m
qui entre en scène-la première. Déjà, aux environs de Noël la malade
sent
un malaise général. Comme elle le dit elle-même,
d'une tante assez âgée à qui elle fait très souvent la lecture. Elle
sent
que cela la fatigue, mais elle n'ose pas le dire
alade dont j'ai parlé, qui entend la voix de son ancienne cuisinière,
sent
cette dernière dans son lit, lorsqu'il est couché
logé au fond de son corps, sous la forme d'un petit serpent; elle le
sent
très bien, il remue sans cesse. Lorsqu'elle est c
nital, on la voit soupirer et se pâmer sous un homme qu'elle nous dit
sentir
; notre présence ne la trouble nullement; elle est
oque sera de son temps : comme d'une part ses hallucinations lui font
sentir
des approches charnelles, comme d'autre part ses
es em-brassements qui permirent à son mari, de constater que l'esprit
sentait
terriblement le marsala. Or, Eusapia avait absorb
le un mouvement d'inclinaison vers elle. Lui-même en étendant la main
sentit
que le corps du médium était fortement penché en
n nombre de phénomènes automatiques et le faire parler, agir, penser,
sentir
au gré de l'expérimentateur. » C'est par cette op
pophyse mastoïde, j'explore l'articulation temporo-maxillaire : il ne
sent
rien, ne s'aperçoit de rien et ne profère aucune
quelques-uns des petits « plaisirs et divertissements de mon âge, je
sentais
toujours intérieure-» ment quelque chose qui m'en
ière que je n'avais pas encore expérimentée ; je le voyais et je le «
sentais
tout proche de moi; j'entendais sa voix ». Les
x fixes et mi-clos; elle n'entend rien des bruits extérieurs; elle ne
sent
pas qu'on la secoue et qu'on la pince ; le visage
ouvais plus jouer non « plus que de mes puissances intérieures que je
sentais
toutes absorbées « en lui. « Un jour mon Divin
us comprenez bien sans doute « (hallucination génitale) ; puis j'ai
senti
comme une grosseur à l'entrée « de la matrice et
; ses rayons tout ardents donnaient « à plomb sur mon cœur, lequel se
sentait
embrasé d'un feu si vif qu'il « semblait aller le
vision et ajoute : « tout le temps que « dura cette vision, je ne me
sentais
plus, je ne savais plus où j'en étais. « Lorsqu'o
crement et me trouvant un peu « plus de loisir que d'ordinaire, je me
sentis
toute investie de la pré-« sence de Dieu, mais si
raperai et si je puis une « fois te tenir en ma présence, je te ferai
sentir
ce que je sais faire : je te « poursuivrai partou
» Il me semblait alors voir l'enfer ouvert pour « m'engloutir ; je me
sentais
brûler d'un feu dévorant jusqu'à la moelle « des
fois l'attaquait de vaine gloire, puis de gourmandise; il lui faisait
sentir
des faims enragées ; il lui représentait tout ce
qu'Helmholtz entrevoyait quand il disait : « Je me suis toujours
senti
attiré par la mystérieuse union des « mathématiqu
t il m'arriva « d'y subir des peines épouvantables d'impureté ; je me
sentis
si forte-« ment attaquée d'abominables tentations
adée, tant et si bien qu'elle eut confiance, qu'elle eut la foi: elle
sentit
alors que ses doigts pouvaient s'étendre; je pres
onte l'histoire de la chemise miraculeuse s'étant recouchée, elle
sentit
environ un quart d'heure après, comme un peu de f
ésiastique avait commencé à dire la première des cinq messes, elle se
sentit
soulagée; lorsque les cinq messes furent dites, e
utumance ne supprime l'étonnement; en revanche, nous pouvons nous
sentir
confondus de surprise en présence de choses parfa
uction, qui, dans un cas d'exhumation, à l'apparition de la bière, se
sentit
indisposé par l'odeur du cadavre; or, il n'y avai
et ressentit une grande frayeur. II ne put marcher. Il sautillait, ne
sentait
pas le sol et éprouvait des étourdissements. Vo
avec des amants qu'elles ont vus, qu'elles ont entendus, qu'elles ont
sentis
charnellement, disent-elles, lorsqu'en réalité ri
; c'est le même artiste violoniste que toujours elle voit, entend et
sent
. La maladie s'aggrave; Mlle X... est conduite d
c'est Jésus qu'elle aurait vu, qu'elle aurait entendu, qu'elle aurait
senti
comme une personne vivante. — Tel autrefois Don Q
j'applique mon cœur sur le tien » et l'effet suivant sa parole, elle
sentit
à l'instant son propre cœur s'unir au cœur de son
ant un sermon elle entendit cette parole : « Jésus-Christ », elle
sentit
que celui-ci lui imprimait ce nom sacré sur le cœ
flèches dans ce cœur, toutes brûlantes du feu de son amour ; elle se
sentit
blessée d'une si profonde plaie qu'elle en perdit
raison nouvelle! » Avec de tels encouragements, comment ne pas se
sentir
animé du désir de venir à bout par le travail et
des recherches expérimentales. Mais alors que des trois cotés nous
sentons
la relativité de nos con- naissances il nous
dort complètement; il conserve la conscience de ce qui se passe ; il
sent
nettement, me dit-il, que je ne le guérirai pas,
somnoformisation. Dès le lendemain, un mieux très appréciable se fait
sentir
, et s'accentue de plus en plus, après quelques no
s communications souspolygonales, grandes variétés aussi : les uns ne
sentent
rien, sont entièrement séparés du monde extérieur
'instinct de conservation se dresse et prend l'alarme. L'organisme se
sent
menacé; tous ses moyens de défense, il les ramass
es et de fatigues. A quoi bon se soigner? Ils ne souffrent pas, ne se
sentent
nullement incommodés. Bien sots seraient-ils de s
lot et pour résister à l'ouragan ont besoin d'être en nombre et de se
sentir
soutenus. Les caractères d'élite, eux, dominent l
mais huit, dix, voire même quinze ou vingt jours. En outre, la malade
sent
venir son accès huit, dix ou quinze jours à l'ava
erbe et jouit d'une santé florissante. La malade en convient, elle se
sent
ridicule et déraisonnable, mais ne peut s'affranc
médium et, à partir de ce moment-là, tout se transforme en lui : « il
sent
une incarnation nouvelle ; la tireuse de cartes e
vais lui apparaissent ; il voit aussi des éléphants, des rats ; il se
sent
embrassé par des crocodiles, La Vierge Marie et l
un état délirant qu'il s'agit : ce que les esprits lui dictent, il se
sent
poussé à l'écrire; c'est pour lui une manière d'e
l'écrire; c'est pour lui une manière d'exprimer son délire. ïl s'est
senti
amoindri et comme obsédé ; de là aux idées de per
contenu du délire est constitué par des hallucinations ; le malade se
sent
embrasser par des crocodiles; il voit la Vierge..
que réalisent si souvent les aliénés et les hystériques quand ils se
sentent
brusquement transportés à. de grandes distances.
la suggestion l'a mise en branle, pense, combine dés idées, raisonne,
sent
et agit sans que le moi conscient et directeur pu
our « nourrir » leur esprit ; ce même sujet, à l'état de rêve, pourra
sentir
cette appétition subsister et les fonctions psych
anière que je n'avais pas encore expérimentée ; je le voyais et je le
sentais
tout proche de moi, j entendais sa voix. Texte
s effets qu'elle a opérés toujours en moi depuis. Je le voyais, Je le
sentais
proche de moi, et l'entendais beaucoup mieux que
2° Etait-il vraiment inutile de signaler comment la religieuse voit,
sent
et entend Jésus-Christ, c'est-à-dire autrement qu
eule. Texte de Marguerite-Marie Alacoque. Cela (la présence de Dieu
sentie
) imprima en moi un si profond anéantissement, que
e Dieu sentie) imprima en moi un si profond anéantissement, que je me
sentis
d'abord comme tombée et anéantie dans L'abime de
te de M. le Dr Rouby. Tout le temps que dura cette vision, je ne me
sentais
plus, je ne savais plus où j'en étais. Lorsqu'on
te de Marguerite-Marie Alacoque. Et pendant tout ce. temps je ne me
sentais
pas, ni ne savais plus où j'en étais. Lorsqu'on v
traperai, et si je puis une fois te tenir en ma présence, Je te ferai
sentir
ce que je sais faire, je te poursuivrai partout,
, « Il me semblait alors voir l'enfer ouvert pour m'engloutir ; je me
sentais
brûler d'un feu dévorant jusqu'à la moelle des os
ai, et si Je te peux une lois tenir en ma puissance, je te ferai bien
sentir
ce que je sais faire, je te nuirai partout. « Et
pas craint toutes LES furbcrs de l'enfer, pour la grande force que je
sentais
ac-dedans DE moi-même. (Vie et OEuvres..., T. I
té de leur sensation ; ils comprennent qu'ils ont entendu, qu'ils ont
senti
quelque chose d'irréel ; mais comme ils ont eu da
de l'âme, entendre avec les oreilles de l'âme ; nous pouvons ajouter
sentir
avec le tact de l'âme. Peut-être pourrait-on do
divine présence imprima en moi un si profond anéantissement que je me
sentis
comme tombée dans l'abîme démon néant. Pénétrée d
IELGUE. Cela imprima en moi un si profond anéantissement, que je me
sentis
d'abord comme tombée et anéantie dans l'abîme de
re aucun ouvrage, voulant seulement que le vrai jardinier se récrée à
sentir
les fleurs. » Ailleurs ne nous dit-elle pas : «
leur ignorance ou de leur méchanceté, après toutefois leur avoir la.t
sentir
les douceurs de la torture. Ces horreurs ne doi
ute, mais elles attristent l’âme par le souvenir. Ah! que l'homme qui
sent
, qui voit la vérité est malheureux! Mieux vaudrai
toute œuvre estcommune. Une nouvelle vertu naîtra en vous, et vous en
sentirez
les douces étreintes; vous verrez sans frémir la
tes; vous verrez sans frémir la maladie envahir vos organes, car vous
sentirez
en vous l'intelligent travail de la force qui con
ctime d’une illusion, je pris le parti de lui palper le ventre, et je
sentis
des mouvements pareils à ceux if nn fœtus, ce que
'enfantement, et jusqu’aux contractions cxpulsives de l’utérus, qu’on
sentait
distinctement. Je n’explique point ces faits; j
n d’alcali volatil qui fit tomber à la renverse un curieux qui voulut
sentir
ce que le flacon contenait. Le magnétisé ne témoi
esprits, il étoit très-aisé d’y faire une grande playe sans qu’il le
sentît
: surtout si son àme étoit occupée à même temps t
opérées dans l’état, magnétique. Il est des cas où les malades n'ont
senti
aucune douleur, même après l’opération; les plaie
émoins du drame que nous allons décrire, car ils ont pu comprendre et
sentir
ce que vainement notre plume essaiera de tracer.
luence de cette sorte, et qu’il était bien résolu, si elle se faisait
sentir
, à la repousser de toute sa volonté. Il est imp
sous le charme de cette magie. Plusieurs personnes avouent mêmeavoir
senti
pendant ces épreuves quelque chose d'anormal qui
jardins de Versailles, il a rencontré Irène qu’il aime et dont il se
sent
indigne, et n’osant lui parler, il a osé bien dav
u soir. Mais bientôt un pouvoir inconnu s’empare d’elle-même, elle se
sent
attirée par une force invincible : c’est qu’en ef
age cette fois entre confrères, et promet d’ètre vive. L'Abeille fera
sentir
son aiguillon à V Union. — La loi sur les profe
cence; on passe de la maladie à la santé sans sabir la langueur, sans
sentir
les faiblesses qui accompagnent ordinairement les
un tremblement dans tout le côlé gauche, et bientôt après elle me dit
sentir
des picotements dans le bras droit, ce qui me fit
parcours des trois lignes circulaires. Il croit que ce fluide va être
senti
, et déterminera par conséquent une série d’accide
e sait rien, ne se rappelle que son arrivée sur le cercle; il n'a pas
senti
sa chute plus que les mouvements de tout son corp
e seul Hmcote hostile à l'Union; l'A-beille médicale a fait également
sentir
son aiguillon à la nouvelle feuille. « Jean Ray
, s’en vont; d’aillenr? ils ne s’abonnent guère ; les jeunes médecins
sentent
, savent que notre art est appelé à plus de perfec
ientôt une sorte de défaillance, de faiblesse se manifeste; il assure
sentir
par les pieds un écoulement de ses forces. Ma têt
mal, un instant plongé dans le vide, rentre dans l’atmosphère. M. C*“
sent
distinctement des courants fluidiqnes s’établir d
marquée d’ailleurs par tout le monde dès les premiers instants. Il se
sentait
vivre doublement sans pouvoir comprendre par quel
spéciale était très-exaltée, et que l’approche des corps animés était
sentie
sans contact. D’où je conclus qu’une émanation ma
point de départ, et, dans tout le chemin que nous allons suivre, nous
sentirons
de plus en plus la vérité de ce précepte, qui mar
Dieu, depuis l’éponge jusqu'à l’homme. Tous les philosophes en ont
senti
l’existence et l’ont décrit avec plus ou moins d’
stement dans tout; au contraire , je prends deux noms pour bien faire
sentir
que ce dernier est adhérent à l’homme; je ne le s
vide de nos affections. « C’est l’esprit de transition qui nous fait
sentir
l’approche de l’objet aimé, c’est lui qui nous gu
ige en la'veine quand ès mains prenons le froid du serpent. » Qui n’a
senti
, au contact d'une main infâme, ce quelque chose q
e mon ouvrage; mais, épuisé, je ne pouvais plus rien, et le malade le
sentait
bien, car il disait: «Encore.... encore....; » et
és par d'autres rayons, ont formé un foyer invisible, mais réel; nous
sentons
qu’il existe au trouble inconnu que nous éprouvon
e pensée, une préoccupation de l'esprit; il cherche a se rappeler, il
sent
qu’il s’est passé en lui quelque chose d’étrange;
teur cherche des yeux dans l’assemblée la persanne qu’il croit apte à
sentir
l’influence occulte du miroir et à en manifester
t à notre mémoire, sans s’en écarter. Interrogé, il nous dit qu’il se
sentait
entraîné dans celle direction, mais qu’il en igno
la force magi-magnétique avait été déposée; nul effet ne s’était fait
sentir
en dehors. 11 faul donc chercher désormais d'au
ouvait, et même essaya de manger ; mais la difficulté d’avaler se fit
sentir
. On la mit au lit: la fièvre se développa rapidem
dans l’estomac; des lavements avaient été pris et rendus sans faire
sentir
leur action. La gorge présentait extérieurement
présentait extérieurement des saillies considérables. La malade avait
senti
jusque dans la poitrine de vives douleurs; mais v
une asphyxie progressive; c’est une fin atroce, car on se voit, on se
sent
mourir! Témoin constant de cetteagonie, jene dé
sans relâche que je lui appliquai le magnétisme. Instinctivement elle
sentait
que je lui étais nécessaire ; mon éloignement, mê
pus, sur les derniers temps, semblait venir de la poitrine; la malade
sentait
ses sacs crever successivement, et l’écoulement d
ent, durant ce temps, n'a pas sourcillé, n’a fait aucun mouvement, ni
senti
la plus légère douleur. La tumeur, une demi-heu
nier la puissance et la réalité? Il n’est pas un seul ôlre qui n’ait
senti
cette influence occulte. « Il y a des visages q
qui vous blesse, qui vous cause aucune gêne, aucune contrainte; vous
sentez
-vous en sa présence plus libre, plus animé, et sa
bbaye, où le cardinal de Bourbon l’avait convié à un grand souper, se
sentit
des saisissements de cœur si violents, qu’on fut
eut lieu, et Burger, qui jusqu’alors avait peu connu son propre cœur,
sentit
bientôt toute la fatalité de son destin, car Moll
tatuerait chaque année. Cette proposition, dont toute l'assemblée a
senti
et apprécié l’importance, a été accueillie à lfun
e; leurs yeux brillent d'un feu calme qui s’éteint peu après ; ils se
sentent
extrêmement soulagés, joyeux, mais ils n'ont pas
é en moins de cinq minutes. J’avais la certitude que mon action était
sentie
; je la dirigeai alors sur l’épigastre, et aussitô
ments, indispensable à l’alimentation des animaux qui nous engrais-
sent
, avait quelque chose de séduisant, surtout dans l
cette vaste unité des mondes et des espaces? Buflon avait tellement
senti
celte belle unité qu’il voulait, crainte de la tr
l’athée, s’il regardait jamais le ciel, s’il était jamais capable de
sentir
un rayon de soleil, l’athée s’agenouillerait comm
cle de fer qu’un serrurier aurait vissé par un écrou, je n’aurais pas
senti
ce collier de métal aussi durement que les doigts
lumé. N’apcrcevcz-vous point sa clarté? N'avez-vous pas, comme moi,
senti
dans vos veines courir ce feu nouveau, et vu sort
nt nous publierons l'acte de constitution (le ce Jury. Les artistes
sentent
et aiment les grandes choses; c’est pour cela que
l’alcool. On tenta l'expérience ; Mais à peine de l’éther Eut-il
senti
la puissance Qu'il fut pris du mal de mer. Non, l
bien dû. Le temps n’a pas permis toutes ces manifestations, si bien
senties
et méritées. Nous avons tous souffert lu tort de
dit-on, ne saurait être que légère. C’est fort bien pour qui ne la
sent
pas; mais le patient... Quant à nous, jamais de g
que c’est. Mais de ces affections me sont tombées sous la main ; j’ai
senti
des nœuds que le mesmérisme faisait disparaître e
ucoup de mal au nombril, que la douleur n’est pas ordinaire, qu’il se
sent
défaillir, et qu’il faut le lever parce qu’il ne
ndépendance , l’air et la lumière. Les premiers magnétiseurs ont bien
senti
cette vérité, que les choses trouvent leur force
rra s’exercer sur les membres souffrants les préceptes nouveaux. Nous
sentons
que si nous poursuivions le développement de celt
tion. Pas un chirurgien qui ne s’en parfume, pas un médecin qui ne le
sente
d’une lieue. L’éther ! Ecoutez donc M. Trousseau:
bras une tumeur de 14 kilogrammes, éthérisé dans le même service, ne
sent
rien aux premiers coups de bistouri; mais quand o
e statue, à l’audition inattendue d’un poëme, d’un discours, etc., se
sent
capable de les imiter, peut, sans grand labeur, p
emain lui fit enlever son bandage. Depuis lors (16 mai) elle n’a plus
senti
la nécessité de le remettre, allant chaque jour d
e surcel intéressant sujet. Il faut un courage donl j'avoue ne pas me
sentir
capable pour s’exposer à être confondu avec ceux
erture. Au bout d’un quart d’heure il sauta brusquement, disant qu’il
sentait
quelque chose de désagréable qui venait sur lui e
t, se leva brusquement, prit sa tête entre ses mains, disant qu’il se
sentait
ivre, et je ne pus venir h bout de le faire recou
ient seulement que cet étranger l’emmena, mais sans contrainte; il se
sentait
obligé de le suivre. Quand il revint à lui, il ét
ut ses jambes avec beaucoup d’aisance et sans souflrir, mais elle n’y
sent
pas la force nécessaire pour supporter le poids d
.d’écarté commença. En touchant les cartes, Alexis déclara qu’il se
sentait
parfaitement lucide, que par conséquent on pouvai
nserver le titre d’instituteurs du genre humain. Déjà plusieurs l’ont
senti
, et la lettre suivante est adressée dans ce but à
ell'et, M. Chaufleux se trouve fort bien : il se tient fort droit, se
sent
gêné, dit-il, quand il prend la position voùlée o
ens par lesquels son exhalation s’opère ; ces hommes qui n’ont jamais
senti
au bout de leurs doigts ces fourmillements précur
ne me voir plus là. Car, avec son cœur et son esprit si jeunes, il se
sentait
vieux pourtant, et quand je le quittais, il ne me
n aperçût; car tout d’un coup, pendant que je lui parlais, il s’élait
senti
comme envahi par une atmosphère embrasée ; il lui
senti comme envahi par une atmosphère embrasée ; il lui avait semblé
sentir
des flammes circuler autour et en dedans de lui;
veau et la tumeur enlevée aux deux tiers sans qu’elle remuât ou parût
sentir
; mais alors elle s’éveilla et sembla recouvrer íe
ourquoi tant de monde l'entourait. Il se trouvait bien et dit qu’il
sentait
une légère chaleur au siège de son mal, ce qui le
uis entièrement satisfait si les malades m’assurent qu’ils n’ont rien
senti
, surtout si chaque parole, regard, action s’accor
surprise. Lorsqu’il fut levé, je lui piquai de nouveau le nez, il le
sentit
aussi vivement que qui que ce fût. Le lendemain
0 science, que lu es belle ¡avec toi, l’on pénètre l’immensité, l’on
sent
sa destinée, et môme avant la mort on est déjà da
es tous contrariés de cette affluence, et M. Laporte surtout; mais il
sentit
qu’il ne pouvait pas reculer sans attirer le ridi
ou chef de famille, marié à une républicaine d’un Age fait à pouvoir
sentir
et peser les intérêts publics, à l’abri des grand
re, le 30 avril 1842, je disais : « L’action du magnétiseur se fait
sentir
sur le somnam-» bule même à l’état de veille. Ain
» Toutefois, l’exaltation des sens internes au point de pouvoir voir,
sentir
, goûter, flairer sans leur secours, semble devoir
adversaire ne manque jamais de dire alors : « Mais failes-moi voir ou
sentir
moi-même un fait comme ceux dont vous venez de me
ne telle responsabilité!!! Si vous les pressez davantage ou qu’ils se
sentent
repris par leur conscience, ils essayeront bien,
de est-il donc fait? Il faut qu’on soit descendu bien bas pour ne pas
sentir
le prix infini de celte vie que Dieu a déposée da
nditions importâmes pour le succès; c’est une vérité qu’on commence à
sentir
de toutes parts, dans l’Inde aussi bien qu’en Fia
Nous comptons môme fur l'approbation des magnétiseurs instruits, qui
sentent
intérieurement comme nous, que toules les merveil
nous avons fait et ce que nous avons vu en magnétisme; cependant nous
sentons
qu’il y aurait de la pusillanimité à refuser l’ap
, car il ne le dira rien ; ma parole sera pour loi sans portée, lu ne
sentiras
aucune vibration dans les chairs; crois-le, ce se
isais quelques lignes. Les yeox n’étaient presque plus ronges; je les
sentais
en si bonne voie de guérison que j’étais ravi. La
trouve dans un ouvrage l’exposition, l’explication de choses que j’ai
senties
, que j’ai cherchées el qui m’ont conduit à soupço
vement dans l’univers, qu’une espèce de flux et de reflux qui se fait
sentir
dans tous les corps, qui agite le sang comme les
u passé, et la prédiction de l’avenir, à la faculté que nous avons de
sentir
tous les rapports que les événements et les êtres
déjà vu ce qui est. Voir le passé, dit Mesmer, n’est autre chose que
sentir
la cause par l’effet; el prévoir l’avenir, c’est
tre chose que sentir la cause par l’effet; el prévoir l’avenir, c’est
sentir
l'effet par la cause. On peut lui objecter qu’il
un grand service à la science; en effet, l'automate est excité, il ne
sent
point. L'excitabilité appartient à la moelle, la
e s'ensuit ni réaction, ni douleur, et ces fibres par lesquelles nous
sentons
tout, sont par elles-mêmes insensibles. Ainsi, le
. Y a-t-il plusieurs espèces de nerfs? C'est par les nerfs que nous
sentons
; c'est par eux que la volonté agit sur les muscl
quent de sensations véritables et de volontés réelles; en effet, pour
sentir
et pour vouloir, il faut penser en un certain deg
ordre que celles qui ne s'entrecroisent pas. M. Brown Séquard a bien
senti
cette difficulté. « Avant de rapporter, dit-il, d
'est pas dit sur ces questions difficiles. Quoi qu'il en soit, nous
sentons
et nous agissons ; or ces choses ne se font pas s
cellules dont le noyau de l'encéphale se compose, qui pourra dire hoc
sentit
, hoc movet? Le physiologiste et l'anatomiste ne s
éduit à la condition d'automate n'éprouve rien, mais nous nions qu'il
sente
véritablement. Les raisons développées à cet égar
s nécessairement des odeurs? Si l'animal privé de ses lobes olfactifs
sentait
encore les effets de vapeurs irritantes sur la mu
distare in naturalibus quœstionibus ab « JEpicuro dicitur, quod iste
sentit
inesse concursioni atomo-« rum vim quandam animal
ien compris, aussi affirmaient-ils nettement que les bêtes paraissent
sentir
, mais qu'elles ne sentent pas (1). Parmi les hy
aient-ils nettement que les bêtes paraissent sentir, mais qu'elles ne
sentent
pas (1). Parmi les hypothèses matérialistes la
r les « conséquences qui en découlaient naturellement, parce qu'il ce
sentait
ce qu'elles avaient d'absurde (1). » Ce système
is que l'odeur de la rose ni aucune propriété matérielle connue n'est
sentie
par elle-même. Cette comparaison de la pensée ave
e l'âme ne fait rien sans un certain corps auquel elle est unie. Nous
sentons
par l'intermédiaire de ce corps, nous agissons pa
s tard, est psychologiquement très-importante. En réalité l'âme qui
sent
, soit des sensations, soit des sentiments, est da
; mais elle peut intervenir, soit pour mieux recevoir les impressions
senties
, soit pour y soustraire le corps. Alors à la pass
st de même de la mémoire. Les maladies le prouvent assez. Ainsi l'âme
sent
par le corps et se souvient par lui; mais, dans l
e souvient par lui; mais, dans les deux cas, c'est toujours l'âme qui
sent
ou se souvient. § ». Des sensations. L'être q
rs l'âme qui sent ou se souvient. § ». Des sensations. L'être qui
sent
est un; mais il y a plusieurs sensations; et de m
-il, indique qu'il y a plusieurs touchers, car dans le même lieu elle
sent
les saveurs et toutes les qualités tangibles des
ncore. Le toucher, dit-il, comprend quatre sens distincts; le premier
sent
le chaud, le froid, l'humide et le sec; le second
l'idée d'aucun contact; enfin, quand nous contractons un muscle, nous
sentons
fort bien que nous le contractons indépendamment
inexplicables? Comment se fait-il que ce qui là était moins sensible,
sente
ici plus vivement? L'étude de l'organisation des
omplète que lorsque la peau, glissant sur un corps ou réciproquement,
sent
les petites impressions qui résultent de saillies
y joint habituellement une sensation de pression latérale. Ces effets
sent
d'ailleurs d'autant moins distincts que le corps
ens n'ont rien donné, l'esprit a tout tiré de lui-même. Ainsi l'âme
sent
les mouvements du corps. Elle sent ses membres où
ut tiré de lui-même. Ainsi l'âme sent les mouvements du corps. Elle
sent
ses membres où ils sont; en un mot, elle a le sen
ne façon. Dans ce cas, nous jugeons la forme bien plus que nous ne la
sentons
. Si, par exemple, nos cinq doigts rapprochés embr
voir la douleur ou le plaisir, peut se perdre, les autres manières de
sentir
, qui sont dans la peau, demeurant intactes; par c
forme des corps par le contact seul, mais par l'intelligence. Nous ne
sentons
pas la forme par le toucher, nous la concevons pa
es impressions olfactives et les sentiments généraux, qu'en français,
sentir
est synonyme d'odorer. 11 y a aussi des odeurs
bjets qui les éveillent. De là ces expressions vulgaires : cette rose
sent
bon, cet animal sent mauvais, ce sucre est doux,
nt. De là ces expressions vulgaires : cette rose sent bon, cet animal
sent
mauvais, ce sucre est doux, ce fiel est amer; ces
sont des modifications particulières de la faculté que nous avons de
sentir
, et comme elles signalent l'objet, mais sans le r
t entièrement connu par son odeur ou par sa saveur seulement? Le goût
sent
l'amertume, et l'odorat la fétidité; mais ils ne
ndre de nouveau présentes, en un mot de les imaginer. Si parfois nous
sentons
un contact, une saveur, une odeur en l'absence de
toucher seul que nous avons une idée de notre œil (2). Un aveugle-né
sent
aussi bien ses yeux qu'un homme clairvoyant, mais
né sent aussi bien ses yeux qu'un homme clairvoyant, mais celui-ci ne
sent
pas sa rétine plus que l'aveugle. 11 serait donc
'obtient le violet pur. Ce fait nous conduit à supposer que nous ne
sentons
point les couleurs mixtes par une combinaison de
qu'on s'arrête brusquement, tous les objets semblent tourner, l'on se
sent
soi-même entraîné dans un mouvement gyratoire, et
douleur locale, quand le plaisir qui affecte un organe sont vivement
sentis
dans cet organe, les effets sympa- (1) Mon sava
ailleurs, et c'est là une remarque essentielle, non-seulement l'homme
sent
, en un certain degré, les choses imaginées, mais
aradoxe admirable n'est-il pas une preuve sensible que l'esprit qui
sent
et le corps par lequel l'esprit sent, sont deux c
euve sensible que l'esprit qui sent et le corps par lequel l'esprit
sent
, sont deux choses essentiellement distinctes et d
amais une idée claire et précise de sa propre existence, si jamais il
sent
et mesure sa force et sa liberté, c'est pendant l
degrés et sans surprise, elle peut s'accroître ainsi au point d'être
sentie
sans que le dormeur en soit éveillé. De même un m
elle d'Aristote (5). Suivant ce philosophe, les somnambules voient et
sentent
de la même façon que ceux qui veillent. Le sens d
es commandent au corps qui se déplace sans que l'intelligence, qui se
sent
toutefois entraînée, ait une notion bien claire d
it affir-« mativement à la question qui lui était adressée, si elle «
sentait
de la douleur à ce pied ; mais lorsqu'elle y déco
rrachaient à un calme délicieux. Il est donc bien évident que j'avais
senti
quelque chose, puisque en ce moment je le regrett
issait plus qu'incomplètement la cavité crânienne, en sorte que je le
sentais
ballotter dans ma tête ; cette sensation me jeta
este du corps se terminait confusément. Je rêvais évidemment et je me
sentais
rêver. J'observai pendant quelques instants cet o
'objet du songe est le sujet d'une préoccupation vive et profondément
sentie
, il devient comme une idée fixe autour de laquell
images; et partout où elles parviendront « elles seront plus vivement
senties
la nuit, parce que dans le « jour elles s'évanoui
r perçue, c'était de la bière blanche que pensait le rêveur, et il en
sentait
le goût. D'ailleurs, ces rêves sont rares; j'en
elle subissait ses caresses immondes, palpitait sous ses étreintes et
sentait
son haleine. A son réveil elle racontait avec hor
homme a faim, il ima« gine qu'il mange une viande rôtie, aussitôt il
sent
le goût particulier à une viande ainsi préparée.
'est, de toutes nos facultés, la plus active, et ce mode d'être et de
sentir
est si essentiel à l'intelligence, que ce qu'il y
ts, on en voit souvent en ce lieu ; au même instant notre jeune homme
sent
urie lame froide s'engager sous son pantalon et s
ant se précipite, mais au moment où il se courbe pour la ramasser, il
sent
passer sur sa tête un souffle léger et un baiser
emain X apprit la mort d'un de ses amis. Au moment même où il s'était
senti
serrer le bras, ce malheureux s'était noyé. X eut
is à ces expériences un concert harmonieux. En effet, la faculté de
sentir
est, dans l'âme, antérieure au monde, et il n'y a
d'angoisse. 11 n'éprouvait aucune frayeur morale, et cependant il se
sentait
frissonner; un instant il détourna les yeux et ce
un cri terrible et recule, puis, riant de sa méprise, il avoue avoir
senti
une douleur brûlante, et le tranchant du fer péné
pouvez-vous croire chose pareille, lui objectait le grand médecin; ne
sentez
-vous pas que cela est impossible? ne le voyez-vou
érents. En tant que son âme était présente à l'un de ces corps, il se
sentait
guéri et goûtait un repos délicieux. Dans l'autre
s qu'en plein jour elle était élevée, et ravie à tel point qu'elle ne
sentait
pas aux pieds des coups d'épingle. Elle redoutait
urage ses compagnons. Ce guerrier ne voit rien que sa victoire, il ne
sent
aucune douleur. Qu'est-ce que Mucius Scevola, brû
e incroyable que ces supplices joyeux, si l'enthousiaste ou le martyr
sentaient
la douleur. Ils ne la sentent pas, grâce à un cer
oyeux, si l'enthousiaste ou le martyr sentaient la douleur. Ils ne la
sentent
pas, grâce à un certain degré d'extase. D'ailleur
nté des histoires pareilles. La religieuse dont parle Simon Maïole ne
sentait
pas des coups d'épingles (1) Jod. Damhouderius,
ns d'autres cas, en l'absence de toute cause extérieure, nous croyons
sentir
ce que nous ne faisons qu'imaginer. Dans l'état
os sens, nous les percevons d'une certaine manière, que nous appelons
sentir
. Mais si, l'impression passée, l'idée de cet obje
endant les impressions reçues ; c'est par leur intermédiaire que nous
sentons
, que nous voyons, que nous entendons. Si donc les
mblaient n'avoir plus leurs dimensions naturelles, et tels que je les
sentais
, mes doigts n'étaient plus que des fils sans épai
n effet, concevez une inquiétude poussée à son comble ; un malheureux
sent
vaguement la présence d'un ennemi. Cette inquiétu
dans le lieu contus, il a l'idée d'une blessure grave, et soudain il
sent
couler sur sa poitrine une lame de sang. Il le se
ve, et soudain il sent couler sur sa poitrine une lame de sang. Il le
sent
manifestement, et cependant la peau, à peine meur
coup de lancette, elle fut saisie « d'une telle appréhension qu'elle
sentit
, trois ou quatre jours « ensuite, une douleur si
é de l'enfant. Or, chaque fois que ce scrotum était pincé, la mère se
sentait
blessée dans une partie qui, chez la femme, sembl
porte le regard haut, et, pendant qu'il exécute ces mouvements, il se
sent
réellement plus courageux. Un homme porte la tê
e la tête de côté, et, faisant tout à coup un retour sur lui-même, il
sent
qu'il a tendance à écouter. Un autre serre volo
ces immédiates qu'on en peut tirer témoignent de son importance. On
sent
, en raison de cette règle, combien les habitudes
érience sur soi-même. Éprouvez-vous un sentiment de haine ou d'envie?
Sentez
-vous l'aiguillon caché de quelque basse passion ?
plit; dans l'autre il y a un principe fatalement entraîné, mais il se
sent
entraîné. Dès qu'un animal veut agir, sa volonté
vous allez jusqu'à supposer avec Willis que la matière est capable de
sentir
, où vous arrêterez-vous? Ne voyez-vous pas qu'acc
êterez-vous? Ne voyez-vous pas qu'accorder à la matière la faculté de
sentir
, c'est donner gain de cause à ceux qui lui attrib
ont refusé jusqu'au sentiment. Les animaux ont beau témoigner qu'ils
sentent
, on n'a pas voulu les en croire, (1) Philostrat
mmatérielle (5). L'observation, en effet, dit assez clairement qu'ils
sentent
; or, reconnaître en eux la sensibilité, c'est le
accorder implicitement une âme. Descartes et ses partisans l'ont bien
senti
(6), aussi, leur refusent-ils à la fois l'une et
dance du corps à un certain mouvement, ou du moins sa résultante, est
sentie
par l'esprit qu'elle sollicite en tant que sentim
une mimique expressive indiquant de quelle manière tous les modes de
sentir
sont intéressés par lui. Il y a une sorte d'imi
intellectuelles. 11 est certain que c'est par le cerveau que l'âme
sent
et veut. Le cerveau est donc à la fois un organe
nt que des hommes naturellement privés de corps calleux ont pu vivre,
sentir
et sejnouvoir. D'ailleurs, il manque normalement
sciatique, l'optique nous enoffrentdesexemples. Lesartèress'épui-
sent
dans le névrilemme et les cloisons intérieures qu
térielle inler-fasciculaire. 14 ANATOMIE. elle s'y faire vivement
sentir
et l'affecter tout entier. Il résulte de ces ir
nt de l'aponé- vrose le long du bord postérieur du tibia, glis-
sent
au-dessous du tronc de la saphène, en lui aba
utes dans une série de veines perforantes (A. A. A.), qui traver-
sent
l'aponévrose jam- bière et aboutissent aux ve
ns la pro- fondeur des membres, les unes et les autres se réunis-
sent
en une série de petits troncs, qu'on pourrait q
lace dans une ambassade, u.ie grande ambassade; « il s'est toujours
senti
une vocation pour la diplomatie ». Aussi bien n
n. Et notamment, les uns deviennent ambitieux, les autres parais-
sent
réfractaires aux idées de grandeur. A l'époque
t affaiblie; le malade se fatigue plus vite que d'habitude et il se
sent
incapable de faire les courses qu'il faisait l'
est un symptôme en quel- que sorte perma- nent, toujours pré-
sent
aux diverses heures du jour et ne cessant ,qu
i bien que l'hystérie dans laquelle ces accidents existent repré-
sente
en quelque sorte une forme anormale, un groupe
myoclonus multiplex, dont mon chef de clinique M. Marie vous pré-
sentait
naguère un beau spécimen que j'ai fait replacer
peau très amincie, glabre, sèche, dépourvue de poils. La face pré-
sente
une grande asymétrie qui est encore plus manifest
Enfin un débile, dont le cervelet ne pesait que 80 grammes, pré-
sentait
des accès d'intempérance générique extraordinaire
tent donc pas dans les cordons postérieurs jusqu'aux bulbes et pré-
sentent
une tout autre allure que les éléments des cordon
bras gauche ; le froid, la chaleur, la piqûre, sont plus faiblement
sentis
; l'électri- cité réagit moins à droite qu'à ga
uleur normale. Tantôt la température était très élevée et la malade
sentait
une vive douleur du côté droit; au bout de quel
formément à cette idée, étant donné ce fait que la maladie se pré-
sente
le plus souvent chez des gens qui n'ont présenté
n. Certains s'étonnent du petit nombre de concurrents qui se pré-
sente
pour le concours aux places de médecins-adjoints
miner les candidats, qui, n'ayant pas suffisamment travaillé, ne se
sentent
pas en mesure 134 varia. de soutenir des épre
, meurtrier.' II tue pour se dé- fendre,, pour, sauver sa vie qu'il
sent
menacée. Le .meurtre n'est donc pas, dans ce. c
HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 203 . . Un jour, elle a
senti
quelque chose lui entrer par les sens, comme un
a pensée, » ou bien elle remue simple- ment les lèvres ou bien elle
sent
une voix au coeur. La coexistence chez le même
- Observation Il 1f ? 13..., âgée de cinquante-neuf ans, se pré-
sente
à la consultation externe de la Salpêtrière le 10
ans son état normal. Elle avait un mouvement dans les yeux. Elle se
sentait
faible sur ses jambes. Ils achètent une maison
ntait. Se sentant absorbée elle ne pouvait rester en place. Elle se
sentait
obligée d'aller voir un voisin malade; elle che
eux de changer d'idée. Il lui arrive de parler toute seule; elle se
sent
alors réelle- ment forcée de parler. « Si je re
lle a commencé à se faire des idées. Elle se forçait à manger; elle
sentait
ses jambes molles comme des chiffes le matin. P
engagements, ni lui ni moi ne méritons de considération. » Elle se
sent
changée intérieurement et extérieurement. « je ne
en effet je n'en suis pas digne. Ne vous approchez pas, mon haleine
sent
mauvais. Si vous saviez comme dans cette mala-
e monde à cause d'elle. · 28. Elle a eu de la diarrhée hier et se
sent
abasourdie. Elle explique sa diarrhée en disant
indre que celle de l'oeil gauche. Ces troubles de la vision parais-
sent
remonter à l'enfance. Ses amis l'ont toujours con
Le début de la maladie actuelle remonte à deux ans et demi.j i Elle
sentait
comme une poupée en caoutchouc, monter et des-¡,¡
êchait de remuer. Elle n'a su qu'elle était double que quand elle a
senti
la petite Marianne remuer en elle, surtout dans
soupir, et se réveille. La menstruation s'est établie, la malade se
sent
bien, elle se plaint de somnolence et de lassitud
Peut-être les processus de destruction périphériques qui caractéri-
sent
la maladie de Morvan dépendent-ils de la localisa
es douleurs prenant naissance dans l'organe central, et réfléchies,
senties
à la périphérie. Remarquons que le complexus sy
Montrose : dans cette création, dont le besoin se faisait vivement
sentir
dans l'asile, les règles de l'hygiène pa- raiss
ées, endolories de tous leurs membres. Elle semblait, elle, ne rien
sentir
de cette violente dépense de forces musculaires
leures dispositions. Elle dit, en m'abordant le matin, qu'elle se
sentait
plus rassurée 1... Je ne restai pas longtemps prè
elle se retire dans un lieu écarté, les prononce à haute voix et se
sent
soulagée. Le centre auditif de l'écorce (premiè
ce. Elle avait encore des perversions sexuelles : d'abord elle se
sent
poussée à l'onanisme en dehors de toute idée de
on précise de ce genre : des hystériques, nous dit-il, continuent à
sentir
certains goûts quand elles semblent avoir perdu
ns ses mains, une pièce d'or ou un crayon, n'étaient absolument pas
sentis
. Une autre malade, ayant éga- lement les mains
is d'après certaines idées qui déterminent le choix des impressions
senties
ou non senties. Parmi les anesthésies localisée
aines idées qui déterminent le choix des impressions senties ou non
senties
. Parmi les anesthésies localisées, nous insiste
ates hystériques, et elles vous avertissent elles-mêmes qu'elles ne
sentent
pas du côté gauche. C'est qu'on le leur a appri
ux doigts et ils se plaignent de se brûler à chaque instant sans le
sentir
. Est-ce que les hystériques ont souvent des brû
main droite, tandis que vous ne vous apercevez même pas que vous ne
sentez
absolument rien sur tout le côté gauche. » La p
L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE. 333 corps absolument insensible pouvait
sentir
le moment où mon' tampon touchait ses jambes, p
voyez. Elle a complètement perdu le goût et l'odorat et elle pré-
sente
surtout un rétrécissement du champ visuel intéres
ontradictions présentées par ces malades. Elles pré- tendent ne pas
sentir
et par des artifices on prouve qu'elles sentent
ré- tendent ne pas sentir et par des artifices on prouve qu'elles
sentent
parfaitement. Donc leur insensibilité est simulée
rt complexe. L'un des deux mots que con- tiennent ces expressions «
sentir
, voir », peut à la rigueur s'appliquer à un phé
llumeraient de côté et d'autre, c'est ce que désigne ce mot isolé a
sentir
, voir ». Mais il est loin d'en être ainsi pour
'est seulement après cette opération que nous avons cons- cience de
sentir
telle ou telle impression, que nous pouvons dir
a pas l'existence de ou de et dira à leur propos : « Je n'ai rien
senti
. » Quel est le nombre normal des phénomènes de se
né par le médecin. On lui pince le bras gauche, on lui demande s'il
sent
le pincement, et à sa grande surprise, le patie
nt, et à sa grande surprise, le patient constate qu'il ne sait plus
sentir
consciem- ment, qu'il ne peut plus, si j'ose ai
mouve- ments ; eh bien, les sensations dont nous parlons même non
senties
par le sujet se manifestent par des mouvements so
elle tient une aiguille. En un mot, ces sensations en apparence non
senties
amènent régulièrement le mouvement qui les sui-
é- quence encore, qui peut être bien plus importante, elles lais-
sent
des souveuirs. J'ai démontré autrefois que les im
lle le tàte, mais ne peut savoir ce que c'est, elle déclare ne rien
sentir
. Je fais passer sous son nez un flacon d'odeurs
. Je fais passer sous son nez un flacon d'odeurs, elle aspire et ne
sent
pas, vous savez qu'elle est absolument anosmiqu
e qu'elle avait dans la main gauche tout à l'heure, et ce qu'elle a
senti
sous son nez. Elle répond sans hésiter : « Vous
, 295. 348 CLINIQUE NERVEUSE. quet de fleurs, et vous m'avez fait
sentir
un flacon d'eau de fleurs d'oranger. » Le souve
acé sur le papier. La main du sujet, si elle était sensible, aurait
senti
tous les mouvements nécessaires pour écrire ce
mot que j'ai écrit. Mais Marguerite nous déclare qu'elle n'a rien
senti
du tout. Nous savons ce que cela veut dire, elle
l'heure si insensible. Voici Berthe qui crie que je la pince et qui
sent
parfaitement. Il est vrai que cette belle sensi
longtemps : j'enlève le pain à cacheter et un instant après elle ne
sent
déjà plus rien. Si l'attention fait disparaître
se, jamais il ne faisait de prières. Après quelques instants, il se
sent
un peu soulagé ; alors, il se recouche et se re
t surtout trop insuffisamment étudiés pour qu'il soit, dès à pré-
sent
, permis d'en déduire des conclusions cliniques.
es autres malades des hôpi- taux. Je suis pleine de vers, je les ai
sentis
grouiller et cela faisait du bruit. Quand on es
erdue pour l'éternité ; tou- jours dans l'éternité malheureuse ! Je
sentais
cela dans mon âme et je le disais. J'entendais
le-méme et tout haut en se faisant de continuels reproches. Elle se
sent
forcée de se parler ainsi. Elle a toujours ses
avoir qu'elle se parle continuelle- ment à elle-même et qu'elle s'y
sent
forcée. Si l'état faible de l'hallucination psy
érobe et se dissocie. Il assiste lui- même à cette dissociation; il
sent
que le mal réside en lui, con- 1 Etudes sur les
au début de la maladie, alors que la substance cérébrale ne pré-
sente
pas de signe de sclérose et d'atrophie, porte à f
fondé en plusieurs endroits des Sociétés de patronage qui se propo-
sent
d'assister les aliénés sortants. Eh bien, l'assis
s sensitives du nerf vagus par deux tumeurs symétriques, qu'on peut
sentir
dans les deux fosses rétromaxil- laires du mala
d'entretien d'aliénés, s'il n'est pas démontré que ces aliénés pré-
sentent
de réels dangers pour la sécurité publique. Agr
ro-cpilepsie. 1 n'ont pas paru. A partir de la même époque, elle se
sent
plus faible et n'a pas d'appétit. Elle vomit même
s et ne peuf garder aucune nourriture. Elle est triste, abattue, elle
sent
que ses attaques vont la repren-dre et en conçoit
en morceaux. Lorsque cette sur-excitation est apaisée, et que Gen...
sent
l'imminence de ses grandes attaques, elle demande
ui commandent « toutes sortes de choses ». Elle a mal à la tête et se
sent
horriblement fatiguée. Vers le soir elle a des
es malades qui en sont l'objet accusent une fatigue extrême. Elles se
sentent
à bout de force et comme anéanties. En effet, plu
et la tympanite sou-vent si considérable. Gen..., avant ses attaques,
sent
son ventre qui gonfle. Gl..., par instants, est o
moment de l'invasion de l'accès, en même temps qu'elle suffoque, elle
sent
un flot de liquide qui semble monter de l'estomac
roche d'une attaque par l'abondance de la salive1. » Marthe Lesp...
sent
un mauvais goût dans la bouche pendant les quelqu
t qu'en une oppression constante, plus ou moins accusée. Les ma-lades
sentent
le besoin de prendre l'air. Cependant le spasme
x heures après midi, Gen... est au lit, contracturéedes membres, elle
sent
que ses attaques vont la prendre. Depuis une heur
l a été question précédemment. Lesp..., au moment d'être malade, se
sent
envahir par une con-tracture générale qui immobil
vies de pleurer. Le rire termine habituellement ses attaques. Elle se
sent
envahie par des idées tristes, et le souvenir des
ue à la contracture généralisée qui les a envahis. En même temps elle
sent
que sa langue se fixe, la pointe derrière les inc
omplète et l'attaque éclate. Gl..., peu d'instants avant l'attaque,
sent
la pointe de sa langue qui se retourne en haut et
en dehors des attaques. Elle peut n'être pas complète, la piqûre est
sentie
, mais elle n'est pas douloureuse; c'est l'analgés
'est plus une dou-leur, c'est une sensation de suffocation; la malade
sent
à la bas( du cou comme une petite pomme d'api qui
t suivre, en même temps que les signes de l'aura se produisent, Gl...
sent
sa langue s'immobiliser et se contour-ner la poin
ant ses yeux, et en même temps que son intelligence s'obscurcit, elle
sent
sa tête qui se tourne adroite et ses mains qui se
e laisse échapper ses urines, a perdu l'appétit, ne peut dormir et se
sent
en proie à une agitation qui ne lui laisse aucun
artir de ce moment les malades ne voient plus, n'entendent plus et ne
sentent
plus rien; les excitations, la brûlure, les piqûr
n; les excitations, la brûlure, les piqûres ne sont en aucune manière
senties
, et quand après l'accès les malades sont revenues
ans sa voix, dont l'accent devient plein d'angoisse et de terreur, on
sent
que le malheureux ne se laisse pas toucher. Bru
outes les excitations. Elle ne voit rien, elle n'entend rien, elle ne
sent
rien. Rien de ce qui se passe en dehors d'elle ne
stume primitif d'Adam. Sur les six heures, à la suite d'un aura, elle
sent
son bras droit qui tourne, elle croit que c'est l
lusieurs jours à l'avance, de l'invasion de ses attaques : « elle les
sent
venir. » Cependant une vive émotion peut faire éc
elle. Elle a des besoins de remuer, des envies de taquiner, « elle se
sent
en gaieté, » suivant son expres-sion. Puis elle a
u théâtre.) Ce n'est pas plus diffi-cile que ça... Quand on parle, on
sent
ce qu'on dit, et voilà tout. » Tout d'un coup s
heveux... » J'aime mieux les cuirassiers... cependant les bottes ça
sent
mauvais,. Que de lances au soleil!... C'est la re
ise, la mère de Suzanne raconte que celle-ci cherche à s'isoler. Elle
sent
qu'elle va être malade, souffre de partout et pri
des fleurs qu'elle cueille, elle les approche de ses narines pour les
sentir
. Elle voit des papillons qui volent, des oiseanx
elle se penche en avant pour les cueillir. Elle fait le geste de les
sentir
: « Ça sent bon », ajoute-t-elle. —Nouvelle attit
e en avant pour les cueillir. Elle fait le geste de les sentir : « Ça
sent
bon », ajoute-t-elle. —Nouvelle attitude de terre
in, se redresse, se baisse de nouveau, cherche du regard près d'elle,
sent
son oreiller. — Ses yeux se dirigent de nouveau e
re 1879. — Dub... a gardé le compresseur toute la nuit, parce qu'elle
sentait
l'imminence de ses attaques. Ce matin, au moment
faisant de la gymnas-tique, au couvent où elle était en pension, elle
sentit
tout à coup une vio-lente douleur dans le membre
lus violentes. Après s'être couchée comme d'habitude, la malade avait
senti
vers deux heures une violente douleur à la région
ari, était venu la voir. A peine couchée, la douleur ovarique se fait
sentir
, puis la douleur précordiale et la douleur céphal
ôté atteint, une douleur continue ; des élancements très vifs se font
sentir
dans l'épaule presque à chaque minute, et des tir
fin de ces attaques est marquée par un senti-ment de fatigue; elle se
sent
brisée et se plaint amèrement de la douleur consé
ans la tête, puis perte de connaissance. La ma-lade n'entend plus, ne
sent
plus, ne voit plus, ne parle plus. Après un tem
e préférence, mais non exclusivement, au moment des règles. La malade
sent
venir ses attaques et demande à être camisolée. P
étude des névroses extraordinaires, Paris 1874, p. 20. la malade se
sentait
prise d'en ennui indéfinissable, et il lui arriva
e moins, chez les personnes hystériques. »Un spasme violent se fait
sentir
dans tout l'abdomen. Il semble partir delà région
ntrer dans la région épigastrique. Le plus souvent même il ne se fait
sentir
au début que dans cette région. Là aussi, l'on se
e il ne se fait sentir au début que dans cette région. Là aussi, l'on
sent
et l'on voit un mouvement et une contraction ondu
e devant ses yeux, les oreilles lui tintent, un fourmillement se fait
sentir
dans sa tète, et elle éprouve la sensation d'une
elles sont aujourd'hui; je vais essayer de les dépeindre. La malade
sent
l'approclie des attaques; elle en est prévenue pa
ère. Les piqûres d'épingles sur diverses régions du corps ne sont pas
senties
. Pendant tout le temps de l'at-taque le pouls est
dents hystérique's. Quelquefois cette dame cessait de parler; elle se
sentait
embrasée d'un amour divin, confondu avec un amour
gauche. A ce moment aussi je la pinçai avec force; elle ne parut rien
sentir
; je lui enfonçai dans la main une forte épingle :
s : celle du testicule droit nous parut beaucoup plus douloureusement
sentie
que celle du gauche. Tandis que tout le reste du
ne volubilité extrême et de grands éclats de voix. Mademoiselle S...,
sent
combien tout cela est absurde et peut, ajuste tit
yer, les y remet, etc.; un parapluie, elle l'ouvre aussitôt et paraît
sentir
l'orage, car elle frissonne, etc.. Vient-on bru
sens, le tâte par tous les bouts, l'approche même de son nez pour le
sentir
, et finalement en semble fort embarrassée. Si on
-velle est aussitôt acceptée. Elle passe la main dessus et déclare en
sentir
les aspérités. b) . Elle reconnaît l'odeur de l
il suffit de lui dire que c'est du musc pour qu'elle trouve que « ça
sent
en effet très fort » et, comme elle aime beaucoup
tour, à la voix de l'observateur, elle reçoit des coups imaginaires,
sent
l'impression d'un vent froid qui n'existe pas, tr
rémonie religieuse ; la tête penchée en avant, les bras fléchis, elle
sent
son esprit envahi par toute une série d'idées d'h
, par exemple ; si alors on malaxe les muscles avec les mains, on les
sent
se raidir, acquérir la dureté du bois, et le suje
e l'état de suggestion et l'état de somnambulisme se fait encore bien
sentir
dans l'exemple suivant. En plaçant les mains de
, elle se plaint aussitôt du goût amer qu'elle a dans la bouche. Elle
sent
les piqûres qu'on lui a faites au bras droit et à
qu'on lui avait mis, sur le ventre, quelque chose de froid qu'elle ne
sentait
plus : à ce moment, non seulement la malade senti
froid qu'elle ne sentait plus : à ce moment, non seulement la malade
sentit
très exactement qu'elle n'avait plus rien sur le
à elle, dit n'avoir rien éprouvé, rien rêvé pendant son sommeil, mais
sentir
parfaitement qu'elle avait, sur le ventre, quelqu
laisser dans le lit. Pendant 28 heures, aucun changement; on croyait
sentir
déjà un peu l'odeur de la putréfaction ; la cloch
iption d'un accès : Début brusque. Pendant qu'elle cause, la malade
sent
un besoin irrésis-tible de dormir, avec pesanteur
halalgie, d. éblouissements, de douleurs dans les membres qui se font
sentir
exclusivement dans, le coude, et se rapprochent a
ignit de maux d'esto-mac, de douleurs vagues dans le bas-ventre; elle
sentait
une espèce de corps qui lui remontait vers l'œsop
pleurait les yeux fermés. Je vo'dus lui relever la paupière, mais je
sentis
une résistance accoiu'^a.'^aèe d'un clignotement
suit tous les mouvements de l'œil droit. — Le flacon d'ammoniaque est
senti
à droite. La poudre de coloquinte est sentie sur
e flacon d'ammoniaque est senti à droite. La poudre de coloquinte est
sentie
sur la moitié droite de la langue. En lui parlant
fortes, et principalement de l'esprit volatil d'ammo-niaque, qu'elle
sentait
à plus de 10 pieds de distance de son lit. Lorsqu
état, on s'avisait de la piquer pour la faire revenir ou de lui faire
sentir
quelque odeur puante, elle devenait cataleptique;
dans la tête, dans les membres, se cache sous ses couvertures ; elle
sent
, dit-elle, la boule redescendre du cou au bas-ven
remar-quable. Je lui ai pris les deux mains, à ce moment-là, et j'ai
senti
quelques secousses et un léger tremblement qui n'
t des pay-sages, des tableaux qui les charment; l'un d'eux prétendait
sentir
les parfums les plus exquis. Un ancien militaire
dans la nuit. En posant la main à terre pour relever mon oreiller, je
sentais
quelque chose qui cédait, lorsque j'appuyais dess
approcher; car, outre le poids de sa masse informe et dégoûtante, je
sentais
une odeur pestilentielle s'exhaler des baisers do
couleur orange. Je passai subitement mes mains dans mes cheveux; je
sentais
des mil-lions d'insectes me dévorer la tête; j'en
mademoiselle K***; ils étaient devant mes yeux, et, chose inouïe, je
sentais
que j'étais chez moi, que tout ce que je voyais s
ne distance de 4 centimètres, tandis que du côté opposé elles étaient
senties
distinctement à 2 centimètres et 5 dixièmes. Ces
rdait pendant une heure ou deux, puis l'enlevait elle-même quand elle
sentait
que les menaces de mal étaient dissipées. Chez el
appareil, augmentent ou diminuent la compression, suivant qu'elles se
sentent
plus ou moins menacées. De plus, elles peuvent se
les deux côtés du corps. Ainsi aux plaques d'anesthésie qui apparais
sent
du côté de l'application, correspondent des plaqu
plaignaient d'une grande angoisse, et gémissaient comme s'ils eussent
senti
l'approche de la mort, jusqu'à ce qu'on leur eût
t-Jean. « Pendant tout le mois de juin, avant la fête du saint, ils
sentaient
une angoisse et une inquiétude insurmontables; il
ures vulgairement nommées canoniques, tant s'en faut alors qu'elle se
sentît
empêchée que même elle sentait allégement. » Au
niques, tant s'en faut alors qu'elle se sentît empêchée que même elle
sentait
allégement. » Au reste, elle demeura toute hébé
Toutefois, si elle recevait seulement des lettres de l'abbesse, elle
sentait
un frémissement par tout son corps, comme si, de
ecevaient des coups de poing, les autres des soufflets, les autres se
sentaient
excitées à des rires immo-dérés et involontaires.
son exorciste se servait pour enfumer l'un de ses démons. Lorsqu'elle
sentit
de la douleur, elle se retira brusquement des mai
e père Surin parlait à Monsieur, et qu'il allait finir l'exorcisme, d
sentit
les attaques d'Isaacarum, qui le renversa deux fo
s jours le goût du péché par ce mouchoir parfumé, lequel il voyait et
sentait
souvent; mais qu'il se releva, et fit par péniten
s humaines qui l'excitaient à manger, et partout où elle allait, elle
sentait
l'odeur des viandes. Son appétit en était fort ex
'à ce qu'elle l'eiit dit au père confesseur et à sa mère, car elle se
sentit
alors plus forte pour mépriser celte tentation...
t pos-sédant. » La nuit suivante, ladite sœur couchée en sa cellule
sentit
une pesanteur qui se posa par trois fois sur sa t
nt, je suis gaillard, je me rebellerai. » Je lui dis : « 0 infâme! tu
sentiras
bientôt la peine de ta rébellion.» Au môme temps
a fin du même mois de mai. « Unjour, dit le père, étant dehors elle
sentit
une grande douleur à la cuisse droite au-dessus d
presque tous les jours; elle avait mal à l'estomac, et disait qu'elle
sentait
quelque chose qui lui remontait de l'estomac à la
... (Jeanne), quarante-huit ans, non mariée, très vieille hystérique,
sent
des bêtes qui ne sont autres que des diables qui
bien qu'elle ne boive pas de vin habituellement, ses oraissements le
sentent
et en contiennent toujours; ede le reconnaît bien
e père qui parle) plusieurs fois de la mettre debout, mais elle ne se
sentait
pas, et tombait dès que je ne la tenais plus. » {
tation était bornée aux parties supérieures, la piqûre était vivement
sentie
aux jambes, tandis qu'elle ne l'était point aux b
re saignées en 24 heures. L'effet d'un tel traitement se fait bientôt
sentir
, elle est en peu de temps réduite à la dernière e
ut le corps en l'air et me donnait une force que je ne m'étais jamais
sentie
, si bien que plusieurs personnes réunies avaient
ce. Aussitôt qu'ils furent passés et que j'eus repris mes sens, je me
sentis
une tranquillité et une paix intérieure que je n'
rre et je m'éloignais du feu, de crainte d'accidents, aussitôt que je
sentais
l'engourdissement qui précédait les convulsions,
ments dont j'ai parlé ci-dessus avaient beaucoup plus de violence. Je
sentais
toujours quelque soulagement après les con-vulsio
ne neuvaine en f honneur du feu diacre. Le 21 de septembre, elle se
sentit
frappée de terreur à la vue de trois livres de pr
e seconde neuvaine en invoquant Paris ; les nuits sui-vantes, elle se
sent
agitée, émue, en proie à un saisissement et à une
qu'd fallait mortifier la chair... Pendant toute cette journée, elle
sentit
en elle-même de grands feux et elle but beaucoup.
ter au tombeau d'un saint personnage très vénéré des fidèles; elle se
sentit
repoussée en mettant le pied sur les marches de l
sentant en cet état surhumains senti-ments, elle ne connaissait ni ne
sentait
rien de ce qu'on lui fit autour. Moult fois ceci
lui plantaient alênes et la piquaient avec aiguille, quoiqu'elle n'en
sentît
et ne s'en remuât seulement pas. Une fois elle ét
planta méchamment, et onques la sainte mère ne s'en mut ni rien n'en
sentit
; et trouvait-on après les bleus et les fières piq
ouillant sur les pieds tout déchaux (déchaussés) et oncques rien n'en
sentit
; de quoi le Hoi la prit en tel amour qu'il en fit
ommère; mais après, quand elle fut retournée de ce saint ravissement,
sentit
moult grande douleur aux pieds et si fière angois
ois revenue à elle-même, rester plus longtemps dans cet état; mais on
sent
qu'il lui faut faire de grands efforts de volonté
lièrement par la facilité de son emploi, qui permet à la malade « qui
sent
venir ses attaques » de se l'appliquer elle-même,
rat : R... reconnaît des deux narines l'essence de térébenthine; il
sent
l'odeur du chloro- DERMONEUROSE STÉREOSRAPHIQUE
vait faire ses journées de dix heures sans être trop fatigué; il se
sentait
seulement, le soir, toujours les jambes un peu ra
r debout environ dix heures par jour. Au commencement de 1875, il
sentit
ses jambes devenir plus faibles, elles ployaien
il n'a plus cessé de travailler, quoique, à certains moments, il se
sentit
un peu plus fatigué. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI
IDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 31 Au commencement de 1882, il
sentit
ses douleurs d'estomac revenir plus violentes ;
ement progressé, que le 8 avril il a pu marcher sans appui, mais il
sentit
ses membres faibles et lourds pendant quelques
ions. Par contre, de nouveaux symptômes se déclarent : 1° le malade
sentait
la base de son thorax serrée comme dans un étau
sentait la base de son thorax serrée comme dans un étau ; 2° il ne
sentait
pas bien le sol et il lui arrivait fréquemment
embres. ' Au commencement de juin, après une très longue course, il
sent
ses membres s'affaiblir et se ployer sous lui.
l ne frappe pas le sol ; le mouvement de ressort est très léger; il
sent
ses jambes plus fortes et peut faire une heure
é, parfois légères, le plus souvent atroces, au point que le malade
sentait
son canal déchiré, par- couru par des lames de
Vers le commencement de 1884, après un refroidissement, dit-il, il
sent
ses membres faibles. Cette faiblesse, loin de d
oque que la paralysie, tandis que le nôtre, (OBs. XXI) a commencé à
sentir
'la base de son thorax serrée dans un étau, au
frappait plus le soi, le mouvement de ressort était très léger, il
sentait
ses jambes plus fortes et pouvait faire une heu
arfois légères, le plus souvent atroces, au point que le ma- lade
sentait
son canal déchiré, parcouru comme par des lames
u pour prendre de l'air, il a constaté que pendant la marche, il ne
sentait
pas le sol; il croyait, dit-il, qu'il marchait
s inférieurs et, par moments, il les perdait tout à fait; il ne les
sentait
pas. Dix jours après son accident, il est venu
continué quatre jours ce traite- ment et, dès le premier jour, il a
senti
une amélioration considé- rable qui n'a pas tar
emonter. Immédiatement après la décompression brusquement faite, il
sent
des douleurs violentes à l'épaule gauche. Au bo
uer et sans boiter, mais s'il veut dépasser ce temps, il commence à
sentir
delà fatigue à son membre inférieur droit, qui
sensation de la friction. On l'avait pincé aussi et il n'aurait pas
senti
. Pas de troubles de la vessie, du rectum et des
-être un peu au- dessus de sa racine; quand on le pinçait, il ne le
sentait
pas. Le malade à ce moment aurait eu un certain
s avons appris qu'il lui arrivait parfois après la décompression de
sentir
son membre plus fatigue, plus lourd, et sa marc
er des mouvements aux arti- culations du membre inférieur droit, on
sent
une résistance très marquée, bien que le malade
assifs au membre paraly- tique du malade de t'OBSERVATiON XXVII, on
sent
une résistance notable, sans que le malade s'y
llets courts et blonds. Les mamelles ne sont pas développées. On ne
sent
pas trace do glande sous les mamelons. La parti
tre, Wau...., dont nous parlerons plus tard, il n'a été possible de
sentir
la glande thyroïde : il ne paraît y avoir rien
rée. M. JOLLY. Alcool et maladies de l'appareil sexuel ne condui-
sent
pas forcément à cette forme de délire. Chez les v
, sa matière, concerne l'Examen du malade au moment où il se pré-
sente
sous les yeux de l'observateur. 1° De quoi se pla
sur le parcours du nerf sciatique ; ces douleurs se firent d'abord
sentir
dans la jambe droite.seulement ; parfois douleurs
célibataire, entra à l'hôpital de la Yausa, le 28 octobre 4886. Se
sent
malade depuis deux ou trois mois au plus; ressent
n particulièrement diminuée. Hyperesthésie au froid. La malade ne
sent
pas les objets chauds appliqués aux endroits atte
vement, une anesthésie incomplète. Ces derniers temps, se sont fait
sentir
de temps à autre des douleurs lancinantes dans
sensibilité à la température est aussi très affai- blie, la malade
sent
à peine le contact des objets chauds. Force dan
aphe, il dit que si la cécité verbale et l'hémianopsie reconnais-
sent
le même siège dans le cerveau, les deux phéno-
uentes; je me bornerai à rapporter trois observations, qui suffi-
sent
amplement pour donner une idée de cette forme.
été fatigué. Un quart d'heure se passe pendant lequel le malade se
sent
parfaitement bien portant. Au bout de ce temps,
Quel que soit le type que cette forme puisse affecter, elle pré-
sente
toujours les mêmes caractères, qui sont au nombre
u point qu'il poussait des cris déchirants, quand soudain le malade
sent
de l'air sortir de son oreille en sifflant; ce
nlèvement du casque, c'était à 7 heures du matin, le scaphandrier a
senti
un malaise général indéfinissable ; un de ses c
ctives auraient été en même temps rouges. Aussitôt après, le malade
sent
son bras gauche extrêmement lourd et il ne peut
e frottait ou qu'on touchait le côté gauche de son corps, le malade
sentait
très bien. Il se plaignait seulement de douleur
bre inférieur droit, sans troubles de la sensibilité, car le malade
sentait
bien, quand on le touchait ou qu'on le pinçait,
fs cubital et médian. Quand on pince la paume de sa main gauche, il
sent
des engourdissements dans les doigts. Pas d'aut
lles se divisent en deux groupes : les unes, plus nombreuses pas-
sent
dans la région antéro-interne des cordons de Burd
quantité à diverses époques de l'examen; des fluctuations se Firent
sentir
pour les régions considérées à des intervalles
e non seulement les médecins, mais encore les magistrats connais-
sent
à fond les dangers de l'hypnotisme et de la sugge
ment les substratums optiques des notions et des objets qui pré-
sentent
des lacunes. En effet, on constate en même temps
e au traite- ment parle mercure et cela quoique les malades nias-
sent
opiniâtrement avoir eu la syphilis. Il n'y a pas
tion, étaient des douleurs fulgurantes typiques. Parfois se faisait
sentir
une douleur continue, térébranle, dans l'articu
Cependant, I... continua à travailler et, pondant tout l'été, il se
sentit
relativement assez bien. En août 1886, le mal
a rate qui a un peu augmenté de volume; tous les soirs le malade se
sent
mal. Température, le matin, 36° 4; le soir, ell
érature tombe, le matin à 36° 4 et le soir à 36° 8, et le malade se
sent
beaucoup mieux. Pouls de moyenne tension, 78 pu
peine aux jambes, même avec un écart de 20°; le plus souvent, il ne
sent
absolument pas les objets chauds appliqués à ce
solument pas les objets chauds appliqués à cet endroit tandis qu'il
sent
les objets froids et peut tout de suite en indiqu
nt affaiblie ; dans la région des deux crista* tibia;, le malade ne
sent
pas même la plus fo1te pression; dans les hanch
ermittente puisque les douleurs lancinantes typiques s'étaient fait
sentir
en 1880, tan- dis que la fièvre intermittente n
l'examen au moyen du compas de Weber; les contacts simples étaient
sentis
presque partout par le malade. 390 pathologie n
es conditions de travail. Aussitôt après l'enlèvement du casque, il
sent
des vertiges telle- ment forts qu'il a crié : «
tes environ après la décompression et l'enlèvement du casque, il se
sent
étourdi et bientôt après il perd complètement c
sable, disant à ses compagnons qu'il ne va pas bien.A ce moment, il
sent
que sa tête tournait et bientôt après, il a per
fond, la décom- pression était brusque comme toujours. Il n'a plus
senti
au fond de la mer, c'est-à-dire pendant la comp
décompression et l'enlèvement du casque, le scaphandrier n'a rien
senti
, mais aussitôt après, il a été pris de vertiges e
ante qui, après la décompression et l'enlèvement de son casque, a
senti
des douleurs intenses à l'hypocondre droit : Je
à celle qui se trouvait-surie bateau. Immédiatement, le plongeur se
sent
.serré par le costume. On le retire violemment,
IQUE NERVEUSE. Si on le pinçait, on le frottait, on le touchait, il
sentait
très bien. Il n'y avait pas de troubles de la v
es au même endroit. Il avait déjà, fait cinq im- mersions sans rien
sentir
. Inutile de répéter que la décompression était
a néces- sité le sondage. La constipation est opiniâtre. Le malade
sentait
bien quand on le pinçait et quand on le louchai
commencement de septembre, il a commencé son métier dès qu'il s'est
senti
capable de remuer un peu ses membres. Le mieu
t senti capable de remuer un peu ses membres. Le mieux se faisait
sentir
d'un jour à l'autre. Les membres reprenaient de
boitement. C'est seulement après une longue course que notre .homme
sent
de la fatigue à ce membre. Son membre parélique
la pendant quelque temps marcher à la guérison. 11 commença alors à
sentir
le besoin d'uriner et à remuer les doigts des p
ses à une grande profondeur de vingt-six à trente brasses, il avait
senti
, en remon- tant, après l'enlèvement du casque,
vessie, survint l'inflammation de celle-ci. Le ma- lade commença à
sentir
des douleurs fortes à l'hypogastre ; la vessie
de moins de vingt brasses. Dix jours avant son dernier acci- dent,
sentit
après une immersion des douleurs fortes à la nuqu
brasses. Après la décompres- sion et l'enlèvement du casque, il se
sentait
bien; il fuma et il se préparait à une nouvelle
vertébrale, que le malade, par de petits mouvements, montrait qu'il
sentait
. Puis toute sa tête se gonfla, prit une couleur
finie ce jour-là. Mais après avoir déposé la tunique irnmersive, il
sentit
des douleurs et des engourdissements aux membre
es lèvres, des paupières... qui ne cessent que lorsque la malade se
sent
toute seule, isolée, non excitée. Pareille chos
monde; et, d'un autre côté, la sensation élec- trique est vivement
sentie
, car tout le corps devient presque trem- blant.
compresses imbibées d'une solution de cocaïne. Cette dame voyait et
sentait
de petits vers sur ses mains. Accidents céréb
fait part de ses travaux sur cette question importante. On peut se
sentir
attiré par cette séduction qui se dégage d'un v
d'un concours international. Non seulement, leur influence se fait
sentir
sur l'universalité des travaux spéciaux publiés
magrées en apparence insignifiantes et ridicules, pourra les forcer à
sentir
, à penser, à vouloir et à agir absolument comme i
é et sa sagesse ont investi de la balance et du glaive souverains, se
sent
troublé dans sa conscience et se surprend sans vo
t encore un accès de colique durant environ cinq minutes. En outre il
sentait
toujours à trois travers de doigts, à droite de l
nale la région qui est à droite de l'ombilic; par moments, dit-il, il
sent
le ventre se gonfler à ce nivea'u. Je presse alor
ne se souvenait de rien, ne savait pas que je lui eusse parlé. Il ne
sentait
plus du tout la douleur abdominale et on pouvait
eut le plier. Tu ne le sens plus. Je le pique avec une épingle. Il ne
sent
rien et ne réagit pas. Je le fais mettre debout :
x nouvelles séances le même jour, après la conférence, l'enfant ne la
sent
presque plus. C'est là une douleur de cause organ
eut se rendormir, et le lendemain 26, l'enfant va bien et dit ne plus
sentir
la douleur que lorsqu'il tousse. La température,
suggestion, le 30, il dit n'avoir presque plus toussé et n'avoir plus
senti
ses points douloureux. Il dort bien et a de l'app
décembre je l'enlève par suggestion ; et, jusqu'au 3 décembre, il ne
sentit
plus rien, qu'un léger point quand il tousse. En
onviction que la douleur va se dissiper, que dans trois minutes il ne
sentira
plus absolument rien ; je maintiens ma main appli
ndément sans qu'il ressente rien. Il ne réagit plus et avoue qu'il ne
sent
plus rien. Au réveil, il constate que, en effet,
mage de la Trinité qui lui représentait d'une façon sensible ce qu'il
sentait
en dedans... » Il vit Jésus, il vit la Vierge,
nesthésie et l'analgésie étaient complètes, de sorte que le malade ne
sentait
pas le sol, ce qui expliquait les hésitations de
e lui ai suggéré la disparition de cette douleur. Au réveil, il ne la
sentait
plus et ne l'a plus ressentie depuis. Voyez la ph
, tu ne le sens plus. » Je le pique en effet avec une épingle ; il ne
sent
rien. Je lui donne une hallucination rétroactive
région douloureuse, j'affirme que la sensibilité disparait, qu'il ne
sentira
plus rien. Mais sa figure maussade, rechignée, in
ggestion. Interrogé pendant son sommeil, il dit avec insistance qu'il
sent
toujours la douleur. Le lendemain 11, la douleu
du vertige, et serait tombé s'il ne s'était recouché. Par moments, il
sent
encore une constric-tion laryngée. Quand il a man
ents, il sent encore une constric-tion laryngée. Quand il a mangé, il
sent
une douleur dans la région épigastrique, « comme
nutile. Je ne t'endors plus. Cela guérira tout seul. » Le 19, il se
sent
un peu mieux, d'une façon générale, mais il n'a d
otablement diminué. Les jours suivants, il continue spontanément à se
sentir
mieux, il ne se plaint plus. Le 4 janvier, il n
lait et le vomissent, qui ne sont pas soulagé par la morphine, qui se
sentent
surexcités par le bromure, qui ressentent, à la s
uve toujours à ce niveau une sensation de brûlure. Depuis un an, il
sent
le matin, quand il fait froid, des élancements et
s- paraissent qu'après une heure de travail. De plus, à gauche il
sent
constamment des picotements douloureux qui s'éten
utes. Quand cette douleur est très forte ou quand il a une crampe, il
sent
que la face antéro-externe de la cuisse est comme
eurs hier, ni de crampes dans la nuit. Mais depuis ce matin, 28, il
sent
de nouveau sa douleur habituelle du poignet au co
jà à l'âge de 25 ans, alors qu'elle étuit cuisinière, elle ne pouvait
sentir
l'odeur du brûlé sans être oppressée. Elle dut re
toute la nuit. Au réveil, elle n'avait plus son mal de tête et se
sentait
comme desserrée. La nuit suivante, elle dormit tr
ans les bras qui me semblaient avoir perdu toute pesanteur, puis j'ai
senti
, à mon grand étonneinent, mes bras s'écarter de m
mon corps et s'élever en l'air malgré moi.» Un autre me disait avoir
senti
brusquement ses deux bras partir en avant, malgré
tement. Dans les mouvements de locomotion totale, tous affirment se
sentir
poussés en avant, attirés dans la direction voulu
les êtres animés, les personnes qui l'entourent, le sujet peut faire
sentir
son impulsion, ou, si l'on veut, l'impression du
urant réel. Si la suggestion agit à ce point lorsque les malades ne
sentent
pas les courants, on comprend quelle part bien pl
ien plus grande doit revenir à la psychothérapie lorsque les patients
sentent
les effets immédiats du passage de l'électricité.
es générales qui traversent l'esprit et que, malgré sa banalité, X...
sent
devoir provoquer une attaque. Cette idée s'impose
i la crise le surprend quand il écrit, il ne s'arrête pas, bien qu'il
sente
grossir l'idée ; il ne lâche pas son porte-plume,
avant ou après la crise. Un jour étant en voiture et conduisant, il
sentit
venir une attaque, il était assis auprès du coche
veut se faire aimer, récompenser, etc. ; qu'en se réveillant elle se
sentira
déjà meilleure, qu'elle n'aura plus sa douleur du
e et parait contente. L'enfant dit qu'elle se trouve mieux, elle ne
sent
plus sa douleur de côté, elle est plus sensible a
r qu'on pouvait parfaitement avoir le vertige sans le savoir, sans le
sentir
, et ne le reconnaître qu'objectivement soit aux t
urs effets secondaires. Nous ignorons que nous transpirons et nous le
sentons
quand la sueur nous coule sur la peau ; sentons-n
ranspirons et nous le sentons quand la sueur nous coule sur la peau ;
sentons
-nous que nous contractons nos muscles, que nous d
orticalité, et son image dans la conscience. Avoir peur est éprouver,
sentir
, ce trouble ; avoir la peur est la subir simpleme
simplement. A voir peur de quelque chose est tomber dans ce trouble,
senti
ou non, à l'occasion de cette chose. On peut av
nti ou non, à l'occasion de cette chose. On peut avoir peur sans le
sentir
. L'attention même que sollicite un danger semble
tion bulbaire, il est hors de doute que le trouble bulbaire peut être
senti
en haut lieu, et qu'il est provoqué, avec une gra
facilement de tout ; il ne craint que certaines choses et surtout il
sent
d'une façon très aiguë sa peur, la prévoit, la cr
'est pas d'ailleurs bien rare chez les malades de cette catégorie. Il
sentait
sa tête devenir énorme, immense, se perdant dans
tte sensation s'accompagnait parfois chez lui d'une peur folle, qu'il
sentait
absurde, mais qui l'obsédait, qu'il cherchait à c
orte migraine, que l'on déguste un moment pour l'oublier aussitôt. Se
sentir
bien, ne pas souffrir, ce qui est en réalité une
i donc que la confiance en elle-même augmenterait chaque fois qu'elle
sentirait
le parfum que je versai, pendant le sommeil hypno
ulant que personne ne pût soupçonner l'étrange inlirmité dont elle se
sentait
atteinte, ses efforts de tous les instants étaien
ou de porter un regard, à l'instant même et par ce seul fait, elle se
sentait
prise d'un malaise indéfinissable, d'un serrement
d'une manière courte, mais elle ne parlait jamais spontanément ; elle
sentait
son état, elle s'en plaignait et disait tristemen
anière, leur position agissait considérablement sur mes rêves ; je me
sentais
, en rêve, montant des collines ou des montagnes.
n était autrement, il se passait souvent que la personne disait avoir
senti
, le lendemain, une courbature dans le membre en q
entier, par les couvertures de lit; on est ordinairement restreint à
sentir
une seule courbature ou un seul contact (ou un pe
uvement ; donc, la conscience fatiguée qui aime à exagérer ce qu'elle
sent
conçoit la sensation indistincte (qui dépend, en
uvent qu'il put. Après quelque temps de cette excitation malsaine, il
sentit
un jour, à la récréation de sa pension, sa vue se
lus que jamais, à ses mauvaises habitudes. Quelquefois, cependant, il
sentait
pendant le jour, les symptômes avant-coureurs de
coucher chez ce dernier, et il commençait à fermer les yeux, quand il
sentit
les approches de la crise l'envahir. Comme d'habi
des absences d'une minute de durée, si bien que lorsque je ne me
sentais
pas bien et que j'étais obligé d'aller par les ru
ette névrose. X..., en effet, sans éprouver d'aura proprement dite,
sent
dès son enfance ses crises le menacer; il pâlit,
rement dite, sent dès son enfance ses crises le menacer; il pâlit, se
sent
mal à l'aise; la crainte l'envahit, il est effray
e de cinq ans, alors même qu'il ignore le danger qui le menace, il se
sent
bouleversé, il va se plaindre au maître de la réc
rison du trouble anatomique qui lui a donné naissance ; à force de la
sentir
, la cellule centrale ou périphérique établirait d
de la recevoir ou l'a repoussec avec dureté. Actuellement encore elle
sent
qu'elle cherchera encore par tous les moyens
ggérai dans ce but d'être davantage maîtresse d'elle-même, de ne plus
sentir
l'obsession qui la poussait, malgré elle, à cherc
ée de relatif. L'influence de ces philosophes ne tarda pas à se faire
sentir
dans le domaine de la responsabilité et l'on vit
çon notable, et, quand il se trouve dans un endroit quelconque, il se
sent
pris d'un besoin de s'emparer de ce qu'il voit.
n âge, où l'on se tâte le pouls avec plus d'inquiétude. Je commence à
sentir
plus pesamment le besoin du sommeil, que je n'ava
porc », et je serais assez de leur avis. C'est une jouissance de
sentir
sur la poitrine et le ventre la fraîcheur du drap
En contrôlant à l'aide des mains les pieds d'Eusapia, j'y aï toujours
senti
une forte tension et comme un effort, reprimé à t
astique (Prus, Reichman); les contrôleurs disent à haute voix, qu'ils
sentent
les pieds du médium sur les siens. Après une atte
t suffisamment éclairée, et voilà ce que nous avons vu et ce que j'ai
senti
, moi, outre cela, par les mains. Chaque fois que
me mets contrôleur de gauche, Swiencicki, celui de droite; pour mieux
sentir
les pieds j'enlève à Eusapia les chaussures. Bien
ôt le Dr Matuszewski crie qu'il est touché; en ce moment j'avais déjà
senti
l'attouchement, ainsi la simultanéité est presque
t presque sûre ; les mains et les pieds sont à ce moment en ordre. Je
sentis
la première (et la dernière) fois une main grande
'impression d'une main beaucoup plus grande, que celle qu'on a vue ou
sentie
avant peu. La plus grande partie des attouchement
usapia. Certes, c'était un moment extraordinaire pour moi, mais je me
sentais
les sens normaux. Soudain, j'entendis le bruit ca
médico-psychologiques, le jeune officier qui en faisait l'objet ne se
sentait
défaillir et n'était pris de son angoisse indéfin
e « lorsque Eusapia en état de catalepsie s'appuya sur son épaule, il
sentit
le coup du bras de la chaise, qui soudain s'était
'obscurité à coté d'Eusapia et touchant ses main et jambe gauches, je
sentis
quelque chose gratter sur ma manche; m'étant levé
t peu nombreuses. M. le Dr Higier dit (Compte-rendu, p. 5), qu'il l'a
senti
trois fois, chaque fois à distance excluant la su
excluant la supposition du souffle mécanique ; une seule fois il l'?
senti
de deux côtés, une fois sur la main droite, une f
fois sur la main droite, une fois sur la main gauche ; une seule fois
sentit
le souffle, en même temps que lui, son voisin, M.
seul à le constater.— M. Siemiradzki « Compte-rendu » (p. 6) : « J'ai
senti
distinctement, mais pas à chaque séance ; aux mai
leva une fois ma main au-dessus de la moitié gauche de sa tête, et je
sentis
alors distinctement un souffle froid, allant de l
x pas m'en expliquer la cause. « Le Dr Harusewicz (4) affirme n'avoir
senti
le soffio freddo pas une seule fois, malgré que l
ena au-dessus de sa tête. J'ai eu l'impression absolument comme si je
sentais
le « souffle électrique ». M. Ochorowicz affirmai
n. Le même jour Eusapia tint ma main au-dessus de sa tête, mais je ne
sentis
plus aucun souffle, seulement un froid très peu s
aché entre les doigts le papier avec l'herbe), je demandai si elle se
sentait
très fatiguée. Eusapia fit soudain un mouvement e
ra, avec un étonnement encore plus grand, qu'elle avait distinctement
senti
une autre main qui la touchait avec la mienne. Po
n il fût à 5 centimètres environ plus bas que le genou droit. Puis je
sentis
que le genou tournait sur l'axe de la cuisse de l
lation du genou, mais son côté extérieur. Enfin, le genou s'éleva, je
sentis
dans son articulation un mouvement qui révélait l
tte position tout le temps qu'on photographiait la table, et alors je
sentais
distinctement sous mes doigts un léger tremblemen
tact. A un moment (où mon genou était le plus avancé vers Eusapia) je
sentis
un léger coup du côté extérieur du genou, tandis
ce que je faisais des miennes. Je demandai à l'autre contrôleur, s'il
sentait
le pied du médium? « Oh ! oui, je sens bien le ta
chez 80 0/0 de ces sectaires, des hallucinations de l'odorat. Ils se
sentaient
, mutuellement, pour retrouver les émanations de l
chose au monde, excepté à la musique qui va vous être jouée; vous ne
sentirez
et vous ne connaîtrez rien que cette musique. Une
s de la nutrition, et d'éprouver consécutivement de la lassitude : il
sent
alors le besoin d'arrêter le mouvement de sa pens
c, avant, toujours dans l'attente et prête à recevoir les impressions
senties
que le corps éprouve, n'importe de quels points e
mpagne celle de dormir : l'idée de son hypnotiseur qu'il n'a cessé de
sentir
et d'entendre, ce que démontre l'inertie catalept
ans ses mains, sur la planche, et après 8-10 minutes, Eusapia déclara
sentir
un vent froid dans les mains, un engourdissement
ésidait à Marseille. fin février 1887, un tremblement de terre se fit
sentir
sur le littoral méditerranéen. Louise G... était
le, et donne la description suivante de cet artifice (N° 18): « Ayant
senti
l'absence momentanée de la main d'Eusapia sur la
ouchent ma main par une surface toujours croissante jusqu'à ce que je
sente
la main tout entière sur la mienne. — Je m'expliq
médecin toujours disposé à lui venir en aide si le besoin se faisait
sentir
, soit afin de prévenir une rechute, soit pour le
droit. « Mais ce n'est rien, dit-elle n ; et le lendemain, elle ne la
sentait
plus. Les douleurs de tête et du genou furent e
les doigts; ces sensations croissent toujours, et en même temps elle
sent
dans la région inférieure de la colonne vertébral
rononcés par M. Szydlowski d'une voix lente et sonore, les assistants
sentirent
un frisson les traverser; un vent froid se fit se
s assistants sentirent un frisson les traverser; un vent froid se fit
sentir
et, soudain, se dessinèrent des formes, des perso
ns polyurie, qui se maintenait dans des conditions de santé bonne, se
sentait
fort, vaquait à ses affaires, n'était rien moins
lèbres. Il demandait, dans l'intérêt bien entendu de tous ceux qui se
sentent
la vocation d'enseigner, que le professorat ne fû
le transporte sur un brancard dans la piscine. A peine dans l'eau, il
sent
une force extraordinaire qui le pénètre, il se re
, est praticien dans l'art de forer des puits et non ingénieur, ne se
sentait
pas responsable et ne croyait pas même avoir comm
ngée, que son arme est inoffensive et son acte sans conséquence? Elle
sent
que tous ceux qui sont là sont momentanément des
t la pitié de son fils ou le secours de témoins indignés. Lui-même se
sentirait
mû par un motif quelconque, absurde où vraisembla
continué à être sous la plus pénible des impressions. J'avais beau me
sentir
éveillé, me raisonner . et m'exciter à la joie en
eut lui parler. » Encore une fois, tout cela me prouve que Mme C...
sent
qu'on lui commande une chose innocente. II eût ét
trouver, me dit qu'il n'a pas fumé depuis la dernière séance ; il se
sent
un peu mal à l'aise, il a de fréquents bâillement
tel sujetqui admet sans peine qu'il est en sucre ou en verre, qui se
sent
fondre sous la pluie ou casser en morceaux par de
la malade de ne plus souffrir, lui affirmant qu'à son réveil elle se
sentirait
très calme et passerait une bonne nuit. Je l'év
n de lui faire la suggestion suivante : « A chaque fois que vous vous
sentirez
prise de malaises qui vous indiquent d'ordinaire
mule sans valeur. a Celui qui s'adresse à Dieu, disent les prêtres,
sent
dans son âme le courage nécessaire pour accomplir
dissements nourris prouvent que ces quelques paroles ont clé vivement
senties
par l'auditoire. En effet, Brown-Sequard a plus
temps, l'état d'esprit s'améliorait, elle était moins déprimée, et se
sentait
plus heureuse qu'elle ne l'avait été depuis longt
e l'anesthésie dans les membres droits. Le chatouillement n'est pas
senti
à la plante du pied droit. La parole est nette,
et de courage les difficultés d'une existence assez laborieuse. Il se
sent
capable de résister aux entraînements les plus di
rsqu'on pique avec une épingle la plante du pied gauche, la malade ne
sent
rien, mais il y a de l'hyperesthésie du pied droi
ne crise complète : « A peine rentrées dans la case-infirmerie, elles
sentent
venir la crise et demandent la présence du Père.
n les poussera. Etant, par eux-mêmes, impuissants à faire effort pour
sentir
, remuer des idées et agir, ils sont de toute néce
uvent avec subconscience : les sujets, ayant leur activité amoindrie,
sentent
encore et même enregistrent des idées, mais n'ont
mauvaise habitude se transforma en un besoin irrésistible; elle ne se
sentait
bien qu'après avoir prisplu-sieurs petits verres
résultats; au contraire, ce besoin de boire qui d'abord ne se faisait
sentir
qu'à des intervalles plus ou moins longs, pendant
puis le début du mois de mars. Quand elle marche dans la rue, elle se
sent
prise tout d'un coup d'un grand vertige, le sol s
out d'un coup d'un grand vertige, le sol se dérobe sous elle, elle se
sent
précipitée en avant et doit se raccrocher aux arb
e temps en temps, sans raison apparente, elle sursaute, frissonne, se
sent
, dit-elle, envahie par une grande peur, mais ne p
t uniquement de l'eau. Elle n'avait aucun goût pour l'alcool et ne se
sentait
aucunement le désir de fréquenter les cabarets et
e. Mais, de temps en temps, surtout au moment de ses époques, elle se
sentait
mal à l'aise, éprouvait une angoisse toute partic
crire cette impulsion qui l'entraîne. Elle raconte bien qu'elle s'est
sentie
malade et angoissée au milieu de son travail, mai
chute imaginaire déterminait un soubresaut qui la réveillait. Elle se
sentait
alors tomber en avant sans savoir pourquoi, et ép
t, de s'incliner devant quelqu'un. Le médium dit généralement avoir
senti
quelque chose de plus ou moins irrésistible, comm
Vous avez entendu notre appel et y avez répondu comme des hommes qui
sentent
la nécessité, l’urgence detendre l’action de l’or
sur un système nerveux, mais sur des corps inertes, incapables de le
sentir
; il y reste comme l’agent invisible enchaîné dans
celte barrière du doutequime blesse et m’opprime. Christophe Colomb
sentait
en lui qu’il existait un monde inconnu ; il y men
la personne malade ou sur la partie du corps où la douleur se faisait
sentir
. Son action ainsi dirigée a produit des effets ét
rée se prolongeait, et le roi, contre sa coutume, ne leur faisait pas
sentir
, en leur donnant le bonsoir, qu’il était temps de
plus belle chasse aux’savants qu'il était possible d’espérer. Vous
sentez
bien que s’ils eussent mis le pied chez vous, vou
éfenseur, suffit pour attirer sur soi la haine des honnêtes gens, qui
sentent
toute leur indignation se soulever à ce mot, sans
mbule magnétique, mais en le piquant partout, il dit toujours ne rien
sentir
. Nous essayâmes alors de le réveiller davantage e
der doucement son m/issiik sur la tète et le dos. On lui demanda s’il
sentait
quelque chose, il répondit que non. Au bout de G
x hommes eût pu être opéré presque sans limites, non sans paraître le
sentir
, mais sans en avoir connaissance après; préciséme
e et subite au cœur, il ressentit immédiatement de l’effet, et disait
sentir
dans la poitrine, sous l’influence de ma main, co
e qu’il éprouvait provoquait chaque jour davantage son étonnement. Il
sentait
tous les organes qui se trouvaient successivement
ilité était rendue à toute cette jambe en portant sa main partout. Il
sentait
une force nouvelle la parcourir, ce dont il offra
se. Après une demi-heure d’eflorts de ma part, elle me dit qu’elle ne
sentait
rien, el sur la remarque que je lui lis que dans
ne l’agiterait point comme on le lui avait fait craindre, car elle se
sentait
dans un calme extraordinaire et un bien-être parf
ie sur le malade, au bout d’une demi-heure il me dit qn’il avait bien
senti
quelque effet, mais que ce lui paraissait être pe
pressantes exhortations, il consent à essayer devant moi, bientôt il
sent
qu'il a de l’action et me promet de continuer ; m
te ce nom, charme à tel point, qu’après deux ou trois auditions on se
sent
comme les derwisches pris du désir de tourner, et
point partagé par le lecteur; revenons donc au magnétisme. Qui n’a
senti
la force de cet agent mystérieux ? Il y a quelque
ppe aussitôt. » — Les bienfaits de la liberté commencent à se faire
sentir
en Italie. Le Journal du Magnétisme que nous ne p
dont nous faisons partie intégrante. C’est dans cet astre que nous
sentons
l’idée de Y Etre suprême se réaliser : c’est lui
re une force, une direction à ces perceptions, et c’est là où se fait
sentir
l’action, la volonté du magicien. >i (Ici l’
toute hâte par des bâtiments plus légers. La même attraction se fait
sentir
sur le lac Saginaga, où un bateau chargé ne march
es assistants. Il n’est pas une médiocrité, au contraire, qui n’ait
senti
doubler son esprit, ses grâces et son amabilité o
ne parole raisonnable ? Ne vous est-il pas arrivé, au contraire, de
sentir
doubler vos facultés dans la conversation d’un gr
lui avec une dose d’esprit et de moyens inaccoutumés ? Quintilien a
senti
et décrit lui-même cet effet, quand il a dit :
e de temps à la réflexion. L’homme peut bien penser, se souvenir et
sentir
; mais il n'a plus le temps de penser qu’il pense,
e temps de penser qu’il pense, de se souvenir qu’il se souvient et de
sentir
qu'il sent; en un mot, il en est réduit aux facul
nser qu’il pense, de se souvenir qu’il se souvient et de sentir qu'il
sent
; en un mot, il en est réduit aux facultés de l’an
moment où je magnétisais l’estomac du petit malade, sa pauvre mère le
sentit
et éprouva les mêmes effets que la veille. Par
on aliment; qu’importe que la mère soit éloignée de son rejeton, elle
sent
ses besoins, en est avertie par l’instinct et par
nche et un grand s’appelle le roi du peuple. Grande commotion se fera
sentir
chez les gens, parce que la couronne sera posée p
ejolles en dirigeant toute l'action aux jambes. Très-allectihle, il
sentait
aussitôt la chaleur, ilont sa tète lui semblait ê
’âme, mais l’intellect, jamais. » Je répète donc que j’ai seulement
senti
à moitié, et que je n’ai jamais cru intellectuell
nous attachons à l’ëther lumineux. Si nous prenons la dernière, nous
sentons
une presque irrésistible tentation de la classer
us en plus, dans le monde, la pratique d’un grand bienfait; car on se
sent
porté à imiter ceux qui ont eu le bonheur de fair
de ses pieds fut naturelle, et il put rester debout, pourvu qu’il se
sentit
maintenu. Après trois mois il s’esl mis à gazou
, les médecins d’ici sont comme généralement ceux d’ailleurs ; ils se
sentent
au cœur peu de sympathie pour le magnétisme ; que
ut dans les côtés d’horribles douleurs dont le retentissement se fait
sentir
jusque dans les reins. Elle est privée de repos l
d’environ 800 pages, écrit sous la dictée du somnambule Davis). On se
sentirait
d’abord porté à en contester l’origine, si elle n
les chants avaient recommencé, la monomanie était revenue, mais il se
sentait
dans les bras et dans les jambes des douleurs tel
te première séance, après vingt minutes de magnétisation, Suire ne se
sentait
absolument de rien, et au point que venu en charr
à leur sixième édition : c’est assez dire que leur influence se fera
sentir
, qu’ils auront des imitations. Le magnétisme an
e n’est pas autre chose, dit-il, que le pôle actif de la puissance de
sentir
à distance, faculté constatée suffisamment par le
vraie pensée de l’auteur, et, pour mon compte, je suis tout prêt à me
sentir
l’ambition qu’il possède. Je n’ai aucune répugnan
. Chacun d'eux, en dehors de l’établissement raconte ce qu’il a vu ou
senti
} de sorte que par ce moyen j’espère faire passer
fuse, disant qu elle n’aime pas s’arrêter aux choses d’ici-bas, et se
sent
disposée à s’élever aux régions célestes. On la p
leuze, qu’on observe les somnambules qui voient leurs maladiçs ou qui
sentent
celles des personnes avec lesquelles on les met e
ils continueraient d’avoir la vogue? On a appris déjà que l’être qui
sent
vos souffrances, qui vous les indique, sans qu’un
dit avoir un reptile dans les entrailles : il vous assurera qu’il en
sent
les mouvements, les ondulations, tout ce qui enfi
urir de côté et d autre sans pouvoir m'arrêter nulle part ; enfin, je
sentais
, si cet état avait duré, la vie m’échapper. J’a
rès-molle, cependant ce n’est pas de la vase. Attendez, laissez-moi
sentir
..... C’est... Ah! que c’est drôle ! c'est de la
re les individus accusés du crime de sorcellerie. » Toutefois, l’on
sentait
bien par moments que ces preuves étaient insuffis
ciais ce courant. 11 arrivait souvent qu’absorbépar mon travail je le
sentais
comme une atmosphère lourde et tiède répandue aut
eurs forces ensemble pour arriver à ces résultats transcendants. Je
sentais
de plus en plus les progrès de ce personnage occu
moi ses rapports incessants. Dès le moment où je me mettais au lit je
sentais
son action d'une manière plus intense, si bien qu
lle était assise, les jambes croisées 1 une sur l’autre, parce que je
sentais
sur moi-même la contraction de tel ou (cl muscle
gique. Le rapport entre nous avait pris des proportions telles que je
sentais
à une grande distance les mouvements de mon magné
son escalier, un petit tremblement nerveux agitait mes jambes, et je
sentais
à mes pieds les mouvements articulaires des siens
e ce malin esprit. C’est lorsque je m’en occupais sérieusement que je
sentais
davantage l’action de mon magnétiseur. J ^ compri
dit que le rapport qui m unissait à cet homme était si étroit que je
sentais
à distance ses mouvements, ses gestes, ses pose
ceptible de plaisir dès qu’on cesse de l’être de douleur ? Si nous ne
sentons
plus ni peine ni plaisir, peut-on dire que r,ous
l y avait trois quarts d’heure que j’agissais de la sorte, lorsque je
sentis
à ses mouvements qu’il se disposait à sortir; je
ces sensations iui étaient transmises. Je crois du moins qu’il ne les
sentait
que lorsqu'elles provenaient d'un acte sans prémé
forçait ou diminuait la douleur à son gré suivant le courage qu’il se
sentait
pour y résister. 11 était d’ailleurs soutenu par
en résulter quelque catastrophe puisqu’il était sur de l'impunité. Je
sentais
en outre que si j'avais acquis quelque pouvoir su
jusqu’à ce jour l’exécution des travaux qui m’avaient été confiés. Je
sentais
donc la nécessité de les reprendre ; malgré cela
le. Maintenant dix-neuf mois se sont écoulés depuis le jour où je
sentis
pour la première fois les atteintes de ce pouvoir
nsations que celles de son sujet, il ne peut voir, entendre, toucher,
sentir
et goûter que ce que ce dernier voit, entend, tou
toucher, sentir et goûter que ce que ce dernier voit, entend, touche,
sent
et goûte, et vice versd. Ils ne peuvent dépasser
ièrement concentrées sur le tube alimentaire. Lorsque la faim se fait
sentir
, l’enfant porte naturellement sa bouche vers le s
l ( Orationes sacra;, p. 5?.5 ), toucher en quelque sorte le Dieu, et
sentir
son arrivée; j’étais entre le sommeil et la veill
e suivre. D’après l’opinion de Camérarius, il y a des personnes qui
sentent
la mort de leurs parents par un sentiment étrange
tible ; les mouvements péristalliques du cœur se faisaient légèrement
sentir
. Je terminai cette séance par des insufflations c
im le coma pouvait être produit, et que, dans cet état, le patient ne
sentait
pas exactement le même degré de douleur. « C’es
st pourquoi il nie qu’on puisse produire un état dans lequel le corps
sente
le moins, et non le plus. Si la peau supporte le
r rouge. La dame qu’il vient de mentionner s’était déshabillée : elle
sentait
donc les boutons, agrafes, épingles, etc.; or, si
: elle sentait donc les boutons, agrafes, épingles, etc.; or, si elle
sentait
ces choses, comment admettre qu’elle fût insensib
agnétisme en les entendant, un sot peut en avoir peur, un malade peut
sentir
une influence imaginaire , et chez eux les idées
désagréablement affecté que moi-même. On lui demanda s’il avait déjà
senti
celte odeur, il répondit que c’était comme des se
il répondit que c’était comme des sels, mais qu’il 11e l’avait jamais
sentie
avant d’entrer à l’hôpital. « I.e 6, je l’opéra
t. « Comme les jours précédents, il affirma avoir bien dormi, et ne
sentir
de douleur nulle part. Grande fut également sa su
n. « Le cas de Baboo est une illustration dans ce genre; bien qu’il
sentît
l’ammoniaque avant l’opération , cela ne m'empêch
l’informa que tout était fini; et, contrairement à la coutume, il ne
sentit
de douleur dans la partie que dix minutes après
minutes après qu’il fut instruit du fait. Au bout d'une demi-heure il
sentait
une petite démangeaison. A ce moment j’entendis u
rendit à Marseille et de là à Alger. En janvier 1893, il était pré-
sent
au dépôt de Beni-.Messous, en février et mars à l
.. me piqua la tête, le front avec une épingle' et me demanda si je
sentais
. Je disais que non sur le front, mais que si su
l'on enfoncerait et que l'on nomme le clou hystérique; que le sujet
sent
le mal venir avant que de tomber, qu'il peut to
casion, ce qui était loin de lui attirer leur sympathie. Il l'avait
senti
du reste, n'acceptant pas d'observa- tions d'eu
S. Indépendamment des autres détails, on a distingué jusqu'à pré-
sent
deux formes de la manie tout à fait différentes e
plus forte et plus nette, la conscience de soi-même. La créature se
sent
quelque chose de complet en elle- même, comme u
ment il pré- Arcuives, 2e série, t. IX. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES.
sente
tous les signes du delirium tremens. La seule dif
de, pendant l'hypnose, la suggestion que toutes les fois qu'elle se
sentirait
poussée à faire une fugue, elle rentrerait immédi
vail et se sont fait embaucher de temps en temps, mais qui finis-
sent
par s'abandonner à l'oisiveté de la vie nomade ?
es émotions morales, la présence d'autres personnes, la honte de se
sentir
observé, le sentiment du ridicule dans la rue,
pied. Le cuir chevelu est généralement fort sensible ; les chauves
sentent
la douleur à 0,15 et 0,02 millimètre.... Dessins
nsi, en arrière de l'oreille, où la peau est si mince, il faut pour
sentir
la douleur 0,5 millimètre ; à la limite des che
; ses vêtements étaient entièrement consumés et son corps ne pré-
sentait
plus qu'une plaie affreuse. Malgré les soins qui
es deux côtés en acuité. L'odorat est fortement diminué : le malade
sent
à peine le chloroforme, l'assa fetida, l'ammoniaq
s. Le nombre des mictions a été de 6; le besoin d'uriner se faisait
sentir
chaque fois normale- ment ; la malade pouvait y
t que l'autre - le côté droit; elle s'étonne quelquefois de ne plus
sentir
les piqûres qu'elle se fait à la main droite et
e mettais à chaque séance en somnambulisme. 21 mars. Avant de faire
sentir
à Zoé ou de réveiller les par- ties de son corp
eiller les par- ties de son corps anesthésiées, je lui ai demandé :
Sentez
-vous votre corps en entier ? Non, je ne sens qu
-vous votre corps en entier ? Non, je ne sens que le côté gauche.
Sentez
les orteils de votre pied droit : elle les fléchi
Zoé a recouvré la sensibilité des orteils de son pied droit. 22.
Sentez
votre pied droit ? Elle remue les orteils et le
on pied. Séance d'une heure. Héveil le plus complet possible. 23.
Sentez
votre cheville droite : Elle remue les orteils et
ville droite : Elle remue les orteils et le ' Le signe + signifie :
sentez
davantage. 214 zip THÉRAPEUTIQUE. pied qui lu
ville ne me fait plus mal, elle est plus petite, je la sens bien. -
Sentez
-vous votre pied ? Oui. Vous appartient-il ? Ça
le que ce n'est pas collé. -Séance de une heure et demie. La malade
sent
très bien son pied à la douleur, à la piqûre, u
son pied à la douleur, à la piqûre, un peu moins au contact. 24.
Sentez
votre mollet droit depuis la cheville jusqu'au
mollet droit depuis la cheville jusqu'au genou : Je ne sens rien. z
Sentez
la peau seulement : çà me pique, çà me brûle, j
ille + c'est froid, c'est tiède + Il me semble que je sens la peau.
Sentez
la chair, votre mollet. Zoé fait des mouvements
es mouvements sont très peu accen- tués + ça ne me fait plus mal.
Sentez
l'os de la jambe : Ça me fait mal, on me le broie
e fait mal z- Elle va craquer + Elle cra- que + Je me sens mieux.
Sentez
votre jambe en plein : Elle fait quelques mouveme
votre jambe en plein : Elle fait quelques mouvements de reptation.
Sentez
depuis le genou non compris jusqu'aux orteils :
le ne me fait plus mal. Réveil. Séance de une heure et demie. 25.
Sentez
votre genou : La cheville me fait mal. Sentez v
e heure et demie. 25. Sentez votre genou : La cheville me fait mal.
Sentez
votre genou : Il brûle + 11 est gros + Il me fa
ure. zig. La cheville me fait mal + On me ronge l'os de la jambe.
Sentez
votre genou : Ça craque + Il devient plus petit +
eure. La sensibilité sous tous les modes est restaurée. 21-31 murs.
Sentez
votre cuisse : Les réactions continuent, identi
le enfin après que le point de la cheville a disparu, alors qu'elle
sent
complètement son membre inférieur- droit qui ne
tête, dans le lobule paracentral. Au sur et à mesure que la malade
sent
davantage, les divers points douloureux s'effacen
sensibilité du membre inférieur, sont accusées par la malade qui ne
sent
plus aucune douleur lorsque tout énervement a dis
quelques points douloureux à la pression de la colonne : la malade
sent
son dos. 9. Resensibilisation de l'abdomen : Br
ue et se dénoue. Mon ventre est chaud, dit la malade. Puis, elle ne
sent
plus rien et l'anesthésie a disparu. 10. Flanc
ntes pour ce qui concerne l'estomac. La malade, lorsque je lui fais
sentir
son estomac, a un point dou- loureux au creux é
t la plus longue à être récupérée. J'ordonne enfin à la malade de
sentir
l'intérieur de sa poitrine, de sentir sa respirat
'ordonne enfin à la malade de sentir l'intérieur de sa poitrine, de
sentir
sa respiration. Les mou- vements respiratoires
fin sentiment de bien-être. 3-1. Resensibilisation de l'oeil droit.
Sentez
vos yeux : mes yeux se détournent + on les brûl
picotements, os rongé, boules qui éclatent, os qui craqnent. 6-9.
Sentez
votre cerveau : J'ai la tête lourde + J'ai un cer
Pourquoi ces mouvements ? Mon bras droit est crispé. Je lui fais
sentir
son bras droit. -)- J'ai la tête meurtrie + c'est
matin. Je laisse la malade endormie jusqu'à 11 heures 10 du matin.
Sentez
votre cerveau + Je ne sais si j'ai vingt ou vin
frappe dans la ! poitrine. Je la réveille. 10, 6 heures 30 matin.
Sentez
votre cerveau : J'ai vingt à vingt-un ans, ma t
est jeudi z- maman me lave la tête parce qu'elle me dit que ma tête
sent
mau- vais + J'aide maman à faire les lits ? Je
Je la laisse endormie jusqu'à il heures du matin. - A 11 heures :
Sentez
votre cerveau : Il me semble que c'est mercredi +
j'attends le docteur + Le voilà qui arrive, il m'endort, il me fait
sentir
mes orteils + II est cinq heures + Je pense à m
'est dimanche, nous allons nous promener en ville + Je com- mence à
sentir
mon estomac z La poitrine me fait mal z Je sens
A ce moment, il est 8 heures et quart. J'ordonne à ma malade de se
sentir
complètement des pieds à la tête + ça se colle,
erme les TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE 21 yeux + Je lui fais
sentir
complètement la tête -f- Ma tête est plus légèr
voir plus clair, dis- tinctement, de pouvoir respirer à fond, de se
sentir
elle-même. Tout s'est collé, dit-elle, je ne su
sentation mentale de la partie du corps énervée, endolorie; elle la
sent
, elle la réveille, le tout a\ec des mouvements
niaque, ni l'éther, ni le chloroforme, qui sont par contre vivement
sentis
à gauche. Le goût est diminué à droite. Il exis
. Dans le troisième cas, il s'agit d'un enfant d'un mois qui pré-
sentait
de légers symptômes de crétinisme. Sa mère avait
ortant de la tuberculose en pathologie nerveuse. - 1\1. Dufour pré-
sente
une femme de trente ans qui souffre depuis trois
il a fallu contenir par un pessaire. Depuis quelques jours, elle se
sentait
fatiguée, incapable de se livrer à ses occupati
attire particulièrement l'attention sur ce fait que le malade pré-
sentait
à la fois une exagération des deux réflexes rotul
lément affectif dans la suggestion. Une idée n'agit que si elle est
sentie
et elle se réalise d'autant plus énergiquement
e connaît les gens qui lui en veulent, les voit, les nomme. Elle se
sent
poursuivie chez elle, chez des parents, chez des
e. La psychologie religieuse et la ventriloquie. M. GARNAULT pré-
sente
un sujet ventriloque et explique comment la ventr
e et si joinctte », la mort l'a déchirée ; notre vénéré président a
senti
comme si on lui arrachait une moi- tié de lui-m
us tous qui avons eu mille preuves de votre inépuisable bonté, nous
sentons
profondément votre perte, c'est que vous aviez
ous étaient familières pour détourner la conversation, quand vous
sentiez
qu'il allait en sortir l'énonciation d'un fait à
s affectation, pour y chercher la parole qui réconforte parce qu'on
sent
qu'elle ne vient pas seulement des lèvres. Souv
DANS L'ALCOOLISME AIGU. 387 mauvais goût aux aliments; aussitôt il
sent
des odeurs par- ticulières qui le fixent sur la
sensations sont-presque toujours très désagréables. Ils nuus disent
sentir
le « poisson pourri », le « soufre brûlé », ou
très forte, la menthe acidulée». Il y a de rares privilégiés qui
sentent
« la rose ». Nous pourrions multiplier ces exempl
que le même malade, calme, n'ayant aucun mau- vais goût en bouche,
sente
la « quinine » après une légère excitation, et
, à qui l'on donne des petits coups sur la poitrine ou les membres,
sent
douloureusement le choc. C'est le nerf malade q
a, il serait jusqu'à un certain point étrange de recourir, à pré-
sent
, aux injections mercurielles sous-cutanées dans l
nommée absurde. Il est vrai qu'au moment de l'injection, le malade
sent
une certaine excitation : il lui semble qu'il u
ir aux tabétiques, et il n'y a pas eu un seul cas où le malade ne
sentît
un certain soulagement assez considérable- de ses
Pseuclo-myome; myalgie et rigidité musculaire. - ? II. KLIPPEL pré-
sente
un malade atteint de cette curieuse affection ; t
nation. Le malade répond très bien qu'il ne voit, n'entend et ne
sent
rien. En revanche, si, lui fermant les yeux, co
a frôlé la langue. C'est l'hyperes- thésie du centre du goût qui a
senti
le goût fictif de la quinine. Observation VI.
? Par une légère action de compression et de relâchement, il croit
sentir
« l'encens, oui, l'encens Les oreilles sont resté
se promène. Par l'excita- tion de la membrane pituitaire, il croit
sentir
« du soufre et des gaz ». La langue est égaleme
rien. 1 G. L'olfaction seule est encore sensible à l'excitation, il
sent
« le citron... peut-être l'orange... » ; les au
et se moquaient de lui. Mais ce matin, après un sommeil profond, se
sent
plus mai- tre de ses sens. Nous essayons d'abor
pouvons éveiller la sensation de parfums plus ou moins vagues : ça
sent
fort, nous dit-il, c'est de l'encre, ça sent l'
ou moins vagues : ça sent fort, nous dit-il, c'est de l'encre, ça
sent
l'encre. » 484 CLINIQUE MENTALE. La langue es
l ne peut pas définir. L'olfaction est sensible à l'excitation : il
sent
du rhum, dit-il, mais du mauvais rhum. La peau
ment de tambour lorsque nous lui avons pincé la main. .vue : . Il
sent
la lavande, ou plutôt, dit-il, « l'ean de Cologne
ottons la face supérieure de la langue avec un bout de papier, C...
sent
« une petite goutte acidulée, on dirait du cass
lle. « Assassin de C..., tiens, c'est C..., l'assassin. » Nez. « Ça
sent
très mauvais, c'est du mauvais vinaigre. » Lang
cheval blanc ». - La membrane olfactive est également sensible,' il
sent
« un parfum qui rapproche du lilas ». L'irritat
t court, large, le larynx saillant, le corps thyroïde dif- ficile à
sentir
à la palpation. Le thorax est bien conformé. L'ex
- tions connues comme pouvant être productrices d'oedème) parais-
sent
démontrer l'existence d'un oedème héréditaire chr
oins, il n'a jamais aimé le travail, pour lequel il ne s'est jamais
senti
aucun penchant. Il n'a jamais exercé la fonctio
génitaux : pénis de 3 centimètres, à gland en partie découvert. On
sent
les testicules du volume d'une amande. Interrogé
on mam- maire. Seins forts. A la région épigastrique on voit, et on
sent
très distincte- ment au palper, un lipome. Le s
ns de blé. Il n'a ja- mais eu de relations sexuelles, u'en a jamais
senti
le besoin et éprouve à cet égard une complète a
s de forme et de dimensions normales. Bourse scro- tale vide. On ne
sent
que le testicule gauche, comme un grain de harico
tion de pression ? Agit- elle de dehors en dedans, ou en se faisant
sentir
dans le ventricule d'abord et ensuite à la péri
n de pres- sion, si elle est d'origine ventriculaire, doit se faire
sentir
sur la table interne au maximum dans les endroi
le, chaud et froid, pression, diapason, sens muscu- laire sont bien
sentis
et localisés. Dans un seul cas nous avons trouvé
e du mouvement illimité, parce que dès le début l'intention se fait
sentir
de ne pas dépasser le but, accentuant ainsi les
n, sauf cependant que quelquefois le matin, en se réveillant, il se
sentait
la tête lourde et avait du vertige. Depuis deux a
but. Quand il revient à lui, il s'étonne de se trouver ailleurs et
sent
que la tête lui pèse, il a du vertige et une fa
auf qu'il a eu du vertige dès qu'on lui a pressé le cou. Il affirme
sentir
exactement la même chose après les accès sponta
qu'il est en train de travailler il se met à pleurer sans raison et
sent
en même temps la tête lourde et un malaise géné
MPRESSION DES CAROTIDES DANS L'ÉPILEPSIE ET* L'HYSTERIE 57 ce qu'il
sent
après le paroxysme spontané. Il est fort triste a
t le jour. Le jour qui suit l'accès, elle a la tête lourde, elle se
sent
fatiguée, elle a des difficultés du langage, ma
a eu en Amérique, il se rappelle que, lorsqu'il revenait à lui, il
sentait
une grande fatigue et la tête très lourde. Depuis
ures. Quand il revient à lui, il n'a pas conscience de l'accès, il se
sent
seu- lement très fatigué, la tête lourde et tom
émoire, de céphalées fréquentes sur- venant surtout le matin. Il ne
sent
aucun prodrome de l'accès ; seulement, quand il
t aucun prodrome de l'accès ; seulement, quand il revient à lui, il
sent
une fatigue générale et du vertige. A la pression
ccès ; il se rappelle seulement « que je lui ai pressé le cou ». Il
sent
une fatigue générale, lourdeur de tête et vertige
ques espacées des accès de vertige instantanés après lesquels il se
sentait
très fatigué et la tète lourde. Durant la guerre
its ci-dessous à des laps de temps variant de 45 jours à 2 mois. Il
sent
des fourmillements commençant par le pied gauche
e rien de l'accès, sauf que « je lui ai pressé le cou ». Il prétend
sentir
la même chose, mais moindre, après les accès spon
heures, puis se réveille ne se rappelant nullement de l'accès, elle
sent
une grande fatigue, de la lourdeur de la tête e
rdeur de tête et de somnolence. N'a pas conscience de l'accès. Elle
sent
la même chose après l'accès spontané. Observati
- ment, se plaint de lourdeur de tête, de vertige et de fatigue. Il
sent
la même chose après l'accès spontané. LA COMP
ement des doigts du membre inférieur gauche. Puis revient à lui. Il
sent
seulement un engourdissement des doigts du memb
de l'accès. Souvent le matin en se levant, il a la tête lourde et se
sent
très fatigué. Etat actuel. Réflexes très exag
énérales, mousse à la bouche et enfin profond sommeil. Au réveil se
sent
très fatiguée et souffre beaucoup de céphalalgi
ion de l'aura comme au début des accès spontanés, et après elles se
sentaient
dans le même état qu'après les accès spontanés.
ndex et le médius, au repos, ne pré- 72 MADAME ATHANASSIO-BENISTY
sentent
pas d'hyperextension des deux dernières phalanges
ant, la lésion se fixe; des ankyloses et des rétractions s'établis-
sent
. Seul un traitement actif et longtemps poursuivi
ins frappés dans les centres neurologiques militaires ; qui ne pré-
sentent
pas dès l'abord les gros signes brutaux d'une aff
citabilité électrique. Par la faradisation tous les muscles réagis-
sent
. Un courant faradiquc léger amène l'adduction du
mécanothérapie et l'électricité. v 2. Conséquences immédiates. Il
sentit
comme une électrisation dans l'avant-bras et la
d'ailleurs dès que l'on cesse de maintenir la supi- nation et l'on
sent
la saillie du rond pronateur. - 6. Sensibilité.
ces immédiates. Le canon de son fusil s'abaissa sans qu'il eût rien
senti
. Et c'est en voulant le relever qu'il constata qu
s. Le redressement de la main ne dépasse guère l'horizontale. On se
sent
arrêté par un obstacle au niveau du carpe. Le m
n, entourant l'extrémité supérieure du deuxième métacarpien et on y
sent
un cal ; cette cicatrice est le vestige de trois
ypertonie du long abducteur et du court extenseur du pouce, dont on
sent
la corde au niveau de la tabatière ana- tomique
(PL XXVIII, A,A'). A..., âgé de 23 ans, entré le 44 mai 19Ui, pré -
sente
un oedème vraiment monstrueux de la main et de l'
ation et la supination se font bien, et dans la flexion du coude on
sent
la corde du long supinateur. Mais la flexion de
langes de l'index et du médius ; dans ces tentatives de flexion, on
sent
qu'on se heurte à une résistance élastique qui
avons fait l'examen radiographique de la selle turcique qui ne pré-
sente
aucune modification. Ne pourrait-on soutenir l'
supplémentaire de la main droite mesure 38 millimètres. Il se pré-
sente
sous forme d'un appendice dont le bord distal pro
ence actuelle de ces rivalités est due aussi au prestige dontjouis-
sent
auprès des Européens certaines tribus comme celle
ale, par la ligne moyenne de la région fron- tale supérieure. Il ne
sentit
pas la moindre douleur, ne perdit pas connais-
et un peu trop fort sans doute, car le malade a immédiatement res-
senti
le tiraillement du plexus brachial sous forme d'u
; l'épaule est nettement tombante en épaulette; la tête humérale se
sent
presque sous la peau ; au-dessus, l'acromion et l
oit, jamais très vives, pendant environ deux mois ; aujourd'hui, il
sent
encore quelques tiraillements quand il tourne l
une très forte saillie, en arrière et au-dessous de laquelle on ne
sent
pas les tendons péroniers ; cette saillie anorm
latéraux. La malléole péronière est moins saillante qu'à droite, on
sent
vaguement les tendons péroniers. Le pied n'est ni
ssi saillants, les espaces inter- osseux presque aussi déprimés. On
sent
au doigt et on voit à travers la peau un reste
hiffres suivants : 264 ' LÉRI soulevant. Les artères pédieuses se
sentent
faiblement des deux côtés, mais avec une tensio
actes qui normalement ne nécessitent aucune action de leur part. On
sent
très bien, surtout à gauche, les masséters se d
s ce temps, elle a commencé à engraisser et en même temps elle res-
sentait
des douleurs vagues plus accentuées aux membres i
s plis tombant sur les cuisses. A ses parties cedématiées la malade
sent
des dou- leurs spontanées principalement au com
peresthésie s'étend jusqu'au pied. Sensibilité thermique. La malade
sent
le froid pour la chaleur dans les parties où se
rs des différences d'un cas à l'autre, ce que Paul Bert a bien fait
sentir
: « En fait de montres, dit-il, il n'y a point
Il faut se souvenir qu'une semblable analyse morphologique ne pré-
sente
pas un intérêt de curiosité seulement, mais que,
et que le calcanéum, l'astragale et le premier cunéif Irme parais-
sent
ne pas exister. Au tarse on rencontre quatre os
la NOSOLOGIE MÉTHODIQUE DE sauvages 299 « Ceux qui ont une asthénie
sentent
des douleurs vagues et légères dans les membres
et laissait %tomber parfois les objets qu'elle tenait. La malade
sentait
le bras plus lourd, mais elle pouvait encore *se
e réveilla sur le matin, très excitée, disant à son mari qu'elle se
sentait
paralysée de tout le côté gauche, même la figure
prononcée. . 19. - Même état. ° 20. - Pouls 60 à 63. La malade se
sent
mieux. Elle parle de se lever. Pas de vomisseme
donné aucun résultat. ' Après la ponction lombaire, la malade s'est
sentie
subjectivement soulagée - avec moins de douleur
était la vraie cause de la mort. Les caractères différents que pré-
sentaient
les caillots de sang, d'un côté plus brillants et
-14 août, au soir, le patient dansait à une réunion. Il s'est soudain
senti
mal à l'aise et a eu de violents maux de tête.
la grosseur d'un pois avec des parois plates et grisâtres, que l'ou
sent
fortement durcies et qui sont d'un brun décolor
elque temps après le début de l'hémorragie, les indications se pré-
sentent
d'une autre manière. Alors on peut s'attendre que
tendance à disparaître. En effet, 7 ou 8 mois après sa blessure, il
sentit
dans son oeil droit comme un fourmillement qui
Les syndromes frustes d'irritation du plexus brachial nouspamis.
sent
donc avoir une existence démontrée. Au point de v
Le volume de la bourse scrotale est réduit, lui aussi, et l'on peut
sentir
les testicules au travers. Assez fréquemment la
mais polycystiqucs et de surface lisse. Microscopiquement ils pré-
sentaient
un tissu conjonctif abondant et une grande diminu
cas de Vigouroux et Delmas, à tous égards très intéressant, se pré-
sente
aussi comme un argument de valeur pour la thèse q
rale. Au bout d'une heure, le blessé est complètement redressé. Il se
sent
encore faible dans les reins. TRAITEMENT DE L
on lombaire : il avait du reste des douleurs un peu par- tout et se
sentait
complètement brisé. Il est allé seul et courbé
— sbadigliamento (ital.); yawning (angl.) ; gähnen (allem.), — on se
sent
pris d'une envie de bâiller presque invincible.
toute initiative. — Ajoutez à ce qui précède qu'après les repas il se
sent
gonflé, tourmenté par le besoin d'expulser des ga
, comme je l'appelle, qui consiste principalement en ce que le malade
sent
quand on le pince, quelquefois avec un retard not
jours-ci ? Le malade : Non, monsieur, absolument pas ; je n'ai rien
senti
du tout. Jr me suis aperçu que j'avais la face to
toit ou sur un chemin bordé d'un précipice, et à chaque instant il se
sent
menacé de tomber du côté du gauche. Il croit qu'à
petites misères qu'il avait traversées sans encombre. De fait, il se
sentait
fort dispos et se préparait en conséquence à repr
ux plus futiles motifs. 11 n'ose plus traverser seul les rues, il s'y
sent
étourdi, il craint d'être écrasé par les voi- 2
mbiner quelques idées, disposer quelque projet dans son esprit, il se
sent
bientôt la tête fatiguée. Si pour se distraire il
vec ce qui existait autrefois : quoique goutteux, il n'avait « jamais
senti
son estomac » et il est bien établi que la dyspep
main matin lors d'une accalmie, le malade voulant aller aux cabinets,
sentit
son membre inférieur droit fléchir sous lui et to
d, puis la main, s'est seul dégagé. Rien de semblable ne s'est fait
sentir
dans les membres inférieurs qui, depuis l'origine
z encore aujourd'hui ; naturellement, il y a des temps où vous ne les
sentez
pas. Donc elles reviennent par accès de temps en
pour le rouge est plus étendu que celui de la vision pour le bleu. On
sent
là, si l'on peut ainsi parler, l'influence de l'h
^-+ +™ :~ c i- ¦ t. 'x -x avenue très suiette aux « bron-mais elle se
sentait
toujours fatiguée et était eu J chites. » . - .
e en quelque sorte à l'étatrudimentaire chez ces malades qui parais
sent
bien complètement guéries de la compression spina
es dont elle avait souffert autrefois ; et, en même temps, elle avait
senti
ses jambes s'affaiblir et devenir raides comme da
ce récit, notre impression avait été plutôt défavorable et nous nous
sentions
disposés à partager entièrement les craintes de l
ouvé des douleurs rachialgiques et en ceinture, en même temps qu'elle
sentait
les membres inférieurs s'affaiblir. Ces douleurs,
der cette attitude. Ces douleurs paraissent très vives; elles se font
sentir
spontanément, et sont alors comparées à la sensat
es mouvements, on applique les doigts sur les apophyses épineuses, on
sent
facilement un certain degré de mobilité entre les
, au cœur où il se produit des palpitations, à la gorge où l'on croit
sentir
une boule qui vous étouffe, à la tête enfin où le
ension, sa virilité. Les premiers bons effets ont commencé à se faire
sentir
chez ce malade après la vingtième séance. Quelq
pplicable, les premiers effets favorables ne se sont souvent pas fait
sentir
avant la vingtième ou trentième séance ; quelquef
ble les mouvements qui se produisent instinctivement, au moment où il
sent
qu'il quitte le sol ; on devra éviter aussi les d
le besoin d'uriner. Après la septième séance le malade affirme qu'il
sent
mieux le sol, qu'il n'a plus de sensation de coto
. Après la sixième séance, les douleurs ont cessé d'exister,les pieds
sentent
mieux lesol; le signe de Romberg ost moins accusé
é d'abord à porter sur la marche,sur l'incoordination.Elle s'est fait
sentir
dès les premières séances. Les malades nous ont d
iode, le pauvre homme n'a pas cessé, pour ainsi dire, jour et nuit de
sentir
à chaque instant son lit verser tout à coup vers
e livrer contre l'ennemi toujours présent. Lorsqu'il est assis, il se
sent
beaucoup plus calme, et les vertiges ne survienne
se passait autour d'elle. Mais, par contre, à chaque tentative, elle
sentait
son corps et ses membres se raidir au point de ne
allait la brûler avec une lame de couteau rougie au feu, elle n'a pas
senti
de brûlure mais elle a eu très peur, néanmoins, e
lui, etc., etc. Lui, autrefois vif, courageux, entreprenant, il se
sent
devenu faible, mou, triste, sans énergie; « il se
absolu ; idées tristes, impossibilité de concentrer ses idées. Il se
sent
toujours fatigué, il se couche toujours vers 8 he
e temps le malade s'aperçoit qu'il a perdu le goût. « Les aliments ne
sentent
plus rien ; il lui semble qu'il mange de la terre
rte du sang d'une blessure qu'il s'était faite à un clou sans en rien
sentir
. Quelques jours après, la faiblesse s'est étend
rs encore. Donc, le 31 janvier vers 9 heures du matin, la malade se
sent
indisposée, inquiète, elle s'était levée de bonne
près de Fontainebleau, il passe chez eux environ trois mois. Là il se
sent
faible, souffrant aux moindres efforts, lorsqu'il
ons, des tigres, des éléphants venir vers lui d'un air menaçant, sans
sentir
toutefois leur contact ; plusieurs fois ces image
minutes. A partir de ce moment-là, tout est changé en lui. Il ne se
sent
plus le même qu'auparavant. Lui, autrefois gai et
e, défiguré, ensanglanté tel qu'il était au moment de l'accident. H
sent
sa mémoire affaiblie, il est distrait, ne se souv
es fonctions génitales sont très affaiblies ; après avoir mangé il se
sent
tout gonflé, il a des éructations, le sang lui mo
mois, étant monté sur une échelle, occupé à poser une planche, il se
sent
tout à coup comme ébloui par des étincelles qui b
e scintillant ?) ; les oreilles lui tintent, sa vue s'obnubile, il se
sent
comme étourdi, perd connaissance et tombe à terre
Le troisième jour j'étais parfaitement bien, puis je ne me suis plus
senti
de rien absolument, pendant trois mois et demi.
t bien des choses pendant ce temps-là. Quand je me suis remis, j'ai
senti
une grande fatigue, comme si j'avais été roué de
Il n'y a pas eu de perte de conscience; mais le malade prétend avoir
senti
que, s'il eut été à pied « il aurait fait une fug
Avant, j'étais parfaitement bien portant et, cette fois, je n'ai pas
senti
de mal de ii Je pourrais en rester là et pass
ment que j'avais la figure « pâle et tirée ». En rentrant, je me suis
senti
très fatigué, comme d'habitude après mes fugues,
pouvait supporter aucun aliment, aucun médicament, peut immédiatement
sentir
le besoin de manger, et manger souvent même avec
me crise d'estomac. J'étais près de la source où j'allais boire. J'ai
senti
un chatouillement à la gorge, je me suis ensuite
nt. Il avait les pieds meurtris et, pendant plusieurs jours, il ne se
sentit
pas le courage de sortir un instant du lit. Enfin
s articulations, mais encore de la douleur qui, à chaque pas, se fait
sentir
dans le genou. Cependant pas de tuméfaction, pa
et il put se promener un peu dans les salles de l'hôpital. Mais il se
sentait
très faible des jambes et il y éprouvait une cert
n que ses « mauvaises idées » lui revinssent de temps en temps, il se
sentait
un peu rassuré sur les suites de son asphyxie, en
difficultés à monter son cinquième étage. Il lui arrivait souvent de
sentir
ses jambes fléchir tout à coup et se dérober sous
er presque plus rien, et au travers de ce qui en persiste on arrive à
sentir
très facilement les surfaces articulaires. Le mal
ce à la surface du dos sans qu'il tressaille le moins du monde. Il ne
sent
ni le contact, ni la douleur, ni la température.
igrammes qu'il absorbe chaque jour. Au réveil, vers 7 heures, il se
sent
considérablement prostré, affaibli; si on ne lui
A 11 heures et demie, le besoin de la morphine commence à se faire
sentir
; il éprouve certains symptômes que je vous dirai
le, dans la période d'euphorie. Dès que le besoin de morphine se fait
sentir
, ce tremblement s'accroît; les oscillations devie
ois, il était déprimé, triste, mélancolique, et, en même temps, il se
sentait
vite fatigué : il éprouvait quelque peine à mon
, car à peine avais-je aperçu sur ma gauche la boule de feu,que je me
sentais
frappé à la jambe gauche, renversé à terre, et bi
p violent, comme avec une planche ou un gros bâton. Gela s'est fait
sentir
surtout dans le pied gauche au-dessous des chevil
mant dans une mauvaise position. Elle se dérobait sous moi ; je ne la
sentais
plus guère, elle me paraissait gonflée ; je ne sa
stant j'avais des explosions de larmes; j'avais la gorge serrée et je
sentais
des battements dans les tempes. A peine étais-je
me suis pincé la peau de toutes mes forces et je n'ai absolument rien
senti
. Cependant j'ai voulu me forcer, je suis parvenu
. Il voit la lueur de l'éclair, il entend le bruit du tonnerre, il se
sent
frappé sur telle ou telle partie de son corps et
ervé par leDr Gabard fut très grièvement blessé par la foudre ; il se
sentit
fortement saisi ; il devint immobile et il s'aper
nœuvre sur le mât de hune, quand la foudre le blessa ; et, bien qu'il
sentît
ses jambes raides et hors d'état de lui rendre se
ieurs personnes. Un homme qui était au 2e étage de la dite maison, se
sentit
frappé sur la nuque et fut étourdi pendant quelqu
s'est relevé pour se mettre en marche se dérobait sous lui ; il ne la
sentait
plus guère, elle lui paraissait gonflée : « Je ne
ur la main de tout le poids du corps avec le talon de la botte, il ne
sent
rien. Sens musculaire complètement aboli ; il ne
oquer le phénomène de l'aura. Le 23 juillet, le malade dit qu'il se
sent
aussi fort de la jambe gauche que de la droite. L
fantines survenant pour les motifs les plus futiles. Le soir, elle se
sent
prise de terreurs folles et,avant de se coucher,e
pleurer au moment des scènes pathétiques : le cœur lui battait, il se
sentait
serré à la gorge et se mettait à sangloter. Par u
a un très violent chagrin, et un jour en sortant d'une répétition, il
sentit
quelque chose qui lui montait à la gorge et l'éto
hèse, à laquelle je suis fort enclin à me rattacher,bien que je ne me
sente
pas en mesure, je l'avoue, de l'établir sur des a
cuisse, sans qu'il en éprouve la moindre souffrance, et cependant il
sent
les contacts et se plaint vivement, si onle pince
risonnés sous les décombres-C'est alors seulement qu'il commença à se
sentir
ému; à ce moment il éprouva un malaise général; s
in droite s'était accentué, de même que la céphalée constrictive ; il
sentait
que sa jambe et son bras droit devenaient faibles
out à coup « comme des secousses électriques dans les membres,puis il
sentit
quelque chose lui monter à la gorge ; il étouffai
que qui a de temps en temps de grandes attaques, et qui « lorsqu'elle
sent
qu'elle va avoir sa crise »,appelle auprès d'elle
t d'avoir perdu ses forces; à peine a-t-il fait quelques pas qu'il se
sent
fatigué. Indépendamment de cet affaiblissement gé
s du pli de Faine, le malade accuse d'abord une vive douleur, puis il
sent
comme une boule qui lui monte du ventre à la gorg
t ; le mouvement de flexion plantaire et aussi assez étendu, et on ne
sent
nulle part cette résistance élastique, qui donne
ts dans le bras gauche, « comme si on l'avait électrisé »; puis il se
sentit
pris d'une faiblesse générale. Quelques instants
ts. La force semble normale aux membres inférieurs ; cependant elle
sent
sa jambe droite un peu moins forte; il n'y a pa
iolacés. Aux membres inférieurs, le contact même léger est pourtant
senti
et bien localisé. Il y a un peu d'hyperesthésie
n rendant superflues toutes les installations coûteuses qui garnis-
sent
les cellules. (Annales médico-psychologiques, fév
la maladie. Après avoir quitté laclinique enété 1896, la malade se
sentit
pire ; tous ses mouvements devinrent encore plu
ut à des conditions peu favorables dans l'état de la malade se fait
sentir
à un plus haut degré. C'est ainsi qu'une diarrh
difié, non plus par l'injonction de se réveiller, mais par celle de
sentir
les parties anesthésiques du corps ; en d'autres
s exsudats présentent en certains points un aspect nacré et parais-
sent
en voie d'organisation. Les vaisseaux sont à pein
à revenir dans la salle commune. Elle a un peu perdu la mémoire, se
sent
toute changée, et manifeste la crainte de deven
use, sans points nettement loca- lisés. Le toucher buccal permet de
sentir
une saillie très dure, osseuse, sur la face ant
ns nausées. 11 y a eu plusieurs accès épileptiformes. La malade les
sent
venir : elle sent sa figure se contracter à droit
eu plusieurs accès épileptiformes. La malade les sent venir : elle
sent
sa figure se contracter à droite, puis les seco
FFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 125 qui ne présente aucune adhérence. On
Sent
alors une masse durs, grisâtre, ne paraissant p
ont les types aussi nettement différenciés que ceux que nous pré-
sentons
. Nous l'accordons volontiers, mais en faisant rem
Les cérébraux, descendants de congestifs ou d'apoplectiques, pré-
sentent
à la suite de la syphilis une neurasthénie plus c
Les deux cavités n'ont pas de revêtement endothélial et ne parais-
sent
pas être en rapport avec le canal central. Celui-
de suite, et que de plus, lorsque son besoin de miction se faisait
sentir
, il était, pour avoir le temps de sortir sans u
sement et d'hyperritabilité. Dans l'ensemble on trouve que la femme
sent
moins la douleur que l'homme ; elle y résisiste t
issent avec plus de fréquence ; enfin à la place des crises se pré-
sentent
parfois des troubles mentaux nocturnes à forme de
ents, très chaude à Bâle, avait perdu de son ardeur à Bruxelles. On
sent
très bien que la cause de l'abstinence, celle d
Nouvelle-Calédonie, chiffre supérieur à celui des rentes qui suffi-
sent
à la plupart de nos retraités. Enfin elle devait
els. Il s'est livré à la masturbation, mais jamais en commun. Il se
sentait
poussé à rechercher des contacts, mais une sort
lui-même comme une tare. Il avait renoncé à la masturbation, il se
sentait
de force à rester chaste, il avait besoin de tr
jeunes, une gêne pénible, puis une répulsion invincible qu'elle ne
sentait
nullement en face d'hommes plus âgés et en partic
onditions de convenances que les parents insistèrent vivement. Elle
sentait
bien qu'il faudrait un jour arriver à une solutio
audrait un jour arriver à une solution ; et elle-même d'ailleurs se
sentait
humiliée de ne pas se marier, de ne pas devenir
es qu'elle considère comme coupables, puisqu'elle ne s'était jamais
senti
d'impulsions de ce genre. Comme chez l'homme
normaux. Les invertis peuvent penser qu'ils sont dans leur droit de
sentir
comme ils sentent, ils peuvent même n'avoir auc
rtis peuvent penser qu'ils sont dans leur droit de sentir comme ils
sentent
, ils peuvent même n'avoir aucune hésita- tion à
ES INVERTIS. 287 7 ils peuvent même se croire supérieurs à ceux qui
sentent
et pensent autrement; mais quand ils voient fai
à soulever comme l'organisation de la victoire contre l'alcool. On
sent
très bien que la masse grouillante, indivi- dua
er toute sa mesure. L'influence des milieux n'est pas sans se faire
sentir
dans la cir- constance. Dans les pays de protes
que les homologies' fonctionnelles des organes transmis réapparais-
sent
dans les générations successives. Mais si les org
verses affaires de l'Etat. A l'heure actuelle, les médecins parais-
sent
se désintéresser des affaires publiques. Aussi M.
émon, il ne l'entend pas non plus, puisqu'il est en lui. Mais il le
sent
parler par sa bouche (hallucination ver- bale p
pestifs. Au début, le malade a conscience de cet état, il ne se
sent
plus le même qu'autrefois, il a en lui comme un e
pparaît sans cesse au moi commme sien, et que le sujet spirituel se
sent
et s'aperçoit exister en quelque sorte localeme
, devenus réfractaires aux excitations sensorielles, ils ne puis-
sent
les transformer en actes de volitions 1. « Ces
e grande prostration des forces physiques et intellectuelles. Ils
sentent
que tout estchangéen eux etau dehors etse désolen
te et l'aspect des corps..., les corps les mieux polis me parais-
sent
hérissés d'aspérités. » c Ces malades, ajoute E
sens bien que tout mon corps est changé... ; j'allonge ; je me suis
sentie
grandir en une seule fois de quinze centimètres
apetissées , mon corps ne me fait plus la même impression... ; j'ai
senti
ma tête changer dix fois de forme, je n'ai plus
plus rien, il me semble qu'ils tombent dans un trou ; autrefois je
sentais
, lorsqu'ils descen- daient dans l'estomac, s'il
« Ce sont, comme dit Baillarger, des hallucinations qui reprodui-
sent
les préocupations actuelles des malades. » « Il
ire. Ces opérations leur paraissent d'autant plus étrangères qu'ils
sentent
que la direc- tion leur en échappe, et lorsqu'i
la notion du caractère subjectif des troubles qu'il ressent, il se
sent
tout autre que par le passé, il trouve alors le
suivant les mêmes procédés que l'émotion morale. L'individu frappé
sent
d'abord le choc extérieur, il réagit ou s'affaiss
volitionnelle. Au début, le malade a conscience de cet état, il se
sent
autre que par le passé ; mais il ne tarde pas à
ie. Le malade découvre un jour que le serpent, par exemple, qu'il
sentait
dans son corps n'est qu'une forme prise par l'e
es à la zoanthropie. Ils finissent par personnifier l'animal qu'ils
sentaient
antérieurement coexister dans leur intérieur, i
ur attribue une existence propre ; c'est alors qu'il se plaint de
sentir
des diables, par exemple, dans son corps ou simpl
hienne du curé de Saint-Germain avait mis bas dans ses intestins et
sentait
la meute aboyer). Un de nos malades, après une
ue nous venons de citer est assez typique à ce point de vue, car il
sent
parler ses poissons. Il n'entend rien dans les
oyance aux êtres surnatu- rels. » Un malade, dit Griesinger 2, se
sent
en proie à une tris- tesse profonde. Or, il est
nxieux ; mais dès que les malades s'aperçoivent qu'ils ne peuvent
sentir
, penser, agir autrement qu'ils font, que la lutte
s; tantôt, refusant de s'assi- miler les impulsions horribles qu'il
sent
naître en lui et dont il a conscience, il les e
moniaques, actuellement au pouvoir du diable; ils ne voient pas, ne
sentent
pas des flammes, du soufre qui les dévorent, ma
emière de leur origine. Après s'être demandé si la damnation qu'ils
sentent
peser sur eux ne daterait pas d'avant leur prem
trice. Discussion. Le professeur KojEwmxow et le Dr Minor s'oppo-
sent
à la désignation des mouvements convulsifs du mal
s se produisait de l'anesthésie de la plante du pied : le malade ne
sentait
pas le plancher en marchant; ses pieds s'engour
en marchant; ses pieds s'engourdissaient dans son lit et il ne les
sentait
plus. Depuis quinze jours ont débuté les troubles
ont parfois perçus; sur le scrotum, les piqûres sont seules parfois
senties
. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 437 Le malade
sous la peau. La flexion de l'avant-bras se fait avec force et l'on
sent
et voit se durcir le biceps d'une façon normale
chial. L'adduction et l'abduction du bras se font avec force, et on
sent
se durcir le deltoïde et le grand pectoral. Les
e n'accuse aucune sensation. Si on pince une masse muscu- laire, il
sent
quelque chose, mais ne peut préciser. Il a consci
les mêmes contractions réflexes douloureuses. Il lui semble parfois
sentir
ses membres inférieurs se mouvoir, et cependant s
e supérieure. La surface externe de la dure-mère rachidienne pré-
sente
un aspect normal : aucune trace d'inflammation, p
; au contraire la pression profonde sur les muscles, les os, était
sentie
et même douloureuse; la notion de position étai
tables hallucinations du sens musculaire; le malade croyant parfois
sentir
remuer ses jambes alors que celles-ci restaient
nsibilités profondes : il est très facile de voir que si la peau ne
sent
rien, les tissus profonds sentent très bien ; n
rès facile de voir que si la peau ne sent rien, les tissus profonds
sentent
très bien ; nous n'avons pas besoin d'indiquer
constitution du moi étant aussi profondément altérée, la faculté de
sentir
s'en trouve atteinte par contre-coup : « ce son
objet provoque de sa part telle négation particulière... Lui pré-
sente-t
-on, par exemple, une rose sans mot dire, il s'écr
parla perception obscure inconsciente, mais continue, que nous nous
sentons
exister. De cette notion, nous tirons celle d'a
ur les nerfs sensitifs ; notre homme craint de voir, d'entendre, de
sentir
le diable. Ses appréhensions agissent à son ins
mée, et qui semblent sortir de la poitrine. Aussi disent-ils qu'ils
sentent
le démon dans leur corps et désignent constamme
ssible, ou bien elle n'arrive qu'à prononcer des blasphèmes. Elle
sent
sa langue attirée en dedans, comme si elle allait
e le même son que si on frappait sur un tuyau de fer creux ; elle
sent
tous les coups, mais il lui semble que c'est à un
plus les mêmes, c'est comme si ce n'était plus moi qui vive et qui
sente
. C'est cette force qui me possède, je n'ai même
qui me possède, je n'ai même plus la sensation des larmes. » Elle
sent
des bêtes qui la travaillent ; une nuit elle a cr
s et incohérentes. Son intestin est putréfié, on l'a vidée : elle
sent
par instants s'introduire dans son intérieur le
liée dans la grande rédemption du péché originel, maintenant elle
sent
bien qu'elle ne fait plus qu'un avec le diable. A
rçant d'empêcher ces mouvements involontaires sans y réussir : elle
sent
qu'elle ne s'appartient plus, qu'on agit pour e
eur déplacé, elle ne mourra jamais ; cependant, en même temps, elle
sentie
diable qui lui dit d'aller se noyer. Leuret '
lle, que des sorciers l'ont ensorcelée au moyen d'un talisman; elle
sent
la voix des esprits qui l'appelle; elle prononc
heure indi- quée. Dans l'épidémie de Lorraine (1595), les malades
sentent
en elles la voix du démon qui les pousse au suici
it qu'un autre être parlait dans son intérieur. Cette religieuse se
sentait
dans l'impossibilité de prier, de concentrer so
t la forme d'un papillon, il me brouillait l'entende- ment et je me
sentais
contraint de prier à la manière du diable '. »
et le Lal)ourd. (Lille 1613). « Une religieuse de Sainte-Brigitte
sentait
en elle deux âmes, ou, comme elle le disait ell
i longtemps mêlé à la célèbre affaire des religieuses de Loudun, se
sentait
deux âmes et même trois, parfois, à ce qu'il lu
ste de l'hyperesthésie à la piqûre. Partout, néan- moins, le malade
sent
nettement les agents thermiques, la dou- leur,
nce et d’attraits, un ecclésiastique, doué de la plus rare éloquence,
sentit
son zèle enflammé au point de rêver pour ces ador
n. L’archange en lui parlant posait la main sur son cœur ; et elle se
sentait
entraînée vers Dieu parun amour si doux et si cha
nt que celles qui aimaient le mieux leurs maris ne pouvaient plus les
sentir
et leur jetaient des bâtons à la téte ; que, se t
un être immatériel, doué des facultés de connaître , de penser et de
sentir
, et par conséquent doué de volonté et d’activité
ses actes paraissent irréfléchis ; il ne raisonne pas, il perçoit et
sent
, et s’abandonne tout entier à ses impressions ; i
ieds, je le tins à l’abri de tout contact étranger. A ma surprise, je
sentis
qu’une force invisible le tirait par l’autre bout
ument k mon insu. « 8. Durant le cours de ces divers phénomènes, je
sentis
à plusieurs reprises un« étreinte délicate sur me
cidité médicale, nous reconnaissons par l’observation que les lucides
sentent
et voient les choses qui peuvent les guérir. De l
cette affection était continue depuis plusieurs années, et se faisait
sentir
au dos, du côté droit principalement, avec des él
s doux, reçut d'elle les témoignages de l’affection la plus vive ; il
sentit
même l'esprit invisible lui appliquer des baisers
onscience d’être étrangers à ces discours et à ces opinions dont nous
sentons
la fausseté. EX pourtant personne ne prétend que
on de l’esprit ; alors, celui-ci s’élève au-dessus de lui-même, voit,
sent
et dit des choses qu’enfermé dans son âme, l’homm
magnélique est une sorte de mort anticipée. De là vient que le sujet
sent
ses forces vitales s’affaiblir et perd souvent la
e aussi délicat que l'œil sans occasionner aucune douleur, sans faire
sentir
aucune pression. Allons plus loin. Opposons l
tres, à quelque règne, à quelque type, à quelque degré qu’ils occu-
Sent
dans l’océan de la vie et de la pensée, sans aucu
ée par les moyens magnétiques, el qu'après quelques jours, elle s'est
sentie
fort soulagée d’une affection de la moelle épiniè
s les faits, mais dans le langage qui ne. peut le3 rendre et en faire
sentir
la grandeur; ce n’est qu’en s’élevant, au risque
abus, ces déviations de la puissance de l'homme sur son semblable; ce
sent
ces invocations et confiances imprudentes dans ce
ez vous servir tic la raison pour combattre ces maladies ; l’individu
sent
, entend, et le témoignage de ses sens l’empêche s
sera plus livré au hasard. Qui de vous, chers condisciples, n’a pas
senti
en lui ce feu divin dont Mesmer nous a révélé l’e
e; ses disciples sont bientôt fatigués; nous, au contraire, nous nous
sentons
vivre; il semble que l’exaltation de nos forces v
es bien convaincus. Du magnétisme la puissance Sur les âmes se fait
sentir
, Il excite la somnolence, Et malgré soi vous
oient rachetés. L'œuvre immense a déjà ses preuves ; L'univers se
sent
tressaillir : l’Ius cruel fut le temps d’épreuves
libérations. Pendant plusieurs années, cet inconvénient ne se fit pas
sentir
: mais malheureusement en dernier lieu, il s’intro
llet 1858. lî soit pas nerveuse? car enfin, sans les nerfs, je ne
sentirais
aucun mal, et ne vous ferais pas appeler. Voici
on genou, et puis la caressant légèrement pendant dix minutes, je pus
sentir
cette petite main caresser la mienne depuis le po
saisir ces trois petits doigts. La main disparut, et en même temps je
sentis
qu’elle grimpait sur mes genoux où elle s’assit,
réponses. Une demi-heure après avoir mis le foulard sous la table, je
sentis
quelque chose qui me chatouillait les jambes à la
qu’il n’en était pas moins occupé ; car, quelques instants après, je
sentis
couler sur mes pantalons un liquide froid, et je
s instants après, la belle-sœur qui est une forte et grande femme, se
sentit
en-traînée par les pieds sous la table, et, malgr
conduire chez elle, je me proposais de quitter le cercle, quand je me
sentis
pris par les jambes, parles mains, et, malgré mes
ien qu’à ses yeux la commission Burdin aitconfirmé cet écrasement, il
sent
le besoin d’écraser encore de nouveau et pour son
nscience si les conditions du défi ont été remplies, et M. Mabru doit
sentir
qu’il ne peut être compétent pour statuer sur ces
tensité déterminée : si l'intensité est augmentée, ses effets se font
sentir
dans toute l’éteiulue de la moelle ; plus forte e
près d’eux......; l’odorat est comme anéanti, on peut leur h faire
sentir
l'acide muriatique ou l’ammoniaque sans qu’ils «
ique, et, mieux encore, d’une chaleur de conviction telle, que l’on y
sent
en quelque sorte le frémissement d’une âme pénétr
ace de la table..., c’est purement la force motrice nerveuse qui fait
sentir
son action (1) ; et ce phénomène, qui n’a rien de
le baron du Potet, appelle la vie spiritiialisée. La fusion proposée
sent
peut-être l’éclectisme (et nous le regrettons, sa
pare aussi pour la vie d’autres êtres, et de là ce mouvement que nous
sentons
en nous, sans que nous en devinions la cause; cet
tant ; mais mille agents, cachés à tous les yeux , peuvent nous faire
sentir
leur mauvaise influence, ceux surtout venus avec
ifférence entre électriser, endormir et somnambuliser qu’entre vivre,
sentir
et parler. Le dernier état suppose sans doute les
la tapisserie se mouvoir ; celui-là un bahut le saluer. Plusieurs ont
senti
des chauves-souris gigantesques s’accroupir sur l
recueillement; puis, ayant mis ordre k ses affaires, bien qu’il ne se
sentit
aucun malaise, il regagna sa chambre à coucher.
le son de l'harmonica ; je lui pinçai fortement les mains, elle ne le
sentit
pas. « Je voulus la démagnétiser. Peine inutile
un geste et sans qu’il accuse de souffrance. Si voys le pincez, il ne
sent
point, si vous le frappez, c'est la même impassib
s, il digérerait le fer;... en voici un autre qui parait inerte et ne
sent
pas les aliments;..-, voilà la soif qui naît, l’e
prenant le chemin de fer, elle était encore pâle et faible,, mais se
sentait
très-bien ; aujourd’hui, la santé et l'em-bompoin
pe si péniblement chez les morts, était radieuse; ses mains , dont je
sentis
bientôt la pression sur les miennes, avaient cons
serinons , on invitait, suivant l’usage , toutes les personnes qui se
sentaient
touchées à prendre la parole. A l’une de ces séan
ever son argent et ses habits. Malgré lui, il fit un mouvement, et il
sentit
sur sa poitrine le froid de l’acier. Cette sensat
de l’agent supérieur que l’eü appelle âme humaine. Ce feu que nous
sentons
en nons^-mêmeB, ce foyer qui, une fois allumé, ne
celui que vous cherchez à ébranler restera immobile. L'être magnétisé
sent
parfois éon parcours ; il éprouve une sorte de fo
’écouler juste quinze minutes depuis l’imposition des mains, quand je
sentis
la chaleur ramenée aux extrémités et le pouls sen
l finit sa lettre en témoignant vivement la reconnaissance dont il se
sent
redevable vis-à -vis de madame Tripple. FAITS E
xpériences magnéto-thérapeutiques, tellement curieuses, que noue nous
sentons
en devoir de les mentionner publiquement. M. Mi
s sur le bras malade et sur la tête de M. Milet, que celui-ci déclara
sentir
un effet indéfinissable, se produisant d’abord da
par quel mode se sont faites ces communications. Ces détails eus-
sent
été cependant fort nécessaires, car il s’adresse,
de nouveaux moyens d’arriver à la régénération vers laquelle elle se
sent
providentiellement poussée. L’esprit occupe tout
des personnes avec les* quelles nous sommes en rapport, il peut être
senti
, annoncer ainsi notre approche, bien que, souvent
aller à pied chez ma sœur (à une distance d’un quart de mille). Je me
sentis
un peu mal à l’aise, et je ne revins pas chez moi
hé sur le dos, ma tête penchée à gauche, et les yeux fermés, quand je
sentis
sur mon frontle contact desdoigtsd’unemain ; ce t
s de chercher clans ma pensée à qui j'avais affaire, je vis et je
sentis
deux mains passer sur moi en sens iliflérents ent
riraient. La servante aussitôt commença sur moi ses manipulations. Je
sentais
la douleur se retirer chaque fois que ses mains p
des douleurs si violentes qu’elle était presque hors d’elle-même. Je
sentis
ma main serrée par une main invisible qui me cond
n s’approchant du premier chêne, et, en ce moment, son magnétiseur se
sentait
une force inaccoutumée. Le soir, interrogé pour s
i couper les bras et les jambes, le percer de part en part, il ne
sentira
absolument rien. Vous pourrez vous-mêmes, messieu
: il n’a rien vu, rien entendu et ne sait pas pourquoi l’on rit ; il
sent
seulement une légère douleur dans les parties qu’
près, mademoiselle Kurz, logeant dans un endroit humide, recommença à
sentir
de nouveau une douleur semblable à la première. A
bulisme se déclara. Plein de force alors et de confiance en Dieu , je
sentis
en moi-même une voix qui me disait : Tu la guérir
huit ou dix pouces au-dessus de mes couvertures ; immédiatement je me
sentis
soulagé, l’engorgement et l’enflure avaient presq
l’engorgement et l’enflure avaient presque entièrement disparu. Je me
sentais
disposé à sortir du lit pour reprendre mes occupa
seule marchandise d’un certain nombre de somnambules, et que tous le
sentent
terriblement, comme 011 eût dit au moyen âge. Ou
i donnant la main pour se mettre en rapport, une vieille fille qui se
sent
rougir rien qu’à l’idée qu’on pourra lui répondre
uvoir ; je sautai à bas du lit, espérant voir une figure humaine ; je
sentis
quelque chose glisser près de moi. 11 faisait un
, les magnétiseurs tremblaient de tous leurs membres , car ce médecin
sentait
d’une lieue l’opium et l’acide prussique : il éta
magnétistes voulurent gagner le prix; je crois, au contraire , qu’ils
sentirent
tous que cette amorce était placée sur un piège à
ne manière suivie et avec une entière liberté. Il raconta qu’il avait
senti
un chatouillement agréable dans les-bras et les m
ins. Je n’ai pas, dit-il, perdu entièrement connaissance ; mais je ne
sentais
plus que confusément; j’ai essayé deux fois de pa
. Quand M. Collyer s’est éloigné de moi et m’a livré à moi-même, j’ai
senti
que je pouvais rester debout ici, très à mon aise
faire pour pouvoir me mouvoir. Quand vous m’avez invité à parler, je
sentais
que vous attendiez tous ma réponse, et cependant
. Paris, le 18 novembre 1858. Monsieur le baron, En rêve, je me
sentais
mourir, toutes mes forces me quittaient à la fois
e sera considérablement plus « fraîche et plus agréable que celle que
sentira
la main « droite. « Terminez par une troisième
e suis « donné et le mauvais temps qu’il fait à Milan, je n’ai plus «
senti
la moindre douleur. » Le 10 du même mois, madem
it-on, que l'odorat et l'instinct de ces animaux pouvaient leur faire
sentir
si ceux qui l'approchaient avaient ou non avec lu
t sur les mains. A droite, la main vue par sa face palmaire, pré-
sente
un aplatissement extrêmement prononcé de l'émi-
solument de travailler. Il y a un an, elle s'est aperçue qu'elle ne
sentait
pas au niveau de la partie interne de la main d
es réflexes tendineux sont conservés. A la main droite la peau pré-
sente
un état lisse au petit doigt. Il y a des sueurs e
érée au niveau des trois derniers espaces interosseux. Le malade ne
sentait
pas la pression ni les excitations produites pa
icularités étiologiques notables, en vertu desquelles nous les pré-
sentons
dans un certain ordre. Enfin leur complexité moin
-- Mme Lef..., âgée de quarante-neuf ans, sans profession, se pré-
sente
, le 7 mars 1887, à la consultation externe de la
f cubital qui était remplacée par une saillie. Le nerf pouvait être
senti
immédiatement sous la peau comme un cordon volu
OBs. VII. Mme lier..., trente-quatre ans, femme de ménage, se pré-
sente
à la consultation externe du service de M. Charco
actuel, déformation. - La main droite vue par sa face palmaire pré-
sente
une atrophie très-marquée des éminences thénar et
ension complète, soit spontanée, soit provoquée, est impossible. On
sent
, dans cette dernière tentative, le tendon du bi
n de la sensibilité donne les résultats suivants : Le sol n'est pas
senti
pendant la marche. Au lit, la situation des jambe
, rosée et renversée. Les glandes sous-maxillaires étaient aisément
senties
, mais non hypertrophiées d'une façon certaine. Le
fait dix-huit mois après le premier. Le corps thyroïde ne peut être
senti
par la palpalion, mais on ne peut af- firmer av
illes, elles aussi, sont remar- quablement grosses et difformes, on
sent
très nettement que les cartilages sont d'une ép
ment atrophique, c'est à peine si par la pal- pation on arrive à le
sentir
. La colonne vertébrale présente dans la partie
pas être élargies, les espaces intercostaux peuvent être nettement
sentis
; le sternum lui non plus n'est pas hypertrophié
que par monosyllabes, elle affirme ci plusieurs reprises qu'elle ne
sent
aucune douleur. Plusieurs fois, elle s'échappe
ur la marche, sur l'incoordination lorsqu'elle existe; elle se fait
sentir
dès les premières séances. Les malades disent q
ade à ne pas faire de mouvements, souvent in- volontaires, quand il
sentira
qu'il quitte le sol, de façon à éviter les dépl
a 'clavicule 'une dépression qui n'existe pas du côté opposé. On ne
sent
entre la peau et les côtes aucun faisceau muscu
de l'aisselle de la portion costale du grand pectoral gauche. On ne
sent
pas non plus de petit pectoral. Le malade ne sent
ral gauche. On ne sent pas non plus de petit pectoral. Le malade ne
sent
pas de gêne dans les mouvements d'adduction; ma
ut la flaccidité el la minceur de ses parois. Les ovaires faciles à
sentir
par la palpation sont très plats, résis- tants
gt au-dessus du poignet'. D'une façon générale, tout le côté gauche
sent
beaucoup moins la piqûre, le froid et le contac
iculaire. Lorsque, d'ailleurs, on cherche à relever la paupière, on
sent
une résistance qui, pour ne pas être considérable
'épingle mise en contact avec la cornée ou la conjonctive n'est pas
sentie
, mais produit du larmoiement et de légers mouveme
heure. Violentes douleurs alee photophobie. Dès le soir même, elle
sent
qu'elle ne petit ouvrir les deux yeux. Pendant
racine des bourses. A partir de ce point, la direction de la sonde
sentie
à travers le périnée parait être normale. A l
ir de l'hyperacousie, il prétend qu'il entend beaucoup mieux, et il
sent
autour de lui des odeurs agréables. ]86 NOUVELL
e paralysie agitante à forme hémiplégique. Le membre supérieur pré-
sente
l'attitude fléchie et le tremblement caractéristi
r. lui arrivait fréquemment, quand elle se mettait en marche, de se
sentir
comme poussée en avant, ses pas se précipitaient
a discussion elle tourne violemment la tète à gauche. Aussitôt elle
sent
son cou se contracturer de ce côté. A 6 heures,
aire supérieur de 2 centimètres et demi. Celui-ci, à son tour, pré-
sente
les fosses canines très marquées; son arcade alvé
pendant longtemps; et môme, dans la déambulation, devait, se faire
sentir
le besoin d'un appui. Pour ce motif, il est à cro
vers la tète, et l'impul- sion du coeur se faisait particulièrement
sentir
sur les artères qui se distri- buent aux partie
l'avait entièrement couverte et qui était si considérable qu'on le
sentait
aisément au doigt. Pour la suture coronale il n
autre muscle de la face ou du cou. Si chez une hystérique qui pré-
sente
la diathèse de contracture, on provoque il l'aide
usse position, dit-elle, ou eut froid peut-être. Le lendemain, elle
sentit
une douleur intense dans la hanche droite. Cette
rophie de la langue une fois survenue, ses effets devaient se faire
sentir
principalement sur les os maxillaires. Cependant,
escend jusqu'à l'origine des alvéoles. Les maxillaires supérieurs
sent
longs de 88 millimètres, soit 22 de plus que no
« Tout à coup, au milieu des transports de son ardente prière elle
sent
un serrement et un mouvement dans le talon de s
oin... o A peine notre miraculée a-t-elle fait quelques pas qu'elle
sent
en elle-même une légèreté extraordinaire dans t
« Tout à coup, au milieu des transports de son ardente prière, elle
sent
un serrement et un mouvement dans le talon de sa
son hôtesse. Pendant la matinée du 2 juillet 1887, il s'était déjà
senti
mal à l'aise, la tète lourde. Le matin, il étai
Les quatre malades de M. Babinski examinés par M. Vigoureux pré-
sentaient
, dans les territoires musculaires atrophiés, la r
près les repas, dans l'après-midi assez fréquemment. Tout à coup il
sent
une bouffée de chaleur lui monter à la tête; ses-
face externe de l'avant-bras, au niveau de sa moitié supérieure, il
sentait
bien le courant, mais les doigts ne se relevaient
e réchauffa près d'un foyer ardent jusqu'à se brûler pour voir s'il
sentirait
; mais il ne sentit rien. Il se pinçait et ne se
foyer ardent jusqu'à se brûler pour voir s'il sentirait; mais il ne
sentit
rien. Il se pinçait et ne sentait pas davantage
ur voir s'il sentirait; mais il ne sentit rien. Il se pinçait et ne
sentait
pas davantage. Dès le début, la main, était gonfl
de la gorge il vingt minutes d'intervalle. 24. juin. Le malade se
sent
courbaturé, il a des élancements dans les tempe
uche et la laisse tomber. La main était engourdie, insensible, il y
sentait
des fourmillements. Le samedi, il vient à la cons
es comme les jours précédents; il existe seulement des endroits qui
sentent
moins bien que normalement. Samedi 28. - Moti
roite siège de l'oedèmc; le simple toucher permeLlait d'ailleurs de
sentir
cette diminution de la température périphérique
on d'aura avant sa crise, à la poitrine, au cou et dans la tête; il
sentait
ses yeux devenir fixes et le sang lui monter da
e attaque cinq semaines après, le 3 septembre, au matin; il l'avait
sentie
venir, s'était couché en revenant des champs; e
niers mois il n'en eut plus; dans l'intervalle des at- taques il se
sentait
très bien, était bien apte au travail, et pendant
nouvelle pour commencer l’année ! M. le Dr Bégué, qui a, comme nous,
senti
le besoin de faire servir les traitements magnéti
e fut convaincu que mon électromoteur était très-faible et qu’on n’en
sentait
presque pas. l’effet dans la main ou même dans la
bilité avec cette chétive machine chez une personne insensible qui ne
sent
pas même les coups foudroyants de la machine de M
laissai mon doigt tranquille pendant quelques moments, et lorsque je
sentis
que sa main s’était relâchée, je fis un très-lége
s’était relâchée, je fis un très-léger mouvement de mon doigt, et je
sentis
que, dans ce moment, elle redoublait de force pou
portant; sou dévouement doit être de tous les instants, et s’il veut
sentir
et voir, il doit cesser de vivre de la vie commun
-dessus ou au-dessous du genou, dès que l’accès commençait à se faire
sentir
, réussissait toujours à l’arrêter; mais, un soir,
l cessa tout à. coup. Quand elle rentra dans son appartement, elle se
sentit
tout le corps glacé ; le sang avait reflué au cœu
les adversités qui attendent tout novateur; mais si un jour vous vous
sentez
défaillir, pensez à celui que vous voulez bien ap
de la région épigastrique et du bout des doigts aurait la faculté de
sentir
la lumière, ce qui n’est pas, il n’y aurait cepen
eils, le creux de l’estomac et les doigts, fussent-ils môme aptes à
sentir
la lumière, ne pourraient que distinguer le jour
ur de la nuit. « Mais, comme ces parties n’ont point la capacité de
sentir
la lumière, et comme il n’y a point de sensation
vant de s’en-ormir ; car les nerfs optiques peuvent être sollicités à
sentir
par une cause interne tout aussi bien que par des
s sens, soit accusé par un acte de conception, rien autre chose n’est
senti
. De celte façon peut surgir une complète insensib
ndispensable, et que ce que les somnambides disent voir est seulement
senti
par eux. L’interprétation de ce phénomène a déjà
ier et le sable ne plaisaient point aux esprits, et que d’ailleurs il
sentait
àses jambes que la table ne tournerait pas. Je
êchait de nfarcher. 11 était venu en voiture et fut très-étonné de se
sentir
en état de pouvoir, après la séance, s’en retourn
.... très-bien 1 « — Souffrez-vous? « — Non... « — Mais vous ne
sentez
aucune partie de votre corps malade ? « — Non !
sente, non, le somnambule ne voit pas, le somnambule n’entend pas, ne
sent
pas, ne goûte pas. Aucun des sens ordinaires qui
iens d’a-« vance de tout ce que la clairvoyance des somnambules pré-«
sente
d’incertain, et que s’ils réussissent souvent dan
tout entier. Mais nous avouons que, pour nous, ce sujet nous paraît
sentir
un peu trop le fagot, et bien qu’aujourd’hui ou n
ce n’est à l’Académie, peut-être, et encore en effigie), nous ne nous
sentons
point disposés à suivre M. Ragon dans une voie où
t nous dit que, pour la première fois depuis bien des anuées, elle se
sent
débarrassée de ses maux de tête. Dans la journée,
lquefois aussi sans accès. Quand il y avait eu un accès, la malade se
sentait
mal à son aise. Le 18. Depuis deux jours, je re
journée. Aucun accès ne survint, quoique la malade me dît qu’elle le
sentait
venir. Le 3 janvier 1853 ; la malade est bien ;
occultes qui sortent chaque jour de nos mains, impuissants qu’ils se
sentent
à en découvrir les lois, et forcés qu’ils seraien
e leur maître ; et plus le magnétisme fait de progrès, plus nous nous
sentons
pénétrés de reconnaissance et d’admiration pour l
e celle du soleil : les malades qu’il a guéris, les personnes qui ont
senti
son action, chantent ses louanges et forment un c
urez une queue, et des cornes aussi ; Et déjà, mes très-chers, vous
sentez
le roussi. Oui, démons incarnés, la divine just
oi dans le repos s'énerve, Le bœuf trace mal son sillon, S'ils no
sentent
pas l’aiguillon. Pins d’un prince de noble race
iative sur cette matière, dans un de ses précédents numéros, il s’est
senti
le courage de suivre l’impulsion. A ce propos, le
1 fonctionner: d’autres ne voient réellement que quelques objets, 11e
sentent
que certaines odeurs, nesont impressionnés que pa
affectée de la fièvre typhoïde. Celte dame, enceinte de six mois, ne
sentait
plus remuer son enfant depuis dix jours, ce qui l
que ma main resta appliquée sur le ventre, ces mouvements se. firent
sentir
une douzaine de fois, et ramenèrent dans le cœur
uelque semence féconde, quelque fi nit précieux dont le monde un jour
sentira
bien le prix. .Nous n’avons certes pas la préte
ns lequel on se complaît, dans lequel un s’admire, dans lequel 011 se
sent
fier de posséder un génie capable de pénétrer les
111 aurait tuée peut-être... tandis que j’ai bien dormi ; j’ai bien
senti
quand vous m’avez ordonne dt me réveiller... J’ai
vous me le rendrez ensuite. — Il sera bien magnétisé, et quand je me
sentirai
le besoin de dormir, je m’en servirai. » C’est
simple division en classes. La modification, en tant que se faisant
sentir
sur les fonctions physiques, peut porter sur les
quelquefois mon coup), au bout de quelques minutes, quatre à cinq, je
sentais
comme une chaleur interne se développer dans le p
serai guérie; 29. « Et aussitôt son flux de sang s’arrêta, et elle
sentit
en elle-même qu’elle était guérie de son infirmit
lieu du f 32 do Marc : VIII, -4G. « Quelqu'un m a touché ! car j’ai
senti
une force s’échapper do moi. >* Le langage e
ce qui est continu et incessant n’attire pas notre attention. Nous ne
sentons
pas le myuveinent uniforme du bateau qui nous ent
ience, à éprouver déboires et rebuffades sans colère? En un mot, vous
sentez
-vous pour eux à la fois l’amour d’un père et d’un
s l’amour d’un père et d’une mère, ou, ce qui est la même chose, vous
sentez
-vous pour eux 1111 attrait irrésistible? N’hésite
nfants vous impatiente ; si leurs fautes vous irritent ; si vous vous
sentez
disposé à exiger d’eux qu’ils vous rendent en amo
oupés cette scène dégoûtante, ¿semblaient être pris de vertige, et se
sentaient
irrésistiblement attirés, comme par un fluide mag
en disparaissant à l'occident, leurs yeux deviennent hagards; ils se
sentent
pris de frayeur sans cause apparente, et saisis d
repos ni l’état de veille : ses yeux sont ouverts; il entend; sa main
sent
et agit, son esprit raisonne; et, malgré cela, no
tion du sommeil, qui est . « la plus cruelle de toutes : peu à peu je
sentais
le trouble « se mettre dans mes idées; c’est en v
rouver sur un sol détrempé. Quelquefois, il apercevait le Nil ; il le
sentait
. Il courait alors, ou il se traînait jusqu’à ce q
lle en fut très - reconnaissante. Lorsqu’on lui demanda si elle avait
senti
quelque chose, elle répondit : « Rien ; » et à ce
Il fut témoin de la frayeur qui se manifestait autour de lui ; il en
sentit
lui-même une très-vive, mais qui ue donna lieu d’
symptôme. Il revint dans la soirée à Paris, et alors il commença à
sentir
une douleur vive dans l'épaule. « Le lendemain,
: les convulsions cloniques semblent partir des pieds ; le malade les
sent
monter, et elles arrivent ainsi à la tète. A cet
ude qui existe entre ce symptôme et l'aura cpitcplica.) Plus tard, il
sentit
dans la poitrine une boule qui montait et descend
produisit d’ailleurs de singulières hallucinations; le malade croyait
sentir
l’odeur de rose et d’œillet. Le sulfate de quinin
souvent les dents de la fourche s’en trouvent brisées; mais, quand on
sent
une attraction considérable, on tient la baguette
il ne tient qu’à eux de voir le sorcier d'eau, comme on nous appelle,
sentir
par les mouvements de la baguette fourchue et dev
extrôme invraisemblance des phénomènes observés, veulent être, 011 le
sent
, abordées avec une extrême réserve. Cependant, pl
ue l’on pour- rait appeler provisoirement muscuto-moteur, put faire
sentir
par de certaines actions et réactions établies en
entre divers organismes, c’est-à-dire en formant la chaîne, pût faire
sentir
, dis-je, son action jusqu’au-delà des limites ord
réfléchie, M,u 0, poussée à se saisir (l’une plume ou d’un crayon,
sent
soudainement partir sa main, sous des dictées et
ue temps de là, M,u 0 venait de s’approcher de son guéridon ; elle se
sent
enveloppée d’une lourde atmosphère ; une odeur na
sont appliquées tendrement sur les nôtres, et leur souffle s’est fait
sentir
sur nos visages aussi distinctement que si nous a
t des relations d’apparitions de formes tangibles. M. Benning a vu et
senti
une main d’esprit qui l’a saisi, l’a caressé et l
ne autre personne ayant successivement mis leurs mains sous la table,
sentirent
chacun le contact d’une main froide. Le tapis de
un canif à deux lames s’enfoncer dans une main ; plusieurs personnes
sentirent
à la fois des piqûres dans les chairs, et la doul
istinction : il en était résulté quelques inconvénients. Depuis, on a
senti
la nécessité d’un certain contrôle, et les indige
en frap- p.ant un grand coup. La personne reçoit la baguette et ne
sent
pas de main au bout ; elle tâte tout autour et ne
ille d’un individu et joue une fanfare des plus bruyantes. L’individu
sent
le contact de la trompette, mais tâte en vain pou
u’il fût possible de faire reprendre les portions détachées, quand je
sentis
sur mon épaule le contact d’une main invisible, e
ues de.mon propre esprit et non d’une source étrangère. Si je n’avais
senti
que j’étais dirigé par l’intelligence d’un être i
rouvée diminuée des deux tiers. A la neuvième, les douleurs se font
sentir
jusqu’à l’épaule ; l’appétit est tel que la malad
x jours. Vingtième séance. * La tumeur s’aplatit tout à coup; on ne
sent
plus au toucher qu’une petite poche molle semblab
e. — Je ne «iis pas, me répondit-elle, à quoi cela tient; je inc suis
sentie
entraînée du côté droit, comme si mon matelas m'a
cette figure des aiguilles dont l'effet devait se faire immédiatement
sentir
à la personne contre laquelle le sortilège était
tion à ce génie méconnu. Il est impossible, en effet, de 11e point se
sentir
ému en lisant ces lignes écrites sous l’empire d’
t au réveil? Du moment où l’assoupissement vous gagne, où le corps ne
sent
plus son soi, comme dirait M. Cousin, vous entrez
a été écrit jusqu’ici de plus vrai sur les esprits. Tant que l’homme
sent
son corps, l’esprit ne le quitte pas, parce qu’il
pages 18 à 23.) A l’annonce d’un aussi magnifique programme, on se
sent
pris de vertige; sous notre main est l’arbre fata
uche du lecteur : c’est la pression du doigt sur la rondelle qui fait
sentir
son effort musculaire à tout l’appareil dont le p
* décident entièrement de la réussite ou de l'insuccès. Faute d'avoir
senti
la nécessité, ou d’avoir trouv£ les moyens de réa
s donne de l'émétique à l'état sain? Je vous réponds bien que vous le
sentirez
. Hom. — Criez, clabaudez, hurlez. Nous n'avons
, elle avait une puissante intuition de Cégalité naturelle (2) ; elle
sentait
qu’en les créant Dieu avait promené un seul et mê
d'eau-de-vie ; que dans le premier moment d’assoupissement, il avait
senti
une volonté puissante le dominer sans qu’il eût l
ant, a dit qu'il n’était pas déraisonnable de supposer que la mulière
sent
. Si cette parole est vraie, avec quel respect ne
il se vit en plein air, au milieu de la rue, car c’est alors qu’il se
sentit
plus calme. — Il me proposa d’entrer chez lui.
M’étant concentré en moi-même et lui imposant ma ferme volonté de se
sentir
soulagé, je lui fis quelques passes locales. L’ef
rche, à toutes les actions corporelles. En effet, le corps dormant ne
sent
pas, mais elle, éveillée, a la connaissance, voit
déjà hippocratique, je fus pris d'un tel saisissement, que je ne ine
sentis
point la force d’agir. Cependant, faisant un viol
ique, dit-oî), à l’âme. Mais ces nouvelles facultés sont, comme on le
sent
bien, contraires à la nature de l’âme, et tout au
elle a appelé la discussion sur ce sujet, elle a fait voir qu'elle en
sentait
la gravité, elle* s’est engagée à examiner les tr
de laréaliié dusomuambulitmc arlificielet des facultés qu’il pré-
sente
: d’une part, tous les concurrents, moins un, lui
nous devons être sobre. Voici ce passage : « L’âme, par son corps,
sent
le monde extérieur, et puis aussi son propre corp
ilets nerveux, qui plongent dans la profondeur des entrailles et font
sentir
les états généraux de la vie corporelle. « De m
corporelle. « De même, dans sa vie propre non corporelle, l’âme ne
sent
pas seulement ce qui n’est pas elle, mais elle se
elle, l’âme ne sent pas seulement ce qui n’est pas elle, mais elle se
sent
surtout elle-même. Elle se sent, elle se voit, el
t ce qui n’est pas elle, mais elle se sent surtout elle-même. Elle se
sent
, elle se voit, elle se veut et elle s’aime :%lle
eut et elle s’aime :%lle s’applique à elle-même les trois paissances,
sentir
, connaître, vouloir. — Mais ne parlons ici que du
, connaître, vouloir. — Mais ne parlons ici que du sens. « L'âme se
sent
. Elle sent très-vaguement toute cette immensité q
, vouloir. — Mais ne parlons ici que du sens. « L'âme se sent. Elle
sent
très-vaguement toute cette immensité qu’elle est.
ent. Elle sent très-vaguement toute cette immensité qu’elle est. Elle
sent
cette possibilité, dont parle Bossuet, d’être
sibilité, dont parle Bossuet, d’être rendue conforme à tout. Elle
sent
cette prodigieuse essence, pleine de germes, dont
ibres qui la composent, pour connaître tous les intelligibles. Elle
sent
ce fond et ce centre d’elle-même par lequel elle
ssous. « Que dire de ce sens obscur, ineffable, par lequel l'âme se
sent
, sinon qu’il est principe de connaissance et de v
un instant, possession de notre âme-. Et c’est alors que nous l’avons
sentie
, i . n Mais qu’avons nous senti? qu’avons-nou
Et c’est alors que nous l’avons sentie, i . n Mais qu’avons nous
senti
? qu’avons-nous éprouvé? Nous dirons tout, même ce
irique, soit par la poésie du sens intime, voiéi ce que nous avons cm
sentir
: « Dans ces moments lucides, de délicate sensi
s moments lucides, de délicate sensibilité intérieure, nous avons cru
sentir
en nous la vraie forme de l’âme, le plan vivant,
âme dans sa beauté et son intégrité. « Voilà ce que nous avons cru
sentir
. Mais, en réalité, indépendamment de notre croyan
neux, pleins de force et de sérénité, de recueillement et de paix. Je
sentais
comme une force intérieure, portant mon corps, un
sion de la face, le timbre de la voix, la nature du regard. Elle fait
sentir
avec une puissante énergie, dans l’âme et dans le
en perd jusqu’au souvenir. On n’y croit plus. u Que de fois l'ai-je
sentie
porter mon corps, réveiller, raffermir, ranimer t
ans la confiance. Le fond obscur et implicite des entrailles de l'âme
sentait
et semblait dire ceci : Mon idéal se peut réalise
échants comme sur les bons, cherche à reprendre l’âme, en lui faisant
sentir
sa loi, sa vie, son idéal et sa beauté? ou bien s
oi, sa vie, son idéal et sa beauté? ou bien serait-ce l’état de grâce
senti
par l’âme? ou bien encore le phénomène intérieur
stbien à croire que, dans tous les états humains possibles, Dieu fait
sentir
à l’âme, de temps en temps et avec plus ou moins
t dans leur corps, miroir de l’âme. Les enfants, dans leur innocence,
sentent
ce bien presque habituellement dans leur corps, e
r plénitude d'espérance. Nous qui avons perdu l'innocence, nous ne le
sentons
plus que dans certains moments heureux d'innocenc
n soit, cet état d’âme est l’état vrai : cet état seul, plus ou moins
senti
, est la source des grandes pensées, des idées aya
ans cette étude du sens intime : c’est que l’âme, par le sens intime,
sent
en elle-même les autres âmes. « L’âme doit sent
par le sens intime, sent en elle-même les autres âmes. « L’âme doit
sentir
autrui comme soi-même pour pouvoir, en développan
tions nécessaires? « Comment ne sait-on pas encore que nous pouvons
sentir
, et sentons en effet, les mouvements des autres â
saires? « Comment ne sait-on pas encore que nous pouvons sentir, et
sentons
en effet, les mouvements des autres âmes ? « Ce
tient an sens intime. C’est en etret par le même sens que nous devons
sentir
, nous et les nôtres, notre âme et l’âme de nos se
nt retentir dans une autre âme, de manière à ce que l’impression soit
sentie
, et occupe de son influence l’homme entier jusqu’
int de départ. Les innombrables et continuelles variations que chacun
sent
en soi, ces étranges et brusques passages sans ca
Elle est évidemment soumise à des influences extérieures, puisqu’elle
sent
, conçoit, imagine, pense, parle, désire et veut,
il n’est point maître de fui.. La vie est tout absorbée par ce qu’il
sent
, par ce qu’il voit ; et quand il parvient à en ex
ne se saisit plus en objectivité, il se dédouble pour ainsi dire; il
sent
, mais il ne réfléchit pas. La conscience du m
même et la conscience de son moi, la puissance de penser ce qu’elle a
senti
, d’exprimer ce qu’elle pense, et de jeter au deho
ut de dix minutes, à sa grande surprise et presque à son effroi, elle
sent
ses atroces douleurs s’évanouir comme par enchant
e ce que vous en avez puisé dans votre cœur et dans vos doigts ; vous
sentirez
vos forces se décupler quand vous pourrez puiser
es choses dont j'avais intimement connaissance. On aurait dît qu’elle
sentait
ma pensée, qu’elle en avait des avertissements.
i de-« mandais depuis si longtemps par des prières infatigablos. « Je
sentis
que les esprits surnaturels avaient employé de «
de ses mains que je retins malgré ses efforts entre les miennes ; je
sentais
battre, non pas son pouls , mais des milliers de
t; après deux ou trois minutes.de concentration, sans distraction, je
sentis
les nerfs se détendre, je vis la malade laisser t
nt dû attendre Galilée et Newton pour être révélées, alors que chacun
sent
leurs effets et que depuis l’origine du monde les
hénomènes si extraordinaires , si étonnants, que la raison humaine se
sent
accablée sous tant de merveilles, elle frémit et
t mon tour à cacher ma tète sur les genoux de ma mère. O terreur ! je
sentis
à travers les étoffes de soie de ses vêtements de
ent parlant ; tout, mentalement parlant. Il se faisait voir, je dis
sentir
, loucher par l'esprit, au moyen des sensations qu
tes, M"* ***, qui était atteinte d'une grave maladie chronique et qui
sentait
sa position, ajouta que, si elle mourait, elle re
. Il en est ainsi des sens extérieurs. Ce que le magnétiseur goûte et
sent
, ce qui affecte chez lui le sens commun est perçu
ée. La garde approcha les mains de sa bouche et de ses narines, et ne
sentit
aucun souille. : elle crut donc que la malade éta
raient rien empêché, les mains qui comprimaient les genoux n’auraient
senti
aucun mouvement intérieur, les coups se seraient
ses mystères, et cependant le magnétisme lui a révélé la magie; il a
senti
le besoin de révéler et de cacher cette science e
e mes démonstrations seront d’autant plus suivies actuellement, qu'on
sentira
la nécessité de se pénétrer d’une méthode dont l’
ant crier? » Point de réponse. Elle met la main sur le lit, et ne
sent
rien. Effrayée, elle appelle le mari, qui dormait
me sont bien loin d'être de notre avis; nous le savons, mais nous qui
sentons
que la matière ne peut d’elle-mème mouvoir la moi
. Peut-on cependant adopter sérieusement cette hypothèse lorsque nous
sentons
qu’il y a réellement quelque chose en nous qui, s
la part d’un docteur ès-sciences magiques, sciences qui ont toujours
senti
le fagot. Malgré ces protestations, on peut doute
est entaché de superstition catholique,... ce qui nel'eropêche pas de
sentir
terriblement le fagot : j’avoue que j’ai respiré
ment vénérée. Profanation ! mon cher monsieur, le mot est fort ! Cela
sent
un peu l’inquisiteur, et c’est vous qui nous accu
ouve dans une position déclive par rapport au cœur, la pesanteur fait
sentir
ses effets avec une grande énergie, et le sang s’
té nouvelle ne va point à votre génie ; vous pouvez bien comme moi la
sentir
, mais comme moi aussi vous êtes impropres à la me
ge, indéfinissable, un frisson me parcourait le corps, il me semblait
sentir
, chose singulière, des étincelles électriques jai
d’anxiété. il faut le dire, le fait étrange que par intuition je
sentais
devoir se produire. « On ne pouvait rien lire s
connais un peu. «Pour la première fois, et en public surtout, je me
sentis
ému. Cependant je pris les mains de la dame; et,
ent d’avoir quelques notions précises sur l’essence de notre être? Ne
sentons
-nous pas d’ailleurs en nous un besoin irrésistibl
tet nous dit que pour la première fois depuis bien des années elle se
sent
débarrassée de ses maux de tête. Dans la journée,
lquefois aussi sans accè-. Quand il y avait eu un accès, la malade se
sentait
mal à son aise. « Le 18. Depuis deux jours je r
journée. Aucun accès ne survint, quoique la malade me dit qu’elle le
sentait
venir. « Le S janvier 1853. La malade est bien
iennent tout auprès, le son paraît venir de la porte, et l’on peut la
sentir
vibrer; si elles se tiennent à quelque distance d
ssaient venir du parquet, dans le voisinage du médium, bien qu’on pût
sentir
le parquet vibrer à quelque distance, et la table
'interprète semble dévolu au vulgarisateur : s'il sait le remplir, il
sent
récompensé bientôt par le succès auprès de ses pa
t ensuite avec uu soin plus minutieux la trace de la plaie, avait eru
sentir
sous la tache plus large, dans la profondeur, com
n même temps. île l'autre part, il reste dans 1 impossibilité de bien
sentir
, de bien percevoir et «le penser encore avec la m
liobie. svmptôme «lé-ci it par Verga. quienêtaîl lui-même atteint. Se
sent
perdue également dans un endroit désert et éloign
«pier h-s neurasthéniques; il l.otl éviter .i tout prix de leur faire
sentir
«pu- leurs malaises sont dus .. ce qu'ils ne
lle se disait incessamment poursuivie par des odeurs affreuses quelle
sentait
même à table et au milieu d'un salon. Si maînte
nrtions de la vue el de l'odorat persistent, elle se plaini à nous de
sentir
les mauvaises odeurs que ses compliques lui font
profondément, mais elle était însensible. Je lui suggérai qu'elle ne
sentait
rien. Alors je commençai l'opération à l'aide d
e. Et comme les phénomènes réflexes, composés à la fois d'impressions
senties
. de perceptions dans un centre et de mouvements c
ois en septembre. L'elfe! sur les malaises du nez et du poumon se fil
sentir
immédiatement. Les attaques d'éternuement et d'as
sa profession. Quand elle avait chanté quelques mesures, elle se
sentait
la gorge serrée et sa voix se brisait. Ceci s'éta
salle, assis, sans avoir l'air de remuer le pied, nous lit enteudn-el
sentir
les bruits nets. secs, vibrants, s'entendant clai
, il me pria de l'éleetriser. seulement par curiosité, pour lui faire
sentir
l'ellel de l'électricité. J'y consentis, au momen
ueurs froides couvraient son visage; elle chancelait, comme étourdie,
sentait
une faiblesse générale l'envahir, et si elle ne s
. Diagnostic. — On peut redouter l'hématophobie quand les sujets se
sentent
mal à l'aise a la vue du sang, mais on ne peut la
s survenait sa première fausse couche. Jusqu'à ce moment la malade ne
sentait
rien d'anormal, mais en la délivrant on lui a fai
nsibilité culauée présente le signe suivant : les yeux fermés elle ne
sent
rien; les veux ouverts, la sensibilité reparaît.
près j'ai dit au sujet : je vais vous piquer à la main gauche et vous
sentirez
la douleur à la main droite, aux oreilles, aux pi
passer dans le verre, chaque fois que je le piquerai c'est vous, qui
sentirez
la douleur. J'ai piqué le verre sans bruit et j'a
lement la suggestion; car. si c'était le lluide. pourquoi le sujet ne
sentait
-il pas la douleur quand il n'entendait pas le bru
l'épingle piquant le verre ? Si c'était le fluide magnétique pourquoi
sentait
-il lorsque je piquais des verres n'ayant pas été
été en contact avec lui ? Si c'était le lluide magnétique pourquoi ne
sentait
-il pas avant d'être suggéré ? Je ne me suis pas
nue sonnette et j'ai dit au sujet : Au premier coup de sonnette vous
sentirez
une espèce de fluide. une force qui vous obligent
M. DUMONTAPALLIER. — Il n'est pas douteux que si nos sujets pouvaient
sentira
distance avant le contact de l'épingle, l'un de n
xclusivement à l'exercice de l'idée qui le préoccupe, il ne verra, ne
sentira
, ne percevra que des choses directement en rappor
été eu contact avec lui, même après que ce contact a cessé ; ou qu'il
sente
l'impression d'un objet soît à travers un obstacl
Depuis environ trois semaines, après un léger refroidissement elle
sentit
un douloureux enrouement qui, en peu de jours se
uyau d'une de mes oreilles, lors des mouvements de mastication, qu'on
sent
, tout autour de ce doigt, une pression qui le rep
prenant des aliments en compagnie de plusieurs autres personnes, elle
sentit
la perle de verre s'échapper. Elle signala le lai
passer dans le verre, chaque lois que je le piquerai, c'esl voit» qui
sentirez
la douleur ». s'il piquait le verre sans bruit, i
'endroit que nous piquions extérieurement, nous demandions simplement
sentez
-vous quelque chose ? » — a A quel endroit? » et p
telle sorte que quand je piquerai la peau, vous continuerez à ne rien
sentir
et quand, au contraire, je piquerai dans l'air qu
aire, je piquerai dans l'air qui se trouve au-dessus de la peau, vous
sentirez
. Est-ce bîen compris ' » La malade nous répond af
Collette. Si nous lut plaçons la figurine de cire en mains, elle ne
sent
pas quand nous piquons dans la cire, à la poitrin
c la pensée qu'on pourra désormais l'utiliser, si le besoin s'en fait
sentir
? Quoi qu'il en soit de ce point particulier, e
n lieutenant d'infanterie qui. lorsqu'il était en habit bourgeois, se
sentait
défaillir cl était pris d'une angoisse indéfiniss
able persécution de la part d'uu de ses supérieurs, â tel point qu'il
sentît
naître dans son esprit l'idée de déserter pour éc
ur lui de traverser seul une place, uue rue et surtout un pont, il se
sent
pris d'une anxiété fort pénible, il a peurde perd
près avoir entendu une conversation relative aux rapports sexuels, se
sentit
envahir par des scrupules relatifs à cette questi
boule jaune vous rirez, et si je vous présente une boule bleue, vous
sentirez
au bras droit un courant électrique assez fort po
pendant le sommeil provoqué et si on pique légèrement ces malades ils
sentent
une forte douleur. J endors ensuite mes deux suje
tanies. Bien qu'il ail des idées philosophiques assez avancées. il se
sentît
porté a les imiter irrésistiblement et a réciter
une si grande révolution s'opéra lui qu'au bout de deux heures il se
sentit
soulagé. La fièvre qui le tourmentait depuis ving
jets ne reviennent peut-être à eux qu'après plusieurs heures ; ils se
sentent
très mal ù l'aise, se plaignent de maux de tète ;
nom. devoir la Sainte-Vierge, d'avoir nue grenouille dans In main, de
sentir
partout un goût d'ail, de courir après un chat, i
se, en la frictionnant doucement : « Je vais vous enlever la douleur.
Sentez
la chaleur de ma main, à mesure que je frictionne
e je frictionne, la douleur diminue, vous n'avez plus aussi mal. vous
sentez
bien que cela diminue. Avez-vous encore mal ? » E
Bien » — s Vous n'avez plus peur ?» — Non. » — u El maintenant, vous
sentez
que vous êtes guérie. » Elle dit : « oui, d'une v
aisir, et après le premier plat, vous serez très gaie, parce que vous
sentez
que vous ne pourrez plus avoir de crise. — Elle d
Il faut bien le dire, le public, avec son gros bon sens, prévoyait et
sentait
depuis longtemps ce qu'il en était, tandis que le
ypnose profonde, et de leur ordonner alors par simple commandement de
sentir
leurs membres ou leurs différents viscères. » D
sprit d'opposition du sujet, et Jo leur dis : « Elle va se lever sans
sentir
la moindre douleur. Je la prends pnr les mains, e
nnée des exercices dont sa mère et sa sœur lui font le récit, elle ne
sent
plus sa sciatique et depuis, la douleur n'a pas r
ce qui ne l'empêchait pas, du reste, de bien dormir la nuit. Quand il
sentait
approcher ce besoin impérieux de sommeil, il avai
oire plaisante, assistait-il au théâtre à quelque bouffonnerie, il se
sentait
subitement envahi par un affaissement irrésistibl
laire, une image de ce mouvement s'est dessinée dans le cerveau. Nous
sentons
donc clairement que la cause du mouvement est en
dénote la lin d'une race. Il est de tous les temps et M. Nordau s'en
sentit
vite rendu compte s'il avait étudié la littératur
ervation intellectuelle le principc intime dans lequel chacun de nous
sent
que sa personnalité est concentrée et qui n'est a
ait et prenait la fuite quand il voyait des pommes. Erasme ne pouvait
sentir
le poisson et les lentilles sans en avoir la fièv
aliger frémissait de tout son corps en voyant du cresson. Tycho-Brahé
sentait
ses jambes défaillir à la rencontre d'un lièvre o
; ne pensant qu'à vous lever pour uriner, dès que le besoin s'en fera
sentir
. » Beaucoup d'enfants, et surtout de jeunes gen
s yeux fermés et qu'on le pique n'importe â quel endroit du corps, il
sent
immédiatement la piqûre. Il sent bien le sol. Il
'importe â quel endroit du corps, il sent immédiatement la piqûre. Il
sent
bien le sol. Il n'a jamais vu double, il n'a jama
z fréquents. Il tombe un jour dans la . rue brusquement, sans avoir
senti
aucun phénomène précur- seur; il perd connaissa
s de colère qui sont suivis, comme chez sa mère, d'hémorrhagies; il
sent
le besoin de vomir et il rend du sang par la bo
- Le 4z8 décembre 1885, le malade va se promener en ville; il se
sent
très bien et n'éprouve pas ce jour-là de céphalal
oir éprouvé préalablement aucune sensation de vertige, sans avoir
senti
aucun phénomène précurseur quelconque, il perd co
ûre avait complètement disparu; avec la machine à in- duction, il a
senti
un peu de douleur; mais, le jour suivant, il ne
duction, il a senti un peu de douleur; mais, le jour suivant, il ne
sentait
plus, du tout le passage du courant électrique. I
igts, sont dans -, l'extension et ils pré,- si CLINIQUE NERVEUSE.
sentent
un peu de raideur. - Le membre supérieur gauche
existe en réalité une sensation spéciale qui la précède ; le malade
sent
comme une boule qui de la région épigastrique r
poêle et, quelques minutes après, il lui semble que la boule qu'il
sent
dans la gorge se déplace, descend et disparait,
s fort longtemps, ne pouvait faire penser à un traumatisme. Mais on
sentait
sur la tète une large dépression en arrière de
- bation ; en 1858, nouvel accès de manie. Ces accès se reprodui-
sent
à des intervalles plus ou moins éloignés jusqu'en
que chose l'avertit qu'il avait commis une mauvaise action et il se
sentit
le cerveau en feu ». Il témoigna d'ailleurs une
taires, les conceptions délirantes, émanées d'hallucinations, pré-
sentent
chez un malade donné des variations en qualité, i
ent quelquefois des renseignements sur leur état. Un épileptique se
sentait
toujours soulagé après l'inhalation d'amylnitri
Sur trois cent soixante-six paralytiques généraux, 47 p. 100 pré-
sentaient
l'immobilité de la pupille en présence des rayons
lsion, mais accès de céphalalgie. Depuis longtemps il sait qu'il ne
sent
plus sa tête et qu'il a perdu le goût et l'odorat
grandes, il n'est pas perceptible au niveau de la radiale, on ne le
sent
qu'au niveau de l'humérale. La peau présente su
st de la grosseur d'une noisette. A gauche, le scrotum est vide, on
sent
à une certaine distance, dans le canal inguinal,
roit. A droite, au-dessus du testicule, sur le trajet du cordon, on
sent
une tumeur du volume d'un oeuf de pigeon sous l
u'au sein que l'on croirait tout d'abord très développé, mais on ne
sent
pas la glande. Organes génitaux. Bourses pendan
que sur l'oreille; à droite, il entend bien. Odorat. Le malade ne
sent
pas de la narine gauche. Goût. Il est aboli à g
était pas fixé solidement sur son cheval, mais qu'il ne s'était pas
senti
du tout étourdi avant de tomber, qu'il n'avait
malade n'éprouvait pas de douleurs dans le bras même, mais il ne le
sentait
pas, le bras était comme mort, à partir de l'ép
(Voir les figures 11 et 12.) Lorsqu on tord l'épaule, le malade ne
sent
qu'un tiraille- ment au niveau de l'extrémité i
ans connaissance. Lorsqu'il revint à lui après ce laps de temps, il
sentait
, dit-il, sa respiration très gênée, il était très
environ huit jours. Pendant les treize premiers jours, le malade se
sentait
un peu étourdi; en même temps, les membres infé
qui avait été prise par son interne. Voici dans quel état se pré-
sentait
le malade le jour de son entrée à l'Hôtel-Dieu, l
dans la musculature de la nuque. Les pre- miers jours, le malade a
senti
un certain trouble dans la parole. Certains mot
pensée longtemps et, après une con- versation un peu animée, il se
sentait
fatigué; il a aussi observé une certaine irrita
ient de procréer un enfant actuellement âgé de neuf mois qui pré-
sente
un épicanthus paralytique, lerepli cutané oculo-n
des ma- ladies connues. Dans un certain nombre de cas, ils repré-
sentent
une forme mixte de psychonévrose (hystérie, épile
eu importe pour la doctrine que l'in- fluence pathologique se fasse
sentir
dans telle ou telle condition. L'important, c'e
raconta que un quart d'heure après l'ingestion médicamenteuse elle
sentait
ses membres lourds, puis c'etait le tour de sa
igents. En outre, une gardienne en chef après avoir pris 0,15 s'est
sentie
d'humeur excessivement gaie; surexcitée, elle a
ndis qu'après la cannabinone l'air lui manque complètement, elle se
sent
sur le point de mourir; ces plaintes persistent
. Il ne peut les redresser, dit-il, à cause de douleurs qui se font
sentir
dans la direction du bord intérieur des plantes
bras gauche. A la fin de juillet 1884, revenu de l'exercice, il se
sentit
tout à coup privé de l'usage de la jambe gauche
19 au 20 juillet, on observe une faiblesse du bras gauche; le sujet
sent
des fourmillements et des picotements. Du 2 au
é tactile du côté gauche de la face est peu émous- sée ; mais il ne
sent
pas de fortes piqûres d'épingle ni de l'un, ni
éré; le patient ne distingue plus ni l'acide, ni le salé. Le malade
sent
si on lui touche le côté gauche du cou ; les pi
eut remuer les doigts de la main droite et la ramener au corps. Une
sent
ni piqûres ni attouchement sur le côté droit du
re, près d'une fenêtre dont le vasistas était ouvert, le matin il a
senti
une faiblesse dans les bras et dans la jambe ga
tés; le nerf facial est con- servé. Le 4 mars, le malade commence à
sentir
des douleurs à la faradisation avec un pinceau,
s les mêmes parties gauches l'attouchement d'une épingle est res-
senti
beaucoup plus faiblement, comme s'il se faisait à
se distinguer la pointe d'une épingle de sa tête, mais il ne res-
sent
pas de mal à la piqûre; la vision de l'oeil gauch
répidations des jambes et des hallucinations. Le 30 décembre, il se
sent
tout à fait bien portant. A l'examen, on ne ret
disgracieux. La douleur et souvent une légère contrariété suffi-
sent
à provoquer des larmes et des cris. La parole est
très élargi, mais ne porte aucune trace de tumeur thyroïdienne. On
sent
distinc- tement le larynx sur la ligne médiane
téguments, notablement t épaissis à ce niveau. Tout au plus peut-on
sentir
, sur le côté droit Fig. 18. Th... à l'âge de 21
iration est plus courte et plus fréquente; à la palpation, on croit
sentir
une tumeur assez dure, de l'S iliaque irréguliè
erse, le colon descen- dant et l'S iliaque sont assez dilatés, on y
sent
des matières molles moulées; l'intestin grêle,
peu aplati de haut en bas. La fontanelle anté- rieure persiste ; on
sent
un espace membraneux à travers lequel on pourra
t mobile sous les tissus sous-jacents qui sont mous et flasques. On
sent
qu'il existe une légère couche de graisse sur t
Les battements du pouls sont extrêmement petits et faibles ; on les
sent
difficilement au poignet. Ceux du coeur sont égal
îles couvertures du lit. il.. Le corps thyroïde ne peut pas être
senti
. Au-dessus de la 1 : lavi- IDIOTIE AVEC CACHEXI
r la bouche amère. Circulation. Pouls, 72. Il est très difficile de
sentir
le pouls au poignet, à cause de sa distance de
ques cas, l'atrophie était si accusée que la glande ne pouvait être
sentie
à la pal- pitation; enfin, dans d'autres, l'exi
le malade a mis tout d'un coup sa main à la blessure et a dit qu'il
sentait
un « bourdonnement ». Quand on remuait le membr
t parallèlement à l'état de santé subjectif dans lequel il dit se
sentir
. Par conséquent, les dimensions du rétrécissement
icite la vitalité. Sous son influence, les malades se promènent, se
sentent
meilleur appétit, sont de meilleure humeur, du
ce n'estque bien plus tard, que la chaleur et la douleur, sont plus
senties
. Si dans ces condi- tions on touche une main et
hésie tactile et d'insensibilité à l'égard du froid, tandis qu'elle
sentait
les impressions douloureuses et distinguait par
petite fraction eût suffi à exiger que Je roi et l'entourage fus-
sent
soustraits aux dangers d'une puissance échappant
étisme, et j’ai été frappé du ton d’amer découragement qui se faisait
sentir
dans l'allocution que vous adressiez à l’assistan
use. Beaucoup de vos disciples y sont entrés à plein corps. Vous avez
senti
que la cause du magnétisme positif, scientifique,
t, sans reculer, vous n’avez pas voulu abandonuer le terrain que vous
sentiez
ferme sous vos pieds. u La séparation des deux
s ennemis. Tenez hauts le cœur et les bi'as, et si, comme Moïse, vous
sentez
un instant de défaillance, comme Moïse, vous trou
rer du cer\'eau d’une jeune lille un grand insecte miriapode, qu’elle
sentait
et voyait circuler dans sa cervelle; ce qui fut f
lqu’un, entrant dans la cliambre, détournât le cours de mes idées. Je
sentis
une oppreision sur la pnitrine, et je ne pus dorm
dra les maux ou on les attaquera alors qu'ils commenceront à se faire
sentir
. Tous les médecins vont rire de ma prophétie et
de catalepne. L’amputation terminée, le malade dit à l'élèvo : « J’ai
senti
ce qu’on m’a « fait, et, la preuve, c’est que ma
ssé les manœuvres auxquelles il attribuait son malheureux état, il se
sent
immédiatement soulagé du poids q«i l’accablait, i
nt que des atomes (pji végètent sur un atome de l’univers, on ne peut
sentir
que de la pitié pour ces malheureuses créatures q
chée qui, si nous pouvons nous exprimer ainsi, avait pendant huit ans
senti
battre son cœur. » On lit dans le Journal de Sn
u’on pût l’en-ten(he âu salon, dont la porte était restée ouverte, je
sentais
fort bien que vous usiez de votre pouvoir sur moi
mnntrt'p, .l'ai magnétisé sr,'ptdp ces jeunes gens, di'ux n'ont rit’n
senti
mi irès-peu de chose, trois ont éprotivé la sensa
arié du dérangement qui allait être inutile, je lui dis : «Si vous ne
sentez
rien, regardez bien mon-isieur... » Et, au lieu d
r, au praticien, au consultant, la différence qu’il y a entre voir et
sentir
. Dans un cas, l'organe de la sensibilité est mis
ucidité se développa avec assez de promptitude. C’est alors que je me
sentis
fort, j’éprouvais uneextrfiinc joie, et cependant
l’on me priât de la magnétiser. Ce moment vint cependant, et je ne me
sentis
point le courage de refuser ;j’eus honte de recul
i, mais mon orgueil voulant la faire valoir m'a fait, par avant-goût,
sentir
les étreintes de tous les gens d'esprit. Je passa
soulager ses souffrances. Certains hommes puissamment magnétiques, se
sentirent
entraînés k imposer les mains, & opérer des p
La satisfaction que témoignait M. *'* pour tout ce qu’il avait vu ou
senti
éiaitinexpiiraable, et rendait plus inexprimable
encore l'étonnemeat de tous les assisiaiits, surtout quand il disait
sentir
encore, quoique éveille, la clialeur ou le froi
ns aux pieds. 1 Je n’ai jamais franchi le seuil d'un cimetière sans
sentir
se raffermir en moi mes croyances et mes aspirati
oindre douleur : le martyre est impuissant sur l’âme. Le principe qui
sent
n’est plus dans les chairs, il est dans l’espace;
en sont pour leurs frais : la torture, la flamme du bûcher est moins
sentie
qu’une égrati-gnure faite à l’état de veille. E
re par son fluide, et l’attraction, suivant la somnambule, se faisait
sentir
davantage d’eile au témoin dont le fluide, traver
e nous n’ayons pas ce qui leur manque. Malmenant, jeunes gens, vous
sentez
-vous le courage de bravei' tant de gens dont l’in
pas de fonctionner, il n'y a point aussi de mort véritable : l’âme se
sent
unie au corps par ce seul lien. N'étant plus alor
es sensations, mais dès que ses bras furent remis à l’état normal, il
sentit
alors très-vivement l’action des courants qui les
pendant l'insensibilité, séjournant dans l'organisation pour se faire
sentir
plus tard avec beaucoup d'intensité, présentent u
gé a pu déterminer une intoxicaüon lente. ô‘ Que, dans le cas où il
sentirait
l'influence d’un traitement ou d’ua médicament de
lant rapporte encore qu'une fois, longeant une espèce de mar^s, il se
sentit
attirer hors de sa route comme par une attraction
e bagage. Ne prouve fréquemment... que trop d’oubli du cœur? S'il
sentit
, celui-là, tressaillir quelque chose Au plus prof
une tempête, du moinsune surexcitation des opinions diverses, car on
sentait
que cette assemblée ne comportait pas l’exposé de
la mémoire de Mesmer. Il le chanta d'une voix forte et accentuée : on
sentait
bien qu'il était pénétré d'une foi vive. On appla
ur art menteur. Un temps viendra où les princes de la science du jour
sentiront
la rougeur monter àleur front lorsqu’on parlera d
oyer des wpresaioBa Amples et tendres commala passion qui l’aaime. On
sent
en le lisant que o’est le cœur plutôt que l’imagi
Vight) pour voir ce que je pourrais faire pour la dame du château. Je
sentis
que je pourrais magnétiser avec quelque espoir de
vue, je fus pris d’une sueur abondante et dteVins pâle et triste j je
sentais
dans une main ce que jamais je n’àvais ressenti d
compris, dit-il, que vous étiez ici et que vous me magnétisiez ; j’ai
senti
votre influence. » Ce que je croîs se présenter
e je viendrai, à la troisième fois j’aurai le doigt inseusible, je ne
sentirai
aucune douleur, et avec l’aide de cette substance
et on pouvait lui enfoncer des épingles dans les chairs sans qu'il le
sentit
. L'accélération du pouls était extrême, il y av
n vigoureux avec la main. On te rencontrei-a aucune résistance, on ne
sentira
absolument rien. U y adonc dans la nature des for
guérie; Si). Et au mCme instant la perte de sang s’arrêta, el elle
sentit
en son corps qu'elle était guérie de son mal. 3
la loucher, et je lui demanda mentalement de me parler. Bientôt je
sentis
qu’elle résistait à mon désir. — Pauline me com
stimable journal le résultat, sans doute peu important, mais vivement
senti
, de l'impression qu’a produite sur moi cette réun
iuc, l’esprit le plus positif, pour ne pas dire le plus sceptique, se
sent
entraîné irrésistiblement dans le courant magique
dont l’âme ravie entrevoit et nous montre la terre promise, tous nous
sentons
, nous espérons, nous croyons, nous affirmons à no
eues pour moi. Je suis heureux de vous dire que je ne me suis Jamais
senti
aussi bien que maintenant. . OlABÉTÈS. J’arri
ttachée à chaque individu, elle est l'élément de notre être qui vent,
sent
, perçoit, aime, pense et raisonne. De l’exercice
ns quelquefois pour rappeler nn nom, uu mot, un souvenir oublié, nous
sentons
l'impuissance de notre volonté, la plus important
duquel son oreille compte les battements de sa montre; le tanneur ne
sent
• plus l’odeur du tan ou des peaux corrompues, bi
ogresse... au mieux du mieux ! Cl Des démangeaisons ont dû se faire
sentir
à la région lombaire. — (t C’est vrai, _„ C
pas, seulement aucun symptôme de douleur n’était plus revenu, elle ne
sentait
qu’un mouvement continuel dans les intestins et s
son sang coule avec abondance,qu’elle ne le voit pas, mais qu’elle le
sent
. En effet, la meustniation était rétablie. A son
ait duré 40 minutes el j’y avais déployé une telle nrdeiir, que je me
sentais
moi-mêmii presque épuisé. Je suivis alors les uti
ui se passe autour de soi; dans l’action d'une bataille, le soldat ne
sent
pas la blessure qu’il reçoit, il ne s’en plaint q
le com-damné que l’on conduit au supplice, s'il n'est pas résigné, ne
sent
rien, on peut le blesser, le piquer sans qu’il s'
's, et ceux-ci narguent el insultent leurs bourreaux, parce qu’ils ne
sentent
rien : L’àme qui sent, Ote au cerveau sa sensibil
l insultent leurs bourreaux, parce qu’ils ne sentent rien : L’àme qui
sent
, Ote au cerveau sa sensibilité parce que la Provk
ament nerveux, qui ne se laissait magn^tiser qu'à regret, parce qn’il
sentait
trop vivement mon influence. Cliatjue jour, les
ogeai qu’au bout d’un long-temps le sujet ; cette fois il n’avait pas
senti
le moins du monde mon action. J’eus recours de no
e. J’essayai inutilement. Le sujet qui auparavant, malgré la chaleur,
sentait
si vivement mon action, ne sentit plus rien duran
qui auparavant, malgré la chaleur, sentait si vivement mon action, ne
sentit
plus rien durant les doux ou trois essais que je
plus il y a de points conducteurs, moins la force électrique se fait
sentir
. Au contraire, s’il s’agit d'actionner fortement
que l’ivrogne peut impunément tomber ou recevoir des coups, il ne le
sent
pas. L’amoureux voit souvent des perfections qu
Mais tout magnéliste doit apporter sa pierre à l'édifice, car chacun
sent
et est persuadé de l'existence réelled'ini monde
ses éléments .'i celle qui compose la croûte terrestre du globe ; on
sent
de l’autre un principe immatériel et intelligent.
e se dégager des liens de l'organisme, de voir par l'intelligence, de
sentir
par la pensée, d'éprouver des sensations par le s
que celle-ci ne soit supérieure à celui-là, puisque tous les animaux
sentent
et que l’homme seul est doué de véritable raison.
des sens. Un médecin ayant mis sa main dans celle du magnétisé, il la
sentit
serrée comme dans un étau. Quelques passes me suf
les fosses nasales un morceau de papier roulé en spirale, sans qu’il
sentît
la moindre douleur, ni fit le moindre mouvement.
édecin est un âne; mais vous ne savez donc pas que les somnambules ça
sent
le sabbat d'une lieue, etc. Laissez-moi faire, mo
MtJ « les dtiuemiooe 11«* dUpoalU^n) d« eepicitéi rnc^1i*li^a. se
sent
des allures inconnues , insoupçonnables, et le jo
omptables guerriers, qui mettaient leur unique recours dans la force,
sentirent
que la force n'était pas tout. Les armes lombèren
raità la lucicUté sans s’assurer préalablement auprèsdu sujet s’il se
sent
ou non dans des dispositions favorables. Si le so
de reproduire une réalité idéale vons le ferait tomber des mains. On
sent
vivement, etToilàtout il). Au fur et à mesure q
ituation fwte àl’homme; une sorte de colère s’empare de moi, car j’ai
senti
toute ma vie qu’il était possible à l'homme de fr
z quelques-uns les sensations couraient au devant de mes doigts : ils
sentaient
des eÎFets aux genoux, quand j'étais sur les cuis
i je faisais la passe près de la bouche jusqu'au milieu du menton, on
sentait
la fraîcheur dans cet endroit, parce que j’étais
et des satisfactions dans la suite des temps. « J'ai tout de suite
senti
, dit-elle, que ce n'était pas la voix de ma con
t mettre à genoux. Elle lui imposa les mains et lui annonça qu'elle
sentait
que la voix allait parler. En effet, sans qu'el
a belle-mère. Dans l'état d'éréthisme nerveux où elle était,elle la
sentait
toujours présente, il lui suffisait de la désir
rava encore, elle devint plus agitée, plus absorbée ; un soir, elle
sentit
un trouble plus pro- fond et vit une grande lum
' et lui dit qu'il s'appellerait pour elle Rarahu. A ce moment elle
sentit
s'accentuer un sentiment de défaillance, il lui
evenir son amant céleste » sa voix est caressante à l'extrême, elle
sent
qu'elle le chérit passion- nément. N'est-il p
des propos édifiants à une dame et à une jeune fille dévotes et se
sent
poussée à leur dire « qu'elle a Dieu en elle » et
. '15 plus fort que la friction des jambes est plus énergique. Elle
sent
mal ses membres quand elle ne les voit pas. Ils
nent aussi l'obséder à la fois, elle prévoit leur arrivée, elle les
sent
« qui font pression » dans sa tête avant d'écla
flots. » Au milieu d'une causerie où nous discutons théologie, elle
sent
quel'inspiration va venir; elle prend le crayon
aques convulsives. Son pariétal droit pre- SOCIÉTÉS. SAVANTES. 81
sente
, sur une étendue de 4 centimètres de long sur 1 c
ons antirabiques ; cinq jours avant l'entrée à l'hôpital, le malade
sentit
une faiblesse du membre supérieur droit et puis
ulsifs de l'enfance et certains cas d'éclampsie puerpuérale parais-
sent
être la conséquence ." ' G. C.. II. Contributio
e qui désormais intéresse la face : de violentes dou- leurs se font
sentir
du côté droit du cou, du crâne et de la l'ace;
qu'ils sont notablement aug- mentés de volume ; il est aisé de les
sentir
sous forme de gros cordons roulant sous le doig
UE NERVEUSE. tuées au niveau du cubital et du médian, que l'on peut
sentir
dans toute la hauteur du bras; vous sentirez ai
du médian, que l'on peut sentir dans toute la hauteur du bras; vous
sentirez
aisément aussi plusieurs des filets sous-cutané
nnaître des filets nerveux; avec un peu d'attention, on peut encore
sentir
d'autres rameaux, mais m'oins volumineux. L'e
moment assez accentuée pour que la malade ait pu se faire, sans le
sentir
, des brûlures assez profondes. Enfin une cinqui
n- controns n'en ont pas les caractères, et nos malades ne pré- '
sentent
aucun stigmate d'hystérie. Le diagnostic d'atroph
celte obses- sion verbale à aucune personnalité étrangère, elle la
sent
se faire dans sa tête et est forcée de la laiss
légère qui vient amicalement frôler sa joue; plus fréquemment, elle
sent
très distinctement la pression de lèvres sur se
va », mais sans avoir le sentiment de perdre connaissance ; elle
sent
son corps allégé comme s'il ne touchait plus à ri
l'éther, L'un dans l'azur, l'autre sur mer ? Bien qu'invisible on
sent
l'âme de toute chose Jouissom donc' des effets
penché ' Dieu pénètre en nos coeurs et reste aux yeux caché, L'on
sent
que sa bonté vous calme et vous console Préféro
voix se fait plus rare et reste plus longtemps silencieuse, elle le
sent
toujours plus ou moins prêt à se manifester, ce
ons de joueur, sa conduite a donné lieu à de nombreux écarts, il se
sent
instable depuis son étourdissement à la chasse.
vait réussi sans s'y adonner avec suite. Depuis sa dyphtérie, il se
sentait
encore plus changé qu'après son coup de AncmvLS
s religieux, entrait dans les églises et priait. En même temps il
sentait
augmenter ses appétits sexuels qu'il avait touj
a la sale guenille dans ton lit et viens, Henri B... est mort », il
sent
son âme quitter son corps mais il la sent égaré
Henri B... est mort », il sent son âme quitter son corps mais il la
sent
égarée. Il n'a plus la notion de rien et demand
ès-midi, il êvassa et reste très absorbé. Il se plaint de ne pas se
sentir
vivre comme autrefois, il ne se sent plus lui-mêm
é. Il se plaint de ne pas se sentir vivre comme autrefois, il ne se
sent
plus lui-même. Il ne sent ni sa tête, ni son co
se sentir vivre comme autrefois, il ne se sent plus lui-même. Il ne
sent
ni sa tête, ni son corps, ni ses membres. Dans la
physique. 11 a des troubles anesthésiques bizarres, tantôt il il ne
sent
pas son corps, tantôt il s'étire et en même temps
il il ne sent pas son corps, tantôt il s'étire et en même temps il
sent
et voit ses membres s'allonger comme du caoutch
i-même. Son esprit parti s'en- vole et flotte dans l'espace; il l'y
sent
très distinctement. Quelque- fois son esprit n'
nt. Quelque- fois son esprit n'est môme pas très loin de lui, il le
sent
suspendu à quelques centimètres de sa tête. Il
udrait redevenir Henri B... Il le redevient de temps en temps et se
sent
beaucoup mieux à ces moments-là. Il revoit sa v
g désine sous le nom de centres d'association. L'observation pré-
sente
est un exemple de dégénérescence circonscrite loc
lle pouvait travailler. Cinq jours avant l'entrée à l'hôpital, elle
sentit
des élancements dans l'omoplate droite ; ensuite,
quer. C'est là la conduite habituelle des timides. Ce malaise de se
sentir
regardé, cette crainte d'affronter les regards
regarde, et le regard qui se fixe sur moi je ne puis le soutenir. A
sentir
les yeux de quelqu'un qui se posent sur moi, su
t qu'en présence de quelques personnes de son entourage' qu'elle se
sent
en confiance et reprend un peu de quiétude. . L
amais inquiétée de cette rougeur : toute son émotion provient de se
sentir
regardée. A ces deux observations, on pourrait
D1' Girma : fondé avec un capital de 300.000 francs, l'asile repré-
sente
maintenant une valeur de 2 millions : l'inspecteu
Leroy, le médecin en chef de Gaillon, un mémoire sur l'état pré-
sent
de Gaillon et sur son utilisation éventuelle. 11
énie. Le D1' Maurice Page, de Bellevue (Seine-et-Oise). Nous pré-
sentons
au Congrès cinq observations de neurasthéniques,
fouetté en sa présence, il éprouva un plaisir jusqu'alors inconnu,
sentit
sa verge se raidir et regretta vivement de n'êt
ulement, à treize ans, l'attrait de l'autre sexe débuta, et X... se
sentit
attiré vers une jeune femme, aide-cuisi- nière
au lieu des cris qu'elle attendait, elle ne fut pas peu surprise de
sentir
le petit lui passer les bras autour de la taill
passer l'hiver dans sa famille à Montpellier. X... resté seul ne se
sentit
pas le courage de connaître une autre femme ; i
isi d'angoisse, de palpitations de coeur, et de tremblements, et se
sentit
repris de son obsession génitale. Il eut la con
sans l'appui de sa canne. En longeant les grilles des villas, il se
sentit
plus rassuré et put gagner la grande place qu'il
ent de l'angoisser, d'autant plus qu'ils lui conseillèrent, s'il se
sentait
fatigué, de prendre un congé pour se reposer. Le
e de son père lui revint en mémoire et pour la première fois, il se
sentit
attiré vers le suicide. La nuit, il ne dor- mai
ntre nature. L'obsession s'accentua davantage. Dans la rue, L... se
sentit
entraîné à se jeter sous les pas des chevaux ou s
eu- res, et qu'approchait le moment d'une nouvelle miction, il se
sentait
devenir de plus en plus inquiet et quand il fallu
in, mais, par exemple, l'oeil de sa mère ou de son frère ; et il se
sentait
tellement, parfois, comme s'il mangeait effective
Ces cauchemars sont, pour ainsi dire, stéréotypés ; ils se produi-
sent
dès que les yeux sont fermés et ne disparaissent
ique, c'est que la malade ne peut d'elle-même ouvrir les yeux; elle
sent
qu'elle est réveillée, mais elle ne sait pas où
isme provoqué, bien que les yeux soient fermés, la malade ne pré-
sente
pas ces frayeurs et ces angoisses qui apparaissen
que. N'ayant plus aucune percep- tion de ses poumons puisqu'elle ne
sent
pas l'air y pénétrer « ça s'arrête au fond de l
le qu'elle n'était que le jouet d'un rêve; mais, pour cela, elle ne
sent
pas mieux, elle constate simplement, de visu, l
les jambes du malade (il s'agissait d'un homme de trente ans), il
sentait
encore. En revanche, on constate dans la moelle
é; il y avait un retard dans la perception de l'amer moins vivement
senti
que de l'autre côté; l'excitation élec- trique
boeuf, elles sont formées de courts bâtonnets ou fuseaux qui plé-
sentent
des intervalles non colorés; il en est de même po
ellules nerveuses de la rétine décrit par Uogiel. Les raies parais-
sent
formées des conglomérats de granulations signalés
à longue distance des militaires frappés d'accidents mentaux pré-
sente
, en effet, de tristes inconvénients, surtout au p
e ne se salit pas. A son agitation seulement on comprend qu'elle se
sent
le besoin d'uriner. , Cet état a duré-pendant s
é absolu, le mérycisme se produisait. La paroi abdominale ne pré-
sentait
pas de contraction appréciable lors du début du p
t. Comme nous le disions au début de cette observation, elle pré-
sentait
certains jours de nombreuses attaques d'épilepsie
sur quoi celle-ci repose. Il mentionne en outre que ces malades ne
sentent
souvent plus leur propre personne, se croient m
Quand ils n'ont pas suffisamment d'argent en poche, ils se coti-
sent
, achètent un ou plusieurs litres et retournent ch
eux des aliénés criminels qui sont restés dangereux et ne parais-
sent
point curables après un temps suffisant d'observa
37°,9, un quart d'heure après, de 37°8 deux heures après. L'enfant
sent
venir les crises : « Cela va me reprendre, dit-il
troisième accompagné de manifestations convulsives. Le sujet pré-
sente
comme particularité intéressante, une conformatio
a déchéance en chronicité; les dépenses pour les cas aigus repré-
sentent
par suite autant d'économies pour-la société. Sim
es; en présence d'un ou de plusieurs étrangers, non seulement il se
sent
démonté et désorienté, mais il s'arrête court, in
qu'après avoir pris l'avis d'un médecin, compétent; 3° Faire bien
sentir
au sujet qu'il n'y a aucun danger et le rassurer
ous l'ai fait rêver. — Mais non, monsieur, c'est bien vrai; j'ai bien
senti
la douleur à la jambe, et je la sens encore. » —
la table : je me bornai a lui annoncer, sans l'hypnotiser, qu'elle ne
sentirait
rien au bras droit, et je pratiquai les deux
es marques sont encore aujourd'hui légèrement visibles. Elle n'a rien
senti
au bras droit ni pendant ni après l'opération. J'
n'a pas été insensibilisée, tandis qu'on a expliqué à *** qu'elle ne
sentirait
pas de douleur à gauche. » Après la cautérisati
ortance ; enfin, après quelques moments, la malade déclara qu'elle se
sentait
faible et qu'elle prendrait volontiers quelque no
'occasion de soigner une douzaine de malades doués de la propriété de
sentir
des piqûres partout où il dirigeait ses doigts, s
un état détermine, juge inconsciemment qu'il doit en changer quand il
sent
une action et l'effet de cette suggestion peut êt
La malade avait néanmoins toute sa lucidité d'esprit, et continuait à
sentir
comme avant, car elle s'agitait dans son lit, et
pousse avec force, en nous affirmant qu'elle ne souffre pas. qu'elle
sent
son ventre s'entrouvrir; qu'elle n'a qu'une inqui
sirait. Quelques tranchées surviennent sur ces entrefaites, à peine
senties
par la malade qui de nouveau était devenue sugges
cesser un instant d'être en rapport avec nous, nous disant : qu'elle
sent
venir les contractions, mais qu'elle ne souffre p
J'avoue que, pour moi, le besoin d'un quatrième ne se fait pas encore
sentir
. Je crois qu'il y a avantage à donner aux jeunes
n sujet réglé, sa forme primitive. C'est la suggestion mentale ! On
sent
chez M. Ochorowicz la préoccupation constante de
nous abandonnons aux impressions résultant de l'étude des faits, nous
sentirons
forcément notre raison incliner de plus en plus v
de la vie que nous traversons. Nous ne pouvons pas, en effet, ne pas
sentir
les chocs incessants qui nous impressionnent et n
ntes anxiétés, alors que leur intelligence demeure intacte, qu'ils se
sentent
envahis et dominés par les émotions qui les obsèd
la préhension des mains. Dans cet état, il n'entend, no voit et ne
sent
que moi et les rares personnes qui, comme moi, qu
que, d'habitude, dans le sommeil provoqué, il n'entend, ne voit et ne
sent
que moi, Mme Z... et sa propre petite fille. Il
de plus, incapable, toujours dans le sommeil provoqué, de voir et de
sentir
aucun des objets nombreux et variés qui sont auto
utour de lui. Il se trouve, de même, dans l'impossibilité de voir, de
sentir
et d'entendre les deux chiens de la maison, lesqu
et les objets qui l'entourent pour qu'il les voie. les entende et les
sente
comme s'il était réveillé. Cet état de rapport
vant lui se trouve une personne qu'il ne voit pas, n'entend pas et ne
sent
pas. J'appellerai cette personne neutre, indiffér
L... la voit presque aussitôt, lui répond si elle l'interroge, et la
sent
si elle le tou-che. Je ferme ensuite ma main et l
après quelques secondes écoulées, ne voit plus cette personne, ne la
sent
plus, ne l'entend plus. Et ainsi de suite, si je
'image de la personne désignée, L... la voit et peut l'entendre et la
sentir
, et, toutes les fois que je cesse de la viser ain
ont les mimes. L..., qui ne les voit pas, ne les entend pas et ne les
sent
pas dans l'état de sommeil, sera en état de rappo
sus. L... qui. dans le sommeil provoqué, ne voit pas non plus et ne
sent
pas les objets divers qui l'entourent, et ne perç
psychiques ; 4° Les influences nocives de surmenage ne se font pat
sentir
seulement dans la jeunesse, mais aussi dans l'âge
nfant dessine, écrit de la main droite; mais vient-il à se battre, se
sent
-il pressé par son adversaire, immédiatement c'est
e si grande révolution s'opéra en lui qu'au bout de deux heures il se
sentit
soulagé. La fièvre qui le tourmentait depuis ving
veaux, l'urgence de ces fondations se faisant partout de plus en plus
sentir
. Cependant, il manque encore les mesures législa-
et sont plus complets, « A un certain moment, m'écrit le malade, j'ai
senti
une espèce de dédoublement se faire en moi; mon c
moi; mon corps dormait et mon esprit était très éveillé. Aussi je me
sentais
les bras et les jambes si lourds qu'il m'eût été
tomac. Il avait eu une nuit très mauvaise. Suggestion de ne plus rien
sentir
. Il dormira très bien. Tout en lui parlant, je fa
emandé de venir sans délai demander une séance d'hypnotisme lorsqu'il
sentirait
quelques prodromes suspects annonçant l'approche
ntes. Depuis le 22 (onze jours après l'époque précédente), Mme H...
sent
des symptômes précurseurs, tiraillements dans le
ts; si je fais des gestes comme pour l'attirer ou le repousser, il se
sent
attiré ou repoussé. Faisons intervenir maintenant
r, tout en croyant qu'il conduisait la mienne. On dit au sujet : «Que
sentez
-vous ? » Elle répond vaguement, par exemple: « J'
s demander spontanément de les aider à se délivrer d'un vice dont ils
sentaient
tous les inconvénients pour leur santé.) 8° Des
'assassinat de M. de Givray? Ce n'est pas Berthe Mauclair, qui, on le
sent
bien, n'est qu'un instrument. Elle tient le poign
ait sortie, mais rentra subitement, disant qu'elle serait tout à coup
sentie
prise de trouble, de faiblesse dans les jambes et
bition. Dans ces conditions, le sujet ne voit plus, n'entend plus, ne
sent
plus. Il ne peut, par conséquent, se douter de ce
dy et qui, tout d'un coup, pendant que sa femme dormait profondément,
sent
un troisième petit personnage se remuer dans le l
tabac. M. X... cessa de fumer ; depuis la dernière séance, il se
sentit
un peu mal a l'aise, il eut aussi de fréquents bâ
la rue qu'elle habite, par conséquent vers 3 h. 31, quand elle s'est
sentie
tout d'un coup extrêmement incommodée : probablem
e M.X... est d'environ 1,5oo mètres. D'après Mme ?..., elle s'est
sentie
endormie par moi a 11 heures qu... (est-ce 11 h.
voici ce qu'elle me raconte : Le matin, en s'habillent, elle s'est
sentie
prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle
mal de tête. Puis, le mal de tète continuant à augmenter, elle s'est
sentie
tout à fait incapable de se tenir debout et elle
escendue pour le déjeuner. De plus. le lendemain jeudi 20, elle s'est
sentie
encore toute souffrante de l'expérience de la vei
abolie de ce côté. Le chatouillement du conduit auditif n'était point
senti
. Même résultat pour le goût et pour la sensibilit
s sensations génitales, des idées erotiques qui la torturent; elle se
sent
poussée à l'onanisme et elle a peur d'être une fi
sensations; mais cela a été très fugace. Elle est contente: elle
sent
que si elle avait la volonté suffisante, elle cha
ouche une cheville de la jambe droite et le patient, les yeux fermés,
sent
le contact dans la place correspondante de la jam
it n'est perçu à l'otoscope. En résumé, le sujet rapporte à gauche et
sent
à gauche un bruit manifestement né à droite. Vo
de l'hystérie. Notamment, la sensibilité était normale partout. Elle
sentait
très bien les piqûres d'épingle aux bras, aux mai
la soumettais aux étincelles électriques, je lui affirmai qu'elle les
sentait
beaucoup moins à gauche qu'à droite, et je lui fi
avec quelque difficulté. Elle sort démon cabinet en disant qu'elle se
sent
« drôle ». Elle retombe en effet, peu après, dans
toutes les nuits. Je la réveille plus facilement. Elle dit qu'elle se
sent
beaucoup mieux. Dès ce moment, Mlle X... n'eut
time, qui nous révèle et nous affirme notre libre arbitre : nous nous
sentons
libres de même que nous nous sentons vivre. Si no
notre libre arbitre : nous nous sentons libres de même que nous nous
sentons
vivre. Si nous n'étions que des machines dociles
a de tout ce qu'il entendra, de tout ce qu'il verra, de tout ce qu'il
sentira
, pour que ses souvenirs soient intacts. Inutile d
ui promettant de revenir le plus tôt possible. A peine dehors elle se
sentit
, raconte-t-elle, tout étourdie, la tête lourde, a
ormi une heure et demie ou deux heures tout au plus. Néanmoins ils se
sentent
assez fortifiés par ce court sommeil, ils peuvent
lusieurs fois ses mots favoris, mais peu à peu. surtout quand elle se
sentait
surveillée, elle pouvait les répéter pendant un t
ques secondes, mais — et c'est ce que je tiens à constater — Mme D...
sentait
le moment précis où l'ob-jetivation du type propo
qu'après avoir pris l'avis d'un médecin, compétent; 3° Faire bien
sentir
au sujet qu'il n'y a aucun danger et le rassurer
ous l'ai fait rêver. — Mais non, monsieur, c'est bien vrai; j'ai bien
senti
la douleur à la jambe, et je la sens encore. » —
la table : je me bornai a lui annoncer, sans l'hypnotiser, qu'elle ne
sentirait
rien au bras droit, et je pratiquai les deux
es marques sont encore aujourd'hui légèrement visibles. Elle n'a rien
senti
au bras droit ni pendant ni après l'opération. J'
n'a pas été insensibilisée, tandis qu'on a expliqué à *** qu'elle ne
sentirait
pas de douleur à gauche. » Après la cautérisati
ortance ; enfin, après quelques moments, la malade déclara qu'elle se
sentait
faible et qu'elle prendrait volontiers quelque no
'occasion de soigner une douzaine de malades doués de la propriété de
sentir
des piqûres partout où il dirigeait ses doigts, s
un état détermine, juge inconsciemment qu'il doit en changer quand il
sent
une action et l'effet de cette suggestion peut êt
La malade avait néanmoins toute sa lucidité d'esprit, et continuait à
sentir
comme avant, car elle s'agitait dans son lit, et
pousse avec force, en nous affirmant qu'elle ne souffre pas. qu'elle
sent
son ventre s'entrouvrir; qu'elle n'a qu'une inqui
sirait. Quelques tranchées surviennent sur ces entrefaites, à peine
senties
par la malade qui de nouveau était devenue sugges
cesser un instant d'être en rapport avec nous, nous disant : qu'elle
sent
venir les contractions, mais qu'elle ne souffre p
J'avoue que, pour moi, le besoin d'un quatrième ne se fait pas encore
sentir
. Je crois qu'il y a avantage à donner aux jeunes
n sujet réglé, sa forme primitive. C'est la suggestion mentale ! On
sent
chez M. Ochorowicz la préoccupation constante de
nous abandonnons aux impressions résultant de l'étude des faits, nous
sentirons
forcément notre raison incliner de plus en plus v
de la vie que nous traversons. Nous ne pouvons pas, en effet, ne pas
sentir
les chocs incessants qui nous impressionnent et n
ntes anxiétés, alors que leur intelligence demeure intacte, qu'ils se
sentent
envahis et dominés par les émotions qui les obsèd
la préhension des mains. Dans cet état, il n'entend, no voit et ne
sent
que moi et les rares personnes qui, comme moi, qu
que, d'habitude, dans le sommeil provoqué, il n'entend, ne voit et ne
sent
que moi, Mme Z... et sa propre petite fille. Il
de plus, incapable, toujours dans le sommeil provoqué, de voir et de
sentir
aucun des objets nombreux et variés qui sont auto
utour de lui. Il se trouve, de même, dans l'impossibilité de voir, de
sentir
et d'entendre les deux chiens de la maison, lesqu
et les objets qui l'entourent pour qu'il les voie. les entende et les
sente
comme s'il était réveillé. Cet état de rapport
vant lui se trouve une personne qu'il ne voit pas, n'entend pas et ne
sent
pas. J'appellerai cette personne neutre, indiffér
L... la voit presque aussitôt, lui répond si elle l'interroge, et la
sent
si elle le tou-che. Je ferme ensuite ma main et l
après quelques secondes écoulées, ne voit plus cette personne, ne la
sent
plus, ne l'entend plus. Et ainsi de suite, si je
'image de la personne désignée, L... la voit et peut l'entendre et la
sentir
, et, toutes les fois que je cesse de la viser ain
ont les mimes. L..., qui ne les voit pas, ne les entend pas et ne les
sent
pas dans l'état de sommeil, sera en état de rappo
sus. L... qui. dans le sommeil provoqué, ne voit pas non plus et ne
sent
pas les objets divers qui l'entourent, et ne perç
psychiques ; 4° Les influences nocives de surmenage ne se font pat
sentir
seulement dans la jeunesse, mais aussi dans l'âge
nfant dessine, écrit de la main droite; mais vient-il à se battre, se
sent
-il pressé par son adversaire, immédiatement c'est
e si grande révolution s'opéra en lui qu'au bout de deux heures il se
sentit
soulagé. La fièvre qui le tourmentait depuis ving
veaux, l'urgence de ces fondations se faisant partout de plus en plus
sentir
. Cependant, il manque encore les mesures législa-
et sont plus complets, « A un certain moment, m'écrit le malade, j'ai
senti
une espèce de dédoublement se faire en moi; mon c
moi; mon corps dormait et mon esprit était très éveillé. Aussi je me
sentais
les bras et les jambes si lourds qu'il m'eût été
tomac. Il avait eu une nuit très mauvaise. Suggestion de ne plus rien
sentir
. Il dormira très bien. Tout en lui parlant, je fa
emandé de venir sans délai demander une séance d'hypnotisme lorsqu'il
sentirait
quelques prodromes suspects annonçant l'approche
ntes. Depuis le 22 (onze jours après l'époque précédente), Mme H...
sent
des symptômes précurseurs, tiraillements dans le
ts; si je fais des gestes comme pour l'attirer ou le repousser, il se
sent
attiré ou repoussé. Faisons intervenir maintenant
r, tout en croyant qu'il conduisait la mienne. On dit au sujet : «Que
sentez
-vous ? » Elle répond vaguement, par exemple: « J'
s demander spontanément de les aider à se délivrer d'un vice dont ils
sentaient
tous les inconvénients pour leur santé.) 8° Des
'assassinat de M. de Givray? Ce n'est pas Berthe Mauclair, qui, on le
sent
bien, n'est qu'un instrument. Elle tient le poign
ait sortie, mais rentra subitement, disant qu'elle serait tout à coup
sentie
prise de trouble, de faiblesse dans les jambes et
bition. Dans ces conditions, le sujet ne voit plus, n'entend plus, ne
sent
plus. Il ne peut, par conséquent, se douter de ce
dy et qui, tout d'un coup, pendant que sa femme dormait profondément,
sent
un troisième petit personnage se remuer dans le l
tabac. M. X... cessa de fumer ; depuis la dernière séance, il se
sentit
un peu mal a l'aise, il eut aussi de fréquents bâ
la rue qu'elle habite, par conséquent vers 3 h. 31, quand elle s'est
sentie
tout d'un coup extrêmement incommodée : probablem
e M.X... est d'environ 1,5oo mètres. D'après Mme ?..., elle s'est
sentie
endormie par moi a 11 heures qu... (est-ce 11 h.
voici ce qu'elle me raconte : Le matin, en s'habillent, elle s'est
sentie
prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle
mal de tête. Puis, le mal de tète continuant à augmenter, elle s'est
sentie
tout à fait incapable de se tenir debout et elle
escendue pour le déjeuner. De plus. le lendemain jeudi 20, elle s'est
sentie
encore toute souffrante de l'expérience de la vei
abolie de ce côté. Le chatouillement du conduit auditif n'était point
senti
. Même résultat pour le goût et pour la sensibilit
s sensations génitales, des idées erotiques qui la torturent; elle se
sent
poussée à l'onanisme et elle a peur d'être une fi
sensations; mais cela a été très fugace. Elle est contente: elle
sent
que si elle avait la volonté suffisante, elle cha
ouche une cheville de la jambe droite et le patient, les yeux fermés,
sent
le contact dans la place correspondante de la jam
it n'est perçu à l'otoscope. En résumé, le sujet rapporte à gauche et
sent
à gauche un bruit manifestement né à droite. Vo
de l'hystérie. Notamment, la sensibilité était normale partout. Elle
sentait
très bien les piqûres d'épingle aux bras, aux mai
la soumettais aux étincelles électriques, je lui affirmai qu'elle les
sentait
beaucoup moins à gauche qu'à droite, et je lui fi
avec quelque difficulté. Elle sort démon cabinet en disant qu'elle se
sent
« drôle ». Elle retombe en effet, peu après, dans
toutes les nuits. Je la réveille plus facilement. Elle dit qu'elle se
sent
beaucoup mieux. Dès ce moment, Mlle X... n'eut
time, qui nous révèle et nous affirme notre libre arbitre : nous nous
sentons
libres de même que nous nous sentons vivre. Si no
notre libre arbitre : nous nous sentons libres de même que nous nous
sentons
vivre. Si nous n'étions que des machines dociles
a de tout ce qu'il entendra, de tout ce qu'il verra, de tout ce qu'il
sentira
, pour que ses souvenirs soient intacts. Inutile d
ui promettant de revenir le plus tôt possible. A peine dehors elle se
sentit
, raconte-t-elle, tout étourdie, la tête lourde, a
ormi une heure et demie ou deux heures tout au plus. Néanmoins ils se
sentent
assez fortifiés par ce court sommeil, ils peuvent
lusieurs fois ses mots favoris, mais peu à peu. surtout quand elle se
sentait
surveillée, elle pouvait les répéter pendant un t
ques secondes, mais — et c'est ce que je tiens à constater — Mme D...
sentait
le moment précis où l'ob-jetivation du type propo
er, croyant en cela faire preuve de quelqu vertu. C’est à ceux qui se
sentent
attirés vers nous, à nou seconder, à nous aider.
e répétons, il y a quelque chose de divin dam l'art magnétique. On le
sent
bien mieux qu’on ne saurait l’exprimer. Voyez à
. Aussitôt les coliques calmées, des suffocations violentes se firent
sentir
; tous ces différents symptômes se succédaient ave
douleur, ni fatigue, et elle était soulagée d’un énorme fardeau et se
sentait
guérie. Je n’osais encore croire à un changement
te volupté aux heures ineffables. Ame blanche, disait Horace, âme qui
sent
se dégager en elle cette divine étincelle qui doi
e- nions île partager. Elles avaient plus d’élévation , chacun se
sentait
meilleur ; on parlait plus volontiers de grandes
cultés étranges , et dont on ne soupçonnait pas l’existence, on s’est
senti
attiré vers un horizon inconnu, on a été séduit p
ns quelques détails sur la manière «font procèdent les nososcopes qui
sentent
les maladies, qui donnent des consultations même
’expérience, n’accordera au somnambulisme qu’une confiance limitée et
sentira
la nécessité de l’environner de sévères précautio
dans la boîte ; si l’objet est situé dans une chambre voisine, on ne
sent
pas encore la nécessité du voyage de l’âme. Et si
a cloche des mains de M. de C..., et celui-ci a raconté qu’il avait
senti
des mains gantées (nous sommes en bonne compagnie
ée à me faire crier ; et, chose étrange, j’ai entrevu sa main et j’ai
senti
qu’elle était brûlante. « Emotion générale ! to
tions par minute. Ce soir-là il était si bas qu’à peine je pouvais le
sentir
. Je reconnus une des crises d’où dépendent la vie
isite à M. et madame T.... Cette dernière va très- bien ; elle ne
sent
plus rien du mal«qui l’a si longtemps affligée. E
se jeta sur le corps inanimé et le serra dans ses bras. Bientôt elle
sentit
son enfant respirer, et les soins maternels le ra
périeur à l’humanité actuelle , ou au moins c’est que les animaux ont
senti
la prédominance de quelque qualité à laquelle ils
. B... mit son mouchoir sur la table, le tenant à la main; bientôt il
sentit
un tiraillement très-vif, qu’il compare à cel
ups nous heurtèrent au cœur. Nous ne les entendîmes pas, nous les
sentîmes
. La porte s’ouvrit d’elle-même, celui qui entra é
ont conservé vivant dans leur cœur le flambeau divin delà foi et qui
sentent
toute leur dignité de chrétien, pour leur inspire
ommence. Il y a ici un lien bien mystérieux : les magnétistes exercés
sentent
en eux-mêmes quelque chose qui les incite et les
rfait : ils découvrent dans le langage ce qui est banal et ce qui est
senti
; ce qui paraît partir d’idées arrêtées et d’une
ntôt idées, paroles, se repercutent de l’un à l’autre ; le magnétiste
sent
en lui ce qui se passe physiquement et moralement
es sont viciées au lieu d’être pures. Instinctivement les magnétistes
sentent
qu’il en est ainsi. Ils cherchent à redresser en
; magnétisez vos outils pour qu’ils me soient invisibles et que je ne
sente
point leur contact. — Voilà qui est fait. Ouvre
s que je venais d’enlever. En pressant fortement sur cette tumeur, je
sentis
l’os fléchir un peu. — Mais vous avez bien vu,
l’opération. — C’est de l’enfantillage, puisque vous saviez ne pas
sentir
. — C’est vrai ; mais quand je regardais mon mal
portions nécrosées sur le bord alvéolaire. Alors, avec le doigt, je
sentis
une esquille mobile dans la profondeur de la cavi
reposer, elle dit à la personne présente : — Je pourrais bien ne pas
sentir
, je sais le moyen, mais je ne veux pas le dire...
nt donné de la chose, je l’isolai en lui enjoignant de ne voir, ni de
sentir
, et la dent, bien que fort difficile à saisir, fu
je ne pouvais rien avouer, quand même ou aurait voulu me tuer, car je
sentais
en moi une volonté plus forte que la mienne qui m
le poussa aussitôt un cri de terreur, croyant la voir sur la table et
sentir
son sang couler. En passant la main devant la tèt
c’était une pelle large, bien et dûment rouge, vraiment ; nous avons
senti
sa chaleur et vu la lueur embrasée qu’elle répand
il apparaisse sur la brèche faite, que je le voie ou plutôt que je le
sente
, que je le tâte enfin intellectuellement. S’il es
Cinq minutes étaient à peine écoulées qu’un léger borborygme se fait
sentir
, et bientôt la tumeur disparaît, la hernie se tro
ceux qui en faisaient partie une sorte de confraternité visible et si
sentie
que , pendant les discours, il ne semblait y avoi
s les féeries de l’Ambigu. Le sabbat, auquel il conviait ses adeptes,
sentait
le soufre; ou s’y rendait sur des manches à balai
gé devoir se tenir dans une rigueur magistrale, et, blessée de ce qui
sent
le thaumaturge ou les tréteaux, elle repousse le
it à l’improviste et la jeta à l’eau. Dès qu’elle y fut plongée, elle
sentit
un mouvement violent et douloureux dans la région
ge. — Un autre assistant évoque une sœur qu’il aimait tendrement ; il
sent
un souffle qui lui passe sur le front ; il entend
rte de gibecière lui pendait au côté gauche. « En l'abordant, je me
sentis
fort à l’aise ; il me semblait que nous étions d’
la plus grande affinité de leur constitution avec la sienne. Ceux-ci
sentaient
, en effet, leurs forces diminuer auprès d’elle. Q
aiblissait elle-même. Ses yeux projetaient un éclat singulier. Elle
sentait
aux végétaux, aux métaux, aux corps bruts, une âm
la (1) Trois jours de suite, M010 II'" (la voyante de Prévorst) se
sentit
magnétiser par l'esprit de sa grand'mère, qu’elle
acultés nouvelles pour des besoins d'un ordre supérieur, « faite pour
sentir
bien au-delà du terme où elle a cessé de comprend
istence, trouvé l’énigme de sa destinée? Non, et cependant il vit, il
sent
, il pense, il raisonne. Qu’est-il, d’où vient-il,
ut à coup des craquements se firent entendre , des souffles se firent
sentir
, des mains invisibles pressèrent les genoux des a
fatigué de la nuit qu'il avait passée chez M. le comte de Morny , se
sentait
incapable d’aucun acte de sa puissance. Les manif
il ne se manifeste pas devant les sceptiques et les railleurs. Il se
sent
tout à fait à son aise devant les gens convaincus
intention de faire des expériences. En entrant dans le salon, Home se
sentit
tout à coup mal à son aise ; il essaya de surmont
tu continues à respirer; ton sang circule toujours; ton pouls se fait
sentir
, toutes les fonctions matérielles de la vie suive
être. J’y vis, sur la cheminée , des œillets rouges que je touchai et
sentis
, et qui avaient une bien bonne odeur ; mais je n’
de reproduire. M. Paul d'ivoy nous dit que pins on sait et moins on
sent
, et que c’est de là que nous vient cette fièvre d
illeux, et il n’est pas logique de dire que plus on sait et moins 011
sent
quand à une telle proposition on laisse établir p
proposition on laisse établir pour corollaire que : pourtant moins on
sent
plus on est affecté des phénomènes de senstivité.
us, ô mon maître, qui vous en affligerez , quoique d’autres puis-
sent
bien en penser différemment. Ce résultat, c’est t
it avec l’intention seule, et, après quelques efforts de volonté , il
sentait
courir en lui le fluide magnétique dans la direct
n dans tous les pays où le magnétisme compte des partisans, et qu’ils
sentiront
la nécessité de s’associer pour faire le bien et
fit tirer la couverture par-dessus nos têtes ; et aussitôt nous nous
sentîmes
assez rudement frappés avec une petite came qui é
faire intervenir encore la couverture, et je me recouchai. Alors, je
sentis
comme si quelqu’un piétinait sur moi. La lampe fu
r; si j’ai glissé en le descendant parce qu’il est très-usé ; si j’ai
senti
la bonne odeur des œillets qui étaient sur la che
môme perfectibilité et cpie nous puissions toucher, entendre, goûter,
sentir
à ces mêmes distances, comme nous pouvons voir. T
iquement, ne tarderait pas à paraître. Le 2 septembre, la malade se
sentait
déjà si bien, qu’elle voulut faire un petit voyag
anches n’ont pas reparu et les douleurs de la matrice ne se font plus
sentir
. Le teint, qui avait auparavant un aspect ictér-i
er le diable, et qu’à lui seul cédait cet esprit malin ; quiconque se
sentait
possédé pouvait, en toute sûreté, lui demander sa
repos et que je ressentais l’odeur spéciale qui s’en exhalait, je me
sentais
mal à l’aise, j’éprouvais une salivation fétide,
is sonner sept heures et demie à l'horloge des loui s. J’avoue que je
sentis
alors ma foi défaillir. « Cependant la chapelle
urno, a sagittâ volante in die, a negoti«perambulanle in tenebris, je
sentis
redoubler l’horreur silencieuse de ces voûtes som
u bout de vingt minutes de sommeil, la malade fut réveillée ; elle se
sentit
alors la tête très-légère et entièrement débarras
et les lui faire répéter; quel ne fut pas mon étonnement, lorsque je
sentis
les doigts de la main malade se mouvoir peu à peu
qui, dans l'observation que j'ai rappelée en commençant, fait si bien
sentir
par sa spirituelle ironie, à l'endroit des termes
sol, sans bruit, sans choc, mais la main placée alors sur sa surface
sentait
en elle une sorte de palpitation. Ce phénomène
mois. Revenant un soir de la journée, car elle est ouvrière, elle se
sentit
tout à coup atteinte par plusieurs pierres et cru
gnétique. Ils éprouvent un bien-être délicieux, et, à leur réveil, se
sentent
soulagés de leurs maux. M. Gaspa-rini prétend avo
les retins à la hauteur de sa tête. Au bout de quelques secondes, je
sentis
la table se soulever lentement en frôlant ma poit
pulpe de quatre doigts s’applique sur mes joues et se fait nettement
sentir
. Je tends la main à John : il en presse le bout d
és contre la cloison de la cellule, je demande à l’esprit de me faire
sentir
sa main sur la nuque ; aussitôt les cinq doigts e
j’allasse me coucher; car, à dix heures, c’était, le soir, je me suis
sentie
actionner comme quand vous êtes auprès de moi, cl
r qui donne aux nososcopes, ou somnambules , la faculté de voir ou de
sentir
les maladies et d’indiquer les remèdes curatifs,
rbitraires, l’exécution en est demeurée tele-ment imparfaite qu’on se
sentira
bientôt dans la nécessité de retomber dans l’ince
eprésenter lorsqu’on écrit sur le magnétisme. Plus qu’un autre j'ai
senti
mon néant et mon impuissance; et, confus de mon i
a confusion des langues : que voulez-vous qu’il en sorte? J’ai donc
senti
en moi les véritables conditions de tout savoir,
duire, et qui n’ont encore trouvé aucun interprète capable d’en faire
sentir
l’importance et la grandeur. Les lumières du somm
ns la diminution des douleurs, qui même plusieurs fois ne se font pas
sentir
. « Fille de sept ans, affection du bras droit p
s un travail de cette importance, il faut que la clarté fasse partout
sentir
sa présence , que tous les termes soient précis,
de celte femme venait d’un amas de sang fixé au côté gauche, car on y
sentait
une dureté. Il employa pour l’amollir desémollien
temps considérable; il dit que rien ne l’avait troublé,, et qu’il ne
sentait
de douleur nulle part. Prié de se lever et de mon
a pas eu moins d’une douzaine, cette première douleur n'a jamais été
sentie
. Les malades ne souffrent qu’au bout de*dix heu
arut pas avoir conscience de ce qui lui était arrivé; il dit qu’il se
sentait
comme, à l’ordinaire et qu’il était prêt à être o
troublé par un rêve. Environ une minute après son réveil, il dit quil
sentait
quelque chaleur au scrolum; y portant la main, il
ée, et la mettant sur une chandelle allumée, dès qu’elle avait un peu
senti
la chaleur, on voyait remuer la cendre qui s’élev
ée, ce qui donne quelque trêve à ses souffrances. Je le sondai, et je
sentis
une pierre. Il souffrit, et se plaignit beaucoup
catalepsie, et l’on peut fortement le secouer sans l’éveiller. Il ne
sentait
pas quand on le piquait ; mais il remuait les jam
aux piqûres ; ayant introduit doucement une sonde dans la vessie, 011
sentit
la pierre. Il fut alors posé sur le bord de la
vec quelque difficulté, et quand on le questionna il dit n’avoir rien
senti
depuis qu’il s’était endormi. Le 5. Ses bras ét
i passai une sonde dans la vessie , et immise di-ffilum ia rectum, je
sentis
la pierre. Alors on le plaça dans la position usi
malade fut recouché. Lorsqu’il 6e réveilla il dit qu’il n’avait rien
senti
. Le6. L’opération eut lieu. On apporta le malad
s. Quand tout fut achevé, il dit qu’il avait seulement l’idée d’avoir
senti
quelque chose céder dans l’intérieur et suivi d’u
furent disparues. Rien n’avait troublé 6011 sommeil, dit-il, et il se
sentait
, continua-t-il, comme à l’ordinaire; de plus, n’é
n drap blanc. Il ne s’aperçut pas qu’aucune chose lui fût arrivée. Il
sentait
le poids comme à l’ordinaire, dit-il, et de doule
un sommeil rafraîchissant; que la douleur était passée, et qu’elle se
sentait
beaucoup de force. Je plaçai mes doigts devant se
ique pendant que la malade était dans la trance magnétique. Elle n’en
sentit
aucunement l’effet. Etant revenu à mon hôpital, d
questions de son maître, il dit qu’il s’éveillait dans ce moment, et
sentait
très-bien qu’il n’avait pas vu son maître déjà da
u aucun de nous dans la journée, avant l’instant présent, et qu’il se
sentait
comme à l’ordinaire. Le 14. La douleur, depuis
qu’on l’eut couvert d’un drap blanc, je le réveillai. Il dit qu’il ne
sentait
de douleur nulle part; qu’il étaitcomme à l’ordin
sont sensiblement amollies, et quelque peu réduites. Du 29. Elle se
sent
généralement portée au sommeil magnétique, et ell
plus. L’enflure de la cheville est entièrement disparue. Le malade se
sent
très-bien sous tous les rapports , et se trouve s
posé à l’air froid. Il s’en est mal trouvé : sa voix s’est voilée; il
sent
le côté malade plus lourd, et il a en effet perdu
s en parfaite connaissance, parfois au moment où il se félicite de se
sentir
mieux, ou après qu’une réaction violente s’étant
t point vus. Moi-même j’éprouve qu’il est, pour dépeindre ce que l’on
sent
comme pour ce que l’on voit, des difficultés insu
ces inconnues, et la lumière des immortels vient pénétrer son âme. 11
sent
de rudes secousses : la nature sans doute a besoi
vu que sa face, puis successivement elle s’élève devant lui ; il veut
sentir
ses étreintes, entendre sa voix ; 1 ombre sourit,
que l’émotion produite par un fait aussi « Eh, comment voulez-vous
sentir
, puisque je ne « vous mels rien ! Je prie Dieu po
dépeindre et analyser des situations, des émotions qu’on ne peut que
sentir
et admirer; pour faire comprendre quelle est cett
oppements de cet état surnaturel que j’ai tant admirés et si vivement
sentis
.... Mais sentir et exprimer sont choses bien diff
état surnaturel que j’ai tant admirés et si vivement sentis.... Mais
sentir
et exprimer sont choses bien différentes. La prem
semblait initier le spectateur à cette extase, et le faire suivre et
sentir
toutes les modulations de cette hymne angélique,
ro-négatif, et qu’on reprenne vite l’extrémité d’une des branches, on
sent
ce conducteur tourner, et on voit le sommet s’aba
s ; bientôt elle est prise de tiraillements dans les membres, elle se
sent
attirée sur ce centre magique, elle fait d’incroy
des robustes qui sont relevés par d’autres dès que la fatigue se fait
sentir
. C’est ainsi que lejDr Esdaile parvient à élever
ule fois, le 28 novembre dernier : pas le moindre accès ne s’est fait
sentir
depuis ; M'lc A. L***, treize ans : croissance
re atrophié. Déjà la malade transpire beaucoup, dort bien la nuit, se
sent
plus forte, et elle pressent que dans peu de temp
loire à vous, mon Dieu, car j’ai pu un instant, arrêtant mes pensées,
sentir
par mon âmeet découvrir en moi ce feu dont la sou
d’amidon. A six heures les crampes commencent : elles se font surtout
sentir
à l’épigastre et aux jambes; surviennent quelques
e puissance, existant dès lors dans l’espace, et y jouant un rôle? On
sent
bien que je ne veux point chercher à résoudre ces
ion nous modifie, chaque émotion porte le trouble dans notre être. Se
sent
-on grandir ou décroître? Ce qui nous échappe est
que l’on ne voit point, el qui est contestable jusqu’à ce qu’on l’ait
sentie
. Ma pensée était étrangère aux phénomènes dévelop
une heure, il n’avait connaissance de rien. Une cuisson faible se fit
sentir
peu après le réveil. Quatorzième Observation.
us de sécurité, oq lui mit dans la main un charbon ardent, il ne le
sentit
pas ; mais en le lui plaçant sur l’abdomen , il s
ellement un quart d’heure après le pansement. Il déclara n’avoir rien
senti
pendant la trance ; mais il se plaignit bientôt d
’insensibilité, sauf au premier contact d’un charbon ardent, qu’il ne
sentit
point à une seconde application. On aurait pu l’o
e de mon entendement (i) » ce qui venait de se passer. Je venais de
sentir
un mouvement vermiculaire comme celui d’un scrotu
Dieu ayant élhérisé 1111 malade pour une dernière tentative de taxis,
sentit
l’inlestin rentrer comme de lui-même à la premièr
t des spasmes nerveux, des suffocations; les yeux se fermaient; on se
sentait
défaillir; on entrait dans la région des songes,
plus grande des révolutions au fond de SC9 entrailles, et qui déjà la
sentait
tressaillir. Riches et pauvres , nobles et plébéi
occulte, t. H, p. 450. (3) Pomponuce. De Incantation., p. 252. se
sentait
dévorce par un feu invisible. Le comte fit alors
es, de longues aiguilles dans ces parties , sans que ces individus le
sentent
, et malgré qu’ils le voient faire. » Presque to
ble enfant, reviens à la vie, l’heure n’est point venue! mais tu as
senti
, pourtant, les atteintes d’un long âge. Fasse le
fs (2) qui supportent cet organe. Les premières atteintes s’en firent
sentir
en 1852, pendant une grave maladie. 12° Amélior
oit durer jusqu’à la fin du traitement. 13° Ne se fait presque plus
sentir
. Ces dérangements de nerfs ont été successiveme
cette magnétisation j’ai pu reprendre mon travail, et n’ai plus rien
senti
. Anna CHABOT. Troyes, 12 mars 1848. Ami des
i-ci : Il faut qu’il rende sensible aux autres intelligences ce qu’il
sent
lui-même; ce qui, souvent, ne peut se traduire pa
egrés de lucidité. Très-souvent, les somnambules assez lucides pour
sentir
et voir le mal dans sa nature et dans scs effets,
on — c’est ainsi qu’il appelle ses communications internes — et qu’il
sentait
qu’il fallait qu’il allât immédiatement à Poughke
suivant : Le malade est dans un état vertigineux habituel. Il ne se
sent
aucune assurance pour marcher et craint toujours
lité tactile est conservée sur toute la surface du corps. Le malade
sent
le contact du côté analgésie comme du côté gauche
omparant avec celles de droite on ne peut méconnaître qu'elles pré-
sentent
un certain degré d'atrophie. La racine vestibulai
us de taches pigmentaires qu'autrefois. En re- vanche on voit et on
sent
de très nombreuses petites tumeurs cutanées et so
as, le corps thyroïde, les reins examinés histologiquement, ne pré-
sentent
d'autre lésion importante que de la sclérose des
l que soit le développement des masses graisseuses, elles ne dépas-
sent
jamais, à la partie supérieure et postérieure de
tants, noyés dans une atmosphère de tissu adipeux. D'autres fois on
sent
, vers le centre de la tumeur, un seul noyau plus
quée; jointe à la pâleur, elle rappelait le faciès spécial que pré-
sentent
les leucémiques à une période avancée de leur mal
un double menton et descendant plus bas à droite qu'à gauche; on y
sent
des masses dures donnant la sensation de ganglion
de la Tourelle vient d'insister à nouveau sur la gravité qu'il pré-
sente
lorsqu'il est méconnu : on meurt d'anorexie hysté
ui reste que la peau et les os, le thorax surtout et le bassin pré-
sentent
à cet égard le type de la maigreur absolue : les
u'il faut presque le dire je ne mangeais presque pas eh bien, je ne
sentais
pas le besoin de manger, l'estomac ne me demandai
tomac ne me demandait jamais rien, je ne me fatiguais pas, je ne me
sentais
jamais fatiguée, c'était à n'y rien comprendre.
ul diagnostic qui nous paraisse mériter discussion dans le cas pré-
sent
est celui de simulation. Nous n'y croyons pas et
lopeau (7) également, dans sa classification des causes qui produi-
sent
le météorisme, parle de la paralysie hystérique.
stance molle, flasque dans son ensemble, mais, dans l'intérieur, on
sent
des nodules durs, irréguliers, de volume variab
llent s'attacher à la colonne par un pédicule. Il est impossible de
sentir
les apophyses épineuses au-dessous de la 11e dor-
u'elle savait perti- nemment, disait-elle, y être enfermée. Elle en
sentait
la pensanteur, la pression, le ballottement, et
tellement répandu qu'une réaction violente ne tarda pas à se faire
sentir
. Les monarques, les chefs d'Etat, crurent de leur
arraignées, et autres insectes qu'elle a vomi depuis, et qu'elle se
sentait
portée ai cela,surtouta la manducation des crap
ques-uns l'ont cru, bien qu'il soit fort pâle au visage, mais qu'il
sent
des douleurs dans la poitrine, et ailleurs, lor
ontrôlées par la volonté, le malade appelle l'infirmier quand il en
sent
le besoin; le malade se promène quelquefois, la
es dorsales. Celles-ci, ainsi que les vertèbres cervicales, ne pré-
sentent
aucun détail à signaler. LES .0 ? TÉO-.ARTHROPA
même niveau encore, le bord inférieur de la quatrième lombaire pré-
sente
des découpures analogues à celles de la vertèbre
émités, les interosseux des mains et des pieds en particulier, pré-
sentent
même une véritable atrophie. Seul l'abdomen conse
res. Il lui arrive souvent de tenir un objet dans les mains sans le
sentir
, ou d'avoir la sensation tactile d'un objet sans
dre douleur : les racines subsistent pour la plupart, elles parais-
sent
saines et ne sont jamais la cause de névralgies d
es de diarrhée. Déjà, à deux reprises, ictus laryngé : le malade se
sent
serré il la gorge, perd connaissance, tombe et s'
'une tête d'adulte, il est uniformément tuméfié. A la palpation, on
sent
une masse dure épaississant, semble-t-il, le pl
orteils, mutilation des pieds et des mains. Les désordres progres-
sent
jusqu'en 1887, malgré le traitement spécifique qu
au processus, exception faite pour la malade de M. Raymond qui pré-
sentait
, comme nous l'avons vu, une pathogénie complexe e
En résumé nous avons observé une femme qui depuis sa naissance pré-
sente
une ectasie vasculaire du membre supérieur droit
ne sont plus engourdis, no sont plus lourds, qu'elle commence à les
sentir
, les mettre en mouvement, enfin qu'elle peut ma
aspect clinique était celui d'un volumineux lipome dans le- quel on
sentait
quelques noyaux arrondis durs. Après l'extirpatio
POMATOSE SYMÉTRIQUE 193 sphères ganglionnaires habituelles, on a pu
sentir
soit nettement des ganglions lymphatiques, soit
lme et Bufnoir : « A gauche, di- 194 P. E. LAUNOIS ET R. BENSAUDE
sent
-ils, l'espace celluleux compris entre le bord ant
spect tout à fait curieux, par exemple le groupe central qui repré-
sente
un médecin en train d'extraire une « pierre de te
tions sur les suites éloignées ; ces considérations ne nous parais-
sent
pas dénuées d'intérêt, elles auront trait princip
emain chez lui, il commença à souf- frir beaucoup de la tête, et la
sentait
« attirée vers le côté gauche ».Il n'avait en r
la pal- pation, la lobulation est un peu plus nette. Cependant, on
sent
bien qu'il s'agit d'une seule tumeur et non pas
it rien d'anormal. Vers les premiers jours du mois d'avril 1899, il
sentit
sur la partie latérale gauche du cou, un peu au
ès nettes sur l'étatde son squelette (PI.XXXIX,A).Le pouce(qui pré-
sente
un léger degré d'opposition sur cette radiographi
était occupée à installer son étalage de ferrailleuse quand elle se
sentit
faiblir; elle ressentit un malaise ' général ;
eurs fulgurantes à partir du genou jusqu'aux pieds. De plus elle ne
sentait
pas le besoin d'uriner; les urines s'écoulaient à
ement dé- placée d'avant en arrière. Dans le décubitus dorsal, on
sent
très nettement à plusieurs centimètres au- dess
ne survint du côté du rachis. En 1880, il veut non seulement avoir
senti
, mais encore avoir entendu de temps en temps un
Les mensurations du malade, debout, placé aussi droit que possible,
senties
suivantes : Hauteur totale : 1 m. 722. Tail
ait naitre une sensation désagréable. Quant à la région dorsale, on
sent
nettement une cavité entre les apophyses épineu
NS LE TABES 271 l'intervalle est exagéré, et dans cet intervalle on
sent
comme une boule dirigée de droite à gauche et d
à mesure que la malade poursuivait son idée bii' son rêve, elle se
sentait
envahir par les sensations agréables, qui accompa
sibilité cutanée au contact est conservée et normale. La piqûre est
sentie
sans aucun retard mais partout sous la forme d'un
laissent entre elles des régions dépressibles au fond desquelles on
sent
les corps vertébraux augmen- tés de volume. Cep
rse assez longue, deux ou trois kilomètres sans trop de fatigue. Il
sentait
mal néan- moins la résistance du sol ; il lui s
de douleurs fulgurantes dans la tête ou dans la face : le malade ne
sent
pas de raideur dans les joues ni la face. Les
l'autre jambe : les yeux fermés, il vacille et tombe. En marchant, il
sent
peu la résistance du sol. 284 JEAN ABADIE N
ires du tibia, du péroné et du fémur, sont hyper- trophiées : on ne
sent
cependant pas d'ostéophytes libres dans la cavité
orme commence il se constituer : à ce niveau les olives n'apparais-
sent
pas encore, il ne présente aucune anomalie ; en m
tête est lourde, il a constamment envie de dormir, il dit qu'il se
sent
comme assommé. Il n'a ja- mais eu de vertiges ;
enfin, il dû cesser tout travail depuis un an. Depuis deux ans, il se
sent
éga- lement plus maladroit et dit « être moins
: le malade a l'air peu sûr de lui, et dit d'ail- leurs qu'il ne se
sent
pas bien en équilibre : ce n'est pas la démarche
us ces exercices, ou après un temps de marche un peu pro- longé, il
sent
venir la fatigue, et surtout dans les muscles des
hincters. Les urines partent quelquefois malgré lui, ou bien quand il
sent
le besoin il doit attendre plusieurs secondes a
ujeetdes différentes couches de l'écorce s'atrophient et disparais-
sent
, par suite les fibres médullaires dégénèrent ; l'
nt réduites de nombre; par contre les fibres pyramidales ne parais-
sent
pas sensiblement diminuées. Au niveau du bulbe la
un de nous ; mais en présence des symptômes par lesquels se tradui-
sent
les atrophies cérébelleuses, il est impossible de
ue l'ébranlement se propageant dans le sens le plus direct, se fait
sentir
aussitôt dans les noyaux gris centraux, dans la
bras paralysé étaient satisfaisants sauf ceux de la main qui lais-
sent
toujours a désirer » xiii 25 812 RENÉ MARTIAL
portion de la calotte crânienne, où l'on peut malgré l'épanchement
sentir
ou pressentir les fragments, l'interven- tion e
La dépression admet facilement le bout du doigt et à la pression on
sent
au fond une résistance comme si le doigt touchait
l'hémiplégie traumatique. Au point de vue médico-légal elle se pré-
sente
: 1° comme accident du travail, 2" comme lentativ
te année, le malade qui aurait désiré quitter l'emploi qu'il avait,
sentait
sa main droite assez malhabile pour qu'il n'osâ
ans lequel la trace du doigt disparaît vite. La palpation permet de
sentir
les muscles aussi bien ceux de l'épaule (deltoï
mme si l'on frottait deux râpes l'une contre l'autre. Au poignet on
sent
l'extré- mité inférieure du cubitus très mince
aissant entre elles des régions dépressibles, au fond desquelles on
sent
les corps vertéhranv augmentés de volume. Ce so
ion douloureuse lombaire. Deux ans après, sans raison apparente, il
sent
tout à coup ses vertèbres tressauter et le bruit
tout ce que nous savons sur ce livre. Les deux autres nous instrui-
sent
d'ailleurs amplement sur' la manière de l'auteur.
dit Cohausen, que les rois et les grands de l'Inde. qui se nourris-
sent
de caryophylles, de cinnannes et d'autres plantes
e auteur. Mais,ajoute- t-il,pour rassurer ses lecteurs, ce sophisme
sent
son origine; il y a deux sortes de tabac d'Espa
jasmin, le lis. : Il est vrai de dire que les Pétophiles, s'ils ne
sentent
plus les odeurs agréables, ont au moins l'avant
'analyse. Le malade âgé de 93 ans était grand amateur de tabac ; il
sentit
un jour de la difficulté dans la déglutition. I
siastes, les femmes sur- tout publiquement l'aillées durent fairent
sentir
leur colère à J. II. Cohau- sen. Quelques tabac
i montait à la gorge, et on lui piquait le côté gauche sans qu'elle
sentît
rien. Elle a eu depuis un garçon qui a 10 ans, in
ureux du côté gauche, principalement dans le membre supérieur. Elle
sent
des picotements et des fourmillements à l'extré-
oins d'une thérapeutique promptement appliquée ne se font nullement
sentir
. Il n'importe guère en effet de remédier au plus
pour nos expériences précédentes le numérateur des fractions repré-
sente
le plus petit diamètre des cellules, le dénominat
tre étant le dénominateur. L'entier qui suit chaque fraction repré-
sente
le diamètre nucléaire. Les cellules vacuolaires
ermés Debuut le malade ne pré- DE L'UÉMIPLÉGIE traumatique ` 5337
sente
rien de particulier, tant qu'il reste au repos. M
e du côté gauche de la tête y compris la bouche et la langue qui ne
sent
pas les aliments de ce côté. Depuis le haut du co
étendait sur la région pariétale droite. Du côté gauche du crâne on
sentait
très nettement un enfoncement siégeant vers la
- Les deux chefs scapulaire et claviculaire du deltoïde droit pré-
sentent
une diminution de volume appréciable à l'oeil sur
son travail. Cependant après qu'il eût commencé à travailler, il se
sentit
malade et abandonna son poste pour aller dans une
me une pièce de 5 francs, à travers laquelle on peut très nettement
sentir
l'os enfoncé ' 9 mai. - Opération. 10. L'amél
det ; sur le pied, il laisse une dépression superficielle, mais on
sent
plus pro- fondément une masse qui ne se laisse
i al- bumine dans l'urine. s Le corps thyroïde paraît normal ; on
sent
nettement le lobe gauche. Bien qu'à cette époqu
cellulaire se modifie, ils diminuent peu à peu de volume et finis-
sent
par se réduire en poussière. La résection est c
riences (Voir tableaux, pp. 38, 47, 57, 64, 76, 80, 85, 96, du pré-
sent
travail). 1 Nous ferons observer à ce propos qu
de particulier de dégénérescence, bien que nombre d'auteurs profes-
sent
une opinion contraire. Nous avons rencontré la
s révélations (6). « Je croyais en quelque sorte toucher le dieu et
sentir
son (1) Do l'Ancre, de l'incrédulité, clc., p.
’esprit et du coips dispose au sommeil magnétique. Celui qui pense et
sent
peu, dort d’un sommeil plus paisible que celui do
. « Dès que le somnambule, dit Deleuze, cesse de parler de ce qu’il
sent
pour parler de ce qu’il imagine, il s'égare d’aut
s ouvrons le boitier. Dans l’instinct somnambulique, au contraire, il
sent
et ne voit pas, son intuition est plus parfaite.
assage. Dans ce cas, elle ne les voyait ni ne les entendait, elle les
sentait
seulement. J’étais moi-même du nombre de ces non-
’au-dessous du genou ; passes longitudinales prolongées ; elle ne les
sent
pas comme autrefois, excepté à la partie antérieu
se plus facilement toucher par les applications d’une science dont il
sent
l’utilité, que par des théories dont il ne compre
e. Le lecteur est si habilement guidé, qu’il arrive au but sans avoir
senti
les aspérités de la route. Ces résultats sont d
i aient été faites de l’honneur du savant et de l'homme. Le lecteur y
sent
l’âme du disciple émue et reconnaissante, et il e
plus générale, qui indiquât la nature de l’influeuce développée. Nous
sentons
combien il est difficile de donner des définition
urs rhumatismales et d’un commencement de paralysie du bras droit, se
sentit
revivre après deux frictions magnétiques faites p
n en demanda la cause ; la somnambule répondit : « Ah ! c’est qu’elle
sent
que je vois ses malices. » Au bout de quelques
e disant : « Vous savez bien ce qu’il faut faire pour m’empêcher de
sentir
la brûlure quand je serai éveillée. » Je me ren
c’est que, quand on a employé ce rien (comme vous l’appelez), j’en ai
senti
immédiatement les effets, et ces effets se sont é
’autre, ou même dans une autre pièce; ces mômes mains se font souvent
sentir
aux assistants, les touchent, les pincent, les he
attente, la table devenait souvent comme chargée d’électricité, et on
sentait
, non pas des chocs, mais des vibrations continues
e personne assez raisonnable, pourrez-vous croire que ce soir là j’ai
senti
, ou du moins cru sentir, une main me saisir par l
nable, pourrez-vous croire que ce soir là j’ai senti, ou du moins cru
sentir
, une main me saisir par le talon gauche. La press
oubliait de voir pour discuter, et les expérimentateurs, qui avaient
senti
le guéridon chanceler, se jetaient l’un à l’autre
fût arrêtée l'expérience. Mais un de ceux qui formaient la chaîne se
sentit
fatigué et se leva. O11 n’alla pas plus loin. O
, d’en donner une. Je raconte ce qu’avec vingt personnes j’ai vu et
senti
. Nous ne pourrons pas empêcher les savants de rir
un cpiart d’heure avant que les premiers trémoussements ne se fissent
sentir
. Les magnétiseurs, encouragés, redoublèrent d’eff
toutes les maladies sont nerveuses, puisque sans les nerfs on ne les
sentirait
pas. « La nombreuse nomenclature des maladies d
’eût été jouer gros jeu que d’exécuter de pareils tours; ils auraient
senti
terriblement le fagot et le roussi. Aujourd’hui m
ous borner à dire sincèrement ce que nous avons vu, ce que nous avons
senti
, ce qu’ont vu et senti avec nous des personnes do
rement ce que nous avons vu, ce que nous avons senti, ce qu’ont vu et
senti
avec nous des personnes dont l’âge ou le caractèr
erveilleuses facultés dont la nature les a douées par privilège. Nous
sentions
tous que la présence au milieu de nous d’êtres au
le plus heureux de cette nombreuse assemblée, et tous les convives le
sentaient
bien, car chacun individuellement le félicitait e
t ce n’est qu’un quart d’heure après que le pouls commença à se faire
sentir
d’une manière presque imperceptible. Je redoublai
e qui, joint à l'immobilité des traits, m’avait beaucoup alarmé. Je
sentais
que je n’avais pas en moi une force suffisante po
n devint plus facile, et la malade, qui s’était réveillée, déclara se
sentir
beaucoup mieux. Je restai environ deux heures a
oir été comme moi, pendant deux heures, aux prises avec la mort, pour
sentir
le bonheur qu’on éprouve en voyant revenir à la v
Questionnée sur ce qu’elle éprouvait alors, elle me dit qu’elle se
sentait
très-bien et que son ventre n’était plus dou- l
mande que je lui fis si elle souffrait encore, elle me dit qu’elle se
sentait
beaucoup mieux, et qu’elle n'éprouvait plus qu’un
lles les voisins et les valets de ferme sont venus prendre part, j’ai
senti
qu’il était temps d’y mettre un terme. J’ai ordon
que l’on est convenablement placé autour d’une table, je suppose, on
sent
bientôt dans les mains une espèce de picotement,
épand un certain désordre dans toute la machine « (tout le corps), on
sent
pourquoi celui qui magnétise in-« spire tant d’at
entendement; et cependant ils contemplent cette voûte céleste, qu’ils
sentent
bien ne pouvoir être qu infinie, sans néanmoins c
rances de cette dame cessèrent complètement ; elle annonça qu’elle se
sentait
dégagée, que le fluide dont elle était saturée se
t par me gagner. Car... après cinq ou six minutes d’épreuves, je crus
sentir
... « — Bah ! me dis-je, je me sens le désir ins
ne à boire, il eu est d’autres qui, bien que placés à leurs côtés, ne
sentent
jamais rien. Les personnes qui croient sentir que
acés à leurs côtés, ne sentent jamais rien. Les personnes qui croient
sentir
quelque cliose ne le doivent qu’à une aberration
; la jeune fdle ne pouvait plus se passer de ce jeune homme, lui-même
sentait
comme un besoin de rester près d’elle ; la distan
raquement assez prononcé se fit entendre, puis une oscillation se fit
sentir
; enfin, quatre minutes après, le billard se port
la nature, qui nous a toujours appris qu’on voit par les yeux, qu’on
sent
par le nez, qu’on entend par les oreilles, etc.;
issaient en opposition avec les lois de notre économie physique. On
sent
bien que le cas étant devenu si intéressant, je m
ade, marchant les yeux fermés, flairait continuellement et paraissait
sentir
les objets qui étaient sur son passage et qu’il é
s heures. » Je lui fais aussitôt cette question : « Comment as-tu
senti
qu’il y avait du papier sous le verre de la montr
ons de la lumière font quelque impression sur la rétine; mais nous ne
sentons
point cette impression. Les philosophes et les an
auditeurs; il lui fait presser la main d’un étranger avec l'affection
sentie
d’un ami : il fait plus, il le réduit à la bestia
des doigts. Lorsqu’elle a quitté la table, son effroi a été grand de
sentir
que ses doigts, repliés dans la paume de sa main,
qui se trouve vers lui reste sur la table. « La personne enlevée ne
sent
presque pas l’impulsion des doigts qui la soutien
omme qui aime la vérité, il n’y a pas de vérités indifférentes. 11 se
sent
pressé de défendre celles qui sont méconnues, et
e de la rotation ! c’est commode. Est-cc équitable? Quant à moi, j’ai
senti
qu’il était absurde de se renfermer dans l’étude
un qui paraît impossible, parce qu’il est nouveau. Tout fait nouv eau
sent
la magie. Attendez un peu, et les Académies lui f
e, il est en contact avec les immortels. Vérité ! j’ai besoin de te
sentir
en moi ; souvent tu viens m’inciter à la lutte; p
quoi donc laisse-tu si souvent mon esprit en repos? Je ne puis rien
sentir
sans le bouillonnement de mon sang; jusque-là je
tate de même des oscillations de la partie supérieure du corps, et on
sent
que le mouvement est involontaire et qu’il vous e
et qui cherchent incessamment à rassurer leur équilibre. Chacun peut
sentir
, en effet, ces contractions involontaires et suiv
ne put ni articuler le nom ni faire la description ; comme on lui fit
sentir
la nécessité de la spécifier afin de pouvoir en f
opérateurs fait naître un courant magnétique dont les effets se font
sentir
avec plus ou moins d’énergie ; presque toutes les
e » ; je lui répondais sans hésiter : « Je ne le crois pas » ; car je
sentais
(pie la chose était impossible, absurde; je ne sa
été détruit par un trop riche butin ! Serait-il donc vrai que pour
sentir
il faille souffrir? Ah! les novateurs n’entrent p
ufflet, le plus souvent suivi de regrets ; au bout de cinq minutes on
sent
le mouvement, on le suit, on marche, on court, on
raignait de voir se prolonger, et les deux vieilles qui ont très-bien
senti
le mouvement sont ravies d’avoir encore du fluide
une demi-heure. La jeune personne était désolée, et me dit qu’elle
sentait
qu’elle ne pourrait dormir, tant elle avait peur
ifférentes parties du corps, sans déterminer la moindre douleur. Elle
sentait
bien, disait-elle, que je la touchais, mais n’épr
nce pour être insensibles à la douleur. Peu importe, en effet, qu’ils
sentent
, qu’ils voient même qu’on les opère, s’ils ne sou
le vérifier à mon retour. Chaque fois que je vais chez elle, elle me
sent
venir ; si elle est absente, elle s’aperçoit de m
travaux glorieux, et dont la belle intelligence, pour laquelle on se
sent
pris d’admiration et de sympathie, semblerait dev
avoir agi ainsi pendant dix minutes, je demande à ce malheureux : —
Sentez
-vous quelque chose? — Pas plus que si j’avais u
une couronne? ce ne serait pas fort, c’est un front qu’on se repré-
sente
toujours couronné, ce serait vouloir être compère
, puisque le sujet, malgré la force physique qui paraît l’enlever, ne
sent
presque pas l’impulsion des doigts qui le soutien
l’espoir. Après m’avoir examinée et entendue, cette âme d’élite se
sentit
émue et inspirée de me sauver. J’entendis avec at
d’arrêter l’écoulement du sang._ « Dès la première séance la malade
sentit
dans les viscères de l’abdomen quelque chose d’ét
ositifs, fixant les idées, sont toujours utiles.' Les théories pas-
sent
. Seuls les faits bien observés demeurent éternels
ssent et se traduisent par des manières de comprendre et surtout de
sentir
toutes nouvelles. Eh bien, puisque le gros lot
face antérieure du thorax, on observe que sa partie supérieure pré-
sente
une direction oblique en arrière, l'inférieure pr
rantes normales. La coloration au schralacb montre que les cellules
sent
riches en granulations thyroïdes. - La paroi
auriculaire a 7 cm. 5. Si l'on y imprime des mouvements passifs, on
sent
qu'il est formé de deux petits os articulés ent
eure grosse et une légère blésité. Voyons maintenant si le cas pré-
sente
quelque chose de particulier et quelle est la val
e suis un vieil homme et ne m'occupe de rien ». Certains malades se
sentent
faibles de tète, mal à l'aise, étourdis, ne recon
es plus simples et cessent de réagir aux affirmations qui contredi-
sent
grossièrement leur expérience journalière. En out
r les bras et de ne pouvoir plus marcher sans canne; il disait res-
sentir
des douleurs dans les articulations. Il est malad
illaires ni de réaction de dégénérescence. Les douleurs n'apparais-
sent
qu'à l'occasion des mouvements ; la colonne verté
âle Les viscères sont intacts. La cyphose de la région dorsale pré-
sente
une courbe régulière à grand rayon ; la région lo
Après la première période de douleurs aiguës, les douleurs s'apai-
sent
et dans le cours ultérieur de la maladie elles n'
re clinique, étant allé, comme d'ordinaire, s'asseoir à un café, il
sentit
une très forte douleur dans son articulation co
en mars 1901. A travers la dure-mère de la région rolandique, on ne
sentit
rien d'anormal ; c'est pourquoi on décida ~de l
peut le voir sur notre fac-similé (fig. 4), quelques traits parais-
sent
figure)'soit des emplâtres sur un nez effondré, s
us, vérolés, de loin à vos jam- bes ischiatiques et à vos omoplates
sentez
la venue des pluyes, des vents, du serain, tout
ent, il répond : vous me piquez légèrement et vous appuyez ». Il ne
sent
jamais de douleur vive. Il y a donc là un troub
up de son travail, il devient taciturne, paresseux, disant qu'il se
sentait
malade, se plaiguant d'avoir mal à la poitrine
e une partie du contenu. Il refuse le lait (sa femme et sa mère di-
sent
qu'il ne l'aime pas) en disant qu'on le réserve p
et des racines nerveuses. Les dépôts osseux extérieurs peuvent être
sentis
sous la peau d'un malade, ce qui n'arrive pas d
corps de Nissl ont complètement disparu et dont le cytoplasma pré-
sente
des sortes d'anneaux plus ou moins réguliers, ave
e nucléaire à une membrane semi-perméable à travers laquelle dialy-
sent
des colloïdes et dit : «... qu'il est probable qu
granulations fuchsinophiles. Dans ce cas ces granulations apparais-
sent
de (aille inégale, les unes sont volumineuses de
nt libres. Comme malgré son âge elle travaillait encore, elle ne se
sentit
pas suffisam- ment malade pour interrompre ses
impalpable, et au-dessus du bord supérieur du sternum, on arrive à
sentir
le thymus hypertrophié. On ne trouve point la m
s directs ou indirects, en ce qui concerne les anomalies qu'il pré-
sente
. Et l'on sait en effet que quelques auteurs consi
centimè- tres. - Réflectivité tendineuse abolie. Impossibilité de
sentir
l'expansion du crural ou des jumeaux pendant la
tend qu'il est malade seulement depuis l'année dernière, quand il a
senti
pour la première fois une sensation de pesanteu
ession, qu'un gros caillou était entré dans son abdomen ; puis il a
senti
que sa poitrine était serrée de temps en temps
dit que, souvent dans la rue, surtout quand il a trop marché et se
sent
fatigué, ses jambes chancellent, si bien quelqu
oscillations étaient plus intenses encore ; autrement dit, il pré-
sentait
le signe de Romberg, sans avoir des troubles de l
lques mouvements sur place, ou quelques pas dans la salle, et il se
sent
moins serré, et même satisfait, car, dit-il éta
rré, et même satisfait, car, dit-il étant serré comme il est, il se
sent
plus sûr de lui, plus solide sur ses jambes. La
Et ce qui le satisfait surtout, c'est qu'après avoir marché, il se
sent
beaucoup moins fatigué. Il rentre certainement
quilibre, a disparu dès le moment qu'avec son bandage, le malade se
sent
plus sûr de lui. J'avais essayé plusieurs fois
homme normal soulève la cuisse en l'air, dès le début on voit et on
sent
sous la main appliquée sur la face antérieure de
é. Si maintenant nous lui disons d'abaisser le membre lentement, on
sent
alors que la contracture du quadriceps, tout en
c'est seulement quand le membre est bien appliqué sur le lit qu'on
sent
que la dureté disparaît. Par contre, si, le mem
une de nos mains la masse muscu- laire postérieure de la cuisse, on
sent
alors dès le commencement du mouvement que cell
ment que celle masse durcit, et puis en continuantde la relever, on
sent
que la masse durcit de plus en plus, et elle devi
LE MÉCANISME DE L'ATAXIE ,TABÉTIQUE 355 pas se raidir du tout, on
sent
que la muscle ne durcit pas dès le début, mais
3° Quand l'homme normal soulève le membre- inférieur en l'air, nous
sentons
, en maintenant dans une de nos mains la masse mus
quand le membre est près d'arriver sur la surface du lit, alors on
sent
une nouvelle contraction. Cette contraction dis
e un obstacle que nous voulons tout de même vaincre ; 36 NOICA on
sent
alors que non seulement le muscle biceps se contr
r, le membre en l'air, de ne pas le laisser osciller; on voit et on
sent
alors que tous les muscles, antérieurs, postéri
tomber son membre, en nous disant qu'il n'en pouvait plus, qu'il se
sentait
fatigué. Ceci s'explique parce que le malade, p
et le maintient en l'air. Il est vrai qu'au début du mouvement, on
sent
une certaine raideur en Irain de se produire da
et dans les muscles laté- raux, mais elle est si discrète qu'on la
sent
très peu et qu'elle disparaît rapidement. Il
nt. Il est vrai aussi que plus le malade soulève le membre, plus on
sent
. seulement du côté postérieur, que ces muscles-
ent du côté postérieur, que ces muscles-là s'étendent et se durcis-
sent
. Il en résulte que le membre ne peut osciller que
e chez des malades tabétiques, dont la musculatule au repos ne pré-
sente
ni à l'oeil, ni à la palpation, le moindre signe
u côté du pied, les métatarsiens, notamment les quatrièmes, ne pré-
sentent
aucune anomalie. Mais il faut relever l'existence
es grands pour obtenir la même attention ». N'est-ce pas pour avoir
senti
consciemment ou non une nécessité de même natur
oppée, avec ses mensonges, ses vantardises. Les succès qu'ils accu-
sent
sont toutefois confirmés par la paternité et mieu
où le toucher rectal a été fait (comme chez nos ma- lades), on n'a
senti
aucun point résistant et l'on a pu en tirer cette
meuse. Le scrotum rappelle celui d'un jeune garçon de 12 ans ; on y
sent
des testi- cules nettement atrophiés, mous, ins
t peu développée, la mémoire confuse, le caractère irascible. On ne
sent
pas la thyroïde. Pas d'infiltration cutanée, ni d
et des testicules; frigidité totale; ni désirs, ni érections. On ne
sent
pas les lobes latéraux du corps thyroïde; apathie
nes hypophysaires. Le malade que nous a présenté M. Cordier ne pré-
sentait
à ce point de vue qu'une diminution de la taille
igence est peu modifiée; la mémoire est légèrement affaiblie. On ne
sent
aucune trace de glande au palper thyroïdien; l'ad
l'exploration minutieuse de la région thyroïdienne ne permet pas de
sentir
l'itlrsme et les lobes latéraux du corps thyroïde
olloïde plus ou moins altéré ; les acini s'allongent et s'applatis-
sent
, bientôt ils disparaissent. Les capillaires son
ont conservé leurs relations normales avec les centres nerveux pré-
sentent
au contraire l'atrophie osseuse caractéristique.
s phénomènes, nous les trouvons seulement chez des malades qui pré-
sentent
de grands troubles de sensibilité, et en particul
ée de mettre son doigt sur le lobule de l'oreille, et après l'avoir
senti
, et s'être rendu bien compte où se trouvait cette
essus du lit, et ne peut pas aller plus loin, parce que, dit-il, il
sent
des douleurs très gran- des du côté du bassin.
tres sensibilités. Les mouvements de la tête sont conservés et bien
sentis
par le malade. - Reprenons maintenant nos expér
rse de celle-ci. Nous lui demandons de partir de son ombilic, qu'il
sent
peut-être un peu, si nous pressons fortement son
en l'air. Il nous répondit qu'il ne pouvait pas le faire, car il ne
sentait
pas qu'il avait quelque chose entre les doigts.
31 486 ' noicA pourquoi il serre si fort l'objet : « pour pouvoir
sentir
la pierre jusqu'à l'os ». Certainement si la pi
it contracter les interosseux palmaires, qui approchent et fléchis-
sent
en même temps les doigts, et pour les maintenir e
'à il y a cinq mois. A partir de cette époque, le malade a commencé à
sentir
que ses jambes devenaient lourdes, qu'il se fat
erficielles sont conservées partout, les piqûres à l'é- pingle sont
senties
avec retard. Ce n'est pas la même chose avec le s
antérieure de la cuisse, jus- qu'à ce qu'il arrive au genou, qu'il
sent
grâce au toucher qui est conservé. Il lui arriv
'élevant, l'angle droit, c'était, disait-il, non pas parce qu'il ne
sentait
pas au moins à ce moment-là, quand il fai- sait
is cette sensation de brûlure, bien pénible dit-il, a commencé à être
sentie
au pied gauche, et rapidement - cette fois-ci d
e est tellement forte qu'il rejette la couverture, et l'hiver il se
sent
soulagé en mettant de la neige sur ses pieds. Une
ont égales et ne réaclionnent pas à la lumière. Depuis 10 ans, il
sent
un léger engourdissement aux doigts des deux main
elle se retire dans un lieu écarté, les prononce à haute voix et se
sent
soulagée. Le centre auditif de l'écorce (lro temp
lus elle cherche à repousser les mauvaises idées plus aussi elle se
sent
obsédée et poussée à penser à tout ce qui se ra
usquement dans sa pensée et se pla- çaient au premier plan. Elle se
sentait
poussée à les prononcer, et quand elle résistai
gens à moeurs inavouables qu'il a stigmatisés. Quel- quefois il se
sent
, malgré lui, poussé à répéter ces mots, et après
entre eux par des faisceaux de fibres d'association qui établis-
sent
une certaine solidarité grâce à laquelle nos per-
qu'il ne pourrait pas retenir le mot. Quand il l'a prononcé, il' se
sent
soulagé. Ces mots lui arrivent parfois sans qu'
ent du dehors, mais quel que soit le mode d'apparition du mot il se
sent
poussé à le répéter. Si quelqu'un chante près d
urs et des froideurs par tout le corps; il est énervé, agacé, il se
sent
, dit-il, comme serré, comme pressé, et il montr
16 pathologie mentale. ' * sieurs fois les mots grossiers, et il se
sent
soulagé. Quelquefois, il n'ose pas s'arrêter da
é ou non, car, quelque bizarre que cela semble, la pensée se pré-
sente
avec tant de force à mon esprit, et le malaise
eu des accès de mélancolie, elle était décou- ragée, sans force, se
sentait
incapable de travailler, et, dans ces moments,
sa conduite et voulait se suicider. Plu- sieurs fois aussi, elle se
sentait
poussée à tuer ses enfants, elle ne sait commen
re dont elle se croyait atteinte. if , , ' Depuis longtemps elle se
sentait
poussée à rechercher la solution de questions q
, la sueur couvrait son front, le coeur battait avec force, elle se
sentait
oppressée et sur le point de^e trouver mal., - ,
'apparition dans sa pensée de mots grossiers, injurieux, qu'elle se
sentait
poussée à, répéter : . c'était le plus souvent
ligue sur la peau. En cer- tains points cependant la piqûre se fait
sentir
un peu plus vivement; mais alors la perception
e, à tel point qu'elle aurait pu passer inaperçu e. Elle s'est fait
sentir
sous forme de quelques accès en éclair dans les
roids. Le réflexe de la plante du pied est modifié en ce sens qu'il
sent
t le chatouillement comme un contact simple. Qu
effacées. L'état de la sensibilité des membres supérieurs ne pré-
sente
actuellement rien de particulier à signaler. Pas
bles chez les hystériques. Nous avons vu qu'elles semblaient ne pas
sentir
, ne pas voir et que cependant à ce moment même
re. En général, un homme normal, dont la main n'est pas insénsible,
sentirait
qu'on lui met un objet entre les doigts et se r
ouvent. Dès que M ? D... fait attention à son écriture, dès qu'elle
sent
, ou entend sa propre parole, tout s'arrête et i
ien la suggestion, quoique Witm prétende n'avoir rien entendu, rien
senti
... En réalité, il s'agit là d'une anesthésie, a
existait une, mais peu prononcée. Au moment de tomber, le ma- lade
sentait
que sa tête s'embarrassait, il était averti par u
ieure du pariétal.-Au-dessous, répondant à la cicatrice cutanée, on
sent
une cicatrice osseuse, saillante et un peu rugueu
onstata alors que la surface osseuse était rugueuse et qu'elle pré-
sentait
des saillies et des dépressions irrégulièrement d
et pareillement de chaque côté. Le goût, l'odorat, la vite ne pré-
sentent
rien de notable. L'ouïe est affaiblie du côté gau
pas prudent de la dépasser. L'action sédative et hypnotique se fait
sentir
au bout de dix à vingt minutes et dure de une à
est la rage humaine; le complexus clinique de cette maladie pré-
sente
une évolution dont on ne saurait méconnaître le t
i. Mon expérience personnelle est modeste, car j'ai, jusqu'à pré-
sent
peu employé l'hypnotisme, je ne l'ai employé qu'e
de changer par la suggestion la couleur de l'humeur, la façon de
sentir
et l'affectivité, la sensibilité morale et intell
devrait également exister pour les hommes, car le besoin s'en fait
sentir
, et je serai heureux de trouver l'occasion de c
der la cause de ces malheureux dans le compte moral qu'ils adres-
sent
à l'administration préfectorale à propos du budge
se couche très soucieuse, mais à peine au lit, elle s'angoisse, se
sent
suffoquée, ne peut plus y tenir, se relève brus
santé, deux ou trois heures après des repas très suffisants, il se
sent
faible, l'estomac vide, craint de tomber en déf
ute avec délire du toucher, signale des malades qui s'affranchis-
sent
de l'obsession tantôt en récitant des pages entiè
rouverait un trop grand malaise, quand il essaie de résister, il se
sent
serré, comprimé à l'estomac, il suf- foque. L
cloniques apparaissent dans la face à la commissure des lèvres. On
sent
les masséters fortement agités. Les membres sup
paroxystiques. 4 avril. Hug.... Poids, 57 kil. 500. Le 3 avril elle
sent
les « secousses qui, chez elle, précèdent la sé
e de scotôme sous laquelle, comme nous venons de le dire, se pré-
sente
soit la véritable migraine ophtalmique, soit le s
souvent accompagnés de nausées et vomissements. Le malade se pré-
sente
un jour pendant son accès : à 7 heures du matin i
et elles apparaissent maintenant tous les huit ou quinze jours. Il
sent
un frémissement au bout des doigts de la main g
oulève éner- giquement la paroi; les pulsations sont très fortement
senties
à la main. Thrill dans la région de la pointe.
subdivisés en territoires correspondant à nos facultés diverses de
sentir
et de pouvoir exécuter des mouvements volontair
ment partir des centres sensoriels, les phénomènes qui apparais-
sent
sont plutôt ceux qui appartiennent au type appelé
urnis- \ 2fi8 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
sent
le plus de victimes aux poisons de l'intelligence
omie les notions exactes sur cette question, notions qu'ils parais-
sent
, on le croirait du moins, ignorer. Pour pratiquer
aient reconnaître pour origine l'hérédité névro- pathique. Aussi,
sent
-on, en toute occasion, cette préoccupation de M.
atrice : « Jésus souffrant, agonisant, mourant, expirant. » Elle se
sent
, malgré elle, poussée à dire ces mots; il le fa
e suffit pas, il faut qu'elle les prononce, alors seulement elle se
sent
rassurée et soulagée. D'autres syndromes épisod
s'angoisse, se hâte alors de dire plusieurs fois le mot et elle se
sent
soulagée. De même, elle a parfois la crainte de
oleurs et c'est en répétant plusieurs fois « M. Gaquet » qu'elle se
sent
protégée, elle et les siens. . Dès qu'elle aper
le les a prononcés, sa physionomie exprime le contentement, elle se
sent
soulagée. Lorsqu'elle résiste, qu'elle lutte, qu'
e image graphique (cheval ou mouton) à la première (chien), elle se
sent
soulagée et se calme immédiatement. - Observa
n mot, le mot serpent par exemple; cette formalité remplie, elle se
sentait
tranquille, parce qu'elle était sûre que l'ouvr
espaces. Un jour même, au Bois de Boulogne, en voiture, elle s'est
sentie
étourdie, resserrée, oppres- sée et a été oblig
e époque, son travail à cause de l'Exposition était énorme, elle se
sentait
très fatiguée : pendant le jour elle s'endormai
té; elle dura une dizaine de minutes; après l'attaque Ai ? Gi... se
sentit
un peu faible, mais elle retrouva immédiatement
e du corps. Les accès, dans leur expression symptomatique, repré-
sentent
donc un équivalent sensitifet paralytique de l'ép
de la faiblesse aux extrémités inférieures; très fréquemment, elle
sentait
ses genoux se dérober sous elle brusquement ; c
sent comme une boule qui de l'estomac lui remonte à la gorge, il se
sent
suffoqué, sa langue lui parait enflée, paralysée,
peau, ne sont pas ressentis; le sens musculaire est aboli, B... ne
sent
pas ses membres. A ces attaques s'en ajoutèrent
cher de l'eau froide, il fut pris subitement d'une faiblesse, il se
sentit
s'affaisser et tomba la face sur le lit, en res
ourchercherdel'eau, il fut prisparunesensation de détail- lance, il
sentit
ses jambes se dérober sous luiet il tomba la fa
les poings et les mains au maximum de la flexion; or, cela repré-
sente
une attitude prise communément par des individus
l'hémianopsie gauche complète vint s'y ajouter. L'individu se pré-
sentait
comme étant aveugle, mais l'examen démontra la pe
iter l'attaque de migraine ophtalmique, lorsque le malade en pré-
sente
les signes avant-coureurs (Baralt), qui lui perme
ler aujourd'hui de la sug- gestion, beaucoup d'entre vous ont dû se
sentir
très effrayés, et s'attendent sans doute à une
e vous exposer un phénomène psychologique particulier qui se pré-
sente
chez ces malades et que je vous propose d'appeler
transformer en sen- sation, la pensée de la démangeaison nous fait
sentir
un prurit véritable; nous croyons voir au micro
se lève, prend le bouquet, tient les mains écartées comme si elle
sentait
entre elles une résistance, abaisse la tête et re
veloppement automatique de l'idée, elle voit son chien, le caresse,
sent
ses poils, lui parle, etc. Mais remarquez donc
s si je vous parle d'un bouquet, vous ne le voyez pas, vous ne le
sentez
pas, donc j'ai raison de dire que les habitudes,
nsations et de leurs souvenirs. Ainsi que nous l'avons vu, elles ne
sentent
que peu de choses à la fois et sont énormément
ensuite il a conclu à la dégénérescence parce que sa malade pré-
sentait
ces symptômes. M. ROUDINOVITCH. - J'ai dit que
es fuseaux et les bâtonnets des prolongements cellulaires se héris-
sent
de sortes de nodosités. Dans la substance achroma
éiques observés par lui (thèse de Gallinck, 1889), dix malades pré-
sentaient
une tare nerveuse des plus accentuées = 10,8 p. 1
int de jonction des sutures sagittale et coronaire. A ce niveau, on
sent
une bosse véritable de la grosseur d'une demi-noi
lètement synostosées, sauf dans la région temporo-frontafe, où l'on
sent
une encoche assez profonde. Les autres sutures
is que les sutures du lambda, de même que le Il du plérion, parais-
sent
généralement conservés ; de plus, on peut constat
'orifice orbitaire externe, comme nous avons dit plus haut, ne pré-
sente
pas sa forme habituelle ; et au lieu d'être allon
t à l'heure ha- bituelle de son magasin et pendant qu'il dinait, il
sent
des mouvements con- vulsifs dans les muscles du
urée qu'il conti- nue à prendre encore le second jour, quoiqu'il se
sente
assez bien et il s'en retourne au magasin. Le
de nous de mettre la main sur son édredon et de lui dire si nous ne
sentons
pas là un morceau de fer. La démarche est peu s
de tête, sans se compliquer de la nausée. Pendant ce temps, il se
sentait
épuisé, il se fatiguait très vite et était inca-
ns la région prépylorique et du fond, les parois gastriques ne pré-
sentent
pas d'altérations notables. IL Examen particuli
on des crises gastriques ; autrement dit, pour qu'un tabétique pré-
sente
ce syndrome, faut-il qu'il ait une de ces lésions
ando est restée indemne en dépit de l'effet explosif qui s'est fait
sentir
plus net- tement à l'orifice d'entrée qu'à l'or
e examinée au point de vue de la structure et de l'audition ne pré-
sente
pas d'anomalies importantes, sauf que le lobule e
plates sont bien développées. Au niveau de la clavicule gauche, on
sent
sur la partie médiane un cal énorme, et l'on vo
réflexe rotulien absent sur 1.000 sujets ; Glorieux l'a trouvé ab-
sent
une fois sur 00 soldats. L'absence du réflexe rot
verticale de l'homme : par suite, les particules solides, qui glis-
sent
à la région lombaire, se déposent dans toute la r
ant ce que j'ay dit cy- dessus, pourront donner occasion à l'âme de
sentir
le mouvement, la gran- deur,la distance, les co
et autres tel les qualitez ; et mesme celles qui luy pourront faire
sentir
le chatouillement, la dou- leur, la faim, la so
voyant du feu, je me ressouviens de sa chaleur, pour ce que je l'ai
sentie
autrefois eu le voyant » (1). Enfin le mouvem
culier en cette glande, lequel est institué de la nature pour faire
sentir
à famé une passion et pour ce que les pores se
t à resserrer ou élargir les orifices du coeur,cela fait que l'âme la
sent
principalement comme dans le coeur (1). » Une
dérable, car elle n'est fon- dée que sur ce que les passions y font
sentir
quelque altération; et il est aisé à 'remarquer
altération; et il est aisé à 'remarquer que cette altération n'est
sentie
, comme dans le coeur, que par l'entre- mise d'u
petit nerf qui descend du cerveau vers lui, ainsi que la douleur est
sentie
comme dans le pied par l'entremise des nerfs du
e notre âme exerce immédiatement ses fonctions dans le coeur pour y
sentir
ses passions qu'il est nécessaire qu'elle soit da
qui se baigne, il la feront cacher dans des rozeaux ; et s'ils pas-
sent
plus outre pour la poursuivre, ils feront venir v
les électrolyses sont capables de transporter l'électricité et pré-
sentent
une dissociation des substances dissoutes en ions
fois elle constitue deux segments symétriques ou bien elle repré- .
sente
plusieurs taches plus ou moins lumineuses. Dans c
a pointe du coeur égale 14 cm. 5. Les carotides sont difficiles à
sentir
et l'on ne peut qu'avoir des présomp- tions sur
a main à l'extrémité toute supérieure de la cavité thoraci- que, on
sent
la première vertèbre et le bord inférieur de l'oc
cet espace pénétrait directement dans le trou occi- pital, et l'on
sentait
facilement le bulbe et le cervelet. Vue par ses
qu'il en soit, nous ne ferons pas rentrer l'anomalie que nous pré-
sentons
dans le groupe de ce que Ledouble (3) appelle les
s rudiments cla- viculaires était très mobile. Quant à la fille, on
sentait
, « en parlant du sternum, un nodule induré, dan
longueur des poils de la moitié interne. Les globes oculaires pré-
sentent
une exophtalmie évidente bien que pas trop accent
imètres, mobile à ses deux extrémités, surtout à celle externe. On ne
sent
pas le fragment externe. L'os est d'ailleurs pl
s semble plutôt le bec acromial, d'autant plus qu'on ne pouvait pas
sentir
sur le malade une portion externe de la clavicu
ls bat 84 par minute, la tension artérielle semble normale. Il pré-
sente
une légère albuminurie. En résumé, il s'agit d'
'en retournait sur la glace, elle avait eu mal aux dents et s'était
sentie
légère- ment souffrante; chemin faisant, elle n
avait mangé ni qu'elle s'était remuée, ni ce qu'elle avait pensé et
senti
; « ils avaient dit» qu'clleavait passé quelque
ain, elle avait eu une selle abondante, et s'était à cette occasion
sentie
« très malade ». Lorsqu'elle avait commencé à s
nouveau bien à son aise et de bonne humeur, affirmant qu'elle ne se
sentait
pas du tout fatiguée, mais qu'elle trouvait mes
Histoire de la maladie. En 1898, à l'âge de 53 ans, il a commencé à
sentir
de la gêne dans l'usage de la main gauche la plus
e ma- lade craint de laisser échapper ses urines ; cependant il les
sent
passer. Les fonctions génitales sont troublées,
gauche, tandis que vers la droite il s'esquissent à peine. On ne
sent
ni troubles ni difficultés chez le sujet lorsqu'i
. L'action d'avaler se produit sans aucun trouble. Au toucher, l'on
sent
bien la partie supérieure et la partie moyenne du
ien de gau- che est bien développé ; au toucher l'on n'arrive pas à
sentir
celui de droite. Le sujet ne peut contracter le
apparaissent plus pleines que celles du côté opposé. D'ailleurs on
sent
au toucher que les muscles corres- pondants de
ps et du triceps se produisent seulement à gauche. Les iris réagis-
sent
rapidement à la lumière et à l'accommodation : le
: l'attitude n'a rien d'anthropoïde. Les membres supérieurs ne pré-
sentent
aucun épaississement osseux ni aucune incurvation
volume sur tout son pourtour. Sans souffrir réellement, le malade
sent
de plus en plus « le travail de sa jambe ; elle
en tombant. Il se fit des pansements pendant environ 3 mois et res-
sentit
alors pour la première fois des douleurs violente
n et de configura- tion, répondant sans doute aux saillies que l'on
sentait
au doigt ; de plus le rebord de l'os hyperostos
s... Dieu disait «aussi que j'étais poussière. » Il ajoute : « Je
sentais
des souffrances, on m'écrasait partout. Le Diable
pendant, même de ce côté et sur les nerfs du côté droit qui parais-
sent
épargnés, il existe quelques gaines myéliniques v
ndyme n'est jamais normal. Lorsque les cellules épendymaires tapis-
sent
la cavité, elles se disposent sur une seule rangé
ontinue sans interruption avec les membranes papillaires qui tapis-
sent
la cavité ; en examinant toutes les coupes de Dv
u'il a eu un accident dans sa jeunesse, qu'il a des crises qu'il ne
sent
pas venir et durant lesquelles il tombe à terre,
le bras, mais une très nette flexion des doigts, que l'examinateur
sent
aussi, comme un serrement très sensible de sa m
. Il a eu des périodes de moindre déséquilibre et rarement il s'est
senti
en- traîné à gauche. Quand il est obligé de se
eubles et aux murs pour ne pas tomber. xxv 213 418 E M0N1Z II e
sent
faible des jambes : la marche devient de plus en
l Santa Martha le 29 mai 1912. Il y a trois ans elle a commencé à
sentir
une impression désagréable à la tête, qu'elle n
nait dans la rue, elle heurtait les personnes qui l'accompagnaient et
sentait
(elle sent encore aujourd'hui) qu'elle tombait
, elle heurtait les personnes qui l'accompagnaient et sentait (elle
sent
encore aujourd'hui) qu'elle tombait de préférence
ées sont plus prononcées au front et à la nuque, où elles apparais-
sent
par accès. Elles sont accompagnées de bruits dans
e à gauche et quand on la tourne à gauche, il diminue. La malade ne
sent
pas de vertiges pendant ces épreuves. L'épreuve
ui, mais il les voit osciller et se trouble quand il les fixe. Il
sent
de la faiblesse dans les membres du côté droit. C
tait la petite ville de Mertola. Observation actuelle. Mal cite. Il
sent
une déviation à droite. Parfois il est forcé d'
sibilités sont normales. Vision. Lorsqu'il éprouve les céphalées il
sent
une diminution de vision. L'examen ophtalmoscop
de la chaise tournante donne les résultais suivants : le malade ne
sent
pas de vertiges apràs la centrifugation. Quand on
avec 20 milliampères. La percussion de la tête ne donne rien : il
sent
le choc partout également. Ponction lombaire Li
s nets de la sensibilité. Le malade perçoit le pinceau, mais dit le
sentir
diffé- remment du côté droit et du côté gauche
elle e gauche, d'une tumeur volumineuse ; de même la palpation fait
sentir
, au niveau du coude droit, une tumeur épitt-ocl
e pour le droit qui est atrophié : le scrotum est rétracté. On ne
sent
pas, chez notre malade, le corps thyroïde, atroph
. Il resta 18 mois sans accès. Alors, la douleur revint et se faisait
sentir
très-souvent, quelquefois avec évanouissement et
cause connue. Le premier accès s'est produit dans la rue. La malade a
senti
les doigts de la main atrophiée, s'étendre et s'é
qu'un chaque fois. Aura. Les accès sont annoncés par une aura. R...
sent
un engourdissement dans les doigts de la main dro
nier. Vésicatoire et chlorhydrate de morphine. Octobre. Aura. R____
sent
un engourdissement dans les doigts et la main,
médiatement avant l'accès, la malade ne s'est jamais blessée. Elle ne
sent
rien dans le membre inférieur et n'a pas de visio
1877. Novembre. — Elle voit mieux de l'œil gauche que du droit ; elle
sent
mieux de la 2 narine droite que de la gauch
langue et de la bouche, mais la malade déclare que, en mangeant, elle
sent
bien mieux les aliments à droite qu'à gauche. — L
sibilité est normale des deux côtés. Accès. D... affirme qu'elle ne
sent
rien avant les accès, qu'elle n'a pas « du tout d
ccès, chez Gr..,, sont à peu près toujours nocturnes, a) Gr... ne
sent
rien dans la main, l'a-vant-bras, le coude ou le
pilles se dilatent de nouveau et largement. — Gr... raconte qu'elle a
senti
des palpitations depuis son lever jusqu'au début
ntendait plus parler, » que son bras gauche était engourdi et qu'elle
sentait
qu'elle allait être malade. — A 9 h. 37, elle
me-t-on, étaient plus fortes dans la jambe que dans le bras. Emma les
sentait
venir : elle se plaignait de battements de cœur,
Les phénomènes de Yaura auraient diminué vers 43 ou 14 ans. T... se
sentait
moins et il lui est arrivé — ce qui n'avait pas e
a huit mois. Pendant ce temps, elle eut des malaises fréquents : « Je
sentais
tout mon sang qui se refroidissait et semblait mo
. Cathétérisme : quand la sonde a pénétré d'environ 5 centimètres, on
sent
une résistance, la malade dit que la sonde produi
rons plus loin les motifs de ce silence. Elle dit que L... a toujours
senti
venir ses crises (douleurs dans le ventre à gauch
notion de position est abolie à droite, conservée à gauche. — X... ne
sent
pas la résistance du parquet à droite. Les yeux é
es du soir jusqu'à 2 heures du matin, 19 février, 31 attaques. Elle a
senti
des douleurs au niveau du bas-ventre, de la vulve
nt agités de mouvements. L... se plaint de sa langue qu'elle ne
sent
pas remuer, qui est embarrassée et dans laquelle
ment serrées; — la respiration est suspendue ; — le pouls difficile à
sentir
; — le ventre immobile. — A cette première pliase,
verser un mioche comme toi.. . Puis, tu pues, tu as quelque chose qui
sent
, là. . . Non, non, je ne veux pas. • [Elle se déb
n'est pas fatiguée, et si elle ne s'est pas levée c'est parce qu'elle
sentait
son cou se tordre. 21 août. — Il y a quelques j
Emile ne veut pas entendre raison) ... Je ne sens pas ?... Oui, je ne
sentais
pas.... mais je sens maintenant, je m'en suis ass
it mal aux dents ; en descendant les escaliers, elle est tombée. Elle
sent
« quelque chose qui tire les doigts, la langue, e
tournés, rapprochés ; les épaules sont soulevées. X... prétend ne pas
sentir
ses jambes ; la droite reste rigide. Dans la marc
, sueurs abondantes, enfin délire d'action. • Je ne veux pas vous
sentir
auprès de moi. (Air mécontent). » Si l'on savait
abitude dans les régions ovariennes, particulièrement la droite; elle
sent
une boule qui monte à l'épi-gastre et détermine u
rétexte de faire des expériences et surtout afin de s'assurer si eile
sentait
géni-talement. Tout d'abord, elle résista, jugean
. X... Ils ont des rapports sexuels répétés dans lesquels elle assure
sentir
comme autrefois; elle est toute en sueur et les p
bre. — En revenant de ses attaques d'hier, G... s'est aperçue qu'elle
sentait
. Nous constatons, en effet, le retour de la sensi
r à un diable qui se pré- (l) Calmeil, îoc. cit., t. i. p. 182.
sentait
à elle botté, éperonné, l'épée au côté, et qui ét
'abat violemment sur le lict, et » jouit de moy par force, me faisant
sentir
destour-» mens étranges... » [Loc. cit. p. 61.)
e me parler quand vous venez à la division. Mais ne lui faites jamais
sentir
; que son union soit bénie et que moi je reste ma
re ou de crucifié, ou û'Ecce Homo, ou portant sa croix (2). » Elle se
sentait
tellement absorbée devant le saint Sacrement qu'e
n le rapport, au commencement de la séance sur une table éloignée. Il
sentit
étrange, en effet, qu'on ne remarquât pas à la lu
sée hante son cerveau. Il lutte d'abord avec l'énergie de l'homme qui
sent
sa raison lui échapper, puis, finalement. souve
est complètement changée 0/0 + Rep 5. Réveillée complètement, elle se
sent
calme, forte, vivante, la formule est AU 5/ Rep S
ent ni Broca ni Mégnert. B... n'en a pas moins recouvré la faculté de
sentir
les odeurs et de goûter les saveurs, d'abord dans
cits d'apparitions, les histoires de revenauts et de loups-garous. Il
sent
un petit frisson lui courir le long de l'échine ;
re reprises. Pour mieux marquer la suggestion, il lui est prescrit de
sentir
un peu moins du côté gauche que du côté droit.
ssent une profonde constriction à la gorge, au creux de l'estomac; il
sent
, dit-il, son coeur se glacer. Il y a huit ans,
faire mourir sa famille de faim. Arrivé chez lui, il se couche; il se
sent
prit de si violentes douleurs dans tout le côté g
soulagement d'abord et guérison ensuite. Je vous dois la vie, car je
sentais
bien que je devais mourir, et peut-être à brève é
ènes purement psychiques. L'oreille sourde entend, la main insensible
sent
, mais l'esprit du sujet fausse ou neutralise. L
résultats de la mémoire, mais la faculté même de la mémoire. L? sujet
sent
, entend, raisonne même, mais il perd complètement
al, apprécier et compter les objets sans connaissance des nombres. Il
sent
les nombres, à l'origine, non par le sens du touc
unal, abandonné, comme dans ces mauvaises rêveries où, en dormant, on
sent
autour de soi le vide. C'est encore du réalisme,
le faire, il veut que nous croyons, et nous obéissons parce que nons
sentons
en lui un maître. Qui sait même si cette influenc
sse pas d'être très persuasive, parce que l'air et la manière se font
sentir
et agissent ainsi dans l'imagination des hommes p
la production du phénomène, ainsi que du phénomène lui-même, pour me
sentir
autorisé à résumer comme il suit. dans une très
ur les miens et de penser à ce qu'elle ressentait le soir lorsqu'elle
sentait
venir le sommeil, et je l'aidai en lui disant :
s piquent, vos paupières se ferment, votre téte devient lourde ; vous
sentez
vos bras cl vos jambes s'engourdir. Tenez, vous d
s'engourdir. Tenez, vous donnez. Dormez ! » L'enfant dormait el ne
sentait
plus la piqûre d'une épingle sur lavant-bras ni s
uvais rêves, et le lendemain matin, quand vous vous réveillerez, vous
sentirez
que vous avez eu une bonne nuit, que le sommeil a
ations gustatives. Du fait de son hypochondrie. il ne se figurait pas
sentir
le goût des aliments qu'il mangeait. Mais, par co
e. R. — Rendre quoi? D. — La parole. R. — Oui. A ce moment Mme X...
sent
noire manchette et repousse notre main avec énerg
s celui du sucre; que les brûlures, les piqûres pouvaient ne pas être
senties
, et. bien mieux, qu'un vésicatoire ou un fer chau
fixement en me montrant par votre regard qu'il vous plaît de ne rien
sentir
, et vous ne sentirez rien ». Il le fit; je lui pe
trant par votre regard qu'il vous plaît de ne rien sentir, et vous ne
sentirez
rien ». Il le fit; je lui perçai le bras : il ne
et vous ne sentirez rien ». Il le fit; je lui perçai le bras : il ne
sentit
rien ou. ce qui revient au même, ne sentit pas de
lui perçai le bras : il ne sentit rien ou. ce qui revient au même, ne
sentit
pas de douleur. Il croyait que son bras n'était p
e surmonter la douleur, mais de la vaincre au point de ne pas même la
sentir
. Cette volonté, dont vous avez aujourd'hui la pre
il n'en est rien. C'est lui qui s'est commandé à lui-même de ne plus
sentir
sa névralgie. Il avait cette faculté ; je ne l'ai
ce, d'avoir ses velléités morbides; que, pendant cette heure, elle se
sentirait
assez d'empire sur elle-même pour les chasser; qu
ce, des piqûres au bras avec une aiguille ; piqûres qu'elle s'imagina
sentir
beaucoup moins qu'à l'étal de veille complet. Pui
répétai sans cesse que sa volonté à vaincre la douleur et i ne la pas
sentir
s'accrut à chaque séance, je lui promis d'assiste
affermir sa volonté, à vanter sou courage, à lui persuader qu'elle ne
sentait
presque pas la douleur. Mme N... se tint admirabl
ée ci particulière. L'effet est considérable, irrésistible même. Ou
sent
que plane sur cette foule un de ces grands couran
que la main gauche ne trouverait pas la main droite, si le malade ne
sentait
pas les deux mains. Si après cette explication, j
nasale droite ; il continue à ne rien percevoir, alors qu'il devrait
sentir
avec cette dernière qui n'est pas affectée dans l
rejet par le Parlement de l'article 12 du contre-projet de loi pré-
sente
par le Dr David, qui avait pour but d'atteindre t
n système nerveux ; ils manifestent des phénomènes de conscience. Ils
sentent
, ils pensent, ils ont une vie psychique. Nous les
ntant nouveau-né : elle n'évolue pas, elle ne développe pas. L'animal
sent
, souffre, manifeste de 1a joie, de la douleur, de
e partem Devant ces miracles réalisés par la force psychique, on se
sent
pénétré de cette vérité que toute la biologie n'e
de cette grande et féconde nature pleine de lumière et de parfums, je
sentis
mon esprit allégé s'élever librement vers Dieu !
suggestion de « dormir pendant un quart d'heure et à son réveil de se
sentir
calme ». La suggestion réussit pleinement. Le res
uggestive qui lui a rendu la santé, car depuis ce temps-la elle s'est
sentie
toute transformée, tandis qu'auparavant son état
fet, lui ayant appliqué les mains sur le dos, je lui affirme qu'il se
sentira
attiré vers moi par une force supérieure à sa vol
e dans un sommeil très léger et qui ne s'avouait pas hypnotisable, se
sentait
obligé d'avancer ou de reculer. Il lui était impo
suggestion ; il suffisait que La même polka fût jouée, pour quelle se
sentit
poussée à danser (1). (1) Des expériences analo
provoqué, la voix devient faible. lente, émue; le malade semble alors
sentir
plus vivement la triste situation où il se trouve
ps des règles et les jours qui précèdent. Pendant la céphalalgie elle
sentait
une douleur dans la région iliaque gauche. Cette
mp visuel était moins rétréci a droite qu'à gauche. La motilité, le
sent
musculaire, les réflexes étaient normaux. Le somm
onne quelconque pince, pique ou caresse la peau du sujet, celui-ci ne
sent
rien ; si le magnétiseur fait les mêmes opération
age du sujet, chaque fois qu'on touche la photographie, l'individu le
sent
. Voici un fait de cette nature raconté par Sicard
lui. Chaque fois que M. de Rochas touchait l'image, le sujet endormi
sentait
le contact précisément au point du corps correspo
telle sorte que quand je piquerai la peau, vous continuerez à ne rien
sentir
et quand, au contraire, je piquerai dans l'air qu
aire, je piquerai dans l'air qui se trouve au-dessus de la peau, vous
sentirez
. Est-ce bien compris? » La malade nous répond aff
Collette. Si nous lui plaçons la figurine de cire en mains, elle ne
sent
pas quand nous piquons dans la cire, à la poitrin
seaux, etc., et chaque fois qu'il voyait les couteaux sur la table il
sentait
naître une anxiété. C'est ainsi qu'.à debuté: sa
à avouer ses sensations parce qu'il en avait honte. En même temps il
sentait
naître en lui des impulsions. Ainsi, un jour qu'i
se suicider. Il lutta courageusement contre relie impulsion, mais il
sentait
que si, cinq minutes après, le bateau ne s'était
aitement réussi. Au bout de quatre séances le malade a commencé de se
sentir
mieux et il a pu se promener une demi-heure tout
nx jeunes : » Si Jamais, dans les luttes quotidiennes de la vie, vous
sentiez
le découragement ou la désespérance faire le sièg
tion de ce membre gauche est intéressante à considérer. On voit, on
sent
pour ainsi dire que toute tonicité a disparu de c
déjà une lténaiartestltésie sensitivo-sensorielle droite, car il ne
sentait
nullement, en particulier, les piqûres faites d
te d'un lavement qu'on vient de lui administrer malgré sa volonté, il
sent
une boule qui lui monteà lagorge et l'étouffé,
t tout à fait souples; les maux de tête disparaissent, le malade se
sent
redevenir un homme . Cette amélioration considé
réductible d'ailleurs; au niveau des deux apo- physes mastoïdes on
sent
deux renflements osseux, traces d'anciennes exos-
s de crises de nerfs. Elle raconte ainsi sa première attaque : elle
sentait
, dit-elle, quelque chose lui partir du ventre, lu
st de même pour le gros orteil qu'on n'arrive pas à redresser; on I
sent
un léger frottement paraissant se passer dans la
; le mouvement de flexion plantaire est aussi assez étendu et on ne
sent
nulle part cette résistance élastique qui donne
Cette attitude est fixe et on ne peut nullement la modifier ; on se
sent
arrêté dans ces tentatives par une résistance éla
l'on fléchit tout d'un coup le pied avec une certaine violence, on
sent
et on entend presque le claquement du tendon d'
. Notons d'ailleurs que chez un bon nombre des individus qui pré-
sentent
cette expiration saccadée et prolongée, la respir
ance le pied droit; au lieu du sol qu'elle croyait rencontrer, elle
sent
le vide sous elle, étend les bras ponr se reten
n du genou. Or, le plus souvent, au niveau de la tête du péroné, on
sent
une légère tuméfaction, c'est-à-dire que les de
iel, cité également par Tiedeman, rapporte une observation qui pré-
sente
avec la nôtre une certaine analogie : une femme â
. Dix minutes avant l'accès, elles devien- nent très fréquentes. Il
sent
quelque chose qui lui monte de l'estofflac à la
Une ancienne fresque de Florence (Cappellone degli Spagnoli) repré-
sente
une réunion remarquable d'infirmes de toutes sort
rsale du pied augmente peu à peu; elle est uni- forme, et ne laisse
sentir
aucun os hors rang, aucune saillie irrégu- lièr
xamen anatomique du pied. - L'extrémité inférieure du tibia ne pré-
sente
rien de particulier à signaler. L'extrémité inf
endons péroniers et sur ceux qui contournent la malléole interne on
sent
une crépitation très nette pendant les mouvements
e corde résistante. Sur la plante du pied, près du bord interne, on
sent
une corde saillante formée par le fléchisseur p
s sont plissés ; au-dessous d'eux, l'exploration digitale permet de
sentir
le tendon d'Achille fortement tendu. Les mouvem
lètement les relever. Si on saisit les orteils pour les étendre, on
sent
que les tendons fléchisseurs devenus trop court
esse des jambes; cette faiblesse lui était révélée en ce sens qu'il
sentait
quelquefois ses jambes se dérober sous lui. De pl
écanique pouvait ranimer les filets nerveux compromis. Si le malade
sent
l'attouchement et le frôlement partout en dehors
ant très développé. La tête du péroné et les deux malléoles parais-
sent
élargies. La forme générale de la cuisse, de la
e supérieur à la normale. Le corps thyroïde ne peut être qu'à peine
senti
par la palpation, il semble diminué de volume (
dépens du scaphoïde qui n'a point perdu sa forme générale et qu'on
sent
sous le doigt; entre le péroné et le scaphoïde
rmation n'est pas seulement le fait de l'oignon. A la .palpation on
sent
aisément que l'extrémité antérieure du premier mé
Dans les arlhropalhies tabétiques du pied ce- sont les os qui pré-
sentent
les lésions les plus accusées : les épiphyses son
Nous n'insistons pas sur la goutte, qui apparaît brusquement, pré-
sente
des localisations spéciales et des symptômes qui
e sera une infirmité de plus ajoutée à toutes celles qui caractéri-
sent
déjà l'ataxie locomotrice. De plus, une arthrop
aire : quelques picotements, pas de véritable douleur. Le sol était
senti
. Le malade raconte qu'il guidait difficilement
ès maintenant que les appareils circulatoire, respiratoire, ne pré-
sentent
rien de particulier, que les fonctions génito-uri
re courbe à, concavité droite. Pas de courbures de compensation. On
sent
dans la gouttière vertébrale, il gauche de ce m
ds; ce phé- nomène semble être exclusivement subjectif. Le malade
sent
mal ses jambes dans son lit. Chatouillement par
ité au contact y était fort émoussée, et c'est à peine si le malade
sentit
la brûlure qu'on lui fit au mollet à l'aide du
de de deux cannes; cependant la marche est possible sans cannes. On
sent
quelques craquements dans les genoux qui sont a
A LIE. 233 En imprimant des mouvements à l'articulation du genou on
sent
quelques craquements, mais sans que ceux-ci soi
sifs du bras est notable- ment affablic; pendant ces tentatives, on
sent
nettement des craquements dans l'articulation s
3R NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les métacarpiens sont
sentis
très facilement, et l'on peut se demander s'il
st pas exagérée ; les genoux seuls sont saillants. Nulle part on ne
sent
d'exostose. Les masses musculaires des mollets
il semble à demi éteint; les paupières, sans être oedématiées, pré-
sentent
un gonflement spécial : la supérieure recouvre la
longueur de près de 12 centimètres. Au-dessous de ces bourrelets on
sent
des éminences osseuses, aplaties, allant des os p
d, etc., pensent que l'hystérie, sous quelque forme qu'elle se pré-
sente
, quel que soit son agent provocateur, reste toujo
vive et par des douleurs dans le cou et entre les épaules : il ne «
sentait
» pas sa tète ni ses épaules. En même temps sur-
remblement est très fort, il éprouve une constriction thoracique et
sent
une boule qui lui monte dans le cou et l'étrang
le réflexe pharyngé, le sens musculaire et articulaire; qu'il pré-
sente
deux zones hystérogènes, que son champ visuel est
nne. En général ces phénomènes douloureux et tympaniques disparais-
sent
à la suite d'une crise convulsive. Son tremblemen
- Le goût et l'odorat sont abolis. Anesthésie totale. La malade ne
sent
aucun contact, ni le plan du lit, ni les objets
s courants continus. L'anesthésie reste complète. 3 juin. La malade
sent
les piqûres aussitôt après la séance, mais l'an
ommuniquées. Dans les mouvements que l'on imprime à ses membres, on
sent
une résistance, une raideur, une sorte de contr
d'autre part, ce malade est un hystérique; comme stigmates, il pré-
sente
une plaque d'anesthésie faciale, de l'anesthésie
- tion d'alcoolisme. Egalement, comme les alcooliques, ce malade se
sent
plus souffrant les jours d'orage. Il est alors
t alors plus impressionnable, plus irritable, plus tremblant, et se
sent
souvent la poitrine comme serrée. Une émotion v
stagmus; pas de diplopie. Le malade assure qu'il entend bien, qu'il
sent
, qu'il a conservé le goût. L'examen de la sensibi
A la fin son patron le renvoya, et déjà alors (octobre 1888) il se
sentait
incapable de continuer son métier. Il cessa donc
été fatigué par l'examen un peu prolongé de ses yeux, le malade se
sentait
la tête très lourde, et que facilement il serai
dans un jardin superbe, au milieu des fleurs. C'était très joli, ça
sentait
bon. Enfin le tableau changeant, elle sentait a
C'était très joli, ça sentait bon. Enfin le tableau changeant, elle
sentait
autour d'elle une odeur bizarre, comme de la terr
e vert, vert, mais point de scènes ni de tableaux spéciaux. Elle se
sent
elle-même toute drôle, comme ivre. Quelques mas
la tête. Alors prenant le devant de sa robe entre ses mains elle la
sent
, elle se met à la secouer. On pour- rait croire
hyperostoses du crâne. 11 en résulte que le microcéphale ne repré-
sente
plus en réalité un type exclusif, ce n'est plus u
peu développées à la naissance qu'on comprend le doute qui se pré-
sente
dans des faits parfois très complexes qui ne sont
en cache pas. Il a du reste le tremblement caractéristique. Il pré-
sente
relativement peu de force dans les bras dont les
ue le malade est dans un état de calme absolu; et pour peu qu'il se
sente
observé, les oscillations reparaissent aussitôt
es faits, à quelques légères variantes près, le tremblement se pré-
sente
avec les mêmes caractères : la tête oscille dans
'eut pas de mal; mais le malade éprouva une émotion violente; il se
sentit
près de défail- lir. Pendant la nuit suivante i
t à pied au domicile d'un de ses clients, lorsque lout à coup il se
sentit
pris de vertige, de bourdonnements d'oreilles;
nt pendants le long du corps, ou que le sujet étant assis ils repo-
sent
sur ses genoux, les mains exécutent des mouvement
intensité dès que l'attention du malade est éveillée, dès qu'il se
sent
observé. Le tremblement des mains à l'état de r
s il faut bien reconnaître que jusqu'ici le besoin ne s'en fait pas
sentir
. En ce qui concerne la sclérose en plaques, les f
é des jambes : un jour qu'il se promenait sur le pont du bateau, il
sentit
le genou droit se fléchir brusquement. Quelques
rniers la surface externe de la cuisse semble aplatie; à ce niveau on
sent
aisément le fémur, tandis que celaestimpossible
l faisoit une extrême cha- leur ; lavé les mains avec du vin pur et
senti
du vin, il revient à lui 5. » Le 7 mai 1613, il
u la langue. Depuis cet incident, il lui arrive fréquemment de se
sentir
tout à coup op- pressée, il lui semble alors qu
ÊTRIÈRE. côté gauche, mais la malade n'a pas remarqué cela; elle se
sent
également faible des deux côtés, et il ne lui s
ette région', au niveau des glandes sous-maxillaires, on voit et on
sent
à la palpation deux masses symétriques mobiles,
ques, et qui appelle auprès d'elle la femme du malade « lorsqu'elle
sent
qu'elle va avoir sa crise ». Au sortir de cette
d'avoir perdu ses forces; à peine a-t-il fait quelques pas qu'il se
sent
fatigué. Indépendamment de cet affaiblissement gé
u pli de l'aine, le malade accuse d'abord une vive douleur, puis il
sent
comme une boule qui lui monte du ventre à la go
onnés sous les décombres. C'est alors seulement qu'il commença à se
sentir
ému; à ce moment il éprouva un malaise général;
ain droite s'était accentué de même que la céphalée constrictive ; il
sentait
ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1S
ue; sa mémoire est très amoindrie; elle est comme hébétée ; elle se
sent
tout à fait incapable de reprendre ses occupation
rs 7 heures, il la suite d'une contrariété sans importance, elle se
sentit
tout à coup comme suffoquée, elle ressentit des é
qu'elle pose le pied droit à terre; de là la boiterie. Mais elle se
sent
aussi solide sur celte jambe droite que sur la
ertaines modifications dans la morphologie de la tête qui se repré-
sentent
assez fréquemment chez les malades de nos service
quelques signes, qui, soit isolément, soit dans leur ensemble, pré-
sentent
une valeur considérable il ce point de vue. L'h
istance venait en effet, non plus des muscles rétractés, dont on ne
sentait
plus les tendons saillants sous la peau, mais d
acle venait manifestement des muscles antérieurs de la cuisse qu'on
sentait
et qui faisaient saillie sous la peau quand on ch
, ou, plus ordinairement, elles se perforent à leur sommet et lais-
sent
échapper un peu de pus et de sang. La peau du m
sibilité à la piqûre et du sens thermique. La piqûre est assez bien
sentie
sur le bras et l'avant-bras, elle l'est peu net
n, le malade indique, et cela ;i plusieurs reprises, qu'à gauche il
sent
que « c'est frais », à droite que « c'est froid
petites granulations. La moelle épinière et ses enveloppes ne pré-
sentaient
rien d'anormal ; ni dans la moelle épinière ni da
sonder, retirant chaque fois 500 grammes d'urine. La sonde est bien
sentie
pendant son passage il travers l'urèthre, et, a
la Présentation de la Vierge, elle a rêvé que M. Charcot était pré-
sent
et, avec un peu d'emportement, lui disait qu'il f
que temps sans pou- voir se relever ; quand elle se releva, elle ne
sentait
pas ses jambes, mais souffrait horriblement. Qu
on d'homme de peine qui, comme tous nos malades précédents, ne pré-
sentait
point de signe de rachitisme et n'avait subi aucu
par l'existence d'une cause perturbatrice dont l'action s'est fait
sentir
dans le cours de la vie foetale (développement
réditaires psychopathiques, sont autant de raisons qui nous condui-
sent
à ne voir dans la poitrine en entonnoir qu'un des
376 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. myélopathiques ne
sentent
pas le besoin d'uriner, ni le passage de l'urin
rapides, lui donnant à peine le temps de crier : Ah ! Elles se font
sentir
sur- tout le long des tibias et sous les deux t
g du rachis que ces douleurs sont vives; autour de la taille, il se
sent
enserré et étouffe; dans la région dorsale, l'h
s légère dans le membre du côté opposé. Autour de la ceinture il se
sentait
comme serré dans un étau. Elles survenaient par
nt. 2° Troubles moteurs. (a) L'incoordination des mouvements pré-
sente
, dans la grande majorité des cas de tabes, des ca
tuberculose un de ses frères qu'elle affectionnait beaucoup : elle se
sent
étouffer et tombe contracturée de tout le corps
ir, laissait tomber les objets qu'elle tenait, parce qu'elle ne les
sentait
pas, ce qui l'obligeait à les regarder. Pour la
é à éprouver ce qu'elle appelle des crampes. Souvenl, la nuit, elle
sent
des tiraillements douloureux dans la jambe et d
n- sion. Lorsqu'on examine la face antérieure de l'avant-bras, on
sent
que les muscles épitrochléens sont complètement
scles de la partie postérieure de l'avant-bras, on ne peut plus les
sentir
ri la palpation. Au bras, le deltoïde n'est pas
oile du palais, elles aliments, soit liquides, soit solides, repas-
sent
parfois par le nez du malade. (d) Tronc. Au tro
TÉRIQUES « SIMULATEURS ». 139 moindre souffrance, et, cependant, il
sent
le contact el se plaint vive- ment si on le pin
différents, et les limites qu'ils assignent à la même couleur pré-
sentent
des écarts prodigieux. 11 suffit de jeter un coup
ou deux ans. Après les premières séances de suspension la malade se
sent
très bien; les douleurs lancinantes dont elle é
pension et la malade sort de l'hôpital en nous affirmant qu'elle se
sent
quand même mieux qu'avant le trai- tement. -
e rien d'anormal sinon un peu d'amaigrissement. Cependant le malade
sent
que ses forces ont beaucoup diminué et il éprou
s ; la région occipitale au-dessus du tubercule de même nom ne pré-
sente
pas la légère convexité que l'on note normalement
Ceci s'explique aisément, si l'on se rappelle que le peintre repré-
sentait
volontiers dans ses tableaux les gens de son ento
ée de son médecin,et ce dernier pourtant n'est pas de ceux qui pas-
sent
inaperçus. Empressé, remuant, recherché dans sa
ion histologique. L'érythème, l'herpès, les bulles, etc., apparais-
sent
sur les parties du tégument dont la structure est
ite; il est filiforme. Les deux pouls sont cependant synchrones. On
sent
les battements de l'humérale au-dessous du creu
u contact est bien perçue. La sensibilité à la piqûre est également
sentie
à droite et à gauche, mais avec une légère hype
eu plus forte il gauche, on compte 63 pulsations à la minute. On ne
sent
pas battre la pointe du coeur. Pas de fré- miss
flexes inférieurs sont restés très vifs. D'ailleurs, le malade pré-
sente
un état d'excitation générale qui lui donne un as
s avant la réduction. Ce jour-là et les jours suivants le malade ne
sentait
pas la piqûre profonde dans le domaine du nerf
dus aux intoxications, aux infections aiguës s'y font naturellement
sentir
, absolument comme sur les endothé- liums du rei
peut ici être mis en cause. Le malade oscille parce qu'il se repré-
sente
maison attitude par rapport à la verticale, il n'
nous-même, et objectives en ce sens qu'une partie de nous-môme les
sent
et les localise en nous. Ce qui se passe en ma ma
orte, semble s'animer et s'affirmer à moi objectivement; il se fait
sentir
et connaître il moi, comme si sa personnalité d
ion ; je ne trouve pas de mot plus juste. Quand je veux comprendre,
sentir
, percevoir, quand je veux me sou- venir, retrou
vec la motricité. Mais la mise en tension de toutes ces régions est
sentie
de même, parce qu'elles offrent le même mode de
corce cérébrale. Il n'y a donc pas de sens musculaire spécial. Nous
sentons
notre vo- lonté, au point de notre écorce où el
o- lonté, au point de notre écorce où elle prend naissance, nous en
sentons
les effets associés au point de nos segments où
on difficile, sans qu'il y ait dans certains cas la moindre fatigue
sentie
au niveau des yeux ; il peut provenir d'un troubl
tions deviennent incompatibles avec l'équilibre réel, elles s'impo-
sent
à la vigilance ampullaire, et le sujet qui ne sav
laire et du sens des attitudes segmentaires, le sujet tombe sans le
sentir
. En résumé, dans le signe de Romberg, nous pens
le malade voit lés objets tourner. Ajoutons que quand le malade se
sent
lui-même tomber, il tombe également de ce côté,
mars 1898 le nommé P ? âgé de 31 ans, sculpteur sur nacre, se pré-
sente
à la consultation se plaignant d'un tremblement g
introduisîmes une sonde dans l'ur;thre : ce cathétérisme ne fut pas
senti
; puis par cette sonde nous fîmes passer succes
189 sujet, en repoussant les deux épaules dans un sens opposé ; on
sent
alors quelescapulum, du côté lésé, résiste moin
lomo-palbologique de la maladie. Ces considérations ne nous parais-
sent
point inutiles, car, depuis quelques années, auss
Nkhks. Les nerfs périphériques au point de vue macroscopique pré-
sentent
leur volume normal : aucun d'eux n'est le siège d
e, non sur son coeur, mais sur sa gorge rebondie. L'ensemble repré-
sente
assez bien une femme en mal de grossesse, souffra
dant visible, mais on devine que l'âme y participe grandement. On
sent
que l'artiste est surtout séduit par la grâce lan
élaborer les organes de reproduction. L'infantilisme se fait alors
sentir
ailleurs. Les manifestations de ces infantilism
tôt de défaut de synergie des muscles moteurs de l'eeil, reconnais-
sent
la môme origine. L'hémophilie proprc1tu myxoedèmc
oïdienne de l'organisme. Elles supportent des doses élevées sans se
sentir
incommodées. Après cette première enquête, on p
e bout de phrase, faisant une inspiration bruyante. Ces sujets pas-
sent
pour franchement asthmatiques. Les degrés légers
le matin plus fatiguées et plus abîmées qu'en se couchant. Elles se
sentent
mieux le soir et éprouvent de la peine à trouver
ent remuants et agiles. Il y de ces enfants qui cassent et démolis-
sent
tout ce qui leur tombe sous la main, stupidement,
r, le poids étant de 83 kilogrammes. Le 14 mars suivant, la malade se
sent
plus dégagée. Elle n'est plus si enserrée la ta
ovaires dans les culs-de-sac latéraux. Le 9 décembre, Mlle F... se
sent
si bien qu'elle se déclare guérie. Par précau-
tité, pour se sti- muler et se donner des forces. En effet, elle se
sent
faible, somnolente, toujours disposée il se cou
ès fort grossissement, les altérations fines des cellules apparais-
sent
avec la plus grande netteté. A un premier degré,
st obligée d'attendre et de pousser pour pouvoir uriner, et elle ne
sent
pas le pas- sage de l'urine pendant l'émission,
douloureux commencèrent à se produire, la malade s'aperçut qu'elle
sentait
mal le sol sous ses pieds, il lui semblait marche
orie précédente justifient de nouveau ces remarques ; ils nous pré-
sentent
, tous les deux, un spasme ou plutôt un tic qui se
ême quand la malade est debout et quand le pied porte à terre on le
sent
revenir à l'attitude normale, si la malade n'essa
n petit globule de mercure avait pénétré dans le petit doigt ? Elle
sentait
déjà les contorsions déterminées par cet aspect m
précédent. Ce jeune homme marche également avec peine, car il res-
sent
au bout de quelques minutes de marche une grande
e et qui amène, à sa suite, la raideur de toute la jambe. Le malade
sent
très bien que la flexion des orteils se fait, d
musculaire est intacte. Tout au plus peut-on observer que le malade
sent
quelquefois une impression de froid il ce pied
faisons constater que, s'il marche pieds nus en cher- chant à bien
sentir
le sol avec la plante des pieds, il peut poser le
jambe, mais sur l'attention à ce mouvement. Ils devaient chercher à
sentir
exactement le sol sur lequel leurs pieds ap- pu
onserva des sortes de crises bizarres. Presque tous les jours, elle
sentait
une angoisse, un sentiment violent de colère et d
21 Au palper, état absolument mollasse des muscles. Au bras on ne
sent
que la peau et le tissu cellulaire sous-cutané.
ur respirer et tousser en raison de l'atrophie des pecto- raux ; il
sent
les crachats obstruant ses bronches, ne peut expe
de crampes. Du côté gauche la contraction se fait mieux et on peut
sentir
le durcissement du biceps pendant la contractio
doigts sauf l'index de la main droite ; dans la paume des mains on
sent
, surtout à droite, la saillie des tendons des f
Maladie ACTUELLE. - Il ? j a 18 mois environ, le malade a commencé à
sentir
de la faiblesse dans la main droite et principa
tte luxation se serait produite brus- quement ; le malade dit avoir
senti
un beau matin « son épaule descendre ». Il exis
vient à l'os scapulaire et aux formations nouvelles. A gauche, on
sent
quelques craquements en faisant jouer l'articulat
es tubérosités. L'acromion et la coracoïde sont également faciles à
sentir
. La paroi antérieure de l'aisselle n'est nullemen
te le lendemain avec le caractère de papules, et bientôt se produi-
sent
de véritables soulèvements épidermiques dont la t
lésions de la substance blanche des cordons postérieurs se tradui-
sent
surtout par de l'anesthésie tactile ; que les lés
le et c'est en la lisant que la belle personne, cruellement émue, a
senti
ses esprits l'aban- donner. A cela rien d'impos
morts. Mais si l'opération n'était pas suivie de succès, l'opérateur
sentait
décroître son prestige. Et c'est peut-être enco
men, elle se lève, cueille des (leurs dans un vase en disant que ça
sent
bon et me les offre ; elle va regarder les tablea
nner quelque chose (elle va chercher une fleur dans un bouquet), ça
sent
très bon. Question. - Avez-vous eu des crises d
ons la malade ne peut les dénommer ; quelques noms ça et là surgis-
sent
isolés au milieu de son jargon paraphasique.. z
son métier de domestique, sauf depuis un mois en- viron où elle se
sentait
un peu gênée par ;< sa phlébite ».... Interr
ectivement l'image exacte de celles de ses deux filles, ne lui cau-
sent
qu'une gêne insignifiante et ne l'empêchent nulle
te santé lors- qu'au mois de septembre 1898, sans raison connue, il
sentit
à deux repri- jlHl4 E. NOGUÈS ET J. SIROL ses
ne se préoccupa pas de cet accident. Au commencement de novembre il
sentit
de nouveau sa tête se dévier, mais cette fois d
des articulations du coude et, à un moindre degré, de l'épaule ; on
sent
la tête humérale rouler dans la cavité glénoïde
n'est point la force de la victoire, c'est l'éclat de la supériorité
sentie
et gênante, qui donne lieu au somnambulisme socia
à lui-même, et tend à devenir maniable et malléable par autrui: il le
sent
et veut résister, mais il ne parvient qu'à s'immo
chement qui précède, Quoi qu'il en soit, j'espère au moins avoir fait
sentir
que le fait social essentiel, tel que je l'aperço
onde crise beaucoup plus intense que la première, caractérisée par un
sente
ment extrêmement pénible d'étouffement, d'angoiss
s immédiatement: « Vous voyez bien que la douleur est partie. Vous ne
sentez
plus rien. Vous n'avez plus de crise. » Elle ne r
avant, me méritait les plus vils reproches de la part de mon ami. Je
sentais
toujours de certaines limites infranchissables, n
é, tandis qu'avant il ne se passait pas un jour sans que je m'y fusse
senti
poussé, de sorte que I j'étais maintes fois absol
s avec nos notions scientifiques actuelles sur la criminalité se fait
sentir
actuellement partout Dernièrement notre collabora
ous la verrez seulement, mais ce ne sera qu'une apparence, vous ne la
sentirez
pas quand vous essaieriez de la prendre. - «
la prendre. - « La deuxième, placée ici. vous la verrez, vous la
sentirez
au toucher! mais elle n'aura pas de poids. « La
elle n'aura pas de poids. « La troisième, ici, vous la verrez, vous
sentirez
sor contact, son poids, mais vous n'entendrez pas
pas marcher les aiguilles. «La quatrième, ici. vous la verrez, vous
sentirez
son contact, son poids: vous entendrez son tictac
r de l'amour normal, de ce que j'ai appelé l'amour harmonique. de -ce
senti
ment qui épanouit et dilate l'âme sans mettre la
personnes qui le connaissent le jugent capable de ce tour de force. M
sent
qu'il est guéri. Il est sur de résister aux tenta
vous conseillerai des tachetés! Mais j'estime, qu'à moins qu'il ne se
sente
de force à tenir les premiers rôles, la place du
ans une thermo-anesthésie complète du membre supérieur droit, Elle ne
sent
pas l'application d'un fer chauffé au rouge; elle
e autorité comme celle du professeur Grasset. Nous le sommes aussi de
sentir
noue manière de voir corroborée par cette affirma
déclaré le matin à côté de chez elle : le soir en se couchant elle se
sentait
déjà enrouée. Le matin elle se réveilla sans pouv
s s'en apercevoir, en préparant ses repas. Nous constatons qu'elle ne
sent
pas l'application d'un tisonnier chauffé au rouge
es : immédiatement âpres le repas, dès que l'estomac est rempli, elle
sent
qu'elle va perdre connaissance. La crise débute p
lutôt d'un Fragezwang ". espèce de t. question forcée " qui se ferait
sentir
dans les cercles d'idées les plus divers. C'est p
ient. L'étal mental m'obligea à rester pendant plu- sieurs mois. Je
sentais
les os de la tète se resserrer;il me sembait q'
et que le matin au réveil si le bonnet n'est plus sur sa tête, il se
sent
comme paralysé, perdu. présente, dit-il, deux sig
ute espèce. On l'a toujours traitée avec indifférence, en lui faisant
sentir
qu elle était orpheline. Dans les divers héritage
nté, chez l'expérmentiteur. de subjuguer les animaux et de leur faire
sentir
toute sa puissance ; 4° la promptitude de la pris
mère, son frère, tous ses parents. Et il faut qu'il le fasse, car il
sent
peser sur lui un poids qui l'écrase. G. a songé d
des idées, des penchants, des sentiments qui lui sont propres ; il se
sent
lui et non un autre; il ne se méprend pas sur son
es excitations extérieures actuelles, de ce qu'on voit, de ce qu'on E
sent
, de ce qu'on entend, des ordres qu'on peut donner
llement conservée. Les sujets savent en général qui ils sont ; ils se
sentent
eux-mêmes ; ils ne se méprennent pas sur leur ide
ais l'histoire il va un instant : ils se figure qu'une autre personne
sent
et pense à leur place. M. Azam a vu, à l'asile de
après s'être retourné. LA CHALEUR L'action de la chaleur se fait
sentir
d'une façon très nette. Un cristal de roche de 18
et qu'il faut s'abstenir de telle autre, lis le savent mais ils ne le
sentent
pas ; et dès tors il est presque inévitable qu'il
séance, même suggestion, dort 20 m. Le 22 novembre au soir, la femme
sentit
certains malaises, se coucha pendant quelques heu
as à son accouchement et qu'elle me demande de l'endormir dès qu'elle
sentira
les douleurs. Son sommeil est habilellement léger
exécute pendant son sommeil toutes les suggestions possibles, elle ne
sent
pas les piqûres, ses bras lui sembleDlcollés l'un
e l'asile d'aliénés et la prison. L'urgence s'en fait de plus en plus
sentir
. Enfin il considère comme pernicieux le mélange
du paiieni. Et ce degré, la guillotine à coup sûr le dépasse. Bien ne
sent
plus la barbarie que ce procédé sanglant, et. fùt
re position. Les contractions utérines se suivaient régulièrement. Un
sentait
à ce moment la matrice se redresser et se durcir
de cinq francs. Le sommet plongeait fortement dans l'excavation et on
sentait
la petite fontanelle à gauche à l'extrémité du di
de dormir. Il lui dit que ses douleurs allaient se calmer, qu'elle ne
sentirait
plus rien et qu'elle s'accoucherait quand même au
s déplacer le haut du corps, tout en affirmant qu'elle ne devait rien
sentir
, qu'elle n'avait pas mal. A partir de ce moment,
e vomissement au début du travail. Cela agaçait beaucoup la femme qui
sentait
de plus en plus les douleurs de l'accouchement.
lle aurait des douleurs au bout de trois minutes, mais qu'elle ne les
sentirait
pas. La dilatation était complète. Le col à peu
le travail ne pré- (1) Traduit de l'anglais par le D'E. Bérillon.
sentit
de sérieuses difficultés. Aussi, je résolus de te
r les paupières. Elle ouvrit les yeux immédiatement et dit qu'elle se
sentait
assez bien. Elle déclara qu'elle ne se souvenait
vre de suite, demande le sexe de Sun enfaul et dit qu'elle ne l'a pas
senti
venir, qu'elle ne donnait pas, qu'elle pouvait ou
ouvrir les yeux, mais que si je mettais ma main sur ses yeux, elle se
sentait
bien et cessait de souffrir. L'enfant est en eut
ux injections sous-cutanées d'éther. Après l'accouchement la femme se
sent
faible, tousse, gémit, se plaint d'avoir mal à la
la. Au bout d'un 1/4 d'h. de fixation, elle s'endort profondément, ne
sent
pas la piqûre, lient le bras en l'air. Je suggère
oment la femme se réveille et crie. Après l'accouchement, la femme se
sent
bien. Elle m'a raconté que depuis 10 h. du soir e
ageons à se présenter a la consultation. 11 vient le 21 Janvier; se
sent
très bien. Le 27 janvier, il dit avoir eu quelq
nti depuis avant-hier. Suggestion à chaque visite. 31 janvier. — Se
sent
très bien. Poids, 56 kilogr. 1/2. 7 février. — Id
des excitations génésiques violentes, insupportables... Elles se font
sentir
pendant le jour, en dehors de toute provocation e
vons vu se produire chez la mère et la fille de la malade. M™ G... se
sent
poussée à boire de l'eau-de-vie : une nuit, après
njustices dont l'humanité a fait souffrir ses bienfaiteurs, nous nous
sentons
heureux d'être en état de réparer l'injustice don
our est arrivé d'eue suggéré, cher M. Liébeault! A nous maintenant de
sentir
cette chaleur tonte spéciale — celle de l'amitié,
ié, de l'admiration, de la reconnaissance émanant de tous nos coeurs.
Sentez
-la bien, vénéré maure 1 Messieurs, Je vais fini
esquelles sa tète est appuyée (elle répond à ma question, si elle les
sent
? par un signe de tète) et déclare que, de cette f
endormie; à la suite de cela, elle dormira la nuit tranquillement, se
sentira
à son aise, se montrera gaie, et il faut absolume
de veille. Que cette seconde personnalité, désignée comme un esprit,
sente
et se conduise comme esprit, cela peut provenir d
. — La malade a pris deux œufs, du bouillon, du café au lait. Elle se
sent
moins gênée. 7 mars. — A mangé hier de la viand
ns la journée, même en l'absence de tout désir vénérien. « Les femmes
sentent
qu'un liquide s'écoule spontanément de leurs part
bord (à moins d'être peureux) un plaisir très nettement caractérisé à
sentir
qu'il possède des moyens de locomotion puissants
A présent le peloton arrivait de face, dans un coup de foudre. On en
sentait
l'approche et comme l'haleine, un ronflement loin
subsister sous ce nom! * Le poète, emporté par le cheval fougueux, se
sent
* un torse d'écuyer et le mépris des lois » ; il
scients de ce qui se passe; leur vie psychique est suspendue ; ils ne
sentent
ni n'entendent rien ; ils sont fermés au monde ex
comme la paralysie. On peut le piquer, le pincer, le torturer : il ne
sent
rien ; un jour qu'on voulait le réchauffer, on l'
t jamais. Quel est leur avenir? Il est des plus tristes. Un jour, ils
sentent
leur digestion, qui jusqu'alors se trouvait bien
d aimant et aimé, il se détache peu à peu des siens. Sa femme, qui le
sent
malade, l'entoure de soins et aussi de surveillan
e rase est faite de tout ce qui s'oppose à la suggestion; le sujet se
sent
apte à être influencé; il n'a ni la volonté, ni l
être influencé; il n'a ni la volonté, ni la pensée de résister; il se
sent
désarmé, pieds et poings liés, à ma merci ; il ne
guste, pour ainsi dire ; il fait effort pour bien se l'assimiler ; il
sent
qu'elle se grave, qu'elle s'incruste, qu'elle pén
rgnées ! » Il en est qui, pleins d'émotion, font un petit speech bien
senti
. Il n'est pas rare que ce besoin de témoigner s
se présentent d'elles-mêmes aux lèvres d'un orateur^entrainant; il se
sent
inspiré et se laisse guider par le feu intérieur;
e veille, très docile à la direction du praticien par lequel il s'est
senti
, une bonne fois, terrassé. (I) Cf. Revue de l'H
table rase est faite de tout ce qui s'oppose à la suggestion; ils se
sentent
aptes à être influencés; ils n'ont ni la volonté,
bandits, qui, entre autres exploits, pillaient les églises. Dégradé à
Sentis
par les évêques de Sens et de Reims, il finit par
'avoir l'aura très longue, etc.. Actuellement il voyage sans crainte,
sent
l'aura la veille de la crise, s'installe dans son
Pec-todi : ?., P. A la vue de ces majuscules menaçantes, le malade se
sentit
défaillir de tout son être. Rentré chez lui, il t
tes; ils sont faciles à conduire, quand on les suit de près et qu'ils
sentent
, par une surveillance constante, l'action du* pou
vaillé à l'école et qui passait son temps libre à faire des ouvrages,
sentit
un jour une grande fatigue à la main droite; la f
insensibilité arriva, au bout de trente secondes ; alors la malade ne
sentait
plus la piqûre d'une aiguille. Je l'hypnotisais
fis cesser l'expérience, je lui touchai fortement le genou et elle ne
sentit
rien. A quatre heures de l'après-midi du même j
lement, qu'elle n'a plus de pesanteur ni de tiraillements, qu'elle ne
sent
plus rien qui descend et qui veut tomber, etc.
eil profond et prolongé de deux heures environ. A son réveil, elle se
sent
comme dans un autre monde. A son départ, je lui
fond pour être capable de contracter son sphincter vesical ; il ne se
sent
même pas mouillé par l'urine qu'il vient d'émettr
ondément, qu'elle prenne conscience de sa repletion vésicale, qu'elle
sente
nettement le besoin d'uriner et qu'alors, sans se
as actuel, j'ai procédé comme il suit : « Tu m'entends bien, quand tu
sentiras
le besoin de faire pipi, tu appelleras ta maman.
t. Le rôle principal de cette femme, devant laquelle les sceptiques
sentent
un Qui Sait? surgir au fond de leur être — et pou
ément, même de poser son verre ou sa fourchette ; pendant l'accès, il
sent
qu'on le pince, qu'on le pousse, qu'on le secoue
hallucination du sens olfactif, les assistants peuvent s'imaginer la
sentir
, alors qu'elle n'existe pas. Cela est arrivé dans
eux. On la considère comme morte. Au bout de 28 heures, on croit déjà
sentir
un peu l'odeur de la putréfaction. Tout se prépar
de belles occasions depuis dix ans! Très souvent, dans le monde, j'ai
senti
que je n'avais qu'un mot à dire ; je ne l'ai pas
intenses : toujours elles se heurtent à l'obsession morbide. Le sujet
sent
bien qu'il ne sera guéri que s'il peut être plong
réceptivité centrale, exaltation de la suggestionna-bilité. Le malade
sent
que toutes ses résistances sont brisées; les repr
e : très certainement, il guérira; il est sûr d'arriver au but; il le
sent
, le triomphe est proche; il a l'impression de rem
gement. Quelques minutes après, elle fait son entrée ; aussitôt il se
sent
très valide, passe outre à une suprême résistance
mêmes les plus invétérés ont de l'argent dans leur poche, afin qu'ils
sentent
que s'ils ne boivent plus, c'est que leur volonté
ander aux parents de relever le moral du malade qui ne doit jamais se
sentir
un homme perdu ou méprisé des siens. Le malade
its. En outre, il est nécessaire que celui qui se livre à cette étude
sente
lui-même vivement la beauté artistique, sans quoi
ceux qui suivent cette voie, souvent au détriment de leur capacité de
sentir
le beau et d'en jouir. On part d'une notion a pri
ils pensèrent qu'il fallait en faire «m prêtre; mais l'adolescent ne
sentait
pas en lui la vocation sacerdotale: il entra alor
d'art est pour lui un livre fermé. En effet, il n'est pas capable de
sentir
la haute et noble mission de l'art, de nous entra
jaillit de tout.travail entrepris par choix. A l'œuvre, l'artiste se
sent
libre dans l'emploi de ses dons et de ses faculté
t les instincts qui n'ont pas pu trouver de satisfaction ailleurs s'y
sentent
alimentés, et cela plus complètement dans la mesu
ent, et l'art nous fait sortir pour un moment de notre moi; nous nous
sentons
plus libres et plus purs, élevés à une sphère que
ne de la valeur à leurs yeux ; sans jouissances artistiques, elles se
sentiraient
profondément malheureuses. En réalité, à côté de
un grand rôle social, parce qu'il répondait à un besoin généralement
senti
. On le prenait fort au sérieux et l'on ne songeai
ne fait pas de mal en effet, et je vous avouerai même que je n'ai pas
senti
du tout que vous m'introduisiez une sonde. » Et
q semaines qu'il fut sondé, jamais il n'accusa la moindre gêne, il ne
sentait
rien. Cependant, malgré les sondes, malgré les
aux organes internes, et expliquer comment certains de nos malades ne
sentent
plus, qui leur foie, qui leur estomac, et tant d'
u les personnes peintes; et cependant nous ne pouvons pas ne pas nous
sentir
convaincus qu'elles ont existé telles que la toil
ue les éléments menaçants soient beaux ; peu de gens sont capables de
sentir
la majestueuse beauté d'un orage en mer au milieu
facilement les aliments froids. Le malade, au bout de trois mois, se
sent
parfaitement bien ; il est plein des plus belles
lement les objets, écrit mieux et, ce qui est essentiel, recommence à
sentir
la douleur et les changements de température. Il
on l'effraie exprès et lui dit qu'elle va tomber. Outre cela elfe ne
sent
plus celte faiblesse importune dans les jambes.
Ils ne s’émeuvent point d’aussi peu de chose; mais, pour l’homme qui
sent
, c’est sa vie qu’il doit désormais défendre. Ne l
nt des pages pleines de verve et souvent d’éloquence noble 5 vraie et
sentie
. « Il a été bien d’évoquer l’ombre de ce regret
i j’étais attaqué. Joui s d’émotion, vous ne reviendrez plus; je ne
sentirai
plus le sang, bouillonnant dans mes veines, me mo
au visage! Assis sur la sellette, exposé aux regards de la foule, je
sentais
dans mon être quelque chose d’indéfinissable ; me
l, celui-ci sait d’où vient le fouet : il connaît son maître. L’homme
sent
mille aiguillons intérieurs : est-ce la chair, es
nez plus de mes perplexités , de mes tourments. Ce n’est pas assez de
sentir
, la volonté est impuissante dans un semblable tra
me. C’était construire un édifice en commençant par le faîte; je le
sentis
, et, pour échapper à cette juste critique, je don
er. Les éditeurs de ce journal y ont ajouté une note propre à faire
sentir
l’importance de la détermination de nos amis. Ce
dessus la reine vaudoux ; nouvelle pythonisse, elle ne tarde pas à se
sentir
pénétrée de l'esprit du dieu qu’elle a sous scs p
e, la branche morte précipitée sur le sol, il a vu tout cela; mais il
sent
qu’en lui-méme un principe différent, une force v
expliquais comment celui que je magnétisais pouvait très-bien ne rien
sentir
, tandis que la personne placée près de lui éprou
inte de ces phases. Je conslalai, du moins pour moi, ce que j’avais
senti
, ce que j’avais vu, car la mémoire peut devenir i
auffer mon esprit; donne-moi force et courage ; ce n’est pas assez de
sentir
, il faut encore savoir peindre, et ma voix n’a po
-aimée. Le soleil n’avait pas encore disparu dans l’occident quand je
sentis
qu’il fallait dire adieu à mes amis ; et le chang
ouces et nouvelles, et mes pensées développées me firent soudainement
sentir
que je pouvais dès lors comprendre davantage ce q
içest d’intérêt à leurs soins autour d’un corps privé c ^’e c vie. Je
sentis
intérieurement que c’était cependaflf1101’ bien p
idolâtre et inintelligent des textes. Le ministère public l’a bien
senti
, puisqu'au lieu de discuter froidement les faits
l marchandait peu les honoraires du chirurgien. Aujourd’hui, qu’il ne
sent
plus ni le fer, ni le feu, sa reconnaissance a ba
ons sur la région des poumons. Au bout de trois ou quatre minutes, je
sentis
se soulever la poitrine, un long soupir s’en exha
j’étais glacée. Quand cet air chaud est entré dans ma poi-triue, j’ai
senti
que je vivais. Continuez, je vous prie, car ma re
rale; je promène un instant ma foudroyée dans sa cham- brc. Elle se
sent
brisée et accuse un engourdissement dans la main
e magnétiseur doit êlre d’une bonne santé. Cette influence se faisant
sentir
sur le moral, il s’ensuit encore que le magnétise
te méthode une accélération notable du pouls; mais son action se fait
sentir
particulièrement sur la circulation capillaire. E
lera l’origine, car ceux qui les goûteront, après les avoir savourés,
sentiront
l’immortalité de leur nature et croiront en Dieu.
s’établit une affinité étroite, mystérieuse, qui bien longtemps fera
sentir
son empire; j’en appelle à lous ceux qui ont aimé
du Panthéon, et la grande ombre de Voltaire éveillée pourrait voir et
sentir
cet inconnu qui tourmentait sa pensée d’autrefois
sie dans ses cheveux blonds et épars; sa main sèche et pâle donnait à
sentir
le frémissement des nerfs, son être était la pers
nerfs, son être était la personnification du mysticisme gothique : on
sentait
à la voir qu’elle tenait plus des cieux que du la
paroles : « Monsieur, je vous connais depuis plusieurs jours; je vous
sentais
à chaque visite que vous faisiez à côté : votre p
le besoin de chanter avec eux. Je m’initiais irrésistiblement à leur
sentir
, je ne comprenais pas une de leurs paroles, mais
, mais je parlais mentalement avec eux; je ne comprenais pas, mais je
sentais
... O puissance de l’harmonie! Eh bien! le père,
bas... Ilomme de volonté, rétablissez l’équilibre..... « Ma mère
sentira
ce que je serai ; elle le voit pour ne plus s’e
fascinera ! El son venin te glacera à la table de Ion frère, et tu te
sentiras
froid, el lu accuseras le foyer de ton frère...
t’aimerai toujours..... El tu sais, l’amour, c’est la puissance de
sentir
et d’entrevoir les impalpables nécessaires à la
s rayons du consentement unanime des peuples, pour exprimer ce qu’ils
sentent
de plus grand : l’amour, c’est Dieu ! — « Allon
illante, ce n’est pas le bûcher qui m’auraient arrêté; je me serais
senti
capable d’arracher le Vésuve pour une religion qu
cause du progrès social à la cause du progrès de la science, est déjà
sentie
par les partisans de l’une et de l’autre. La just
t alors de dix minutes pour que toute douleur cessât et que la malade
sentît
le besoin de dormir. La guérison était complète.
uché? — Jésus leur répondit : — Quel- « qu’un m'a touché ! car j’ai
senti
une vertu qui sor- " TAIT DE MOI. » Ces parol
ui se comprennent d’elles-mêmes : « Quelqu’un « m’a touché ! car j’ai
senti
une vertu qui est sortie « de moi ! » Pourquoi
le faire à présent. — Eh bien ! c’est fait. — Ah !je ne l’ai pas
senti
, alors !.... » Somnambulisme depuis cette époqu
baires. Il n’existait aucune déviation de la colonne vertébrale. Elle
sentait
habituellement une douleur au verlexe (clou hysté
acées dans tous les sens. Enfin, au commencement de mai, Mlle B*** se
sentit
assez forte pour descendre de son lit, s’habiller
ande au cou; ce fut bien vite fait, et l’opéré, éveillé, n’avait rien
senti
. Endormi encore l’instant d’après, on le débarras
nière suivante : « Si vous aimez îi rire et à admirer, si vous vous
sentez
du goût pour ce qui étonne el confond l’esprit, a
cas, l’expérimenté ne goûte, ne voit ni n’entend ce que goûte, voit,
sent
l’expérimentateur, comme en mesmérisme; ses sens
le professeur dévoilait ses mystères, cl, ail riglit lui-même, il se
sentait
disposé à croire qu’il était aisé de faire arrive
au déluge de coups sur le dos, pan, pan; mais le pauvre Indien ne les
sentait
pas. AU right! donc, ail right ! éveille-toi ! Au
, mais nullement contestée, de l’esprit sur la matière. Tout le monde
sent
instinctivement qu’on ne remuerait pas le doigt s
me nature dont chaque individu a sa manière particulière d’être et de
sentir
, mais dans tous les corps en général. Le magnét
mois, il posait ses pieds a plat et se tenait debout, pourvu qu’il se
sentît
appuyé du dos. Ces faits devant inspirer de la co
sa fourberie? Mais, avant d’accuser, il faudrait comprendre el avoir
senti
. Pour moi, je n’ai point la crainte des dieux; je
t ; les hommes intelligents te suivront bientôt; attends qu’ils aient
senti
, et que la semence jetée ait germée dans leur cœu
petit souffle, frais ou tiède, dont les personnes sensitives croient
sentir
la douce haleine. Parfois ces êtres irritables ép
fectionnée, joignait à l’action du froid l'intention de me guérir, je
sentais
aussitôt un mieux sensible et plus soutenu; si da
oirs el perçants, à peine eut il étendu s:i main sur ma tête , que je
sentis
cette dernière déchargée de cent kilogrammes. Dan
s ; la névrose implacable reparut, mais son vainqueur était là, je la
sentis
revenir sans crainte, sûr du triomphe par une sec
plus ou moins amélioré, plusieurs mêmes rétablis, au point qu’ils se
sentaient
capables et désireux de reprendre leurs occupatio
pagnées de bruits dans la lête , des vertiges et des éblouissements ,
sent
son état s’améliorer de jour en jour de la manièr
c des remèdes hasardés, dont l’influence nuisible se fait quelquefois
sentir
toute la vie. Leurs mères peuvent les magnétiser
elqm'j personnes redoutent ce sommeil el le combattent quand elles le
sentent
venir ; elles ne savent pas qu’en repoussant ains
chap. 19. (i) Antiquités romaines, par Al. Aitan, 1.1, p. 71. (3)
Sent
. Disling. G. monter la découvert» de celle prat
restées sans aucun mouvement. En 1847, d’affreuses douleurs se font
sentir
le long de la colonne vertébrale et dans la tète;
t en ce moment que la sensibilité apparaît, c’esl depuis lors qu’elle
sent
lorsqu’on touche son bras et sa jambe droite. Le
alogue : D. Comment vous trouvez-vous? R. Pas trop bien. D. Que
sentez
vous d’exlraordinaire ? R. Beaucoup de roideur
que pouvait-il? Une lampe était près de s’éteindre faute d’huile. II
sentit
que la médecine, dans ce cas, ne pouvait prolonge
ta la sorcière, soyez sans inquiétude si, pendant votre sommeil, vous
sentez
quelque chose fouiller dans vos poumons : c’est u
inflammation intestinale. C’est à la suite de cette maladie qu’elle a
senti
se révéler en elle cette faculté, qui sera fort a
bre de ces représentations mentales, faites dans l'état d'hypnose, il
sentit
qu'il éprouvait un changement appréciable dans so
le éprouvait lorsqu'elle s'endormait naturellement. J'ajoutai qu'elle
sentait
déjà un engourdissement envahir tout son corps, q
e X... fit sa promenade habituelle ù pied, mais, en revenant, elle se
sentait
fatiguée, ce qu n'avait pas eu lieu les jours
eu lieu les jours précédents. En remontant à son appartement, elle se
sentit
mouillée et, aussitôt, elle crut que, si elle éta
se produit une quarantaine de fois par jour, lorsque la malade ne se
sent
pas surveillée, surtout lorsque, pour un motif ba
u malade. Quoique ce dernier eût l'air de ne pas la connaître, il l'a
sentait
et éprouvait de sa présence une action bienfaisan
ompt à contenter leurs moindres caprices: en un mot, le plaisir de se
sentir
intéressantes: et peut-être aussi un singulier or
la bénignité et le peu d'importance de son mal. « Lui-même d'ailleurs
sentait
parfaitement que ses souffrances et ses inquiétud
on sociale, des amis de son mari par exemple. Dès leur entrée elle se
sentait
envahie par une rougeur pénible accompagnée de su
ement encore plus pénible. Comme elle ne se rappelle pas quand elle a
senti
remuer l'enfant et que nous n'avons aucun renseig
it heures du soir, à cinq heures les douleurs ont commencé à se faire
sentir
. Elle est énervée parce que son mari est en voyag
es contractions sans douleurs. A 5 h., les contractions se font mieux
sentir
, pas de douleurs: l'accouchée s'endort et dort pr
... pousse du ventre, nous le lui défendons, et alors, au toucher, on
sent
de légères contractions. Malheureusement, nous so
ns, elle nous dit que l'accouchement n'a pas avancé, mais qu'elle
sentait
qu'elle aurait été délivrée si nous étions resté
sser afin de voir quand elle accouchera, car les autres fois elle n'a
senti
de douleurs qu'une demi-heure avant d'accoucher ;
t criminalité». Revue philosophique, mars 1892. Alcan,éditeur. ne
sent
que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce q
phique, mars 1892. Alcan,éditeur. ne sent que ce qu'il lui dit de
sentir
, ne croit que ce qu'il veut lui faire croire, ne
s, des jeunes filles, pourraient être violées sans le savoir, sans le
sentir
, sans en conserver aucun souvenir. En dehors de c
ral ou de vertige dont il ne se rend pas bien compte. Plus tard, il a
senti
le bras gauche qui subissait l'influence d'une im
portait en avant et en haut. Ensuite cette force a cessé de se faire
sentir
et le mouvement du bras s'est arrêté. La même f
qu'il aflirmo pourtant avoir ressenti avant la suggestion, mais il a
senti
nettement une contraction inattendue et involouta
mené le mouvement de soulèvement du genou dont nous avons parlé. Il a
senti
ensuite ce mouvement s'accentuer et, le pied comp
, le sujet est distrait, il laisse tomber les bras en disant qu'il ne
sent
plus rien et reprend son état normal. Je m'appr
le bandeau, je lui demande ce qu'il a éprouvé. Il déclare qu'il s'est
senti
comme tiré en arrière par les deux bras, et c'est
mais, d'un autre coté, de ne pas apporter une résistance voulue, s'il
sent
une impulsion nette et précise dans une direction
il a fait ce mouvement. Ii avoue avec un étonnement visible, qu'il a
senti
une force s'exerçant sur son bras et l'attirant d
de se rendre à l'évidence, et il se déclare convaincu depuis qu'il a
senti
lui-même l'impulsion. Je prends alors un des su
qu'elle est en lui et qu'elle a une origine purement subjective ; il
sent
bien que son cas est anormal et même pathologique
va subir de la part de ce fauteuil une sorte de fascination, qu'il se
sentira
attiré vers lui, qu'il ira s'y asseoir en vertu d
, la sensibilité, la motilité. Comment dorment les aliénés? Comment
sentent
-ils, au sens ordinaire, physiologique du mot? Com
sion si étrange de dédoublement : le sujet se voit double, mais ne se
sent
pas double. En outre (mais ceci est peut-être d
nts étaient odes moi » multipliés et diversifiés, il s'était aussitôt
senti
responsable de leurs faits et gestes, et disposé
mphadénite cervicale très grave. Convalescent de cette maladie, il se
sentit
incommodé, vers le commencement de février 1896,
paraisse vous en avertir. Un estomac qui fonctionne bien ne fait pas
sentir
sa fonction; il s'emplit, digère, et se vide, san
qui se passe certainement quand les aliénés vous affirment qu'ils se
sentent
tout changés en eux, qu'il leur semble qu'il n'on
lques aliénés. Nous faisons de même allusion aux hypochondriaques qui
sentent
qu'on ronge leur abdomen, aux possédés qui affirm
onne quelconque pince, pique ou caresse la peau du sujet, celui-ci ne
sent
rien ; mais si le magnétiseur fait les mêmes opér
à plusieurs reprises; chaque fois que je pique le verre, le sujet ne
sent
rien ; quand au contraire je pique l'eau qu'il co
stion, elle se révélerait certainement à ce moment, et pourtant il ne
sent
rien. Quand je pique la surface de l'eau, au cont
recommençai en différents points, en dehors de son ombre, le sujet ne
sentait
absolument rien, mais dès que l'ombre était touch
alors qu'elle devrait se développer. Il n'en est rien pourtant, il ne
sent
rien, mais si je pique l'eau sans toucher le verr
port physique. Elle ne voit que ce que celui-ci veut qu'elle voie, ne
sent
que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce q
ue ce que celui-ci veut qu'elle voie, ne sent que ce qu'il lui dit de
sentir
, ne croit que ce qu'il veut lui faire croire, ne
ée, que son arme est « inoffensive et son acte sans conséquence? Elle
sent
que tous ceux qui « sont là sont momentanément de
ait des cygnes et des roses qui n'existaient pas; rentré chez lui, il
sentit
, tout le reste du jour, l'odeur exquise des fleur
On ne le montre plus que comme une ruine, un cadavre, mais ce cadavre
sent
mauvais.... A quand les funérailles ? Il n'en e
car on peut lui traverser les muscles avec une épingle sans qu'il le
sente
: il perd jusqu'au réflexe pal-pébral comme dans
; le malade ne donnait pas le moindre signe de douleur ni même qu'il
sentit
ce qu'on lui faisait; on rugina l'os, et quand je
Il n'est personne, quelle que fût sa liberté d'esprit, qui ne se soit
senti
profondément impressionné par une grande cérémoni
« Celui qui possède celte connaissance céleste donnée par la foi, se
sent
délivré du désir clés învesUgatjpns curieuses; ca
s ans allaient finir dans leur plus bel avril. Oh I que mon cœur se
sent
heureux Quand au miroir je vois les creux Et les
quand ton cœur généreux, Après avoir franchi mille pas dangereux, Se
sentit
consumé d'une divine flamme, Un esprit transporté
lui ? a 2° Une femme peut-elle être violée sans le savoir, sans le
sentir
et sans on garder aucun souvenir? ¦ II nous a s
moment de son entrée dans le service, en octobre, notre malade pré-
sentait
déjà et elle présente encore une anesthésie compl
sensation d'une ceinture lui comprimant le thorax, ou bien elle se
sentait
courbaturée sans cause apparente. Ces derniers sy
iste pas de trouble de la sensibilité tactile. La pi- qûre est bien
sentie
partout peut-être avec une légère exagération.
mi-tour sans osciller et ne présente pas de signe de Romberg : Elle
sent
bien le sol sous ses pieds. Le phénomène du dér
mes observés, sur V... à un tabes. L'objection que le sujet ne pré-
sente
aucun signe de spécificité n'est pas absolue. Si
voir invoquer chez V... une syphilis héréditaire car elle n'en pré-
sente
aucun des grands symptômes. La conservation des
cile de distinguer des sur- faces articulaires, les tendons ; on ne
sent
qu'une masse dure, assez régulière cependant, l
il aura a provoquer de la douleur en serrant avec la main droite on
sent
;i peine sou étreinte avec la main gauche. 30
personnage ainsi désigné, fortement détérioré par le temps, ne pré-
sente
rien de significatif. On suppose qu'il s'agit d'u
elle de l'abattement mêlé d'une secrète fu- reur. Enée souffre : il
sent
ses forces l'abandonner; mais la colère le sout
bat où il brûle de se précipiter. Malgré bien des imperfections, on
sent
que le peintre s'est efforcé d'exprimer celte l
rejoindre Turnus. Bien qu'affaibli par sa blesssure, et bien qu'il
sente
ses jambes fléchir sous lui (le dictamne, parai
ux méninges de part et d'autre du sillon médian. Les vaisseaux pré-
sentent
les mêmes lésions, et dans les points inférieurs
ain que si elle avait été en ar- rière de lui, on l'aurait aisément
sentie
par les palpations : comme on ne la (1) Ce cas
QUELQUES APPLICATIONS CHIRURGICALES DE PHOTOGRAPHIES DE ROENTGEN 95
sentait
pas, il devenait évident qu'elle était en avant d
URS DOCUMENTS INÉDITS SUR LES DÉMONIAQUES DANS L'ART 105 gnes, on
sent
la tentative faite par l'artiste pour reproduire
es poignées de cheveux. L'attitude des jambes est moins typique; on
sent
que l'artiste a été obligé de sacrifier à certa
s s'étendant ensuite aux deux membres inférieurs, de sorte qu'il ne
sentait
rien ni avec les mains ni avec les pieds. Forte c
ujet éprouvât dans les membres inférieurs « des fourmillements et y
sentît
comme des épin- gles que l'on y enfoncerait ».
ment, il peut courir, vaquer il ses occupations ; toutefois il res-
sent
assez vite de la fatigue dans les membres inférie
ÊTRIÈRE Pendant les mois de novembre et décembre 1893, la malade se
sentit
fati- guée, mal à l'aise, sans maux de tête tou
hez elle. Le lendemain, au moment de sortir pour travailler elle se
sentit
tellement faible des jambes qu'il lui était impos
t, elle doit faire attention pour rester en équilibre car ses pieds
sentent
mal le sol, il lui est impossible, dit-elle, de f
de l'anus, au périnée, et au niveau des parties génitales. Elle ne
sent
pas la ca- nule d'un irrigateur ou d'un injecte
on des urines et des matières fécales. Lorsqu'elle est assise, elle
sent
le siège sur lequel elle repose et ne perd plus
déformées, leur bord libre est érodé, plusieurs d'entre elles pré-
sentent
l : échancrure semi-lunaire d'Hutchinson. Les can
qu'il en soit de l'existence de ces accidents, qui ne nous intéres-
sent
que d'une manière accessoire, je fus frappé, dès
out l'as- pect d'une trochlée. 'Quoi qu'il en soit, le point mobile
senti
sur le rebord 154 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
vint à Paris où on l'a toujours gardé couché. A aucun moment il n'a
senti
de douleurs dans les membres inférieurs. La cyp
se plaint d'aucun trouble gastrique, ni même de dégoût ; il ne pré-
sente
aucune éruption cutanée. Cette tolérance se maint
orps d'un mortel. Bref, la fille du tireur de pierres de St-Géosmes
sentait
un peu le fagot. Le bruit qu'on faisait autour
me fort souvent, en se levant subitement de son lit avant que de la
sentir
, ou aussitôt qu'elle la sentait venir. , Enfi
ubitement de son lit avant que de la sentir, ou aussitôt qu'elle la
sentait
venir. , Enfin les douleurs excessives que souf
tres, mais qui ne l'est point réellement. Le lendemain, après avoir
senti
de nouvelles douleurs, une autre pierre à peu p
ndroits de la vessie, qui avaient été blessés par les pierres, elle
sentait
de^nouvelles plaies occasionnées par les instru
nt, . mais point élevé. Elle me porta la main sur la poitrine; je
sentis
de très grands battements de coeur qu'elle m'a
osmes dans le dessein de lui extraire moi-même la pierre que je lui
sentirais
dans la-vessie, pour peu qu'elle fût assez consid
de dents et de cris ; j'essayai de lui parler, elle me dit qu'elle
sentait
du mal à la nuque et au col ; il ne me fut pas
es jours, en prenant mes précautions pour que les déposants ne pus-
sent
varier dans la suite sur les faits et articles qu
re ses pierres, soit par en haut, soit par en bas, « Ge- neviève ne
sent
ni douleur ni travail dans les parties qui devaie
décide elle-même la nécessité des opérations, en affirmant qu'elle
sent
la pierre, mais elle ajoute quelquefois qu'elle e
se ex- position qu'il fit de sa prétendue maladie : il disait avoir
senti
quelques mou- vements dans ses entrailles, et l
d, de suppléer par quelques raisonnements à l'obscurité qu'ils pré-
sentent
toujours dans le point essentiel, et parla de tro
che est en rotation externe et abduction. Le grand trochan- ter est
senti
dans la fosse iliaque externe gauche; les mouveme
rieure- c'est le cordon postérieur également du côté droit qui pré-
sente
ce même aspect. Examen histologique après inclu
on trouve quelques faisceaux dans les racines postérieures qui pré-
sentent
des processus dégénératifs plus étendus. La, on v
urent et même pénètrent dans les travées conjonctives qui les divi-
sent
, elles sont aussi remarquables par la distension
sonnement arsenical. Au bout de trois semaines l'aîné se mit à res-
sentir
de l'engourdissement et de la faiblesse dans les
et des orteils; dans les cas de paralysie alcoolique, elles se pas-
sent
surtout dans les jointures du poignet et du cou-d
s les circonslances symptomatiques dans lesquelles elles se produi-
sent
, leur évolution et leurs traits essentiels. Je n'
indriques en amas irrégulier au centre de la moelle ; celle-ci pré-
sente
des pertes de substance multiples, elle est déchi
édian, septa radiés, vaisseaux de l'épendyme, vaisseaux radiés,pré-
sente
soit de l'épaississement fibreux de ces parties,
es trophiques des ongles citez une hystérique qui, précisément pré-
sente
ses zones anesthésiques au niveau des mains. Ob
tre embarrassés pour déterminer la nature des troubles qu'il pré-
sente
. Son histoire est fort courte. Au mois de juill
triction à la base de la poitrine ; trois ou quatre jours après, il
sent
les jambes fléchir sous lui; la marche de- vien
us dire que notre malade n'a aucun signe d'anesthésie plantaire; il
sent
fort bien les pavés, peut même apprécier les in
ie, elles gagnentun abri etdéjeunent. Quelques heures après, elle «
sent
son estomac se soulever » et, de nouveau, tombe
bles. Envisagés par rapport au traumatisme, ces deux cas établis-
sent
que la doctrine des spasmes réflexes, appliquée a
nce, ni d'aucun trouble du sens ou du mouvement; seulement AU... se
sentait
entraîné à tomber vers le côté gauche. En jui
i contractés pendant quelques secondes, pen- dant lesquelles on les
sent
très durs au toucher, et AU... ne peut exécuter
t conservée après inconsciemment. En effet, cette position repré-
sente
une ébauche de mouvement de défense, que Bo... do
angue pâteuse, saburrale et un manque absolu d'appétit. Les malades
sentent
qu'ils vont avoir leur accès, et pour eux, cet
du jour où fut révolue sa cinquante-deuxième année, cette malade se
sentait
, pour ainsi dire guettée, épiée incessamment pa
e bec de la sonde courbe de trousse, en puise de tube laryngien, et
sentit
la résistance vaincue de la substance molle, en p
t, la température descendit à 36°, l'appétit revint et le malade se
sentit
bien. Des attaques plus ou moins semblables rev
xième paire cervicale postérieure, puis jusqu'au bulbe, elles nais-
sent
, en se multipliant, de son senmentinféro-latéral
résultante de la décomposition de substances explosibles qui lais-
sent
après la décharge, des stries ou des plis sur le
s. M. Roubinovitch insiste surtout sur le fait que sa malade pré-
sente
à un très haut degré le phénomène d'hallucination
cherche à établir que le délire de persécution de sa malade pré-
sente
une systématisation toute spéciale, grâce au terr
première observation a trait à un homme de dix-neuf ans, qui pré-
sente
au niveau du pariétal gauche une dépression osseu
ctions qui intéressent également le système musculaire, y produi-
sent
des amyotrophies et des impuissances motrices p
ciée à une leucomyélite latérale. Mais, ainsi que je vous l'ai fait
sentir
l'autre jour, il n'est pas d'affection spinale
ves venant d'hommes compétents, et voici les raisons qui me pous-
sent
à cela. 1. Comment expliquer avec cette théorie
présente pas cette altération. Je vous ai dit pré- cédemment qu'il
sentait
le sol, qu'il appréciait avec ses jambes des di
lement que le bras est en abduction. Dans la flexion du bras, on ne
sent
pas le relief du long supinateur. On ne peut no
notable et ne semble pas du tout recouverte par le deltoïde. On ne
sent
pas non plus l'épaisseur de ce muscle entre l'a
L'encéphale, non plus que le bulbe ni la moelle épinière, ne pré-
sentent
ni extérieurement ni à la coupe aucune altération
t un grand nombre de cellules fusiformes. Les cellules se réunis-
sent
pour former des fibres grêles, et se fusionnent.
e telle façon que c'est dans la lymphe qui les baigne qu'ils pui-
sent
les éléments de leur nutrition et qu'ils déversen
es à droite et non perçue sur le crâne. DV -l- à gauche, mais mal
senti
. Diapason plus perçu par l'air que sur le verte
moment des règles. Elle n'en a eu qu'un seul cette semaine et se
sent
bien plus sûre dans la marche. 4 avril. Légère
V. mal perçu, D. posé sur l'apophyse mastoïde de droite, assez bien
senti
et non mobilisé par l'occlusion gauche. M et diap
être plus sensibles à la lumière qu'à l'accommodation, mais réagis-
sent
sous ces deux influences. La notion des couleurs
s'améliore. Au bout de six mois, les douleurs lancinantes reparais-
sent
sans aucune autre altération appréciable. Une sem
se livrer à ses occupations. Au niveau de la perte de substance, on
sent
sur le crâne une tumeur pulsalile fluctuante, m
cinations sont chez lui moins nombreuses et moins actives; il pré-
sente
, par moments, l'embarras de la parole caractérist
scussion en disant que le sujet n'était pas de son choix ; il ne se
sentait
pas d'enthousiasme pour la craniectomie linéair
emi-pouce d'os sur une étendue de 3 pouces. L'améliora- tion se fit
sentir
immédiatement, bien marquée et progressive. (An
Il n'a pas consulté tout de suite; et malgré la douleur qu'il res-
sentait
dans l'épaule droite, il a continué à travailler
ines (le 24 janvier 1891), étant à table à une heure après midi, il
sentit
le couteau lui échapper de la main droite, et c
. Au moment même de l'accident, quand il a lâché le couteau, il a
senti
des fourmillements dans tous les doigts, comme lo
ette résistance est absolument insignifiante. C'est à peine si l'on
sent
la consistance du biceps augmenter légèrement.
cule. On voit les faisceaux du deltoïde se contracter. De même on
sent
le grand pectoral se durcir dansl'adduction. Les
ent; il localise avec une grande précision. Le froid, le chaud sont
sentis
ainsi que les piqûres d'épingle, aussi bien que
ù la sensibilité présente une altération quel- conque. Le malade ne
sent
plus de fourmillements comme au début. Aspect d
xillaire, pas de points loulou- reux. L'artère sus-claviculaire est
sentie
dans le creux, l'artère axillaire, l'artère hum
mettre en contact. Les quatrième et cinquième doigts se fléchis-
sent
dans leurs deux dernières phalanges à la fin de l
un fait extraordinaire qu'on n'a pas encore'observé jusqu'à pré-
sent
du moins à notre connaissance dans les cas sembla
Il y a un mois, lors de son entrée dans le service, le malade pré-
sentait
encore une notable diminution de la sensibilité d
ébut. A quelque temps de là (1886), il tomba malade. Un jour, il se
sentit
t trop faible », dit-il, et il dut cesser de trav
rie. De chaque côté 360 CLINIQUE NERVEUSE. des creux poplités, on
sent
une saillie formée par les tendons des muscles
'en convaincre il n'y a qu'à lui donner ses mains à serrer; à peine
sent
-on une faible pression, La tête a conservé la plu
ues considérations que nous allons indiquer ne nous faisait pres-
sentir
un rapport étroit comme cause entre cette déforma
manoeuvres dans lesquelles l'appareil, quand la nécessité s'en fera
sentir
, pourra être manié d'une façon intelligente. Le
une grimace; bien mieux, il n'a aucune idée de ce spasme, il ne le
sent
même pas, il constate avec étonnement ses propres
chambre, se couche. Il était au lit depuis un moment, lorsqu'il se
sent
mal à l'aise, ressent quelque chose qui le pres
ccu- pent la même position que précédemment, mais les mains repo-
sent
sur les parties latérales du tronc ou bien sont a
la face palmaire est d'un blanc livide. Les membres inférieurs pré-
sentent
une légère flexion de la cuisse sur le bassin et
ts; pas de propulsion ou de rétropulsion, mais, en marche, G.... se
sent
comme entraîné en avant. Assis, les membres supér
LE. lèlement, les symptômes de paralysie du mouvement qui produi-
sent
l'asymétrie et les états pathologiques cérébraux
ent d'un mécanisme morbide de la vie conceptuelle, d'une manière de
sentir
morbide au sujet des personnes et de la propre
complications d'atrophie musculaire spinale 1l1'ooressive. 11 pré-
sente
ensuite un homme de quarante-trois ans tourmenté
sécution mais sans dépression, sans que ces idées l'empêchassent de
sentir
normalement, de participer à la conversa- tion,
à la vue de ces contractions partielles ; néanmoins on ne tarde pas à
sentir
que l'expression n'est pas naturelle, qu'elle est
s) est produite par la contraction d'un muscle (le deltoïde); nous le
sentons
durcir sous notre main pendant ce mouvement, et n
e la face, ainsi qu'on me le voit faire dans mes expériences. Mais on
sent
combien un tel langage eût été disgracieux; c'est
it donc l'utilité d'un langage qui ne serait pas compris? Exprimer et
sentir
les signes de la physionomie en mouvement me semb
admiration que ces hommes de génie ont, en général, merveilleusement
senti
les lignes fondamentales de l'expression. Quand i
e, comme en peinture ou en sculpture, on ne rend bien que ce que l'on
sent
bien. L'art ne réside pas seulement dans une habi
éveil par une cause extérieure; elles expriment Yattention. Mais on
sent
que le sujet éprouve une émotion évidemment plus
le, sans être touché de la douleur qu'elle semble éprouver. Pour bien
sentir
l'expression que j'ai développée sur cette figure
que. C'est bien là en effet l'expression d'une douleur profonde. On
sent
, à la vue de cette figure, que cet homme est très
ême individu photographié au moment où j'avais excité sa gaieté, vous
sentez
qu'ici son rire est franc et communicatif. On rem
en face de lui et en lui faisant écarter largement ses paupières. On
sent
cependant, à la vue du côté gauche de cette figur
nd zygomatique, et ensuite ses yeux se remplissaient de larmes. Il en
sentait
le ridicule, et, malgré tous ses efforts, il en v
liction exprimée sur le côté gauche de la figure Zi9, parce qu'ici on
sent
que le sujet doit être tourmenté par une douleur
ement abaissée, n'exprime assurément aucune émotion de l'âme. Mais on
sent
, à la vue de la figure 56, que le sujet qu'elle r
giques n'a pas su lui-môme imiter ces expressions, parce qu'il ne les
sentait
pas. — On sait que son intelligence est bornée. —
ou le danger dont il se croit menacé. A la vue de la figure 60, on
sent
que cet homme éprouve le frisson de la peur : ses
s, sur sa physionomie, que cet individu soit réellement en danger; on
sent
plutôt qu'il le redoute. Mais en présence des f
de l'état intellectuel que j'ai à rendre; je dois, de plus, en faire
sentir
les différents degrés et en accentuer les nuances
oncer au monde? Si vous cachez l'œil et le Iront du côté gauche, vous
sentez
, à la tristesse répandue sur ses traits ( par l
nt du côté opposé, vous voyez que son sacrifice est douloureux ; vous
sentez
que le cœur de la religieuse, qui peut-être se sé
'un aspic. À la vue de ce beau tableau, que tout le monde connaît, on
sent
que Cléopàtre doit souffrir d'une vive douleur mo
ravissement n'offre plus rien de mystique chez cette jeune fille; on
sent
qu'il n'est pas seulement produit par les délices
t dans la dernière; c'est ce que les artistes n'ont pas toujours bien
senti
. Les saints et môme les vierges qu'ils ont peints
assurément ne serait plus facile à peindre que la joie d'une mère qui
sent
revenir son enfant à la vie. — On constate que ce
es nuages qui fuient à l'horizon. Le Poussin me paraît ne pas avoir
senti
cette nuance ou cette forme de l'expression de la
le fait de l'abaissement de la tête du sourcil) a été parfaite ment
senti
. C'est en effet avec cettcjobliquité du sourcil,
ssives et cruelles en mouvement a presque toujours été également bien
sentie
. J'en ai admiré un exemple remarquable dans la Co
que l'on voit sur la moitié gauche de la figure 80, à l'instant on se
sent
attiré irrésistiblement par la sympathie. Ici la
ang clair et en caillotz ». Elle déclara en outre, que souvent elle
sentait
quelque chose qu'on lui mettait « dans les partye
ant un jour du foin, soeur Buvée la fit tomber, la baisa et qu'elle
sentit
sa main proche de son genou. Elle prétendit en
a nature, et c'est ainsi que des monuments figurés anciens repré-
sentent
des difformités humaines, copies exactes des suje
dans les psychopathies dépressives, surtout quand les.malades pré-
sentent
en même temps de la déchéance somatique. Le bain
e. C'est une seconde édition de ce traité que le même auteur pré-
sente
aujourd'hui au public médical. Par de nombreuses
nne, consiste en un ,état apathique, en un malaise psychique. On se
sent
ennuyé, énervé et de mauvaise humeur, on a le s
près. Parfois, ils ont le visage injecté et les mains chaudes. Ils
sentent
parfois des frissons qui leur parcourent le corps
Z) et les effets promptement curatifs de la quinine nous autori-
sent
, pensons-nous, à rattacher notre neurasthénie au
ais souffert de palu- disme. ' Depuis neuf mois, me dit-il, il se
sentait
de temps en temps nerveux et sujet à des mauvai
s; mais cet état passait vite. Il y a quinze jours qu'il commença à
sentir
de nouveaux troubles, mais celte fois beaucoup
emain, amélioration brusque. Le malade est gai et content, et il se
sent
capable de reprendre ses occupations. Deuxième
leure - sans savoir pourquoi, est très irritable de caractère. Elle
sent
une faiblesse musculaire, qui parfois s'accentu
et, en même temps, elle a souvent une tristesse sans motif; elle se
sent
fatiguée surtout après le repos; elle a des dou
rmique de 0,80 de quininebimu- natique. Le lendemain,, la malade se
sent
beaucoup mieux, et, après la troisième injectio
e se sent beaucoup mieux, et, après la troisième injection, elle se
sent
complètement guérie. A la pression, la plaque o
ans ses antécédents. Elle me raconte que depuis long- temps elle se
sentait
souvent abattue, triste et irascible sans qu'il y
ble sans qu'il y ait aucune cause, tandis que d'autres fois elle se
sent
très bien. Depuis deux semaines ces troubles on
té. Elle se met en rage pour un rien, et elle en a honte. Elle se
sent
très faible et elle veut toujours dormir. Elle a
de quinine à la dose de 0,60. Après la troisième injection, elle se
sent
tout à fait normale; tous ses troubles psychiques
bles au lieu de s'amender, se sont accentués et en même temps, elle
sent
des céphalées en casque, une amyos- thénie géné
ium associé avec la quinine et au bout de trois jours, la malade se
sentait
mieux; ses accès de terreur ont perdu de leur i
élevée (40°) et les douleurs physiques de l'érysipèle, la malade se
sent
si bien qu'elle me prie de lui répéter les inje
tement. Injections hypodermiques de quinine à 0,80. 5. La malade se
sent
à merveille, elle m'affirme aussi que l'affecti
e se porte très bien. NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 105 Rarement elle se
sent
un peu nerveuse ; elle prend alors un peu de qu
conseillé de changer de climat. Depuis ce temps, dit-elle, elle se
sentait
souvent énervée, apathique, triste, faible, ave
ernatives de congestion et de pâleur de la face. En même temps elle
sent
des douleurs partout, des frissons et bouffées
ns les intervalles des accès, le tremblement persiste, la malade se
sent
très faible, et elle a la paresthésie comme si se
njection complètement supprimé. La malade est émerveillée, elle -se
sent
très bien, l'appétit manque encore. 106 PATHOLO
e, en m'affirmant que depuis de longues années elle ne s'est jamais
sentie
aussi bien; la colonne vertébrale restait sen-
e- ment, et sans qu'elles peussent le connoistre) ont témoigné le
sentir
en criant que cette main leur estoit insupportabl
ent au démon de suspendre les sens de la fille, en sorte qu'elle ne
sentit
aucune douleur, et ayant déclaré qu'elle estoit
gle, ou il disoit estre le plus sensible, elle témoi- gna n'en rien
sentir
du tout, estant commendée d'arrester le sang, l
assistants d'y employer le fer et le feu, protes- tant de n'en rien
sentir
absolument, quelques unes d'entre elles, partic
d'une mpuche sur sa peau. Le courant galvanique et faradique n'est
senti
que par l'in- termédiaire des contractions musc
commandé. La sensibilité ne présente pas de troubles notables. Elle
sent
sur .tous les points de son corps, au contact e
de tête, se prête mal à ces investigations minutieuses. Elle paraît
sentir
avec un léger retard apparent, ce qui tient san
l'amnésie, ce sont les souvenirs les moins stables, ceux qui repré-
sentent
des faits moins usuels qui tendent surtout à di'p
er, f irai demain ci la campagne. » Son écriture est hésitante ; on
sent
qu'elle n'a jamais été beaucoup exercée. Cependan
e une hystérique au sens pathologique du mot, puisqu'elle ne pré-
sente
aucun des stigmates de la névrose...,- , -,... ?
nt-ils,' d'un moment de transition. Les : ) profanes, dont je suis,
sentent
seulement que- tout est harmonieux 4 et leur vu
s estant mises sur la teste de l'énergu- mène, commença à luy faire
sentir
une chaleur intérieure, dire plusieurs fois, qu
ste que ne saurait le faire une définition quel- conque. Quand nous
sentons
, nous nous souvenons, pensons, quand nous voulo
ucoup de celles qui y sont d'ordinaire comprises ? 1 Une hystérique
sent
, se souvient, veut comme une personne normale :
tomatisme ambulatoire et des dépla- cements continuels. Les malades
sentent
souvent que leur accès va les prendre et en pré
issement pour les alcooliques - et qu'entend-on par là ? - je ne me
sentais
pas en mesure, quant à présent, de tracer un pr
cent rendent compte de ces différences. La même influence se fait
sentir
dans les états mixtes tenant a à la fois de la
édisposition native, latente pendant longtemps, n'en fait pas moins
sentir
plus tard son intervention énergique et soudain
férentes classes dont les pensions plus ou moins élevées accrois- '
sent
les ressources pécuniaires de l'établissement; 2°
ives et dépressives de la folie, la manie et la mélancolie, se pré-
sentent
en proportions à peu près égales, et que la manie
. , « Par toutes ces raisons et une infinité d'autres qui se pré-
sentent
à l'esprit de ceux qui ont veu les exorcismes, et
el. Comme, en même temps, les cellules des chaînes radiales pous-
sent
des prolongements latéraux qui les rendent commun
ibilité de l'anus et du rectum ; la malade prenant un lavement sans
sentir
ni l'intro- duction de la canule, ni la tempéra
'intro- duction de la canule, ni la température du liquide. Elle ne
sent
non plus jamais la faim. Comme zones hyperesthé
ue le sens musculaire, bien que d'une façon encore imparfaite. Elle
sent
la piqûre et a retrouvé les notions de position
s décourageantes des dégénérescences héréditaires fatales parais-
sent
perdre de leur rigueur ou du moins reprendre leur
'est l'habitude de ce décor. S'il est inséparable de la bête qui le
sent
en soi, il n'y a aucune raison d'en constituer un
c'est surtout de vingt à trente ans que la contagion mentale fait
sentir
son influence. Ce sont surtout les délires généra
e de celle de ses outils pointus, exagérant encore l'impression, il
sent
qu'il lui faut tuer sa femme et ses enfants pour
voit, avec les troubles sensoriels. Un jour, au mont-de-piété, elle
sent
tout d'un coup comme une brû- lure à la tête, e
électricité qui est en elle; une autre fois elle se plaint d'avoir
senti
(mais non vu) la tour Eillel flamber sur sa tête.
, le malade est souvent pâle, anémié ; il souffre de névralgies, se
sent
plus faible. L'ina- nition, l'insomnie, toutes
tout était à peu près rentré dans l'ordre. Dès que le malade s'est
senti
amélioré et guéri, il est devenu ndocile. Se se
yu- riques. Et les garçons qui n'avaient pas d'hyperdiurèse, pré-
sentaient
tous un doigt-surnuméraire. On pourrait faire obs
, d'interprétations et d'impulsions morbides (chimères) qui agis-
sent
sur le jugement, les sentiments et les actes, et
ube de verre. On gradue ainsi le courant d'aspiration et la surface
sentie
. P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
teurs modernes lui ont assignée. On semble aujourd'hui généralement
sentir
qu'elle doit être considérablement limitée et q
u'ils sont malades, ils veulent simplement dire par ces mots qu'ils
sentent
en eux une modifi- cation vague de la sensibili
er les mobiles de ses actes et obtenir des confidences sur ce qu'il
sent
et ce qu'il pense; c'est seulement par une desc
accessible que par un côté. Un ancien séminaire théologique repré-
sente
un des bâtiments ; c'est un long corridor sur leq
la Seine. — Lan real de la Faeulie de Médecine de Part*. La Maison de
Sente
oomprend deux éUblisaemente distincts: 1" un étab
meil. — Le « dormeur ne ressent aucun malaise; il a, au contraire, la
senti
sation d'un repos bienfaisant, ce qu'il est facil
qu'il vient de boire est un purgatif infaillible, qu'à son réveil il
sentira
des borborygmes, puis des besoins tellc-lement im
il resta plus d'un quart d'heure. Les besoins ont continue n se faire
sentir
pendant quatre jours de suite, cet homme va, depu
es médecins l'ont abandonné; nul ne veut le soigner! » De suite; je
sentis
qu'il y avait une cause morale à ce mal; mes inst
ment de caractère ne suffisait pas, il fallait trouver la cause. Je
sentais
aussi qu'il fallait frapper un grand coup, mais u
valer la salive; le seul mouvement du cosur et des artères se falsoit
sentir
, encore étoit-ce bien faiblement. 6* Comme c'es
étoit seulement honteuse. Elle n'est plus si paie qu'elle étoit, clic
sent
la même chaleur et la même pesanteur de tête au c
nai et il s'écoula une moyenne quantité de pus. L'incision ne fut pas
sentie
, mais je fus surpris, en introduisant un stylet d
ervention chirurgicale relativement récente et qu'elle a parfaitement
sentie
. Est-ce à dire qu'elle n'était pas à un certain
ois-ci, je fais une séance d'une heure. Au réveil, il me dit qu'il ne
sent
plus aucune douleur; il est enchanté du résultat.
t trois jours consécutifs. Le second jour, elle peut marcher; elle ne
sent
plus aucune douleur, mais une pesanteur dans les
ais une pesanteur dans les fesses. Après la troisième séance, elle ne
sent
plus ni don- leur, ni pesanteur, mais simplem
de pas toujours une immobilité complète. Un besoin naturel se fait-il
sentir
/ Aussitôt, elle s'agite; et ses parents, attenti
dant les deux heures qui ont suivi la première séance la malade s'est
sentie
courageuse cl gaie. Mais le soir, la tristesse et
ni tristesse, ni ennui. Après la seconde séance, le 18 août, elle se
sent
mieux encore ; elle se promène et fait des visite
s seulement le 5 septembre, et voici ce qu'elle m'apprend. Bile s'est
sentie
tout a fait bien, durant cinq jours; ensuite elle
en visite à douze verstes de chez elle: revenue à la maison, elle se
sent
fatiguée, elle a mal a la téte et elle se couche;
plus paru pendant tout ce temps en dépit de son mal de gorge; elle se
sent
mieux; l'appétit et le sommeil sont normaux; les
au théâtre la veille, qu'elle n'a pas eu de vertige et qu'elle s'est
sentie
tout à fait bien. Elle a bien dormi, elle n'éprou
uelles elle va huit fois au théâtre : les attaques ont cessé, elle se
sent
bien; les moments d'angoisse reviennent encor
ons. Elle vient me voir le 15 octobre et m'apprend qu'elle s'est bien
sentie
à la maison: elle dort bien, ne souffre plus d'an
a Je vous donne ma photographie; dès aujourd'hui, s'il vous arrive de
sentir
une irritation quelconque ou quelque sensation dé
retour à la maison, elle a pleuré toute la soirée. Maintenant elle se
sent
de nouveau très bien. Mon portrait produit sur el
. Mon portrait produit sur elle l'effet désiré. Un jour qu'elle s'est
sentie
très irritée, elle l'a fixé, et la tranquillité l
. Mais elle lit volontiers, s'intéresse à tout ce qui l'entoure et se
sent
infiniment mieux qu'avant son traitement. Trois
mnambulisme suivi d'amnésie au réveil. Dès la première séance elle se
sent
mieux. Elle me visite lo 9 octobre pour une nouve
e 14 décembre, elle me visite encore et m'Informe que maintenant elle
sent
un bien-être général ; plus d'angoisse du tout, l
folie, o Le sauvage, paresseux et libre, dit-il, se lève quand il se
sent
prêt et ne devient fou que rarement, sinon jamais
des couleurs, fait porter à domicile un tas d'achats dont elle ne se
sentait
pas le besoin au départ, n'est-elle donc pas en é
t de sommeil; la malade est endormie dès la première séance ; elle so
sent
fatiguée dans la journée, mais reste agitée la nu
sympathies; les deux femmes douées de la même disposition physique se
sentirent
attirées l'une vers l'autre par un élan affectif,
e sous l'empire d'une influence double, car ils voient le danger, ils
sentent
que la mort va les saisir, certains se cachent mê
es, et à voir l'empire qu'ont les chefs japonais sur leurs hommes, on
sent
qu'ils emploient une — méthode de persuasion — ou
e son pouvoir de contrôle par une déviation morbide de notre façon de
sentir
et d'agir. Désordres circulatoires et sensation
l'observation de cet officierd'infanteriequi, en habit bourgeois, se
sentait
défaillir, saisi d'une angoisse indéfinissable lo
çoit tout ce qu'il lui est possible de demander et de recevoir; il se
sent
vivre dans une athmosphère de force et de sécurit
ent; le caractère se fait rare. Cette faiblesse de la volonté se fait
sentir
partout, dans la direction de la famille, comme d
7 + 3.. .1 C>. La Psychologie ocoultlste. si jamais un auteur se
sent
de force à la traiter, devra comprendre : 1« To
'abstinence absolue de toute boisson alcoolique. Enfin notre homme se
sent
relevé à ses propres yeux; il est persuadé qu'il
ue le patient n'a jamais pu uriner en présence de qui que ce soit. 11
sentait
parfois le besoin d'uriner, mais pas aussi souven
ilieu d'un morceau, incapable de continuer. Cet état le désole ; il
sent
bien que, dans ces conditions, il sera incapable
u 25 décembre, ses forces ont augmenté graduellement et qu'elle s'est
sentie
en état de quitter son lit la veille du nouvel an
lit la veille du nouvel an. A cette même date du 28 février, elle se
sent
tout à fait bien ; ses forces, son appétit et son
rsuadant qu'elle ne courait pas le moindre danger et qu'elle n'allait
sentir
rien de désagréable. Par le procédé ordinaire d
s qu'hier, depuis notre départ jusqu'à minuit, notre patiente n'a pas
senti
la moindre douleur, qu'elle a la téte bien calme,
senti la moindre douleur, qu'elle a la téte bien calme, et qu elle se
sent
à son aise, qu'a minuit les douleurs ont reparu,
; mais un séjour un peu long en Europe les fait b'y habituer ; ils ne
sentent
plus l'odeur des hommes, et celle des femmes leur
e, même avec un certain plaisir, car sous l'influence de l'alcool, il
sent
un certain bien-être. Son humeur s'égaie, le trav
ecin le lendemain de la première séance et lui dit avec joie qu'il se
sent
tout à fait bien, qu'il n'a nulle envie de boire
ment, dans le ton même de leurs réponses aux questions du médecin, on
sent
bien qu'ils mettent en doute l'efficacité du trai
t, le lendemain, un très petit nombre d'entre eux déclarent qu'ils se
sentent
bien à la suite du remède prescrit, qu'ils ont bi
ésentent dans un mauvais état. Ils n'ont pas bu depuis le matin et se
sentent
mal à leur aise. Une sensation de tristesse les a
dix secondes. Elle reçoit, pendant le sommeil hypnotique et sans'les
sentir
, des Injections de (0 c. c. de sérum additionné d
Mais cello traduction n'est pas le résultat de notre seule faculté de
sentir
qui ne doit pas être confondue avec notre faculté
couchait dans des fossés. Dans ces conditions-là, seulement, elle se
sentait
bien portante. Mais tous ces malades en arrivent
elle se sentait bien portante. Mais tous ces malades en arrivent à se
sentir
épuisés ; ils s'adressent à ce qu'ils savent être
par l'hérédité et par des circonstances antérieures ; ces malades se
sentent
inférieurs et faits autrement que tout le monde ;
ner la porte ; mais, subissant une fois de plus l’influence désormais
sentie
et redoutée, il est cloué à sa place par la volon
il opéra presque toujours sur lui-même et que les effets se faisaient
sentir
à ceux qui étaient en rapport magnétique avec lui
eau s’ouvre chez celui qui veut réellement connaître ; les mots voir,
sentir
, ne peuvent servir à le dépeindre. La perception
t gisant. On l’eùt cru mort; aiguillon, piqûre, « brûlure même, il ne
sentait
rien qu’au sortir de cette lé-« thargie. » « Le
us faibles opposeni « moins de résistance, et que leur action se fait
sentir
d’au-« tant plus que celui qui l’emploie est plac
dont elle n’entend pas la voix ; un troisième la pince et elle ne le
sent
pas. Les liquides ont dans sa bouche la saveur qu
s par l'instinct, ordinairement si sûr, de la vraie piété, Comment ne
sentent
-ils pas tout ce qu'il y a de condamnable dans des
résence de quelques incrédules, toujours disposés à la critique, pour
sentir
combien il serait avantageux d’avoir un moyen pou
é d’intention. Ses théories sur ce point étaient si belles et si bien
senties
, que moi-même, obscur dissident, je l’admirais sa
âmes de personnes ayant déjà existé ? Suivant eux, quoiqu’on ait déjà
senti
les bienfaits thérapeutiques du magnétisme, il fa
encore M. Bégué, malgré la force physique 3ui paraît l’enlever, ne
sent
presque pas l’impulsion des oigts qui le soutienn
action et l'équilibre des forces. Il est vrai que les opérateurs ne
sentent
presque pas le poids du sujet; il est encore vrai
entent presque pas le poids du sujet; il est encore vrai que celui-ci
sent
à peine l’impulsion des doigts qui l’enlèvent. Ce
heur ! Ouvrant les yeux, j’aperçus mon père debout près de moi, et je
sentis
couler mon sang le long de mon cou. Je me suis as
parait (pic le besoin de s’occuper de magnétisme se faisait vivement
sentir
clans la cave du palais Bonne-Nouvelle, car en mo
n guide sur, fidèle, indépendant de ses propres opinions; il voit, il
sent
la vérité, mais il y môle sans cesse l’erreur hum
de lui et veut abuser de son innocence. Son influence funeste se fait
sentir
de plus en plus ; il la subjugue, domine sa volon
minutes. Enfin le calme revient un peu, et le besoin d’air se faisant
sentir
, il ouvre, inspecte, se promène. La porte lui est
le distance les extrémités des fils de cuivre. Peu de temps après, on
sentira
se développer au point de contact l'effet de l’él
vu sans doute bien des choses en un instant, mais en même temps j’ai
senti
mon néant et l’impossibilité qu’il y a pour un mo
apposer avec foi la main sur le front d’un somnambule, et bientôt il
sentira
, par la vertu magnétique du contact, la chaleur y
poudre produisent dans un temps inappréciable un travail qui repré-
sente
la force qu’un homme pourrait développer dans un
us accuseront des impulsions mécaniques, surtout à l’endroit où po-
sent
les mains des personnes qui réussissent le mieux
Ceux sur lesquels aucun effet appréciable de crise ne se produira, ne
sentiront
d’autre impression que celle de ces impulsions. C
de ces impulsions. Comme les personnes qui restent dans l’état normal
sentent
distinctement l’impulsion mécanique dans le sens
es de la nature, il aime mieux se confier à celte mère prévoyante. 11
sent
la lutte intérieure et terrible qu’elle soutient:
a dix ans, on serait aujourd’hui bien fortement soutenu, et celui qui
sent
en lui certains mobiles d’initiation, ne reculera
lé, un quatrième lèche 11110 barre de fer rouge, sa langue fume, on
sent
l’odeur de la chair rôtie, on est obligé de lui a
impertinents de persister à demeurer dans celui-ci, et auxquels il se
sentait
tenté sans cesse de dire : comment diable ne vous
geur et de quatre millimètres d'épaisseur, l’action magnétique se fit
sentir
d’une manière très-marquée, et un clignotement bi
ance de cette dame envers son bienfaiteur montrent assez combien elle
sent
l’importance du service qu’il lui a rendu et qu'i
toujours qu’à la troisième ou à la quatrième réponse, cet enfant se
sent
le bras saisi si violemment, qu’il en est fatigué
n d’un monsieur que je voyais pour la première fois. Mais celui-ci se
sentit
tellement saisi, qu’après avoir écrit trois répon
eux qui aiment la vérité seront peut-être do mon avis. Cette phrase
sent
l’éclectisme, ou plutôt elle annonce un juste mil
nambules, bien que dits clair-royanfs, ne voient réellement pas ; ils
sentent
ou perçoivent, et cette faculté peut s’exercer pa
j’ai vu ces faits se produire sous l'influence magnétique ; je les ai
sentis
, car je donne ici le résumé de notes prises après
ion quelconque qui s'établit entre leurs systèmes nerveux (1). » On
sent
sous ces paroles l'embarras dans lequel est Cuvie
« Rien d'impossible en dehors du cercle des mathématiques », il avait
senti
qu’aucun des phénomènes physiologiques de la vie
déviation d’une aiguille astatique par la contraction musculaire, on
sent
que les nombreuses expériences de cet homme sur l
l’on m’avait posé l’emplâtre ordonné par votre somnambule, lorsque je
sentis
comme un tiraillement à l’endroit malade. Il me s
gt derrière la maléole externe, au moment où le bruit est entendu, on
sent
très-dis- tinctement le déplacement alternatif
ïncidait avec la période menstruelle; des douleurs vives se faisaient
sentir
à l’hypogastre, aux lombes et aux aines. Ces doul
abondance; la vision ne s’opérait plus. En touchant les paupières, on
sentait
sous le doigt de petits corps durs, disséminés da
nt. Déjà le ventre s’était météorisé, des douleurs vives se faisaient
sentir
vers la région hypogastrique et se communiquaient
mes amis, M. Charles Ponsan, partisan assez dévoué du magnétisme, se
sentit
pris tout à coup d’un malaise général, avec diarr
besoin de prendre de la nourriture, besoin qui ne s’était point fait
sentir
depuis plusieurs mois. Je 11e quittai point le
, en écrivant les réponses aux demandes qu’il trace sur le papier, se
sent
le bras saisi si violemment qu’il en est fatigué.
mal qui devait se montrer. En effet, le lendemain à mon réveil, je me
sentis
en proie à un malaise général, accompagné de fris
J'appelai ma mère pour qu’elle vînt me magnétiser sans retard, car je
sentais
mes forces s’anéantir et le mal empirer. — Elle m
paraît en lettres fort nettes, qui peuvent être tout la fois vues et
senties
distinctement au toucher. Les lignes commencent p
d’écriture. Je le pris pour lire ce qui était écrit, A ce moment, je
sentis
la présence de l’esprit. J’éprouvai d’étranges se
arthe. Elle parvint à s’échapper, et en ce moment je me réveillai. Je
sentis
alors une vive sensation de brûlure à la paume de
cune de ces jouissances recélait un poison dont l’atteinte se faisait
sentir
plus vive après chaque succès. A la fin il résolu
asse de feu divisée en lignes innombrables et ténues comme ses nerfs,
sentit
trois autres jours comme des gouttes d’eau tomber
en dehors d’elle. Sept jours de suite, à sept heures du soir, elle se
sentit
magnétiser par l’esprit de sa grand’mère morte ;
la plus grande affinité de leur constitution avec la sienne. Ceux-ci
sentaient
, en effet, leurs forces diminuer près d’elle. Qua
lui annonçait des souffrances. En général, dans ces moments, elle se
sentait
mal à l’aise; il lui restait, disait-elle, trop d
avec sa langue. Notre voyante n’a point manifesté ces dons, mais elle
sentait
aux végétaux, aux métaux et aux autres matières q
nambulisme ; le rouge, en catalepsie. En regardant la lune, elle se
sentait
envahir par le froid. Pour elle, les yeux des hom
mençait au cœur. En prenant ces deux métaux dans une seule main, elle
sentait
monter dans ses bras des ondulations galvaniques,
ersonnes présentes, encore vivantes et tout à fait dignes de foi, ont
senti
dans l’air les mouvements de son démon. Mm* Ludwi
ssée... » Il n’est donc pas surprenant que Mm* H... se soit souvent
sentie
magnétiser depuis la base du crâne jusqu’au creux
sur elle à la voir souffrir, si elle l’a mal dirigée; 2° que l’âme ne
sent
et n’agit dans l’autre monde qu’en raison des tra
uis longtemps déjà la main placée sur la poitrine ne pouvait plus les
sentir
, et quo les pulsations artérielles au cou et aux
à le définir. Il est comme le créateur, 011 le touche partout, on le
sent
en soi, on l'aperçoit dans tous ses ouvrages, et
’ici à ces êtres privilégiés qui vivent d’une vie à part, qui voient,
sentent
et réfléchissent autrement que nous, et qui pourr
r ; mon mari me fit signe de partir ; je ne vis pas ce signe, mais je
sentis
ce regard entrant dans mon sein comme une vrille,
raison, elle eût été insuffisante; je ne dis pas ma conviction, je la
sentais
ébranlée. Il est certain que si je n’avais pas do
tout le côté qu'il touchait « presque se refroidissait peu à peu. Je
sentis
un frisson « glacial pénétrer mes membres, et me
entre le mur et vous. » « J allongeai un peu le bras; en effet,;je
sentis
de la « pierre. Cependant l’homme était là, toujo
is c’est étrange ! « Je tremblais non de peur, mais de froid. Je me
sentais
« peu à peu gagner jusqu’au cœur par une impressi
i, je fus forcé de « marcher comme lui. Il ne me parla plus, et je ne
sentis
« plus le désir de lui adresser la parole. Je le
de Haga, elle dit : « C’était un charmant prince, pour lequel je me
sentis
une respectueuse sympathie... Cette physionomie s
épingles comme dans une pelote; le sang n’y venait point -et elle ne
sentait
absolument rien : cela confondait le raisonnement
e ne sentait absolument rien : cela confondait le raisonnement. Je me
sentis
un peu souffrante et incommodée de tout ce fluide
ns soudé à celle-ci par les vaisseaux et la pie-mère qui remplis-
sent
cet étroit sillon. Au-dessus de la circonvolution
té gauche de la figure 2), la circonvolution de l'hippocampe pré-
sente
, en allant de la superficie à la profondeur : 1
evêtus d'une couche circulaire de myéline très mince, qui ne pré-
sentent
qu'à de rares intervalles des traces d'incisures
ualité ; je suis parvenu à empêcher beaucoup d'actes auxquels je me
sentais
poussé , mais je n'ai jamais pu éteindre la sen
ris et réduit à lutter par la raison seule contre ses obsessions il
sent
, dit-il, parfois ses idées devenir anti-naturel
'odorat sont pervertis. Ses aliments contiennent du tabac à priser,
sentent
le poi- son. De nombreuses verrues apparaissent
ou inférieur droit, on voit la face grimacer; le malade paraît donc
sentir
la douleur à droite; la même expérience répétée p
bilité ; l'hémianesthésie persiste ; la piqûre de la peau n'est pas
sentie
à gauche, pas plus que le pincement Mais il n'y a
n i, I(1 ! lirll J-v. ' , 1 2° Les malades qui guérissent le mieux ,
senti
ceux que '[l'on tient au repos, que l'on traite
forme d'une bêche ou l'extrémité d'un pachyderme. Les pieds pré-
sentent
une déformation analogue et une apparence oedém
ettre que, dans certains cas, les altérations tégumentaires puis-
sent
devenir l'origine d'idées délirantes. Ne voit-on
. Elle est prévenue qu'elle va être prise. Si, dans la rue, elle se
sent
malade, elle a le temps de se 162 CL1N1QLE KERM
ge dans le ventre. Quatre ou cinq jours avant d'être prise, elle se
sent
mal à son aise et, vers le soir surtout, elle e
intervalle des attaques, elle est hémi-anesthésique gauche, elle ne
sent
ni le contact, ni la piqûre, ni le froid, mais
e, elle ne sent ni le contact, ni la piqûre, ni le froid, mais elle
sent
la pression sur les parties profondes, et le se
pointe et au premier bruit. C... est anesthésique totale, elle ne
sent
ni le contact, ni la piqûre, ni le froid, ni le
r le même résultat à cause de l'ombre portée, c'est la rétine qui
sent
et non la cornée. Lorsqu'on provoque le transfe
la ceinture ; les douleurs sont un peu moins vives. 10. La malade
sent
que l'attaquc est imminente(bonle, bour- donnem
e de celui d'un mil à celui d'une lentille. Le poumon gauche pré-
sente
dans son lobe inférieur, au niveau de la gouttièr
s- sion ; sa voix restait forte ; rien en un mot ne faisait pres-
sentir
l'existence des lésions pulmonaires, à marche chr
re : Cette jeune femme était unie à un mari pour lequel elle res-
sentit
d'abord une réelle affection. Au bout d'un certai
gulière qu'il ne faut pas prendre pour de la rési- gnation, et l'on
sent
que ses plaintes, ses récriminations et ses dol
raits par une forte préoccupation deviennent dès lors incapables de
sentir
les impressions fies plus violentes, c'est parc
vez éloigné mes parents, vous m'avez parlé d'une grosse voix ; j'ai
senti
alors que mon état était réellement grave, j'ai
tures, les paralysies, les troubles de la sensibilité, et qui pré-,
sentent
une pondération remarquable dans leurs idées ou l
qui avaient à un moment éveillé quelques inquiétudes, disparais-
sent
comme par enchantement; or, cette enfant est deve
le diplopique, d'adopter une carte construite par lui ; elle repré-
sente
la projection d'une sphère du champ visuel de un
pyème. Il s'agit ordinairement d'une paralysie incomplète qui pré-
sente
des alternatives d'augmentation et de diminution,
rappé dans le dos d'un coup de couteau. A l'instant même, le blessé
sent
ses jambes se dérober sous lui et tombe ; il es
e la sensibilité à la douleur, et que le simple contact est moins
senti
qu'il ne l'est du côté sain. Il s'agit alors d'
minal. Il est rare, toutefois, que les deux ovaires puissent être
sentis
en même temps; mais, la pression sur les points
abdominale, M. Budin ne peut y par- venir. On n'arrive point à les
sentir
sous les doigts ; les parois utérines sont moll
elui de l'ovaire au moment de l'accouchement, a pu seule- ment être
sentie
à gauche. A sept heures et demie, la dilatation
science. Aussitôt après l'accouchement, on chercha, mais en vain, à
sentir
l'ovaire ; au moment de la contraction utérine,
n vain, à sentir l'ovaire ; au moment de la contraction utérine, on
sentait
le ligament rond qui formait sous le doigt une
uit aucun effet cinq minutes auparavant. L'ovaire gauche n'est plus
senti
; mais, à neuf heures et de- mie, il est possib
emps une sensa- tion de compression au-dessus du sein gaucho ; elle
sent
quel- que chose qui lui remonte à la gorge en d
ètres en dehors de ce point. Pendant une forte contraction, j'ai pu
sentir
, du côté gauche, un petit corps ovoïde du volum
dix heures, nous avons augmenté un peu le chloroforme, la malade ne
sentait
plus ses douleurs ; mais, vers onze heures un,
ition primitive dans le petit bas- sin, au voisinage du point où on
sent
battre l'artère iliaque. Eu somme, nous avons p
bas et en arrière, vers la partie externe de l'excavation où l'on
sent
battre l'artère iliaque. Du reste, on jugera mieu
com- mencée, les malades peuvent ordinairement, lors- qu'elles la
sentent
venir, éviter elles-mêmes sa produc- tion par l
é tactile de la main a subi une modification singulière ; le malade
sent
bien qu'il tient quelque chose, mais il ne sait
dans la main, comme son assiette, sa cuiller. 27 novembre. F... se
sent
en état de reprendre son travail ; M.Vùlpian.qu
lusieurs par mois) et chacune durait trois ou quatre heures. Il les
sentait
venir, et, dans les ingt minutes qui les précéd
vers de doigt ; elle intéresse moins l'autre fesse. A son niveau on
sent
un noyau d'induration. Application de compresse
ies mentales et nerveuses (in- fluence de notre civilisation pré-
sente
sur le développement des) par Jewell, 21 î. î.
e complète était de rigueur, il n'y consentit qu'à contre cœur. Il se
sentit
violenté dans sa volonté et son désir ; aussi lor
le valeur personnelle. Aussi les nouveaux venus ne tardent pas à se
sentir
pénétrés à l'égard de leurs collègues de ce senti
ent, cette façon anormale de ressentir va si loin que l'homosexuel se
sent
irrésistiblement poussé à prendre le vêlement et
ur dames. Il est, en tout cas, certain, que beaucoup d'homosexuels se
sentent
attirés vers une occupation qui correspond plus à
e se réunir et de délibérer en commun sur les questions qui intè-
sent
tous ceux auxquels incombe la délicate mission de
« L'apparition fit signe que oui, et quoiqu'elle ne put parler, on
sentait
qu'elle était aussi émue qu'eux. Elle avait peine
ait éprouvé des sensations fort pénibles : pris do vertige il s'était
senti
tomber dans un gouffre, une terreur invincible l'
es chloroformer, « Vous serez pris de vertige, leur dit-on. vous vous
sentirez
tomber et vous vous endormirez » Quant à moi j'ai
éveillé par des gens qui lui apprennent que sa gare a été pillée ; il
sent
si violemment le poids de sa responsabilité qu'il
ment prise à parti, qu'il était au regret de ses actes, mais qu'il se
sentait
tout à fait irresponsable de ses paroles ». A c
nement une réelle sympathie pour leurs élèves. H faut que l'enfant se
sente
aimé. La sympathie est un des stimulants les plus
ertaine satisfaction à détourner sur quelqu'autre l'orage dont ils se
sentaient
menacés. Chez les esprits orgueilleux, elle exc
homme sous ce rapport : « Bs ont le sens si parfait, dit-il, qu'ils
sentent
plus loin .qu'ils ne voient ; non seulement ils s
it-il, qu'ils sentent plus loin .qu'ils ne voient ; non seulement ils
sentent
de très loin les corps présents et actuels, mais
t ils sentent de très loin les corps présents et actuels, mais ils en
sentent
les émanations et les traces longtemps après qu'i
r. Ils hennissent quand, la direction du vent étant favorable, ils le
sentent
venir de loin ; alors que la vue n'a pu leur donn
n cheval qui, ayant servi dans dee expéditions contre les Perses, les
sentait
de loin et signalait leur présence par ses hennis
nstate alors que non seulement les douleurs d'estomac ne se font plus
sentir
, mais que la privation de nourriture ne la gêne p
roubles de sensibilité, le niveau mental s'est relevé et la malade se
sent
de force à reprendre ses occupations ordinaires.
ssible est préférable à faire mieux qu'un autre. Les faibles mêmes se
sentiront
heureux en classe, s'ils donnent tout ce qu'ils p
nfessait que depuis l'époque de la découverte de la Radiologie, il se
sent
disposé a reconnaître les effets physiologiques e
on expression même « celui de la contradiction » : d'ailleurs elle se
sent
moralement et physiquement absolument incapable d
, de détente, de repos. C'est alors que pour la première fois elle se
sent
attirée par l'eau qui jusque-là lui faisait si r.
douter ; elle est enceinte ! Cette découverte la bouleverse : elle se
sent
gênée devant les autres ; ne voient-ils pas qu'el
... L'obsession de la grossesse a complètement disparu ; Mllc X... se
sent
très bien, n'évite plus la compagnie, ne se deman
e avait fait défaut, des malades, une fois, rentrés chez eux. se sont
sentis
lourds et enclins au sommeil ; on a ainsi l'impre
tise les malades n'exerce pas sur eux une influence malsaine par cela
sent
qu'il les hypnotise ; on n'exerce une mauvaise in
e l'odorat comme dans l'empire du goût. 2° On ne mange rien sans le
sentir
avec plus ou moins de réflexion et pour les alime
délayé dans un volume d'eau vingt mille fois supérieur, n'était plus
senti
par aucune femme, pendant que presque tous les ho
t plus senti par aucune femme, pendant que presque tous les hommes le
sentaient
dans un volume cent mille fois supérieur. Les aut
donné un rspos salutaire, et. si la jeune Chine se réveille, si elle
sent
bouillir dans ses veines une activité guerrière c
fois elle est incomplète, et, dans ce cas, les malades peuvent encore
sentir
les odeurs fortes alors qu'ils ne perçoivent plus
e olfactive pent être bornée à certaines odeurs. Un de ses malades ne
sentait
plus l'odeur de l'essence de rose, alors qu'il pe
e.De sa chambre située à l'une des extrémités de son appartement elle
sentait
et distinguait toutes les odeurs de la cuisine si
l'odeur seule les hommes et les femmes ; elle ne pouvait supporter de
sentir
les draps de son lit, lorsqu'ils avaient été touc
ur s'assurer du titre d'une pièce de monnaie, ils se contentent de la
sentir
. Si on leur remet une pièce de cuivre simplement
que les nègres trouvent leur piste au désert grâce aux odeurs qu'ils
sentent
, et des objets volés et les voleurs grace aux tra
arèrent que dans deux ou trois heures on trouverait de l'eau, car ils
sentaient
l'odeur d'un troupeau qui, dans les déserts, rest
plus difficile à guérir. Je l'hypnotise à nouveau. Je lui suggère de
sentir
le besoin d'uriner même quand il ne rêve pas, et
te du lièvre de celle du renard et celle du loup de celle du cerf, ou
sent
la trace de son maître pendant des centaines de l
Annamites, les Chinois, les Arabes et les nègres trouvent que nous *
sentons
le cadavre ». Le costume, ainsi que le veut M.
ueur ou de la saleté. Les Japonais, qui sont admirablement propres,
sentent
très fort pour notre odorat. Je ne parle pas des
une aversion telle pour cette plante, que cette personne ne peut plus
sentir
l'odeur du tabac dans son entourage. il. le Dr
e trouver, me dit qu'il n'a pas fumé depuis la deuxième séance. Il se
sent
un peu mal à l'aise, il a de fréquents bâillement
d'huile de baleine, et de beurre rance et s'ils ont l'inconvénient de
sentir
tous très mauvais, les odeurs qu'ils exhalent son
Mais un séjour un peu long en Europe les y fait s'y habituer ; ils ne
sentent
plus l'odeur des hommes et celle des femmes leur
e suivante : « C'est une grande perfection en une femme quand elle ne
sent
ni bon ni mauvais. » Le Dr Roger Trémollières,
et dont l'odorat n'est pas éteint. Â moi qui ai le nez aussi fin pour
sentir
le polype, ou l'odeur de boue Infecte qui est rec
lfactive de l'éléphant est indiscutablement considérable et fine ; il
sent
de très loin les personnes qu'il affectionne, son
ce qui ne leur convenait pas. j'ai vu le pauvre Saïd. mort récemment,
sentir
quelques parcelles de médicaments dans un énorme
ou plutôt par le versificateur Cbavignaud : Le multiplicateur d'un
sent
chiffre se pose Sous le multiplicande » Il droi
ction de l'eau fraîche est si marquée que beancoup de personnes ne se
sentent
pas complètement réveillées tant qu'elles n'ont p
s d'appétit sexuel vif, sera tout étonnée ou peut-être heureuse de se
sentir
le lendemain d'un déjeuner indigeste et irritant,
ns le même temps, il le fera mieux, il persévérera plus longtemps. On
sent
k peine la fatigue lorsque l'on marche au son de
it do ses jeux favoris ? il peut être plus on moins exténué et ne pas
sentir
la fatigue. Aussi l'exténuation ne suffit pas pou
se gêne pas de déposer ses excréments aussitôt que le besoin se fait
sentir
cl que les réflexes se mettent eu jeu. ne peut en
oit de réclame. Le malade accusé à tort d'être malade imaginaire peut
sentir
défaillir sa volonté de guérir, sachant que ces a
tait oppressé, somnolent, il avait des renvois, et parfois il res-
sentait
, au moment de l'ingestion des aliments, de vives
'on cherche à redresser le malade, il éprouve de la douleur et l'on
sent
une résistance qui paraît difficile à vaincre.
travail. Les douleurs devinrent ensuite plus intenses et se firent
sentir
non seulement à la fesse, mais encore tout auto
nd il marche ou qu'il reste quelque temps assis. La douleur se fait
sentir
à la fesse, à la partie pos- térieure de la cui
le long du trajet de son nerf sciatique droit : la douleur se fait
sentir
depuis la malléole externe jusque dans la région
t est rap- proché de la crête iliaque. La colonne vertébrale pré-
sente
deux courbures latérales, l'une inférieure à co
ion n'a pas été préalablement mise en éveil, bien des choses pas-
sent
inaperçues, alors qu'elles semblent manifestes à
à des cas de sciatique de cette catégorie. Le membre affecté pré-
sente
, chez la plupart de nos malades, un peu d'amyo-
rlerrari; au boutde quatre jours la douleur se calma et l'enfant se
sentit
mieux. Il voulut se lever, s'habilla, mais une
tenait médiocrement. Interrogé par son oncle, il répondit qu'il se
sentait
bien. Mais son plus jeune frère raconta tout. Il
mouvement de flexion et de rotation, et les avant-bras se fléchis-
sent
sur les bras. La marche est très pénible. 1;... é
droite : (fi.g. 7 et 8) lorsqu'on presse sur cette région la malade
sent
« que cela lui remonte et la suffoque ». 4r o
ux un malade atteint de tuberculose pleuro-pulmonaire et qui pré-
sentait
également une éphidrose limitée à la moitié dro
. Brown- Séquard cité plus loin), ou encore celles qui ressortis-
sent
à une lésion nerveuse centrale d'ordre réflexe.
a ligne médiane de la face. En passant la main dans ses cheveux, on
sent
que toute la partie droite du cuir chevelu est
quelques années, qu'en plongeant les bras dans l'eau chaude, il ne
sentait
pas à la main droite la température de cette ea
ute l'étendue des membres supérieurs; mais le malade nous dit qu'il
sent
moins du côté droit, affir- mation dont le comp
compas de Weber montre l'exactitude. A la main droite, D... paraît
sentir
aussi bien sur la sphère du cubital que le long
ale de la tête. Bartholow cite l'observation d'une femme qui pré-
sentait
par instants des accès de rougeur de la face av
Les bonnes raisons sont pour tout le monde, parce qu'elles repo-
sent
sur des désirs naturels; toutes les raisons qui n
ée' vive pendant qu'elle était en extase. Elle n'entendait rien, ne
sentait
rien. Son maître la nappait à coups tte verges, e
e; aussitôt elle se coucha et parut morte : on la remua, elle ne le
sentit
point; on lui approcha du pied une chandelle av
ha du pied une chandelle avec laquelle on la bt ûld sans qu'elle le
sentit
. Quand elle se réveilla elle donna des nouvelle
s muscles du tronc, du cou, de l'épaule. Quand il les contracte, on
sent
la dureté du bois, mais d'une façon tout unifor
llu- laire. Les manchons de myéline augmentent de volume, se cas-
sent
très vite et disparaissent en donnant naissance à
voit en réalité intervenir que lorsqu'un pressant besoin s'en fait
sentir
et lorsque leur intervention est obligatoire, e
inistrateurs provisoires désignés suivant que le besoin s'en ferait
sentir
, je.demanderai si, dans l'intention de l'auteur
l'avant-bras droit, le long supinateur a presque disparu et se fait
sentir
au palper sous forme d'un mince cordon; en géné
a région anal- gésique ; le membre inférieur droit, par exemple, ne
sent
pas la dillérence de 40. Pour la face, elle est
pression de 1/2 ou de 3/4 (au baresthésiomètre de Iiowaewsky). Il
sent
bien le plus léger attouchement et localise régul
à4;)0gram- mes, tout cela d'une manière égale des deux côtés. Il
sent
une pression de 100 à 200 grammes sur le dos et
aissé dans la même région que la sensibilité générale. Les mains ne
sentent
pas la différence de t° entre 17 et 28°. La mal
aleur et une t° de z6^ ne la provoquent point. A l'avant-bras, elle
sent
la /'ig. 18. DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 177
nément aux contractions des mouvements fibrillaires : le malade les
sent
; ils ne se produisent pas dans les mains seules
ent d'intensité par le froid. Il y a deux ans, une faiblesse se fit
sentir
également dans la main droite, mais au moment o
ille; les réflexes cutanés sont conservés. Sensibilité. - Le malade
sent
et localise partout régulièrement l'attouchemen
ut régulièrement l'attouchement par un cheveu ; cela est moins bien
senti
sur les bouts des doigts, où la peau est légère
un ou deux travers de doigts dans la direction longitudinale et ne
sent
qu'un seul attouche- ment si on le touche avec
il l'est un peu moins sur le front et la joue gauche, où le malade
sent
la différence thermique de 2 à 3°; au maximum d
antôt d'autre chose ; les douleurs venaient et cessaient; tantôt il
sentait
des picotements, tantôt des tiraille- ments dan
auparavant. 9 octobre 1883. Depuis le mois de juillet, le malade
sent
un affaiblissement du sens de la douleur et du
hésie à la douleur et au toucher, et lui-même déclara que ses mains
sentaient
la diffé- rence entre la chaleur et le froid. U
, par une série d'efforts, pour maintenir l'équilibre, qui dépas-
sent
le but.. Ajoutons, enfin, qu'à son moindre degr
nter- hémisphérique. - La circonvolution du corps calleux ne pré-
sente
rien de particulier, mais à sa partie la plus pos
1 Ce malade, dont l'un de nous a déjà publié l'observation', pré-
sente
de l'automatisme à la suite de ses accès : il se
p- pées et saines. Le cerveau pèse 1,292 grammes qui se répartis-
sent
ainsi : hémisphère gauche, 552; hémisphère droit,
de d'appliquer la main sur le dos du patient en lui disant : « Vous
sentez
de la chaleur, cette chaleur aug- mente, etc...
moi. C'est précisément parce que vous ne l'êtes pas, parce que vous
sentez
les atteintes de la vérité, parce que vous vous
ontbesoin d'être étudiés avec soin par les personnes qui s'intéres-
sent
au traitement et aux soins à donner aux aliénés.
atteint d'épilepsie. Avant- hier, sous l'influence d'un accès qu'il
sentait
venir, il se porta plusieurs coups de couteau e
les caractères : chaque fois qu'il appuyait les pieds par terre, il
sentait
le sol s'enfoncer de trois à six centimètres et
soir, après le coucher, quand la chaleur du lit commence à se faire
sentir
. Les douleurs ont le caractère de fulgurations
plus seule- ment, comme dans les autres cas relatés jusqu'à pré-
sent
, la diathèse nerveuse qui se manifeste sous une
moyeu donne la respiration thoracique. Le tracé supérieur, repré-
sente
la respiration diaphragmatique prise indirecte-
ements pathéti- ques par les secousses intestinales qui se font
sentir
à l'abaissement de la tête, en pressant sur l
s mouvements pathétiques par la pression intes- tinale, qui se fait
sentir
pendant la chute de la tête. Nous avons obtenu
rès étendue. Dans le cas de M. Oppenheim,le bras atrophié ne pré-
sente
pas de trouble de sensibilité non plus que l'extr
s. Deux mois plus tard, les jambes deviennent lourdes, s'affaiblis-
sent
rapidemeut. L'examen montre à cette époque une
ude, et à droite s'en- tendent quelques gros râles de bronchite. On
sent
un peu de résistance au doigt dans les fosses s
re examen, de façon défectueuse dans une solution formulée, ne pré-
sentait
pas, quand nous l'avons étudié, de friabilité ano
l'y maintenir de force. ' . Il y avait des époques auxquelles il se
sentait
moins nerveux, et alors il était un peu plus do
e. Le 14 jan- vier 1892, par exemple, en rentrant à Lisbonne, il se
sentait
bien amélioré, et ne parlait plus de l'enfer, m
qu'il possédait, était presque toujours en voyage, puisqu'il ne se
sentait
nulle part si bien qu'en chemin de fer, commenç
rdement sur sa personnalité physique et psy- chique.Elle a mêmefait
sentir
son influence nocive de très bonne heure,etne l
ise général. Le médecin, qui le soignait, m'a raconté que le malade
sentait
surtout des douleurs piquantes, lancinantes dan
e, les autres dans la vie pratique. En outre, l'acromégalie se pré-
sente
aussi sous des formes atypiques : et dans une de
ai fait remarquer déjà l'apparence enfantine que notre malade pré-
sente
dans sa figure et dans tous ses faits et gestes.
ssion d'une sécrétion interne incomplète des ovaires 1 ' Mais je me
sentirais
bien embarrassé, si je devais vous donner les pre
oncourent à former les couches les plus inférieures et s'entrecroi-
sent
avec les fibres de la commissure antérieure et du
lenberg pense que la majeure partie du faisceau longitudinal repré-
sente
un faisceau d'association reliant entre elles les
s ; le sternum est légèrement bombé. Enfin, et surtout à droite, on
sent
bien quelques irrégularités chondrales, mais sa
que que la diminution du nombre des éléments anatomiques qui compo-
sent
cet os, ce muscle, ce nerf, etc. et au point de v
mal, perdait connaissance quelques instants, puis revenant à elle,
sentait
un poids sur l'estomac, « une boule qui lui remon
e sa pro- menade, au bout de trois quarts d'heure à une heure, elle
sent
que ses jambes redeviennent raides et très doul
rd dans la perception des sensations douloureuses, car le malade ne
sent
pas les piqûres superficielles d'épingle et les p
oucher. La même, le 10 novembre 1905. pieds, du cou et de la tête
sentent
les piqûres les plus superficielles (Fig. 3 et
lade entend de chaque côté à 60 centimètres. Le goût est normal, il
sent
le doux, l'amer, l'aigre, le salé, etc. Il sent
goût est normal, il sent le doux, l'amer, l'aigre, le salé, etc. Il
sent
l'odeur de menthe qui lui est agréable,mais l'o
est devenue aussi anesthé- sique. La peau qui couvre les clavicules
sent
normalement (Fig. S). Toute la surface de la pe
de la peau qui était seulement livpoa Igésiqtie,c'est-à -dire qui ne
sentait
que les piqûres profondes faites avec uue éping
ec uue épingle est maintenant analgésique, c'est-à-dire incapable à
sentir
les piqûres les plus profondes. Une bande d'hy-
s douleurs. Sur la paume des mains et sur la plante des pieds il ne
sent
pas les pressions légères, mais il a la sensation
oureuses, et il faut faire des piqûres profondes pour que le malade
sente
la douleur. Les sensations au chaud sont retard
la paume des mains et des faces plantaires des doigts, le malade ne
sent
deux piqûres en même temps, que lorsque nous av
l, sauf comme chez le premier que l'odeur d'asa-fsetida n'était pas
sentie
. Le 10 novembre z. - Les troubles de la sensibi
sont chez ce malade plus intenses que chez l'aîné. Là où le malade ne
sent
pas le tact il ne sent pas non plus un tube ple
intenses que chez l'aîné. Là où le malade ne sent pas le tact il ne
sent
pas non plus un tube plein d'eau et chauffée à 50
resser tant qu'on peut avec la tige du diapason d'Egger, le malade ne
sent
ni une sensation de pression ni une sensation d
de l'abdomen, sur le cou et la tête les pressions sont normalement
senties
. Les organes génitaux (verge et testicules), si
r le dos et sur le thorax le malade,avec des pressions très fortes,
sent
très peu la pression, mais plus souvent une dou
s pertes diminuent sous l'influence du bromure de potassium et ces-
sent
pendant plusieurs mois, se reproduisant de préfér
'ailleurs pas tout à fait indemne lui-même ; le malade y avait res-
senti
des fourmillements et engourdissements ; en outre
cette particularité, les confins du système d'association se préci-
sent
également et on remarque, en dedans de la couche
se confond avec le cingulum, dr, le cas que nous considérons, pré-
sente
à cet égard le plus grand intérêt ; nous nous ren
nvolutions. Pour arriver au tronc du corps calleux, ces fibres pas-
sent
par la capsule externe et entre les segments du n
nt vers la partie inférieure de la capsule externe (fig. 3),traver-
sent
l'angle inférieur du noyau lenticulaire et se rec
ovoïdes ; parfois elles sont très allongées, cylindriques, et pré-
sentent
des étranglements ; enfin on en voit qui sont en
qu'on lui adresse. Il accuse une grande fatigue, mais dit qu'il se
sent
mieux. 13. Légère céphalée ; à droite, on obser
ndus et saillants ; dans les mouvements imparfaits d'abduc- tion on
sent
la corde des adducteurs plus ou moins prononcée.
on ; depuis bien des années la malade était paraplégique, elle pré-
sentait
le phénomène de Babinski, l'exaltation des réflex
nérescense graisseuse se limite à quelques fibres. Celle-ci se pré-
sente
sous forme d'un piqueté noir très ténu, les granu
lle pourrait-on dire. Certains musclée profondément altérés ne pré-
sentent
aucune lésion en rapport avec une dégénérescence
our qu'il était à son travail, occupé tourner un manche d'outil, il
sentit
brusquement, au moment où il faisait un très lé
SEN 285 lumineux que celui du côté opposé et la palpation permet de
sentir
sous le pannicule adipeux des nodules de consis
s les filets musculaires. Les troncs des nerfs intercostaux parais-
sent
sains à un premier examen, mais en multipliant le
résultats auxquels nous sommes arrivés pour notre part nous parais-
sent
démonstratifs. La présence de fibres dégénérées
n 1901 il a présenté de la diplopie passagère. Actuellement il pré-
sente
du nystagmus transversal. Les pupilles sont à peu
e et que depuis la ponction il n'a plus vu double. 26. Le malade se
sent
notablement soulagé. La diplopie n'a pas reparu.
in ou à peu près. Les racines antérieures et postérieures apparais-
sent
presque complètement normales partout. Tous les v
même que des groupes déterminés de cellules cérébrales se spéciali-
sent
pour la parole ordinaire et vont constituer les c
u (1) est celui d'un malade atteint de cécité verbale pure.qui pré-
sentait
aussi de l'alexie musicale pure : il chantait trè
eu d'hémianesthésie, mais seulement agnosie sensitive : les malades
sentaient
la piqûre du côté paralysé, réagissaient par des
es granuleuses cg, rg'. Quelques-unes de ces fibres fa, fa' traver-
sent
évidemment les cellules apotrophiques. 434 MARI
n'on se rapproche de la partie supérieure, ces faisceaux se réunis-
sent
par groupes, changent de direction ; les uns cont
rminés par la mort dans les premières semaines de la vie et parais-
sent
au contraire se rapprocher de la maladie de Hoffm
oque, il s'est brûlé à l'avant-bras avec sa cigarette et ne l'a pas
senti
. La main gauche a commencé a faiblir, a se fati
entimètres. Par la palpation de ce segment t de membre droit, on ne
sent
que fort peu de saillies musculaires. La main d
res aux articulations chondro-sternales. La colonne vertébrale pré-
sente
une scoliose dorsale à convexité droite avec cour
peu saillant. Le corps thyroïde, lobes et isthme, est parfaitement
senti
dans les mouvements de déglutition. La malade t
le de son corps, l'évolution défectueuse de certaines parties accu-
sent
chez elle non pas un arrêt de développement,mais
des bras et des épaules, qui, bien que peu développés, ^ne parais-
sent
pas nettement atrophiés.' Les muscles du cou, de
du membre. Le chatouillement de la plante du pied n'est presque pas
senti
. Sensibilité à la douleur, très altérée également
e brusquement dans sa marche, parfois même elle est si forte, qu'il
sent
ses jambes s'affaisser sous lui et qu'il tombe
Par contre, les symptômes d'incoordination ont augmenté, le malade se
sent
moins assuré sur ses jambes. Il peut marcher, a
nerfs de la queue de cheval; ils sont lisses, grisâtres et ne pré-
sentent
pas de rugosités à leur surface (PI. LXXI). Certa
collatérales réflexes sont rares. Les colonnes de Clarke apparais-
sent
; leur réseau myélinique est presque complètement
urs que pour ceux du tronc et desmembres supérieurs; elles décrois-
sent
donc de bas. en haut ; elles sont beaucoup moins
sait combien le pronostic des accidents nerveux du mal de Pott pré-
sente
de difficultés ; on ne sait trop sur quels élémen
é plantaire était en flexion des deux côtés. Le malade disait moins
sentir
le contact et la douleur à droite qu'à gauche, al
le mécanisme de l'affection dans ces derniers cas est, jusqu'à pré-
sent
, purement hypothétique. Les cas de rétraction p
nt que l'âme s'accroît sans cesse et qu'elle se fortifie, Beneke se
sent
incliné à la supposition que l'esprit ou l'âme se
actiles ; pour les irritations douloureuses du côté gauche l'animal
sentait
visiblement delà douleur, devenait inquiet, mais
isoler le mou- vement dans tous les cas où l'excitation se faisait
sentir
avec un certain degré d'énergie, que l'excitati
e s'oppose au mou- vement de la main droite, le sujet en expérience
sent
bientôt des mouve- ments dans la main gauche, e
uelle remonte au 13 mai 1900. Etant assis dans un jardin public, V.
sent
une vive douleur dans la jambe gauche ; il rentre
gauches et, même au repos, il a parfois des douleurs spontanées. On
sent
des craquements articulaires dans les genoux et
ajet de l'artère ne révèle rien. Les troncs nerveux au bras parais-
sent
normaux. Main droite. La main droite,autrefois
à 14 centimètres à la cubitale. L'artère radiale qui ne bat plus se
sent
mal, les troncs nerveux paraissent normaux à la p
s'ensuivit, elle aurait eu un peu de fièvre pendant huit jours, se
sentait
un peu fatiguée et souffrait assez violemment du
sa jambe, devenue un peu plus volumi- neuse, s'engourdit, il ne la
sent
plus, il remue difficilement le pied ; lous ces
s mobiles ou faibles qui ne 78 GAETANO BOSCHI peuvent considérer,
sentir
fin des choses, l'évolution des temps el des id
iaques ou à des déments, el même avec un but emblématique, ils pré-
sentent
un côté purement décoratif. Quoi qu'il en soit, c
qu'un malade déjà arrivé à un état d'agitation assez grave ne pré-
sente
jamais, à ce que j'ai vu, de phénomènes de ce gen
saillie dans l'angle inférieur (antérieur) de la lacune, et j'ai pu
sentir
une formation analogue chez 3 des sujets vivant
érique enfoncée chez mes sujets vivants et, dans deux cas, j'ai cru
sentir
de petites lacunes, sans pulsation apparente to
ns mes 6 crânes dysostosiques, la face exocrânienne de la base pré-
sentait
toujours un renfoncement marqué de la partie médi
eures et postérieures sur des sujets dysostosiques vivants. J'ai pu
sentir
, dans certains cas, une dépression correspondante
ns un cas, un large espace non ossifié ; dans 4 autres cas, j'ai pu
sentir
, au milieu de l'ar- cade, une brèche qui corres
ecouvraient, tout contribuait à confirmer l'erreur. En effet, on ne
sentait
qu'une masse douloureuse, mal limitée, ressemblan
catrices circulaires, régulières, entourées du pigment, qui parais-
sent
consécutives à des gommes cutanées de la jambe dr
t cénesthétiques. Elle voyait les anges, la sainte Vierge etc., et se
sentait
re- muer un serpent dans le ventre. Parfois ell
eau de ces membres la paralysie et l'atrophie musculaire se locali-
sent
initialement aux muscles desservis par le nerf ra
morphologiques obtenues avec la méthode de Cajal, car nous ne nous
sentons
pas trop rassurés au sujet de l'interprétation qu
ines mêmes idées se maintiennent au cours des crises et réapparais-
sent
dans chacune d'elles, s'il est manifeste que tout
ûts de fumeur; elle lui a même déclaré très sérieusement qu'elle se
sentirait
très capable de fumer si c'était absolument néces
fants en bas âge ; ni l'un ni l'autre ne sont atteints jusqu'à pré-
sent
de l'infirmité héréditaire. Thomas Wherrell qui
alpé dans l'aine et quelques petits nodules arrondis pouvaient être
sentis
dans le tégument autour de la surface rouge. Le
ransitoires, et elles ne durent que 3 ou 4 jours ; elles disparais-
sent
spontanément sans nécessiter de traitement partic
« attaques aiguës » bien qu'elles paraissent dangereuses disparais-
sent
toutes seules en quelques jours, et tout ce que l
capulo-humérale, qui présente des craquements très appréciables. On
sent
aussi des craque- ments dans la flexion et l'ex
s venons de voir'que dans les divers types cliniques qui ressortis-
sent
, les uns certainement et les autres probablement,
itation thyroïdienne ; car tous les syndromes de Basedow ne parais-
sent
pas au même titre être fonction d'excitation thyr
sur son pied ; ou lorsqu'un au- tre, au genou duquel on ne peut ni
sentir
ni voir rien d'anormal, se met à boiter comme s
ors qu'il avait repris ses occupations, quelques douleurs apparais-
sent
subitement dans les deux mains,au niveau des deux
ant dans les mouvements d'élévation, les globes oculaires ne dépas-
sent
guère une ligne transversale passant par la commi
ier, à cause de l'ankylose des hanches : dans cette situation il ne
sent
plus le rebord du siège. Ces troubles sensitifs,
euse. Le phénomène de la sommation est des plus nets ; le malade ne
sent
pas une piqûre isolée, il sent au contraire au bo
ion est des plus nets ; le malade ne sent pas une piqûre isolée, il
sent
au contraire au bout d'un instant les piqûres e
oculaires étaient l'année passée parfaitement symétriques ; à pré-
sent
on remarque au contraire par moments un très lége
ongueur est normale. Par l'exploration rectale on ne parvient pas à
sentir
le corps de l'utérus, mais à sa place on perçoi
nne 17 à droite et 16 à gauche. · Dans les mouvements passifs on ne
sent
aucune résistance. Tous les mouve- ments actifs
ogée sur ce chapitre elle répond par des phrases banales qu'elle ne
sent
pas. Comme sa soeur elle présente une notable l
nt lumineux. Si l'on se sert d'un point blanc opaque, le champ pré-
sente
un scotome central et se trouve limité à sa moiti
interne, il n'est pas étonnant qu'à ces substances toxiques réagis-
sent
l'hypophyse et la thyroïde,soit en même temps soi
pos que Paracelse, Walter Scott, Guillaume de Humboldt, Meckel pré-
sentaient
des conformations crâniennes analogues à celle do
ladie. - Un jour Mme G... appelle son infirmière et lui dit qu'elle
sent
venir la crise. Les convulsions débutent au bras
que à celui qui existait avant que la force modificatrice n'ai fait
sentir
ses atteintes. Du moment que l'on admet l'actio
intérieures. Si nous supposons que l'excitation inaccoutumée a fait
sentir
son action, non pas d'une manière passagère ou
jours sous le coup de son influence bien qu'elle ait cessé de faire
sentir
son action. Elle n'agit plus directement, mais
étuer biologiquement, même longtemps après qu'elle a cessé de faire
sentir
son action. Il importe peu qu'elle soit, à notr
e le cerveau répète, imite ce qu'il voit, ce qu'il entend, ce qu'il
sent
, etc. Voici un autre exemple indiscutable de la
pelèrent EuchaireRodion : « Pour le surplus quant la femme enceinte
sent
sa matrice estre las- chée : et que les humeurs
efois la maiu sort libre de la poche ; il la dresse jusqu'au nez et
sent
l'extrémité de ses doigts on bien il effleure s
main est déviée vers le bord externe, l'avant-bras est atrophié et on
sent
par la palpation que le radius est absent. A ga
ras à gauche. D'un côté comme de l'autre les reliefs musculaires se
sentent
mal, même quand on demande au malade de faire c
atarsien, de même longueur que celui du deuxième orteil, et dont on
sent
l'extrémité anté- rieure arrondie et un peu ami
n complète eut lieu à l'hôpital où j'avais isolé la malade qui pré-
sentait
des crises convulsives terribles, et des gastralg
la membrane du tympan. On a beau dire : « l'hystérique peut ne pas
sentir
ce qu'elle ne veut pas sentir », Mais je doute
eau dire : « l'hystérique peut ne pas sentir ce qu'elle ne veut pas
sentir
», Mais je doute beaucoup qu'elle puisse se prati
presque) chez les hystériques, et puisque ce phénomène ne se pré-
sente
pas avec les mêmes modalités cliniques en dehors
ngeons encore que chez la malade hystérique de M. Etienne (qui pré-
sentait
depuis longtemps des plaques multiples de gangrèn
. Uu homme atteint par une cardiopathie ne peut pas respirer, il se
sent
étouffer, il souffre terriblement. Le médecin t
ion... Est-ce que lorsque vous êtes comme ça devant le tube vous ne
sentez
vraiment rien ? » Cinquante pour cent des sujets
des sujets accusaient une sensation; nombre des sujets prétendaient
sentir
un léger souffle sur la peau du visage ; d'autr
effet d'une auto- suggestion, j'affirmais que les sujets normaux ne
sentent
rien lorsqu'ils se trouvent en présence d'un tu
ent quelque sujet, piqué d'avoir été induit en erreur, continuait à
sentir
des sensations extraordinaires. L'expérience a
s faible jusqu'à la sclérose. L'artère et la veine centrales pré-
sentaient
elles aussi un épaisissement variable de leur t
ur ce dernier groupe d'affections, le besoin ne se faisait même pas
sentir
de demander davantage à la kinésithérapie, puis
t être espérés, nous avons même publié une observation qui repré-
sente
une vraie guérison intégrale de l'incoordination
à l'hôpital de Munich pour cause d'ivresse avec exaltation, pré-
sentent
, immédiatement après leur arrivée, une diminutiou
ouvait lever le bras gauche en raison d'une luxation. De plus il ne
sentait
plus la chaleur à la main droite et pouvait la
es a entendu dire « il faut les crampser parce qu'elles en connais-
sent
trop. » Le mot crampser dont elle ne connaît pas
du chloro- forme, etc... L'influence de l'agent actif se faisant
sentir
d'une façon continue elle présente des troubles
odeurs, ils introduisaient dans le mur toutes sortes de saletés qui
sentaient
l'urine, la viande ou les oeufs pourris. ils on
athogéniques; que l'action des impressions sugges- tives se faisait
sentir
tant que les malades étaient en com- mun, en do
tait un poison énergique, la malade qui était présente, se troubla,
sentit
une vive émotion et une profonde douleur du côté
obsession refait. son apparition : , : . à la vue des enfants, elle
sent
un vif désir de les tuer ; elle a cependant l'é
e alla même jusqu'à râper des allumettes dans du civet de lièvre.et
sentait
, de nouveau un désir de tuer les jeunes- enfant
caractère bizarre; parfois elle devenait sombre et par moments pré-
sentait
des crises de rires et de larmes sans motif. A
plus d'acharnement à la masturbation. En même temps. la malade se
sentait
poussée à des actes extra- ordinaires : une imp
artout. A la vue des billets. elle est vivement impressionnée, res-
sent
une forte angoisse, sa face rougit et elle recule
et elle recule vivement, craignant de les toucher. Parfois, elle se
sent
poussée à fouiller dans les lits des malades po
tale, des sensations volup- tueuses suivaient et finalement elle se
sentait
mouillée. A la suite de ces phénomènes, survena
er. Toutes les fois qu'elle se trouvait près d'une fenêtre, elle se
sentait
poussée à s'y jeter; l'espace m'attire, nous di
ôté droit. La malade à l'asile a parfois des idées noires ; elle se
sent
énervée, frotte constamment ses mains, ne peut
ntaux syndromiques et névrosiques qui, tant variés qu'ils se pré-
sentent
, apparaissent et se répètent aux différentes époq
dit à son mari- qu'on l'empoisonnait, qu'on l'électrisait, qu'elle
sentait
l'odeur du soufre ; plus souvent elle criait au
trois jours la malade devient lucide ; tout avait disparu, elle ne
sentait
plus qu'une fatigue générale. Analysant cette o
in, ni biologiste, ni psychologue, il doit cepen- dant apprendre ai
sentir
à quel moment il devra réclamer le secours d'un
eux quand même, et certainement, elle ne peut se tromper. « Elle'
sent
là ses enfants comme le chien sent son maître.» L
elle ne peut se tromper. « Elle' sent là ses enfants comme le chien
sent
son maître.» Les senti- ments affectifs sont to
ire du thé, la persé- cutent ; son thé était du rhum, elle l'a bien
senti
, aussi elle est obligée de crier, de faire du b
embre 1889 et jan- vier 1890). A partir de ce jour, la malade s'est
sentie
physique- ment affaiblie. En 1895-96, un trai
de sa mère. La malade raconte que sous le chloroforme, elle croyait
sentir
Archives, 2o série, t. XV. la 226 CLINIQUE ME
icide parce que, dit-elle, sa mémoire s'effaiblissait et qu'elle se
sentait
incapable de travailler; elle absorbe du laudan
daient de travers et causaient d'elle. Parfois en marchani, elle se
sentait
poursuivie. Elle soupçonne une certaine personne
sont interprétées de façon très diverse. Tel malade déclare ne rien
sentir
du tout avec 4, 5, 6 milli- ampères, tel autre
danse autour de lui;'il ne peut s'empêcher de cligner des yeux, il
sent
qu'on lui tire le ventre, il ressent des douleu
partout, mais également des deux côtés ; les gros orteils réagis-
sent
en flexion. Or, lors de l'examen pratique le lend
et avec une grande abondance de larmes »6. « Depuis ce moment, elle
sentit
la plus grande joie qu'elle eût jamais éprouvée
e continue, avec de fréquens redoublemens. Elle fut la première à
sentir
que cette maladie le conduiroit en peu de jours à
face est congestionnée, surtout au niveau de l'os malaire qui pré-
sente
une teinte rouge notablement différente du côté s
de chemins de fer. En 1884, en se faisant la barbe, le malade res-
sent
une légère douleur au niveau de la région sous-or
ier 1901 ayant été obligé de sortir beaucoup parle froid, le malade
sent
le besoin de garantir sa joue avec son mouchoir.
Peu après la cessation de la fièvre (février 1902), la malade res-
sent
de chaque côté de la région occipitale, des doule
aisseur de la substance grise jusqu'à la substance blanche que l'on
sent
indurée au fond de l'anfractuosité; la substanc
s avoir pris dans la bouche de l'urine et des excréments, le malade
sentit
une irritation à la bouche et une démangeaison
es. Les conclusions sont les suivantes : 1° Il est plus facile de
sentir
deux contacts dissemblables que deux contacts s
ersonnes examinées en dehors de la série, l'écart néces- saire pour
sentir
deux contacts était toujours moindre, quand on
; 2" Un état habituel d'attente anxieuse, dans lequel le sujet se
sent
sans cesse comme sous la menace d'un événe- men
sujet, par une de ces associations morbides qui fréquemment unis-
sent
entre elles l'hysthérie et la neurasthénie ou enc
reconnaitle danger qu'elle a couru, est prise de remords amers, se
sent
assaillie de scrupules pour l'incorrection de s
En octobre 1901, un an environ après la mort de son mari, elle se
sent
prise des premières atteintes de son mal. Inquiét
ième jour, en descendant à ineufchàteau pour déjeuner, le malade se
sent
fortement indisposé. Il éprouve une impression
, les grandes fonctions du système nerveux cérébro-spinal parais-
sent
intactes : sensibilité générale, organes sensorie
ce et d'onction la nécessité de la pénitence, pour tous ceux qui se
sentent
redevables à la divine justice, que celui qui é
lui qui étoit venu pour se plaindre de l'enlèvement de son Curé, se
sentit
lui-même enlevé par la vertu toute divine de la
il dit à sa femme : « C'est une éloquence toute de feu qui se fait
sentir
au coeur, et qui l'embrase dans le même tems qu
née, à la suite d'une longue course faite pied et à jeun, « elle se
sentit
prise d'une dif- ficulté de respirer qui augmen
sueurs, ni par les urines, ni par haut ni par bas, sinon qu'on se
sent
guérir : car tous ne guérissent pas, mais j'en ai
hacun disoit être le spécifique de mon mal. Mais, bien loin de m'en
sentir
soulagé, ma paralysie augmentoit toujours'* ». Fa
corps passif. Dès lors, il est soumis aux lois physiques qui régis-
sent
tous les corps placés dans les mêmes conditions q
diminution dans les états de débilité, relativement à ce qu'il pré-
sente
à l'état normal ou du côté sain. G. Deny. XXIX.
importance : tout le monde connaît ces malades atteints de boulimie
sentie
, qui dorment après leur repas, et tiennent la n
laquelle participe la peau et avec laquelle elle fait corps. On ne
sent
pas une dureté profonde avec une peau mobile par
; le malade ne peut pas courir. Les mouvements complexes réussis-
sent
avec peine à cause de l'enchaînement et du trembl
le même sentiment de honte. Cependant elle rougissait qnand elle se
sentait
surprise et se mettait à pleurer. On la gronda
le ne distinguait pas plus les adultes en raison de leur sexe. Elle
sentait
très bien la différence quand il s'agissait des
le ne se calmait et ne pouvait espérer le sommeil que quand elle le
sentait
bien endormi. Chaque fois qu'elle avait éprouvé
thie primitive avec cette particularité : aucun des muscles ne pré-
sentait
de diminution sensible des excitabilités électriq
t que tandis que dans la plupart des cas ces altérations se tradui-
sent
par une diminution quantitative des excitabilités
ction de l'infection sur les centres vaso-moteurs, qu'elle se fasse
sentir
dans les ganglions du sympa- thique, dans la mo
our dans ce pays, qui dure 6 mois, il éprouve un mieux sensible, se
sent
plus fort, plus souple et plus dispos. A cette
et si la suspension se fait à l'aide des cordes dont les unes pas-
sent
au-dessous des aisselles seulement, il n'y aura q
amènera une hyperhémie. L'influence de la pression négative se fera
sentir
plus fortement sur les vaisseaux de la partie l
ations symptomatiques particulières suivant leur nature ; elle pré-
sente
néanmoins toujours un symptôme : la fièvre. Celte
de cas exceptionnels très difficiles à expliquer, mais qui se pré-
sentent
avec une certaine fréquence. Il existe donc des
ruel. - Son père était fils unique, ni lui ni ? iiièi-0 ne connais-
sent
les antécédents, Du côté maternel. Deux oncles bi
e dans laquelle les orteils fléchis vers le sol à angle droit oppo-
sent
la progression un obstacle considérable. Comme
e est rentrée dans les épaules et raide. Cou gros, court, raide, on
sent
que les muscles sterno-clnido-mastoïdiens sont
. Elle ne s'affirme qu'au moment où le malade est ému, lorsqu'il se
sent
observé ; on voit alors un des pieds s'immobili
osiques aux doigts de deux mains seulement. A l'âge de six ans elle
sentait
ses'crises arriver et prévenait toujours sa mère.
deux membres supérieurs. . Il n'y a de déformation nulle part. On
sent
un certain degré de raideur des bras quand on veu
ve cependant, et ils nous montrent que là encore les choses se pas-
sent
comme nous venons de le constater. Que se passe
s sur les deux premières lignes, A et B de la figure 1(i qui repré-
sentent
d'ailleurs comme la ligure 15 l'inscription du mu
éraux, et 4° troubles trophiques. Leurs combinaisons variées repré-
sentent
, schématiquement, pour ainsi dire, toute la clini
de luxer sans effort la tête fémorale en arrière. On peul alors la
sentir
ai- sément sous les parties molles de la fesse.
rte. Et pour les médecins la comparaison du type moyen qu'il repré-
sente
avec les individualités qu'ils ont sous les yeux,
s, résulte une claudication assez prononcée. De plus t le malade se
sent
, lorsqu'il marche, entraîné par le poids du corps
n perd peu à peu la finesse de sa sensibilité au contact. Le malade
sentait
malles fils avec lesquels il brodait ; il finit p
olume et en palpant la crête formée par les apophyses épineuses, on
sent
des nodosités volumineuses, des boinbu- DES DÉV
survint du côté du rachis. En 1880, il prétend avoir non seulement
senti
, mais encore perçu par l'oreille un déplacement
il traversait une rue, se hâtant pour éviter une voiture, il aurait
senti
, suivant son expression, comme une houle dure p
davantage l'exploration. Le reste du segment lombaire est facile à
sentir
; il paraît être porté en totalité d'arrière cu
dos corps vertébraux lom- baires. Dans le sommeil chloroformique ou
sent
assez bien la cinquième lom- baire, débordant l
s l'une de l'autre par un inter- valle très exagéré, dans lequel on
sent
une boucle (Spanye) dirigée en haut et à droite
it, même sous le chloroforme, le sujet ayant quelque embonpoint. On
sent
néanmoins ;i environ 1 centimètre au-dessous d'un
servations publiées diffèrent par quelques détails, mais elles pré-
sentent
des analogies frappantes. Par leurs traits essent
manoeuvre peut provoquer de la douleur dans le muscle af- fecté. On
sent
d'ailleurs, en déprimant le flanc du côte infléch
au pôle négatif et au pôle positif. Au lieu que NFS et PFS apparus-
sent
, comme chez les malades de Erb, avec des courants
ce seulement, d'une scoliose homologue associée à la sciatique pré-
sente
. En terminant ce chapitre, notons qu'on pourrai
e. Au contraire la colonne lombaire demeure rectiligne ou bien pré-
sente
une concavité vers le côté paralysé. C'est dire q
tions toniques et durables. Ainsi la ligne 3 de la figure 27 repré-
sente
des secousses produites par le pôle positif, avec
la 3° minute ces secousses diminuent de tonicité ; elles se compo-
sent
alors d'une secousse initiale, brève, suivie d'un
n plaques. Ataxie héréditaire ou maladie de Friedreich. Elle pré-
sente
peut-être plus de points de ressemblance avec l'a
atement l'attention par leurs mouvements singuliers, qui se produi-
sent
d'eux-mêmes en dehors de la volonté et qui ne se
cette distinction nécessaire des mouvements athétosiques qui repré-
sentent
le prototype, les mouvements de l'athétose vraie
son de Tobie » reste une oeuvre de haute va- leur, dans laquelle on
sent
la main d'un sculpteur qui s'élèvera aux plus h
lanchette-support du diapason, au point où les vi- brations se font
sentir
avec le plus d'intensité, une petite tige de cuiv
de l'ac- tion du traitement. L'amélioration se fait généralement
sentir
dès la 5° ou 6e séance de tré- pidation. Elle p
de Parkinson. Aussitôt descendu du fauteuil trépidant, le malade se
sent
plus léger, il semble que sa raideur ait dispar
pas paru être sensiblement influencé. Ce bien-être se fait surtout
sentir
le jour du trai- tement, d'où la nécessité de f
ût à les garantir avec des mitaines et des bas chauds. Parfois elle
sent
un froid qui semble siéger dans les os, dit-elle,
e sent un froid qui semble siéger dans les os, dit-elle, et se fait
sentir
dans le dos surtout. L'appétit est conservé,
crache ensuite. Ce qu'elle mange est bien digéré ; elle n'a jamais
senti
son estomac. La constipation est très opiniâtre
te énergie de ses mains, le malade est remar- quablement faible, on
sent
à peine leur pression et c'est tout juste si il
'octobre 1885, il s'est un jour brûlé les mains à son poële sans le
sentir
; il ne s'en est aperçu qu'en constatant les tra
ctères eux-mêmes de cette anesthé- sie. Le malade dit parfois qu'il
sent
soit la douleur, soit le contact, soit NOUVELLE
YÉLIE TYPE MORVAN. 289 la température dans un point limité où il ne
sentait
pas la veille, mais même dans ces cas il commet
séparées des phénomènes d'évolution et de croissance qui les régis-
sent
. l. Très rapide dans la première période de la
t : la tristesse profonde et cette inquiétude vague de celui qui se
sent
menacé d'un éminent danger. « J'ai une grande peu
s il existe du myosis, mais le signe de Romberg est fréquemment ab-
sent
. Nous possédons par devers nous au moins 6 cas de
rolongées, suivies d'hypnose post-convulsivo. Ces crises se produi-
sent
tous les jours et même pendant la nnit. En vain
générale est diminuée il droite ; la piqûre de la peau est il peine
sentie
. L'examen des sens spéciaux n'a pas été fait. L
qu'à bon escient, encore que beaucoup de stigmates hystériques fis-
sent
défaut. Il nous suffirait à nous de nous abrite
étudier ses effets ; mais tout en reconnaissant la lacune que lais-
sent
mes recherches, je me permets de relater ici tout
gts, dans la sphère du médian, étaient de- venus insensibles, et ne
sentaient
même plus les doigts du masseur. Le malade quit
tement que la sensibilité; les muscles de l'éminence thénar parais-
sent
se contracter dans le mouvement d'opposition, qui
xposé au soleil, il est pris d'un éblouissement avec vertige. Il se
sent
défaillir et tombe à terre sans perdre tout d'a
s sur le scrotum. Il y a 15 jours, en revenant de son travail, il a
senti
brusquement ses jambes fléchir sous lui et il s
osis il y a 8 jours. A la suite d'un grand orage, cette enfant res-
sent
de violents maux de tête et le lendemain, à son r
supérieurs : mais quand on soulève les deux membres inférieurs, on
sent
une raideur assez marquée des deux côtés ; la rés
ont provoqué sur les cuisses quel- ques lésions de grattage. On ne
sent
pas les nerfs poplités ; les nerfs scia- tiques
re de lui, dans les 3° et 4e espaces interdigitaux. La piqûre n'est
sentie
que vers le milieu du pli cutané moyen, à l'ext
est dirigé parallèlement à un filet du nerf musculo-cutané que l'on
sent
sous la peau. Celui-ci est mis à nu sans diffic
dénués de cellules embryonnaires. Les vésicules adipeuses s'y pré-
sentent
un peu moins abondantes que normalement. Quant au
dent pendant deux ans. Il a commencé alors à avoir des vertiges, il
sentait
quelque chose qui lui serrait la gorge et il se f
45 kilog pour la main droite, de 40 pour la main gauche. Il ne pré-
sente
sur les membres et le tronc aucune déformation no
eux côtés, surtout la nuit. Dans la journée quand il marchait il ne
sentait
rien. Cela dura 2 ou 3 mois. Céphalée qui reven
sur- tout dans le genou, le mollet et le pied. Dans la hanche il ne
sentait
rien. 146 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
ise est suivie de quel- ques jours de fatigue, après lesquels il se
sent
plutôt mieux. 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
vant, il Veut se lever ; mais à peine a-t-il mis pied à terre qu'il
sent
ses jambes se dérober sous lui et qu'il est con
ter que la pie-mère n'est pas seulement épaissie, mais qu'elle pré-
sente
en de certains points des amas de petites cellule
sculaires dans la même région. Racines rachidiennes. Elles pré-
sentent
des lésions scléreuses très ac- centuées. Dans
he la pie-mère qui est épaissie et infiltrée en ce point. Elle pré-
sente
en cette région un gros vaisseau qui chemine dans
, que dans la paralysie générale progressive, les muscles ne subis-
sent
pas de réaction de dégénérescence, comme on pourr
les pliegos espagnols, les graveurs, amoureux du symbole, le repré-
sentent
« portant au milieu du front une croix lumineuse
Les cordons postérieurs seuls paraissent avoir souffert : ils pré-
sentent
une coloration grisâtre, leur tissu est diminué d
s adjacentes sont confondues avec le périnévre épaissi ; elles pré-
sentent
de nombreux petits vaisseaux oblitérés. Région
du 10 au 30 septembre) ; elle est absolue. La piqûre est parfaitement
sentie
. Le bras gaucho est un peu moins paralysé : il
incontinence. Constipation opiniâtre : les matières sont moins bien
senties
que d'habitude au passage ; quelquefois incontine
recouvre ses mouvements. A mesure qu'ils reviennent la malade res-
sent
des crampes dans le membre inférieur gauche, et l
e sont beaucoup moins importants. Le contact léger est parfaitement
senti
et localisé. On note seulement une légère di- m
it qui n'existait pas lors du premier examen). La piqûre légère est
sentie
, même dans cette ré- gion. Dans le membre inf
maintenant le siège de contractures intermittentes, qui se produi-
sent
indépendamment de la volonté du malade, et qui en
ue je venais de m'imposer. Une seule chose m'encourage, c'est de me
sentir
en communauté complète d'idées avec les lecteur
ictions surtout au début. Puis un jour, en faisant une promenade il
sent
une faiblesse croissante dans les jambes, et il
conservée partout. Seulement le froid et la piqûre sont moins bien
sentis
à gau- che qu'à droite (sur la jambe et sur le
ait son entrée à Paris le 11 décembre 1888, le lendemain il se pré-
sentait
à la Salpêtrière où il a été admis dans le servic
nt. Il avait les pieds meurtris, et pendant plusieurs jours, il ne se
sentit
pas le courage de sortir un instant du lit. Enf
ervé (pinceau), la douleur n'est pas perçue, - le froid et le chaud
sentis
comme un contact. (il suivre) Henry Meige Fig
ait pas de contracture, mais au moment où j'ordonnais au malade, de
sentir
, la contracture, jusqu'ici absente, apparais- s
duit un bruit vé- ritable. De même, si je suggérais au malade qu'il
sente
du sel sur toute la langue, une contracture bil
suivie de mouvements des doigts de la main droite ; ils se fléchis-
sent
et s'étendent, puis la main se ferme et le bras d
lfactifs, sont caractérisés en général par ce fait qu'ils apparais-
sent
toujours et exclusivement du côté où l'excitation
s, quoique toujours très abondantes. Avant sa maladie, elle ne pré-
sentait
rien d'anormal au point de vue psychique, sauf un
'elle eut une première attaque. Se promenant avec une amie, elle se
sentit
tout d'un coup défaillir; elle per- dit connais
iécé, des souliers fatigués, un cha- peau informe et cependant on y
sent
une certaine prétention, une tentative d'é- lég
sur les membres du côté droit (correspondant aux régions où s'accu-
sent
les plus vives douleurs). Les sens spéciaux ne
mand à l'égard de ses congénères vivants, dont un grand nombre pré-
sente
le phénomème étrange de Juif à cheveux blonds ))
la façon suivante : elle se fatiguait au bout de quelques minutes,
sentait
ses jambes comme coupées et était obligée de s'ar
ès avoir franchi une petite distance elle éprouve de la fatigue, se
sent
étourdie, festonne puis perd l'équilibre et se tr
es sont perçues, il semble pourtant que le chaud et le froid soient
sentis
moins nettement dans le territoire des 2° et 3" d
la est fréquent malgré une compression aussi étendue la moelle pré-
sente
très peu de lésions. Il n'existe d'abord aucune l
moins pour certains aliments, tels que le poisson, les légumes ; il
sent
fort bien les aliments salés et vinaigrés, qu'il
ssure la- biale ; pour le porter à droite (côté sain), le malade le
sent
pesant et lui fait à peine dépasser la ligne mé
t mieux à droite qu'à gauche. Sel, sucre et vinaigre sont très bien
sentis
par la muqueuse de la voûte palatine. L'excitab
voir subi une dizaine d'injections de biiodure cacodylé à 0,01. Il se
sent
mieux. Il n'a plus de difficulté pour parler, e
u bien au contact du froid. Dans cette même période, le malade res-
sentit
les premières douleurs sous forme d'arrachement a
assagère à peine accentuée. Avant la maladie actuelle le patient se
sentait
bien portant, était actif et énergique ; cepend
ssent la moitié gauche de la cage thoracique, commencent à se faire
sentir
sous forme de douleur fixe, entourant le bas du
musculaire revient à l'état normal ; seule la chaleur se fait moins
sentir
aux jambes et aux pieds, et il arrive au malade
apparaît transitoire, mais de plus en plus fréquente ; elle se fait
sentir
le plus fortement pendant la nuit et exclusivemen
er. En outre l'état général s'améliora nota- blement ; le malade se
sentirait
après l'opération tout à fait bien sans le reto
3 ans, il comprenait la portée politique et morale. A 17 ans, il se
sent
esclave sous l'Empire, et veut la République. Il
LES 93 auquel, après une peur, elle a perdu la voix et a commencé à
sentir
des secous- ses dans les membres, ensuite dans
et de la face qui ont augmenté avec l'âge. Il y a trois ans elle a,
senti
des secousses dans les membres et dans le tronc
saurait être question de supercherie. Outre que l'éruption ne pré-
sentait
aucun des caractères d'une irritation externe et
ttent de ranger ces sujets parmi des types morbides dont ils repré-
sentent
un exemple certain, bien qu'incomplet. M. Taruffi
indre pour les frontaux et pour l'occipital dont la surface se pré-
sente
même irrégulière. Les os du nez sont peu proémine
quée tout de suite après la naissance et que l'intelligence ne pré-
sente
pas un grand déficit, on doit conçlure que nous a
s cheveux et le sommet du menton : 24 centimètres. Les cheveux pré-
sentent
le développement normal. La demi-circonférence
nt perceptibles. Le membre supérieur est court. La tête humérale se
sent
de deux côtés dans l'aisselle. L'extrémité du m
ont très dévelop- pées ; la chevelure est abondante, mais permet de
sentir
la suture pariétale et l'oblitération incomplèt
ait par une musculature très développée. Il lui arrivait souvent de
sentir
, après les exercices sportifs, une fatigue aux
e la position plus basse de l'articulation scapulo-humérale se fait
sentir
ici. Vu non seulement de la partie antérieure, ma
point de paresthésie des membres; sur la région des omo- plates, il
sent
de temps en temps un fourmillement gênant. La c
itée. Par le palper de l'épaule joint à la mobilisation du bras, on
sent
une crépitation sourde. La tête de l'humérus es
isément, et en maintenant solidement avec la paume de la main, nous
sentons
la région reprendre sa forme normale Chose cu-
aussi notée dans les autres ventricules. La moelle épinière ne pré-
sente
macroscopiquement rien d'anormal. - L'examen micr
ines ne présentait rien d'anormal, leur partie intramédullaire pré-
sentait
des fibres tuméfiées et séparées les unes des aut
de montre d'ailleurs des lobes latéraux absolu- ment normaux, et on
sent
bien l'isthme thyroïdien. : i Aucun trouble non
lements sont très manifestes, la malade est toujours agitée et pré-
sente
des tressaillements. Quand on lui prend le pouls
e et pré- sente des tressaillements. Quand on lui prend le pouls on
sent
les tremblements et les tressaillements des mem
obe médian était à peine visible et la glande était.fibreuse etpré-
sentait
une dégénérescence colloïdale. Turrettini (2) p
y a pas d'éruptions, ni de nodosités. Les parties génitales ne pré-
sentent
aucune trace de pigmentation. Aux membres infér
rancs et elles sont douloureuses à la palpation. A leur niveau l'on
sent
que le tissu cutané est adhérent à la région so
l existe un véritable méplat formé par le tendon. A la palpation on
sent
que ce tendon est très endurci, volumineux, presq
ontre qu'il s'agit de véritables troubles trophiques qui n'intéres-
sent
pas seulement les parties molles, mais encore les
n'existait pas depuis longtemps peut-être ; certains névromes pré-
sentent
une indolence remarquable. On peut admettre avec
ste malgré tout, un plus ou moins grand nombre de fibres qui tapis-
sent
le fond des circonvolutions et leurs irradiations
ciale. L'accouchement fut normal. Quinze jours plus tard, elle res-
sentit
, du même côté que la paralysie faciale, une cépha
clérose moins prononcée qu'à gauche. L'essence de girofle n'est pas
sentie
à gauche ; du même côté, l'acide acéti- que pro
t... midi... bouillon. De combien êtes-vous enceinte ? Sept mois.
Sentez
-vous remuer ? - Oh ! oui. Que fait votre mari ?
âce au toucher qui paraît normal. Lorsqu'il touche quelqu'un, il le
sent
. Odorat 'et goût pa- raissent normaux. L'excita
doigt, on ne constate de secousses musculaires que lorsque le doigt
sent
une contraction de l'orbiculaire. Si au contraire
d'avoir moins de force dans le bras et la jambe du côté droit, elle
sent
sa jambe droite plus lourde et plus maladroite qu
ue disséminé dans toute la substance blanche. Dans le cervelet on
sent
une induration au cerveau du lobe droit. Le vermi
dit n'avoir jamais eu de poils sur la face. Au niveau du cou on ne
sent
pas les lobes du NOUVEL ! Iconographie DE la SA
isette ne présente pas la sensibilité spéciale à la pression, on ne
sent
pas l'épididyme séparé du testicule. Le testicu
age un aspect bestial. Les autres os de la face ou du crâne ne pré-
sentent
pas un aspect anormal. Les dents sont implantées
ssique des os pagétiques. La fragilité extrême de ces os s'est fait
sentir
notamment dans notre première autopsie où, malg
rties voisines; plus exactement, la pesanteur se faisant évidemment
sentir
de haut en bas, on devrait dire qu'il y a abais
2e et 3e orteils, et ce n'est pas là la seule anomalie qu'ils pré-
sentent
, mais on relève aussi dans chacun d'eux la soudur
, toutes les parties de ces os, mais surtout leurs extrémités, pré-
sentent
une exubérance remarquable du tissu osseux : des
r. La maladie actuelle a débuté il y a 17 ans, date à laquelle il a
senti
une faiblesse dans le membre inférieur gauche.
les flancs, surtout il gauche, irradant sous les fausses côtes. Il
sent
des fourmillements et des engourdisse- ments de
e des jambes faiblit tellement qu'il dut recourir aux béquilles. Il
sentait
des fourmillements et des engourdissements accent
il a été soigné dans un hôpital rural et après cet intervalle il se
sentit
effectivement amélioré. Cette rémission s'est mai
ité. La démarche était possible pendant les périodes d'accalmie, il
sentait
pour- tant parfois des élancements douloureux d
au-dessus de celle de droite. La peau n'est pas hyperhémiée, on ne
sent
pas de fluctuation superficielle, la palpation
s. Il présente des troubles du sens coenesthé- sique, ainsi, il dit
sentir
les jambes énormément gonflées. 13. - Les doule
ième ni de la huitième, de même, les quatrième et cinquième s'unis-
sent
la dixième. La théorie dite segmentaire ne suppos
mérus au carpe ? Ces longs muscles qui franchis- 6 CESTAN ET HUET
sent
sans s'y insérer tout un segment sont-ils compara
uloureuse. Il n'y a donc pas lieu de tenir compte des douleurs res-
senties
pendant les premières années de la maladie et qui
e de nombreuses sensations purement subjectives, elle dit t qu'elle
sent
mal le sol, il lui semble qu'il y a du coton sous
dit, qu'un certain nombre, parmi ceux qui ont été publiés, ne pré-
sentait
pas aussi l'astasie ? On comprend bien que, pour
venir aux formes atypiques. Le besoin des formes atypiques se fait
sentir
dans la publication, pendant 5 ans, d'une série d
il n'y avait rien d'anor- mal. 2-3 mois après, le malade commence à
sentir
une faiblesse dans les arti- culations du genou
es paupières fortement fermées et en plis- sant le front, le malade
sent
quelque chose qui lire du côté externe des pau-
pau- pières supérieures. Après avoir montré les gencives, le malade
sent
quelque chose qui empêche les muscles de reveni
ment il l'état de repos. En tournant le cou latéralement, le malade
sent
quelques douleurs, d'autant plus fortes que le
ous des formes différentes : tantôt les noyaux multipliés se dispo-
sent
sous le sarcolemme en forme des chaînes plus ou m
regorgement et on lui avait mis une sonde à demeure ; il prétendait
sentir
le contact de la sonde. Ses urines contenaient
stic. - Messieurs, le pronostic à porter dans le cas actuel se pré-
sente
sous des couleurs assez sombres, voici pour quell
tion urinaires, partant de la vessie. Ces conséquences se sont fait
sentir
, depuis quelque temps déjà ; à preuve cet état
e contracture musculaire. Par contre, dans l'inspiration forcée, on
sent
les muscles intercostaux externes se contracter e
si on examine la paroi antérieure de l'aisselle, il semble que l'on
sente
au-dessous de la peau un faible plan musculaire
ou- leur y sont immédiatement et nettement localisées, aussitôt que
senties
. Quant à celles qui appartiennent à la vie de r
sa distribution topographique ; et, le malaise disparaissant, nous
sentons
le bien-être, le bon ordre et le bien-aise se réi
ctilité, nous pourrons ne plus définir les contacts et même ne plus
sentir
une impression continue, mais nous resterons sens
ctilité peut être très émoussée chez un sujet, au point qu'il ne se
sente
plus un contact continu ; elle se réveillera qu
nous-même, et objectives en ce sens qu'une partie de nous-même les
sent
et les localise en nous. Ce qui se passe en ma
orte, semble s'animer et s'affirmer à moi objectivement; il se fait
sentir
et connaître à moi, comme si sa personnalité de s
n ; je ne trouve pas de mot plus juste. Quand je veux compren- dre,
sentir
, percevoir, - quand je veux me souvenir, retrouve
vec la motricité. Mais la mise en tension de toutes ces régions est
sentie
de même, parce qu'elles of- frent le même mode
e cérébrale. « Il n'y a donc pas de sens musculaire spécial. Nons
sentons
notre volonté au point de notre écorce où elle
e volonté au point de notre écorce où elle prend naissance, nous en
sentons
les effets asso- ciés au point de nos segments
ons qui régissent le maintien des attitudes, et leur action se fait
sentir
sur toute la motricité appropriée, particulièreme
gurées, tableaux ou gravures qui, sous des titres divers, reprodui-
sent
la même scène qualifiée de la façon la plus expre
ue le malade contracte ses fléchisseurs et extenseurs comme s'il se
sentait
peu solide sur les jambes. Les réflexes patella
eil circulatoire. Pouls lent et faible. Les bruits du coeur parais-
sent
un peu assourdis. Appareil digestif. Le malade
fusions sanguines sous-pie-mériennes, mais l'hémisphère gauche pré-
sente
une très volumineuse tumeur en forme de tête de c
trés deux fois chaque nuit. Dans la journée du la août, le malade a
senti
subitement que son bras droit devenait lourd et
ment d'ongle du diamètre d'un grain de chéuevis. A la palpation, on
sent
comme une phalangette dans ce bourrelet. Annu
te, disposées en bracelet autour du poignet. Dans cette masse, on
sent
aisément le gril des 5 métacarpiens. A l'extrém
asses secondaires d'inégal volume. En palpant dans la profondeur on
sent
nettement (outre l'auriculaire ci- dessus décri
demment décrite. Dans la masse molle, du côté radial de la main, on
sent
la phalange du pouce, contenue dans un gros bou
rs, ces deux bourgeons s'écartent comme deux clapets. Au-dessous se
sent
de chaque côté une partie dure, rudiments du maxi
us vos yeux, mais vous remarquerez que ici devant vous le malade se
sent
un peu moins angoissé et qu'il reste plus longt
suppose quelques muscles dans la moitié supérieure de la cuisse. On
sent
les battements artériels de la fémorale, le lon
absente, est encastrée entre les deux condyles, souvent difficile à
sentir
au palper. Le péroné, épaissi, semble vouloir
; le scro- tum est petit comme celui d'un enfant de 8 à 10 ans ; on
sent
un cordon ter- miné par un petit moignon du côt
it que « du noir sur du blauc ». On écrit son nom et on le lui pré-
sente
; il répond : « C'est quelque chose que j'ai l'ha
si près : de sorte que l'atrophie de la racine postérieure se pré-
sente
comme une atrophie simple, sans endonévrite. La
des plans plus rapprochés du ganglion. Le tissu conjonctif s'y pré-
sente
sous l'aspect de faisceaux extrêmement épais, sou
en long, dans l'intérieur de la racine ; ces altérations apparais-
sent
le plus souvent dès sa pénétration dans la gaine
capsulaires sont proliférées, mais les cellules nerveuses ne pré-
sentent
pas d'altération manifeste. Les racines antérie
d'une « noce avec des camarades, contracta la syphilis. Il en res-
sentit
une vive contrariété à raison de l'obstacle qu'il
ire (1). En général, les attitudes persistent tant que le malade se
sent
observé; sitôt qu'il s'aperçoit qu'on ne le reg
st d'ailleurs à remarquer en général, que le : malade, sitôt qu'il se
sent
ob- servé, modifie sa manière d'être dans le se
d jamais lorsqu'il est directement interpellé, ou seulement s'il se
sent
observé, Le même fait se reproduit à propos de
ale di San Spirito in Sassia, à Rome. A son retour en France, il se
sent
fatigué, souffre d'un point de côté droit, est
lentille. Les exostoses les plus volumineuses et les plus faciles à
sentir
siègent l'une à l'union du tiers inférieur avec
é à la contagion de cette maladie. On n'a pas non plus jusqu'à pré-
sent
signalé les exostoses multiples parmi les trouble
ant parmi ses fleurs. « Cette vue lui a ins- piré une passion qu'il
sent
désespérée et incurable (2). » Pour apitoyer (1
c différentiel, et que des réflexes plus ou moins normaux n'autori-
sent
pas à affirmer l'origine psychique d'un spasme.
oubles de la vision, plus nombreux dans l'hérédo-ataxie, se tradui-
sent
dans le Friedreich et chez Vi ? par un symptôme u
si.spéciale par les conditions dans lesquelles elle apparaît, pré-
sente
des caractères histologiques non moins spéciaux :
et auteur reconnaît d'ailleurs qu'indépendamment du tabes elle pré-
sente
des altérations conjonctives assez fréquentes; d'
ne manière bruyante ; les mouvements du membre inférieur droit pré-
sentent
aussi ces caractères, mais d'une manière bien moi
Ces noyaux, dont l'atmosphère de protoplasma se distingue mal, pré-
sentent
des dimensions variables ; les plus petits ayant
s qui la compo- LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 527
sent
préexistaient sous les cellules de Purkinje et le
guère que celui d'une noisette. Le toucher rectal ne permet pas de
sentir
la prostate ; comme c'est la règle dans l'atrophi
ies molles qui masquent les extrémités articulaires et empêchent de
sentir
le relief que forme à la surface de l'os le car
ant l'en- leva sur ses épaules comme une plume ; mais bientôt il se
sentit
écrasé sous le poids d'un énorme fardeau. L'enf
Louvre, on voit encore deux dessins de J. BELLINI, dont l'un repré-
sente
saint Cristophe sous les traits d'un adolescent g
jours après sa naissance. A partir de cette époque ses règles ces-
sent
de paraître ; ses seins se modifient, diminuent d
deux ans environ : il se plaignait de douleurs dans les jambes, de
sentir
ses idées disparaître ; il disait à son entourage
sentir ses idées disparaître ; il disait à son entourage « qu'il se
sentait
devenir fou ». Esprit de contradiction à tout pro
adie, seulement le dos était moins courbé, bien que les jambes fus-
sent
plus prises et, particularité importante, les épa
t bien portante; mais la même série de symptômes se reproduit; elle
sent
peu à peu ses jambes plus faibles ; un an et demi
graphies ci-jointes (PI. III) donnent une idée de l'aspect que pré-
sente
cette singulière paraplégique. Elle ne marche p
utres que dans les racines postérieures. Les espaces qu'elles lais-
sent
entre elles sont occupés par du tissu conjonctif
e et le tissu interfasciculaire, le tissu intrafasciculaire ne pré-
sente
pas la même augmentation. - On voit combien il
sse ; et ce qui frappe surtout, c'est la double courbure qu'il pré-
sente
, convexe en avant et en dehors. Cette déformati
e n'est encore qu'un bien faible souffle de vie. L'étude de l'homme
sent
toujours le ca- davre. Aussi bien, ce n'est p
issolution finale, et, par les modifications intimes qui se produi-
sent
alors dans tous les tissus, en altère profondémen
e cou fléchi en avant. Les muscles en question non seulement abais-
sent
le maxillaire, mais l'attirent un peu en arrière,
chapitre est loin d'être clos. Bien des questions sont jusqu'à pré-
sent
à peine effleurées. Nous ignorons bien souvent le
emarqua les premiers symptômes une nuit en voulant se lever , il se
sentit
alors très faible, eut de la difficulté à se se
le, il détruit presque complètement toutes les fibres qui le compo-
sent
, et ne respecte que quelques faisceaux isolés de
artie externe du pédoncule ne sont pas terminales, mais s'anastomo-
sent
richement, surtout dans les parties latérales de
ement et que l'interruption de la circulation sanguine s'est fait t
sentir
seulement clans quelques-unes de ses collatérales
On sait bien que les artères des cordons postéro-tatéraux qui nais-
sent
du réseau périphérique pénètrent dans la substanc
n'est pas soudée complè- tement et, sur la ligne médiane, le doigt
sent
un sillon net. Mais si les os ne sont pas soudé
es épaules; le cou est très court et la palpation ne permet pas d'y
sentir
le corps thyroïde. Le tronc est d'apparence nor
res de longueur, est de la gros- seur d'un crayon ; à peine peut-on
sentir
sous les doigts rouler le corps caver- neux qui
Mydriase paralytique (paralysie de la 1111, paire). La pupille pré-
sente
une dilatation peu considérable, moyenne ; son di
nullement compte des objets qu'on lui met dans la main droite ; il
sent
à peine I qu'il a quelque chose dans la main, e
le vivement et à haute voix. Il veut n'avoir plus de maux de tête, se
sent
capable de marcher dts heures entières, de soul
e ; le bras de ce côté existait seul ; son volume était normal, et on
sentait
distinctement sous la peau un humérus terminé p
le, long tout au plus de 3 centimètres; à travers les téguments, on
sent
les deux tubérosités de l'humérus, mais rap- pr
articulation de la première phalange avec un segment du fémur : on
sent
cette articulation à travers les chairs, mais c
pyramide à parois musculaires, dans l'intérieur de la- quelle on ne
sent
qu'un rudiment ostéo-fibreux, qui n'offre aux mus
ne paraissent constitués que par des parties molles ; cependant on
sent
profondément une sorte de corde fibreuse qui le
Dans l'espace in- tercepté entre ces deux derniers os, on cesse de
sentir
d'autres os, et on est certain que les métacarp
in que les métacarpiens de l'annulaire et du médius font défaut. On
sent
la mobilité d'une première phalange sur la tête m
n retrouve une apparence de main. Quel- ques ossicules peuvent être
sentis
dans ce moignon, au-dessous des apophyses stylo
avait les caractères d'une main rudimentaire ; à la palpation on la
sentait
reliée aux parties pro- fondes par un pédicule
plombs de chasse. La peau est saine et de coloration nor- male. On
sent
très bien, au palper, deux extrémités osseuses co
e l'extré- mité de la verge pendante. Dans la jambe nous n'avons pu
sentir
qu'un os, et cet os, légèrement incurvé, à conv
artie postérieure dans la double gouttière ostéo-fibreuse, qui pré-
sente
sa disposition normale. De là les tendons gagnent
t, par son extrémité supérieure, cet os unique de l'avant-bras pré-
sente
quelques caractères qui le rapprochent du cubitus
l est l'os qui supporte ce membre abdominal, fémur ou tibia ? On ne
sent
pas de tubé- rosité trochantérienne, pas de tra
n étranges : en effet, B... pour faire passer ses aliments, qu'elle
sent
arrêtés au niveau de la portion inférieure du s
psychique. Pendant la traversée, si le ballottementnese faisait pas
sentir
, ou pendant notre séjour dans les ports, il y e
s cérébelleux, qui ne sont autre chose que de grandes lacunes, pas-
sent
encore, évidemment à tort, pour des raretés.En ef
ngulièrement la lecture de celles du cerveau sénile. Elles fournis-
sent
la preuve que la sénilité du système nerveux est
de troubles auriculaires appréciables ni de troubles gustatifs (il
sent
le salé et le sucré). Il semble qu'il y ait une d
de vomissements qui n'a cessé que ce matin. Depuis quelque temps il
sent
des bourdonnements et des bruits de cloche dans
en effet, qu'il y ait une hémi-hypoesthésie droite très légère : il
sent
moins bien le sol de ce côté ; il laisse parfoi
être fréquente. Le pouls égal, régulier, faible, bat à 90. Le malade
sent
la forte piqûre. Signe de Babinski bilatéral. L
ulbe, les lacunes deviennent de plus en plus petites, et n'intéres-
sent
aucun des noyaux d'origine des nerfs bulbaires. (
es oculaires ; les membres supérieurs pré- 372 RAYMOND ET ALQUIER
sentaient
un tremblement intentionnel de tous points analog
oelle ; dans les régions cervicale et dorsale, les méninges parais-
sent
épaissies. La section de la moelle fait constat
quence des zonas a été signalée en mars et avril, et qu'ils se pré-
sentent
souvent en état de pseudo-épidémicité. Il s'agi
nduit auditif est imperforé; sous l'opercule cutané qui le ferme on
sent
un orifice atrésié. L'oreille droite est embryo
certain nombre d'anomalies et de malformations congénitales parais-
sent
tirer leur origine de conditions antérieures à la
, elle se conçoit également si l'action de la compres- sion se fait
sentir
sur des régions similaires de l'embryon. La multi
lles qui commandent les mouvements du membre supérieur, n'apparais-
sent
point à ce premier examen comme offrant des diffé
en explorant avec soin les divers points de ces deux mamel- les, on
sentait
partout à travers la peau la consistance et la se
se sont reproduites dans trois générations successives nous parais-
sent
favorables à cette interprétation.' Observation
dureté extrême et pré- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 465
sente
un renflement fusiforme dans son tiers supérieur
cillations normales. Quand on recherche les réflexes-patellaires on
sent
une résistance de la jambe à la flexion ou à l'
Mais s'il maintient pendant quel- ques instants sa tête fléchie, il
sent
peu à peu les muscles de la nuque se relâcher l
lme,puis la rotation de la tête recommençait. t. Aujourd'hui, il se
sent
mieux ; il a pu faire quelques pas dans la rue
prochaine et complète. il est obligé de quitter Paris ; mais il se
sent
en mesure de poursuivre chez lui d'une façon régu
et plus lents que pendant mon séjour à Paris, ont commencé se faire
sentir
; j'arrive à lire un peu et quelquefois à écrire
te se renverse violemment en arrière et des oscillations se produi-
sent
de bas en haut lorsque j'essaye de la fléchir. Co
une fatigue par les mouvements et, les résistances qui s'y produi-
sent
. Je redouterais, si cette situation persistait, l
me semble présenter quelques-unes des défectuosités qui caractéri-
sent
le tiqueur ; il est désordonné, émotif, souvent p
jour, Chaque nuit, dans leur séjour, Où sans corps il se transporte,
Sentent
des esprils follets i.e voilà mis à la porte;
séchés. Vous son médecin, son sauveur, vous êtes un Dieu pour lui; il
sent
tout ce qu’il vous doit, et manque souvent de ter
ffrance. Dans l’intervalle de chaque pansement des douleurs se font
sentir
; quand elles acquièrent une certaine intensité, l
dirigent leurs doigts sur lui ou le magnétisent par la pensée; car il
sentait
parfaitement l’action tout à fait occulte du magn
tère que nous connaissons, s’il lui a été donné de se voir mourir, il
sentira
vraiment, il verra même autre chose que son ombre
ébranler tout le système nerveux, mais se faisait « particulièrement
sentir
à la saignéetiu bras gauche. « Le soir, sa robe t
ultat l’évanouis-« sement de ce phénomène avant que les savants eus-«
sent
examiné, mieux que je n’ai pu le faire, cet élut
s secousses dans le dos : le fait est possible, mais moi je n’ai rien
senti
. Les docteurs Ragaine et Saint-Lambert e t M. C
bservateur, approchée de leur point de départ, pouvait facilement les
sentir
. Un souffle léger, un courunt d’air frais peut as
rale, joint à une pâleur mortelle, fit éloigner cette dame, qui ne se
sentit
nullement incommodée, et voulut, au grand étonnem
ique des intestins, dei’estomac et du mésentère. Ce que le • malade
sent
monter du bas-ventre à l’épigastre est « une irri
er. J’étais de plus en plus avide de voir, et plus je voyais, plus je
sentais
quelque chose en moi qui mo disait : Expérimente
e ait dû bien en souffrir auparavant, elle ne me paraissait pas alors
sentir
son mal. J’examinai de quelle manière et de quel
oigts dans chacune de ses mains, pendant que la baguette tournait, je
sentais
des battements d’artères tout à fait extraordinai
; l’opérateur nous t »«vent déclaré qu’en approchant d’une source il
sentait
dans tout sou corps, e« surtout dans sc» mains et
s’efforce de faire comprendre par signes, et sa mère traduit qu’il a
senti
on bourdonnement extraordinaire dans les oreilles
urs quelques particularités nouvelles. Une simple citation fera mieux
sentir
le degré de mobilité dont ces sortes d’expérien
version des divers sens, cette aberration multiple ^ans la manière de
sentir
, cette interversion des rapports de l’âme qui lui
ère qui le « lui avait jeté. Le lendemain, la cuisinière étant ab-«
sente
, l'entonnoir, accroché au milieu d’autres us-« tc
leur cœur alors ne sera plus sourd aux souffrances d’autrui, car ils
sentiront
en eux-mêmes qu’ils ont le pouvoir de les soulage
vers effets qui caractérisent le commencement d’action, deux enfin ne
sentent
rien. Seance du 1G avril. — M. Lovy demande si
cherchez dans votre cœur, dans cet ardent amour qui embrase ceux qui
sentent
les souffrances de leurs frères, et vous trouvere
dormirai pas. » Mais les mouvements se ralentissent; la magnétisée
sent
l’engourdissement l’envahir de plus en plus ; ell
on du magnétiseur, qui l’évite sans cesser d’agir. Bientôt après elle
sent
ses jambes fléchir et dit : Je ne veux pas dormir
t naturalisé en arabe, caractérise tout ce qui (lue, tout ce qui fait
sentir
son influence aü dehors; NoSç, àme, esprit, en es
lâché sa proie, non parce qu'il n’avait pas faim, mais parce qu’il a
senti
ce que sentent les animaux qu’on magnétise : la p
ie, non parce qu'il n’avait pas faim, mais parce qu’il a senti ce que
sentent
les animaux qu’on magnétise : la puissance d’une
pour travailler, car j’ai bien besoin; mais à neuf heures je me suis
sentie
engourdie; le sommeil m’a prise sans que je puiss
ux visiteurs; le mieux va toujours en augmentant ; le sommèil se fait
sentir
jusqu’à huit heures. 5 juillet. — Mômes résulta
e inné et commun à tons les individus de l’espèce, lequel, se faisant
sentir
plutôt que connaître, devient le mobile général d
d’une manière analogue à son organisation. L’empressement également
senti
pour la génération et la propagation de son espèc
ainsi que tout animal, se plaît à jouir des moyens par lesquels il se
sent
rajeunir, en recommençant, dans son enfant, la ca
iers que Sprenger a fait brûler, il récite qu’ils confessèrent qu’ils
sentaient
en extase les mêmes choses que s’ils eussent été
nt, le principe constitutif de la science. (4) Sympathie »»» txOr,,
sentir
arc*. Certain* somnambules dans le dérangement or
uvement par un consensus énergique, par un besoin commun profondément
Senti
, le moi individuel disparaît, et cette multitude,
it les affections morales les plus vives, et trop artiste pour ne pas
sentir
que les cordes de notre âme, répondant au même cl
la plaie béante, qui avait plus do huit centimètres de profondeur, et
sentirent
distinctement les battements de l’artère carotide
a un souffle qui l’impressionna si vivement, que sur-le-champ elle se
sentit
transportée d’amour et attirée irrésistiblement v
a façon du diable, et qui paraissaient l’ôtre « en effet; car elle ne
sentait
pas l'épingle lorsqu’on « l’enfonçait dans l’uno
ntre à la région ombilicale, je 1 attire magnétiquement. La malade la
sent
remonter peu à peu, et enfin reprendre sa posit
et les personnes qui maintenaient la malade lurent bien surprises de
sentir
graduellement affaiblir sa résistance. En peu d’i
nouvelles idées et les nouveaux faits. Beaucoup de magnétiseurs l’ont
senti
; ils se sont réunis, et maintenant persuadés qu’i
de tous les devoirs est donc la véracité et la probité. Il faut laire
sentir
à l’enfant les avantages de ces deux qualités, et
eté, de la propriété. Ils parviendront, par leur propre expérience, à
sentir
à chaque instant celte règle de la nature fondée
traîne en obéissant à l’attraction magnétique dont il est l’objet. Il
sent
au plus haut point l’action nosogénique des raé-
ois, deux mois et même plus s’écoulèrent, et au lieu d’accoucher elle
sentait
tous les jours dans le ventre et le bas-ventre de
ncipalement sur l’intelligence du magnétisé que votre pouvoir se fait
sentir
. Une remarque à faire, c’est que, en général, l
un effet toujours favorable; plus il y a d’effervescence, plus on se
sent
vivre; l'homme affaibli acquiert dans ce milieu l
soleil comme saturé et entouré d’un fluide dont l’influence se ferait
sentir
sur toutes les planètes, dont il est le centre et
ue ce mouvement est le résultat d’une attraction dont l’effet se fera
sentir
tant que la cause qui la produit existera? En e
and on n’est pas Dieu. « Le paganisme et le rationalisme l’ont bien
senti
, car ilsont voulu opposer aux miracles de Jésus-C
présente, par conséquent, de grandes différences dans les résultats.
Sentir
les maux est la plus commune faculté. Autre chose
(PI. II). La tuméfaction est ferme à la palpation, mais on ne peut
sentir
aucun relief osseux. Les mouvements de la derni
ôt l'ongle pousse dystrophié. Quand il s'écaille, les douleurs ces-
sent
. Cependant le malade doit arracher avec des cisea
maux. ° 1 1 Le Sophisme cutané est légèrement altéré; en effet l'on
sent
au toucher un certain degré de dureté de la pea
ues ; de même, bien que d'une façon moins nette, les choses se pas-
sent
dans le gigantisme, où les indices anthropométriq
ns le gigantisme, où les indices anthropométriques des membres pré-
sentent
des valeurs complètement inverses, dans le gigant
tro-latéral. Gowers a ajouté que lorsqu'on écarte les paupières, on
sent
de la résistance. A ce sujet, il est bien d'obs
du signe suggéré par Gowers, c'est-à-dire de la résistance que l'on
sent
en écartant les paupières de l'oeil atteint de
uolisés. 33° A. R., restait à l'hôpital 2 mois. Tout le temps il se
sentait
excité, en manifestant un état de confusion. En
ncommode et guindée. La démence n'a fait que s'accroître et il pré-
sente
, dans toute son ampleur, le syndrome des réponses
essus de substitution mentale, le besoin de tourner la tête se fait
sentir
chaque fois qu'elle se sert de la main droite ; e
trictement parlant psychogénétiques, mais que ces effets disparais-
sent
rapidement à moins que l'affection causée par le
son incapacité, de sa faiblesse et de son abattement mental. Il se
sentait
incapable de reprendre son travail. Dans sa famil
ambitieux. Somme toute, la situation était celle-ci : cet homme se
sentait
incapable, et ne voulait pas reprendre le dur t
symptômes désagréables disparurent. t, Le malade déclara qu'il se
sentait
comme délivré d'un cauchemar ; et il re- tourua
et le cou. Il se plaignait d'une sensation de fatigue le matin, se
sentait
épuisé et sans énergie pendant toute la journée
la figure 5 en est un exemple. La peau de ses membres inférieurs ne
sent
pas, jusqu'au Irait il l'encre, la chaleur désa
articulaire. Les mouvements passifs qu'on imprime aux pieds produi-
sent
de la douleur et la marche est fort pénible à cau
e l'articulation. Pour se rendre compte de sa nouvelle position non
sentie
, le malade exécute instinctivement dans les art
ment altérées et les phalanges résorbées ; malgré cela, les malades
sentent
par ces tissus profonds et ils peuvent marcher av
t infectieux commun, mais avec antécédents de famille lépreux, pré-
sente
des vésicules dans quelque point de la peau des e
onne n'ignore la cause la plus fréquente de ces panaris. Ils obéis-
sent
aux mêmes causes que l'on trouve pour les cas com
en particulier. Quant aux couches sagittales profondes, elles pré-
sentent
une dégénérescence diffuse de leur segment vertic
sions de la face inféro-interne du lobe lemporo-occipital retentis-
sent
sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge, ma
embres inférieurs, les pieds (PI. XL, fiez) élargis, épaissis, pré-
sentent
un sillon digito-plantaire extrêmement profond. L
orhitaires sont très en relief et, au niveau des sinus frontaux, on
sent
encore mieux qu'on ne voit une bour- snuflnre t
minale. Le fait que la main normale quant au nombre des doigts pré-
sente
cette disposition, et que le doigt supplémentaire
utre bien portants. Histoire de la maladie. - Le 10 mars 191, il se
sent
un peu fatigué. En môme temps, le membre supéri
ras, toute la main et les doigts. La face antérieure du bras semble
sentir
la piqûre aussi bien que du côté opposé. En tout
inversion de la formule polaire ; les fléchisseurs des doigts pré-
sentent
un certain degré d'liypoexcitabilité faradique et
ts. Ainsi, l'hystérique atteint d'une anesthésie ou d'une amaurose,
sent
affectivement avec la peau anesthésique ou voit a
s sont plus prononcés, parfois il n'est pas capable de prononcer un
sent
mot com- préhensible : ce ne sont que quelques
no-cléido-mastoïdiens paraissent légèrement touchés, bien qu'on les
sente
se contracter sous la main, leur relative faibles
portions moyenne et inférieure, des deux côtés. Les pectoraux pré-
sentent
une grosse hypoexcitabilité sans DR. Sur le bicep
à la selle quand il en éprouve le désir. Par intermittences, il ne
sent
pas passer les matières ni les gaz. En période
ue la malade se passe aux doigts, puis l'interrogatoire commence. «
Sentez
-vous quelque chose ? Non, il me semble que je n
- l'- minute (spontanément). Ah ! voilà, je crois que je commence à
sentir
. Je crois que je sens un petit chatouillement à
s que je sens un petit chatouillement à la main. Oui, je comménce à
sentir
. 2' minute (spon- tanément). Oui, je sens un pe
ctricité aux mains. 4** minute (spontanément). Voilà, je commence à
sentir
courant davantage. -âne minute (Question). Oui,
ie bénigne et les troubles nerveux d'ordre fonctionnel qu'elle pré-
sente
sont légers. Son fils semble atteint de la même
les quatre cas que nous avons eu l'occasion d'étudier nous parais-
sent
intéressants. I. Ectrodactylie phalangienne (Pl
ivantes : 336 ,KLIPPEL ET RABAUD et dorsale. A la palpation on ne
sent
aucune résistance pouvant laisser croire à l'ex
ion est normale, sillonnée de plis transversaux. A la palpation, on
sent
les os du carpe disposés en un tronc de pyra- m
igts ont sensiblement la même longueur; à la palpation cependant on
sent
une légère incurvation du médius vers l'annulai
cas particulier nous passons à l'ensemble des cas connus, nous nous
sentons
très enclins à penser qu'il ne s'agit pour aucun
une courbure du tibia, plus accentuée à gauche qu'à droite ; on ne
sent
pas le péroné ; et l'on ne peut non plus distin
férentiel, car la prédominance de l'usage de la main gauche se pré-
sente
aussi bien dans l'épilepsie cérébrale (avec hémis
x cas ressemblent complètement à l'épilepsie essentielle et ne pré-
sentent
aucun symptôme en foyer quelconque appréciable.
suppose que la phylocatalase est un ferment auxiliaire qui se pré-
sente
assez abondamment dans le cerveau, les muscles et
eur sang et leur cortex cérébral sont saturés de toxines, ils ne se
sentent
pas bien, ils sont excitables, etc. « Pour eux
eux une attaque est en route » ; l'attaque une fois passée, ils se
sentent
vifs, améliorés et dispos et pensent aussi pour
ue; B se croit atteint d'une grave affection cardiaque, parce qu'il
sent
des douleurs, des palpitations, elc. ; C croit
cause de sa tristesse, il répondit avoir commis des crimes). Je me
sentais
très malade. Je ne pouvais pas remuer le corps.
s sur l'abdomen. Ces insufflations furent si pénétrantes, si vivement
senties
, que le jeune patient me dit : « Mais tout le mon
s mains étaient brûlantes, la gorge était très-douloureuse, et l’on y
sentait
comme des grosseurs, des gonflements ; la tête et
rte fièvre. Je magnétisai avec ardeur, et ne cessai que lorsque je me
sentis
accablé. Je ne pus prendre aucun repos, tant l’ét
s la toucher, et je lui demandai mentalement de me parler. Bientôt je
sentis
qu’elle résistait à mon désir. « — Pauline me c
s rêvées tout éveillés. Ce phénomène du sommeil involontaire et non
senti
, traversant tout à coup la vie réelle, se produit
u la musique fatale, ils sont entrés dans la danse macabre, et ils se
sentent
entraînés dans le tourbillon du vertige. Vous leu
de et sec, l’épigastre tendu, et vers la partie inférieure droite 011
sentait
une petite tumeur oblongue qui s'étendait depui
e d’ouvrir les yeux. Après un quart d’heure de magnétisation, elle se
sentit
mieux. Deux heures après, tout sentiment de souff
euglement volontaire et intéressé du corps médical, la magistrature a
senti
le besoin, pour le soulagement de sa concience, d
, fascinerait tous les assistants au point de leur faire voir et même
sentir
des choses qui n’existent point en réalité. Que M
ncore. Gestatives nébuleuses, pleines d’ardenr pour la vie que vous
sentez
en vos efforts, vous réclamez l’éclat du soleil.
les d'apercevoir. « Non, nous ne sommes pas matérialistes! car nous
sentons
que la pensée de l’homme n’a rien de la terre, et
destinée, Mais, sur terre, tout bonheur fuit ' IV Souvent je me
sentais
des aile« ; C’étaient les ailes de la foi, Alla
ardue, Oubliant climat et saison, Souvent, haletante, éperdue, Je
sentais
faiblir ma raison ; Aussitôt If sacré symbole Du
hrist mourant qui nous console Revenait en mon souvenir, Alors je
sentais
en mon Ame Briller une céleste flamme Se projetan
votre empressement à venir assister ;t ce banquet scientifique. Vous
sentez
aussi bien que moi. Messieurs, combien nous devon
ui comprennent, non-seulement toute l'utilité du magnétisme, mais qui
sentent
dans leur l'or intérieur que les temps sont venus
n résulte que dos personnes qui naguère s’enrhumaient « ( ès qu’elles
sentaient
un peu de froid, ot qui éprouvaient « de la diarr
lus remarquables du pays sous tous les rapports et dont la mort a été
sentie
comme un malheur public. Elle avait confié ses tr
. Elle me répondit toujours quelle ne pouvait l’expliquer; qu’elle se
sentait
saisie par une image ou par un sentiment dont ell
d’examiner la mâchoire. Le. chien se débattit un peu, et Al. B... se
sentit
piqué d’un coup de dent au pouce de la main droit
’événement, jouant une partie de cartes avec plusieurs amis, M. 15...
sentit
une vive douleur dans le pouce qui avait été mord
celte douleur augmenta en intensité et en durée, car elle se faisait
sentir
par accès. Le troisième jour se manifestèrent l
ez bien, et que même, d’après ce que vous vepez de me dire, vous vous
sentez
comme régénéré, voulez-vous que je vous laisse do
impressions étrangères, mais un sensitif qui traduit ce qu’il a vu et
senti
. C’est donc une étude précieuse, doublement préci
sitif approche sa main gauche du pôle nord ou négatif de l’aimant, il
sentira
le souille frais dont nous avons parlé plus haut.
et et dans le bleu; et dans le rayon rouge ou mieux dans le jaune, il
sent
une chaleur engourdissante, désagréable. De là
e, on niait la force vitale, parce qu’on ne la voit pas, quoique l’on
sente
à chaque instant ses battements. Il est beau, san
e lui-même des phénomènes qui se produisent par son intermédiaire; il
sent
qu’il se passe en lui quelque chose d’anormal, il
bras : pour cela il n’y a pas besoin de voir, il n’y a besoin que de
sentir
. (Le somnambule était sans doute sensitif.) Jusqu
de sa manière de voir, relativement au somnambulisme. Son sujet avait
senti
le mal, mais comme il ne voyait plus ou qu’il ne
à laquelle rien ne manque, infinie, et le plus complet des moteurs.
sent
plus 011 moins suivant l'énergie de la volonté qu
t du Somnambulisme, elc. 1857.) « L’âme ne veut pas, n'aime pas, ne
sent
pas de môme dans le sommeil que dans la veille; m
me renseigner en quoi que ce fût sur la mimique de la jeune fille. Je
sentais
en moi-même, voilà tout. J’aurais à consigner n
ses souffrances, et de pouvoir se passer d'interrogation. Parfois, il
sent
ou croit sentir s’échapper de lui comme une vertu
s, et de pouvoir se passer d'interrogation. Parfois, il sent ou croit
sentir
s’échapper de lui comme une vertu secrète, et dan
agnétique que la nature sans doute s’est plu à former. J’ai souvent
senti
cependant qu’en dehors de 1 action simple du magn
rer toutes les œuvres miraculeuses touchant les guérisons. Je me suis
senti
trop faible pour aborder un pareil sujet et c’est
avec plus de désinvolture. Six coups, dune précipitation joyeusement
sentie
, venaient, par leur exactitude spontanée, d’exalt
sme en peint les élégances et les subtilités aussi bien qu'il en fait
sentir
les douceurs et les exaltations : il est le génie
e et à leur savoir ; car on doit dire, pour être juste, que plusieurs
sentent
leur insuffisance et ont souci de leurs ténébreux
: l’animal qui a froid recherche le calorique, et l’homme malade, qui
sent
sa défaillance, jetant les yeux sur celui qui se
s-uns étaient calmes et tranquilles, d’autres toussaient, crachaient,
sentaient
quelques légères douleurs, une chaleur locale et
yne située près de l’antre de Trophonius, eau dont l’effet se faisait
sentir
longtemps sur le cerveau, et laissait, au dire de
général; ensuite, dès que vous avez posé votre main sur ma tête, j’ai
senti
comme de l’eau tiède (sic) qui en- irait dans m
gnathisme. Dans la partie horizontale de la mâchoire inférieure, on
sent
d'une façon très prononcée le rebord des apophy
l'abdomen n'est pas trop volumineux, il n'est pas tombant, mais on
sent
au toucher que les muscles des parois abdominales
homme. Sa peau est lisse, luisante et très blanche ; au toucher on
sent
qu'elle est très fine. Il s'agit, il n'en pas d
remier mémoire, ni l'un ni l'autre de ces deux nouveaux cas ne prê-
sentait
le moindre symptôme, soit même très fruste, d'lay
rate et du foie; altération fonctionnelle qui a pro- bablement fait
sentir
son action sur les différentes glandes à sécrétio
de réserver le mot infantilisme au type clinique de Brissaud, repo-
sent
aussi, me semble-t-il, sur un malentendu, d'aille
r la partie inférieure sous le couvert d'une vaste jupe blanche, on
sent
malgré tout qu'il est trop long pour les bras et
ression. Quand on appuie sur toute la colonne vertébrale, la malade
sent
la douleur dans ces mêmes vertèbres. La malade ne
cas, il faut attirer l'attention sur le fait que la moelle ne pré-
sentait
presque pas de changements anatomo-pathologiques,
courbe. Pendant l'accès de fortes douleurs du côté gauche, le malade
sent
parfois une étrange douleur. comme si l'on cass
meur dans le Xe espace inter- costal gauche. 29 mai. Le malade ne
sent
plus de douleurs du côté gauche, à droite elles
Le malade se plaint de très fortes douleurs en ceinture. Elles pas-
sent
sous l'ombilic et vont en arrière, en s'arrêtant
dans la jambe droite. La colonne vertébrale est peu mobile et pré-
sente
une lordose lombaire tandis que la partie supérie
. La palpation de la région gauche de l'abdomen est douloureuse, on
sent
des ganglions mais la résistance des parois n'e
la tumeur croit dans la partie supérieure du sternum. Au début on y
sentait
une tuméfaction qui augmentait toujours. Un peu p
ri. Le corps thyroïde est augmenté de volume, dans le lobe droit on
sent
une tumeur dure. Dans la par- tie supérieure du
ourdissement sur la fice externe du pied droit. A l'examen objectif
sent
mal les piqûres au bord externe du pied droit.
travers de doigt de l'anus) et des organes génitaux (la malade n'y
sent
pas le toucher, les piqûres, le froid et le cha
oid comme le chaud, et vice versa ! Des piqûres profondes sont bien
senties
. Il se trompe plus rarement quand on pique son me
die débute brusquement. Dans le cas décrit par Bliss le malade res-
sentait
auparavant des douleurs de la colonne vertébrale
traitement chirurgical des tumeurs vertébrales n'a pas jusqu'à pré-
sent
été suivi de succès. La plupart des neurologues e
is parce que si dans la plus grande partie des cas ce signe se pré-
sente
associé aux autres signes classiques du côté du m
sur ses bras. Quand l'envie d'uriner ou d'aller à la selle se fait
sentir
chez l'une d'elles, un appel vibrant à peu près
u- reux. La malade pouvait quand même marcher, travailler ; elle se
sentait
assez bien. Il y a une semaine elle a ressenti
d'oedèmes. Les troubles sensitifs consistent en ce que la malade
sent
moins bien le toucher sur tout le corps depuis
obes oculaires sont bons. Pouls 132. Les membres supérieurs ne pré-
sentent
rien d'anormal. Le malade ne peut même pas s'as
sensibilité est conservée à la face. Au cou du côté gauche elle ne
sent
pas les piqûres, à droite, elle les sent. Analg
cou du côté gauche elle ne sent pas les piqûres, à droite, elle les
sent
. Analgésie sur le membre supérieur gauche, à droi
s sent. Analgésie sur le membre supérieur gauche, à droite, la malade
sent
les piqûres sur les bras, au-dessous, ne les se
droite, la malade sent les piqûres sur les bras, au-dessous, ne les
sent
pas. Sur le tronc elle ressent des piqûres jusq
ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 167 mais pas plus bas, à gauche ne les
sent
pas. Aux membres inférieurs elle sent les piqûr
s pas plus bas, à gauche ne les sent pas. Aux membres inférieurs elle
sent
les piqûres sur les jambes et les pieds.Inconti
endineuses, cette contracture paraît impossible à celui qui ne pré-
sente
pas une prédisposition spéciale. Et cependant, po
votre main sous le talon du membre qui i doit rester immobile, vous
sentirez
qu'il appuie plus fort, lorsque se soulève l'au
dépister la simulation,toujours les hystériques affirmaient ne pas
sentir
, ne pas voir, ne pas entendre et cependant se c
pas voir, ne pas entendre et cependant se comportaient comme s'ils
sentaient
, voyaient, entendaient parfaitement. Le cas de
ise on constate de l'automatisme et de la procursion. L'enfant pré-
sente
en outre parfois des vertiges et des secousses du
me longueur. La peau sur les mains est grosse et épaisse, elle pré-
sente
des rides nombreuses ; les ongles sont normaux,
miné seulement s'exerce l'action de la cause nuisible. Or nous pré-
sentons
un fait nouveau et très intéressant à savoir, le
s sujets, qui, en dehors des altérations de leur squelette, ne pré-
sentent
rien de spécial, nous sommes enclins à admettre,
ères périphériques des membres supérieurs et inférieurs n'apparais-
sent
pas nettement artérioscléreuses. Pas de veines va
perte de la conscience. Il revint à lui quelques minutes après. Il
sentit
alors une grande faiblesse aux membres de gauch
exes. Prunelles égales, au contour un peu irrégulier. Elles réagis-
sent
bien à la lumière et à l'accommodation. Réflexe c
e droite du cerveau, c'est-à-dire là même où il avait fait le mieux
sentir
son action. A dire le vrai, les moments étiolog
nt les douleurs au dos et au sacrum. Il y a un an elle a commencé à
sentir
froid aux membres inférieurs et à la partie inf
s. Dans la famille, pas de maladies nerveuses ou psychiqucs. A pré-
sent
la malade se plaint des douleurs au sacrum et aux
à gauche le toucher, la douleur, le chaud et le froid sont moins bien
sentis
; à droite, ne sont pas ressentis du tout, exce
e et janvier, l'état de la malade reste le même. En général elle se
sent
bien. 1 31 janvier 1906. Souvent il y des ,doul
ait beaucoup de liquide, mais la moelle épinière ne se laissa pas *
sentir
. On a fait quelques sutures à travers la dure-m
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 325 la malade ne
sent
ni les mouvements de tous les doigts en masse, ni
s et de l'abdomen sont apparues ; de temps en temps aussi apparais-
sent
des douleurs en ceinture dans la région ombilical
; cette abolition n'est pas complète sur l'abdomen (la malade res-
sent
la piqûre comme le toucher, le froid comme le cha
e ventre est ballonné. Des douleurs courtes, des tiraillements pas-
sent
dans les jambes. 24. Douleurs brûlantes aux mai
nflée par place. C'était surtout dans sa région dorsale. De plus on
sentait
à travers la dure-mère, sur la face postérieure
illon de Rolando, puis à mesure que l'on descend, elles disparais-'
sent
du versant antérieur et lorsqu'on se rapproche du
, après la miction, sortie de quelques gouttes d'urine dont elle ne
sent
pas le passage Mui 28 418 8 GIUSEPPE BASCHIER
des méninges molles.De même dans un de mes cas, où la maladie pré-
sentait
les caractères d'une tumeur médullaire (syndrome
outre, il fait remarquer que le gyrus temporales transverses repré-
sente
une des zones les plus importantes pour la foncti
lement. Les scissures calcarine et pariéto-occipitale ne se réunis-
sent
pas, de sorte que le cunéus se trouve très allong
ent dans la zone sous-corticale. Le faisceau sous-calleux ne repré-
sente
pas, par conséquent, une voie d'association front
frontale supérieure et la circonvolution pariétale ascendante pré-
sentent
.un certain' degré de microgyrie. Dans l'hémisph
s systématisées d'originetoxique.Si l'on se rappelle cependantàpré-
sent
que des réductions encore plus notables des propo
une autre que l'on a fort peu l'occasion de rencontrer et que pré-
sentent
l'état très pur quelques individus de la troupe a
ssus adipeux n'a rien d'anormal : notre uaiu pré- 544 ETTORE LEVI
sente
un très léger degré d'embonpoint relativement à s
cible ni vantard, ni bouffon ;-de tempérament assez gai, il ne pré-
sente
pas du tout la futilité et la légèreté enfantine
; les gencives sont rouges et un peu tuméfiées ; la dentition pré-
sente
quelques anomalies ; les dents incisives latérale
e moins active, les influences pathogènes se fassent plus fortement
sentir
et que les germes y colonisent peut-être de préfé
uberculose sont fréquents chez eux. Les porteurs de l'anomalie pré-
sentent
dans bien des cas des manifestations tuberculeuse
exprime ainsi : «Dans le cadre poétique du cloître, le peintre aura
senti
se réveiller ses ardeurs d'autrefois.... et sa
ale supérieure par un large pli de passsage. Le lobe occipital pré-
sente
dans sa totalité un aspect légèrement microgyriqu
ipitale du ventricule et les couches de fibres qui l'entourent pré-
sentent
un bon nombre d'altérations importantes. Le revêt
e ventricule latéral se trouve exposé sur toute sa longueur et pré-
sente
une dilatation très nette de son segment temporo-
corps de celui-ci, lequel, à part une dégénérescence diffuse, pré-
sente
près de sa partie moyenne un foyer vasculaire qui
n'existe enfin chez eux aucune trace de dysthyroïdie ; nous ne nous
sentons
donc aucunement autorisés à admettre pour eux u
loppement très considérables ». Voilà un point sur lequel nous nous
sentons
tout fait d'accord avec 111.Sainton; les anangi
e mobiliser la base de la première sur la tête métacarpienne. On ne
sent
pas de tendon par la 'palpation. La motilité spon
in (21), dans la dernière édition de son Cours de psychiatrie, pré-
sente
une photographie d'une main où l'annulaire et l'a
vement irrésistible, qu'elle aura recouvré son adresse manuelle et se
sentira
tout à fait guérie. Je la réveille et l'observe
ce mathématique. Telleest la vérité. Et cependant chacun de nous ne
sent
-il pas que l'étude dont nous parlons est devenue
étais absolument certain que personne dans l'auditoire n'avait jamais
senti
l'odeur du composé chimique quo jo venais dév
ans conséquence, au bout de quelques années, certaines S personnes se
sentent
tellement entraînées vers l'alcool qu'elles ne pe
géré. En outre, quand il se réveillera, il ne sera pas fatigué, il se
sentira
plein d'entrain, il aura l'esprit alerte et dispo
n le transporte dans son lit. Il revient à lui trois heures après. Il
sent
alors une douleur dans le côté gauche, puis le le
gauche; non seulement il ne s'aperçoit pas qu'on le pique, mais il ne
sent
ni de la moitié gauche de la langue ni de la nari
s'endort pendant 15 minutes. A son réveil elle se trouve très bien et
sent
qu'elle affrontera sans crainte les examinateurs.
que je me trouvai en tel état, qu'encore que mes souffrances ne fus-«
sent
pas de la même nature que celles de cette bonne r
ison, une personne « cherche ainsi son Dieu, peu s'en faut qu'elle se
sente
entièrement dé-« faillir; elle est comme évanouie
- ' « ment elles ont commencé à couler... « En d'autre temps, je me
sentais
enlever l'âme et la tête, sans que je ] « pusse l
'arrivaient, que mou « corps ne pesait plus rien et quelquefois je le
sentais
si léger que mes ; « pieds ne paraissaient plus t
age de la souveraine puissance, l'habitude du commandement, se feront
sentir
dans l'exigence du caprice, et la hauteur de la v
udes reprendre le dessus. Pour dominer toutes ces influences que nous
sentons
en nous, pour réprimer toutes ces impulsions, il
er de tous les sentiments qu'elle aurait à y développer, lui en faire
sentir
toutes les nuances. La suggestion augmentait auss
a mort l'a beaucoup frappé et il se réveille en sursaut. Alors, il se
sent
obligé de se lever, marche dans sa chambre une he
; elle commence par de petites contractions musculaires ; notre homme
sent
des coups dans la nuque, voit des ombres devant l
faisait pas auparavant, étant très sobre. Il le regrette beaucoup, il
sent
sa faiblesse dans l'adversité et il en est désolé
trangère. A son réveil, je puis constater une amnésie complète. Il se
sent
très bien, semble heureux et moins disposé à la t
utant qu'auparavant. II a eu l'occasion de boire et l'a évitée, ¡1 se
sent
moins faible de volonté, il espère beaucoup et a
spercer une région quelconque de la surface cutanée : cette malade ne
sent
absolument rien et regarde impassible les piqûres
essions et les prépare. L'influence des idées et des émotions se fait
sentir
dans le développement, dans l'orientation et dans
e du 23 octobre IG59, « elle dit que depuis quelques jours elle avoit
senti
des mouvements d'impatience et de promptitude, qu
4 ; Marc, V, 39). Il est vrai que Marthe dit de Lazare : Seigneur, il
sent
déjà, car il est là depuis quatre jours. Mais ces
etour de pension; les seins ont ¦ grossi; ily a eu desnausées: elle
sent
des mouvements, mais le ventre, - assez gros, e
amais eu d'enfants en désirent avec d'autant plus de passion qu'elles
sentent
approcher l'heure où toute espérance sera perdue.
faite et enchantée d'un si beau résultat; elle est pleine d'espoir et
sent
bien que sa guérison ne va pas tarder. Avant de l
ns. Cette triple suppression lui est un argument péremptoire; elle se
sent
, en effet, complètement guérie et, dès lors, les
fatigue. Si dans le cours d'un travail, alors que la fatigue se fait
sentir
, on détermine sur le sujet des phénomènes de sugg
coucher, elle fut bien surprise en se déshabillant de ne pas voir ni
sentir
cette horrible grosseur dont j'ai parlé, et de se
croyait à une force. Ainsi il dit : a Quelqu'un m'a touché; car j'ai
senti
une force sortir de moi. » (Luc VIII, 46). Cette
a conscience de son état, mais elle ne peut faire autrement. Elle se
sent
poussée d'une manière -invincible à cet acte et s
de dormir et son sommeil dure pendant 7 ou 8 heures. Au réveil, il se
sent
très fatigué. Il n'a pas uriné sous lui et ne s'e
quelques minutes, on le délivre et il rentre chez lui. Le soir, il se
sent
étourdi et vcit tout tourner; la nuit il dort mal
emuer les bras. Ils étaient paralysés. On me pinça violemment ; je ne
sentis
rien ; au contraire, une hyperestnésie, c'est-à-d
évolution similaire dans la manière de percevoir, de comprendre et de
sentir
a rénové les arts comme la littérature et changé
te. Pour lui, il récita par ordre tout le psautier et ¦ son cœur ne
sentit
des émotions que pour le Ciel. Il dit que le démo
sse de me répondre qu'elle est bien sûre d'être enceinte, puisqu'elle
sent
de temps en temps" les mouvements de l'enfant. En
éculum le col paraissait sain mais en introduisant l'hystéromètre, je
sentis
à la partie supérieure du col, une résistance qui
lle avait une toute autre mine. Elle était sensiblement engraissée et
sentait
chaque jour revenir ses forces. Ses seins lui p
ntes. M1»0 X... les rejeta énergiquement; elle aussi, croyait avoir
senti
son enfant remuer, et quoique troublée elle s'ent
ont repris vie. Sous l'influence de l'imagination, elles croient même
sentir
leurs enfants remuer, et chez la première, au neu
à la figure, généralisée, mais plus marquée du côté droit. La malade
sentait
les piqûres, mais n'en éprouvait aucune douleur.
is encore, à la suggestion hypnotique et un mieux appréciable se fait
sentir
dès la première séance. Comme elle se plaint de c
lement l'auto-suggestion plaire. On s'arrête quand la fatigue se fait
sentir
. Elle se fait sentir au bout de vingt ou trente f
ion plaire. On s'arrête quand la fatigue se fait sentir. Elle se fait
sentir
au bout de vingt ou trente fois. Pour arriver à p
'anathème, lancé par la vieille sur le jeune couple. Tout le monde se
sent
bouleversé ; le jeune marié tout particulièrement
onté de s'opposer à cet acte, elle l'accomplit et aussitôt après elle
sent
un grand soulagement. A l'âge de cinq ou six an
ives furent sans résultat apparent ; puis quelques-uns des magnétisés
sentirent
distinctement l’action exercée sur eux, et, les m
ort qu’il soit; son insensibilité à la douleur est complète ; elle ne
sent
ni les piqûres, ni les brûlures. Dans cet état
on les met à la flamme d’une bougie, elles se roulent comme si elles
sentaient
la flamme. On en plaça dans un livre où elles res
uences les plus affreuses. Un employé qui travaillait à son bureau se
sentit
pris subitement d’une inquiétude indicible, d’u
vant qu’elle ait pu avoir connaissance de cet événement, elle s’était
sentie
entraînée hors de son lit par une force irrésisti
e prenant pour un simple reflet des sciences ses sœurs, parce qu’elle
sent
le besoin de s’appuyer sur elles, elle veut leur
avec plus de désinvolture. Six coups, d’une précipitation joyeusement
sentie
, venaient, par leur exactitude spontanée , d’exal
r viendra pourtant : jusque-là, ayez le désir de croire. Pour croire,
sentez
d’abord ! La croyance est une prière, et par la p
en y voulant pénétrer; elle verra alors... de ses grands yeux-, elle
sentira
de tout son amour ; et de ces hautes régions, r
ion qu ils vous donnent est pour vous seul et pour le mal actuel; ils
sentent
que ça vous guérira.... et dans une foule de cas,
us l’empire d’une forte émotion ou d’une concentration profonde, à se
sentir
hors de lui, sa curiosité aura de grandes chances
une voix qui lui dictait ses communications. Elle ajoutait qu’elle en
sentait
le souffle sur la tempe et sur la joue. Dne plu
oyen d’en finir avec la vie. Cette lettre était affectueuse ; elle se
sentait
coupable, disait-elle, mais elle était fatiguée d
l’un des mystérieux personnages, mais celui-ci ne sembla pas 1 avoir
senti
, et cette circonstance redoubla l’effroi général.
certes, la main sur le cœur, vous ne le penserez pas!., et vous vous
sentirez
heureux de proclamer votre espoir (1) que, pour l
objectif , c’est-à-dire son vêtement , son atmosphère lumineuse ; on
sent
son être actif. Telles sont ses qualités essentie
ce concentrique, la lucide, remarque autre part ecl écrivain, l’avail
sentie
spiriiuellement... d une MANIÈRE positive... qu’a
s sublimités. Rien n’existe qui ne doive être vu , qui ne puisse être
senti
! Sentir, c’est le rôle initial de la vie. Ains
ités. Rien n’existe qui ne doive être vu , qui ne puisse être senti !
Sentir
, c’est le rôle initial de la vie. Ainsi que l’h
ications que les âges et les fonctions apportent à notre manière de
sentir
, de comprendre, d’imaginer et de juger. Car, s’il
du magnétisme, et il la dévoile : i. Je n’ai jamais vu , dit-il, un
sent
fait que je n’aie pu expliquer par des moyens trè
à ce sujet n’ont pu fournir jusqu’ici d'explications suffisantes: ils
sentent
qu’ils voient, ils ne peuvent dire comment, et le
ient pu la régénérer. 11 faut croire que le corps médical lui-même se
sent
bien malade. Voici un de ses organes, f Union méd
qui pousse des cris de détresse :«Le corps médical, dit M. Sanderet,
sent
que la terre lui manque, que la vie lui échappe ;
ermis d’élever leur langage à la hauteur des divines vérités que vous
sentez
tous, mais auxquelles vous 1:0 pouvez encore do
qui cherche la fortune ; non, celui-là n’est point magnétiseur qui ne
sent
point en lui l’amour du sou semblable, et qui, co
yez bien, Messieurs, que je manque de force et de génie pour en faite
sentir
dignement le mérite et la grandeur. Car moi, Mess
urs du magnétisme qui, en ce jour, s’associent à nos vœux, quand nous
sentons
tant de cœurs généreux répondre à nos aspirations
le vertu qui rapproche invinciblement de lui ceux vers lesquels il se
sent
attiré ? «La France n’a-t-elle pas toujours été
ant à son tour pour dire quelques paroles touchantes, et profondément
senties
en faveur de cette science à laquelle elle a dû s
es. « 11 n’est pas une femme vraiment épouse, vraiment mère, qui ne
sente
en soi une reconnaissance profonde, Messieurs, po
déjà dans une chambre voisine. Mais, au moment de se coucher, elle se
sentit
attirée vers la table : elle s’y plaça, croyant q
t madame Platt saisirent alors la ceinture du vêtement de M. Gordon ,
sentirent
qu’il s’élevait et s’a-baissait à plusieurs repri
sentirent qu’il s’élevait et s’a-baissait à plusieurs reprises, et le
sentirent
définitivement s’élever à deux pieds au-dessus du
ieuses qu’à son indicible étonnement traçait son crayon inspiré, elle
sentait
disparaître sa crainte, sa répugnance, et avait c
c pas confiance en moi? — A partir de ce moment, l’avouerai-je? je me
sentis
comme bien réellement en présence d’un être invis
l la vitalité propre viendrait à manquer. Il y a plus. Vivre, c’est
sentir
, et sentir, c’est avoir le parfait usage de nos s
té propre viendrait à manquer. Il y a plus. Vivre, c’est sentir, et
sentir
, c’est avoir le parfait usage de nos sens. Or, si
re des révérences aux personnes de la société; et plusieurs fois j’ai
senti
, mes mains avec celles d’un ami étant sur la tabl
a vie, les souffrances, le caractère, etc., de la personne; il a même
senti
, en sa propre personne, tous les symptômes de la
e qu’on peut voir parfaitement d’un œil, on peut parfaitement penser,
sentir
, etc., d’un cerveau, c’est-à-dire d’une moitié du
ce qui nous fit tirer la couverture sur nos têtes. Aussitôt nous nous
sentîmes
assez rudement frappés avec une petite canne qui
udent de faire intervenir la couverture, et je me recouchai. Alors je
sentis
comme si quelqu’un piétinait sur moi. La lampe fu
endredi dernier après-midi, et toute la journée du samedi, je me suis
sentie
tellement accablée de sommeil que, malgré toute m
et le mot magnétisme, que ma pensée aussitôt vola vl?s vous et je me
sentis
immédiatement accablée par le sommeil. J’en avais
si elle trouvait la potion amère. — « Non, elle n’a pas de saveur. On
sent
bien un peu d’al-« cool, mais c’est plutôt l’odor
é tous les travaux ; il était froid, recueilli, énergique; il faisait
sentir
son action et se faisait obéir partout où il se m
probabilité, il ne devait pas la refuser; la somnambule, ayant vu ou
senti
l’existence de ces circonstances, a pu annoncer d
de dégoût et pria qu’on éloignât de la portée de son nez l’objet qui
sentait
mauvais ; on retira le paquet de son bras pour l’
tés qui donnaient les premiers l’exemple d’une soumission absolue. On
sent
aisément combien un pareil charlatanisme était da
veloppé tout entier d’une sorte de linceul plutôt gris que blanc ; il
sentit
passer près de lui comme un souille, eut froid, e
; puis quelques secondes se passent, et enfin elle revient sans avoir
senti
aucun mal. « La première fois que je vis se pas
mon genou, partiellement sous la table, ce que je fis, et aussitôt je
sentis
quelque chose qui frappait mes doigts, et je supp
e suppose que c’était la lettre que je reçus ensuite dans la main. Je
sentis
également quelque chose qui ressemblait à la main
semblait à la main d’une personne morte : c'était froid et pâteux. Je
sentis
distinctement des doigts. La lettre était tenue p
main et me conduisit. Elle me dit son nom sans rien ajouter; mais je
sentis
que ce devait être votre mère. — Où la voyez-vous
cupait aussi des esprits à sa manière. Il était à son guéridon, et se
sentit
entransè; il sortit dans la rue et se mit à invoq
eçoit des conseils. Le type de la tête est fortement accentué et fait
sentir
, malgré l'extase, le courage dont la Pucelle étai
de se tenir en défiance d’eux-mêmes et de n’expérimenter que s’ils se
sentent
au-dessus de toute grave émotion. Qu'ils le fasse
ont la conviction est plus lente à se former, sont au moins ébranlés,
sentent
leurs préventions se dissiper, se promettent de c
irmiè- res à l'Institution des jeunes aveugles, afin qu'ils puis-
sent
s'intéresser davantage et être plus utiles aux id
nce sur les déformations congénitales des doigts du pied que pré-
sente
notre malade. Accouchement à 7 mois. L'enfant à l
s veinosités, qui se continuent sur le thorax. Par la palpation, on
sent
dans tout le côté droit de l'abdomen, une masse
siné. Dentition. Les incisives supérieures sont crénelées et pré-
sentent
des sillons. Les canines supérieures ont chacune
sonorité. La percussion est peu douloureuse. A la palpation, -, on
sent
dans la fosse iliaque droite une masse, une sorte
r- ticale est très large. Le lobule quadrilatère est gros et pré-
sente
un pli de passage pariéto-limbique antérieur et p
ade. Les oreilles sont écartées du crâne mais à part cela ne pré-
sentent
aucune particularité. Les membres supérieurs sont
er. C'est à l'âge de 10 ans (au mois de février 1888) que parais-
sent
avoir débuté les symptômes de l'affection qui l'a
t chétif. Il pèse 20 kg. à l'entrée. Il est un peu émacié et pré-
sente
un léger degré de cyanose des extrémités avec des
On ne sait rien de bien précis sur la fréquence des accès ; il les
sent
venir la plupart du temps, cependant, il se ble
pie. 1881. 13 avoil. 11 octobre : Hydrothérapie. Le malade dit se
sent
bien moins nerveux. 16 mai. Description des att
assez souvent par séries. 17 mai. - Le malade dit que parfois il ne
sent
pas venir ses crises et que dans ces cas, il s'
e contre un mur sans savoir ce qu'il fait. » En revenant lui, il se
sent
tout étourdi et ne reconnaît les gens qu'avec p
outonne son gilet et sa chemise et se frotte la poitrine comme s'il
sentait
son mal. On le met à terre, nu depuis les cuiss
7°, 7. ' - Guérison. 103 15 décembre. Aura : le malade prétend ne
sentir
venir ses attaques qu'un moment avant de perdre
ès vague. Sensibilité générale. Bien que le malade prétende mieux
sentir
du côté droit, il n'y a pas de différence appréci
mauvaises odeurs; cependant il trouve que le vinaigre aromatique ne
sent
pas bon, tandis que la teinture de valériane (f
d'un certain nombre de phrases sans suite qu'il prononce : ' « Ça
sent
la charogne, par ici, ça sent le musc, ça sent le
es sans suite qu'il prononce : ' « Ça sent la charogne, par ici, ça
sent
le musc, ça sent le chien mouillé, la moutarde
il prononce : ' « Ça sent la charogne, par ici, ça sent le musc, ça
sent
le chien mouillé, la moutarde en cataplasme, ca
es femmes pour quatre sous. Hé ! veux-tu décrocher mes savates ? Ça
sentie
cochon ; on croirait un morceau de musc. Mesdem
égale de pieds, andouille. Et de mon cul, en veux-tu un bout ? Ca
sent
la saloperie, la cochonnerie, la charcuterie, le
ge de mort; casent le fromage de cochon, le morceau de viande; ça
sent
la crotte de cheval; il a décrotté ses pantouffle
eval; il a décrotté ses pantouffles, ses savates, ses godillots; ça
sent
la confiture de groseille. Ah ! assez, je t'en
us lui avons prescrit un purgatif, il a eu des selles copieuses qui
sentaient
l'encaustique. Les urines qui ont été très abon
t-il.» 11 pré- tend que l'encaustique est une bonne chose et que ça
sent
le miel. Son haleine sent encore beaucoup l'ess
encaustique est une bonne chose et que ça sent le miel. Son haleine
sent
encore beaucoup l'essence de térében- thine.
tie supérieure; les régions pariétales sont arrondies et parais-
sent
symétriques. Le front est assez haut, la bosse fr
s- sées par places et parcourues par des sillons qui les subdivi-
sent
. Le lobe temporal se compose d'une masse ovoïde
( ? ). La première den- tition aurait été normale, mais la seconde
sent
sans suite. Vers 4 ans, étant encore maigre et
à nu une plus grande surface du cuir chevelu. » Glande thyroïde non
sentie
Idiotie myxoedémateuse. 215 au toucher. Gross
bas. La fontanelle antérieure persiste d'une façon indubitable ; ou
sent
non pas une simple rainure, mais un espace losa
igne médiane, ni à gauche, de traces de la glande thyroïde, mais on
sent
à droite un petit noyau arrondi, très dur. Le
les enfants atteints de maladies nerveuses. Les premiers se divi-
sent
en épileptiques réputés aliénés, la charge du .
ie (24 lits). I. Les enfants de la première catégorie se subdivi-
sent
en deux groupes : le premier, composé d'enfants
arties de ce pavillon sont éclairées au gaz. - La figure 3 repré-
sente
la coupe du bâtiment suivant la ligne A B du plan
grandes, il n'est pas perceptible au nheau de la radiale, on ne le
sent
qu'au niveau de l'humérale. La peau présente su
st de la grosseur d'une noisette. A gauche, le scrotum est vide, on
sent
à une certaine distance, dans le canal inguinal,
roit. A droite, au-dessus du testicule, sur le trajet du cordon, on
sent
une tumeur du volume d'un oeuf de pigeon sous l
u'au sein que l'on croirait tout d'abord très développé, mais on ne
sent
pas la glande. Organes génitaux. Bourses pendan
disgracieux. La douleur et souvent une légère contrariété suffi-
sent
à provoquer des larmes et des cris. La parole est
très élargi, mais ne porte aucune trace de tumeur thyroïdienne. On
sent
distinc- tement le larynx sur la ligue médiane
téguments, notablement t épaissis à ce niveau. Tout au plus peut-on
sentir
, sur le côté droit du cartilage thyroïde, quelq
ration est plus courte et plus fréquente ; à la palpation, on croit
sentir
une tumeur assez dure, de l'S iliaque irréguliè
erse, le colon descen- dant et l'S iliaque sont assez dilatés, on y
sent
des matières molles moulées; l'intestin grêle,
peu aplati de haut en bas. La fontanelle anté- rieure persiste ; on
sent
un espace membraneux à travers lequel on pourra
t mobile sous les tissus sous-jacents qui sont mous et flasques. On
sent
qu'il existe une légère couche de graisse sur t
Les battements du pouls sont extrêmement petits et faibles ; on les
sent
ditficilement au poignet. Ceux du coeur sont égal
s sous les couvertures du lit. Le corps thyroïde ne peut pas être
senti
. Au-dessus de la clavi- 62 IDIOTIE CRETINOÏDE.
la bouche amère. Circulation. - Pouls, 72. 11 est très difficile de
sentir
le pouls au poignet, à cause de sa distance de
ques cas, l'atrophie était si accusée que la glande ne pouvait être
sentie
à la pal- pitation ; enfin, dans d'autres, l'ex
frontale supérieure. La scissure perpendiculaire externe ne pré-
sente
qu'un court trajet sur la face convexe. Le lobu
aucune modification. Coma persistant mais moins profond, l'enfant
sent
le3 piqûres et réagit. Quelques râles au sommet
tu- meurs ne soulèvent pas la première, et cette dernière ne pré-
sente
pas de granulations miliaires. Lorsqu'on ouvre
ellement affaiblie. C'est ainsi qu'au-dessous du genou le malade ne
sent
ni le chaud ni le froid. Sur le reste du corps,
a- ryngien droit est gris et gélatineux. Les autres nerfs ne pré-
sentent
rien de particulier. Le pont de Varole et la mo
épais ; cils longs et noirs. Quelques ganglions lymphati- ques se
sentent
sous le doigt à la nuque ; rien ailleurs. La se
mou et rétracté. A 2 tra- vers de doigt au-dessous de l'ombilic, on
sent
, sous la pa- roi abdominale, une petite tumeur
s ni les autres n'ont d'enfants. - Trois oncles paternels ne pré-
sentent
aucune maladie ; l'un d'eux a eu une dizaine d'en
e du sang et des caillots. La calotte et la base du crâne parais-
sent
symétriques, cependant la fosse pariétale droite
t, limitées parles fibres d'origine de la substance blanche, pré-
sentent
les mêmes séries morcelées par disparition de cel
boule qui remue et non à des petits coups comme ceux qu'elle avait
sentis
quandelle était enceinte de ses deux premiers e
ainsi que sur la cuisse droite en dehors; sur la jambe, elle pré-
sente
le même caractère. Elle est souple sur la région
nal et la face interne du fragment costal. Les cartilages parais-
sent
normaux, sans traces d'ossification. Coeur (280
ures et jours.... Invariable- ment la défervescence fébrile se fait
sentir
entièrement sur le trouble psychique. Dès qne l
ileptique dans son type le plus parfait. La figure 23, qui repré-
sente
la marche de la température centrale, nous offre
s plis do passage. - Les circonvolutions temporo-occipitales pré-
sentent
un développement moyen, sont très sinueuses, un p
mains donnent chacune 18 kilogr. de pression, et, malgré tout, elle
sent
que sa main droite est moins habile que la gauc
citation augmente, il est maudit, se dit le démon, l'Antéchrist; il
sent
sur son corps et autour de lui des odeurs de so
cès. Il était infirmier à Saint-Antoine; en rentrant un soir, il se
sentit
tout à coup mal à l'aise, et craignant quelque
é lejelsur les membres infé- rieurs. Immédiatement après il s'était
senti
les jambes raides et il était resté dix heures
bliées ; dans tous les cas, les angles, si angles il y a, s'émous-
sent
, et de loin les problèmes soulevés apparaissent m
, sur laquelle on opérait. Son influence ne devait en rien se faire
sentir
du côté opposé où la résistance eût été sans ce
z beaucoup d'hommes sains d'esprit, parmi lesquels elles établis-
sent
deux catégories tout n fait distinctes. Longtem
colie et sur un état d'anxiété vague et indéterminée, « les malades
sentent
que tout est changé en eux et au dehors et se d
heure. Griesinger a signalé les idées lugubres, négatives, dont se
sentent
envahis les malades que leur agitation inquiète
au délire négatif systématisé qui est rarement curable; ils pré-
sentent
eux aussi dans la plupart des cas la folie d'op-
uère sus- ceptible de définition à mon avis, par lequel nous nous
sentons
malheureusement souffrir, mais aussi heureu- se
inaire de conscience, à la naissance des vésanies. Les malades se
sentent
devenir fous. Ils ont la notion claire d'un 192
patients comprennent que leur intellect s'engourdit ou s'exalte et
sentent
qu'ils sont impuissants à réagir contre le mal
quelques heures; le malade alors réfléchit sur ce qu'il éprouve, se
sent
aliéné, déplore son malheur, puis est de nouvea
. (Fig. 9). A. Fémur. L'extrémité inférieure du fémur gauche pré-
sente
une usure considérable du condyle externe. Ce c
terne est lisse et assez dense; quant au condyle'interne, il pré-
sente
un aspect poreux. En avant, le contour de la su
à sa portée, mais en lui recommandant de ne l'utiliser que s'il se
sent
en danger imminent de tomber. Pendant les deux
u paroxysme. A ce moment, si le sujet ne peut quitter le lit, il se
sent
précipité dans un gouffre sans fond, tournoyant
ion, le malade obéissant au sujet de ses conceptions, bien qu'il le
sente
en contradiction avec ses conditions objectives :
té pénible pour certains malades. Cette promiscuité se fait surtout
sentir
en province. M. DAGONGT. J'ai dans mon service
Hirschfeld, qui a pratiqué l'autopsie. La soeur de cet idiot pré-
sente
depuis l'âge de deux ans une parésie de la jambe
ersa. 11 comble une lacune qui se faisait du reste principale- ment
sentir
pour le traitement des bourdonnements d'oreilles
tive alors que, selon sa conviction, la mélancolie stupide repré;
sente
un type morbide fixe et bien délimité. Pour M.
s présentent en même temps que des zones hysiérogènes des zones qui
sentie
siège d'une douleur vague et qui peuvent deveni
ividu bien portant s'affaisse subitement dans la rue, ou bien il se
sent
pris soudain de vertige, de tournoiement tels q
inonde son visage. Chaque fois qu'il tente d'avancer, ou bien il se
sent
entraîné sur le côté, ou lancé en avant, ou ren
ses recom- mandations au sujet de leurs enfants, comme s'il s'était
senti
menacé d'une mort prochaine. Au commencement
travail, et qu'il espérait y trouver une diversion salutaire, il se
sentait
envahi par une force supérieure à sa volonté ;
ait, 310 PATHOLOGIE MENTALE. en ayant soin de s'arrêter dès qu'il
sentait
que l'écoulement du sperme allait arriver. D'un
on pied sur le sien, en appuyant légèrement, de manière à lui faire
sentir
les clous. Ce contact amenait immédiatement une
e de les chasser; elles le harcellent comme des furies; alors, il
sent
comme un voile s'étendre sur son intelligence et
ue, surtout à la suite d'un spasme avec ou sans masturbation ; il
sent
comme des marteaux frappant à coups redoublés pou
, et dès que celle-ci mettait sur sa tête une coiffe de nuit, il se
sentait
très excité et l'érection se produisait immédia
ù il passe près de deux ans. Au retour il est triste, découragé, se
sent
impuissant à résister aux obses- sions et pour
s variés de la même maladie ; chez-tous ces malades l'hérédité fait
sentir
son in- fluence'. , tn. i .,(. ')'' nlrt ! .
ja lace, quelquefois de spasme et de sécrétions vaginales ; elle se
sentait
poussée il le suivre et à l'approcher d'elle. Plu
e dernier venu âge de trois ans dont son,esyltsttpr,uccupH. Elle se
sent
poussée à l'attirer près d'elle. Parfois 'eue l
a parfois des pertes séminales. Depuis cette époque, dit-il, il se
sent
poussé à des actes contre nature. A la tombée d
ecorché), ou bien elle est pervertie. Une malade de M. Lecorclié ne
sentait
plus ses pieds. Celui de Dionis 2 croyait .marc
et de l'altération des sécrétions buccales. Une malade de Jordao ne
sentait
plus le poivre. Boucliardat. - Loc. cit., p. 49
ès abondant. Au mois d'avril 1881, le malade en montant un escalier
sentit
fléchir son genou droit, et tomba; il est tombé
it est grande. Il a une sensation de pesanteur; à chaque moment, il
sent
sa jambe fléchir et marche timidement. Il a souve
ur droit, elle y est plus douloureuse, le contact parait bien moins
senti
sur le membre inférieur gauche; sens musculaire
tte et persistante; tantôt, comme sur le biceps de notre malade, on
sent
une aug- SPASME MUSCULAIRE. 21 mentation de l
ue chronique ; vieilles otites. Vertige subit en se mouchant ; elle
sent
un claquement dans l'oreille et elle tombe étou
ncelle si une lourde voiture rase le trottoir où elle marche, et se
sent
attirée vers la roue ; elle tourne sur elle-mêm
a tête est fatiguée; elle est inca- pable de penser et d'agir; elle
sent
sa mémoire diminuer chaque jour. Bourdonnemen
on pour l'observateur. Le malade de l'observation 5,905 du registre
sentait
aussi son vertige redoubler au bruit de la rue.
la campagne. Les jours suivants, l'obsession continue, Mme C... se
sent
le sang à la tête, des palpitations de coeur; i
au village. Sorties ensemble sur la grande route, : 11 ? Alice C...
sentit
à ce moment sa volonté se dégager do l'étreinte
re, parce qu'ils sont tombés la veille ou dans la journée, et ils
sentent
leur intelligence renaître avec l'absence des c
un coït effréné, qu'il pratiquait debout. Malgré ces abus, il ne se
sentait
nullement fatigué ; toujours bien portant, très g
le besoin d'uriner devait être satisfait, aussitôt qu'il se faisait
sentir
. Les urines sont légèrement troubles, à forte o
xer son regard sur un point ou sur la lumière d'une bougie, sans se
sentir
incommodée. Elle éprouve du vertige et se refus
este la description de l'attaque. « Avant l'attaque, les malades se
sentent
mal, sont très irri- tables, éprouvent un serre
avoir repris connaissance pendant quelques instants, commence à se
sentir
défaillir. Elle a la sensation de la mort qui a
fois aussi à la matrice. « Il arrive quelquefois que la malade se
sente
beaucoup mieux après l'attaque qu'avant. « Pa
ode variant de six ci douze heures environ avant l'attaque, elle se
sentait
ordinairement triste, mélancolique avec des app
de police, avant de l'y avoir vu moi-même ; il m'a déclaré qu'il se
sentait
poussé à tuer son petit frère, pour voir couler
chute, son jeune frère avait été pris d'un saignement de nez, il se
sentit
attiré par le désir de voir encore couler du sa
e et une épistaxis assez abondante se produisit, le jeune malade se
sentit
poussé à aller ramasser le sang pour s'en frotter
ons maladives remontant à l'enfance, dont l'influence peut se faire
sentir
plus tard dans la vie, manifestations maladives
s. La discussion étant close sur ce point, le Dl Wahrendorff pré-
sente
à l'assemblée une sonde oesophagienne construite
x yeux. La difficulté au fond est la même : ces mouvements suppo-
sent
, entre les noyaux de la troisième paire qui inter
i de Ménière. Le second, soigné par MM. Charcot et Magnan, pré-
sentait
également de la titubation vertigineuse qui n'é
celles du cervelet et en particulier du vermis inférieur produi-
sent
ce que ces expérimentateurs appellent des dévia-
ype. Depuis elle a conservé un embarras dans toute la tête; elle se
sent
onduler, tourner, si elle lève les yeux ; et se
tête; elle se sent onduler, tourner, si elle lève les yeux ; et se
sent
évanouir si elle lève la tête. La'malade a noté
çu par le sujet sans être modifié en rien, tandis que l'observateur
sent
les varia- tions concorder avec chaque poussée
- ciée. A l'état normal, il y a concordance complète entre ce que
sent
le sujet et ce qu'ausculte le médecin. Dans cer
le sujet et ce qu'ausculte le médecin. Dans certains cas, celui-ci
sent
le son s'éteindre, pendant que le sujet n'éprou
e le diapason vibrant est posé sur le front). Le sujet annonce ne
sentir
ni intermittences, ni variations du son du diapas
nement en 182 CLINIQUE NERVEUSE. jet de vapeur. S'il bouge, il se
sent
tourner; il lui semble qu'il va tomber en avant
ètes, sur le tympan, au moyen de la poire à air ; pas de variations
senties
à gauche, et à peine à droite par le sujet; tan
mouvements transmis à l'étrier, compriment le labyrinthe et cau-
sent
le vertige. DU VERTIGE DE 11 : NIBLt. 189 Les
lit. Quelques heures après son entrée à l'hôpital la malade pré-
sente
les symptômes suivants : elle est couchée dans le
mouvement, puis se dirigent lentement en haut et à droite. La tête
sent
le mouvement des yeux. La physionomie exprime l
es résistances inattendues, les représentants de la magistialure le
sentent
fort bien et, surtout depuis ces dernières anné
orme d'un bracelet; c'est un canal semi-circulaire. M. Moos le pré-
sente
à l'assistance. Les os du crâne ne conduisent plu
dont le diamètre transversal augmenterait chaque fois que s'y amas-
sent
de nouvelles fibres également accompagnées de cou
esslôn; pôidsz 1.e pltis léger contact, notamment est parfaitement'
senti
à la pointelrles. doigts. Il n'y a pas de sensa
cuisse. A' cë 'môrïiént elle pouvait encore ' marcher, bien qu'elle
sentit
un notable affaiblissement\lans la jambe gauche.
-, cicte : « M. Jean montre le cerveau d'un'homme qui avait pré-'
sente
les'simiies.'<l'IUïé monoplégie du, membrei in
e les'simiies.'<l'IUïé monoplégie du, membrei inférieur droit. t
sente
les si ? iies. (1 mie 2noiiolléqz*c ii,inei-nl)re
normal. z Le spongieuxisonf également moins rouges, mais n ly ? 1
sentent
p ? d'aü,trelaltéra(ion appréciable a 1 oeil nu.
e .posté-- rieur gauche ,etcelles musculaire, du même(1côté pré;,
sentent
'des lésions tout^ à fait semblables' à celles qu
est bon de, remarquer que certains muscles, dont l'action, se fait
sentir
dans divers mou- vements coordonnés, comme le p
ent' dans ses sens spéciaux, ethémichoréiquedu même côté, ne pré-
sentait
aucune lésion de lacapsule interne en nulledesesp
sontséparées les unes des autres, de tellcmanière qu'ellesparais-
sent
raréfiées ; d'autre part, cette même hypertrophie
aise général souvent ac- compagné de battements de cceur. La malade
sent
l'approche de ses crises; pendant leur durée cl
'il1 devrait, avoir,aurreâard de çelui.qu'il, désire. : jl'llommesé
sent
femme, vis; à-yisde1s.on^rn.antrnas.çuJinyla- f
lommesé sent femme, vis; à-yisde1s.on^rn.antrnas.çuJinyla- femme se
sent
homme pour sa maîtresse féminine. Cette transmu
)b JIP t la : Jml ? * se rapprocher de celles du. sexe lacticement
senti
: jamaild,her .f 1 1 .5-i, iq>flf vf ' ntlJ.
e une bouton- nière du diamètre d'une pièce de un franc. Le doigt y
sent
un corps dur et allongé, enclavé dans les matiè
ébut de l'attaque. Des tracés placés à la fin de l'ouvrage établis-
sent
qu'au stade tonique correspond une augmentation d
rès notre départ, elle s'est réveillée en pleurant, disant qu'elle ne
sentait
plus ses membres, qu'elle était paralysée. Elle a
in au fond du bassin, c'est-à-dire à comprimer la région ovarienne, à
sentir
battre l'artère iliaque. Depuis lors, la compress
anquille. Toutefois, cette tranquillité n'était pas absolue, car W...
sentait
qu'elle était toujours sous le coup de ses crises
u'elle compare à des tiraillements et à des élancements. Ensuite elle
sent
quelque chose d'indéfini qui monte vers le creux
es à entendre. La région ovarienne gauche devient douloureuse; P...
sent
« quelque chose » qui remonte au creux de l'estom
nt à des égratignures. * La plupart des hystériques, quand elles se
sentent
sous le coup de leurs attaques, cousent leur chem
e, la jambe étant fléchie, si on demande à la malade de l'allonger on
sent
une légère résistance. Les cuisses sont très dé
p dans le ventre au niveau des régions ovariennes, où, dit-elle, elle
sent
une boule qui remonte 46 à l'estomac, puis à
u'elle était enterrée depuis dix ans. Ensuite, elle riait aux éclats,
sentait
une bête qui dansait dans son ventre, avait une c
n soient assez fortes pour être perçues ; le simple contact n'est pas
senti
. Souvent aussi, de nouvelles excitations échappen
ment des muqueuses passe inaperçu ; mais le pincement, la piqûre sont
sentis
sur l'œil, la base de la langue, la luette ; anes
au second sa volonté. — Jusque-là tout était contestable, mais on ne
sentait
pas encore poindre le charlatanisme intéressé. —B
z de deux à cinq minutes dans cette situation, ou jusqu'à ce que vous
sentiez
qu'il s'est établi une chaleur égale entre ses po
u'il me répondait « Oui » ; alors j'étais prise de joie en croyant le
sentir
m'embrasser et me presser sur son cœur, comme il
r. L'heure de me coucher étant arrivée, ça devenait encore pis, je le
sentais
couché avec moi, m'entrelaçant dans ses bras, me
e chaque fois que je le ressentais se presser contre ma poitrine ; je
sentais
qu'il m'embrassait sur la poitrine, lui demandant
eur la replace en catalepsie, prend son regard et exécute le geste de
sentir
un mouchoir avec plaisir. Le mouchoir est placé s
. Le mouchoir est placé sous ses narines et on lui demande ce qu'elle
sent
. Elle est contente, et répond : « Le lubin ». i
e, elle continue à respirer, disant : « C'est bon ! » Elle veut faire
sentir
la compresse aux assistants, et enfin la cache da
ble qu'un homme laid, toujours le même, rode autour de son lit ; elle
sent
son haleine qui devient de plus en plus chaude et
eur grise ; il n'y a ni flammes, ni étincelles, ni boule rouge). S...
sent
que son cou se raidit, que ses bras tournent et a
une tempête effroyable... Restons sur le bord de la plage... comme on
sent
les roches !... Vois-tu là-bas... l'eau qui saute
eux : « J'étouffe ! » Enfin, elle parvient à boire, dit que ses mains
sentent
l'oignon. (Elle en a épluché ce matin, mais ne s'
X..., Louise (Obs. XII). On la fait assister à un concert imaginaire,
sentir
des odeurs supposées, voir des animaux, etc. Ap
core la figure des assistants telles qu'on la leur avait suggérée, ou
sentir
des odeurs ima- 29 ginaires, etc. Cet état es
t nous avons dit que la plupart en réclamaient souvent quand elles se
sentaient
menacées d'attaque. C'est évidemment des effets a
, puis rougit très souvent pendant d'autres semaines. , , < Il
sent
venir la rougeur. Il éprouve une^sensation vague
r à autre chose, mais le plus souvent le moyen ne réussit pas et il
sent
affluer le sang. Dans les cas les plus ordinair
e corps se couvre de sueur, avec sensation d'horripilation. P. X...
sent
alors son coeur battre avec violence, ainsi que
s, ils rougissent beau- coup plus. Certains, véritables baromètres,
sentent
par avance, à des malaises déterminés que le te
n coiffeur. Pour quelques-uns, c'est un véri- table supplice que de
sentir
le barbier penché sur leur visage et les regard
is rougir ! » ou encore : » Je vais rougir. » Généralement ils la
sentent
venir. L'un dit que < ça part dans l'intérie
et des picotements comme des pointes d'aiguilles ». Un autre res-
sent
« un poids sur l'estomac, un resserrement dans le
st de penser à autre chose. Beaucoup en usent, et, au moment où ils
sentent
venir la rougeur, ils essaient de détourner leu
n parlant tout seuls à haute voix, soit en s'occupant à regarder, à
sentir
, à manipuler, i-E. Régis. - Pessimisme et neura
laisse couler le sang assez abondamment. Le lendemain, le malade se
sent
mieux, mais il demande déjà une saignée plus fo
eur non en face de moi, mais à ma gauche, afin que, au moment où je
sentirai
le sang commencer à me monter à la tête, je puiss
un, s'il y a des affiches à la porte et que, au moment d'entrer, je
sente
le sang qui commence à me monter à la tête, je
ne divinité tutélaire est descendue en elle, elle l'entend, elle la
sent
respirer dans sa poitrine; grâce à ses inspiratio
t s'observer chez ceux qui croient écrire sous la dictée de Dieu et
sentent
leur main dirigée par lui (hallucinations motri
grecques lumi- neuses, apparition de saint Michel, etc. Puis il a
senti
des « voix articulées, voix internes, basses, p
ne longue période de dépression profonde, avec idées de suicide, se
sent
enfin ins- piré par une « voix intérieure que l
oix intérieure que la chair et le sang ne com- prennent pas ». Il a
senti
cette voix céleste, mille et mille fois en quin
lée par la diablerie, en même temps que par les francs-maçons; elle
sent
l'inqui- sition en elle... elle est accaparée p
* Il ne le voit pas réellement, il n'entend pas sa voix, mais il se
sent
possédé et inspiré par lui ». Q ANeuf- châtel l
n âge rapportés dans les vieux auteurs. Le calviniste Elie Marion
sent
qu'un esprit forme dans sa bouche les paroles q
res et de se servir de ces faible organes pour son bon plaisir : je
sentis
et entendis s'écouler par ma bou- che un ruisse
re le Nirvana des bouddhistes. Les mouvements sont supprimés; on ne
sent
plus qu'un reste d'agitation intérieure '. '
divin, dans l'exagération d'un phénomène vrai... L'âme religieuse
sent
parfois abonder en elle des mouvements merveilleu
laquelle présente un certain degré d'atrophie. Les vaisseaux pré-
sentent
des lésions accentuées. Un grand nombre des cellu
contenu de l'ecrit. Le malade se met de bonne volonté à lire; il se
sent
vigoureux et bien dispos; mais après avoir lu q
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 63 jambe fortement tendus ; on les
sent
à la partie postérieure de la cuisse. Les fléch
internes. L'état interne des cellules nerveuses, c'est l'aptitude à
sentir
l' (Em.p(indun¡Js{æhigkeit) que la nutrition et l
les, homogènes en apparence, des différences dans cette capacité de
sentir
? » Au point de vue phylogénétique il paraît bi
l'intimité des rapports du tissu fibrillaire, tels qu'ils apparais-
sent
à la lumière de mes préparations, la connexion ma
is encéphaliques, écorce du cerveau et du cervelet, etc., et repré-
sente
un tissu continu interposé entre les cellules ner
é de se spécialiser dans la médecine men- tale, vers laquelle il se
sentait
attiré dans sa jeunesse. Les hallucinations à c
eux tiers des aliénés, en effet, âgés de plus de soixante ans, pré-
sentent
des idées de persécution; 3° mais quelquefois ces
ralyser l'Invisible. A l'approche des im- pulsions obsédantes, elle
sent
une lutte étrange, l'esprit malin lui soutient
ccomplit l'acte (coup à elle-même ou à ses voisines). Aussitôt elle
sent
en elle un grand soulagement qu'elle attribue à
elle a vu des lettres de feu, des apparitions consolantes et pré-
sente
enfin des phénomènes psychomoteurs qu'elle appell
à ses contradicteurs de l'avoir condamné sans le lire. Jusqu'à pré-
sent
semblable enquête n'avait été faite que post mort
le 7 mars 1894, pour étudier les nombreuses questions qui intéres-
sent
à la fois les juristes et les aliénistes. Cette i
prendre comment ces malades pensent, jugent, ressentent et agis-
sent
. Des vues générales sur le domaine de la psychiat
- coolisme renferme certaines parties contradictoires qui se res-
sentent
de ces deux conceptions différentes. Paul Série
l'histoire naturelle de quelques criminels qui pré- varia. , 255
sentent
des particularités -spéciales; il espère avoir pl
ls. a). Les perversions de la sensibilité générale qui se produi-
sent
dans les branches nasale et linguale du trijumeau
leurs sans toux et sans dyspnée. Puis le besoin d'éternuer se fait
sentir
. Des fourmillements se produisent au niveau de la
ût sont dans ce cas le siège de sensations subjectives. Les malades
sentent
des odeurs désagréables en dehors de tout objet
inodore, il lui trouvait cette odeur. Le seul fait de faire acte de
sentir
éveillait immédiatement l'odeur désagréable.
jumeau, à la face, il y avait des troubles des plus nets. Le malade
sentait
incomplé- tement au toucher ; à la piqûre il y
ures. Les troubles de l'olfaction envisagés dans leur marche pré-
sentent
les mêmes phénomènes d'attaques aiguës que ceux d
par les granulations, soit invisible. Sur les coupes qui intéres-
sent
le ganglion suivant son 'grand axe longitudinal,
s; quelques-unes, généralement groupées par trois ou quatre, pré-
sentaient
une atrophie avancée. Elles étaient petites, appa
11 suit que les centres sensoriels de l'écorce du cerveau repré-
sentent
bien une véritable projection étendue des surface
es, qui oserait sou- tenir qu'un aliéné est responsable de ce qu'il
sent
et de ce qu'il fait par le fait seul qu'il conn
mesure étendu la portée du mot, et compromis l'idée qu'il repré-
sentait
. En résumé on supprimerait le conflit entre la lo
usqu'à la folie, qui sont assez difficiles à décrire, mais qui pré-
sentent
néanmoins une physionomie très nette. Les malad
ambiant, et n'ont jamais revêtu de caractère terrifiant : lui-même
sentait
parfaitement qu'elles ne se cassaient pas dans
a seconde fois, avec les mêmes symptômes psychiques, mais il pré-
sente
du myosis, de l'immobilité des pupilles et de l'a
de ce signe : sur 417 tabéliques et paralytiques, 66,9 p. 100 pré-
sentaient
de l'analgésie du cubital; sur 354 paralytiques,
ontre l'emploi de la brique blanche, et je désirerais ensuite faire
sentir
à la Com- mission quelles sont les intentions d
ru- ments et des méthodes; 5° l'anthropologie moderne, qui repré-
sente
peut-être, à l'heure actuelle, la science la plus
iers. Actuellement, les crises sont un peu modifiées : l'enfant les
sent
venir ; il se dirige alors vers une chaise ou v
elle et l'on est obligé de la soutenir entièrement; cependant elle
sent
fort, bien le sol sur lequel elle repose. Soute
ct superficiel et profond, piqûres, chatouillements, etc., qui sont
senties
assez normalement à gauche. La motilité, mouv
tion thermique qui consiste en ceci : que le membre inférieur droit
sent
le chaud, mais ne sent pas le froid, tandis que l
iste en ceci : que le membre inférieur droit sent le chaud, mais ne
sent
pas le froid, tandis que le membre inférieur ga
d, mais ne sent pas le froid, tandis que le membre inférieur gauche
sent
le froid et ne sent pas le chaud (Fig. 1). Un f
le froid, tandis que le membre inférieur gauche sent le froid et ne
sent
pas le chaud (Fig. 1). Un fait accidentel est v
Thèse de Paris, 1899. Fig. 1 (ire Périodes Le chaud (pointillé) est
senti
à droite, pas à gauche. Le froid (hachures) est
ointillé) est senti à droite, pas à gauche. Le froid (hachures) est
senti
à gauche, pas a droite. La fesse gauche et la p
a fesse gauche et la partie supérieure interne de la cuisse gauche ne
sentent
ni le froid, ni le chaud. 20 RÉVILLIOD Inta
ar la grande difficulté de se faire mettre sur la selle, MmeX... se
sent
prise d'un grand malaise, de vives douleurs dan
embres inférieurs, et par suite le ma- lade se plaint de ne plus se
sentir
en équilibre ». Il y a ébauche aussi de la déma
ination des objets. - Elle ne peut nommer les objets qu'on lui pré-
sente
ou bien elle emploie des mots qui n'ont aucun sen
vêtements, sensibles à l'oeil chez un homme nu. Mais ils me parais-
sent
de deux sortes : le premier de ces efforts produi
me le dit Gerdy, la tension du muscle est assez forte pour qu'on la
sente
à travers les vêtements. En faisant cette explora
à travers les vêtements. En faisant cette exploration à nu, on peut
sentir
la contraction musculaire au niveau des gouttière
des doigts réunis sur les muscles de la nuque pendant la marche. On
sent
nettement ces muscles se gonfler et se durcir à
le bord inférieur de la dixième côte ; à ce niveau on ne peut plus
sentir
la onzième côte, lorsqu'on la suit d'arrière en
rmations progressent sans doute très lentement, et elles ne parais-
sent
pas s'accompaguer d'altérations de l'état général
e. Nous avons quelquefois noté un peu d'emphysème, mais qui ne pré-
sentait
certainement aucun rapport avec les déformations
eudo-Paget n'apparaît guère que vers 60 ans au plus tôt, et ne pré-
sente
pas de période douloureuse prodromique. Les seuls
rsqu'elle entra dans cet hôpital, en septembre 1896, la malade res-
sentait
de vives douleurs, à caractère fulgurant,dans les
but de la diplopie, assez lentement sans perte de conscience, il se
sentit
pris d'une faiblesse dans le côté droit du corps.
ction de la branche radiculaire descendante de la IVe paire se pré-
sente
dégénérée. La racine descendante du trijumeau à
a malade rentrait chez elle, lors- qu'en montant l'escalier elle se
sent
tomber. Elle lâche les paquets qu'elle tenait à
re diagnostic n'est pas douteux. Notre première observation se pré-
sente
comme un cas de dothiénentérie avec urticaire et
heureux employé pendant un temps très court. Il est enchanté, il se
sent
déjà débarrassé de cette gêne ennuyeuse des doigt
e sa profession. Tant qu'il ne prend pas la plume dans sa main, il se
sent
bien portant. Mais il lui suffit d'écrire quelq
i suffit d'écrire quelques lettres et même quelques mots pour qu'il
sente
que ses doigts se crispent, le porte-plume se met
s d'une affection établie, nous ne pensons pas que ces moyens puis-
sent
être efficaces, comme moyens thérapeutiques. C'es
vice de M. Brissaud, à l'Hôtel-Dieu, et dont la planche XXXI repré-
sente
la photographie obtenue par un procédé peu usité
sacrée et lombaire, les racines postérieures sont altérées et pré-
sentent
de la névrite parenchymateuse (pl. XXXIII, fig. 1
nces de détails. A travers la multiplicité des aspects, ils croient
sentir
l'unité de la maladie. - Les conceptions pathog
entres nerveux. Les os du crâne et de la colonne vertébrale ne pré-
sentent
aucune particularité. La dure-mère est normale, l
ège d'une inflammation manifeste . Quelques parois vasculaires pré-
sentent
de la dégénérescence hyaloïde. Pas de néoformatio
onnons la reproduction photographique pré- xviii 18 266 VALOBRA
sente
une analogie si complète avec la main succulente
et hypertrophiantes identiques ? Le fait au contraire qu'ils agis-
sent
tous par une occlusion des voies lymphatiques, jo
nt plus intenses sont annoncés par une « agitation intérieure ». Elle
sent
que « cela n'ira pas ». De plus, chaque fois qu
tique faits en vue de guérir le torticolis mental, elle dit qu'elle
sent
son cou plus fort. Pendant les séan- ces d'écri
la rectitude. Quand elle l'a ramenée sur la ligne médiane, elle ne
sent
pas si sa tête est bien droite, et elle demande
; la partie de la main où cette faiblesse se fait particulièrement
sentir
,se trouve à la face dorsale de la main,vers l'ext
ement mobile en avant (2 cent. environ), très peu en arrière. On ne
sent
pas très nettement l'encoche sous-acromiale. Le
le fragment externe n'est visible que dans un certain sens et pré-
sente
des aspects variables suivant l'incidence des ray
mé- raie se subluxe en avant et en arrière des deux côtés. Le doigt
sent
une en- coche sous-acromiale assez marquée. Les
Sainton, Rappeler, Carpenter). Dans l'excavation ainsi produite on
sent
les diffé- rents reliefs osseux et les battemen
uer d'ailleurs parmi les membres de la famille atteinte qui ne pré-
sentent
pas de dysostose cléido-crânienne; les 3 soeurs d
t les parois des ventricules, détruisent les commissures et déplis-
sent
les circonvolutions, convertissent ainsi le cerve
olonne vertébrale. La colonne vertébrale des Pseudencéphaliens pré-
sente
deux particularités, dont l'une est à peu près co
onduit décrire le contenu du crâne et les divers aspects qu'il pré-
sente
, ainsi que le contenu du canal rachidien, dans le
é par une membrane épaisse qui n'est autre que la dure-mère, repré-
sente
de nombreuses racines enveloppant l'extrémité inf
ulaire ou parcellaire, leur brusquerie, la ressemblance qu'ils pré-
sentent
avec les contractions provoquées par l'excitation
PRIMITIVE PROGRESSIVE 427 7 un hôpital, parce que petit à petit il
sentait
diminuer ses forces. Le jour de son entrée, le
arente réduction du volume des os. En effet, en les palpant, on les
sent
comme amincis par comparaison avec ceux d'un ho
le travail des champs. Mais il nous fait remarquer qu'il a aussitôt
senti
qu'il n'était plus aussi solide qu'auparavant ;
devenait toujours plus difficile, après avoir fait quelques pas, il
sentait
comment ses genoux faiblissaient, pliaient et enf
un petit front,et dans la région occipitale droite on voit et l'on
sent
un aplatissement osseux assez pro- noncé. La fa
toire de sa maladie. Pendant ses accès de paludisme il commence par
sentir
des douleurs dans les membres inférieurs et supér
x ont disparu entièrement et la paroi abdominale est si mince qu'on
sent
très bien la colonne vertébrale à travers. Mens
Si on soutient le poignet, la main tombe, ballante, les poings pré-
sentent
la 2e et la 30 phalange dans la flexion palmaire
sion et sens musculaire) est normale sur tout le corps. Le malade
sent
quelquefois des douleurs diffuses qui le prennent
mois, il vient à la consultation pour la même déformation. Il pré-
sente
à nouveau un torticolis par contracture hystériqu
ue l'acromion, la face tournée du côté opposé. A la palpation, on
sent
le muscle sterno-cléido-mastoïdien tendu, contrac
se corrigeait par la suspension et non par le simple décubitus, on
sentait
contractures le grand dorsal et le grand rond.
l'enfant est couché, où d'autre part, aucune masse musculaire n'est
sentie
contrac- turée du côté concave. Cette impressio
té, eut une influence remarquable : le lendemain matin la malade se
sentait
beaucoup mieux, ses douleurs avaient disparu pe
ie que lors de la venue de l'inspecteur général Cons- tans quand il
sent
la disgrâce approcher. Les capucins d'un couvent
uels la fantaisie s'estplu à dépeindre ces êtres imaginaires.Repré-
sentez
-vous une grosse figure, ronde, haute en couleurs,
, exceptionnellement dans la diaphyse. Elles sont aiguës et ne pré-
sentent
pas les courbes grand arc caractéristiques du rac
es à la surface desquelles ils occupent des encoches qu'ils parais-
sent
avoir façonnées par résorption (Porak et Durante)
a mémoire du passé est assez fidèle. Les événements actuels parais-
sent
s'assimiler plus difficilement. Pas d'hallucinati
t au-dessous de l'olive bulbaire, le bulbe et le cervelet apparais-
sent
complètement normaux, sauf une petite zone très p
L'olive cérébelleuse est, elle aussi, assez petite, mais elle pré-
sente
une lésion très évidente ; sa moitié externe n'es
Médicales de Lyon par mon interne, M. Lévy (2), un malade qui pré-
sentait
une atrophie musculaire ayant tous les caractères
ement sur la main gauche. Sur les crêtes iliaques, par le palper on
sent
nettement jusqu'au niveau des épines antérieure
u niveau de la fesse. Quand on place une main sur cette saillie, on
sent
, pendant la flexion de la jambe, une crépitation
tait à la sonde de pénétrer dans l'épaisseur de la tumeur, que l'on
sentait
manifestement constituée par du tissu osseux sp
semblent à des fibroblastes avec de gros noyaux, lesquels se dispo-
sent
l'un à côté de l'autre et en s'appropriant des se
ité ventriculaire (PI.LXXV a). En d'autres endroits l'épendyme pré-
sente
des saillies dont certaines sont coiffées d'un bl
suhluxée, projetée en avant avec l'angle externe du scapulum. On ne
sent
pas la cavité de l'ar- ticulation scapulo-humér
ontraction un boudin transversal volumineux. Le sous-épineux repré-
sente
une épaisse masse charnue dont le bord inférieur
doigts, et encore les doigts de la main droite exclusivement, pré-
sentent
des modifications morphologiques intéressantes; l
deux malades autopsiés par Gilles de la Tourette et Marinesco pré-
sentaient
tous deux des lésions médullaires beaucoup plus m
est un point qui est resté presque complètement ignoré jusqu'à pré-
sent
. Nous venons d'observer un cas qui, rapproché d
6). L'acte du rapprochement des épaules en arrière est limité. L'on
sent
alors le muscle rhomboïde qui est contracté, ta
nt (19 février 1909) j'ai reçu des nouvelles de la malade : elle se
sent
toujours plus faible. Il y a 8 jours elle a eu un
t sur la 84 MACÉ DE LÉPINAY gaine des fléchisseurs des doigts, on
sent
, lorsque ceux-ci se contractent, des craquement
l le regarder, aussitôt la crampe des écrivains apparaissait. Il se
sentait
gêné, puis il faisait des mouve- ments brusques
elle se mettait à l'ouvrage, il lui fallait un effort énorme; elle
sentait
l'atten- tion lui échapper; elle rêvait à une f
t dans le mollet droit une crampe douloureuse. En même temps, il se
sentait
pris d'un état vertigineux accentué, avec broui
rts, mais ne parle pas et si on le prie de répéter une phrase qu'il
sent
difficile,il préfère garder le silence ; s'il p
nt contractées, surtout si l'on prolonge l'examen et si le sujet se
sent
observé. Lorsqu'il ne parle pas, le malade ouvr
ulté de la mastication. Le malade ne peut mâcher que lentement ; il
sent
,dit,il, « les nerfs qui le tirent » ; tous ses
sont involontaires, réflexes, inconscients, mais les choses se pas-
sent
absolument comme s'ils agissaient avec réflexion.
eut s'habiller, manger, boire de la main droite ; en un mot ne res-
sent
aucune gêne dans les fonctions multiples de la ma
le malade prenait le marteau et commençait à battre le fer, il res-
sentait
une forte douleur dans les muscles de l'épaule et
é maternel, cinq frères ou soeurs, mariés. Leur descendance ne pré-
sente
rien d'important au point de vue pathologique.
Le cuir chevelu est parsemé d'un fin duvet grisâtre ; au toucher on
sent
sous la peau que la boîte osseuse du crâne est
ont guère d'accord. La question n'étant pas résolue, notre cas pré-
sente
certain intérêt au point de vue de l'étiologie et
lui disaient qu'elle était damnée ; qu'elle était un démon, qu'elle
sentait
mauvais. Elle se plaignait du mauvais goût de s
qui lui disent qu'elle est damnée, qu'elle est une salope, qu'elle
sent
mauvais ; les halluci- nations sont bilatérales
la région des muscles atrophiés disparurent ; ces secousses repré-
sentaient
la simulation hystérique des contractions fibrill
me artériel ou varices, lésions qui, comme nous l'avons vu, favori-
sent
et fixent la névrose. Un traitement médical appro
fisant des réactions très nettes des cylindraxes ; ceux-ci se divi-
sent
, donnent naissance à des collatérales néoformées,
dothélium, tuméfié, réduit notablement le calibre : certains parais
sent
môme oblitérés, et le très léger infiltrai qu'on
te spécialement à cet effet : p. Comme nous avions depuis longtemps
senti
le besoin d'une méthode com- " mode pour calcul
e a eu mal à la tète et est restée au lit un jour.Depuis elle s'est
sentie
bien et a resté debout pendant trois jours ; mais
peu elle-même, quand on la fait asseoir ; maintenant on peut aussi
sentir
que les muscles abdominaux se contractent. En
on la trouve bien développée à gauche ; à droite on peut également
sentir
des faisceaux musculaires contractés, mais la m
ui est moins développée pour les extrémités des membres. On ne peut
sentir
aucune contraction des muscles abdominaux, quand
muscles abdominaux se sont contractés, quoique on ne puisse pas le
sentir
avec certi- tude en touchant la paroi abdominal
er, on cons- tate qu'ils se contractent mal, mais toutefois on peut
sentir
une certaine con- traction des deux grands droi
ctum. Les muscles abdominaux sont tout à fait flasques ; on ne peut
sentir
aucune contraction, quand la malade essaie de lev
s mouvements minimes dans les membres inférieurs. On ne peut encore
sentir
aucune contraction des muscles abdominaux, quan
apparue d'abord, mais sans douleurs. Quelques jours après il a res-
senti
des douleurs dans les jambes et a observé aussi u
cé par des frissons et mal de tête, surtout dans la nuque; il s'est
senti
abattu, mais est resté debout. Le lende- main i
s'est senti abattu, mais est resté debout. Le lende- main il s'est
senti
plus malade et s'est mis au lit; il avait encore
se. Elle raconte que le 2 novembre de cette année elle ne s'est pas
sentie
bien, mais il n'y avait pas de symptômes nets e
s et elle a pris froid. Le lendemain matin elle a soudainement res-
senti
un vive douleur « au milieu de la poitrine » mais
avait une paralysie complète des membres inférieurs. De plus elle,a
senti
une faiblesse du bras droit. Elle a été transpo
te. Quand on exerce une pression sur la colonne vertébrale, elle ne
sent
pas de douleurs. Il y a une paralysie complète
seins, une zone d'une hauteur de quelques centimètres où elle peut
sentir
des piqûres faites avec la pointe d'une épingle,
légers (comme ceux faits avec du coton). Aux jambes également elle
sent
quelquefois des contacts assez forts. Au commen
lomalacie comme la seule cause de tous les symptômes qui se produi-
sent
en ce cas, où la lésion transversale serait deven
t-à-dire que les symptômes méningitiques de la poliomyélite se pré-
sentent
en général avec un type spinal, tandis que ce n'e
la clinique le 11 juin 1908. Après avoir eu mal à la tète et s'être
senti
indisposé pendant deux ou trois jours, il est r
quant aux parties de ce muscle au-dessous de l'ombilic, on n'y peut
sentir
la moindre contraction. En effet, toute la partie
efforts, lorsqu'elle voulait marcher rapidement ou courir,la malade
sentait
ses genoux fléchir et se laissait tomber, s'eff
s mammaires sont saillantes ; Otto a de véritables seins qui repré-
sentent
environ le volume d'une mandarine. Le pli sous-ma
1/2. La région précordiale apparaît normale à la palpation ; on ne
sent
aucun frémissement. A l'auscultation les brui
intéressantes qui se complètent l'une l'autre et qui ensemble dépo-
sent
contre les conclusions des dualistes. M. Claude
es restaient encore inexpliqués, tels ces noevi en bandes qui croi-
sent
plus ou moins obliquement plusieurs territoires n
té de la colonne vertébrale : type Bechlerew et type Marie. Il pré-
sente
aussi quelques caractères particuliers. N'avons
re les douleurs les meilleurs résultats. En mars 1906,il commença à
sentir
un affaiblissement particulier et marqué de la
ques ne sont presque plus perçues : la cha- leur ne commence à être
sentie
que quand elle a déjà produit une brûlure. 4° A
fluence d'une cause si légère qu'elle ne se serait normalement fait
sentir
en aucune façon, les effets pour le malade ne f
ir C. Sebastiano. Son état'générai de santé est satisfaisant, il se
sent
relati- nn 35 323 R0ASENDA vement fort et p
est mobile. Au tiers médian et inférieur de la jambe, la peau pré-
sente
sur une certaine étendue une ulcération irréguliè
ge, sans gravité d'ailleurs. Un jour il écrit à son père qu'il se
sentait
malade, et qu'il n'avait plus aucune mémoire. U
8 novembre 1907, mort le 9 novembre. Le 3 novembre, le garçon s'est
senti
abattu ; il s'est plaint de douleurs dans toute
toire antérieure du malade. Le 23 septembre environ le malade s'est
senti
un peu abattu et il avait de légers frissons. L
ns. Le 26 septembre, une céphalalgie intense a commencé et il s'est
senti
plus malade, mais il pouvait encore accomplir son
ir des informations sur l'anamnèse). Le 27 janvier le patient s'est
senti
indisposé et fiévreux avec des transpirations, ma
té de- bout. Le lendemain il s'est mis au lit. Pendant ce jour il a
senti
une faiblesse des membres supérieurs, mais auss
ssi des symptômes qui indiquent une parésie du tronc ; car il s'est
senti
le tronc en quelque sorte brisé et il ne pouvait
du jour. Pendant.la nuit suivante, vers deux heures du matin, il a
senti
que la diffi- culté de respirer commençait. Cet
s atrophies partielles exclusivement parenchymateuses se reconnais-
sent
en ce qu'elles frappent d'une façon disséminée, p
t avec pas mal de difficultés, chez lui. Après quelques jours il se
sent
mieux, mais il est resté avec une faiblesse dans
missements. Après 48 heures, ces troubles disparaissent, le malade se
sent
mieux qu'avant la ponction, son intelligence es
este dans l'articulation de la cheville. Aux membres supérieurs, on
sent
une certaine ré- sistance dans l'extension de l
omatique. - La tête est grande, son front n'est pas haut et l'on ne
sent
pas les fontanelles. Les oreilles ne présentent r
ires au centre desquels le procès de poliomyélite s'était déjà fait
sentir
. A cette vulné- rabilité spéciale, non seulemen
froid pendant plusieurs heures. Au commencement de septembre, il a
senti
des dysesthésies aux jambes et aux pieds, des sen
ut les symptômes de la fai- blesse n'ont été que très légers ; il a
senti
qu'il ne pouvait pas bien courir, ni marcher au
la maintenir en vie et d'en perpétuer l'espèce. Les choses se pas-
sent
comme si la cellule avait l'instinct de sa conser
onté et de Conscience, lorsque tout prouve que les êtres accomplis-
sent
leurs fins nalurelles,malgré leur inintelligence
x, des oreil- les, etc., qui lui permettent de voir, d'entendre, de
sentir
, etc., ce qui émane de la matière vivante qui l
s cellulaires soient héritées, il faut encore que les milieux agis-
sent
dans le même sens que l'hérédité et ne viennent p
s et puisse les expliquer, il faut absolument qu'elles se reprodui-
sent
dans les mêmes circonstances. Etudier l'homme sci
nsemble du texte des autres conceptions. Les explications produi-
sent
un soulagement psychique, en satisfaisant le rais
forme d'accès, et toujours en provoquant la résistance du sujet qui
sent
ce qui se passe en lui. On a quelquefois des
e de l'inconscient, n'est point conforme à la manière de voir, de
sentir
, de concevoir habituelle ; elle y est même souven
puis un délire qui transforme radicalement la personnalité : le Moi
sent
, pense et veut d'une façon toute différente.
place n'est pas ici. 11 ignore qu'il se trouve dans un hôpital, se
sent
tout à fait bien portant et est irrité, à juste
mmeil, contrarié et craignant de nouvelles vexations du chef; il se
sentait
tout à fait malade par agitation et humiliation,
és ensuite, châtiment désiré mais mérité à leurs yeux, qu'ils ne se
sentent
pas le courage de s'infliger eux- mêmes. Les
caféine, digitale et une nourriture riche en albuminoïdes produi-
sent
un plus grand effet. La suppléance qui se fait
malade dépérit, devient déprimé, peureux, croit qu'il va mourir, se
sent
abattu, tour- menté d'angoisse cardiaque, se pl
. Il ne le voit pas réellement, il n'entend pas sa voix; mais il se
sent
possédé et inspiré par lui. Voici en quelques m
s dirigés contre lui au dehors. Ici il est tout à fait à l'abri, se
sent
bien depuis quatre ans qu'il y est et 'espère b
car toutes les fois qu'il était question du professeur parti, elle
sentait
des insinuations. Le directeur a dû en avoir fait
ou choréiques, mais il lui arrive souvent quand il est immobile, de
sentir
de petits mouvements involon- taires dans l'épa
s et de plus en plus nombreuses, (trois ou quatre par jour). Il les
sent
venir : son caractère se modifie, il est plein
après, les accès reviennent, mais avec moins d'intensité. Il ne les
sent
plus venir, c'est-à-dire qu'il n'a plus, auparava
res. 15 mars. Deux accès, l'un à 10 heures, l'autre à midi ; il a
senti
venir le dernier, l'infirmier lui a donné immédia
membres inférieurs sont tranquilles et normaux, mais au toucher on
sent
une raideur extrême. Le moindre mouvement produ
me, le jour même et au moment où, d'un commun accord, ils se pré-
sentaient
tous deux au tribunal pour divorcer. Délire systé
notablement gonflés et durs, et qui, aux membres supérieurs, pré-
sentent
en outre des nodosités ; ensuite disparition des
ar de la pyrophobie. Le malade avait tellement peur du feu qu'il se
sentait
obligé d'enterrer les bouts de ciga- rettes, le
tte concision n'est même pas le moindre mérite des auteurs, et l'on
sent
avec satis- faction que tout est à lire. Les au
s paupières et que nous lui ordonnions d'ouvrir les deux yeux, nous
sentons
manifeste- ment que le mouvement s'exécute avec
é paralysé. De même, en s'opposant à l'occlusion de la paupière, on
sent
que l'orbiculaire se contracte avec moins de fo
ne du lobe occipital ; les fibres centrifuges qui en partent pas-
sent
au-dessous du pli courbe, d'où les effets des lés
s oculaires, ni ses paupières, ni son front, ni ses joues », pré-
sente
cependant « de temps à autre, involontairement so
s segments et collé au thorax. Le crâne ouvert, la dure-mère pré-
sente
son aspect normal. Les méninges molles sont vivem
face externe, contre la capsule interne. La coupe pariétale pré-
sente
les mêmes lésions, mais plus étendues. Au nivea
ircu- laires, il indique très bien la direction du mouvement, il la
sent
même plus que normalement. A l'arrêt, se produi
e par atrophie muscu- laire. Sur la plaque centrifuge, la malade ne
sent
, les yeux fermés, aucune rotation, elle croit ê
n'ayant qu'une faible diminution de l'acuité auditive à gauche, ne
sent
pas les mouvements de rota- tion pour les rotat
groupes de la'variété morbide. Souvent ces différenciations pré-
sentent
des difficultés surtout lorsqu'il s'agit de disti
- dises. Eu même temps que se développait cette grosseur, il res-
sentait
des fourmillements dans le bras, et éprouvait une
e demande avec anxiété ce qu'elle va faire de ce bras qu'elle croit
sentir
au pied du lit et insiste pour qu'on l'enlève.
ien développée; les mamelons sont très allongés. A la palpation, on
sent
de nombreux globules glandulaires ; cependant le
re 18 cen- timètres de longueur, la gauche 16. Les fémurs ne pré-
sentent
pas l'incurvation ordinaire dans le sexe féminin;
uelques petits nodules hémorrhoïdaires. Le toucher rectal permet de
sentir
une prostate .de faibles dimensions. IDIOTIE
cause de.l'aspect plus ou moins comparable à une vulve, que pré-
sente
le scrotum divisé sur la ligne médiane. Dans notr
reté du fait, la palpation dissipe vite toute hésitation, puisqu'on
sent
facilement l'épidiUyme et le cor- don en contin
éveiller très aisément. Il dit qu'il n'a rien autre chose que de se
sentir
conti- nuellement fatigué, depuis deux ans. Le
rique du globe de l'oeil. La plupart des ondes du courant traver-
sent
le globe, de sorte qu'une quantité infinitésimale
uvage qui les prenait à la gorge ; quelques-uns se sont tout à coup
sentis
étourdis. Il en a bu de plus en plus ; plus il
prouvait une sécheresse de la gorge, de plus en plus pénible, et se
sentait
comme ivre. Il ne se rappelle plus rien à par-
, où elle se faisait entendre; c'était parfois il l'estomac qu'elle
sentait
la réponse. « Je réponds par l'estomac, disait-
Le lendemain et les jours suivants les hallucinations disparais-
sent
, le sommeil revient, l'appétit est meilleur, les
général les pauvres dégénérés : au cabaret. Plus il buvait, plus il
sentait
le besoin d'un réconfortant psychique, et dès l
le sorte seule, croit qu'elle ira coucher avec tout le monde. Il se
sent
tellement transformé qu'il met sur le compte d'
r ce qui va t'arriver, lui crie-t-elle. tu vas voir la putain. » Il
sent
aussi des frémissements dans les pieds qui remo
B... avait en outre îles troubles de la sensibilité générale; il se
sentait
électrisé et avait des fourmillements sur tout le
s; elles ont disparu quelques jours après. Le 27 juillet, B... se
sent
tranquille, il n'a plus autant de cau- chemars
st la langue qui est le siège des mouve- ments localisés. Le malade
sent
remuer sa langue à l'instant où la voix se fait
A l'état normal, quand nous prononçons des mots menta- lement, nous
sentons
à l'état d'ébauche, des mouvements musculaires
pièzes sont boursouflées, surtout la paupière supérieure et pré-
sentent
un fort ourlet qui s'étend jusqu'aux commissures
rvant l'enfant, dans l'exercice de ses facultés intellectuelles, on
sent
qu'il y a chez lui, sinon déchéance, au moins u
heure, ou moins fortement intoxiqués. Ces différences disparais-
sent
chez les animaux fortement et depuis longtemps em
en une fois. Quand on parcourt le marché hebdoma- daire de Memel on
sent
l'haleine éthérée des marchands et l'on constat
; au milieu des détails attrayants de cette vie nouvelle, l'aliéné
sent
qu'il se rapproche des habitudes ordi- naires d
la même région, diminution de la sensation de contact ; le patient
sent
et localise une forte pres- sion, mais peu les
s masses, plus petites, cohérentes avec la portion moyenne, repo-
sent
sur la base du cerveau, librement. Le corps pitui
rant chez lui après une journée de travail dans les champs, s'était
senti
malade, était monté se coucher et que dans la nui
que donne l'habitude d'être parmi les-personnes souffrantes nous
sentions
les larmes nous venir aux }eux de voir un être hu
ighi. Pendant tout le mois qu'il séjourna sur cette montagne, il se
sentit
réellement soulagé. Mais, dès qu'il fut descend
pinçait », dit-il. Cette douleur est par moment très vive. Il la
sent
, en général, le matin dès son réveil, mais elle e
e sommeil est en général très calme et, quand il se réveille, il ne
sent
pas sa douleur. Celle-ci ne le reprend que vers d
lia;ne paternelle. A la. suite de chagrins ou de contrariétés, elle
sent
son caractère s'aigrir, ses 'dispositions moral
du moindre effort intellectuel, mais, cette inca- ' pacité, il la,
sentait
? affirmation, d'ailleurs, que ne contredis t s
leur 'absolues Dans- ces* cas,3c'est*le ma- làde,lui'mt,mé quiT se,"
sent
,'devenir. stupidc : 'lI1 a cons; ciéiicé d'une'
d'hallucinations,Lils ! ne' voient' ni' n'entendent, ! mais ils se
sentent
devenir botes,'1' ils ont conscience' de tomber;
? . ,. 11 ? 4 , .. h 1 \ Une fois 1 accès terminé. Adèle Sic... se
sent
, durant plusieurs semaines, abattue, sans énerg
, milieu de la-nuit par de violentes palpitations dp coeur et ne se
sent
plus le même. Le lendemain tout avait dis- paru
d'oreille¡¡et"un besoin inusité de mouveinent.1,Tliéodôre,-il ? ise
sentit
tout, autre. Le jour, il ne pouvait rester en,p
t. il r avait ,,con- science ? l'inquiétait.d'autant plus. qu'il se
sentait
aussi devenir différent de lui-mêmenll voyait s
v 1 ? ··r It.lt esprit. Il avait des paroxysmes durant lesquels il
sentait
son 'tT ? t ? ,'n ? ) r'i ? rm ? f' Feus' ..f ?
ent trente-quatre femmes qui, d'après, leur,,age, se<répartis-
sent
comme il de 20 à 30.ans : À4-; ;de30jà./i0,ans
cerveau d'Ed...;· et les Planches l'et II du- tome IV, qui. repré-
sentent
le- cerveau de -CIL ? permèttra de constater de-p
tantôt se précipitai en avant, tantôt se rejetait en arrière; 'elle
sentait
'd'ailleurs très bien qu'outre son arythmie et
antr'ie pouls,' de fréquents soubresauts des tendons se fai- saient
sentir
. aui niveau du carpe. » --Crises de vomissements
uée soit par la, .voix, soit , par les , gestes ? ces derniers sont
sentis
comme s'ils existaient réellement; les objets,
eut devenir le siège de sensations erronées du même genre. Le sujet
sentira
, par exemple, qu'on lui envoie de mauvaises ode
vement produits. Le 10 mai 1883, Nouaux est triste; il pleure, se
sent
la tête lourde, mange à peine, craint de ne plus
peu près la première et, en tout cas, la plus proche qui se pré-
sente
à l'esprit. Tel est le mode d'explication qui -
on sera immé- diatement frappé des caractères communs qu'ils pré-
sentent
sous leur diversité de surface, et l'on recon-
t un peu hésitante, surtout lorsque les yeux sont fermés. Le malade
sent
la résistance du sol du pied droit, mais il lui
22 juin. Autopsie. -Les organes thoraciques et abdominaux ne pré-
sentent
pas d'altérations dignes d'être notées. Le cervea
blir. Aucun de nos malades ne DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. 205
sentait
la douleur à la pression sur le trajet des ra-
t allé passer quelques jours il Fontainebleau avec son père, il s'y
sentit
si bien qu'on résolut de l'y laisser chez un gard
pendant un temps par ce travail physiologique. Les choses parais-
sent
, en effet, se passer ainsi le plus souvent. Ceux
émisphère droit, plus prononcée dans le lobe frontal, se fait aussi
sentir
dans les lobes sphénoïdàl et occipital. Le lobe
du sillon, les parties avoisinantes de la surface convexe ne pré-
sentent
presque pas de différence notable, quant à la lar
ux hémisphères, pris avec les vaisseaux des mêmes points, ne pré-
sentaient
point d'altérations notables, soit dans la forme
nou- velle formation d'origine connective. Or, les vaisseaux pré-
sentent
aussi, en même temps, des lésions irritatives et
r- trophiées. Dans les périodes plus avancées, ces tumeurs subis-
sent
une altération présentant tous les caractères de
ijah1tlis' élé''itltein L.1'Dé'lix"tleJés CTaliêYi'6';P aM Ii.)éq(
sent
l¡¡j"ij'pc''l ! l'e¡;ffi'iri\/er '¡hWrsWttJblp8].
du malade' dont il a'parlé 'dans la séance de novembre' qui pré-
sentait
de l'hémianopsie. L'écorce est seule altérée : ré
illes soit différente selon qu'on éclaire les moitiés de rétine qui
sentent
la lumière ou celles qui sont anesthésiques. Gran
était prise immédiatement d'une anxiété très pénible, parce qu'elle
sentait
que l'équilibre allait lui manquer. A cette épo
l'enfant dans la prononciation de certaines parties du mot, vous
sentez
quelque chose qui rappelle de bien près le. mot
ant lesquelles la langue devrait rester inactive et à l'inverse, on
sent
plus ou moins l'action des lèvres là où ne devr
; et s'il ve- nait quelqu'un pour le tromper ou le surprendre, il
sentait
soudain le signal à l'oreille dextre; si c'était
e; si c'était quelque homme de bien et qui vint pour son bien, il
sentait
aussi le signal à J'oreille sénestre». C'est ici
'hallucinations pénibles, multiples, mobiles : on l'in- juriait, il
sentait
de mauvaises odeurs, il voyait des chats, des r
principalement par la rigi- dité continue des muscles; le malade le
sent
bien lui-même et se plaint d'avoir les pieds co
ne vertébrale sont particulièrement tendus et rigides; le malade se
sent
pour ainsi dire tiré en arrière. Les mouvemen
es sont prises de trépidation. Pendant les mouvements passifs, on
sent
dans les articulations du genou et du pied la rés
tenant une question très intéressante et fort importante se pré-
sentait
: dans quel état se trouvaient les hémisphères du
nt se produit la rumination. Il nous semble évident que le mérycole
sent
approcher l'ins- tant où la rumination va se pr
Pèle, petite; voûte du crâne un peu irrégulière. Du côté gauche, on
sent
, à l'union du frontal avec le pariétal, une dép
nitaux : Verge petite; prépuce très long formant un phimosis. On ne
sent
pas les testicules dans le scrotum; rien il l'a
vant le retour des aliments. Il est évident pour nous que le malade
sent
arriver le moment où la régurgitation va se pro-
1 1 centimètres. La pepsine, administrée d'abord il la dose de ¡¡O
sentit
., puis de '7. avant chaque repas n'a pas produi
tion pupillaire; la proportion n'est que d'-1/3 pour ceux qui pré-
sentent
le phénomène du genou. Aucune espèce de réaction
les qui faussent la conscience du sujet et exercent sur la façon de
sentir
et les tendances de l'in- dividu une influence
au maximum du médicament. Les effets salutaires se font d'ordinaire
sentir
dans les quelques heures qui suivent l'ingestio
prochées du cas de Moos dans lequel le golfe de la jugulaire pré-
sentait
une largeur anormale. M. Fuerstner parle ensuite
ent pas sont en bon état, taudis que toutes celles que l'on utilise
sentent
mauvais. M. Fuerstner reconnaît le besoin de se
st donc située à l'extrémité antérieure de la gaine bicipitale, et on
sent
, quand on remonte de la fistule à l'articulation,
nous l'avons même dépassée, mais nulle part il ne m'a été possible de
sentir
, de trouver l'os parfaitement à nu, de pénétrer d
érieur. Cependant pour la fistule bicipitale surtout, j'ai réussi à
sentir
la portion osseuse à nu, sans pouvoir redresser l
'il est encore très-épais. Ici l'atrophie de ce muscle nous permet de
sentir
que l'os a perdu sa régularité arrondie; qu'une p
as d'hypéresthôsie de la peau ; plutôt de l'anesthésie : la malade ne
sentait
rien lorsqu'on lui faisait des piqûres avec l'aig
ve décrite par M. Bergeron, car, une heure avant la mort, elle ne pré¬
sentait
pas la cyanose qui caractérise ce genre d'asphyxi
DES HOPITAUX FEMME TÉTRAMAZE Il y a environ un mois qu'elle ne
sent
plus remuer son enfant. (Elle pense être à terme
ns dense, d'un blanc moins foncé ; 2° que les globules laiteux parais¬
sent
moins nombreux à plus grandes dimensions, plus in
elle l'avait allaité, que pendant l'allaitement le petit corps que je
sentais
sous le mamelon avait grossi et durci notablement
La cachexie a fait de grands progrès ; la douleur est vive et se fait
sentir
jusque dans le rectum et sur le trajet des nerfs
la base du poumon gauche est fortement fixée au diaphragme, que l'on
sent
en cette région dur, résistant en le touchant du
es d'aliénés de la Seine, le 45 mai 1867. A son entrée, ce malade pré¬
sente
tous les caractères d'un accès maniaque de nature
a pu reprendre son travail dès le lendemain. Vers cette époque, il
sentit
un craquement dans la mâchoire, et pensa qu'elle
une surface régulière, lisse, excepté en bas et en dehors où le doigt
sent
de petites aspérités formées par des sortes d'aig
peau, dans les régions affectées ; sur le scrotum, principalement, on
sent
cet épaississement par le toucher et on constate
et, si l'on presse sur la masse, on ne diminue pas son volume. On ne
sent
au¬cune mobilité ni dans le sens transversal, ni
lequel vient remplir les artères en dilatant leurs parois qui produi¬
sent
un choc sous le doigt explorateur. Le pouls de
uel il donnait des soins, écrit le professeur Lasègue, lui avait fait
sentir
douloureusement l'insuf¬fisance et le vague de no
Face. Outre ies lésions oculaires, indiquées plus haut, la face pré¬
sente
des cicatrices, blanches et lisses en quelques en
physiologique, qui fait que la tension de l'un se fait d'autant plus
sentir
, que celle de l'autre di¬minue. C'est un système
ne ulcération à sa surface. En portant le doigt en arrière du col, on
sent
un point résistant, dou¬loureux à la pression, et
jours, eut le doigt écrasé dans une porte. Au bout de huit jours, il
sentit
un peu de roideur dans la mâchoire. 11 n'y fit pa
lle s'imaginait avoir sous les pieds quelque chose qui l'empêchait de
sentir
le sol et souvent lui faisait craindre de tomber
ment de la main droite que de la main gauche. Avec les doigts elle ne
sent
pas les petits objets, par exemple le contact d'u
'on perçoit de la fluctua¬tion. Les craquements persistent et se font
sentir
, pour ainsi dire, à chaque mouvement. 30 nov. L
lus grande facilité, mais disparaît aussitôt qu'on retire la main. On
sent
au-dessous des téguments la tête de l'humérus, ir
oracoïde sont saillants. La cavité glénoïde de l'omoplate, facilement
sentie
, paraît moins creuse qu'à l'état sain; son bord a
aucun symptôme du côté des reins et chez laquelle, pendant la vie, on
sentait
par la palpation au niveau'du rein droit, à trave
yeux. Quelquefois une douleur vive, subite, se fait instantanément
sentir
, douleur que l'on attribue d'abord à la pré¬sence
t IV. Avant de résumer les considérations générales qui nous parais¬
sent
ressortir de cette première partie de nos recherc
mbre de corps étrangers; ils sont plus nom¬breux à gauche, où l'on en
sent
sur les côtés de la rotule et dans le creux popli
n'entre pas en contracture. Au moment où j'ordonne au malade qu'il
sente
de nouveau, la contrac- ture apparait prompteme
est suivie tout de suite par l'hémicontracture droite. 2. « Vous ne
sentez
aucune odeur par la narine droite ». c) Le sel
la rectitude par l'action des muscles de la nuque. Ceux-ci repré-
sentent
la puissance du levier dont la résistance est c
le est très nerveuse, elle aussi. Dès qu'elle a une contrariété, elle
sent
« quelque chose qui l'étouffé et lui serre le c
our de reins » : il a fait un faux pas en roulant une brouette et a
senti
un craquement dans la région rénale. Cet incident
aralysie proportionnelle, la première division clinique qui se pré-
sente
il l'esprit est la suivante : . . 1° Les cas où
eurs des extrémités. Cette atrophie est si intense que l'on ne peut
sentir
par la palpation la moindre masse musculaire da
minaux qui laissent retomber le thorax en arrière et qui ne compen-
sent
plus l'action des spinaux, bien conservés ; en pa
omme un modèle de facies myopa- thique (type Landouzy-Déjerine). On
sent
que l'auteur a non seulement rendu, avec une ex
marche n'est pas douloureuse et qu'il serait bien plus alerte s'il se
sentait
sur un point d'appui solide : mais son genou es
té hémorrhagique ; et notre malade (qui sait s'observer), dit qu'il
sent
venir la déformation du pied droit, comme est v
t en- tend à ce moment son épaule craquer. Le lendemain matin, elle
sent
son mem- bre supérieur gauche lourd et paresseu
s ètre hypertrophiées. Ou enfonce les doigts sous cette voûte et on
sent
, aisément la cavité glénoïde. En effet, la loto
jamais souffert. Deux ans après ce début, ces douleurs se sont fait
sentir
, dans les mêmes con- ditions, au membre inférie
surface du corps, tronc, face et membres ; la région lombaire pré-
sente
une zone limitée d'hyperesthésio. Le signe de Wes
il y a un rudiment de phalange d'environ un centimètre : on le
sent
parfaitement sous la peau qui se renfle Ù son
nt est en général bien rendu. Mais la composition manque de vie. On
sent
que l'artiste a voulu éviter de dessiner les atti
oduit une luxation s,ous-acromiale de la tète de l'humérus que l'on
sent
dans l'aisselle ; en l'abais- sant, la réductio
se produit. Lorsque le bras est en repos, la tête de l'humérus est
sentie
en dehors et en arrière (PL XXXIII et XXXIV). T
rmale des masses lombaires; toutefois colles du côté gauche parais-
sent
plus fortes que du côté droit. Tremblement fiúr
plètement abolie sur la face palmaire des doigts et de la main ; il
sent
une fraîcheur sur le dos de la main ; complètemen
uit la luxation. - , ' Le coude droit est augmenté de volume ; on
sent
ai la palpation la déformation des surfaces art
straction d'une foule de sensations perçues ; par habitude, nous ne
sentons
plus le sol sur lequel nous marchons, nous ne sen
bitude, nous ne sentons plus le sol sur lequel nous marchons, nous ne
sentons
plus les vêtements qui nous couvrent; et invers
d'hui), du plus grand nombre des séreuses. Un homme bien portant ne
sent
pas son péritoine. Comment expliquer les atroce
de. On dit communément que « pour être bien portant, il ne faut pas
sentir
son corps ». Le jour où cesse l'équilibre fonctio
nos organes n'ont jamais cessé de fonctionner normalement. Nous ne
sentons
pas notre coeur quand il bat d'un rythme réguli
sentons pas notre coeur quand il bat d'un rythme régulier mais nous
sentons
douloureusement le moindre faux pas cardiaque.
'on ne peut définir un parfum ou une couleur. Cela se voit, cela se
sent
, cela s'éprouve en vertu d'un acte de conscienc
ôté d'un mal perforant guéri. 2° Une forme atrophique, qui pré-
sente
en raccourci le tableau clinique des arthropath
ions qui ont leur poids, même en mettant de côté, ainsi que parais-
sent
le permettre les faits publiés, toute influence f
mage de la Trinité qui lui représentait d'une façon sensible ce qu'il
sentait
en dedans (1) ». Il vit le Seigneur, il vit l
gissait sans doute d'une contracture hystérique. L'image qui repré-
sente
cette scène montre bien l'attitude caractéristiqu
des pointes de feu sur son empâtement iliaque. Elle avait aussitôt
senti
un grand soulagement : « Chose extraordinaire, di
postérieurs sont atteints et dont le nerf ves- tibulaire est sauf,
sent
parfaitement les oscillations autour de la vertic
lade n'a pas le besoin de rectifier une attitude qu'il n'a même pas
senti
se fausser. Chez le sourd-muet (James et Aloys
urs, ou clans ses noyaux cérébelleux ou cérébraux (2). Le malade ne
sent
plus, les yeux fermés, son manque d'équilibre,
s cesse ou ne l'avertit plus. S'il est poussé en avant, ou s'il s'y
sent
illusoirement poussé, ses gastro- cnémiens se c
be parcequ'il est sans cesse à la recherche d'un équilibre perdu ou
senti
perdu. Sa titubation est parfaitement correcte et
es; la malade est instable et ne peut rester en équilibre ; elle se
sent
incliner vers le côté gauche, au point de tomber,
mière l'ois. A la fin du mois de décembre il se plaignit de ne plus
sentir
ses trois derniers doigts de la main droite ; i
une petite quantité d'urine, par action réflexe involontaire et non
sentie
, sans assistance des parois abdominales. L'anus e
sous forme de légère douleur. Seul le frôlement du bout du doigt est
senti
comme contact simple. Les réflexes plantaires o
contraction des muscles abdominaux. Le passage de l'urine u'est pas
senti
. Les réflexes rotuliens sont toujours il peu près
nt transporté. On l'avait t mis dans une gouttière de Bonnet; il se
sentait
tout courbaturé, et il éprouvait une douleur as
ître le nu aussi bien et même mieux que les peintres ne le connais-
sent
. Un défaut de dessin chez le peintre et le sculpt
upes (tr. lents et tr. de rhythme moyen), il en est qui n'apparais-
sent
que pendant les mouvements volontaires et d'autre
nérale, rétrécissement concentrique des champs visuels, etc.), pré-
sente
un petit tremblement des membres tout à fait semb
Les tracés du tremblement de notre second malade (Chérub...) pré-
sentent
exactement les mêmes particularités (fig. 20).
stants. « A partir de ce moment-là tout est changé en lui. Il ne se
sent
plus le même qu'auparavant. Lui autrefois gai e
défiguré, ensanglanté, tèl qu'il était au moment de l'accident. Il
sent
sa mémoire affaiblie, il est distrait, ne se souv
s fonctions génitales sont très affaiblies; après avoir mangé il se
sent
tout gonflé, le sang lui monte il la figure et'
ans le sein droit, laquelle augmenta progressivement. Au début elle
sentait
comme une petite noisette qui roulait sous le d
d'elles a é tépré- cédée d'une aura bien caractérisée. Le malade a
senti
que quelque chose lui montait à la gorge, puis
ent s'accroissent; cela dure 3 ou i jours, après quoi, le malade se
sent
un peu plus solide sur ses membres inférieurs ;
eurer au moment des scènes pathétiques; le coeur lui battait, il se
sentait
serré à la gorge et se mettait à sangloter. Par c
ctérisés qu'il a éprouvés. Un jour, en sortant d'une répétition, il
sentit
tout coup que quelque chose lui montait il la gor
récédés d'une aura qui l'avertit que la crise va la prendre. Elle
sent
sa poitrine se serrer, une boule qui remonte à la
la force à faire de grandes inspirations en ouvrant la bouche. Elle
sent
comme une boule qui lui remonte de l'estomac da
membre dans une attitude un peu différente. A peine le malade se
sent
-il ou même se croit-il touché, qu'il ramène brusq
'action de l'élévateur de la paupière, caries individus qui la pré-
sentent
sont souvent capables de la produire volontaireme
réaliser leurs plus vifs désirs. Mais cette nécessité se faisait
sentir
avec plus de force sous- le beau ciel de l'Orie
t le travail intellectuel. Si on aspire trop de fumée à la fois, on
sent
il la gorge une acreté, une brûlure qui provoqu
Enfin nous ne devons pas oublier que la paralysie oculaire se pré-
sente
parfois comme véritable névrose. Ce sont les fait
musculaire est très affaiblie et les courants électriques sont peu
sentis
dans cette région. Aucune douleur, aucune cramp
sentis dans cette région. Aucune douleur, aucune crampe ne se fait
sentir
dans les régions atrophiées; malgré toutes les
f alternativement sur l'une ou l'autre main. La malade se plaint de
sentir
des élancements douloureux pendant le passage du
e dernière présentant une température de 31°. L'algidité s'est fait
sentir
également dans les extrémités inférieures dans
alon, mais il avait de la peine à monter ou à descendre l'escalier et
sentait
de temps en temps les jambes se dérober sous lu
te; il est obligé de pousser pendant un temps souvent fort long, ne
sent
presque pas et quelquefois' pas du tout le pass
Sensibilité tactile (Fig. 64,05). - Le passage du pinceau est bien
senti
partout, sauf au niveau de la partie interne des
même pour les mains et le tiers inférieur des avant-bras. Le malade
sent
le contact du thermomètre de surface élevé à la t
température que nous venons d'indiquer- et' même 'au delà, mais ne
sent
pas la chaleur. A la limite des parties précéde
, 71). Bobine à fil fin de l'appareil de Dubois- Reymond. Le malade
sent
avec retard le frémissement, mais ne sent pas l
ubois- Reymond. Le malade sent avec retard le frémissement, mais ne
sent
pas la douleur dans les territoires déjà mentio
imple diminution de la sensibilité tactile (le passage du pinceau est
senti
). Au niveau de la face interne des jambes et du
quels sont ceux qui doivent guérir ? Y a-t-il des signes qui puis-
sent
faire soupçonner la guérison ? Autant de question
s, et j'appris que depuis quelque temps une soif ardente se faisait
sentir
qui ne pouvait être satisfaite qu'avec 1 : 2 ou
t est tel que la parole est presque indistincte. De plus, le malade
sent
ses lèvies « comme paralysées » et ne peut plus
on au membre au niveau de l'articulation du coude et du poignet, on
sent
une certaine raideur, une certaine résistance,
demander le bassin quand il le faudrait, car, affirme-t-elle, elle
sent
très bien qu'elle a besoin. Le pouls est déprim
icu- laire on ne trouve de corps granuleux, ces gauglions ne pré-
sentent
pas de lésions apparentes ; les faisceaux de fibr
son ménage (moins faci- lement d'ailleurs qu'avant sa maladie), se
sentait
plus faible, marchait encore très bien. En no
e au niveau du bulbe ; en tirant fortement sur le sciatique, l'aide
sent
nettement la moelle se déplacer sous ses doigts
mblable accroissement de tissu conjonctif ne tardent pas à se faire
sentir
, et se tra- duisent par un rétrécissement, une
ons ordinaires de la vie, se passent au sein de nos tissus, se font
sentir
sur l'éli- mination de l'acide phosphorique - s
enfants. Dès cette époque elle se montrait menteuse, paresseuse, se
sentait
por- tée au vol et contractait des habitudes d'
ependant elle répète mentalement. Si elle n'agissait ainsi, elle se
sentirait
, dit-elle, suffoquée : il lui semble- rait être
ber aux regards, elle se renferme dans sa chambre les jours où elle
sent
qu'elle n'y résistera pas; cette jeune fille, q
M. Magnan présente une autre malade, âgée de trente-six ans, qui se
sent
par intervalles poussée à absorber des quantités
ns, elle traversa une période de tristesse pendant laquelle elle se
sentit
prise de découragement, d'apathie, d'indifféren
ar l'orateur trois jours après le début d'un accès périodique, pré-
sentait
une légère blépharoptose, de la mydriase, de la p
t très variable, que certaines malades en pré- BIBLIOGRAPHIE. 127
sentent
seulement quatre ou cinq, que d'autres en ont vin
la colonie de Briegischdorf. Les 30 hommes qu'on y a placés lais-
sent
30 places de libres dans l'établissement principa
rême pour arriver à une solution décisive. Pourquoi le lecteur ne
sent
-il pas de choc, mais seulement une certaine ten
ait para- doxal se compose de plusieurs moments. 1) Le lecteur ne
sent
pas de choc, mais une pression continue ou une
rnier. C'est la raison pour laquelle le suggesteur et le lecteur se
sentent
subjectivement libres et indépendants ; chacun
irement qu'on avait choisi le chiffre 7, c'est-à-dire que je res-
sentis
une grande raideur du bras en essayant de le dé
vainement dans sa mémoire, il éprouve un très grand malaise, il se
sent
oppressé, serré à l'estomac; son visage se couv
a vu quelqu'un, d'ins- crire le nom sur un feuillet de papier et se
sent
alors tran- quille. Peu à peu, cependant, le ch
saute hors du lit, pâle, angoissé, couvert d'une sueur froide il se
sent
, dit-il, comprimé, sa poitrine est resserrée co
le nom « Georgette », éprouve aussitôt un immense soulagement et se
sent
guéri. Quelques temps après, la même scène se r
t passe rappeler l'image, il s'inquiète, cherche s'an- goisse et se
sent
comprimé comme pour les noms. Il n'a pas pu din
ui était cherché ; elles arrivaient quelquefois à le trouver. Il se
sentait
immédiatement soulagé; se calmait, se tranquill
de dire e que si, à un certain moment, les corps granuleux finis-
sent
par disparaître au niveau des fibres dégénérées,
atre semaines. Les accès seraient précédés d'une aura. L'enfant les
sent
venir et dit : « Maman, cela me prend »; il dis
courses prolongées, remuer des fardeaux. Lorsqu'il est échauffé, il
sent
ses membres très libres et très forts. Le senti-
us ou moins prolongé, que la rigidité temporaire se fait de nouveau
sentir
au moment du départ seulement. Les mouvements
vaille pourtant ce jour là et le suivant; mais le 19 au soir, il se
sent
oppressé et rend, en toussant, une assez forte
n' qu'elle possède : 'du son' en toutes les modulations quiitradui-
sent
les divers' sentinients ? Evidemment, c'est île-t
et criminels, les mêmes conditions, les mêmes difficultés se pré-
sentent
que pour les aliénés périodiques; quand lés pério
. Il n'en découle pas nécessairement que ces altérations .émanas-
sent
du lobe occipital puisqu'un des cas témoignait d'
du tremblement et des crampes dans les membres inférieurs se firent
sentir
. Il s'y joignit une constipation tenace, rétent
e, qu'elle ne peut les étendre qu'avec peine. Au surplus, se font
sentir
de temps en temps des douleurs et des tremblement
sse et un engourdissement dans la jambe droite. Bientôt le malade
sentit
ces symptômes aussi dans la jambe gauche. Ensui
e roséole qui tendent à s'effacer : plaques muqueuses anales; on ne
sent
plus les adénites cervicales droites. 9 décem
ir le gland qui est intact; le méat est un peu rouge, normal; on ne
sent
que le testicule droit dans l'anneau, le gauche n
a région hépatique, qui est bombée et saillante. A la palpation, on
sent
le foie déborder les fausses côtes de près de 3
ent oedémateux du prépuce avec quelques petites ulcérations ; on ne
sent
pas les testicules : Même traitement; viande crue
s lui sont sans doute imposées par un personnage invisible; elle se
sent
d'ailleurs daus ces cas poussée dans le dos.
efois précur- seurs de l'attaque convulsive. Elle n'étoulfe pas, ne
sent
pas sa boule; dit même. qu'elle ne viendra pas;
la trépidation qui agite par intervalle les membres en entier, on
sent
une trémulation de tous les muscles, surtout à l'
fleurs, mais les idées détruites par les suggestions ne reparais-
sent
pas. - 30. Cette excitation etce délire cèdent
bilité tactile qui est atteinte. Les malades de nos Observations ne
sentaient
qu'imparfaite- ment les objets qu'elles prenaie
cès que ce fût, devient, par instants, excité, agité, rageur, et se
sent
irrésistiblement poussé à désirer salir des pet
es, les vaisseaux, rarement en état d'hypergenèse nucléaire, pré-
sentent
la dégénérescence hyaline des parois; on trouve d
ment à titre de cause prédisposante. Pour d'autres, l'hérédité fait
sentir
son influence sur les diverses formes mentales,
» (Lanterne, 20 septembre.) Les cas de folie de l'enfance se pré-
sentent
assez souvent. Tous les ans, à Bicêtre et à la Sa
se passait autour d'elle. Mais, par contre, à chaque tentative, elle
sentait
son corps et ses membres se raidir au point de ne
allait la brûler avec une lame de couteau rougie au feu, elle n'a pas
senti
de brûlure, mais elle a eu très peur, néanmoins,
tement. Un homme préoccupé chassera une mouche de son front sans la
sentir
, répondra à des questions qu'il n'a pas entendues
nt à la conscience; quel doit être alors l'énervement d'un esprit qui
sent
à tout moment son organisme révolté commencer des
la peur. Mais vous êtes affaibli, triste et malade, et voilà que vous
sentez
vos jambes qui commencent à fuir, votre cœur qui
ou de fermer pour la vingtième fois la serrure ; c'est alors que vous
sentez
les angoisses de la peur et une frayeur invincibl
l'acuité du sens du tact, développé chez elle à un tel point, qu'elle
sentait
même les grains de poussière sur sa figure et ses
es idées l'en empêcheraient et que je perdrais mon temps avec lui; il
sentait
bien, disait-il que tous mes efforts étaient inut
M. B. commence à s'endormir, mais à peine l'assoupissement se fait-il
sentir
qu'il sursaute et se réveille en ouvrant les yeux
déjà pas rendu des gens fous furieux. Depuis que je l'hypnotise il se
sent
des impulsions soudaines de battre quelqu'un et i
me donner des coups. Il est assez obligeant pour m'en prévenir car il
sent
bien, dit-il. que c'est plus fort que lui. En out
ioration s'est affirmée et le malade m'a dit que jamais il ne s'était
senti
si dispos de corps et d'esprit. Plus d'idées so
rieure. Il est d'autant plus complet que le cerveau est plus apte à
sentir
sa défaite, c'est-à-dire plus développé. La con
e involontaire et irrésistible nous obsède à un tel point que l'on se
sent
forcé de continuer cette recherche fatiguante, qu
xemple, ils ne peuvent voir un rasoir, ou se raser eux-mêmes, sans se
sentir
poussés à se couper la gorge ; ils ne peuvent voi
rge ; ils ne peuvent voir un couteau ou une épée, sans redouter de se
sentir
poussés à s'en servir contre eux-mêmes. 11 en est
aucun phénomène dit hypnotique bien net. Cependant on peut leur faire
sentir
, par exemple, de la chaleur, et ics effets thérap
, très impressionnables, ne peuvent fixer un objet quelque temps sans
sentir
les yeux se fermer, et chez eux, il suffit de fer
est difficile à hypnotiser; plus on s'acharne après Ini, moins il se
sent
influencé. Calme, assurance, simplicité dans le p
on leur donne, comme dans l'état cataleptique. Il ne voit rien, il ae
sent
rien, il n'entend rien; son cerveau reste en comm
ui dis : réveillez-vous. Il se réveilla et déclara qu'il n'avait rien
senti
, qu'il ne souffrait pas; et il se retira a pied,
choses extraordinaires telles que des animaux, des ombres, de ne plus
sentir
telle odeur ; de ne plus avoir telle idée déliran
te qu'il a commise ou de ses mauvaises habitudes, nous lui en faisons
sentir
les inconvénients ou les dangers, nous lui en mon
de le vaincre. Lentement et progressivement, nous amenons l'enfant à
sentir
la gravite de son état et la nécessité d'y porter
suggestion pratiquée pendant une demi-heure m'avait fatigué, et je me
sentais
incapable de recommencer. Je préferais avoir froi
s pensées et que je pouvais lui jeter ma malédiction ; du reste, elle
sentait
que j avais dû l'empoisonner. Sa langue était épa
plus souvent cependant, le besoin sexuel l'emportait. Alors, R... se
sentait
profondément malheureux. La vie lui devint un tar
les tempes, en lui assurant qu'elle pouvait répondre à ma demande : «
Sentez
-vous ? » Pas de réponse, c'était comme si j'eusse
langue. Encore une fois, je lui percutai les tempes, en demandant : «
Sentez
-vous! » J'observai alors un petit tremblement des
urs prête à le contagionner de nouveau. Le malheureux, quoique guéri,
sent
lui-même qu'il aurait encore de la peine a résist
esser : l'autre nous charme et nous fascine et de temps à-autres nous
sentons
un frisson passer dans tout notre être. Nous avon
ter de la surface du globe et se densifiant du coté où le soleil fait
sentir
son attraction, qui est la cause principale, habi
onomie trahisse la moindre anxiété. Il dit que le chien est là. qu'il
sent
sa morsure, que son sang coule : il en parle fr
.,Je l'ai quitté après déjeuner, j'ai pris la rue de Paris et me suis
senti
malade. Je me suis alors adressé à un sergent de
urs après le malade revient tout à lait changé dans son caractère. Il
sent
que son énergie et sa volonté sont augmentées.
re du sommeil, vous n'aurez pas de cauchemars, de mauvais rêves. Vous
sentirez
vos forces revenir après le sommeil de chaque nui
us, malgré nos recherches, mais qui suffisent, d'ailleurs, pour faire
sentir
l'influence d une tare nerveuse de famille. La
ent les propos qu'il tient en immolant ses victimes. D'autre part, il
sent
nettement fa main de son persécureur se poser sur
aient complètes en quelque point qu'on tentât l'expérience. Elle ne
sentait
ni le contact de ses vêtements, ni le pincement d
et des jambes. Le simple contact d'une pointe d'épingle — qu'elle ne
sentait
pas, — produisait aussitôt une rougeur diffuse, s
te. Portez le stylet sur l'épaule, le dos, le bras gauche : elle ne
sentira
rien, ni piqûre, ni contact ; elle n'aura aucune
ente, puisque l'impression du stylet sur le côté gauche, bien que non
sentie
, n'en a pas moins son retentissement sur les cent
hisme est donc assurément un acte réflexe, répondant à une impression
sentie
à droite, et non sentie à gauche, dont les effets
t un acte réflexe, répondant à une impression sentie à droite, et non
sentie
à gauche, dont les effets sont les mêmes sur l'un
stée par les sorcières qui, déclarant devant leurs juges, le voir, le
sentir
, avoir avec lui quelque commerce impur, justifiai
bilités de la peau étaient conservées et égales des deux côtés ; elle
sentait
la pointe d'une épingle, le contact des objets, l
on suivante : Je vais vous guérir à l'instant. A votre réveil, vous
sentirez
dans tout votre côté droit : votre bras droit ser
le seul moyen de se soustraire à ses souffrances. Il déclare qu'il se
sent
actuellement incapable de tout réaction personnel
udes médico-légales complètes, il est aisé de créer, pour ceux qui se
sentiraient
attirés vers elles, un enseignement supérieur. Ap
t spécial; on lui apprendra à parler, à sourire, à boire, à manger, à
sentir
, en un mot, à se servir de tous ses organes. On h
que plus tard que le rôle de l'éducation et de la suggestion se fait
sentir
. Il est bien entendu que l'odorat suit dans son
t devenue épileptique à l'âge de 7 ans. Au dire de sa mère, Céleste
sent
venir ses accès : elle devient pâle et se plain
ressivement. A onze heures, B... avait encore froid aux pieds et se
sentait
aussi fatiguée que si elle avait eu un accès.
palement des doigts. L'action du nitrite d'amyle se- fait cependant
sentir
sur les extrémités des animaux. M. Amez Droz a
spirer les vapeurs de nitrite d'amyle ; en quelques secondes, il se
sentit
la face congestionnée, les carotides battaient
orte une petite fiole de nitrite d'amyle dans sa poche et lorsqu'il
sent
venir l'aura, il respire les vapeurs de nitrite
ain matin quand on reprit les inhalations, un mieux sensible se fit
sentir
. P. 100; T. 7°,7. A partir de ce moment, il ne
Néanmoins, même à ce moment, l'action du nitrite d'amyle s'est fait
sentir
: 1° sur les accès qui n'ont reparu que trois h
yperesthésie de l'ovaire et hé- mianesthésie à gauche. Lorsque L...
sent
approcher l'attaque, elle demande qu'on lui met
corps : ainsi, à la face, les deux pointes de l'esthésiomèlre sont
senties
à 4 cent. à droite, et à 9 cent. à gauche ; sur l
. A chaque tentative qu'elle fait pour prendre cette attitude, elle
sent
que le coeur s'en va et qu'elle va perdre connais
cours, pieds nus, marchant sur les épines, les cailloux, sans rien
sentir
, grimpant dans les arbres, sur les toits ; main
, etc. Puis, elle se la- mente, se plaint de ne plus voir clair, de
sentir
une boule qui remonte et l'étouffe. A ce moment
contrac- tures ; ceux du côté gauche sont libres, mais la malade y
sent
des fourmillements .et de l'engourdissement. La
es at- taques convulsives, nous dispense d'y revenir quant à pré-
sent
. Toutefois, nous rappellerons que, en dépit de le
ignement réflexe fort énergique; la malade dit au contraire ne rien
sentir
quand on excite la mu- queuse palpébrale. , O
nsi qu'il suit, les phénomènes constatés par.lui : La malade pré-
sente
une hémiopie interne de l'oeil gauche, /avec' : d
gaz qui s'é- chappe du flacon. Elle affirme n'avoir absolument rien
senti
. On peut dire, il est vrai, que nous avons plut
oulève le bras et que l'articulation de l'épaule entre en jeu, elle
sent
le mouvement. - Si on place un objet entre les
ie; ISCHURIE douloureuse. Etch... déclare tout spontanément qu'elle
sent
au niveau du larynx quelque chose de raide (con
rances, Etch... s'est découverte; mais, dès que le froid se faisait
sentir
, les douleurs avaient plus d'acuité. . 26 janvi
taient sup- primées depuis vingt-quatre heures. Ce matin, Etch... a
senti
, par trois fois, son pied droit, ordinairement
ner en dedans. Elle accuse des sensations très-singulières ; elle
sent
comme un jet de vapeur dans les oreilles, elle vo
malade se mit il marcher, en chancelant, comme les personnes qui ne
sentent
pas la résistance du sol ; elle répétait sans c
Elle était couchée sur le côté gauche quand, tout d'un coup, elle a
senti
une douleur intense, qu'elle com- pare à la mor
, p. II; ISSU, p. V; 1887, p. IV, 1888, p. IV. . VI Grande école.
sent
s'intéresser davantage et être plus utiles aux id
aration n'a été nécessaire ni aucune mauvaise odeur ne s'est fait
sentir
. « A la longue, dans le cas où l'eau delà fosse
es enfants que. les médecins aliénistes des départements se refu-
sent
à. considérer comme des aliénés. M. le PRÉSIDEN
r, c'est que les enfants appartenant à des familles pauvres puis-
sent
, comme ceux appartenant à des familles riches, év
llules de l'Infirmerie spéciale. S'ils sont inoffensifs, ils jouis-
sent
même dans la dite Infirmerie de la plus grande li
horizontale passant par l'ombilic; sur le bras et les doigts où il
sent
cependant lorsqu'il est mouillé. A droite elle
e de produire des con- tractures, mais on n'y parvient pas. On fait
sentir
au malade un morceau d'enveloppe de lettre. On
tir au malade un morceau d'enveloppe de lettre. On lui demande s'il
sent
, et il ré- pond « oui ». On déchire alors l'env
lus. Par moments il porte le papier qu'il a à la main à son nez, le
sent
longuement et continue à chercher. Mais bientôt
ule, non douloureux. Sensibilité générale. Le chatouillement parait
senti
également des deux côtés de la face, mais d'une
Circulation : coeur normal, régulier; pas de palpitations. Il ne
sent
pas quand il va avoir ses attaques, mais souvent
cela lui fait le même effet que lorsqu'on se réveille et que. l'on,
sent
qu'on a rêvé ». 27 juin. - Vers 4 heures de l
117). Les détails de l'observation de M. Duflocq ne nous, parais-
sent
pas justifier sa conclusion relativement a rensei
fois, ce n'est qu'à un âge plus avancé que le leur que se produi-
sent
les accidents convulsifs. ' V. Epilepsie; man
; mais les cellules nerveuses sont très rares. Ces points parais-
sent
avoir une résistance beaucoup moindre que le rest
grise normales en apparence ; les cellules de Purkinjc ne parais-
sent
pas diminuées de nomb re. 11 existe pourtant quel
e au-dessus de cette dernière. Le crâne pré- 88 IDIOTIE complète.
sente
une forme ovoïde à petite extrémité antérieure ét
sparu. L'abdomen est excavé; en travers rie la paroi de celui-ci on
sent
, à 3 ou 4 ln/'U au dessus de l'ombilic, sur la
d'une noix, mobile, non adhérente. Un peu au-dessus de celle-ci, on
sent
une autre tumeur non adhérente it le. peau et f
itoine mésentérique, qui recouvre les masses ganglionnaires, pré-
sente
en différents points de petits tubercules. Le dia
et l'état général persistent toujours. Le 13 mai, le malade pré-
sente
des vomissements ; puis des sueurs surviennent, a
qui donne issue à deux ou trois cuillerées de pus sanguinolent, on
sent
avec le stylet l'os mis à nu et éburné. . 3 j
ne. Les vaisseaux et nerfs de la base sont symétriques et parais-
sent
égaux. Les tubercules mamillaires sont inégaux; l
s est très développée en arrière, et s'effile en avant; elle pré-
sente
à sa surface quelques petits sillons peu profonds
dente. . Hémisphère gauche. Face externe, - Cet hémisphère pré- -
sente
un développement normal, les circonvolutions y so
il perçoit le contact avec la pointe d'ivoire du côté gauche, il ne
sent
qu'à 1 1/2. Subjectivement, les sensations tact
f cas, il y a des renseignements utiles, et on peut, à l'heure pré-
sente
, tracer de l'acrocyanose chronique hypertrophiant
cal. Le sexe n'a pas une importance majeure : nos neuf cas se divi-
sent
en : cinq femmes et quatre hommes. La profession
graines. Il y a une certaine constance à cet égard. Les sujets pré-
sentent
souvent eux-mêmes des manifestations de cette nat
ar ailleurs. La sensibilité est en général peu troublée. Les sujets
sentent
bien la piqûre, le contact, la chaleur, perçoiv
as retourné ; il finit par voir ses pieds et ses mains là où il les
sentait
. Cela revient à dire qu'il a iden- tifié des or
tout ce que ceci montre, c'est que lesdits malades devraient mieux
sentir
['attitude (ou les attitudes successives) de le
membre lorsqu'on soumet celui-ci à des mouvements, mais non qu'ils
sentent
un mouvement (sans notion d'attitude) comme c'e
nts. La sensibilité tactile est simplement émoussée, mais le malade
sent
les conlacts dans toutes les parties de la main
ité la nuit. La température procède par grandes oscillations. Il se
sent
très fai- 'bile. Mort le 28 octobre, Autops
ur les os plats de la voûte crânienne et que ces formes graves cau-
sent
les plus grands délabrements et les perforations
e, mais la malade ne peut reconnaître les objets. Quand on lui pré-
sente
la main, elle voit quelque chose mais ne reconnaî
nc. Pas d'atrophie des muscles du cou ou de la nuque. Au palper, on
sent
très nettement le trapèze, le sterno-cléido-masto
t une observation de ce genre que nous avons recueillie ; elle pré-
sente
à ce titre de l'intérêt et aussi en raison de la
apidement les causes de l'aplatissement latéral : on n'arrive pas à
sentir
le péroné ; quant au tibia, sa forme est changé
sse. L'ar- ticulation tibio-tarsienne est ankylosée. A gauche, on
sent
des masses musculaires bien développées dans la s
l'insupportable odeur. Le vieux médecin, qui sans doute en a vu et
senti
bien d'autres, ne manifeste pas la même répul-
fresque de Giotto, dans l'église de Santa Croce, à Florence, repré-
sente
Saint Jean l'ENl1 ! [jéliste résnscitallt Drusian
r duquel se fixe le plan fibreux qui tapisse la gouttière et repré-
sente
la dure-mère ; ces deux nerfs sont le trijumeau e
licules pileux mais bien moins développés que ceux que la peau pré-
sente
à sa terminaison voisine. En dedans du sac durai
de la tumeur. En pratiquant une pal- pation attentive, délicate, on
sent
qu'à cet endroit il y a comme une fluctuation p
Phot. 6. d'une coupe faite vers la fin de la moelle dorsale ne pré-
sente
plus aucune lésion appréciable ri l'oeil nu, sauf
mais il est difficile de dire si ces fibrilles pénètrent et traver-
sent
le corps protoplasmique dont elles dépendent comm
de l'impossibilité où ils PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE 185 se
sentaient
de porter un diagnostic certain, se servaient-ils
existe pas de sclérose proprement dite ; les espaces portes ne pré-
sentent
rien de particulier; il n'existe pas d'artérite.
gravure en question extraite d'un Ancien Testament illustré repré-
sente
l'accouchement de Thamar. La parturiente a été pl
a pas de raideur, les membres sont très sou- ples, le malade ne se
sent
pas raidi et si la figure a un aspect un peu sp
me, etc. Une hystérique dont le bras tremble oublie son bras, ne le
sent
pas trembler, ne s'en préoccupe pas. Cet homme
t homme a une grande conscience de son tremblement, le remarque, le
sent
et sait très bien en apprécier les moindres nuanc
un basophobe. Il n'est pas en équilibre en marchant dans la rue, il
sent
le sol qui lui manque, etc. Si une per- sonne v
roite, quelques troubles fonctionnels du grand dorsal, nous condui-
sent
à examiner l'hypothèse d'une altération, paralysi
rès mobiles l'une sur l'autre. Au-dessus de la seconde phalange, on
sent
un nodule osseux, irrégulièrement arrondi, du vol
si l'on en juge par l'impossibilité où nous nous sommes trouvés de
sentir
ses batte- ments malgré la recherche la plus at
té, les facteurs mécaniques, lorsqu'ils entrent en jeu, se trahis-,
sent
par des désordres grossiers et incohérents : c'es
, à l'âge de 3 ans. Il y a dix-huit mois, le malade a commencé à se
sentir
gêné au niveau du bord externe du pied gauche;
t déformée, épaissie, considérablement modifiée. Le malade n'a rien
senti
durant toute la durée de l'opération. Un mois a
ses conclusions unitaires (8 avril 1892) les neurologistes se divi-
sent
: les uns (comme Nageolle, Füi,ster, Ilomen, Sibe
e-abasie, et j'y ai ajouté quelques remarques auxquelles je me suis
senti
autorisé en m'appuyant seulement sur les deux c
douleurs passagères dans les jambes et dans la région du sacrum. Il
sentait
une pression et un « tremblement » dans l'estomac
ment incertain comme s'il allait ressauter, De temps à autre, il se
sent
bien; parfois il sent une agitation dans tout le
'il allait ressauter, De temps à autre, il se sent bien; parfois il
sent
une agitation dans tout le corps et surtout dan
forcés et involontaires dans la position assise ont cessé,qu'il se
sent
mieux, sauf de l'es- tomac. Le malade a un peu
vos yeux,mais vous remar- querez qu'ici, devant vous, le malade se
sent
un peu moins angoissé et qu'il reste plus longt
ntrait très capable. Cette profession la dégoûta bientôt. Elle res-
sentait
des étouffements, des palpitations, des angoisses
s y retrouver les vives images dont sa pensée, à tous les instants,
sentait
le besoin, pour s'exprimer. Marie Rousse, notre b
profonde entre le tempérament nerveux que les cavaliers reconnais-
sent
aux chevaux de pur sang et les symptômes psychiqu
barres. Sueurs fréquentes autrefois, sans cause apparente ; ne pré-
sente
actuellement aucun trouble trophique ou secrétair
ment épaissie et qu'elle constitue une espèce de grande poche où l'on
sent
des frottements semblables à ceux que l'on percev
n entrée à la Salpêtrière, la malade, chez elle, restait assise; elle
sentait
très-bien la résistance du sol ; elle n'avait pas
es deux épaules, à lui faire exécuter plus de deux ou trois pas. Elle
sent
le froid et larésistance du pavé de la sa le. Ass
es eaux de l'rmnios. Une sage-femme qu'elle avait appelée dit qu'elle
sentait
une main, et après avoir fait plusieurs explorati
a malade dit avoir eu des vomisse-ments verdàtres, abondants, ne plus
sentir
remuer son enfant depuis un mois; et, enfin, ne p
s 1/2), et que les bords de l'orifice étaient tendus, irréguliers. On
sentait
la tête du fœtus, sans interposition de la poche
été en-levée la veille, l'hémorrhagie ne s'est point renouvelée : on
sent
, du reste, les battements de l'artère pédieuse. L
ébridement de l'orifice d'entrée du projectile, il est im-possible de
sentir
celui-ci ; l'exploration et la palpation de la ré
et en de-dans de la rotule, les téguments sont rouges et tendus ; on
sent
de la fluctuation. Deux larges incisions donnent
le tissu cellulaire sous-cutané, se cir- 1 Ménil, toutefois, avait
senti
auparavant quelques craquements dans la join-ture
des craquements se font entendre dans l'articu-lation. Au palper, on
sent
une masse élastique et résistante, qui donne sur
très-tendu ; le creux sus-claviculaire est en partie effacé, et on y
sent
une saillie irrégulière, dure, qui se déplace lor
e tubercule encore plus petit que le précédent. — Le palper permet de
sentir
dans cet avant-bras rudimentaire un corps résista
toutefois, si l'on suit la face postérieure du moignon, on parvient à
sentir
à son extrémité inférieure une espèce de gouttièr
ondants. Impuissance à soulever les jambes, que le malade dit ne plus
sentir
. Pupilles très-contractées. Spasmes incessants, g
nsi, pour peu qu'après quelques tentatives infructueuses, l'opérateur
sente
que la patience va lui faire défaut, il n'y a qu'
il y a un peu de chaleur locale, souvent de l'œdème. Profondément on
sent
, au début, une masse dure, ré-sistante, à large b
et plus, on con-state delà fluctuation. On ouvre, le pus s'écoule. On
sent
l'os à nu au fond de la plaie. L'amendement est i
être constatée par la palpation abdominale, qui permet quelquefois de
sentir
une tuméfaction profonde, résis-tante, douloureus
A la suite de cette réduction, la nuit fut assez bonne, le malade se
sentait
soulagé. Le 51, à la visite, on constate, à dro
s rinfluence de l'humidité naturelle delà région ne s'y fait-elle pas
sentir
? Sous les plaques, la peau ne présentait nulle tr
dimi-nués de volume, et les saillies osseuses de l'épaule peuvent se
sentir
très-facilement. L'atrophie est beaucoup moins ma
ire. Dans les centres nerveux et les nerfs, la même influence se fera
sentir
sur les racines antérieu-res, sur les cordons de
u volume de la rate. C'est encore par la percussion que l'on pourra
sentir
le frémisse-ment hydatique ; pour cela, il faut q
a forme pri-mitive ; le kyste au contraire déforme l'organe, et on ne
sent
plus son bord antérieur, qui est tranchant dans l
érieures devenant d'autant plus trou-bles. Dans les deux cas, l'urine
sentait
la levure. Son poids spécifi-que était de 1020 ;
s téguments n'avaient subi aucune altéra-tion, et, par le toucher, on
sentait
sous la peau des masses élasti-ques, homogènes, n
.de toute la moi-tié gauche de l'abdomen. — Par la palpation, on peut
sentir
l'organe tuméfié, et même en reconnaître la forme
elle peut s'irradier vers l'abdomen , mais ordinairement elle se fait
sentir
jusque dans l'épaule gauche. Elle augmente dans l
ble cause. Ce n'est pas tout : l'effort du droit externe gaucbe est
senti
par son associé,le droit interne de l'œil sain, e
e enregistrée le 2 novembre au soir est due à Yinjection iodée. On ne
sent
aucune tumeur dans la cavité abdominale. Le foie
— Le 21 décembre, on ne trouve plus que 94 centimètres. Au palper, on
sent
à gauche de l'ombilic, au niveau de l'hypochondre
ves s'exécutent bien. Le ventre mesure 88 centimètres. Au pal-per, on
sent
une espèce de plaque irrégulière, semblant faire
t se loge dans le cerveau, avec tant d'obstination, que. le malade se
sent
contraint à exécuter l'acte contre son gré et mal
obsédé sans relâche de l'idée qu'il se jettera à l'eau, quoiqu'il ne
sente
nul dégoût de la vie, bien qu'il considère le sui
quiert de l'autorité et devient obsédante. Tout le monde a sans doute
senti
naître une fois ou l'autre l'envie de dire un mot
s actes il goûtait an moment de repos jusqu'à ce que le besoin se fit
sentir
de nouveau. Peu à peu, malgré l'exagération de
qué à la nuque dans la première expertise par le docteur Schoofs, ail
senti
la piqûre aa réveil. « Une telle piqûre, dit-il,
our comprendre? ses plaintes, c'est d'admettre qu'en réalité il avait
senti
la piqûre au moment même, loin d'y être insensibl
te. La jeune ulle que J'ai vu brûler par suggestion à la Salpêtrière,
sentait
bel et bien sa brûlure le lendemain et s'en plaig
que, comme l'hypnotisé, qui ne voit pas, voit cependant ; ceux qui ne
sentent
pas, sentent, et les phénomènes que Ton observe c
hypnotisé, qui ne voit pas, voit cependant ; ceux qui ne sentent pas,
sentent
, et les phénomènes que Ton observe chez les hysté
jeune fille qu'il a vu brûler par suggestion à la Salpêtrière et qui
sentait
bel et bien sa brûlure le lendemain et s'en plaig
-à-l'heure, si tu ne te tais pas, je te dounc un coup de poing. Tu le
sentiras
plutôt que la pointe du jour!» Je change le rêv
tre homme dédoublement de la personnalité : il se voit ailleurs et se
sent
en même temps à l'hôpital. Je lui dis : « Où êl
s préceptes. C'est le fruit de son expérience qu'il offre; à peine se
sent
-il le droit de le recommander. Pédagogue excellen
sur l'enfant qui ne résiste point ou qui cède vite. L'adolescent, qui
sent
sa volonté s'affermir et qui n'ignore pas que c'e
iste de plus riche, de plus pénétrante dans ses moyens d'action: on y
sent
la mère avec toute son expérience et tout son cœu
leur disparaissait complètement à la parole. Je serrais plus fort: il
sentait
le serrement, puis sur mon injonction, il ne le s
plus fort: il sentait le serrement, puis sur mon injonction, il ne le
sentait
plus. J'arrivai ainsi, en quelques minutes, à lui
nsi, en quelques minutes, à lui écraser presque les chairs sans qu'il
sentit
rien. Ces deux médecins étaient donc suggestibl
rapports établit donc le lecteur des pensées avec son inducteur pour
sentir
cette langue muette des mouvements idéo-moteurs?
lecture des pensées, a déclaré sincèrement que, pendant la séance, il
sent
des petits coups, des tiraillements, des résistan
mmerce et put vivre à la campagae avec sa femme et ses enfants. Je me
sentis
très fier de ce malade, car je continuai de le vo
, il s'endormirait en le regardant fixement. Il dit que. lorsqu il *e
sent
malade et déprimé, U n'a qu'à se coucher et regar
rs mois et. durant ce temps. U est resté sobre et tranquille. Mais on
sent
, lorsqu'on a affaire à un homme de celle nature,
état de veille, de ne pas souffrir. Elle déclarait ne pas souffrir et
sentait
cependant parfaitement les progrès dn travail. Le
. Était-elle toujours sous l'influence de la suggestion verbale? Elle
sentait
très bien sa matrice se contracter sous forme de
à Tétat de veille, peut, par le fait de la suggestion verbale, ne pas
sentir
les cruelles douleurs de la dernière période de l
père de l'accompagner pour qu'il ne succombât pas à la tentation. Il
sent
lui-môme que sa volonté est impuissante et consen
tié. Celte suggestion était mal faite. L'enfant voulait bien, mais il
sentait
que sa volonté était impuissante. Les menaces, le
ouvait une grande frayeur trois mois avant la naissance de son entant
sentait
des nouvements convulsifs du fœtus, et l'enfant v
ouleur obtuse, supportable. Il restait quelquefois deux jours sans la
sentir
; puis les accès revenaient durant un à deux jours
ait une forte envie de se jeter par la fenêtre; d'autres fois elle se
sentait
poussée par l'idée de se précipiter dans un puits
sociée à une crainte, sanctionnée par un châtiment. Ainsi ma malade
sentait
le besoin « d'être grondée fort », pour employer
elle-même a cependant si bien saisi son incompétence! Elle a si bien
senti
que rien n'est clair encore, ou du moins que rien
gardées par moi et le professeur Tamburini, le professeur Vizioli se
sentait
tirer les moustaches ou pincer les genoux et avai
t d'autres choses. A son réveil, il était plus gai et me dit qu'il se
sentait
débarrassé d'un poids énorme. La nuit suivante, i
ande suggestibilité posthypnotique ; car après chaque séance, elle se
sentait
toujours débarrassée de tout autre malaise : batt
quelque douleur ». Elle répondit que, non seulement elle n'avait rien
senti
, mais qu'à ce moment-même elle n'éprouvait rien »
e sa volonté ou son activité consciente. Je déclare alors qu'il va se
sentir
attiré en arrière, et vous pouvez observer quo le
aussi bien que la souffrance physique du patient, il me semble que ce
sent
un avantage énoime, tant pour le patient que pour
luy dit que despuis que Jehan l'avait touchée le jour auparavant elle
sentit
de grands fourmillements et douleurs en son corps
de a bien voulu M pré 1er à ces hypnotisations répétées, dont elle ne
sentait
cependant pas bien l'utilité, puisque chaque fois
ang-froid, dans l'empire sur ioi. dans la conscience avec laquelle on
sent
qu'on agit volontairement, dans la direction de l
d'un moment, dans un état de suggestion dont les effets se font même
sentir
après le réveil. Au point de vue scientifique,
t comme attachés (contracture hystérique), et dit que elle a dès lors
senti
ces douleurs particulièrement aux testes de Noël,
impossible que ceslc chenille soit venue jusqnes là sans que je l'aye
senti
. > Veu d'ailleurs qu'il n'estait point sorti d
sédée, à son insu. Celle-ci, qui était censée n'avoir rien vu ni rien
senti
, de s'écrier aussitôt : « C'est de la paille do n
ou dans les derniers mois de la vie intra-utérine, le cerveau pré-
sente
une coloration toute différente de celle qu'il pr
nsi de très belles images, où toutes les libres à myéline apparais-
sent
sous forme de petits cercles fortement colorés en
teau (fig. Il, Vo), et ses volumineux diverticules latéraux, repré-
sentent
les premiers rudiments des vésicules oculaires
de la pre- mière vésicule encéphalique. Les schémas a et b repré-
sentent
le premier développement de la vésicule encé- p
ieure devient interne; le cordon ovalaire ou postérieur, qui repré-
sente
le futur cordon de Burdach, l'entoure alors compl
t entoure d'un canal presque circulaire la base du cerveau; il pré-
sente
une partie moyenne ou étage supérieur (cella médi
(fig. 45, si 1 Fosse sylvienne et / sillons qui en nais- \
sent
. il i Sillon antérieur. Sillon inférieur.
e de Broca. Les : racines olfactives interne et externe, repré-
sentent
chez la plupart des animaux dits osmatiques d
gion sous-optique; d'autres fibres beaucoup plus nombreuses traver-
sent
le corps strié : elles proviennent du manteau cér
e la partie supérieure et postérieure du noyau caudé. Ils ne dépas-
sent
pas le trou de Monro en avant, et ne plongent pas
comblent peu à peu la cavité du ventricule latéral, qu'elles rédui-
sent
à une fente demi-circulaire aplatie de haut en ba
cerveau du foetus, au neuvième mois de la vie intra-utérine, repré-
sente
un cerveau schématique pour ainsi dire, dont tous
ioblastes affectent également une disposition radiaire. Ils nais-
sent
souvent des corps spongio- blastiques, par des
ine de leurs noyaux. Les neuroblastes une fois constitués, pré-
sentent
un aspect pyriforme et renferment un noyau oval
ire, qui limitent en arrière le canal central définitif, se réunis-
sent
en un épais faisceau sagittal, le faisceau épendy
Les cellules araignées de la substance gélatineuse de Rolando pré-
sentent
un chevelu très abondant, et sont munies d'un bou
ainsi que la méthode des dissocia- tionslefaisaitdureste pres-
sentir
. A l'aide de la mé- thode de Golgi, on constate
us paraît ce- pendant probable. que les segments de Renaut repré-
sentent
bien des segments de nouvelle formation qui pou
lations, qui sont propres aux cellules nerveuses adultes, se pré-
sentent
, dans la majorité -des cas, sous l'aspect d'un
de myéline, mais ils sont dépourvus de gaines de Schwann et ne pré-
sentent
par conséquent ni étranglements annulaires, ni se
prolongements dendritiques, les plus longs et les plus épais, pré-
sentent
des contours nets et réguliers et des épaississem
tement du corps cellulaire, exceptionnellement d'une dendrite, pré-
sente
des contours nets et réguliers et quelquefois de
s. A. tubes nerveux A myéline. - Les tubes nerveux à myéline pré-
sentent
un diamètre qui varie de 1 iL à 10 et 20 . et dav
sont plus que les libres courtes, et que les fibres épaisses nais-
sent
de cellules volumineuses, tandis que les fibres g
28, B). A une petite dis- tance de celui-ci, le cylindre-axe pré-
sente
en r' un renflement » (Ranvier). L'anneau noir
G. Cattani et Golgi; tantôt elles sont si serrées que le nerf pré-
sente
un aspect granuleux. Par l'irrégularité de ses ma
e divise en deuxbranches plus oumoins horizontales, qui embras-
sent
le follicule légèrement rétréci à ce niveau et
t inférieure de la circonvolution frontale ascendante. Ce pied pré-
sente
du reste de très grandes variétés, ainsi qu'il es
, 160). En avant et à la face inférieure de l'hémisphère, elle pré-
sente
au niveau du pôle temporal une origine commune av
obule paracentral d'Ecker (Parc), lobule ovalail'e de Broca, repré-
sente
le pli de passage fronto-pariétal supérieur ou le
s. Sur les coupes vertico-transversales, la bandelette optique pré-
sente
au voisinage du chiasma une surface de section ov
llé interne. Chez la taupe, qui, dépourvue d'organe visuel, ne pré-
sente
qu'un corps genouillé externe et un tubercule qua
de cellules; les unes sont petites, les autres, plus grandes, pré-
sentent
les mêmes réactions que la matière colloïde qui r
la forme d'un entonnoir aplati latéralement. Sa paroi latérale pré-
sente
un sillon curviligne à direction antéro-postéricu
e part. Il sépare les deux ventricules la- téraux, et se pré-
sente
sous l'aspect d'une mincelame dc substancener
vésicule des hémisphères, et que le cinquième ventricule ne repré-
sente
, en réalité, qu'une partie de la grande fente int
rée que d'un ou deux millimètres. Ses dimensions, son étendue, pré-
sentent
du reste de nombreuses variétés, non seulement in
aide du microtôme de Gudden, nous décrivons les apparences que pré-
sente
l'hémisphère cérébral, lorsqu'on l'étudie sur des
rne du carrefour ventriculaire et de la corne occipitale (Voc) pré-
sente
en avant la partie recourbée de la queue du noyau
Gratiolet. Quelques fibres de l'anse du noyau lenticulaire traver-
sent
le segment postérieur de la capsule interne (Cip)
rigone (Tga) et se termine dans le tubercule mamillaire. Il se pré-
sente
sur les coupes sous la forme d'un faisceau lâchem
on- tale. Les coupes nls 40, 43 et 46 (fig. 240-242) intéres-
sent
la tète du noyau caudé (NC), qui fait saillie d
e parallèles, la partie externe par des fibres qui s'infléchis-
sent
en avant, en haut et en bas, et qui pré- sent
qui s'infléchis- sent en avant, en haut et en bas, et qui pré-
sentent
un aspect pa- naché sur les cerveaux durcis p
écrit par Wel'l11cke,. le champ ou la zone de l1'cl'lliclw (W) pré-
sente
un sommet supérieur, une base inférieure; ses côt
gris centraux. -Le,, coupes nos 92 et 93 (fig. 256 et 257 intéres-
sent
le pulvinar (Pul) dans sa partie libre et extra-v
adiations optiques de Gratiolet (RTh). Cette couche de fibres, pré-
sente
, dans son segment externe, un aspect fusiforme; é
e présentent les coupes horizontales de ces régions et qui intéres-
sent
à la fois le cunéus et le lobule lingual. (Voy. C
laire (NL3) donne naissance à un grand nombre de fibres qui traver-
sent
le globus pallidus (NL ? ), pour se porter dans l
par le segment postérieur de la èa]Jsule interne (Cip), qui se pré-
sente
encore ici sous l'aspect d'un éventail à sommet i
blanche du lobe frontal et des circonvolutions rolandiques ne pré-
sente
rien de particulier à signaler, on y trouve la se
corne frontale (Vf) comme sur la coupe précédente, et se réfléchis-
sent
en s'effilant sur sa paroi externe, où elles se p
che grise qui tapisse la face inférieure du bourrelet et qui repré-
sente
le voile gris ou indusellm griseum. A la paroi
la face externe est nettement convexe, la face inféro-interne pré-
sente
un coude qui correspond au lobule lingual (Lg); t
uche optique. L'origine de ces faisceaux n'est pas élucidée. Repré-
sentent
-ils, comme nous penchons à le croire, des fibres
viennent très probablement du trigone olfactif; elles s'infléchis-
sent
dans les coupes plus inférieures pour traverser d
fig. 3S 1 ), on se rend très bien compte de l'inflexion que subis-
sent
les fibres calleuses au niveau de l'angle externe
masse des libres non différenciées de l'écorce cérébrale, apparais-
sent
les circonvolutions de l'insula (la, Ip), adhéran
. Elles se groupent à la partie postérieure du noyau caudé, traver-
sent
le segment antérieur de la capsule interne (Cia),
suite au système de la bandelette optique (II). Ces libres s'épui-
sent
peu à peu dans le segment posléro-supérieur de la
s genouillé interne (Cgi). Le corps genouillé interne (Cgi) se pré-
sente
sous l'aspect d'un noyau allongé, volumineux, cur
upe le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl) pré-
sente
une disposition qui n'existait pas encore sur la
NL,), contournent le bord antéro-interne de. la capsule, et s'unis-
sent
en dedans avec le faisceau lenticulaire de Forel
fibres nerveuses qui naissent des cellules pyramidales se réunis-
sent
en fascicules, forment les fibres radiées, puis
terminent librement. D'autres cylindres-axes surnuméraires nais-
sent
de la partie ascendante des dendrites po- aires
t aux cellules décrites par Martinotti et dont le cylindre-axe pré-
sente
une direction ascendante, on les rencontre dans l
du reste de l'écorce cérébrale (Mayor, Meynert, Mondino). Elle pré-
sente
les quatre couches de l'écorce typique (5 couches
le inféra-interne de la couche optique. Ces dernières fibres repré-
sentent
les rares fibres de projection de l'insula. Lob
lus ou moins horizontale. D'autres collatérales ascendantes parais-
sent
se terminer par deux ou trois courts rameaux à la
uit déjà à admettre, que les différentes parties de l'écorce jouis-
sent
de propriétés physiologiques différentes. Premi
La quatrième couche enfin, ou couche des cellules polymorphes, pré-
sente
les mêmes caractères que dans les autres régions
volumineuses parcourent de grandes distances; quelques-unes traver-
sent
la couche des cellules pyramidales et atteignent
au système commissural ou de projection. Ces cylindres-axes repré1
sentent
un système particulier de fibres d'association zn
le bulbe olfactif sous forme de petits fascicules qui s'entre-croi-
sent
il la surface du bulbe olfactif, sous des angles
mbreuses collatérales, qui se détachent il angle droit et s'arbori-
sent
dans la couche moléculaire du trigone olfactif, e
drites ascendantes et basilaires fortement épineuses, qui s'arbori-
sent
dans la couche moléculaire. Le cylindre-axe est é
Les libres de pro- jection et los fibres commissurales nais-
sent
surtout du som- met et de la crète de la circ
r trajet intracortical un grand nombre de collatérales qui se divi-
sent
et se subdivisent, puis se terminent dans l'épais
rent de celui des cylindres-axes des cellules pyramidales, qui pré-
sentent
comme on le sait une disposition rectiligne et un
Longs faisceaux d'association. Cingulum. Le cingulum repré-
sente
le long fais- ceau d'association du rhinencép
deux bords de la gouttière sont si rapprochés, qu'ils se réunis- "
sent
et transforment ce faisceau en une sorte de cône
e (J. De- jerine.) Les lésions du lobe occipital ne retentis-
sent
pas sur. le pied du pédoncule c{ : l'é- ])val
s de cerveaux de singe Les lésions du lobe occipital no produi-
sent
pas de troubles de la sensibilité é- nérale.
compacts, et fortement colorés par l'hématoxyline. Ces libres nais-
sent
du lobe occipital (pointe, face interne et face e
e dans cette région le faisceau postérieur du cingulum. Elle repré-
sente
en d'autres termes, la couche des fibres en U de
dans l'écorce de l'hémisphère du côté opposé. Ces libres qui repré-
sentent
, soif les cylindres-axes directs des cellules pyr
es grandes lèvres ont un peu grossi, sont plus pigmentées et pré-
sentent
des poils au niveau du tiers supérieur de la face
anté de son mari. Elle ne sait pas exactement àquelle époque elle a
senti
remuer l'enfant ; les mouvements étaient modéré
ROMURE DE CAMPHRE. 19 II. L'action du bromure de camphre s'est fait
sentir
bien plus rapidement que chez la malade de la p
rs des remarques ou tenait des propos à prétention spirituelle, qui
sentaient
les farces des garçons cordonniers de Berlin. C
es interposées. Une tabétique dont la peau est demeurée sensible ne
sent
pas le diapason appliqué sur le tibia ; au cont
le pro- fesseur Raymond et son chef de clinique M. Cestan en pré-
sentaient
un cas intéressant, non familial, à la Société de
e . Le sujet ne présente pas de tremblement des mains. Il ne pré-
sente
pas de Romberg. Les réflexes patellaires sont nor
vents du désert siffler à travers les dunes désolées, bien qu'elle
sente
parfois les tourbillons de sable, que le simoun
tantôt seuls (tabès intersti- tiel). En ce dernier cas, les malades
sentent
parfaitement les objets, mais ils sont atteints
Ces trois malades, dont l'observation est relatée avec soin, pré-
sentaient
de la glycosurie non diabétique : leurs délusions
prise pour une sensation de chaleur, et les degrés de froid étaient
sentis
comme des degrés de chaleur. Le froid n'était p
d'ailleurs ainsi parfois dans la sclérodermie en plaques, qui pré-
sente
quelque ressemblance avec cette affection. NI. Ho
des aliénations mentales, méthode dont la stérilité se faisait déjà
sentir
. La théorie de la monomanie en tant qu'entité m
matisme cérébral grave, il est fort à craindre que ce qui se pré-
sente
aujourd'hui chez ce malade, sous des apparences d
de leur sensation ; ils comprennent qu'ils ont entendu, qu'ils ont
senti
quelque chose d'irréel ; mais comme pourtant il
l'âme ; entendre avec les oreilles de l'âme ; nous pouvons ajouter
sentir
avec le tact de l'âme. Peut-être pourrait-on
rieux saint Pierre, lorsque j'étais en oraison, je vis ou plutôt je
sentis
, car je ne vis rien en effet ni des yeux de l'â
, car je ne vis rien en effet ni des yeux de l'âme ni autrement, je
sentis
, dis-je, que Notre-Seigneur était près de moi e
uelle forme il était ; mais pour être toujours à mon côté droit, je
sentais
évidemment qu'il y était et qu'il était témoin
ges, soit de démons, sans les voir, sans les entendre et sans les
sentir
. J'étais comme une personne aveugle ou plon- 2'
le mur, comme une armoire, où je me vis mettre fort à l'étroit. Je
sentis
dans l'âme un feu que je ne puis rendre ni même
gestes et des grimaces épouvantables; plus souvent encore elle le
sentait
à ses côtés, comme autrefois, dans les visions ps
perçût pas de ce que j'éprouvais. Lorsque je voulais - résister, je
sentais
sous mes pieds une force si grande me SOCIÉTÉS
vec vous et au centre de laquelle vous vivez, circulez et vous vous
sentez
vivifiés. Cette atmosphère, ce milieu nécessair
s étroit qu'il a dans le langage vulgaire. Le tic étaitjusqu'à pré-
sent
un symptôme caractérisé par la répétition intempe
ttention. a. Beaucoup de tiqueurs éprouvent une véritable gêne à se
sentir
observés et l'agacement qui en résulte est trad
enfants liqueurs, conduits chez le médecin, restent, tant qu'ils se
sentent
observés par l'homme de l'art, com- plètement i
ois même de troubles nerveux. Cette donnée explique comment agis-
sent
les diverses méthodes de gymnastique appliquées a
uls deviennent eux- mêmes impossibles; elle mange seule. Quand elle
sent
venir sa nictitation elle descend de l'omnibus
itué à deux ou trois heures de marche ; même à cette distance ; ils
sentent
l'odeur des troupeaux qui avoisinent le puits.
ésarmées, mais encore et surtout effrayées de leur isolement. Elles
sentent
que les agents d'affaires spéculent sur leur in
aînée accepte toute pensée conçue par elles deux, Annette repré-
sente
dans l'association la permanence de la méfiance e
allucinations génitales. Pour les hallucinations génitales, Thérèse
sent
ce que leur description brutale aurait de peu d
me semblait d'or et avait à la pointe un peu de feu. Quelquefois je
sentais
comme s'il me l'eût enfoncé dans le coeur et qu
te-embri- sée de l'amour de Dieu. Alors, la douleur que l'on res-
sent
est si violente qu'on se laisse aller à de petite
aucun ouvrage, voulant seulement que le vrai jardinier se récrée à
sentir
le parfum des fleurs. » Si nous savons lire ent
tinctes ; on jouit simplement, sans connaître de quoi on jouit, on
sent
qu'on jouit d'un bien où sont renfermés tous le
e application étrangère serait un embarras et un tourment. L'âme se
sent
en un instant tomber dans une espèce de défaill
l'âme ne dépasse jamais une demi-heure. « Voyons maintenant ce que
sent
l'âme dans cet état ; c'est à celui qui le sent
s maintenant ce que sent l'âme dans cet état ; c'est à celui qui le
sent
à le dire : l'âme reste toute atten- drie ; il
l est à regretter qu'on les ait disposés de telle façon qu'ils cau-
sent
un préjudice sérieux aux malades du pensionnat (F
s diverses formes démonopathiques du délire de possession, repré-
sentent
une innombrable théorie d'autoaccusateurs, dont l
s peuvent devenir auto- accusateurs, pour éviter l'impulsion qu'ils
sentent
venir. C'est ainsi qu'un incendiaire s'est déno
-père maternel, alcoolique et mort aliéné. Son influence s'est fait
sentir
immédiatement sur sa fille, et médiatement sur
ensuite au procédé suivant : lorsque le besoin d'avaler se faisait
sentir
, le malade devait ouvrir rapidement la bouche e
sseoir qu'elle se recula en poussant un cri d'épouvante. Elle avait
senti
l'empreinte horrible de deux mains qui la saisi
scendu, et on allait sans doute lui administrer une correction bien
sentie
, lorsque les gendarmes que l'on était allé cher
hénomènes d'émotivité pénible et puis à l'anxiété, l'angoisse de se
sentir
envahi par une idée étrangère, se joint l'anxié
séro-purulentes. · ALIÉNÉ AUTOMUTILATEUR 483 A' la palpation, on
sent
le corps sternal mobilisable, la poignée restan
r la recommandation de la dormeuse. Mais tout n'est pas fini. 11 se
sent
travaillé intérieurement, une force le pousse à s
rapporte ici assez longuement l'observation d'un malade qui pré-
sentait
en apparence un cas type ordinaire de faiblesse m
de sa valeur et de ses moyens. Sa volonté semble paralysée, et il se
sent
placé sous la domination invincible de ceux qui l
. Au bout de ce temps, il était encore plus déprimé qu'auparavant, se
sentait
plus faible, dormait plus mal, mangeait moins et
t il me déclara qu'il voulait rentrer à Madrid pour mourir, car il se
sentait
frappé à mort. Alors il ne me restait plus qu'un
archer une demi-heure, à lire plusieurs pages et à jouer du piano; je
sentais
la guérison approcher quand pour une cause que je
er chez elle où elle continue depuis dix semaines ses exercices et se
sent
à peu près guérie. L'influence de la suggestion
t consternés, la malade est très maigre et faible; elle se sait et se
sent
perdue. Elle a souffert souvent dans sa vie de cr
eillé ; à votre réveil vous serez tout à fait à votre aise, vous vous
sentirez
fort, vigoureux ; confiant et sur de vos forces ;
me raconte avec un réel plaisir qu'il est rentré chez lui à pied sans
sentir
le moindre dérangement ; qu'aujourd'hui il a fait
ais je prêche des convertis ! Chacun de vous n'a-t-il pas deviné, vu,
senti
cette volonté, s'il a observé Bérillon dans l'act
er de se réveiller: « Ré veillez-vous ! » Elle ouvre les yeux. t Tous
sentez
comme vous êtes bien ? « — « M. le docteur, lui r
lus facilement des influences étrangères. Quand je leur demande s'ils
sentent
qu'ils dépendent de moi (car c'est une question q
cun, cinq autres cadavres, qui dit-il, n'étaient pas décomposés et ne
sentaient
pas mauvais. Simon n'est pas médecin et n'a pu, p
. La petite malade raconte, le 13 janvier, au médecin: « Je me suis
sentie
malade le 13 août 1900 ; je n'ai pas eu d'appétit
bon pour moi. Après j'ai commencé à voir de nouveau et à la fin j'ai
senti
aussi de nouveau. Je ne sais pas qu'on m'a électr
ours éloigné des esprits rétrogrades et routiniers. Par contre, je me
sentais
invinciblement attiré vers les savants dont l'ori
une profonde émotion. Avec de tels encouragements comment ne pas se
sentir
animé du désir de triompher, par le travail, et p
... Ils palpent les corps qui ne sont pas devant eux... ils voient et
sentent
quoi- qu'ils n'aient pas les objets devant eu
le trouble pendant qu'il joue. Il a très bonne opinion de lui ; il
sent
qu'il mérite le second prix. Seulement, prétend-i
lents, mais réguliers. Lors d'une première exécution publique, il se
sent
très anxieux, mais est satisfait de son jeu. Une
is se mirent à raconter auprès de moi des histoires de mal de mer. Je
sentais
que j'allais en être atteint si je ne leur demand
t pas la grande mer, il est vrai, mais attendu qu'elle s'est toujours
sentie
indisposée pendant les petits voyages en bateau s
. La traversée avait été bonne. Seulement le premier jour, elle s'est
sentie
mal à l'aise. Cependant elle avait pu paraître au
tains chiens ne se contentent pas d'avoir l'eau à la bouche quand ils
sentent
un aliment quelconque, mais ils produisent un gri
des poètes ! Combien, mis en présence de la question religieuse, ont
senti
bouillonner en eux la généreuse passion des révol
s infamantes une moyenne de onze cents personnes par an. Et ils ont
senti
monter en eux une indignation contre « ces supers
e tète, disait-elle, des démangeaisons vers la racine du nez, où elle
sentait
que ¦ ça trottait ». On me montra dans un flacon
bourg, taciturne, despotique et menaçant dans son intérieur, ce qu'on
sentait
en le voyant, c'était la crainte. » Chateaubria
présence de cette bête, et c'est à cette époque aussi que j'ai pu la
sentir
nettement par la palpa-tion, et être mathématique
après, notre malade annonçait que tout n'était pas terminé et qu'elle
sentait
encore des mouvements spéciaux qui lui prouvaient
lé ; il y a donc ici suggestion du vêtement. De même l'homme qui se
sent
revêtu d'un uniforme seyant, brillant, aux couleu
'enfant ne fut plus timide avec moi. A son arrivée en classe, elle se
sentait
dépaysée dans ce milieu inconnu. Son amour-propre
rer devant ses compagnes l'empêchait de nuancer un morceau. Plus elle
sentait
profondément l'idée, plus elle rendait le texte f
rent cependant de l'indifférence de ceux qui les entourent. Ils ne se
sentent
pas en harmonie avec leur milieu et restent isolé
une notable hypertrophie de l'amygdale, et le toucher nous permet de
sentir
derrière le voile du palais des masses molles...
poser aux psycho-névroses est l'éducation de la sensibilité. Le sujet
sent
vivement, il faut lui apprendre à créer dans sou
ne branche de la médecine où l'institution de l'agrégation n'ait fait
sentir
son influence délétère et stérilisante. C'est éga
une surprise agréables, d'un étonnement joyeux, tout homme en état de
sentir
et de vibrer, lèvera spontanément ses bras vers l
upole portative, donne l'impression très nette de l'écrasement — on y
sent
une volonté de protection non d'agression, c'est-
rez maître de vous-même, vous aurez la parole facile sans plus jamais
sentir
la moindre émotion, absolument comme si vous parl
âge si facile à contenter, lorsque nous connaîtrons mieux sa façon de
sentir
et de penser, ses derniers désirs ainsi que ses b
fection se présentent tantôt à 1"élcct isolé, tantôt se reprodui-
sent
d'une manière intermittente et, dans d'autres c
ntait pas de myxoedème, bien que la pal- pation du cou ne permît de
sentir
aucune trace de corps thy- roïde. L'opoLhérapie
diopathies, dans la neurasthésie qui est caractérisée par l'abais-
sentent
du ton nasal etpar une hyposécrétion générale.
les mélancoliques ; il s'agit souvent de mots, d'idées qui surgis-
sent
dans l'esprit et que le malade croit suggérés par
gers ; mais il n'y a pas extériorisation de l'image mentale ; ce
senties
« idées autochtones » de Werniele, - état faible,
n jour la mi- sère des plus malheureux d'entre nos semblables, nous
sentons
bien que nos asiles ne sont pas tout à fait de
ment en train de rédiger desstatistirlues comparatives qui établis-
sent
l'importance du germe héréditaire des psychopathi
antéro- postérieurs très profonds, et sa partie postérieure pré-
sente
deux sillons dont l'un part de la profondeur de
imbiquc et rétro-limbique. La scissure pariéto-occipitale ne pré-
sente
qu'un on deux plis de passage très profonds, à
oulouse et Yurpas (1) l'ont démontré, l'effet de l'atropine se fait
sentir
plus longtemps (parfois huit ou dix jours) chez
o-pupillaires. En général, les lésions ophtalmoscopiques progres-
sent
, mais le malade conserve la vue presque intacte.
s choses qui touchent de près ou de loin à l'aliénation mentale. On
sent
que les réformes sont nécessaires, on a le dési
opi- nion soutenue par M. Dide, que les centres nerveux se suffi-
sent
à eux-mêmes dans la défense contre les toxi-infec
ente. 2° 1 issu névroglique. a) Les cellules névrogliques parais-
sent
augmenter de nombre ; mais l'augmentation est san
'âge adulte. Les véritables hémiplégies des vieillards reconnais-
sent
le plus souvent pour cause les lacunes de désinté
protubérance. Les rapports entre les éléments nerveux s'établis-
sent
à la suite de la formation des cellules nerveuses
s. Les poules nourries longtemps avec du mais avarié, et qui pré-
sentent
les symptômes caractéristiques de la pellagre chr
de cas typiques d'atrophie musculaire progressive, et qui ont pré-
sente
ceci de particulier qu'ils s'accompagnaient en mê
ril 1904, le patient quitte le service, sur un brancard, sans avoir
senti
aucune amélioration. Il reste quelques jours la l
t tout seul, appuyé sur une canne. Après le trentième bain il s'est
senti
complètement guéri. Le 17 août de la même année
elle des sentiments qu'il dit purement psychi- ques, qui font qu'il
sent
ne pouvoir vivre que près d'elle, qu'il aime to
r de parole. Nous voici au mois d'octobre a. « Notez que je ne me
sentais
pas une grande vigueur et que j'appréhendais de
aliéné, parce qu'il nous apparaît que les hallucinations parais-
sent
être l'indice profond d'une altération sinon anat
jour,après avoir déjeuné, elle com- menra à être mal disposée et à
sentir
son estomac lourd, ses membres fatigués ; elle
s 9 heures du même soir, elle commence à s'inquiéter da- vantage, à
sentir
son ventre se gonfler, sa respiration plus op-
retard d'ossification inhérent au myxoedème. Les mongoliens pré-
sentent
tous (sauf le crâne de 17 mois) une 'synostose pl
question. Il est à désirer que les hasards de la clinique favori-
sent
M. Serge Soukhanoff et lui fournissent quelques c
triote une large place. Mais il semble que le Professeur Bail ait
senti
toute la faiblesse des développements dans lesq
t montré calme, disant qu'il ne se souvenait de rien, mais qu'il se
sentait
malade ; qu'on avait mis du poison dans ses ali
ie et lui avaient mis du poison dans ses aliments. Cette nuit, il a
senti
, dit-il, une chaleur intolérable dans l'estomac
, il a senti, dit-il, une chaleur intolérable dans l'estomac, il se
sentait
étouffer, c'est alors qu'il a été pris tout à c
tématiques et des déments précoces. Quel- ques chroniques cependant
sent
justiciables de la méthode, au grand bénéfice d
734 fin 1S1(Il ; 791 lin P.IOJ. L'encombrement va bientôt se faire
sentir
du cote des femme». « Les admissions pour premi
lait s'en assurer, laissa tomber sur sa main une goutte d'eau qu'il
sentit
parfaitement, le membre tout entier avait du re
aient irrégulièrement distribuées, le froid par exemple était mieux
senti
au membre inférieur gau- che en avant et au mem
premier examen qu'il présentait des phénomènes vertigineux, et se
sentait
entraîné en avant. Il existe quelques troubles
sur les personnes appelées à les soigner se fera plus efficacement
sentir
. Voyons, en effet, les chiffres de décès par tu
re très lentement la décompression, et les scaphandriers connais-
sent
bien comme remède de leurs accidents légers la re
° le pouvoir antitoxique du sérum du sang des épileptiques repré-
sente
probablement une force protectrice naturelle de l
assagers racontaient auprès de moi des histoires de mal de mer ; je
sentais
que j'allais en 41re atteint si je ne leur avai
es dents permanentes est en cours. Les incisives supérieures pré-
sentent
une rotation interne sur leur axe. Les dents appa
ntoù on veut séparer le cervelet du bulbe et de la protubérance, on
sent
un corps solide et piquant sous le doigt. On vo
réalisées vous ajouterez l'indication de celles qui vous parais-
sent
plus urgentes et dont vous comptez signaler la né
tache aux rapports sexuels. Les excès, comme l'ascétisme, condui-
sent
auxaberrations. D'ailleurs, les religions, surtou
sl'effacer,de làla constitution du M&-consc ! 'ent.(ia(rne être
sent
qu'il a en lui un être inconnu ou mal connu avec
oi que j'étudierai les objections qui me seront opposées ; et je me
sentirai
l'obligé de celui qui m'au- ra démontré mon err
) C'est chez les animaux de cette dernière catégorie que réussis-
sent
le mieux les expériences analogues à celles rappo
gatif 48 fois, mais, dit l'auteur,un grand nombre de sujets ne pré-
sentaient
qu'une légère hémiparésie. Dans 59 cas de parap
n. M.Lionel DAURIAC. - Je dirais volontiers que le vieillard pré-
sente
une mosaïque de vieillesses partielles. La déchéa
ientet eu pré- sence desquelles le traqueur est entraîné àne plusse
sentir
émo- tionné. Le diagnostic de la suggestibili
cultiver le réflexe de l'obéissance qui par beaucoup d'aspects pré-
sente
des analogies frappantes avec le réflexe de la su
tactile que les aveugles. Même le doigt lecteur d'un aveugle pré-
sente
une sensibilité tactile moindre que celle de ses
de manger, s'alite, reste immobile, comme endormie. Elle ne pré-
sente
pas un sommeil hystérique, avec dissociation des
» Le 14 décembre elle écrivait encore à son mari : «Jusqu'à pré- «
sent
j'étais fort étonnée et fort en colère d'être dan
per du danger que l'inculpé fait courir à la société dans le pré-
sent
ou l'avenir et des moyens propres à se mettre à l
e soit tombée dans un tel abîme, comme tout ceci l'implique. Nous
sentons
que les hommes honnêtes et bons de cette noble
es. Elle se manifeste chez les individus dont la mentalité repré-
sente
un stade primitif dans l'évolution mentale de l'e
lé- sions périphériques, dont l'existence est bien connue à pré-
sent
, peuvent avoir parfois une plus grande importance
oint scrupuleuse et tout à fait actuelle, dont le besoin se faisait
sentir
en France, et comme d'une critique essentiellem
à la sépia. » L'anesthésie chromatique de la période d'aura pré-
sente
des caractères qui ont été mis en valeur par Pich
on et Féré : 1° Chez le même malade, la dyschromatopsie se pré-
sente
de la même façon avant chaque attaque. 2° Cette
ont si- gnalé, c'est le plus souvent la couleur rouge qui se pré-
sente
aux yeux du malade. D'autres couleurs peuvent a
la crise est constituée par une sensation voluptueuse que la malade
sent
monter d'un genou dans le bas-ventre. En même t
était alors âgée de 17 ans. Quelques minutes avant l'attaque, elle
sent
comme un souf- fle lui monter du ventre vers la
l'amné- sie est complète. Souvent, au moment de ses attaques, il
sent
sa vue se trou- bler et il survient de la diplo
TRIBUÉES A LA DÉMENCE PRÉCOCE. 189 A la vérité certains auteurs ont
senti
le danger qu'il y aurait à vouloir conclure tro
à souligner c'est la valeur diagnostique et pronostique que pré-
sente
ce traitement au point de vue de la démence. Les
lades seuls, dont la quantité intellectuelle est intacte, réagis-
sent
favorablement au traitement : ceux qui sont en vo
lle, tandis que la sensibilité, qui s'éveille par l'impression res-
sentie
, laisse les impulsions automatiques soumises d'un
nt où le manque de places et même des moyens de couchage se faisait
sentir
d'une façon inquiétante. M. Boiteux termine son
ue. Les adeptes se rassemblent pour écouter des sermons, 'confes-
sent
leurs péchés à haute voix et chantenlles cantique
les relations .sexuelles avec son mari bien aimé. Mme X. n'a jamais
senti
de tendances sexuelles à l'égard des femmes : i
nsidéré de ce point de vue, le contraste ci-dessus mentionné pré-
sente
une analogie complète avec les différentes formes
érêt très vif ; le malade ne pouvait pas s'arracher à ces pages, il
sentait
un besoin de les re- garder encore et encore ch
indispensable devant lui procurer pleine satisfaction ; pour res-
sentir
l'orgasme il suffisait alors au malade de garder
énéral la nu- dité de la dame le laissaient indifférent et il ne se
sentait
jamais porté ni à des attouchements indécents,
lle ce qu'il a éprouvé avec sa compagne et pense à ce que doivent
sentir
les hommes et les femmes au cours des manoeuvres,
chologique. Les tendances sadistiques chez notre malade apparais-
sent
comme un vrai équivalent des tendances sexuelles
a nudité d'une femme, les images et les récits y afférant produi-
sent
sur ce garçon une impression toute particulière,
nce ? Craint-on que ces médecins d'asile extériorisés ne se lais-
sent
absorber par la clientèle générale plutôt que par
ns le dé- cubitus dorsal suffit pour que ces parties se meurtris-
sent
,se sphacèlent et donnent naissance à de larges ul
tater avec le noyau du III ; enfin, que de chaque noyau du IV nais-
sent
des fibres qui se dirigent d'arrière en avant ent
vice légal sera nul pour ainsi dire, et, quand il sera lui-même ab-
sent
ou empêché, il sera suppléé par les médecins divi
ébut affligée plutôt que révoltée ; naturelle- ment humble, elle se
sent
à charge à ceux qui la méconnaissent elle est p
, en outre on m'a enlevé une fesse, et on l'a recousue je l'ai bien
senti
. Peut être étaient-ce des malfaiteurs,peut être
période de nar- 342 CLINIQUE MENTALE. cose, notre malade u cru se
sentir
opérée. Ses talons et ses fesses ont t été coup
s et ses fesses ont t été coupés, puis rajustés et recousus (elle a
senti
très bien les ti- raillements de la couture), C
luxion de poitrine qui l'a beaucoup affaiblie ; elle en aurait res-
senti
les effets durant près d'une année. A l'école,
auraient besoin de savoir aussi que la fatigue résiduale que pré-
sentent
les enfants dont le sommeil est insuffisant va co
ar la preuve que ces derniers sont normalement autonomes, produi-
sent
la pensée indépendamment de la constitution des a
mir, mais, vers le matin, tout était passé, et, le lendemain, il se
sentait
tout à fait bien ; après le souper, quelques-uns
nes (toxine de bacillus botulinus, par exemple), tantôt se repré-
sentent
comme une substance sécrétée par les animaux ma
1 mè- tre à partir du coecum, ne contient aucun parasite. 11 pré-
sente
à environ 60 centimètres, à partir du coecum une
et contient un petit bourrelet de matières fécales, mais ne pré-
sente
aucune inflammation. On n'a relevé à la surface
de reconnaît ! e, car en dehors de leur délire, les sujets parais-
sent
normaux. Ce qui caractérise ces délires, c'est le
sur les orteils. Lorsqu'on voulait fléchir le pied sur la jambe, on
sentait
que des 2 côtés le ten- don d'Achille était man
rontal et dans la région temporo-pariétale, tandis qu'elles parais-
sent
moins modifiées dans le lobe occipital. Dans le l
es chiffres au bas de la di- vision, par exemple 2. Si le malade ne
sent
que l'attouchement, on tourne la vis jusqu'à la
ortir. Lorsqu'on dit à cet homme d'essayer de lever ses bras, on ne
sent
pas sous la main la contraction des muscles delto
SCLE DELTOIDE 55 schéma annexé à la leçon de M. Raymond). Le malade
sent
, dans cette zone^ toutes les impressions mais b
ôt par gouttes, tantôt par plus grandes quantités, mais sans jamais
sentir
le passage de l'urine. En somme, l'ensemble des
pressions et des sillons bordés de saillies. Ces sillons se produi-
sent
d'ordinaire dans le relâchement musculaire, et on
ux tiers antérieurs. Sur des photographies instantanées, qui repré-
sentent
un homme abaissant un. bras pendant que l'autre s
anvier z1891, sans cause appréciable : un matin, en s'habillant, il
sentit
, au frottement de sa manche de chemise, une lég
(fig. 13 et 14). Sur toute cette surface les contacls, quoique non
sentis
, déterminaient des crises doulou- reuses : phén
le tronc de la branche dorsale et les trois rameaux qui en nais-
sent
; l'opération fut terminée par l'arrachement des
oit ni le hesoin d'uriner ni le passage incessant de l'urine; il ne
sent
pas davan- tage le passage des matières fécales
rel qui mérite d'être mis en parallèle avec le féminisme. Il repré-
sente
une anomalie évolutive qui peul coexister avec d'
des qui tombent sur les yeux, aux rougeurs de la face, et lorsqu'on
sent
au front comme courir des petits vermisseaux ou f
ont douleur et grande pesanteur de teste, bruit aux oreilles, et ne
sentent
le plus souvent rien par le nez. « Pour la cure
es dont chacun pouvait être témoin à l'occasion. Les peintres ne se
sentaient
d'ailleurs nullement retenus par le respect d'u
x discours remplis de mots qu'il ne comprend pas et qui le terrori-
sent
, on l'amène aisément à accepter les traitements l
s qu'on y pressent ca- chées. Mais à côté de la fantasmagorie, on
sent
poindre la satire. ' Dans les divagations de so
ritait t d'être bafoué par la satire du simple bon sens. J. Bosch a
senti
leur suf- fisance grotesque et il l'a peinte. I
mouvementées, à la fois bouffonnes et impressionnantes, qui se pas-
sent
dans la grande salle d'opérations. Ici en effet
s au-dessous de l'aqueduc et réalisera le syndrome nerveux que pré-
sente
notre malade. Que cette lésion artérielle post-mo
ment, quoiqu'elle lutte encore contre elle et que les malades puis-
sent
encore faire agir dans une certaine limite les mu
ffements à la fin de ces crises qui duraient 2 à 3 jours. La malade
sentait
une boule qui partait du creux de l'estomac, lui
lua cette'crise : deux ou trois heures avant l'attaque la malade se
sentit
mal il 'son aise; elle était prise par instant de
ins et d'une absence complète de la sensibilité au contact. Elle ne
sentait
pas les objets qu'elle touchait et se demandait s
taient purement imaginaires. Tout à coup, à 5 heures du matin, elle
sent
ses bras devenir raides et se con- tracturer (p
hésie cutanée). Pendant la crise la malade avait des bâillements et
sentait
sa boule l'étouffer. Les jambes ne furent pas p
chaleur. Avec le thermoaesthésiomètre de Motchutkowsky la malade ne
sent
rien à 50°. Elle com- mence un peu à sentir ver
otchutkowsky la malade ne sent rien à 50°. Elle com- mence un peu à
sentir
vers 85°. Réflexes^ Pharyngien aboli. Rotuliens
re de scènes médicales. Cependant je n'ai pu découvrir jusqu'à pré-
sent
aucun dessin ni aucune peinture de ces artistes,
idienne.' Le mal ne serait pas grand, si, en même temps, l'opéré ne
sentait
dégringoler sur son cou toute une cascade de pi
tte saillie qui vise l'ivrogne endormi dans l'Orgie, et que dévali-
sent
ses compagnes de débauche, convient tout aussi bi
t de la jambe droite ; ce sont des secousses rapides qui se produis
sent
cinq ou six fois de suite, sans que la malade en
, mécaniquement, auraientpeu d'importance par leur étendue, parais-
sent
avoir une action dynamique considérable ; les vai
sa place est marquée par un méplat, quand on le fait contracter on
sent
seulement quelques faisceaux tendus au milieu d
; le contact du bec de la sonde sur les parois vésicales n'est pas
senti
da- vantage. Cette anesthésie au tact, se ret
ans l'ensemble, les sujets atteints de maladie de Parkinson parais-
sent
soudés, figés. Ils ne se déplacent qu'avec des
lle n'a jamais eu d'ictus apoplectiformes ; elle mange bien et pré-
sente
seulement quelques hémoptysies, qui sont en rappo
eux, au moins à ce dernier point de vue, si l'on songe qu'ils eus-
sent
paru, tout au contraire de ce qui nous semble, il
peut subvenir. Mais déjà le travail du bureau excède ses forces, il
sent
ses facultés l'abandonner et il a par instant l
ividu qu'il connaissaitjort bien, mais qu'il refusait de nommer; il
sentait
l'enfant remuer dans son rectum et il l'enten-
bypocondi iaques avec impuissance et délire -génital. Le malade se
sent
rapetisser; il est moins haut, dit-il, d'une tète
son mari avait eu une attaque. Non, mais depuis un instant elle se
sentait
mouillée et venait s'assurer si ce n'était pas
« vieux reste du Décalogue » il est certain qu'un homme ne peut se
sentir
responsable qu'au- tant qu'il- a conscience de
ides furent d'abord introduits dans les sections où se fait le plus
sentir
la nécessité de soins plus intelligents} ainsi, d
de la science stable et acquise, caractérise ce nouveau travail. On
sent
que l'homme qui l'a écrit, versé à fond dans le
cisée ; 2 avaient des métrorrhagies sérieuses, une troisième pré-
sentait
une tumeur abdominale dont le diagnostic pour les
oût et à l'odorat les substances courantes. Par contre, on lui fait
sentir
du menthol iodé qu'il ne connaît pas : on lui d
rep- tiles, la quantité des fibres se rendant à l'écorce ne pré-
sentent
absolument aucun rapport avec le puissant apparei
chique de ces animaux, à l'aide de méthode plus précises, ne pré-
sente
plus qu'un problème, sinon simple, du moins « sim
les on s'est de tout temps appuyé pour affirmer que ces ani- maux
sentent
la douleur. Nous voici donc revenus aux beaux j
te des pieds avec une épingle, aussi rapidement qu'au temps où il
sentait
cette piqûre. » En résumé, pour faire avancer l
obliquement avec la peau; à sa partie supérieure et antérieure, ou
sent
un peu de car- tilage qui correspond à l'antitr
us présentent des différences con- sidérables dans leur capacité de
sentir
, qu'il s'agisse de simples sensations ou de sim
ou de simples émotions ; 6° cette différence dans la capa- cité de
sentir
a pour effet : a) de déterminer de la diversité d
de malentendus sociaux; î, ceux qui n'ont qu'un pouvoir limité de
sentir
sont limités aussi dans leurs sympathies et ne po
est important pour le médecin de prendre contact avec la manière de
sentir
du malade, sans quoi il ne réussira pas à bien
homme qui prononce ce mot ou qui l'entend pro- noncer par l'enfant,
sent
s'éveiller en lni, clairement ou obscurément to
s dans le cortex pour donner naissance à l'image mentale de l'objet
senti
. Supposons un cas dans lequel les divers facteu
hommes qu'elle ne faisait naguère que voir et entendre, elle les
sent
maintenant ; ils lui « arrachent l'estomac, les y
toutes leurs forces ; ils la lardent de coups de canif. Puis, G...
sent
qu'on la terrasse, il lui semble qu'elle est ét
urs, que ni elle ne les verra, ni elle les entendra, ni elle ne les
sentira
. Au début l'effet de cette suggestion durait pe
ns le temps de trois catégories de troubles morbides, qui parais-
sent
avoir chez G... la valeur de termes équivalents.
ou abolis, alors même qu'à l'examen ordinaire les pupilles ne pré-
sentaient
aucune altération, ou des altérations à peine per
la moelle; 2° le siège de la dilatation s'accorde avec les douleurs
senties
dans les extré- mités inférieures ; 3° les doul
urtout les asiles urbains ! Evitables ces deux fléaux qui anéantis-
sent
tant de valeurs intellectuelles en pleine product
qualité bien française et qui convient surtout à la réunion pré-
sente
. Les dames ont bien voulu répondre à notre invi
is comme sensations de contact. Le chaud, le froid sont d'abord mal
sentis
, ensuite confondus ou pris l'un pour l'autre, e
existe alors une véritable dissociation syringomyélique. Le malade
sent
et reconnaît le contact de corps de natures très
te sensibilité s'abolir : les courants intenses n'étaient nullement
sentis
, alors qu'ils provoquaient de très violentes co
exclus). Les symptômes cérébraux d'origine syphilitique apparais-
sent
dans 12 p. 100 du cas, suivant Hjelmann, et dans
cable aux troubles de la sensibilité spéciale ou générale : la peau
sent
, l'écorce ne perçoit pas. L'hystérie est donc u
- ctroïdes des neurones moteurs centraux et périphériques produi-
sent
, lorsque le fonctionnement du neurone est gêné, u
e systèmes psychologiques, produits de l'automatisme, qui s'impo-
sent
à la conscience et qui l'obsèdent. En résumé, l
a paru se développer et les progrès en toutes choses s'en sont res-
sentis
, principalement pour la lecture qui semblait être
urs recherches que les faits qu'ils ont constatés ne leur parais-
sent
apporter aucun éclaircissement à la pathologie gé
cavité de l'arachnoïde étant libre de ce côté. Cet hémisphère pré-
sente
à sa face externe des suffusions sanguines de dat
les cas de mélancolie aiguë au début, la pression artérielle pré-
sentait
une marche plus ou moins définie. Au début de l'a
e traitement a presque doublé. Le recru- tement s'en est rapidement
senti
; sans doute, le personnel n'est pas parfait, ma
à quarante ans, à laquelle l'intoxication par l'alcool fait le plus
sentir
ses effets. Enfin, à la période plus tardive, pre
s, dans la seconde, c'est surtout l'influence du milieu qui se fait
sentir
. (Congr. de ? 7 ? ec.-tft') ! tst. allemands. F
es, mais qui aujourd'hui ne sont plus adaptés à la situation pré-
sente
... En outre de tels actes ne sont pas complètemen
Mais si on. venait par hasard à contrarier cette habitude, elle se
sentait
de nouveau angoissée jusqu'à ce qu'elle eût été
encore chaque fois que les facultés intellectuelles s'affaiblis-
sent
dans les démences diverses.-Plus rarement les sté
ive, dans leurs manifestations extérieures, les stéréotypies pré-
sentent
des ressemblances avec d'autres' phénomènes con-
elle en était si fatiguée, qu'elle était obligée de s'arrêter, elle
sentait
un poids considé- rable à la région de l'estoma
, 1700. LE MUTISME HYSTÉRIQUE DANS L'HISTOIRE. 513 cette fille se
sentait
à l'estomac, elle le sentit dans le moment se p
UE DANS L'HISTOIRE. 513 cette fille se sentait à l'estomac, elle le
sentit
dans le moment se précipiter sur le nombril où
int moins apte au travail. Un jour, étant en train de forger, il se
sentit
indisposé et tomba à terre. Il ne parait pas avoi
ne se combine jamais avec l'un des deux premiers; ils se produi-
sent
toujours isolément. Leur fréquence s'exagère au
ongtemps été assujetti : Je ne pouvais entrer dans un wagon sans me
sentir
irrésistiblement poussé à diviser le chiffre re
qui, lorsqu'elle a mis un pied sur une pierre un peu saillante, se
sent
forcée de rechercher pour l'autre pied une sens
mal placés ou asymétriquement disposés. Tel lecteur assidu ne se
sentira
tranquille que lorsqu'il aura, sans égard pour
uses. » J'ai donné mes soins autrefois à une jeune fille qui pré-
sentait
cette manie bizarre de ne jamais s'adosser à un s
renl, elle forme une trame dont les mailles irrégulières apparais-
sent
même à l'oeil nu. L'examen microscopique fait c
processus. On conçoit, en effet, que des causes différentes puis-
sent
engendrer des processus se ressemblant par leur
dite avec hypertrophie cardiaque. La carotide primitive droite pré-
sente
les mêmes altérations au niveau de sa bifurcation
éciles. Celle tendance passagereausuicideehex les imbéciles se pré-
sente
avec des allures qui paraissent caractéristiques,
e suffit pas et que le besoin d'une nouvelle institution se faisait
sentir
. Ce sera une commission de plus : il n'y en a d
tte disposition peut se résumer ainsi : '150 PATHOLOGIE NERVEUSE.
sent
plus ses jambes qui sont comme engourdies et devi
muscles. Il en est de même à la palpation. , La piqûre n'est pas
sentie
sur le dos du pied droit et à la partie antérie
la cuisse droite, la jambe restant paralysée et insensible (elle ne
sentait
pas l'électricité). Au bout de deux mois la sensi
r et la nuit quand il se réveille couché sur le côté droit, il res-
sent
des douleurs « en trait, en éclair » qui partent
nt du pinceau n'est pas perçu; la piqûre, le froid et le chaud sont
sentis
comme contact. Dans toute la moitié droite du c
pas perçu; mais la piqûre, la chaleur et le froid sont parfaitement
sentis
. Au niveau du membre inférieur droit, sauf dans
r droit, sauf dans la région que nous allons indiquer, le malade ne
sent
pas le pinceau, ne per- SUR UNE COMPLICATION DE
ient complètement défaut d'autres mois. Ces irrégularités se pré-
sentent
encore de temps en temps. Voici maintenant l'hi
re au niveau de la tête que les mouvements prédominent. La malade
sent
le sol en marchant, elle déclare, en outre, n'é
urel de songer à la sclérose en plaques, dont la trépidation pré-
sente
les mêmes caractères. Il nous sera facile de l'él
le. Démange objecte, il est vrai, que beaucoup de vieillards pré-
sentent
de pareilles lésions sans avoir jamais tremblé et
alade. ' Pouvons-nous en conclure que le tremblement qu'elle pré-
sente
est un tremblement hystérique ? Et d'abord existe
s musculaires isolés. Trop souvent enfin, les observations ne di-
sent
pas quelles ont été les suites de la paralysie.
aisselle et d'une sensation d'engourdissement dans le bras; elle ne
sent
plus sa main. Elle n'a pas dormi la nuit précéden
des carac- tères qui rappellent ceux de la crampe des écrivains, il
sent
, dit-il, son bras se raidir : sorte d'arrêt se
fermeture - la diminu- tion de la résistance se fait principalement
sentir
à l'anode enfin quand on a, pour un courant d'u
changé. N'avoue aucune hal- lucination sensorielle : dit qu'elle se
sentait
si anéantie qu'elle ne^ pouvait ni manger ni pa
toujours croissante des fumeurs d'opium. Les résultats se font déjà
sentir
parmi certai- nes populations indigènes. Ainsi
rtienne en propre à l'hystérie; les influences psychiques parais-
sent
toutefois jouer là un rôle plus important que dan
rale à droite; les courants électriques sont manifestement mieux
sentis
à gauche qu'à droite. - Diminution du goût et de
e Vulpian m'ont quelque peu ébranlé, j'ai repris courage et me suis
senti
raffermi en lisant les lignes suivantes de Broc
ui touche les doigts de pied, il faut serrer très fort pour qu'elle
sente
, et encore elle se trompe de doigt. Le sens art
munication de pensée, mais comme on parle naturellement. Elle ne se
sent
pas déplacée de son cercueil, et au réveil elle
affirmation de son mari qu'il allait la promener à l'abattoir, elle
sentait
bien que ce n'était pas vrai et qu'on l'emmenai
igts de la main une sensation d'engourdissement et prétend ne pas
sentir
son aiguillé. La mémoire intellectuelle plus co
la gre- nouille a perdu son instinct de conservation, ou qu'elle ne
sent
pas la faim ou qu'elle a perdu la faculté de sa
leur faire perdre l'équilibre. Abandonnés à eux-mêmes, ils parais-
sent
, dans les premiers temps tout au moins, plongés d
les animaux étaient capables de percevoir, de voir, d'entendre, de
sentir
, et d'exécuter un certain nombre de Op. cit., p
aucune base solide. Au point de vue clinique cependant, ils pré-
sentaient
continuellement des faits qui semblaient inintell
de sous-maxillaire. L'action secrétoire se fait bien moins vivement
sentir
au niveau du segment antérieur (précrucial) du
i prêtait une éner-« gie inaccoutumée. Elle, d'ordinaire si frêle, se
sentait
forte en cet « instant. Son pas devint si rapide
e veux dire le bruit gastrique. Marie-Louise respirant normalement ne
sent
pas qu'elle respire et ne voyant pas son thorax s
s par comprendre les dangers des paris de courses, nos gouvernants se
sentiront
-ils un jour assez forts pour faire la loi dans la
pparaîtra demain. — Contentons-nous de dire dans cette note que Tarde
sentit
autant que Comte la nécessité de condenser et syn
ne font attention à rien ni à l'intérieur, ni à l'extérieur. L'âme se
sent
en un instant tombée dans une espèce de défaillan
lles. Il avait été souvent poursuivi en justice pour ces délits et se
sentait
toujours en grand danger. Il ressentait avec acui
avec des intervalles pendant trois mois. Mais dès le premier jour il
sentait
qu'une révolution s'était opérée dans ses idées e
rocha d'elle pour accomplir son plan habituel, mais au même moment il
sentit
une force d'inhibition qui prévalut et il dépassa
dans les apparitions nous voyons peu à peu cette suggestion se faire
sentir
: grâce à elle, les principaux événements de la S
merveilleux. On peut tout faire voir, tout faire entendre, tout faire
sentir
aux personnes atteintes d'hystérose, comme on le
des différences de race, une sorte d'âme commune, une même manière de
sentir
et de penser; elle crée comme une seconde nationa
, et Marillr. Fig. 03. Sainie Wilgeforte. — Prague (XTO* siècle).
sente
sans chaussure. Les bâtisseurs de légendes n'y re
s ses épreuves et l'encourager dans son travail. Il finit même par se
sentir
tellement garanti pour l'avenir, quoi qu'il arriv
, sinon à l'exagération et à la simulation quand, non seulement il se
sent
protégé contre tout risque, mais entrevoit encore
a nature humaine se renierait elle-même, si ces facteurs ne faisaient
sentir
leur influence. En résumé, je dirai que, si la
ion. Les voix de ses persécuteurs, elle ne les entend pas, elle les
sent
, dans la poitrine, dans l'estomac, dans la gorge
yant ses efforts si peu couronnés de succès, le jeune X. se croit, se
sent
inférieur ; il se décourage, se désespère, prend
e comme si vous le connaissiez depuis longtemps déjà. Qu'il puisse se
sentir
de suite tout à fait l'aise. Lorsque vous abord
poitrine qui l'obligea à se mettre au lit (*) ». La nuit suivante, il
sentit
qu'il touchait à sa lin. La fièvre et l'oppressio
re liberté d'esprit. Le 20 juillet, un peu après minuit, il dit qu'il
sentait
que la chaleur naturelle lui manquait. Le 21, il
ais est bien près de l'être. Dans cet état, elle ne veut pas, elle ne
sent
pas, elle ne voit pas, elle est cependant capable
s qu'à l'état d'hypnotisme auront encore assez de force pour se faire
sentir
pour produire un effet. Cet état est le meilleur
n. Dès lors, il voit arriver avec terreur le concours de 1904 : il se
sent
matériellement incapable d'affronter l'épreuve ;
e n avec tout le brio qu'il faudrait ; c'est un jeune officier qui se
sent
presque annihilé et peut à peine articuler quelqu
thylène en pilules, et, pendant tout le temps qu'il urine bleu, il se
sent
beaucoup mieux. chronique et correspondance S
laquelle il attribue quelque supériorité réelle ou imaginaire, il se
sentira
profondément troublé et perdra contenance. Pour
psychonévrosés ou des vésaniques ; tout cela manque de clarté et Ton
sent
que la psychiatrie n'est pas familière à son aute
ui présentent des phénomènes normaux de suggestion et d'imitation. On
sent
une fois de plus {ce que nous verrons plus tard)
tement des malades. Ce sont des armes intimes qui ne doivent se faire
sentir
que dans la vie du médecin et dans sa façon d'agi
éclara supérieur à celui de Bernheim. Relisez son livre '. >"e
sentez
-vous pas cette conviction à chaque page ? Nous po
méthode. Il peut affirmer qu'il guérit par le raisonnement mais nous
sentons
qu'il agit par sa conviction sur la suggestibilit
eil. Ce sommeil ne survient pas d'une manière brutale. Argentina se
sent
la tête lourde ; elle a conscience qu'elle va s'e
uelques minutes la parole embarrassée ; elle se frotte les yeux et se
sent
fatiguée. A quelque heure qu'elle se réveille, el
âchement a lieu parce que l'enfant dort si profondément qu'il ne peut
sentir
le besoin provoqué par la distension de la vessie
er le sommeil de l'enfant, le rendre moins profond et lui apprendre à
sentir
le besoin d'uriner en dormant. Pendant qu'il es
riner en dormant. Pendant qu'il est hypnotisé, l'enfant ou l'adulte
sent
le besoin d'uriner et il arrive un moment où il l
t ou l'adulte sent le besoin d'uriner et il arrive un moment où il le
sent
si fort qu'il se réveille facilement; il est évid
d'être la vraie : car, pour employer l'expression de Mlle L., elle se
sentait
« rechargée » après avoir dormi- «lie comparait a
clérosés dans toute la partie postérieure ; le cordon latéral pré--
sente
un triangle de sclérose à base périphérique et do
al ; le troisième enfin, dans les muscles de la cuisse qui fléchis-
sent
la jambe sur la cuisse et celle-ci sur le bassin,
ire ici un tableau célèbre de Goya où l'on voit une figure qui pré-
sente
la déformation caractéristique, décrite par M. Fo
rou au vilebrequin, quant tout à coup, sans avoir fait d'effort, il
sentit
dans la fesse gauche une piquée (sic) et de suite
raphie qui en témoigne. Il se dit guéri de ses douleurs, et ne plus
sentir
qu'une « faiblesse à la ceinture ». Les premier
s, mains, pendant 1 mois. De suite après des douleurs vives se font
sentir
dans les « reins », les lombes ; elles envahissen
raideurs des mouvements; pas de raideur objective. Quand il marche,
sent
ses bras lourds. Les autres articulations notamme
de spondylose. A la vérité les autres spondylitiques ankylosés pré-
sentent
le mêmes traits, l'aspect soudé, figé étant le fa
st (1566), par Leyden (1874) et Senator (1877), Gowers (1899), pré-
sente
beaucoup d'analogie dans son évolution, sa sympto
rien : pas d'oppression. La pointe du coeur est assez difficilement
sentie
; battements réguliers, éner- giques, un peu ra
435 grammes à droite et de 440 grammes à gauche. A la palpation on
sent
dans le lobe frontal droit, au niveau du sillon d
les mentaux se retrouvent au complet chez notre malade et reprodui-
sent
les symptômes des méningo-encéphalites chroniques
phie musculaire. La pointe du coeur bat dans le 5B espace, est bien
sentie
. A l'auscultation : 3 ou 4 bruits normaux, puis
mêmes. Chez nous ils sont employés au magasin du tailleur, ils cou-
sent
les costumes, ou bien on les adjoint aux infirmie
il n'est pas douteux que des influences germaniques s'étaient fait
sentir
au Mont-Cassin. Les empereurs étaient donateurs d
peu visible ; les mamelles sont développées et tom- bantes ; on les
sent
à la palpation plus volumineuses que chez certain
, les bourses sont plates, striées dans le sens transversal, on n'y
sent
pas les testicules. Si l'on introduit le doigt da
ans le canal inguinal en retournant le scrotum en doigt de gant, ou
sent
toutefois à gauche, profondément dans le canal,
ées ; leur saillie contribue à donner à la face l'aspect lunaire , on
sent
sur le maxillaire inférieur une dépression due
jours après le début de ses accidents. Le soir du 8 décembre, elle
sentit
un engourdissement marqué dans les membres supé
ations dé la sensibilité..générale (électricité du parquet) parais-
sent
plus nettes. En somme, l'allure incohérente des
e lenteur, ni de lourdeur des mouvements, pas d'asthénie; D... pré-
sente
, au contraire., une véritable instabilité motrice
e, dans le 4ar ganglion lombaire droit, racines et cellules parais-
sent
à peu près normales : dans le 2e ganglion lombair
le tabes, parce que l'anatomie normale et la physiologie s'y oppo-
sent
. Rechercher les lésions ganglionnaires du tabes a
; celles de Kôster sont de nature à modifier cette opinion et lais-
sent
supposer qu'elles peuvent être consécutives à l'a
é leur équilibre, les répercussions sympathiques viscérales parais-
sent
avoir été plus profondes, car, en plus de l'hyper
sa mort ». C'est en souvenir de cet épisode miraculeux qu'on repré-
sente
le saint ayant à ses côtés un tonneau et une cruc
cte de la mastication, tantôt aux extrémités infé- rieures. Elle se
sent
mieux le matin, en se levant. PARALYSIE D1YASTl
ation, la déglutition, la voix et l'articulation verbale. Elle ne
sent
pas de fatigue ni de faiblesse dans les muscles d
fatigue ni de faiblesse dans les muscles de la nuque, mais elle en
sent
aux joues et à la mâchoire inférieure, avec la se
dans le diamètre antéro-postérieur. La moelle de Luis Hand... pré-
sente
les dimensions les plus petites, fait qu'on serai
dégénérescence bien nette, tandis que sa partie' antérieure se pré-
sente
seulement raréfiée. Par contre la lésion du faisc
malades incohérents, ni les manifestations délirantes qui envahis-
sent
la conscience de la paranoïque, celle-ci transfor
hopathique. Dans un autre passage, il les identifie à ceux que pré-
sentaient
les Corybantes, ou les Ménades, et il montre comb
nt toute la simplicité des réjouissances rustiques qui se reprodui-
sent
chaque année avec les événements importants de la
de la peau et du pannicule. sous-cutané, car la palpa- tion y fait
sentir
le peaucier contracturé (PI. XLVII). De chaque
cier contracturé (PI. XLVII). De chaque côté du cou, on voit, et on
sent
au toucher, les deux sterno-cléido- mastoïdiens
ions assez rapides, brusques et répétées, surtout quand le sujet se
sent
observé et fait effort pour lutter contre cette
me à l'état normal la portion la plus rapprochée du chiasma ne pré-
sente
plus la division en faisceaux de la portion orbit
la phase anatomique d'irritation optique et méningée que caractéri-
sent
la lymphocytose des gai nesméningéeset )anéo ! '0
éalité elle est moins fréquente que l'aphasie motrice. Elle se pré-
sente
sous forme de cécité et surtout de surdité verbal
ités que je mettais en évidence dans ma dernière leçon ; ils repré-
sentent
, en quelque sorte, la monnaie courante de l'écrit
s pouvoir se mettre complètement sur sou séant; dans les efforts on
sent
les muscles droits de l'abdomen se contracter.
aisseaux de la substance grise sont très nombreux, beaucoup parais-
sent
très altérés, entourés d'une gaîne dilatée et par
ndre secousse ni à l'ouverture, ni à la fermeture, bien que le malade
sentit
bien passer le courant et accusât de la brûlure
s troubles DE la mimique, ou troubles psychiques émotifs se tradui-
sent
, chez le cheval, par de l'agitation, de l'égareme
it rendu ce cheval ce point redoutable que « bien peu de jockeys se
sentaient
en confiance sur son dos ». Il en a été de même
ine de Bethséda. Un grand nombre d'infirmes et de, malades se pres-
sent
autour de la fontaine miraculeuse. Parmi eux, on
gent), en haut ou en bas (stra- bisme vertical), se reconnais-,
sent
à la simple inspection pour peu qu'elles soient
e et des membres (fig. 51). Les libres du M. 0. C. s'entrecroi-
sent
dans la région pédonculaire, les fibres du faci
métrope, l'insuffisance, de l'accommodation pour la lecture se fait
sentir
vers 40 ans. Chez l'hyper- métrope, l'insuffisa
. Symptômes. Le ptosis ou chute de la paupière supérieure se pré-
sente
sous des aspects cliniques variés, il peut être u
e (larsile syphilitique, conjonctivite granuleuse, etc.), alourdis-
sent
la paupière et déterminent un certain degré de ch
nt pris d'incoordination motrice; les réflexes rotuliens disparais-
sent
. C'est le tableau clinique de la maladie de Fried
ps avec du vertige et de l'incapacité de se tenir debout qui finis-
sent
par s'atténuer et de la surdité qui reste incurab
ux aujourd'hui que des inflammations. légères de la caisse ne puis-
sent
se compliquer de paralysie faciale : un certain n
partielle (hyposmie). On apprécie généralement le déficit en faisant
sentir
au malade des odeurs usuelles, eau de Colognc,p
elle est très pénible pour le malheureux qui en est affecté et qui
sent
partout l'odeur du brûlé, du fromage putréfié, de
ou que le. monde extérieur tourne autour de lui, quelquefois il se
sent
projeté en avant, en arrière, droite ou il gauc
ieds, soit parallèlement il l'axe de son corps; plus rarement il se
sent
soulevé en l'air ou précipité dans un gouffre.
r dans nombre de cas les meilleurs résultats. u , SÉMIOLOGIE. 105
sent
l'irritation de l'appareil vestibulaire, le verti
s rapidement élargi, sans que les escarres d'origine cérébrale pré-
sentent
jamais la profondeur ou l'étendue des troubles an
pseudo-bulbaire. Les malades connus sous le nom de pseudo-bulbaires
sent
des hémiplégiques doubles. Les lésions consistent
y en a qu'il ne reconnaît pas, lui permettre de les toucher, de les
sentir
, de les goûter et noter s'il les reconnait mieu
Les malades qui ont des hallucinations de l'odorat se plaignent de
sentir
de mauvaises odeurs. Ils croient parfois que ces
de l'écriture)) » (Séglas). Ces malades n'entendent pas parler. ils
sentent
, parler. Le centre moteur d'articulation est en j
llucina- tions, ils voient le démon, entendent sa voix et ses cris,
sentent
son odeur; le démon se livre sur eux il des att
sitions des lieux sont changées ou modifiées de manière qu'ils ces-
sent
d'être propres il leur destination ou si les préc
es maladies infectieuses entraînant les encéphalites qui se tradui-
sent
par les convulsions ou par le délire peuvent être
bjets qu'on lui place dans la main : au lieu d'une allumette, il en
sent
plu- sieurs. La macroesthésie est le fait de pe
s per- versions de cette sensation que l'on observe, le chaud étant
senti
comme froid et le froid comme chaud : c'est alo
seul qui leur reste) le membre piqué, bien qu'ils déclarent ne rien
sentir
au moment même où s'exécute cette retraite du m
ême où s'exécute cette retraite du membre; en réalité, ils ont bien
senti
une douleur, mais leur faculté d'analyse est tell
iirc de l'anesthésie prend une disposition topographique qui repré-
sente
l'innervation cutanée de la première ou des premi
ntôt à droite, et si le sujet ne me dit pas sponta- nément ce qu'il
sent
, je me contente de lui demander ceci : « Que sent
st-ce que je vous fais ? ». Jamais je ne lui pose ces questions : «
Sentez
-vous ce que je fais ? » ou encore : « Sen- tez-
un point donné, mais bien : « Qu'est-ce que cela vous produit, que
sentez
-vous. ? » On aura enfin toujours en vue la possib
pathologique s'exalter, disparaître ou se pervertir. Les malades ne
sentent
plus fonctionner leurs organes ou au contraire
t, survenant par crises variables d'intensité. Les douleurs se font
sentir
dans la profondeur du membre plutôt que sur le
. Les troubles de la sensibilité (hyperesthesics, anesthésies) pré-
sentent
la topographie en bande de la distribution des ra
dinale du zygoma), cette arrête osseuse est toujours assez facile à
sentir
, elle se continue du reste en bas avec le rebord
t le sommet de la rotule, puis le tubercule antérieur du tibia : on
sentira
entre ces deux points osseux une surface moins
lexe est normal, les orteils se fléchissent, c'est-à-dire se ramas-
sent
vers la plante du pied, mais, chez beaucoup de su
main sur la portion bulbaire de l'urètre en arrière du scrotum, on
sentira
au même moment le choc rapide de la contraction
ns la sciatique. Si le signe de Kernig existe dans ce mouvement, on
sent
insensiblement se produire une flexion de la ja
progresser qu'en sautillant; leurs membres semblent raidis, parais-
sent
avoir oublié le mécanisme de la marche. Ils s'ava
abcès froid ou par pachyméningite. La paraplégie des pottiques pré-
sente
fréquemment des alternatives de spasticité et de
alades sont grêles, supportent malles appareils orthopédiques, pré-
sentent
souvent un pied bot, rappellent parfois en un mot
'époque de l'accou- chement survient normalement, mais la malade ne
sent
pas l'enfant re- muer. La dilatation du col, ac
même d'émission. L'introduction du pénis dans le vio-in n'est plus
sentie
. - La compression du cône médullaire ne saurait
'occlusion de ces différents orifices. De plus, ces muscles tradui-
sent
les états du moi intérieur, président au jeu de l
r l'avant-bras sur le bras et l'on s'oppose il ce mouvement., on ne
sent
plus alors le corps musculaire contracté au niv
. B) Spasme d'origine centrale. Les lésions cérébrales ne parais-
sent
pas déterminer souvent de spasme laryngé ; il con
slil. de &f7<;<c')'. de Bucarest, 1888-89. 5. Maiiinesco.
Sent
. 3lédic., 15 février )8'.)6. IL Duchenne. FAect
ction de dégénérescence, des troubles trophiques cutanés se produi-
sent
: l'évolution est donc la même que pour les névri
'enroule autour de son bord interne et tous les orteils se fléchis-
sent
: c'est le pied bot tabétique de Joffroy. Des rét
urants un peu forts, et P. Marie et Sorel, Babinski (2), etc., pen-
sent
que l'inactivité d'un traitement électrique prolo
la main, à l'état de contraction; quand le muscle se contracte, on
sent
sous les doigts se dilater et se durcir des fai
l'hypertrophie physiologique ou fonctionnelle, les muscles parais-
sent
normaux sur une coupe, le tissu interstitiel n'es
apparition des deux syndromes tout à fait différents. L'ataxique ne
sent
pas exac- tement les contractions de ses muscle
ue l'ataxique peut ordonner à ses muscles de se contracter, mais ne
sent
pas avec quelle force ils répondent à cet ordre
de la vue. Cela se comprend encore aisément, car l'ataxique qui ne
sent
pas ses muscles se contracter n'a absolument que
ue difficulté et sans de multiples tentatives, et le malade, qui ne
sent
souvent pas l'objet entre ses doigts, qui n'a p
mais en notant dès maintenant que les polynévrites toxiques parais-
sent
perdre de plus en plus de terrain au profit des m
a, les altérations de la coordination en semblent indépendantes. Il
sent
donc ses muscles se contracter, il a la nolion
de tels caractères généraux, l'incoordination cérébelleuse se pré-
sente
sous deux aspects cliniques très différents : A)
eux mains largement écartées du corps; dans cette situation il pré-
sentait
de légères oscillations du tronc; quand il soulev
faitement conservé et parfois même exagéré. Le céré- belleux, qui
sent
le degré de contraction de ses mtiscles, peut, a
- toires désordonnés et, une fois l'objet saisi, les doigts. qui le
sentent
, ne le lâchent plus. A cette incoordination s
e mal les mouvements les plus simples, c'est surtout parce qu'il ne
sent
pas avec quelle force ses muscles se contracten
core les mouvements plus complexes, c'est avant tout parce qu'il ne
sent
pas quelle vigueur relative il donne à chacun d
lité « nouvelle » et, jusqu'à un certain point, l'affine en faisant
sentir
au malade des contractions qu il aurait à peine
isant sentir au malade des contractions qu il aurait à peine ou pas
senties
s'il ne les avait pas vues. Cette rééducation
chroniques. Les accidents se limitent rarement au bulbe et inléres-
sent
souvent la protubérance. La tuberculose et la syp
paralysé à son tour ; de la dysarthrie et de la dysphagie apparais-
sent
, qui ne rétrocéderont plus. Ces troubles moteurs
décharge est de bien minime importance. Il suffit au ma- lade de se
sentir
regardé, d'être prié de se nommer pour qu'éclaten
ir compte de la répétition et de la durée du phénomène. Les malades
sentent
s'ac- cuser leur déchéance lorsque le rire ou l
nt ensuite une ophtalmoplégie externe incomplète, et le malade pré-
sente
le faciès d'lIutchirison. La vue se trouve gênée
ils sont timides à l'excès, perdent toute contenance dès qu'ils se
sentent
observés » (Meige et Feindel), leurs manifestat
outons que les malades atteints de cette singulière dystrophie pré-
sentent
souvent une intelligence obtuse, de la frigidité
e l'urine, le malade ne s'aperçoit de la miction que parce qu'il se
sent
mouillé par l'urine évacuée ; c, incontinence v
n peu au-dessous de la ligne des tubercules sacrés jusqu'à ce qu'on
sente
qu'elle traverse la membrane ligamenteuse qui l
peu marquée se décèle en saisissant la langue entre les doigts. On
sent
le côté atteint se durcir peu ou point; on aune
ériques, mais dans ce dernier cas aux accidents moteurs se superpo-
sent
des troubles de la sensibilité. Dans les paralysi
fort dangereux. La sonde ne passe pas, ou fort difficilement; on la
sent
violemment serrée sur toute son étendue. Aux
plus vive. Puis, au réveil ou plus souvent vers la fin de la nuit, il
sentira
une gène rétro-sternale, un malaise épigastriqu
nd inanitié pour que survienne cette torpeur. L'haleine des malades
sent
la pomme de rei- . nette. Il y a fréquemment de
e des troubles dépendant des altérations du plexus solaire intéres-
sent
l'intestin. Dans certains cas (syndrome de paraly
re, de l'anorexie. Bientôt la jeune malade, étonnée, heureuse de se
sentir
bien portante encore, quelquefois plus légère mêm
le n'a plus son cénacle et qu'aux prises avec des étrangers elle se
sent
la moins forte, beaucoup des illu- sions de l'a
n pour empêcher l'aérophagie, est de consciller au malade, quand il
sent
venir sa crise, de se maintenir la bouche grande
que de l'estomac ne détermine une douleur ainsi continue. Celui qui
sent
toujours son estomac est un névro- pathe (Mathi
tractures secondaires des muscles et de subluxations. On voit et on
sent
à la palpation le gonflement des. épiphyses art
Si l'on fait fléchir l'avant-bras en s'opposant au mouvement, on ne
sent
plus sur son bord externe la corde tendue du lo
n le long supi- nateur est presque toujours respecté et l'on peut
sentir
sa corde contractée durant la flexion active
branches du compas d'épaisseur sur les crêtes frontales, faciles à
sentir
sous la peau immédiatement, au-dessus -des apop
l'accroissement de la taille, les D. transverses du crâne subis-
sent
des. allongements inégaux, le frontal minimum a
nterligne du genou doit être marqué sur la face externe, mais on le
sent
fréquemment de façon plus nette à la face interne
e, et, chez la femme, les troubles de la menstruation. La face pré-
sente
un aspect disgracieux, repoussant. Son maximum de
n est retardée, l'implantation des dents souvent défectueuse. On ne
sent
pas le corps thyroïde au palper d'un cou d'aill
petite, mais les traits sont nets et agréables. Le tronc pré-
sente
peu de par- ticularités intéres- santes : le
rture, et du reste, sans iracture nécessaire, jambes et bras pré-
sentent
des courbu- res à grand rayon. Aux poignets,
fait suivant : les individus atteints d'ulcères dits variqueux pré-
sentent
rarement de grosses varices, mais rapportent fréq
struction du sommet de la dent, alors que là encore la dent se pré-
sente
normale, bien constituée, il semble qu'on voie un
bien, avec l'anesthésie au chlorure d'éthyle le malade ne devra pas
sentir
la ponction. L'aiguille traversera la masse mus
é dans le liquide céphalo-rachidien d'un ictère chronique. Ils pen-
sent
qu'il s'agit d'un pigment dérivé de la toile ou d
pensera comme de juste à la syphilis héréditaire, si l'enfant pré-
sente
la triade d'lIutcliinson : en l'absence de commém
les quatre points marqués, deux fils; leur entre-croisement repré-
sente
la situation exacte du corps étranger, une fois l
connue; mais le corps est composé de tissus différents qui ne pré-
sentent
pas tous la même résistance électrique, et l'on s
enou, l'épaule, etc. Les considérations qui précèdent ne s'adres-
sent
pas seulement au courant galvanique con- tinu,
tions pour exciter les nerfs moteurs et les muscles striés. Il pré-
sente
surtout des avantages pour exciter les muscles à
variables du courant, à la fermeture et a l'ouverture, mais se fait
sentir
aussi, lorsque le courant est suffisamment inte
ément observées. De tous ces faits il ne se dégage pas jusqu'à pré-
sent
pour les neurologistes de conclusions bien précis
VERTIGE VOLTAÏQUE. 1275 sement et de vertige, et généralement il se
sent
entraîné vers l'électrode qui correspond au pôl
icules glandulaires (Leduc) ('). Ces trois ordres de causes se font
sentir
non seulement sur le vivant mais encore sur le
100 à 200 cnr, est placée successivement sur les points où se font
sentir
plus particulièrement les douleurs, soit spon-
crises douloureuses parfois très pénibles et très intenses, parais-
sent
n'avoir guère été modifiés par la galvanisation c
trode plus bas et plus en dehors, dans l'espace intercostal où l'on
sent
battre la pointe du coeur. Les séances seront r
s isolante. » Ces explications nous ont paru nécessaires pour faire
sentir
à nos adversaires l’inju9ticc qu’il y aurait à ba
doute maintenant de le revoir. Au moment où la crise va éclater, il
sent
une boule qui remonte de la partie inférieure de
omac et à la partie supérieure du ventre, vers le côté droit, se font
sentir
. Pendant la magnétisation, qui n’est que de vingt
tion magnétique, si elle est réelle. Le résultat a été tel, que je me
sentis
tout bouleversé, et, pour ainsi dire, ébahi, au p
en moi. Vous m’avez proposé de continuer les expériences ; mais je me
sentais
tellement anéanti par la certitude irrécusable et
s voient, et qu’ils ne pourraient donner une idée exacte de ce qu’ils
sentent
, parce qu’il faudrait un nouveau langage pour exp
et les jambes , en attirant jusqu’aux extrémités, où le malade me dit
sentir
des picotements. La douleur s’amoindrit et dispar
et, ce que j’ai souvent observé, ils li- (1) Lisex : somnambules'
sent
comme dans un livre les choses qui y sont enfermé
9anté, bienfait tout aussi précieux; chaque fois que vous m’avez fait
sentir
la puissance de votre génie, il m’a semblé, chaqu
naître les traces de son maître, le passage d’un animal; mais nous ne
sentons
pas que cette émanation nous pénètre et soit la c
lité, du combattant, qui, dans l’ardeur de la lutte, 3C 50 060 ne
sent
pas la blessure qu’il reçoit, du martyr qui souri
t-on établir cet aphorisme : Toute personne peut être magnétisée et
sentir
les bienfaisants effets d’une magnétisation intel
lité et confiance d’un magnétiseur, que, si l’on réfléchissait, on se
sentirait
disposé à abandonner la pratique du magnétisme, s
rer, que de souffrances è soulager ! Combien il est dur et pénible de
sentir
eu sa possession tant do pouvoir et de volonté po
cédant en vrai médecin, il n’a pas craint d’en attester la vérité. Il
sentit
en philosophe l’importance du sujet par rapport a
je sortis de mon état (extatique). — A ce moment, je fus étonné de me
sentir
mouillé (par la pluie), el de trouver le papier s
’eut bue? Son âme fut troublée par l'intelligence; c’esi-à-dire qu’il
sentit
en lui-même une effluve de pensées nouvelles, un
emplir d’amertume. « La santé, Messieurs, dispose lame de l’homme à
sentir
son créateur; elle fait que le corps est toujours
ur ses connaissances et son dévouement les plus belles espérances. On
sentait
que c’était moins la récompense de travaux achevé
nd : c’est moi senl qo'il entend ; II enlr’ouvre son cœur quand il me
sent
paraître ; Je parle dans la voix dont s'inspire l
avait mise dans les sienhés, dans le cas où elle sotif-frirait, elle
sentit
une pression légère, mais distincte. Soutent, qua
, M. deRovère soumit à son somnambule un vase rempli d’eau : celui-ci
sentit
bientôt comme un gaz vaporeux s’en échapper, et n
èdent aussitôt. D’abord ce sont chez lui de légères contractions ; il
sent
que les corps soumis à sa sensibilité contiennent
s corps soumis à sa sensibilité contiennent de l’humidité, mais il ne
sent
pas là la présence du fluide à l’état suffisant.
insister sur l’importance de ce fait; ses conséquences sont trop bien
senties
; mais nous devons parler du dévouement avec leque
e, voyant cela, s’imagina que si je reculais, c’était parce que je me
sentais
coupable : c’est alors que je me rendis au parque
achant que de semblables accidents n’avaient rien d’inquiétant, et je
sentais
s’échapper de tous mes pores comme des bouffées d
ces, de ressources de toute nature; et, avec leur concours, nous nous
sentirons
assez forts pour poursuivre, par toutes voies lég
tes de Ponsignon , et deux fois il la saisit et la ramena à lui. Elle
sentait
une oppression pénible, et ses membres étaient ro
qui est occulte peut être découvert. L’être endormi voit souvent sans
sentir
; el, lorsqu’il ne se réveille point, il a le souv
et les pensées. Quelquefois même, avant la perpétration du crime, il
sent
l’idée, et son âme, avertie, peut produire le rév
naître, dans les sciences naturelles, c’est voir, toucher, percevoir,
sentir
; les théories ne sont que des collections de fait
ue l’esprit peut saisir entre elles; la vérité, c’est tout ce qui est
senti
, perçu, tout ce qui est observé, tout ce qui est
ant à pou près, sans exception, en activité dans l’état de rêve; nous
sentons
, nous pensons, nous voulons; mais il nous manque
mnambule n’aura aucun souvenir de lui-même, aucune idée de ce qu’il a
senti
, pensé, fait ou dit dans l’autre vie, pas plus qu
; elle lui prescrit, dans les premiers temps, de se lever, dès qu'il
sentira
le besoin d'uriner, et de vider sa vessie séance
as actuel, j'ai procédé comme il suit : « Tu m'entends bien, quand tu
sentiras
le besoin de faire pipi, tu appelleras ta maman.
on de la crise, je faisais la suggestion suivante : « Dorénavant vous
sentirez
toujours les crises venir, quelque chose vous en
urs les crises venir, quelque chose vous en avertira : et, quand vous
sentirez
ainsi que vous êtes menacé d'une crise, vous
e sur la mentalité' du malade, car après avoir été opéré, après avoir
senti
la douleur, il s'étonne qu'on ait pu lui persuade
ite le malade en lui soufflant sur le visage : il n'a absolument rien
senti
et n'a aucune hémorragie. J'ai eu l'impression qu
ne lueur d'espoir. » Le 8 mars à midi : « Le mieux qui s'est fait
sentir
hier, semble vouloir continuer. Mon réveil et ma
Paris, dans le but de pratiquer la psychothérapie pour laquelle il se
sentait
, à la fois, une vive passion et des aptitudes rée
série des examens de droit jusqu'au doctorat inclus.. » Je dis tout
sent
, car, à cette époque, Nancy n'avait pas encore de
peut seule m'émouvoir. Ce n'est plus qu'en saignant que mon cœur se
sent
vivre, Ma force est dans mon désespoir. L'Hom
'on saigne. « Qu'on ait aimé,pleuré, désespéré... « On ne doit se
sentir
un dieu que sur la croix. Xous nous efforcerons
ont les échos ne sont point éteints encore et au-dessus desquelles on
sentait
planer, je ne sais quel mystère dans le prétoiri:
Je crois que nous avons plus d'idées que de mots : combien de choses
senties
et qni ne sont pas nommées. (2) Comment, ces in
étrique et l'esprit de finesse parvinssent à fonctionner d'accord. 11
sentait
que la tendance vers la synthèse est l'aptitude m
son attention volontaire et de son application. Enfin, un jour, il se
sentit
capable de reprendre son travail habituel. L'ac
ité, ou un accident bénin ayant occasionné une grande frayeur, ils se
sentaient
notablement diminués dans leur valeur professionn
us éprouverons, si cette impression du beau est si vive « que nons en
sentons
des frissons dans le dos ». 2) D'après Mosso et
des personnes bien élevées. Voilà la théorie que l'on affirme être la
sente
rationnelle. J'avouerai que cette affirmation n
douleur, qu'une vésicule a dû se former et se rompre, puisqu'elle se
sent
mouillée à un endroit qu'elle désigne et qui se t
issa indifférente ; je pinçai rudement: à ma grande surprise, elle ne
sent
.t rien. L'occasion me parut favorable, et je pria
en de commencer. Je demandai plus tard à la jeune fille si elle avait
senti
quelque chose « Xon, dit-elle, je ne sais ce qui
ins une heure à l'avance. Son but, comme il le déclare, était « de se
sentir
dormir. » Dans les états hypnoïdes non patholog
argument contre ma thèse. Toute modification apportée à la manière de
sentir
de la muqueuse gastrique, soit à l'aide d'une dem
les sens ne sont point encore assoupis: l'oreille entend, les membres
sentent
ce qui est en contact avec eux, l'odorat perçoit
ue pour les nerfs et on n'atache aucune importance à son dire. Elle
sent
bien que le docteur ne sait pratiquement rien de
l méprise, ne s'occupe plus des choses de ce monde, car le dormeur ne
sent
rien par les sens pendant le sommeil. Il a en s
pourrait bien être le prépuce du Seigneur. Et écoutez ! Bientôt elle
sentit
sur sa langue une petite pellicule comme la p
elle la ravala. Et cela lui arriva bien cent fois. Et, comme elle la
sentit
si souvent, elle fut tentée de la toucher du doig
produite par la dégustation de cette pellicule fut si grande qu'elle
sentit
une douce transformation (immutalionein dans tous
lèvres les autels, où l'on avait célébré le même jour la messe. Elle
sentait
alors un parfum semblable à un doux encens, mais
le vit en esprit une main droite perforée d'une plaie oblongue ; elle
sentit
que le Seigneur était proche •d'elle, mais elle n
uve, vient se plaindre à moi que. depuis deux mois, elle dort mal, se
sent
déprimée,et est toujours poursuivie par le presse
une journée entière sans interrompre, cela nous amène à penser qu'il
sent
bien qu'il ne dit pas les choses essentielles, pr
ions qui le tourmentent le plus. Et ces dernières ne sont souvent que
senties
par le malade, et ne sont pas nettement formulées
sa famille. Incapable de commander à son personnel parce qu'il ne se
sentait
pas sur de lui, il s'accablait de reproches de se
vel accès ; mais ses discours .étaient bizarres, comme inachevés ; ou
sentait
qu'il y manquait quelque chose. Un jour je dis au
rapport causal ne lui a jamais apparu clairement : il n'a fait que le
sentir
vaguement. En possession de ces renseignements,
se fier a son instinct pour retrouver un puits, que de le diriger. Il
sent
également de très loin la présence d'un cadav
u globe terrestre que de se servir de ce moyen. Sur cette sphère on
sent
encore d'autres reliefs qui sont ou perpendiculai
▲