uelle centrale. -Le but de l'épreuve précédente est de mesu- rér la
sensibilité
de la^rétine pour les formes, l'acuité rétinienne
bilité de la^rétine pour les formes, l'acuité rétinienne. Or, cette
sensibilité
rétinienne ne peut être prise exactement si, entr
dans un oeil sain, porter un jugement approximatif sur le degré de
sensibilité
rétinienne. On recherche si la diminution de l'ac
rres et du trou sténopéique, on peut toujours parvenir h mesurer la
sensibilité
rétinienne centrale, et EXPLORATION DU NERF OPT
tale de vision pour une couleur, reconnaître une diminution de la
sensibilité
rétinienne pour - les couleurs du spectre. Ces
RF OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 9 Vision centrale pour la lumière. La
sensibilité
.rétinienne à la lumière se détermine d'une façon
ité .rétinienne à la lumière se détermine d'une façon analogue à la
sensibilité
pour les couleurs. , On emploie comme index des
eur), destiné à recevoir les objets servant à l'exploration de la
sensibilité
rétinienne. , En E se trouve une seconde colonn
se pas inaperçue. EXPLORATION DU NERF OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 13
Sensibilité
de la rétine périphérique pour les formes. (Acu
rique, comme la macula, peut subir des altérations . portant sur sa
sensibilité
aux formes, aux couleurs, à la lumière. La meil
, aux couleurs, à la lumière. La meilleure méthode pour explorer la
sensibilité
aux formes de la rétine périphérique, serait d'
qui permet de mesurer avec assez de précision les diminu- tions de
sensibilité
rétinienne périphérique. On procède exactement de
s scolomes absolus les grands index eux-mêmes ne sont pas perçus.
Sensibilité
de la rétine périphérique pour les couleurs. La
VEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. 11 importe donc de pouvoir explorer la
sensibilité
de la rétine péri- phérique aux couleurs, de «
n peut, ici, comme pour le blanc, modifier la grandeur des index.
Sensibilité
rétinienne périphérique à la lumière. Cette exp
, EXPLORATION DE LA CONJONCTIVE ET DE LA CORNÉE Pour explorer la
sensibilité
de la conjonctive et de la cornée, on se sert d
ersécré- tion lacrymale. Quand on veut mesurer méticuleusement la
sensibilité
cornéenne, on peut utiliser une série de cheveu
X DE L'APPAREIL OCULAIRE. . V ' .. EXPLORATION DES PAUPIÈRES La
sensibilité
des paupières au contact, à la douleur, à la temp
cle ciliaire. Ils peuvent exister avec une intégrité parfaite de la
sensibilité
rétinienne.. ' 2° Troubles ,isuelsJ6sultant d'u
ère. Ce fait semble contra- dictoire. Ce n'est qu'une apparence. La
sensibilité
rétinienne est, en effet, dissociable. Une alté
pour les formes peut exister en même temps qu'une exagération de la
sensibilité
à la lumière. Stigmates oculaires de l'hystérie
concentrique est le plus habituel des (roubles hysté- riques de la
sensibilité
rétinienne, mais on peut, exceptionnellement, c
ues, asynergie céré- belleuse) et des troubles très marqués de la
sensibilité
(fourmillements, anesthésie cutanée, anesthésie
phtalmique). t\EST11ÉSIE DE L'OEIL. Le globe oculaire possède une
sensibilité
particulière li pression qu'il peut perdre dans
nt, par anesthésie de l'oeil, on entend, en général, la perte de la
sensibilité
au contact dans les portions explorables du globe
ù la modération des symptômes n;aeliom1l'k C'est sur l'examen de la
sensibilité
cor- neenne qu'il faudra, dans tous les cas, ét
épreuves de l'ouïe, l'acoumétrie, etc. Rappelons seulement que la
sensibilité
acoustique peut être augmentée (hyperacousic),
douloureuses diverses, céphalée) et d'anesthésie (diminution de la
sensibilité
du conduit et du pourtour de l'oreille) dans les
ussi présentent- elles une double innervation, le trijumeau pour la
sensibilité
générale, l'olfactif pour la sensibilité généra
tion, le trijumeau pour la sensibilité générale, l'olfactif pour la
sensibilité
générale. .. Nous ne croyons pas devoir entrer
perversion, parosmie. 1° Hyperosmie. - C'est Une exagération de la
sensibilité
qui permet la perception d'odeurs qui, d'habitu
même indemnes de toute incoor- dination : quant aux troubles de la
sensibilité
profonde, ils jouent sans doute dans la product
aractérisé par sa profondeur et sa persistance. La connaissance, la
sensibilité
, le mouve- ment sont abolis ou tout au moins pr
ue les signes de Mendel ou d'0111unlleim. Les différents modes de
sensibilité
sont il peu près complètement abolis : fréquemm
rofonds ou carus, il y a suppres- sion totale des réflexes et de la
sensibilité
. Parfois enfin, des alternatives de torpeur et
'Apraxie, il est donc inutile d'y revenir ici. ' IX. Examen de la
sensibilité
. Sensihilité à la douleur; sen- sibilité tactil
ues en trois groupes en rapport avec l'intelligence, la volonté, la
sensibilité
morale. Cette division est tout, à fait théoriq
les idées hypochondriaques sont en rapport avec des troubles de la
sensibilité
. f Les persécuteurs raisonnants ont parfois des
olique, les idées de damnation et de possession, les troubles de la
sensibilité
, l'anxiété mélancolique, la folie d'opposition,
Chez les alcooliques, elles ont aussi pour cause les (roubles de la
sensibilité
générale. Les idées d'énormité. - Ces idées ont
et un acte qu'il sait dangereux pour lui-même ou pour ses intérêts.
Sensibilité
. L'examen de la sensibilité chez les idiots doit
eux pour lui-même ou pour ses intérêts. Sensibilité. L'examen de la
sensibilité
chez les idiots doit porter IDIOTIES. M7 7 su
la sensibilité chez les idiots doit porter IDIOTIES. M7 7 sur la
sensibilité
générale et sur la sensibilité spéciale. Les idio
doit porter IDIOTIES. M7 7 sur la sensibilité générale et sur la
sensibilité
spéciale. Les idiots sont indifférents à tous l
ilité spéciale. Les idiots sont indifférents à tous les modes de la
sensibilité
quand l'idiotie est coll- ptete;silona afïairea
tie est coll- ptete;silona afïaireadesidiotsde moindre degré, cette
sensibilité
peut arrivera être plus éveillée et même elle p
elle peut être tout à fait normale chez les enfants arriérés. Les
sensibilités
spéciales sont également altérées. La vue est con
rche, la préhension, la parole, l'attention sont nulles; toutes les
sensibilités
spéciales sont t absentes; il y a indifférence
lose pulmo- ¡¡au'c. - Pn,\l' : Q1P. veunoi.. 18 . [CROÛZ03P.]
SENSIBILITÉ
par le D' Gustave ROUSSY Chef des Travaux pra
qui nous sont transmises par l'intermédiaire du système nerveux. La
sensibilité
est donc une des fonc- tions primordiales de ce
e l'affection en cause. L'importance séméiologique de l'étude de la
sensibilité
, comme méthode d'investigation clinique, se con
ments pronostiques et thérapeutiques. L'importance de l'étude de la
sensibilité
pour le neurologisteest, par conséquent, d'ordr
fois diagnostique, pronostique et séméio- logique. L'étude de la
sensibilité
comprend celle de la sensibilité géné- rale et
t séméio- logique. L'étude de la sensibilité comprend celle de la
sensibilité
géné- rale et celle de la sensibilité spéciale;
sibilité comprend celle de la sensibilité géné- rale et celle de la
sensibilité
spéciale; cette dernière est fonction d'appa- r
ours de cet article, nous ne nous occuperons que des troubles de la
sensibilité
, générale, et nous renvoyons pour ce qui concerne
tionnellement jusqu'ici par tous les cliniciens, nous étudierons la
sensibilité
tactile comme une modalité de la sensibi- lité
ale, bien qu'elle soit considérée par les physiologistes connue une
sensibilité
spéciale (sens du tact) et assimilée de ce l'ait
éciale (sens du tact) et assimilée de ce l'ait aux sens spéciaux.
SENSIBILITÉ
GÉNÉRALE La sensibilité générale comprend la se
ssimilée de ce l'ait aux sens spéciaux. SENSIBILITÉ GÉNÉRALE La
sensibilité
générale comprend la sensibilité objective et la
péciaux. SENSIBILITÉ GÉNÉRALE La sensibilité générale comprend la
sensibilité
objective et la sensi- úilité subjective. ANA
compte; mais ils sont moins sûrs que ceux fournis par l'étude de la
sensibilité
objective. Bien plus encore, que dans le premier
on corticaux. ,10 Organes de réception. - En n'envisageant que la
sensibilité
gène- raie, on peut dire que c'est au niveau du
nt à elles seules font le nerf : nerf sensitif. IROVSSY.l 37C .
SENSIBILITÉ
. De là, les fibres nerveuses sensitives, pénétr
ésence : l'une unicisle (Knapp, Dejerine, Long), admettant, pour la
sensibilité
et la motricité, la même localisation corticale
u cortex chez l'homme (Krause, Mills, , . \ ' [ROUSSY.] ' : 178
SENSIBILITÉ
. Frazicr. Llowl et Cusbing), part l'élude cylol
érents a chacune de ces trois sensations; ces trois modalités de la
sensibilité
répondent-elles il l'existence d'appa- rcits de
pareils ou de conducteurs 'communs ? La préoccupation de diviser la
sensibilité
générale en un certain nombre de sensations spé
théories émises aujourd'hui en vue d'expliquer la conduction de la
sensibilité
. 1° Nature des excitants. - Les excitants sont
propre, autonome, ou n'est-elle qu'une modalité particulière de la
sensibilité
? Les deux opinions ont trouvé des défenseurs.
ux sensations doloriques. Les faits cliniques de dissociation de la
sensibilité
observés chez les malades (perte de la sensibil
ssociation de la sensibilité observés chez les malades (perte de la
sensibilité
douloureuse et thermique avec conservation du tac
es sen- sations douloureuses et thermiques, avec conservation de la
sensibilité
tactile, est venu confirmer cette opinion. Ces
ou expérimentaux viennent l'infirmer. Aussi voyons- [ROUSSY.] 280
SENSIBILITÉ
. nous les auteurs émettre les hypothèses les pl
inge) de Ferrier et Turner. de Mott, et l'absence de troubles de la
sensibilité
dans les af1('('- tions cérébelleuses (le faisc
e permettent pas d'accepter cette hypothèse. Edinger fait passer la
sensibilité
cutanée par la substance grise et par un faisce
les cordons postérieurs conduisent le sens musculaire seulement; la
sensibilité
cutanée suit la substance grise et les cordons
en est l'élément fonctionnel principal. Il n'y a , . TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
'OBJECTIVE..281, pas lieu d'admettre que les, s
tés à chacune de ces fonctions. Les divisions.et subdivisions de la
sensibilité
générale n'ont de raison d'être que dans l'observ
CHAPITRE I. z TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE L'élude de la
sensibilité
objective doit être divisée en deux parties : s
ude de la sensibilité objective doit être divisée en deux parties :
sensibilités
superficielles et sensibilités profondes. Les sen
doit être divisée en deux parties : sensibilités superficielles et
sensibilités
profondes. Les sensibilités superficielles comp
arties : sensibilités superficielles et sensibilités profondes. Les
sensibilités
superficielles comprennent : le tact, la douleu
erficielles comprennent : le tact, la douleur, la température et la
sensibilité
électrique cutanée. Les sensibilités profondes co
a douleur, la température et la sensibilité électrique cutanée. Les
sensibilités
profondes comprennent : la sensibilité articula
ité électrique cutanée. Les sensibilités profondes comprennent : la
sensibilité
articulaire, la 'sensibilité musculaire, celle de
' 1 ' . TECHNIQUE A SUIVRE POUR LA RECHERCHE DES TROUBLES . DE LA
SENSIBILITÉ
. - La recherche clinique des troubles de la se
. DE LA SENSIBILITÉ . - La recherche clinique des troubles de la
sensibilité
, si facile qu'elle puisse paraître de prime abo
ouvent nécessaires pour établir d'une façon com- plète l'état de la
sensibilité
d'un malade. Il faut également tenir compte de
des sensations perçues. On interroge alors les différents modes de
sensibilité
superficielle et profonde par des excitations a
éférable de se servir de schémas différents pour chaque modalité de
sensibilité
. 11 est boni, enfin, avant de noter les trouble
econde fois les - résultats obtenus par un premier examen. ' . I.
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES A) Sensibilité tactile. On la re
enus par un premier examen. ' . I. SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES A)
Sensibilité
tactile. On la recherche ordinairement en cli-
à ne pas déterminer une sensa- tion de pression ou de douleur. La
sensibilité
tactile peut être diminuée : hypoeslhésie, abolie
et prendre une moyenne. ' , Les régions pileuses sont douées d'une
sensibilité
tactile plus délicate que les régions glabres.
e du système pileux donne aux régions de la peau qu'elle occupe une
sensibilité
particulière, en dehors de la sensation que don
dehors de la sensation que donne le poil qnand on le touche. Cette
sensibilité
particu- lière des régions pileuses, qui diffèr
sensibilité particu- lière des régions pileuses, qui diffère de la
sensibilité
tactile ordinaire par son extrême finesse, a ét
u sous le nom de tricheslhésie (6 ? poil; v ? 91,e5, sensation). La
sensibilité
capillaire est celle que provoque l'attouchement
thesi- ques ou très hypoesthésiques. On admet généralement que la
sensibilité
tactile augmente de la racine des membres à leu
la valeur n'est avant tout que relative. Dans une exploration de
sensibilité
tactile, on doit rechercher, non seulement l'ex
ètre perçue par le malade. l;'est a toutes ces modifications de la
sensibilité
objective, et cela aussi bien pour la douleur-
resthésie. Nous les étudierons une fois pour toutes il propos de la
sensibilité
tactile. l Degré de la perception tactile. On l
anesthésie, hypo- ou hyperesthésie. On appelle seuil intensif de la
sensibilité
la limite au-dessous de laquelle les im- [.ROUS
diqué un procédé très simple pour révéler les troubles légers de la
sensibilité
chez les hémiplégiques, dans le cas où le côté
: 1. TIt ! ' Uril. 111e £ l. journ., 1894. y. 1. 1. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 38 ? portant sur la partie externe d
4° Cercles de sensations de Weber. On appelle seuil extensif de la
sensibilité
ou cercles de sensations de Weber la distance m
e grande importance en clinique; elle permet, dans les cas ou les
sensibilités
superficielles paraissent normales de prime abo
le -attouchement, de révéler des altéra- tions plus discrètes de la
sensibilité
cutanée, caracté- risées par un élargissement d
jg..2. Compas du t \'uher. 280 SENSIBILITE. 'J'BOUilLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 287 marqué. On a construit des appar
(riolucs (parestlrésies), que nous venons d'étudier il propos de la
sensibilité
au tact, s'appliquent également il la sensibilité
r il propos de la sensibilité au tact, s'appliquent également il la
sensibilité
douloureuse et thermique; nous nv reviendrons p
ensibilité douloureuse et thermique; nous nv reviendrons plus. 1)
Sensibilité
douloureuse. On étudie la sensibilité dou- lour
nous nv reviendrons plus. 1) Sensibilité douloureuse. On étudie la
sensibilité
dou- loureuse au moyen d'une simple piqûre fait
il la production de la sensation. Nous en parlerons à propos de la
sensibilité
électrique. 11 existe enlin des appareils dits
ive parfois en clinique, dans la syringomyélie par exemple, (pie la
sensibilité
tactile reste intacte, tandis que les sensibili
exemple, (pie la sensibilité tactile reste intacte, tandis que les
sensibilités
douloureuses et thermiques sont fortement di- [
Y.] 288 SENSIBILITE,' minuées ou même abolies (dissociation de la
sensibilité
dite syringo- myélique). D'autres fois, au cour
la moelle ou de l'encéphale, c'est L'inverse que l'on observe : la
sensibilité
tactile seule est atteinte (hypoesthésie dans l
sthésie dans le tabes, dans certaines hémiplé- gies), alors que les
sensibilités
douloureuses ou thermiques ne sont que très lég
thésique pour le tact présente une exagé- ration très marquée de la
sensibilité
à la-douleur, c'est l'anesthésie Ir y- pe1'esth
plus ou moins sensibles à la douleur; nous verrons, à propos de la
sensibilité
électrique, les chiffres comparatifs qu'on a do
ctrique, les chiffres comparatifs qu'on a donnés à cet égard. 1. C)
Sensibilité
thermique. Elle se recherche au moyen d'une épr
pour la première fois chez un malade l'existence d'un trouble de la
sensibilité
thermique, de prendre des corps à des températu
ensation perçue. Les appareils construits pour la mensuration de la
sensibilité
ther- mique s'appellent tlze1'11w-estlu ! siomè
s (Nothnagel, Goldscleider- Eulenh urg). .. Comme pour les autres
sensibilités
superficielles, on peut observer, en clinique,
gération de la sensibi- lité thermique (theermo-hyperesllaésie). La
sensibilité
au chaud et au froid peut être atteinte simulta
oid; il les confond constamment l'une, avec l'autre. La perte de la
sensibilité
thermique peut coïncider dans les cas d'anesthé
rticale par exemple, avec la disparition des autres modalités de la
sensibilité
superficielle, mais TltOt.'l3Lla DE LA SENSIBIL
se réapparaissent les premières. Dans les cas de dissociation de la
sensibilité
, dite dissociation syringomyélique, coiiiine on
érature. Notlmagel, au moyen d'un appareil spécial, a montré que la
sensibilité
thermique était surtout exquise pour des tempér
gré de température perçues par la peau (d'après Nothnagel). ? .90
SENSIBILITÉ
. moyen d'étude^de la sensibilité douloureuse, e
peau (d'après Nothnagel). ? .90 SENSIBILITÉ. moyen d'étude^de la
sensibilité
douloureuse, et il serait à souhaiter qu'il fùt
mployé dans' les recherches cliniques/ Dans les cas d'analgésie, la
sensibilité
électrique indifférente persiste seule et l'aug-
ient dou- loureuse.. .. Voici quelques chiffres comparatifs de la
sensibilité
électrique cutanée des différentes régions du c
ssaire pour provoquer une sensation -i douloureuse. Tableau de la
sensibilité
électrique cutanée (d'après Bernhardt). 't'Ii
e parfois; il s'agit là, comme pour les teg-n- ments cutanés, d'une
sensibilité
« sui generis », dite électro-musculaire. En au
la participation des nerfs cutanés à l'excitation électrique. La
sensibilité
électro-musculaire peut être diminuée dans certai
d'autres fois elle peut être exaltée. Nous ne parlons pas ici de la
sensibilité
des muscles à la pression, constatée au moyen d
à celle du sens de la pression que nous étudierons plus loin. B)
Sensibilité
articulaire. Tous les organes, entrant dans la
on des articulations (ligaments, capsule, cartilage), sont doués de
sensibilité
; nous sommes ainsi renseignés sur l'étendue et le
actif, les autres perceptions de ce mouvement se déterminant par la
sensibilité
musculaire. Pour certains auteurs, la per- cept
n consciente d'un mouvement actif serait même entièrement due il la
sensibilité
articulaire. Il n'existe pas de moyen clinique
ulaire. Il n'existe pas de moyen clinique pour étudier isolément la
sensibilité
articulaire, indépendamment de la notion des al
des altitudes que nous retrou- verons avec le sens musculaire. C)
Sensibilité
des troubles nerveux. La pression des troncs ne
ensation devient nettement douloureuse. On recherche en pratique la
sensibilité
des troncs nerveux, de préférence dans les région
terne au .niveau de la tête du péroné, par exemple. '. Lorsque la
sensibilité
des nerfs est exagérée, on peut l'apprécier même
Î) peut être un des j'rcmiers syni- 1) ! ÙllIes de la maladie. D)
Sensibilité
à la pression. Baresthésie. - La pression des t
otion du sens de la pression iigurent des éléments [ROUSSY.] 2')2
SENSIBILITÉ
. 1 complexes, dans lesquels, à côté de la sensi
USSY.] 2')2 SENSIBILITÉ. 1 complexes, dans lesquels, à côté de la
sensibilité
musculaire et des tissus profonds, les auteurs
des tissus profonds, les auteurs classiques font jouer un rôle a la
sensibilité
cutanée. 11 est difficile, en effet, de limiter
imiter la part qui revient aux sensi- bilités superficielles et aux
sensibilités
profondes; c'est pourquoi, jus- qu'ici, les neu
pourquoi, jus- qu'ici, les neurologistcs confondent, en général, la
sensibilité
à la pression avec la sensation de contact et n
entrer ici dans quelques détails. Von Strumpell (') a montré que la
sensibilité
à la pression est indépen- dante de la sensibil
a montré que la sensibilité à la pression est indépen- dante de la
sensibilité
tactile et qu'elle constitue un mode spécial de l
e la sensibilité tactile et qu'elle constitue un mode spécial de la
sensibilité
générale tout à fait indépendant. 11 est arrivé à
, hémiplégiques, tabétiques, etc.) une disparition com- plète de la
sensibilité
il la pression, avec conservation parfaite de la
sibilité au contact. 11 s'agit donc là de deux formes distinctes de
sensibilité
qui peuvent être nettement dissociées en cliniq
tendons, aponévroses) et du périoste qui se chargent de ce rôle. La
sensibilité
à la pression, connue le sens musculaire et la
rôle. La sensibilité à la pression, connue le sens musculaire et la
sensibilité
vibratoire, est donc une modalité de la sensi-
placer, d'après Strumpell, une nouvelle forme de dissociation de la
sensibilité
, dite du « type des cordons postérieurs » : perte
sensibilité, dite du « type des cordons postérieurs » : perte de la
sensibilité
au tact, à la pression et au mouvement, avec cons
, avec conservation des sensations douloureuses et thermiques. La
sensibilité
à la pression est dite baresthésie (Marinesco) ;
on est dite baresthésie (Marinesco) ; comme les autres modalités de
sensibilité
, elle peut être diminuée, barhypoes- litésie; a
hésie ; ou exaltée, &et ? 7cr ? cc. Recherche. Pour explorer la
sensibilité
à la pression, on peut sim- plement comprimer a
(Deiilsche mes, Woclreusclr., 22 et 24 sept. 1JOz). TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 293 Lulenburg, le front, les lèvres,
SY.] Fig. 5. - Tabès. - Topographie radiculahe des troubles de la
sensibilité
à la pression (1). Fig. 4. - Tabes. Troubles de
e la sensibilité à la pression (1). Fig. 4. - Tabes. Troubles de la
sensibilité
. à la pression plus étendus. -294 SENSIBILIT
-294 SENSIBILITE'. sur 25) et coïncident en général avec ceux de la
sensibilité
vibratoire. Ils sont plus marqués à l'extrémité
le sous la forme E.1.lui plastron anesthésique. Ces roubles de la
sensibilité
à la pres- ,ion, associés à l'anesthésie vibra-
ister seuls ou associés à des altérations les autres formes de la
sensibilité
. Dans les paraplégies, la sensibi- ité à la p
pression peut être altérée m même temps que les autres ibrmes de
sensibilité
ou, au con- traire, l'anesthésie à la pression
ésie à la pression et m diapason peut exister seule, dors que les
sensibilités
superfi- cielles sont intactes. Dans hémiplég
fin [laits les cas d'anesthésie hysté- rique très prononcée. E)
Sensibilité
osseuse ou sensibilité vibratoire. Le périost
esthésie hysté- rique très prononcée. E) Sensibilité osseuse ou
sensibilité
vibratoire. Le périoste est doué d'une sensibil
ité osseuse ou sensibilité vibratoire. Le périoste est doué d'une
sensibilité
? xquise, facile à démontrer expéri- mentalemen
ent ou au cours d'opéra- tions chirurgicales. L'application de la
sensibilité
osseuse à la clinique est de notion récente (Eg
ster dans les cas d'anesthésie cutanée; elle est une modalité de la
sensibilité
profonde. D'après Dejerine et Egger, la vibra-
en un point quelconque du corps. Ce n'est donc pas, d'après eux, de
sensibilité
osseuse qu'il faut parler, . mais bien de sensi
après eux, de sensibilité osseuse qu'il faut parler, . mais bien de
sensibilité
[vibratoire ou palleslhésie (u.),),w, je vibre)
e sensibilité [vibratoire ou palleslhésie (u.),),w, je vibre). La
sensibilité
vibratoire peut-être diminuée, hypopalleslliésie;
nssr.l 1-'ig. Ij. - Diapason de Hydcl et Seiffei. Fit. 7. 296
SENSIBILITÉ
. Séméiologie. - Les altérations de la sensibili
. Fit. 7. 296 SENSIBILITÉ. Séméiologie. - Les altérations de la
sensibilité
osseuse ou vibratoire s'observent fréquemment e
t en clinique ; tantôt elles marchent de pair avec les troubles des
sensibilités
superficielles, tantôt elles se présentent chez
perficielles, tantôt elles se présentent chez des individus dont la
sensibilité
cutanée est normale. Habituellement l'anesthési
Les chiffres indiquent la durée de la perception. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 297 Les altérations de cette modalit
SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 297 Les altérations de cette modalité de la
sensibilité
se rencontrent dans les différentes affections
lmianestl : ésic profonde dans l'hémiplégie. A gauche, troubles de la
sensibilité
il la pression; il droite, troubles de la sensi
roubles de la sensibilité il la pression; il droite, troubles de la
sensibilité
vibratoire (Observ. persan., Bicètre, 1906). 9g
a sensibilité vibratoire (Observ. persan., Bicètre, 1906). 9g : 1 -
SENSIBILITÉ
secondaire. Il ne s'agit donc nullement d'un se
e résistance, de force et de poids. Fig. 10. Tabes. Abolition de la
sensibilité
osseuse sur tout corps, sauf le crâne et la fac
e-six ans (d'après Dejerine). Fig. 11. - - Tabes. Abolition de la
sensibilité
osseuse dans les os du .membre, inférieur, . le
ompression, médullaire (d'après Rydel et Seiffer). 'TROUBLES DE LA,
SENSIBILITÉ
'OBJECTIVE. 299. 1 La notion de position ou sen
xercer de chaque côté la même pres- sion. . -. [ROUSSI'.] 500 '
SENSIBILITÉ
. On a construit des appareils pour mesurer l'am
squ'on est en présence de malades présentant de gros troubles de la
sensibilité
profonde. La perte de la notion de poids se r
er ici. Signalons simplement les rapports intimes de TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. Ô01 l'ataxie avec les troubles de la
S DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. Ô01 l'ataxie avec les troubles de la
sensibilité
profonde et en particulier du sens musculaire;
justilie l'opinion qui fait dépendre l'ataxie, des altérations des
sensibilités
profondes, dans les affections nerveuses péri-
ie. La perte du sens musculaire accompagne en clinique la perte des
sensibilités
profondes (articulaires, musculaires, dépression,
t sur les rapports qu'affecte ce trouble avec les altérations de la
sensibilité
périphérique superficielle ou profonde. On cons
s haut l'article spécial de M. Moutier, page 226. IROUSSV] ] ;¡02
SENSIBILITÉ
. \ - appareils sensoriels que nous possédons; i
le trouble de ce processus constitue l'asymbolie. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 505 de localisation des lésions céré
e la forme (stéréoagnosie), présenterait des troubles plus nets des
sensibilités
périphériques et serait atteint d'une lésion so
nfectieuses ou toxiques, enfin dans Y hystérie. - (ROUSSY.] 504
SENSIBILITÉ
. TOPOGRAPHIE DES TROUBLES OBJECTIFS DE LA SENSI
OUSSY.] 504 SENSIBILITÉ. TOPOGRAPHIE DES TROUBLES OBJECTIFS DE LA
SENSIBILITÉ
Les troubles objectifs de la sensibilité généra
S TROUBLES OBJECTIFS DE LA SENSIBILITÉ Les troubles objectifs de la
sensibilité
générale, superficielle ou pro- fonde, obéissen
du svstème nerveux. . ÉTUDE SÉMÉIOLOGIQUE T DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
DANS LES AFFECTIONS . DU SYSTÈME NERVEUX En s
de ce système. Nous aurons donc il décrire : 5° les troubles de la
sensibilité
dans les névroses. Nous terminerons enfin par que
. Nous terminerons enfin par quel- ques mots sur les troubles de la
sensibilité
dans les psychoses. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ
r les troubles de la sensibilité dans les psychoses. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. ;;0 : . t 1. TROUBLES DE LA SENSIBIL
TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;;0 : . t 1. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
DANS LES AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE HÉMIANESTH
AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE HÉMIANESTHÉSIE CÉRÉBRALE La perte de la
sensibilité
occupant la moitié du corps dans sa totalité, e
troubles moteurs qui Pratique veuuoi,. 20 , [ROUSSY] 1 506 ' .
SENSIBILITÉ
. rétrocèdent rapidement : hémianesthésie thalam
les régions les moins atteintes qui recupèrent les pre- mières leur
sensibilité
; la marche vers la guérison se fait ici de la ra
, elle ne comprend que des altérations de certaines modalités des
sensibilités
superfi- cielles ou profondes. Elle peut être
tielle, et revêtir, comme l'hémiplégie, la forme monoplébique. La
sensibilité
peut être touchée dans ses différentes modalités
ouchée dans ses différentes modalités : tact, douleur, température,
sensibilité
profonde (sens musculaire, sens sté- réognostiq
n, des paresthésics, de la [ROUSSI'.] ] Fig. 14. - Troubles de la
sensibilité
osseuse dans le cas précédent. 308 .' i. SENS
upprimé. » Lorsque l'hémianesthésie intéresse, en même temps que la
sensibilité
générale, les sens spéciaux, on dit qu'il y a h
tié du champ visuel binoculaire. du même côté que 1w TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 3t)i' celui de l'hémiplégie et de l'
dant laquelle son état d'obnubilation cérébrale rend l'examen de la
sensibilité
très difficile. S'il est, en effet, possible d'ap
n impossible de noter chez lui la présence de troubles légers de la
sensibilité
superficielle; il est enfin impossible d'examiner
otions actuellement admises sur le trajet des voies centrales de la
sensibilité
, il est logique de se demander si le siège de l
nopsie homonyme latérale (perte de la moitié [ROUSSY.] ] : 'il ()
SENSIBILITÉ
. du champ visuel, des deux yeux du côté opposé
de la capsule interne, en un point où les fibres de conduction des
sensibilités
générale et spéciale sont mélangées entre elles,
ont dus à la participation de la couche optique. l.e TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 5 H thalamus représente, en effet, l
la couche optique droite. (Cas Hudry. Thèse Roussy, 1907.) 512 2
SENSIBILITÉ
. nous échappe encore, car les connexions des vo
les hémianesthésies. corticales : habituellement les troubles de la
sensibilité
superficielle sont peu prononcés; on note de l'
, mais plus rare- ment, il existe de l'anesthésie com- plète. Les
sensibilités
profondes, par contre, sont plus atteintes que
s sensibilités profondes, par contre, sont plus atteintes que les
sensibilités
superficielles; le sens musculaire et le sens s
Cas Roy ? Roussy, Revue neurologique, n° 6, IG09). TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVÉ. 515 médian et du pulvinar, ainsi que
ersistante, à caractère orga- nique, plus ou moins marquée pour les
sensibilités
superficielles (tact. douleur, température) , m
thalamique inférieure et montre en ? ? / le foyer hémorragique. 514
SENSIBILITÉ
. mitants les différents signes du syndrome thal
umeau) ainsi que sur le tronc el les membres du côte TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. ;; 1 : . 1 opposé. Habituellement le
gésie et thermo-anestbésie du côté opposé (Oppenheim). alors que la
sensibilité
tactile et le sens musculaire sont intacts de ce
localiser dans des faisceaux distincts du bulbe la transmission des
sensibilités
douloureuses et thermiques d'une part, de la sens
ssion des sensibilités douloureuses et thermiques d'une part, de la
sensibilité
tactile et du sens musculaire d'autre part. r
oisée (voir article SY : 'i(})\(HOE bulbaire). Il. - TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
DANS LES AFFECTIONS MÉDULLAIRES f' Dans les m
ÉDULLAIRES f' Dans les myélopathies, les troubles objectifs de la
sensibilité
peuvent 1 revêtir différentes distributions top
troubles intéressent il la fois ou séparé- ment les divers modes de
sensibilité
superficielle ou profonde, et peu- vent présent
nographie de la Salpélrièrc, Il'' n. I ! 10` ? . [R 0 US SY. j HO
SENSIBILITÉ
. I" Hémianesthésie spinale. Causes. Elle est
côté de la lésion : .' a) de l'hyperesthésie pour tous les modes de
sensibilité
superficielle; b) une zone d'anesthésie étroite
orrespondant aux parties paralysées de l'autre côté; TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE.. 517 b) de l'intégrité des sensibili
TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE.. 517 b) de l'intégrité des
sensibilités
profondes (sens musculaire, sensi- bilité ossen
quée à la température (Cas Jouss..., Bicêtre, 1898). TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 519 lancinent dans les deux membres
ifs à topographie radiculaire. Cette disposition des troubles de la
sensibilité
est réalisée dans les affections médullaires li
chéma, d'après Soulié. . (Territoire des nerfs). - TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 531 sensitifs, établie par les anato
, de Starr, etc., emprunté à Soulié (Territoire des racines). 522
SENSIBILITÉ
. Il faut savoir également que chaque territoire
r aux troubles des sensi- bilités profondes, et en particulier à la
sensibilité
osseuse, au sens sté- réognostiquc et au sens m
u cha- pitre suivant, la topographie radiculaire des troubles de la
sensibilité
se Fig. 22. Distribution des libres sensitives
tives des nerfs thoraciques. (D'après Sltcrrington.) TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 525 rencontre dans les affections de
ulaire des nerfs rachidiens, d'après Kochcr. Face antérieure. 524
SENSIBILITÉ
. enfin, on a signalé la présence de la topograp
nerfs rachidiens, d'après Kodwr. Face postérieure. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 525 riciirc de l'anesthésie prend un
dc topographie radiculaire, face antérieure, d'après Scitlcrl. 52G
SENSIBILITÉ
. du siège de la lésion médullaire; clic sera fr
diculaire, face postérieure, d'après Scilfert. 1 1 , TROUBLÉS DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 527 il devra-.^opérer dans les inter
sensations, qui peuvent intéresser séparément ou simultanément les
sensibilités
superficielles et profondes. On retrouve donc ici
abolition complète, mais d'une diminution plus ou moins grande des
sensibilités
douloureuses, tactiles, etc. Fréquemment aussi, o
] Fig. 28 et 29. Tabès. Topographie radiculaire îles troubles de la
sensibilité
tactile, douloureuse, thermique et osseuse chez
e, qui n'est pas en rapport avec l'inten- sité de la piqûre.. Les
sensibilités
profondes sont fréquemment touchées, et leurs tro
ées, et leurs trou- bles ne coïncident pas toujours avec ceux de la
sensibilité
superficielle. La perte du sens musculaire, du
icielle. La perte du sens musculaire, du sens stéréognostique., des
sensibilités
osseuses et articulaires peuvent se rencontrer
ncés Fig. 50. Anesthésie tactile, douloureuse et dissociation de la
sensibilité
thermique à topographie radiculaire (Cv CVI1) c
ique âgé de 51 ans. (Cas 'liait..., Bicêtre, 1900). Troubles delà
sensibilité
objective..551 (perte du,sens musculaire et du
n de la douleur et de la température, avec intégrité habituelle des
sensibilités
profondes). Il est en effet tout à fait excepti
nel de noter dans le tabes de la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. Un signe fréquent, qui peut également servir pou
ritoire distinctif de l'in- Fig. 52. Topographie des troubles de la
sensibilité
thermique (dissociation) chez le malade précéde
ermique (dissociation) chez le malade précédent. " TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 335 nervation cutanée de chaque raci
ar rapport aux troubles moteurs. Les modalités d'altération de la
sensibilité
présentent des caractères particuliers. On note
ou relative de la perception tactile : c'est la dissociation de la
sensibilité
dite dissociation syringomyélique, presque path
(Anesthésie, en grisé foncé; hypoesthésie, en grisé clair). 554.
SENSIBILITÉ
.. - .... plus rarement, dans d'autres affection
ans la substance grise de la moelle. L'existence de ces troubles de
sensibilité
du v< type spinal », au cours des affections
lques mots ce qu'on doit entendre par topographie métamériqÙe de la
sensibilité
, tout en faisant remarquer qu'il s'agit là d'une
r J. LnEMUTTE, Semaine niécl., 1G juin 1909, p. 277. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 555 en entier est représenté par les
, 2, 5, centres métamériques du membre supérieur; z, ? s", zones de
sensibilité
circulaire du membre supérieur correspondant aux
ond à un métamère primitif). 550 SENSIBILITE. III. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
DANS LES AFFECTIONS DES RACINES RACHIDIENNES
aison ou en dehors du rachis, déter- minent des modifications de la
sensibilité
périphérique dont la distribu- tion revêt le ty
les lésions radiculaires sont variables; ils peuvent intéresser les
sensibilités
superficielles et les sensibilités pro- fondes;
bles; ils peuvent intéresser les sensibilités superficielles et les
sensibilités
pro- fondes; on observe tantôt de l'anesthésie
es compressions et peuvent disparaître avec elles. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 557 Les lésions radiculaires peuvent
6e, 7e, 8e cerv. ; 1''e dors.). La face interne du bras conservé sa
sensibilité
normale ,(2`' et 5e dors.). Les troubles moteur
nue), on est moins avancé pour les autres racines du TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 559 plexus (L,, et L : ¡, S,, S2) do
ées et lom- baires inférieures. Dans ce syndrome les troubles de la
sensibilité
, et en particulier ceux de la sensibilité objec
ndrome les troubles de la sensibilité, et en particulier ceux de la
sensibilité
objective, prennent une part importante et sont
ine de 1'5 elS¡). (Cas Desho..., Bicêtre, 1905). ' 'TROUBLES DE LA.
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 541 scrotum ou des grandes lèvres, e
ine de L5' Si' S2, S5, S4, SS' (Cas Ros.... Bicêtre, 1906). · 512
SENSIBILITÉ
. gion du tendon d Achille. la plante du pied (S
occuper dans ce chapitre où nous envisageons la sé- méiotogie de la
sensibilité
. Mais il faut remarquer qu'en clinique les para-
lirmvn-véyl;lrcl), l'absence habituelle de la dis- sociation de la
sensibilité
plaident en faveur d'une lésion radiculaire; la
eur d'une lésion radiculaire; la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
, en faveur d'une lésion mé- clull,iire; les dou
o-névralbies), et leur présence au cours d'une para- TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 545 lysie seusitivo-motrice à type r
iculaires bilatérales, et que la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
peut s'observer quelquefois dans les lésions de
ologie sur les radiculites. Thèse de Paris, ]t)08. - TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 345 oreillons, l'érysipèle. On a déc
es phé- nomènes subjectifs (douleurs), des troubles objectifs de-la
sensibilité
à topographie radiculaire. Leur étude est impor
a de bons résultats. Fig. a7 et 57 bis. Sciatique. Troubles de la
sensibilité
, à topographie radiculaire, dans le domaine de
TROUBLES DE LA .SENSIBILITÉ OBJECTIVE : ' 547 IV. - TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
DANS LES LÉSIONS DES NERFS PÉRIPHÉRIQUES Caus
s mixtes ou sur les nerfs sensitifs; déterminent des troubles de la
sensibilité
dans le territoire d'in- nervation de ces nerfs
s. Caractères. Ces troubles consistent en des altérations de la
sensibilité
des plus diverses. On peut noter de l'anesthési
ète ou incomplète, de l'hy- peresthésie, de la dissociation de la
sensibilité
(anesthésie au tact ou à la douleur, conservati
s de paresthésie. Les sensibi- lités profondes : sens musculaire,
sensibilité
osseuse, sens stéréo- gnostique enfin peuvent ê
un membre ou un segment de membre. On observe alors des troubles de
sensibilité
à topo- graphie monoplégique, paraplégique, ou
hypoesthésie à la piqûre. (Cas Hub..., Bicêtre, 1906). M8 ' , : 0
SENSIBILITÉ
.. " ? ' - ' 1 Topographie périphérique. En se r
ar leurs branches collatérales, soit par leurs branches terminales (
sensibilité
récurrente) , les territoires d'innervation cut
tal de l'avant- bras (Cas Jabr..., Bicctre, 1905). TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 549 La topographie sensitive netteme
érie à la racine des mem- hres.[Cas(;an...,Bice(re,1886). 550 ' "
SENSIBILITÉ
.. .. troubles sensitifs dans les affections cen
itifs dans les affections centrales. Enfin, les modifications de la
sensibilité
peuvent exister seules (névrites sensitives pures
aire des troubles sensitifs. (Cas Bicêtre, '1897). TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 551 Dans la lèpre, on peut encore re
SSY.] Fig. 42 et 4. Gangrène sénile. Topographie des troubles de la
sensibilité
, au sixième jour (fig. 42), au onzième jour (fi
me cas, au seizicme jour. ,) : )t) SENSIBILITE. V. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
DANS LES NÉVROSES Les troubles de la sensibilit
V. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES NÉVROSES Les troubles de la
sensibilité
objective sont fréquents dans les névro- ses, p
association à l'hystérie. On peut enfin observer des troubles de la
sensibilité
, présentant les mêmes caractères que dans les n
téguments des corps chauds et des corps froids, tout TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 555 cela tantôt à gauche, tantôt à d
culiers que nous allons étudier. · Leurs caractères généraux. -La
sensibilité
objective peut être dimi- nuée ou abolie (anest
pervertie (paresthé- sie). Ces troubles intéressent aussi hien les
sensibilités
superficielles et profondes, qui sont prises sé
tère important : ils sont PitATIQUE 1ÕEUIlOI.. 25 (ROUSSY.] 554
SENSIBILITÉ
. - nettement influencés par la suggestion ou l'
la sensibi- lité tactile douloureuse, thermique. Perte complète des
sensibilités
profondes, chez un homme de 50 ans. (Cas Lamb..
quement par une ligne perpendiculaire à son grand axe; au-dessus la
sensibilité
redevient normale sans transition. Suivant sa d
rtie supérieure du corps. (Cas l'uuru..., l31ci'lrc, 1903). 556 .
SENSIBILITÉ
. ? ' , ; - Ces divisions sont en réalité schéma
e et les paresthésies sont assez fréquentes. Dans l'épilepsie, la
sensibilité
est fréquemment émoussée; on observe de l'anest
our dia- gnostiquer l'épilepsie de l'hystérie. Les troubles de la
sensibilité
sont également fréquents dans la forme de choré
avec quelle prudence et suivant quelles règles il doit examiner la
sensibilité
chez les névropathes, s'il ne veut point exagérer
à la lésion organique. Il devra connaître enfin les TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 557 signes cliniques particuliers au
nsité (qui n'est qu'apparente puisqu'on peut arriver à réveiller la
sensibilité
par un courant faradique fort, par exemple); allu
médecin doit se garder d'attirer t'attention sur les troubles de la
sensibilité
, chez un hystérique qui n'en accuse pas, il doi
e chose et combien ils sont facilement curables. VI. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
DANS LES PSYCHOSES P- Les modifications de la
S DE LA SENSIBILITÉ DANS LES PSYCHOSES P- Les modifications de la
sensibilité
objective sont très fréquentes chez les aliénés
vroses : confusion mentale, hypocondrie, etc. VII. - TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
VISCÉRALES La sensibilité des viscères peut êtr
hypocondrie, etc. VII. - TROUBLES DES SENSIBILITÉS VISCÉRALES La
sensibilité
des viscères peut être altérée au cours des malad
inuée ou abolie (anesthésie viscérale). Ces troubles TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 559 se rencontrent fréquemment dans
hose n'est pas possible, on peut, comme pour la vessie, explorer la
sensibilité
viscérale il la distension; souvent enfin on es
sensitive par les troubles de fonctionnement que présente organe.
Sensibilité
testiculaire (Pitres). L'analgésie testiculaire e
e tabcs; elle existe dans la moitié des cas. Dans l'autre moitié la
sensibilité
normale est le plus souvent diminuée (60 pour 1
'anesthésie des bourses et de la verge, et de l'anaphro- disie...
Sensibilité
vésicale. Les altérations de la sensibilité vésic
e l'anaphro- disie... Sensibilité vésicale. Les altérations de la
sensibilité
vésicule, fréquentes dans le tabès, se manifest
un;rru-omx.w;s). Dans ces cas, on note une diminution notable de la
sensibilité
vésicale à la distension; il faut injecter deux f
us de liquide qu'à l'étal normal pour provoquer le besoin d'uriner.
Sensibilité
mammaire. La sensation douloureuse particu- liè
chez la femme, disparait chez plus de la moitié des tabéliques. ,
Sensibilité
trachéale (Sicard). Le choc et la compression d
. Cette sensation pénible disparaît chez un tiers des tabéliques.
Sensibilité
gastrique. Les modifications de la sensibilité ga
rs des tabéliques. Sensibilité gastrique. Les modifications de la
sensibilité
gas- trique se manifestent par une anesthésie à
igestifs dans les mala- dies du système nerveux. [ROUSSY.] 51)0
SENSIBILITÉ
. LES HYPERESTHÉSIES CUTANÉES DANS LES AFFECTI
maxima douloureux que les zones érup- tives du zona; l'élude de la
sensibilité
dans cette dernière affection a donc pu servir
1. 1'oy. Guillain, Revue de méd., mai 1901, p. 429. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
OBJECTIVE. 561 cutanés sensitifs d'une région d
[ROUSSY] 5 : 02 - SENSIBILITE. CHAPITRE II - . TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUBJECTIVE Généralités.' Contrairement aux trou
NSIBILITÉ SUBJECTIVE Généralités.' Contrairement aux troubles de la
sensibilité
objec- tive qui sont éveillés par une excitatio
qui sont éveillés par une excitation extérieure, les troubles de la
sensibilité
subjective relèvent d'une excitation intérieure,
ur fréquence et par leurs caractères, les troubles subjectifs de la
sensibilité
tiennent une grande place en séméiologie nerveuse
expert saura déjouer par différents artifices. Les troubles de la
sensibilité
subjective comprennent : 1° les douleurs; 2° le
nnent : 1° les douleurs; 2° les dysesthésies; 5° les troubles de la
sensibilité
organique et les modifications des besoins orga
nc pas d'une façon exclusive à un type de maladie. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUBJECTIVE. M5 Par leur siège, les douleurs don
a céphalée peut s'observer soit il la période secon- TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUBJECTIVE. 5C7 claire, soit à la période terti
raître le plus souvent complètement dans la journée; b) une extrême
sensibilité
au traitement spécifique, surtout aux médicatio
s cris au malade et lui interdit tout sommeil. La [ROUSSY.] ] 5C8
SENSIBILITÉ
. céphalée, très prononcée dans la première péri
t toutes les semaines ou tous les mois, par inter- , TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUBJECTIVE. 569 valles à peu près réguliers; l'
la céphalalgie syphilitique, avec ses exacerbations nocturnes et sa
sensibilité
à Faction du traitement spécifique. La rachialgie
sthénie (plaque lombaire). I'naryu wnoi.. 24 i-fc [ROUSSY.] 570
SENSIBILITÉ
. Douleurs des membres. Au niveau des membres, l
nie, troubles psychiques, qu'elle précède souvent. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUBJECTIVE. 571 1 III. LES DOULEURS CHEZ LES HÉ
0ralll.iel supérieur de Raymond et Cestan. [ROUSSY.] 5 72 ` ? ' '
SENSIBILITÉ
. Caractères. Ces douleurs sont précoces dans le
ativement à la cause intime des douleurs centrales : TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUBJECTIVE. 575 4° les phénomènes douloureux so
nes génitaux de 1. liea. nrurol., n° J ? 190 ! 1. [ROUSSY.] 574
SENSIBILITÉ
. la femme (ovaire, utérus) ou de l'homme (testi
fait des confusions de mot avec les pares- thésies, troubles de la
sensibilité
objective, dont il a été question plus haut, pa
rable de réser- ver la dénomination de paresthésies aux troubles de
sensibilité
d'ordre objectif, et celle de dysesthesies à ce
seules ou s'accompagner de douleurs et de troubles objectifs de la
sensibilité
. Leur siège. Files sont tantôt localisées en un
latoires d'ordre local ou général : dyseslhésics des TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUBJECTIVE..575 membres dans la gangrène vascul
s, avec phénomènes dysesthésiques très marqués. Tas de troubles de la
sensibilité
pro- fonde. (Cas lioac..., Bicêtre, 1901.) '
e la sensibilité pro- fonde. (Cas lioac..., Bicêtre, 1901.) ' 570
SENSIBILITÉ
. , . premier symptôme en date.. Dans la suite,
sies, se joignent des phénomènes doulou- reux et des troubles de la
sensibilité
objective (hypoesthésie), qui revêtent une topo
nts, les douleurs et les troubles sensitifs objec- . TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUBJECTIVE. 577 tifs répondent, au niveau de la
z1. Revue neurologique, n° 8, 1906. [ROUSSY.] ''578 " "\.. , ; -
SENSIBILITÉ
.. ' -. ; -\ -" ? ? z gers, intermittents (amnés
affections du système nerveux, liées ou non à des altérations de la
sensibilité
objective profonde (sens musculaire, sensibi- l
ie) ou augmentée (poly-. dipsie). . Les sensations internes ou la
sensibilité
organique comprennent 1. Revue neurologique, n°
rps et des différentes parties qui le composent (cénesthésie). La
sensibilité
organique qui, a l'état normal, ne donne que des
aniques du système ner- veux s'accompagnant de troubles marqués des
sensibilités
subjectives superficielles et profondes. Dans l
de plaie des nerfs, sont accom- pagnées de troubles objectifs de la
sensibilité
et de troubles trophiques (causalgie de 1'cir-I
schéma anatomique qu'à 1 une réalité clinique. Les troubles de la
sensibilité
objective, observés dans les névralgies, sont t
ennes, de l'anesthésie. En réalité, je crois que les troubles de la
sensibilité
dépendent surtout de la cause des névralgies; il
, 1 etcrnuemcnt (Dejerine, Leenhardt et Norero). Les troubles de la
sensibilité
(hyperesthesics, anesthésies) pré- sentent la t
domaine des muscles innervés parle scia- tique. Les troubles de la
sensibilité
sont très variables : hyperesthesics. anesthési
es : hyperesthesics. anesthésies. La topographie des troubles de la
sensibilité
est importante à déterminer, on peut ainsi reco
t, outre les douleurs, de l'atrophie musculaire, des troubles de la
sensibilité
de la peau, le nerf serait parfois augmenté de
prennent fréquemment le caractère fulgurant, par des troubles de la
sensibilité
à topographie radiculaire. Les points douloureux
ndant les crises douloureuses. On ne constate pas de troubles de la
sensibilité
tactile et thermique. La pathogénie de la métat
raît pas dans l'hémiplégie, il faut tenir compte des troubles de la
sensibilité
de la plante du pied qui empêche l'excitation,
es centripètes, dans ce cas il y a en même temps des troubles de la
sensibilité
: telles sont les névrites périphériques, les c
éflexes tendineux. Dans l'hystérie, au contraire, alors même que la
sensibilité
a disparu, les réflexes cutanés persistent, mon
es, les réflexes cutanés peuvent être alors abolis, diminués, et la
sensibilité
cutanée reste intacte. NATURE ET LOCALISATION D
a examiner avec grand soin la sen- sibililé dans tous ses modes :
Sensibilité
cutanée. La sensibilité à la douleur est le mode
in la sen- sibililé dans tous ses modes : Sensibilité cutanée. La
sensibilité
à la douleur est le mode qui fournit les rensei
tion de la para- lysie, on recherche quelle est du côté paralysé la
sensibilité
à la piqûre, on constate ou bien que la piqûre
vec l'anestbesic vulgaire. * Quoi qu'il en soit, les troubles de la
sensibilité
à la piqûre ou au pin- cement, dans l'hémiplégi
'hémiplégie. Les troubles du sens musculaire sont, comme ceux de la
sensibilité
cutanée, plus marqués aux segments périphérique
ns lesquels l'écorce est intéressée sont surtout les troubles de la
sensibilité
superficielle ou profonde, la stéréo-agnosic, l
ements cluwéi- formes ou riralléatoires, ou bien des troubles de la
sensibilité
: douleurs, hémianesthésic, ou encore des troub
s souvent aussi il s'agit d'épilepsie. vulgaire. Les troubles (fêla
sensibilité
sont très rares. Les réflexes tendineux sont tr
r de ces constatations sera précisée par l'étude des troubles de la
sensibilité
; l'on notera, s'il y a lieu, l'existence d'une di
normaux ou abolis, ils sont rarement exagérés. ' Les troubles de la
sensibilité
sont essentiellement variables; on peut observe
ésie, dissociation syringomyélique, disso- ciation des troubles des
sensibilités
superficielle et profonde. Ces troubles présent
ies spasmodiques ne s'accompagnant d'absolument aucun trouble de la
sensibilité
. PARAPLÉGIE. 489 Les réflexes cutanés peuvent
re normaux ou abolis, ils sont rare- ment exagérés. Du côté de la
sensibilité
, des troubles essentiellement variables peuvent
est variable; ils sont en général plutôt diminués. Les troubles des
sensibilités
superficielles, de la notion de position des me
minale. Comme dans les paraplégies spasmodiques. les troubles de la
sensibilité
sont très variables et Van Gehuchten a pu dis-
is- tinguer des paraplégies flasques avec abolition des réflexes et
sensibilité
intacte des paraplégies flasques avec abolition
avec abolition des réflexes et dissocia- tion syringomyelique de la
sensibilité
enfin' des paraplégies flasques avec réflexes a
e d'anesthésie. Sur tout le membre d'ailleurs, il y a abolition des
sensibilités
musculaire et osseuse. On rencontre parfois de
t réaliser les troubles de la inutilité,- de la réflectivité, de la
sensibilité
; on comprendra de la sorte que toute classifica
On constate fréquem- ment la dissociation s ! Jril1gomyélique de la
sensibilité
, le syndrome de l3towtt.-Sequatcl. Dans ce grou
té. Et, d'une façon générale, la inutilité est plus atteinte que la
sensibilité
; les troubles sphinctériens sont inconstants.
e la sensibilité; les troubles sphinctériens sont inconstants. La
sensibilité
est atteinte de façon diverse. Ses altérations pr
omyelique. On peut même noter la dissociation caractéristique de la
sensibilité
. Le diagnostic entre les deux affections est al
ls et très tardifs en tout cas. Les troubles de PARAPLÉGIE. 4M la
sensibilité
sont absents ou de second plan. Des amyotrophies
u rapidement totale. Les troubles trophiques, les altérations de la
sensibilité
(anesthésie, dissociation s'I'IIrOrrIV'('111111C)
éfinitive. Il n'existe ni troubles des sphincters ni troubles de la
sensibilité
. Puis l'atrophie musculaire aidant, les membres a
e la cyphoscoliose, du varus équin, des altérations profondes de la
sensibilité
. N'ayons garde d'ouhlier enfin l'hypertrophie,
n constate des secousses fibrillaires. Il existe des troubles de la
sensibilité
, mais ce ne sont en général que des paresthésie
hologique, les modifications électriques. Enfin, les troubles de la
sensibilité
sont différents selon l'étiologie du syndrome. Da
ntelligence est souvent intacte. Il n'existe de troubles ni dans la
sensibilité
, ni dans le jeu des sphincters. Il n'y a pas d'ac
paraplégiques familiaux, il n'existe ni scoliose, ni troubles de la
sensibilité
, ni mouvements choréi- l'ormes. Le déficit inte
n'y a pas d'amyo- trophie en général, ni de troubles accusés de la
sensibilité
. La maladie peut persister indéfiniment, ou se
fications des réflexes tendineux ou cutanés, ni alté- rations de la
sensibilité
. L'évolution se fait en deux temps; il y a d'abor
e d'un segment central ou périphérique. L'absence de troubles de la
sensibilité
est également favo- rable en ce quelle indique
ions éventuelles des vertèbres, la déviation du rachis, parfois une
sensibilité
étroitement localisée permettront de reconnaîtr
ar l'intégrité des sciatiques, et par suite de la motilité et de la
sensibilité
des membres inférieurs, ainsi que par la conser
de sciatique simple, unilatérale ou double. Mais les troubles de la
sensibilité
attei- gnant en avant le pli inguinal, en arriè
drome de Brown-Séquard ou d'une dissociation syringoinyélique de la
sensibilité
permettrait d'affirmer une atteinte exclusiveme
douloureuse avec impotence de la marche. Un examen approfondi de la
sensibilité
permettra dans ces cas de dépister des troubles
de parvenir ainsi au dia- gnostic exact. Cet examen détaillé de la
sensibilité
permettra encore de découvrir les racines plus
es réflexes pendant la paralysie. Il n'existe pas de troubles de la
sensibilité
ni de troubles de l'intelligence ; souvent, la ma
primés ou diminués pendant l'accès. Cette paralysie est flasque, la
sensibilité
et les organes des sens sont en général respect
s être schématisées d'une façon très pré- cise. Les (rouilles de la
sensibilité
dans la paralysie radiculaire inférieure se mol
ur du muscle trapèze innervé par le nerf spinal. Les troubles de la
sensibilité
dans la paralysie radiculaire totale sont étendus
gion externe et postérieure du bras, mais, il la région interne, la
sensibilité
est conservée la où 1 innervation se fait par l
s une de ses leçons, en cite plusieurs exemples. Les troubles de la
sensibilité
dans les paralysies radiculaires trauma- tiques
enir dans les paralysies graves et non traitées. Les troubles de la
sensibilité
cutanée ont été diver- sement interprétés par l
s par les auteurs. Dans beaucoup d'observations, les troubles de la
sensibilité
sont passés sous silence. Les classiques disent
divement, elle a en partie disparu. On trouve alors des troubles de
sensibilité
qu'on s'explique mal si on ignore la topographi
paces hypoes- illésiés, en effet, souvent séparés par des espaces à
sensibilité
normale, peuvent être reliés entre eux par la p
à re- constituer la bande radiculaire. En prenant des schémas de la
sensibilité
il plusieurs jours d'intervalle chez des malade
ispa- raitre. Dans les cas de paralysies graves, les troubles de la
sensibilité
peuvent persister. C'est toujours sous le type
ou moins rapidement sur tels ou tels territoires. Tous les modes de
sensibilité
peuvent être atteints. Sensibilités tactile, th
s territoires. Tous les modes de sensibilité peuvent être atteints.
Sensibilités
tactile, thermique, douloureuse, électrique peuve
orsale, l'anesthésie présentait la dissociation syringomyeliqnc. La
sensibilité
osseuse, le sens musculaire, le sens des attitu
dans les paralysies radiculaires trauma- tiques, les troubles de la
sensibilité
correspondent aux troubles moteurs par leur top
oubles moteurs par leur topographie radiculaire. Les troubles de la
sensibilité
dans les paralysies graves persistent; dans les
transverses, fait qui explique et la douleur et les troubles de la
sensibilité
. Prolonge-t-on la traction, les racines antérieur
sies radiculaires trautnatillues, la persistance des troubles de la
sensibilité
dépend du traumatisme lui-même qui, léger ou vi
sacré seront étudiées dans le chapitre consacré aux troubles de la
sensibilité
il topographie radiculaire. C'est, en effet, sp
fet, spécialement par la topographie radiculaire des troubles de la
sensibilité
que le diagnostic de ces para- lysies peut se f
erve dans les lésions de la moelle ou des nerfs. Les (roubles de la
sensibilité
qui existent dans les lésions corticales régres
se reconnaîtra par son début, fébrile, l'absence des troubles de la
sensibilité
; la paralysie se localise il certains groupes m
on constate le plus souvent la dissociation carac- téristique de la
sensibilité
, la cypllo-scoliosc, l'exagération des réflexes
sympathique sont, caractéristiques des paralysies radiculaires; la
sensibilité
, même quand l'ancsthesic brachiale, est absolue
ude, les muscles supina- teurs sont respectés. Les troubles de la
sensibilité
sont fort peu importants dans la plupart des ca
ralysie du cubital. Quand elle existe on observe les troubles de la
sensibilité
au niveau de la région de l'éminence hypothénar
troisième phalanges sont dans une demi-flexion. Les troubles de la
sensibilité
font très souvent défaut dans les cas de paraly
, y compris l'cpiblotte et la base de la langue, pour lui donner sa
sensibilité
. Le nerf larviu'é supérieur est donc surtout un
utisme hystérique. Une émotion vive peut produire cette perte de la
sensibilité
(Moure). Enfin on l'a signa- lée comme un phéno
liments dans le larynx. Zieinssen a même signalé les troubles de la
sensibilité
dans les para- lysies du récurrent, ce qui est
orme ou de l'éther sur la corti- cal i té produit aussi la porte de
sensibilité
du larynx dans les anesthésies chirurgicales. '
itée au vestibule ou à la région sus-gtottique. Presque toujours la
sensibilité
thermique est conservée. Il peut y avoir dissoc
nsibilité thermique est conservée. Il peut y avoir dissociation des
sensibilités
à la douleur et au contact : témoins ces malade
ivers du pneumogastrique. Elle se traduit par une exagération de la
sensibilité
laryngée : les malades toussent pour une variat
mations considérables : la plupart portent sur les fléchisseurs. La
sensibilité
est d'ordinaire intacte; cependant divers auteurs
oute une influence sur cette intégrité relative des fonctions. La
sensibilité
subjective n'est pas fréquemment affectée; il n'y
ns les jambes, dans les mains, dans les cuisses. Les troubles de la
sensibilité
objective sont plus rares encore : ils consiste
n-Duchenne, la syringomyélie se distingue par la dissociation de la
sensibilité
objective (abolition des sensibilités douloureu
ngue par la dissociation de la sensibilité objective (abolition des
sensibilités
douloureuse et thermique avec conservation de l
n des sensibilités douloureuse et thermique avec conservation de la
sensibilité
tactile), .1. Lejonne. Th. Paris, 1903. [A. L
des symptômes qui lui sont communs avec la syringomyélie, tels que
sensibilité
disso- ciée, troubles trophiques, etc., et par
ation épileptoïde apparaît, parfois. On n'observe ni troubles de la
sensibilité
, ni troubles trophiques ou vaso-moteurs; pourta
paralysie brusque : elle est toujours accompagnée de troubles de la
sensibilité
spéciaux (dissociation syringomyélique), parfois
avec ou sans troubles trophiques variés et troubles objectifs de la
sensibilité
, complète ou confirme le diagnostic de compress
itifs sont subjectifs et objectifs. Des troubles sub- jectifs de la
sensibilité
sont très fréquents, sans être constants : ils co
la pression des nerfs ou des muscles. Les troubles objectifs de la
sensibilité
(anesthésies ou parfois hyperesthésies totales ou
ies ou parfois hyperesthésies totales ou disso- ciées, troubles des
sensibilités
profondes, musculaire, articulaire, etc.) sont
les zones limitantes de ce domaine à cause de la transmission de la
sensibilité
par les nerfs voisins; le tronc nerveux et les
ontusions, la paralysie, l'atrophie et les troubles objectifs de la
sensibilité
sont d'ordinaire moins accusés, les douleurs so
ssous du point comprimé, les troubles subjectifs ou objectifs de la
sensibilité
sont très intenses, le nerf et les muscles sont
réquemment. Il n'y a généralement d'autres troubles objectifs de la
sensibilité
qu'une hyperesthésie cutanée des mains et une h
s'ac- cusent, devienuent fréquentes, paroxystiques ou continues; la
sensibilité
objective s'altère, l'anesthésie s'installe dan
de la notion étiologique, par la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
, par l'anesthésie en plaques, par l'importance
omberg, Westphal, Robertson, myosis, ataxie, douleurs, retard de la
sensibilité
ou hypoesthésie; tremblement intention- nel, pa
diminuée (Babinski). On trouve ou non, associés, des troubles de la
sensibilité
objective ou subjective. Dans les cas exception
ucoup -moins fréquents que les troubles, même très prononcés, de la
sensibilité
. L'incoordination ataxique commune, dont le typ
ique oit l'on puisse affirmer qu'il n'existait pas de trouble de la
sensibilité
objective; les quelques cas cités autrefois son
cas cités autrefois sont sujets à caution, car les troubles de. la
sensibilité
, cutanée, que i on recnercnait a peu près seuls
uls, ne sont nullement toujours proportionnels aux troubles de la
sensibilité
profonde, articulaire, osseuse et surtout muscu
herrington, par IIering chez le singe. En dehors des troubles de la
sensibilité
objective, d'autres facteurs entrent certaine-
lle est peut-être souvent la conséquence directe des troubles de la
sensibilité
musculaire. La diminution ou la perle de l'ex
nge d'ataxie, avec troubles objectifs et souvent sub- jectifs de la
sensibilité
, et de paraplégie spasmodique ou flasque, légère
e avec hémiancsthésie ; elle ne se rencontre que dans les cas où la
sensibilité
est affectée à un degré quelconque du côté de l
siège et de la nature de l'excitation dou- loureuse (P. Marie) ; la
sensibilité
est toujours mieux conservée vers la racine des
s premiers neurones sensitifs et de leurs collatérales, sans que la
sensibilité
consciente, interrompue par la lésion du deuxiè
rprétation, il est certain que le ccrveau ne joue à la fois dans la
sensibilité
et dans la coordination motrice qu'un rôle res-
de l'altération constante du laby- rinthe, les modifications de la
sensibilité
et en particulier du sens musculaire n'interven
Sabrazès ctCabannes. etc,), ' De plus, par suite de cette parfaite
sensibilité
, les mouvements simples des membres sont relati
e de la force de chaque muscle pris isolément et sans trouble de la
sensibilité
musculaire; les vomissements, etc. INCOORDINA
e ces mêmes mouvements. Comme pour la titubation cérébelleuse, la
sensibilité
superficielle et profonde est intacte, la vue n
ulement diminués. Le signe d'Argyll fait défaut. Les troubles de la
sensibilité
superficielle et du sens musculaire font défaut
ccadée, mais non scandée. Il n'y a presque jamais de troubles de la
sensibilité
superfi- cielle ou profonde. Tous les trouble
les douleurs fulgurantes, les alté- rations des divers modes de la
sensibilité
, parfois un tremblement inten- tionnel. Elle se
omberg. Symptômes concomitants : .' Constant : modification de la
sensibilité
superficielle ou surtout profonde; Fréquents :
muscles se contractent, parce qu'il a perdu plus ou moins, avec la
sensibilité
cutanée, la sensibilité profonde, musculaire, art
parce qu'il a perdu plus ou moins, avec la sensibilité cutanée, la
sensibilité
profonde, musculaire, articulaire et osseuse; s
ux différentes parties, super- ficielles et surtout profondes, leur
sensibilité
normale; on ne connait pas de moyens de rétabli
eur sensibilité normale; on ne connait pas de moyens de rétablir la
sensibilité
perdue, mais la méthode de rééduca- tion de Fre
el se propose de tourner la difficulté en utilisant ce qui reste de
sensibilité
. Par un exercice patient et prolongé composé de
t normal pour une même contraction, puisque d'une façon générale la
sensibilité
des memhres ataxiques est diminuée. Ces exercic
tels ou tels muscles ou à tels ou tels mouvements, éduquent donc la
sensibilité
« nouvelle » et, jusqu'à un certain point, l'af
1° Il faut que les membres à rééduquer aient conservé une certaine
sensibilité
, puisque c'est cette sensibilité restante que l'o
duquer aient conservé une certaine sensibilité, puisque c'est cette
sensibilité
restante que l'on utilise et que l'on développe
ont les plus faciles, les malades compensant l'insuffisance de leur
sensibilité
musculaire par des contractions plus fortes, mais
ns, on pourra utiliser pour le mieux, outre le sens de la vue et la
sensibilité
générale, les sensations auditives. Beaucoup pl
le tabétique qu'on rééduque doit compenser en partie la perte de sa
sensibilité
superficielle et profonde. Aussi, pour les exerci
t, etc.); on y recourra ou TECHNIQUE. 795 non suivant le degré de
sensibilité
et suivant le degré de rééducation que e l'on a
s yeux pour faire exécuter au malade de véri- tables « exercices de
sensibilité
» : ces exercices seront exécutés de deux façon
est nullement proportionnelle, nous l'avons dit, aux troubles de la
sensibilité
cutanée ; comme les troubles de la préhension son
lusieurs années, 2 il ;) au grand maximum) le moindre trouble de la
sensibilité
. La mort survient ordinairement sans modificati
lle des cordes vocales. Le réflexe pharygicn est aboli, bien que la
sensibilité
du voile soit généralement conservée. On peut obs
yosis. II n'existe ni troubles des sphincters, ni altérations de la
sensibilité
. On rencontre quelquefois des accidents respira
ainsi dire instantanée. Ajoutons qu'il n'existe ni troubles de la
sensibilité
, ni troubles des sphincters. Les réflexes sont
rologique, 15 no- vembre 1909) ont observé les mêmes troubles de la
sensibilité
et en particulier le tremblement kinétiquc et s
centres excitateurs du système nerveux central. Les troubles de la
sensibilité
sont inconstants, il existe des douleurs périar
s douleurs au point d'émergence des nerfs ; mais les troubles de la
sensibilité
objective n'appartiennent pas à la chorée et quan
e ou à une affection concomitante. Cependant Triboulet admet que la
sensibilité
générale est diminuée dans cette affection..
lquefois cependant on a pu observer l'exagération (Rosenthal). La
sensibilité
est quelquefois troublée suivant les modes que no
ôt exagération, tantôt dimi- nution, il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
, ni de troubles de l'in- telligence, et il ne s
n général dans l'exagération des réflexes et par des troubles de la
sensibilité
. L'intelligence est intacte. La marche de la ma
n- dant le sommeil. Il n'existe aucun trouble des réflexes ni de la
sensibilité
, l'état mental est indemne. Enfin, l'affection,
tables attaques convulsives. ' ' Il n'y a guère de troubles de la
sensibilité
ni des réflexes ; les réactions électriques son
ractent par un mouvement volontaire. Il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
ni de réflexes. C'est une affection de l'adoles
fois douloureux, parfois accompagné de troubles des réflexes, de la
sensibilité
, de la trophi- cité, des réactions électriques
tous ces malades, on ne, constate presque jamais de troubles de la
sensibilité
objective, de la réflectivité ou des réactions él
TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE Par le D E DESNOS TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
NÉVRALGIES RÉNALES Sous ce nom, on désigne un
arler des 1'01111111"- morai ifs, les malades qui ont conservé leur
sensibilité
et leur intelligence accusent un besoin d'urine
nt résulter d'une anesthésie du col, on a conseillé de réveiller la
sensibilité
au moyen de, cautérisations, soit par des insti
n, ou au contraire la répétition incessante des besoins éveille une
sensibilité
, puis une contractilité exagérée et la névralgie,
, une blennorragie, une cystite, un traumatisme qui a mis en jeu la
sensibilité
de l'appareil urinaire; les symptômes, normaux, s
mme moyen de suggestion ou, comme on l'a prétendu, pour émousser la
sensibilité
de l'urètre, moyen à n'employer qu'avec ména- g
précipitées, puis des pollutions noc- turnes. Bientôt apparaît une
sensibilité
excessive de la verge, du scrotum et du périnée
orants tabétiques, au niveau des- quels existent des troubles de la
sensibilité
souvent prononcés (anesthé- sie). Le port d'un
cause occasionnelle de cette ulcération trophique. Troubles de la
sensibilité
. Il n'est pas rare d'observer des pares- thésie
sémiologie nerveuse par l'aspect de sa surface, les troubles de sa
sensibilité
et de sa inutilité, les accidents trophiques qu
rencontrent chez les épileptiques ou traduisent des troubles de la
sensibilité
. L'état de la muqueuse varie enfin selon la san
hez les excités au contraire, la langue est normale. Troubles de la
sensibilité
. Les uns intéressent la sensibilité géné- raie,
gue est normale. Troubles de la sensibilité. Les uns intéressent la
sensibilité
géné- raie, les autres la sensibilité spéciale
ilité. Les uns intéressent la sensibilité géné- raie, les autres la
sensibilité
spéciale de la langue. L'anesthésie est général
s dysesllu'sies après la crise épileptique. Les modifications de la
sensibilité
spéciale peuvent dépendre d'alté- rations des n
nalogues s'observeront, d'intensité variable. L'exagération de la
sensibilité
gustative et sa perversion (hyper- et paragueus
éflexes et de la marche des tabétiques, sur les dissociations de la
sensibilité
(sphère du trijumeau), sur les complications d'
une langue violacée, saillante, on constatera des trou- bles de la
sensibilité
dans le territoire du trijumeau, on sera en droit
rnier cas aux accidents moteurs se superpo- sent des troubles de la
sensibilité
. Dans les paralysies bilatérales, la mas- ticat
tation à la sonde oesophagienne. Pharynx. A côté des troubles de la
sensibilité
liés à des mala- dies infectieuses, s'observe f
ies infectieuses, s'observe fréquemment l'anesthésie du pharynx. La
sensibilité
est facile à explorer; un abaisse-langue permet d
-mem- braneux, peuvent exister des troubles de la motilité ou de la
sensibilité
. Les premiers de ces troubles comprennent des a
sent violemment serrée sur toute son étendue. Aux troubles de la
sensibilité
de l'oesophage ressortissent une partie des acc
hercher le Robertson, le Westphal, le Ronberg. les trou- bles de la
sensibilité
à topographie radiculaire. Il serait fastidieux d
les urines... On peut relever enfin des troubles persistants de la
sensibilité
, des troubles trophiques (oedèmes, urticaire, h
scérale comme dans la myélopathie deDuchenne-Aran. Troubles de la
sensibilité
. Nous n'avons pas à revenir sur les douleurs et
de, de prédicateur que nous avons signalée. La dissociation de la
sensibilité
, la cypho-scoliose distingueront la syrin- go
partie inférieure du plexus brachial,, on observe des trou- bles de
sensibilité
et. surtout des troubles oculo-pupillaircs, myosi
nostic du mal de Pott. Signalons, au niveau de la base du crâne, la
sensibilité
de la voûte pharyngienne à la pression, dans le
nèi,re et le marteau. La percussion est parfois douloureuse : cette
sensibilité
peut être loca- lisée et répondre à quelque lés
gré variable d'hypertension inlra-cranienne. Bechterew a signalé la
sensibilité
spéciale de l'apophyse zygomatique dans les tumeu
hocytose arachnoïdienne avec mydriase paralytique et troubles de la
sensibilité
d'Achard et Grenet (Société de Neurologie, 5 ma
s et, à part l'hyperesthésie tégumentaire signalée par von Beck, la
sensibilité
objective n'est généralement pas modifiée. Les
e la moelle déterminant une paraplégie spasmodique avec perle de la
sensibilité
objective, dou- leurs violentes dans les lombes
xemple, la moitié de la dose que reçoit la peau; grâce à l'heureuse
sensibilité
de certaines tumeurs sarcomateuses ou gliomateuse
r la filtration des l'ayons. Mais existe-t-il au point de vue de la
sensibilité
du tissu nerveux des inconvénients aU ribuables
NERVEUSES (') Syringomyélie. Un fait actuellement bien connu est la
sensibilité
toute spéciale des cellules néoplasiques à l'ac
u'une atté- nuation passagère des douleurs, sans modification de la
sensibilité
objec- tive ni de la motricité; Dcsplats n'a ob
pour mesurer jusqu'à 50 ou 100 m. A., il faut un galvanomètre d'une
sensibilité
beaucoup moindre. Avec un seul instrument on peut
n nerf sensitif cette excitation éveille des sen-, sations, soit de
sensibilité
générale, soit de sensibilité spéciale, suivant !
on éveille des sen-, sations, soit de sensibilité générale, soit de
sensibilité
spéciale, suivant ! c, la nature du nerf excité
ontraction' ou secousse (ou encore sensation pour les organes de la
sensibilité
). Le pôle négatif ou cathode est généralement r
faradiques peuvent être utilisés aussi pour exciter les nerfs de la
sensibilité
générale. Dans ce but on emploie souvent la mét
nt l'excitation des muscles peuvent gêner pour estimer l'état de la
sensibilité
cutanée. Aussi est-il préférable d'employer la
RIELS - VERTIGE VOLTÀIQUE Nerfs sensitifs de la peau et nerfs de la
sensibilité
générale. Le courant électrique, galvanique et
galvanique et faradique, impressionne comme nous l'avons déjà vu la
sensibilité
de la peau, et met en jeu l'excitabilité des ne
on du nerf. Le plus souvent on doit se contenter de constater si la
sensibilité
galvanique est augmentée ou diminuée ou si elle
le positif. Mais, en général, dans l'exploration élec- trique de la
sensibilité
cutanée on n'emploie pas des électrodes humides,
n électrique ne peut donner connaissance des différents modes de la
sensibilité
cutanée; le tact et la sensibilité à la températu
sance des différents modes de la sensibilité cutanée; le tact et la
sensibilité
à la température doivent être explorés par des
la température doivent être explorés par des procédés spéciaux; la
sensibilité
électrique se comporte, généralement de la même
bilité électrique se comporte, généralement de la même façon que la
sensibilité
à la dou- leur. L'excitant électrique, dont il
précédemment, peut donc être employé avec avantage pour explorer la
sensibilité
à la douleur et rechercher si elle reste nor- m
, de l'état de la résistance électrique. Lorsque les troubles de la
sensibilité
portent sur les deux côtés du corps ils ne peu-
ils ne peu- vent être estimés que par comparaison avec l'état de la
sensibilité
de per- sonnes bien portantes ; des tables de c
la sensibilité de per- sonnes bien portantes ; des tables de cette
sensibilité
en diverses régions du corps établies antérieur
compte de l'état de la résistance électrique. ¡ Dans l'examen de la
sensibilité
de la peau envers le courant électrique on peut
t douloureuse. Il y a parfois intérêt à explorer ainsi l'état de la
sensibilité
dans certaines affections cérébrales et spinale
ouloureux. On rencontre parfois une dissociation particulière de la
sensibilité
électrique. Ainsi dans des cas de tabès, où le
nsibilité électrique. Ainsi dans des cas de tabès, où le tact et la
sensibilité
à la température étaient conservés, tandis qu'i
ent conservés, tandis qu'il existait de l'analgésie, on a trouvé la
sensibilité
électrique conservée seulement en partie, la sens
nait douloureuse, même avec des courants très forts. Quelquefois la
sensibilité
envers les courants galvaniques se comporte dif
lité envers les courants galvaniques se comporte différemment de la
sensibilité
envers les courants faradiques, la première éta
iques sont en général bien conservées pendant longtemps, que sur la
sensibilité
péri- phérique, cutanée, musculaire et profonde
ésions des neurones sensilifs, qu'il s'agisse de perturbation de la
sensibilité
comme celle qui constitue la dissociation syrin
ité comme celle qui constitue la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
, ou qu'il s'agisse de troubles subjectifs et de
ECTROTHÉRAPIE. E. perçue; on en profite pour faire remarquer que la
sensibilité
n'est pas complètement perdue et Ion continue q
r trop douloureuse. A la suite de Ulectrisation les autres modes de
sensibilité
, mit souvent aussi reparu. Le retour de la sens
res modes de sensibilité, mit souvent aussi reparu. Le retour de la
sensibilité
peut s'étendre bien au delà des parties électri
esthésie ; s'il se montre plus localisé on fera reparaître aussi la
sensibilité
sur d'autres régions en les soumettant égalemen
d'autres régions en les soumettant également à l'électrisation. La
sensibilité
ainsi revenue persiste parfois d'une manière dé
lgies, iol)o(t(lies. L'électricité est encore utilisable lorsque la
sensibilité
est altérée dans un sens inverse, exagérée ou d
erveux, '1.. - Troubles sensilifs, I'15. urinaire, troubles de la
sensibilité
, 945. Troubles de la contractilité, 950. Infe
1580 INDEX ALPHABÉTIQUE. Bouche. Examen, 976. Troubles de la
sensibilité
, 977. Bourdonnements d'oreille, 151. Brachial
sions du -) vertiges. 1 Li ! ). (Affections du -). Troubles de la
sensibilité
, 505. Ataxie cérébrale, 165. (Traumatismes du -
es, 860. hystérique, sn 1. variable, 861. Chorées. Troubles de la
sensibilité
objec- tive, 556. Description, 849. - Com- pl
sio- logie, 586. , Encéphale (Affections del'-). Troubles de la
sensibilité
, 505. radiothérapie, 1188. (Lésions de 1' -). A
ven- tricule, 1159. médullaires, l 159. Épilepsie, troubles de la
sensibilité
objec- tive, 550. Crises convulsives, z Vomis
ystiques avec vomissement, 989. Troubles de la motricité et de la
sensibilité
, 996. Exner. Voy. Fibres à myéline. Exophtalm
phique, J l 0. sénile. Topographie segmentaire des troubles de la
sensibilité
, 551. - sénile des orteils, 1047. - symétrique
phtalmie, 107. " - Signes oculaires, 107, 108. - A Troubles de la
sensibilité
objective, 550. m - Tremblement, 845. radiothér
, 240. Hématémèses nerveuses, 99). z Hématomyélie, troubles de la
sensibilité
à topographie radiculaire, 552. atro- phie mu
séméiologique, - 11'1'1. Hypnose, 191. Hystérie, troubles de la
sensibilité
. Anesthésies, JJ2. - Hypereslhésies, 556. - A
Langage oral. Yoy, Parole. Langue. Examen, on. - Troubles de la
sensibilité
, 978. Troubles de la mo- tilité, 979. Traitemen
dessins, 215. Lèpre. Topographie paraplégique des troubles de la
sensibilité
, 549. Topo- graphie segmentaire, 550. Topogra-
chez les aliénés, 252. Moelle (Affections de la ). Troubles de la
sensibilité
, 31 ;1. - (Tumeurs de la - ), .i ! J7. - (Lésio
ysies, 625. -, lésions, réaction de dégénérescence, z)56. - de la
sensibilité
générale, exploration électrique, z1269. - du
oculo- gyres, 78. - périphériques (Lésions des -). Troubles de la
sensibilité
, 547. - Causes. Caractères, 548. ? réac- tion
tigue de l'accommo- dation, 98. - Vertiges, 172. Trou- bles de la
sensibilité
objective, 556. - Incoordination, z digestive,
oculaires, 1l ! 0. OEsophage, 985. - Spasmes, z Troubles de la
sensibilité
, 987. sophagisme, traitement électrique, 1320
ychiques. Psychoses et maladies de l'oreille, 146. Troubles de la
sensibilité
objective, 558. Ptérygoïdien interne, erlei-tie
tion cutanée, 525, 524, 524. - (Affec- lions des -), troubles de la
sensibilité
, 556. - Lésions et compressions, atro- phics
bolie, 501. - Rapport de l'astéréoagnosie avec les troubles de la
sensibilité
périphé- rique, 302. - Recherche. Valeur sé-
périphé- rique, 302. - Recherche. Valeur sé- méiologique, 303.
Sensibilité
. Examen dans l'aphasie, 216. - li la pression,
laire, - trachéale, vésicale, 559. INDEX ALPHABÉTIQUE. 1590 q
Sensibilité
générale, 274. Anatomie et physiologie des voie
re, 290. objective, troubles. Technique de leur recherche, 281. -
Sensibilités
superfi- cielles, 282. - Sensibilités profondes
e de leur recherche, 281. - Sensibilités superfi- cielles, 282. -
Sensibilités
profondes, 290. - Topographie des troubles obje
ités profondes, 290. - Topographie des troubles objec- tifs de la
sensibilité
, 504. - Troubles dans les affections du système
1. - physiologiques. Trou- bles de la motilité, du langage, de la
sensibilité
, 110` ? .- mentaux, 1105. - de la syphilis acqu
- héréditaire, 1107. Recherche, 1108. Syringomyélie. Troubles de la
sensibilité
à topographie radiculaire, 550, 32. - Atrophi
1525. T Tabes, lésions de l'oreille, 127. - Trou- bles de la
sensibilité
à topographie ra diculaire, 528, 529. - Amyotro
ia lala. Innervation, phy- siologie, 542. Tétanie. Troubles de la
sensibilité
objec- tive, 556. - signes, 995. La main, 101
rale, 592. cranio- cérébrale, 597. - insulaire des troubles de la
sensibilité
dans les affections des nerfs, 351. - dans l'
ubles de la sen- sibililé, 549. - paraplégique des troubles de la
sensibilité
par lésions des nerfs, 549. - périphérique des
phérique des trou- bles de la motilité, 625. - des troubles de la
sensibilité
, 548. - radiculaire des troubles sensitifs dans
ALPHABÉTIQUE. 1401 l Topographie segmentaire des troubles de la
sensibilité
dans les affections des nerfs, 550. -- dans l'h
9. Tremblement, 842. Viscéralgies, 5 in. - Viscères. Troubles des
sensibilités
viscé- rales, 558. - (Affections des -), liy-
e, les doigts dans l'extension; tout mouvement était impossible; la
sensibilité
à la piqûre avait complètement disparu; avec la
argent. Au bout de vingt-trois heures, il y a eu un translert de la
sensibilité
qui a duré neuf heures. Vers la même époque, c'
atiqué par le Dr Vigouroux, direc- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 7 La
sensibilité
est abolie dans le membre supérieur gauche, com
sauf à la paume de la main et à la partie palmaire des doigts où la
sensibilité
est toutefois diminuée ; tous les modes de la s
gts où la sensibilité est toutefois diminuée ; tous les modes de la
sensibilité
sont abolis. Il semble au malade qu'il n'a pas
. En redressant les doigts on provoque de l'épilepsie spinale. La
sensibilité
du reste du côté gauche du corps est conservée
mais très diminuée; et cela est surtout net en ce qui con- cerne la
sensibilité
à la température. Le membre inférieur gauche es
n observe alors, au bout de cinq mi- nutes environ, le retour de la
sensibilité
à la face dorsale des doigts et à la partie inf
lade est pris d'une attaque qui oblige de suspendre l'opération; la
sensibilité
per- siste pendant quatre heures environ, puis
sage, et il se passe exactement la même chose que le 27 février. La
sensibilité
revient dans la même région, et le malade a une
et voici ce qu'on observe alors : au bout de. quelques minutes, la
sensibilité
reparaît à la face dorsale des doigts, gagne la
heure et demie après cette opération, la motilité persiste, mais la
sensibilité
a déjà très notablement diminué. On renouvelle
viron la flagellation dans la région temporo-pariétale droite et la
sensibilité
revient aussitôt dans le membre supérieur gauch
jusqu'à quatre heures de l'après-midi (en tout cinq heures), et la
sensibilité
jusqu'à neuf heures du soir; puis la paralysie
nomènes que la veille avec les diffé- rences suivantes : des que la
sensibilité
a gagné la partie inté- rieure de l'avant-bras
ents passifs, et les mouvements spontanés revien- nent avant que la
sensibilité
ait gagné le bras ; on lait exécuter ce jour à
lus étendus qu'ils ne l'étaient immédiatement après l'opération. La
sensibilité
est déjà un peu obtuse. La sensibilité va sans
ment après l'opération. La sensibilité est déjà un peu obtuse. La
sensibilité
va sans cesse en diminuant, et disparait complète
i. On renouvelle la flagellation et, comme les jours précédents, la
sensibilité
reparaît de bas en haut ; la sensibilité repara
e les jours précédents, la sensibilité reparaît de bas en haut ; la
sensibilité
reparaît en même temps que le sens musculaire.
; la sensibilité reparaît en même temps que le sens musculaire. La
sensibilité
ne persiste pas plus de deux heures. Le malade
rès quoi elles reparaissent de nouveau, sauf à la main. ' 2. - La
sensibilité
reparaît spontanément jusqu'au coude, mais la m
nutes après le début de l'opération, retour de la motilité et de la
sensibilité
; cette der- nière disparaît de nouveau au bout
re inférieur qui sont tout à fait accessoires, nous voyons que la
sensibilité
du membre supérieur est tout à fait abolie, et
u membre supérieur est tout à fait abolie, et il en est ainsi de la
sensibilité
superficielle, de la sensibilité profonde et du
abolie, et il en est ainsi de la sensibilité superficielle, de la
sensibilité
profonde et du sens musculaire; or, si dans les
e dans le côté paralysé et il y a en même temps trans- ' fert de la
sensibilité
; depuis ce moment, la paralysie a une tendance
endues douleurs rhumatismales siégeant dans le côté gauche, dont la
sensibilité
cutanée paraissait émoussée et qui, de plus, ét
il était, comme en Allemagne, hémiplégique du mouvement et de la
sensibilité
à gauche. La plaie se cicatrisa repidement, mais
ion de dégénérescence. La résistance électrique est augmentée. - La
sensibilité
est complètement abolie dans le membre supérieu
ensibilité est complètement abolie dans le membre supérieur gauche (
sensibilité
au tact, à la douleur, à la température, sens m
à la température, sens musculaire); dans le reste du côté gauche la
sensibilité
n'est que diminuée, plus ou moins, sui- vant le
M. Gautiez sur la région pariétale droite; après chaque séance, a
sensibilité
reparaît au membre supérieur gauche pendant plu
aralysé au moment où cette figure a été dessinée, l'abolition de la
sensibilité
est complète et que les limites de cette anesth
de nous a eu l'idée de provoquer par suggestion le transport de la
sensibilité
et a pu obtenir de cette façon des stigmates à
de l'exci- tabilité électrique, sans atrophies, sans troubles de la
sensibilité
générale, sans perturbation dans le réflexe ten
y a quatre ans, cécité. Phéno- mènes paralytiques ; troubles de la
sensibilité
et de la parole. Autopsie. Un cysticerquesous l
spèce d'action sur le système ner- veux cérébro-spinal (motilité et
sensibilité
) : 2° à la dose hypo- dermique de 0,005 milligr
iblement les jambes, mais ne présente aucune anomalie du côté de la
sensibilité
; le phénomène du genou a disparu; les réflexes
centimètres au-dessous de la pointe de l'olécrâne; intégrité de la
sensibilité
et de la motilité, si ce n'est en ce qui concer
s pas et encore la démarche est-elle spasmodique. Inté- grité de la
sensibilité
de la vessie, du rectum ; atrophie des mus- cle
eut se servir de ses mains, il faut l'alimenter ; inté- grité de la
sensibilité
. Parole fortement nasonnée et si mal arti- culé
e 17 février jusqu'à ce jour. Constance égale des altérations de la
sensibilité
qui finit par dis- paraître par tout le corps,
ut le corps, y compris les muqueuses ; on ne trouve bientôt plus de
sensibilité
tactile et douloureuse, qu'au pourtour des nari
genre ont été vus dans la sclé- rose en plaques. L'intégrité de la
sensibilité
permet de rejeter 1 Nous analyserons alors. P.
eut-être s'agissait-il d'un alcoolique ? - Réponse négative.- Et la
sensibilité
des nerfs ? Ils sont sensibles à la pres- sion,
sez brusquement, la sécré- tion lacrymale s'est tarie du même côté.
Sensibilité
très grande à la pression du nerf sous-orbitair
itaire à son point d'émergence, pen- dant longtemps. Troubles de la
sensibilité
dans le domaine de la branche maxillaire supéri
s pharyngiens, de la charpente musculaire du larynx, troubles de la
sensibilité
, parfois aussi des cordes vocales sont d'un côt
culaires, l'absence du phénomène du genou, de légers troubles de la
sensibilité
, l'inté- grité de la vessie et du rectum. Au mi
condition d'élever anormalement les pieds et de pié- tiner. Grande
sensibilité
au contact de la peau et des muscles. Mort en é
aie de le repousser en arrière, on détermine une vive douleur. La
sensibilité
cutanée paraît normale dans ses différents modes.
ut pas réduire. -Quelques poils à la partie inférieure de l'anus.
Sensibilité
très vive au froid ; même à l'atelier il se couvr
signalée. Le pouls, un peu mou, est à 80; la respiration à 24. La
sensibilité
générale parait nor male sous toutes ses formes.-
il aurait perdu connaissance et se serait réveillé paralysé de la
sensibilité
et du mouvement dans tout le côté droit ; cette
tète du côté gauche; il était hémiplégique du mou- vement et de la
sensibilité
du côté gauche, l'hémianesthésie était sensitiv
che pendant douze heures ; on a obtenu un transfert incomplet de la
sensibilité
. La paralysie est tou- jcurs dans le même état;
lle seulement qu'il lui était difficile de fermer l'oeil gauche. La
sensibilité
était complètement abolie au membre supérieur;
jusqu'alors avaient été abolis au membre supérieur, reparurent; la
sensibilité
reparut de son 166 clinique NERVEUSE. côté, t
a sensibilité reparut de son 166 clinique NERVEUSE. côté, tant la
sensibilité
générale que la sensibilité spéciale, et un moi
166 clinique NERVEUSE. côté, tant la sensibilité générale que la
sensibilité
spéciale, et un mois et demi après le début de
La face est abso- lument normale au point de vue de la motilité. La
sensibilité
, au tact, à la température, à la douleur, et le
t abolis au membre supérieur gauche. Au membre inférieur gauche, la
sensibilité
est affaiblie. A la face il y a hémi anesthésie
us rien d'anormal, il est aussi fort que celui du côté opposé. La
sensibilité
du membre supérieur sauf aux doigts est tou- jo
es il n'y a plus que 2 au lieu de 3 centimètres de différence. La
sensibilité
de la face du côté gauche est revenue en par- t
rappelle l'aspect du tremblement dans la maladie de Parkinson. La
sensibilité
cutanée à la piqûre et au froid est abolie ou du
gle qui descend de l'aisselle vers le bras. Il en est de même de la
sensibilité
pro- fonde et du sens musculaire. Le coude, le
ers segments du membre. Il n'en est, pas de même des doigts dont la
sensibilité
est conservée et même exagérée à la face palmai
l'épaule qui était complètement insensible a recouvré en partie sa
sensibilité
. Le malade nous dit qu'il a eu, le 16 juin, une
toutes ses formes dans le membre supérieur droit. Diminution de la
sensibilité
dans tout le reste du corps. A bo- lilion du go
l'épaule, la région sous- claviculaire et une partie de la face; la
sensibilité
à la piqûre du membre supérieur était complètem
- cles se contractent très bien au moyen des courants induits. La
sensibilité
au tact, si la douleur, à la température, est c
uïe est un peu moins forte du côté droit que du côté gau- che. La
sensibilité
gustalive semble diminuée à droite. Les yeux pa
aule, du coude, du poignet, des doigts, sont tout à fait abolis. La
sensibilité
au tact, à la température, à la douleur est abo
énérescence. Il y a augmentation de la résistance électrique.. La
sensibilité
des autres parties du corps n'est pas normale;
périeure du corps, un peu affaiblie dans la partie inférieure. La
sensibilité
dupharynx est abolie. Le goût et l'odorat sont
algésie universelle, excepté la peau de la tête et de la face où la
sensibilité
n'est pas troublée. Les autres. espèces de sens
a face où la sensibilité n'est pas troublée. Les autres. espèces de
sensibilité
sur tout le corps sont intactes. L'excitabilité é
e vives douleurs et semblaient exa- gérer encore la contracture. La
sensibilité
était du reste conservée dans tous ses modes; i
tre ensuite spontanément. A l'examen des différentes qualités de la
sensibilité
du bras, de la main et des doigts, rien d'anorm
ion d'aucune autre partie du corps, et sans aucune altération de la
sensibilité
dans les doigts mêmes. Il faut rattacher probab
clinique nous trouvons à signaler la con- servation complète de la
sensibilité
et avec une dégénérescence presque complète des
stérieurs et la perle du sens musculaire avec la conservation de la
sensibilité
cutanée. N. Skwortzoff. 1 Voir Charcot, /. c.
res encéphaliques (insomnie, excitation générale, syncope, dysurie,
sensibilité
extrême des nerfs optiques et auditifs, inégali
ie, ni troubles proprement dits de la motilité (pa- ralysie), de la
sensibilité
spéciale et générale, des fonctions trophi- que
urviennent : une parésie des membres supérieurs, des troubles de la
sensibilité
dans les quatre extrémités, sur le tronc, à la
dans les quatre extrémités, sur le tronc, à la face, troubles de la
sensibilité
subjectifs et objectifs qui suivent le territoi
nerfs dorso-lombaires sont eux-mêmes malades (douleurs en ceinture,
sensibilité
extrême à la pression de certaines apophyses ép
iques. Cette constatation, jointe à l'absence de tout trouble de la
sensibilité
et de l'excitabilité électrique (malgré l'atrophi
lle tombe devantlesfaitsqui témoignent soitd'une perturbation de la
sensibilité
spinale sans ataxie, soit d'une ataxie spinale
e sans ataxie, soit d'une ataxie spinale marquée sans trouble de la
sensibilité
. Voici, par exemple, un cas du second genre : a
uleurs lancinantes, absence de réflexe patellaire, diminution de la
sensibilité
à la douleur et ra- lentissement de la conducti
s'installer une paralysie incomplète, accompagnée de troubles de la
sensibilité
et d'atro- phie dégénéiative partielle des musc
atation des douleurs ini- tiales, de l'existence des troubles de la
sensibilité
qui, d'abord considérables, ont rétrocédé gradu
névrite est le plus souvent confondue, en ce que les troubles de la
sensibilité
étaient très accentues, les troubles de la molill
s troubles moteurs, surtout par comparaison avec les troubles de la
sensibilité
excessifs, la diplopie (insuffisance congénitale
vrite quelconque ou traumatique où prédominent des troubles de la
sensibilité
. Au point de vue de l'étiologie, il n'y avait ici
extrêmement marquée dans les quatre extré- mités ; intégrité de la
sensibilité
, sauf une légère anesthésie; intégrité du sens
nution extrême de l'excitabilité électrique, troubles minimes de la
sensibilité
, suppression du réflexe patellaire) et 230 revu
(dissémination des phénomènes, con- servation des réflexes cutanés,
sensibilité
à la pression des gros troncs nerveux); il anal
raphie et de l'anatomie. P. K. XLII. SUR une FORME DE trouble DE la
sensibilité
DÉCOU- verte dans LES LÉSIONS unilatérales du c
core d'une façon satisfaisante ; cette constatation s'applique à la
sensibilité
générale comme à la sensibilité spéciale. Si l'
cette constatation s'applique à la sensibilité générale comme à la
sensibilité
spéciale. Si l'on veut que les éléments centrau
es réflexes tendineux, clonus dorsal des deux pieds, troubles de la
sensibilité
justifie- raient en quelque sorte le diagnostic
ticulièrement les bras. Ni perte de connaissance, ni troubles de la
sensibilité
, hyperexcitabilité mécanique du facial, hyperex
puis paralysie absolue, des extrémi- tés inférieures avecpertedela
sensibilité
, suppression partielle des réflexes patellaires
dique des membres inférieurs, sans atrophie ni perturbation de la
sensibilité
; conservation de l'excitabilité faradique et gal
des tremblements violents, mais de courte durée. Intégrité de la
sensibilité
, des réflexes cutanés et tendineux (très nets). M
dans la première observation, on constate un trouble profond de la
sensibilité
générale (le malade se croit pourri, il n'a pas
sont douloureuses; il urine très peu et avec beaucoup d'efforts. La
sensibilité
à la douleur des jambes a presque disparu, et c
i, Ch... commence à se plaindre de douleurs dans le bras gauche, la
sensibilité
tactile et douloureuse est émoussée; ensuite, o
qui ne dure pas. Le 11 mai, tous les troubles du mouvement et de la
sensibilité
ont disparu. Après cela, le malade éprouve des
totalement perdu l'usage de la parole; examiné au laryngoscope, la
sensibilité
du larynx est normale, les cordes vocales sont
d'avoir mal lorsqu'on presse les gros troncs nerveux des jambes. La
sensibilité
à la douleur dans les jambes et dans la partie
poussées). Dans la partie supérieure du tronc et dans les bras, la
sensibilité
est aussi émoussée; il ne retire pas la main même
s qui dure près d'une journée. La démarche est toujours la même; la
sensibilité
des jambes est rétablie; mais on voit toujours
si tout à fait para- lysée ; les réflexes cutanés sont exagérés; la
sensibilité
tactile et douloureuse de la jambe gauche est n
lade donne de fausses indications sur l'endroit que l'on touche; la
sensibilité
dans la région du plexus brachial de droite a e
xercée sur le plexus droit et sur ses nerfs devient douloureuse. La
sensibilité
dn tronc parait meil- leure, mais le malade don
ure, mais le malade donne tout de même de fausses indica- tions. La
sensibilité
des jambes a disparu. La faculté de mou- voir l
uve des maux à l'épigastre, il a des vomissements.Le 18 juillet, la
sensibilité
du bras gauche dispa- rait aussi, de même que d
que quand on l'applique contre l'oreille ; la vue est normale. La
sensibilité
tactile du côté gauche de la face est peu émous-
la température n'existe plus ni dans l'un ni dans l'autre bras; la
sensibilité
musculaire persiste dans le côté droit. Les réf
n et du dos. Dansla jambedroiteon remarque l'absence complète de la
sensibilité
tactile, douloureuse et musculaire; la gauche n
dans la moitié gauche du corps, tandis que la droite recouvra la
sensibilité
tactile. Le 2 janvier 1885, le malade essaie de
éro- épilepsie nettement accusés et les troubles capricieux de la
sensibilité
qui ne peuvent avoir lieu que dans l'hystérie;
ve une hémianesthésie du côté gauche, avec perte de toute espèce de
sensibilité
et une hémiopie, ainsi qu'une impossibilité de
es des reins sont contracturés. Vers le 13 juin, les troubles de la
sensibilité
ont disparu; la difficulté de mouvoir le bras à
isme. La vision et l'audition sont normales ; toutes les espèces de
sensibilité
le sont aussi; il n'y a que la sensation de la
les de la cuisse et de la jambe, même lorsque D... était couché; la
sensibilité
de la peau était normale comme aupara- vant ; l
amp de la vision (l'examen est fait sans périmètre) était borné; la
sensibilité
des couleurs et la vision n'étaient nullement t
e patient revint dans ma salle, et donna les résulats suivants : la
sensibilité
tactile des deux jambes est bien affaiblie, cel
les pieds sont sensibles à l'attouchement ainsi qu'à la douleur; la
sensibilité
du côté droit du tronc, du bras droit et du côt
sont aussi émoussés. Ainsi je trouve que le malade a un trouble de
sensibilité
connu sous la forme de parahémianes- thésie. D'
enoux; il s'y ajoute une trépidation des jambes. Les troubles de la
sensibilité
sont restés les mêmes. L'amendement lent de la
. L'apparition subite des contractures-, le trouble étrange de la
sensibilité
qui ne correspond à aucune lésion organique du
e médecin m'a effrayé. » Il n'existe pas d'autres troubles ni de la
sensibilité
ni delà motilité. Le - janvier il commença à parl
les réflexes de la muqueuse du pharynx sont tout à fait abolis. La
sensibilité
cutanée tactile et douloureuse .est très peu ém
troublée; le champ visuel est presque normal ; le goût aussi ; la
sensibilité
cutanée est intacte; les réflexes tendineux ne so
lexes tendineux ne sont pas exagérés. On ne remarque de troubles de
sensibilité
que sur la conjonctive des paupières et dans le
ant. A l'examen, on ne retrouve même plus les légers troubles de la
sensibilité
, observés le 22 décembre. Il n'a rien de partic
tant fermé, lui parait de la grosseur du pouce. Le 10 janvier, la
sensibilité
cutanée, et celle des muqueuses s'est de nouveau
dos redressé. Ce môme jours, on constate un affai- blissement de la
sensibilité
cutanée de tout le corps, bien qu'un examen dét
es yeux, du nez, de la bouche et du pharynx sont anes- thésiées. La
sensibilité
cutanée de toute espèce n'existe plus; les sens
9 et 10), l'anesthésie du pharynx présentait le seul trouble de la
sensibilité
; dans le 10e, cas cette anesthésie et celle de
nctive étaient les avant-coureurs de l'accès. 6. Le trouble de la
sensibilité
cutanée sous la forme d'une anesthésie de tout
esthésie de tout le corps, suivie de l'abolition de toute espèce de
sensibilité
cutanée et musculaire, de l'anesthésie des'muqu
ur trois malades (cas 2, 6 et 8); un trouble tout particulier de la
sensibilité
a été cons- taté sur un malade (n° 5) : c'est l
porter un diagnostic certain, ce sont les troubles par- tiels de la
sensibilité
, troubles parfois très capricieux, par exemple
e sentiment de l'at- touchement persiste (cas 5), l'abolition de la
sensibilité
douloureuse seule; les anesthésies des muqueuse
comme épileptiques, où le caractère des accès et les troubles de la
sensibilité
étaient typiques pour l'hystérie. Je veux trait
cle pro- chain, où je me propose de considérer les troubles de la
sensibilité
dans l'épilepsie. DE L'IDIOTIE COMPLIQUÉE DE CA
alés, adminis- trés deux fois par semaine depuis octobre 1819. La
sensibilité
générale est conservée, mais peut-être légèrement
ent émoussée ; le chatouillement n'est généralement pas perçu. La
sensibilité
au froid est très marquée. Quant aux sensibilités
ment pas perçu. La sensibilité au froid est très marquée. Quant aux
sensibilités
spéciales, la vue et l'ouïe paraissent égales d
et ne parait pas reconnaître ceux qui lui don- nent des soins. La
sensibilité
physique est également fort obtuse; il se montre
on parvient à la faire glisser; pas de troubles appréciables de la
sensibilité
cutanée. Les caractères pathologiques de la peau
pour les soins de pro- preté, l'habillement, etc. - Pénil glabre :
sensibilité
au froid. - Hémorroïdes. - Mort des suites d'un
ité. Tous les sens spéciaux paraissent être à l'état normal et la
sensibilité
tactile ne laisse rien à désirer. V. Chr... compr
'existait pas de goitre; les mouvements étaient lents, lourds; la
sensibilité
et la force musculaire étaient diminuée ? la pa
tour d'elle, ne répondant pas aux questions qui lui sont faites; la
sensibilité
parait très diminuée, au point que la malade ne
NERVEUSE. 393 du côté gauche ; il n'y avait aucune altération de la
sensibilité
dans le côté droit, et les réflexes superficiel
upination. Avec cette paralysie motrice, il y avait une perte de la
sensibilité
tactile du dos, de deux phalanges des doigts. I
doigts. Nous avons apparemment ici un exemple net de la perte de la
sensibilité
tactile et du sens musculaire, accompagnée de p
e clo- nique (on pouvait amener cet état en manipulant le pouce).
Sensibilité
. - Pas d'altérations, excepté la perte du sens mu
ouvent de très violents maux de tête, qui augmentaient (et aussi la
sensibilité
) à l'approche des attaques. Il y avait aussi une
- vements perdus; 2° Chez l'homme, une paralysie temporaire de la
sensibilité
et de la moibilité du type hystérique ou foncti
imple courant de 8 milliampères, en graduant la' densité d'après la
sensibilité
de l'épiderme. Un faible courant devra correspo
douleurs i Ces deux particularités s'observent chez 2o Il relève la
sensibilité
' l'homme normal. 3n Il exerce une action réfle
uer l'autopsie de malades chez qui il avait constaté la perte de la
sensibilité
tactile et des impressions de froid alors que la
, les lésions cérébro-spinales unilatérales qui ne nuisent pas à la
sensibilité
tactile ne nuisent pas non plus à la sensibilité
e nuisent pas à la sensibilité tactile ne nuisent pas non plus à la
sensibilité
des impressions froides; celles qui anéantissen
upprimées quand on comprime les troncs nerveux périphériques; 4° la
sensibilité
à l'égard de la chaleur est chez l'homme transmis
'autres tractus et de ceux-ci à d'autres centres céré- braux que la
sensibilité
à l'égard du froid ; 5° le sens de la température
t insensible à l'égard du froid, perçoit les grossiers contacts. La
sensibilité
frigorale et tactile s'effectue donc par des ne
de l'exagération des réflexes tendineux. Intégrité par- faite dela
sensibilité
. Dans deux autres cas de monoplégie syphi- liti
sensibilité. Dans deux autres cas de monoplégie syphi- litique, la
sensibilité
commune était diminuée, ainsi que la faculté de
x parfois même exagérés. Jamais d'altéra- tions fondamentales de la
sensibilité
, du sens musculaire, de la réaction électrique.
trophique), 226 ; - (com- binée), 233 ; (multdocu- laire), 236.
Sensibilité
(forme nouvelle de troubles de la dans les lé-
vant, elle avait commencé à remarquer que ses doigts devenaient d'une
sensibilité
anormale. Bientôt à l'extrémité des doigts survin
ci caractéristiques : Io l'absence de troubles des divers modes de la
sensibilité
; 2° le genre de la déformation des doigts ; 3° l
émités supérieures, les paralyse, y atrophie les muscles, y abolit la
sensibilité
et y produit des mutilations. Tout anesthésique q
est caractéristique et porte uniformément sur les divers modes de la
sensibilité
. En outre, et cela nous intéresse spécialement ic
constater dans le panaris do Morvan cette dissociation spéciale de la
sensibilité
que l'on rencontre dans la syringomyélie et qui e
de Duchenne-Aran. Il y existe aussi, il est vrai, des troubles de la
sensibilité
, mais ceux-ci sont beaucoup plus étendus que dans
ortent pas, fait très important en l'espèce, sur tous les modes de la
sensibilité
. Ici, les sensations de contact sont généraleme
ns de contact sont généralement conservées, tandis qu'au contraire la
sensibilité
à la chaleur et au froid est totalement abolie et
r de grandes surfaces du corps. Cette dissociation des troubles de la
sensibilité
est caractéristique de la syringomyélie et on ne
ts et des picotements, sans siège précis, dans la main malade. « La
sensibilité
à la douleur est absolument disparue dans toute l
rue dans toute la main, à l'exception du doigt médius qui conserve sa
sensibilité
dans la plus grande partie de sa surface. La sens
conserve sa sensibilité dans la plus grande partie de sa surface. La
sensibilité
tactile de ce doigt n'a pas été notée, ni celle à
nesthésie à la piqûre se prolonge sur tout le membre, sans plaques de
sensibilité
disséminées. Elle est limitée par une ligne assez
interne du bras est insensible malgré les perforants intercostaux. La
sensibilité
à la chaleur et la sensibilité profonde à la doul
malgré les perforants intercostaux. La sensibilité à la chaleur et la
sensibilité
profonde à la douleur n'ont pas été notées. « I
sticulaire sont normaux. Le réflexe patellaire est plutôt exagéré. La
sensibilité
est peut-être un peu exagérée dans les membres in
odoformé. « Aussitôt que le malade est réveillé, on constate que la
sensibilité
est revenue complètement dans tout le membre. Peu
autre maladie dans laquelle on rencontre également des troubles de la
sensibilité
distribués de la même manière, c'est-à-dire par s
vent se combiner chez un individu, de concert avec les troubles de la
sensibilité
, pour simuler la syringomyélie, et il n'y a pas b
syringomyélie, si dans cette dernière affection les tren^? bles de la
sensibilité
se manifestent avec une dé^irâi-tation analogue à
culaire plus ou moins parfaite, ne porte pas sur tous les modes de la
sensibilité
. La sensibilité au toucher y est conservée ; la d
moins parfaite, ne porte pas sur tous les modes de la sensibilité. La
sensibilité
au toucher y est conservée ; la douleur, au contr
; la douleur, au contraire, n'est plus perçue que comme contact et la
sensibilité
au chaud et au froid est complètement abolie. Don
si particulière de l'anesthésie. Chez notre malade, vous voyez que la
sensibilité
est abolie dans tous ses modes, ce qui est hystér
il nous a adressée en nous envoyant le malade, sur les troubles de la
sensibilité
qui lui semblaient hors de proportion et ne conco
mianesthésie droite totale, absolue, portant sur tous les modes de la
sensibilité
. Les sens spéciaux, goût, ouïe, odorat, sont obnu
u même côté. Ajoutons qu'il est atteint de troubles très nets de la
sensibilité
générale. On constate en effet chez lui : 1° une
On constate en effet chez lui : 1° une diminution très évidente de la
sensibilité
générale pour tous ses modes (contact, douleur, t
téro-latérale du cuir chevelu. Le pavillon de l'oreille a conservé sa
sensibilité
au toucher et à la température, mais est analgési
ire du côté gauche est complètement insensible. Partout ailleurs la
sensibilité
est absolument normale. (1) L'observation résum
un peu exagérés. Pas de trépidation spinale. Pas de troubles de la
sensibilité
cutanée au contact, à la douleur, à la températur
des personnes de la ville, combinée tantôt avec des altérations de la
sensibilité
(anesthésie ou hyperesthésie), tantôt avec des tr
main. . De plus, il existe une anesthésie pour tous les modes de la
sensibilité
, contact, douleur et température, remontant sur l
entant les caractères de l'œdème bleu et accompagné de troubles de la
sensibilité
, pourra, dans certaines circonstances, simuler l'
ns la région de la main et de l'avant-bras, il y a conservation de la
sensibilité
au contact, analgésie et thermo-anesthésie. Vou
st anesthésique. Or il s'est fait un transfert à peu près exact de la
sensibilité
à la main et au poignet gauches : sensibilité à t
à peu près exact de la sensibilité à la main et au poignet gauches :
sensibilité
à tous les modes jusqu'à un travers de main au-de
sthésie absolue persiste dans tout le membre au-dessus de la ligne de
sensibilité
complète, de telle sorte que la sensibilité à la
au-dessus de la ligne de sensibilité complète, de telle sorte que la
sensibilité
à la température ne s'est pas transférée comme le
s et cette main redevient blanche comme l'autre, mince et recouvre sa
sensibilité
, tandis que la gauche, qui avait récupéré le sent
tout le côté droit une anesthésie complète pour tous les modes de la
sensibilité
, tact, chaud, froid, douleur. Goût : Aboli à dr
xistait pas de signe de Brodie au niveau des articulations malades.
Sensibilité
diminuée pour la douleur, le chaud et le froid da
ni vaso-moteurs. On constatait seulement une légère diminution de la
sensibilité
aux contacts délicats et aux piqûres légères. Les
ît y avoir un certain degré de rétraction des muscles fléchisseurs.
Sensibilité
moins nette qu'à la jambe droite. — Perte des réf
ui avait été douloureuse au début, revient bientôt à l'état normal.
Sensibilité
obtuse à la partie antérieure de la jambe, en deh
a jambe, en dehors du tibia, à la face dorsale du pied. Trouble de la
sensibilité
également à la face plantaire du pied, mais bien
pose sur le sol en deux temps. Amaigrissement notable de la jambe.
Sensibilité
très obtuse à la partie antéro-externe de la jamb
face dorsale du pied et surtout au gros orteil. Affaiblissement de la
sensibilité
à la face plantaire du pied. Pas de douleur à l
éroniers) montre qu'ils se contractent à peine. L'exploration de la
sensibilité
, à l'aide du pinceau électrique, dénote une anest
s spontanées le long de la jambe, jusqu'à l'extrémité des orteils. La
sensibilité
devait être également tout au moins obnubilée à c
sensible (elle ne sentait pas l'électricité). Au bout de deux mois la
sensibilité
revient un peu à la jambe ; enfin, après neuf m
s deux derniers orteils. A la plante du pied, légère altération de la
sensibilité
dans la région des orteils; le reste de la voûte
bcès de la fosse iliaque, une névralgie du crural avec troubles de la
sensibilité
bien nettement localisés au domaine cutané de ce
Flexion possible et même énergique. Mouvements de latéralité nuls.
Sensibilité
au froicl, à la chaleur et à la douleur abolie «
est seulement très obtuse, presque nulle au niveau du gros orteil. La
sensibilité
est intacte à la plante du pied et dans toute l'é
cles extenseurs n'éveille non plus aucune sensation douloureuse. La
sensibilité
est normale sur tout le corps, sauf au niveau de
plus aiguës, jamais il ne s'est tenu de travers. Les troubles de la
sensibilité
qui occupent la jambe gauche sont distribués de l
occupent la jambe gauche sont distribués de la façon suivante : 1"
Sensibilité
à la douleur. — Il existe une zone d'analgésie co
ie à la chaleur et au froid chez le malade de l'Observation VII. 2°
Sensibilité
a la température. — Le trouble est distribué de m
be est prise dans une étendue beaucoup moindre^ (V. la Fig. 22.) 3°
Sensibilité
au tact. — Elle est conservée dans une étendue be
VIII (personnelle).—Sciatique avec troubles de . lamotilitè et de la
sensibilité
dans le domaine du nerf sciatique po}3lité extern
e. — Pas de troubles trophiques. — Aucun symptôme de syringomyélie.
Sensibilité
au tact conservée. Sensibilité à la douleur conse
. — Aucun symptôme de syringomyélie. Sensibilité au tact conservée.
Sensibilité
à la douleur conservée à la cuisse, atténuée à la
tténuée à la face externo de la jambe, exagérée sur le dos du pied.
Sensibilité
a la chaleur. —« Hypoesthésie à la face externe d
sibilité a la chaleur. —« Hypoesthésie à la face externe de la jambe.
Sensibilité
du froid diminuée dans la même région. Examen é
e non traumatique. On a vu que chez cette malade les troubles de la
sensibilité
étaient moins accentués et moins étendus que dans
adipeuse sous-cutanée est égale des deux côtés. — Pas de varices. La
sensibilité
au contact et à la piqûre est intacte ; la sensib
de varices. La sensibilité au contact et à la piqûre est intacte ; la
sensibilité
au froid et au chaud est diminuée depuis la parti
ès le même développement. Dans I'Observation VIII, les troubles de la
sensibilité
sont notablement moindres et les lésions musculai
de dégénérescence. Enfin dans I'Observation IX, les troubles de la
sensibilité
sont à peine appréciables, les troubles moteurs d
lle). — Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et troubles de la
sensibilité
. Marie B..., âgée de 57 ans, couturière. Anté
tte dernière. Réflexe rotulien normal, un peu fort, des deux côtés.
Sensibilité
. — Il existe une anesthésie incomplète au tact, a
art des troubles de la motilité et d'autre part des altérations de la
sensibilité
. En ce qui concerne la motilité, nous voyons qu'i
observations précédentes. Examinons d'autre part les troubles de la
sensibilité
. Ils se présentent exactement sous le même aspect
des altérations graves, accentuées, intenses de tous les modes de la
sensibilité
, localisées à peu près exactement au territoire s
ciatique poplité externe. D'un autre côté, une simple diminution delà
sensibilité
clans toute l'étendue du membre inférieur. Nous p
s toute l'étendue du membre inférieur. Nous pouvons répéter ^ pour la
sensibilité
, ce que nous disions quelques lignes plus haut po
malade ne sent pas le pinceau, ne per- Fig. 31 et 32. — Etat de la
sensibilité
chez le malade de l'observation XI (sciatique et
est à remarquer que le cou-de-pi ed présente les mômes troubles de la
sensibilité
que le reste du membre, c'est-à-dire que la cuiss
anmoins de reconnaître leur véritable nature. Au point de vue de la
sensibilité
, le membre inférieur droit doit être partagé en d
lus interne du dos et de la plante du pied, a entièrement conservé la
sensibilité
tactile, mais a perdu la sensibilité à la douleur
pied, a entièrement conservé la sensibilité tactile, mais a perdu la
sensibilité
à la douleur, à la chaleur et au froid; la second
gauchedu corps : thermoanesthésie, analgésie, diminution légère de la
sensibilité
tactile. A gauche, les sens spéciaux sont atteint
thésie, mais d'une simple diminution, fort légère, à vrai dire, de la
sensibilité
. Enfin, et c'est là, ce nous semble, le meilleur
répidation épileptoïde. Le réflexe pharyngien est totalement aboli.
Sensibilité
. — A la piqûre : conservée sur tout le corps des
be et le pied malades semblent présenter une légère hyperesthésie. La
sensibilité
au chaud et au froid est partout conservée, sauf
il n'existe pas de troubles trophiques cutanés. En ce qui concerne la
sensibilité
des téguments, je n'ai à vous signaler qu'une pet
aler, de l'impossibilité de siffler. Il n'y a aucun trouble, ni de la
sensibilité
, ni des sphincters. L'auteur fait remarquer dan
une lésion systématique, car il n'y a aucun trouble concomitant de la
sensibilité
, pas de paralysie de la vessie et du rectum, les
de l'ophthalmoplégie externe. J'ajoute qu'il n'a aucun trouble de la
sensibilité
ni des sphincters. Tout concorde donc à nous fa
llaires. Les réflexes sont absents et il n'existe aucun trouble de la
sensibilité
ni des sphincters. Ici encore nous avons constaté
ibrillaire dans les lèvres ni dans la langue. Pas de troubles de la
sensibilité
, ni sur la face ni dans la bouche. Le réflexe pha
eu près normal à gauche. Enfin les sphincters fonctionnent bien et la
sensibilité
n'est pas altérée. Phénomène curieux à noter dans
1890 a donné les résultats suivants : Réflexes pharyngiens conservés.
Sensibilité
du voile du palais et de la paroi postérieure du
est à peu près normal. Nulle part on ne constate de troubles de la
sensibilité
, ni au contact, ni à la douleur, ni à la températ
érieurs et il n'y a ni paralysie des sphincters ni modification de la
sensibilité
. Obs. IV. — Polioencèphalomyélite. —Peyn..., tr
s de la peau. Le malade ne souffre en aucun point des membres. La
sensibilité
est partout conservée, complètement intacte dans
oid, chaleur). Le sens musculaire n'est pas altéré, non plus que la
sensibilité
articulaire. Aucun trouble des sphincters (vessie
nx, ainsi que de la base de la langue. Réflexes très peu prononcés.
Sensibilité
du larynx diminuée. Bpiglotte normale. Cordes voc
normaux ; ceux des membres supérieurs sont complètement absents. La
sensibilité
est intacte dans tous ses modes sur toute l'étend
e l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la
sensibilité
. La contractilité fara-dique était diminuée, mais
ractéristique qui est la dissociation particulière des troubles de la
sensibilité
. Chez les malades atteints de polioencéphalite, c
érieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la
sensibilité
, troubles tro-phiques. Formes frustes et atypique
s. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des troubles de la
sensibilité
, qui ne sont point différents, en somme, de ceux
n'ignorait pas que les cornes postérieures servent de conducteurs aux
sensibilités
à la douleur et à la température, tandis que la s
eurs aux sensibilités à la douleur et à la température, tandis que la
sensibilité
au tact, d'après Schiff, passerait par les faisce
s réflexes, d'une évolution symétrique et lente. 2° Troubles de la,
sensibilité
. C'est parmi ceux-ci que se range ce signe capita
e, surtout s'il s'y joint des troubles trophiques. Les troubles de la
sensibilité
sont distribués par segments, et ils ne portent n
premier rang. En somme, vous le voyez, les troubles spéciaux de la
sensibilité
sont seuls les symptômes vraiment fixes, c'est le
bre. Ces troubles moteurs sont toujours accompagnés de troubles de la
sensibilité
. Mais ceux-ci diffèrent de ce que l'on voit clans
Et d'abord le grand argument tiré de la différence des troubles de la
sensibilité
n'est pas aussi absolu qu'on l'avait cru. D'un cô
ption de M. Morvan. Mais si nous examinons de près les troubles de la
sensibilité
, sur toute l'étendue de ce membre parético-analgé
caractères qui appartiennent à la syringomyélie ; partout en effet la
sensibilité
au contact est parfaitement conservée, tandis qu'
, et thermo-anesthésie (1). Donc, de par la nature des troubles de la
sensibilité
et la limitation monoplégique des symptômes, c'es
Suivant Leyden, Althaus aurait le premier signalé les troubles de la
sensibilité
qui font que, quelquefois, les diabétiques paréti
ant une quinzaine de jours et plutôt pour les objets rapprochés. La
sensibilité
parait normale au contact et à la douleur. Faib
La seule chose qui vous surprenne, c'est l'absence de troubles de la
sensibilité
, presque toujours présents à un haut degré dans l
0. 1 Gilles de la Tourette. —De la superposition des troubles de la
sensibilité
et des spasmes de la face et du cou chez les hyst
nique, publié déjà un travail sur la superposition des troubles de la
sensibilité
et les spasmes de la face et du cou chez les hyst
des membres. Ajoutez à ces caractères quelques légers troubles de la
sensibilité
et vous aurez l'image de l'hémiplégie dans le syn
je n'ai 1 Gilles de la Tourelte. — Superposition des troubles de la
sensibilité
et des spasmes de la face et du cou chez les hyst
pectée. Cette hémiplégie motrice se serait accompagnée de perte de la
sensibilité
. On aurait piqué la malade du côté droit sans qu'
sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d'atrophie musculaire. La
sensibilité
générale est abolie dans tout le côté droit. Cett
est complète et totale dans le reste du corps pour tous les modes de
sensibilité
(contact, douleur, température). Pas d'anesthésie
ilité (contact, douleur, température). Pas d'anesthésie pharyngée. La
sensibilité
conjonctivale et cornéenne est abolie à gauche, q
n des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement, troubles de la
sensibilité
suivant la disposition dite syndrome de Brown-Séq
sensibilité de cette région. Enfin, plus récemment, il apprend que la
sensibilité
cutanée s'est affaiblie dans le membre inférieur
ligne horizontale passant par les aisselles, sont atteints dans leur
sensibilité
. Ici, ce n'est plus la dissociation syringomyéliq
? Ce n'est pas ainsi, en général, que se disposent les troubles de la
sensibilité
dans la syringomyélie; ils procèdent par segments
iphérique. Mais, direz-vous, et la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
? Peut-elle être produite par la lésion d'un nerf
jà, pour ma part, 1 Dans un cas de lèpre anesthésique par places la
sensibilité
tactile était à peine modifiée, la sensibilité th
thésique par places la sensibilité tactile était à peine modifiée, la
sensibilité
thermique et la sensibilité à la douleur étant ab
bilité tactile était à peine modifiée, la sensibilité thermique et la
sensibilité
à la douleur étant absolue. — (A. Sass. Deux cas
— Hachures horizontales : zone de dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. Les excitations thermiques et douloureuses provo
du côté droit. On ne constate pas de tremblements fibrillaires. La
sensibilité
cutanée est intacte à gauche comme à droite. En
bilité cutanée est intacte à gauche comme à droite. En revanche, la
sensibilité
thermique est presque totalement abolie (pour le
quinze ans, par M. Charcot, provoquaient une douleur véritable. La
sensibilité
à la douleur, sans être complètement abolie, ne s
insidieusement dès l'adolescence, se sont ajoutés les troubles de la
sensibilité
et les troubles trophiques que nous venons de pas
nce grise au voisinage du canal épendymaire et à gauche a dissocié la
sensibilité
et provoqué les troubles trophiques. Voilà donc
efois, l'asymétrie faciale est encore évidente. En ce qui concerne la
sensibilité
, il existe ici une anomalie : l'hémianesthésie
des réflexes avec trépidation spinale, peut-être quelques troubles de
sensibilité
, légers et limités, mais jamais de l'hémianesthés
inférieur et le pli courbe. Veuillez remarquer, je vous prie, que la
sensibilité
est restée complètement indemne. Mais ce n'est
du même côté, plus accusée au niveau de la main, sans troubles de la
sensibilité
, mais accompagnée d'une diminution très sensible
-faciale du nerf facial. Les autres muscles du corps sont sains. La
sensibilité
est intacte sur tout le corps, dan s tous ses mod
sque absolue du goût et de l'odorat des deux côtés ; diminution de la
sensibilité
pharyngée ; diminution de l'ouïe du côté droit ;
eloppés, mais suffisants néanmoins pour confirmer le diagnostic. La
sensibilité
est conservée dans tous ses modes à droite. Elle
riasis versicolor. — Pas de réflexe pharyngien, pas de troubles de la
sensibilité
générale. Champ visuel normal à droite, à gauch
centués chez cette malade. Il existe néanmoins un léger trouble de la
sensibilité
, dont la présence acquiert ici une grande importa
de connaissance et les bâillements que nous avons déjà mentionnés. La
sensibilité
au contact est conservée sur toute la surface cut
é au contact est conservée sur toute la surface cutanée, ainsi que la
sensibilité
au chaud et au froid. Mais il n'en est pas de môm
ensibilité au chaud et au froid. Mais il n'en est pas de môme pour la
sensibilité
à la douleur, et il existe, sinon une analgésie,
il existe, sinon une analgésie, du moins une diminution notable de la
sensibilité
à la face et dans toute la moitié droite du corps
érieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la
sensibilité
, troubles tro-phiques. Formes frustes et atypique
Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des troubles de la
sensibilité
, qui ne sont point différents, en somme, de ceux
n des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement, troubles de la
sensibilité
, suivant la disposition dite syndrome de Brown-Sé
uniquement que de la paralysie atrophique et des altérations de la
sensibilité
des extrémités supérieures, troubles généraleme
interosseux sont complètement abolis. Il existe des troubles de la
sensibilité
très caractérisés. A droite le con- tact et la
palmaire de la main et de l'avant-bras : dans les mêmes limites la
sensibilité
ther- mique est abolie. La limitation de l'anes
a deux mois. Cette fois, il remarqua qu'il avait des troubles de la
sensibilité
. Étal actuel. - C'est pour une dernière atteint
malade ne peut exécuter de mouvement d'opposition du petit doigt.
Sensibilité
. Le malade se plaint de picotements presque conti
otements presque continus dans la partie interne des deux mains. La
sensibilité
au contact et à la piqûre est abolie sur la fac
s sont gênés, et ceux des deux derniers doigts sont impossibles. La
sensibilité
au contact, à la piqûre, il la température, est a
Le pouce s'oppose des deux côtés mais en tournant sur son axe. La
sensibilité
au tact est abolie sur le bord interne des deux m
s mêmes acci- dents de parésie, d'amyotrophie, et de troubles de la
sensibilité
can- tonnés dans la zone du nerf cubital. Dan
des troubles paralytiques et atrophiques, et des altérations de la
sensibilité
qui restent localisés au territoire desservi pa
sont toujours de la paralysie, de l'atrophie, et des troubles de la
sensibilité
symétriques, et répondant presque absolument à la
forte. On n'obtenait pas de secousses à la fermeture du courant. La
sensibilité
de la peau du dos de la main était altérée au niv
ssion ni les excitations produites par les courants électriques. La
sensibilité
tactile et thermique n'était presque pas atteinte
, de même l'adduction du pouce est em- pêchée. Les troubles de la
sensibilité
sont constants, mais plus ou moins profonds. L'
cette évolulion, l'une de début caractérisée par des troubles de la
sensibilité
, la seconde ~ d'état avec de la paralysie atrop
. son .trajet esl.doiir - loureuse. Dans tout le domaine du nerf la
sensibilité
au tact est diminuée, .elle; est 'abolie pour l
arésie du cubital antérieur. Il existait de plus des troubles de la
sensibilité
, fourmillement et engourdissements, diminution de
tion de la main en pronation posée à plat est presque impossible.
Sensibilité
. Douleurs dans la partie interne comparée à des f
rologie, 1888). UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 15 La
sensibilité
au tact, à la piqûre, à la température est diminu
nfé- rieur du côté opposé, que dans le membre excité lui-même. La
sensibilité
est intacte à la piqûre, au contact, au chatouill
sibilité est intacte à la piqûre, au contact, au chatouillement; la
sensibilité
au froid est exagérée. Le malade dit qu'il est tr
malade, quand elle reste trop longtemps assise. L'exploration de la
sensibilité
donne les résultats suivants : Le sol n'est pas
tié externe de sa face plantaire. Ces troubles sont symétriques. La
sensibilité
au contact,tla sensibilité au froid et au chato
taire. Ces troubles sont symétriques. La sensibilité au contact,tla
sensibilité
au froid et au chatouillement sont altérées dan
oid et au chatouillement sont altérées dans les mêmes points que la
sensibilité
à la piqûre. Les troubles trophiques sont les
restaient toujours raides, en adduction forcée. Au bout d'un an, la
sensibilité
avait complètement reparu; de même, les fonctio
ve ; bonne santé ordinaire ; pas de douleurs; pas de troubles de la
sensibilité
; intégrité des fonctions vésicales et rectales.
eu dans ce membre; elle reste abolie dans le membre supérieur. - La
sensibilité
tend à devenir égale des deux côtés. Les signes
dres, variables suivant les cas, sont les suivants : Troubles de la
sensibilité
. - Les membres atteints sont souvent le siège d
trice progressive. Les crampes douloureuses sont fréquentes. La
sensibilité
cutanée est souvent altérée. Dans un cas (observa
bas en haut en commençant par les orteils ; tantôt, surtout pour la
sensibilité
,en sens inverse. Les membres supérieurs sont ra
un peu en bas. Rien de particulier à remarquer aux jointures. La
sensibilité
est partout normale, de même que les réflexes cut
le réflexe tendineux du'triceps existe. ' , Légers troubles de la
sensibilité
surtout au contact sur les avant-bras, les main
t pas dilatés ; au- cune affection rétinienne. La recherche de la
sensibilité
farado-cutanée par la méthode de Erb donna à la
de bromure, a l'anesthésie pha- ringée complète et persistante; la
sensibilité
cutanée et muqueuse, nor- male au contactet au
ble mise en évidence par l'anesthésie pharyngée, les troubles de la
sensibilité
générale, le rétrécissement bilatéral' du champ
testicules sont petits. Il n'existe pas de troubles évidents de la
sensibilité
générale ou spé- ciale. L'étude du temps de r
décolorés. Il existe du même côté droit un affai- blissement de la
sensibilité
générale et spéciale et une augmentation de la
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
ET DES SPASMES DE LA FACE ET DU COU CHEZ LES HY
ette notion générale, du lien commun tiré de l'état des troubles de
sensibilité
- qui réunit les spasmes des diffé- rents muscl
ES 'l'IIUIiI>LIsS. JOU Elle présente les troubles suivants de la
sensibilité
générale (fig. 38, 3J) : Sensibilité complète à
te les troubles suivants de la sensibilité générale (fig. 38, 3J) :
Sensibilité
complète à la piqûre, au froid et au contact dans
et se termine en manchon sur l'épaule. Rien de particulier pour la
sensibilité
des membres inférieurs, si ce n'est que le gauc
st également insensible dans son segment interne et infé- rieur. La
sensibilité
est en outre diminuée sur toutes les autres parti
rvient toujours pas à rendre à la cornée et à la conjonc- tive leur
sensibilité
. Ce jour-là, à six heures et quarl du soir, la ma
rose de l'oeil gauche, sans jamais pouvoir rendre par suggestion la
sensibilité
à cet oeil. La malade parle alors à haute voix et
oureuse. En même temps, on constate un changement dans l'état de la
sensibilité
cutanée de la malade : il y a toujours hémianes
che. Le côté droit du tronc et le membre infé- rieur droit ont leur
sensibilité
normale. Mais le membre supérieur droit, y comp
sauf au niveau des deux dernières phalanges des doigts qui ont leur
sensibilité
normale, de même que deux zones qui ont la form
leurs provoquées sont plus vires qu'à l'état de veille alors que la
sensibilité
a disparu dans tout le reste du corps, ainsi qu
remiers jours du mois de janvier 1888, on remarque que l'étal de la
sensibilité
cutanée de la malade s'est encore une fois modifi
- pagnent n'ont subi aucune modification, non plus que l'état de la
sensibilité
. La malade a toujours en moyenne une attaque co
t agité de mouvements malléatoires de chorée rhythmée. L'état de la
sensibilité
de ce membre n'est aucunement modifié par l'adj
ui enlève le blépharospasme par suggestion sans que la vision et la
sensibilité
de l'oeil gauche et des parties périphériques se
pour le bleu et pour le violet à gauche. Pour la première fois, la
sensibilité
est revenue sur la cornée et la conjonc- tive d
simple menlion. Nous avons nommé l'aphonie et les variations de la
sensibilité
dans ses rapports particuliers avecles arthralg
2. Parinaud, Anesthésie de la rétine. Contribution à l'élude de la
sensibilité
visuelle. Annales d'oculislique, août 1886. - S
il n'en est pas toujours ainsi en ce qui regarde les troubles de la
sensibilité
oculaire ou cutanée qui nous semblent, au moins a
ptômes du blépharospasme hystérique consistait dans les troubles de
sensibilité
qui se superposaient au spasme. L'étude de cett
ion suivante qui montrera en toute évidence combien les troubles de
sensibilité
sont liés aux phé- nomènes hystériques localisé
hénomène absolument de même ordre, de superposition des troubles de
sensibilité
à la contracture des muscles sous-jacents. Fa
(20 mai 1888).' Chaque jour on explore, en faisant le pansement, la
sensibilité
locale dans le domaine des nerfs sectionnés. A
s étaient agités de petits mouvements de flexion et d'extension. La
sensibilité
et l'intelligence étaient complètement abolies,
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. plète de l'intelligence et de la
sensibilité
. Pas d'écume à la bouche, pas de morsure de la
que les précédents. Entre les accès, l'intelligence esl troublée, la
sensibilité
obtuse. Pendant 12 jours le malade a le délire,
onctions digestives s'accomplissent parfaitement. La motilité et la
sensibilité
ne sonl pas altérées ; on ne trouve ni anesthésie
de ses enfants. ' Vu l'état mental de notre malade, l'examen de la
sensibilité
est presque impossible. Il paraît cependant réa
réagir à la douleur lorsqu'on le pique avec une aiguille. Quanta la
sensibilité
tactile, au goût, à l'ouïe, on ne sait s'ils so
. Les réflexes tendineux ne 'sont nullement exagérés.' · . - ' La
sensibilité
est intacte à lous les modes d'exploration. ' '
dies du 5%stèitic nerveux. DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. ET DES SPASMES DE LA FACE ET DU COU CHEZ LES H
e comportaient pas d'une façon analogue par rapport aux troubles de
sensibilité
locale. En premier lieu, notre attention étai
conogarphie, t. I, ,,1. XIV, 1688. SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 171 la langue, nous voyions bientôt, par génér
tière, à droite et il gauche, au spasme. L'examen minutieux de la
sensibilité
nous montra alors, que tandis que l'hémianesthé
me la partie droite, totalement anesthésique (fig. 53). De même, la
sensibilité
spéciale avait disparu, car le goût était totalem
e la commissure labiale gauche est SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 173 élevée et de ce côté la bouche entr'ouvert
ée à gauche*. Il était intéressant de voir comment se comportait la
sensibilité
à la face, particulièrement du côté gauche, siè
XV, 1888. 171 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SaLl'1 : 'l'I.IÈIiE. La
sensibilité
cornéenne et conjonctivale paraissent normales ;
QUE LECROSNIER ET DA13, ÉDITEURS SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 175 et qui consiste en une contracture de tous
e hystérie qui dure deux heures. SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 177 Le lendemain matin, 12 mai, nous la trouvo
a malade dans la région frontale gauche. L'examen minutieux de la
sensibilité
montre qu'il y a anesthésie complète de la moit
les mêmes modification que celles précédemment notées du côté de la
sensibilité
localisée et de faire cesser ces modifications
on des spasmes de la face et du cou et des troubles localisés de la
sensibilité
. La première (Obs. VI) est particulièrement rem
t à gauche d'une façon permanente très marquée. Nous explorons la
sensibilité
aussitôt l'attaque arrêtée et l'hémiplégie cons
la langue est fortement déviée il SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 179 droite; la moitié droite de la langue est
lade ne fume pas la pipe de ce côté. L'exploration minutieuse de la
sensibilité
montre que la partie droite contractl1l'ée de l
la tête est insensible. La cornée et la conjonctive sont privées de
sensibilité
. La muqueuse buccale est insensible à droite. D
Progrès médical, 28 janvier 1888). SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 181 cembre 1888. Pas d'antécédents héréditaire
de la muqueuse buccale qui ne recouvre pas la langue a conservé sa
sensibilité
, qu'elle a perdue à gauche, côté de l'hémianest
normalement anesthésique chez les deux malades, un transfert de la
sensibilité
dans des limites identiques à celles de la bande
ite (côte liémianesthésique) il s'est fait un léger transfert de la
sensibilité
. La malade, d'habitude très facilement hypnotis
en, résolution qui persiste au réveil. Nous constatons alors que la
sensibilité
a reparu à gauche dans la zone sus- indiquée, a
urs à gauche. Nous avons observé à SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 183 plusieurs reprises ces contractures le p
ndant lequel nous faisons disparaître la contracture. Au réveil, la
sensibilité
a reparu dans la zone anesthésique. Le 18 avril
outre la zone d'anesthésie gauche, il s'est fait un transfert de la
sensibilité
il droite (côté anesthésique) dans les régions
spondantes. Guérison de la contracture par suggestion, retour de la
sensibilité
à gauche, et de l'insensibilité à droite dans l
dans la région occipitale, au niveau des insertions du trapèze. La
sensibilité
est- revenue à droite dans les mêmes régions. U
ion fait disparaître la contracture et avec elle les troubles de la
sensibilité
. Les faits que nous avons rapportés, scrupuleus
orticolis; l'ic. 58. - (Obs. X), SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 185 et si le spasme glosso-labié n'a pas exerc
'est par la perte toujours incomplète du sens mus- culaire et de la
sensibilité
articulaire. N'aura-t-on pas, alors que l'évolu
est anesthésique totale alors qu'un seul côté du corps est privé de
sensibilité
. Il faut avoir été aux prises avec la difficult
ité, on pourra nous répondre que ces superpositions des troubles de
sensibilité
et du spasme ne sont pas d'une constance abso-
montré, au point de vue de leur topographie, que les troubles de la
sensibilité
dans l'hys- térie ne se superposent pas à l'inn
ontracturéc. - Dans les cas que nous avons décrits, les troubles de
sensibilité
sont in- dépendants topographiquenient de l'inn
e nerveux, t. III, p. 290 et suiv. SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. 187 turc est d'origine purement psychique et c
a Tourette a, de plus, récemment établi que souvent des troubles de
sensibilité
se superposaient au spasme, ce qui, dans la cir
s médical, nOS 5,7,1887.' 3. De la superposition des troubles de la
sensibilité
et des spasmes de la face et du cou chez les hy
on. Disparaît la nuit. Instabilité musculaire. Pas de trouble de la
sensibilité
. Résiste à toutes les médications. Mite X...,
me spinale. Elles sont étranges, inusitées. d) Les troubles de la
sensibilité
, très fréquents dans la forme spi- nale, n'exis
n peu plus d'action dans son bras paralytique sans cependant aucune
sensibilité
, un peu moins de peine à prononcer quelques syl
rent toujours dans'le même état sans aucun mouvement et sans aucune
sensibilité
, jusqu'à ne pas s'en apercevoir quand on y enfo
ndre et traîner le long des pavés ». Tout ce côté est « sans aucune
sensibilité
jusqu'à ne pas s'en appercevoir quand on y enfo
sensitivo-sensorielle, complète, absolue, pour tous les modes de la
sensibilité
, y compris le sens musculaire. t'ouïe, l'odorat,
u froid, à la chaleur avec perte du sens musculaire. Du côté droit,
sensibilité
émoussée. La pression du testicule droit, de
bras et le bras ne participent pas à l'atrophie. Pas de (roubles de
sensibilité
locale. La contracture qui est très prononcée se
i est très prononcée se résout pendant le sommeil chloroformiquc.
Sensibilité
(fig. 77, 78). Côté droit normal. Côté gauche.
ent ou actuellement par le malade. Parmi celles-ci, les troubles de
sensibilité
tiennent la princi- pale place. Mais ce qui m
fréquemment le siège de manifestations hystériques, les troubles de
sensibilité
en particulier. 2° Il peut exister des secousse
ras. Au bout de quinze jours, il commença il mouvoir ses doigts; la
sensibilité
revint petit à petit. Il est sorti de l'hôpital
des ; sans fourmil- lements, sans engourdissement, sans douleur, la
sensibilité
revint et, en huit NOUVELLE ICONOGRAPHIE , T.
sie est flasque ; pas tracés de contracture ou de raideur.. ' ' : '
Sensibilité
. Analgésie absolue de la face dorsale de la main
gions au froid (glace), à ta chaleur (100°. et au-dessus). - j La
sensibilité
au contact est conservée, inais elle est perverti
par exemple, porter son verre plein a sa bouche. Les troubles de la
sensibilité
restent les mêmes. 28jwùi. Dans la nuit, trembl
ROUBLES TROPHIQUES DANS l'IIYSTERIE. 275 faible que d'ordinaire, sa
sensibilité
esl diminuée sauf au niveau du pouce et de la p
pouce et de la partie externe de l'index où elle est normale. La
sensibilité
générale est diminuée surtout il gauche, y compri
symétrique de droite présente également une grande diminution de la
sensibilité
. Il semble qu'il faille un courant électrique p
moins bien que normalement. Samedi 28. - Motilité stationnaire. La
sensibilité
des mains est revenue. La sensibité générale re
e pression forte exercée sur une large surface est bien tolérée. La
sensibilité
thermique est émoussée. Le contact d'une boule
sans doute, il ce trouble vaso-moteur se joignaient des troubles de
sensibilité
. Un oedème sous-cutané beaucoup plus manifeste
de l'oedème il une paralysie ou à une contracture avec troubles de
sensibilité
. Dans un cas, rougeur inflammatoire de la peau
uce avec sa cigarette sans s'en apercevoir. Mais les troubles de la
sensibilité
n'étaient pas faits pour embarrasser outre mesu
lente et progressive, abolition dans certaines régions des diverses
sensibilités
avec dissociation pour la sensibilité tactile c
rtaines régions des diverses sensibilités avec dissociation pour la
sensibilité
tactile conservée dans les mêmes territoires. T
pieds se détachent un peu difficilement du sol. Divers modes de la
sensibilité
. - On note au niveau de la face palmaire du pou
tous les niois. Elles existent depuis l'âge de 17 ans. ' . , . '
Sensibilité
à la douleur (fig. 81, 82). - Aux membres supérie
gravés; à ce propos, nous ferons remarquer que les divers modes de
sensibilité
subissent localement assez souvent chez les syr
CAS DE SYRINGOMYÉLIE. 315 difier d'une façon assez accentuée.) - La
sensibilité
aux pieds est normale. La sensibilité à la doul
façon assez accentuée.) - La sensibilité aux pieds est normale. La
sensibilité
à la douleur est normale sur le reste du corps.
n de caoutchouc avait assez profondément pénétré dans les tissus.
Sensibilité
tactile. -Conservée d'une façon générale. Toutefo
roite) les scnsalions tactiles sont plutôt perverties qu'abolies.
Sensibilité
au froid (glace) (fig. 85, 86). Membres supérieur
l'épaule. Tronc : normale. - Membres inférieurs : hyperesthésiés.
Sensibilité
à la chaleur. Main et avant-bras gauche : thermo-
piqûre mais n'éprouve au- cune douleur. Pas de différence entre la
sensibilité
des deux côtés du corps. Zone hystérogène du ma
3. Possibilité d'arrêter à volonté l'attaque. 4. Diminution de la
sensibilité
des deux côtés. 5. Changement d'humeur survenu
C2. Hystérie (champs usuels dans 1' -), d0, 11, .1,G; (schémas de
sensibilité
dans l' -), 38, 3(J, .1,2, 43, 41, IJ,J3, Jf·.
ne forme particulière de -) 1, 2, 3, 1. Syringomyélie (schémas de
sensibilité
dans la -), 1c11, 82, 83,81,85, 8G, TABLE DES
les ), ), par P. Richer, 17 ; (superposition des trou- bles de la
sensibilité
et des spasmes de la face et du cou chez les ).
ande le secours d'un neurologiste. Une diminution unilatérale de la
sensibilité
de la main, un affaiblisse- ment du sens stéréo
ception de l'Hystérie et de l'Hypnotisme : .' « Avant d'explorer la
sensibilité
, je me contente de recommander au malade de me
er ses jambes et lui demande si elles ne s'affaiblissent pas, si sa
sensibilité
ne diminue pas. Les réponses, d'abord négatives,
stigmates hystériques font presque totalement défaut. Toutefois la
sensibilité
au tact du membre inférieur gauche est plus obtus
eux ; 2" des observations cliniques où les réflexes tendineux et la
sensibilité
s'afl'aiblissent et disparaissent simultanément
l'abolition des réflexes rotuliens sans qu'il y eût de troubles de
sensibilité
. 60 SÉMIOLOGIE ' ne provoqueraient pas dans l
ssentielle que pour les territoires dont il importe de respecter la
sensibilité
, comme la région plantaire. Babinski. G th SE
de légères dou- leurs déjà signalées, il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
. Dans les autres parties du corps rien d'anorma
adressée à une autre per- sonne. .le dois faire remarquer que la
sensibilité
des membres paralysés était troublée mais non a
troubler dans leur quié- tude. Si elle est réelle, les troubles de
sensibilité
jouent vraisemblable- ment un rôle important da
nt de paraplégie motrice absolue avec troubles très accentués de la
sensibilité
superficielle et profonde des membres inférieurs.
ortantes sans aucun doute, qui sont fournies par les troubles de la
sensibilité
. Autre problème. L'intensité des réflexes de dé
résente une paraplégie spasmodique en extension avec troubles de la
sensibilité
remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La paral
-il préférable de choisir des malades présentant des troubles de la
sensibilité
, de manière à éviter les phénomènes douloureux.
actérisent peuvent être aussi bien provoqués par l'excitation de la
sensibilité
profonde que par celle de la sensibilité superf
ués par l'excitation de la sensibilité profonde que par celle de la
sensibilité
superficielle. Il n'en est pas moins vrai que la
nt complè- tement rétablis : la motricité est redevenue normale, la
sensibilité
est intacte, il n'y a pas de perturbation des s
il- leurs, que cette distinction soit malaisée, car les troubles de
sensibilité
sont des phénomènes subjectifs, dont l'apprécia
bord les recherches expérimentales faites sur des individus dont la
sensibilité
est normale et qui sont la base de ce travail.
sert de divers excitants que l'on emploie pour l'exploration de la
sensibilité
(épingle, glace, etc.). Or, voici ce qu'on obse
; mais la frontière qui sépare la zone hypoesthésiée de celle où la
sensibilité
est tout à fait normale a une fixité relative a
acines sacrées, où la sen- sibilité paraît absolumeut normale. La
sensibilité
tactile est parfaitement conservée sur toute l'ét
actile est parfaitement conservée sur toute l'étendue du corps ; la
sensibilité
profonde est légèrement atteinte du côté droit.
t être parfois provoquées par des excitations sur des territoires à
sensibilité
normale, soit dans la région des racines sacrée
vite,' encore plus vite. Le doigt dépasse le but. Le sujet, dont la
sensibilité
est intacte a parfaitement conscience de toute
où étaient apparus de la fièvre et des accès épileptiques), dont la
sensibilité
est intacte et qui ne présente que des désordre
i l'hypermétrie relèverait d'un trouble du sens musculaire ; car la
sensibilité
sous toutes ses formes, explorée avec les diver
r forme type. Le malade, dont la force musculaire est normale et la
sensibilité
intacte, est incapable de marcher sans soutien.
ltération cérébelleuse des troubles se rattachant à une perte de la
sensibilité
profonde et ressem- blant à ceux de l'ataxie ta
e d'aspect, de plus aucune diffé- rence d'origine : des troubles de
sensibilité
la provoquent et tout spécia- lement des troubl
ont pas arrivés à découvrir chez les cérébelleux des troubles de la
sensibilité
profonde, sauf dans des cas isolés. « Mais l'in
des cas isolés. « Mais l'indubitable insignifiance des troubles de
sensibilité
dans les affections cérébelleuses peut s'expliq
xie : elle porte en première ligne sur le tronc, et l'on examine la
sensibilité
, en particulier la sensibilité profonde, aux me
gne sur le tronc, et l'on examine la sensibilité, en particulier la
sensibilité
profonde, aux membres seulement ; 2" par la com
cérébelleux, le tronc ne soit pas d'habitude, au point de vue de la
sensibilité
profonde, l'objet d'une exploration attentive et
eloppement sans que les examens les plus minutieux l'établissent la
sensibilité
soit atteinte dans aucun de ses modes. Nous ne
e dans aucun de ses modes. Nous ne parlons, bien entendu, que de la
sensibilité
consciente telle qu'on la recherche en clinique,
qu'on la recherche en clinique, car comment déceler des troubles de
sensibilité
qui seraient en quelque sorte au-des- sous du s
pas néces- saire pour cela que l'incoordination et les troubles de
sensibilité
profonde soient très accusés. On constate cette
des résultats obtenus. Après la giration de dix tours, suivant la
sensibilité
vestibulaire à ce mouvement, sensibilité qui pe
n de dix tours, suivant la sensibilité vestibulaire à ce mouvement,
sensibilité
qui peut varier beaucoup même à l'état normal,
et le réflexe cutané plantaire sont normaux. Pas de troubles de la
sensibilité
. En raison de la cécité complète, et du mauvais
, pas d'adiadocosinésie. Il n'existe pas non plus de troubles de la
sensibilité
générale. La parole, sauf qu'elle est lente, ne
très marqué, sans diminution de l'acuité visuelle. La motilité et la
sensibilité
sont normales. Les réflexes sont normaux sauf l
vive et permanente. Il n'existe pas de troubles appréciables de la
sensibilité
. L'examen ophtalmoscopique montre qu'il n'y a p
s de troubles de la contractilité électrique. Pas de troubles de la
sensibilité
, sauf les picotements déjà mentionnés. Les réfl
ins marquées. ' TORTICOLIS SPASMODIQUE 265 Les divers modes de la
sensibilité
sont normaux. Les réactions électriques des mus
ble le plus saillant que l'on note pendant les efforts de marche.
Sensibilité
. La sensibilité au tact, à la douleur et à la tem
illant que l'on note pendant les efforts de marche. Sensibilité. La
sensibilité
au tact, à la douleur et à la température est aff
à la partie gauche du tronc et du cou. A la face du côté gauche la
sensibilité
est normale. Du côté droit, la sensibilité est in
a face du côté gauche la sensibilité est normale. Du côté droit, la
sensibilité
est intacte, sauf à la face dans le domaine du
pe, dans la région orbitaire et à la pommette. Dans ces parties, la
sensibilité
au tact et à la piqûre est extrêmement affaibli
sensibilité au tact et à la piqûre est extrêmement affaiblie et la
sensibilité
au froid est à peu près complète- ment abolie.
et la sensibilité au froid est à peu près complète- ment abolie. La
sensibilité
générale de la muqueuse olfactive et de la muqueu
ité auditive du côté droit. Du côté gauche l'ouïe est normale. La
sensibilité
olfactive est émoussée du côté droit. La sensib
normale. La sensibilité olfactive est émoussée du côté droit. La
sensibilité
gustative paraît à peu près abolie à droite ; l'a
ensitive qui n'étaient pour rien dans les désordres moteurs, car la
sensibilité
profonde, la notion des attitudes étaient parfa
e ; le réflexe du voile du palais est aboli. Il y a des troubles de
sensibilité
; tout le côté droit du corps jusqu'au cou présen
côté droit du corps jusqu'au cou présente un affaiblissement de la
sensibilité
au tact et à la température ; l'anesthésie est su
sée à la jambe et à la partie inférieure de la cuisse ; à la face, la
sensibilité
parait émoussée des deux côtés d'une manière il
La motilité volontaire n'est aucunement troublée. L'examen de la
sensibilité
révèle dans tout le côté droit du corps, sauf à l
ce, une dissociation à forme syringomyélique des divers modes de la
sensibilité
. Rien au coeur. Les appareils pleuro-pulmonaire
ins, mais elle est moins accentuée et moins durable qu'au début. La
sensibilité
est redevenue presque normale ; il n'existe plus,
ue, on élimine les différences qui pourraient tenir à des écarts de
sensibilité
entre les pléthysmographes ou entre les tambours
n côté et de l'autre, il va sans dire qu'il faut tenir compte de la
sensibilité
des appareils inscripteurs, et s'assurer que, pou
ndineux, difficiles à explorer, à la vérité, paraissent normaux. La
sensibilité
au tact des membres semble un peu diminuée, la
maux. La sensibilité au tact des membres semble un peu diminuée, la
sensibilité
à la piqûre et au froid est normale. La contracti
le membre inférieur droit est un peu plus grêle que le gauche ; la
sensibilité
au tact, à la piqûre, à la température est cons
tilité élec- trique est diminuée de ce côté ; pas de troubles de la
sensibilité
aux membres supérieurs. La malade urine parfois
ux et les réflexes cutanés sont normaux et égaux des deux côtés. La
sensibilité
générale et les sensibilités spéciales sont nor
ont normaux et égaux des deux côtés. La sensibilité générale et les
sensibilités
spéciales sont normales. Le malade ne souffre pas
musculaire, et qu'il existe une inté- grité parfaite de toutes les
sensibilités
et une absence de tout phénomène d'irritation p
de l'anesthésie et la dissociation spéciale des divers modes de la
sensibilité
, les lésions de l'articulation de l'épaule consti
me on le sait, une importance toute particulière pour l'étude de la
sensibilité
: elles se rapprochent, en effet, beaucoup des
les troubles de la motilité sont unilatéraux ; les trou- bles de la
sensibilité
présentent une dissociation syringomyélique. a"
unilatéraux, mais les COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 35y troubles de la
sensibilité
superficielle ne sont plus dissociés, il y a anes
ne sont plus dissociés, il y a anes- thésie complète (y compris la
sensibilité
tactile). 3° Les troubles de la motilité sont b
la motilité sont bilatéraux, au moins au début ; les troubles de la
sensibilité
cutanée prennent tous les modes. Petren insiste
nt amené des troubles bilatéraux de la motilité, les troubles de la
sensibilité
du côté opposé ne présentent jamais de dissocia
nsibilité du côté opposé ne présentent jamais de dissociation de la
sensibilité
cutanée, c'est-à-dire que la sensibilité tactil
mais de dissociation de la sensibilité cutanée, c'est-à-dire que la
sensibilité
tactile est toujours prise. D'autre part, dans
ris dans ses deuxième et troisième groupes, c'est-à-dire ceux où la
sensibilité
tactile se trouve prise, il existe toujours des
lité tactile se trouve prise, il existe toujours des troubles de la
sensibilité
profonde du côté opposé, c'est-à- dire du côté
-à- dire du côté de la lésion ; dans les cas du troisième groupe la
sensibilité
profonde peut même être atteinte du côté où siè
fonde peut même être atteinte du côté où siègent lès troubles de la
sensibilité
cutanée ('). Sans faire la critique des hypothè
gnes, qui se (') L'autour, pour expliquer ces faits, suppose que la
sensibilité
tactile dispose de deux voies, une bomolatérale
re croisée (cordon latéral), cette dernière desservant également la
sensibilité
thermique et douloureuse : la sensibilité profond
e desservant également la sensibilité thermique et douloureuse : la
sensibilité
profonde, tout particulièrement le sens mus- cu
nc, à côté de la dis- tribution habituellement un peu oblique de la
sensibilité
(distribution radiculaire) il paraît y avoir, d
ution horizontale. En nous basant sur ces limites supérieures de la
sensibilité
des mouve- ments réflexes nous avons essayé de
lésion siège au-dessus de ce segment. La limite des troubles de la
sensibilité
est plus élevée, surtout si nous tenons compte
l'attention sur plusieurs faits : i° La conservation relative de la
sensibilité
dans le domaine des racines sacrées. 2" La di
s produites par la pression ; du côté où siègent les troubles de la
sensibilité
profonde, la pression ne détermine que la doule
a pression ne détermine que la douleur ; du côté des troubles de la
sensibilité
superficielle, la sensation de pression est net
calisation du côté de la lésion, malgré l'atteinte très nette de la
sensibilité
profonde, ce qui est en désaccord avec les affi
'une série de recherches que nous poursuivons actuelle- ment sur la
sensibilité
, il nous a été donné d'observer certaines jL pa
ésie remontant jusqu'à la région mamelonnaire, nous avons vu que la
sensibilité
subsistait pourtant, à des degrés divers, sur une
des observations, avec, pour chacune, le schéma des troubles de la
sensibilité
. Nous tenons aussi à insister sur ce fait que l
nt 24 heures. Les fonctions génitales sont complètement abolies. La
sensibilité
est très diminuée sous tous les modes, au- dess
re, d'importantes modifications se produisent dans le domaine de la
sensibilité
: elle reparaît aux fesses, aux organes génitaux
3 1 sont perçus sur des zones à topographie presque identiques. La
sensibilité
profonde est fortement diminuée au membre infér
ens (flexion ou extension) des attitudes données. à la cuisse. La
sensibilité
examinée avec le diapason est aussi fortement dim
aussi fortement diminuée à la face postérieure de la cuisse, où la
sensibilité
superficielle est en partie conservée, qu'à la
rficielle est en partie conservée, qu'à la face antérieure où cette
sensibilité
est abolie. Fig. 3o. Obs. I. Tact. COMPRESSIO
gros orteil, faible à droite, forte à gauche. Les troubles de la
sensibilité
sont les suivants : La sensibilité superficielle
rte à gauche. Les troubles de la sensibilité sont les suivants : La
sensibilité
superficielle (fig. 32) est abolie au-dessous d
pographie exacte est dessinée sur le schéma ci-contre (fig. 33). La
sensibilité
profonde est abolie aux membres inférieurs, aus
riphérie des membres qu'à leur racine, aussi bien aux régions où la
sensibilité
superficielle est peu troublée qu'à celles où cet
la sensibilité superficielle est peu troublée qu'à celles où cette
sensibilité
est abolie. Dans ces deux cas, il existe donc u
sa partie supérieure, et, chez les deux malades qui la portent, la
sensibilité
est conservée sur une grande partie du territoi
tte malade est atteinte de paraplégie spasmodique avec troubles de la
sensibilité
des membres inférieurs, du membre droit surtout
rieurs sont abolis. Il n'existe pas de troubles sphinctériens. La
sensibilité
(fig. 34) présente les troubles suivants : hypoes
a fesse et de la cuisse, on observe une conservation relative de la
sensibilité
. Sur cette zone, la malade perçoit, mais d'une
complètement ou presque complètement anesthésiées, des zones où la
sensibilité
est conservée ; . 2° L'existence de cette dispo
puisque, chez les trois malades atteints de troubles profonds de la
sensibilité
, que nous avons examinés à cet égard, nous l'av
aminés à cet égard, nous l'avons observée ; , 3" Les domaines où la
sensibilité
subsiste sont ceux des.racines les plus inférie
ceux des.racines les plus inférieures : les racines sacrées; et la
sensibilité
est d'autant plus parfaite que l'on considère u
bas située ; 4" Ces phénomènes d'abolition et de conservation de la
sensibilité
sui- vant des zones radiculaires existent chez
i un nouvel argument en faveur de cette idée que les troubles de la
sensibilité
dus à des lésions médullaires se présentent sous
sacrées chez les malades atteints de paralysie avec troubles de la
sensibilité
, et ne pas admettre implicitement, en face d'un
) que, dans certaines paraplégies médul- laires avec troubles de la
sensibilité
, l'anesthésie respectait parfois un certain nom
tement différent des autres, mais la répartition des troubles de la
sensibilité
qu'il présente nous parait digne d'être rappro-
Les réflexes des membres supé- rieurs sont normaux. Examen de la
sensibilité
. Les sensibilités tactile et douloureuse, présent
membres supé- rieurs sont normaux. Examen de la sensibilité. Les
sensibilités
tactile et douloureuse, présentent des troubles
des troubles à répartition presque identique (v. fig. 35, 36). Ces
sensibilités
sont normales au-dessus du territoire des onziè
des D'2, LI, L2, L3, L·; légère sur le territoire de Le, SI, S2; la
sensibilité
est normale sur tout le territoire des S ? S4,
he. Fig.35. - F..., 6 ans. Paralvsie médul- laire. Troubles de la
sensibilité
tactile et douloureuse. Fig. 36. E..., 62 ans
se. Fig. 36. E..., 62 ans. Paralysie médul- laire. Troubles de la
sensibilité
tactile et douloureuse. COMPRESSIONS MÉDULLAI
ilité tactile et douloureuse. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 36g La
sensibilité
thermique (v. fig. 37 et 38) est troublée sur le
Fig. 07. - E..., 62 ans. Parai vsio médul- ]air(,. Troubles de la
sensibilité
lher- mique. Fiv. 38. -)J... , 6z ans Paraplé
Fiv. 38. -)J... , 6z ans Paraplégie médul- laire. Troubles de la
sensibilité
lhcr- nuque. 37o PARAPLEGIES AFFECTIONS D
sion de l'orteil par excitation de la plante du pied). Examen de la
sensibilité
. La sensibilité tactile et la sensibilité à la do
par excitation de la plante du pied). Examen de la sensibilité. La
sensibilité
tactile et la sensibilité à la douleur sont con
te du pied). Examen de la sensibilité. La sensibilité tactile et la
sensibilité
à la douleur sont conservées partout ; le sens
t intact ; la sensi- bilité osseuse présente quelques troubles ; la
sensibilité
thermique est fortement t diminuée sur une très
ire des quatre dernières lombaires et celui de toutes les sacrées, la
sensibilité
thermique est presque absolument conservée : le
ons de les signaler. Fig. 3). S..., Syringomyélie. Troubles de la
sensibilité
thermique. Fig. (o. S..., Syringomyélie. Trou
nsibilité thermique. Fig. (o. S..., Syringomyélie. Troubles de la
sensibilité
thermique. XI SUR LA LOCALISATION DES LÉSIONS
terminer le siège. On atteint généralement ce but en explorant la
sensibilité
et en délimi- tant l'anesthésie. Cependant, ce
du tronc correspondant au territoire des XIIe. racines dorsales. La
sensibilité
superficielle dans tous ses modes (température,
, il y a seulement un peu d'hypoesthésie au tact et à la piqûre, la
sensibilité
thermique est normale; il en est de même à la r
nesthésie complète, tact, douleur, tem- pérature. · b) Zone où la
sensibilité
thermique est nor- male. ' , c) Bande d'hypoe
loureux. « Fig. (¡2. a) Anesthésie complète. , e) Régions où la
sensibilité
ost conservée. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 377 l
rentrer chez elle et, actuellement (5 novembre), les troubles de la
sensibilité
ont complètement disparu ; le réflexe plantaire
e à gauche. Nous avons signalé déjà les troubles subjectifs de la
sensibilité
, les douleurs dont se plaint la malade dans les
ntes constrictives, véritables douleurs en ceinture. l'examen de la
sensibilité
objective nous montre l'existence d'une légère hy
affaiblie mais on ne constate pas de réaction de dégénérescence. La
sensibilité
objective est très peu troublée : toutes les exci
, les excitations déterminent plutôt une impression douloureuse. La
sensibilité
profonde paraît intacte. La malade se plaint de
la moelle il n'y avait pas dans ce cas de troubles objectifs de la
sensibilité
permettant de localiser la lésion, l'examen com
oubles vertigineux). Enfin en raison de l'absence de troubles de la
sensibilité
sur les mem- Schéma montrant les territoires da
effet de dégénérescences de ses faisceaux longs et cliniquement la
sensibilité
était conservée. 3° Les racines, quoique plus a
Burdach), ont fait preuve d'une tolé- rance très grande puisque la
sensibilité
objective était presque intacte et que dans les
ance d'arvil ig.2o. L'examen et l'interprétation des troubles de la
sensibilité
dans les cas j de compression médullaire sont s
totale est nettement séparée du territoire sus-jacent ; pourtant la
sensibilité
ne COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 3g r redevient
qu'il s'agissait là d'une compression récente ; les troubles de la
sensibilité
ne dataient que de quelques semaines; ils ont r
ent parler, c'est-à-dire l'abolition complète per- manente de toute
sensibilité
, n'occupe qu'une zone relativement restreinte,
r un effort variable d'attention du sujet. Mais ces « réveils de la
sensibilité
» sont d'habitude particulièrement marqués vers
(voir fig. 56). Si, en plus, il y a une conservation relative de la
sensibilité
dans la région des racines sacrées lombaires, d
ifs peut s'observer, que l'anesthésie atteigne tous les modes de la
sensibilité
ou qu'il existe . (') Babinski, Barré, Jarkowsk
de l'anesthésie maxima rappelle ce que Head, dont les études sur la
sensibilité
font époque, a signalé dans le syndrome de Brow
de ce qu'on a assigné comme limites supérieures des troubles de la
sensibilité
celles de l'hypoesthésie légère ; d'autant plus
oire des divers segments des membres inférieurs. Les troubles de la
sensibilité
sont très légers à gauche, bien plus prononcés
s à gauche, bien plus prononcés à droite; l'anesthésie porte sur la
sensibilité
à la température et à la douleur; elle n'attein
nsibilité à la température et à la douleur; elle n'atteint guère la
sensibilité
tactile ni la sensibilité profonde; elle occupe
et à la douleur; elle n'atteint guère la sensibilité tactile ni la
sensibilité
profonde; elle occupe le membre inférieur et un
la paraplégie Fig. 60. Obs. II. Mlle B. Schéma des troubles de la
sensibilité
thermique et douloureuse. COMPRESSIONS MEDULLAI
ard droit net ; du côté gauche l'anesthésie n'est plus complète, la
sensibilité
tactile a reparu, mais il existe une hypoesthés
rsuit de semaine en semaine, et à la fin de juillet les troubles de
sensibilité
se sont effacés en grande partie ; la surréflecti
ent des troubles de la miction, de la dysurie, une diminution de la
sensibilité
aux membres inférieurs et des douleurs. Ces dou
plus tard, la paralysie des membres inférieurs est complète, et la
sensibilité
est à peu près totalement abolie. La malade est
ésente une paraplégie spasmodique en extension, avec troubles de la
sensibilité
, remontant jusqu'à la ligne mamelonnaire. La pa
nnent naissance à aucune réaction de ce genre. Les troubles de la
sensibilité
cutanée remontent à gauche jusqu'au mamelon, à
rs et un peu en bas de chaque côté. Au-dessus de cette région, la
sensibilité
est tout à fait normale. Quant à leur intensité
est tout à fait normale. Quant à leur intensité, les troubles de la
sensibilité
ne sont pas répartis d'une ma- nière égale dans
ncomplète a des limites différentes pour les différents modes de la
sensibilité
; pour la chaleur, la limite se confond à peu prè
uoique d'une manière incomplète. C'est ici qu'apparaît également la
sensibilité
tactile. Enfin, sur les seins, les troubles sen
de cette hypoesthésie ne sont pas les mêmes pour tous les modes de
sensibilité
: ce sont les troubles de la sensibilité tactile
mes pour tous les modes de sensibilité : ce sont les troubles de la
sensibilité
tactile qui atteignent le niveau le plus élevé.
bilité tactile qui atteignent le niveau le plus élevé. Au dos, la
sensibilité
est conservée beaucoup mieux; au-dessus d'une lig
baire, on ne constate qu'une hypoesthésie relativement légère. La
sensibilité
profonde, musculaire et osseuse est complètement
u'on lui fait à la cuisse droite ; la régression des troubles de la
sensibilité
se poursuit réguliè- rement, mais très lentemen
eur droit est plus raide que le gauche, mais a moins de spasmes. La
sensibilité
devient de plus en plus nette ; la limite supérie
ieurs, mais commence à être perçue au-dessus du pli de l'aine. La
sensibilité
articulaire et musculaire est encore nulle aux pi
dant les quelques semaines où la malade reste encore' à l'hôpital, la
sensibilité
s'améliore de plus en plus ; par contre, la mot
gressive. Depuis son départ elle n'aurait plus perdu ses urines, la
sensibilité
serait, petit à petit, redevenue complètement n
complètement normale. Enfin, on ne constate aucun trouble ni de la
sensibilité
cutanée, ni de la sensibilité profonde. Voici
, on ne constate aucun trouble ni de la sensibilité cutanée, ni de la
sensibilité
profonde. Voici les conclusions que l'on peut
s symptômes morbides qui apparaissent alors sont des troubles de la
sensibilité
consistant en hypoesthésie de la face antérieure
ux égaux et vifs à droite et à gauche. Il existe des troubles de la
sensibilité
mais, tandis que la sensibilité au tact est peu
auche. Il existe des troubles de la sensibilité mais, tandis que la
sensibilité
au tact est peu amoindrie, celle à la températu
centimètres environ, une zone d'hypoesthésie légère (v. schéma). La
sensibilité
est un peu moins diminuée dans le territoire des
e peut exécuter de petits mouvements de flexion et d'extension ; la
sensibilité
se réveille dans le territoire auparavant anest
clonus, signe des orteils, réflexes de défense. Les troubles de la
sensibilité
ont presque entièrement disparu. Il existe tout
partie de l'hémi-thorax du même côté ; 3° enfin, des troubles de la
sensibilité
profonde à droite qui sont probablement la caus
uyait sur les caractères de la paraplégie joints aux troubles de la
sensibilité
objective, à l'état des réflexes de défense et
tion de l'affection. Fig. 65. Vlme G... Schéma des troubles de la
sensibilité
en juin ig26. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 417 A
e- fois, la marche était déjà très difficile, et les troubles de la
sensibilité
pré- sentaient à peu près les mêmes caractères
ux sont ici d'une intensité moyenne. Il existe des troubles de la
sensibilité
qui, sans être très forts, sont nets; ils att
droit n'ont pas subi de changement appréciable. Les troubles de la
sensibilité
dite objective se sont notablement accentués : il
tion. On remarque d'abord, que les troubles de la motilité et de la
sensibilité
sont homolaté- raux, alors que d'habitude ces d
es unes des autres, c'est que dans les dernières les troubles de la
sensibilité
font défaut ou sont très peu pro- noncés, tandi
omplète peut, si l'on prolonge l'examen, recouvrer partiellement la
sensibilité
d'une manière transitoire ; une excitation null
e le 6" segment dorsal. Les troubles sensitifs portent surtout sur la
sensibilité
au froid ; le maximum de l'anesthésie se canton
; au-dessus, l'anesthésie instable au froid s'étend jusqu'à D 5. La
sensibilité
tactile est partout conservée, sauf dans une band
complète à la température et à la douleur, avec conservation de la
sensibilité
tactile. Les troubles de sensibilité cantonnés
uleur, avec conservation de la sensibilité tactile. Les troubles de
sensibilité
cantonnés dans cette zone semblent bien sous la
11 n'y a pas de secousses fibrillaires. Il n'y a pas de troubles de
sensibilité
. Les viscères sont en parfait état. Quelles s
elle est bien déve- loppée, en une abolition des divers modes de la
sensibilité
générale, une diminution unilatérale de l'acuit
tions qu'on lui pose ordi- nairement, quand on explore l'état de la
sensibilité
, peuvent suffire pour éveiller dans son esprit
e parfaitement enregistré par son intelligence. Avant d'explorer la
sensibilité
, je me contente de recommander au malade de me
este. Essayez de faire disparaitre complètement, par suggestion, la
sensibilité
de l'oeil de façon à amener, comme dans l'anesthé
âgés, atteints d'affection car- diaque, n'ayant aucun trouble de la
sensibilité
et dont la paralysie n'avait pas été précédée d
des troubles de la phonation, de la respiration, des troubles de la
sensibilité
se manifestant par de l'anesthésie ou de l'hypere
ent été soumis à aucun examen médical ; j'ai exploré l'état de leur
sensibilité
et de leur vision, avec la préoccupation consta
à noter en particulier que Neri examina soigneusement l'état de la
sensibilité
et mesura au périmètre le champ visuel de plus de
de rétrécisse- ment du champ visuel lorsqu'on explore l'état de la
sensibilité
et de la vision d'un sujet avec la préoccupatio
pos susceptible d'être l'origine d'une suggestion. TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. Anesthésies hystériques. Les anesthésies hysté
". , ' .. 1 ? ? L'HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 537 Ces troubles de
sensibilité
ne provoquent aucune gêne : on ne voit jamais u
ontracture névropathique n'est accompagnée d'aucun trouble ni de la
sensibilité
superficielle ou profonde, ni de la réflectivité,
lité mécanique et parfois électrique des nerfs ; des troubles de la
sensibilité
objective et subjective (anesthésie et douleurs
elques points la description précédente. Il fait remarquer que « la
sensibilité
des téguments et des parties profondes peut êtr
s modifications de la réflec- tivité tendineuse, les troubles de la
sensibilité
(anesthésie, névralgies, douleurs à la pression
ires sans modifier en rien l'anesthésie psychique. » Troubles de la
sensibilité
. Les malades atteints de contractures réflexes
ique à une phase pendant laquelle le malade est très obnubilé et la
sensibilité
générale des autres parties du corps très émous
be dont elle occupait les deux tiers inférieurs. Ces troubles de la
sensibilité
existaient pour tous les modes d'excitation : t
iolents portant sur les régions qui étaient le siège de troubles de
sensibilité
: la faradisation au moyen d'une bobine à fils
ans un travail ayant pour titre Topographie des modifications de la
sensibilité
au cours des troubles physiopathiques. Constitu
mbre de cas, la répartition topogra- phique des modifications de la
sensibilité
non seulement ne pouvait être rapportée à (') L
rtat-Jacob, Oppenheim et Tournay, Topographie des modifications de la
sensibilité
au cours des troubles physiopathiques. Constitu
ant pas exagérés ; signe des orteils des deux côtés. Troubles de la
sensibilité
cutanée : dans la partie du tronc située au-desso
esthésie presque complète et permanente pour les divers modes de la
sensibilité
. Au-dessus de l'ombilic, jusqu'à la ligne mamel
mbilic, jusqu'à la ligne mamelonnaire, il existe des troubles de la
sensibilité
atteignant aussi les divers modes, mais très va
a une bande d'hypoesthésie légère sur laquelle tous les modes de la
sensibilité
sont conservés. Cette bande est séparée de la p
e zone d'hypoes- thésie légère et la région située au-dessus, où la
sensibilité
est tout à fait normale. Exa- gération très not
ion sacrée est cicatrisée et cette région n'est plus endolorie ; la
sensibilité
cutanée a en partie reparu, surtout du côté gauch
rs, il y a une légère amélioration portant surtout sur l'état de la
sensibilité
, mais le premier mouvement volontaire sans aide n
passe guère le pli de l'aine ; raideur musculaire peu prononcée. La
sensibilité
à la température semble à certains moments un peu
roubles de la motilité continuent à s'accentuer, les troubles de la
sensibilité
deviennent mani- festes ; et voici l'état que j
yant pour limite supérieure le neuvième segment dorsal. Troubles de
sensibilité
: aux membres inférieurs, sauf dans le terri- t
ale, est extraite aisément. Le lendemain du jour de l'opération, la
sensibilité
a déjà reparu sur une grande (') Il est à noter
n moment particulièrement opportun, aussitôt que les troubles de la
sensibilité
ont permis de faire une localisation précise et à
sez vive de la main sur l'avant-bras. Il n'y a pas de troubles de
sensibilité
à gauche. A droite, il n'y a pas de troubles de
s de motilité, mais, au membre supérieur et au membre inférieur, la
sensibilité
thermique, particulièrement la sensibilité au fro
au membre inférieur, la sensibilité thermique, particulièrement la
sensibilité
au froid, est un peu moins vive qu'à gauche ; l
é au froid, est un peu moins vive qu'à gauche ; les autres modes de
sensibilité
ne sont pas atteints. ' La main droite est ma
otrophie et de la raideur. 6o8 THÉRAPEUTIQUE Les troubles de la
sensibilité
font défaut. La thermoasymétrie précédemment si
t s'accompagnent d'une perturbation sphinctérienne. Les troubles de
sensibilité
disparaissent spontanément, mais les troubles d
u reste, complète en aucun point ; elle atteint les divers modes de
sensibilité
, mais surtout la sensibi- lité à la température
it mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse ; les troubles de
sensibilité
se sont aussi atténnés, surtout à droite. A par
bien à chaque pas et ne frotte pas contre le sol. Les troubles de
sensibilité
se sont très notablement atténués, ils n'existent
prédominance des troubles paralytiques à droite et des troubles de
sensibilité
à gauche (syndrome de Brown-Séquard) semble mon
o, n° lit). 28. Dissociation syringomyélique des divers modes de la
sensibilité
dans la lèpre (Société médicale des Hôpitaux, 2
élique. Hypothèse nouvelle sur la conduction des divers modes de la
sensibilité
(Société de Neurologie, 5 décembre igo6). 131.
nférieure de l'avant-bras. Causes d'erreur dans l'exploration de la
sensibilité
(en collaboration avec Tournay. Société de Neur
e ; — que, chez une malade anesthésique, on trouvera des points où la
sensibilité
sera considérablement exaltée; — c'est ainsi enco
es muscles de la langue et du larynx : aphonie. — Modifications de la
sensibilité
sous l'influence des plaques métalliques, de l'él
les. 1877. 7 mai. — Hémianesthésie du côté droit ; diminution de la
sensibilité
au bras gauche. — Hyperesthésie ovarienne droite,
appliquées sur les jambes, au niveau des jarretières, font revenir la
sensibilité
dans un rayon de 4 à 5 centimètres. La malade a
— Sous l'influence de Y électricité statique (machine de Ramsden), la
sensibilité
revient dans toute la moitié droite du corps. 2
nissent le lendemain. Du/23 au 31, pas d'attaques. 30 janvier. — La
sensibilité
persiste à droite. Afin de maintenir la sensibili
30 janvier. — La sensibilité persiste à droite. Afin de maintenir la
sensibilité
, qui, après la première séance d'électrisation
ée : au dynamomètre Mathieu, on obtient 75 à droite et 55 à gauche.
Sensibilité
générale. — Elle est abolie par tout le corps dan
'anesthésie cutanée est absolue. — Il n'y a pas de clou hystérique.
Sensibilité
spéciale. — Le tic-tac d'une montre appliquée sur
stérique.2 On doit les distinguer de la dermalgie, dans laquelle la
sensibilité
de la peau est non seulement exagérée mais encore
es plus importants est le suivant : tandis que, dans la dermalgie, la
sensibilité
cutanée est exaltée, au niveau des régions hysté-
u niveau des régions hysté-rogènes la peau a généralement perdu toute
sensibilité
au toucher, au pincement, à la piqûre, etc. Les
, 10e vertèbres dorsales, prédominant sur les apophyses épineuses. La
sensibilité
existe dans les gouttières gauches des vertèbres
la traction des cheveux sont indolores ; en un mot, sauf à droite, la
sensibilité
de la peau est abolie. Les cheveux tombent un peu
sible à la pression qui est de nul effet dans la gouttière droite. La
sensibilité
de la peau au toucher, à la piqûre, etc., est dét
, il est vrai, les régions hystérogènes occupent toutes le côté où la
sensibilité
persiste. Nous allons rapporter des exemples de c
che. — Hyperesthésie ovarienne droite, etc. — Aura. Métalloscopie :
sensibilité
zinc. — Phénomène du transfert. — Retour et persi
ibilité zinc. — Phénomène du transfert. — Retour et persistance de la
sensibilité
. Description des attaques. — Influence de Ve'th
a température, des sécrétions. Electrisation : retour partiel de la
sensibilité
cutanée, de la notion des couleurs. — Transfert.
s seins sont développés. — Le système pileux est assez abondant. La
sensibilité
est normale à droite. A gauche, anesthésie complè
ibles; — les muqueuses auriculaires, nasale et buccale n'ont qu'une
sensibilité
obscure. Contrairement à ce qu'on observe chez
inc au-dessous du coude droit dans une hauteur de 6 centimètres. — La
sensibilité
n'est pas revenue dans la région symétrique gauch
tion des plaques de zinc sur la jambe gauche (9 h. 1/2). A 10 3/4, la
sensibilité
commence à revenir au niveau des plaques. Peu à p
res de hauteur. — Le transfert s'est opéré : à droite (côté sain), la
sensibilité
est abolie dans la région qui correspond à celle
la sensibilité est abolie dans la région qui correspond à celle où la
sensibilité
a reparu du côté gauche. — A trois heures de l'ap
s de l'après-midi, mêmes phénomènes que ci-dessus. 15 janvier. — La
sensibilité
a reparu à droite, l'anesthésie a envahi de nouve
ques de zinc au-dessous du pli du coude à 11 heures 3/4, retour de la
sensibilité
dans une hauteur de 5 centimètres environ, anesth
thésie dans la région symétrique droite (Transfert.) 16 janvier. La
sensibilité
existe depuis le coude jusqu'au poignet gauche et
centimètres en avant, de trois centimètres en arrière. — A droite, la
sensibilité
est normale sur tout le membre supérieur. 17 ja
sensibilité est normale sur tout le membre supérieur. 17 janvier. —
Sensibilité
normale sur toute la moitié droite du corps. — A
nsibilité normale sur toute la moitié droite du corps. — A gauche, la
sensibilité
est revenue sur tout le bras et sur le tronc, en
inture, à la face et au cou. — Dans les régions qui ont recouvré la
sensibilité
, les différentes excitations sont moins nettes qu
e a envahi de nouveau le cuir chevelu, la face et le cou à gauche. La
sensibilité
est conservée sur le thorax, de la clavicule à la
njonctive oculaire gauche est insensible comme avant l'expérience. La
sensibilité
est revenue à gauche sur la partie du front qui c
, du tronc au-dessous de la ceinture et du membre inférieur gauche. —
Sensibilité
de la poitrine et de toute la moitié droite du co
nous appliquons des plaques d'étain. Au bout d'une heure environ, la
sensibilité
est revenue, depuis la racine des cheveux jusqu'à
gauche, insensible, est placée dans le manchon de la pile Grenet. La
sensibilité
reparaît en 7 ou 8 minutes sur la main et le quar
e quart inférieur de l'avant-bras gauche. — Deux heures plus tard, la
sensibilité
persistait à gauche, mais était abolie sur la mai
hevelu. — Vision normale à droite ; amblyopie à gauche. 6 fév. — La
sensibilité
est tout à fait normale sur la moitié droite du c
ercer une pression trop forte, nous avons déterminé une attaque. La
sensibilité
est conservée au niveau de la rachialgie et même
une attaque que nous avons pu arrêter en pressant énergiquement. — La
sensibilité
cutanée est abolie dans la partie correspondante
ette région hystérogène et tout autour, dans une certaine largeur, la
sensibilité
cutanée a disparu, circonstance qui fait que le c
one ; des deux côtés, et dans une largeur maxima de 3 centimètres, la
sensibilité
est plus délicate à gauche (côté sensible) et exi
et mesurent 7 centimètres de hauteur sur 7 de largeur. — A gauche, la
sensibilité
est plus délicate au niveau de cette zone que dan
égale distance du sein et de l'ombilic. Au-dessous de cette ligne, la
sensibilité
existe, mais est obtuse, si ce n'est, précisément
région correspondante à l'ovaire (3 centimètres sur 3), la peau a une
sensibilité
plus délicate, sans être maladive. — Avant les at
stérogènes des flancs produit immédiatement une attaque. État de la
sensibilité
cutanée au niveau des régions hystérogènes. — Dan
— Dans beaucoup de cas, et en particulier dans les cas réguliers, la
sensibilité
de la peau est abolie dans les points qui réponde
absolue. Chez d'autres malades, au contraire, la peau a conservé sa
sensibilité
dans une étendue de quelques centimètres, espèce
d'insensibilité. Enfin, nous venons de voir que dans I'Obs. VI, la
sensibilité
était pour ainsi dire plus vive, sans être exalté
ique. —L'hémianesthésie gauche, qui existait autrefois, a disparu. La
sensibilité
est à peu près tout à fait normale ; la malade n'
9. 8 janvier. — Série d'attaques pendant deux heures.— 15 janvier. La
sensibilité
existe des deux côtés. Vomissements et diarrhée d
des objets froids, sur du fer, elle ne garde qu'un drap sur elle. La
sensibilité
cutanée est exagérée. M... est tourmentée encore
res. Il n'y a pas de différence entre les deux moitiés du corps. La
sensibilité
cutanée est toujours exaltée. — Nous devons dire
urs. — Délire. — Hypercsthésie ovarienne droite. —G jnservation de la
sensibilité
à droite. —Analgésie temporaire à gauche. D...
1er Septembre. — Les lettres sont à peu près les mêmes qu'hier. — La
sensibilité
est normale des deux côtés. 2 sept. — Les lettr
e, etc.Durant le réveil, on note àeY analgésie à gauche. A droite, la
sensibilité
au pincement, à la piqûre, au froid, est conservé
au bout de quelques minutes : elle est dormeuse, répète-t-elle. La
sensibilité
cutanée est entièrement revenue à gauche. Le chat
en 1875 : Hyperesthésie ovarienne dôjuble?—Tympanisme. —Obésité. —
Sensibilité
. — Motilité. — Déformation des pieds. — Arthrite
malade en 1878 et en 1879. — Trépidation spontanée. — Troubles de la
sensibilité
. — Zones sensibles. — Effets de l'électrisation.
eut pas se retenir longtemps, ni suspendre la miction commencée. La
sensibilité
générale (toucher, pincement, piqûres, etc.) est
rd cette douleur, qui diminue ensuite pendant plusieurs minutes. La
sensibilité
cutanée est à peu près tout à fait abolie. Nulle
rien, ne fait aucun mouvement. Les muqueuses n'ont pas perdu toute
sensibilité
; il y a des différences entre les deux moitiés d
. A gauche, la conjonctive est insensible; mais, à droite, il y a une
sensibilité
obtuse et le contact de la tête d'une épingle s
pour la provoquer, il suffit de soulever l'une ou l'autre jambe. La
sensibilité
est abolie sur tout le corps, sauf au-dessus de l
e. Uanesthésie n'est plus générale. Nous constatons le retour de la
sensibilité
en plusieurs régions : 1° Au niveau et au-dessus
es de haut, finissant aux crêtes iliaques). Dans toutes ces zones, la
sensibilité
reste obtuse, il faut que la piqûre ou la pressio
du cou, du tronc, sauf au niveau de la région ovarienne droite où la
sensibilité
persiste dans une étendue de 3 centimètres sur 3
ie des membres supérieur et inférieur du côté droit. — A gauche, la
sensibilité
est également abolie, excepté entre l'omoplate et
terminions en signalant qu'elle était en voie d'amélioration, que la
sensibilité
était revenue et nous disions qu'elle avait été a
plongée dans un bain froid. 16 juin.— L'agitation a cessé le 14. La
sensibilité
est redevenue normale. M. Gharcot essaie vainemen
est absolue. Dès qu'on l'a réveillée, en lui soufflant au visage, la
sensibilité
reparaît à gauche (côté sensible à l'état de veil
attaques. 4 septembre. — Phénomènes vaso-moteurs.—iVctuellement, la
sensibilité
existe des deux côtés. — On trace le mot Alphon-s
et gauche , avec prédominance de la droite, au niveau de laquelle la
sensibilité
est conservée dans une largeur d'un centimètre et
pas d'attaques, mais occasionne un malaise général. —^Rachialgie : la
sensibilité
persiste (à droite) dans une hauteur de quatre ce
; aussi n'y a-t-il pas de relation entres elles et les attaques. La
sensibilité
a reparu par tout le corps (peau et muqueuses.) —
bruit de souffle anémique, palpitations cardiaques intermittentes.
Sensibilité
. — Le contact, le pincement, le chatouillement, l
givale, jugale. Le chatouillement est perçu dans la narine droite. La
sensibilité
est obtuse sur le voile du palais et à la base de
stincte de la précédente et ne se propageant-pas vers les tempes. —La
sensibilité
, dans ces zones, existe, mais est obtuse. — La pr
à la gouttière de la dixième vertèbre dorsale ; la peau a conservé sa
sensibilité
dans une étendue de trois centimètres de diamètre
on deux centimètres de diamètre. La peau correspondante a conservé sa
sensibilité
et , quand la malade a recouvré la sensibilité da
pondante a conservé sa sensibilité et , quand la malade a recouvré la
sensibilité
dans la moitié droite du corps, ce qui arrive lor
é droite du corps, ce qui arrive lorsque les attaques s'éloignent, la
sensibilité
cutanée au niveau de la zone intercostale gauche
eptiformes ; — en septembre , 53 et'61 ; — en octobre, 41 et 63. — La
sensibilité
a offert diverses modifications. Ainsi, au lieu d
nsible à l'état de veille quant à présent — paraissent conserver leur
sensibilité
. Il n'est pas question delà vue, puisque les paup
ille à la couture, elle est bonne ouvrière. Depuis la fin de juin, la
sensibilité
est revenue et l'on éprouve de plus en plus de di
.... ....... 58 Observation VI..................... 78 Etat de la
sensibilité
au niveau de ces zones...... 82 Disparition des
me il est indiqué sur la figure n° 6 (A. B.) ; Fig. 6. — État de la
sensibilité
chez Ler..... (8 septembre 1888.) 2° Abolition
ue absolue du goût et de l'odorat des deux côtés; 3° Diminution de la
sensibilité
pharyngée ; 4° Dyschromatopsie du côté droit :
pas voir là à proprement parler une complication. Aucun trouble de la
sensibilité
n'existe sur ces membres inertes et flasques, l'é
va suivre. Le premier fait que nous relevons maintenant, c'est que la
sensibilité
cuta- Pig. 13. Hémiplégie chez un homme intox
la partie postérieure de la capsule interne et encore dans ce cas la
sensibilité
n'est à peu près jamais atteinte au degré que nou
Nous relèverons de plus chez lui, un contraste remarquable entre la
sensibilité
cutanée qui est, comme nous le disons, très profo
ation du sens musculaire de ce côté, mais modification profonde de la
sensibilité
de la peau. A proprement parler ce n'est pas l'an
uelle, lors de la chute, le choc a porté, — absence de troubles de la
sensibilité
. J'ajouterai, comme détails complémentaires, l'ab
entendu, il s'agit des membres inférieurs ; enfin des troubles de la
sensibilité
manifestés spontanément on provoqués seulement pa
r. Tous les symptômes plus haut signalés, y compris les troubles de
sensibilité
, se retrouvent au plus haut degré dans la paralys
émianalgésie Fig. 22. — 1. Aoesthésie complète. 2. Diminution de la
sensibilité
. — 3. Plaques hystérogènes. gauche très netteme
téguments ; liséré saturnin très net. Les troubles permanents de la
sensibilité
sont disposés comme vous pouvez le reconnaître su
nd la fesse. Le membre inférieur gauche est indemne de troubles de la
sensibilité
, tandis qu'à droite, au contraire, ceux-ci occupe
t de la face. Remarquez que sur le membre parésié, les troubles de la
sensibilité
, déjà très prononcés en ce qui concerne la peau,
a peau, sont pour le moins tout aussi accentués en ce qui concerne la
sensibilité
profonde; ainsi partout excepté à la main où le m
la moindre sensation. Il y a là un contraste entre les troubles de la
sensibilité
et ceux des mouvements, fort remarquable assuréme
des heures entières à s'habiller,à se peigner. Pas de troubles de la
sensibilité
générale ou spéciale ; pas de rétrécissement du c
s étourdissements, sa syncope. D'ailleurs pas d'autres troubles de la
sensibilité
, pas d'autres stigmates, pas d'anesthésie, pas de
— à moins d'anomalies méritant une étude à part, — de troubles de la
sensibilité
soit objectifs soit subjectifs clans les membres
is mois et demi après le début de l'affection, il existe une certaine
sensibilité
à la pression sur le trajet du sciatique (1) entr
vestigations cliniques était désormais toute tracée. L'examen de la
sensibilité
cutanée a fait constater la présence d'une hémian
) était entre autres très marquée (1) ; pas de troubles marqués de la
sensibilité
dans les membres inférieurs. De temps en temps, i
arence si défavorables, avaient suffi au rétablissement complet de la
sensibilité
et du mouvement dans les membres inférieurs (1).
ement restés ce qu'ils étaient autrefois. Par contre, en explorant la
sensibilité
, nous constatons, à notre grand étonnement, l'exi
notre Fig. 40 et 41. — aa, bb. Anesthésie pour tous les modes de la
sensibilité
. Perte du sens musculaire. cas, le contraire qu
iste. Les doutes ne font que s'accroître si l'on examine l'état de la
sensibilité
profonde, celle-ci est modifiée au plus haut degr
vers la racine du membre, même anesthésie profonde, même perte de la
sensibilité
articulaire, même ignorance les yeux fermés de la
es ainsi produits se sont accompagnés des troubles particuliers de la
sensibilité
cutanée et profonde caractéristiques en pareil ca
it être conduit à penser que l'étude méthodique de ces troubles de la
sensibilité
fournirait des résultats conformes à ceux obtenus
ur toute lahau-teur des régions lombaires et sacrées ; c'est là où la
sensibilité
à la pression est la plus vive ; de chaque côté,
lexes rotuliens sont absents ; il y a une diminution très nette de la
sensibilité
aux membres inférieurs. Difficulté de la miction.
monter facilement un deuxième étage; 3° les troubles permanents de la
sensibilité
qui existaient aux membres inférieurs, et en part
plètement disparu. Disparition des douleurs en ceinture. Retour de la
sensibilité
normale ; 4° le signe de Romberg n'existe plus ;
es peu intenses, mais il y a sensation douloureuse et ob-tusion de la
sensibilité
de la plante des pieds. Réflexes rotuliens absent
comme il le faisait souvent autrefois. Après la cinquième séance, la
sensibilité
est redevenue normale àia plante des pieds. A par
érieurs un certain degré de parésie, sans troubles concomitants de la
sensibilité
, sans parésie vesicale, etc,, etc., et les réflex
: absence ou diminution des réflexes rotuliens; pas de troubles de la
sensibilité
quels qu'ils soient ; intégrité parfaite des fonc
ont elle est atteinte, toutes les tentatives d'exploration soit de la
sensibilité
cutanée, par exemple, soit du champ visuel ayant
les attaques ou leurs équivalents ; pas de troubles permanents de la
sensibilité
générale ou spéciale, pas de rétrécissement du ch
ur toute l'étendue du pied. 36 Sur ces deux dernières régions, la
sensibilité
est normale; sur la première, il y a, comme on l'
s hystérogènes : anesthésie testiculaire gauche tandis qu'à droite la
sensibilité
de cet organe est normale. Depuis le début de l
ur la majeure partie, le membre contracture est complètement privé de
sensibilité
, aussi bien la peau que les parties profondes.
qui porte à le fois sur le tact, la douleur et les autres modes de la
sensibilité
, est limitée tant du côté du pied, que du côté de
culation du coude-pied, où cependant, comme on l'a fait remarquer, la
sensibilité
cutanée n'est pas sérieusement affectée. Après
l'absence d'une lésion quelconque des jointures ; les troubles de la
sensibilité
cutanée et leur mode de limitation du côté des pa
. Voici l'énumération des stigmates en question. — Diminution de la
sensibilité
cutanée dans tous ses modes sur toute l'étendue d
auche complète, cutanée et profonde, portant sur tous les modes de la
sensibilité
, occupant la face, le tronc, les membres Voyez fi
du sens musculaire, de la notion de position, etc. Les troubles de la
sensibilité
sont tels qu'on ne les observe jamais à ce degré-
9, passim. d'anesthésie complète et relative à tous les modes de la
sensibilité
. La limitation de l'anesthésie du côté des partie
e en effet, autant qu'on sache, que l'on rencontre des troubles de la
sensibilité
de ce genre aussi accentués et ainsi disposés. Ce
encore la contracture spasmodique qui est en jeu. Les troubles de la
sensibilité
sont, également sur ce membre, très nettement acc
orat, de l'ouïe. Seul l'examen de la langue a fait reconnaître que la
sensibilité
générale ainsi que le goût avaient disparu comp
igidité, pas de contracture, pas traces de troubles quelconques de la
sensibilité
cutanée ou profonde. Les réflexes rotuliens sont
ration quelconque dans les membres inférieurs, des divers modes de la
sensibilité
, y compris le sens musculaire, des réflexes tendi
paraplégie avec le concours des troubles plus ou moins accentués delà
sensibilité
qui en général l'accompagne?A cela, je suis oblig
s. Les lésions à relever portent à la fois sur le mouvement et sur la
sensibilité
. Il y auralieu aussi d'accuser l'existence concom
isions à cet égard. En réalité,Messieurs,l'étude des troubles de la
sensibilité
présentés par notre sujet, va fournir à l'appui d
it pendant quelques secondes. Remarquons enfin que ces troubles de la
sensibilité
se retrouvent avec tous leurs caractères, quoique
estrophiquesobservéschez notremalade, les troubles particuliers de la
sensibilité
que nous venons de relever, nous avons de quoi co
leur imprimer volontairement quelques mouvements. Les troubles de la
sensibilité
sont eux aussi beaucoup moins prononcés qu'ils ne
78). Il y a une hémianesthésie droite relative à tous les modes de la
sensibilité
et à peu près absolue. Perte du sens musculaire d
est du côté où se montrent la paralysie motrice et les troubles de la
sensibilité
que siège l'amyotrophie hystérique, tandis que da
fourmillements dont il a été question, aucun trouble permanent de la
sensibilité
cutanée ou profonde ; pas d'anesthésie cutanée, e
laire à marche progressive, non accompagnée de troubles marqués de la
sensibilité
, doit être immédiatement écartée. Nous avons en e
te de l'amyotrophie progressive, absence de troubles permanents de la
sensibilité
, pas d'exagération des réflexes tendineux ; parti
l'existence de secousses fibrillaires, et l'absence des troubles delà
sensibilité
. Enfin,je ne vois pas qu'il y ait dans ce groupe
oute l'étendue du corps, à l'exception de la plante des pieds où la
sensibilité
est seulement émoussée, et de la région sous-ombi
immédiatement après le choc, sont marquées 1° par les troubles de la
sensibilité
à savoir : anesthésie cutanée et profonde ; 2° pa
plète ou incomplète suivant les cas. Elles portent à la fois sur la
sensibilité
et sur la motilité. Il est très rare pour le moin
sensibilité et sur la motilité. Il est très rare pour le moins que la
sensibilité
ait été conservée. Sestier ne cite que deux cas
r, elle commença à mouvoir le bras droit,la main et les doigts, et la
sensibilité
se manifesta en même temps à la^main droite et au
les membres inférieurs et le bras droit étaient entièrement privés de
sensibilité
et de mouvement.Bientôt un fourmillement se manif
main : elle s'y rapporte encore par la concomitance de troubles de la
sensibilité
. L'anesthésie cutanée ou profonde n'a pas été, à
i) ; elle porte à la fois et à peu prés au même degré sur le tact, la
sensibilité
à la douleur et à la température. Les notions du
à peu près la même en ce qui concerne la perte des autres modes de la
sensibilité
: tact, température. — b, plaque hystérogène. m
ix semaines sans succès, lorsqu'un jour, tout à coup, inopinément, la
sensibilité
et le mouvement reparurent. Six ans après, pend
mou- 1. Virchow's Archiv., 1880, t. LXXX, p. 345. vement et de la
sensibilité
dans la main. Le malade est sorti de la clinique,
on, il se produisit un fourmillement dans la main et bientôt après la
sensibilité
y reparut. Après six ou sept nouvelles applicatio
rmal sous tous les rapports et particulièrement en ce qui concerne la
sensibilité
et le mouvement. Mais lorsque survient un orage,
se reproduire sur le membre supérieur droit avec perte complète de la
sensibilité
et du mouvement. Gela dure environ deux heures en
complète pour le mouvement, mais très prononcée en ce qui concerne la
sensibilité
, s'étendit à ce membre tout entier. En même temps
surtout le faisceau sensitif? Dans ce dernier cas, les troubles de la
sensibilité
en question seraient vraisemblablement contempora
s réflexes patellaires sont parfaitement normaux des deux côtés et la
sensibilité
y est indemne dans tous ses modes. Aucun trouble
surajouté à l'abasie. Entre autres, pas de troubles permanents de la
sensibilité
, pas de rétrécissement du champ visuel, de parési
'incoordination abasique, aucun des troubles de l'intelligence, de la
sensibilité
ou du mouvement qui devraient, ne fût-ce qu'au pl
de reconnaître, par la lecture du cas, que l'étude des troubles de la
sensibilité
n'a pas été faite en connaissance de cause. Les d
substance grise ne sont pas accompagnées de troubles permanents de la
sensibilité
. Relativement aux effets des altérations des co
'une façon très sommaire et sans qu'on eut spécifié quels modes de la
sensibilité
peuvent être alors affectés à l'exclusion des aut
térieures, siègent encore les conducteurs, quels qu'ils soient, de la
sensibilité
au froid et à la chaleur, à l'exclusion de ceux q
cornes postérieures servent à la transmission des divers modes de la
sensibilité
, chaud, froid, douleur, occupent dans ces régions
régions-là des départements distincts ; car chacun de ces modes de la
sensibilité
générale peut se montrer profondément affecté à l
anesthésie à la douleur, au chaud, au froid, sans participation de la
sensibilité
tactile ou du sens musculaire; c. symptômes polio
omyéliques postérieurs : phénomènes tabétiques divers, troubles de la
sensibilité
tactile, etc. Nous allons voir, maintenant, jus
re si particulier, si original de dissociation des divers modes de la
sensibilité
, ou autrement dit de paralysie sensitive partiell
ison de l'atrophie musculaire, « avec des troubles particuliers de la
sensibilité
dans les cas où l'investi-« gation nécroscopique
u du gliome central. Ce qu'il y a de spécial dans ces trou-« blesdela
sensibilité
, c'est que, sur les parties de la peau qui en son
rouve, au moins d'une façon prédominante, à la fois une perte de « la
sensibilité
à la douleur et de la propriété d'apprécier les d
propriété d'apprécier les différences de « température, tandis que la
sensibilité
au tact reste indemne. » C'est bien là en effet l
sculaire, l'existence concomitante de troubles très particuliers delà
sensibilité
. C'est à savoir, que les notions relatives au tac
t: c'est d'un cas de syringomyélie qu'il s'agit. Ces troubles de la
sensibilité
, dont nous venons de mettre en relief les caractè
s commun, et l'on peut même dire que dans la règle les troubles de la
sensibilité
dont il s'agit, se montrent répandus sur des part
à propos du mode de répartition et de distribution des troubles de la
sensibilité
syringomyéliques, rapprochent singulièrement ces
telle que l'est, par exemple, la dissociation des divers modes de la
sensibilité
sur laquelle nous avons insisté, ne sauraient lui
onique (1). La présence de ces mêmes troubles si particuliers de la
sensibilité
dans un cas donné, permettrait également d'élimin
nt à une opinion assez généralement répandue, quelques troubles de la
sensibilité
peuvent, comme le font remarquer M. Erb et M. Sch
llements passagers.Jamais on n'y observe de troubles permanents de la
sensibilité
comparables à ceux qui sont, au contraire,l'apana
it faradiques, soit galvaniques font absolument Fig. 106 Fig. 107
Sensibilité
au tact. défaut. Les interosseux palmaires du c
hez lui de l'atrophie musculaire progressive du Fig, 108 Fig, 1Q9
Sensibilité
à la douleur. Analgésie généralisée. type Ara
ment, comme l'a fait M. Debove à propos de ce cas, les troubles de la
sensibilité
qui jusque-là étaient restés dans l'ombre. Voic
roubles sensitifs ; je vous engage, pendant l'ex- Fig. 110 pig. m
Sensibilité
à la chaleur (1). posé que je vais en faire, à po
iennent d'être énumérées, il y a obnubilation ou perte complète de la
sensibilité
aux impressions douloureuses; partout en un mot l
tillations du pharynx provoquent des nausées. Pour ce qui est de la
sensibilité
à la chaleur voici les résultats obtenus pai l'ex
e com 1. L'instrument à l'aide duquel nous avons mesure le degré de
sensibilité
thermique de la peau chez nos malades, se compose
rs supérieur de la poitrine en avant (fig. 110). Fig. U3 Fig. 114
Sensibilité
au froid (0*). Les fig. 113,114, montrent les r
les zones insensibles ou peu sensibles à la chaleur, et celles où la
sensibilité
au froid (à0°) est soit éteinte,soit seulement ob
mpressions tactiles : Il n'existe aucune modification appréciable des
sensibilités
spéciales. L'ouïe, l'odorat, la vision, le goût s
cédé enfin à l'étude méthodique jusque-là négligée des troubles de la
sensibilité
. Voici ce que cette étude a fait reconnaître (voi
econnaître (voir les figures). 1° Les sensa- Pisr, 116 Fig. 117
Sensibilité
au tact. tions tactiles sont restées normales d
ié supérieure du tronc en arrière,il y a seulement obnubilation de la
sensibilité
à la douleur; L'exploration de ce mode de la sens
lation de la sensibilité à la douleur; L'exploration de ce mode de la
sensibilité
répétée à plusieurs reprises, permet de constat
remière exploration,l'application d'un morceau Fig. 118 i'jg. 119
Sensibilité
à la douleur. de glace sur la partie supérieure
plaque du thermomètre ne donne la sensation de Fig. 120 Fig. 121
Sensibilité
au froid. brûlure que lorsqu'elle est chauffée
de chaud, les variations d'un jour à l'autre relevées à propos de la
sensibilité
au froid et à la douleur. (Voy. les fig 122 et 12
bles sensitifs, dans ce cas, rappelle la dispo- Fig. 122 liy. 123
Sensibilité
à la chaleur. sition en « veste » signalée dans
i en premier lieu que la dissociation spéciale des divers modes de la
sensibilité
à laquelle on a, à juste titre,fait jouer un rôle
ie, porte uniformément chez les hystériques, sur tous les modes de la
sensibilité
, tact, douleur, sensibilité au chaud et au froid.
les hystériques, sur tous les modes de la sensibilité, tact, douleur,
sensibilité
au chaud et au froid. Eh bien, quelques recherche
le type anesthésique vulgaire, il en est 6 où les divers modes de la
sensibilité
se montrent dissociés. Sur ces 6, il s'en trouve
montrent dissociés. Sur ces 6, il s'en trouve 2 qui ont conservé [la
sensibilité
au tact et à la douleur, mais qui ont perdu la se
nservé [la sensibilité au tact et à la douleur, mais qui ont perdu la
sensibilité
thermique.^Ce type a été parfaitement décrit par
pouvez en juger, au type syringomyélique ; c'est-à-dire que seule la
sensibilité
tactile est préservée, les sensibilités à la doul
ue ; c'est-à-dire que seule la sensibilité tactile est préservée, les
sensibilités
à la douleur, au chaud et au froid étant éteintes
gauche (fig. 124). Sur les parties ainsi paralysées et tuméfiées, la
sensibilité
présente les modifications suivantes : les impres
s, même les plus délicates, sont perçues normalement; par contre, les
sensibilités
à la douleur (piqûre, pincement),à la chaleur (pl
e) sont complètement abolies. Veuillez relever que ces troubles de la
sensibilité
sont uniformément répandus sur les doigts, la mai
devenu fréquemment sujet à des attaques de vertiges. Cette fois la
sensibilité
des parties paralysées du mouvement, main et poig
t, main et poignet, était absente dans tous les modes, tact, douleur,
sensibilité
au froid et au chaud. La durée de cette paralysie
oubles moteurs a été littéralement soudaine, celle des troubles de la
sensibilité
, —ainsi que cela me parait être la règle dans les
.De plus, dès l'origine il y a eu dissociation des divers modes de la
sensibilité
suivant ce que j'appellerais volontiers le mode s
tact conservé, contrairement à ce qui a été observé la première fois,
sensibilité
à la douleur,au chaud et au froid,totalement abol
il s'agit dans le cas et non de syringo-myélie. La dissociation de la
sensibilité
observée chez notre homme non plus que l'œdème,d'
naler une perte très nette du goût sur le côté droit de la langue, la
sensibilité
de la membrane muqueuse étant con-servée,et c'est
ain. Il est remarquable que les troubles, ci-dessus signalés, de la
sensibilité
qui autrefois ne remontaient pas au-dessus du tie
ents. Les réflexes tendineux sont conservés et d'intensité normale.
Sensibilité
. — On constate une anesthésie absolue dans toute
e une anesthésie absolue dans toute la moitié droite du corps pour la
sensibilité
à la douleur, lasensibilitélhermique et le sens m
douleur, lasensibilitélhermique et le sens musculaire. Par contre.la
sensibilité
tactile n'est que diminuée. La conjonctive de l'œ
hemianesthésie droite totale absolue pour le toucher, la douleur, la
sensibilité
thermique et le sens musculaire, un rétrécissemen
e monoplégies associées du membre supérieur et du membre inférieur.
Sensibilité
. — La sensibilité de la peau au contact, à la piq
ciées du membre supérieur et du membre inférieur. Sensibilité. — La
sensibilité
de la peau au contact, à la piqûre et à la tempér
dans le pli inguinal scrotal. La peau du tronc a conservé toute sa
sensibilité
dans la zone intermédiaire qui sépare la nappe an
ssé; le malade reconnaît l'eau de Cologne, le benjoin. Par contre, la
sensibilité
générale de la muqueuse de la fosse nasale gauche
ssez marquée de l'acuité auditive à gauche ; le pharynx a recouvré sa
sensibilité
. La paralysie motrice s'est également amendée,
ement repris ses forces. Main droite =51 k. — gauche = 35 k. La
sensibilité
tant générale que sensorielle est partout normale
ration ......................4, 5* Fig. 6. — Bâillement hystérique (
Sensibilité
)......... 8 Fig. 7. — — (Champ visuel)....... 9
g. 11 — ! (Points douloureux)............ 26 Fig. 11 — et hystérie (
Sensibilité
).......... 33 Fig. 12 — (Champ visuel).........
. 12 — (Champ visuel)......... 31 Fig. 13. — Hémiplégie hystérique (
Sensibilité
)......... 47 Fig. 14 — — (Champ visuel).......
15.—Syndrome de Brown-Séquard (Etat de la moelle) ... 54 Fig. 16 — (
Sensibilité
) ..... 59 Fig. 17 — — id........60 Fig. 18,19
ophie) ... 74 Fig. 22. — Alcoolisme, paralysie infantile, hystérie (
Sensibilité
) . 97 Fig. 23 — — (Champ visuel) 98 Fig. 24.
ment du champ visuel) . . . 120 Fig. 27.—Hystérie chez un saturnin (
Sensibilité
) ....... 122 Fig. 28 — — (Champ visuel)...... 1
34. — Ataxie et hystérie (champ visuel) .......... 159 Fig. 35 — — (
Sensibilité
)............ 160 Fig. 36.—Sclérose en plaques e
sibilité)............ 160 Fig. 36.—Sclérose en plaques et hystérie (
Sensibilité
) . . . . 167 Fig. 37, 38 — — — (Champ visuel) .
ans le mal de Pott . . . 181 Fig. 40,41. — Mal de Pott et hystérie (
Sensibilité
) . ,..... 185 Fig. 42 — — (Champ visuel) .....
visuel) ..... 187 Fig. 43. 4L—Simulation hystérique du mal de Pott (
Sensibilité
) 193 Fig. 45 — * — — (Champ visuel) 196 Fig.
— Arc de cercle.......... 253 Fig. 54, 55. — Hystéro-neurasthénie (
Sensibilité
)........ 263 Fig. 56, 57 — — (Champ visuel) ...
263 Fig. 56, 57 — — (Champ visuel) ........ 264 Fig. 53, 59 — — (
Sensibilité
)....... . . . 267 Fig. 60 — — (Champ visuel)...
sommeil (Champ visuel)......... 272 Fig. 62, 63.—Tabès et hystérie (
Sensibilité
)........... 280 Fig. 64,65. — Hystéro-neurasthé
. — Hystéro-neurasthénie (Champ visuel)....... 290 Fig. 66, 67 — — (
Sensibilité
).......... 291 Fig. 68 — — (Champ visuel.......
...... 291 Fig. 68 — — (Champ visuel........ 294 Fig. 69, 70 — — (
Sensibilité
)........... 295 Fig. 71.-- Hystérie mâle (Contr
le (Contracture)............. 350 Fig. 72,73.—Paralysie hystérique (
Sensibilité
).......... 351 Fig. 74, 75. — Paraplégie alcool
e (Sensibilité).......... 351 Fig. 74, 75. — Paraplégie alcoolique (
Sensibilité
)......... 387 Fig. 76, 77. — Hystérie mâle (Sen
alcoolique (Sensibilité)......... 387 Fig. 76, 77. — Hystérie mâle (
Sensibilité
)............. 396 Fig. 78 — (Champ visuel......
...... 396 Fig. 78 — (Champ visuel........... 397 Fig. 79, 80 -« (
Sensibilité
)............. 401 Fig. 81 — (Champ visuel).....
)........... 402 Fig. 82, 83. — Hystérie, épilepsie et morphinisme (
Sensibilité
). . 422 Fig. 84 — — (Champ visuel) . 423 Fig.
.............. 439 Fig. 96,97. — Paralysie de foudroyés ethyslérie (
Sensibilité
) . . 454 Fig. 98. — — (Champ visuel) 455 Fig.
. — Abasie trépidante (Champ visuel).......... 477 Fig. 101, 102 — (
Sensibilité
............ 478 Pages. Fig1. 103.— Syringomyé
OS. — Syringomyélie. Main en griffe........... 503 Fig. 106, 107 --
Sensibilité
au tact.......... 504 Fig. 108,109 — Sensibilit
Fig. 106, 107 -- Sensibilité au tact.......... 504 Fig. 108,109 —
Sensibilité
à la douleur....... 505 Fig. 110, 111 — — àlach
momètre de surface............... 507 Fig. 113,114. —Syringomyélie (
Sensibilité
au froid)....... 508 Fig. 115. — Syringomyélie.
08 Fig. 115. — Syringomyélie................... 510 Fig. 116, 117
Sensibilité
au tact......... 512 Fig. 118, 119 — — à la dou
myélie...... 520 Fig. 125, 126. — Hystérie provoquée par la foudre (
Sensibilité
).. . 546 TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON
nts, 472, 445. — Mécanisme de l'astasie, 472. — paralytique, 364. —
Sensibilité
, 363. — Spécialisation à la marche vulgaire, 481.
11. — Réflexes, 411.—Rôle des cellules des cornes antérieures, 418. —
Sensibilité
, 411. — Symptômes, 410. — Valeur réciproque des d
— et Vertige de Ménière, 226. — Monoculaire, 32. Dissociation de la
sensibilité
, 495, 496, Dormeuses. —(Voy. attaques de sommei
rie et mal de Pott, 186, 189, sq., 194. —Douleurs lombaires, 190. —
Sensibilité
du raclais à la pression, 192. — Stigmates, 186,
e en plaques, 162. Hystérie et syringomyélie.— (Diagnostic), 489. —
Sensibilité
, 516, 517. — Troubles sensitifs, 497. —Troubles
388. — Rétractions tendineuses, 382, 539. — (Rêves dans la), 389. — (
Sensibilité
dans la), 386. — Troubles bulbaires, 391. —Troubl
ductions cellulo-fibreu-ses, 384, 385. Paralysies psychiques, 281.—
sensibilité
, 281. 77 Paralysies toxiques, 84, 344, 376.
t, 189,191. Pott (Mal de) et hystérie. — Douleurs lombaires, 190. —
Sensibilité
du rachis à la pression, 192.— Stig-. mates, 186,
aires — Valeur diagnostique, 414. Seeligmûller, 147. séglas, 248.
Sensibilité
. — dans la paraplégie alcoolique, 85. — Dans les
uileuses, 497. Syringomyélie. — et hystérie. — (diagnostic), 489. —
Sensibilité
, 497, 517, 519. — Troubles trophiques,518, 519.
pu- blié déjà un travail sur la superposition des troubles de la
sensibilité
et les spasmes de la face et du cou chez les hy
allons examiner et dont les plus saillants sont les troubles de la
sensibilité
générale et les troubles psycho-moteurs. Elle
territoires anesthé- siés, de la dissociation des troubles diverses
sensibilités
, de l'existence de troubles vaso-moteurs, de la
sont parésiés. Tig. 1. tJlladl'Illé : perle de tous les modes de
sensibilité
. - Traits horizontaux : Perte de la sensibilité
e tous les modes de sensibilité. - Traits horizontaux : Perte de la
sensibilité
au toucher et à la doulcur. - l, Limite supérieur
s jambes inertes, retombent lourdement après avoir été soulevées.
Sensibilité
. L'anesthésie est complète pour tous les modes de
es. Sensibilité. L'anesthésie est complète pour tous les modes de
sensibilité
(toucher, température, piqûre, sens musculaire, s
par une pression dynamométri- que faible : M. D : 12, M. G : 20.
Sensibilité
. Est moins profondément touchée qu'aux mem- bre
ne ligne circulaire située à la partie moyenne de l'avant- bras. La
sensibilité
à la piqûre et au contact, la sensibilité articu-
enne de l'avant- bras. La sensibilité à la piqûre et au contact, la
sensibilité
articu- laire ont disparu, la sensibilité à la
piqûre et au contact, la sensibilité articu- laire ont disparu, la
sensibilité
à la température persiste. Les mou- vements imp
ilité. Pas de paralysie des muscles abdominaux ni des sphincters.
Sensibilité
. Abdomen, anesthésie complète au niveau d'une z
ents correspondant Fiv. 2. Quadrillé : perte de tous les modes de
sensibilité
. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. aux deltoïdes ne son
. Pas de trace de paralysie faciale ni d'hémis- pasme glosso-labié.
Sensibilité
: anesthésie n'empiétant pas sur le cou. Goût
ractions assez énergique des biceps ; deltoïdes encore parésiés. La
sensibilité
reparaît à la partie supérieure du dos. Dis- so
ît à la partie supérieure du dos. Dis- sociation des troubles de la
sensibilité
aux membres supérieurs : l'in- sensibilité au c
ation des troubles de la sensibilité aux membres supérieurs : l'in-
sensibilité
au contact, à la piqûre persiste, mais les mains,
sont devenus sensibles à la température, et seulement à ce mode de
sensibilité
(voir fig. 3). Rien n'est changé pour les mem-
e et du blanc. Le violet est confondu avec le bleu (fig. 4). 19 .
Sensibilité
. - Nuuvelle délimitation des troubles sen- siti
s à la pi- qûre, au chatouillement, à la pression, à la chaleur. La
sensibilité
articulaire y est normale ; les sensations sont
duite par la main de l'expérimentateur. On a donc : 1° une 'Zone de
sensibilité
normale pour tous les modes comprenant les CAS
ités inférieures toujours paralysées et cyanosées. 20. La zone de
sensibilité
à la température a gagné du ter- rain ; elle re
te jusqu'à une ligne circulaire correspondant au coude (fig. 6). La
sensibilité
au courant électrique a les mêmes limites que l
6). La sensibilité au courant électrique a les mêmes limites que la
sensibilité
tactile. 21. Amoindrissement considérable de l'
us importantes s'est pro- Fig. 7. Quadrillé : Perle de toutes les
sensibilités
. - Traits horizontaux : Sensibilité à la tem- p
Quadrillé : Perle de toutes les sensibilités. - Traits horizontaux :
Sensibilité
à la tem- pérature seule. - Pointillé : Sensibi
s horizontaux : Sensibilité à la tem- pérature seule. - Pointillé :
Sensibilité
à la température et à la piqûre seulement. CAS
he (bras, avant-bras et main) est insensible pour tous les modes de
sensibilité
y compris la température; la moitié droite de l
eur, il peut, au point de vue de la dissociation des troubles de la
sensibilité
, être divisé en quatre segments limités par des
mbre (fig. 8) : il, épaule ; perte complète de tous les modes de la
sensibilité
; 2° bras, coude, avant-bras : la sensibilité à
e tous les modes de la sensibilité; 2° bras, coude, avant-bras : la
sensibilité
à la température existe seule ; 3° main : la se
-bras : la sensibilité à la température existe seule ; 3° main : la
sensibilité
à la température et à la piqûre se montrent seu
té à la température et à la piqûre se montrent seules ; 4° doigts :
sensibilité
normale. L'ahdomen est insensible à droite comm
s mouvements de jour en jour plus étendus. 7. Modifications de la
sensibilité
. La zone du membre droit sensible à la températ
issait d'une paralysie flasque avec perturbations pro- fondes de la
sensibilité
: l'anesthésie n'offrait aucun rapport avec la
irculaires perpendiculaires à l'axe des membres ; tous les modes de
sensibilité
étaient atteints : contact, piqûre température,
nts : contact, piqûre température, chatouillement, sens musculaire,
sensibilité
arti- culaire. Gomme c'est la règle dans les pa
ie généralisée aux membres infé- rieurs dans toute leur étendue. La
sensibilité
était intacte aux cuisses à partir d'une ligne
on n'assiste pas à une méta- morphose incessante des troubles de la
sensibilité
. Dans notre cas, l'anesthésie est mobile : ses
ble du thorax. La face, d'abord insensible, récupère promptement sa
sensibilité
, de même pour la partie supéro-interne des cuis
s sensitifs ne tardent pas à rétrocé- der. Mais les divers modes de
sensibilité
ne sont pas récupérés subitement et tous à la f
sensibilité ne sont pas récupérés subitement et tous à la fois. La
sensibilité
ne revient que par segment de membre et pour te
mpéra- ture, contact, douleur. 3" Dissocialion des troubles de la
sensibilité
. Les doigts récupèrent les premiers, d'abord la
s de la sensibilité. Les doigts récupèrent les premiers, d'abord la
sensibilité
à la tempéra- ture, puis tous les modes de sens
, d'abord la sensibilité à la tempéra- ture, puis tous les modes de
sensibilité
: simultanément la sensibilité à la température
péra- ture, puis tous les modes de sensibilité : simultanément la
sensibilité
à la température reparait, mais seule, aux faces
e sensible au contact (doigts), persiste sans modification, mais la
sensibilité
à la douleur reparaît, d'abord dans la zone cor
ainsi en quatre segments ; pour chacun desquels les troubles de la
sensibilité
se traduisent par une formule spéciale (voy. fl
noter une disparition complète de l'excitabilité faradique et de la
sensibilité
électrique. Les secousses brusques qu'a présent
oelle épinière, les phénomènes de la motilité, ainsi que ceux de la
sensibilité
, étaient toujours les mêmes; c'est-à-dire qu'il y
a patte posté- rieure du côté de la section (avec exagération de la
sensibilité
), et dans l'extrémité opposée, anesthésie. En m
me restait plus qu'à me convaincre que ces phénomènes du côté de la
sensibilité
n'étaient point acciden- tels, passagers, mais
s atteintes par l'opération ; il résultait que les phénomènes de la
sensibilité
, particulièrement l'anesthésie cutanée de la pa
mouvements volontaires se produisent volontairement. Du côté de la
sensibilité
, on remarque une hyperesthésie cutanée de l'ext
auche (en v incluant l'extrémité postérieure), perte complète de la
sensibilité
cutanée aux piqûres d'épingles et aux pincement
ments du côté gauche et la paralysie com- plète du côté droit. La
sensibilité
cutanée est complètement annulée dans la part
opposée, les mouvements volontaires sont parfaitement conservés. La
sensibilité
cutanée de la partie postérieure du corps et de
lie, mais il n'y a point de paralysie complète. Les phénomènes de
sensibilité
sont restés les mêmes. Les réflexes cu- tanés
e cobaye pou- vait se servir facilement de l'extrémité droite. La
sensibilité
cutanée de l'extrémité postérieure et des parties
é gauche postérieure que la veille ; le pied est un peu dévié. La
sensibilité
cutanée, dans les parties dont j'ai parlé plus ha
ur sont annulés; du côté gauche, ils sont visiblement affaiblis. La
sensibilité
électro-cutanée du côté droit est annulée, du c
côté gauche, elle est affaiblie. (On peut dire la même chose de la
sensibilité
de la peau.) L'excitabilité électro- musculaire
s,sont en bon ordre. . 21 avril. On remarque une amélioration de la
sensibilité
du côté gauche paralysé. Aucun autre changement
e celle de droite, en état d'abduction et légèrement contractée. La
sensibilité
est toujours la même. 28 avril. - Dans la patte
s jointures. Les mouve- ments du pied droit et les phénomènes de la
sensibilité
(de même l'hyperesthésie) sont les mêmes que ce
la cuisse, légèrement tendue et traîne un peu pendant la marche. La
sensibilité
et les autres phénomènes sont les mêmes. Les do
rémité droite et en même temps, une diminution peu importante de la
sensibilité
de l'extrémité gauche, dans laquelle il y avait a
rent complètement rétablis cinq semaines après l'opé- rtttion. - La
sensibilité
, deux semaines après l'opération, est rede- ven
ver trois mois après l'opération une restauration peu marquée de la
sensibilité
et des mouvements volontaires; dans la cicatric
les bases suivantes : .. Ce qui concerne les observations sur la
sensibilité
et sur la motilité des extrémités postérieures
t conservés; il n'y a pas de trépidation épileptoïde. Du côté de la
sensibilité
, nous constatons un certain degré d'hyperesthés
nctions motrices du cerveau. Les paralysies de la motilité et de la
sensibilité
, non seulement transitoires (paralysies motrice
ers groupes musculaires représentés dans les centres corticaux ; la
sensibilité
et la conscience sont temporairement suspendues
cond cas, ces phénomènes seront caractérisés par des troubles de la
sensibilité
générale et spé- ciale et de l'intelligence, av
en effet comme n'ayant point de fonction connue en rapport avec la
sensibilité
et la motilité volontaire. Cependant, si les ex
lus délicates coordinations psychiques, recevrait des centres de la
sensibilité
générale et spéciale les matériaux de. ses élab
« Cet organe serait donc, écrit Bianchi, aux aires corticales de la
sensibilité
et du mouvement ce que sont ces centres aux tha
fondement et la condition de l'intelligence ». Les troubles de la
sensibilité
générale et spéciale ne sont pas moins nets que
ces malades avec des individus normaux, comme l'a fait Agostino, la
sensibilité
générale parait alors fort diminuée, en particu
dorat sont très émoussés, surtout après les attaques, tandis que la
sensibilité
thermique, la sensibilité à la douleur et le se
surtout après les attaques, tandis que la sensibilité thermique, la
sensibilité
à la douleur et le sens musculaire étaient à pe
(47 p. 100), tantôt anormale (31 p. 100), réagissent lentement. La
sensibilité
électrique, demême que l'excitabilité électriqu
tion anatomique exacte aux différents centres de per- ception de la
sensibilité
générale, les altérations de la sensibilité cut
s de per- ception de la sensibilité générale, les altérations de la
sensibilité
cutanée ou musculaire n'étant pas en rapport co
de l'aura qui précède l'accès, consistant souvent en troubles de la
sensibilité
cutanée et mus- culaire, implique bien que le p
- sentait aussi un léger degré de paralysie et de contracture. La
sensibilité
tactile des extrémités du côté gauche, du bras su
1889.) - Un cas DE syringomyélie avec contribution A l'examen DE la
sensibilité
; par Bumpr. (Neurol. Centralbl. 1889.) CONTRIBU
'observation de M. Rumpf est surtout intéressante par l'étude de la
sensibilité
et de ses modes. En outre des phénomènes de la
art des con- vulsions, du vague de la céphalalgie, de l'absenc e de
sensibilité
à la percussion, de l'uniformité de la parésie
ruban de Reil contient surtout des fibres destinées à conduire la
sensibilité
de la moitié opposée du corps, C'est du reste la
ns musculaire et un certain affaiblissement des autres formes de la
sensibilité
dans les extrémités droites; absence com- plète
dorales peuvent sécréter. J'ai signalé la genèse des troubles de la
sensibilité
affective par le développement de ]a théorie de
es autres états auxieux, l'hypo- condrie, les troubles divers de la
sensibilité
et des troubles du sens : 9° Les troubles génit
nsibilité de cette région. Enfin, plus récemment, il apprend que la
sensibilité
cutanée s'est affaiblie dans le membre inférieu
ne horizontale pas- saut par les aisselles, sont atteints dans leur
sensibilité
. Ici, ce n'est plus la dissociation syringomyél
Ce n'est pas ainsi, en général, que se disposent les troubles de la
sensibilité
dans la syringomyélie; ils procèdent par segmen
hérique. Mais, direz-vous, et la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
? Peut- elle être produite par la lésion d'un n
rconstances. Con- ' Dans un cas de lèpre anesthésique par places la
sensibilité
tactile était à peine modifiée, la sensibilité
ésique par places la sensibilité tactile était à peine modifiée, la
sensibilité
thermique et la sensibilité àladou- leur étant
lité tactile était à peine modifiée, la sensibilité thermique et la
sensibilité
àladou- leur étant absolue. (A. Sass. Deux cas
achures hori- zontales : zone de dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. Les excitations thermiques et douloureuses pro
de meilleure consistance. - Aucun trouble dans la motilité, dans la
sensibilité
, ni les autres fonctions organiques. Le malade
t, n'est le siège d'aucune localisation importante de motricité, de
sensibilité
ou de toute autre fonction orga- nique. Cepen
mplète, tandis que la droite est libre dans tous ses mouvements. La
sensibilité
de cette extrémité et des parties voisines du c
côté gauche, les parties adhérentes correspondantes démontrent une
sensibilité
exagérée pour les irritations douloureuses. 1
ité postérieure gauche, reste sans mouvement et semble amaigrie. La
sensibilité
est sans changement : . 29. Dans l'extrémité
opposé est la même, on ne peut remarquer ;que de faibles signes de
sensibilité
cutanée de la plante du pied. 28. Statu quo.
bdomen et l'extrémité postérieure (excepté la plante du pied, où la
sensibilité
est très faible) il y a pleine anesthésie. Du c
extrémités postérieures sont plus libres que la veille. Quant à la
sensibilité
, il n'y a .point de changements. 1er novembre
mêmes. 7. L'état général est satisfaisant. Les mouve- ments et la
sensibilité
des extrémités postérieures sont tout à fait an
pied gauche postérieur se sont complètement rétablis, taudis que la
sensibilité
se restitua seulement au bout du , Fig. 20. F
s réflexes cutanés et tendineux sont les mêmes des deux côtés. - La
sensibilité
cutanée de l'extrémité droite postérieure et de
de l'extrémité droite postérieure sontcom- plètement conservés. La
sensibilité
cutanée plus bas que l'endroit de l'opération d
postérieures et les organes pelviens sont en bon ordre. Quant à la
sensibilité
, elle est sans changement. 2 janvier 1886. Le
. Evidemment une cer- taine rigidité la prive de liberté. L'état de
sensibilité
est le même. Les organes pelviens sont en bon o
rands efforts pour fuir, sont très éner- giques. Du côté gauche, la
sensibilité
cutanée du cou, du corps et des extrémités est
l n'y a aucun changement dans les mouvements de la jambe droite. La
sensibilité
est annulée dans 200 ' ANATOMIE. l'extrémité
atte droite postérieure ; dans la patte gauche n'existent point. La
sensibilité
est sans changements. , 5 février. Le cobaye
l'auteur nommé celle de l'entre-croise- ment immédiat des voies de
sensibilité
dans la moelle; dans cette expérimentation, je
és postérieures, quoique affaiblis, sont parfaitement conservés. La
sensibilité
cutanée des deux extrémités postérieures est to
la patte gauche, ils sont con- servés dans un degré très faible; la
sensibilité
du côté droit est tout à fait annulée; du côté
itôt après l'opération , on remarque les phéno- mènes suivants : la
sensibilité
cutanée est tout à fait annulée, la jambe gauch
e concomitant à la paralysie générale : -. 1° Au point de vue de la
sensibilité
: L'alcoolisé paralytique est hal- luciné comme
lytique est hal- luciné comme l'alcoolique, il a des troubles de la
sensibilité
générale, des fourmillements, qu'il peut attrib
ussi bien par les lésions ana- tomiques, que par les troubles de la
sensibilité
et de la molililé. Les essences des liqueurs pe
allucinations de la vue. Les troubles auditifs, les illusions de la
sensibilité
générale ,se manifestent, secondairement, en ve
et le tiers inférieur de la jambe. Paralysie du mouvement et de la
sensibilité
cutanée. M. SPERLING.- De la paralysie isolée d
iminution de la partie postérieure du tronc et la disparition de la
sensibilité
de la patte postérieure avec perte de la sensib
parition de la sensibilité de la patte postérieure avec perte de la
sensibilité
musculaire de la même jambe devenue ataxique; e
r y parvenir, il lui faut le concours de tous les muscles du corps.
Sensibilité
intacte; absence de réflexes 1 Voy. Archives de
animaux observés, et reconnaissant cependant que les troubles de la
sensibilité
et de la motilité géné- rale se montrent surtou
urtout dans les lésions du cerveau antérieur, les altérations de la
sensibilité
spéciale surtout dans les lésions du cerveau po
de Goltz et de ses élèves Loeb et Schrader sur les troubles de la
sensibilité
générale et sur les troubles visuels; dans la par
centres corticaux de chaque sens et sur les centres corticaux de la
sensibilité
cutanée, muscu- laite et des mouvements volonta
entre des centres entrainerait des troubles de tous les sens, de la
sensibilité
générale et même du caractère. La théorie itali
cellules ont plus de valeur que leur forme; que les fonctions de la
sensibilité
et de la motilité, loin d'être distinctes, coïn
tuliens jointe, chez un diabétique, à l'existence de troubles de la
sensibilité
tels, par exemple, que les douleurs fulgurantes
tés persécuteurs. Ce ne sont pas davantage les hallucinations de la
sensibilité
générale, quoiqu'elles manquent plus rarement q
eur; elle suppose nécessairement un trouble profond, radical, de la
sensibilité
générale ou coenesthésie. Quand on examine le
ce qu'il entend. Si le délire s'ajoute à cet état douloureux de la
sensibilité
, c'est-à-dire s'il y a lypémanie proprement dit
u délire. Aux hallucinations de l'ouie se sont jointes celles de la
sensibilité
générale : le malade, couvert de fils électriqu
changements apparents. L'examen le plus strict de tous les modes de
sensibilité
fit reconnaître l'absence absolue de troubles.
ations, il y a non seulement des troubles trophiques, mais aussi de
sensibilité
. Ainsi, Romberg a décrit une malade chez laquel
nous avons aussi des douleurs, des atrophies et une diminution de
sensibilité
le long du nerf contusionné : tous les trois symp
e droite dilatée, température baissée du côté affecté de la face et
sensibilité
à la pression exercée sur les ganglions cervica
par le trapèze et peut-être par des m. angulaire et J homboïde ; 3°
Sensibilité
: Sensations douloureuses subjectives; de plus,
: Sensations douloureuses subjectives; de plus, modification de la
sensibilité
conslatée à l'aide de certaines explorations, a
étendant sur la portion antéro-exlerne, le reste étant indemne; L).
Sensibilité
profonde. L'articulation de l'épaule est sensib
cervical, on aurait à constater des troubles du mouvement et de la
sensibilité
dans des régions autres que celles qui sont att
complète disséminés au milieu de vastes régions ayant conservé leur
sensibilité
, fait qui s'explique par l'existence de l'anast
, avait passé inaperçu ; on se bornait à noter une diminution de la
sensibilité
, peut- être à cause de la difficulté des recher
ou d'un traumatisme. Ce fait explique pourquoi la diminution de la
sensibilité
a été trouvée dans la moitie des observations e
du nerf musculo-cutané conservait toute sa sensibi- lité 1. '. La
sensibilité
profonde chez notre malade a complètement dispa
sensations accusées dépendent simplement de la conservation de la
sensibilité
de certaines parties de la peau. Par exemple, l
art à ces mouvements sont recouverts par une peau ayant conservé sa
sensibilité
. L'articulation de l'épaule innervée en totalit
inelle, comme s'il était fou. » . Etat actuel (5 janvier 1885). -
Sensibilité
: le chatouillement ou le conlact ne sont pas p
he à partir de l'aine. Sur la moitié antérieure droite du tronc, la
sensibilité
est conservée mais obluse. Il y a anesthésie de
ure droite du tronc, du bras droit et du membre inférieur droit. La
sensibilité
à la douleur du côté gauche est perdue au cuir
aupières sont baissées, les yeux convulsés en haut et en dedans. La
sensibilité
est abolie. Le pouls est petit et rapide. Accès
nt de la buanderie et du marais. Envoyé en' cellule. - , 15. - La
sensibilité
dans ses différents modes parait très obtuse de
est rétréci surtout à droite et l'acuité visuelle est diminuée. La
sensibilité
des téguments de l'oeil est conservée, quoi- qu
urses, égaux, du volume d'un petit oeuf de poule, non douloureux.
Sensibilité
générale. - Le chatouillement parait senti égalem
s marquée à gauche au tronc, aux bras et aux membres inférieurs. La
sensibilité
à la piqûre parait atténuée du côté droit au cu
s inférieurs, les yeux fermés, elle est prise pour un pincement. La
sensibilité
au pincement est dimi- nuée dans tout le côté d
s symptômes classiques : hémiparésie à droite avec diminution de la
sensibilité
spéciale et des réflexes rotulien et plantaire
ue, ce pigeon ne présentait pas de troubles de la motilité ni de la
sensibilité
; il voyait et entendait, mais avait perdu le se
ents et sûreté de la démarche, disparition du gâtisme, retour de la
sensibilité
et des phénomènes tendineux. Il est évident qu'
ire et rapide, de facies terreux, d'yeux caves, de perversion de la
sensibilité
, d'hal- lucinations de la vue; d'ordinaire, les
e la main gauche à son élévation jus- qu'à la position verticale.
Sensibilité
. -Il y a une thermanesthésie de la moitié gauche
'une paresthésie agréable. Les sens du toucher, de la douleur et la
sensibilité
électro-musculaire restèrent sans change- ment.
ici la malade ne percevait que la différence de-4°, tan- disque la
sensibilité
s'améliorait en descendant, la jambe distin- gu
face et la moitié droite du thorax conser- vaient tout le temps une
sensibilité
normale. L'état général de la malade était sati
nou et dans la tibio-tarsienne que la force motrice est bonne. La
sensibilité
douloureuse à la pression sur les nerfs et les
l le muscle premier interosseux fonc- tionne mieux qu'auparavant.
Sensibilité
. L'anesthésie thermique occupe main- tenant pre
ce thermique de 1° seulement; vers les côtés et en descendant, la
sensibilité
baisse, de sorte que les plantes des pieds ne p
la dou- leur moins bien que les droits. A la face et au tronc, la
sensibilité
à la douleur est conservée ; sur la main DE LA
troubles de l'articulation, de phonation, de mastica- tion et de
sensibilité
dans la cavité de la bouche. Néanmoins, la mala
delà main. Les douleurs dans le dos et les membres inférieurs, la
sensibilité
douloureuse des cordons nerveux, qui avaient ac
s faibles qu'à à gauche. - La force muscu- laire est conservée.
Sensibilité
. Le sens du tact et du lieu est partout normal.
e. Sensibilité. Le sens du tact et du lieu est partout normal. La
sensibilité
à la douleur n'est pas altérée non plus. La s
ormal. La sensibilité à la douleur n'est pas altérée non plus. La
sensibilité
thermique est affaiblie sur le membre supérieur
la courbe costale, elle passe insensi- blement dans la sphère de la
sensibilité
normale. Le degré des troubles de la sen- sib
te époque, il n'a pas observé de troubles locomoteurs; du côté delà
sensibilité
, il signale la courbature dans l'articulation d
moteurs au tronc (diaphragme, thorax, muscles abdominaux, etc.). La
sensibilité
tactile du malade est partout normale : il locali
ale : il localise des attouchements légers avec grande précision.
Sensibilité
générale. Le malade localise et distingue partout
s régions thoracique et abdominale, on observe un abaissement de la
sensibilité
aux impressions douloureuses, plus DE LA GLIOMA
et cutanés est devenue moins sensible et a disparu par endroits. La
sensibilité
, à la dou- leur s'est améliorée ; une certaine
accès de pleurs et de rires involon- taires (Obs. III); la perte de
sensibilité
de la muqueuse pharyngienne (Obs. IV), des accè
Se promène un peu seule, pleure beaucoup. 30 août. Même état; la
sensibilité
est bien plus nette, quoi- que toujours un peu
mentale'. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. SUR LES anomalies DE L1
sensibilité
ET LEURS relations avec l'ataxie dans LE tabès
s. Le présent mémoire contient : trois observations du retard de la
sensibilité
à l'égard de la chaleur trois observations de s
ard de la sensibilité à l'égard de la chaleur trois observations de
sensibilité
double dans le domaine de la zone soumise à la
perçu comme une douleur deux observations d'épuisement rapide de la
sensibilité
thermique trois observations de rémission du tr
sibilité thermique trois observations de rémission du trouble de la
sensibilité
une observation de répartition toute spéciale d
lité une observation de répartition toute spéciale du trouble de la
sensibilité
deux ob- servations d'ataxie résidant sur le sy
tations exces- sives. On constate en revanche des perversions de la
sensibilité
; les différents modes de douleurs se traduiron
ésulte en outre de l'étude de ces deux faits que les troubles de la
sensibilité
se montrent dès la période initiale de la névri
raître le syndrome de la paralysie spasmodique, sans troubles de la
sensibilité
, il faut penser à cette combinaison. L'hérédité p
moitié du cer- veau présente de la paralysie ou des troubles de la
sensibilité
nulle part. Chaque pédoncule cérébral doit renf
se, elle a sim- plement diminué; conservation des réflexes et de la
sensibilité
. C'est une contracture myopathiqiie d'origine i
es, l'une de début caractérisée par la prédominance des troubles de
sensibilité
, BIBLIOGRAPHIE. 123 l'autre d'état dans laque
l'exaltation du réflexe du genou' qui est moindre qu'à droite. La
sensibilité
examinée sous tous ses modes paraît annihilée (
dos du pied qui est presque complètement anesthésiée : à gauche la
sensibilité
semble très légèrement affectée. Par le toucher
er le tremblement, il faut fortement fléchir le pouce du pied. La
sensibilité
se trouve affectée seulement sous le rapport de l
alade s'y oppose à cause de la dyscampsie des arti- culations. La
sensibilité
examinée sous tous ses modes n'a présenté aucune
à chaque coup, le membre droit fait un mouvement d'adduction. La
sensibilité
se trouve émoussée dans un de ses modes, la dou-
sorte que le 4 novembre, il articulait très bien tous les mots. La
sensibilité
des membres paralysés a commencé à revenir, car
ne paralysie subite et complète aussi bien de la motilité que de la
sensibilité
des membres inférieurs, paralysie très fugitive
884. - Il n'y a pas le moindre trouble, ni de la motilité, ni de la
sensibilité
des membres inférieurs du malade. Le sens muscu
près l'accident, le malade recou- vra entièrement la motilité et la
sensibilité
de ses membres infé- rieurs. 11 se fatiguait se
membres se raidir dans l'extension pendant un temps variable. La
sensibilité
examinée soigneusement sous toutes ses modalités
bres inférieurs sont complètement paralysés de leur motilité ; leur
sensibilité
était diminuée mais non abolie. Pour le faire u
nstate facilement, si l'on fait mouvoir les membres du malade. La
sensibilité
examinée sous tous ses modes et très soigneuse-
minutes ; décompression brusque. Paralysie de la motilité et de la
sensibilité
des membres inférieurs avec rétention d'urines
alique. Mais par contre, il a une paralysie de la motilité et de la
sensibilité
des membres inférieurs, qui est accompagnée de
é de secousses et de contractures passagères, surtout la nuit. La
sensibilité
examinée sous tous ses modes a démontré une ane
re gauche l'était aussi beaucoup, car il ne pouvait le soulever. La
sensibilité
au niveau des membres paralysés aurait été comp
pas trace de paralysie de l'extrémité supérieure ni de la face. La
sensibilité
n'était pas alté- rée. Le malade était tourment
ause de la dyscampsic de ses articulations. Au point de vue de la
sensibilité
, le malade présente la sensa- tion étrange suiv
lètement paralysés. Ils ne pouvaient faire le moindre mouvement. La
sensibilité
non seulement au niveau des membres paralysés,
s fortement le droit. Il n'y a pas le moindre trouble trophique. La
sensibilité
est tout à fait normale dans toutes ses modalit
tés. Le 7 mai, la malade a recouvré entière- ment la motilité et la
sensibilité
de ses membres supérieurs. Le 10 juin, il peut
gauche finit quelques minutes après par occuper aussi la droite. La
sensibilité
de ses membres parétiques aurait été assez dimi
ptômes quelconques, de sorte que la parésie de la motilité et de la
sensibilité
des membres supérieurs du malade constituait à
de l'accident, il est pris d'une parésie de la moti- lité et de la
sensibilité
du membre inférieur gauche presque im- médiatem
oulever aucun de ses quatre membres. A ce moment, l'abolition de la
sensibilité
était complète; on a continué à sonder le malad
onnelle des fléchisseurs est moindre que celle des extenseurs. La
sensibilité
sensitive examinée sous toutes ses modalités s'es
xaltation des réflexes et trépidation épileptoïde. Diminution de la
sensibilité
au membre droit. Troubles urinaires. Trwi- teme
e faire transporter à l'aide de quatre personnes dans la barque. La
sensibilité
au niveau des mem- bres paralysés et de la part
ar le procédé habituel qui agite plus fortement le membre droit. La
sensibilité
examinée sous toutes ses modalités s'est trouvé
La difficulté d'uriner n'existe presque pas. Pas de troubles de la
sensibilité
. Depuis lors, nous avons vu plusieurs fois le m
s inférieurs ainsi que la région des nerfs crâniens sont normaux.
Sensibilité
: analgésie du côté gauche, de la moitié du thora
é de la nuque et de la tête jusqu'à la région du nerf trijumeau. La
sensibilité
tactile est partout conservée, à l'ex- ception
- trine, s'élargissant un peu par devant à cet endroit ce mode de
sensibilité
est en partie détruit, en partie diminué. Sensati
Point d'autres troubles moteurs. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 197
Sensibilité
. La sensibilité tactile est partout conservée, à
roubles moteurs. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 197 Sensibilité. La
sensibilité
tactile est partout conservée, à l'exception de
face antérieure de la cuisse gauche et le dos de la main gauche. La
sensibilité
à la douleur est abolie ou diminuée dans différ
olées, ou les deux simultanément; 2). Des troubles subjectifs de la
sensibilité
; 3). Troubles moteurs, paré- sies limitées à d
i les dix, il n'y a pas eu d'affaiblissement, d'autres espèces de
sensibilité
durant treize' et six ans. Dans un troisième ca
ent un espace bien plus grand quel'anesthésie des autres espèces de
sensibilité
. Parmi les auteurs modernes que j'ai cités plus
haut, et qui ont prêté une attention soutenue à l'exa- men de la
sensibilité
, aucun n'a noté l'existence de, l'anesthésie th
lement uniques dans la science. Cela tient certainement à ce que la
sensibilité
à la température est très rarement recherchée e
erchée et alors qu'on a constaté des troubles d'autres espèces de
sensibilité
. Dans sept cas décrits par les auteurs allemand
à cela ou bien l'on observait des endroits isolés de la peau, où la
sensibilité
tactile était aussi affaiblie. Dans l'observati
é tactile était aussi affaiblie. Dans l'observation d'Oppenheim, la
sensibilité
était diminuée dans toute la région à limites c
nesthésie thermique ; mais le trouble des deux dernières espèces de
sensibilité
était plus accusé. Dans ses observations nomb
xamen du sens de la température; néanmoins il a vu des lésions de
sensibilité
à la douleur et à la température avec conservat
par degrés d'anesthésie, tantôt se séparant par des seg- ments à
sensibilité
normale, A un degré considérable d'anesthésie t
d'anesthésie thermique dans toute la moitié du corps, ce trouble de
sensibilité
n'est pas ordinairement limité à cette seule mo
mp thermanesthétique puisse être recouvert de taches irrégulières à
sensibilité
plus ou moins bonne, comparativement à celle de
loigner davantage tantôt de l'une, tantôt de l'autre modalité de la
sensibilité
ther- mique. Il y avait comme une hypéresthésie
té ther- mique. Il y avait comme une hypéresthésie relative de la
sensibilité
au froid ou à la chaleur. Il peut y avoir aussi
ésie partielle, seule avec conservation de tous les autres modes de
sensibilité
au moins pendant un certain temps. Pourtant ni
ns russes, mais qui n'ont pas été portés sur la liste, parce que la
sensibilité
thermique n'y était pas étudiée. Le ralentissem
. 207 dans sa distribution la même règle, que le changement de la
sensibilité
à la chaleur et à la douleur. Chez notre malade
cordons blancs de la moelle épinière, on peut observer la perte de
sensibilité
musculaire. 2). Les altérations subjectives de
te de sensibilité musculaire. 2). Les altérations subjectives de la
sensibilité
, ne présentent pas un phénomène ininterrompu, m
aresthé- sies de différente sorte : sensation de refroidissement,
sensibilité
au froid des membres, ne dépendant pas toujours
des dis- trophies de la peau etc., siège dans la diminution de la
sensibilité
à la douleur, ne permettant pas au malade de s'
cas où l'analgésie manquait, ou au moins, dans les endroits, où la
sensibilité
thermique était seule altérée. Des recherches u
istant entre les troubles vaso-moteurs pro- duits dans la sphère de
sensibilité
d'un côté et les troubles trophiques de l'autre
moteurs peuvent être plus accusés du côté où les altérations de la
sensibilité
sont moins développées. Des troubles moteurs pl
LOGIQUE. symptôme; ensuite viennent des troubles subjectifs de la
sensibilité
ou l'analgésie, ou les troubles moteurs et l'at
raire, les premières en ligne de compte à propos des troubles de la
sensibilité
». En outre, des observations de lésions cortic
du côté des circonvolutions frontales avec « troubles légers de la
sensibilité
» ; des lésions de la plus grande partie de la
onto-pariétale avec «. paralysie des mouvements et diminution de la
sensibilité
2 D, permettent de dire qu'assigner à l'écorce
et cliniques sur le faisceau sensitif. In th. Paris, 1881, et art.
Sensibilité
du Dict. Dech. Charcot et Pitres. Rev. mens. Se
s sensitives, ainsi que des fibres intellectuelles. Intelligence et
sensibilité
sont deux fonctions qui, jusqu'à présent, ont é
de la moelle révélées en clinique sur- tout par des troubles de la
sensibilité
, par ce fait même qu'elles se limitent toujours
sente en possession naturelle de lui-même, qu'il ait récupéré sa
sensibilité
morale antérieure, qu'il jouisse d'une humeur cal
rée, principalement à propos des persécutés spinaux (troubles de la
sensibilité
générale avec interprétation allégorique) bien
existé chez nos malades et qui consistaient en troubles : 1° de la
sensibilité
, 2° de 382 ' CLINIQUE NERVEUSE. la vessie, 3°
génitaux, et 5° douleurs aux lombes. 1). Symptômes sensilifs. La
sensibilité
paraît être constamment altérée ; au moins sur
I, II, III, IV, VI, VII, IX, X, XI, XII, XIII). L'abolition de la
sensibilité
est si complète, que les membres para- lysés so
is, quand on a transpercé la peau. L'existence des troubles de la
sensibilité
est toujours recherchée par les compa- gnons du
moitié de nos observations ne présentait plus d'alté- ration de la
sensibilité
; par contre, dans les six autres observations,
tres observations, elle a été trouvée altérée. L'altération de la
sensibilité
dans l'immense majorité des cas s'est manifesté
manifestée par une paralysie soit incomplète, diminu- tion de la
sensibilité
, soit complète, anesthésie. L'anes- thésie est
elle l'est par plaques, par exemple (Cas. IX). Il est des cas où la
sensibilité
est plus ou moins paralysée sous toutes ses .mo
ous un seul mode, la dou- leur, par exemple (OBs. 11). Parfois la
sensibilité
, au lieu d'être paralysée, est au contraire per
her de pair avec la paralysie aussi bien de la motilité que de la
sensibilité
, car, sur treize observations, ils n'ont fait d
, à savoir troubles moteurs sous forme de paralysie, troubles de la
sensibilité
sous AIICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE NERV
taient dégagés de la paralysie, aussi bien de la motilité que de la
sensibilité
; il rend bien ses urines et ne se plaint de ri
du soir, paralysie complète et soudaine de la ? 71otililé et de la
sensibilité
des quatre membres. Soif. Rétention d'urines et
et de fièvre, guéri. Le 15 février, retour de la motilité et de la
sensibilité
aux membres supérieurs. Secousses. Douleurs en
ouvait exécuter le moindre mouvement; il ne remuait que la tête. La
sensibilité
à son tour était tout à fait abo- lie au niveau
de leur paralysie aussi bien et avaient recouvré la motilité et la
sensibilité
. Par contre, les membres inférieurs étaient resté
un tremblement postéro-iatéra) du corps tout entier. L'examen de la
sensibilité
a relevé des plaques d'anesthésie à diverses ré
é, perte de notion de position des membres, troubles étranges de la
sensibilité
. Histoire. ? Le nommé Stratis Scoufos, âgé de 2
passagères : ses jambes se raidissent en extension. L'examen de la
sensibilité
dans tous ses modes nous a fait remarquer des d
ne paralysie subite et complète aussi bien de la motilité que de la
sensibilité
, des deux membres inférieurs et du supérieur dr
ste aussi bien spontané que provoqué, surtout au membre droit. La
sensibilité
examinée sous tous ses modes a été trouvée par-
x ; 3° rectaux. c). Symptômes sensitifs. Chez les six malades, la
sensibilité
a été trouvée profondément altérée. L'in- tensi
aux ont constamment accompagné la paralysie de la motilité et de la
sensibilité
; ils ont consisté dans tous les cas, en une rét
centrale de la moelle épinière (cas de Krauss) quelques troubles de
sensibilité
marqués dans les régions innervées par les part
t s'il existe en réalité des conducteurs anatomiques isolés pour la
sensibilité
tac- tile, thermique, et de la douleur, sans pa
Des re- cherches détaillées et moins grossières dans la sphère de
sensibilité
ne sont possibles que chez l'homme. En attendan
On pourrait supposer que les conducteurs isolés de ces espèces de
sensibilité
ne s'avancent pas loin dans les cornes postérie
lication fournirait le plus de probabilité. Mais nous savons que la
sensibilité
à la douleur et à la température peuvent être a
oies thermesthésiques isolées, en respectant partout les voies de
sensibilité
à la douleur. Il faut admettre que l'altération
il n'existe pas des conducteurs spéciaux aux différentes espèces de
sensibilité
). 406 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le degré d'influen
nce de ces deux facteurs servira à déterminer celui des troubles de
sensibilité
; leur qua- lité servira à déterminer le caractè
r la résistance différente des conducteurs de diverses espèces de
sensibilité
aux altérations morbides siégeant dans la moell
oelle épinière (ou bien de la conductibilité de diverses espèces de
sensibilité
dans les mêmes conduc- teurs), il n'y a pas de
algésie. Le diagnostic est facile dans les cas oui) des troubles de
sensibilité
plus ou moins étendus de ce genre se combinent
ppant notre attention, exigent qu'elle soit fixée sur l'examen delà
sensibilité
du ma- lade. Leur existence en elle-même, sans
ions à les rencontrer sans qu'ils soient accompagnés de troubles de
sensibilité
notables et d'atrophies musculaires, nous pourr
s racines situées plus bas'. Là où les troubles caractéristiques de
sensibilité
partiels et les troubles moteurs dans lesquels
édents, indiquant, qu'au dé- but, il avait existé une altération de
sensibilité
caractéristique, sans quoi bien entendu un diag
affaiblissement de la douleur, une diminution très accu- sée de la
sensibilité
thermique sur le pied et diminuant vers les cuiss
eu- rite d'autant plus que nous pouvons tomber sur des cas, où la
sensibilité
douloureuse des cordons nerveux et des muscles
rmanesthésie, à peu près complètes, aux parties ayant conservé leur
sensibilité
normale. Il ne faut pas en outre oublier l'atro
Pour cette raison, il est donc nécessaire de toujours examiner la
sensibilité
à la température et à la dou- leur : 1) dans le
stence d'une anesthésie plus ou moins étendue de tousses modes de
sensibilité
(notre cas décrit en 1878) n'exclue pas ce proc
que les cornes antérieures) qui existe dans les cas à paralysie de
sensibilité
partielle. Mon observation citée plus haut peut
promet de répandre une lumière nouvelle et sur la physiologie de la
sensibilité
des vaso-moteurs, des troubles trophiques, etc.
GOLDSCIIEIDEII. (A ? ,chiv. f. Psych., XVIII, 3.) Normalement la
sensibilité
thermesthésique se répartit sans Uniformité à l
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 437 endroit possède son maximum de
sensibilité
infranchissable (sensibilité absolue). C'est ce
. 437 endroit possède son maximum de sensibilité infranchissable (
sensibilité
absolue). C'est cette topographie physiologique d
res personnes. Il a ainsi construit des fables de répartition de la
sensibilité
thermesthésique se composant de douze échelons en
ux, ce qui expliquerait le tremblement, les accidents du côté de la
sensibilité
générale et musculaire, la fatigue, l'impotence f
es choses peuvent demeurer ainsi de longues années en station, la
sensibilité
cutanée et les réflexes persistant intacts. Les m
tour : douleurs spontanées, réaction dégénéra- tive, troubles de la
sensibilité
cutanée, diminution et abolition des réflexes t
ct à des convulsions unilaté- rales à droite, sans abolition de la
sensibilité
dans les régions affectées. L'auteur rappelle
taque apoplectiforme suivie d'hémiplégie gauche avec troubles de la
sensibilité
par tout le corps. Deux semaines plus tard, bru
umeau, portant, bien qu'incomplète, sur toutes les propriétés de la
sensibilité
; il en est de même du nerf cervical supérieur.
ngue et même dans la partie gauche et postérieure de cet organe; la
sensibilité
est atteinte sur le côté gauche du.palais et de
dans le cours même du tubes; paralysie brusque, sans troubles delà
sensibilité
, évolution favorable. Les dégénérescences que l
lite symptomatique d'une violence extrême; 4° les troubles de la
sensibilité
prédominèrent. P. K. XXXVII. Deux exemples DE l
du), par Hoche, 442. Tabès dorsal (rapports des anomalies de la
sensibilité
, avec l'ataxie dans le), par Stprn, 65; (et ali
git par exemple d'un centre « moteur » : 1° le réveil des images de
sensibilité
tac- tile et musculaire qui accompagnent le mou
quent, à la fois, des centres de perception des im- pressions de la
sensibilité
générale ou de la sensibilité spécifique de cha
de perception des im- pressions de la sensibilité générale ou de la
sensibilité
spécifique de chaque partie correspondante du c
ations, en particnlier de celle de la vue. Les hallucinations de la
sensibilité
et celle de la a motilité doivent donc être ram
ou telle aire corticale, elle est toujours réductible à un mode de
sensibilité
. « C'est particulièrement dans la sphère motric
nsoriels ou de perception en rapport avec les différentes formes de
sensibilité
aussi bien que les centres moteurs, principalem
e la vision, il n'y aucune autre perte ni motrice, ni sensitive. La
sensibilité
des globes oculaires est intacte et les mou- ve
nts des globes sont absolument libres. Il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
ni de la motricité des membres. Les autres sens
oteur ni sensitif, il n'y a ni ptosis ni paralysie ocu- laire et la
sensibilité
de la conjonction est absolument normale. Ces r
que les phénomènes qu'il regarde comme indi- quant une perte de la
sensibilité
de l'oeil sont en réalité dus à une perte de la
quand les paupières sont touchées. Ceci me semble une preuve de la
sensibilité
de l'mit et la non-percep- tion du danger a dis
es yeux étaient normaux, les réflexes cun- jouctivaux conservés, la
sensibilité
était intacte partout, la force musculaire cons
Munk. ,1, 7.ne w.uelle. - B, zone uuuitiw, c'est-a-dire la zone de
sensibilité
tactile (Illilils- phure) - D. l1l(mbl'e O1nter
s les cas d'amblyopie par lésion cérébrale il y ait intégrité de la
sensibilité
du globe de l'oeil. Mais ce n'est certainement pa
, quoique l'amblyopie hystérique est aussi bien une affection de la
sensibilité
que sensorielle, il n'en est pas ainsi dans l'amb
tions de la cinquième paire, qui cause la perte ou un trouble de la
sensibilité
de l'oeil, fréquemment amène aussi des désordlcs
chinson dans les Ophthalmic Ilospital Reports, vol. IV, 1863-63. La
sensibilité
produite par la cocaïne n'atteint pas non plus l'
affectée ou abolie sans au- cune complication des autres formes de
sensibilité
spéciale ou gé- néiale et absolument sans aucun
ndant et le liquide prend la même couleur. Cette réaction est d'une
sensibilité
telle qu'elle se produit encore avec de l'eau r
psychologique, après avoir envisagé la perception et sa genèse, la
sensibilité
, la connaissance, l'auteur passe en revue la co
ne à l'état normal au double point de vue mental et soma- tique. La
sensibilité
à l'égard des agents hypnogènes, qui était de-
- dineux fort actifs, persistance normale de tous les modes de la
sensibilité
, de la force musculaire, de l'excitabilité électr
moelle avec ataxie inhérente ci des troubles très pro- noncés de la
sensibilité
.- Il s'agit d'un homme de quarante-quatre ans q
uite de contu- sions duhcorps entier (sous la roue d'un moulin). La
sensibilité
est actuellement diminuée dans tous ses modes;
ensorielle. En effet ce malade, malgré les troubles prononcés de la
sensibilité
cutanée et du sens muscu- laire, présente, qu'i
sont justement ces éléments qui sont imputables aux troubles de la
sensibilité
. Duchenne les a décrits; ce n'est pas de l'ataxie
uleurs en ceinture crises gas- triques dysurie ralentissement de la
sensibilité
à la douleur - signe de Homberg - atrophie du n
intelligence, delà parole, des nerfs crâniens, des nerfs optiques :
sensibilité
bilatérale des pupilles. On constate depuis six
rniers malades, il n'y avait que des troubles insigni- fiants de la
sensibilité
. Il est impossible de trouver duplication. Un t
malades est constitué par ceux qui, pré- sentant des troubles de la
sensibilité
et de la motilité d'un côté, croyaient tenir da
ue vous pouvez les constater encore aujourd'hui, les troubles de la
sensibilité
et de la locomotion qui ramènent périodiquement
et, si au premier abord la démarche du malade et les troubles de la
sensibilité
qu'il accuse ont pu vous faire supposer qu'il é
ette hypothèse était d'autant plus plausible que les troubles de la
sensibilité
font défaut aussi bien dans la paralysie satur-
des troubles de la vision, de l'audition, de l'olfac- tion et de la
sensibilité
générale, retentiraient sur toute la vie psychi
rce céré- brale, les deux types de cellules du mouvement et de la
sensibilité
sont réunis et confondus en proportions diverse
r l'état du singe le jour qui suivit l'opération 1 : « La vue et la
sensibilité
tac- tile conservées. Plusieurs expériences fur
fait. Je ne suis pas encore en mesure de décider si cette forme de
sensibilité
auditive doit être attribuée aux portions non dét
aux du singe d'après blunk. - A. Centre visuel. - C. à J. Centre de
sensibilité
tactile (Fiihlsphrcre) de Iunk. centres psychomot
u bilatérale de cette région je n'ai pu trouver aucun trouble de la
sensibilité
de l'oreille. Luciani et Tamburmil ont trouvé q
après les expériences répétées, on la trouva sourde et aveugle. La
sensibilité
tactile et l'odorat étaient intacts. Elle eut q
E Je vais maintenant considérer la localisation des centres de la
sensibilité
ordinaire et tactile. Il y a encore beaucoup d'
p d'incertitudes sur le trajet et les centres des formes variées de
sensibilité
. On admet universellement depuis les expérience
être du sens musculaire, le trajet de toutes les autres formes de
sensibilité
, se porte en haut du côté opposé de la moelle. Ma
égère paralysie dans le même côté, il n'y avait aucun trouble de la
sensibilité
tactile ou douloureuse dans la jambe opposée le
ysie motrice * presque complète dans la jambe du même côté, mais la
sensibilité
n'était pas abolie du côté opposé. On ne pouvai
de si quelques sensations n'étaient pas atteintes, mais sûrement la
sensibilité
à la douleur a été conservée. Les expé- riences
osées à l'hypothèse que le cordon antéro- latéral est la voie de la
sensibilité
tactile et douloureuse. Dans une autre expérien
se que les cordons postérieurs sont la voie de conductibilité de la
sensibilité
tactile. Elle est aussi contraire à l'hypothèse
es le jour suivant, on n'a pu découvrir le plus léger trouble de la
sensibilité
tactile ni du sens musculaire. Il courait sans
s la région cervicale chez les chiens ne produit aucune perle de la
sensibilité
musculaire et tactile, quoique certains désordres
à la théorie qui fait suivre les cordons postérieurs à toutes de la
sensibilité
propre. Brown-Séquard a aussi montré, et c'est
anesthésique, mais dans ces trois cas il y avait conservation de la
sensibilité
tactile. Dans un cas3, le sens musculaire parai
ionné et aucun détail-exact n'est donné sur les autres formes de la
sensibilité
. Des autres cas, dans un le sens musculaire était
fut toujours intact sur le membre anesthésié aussi longtemps que la
sensibilité
tactile et la faculté de localisation furent co
t que le sens musculaire reste intact quand les autres formes de la
sensibilité
sont perdues. Tel est l'état de la question; le
contracture marquée du pied. Dans cette jambe, toutes les genres de
sensibilité
sont normales. Quand ses yeux sont fermés, il p
complète depuis le pied jusqu'au genou et affaiblissement de cette
sensibilité
du genou jusqu'au niveau de l'ombilic. La sen-
ite il était toujours insensible à la cha- leur et à la douleur. La
sensibilité
tactile était également bonne des deux côtés, a
ts mentionnés, est en faveur de cette idée que tout le trajet de la
sensibilité
remonte du côté opposé de la moelle et qu'il n'
ordon pyramidal peut être entière- ment sclérosé sans trouble de la
sensibilité
, nous sommes amenés en procédant par exclusion
le-même être la conséquence de la perte du sens musculaire ou de la
sensibilité
interne du tronc : ce qui semble confirmer cett
polaire, plus diurétique que le monopolaire, augmente en outre la
sensibilité
cutanée (sensibilité farado-cutanée) et élargit l
tique que le monopolaire, augmente en outre la sensibilité cutanée (
sensibilité
farado-cutanée) et élargit le sens de l'espace.
- thésie occupait les mêmes zones, elle portait uniquement sur la
sensibilité
tactile et thermique, la sensibilité à la douleur
elle portait uniquement sur la sensibilité tactile et thermique, la
sensibilité
à la douleur per- sistant. On posa le diagnosti
lète apparente), l'apparition et la dispa- rition successives de la
sensibilité
, perte de la motion de posi- tion), de paralysi
e'. Nous ' Gilles de la Tourelle - Superposition des troubles de la
sensibilité
et des spasmes de la face et du cou chez les hy
ctée. Cette hémiplégie motrice se serait accompagnée de perte de la
sensibilité
. On aurait piqué la malade du côté droit sansqu'e
nt normaux et égaux des deux côtés. Pas d'atrophie musculaire. La
sensibilité
générale est abolie dans tout le côté droit. Cett
é (contact, douleur, température). Pas d'anesthésie pharyn- gée. La
sensibilité
conjonctivale et corezérazze est abolie à gauche,
est celle d'un parétique. Les réflexes rotuliens sont exagérés. La
sensibilité
cutanée est diminuée sur la presque tota- lité
te de quinine.-Il cherche, fait un geste de menace avec le poing.
Sensibilité
cutanée Vase plein d'eau chaude placé sur la cuis
is M. Pitres a trouvé concurrem- ment chez l'enfant des troubles de
sensibilité
qu'il rattache à l'hys- térie, et il n'hésite p
exactes. Mais chez aucun d'eux il n'y avait une perte totale de la
sensibilité
ou un trouble plus grand que celui Imputable à
ions spéciales. Dans mes premières expériences, j'ai observé que la
sensibilité
commune et tactile semble être complètement int
es lésions s'étendaient profondément dans le lobe temporal que la
sensibilité
était atteinte ou abolie dans le côté opposé du c
Ces faits montrent la région de l'hippocampe comme le centre do la
sensibilité
commune et j'ai alurs cherché des expériences p
entièrement ceux auxquels j'étais déjà arri- vés et montrent que la
sensibilité
tactile était dans tous les cas ' Voir fig. 105
ouvent que les formes variées de sensation comprises sous le nom de
sensibilité
commune et tactile, comprenant la sensibilité c
prises sous le nom de sensibilité commune et tactile, comprenant la
sensibilité
cutanée, muco- cutanée et musculaire peuvent êt
ns lesquels la lésion apparemment était légère, la diminution de la
sensibilité
quoique d'abord très mar- quée disparut ensuite
iège de l'irritation, tandis que dans un cas où la diminution de la
sensibilité
était très frappante, l'animal répondait à une
ur tout le côté droit. Il est probable que, quoique représentant la
sensibilité
du côté opposé en général, certaines parties du
parties du lobe falciforme peuvent représenter plus spécialement la
sensibilité
de certaines régions. Mais quoique j'ai à l'occ
produire la perte totale et persistante de toutes les formes de la
sensibilité
commune et tactile du côté opposé par les lésio
a pas été entièrement détruit. - Il est proba- ble cependant que la
sensibilité
commune peut, jusqu'à un certain point au moins
ont été données plus haut, des rapports du lobe falciforme avec la
sensibilité
com- mune et tactile, il est certain que l'hypo
le reste du lobe falciforme que nous avons vu en rap- port avec la
sensibilité
générale du corps. Par la commissure antérieure
lait être le seul indice qu'il possédât encore quelque traces de la
sensibilité
olfactive. La chose dura quelques mois, époque à
ue l'anosmie; car j'ai trouvé que l'odorat n'est pas aboli quand la
sensibilité
[géné- rale de la narine est atteinte à la suite
constance*. La puissance de préhension était entièrement abolie. La
sensibilité
cutanée intacte. Le plus léger contact attirait
che, produisit une paralysie de la jambe droite, sans trouble de la
sensibilité
, suivie de contraction dans les muscles paralys
sie motrice, je n'ai jamais pu découvrir le moindre trouble de la
sensibilité
tactile, spéciale ou genérale après la destructio
est si frappant qu'on ne peut douter que dans le dernier cas, lu
sensibilité
est conservée tandis que dans l'autre elle est ab
te. Horsley et Schæfer n'ont aussi pu obte- nir aucune preuve de la
sensibilité
générale après la destruction des centres moteu
e de 1 Op. cil., p. 4,8. - LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 407 la
sensibilité
générale de la partie paralysée' ». Pour vérifier
l'écorce fus- sent détruites, il n'y avait aucune diminution de la
sensibilité
dans les parties atteintes de paralysie. Le ram
pour effet qu'un état plus complet de paralysie musculaire, mais la
sensibilité
du côté opposé reste toujours intacte jusqu'à l
t 3 que la destruction de la zone motrice corticale n'altère pas la
sensibilité
du côté opposé. Se souvenant de ce fait bien co
ntres soi-disant mo- teurs s'accompagne au dépend de troubles de la
sensibilité
géné- rale, musculaire ou tactile ou des trois
montré qu'il n'y avait aucune altération ou perte observable de la
sensibilité
tactile en général après les lésions de la zone m
ssentiellement motrice et ne s'accom- ' pagne d'aucun désordre delà
sensibilité
tactile, musculaire ou géné- rale.J'ai moi-même
certicale avec paralysie, dans les- quelles les différents modes de
sensibilité
ont été recherchés avec soin et trouvés normaux
e la zone motrice, on a observé un certain degré d'altération de la
sensibilité
tactile ou musculaire généralisée ou localisée.
e maladie céré- brale, que les centres moteurs et les centres de la
sensibilité
tactile et génerale coïncidaient, de sorte que
aralysie par lésion de la zone motrice corticale sans trouble de la
sensibilité
est suffisant pour renverser une foule de cas p
ale de la zone de Rolando produisant une hémiplégie, dans 52 cas la
sensibilité
était intacte (dans un de ces cas une grande pa
dans 21, elle était quelque peu at- teinte. De ces cas, dans un, la
sensibilité
était émoussée sur le petit doigt ? dans d'autr
sie générale, plus marqué du côté paralysé. Dans un cas, toutes les
sensibilités
étaient conservées, mais la localisation du con
e d'une large tumeur dans le centre ovale 4. Dans un, on dit que la
sensibilité
était émoussée des deux côtés du corps. Dans un
six, atteinte dans deux, et non mentionnée dans deux. Dans un «, la
sensibilité
à la douleur était ' Cas. de S. H. Brain, vol.
racentral et du tiers supérieur des circonvolutions ascendantes, la
sensibilité
était intacte dans six, non mentionnée dans cin
ascendante, l'excision de la lésion fut sui- vie d'une perte de la
sensibilité
tactile du dos des deux phalanges distinctes et
é d'indiquer la position des doigts de cette main. Ce trouble de la
sensibilité
disparaît enfin pendant t que persistait la par
cure de l'épilepsie focale. Dans 2 cas de von Bergman 3 etKee,14 la
sensibilité
était intacte. Dans un autre publié par Keen d'
ne fracture, il y eut après l'opération une légère altération de la
sensibilité
dans la moitié de Pavant-bras et dans les deux
e Pavant-bras et dans les deux doigts internes. Mais cet état de la
sensibilité
étaitpareil avant l'opération. Dans un autre 'il
ion. Dans un autre 'il il n'y avait aucune altération notable de la
sensibilité
tactile ( ? ) ou mus- culaire : Le malade ne po
é opposé du corps étaient manifestement atteints. Des 30 autres, la
sensibilité
était intacte dans 12, non mentionnée dans 15 e
OCALISATIONS CÉRÉBRALES. 411 l'insula de Reil. Dans le troisième la
sensibilité
était abolie surtoute la surface du corps '. De
zone de Rolando produisant une paralysie de la face et du bras, la
sensibilité
était intacte dans 11, non mentionnée dans 5, a
la zone de Rolando en totalité ou en partie, dans 100, l'état de la
sensibilité
n'était pas indiquée; dans 121 elle était intac
cas on déclare avoir recherche spécialement les différents modes de
sensibilité
. Dans les cas restant aucune note détaillée sur
as restant aucune note détaillée sur l'état des différents modes de
sensibilité
ni sur la méthode employée pour cette vérifi- c
oyée pour cette vérifi- cation. Dans 63, quelque altération dans la
sensibilité
est notée. Riii,roseAlkins,joui,2z. 1878. Pet
éussi à decouvrir la plus légère atteinte d'aucune des formes de la
sensibilité
géné- rale, tandisque l'affection motrice était
s. Il n'y a aucun rapport aussi entre ledegre de l'altération de la
sensibilité
et celui de la paralysie motrice. La paralysie
. La paralysie motrice a éte absoule, tandis que l'altération de la
sensibilité
était légère et confinée a un ou au plus 2 à 3
u la paralysie motrice a été limitée, tandis que l'altération de la
sensibilité
tactile était générale. Et dans les autres l'al
ilité tactile était générale. Et dans les autres l'altération de la
sensibilité
tactile, d'abord obser- vée a ensuite disparu,
ysie motrice a persisté. Et quand, en plus, nous considérons que la
sensibilité
musculaire et tactile peut être abolie en l'abs
ne pouvons attribuer la paralysie motrice à aucune altération de la
sensibilité
tactile ou musculaire. La pro- duction de légèr
é tactile ou musculaire. La pro- duction de légère altération de la
sensibilité
tactile ou musculaire, plus particulièrement da
e générale plutôt que comme l'indication des centres spéciaux de la
sensibilité
tactile ou muscu- laire des doigts dans l'écorc
terne avait été plus atteinte il y aurait sans doute eu perte de la
sensibilité
tactile et musculaire de tout le côté opposé du
s musculaire sont sités dans le lobe pariétal. L'altéra- tion de la
sensibilité
tactile et du sens de la position des membres a
ariétal inférieur ne produisent pas la plus légère altération de la
sensibilité
générale du côté opposé du corps. Les lésions
vés par Charcot à la Salpêtrière que malgré la perte complète de la
sensibilité
tactile et généralement une absolue insensibili
que les centres mo- teurs de l'écorce ne sont pas les centres de la
sensibilité
tactile ou générale ni du sens musculaire, soit
x étaient fermés excepté quand il était dérangé. La vue, l'ouïe, la
sensibilité
tactile étaient intactes. Excepté l'incapacité
rtelles (0 gr. 25 par kilogramme), l'exal- gine fait disparaître la
sensibilité
à la douleur, bien que la sensibilité tactile p
l- gine fait disparaître la sensibilité à la douleur, bien que la
sensibilité
tactile persiste. La température du corps diminue
ux de l'antipyrine; cependant l'exalgine agit plus nettement sur la
sensibilité
, tandis qu'elle abaisse la température d'une fa
, après tout, que la manifestation extérieure, Les troubles de la
sensibilité
générale sont un des symptômes les plus ordinai
êmement marqués chez les alcooliques persécutés. Les troubles de la
sensibilité
génitale se remarquent plus fréquemment chez le
chez les femmes que chez les hommes. - En dehors des troubles de la
sensibilité
générale, on observe quelques autres symptômes
ions délirantes, les hallucinations de l'ouïe et les troubles de la
sensibilité
générale en sont les caractères principaux qui,
res symp- tômes, les hallucinations de l'ouïe et les troubles de la
sensibilité
générale. La systématisation ne tarde pas à s
de quelque contrariété ou d'un accès de colère. Les troubles de la
sensibilité
générale sont plus accusés : les hallucinations
on a parlé incidemment tout à l'heure, à propos des troubles de la
sensibilité
chez les persécutés, présenteraient, pour le do
s. La mélancolie hypochondriaque se traduit par des lésions de la
sensibilité
somatique (musculaire et viscérale). La mélancoli
ement à la démence ter- minale. J. S. XLIII. Des variations DE LI
sensibilité
gêner \le, spéciale ET RÊ- 1-LF-,F, chez les ép
are AGOSTm. (Riv. sper. di fren., 1890, vol. XVI, fasc. I-II.) La
sensibilité
tactile, comme la sensibilité à la pression est c
n., 1890, vol. XVI, fasc. I-II.) La sensibilité tactile, comme la
sensibilité
à la pression est chez les épileptiques moindre
port avec la plagiocéphatie et où prédominent les convulsions. La
sensibilité
thermique, presque normale est bien peu altérée
, presque normale est bien peu altérée après les accès intenses. La
sensibilité
gustative est moindre que chez les individus sa
ès les accès elle disparait fréquem- ment ou diminue d'un côté.- La
sensibilité
olfactive, spécialement chez les épileptiques s
nes d'hyposmie et d'anosmie plus manifestes après la convulsion. La
sensibilité
auditive est moindre que chez les individus sai
fréquentes sont les altérations du sens chromatique. Du côté de la
sensibilité
générale organique, la sensibilité à la douleur
sens chromatique. Du côté de la sensibilité générale organique, la
sensibilité
à la douleur est presque, normale et peu modifi
li, 4.°u. Atixie, héréditaire, par Erb, 132; - par troubles de la
sensibilité
, par Baumler 132. ' Athétose dans le tabes, p
viennent de préférence quand il est ému ou fatigué. Troubles delà
sensibilité
. Le malade présente de l'héîiiiaîlesthésiedroile
iaîlesthésiedroile .' complète, absolue pour toutes les modes dc la
sensibilité
au niveau des membres supérieur et inférieur; e
u poignet sont égaux des deux côtés, plutôt faibles. Troubles de la
sensibilité
. Ilémianesthésie gauche totale et complète. La
olitaire et ne veut jamais descendre au jardin. C. Troubles de la
sensibilité
. Hémianesthésie droite complète et totale. Le s
che. ' 3° liéiiiiaiiesthésie gauche complète pour tous les modes de
sensibilité
. Anesthésie de la conjonctive gauche. Les sens
itôt après la séance, mais l'analgésie reparaît bientôt. 4 juin. La
sensibilité
cutanée est revenue plus du côté droit que du c
s spontanés de flexion et d'extension des jambes et des cuisses. La
sensibilité
cutanée était très notablement revenue. 20 septem
bredouilles, mais elle n'est ni lente ni saccadée. Troubles de la
sensibilité
. Il n'existe sur le corps aucune anesthésie, au
réflexes abdominaux sont très marqués. Il n'y a ni diminution de la
sensibilité
dans aucune partie du corps, ni aucun trouble d
res supérieurs remontant à deux ans, de l'absence de troubles de la
sensibilité
générale et spéciale, de l'absence de troubles
sivement sur les cor- dons moteurs ne produit pas de troubles de la
sensibilité
, on rencontre, chez ce malade, les analgésies,
secours, il ne peut se tenir debout, dès qu'il ferme les yeux. La
sensibilité
est répartie de la manière la plus inégale, sur l
. Il en est de même pour la marche et l'écriture. Etat actuel. « La
sensibilité
est intacte sur toutes les parties du corps ».
dans les mouvements volontaires avec quelques troubles légers de la
sensibilité
. Parfois sensation de vertige. On le renvoie le
l entend bien, qu'il sent, qu'il a conservé le goût. L'examen de la
sensibilité
n'est pas prati- cable à cause de son état psyc
l'affaissement musculaire est incontestable. Pas de troubles de la
sensibilité
. Exagération des réflexes tendineux. Etat menta
qu'à droite; il s'accompagne d'affaiblissement musculaire, mais la
sensibilité
est partout intacte. La parole n'est pas embarras
e n'est pas embarrassée ; il n'y a pas de troubles visuels. Mais la
sensibilité
réflexe tendineuse est excessivement développée
près normal à gauche. Enfin les sphincters fonctionnent bien et la
sensibilité
n'est pas altérée. Phéno- mène curieux à noter
a donné les' résultais sui- vants : Réflexes pharyngiens conservés.
Sensibilité
du voile du palais et de la paroi postérieure d
st à peu près normal. » Nulle part on ne constate de troubles de la
sensibilité
, ni au contact, ni à la douleur, ni à la tempér
ieurs et il n'y a ni paralysie des sphincters ni modification de la
sensibilité
. Oas. XXVII (personnelle). Polioencéphalolllyél
nx, ainsi que de la base de la langue. Réflexes très peu prononcés.
Sensibilité
du larynx diminuée. Epiglolte nor- male. Cordes
isir un objet. Elles se sont ainsi montrées pendant trois jours. La
sensibilité
a persisté pendant cette période. Vers la fin d
. Le matin du quatrième jour le gonflement est à son maximum, et la
sensibilité
a disparu. Cet état de choses persistant, le ma
ts sauf le pouce. Anesthésie pharyngée; pas d'autres troubles de la
sensibilité
; pas de rétrécissement du champ visuel. Chlor
lieu de l'avant-bras. Cette fois encore pas d'autres troubles de la
sensibilité
, sauf l'absence du réflexe pharyngé qui a persist
atellaires sont normaux. Au dynamomètre, la main gauche donne 35.
Sensibilité
générale (fig. 6, 7). -Hénti-lapoestlaésie droite
35. Sensibilité générale (fig. 6, 7). -Hénti-lapoestlaésie droite :
Sensibilité
au pinceau complètement perdue. Sensibilité à l
-lapoestlaésie droite : Sensibilité au pinceau complètement perdue.
Sensibilité
à la douleur et à la tempéra- ture très diminué
a narine et de la conjontive droites. Diminution très marquée de la
sensibilité
du conduit auditif externe du côté droit. Pas d
Pas de retard dans la perception. Côté droit du corps normal comme
sensibilité
; peut-être même ya-t-il un peu d'hyperesthésie.
omme sensibilité; peut-être même ya-t-il un peu d'hyperesthésie..
Sensibilités
spéciales. Goût aboli dans toute la moitié droite
une hémianesthésie gauche complète et une diminution notable de la
sensibilité
à droite. La sensibilité testiculaire est consi
e complète et une diminution notable de la sensibilité à droite. La
sensibilité
testiculaire est considérablement diminuée, et il
éthodique révèle chez lui l'existence des stigmates suivants : 1°
Sensibilité
, générale.- - Une hémianeslhésie gauche, complète
superficielle et profonde. Dans toute la moitié gauche du corps, la
sensibilité
, au contact, la sensibilité il la douleur, la s
ans toute la moitié gauche du corps, la sensibilité, au contact, la
sensibilité
il la douleur, la sensibilité thermique, sont com
corps, la sensibilité, au contact, la sensibilité il la douleur, la
sensibilité
thermique, sont complè- tement supprimées. Le s
re inférieur du même côté. Anesthésie pharyngienne totale. ' 2°
Sensibilité
sensorielle. L'ouïe est très affaiblie à gauche.
le fil vomir, se relirait dès que le doigt entrait dans la bouche.
Sensibilité
cutanée normale il la piqûre et au toucher. Cha
avait, en outre, un affaiblissement notable de la motilité et de la
sensibilité
dans toute la moitié gauche du corps. La parési
contre, il n'est pas possible ( ? ) d'affirmer si les anomalies de la
sensibilité
et le rétrécissement du champ visuel relevaient
LATEURS ». 137 leur rachidienne, la délimitation des troubles de la
sensibilité
. etc., sont des éléments de premier ordre. Il s
Sa démarche est celle de la paralysie hystérique. Troubles de la
sensibilité
. Le membre inférieur est insensible sans aucune
lle et profonde. Les sens musculaire et articulaire sont abolis; la
sensibilité
électrique aussi, quoique la contracti- lité él
nférieurs. Cette paralysie motrice s'accom- pagne de troubles de la
sensibilité
cutanée dont la délimitation est identique à ce
deux membres inférieurs ; elle est complète pour tous les modes de
sensibilité
; elle est délimitée supé- rieurement (fit. 31 e
e les figures 8 et 9 l'indiquent. Il y a en ce point une zone où la
sensibilité
est simplement affaiblie. Expérience III. Henri
ctère qui, joint à la délimitation supérieure de ces troubles de la
sensibilité
, suffirait pour en ré\éler l'origine hysté- riq
9. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS 1). 147 et de la
sensibilité
est encore complète dans les membres inférieurs,
ormaux; ceux des membres supérieurs sont complètement absents. La
sensibilité
est intacte dans tous ses modes sur toute l'étend
t cependant n'y a ni ataxic, ni signe de Romberg, ni troubles de la
sensibilité
. L'état général du malade est excellent et l'af
s nerfs rachidiens n'ont nullement été touehées. Les troubles de la
sensibilité
font complètement défaut et les sphinc- ters fo
n, le 16 janvier, et c'est à cela qu'il faut peut-être rapporter la
sensibilité
à la pression de l'ovaire gauche qui existait alo
existait alors, mais qui a disparu depuis ; il en est de même de la
sensibilité
à la pression de la colonne vertébrale et de la
ante au- dessus de la hanche gauche. Au reste, les troubles de la
sensibilité
(anesthésie, paresthésie) ont cons- tamment fai
momètre : M.'D., 27 kil. ; M. G., 20 kil. (échelle de pression). La
sensibilité
est normale. Elle se plaint seulement de quelques
ant n'y réveille aucune sen-. sation douloureuse. Objectivement, la
sensibilité
cutanée (au contact, à la- douleur et à la temp
tion du tremblement, sa longue durée et l'absence de troubles de la
sensibilité
. Seulement il existait chez ce dernier trem- bl
quelque insistance que l'on mette à comprimer la zone ovarienne. La
sensibilité
générale est partout normale. Motilité. La ma
iste chez lui une parésie très prononcée des membres du côté droit.
Sensibilité
. On constate une anesthésie absolue de toute la m
e une anesthésie absolue de toute la moitié droite du corps pour la
sensibilité
à la douleur, la sensibilité thermique et le sens
oute la moitié droite du corps pour la sensibilité à la douleur, la
sensibilité
thermique et le sens 192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
1° une analgésie absolue (avec conser- tion des autres modes de la
sensibilité
), qui s'étend il tout le membre supé- rieur dr
roite, absolue, superficielle et profonde, intéressant à la fois la
sensibilité
générale et les organes des sens. Le sens muscula
émianesthé- sie droite, complète, absolue pour tous les modes de la
sensibilité
; un rétré- cissement concentrique à 70° du cham
e ». Etat actuel (29 juin 1889). Il existe chez cette malade : 1°
Sensibilité
. Une diminution notable de la sensibilité au cont
te chez cette malade : 1° Sensibilité. Une diminution notable de la
sensibilité
au contact, à la douleur et à la température da
thésie absolue, superficielle et profonde pour tous les modes de la
sensibilité
, y compris le sens muscu- laire. Cette anesth
. Le contour de la lèvre supérieure de ce côté est plus accentué.
Sensibilité
. Sensibilité au contact, à la piqûre, à la tempér
de la lèvre supérieure de ce côté est plus accentué. Sensibilité.
Sensibilité
au contact, à la piqûre, à la température chaud
ous uni- quement au trajet des troncs nerveux. Il s'agit là d'une
sensibilité
douloureuse qu'une pression profonde, un pen én
ents dans les épaules et la partie supérieure du bras. Quant à la
sensibilité
cutanée, elle est intacte dans tous ses modes,
ence de douleurs, de tremblement, de contracture, de troubles de la
sensibilité
, complètent le tableau cli- nique. Il est inuti
l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la
sensibilité
. La con- tractilité faradique était diminuée, m
ctéristique qui est la dissociation particulière des troubles de la
sensibilité
. Chez les malades atteints de polioencépha- lit
as de paralysie dc la langue. Pas d'atrophie. Pas de troubles de la
sensibilité
. Réflexe rotuliou conservé. Pas de réaction de
s. Le malade bredouille en parlant, et cela depuis peu de temps. La
sensibilité
est légèremenl émoussée aux membres inférieurs, m
sensibilité est légèremenl émoussée aux membres inférieurs, mais la
sensibilité
articulaire persiste et le malade a la notion de
la parésie du voile du palais. Pas de troubles bien prononcés de la
sensibilité
générale et des sensibilités spéciales. Pas d'a
s. Pas de troubles bien prononcés de la sensibilité générale et des
sensibilités
spéciales. Pas d'atrophie des muscles des membres
mbres inférieurs. Oscillation les yeux fermés; marche en piétinant.
Sensibilité
paraissant intacte, quelque peu affaiblie dans
ées; elle se prête fort bien à la dermographie. L'exploration de la
sensibilité
et de ses divers modes donne les résul- tats qu
ns musculaire, sont aussi conservés. Mais il en est autrement de la
sensibilité
à la piqûre et du sens thermique. La piqûre est
. 53) et la cicatrisation est régulière et parfaite. Examen de la
sensibilité
. - Pour la sensibilité au contact, l'effleure-
on est régulière et parfaite. Examen de la sensibilité. - Pour la
sensibilité
au contact, l'effleure- ment, le frôlement très
les réflexes du crémaster et des muscles abdominaux font défaut. La
sensibilité
de la peau a partout persisté, mais elle a quel
teint. Excitabilité électrique normale. Pas d'autres troubles de la
sensibilité
que de l'hyperesthésie des membres inférieurs.
ppelle i la polioeacéplzaLomélite. ! 5° L'absence de troubles de la
sensibilité
, de paralysie de la vessie ou 1 du rectum, la p
ormations des orteils (pas d'atrophie musculaire, réflexes normaux,
sensibilité
idem). Il y a des deux côtés un certain degré d
ait en même temps des douleurs périorbitaires et de l'amblyopie. La
sensibilité
, dit-il, a été examinée à cette époque, et on a
singulièrement amélioré. Les douleurs de tête avaient disparu et la
sensibilité
était en partie revenue... Au commen- cement de
naille, et retiré de sa vessie un litre d'urine d'aspect normal. La
sensibilité
uréthrale était conservée. Ces troubles urinaires
cker, à la consultation de M. le professeur Guyon. Troubles de la
sensibilité
. - Hémihypoesthésie droite très accusée pour le
nt. Les membres supérieurs ne présentent rien de spécial à noter.
Sensibilité
. Les troubles de la sensibilité, absents à l'entr
présentent rien de spécial à noter. Sensibilité. Les troubles de la
sensibilité
, absents à l'entrée de la malade, se présentent
uitte le service avec les caractères sui- vants (10 juin 1886) : la
sensibilité
culanée est abolie dans les régions symétriques
syphilitiques n'évo- luent pas ainsi; en outre, les troubles de la
sensibilité
y sont diffus et irréguliers dans leur distribu
atrophié. Les réflexes patellaires sont normaux. . Troubles de la
sensibilité
. Il existe une hémianesthésie sensitivo- sensor
ette attitude paraît amener un sou- z lagement. Dans l'examen de la
sensibilité
par le simple contact, frôlement, M. Charcot re
sus de la limite supérieure, au-dessous de la limite inférieure, la
sensibilité
à la piqûre est plus pro- noncée à gauche qu'à
exes rotuliens sont à peu près normaux. Epoques régulières. Plus de
sensibilité
dans le dos. Toujours un peu d'exagération de la
cation, qui n'était accompagnée ni de douleurs ni de troubles de la
sensibilité
, disparut brusquement après deux mois. Du mois
tion en fléchissant le pied; on y arrive difficilement à droite. La
sensibilité
, qui était, dit-on, normale avant l'attaque, est
ment la position imprimée à ses membres. Aux membres supérieurs, la
sensibilité
est beau- coup moins altérée sans être cependan
ère enfin que cette jeune fille présente en plus des troubles de la
sensibilité
cutanée, on arrivera, il nous semble, à une con
attaques laryngées, on est obligé de la sonder. 20 Troubles de la
sensibilité
. - La sensibilité est'normale dans tout le corp
, on est obligé de la sonder. 20 Troubles de la sensibilité. - La
sensibilité
est'normale dans tout le corps, sauf des zones
et au cou-de-pied de chaque côté. Le réflexe pharyngien existe. La
sensibilité
de la cornée est perdue. L'ouïe est normale, ma
ès par congestion. Rien aux poumons ni dans les divers viscères. La
sensibilité
est très affaiblie dans tout le côté gauche du
rnels ren- daient très vraisemblable. Les troubles trophiques et la
sensibilité
furent mis très vraisemblablement nous en avons
e frotte du bout des pieds, mais peut encore marcher. Du côté de la
sensibilité
, analgésie du côté droit, dans toute la moitié du
tracture et douleurs vives au niveau des genoux, des troubles de la
sensibilité
: hyperesthésie cutanée, allant de la partie mo
ût 1890 et nous avons trouvé les signes suivants : Troubles de la
sensibilité
. Hyperesthésie en plaques, |pour tous les modes
e la sensibilité. Hyperesthésie en plaques, |pour tous les modes de
sensibilité
(conctact, douleur, froid), siégeant à la partie
uve rien qui eût pu m'y faire penser.,» , .... - - Etat' actuel. -
Sensibilité
- La sensibilité générale et spéciale explorée
pu m'y faire penser.,» , .... - - Etat' actuel. -Sensibilité - La
sensibilité
générale et spéciale explorée avec' soin, il di
s sont égaux des deux côtés, normaux, peut-être un peu exagérés. La
sensibilité
est toujours normale. Il serait difficile de tr
ème. Hachis normal. Pas dc scoliose. Diminution généralisée de la
sensibilité
à la douleur. Léger degré,de der- mO{fraph ie.
ée et les y maintient avec une énergie que rien ne peut vaincre. La
sensibilité
n'est aucunement modifiée; elle existe au même
ne s'est produit aucune modifi- cation dans la motilité et dans la
sensibilité
des parties. La contracture per- siste toujours
ire produit la contracture sur un membre qui a perdu toute trace de
sensibilité
et jusqu'au sens musculaire. Dans l'un comme da
n. Il y a une différence très nette dans les mêmes régions, dans la
sensibilité
de la peau considérée dans les régions saines et
, grande comme une pièce de deux francs. Ces plaques noires ont une
sensibilité
très obtuse. Le malade reste au lit et prend
tire, mais moins vivement et moins facilement qu'un enfant sain. La
sensibilité
dans les membres et dans la face n'est pas alté
lons du sol elle est aussitôt prise de secousses spasmodiques. La
sensibilité
explorée avec soin ne présente aucun trouble sens
obre 1890. Monoplégie brachiale droite complète sans troubles de la
sensibilité
. Le mouvement est revenu tout à fait dans le memb
t est revenu tout à fait dans le membre inférieur correspondant. La
sensibilité
générale est intacte. Les sens spé- ciaux ne so
propres et de l'évolution de la paraplégie. 1 ° Les troubles de la
sensibilité
sont différents. Dans le cas de para- plégie or
impossibilité de la marche normale contraste avec l'intégrité de la
sensibilité
, de la force musculaire et de la coordination d
équente dans la névrose, non moins que divers autres troubles de la
sensibilité
: hyperesthésies, anesthésies, perte du sens mu
poignet, sont normaux et égaux de chaque côté. 2° Troubles de la
sensibilité
. Dans le courant de cette année, la malade a eu
s. En dehors de ces douleurs, la malade présente des troubles de la
sensibilité
caractéristiques : une anesthésie complète distri
t au niveau du sillon fessier. Dans les autres parties du corps, la
sensibilité
pour tous les modes est très affaiblie, et en par
men électrique pratiqué par M. Vigouroux a montré l'abolition de la
sensibilité
électro- cutanée. La sensibilité électro-muscul
gouroux a montré l'abolition de la sensibilité électro- cutanée. La
sensibilité
électro-musculaire persiste( ? ). Les réactions m
smes quoti- diens. Les selles sont régulières. Les troubles de la
sensibilité
sont très caractéristiques L'anesthésie cu- tan
flanc droit, l'autre dans la région dorso-lombaire. En ce point la
sensibilité
est exquise au plus léger frôlement, et si la p
'autre part, cet homme est un hystérique avéré : les troubles de la
sensibilité
générale et spéciale, les hyperesthésies rachidie
, de la disparition de ces troubles coïncidant avec le retour de la
sensibilité
plantaire. D'autre part, la malade est manifest
exceptionnels dans 1. Oulmont, De la répartition des troubles de la
sensibilité
dans le labes dorsal, etc. (Soc. de biologie, 1
fréquemment le siège de manifestations hystériques, de troubles de
sensibilité
en particulier. 2° Il peut exister des secousse
ait déjà éprouvé des troubles analogues. État acfMe ? ÏYoMM de la
sensibilité
. Hémihyperesthésie du côté droit très nette pou
. Hémihyperesthésie du côté droit très nette pour tous les modes de
sensibilité
(contact, douleur, tempé- rature). Le courant é
p plus du côlé droit, ce qui est en rapport avec les troubles de la
sensibilité
qui siègent à droite. Il s'agit ici d'une liy
ie. Elle siège exclusivement ou prédomine du côté des troubles delà
sensibilité
cutanée. Elle a évolué avec rapiditéct a atteint,
che est normale et ne trahit aucun (rouble moteur. Troubles de la
sensibilité
. 7létnàcttestltésie droite complète et totale (
nàcttestltésie droite complète et totale (pour tous les modes de la
sensibilité
), superficielle et profonde. Abolition du sens
s mouvements revenaient incomplètement dans le membre supérieur. La
sensibilité
est restée complètement abolie. Pendant tout ce
le malade au point de Mie de la motilité, de la nutrition et de la
sensibilité
, on constate des lésions nombreuses. Troubles m
rC > PFC. b. Côte droit. Pas de réaction de dégénérescence. 4°
Sensibilité
. Les réflexes patellaires et cutanés sont complèt
é. Les réflexes patellaires et cutanés sont complètement abolis. La
sensibilité
dans ses trois modes (tact, douleur, température)
dans l'observation LXVIII, c'est encore du côté des troubles de la
sensibilité
qu'elle est plus accusée et plus rebelle. Ce
r, peut simuler la syringomyélie. Et d'abord, la dissociation de la
sensibilité
cutanée n'est pas chose rare dans la névrose; e
M. Charcot et décrit par lui sous le nom de type syringomyélique :
sensibilité
tactile conservée, sensibilité à la douleur et
ous le nom de type syringomyélique : sensibilité tactile conservée,
sensibilité
à la douleur et à la température abolie ? Sur d
hésique complet, vulgaire, et six chez lesquels les divers modes de
sensibilité
étaient dissociés. Sur ces six, il en était deux
anesthésie hystérique. Ce n'est pas seulement la dissociation de la
sensibilité
cutanée que l'hystérie peut reproduire; elle peut
contours nets. Jusqu'ici, la ressemblance entre les troubles de la
sensibilité
cutanée dans la névrose et dans la syringomyéli
ques antérieurs et postérieurs de la gliomatose (dissociation de la
sensibilité
, amyotro- phie), elle peut aussi reproduire les
iose hystérique ? En résumé, la dissociation syringomyélique delà
sensibilité
, l'amyo- trophie, les oedèmes, les troubles vas
te paralysie avec oedème bleu et dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. Une enquête rigoureuse, un examen minutieux et
accompagné, au dire de la malade, de parésie, la dissociation de la
sensibilité
semblent calqués fidèlement sur l'ob- servation
caracté- risée par des symptômes intrinsèques : dissociation de la
sensibilité
, atrophie musculaire, et par des phénomènes ext
l faudra baser ce diagnostic différentiel. 1° La dissociation de la
sensibilité
dans la syringomyélie présente- rait, d'après M
hystériques. En outre, les limites supérieures des divers modes de
sensibilité
ne seraient pas exactement supcrposables. D'aut
che. - - iv. 30 458 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. La
sensibilité
au froid est nettement plus accusée il gauche qu'
i ». Le dynamomètre donne 41 à la main gauche et 35 à la droite. La
sensibilité
au froid paraît encore plus obtuse du côté droi
ace qu'en seconde ligne la diminution des douleurs, le retour de la
sensibilité
et du sens mus- culaire. Eulenburg et Mendel
n-), ), 18, 79; champ v isucl chez un -, 77. Hystérie (Schémas de
sensibilité
dans l' ), 6, 7, 29, 30, 31, 3, 70, 71 ; rétréc
un baiser. Il ne présentait pas, non plus, le moindre trouble de la
sensibilité
ob- jective superficielle; au contraire la moin
fermer les yeux, il présente un certain degré d'incoordination. La
sensibilité
objective est conservée sous toutes ses formes.
des muscles. Elle ne s'accompagnait pas non plus de troubles de la
sensibilité
objective bien accusés, ni de troubles vaso-mot
motrice, sans douleurs spontanées, sans troubles concomitants de la
sensibilité
objective, sans contracture, il eût fallu qu'el
ice. Au surplus, et pour en finir avec ce qui concerne l'état de la
sensibilité
, l'absence de troubles objectifs que nous const
liens sont diminués mais non abolis. Il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
. Le malade est légèrement constipé depuis un an
qui attirent d'abord l'attention. Il n'existe pas de troubles de la
sensibilité
; pas de troubles trophiques ; pas de modifica-
iellement, c'est dans l'absence chez notre malade de troubles de la
sensibilité
, de troubles vaso- moteurs et trophiques, dans
blique. jours mal, mais le dernier temps écrit encore plus mal.
Sensibilité
La sensibilité est Idem. Idem, (des membres tou
al, mais le dernier temps écrit encore plus mal. Sensibilité La
sensibilité
est Idem. Idem, (des membres tout à fait normal
ue et l existe, faible. existe, assez pro- électrique. ( . nonce.
Sensibilité
. Pas de troubles \\ objectifs de la sen- sibi
blesuccso- aucuns. extrémités froides aucuns. moteurs. et moites.
Sensibilité
Acuité visuelle normale chez tous les malades.
alternant. Etat de la nutrition des muscles. Aucune dénutrition.
Sensibilité
. La sensation douloureuse est conservée, les autr
té. La sensation douloureuse est conservée, les autres formes de la
sensibilité
ne semblent pas altérées mais l'agitation de l'en
qui empêche l'interprétation complète des mouvements provoqués. La
sensibilité
élec- tro-musculaire est un peu augmentée. An
ée qui a produit une amélioration notable. Myosis double; pas d'in-
sensibilité
cornéenneni conjonctivale; pas de strabisme; quel
malade traîne-t-il ses orteils incurvés sur le sol (digitigrade).
Sensibilité
. - La sensibilité de la peau et des muqueuses est
ses orteils incurvés sur le sol (digitigrade). Sensibilité. - La
sensibilité
de la peau et des muqueuses est intacte sous se
car elle renferme toute la question. Bref, sans les troubles de la
sensibilité
qu'on observe dans la syringomyélie, et sans le
. Enfin à la suife de l'éruption, se mon- trèrent des troubles de
sensibilité
repro- duisant encore la même disposition seg-
à la piqûre, à la température, sur la cuisse gauche, tandis que la
sensibilité
n'était en aucune façon touchée au-dessus du
ase posléruplhe, on voit -très nettement qu'au point de vue de la
sensibilité
el de l'éruption, la disposition n'a cessé d'êt
tout dans la région rétro-scapulaire. Fourmillements de la main. La
sensibilité
est toujours conservée dans tout le membre. Au bo
circonflexe, musculo-cutanés, n'ont pas été explorés. Examen DE la
sensibilité
. La sensation tactile est conservée et ne sembl
ras). A peine accusée sur la moitié externe du dos de la main. La
sensibilité
Ù la piqûre et au pincement est normale dans la z
ous de ce point la pression provoque les sensations habituelles. La
sensibilité
électrique est très exagérée à droite, sur la tot
alors qu'il essayait de la supporter du côté droit.' Eu résumé, la
sensibilité
tactile, le sens musculaire sont normaux. Mais la
é, la sensibilité tactile, le sens musculaire sont normaux. Mais la
sensibilité
à la douleur est très exagérée dans les zones sen
à reculons les yeux fermés. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 119 La
sensibilité
au contact est bien perçue. La sensibilité à la
AIRE ET OSSEUSE 119 La sensibilité au contact est bien perçue. La
sensibilité
à la piqûre est également sentie à droite et à ga
indéfiniment. Cette trépidation ne se produit pas tou- jours. La
sensibilité
thermique est normale et égale à droite comme à g
dans la poche de son pantalon sans s'aider de la main gauche. La
sensibilité
sous ses divers modes est conservée. L'hyperalgés
nne gauche. L'examen révèle une abolition à peu près complète de la
sensibilité
à la piqûre dans la sphère du nerf cubital. Une d
droit même s'est affaibli et le malade insiste sur ce symptôme. La
sensibilité
est intacte sous tous ses modes. Mais la pressi
sité une inter- vention chirurgicale, sans compter que motricité et
sensibilité
seraient complètement absolues, selon toute pro
ts dans la main, dou- leurs rétro-scapulaires et conservation de la
sensibilité
qui jamais au dire du malade n'a été diminuée d
d'eux. Il est remarquable de n'observer aucune- modification de la
sensibilité
autre qu'une hyperalgésie cutanée musculaire et
noté dans quelques observations qu'une exagération passagère de la
sensibilité
dis- paraissant au bout de quelques jours. Dans
ou encore les troubles trophiques dépendant de ce nerf^qui donne la
sensibilité
à une grande partie de l'appareil auriculaire,
hes récentes ont montré quel rôle important reve- nait aux nerfs de
sensibilité
générale et aux nerfs trophiques dans le foncti
es parties profondes et superli- cielles, sans doute le muscle a sa
sensibilité
, comme tous les autres tissus qui composent le
c : en effet il fut facile de constater une diminution totale de la
sensibilité
, une perte absolue du sens musculaire, un affaibl
dans la vessie dont les contractions ont cessé; dès lors, que cette
sensibilité
de la muqueuse prostatique vienne à disparaître,
ntal avec diminution de résistance à la pression. Pas de trouble de
sensibilité
au niveau do la tache. La malade est revue au b
le droit sur la jambe. L'extension est impossible. Aucun trouble de
sensibilité
. Les différents appareils sont normaux. Observa
'enfant doit porter une bottine à haute semelle. Pas de troubles de
sensibilité
au niveau des taches. Pas de douleurs, pas de tro
très fine, vernissée, bleuâtre, froide et au niveau de laquelle la
sensibilité
est très diminuée. Le reste du dos de la main par
erait absolument impossible. Nous n'avons relevé aucun trouble delà
sensibilité
ou niveau des mem- bres inférieurs qui présente
d, sur le vivant, j'ai toujours recherché, clans le myxoedème, la
sensibilité
du foie et spécialement celle de la vésicule
de la pesanteur de l'estomac, de la difficulté de se coucher, de la
sensibilité
du foie et du dégoût pour la viande. Le 2 nov
ent à l'action de la thyroïdine. La matrice diminue de volume et de
sensibilité
. Dans les fibromes, son action n'est pas moins
les sourcils sont déla- brés. Un examen corporel démontre une vive
sensibilité
au niveau de la vési- DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGN
p modérées. Obs. III. Hépatalgie.- Constipatioll.-1Ué1W1'l'hagies.-
Sensibilité
au froid. Mme B..., est âgée de 60 ans. Elle a
302 E. HERTOGHE L'examen du ventre démontre l'existence d'une vive
sensibilité
au niveau de la vésicule biliaire. Les parois d
tement. Elle vit d'une vie toute nouvelle et inconnue pour elle. La
sensibilité
ovarienne a complètement disparu, et au toucher
ni de dos ; le pelvis est pour ainsi dire complètement dé- gagé. La
sensibilité
de l'utérus et des ovaires a énormément diminué e
sensiblement dégonflé et il ne présente plus, il beaucoup près, la
sensibilité
douloureuse d'auparavant. Le traitement continu
te prématurée de la chevelure. Palpitations cardiaques nocturnes. -
Sensibilité
anormale au froid. Mlle J..., 2 ans, célibatair
u occasion de le voir : il n'y avait aucune différence grossière de
sensibilité
dans la ré- gion qui avait été le siège de la d
MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ÉTUDE SUR LES TROUBLES OBJECTIFS DES
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES DANS LE TABES PAR LES Drs An
PAR LES Drs André RICHE ET de GOTHARD L'étude des troubles de la
sensibilité
dans le tabes est hérissée de diffi- cultés tan
e la délicatesse des recher- ches que nécessite l'exploration de la
sensibilité
. Comme troubles de la sensibilité subjective on
que nécessite l'exploration de la sensibilité. Comme troubles de la
sensibilité
subjective on trouve des douleurs fulgurantes e
etc... On trouve ensuite dans le tabes des troubles objectifs de la
sensibilité
superficielle, de la sensibilité cutanée ; leur
tabes des troubles objectifs de la sensibilité superficielle, de la
sensibilité
cutanée ; leur variété n'est pas moindre, on re
éresser séparément ou en- semble les diverses manières d'être de la
sensibilité
des téguments : la sen- sibilité tactile, la se
être de la sensibilité des téguments : la sen- sibilité tactile, la
sensibilité
à la douleur, la sensibilité au chaud et au fro
guments : la sen- sibilité tactile, la sensibilité à la douleur, la
sensibilité
au chaud et au froid, la sensibilité que metten
a sensibilité à la douleur, la sensibilité au chaud et au froid, la
sensibilité
que mettent en jeu les excitations électriques.
ns électriques. En troisième lieu il peut y avoir des troubles, des
sensibilités
profondes, viscérales, musculaires, articulaire
t qui nécessitent l'association 328 ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD des
sensibilités
superficielles et profondes; c'est ce que l'on ap
r les difficul- tés auxquelles se heurte l'étude des troubles de la
sensibilité
dans la cli- nique du tabès et de faire l'histo
étude. * . " DIFFICULTÉ DE L'ÉTUDE DES TROUBLES OBJECTIFS DE LA
SENSIBILITÉ
CHEZ LES TABÉTIQUES. Même chez un sujetqui ré
TIQUES. Même chez un sujetqui réalise un état normal, l'étude de la
sensibilité
superficielle expose à ces erreurs, elle est pl
la conscience beaucoup plus souvent qu'on ne TROUBLES OBJECTIFS DES
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES 329 se le figure en général ; ch
t soit peu vi- ves (1). Le caractère changeant des troubles de la
sensibilité
dans le tabes doit donc nous faire pressentir l
n un peu prolongé : il nous suffira de dire que l'observation de la
sensibilité
chez un tabétique embrasse une durée de huit he
amens sommaires. La difficulté que présenté un examen sérieux de la
sensibilité
n'avait pas échappé déjà à Topinard qui décrit
moyen du thermo-esthésiomètre de M. Gilles de la Tou- relle (2). La
sensibilité
à la douleur a été décelée au moyen d'une épingle
eut être un obstacle à la perception. CARACTÈRES DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
SUPERFICIELLE. Voyons maintenant les principaux
1, avaient constaté le caractère de dissociation des trouhles de la
sensibilité
dans les cas de tabès. Quelques années plus l
olymorphisme et le caractère changeant des troubles objectifs de la
sensibilité
qu'on observe dans les cas de tabes; ces troubl
on fréquente de la période d'état du tabes et J'émousse- ment de la
sensibilité
farado-musculaire une manifestation encore plus
sur les caractères de la dissociation des troubles objectifs de la
sensibilité
qu'on observe dans le tabès. D'après lui l'émou
bilité qu'on observe dans le tabès. D'après lui l'émoussement de la
sensibilité
à la douleur l'emporterait comme précocité, com
me étendue sur les autres modes d'anesthésie. Stern constate que la
sensibilité
thermique peut être affectée en premier lieu, q
ée, Paris, 1812. (3) Oulmont, De la répartition des lrotsbles de la
sensibilité
dans le tabes dorsalis. Gazette médicale, 1811,
Hyperesthésie à la piqûre. Anesthésie à la chaleur. TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES DANS LE TABES (A. Riche et De Go
Hyperesthésie au froid. Thermoparesthésie P1. I TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES (A. Riche et De Gaillard) Obsem
d) Obsemation I. MASSON ET C", Éditeurs. TROUBLES OBJECTIFS DES
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES 331 sujette à une extrême irrégu
(1895) et Patrick (3) (1897) l'étude des troubles ob- jectifs de la
sensibilité
chez les tabétiques est entrée dans une phase nou
Chez tous les tabétiques que nous avons examinés les troubles de la
sensibilité
superficielle se sont montrés constamment et à de
mbe sous forme de crises d'élancements qui durent dix minutes. 1.
Sensibilité
objective superficielle (PI. LV). I. Tact. - A.
esthésie s'arrête au tiers antérieur de la face dorsale du pied. La
sensibilité
tactile est conservée également au bord interne
.) Observation Il. L MASSONHTC" Editeur' TROUBLES OBJECTIFS DES
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES 333 II. Douleur. - A. Face antér
brûlures, et aussi des douleurs en ceinture. TROUBLES OBJECTIFS DES
SENSIBILITÉS
SUPER FICIELLES 335 Sensibilité objective super
ceinture. TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPER FICIELLES 335
Sensibilité
objective superficielle (pli. LV). I. Tact. A.
es, les rè- yles sont toujours régulières. Pl. III TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES (A. Riche et De Gaillard.) Obse
.) Observation Il L MASSON ET C ? h,dil, TROUBLES OBJECTIFS DES
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES 337 L'oeil gauche converge diffi
gion ovarienne et dans les parties du thorax jusqu'à la ceinture.
Sensibilité
objective superficielle (Pl. LYI). I. Tact. A.
e pouls est mou, parfois irrégulier, il bat 112. La recherche de la
sensibilité
cutanée aux différents modes provoque des érupt
auche ; à droite il est très affaibli ; ceux l'1. IV TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Obser
(A. Riche et De Gothard.) Observittion IV. TROUBLES OBJECTIFS DES
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES 339 du genou et du talon sont ab
d'engourdissement. La région lombaire est vaguement douloureuse.
Sensibilité
objective superficielle (PI. LVII). I. Tact. A
'on ne constate, ni au pied, ni sur la jambe, aucun trou- ble de la
sensibilité
tactile ou de la sensibilité musculaire. Le diagn
ni sur la jambe, aucun trou- ble de la sensibilité tactile ou de la
sensibilité
musculaire. Le diagnostic de contracture hystér
s mouvements des orteils sont libres, les réflexes sont normaux. La
sensibilité
tactile et musculaire est intacte. Tout au plus
ée de fourmillements dans toute l'étendue des membres supérieurs.
Sensibilité
conservée au tact, à la douleur, à la chaleur.
z bien ; même les yeux fermés, il peut se tenir sur chaque jambe.
Sensibilité
: douleurs lancinantes et fourmillements spontané
be. Sensibilité : douleurs lancinantes et fourmillements spontanés;
sensibilités
tactile et caloriques conservées. Les pupille
ouloureux mais seulement au niveau des muscles qui entrent enjeu.
Sensibilité
conservée au tact, au froid, à la piqûre. Réfle
t à droite, la saillie des tendons des fléchisseurs contracturés.
Sensibilité
intacte ; pas de sensation subjective ; se plaint
la face. Contraction fibrillaire des muscles, surtout à la cuisse.
Sensibilité
intacte. Outre cette particularité dans le mode
e, 7,50 c. m. Crural : à droite, 4 c. m. ; à gauche, 3,5 c. m. La
sensibilité
à la piqûre est normale partout, sauf aux jambes
ue 21 centimètres à droite. Le malade n'a que peu de troubles de la
sensibilité
subjective, il n'a jamais eu de fourmillements
le est la sensibi- lité à la douleur, à la piqûre, normale aussi la
sensibilité
thermique; la notion de position des membres es
ie musculaire s'étant dévelop- pée progressivement sans troubles de
sensibilité
, sans troubles trophiques, sans réaction de dég
s un traumatisme, qu'elle ne s'est pas accompa- gnée de troubles de
sensibilité
, de troubles des réactions électriques, par AMY
lement exagéré du côté malade. Pas de douleurs, aucun trouble de la
sensibilité
. Le malade marchait sans difficulté, sans boite
ens sont exagérés des deux côtés. Il n'existe pas de troubles de la
sensibilité
. Chez un autre malade de Charcot, une atrophie
yotrophie avec exagération des réflexes et ab- sence de troubles de
sensibilité
. Quand Charcot publia des observations, on conn
MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ETUDE SUR LES TROUBLES OBJECTIFS DES
SENSIBILITÉS
SUPERFICIELLES DANS LE TABES (Suite et fin.)
LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Observation V. TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES 409 Etat actuel. - L'état général
urs sont décelés par l'apparition de rougeurs à l'exploration de la
sensibilité
. A l'examen des yeux, on note de l'inégalité pu
n ceinture. Pendant les règles les douleurs sont plus vives. 1. -
Sensibilité
objective superficielle (PI. LXVI). I. Tact. -
leurs constrictives que n'influence pas la venue des règles. 1. -
Sensibilité
objective superficielle (PI. LXVII). I. Tact. A
flancs, à la face antéro-externe de la cuisse Pu. vu TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) TROUB
SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES 411 droite; à la face interne de
s rapidement visibles au thorax qu'aux jambes. La recherche de la
sensibilité
à la piqûre, faite le soir, amène une éruption
ourdissements douloureux persistent dans les membres inférieurs. 1.
Sensibilité
objective superficielle (PI. LXV111). I. Tact.
x tra- vers de doigt au-dessus du sourcil. Pl. VII TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES (A. Riche et'De Gaillard.) Obse
lard.) Observation VII. ' Masson et CI., Éditeurs. TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES 413 B. Face postérieure. - Anesth
cles de l'émi- nence hypothénar du même côté. VIII TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Ou se
TABES (A. Riche et De Gothard.) Ou sen atioa VIII. TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES 415 La force musculaire est un pe
rset très pénibles, parti- culièrement à la région dorsale. - 1.-
Sensibilité
objective superficielle (Pl. LXIX). I. TACT. -
ment et partout. Valeur diagnostique DES troubles objectifs DE la
sensibilité
superficielle. Il ne saurait être question de v
ésente d'habi- tude avec les caractères suivants : elle respecte la
sensibilité
tactile, elle s'établit à demeure dans une zone
rencontrons toutes les modalités possibles de la dissociation de la
sensibilité
. Dans chacune des observations que nous présent
tions que nous présentons nous avons cons- taté des altérations des
sensibilités
thermiques plus particulièrement de l'hyperesth
s particulièrement de l'hyperesthésie. - Les modifications de ces
sensibilités
spéciales présentent plus généra- lement une di
port à la disposition générale- ment radiculaire des troubles de la
sensibilité
au tact et à la douleur. L'exagération des diff
é au tact et à la douleur. L'exagération des différents modes de la
sensibilité
se retrouve fré- quemment (6 fois sur 8) à l'ex
es, sujets à des changements rapides, nulle part aussi TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES 417 7 la tendance à la dispositio
incipiens. Cette valeur complémentaire des troubles objectifs de la
sensibilité
est surtout à utiliser dans les cas de tabès su
et celui du pseudo-tabes périphérique. Des troubles objectifs de la
sensibilité
qui se présentent à la fois avec le caractère de
rarement, ce que l'on explique d'habitude par l'intervention de la
sensibilité
récurrente, alors qu'il est préférable de tenir
iquent pas non plus le caractère de dissociation des troubles de la
sensibilité
non moins accusées dans les cas de tabes. L'e
t t. XXVIII, fasc. 3. (6) SIICIIIiING'rON, loc. cil. TROUBLES DES
SENSIBILITÉS
DANS LE TABES 419 gent les première et deuxième
ale entraîne une anesthésie qui intéresse toutes les manières de la
sensibilité
. D'un autre celé la clinique aidée par l'anatom
ale donnent habituellement naissance à des troubles dissociés de la
sensibilité
. Les troubles objectifs de la sensibilité, anes
roubles dissociés de la sensibilité. Les troubles objectifs de la
sensibilité
, anesthésies, hyperesthésies que nous constaton
a substance grise centrale. En résumé, les troubles objectifs de la
sensibilité
se traduisent chez les tabétiques par des anest
ue qu'à une courte dis- tance de l'oreille de ce côté. L'état de la
sensibilité
gustative et olfactive n'a pu être déterminé.
ent. Poursuivant l'examen, on fut conduit à rechercher l'état de la
sensibilité
. Celle-ci apparut très notablement diminuée sur
mière différence. Il en existe une seconde, importante à noter : La
sensibilité
est conser- vée intégralement, sous tous ses mo
ux genoux. Ici. pas de poussées douloureuses, pas de troubles de la
sensibilité
. Rien qu'une difformité symétrique des deux jam
celle d'une myxoedéma- teuse. Mais il n'y avait pas de troubles de
sensibilité
; simplement un ar- rêt de la transpiration.
sur le trajet des sciatiques était douloureuse. Aucun trouble de la
sensibilité
. Rien d'anormal dans les organes du bassin. L
matiée, dure, mais normale au- dessus du genou. Aucun trouble de la
sensibilité
. Par le repos au lit, la compression à la bande
e d'un oedème par lésion mécanique. D'ailleurs, aucun trouble de la
sensibilité
ni de la motilité ne permet- tait dépenser à un
ussi dans la station debout, ce qui n'existe plus aujourd'hui. La
sensibilité
est intacte dans ses divers modes sur toute la ja
ie des divers groupes musculaires ; dissociation des troubles de la
sensibilité
avec distribu- tion segmentaire ; dystrophie un
anique de tous les muscles ayant perdu leur excitabilité faradique.
Sensibilité
. Membre supérieur gauche. Contact bien perçu et
a piqûre sur toute l'étendue de la main ; à l'avant-bras et au bras
sensibilité
d'autant plus émoussée qu'on se rapproche de l'
au chaud depuis le tiers moyen du bras jusqu'au bout des doigts. La
sensibilité
au froid est simplement émoussée. SYRINGOMYÉLIE
IE 9J Membre supérieur droit. Contact et piqûre très bien perçus.
Sensibilité
au froid et au chaud diminuée surtout à la surfac
plantaire. Ja- mais de mal perforant ni de bulles pempliigoïdes. La
sensibilité
au contact, à la piqûre, à la température est n
razès (4 phot.), iS9. Tabes (Etude sur les troubles objectifs des
sensibilités
superficielles) par A. Riche et de Gotiiard, 32
. Gotiiard (de) et A. Riche. Etude sur les troubles objectifs des
sensibilités
super- ficielles dans le tabes (.i phot.), 321,
3. BICIIE A. et de Gotiiard. Etude sur les troubles objectifs des
sensibilités
super- ficielles dans le tabes (5 phot.), 327,
édicateur et acromégalie (Sa- BRAZÈS), LXXXV. Tabes (troubles des
sensibilités
superfi- cielles dans le) (A. Riche et de Gotii
nt relatif de la cuisse et du genou, mais sans trouble accentué de la
sensibilité
cutanée. Ajoutons, pour compléter la descriptio
influence de l'électrisation, le spasme a diminué momentanément et la
sensibilité
a augmenté. Jusqu'au 18 juin, il ne s'était rien
sse être rapporté à une affection spinale. Aussi, aucun trouble de la
sensibilité
cutanée, pas de douleurs en ceinture, aucun troub
'une hémianesthésie complète, absolue, du moins en ce qui concerne la
sensibilité
générale. L'hé-mianesthésie persiste encore à un
ation ; mais hier nous avons pu constater, qu'en insistant un peu, la
sensibilité
reparaissait dans toute l'étendue du côté gauche.
cesser, et que bientôt tout reviendra à la normale ; probablement la
sensibilité
se rétablira à gauche, et pour quelque temps les
tain degré. Permettez que j'insiste un instant sur ce trouble de la
sensibilité
. Voici la jeune Bl..., qui présente l'hémianesl
lité à la piqûre, au froid, et à toute excitation ; cette perte de la
sensibilité
générale s'observe dans le membre supérieur, dans
traction assez prononcée et plus ou moins durable. Il est rare que la
sensibilité
générale soit seule affectée ; les appareils sens
s deux côtés, mais beaucoup plus marqué du côté où les troubles de la
sensibilité
générale sont plus accentués. Ce rétrécissement d
n'est pas rare qu'il soit très accentué, alors que les troubles de la
sensibilité
générale sont peu accusés. — 2° Un autre phénomèn
, ou mieux ces plaques, ont encore la propriété d'être le siège d'une
sensibilité
permanante, et, avant l'attaque, d'une exacerbati
nternine partie de zone hystérogène, ou bien c'est le prépuce dont la
sensibilité
est exquise, qui jouit de la même propriété. A la
jeune sujet est atteint d'une céphalée persistante, avec un point de
sensibilité
exagérée sur le vértex, que la crise, depuis cinq
t dû au repos prolongé. Nous trouvons, en outre, une diminution de la
sensibilité
générale et spéciale sur toute la moitié du corps
ent modifiées. Un aimant a été appliqué du côté de la contracture, la
sensibilité
est revenue sans transfert au membre supérieur dr
ion répétée de l'aimant n'a eu d'autre résultat que de rame jier la
sensibilité
dans le membre contracture. Le malade fut dès lor
n voit, dans certains cas de paralysie infantile de date ancienne. La
sensibilité
, surtout la sensibilité électrique, est obnubilée
s de paralysie infantile de date ancienne. La sensibilité, surtout la
sensibilité
électrique, est obnubilée sur presque toute l'éte
pas affectées profondé ment, car il n'y a aucune modification de la
sensibilité
; mais les cornes antérieures le sont certainemen
on de la douleur lorsque la malade est debout et marche, ainsi que la
sensibilité
à la pression et à la percussion des régions lomb
ouche et la langue ont été déviées, ni s'il y a eu des troubles de la
sensibilité
. Au bout de quatre jours (14 octobre), il comme
— main gauche................ — On ne constate aucun trouble de la
sensibilité
tactile, pas d'analgésie, pas d'altération du sen
ent observables, si ce n'est toutefois un léger affaiblissement de la
sensibilité
chromatique intéressant également toutes les coul
s. Il n'existe pas de troubles sensoriels, pas de modifications de la
sensibilité
autres qu'une légère anesthésie âu froid du côté
de celte façon. La peau, à ce niveau, ne présente aucun trouble de la
sensibilité
. Jacques, âgé de douze ans, pâle et anémique co
le conduit auditif externe des petits cornets de papier, sans que la
sensibilité
en fût influencée. La sensibililé générale de la
en plein jour, il n'aime pas se trouver seul ; il est d'une excessive
sensibilité
et il ressent une grande frayeur à la vue ou au s
constatée à l'Hôtel-Dieu est complète, absolue, en ce qui concerne la
sensibilité
commune. Les troubles sensoriels de ce même côté
à d'une monoplégie, dans l'acception rigoureuse du mot. L'étude de la
sensibilité
fournissait les résultats que voici : Il existait
s appliquée sur le côté gauche, eut pour effet seulement de rendre la
sensibilité
moins obtuse sur le tronc, la face, le membre inf
d'amyolrophie, à elle seule, ainsi que l'intensité des troubles de la
sensibilité
, permettaient de rejeter l'idée qu'il s'agissait
ne se fût pas accompagnée enfin très certainement, de troubles de la
sensibilité
cutanée et pro- 1. Brain. avril, 1885, p. 78.
ujet, sur son état psychique et sur ses mœurs, sur les troubles de la
sensibilité
répandus bien qu'inégalement sur tout un côté du
sie, mais elle s'était complètement amendée. Seuls les troubles de la
sensibilité
persistaient au même degré que par le passé. Ce
ncore cependant à un assez haut degré. D'ailleurs, les troubles de la
sensibilité
sont ce qu'ils étaient, non seule ment dans le
mpuissance motrice avec flaccidité, anesthésie pour tous les modes de
sensibilité
, suivant une délimitation particulière ; pas de t
e, en outre de la paralysie du mouvement, des troubles profonds de la
sensibilité
. La sensibilité au contact, à la douleur, au froi
a paralysie du mouvement, des troubles profonds de la sensibilité. La
sensibilité
au contact, à la douleur, au froid est abolie com
de ceux-ci, et sur toute l'étendue des doigts, les divers modes de la
sensibilité
cutanée et profonde sont conservés, du moins en g
es de l'épaule, du bras et de l'avant-bras, avec perte complète de la
sensibilité
de la peau, des muscles, des nerfs, des tendons,
s d'élévation de l'épaule étaient conservés. Quant aux troubles de la
sensibilité
, ils paraissent avoir été, dès ce moment, tels qu
e séances. J'appellerai donc votre attention sur les troubles de la
sensibilité
. Celle-ci est éteinte absolument dans tous ses mo
ompris, l'avant-bras et une partie du bras; sur ces mêmes parties, la
sensibilité
profonde est également annihilée en même temps qu
fs de Fig. 58 et 50. —Observation tirée du travail de M. Ross. la
sensibilité
dans les dernières parties de la main (cubital et
ce, contrairement à ce qui se voit dans notre cas, les troubles de la
sensibilité
sont peu marqués, éminemment transitoires, ou mêm
ques autres phénomènes encore qui, tout autant que les troubles de la
sensibilité
contrastent singulièrement avec ce que nous obser
mp visuel. Observation de Pin.... Monoplégie flasque et perte de la
sensibilité
dans tous ses modes au membre supérieur gauche à
miner dans le membre paralysé des troubles plus ou moins graves de la
sensibilité
. Mais une telle altération portant exclusivement
arties antérieures de la capsule et par conséquent les troubles de la
sensibilité
y feraient défaut. C'est donc ailleurs encore,
après le début de l'affection. Enfin, Messieurs, les troubles de la
sensibilité
, si fortement accusés chez Por..., ne sont pas ce
e cas de lésions corticales localisées à l'un des centres moteurs, la
sensibilité
cutanée et le sens musculaire peuvent être, vous
un certain 1. G. Ballet, Le faisceau sensitif et les troubles de la
sensibilité
dans les cas de lésions cérébrcdes (Arch. de neur
s lesquels, outre la paralysie motrice, on a noté expressément que la
sensibilité
était affectée dans tous ses modes (sensibilité t
é expressément que la sensibilité était affectée dans tous ses modes (
sensibilité
tactile, sensibilité à la douleur, sens musculair
sensibilité était affectée dans tous ses modes (sensibilité tactile,
sensibilité
à la douleur, sens musculaire, etc.). Mais il par
r les régions limitrophes du lobe pariétal, ces divers troubles de la
sensibilité
se sont montrés très peu accentués ou éminemment
avec ce que nous constatons dans notre cas, où les divers modes de la
sensibilité
cutanée et profonde sont affectés au plus haut de
, pour rendre compte de l'étendue et de l'intensité des troubles delà
sensibilité
, on doit supposer, en s'appuyant sur quelques tra
relèverai tout d'abord ce fait que, chez Porcz...,les troubles de la
sensibilité
cutanée ne sont pas exactement limités au membre
, tronc et membre inférieur. Il s'agit donc là, en ce qui concerne la
sensibilité
commune, d'une véritable hémi-anesthésie droite g
point dans toutes les parties insensibles. Ces divers troubles de la
sensibilité
d'ailleurs ne sont pas encore modifiés, et nous p
persiste encore à un assez haut degré. D'ailleurs, les troubles de la
sensibilité
sont restés, je le répèle, ce qu'ils étaient à l'
ouverts et l'on peut dire même que, si la conscience est déprimée, la
sensibilité
aux impressions communiquées se trouve, au contra
contraire, il n'existe du côté droit aucun trouble appréciable de la
sensibilité
. Nous pourrons donc de ce côté observer aisément
ons donc de ce côté observer aisément les perturbations subies par la
sensibilité
, dans ses différents modes, pendant l'évolution d
s qu'y emploie le sujet, à notre sollicitation. D'un autre côté, la
sensibilité
, normale tout à l'heure, a maintenant complètemen
idemment d'ordre secondaire, que, chez ce dernier, le mouvement et la
sensibilité
sont conservés dans les doigts. VINGT-DEUXIÈME
s segments du membre supérieur (épaule, coude, poignet, doigts). — La
sensibilité
et les réflexes tendineux disparaissent simultané
normal, tant au point de vue de la motilité qu'en ce qui concerne la
sensibilité
considérée dans tous ses modes. Il nous est per
ouvement volontaire est aboli, et là seulement, remarquez-le bien, la
sensibilité
cutanée et profonde est éteinte : Ainsi sur le mo
s qui ont conservé leurs mouvements ne présentent aucun trouble de la
sensibilité
. Oui, l'imitation que nous avons obtenue est parf
Observation de Greuz... suivie de la perte de tous les modes de la
sensibilité
dans ces mêmes parties; de telle sorte, que, main
venue sur tous les points, tant en ce qui concerne les troubles de la
sensibilité
qu'en ce qui concerne les troubles du mouvement
nir la paralysie motrice, sans accompagnement aucun de troubles de la
sensibilité
; il suffit pour cela, ainsi que nous l'avons vu
ù a lieu la suggestion, que le mouvement seul sera paralysé et que la
sensibilité
restera intacte. Je ne voudrais pas généraliser h
nt et simplement, la paralysie motrice du membre sans rien dire de la
sensibilité
. J'ignore, quant à présent, ce qui adviendrait en
ent est destiné surtout, vous le savez, à modifier les troubles de la
sensibilité
. L'expérience nous a appris depuis longtemps, qu'
a appris depuis longtemps, qu'à la suite du bain électro-statique, la
sensibilité
, chez la plupart des hystériques anesthési-ques r
outre, en même temps qu'a lieu ce retour plus ou moins durable de la
sensibilité
, les autres phénomènes hystériques, les attaques,
a force dynamométrique s'est accrue, il s'est produit un retour de la
sensibilité
cutanée, dans une région très peu étendue, il est
lque chose, car, une fois, le chiffre 13k a été atteint. En outre, la
sensibilité
cutanée tend à reparaître, dans l'aisselle et a
us les jours, également, on a noté les progrès réalisés du côté de la
sensibilité
. À ce dernier point de vue, l'état est resté pres
le. Le 7 juillet on constate ce qui suit: (fig. 72 et 73, p. 364). La
sensibilité
a reparu sur une bonne partie du moignon de l'épa
et là sur les parties du bras et de l'épaule encore anesthésiées. La
sensibilité
s'est rétablie 1. Voir fig. 74, p. 366. encor
t, que si le traitement eût pu être continué, un retour complet de la
sensibilité
et du mouvement dans le membre affecté eût été bi
les mouvements du membre supérieur gauche, les divers troubles de la
sensibilité
et 1. Voir plus haut la note 1, p. 320. 2. Da
t égard, notre attente n'a pas été trompée : L'étude méthodique de la
sensibilité
, dans ses différents modes, nous a fait reconnaît
cune manifesta-lion douloureuse se montrât du côté de la jointure. La
sensibilité
de la peau était déjà en partie revenue, le malad
e, le malade commençait à répondre à quelques questions, alors que la
sensibilité
des parties profondes (percussion du trochanter,
st actuellement l'état du malade. Dans le membre supérieur gauche, la
sensibilité
a reparu; elle paraît même exaltée, surtout sur l
'application d'un corps froid donne la sensation d'un corps chaud. La
sensibilité
profonde et le sens musculaire sont normaux. Part
ité profonde et le sens musculaire sont normaux. Partout ailleurs, la
sensibilité
générale ne présente plus aucune anomalie et pour
nsion sur toute la surface des membres inférieurs, les troubles de la
sensibilité
offrent donc un contraste profond avec des troubl
é, soit sur le membre tout entier, divers troubles transitoires de la
sensibilité
et du mouvement, tels que sensation de lourdeur,
rminé, à peu près à coup sûr, une monoplégie complète, portant sur la
sensibilité
et sur le mouvement, présentant en un mot tous le
iqûre est partout absolue. Mais à cette époque, vraisemblablement, la
sensibilité
profonde n'est pas encore affectée, car les mouve
nt pas exaltés; ils seraient plutôt un peu diminués. Troubles de la
sensibilité
remarquables. 1° La sensibilité cutanée est absol
tôt un peu diminués. Troubles de la sensibilité remarquables. 1° La
sensibilité
cutanée est absolument éteinte, dans tous ses mod
ie motrice complète sans accompagnement d'un trouble quelconque de la
sensibilité
cutanée ou profonde, et plus particulièrement san
hésiques et qu'elle ne s'accompagne d'aucune injonction relative à la
sensibilité
, celte suggestion, dis-je, est suivie, d'après no
seulement de la paralysie du mouvement, maU encore de la perte de la
sensibilité
dans tous ses modes, y compris les notions du sen
mané du cerveau... nous ne pouvons mieux faire que de supposer que la
sensibilité
concomitante du mouvement musculaire coïncide ave
ets, hystériques pour la plupart, qui, privés de tous les modes de la
sensibilité
dans un membre, ont conservé cependant en grande
re aujourd'hui un bel exemple du genre. Chez lui, comme on l'a vu, la
sensibilité
cutanée et la sensibilité profonde sont complètem
ple du genre. Chez lui, comme on l'a vu, la sensibilité cutanée et la
sensibilité
profonde sont complètement éteintes dans toute l'
e paralysie flasque. Nous allons passer maintenant à l'examen de la
sensibilité
; nous constatons qu'à la piqûre et à la températu
arquée ; au membre supérieur droit, il y a une abolition totale de la
sensibilité
, cette abolition comprend: la main, l'avant-bras,
uscles de l'épaule et du bras du côté droit; au bout d'une minute, la
sensibilité
était revenue dans cette région (sans transfert),
revenue dans cette région (sans transfert), une minute plus tard, la
sensibilité
existait dans tout le membre supérieur et la para
persista pendant 2 jours, puis disparut spontanément et, dès lors, la
sensibilité
et la motilité furent absolument normales. IV.
au-dessus du genou et à la cheville du même côté. L'exploration de la
sensibilité
montre en effet du côté gauche, en dehors de ces
l'aneslhésie est complète ; au pied, simple analgésie. Du côté droit,
sensibilité
intacte sauf à la main, où il y a analgésie à la
biller le malade et reconnut une hémianalgésie droite; de ce côté, la
sensibilité
est obtuse à la poilrine et au bras pour la piqûr
ée à droite. La malade peut cependant facilement souffler une bougie.
Sensibilité
un peu émoussée du côté droit. Sens du goût et de
de recouvre la parole. Chez Gué..., pendant cet état de mutisme, la
sensibilité
réflexe du voile du palais est conservée, comme,
rit, ou en parlant très haut. Pas de paralysie, pas de troubles de la
sensibilité
. Les mouvements de la langue et des lèyres se fon
hotte quelques mots à voix basse. En même temps, les mouvements et la
sensibilité
reparaissent du côté gauche. Bref, un mois après
pas manquer de s'éclairer par un examen minutieux (exploration de la
sensibilité
, recherche des zones hystérogènes...), par l'étud
mpuissance motrice avec flaccidité, aneslhésie pour tous les modes de
sensibilité
suivant une délimitation particulière ; pas de tr
p visuel. Observation de Pin... : Monoplégie flasque et perte de la
sensibilité
dans tous ses modes au membre supérieur gauche à
s segments du membre supérieur (épaule, coude, poignet, doigts). — La
sensibilité
et les réflexes tendineux disparaissent simultané
nce du traumatisme, 301, 400; État de la motilité, 303 ; — État de la
sensibilité
, 303, 319 ; — Perte du sens musculaire. 304; —
tisme hystérique, 423. Paraplégie hystérique, 441, 443; — état delà
sensibilité
; limitation particulière de l'anesthésie, 446.
méningées, les lésions vertébrales, 143. Scotome scintillant, 75.
Sensibilité
(Troubles de la) chez les hystériques, 253, 255;
uver ce caractère dans l'analyse des troubles de la motilité, de la
sensibilité
, de l'intelligence. 4 ' CLINIQUE NERVEUSE. A.
mes, sont absolument exceptionnels dans celle-ci. B. Troubles de la
sensibilité
. La céphalalgie existe là comme dans les autres
e l'irritation corticale par ischémie. Les troubles objectifs de la
sensibilité
n'appartiennent pas au tableau de la syphilis a
rragie d'origine spécifique. On observe rarement des troubles des
sensibilités
spéciales. La vue est habituellement intacte :
cidité, abolition des réflexes, absence de troubles objectifs de la
sensibilité
. B. Forme aphasique. Elle est en tous points co
s vivement sen- 16 CLINIQUE NERVEUSE. ties qu'à l'état normal. La
sensibilité
thermique est atteinte : un objet froid provoqu
pasmo- diques, raideurs, exagération des réflexes, troubles de la
sensibilité
) et des sphincters, manifestement en rapport avec
présentait comme caractère intéressant des troubles dissociés de la
sensibilité
. La sensibi- lité tactile était intacte, il y a
vait de l'hyperesthésie à la douleur, el surtout des troubles de la
sensibilité
à la tempé- rature. Cette dissociation a été si
cas, et qu'elle peut se localiser dans la sphère des nerfs de la
sensibilité
générale ou dans celle de sens spéciaux. De Cro
ais eu d'attaque ni de vertige. Hémianesthésie droite. Retard de la
sensibilité
au côté gauche. ' Lanceraux. - Trccilé d'anatom
ieure et sa calotte témoignent de très constantes relations avec la
sensibilité
cutanée de la région tem- porale de l'oeil du m
e de la demi-lune radiculaire sont en relation très étroite avec la
sensibilité
de l'oeil. Leur destruction a engendré non seul
que les paupières, dès le début anes- thésiques, récupéraient leur
sensibilité
. Ce ramollissement du globe oculaire doit êtie
écit au maximum. 8° en même temps que ce phénomène de déficit de la
sensibilité
, se produisaient certains troubles moteurs dont
ifié. P. KERAVAL. VIII. Contribution A l'étiologie DU TROUBLE DE la
sensibilité
DE BER- NHARDT .1 LA cuisse; par A. Dr LUZENDER
fecté, qui cor- respond au territoire innervé par le fémoro-cutané.
Sensibilité
tactile conservée, bien localisée par le patien
usse. , P. 1\1.. XXVII. Contribution A L'ÉTUDE DES TROUBLES DE la
sensibilité
cutanée; par L. 1,(rWENrrLD. ICentmlbl. f. Ne7'
aduisant par une moindre activité motrice, un affaiblissement de la
sensibilité
et des organes des sens, des troubles de la mar
rsqu'il était complet, ces malades avaient complètement recouvré la
sensibilité
et ne présentaient plus aucun stigmate d'hystér
hystériques, pouvait être le fait de la simple restaura- tion de la
sensibilité
, et, inversement, qu'il suffisait de supprimer
de la sensibilité, et, inversement, qu'il suffisait de supprimer la
sensibilité
pour ramener en même temps tous les accidents, y
rement liées à des altérations ou à des varia- tions brusques de la
sensibilité
. Ces modifications de la sensibilité sont elles
es varia- tions brusques de la sensibilité. Ces modifications de la
sensibilité
sont elles-mêmes sous la dépendance d'un état d
ns l'observation que nous rapportons plus loin. B. Troubles de la
sensibilité
. Ils sont beaucoup plus fréquents que dans la s
la syphilis artérielle. 100 CLINIQUE NERVEUSE. Ces troubles de la
sensibilité
, par leur permanence et leur intensité, sont so
d'origine cen- trale. Agitation. Hallucinations de la vue et de la
sensibilité
-générale. Délire violent. Cécité complète. Auc
rale. Délire violent. Cécité complète. Aucun trouble objectif de la
sensibilité
. Crises convulsives. Cachexie progressive. Tuberc
sie généralisée des téguments, sans autres troubles objectifs de la
sensibilité
générale. Les mouvements passifs, la pression sur
vres de nombreuses vésicules d'herpès. Aucun trouble objectif de la
sensibilité
. La malade mange peu, elle a maigri beaucoup, s
personnes qui l'approchent. Elle présente des hallucinations de la
sensibilité
générale, se plaint qu'on lui ait fait une opérat
ation des réflexes rotutiens. Il n'y a toujours aucun trouble de la
sensibilité
objective. Il n'y a plus d'hallucinations ni de
larités. Aucune sensation subjective de ce côté. Pas de dyspnée. La
sensibilité
est un peu moindre, et le réflexe cornéen dimin
et trépidation épileptoïde à droite. Toujours aucun trou- ble de la
sensibilité
objective. Il n'y a pas d'hallucinations; la mé
atifs sont extrêmement variés; ils peuvent affecter la motilité, la
sensibilité
et l'intelligence avec les modalités les plus d
rdrait l'équilibre et tomberait. La malade accuse encore une grande
sensibilité
au froid.et des hissons répétés. Il n'y a jamai
lète des réflexes rotuliens. Aucun trouble des divers modes de la
sensibilité
cutanée ou des parties profondes. Il n'existe s
apide et l'épuisé. Réflexes rotuliens abolis. Aucun trouble de la
sensibilité
, aucun trouble du côté de la musculature oculai
natoire ? J'y souscris volontiers ; mais les troubles mentaux ou de
sensibilité
sont-ils donc les mêmes chez tous les alcoo- li
ession, des idées vagues de persécution, et même des troubles de la
sensibilité
allant jusqu'au délire; mais de paralysie génér
d'oreilles ni lancinantes ni fulgurantes sur la conservation de la
sensibilité
tactile et thermique sur la démarche de l'indiv
ur droit sont légèrement exagérés. Il n'existe pas de trouble de la
sensibilité
, ni des organes des sens, de la mémoire, du lan
de l'omo- plate, en haut. Dans toute la moitié gauche du corps, la
sensibilité
douloureuse et thermique est du reste très abai
bien que, dans un degré plus faible; une certaine diminution de la
sensibilité
a été constatée pendant un moment du côté cubit
'y détermine pas de godet à la pression. Les mains sont froides. La
sensibilité
cutanée y est com- plètement abolie, tandis qu'
n musclé. Il est à la deuxième période de la paralysie générale. La
sensibilité
cutanée est abolie TROUBLES trophiques DE la pa
ésie cutanée partielle, aux épaules et aux avant-bras. Retard de la
sensibilité
à la piqûre sur les autres parties du corps.
re : quelques idées vagues et contradic- toires de satisfaction. La
sensibilité
cutanée est abolie sur tout le corps. Forte alo
sc. 10, 1896.) . XXXVIII. Contribution A l'étude DES TROUBLES DE la
sensibilité
hygrique chez LES aliénés; par UR13ANo et Chris
t, de vraies spirales qui tournent autour d'eux. P. KERAVAL. L. L.1
sensibilité
chez la femme ; par S. Ottolenghi. (Centralbl. f.
lenghi. (Centralbl. f. il erve)Iccillc., XIX, \. F. vu, 1896.) La
sensibilité
générale et la sensibilité à la douleur sont étud
erve)Iccillc., XIX, \. F. vu, 1896.) La sensibilité générale et la
sensibilité
à la douleur sont étudiées à l'aide du faradomè
e d'Edelmann comparativement chez 682 femmes et 400 hommes. 1. La
sensibilité
à la douleur existe au même degré que chez l'ho
bilité, ou plutôt par l'hyperirrifabilité. Comme chez l'homme cette
sensibilité
est soumise à bien des modifications tenant à l
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. dégénérescence amoindrit la
sensibilité
à la douleur ; ce sont les vieilles femmes de l
squ'à émousser presque complète- ment ou complètement ce mode de la
sensibilité
. Rien de sem- blable ne se voit chez l'homme no
bilité. Rien de sem- blable ne se voit chez l'homme normal. IL La
sensibilité
générale subit aussi des variations d'après l'âge
des variations d'après l'âge et les professions, mais moins que la
sensibilité
à la douleur. Chez les femmes aisées, dans le j
ibilité à la douleur. Chez les femmes aisées, dans le jeune âge, la
sensibilité
générale est aussi délicate que dans l'âge mûr.
urs plus fine chez la femme. 111. Considéré dans les deux sexes, la
sensibilité
à la douleur dépend surtout de l'appareil centr
sensibilité à la douleur dépend surtout de l'appareil central de la
sensibilité
; elle est donc dans le plus étroit rapport avec
ilité; elle est donc dans le plus étroit rapport avec le psûchê. La
sensibilité
générale dépend principalement de l'appareil ps
ical supérieur. Chose particulière, il n'y pas, eu diminution de la
sensibilité
dans la moitié faciale gauche; ce n'est donc po
s membres, de la trépidation spi- anale, etc. Pas de troubles de la
sensibilité
. M. de Buck diagnos- tiqua une hématomyélie spo
urprendre une seule fois endormie. Elle présente des troubles de la
sensibilité
(anesthésie, diminu- tion du goût, de l'odorat
t de vue sensuel ; d'autresqui recherchent dans un autre mâle une
sensibilité
plus délicate que celle de l'homme oude la femme,
toujours régulière. Elle ne présente aucun trouble important de la
sensibilité
ni de la motilité, son intelligence est normale;
xes rotuliens sont conservés. L'enfant est complètement gâteuse. La
sensibilité
sur tout le corps est assez obtuse mais est per
oindront dans certains cas des hyperesthésies ou des troubles de la
sensibilité
générale qui constitueront les symptômes secon-
se rencon- trent jamais sans troubles plus ou moins profonds de la
sensibilité
niusetilo-artielil aire des organes atteints de
n'en comprimant pas dans son voisinage ; du reste le troubles de la
sensibilité
n'affectent nullement la zone de distribu- tion
aissent après l'opération, mais il persiste des modifications de la
sensibilité
objective : cette anesthésie, traitée par les a
mplètement; l'expérience du transfert est positive. Ces troubles de
sensibilité
doivent donc être confondus avec les anes- thés
également atteints (Aienzel). F. Baissier. XLIII. Troubles DE la
sensibilité
au point DE vue spécial DE la douleur dans. les
iés ; le deltoïde l'est moins. On n'observe pas de troubles de delà
sensibilité
. D'ailleurs, le malade n'a jamais accusé de dou
est dissociative par son pouvoir de séparer, d'isoler une forme de
sensibilité
(douleur), par exemple, pour la suspendre. Elle
Cas 9 : dix ou douze heures avant l'attaque, le ma- lade perd toute
sensibilité
de la moitié antérieure de la langue. Cas 10 :
urique rayon- nante (champ magnétique humain; extériorisation de la
sensibilité
; extériorisation de la motricité). C. Responsa
rticale ; par Henri Verger L'auteur commence par définir le terme «
sensibilité
D et montre que sous ce mot, à signification tr
chacune de ces sensations particulières qu'englobe le nom vague de
sensibilité
, que l'auteur va chercher les modifications dan
z le chien, dans les lésions de la zone dite motrice du cerveau, la
sensibilité
tactile et la sensibi- lité kinesthésique sont
ne façon constante dans les membres du côté opposé à la lésion ; la
sensibilité
douloureuse, au contraire, reste intacte dans l
ont eux qui, ayant cons- cience de leur état, se plaignent que leur
sensibilité
est émoussée, déclarent que leurs divers sens n
du canal alimentaire, de l'appareil génital, de l'état des muscles,
sensibilité
musculaire, sensation générale de nutrition, et
apparente il y a déjà en réalité atténuation des divers ordres~~de
sensibilité
; le mélancolique est déjà un faible excitable.
teints de mélancolie anxieuse commune'. » Comme dit H. Schule, « la
sensibilité
générale est le résultat de la solidarité d'act
ire, du monde exté- rieur. m « On m'a pris mon intelligence et ma
sensibilité
, dit encore une malade de Louyer-Villermay'. Je
l'affection mélancolique. Leuret 3 regarde la perturba- tion de la
sensibilité
, des sentiments affectifs, etc., chez les damné
localisation dans la peau d'une partie considérable des cellules de
sensibilité
, force est d'admetlre que l'excitation qui dèteno
i, dans le système nerveux central des invertébrés, des cellules de
sensibilité
, et il doit en exister, on le verra bientôt, ai
ans les terri- toires de l'écorce, où se terminent les fibres de la
sensibilité
, ou se distribuer aux éléments contractiles, to
ties du corps auxquelles appartiennent les nerfs périphé- riques de
sensibilité
correspondants. Elles n'ont point de membrane s
organes du système nerveux central des invertébrés, des cellules de
sensibilité
, cellules d'origine des fibres qui se ramifient d
de Golgi, qui expliquait les rapports physiologiques des fibres de
sensibilité
et de mouvement par les anastomoses reliant, da
utables à l'hystérie ou à l'hystéro-épilepsie. Les troubles de la
sensibilité
ont néanmoins subi quelques modi- fications.
é, à droite : Anesthésie superficielle complète, conservation de la
sensibilité
profonde. C. Paralysie de la vessie et du rectu
me de s'en- traîner, de lutter efficacement avec les troubles de la
sensibilité
qui sont la source de leur ataxie et de ralenti
alysie spasmodique des membres du côté gauche avec diminution de la
sensibilité
du côté droit du tronc et de la jambe droite. Q
al, sans rémunération spéciale ( ! ). -Ou ne pèche pas par excès de
sensibilité
au Michigan ! » Nous' avons déjà eu l'occasion
ullaires et de décrire une forme particulière de dissociation de la
sensibilité
; enfin au point de vue histologique, cette tum
l. Observation. Résumé. - Début par des troubles subjectifs de la
sensibilité
au bras gauche et aux deux membres inférieurs.
s ; douleurs aiguës non localisées; pas de troubles objectifs de la
sensibilité
; pas de troubles des sphincters. Paraplégie d
NAT0M1E PATHOLOGIQUE. inférieurs ; troubles objectifs de toutes les
sensibilités
cutanées ; conservation des sensibilités profon
es objectifs de toutes les sensibilités cutanées ; conservation des
sensibilités
profondes et des sensibilités icflexes; contrac
sibilités cutanées ; conservation des sensibilités profondes et des
sensibilités
icflexes; contractions réflexes très douloureus
nts commandés : pas d'incoordination motrice. Pas de troubles de la
sensibilité
objective. Pas de troubles tro- phiques, ni d'a
e serre beaucoup moins fort que de la droite. Pas de troubles de la
sensibilité
objective, mais il y a toujours des douleurs va
côté de la musculature de la face et des yeux; aucun trouble de la
sensibilité
générale, ni des sensibilités spéciales. Aucun
face et des yeux; aucun trouble de la sensibilité générale, ni des
sensibilités
spéciales. Aucun trouble encéphalique. Le dia
esseur Teissier fut : Paraplégie spasmodique. Pas de troubles de la
sensibilité
. Pas de pliénomènes vésico-rectaux. Diminution
res spasmodiques. Il y a un peu d'oedème des membres inférieurs. La
sensibilité
czttanée-(daus ses trois modes) est très diminu
erritoires radiculaires. Pas de dissociation syringomyélique. Les
sensibilités
profondes sont conservées, le malade a parfaite-
xe crémastérien faible; réflexe bulbo-caverneux bien conservé. La
sensibilité
consciente cutanée est absolument abolie dans tou
ieurs provoque également de vives douleurs : il semble donc que les
sensibilités
profondes (périostiques, tendineuses, articulai
xtrêmement douloureuses : il semble qu'il y ait hyperesthésie de la
sensibilité
musculaire. La moindre cause suffit quelquefois p
sommeil. 11 ne semble pas y avoir d'autres troubles subjectifs delà
sensibilité
en dehors de ces contractions douloureuses. Tro
ehors de ces contractions douloureuses. Tronc. - Les troubles de la
sensibilité
objective s'étendent sur le tronc, jusqu'au niv
sie. Il semble . qu'il y ait un certain degré de conservation de la
sensibilité
autour de l'anus : les contacts même légers son
contrac- tures douloureuses comme dans les membres inférieurs. b)
Sensibilité
est intacte dans ses trois modes (pour la tempéra
che. Pas de différences pour les autres muscles. Les troubles de la
sensibilité
sont iden- tiques : même zone d'hypoeslhésie à
les regarde à ce moment il les voit immobiles (hallucinations des
sensibilités
profondes et musculaires ? 4 septembre. Mêmes p
isation radiculaire très nette des troubles de la motilité et de la
sensibilité
permet de fixer les limites supérieures de la l
être recherchées. 16 septembre. Des deux côtés, les troubles de la
sensibilité
s'étendent : le pouce seul conserve une sensibi
troubles de la sensibilité s'étendent : le pouce seul conserve une
sensibilité
à peu près nor- male. Les eschares se sont creu
mbres inférieurs d'une paraplégie spasmodique avec trou- bles de la
sensibilité
éveillait immédiatement l'idée, soit d'une lési
sur les voies sensitives intra- médullaires pour les troubles de la
sensibilité
. b). Dans la méningo-myélite les cordons postér
troubles de la sensibi- lité réflexe; plus tard, les troubles delà
sensibilité
consciente sont au contraire peu accusés. Dans
Dans notre cas, il n'y eut à aucun moment de l'incoordination, les
sensibilités
réflexes étaient exagérées, les sensibilités co
l'incoordination, les sensibilités réflexes étaient exagérées, les
sensibilités
conscientes étaient au con- traire très atteint
ons plus loin sur la physiologie pathologique de ces troubles de la
sensibilité
. c). En remontant, dans les membres supérieurs
uard. A aucun moment cependant la paralysie ou les trou- bles de la
sensibilité
du côté opposé n'ont été unilatéraux. L'ex- pli
pathologique; nous insisterons sur deux points : les troubles de la
sensibilité
, les localisations dans l'axe gris médullaire.
les localisations dans l'axe gris médullaire. Les troubles de la
sensibilité
offraient une forme assez particulière caractér
érisée parla dissociation entre les seaasibi- lités cutanées et les
sensibilités
profondes. Les premières étaient complètement a
reuses. En résumé nousavions nettement del'aizesthésie complète des
sensibilités
cutanées avec au contraire de l'Ity- peresthési
s sensibilités cutanées avec au contraire de l'Ity- peresthésie des
sensibilités
profondes (tendineuses, articu- laires, osseuse
aleur : en les lisant on s'aperçoit que le plus souvent ce sont les
sensibilités
pro- fondes en général, que les observateurs se
côté paralysé beaucoup d'observateurs signalent la conservation des
sensibilités
profondes et du sens musculaire, ce qui nous pa
laire, ce qui nous paraît impossible à rechercher. La recherche des
sensibilités
articulaires, tendineuses, etc., est presque im
c., est presque impossible à rechercher méthodiquement lorsque la
sensibilité
cutanée est conservée, car elle supplée les sensi
Dans le syndrome de Brown-Séquard on ne peut donc affirmer que les
sensibilités
profondes sont abolies du côté de la lésion, ca
buée. Il permet d'affirmer une seule chose, la conser- vation de la
sensibilité
profonde avec anesthésie cutanée du toute sa va
sumé l'étude du syndrome de Brown-Séquard permet d'affirmer que les
sensibilités
cutanées se séparent des sensi- bilités profond
eux espèces de sensation, et la conservation, l'exaltation même des
sensibilités
profondes avec l'intégrité relative, V excitati
effet les moins altérés des faisceaux blancs. La dissociation des
sensibilités
cutanées et profondes a très peu attiré l'atten
ome de Brown-Séquard, de l'anesthésie cutanée avec conservation des
sensibilités
profondes : il est très facile de voir que si l
ches à faire pour cela. Lorsque au contraire il y a disparition des
sensibilités
pro- fondes avec conservation des sensibilités
y a disparition des sensibilités pro- fondes avec conservation des
sensibilités
cutanées, le phéno- mène passe presque forcémen
examens qu'on fait subir (pression, notion de posi- tion, etc.) la
sensibilité
cutanée intervient pour suppléer les 1 Cette di
eau). (Nouvelle Iconographie de la Salhélrière, Il. 1.) = Quant aux
sensibilités
cutanées, leur trajet ultérieur est encore fort
(syingo- myetio sans dissociation). 452 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
sensibilités
profondes disparues. Pour les sensibilités articu
2 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. sensibilités profondes disparues. Pour les
sensibilités
articu- laires, tendineuses, etc., la meilleure
s passibles du même reproche en ce qu'ils mettent en jeu les autres
sensibilités
tendineuses, arti- culaires, etc. Le meilleur c
'appréciation de différents poids (et encore dans ce cas les autres
sensibilités
interviennent). En résumé facile à découvrir
'elle a lieu dans un sens (anesthésie cutanée avec conservation des
sensibilités
profondes) la dissociation que nous indiquons e
lieu dans le sens opposé (anesthésie profonde avec conservation des
sensibilités
cutanées). Quelle est la signification diagnost
nte : la première forme, anesthésie cutanée avec conservation des
sensibilités
profondes, nous semble indiquer une lésion agis-
ris (syringomyélie, hématomyélite etc.) provoque des troubles de la
sensibilité
à localisation spé- ciale..., segmentaires, en
axe gris sur une grande étendue, il n'y avait pas de troubles de la
sensibilité
affectant la disposition signalée plus haut.
896, p. 17. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 455 Les troubles de la
sensibilité
aux membres supérieurs d'ailleurs très légers,
un mécanisme inerte. Finalement, il les nie. En dernier lieu, la
sensibilité
tégumentaire (sens externe du tact et sens spéc
oie à des hallucina- tions de tous les sens et à des troubles de la
sensibilité
géné- rale qui lui font croire qu'elle est poss
ramollissement de la troisième frontale gauche. Les troubles de la
sensibilité
et de la coordination du membre supé- rieur dro
Br. La moitié gauclie du corps est le siège d'une diminution de la
sensibilité
au contact, tandis qu'il existe de l'hyperesthé
oies de celle-ci, le savon à son odeur, ce qui indique- bien que la
sensibilité
tactile est seule atteinte. Puisqu'il perçoit l
le prouver, c'est la guérison des troubles de la motilité et de la
sensibilité
com- mune, tandis que la paralysie purement tac
disparaît. L'an der- nier, à l'occasion de l'exposition de lierlin,
sensibilité
douloureuse extrême et sensation de piqûre sur
deux fois par jour, pour obtenir de l'amélioration. L'examen de la
sensibilité
des nerfs fémoro- cutanés des deux jambes ne fo
anter au bord externe de la rotule on constate une diminution de la
sensibilité
dans tous ses modes, sauf en ce qui concerne la
896, n° 2.) XC1X. La fatigue intellectuelle ET son influence SUR la
sensibilité
cu'rINLE; par T11.-Vannod. (Reu. mécl. de LeaSu
elle intense; celle-ci à son tour détermine une hyperesthésie de la
sensibilité
à la douleur. En résumé, la conséquence de la f
scolaire 1896-1897. Aba (Isaac). Étude clinique des troubles de la
sensibilité
géné- rale des sens musculaire et stéréognostiq
may (Hippolyte-Pierre)' Recherches cliniques sur les troubles de la
sensibilité
générale du sens musculaire et du sens stéréogn
fonctionnel de la glande thyroïde. Dheur (Pierre). De l'étal de la
sensibilité
chez quelques mélancoliques. Djélalian (Krikor)
Traitement des escarres des - , par A. Paris, 394. Troubles de la
sensibilité
hygrique chez les , par Urbano et Chnstiani, 21
Loewentlial, 51. Fatigue intellectuelle et son in- fluence sur la
sensibilité
cutanée, par Vannori, 497. Fibre nerveuse. St
simples ou associées chez les aliénés, par (le Becliterew, 52.
Sensibilité
. Troubles de la de Bernhardt à la cuisse, par L
rdination musculaire, cependant les réflexes sont très diminués, La
sensibilité
, au contraire, est altérée : dou- leur à la rég
uteur suppose que les centres tro- phiques de la peau, organe de la
sensibilité
, sont situés, avec les centres trophiques des n
nsibilité, sont situés, avec les centres trophiques des nerfs de la
sensibilité
, dans les ganglions intervertébraux, et que les
ertébraux, et que les nerfs trophiques accompagnent les nerfs de la
sensibilité
. Il déduit de cette supposition que les trou- b
u doivent être accompagnés, au moins fréquemment, de troubles de la
sensibilité
. C'est pourquoi l'on doit, dans certaines affec
a peau, dans l'eczéma chronique, par exemple, examiner avec soin la
sensibilité
des sujets. Ayant donc étudié systématiquement,
r en dénombre les éléments. Ce sont : une exagération extrême de la
sensibilité
à l'égard des bruits qui empêche tout sommeil;
ure et de la douleur dans le dos. Paralysie de tous les modes de la
sensibilité
aux extrémités les plus reculées des membres, t
n verbale. En même temps, on emploie la suspension pour rétablir la
sensibilité
, sup- primer l'amblyopie de l'oeil droit et réi
réflexes palpébraux et pharyngien abolis. Toutes les variétés de la
sensibilité
générale sont affaiblies, les sens spécieux ont
istinctement des centres et des conducteurs de la motilité et de la
sensibilité
en général. La coordination n'est pas une fonct
Leyden, qui subordonne l'incoordination motrice aux troubles de la
sensibilité
, a certainement gagné du terrain depuis que nou
s le cours du tabes. Il est certain que dans la période ataxique la
sensibilité
musculo- articulaire est toujours altérée. On a
ie de Friedreich, c'est-à-dire, des ataxiques sans troubles de la
sensibilité
. Selon nous les hystériques ne peuvent pas comp-
es raisons pour ad- mettre chez les Friedreich's des troubles de la
sensibilité
mus- culo-articulaire,'surtout dans la période
proportion- nelle entre le degré de l'ataxie et les troubles de la
sensibilité
musculo-articulaire. On peut seulement affirmer
use à effet entre les troubles de la motilité et les troubles de la
sensibilité
dans le tabes. Néanmoins, comme nous le verrons
médiatement averti par les organes des sens (la vue, le toucher, la
sensibilité
mus- culo-articulaire), et la coordination s'ad
ompliquer la question nous n'envisagerons que la vue, le tact et la
sensibilité
musculo-articulaire particuliè- rement engagés
ourra pas se faire. C'est ainsi que chez l'aveugle le toucher et la
sensibilité
musculo-articulaire suppléent la vue dans la co
ez le tabétique les yeux cherchent à com- penser les troubles de la
sensibilité
tactile et de la sensibilité musculo-articulair
chent à com- penser les troubles de la sensibilité tactile et de la
sensibilité
musculo-articulaire. 172 CLINIQUE NERVEUSE. '
seuse de ballet, le virtuose du piano, le jongleur doivent avoir la
sensibilité
musculo-articu- laire d'une finesse extraordina
ire. Physiologiquement parlant, en quoi consiste l'affinement de la
sensibilité
? Il est possible que les appareils terminaux d
la sensibilité ? Il est possible que les appareils terminaux de la
sensibilité
, situés dans la peau, dans les muscles, les ten
ents, les cap- sules articulaires à force d'exercice acquièrent une
sensibilité
plus exquise. Il est cependant plus probable, c
et Frenkel ', que dans ces cas d'une finesse extraordinaire de la
sensibilité
ce sont plutôt les centres psycho-moteurs de l'é-
nser par la vue et par une attention plus grande les troubles de la
sensibilité
musculo-articulaire. Le fait est que de lui-mêm
douter, le tabétique ataxique cherche à compenser les défauts de sa
sensibilité
musculo-articulaire. La démarche du tabétique e
mbes et en plaçant les pieds au dehors. Pour remédier à la mauvaise
sensibilité
de l'articulation du genou, il la supprime, en
ttention, puisque pour arriver à coordonner les mouvements avec une
sensibilité
affaiblie, le cerveau devra déployer une plus g
axique, comment il doit s'y prendre pour déjouer les troubles de sa
sensibilité
musculo- articulaire et arriver à coordonner se
culo- articulaire et arriver à coordonner ses mouvements avec une
sensibilité
défectueuse. Les limites de l'amélioration de l'i
tique par la méthode de Frenkel sont données par les troubles de la
sensibilité
musculo-arti- culaire. Mais quel que soit le de
ment rapide, le malade ne pourra pas com- penser les troubles de la
sensibilité
, puisque ces troubles chan- gent et s'aggravent
tivement, le malade s'adaptera plus facilement à ses troubles de la
sensibilité
musculo-articulaire, et arrivera dans l'acte de
nt ont constaté chez les tabétiques une certaine amélioration de la
sensibilité
musculo-articulaire. Cependant ce serait tout à
n de la coordination chez les tabétiques à cette amélioration de la
sensibilité
. Chez nos malades nous avons toujours vu, 174 C
nos malades nous avons toujours vu, 174 CLINIQUE NERVEUSE. que la
sensibilité
ne s'améliorait que très tardivement, long-; te
s grande amélioration de ses mouvements. Cette amélioration de la
sensibilité
s'explique par le fait que même dans les cas le
ique par le fait que même dans les cas les plus avancés de tabes la
sensibilité
musculo-articulaire n'est jamais complètement é
, Les exercices de Frenkel arrivent à la longue à améliorer cette
sensibilité
affaiblie par le même mécanisme, par lequel la se
exercices les yeux fermés ont précisément pour but d'amé- liorer la
sensibilité
musculo-articulaire. V. Analyse DES observation
ate chez nos malades une certaine amélioration des troubles de la
sensibilité
. Cependant il faut reconnaître qu'il s'agit chez
e de Romberg, on constate peu de changement dans les troubles de la
sensibilité
. Les douleurs fulgurantes sont favorablement in
tre traitement des modifications objectives dans les troubles de la
sensibilité
cutanée. En revanche la sensibilité profonde (m
ectives dans les troubles de la sensibilité cutanée. En revanche la
sensibilité
profonde (musculo-articulaire) est favorablemen
MENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 1 I 9 l'amélioration de la
sensibilité
musculo-articulaire. Il y a des malades chez le
s chez lesquels l'ataxie s'améliore, pendant que les troubles de la
sensibilité
ne subissent aucune modification (Ces. III, VI
os malades, chez lesquels nous avons observé une amélioration de la
sensibilité
profonde, cette amélioration n'avait lieu que t
ucune relation directe entre l'amélioration de l'ataxie et et de la
sensibilité
musculo-articulaire. Nous avons expliqué plus h
t, comment nous comprenons le mécanisme de cette amélioration de la
sensibilité
profonde chez les tabétiques. Bien que la métho
e le malade puisse coordonner ses mouvements avec le concours d'une
sensibilité
défectueuse. Or si la sensibilité s'aggrave tou
mouvements avec le concours d'une sensibilité défectueuse. Or si la
sensibilité
s'aggrave tous les jours, comme c'est le cas da
182 CLINIQUE NERVEUSE. on constate toujours une aggravation de la
sensibilité
mus- culo-articulaire. Nous conseillons donc de
ces et le malade s'adaptera très vite à ses nouveaux troubles de la
sensibilité
. Nous avons dit plus haut que dans la période p
droite qui date de l'enfance. Au reste rien d'anor- mal ni dans la
sensibilité
, ni dans la motilité des membres supé- rieurs.
otulien est aboli des deux côtés, ainsi que le réflexe plantaire.
Sensibilité
. Le sens du toucher est aboli à la plante des deu
au malade. Cette douleur persiste pendant un cer- tain temps. La
sensibilité
profonde (articulaire musculaire) est très troubl
oins intenses. Le malade souffre également moins de sa cuirasse. La
sensibilité
profonde (musculo-articulaire) s'est beaucoup a
supérieur droit, en manche de veste. En arrière ne persiste que la
sensibilité
du rachis et de la face postérieure de la cuiss
lière exagération. Et cependant l'anesthésie y est complète, les
sensibilités
à la pression, à la douleur, aux variations de te
ésie en manche de veste s'est réduite en une anesthésie en gant, la
sensibilité
reparaissant au-dessus du poignet. Le soir, a
morsure de la langue, quoi qu'il en dise. Pas de perte d'urine. '
Sensibilité
tactile, seulement conservée en avant, du côté ga
eulement dans la moitié inférieure de la même région. En arrière la
sensibilité
est limitée à une petite surface carrée répondant
ncope locale, l'extrémité pâlit, devient exsangue, se refroidit, la
sensibilité
disparait et la partie atteinte reste comme par
raît relativement lentement. Il n'y a en général pas d'oedème et la
sensibilité
est abolie. La douleur est presque constante, c
ains moments de la journée; les douleurs étaient insignifiantes, la
sensibilité
persistait, peut-être était-elle diminuée, mais
t la partie adjacente du pied présentaient les mêmes caractères. La
sensibilité
était nor- male aux extrémités. La malade affir
on de phlyctènes et de gangrènes, qu'elle amène l'abolition de la
sensibilité
cutanée des parties atteintes, l'acrocyanose est
de phlyctènes «ou de gangrènes et ne produit aucune abolition de la
sensibilité
. L'oedème bleu de Charcot se caractérise par un
stif est mise en évidence, outre l'état mental, par des troubles de
sensibilité
de la zone gastrique, et par le retentisse- men
t toujours à avoir des hallucina- tions, surtout de l'ouïe et de la
sensibilité
générale; les persécutés type Falret, au contra
te et n'a jamais présenté non plus de mouvements cho- réiformes. La
sensibilité
générale est intacte et nous n'avons trouvé auc
cette névrose. Il n'existe aucune anesthésie dans le domaine de la
sensibilité
générale et l'exa- men du champ visuel permet d
langue... Essais de : La vue, l'ouïe, du goût, de l'odorat, de la
sensibilité
, des réflexes, des fonctions motrices, des fonc
affectent ? Tendances... Impulsions... Idéation... Idées fixes...
Sensibilité
psychique... Compréhension... Raison... Logique..
les principaux caractères de ces symp- tômes : 1° Troubles de la
sensibilité
. La douleur, ordinairement loca- lisée à la rég
linique actuel noté à son entrée à la Sal- pêtrière. Troubles de la
sensibilité
; Douleurs lancinantes, par- tant de la fesse g
prémonitoire. Paraly- sie des sphincters. Troubles dissociés de la
sensibilité
remontant jusqu'au niveau d'un plan passant par
n plan passant par l'épigastre ; quelques régions ont conservé leur
sensibilité
normale, d'autres ne sentent plus les piqûres,
hilitiques, enlre autres une hémiplégie faciale avec troubles de la
sensibilité
des membres inférieurs, -dont on obtint la guér
la quatrième vertèbre dorsale, elle comprenait tous les modes de la
sensibilité
, les réflexes cutanés n'en étaient pas moins co
éflexes conservés, réac- tions électriques normales. Troubles de la
sensibilité
nettement hystériques, incontinence d'urine éga
ifération considé- rable du tissu fibreux. Quant aux troubles de la
sensibilité
, qui manquent dans la myopathie, ils sont dus à
s gauche. Les muscles interscapulaires et de la nuque contractures.
Sensibilité
tactile conservée aux membres inférieurs, mais
ctile conservée aux membres inférieurs, mais affaiblie et retardée,
sensibilités
thermique et algésique abo- lies. Au tronc anes
e zone d'hyperesthésie de 2 centimètres environ de hauteur, puis la
sensibilité
devient nor- male. A droite, l'anesthésie s'arr
ns bas qu'à gauche, puis zone hyperesthésique et au dessus enfin la
sensibilité
est normale. Les réflexes rotuliens complètemen
e oblitérante de plusieurs gros vaisseaux. Quant aux troubles de la
sensibilité
, on les comprend en remarquant que les deux tum
agne l'encéphale par des systèmes commis- suraux, et que les autres
sensibilités
, thermiques et douloureuses ne quittent pas la
s la substance grise. Cette donnée explique la disso- ciation de la
sensibilité
des régions inférieures, puisque dans tout l'ét
note, non pas toujours, mais presque toujours la dissociation de la
sensibilité
: analgésie, thermo-anes- thésie et conservatio
sensibilité : analgésie, thermo-anes- thésie et conservation de la
sensibilité
tactile. Le professeur main- tient pourtant le
g. Conservation des réflexes patellaires. Absence de troubles de la
sensibilité
générale et spéciale, sauf en ce qui concerne l
atrophiés, contractions fibrillaires très marquées au moindre choc.
Sensibilité
conservée, douleur au côté gauche du thorax, se
ité électrique diminuée dans les muscles des membres supérieurs. La
sensibilité
au lou- cher et à la douleur diminuée aux mains
s de paraplégie et d'atrophie mus- culaire et des altérations de la
sensibilité
. On pense d'abord qu'il est atteint d'atrophie
ur du cou, la douleur persistante à la nuque, les altérations de la
sensibilité
, l'inégalité pupillaire, etc. En plus, les musc
côté gauche se contractent un peu moins que ceux du côté droit. La
sensibilité
au tact et à la douleur est conservée. Réflexes
matières fécales, qui guérit aussi en cinq à six mois. Les diverses
sensibilités
repa- rurent progressivement dans les membres i
convulsive du soir dure une ou deux heures. Toules les formes de la
sensibilité
sont intactes, si ce n'est la sensibilité à la
. Toules les formes de la sensibilité sont intactes, si ce n'est la
sensibilité
à la douleur qui est très vive. La malade se plai
les violents maux de tête siégeant au niveau de la tempe gauche, la
sensibilité
très accusée à la percussion d'une région limit
ec contractures. Du côte parésié les réflexes sont exagérés mais la
sensibilité
est innervée dans tous ses modes. Aucun stigmat
ature hystérique; il présente des troubles caracté- ristiques de la
sensibilité
; l'accès consécutif à la pendaison n'a pas eu
e trouve plus que très peu de choses aux extrémités supérieures. La
sensibilité
et la force muscu- laire sont intactes. Il y a
cependant dans la jambe gauche. Rien d'anormal aux articulations.
Sensibilité
. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité cutanée
rmal aux articulations. Sensibilité. Il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
cutanée. La malade sent le moindre frôlement. L
'est pas retardée. Le chaud et le froid sont également bien sentis.
Sensibilité
musculaire et articulaire. < : Jambe droite.
est devenue tout à fait normale. Cependant un certain degré d'in-
sensibilité
articulaire et musculaire persiste toujours dans
au goût, à l'odorat. La malade a toutes ses dents. Troubles de la
sensibilité
.- Le toucher. - La malade ne sent pas le frôlem
comme une pièce de 342 CLINIQUE NERVEUSE. 5 francs a conservé la
sensibilité
tactile. L'anesthésie tactile se répand sur le
ds provoque une douleur intense qui arrache des cris à la malade.
Sensibilité
à la douM) ? Retard considérable dans la percepti
ur. Pas de retard au tronc, mais partout où le toucher est aboli la
sensibilité
à la piqûre est affaiblie. Aux bras, aux mains,
en de particulier aux articulations. Extrémités supélieures. - La
sensibilité
profonde (articulaire et musculaire) est à pein
on dans les autres symptômes du tabes. Notamment les troubles de la
sensibilité
cutanée et profonde (articulaire, muscu- laire)
Membres supérieurs ne présentent aucune altération du côté de la
sensibilité
ni de la motilité. Membres inférieurs. - Sensib
u côté de la sensibilité ni de la motilité. Membres inférieurs. -
Sensibilité
au tact normale. A la piqûre : la malade ne peu
qui « va jusqu'au coeur » et persiste pendant un certain temps La
sensibilité
profonde (articulaire, musculaire) présente peu d
A côté de'ces étourdissements, quelques bourdonnements d'oreille.
Sensibilité
. Retard général de la perception des sensations
sur toute la surface tégumentaire sauf à la plante des pieds, où la
sensibilité
est assez vive. Aux jambes la sensibilité est o
plante des pieds, où la sensibilité est assez vive. Aux jambes la
sensibilité
est obtuse. Le pincement et la piqûre sont toujou
le long de la plante du pied provoque une douleur très vive). La
sensibilité
profonde (articulaire, musculaire) est très affec
ompliqués, il n'y a aucune modification du côté des troubles de' la
sensibilité
, tant cutanée, que profonde (articulaire, muscu
une distance de 2 centimètres de l'oreille. Extrémités supérieures.
Sensibilité
. Le malade dit qu'il a le toucher moins fin, il
comme à travers un gant. Cependant l'examen des différents modes de
sensibilité
cutanée donne des résultats négatifs. Les yeux
er. Engourdissement et fourmillements aux doigts et aux mains. La
sensibilité
profonde est normale. Il n'y a pas d'incoordina-
grès, mais la force musculaire est bonne. Rien aux articulations.
Sensibilité
. - Excepté à la plante du pied gauche le sens du
lure tellement forte que le malade pousse des cris de douleur. La
sensibilité
profonde (articulaire musculaire) est profondémen
ment, il a des selles régulières tous les jours. Les troubles de la
sensibilité
cutanée et profonde (musculaire, articulaire) s
est émotionné. 11 n'existe pas d'autres troubles de motilité, ni de
sensibilité
aux membres supérieurs. Rien d'anormal au tronc
éflexe scrotal est très vif des deux côtés. Extrémités inférieures.
Sensibilité
.-Le frôlement n'est pas senti sur la surface de
très bien développés et la force musculaire est considérable. La
sensibilité
profonde (articulaire, musculaire). - Les yeux fe
jours aux plantes des pieds. Il y a une légère amélioration dans la
sensibilité
musculo-articulaire de la jambe droite. Ainsi d
ents et de la langue. Extrémités supérieures. -Tous les modes de la
sensibilité
cutanée sont intacts. La sensibilité profonde
eures. -Tous les modes de la sensibilité cutanée sont intacts. La
sensibilité
profonde (articulaire) est troublée aux articulat
E L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 357 phalangine sur phalange). La
sensibilité
dans l'articulation méta- carpo-phalangienne es
. L'écriture du malade n'est pas changée. Extrémités inférieures.
Sensibilité
. - Anesthésie tactile sur toute la jambe droite
ntion du malade n'est pas dirigée de ce côté, le pied retombe. La
sensibilité
profonde (articulaire, musculaire) est profondéme
imperceptible. On constate à l'examen une légère amélioration de la
sensibilité
musculo-articulaire. Si on lui croise les jambe
aussi anesthésique qu'au début du traitement. L'amélioration de la
sensibilité
profonde est à peu près TRAITEMENT DE l'ATAXIE
sentent rien de pathologique. - - E4xt ? -éniités supérieures. La
sensibilité
tactile, thermique et à la douleur eat normale
é tactile, thermique et à la douleur eat normale des deux côtés. La
sensibilité
profonde arti- culaire et musculaire est normal
trois derniers doigts de la main gauche. Extrémités inférieures.
Sensibilité
. Le toucher est normal sur toute la surface des
te. Le malade croit que je l'ai brûlé avec un thermocautère. ' La
sensibilité
profonde (musculaire articulaire) est très peu tr
oup de régularité. Seul le signe de Romberg n'est pas modifié. La
sensibilité
profonde des articulations des pieds est toujours
e dégénérescence : grande envergure, trop grande, oreilles en anse,
sensibilité
tactile amoindrie dans toute une moitié du corp
xes nets.'Pas de contractures ni de trouble de la motilité ni de la
sensibilité
; marche et articulation des mots assez bien con
ilibré avec idées de persécution, idées de grandeur, troubles de la
sensibilité
générale, et dont le délire ne présente pas d'é
uences malfaisantes. En réalité il divaguait sur les troubles de la
sensibilité
générale qu'il ressentait. Voici l'énumération de
gnostic précis. En effet, chez les persécutés, les troubles de la
sensibilité
générale et viscérale peuvent être assez accentué
tendances parti- culières natives de l'individu. Ces troubles de la
sensibilité
générale n'entament pas la personnalité et n'en
moins aisément sur les lésions de la volonté, que sur celles de la
sensibilité
. Cela est évident, puisque les sens externes sont
avoir métamorphosés en bouc ou autre animal (hal- lucinations de la
sensibilité
générale). Il leur faisait manger des mets diab
sabbat (gustation) et s'accouplait avec eux en incubes et succubes (
sensibilité
génitale). Comme les précédentes, les hallucina
és par lévitation au sein de la divinité. C'est là un trouble de la
sensibilité
générale analogue à celui du trans- port au sab
e pouvant aller jusqu'à l'orgasme vénérien. Il n'est pas jusqu'à la
sensibilité
gustative qui ne puisse par- ticiper à ces déso
es mouvements réflexes en pinçant la peau de la plante des pieds.
Sensibilité
normale, ventre fortement distendu, comme s'il ex
ital de Spezia où il est observé méthodiquement : caractère émotif,
sensibilités
générale et spéciale normales; le sens de la vu
ression. Des orteils à un plan voisin de l'ombilic, abolition de la
sensibilité
thermique et de la sensibilité à la dou- leur,
voisin de l'ombilic, abolition de la sensibilité thermique et de la
sensibilité
à la dou- leur, en plus la sensibilité tactile
nsibilité thermique et de la sensibilité à la dou- leur, en plus la
sensibilité
tactile est abolie dans les membres inférieurs.
artielle masquée hémiliatérale de la sensi- bilité, avec cyanose et
sensibilité
au froid de la main gauche, hémidrose, hygroma
u pharynx et les masticateurs. Clonus achilléen et diminution de la
sensibilité
à droite. L'aphasie est motrice et totale et ce
milieu qui l'entoure, mais non indispensable comme le seraient la
sensibilité
générale et tactile ou le sens musculaire, dont l
mblements tibrillaires font défaut. Il n'existe aucun trouble de la
sensibilité
. L'état des viscères, explorés avec soin, parai
ot dans une de ses leçons cliniques \ n'offrait aucun trouble de la
sensibilité
ni de la motilité dans les organes de la locomo
ère et à l'accommodation. Intégrité absolue de tous les modes de la
sensibilité
sur toute la surface de la peau. -Jamais aucun
esthésie des téguments du tronc; l'urine contient de l'albumine. La
sensibilité
reparaît d'une façon très obtuse, à la partie s
ente la fara- disation le long de la colonne vertébrale. 26. - La
sensibilité
reparait jusqu'à la partie moyenne de la jambe
50 . CLINIQUE NERVEUSE. fourmillement dans les membres inférieurs ;
sensibilité
augmen- tée. Lavement purgatif et bromure. ·
s contractions du triceps fémoral. Bromure. 29. '- Dyspnée intense,
sensibilité
émoussée, douleurs fulgu- rantes dans les membr
hates. T. 38°,8, selles involontaires, m. p., deux cautères. 31 -
Sensibilité
moins émoussée, va mieux. T. 38°,2. Bro- mure,
; balano-posthite et uré- thrite légères ; m. p. Le 6 septembre.
Sensibilité
revient ; souffre moins. T. 39°,8. Gonflement d
h. 20, la paralysie de lamotilité de cette patte est complète ; la
sensibilité
est obtuse du même côté ; pas de paralysie rect
alysie de la vessie et du rectum, une diminution considérable de la
sensibilité
jusqu'au niveau de l'om- bilic. La nuque et les
les ne se contractent pas sous l'influence du courant faradique. La
sensibilité
à son tour était complètement abolie sur toute
et des lavements vinaigrés. Il y a eu une petite amélioration : la
sensibilité
était revenue un peu à la partie su- périeure.d
membres qui sont, en outre, insensibles aux piqûres d'aiguilles; la
sensibilité
de la peau du ventre jusqu'au bord inférieur du
' 29 juillet. = La paralysie aussi bien de la motilité que de la
sensibilité
est complète aux deux membres; les muscles paraly
diminués; les réflexes crémastériens faibles. 3 août. L'état de la
sensibilité
et de lamotilité reste le même; l'urine est tro
ences à l'Ecole pratique des Hautes-Etudes. CENTRES CORTICAUX DE LA
SENSIBILITÉ
CUTANÉE ET MUSCULAIRE ET DES MOUVEMENTS VOLONTA
nière appréciable jusqu'à la mort, une diminution semblable de la
sensibilité
tactile et musculaire, du sens de la températur
légère, également persistante, mais troubles très accu- sés de la
sensibilité
spécifique (cécité, puis amblyopie bilatérale,
c les phénomènes de parésie, Masini a observé des altérations de la
sensibilité
tactile et musculaire, ther- mique et dolorifiq
aussi celles du tact, de la pression, etc., et tous ces modes de la
sensibilité
générale sont abolis dans l'ataxie spinale : ma
igation objective ne révèle la moindre altération appréciable de la
sensibilité
géné- rale, en particulier du tact et du sens m
se tenait les membres écartés. D'ailleurs, toutes les formes de la
sensibilité
étaient normales, ainsi que le pouvoir sexuel.
'ataxie loco- motrice, mais toujours sans aucune altération de la
sensibilité
. Des troubles trophiques ont également été obse
HYSIOLOGIE. emportent bien loin de l'époque où les troubles de la
sensibilité
cutanée et musculaire étaient presque un signe
, en même temps que de troubles de la motilité, d'altérations de la
sensibilité
générale 1. Mais on n'en est plus à s'étonner q
est donc possible que les dif- ficultés que présente l'examen de la
sensibilité
cutanée 1 Charcot et Pitres. Etude critique et
r ce point pour voir se multiplier les cas de paralysie mixte de la
sensibilité
et du mouvement d'origine corticale. Seppilli c
iques accompagnés d'autopsie, où des altérations ma- nifestes de la
sensibilité
générale coïncidaient avec des troubles de la m
motilité dus à des lésions de l'écorce. Dans les altérations de la
sensibilité
générale sont ici comprises, outre les troubles
ci comprises, outre les troubles du sens musculaire, celles de la
sensibilité
tactile, de la sensibilité thermique et de la s
roubles du sens musculaire, celles de la sensibilité tactile, de la
sensibilité
thermique et de la sensibilité dolorifique. « O
s de la sensibilité tactile, de la sensibilité thermique et de la
sensibilité
dolorifique. « On doit admettre, dit Seppilli,
« On doit admettre, dit Seppilli, que, dans la zoue corticale de la
sensibilité
cutanée, la perception des impressions tactiles
rent d'excitation des fibres nerveuses, ou de ce que les fibres des
sensibilités
tactile, thermique et dolori- fique sont mêlées
vocatrices des altérations fonction- nelles de la motilité et de la
sensibilité
générale occu- paient donc surtout les circonvo
des lobes occipital et temporal, ne déterminent aucun trouble de la
sensibilité
cutanée et musculaire, à moins que le processus
à l'hypothèse de David Ferrier, d'après .la- quelle le centre de la
sensibilité
générale siégerait dans les régions de l'hippoc
rouver un seul ». Ajoutez les cas clini- ques où les troubles de la
sensibilité
avaient fait défaut en dépit des plus graves lé
ppocampe. 94 PHYSIOLOGIE. permanentes et bien circonscrites de la
sensibilité
gé- nérale 1. Voilà pour l'étendue de la zone
one sensitive de l'écorce cérébrale. Mais, comme les troubles de la
sensibilité
.musculaire, de la sensibilité cutanée et de la
rale. Mais, comme les troubles de la sensibilité .musculaire, de la
sensibilité
cutanée et de la mo- tilité se montrent quelque
, janvier 1888, 379. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 95 centres de la
sensibilité
musculaire ont un siège dis- tinct de celui de
de la sensibilité musculaire ont un siège dis- tinct de celui de la
sensibilité
cutanée, la zone corti- cale de la sensibilité
tinct de celui de la sensibilité cutanée, la zone corti- cale de la
sensibilité
générale apparaîtra divisée en deux régions : l
. « Cette identité d'extension des paralysies du mouvement et de la
sensibilité
nous semble prouver, écrit Seppilli, que les ce
eppilli, que les cellules ner- veuses de l'écorce dont dépendent la
sensibilité
cutanée et le mouvement volontaire des différen
vent se trouver dans un étroit rap- port. » Les altérations de la
sensibilité
cutanée sont en gé- néral moins intenses que ce
l'écorce des régions motrices détermineraient des troubles de la
sensibilité
cutanée, les lésions profondes, des alté- ratio
l'écorce seule, peuvent ne déterminer que des troubles légers de la
sensibilité
, toujours de moindre intensité que ceux du mouv
ofondeur des lésions les différences d'intensité des troubles de la
sensibilité
et du mou- vement, retenons du -moins comme cer
vement, retenons du -moins comme certain que les perceptions de la
sensibilité
générale ont réellement et exclusivement leur s
'admettent Luciani et Seppelli, les centres de la motilité et de la
sensibilité
cutanée et musculaire sont confondus ou « engrené
dégénératif atteindrait les centres supérieurs des appareils de la
sensibilité
cutanée et musculaire, non les centres moteurs. 1
e mal, nerv., 1889, \1'f, p. 40. 1 LES FONCTIONS DU CERVEAU. 97
sensibilité
des bras et de la face étaient altérés à la foi
écorce céré- brale, le siège anatomique des différents centres de
sensibilité
générale, et cela parce qu'à des lésions plus o
Ainsi, appliquée à l'étude des localisations fonction- nelles de la
sensibilité
générale et de la motilité vo- lontaire, la mét
ogra- phie des centres moteurs de l'écorce, les altérations de la
sensibilité
de la face sont surtout en rapport avec les lés
r. Pas de pleurs ni de rires exagérés. Pas de miction abondante. La
sensibilité
est conservée à gauche et très notablement dimi
inutes. Les crises sont d'habitude légères. Les différents modes de
sensibilité
sont notablement émoussés. A gauche elle sent q
se de temps en temps, craignant qu'on ne la place à la Salpêtrière.
Sensibilité
conservée, normale. Pas de zone hystéro- gène.
availle bien. Zo ne hystérogène dans la région ovarienne droite. La
sensibilité
parait normale des deux côtés. Rachialgie légèr
Depuis ledébutde ses accidents nerveux, il travaille moins bien. La
sensibilité
parait égale des deux côtés. Pas de point hysté
ostérieures, ce sont eux qui forment le trajet le plus direct de la
sensibilité
, tandis que les faisceaux de Burdach avec les seg
u pourtour immédiat du sillon de Romande ; -- 2° les troubles de la
sensibilité
produits par des lésions se montrent surtout nett
n rencontre de la démence, des trem- blements divers, des tics, une
sensibilité
et une émotivité très grandes, tous signes pour
se ferment pas en y passant la main. Après une perte absolue de la
sensibilité
, elle a commencé à sentir la douleur du côté ga
ommencé à sentir la douleur du côté gauche seulement. Plus tard, la
sensibilité
s'est manifestée aux quatres membres. Parfois c
oyaux gris de l'axe spinal. Quant aux organes péri- phériques de la
sensibilité
générale et spéciale, ils ne sauraient être qu'
rmais être considérées avec plus de fondement comme des cellules de
sensibilité
[cellule di senso). » Mais, de ces grandes étud
s lésions, irritatives ou destructives, des centres corticaux de la
sensibilité
générale ou spéciale, déter- miner des réaction
ou les lésions des zones motrices , provo- quer des troubles de la
sensibilité
. L'hypothèse de LES FONCTIONS DU CERVEAU. 181 t
les différentes zones de l'écorce cérébrale, les fonctions de la
sensibilité
et celles de la motilité ne sont pas plus disti
, que ne le sont les deux types de cellules du mouvement et de la
sensibilité
; anatomiquement, les deux formes d'activité spé
que la seule énergie spécifique de la cel- lule nerveuse, c'est la
sensibilité
(Empfindungsfâhig- keit) ». Meynert est même am
oteurs de l'écorce cérébrale ne sont, en vérité, que des centres de
sensibilité
générale, au sens où l'en- tend Munk. C'est, po
llule nerveuse ne possède qu'une seule énergie fonctionnelle : la
sensibilité
ou l'irritabilité. L'hétérogénéité des sensa- t
cales du cerveau, que Meynert rap- porte les différents modes de la
sensibilité
générale et spéciale. Seule, la fibre musculair
s cellules épidermiques modifiées par l'adaptation. Il suit que les
sensibilités
spécifiques de l'ouïe, de la vue, dugoût, de l'
s de l'ouïe, de la vue, dugoût, de l'odorat se sont développéesdela
sensibilité
tactileetlhermique2. Elles nesont que descasde
ctileetlhermique2. Elles nesont que descasde spécia- lisation de la
sensibilité
générale (Grant Allen). « A me- sure que l'être
ctrine de la spécificité fonctionnelle des différents centres de la
sensibilité
générale et spéciale de l'écorce cérébrale. L'h
en laissant subsister celles du son, de l'odorat, du goût et de la
sensibilité
géné- rale. En outre, les effets de cette destr
ce et confondus pèle-mêle avec les autres éléments'centraux de la
sensibilité
générale et spéciale. La doctrine que nous sout
artie de ces éléments sans dommage aucun pour les fonctions de la
sensibilité
. Par exemple, si les cellules nerveuses des sph
, de rapports des cel- lules nerveuses avec les différents nerfs de
sensibilité
et de mouvement, avec le réticulum nerveux de l
eux. » Puis, pourquoi parler de cellules motrices et de cellules de
sensibilité
? Forel proteste; il s'élève contre Golgi aussi
quoi, demandait-il, les éléments centraux des divers organes de la
sensibilité
et du mouvement devraient- ils être morphologiq
phologiquement distincts ? Les deux sortes d'éléments nerveux de la
sensibilité
et de la motilité coexistent dans la zone visue
es moteurs et pour les centres d'arrêt : partout les éléments de la
sensibilité
et du 1 Luciani. La fisiologia del sislema neru
avec celle des muscles, et qu'ils peuvent être les organes d'une
sensibilité
musculaire spéciale ou les mensurateurs (misura
liner à croire que la fonction des organes de Golgi est celle de la
sensibilité
musculaire ? Celle-ci doit être évidemment à la
atteints. Avec une paralysie du mouvement, complète et ancienne, la
sensibilité
(et spécialement le sens musculaire) étant inta
avec les nerfs moteurs, et sont-en connexion avec les fibres de la
sensibilité
générale. Voici maintenant comment ce savant
s, Marchi conclut d'abord que des fonctions mixtes, c'est-à-dire de
sensibilité
et de mouvement, doivent s'effectuer dans ces'g
1 noyaux caudés et lenticulaires appartiennent à la sphère de la
sensibilité
(siera senso7'ia). Au contraire, les cellules d
alysie générale dans la région fronto-pariétale. Les troubles de la
sensibilité
générale et spéciale vont de pair, dans cette a
de la coexistence des éléments de l'innervation motrice et de la
sensibilité
générale dans la zone dite motrice, c'est-à-dir
n faiblement acide; elles ne renferment ni sucre, ni albumine. La
sensibilité
générale est normale. Deb... est très sensible au
ons postéeieurs. Eu ce qui regarde la pathogénie des troubles de la
sensibilité
, elle parait émaner bien plus de l'altération d
trouble du sens musculaire aux quatre extrémités. Intégrité de la
sensibilité
, pas de douleurs, pas de paresthésie ; disparitio
postérieurs). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 247 L'intégrité de la
sensibilité
tactile et douloureuse alors que les cordons po
dans le péri- mvsium. M. Rumpr (de Marbourg). Des troubles de la
sensibilité
et de l'ataxie. - Goldscheider a eu raison d'an
le, une observation de parésie considérable de tous les modes de la
sensibilité
cutanée, avec émoussement de la sensibilité art
de tous les modes de la sensibilité cutanée, avec émoussement de la
sensibilité
articulaire et du sens muscu- laire des mains;
et sain et par un ataxique atteints tous deux du même trouble de la
sensibilité
des mains. On y voit que le premier, affecté de l
n y voit que le premier, affecté de la diminution en question de la
sensibilité
, traçait des lettres plus grosses et paraphait
elui qui, sous l'influence du tabès, est atteint des troubles de la
sensibilité
dont nous nous occupons, amplifie son écriture,
ouvé que ce soit un signe certain de diagnoslic; les troubles de la
sensibilité
exigent de la part de l'observateur, à raison d
s sujets qui ne pensera pas à accuser une anomalie quelconque de la
sensibilité
au niveau du trauma- tisme. Discussion. - 1f.
motilité et la sécrétion intesti- nales, il s'adresse surtout à la
sensibilité
, aussi le premier signe de la narcose intestina
chée. Faiblesse des bras ; diminution de l'excitabilité électrique;
sensibilité
des os à la pression; conservation des réflexes
autre il se produit une tétanisat.ion formidable. Inté- grité de la
sensibilité
. Légère atrophie de toute la charpente musculai
e la main a simplement produit du gonflement et un certain degré de
sensibilité
à la pression. Inanité des nervins, de la galva
s accidents lypémaniaques entre- tenus par des hallucinations de la
sensibilité
générale, de la vue et de l'ouïe; préoccupation
romes graves cessent graduellement de même que les trou- bles de la
sensibilité
et de la motilité; il ne reste que l'affaiblisse-
vant Leyden, Althazs aurait le pre- mier signalé les troubles de la
sensibilité
qui font que, quelquefois, les diabétiques paré
t une quinzaine de jours et plutôt pour les objets rapprochés. La
sensibilité
paraît normale au contact et à la douleur. Faib
a seule chose qui vous surprenne, c'est l'absence de troubles de la
sensibilité
, presque toujours présents à un haut degré dans
e verre arrive près de la bouche. 11 n'existe pas de troubles de la
sensibilité
. Les réflexes rotuliens sont abolis. 11 n'exist
plus en moyenne que tous les cinq ou six jours. - L'examen de la
sensibilité
révèle les particularités suivantes. Sur la fac
pli fessier, le seg- ment supérieur, y compris le bras possédant sa
sensibilité
nor- male. La sensibilité profonde articulair
périeur, y compris le bras possédant sa sensibilité nor- male. La
sensibilité
profonde articulaire n'est pas moins inléressée
n'est pas moins inléressée dans les régions correspondantes que la
sensibilité
superficielle ou cutanée. - Le goût et l'odorat
iste dans la sensation du chatouille- ment. La dissociation de la
sensibilité
dans l'hystérie, la syringomyélie, le tabes, se
nscient et volontaire et qui nécessite l'intégrité parfaite de la
sensibilité
du membre mis en mouvement, ne diffère du secon
térie, en tant qu'entité morbide, ne contient pas de troubles de la
sensibilité
, mais qu'ils viennent se greffer sur elle, et q
langue est déviée de même et si, avec une épingle, on explore la
sensibilité
, on la trouve abolie sur la muqueuse, les lèvre
ras de la parole.- Pupilles nor- males. - Gâtisme. Diminution de la
sensibilité
générale. - Réflexes paresseux et retardés. Dém
la prédominance d'un corps de délire qui constitue le moteur de la
sensibilité
morale du sujet; c'est à lui qu'il con- vient d
ogique à Edimbourg, par Clouston,'425,431. Ataxie (Troubles de la
sensibilité
et rapports avec 1' -), par Rumpf, 259. Atr
s-pupilles sont égales et on ne note pas chez lui de troubles de la
sensibilité
générale. ' . ', ' . , . Quand on l'interroge
ions des excitants mécaniques, chimiques, élec- triques de la peau;
sensibilité
; température locale. R... (Georges), entre le 3
de la glycérine et se plaint de l'amertume de l'acide picrique. Sa
sensibilité
gustative est égale des deux côtés. 30 ! 'ire.
he ne nous permet naturellement pas d'explorer comparativement la
sensibilité
visuelle de ses deux yeux. 4° Ouie. L'ouïe para
e qui est entendu à près d'un mètre et demi. 5° Toucher. Toutes les
sensibilités
tactiles sont normales, et également développée
anesthésie, ni hypéresthésie partielles,' ni zones hystérogènes, ni
sensibilité
testiculaire. La force musculaire de R... sans
d'urticaire spontané, elles ne s'accompagnent d'aucun trouble de la
sensibilité
, d'aucun prurit. A leur niveau cependant, il exis
de la vessie accompagnent pres- que constamment la paralysie de la
sensibilité
et de la motilité, à une étape plus ou moins ul
aient rendues sans que le malade en eût conscience; à ce moment, la
sensibilité
au niveau des membres et même du tronc jusqu'au
uatre membres étaient paralytiques ; il ne bougeait que la tête. La
sensibilité
au niveau des membres para- lysés et du tronc a
ment n'était possible. Rien aux membres supérieurs ni à la face. La
sensibilité
aurait été complètement abolie. Il n'a pu urine
août 4 884). Anesihésie en plaques assez étendues. Retards dans la
sensibilité
. Signe de Romberg. Difficulté de la marche dans
at n'a pas été sensiblement modifié. Etat actuel (20 août 1884). La
sensibilité
est profondément altérée; on trouve des plaques
rieurs. A d'autres régions, nous avons conslalé des retards dans la
sensibilité
; 5-6 secondes 58 CLINIQUE NERVEUSE. s'écoulai
réguliers et variables d'intensité. Il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
et du sens musculaire aux membres supérieurs. R
884. Il n'y a plus de plaques d'anesthésie. Plus de retards dans la
sensibilité
. Pas d'oscillation par l'occlusion des yeux. Pa
en paralysie com- plète du membre inférieur droit. Abolition de la
sensibilité
au membre inférieur gauche. -Le 2 septembre, po
périeurs et à la face. Nous'constations une légère diminution de la
sensibilité
sous tous ses modes au niveau du membre infé- r
nvasion de la monoplégie du membre inférieur droit. Abolition de la
sensibilité
de ce même membre. Le 18 juillet possibilité de
flexes. Epilepsie spinale spontanée. [Secousses. Altération de la
sensibilité
du coté droit, depuis une ligne correspondant au
de paralysie subite et com- plète de son membre inférieur droit. La
sensibilité
de ce même membre aurait été considérablement d
contractures passagères. Pas d'allures de démarche spasmodique. La
sensibilité
estconsidérable- ment et uniformément altérée d
pilepsie spinale. Il n'y a plus qu'une très légère diminution de la
sensibilité
et le seul signe qui trahisse la préexistence d
paralysie. o ! Mpeg'ie du membre inférieur gauche. Abolition de la
sensibilité
du même membre. Un certain degré de rétention d
spinale spontanée et provoquée. Secousses, contractures passagères.
Sensibilité
nor- male partout. Nécessité d'uriner dès le be
paralysie complète, le malade ne pouvant faire aucun mouvement. La
sensibilité
aurait été abolie au niveau de ce membre et peu
on, surtout la nuit, durant quelques minutes. Pas de (roubles de la
sensibilité
. Il n'y a aucune trace d'atrophie musculaire. L
cement de ces douleurs par la monoplégie du membre inférieur droit.
Sensibilité
du même membre énzozessée. Deux mois d'alite- m
spinale spontanée et provoquée. Secousses, contractures passagères.
Sensibilité
émoussée sous tous les modes au même membre.
faire place à une paralysie complète du membre inférieur droit. La
sensibilité
de ce membre aurait été émoussée. Pas de troubl
ésistance très marquée, bien que le malade ne s'y oppose pas. .La
sensibilité
est un peu émoussée sous tous ses modes : tempé-
ociés à la monoplégie de ces quatre malades sont l'altération de la
sensibilité
et les troubles vésicaux. a). Altération de la
on de la sensibilité et les troubles vésicaux. a). Altération de la
sensibilité
. Elle n'a jamais manqué dans ces quatre observa
abolition complète, Obier- vation XXIV et XXVI. La paralysie de la
sensibilité
paraît, dans la majorité des cas, exister du mê
ais progressive. ' a). Symptômes sensilifs. On se rappelle que la
sensibilité
a été trouvée constamment altérée, au mo- ment
'atténue, et nous ne trouvons plus qu'une légère diminution de la
sensibilité
, par exemple, au niveau du membre opposé au par
OBs. XXVI). Il est des cas où l'atténuation de l'altéra- tiou de la
sensibilité
n'est pas notable (Cas. XXVII). c). Symptômes v
cou étant immobilisé. Dans l'après-midi, d'autres troubles de la
sensibilité
viennent se joindre à ces douleurs vives, par m
t négatif pour tous les autres muscles du membre supérieur droit.
Sensibilité
. Le malade se plaint encore avec amertume de se
lopper en relevant brusquement et plusieurs fois l'avant-pied. La
sensibilité
examinée sous tous ses modes a été trouvée tout
de la nuque et du moignon de l'épaule sont bien moins intenses. La
sensibilité
est complètement revenue à la ré- gion du delto
males, ce qui se traduit par Ka SZ > An S Z. Pas de douleurs. La
sensibilité
est complètement revenue au bord radial de l'av
en même temps hyperacuité fort remarquable de certains modes de la
sensibilité
de la peau, du sens musculaire et de quelques-u
s après avoir fait usage de cocaïne, de singuliers troubles de la
sensibilité
ont fait leur-apparition : c'étaient d'abord de p
appelait. Plus tard enfin, se montrèrent d'autres troubles de la
sensibilité
: il leur semblait qu'elles marchaient sur du cot
ectro-diagnostic et l'exposé d'électro-pathologie ; 5° Examen de la
sensibilité
générale et spéciale. Aujourd'hui, l'étude de l
de la sensibilité générale et spéciale. Aujourd'hui, l'étude de la
sensibilité
tactile ^comprend, non pas seulement le tact ma
n, de douleur, du lieu d'application de la tem- pérature, enfin, la
sensibilité
des parties sous-jacentes à la peau. Les sensat
Force normale dans les membres inférieurs; diminution notable de la
sensibilité
, tant dans les parties profondes des articulati
ations atteintes qu'à la surface des jambes (dans ces dernières, la
sensibilité
à la température et la sensibilité farado-edtat
s jambes (dans ces dernières, la sensibilité à la température et la
sensibilité
farado-edtatiée ont surtout baissé). Myose très p
ins- tant. Force des jambes parfaitement normale; pas d'atrophie.
Sensibilité
à la douleur très diminuée, surtout à la plante d
urdissement dans la plante des pieds.-Parmi les diverses espèces de
sensibilité
, la plus atteinte est le sens musculaire (la ma
te de la position d'un membre dans l'espace); les autres espèces de
sensibilité
n'ont que peut souffert. La malade peut à peine
ons dit de faire. La force anus- culaire des jambes est intarte. La
sensibilité
, en toutes ses branches, semble normale. Les ré
tombe.- La jambe gauche est la plus atteinte ; .dans la droite, la
sensibilité
tactile a beaucoup diminué dans la région du ne
uchement et il y a retard dans la trans- mission des sensations. La
sensibilité
à la pression est très émous- sée dans les deux
zéro dans la région des nerfs sciatiques. Exagération marquée de la
sensibilité
au froid dans les deux jambes. Les réflexes rotul
x. Force des muscles excellente. [Contractilité électrique normale.
Sensibilité
très exagérée dans les membres inférieurs et la
férieure du tronc, mais, par endroits, îlots d'anesthésie complète.
Sensibilité
à la douleur et à la pression particulièrement
, analgésie extrême, retard dans la transmission des sensations. La
sensibilité
à la température est aussi très affai- blie, la
et déchirantes et parfois aussi d'autres désordres subjectifs de la
sensibilité
; presque dans tous les cas se rencontraient aus
e vive voix, soit par écrit, avec un peu de réflexion cependant. La
sensibilité
tactile est conservée ; il en est de même du go
suelles de l'animal, ni dans ses mouvements oculaires, ou dans la
sensibilité
du globe de l'ceil. Cet animal fut gardé pendan
lète. Il ne peut pas nous donner de renseignements sur l'état de la
sensibilité
. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes nulle
de mouvoir ses quatre membres, il ne bougeait plus que la tête. La
sensibilité
était complètement abolie. Il y avait en outre
complètement et définitivement guéri, la motilité aussi bien-que la
sensibilité
de ses membres inférieurs étant revenue à l'éta
es symptômes paralytiques. Pas d'autres troubles cép.haliques. La
sensibilité
, la vessie et le rectum n'auraient pas été troubl
he de travers. Pas de paralysie de membres. Pas de troubles de la
sensibilité
, du sens musculaire, de la vessie, du rectum et
ne trace de paralysie nulle part. Il n'existe pas de troubles de la
sensibilité
générale et sensorielle et du sens musculaire.
is d'une paralysie du membre inférieur droit, sans troubles de la
sensibilité
, car le malade sentait bien, quand on le touchait
t des engourdissements dans les doigts. Pas d'autres troubles de la
sensibilité
. Le sens musculaire est affecté. Ainsi, si on l
ieur gauche. Réflexes tendineux abolis partout. Sphincters intacts.
Sensibilité
normale. Voile du palais complète- ment paralys
comme une cerise. Pas de troubles de la marche de la parole, de la
sensibilité
ni des organes sensoriels, pas de ' strabisme ;
sultats de la vivisection, admet que le faisceau externe dessert la
sensibilité
cutanée, tandis que le faisceau interne remplit
ion des cordons de Goll, elles ne servent pas à la conduction de la
sensibilité
; en effet : 1° les expériences physiologiques e
es tandis;que les faits physiologiques et cliniques prouvent que la
sensibilité
cutanée est croisée. C'est donc le faisceau for
ubles fonctionnels causés par ces lésions. Voies conductrices de la
sensibilité
et du mouvement dans la moelle. - M. Rossolimo,
u de la paralysie de Brown-Séquard; mais, tandis que la perte de la
sensibilité
persiste, la paralysie motrice disparait au bou
Les sens peuvent être considérés comme une différenciation de la
sensibilité
générale; aussi cette sensibilité générale peut
s comme une différenciation de la sensibilité générale; aussi cette
sensibilité
générale peut-elle par elle-même amener certain
ant le moment et les conditions de chaque cas particulier, comme la
sensibilité
tabétique. A fortiori, pour peu que l'intellige
Dans une série d'observa- tions, dont l'auteur fournit un type, la
sensibilité
cutanée varia en étendue, mode, quantité à dive
(exercice delà fonc- tion), transforment à vue d'oeil l'état de la
sensibilité
(une obser- vation), ainsi que l'application de
diaphragme. Disparition des réflexes tendineux. Aucun trouble de la
sensibilité
, ni des réflexes superficiels, ni de la fonction
he, le nerf contre les os (contusion). IL Paralysie partielle de la
sensibilité
(gliome central de la moelle cervicale ? ). Lés
rminent des souffrances du côté de la sphère sensible, de l'humeur (
sensibilité
morale), diminuent l'élasticité intellectuelle,
et, de temps à autre, que quand il est appuyé dés deux côtés. La
sensibilité
est excessivement modifiée dans presque tout le
es inférieurs, un assez grand espace à la jambe gauche est privé de
sensibilité
, dans les ré- 374 PATHOLOGIE NERVEUSE, gions
s communisàfajamhe. Passant à l'examen des différentes espèces de
sensibilité
, nous trouvons que la sensibilité tactile exist
examen des différentes espèces de sensibilité, nous trouvons que la
sensibilité
tactile existe presque partout, quoique affaibl
es, endroits, où elle est réduite à zéro. Cet affaiblissement de la
sensibilité
se remarque surtout à l'exa- men avec le compas
souvent que des îlots, qui le matin étaient complètement privés de
sensibilité
, devenaient vers le soir plus sensibles, et vic
rises sont représentés dans les dessins suivants (fig. 8 et 9) : La
sensibilité
farado-cutanée est sensiblement L affaiblie par p
indiquer le point de contact quand le courant électrique agit. La
sensibilité
musculaire (faculté de se rendre compte des con-
s supé- ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 3 9 rieures. Du côté de la
sensibilité
, une anesthésie très prononcée et très répandue
et très répandue atteignant inégalement les différentes espèces de
sensibilité
, elle atteint au plus haut point la sensibilité
férentes espèces de sensibilité, elle atteint au plus haut point la
sensibilité
à la douleur et au moindre la sensibilité au co
t au plus haut point la sensibilité à la douleur et au moindre la
sensibilité
au contact et au froid. Subjectivement, nous tr
reconnaître la position d'un membre dans l'espace est tombée; la
sensibilité
farado-cutanée et le sens musculaire sont affai
s inférieurs et l'abolition de réflexes rotuliers, on y a trouvé la
sensibilité
normale, un léger déran- gement psychique, un t
dinaire. Une seconde coïncidence intéressante, c'est l'état de la
sensibilité
chez quelques-uns des malades de M. Fuczek. Dan
XXIII, par exemple, la sensi- bilité tactile était normale, mais la
sensibilité
ci la douleur était fortement affaiblie dans to
udeu »; les réflexes cutanés de la plante des pieds très amoindris;
sensibilité
farado-cutanée égale à zéro; dans ce dernier sy
Enfin, dans le cas XXVI, on retrouve le même affaiblissement de la
sensibilité
à la douleur-dans tout le corps, avec état tout
ans tout le corps, avec état tout à fait nor- mal des yeux et de la
sensibilité
tactile. Notre sujet présente donc des analogie
t pos- sible de reconnaître leur cause fondamentale. 1 Puisque la
sensibilité
tactile a été trouvée (dans notre cas) anormale
ama- rades). La lumière et le bruit augmentent son excitation. La
sensibilité
cutanée paraît troublée. Elle semble avoir un cer
le malade ne présente aucun symp- tôme céphalique. La motilité, la
sensibilité
, le sens musculaire, les fonctions de la vessie
mouvait que la tête. Le pincement par l'ai- guille a montré que la
sensibilité
aurait été abolie au niveau des membres paralys
it en extension, surtout la nuit, pendant quelques minutes. .. La
sensibilité
interrogée sous tous ses modes a montré des pla
mme avant son accident. Pas de troubles, ni de la motilité ni de la
sensibilité
. Le malade s'endort et se lève à 6 heures du ma
parésie des membres inférieurs qui lui paraissaient très lourds. La
sensibilité
aurait été complètement abolie. Au bout de troi
duré cinq minutes environ. Au bout de ce temps, une paralysie de la
sensibilité
et de la motilité survint au plongeur ; pas d'a
rte de connaissance et presque en même temps, d'une paralysie de la
sensibilité
et de la motilité des quatre membres. 11 ne pou
xes.- Epilepsie spinale spontanée et provoquée. Rien d'anormal à la
sensibilité
examinée sous tous ses modes, de temps en temps
tenir debout et à l'aide des appuis, faire quelques petits pas. La
sensibilité
aurait été diminuée. Il n'a pas pu rendre ses u
s du soir, il revient à son état normal. Pas trace de paralysie. La
sensibilité
est normale, il a pu rendre ses urines tout seu
r gauche, les trois autres ayant conservé leur motilité intacie.-La
sensibilité
aurait été émoussée, pas de troubles de la vess
tout d'un coup. Il y a des anesthésies par plaques, à ce membre, la
sensibilité
est intacte à l'autre. Rien du côté du sens m
eure du corps, aussi bien du côté de la motilité que de celui de la
sensibilité
. La vessie et le rectum participent à la paraly
s il n'avait eu aucune amélioration du côté de la motilité et de la
sensibilité
des membres inférieurs. J. Z... d'Hydra, âgé de
nt attaqués; ces membres avaient perdu complètement la motilité; la
sensibilité
s'étendait seulement jusqu'aux cuisses. Je lui
FAITS DÉLIRE RESTREINT AVEC EXACERBATIONS GÉNÉRALES , LESIONS DE
SENSIBILITÉS
; TROUBLES TABÉTIQUES ET DE NUTRITION, par H. B
le des centres dont ils émanent ou auxquels ils aboutissent puisque
sensibilités
spéciale et générale et contraction mus- culair
statis- tique. ' Dans l'Observation 137 l'abolition totale de la
sensibilité
générale de l'oeil, cornée, conjonctive, paupiè
. montré, en employant la méthode de Turck pour l'exploration de la
sensibilité
, que les solutions concen- trées d'antipyrine,
après, faiblesse dans les membres inférieurs avec diminution de la
sensibilité
, diminution de l'excitabilité fara- dique, sans
névrite multi- ple pour les raisons suivantes : la paralysie de la
sensibilité
et du mouvement augmentent du centre vers la ph
tendineux abolis, ainsi que l'excitabilité électrique des muscles;
sensibilité
cutanée intacte ; amaigrissement extrême et en ma
teils. Le phénomène intéressant consistait dans l'intégrité de la
sensibilité
. M. Laschkevitch a émis l'hypothèse d'une névrite
érieurs, et peu de temps après la face ; pas d'atrophie musculaire,
sensibilité
intacte, excitabilité électrique des muscles no
cles extenseurs des extrémités et dans les muscles respirateurs. La
sensibilité
cutanée et les réflexes tendineux diminuent ; l
e l'activité volon- taire, la catalepsie et des modifications de la
sensibilité
cuta- née, symptômes qui, joints à quelques phé
est d'ailleurs susceptible de recevoir une éducation hypnotique. La
sensibilité
cutanée est très diminuée, la réponse aux excit
arrive très vite à l'état hypnotique, et y reste plus longtemps. La
sensibilité
cutanée ne diffère pas dans l'état de veille ou d
cas d'héz>zi-chorée post-hémiplégique avec dimziru- - lion de la
sensibilité
générale du même côté. Une observation qui nous
va- lewsky, t. XI, iio 2, 1888. Des conditions de formation de la
sensibilité
thermique. Arclt. de de Kov(ilewsky, t. XII, n°
ffectés, mais ils le sont d'une manière inégale. Les troubles de la
sensibilité
générale prédo- minent le plus souvent. Après e
D. Les phénomènes déihauts s'accompagnent de désor- dres : 10 de la
sensibilité
paraphérique (analgésies totales ou par- tielle
s de la motilité, les attaques épileptiformes et les troubles de la
sensibilité
générale qu'on n'observe pas avec la mor- phine
ui avait été prise d'hallucinations de la vue et des troubles de la
sensibilité
générale après application, sur un abcès, de comp
t fort difficile de juger des lésions entraînant les troubles de la
sensibilité
, à cause du voisi- nage de l'hypocampe et des p
as opéré par \I11. Llowd et Deaver, il n'y avait pas de perte de la
sensibilité
après l'opération. M. le Dr Séguin dit que dans
ances azotées), 402. Tabes (étiologie du), par linor, 183, 362;
sensibilité
dans le -, par Binswanger, 288 ; paralysie des
gauche de la tête, perd connaissance et se réveille paralysé .de la
sensibilité
et du mouvement du côté droit. Il regagne enfin
loi. L L'ATTITUDE ET LA MARCHE DANS L'HEMIPLEGIE HYSTÉRIQUE. 3 La
sensibilité
à la douleur est abolie complètement dans tout ce
ure et un peu latérale de la tête et de la nuque est le siège d'une
sensibilité
exquise, exagérée par la moindre pression super
trophie apparente; intégrité de la face. Aboli- tion complète de la
sensibilité
à la douleur, au froid, à la chaleur, perle des
hyperesthésiques.Zone hystérogène dans la région dorso-lombaire. La
sensibilité
générale est conservée à gauche. A droite le goût
). Sur les deux jambes se voient quelques varices. L'examen de la
sensibilité
générale et spéciale est particulièrement inté-
la colonne vertébrale estdu reste notablement hyperesthésiée. La
sensibilité
au tact et à la température est altérée dans les
érature est altérée dans les mêmes zones et de la même façon que la
sensibilité
à la douleur. La sensibilité profonde est égale
mes zones et de la même façon que la sensibilité à la douleur. La
sensibilité
profonde est également très diminuée du côté droi
0, 21), qui existe dans le côté gauche du corps aux divers modes de
sensibilité
. La malade a aussi une anesthésie pharyngée trè
uille du dynamomètre à 40 kilogrammes, de la main gauche à 45. La
sensibilité
est normale dans ses divers modes, douleur et tem
verre arrive près de la bouche. Il n'existe pas de troubles de la
sensibilité
. Les réflexes rotuliens sont abolis. Il n'exi
e est conservée entièrement. Il n'existe aucune douleur. De même la
sensibilité
est parfaitement conservée dans tous ses modes.
aussitôt animée d'oscillations. La force mus- culaire, ainsi que la
sensibilité
, sont du reste conservées. L'incoordination se
apparition, l'émission des mots est tente et scandée. Etat de la
sensibilité
et des sens spéciaux. -D'une façon générale, sur
et des sens spéciaux. -D'une façon générale, sur toul le corps, la
sensibilité
est très émoussée suivant ses divers modes : froi
modes : froid, chaleur, tact, douleur àla piqûre ; de même pour la
sensibilité
articulaire. De plus, il existe une anesthésie
. ' Il n'existe en aucune partie du corps des troubles des diverses
sensibilités
, toutes réserves faites au point de vue du sens
le soit infé- rieure à la normale (25 à gauche, 20 à droite), et la
sensibilité
est indemne dans tous ses modes. Mais, t l'occa
Romberg). Le trouble paraît augmenté par l'occlusion des yeux. La
sensibilité
et la force musculaire des membres sont conservée
rvient pas à plier le genou quand on dit â la malade de résister. -
Sensibilité
. - Pas de douleurs. Tous les modes de sensibilité
de de résister. - Sensibilité. - Pas de douleurs. Tous les modes de
sensibilité
et sens musculaire indemnes. Réflexes. - Les
eut sortir de chez lui en s'appuyant sur une canne. Les troubles de
sensibilité
et de calorification durent pendant deux mois.
L'articulation du genou ne présente aucun trouble du mouve- ment.
Sensibilité
. Au niveau de la zone d'anesthésie qui existait à
imites sont exacte- ment celles de l'ancienne zone d'anesthésie. La
sensibilité
à la piqûre est entièrement revenue. Il n'y a p
piqûre est entièrement revenue. Il n'y a pas d'autre trouble de la
sensibilité
. DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS. 79 Douleur
usculo-cutané; mais, là où le musculo- cutané se distribue seul, la
sensibilité
est intacte. On peut donc con- clure que l'anes
nerf. Com- ment se fait-il alors qu'une des fonctions du nerf, la.
sensibilité
, ait été abolie dans une dès-branches de bifurc
st lésé, la première fonction abolie est la motilité, puis vient la
sensibilité
, lorsque la lésion est plus accentuée. On est d
u premier espace intermétatarsien. On peut se demander pourquoi, la
sensibilité
étant, suivant notre hypothèse, atteinte dans l
omosent pour innerver une surface cutanée chacun des nerfs donne la
sensibilité
à de petites plaques bien délimitées, disséminé
rrespondaient aux plaques d'in- nervation du musculo-cutané dont la
sensibilité
était restée intacte. Cette blessure du nerf sc
pide. Les troubles de 86 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
sensibilité
ont seuls presque disparu et il n'existe plus, au
achectique. Poids 56 kilog. Pas de troubles de la motilité et de la
sensibilité
; pas de troubles . sensoriels. Pas de tics. F
es sont un peu tom- bantes, ont un aspect féminin. Phimosis. , La
sensibilité
paraît égale des deux côtés. Le malade est gauche
de Friedreich. Ils ont plus particulièrement trait à l'étude de la
sensibilité
cutanée et aux troubles de la vision. Si l'on v
.., on y verra noté : « D'une façon générale, sur tout le corps, la
sensibilité
est très émoussée suivant ses divers modes, fro
s modes, froid, chaleur, tact, douleur à la piqûre. De même pour la
sensibilité
articulaire. « De plus, il existe une anesthési
pas que plusieurs auteurs ont également observé des troubles de la
sensibilité
, « une anesthésie plus souvent limitéeaux membr
trent plus en moyenne que tous les cinq ou six jours. L'examen delà
sensibilité
révèle les particularités suivantes (fig. 45, 46)
li fessier, le seg- ment supérieur, y compris le bras, possédant sa
sensibilité
normale. La sensibilité profonde, articulaire,
supérieur, y compris le bras, possédant sa sensibilité normale. La
sensibilité
profonde, articulaire, n'est pas moins intéressée
'est pas moins intéressée dans les ré- gions correspondantes que la
sensibilité
superficielle ou cutanée. Le goût et l'odorat s
- sistc toujours et fait des progrès continuels quoique lents. La
sensibilité
il la piqûre et au froid est, généralement abolie
tement insensible, tandis que la face plantaire a conservé toute sa
sensibilité
au froid et à la piqûre. Notons que ces troubles
urcissement des muscles. Il n'existe aucune lésion trophique, et la
sensibilité
est normale. L'état général est excellent. '
trophiques. Les muscles réagissent nettement par l'électricité. La
sensibilité
est intacte dans toute l'étendue des membres in
s, ni de picotements. Tout ce dont il se plaint, comme phénomène de
sensibilité
, c'est d'une sensation particulière à la plante d
x mêmes endroits que la pression. Les troubles par diminution de la
sensibilité
sont plus accentués. Ce qui caractérise ces tro
e. On peut dire que, presque partout, aux jambes comme aux bras, la
sensibilité
est émoussée, notamment aux jambes. En effet, l
as, la sensibilité est émoussée, notamment aux jambes. En effet, la
sensibilité
douloureuse n'est nulle part très vive, et pour
oureuse n'est nulle part très vive, et pour les autres formes de la
sensibilité
, les réponses sont incertaines, contradic- toir
ion ne peuvent exister qu'avec un certain degré d'émoussement de la
sensibilité
. Dans tous les cas, si l'on examine le malade de
s sont doubles ou triples de ceux que j'ai obtenus sur moi-même. La
sensibilité
à la pression existe partout ; cependant, elle
éfectueuses de. l'opération. Je n'ai pas noté de différence dans la
sensibilité
thermique entre la région des plaques ciuesthés
s de degré pour savoir exactement à quoi s'en tenir à cet égard. La
sensibilité
douloureuse, essayée par la piqûre, existe part
ion des impressions, notamment des impres- sions douloureuses. La
sensibilité
musculaire au courant faradique est manifestement
lupart des données antérieures ont trait aux membres inférieurs. La
sensibilité
aux membres supérieurs est très légèrement émouss
d'autres résultats plus sûrs. En résumé, aux membres supérieurs, la
sensibilité
est très légèrement diminuée. Partout ailleurs,
chez mon malade. Mais je tiens surtout à relever les troubles de la
sensibilité
. Mon malade n'a pas de douleurs fulgurantes; il
n Italie (Vizioli, Musso). Enfin, les troubles par diminution de la
sensibilité
; dans presque toutes ses formes sont très réels
la sensation tactile est absente et toutes les autres formes de la
sensibilité
légèrement émoussées. Ces plaques sont au nombr
es figures 70 et 71 peuvent rendre compte. Dans les intervalles, la
sensibilité
persiste, ou présente seulement de très légères
nt il n'a pas le moindre symptôme pour expliquer des troubles de la
sensibilité
dont les caractères, et, notamment, la distribu
er contre ce que l'on lit partout : à savoir que les troubles de la
sensibilité
sont rares; tardifs, quand ils existent, dans l
Friedreich, il y en a quatre-vingts où un trouble quelconque de la
sensibilité
est relevé. Sur soixante et un cas qui m'ont pa
teindre les dernières limites de la durée de la gravité sans que la
sensibilité
soit diminuée. Les vingt-neuf cas appartiennent a
Ce qu'il est utile de faire remarquer, c'est que les troubles de la
sensibilité
peuvent être très précoces et accompagner déjà
ité de disposition. Cependant, il y a des cas où les troubles de la
sensibilité
relèvent de l'hystérie : ce n'est pas douteux.
e ceinture de gros sous, en lui annonçant qu'il allait recouvrer la
sensibilité
et la possibilité de marcher facilement. Dès le l
la possibilité de marcher facilement. Dès le len- demain, on villa
sensibilité
réapparaître autour des plaques; et quelques' j
l urine bien, mais qu'il reste constipé comme auparavant, et que là
sensibilité
périnéale est émoussée surtout à gauche. Ni la ce
éflexes, incoor- dination motrice, signe de Romberg, (roubles de la
sensibilité
, etc. Ses deux pieds sont déformés, principalem
elle est déformée, aplatie. Pas de trouble du côté des ongles. La
sensibilité
à la piqûre et au froid fait défaut dans les régi
rait, s'il n'était soutenu. La force musculaire est conservée. La
sensibilité
est diminuée partout, principalement au niveau du
'étendant sur toute la face dor- sale du pied. Les recherches de la
sensibilité
au, froid donnent les mêmes résultais; dans tou
de telle sorte que sa lace dorsale est tournée un peu en dedans.
Sensibilité
. Il y a une'diminution de la sensibilité au nivea
tournée un peu en dedans. Sensibilité. Il y a une'diminution de la
sensibilité
au niveau des membres inférieurs. Incontinenc
bot musculaire. Dans le tabes, en effet, les muscles ont perdu leur
sensibilité
musculaire ou du moins leur réflectivité. Le to
siège; les douleurs fulgurantes s'y montrent encore actuellement. .
Sensibilité
. La sensibilité est normale dans tous ses modes,
urs fulgurantes s'y montrent encore actuellement. . Sensibilité. La
sensibilité
est normale dans tous ses modes, sauf pour la r
e qui présente une zone d'anesthésie (intéressant tous les modes de
sensibilité
) s'étendant jusqu'à,la partie ex- terne et anté
due qui paraît correspondre aux deux premières vertèbres lombaires.
Sensibilité
. -Outre la douleur déjà décrite, diminution très
lité. -Outre la douleur déjà décrite, diminution très notable de la
sensibilité
dans toutes les parties situées au-dessous de la
au-dessous de la ceinture. Nous avons pu, sur la distribution de la
sensibilité
cutanée aux deux membres in- férieurs, obtenir
hésiés : à la plante, la piqûre est perçue comme chatouillement. La
sensibilité
au froid est conservée, peut-être augmentée. En t
malade, troubles de la motilité relativement légers, troubles de la
sensibilité
cutanée et quelques douleurs, enfin troubles de
ysés; ils étaient agités par quelques soubresauts involontaires. La
sensibilité
au contact y était fort émoussée, et c'est à pe
dans un but diagnostique. Toutefois, une deuxième exploration de la
sensibilité
à la brûlure, faite quelque temps après, provoq
dans l'eau glacée. Ceux-ci, dès les premiers jours, perdirent leur
sensibilité
, devinrent d'un ^blanc mat, sauf le gros orteil
, se trouve une ulcération du diamètre d'un grain de ché- nevis. La
sensibilité
est très émoussée à l'extrémité des orteils, nota
sans prédo- minance uni-latérale, sans recrudescences nocturnes. La
sensibilité
des divers segments du corps est intacte. Ce
s craquements dans les genoux qui sont assez notablement gonflés.
Sensibilité
. - Il n'existe d'autres troubles de la sensibilit
blement gonflés. Sensibilité. - Il n'existe d'autres troubles de la
sensibilité
que quelques douleurs peu intenses et intermitt
e sain, prise comme terme de comparaison. - L'ACROMÉGALIE. 251 La
sensibilité
cutanée semble un peu obtuse, il n'y a nulle part
avoir eu des fourmillements dans les mains et une diminution de la
sensibilité
, mais tout cela a disparu, ainsi qu'une tendanc
obes oculaires paraissent augmentés de volume. Léger arc sénile. La
sensibilité
cutanée normale à la piqûre et au toucher sembl
, 6; - combinée à la maladie de Friedreich, 43, 44,47; schémas de
sensibilité
, zones hys- térogènes dans l' , 1, 2, 4, 5, 17,
Les sensations complexes du plaisir et de la douleur. Lombroso. — La
sensibilité
des femmes, normales, aliénées ou criminelles. M.
ccessivement et séparément les fonctions des différents centres de la
sensibilité
générale et spéciale du cerveau (1). C'est une
xcitabilité musculaire, la malade ne réagit à aucune excitation de la
sensibilité
générale ni spéciale; elle ne voit ni n'entend (p
édé, des centres « moteurs » des membres supérieurs et inférieurs. La
sensibilité
cutanée et le sens musculaire no reviennent pas,
u'à la suture pariéto-occipitale externe, qu'il a pu rendre i B... la
sensibilité
générale et le sens musculaire de la face, des me
ènes paralytiques très nets. Outre la paralysie du mouvement et de la
sensibilité
du bras, de la jambe et de la face, Lombroso aura
Rainaldi, insistent, pour expliquer les faits, sur l'exaltation de la
sensibilité
du système nerveux central dans l'hypnotisme et
iminué. Le champ visuel est légèrement rétréci. Au point de vue de la
sensibilité
, on trouve des plaques d anesthésie sur le membre
s; une autre a la partie droite du front. Sur le reste du corps, la
sensibilité
est normale. Le bras droit est agite de tremble
f. Pendant le sommeil hypnotique, la suggestion de no plus avoir de
sensibilité
exagérée du eôté gauche lui est faite à trois ou
auche. Elle ne témoigne aucune douleur. On s'assure alors du degré de
sensibilité
en touchant plus ou moins fort différents points
du côté gauche, en la pinçant et en la piquant. Elle n'accuse aucune
sensibilité
exagérée et l'on peut constater par comparaison q
mme il lui a été suggéré. Le lendemain, après avoir constaté que la
sensibilité
est restée normale du côté gauche, on l'endort de
gauche, on l'endort de nouveau. On lui suggère alors de conserver une
sensibilité
normale du côté gauche, de ne plus souffrir de né
observer chez elle nous dispensent d'insister sur les troubles de la
sensibilité
qui existent aussi. De son propre aveu, confirm
n mot et, ne pouvant le trouver. il continue sa phrase. Mobilité et
sensibilité
. — Il n'y a pas d'atrophie musculaire. La force d
récent, et on ne peut actuellement se rendre compte de ce qu'était la
sensibilité
normale sur ce point A la face antérieure do la
au milieu do la cuisse. Un peu au dessus, une zone plus petite où la
sensibilité
est simplement retardée. Une grande plaque d'en
e. Au niveau du genou gauche, une plaque allongée d'hypèresthésie. La
sensibilité
à la température est aussi profondément altérée.
sensations ; Rapports de la sensation avec l'excitation périphérique;
sensibilité
perceptive différentielle ; seuil de l'excitation
monoculaire. J'établis aussi que les autres troubles ou perversion de
sensibilité
tactile et sensorielle chez les aoasthétiques, la
sphère cérébral quelque chose qui neutralise ou altère les notions de
sensibilité
fournies par la moitié opposée des nerfs. Il s'ag
de provoquer chez ce dernier, expérimentalement, des modifications de
sensibilité
des différents organes des sens. — Aussi ai-je eu
évidence la fonction voisine. Or, en étudiant les modifications de la
sensibilité
sensorielle chez un grand nombre des malades atte
n, chez lequel je provoquais artiticiellement des modifications de la
sensibilité
sensorielle, j'ai pu m assurer que la loi do Fech
Il est inspiré par un goût naturel, par la mobilité de l'âme, par la
sensibilité
. C'est l'image même de lame rendue par les inflex
névrosisme exagéré, il est hystérique. 11 présente des troubles de la
sensibilité
, consistant surtout en certaines zones d'hyperes-
ire à une véritable colique hépatique, a ia seule exception du peu de
sensibilité
que présentait le foie a la pression. Et pourtant
s couleurs, des cellules distinctes, ou tout au moins douées de trois
sensibilités
indépendantes : une qui est excitée par les vibra
couvrir certaines paralysies ou contractures, certains troubles de la
sensibilité
cutanée ou des organes des sens, nous n'hésiterio
et il existe un léger degré de parésie du membre inférieur droit. La
sensibilité
est normale à la face est daus le membre supérieu
ue aiguille sans qu'elle donne le moindre signe de douleur et même de
sensibilité
. Cette expérience le surprit, non qu'il ne la con
tient donc cette faculté? Peut-être bien à une forme particulière de
sensibilité
. Quand je suis en présence d'nn malade, je ressen
rai un jour avec plus de développement, j'essaierai de prouver qu'une
sensibilité
malade ne peut guère être guérie que par une sens
ouver qu'une sensibilité malade ne peut guère être guérie que par une
sensibilité
, une volonté malade que par une volonté. SOCIÉT
a suggestion du sommeil qui se montre réfractaire à une suggestion de
sensibilité
ou de motilité ; tel autre n'accepte pas l'idée s
ensitivo-sensorielle hystérique, l'amblyopie. la surdité, la perte de
sensibilité
tactile. Il s'agit d'un jeune nomma de dix-neuf a
i l'improviste sur le côté gauche de la nuque; il ne manifeste aucune
sensibilité
. Il semble bien que l'anesthésie soit réelle. D
n rôle. Il y a chez notre malade de la thermo-anesthésie ou plutôt la
sensibilité
thermique est pervertie. Un objet froid placé sur
aucune sensation, ni de froid, ni de chaud. Cette perversion de la
sensibilité
ne peut être due qu'à un jeu de l'imagination ; a
C'est une véritable aliénation mentale limitée aux perceptions de la
sensibilité
. C'est une illusion négative. C'est une maladie d
e, rétrécissement du champ visuel, surtout à gauche, dyschromalopsie,
sensibilités
sensorielles très affectées. Des le début, clin
en me communiquer ses impressions. Mme X... est douée d'une très vive
sensibilité
, son intelligence est brillante, son esprit Large
ient oublié que la suggestion peut affecter isolément la motilité, la
sensibilité
, l'émotivité, chez des personnes qui offrent de l
ui faire avaler un peu de lait, mais toute La région pharyngée, d'une
sensibilité
extrême, était le siège d'une sorte de spasme qui
tivement les pieds lorsqu'on lui donnait un pédiluve un peu chaud. La
sensibilité
semblait donc un peu revenir. Quant à l'amygdal
les trente-trois centimètres. Les palpitations sont déjà rares et la
sensibilité
est presque revenue, les maux de tète ont passé,
crânienne. Oreille assez bien formée mais à lobule adhérent. Pas de
sensibilité
profonde à la torsion des membres. Hypoalgésie de
urer des semaines et des mois. La difficulté est grande, puisque la
sensibilité
sensorielle et cutanée est abolie. Ayant eu l'o
quel m'avait appris que le mamelon gauche est l'ultimum moriens de la
sensibilité
. Les piqûres avec une épingle n'amenant aucun r
e les referme aussitôt. J'ai essayé les effets de l'hypnoscope sur la
sensibilité
des duigts, mais il n'en est résulté aucun phénom
en est résulté aucun phénomène propre à cet instrument. Étude de la
sensibilité
en dehors des accès. — Pas d'anesthésie de la pea
onjonctivale ni épiglottique. Pas de traces de syphilis. État de la
sensibilité
et de la contractilité musculaire (courants indui
e et du membre supérieur droit Contractilité dans ces même ? parties.
Sensibilité
très vive et contractait.; de la moitié gauche du
actait.; de la moitié gauche du tronc et do membre supérieur gauche
Sensibilité
et contractilité de membre inférieur gauche et du
a face à droite, mais insensibilité de cette partie. Contractilité et
sensibilité
de la lace à gauche. Contractilité de la région
ssière droite, mais insensibilité de cette région. Contractilité et
sensibilité
à gauche; de même dans les régions lombaire et do
machine électrique donne les résultais suivants au point de vue do la
sensibilité
: La réaction semble nulle du côté droit; elle
fort, quoique la contractilité musculaire soit partout normale, la
sensibilité
est nulle. J'applique an des tampons sur le mamel
ité est nulle. J'applique an des tampons sur le mamelon droit. Aucune
sensibilité
, mais aussitôt applique sur le mamelon gauche,
aire de la face, des membres inférieurs el supérieurs, du tronc. La
sensibilité
au courant électrique, même fort, est nulle en to
ne soient pas raides. L'hyperexcitabilité musculaire n'existe pas, la
sensibilité
est généralement absente. Le sujet ne comprend pa
souvent plusieurs jours, elle a également l'estomac capricieux. La
sensibilité
est Dormale, le goût et l'odorat sont également a
Jean S... est atteint de gastralgie ; il ne boit pas d'alcool. La
sensibilité
est normale, son goût, son ouïe et son odorat son
is si on le défie d'ouvrir les veux, il les ouvre et se réveille ; la
sensibilité
est conservée pendant le som -meil. Observation
continuellement de gastralgie, je lui ai proposé l'hypnotisation. La
sensibilité
existait des deux côtés du corps, mais elle éta
sommeil somnambulique; les paupiéres se fermèrent insensiblement. la
sensibilité
restant intacte, la malade entendait les question
int iii kilogrammes. La malade n'a jamais eu d'attaque de nerfs; la
sensibilité
exis:e des deux côtés, mais elle est moins délica
nettement chorériforme ; elle n'a jamais eu dattaque* de nerfs. La
sensibilité
est normale, ses organes des sens sont également
u bout de quelques secondes : dans cet état, elle entend et obéit, sa
sensibilité
est normale et si on la délie d'ouvrir ses yeux,
t rythme couplé du cœur. Elle n'a jamais eu d'attaque de nerfs ; sa
sensibilité
est normale et ses champs visuels sont rétrécis;
ent, les membres sont flasques et ne conservent pas les attitudes, la
sensibilité
est intacte. Eudoxie entend parfaitement et répon
eu d'attaque, mais elle est atteinte depuis un an de tuberculose. Sa
sensibilité
est normale; l'ouïe est beaucoup plus prononcée à
de la malade précédente : état somnambuloide avec conserva-tion de la
sensibilité
et suggestibilité. Si l'on défie Jolie d ouvrir s
. Cette dame est très nerveuse, mais elle n'a jamais eu d'attaqoe. Sa
sensibilité
est normale; l'ouïe, le goût, l'odorat et la vue
fficile; enfin les paupières se fermèrent et la malade s'endormit. La
sensibilité
était complètement absente; la personne obéissait
ralgie. Elle est entrée à l'hôpital pour ses douleurs d'estomac. La
sensibilité
est égale des deux côtés. Le contact, le chatonil
inutes par la fixation d'un objet, brillant. Les veux sont fermés, la
sensibilité
est abolie, les membres sont flasques, caractères
anémiées; au cœur, on entend un souffle anémique très prononce. La
sensibilité
est normale pour tons les modes d'exploration. Le
fixer un objet brillant \ la malade que ses paupières se ferment. La
sensibilité
a disparu; l'audition persiste, et la jeune fille
erfs. Depuis lors, elle a toujours eu des accès en grand nombre. La
sensibilité
est normale. Le goût, l'odorat, l'ouïe et la vue
ment au moyen de quelques passes; elle obéit à la suggestion, mais «a
sensibilité
est conservée. et quand on la défie d'ouvrir les
t les pa»ses alors que la ma!ade était déjà en état somnambulolde. La
sensibilité
disparut et le somnam-bolisme typique te montra.
VII. présentent encore un état somnambuloïde avec conservation de la
sensibilité
et impossibilité d'ouvrir spontanément les yeux;
; ils sont caractérisés par la conservation de la conscience et de la
sensibilité
: les états somnambuliques nous ont été offerts p
pagnent de la perte de la conscience, d'automatisme et de perte de la
sensibilité
. Parmi les états somnambuloïdes, nous devons ad
és essentielles : 1° Engourdissement sans perte de conscience ni de
sensibilité
, état cessant aussitôt que les moyens hypnogènes
I). 2° Engourdissement plus profond, sans perte de conscience ni de
sensibilité
, ne cessant pas lorsqu'on suspend les moyens hypn
ns II et III). 3° Sommeil véritable, sans perte de conscience ni de
sensibilité
, ne cessant pas lorsqu'on suspend les moyens hypn
ions IV et V). 4° Sommeil véritable, sans perte de conscience ni de
sensibilité
, ne cessant pas lorsqu'on suspend les moyens hypn
VI et VII). Dans tous ces états somnambuloïdes la conscience et la
sensibilité
persistent, le malade est suggestionnable, mais i
s véritables se caractérisent par la perte de la conscience et rie la
sensibilité
: le sujet en état somnambuloïde n'exécutait pas
ats frustes. 1° États somnambuloïdes sans perte de conscience ni de
sensibilité
, le sujet n'exécute pas les ordres contraires à s
LEAU DE L'AUTEUR a. Engourdissement, sans perte de conscience ni de
sensibilité
, état cessant aussitôt que les moyens hypnogènes
ts. b. Engourdissement plus profond, sans perte de conscience ni de
sensibilité
, ne cessant pas lorsqu'on suspend tes moyens hypn
l se réveille. c. Sommeil véritable, sans perte do conscience ni de
sensibilité
, ne cessant pas si on suspend les moyens hypnogèn
vains efforts. d. Sommeil véritable, sans perte de conscience ni de
sensibilité
, ce cessant ??r lorsqu'on suspend les moyens hypn
les yeux ouverts. perte de la conscience et de a Les yeux fermes-la
sensibilité
, automatisme b Les Yeux ouverts, absolu. En ent
éphine est somnambule, elle rêve tout haut et se lève en dormant ; la
sensibilité
à la douleur est inégale des deux côtés du corps,
s la première séance, le somnambulisme véritable avec abolition de la
sensibilité
cutanée, suggestibilité, etc.; en relevant les pa
les paupières, on provoque un état somnambulique les yeux ouverts, la
sensibilité
restant absente. A la troisième séanee nous avo
restait en communication avec le monde extérieur, elle entendait ; sa
sensibilité
était absente, mais ses membres conservaient les
le professeur Rom-melaere; elle occupe le lit 6 de la salle 30. La
sensibilité
est normale et les organes des sens paraissent no
ade s'endort bientôt et passe a l'état de somnambulisme avec perte de
sensibilité
et suggestibilité : elle répond aux questions et
ent, elle entre à l'hôpital de Molenbeck pour la troisième fois. La
sensibilité
est complètement absente à droite et tous les org
lieu de croire ma malade complètement guérie. Malgré la perte de la
sensibilité
du côté gauche et la persistance de la contractur
é des états somnambuliques véritables, avec perte de conscience et de
sensibilité
, ont présenté au réveil une amnésie complète de t
déjà, à savoir la conservation ou l'absence de la conscience et de la
sensibilité
, nous trouvons, dans la réminiscence au réveil,
Dès qu'on magnétise un sujet, dit le colonel Albert de Rochas (1), la
sensibilité
disparaît chez celui-ci à la surface de la peau.
t établi depuis longtemps: mais ce que l'on ignorait, c'est que cette
sensibilité
s'extériorise : il se forme, dès l'état de rappor
orme une série de couches analogues à peu prés equidistantes, dont la
sensibilité
décroît proportionnellement à leur éloignement du
personne en expérience : il faut donc que l'eau se soit chargée de la
sensibilité
extériorisée. Cette sensibilité peut persister as
donc que l'eau se soit chargée de la sensibilité extériorisée. Cette
sensibilité
peut persister assez longtemps dans les corps qui
la cire ne jouirait pas comme l'eau de la propriété d'emmagasiner la
sensibilité
, et je reconnus qu'elle la possédait au plus haut
cée dans l'appareil photographique, avait été fortement chargée de la
sensibilité
du sujet endormi et extériorisé, a donné une phot
xtériorisé, a donné une photographie présentant un rapport complet de
sensibilité
avec lui. Chaque fois que M. de Rochas touchait l
uccessivement deux formes différentes de pseudo-extériorisation de la
sensibilité
, la pseudo-extériorisation spontanée et la pseudo
ette présentait, dès la première séance, les phénomènes suivants : la
sensibilité
était complètement absente ; si au lieu de piquer
expériences du D Luys et de XI. de Rochas sur l'exté-iorisation de la
sensibilité
(Ann, de Psychiâtrie, 1893, n° 2.) figurine apr
certains sujets spéciaux, il y a un semblant d'extériorisation de la
sensibilité
, existant spontanément pendant le sommeil hypnoti
affirmatif que de Rochas, qui semble dire que l'extériorisation de !a
sensibilité
est la règle chez les sujets en état somnambuliqu
état somnambulique. Quant à la possibilité de charger un corps de la
sensibilité
de la personne extériorisée, nous ne pourrons l'a
Joséphine, elle ne présentait aucun phénomène d'extériorisation de la
sensibilité
; comme elle est très intelligente, nous lui dison
elle est très intelligente, nous lui disons : « Ecoutez bien : votre
sensibilité
, au lieu d'être sur votre peau, sera maintenant a
d affirmativement et aussitôt elle présente une extériorisation de la
sensibilité
aussi développée que celle de Collette. Si nous
nouvelle suggestion. Cette pseudo-extériorisation artificielle de la
sensibilité
n'a pu être reproduite chez aucun autre sujet, il
oduire, par suggestion, une pseudo-extériorisation artificielle de la
sensibilité
en tout semblable à la pseudo-extériorisaiion spo
i offrent des crises violentes, effrayantes ou capables d'émouvoir la
sensibilité
, que d'une façon quelconque frappent l'imaginatio
t de son affection, au même titre que les anomalies que présentent sa
sensibilité
ou les organes des sens. Quoi qu'il eu soit, c'
mammaire existe, mais on ne trouve pas d'hypéresthésie épineuse ni de
sensibilité
ovarienne. Au point de vue de la sensibilité cu
sthésie épineuse ni de sensibilité ovarienne. Au point de vue de la
sensibilité
cutanée, on constate que la face interne de la ja
nt aneslhésiée, ainsi que la face externe de la cuisse, tandis que la
sensibilité
reste intacte sur la face externe de la jambe et
sur la face externe de la jambe et la face interne de la cuisse. La
sensibilité
est normale au membre inférieur gauche et aux deu
almie; ayant habité le Brésil, il y a été atteint de fièvre jaune. La
sensibilité
cutanée est normale. Il ne présente pas des signe
illégal de là médecine et l'hypnotisme. 230. Extériorisation de la
sensibilité
(de la pseudo), 360. Faculté d'orientation, 1
ion ; Icelle-ci déterminant d'abord une excitation, des fibres de
sensibilité
, d'où douleurs fulgurantes, puis ., 4,,un stade
ce, que l'incoordination reconnaissait pour cause un trou- ble de
sensibilité
. Sous le nom de trouble de sensi- bilité, on a
m de trouble de sensi- bilité, on a eu en vue les altérations de la
sensibilité
cutanée, et il est bien démontré qu'elles ne so
sions du tiers postérieur de la capsule interne. Les troubles de la
sensibilité
, en pareille circonstance, ne s'ont pas compara
élire, accom- pagné d'hallucinations multiples et de troubles de la
sensibilité
générale, cesse au bout de peu de jours, mais l
de revient à lui, l'on constate l'abolition de la motilité et de la
sensibilité
dans tout le côté gauche du corps. 18 Mars. L
para- lysé ; la luette, au contraire, est déviée du côté sain. La
sensibilité
n'est pas moins atteinte que la motilité. La se
sain. La sensibilité n'est pas moins atteinte que la motilité. La
sensibilité
générale est abolie du côté gauche. Ni le froid,
née et sensorielle. Nous constatons, en outre, que la motilité, les
sensibilités
générale et spéciale sont conservées du côté dr
re au dynamomètre de la main gauche et trente de la main droite; la
sensibilité
générale est toujours abolie du côté gauche, le
te; la sensibilité générale est toujours abolie du côté gauche, les
sensibilités
spéciales sont toujours aussi profondé- ment at
ouleur. A 7 heures, la céphalalgie s'est dissipée. A 8 heures, la
sensibilité
et la motilité commencent à renaître. A 8 h.
nt enlevés, et nous procédons de nouveau à l'examen du malade. La
sensibilité
générale est revenue dans tout le domaine précé
sont nettement distin- gués, les couleurs nettement reconnues; les
sensibilités
gusta- tive, olfactive, auditive, sont égalemen
que subsiste l'anesthésie. La restauration du mouvement et de la
sensibilité
a suivi de si près l'emploi des agents magnétiq
e rend ses réponses à peu près inintelligibles. L'exploration de la
sensibilité
montre que l'hémiplégie est accompagnée d'hémia
a moindre piqûre faite au côté gauche détermine de la douleur. La
sensibilité
des sens spéciaux est très diminuée sans être c
e peut remuer très légèrement les doigts de la main paralysée. La
sensibilité
n'a pas reparu. 31 mars. - La paralysie semble
nés vers l'aisselle. Dix minutes environ après cette application la
sensibilité
est revenue sur le bras et, à 3 heures 30, elle
aimant en place pendant dix-huit heures. 9 avril. - Le retour de la
sensibilité
persiste; il y a même quelques douleurs spontan
e est à peine déviée.-Les sens ont recouvré toute leur acuité. - La
sensibilité
est parfaite ainsi que la force musculaire; il
ation qu'on vient de lire, une hémi- plégie de la motilité et de la
sensibilité
a été guérie par une application d'aimant. Au m
ètres de surface plutôt que des plaques thermo-électriques, dont la
sensibilité
est trop considérable : même parmi ces thermomè
posséder de suffisamment incompressibles, pour peu qu'ils aient une
sensibilité
suffisante : cependant, comme il s'agit de diff
La branche linguale de la cinquième paire préside unique- ment à la
sensibilité
générale. L'isolement de la corde du tympan aus
s subissant la dégénération ; 5° La section du lingual détruit la
sensibilité
mais modifie seulement le sens du goût, cette m
ats généraux de l'expérience. Immédiatement après l'hémisection, la
sensibilité
et la moti- lité sont complètement abolies des
tandis que de l'autre côté la paralysie est complète. Quant à la
sensibilité
, elle est égale des deux côtés, à tous les moye
même époque, il n'y a rien de particulier à signaler du côté de la
sensibilité
ou de la réflec- tivité. Ces faits sont netteme
est toujours flasque, mais la patte gauche remue librement, et la
sensibilité
est intacte des deux côtés. Après douze jours, le
DE PHYSIOLOGIE. 135 également réparties de chaque côté, puisque la
sensibilité
est égale à gauche et à droite; enfin que les f
endemain, il constate l'aboli- tion absolue de la motilité et de la
sensibilité
, tue l'animal, et constate que la substance gri
, les deux pattes postérieures et la queue sont paralysées, et la
sensibilité
est profondément émoussée. Le surlendemain, com
est profondément émoussée. Le surlendemain, comme la motilité et la
sensibilité
n'ont subi aucune modifi- cation, l'animal est
section des cor- dons latéraux suffit à produire l'abolition de la
sensibilité
et de la motilité; que la substance grise ne jo
on du cordon latéral.-E. BRISSAUD. , V. Analyse qualitative DE la
SENSIBILITÉ
cutanée; par le Dr Mox BRUCH (de Ishewsk, Russi
CH (de Ishewsk, Russie). L'auteur a repris la question des diverses
sensibilités
cuta- nées à l'aide d'une analyse qualitative d
quelconque sur la peau, on arrive à augmen- ter un de ses modes de
sensibilité
, par exemple le sens de température, et à en di
EVUE DE PHYSIOLOGIE. des dépressions durables de la motilité, de la
sensibilité
. (Hitzig, Goltz, Munk, etc.) et des facultés ps
côté droit, ayant déterminé une hémiplégie gauche sans perte de la
sensibilité
. Dans l'observation II, le noyau caudé gauche é
avec contracture précoce, et anesthésie d'abord, puis retour de la
sensibilité
dans le côté paralysé. L'observation III est la
ie remontant à six ou sept jours. - Le 1er août, on constata que la
sensibilité
est très obtuse dans tout le côté gauche du cor
l dû se limiter aux akinésies, à l'exclusion des paralysies de la
sensibilité
et des nerfs vasculaires. En l'absence d'examens
tout sur le talon. Elle traîne un 'peu' la jambe. La motilité et la
sensibilité
sont intactes fnais le volume des^deux membres
jamais de la tirer toutes les fois qu'on lui adresse la parole : =
Sensibilité
cutanée très obtuse. En mai, l'état de la mal
procédés qui, ainsi que les métaux, ont une action spéciale sur la
sensibilité
et quelques autres fonctions. ' Nous allons c
lourdeur dans le membre, précèdent immédiatement le re- tour de la
sensibilité
. On peut alors, en faisant les piqûres explorat
atrices à des dis- tances de plus en plus grandes, constater que la
sensibilité
gagne de proche en proche d'une manière continu
! J\)lJJ11" pl, n lU . a01Ï c§i^on enlève les plaques, avant que la
sensibilité
ait com- D m,eI}cé j ? 91rl).\nHgr'jCUe -,ci di
tble"l'G"1'r'x9 ' ` j - : ;j'HI Mai& ce n'est pas, seulement la
sensibilité
qui est en jeu. - M. Burql a) montré, en outre,
usieurs' métaux 'avant i d'arriver à celui qui a des effets sur la.
sensibilité
, etc. Le malade est dit sensible a ce métal ou,
oyée par M. Burq, ce métal correspond à' l'idiosyncrasie du malade;
sensibilité
métallique', idiosyncrasie métallique, sont don
suite. M. Burq admet t cependant, mais à' titre d'exceptions, dés "
sensibilités
bi ou polymétalliques. ' " . , 1, Jusqu'à pré
fer, tandis que lès 30 autres se par- tagent inégalement les autres
sensibilités
métalliques. 11 serait difficile et à la fois p
sion non jus- tifiée de ce' qui existe pour le fer. D'ailleurs, les
sensibilités
aux autres métaux n ont guère été recherchées,
ndis que le cuivre accroit seulement la force musculaire et l'or la
sensibilité
. Ou bien encore, et il faut bien reconnaître qu
mentation deforce de quelques kilo- grammes, ou un accroissement de
sensibilité
qui se traduit par un changement d'ouverture du
faut ajouterCqlI61rlùds"détai]s. ' "'c'1 ? On vient de voir que la
sensibilité
métallique peut être dissiez mulée ; elle peut
nt, il n'eùt donné que des résultats négatifs. Il y a changement de
sensibilité
métallique. Ou bien il est im- possible, par au
r une aptitude métal- lique quelconque ; alors le malade a perdu sa
sensibilité
métal- lique ; la métalloscopie n'a plus prise
tait produit le plus nettement des modifications de coloration, de
sensibilité
, etc. Le, souvenir que nous évoquons ici a son
de' deux-petits éléments humides de Trouvé (sulfateldecilivre) ! La
sensibilité
, après quelques minutes, revint dans le voisina
re attribués à une parésie persistante; 2° que les troubles de la
sensibilité
, aussi incontestables que ceux de la motilité, ne
ue les troubles fonctionnels, occasionnés par la diminution de la
sensibilité
sont identiques chez les animaux et chez l'homme,
ne même lésion produit à la fois des troubles de la motilité, de la
sensibilité
générale, des sensibilités spéciales et de l'in
a fois des troubles de la motilité, de la sensibilité générale, des
sensibilités
spéciales et de l'intelligence, on peut en conc
e, 888, fasc. XIII à XX.) VIII. Modifications EXFËRmEr\'lALËS de la
sensibilité
; par Buccola et SEPPILLI. (Rivista spirinental
s perçue davantage j'il'ri'y avait du'reste^ pas d'altération de la
sensibilité
ni de' la sécrétion' salivairè ? Y .-E1nsuitell
ou.de plexus 1 des membres Il' Mai j¡ 1suivie' d'à uCUll trouble de
sensibilité
ou dei mouvement ni'I de suite' après l'oiéràtibm
a gauche plus que) la droite. Pas d'atrophie, ni de. troubles deila
sensibilité
. n Le réflexe rotulien est un peu exagéré. Rien
'enfance.Le bras et la main sont plus'petits à 'droite qu'à gauche.
Sensibilité
intacte : la'perte du mouvement n'est pas compl
emaines. Depuis juin 1878; il n'à'eu que' deux légères1 crises ; la
sensibilité
de la joue a reparu ainsi que le 'goût et l'odora
onde partie de,mémoire de M. Mabille (est, relative .à l'état de la
sensibilité
chez les lypémaniaques. L'auteur s'est limité'à
s. Quoiqu'il en soit, d'ailleurs, du mé- canisme des troubles de la
sensibilité
intestinale, les moyens indiqués par M. Mabille
x bouts du nerf préalablement avivés. Un mois après l'opération, la
sensibilité
était revenue dans presque toutes les parties a
précises, au sujet du dosage de l'électricité. On se guidera sur la
sensibilité
du malade, sans cependant négliger d'employer d
traînante, et un équilibre mal assuré, sans cesse chancelant. La
sensibilité
cutanée, le fonctionnement des divers or- ganes
s grêle de structure que la partie gauche : à droite, en- fin, la
sensibilité
au tact (ou à la pression) et à la douleur, se
t (ou à la pression) et à la douleur, se montrait émoussée, mais la
sensibilité
aux réflexes restait normale. Les facultés inte
nt presque immobilisées. Quant aux facultés intellectuelles et à la
sensibilité
au monde -extérieur, je n'ai pu obtenir aucune
ureuse ; la seule région de la nuque présente une exagération de la
sensibilité
à la pression. La langue, d'aspect normal, n'ét
ur des muscles du dos. Ni diplopie, ni paralysie, ni troubles de la
sensibilité
. Dans ses moments lucides, M.... confirme les r
doigt. Pas de nystagmus. MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË. 381 La
sensibilité
est conservée des deux côtés, il n'y a pas de p
ions, nous pourrons à cette occasion parler des modifica- tions des
sensibilités
spéciales. On a pu, en effet, remarquer que M.
n a pu, en effet, remarquer que M. Burq ne s'était occupé que de la
sensibilité
générale. Dans une de ses séances de la Salpêtr
ce fait que l'anesthésie hystérique atteint très fréquem- ment les
sensibilités
spéciales et que, dans une hémianesthésie, l'oe
u'à l'amaurose, la moitié de la langue de ce côté a perdu, outre la
sensibilité
tactile, la perception des saveurs, etc. La com
LLOSCOPIE, MÉTALLOTHÉRAPIE, ^ESTHÉSIOGÈNES. 415 exactement comme la
sensibilité
cutanée en pareil cas. C'est- à-dire qu'après s
de vérifier si ce transfert avait lieu pour les autres espèces de
sensibilité
, pour la force musculaire, la température, les ph
s les résultats en question : nous avions, l'avant-veille, rendu la
sensibilité
à une malade hémianesthésique du côté droit. En l
**\Ainsi, lorsque dans l'expérience ordinaire le métal a rétabli
sensibilité
dans une certaine étendue de la peau d'un mem-
tre rappelée, on se borne généralement à considérer le retour de la
sensibilité
au niveau de la plaque de métal, et sa disparit
sur la face dor- sale de l'avant-bras gauche : si, au moment où la
sensibilité
apparaît au voisinage du métal, on explore le m
qui peut être de plusieurs degrés. A mesure que le transfert de la
sensibilité
s'opère, on voit la colonne mercurielle descend
e du côté sensible il provoque les réactions ordinaires. Quand la
sensibilité
est rétablie dans la moitié anesthésique du nez,
l, sont peut-être plus sai- sissantes que celles qui portent sur la
sensibilité
générale. Mais l'organe qui présente dans le tr
re inverse. La marche est exactement la même quand on rétablit la
sensibilité
de la rétine par une action aesthésiogène, par
eau devient d'abord sensible en face de l'aimant ; puis quand cette
sensibilité
s'est étendue à une certaine zone autour de l'o
sthésie. L'approche d'un aimant a produit à la fois le retour de la
sensibilité
cutanée du pour- tour de l'orbite, une augmenta
plets, et ce n'est qu'après cette succession d'oscil- lations de la
sensibilité
entre un côté et l'autre que l'état de la malad
avant l'expérience, ou qu'il soit le rétablisse- ment complet de la
sensibilité
, cela dépend de l'activité de l'sesthésiogene e
oscillations, une particularité dont il est bon d'être prévenu : la
sensibilité
(générale ou spéciale) n'apparaît pas toujours
, présenter une anesthésie totale ou bien une 422 REVUE CRITIQUE.
sensibilité
bilatérale. Cependant la simultanéité de l'évolut
placer lapièce de métal sur le côté anesthésique pour rétablir - la
sensibilité
, on la met sur le côté sensible (d'une malade h
e (d'une malade hémianesthésique), on voit qu'au niveau du métal la
sensibilité
disparaît ; en même temps, elle reparaît dans l
directement, c'est l'anesthésie, et ce qui est transféré, c'est la
sensibilité
. Une fois ce résultat obtenu, rien ne distingue
aesthésiogénique aussi intense que le réta- blissement direct de la
sensibilité
. Ainsi, par exemple, dans une hémianesthésie hy
à produire l'anesthésie dans le côté sensible, et par transfert la
sensibilité
dans l'autre. La même différence s'observe avec
Supposons-la produite chez 424 REVUE CRITIQUE. une malade dont la
sensibilité
est entière, par l'application d'une pièce de m
minutes. Pour suivre, sans trop de tâtonne- ments, la marche de la
sensibilité
, on fait rapidement sur la région explorée deux
très prononcé. Nous n'avons pas cherché spécialement l'état de la
sensibilité
dans les parties profondes, troncs nerveux et m
indiquer les différents cas, relativement à la distribu- tion de la
sensibilité
dans lesquels peut être faite l'application de
on est faite sur le côté le plus affecté et quelle y produise de la
sensibilité
, celle-ci repa- raît en même temps sur l'autre
rale; 2° qu'elle a pour résultat immédiat, invariable, de placer la
sensibilité
(et autres fonctions connexes) dans un état d'a
e vibra- tion. Le tableau suivant indique les distributions de la
sensibilité
résultant d'une application faite dans les diff
us faut revenir sur quelques détails. D'abord en ce qui concerne la
sensibilité
générale, sa repro- duction ou son déplacement
des phases de transition pendant lesquelles les diverses espèces de
sensibilité
se trou- vent dissociées. Ainsi la sensibilité
diverses espèces de sensibilité se trou- vent dissociées. Ainsi la
sensibilité
tactile fait d'habitude son apparition avant la
insi la sensibilité tactile fait d'habitude son apparition avant la
sensibilité
à la douleur, de telle sorte qu'à l'anesthésie
l'anesthésie complète succède une période d'analgésie. De même la
sensibilité
thermique ne recouvre pas son. intégrité tout d
ités régulièrement par le bain électro-stati- que, nous avons vu la
sensibilité
électro-cutanée pleinement rétablie, plusieursj
e de comparaisons des données intéres- santes pour la théorie de la
sensibilité
. Quant aux organes des sens, nous avons vérifié
ouïe, de l'odorat et du goût. Il y aurait à rechercher si, pour les
sensibilités
spéciales, les réactions électriques se rétablis-
z fréquentes anomalies dans la manière dont s'opère le retour de la
sensibilité
. Ainsi, le transfert peut 428 revue D'ANATOMIE.
musculaire, etc., ne s'opèrent pas en même temps que celle de la
sensibilité
. En général, le transfert peut ne porter que sur
transfert peut ne porter que sur un ou plusieurs éléments. C'est la
sensibilité
qui semble se déplacer le plus facilement. Ces
ésentent le phénomène de la contrac- tion musculaire paradoxale, la
sensibilité
cutanée est en par- tie normale, en partie quel
s mots prononcés devant eux, même en langue étrangère. Souvent la
sensibilité
reste normale; on a noté de l'anal- gésie chez
chr., 1879 et Centralbl., 1879, n° 12) une nouvelle névrose de la
sensibilité
que son retour par accès et sa grande intensité n
l'exception de quelques hémorroïdes. Il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
, ni des réflexes des membres inférieurs. Il est
urs n'appartient qu'aux phases d'excitation. - Rien'du côté de la
sensibilité
. Fonctions et facultés mentales normales, mais
arésie vésicale et de constipation opiniâtre. Troubles divers de la
sensibilité
. H. D'OLIER. XLIV. SUR UN cas DE paralysie DES
, l'atrophie com- mença. Il n'y eut pas le plus léger trouble de la
sensibilité
, pas de paralysie de la vessie ou du rectum, pa
abilité faradique est normale; il en est de même probablement de la
sensibilité
à la douleur. Le réflexe cutané de la plante du
ancelle pas davantage avec les yeux fermés. Pas d'altérations de la
sensibilité
ni de réactions électriques aux membres inférie
re fois à l'hôpital en octobre 1876. (Hémiplégie gauche incomplète.
Sensibilité
intacte. Incontinence d'urine). Amélioration en
ace. Au moment de l'entrée la motilité reparaît dans la jambe et la
sensibilité
dans les deux membres. Quelques jours plus tard
faitement sains et le larynx ne présentant aucune para- lysie de la
sensibilité
et du mouvement. M. Mulhall fait, à propos de c
nrésultat; l'or et encore le cuivre amenèrent un retour léger de la
sensibilité
et REVUE DE pathologie mentale. 489 de la mot
t.i ui-j ni ,iJ <Jlf-.IHl"l I li'.iWU1 l ! i ,«.>i0>n G ? La
sensibilité
générale est.très, amoindrie aux deux, jambes.
es,, ainsi que sur le ? U)H ? -<(.fU..A' t.if ' 1 ? et, face, la
sensibilité
est à peu, près intacte., La sensi- ïi e r i ar
-i i-Tt.,i.1..rtiritif"rT ïA .ce,temps7tAu .bout.de huitsemames, la
sensibilité
reparut dans - ? f ? ....1 ? ...,. UtÛH.) jj i)
s) tendineux du genou et des réflexes plantaires ; diminution de la
sensibilité
âI ? 0giitâ rtrlet"â Ia''dQuleur'pet8'oupomtdB'
roduit pas chez une malade hys- térique,ses effets habituels sur la
sensibilité
, etc. ; ceux-ci font absolument défaut ou bien
commencement d'action ; si elle est faite lorsque, par exemple, la
sensibilité
est déjà revenue autour de la plaque d'or, cett
le, la sensibilité est déjà revenue autour de la plaque d'or, cette
sensibilité
persiste et l'anesthésie de retour ne se produi
ous n'avons pas tardé à reconnaître que la fixation des phénomènes (
sensibilité
ou anesthésie, etc.) au moyen d'une plaque neut
, tout aussi bien qu'après une application métallique, conserver la
sensibilité
(et les modifications concomitantes) bien au-de
aires, de prendre comme métal neutre un des métaux pour lesquels la
sensibilité
métal- lique est exceptionnelle, et même, pour
uits. M. Burq, le hasard aidant, avait vu que l'on pouvait fixer la
sensibilité
, une fois revenue, en appliquant une plaque com
a eu ses conséquences ordi- naires, c'est-à-dire retour local de la
sensibilité
et oscillations. Plus tard, dans la journée, qu
. MM. Proust et Ballet ont vu, dans leurs applications d'aimant, la
sensibilité
reparaître d'abord sur la poitrine (l'ai- mant
nt sur l'avant-bras). La règle générale est nous l'avons vu, que la
sensibilité
reparaît au niveau de l'application ; voici ent
cé en regard de l'avant-bras insensible déterminait le retour de la
sensibilité
dans cette région d'abord, puis très rapidement
t presque tous également; mais leur effet se bornait au retour delà
sensibilité
dans une très petite étendue, et cette sensibil
au retour delà sensibilité dans une très petite étendue, et cette
sensibilité
ne se montrait que sur la main, et nullement à
ne région quelconque, rétablit très rapide- ment le mouvement et la
sensibilité
dans tout le côté malade. M. Grasset (de Montpe
, après une seule application ; d'autre part, des hémiplégies de la
sensibilité
ou du mouvement, dues, selon toute apparence, à
a cure. Dans certains cas, en effet, après le retour rapide de la
sensibilité
générale et du mouvement, il reste encore à obten
oyons, dans les deux catégories, le même mode de réapparition de la
sensibilité
à partir du lieu de l'application, etc., la mêm
à partir du lieu de l'application, etc., la même connexion entre la
sensibilité
cutanée et le mouvement, les mêmes modification
lement diminuer de fréquence et d'amplitude à mesure que revient la
sensibilité
, puis cesser tout à fait et définitivement lors
e de la puberté ou peu de temps après cet âge. Les troubles de la
sensibilité
y feraient défaut ou ne surviendraient que très
ème ventri- cule. La maladie n'a rien à voir avec les troubles delà
sensibilité
générale, sensorielle ou musculaire, qu'on y pe
ient en l'absence d'ataxie ? M. Schmid explique l'inté- grité de la
sensibilité
par la suppléance physiologique de la substance
e partielle des racines postérieures peut aussi coexister avec la
sensibilité
, par suite de la conservation d'un nombre suffisa
paralysie et contracture des extrémités inférieures, troubles de la
sensibilité
des mêmes régions, exagération du réflexe tendi
tion tardive du réflexe patellaire, la décroissance par zônes de la
sensibilité
faradique, le désaccord entre l'excita- bilité
qu'il connaît depuis plusieurs années, est le retour complet de la
sensibilité
cutanée à une période avancée de la maladie, en
siées présentaient une hyperalgésie mar- quée. Chez ces malades, la
sensibilité
redevenue normale per- sistait malgré la marche
prononcée des cordons postérieurs. Mais cette restauration de la
sensibilité
ne concernait que la peau et nullement les partie
., oct. 1880, p. 147.) L'auteur décrit sous ce nom un trouble de la
sensibilité
subjective de la peau, donnant lieu à ce qu'on
rison fut complète ; la paralysie du mouvement aussi bien que de la
sensibilité
disparut. Dans l'autre, l'hémianes- thésie seul
flexes tendineux, à l'action des métaux sur les modifications de la
sensibilité
, à l'influence de l'aimant sur la contracture,
u corps qui a été la première atteinte. Ces troubles portent sur la
sensibilité
de la peau des muqueuses, et sur la sensibi- li
t les distinguer de la dermalgie, car tandis que dans celle-ci la
sensibilité
de la peau est exaltée au niveau des régions hyst
au niveau des régions hysté- rogènes, la peau a souvent perdu toute
sensibilité
, quelquefois cependant elle est conservée. Les
ccompagne souvent les paralysies limitées; enfin les troubles de la
sensibilité
sont variables et peuvent être de l'hyperesthés
note sur deux nouveaux faits d'hémiplégie de la motilité et de la
sensibilité
guéris par l'application d'), par Devove, 92.
génésique (aberrations du), par Paul Moreau (de Tours), 156. '
Sensibilité
cutanée (analyse de la), par Bruch, 136. Sens
, 156. ' Sensibilité cutanée (analyse de la), par Bruch, 136.
Sensibilité
(modifications de la), par Buccola et Seppilli,
plomb. po Symptômes nYSréayuc,s. Ils consistent en troubles de la
sensibilité
générale et spéciale. a. Sensibilité générale.
consistent en troubles de la sensibilité générale et spéciale. a.
Sensibilité
générale. Il existe une anesthésie dilfuse, presq
les parties in- sensibles, la peau rougit d'abord, puis bientôt, sa
sensibilité
repa- rait au niveau des parties frictionnées.
mbe droite directement d'ar- rière en avant, sans faucher ; 2° La
sensibilité
est abolie dans tous ses modes au niveau des me
ue se termine brus- quement à la racine du membre (fir. 4). 3° La
sensibilité
spéciale à peu près intacte à gauche est très a
mée de tremblements fibrillaires très marqués. 13. L'examen de la
sensibilité
montre une anesthésie complète du membre supéri
s remarqué chez lui, jus- qu'à ces derniers temps de troubles de la
sensibilité
. Il a un caractère très vif, et se met facileme
e immédiatement lorsqu'on le prononce devant lui. 2° Troubles de la
sensibilité
.-Anesthésie complète du côté gauche, sensitivo-
. Le bégaiement persiste, mais bien moins marqué. Voici l'état de
sensibilité
le 15 novembre. Anesthésie complète Fig. 6. 1
défectueuse. - Chez Cab..., nous trouvons : 1° des troubles de la
sensibilité
générale : une anesthésie diffuse presque compl
c zones hypéresthésiques (voir fig. 1 et 2) ; 2° des troubles de la
sensibilité
spéciale : une diminu- tion considérable de l'o
trastant avpc les symptômes précédents, intégrité remarquable de la
sensibilité
générale et des facultés intellec- tuelles, rar
centrifuges (oculomoteur commun et grand sympathique) ; ceux de la
sensibilité
réflexe E. R. proviennent de l'at- teinte des f
éenne et conjonc- tivale, surtout à gauche, avec conservation de la
sensibilité
dou- loureuse dans le reste du domaine des trij
n des réflexes tendineux des extrémités droites, sans trouble de la
sensibilité
. Céphalalgie, sopor, affaiblissement général. P
ie avec contracture des extrémités gauches sans aucun trouble de la
sensibilité
. Intégrité du facial jusqu'à la mort. Kératite
outes les observations de ce genre, ni paralysie, ni troubles de la
sensibilité
. Etude cri- tique comparative d'autres cas. - P
fluence du foyer cérébral. Si au contraire on exa- mine chez lui la
sensibilité
du seul côté affecté on n'y remarque pas de tro
art, l'abolition du réflexe du genou, l'ataxie, la diminution de la
sensibilité
et la perle de l'équilibre lorsque les yeux éla
me ; tremblement des mains ; cépha- lalgie intense et persistante ;
sensibilité
douloureuse de la tête à la percussion; pouls r
qu'aujourd'hui, voilà de cela quatre semaines, les paralysies de la
sensibilité
et de la motilité ont con- servé la même gravit
égales, les réflexes tendineux pal.ellaires exagérés, le tact et la
sensibilité
à la douleur diminués. La mort eut lieu trois m
le reste du corps ne présente rien de particulier. Intégrité de la
sensibilité
; intégrité des réflexes tendineux. Réaction dégé-
orvan a revu avec soin ses malades an point de vue de l'étude de la
sensibilité
. Il conclut de ce travail : I, que la paréso-an
s dans la première de ces maladies, et surtout grâce à l'état de la
sensibilité
au tact qui est lésée dans la paréso-analgésie
demi, amélio- ration considérable de la marche, des douleurs, de la
sensibilité
; 5° tabès depuis vingt-trois ans, amélioration;
ion syringomyélilique de M. Charcot, c'est-à-dire l'abolition de la
sensibilité
à la douleur et à la température et la conserva
nsibilité à la douleur et à la température et la conservation de la
sensibilité
au contact et du sens musculaire. Ses symptômes
s sont au début méconnus par les malades ; 3° la conservation de la
sensibilité
au contact et celle du sens musculaire ce sont
i vaso-moteurs. On constatait seulement une légère diminution de la
sensibilité
aux contacts délicats et aux piqûres légères. L
y avoir un certain degré de rétraction des muscles fléchisseurs.
Sensibilité
moins nette qu'à la jambe droite. Perte des ré-
it été doulou- reuse au début, revient bientôt à l'état normal. (
Sensibilité
obtuse à la partie antérieure de la jambe, en deh
be, en dehors du '( tibia, à la face dorsale du pied. Trouble de la
sensibilité
également à la face plantaire du pied, mais bie
pose sur le sol.en deux temps. Amaigrissement notable de la jambe.
Sensibilité
très obtuse à la partie anléro-exteme de la jam
ce dorsale du pied et surtout au gros orleil. Affaiblissement de la
sensibilité
à la face plantaire du pied. Pas de douleur à
oniers) montre qu'ils se contractent à peine. L'exploration de la
sensibilité
, à l'aide du pinceau électrique, dénote une ane
spontanées le long de la jambe, jusqu'à l'extrémité des orteils. La
sensibilité
devait être également tout au moins obnubilée a
nsible (elle ne sentait pas l'électricité). Au bout de deux mois la
sensibilité
re- vient un peu à la jambe ; enfin, après neuf
deux derniers orteils. A la plante du pied, légère altération de la
sensibilité
dans la région des orteils ; le reste de la voûte
ès de la fosse iliaque, une névralgie du crural avec troubles de la
sensibilité
bien nettement localisés au domaine cutané de c
Flexion possible et même énergique. Mouvements de latéralité nuls.
Sensibilité
au froid, à la chaleur et à la douleur abolie « d
t seulement très obtuse, presque nulle au niveau du gros orteil. La
sensibilité
est intacte à la plante du pied et dans toute l'é
cles extenseurs n'éveille non plus aucune sensation douloureuse. La
sensibilité
est normale sur tout le corps. sauf au niveau de
us aiguës, jamais il ne s'est tenu de travers. Les troubles de la
sensibilité
qui occupent la jambe gauche sont distribués de
ccupent la jambe gauche sont distribués de la façon suivante : 10
Sensibilité
ci la douleur. Il existe une zone d'analgésie com
deux tiers de la face postérieure de la jambe. (V. la fig. 11.) 2
Sensibilité
à la température. - Le trouble est distribué de
est prise dans une étendue beaucoup moindre. (V. la fig. 12.) 3°
Sensibilité
au tact. Elle est conservée dans une étendue- ]
II (personnelle). Sciatique avec troubles de la1noti- lité et de la
sensibilité
dans le domaine du nerf sciatique poplité exter
s de troubles hophiques. - Aucun symp- tômes de syringomyélie. '.
Sensibilité
au tact conservée. Sensibilité ci la douleur cons
n symp- tômes de syringomyélie. '. Sensibilité au tact conservée.
Sensibilité
ci la douleur conservée à la cuisse, atténuée à
énuée à la face externe de la jambe, exagérée sur le dos du pied.
Sensibilité
à la chaleur. - Hypoeslhésie à la face externe de
ibilité à la chaleur. - Hypoeslhésie à la face externe de la jambe.
Sensibilité
au froid diminuée dans la même région. Examen é
non traumatique. On a vu que chez cette malade les troubles de la
sensibilité
étaient moins accentués et moins étendus que da
adipeuse sous-cutanée est égale des deux côtés. Pas de varices. La
sensibilité
au contact et à la piqûre est intacte; la sensi-
le même développement. Dans ['Observation VIII, les troubles- de la
sensibilité
sont notablement moindres et les lésions muscul
é- rescence. Enfin dans l'OBSER- VATION IX', les troubles de la
sensibilité
sont à peine appré- ciables, les troubles moteu
le). -Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et troubles de la
sensibilité
. Marie B..., âgée de 57 ans, couturière. Anté
e dernière. Réflexe rotulien normal, un peu fort, des deux côtés.
Sensibilité
. Il existe une anesthésie incomplète au tact avec
t des troubles de la motilité et d'autre part des altérations de la
sensibilité
. En ce qui concerne la motilité, nous voyons qu
lté- rations graves, accentuées, intenses de tous les modes de la
sensibilité
, localisées à peu près exactement au territoire
s toute l'étendue du membre inférieur. Nous pouvons répéter pour la
sensibilité
, ce que nous di- sions quelques lignes plus hau
musculaire affaibli des deux côtés. Les Fig. 21 et 22. - Etat de la
sensibilité
chez le malade de l'observation XI (sciatique e
st à remarquer que le cou de pied présente les mêmes troubles de la
sensibilité
que le reste du membre, c'est-à-dire que la cui
moins de reconnaître leur véritable nature, Au point de vue de la
sensibilité
, le membre inférieur droit doit être partagé en
s interne du dos et de la plante du pied, a entièrement conservé la
sensibilité
tactile, mais a perdu la sensibilité à la doule
d, a entièrement conservé la sensibilité tactile, mais a perdu la
sensibilité
à la douleur, à la chaleur et au froid; la seco
che du corps : thermoanesthésie, analgésie, diminution légère de la
sensibilité
tactile. A gauche, les sens spéciaux sont attei
ie, mais d'une simple diminution, fort légère, à vrai dire, de la
sensibilité
. Enfin, et c'est là, ce nous semble, le meilleu
ait. Le réflexe rotulieu est également exagéré des deux côtés. La
sensibilité
, sous toutes ses formes, est parfaitement conserv
tout à l'heure pour essayer d'en établir la pathogénie. Etat de la
sensibilité
. - Il arrive quelquefois qu'elle soit seule att
in- toxication oxycarbonée. Bien plus souvent, les troubles de la
sensibilité
viennent compliquer les paralysies ; ils font d
é des cas et en outre il y a plusieurs observations où l'état de la
sensibilité
1 Bourru. Névralgie à la suite d'une asphyxie p
e qu'un certain groupe de muscles, les extenseurs par exemple, la
sensibilité
était intacte. Exception doit être faite pour l
de l'épaule est déformé, aplati, par atrophie notable du deltoïde,
sensibilité
intacte. Réactions électriques : contractilité
miplégies la guérison est la règle, sur- tout dans les formes où la
sensibilité
, est profondé- 1 Hùrchzimer. - Loc. cit. PARA
ammation des nerfs périphériques qu'il ex- pliquait les troubles de
sensibilité
et de nutrition qu'on observe à la suite de l'e
de pem- phigus, vésicules d'herpès, et de troubles limités de la
sensibilité
, - enfin, la disparition de la contractilité fa
, il montre que cette localisation si spéciale, les désordres de la
sensibilité
nettement limités, l'existence de troubles trop
sement la plupart des observations sont incomplètes, l'état de la
sensibilité
générale mal indiqué, l'examen des organes des
une autre du même auteur où l'hémiplégie accompagnée de perte de la
sensibilité
disparut très rapidement; il y avait une déviat
Allemagne. 0. Berger, un des premiers, fit remarquer la perte de la
sensibilité
consécutive à des traumatismes. Dans la courte
, soit sur le membre tout entier divers troubles transitoires de la
sensibilité
et du mouvement, tels que sensation de lourdeur
tandis que les faces dorsale et palmaire de la main sont privées de
sensibilité
. Dans le cours de la journée, un examen plus co
te cette région, l'anesthésie est complète pour tous les modes de
sensibilité
(toucher, pression, température, piqûre, sensibil
s les modes de sensibilité (toucher, pression, température, piqûre,
sensibilité
ar-* ticulaire). La main droite est parésiée.
cinquième métacarpien (face dorsale et palmaire) ont récupéré leur
sensibilité
. La limite supérieure de l'anesthésie est repor
ritoire anesthésie on constate comme la veille la disparition de la
sensibilité
tactile, l'analgésie, et la thermo-aneslhésie.
oubles hysté- riques locaux. Nous ne constatons aucun trouble de la
sensibilité
cutanée : la chaleur, le froid, la piqûre, le t
'achromatopsie. - Dans l'observation précédente, les troubles de la
sensibilité
ne peuvent être attribués à une lésion d'un ner
cercles perpendicu- laires à l'axe du membre, pertes de toutes les
sensibilités
, pa- résie. Il s'agissait donc en réalité d'un
nl ne donne que 7 cas écourtés à dessein. Troubles subjectifs de la
sensibilité
existant en perma- nence dans les doigts et les
signer le territoire d'un nerf. Intégrité à peu près complète de la
sensibilité
, de la motilité, de la nutrition, de la contrac
ut toucher impunément. Aucune anomalie, à part une diminution de la
sensibilité
dans tous ses modes à la région frontale et tem
et totale, mais l'excitabilité électrique est normale; très grande
sensibilité
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 247 au niveau d
s que le côté sain pâlit et diminue de température. Intégrité de la
sensibilité
. Le repos met fin à ces accidents avec la même
igence est affaiblie (démence), lors- qu'il existe un trouble de la
sensibilité
morale et affective (humeurs anormales), des ha
du reste de la réfrigération concurrente, excite, puis émousse la
sensibilité
- Sur ce, nouvelles expériences d'Adamkiewicz pro
à présent on ne trouve ni troubles de moti- lité, ni troubles de la
sensibilité
, ni modification de la réaction pupillaire, ni
stion d'une paraplégie hystérique grave. Amélioration du côté de la
sensibilité
, de la vue, de l'ouïe; p, K. REVUE D'ANATOMIE
ment normaux; l'examen électrique n'y ré- vèle rien de particulier;
sensibilité
diminuée aux membres infé- rieurs surtout aux j
die sur un terrain prédisposé et entaché d'hystérie (troubles de la
sensibilité
, boule, attaques convulsives avant et depuis la
. thodes pour étudier les différents troubles de la marche, de la
sensibilité
, du mouvement, des réflexes, du langage, les trou
n séparée les troubles de la marche, et passer ensuite à ceux de la
sensibilité
, pour revenir après à ceux du mouvement ? Si, t
dans notre dernière observation de mutisme, que le trouble de la
sensibilité
relève de l'hystérie ? Assuré- ment, non, car i
epuis plus d'un mois. C'est un homme de petite taille, chétif. La
sensibilité
générale, au tact, à la douleur, à la température
l'apparence d'une fille vigoureuse. Il y a une diminu- tison de la
sensibilité
au tact, à la douleur, à la tempéra- ture et du
rités suivantes : Etat général excellent. Légère diminution de la
sensibilité
géné- rale à droite; les courants électriques s
signe de Westphal, signe de Romberg, ataxie, altéra- tions de la
sensibilité
, troubles de la miction, etc. - DE LA PERCEPTIB
centième de différence entre deux excitants lumineux a et b; si la
sensibilité
de cet oeil diminue, de manière que chacun de c
produisait la moitié de ce même excitant avant la diminution de la
sensibilité
, la différence relative de leur effet doit être
la face dorsale des orteils du pied gauche. A la face plantaire, la
sensibilité
est dimi- nuée aux deux talons antérieur et pos
ostérieur, des deux côtés et à la face inférieure des orteils. La
sensibilité
à la chaleur est très diminuée au niveau des ja
haleur est très diminuée au niveau des jambières déjà signalées. La
sensibilité
au froid n'a pas subi d'al- tération notable. D
au froid n'a pas subi d'al- tération notable. Dans les places où la
sensibilité
persiste, il n'y a pas de retard de la percepti
a sensibilité persiste, il n'y a pas de retard de la perception. La
sensibilité
profonde est con- servée, ainsi que lé sens mus
ion du pied, complètement perdus à gauche, très obtus à droite. Les
sensibilités
spéciales paraissent conservées. Le champ visuel
eptique observées par son mari, et aussi les troubles actuels de la
sensibilité
, prédominant surtout à gauche, et les troubles
ormal, un rapport étroit entre l'état de la mémoire et l'état de la
sensibilité
. C'est là un lait que la pathologie et l'expéri
88. 398 CLINIQUE MENTALE. malade, les altérations profondes de la
sensibilité
existant aux membres inférieurs ne peuvent-elle
être restées intactes chez une femme qui, avec les troubles de la
sensibilité
tactile aux membres inférieurs, a perdu totale-
onstaté objectivement dans les membres supérieurs des troubles de
sensibilité
analogues à ceux des membres inférieurs ; mais il
et rend les animaux aveugles, sourds, dénués d'odorat, de goût, de
sensibilité
tactile. Ces conclusions furent discutées par M
, de même il ne manifestait pas son plaisir en agitant sa queue. Sa
sensibilité
cutanée était partout diminuée mais nulle part
ous deux avaient leurs sens obtus. Tous deux avaient conservé de la
sensibilité
cutanée et faisaient des mouvements avec tous l
Nervenheilk, 1888 et 1889.) , M. Heddoeus désigne sous le nom de
sensibilité
réflexe l'aptitude d'un oeil à conduire l'excit
e tabès, la faculté d'estimation décroît pro- portionnellement à la
sensibilité
périphérique mais non le sens de la force. P. K
gle et complète- sourd, hémiplégie gauche complète, intégrité de la
sensibilité
et de la parole. On trouve un ramollissement ét
monde extérieur; il causait avec son entourage, il gesticulait; la
sensibilité
n'était pas abolie chez lui; il ne présentait a
les preuves tirées de l'hy- perexcitabilité neuro-musculaire, de la
sensibilité
, de la relation avec le monde extérieur, de la
Leyden en attribuant l'ataxie, dans le tabes, à des troubles de la
sensibilité
, entra dans la voie de la véritable explication
s racines et les cordons postérieurs, président aux fonctions de la
sensibilité
; il attachâmes lors une grande importance à la
rie de l'ataxie sensitive (Théorie der sensorischen Ataxie) ; 3. La
sensibilité
est, dans le tabes, régulièrement affectée (dou
artes Bell, Longet, Claude Bernard, l'importance des troubles de la
sensibilité
sur la inutilité avait été déjà bien étudiée ;
té sur la inutilité avait été déjà bien étudiée ; l'intégrité de la
sensibilité
est nécessaire à la coordination normale des mo
de l'ataxie est, dans le tabès, en rapport avec les lésions de la
sensibilité
; 6. Certains symptômes à peu près constants du t
épinière. Dans le tabes, la dissociation des différents modes de la
sensibilité
est souvent poussée si loin que la sensibilité
fférents modes de la sensibilité est souvent poussée si loin que la
sensibilité
kinesthésique peut être fort diminuée avec une
que la sensibilité kinesthésique peut être fort diminuée avec une
sensibilité
cutanée encore intacte, phénomène assez commun, s
- tout au commencement du tabès. Pour Goldscheider, le sens ou la
sensibilité
tactile est, on le sait, une combinaisons de fonc
bilité tactile est, on le sait, une combinaisons de fonc- tions des
sensibilités
cutanée, articulaire, tendineuse et muscu- lair
s sensibilités cutanée, articulaire, tendineuse et muscu- laire, la
sensibilité
propre des muscles ne jouant qu'un rôle assez e
menace de tomber, il existe toujours des troubles manifestes de la
sensibilité
articulaire. Ainsi, point de symptôme de Romber
re. Ainsi, point de symptôme de Romberg sans une altération de la
sensibilité
. Ces principes, démontrés par Frenkel, ressortiss
uïe y ont quelque influence. Quoi qu'il en soit, les troubles de la
sensibilité
ne manquent jamais dans l'ataxie tabétique. C'e
vail de Laehr2. - Laehr a montré, par l'examen des troubles de la
sensibilité
de soixante tabétiques, qu'il existait chez ces
partant aux bras, soit en bas, et déterminer ainsi des troubles de
sensibilité
dans les jambes. Quoique'ces hypesthésies 1 Emi
es troubles de localisation des sensations et les altérations de la
sensibilité
a la douleur sont, on le sait, plus précoces qu
a la douleur sont, on le sait, plus précoces que les lésions de la
sensibilité
tactile : « On observe assez souvent dans le ta
dépit d'une ataxie prononcée, de troubles du sens musculaire, de la
sensibilité
à la douleur, etc., qu'une altération encore re
leur, etc., qu'une altération encore relativement peu intense de la
sensibilité
tactile. » Aux symptômes les plus précoces du t
e toujours une diminution de la. sen- sibilité, tout au moins de la
sensibilité
motrice ; on doit entendre par là que pour l'ex
rent. « Et ainsi l'on comprendra, écrit Redlich, que, même avec une
sensibilité
relativement intacte (les impres- sions centrip
du pied et du genou, accompagnée de troubles très peu accusés de la
sensibilité
, intéressant spécialement le sens musculaire. Et
orsalis, examine l'état 14 ik REVUE CRITIQUE. des fonctions de la
sensibilité
dans le tabès de Friedreich. Ici aussi on renco
est précisément dans ces fibres qu'on doit chercher les voies de la
sensibilité
cutanée; il serait donc permis de s'expliquer a
ée; il serait donc permis de s'expliquer ainsi la persistance de la
sensibilité
cutanée dans le tabès de Friedreich. » D'une
cutanée dans le tabès de Friedreich. » D'une manière générale, la
sensibilité
cutanée est moins affectée dans les affections
es nerfs mixtes elle-même peut ne pas déterminer des troubles de la
sensibilité
, ou ces troubles peuvent disparaître bientôt. I
t la perte des libres servant à la conduction des impressions de la
sensibilité
. Dans certaines affections des nerfs périphériq
ements ont plus souffert que celles qui servent aux fonctions de la
sensibilité
consciente. Anatomique- ment, les nerfs sensiti
subi la même lésion dégénérative. C'est une preuve nouvelle que la
sensibilité
cutanée consciente doit suivre des voies que n'
es qui assurent et réalisent les compensations fonctionnelles de la
sensibilité
cutanée. Pour que le trouble de la sensibilité
fonctionnelles de la sensibilité cutanée. Pour que le trouble de la
sensibilité
devienne manifeste, il faut que plusieurs racines
e façon très grave. Dans quel ordre se succèdent les troubles de la
sensibilité
dans le tabès et quelle interprétation, encore
la conduction des sensations est ralentie; l'ataxie existe, mais la
sensibilité
tactile est alors encore intacte, ou relativement
ndogènes de la moelle épinière. Les phénomènes d'excitation de la
sensibilité
appartenant aux symptômes les plus précoces du
sation de douleur. De même pour les troubles de localisation de la
sensibilité
tactile : les courants centripètes sont forcés,
'ataxie apparaît plus tôt, dans le tabes, que les altérations de la
sensibilité
cutanée. Des troubles de cette nature pourraien
zona (considérations étiologiques). In-4° de î7 pages. Colin (lu.).
Sensibilité
comparée des réactifs chimiques et physiologiqu
, plus accusé à droite. Réflexes superficiels normaux, ainsi que la
sensibilité
au toucher et à la douleur. Il se produit chez
e faiblesse ou de paralysie légère, et l'auteur pense que l'extrême
sensibilité
au bruit que présentent les mélancoliques résul
bilatérale, imbécillité ou idiotie, amblyopie progressive, extrême
sensibilité
au bruit, lésions ophthalmoscopiques absolument
al. 2e cas (celui de Kuh). Idiotie, amblyopie progressive, grande
sensibilité
au bruit. A l'encontre de l'autre enfant, il est
ibrillaires, DR, diminution des réflexes tendineux; intégrité de la
sensibilité
, des sphincters, de l'intelli- gence : évolutio
alvanique pour les muscles et les nerfs du côté gauche sans R. D.
Sensibilité
: localise mal le tact au-dessous de la ceinture.
e du corps au-dessous du rein, et y compris les membres inférieurs.
Sensibilité
thermique : même topographie. Erreurs de locali
intégrité absolue de la région périanale tant au point de vue de la
sensibilité
qu'au point de vue du sphincter anal, la conser
rie d'après l'auteur de 7 centièmes à 15 centièmes de seconde. La
sensibilité
à la douleur varie suivant les individus et suiva
êtues des muscles. Le rôle des anesthésiques est de supprimer cette
sensibilité
, qui n'est autre chose que la conscience à la d
cocaïne et l'antipyrine. Plusieurs états pathologiques modifient la
sensibilité
à la dou- leur et par conséquent, modifient les
l'hystérie, la dissociation syrengomyélique, l'exagération de la
sensibilité
à la douleur (l'hyperolgésie) se rencontre dans l
iguës et dans le tétanos hyperalgique de Tros- ton. Le retard de la
sensibilité
se trouve dans le tabès dorsalis VARIA. 93 (s
t dû vraisemblablement aux phénomènes réflexes, qui accompagnent la
sensibilité
douloureuse. L'intensité de la douleur dépend d
nce. Ces troubles, qui consistent d'abord en une per- version de la
sensibilité
affective, puis en idées obsédantes l ig. i. -
lité et rigidité pupillaires, atrophie du nerf optique, troubles de
sensibilité
sous forme de douleurs, de paresthésies et 'd'a
la physiologie pathologique des phénomènes les plus -obscurs de la
sensibilité
générale. - . : Redlich a résumé comme suit son é
autres auteurs, et les lobes temporo-sphénoïdaux par les centres de
sensibilité
spéciale. La plus grande partie des lobes antér
ennes semblent caractérisées d'abord par des troubles moteurs de la
sensibilité
, puis par des troubles avec faiblesse dans les
tes spontanées, exagérées par les mou- vements, sans troubles de la
sensibilité
objective; 5° de légers trou- bles sphinctérien
contraires à l'action latérale de la pesanteur. P. KEl\AYAL. De la
sensibilité
du système pileux chez les gens bien portants;
P. ÛSSIPOW, Le tricho-oesthésiomètre électrique pour l'examen de la
sensibilité
du système pileux du corps ; par \\ ? 11. 13ECl
ElU,W (O{¡o ? rcl11e 11SichÙltrii, III, n° 10, 1898).- Examen de la
sensibilité
du système pileux des névropathes; par K.-J. 1\
siomèi1'e electl'ique, etc... Déjà analysé. Quant à l'étude de la
sensibilité
du système pileux des névropa- . thés, les aute
en trois groupes : Premier groupe. Malades ayant des troubles de la
sensibilité
tactile et douloureuse (ou de l'une-de ces deux
s de la sensibilité tactile et douloureuse (ou de l'une-de ces deux
sensibilités
) et ne présentant aucune altération de la sensi
-de ces deux sensibilités) et ne présentant aucune altération de la
sensibilité
du système pileux. Deux observations. Un cas de
eux. Deux observations. Un cas de paralysie de Brown-Séquard ; la
sensibilité
du système pileux étaitintacte tandis qu'il y ava
endroits où existait de l'hyperesthésie douloureuse et tactile, la
sensibilité
du système pileux n'était point exagérée. Il y av
rée. Il y avait en somme, dans les deux espèces, indépendance de la
sensibilité
pilaire. Deuxième groupe '. Coexistence de trou
ilité tactile, douloureuse, pilaire. A Désordre de trois espèces de
sensibilité
aux mêmes régions. Deux observations de tabès dor
êmes régions. Deux observations de tabès dorsal; les troubles de la
sensibilité
cutanée étaient surtout marqués aux membres inf
nférieurs; une grande partie des mêmes snrfaces. était privée de la
sensibilité
pilaire. B Les troubles de la sensiblililé doul
et tactile n'occupent pas les mêmes endroits que l'altération de la
sensibilité
du système pileux, ou plutôt, les sarfaces cuta
ileux, ou plutôt, les sarfaces cutanées affectées de troubles de la
sensibilité
douloureuse et tactile ne coïncident pas exacte
cident pas exactement avec les surfaces où siège l'altération de la
sensibilité
pilaire. Trois observations : neuro- tabes, mén
t des limites des domaines de chaque mode d'altération des diverses
sensibilités
. Cinq observations : myélite transverse, tabes
évrite. Les figures de répartition des troubles de chaque espèce de
sensibilité
sont particulièrement intéressantes. Troisième
ntéressantes. Troisième groupe : Malades affectés de troubles de la
sensibilité
du système pileux sans alté- ration de la sensi
roubles de la sensibilité du système pileux sans alté- ration de la
sensibilité
douloureuse et tactile. Obs. XIII à XIX, concer
n plaques clas- sique (2 h. et 1 f.) indemnes de tout trouble de la
sensibilité
du système pileux. P. Keraval. XXVI. De la dé
des réflexes rotuliens; signe d'Argyll- Ilobertson; troubles de la
sensibilité
; douleurs fulgurantes; crises gastro-intestinal
sur la jambe droite. Deux cas de Paralysie alterne. Troubles de la
sensibilité
; par Cn. 11lIRALLlÉ (de Nantes) Homme, trente
-huit mois après l'attaque, le ptosis a disparu; les troubles de la
sensibilité
persistent exactement comme au début. Homme,
de seize ans, atteint de paraplégie spasmodique avec troubles de la
sensibilité
dans' les membres inférieurs (thermanesthésie v
variable comme siège et intensité, et diminution transitoire de la
sensibilité
tactile), troubles des sphincters et déformatio
aitement moral et qui ne conservait à la fin que des troubles de la
sensibilité
géné- rale. Il admettait d'ailleurs pleinement
trophiques apparents, ni des poils, ni de la peau, ni des ongles.
Sensibilité
. 11 n'y a pas de troubles de la sensibilité objec
la peau, ni des ongles. Sensibilité. 11 n'y a pas de troubles de la
sensibilité
objective au tact, à la piqûre, ni de la sensib
troubles de la sensibilité objective au tact, à la piqûre, ni de la
sensibilité
thermique. Il n'y a pas non plus de troubles de
e la sensibilité thermique. Il n'y a pas non plus de troubles de la
sensibilité
subjective. Le sujet se plaint seulement d'un p
e troubles des réservoirs ni des sphinc- ters. Pas de trouble de la
sensibilité
au niveau du périnée. Le coeur est sain, les po
'existait du. signe de Hombergr Il n'y avait pas de troubles de la
sensibilité
, pas de troubles sphinctériens, pas de- nystagm
fatigue encore rapi- dement lorsqu'il reste debout sans marcher.
Sensibilité
objective. Pas de troubles de la sensibilité au t
e debout sans marcher. Sensibilité objective. Pas de troubles de la
sensibilité
au tact ni à la piqûre. Pas de troubles de ther
exagé- ration des réflexes et clonus du pied sans troubles de la
sensibilité
ni des sphincters (Lorrain). Sauf "dans un seul
es mois, puis plus fréquemment. Les. réflexes étaient conservés, la
sensibilité
intacte. Il y avait de la perte de la contracti
rique. L'excitabilité galva- nique du nerf revenait la première. La
sensibilité
restait normale. On ne constatait pas de troubl
, de la respiration ; le visage était respecté ; les sphincters, la
sensibilité
étaient intacts. La durée des crises était de v
muscles des deux mains et des fléchis- seurs de l'avant-bras. La
sensibilité
est partout normale. Les réflexes tendineux sont
6 février 1897.) 'Depuis Romberg et Duchenne, les altérations de la
sensibilité
dans le tabès ont été étudiées par un grand nom
n. Qualitati- vement, elle diffère nettement de l'émoussement de la
sensibilité
qui s'observe généralement aux extrémités infér
ée, elle n'est décelée que par des attouchements très légers, et la
sensibilité
à la douleur est absolument normale; plus accen
uelquefois les nerfs de la face ont été envahis. Les symptômes de
sensibilité
sont souvent ceux qui les premiers attirent l'a
temps que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 249 les troubles de la
sensibilité
ou très peu après, sont la raideur des muscles
e sont symétriques à tous les points de vue (nutrition, coloration,
sensibilité
et motilité). Les deux moitiés de la langue son
aralysés et on n'y remarquait pas de mouvements invo- lontaires. La
sensibilité
était complètement abolie au-dessous du ligamen
qu'il faut couper au moins trois racines spinales pour détruire la
sensibilité
d'une surface quel- conque du corps : c'est ce
ce qui explique pourquoi, malgré le siège de la lésion spinale, la
sensibilité
était conservée dans la zone innervée par le ne
sous de l'ombilic en avant et de la première lombaire en arrière la
sensibilité
au toucher et la sensibilité dite musculaire étan
de la première lombaire en arrière la sensibilité au toucher et la
sensibilité
dite musculaire étant de- meurées peu ou point
quelques considérations sur la trans- mission du mouvement et de la
sensibilité
dans la moelle. · R. de illUSf,Ii.IVE-GL ? 1-.
l'état psychologique des suicidés par amour : « Ils ont un excès de
sensibilité
, un défaut de volonté, ce sont des émotifs, des n
n soufflant. L'attention et la parole ont toujours été nulles. La
sensibilité
générale semble obtuse. Son père a remarqué que
écifique. Ni diar- rhée, ni constipation. n Pas de troubles de la
sensibilité
sauf peut-être un peu d'hyperes- thésie des mem
rmale. Au niveau des organes génitaux diminution considérable de la
sensibilité
testiculaire. Ongles bombés, contractions idiom
le 30, mais elle était lente à se produire et peu accusée. Pour la
sensibilité
générale, il y avait hypereslhésie à gauche pou
al 96 - CLINIQUE NERVEUSE. - '0 ! < (parésie et troubles de la
sensibilité
à gauche), le tri- jumeau et l'acoustique. La
es membres inférieurs, de la vessie et du rectum ! diminution de la
sensibilité
générale ; dépression des forces ; eschare'au sac
SOCIÉTÉS SAVANTES. 343 s'expliquerait, l'intégrité relative de la
sensibilité
dans des régions recevant des conducteurs nerve
lle il répond avec peine mais avec justesse, il titube en marchant.
Sensibilité
et réflexes normaux, affaiblissement musculaire
ltés. 1 La situation est également fâcheuse au point de vue de la
sensibilité
affective et morale. Beaucoup sont susceptibles d
- tement liés à d'autres désordres concomitants, qui affectent la
sensibilité
profonde ; tout à l'heure je m'expliquerai sur ce
visage et de la bouche étaient frappés d'une paralysie complète. La
sensibilité
était intacte dans les parties paralysées. Le l
e certaine maladresse des mouvements du membre supérieur gauche. La
sensibilité
était intacte de ce côté. La moitié gauche de l
peu tremblée, pas de paralysie des membres, pas de trou- bles de la
sensibilité
, rien aux réflexes cutanés quelquefois cepen- d
on de la glande. L. D. LVIII. Troubles trophiques et troubles de la
sensibilité
chez les hémiplégiques; par Ciiatin. (Bévue de
phie, mais cette dystrophie est toujours plus considérable quand la
sensibilité
est en même temps compro- mise, l'équilibre réf
oubles trophiques avaient en même temps des troubles notables de la
sensibilité
. La sensibilité était au contraire très peu att
s avaient en même temps des troubles notables de la sensibilité. La
sensibilité
était au contraire très peu atteinte chez les h
sans hallucinations, hémianalgésie à droite avec conservation de la
sensibilité
tactile, puis affaiblissement des membres inférie
iblissement profond des facultés intellectuelles ; conservation des
sensibilités
, pas d'atro- phie musculaire, pas de convulsion
s le bas du dos, s'étendant à l'abdomen et le long des cuisses : la
sensibilité
du bas du tronc et des jambes était abolie ; le
te que la jambe droite est inca- pable du moindre mouvement, que la
sensibilité
existe sur toute la surface du corps; que le ré
ue les muscles de la face sont normaux et normales aussi toutes les
sensibilités
spéciales. L'intelligence n'a pas été atteinte :
près les symptômes prodromiques ; ces symptômes se rapportent à la
sensibilité
générale, à la nutri- tion et aux troubles des
sensibilité générale, à la nutri- tion et aux troubles des diverses
sensibilités
spéciales. Si les théories nouvelles sont exact
tater parmi les symp- tômes les plus précoces les altérations de la
sensibilité
tactile, de la sensibilité à la douleur et du s
les plus précoces les altérations de la sensibilité tactile, de la
sensibilité
à la douleur et du sens musculaire ; or la cliniq
es les extrémités, avec perte des réflexes, peu d'altérations de la
sensibilité
, des réactions électriques nor- males, des sphi
use préalables, le début est brusque, mais la (marche est lente, la
sensibilité
générale est atteinte, les réactions électrique
térieur ou la syphilis, des phénomènes de compression localisés, la
sensibilité
est atteinte, les sphincters sont intéressés, i
t noter dès le début que dans tous les cas où l'on a pu comparer la
sensibilité
au toucher avec la sensibilité à la douleur, on
ous les cas où l'on a pu comparer la sensibilité au toucher avec la
sensibilité
à la douleur, on a trouvé l'anesthésie toujours
are; mais une forme commune, relativement du moins, est celle où la
sensibilité
est conservée aux pieds,'au bassin sur une surf
si on diminue chez un homme la force d'endurance, on augmentera sa
sensibilité
, et conséquemment, ses tendances au suicide, et
système nerveux par la lutte pour l'exis- tence, augmentation de la
sensibilité
et de l'irritabilité, et en même temps diminuti
tableau typique de la syringomyélie, à savoir : dissociation de la
sensibilité
en forme de veste, brûlures et panaris, paralys
s alcooliques et arsenicales, il existe des troubles précoces de la
sensibilité
. Secrétaires des séances : A. BERNSTEIN. W. III
mouvements choréiques sont suppri- més, le rêve obsédant inhibé, la
sensibilité
restaurée. 440 .'BIBLIOGRAPHIE. 1 Action hyp
à la douche électrique. ' La constatation exacte des troubles de
sensibilité
dans l'hystérie. M. Paul Joire (de Lille). Il c
ie. M. Paul Joire (de Lille). Il convient d'explorer isolément la
sensibilité
du palais, du voile du palais, de la base de la l
re le réflexe inverti, c'est-à-dire en extension forcée. Quant à la
sensibilité
générale, ce que je peux dire, c'est qu'il reti
-ible de circonscrire le siège cortical de cette voie sensitive. La
sensibilité
hygrique ne semble plutôt pas être 492 REVUE DE
ganes des sens, les unes de concert avec d'autres dé- sordres de la
sensibilité
, les autres plus ou moins isolément. Toutes, el
patibles avec le jugement que des hallucina- tions obsédantes de la
sensibilité
générale ou du nerf olfactif. Les erreurs senso
tanées et augmentées par la pression; les réflexes sont intacts; la
sensibilité
n'est pas modifiée, il y a eu au début des métr
par Esteves, 460. Hémiplégiques. Troubles troplnqiies et de la
sensibilité
chez tes,par Chatin, 396. Hémorragie méningée
de l ? par Soca. 101.- Hystérie. Constatation des troubles de la
sensibilité
dans l' -, par Joue, 440. Hystérique. Suppres
. Phobies. Etude de la peur et des . par Duguet, 351. * Pileux.
Sensibilité
du système - par Voiscllewslcy et Osslpow, par
gnede Rom- berg ; pas de phénomènes douloureux ni de troubles de la
sensibilité
locale, générale ou sensorielle; pas d'atrophie
e absolue des réflexes rotuliens des deux côtés. Pas de troubles de
sensibilité
aux divers modes. Il est difficile, étant donné
i- tion. Le malade u'a pas remarqué que sa voix soit modifiée. La
sensibilité
à la douleur, il la température et il l'électrici
scence. Les réflexes rotuliens ont disparu. Pas de troubles de la
sensibilité
. Il me semble réellement que dans ces deux cas
NCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 23 Réflexes rotuliens diminués ( ? ) La
sensibilité
générale est diminuée il droite ; la piqûre de la
ns raison et avaient disparu de même. L'existence de troubles de la
sensibilité
générale, au défaut d'au- tres stigmates hystér
il est logique de proposer la même explication pour les troubles de
sensibilité
rencontrés dans l'hémiplégie corticale des enfant
cause organique. Le plus souvent d'ailleurs des troubles divers de
sensibilité
et autres stigmates d'hystérie se surajou- tent
d'ordinaire un ictus, quelquefois de l'aphasie, les troubles de la
sensibilité
seront com- plètement absents et la paralysie p
réflexes tendineux, où le début a été brusque et spon- tané, où la
sensibilité
s'est maintenue intacte ; mais ce sont là des cas
rties profondes, elle se manifeste également pour tous les modes de
sensibilité
et s'accompagne de la perte du sens musculaire. S
uoique ce ne soit pas un début ordinaire, et de par les troubles de
sensibilité
qui accompagnent cette monoplégie. Plus tard, l
llent un sourd grognement. ne faut pas songer il la faire écrire.
Sensibilité
intacte. Aucun stigmate d'hystérie ne peut être c
aisamment à ce qu'on exige d'elle. Examinée au point de vue de la
sensibilité
, on peut la pincer avec les doigts, la piquer a
ie, le début brusque du mutisme, ses caractères, les troubles de la
sensibilité
et peut-être même les attaques convulsives. M
ue les doigts, bien qu'ils soient encore engourdis, ont recouvré la
sensibilité
du contact ; 3° que les phlyc- tènes ont dispar
ère' phalange de ces doigts n'offre qu'une notable diminution de la
sensibilité
. Mais, au ni- veau des deux dernières phalanges
l'aneslhésie est absolue, totale et porte \ sur les trois modes de
sensibilité
, à la température, à la douleur et au con / tac
re jeune malade, est aussi atteinte, mais moins complètement que la
sensibilité
; les muscles de l'éminence thénar parais- sent
e, pour compléter l'histoire de notre malade, un certain de- gré de
sensibilité
de la cicatrice antibrachiale, mais rien de'cettè
re pre- mier opéré, au contraire, la cicatrice ne présentait aucune
sensibilité
. En résumé, ce second malade nous présente : :
ous présente : : I° des troubles trophiques ; 2° des troubles de la
sensibilité
; 3° des troublés de la motilité., et cela dans
iblesse et atrophie du mem- bre. Il y a abolition complète de toute
sensibilité
. Dans la syringomyélie, on observe aussi des tr
rieures que s'étendra le pro- cessus gliomateui, et des troubles de
sensibilité
spéciaux en seront la con- séquence. Les trou
nsibilité spéciaux en seront la con- séquence. Les troubles de la
sensibilité
ont un caractère spécial ; ils sont dissociés,
re spécial ; ils sont dissociés, c'est-à-dire qu'il y a perte de la
sensibilité
à la douleur et à la tempéra- ture, avec conser
ibilité à la douleur et à la tempéra- ture, avec conservation de la
sensibilité
du tact. C'est ce que M. Charcot a appelé la di
st ce que M. Charcot a appelé la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. Quand la lésion gagne en outre les cordons pos
d la lésion gagne en outre les cordons postérieurs de la moelle, la
sensibilité
est com- plètement abolie sous ses trois formes
- sans de la réalité se fondent sur ce qu'il y a dissociation de la
sensibilité
dans la syringomyélie et au contraire perte abs
a maladie de Morvan ; nous avons vu d'autre part que la perte de la
sensibilité
est quelquefois totale dans le syringomyélie. I
ns les névrites consécutives aux traumatismes, les trou- bles de la
sensibilité
sont généralement distribués par territoires nerv
er la main et le 13 août tout panse- ment est supprimé. Quanta la
sensibilité
, complètement disparue au moment de l'opération,
r très manifeste de cette fonction : depuis lors, les progrès de la
sensibilité
ont été lents, mais constants. ' Le 24 octobre,
ns celte main, et les muscles se sont reformés. L'exploration de la
sensibilité
est intéressante : à la piqûre, on trouve la '1
n de la sensibilité est intéressante : à la piqûre, on trouve la '1
sensibilité
normale partout sauf au niveau des deux phalanges
a cicatrice terminale ont ten- dance à disparaître. Le retour de la
sensibilité
poursuit sa marche toujours ) lente, mais progr
tion I. Tabès dorsal. Troubles de la station, de la marche et de la
sensibilité
. A1,thropathies multiples. (Notes recueillies
Les réflexes patellaires sont totalement.abolis. Les troubles de la
sensibilité
sont trèsmarqués. Ce sont des douleurs fulguran
. Sensation de sable à la plante des pieds, avec froid habituel. La
sensibilité
tactile est partout normale, sauf au pied droit
leur (piqûre, pincement) est abolie aux deux membres inférieurs. La
sensibilité
thermique est pervertie également aux membres i
rantes des extrémités inférieures ont sensiblement diminué, mais la
sensibilité
tactile est fortement émoussée, presque abolie
ssée, presque abolie à la plante des pieds. Il en est de même de la
sensibilité
à la douleur. La notion de la position des memb
re et supé- rieure (signe de l'orbiculaire. L. Revilliod) (1). La
sensibilité
est très diminuée dans le domaine du trijumeau ga
es sont normales. Les réflexes patellaires complètement abolis. Les
sensibilités
subjectives et objectives normales. Sueurs froi
: les réflexes rotuliens sont abolis : pas d'épilepsie spinale. La
sensibilité
au contact et à la douleur est conservée partou
nsibilité au contact et à la douleur est conservée partout; mais la
sensibilité
à la température est fortement diminuée sur les
le début brusque de l'affection, la superposition des trou- bles de
sensibilité
conjonctivale et cornéenne et de l'amaurose (Gill
uperposition des troubles moteurs hystériques et des troubles de la
sensibilité
de la région oculo-palpébrale, depuis la conjonc-
s. Réflexes rotuliens conservés. Pas de troubles sphinc- tériens.
Sensibilité
normale à la peau. Attitude hostile à tout exam
it ma- lade accuse de la rachialgie avec courbature généralisée. La
sensibilité
reste normale sur toute l'étendue do la peau.
LA SALPÊTRIÈRE. sociation sensitive très nette (conservation de la
sensibilité
au contrat coïn- cidant avec la perle des sensa
nsitifs (fig. 9, 10). Tête et con. Sensiblité tactile nor- male. La
sensibilité
à la piqûre est également conservée sauf au somme
le front, au-dessus des arcades sourcilières. Tronc. Les diverses
sensibilités
sont normales. Au pli fessier droit le malade a
Au pli fessier droit le malade a eu une eschare ; il ce niveau, la
sensibilité
au contact est con- servée. Mais il existe de l
émité supérieure du pouce et de l'index. Membre inférieur droit. La
sensibilité
au contact persiste partout, mais le malade est
e, l'autre en arrière, un peu au-dessus de la région rotulienne. La
sensibilité
des muqueuses est normale. Organes génitaux.
celte résistance soit assez exactement superposée aux variations de
sensibilité
. La sensibilité électro-musculaire est normale.
soit assez exactement superposée aux variations de sensibilité. La
sensibilité
électro-musculaire est normale. II Telle étai
tenu en observation depuis le mois d'août 1892. Le 26 septembre, sa
sensibilité
, explorée minutieusement, fournissait le schéma
esthésiques étaient entourées de zones d'altération graduelle de la
sensibilité
. En novembre, B..., qui avait quitté l'hôpital
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sociation syringomyélique très nette de la
sensibilité
sur les membres supé- rieurs, le tronc, le crân
s Cen- tl'alblatt, 4 août 1884. (2) Quinquand. Les troubles de la
sensibilité
chez les lépreux, Bull. de la Soc. franc, de De
communication de lI. Chauffard. - Charcot fils. Dissociation de la
sensibilité
dans les traumat. des nerfs. Soc. de biol. séan
se manifeste, dans la majorité des cas, que par des troubles de la
sensibilité
du côté de la face et des muqueuses, les accide
énomènes spasmodi- ques quelconque, pas de troubles grossiers de la
sensibilité
, pas de dou- leurs rachidiennes spontanées ou p
éflexe du poignet également diminué à droite. Pas de troubles de la
sensibilité
au loucher, même pas de retard. Cepen- dant à l
ici que d'une petite série de faits. Par contre les troubles de la
sensibilité
aux membres inférieurs ne paraissent pas fréque
les membres inférieurs étaient complètement insensibles, et que la
sensibilité
est revenue au bout de quelque temps. En nove
ouvel érysipèle elles redeviennent aussi impotentes qu'au début. La
sensibilité
reste intacte sous tous ses modes ; mais le mal
lume évidente des thénars et hy- pothénars. Pas de troubles de la
sensibilité
sauf une légère hypoesthésie dans tout le côté
te période prodromique consiste es- sentiellement en troubles de la
sensibilité
: douleurs rachidiennes plus ou moins irradiées
s fermes, que celles du membre inférieur gauche. Pas de troubles de
sensibilité
. La malade ne peut marcher qu'en s'appuyant sur
reins : il ne souffre aucunement clans les membres inférieurs. La
sensibilité
objective est absolument normale sous tous ses mo
aux poignets, mais le malade n'y accuse ni faiblesse ni douleur. La
sensibilité
y est également normale. Rien dans le domaine d
al. Il n'existe pas d'atrophie musculaire, ni le moindre trouble de
sensibilité
aux membres ; mais à la face, il y a une hypoeslh
upérieurs ; il n'y a pas la moindre ataxie, même les yeux fermés.
Sensibilité
. Troubles subjectifs : La malade a des douleurs d
gts (deux derniers de la main gauche surtout). Les troubles de la
sensibilité
objective sont beaucoup moins importants. Le co
senti et localisé. On note seulement une légère di- minution de la
sensibilité
à la piqûre et à la température : A gauche, dans
comme symptôme pré- curseur que de légers troubles subjectifs de la
sensibilité
dans les mem- bres inférieurs, tels que des eng
é, 2 ans avant les accidents médullaires. Début par des troubles de
sensibilité
dans les membres iifé)-ieiiis et tle l'iiieoiiii)
du monde à s'as- seoir et à se retourner sans aide dans son lil.
Sensibilité
. Le contact, la douleur, la température sont perç
a paralysie motrice, surtout à gauche. Les troubles objectifs de la
sensibilité
sont très accentués maintenant, taudis qu'ils f
ais sur un ensemble de stigmates physiques tirés des troubles de la
sensibilité
, de la marche de la température, au-dessus de t
et qu'il existe presque delà trépidation spinale. Les troubles de
sensibilité
sont toujours relativement légers, parfois même
insignifiants, très limités, se bornent à un mode quelconque de la
sensibilité
. La parésie vésicale qui est constante, et qui
deur spasmodique du membre inférieur droit. Diminution légère de la
sensibilité
dans le membre inférieur gauche, im- puissance
et assez vite. Pas d'incoordination, pas de signe de Romberg. La
sensibilité
est fort peu intéressée ; d'abord le malade ne so
dans lajambe (sur- tout à gauche). Objectivement on constate que la
sensibilité
tactile est absolument conservée partout. Seule
est parfaitement reconnu ; mais.il y a une légère diminution de la
sensibilité
il la piqûre sur la face dorsale du pied droit.
embres supérieurs ne présentent aucun trouble du mouvement et de la
sensibilité
; les réflexes tendineux y sont normaux. Pas de
de la sensibilité ; les réflexes tendineux y sont normaux. Pas de
sensibilité
de la colonne vertébrale. Aucune anomalie dans le
parésie vésicale plus prononcée du côté droit ; les troubles de la
sensibilité
objective se bornent à une paresthésie au froid s
'atrophie des muscles ; les réactions électriques sont normales. La
sensibilité
est absolu- ment intacte, sous tous ses modes,
ne persiste. Aux membres supérieurs, la motilité est parfaite, la
sensibilité
est normale. Mais on constate une exagération t
solument typique. Dans d'autres cas, alors même que les troubles de
sensibilité
de la pé- riode prodromique sont moins caractér
tations électriques. Il n'existe pas de troubles appréciables de la
sensibilité
: le contact, la tem- pérature, la douleur, son
rtants, les douleurs peu intenses, et les troubles subjectifs de la
sensibilité
absolument nuls, du moins à l'époque où nous av
ie légère accompagnée de spasmepresque dès le début. Troubles de la
sensibilité
et troubles du côté des sphincters extrêmement
paraplégie) paraplégie spasmodique très accentuée sans troubles de
sensibilité
et sans troubles vé- sicaux. Exagération notabl
provoqués dans les différents segments des membres inférieurs. La
sensibilité
des membres inférieurs est absolument intacte par
Il n'existe pas la moindre atrophie ni la moindre perversion de la
sensibilité
objective aux membres supérieurs. Le réflexe
e état. Même dé- marche spasmodique, môme absence de troubles de la
sensibilité
aux membres inférieurs, même exagération des ré
tard de con- tracture comme précédemment. Quant aux troubles de la
sensibilité
, ils (1) UeberHlickenmarksyphiiis (TVienel' Ifl
ont le siège d'une anesthésie qui peut porter sur tous les modes de
sensibilité
, plus ou moins profonds, rarement absolue cepen
complet dans l'ob- servation VIII. Les troubles subjectifs de la
sensibilité
s'accentuent en proportion : dou- leurs en cein
dans l'espace de quelques jours, avec paralysie du momement, de la
sensibilité
, des sphincters, décubitus, etc.. Il reste encore
solue. L'anesthésie est complète dans le membre inférieur droit; la
sensibilité
est conservée du côté gauche. Pas do fièvre. La
ensuite. La période prodromique est marquée par des troubles de la
sensibilité
en relation avec la méningite spinale. Ceux-ci
u- coup de difficulté à parler, sa langue étant comme empâtée. La
sensibilité
n'a pas été examinée. 24 heures après cet accid
t subitement guéri de sa paralysie : il put se lever et marcher. La
sensibilité
, très obtuse auparavant, était revenue. vi. ' 2
en que le testicule lui-même; 3° Point pseudo-ovarien à gauche. .
Sensibilité
. Profonde, affaiblie dans tout le côté gauche à l
mmodation normal donc surdité nerveuse. Le 7 mai 90, l'examen de la
sensibilité
permet de constater la dissociation sy- ringomy
l'autre côté. Autrement je m'en rapporte à M. Heddens, selon qui la
sensibilité
de réflexe des yeux est liée évidemment à des f
aug- mentée. Les réflexes rotnlien et plantaire sont conservés, la
sensibilité
douloureuse aussi. Les tissus cutanés sont secs
xtrémités inférieures diminue considérablement. Le gonflement et la
sensibilité
de l'articulation cubitale diminuent aussi et l
moitié gauche du corps (bras, jambe, face). (Côté hémiplégie). La
sensibilité
est bien conservée sur tout le côté droit. (Côté
douleurs sont plus vives les jours de pluie, et surtout d'orage. La
sensibilité
est conservée il peu près intégralement dans tous
se d'épuisement rapide, et qui affecte profondément le malade. La
sensibilité
générale est aussi atteinte et ses altérations se
dans la myopathie, type Landouzy-Dejerine, 1. Renaudot, 57, 58.
Sensibilité
, dans la lèpre systématisée, 9, 10, 11, 12, 13,
surface arrondie. A ce niveau la pression détermine une cer- taine
sensibilité
. Les malléoles sont très développées ; on note
em- bres inférieurs. Réflexes rotuliens normaux. Pas de troubles de
sensibilité
appréciables tout au moins, car l'infiltration
11\.1N'l'ES. cc) Les hallucinations négatives en ce qui concerne la
sensibilité
de la peau. En suggérant l'hémianesthésie du cô
de coups ». On ne constate pas d'anomalies dans les divers modes de
sensibilité
, mais il existe une hyperesthésie très vive dan
rteils, chaque fois que le membre se porte péniblement en avant. La
sensibilité
est conservée dans le membre inférieur gauche ; i
oint. A droite, c'est-à-dire du côté où le mouvement est intact, la
sensibilité
au frôlement, au contact, il la pression persis
sensibilité au frôlement, au contact, il la pression persiste ; la
sensibilité
à la dou- leur, à la chaleur et au froid est ab
e pas de zone d'hyperesthésie. Les résultats de l'exploration de la
sensibilité
thermique n'ont pas été absolument cons- tants
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. seule perçue. Dans d'autres examens, la
sensibilité
thermique était abolie là comme ailleurs, d'une
troubles objectifs, la malade accuse des troubles subjectifs de la
sensibilité
: au niveau de l'hypochondre et du flanc gauches,
cela, il n'existe dans ceux-ci rien d'anormal con- cernant soit la
sensibilité
, soit la motilité. Le sens musculaire est conse
n sur le pied droit que sur le pied gauche, mais en sens inverse.
Sensibilité
. La malade se plaint souvent de crampes d'estomac
nd la cépha- lée est très forte sa vue se trouble quelquefois. La
sensibilité
au tact, à la douleur et à la température est bie
nglée ». Sens. Ouïe, odorat, goût normaux. OEil : Vision normale.
Sensibilité
conjonctivale un peu affaiblie à droite. Pas de
ladies vénériennes. Etat actuel (avril 1894). Pas de troubles de la
sensibilité
objective ou subjective ; pas de troubles vésic
MPAGNÉE DE RÉACTIONS ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE , . TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
. (I). ' a , ' " I Nos connaissances sur les a
s muscles. Fig. 33. 190 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
Sensibilité
. Hyperesthésie légère généralisée, également marq
en est très facile. / Le 18 mars 1891, j'ai constaté une certaine
sensibilité
douloureuse dans (1) L'auteur entend par « réac
RIGINE NERVEUSE (1) AIITIIIIOPATIIIES NERVEUSES ET TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
(2). Messieurs, Plusieurs cas d'arlliropalhie
gagent à vous parler de l'influence immédiate des altérations do la
sensibilité
en général sur les troubles de la nutrition des t
as que si les symptômes du labes consis- tent en des troubles de la
sensibilité
et de la motilité, la proportion de ceux-ci et
ue totalement défaut; il en est d'autres où les modifications de la
sensibilité
, de quelque nature qu'elles soient, n'ont qu'une
éuumèrc, quel- ques-uns doivent être rapportés à des troubles de la
sensibilité
musculaire, aucune autre forme de sensibilité n
à des troubles de la sensibilité musculaire, aucune autre forme de
sensibilité
n'est compromise. La vision, l'audition, le tac
(roubles trophiques sont toujours secondaires ; les troubles de la
sensibilité
sont tou- jours les premiers en date. Nous exam
e inters- Pas de lésions du fond de l'oeil. Au point de vue de la
sensibilité
objective, anesthésie complète dans les deux pi
ant pas élever ses bras jusqu'à l'horizontale. Les troubles de la
sensibilité
cutanée objective ne sont pas plus marqués au n
uit. Les points de la peau où siégeaient ces douleurs étaient d'une
sensibilité
exquise. Et mal- cette hyperesthésie, il n'y av
ni troubles Irophiqucs ou vaso- moteurs, ni amyotrophie notable. La
sensibilité
objective est conservée, mais les sensations th
s le petit doigt et dans la région cubitale des deux avant-bras. La
sensibilité
cutanée est normale sur toute la surface du cor
é la déformation des doux genoux ne peut être recherché. Quoique la
sensibilité
de cette région soit intacte, le réflexe planta
antérieurs atro- phie musculaire et postérieurs dissociation de la
sensibilité
ne sont pas (1) Flatow. Thès. de Berlin 1888, -
x zones cutanées peu étendues présen- tant de la dissociation de la
sensibilité
. Dans deux observations de Graf l'arthropathie
alpation de l'articulation, en un mot aucun trouble subjectif de la
sensibilité
. Nous verrons que par contre il existe souvent
re il existe souvent dès celte période des troubles objectifs de la
sensibilité
. Le gonflement gardait un peu l'em- preinte du
ent atrophié et le hord antérieur de l'aisselle il peine marqué. La
sensibilité
est la mémo des deux côtés. La malade est de ta
i la triade symptomatique : atropine musculaire, dissociation de la
sensibilité
et troubles trophiques, est nécessaire pour établ
ure de l'épaule ; normale sur le reste du bras droit'et du corps.
Sensibilité
ci la chaleur, examinée avec le tttermo-estliésom
la l'ace palmaire des doigts et de la main ; sur le dos de la main,
sensibilité
retardée à 80° ; non perçue à 50°. Avant-bras,
main, sensibilité retardée à 80° ; non perçue à 50°. Avant-bras,
sensibilité
abolie à 50°, face interne insensible il 40°; le
ensible il 40°; le reste du bras et l'épaule est sensible à 35°. La
sensibilité
du reste du corps il la chaleur est normale.
35°. La sensibilité du reste du corps il la chaleur est normale.
Sensibilité
au froid (glace). Complètement abolie sur la face
bien la position donnée il la main, il l'avant-bras et au bras. La
sensibilité
des muqueuses paraît normale. Les réactions ocu
t un peu paresseuses. Pas de rétrécissement de la fente palpébrale.
Sensibilité
faradique (examinée avec le pinceau métallique).
0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Aucun phénomène bulbaire;
sensibilité
et motilité de la face normales. Pas de nystagm
la laxité de l'épaule paraît un peu diminuée; la distribution de la
sensibilité
parait également légèrement modifiée, la sensibil
ribution de la sensibilité parait également légèrement modifiée, la
sensibilité
tactile et esthési- que est améliorée au niveau
ras. Rossolimo et Kojevnikotr (1) ont signalé la dissociation de la
sensibilité
dans l'hystérie; mais dans le cas actuel, il y
rite périphérique on ne voit pas généralement de dissociation de la
sensibilité
; toutefois plusieurs auteurs (2) ont signalé des
signalé des cas de né- vrite périphérique où la dissociation de la
sensibilité
à type syringomyéli- que existait. Dans la névr
é de biologie, 10 décembre 1892. (3) VERIIOOGEX. Dissociation de la
sensibilité
dans un cas de lésions des nerfs du plexus brac
LIE ATYPIQUE 271 Mentionnons la lèpre nerveuse ; les troubles de la
sensibilité
, les lésions trophiques, des amyotrophies exist
o-scio- lose, la marche lente de l'affection, la dissociation de la
sensibilité
excluent l'atrophie musculaire progressive et l
Notre malade présente plusieurs signes de la maladie de Morvan : la
sensibilité
tactile qui est presque abolie au niveau de la fa
ntanée fait t défaut. Nous n'avons pas trouvé la dissociation de la
sensibilité
localisée à l'articulation, signalée par J.-B.
, thèse de Paris, 1892. ARTHROPATHIES NERVEUSES ET TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
(1) (Suite et fin). Les arthropathies ne sont
: Existe-t-il un rapport constant entre le siège des troubles de la
sensibilité
en général et celui des altérations trophiques
cet égard, je dois vous rappeler, Messieurs, ce que l'on entend par
sensibilité
. Ne croyez pas que je veuille vous ramener au r
moins elle me permettra, à moi, de me faire mieux comprendre. La
sensibilité
n'est pas seulement une propriété des organes des
commune ,'1 toutes les parties vivantes, sans exception. Quel- ques
sensibilités
viscérales sur lesquelles je reviendrai bientôt v
e la façon suivante cette propriété absolument générale. « C'est la
sensibilité
provoquée ou spontanée que présentent les tissus
t assurément trop vagues ; peut-être serait-il pré- férable de dire
sensibilité
organique ou histologique. Comme je n'ai pas la p
technique, convenons d'appeler, si vous y consentez provisoirement
sensibilité
organique celle qui ne nous est fournie par auc
q sens spéciaux. Tout d'abord, un premier point est à élucider : La
sensibilité
organique est- elle consciente ? Il est certain
tons plus les vêtements qui nous couvrent; et inversement, si notre
sensibilité
est émoussée ou lésée, nous savons quelles sens
if : c'est comme s'il voyait tout, comme s'il retenait tout, car la
sensibilité
de la plaque imprégnée de sel d'argent est infi
grand nombre de viscères, de membranes, de tissus sont dépourvus de
sensibilité
il l'étal sain. Leur sensibilité ne paraît s'év
ranes, de tissus sont dépourvus de sensibilité il l'étal sain. Leur
sensibilité
ne paraît s'éveiller qu'a l'état morbide. Par e
les gaines tendineu- ses sont assez riches en filets nerveux et la
sensibilité
du tendon est emprun- tée à la synoviale. On en
supposer un processus inflammatoire pour concevoir et af- firmer la
sensibilité
des organes profonds. Si l'anatomie normale et l'
ous démontrer le trajet et la distribution des conducteurs de cette
sensibilité
, la clinique toute seule y suffirait. Et ici, p
de signaler, viennent à l'appui de ce qui précède. Si nos multiples
sensibilités
organiques peuvent s'exaspérer dans l'état morb
qui correspond à la parfaite santé, se réveille en nous soudain la
sensibilité
viscérale endormie, cette sensibilité dont nous
e réveille en nous soudain la sensibilité viscérale endormie, cette
sensibilité
dont nous avons dès l'origine perdu le souvenir s
instant, vous vous expliquerez mieux cette aberration morbide de la
sensibilité
musculaire. Retenez seulement que la fatigue es
tigués, mais sans la sensation de fatigue préalable. Les fibres de la
sensibilité
musculaire, chargées de donner l'éveil, n'ont p
alité du sujet. Mais il existe bien d'au- tres perturbations de nos
sensibilités
organiques auxquelles les mômes consi- dération
des troubles scnsitivo-sensoriels. J'en pourrais dire autant de la
sensibilité
des voies respiratoires si gravement affectée d
des zoopbytes, nos vrais premiers parents. La résultante de tant de
sensibilités
ignorées s'appelle encore dans le langage de l'Ec
norées s'appelle encore dans le langage de l'Ecole, cénesthésie, ou
sensibilité
commune (7.o ! 11à, commun, li ! irrel1tn" sensat
phérique excessive, transmise par les conducteurs centripètes de la
sensibilité
commune, la moelle répondra par un mode d'activit
deux mémoires d'une conception fort ori- ginale à l'influence de la
sensibilité
organique sur les troubles trophiques d'o- rigi
e des notions que j'empruntais antérieurement à Beaunis touchant la
sensibilité
organique. L'ingérence des altérations primitives
93, p. ICI. vu 19 282 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE E
sensibilité
dans l'étude des dystrophies tabétiques est donc
e dans le labes moteur, les cylindraxes sub- sistants conduisent la
sensibilité
sensitivo-sensorielle et la sensibilité organique
sub- sistants conduisent la sensibilité sensitivo-sensorielle et la
sensibilité
organique. Nos procédés d'investigation sont ma
a dégénération ; dans le tabès moteur, ce seraient les fibres de la
sensibilité
réllexe : dans le tabes complet, ce seraient les
posé, re- lativement aux rapports réciproques des altérations de la
sensibilité
et des troubles trophiques, inc semble plus fac
nt des muscles puissants quand bien même il a perdu complètement la
sensibilité
musculaire proprement dite. Un malade atteint d
IES SYRINGOMYÉLIQUES [Suite et fin) (1). Troubles objectifs de la
sensibilité
. Dissociation localisée et corrcorrri- tante. P
qui soit associé à l'artliropathie, à savoir la dissociation, de la
sensibilité
. Il existe une superposition très remarquable et
l'arthropathie et de la loca- lisation de ce trouble objectif de la
sensibilité
. Dans l'observation si inté- ressante de J.-B.
omènes. Dans celle de J. M. Charcot et Dutil, la dissociation de la
sensibilité
n'existait qu'au niveau des deux zones, précisé
esthésie de la peau et des parties profondes. Pour ce qui est de la
sensibilité
cutanée, la règle quoique générale ne parait pa
Dans le troisième cas de Graf on trouve notée la conservation de la
sensibilité
il la température au genou gauche affecté depuis
chaleur. On trouvait d'ailleurs chez ce malade une diminution de la
sensibilité
il la douleur et à la température aux deux jamb
n'y avait pas non plus superposition de trou- bles objectifs de la
sensibilité
et de l'arthropathie (hanche droite). La sensib
bjectifs de la sensibilité et de l'arthropathie (hanche droite). La
sensibilité
des parties profondes a pu être appréciée lors de
éclairent la pathogénie de l'affection. Troubles subjectifs de la
sensibilité
. - 'Troubles vaso-moteurs. - Nous avons noté la
entre i'arthropathie d'une part, l'analgésie et les troubles de la
sensibilité
thermique d'autre part. Chez le malade précéd
on entre les troubles trophiques d'une part (1), les troubles de la
sensibilité
la la douleur etn la température d'autre part. Il
a lèpre pour le même auteur les signes suivants : l'abolition de la
sensibilité
tactile ; l'atrophie et la parésie des muscles
nnes qu'elle n'atteint qu'exceptionnellement. La dissociation de la
sensibilité
est exceptionnelle dans la lèpre et quand elle ex
. Enfin ou découvrit l'atrophie musculaire et la dissociation de la
sensibilité
(Fig. 79). Il faut savoir que la valeur de ce s
s le cas de J. M. Char- cot, serait la dissociation localisée de la
sensibilité
. Encore n'est-ce pas là un symptôme ressortissa
et les autres un peu limités) de l'articula- tion. La peau avait sa
sensibilité
normale, légèrement exagérée au niveau d'une ec
ote enfin une Ieérailchoesfleésae anclae, pour tous les modes de la
sensibilité
. Au membre supérieur, il y a une légère atrophi
de trépidation épileptoïdc. Il n'y a pas non plus de troubles de la
sensibilité
du côté paralysé. Le contact y est aussi bien p
e contact y est aussi bien perçu qu'à gauche. Pourtant peut-être la
sensibilité
à la douleur est- elle légèrement diminuée il l
main droite. Il n'existe pas non plus de troubles subjectifs de la
sensibilité
, engourdissement ou autres. Avec les symptômes
inférieur droit présentait sa motilité normale. Les troubles de la
sensibilité
, caractérisés par de l'anes- thésie et de l'ana
ésie manifeste, aussi intense pour le froid que pour la chaleur. La
sensibilité
il la pression profonde était, il droite et à g
s, qui étaient de consistance normale. Pas de turgescence du pénis,
sensibilité
testiculaire conservée. J'intervins le 11 mai,
contact simple. Les réflexes plantaires ont complètement reparu. La
sensibilité
vésicale à la distension a des tendances à repara
5 fonctionnement de la vessie était devenu tout il fait normal ; la
sensibilité
. de la vessie et de l'urèthre avaient reparu. S
temps le membre supérieur gauche qui pendant le décubitus avait sa
sensibilité
et sa température normales deve- nait le siège
es, par T. Savill, 184. Arthropathies nerveuses et troubles de la
sensibilité
, par E. BI11SSAUD, 209, 273. Arthropathie tabét
te sous- optique, 99. Arthropathies nerveuses et troubles de la
sensibilité
, 209, 273. BRISSAUD et A. Souques. Délire de ma
ratifs, et exfoliatifs, d'Am- broise Paré, 38, 39. Troubles de la
sensibilité
après traumatisme rachidien, 94, 95, 97, 98.
u- tion robuste et après avoir minutieusement exploré chez lui la
sensibilité
générale, il me fut impossible de retrouver une
le pédon- cule un trajet distinct de celui des autres fibres de la
sensibilité
Archives, 2' série, t. IX 3 34 4 REVUE CRITIQ
situé en avant du faisceau sensitif pro- prement dit attribué à la
sensibilité
tactile, et répondant par suite en avant au fai
ochensclu ift,18û3, il - 2L) 3 Loco cilato 36 REVUE CRITIQUE.
sensibilité
générale dans l'hémiplégie cérébrale et admet lui
épendance relative des troubles du sens musculaire et de ceux de la
sensibilité
tactile. Claparède 1 écrit dans ses conclusions
de ces auteurs qui admettent la grande fréquence des troubles de la
sensibilité
générale et du sens musculaire dans les hémiplé
r 3 et nous sommes arrivé à cette conclusion que les troubles de la
sensibilité
générale 1 hoc. cil., p. 133. ! Wladimir Murato
logischen Cecilrcclblall, 1898.) 3 Henri Verger. Les troubles de la
sensibilité
générale dans l'hémiplé- gie cérébrale vulgaire
musculaire ont une importance beaucoup plus grande que ceux de la
sensibilité
tactile. C'est là surtout ce qui paraît acquis en
u sens musculaire est inséparable de celle de la localisation de la
sensibilité
générale. Le sens musculaire est plus ou moins
du reste inexact de croire que dans les processus perceptifs de la
sensibilité
mus- culaire comme aussi de la sensibilité tact
ocessus perceptifs de la sensibilité mus- culaire comme aussi de la
sensibilité
tactile tout doit se passer dans l'écorce rolan
ar le palper seul reconnaît la mise en jeu de plusieurs modes de la
sensibilité
générale dont chacun permet de constater une pr
c un affaiblissement concomitant d'un des modes quelconques de la
sensibilité
générale, et inversement il pouvait être aboli ma
t inversement il pouvait être aboli malgré l'intégrité complète des
sensibilités
à la chaleur, au contact et à la température de
la notion du toucher actif dépend à la fois de tous les modes de la
sensibilité
musculo-tactile elle ne dépend complè- tement d
éréognos- tique était seul aboli, toutes les autres modalités de la
sensibilité
tactile et musculaire étant intactes. Mais il s
ésion assez importante. Dans les études que nous avons faites de la
sensibilité
des hémi- plégiques, c'est une des modalités se
git en somme d'une spécialisation plus haute et plus complexe de la
sensibilité
musculo-tactile de la main et des doigts, il est
iques de cette affection, et, d'autre part, avec les troubles de la
sensibilité
à la douleur et au loucher et les troubles du s
érescence partielle du médian; b) névrose ; troubles nombreux de la
sensibilité
par action centrale (inhalations) ; neurasthéni
r âge et ayant pour but l'éducation méthodique de la volonté, de la
sensibilité
, de l'intel- ligence et du sens moral. Contre l
énérescence parenchymateuse atro- phique centripète des neurones de
sensibilité
, suivie de sclérose. Dans ces conditions, et la
plégie, mais seulement une légère faiblesse musculaire à gauche, la
sensibilité
au tact et à la tempé- rature sont indemnes, ma
hiques. Notons encore que le malade n'offrait aucun trouble de la
sensibilité
et que l'exploration des organes de la poitrine e
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Dissociation syringomyélitique de la
sensibilité
dans les myé- lites transverses; par L. Vlmoa.
e zone parfois fort large de dissociation syryngomyé- litique de la
sensibilité
; c'est la conservation de la sensibilité tactile
syryngomyé- litique de la sensibilité; c'est la conservation de la
sensibilité
tactile contrastant avec la perte de la sensibi
servation de la sensibilité tactile contrastant avec la perte de la
sensibilité
à la douleur et à la température, dans les segm
. P. KERA VAL. XIV. Contribution à la connaissance du trouble de la
sensibilité
de Bernhardt ; par ADLER. (Neurolog. Crntm'Lbl.
R. (Neurolog. Crntm'Lbl., XVII, 1897.) Observation de trouble de la
sensibilité
de Bernhardt à la cuisse ; par A. GOOD. (Neurol
s, après quinze mois, il reste encore des trou- bles évidents de la
sensibilité
, mais pas de douleurs. IEadVAL. P. KERAVAL. X
de la sensibilité, mais pas de douleurs. IEadVAL. P. KERAVAL. XV.
Sensibilité
à la douleur de la peau ; par 0. nlOTSCHU7KO\VSK1
bilité à la douleur entre 0,15 et 1,5 millimètre. Le centre de la
sensibilité
douloureuse la plus faible est la peau du bassin.
tête et jusqu'aux doigts, en bas jusqu'aux orteils. La plus grande
sensibilité
est dévolue à la peau du front, près la limite
établissant les détails des régions chez l'homme et la femme. La
sensibilité
tactile n'est pas parallèle au degré de la sensib
la femme. La sensibilité tactile n'est pas parallèle au degré de la
sensibilité
douloureuse. Plus la peau est mince, plus sa se
egré de la sensibilité douloureuse. Plus la peau est mince, plus sa
sensibilité
est grande. Mais le degré de la sensibilité dou
peau est mince, plus sa sensibilité est grande. Mais le degré de la
sensibilité
douloureuse n'est pas partout inver- REVUE D'AN
limètres suffisent. Entre l'épaisseur de la peau, d'une part, et la
sensibilité
tactile et douloureuse, d'autre part, il n'y a
s passer en revue tous les éléments et tous les modificateurs de la
sensibilité
douloureuse. Il faut lire ce mé- moire. D'autan
e. P. KERAVAL. XIX. Contribution à la connaissance du trouble de la
sensibilité
de Bernhardt; par M. DE N,\RTOWK ! . (Neurol. C
examen. P. Keraval. XXV. Le tricho-oesthésiomètre électrique et la
sensibilité
du sys- tème pileux du corps; par W. DE Bechter
fréquents), et à la région, du pubis ou au pourtour de l'anus. La
sensibilité
plus faible sur la peau de la face, plus encore
poils, mais, par contre, extrêmement tactiles. L'intensité de la
sensibilité
des poils est en raison de la finesse et de l'é
duites par les vibrations des poils mêmes. La répartition de cette
sensibilité
ne correspond pas du tout à celle de la sensibili
tition de cette sensibilité ne correspond pas du tout à celle de la
sensibilité
tac- tile ; elle représente une qualité spécial
sensibilité tac- tile ; elle représente une qualité spéciale de la
sensibilité
cutanée tout à fait différente de celle du tact
dans les cas pathologiques, qu'elle a parfois disparu, alors que la
sensibilité
tactile est conservée, qu'en revanche elle peut ê
conservée, qu'en revanche elle peut être exa- gérée, tandis que la
sensibilité
tactile et douloureuse est demeurée sans change
l'action des bromures et de l'atropine : les bromures diminuent la
sensibilité
des cellules corticales devenues hypéresthésiqu
ais le principe de la localisation des fonc- tions psychiques de la
sensibilité
et de l'intelligence est presque aussi vieux qu
atives à la structure et aux fonctions des organes de la vie, de la
sensibilité
et de la pensée, chez les premiers philosophes
e que ces centrés sont anatomiquement dis- tincts des centres de la
sensibilité
tactile ou générale et du sens musculaire. Exne
uciani, etc., il soutient que les centres de la moti- lité et de la
sensibilité
tactile se confondent. Les centres dits moteurs
é par l'anesthésie locale du larynx. La destruction des nerfs de la
sensibilité
entraîne la perte du mouve- ' ment des yeux, de
tions musculaires, ten- dineuses, articulaires, etc. Les centres de
sensibilité
kinesthési- que sont reliés avec les aires de l
lle de cette région et partant la paralysie de la motilité ou de la
sensibilité
. Ces mala- dies fonctionnelles sont donc causée
. La douleur n'est pas une sensation spécifique, mais un mode de la
sensibilité
générale. Toute sensation comporte un ton affec
cette sommation ne peut avoir lieu, comme dans la syringomyélie, la
sensibilité
tactile, musculaire, articulaire et vis- cérale
t toujours le même ordre d'évolution qui commence par celui de la
sensibilité
tactile, musculaire, aponévrotique, viscérale, si
e cons- tate ni troubles trophiques, ni troubles vaso-moteurs. La
sensibilité
cutanée est normale et égale partout au contact.
arquée, disséminées sur la moitié gauche du corps (flg. 4 et b). La
sensibilité
osseuse, arti- culaire, musculaire n'est pas al
ensibilité osseuse, arti- culaire, musculaire n'est pas altérée. La
sensibilité
viscérale, en particulier celle des testicules,
te toujours, puis disparait au bout d'une minute. Zoé a recouvré la
sensibilité
des orteils de son pied droit. 22. Sentez votre
Achille. z Ça ne me fait plus mal. - Réveil au bout d'une heure. La
sensibilité
sous tous les modes est restaurée. 21-31 murs.
ical : c'est lorsque la malade a recouvré à peu près entièrement la
sensibilité
de la cuisse, mais d'une façon plus complète à
raissent complètement dans la séance du 4 avril. 5. Je lui rends la
sensibilité
du bas-ventre, organes génitaux et périnée. La
la moelle. Les diverses sensations subjectives dues au retour de la
sensibilité
, et semblables il celles dues au [retour de la
ur de la sensibilité, et semblables il celles dues au [retour de la
sensibilité
du membre inférieur, sont accusées par la malade
paru. Le point de la colonne s'efface. Je réveille la malade : la
sensibilité
normale est revenue. 8. Resensibilisation du do
oé TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE. 217 recouvre rapidement la
sensibilité
du nez et du cou. Cette dernière fait disparaît
es seins, des muscles, de laçage osseuse thoracique. A noter que la
sensibilité
du sternum est la plus longue à être récupérée.
ssion. Je dois ajouter que la malade n'a définitivement recouvré la
sensibilité
de la poitrine que lorsque je lui ai rendu la s
couvré la sensibilité de la poitrine que lorsque je lui ai rendu la
sensibilité
de son cerveau. ' 2 mai. Resensibilisation de l
e de l'émotion provoquée par l'accident d'août 1896. La perte de la
sensibilité
de l'estomac et de la poitrine était un facteur
loureuses dans les parties du corps correspondantes; et, lorsque la
sensibilité
était devenue nor- male, les zones disparaissai
voir, dans des séances anté- rieures, déterminé un certain degré de
sensibilité
des deux organes, constamment, la malade a répo
ésire appeler l'attention. Lorsque je fais récupérer à ma malade la
sensibilité
de la poitrine, je note une amplitude respirato
illeurs que le poignet droit a été frac- turé. Les troubles de la
sensibilité
sont plus intéressants : du côté droit du corps
il existe une anesthésie totale, complète pour tous les modes de la
sensibilité
, tact, douleur, chaud, froid; le sens musculair
pour l'appareil digestif, selles muqueuses et sanglantes ; pour la
sensibilité
et la motilité : dysphagie, vision imparfaite,
entrique du champ visuel, conjonctive injectée, asthénopie motrice,
sensibilité
douloureuse des globes oculaires : diminution d
aphasie vraie ne se rencontre pas, sauf le cas de complications. La
sensibilité
géné- rale n'a pas été suffisamment étudiée dan
rd les membres inférieurs. A ceci s'ajoute de la dissociation de la
sensibilité
; l'atrophie musculaire revêt la forme syringom
uble de la contractilité électrique; il n'y a pas d'amyotrophie. La
sensibilité
est normale. Il en est de même des réflexes ten
ecousses de toutle corps, sans douleurs ni troubles objectifs de la
sensibilité
; à l'autopsie : ramollissement aigu de la face
ion, comme dans la précédente, on n'a pu noter aucun désordre de la
sensibilité
, c'est pourquoi l'auteur pense qu'on peut exclu
bres supérieurs, et notamment de la main droite. Dissociation de la
sensibilité
en demi-veste au bras droit et à la moitié droi
de névrite, à savoir, faiblesse et trouble de tous les modes de la
sensibilité
à type périphérique, sensibilité des trones ner
et trouble de tous les modes de la sensibilité à type périphérique,
sensibilité
des trones nerveux et des muscles et certaine a
n des réflexes rotuliens. Clonus du pied gauche. Dissociation de la
sensibilité
aux membres supérieurs et au tronc. Anesthésie
che, du poignet et de l'avant-bras droit. Certaine diminution de la
sensibilité
thermique dans la moitié inférieure du tronc et
ssement physique et moral, ainsi qu'une oblitération complète de la
sensibilité
affec- tive. Elle se plaint d'avoir la tête lou
incoordination. Léger tremblement des doigts. Pas de troubles de la
sensibilité
subjective; sensibilité tac- tile, thermique, à
emblement des doigts. Pas de troubles de la sensibilité subjective;
sensibilité
tac- tile, thermique, à la douleur intactes ; p
n rapport intime avec le défaut de rétablissement de la fonction de
sensibilité
dans le territoire d'un nerf lésé ou suturé ; 2
ion des fibres nerveuses périphériques dans le rétablissement de la
sensibilité
dans le territoire d'un nerf lésé. J. SÉGL4S.
u du carpe. La main est contracturée et ne possède aucune force. La
sensibilité
tactile est relativement conservée. G. D. VII
niveau des quatre membres d'une dissociation syringomyélique de la
sensibilité
, limitée par des lignes circulaires bien tranchée
bisme convergent de l'oeil droit. Pas de phénomènes acromégaliques.
Sensibilité
générale obtuse ; paresthésie auditive, olfactive
c'est-à-dire d'une individualité psychologique distincte, possédant
sensibilité
, discernement et volonté, à l'instar du centre
éral. Sa mère était une femme intelligente, douce, affable, d'une
sensibilité
exquise, d'une grande bonté. Bouchereau avait h
pide. Rien du côté de l'appa- reil respiratoire. A l'examen de la
sensibilité
, ce qui frappe tout d'abord, c'est une hypete.l
émoire avait beaucoup diminué ces derniers temps. En examinant la
sensibilité
, l'on trouve une hyper·estlu'sie très marquée a
icielle de la peau qui soit hyperesthésiée. Cette exagération de la
sensibilité
existe sur tout le corps, mais surtout au nivea
périphérique devient plus ou moins limitée. Il y a anesthésie de la
sensibilité
douloureuse et tactile de la peau des membres i
rotuliens élevés la conservation et même quelque hypérestésie de la
sensibilité
douloureuse cutanée dans les jambes, mais avec
core de temps en temps le sentiment de la constriction du tronc, la
sensibilité
douloureuse un peu émoussée de la peau des extr
musculaire; un arrêt de développement du squelette ; troubles de la
sensibilité
; trouble du sens musculaire ; attaques d'épile
le plus fortement atteint, et, comme la paralysie, le trouble de la
sensibilité
est surtout marqué sur l'extrémité supérieure ;
e de la sensibilité est surtout marqué sur l'extrémité supérieure ;
sensibilité
normale au thorax et au tronc. Si nous avions a
de la capsule interne se traduit surtout par' une affec- tion de la
sensibilité
tactile et du sens de la douleur à forme hémipl
le interne. Nous ne sommes donc pas en présence de trou- bles de la
sensibilité
tenant à l'altération des voies conductrices, n
rôle dans l'appréciation des mouvements passifs en rapport avec la
sensibilité
cutanée et la sensibilité musculaire. Il en est
s mouvements passifs en rapport avec la sensibilité cutanée et la
sensibilité
musculaire. Il en est de même pour les mouvements
e l'excitabilité électrique du nerf et du muscle, l'intégrité de la
sensibilité
objec- tive. Il se présente sous deux formes :
ique peut être perdu quand bien même toutes les autres formes de la
sensibilité
seraient conservées. POULARD. LXVI. Tumeur du
bles attribués à une atteinte des racines rachidiennes (troubles de
sensibilité
objective et subjective, faiblesse et atrophie mu
19 novembre 1899. D. DvoïTctOENKo. Contribution « la question de la
sensibilité
osseuse (avec présentation d'un malade). Lorsqu
apason vibrant fortement est perçu faiblement ou pas du tout. Si la
sensibilité
cutanée est abolie, le malade ne perçoit que le
rité des cas, on a constaté des troubles manifestes de ce mode de
sensibilité
; ces troubles coïncident souvent avec d'autres t
ubles coïncident souvent avec d'autres troubles des divers modes de
sensibilité
, mais parfois ils sont isolés, sans rapports av
parfois ils sont isolés, sans rapports avec d'autres troubles de la
sensibilité
. S. NALBANDOFF. Contribution à la symptomatolog
ysan) de la clinique atteint de syrin- gomyélie. Dissociation de la
sensibilité
en lorme de demi-veste (gauche). Arthropathie d
19 décembre t899. D. DVO1TCEENhO. Contribution ci la question de la
sensibilité
os- seuse.. La sensibilité vibratoire reste nor
EENhO. Contribution ci la question de la sensibilité os- seuse.. La
sensibilité
vibratoire reste normale dans toutes la affecti
ensibilité vibratoire reste normale dans toutes la affections où la
sensibilité
générale est intacte. Dans toutes les autres ma
ans toutes les autres maladies qui s'accompagnent de troubles de la
sensibilité
, on voit la sensibilité vibratoire se modifier
ladies qui s'accompagnent de troubles de la sensibilité, on voit la
sensibilité
vibratoire se modifier dans l'un ou dans l'autr
les affections du système nerveux périphérique, les troubles de la
sensibilité
cutanée et de la sensibilité vibratoire sont to
rveux périphérique, les troubles de la sensibilité cutanée et de la
sensibilité
vibratoire sont toujours concordanls et proport
De même dans les maladies de la moelle épinière avec troubles de la
sensibilité
cutanée on a toujours observé des troubles de l
de la sensibilité cutanée on a toujours observé des troubles de la
sensibilité
vibratoire. Dans les myélites, surtout dans les
ne concordance complète entre les troubles de ces deux espèces de
sensibilité
, tous les deux étant de caractère paraplégique. D
e l'insensibilité cutanée est en forme de veste, les troubles de la
sensibilité
vibratoire se manifestent aux parties sous-jace
quelette qui correspondent aux territoires de la dissociation de la
sensibilité
, la vibration du diapason se per- çoit de la fa
ssion : M. 13GRNSTEIN croit qu'il est plus correct de l'appe- ler «
sensibilité
osseuse » et non « le sens vibratoire. M. Rorn
re. M. Rorn fait remarquer l'importance des troubles précoces de la
sensibilité
osseuse (encore avant l'apparition des troubles
a sensibilité osseuse (encore avant l'apparition des troubles de la
sensibilité
cutanée) qui peuvent rendre compte de troubles
n'y a pas de nystagmus, les yeux sont constamment en mouvement. La
sensibilité
est intacte dans tous ses modes. CHORÉE CHRONIQ
hésitations que la première. - - , Pas de troubles notables de la
sensibilité
, bien qu'elle soit un peu retardée. Légère inég
iste en ce moment des hallucinations sensorielles quelconques. La
sensibilité
parait normale, et le frôlement, la piqûre, le pi
resthésie sur les membres inférieurs au pincement t et à la piqûre,
sensibilité
tactile conservée. Réflexes patellaires et plan
difficulté à tourner les yeux à gauche qu'à droite. Intégrité de la
sensibilité
cutanée ; percussion du crâne plus dou- loureus
organes de Golgi. Chacune de ces terminaisons représente un mode de
sensibilité
différente et sans préciser l'au- teur demande
u- matisme du plexus brachial remontant il un an avec perte de la
sensibilité
et de la motilité ; atrophiés également dans des
e période avancée de la maladie et il peut y avoir dissociation des
sensibilités
comme dans la syringomiélie. ' Au début, les
la force musculaire conser- vée, les réflexes tendineux augmentés,
sensibilité
conservée. Ten- dance au sommeil. Les réponses
e myélite. 11. C. XLVI. Un cas de syringomyélie avec troubles de la
sensibilité
à topographie radiculaire et avec troubles mote
ement radicu- laire au lieu d'être segmentaire. La diminution de la
sensibilité
douloureuse et thermique existait dans les régi
sculaire. A propos de quelques travaux récents, par Verger, 32.
Sensibilité
. Connaissance du trouble de la - de 13ernhdl'dt
9 ; par Carlaw, 5' ? 0,-et acro- mésaiie, par Sabrazès, 3.1. avec
sensibilité
radiculaire et troubles moteurs à marche ascen-
telle, par Jacquin, 299. Tricho oesthésiomètre électrique et la
sensibilité
du système pileux, par de Bechterew, 159. Tno
au niveau xv 1 2 CESTAN ET DUE ! ' des membres, des troubles de
sensibilité
causés par les lésions médullaires et deux théo
gine d'un membre déterminera au niveau de ce membre des troubles de
sensibilité
périphériques à disposition transversale; mais
s postérieures est la seule lésée, la dis- position des troubles de
sensibilité
sera uniquement longitudinale. On a donné à cet
le nom de théorie de la disposition segmentaire des troubles de la
sensibilité
d'origine médullaire, et encore le nom de théorie
le nom de théorie de la disposition métamérique des troubles de la
sensibilité
, mais cette der- nière, croyons-nous, par abus
le disposition radiculaire ou segmentaire affectent les troubles de
sensibilité
des membres provoqués par les lésions intra-mé-
topographie, objet de nombreuses controverses au point de vue de la
sensibilité
, devait aussi, en ce qui concerne la motilité,
sposition segmentaire ou radiculaire ? Or, tandis que l'étude de la
sensibilité
dépend de facteurs variables sous la dépendance
bien de l'observateur que du malade observé, que la recherche de la
sensibilité
restera toujours une sensation, un résultat sub
syringomyélies présentant une disso- ciation syringomyélique de la
sensibilité
aussi parfaite que dans une hé- matomyélie, c'e
e, par exemple, on n'observe jamais une dissociation parfaite de la
sensibilité
, tandis que les erreurs de localisation et les re
n'existe cependant ni troubles sphinctériens ni modifications de la
sensibilité
au niveau des mem- bres inférieurs. A cette par
tion motrice visiblement radiculaire se superposent des troubles de
sensibilité
disposition radiculaire. ils consistent en une di
ils consistent en une dissocia- tion syringomyélique parfaite de la
sensibilité
avec intégrité complète du tact simple (pinceau
droit. A ces troubles de motilité se superposent les troublés de la
sensibilité
consistant en une diminution légère du tact sim
omyélie et que certains auteurs à la distribution segmentaire de la
sensibilité
par lésion médullaire superposent la distribution
t est atteint de paralysie infantile. Le bras était inerte, mais sa
sensibilité
était bien conservée et le malade n'accusait pas
ne présentent aucun trouble dans leur force, leur musculature,leur
sensibilité
. leurs réflexes osseux. tendineux et cutanés. A
s réflexes sont abolis. Le malade ne présente aucun trouble de la
sensibilité
, il urine normalement, dort bien et n'a jamais
s'explique par le mauvais fonctionnement des muscles abdominaux.
Sensibilité
.- La sensibilité cutanée est intacte : le frottem
le mauvais fonctionnement des muscles abdominaux. Sensibilité.- La
sensibilité
cutanée est intacte : le frottement d'un pinceau,
ux transparents ou de la rétine. Pas de troubles subjectifs de la
sensibilité
, aucune douleur sur le trajet des nerfs, sponta
ue et galva- nique sans réaction de dégénérescence. Intégrité de la
sensibilité
et des sphincters. Abolition ou diminution des
d'Achille sont faibles. Il n'existe pas de trépidation spinale. La
sensibilité
est tout à fait normale sous tous les modes. Le
nt très faibles. La peau ne présente pas de troubles trophiques. La
sensibilité
est normale. Face. La face ne présente rien d'a
ire, crémastérien, abdominal) sont normaux. Il en est de même de la
sensibilité
objective et subjective. Les sphincters fonctio
reux à la pression. Les réflexes osseux et tendineux sont abolis. La
sensibilité
objective et subjective est normale. Face. -
ant au prorata les réflexes, ne s'accompagnant ni de troubles de la
sensibilité
, ni de secousses fibrillaires, ni de troubles des
sont tout à fait normaux ainsi que ceux du cou et de la face. La
sensibilité
est absolument normale au toucher, à la piqûre et
davantage des pieds. Cependant à la même hauteur au même niveau, la
sensibilité
à la piqûre n'est pas partout pareille, dans cert
né l'oeil, l'a trouvé intact, le fond aussi bien que les pupilles, la
sensibilité
, les mouvements, les réflexes. Les réflexes t
une amyotrophie myéiopathique il type Aran-Duchenne (troubles de la
sensibilité
, distribution de l'amyotro- phie). Il ne rest
réactions électri- ques ; 3° Fréquente existence de troubles de la
sensibilité
. Ce qu'il y a de plus caractéristique pour la d
eu près complète de toute réaction électrique. Les troubles de la
sensibilité
sont manifestes, et ainsi que cela s'est vu dan
membres étaient flasques. De douleurs, D... n'en éprouvait pas ; la
sensibilité
était conservée dans toute l'étendue des membres
s objectifs de la' sensi- bilité, dans l'étendue de ces membres (la
sensibilité
scrotale n'a pas été AFFECTIONS DE LA QUEUE DE
vait plus eu ni érections, ni éjaculations, ni rêves voluptueux. La
sensibilité
testiculaire était conservée. L'eschare, à sièg
ssis mais néanmoins fragiles. En fait de troubles objectifs de la
sensibilité
, on constatait une anes- thésie totale, dans l'
omplète au niveau de la légion fessière qu'au niveau du scrotum; la
sensibilité
tactile était moins compromise, partout. On con
ffuse des membres inférieurs, déjà signalée ; 5° Des troubles de la
sensibilité
: les uns, objectifs, consistent dans une zone
La sensibililé tactile est affectée dans une moindre mesure que la
sensibilité
à la douleur et la sen- sibilité aux impression
nnent ni sucre, ni albumine, et ont une com- position normale. La
sensibilité
est intacte, les réflexes réguliers. On ne note
mbres avec augmentation des réflexes et sans troubles du côté de la
sensibilité
ou des sphincters. Pour Erb et Charcot, la lésion
persiste cependant du tremblement intentionnel, du nystagmus et une
sensibilité
générale extrême, l'enfant est très impressionnab
membres inférieurs présen- tent des troubles de la motilité, de la
sensibilité
et de la motricité (para- lysie, anesthésie, hy
faible susceptibilité de déplacememt auront dans le champ de notre
sensibilité
une représentation beaucoup plus faible que les
ques et chimiques de ce milieu vivant et remuant. « Il semble d'une
sensibilité
latente qui ne se révèle et ne se connaît que par
èle et ne se connaît que par la douleur. Il n'en est rien, et cette
sensibilité
s'exerce d'une façon continue, mais ses images
douloureuses : elles abondent en clinique. Partout où s'éveille une
sensibilité
, elle est localisée, même dans les plus grandes
entres, d'images localisées ; mais tout ce qui manifeste en lui une
sensibilité
est un mouvement, c'est-à-dire une variation d'at
onsciemment perçu, en entendant par conscience la masse des petites
sensibilités
cohérentes des particules qui forment la gelée pr
e déterminée, forme ce qui nous apparaît comme un chant. De même la
sensibilité
s'est éveillée au point de contact, et ne s'est p
ne s'est pas éveil- lée ailleurs. Toute la localisation est là. La
sensibilité
est topographiquement distribuée dans l'étendue
l'étendue, il la surface de l'organisme; toute empreinte sur cette
sensibilité
ne pourra qu'être également distribuée, et l'orie
n suivante. Si l'on embrasse d'un coup d'oeil tout l'appareil de la
sensibilité
chez l'homme, ce qui frappe tout d'abord, c'est
. Nous pouvons donc supposer que les champs internes, médians de la
sensibilité
viscérale font image sur le pôle le plus élevé
sans remuer le doigt, il nous suffit d'y penser pour y éveiller la
sensibilité
localisatrice bien plus facilement que pour un or
moins mobile et Verger, dans son bel ouvrage Sur les troubles de la
sensibilité
géné- rale consécutifs aux lésions des hémisphè
essus ». Le terme attitude, le seul qui repose sur une opération de
sensibilité
interne, convient il la notion qui cor- respond
la surface sensible et le milieu ou d'un assoupissement rapide de la
sensibilité
, le résultat est le même, l'irritation est une
ensat. spécifiques, etc. 1901, p. 261. - (4) Verger, Troubles de la
sensibilité
générale, consécutifs aux lésions des hémi- sph
frottemeut. Cela veut dire que la variation sensorielle éveille la
sensibilité
de la conscience et que ces mêmes contacts, inape
ercice et disparaît dans certaines maladies cérébrales, bien que la
sensibilité
brute soit conservée. » Il en va de même de tou
brales, des systé- matisations psychiques atteintes en dehors de la
sensibilité
brute. - « Si la doc- trine du sens des altitud
des parties profondes et superficielles; sans doute le muscle a sa
sensibilité
, comme tous les autres tissus qui composent le
e peut intéresser simul- « tanément deux points différents de notre
sensibilité
périphérique, puisqu'il ne peut, de par la dist
nsoriel, intéresser simulta- nément deux points différents de notre
sensibilité
centrale. Ce qui est vrai d'un point l'est de t
il gauche seul, il ne peut faire ce mouvement de l'oeil droit. t.
Sensibilité
objective. -Les différents modes de la sensibilit
oeil droit. t. Sensibilité objective. -Les différents modes de la
sensibilité
sont conservés en tous les points du corps. S
eu solide sur les jambes. Les réflexes patellaires sont exagérés.
Sensibilité
subjective. Le malade ne présente pas d'autres tr
Les réflexes tendineux sont normaux. Il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
objective,, à part une zone d'hyperes- thésie d
e dans toute la région temporo-pariétale gauche. Les troubles de la
sensibilité
subjective consistent en crises douloureuses, q
otrice, les quatre membres remuent très bien, pas de troubles de la
sensibilité
. Si on le pique ou le pince, le malade retire l
oit, d'autre part à cause du vertige que dit éprouver le malade. La
sensibilité
objective est normale. j Le malade n'accuse auc
ité objective est normale. j Le malade n'accuse aucun trouble de la
sensibilité
subjective, il n'y a pàs de céphalée. Il n'y
influence de la position biologique des deux sujets. L'étude de la
sensibilité
thermique ré- vèle une supériorité en faveur de
rine et les points symétriques du pont d'union, de constater que la
sensibilité
thermi- que est plus aiguisée chez le sujet gau
que est plus aiguisée chez le sujet gauche. Il en est de même pour la
sensibilité
à la douleur; Liao-Sienne-Chen accusait, lorsqu
fres que nous croyons exacts. En effet ' pour apprécier le degré de
sensibilité
douloureuse des « frères chinois » nous nous en
ation de leurs impressions douloureuses dans nos recherches sur ces
sensibilités
. L'étude de la sensibilité tactile nous a montr
ouloureuses dans nos recherches sur ces sensibilités. L'étude de la
sensibilité
tactile nous a montré l'existence d'une sensibili
. L'étude de la sensibilité tactile nous a montré l'existence d'une
sensibilité
plus aiguisée chez Liao-Sienne-Chen. Nous n'avo
nus ont été pour nous très nets et très catégoriques. L'examen de la
sensibilité
tactile des sujets pratiqué par des pressions t
ers ordres de recherches, il résulte d'une façon très nette, que la
sensibilité
tactile est manifestement plus développée et plus
n et sa respiration plus rapide. En échange Liao-Sienne- Chen a une
sensibilité
plus aiguisée et ses réactions psychosensorielles
délicat. Il supporte moins la douleur, les diverses modalités de la
sensibilité
tactile sont plus fines chez lui, il subit d'un
ont décrites sur les faces externes de ces membres atro- phiés. La
sensibilité
tactile est normale. La sensibilité à la douleur
de ces membres atro- phiés. La sensibilité tactile est normale. La
sensibilité
à la douleur est no- tablement plus développée
no- tablement plus développée qu'à gauche. Il en est de même de la
sensibilité
thermique. Le sens musculaire est parfaitement
très grande (hallucination de l'ouïe, de l'odorat, du goût et de la
sensibilité
générale). A diverses reprises, ce délire à bas
aux membres inférieurs comme aux membres supérieurs. Troubles de la
sensibilité
: retard dans la transmission de la sensibilité à
urs. Troubles de la sensibilité : retard dans la transmission de la
sensibilité
à la douleur. Hyperesthésie extrême de la peau
es à la lumière et à l'accommodation. Altérations très nettes de la
sensibilité
superficielle et profonde, du sens musculaire, de
réflexes tendineux aux quatre membres. Troubles très marqués de la
sensibilité
superficielle et profonde aux membres inférieurs.
es patellaires et du tendon d'A- chille. Troubles très légers de la
sensibilité
aux membres inférieurs. Aux membres supérieurs
embres supérieurs incoordination très légère, pas de troubles de la
sensibilité
. Conservation des réflexes tendineux. Diminution
, ni incoordination ni atrophie, conservation des réflexes et de la
sensibilité
. Névralgies intercostales. Myosisavec signe d'A
nture, pas de crises gastriques. Pas d'altérations manifestes de la
sensibilité
objective aux membres inférieurs. Signe d'Argyll-
rges oscillations de l'avant-bras ; réflexes ten- dineux conservés.
Sensibilités
superficielle et profonde normales sauf au nive
ctéristique. Réflexe patellaire aboli. Pas d'a- trophie musculaire.
Sensibilité
superficielle altérée sur les membres in- férie
re. Sensibilité superficielle altérée sur les membres in- férieurs.
Sensibilité
profonde conservée. Inégalité pupillaire, réflexe
ère des membres inférieurs devenant plus prononcée les yeux fermés.
Sensibilité
peu altérée. Troubles légers de la marche et de
n des réflexes tendineux. Atro- phie des petits muscles de la main.
Sensibilité
à peu près normale. Troubles sphinctériens. Myo
considérablement engraissé dans ces derniers temps. L'examen de la
sensibilité
dans ses divers modes est presque impossible, e
e impossible, en raison de l'état du malade et doit se limiter à la
sensibilité
cutanée. Cette dernière est conservée, car le m
de rictus sur les lèvres. Au point de vue physique, l'examen de la
sensibilité
cutanée est,comme chez le malade précédent,le s
téréographisme très net. Il ne semble pas y avoir de troubles de la
sensibilité
cutanée, sauf un retard énorme de la réaction à l
auche, nous avons été amenés à étudier avec soin les troubles de la
sensibilité
. Il nous a été facile de constater une thermoan
sie s'accompagne d'analgésie complète dans la même ré- gion. ' La
sensibilité
au tact est presque entièrement abolie dans le cô
git là d'une hémianesthésie aux trois modes, plus ac- cusée pour la
sensibilité
à la chaleur et à la douleur, comprenant la face,
pied, à la région lombaire, à la face postérieure de la cuisse, la
sensibilité
aux trois modes persiste en partie, bien que to
très obtuse. De ce même côté on note encore d'autres troubles de la
sensibilité
objective : hémianesthésie delà langue, diminut
s de suppuration, présentant une main de Morvanetdes troubles de la
sensibilité
caractérisés par une hémianesthésie sensitivo-s
est bien anormale ; en la voyant s'ac- compagner de troubles de la
sensibilité
, en particulier d'une thermo- anesthésie très a
die et de l'oppression sans lésion, du coeur ni des poumons. 1 La
sensibilité
, l'intelligence ne présentent rien d'anormal. Il
nus du pied et signe des orteils, intégrité des sphincters et de la
sensibilité
. Mais cette systématisation des phénomènes spas
Les contractions fibrillaires ; ... De très légers troubles de la
sensibilité
objective, et l'abolition de la sensi- bilité é
un H aspiré : il dit « ranime pour femme, « hilant » pour vivant.
Sensibilité
. - Il n'y a pas de troubles subjectifs de la sens
ur vivant. Sensibilité. - Il n'y a pas de troubles subjectifs de la
sensibilité
. La sensibilité objective est un peu altérée, v
bilité. - Il n'y a pas de troubles subjectifs de la sensibilité. La
sensibilité
objective est un peu altérée, vers l'extrémité de
mentaires est conservé, ainsi que le sens stéréognos- tique. ' La
sensibilité
électro-musculaire doit être affaiblie, car, lors
oduit que dans l'ab- duction forcée du regard. Les troubles de la
sensibilité
se bornent chez noire malade à une légère anest
l'immense majorité des cas, même alors que tous les autres modes de
sensibilité
sont conservés (1). » . Les contractions fibril
rs qu'aux supérieurs. Il y a bien aussi une légère diminution de la
sensibilité
aux extrémités. L'excitabilité électrique est d
ue laisse cependant soupçonner un tel contraste; les troubles de la
sensibilité
sont en effet habituellement beau- coup plus pr
igne de Lasègue faisait défaut. En fait de troubles objectifs de la
sensibilité
, on notait : De l'anesthésie, en bande, à la pa
a face postérieure de chaque cuisse; elle intéressait il la fois la
sensibilité
à la douleur, la sensibilité au chaud et au froid
cuisse; elle intéressait il la fois la sensibilité à la douleur, la
sensibilité
au chaud et au froid. La sensibilité tac- tile
a sensibilité à la douleur, la sensibilité au chaud et au froid. La
sensibilité
tac- tile était à peine émoussée, dans l'étendu
achilléens sont abolis des deux côtés. Les troubles objectifs de la
sensibilité
,que je vous signalais tout à l'heure, ont gagné
sie et de l'uréthre, on ne s'expliquerait pas la conservation de la
sensibilité
vésico-uréthrale, dans l'hypothèse d'une lésion n
u rectum, ce qui n'est pas, chez notre malade. Or l'intégrité de la
sensibilité
de la vessie, de l'uréthre et du rectum se concil
réflexe achilléen est aboli. En fait de troubles subjectifs de la
sensibilité
, nous notons ce qui suit : le malade se plaint
x à la palpation. Le signe de Lasègue fait défaut. L'examen de la
sensibilité
objective va mettre en évidence une zone d'a- n
une égale intensité les trois ma- 484 RAYMOND nières d'être de la
sensibilité
. Ainsi, le jour de son entrée dans le service,
les racines sensitives et les, racines motrices, en rapport avec la
sensibilité
et la motilité de la vessie et du gros intestin
ont abolis, à gauche, de même que le réflexe cutané plantaire. La
sensibilité
objective est intacte partout. En fait de trouble
ensibilité objective est intacte partout. En fait de troubles de la
sensibilité
subjective, le malade éprouve une sensation de fr
vement motrice des accidents, l'absence de troubles objectifs de la
sensibilité
. Ces caractères s'observent, assurément, dans l
e ; le réflexe du voile du palais est aboli. Il y a des troubles de
sensibilité
; tout le côté droit du corps jusqu'au cou prés
côté droit du corps jusqu'au cou présente un affaiblissement de la
sensibilité
au tact et à la température ; l'anesthésie est
ée à la jambe et à la partie inférieure de la cuisse; à la face, la
sensibilité
paraît émoussée des deux côtés d'une ma- nière
R, LATÉIIOI'FJLS101; ET MYOSIS BULBAIRES ri07 Au point de vue de la
sensibilité
, la disposition anatomo-patlrologique nous para
édiane et la voie latérale, cadre bien avec ce fait clinique que la
sensibilité
était atteinte dans presque tous ses modes, le ta
sion de chacune des voies sensitives dans la genèse des troubles de
sensibilité
. Dans deux autres cas, sans contrôle anatomique
lésion bulbaire avait déterminé une dissociation remarquable de la
sensibilité
, analogue à celle que l'on observe dans la syri
alogue à celle que l'on observe dans la syringomyélie : perte de la
sensibilité
à la douleur et à la température avec conservat
bulbaire peut donner lieu à une dissociation des divers modes de la
sensibilité
identique la dissocia- tion syringomyélique.
cal. La force musculaire est conservée. Pas de troubles trophiques.
Sensibilité
intacte. Pas de troubles sphinctériens. Les r
pparente. Au dynamomètre, 10 il D. et 20 à G. Aucun trouble de la
sensibilité
. Les réflexes tendineux des deux membres gauche
es de la moelle épinière, qui conduisent les différentes espèces de
sensibilité
; ces cellules, à ce qu'il paraît, non seulemen
e bague sur l'annulaire droit et une autre sur le médius gauche. La
sensibilité
objective, sous tous ses modes, est intacte ; il
gagne souvent aux jeux de cartes, etc. Organes des sens normaux.
Sensibilité
à tous les modes intacte. Réflexes normaux. For
laire. Fickler fait observer que la longue intégrité possible de la
sensibilité
s'explique par la situation postérieure des voi
i- ves, apparurent une légère proéminence de la 1 re dorsale et une
sensibilité
à la pression des premières vertèbres lombaires
modique, avec rétention des réservoirs, avec ou sans troubles de la
sensibilité
, et des troubles trophiques variables, non seul
après le début, paraplégie incomplète avec rétention des réservoirs,
sensibilité
obtuse aux membres inférieurs. Quelques jours a
eulement dans un certain nombre de cas, de troubles objectifs de la
sensibilité
, hyperesthésie ou anesthésie, de toute la partie
nt des exemples de paraplégie flasque avec troubles objectifs de la
sensibilité
permettant de diagnostiquer une lésion intra-ra
leurs en ceinture, fourmil- lements dans le membre inférieur droit,
sensibilité
obtuse, retard à la per- ception des sensations
vement. Ces douleurs avaient les caractères d'une sciatique double.
Sensibilité
normale aux faces antérieures externes et interne
sens sté- réognostique, sans atrophie musculaire ni altération des
sensibilités
superfi- cielles ; aux membres inférieurs, atax
avaient précédé cette paralysie : « Au membre supérieur gauche, la
sensibilité
était un peu altérée, le sujet prenant pour une
d'atrophie musculaire des membres supérieurs et de troubles . de la
sensibilité
. Un homme de 35 ans, dont l'observation a été p
la rotation de la tête à gauche, et, quelques jours avant la mort,
sensibilité
à la pression des VIe et Vlle vertèbres cervica
ration des réflexes rotuliens. Dissociation syringomyélique de la
sensibilité
; sensibilité au tact conservée partout : therm
éflexes rotuliens. Dissociation syringomyélique de la sensibilité ;
sensibilité
au tact conservée partout : thermo-anesthésie l
du sein, et remontant un peu plus haut à gauche ; diminution de la
sensibilité
à la douleur dans toute la partie inférieure du c
rachis, les troubles moteurs et les modifications objectives de la
sensibilité
sont précédés, parfois à longue échéance, de do
sie à la douleur, pas exactement superposée à la thermo-aneslhésie,
sensibilité
tactile conservée), avait pu faire croireà une
teurs et, d'une façon moins constante, des troubles objectifs de la
sensibilité
et des troubles sphinctériens, sans parler des
uère avec l'hypothèse d'une névrite. Les troubles objec- tifs de la
sensibilité
et l'atrophie musculaire, souvent diffus, sans li
tives d'aggravation et d'amélioration, les troubles objectifs de la
sensibilité
sont moins fréquents que les troubles moteurs :
ous des seins et limitée à ce niveau par une ligne horizontale ; la
sensibilité
tactile était moins profon- dément atteinte que
la sensibilité tactile était moins profon- dément atteinte que les
sensibilités
thermique et douloureuse. La pression et la per
an-Duchenne, une dissociation syringomyélique des plus nettes de la
sensibilité
, enfin, une légère cypho-scoliose, simulaient ass
une fille atteinte de paraplégie spas- modique, avec troubles de la
sensibilité
, légère incontinence des sphincters et douleurs
hez tout cyphotique, Paget ou autre. Il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
ni des réflexes ; les contractions élec- trique
ure, qu'on peut constater aux deux jambes de notre malade, avec une
sensibilité
au tact et à la douleur absolument indemne, un de
osseuses. Les réflexes patellaire et plantaire sont diminués. La
sensibilité
à la douleur esl normale partout. Les autres mode
ales sous le nom de « faisceau sensitif ce serait un faisceau de la
sensibilité
générale qui formerait la partie externe du pie
ointe. Urines : rien d'anormal ; pas d'albumine. C. - Mouvements,
sensibilité
, état psychique. Comme nous l'avons vu dans les
ment des phénomènes nerveux accentués. Actuellement les troubles de
sensibilité
sont nuls, sauf cependant une anes- thésie plan
fuses, apparaissant pendant la marche, il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
et en particulier la sensibilité objective est
rche, il n'y a aucun trouble de la sensibilité et en particulier la
sensibilité
objective est absolument intacte sous ses divers
nos malades ont aussi eu des douleurs très fortes, j'ai examiné la
sensibilité
objective avec beaucoup d'attention et quoique
es de cinq mois et il est intéressant de voir comme les troubles de
sensibilité
ont progressé d'un examen à l'autre, comme nomb
r être complet, je reviens encore une fois sur ces faits. (3) Cette
sensibilité
est examinée dans le service, au moyen d'une band
peau. 152 NOICA paumes des mains et les plantes des pieds où la
sensibilité
est normale. Sur la poitrine, la peau comprise
lantes des FiG. 1 et 2. 17 mai 1905. Topographie des troubles de la
sensibilité
au toucher. La même, le 10 novembre 1905. pie
'anesthésie tactile, le froid est presque normalement conservé.. La
sensibilité
vibratoire au diapason d'Egger et la sensibilité
ment conservé.. La sensibilité vibratoire au diapason d'Egger et la
sensibilité
à la pression sont normales. ' Au contraire l
gnostique. FIG. 8 et 4. 17 mai 1905. Topographie des troubles de la
sensibilité
à la dou- leur. Hypoalgésie. 154 NOICA . '
et 7). FiG. 5. - 10 novembre 1905. - Topographie des troubles de la
sensibilité
au toucher. FiG. 6 et 7. 10 novembre 1905. To
cher. FiG. 6 et 7. 10 novembre 1905. Topographie des troubles de la
sensibilité
à la douleur. Analgésie. Hypoalgésie des organe
ns stéréognostique sont tout aussi troublés qu'au mois de mai. La
sensibilité
vibratoire toujours normale. Au contraire la se
mai. La sensibilité vibratoire toujours normale. Au contraire la
sensibilité
à la pression est très atteinte cette fois-ci, le
9. OBS. IL - Le malade M... T... Le 17 mai 1905. Les troubles de
sensibilité
objective chez ce malade, sont moins étendues e
e FiG. S et 9. - 10 novembre 1905. - Topographie des troubles de la
sensibilité
à la pression. Sur les dos des pieds et des mai
- loureuses. 1 56 NOICA des faces plantaires des orteils ont la
sensibilité
tactile normale. Sur le dos des mains la peau e
les faces dorsales des doigts, le dos des pieds et des orteils, la
sensibilité
tactile est très peu dimi- nuée (Fig. 10 et 11)
tions au chaud sont retardées, celles au froid sont normales. Les
sensibilités
profondes (vibration, pression, perception des al
-fsetida n'était pas sentie. Le 10 novembre z. - Les troubles de la
sensibilité
se sont accentués et ont gagné de nouveaux terr
males. FiG. 10 et 11. 17 mai 1905. Topographie des troubles delà
sensibilité
au toucher. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE
ière. est seulement hypoesthésique (Fig. 12 et 13). Les troubles de
sensibilité
thermique au chaud sont chez ce malade plus int
8e dor- sale. Les sensations au froid sont bien conservées. La
sensibilité
à la douleur beaucoup moins touchée que celle au
la même typographie que celle au chaud. Il est à remarquer que les
sensibilités
an chaud et à la douleur sont un peu plus accen
les FiG. 12 et 13. 10 novembre 1905. Topographie des troubles de la
sensibilité
tactile. Les troubles thermiques, algésiques ou
traire on cons- tate aussi chez ce malade, des troubles intenses de
sensibilité
à la pression, reproduisant presque en entier l
, reproduisant presque en entier la, topographie des troubles de la
sensibilité
tactile. - Les membres supérieurs et inférieu
é exempt d'éléments cellulaires. Après avoir décrit les troubles de
sensibilité
chez les deux frères, voici maintenant la note
ervations deux nouveaux faits : que nos malades ont des troubles de
sensibilité
superfi- cielle et profonde et qu'un bout du ne
thologiques. D'après nos schémas on voit encore que ces troubles de
sensibilité
pa- raissent être disposés d'après une topograp
s embarrassés d'inter- préter nos cas. Certainement ces troubles de
sensibilité
objective et ces lésions pathologiques des nerf
suite de ces nouvelles constatations ? Certainement les troubles de
sensibilité
ob- jective et les lésions des nerfs ne font pa
ions ; pas d'asthénie. Pas de trouble subjectif ou objectif de la
sensibilité
: les sensibilités super- ficielles, tactile, t
hénie. Pas de trouble subjectif ou objectif de la sensibilité : les
sensibilités
super- ficielles, tactile, thermique, douloureu
normale, sa face régu- lière, il ne présente ni obésité précoce ni
sensibilité
spéciale au froid. La spermatorrhée signalée co
ts des trichotillomanie souffrent plus ou moins de troubles de leur
sensibilité
, de'paresthésies, prurit ou autres; l'impulsion
Cette absence de sensation subjective locale est-elle un indice de
sensibilité
altérée plus grave chez les aliénés ? Cette abs
rfs et muscles. 11 existait aussi quelque anesthésie électrique. La
sensibilité
avait accusé des désordres très graves le premi
hermique dans tout le bras et l'avant-bras, avec conservation de la
sensibilité
tactile. Donc, dissociation syringomyélique. Le s
plus simples ; l'ab- sence de perversion etde la réflectivité de la
sensibilité
, les symptômes géné- raux éloignent l'idée d'un
inférieurs, la jambe droite puis la jambe gauche se rétractent, la
sensibilité
objective est intacte. Les réflexes tendineux,f
ois, on ne constate aucun trouble des sphincters pas plus que de la
sensibilité
objec- tive. Les réflexes tendineux et cutanés
d à se généraliser. A cette époque l'examen du malade montre que la
sensibilité
objective est intégralement respectée dans tous
s; la neuro-myosite de Senator (2) se traduit par des trou- bles de
sensibilité
, de vaso-motricité qui ne sauraient passer inaper
xes tendineux des membres supérieurs sont également exagérés. Les
sensibilités
paraissent absolument intactes (nous devons dire
, 1892. (2) BRISSAUD., Arthropalhies tabétiques et troubles de la
sensibilité
. Leçons sur les maladies nerveuses, 1895, p. 31
stic de hernie du poumon se confirme davantage par cet examen ». La
sensibilité
d'une façon générale est nettement diminuée sur t
it pèche non seulement par la force musculaire, mai en- core par la
sensibilité
générale, par l'acuité visuelle et auditive que n
s, une paralysie progressive de la jambe droite, des troubles de la
sensibilité
et du sens musculaire, une certaine faiblesse d
es, des douleurs, de la parésie du bras droit et dimi- nution de la
sensibilité
de la main droite et de la jambe gauche. Enfin ap
et 18 à gauche. L'écriture n'est plus possible depuis un an. ' La
sensibilité
tactile est conservée au niveau de la face, des m
isparaît totalement au niveau des genoux. Même constatation pour la
sensibilité
à la douleur et la sensibilité thermique. Le se
es genoux. Même constatation pour la sensibilité à la douleur et la
sensibilité
thermique. Le sens stéréognostique semble aboli t
é des mouvements au niveau des membres supérieurs. Diminution de la
sensibilité
aux cuisses et aux genoux. Sens stéréognostique
t est plus fort à gauche qu'à droite. Il n'y a pas de trouble de la
sensibilité
ni du sens stéréognostique. Le sens musculaire
raissant lié à cet état d'acromégalie, il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
, aucun trouble sensoriel (en particulier pas d'
nie. ' Parésie légère des membres inférieurs. Légers troubles de la
sensibilité
. La force de constriction des doigts est légère
e hernie. Paralysie des extrémités. Troubles intellectuels et de la
sensibilité
. Pas de troubles oculaires. PI. LXI. n° 5. He
super- ficiellement dilacérée. Diminution de la motilité et de la
sensibilité
dans les membres supérieur et inférieur droits.
de la paraplégie flasque et de l'anesthésie de toutes les formes de
sensibilité
. Il est mort 29 jours après l'accident. A l'aut
bras droit et seulement avec une intensité de 30 milliampères. La
sensibilité
générale est conservée à tous ses modes, ainsi qu
bres inférieurs. 1 Les réllexes tendineux étaient tous abolis, la
sensibilité
était intacte. L'examen électrique montra une d
ique des muscles des membres, avec réaction de dégénérescence. La
sensibilité
était intacte : enfin on observa une crise de dys
éaction de dégénérescence ; il y avait au contraire intégrité de la
sensibilité
. L'affection avait com- mencé à l'âge de 5 mois
paralysie absolument symétrique, les sphincters restent intacts, la
sensibilité
n'est pas touchée, on n'observe ni paralysie bu
intégrité des nerfs périphériques à la palpation, l'intégrité de la
sensibilité
et l'intégrité du diaphragme, l'inté- grité du
pied droit. Aucune amyotrophie au niveau du tronc ou de la face.
Sensibilité
. - il n'y a jamais eu de troubles subjectifs de l
ace. Sensibilité. - il n'y a jamais eu de troubles subjectifs de la
sensibilité
, ni douleurs, ni paresthésies. Au contraire on
re on constate très nettement la dissociation syringomiélique de la
sensibilité
. Les zones où cette dissociation syringomyéliqu
observe la chute des poils et la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. La plaque située sous le sein gauche et s'éten
state la chute des poils et la dissociation , syringomyélique de la
sensibilité
. SYRINGOMYÉLIE OU LÎ'sPIIE 457 Les seuls diag
syringomyélie et la lèpre. A ne considérer que les troubles de la
sensibilité
, l'amyotrophie, on pense immédiatement à la syr
épourvue de poils et présentant la dissociation syringomyélique des
sensibilités
; ce trouble trophique cutané sur lequel nous a
réagit aux bruits environnants,au moins .orsqu'il est debout. La
sensibilité
cutanée persiste aussi. 460 MARCHAND ET PETIT.
eil droit. L'état général est excellent; la nutrition est bonne. La
sensibilité
et les réflexes sont normaux partout, sauf au m
re membres avec atrophie muscu- laire ; troubles très marqués de la
sensibilité
avec retard dans la trans- mission ; douleurs f
Homme de trente-quatre ans. Atrophie musculaire avec troubles de la
sensibilité
et douleurs fulgurantes, ayant débuté à l'c £ ge
exe cutané plantaire. Altérations considérables des divers modes de
sensibilité
diminuant en remontant de bas en haut. Retard d
côté droit, qui bombent en arrière, d'une fa- çon très prononcée.
Sensibilité
. - Membres inférieurs, sensibilité tactile très a
d'une fa- çon très prononcée. Sensibilité. - Membres inférieurs,
sensibilité
tactile très altérée. Nulle sur les pieds et le
elle commence à réapparaître au niveau des genoux, . à ce niveau la
sensibilité
tactile est encore très diminuée, et le malade fa
nsation à la moitié supérieure de la cuisse. Dans les parties où la
sensibilité
tactile commence à être perçue, il existe un reta
re. Le chatouillement de la plante du pied n'est presque pas senti.
Sensibilité
à la douleur, très altérée également.- Il exist
dos du pied, retard qui diminue en remontant. La localisation de la
sensibilité
douloureuse se fait assez exactement. La sensib
lisation de la sensibilité douloureuse se fait assez exactement. La
sensibilité
douloureuse est pervertie par places, c'est ain
roite détermine une sensation de brûlure. Mêmes^altérations pour la
sensibilité
thermique (eau à 81 degrés), retard de plusieur
ularités pour le froid (glace), dimi- nution et retard qui, pour la
sensibilité
à la température comme pour les autres, sont d'
racine des membres. . , Membres supérieurs. Les différents modes de
sensibilité
, tact, douleur, température, sont également alt
en remontant. Sur la face antérieure et postérieure du tronc, la
sensibilité
tactile et dou- loureuse est également diminuée
ion des membres supérieurs a également augmenté. Les troubles de la
sensibilité
et les douleurs fulgurantes présentent autant d
n dedans et il est complètement immobilisé. A l'ex- ploration de la
sensibilité
avec le stylet on ne constate aucun trouble et le
pho-scoliose et hypertrophie des troncs nerveux. Les troubles de la
sensibilité
, souvent 496 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS très ac
s a publié l'observation en 1896 et chez lequel les trou- bles delà
sensibilité
cutanée étaient très marqués. Chez le malade dont
a névrite hypertrophique, comme dans le tabes, les trou- bles de la
sensibilité
cutanée se présentent avec une topographie radi-
étudier sur de nouveaux cas. Quoi qu'il en soit, ces troubles de la
sensibilité
peuvent être très accusés et c'est encore là un
s, soeur du malade précédent. Atrophie musculaire et troubles de la
sensibilité
chez une femme de quia- rante-quatre ans. Début
bas en haut. Cypho-scoliose excessive. Troubles très marqués de la
sensibilité
avec retard dans la transmission, diminuant de
tilité électrique sans réaction de dégénérescence (PI. LXXII E, F).
Sensibilité
. Membres inférieurs. Sensibilité tactile abolie c
e dégénérescence (PI. LXXII E, F). Sensibilité. Membres inférieurs.
Sensibilité
tactile abolie complètement jusqu'au niveau du
TROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 497 remontant vers la racine.
Sensibilité
douloureuse : retard de plusieurs secondes dans
tion douloureuse est, sauf le retard, perçue comme à l'état normal.
Sensibilité
thermique très altérée, l'eau à 85 degrés n'est
n corps chaud. Membres supérieurs : altération très prononcée de la
sensibilité
tactile des doigts et des mains. Lorsque la m
he l'étoffe avec ses lèvres ou sa langue. Mêmes modifications de la
sensibilité
douloureuse et ther- mique que'dans les membres
s les caractères des douleurs fulgurantes. Au tronc et à la face la
sensibilité
est nOl'male='Léger nystagmus dynamique. , L'ex
ue la contractilité faradique et sans inversion de la for- mule. La
sensibilité
électrique est très diminuée. La sensibilité cu
de la for- mule. La sensibilité électrique est très diminuée. La
sensibilité
cutanée présente les mêmes altérations que lors d
rs. Signe de Romberg très accusé. Altérations très prononcées de la
sensibilité
diminuant de la périphérie vers le centre Retar
similaire.Frères et soeurindemnes.Pas desyphilis(PI.LXXIII A et B).
Sensibilité
. Pas de douleurs spontanées, fulgurantes ou autre
Sensibilité. Pas de douleurs spontanées, fulgurantes ou autres. 1°
Sensibilité
tacite examinée à l'aide d'un pinceau. Membres in
que lorsqu'on lui touche la face. Desdeux côtés les troubles de la
sensibilité
tactile sont les mêmes. Membres supérieurs. A d
o-phatangien. Peu à peu, en remontant le long du bras, retour de la
sensibilité
tactile, qui ne redevient normale que sur le somm
lmaire des doigts et-de la main. Sur la face dorsale des doigts, la
sensibilité
réapparaît très atténuée au niveau de l'interli-
langinien et augmente peu à peu de bas en haut comme à droite. 2°
Sensibilité
à la douleur examinée à l'aide d'une épingle. M
ur examinée à l'aide d'une épingle. Membres inférieurs. A droite la
sensibilité
à la douleur est abolie au pied dans la mêmeéte
ité à la douleur est abolie au pied dans la mêmeétendue que pour la
sensibilité
tactile, elle réapparaît très affai- blie au-de
te. ' Dans les régions totalement analgésiques et dans celles où la
sensibilité
dou- loureuse est très altérée, si on fait une
rtain degré d'hyperesthésie. Membres supérieurs. Les troubles de la
sensibilité
douloureuse ont la même topographie que ceux de
e la sensibilité douloureuse ont la même topographie que ceux de la
sensibilité
tactile et diminuent progressive- ment et régul
mission de 1 à 2 secondes avec hyperesthésie légère consécutive. La
sensibilité
thermique est également altérée. Membres inférieu
éfrigérant à 9 degrés). Mômes trou- bles et même retard que pour la
sensibilité
à la chaleur. La sensibilité est intacte dans t
rou- bles et même retard que pour la sensibilité à la chaleur. La
sensibilité
est intacte dans tous ses modes sur les deux tier
ns on peut se rendre compte combien sont marqués les troubles de la
sensibilité
dans la névrite interstitielle hyper- trophique
mention d'incoordination des mouvements, de troubles intenses de la
sensibilité
, désigne d'Argyll-Ro- bertson, de cypho-scolios
ieds, la cyphoscoliose, l'abolition des réflexes, la diminution de la
sensibilité
, la difficulté de la marche et de la station de
rs, spasmodique aux inférieurs ; dissociation syringomyélique de la
sensibilité
; compression de la moelle par le foyer épidural.
ire passant au-dessous des seins, analgé- sie remontant moins haut,
sensibilité
tactile partout conservée). Inconti- nence des
d'Oppenheim particulièrement nets à gauche ; abolition complète des
sensibilités
superficiel- 528 ALQtJIER les et profondes, a
eux, soubresauts musculaires à droite; hypoesthésie pour toutes les
sensibilités
(superficielles et profondes) remontant jusqu'à
une zone d'anesthésie radiculaire, isolée entre deux régions où la
sensibilité
était normale ; cette zone d'anes- thésie ne co
. Au commencement, il a eu des fourmillements à la main ; après, la
sensibilité
aux doigts et aux paumes est devenue de moins e
e des deux derniers doigts est fixée dans sa position de flexion. .
Sensibilité
: Il y a anesthésie tactile et hypoalgésie dans l
t des deux métacarpiens correspondants et dans les mêmes régions la
sensibilité
thermique est distinctement diminuée. Le restan
nctement diminuée. Le restant de la main et de l'avant-bras ont une
sensibilité
normale. La sensa- tion de la position segmenta
thalamo-cor- ticales destinées à transmettre les impressions de la
sensibilité
; l'intimité des relations est telle que nous n
se. Abstraction faite de l'exis- tence aléatoire des troubles de la
sensibilité
, deux variétés de paraplégie sont à opposer l'u
viot. Tumeur de la moelle, paraplégie spasmodique el troubles de la
sensibilité
, p. 848. Revue neurologique, 1899. - Senator. T
cas de tumeurs de la moelle, paraplégie spasmodique, troubles de la
sensibilité
, p. 81. 2 Van Gehuchten. Presse méd., loc. cil.
nosographiques dans les- quelles l'abolition de la motilité, de la
sensibilité
et des fonc- tions des réservoirs constitue la
es deux côtés ; on n'aurait pas observé de troubles objectifs de la
sensibilité
. A sa sortie de Saint-Louis, le malade, bien qu
: paraplégie plus accentuée du côté droit, où le clonus existe. La
sensibilité
au tact est conservée. Du côté droit, hypoalgés
acilement qu'il ne fait pour la droite. 6 CLINIQUE NERVEUSE. La
sensibilité
au tact est un peu diminuée aux membres infé- r
ensibilité au tact est un peu diminuée aux membres infé- rieurs. La
sensibilité
à la douleur est diminuéeaux deux membres infér
us aux jambes qu'aux cuisses.- Il y a diminulion et perversion dela
sensibilité
thermique des deux côtés, mais surtout à gauche
ermique des deux côtés, mais surtout à gauche où les troubles de la
sensibilité
sont en général plus accentués; de ce côté, les
xiste que du côté droit;' il semble inépuisable. La nuit, Fig. 9. -
Sensibilité
au contact : normale ; 4, ; sensibilité à la piqû
uisable. La nuit, Fig. 9. - Sensibilité au contact : normale ; 4, ;
sensibilité
à la piqûre diminuée il droite et plus à la jam
ontracture et à étendre la jambe sur le plan du lit. Fig. 2. - 1,
sensibilité
au contact : diminuée; 2, sensibilité à la piqûre
le plan du lit. Fig. 2. - 1, sensibilité au contact : diminuée; 2,
sensibilité
à la piqûre : diminuée des deux côtés, davantag
adducteurs est plus tendue à droite qu'à gauche. Les troubles de la
sensibilité
objective remontent jusqu'à une ligne horizonta
omen, plus marqués du côté gauche que du Fig. 3. Les troubles de la
sensibilité
au contact (t), à la piqûre (2), à la chaleur (
effet que le contact, dout la sensation est elle-même affaiblie; la
sensibilité
thermique est presque abolie du côté gauche. C'
mais on remarque actuellement une moins grande différence entre la
sensibilité
des deux jambes. Le même état persiste sans se
vingt-neuf ans ; elle fut accompagnée de troubles subjectifs de la
sensibilité
, mais pas de troubles objectifs (il existait de
ora considérablement : Paraplégie spasmo- dique sans troubles de la
sensibilité
, nous sommes au premier degré de la classificat
est plus marquée du côté droit où il existe du clonus du pied ; la
sensibilité
au contact n'est pas atteinte ; sensibilité à l
du clonus du pied ; la sensibilité au contact n'est pas atteinte ;
sensibilité
à la piqûre diminuée sur la cuisse droite et su
droite et sur la jambe gauche, très diminuée sur la jambe droite ;
sensibilité
thermique légèrement troublée 10 CLINIQUE NERVE
ration des réflexes des deux côtés et clonus du pied du côté droit.
Sensibilité
au contact un peu diminuée, sensibi- lité à la
lement atteinte des deux côtés, et plus aux jambes qu'aux cuisses ;
sensibilité
thermique diminuée et pervertie sur le même ter
e, la thermo-anesthésie était absolue sur la jambe gauche. Ainsi la
sensibilité
au contact quoique diminuée, n'a jamais été abo
çoit encore quelque chose sur la sur- face cutanée (paralysée de la
sensibilité
), mais quelle que soit la qualité du contact, i
rçoit que le contact lui-même. Il est possible que la voie de cette
sensibilité
soit quelconque, qu'elle emprunte des chemins d
ulletin, n° 87, juin 1898.) PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 15 bles de la
sensibilité
, et qu'il est dit que les réflexes étaient dimi
uffisante de la conservation des réflexes. Quant aux troubles de la
sensibilité
(dissociation syringo- myélique semblable a cel
transverse Brpwn-Séquàrd atténué, c'est-à-diré conserva- tion de la
sensibilité
tactile après la perte des autres sensibi- lité
xagération des réflexes rotuliens cette curieuse dissociation de la
sensibilité
: d'une part intégrité de la sensibilité au con
urieuse dissociation de la sensibilité : d'une part intégrité de la
sensibilité
au contact et à la pression, d'autre part therm
David Linn Edsall1 a constaté l'association avec des troubles de
sensibilité
d'une topographie assez singulière. Dans ce cas
out conservé dans son intégrité. La thermoanesthésie est abolie, la
sensibilité
à la douleur est très affaiblie : en avant sur
bes raidies par un reliquat de méningo-myélite ? Les troubles de la
sensibilité
, avons-nous dit, sont surtout : la thermo-anest
avec exagération des réflexes et dissociation syringomyélique de la
sensibilité
(Van Ge- huchten) ou anesthésie complète (Ilabe
lement les . ' Van Gehuchten. La dissociation syringomyélique de la
sensibilité
dans les compressions et les traumatismes de la
aplégies chroniques spastiques par compression, avec troubles de la
sensibilité
objective. De ces paraplégies il en est qui r
pétuité flaccide, avec abolition des réflexes et perte totale de la
sensibilité
. Mais jusqu'à plus ample informé, nous considér
par moments. Il est profondément déprimé. Crampes dans les mollets;
sensibilité
émoussée surtout aux membres inférieurs. Exagér
ilité idio-musculaire et absence presque complète de troubles de la
sensibilité
. G. D. VI. OEdème scléreux de la peau; par VERR
yosthénique de Jolies. Il n'existait pas non plus de troubles de la
sensibilité
; les réflexes étaient normaux ainsi que les sphi
paralysie avec ataxie, ni troubles oculo-moteurs, ni troubles de la
sensibilité
; il ne représente donc ni une paralysie pseudo
rale, affai- blissement musculaire généralisé. Les troubles de la
sensibilité
sont très variables ; les uns dans leur localis
jambes, des pieds et des éminences thénars, avec intégrité de la
sensibilité
. M. il. XXIX. Du tabes dorsal; par Cii. DAUA. (
paule gauche de la colonne vertébrale. Très faible diminution de la
sensibilité
cutanée des mains. ' Evidemment il s'agit d'u
des cornes antérieures rend compte des troubles peu accusés de la
sensibilité
de la peau. Quant à la spontanéité de l'épanche
que des troisième à cinquième segments sacrés. Les troubles de la
sensibilité
de la cuisse gauche, bien limités, occupent une z
ucun trouble des réflexes, de la contractilité électrique, ni de la
sensibilité
. Il semble donc qu'un pareil état ne puisse rel
tion avec hallucinations de l'ouïe, verbales psycho-motrices, de la
sensibilité
générale et géni- tale, illusion de la vue; ave
mes, hémiplégie droite, nystagmus, le tout sans ancun trouble de la
sensibilité
: On porta le diagnostic : tumeur de la base situ
s troubles sensitifs marqués; aux membres supérieurs, au contraire,
sensibilité
et motilité allérées dans le domaine du groupe
allérées dans le domaine du groupe radiculaire brachial supérieur.
Sensibilité
au tact conser- vée ; sensibilité à la températ
e radiculaire brachial supérieur. Sensibilité au tact conser- vée ;
sensibilité
à la température abolie sur la partie supérieure
tôme concordant réside dans des altérations de la motilité et de la
sensibilité
significatives (sens stéréognostique) qui avaient
des réserves au sujet de la localisation du sens stéréognostique ou
sensibilité
significative. F. BOISSIER. SOCIÉTÉ D'HYPNOLO
à distribution franche- ment segmentaire, portant à la fois sur la
sensibilité
et sur la motilité, survenues brusquement, ou b
tous les segments du membre supérieur droit. L'exploration de la
sensibilité
révèle une bande segmentaire d'anesthésie au co
très régulières. Sur la face palmaire de la main et des doigts, la
sensibilité
est normale, ainsi que sur la face dorsale des
disation de l'avant-bras et de la main. Après quelques instants, la
sensibilité
reparait dans tout l'avant-bras, puis les mouve
peut couper son pain, dépecer ses aliments, se boutonner, etc... La
sensibilité
est troublée selon le schéma pour la piqûre et le
e par la ligne supérieure du schéma. On passe sans transition de la
sensibilité
normale au- dessus à l'hypoesthésie au-dessous
ité normale au- dessus à l'hypoesthésie au-dessous (fig. 13). Les
sensibilités
à la température et au contact sont normale- me
un quart d'heure de faradisation de l'avant-bras et de la main, la
sensibilité
est redevenue normale, mais la faiblesse per- '
t d'opposition du pouce et de l'index est à- peine esquissé. ' La
sensibilité
est normale sur tout le membre : la piqûre, le
, on constate la contraction des muscles sous la peau. Peu à peu la
sensibilité
faradique réappa- raît et le malade remue ses d
omètre : main gauche 40 kilogrammes, main droite 1 kilogramme. La
sensibilité
à la piqûre, au contact, à la température est a
droite donne 3 kilogrammes au dynamomètre. Rien de changé dans la
sensibilité
. Le 14 mars, on examine le malade avant l'élect
on. Rien de change dans la motilité ou la force musculaire. Mais la
sensibilité
est redevenue entièrement normale. Faradisati
l'étendre de force. Les mouvements de l'épaule sont conservés. La
sensibilité
au contact est normale partout. Analgésie en gant
rofesseur Pétré. Le résultat est à peu près nul. Les troubles de la
sensibilité
et de la motilité ne sont pas sensiblement amél
u. La sen- sibilité n'est pas modifiée. * Le 27. Faradisalion. La
sensibilité
ne revient pas. Le 28. Faradisation. même état
La sensibilité ne revient pas. Le 28. Faradisation. même état de la
sensibilité
, mais les troubles sensitifs inquiètent fort pe
tions, nous pouvons affirmer qu'indépendamment des troubles de la
sensibilité
cutanée dont il vient d'être question, tous nos
ous nos malades présentaient un affaiblissement très marqué de la
sensibilité
de la peau aux courants faradiques. Quand nous
s (obs. V) la paralysie motrice a totalement disparu avant que la
sensibilité
cutanée ait récupéré son intégrité. Malgré ces
cutanée ait récupéré son intégrité. Malgré ces perturbations de la
sensibilité
cutanée, tous nos malades avaient conservé le s
nt intacts, les jambes parésiées : il existe de la diminution de la
sensibilité
des extrémités inférieures un peu raides, le ph
vation de l'état paréto-spasmodique; on constate des troubles de la
sensibilité
accompagnant les troubles moteurs. A la fin de la
su cérébral par les toxines issues du foyer pathologique, extrême
sensibilité
aux toxines de l'écorce grise), cliniques (analog
Ce sont ces derniers éléments qui servent à la transmission de la
sensibilité
cutanée. Or la plus grande partie de ceux-ci arri
che), réflexes exagérés, tremblement intentionnel, diminution de la
sensibilité
, trouble spécial de la parole et paralysie oculai
s' de syringomyélie avec lésion isolée d'un des cordons de Goll. La
sensibilité
était abolie du côté de cette lésion. M. Iins
ntraire - mais je ressentais vivement, sur- tout les nuances. Cette
sensibilité
s'est développée parallèlement à l'éreuthophobi
squ'elle est perçue (à preuve qu'un sujet endormi à qui j'enlève la
sensibilité
n'éprouve et n'accuse rien quand je le pique).
'épaule se débloque + La tète ne brûle plus- L'épaule a récupéré sa
sensibilité
. Sentez votre ventre : la peau brûle, on dirait
ements de salutation qui amènent rapi- dement la restauration de la
sensibilité
récupérée très \ite égale- ment pour les lèvres
avoir les pieds, l'épaule droite, la tête bloqués. En récupérant sa
sensibilité
, il- régresse jusqu'à l'âge de trois ans, fait
ion avec sa mère. Au bout de quelques minutes, je fais récupérer la
sensibilité
du cerveau : Louis me dit - qu'il sort d'un rêv
lement et le resensibilise progressivement. A la restauration de la
sensibilité
de l'abdomen, Louis l'ait une crise de contract
27. Resensibilisation progressive : crises à la restauration de la
sensibilité
de l'estomac, de l'oreillle. Régression jusqu'à
1, de la crise de contracture que mon malade fit t en récupérant la
sensibilité
du bas-ventre. En février, Louis, qui est ectop
halite disséminée ; seuls les commémo- ratifs et les troubles de la
sensibilité
, de nature hystérique, de concert avec le cours
blie à perpétuité avec abolition des réflexes et perte totale de la
sensibilité
. Mais jusqu'à plus ample informé, nous considér
- sociétés savantes. 2't3 stigmates d'hystérie, sans troubles de la
sensibilité
, sans atrophie, sans troubles des réactions éle
x prennent l'aspect de valgum. Dissociation syringomyéli- que de la
sensibilité
dans la moitié droite du corps au-dessous de la
vité vitale, il en montre les transformations en diverses sortes de
sensibilités
correspondant à la hiérarchie des êtres. Sa for
par G. Dumas, etc. « On peut se demander, dit M. Ribot, si (de la
sensibilité
et de l'intelligence) l'une estprimaire et l'autr
ur sera notablement plus faible, il n'y aura d'abord ni rougeur, ni
sensibilité
, il faudra quelques heures pour que commence à
encé l'affection. Par contre il en est résulté des troubles de la -
sensibilité
(anesthésie, hyperalgésie, hypo-esthésie) très pé
rémités, au moment où Je patient ne se plaint d'aucun trouble de la
sensibilité
ni d'af- faiblissement de la force musculaire d
se de K... I. Noïchewsky (Pétersbourg. 1900.) Résumons-les : - La
sensibilité
pilaire représente la plus fine sensibilité de la
0.) Résumons-les : - La sensibilité pilaire représente la plus fine
sensibilité
de la peau. On l'étudie à l'aide des tricho-est
point d'excitation du poil : ce réflexe peut être net alors que la
sensibilité
pilaire est absente; il s'obtient surtout quand
ongs. La sensation de chatouillement, qui d'ordinaire accompagne la
sensibilité
pilaire, en est distincte; elle est la plus viv
vident glandes sébacées et glandes sudoripares. La finesse de la
sensibilité
pilaire n'est nullement amoindrie par la disparit
sibilité pilaire n'est nullement amoindrie par la disparition de la
sensibilité
au chatouillement. Toute pression ou élongation d
ression ou élongation de la peau fait instantanément disparaître la
sensibilité
pilaire dans les endroits sur lesquels on a agi
tricho-hyperesthésie se voit dans le tabes. Dans la spondylite, la
sensibilité
pilaire est diminuée ou absente au niveau de la
u-dessus elle est exagérée. Dans la méningite spinale, alors que la
sensibilité
tactile est conservée, que la sensibilité doulo
ite spinale, alors que la sensibilité tactile est conservée, que la
sensibilité
douloureuse est un peu exagérée, la sensibilité
t conservée, que la sensibilité douloureuse est un peu exagérée, la
sensibilité
pilaire est si exaspérée que le plus léger cont
syphilis réunies chez un même sujet. Topographie des troubles de la
sensibilité
dans la syî-iiigoi7 ? y(,"Iie. M. F.i ! .IlIlAC
ivement observés, il infère que la dis- position des troubles de la
sensibilité
est plutôt radiculaire que métamérique. 11 pens
ères sont sains. Les urines ne contiennent ni sucre ni albumine. La
sensibilité
est normale. Pas de paralysie, aucun signe de r
iphérie et dépasse de 3 à 4 cen- timètres les bords du liséré. La
sensibilité
tactile est peu modifiée. Pas de douleurs. Atroph
des muscles extrinsèques (Ziemssen. Biot). Les troubles sensitifs :
sensibilité
amoindrie pendant l'apnée. Les troubles de la r
rien d'anormal. Les urines ne contiennent ni albumine, ni sucre. La
sensibilité
cutanée est normale partout, de même que les ré-
on ovarienne gauche est très sensible à la pression. L'examen de la
sensibilité
cutanée révèle l'existence d'une zone hyperesth
s qu'à l'état normal. z Au point de vue fonctionnel, les diverses
sensibilités
(tactile, thermique, etc.) du moignon paraissen
ation le bras étendu, bien que péniblement. Quelques troubles de la
sensibilité
, exclusive- ment limités au nerf musculo-cutané
d'apparaitre en peu de jours, à l'état d'hyperalgésie subjective :
sensibilité
à la pression, et pares- thesie (formications).
, modérée, peu étendue : elle fait défaut dans les cas bénins. La
sensibilité
à la pression est en général plutôt diffuse que
ont souvent cantonnés à certaines provinces nerveuses. Peut-être la
sensibilité
à la pression pourrait-elle être considérée com
sta flasque; les réflexes tendineux furent modérément augmentés, la
sensibilité
demeura intacte. M. GAUpp croit que la sclérose
s réflexes; l'absence de réaction dégénérative et de troubles de la
sensibilité
: voilà qui est en faveur d'une poliomyélite an
lle. Ce n'est point un tabes, car il n'existe pas de troubles de la
sensibilité
au tronc ni sur les extrémités : s'il n'y a pas d
: quand elle est syphilitique elle s'accom- pagne de troubles de la
sensibilité
et des fonctions vésicale et rec- tale qui font
térieure du tronc et des extré- mités inférieures; sans perte de la
sensibilité
des muscles atteints. Miction et défécation lib
des supérieures. On constate en même temps d'autres troubles de la
sensibilité
, passagers ou de moindre importance, ou de la f
debout, ni marcher, si ce n'est à la manière des ataxiques. Mais la
sensibilité
cutanée n'é- tait que modérément atteinte : il
de troubles vésicaux, d'ataxie bien accusée et de troubles de la
sensibilité
de moindre importance. Elle peut n'atteindre qu'u
évrite 400 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. multiple des nerfs de la
sensibilité
: on la rencontre ordinairement dans les formes
e jusque-là : les constatations ainsi faites sont les sui- vantes :
sensibilité
normale à la tète et au cou : anesthésie au tou
scend jusqu'aux aines. A la face postérieure du corps, la zone de
sensibilité
normale s'étend de l'angle inférieur des omopla
té sont nettes et tranchées : pas de zone de tran- sition. Quand la
sensibilité
est revenue, elle a reparu d'abord à la paume d
usions que nous repro- duisons : 1° L'individu normal possède une
sensibilité
physique et morate plus aiguë que celle du crim
ié, la main .est en griffe, tous les mouvements sont incomplets, la
sensibilité
est notablement diminuée. La face est devenue a
onsécutivement une paralysie des quatre membres sans troubles de la
sensibilité
, de la dysphonie, de la dysphagie, une grande a
' gomyélique (ostéo-arthropathie du pied droit avec troubles de la
sensibilité
, douleurs gastriques, désarticulation tibio-tarsi
ransitoire, il n'existait aucun trouble objectif ou subjectif de la
sensibilité
superficielle. On ne constatait plus la moindre
papilles présentaient11 letfc'S : aspect normal. De troubles de la
sensibilité
et de la moitilttA,1 z il n'en existait point,
non alcoolique, présente depuis quelques années des troubles de la
sensibilité
- hyperesthésie générale, douleurs en ceinture,
; 3° contraction égale des deux pu- pilles à la fermeture des yeux,
sensibilité
à la lumière de la pupille la plus petite, acco
ctus a complètement rétrocédé. Il ne reste même aucun trouble de la
sensibilité
doulou- reuse, tactile et thermique, mais tout
diculaire, par Huet et Cestan, 88. Topographie des troubles de la
sensibilité
dans la -, par Fer- ragus, 331. Etiologie de la
'agit toujours d'une hémiplégie droite, avec ou sans troubles de la
sensibilité
, et la lésion siège alors dans l'hémisphère cér
symptomatique DES NÉOPLASIES corticales 21 Observation Aura de la
sensibilité
musculaire dans la jambe gauche. Convulsions ép
n'a jamais présenté aucun trouble permanent de la motilité ni de la
sensibilité
. L'attaque était annoncée, parfois quelques heu
que cette jambe était devenue « bien plus lourde que l'autre ». La
sensibilité
cutanée et les réflexes étaient normaux. Une fo
hysiologie du cerveau, la détermination des centres corticaux de la
sensibilité
cutanée et musculaire de l'homme. La localisation
cutanée et musculaire de l'homme. La localisation capsulaire 'delà
sensibilité
, due à Fiürck et Charcot, est connue depuis longt
ient impossible de fixer la topographie des centres corticaux de la
sensibilité
générale et musculaire. Quelques phy- siologist
rapportent les altérations du mouvement à des troubles, soit de la
sensibilité
générale, soit de la cons- cience musculaire.
ce » affectent non seulement la motilité volontaire, mais encore la
sensibilité
cutanée et musculaire, donnent lieu à des paralys
itifs. La clinique nous apprend encoreque les per- turbations de la
sensibilité
générale et musculaire peuvent apparaître in- d
s sont rares - admettent avec M. Bris- saud que « les centres de la
sensibilité
corticale ont les mêmes localisa- tions anatomi
tres de la motiiité, topographiquement parlant, c'est-à-dire que la
sensibilité
, pour un membre ou pour un segment de membre, a
spondent pas à la même couche de l'écorce » (1). Suivant Lino, la
sensibilité
générale occuperait les cellules les plus super
bilité générale occuperait les cellules les plus superficielles, la
sensibilité
musculaire les cellules des' couches moyennes,
errier et de Charcot - ne sont point accompagnées de troubles de la
sensibilité
gé- nérale et musculaire, nient la superpositio
et dont la cause doit être cherchée dans le centre perceptif de la
sensibilité
muscu- laire. C'était, ensuite, la perte de la
s observés chez notre malade semblent démontrer que le centre de la
sensibilité
muscu- laire du membre inférieur est placé dans
e observation est muette en ce qui concerne les localisations de la
sensibilité
cutanée. Quels rapports existent entre la lésio
ons physiologiques du cortex lésé. EN résumé : I. Le centre de la
sensibilité
musculaire du membre inférieur semble être plac
stéréognostique et du sens stéréognostique seul, toutes les autres
sensibilités
cutanée, musculaire, articulaire étant conser-
stéréognostique suppose donc la mise en jeu non pas d'un centre de
sensibilité
mais d'un centre de mémoire et d'associa- '. ti
re 35 à droite, mais notre malade exerce surtout sa main droite. La
sensibilité
au premier abord ne paraît pas troublée davantage
s points explorés est par- faite. Nous avons recherché l'état de la
sensibilité
articulaire en imprimant des mouvements aux div
nce aux mouvements volontaires est également accusée par le malade (
sensibilité
musculaire con- servée). Le sens stéréognosti
rtent éga- lement bien, même motilité, même absence de troubles- de
sensibilité
, mêmes réflexes rotuliens un peu forts. La main
es articulations se meuvent nor- malement. 9 48 G. GASNE . La
sensibilité
au tact est parfaitement normale, la piqûre est d
oolique. De ces observations il résulte qu'il existe, isolable, une
sensibilité
spé- ciale qu'on peut appeler sens stéréognosti
es ligaments qui les unissent, les muscles sont sensibles. Si cette
sensibilité
a élé niée, c'est qu'on l'a confondue avec les
le contraction me paraît indéniable. Il suffit d'avoir recherché la
sensibilité
articulaire (chez les ataxiques par exemple) po
s délicatement différenciés : tact, pression, douleur, température,
sensibilité
articulaire, sensibilité musculaire,l'esprit él
és : tact, pression, douleur, température, sensibilité articulaire,
sensibilité
musculaire,l'esprit élabore une sensation plus
orme, la nature de l'objet, 1 Il il le reconnaît, il a une nouvelle
sensibilité
, la sensibilité stéréognostique. C'est cette se
de l'objet, 1 Il il le reconnaît, il a une nouvelle sensibilité, la
sensibilité
stéréognostique. C'est cette sensibilité stéréo
e nouvelle sensibilité, la sensibilité stéréognostique. C'est cette
sensibilité
stéréognostique dont nous voudrions chercher la
'objet qu'on a mis dans leur main ; joignez à cela que souvent leur
sensibilité
musculaire n'est pas intacte, et que, surtout pou
qu'il ne voit pas le.boulon' qu'il doit manoeuvrer. Si on étudie sa
sensibilité
, on trouve à côté d'une hypoesthésie cutanée as
ace corticale. En arrière d'elle, Meynert localisa les centres de
sensibilité
, l'on fil de la zone frontale le siège de l'int
n- sitif. Mais de toutes parts on interrogea avec plus de soin la
sensibilité
des hémiplégiques, des anciens opérés, des anim
istence de ces derniers ; ils rapportèrent aux seuls troubles de la
sensibilité
les phé- nomènes paralytiques des hémiplégiques
mouvement. Il est impossible de nier l'existence de troubles de la
sensibilité
dans les lésions corticales suivies de phénomèn
la difficulté où l'on est de s'entendre sur la nature des diverses
sensibilités
. En particulier le mot de sens musculaire, syno
r nous la vraie SENS STÉItÉOGNOS1'IQC ET CENTRES D'ASSOCIATION 51
sensibilité
musculaire. Mais on l'a employé aussi pour désign
résistance aux mouvements passifs et qui p11'a rien à voir avec la
sensibilité
; on l'a employé pour désigner la per- ception
vements passifs, perception qui n'est autre que le résul- tat de la
sensibilité
articulaire; on l'a employé pour désigner la noti
éréognostique comme existant à l'exclusion de tout autre trouble de
sensibilité
, nous savons que la sensibilité articulaire, que
'exclusion de tout autre trouble de sensibilité, nous savons que la
sensibilité
articulaire, que la sensibilité musculaire étai
de sensibilité, nous savons que la sensibilité articulaire, que la
sensibilité
musculaire étaient altérées ; que, par contre,
ogatoire aussi délicat que celui de la recherche des troubles de la
sensibilité
. ' - Verger qui a fait sa thèse sous l'inspirat
plète, absolue mémo si la diminu- tion dos modes élémentaires de la
sensibilité
générale est peu marquée et seule elle est loca
até à côté de la perte du sens stéréognostique des trou- bles de la
sensibilité
tactile et musculaire, et il est seulement en dro
variations qualitatives de cette sensation; que c'est un centre de
sensibilité
perfectionnée, ce qui ne veut pas dire pour cel
t-Dumay sépare nettement au contraire le sens sléréognos- tique des
sensibilités
tactiles, douloureuses et thermiques de la peau e
lités tactiles, douloureuses et thermiques de la peau et même de la
sensibilité
musculaire proprement dite, uniquement mise en év
erçue quand on s'oppose auxmou- vements et différente également des
sensibilités
articulaires, capsulaires, etc. Il a constaté q
apsulaires, etc. Il a constaté que l'évolution des désordres de ces
sensibilités
élé- mentaires pouvait être indépendante de l'é
si l'on peut imaginer ce que serait un individu dont les sphères de
sensibilité
seraient seules détruites avec conservation des c
yotrophie porte sur la totalité du membre et est très prononcée, la
sensibilité
parait intacte dans tous ses modes. Le squelette
existe des deux côtés. Il n'y a pas de lésion du fond de l'oeil. La
sensibilité
objective est conservée à tous les modes sur tout
ETREM d'une sorte de démangeaison, ainsi que d'une diminution de la
sensibilité
à la douleur de toute la peau. IL- Un )lOmme
peau de près de 6 centimètres de diamètre où toutes les espèces de
sensibilité
sont abolies. IV. - Lichen ruber acuminé chez u
anés, tendineux et vasculaires, sont considérablement exagérés ; la
sensibilité
pour la douleur est un peu diminuée, la sensibi
t exagérés ; la sensibilité pour la douleur est un peu diminuée, la
sensibilité
tactile est partout bien conservée. La sensibil
peu diminuée, la sensibilité tactile est partout bien conservée. La
sensibilité
pour la température est parfont considérablement
és tendi- neux et vasculaires était accompagnée d'altérations de la
sensibilité
avec une perte partielle de la sensibilité ther
gnée d'altérations de la sensibilité avec une perte partielle de la
sensibilité
thermique et douloureuse, c'est-à-dire avec la
vitiligo et atrophie des muscles des jambes. Les altérations de la
sensibilité
et les troubles trophiques dans ces der- niers
orps on remarque une diminution considérable de tous les modes delà
sensibilité
. L'exploration de la sensibilité tactile et dou
onsidérable de tous les modes delà sensibilité. L'exploration de la
sensibilité
tactile et douloureuse par l'algésimètre de Coulb
Ayant les yeux fermés le malade ne peut pas garder l'équilibre. La
sensibilité
douloureuse, tactileeL thermique du côté gau- c
côté gau- che est considérablement diminuée. Les explorations de la
sensibilité
avec l'algésimètre de Coulbine nous présentent
par de vastes ossifications. Il y a également une diminution de la
sensibilité
électrique, les cou- rants forts n'occasionnent
ulaire, avec un semis de petites taches blanches atrophiques et une
sensibilité
normale. Au point où se rencontraient les axes
nt fibrillaire de la langue. Les réflexes sont normaux ainsi que la
sensibilité
. L'examen des divers appareils ne fait découvri
rontal interne (Voy. Fig. 1). La peau avoisinante est intacte. La
sensibilité
est normale sur toute l'é- tendue des téguments
sensation de refroidissement remonte jusque vers la jarretière. La
sensibilité
au contact, il la douleur, à la température par
ts. Dans l'intervalle des accès, on ne constate aucun trouble de la
sensibilité
. On a pris seulement le temps de réaction des d
commissure à l'autre de ce côté. 11 n'existe aucun trouble de la
sensibilité
de la peau ni des muqueuses de la face, et en p
et subjectif des membres inférieurs dû probablement à l'oedème. La
sensibilité
cutanée est intacte ; pas de troubles de la sensi
'oedème. La sensibilité cutanée est intacte ; pas de troubles de la
sensibilité
Lher- mique, pas d'anesthésie ou d'hyperesthési
leur caractère osseux dès l'instant de leur apparition, leur peu de
sensibilité
, leur bénignité relative, en ce sens qu'elles n'a
phates, 2 gr. 70 ; urée, 29 gr. 2 ; acide urique, 0.52 par litre.
Sensibilité
et organes des sens normaux. (A suivre.) UN CAS
u en verre, il lui est arrivé de renverser les objets voisins. La
sensibilité
générale paraît intacte. Le malade a toujours bie
de maladie de Friedreich avec atrophie musculaire et troubles de la
sensibilité
. Soc. de biologie, 1890, p. 43. UN CAS DE MALAD
flexes cutanés étaient normaux. Il n'existait pas de troubles de la
sensibilité
objective. Les sphinc- ters fonctionnaient régu
serait étonnant que ni la voie sensitive, qui est au service de la
sensibilité
générale, ni la voie motrice ne fussent comprim
fibreuses (a.a) sur les filets émergents de quelques nerfs. DE LA
SENSIBILITÉ
DOULOUREUSE DE LA PEAU. ALGÉSIMÉTRIE PAR MO
simètre, en promettant de présenter un dessin topogra- phique de la
sensibilité
douloureuse de toute la superficie de la peau. Bi
ureuses. La question du trouble de chaque espèce particulière de la
sensibilité
de la peau s'éclaircira quand nous saurons empl
s autres ter- minaisons voisines destinées aux autres espèces de la
sensibilité
de la peau. Notre ignorance actuelle au sujet d
sme a besoin d'appareils spéciaux pour se défendre contre ses DE LA
SENSIBILITÉ
DOULOUREUSE DE LA PEAU. ALGÉSIMÉTRIE 231 nombre
t une grande importance. Le fait clinique que quelques degrés de la
sensibilité
calorique ou tactile ne sont pas perçus et ne s
, restait tout à fait subjective, quelquefois même doublement DE LA
SENSIBILITÉ
DOULOUREUSE DE LA PEAU. ALGÉSIMÉTRIE 233 subjec
fisant pour examiner les plus profondes lésions pathologiques de la
sensibilité
cutanée. La périphérie de l'épaississement supé
lles je suis arrivé d'après mes mensurations : Les variations de la
sensibilité
douloureuse de la peau chez les per- sonnes tou
les limites de 0,15 à 1,5 miel- limètres. Le centre de la moindre
sensibilité
douloureuse de la peau c'est la région du bassi
du bassin ; de là vers la tète et vers les doigts des extrémités la
sensibilité
douloureuse augmente graduellement. La peau la
ssage entre la peau et la muqueuse (les lèvres) ont une plus grande
sensibilité
douloureuse que dans les régions voisines. La s
us grande sensibilité douloureuse que dans les régions voisines. La
sensibilité
douloureuse des muqueuses est de beaucoup inférie
nsibilité douloureuse des muqueuses est de beaucoup inférieure à la
sensibilité
douloureuse de la peau. Le degré de sensibilité
p inférieure à la sensibilité douloureuse de la peau. Le degré de
sensibilité
des différentes muqueuses est différent : Fig.
lité des différentes muqueuses est différent : Fig. 1 et 2. DE LA
SENSIBILITÉ
DOULOUREUSE DE LA PEAU. ALGÉSIMÉTRIE 235 La sur
pas la sensation du pouls. - Dans les plis normaux de la peau la
sensibilité
douloureuse est toujours plus grande que dans l
ines. Autour des articulations et au-dessus des sutures osseuses la
sensibilité
douloureuse est toujours plus grande. Sur les
ticulations fléchies, quand la peau qui les recouvre est tendue, la
sensibilité
est toujours plus grande que quand les articulati
ulations sont en extension, avec la peau en plis (les doigts). La
sensibilité
douloureuse des surfaces palmaires des phalangett
moyen de la cuisse, de la jambe, de l'épaule et de l'avant- bras la
sensibilité
douloureuse est plus basse. Le degré des sensat
ncore des explications ultérieures. Plus la peau est mince, plus la
sensibilité
douloureuse est grande (les plis de la région p
ur de l'épidémie a aussi une grande influence sur la sensibi- DE LA
SENSIBILITÉ
DOULOUREUSE DE LA PEAU. ALGÉSIMÉTR1E 237 lité d
ont en raison inverse. Entre l'épaisseur de la peau d'un côté et la
sensibilité
douloureuse et tactile de l'autre côté il n'y a
on directe : sur la plante du pied, où la peau est très épaisse, la
sensibilité
tactile est très grande, et la sensibilité doul
peau est très épaisse, la sensibilité tactile est très grande, et la
sensibilité
douloureuse est basse. On observe souvent des
mme in- telligent tout ci fait bien portant ayant sur les fesses la
sensibilité
doulou- reuse 1,5 mm. La sensibilité chez les
tant ayant sur les fesses la sensibilité doulou- reuse 1,5 mm. La
sensibilité
chez les hommes change(moins que chez les femmes.
La sensibilité chez les hommes change(moins que chez les femmes. La
sensibilité
douloureuse change plus ou moins sous l'influence
k, Bernhard et Drosdof ont observé des changements importants de la
sensibilité
doulou- reuse dans les différentes régions de l
ant des énormes résis- tances (jusqu'à 3.000.000 ohm) ont trouvé la
sensibilité
douloureuse égale sur-toute la surface de la pe
telligence; aucune ébauche de parole; quelques spasmes gutturaux.
Sensibilité
générale obtuse ; vision et audition paraissant n
enou est ankylosée il angle droit. L'extension est impossible. La
sensibilité
objective au niveau du membre atrophié est intact
i- que insuffisante transmise par les conducteurs centripètes de la
sensibilité
commune, la moelle répondra par un mode d'activ
souffre pas, ne se plaint de rien, il est très maigre seulement. La
sensibilité
cutanée au niveau des régions : ossifiées est nor
e l'avant-bras gauche; supination incom- plète, pronation complète.
Sensibilité
de l'articulation, tubérosité osseuse entre l'é
à une lésion du vague car les autres organes fonction- nent bien.
Sensibilité
intacte. Réactions électriques. Le courant fara
ependant des contractions fibrillaires au contact. Diminution de la
sensibilité
électrique ; les courants forts n'occasionnent
rotule, à droite, 38 centimètres ; à gauche, 34. Rotules mobiles.
Sensibilité
normale ; contractilité faradique dans les muscle
res. En dehors des douleurs il n'existe pas d'autres troubles de la
sensibilité
. Marche de la maladie. - L'affection a eu trois
annulaire gauche de Duf...).Ces dou- leurs semblent donc tenir a la
sensibilité
propre des végétations osseuses. Les douleurs q
3 ? La moitié droite de la langue est hypertrophiée et possède une
sensibilité
gustative plus obtuse qu'à gauche. L'écouleme
aule est plus élevée, la jambe est plus grosse et plus lon- gue, la
sensibilité
est moindre, principalement sur la langue. On not
ans cette direction est éva- luée à 1 centimètre. La motilité, la
sensibilité
, la température, la coloration du visage sont éga
que l'iris gauche. La motilité des muscles de la face ainsi que la
sensibilité
sont normales. La main droite paraît un peu plu
, dont la mimique est paresseuse, ne présente pas de troubles de la
sensibilité
. Tout le reste du corps est normal. L'intellige
, dans la ré- gion occipitale. Salivation. Pas de troubles moteurs.
Sensibilité
légère- ment émoussée sur la joue considérablem
es fibres sont dissociées et parce que la résistance est augmentée.
Sensibilité
. La piqûre sur la joue gauche provoque une réacti
te ; sur le front la sensation est la même à droite qu'à gauche. La
sensibilité
électrique est normale des deux côtés. Le réfle
ns l'observation IIÉMIÜYPERTROPIIIE FACIALE 35 deFriedreich où la
sensibilité
gustative était plus obtuse du côté hyper- trop
in, à certaines observations d'hémihypertrophie faciale acquise. La
sensibilité
et la motricité sont nor- males ; les troubles
'aspect de la langue, des amygdales, des oreilles et du front. La
sensibilité
, la motilité, la sécrétion des sueurs et du sébum
e côté gauche de sa figure sue plus facilement que le droit. , La
sensibilité
est conservée sous tous ses modes. Au dire de l
nous ferons remarquer en passant qu'il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
objective dans cette région. Les douleurs spont
ion épileptoïde au membre supérieur comme au membre inférieur. La
sensibilité
parait égale des deux côtés soit à la face, soit
ième et la onzième apophyses épineuses dorsales, sans trouble de la
sensibilité
de la peau. Pas de points douloureux dans les r
réiformes isolés ne s'accompagnaient pas de troubles lo- caux de la
sensibilité
; ils ont disparu au bout d'une quinzaine de jour
ns bientôt une hémianesthésie droite senso- rielle et sensitive. La
sensibilité
est complètement abolie quant à la douleur et a
la douleur et au tact, le sens musculaire fait également défaut; la
sensibilité
à la pres- sion est seule conservée dans une ce
a plaie en 14 jours sans accidents ; eu même temps, la tumeur et sa
sensibilité
ont considérablement diminué. Plus tard formation
ens stéréognostique et centres d'associa- tion, par G. GASNE, 46.
Sensibilité
douloureuse de la peau : algé- simétrie, par Mo
iste (22 phot ,, 2 pl. en couleur), 492. 1`IOC%U1'IiovSliY. De la
sensibilité
doulou- reuse de la peau : algésimétrie (2 fig.
asie transitoire, des convulsions él71leptoïdes, des troubles de la
sensibilité
et du mouve- ment d'un côté du corps dont la na
plus ou moins inquiétants tels que aphasie, parésie, troubles de la
sensibilité
etc. L'épilepsie même, liée a la migraine ophtl
un accès. Il en est de même pour ce qui concerne les troubles de la
sensibilité
et du mouvement et enfin de l'aphasie. L'aphasie
cotome, les formes variées de l'aphasie, les troubles moteurs ou de
sensibilité
, les accidents épileptiformes ? Dans l'étal act
re, était parfaitement conservée. Pour ce qui concerne l'état de la
sensibilité
, notre malade accusait dans les deux régions de
, une hypoesthésie très manifeste, portant sur tous les modes de la
sensibilité
. Enfin, d'a- près une note qui m'a été remise p
ous verrez, tout à l'heure, la raison de ces détails. Du côté de la
sensibilité
, les troubles objectifs commencent il s'atténue
ntres trophiques des deltoïdes. Enfin l'existence de troubles de la
sensibilité
: douleurs, hy- poestllésie, plaident encore co
ques minutes d'examen; il n'existe pas de trépida- tion spinale. La
sensibilité
est partout conservée sans êtro, à ce qu'il sembl
'accentuant surtout dans les membres inférieurs ; l'intégrité de la
sensibilité
sous ses divers modes jointe il l'exagération des
le mode chronique, par la moelle épinière, où les mouvements et la
sensibilité
sont d'abord seuls altérés, où les facultés mor
fulgu- rant et s'étaient montrées sous forme de crises légères. La
sensibilité
au simple contact et à la douleur était émoussé
es de la série tabétique. UN ALGÉS1MÈTRE APPAREIL POUR MESURER LA
SENSIBILITÉ
DE LA PEAU A LA DOULEUR. par A. MOCZVTKOWSKI,
rentrent également les méthodes d'examen de tous les mo- des de la
sensibilité
cutanée. Le défaut principal des appareils usités
n disant que l'ex- citation faradique n'indique pas quel mode de la
sensibilité
cutanée a été examiné. La simple aiguille ou
à l'aide d'une épingle ou d'une aiguille une idée sur l'état de la
sensibilité
à la douleur de la peau, mais quand cette sensi
l'état de la sensibilité à la douleur de la peau, mais quand cette
sensibilité
n'est que faiblement troublée, l'expérimentateur
usion que nous ne possédons pas de méthode pratique pour mesurer la
sensibilité
à la douleur de la peau (1). Voilà pourquoi jus
t l'aiguille ou l'épingle sont l'instrument usuel de l'examen de la
sensibilité
à la douleur cutanée. Malheureusement t on se s
avec la surface du bouton sur l'endroit dont on veut exami- ner la
sensibilité
. On commence l'examen avec les chiffres au bas de
imètre. Ce principe ne me parait pas extraordinaire. En mesurant la
sensibilité
à la douleur par le courant induit, on se sert
ffisant d'observations, je puhlierai un tableau topographique de la
sensibilité
à la douleur de toute la surface cutanée. Pour
g UN ALGÉS131ÈTRE 47 et dans le voisinage des sutures osseuses la
sensibilité
douloureuse est plus fine. Le centre de la sens
osseuses la sensibilité douloureuse est plus fine. Le centre de la
sensibilité
douloureuse la plus faible est la région du bas
s les bouts des doigts des extrémités supérieures et inférieures la
sensibilité
douloureuse augmente graduellement. Le long de
. Le long de la ligne médiane sur la surface antérieure du corps la
sensibilité
dou- loureuse est moindre que dans les parties
ouleur que la ligne médiane postérieure. Aux pulpes des doigts la
sensibilité
douloureuse croît depuis le pouce jusqu'au peti
es pieds c'est moins prononcé. Sur le dos des mains au contraire la
sensibilité
douloureuse augmente du bord cubital au bord ra
ureuse augmente du bord cubital au bord radial. Sur la figure, la
sensibilité
douloureuse augmente le long d'une ligne droite
arties du corps est surtout pro- noncée sur les mains : à droite la
sensibilité
douloureuse est un peu plus obtuse (à peu près
ituées l'une près de l'autre ne possè- dent pas tout à fait la même
sensibilité
douloureuse. Oh observe chez différentes person
rsonnes de nombreuses variations indi- viduelles aussi bien dans la
sensibilité
douloureuse absolue, que dans la sensibilité do
les aussi bien dans la sensibilité douloureuse absolue, que dans la
sensibilité
douloureuse relative. Certains métiers (couturièr
professions) ont une grande influence sur l'affai- blissementde la
sensibilité
douloureuse de la peau, surtout sur la paume de
des douleurs. Il existe chez cette femme d'autres troubles de la
sensibilité
qui, en l'espèce, ont une importance de premier
compte exact de cette anesthésie (ou hypoesthésie) qui intéresse la
sensibilité
sous ses trois modes. (V. fig. G et 7) En pou
g. G et 7) En poussant plus loin la recherche de ces troubles de la
sensibilité
, nous avons acquis la preuve que l'anesthésie n
ntir le passage de l'urine. En somme, l'ensemble des troubles de la
sensibilité
que nous relevons chez cette femme peut se résu
de faire la compa- raison avec celui de l'état actuel. L'état de la
sensibilité
du périnée ne fut pas recherché à cette époque.
ite, du bord plantaire interne du pied droit ; une diminution de la
sensibilité
à la face externe de la jambe, clans la région
e incoordination motrice peu marquée d'ailleurs, des troubles de la
sensibilité
objective qui, comme ceux d'ordre subjectif, diff
dans un or- dre systématique, en commençant par les troubles de la
sensibilité
. A. TROUBLES DE la sensibilité. a) 77eh ? e.S
en commençant par les troubles de la sensibilité. A. TROUBLES DE la
sensibilité
. a) 77eh ? e.S ! <M ; douleurs. Quand il s'a
on de la queue de cheval. Elle porte sur les différents modes de la
sensibilité
; dans quelques observations, on trouve mentionné
ej1lsqu'Ù la partie supérieure du renflement lombaire. En effet, la
sensibilité
et la motilité sont supprimées dans l'ensemble de
les sensitifs et moteurs aboutisse aux constatations suivantes : La
sensibilité
est abolie ou considérablement émoussée aux organ
t des muscles donne les signes de la réaction de dégénérescence. La
sensibilité
est abolie dans toute l'étendue des membres inf
ner et que je vous prie de retenir. Les troubles très accusés de la
sensibilité
contrastent étrangement avec l'intégrité de la
eux de défécation. J'arrive maintenant aux troubles objectifs de la
sensibilité
et je vous demande la permission d'y insister l
je vous demande la permission d'y insister longuement. Eh bien ! la
sensibilité
est intacte dans toute l'étendue des membres in
'organisme, la peau se présente comme l'organe par excellence de la
sensibilité
, transmettant au système nerveux central toutes
péra- ture etc. Ce rôle important de la peau comme organe dans la
sensibilité
con- duit à la supposition que les centres trop
de la peau sont situés, avec les centres trophiques des nerfs de la
sensibilité
, dans les ganglions intervertébraux et que les
vertébraux et que les nerfs trophiques accompagnent les nerfs de la
sensibilité
. \ Cette supposition est confirmée par analogie
ions trophiques de la peau sont toujours liées à des troubles de la
sensibilité
et non du mouvement (James Rassel et autres). E
lions, par conséquent avec les centres trophi- ques des nerfs de la
sensibilité
. Comme conclusion praliquede ce qui précède déc
stème nerveux, l'examen doit porter principalement sur l'étal de la
sensibilité
, cutanée. Pour l'étiologie de l'eczéma, les o
l'examen, côté essentiel à notre avis, la détermination du degré de
sensibilité
de la peau, est complètement négligé. Dans un s
ravail, celui de Rendu (1), nous trouvons des obser- vations sur la
sensibilité
de la peau dans l'eczéma. Il est regrettable que
ait trop restreint son sujet, se bornant à rechercher le degré de ,
sensibilité
delà partie attaquée de la peau, comparée à la pa
exactemenl décider la question de savoir si cette altération de la
sensibilité
était un phéno- mène primitif ou si elle était
ec le plus grand soin l'état du système nerveux en général et de la
sensibilité
de la peau en particulier chez les malades affe
rères français (2). (1) Rendu. Recherches sur les altérations de la
sensibilité
dans les affections de la peau. Annales de derm
nches. , vin 11 LÉGENDE EXPLICATIVE DES SCHÉMAS DE TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
£ Fig. 34 Fin. 35 l"ig. ;36 Fig. 37 Fig
gauche. L'anesthésie de la peau comprend toutes les variétés de la
sensibilité
. Tous les nerfs du côté droit sont douloureux à
mbres supérieurs et du dos par zones : de toutes les variétés de la
sensibilité
, la tbermo-anesthesie per- siste seule. Irritab
es mains et des avant bras. Anesthésie de toutes les variétés do la
sensibilité
dans les parties affectées. Un examen fait deux s
eczéma de la paume dos mains. Anesthésie de toutes les variétés de
sensibilité
, particulièrement insensibilité il la douleur d
dans le plus petit nombre, 4, l'anesthésie a toutes les variétés de
sensibilité
; enfin dans un cas l'anestllésie du sen- timent
e l'anesthésie variait depuis un affaiblissement insignifiant de la
sensibilité
jusqu'à la perle absolue de cette faculté, ce qui
t normale. \ Des trois affections : la paralysie périphérique de la
sensibilité
, l'hysté- rie et le syringomyélie, auxquelles o
qu'on l'a vu dans les cas cités, aussi-bien dans les régions où la
sensibilité
est normale, et que, d'autre part, les observat
itaires, ni person- nels ; elle ne présente pas de diminution de la
sensibilité
, pas de zones d'analgésie ; aucun autre stigmat
i de douleurs, spontanées dans les membres paralysés. Sauf cola les
sensibilités
générale et spéciale (tact, température), sont no
ré avec des idées de persécution, idées de grandeur, troubles de la
sensibilité
générale, et dont le délire ne présente pas d'é
oedème. Elles ne sont le siège d'aucune sensation morbide, mais la
sensibilité
y paraît normale ; toutefois il faut noter que l'
ité électrique. Tel était, au total, le complexus symptomatique. La
sensibilité
, en par- ticulier, ne présentait aucune altérat
se d'engourdissement dans les mains et d'une absence complète de la
sensibilité
au contact. Elle ne sentait pas les objets qu'e
ion de boule, étouf- fements, bâillements. Stigmates hystériques.
Sensibilité
cutanée : sensation de contact con- servée. D
es membres con- tractures. Chaleur. Diminution considérable de la
sensibilité
il la chaleur. Avec le thermoaesthésiomètre de
main au- dessous de l'interligne du genou, abolition complète de la
sensibilité
au tact, à la douleur, à la température (thermo
sens musculaire du bras gauche. Côté droit. Simple diminution de la
sensibilité
dans les régions symétri- ques aux zones d'anes
L'incontinence des urines et des matières fécales est absolue. La
sensibilité
est gravement atteinte dans toute la moitié infér
est gravement atteinte dans toute la moitié inférieure du corps. La
sensibilité
à la piqûre est abolie dans tout le membre inféri
a plante du pied est encore perçu, mais d'une façon peu intense. La
sensibilité
à la chaleur est abolie complètement en avant dan
il existe une thermo-anesthésie qui n'est pas non plus absolue. La
sensibilité
au froid est abolie dans toute la moitié inféri
quement au-dessous d'une ligne passant à l'épigastre, tandis que la
sensibilité
à la piqûre est conservée DEUX CAS DE MYÉLITE T
quatre derniers orteils. Il s'agit donc de troubles dissociés de la
sensibilité
et non d'une anesthésie complète. Ces troubles
l'avant-veille de la mort donne les mêmes résultats. L'examen de la
sensibilité
provoque de nombreux réflexes cutanés dont la m
ation qui va suivre, mais la lésion transverse était totale. ' La
sensibilité
a été moins éprouvée quelamotilité et on comprend
és à gauche, aussi bien en étendue qu'en intensité. Les différentes
sensibilités
ne sont pas également attein- tes ; le tact sim
nsibilités ne sont pas également attein- tes ; le tact simple et la
sensibilité
électrique superficielle sont moins émoussés qu
la sensibilité électrique superficielle sont moins émoussés que la
sensibilité
à la chaleur et surtout à la piqûre ; on observe
yélique. Faut-il en conclure que les conducteurs de ces différentes
sensibilités
occupent dans la moelle des places différentes
E AIGUË 337 phénomènes prémonitoires, portant principalement sur la
sensibilité
. La ma- lade ressentait dans les mollets et dan
soin sont abolies. 338 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE La
sensibilité
est complètement abolie depuis une ligne horizont
une hauteur de trois travers de doigt environ. Tous les modes de la
sensibilité
sont également atteints : le tact, la douleur, la
ent atteints : le tact, la douleur, la sensation de température, la
sensibilité
profonde, le sens musculaire, le sens de l'ex-
anés persistent et il arrive fréquemment que les explorations de la
sensibilité
déterminent des secousses analogues à celles qu
réflexes conservés, réactions électriques normales. Troubles de la
sensibilité
nettement hystériques, in- continence d'urine é
nelles variées. Nous nous débarrasserons d'abord des troubles de la
sensibilité
objective qui, si nous rappelons l'existence d'
té gauche le malade ne distingue aucune couleur. Les troubles de la
sensibilité
subjective sont caractérisés par des douleurs,
e à l'affec- tion musculaire : tels sont d'abord les troubles de la
sensibilité
cutanée abolie aussi bien pour le tact que pour
ation, la traversée de la portion membraneuse en particulier, d'une
sensibilité
si délicate, n'a donné lieu à aucune manifestat
au niveau du méat, la région membraneuse n'était le siège d'aucune
sensibilité
. En injectant lentement de l'eau dans la vessie
lentement de l'eau dans la vessie il nous fut facile de voir que la
sensibilité
à la distension persistait bien que très diminuée
ts sains, 33. Eczéma chronique (rapport avec les trou- bles de la
sensibilité
), 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 4
4) ? 47. Flématomyélie du cône tei->,2.i;ial. Trou- bles de la
sensibilité
, 30, 31. Disposition anatomique des racines, 32
, 63. Myopathie progressive chez un hystéri-- que. Troubles de la
sensibilité
, 67, 68. Névralgie de la VIIIE paire cervicale
niers, 59 et 60. Jan Steen, 61 et 62. Queue de cheval. Trouble de
sensibilité
, 67. Disposition anatomique des nerfs et rapp
te. Aux membres supérieurs, la teinte est d'un bleu accusé. Partout
sensibilité
conservée aux différents modes. Les parties molle
on à cette aug- mentation de volume. La peau des mains est épaisse.
Sensibilité
tactile et ther- mique bien conservée ; la sens
est épaisse. Sensibilité tactile et ther- mique bien conservée ; la
sensibilité
à la piqûre un peu obtuse. Pieds un peu augment
colorée mais que de place en place apparaissent des cicatrices. La
sensibilité
et la motilité sont intactes. Un peu de déformati
moins marquée. Pas de scléro-dactylie. Peau au contraire, épaissie.
Sensibilité
intacte. Ongles normaux. Doigts malhabiles; cep
chaud ni sensation de froid aux mains. Il remarque seulement que la
sensibilité
est un peu diminuée dans les doigts au toucher
es picotements et des lancées. On ne constate pas de troubles de la
sensibilité
tactile, ni de la sensibilité à la douleur. La
On ne constate pas de troubles de la sensibilité tactile, ni de la
sensibilité
à la douleur. La sensibilité à la chaleur n'est
es de la sensibilité tactile, ni de la sensibilité à la douleur. La
sensibilité
à la chaleur n'est pas altérée non plus. Le sujet
du compas de Weber ne dénote aucune altération bien accentuée de la
sensibilité
tactile. Autant qu'il est permis de l'affirmer av
venir. Mais, cependant, au cours de la croissance de l'individu, la
sensibilité
au froid ne s'atténue pas ; tout au contraire,
ssaient quel- que répit au malade : désormais il est toujours d'une
sensibilité
extrême aux températures froides, voire même se
est un point sur lequel je m'étendrai longuement par ailleurs. La
sensibilité
est en général peu troublée. Les sujets sentent b
ôté opposé n'en est pas moins assez intense. Si nous explorons la
sensibilité
de la peau, nous la trouvons normale pour tous
ien le fait de l'atrophie des masses musculaires de la langue. La
sensibilité
de la langue au contact, à la douleur et sa sensi
langue. La sensibilité de la langue au contact, à la douleur et sa
sensibilité
gusta- tive sont conservées. L'hémiatrophie d
e. La muqueuse du nez ne présente pas de trouble d'aucun mode de sa
sensibilité
. La rhinoscopie a montré que le cornet inférieu
général. En somme, voilà une affection qui respecte la motilité, la
sensibilité
, les sécrétions, la vasomotricité pour ne frapp
ême que la marche. Il n'y avait aucun trouble de la motilité, de la
sensibilité
, ou des différents viscères. ' Depuis lors, p
Circonférences : 34 SICARD ET LAIGNEL-LAVASTINE aucun trouble des
sensibilités
objectives tactile, douloureuse et thermique au
ités objectives tactile, douloureuse et thermique aucun tronble des
sensibilités
profondes. Les cercles de Weber ont la même lar
presque dans cette position, sur le même plan que les extrémités.
Sensibilité
. Sensibilité au tact bien conservée partout. La s
s cette position, sur le même plan que les extrémités. Sensibilité.
Sensibilité
au tact bien conservée partout. La sensibilité
émités. Sensibilité. Sensibilité au tact bien conservée partout. La
sensibilité
à la douleur et à la température est également
t-bras à angle droit sur le bras, et accordons-lui à cet instant la
sensibilité
tactile superficielle et profonde. A moins de sup
tact au point du corps où il a été effectué ? C'est parce que «. la
sensibilité
s'est éveillée au point de contact et ne s'est
t in eo vertus dormitiva. M. Bonnier attribue ni plus ni moins à la
sensibilité
une vertu localisatrice. Mais la question est p
étant renversée (1). M. Bonnier admet donc que le fait même pour la
sensibilité
d'être ob- jectivement « distribuée » lui confè
s neurones corticaux. Si donc la « distribution topographique de la
sensibilité
>> suffit à faire éclore la perception de l
voisins par la main. Nous aurons là, personne ne le niera, « de la
sensibilité
topographiquement distribuée » ; chaque per- so
en ni pour ni contre un sens autonome des attitudes. Envisageons la
sensibilité
tactile. La localisation peut s'y faire de façon
es deux pointes. A PROPOS DU SOI-DISANT « SENS DES ATTITUDES » 53
sensibilité
s'est éveillée au point de contact et ne s'est pa
reurs de localisation, en indiquant comme tou- ché un point dont la
sensibilité
n'a pas été éveillée ? Ceux qu'intéresse cette
marqué (comme Leyden l'avait fait déjà il y a vinq-cinq ans) que la
sensibilité
tactile peut être fortement amoindrie sans que
isation tactile marchent toujours de pair avec un abaissement de la
sensibilité
kinesthésique (Bewegungsem- pfindungen). Foerst
ales, ima- ges à la constitution et à la conservation desquelles la
sensibilité
kinesthé- sique est indispensable (2). On voi
du Wagner's Ilandwoerterbuch der Physiol., 1848. 54 ED. CLAPARÈDE
sensibilité
superficielle, dans le cas de l'attitude d'un mem
le cas de l'attitude d'un membre, elles le sont par les voies de la
sensibilité
profonde. Ces impressions provenant des articul
de la sensibi- lité permet de constater les troubles suivants. La
sensibilité
tactile est simplement émoussée, mais le malade s
oration avec l'estliésiom8tre de Frey montre que les différences de
sensibilité
dont il s'agit répondent à une topographie seg-
puisque du côté gauche la thermo-anaigésie est absolue. En outre la
sensibilité
thermique et dou- loureuse est à peu près intac
progressive du membre supérieur gauche et d'une dissociation de la
sensibilité
aux extrémités des deux membres supérieurs. Au
formée, mais on y retrouve quelques craquements. Les troubles de la
sensibilité
sont approximativement les mêmes. Tou- tefois u
lgésie est indiquée en noir. Les stries indiquent la diminution des
sensibilités
thermique et douloureuse qui sont d'ailleurs exac
e ; le voile du palais et la luette étaient deviés du côté droit.
Sensibilité
des membres intacte. Abolition complète de l'ouïe
à gauche ; la figure est inexpressive. Rien à noter du côté de la
sensibilité
et de la motricité. Pas de troubles de la parol
gestif. La malade a toujours été bien réglée. 102 MARCHAND . La
sensibilité
, au toucher, au thorax, au froid, à la douleur, e
Le sens de position et le sens stéréognostique sont conservés. Les
sensibilités
olfactive, gustative et auditive semblent norma
YON UN CAS DE MYOPATHtEATROPHtQUE PROGRESSIVE AVEC TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
, PAR R M. LANNOIS, Agrégé, Médecin des Hôpi
un phénomène rarement signalé dans la myopathie, des troubles de la
sensibilité
subjective el objective : douleurs lancinantes
s cette période d'alite- ment aucun trouble de la motilité et de la
sensibilité
. Vers l'âge de 10 uns, le malade commence à res
. PI. XXIII MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE .tvec troubles de la
sensibilité
. (Lannois et arot.) MYOPATHIE ATROPH1QUE PROG
e est assis. Senibilité. Il existe des troubles non douteux de la
sensibilité
. Sensibilité subjective. Le malade dit souffrir
Senibilité. Il existe des troubles non douteux de la sensibilité.
Sensibilité
subjective. Le malade dit souffrir toujours dans
plus marquées aux membres inférieurs, sans localisation précise.
Sensibilité
objective. La sensibilité au contact existe parto
es inférieurs, sans localisation précise. Sensibilité objective. La
sensibilité
au contact existe partout. La sensi- bilité à l
excitabilité électrique. - Trou- bles objectifs et subjectifs de la
sensibilité
. L'ensemble des caractères cliniques impose bie
ici avec le reste du tableau : c'est la présence de troubles de la
sensibilité
, troubles à la fois subjectifs et ob- jectifs.
à fait exceptionnel, c'est la présence de troubles objectifs de la
sensibilité
; nous avons trouvé sur notre malade de larges
st aussi un nerveux : nerveux par la présence de ces troubles de la
sensibilité
, nerveux aussi par ses antécédents ; sa mère av
ainsi les cas où, comme dans le nôtre, on trouve des troubles de la
sensibilité
. Pareille explication ne pourrait-elle pas aussi
és, sont immédiatement reconnus. On ne constate aucun trouble de la
sensibilité
de la peau et des muqueuses, sous ses divers mo
proportionnellement aussi prononcée que la convexité antérieure. La
sensibilité
de cet os à la percussion est normale. La parti
e de la compression par le capuchon amniotique ou par une bride. La
sensibilité
, dans tous ses modes, est intacte. Les réflexes c
n a l'aspect de la main de singe. La force musculaire est nulle. La
sensibilité
est normale. Les muscles du bras droit, de l'ép
u niveau des cuisses des zones d'anesthésie sans dissociation de la
sensibilité
; la sensibilité à la douleur y est totalement
ses des zones d'anesthésie sans dissociation de la sensibilité ; la
sensibilité
à la douleur y est totalement perdue, ainsi que
; la sensibilité à la douleur y est totalement perdue, ainsi que la
sensibilité
au toucher, au froid, au chaud. Ce fait expliqu
des muscles du bras droit et de l'épaule. . Force musculaire = 0.
Sensibilité
normale. paraplégie cervicale incomplète 161
rotuliens exagérés. Anestbésie en aires. Pas de dissociation de la
sensibilité
. SPHINCTERS.- Paralysie quelques jours après l'
gmates hystériques : la vision et le champ visuel sont parfaits, la
sensibilité
au tact et à la douleur ne sont nulle- ment mod
es de nature hystérique, sans qu'il y ait aucune modification de la
sensibilité
superfi- cielle de la peau et surtout de la sen
ation de la sensibilité superfi- cielle de la peau et surtout de la
sensibilité
profonde des muscles : c'est le contraire de la
l'attention des malades sur leurs troubles; ils n'ont pas perdu la
sensibilité
, ni la conscience des membres malades. Au contr
urdissement du membre ; il a constaté que la force musculaire et la
sensibilité
étaient intactes. Le membre a conservé une atti
tact de l'arme est en dehors du point de Erb. Aucun trouble de la
sensibilité
dans le membre supérieur droit, ni sur aucune a
leur provoquée que dans le port prolongé de l'arme sur l'épaule; la
sensibilité
au tact, à la pression, à la douleur, à la temp
e observation. Nous ne consta- tons pas davantage de troubles de la
sensibilité
très communs au contraire dans les névrites, pa
bles vasomoteurs (poussées de rougeur au visage, engourdissement et
sensibilité
du membre supérieur droit à des tempéra- tures
nde l'attitude en adduction et en rotation du membre supérieur ; la
sensibilité
est presque toujours intacte. Or, qu'ob- serve-
u : paralysie des muscles sus- et sous-épineux, sans troubles de la
sensibilité
, ni troubles cutanés trophiques ou oculo-papil-
l'intégrité des réactions électriques. l'absence des troubles de la
sensibilité
et des réflexes, enfin" l'évolution générale de
un tic du membre supérieur droit. L'absence des modifications de la
sensibilité
, des réflexes et des réactions électriques chez
tendineux des membres supérieurs, les réactions pupil- laires et la
sensibilité
cutanée. Le pouls bat à 72 ; le coeur est norma
en conservé intact des deux côtés. - Réflexe crémastérien normal.
Sensibilité
au contact el à la piqûre, conservée dans tout le
à la piqûre, conservée dans tout le membre infé- rieur gauche. La
sensibilité
au froid et à la chaleur a été recherchée un nomb
s, presque ataxiques. Pas de signe de Romberg. Pas de perte de la
sensibilité
musculaire. Légère atrophie musculaire dans le
angle droit du pied sur la jambe ; il n'y a plus de suppuration. La
sensibilité
qui était profondé- ment modifiée est devenue n
rotuliens et réflexes plantaires abolis. Il y a des troubles de la
sensibilité
, troubles des fonctions vésicales : il faut sonde
ainsi que l'a prouvé la radioscopie. Ajoutons en terminant que la
sensibilité
cutanée est un peu émoussée, que les réflexes c
ession, dans les ré- gions mammaires et dans la région du coeur. La
sensibilité
cutanée était un peu augmentée. L'excitabilit
s nor- male. Tous les mouvements actifs et passifs sont normaux. La
sensibilité
cuta- née normale. ' Outre une augmentation l
ique. On recherchait surtout chez eux l'existence de troubles de la
sensibilité
, l'anesthésie à la piqûre, et cette recherche se
sés au poignet puis dans la sphère du médian, mais sans perte de la
sensibilité
tactile ni de la motilité. A aucun moment la pr
t des doigts sont possibles, à part l'oppo- sition du pouce, et les
sensibilités
tactile et thermique persistent dans le territo
tronc qui en part et qui a près du volume du pouce. Guérison. La
sensibilité
était complètement revenue dix-huit mois après la
ique au centre de la pulpe de l'index et un émoussement léger de la
sensibilité
à la face palmaire de l'index. Durant son séjou
éparés de leurs centres médullaires. 2° La persistance des diverses
sensibilités
dans tout le domaine du nerf, sauf à la pulpe d
rtaine période d'anesthésie limitée, le retour presque parfait delà
sensibilité
dans le domaine du nerf malgré la non-réunion d
et court abducteur. Il y a eu, d'abord, conservation de toutes les
sensibilités
, sauf en un point restreint. Cette anesthésie s
oi de Waller et la doctrine du Neurone; enfin la conservation de la
sensibilité
. 1° Nature de la tumeur : On pourrait penser so
e le neurone ne parvenait pas il éclaircir. 3° La persistance de la
sensibilité
chez notre malade, après large résec- tion du m
sensitifs consécutifs. On peut en rapprocher le retour rapide de la
sensibilité
, après suture des deux bouts d'un nerf sectionn
bouts d'un nerf sectionné, qu'Arloing et Tripier ont attribué à une
sensibilité
récurrente et qui estsi fréquemment relevé par le
s que le médian. Il est vrai que l'on s'explique mal pourquoi cette
sensibilité
, d'abord conservée, disparut peu à peu dans la
paradoxal, n'est pas exceptionnel. Dans la plupart de ces faits de
sensibilité
persistante malgré une névrectomie, comme dans
ns celui qui nous occupe, on a noté des sensations vacillantes : la
sensibilité
, normale d'abord en un point, s'émoussait, puis r
à un certain point indépendamment du centre. La persistance de la
sensibilité
dans le territoire du médian s'explique par une
Neurofibrillen (Anat. Anz. XVII, 1900). Arloing et Tripier. De la
sensibilité
récurrente (Gaz. hebdom., 1814). Babinski - Art
blessure remontant à plus de 4 mois. Retour presque immédiat de la
sensibilité
(Ac. de méd., 1893). Bethe. - Studien üb. das C
rice au traitement d'un tic animal. 3. TROUBLES DE RÉFLECTIVITÉ, DE
sensibilité
. - TROUBLES TROPHIQUES ET VASO-MOTEURS. Cette é
le est absente chez Laiton, et Tunel présente de)'hyperesthésie. La
sensibilité
des barres est inégale de l'un à l'autre côté; l'
s franc, pas de phobies. Réflexes normaux. Pas d'anesthésie nasale.
Sensibilité
des barres normale à la piqûre, mais la bouche
due à une ancienne blessure du dos ; dynamomètre caudal très fort.
Sensibilité
du bout du nez diminuée.et anesthé- sie des bar
lors de sueurs très abondantes. Pas de phobies. Réflexes normaux.
Sensibilité
normale du nez et des barres. Pas de courba- tu
cles de l'épaule et une irritabilité très grande du rein ; seule, la
sensibilité
exa- gérée de l'encolure (mouvements de défense
sans les arracher,les sourcils du côté droit. - Réflexes normaux.
Sensibilité
normale, sauf celle de la langue ; on note en e
légère et ne provoquent aucune douleur ; de même, diminution de la
sensibilité
thermique. Le sujet éprouve néanmoins l'impress
l'impression de doux et d'amer, le sens du goût est intact, seule la
sensibilité
générale et le tact de la langue sont sinon abo
Anesthésie de la muqueuse gingivale au niveau de la dent cariée. La
sensibilité
tactile et thermique est conservée sur la muqueus
Apert, 193. Myopathie atrophique progressive avec troubles de la
sensibilité
( t pf. et 2 sché- mas), par Lannois et POROT,
T. Un cas de myopathie atrophique progressive avec troubles de la
sensibilité
(1 pl. 2 schémas), 108. LAUNOIS et P. Roy. Auto
S. Un cas de myopathie atrophique progressive avec troubles de la
sensibilité
(1 pl., 2 schémas), 108. RABAUD et ILtrrE, Sur
), VIII, IX. Myopathie atrophique progressive avec troubles de la
sensibilité
(LANNois et Po- BOT), XXIII. Névrome adipeux
génital qui souvent prennent leur source -dans des troubles de la
sensibilité
générale,^ mais * bien d'un ordre d'idées déter
l'abaissement de la température périphérique et les troubles de la
sensibilité
observés pendant la vie. La paresse cérébrale s
i glycose, ni albumine. Partout la peau est absolu- ment glabre; la
sensibilité
générale paraît émoussée; le ^chatouillement n'
ment n'est pas ordinairement perçu. Le malade présente au froid une
sensibilité
exagérée. Les sens spéciaux : vue, ouïe, goût n
empérature axillaire est de 95° Fahr. La peau est sèche, dure et sa
sensibilité
est émoussée comme dans la sclérodermie : le ch
musculaire se montre plus considérable en été; enfin il existe une
sensibilité
exagérée au froid. La température prise pendant
e du corps, mais nulle part, la pression ne détermine de cupule. La
sensibilité
générale de la peau est notablement diminuée; a
tation de la tête à gauche, avec déviation conjuguée des yeux. La
sensibilité
parait intacte. Pas d'hémiplégie faciale. Hhc
'aphasie, sans avoir perdu connaissance plus d'un quart d'heure. La
sensibilité
resta intacte du côté para- lysé, mais l'aphasi
son très prononcée du corps à droite, la diminution excessive de la
sensibilité
, des hémiparésies passagères, de l'atrophie pro
différentes longueurs de fil, peut acquérir différents degrés de
sensibilité
. , R. V. REVUE DE pathologie NERVEUSE. 93 V.
hé en avant; la marche était difficile. La force mus- culaire et la
sensibilité
étaient intactes. La langue était agitée d'une
èse de Paris, 1881). Contribution à l'étude des modifications de la
sensibilité
du membre supérieur consécutives aux lésions ne
e l'on continue à piquer les membres du sujet, on s'aperçoit que la
sensibilité
a reparu partout; chaque piqûre donne lieu à un
pétée des tendons, ni parla malaxation des masses musculaires. La
sensibilité
persiste, et le pincement ainsi qui la piqûre d
de ne sue, d'une façon un peu notable, que sous les ais- selles. La
sensibilité
cutanée ne parait pas actuellement émoussée, au
ure, de torsion des chairs. - DE H CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 153 La
sensibilité
cutanée est très souvent émoussée. Les malades
tème nerveux tout entier. Trou- bles de la motilité, troubles de la
sensibilité
générale et spéciale, symptômes do l'ataxie loc
es se produisent toujours le jour, elle n'en a jamais eu la nuit.
Sensibilité
générale. Dans l'intervalle des attaques, elle
s deux conjonctives sont insensibles, les cornées ont conservé leur
sensibilité
. Ouïe. Elle entend moins bien la montre du côté
ns bien la montre du côté gauche. Odorat. Conservé des deux côtés ;
sensibilité
tactile con- servée dans les deux narines. (Exa
e 27 la pleurodynie a disparu, et on voit se développer une zone de
sensibilité
de 2 centimètres de largeur environ autour du s
confond en bas avec la zone ordinairement sensible. Le 1 mars la
sensibilité
persiste encore sur la surface du vési- catoire
i est w grs et le jaune clair qui est vu blanc sale. L'état de la
sensibilité
oculaire est en rapport avec celui do la vision
une pile sèche, la cécité des couleurs passe à droite avec l'in-
sensibilité
cornéenne. La région ovarienne gauche est spont
statique qui a cessé à deux heures et demie, elle avait recouvré sa
sensibilité
171 i i UNIQUE MORVEUSE. totale. - Ce matin e
iste encore du gonflement. On peut s'assurer que non seule- ment la
sensibilité
de la peau, mais encore la sensibilité spé- cia
surer que non seule- ment la sensibilité de la peau, mais encore la
sensibilité
spé- ciale n'ont pas été modifiées par le rhuma
lisés ni dans la poitrine, ni dans l'abdomen. Pas de troubles de la
sensibilité
(ventouses sèches sur le thorax ; ventouses sca
juin. La stupeur a diminué. Lorsque l'on explore, par la piqûre, la
sensibilité
d'un des membres paralysés, on voit le membre c
couche de squames épidermiques habituelle, au-dessus de laquelle la
sensibilité
reste normale. Voici les mensurations comparati
te l'étendue du thorax. Les vibrations vocales sont exagérées. La
sensibilité
est normale des deux côtés ; les réflexes sont
té bien propre à émouvoir les juges en leur faveur. Parfois, leur
sensibilité
est exaltée au plus haut point pour les motifs
le pense, et l'on cite bon nombre de ces femmes chez lesquelles la
sensibilité
génésique est même tellement émoussée qu'elle p
atteintes d'une perte absolue et générale de toutes les diverses
sensibilités
, et cependant elles ont si peu conscience,de, ce
s'aperçoit, qui se préoccupe de la, plus ( légère diminution de la
sensibilité
, de la difficulté consécutive, de la marche, de
e, tels que les cou-, tràctures, les paralysies, les troubles de la
sensibilité
, et qui pré-, sentent une pondération remarquab
ignent souvent de migraine ou de céphalalgie, d'hyperesthésie et de
sensibilité
à la lumière, de gastralgie avec vomissements t
dix-huit mois des convulsions, à six ans une toux spasmodique avec
sensibilité
considérable de l'épiglotte, accuse depuis huit
té désordonnée de l'imagination, et qu'à une vive exaltation delà
sensibilité
morale correspond souvent un défautde réaction au
tés suivantes : faiblesse physique, agitation, insomnie, absence de
sensibilité
à la douleur. L'enfant n'en- tendait guère que
ypérémie papillaire (un cas mortel), quelquefois des troubles de la
sensibilité
(tensions, élancements, démangeai- sons), de la
noncée sur un cas d'apoplexie bulbaire avec paralysie croisée de la
sensibilité
' . 1. Il s'agissait effectivement, ainsi qu'en
sposition topographique et l'expé- rience permettent d'attribuer la
sensibilité
. Inversement l'interrup- tion des faisceaux mot
on et de diminution, et qui ne s'accompagne point de troubles de la
sensibilité
. A quoi sont dus les accidents réflexes ? Est-c
gé à publier. Observation. - Iléniil)a7-aplégie avec troubles de la
sensibilité
, dans les deux membres inférieurs, d'origine tr
le épinière : c'est ce que démontre l'examen de la motricité, de la
sensibilité
, de la vaso-motricité et des diverses fonctions
ontrac- tilité faradique est conservée à gauche et à droite. - La
sensibilité
n'est pas moins atteinte que la motilité. A gau
c des épingles la peau du malade. Dans toutes ces régions aussi, la
sensibilité
aux températures est absolument abolie ; mais i
st absolument abolie ; mais il n'en est pas tout à fait de même des
sensibilités
au tact et au chatouillement, qui persistent qu
ulier le réflexe tendineux, ont reparu dans le membre paralysé. Les
sensibilités
à la dou- leur, au tact, au chatouillement sont
eur, au tact, au chatouillement sont de plus en plus distinctes. La
sensibilité
aux températures commence à renaître. La perte
arésié. Les réflexes sont normaux. L'hyperesthésie a disparu. Les
sensibilités
à la douleur, au tact, au chatouillement demeuren
la douleur, au tact, au chatouillement demeurent un peu obtuses. La
sensibilité
aux températures est encore presque totalement
comme c'est la règle, portait à la fois sur les différents modes de
sensibilité
, et occupait le siège habituel ; elle avait à p
milésions ; elle ne portait pas à un même degré sur les différentes
sensibilités
: le tact, le chatouillement n'étaient point ab
dans la moelle des conducteurs spéciaux pour chaque mode spécial de
sensibilité
. 280 ' CLINIQUE NERVEUSE. La paralysie vaso-m
topsie. Il est un fait qui a peu frappé l'attention, c'est que la
sensibilité
générale de I'oeil, la sensibilité de la con- j
frappé l'attention, c'est que la sensibilité générale de I'oeil, la
sensibilité
de la con- jonctive et de la cornée, est en rap
i rétrécissement du champ visuel, ni achromatopsie, conservaient la
sensibilité
de leur con- jonctive; celles qui ont perdu la
plus ou régulièrement proportionnel du champ visuel, ont perdu la
sensibilité
conjonctivale ; celles enfin, qui ont une achro
DE L'HYSTÙRO-PILUPSTE. 283 presque nul, ont perdu non seulement la
sensibilité
de la conjonctive, mais encore celle de la corn
. Chez une de nos malades, 1 Les différentes patties reperdent leur
sensibilité
dans un ordre chrono- logiquement inverse de ce
ns pu constater que, lorsque l'ouïe est plus ou moins intacte, la
sensibilité
générale du conduit auditif (qu'il ne faut pas
is ce sont les oileils du pied gauche qui perdent les derniers leur
sensibilité
. Chez D.... les phénomènes se passent en sens i
st qu'en demie ! lieu que la face et les sens spéciaux perdent leur
sensibilité
. Che P... t'anea- thésie se reproduit en commen
ériques, les hémianesthésiques cérébraux qui ont des troubles de la
sensibilité
des membranes extérieures de l'oeil, ont égalem
l '. Certaines hystériques, au lieu d'offrir une diminution de la
sensibilité
cutanée, paraissent présenter au con- traire un
cutanée, paraissent présenter au con- traire une exagération de la
sensibilité
au contact et à la piqûre du côté de l'ovaire d
que cette soi-disant hyperesthésie n'est qu'une exagération de la
sensibilité
à la douleur, et que le simple contact est moin
sthésie 2 ; mais dans ce cas encore, s'il existe des troubles de la
sensibilité
spéciale, ils sont eu tout analogues à ceux qui
er de troubles analogues des sens. Le rapport qui existe entre la
sensibilité
spéciale de l'oeil et la sensibilité de la conj
Le rapport qui existe entre la sensibilité spéciale de l'oeil et la
sensibilité
de la conjonctive, nous paraît encore trouver u
es réagissent immédiatement comme chez un sujet sain, tandis que la
sensibilité
géné- rale reste abolie sur tout le corps. On p
résultat est toujours le même : sitôt que l'oeil perd sa fixité, la
sensibilité
de la conjonctive reparaît. L'objet mis en mouv
jonctive reparaît. L'objet mis en mouvement devant l'oeil excite la
sensibilité
spéciale de l'organe comme, dans d'autres circo
ans d'autres circons- tances, une forte excitation locale ramène la
sensibilité
cutanée ; et, avec la fonction visuelle, la sen
e ramène la sensibilité cutanée ; et, avec la fonction visuelle, la
sensibilité
de la membrane externe de l'oeil a reparu. DE
seuls. 1 Bull. Soc. biol., 1879. 8 Etude sur l'exploration de la
sensibilité
de l'ovaire et en particulier de la douleur ova
, il est possible de déterminer la position des deux ovaires par la
sensibilité
spéciale que l'on constate sur une petite régio
sont pas renouvelées depuis qu'elle est enceinte, mais l'état de la
sensibilité
ne s'est pas modifié. Elle déclare spontanément
lusivement dans sa partie externe. Rien de changé dans l'état de la
sensibilité
. Depuis le bain, les douleurs se rapprochent ;
inférieur gauche étaient plus grêles que celles du côté opposé. La
sensibilité
générale était parfaitement conservée. A l'au
ie du mouvement existait d'un côté du corps avec conservation de la
sensibilité
, taudis qu'il y avait une anesthésie plus ou mo
it pendant quelques instants. Il n'a pas d'hémiplégie faciale. La
sensibilité
est conservée à droite au niveau des membres, du
ts : RECUEIL DE FAITS. 325 d'une façon moins nette qu'adroite; la
sensibilité
à la température n'est point encore revenue, l'
tuées tous les huit jours. VA juillet. Du côté gauche, l'état de la
sensibilité
au contact, à la piqûre et au pincement s'est e
aisse visiblement. Il pèse quarante-huit kilogrammes. 26 août. La
sensibilité
au contact et à la douleur est encore très légè
ct et à la douleur est encore très légèrement émousséc à gauche; la
sensibilité
au froid est revenue- La paralysie du bras droi
obre. L'anesthésie complètement disparu du côté gauche. A droite la
sensibilité
tactile de la main a subi une modification sing
arante-six à gauche. Le poids du malade est de 12 kilogrammes. La
sensibilité
tactile est toujours modifiée à la face palmaire
aru, et il n'y avait plus d'anesthésie à gauche. L'ob- tusion de la
sensibilité
tactile de la main droite persistait avec les m
seul vestige del'hémiplé- gie dont il avait été atteint. Quant à la
sensibilité
, elle était conservée dans tous ses modes, à dr
la moelle épinière. Nous avons exploré bien souvent l'état de la
sensibilité
du côté droit ; jamais nous n'avons constaté la
te la partie du côté gauche qu'elle occupait. Quant au retour de la
sensibilité
, il s'effectua progressivement et pour ainsi di
ainsi dire parallèlement au retour du mouvement du côté opposé. La
sensibilité
au simple contact et la sensibilité aux excitat
du mouvement du côté opposé. La sensibilité au simple contact et la
sensibilité
aux excitations douloureuses (piqûre, pincement
atrice du cer- velet ; 4° Il ne se présente pas de désordres delà
sensibilité
cutanée dans l'atrophie du cervelet; 5° C'est
détails, de les différencier exactement. Le retour incomplet de la
sensibilité
sensorielle, la variété du délire distinguent d
uant aumécanisme,b)enquec)ie/cesmaladesonaitnotédestroubles de la
sensibilité
générale confirmant les résultats expérimentaux
e de Paris 188 1. Contribution il l'étude de* modifications rl(, la
sensibilité
dit membre supérieur consécutives aux lésions n
t I)re51'uus, 80. Apoplexie bulbaire avec paralysie croisée de la
sensibilité
, 229. Asile d'aliénés de Ceylan (cas ob- sené
on ? Qu'étaient devenus et l'intelligence, et le carac- tère, et la
sensibilité
morale ? . Combien mon travail aurait gagné en
xactitude toujours plus grande les troubles de la motilité et de la
sensibilité
dans l'hémi- plégie et l'hémianesthésie d'origi
guère de renseigner exacte- ment le médecin sur les fonctions de la
sensibilité
ni d'instituer des expériences à cet effet. Ent
l'oreille du côté opposé à la lésion. Puis cette différence dans la
sensibilité
de l'ouïe des deux oreilles diminuait progressi
de l'affaiblisse- ment de la mémoire, et que les altérations de la
sensibilité
spécifique de celte région, qui ne sont rien mo
ne commune où seraient en parties confon- dues ces trois sphères de
sensibilité
spécifique; 2° les fibres optiques issues des é
ent également réparties des deux côtés. Quant aux altérations de la
sensibilité
générale qui, selon Ferrier, seraient consécuti
nce des éléments sensoriels et moteurs, partant des fonctions de la
sensibilité
et de la motilité, dans le centre cortical de l
à se paralyser. 7 juillet. Paraplégie complète du train postérieur.
Sensibilité
complètement abolie ; ses pattes et sa queue so
sie complète de la molilité de cette patte. OO CLINIQUE NERVEUSE.
Sensibilité
conservée à la patte paralysée, très obtuse à cel
A. midi, l'animal commence à récupérer la motilité de sa patte. La
sensibilité
commence à revenir à celle du côté droit. A mid
45, l'animal est paralysé de ses paltes postérieures qu'il traîne.
Sensibilité
abolie. Amidi, je tue l'animal par l'ouverture
{hypospadias). La partie antérieure du sillon est un trou borgne.
Sensibilité
générale normale.- Réflexe tendineux à peu près n
37 facilement un deuxième étage; 3" les troubles permanents de la
sensibilité
qui existaient aux membres inférieurs, et en part
ètement disparu. Disparition des douleurs en ceinture. Retour de la
sensibilité
normale; 4° le signe de Romberg '- n'existe plu
.lui6 et 48.) L'auteur a étudié 24 aliénés au point de vue de leurs
sensibilités
générale et spéciales. Il est arrivé aux conclu
iales. Il est arrivé aux conclusions suivantes : Les troubles de la
sensibilité
générale et leur durée se trouvent sous la dépe
du malade. Si l'état psychique est stationnaire, les troubles de la
sensibilité
générale le sont également et peuvent exister p
ication dans l'état psychique du malade, immédiatement l'état de la
sensibilité
change. Quant aux troubles fonctionnels des org
ux lobes frontaux n'a amené aucune paralysie, ni aucun trouble delà
sensibilité
, ni modification de l'intelligence chez trois s
rieures avaient presque complètement conservé leur motilité et leur
sensibilité
. La lésion consistait en une fraction de la pre-
l a la sensation du masque tabétique des Italiens; et cependant, la
sensibilité
y est demeurée intacte, dans tous ses modes. Il
ance normale des réflexes patellaires. Ni ataxie, ni troubles de la
sensibilité
. Diagnostic encore impossible. 1 ' M. 1h'sTex
sourd, complètement hémiplégique du côté gauche. Intégrité de la
sensibilité
et de la parole. A l'autopsie, on rencontre de la
le diabète, le paludisme et la syphilis (l'étude des troubles de la
sensibilité
dans la syphilis mérite une mention spéciale) ; l
, le malade fut atteint d'une para- lysie complète aussi bien de la
sensibilité
que de la motilité des membres inférieurs et du
eu à peu aux mêmes membres et vers minuit elle devient complète. La
sensibilité
n'aurait pas été abolie. Rétention d'urines sui
Syndrome spasmodique bien plus prononcé au membre inférieur gauche.
Sensibilité
normale. Pas de troubles vésico-recto-génitaux.
empérature est normale, la respiration calme, le pouls régulier, la
sensibilité
cutanée (piqûre, brûlure, chatouil- lement, etc
tômes suivants : oedème de tout le corps, émoussement notable de la
sensibilité
cutanée, pares- thésie des extrémités inférieur
froides. Les mou- vements se faisaient avec fatigue et lenteur; la
sensibilité
restait intacte, les malades se plaignaient d'u
localisent, dans d'autres elles passent même en tétanos général. La
sensibilité
cutanée était toujours affaiblie. Les animaux q
- mière fois apparaît un délire toxique avec hallucinations de la
sensibilité
générale et des sens avec les autres manifestatio
le compte du développe- ment. Certaines autres, les troubles de la
sensibilité
par exemple, si fréquents chez les criminels, s
nt le somnambu- lisme est du à la disparition de ces troubles de la
sensibilité
et des images qu'ils auraient engendrés. L'aute
cinquième paires sacrées. Intégrité parfaite de la motilité, de la
sensibilité
, de l'activité réilexe des extrémités inférieur
osso-pharyngien. On constata des paresthésies et des troubles de la
sensibilité
sur la face, des difficultés de la mastication et
lexes rotuliens sont forts à droite. Il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
; les pupilles sont inégales, la gauche étant plus
ences à l'Ecole pratique des Hautes-Etudes. CENTRÉS CORTICAUX DE LA
SENSIBILITÉ
CUTANÉE ET MUSCULAIRE ET DES MOUVEMENTS VOLONTA
l'écorce cérébrale, et auquel les paralysies du mouvement et de la
sensibilité
générale doivent être rapportées, le physiologi
bles de la motilité d'origine cérébrale résultent de la perte de la
sensibilité
tactile dans les parties correspondantes du cor
mais par évocation de ces images ou représentations mentales de la
sensibilité
générale et du mouvement. Il y a la théorie, ab
teurs sont tout à fait dis- tincts anatomiquement des centres de la
sensibilité
générale et du sens musculaire. Il y a la théor
mouvement volontaire, tandis que le sens musculaire, ou plutôt la
sensibilité
kinesthésique de Bastian, serait localisé dans
ésique de Bastian, serait localisé dans les centres corticaux de la
sensibilité
, où pour- rait avoir lieu le rappel idéal de ce
le des autres aires fonc- tionnelles de l'écorce, des centres de la
sensibilité
générale et spéciale, bref, si ces prétendus mo
troubles du mouvement aux altérations des organes centraux de la
sensibilité
, elle considère la zone mo- trice comme constit
e la zone mo- trice comme constituée à la fois par des centres de
sensibilité
cutanée et musculaire, d'une part, et, d'autre
de physiologistes qui n'aient recueilli des cas de paralysie de la
sensibilité
générale et du mouvement, ou de la sensibilité
s de paralysie de la sensibilité générale et du mouvement, ou de la
sensibilité
générale seule, dans les lésions destructives d
pariétales. Dès 1882, Lisso avait réuni 88 cas de troubles de la
sensibilité
générale observés dans les lésions corticales d
esse, on le sait, que « les différents centres ou territoires de la
sensibilité
tactile des diverses parties du corps se confon
es sans être frappés de la rencontre fré- quente des troubles de la
sensibilité
générale et de la motilité volontaire dans les
t des paralysies motrices entraînent après soi des troubles de la
sensibilité
cutanée. Nothnagel incline certaine- ment à loc
r l'aphasie. (Rev. de médecine, 1885, p. 183.) « Ces troubles de la
sensibilité
cutanée... accompagnent le début de la paralysi
ducteurs sensitifs étaient indemnes. - Cf. Dupuy, De la perte de la
sensibilité
après la destruction des centres moteurs. L'aut
t des accès épileptiformes symptomatiques de lésions cérébrales, la
sensibilité
avait été altérée ou abolie après l'opéra- tion
Archives, t. XVIII. 24 370 PHYSIOLOGIE. tilité volontaire, de la
sensibilité
musculaire et des autres modes de la sensibilit
volontaire, de la sensibilité musculaire et des autres modes de la
sensibilité
générale, car s'il existe souvent des formes mi
tres régions que D. Ferrier les centres du sens musculaire et de la
sensibilité
cu- tanée, on ne saurait nier que ces vues dern
one motrice sont distinctes de celles des centres cor- ticaux de la
sensibilité
cutanée et musculaire. Ce rapide aperçu des pri
D'autre part, ils répètent que- l'examen des diverses formes de la
sensibilité
cuta- née, y compris le sens du toucher, n'a ja
mique directe avec les centres psychiques et avec les centres de la
sensibilité
, et non pas seulement avec les centres psycho-m
on reliant directement les corps striés aux centres corticaux de la
sensibilité
et à de prétendus « centres psychiques » ? ?
s italiens, relie- rait les corps striés aux aires corticales de la
sensibilité
et aux «centres psychiques » du cerveau, est au
é- sordres moteurs et supposent, avec Schiff, qu'une lésion de la
sensibilité
tactile peut suffire à les expliquer. L'illustr
(alors considérés comme tels par Hitzig) dérivent de- lésions de la
sensibilité
, et sont bornés à cette sphère- (rimane nella s
- des mouvements que présentent les animaux après la- perte de la
sensibilité
tactile par section des cordons- postérieurs de
un terrain uni, tombe sur les genoux : c'est qu'avec la perte de la
sensibilité
tactile, il n'est plus exactement renseigné sur
donc bien d'une anesthésie cutanée qu'il s'agit, selon Schiff. La
sensibilité
à la douleur et à la pression est conservée. Ce
l'effet, non d'une paralysie motrice, mais d'une para- lysie de la
sensibilité
tactile. Tous les troubles de la motilité obser
des mouve- ments des membres, dérivent de cette altération de la
sensibilité
cutanée et sont purement secondaires. A l'appui
après la mutilation d'un hémisphère cérébral ; seulement, outre la
sensibilité
tactile, la sensibilité à la pression, la therm
hémisphère cérébral ; seulement, outre la sensibilité tactile, la
sensibilité
à la pression, la thermoesthésie, le sens muscu
ure de ces troubles, puisqu'il constate à la fois des lésions de la
sensibilité
tactile et du sens muscu- laire. Hitzig, on le
endantes se rencontrent et coïncident est le centre réflexe de la
sensibilité
tactile. Il ne faut plus le chercher dans l'éco
s aux lésions de la zone excitable, Schiff nous a révélé ceux de la
sensibilité
tactile. Ni l'un ni l'autre ne sont tombés dans
la conscience musculaire, soit des représentations centrales de la
sensibilité
tactile. L'avenir, à en juger par la doctrine d
chterew, dans le t'entralblatt de Mendel, sur la localisation de la
sensibilité
cutanée dans les hémisphères cérébraux. 390 Pll
ux rappor- tent les altérations du mouvement à des troubles de la
sensibilité
générale. On pourrait donc retourner contre Sch
excitables des membres, il n'existât qu'une simple paralysie de la
sensibilité
tactile des extrémités, comment expliquer le fa
ns de David Ferrier. Jamais il n'a observé un trouble quelconque de
sensibilité
dans ses expériences sur les fonctions de la zo
re réflexe inconnu ! En d'autres termes, la section des voies de la
sensibilité
cutanée entraînerait, d'une 'façon quelconque,
ure sensitive de ces territoires cor- ticaux. Dans ce domaine de la
sensibilité
générale, quelle est la fonction physiologique
ents localisés s'expli- querait alors aussi bien que la perte de la
sensibilité
. Dans le premier cas, le courant électrique ser
les de l'écorce, d'éléments moteurs, confondus avec les cellules de
sensibilité
spéciale, ou groupés et isolés en nids. Les imp
e doit pas être divisée en zones distinctes du mouvement et de la
sensibilité
. « Nous croyons que les centres moteurs et les
i en une altération plus ou moins nette des diver- ses formes de la
sensibilité
cutanée et musculaire. Il avait pu vérifier l'e
ies de la motilité, il ne les attribuait pas à des paralysies de la
sensibilité
générale, à la perte des images ou représentati
fonctionnant simultanément, il existe dans l'écorce des centres de
sensibilité
cutanée et muscu- laire, des centres sensitivo-
dus avec les centres moteurs de la zone exci- table, des centres de
sensibilité
générale. « Les centres moteurs, disait Luciani
e de la zone motrice extirpé, les altérations du mouvement et de la
sensibilité
ne se limitent pas, suivant Luciani et ses coll
l du membre postérieur gauche, la paralysie du mouvement et de la
sensibilité
s'étendrait plus ou moins au membre antérieur e
(1877, 1880) et de Goltz sur les troubles de la motilité et de la
sensibilité
générale, consécutifs aux lésions destructives
tilés du cer- veau antérieur acquièrent ou semblent réacquérir la
sensibilité
générale et la motilité volontaire, c'est que l
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 405 coexistence d'une hypéresthésie de la
sensibilité
cutanée (telle que Goltz et Luciani l'ont quelq
fectent-' ils non seulement la motilité volontaire, mais aussi la
sensibilité
cutanée et musculaire ? - Oui, car dans' aucune
car dans' aucune des expériences les troubles les plus nets de la
sensibilité
générale n'ont manqué, associés à ceux de' la m
nérale n'ont manqué, associés à ceux de' la motilité volontaire. La
sensibilité
tactile s'est tou- jours montrée la plus altéré
sensibilité tactile s'est tou- jours montrée la plus altérée ; les
sensibilités
à la dou- leur et à la température étaient auss
me aboli, * et d'une manière peut-être encore plus accusée que la
sensibilité
cutanée. La durée de ces désordres fonc- 1 Le l
urs de la zone excitable, attendu que ces centres, comme ceux de la
sensibilité
spécifique, .sont étroitement unis et engrenés
régions postérieures, elle s'unit et s'engrène avec les centres de
sensibilité
spéciale, avec les sphères de la vision, de l'a
sement com- LES FONCTIONS DU CERVEAU. ils-, plet des fibres de la
sensibilité
générale et du mou- vement. Les phénomènes de d
et du mou- vement. Les phénomènes de déficit, les troubles de la
sensibilité
tactile et musculaire, ou les altérations de la
e n'avoir jamais eu de rapports sexuels. Quelques poils à l'anus.
Sensibilité
. La sensibilité au toucher est conservée des deux
eu de rapports sexuels. Quelques poils à l'anus. Sensibilité. La
sensibilité
au toucher est conservée des deux côtés sur tou
rieure du tronc, mais elle est atté- nuée à gauche. Même état de la
sensibilité
à la partie postérieure du tronc et sur les mem
sensibilité à la partie postérieure du tronc et sur les membres. La
sensibilité
y est également un peu obtuse à gaucho. Zones
st conservée ; 4° au niveau de la onzième dorsale point douloureux.
Sensibilité
conservée. Après les attaques il dit avoir une
abdominaux et de l'épigastre. Sur tous les points hystérogènes, la
sensibilité
est la même qi e sur les régions voisines, sauf
ques où elle est un peu moins nette que sur les parties voisines.
Sensibilité
spéciale. - Vision : 11 distingue nettement toute
découvrable, méat normal. Quelques poils à l'anus et aux aisselles.
Sensibilité
au contact, à la douleur, à la température, moi
que qui présente des troubles oculaires, du pus muscu- laire, de la
sensibilité
, l'abolition des réflexes. L'hémiplégie dans la
par la roideur des articulations, mais non abolis; les réflexes, la
sensibilité
, le sens musculaire sont intacts; il n'y a pas
oi des), par Castaras, 80, 207. Sens musculaire, par Gley, 285.
Sensibilité
(troubles de dans cer- taines formes de maladie
ne vertébrale. 4 P. LADAME ET C. MONAKOW trémités droites dont la
sensibilité
est examinée tous les jours. On y constate au b
occupe tout le côté droit du corps, la face et les ex- trémités. La
sensibilité
tactile est conservée sur toute la surface du cor
gésie comme du côté gauche. Il offre donc ce trouble dissocié de la
sensibilité
qu'on a appelé à tort le syndrome syringo- myél
de la maladie, sans tou- tefois disparaître jamais complètement. La
sensibilité
fut toujours intacte dans tous ses modes il gau
les jambes ; cependant les extrémités droites (qui ont conservé la
sensibilité
au contact) sont plus faibles que les gauches.
jusqu'au jour de la mort on constata une analgésie avec perte de la
sensibilité
à la température, dans tout le côté droit du co
ans tout le côté droit du corps, y compris le visage, tandis que la
sensibilité
au 16 P. LADAME ET C. MONAKOW contact était p
che, ataxie des mouvements et analgé- sie il droite, troubles de la
sensibilité
il la température, troubles oculaires à gauche)
axie cérébelleuse, les troubles des mouvements des yeux, ceux de la
sensibilité
dans la région du trijumeau, au visage, etc. Dans
aussi la présence de ce singulier trouble de la dissociation de la
sensibilité
dans tout le côté droit, qui consiste, comme l'on
t le côté droit, qui consiste, comme l'on sait, dans la perte de la
sensibilité
à la douleur et à la température avec conservatio
ensibilité à la douleur et à la température avec conservation de la
sensibilité
au contact. t, Ainsi l'affection; qui était res
onnexion avec les deux hémisphè- res cérébraux. L'abolition de la
sensibilité
à la douleur dans toute la moitié droite du cor
nstaté chez notre malade un trouble tout à fait particu- lier de la
sensibilité
, la dissociation des diverses sensibilités, telle
fait particu- lier de la sensibilité, la dissociation des diverses
sensibilités
, telle qu'on l'observe le plus souvent dans la
dans la syringomyélie parmi les lésions orga- niques. Tandis que la
sensibilité
au contact était parfaitement conser- vée, la s
is que la sensibilité au contact était parfaitement conser- vée, la
sensibilité
à la douleur et à la température étaient complète
t interrompu à gau- che, on doit rattacher cette dissociation de la
sensibilité
(qui dura sans interruption depuis la seconde a
taux sont dé- pourvus de taches pigmentaires comme de tumeurs. La
sensibilité
cutanée est altérée : il y a anesthésie à la piqû
au tiers supérieur des cuisses et à la main droite. Par contre les
sensibilités
tactile et thermique sont normales. Du côté de
ateuses ne coïncident avec aucune modification, appré- ciable de la
sensibilité
, de la motilité, avec aucune dystrophie : l'absen
tre depuis quelque temps elle a les pieds et les mains glacés. La
sensibilité
cutanée est partout normale au tact, Ù la piqûre,
el lorsque nous l'avons observée, elle n'avait pas de trouble de la
sensibilité
de la paroi abdominale au niveau de la région g
ographisme à un faible degré (tâche vaso-motrice sans bourrelet).
Sensibilité
. A part les douleurs déjà indiquées, S... n'accus
rt les douleurs déjà indiquées, S... n'accuse aucun trouble dans la
sensibilité
. Dans l'exploration de la sensibilité cutanée s
'accuse aucun trouble dans la sensibilité. Dans l'exploration de la
sensibilité
cutanée sous ses diverses modes (piqûre, contac
ge et de l'intensi té est exacte. Pas de zones hyperesthésiques. La
sensibilité
musculaire est normale aussi. Organes des sen
u'à une pièce de 0,50 cent.). Aucun trouble de la motilité'ni de la
sensibilité
desmembres inférieurs, réflexes patellaires nor
nt sa conversation est pleine de niaiseries et d'incohérences. La
sensibilité
générale est conservée dans tout le corps, pour l
el de la transmission, un effet de l'abrutissement de la malade. La
sensibilité
sensorielle n'est pas intacte partout tant s'en
ns, obtu- sion très marquée ou abolition de l'intelligence et de la
sensibilité
, réso- lution musculaire et absence de mouvemen
mmeil, espèce d'engourdissement des facultés intellectuelles, de la
sensibilité
et du mouvement, souvent une forme de coma lége
ment striés en travers. Rien d'anormal aux membres supérieurs. La
sensibilité
cutanée, la sensation du sol pendant la marche ou
la marche ou dans la station sont normales. Il est est de même des
sensibilités
spéciales sauf de la vue très affaiblie. , Pa
ambes dans son lit. Il n'a pas été constaté d'autres troublas de la
sensibilité
. Les réflexes rotuliens sont abolis. Pas de t
, Existence de crises clitoridiennes intenses-Pas de troubles de la
sensibilité
ou des sens spéciaux. Deuxième examen, trois an
vec disparition des extrémités osseuses et luxations consécutives .
Sensibilité
à peu pres normale. Quelques douleurs constrict
mbés. Le chatouillement de la plante des pieds est bien perçu. La
sensibilité
est relativement bien conservée. Quelques troub
tir, ou d'avoir la sensation tactile d'un objet sans le tenir. La
sensibilité
cutanée par ailleurs est toujours normale. Quelqu
ent de tous côtés et la malade tombe, si elle n'est pas retenue. La
sensibilité
est à peu près normale, en particulier dans les m
courbures de la colonne vertébrale et l'inclinaison du bassin. b)
Sensibilité
. - Aux membres inférieurs, douleurs fulgurantes e
eurs en ceinture, fourmillement dans le petit doigt du côté gauche.
Sensibilité
dimi- nuée, à tous les modes, dans les membres
e 14 nzai ; atrophie musculaire avec DR ; absence de troubles de la
sensibilité
et des sphincters. Amélioration Unie par un 19'ai
es ou provoquées des masses musculaires du mollet, ni trouble de la
sensibilité
objective. Les 156 R. CESTAN sphincters sont
octobre ; atro- phie musculaire avec DR, absence de troubles de la
sensibilité
et des sphincters. Amélioration par le traiteme
énérescence. Pas de douleurs spontanées. Diminution prononcée de la
sensibilité
tactile au niveau du pied et de la jambe droite ;
la sensibilité tactile au niveau du pied et de la jambe droite ; les
sensibilité
thermique est conservée. Sphincters intacts. Pu
éminée ; douleur dans la sphère du cubital gauche. Diminution de la
sensibilité
pour tous les-modes. Réflexes normaux. Mais, hu
la pression des troncs nerveux mais sans trou- bles objectifs de la
sensibilité
. La face se prend à son tour et on fait un nouvel
nerveux et des masses musculaires. Pas de troubles objectifs de la
sensibilité
. Abolition des réllexes tendineux. Pupilles et
ent aux membres inférieurs, mais on trouve encore des espaces où la
sensibilité
est conservée. Engourdissement passager des mem
rapide des manifestations cutanées.Persis- tance des troubles de la
sensibilité
. Insensibilité des 2 mains avec douleurs lan- c
Potain est normale à droite et à gauche d'ailleurs. Les diverses
sensibilités
tactile, thermique,douloureuse ne sont pas mo-
e paralysie partielle et incomplète de l'oculo-moteur gauche.' La
sensibilité
paraissait intacte. Les réflexes rotuliens n'étai
de paralysie ni de spasmes du côté de la face. L'exploration de la
sensibilité
nous a montré que la malade présentait une hémi
kling- hausen. Mais, comme on ne constateaucunemodification de la
sensibilité
, aucun trouble trophique superficiel, aucune di
pidation épileptoïde disparait rapidement. Troubles sensitifs. - La
sensibilité
au toucher, à la piqûre, au pincement est dimin
ment est diminuée partout à gauche, conservée à droite au front, la
sensibilité
au chaud et au froid est conservée, sauf au tho
us souvent avec le passage à l'état chronique. Les troubles de la
sensibilité
sont également les mêmes que dans toute hémiplé
hésie complète jusqu'aux nuances dans la diminution des différentes
sensibilités
. Le sens musculaire est tantôt conservé, tantôt
main légèrement fléchie sur l'avant-bras et regardant en haut. La
sensibilité
à la piqûre et à la température est conservée.
persiste, il ne peut répondre aux questions qui lui sont posées. La
sensibilité
cutanée est intacte, pas de troubles de la mict
ain l'aphasie persiste ; en outre, le bras droit est paralysé et la
sensibilité
est diminuée. Cette paralysie postopératoire est
par les oreilles, toute la région temporale est le siège d'une vive
sensibilité
, la malade y porte automatique- ment la main ga
membre inférieur. Il existe en outre une diminution générale de la
sensibilité
et de la motricité volontaire. La blessée est d
es ni du squelette, pas de déviation de la face ni de la langue, la
sensibilité
est nor- male. J'ai revu le malade en septemb
ependant le sol et ne traîne pas. Il n'y a plus de troubles de la
sensibilité
cutanée au tact et à la douleur. 240 RENÉ MARTI
nævi étendus. Tous les réflexes sont conservés. Pas de troubles de
sensibilité
. La respiration est un peu rude, bronchitique.
les bords de l'orifice sont hypoesthésiques et qu'autour de lui la
sensibilité
est très légèrement émoussée ainsi que sur la jou
ins, avec ses lunettes, la malade peut encore enfiler une aiguille.
Sensibilité
générale. - Des douleurs fulgurantes parcourent l
alalgies fréquentes. Le décubitus latéral gauche est douloureux. La
sensibilité
dans ses divers modes est conservée dans toutes l
droite qu'à gauche ; il en est de même quand on tire les cheveux.
Sensibilité
spéciale. - Yeux. - La malade craint la lumière u
s les extrémités supérieures et inférieures. Forte diminution de la
sensibilité
cutanée (à la douleur, au contact, à la pression)
ensibilité cutanée (à la douleur, au contact, à la pression) et de la
sensibilité
musculaire et périostique. Paralysie des muscle
es dans les extrémités supérieures et inférieures. Diminution de la
sensibilité
cutanée à la douleur, au contact, à la pression.
é cutanée à la douleur, au contact, à la pression. Diminution de la
sensibilité
musculaire et périostique. Paralysie des muscles
es organes des sens sont normaux. Sur toute la surface du corps, la
sensibilité
cutanée est il peu près normale, au toucher ; e
uche, avec sensation de raideur musculaire. En 1868, troubles de la
sensibilité
dans les mains et les pieds. Sensation d'en- go
crises aiguës aux changements de température. En 1875, perte de la
sensibilité
plantaire. In- certitude de la station debout e
Diminution re- marquable des douleurs, diminution plus légère de la
sensibilité
tactile. Douleurs lancinantes dans les deux mem
es, douleurs fulgurantes plus violentes. Depuis 1875, perte de la
sensibilité
plantaire, incertitude de la station de- bout e
. Affaiblissement léger du goût et de l'odorat. L'ouïe est intacte.
Sensibilité
cutanée des membres et du tronc normale au contac
s sensations désagréables de picotements et de fourmillements. La
sensibilité
cutanée au contact est conservée et normale. La p
abdominaux sont conservés : ces derniers ne sont pas exagérés. La
sensibilité
musculaire est normale partout : la ;l : ¡]ad¡>
es jambes. Elle a conservé la notion de position de ses membres. La
sensibilité
osseuse est très bien conservée, mais il éxiste
mammaires présentent une analgésie profonde avec conservation de la
sensibilité
cutanée à leur surface. Pas d'anesthésie épigastr
les. Les réflexes rotuliens sont abo- lis, les plantaires aussi. La
sensibilité
testiculaire, la sensibilité épigastrique profo
ont abo- lis, les plantaires aussi. La sensibilité testiculaire, la
sensibilité
épigastrique profonde à la percussion sont dimi
nts qui man- quent à cette mâchoire sont tombées avant 1886. , La
sensibilité
des lèvres, des gencives, des joues est normale.
o- phie des ongles. Abolition complète des réflexes rotuliens. La
sensibilité
cutanée est normale sauf dans les membres inférie
aires. Conserva- tion des réflexes plantaires au chatouillement. La
sensibilité
testiculaire est revenue, car le malade se souv
de se souvient avoir eu à cet endroit de l'analgésie com- plète. La
sensibilité
épigastrique profonde est très diminuée. La sen
plète. La sensibilité épigastrique profonde est très diminuée. La
sensibilité
générale cutanée au contact,à la piqûre, au froid
t abolis, les réflexes plantaires conservés. 288 JEAN ABADIE La
sensibilité
épigastrique profonde et la sensibilité testicula
ervés. 288 JEAN ABADIE La sensibilité épigastrique profonde et la
sensibilité
testiculaire sont abolies. La sensibilité profo
igastrique profonde et la sensibilité testiculaire sont abolies. La
sensibilité
profonde des membres inférieurs est perdue : on p
tons plus loin en détail les résultats de cette obser- vation. La
sensibilité
épigastrique profonde à la douleur est conservée.
férieurs sont exagérés. Les réflexes testiculaires sont normaux. La
sensibilité
testiculaire à la pression est conservée, mais af
s. Jamais il n'a éprouvé de crises viscéralgiques quelconques. , La
sensibilité
cutanée au contact, à la température, à la douleu
nt lents comme tous les autres mouvements du corps. Ajoutons que la
sensibilité
de la face, de la tête et du cou est normale sous
est normale sous tous ses modes, tact, douleur, température. Les
sensibilités
spéciales (vue, odorat, ouïe, goût) ne présentent
son nez ou sur son oreille, les yeux fermés ou les yeux ouverts ; la
sensibilité
des membres supérieurs sous tous ses modes (tac
ts passifs est considérable. Il n'y a pas d'atrophie musculaire. La
sensibilité
, la notion de position, le sens musculaire sont i
n'a pas été fait d'examen électrique des nerfs et des muscles. La
sensibilité
est normale sur tout le corps ; la notion de posi
otion de résistance, la perception stéréognostique sont intactes.
Sensibilités
spéciales. - Vue. - Les réactions pupillaires à l
e inconstant. Les réflexes rotuliens sont conservés ou exagérés. La
sensibilité
olfactive est conservée, la céphalée, les douleur
droite. Le réflexe cutané plantaire est normal des deux côtés. La
sensibilité
est partout intacte ; la notion de position et le
a faiblesse de réflexe du tendon d'Achille, la perte complète de la
sensibilité
sous tous ses modes sur la face externe de la j
r abolition chez le malade de Miura, de même que des troubles de la
sensibilité
doit être vraisemblablement attribuée à la névr
s organes, bulbe ou protubérance, c'est-à-dire des paralysies de la
sensibilité
ou de la motricité. Le tabes est si bien conn
du bras gauche avec parésie de la jambe gauche et diminution de la
sensibilité
du côté gauche, par suite d'une blessure du fro
n signe de paralysie. Peut-être 'Li-aine-t-il un peu la jambe et sa
sensibilité
est-elle un peu émoussée, mais pour quelqu'un qui
lexes rotuliens sont très affaiblis. Il n'y.a pas de troubles de la
sensibilité
. La réflec- tivité et la sensibilité plantaires
Il n'y.a pas de troubles de la sensibilité. La réflec- tivité et la
sensibilité
plantaires sont normales. Les jambes présentent
ite de chatouillement de la plante des pieds. Phénomène nouveau, la
sensibilité
est diminuée dans tous ses modes aux pieds et a
e affection vénérienne qu'il se produisit. Sans aucun trouble de la
sensibilité
générale, de l'appétit ni du som- meil, la main
paule se mouvaient facilement et sans la moin- dre souffrance. La
sensibilité
objective était normale. L'oedème diminua peu à
é, mais qui a perdu naturellement le mouvement d'oppo- sition. La
sensibilité
objective au tact, à la piqûre, au chaud, au froi
898. Nous avons constaté de nouveau l'absence de tout trouble de la
sensibilité
cutanée ou profonde, la persistance de tous les
r leur bord interne et leur angle inférieur bascule en dehors. La
sensibilité
est normale, ni douleurs spontanées, ni troubles
domi- nance à gauche. Ni contractions fibrillaires ni troubles de
sensibilité
. Grâce il la réunion de ces caractères, il est
ctions fibrillaires, ni troubles vaso-moteurs, ni altérations de la
sensibilité
, ni paralysie avec ataxie et phénomènes oculo-mot
e progressive neurotique de Hoffmann, car il n'y a aucun trouble de
sensibilité
; Ou un cas d'amyotrophieprogressive myélopathiq
poumons. Tout cela est évité par la perte heureuse en ce cas de la
sensibilité
de la muqueuse. Mais chose plus grave, ou a vu
âniens, ni dans celui des nerfs spinaux ; la force musculaire et la
sensibilité
sont partout conservées, les réflexes sont norm
e côté gauche prédominant au membre supérieur, mais compre- nant la
sensibilité
spéciale : tous les sens sont affectés du côté ga
et de l'autre, les troubles de motilité, des sens spéciaux ou de la
sensibilité
générale, l'état des réflexes ou les complicati
t. 17 juin. - Je constatai une paralysie absolue du côté gauche, la
sensibilité
intacte du côté droit, anesthésie complète du m
. vertiges. Autres symptômes : bras et jambe faibles du côté droit,
sensibilité
plus petite, fourmillements, lenteur de la perc
de résultats plus précis. Champ visuel... (V. fig. ci-dessous.) -
Sensibilité
cutanée. - Hémianalgésie gauche pour le tronc et
sue plus facilement. Dynamomètre, à droite = 45 ; à gauche = 22.
Sensibilité
égale des deux côtés. La marche est encore ince
sont conservés presque sans troubles, La musculature est flasque La
sensibilité
de la peau (à la douleur surtout, la sensibilit
ure est flasque La sensibilité de la peau (à la douleur surtout, la
sensibilité
électro-cutanée, et à un moindre degré la sensibi
r surtout, la sensibilité électro-cutanée, et à un moindre degré la
sensibilité
thermique) jus- qu'au membre supérieur est séri
lement qu'auparavant et aujour- d'hui elle parle bien. D'abord la
sensibilité
fut perdue du côté droit ainsi qu'on le vit lorsq
pesait 206 livres, il y a environ cinq ans 180, aujourd'hui 160. La
sensibilité
à la douleur, à la main et à la cuisse droite son
est perçue, la sensation est exactement localisée. L'épreuve de la
sensibilité
cutanée sur la tête donne des résultats circons-
es. La localisation dans ces régions est bonne, mais imparfaite. La
sensibilité
à la douleur (piqûre ou brosse électrique) est un
légèrement irrégulier. Le 29 au matin, le malade sortit du coma. La
sensibilité
et l'intelligence re- vinrent peu à peu, mais i
rte. Seuls quel- ques mouvements des doigts étaient possibles. La
sensibilité
au toucher, à la douleur et à la chaleur était co
n'oscille pas les yeux fermés. Réflexes : égaux des 2 côtés. - -
Sensibilité
. - Le malade ressent dans tout le bras droit des
esthésie étendue à tout le membre supérieur droit. Diminution de la
sensibilité
thermique Diminution de la sensibilité auditive
ur droit. Diminution de la sensibilité thermique Diminution de la
sensibilité
auditive à gauche. Aucune modification des autr
supérieur droits. Il est impossible de constater des troubles de la
sensibilité
Au 3 juillet de l'année suivante la paralysie n
qu'on lui dit. La pupille droite est plus dilatée que la gauche la
sensibilité
est à peu près conservée le point traumatisé se
oite. Les mouvements actifs et passifs des membres sont normaux. La
sensibilité
de la main droite est un peu diminuée. La parol
ntracture. Les membres droits se meuvent à la volonté du malade. La
sensibilité
est diminuée à gauche.... ' Le réflexe abdomina
ec peine qu'il la soulevait, elle retombait aussitôt, flas- que. La
sensibilité
n'était pas altérée dans la moitié gauche du corp
à demi fermée. Cependant le sens stéréognostique est conservé. La
sensibilité
à la douleur paraît exagérée du côté droit, mais
calise parfaitement les sensations et en distingue les modalités. La
sensibilité
au chaud et au froid est conservée. Peut-être
un peu à gauche, les traits de la face sont tirés vers la droite.
Sensibilité
. Au chaud : elle est conservée, mais les nuances
ent qu'on le touche. Hyperesthésie en bas et à l'avant-bras. La
sensibilité
est conservée du côté droit. Le sens stéréognos
traumatique 555 On constate une hémiplégie gauche avec perte de la
sensibilité
à gauche ; à droite, la sensibilité est conserv
iplégie gauche avec perte de la sensibilité à gauche ; à droite, la
sensibilité
est conservée. Au pied gauche, signe de Babinsk
i ne dure que 48 heures. Evolution. - 18 mars. - Les troubles de la
sensibilité
du côté gauche sont notablement diminués, mais
flexes sont intacts ; le réflexe palpébral se produit très bien. La
sensibilité
est également intacte, autant' sur les membres qu
nt bien, on ne trouve'pas ailleurs d'autres lésions musculaires. La
sensibilité
et les réflexes sont normaux. L'intelligence es
Pas de pseudo-lipome sus-cla- viculaire. Aucune altération de la
sensibilité
dans ses différents modes. On ne note absolumen
s et le dos du pied. Aucune lésion viscérale. Pas de troubles de la
sensibilité
. Cas. IV. - Victorine P..., âgée de 3 ans, est
muscles des deux mollets ; pas de troubles trophiques de la peau.
Sensibilité
. - Strabisme interne de l'oeil gauche dont le déb
elle à droite ; névrite optique légère de ce côté. Diminution de la
sensibilité
tactile au niveau des membres inférieurs, sur l
régions sur la jambe droite, à par- tir du genou en particulier, la
sensibilité
tactile est complètement abolie. La sensibilité
en particulier, la sensibilité tactile est complètement abolie. La
sensibilité
thermique au chaud et au froid,est intacte sur le
épingle est diminuée dans les zones où existe la dimi- nution de la
sensibilité
tactile. Pas de troubles du sens musculaire.
peu près stationnaire ; aux différents examens, les troubles de la
sensibilité
dans la moitié inférieure du corps se montrent
rs reprises, on note en des ré- gions variables la diminution de la
sensibilité
, la sensibilité au tact étant con- servée et la
note en des ré- gions variables la diminution de la sensibilité, la
sensibilité
au tact étant con- servée et la thermanesthésie
aladresse légère dans les mouvements de la main. Les troubles de la
sensibilité
thermique en particulier sont moins marqués - q
ale il est vrai : nous basions notre opinion sur les troubles de la
sensibilité
et surtout sur la déformation de la colonne ver-
obile ; elle s'accompagnait aussi, il est vrai, de diminution de la
sensibilité
tactile, mais Raymond n'a-t-il pas réuni une sé
ésie totale ! Et nous savons d'autre part que la dissociation de la
sensibilité
, même quand elle existe au complet est loin d'ê
s signes d'une paraplégie spasmodique accompagnée de troubles de la
sensibilité
, que se résumaient dans notre cas les phénomènes
en certaines régions, la;for- me d'une dissociation relative de la
sensibilité
, comme d'autre part un des phénomènes les plus
ns. — Attaque d'apoplexie avec hémiplégie droite. Perte absolue de la
sensibilité
et du mouvement au bras droit, sensibilité obtuse
roite. Perte absolue de la sensibilité et du mouvement au bras droit,
sensibilité
obtuse et conservation partielle du mouvement vol
a été frappée d'apoplexie ie 19 mars 1807, avec perte complète cle la
sensibilité
et du mouvement à droite et déviation de la face
abondants. Résolution muscuiaire générale et diminution notabte de la
sensibilité
des deux côtés. On ne peut pas constater d'hémipl
reprend connaissance ; on constate alors une paralysie complète de la
sensibilité
et du mouvement au membre supérieur gauche. Le le
existe une hémiplégie flasque du côté gauche avec conservation de la
sensibilité
. — Cette femme est prise au bout de deux jours d'
82 ans. — Attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche incomplète de la
sensibilité
et du mouvement. La malade se rétablit et meurt d
sie hystérique. Il existe alors, non seulement une obnubitation de la
sensibilité
générale, mais aussi une anesthésie sensorielle.
limitée d'un hémisphère peut produire un trouble de tous les modes de
sensibilité
dans un côté du corps, ne constitue-t-il pas un b
mais d'une manière moins prononcée. Sur les membres contractures, la
sensibilité
de la peau n'est pas complètement abolie, car, lo
côté droit du corps, revenant par accès; diminution permanente de la
sensibilité
du même côté ; altération spéciale de la table in
ines avant son entrée, il offre une diminution très prononcée dans la
sensibilité
de tout le côté droit, surtout du membre antérieu
bras et de la jambe du côté droit que des membres du côté gauche. La
sensibilité
est diminuée dans tout le côté droit, et pour lui
est obligé de pincer fortement la peau de ce côté. Du côté gauche, la
sensibilité
est tout à fait intacte. Les fonctions digestives
leurs restée nette. La faiblesse du côté droit et la diminution de la
sensibilité
sont devenues plus prononcées. On constate de la
tal, après sa dernière attaque, il a vu paraître une diminution de la
sensibilité
dans le côté droit du corps, avec un certain emba
a congestion a commencé à devenir permanente : de là la diminution de
sensibilité
dans tout le côté droit; de là l'embarras de la p
du corps ; du même côté, il y avait paralysie faciale incomplète : la
sensibilité
s'était conservée à peu près intacte sur toutes l
des deux membres inférieurs, de la vessie et du rectum. A gauche, la
sensibilité
du membre abdominal était évidemment exagérée ; à
est impossible cependant d'élever sa main droite jusqu'à sa tête. La
sensibilité
cutanée [tarait un peu !. Voir : Corail.— Notes
à la main, que sur les parties correspondantes du côté opposé. Toute
sensibilité
n'y est pas éteinte, car lorsqu'on pince la peau
idité, si ce n'est aux doigts de la main qui sont légèrement flétris.
Sensibilité
cle ce membre à peu près complètement conservée.
ner que de légères douleurs. Cependant, la peau n'est point privée de
sensibilité
, et quand on la pince, il y a des marques de souf
est liée à la disparition simultanée de l'une ou de l'autre espèce de
sensibilité
, dans une étendue égale de la région.,symétrique
1878.) 1. Dans les lignes qui précèdent, il n'a été parlé que de la
sensibilité
en vue d'abréger cet exposé; mais ce qui est dit
que du cerveau (hémorrhagie cérébrale). Rétablissement immédiat de la
sensibilité
sous l'influence d'un électro-aimant. (Charcot et
autres au cuivre ou à l'or. « Ce phénomène, le rétablissement de la
sensibilité
, dure quelquefois quelques heures ou parfois tout
sibilité complète, comme j'étais habitué à l'observer, je trouvai une
sensibilité
très manifeste; la malade criait; elle me dit : M
plication externe de l'or sont multiples : la température s'élève, la
sensibilité
reparaît, la force dyna-nométrique du membre augm
lument comme dans les cas d'hystérie ; seulement la persistance de la
sensibilité
a été plus longue. « Une autre, hémianesthésiqu
a été examinée récemment à ce point de vue. J'ai pu constater que la
sensibilité
n'est revenue qu'au bout de trois heures; dans le
ordinaires, c'est au bout de trois-quarts d'heure, une heure, que la
sensibilité
revient. « M. Charcot rend compte ensuite des r
qu'il est possible de l'avoir, et j'ai obtenu une réapparition de la
sensibilité
; dans ces faits d'hémianesthésie, on sait qu'il
its d'hémianesthésie, on sait qu'il y a non-seulement paralysie de la
sensibilité
générale, mais encore des organes des sens : ouïe
r l'aile du nez du côté anesthôsique, et j'ai pu voir réapparaître la
sensibilité
de ce côté. « Des expériences analogues sur la
'ordre inverse de leur disparition, en même temps qu'elle rappelle la
sensibilité
. Lorsqu'on cesse d'appliquer ces plaques, les tro
sibilité. Lorsqu'on cesse d'appliquer ces plaques, les troubles de la
sensibilité
et l'achromatopsie ne tardent pas à revenir. (d
mais alors, il y a déjà rougeur de la peau; un instant plus tard, la
sensibilité
renaît dans ces points où s'est produite l'impres
c une aiguille, on ne provoque chez la malade aucune manifestation de
sensibilité
, vous appliquez du côté anesthésié, généralement
s, si vous piquez la peau au voisinage de la bande, vous voyez que la
sensibilité
commence à revenir. C'est le premier stade de la
l'expérience, ou vous l'arrêtez aussitôt après la réapparition de la
sensibilité
. Si vous la continuez, c'est-à-dire si vous laiss
tinuez à piquer la peau, vous vous apercevez qu'à un moment donné, la
sensibilité
, qui était revenue, disparaît de nouveau, c'est-à
enlevez le métal au moment où vous avez obtenu la réapparition de la
sensibilité
, cette sensibilité persiste pendant quelques heur
u moment où vous avez obtenu la réapparition de la sensibilité, cette
sensibilité
persiste pendant quelques heures et quelquefois p
néraliser. Ainsi, alors que vous n'aviez obtenu la réapparition de la
sensibilité
que sur le bras, vous la voyez s'étendre progress
e faisait régulièrement, d'un côté à l'autre, pour tous les genres de
sensibilité
du moins chez tes hystèriefues. Beaucoup de nos
ouillement effectif. Nos collègues pensent donc que les phénomènes de
sensibilité
qu'on observe chez les hystériques, dans l'applic
Vous appliquerez l'or sur le bras gauche et vous constaterez que la
sensibilité
revient chez elle sous l'influence du métal. Eh b
ent chez elle sous l'influence du métal. Eh bien, si vous explorez la
sensibilité
dans le point du bras droit, qui correspond symét
uement à celui où vous avez appliqué l'or sur le bras gauche et où la
sensibilité
est revenue, vous reconnaissez qu'il s'est produi
es phases du phénomène, parce que, quelquefois, la réapparition de la
sensibilité
pour les couleurs, sous l'influence de l'applicat
rme en votre présence. Nous allons piquer son bras. Vous voyez que la
sensibilité
, qui était tout à l'heure à l'état normal, est pr
'application de pièces d'or sur le côté anesthésié faisait revenir la
sensibilité
, et il nous avait envoyé la malade pour avoir not
liquant le métal môme qui autrefois faisait cesser les troubles de la
sensibilité
, provoquer leur réapparition et mettre, pour ains
ication métallique avait pour effet de ramener tout d'abord un peu de
sensibilité
. Mais lorsque le métal restait appliqué, cette se
un peu de sensibilité. Mais lorsque le métal restait appliqué, cette
sensibilité
disparaissait bientôt et les phénomènes morbides
p jjyjiï- Vous avez pratiqué la métalloscopie et vous avez reconnu la
sensibilité
des malades à un métal déterminé., fer, or, cui
l particulier, qui, chez elles, autrefois, ramenait temporairement la
sensibilité
et la force musculaire, ces malades s'engourdisse
l'autre, a eu pour résultat le rétablissement prompt et complet de la
sensibilité
générale et spéciale. Ce résultat ne s'est pas dé
r, quelle que soit la personne qui la regarde fixement, B..., dont la
sensibilité
à ce genre d'expériences est très grande, tombe p
érimente d'abord sur des sujets sains : selon lui quelques-uns ont la
sensibilité
magnétique, les autres ne l'ont pas. Cette sensib
ues-uns ont la sensibilité magnétique, les autres ne l'ont pas. Cette
sensibilité
magnétique est à son summum dans certaines maladi
les deux pôles de l'aimant. Au bout de quelques minutes, voici que la
sensibilité
est revenue à gauche. Mais, en revanche, elle a d
métriques du membre inférieur. La jambe gauche jouit maintenant de sa
sensibilité
et la jambe droite l'a perdue. Laissons l'aiman
te l'a perdue. Laissons l'aimant continuer son action. Voici que la
sensibilité
disparaît cle nouveau à gauche et revient à droit
ouveau à gauche et revient à droite. Enlevons maintenant l'aimant, la
sensibilité
revient rapidement à gauche et disparaît à droite
st redevenu sensible, le bras gauche a perdu, par transfert, toute sa
sensibilité
. Les points symétriques ont été aussi affectés. M
té. Les points symétriques ont été aussi affectés. Mais bien plus, la
sensibilité
ne reste pas localisée, elle remonte pour ainsi d
nt que tout le côté du corps anes-thésié fout à l'heure a recouvré sa
sensibilité
. 11 ne faudrait pas croire que les hystériques
tre les branches de l'aimant de Faraday. Au bout de vingt minutes, la
sensibilité
était revenue et fixée à tout jamais sans transfe
orsque, du côté où existe Fhémianesthésie hystérique, on a rappelé la
sensibilité
des divers organes des sens de ce côté, au moyen
observe, du côté opposé etau point symétrique, une disparition de la
sensibilité
, comme si la sensibilité du côté sain avait été d
etau point symétrique, une disparition de la sensibilité, comme si la
sensibilité
du côté sain avait été déplacée et transportée du
nsportée du côté malade. On remarqua ensuite que le transfert de la
sensibilité
n'avait pas lieu seulement sous l'influence des a
3 centimètres de la partie insensible sur laquelle on veut ramener la
sensibilité
. Ce n'est d'ailleurs pas non plus une question de
bre gauche, qui était insensible, recouvre, en quelques instants, une
sensibilité
parfaite, tandis que le membre droit, primitiveme
cture du côté droit s'amendait, et peu à peu, la malade recouvrait la
sensibilité
du côté droit, et arrivait à l'état où vous la vo
e contracture hystérique artificielle. Les phénomènes du côté de la
sensibilité
(hémianesthésie hystérique) suivent la contractur
à la médecine ne doit nous laisser indifférents. I. Troubles de la
sensibilité
, à. Anesthésie. — Ces troubles sont les accidents
ques. Vous savez que l'hémianesthésie ne porte pas seulement sur la
sensibilité
générale, mais que les organes des sens spéciaux
ux gens non initiés à cette étude, sans provoquer le moindre signe de
sensibilité
. Du côté gauche du corps, au contraire, la piqûre
éciaux, le goût, l'odorat, etc., étaient atteints du même côté que la
sensibilité
générale. Vous voyez, chez cette hystérique, à
'œil achromatopsique la perception des couleurs, en même temps que la
sensibilité
cutanée. Cette jeune fille qui ne voit de l'œil d
son pharynx est absolument insensible ; nous lui rendons cependant la
sensibilité
au moyen de l'application d'un collier fait avec
'un collier fait avec des plaques de zinc. Après quelques minutes, la
sensibilité
est complètement rétablie. III. Zoopsie. — L'ac
it curieux, remarqué par M. Vigouroux, est-il dû a l'excitation de la
sensibilité
auditive, ou à celle de la sensibilité générale ?
est-il dû a l'excitation de la sensibilité auditive, ou à celle de la
sensibilité
générale ? Nous ne le savons pas ; nous recherche
s ne le savons pas ; nous rechercherons bientôt si l'excitation de la
sensibilité
de l'odorat, du goût, provoque les mêmes phénomèn
en même temps liyperacui-té fort remarquable de certains modes de la
sensibilité
de la peau, du sens musculaire et de quelques-uns
que l'on continue à piquer les membres du sujet, on s'aperçoit que la
sensibilité
a reparu partout; chaque piqûre donne lieu à un m
épétée des tendons, ni par la malaxation des masses musculaires. La
sensibilité
persiste, et le pincement ainsi que la piqûre don
lques minutes se produire une modification complète de l'état de leur
sensibilité
. On va suivre les changements qui se manifesteron
suffi pour développer une contracture du poignet avec paralysie de la
sensibilité
et du mouvement de tout le membre supérieur. Vous
résentaient une hémianesthésie, sont maintenant en possession de leur
sensibilité
normale, et Ma... n'a plus d'achromatopsie. Vous
ans un but d'exploration, la manière dont s'est opéré le retour de la
sensibilité
. Il n'a pas été complet tout d'abord ; ce n'est q
d'opposer ce fait, maintes fois observé par nous, que le retour de la
sensibilité
ne se produit pas, alors qu'à l'insu du patient l
ret. Après être descendues du tabouret, les malades conservent leur
sensibilité
pendant un temps très variable, en moyenne vingt-
ou trois jours, quelquefois pour toujours. Avec la persistance de la
sensibilité
coexistent d'autres modifications favorables : hu
l'hémianesthésie cérébrale par lésion organique, elle peut ramener la
sensibilité
sans transfert, ainsi que le fait d'ailleurs quel
côté droit du corps revenant par accès ; diminution permanente de la
sensibilité
du même côté ; altération spéciale de la table in
ges «le l'ongle réduit à sa plus simple expression. En même temps, la
sensibilité
tactile s'atténue, se pervertit. On peut même sup
oint de vue du développement intellectuel, soit au point de vue de la
sensibilité
morale. Nous pourrions en citer beaucoup d'exempl
OBSERVATION IV oxychopiucie. -onanisme. - paresse. -altératiox M kl
sensibilité
morale. - Gl erisox r (pide. André M.... âgé
I existence d adbé-renées préputiiles le.'s étendues. I. examen de In
sensibilité
cutanee. révèh des zones d'ancslhésic occupant la
epuis lors sa mémoire autrefois remarquable n a cessé de diminuer. Sa
sensibilité
morale rsl asser obtuse, il esl indifférent et pe
tement. Ceci ne parut assez, suspeci : que signifiai! ce restant do
sensibilité
Je la renvoyai néanmoins, lui recommandant de rev
ncore, comme pendant la veille, tontes les fonctions psychiques de la
sensibilité
, de la mémoire, de l'intelligence et des mouvemen
t dysine-uorrhéique ; elle n'a pas d'ovarie. mais l'exploration de la
sensibilité
générale montre une diminution surtout prononcée
a conscience d'un coté : de 1 autre il y a deux facultés actives : la
sensibilité
et la perception méino-rielle qui s'exercent aus.
acuité toute parti-culiere dans la littérature des Slaves qui, à une
sensibilité
excessive joignent un nihilisme non moins excessi
dépendamment de cette contracture, de l'ovarie et des trouilles de la
sensibilité
d'un côté du corps, qui démontrent bien qu'elle e
dessus de l'articulai ion du genou. La piqûre faîte pour essayer la
sensibilité
ne donne issue à aucune gouteletle de sang. En
sa crainte du sang versé a complètement disparu, et tout symptomc de
sensibilité
névrosique s'est éteint chez lui ! Dans cette o
u et intéressant succè» pour la psychothérapie. Hypercsthésie de la
sensibilité
chez un sujet hypnotisé. Par M. le Dr Antoîne M
t des crises tous les deux jours, quelquefois même tous les jours. Sa
sensibilité
culauée présente le signe suivant : les yeux ferm
gne suivant : les yeux fermés elle ne sent rien; les veux ouverts, la
sensibilité
reparaît. La malade est tres hypnotisable. Je l
la peau. En cherchant a vérifier ce phénomène j'ai remarqué que cette
sensibilité
extériorisée était un phénomène produit par la su
est resté insensible. Après cela je lui ai dit : Une partie de votre
sensibilité
va passer dans le verre, chaque fois que je le pi
luide magnétique qui provoquait celte prétendue extériorisation de la
sensibilité
, mais que c'était tout simplement la suggestion;
Enfin j'ai obtenu toutes sortes d'hallucinations et toutes sortes île
sensibilité
et non seulement sur ce sujet mais encore sur d'a
que. probablement. les auteurs de In pscudncxlériorisaliou de la
sensibilité
ont été trompés par les faits: voici comment : En
possible que le phénomène décrit sous le nom d'extériorisation de la
sensibilité
n'existe pas cher ce sujet, sans que pour cela on
ence île M. de Hochas qui consiste, comme nu le sait, à transférer la
sensibilité
du sujet dans un verre d'eau; il est vrai que je
mon service pour me démontrer l'existence de l'extériorisalion de la
sensibilité
. Je I ai mis en présence d'un sujet modèle en ne
voi'LD (de Liège.. — Je n'ai jamais réussi non plus à extérioriser la
sensibilité
; je veux bien admettre que ce phénomène ne soit
dyspeptiques manquent rarement. Il existe aussi des troubles de la
sensibilité
qui se manifestent par des sensations bizarres :
ues classiques, quelques-unes seulement ébauchée», des trouble» de la
sensibilité
(anesthésies localisées, des troubles oculaires (
produit dans l'harmonie des fonctions du somnambule: vous verrez ses
sensibilités
périphériques, soil du côté de la peau, soit du c
mêmes troubles analgésiques,anesthésiques, hyperesthésiques, vers les
sensibilités
de la peau des muqueuses ; ils ont sensiblement a
ur intervienne près du somnambule provoqué il éveillera telles de ses
sensibilités
physiques et murales, tels de ses sens qu'il mett
n acte, vous ne pourrez mettre en doute l'éveil de ses sens et de ses
sensibilités
, mais dans une mesure restreinte, limitée exclusi
qu'on supposerait aller de l'opérateur ii l'objet, ut l'on parlait de
sensibilité
transmises» travers une personne interposée qui,
, l'expression de mes smliuieuls bien dévoués s. E. BOIRAC. De la
sensibilité
a distance et de l'extérioration de la sensibilit
E. BOIRAC. De la sensibilité a distance et de l'extérioration de la
sensibilité
. Par le M. D' Paul Joih. de Lille. Le phénomè
ène décrit dans ces derniers temps sous le nom «l'extérioration de la
sensibilité
est un fait d'observation assez rare, sans être t
h la même cause le phénomène que j'ai décrit autrefois sous le nom de
sensibilité
à dis~ lance, que d'autres observateurs ont encor
se manifeste. Il serait alors assez clairement exprimé par le nom de
sensibilité
â dislance de la part du sujet récepteur et d'inf
e que l'étendue de la surface sensible, varíe essentiellement avec la
sensibilité
nerveuse de la personne en expérience; et c'est m
te a environ un centimètre de la surface de la peau. - « Quant à la
sensibilité
comparée de différentes réglons, nons l'avons tro
itrine, la face palmaire des mains, les bras, le cou, etc.. « Cette
sensibilité
spéciale se développe et s'accroît parallèlement
tte sensibilité spéciale se développe et s'accroît parallèlement â la
sensibilité
hypnotique et comme elle, par l'exercice, a - Les
xercice, a - Les phénomènes décrits sons le nom d'extérioratîon de la
sensibilité
ne peuvent-ils pas être expliqués de la façon la
s de la façon la plus plausible par celui-ci que nous avuns appelé la
sensibilité
à distance ? Ou plutôt n'est-ce pas en somme le m
e observé et décrit de deux façons différentes. Dans les faits de
sensibilité
îi distance que nous avons nous nous nous trouvon
s nous nous nous trouvons m présence d'une véritable exaltation de la
sensibilité
chez le sujet en observation. Ceci, remarquons le
développe à ce point l'acuité des autres sens, qu'il exalte aussi la
sensibilité
du sens du toucher, au point que le sujet puisse
tance inaccoutumée et plus ou moins considérable. Ce principe de la
sensibilité
â distance étant reconnu, et puisque celte sensib
principe de la sensibilité â distance étant reconnu, et puisque celte
sensibilité
varie d'un sujet â un autre, il ne faut pas s'éto
la part qui revient à l'expérimentateur dans la mise en jeu de cette
sensibilité
spéciale du sujet. Je croîs en effet que l'on p
uble de la vue. de l'oufe, de l'odorat, «lu goul, du tact et toucher.
Sensibilité
cutanée normale. Itien d'anormal ni du côte du cœ
ce et le mouvement (Rev: de méd.. juillet). Tabcowla. — Trouble de la
sensibilité
sc produisant par une sensation de sable du côt
ts musculaires particuliers, mais ces derniers sont le résultat de la
sensibilité
musculaire el. à ce titre, sont des sensations de
intéresserait la Société. A propos de la pseado-extériorisation de
sensibilité
. Par le U 1 Crocq (Us, !-• Bruxelles. Dans un
tes dans le but de s'assurer de la réalité de l'extériorisation de la
sensibilité
: « En cherchant à vérifier ce phénomène, a-t-il
herchant à vérifier ce phénomène, a-t-il dit. j'ai remarqué que cette
sensibilité
extério risée était un phénomène produit par
ide magie-tique qui provoquait cette prétendue extériorisation île la
sensibilité
, mais que c'était tout simplement la suggestion.
verre d'eau dans la main du sujet, il lui dit : « Une partie de votre
sensibilité
va passer dans le verre, chaque lois que je le pi
aussi élémentaire pour arrivera conclure que l'extériorisation de la
sensibilité
n'est que de la suggestion. M. Mavroukakis cite
xelles et de Rochas «comme s'élant occupés de l'extériorisation de la
sensibilité
, il ajoute : « ces expériences m'ont convaincu qu
t que. probablement, les auteurs île la pseudo-extériorisation île la
sensibilité
oui été trompes par les faits. " Il ressort cla
oukakis qu'il me considère comme partisan «le l'extériorisation de la
sensibilité
telle que de itochas l'a décrite el que par consé
a mal compris mon récent article sur la pseudo-extériorisation de la
sensibilité
. Je dois d'ahfird faire remarquer que j'ai été
quer que j'ai été le premier à appeler ftseifdo-exiêrîorisatton de la
sensibilité
le phénomène décrit par Rochas et l.uvs sous le n
nomène décrit par Rochas et l.uvs sous le nom d'extériorisation de la
sensibilité
. Je voulais par cette dénomination indiquer nette
la première séance Collette présentait les phénomène.- suivants : la
sensibilité
étail complètement absente; si au 1 î»-u de piqut
ons voulu essaver de charger une statuette ou un verre d'eau de cette
sensibilité
: jamais nous n'avons obtenu aucun résultat, avec
certains sujets spéciaux, il y a un semblant d'extériorisation de la
sensibilité
, existant spontanément pendant le sommeil hypnoti
ypnotisée, elle ne présentait aucun phénomène d extériorisation de la
sensibilité
; comme elle est très intelligente, nous lui diso
elle est très intelligente, nous lui disons : « Ecoutez bien : votre
sensibilité
, au Heu d'être sur votre peau, sera maintenant au
d affirmativement et aussitôt elle présente une extériorisation de la
sensibilité
aussi développé.- que celle de Collette. Si nou
oduire, pur suggestion, une pseudo-extériorisation artificielle de la
sensibilité
en tout semblable à la pseudo-extériorisation spo
â savoir qu il peut se produire une extériorisation suggestive de la
sensibilité
, absolument pareille à l'extériorisation spontané
llement la non existence de la pseudo-extériorisation spontanée de la
sensibilité
. Je le répète, mes vues diffèrent totalement de
tte de cire, ni les plaques photographiques ne se sont chargées de la
sensibilité
du sujet, ce qui tend â prouver qu'il s'agit simp
s dispensé des exercices capables d'exaspérer à un trop haut point sa
sensibilité
nerveuse. Obs. II. — M. C... âgé de 21 ans. éta
is, pendant de longues années. les troubles variés et variables de la
sensibilité
générale et spéciale, les différents troubles psy
arque et voilà comment : Kn constatant que les hypereslhesiss de la
sensibilité
et toutes les particularités de la suggestibilité
ne tierce personne à laquelle je dis : « Il y des malades chez qui la
sensibilité
cuta-née pendant le sommeil le plus profond ne di
e pendant le sommeil le plus profond ne disparaît pas ; même si celte
sensibilité
fait défaut à l'état de veille, elle revient pend
génie G... qui était hemi-anesthésique du côté gauche le retour de la
sensibilité
dès qu elle est endormie. Dans une quatrième ex
me temps et tous les trois exécutèrent les mêmes suggestions. 2° La
sensibilité
cutanée était intacte chez les trois jeunes fille
impossibilité de maîtriser les mouvements suggérés, l'altération delà
sensibilité
musculaire l'aneslliésie. la modification de la p
D..., endormie, présente le somnambulisme véritable arec perte de la
sensibilité
; au réveil elle se rappelle spontanément de c
tat de guérison ou de maladie, sur le parallélisme des troubles de la
sensibilité
et des accidents hystériques, sur les phénomènes
auxquels, en état d'hypnose, on enlève et on rend les divers modes de
sensibilité
, enfin et surtout sur l'insomnie rebelle dont son
prime, dans lequel elles ont encore des stigmates, des troubles de la
sensibilité
, ou des troubles moteurs ou viscéraux, peuvent re
psychologique sont les meilleurs moyens de provoquer ce réveil de la
sensibilité
, on ne doit recourir à l'hypnotisme qu'en dernier
me, avoir fait autre chose que suggérer a ses malades le retour de la
sensibilité
aussi bien cutanée que musculaire et viscérale. O
mais non des douleurs, parce qu'en vous réveillant je laisserai votre
sensibilité
complètement endormie ». Je ûs ensuito devant son
t que le seul souvenir qui lui resterait au réveil serait celui de sa
sensibilité
endormie. A trois heures de l'après-midi je la
as la plus petite contraction, à tel point que M. G... qui connaît la
sensibilité
de sa femme en est peut-être plus surpris encore
stée par l'expérience de la vie. Les personnes chez lesquelles In
sensibilité
est très développée n'ont pns, en général, un car
que toujours précédée de la délibération. Elle est soumise aussi à la
sensibilité
et aux inclinations naturelles, aux instincts qui
eux, comme ils le sont dans notre connaissance » Le phénomène de la
sensibilité
n'est pas plus que les autres sans rapport avec l
purement physiques dans lesquelles il rentre néces- sairement. La
sensibilité
n'est qu'une expression, une abstraction, une gén
gination, raisonnement, pensée, etc. Celle théorie vibratoire de la
sensibilité
a pour avantage de s'nccor-der avec la théorie ph
anisme, l'instinct, l'habitude, la mémoire, et tous les phénomènes de
sensibilité
interne qui caractérisent notre mentalité; car pl
voyons en dehors. » La conscience n'est qu'une forme supérieure de la
sensibilité
, elle est soumise aux mêmes lois organiques que c
10 respirations. Ses membres étaient souples, il enten* dait bien, la
sensibilité
cutanée était intacte, ses pupilles réagissaient
symptômes présents après une forte suggestion, la conservation de la
sensibilité
générale même avec les yeux fermés, le caractère
ission de volonté (une), par Ch. Benoist, 165 Extériorisation de la
sensibilité
(de la sensibilité à distance et de l'), par P. J
une), par Ch. Benoist, 165 Extériorisation de la sensibilité (de la
sensibilité
à distance et de l'), par P. Joire, 172. Famill
ar Gélineau. 136 Hygiène des gens nerveux. 256. Hyperesthésie de la
sensibilité
chez un sujet hypnotisé, par Mavrouka- kis, 1
lon, 241. Pouchet Georges (nécrologie). 316 Pseudo-extériorisation de
sensibilité
(à propos de la), par Crocq fils, Pseudo-phobie
Rêve amenant un torticolis, 119. Sentiment et la pensée (le), 350.
Sensibilité
(pseudo-extériorisation de la), 172, 217. Sensi
ée (le), 350. Sensibilité (pseudo-extériorisation de la), 172, 217.
Sensibilité
a distance et de l'extériorisation de la sensibil
la), 172, 217. Sensibilité a distance et de l'extériorisation de la
sensibilité
(de la), par P. Joire. 172. Service militaire (
n entend par les mots d'anesthésie dissociée, de dissociation de la
sensibilité
. Vous savez qu'on désigne par là une anesthésie
hésie qui porte isolément sur une ou deux des manières d'être de la
sensibilité
, sur la sensibilité à la douleur (analgésie), o
ément sur une ou deux des manières d'être de la sensibilité, sur la
sensibilité
à la douleur (analgésie), ou sur la sensibilité
sensibilité, sur la sensibilité à la douleur (analgésie), ou sur la
sensibilité
au chaud et au froid (thermo-aneslhésie) ou sur
t au froid (thermo-aneslhésie) ou sur les deux à la fois, ou sur la
sensibilité
tactile seulement. Il n'y a pas très longtemps,
e de l'analgésie et de la thermo-anesthésie avec conservation de la
sensibilité
tactile, était considérée comme une manifestation
e dans ce qu'elle a d'exclusif; n'empêche que la dissociation de la
sensibilité
, l'anes- thésie dissociée telle que je viens de
e signe fait défaut chez notre malade. Chez elle, l'abolition de la
sensibilité
porte sur les sen- sations douloureuses et sur
a poitrine; rappelez-vous qu'elle in- téresse les trois modes de la
sensibilité
. La seule constatation d'uneanestbé- sie de ceg
'associer l'hystérie, celle-ci se manifestant par l'abolition de la
sensibilité
; nous pouvons éliminer, dis-je,Patrophie muscula
tlrennao-rcaaestlcésie et de l'anal- gésie avec conservation de la
sensibilité
tactile est loin d'être constante. Ceux qui ont
t la forme vulgaire, c'est-à-dire intéressait les trois modes de la
sensibilité
. Ces faits méritent de nous arrêter un peu; je
cas de syringomyélie où l'anesthésie intéressait les trois modes de
sensibilité
. Des faits semblables ont été publiés par IIoch
a porté son attention d'une fa- çon spéciale sur les troubles de la
sensibilité
tactile dans la syringomyé- lie, et il a cité d
complète et totale aux doigts et aux mains. Puis l'abolition de la
sensibilité
avait en- vahi les membres supérieurs, dans tou
leur étendue, le tronc, et finale- ment les membres inférieurs. La
sensibilité
n'était conservée que dans des ilots bien circo
malade. Je n'ai pas l'intention d'insister sur la physiologie des
sensibilités
, question sur laquelle on a beaucoup écrit, bea
heure, c'est que l'anesthésie totale, l'anesthésie qui intéresse la
sensibilité
tactile en même temps que la sensibilité à la d
nesthésie qui intéresse la sensibilité tactile en même temps que la
sensibilité
à la douleur, au chaud et au froid, rend vraisem-
me les caractères de l'anesthé- sie, c'est-à-dire l'abolition de la
sensibilité
tactile. Toutefois le cas d'As- mus est là pour
réserves. Il nous montre qu'il n'existe pas entre l'abolition de la
sensibilité
tactile et la lésion des cor- dons postérieurs
ur était plus prononcée à gauche qu'à droite. Or les troubles de la
sensibilité
tactile avaient fait défaut dans le côté gauche
ses fibrillaires. Pas de perte du sens musculaire ni articulaire.
Sensibilité
. Il n'existe pas de trouble de la sensibilité tac
laire ni articulaire. Sensibilité. Il n'existe pas de trouble de la
sensibilité
tactile. La pi- qûre est bien sentie partout pe
e est bien sentie partout peut-être avec une légère exagération. La
sensibilité
au froid est conservée ainsi que la sensibilité a
ère exagération. La sensibilité au froid est conservée ainsi que la
sensibilité
au chaud. Il faut noter cependant qu'à un premi
dyschromatopsie : V... reconnaît facilement toutes les couleurs.
Sensibilité
subjective. - Le sujet éprouve encore à l'heure a
s vrai. Disons dès maintenant qu'au niveau du siège de la lésion la
sensibilité
est intacte. En outre il n'y a pas de trouble
ous est connue ; il n'y a pas d'accès de douleurs notamment. 1 La
sensibilité
sous ses trois formes ne présente pas de modifica
em- nes. La musculature faciale fonc- tionne normalement. II.
Sensibilité
. Les troubles de la sensibilité sont moins fran
e fonc- tionne normalement. II. Sensibilité. Les troubles de la
sensibilité
sont moins francs que ceux de la motricité, mai
servée, quoique manifestement diminuée et retardée. Par contre, les
sensibilités
algésique et thermique sont abolies : le sujet in
région postérieu- 1'13; immédiatement au-dessus de cette limite la
sensibilité
reparaît; elle est même exaltée, liYPol'osthési
l'anesthésie. pace intercostal ; puis, si on dépasse cette zone, la
sensibilité
redevient normale ; elle se continue telle au c
ande hyper- estllésique répondant au''l-cr espace intercostal et la
sensibilité
normale réparait définilivement.un peu au-desso
la 'clavicule, c'est-à-dire^m niveau de la tre côte ? " ' - " La
sensibilité
tégumenlaire des membres supérieurs est intacte;
interprétation plus' complexe et plus déli- cate des troubles de la
sensibilité
et de leur association avec les troubles moteur
uis les recherches de Schilf, que les conduc- teurs des différentes
sensibilités
tactile, thermique et douloureuse ne suivent pa
qui cor- respondent à ces systèmes commissuraux qui transmettent la
sensibilité
tactile à l'encéphale : nous ne devons pas être
ie, une taclillié à peine émoussée de ses membres inférieurs; cette
sensibilité
spéciale franchissait, grâce au cordon de Goll,
isée plus haut, on constatait une diminu- tion progressive de cette
sensibilité
tactile, puis une anesthésie complète'; cette a
se était intéressé dans le pro- cessus. A ces deux variations de la
sensibilité
tactile, conservée en bas ! disparue en haut po
ons que nous venons d'exposer, s'ajoute la suppression complète des
sensibilités
thermique et douloureuse, dont les voies conduc
t à une lacune syringomyéli- que, ait déterminé la dissociation des
sensibilités
, telle qu'on la rencontre dans les cas de gliom
xagérés. Le malade peut écrire : il n'existe pas de tremblement. La
sensibilité
objective générale est conservée. Par contre, i
survint une paraplégie avec incontinence d'urine et troubles de la
sensibilité
, au moins du côté gauche. Bartlelt (2) communiq
s inférieurs avec ataxie des bras et des jambes. Pas de troubles de
sensibilité
. A il ans, on la place dans une école d'aveugle
raplégie n'affectant du reste que la motililé et respectant soit la
sensibilité
soit les fonctions des sphincters. Suivant toute
liens et do la trépidation spinale des côtés. Pas de troubles de la
sensibilité
. Les ré- flexes plantaires et crémastériens son
paraissent bien être d'ori- gine cicatricielle. - . 1 Troubles de
sensibilité
. On note une hyperesthésie très marquée des 2 pie
s bras ou les doigts ; légers mouvements des membres infé- rieurs ;
sensibilité
abolie au niveau des doigts et des avant-bras, lé
lorure'd'llydrargyre et de la révul- sion spinale. 18 octobre. La
sensibilité
a augmenté dans les membres inférieurs dont les
ne l'a été depuis des mois. Pas de douleurs de tête. 5 novembre.
Sensibilité
des doigts et des niains, mais ne peut mouvoir ni
ouvoir les bras librement ; le mouvement est revenu graduellement ;
sensibilité
parfaite des bras et des jambes ; même état des
puis la jambe gauche, puis le bras droit et enfin la jambe droite.
Sensibilité
intacte des membres paralysés; paralysie des sphi
urs est normale ; pas d'atrophie musculaire ; pas de troubles de la
sensibilité
. , Les pupilles sont égales et réagissent bien
angue sont normaux. Le sens musculaire est conservé. En général, la
sensibilité
cutanée est normale suivant ses divers modes. T
rmation de la sensa- tion de piqûre 'en brûlure. Léger retard de la
sensibilité
à la face plantaire des orteils droits. Sensibi
er retard de la sensibilité à la face plantaire des orteils droits.
Sensibilité
au froid et à la chaleur exagérée. Sensibilité él
des orteils droits. Sensibilité au froid et à la chaleur exagérée.
Sensibilité
élec- trique conservée. Zone hyperesthésique cu
ieurs et d'une parésie de mème natu re des mem- bres supérieurs. La
sensibilité
était à peu près intacte; il exista une paralys
LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 141 de troubles de
sensibilité
, ni d'atrophie musculaire des membres inférieurs.
e des fesses et de la région périnéo-vulvaire. Ces régions ont leur
sensibilité
normale à la pi- qûre. Lorsque Mme X... va il
fémurs proéminent sous les grands fessiers. (pli. Z'IlI et XIX.) La
sensibilité
semble partout conservée et dans tous ses modes :
de la cuisse gauche. Le sens musculaire. est conservé ainsi que la
sensibilité
profonde. Au point de vue moteur proprement dit
lacarpo-phalangienne de l'index, avec gonflement énorme, rougeur et
sensibilité
extrêmes fut suivie quatre semaines, d'ankylose
resque aussi marqué à droite. Le malade n'accuse aucun trouble de
sensibilité
subjective. Il y a une hyperesthésie totale sur
ur toute l'étendue des membres inférieurs et pour tous les modes de
sensibilité
objective, mais les degrés en sont variables su
rrête en avant vers le milieu du triangle de Scarpa ; eu arrière la
sensibilité
est d'autant meilleure que l'explo- ration port
que l'explo- ration porte sur un point plus éloigné des cuisses. La
sensibilité
est tout à fait normale au-dessus des hanches.
du phénomène : défaut de contraction des antagonistes, défaut de la
sensibilité
profonde, mais ces deux conditions seules ne su
aut d'intervention des muscles antagonistes, et la diminution de la
sensibilité
, la distension des appareils musculaires et lig
tropliques (perte de la tonicité musculaire avec conservation de la
sensibilité
), anesthésiques (perte de la sensibilité avec con
re avec conservation de la sensibilité), anesthésiques (perte de la
sensibilité
avec conservation du tonus). - Il nous reste
ns anesthésiques, et dont quelques-uns ont une perte complète de la
sensibilité
profonde (sens articulaire, sens musculaire, etc.
sont point seulement des excitations correspondant aux différentes
sensibilités
qui parviennent à la conscience ; sans doute il e
t d'excitations centripètes distinctes de celles qui constituent la
sensibilité
. Il n'est donc pas étonnant qu'il ne disparaisse
téchie sur le reste du corps, ni sur les muqueuses. Pas de douleur;
sensibilité
de la peau intacte. Il existe un oedème léger des
ternes. Aleynel't prétendait que ces fibres externes servaient à la
Sensibilité
et cette opinion trouvait un appui dans le fait q
t sensoriels, Morand reste muet. Il fut pour- tant frappé du peu de
sensibilité
de l'urèthre dont les réactions douloureuses ét
moyenne, sous l'influence d'angines et de coryzas fréquents. 'La
sensibilité
il tous les modes est parfaitement conservée, sur
FS = 6 mA. Jambier antérieur gauche KFS = 3,5 mA. Par suite de la
sensibilité
électrique dû sujet AFS n'a pas été détermi- né
ilement compte que jamais il n'a eu pendant ce temps de perte de la
sensibilité
au tact ni à la douleur. Seuls les mouvements s
érieurs ; de plus chez B..., on ne cons- tate pas de troubles de la
sensibilité
spéciale ou générale de l'organe. La parole de
sche Chirurgie, 1888. (6) Arlhropathies nerveuses et troubles de la
sensibilité
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 4894.
flexes rotuliens étaient abolis, ainsi que le réflexe plantaire. La
sensibilité
à la douleur était conservée. On prescrivit com-
ons électriques sont normales. Voyons un peu comment se comporte la
sensibilité
. Laissez-moi vous dire d'abord que cette fillet
accusé à gauche qu'à droite. A cela se réduisent les troubles de la
sensibilité
subjective. Vous allez voir que l'examen object
tive. Vous allez voir que l'examen objectif le plus minutieux de la
sensibilité
générale, considérée sous ses différents modes,
SENICALES ET TROUBLES SENS1TIVO-MOTEURS 329 enfin de troubles de la
sensibilité
, qui ont bien leur valeur, en l'espèce. Une cép
me d'anesthésies circonscrites qui portent sur tous les modes de la
sensibilité
. Plus tard l'anesthésie peut faire place à Fhyp
asionnant à la malade des souffrances intolérables. Aux membres, la
sensibilité
objective était fortement émoussée. La malade éta
mpes dans les muscles des mollets. Sur toute la surface du corps la
sensibilité
générale était abolie ou fortement émoussée; le
viendrai dans un instant. En outre on a constaté des troubles de la
sensibilité
, l'a- bolition des réflexes tendineux, les sign
rappelaient ceux de l'acrodynie, c'est dire que les troubles de la
sensibilité
prédominaient sur les troubles mo- teurs. Voire
né; mais dans l'intervalle elle avait contracté une paralysie de la
sensibilité
et du mouvement, aux membres inférieurs, sans p
vant que la paralysie soit nettement constituée, des troubles de la
sensibilité
ont fait leur apparition : engourdissements, four
urs la paralysie est, à ses débuts, chiropodale. Les troubles de la
sensibilité
persistent. Les muscles, quelquefois aussi les
a observé au moment de s'établir ; il arrive que les troubles de la
sensibilité
se dissipent plus tardivement encore ; en derni
on des réflexes pupillaires ; dans les deux cas, les troubles de la
sensibilité
, mais surtout les douleurs spontanées, l'hyperes-
ment dans ce qu'on a appelé la dissociation syringomyélitique de la
sensibilité
; unescoliose. Rappelez-vous cette triade fondame
u moins entre l'intensité de ce processus et celles des troubles de
sensibilité
qui, toujours se sont montrés concomitants. C'e
gnent leur maximum dans les observations I et IV où les troubles de
sensibilité
sont les plus marqués et qu'ils se montrent éba
degrés divers dans les observations II, III et V où les troubles de
sensibilité
sont moindres. Observation 1 (H ! Jstél'igue ?
spéciale s'accompagne bientôt, à son tour, de légers troubles de la
sensibilité
dans les membres du côté droit (noter que l'amb
is articulaires des poignets. Il n'existe aucune modification de la
sensibilité
. L'auteur pense qu'il s'agit dans ce cas d'une
tent depuis un certain temps, et occupent la plupart des sens et la
sensibilité
générale. On lui a ouvert la tête et accroché,
enté de fréquence et le trouble a gagné les autres sens et aussi la
sensibilité
générale. Il est continuellement sous l'influen
une sorte de paralysie du bras gauche accompagnée de troubles de la
sensibilité
: ce bras '11 Z RECUEIL DE FAITS. est faible
lement dans le côté gauche, mais quelque- fois aussi à droite. La
sensibilité
est normale dans tous ses modes. L'acuité visuell
elle KÕLL1KF.I\) ne manquent jamais dans l'écorce des régions de la
sensibilité
générale ou spéciale (écorce sensitivo-motrice,
e malade en a conscience, peut en rendre compte. Ces troubles de la
sensibilité
sont pour lui l'origine d'un délire mystique tr
e Belgique, sep- tembre 1808.) M. Marandon de Montyel a étudié la
sensibilité
à la douleur au moyen de la piqûre et du pincem
ifeste, les signes de Romberg et de Westphall et des troubles de la
sensibilité
(hypo- esthésie). En outre, symptômes manifeste
hésies légères dans les parties périphériques des membres; certaine
sensibilité
à la palpation des troncs nerveux, notablement
anal de paraplégie com- plète : perte absolue de la motilité, de la
sensibilité
des réflexes dans les membres inférieurs; un tt
face interne du bras droit, une dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. Ce fait assez difficile à comprendre, fut expl
eau de la 7° paire cervicale. La dissociation syringomyélique de la
sensibilité
était donc expliquée par ce fait ; mais ce qui
fibres radiculaires. Hémiplégie gauche et paralysie alterne de l`c
sensibilité
. M. Ballet. Il est assez difficile de localiser
a moitié gauche de la moelle cervicale. Une paralysie alterne de la
sensibilité
indique une lésion dans la région supérieure de
t une élévation du tracé. bibliographie. 165 3° Les phénomènes de
sensibilité
, surprise, peur, douleur, don- nent lieu à de l
s'agit de phénomènes tenant à la fois de l'intelli- gence et de la
sensibilité
, le plus souvent le phénomène intellec- tuel l'
Attaques de som- meil, fugues, vagabondage ; troubles divers de la
sensibilité
et du mouvement ; troubles du langage reproduis
après Henschen). L'oeil, avec ses muscles, en tant que doué de la
sensibilité
générale (trijumeau) correspond à une autre zon
e pseudo-bulbaire. '18 : 2 PHYSIOLOGIE. tion correspondant à la
sensibilité
générale de l'oeil et de ses annexes est-elle e
me frontale, existe donc une portion de l'écorce correspondant à la
sensibilité
de l'oeil et de l'orbite et à la mobilité du gl
sitives n'ont pas tou- jours les mêmes limites. Le territoire de la
sensibilité
géné- rale dépasse bien en arrière le territoir
de l'anesthésie sensorielle. De ce que les troubles objectifs de la
sensibilité
manquent souvent en réalité, il ne faudrait en
lle facilité s'établissent les suppléances, en ce qui concerne la
sensibilité
générale § 11. Troubles de la motilité des paup
autres peuvent avoir ' Voir en particulier Brissaud, Troubles de la
sensibilité
dans les hémiplégies corticales (Leçons cliniqu
luette et du voile palais sont conservés, le goût est conservé, la
sensibilité
de la face aussi. - Notre homme présente de la
ulo-moteur antérieur, corres- pondant à la zone de projection de la
sensibilité
générale (trijumeau), a son siège probable au n
ers mou- . vements du membre inférieur droit qu'elle comprend. La
sensibilité
est diminuée fortement à gauche par rapport au
bituellement accompagnée 41'héi ? 21a)iesthésie. Les troubles de la
sensibilité
suivent assez généralement la marche des phénom
urs bien indiquée ; mais ordinairement on note une diminution de la
sensibilité
qui s'accroît progressivement jusqu'à l'hémiane
ade après quelques minutes de malaise présenta une diminution de la
sensibilité
, puis une hémianesthésie com- plète au bout d'u
ilité qui paraissait abolie reparaît. Dans notre observation III la
sensibilité
abolie le premier jour, reparaît au second, pou
patellaires, achilléens et cubital, normaux. Aucune anomalie de la
sensibilité
cutanée ou motrice, titubation très forte du pa
wra, 2' série, t. VIII. 15 226 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. tion de la
sensibilité
de contact et des deux tympans. Uiminu- nution
(exp. III à V) produit des troubles graves de la motilité et de la
sensibilité
dans les membres postérieurs, mais point de par
e, nystagmus, béna3'emeut. Rarement la cérébralité est abaissée. La
sensibilité
, réaction électrique sont normales, les réflexe
e : sommeil profond avec perte complète de la connaissance et de la
sensibilité
. Les délires de la convalescence peuvent présen
lgie. la suré- motivité, la tristesse chronique, les troubles de la
sensibilité
psy- chique, les phobies, les hallucinations, l
lésion interrompant dans leur trajet les fibres de conduction de la
sensibilité
? Deux obser- vations n'autorisent pas à prendr
abdomen du côté gauche et pour la région cervicale gauche. Seule la
sensibilité
à la chaleur est conservée à la face. Odorat. M
e pituitaire sensible à la piqûre et au contact. Conservation de la
sensibilité
spéciale (épreuve de l'ammoniaque). Gustation.-
é spéciale (épreuve de l'ammoniaque). Gustation.-Conservation de la
sensibilité
générale sur les deux moitiés de la langue. L'é
ensibilité générale sur les deux moitiés de la langue. L'état de la
sensibilité
spéciale n'a pu être recherché d'une manière su
cherché d'une manière suffisamment précise. Vue. Conservation de la
sensibilité
conjonctivale. La malade ne paraît pas avoir pr
u côté droit non paralysé, nous n'avons à signaler aucun trouble de
sensibilité
ou de motilité. La trépidation épileptoïde sign
s'étendent au côté droit. Pas de modifications dans les troubles de
sensibilité
. 19. En recherchant de nouveau l'état de la sen
troubles de sensibilité. 19. En recherchant de nouveau l'état de la
sensibilité
chez la malade, on constate que le pincement, l
épidation épileptoïde. 20. Les résultats fournis par l'examen de la
sensibilité
sont des plus contradictoires, quelles que soie
qu'au 19 février 1899. Depuis le dernier examen, les troubles de la
sensibilité
ne se sont pas modifiés. Du côté non paralysé,
sie, tantôt de l'anesthésie à la piqûre ; depuis un mois environ la
sensibilité
à la chaleur et au froid était redevenue normal
absolue. Paralysie flasque. La température parait plus élevée. ,
Sensibilité
. Tact. Nous touchons le coude gauche ; le malade
est de même pour la moitié gauche du tronc, du cou et de la face.
Sensibilité
à la piqûre. Totalement' abolie au niveau de l'
s, à la moitié de la face et au membre inférieur; en tout t cas, la
sensibilité
à la piqûre est incomparablement moins vive que
ouver une douleur légère qu'il rapporte au membre inférieur sain.
Sensibilité
au froid. Exactement superposée à la sensibilité
re inférieur sain. Sensibilité au froid. Exactement superposée à la
sensibilité
à la piqûre et avec les mêmes variations d'inte
sibilité à la piqûre et avec les mêmes variations d'intensité. La
sensibilité
à la chaleur paraît un peu mieux conservée tout e
notable de la motilité, mais pas de modifi- cation des troubles de
sensibilité
. Sous l'influence d'une piqûre Ou d'un pincemen
il avait la force de tenir une plume ou un crayon ; il peut lire.
Sensibilité
spéciale. Du côté de la langue, l'examen n'a donn
ide ; bredouillement continuel. La motilité est toujours abolie. La
sensibilité
à la piqûre est absolument nulle dans toute l'é
rait pas quand on pique ou quand on pince le membre droit. La
sensibilité
est très diminuée au niveau du tronc, de l'ab
membre inférieur du même côté. A gauche, pas de troubles de la
sensibilité
. Pas de trépi- dation épileptoïde; pas de tré
e est très 'satisfaisant ; elle est calme, mange et dort bien. La
sensibilité
générale est un peu émoussée ; les mouvements s
rant d'air glacé sur la cuisse pendant les mou- vements, toutes les
sensibilités
étant normales d'ailleurs, sauf une hyperesthés
s supérieurs, précédée de douleurs et accompagnée de troubles de la
sensibilité
, d'atrophie musculaire et de réaction de dégéné
attestée par les signes suivants : anesthé- sie à tous les modes de
sensibilité
et presque généralisée à toute la surface du co
iale des anesthésies, au froid et à la douleur. La dissociation des
sensibilités
est généralisée. A. M. XXXIX. D'un remarquable
sence de réflexes patellaires et achil- léens, 3° l'intégrité de la
sensibilité
cutanée, 4° des troubles dans la notion de posi
ux et crémastériens faibles. Bien de cer- tain quant à l'état de la
sensibilité
. L'agitation augmentant vers le soir. on fait d
demeurant d'ailleurs intacte; cette idée n'a rien à faire avec la
sensibilité
affective. Elle résiste à toute tentative d'expul
emblement de mains; parfois tremblement de la tête; intégrité de la
sensibilité
et des céffexes; légère dysphagie. Chez l'aut
us les muscles, des membres et du tronc sans H, D.; intégrité de la
sensibilité
, des réflexes rotuliens et des organes pelviens
domaine du plexus sacral et du nerf musculo-cutané. Troubles de la
sensibilité
très prononcés aux jambes et aux pieds, il dissoc
s antérieurs, surtout du côté droit. Abaissement considérable de la
sensibilité
thermique dans le domaine des deux nerfs muscul
rieures ne sont presque pas intéressées, puisque les troubles de la
sensibilité
sont insignifiants. Il conviendrait peut-être,
arole est gênée et très difficile. Pas de troubles subjectifs de la
sensibilité
. Nous n'obtenons pas de renseignements sur ses
Il est difficile, à cause de la paralysie de juger de l'état de la
sensibilité
cutanée qui paraît diminuée. Réflexes patella
de paralysie extensive exclu- sivement motrice sans troubles de la
sensibilité
, ni réaction de dégénérescence, et seulement av
en interne des Agiles de la Seine. Les multiples hallucinations des
sensibilités
spéciales ont été étudiées depuis fort longtemp
ices verbales, hallucinations de l'ouïe, de la vue : troubles de la
sensibilité
générale. B... Pierre, soixante ans, cultivateu
yait également des animaux. B... avait en outre îles troubles de la
sensibilité
générale; il se sentait électrisé et avait des
n, ce sont « des frémissements » dans les pieds, des troubles de la
sensibilité
générale qui provoquent la voix interne; mais c
; zone hystérique au niveau des flancs et au-dessus des aines. La
sensibilité
à la chaleur au frôlement, au pincement, est con-
u frôlement, au pincement, est con- servée et égale des deux côtés.
Sensibilité
au chatouillement un peu exagérée. c) Etat ps
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES . XII. Les voies centrales de la
sensibilité
générale (Étude anatomo- c Unique) ; par le De
cience, il est nécessaire, pour l'étude des voies cen- trales de la
sensibilité
générale, de revenir à la doctrine qui fut défe
ent à cette substance grise, on doit comprendre la conduction de la
sensibilité
générale dont les impressions périphériques se
ement par la région de la calotte que se fait la transmission de la
sensibilité
générale ; mais on ne peut attribuer cette tran
de la capsule interne ; 8° Sur l'écorce cérébrale, la motilité, la
sensibilité
générale et le sens musculaire ont la même loca
localisation ; 9° La multiplicité des moyens de transmission de la
sensibilité
générale est en rapport avec l'importance des p
cours d'une paraplégie flasque, on voit survenir des troubles de la
sensibilité
, ceux-ci retentissent tout d'abord sur la trans
ion qui est affaiblie ou abolie. Le fait que, dans certains cas, la
sensibilité
à la douleur est seule atteinte, et que la zone
sceau de Gowers, on voit la lésion médullaire amener la perte de la
sensibilité
musculaire (compression des fibres du faisceau
faisceau cérébelleux ou des fibres des cordons postérieurs ? ). La
sensibilité
tactile (fibres des cordons postérieurs ou fibr
ou moins accusés, une exagéra- tion de l'une ou l'autre forme de la
sensibilité
. A. FENAYROU. XV. Les phénomènes de réparation
ivi, longtemps après, d'accidents paralytiques et de troubles de la
sensibilité
lents et symétriquee, rapproché de l'existence
rébelleuses géantes de Purkinje. Pathogénie. - Les troubles de la
sensibilité
sont donc d'origine centrale, de là leur diffus
, suivies d'une inertie absolue du même côté avec destruc- tion des
sensibilités
et des réflexes et diminution à droite. Coma et
coup plus complexe. Dnchenne (de Boulogne), en 1852, distingua la «
sensibilité
mus-' culaireD qui renseigne sur le mouvement e
Vulpian. Trousseau étudiant l'ataxie développa encore le rôle de la
sensibilité
tactile et parla le pre- mier de sensibilité ar
a encore le rôle de la sensibilité tactile et parla le pre- mier de
sensibilité
articulaire. Dès cette époque le problème était
ctils perçue à l'occasion 1 Abba. Elude clinique des troubles de la
sensibilité
générale, des sens musculaire et sléréognostiqu
le. Thèse de Paris, 1>i96. 2 Bourdicault-Dumay. Troubles de la
sensibilité
générale, du sens murs- eulaire el du sens stér
dis que la sensation de pression avec différents poids ressort à la
sensibilité
tactile et à la sensibilité musculaire profonde
sion avec différents poids ressort à la sensibilité tactile et à la
sensibilité
musculaire profonde. Pour Cherchewaki il n'y au
doigts des mains, surtout dans le petit doigt de la main droite.
Sensibilité
tactile retardée aux membres inférieurs ; sensibi
main droite. Sensibilité tactile retardée aux membres inférieurs ;
sensibilité
thermique normale ; sensibilité à la douleur co
e retardée aux membres inférieurs ; sensibilité thermique normale ;
sensibilité
à la douleur considérablement diminuée; il exis
nce des hallucinations de la vue et de l'ouïe et des troubles de la
sensibilité
générale : des voix lui disent que le déluge ar
ion de l'épaule, dans la partie droite du cou et la joue droite, la
sensibilité
au contact se trouve diminuée, la sensibilité à
et la joue droite, la sensibilité au contact se trouve diminuée, la
sensibilité
à la douleur, au froid et à la chaleur est abol
t de diverses sphères de l'activité nerveuse (psychisme, motricité,
sensibilité
, vaso- motricité) ; ces divers systèmes subisse
encore de la faiblesse des mains et des pieds avec diminution de la
sensibilité
tactile. Il y avait sensibilité à la douleur de
et des pieds avec diminution de la sensibilité tactile. Il y avait
sensibilité
à la douleur des extrémités jusqu'au-dessus du
la douleur des extrémités jusqu'au-dessus du genou et du coude, et
sensibilité
musculaire. Les mains étaient bouffies, tandis
ataxie). En faveur d'une névrite phosphorée, nous trouvons : grande
sensibilité
à la douleur, par compression des mnscles; abse
es douleurs instantanément disparues, l'ab- sence de troubles de la
sensibilité
, sauf au courant faradique qui n'est plus perçu
plexus; de plus, l'évolution ne la confirme point; intégrité de la
sensibilité
, absence de paresthésies et de troubles trophiq
approchée d'une paraphasie dénotant une v aphasie motrice, et de la
sensibilité
à la percussion du frontal gauche, implique l'a
e droite est mobile, la jambe est très peu atteinte ; il existe une
sensibilité
circonscrite il la percussion de la région temp
uzy) ; à cause des symptômes permanents tels que les troubles de la
sensibilité
, l'hémianopsie, la parésie légère du côté droit
ieur qui est le plus pris. L'absence de céphalalgie et l'absence de
sensibilité
à la per- cussion sont en faveur d'une localisa
'acte soit plus complet, cocaïniser l'urèthre afin d'en diminuer la
sensibilité
. Il est des cas dans lesquels rien ne fait, l'a
on du poignet produit souvent des troubles plus considérables de la
sensibilité
de la peau des doigts que de la motilité des mu
aractérisée par : des douleurs irradiées de l'épaule au. cou; de la
sensibilité
à la pression de la colonne cervicale; des doul
ngourdissement, sensation de peau adhérente) ; une diminution de la
sensibilité
céphalofaciale du côté gauche; une extrême sens
nution de la sensibilité céphalofaciale du côté gauche; une extrême
sensibilité
à la douleur de tous les points d'élection acce
gauche; peut-être quelque diminution de la force de ces membres. La
sensibilité
a diminué dans les ex- trémités, mais elle prés
ments et produisent la faiblesse. D'autre part, la diminution de la
sensibilité
persiste ; elle varie; on la constate tantôt du
enflammé le nerf (Erb, Montesano, Marina, Dinkter). Intégrité de la
sensibilité
et du goût ; l'application légère de la cathode
au toucher des deux jambes; une diminution de tous les modes de la
sensibilité
au tronc, à droite seulement; sensibilité normale
n de tous les modes de la sensibilité au tronc, à droite seulement;
sensibilité
normale à la tête et au bras gauche, disparue à
de Romberg, les douleurs lancinantes, les troubles subjectifs de la
sensibilité
bilatéraux marqués aux pieds, l'ataxie en certain
cas d' -, par Bernard, 111. - gauche et para- lysie alterne de la
sensibilité
par Ballet, 159. Deux observations TABLE DES
nue et Bernhetm. 512. Paralysie nu'n.mr. Hémiplégie gau- che et -
sensibilité
, par Ballet. 159. TABLE DES MATIÈRES. S37 P
21. » Sémites. Essai sur la pathologie ries -, par Béraud, 166.
Sensibilité
générale . Les voies centrales de la -, par Lon
avoir conservé la mémoire de son enseignement. Les troubles de la
sensibilité
, l'analgésie hystérique attiraient tout particu
s fort incom- plètement. Il n'y a eu aucune étude régulière de la
sensibilité
; cependant, dans ces deux cas, je n'avais point
eler mon attention plus que toute autre, celle des troubles de la
sensibilité
amenant une insensibilité à la douleur, soit qu
ue sur des sujets prédisposés une impression morale vive suspend la
sensibilité
; je fais DE l'hystérie CHEZ l'homme. 23 remar
certains actes purement mécaniques suffisent à faire disparaître la
sensibilité
pour quelques instants. Pourobserverdesaccident
mme ou simplement pour observer des troubles remar- quables de la
sensibilité
, nous devons réunir des faits exceptionnels en
trouver en présence d'indivi- dus chez lesquels les troubles de la
sensibilité
sont très fréquents, dont le système nerveux es
ces gens. La conséquence c'est que, chez eux, des troubles de la
sensibilité
(analgésie surtout) sont infiniment plus commun
te et de la musique paraît un élément important pour la perte de la
sensibilité
. Au début d'une séance, ils ne font jamais les
eu sensible. Il semblerait qu'il ne recouvre jamais complètement la
sensibilité
que ses exercices lui ont fait perdre. Ce rense
des faits singuliers et l'on donnerait la raison de troubles de la
sensibilité
qui démontrent une fois de plus les différences
er la tête d'obéir aux lois de la pesanteur. Les seuls signes de la
sensibilité
générale furent un mouvement convulsif du bras
distinction n'existait entre les diverses sensations données par la
sensibilité
tactile. D'après William Hamilton ce serait à d
mouvement. Ch. Richet y insiste fort peu dans ses Recherches sur la
sensibilité
(1877). Vul- pian (art. Moelle du Dict. encyclo
e sens musculaire. Pour certains, il proviendrait seulement de la
sensibilité
musculaire, tandis que pour d'autres les sensatio
ens musculaire, sous le nom de a sens de la force », se basa sur la
sensibilité
qui se manifeste par les différences de poids L
que nous en pouvons déduire avec le plus de certitude, c'est que la
sensibilité
qui accompagne les mouvements musculaires coïnc
a montré que dans des cas d'anesthésie cutanée, si le trouble de la
sensibilité
est borné à la peau, la sensibilité pour l'élév
ie cutanée, si le trouble de la sensibilité est borné à la peau, la
sensibilité
pour l'élévation des poids peut persister et av
te sensation de mouvement, indépendante de la peau, réside dans une
sensibilité
particulière aux muscles, ou dans LE SENS MUSCU
t une origine périphérique. 11 subdivise même le sens musculaire en
sensibilité
musculaire et cons- cience musculaire. « 11 n
énomène qui dépend plutôt de la sen- sibilité articulaire que de la
sensibilité
musculaire. La conscience musculaire peut exist
volontaire et à la cessation de cette contraction.» » Pour lui la
sensibilité
musculaire n'est qu'un phénomène de sensibilité
n.» » Pour lui la sensibilité musculaire n'est qu'un phénomène de
sensibilité
générale qui n'offre aucun titre particulier à êt
sont fournies non par les muscles 92 REVUE CRITIQUE. mais par les
sensibilités
cutanée et articulaire seulement. - Pour eux, n
» S'appuyant sur ce qui se passe chez certains hystériques dont la
sensibilité
superficielle et la sen- sibilité profonde sont
Olitenabilitt; de l'hypothèse de Schilf, consiste en ce fait que la
sensibilité
à la douleur, au tou- cher, etc., est absolumen
s) du cerveau, savoir de la région de l'hippocampe, ou centre de la
sensibilité
tactile ». Ferrier se montre opposé aux idées d
ertain degré de sensibi- lité, qu'il y apour ainsi diredes îlots de
sensibilité
dans un territoire d'anesthésie. Mais notre mal
parésie, à des paralysies partielles intéressant tel ou tel mode de
sensibilité
, occupant en général les deux côtés du corps et
troubles trophiques soit indirectement, par suite de la perte de la
sensibilité
et des réllexes. soit directement; StricUer a dém
lvaniques dans tout le plexus. Au début, retour très passager de la
sensibilité
; puis retour du- rable, mais l'anesthésie repa
la reproduction du schéma de M. Adam- kiewicz. La persistance de la
sensibilité
à l'extrémité des doigts, l'intensité de l'anes
émité des doigts, l'intensité de l'anesthésie, la disparition de la
sensibilité
dans 1 Charcot. Leçon* sur les maladies du syst
retard et diminution de la sécrétion sudorale, sans troubles de la
sensibilité
, sauf une douleur à la pression au point de Erb
, puis une sensation de brûlure, des douleurs cuisantes, une grande
sensibilité
de la plante des pieds et peut- être de toutes
réactions de dégénérescence partielle ou totale. 11 y a souvent une
sensibilité
exagérée au toucher surtout sur les points mote
ont ceux dont le délire repose exclusivement sur des troubles de la
sensibilité
génitale. Ces malades n'ar- rivent jamais à la
dit notamment que ceux dont le délire repose sur des troubles de la
sensibilité
géni- tale ne deviennent jamais mégalomanes. De
érentes particularités, d'un délire reposant sur des troubles de la
sensibilité
génitale. Eh bien, ce même aliéné nous était, d
re, ni crampes, ni dou- leurs spontanées : l'inertie est totale. La
sensibilité
ne manque jamais d'être affectée d'une façon pa
és sont simultanément touchées à des degrés variables, y compris la
sensibilité
articulaire. M. Charcot a insisté surdeux carac
iste dans la circonscription très particulière des trou- bles de la
sensibilité
et du mouvement, qui s'arrêtent brusquement, en
ontusionna fortement l'épaule. La paralysie du mou- vement et de la
sensibilité
survint cinq ou six jours après l'accident. (Vo
les principaux traits de la névrose, avant tout les troubles de la
sensibilité
géné- rale et spéciale. L'hémianesthésie sensit
neux normaux, réflexes cutanés abolis ; sens musculaire perdu. La
sensibilité
sous toutes ses formes est nulle jusqu'à un c
la zone anesthésique se termine par une manchette circulaire. La
sensibilité
gé- nérale est un peu diminuée dans tout le c
e dans tout le côté droit du corps, mais cette dimi- nution de la
sensibilité
n'est pas com- parable à l'anesthésie absolue d
t le pli de l'aine jusqu'au coccyx en arrière. Sens musculaire et
sensibilité
articulaire abolis ; le malade n'a pas la notio
aimant auprès du bras gauche. Au bout de trois quarts d'heure, la
sensibilité
est revenue partout, sauf à la partie inférieur
. 11. r. A, anesthésie totale ; - B, aneslhé- sie incomplète;- C,
sensibilité
légè- rement diminuée. DES MONOPLÉGIES PARTIE
, on obtient : pour la main droite, 22 ; pour la main gauche, 15.
Sensibilité
. La sensibilité cutanée est peu développée en g
our la main droite, 22 ; pour la main gauche, 15. Sensibilité. La
sensibilité
cutanée est peu développée en général. Ainsi, d
alade qui accuse seulement un peu de douleur. La diminu- tion de la
sensibilité
de ce côté porte sur la moitié antérieure du tr
supérieur tout entier. Le ventre et les membres inférieurs ont leur
sensibilité
normale. A gauche, la sensibilité est également
les membres inférieurs ont leur sensibilité normale. A gauche, la
sensibilité
est également émoussée sur le tronc et sur le m
quand on la pique et elle ne distingue pas le chaud du froid. La
sensibilité
profonde est abolie; le sens musculaire est per
illants sont la perte de la force musculaire, et les troubles de la
sensibilité
. La diminution des 192 PATHOLOGIE NERVEUSE.
é, bien que tous les mouvements soient en apparence conservés. La
sensibilité
présente des perturbations non moins consi- dér
y a donc, en somme, affai- blissement, mais non disparition de la
sensibilité
tactile. Par contre, la sensibilité à la douleu
t, mais non disparition de la sensibilité tactile. Par contre, la
sensibilité
à la douleur et l'appréciation de la températur
accidentellement un doigt avec de l'eau chaude sans le sentir. La
sensibilité
articulaire est également altérée. On peut croi
GIES l'ARTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 193 plus extrêmes limites. La
sensibilité
propre des surfaces arti- culaires est donc tot
on circulaire presque régu- lier. Au-dessus, les téguments ont leur
sensibilité
normale, au-dessous, l'analgésie est absolue, s
nous avons signalée comme un des principaux symptômes. Ainsi, la
sensibilité
électrique est émoussée mais la contrac- tion m
ubles de l'odorat, du goût et de l'ouïe, aucune différence entre la
sensibilité
générale du côté droit et du côté gauche de la
bles, Un mois après, je constatai l'état suivant : . 10 mai. - La
sensibilité
tactile est absolument revenue à l'état normal,
à l'état normal, l'analgésie a disparu, ainsi que la perte de la
sensibilité
articulaire ; cette dernière a été la première à
s téguments de l'avant-bras et de la main ne sont pas doués d'une
sensibilité
anormale. En résumé, le traitement moral et la
ements ont produit le meilleur effet, et malgré l'exagération de la
sensibilité
, l'état actuel du membre se rapproche presque c
ire a presque complètement disparu à son tour. Il ne reste qu'une
sensibilité
un peu insolite au niveau du court adducteur du
aire : l'anesthésie absolue, portant sur toutes les modalités de la
sensibilité
arti- culaire. Or cette dernière variété d'anes
le s'accompagne d'ordinaire de la perte du sens musculaire et de la
sensibilité
articulaire. Enfin, la conservation absolue de
ce moment, la malade s'aperçoit que la 200 PATHOLOGIE NERVEUSE.
sensibilité
est très émoussée et presque abolie dans le membr
ptôme prédominant est une anesthésie absolue à tous les modes de la
sensibilité
: contact, douleur, température, sensibi- lité
e à peine le bord spinal de l'omoplate. Dans le creux axillaire, la
sensibilité
n'est pas aussi complètement abolie que sur les
début une période de douleurs fonctionnelles, puis des troubles de
sensibilité
très' prononcés, coïncidant avecune anesthésie
ong des branches du plexus brachial. Au bout de quelques séances la
sensibilité
avait commencé à reparaître, et 'en moins de tr
sible aux excitations douloureuses et complètement analgésique : la
sensibilité
thermique pour le froid est également perdue. Cet
s les accidents se bornent comme par lé passé, à des troubles de la
sensibilité
limités à un seul membre, sans aucun désordre d
Jahrbicch. f. Psych., Vl, 1.) Le délire provient d'un excès de la
sensibilité
morale, qu'il y ait ou non lacune du jugement,
ain dans la position qu'elle avait pour exécuter ces derniers. La
sensibilité
nerveuse qui accompagne ses troubles se traduit :
emble de l'état mental, en insistant plus particuliè- rement sur la
sensibilité
morale, le jeu de l'humeur, et le dis- cernemen
e la motililé ; force égale des deux côtés; intégrité partout de la
sensibilité
tactile, thermique, douloureuse ainsi que du se
ue, douloureuse ainsi que du sens musculaire ; conservation de la
sensibilité
à la pression sur tout le cuir chevelu, le front,
uche du crâne témoigna à plusieurs reprises d'une exagération de la
sensibilité
. Cette tumeur n'occupait pas la base puisque le
endons pas payer, parce qu'elle est d'un prix inestimable, c'est la
sensibilité
, l'abné- gation, le dévouement de tous les jour
à l'approche de la ménopause. En dehors des attaques de sommeil, sa
sensibilité
, tant géné- rale que spéciale, est parfaitement
piration calmes, sans une convulsion clonique, ni un mouvement. La
sensibilité
est absolument abolie dans tous ses modes génér
se avec contractures dans le bras gauche, suivis d'altération de la
sensibilité
de ce membre, et de la moitié gauche du tronc.
he. La localisation première des troubles du mouve- ment et de la
sensibilité
, et la marché ultérieure de la maladie, permire
écrivit en 1885 un cas « d'atrophie musculaire avec des troubles de
sensibilité
étendus », limités en haut au thorax jusqu'à la
panaris, gerçures, engelures, etc., M. Morvan examina l'état de la
sensibilité
chez tous les malades qui étaient atteints d'af
e onzième cas avec troubles limités et peu caractéristiques de la
sensibilité
, a été étudié par nous au point de vue ana- tom
forcer le médecin d'étudier d'une manière plus attentive l'état de
sensibilité
du malade. Dans ces cas, des symptômes fondamen
Kojewnikoff, de rechercher d'une manière plus soignée l'état de la
sensibilité
dans les différentes affections du système nerv
ns, pour attirer l'attention des médecins, sur les troubles de la
sensibilité
mentionnés plus haut. L'analyse de de ces sympt
e la température, n'étant point accompagnée d'autres troubles de la
sensibilité
cutanée. Je disposerai mes observations de tell
e une série de troubles inconstants subjectifs dans la sphère de la
sensibilité
, dont il sera question plus bas. La moitié gauc
symptômes caractéristiques : une masse de troubles subjectifs de la
sensibilité
et une anesthésie partielle dans la sphère du t
t ainsi au-devant du verre, puis il la relève aussitôt en buvant.
Sensibilité
. Elle est conservée sur tout le corps; toutefois
différence no- table entre les deux côtés. Il en est de même de la
sensibilité
générale qui paraît plutôt un peu exagérée : «
éflexe Il la lumière et le réflexe d'accommodation sont intacts. La
sensibilité
générale est conservée dans ses différents modes;
La sensibilité générale est conservée dans ses différents modes; la
sensibilité
au chatouillement est moins exagérée que chez Der
nsibilité au chatouillement est moins exagérée que chez Derno... La
sensibilité
des muqueuses auriculaire, oculaire et nasale est
es muqueuses auriculaire, oculaire et nasale est conservée, mais la
sensibilité
de la muqueuse palatine parait très obtuse. L
ion. L'opinion publique s'était émue, les imaginations d'une grande
sensibilité
avaient bien vite accepté les histoires qui cou
ticula- rité, digne de remarque. L'examen de toutes les formes de
sensibilité
superficielle et profonde ne montre aucune alté
épileptoïde du genou. Le réflexe du tendon d'Achille est normal. La
sensibilité
aux membres inférieurs est conservée, 2 novembr
lexes du muscle triceps et périostaux sont faibles des deux côtés. La
sensibilité
est bien conservée. Les membres inférieurs cons
Le plantaire est nor- mal. Les réflexes abdominaux sont faibles. La
sensibilité
est conservée (le malade se trompe de temps en
dominaux des deux côtés sont conservés ; le gauche est plus vif. La
sensibilité
est conservée. La colonne vertébrale n'est pas
démontré dé changements ap- préciables. Constipation opiniâtre. La
sensibilité
du périnée et des organes gé- nitaux est normal
roit vif. Le malade se trompe de temps en temps quand on examine sa
sensibilité
thermique sur la jambe et le pied droit. Pend
lle des fesses. Les nerfs cruraux sont douloureux à la pression. La
sensibilité
intacte. Etat actuel. Malade d'une taille moyen
uche le grand orteil reste immobile. Signe de Lasègue, à droite. La
sensibilité
est conservée, excepté sur un petit espace dans
s ; droite, trépidation épileptoïde. Réflexe plantaire indéfini. La
sensibilité
est conservée. La malade gémit de douleurs. Ell
de Babinski à peine marqué à droite ; signe de Lasègue à droite.
Sensibilité
intacte (de temps en temps, sensations fausses da
rieurs ne présen- tent aucun trouble dans ces mouvements et dans la
sensibilité
. La force muscu- laire des jambes est normale.
notablement plus faible que du gauche, l'extension reste bonne. La
sensibilité
est intacte aux membres inférieurs. Les réllexes
u de défécation. Malgré son état grave, il n'a pas eu d'escarre. La
sensibilité
est tout fait intacte. L'abolition du réflexe a
ssifs sout normaux (pas de tonus augmenté), plutôt hypotonicité. La
sensibilité
est intacte (aux membres inférieurs aussi bien qu
sont conservés, du côté gauche, tous ces réflexes sont abolis. La
sensibilité
(tactile, douloureuse et thermique, et le sens mu
égion anale fessière et des organes génitaux. En dehors de cela, la
sensibilité
est intacte. La force musculaire du membre droi
5 66 FLATAU . des deux côtés. Trépidation épileptoïde du pied. La
sensibilité
tactile, doulou- reuse et thermique est atteint
a ligne passant à deux travers de doigt au-dessous de l'ombilic. La
sensibilité
est plus atteinte à droite qu'à gauche. Il n'y a
lic. Douleurs à la palpation des vertèbres lombaires inférieures.La
sensibilité
reste en même état. Le malade refuse de se lais
llexes tendineux exagérés. Le phénomène de Babinski bila- téral, la
sensibilité
(dans ses trois genres) est atteinte sur l'abdome
es fécales à un faible degré, escarre sacrée sur la fesse droite.
Sensibilité
: sensibilité tactile est conservée excepté sur l
n faible degré, escarre sacrée sur la fesse droite. Sensibilité :
sensibilité
tactile est conservée excepté sur les doigts de
le pied gauche (à droite les troubles seulement sur les doigts). La
sensibilité
thermique est très atteinte sur les membres infér
bre on n'a pas constaté de changements nota- bles dans son état (La
sensibilité
tactile et douloureuse s'est troublée davan- ta
troubles profonds des sphincters, avec perte des réflexes et de la
sensibilité
; dans le second, une paralysie spastique. En s
e des mains sans localisation spéciale ; la diminution des diverses
sensibilités
, très marquée au niveau de la pulpe des doigts, é
LÉPREUSES i 1 Au niveau de la partie inférieure des avant-bras, la
sensibilité
était nor- male. Le malade ne se plaignait d'au
les extenseurs et ce signe, joint à la présence des troubles de la
sensibilité
des extrémités, aurait au besoin évité une erre
de la névrile interstitielle de Dejerine et Buttas. Intégrité de la
sensibilité
objective. Intégrité des sphincters. Marguerite
ale est tout à fait identique chez les trois soeurs. L'examen de la
sensibilité
dans le domaine de la Ve paire paraît normale.
nt des altérations évidentes dans leur état trophique. Examen de la
sensibilité
. Nous avons examiné l'état de la sensibilité su
rophique. Examen de la sensibilité. Nous avons examiné l'état de la
sensibilité
superficielle et profonde chez Marguerite sans
uerite et qu'il n'existe aucun degré d'anesthésie thermique. - La
sensibilité
à la douleur paraît encore bien conservée. Pour c
à la douleur paraît encore bien conservée. Pour ce qui a trait à la
sensibilité
tactile, il semble qu'elle est émoussée aux pieds
à la minute), la respiration est normale (lu-15 à la minute). La
sensibilité
subjective n'a jamais paru altérée. Examen des
Aucune trace d'hyper- trophie des troncs nerveux. Intégrité de la
sensibilité
objective et subjective. Intégrité des sphincte
es peauciers du visage et du cou semblent bien un peu relâchés ; la
sensibilité
dans le territoire du trijumeau paraît normale.
sition qui rappelle celle de la maladie de Little. L'examen'de.la
sensibilité
chez Aurélie n'a relevé aucune altération bien
en nette. Il n'existe aucun signe de thermo-anesthésie ; de même la
sensibilité
à la douleur parait encore bien conservée ; il
la douleur parait encore bien conservée ; il semble toutefois que la
sensibilité
tactile soit émoussée aux extrémités. 1 L'act
en jarretière. Type amyotrophique Charcot- Marie. Intégrité de la
sensibilité
. -Intégrité des sphincters. Elisabeth, 11 ans.
s fort. La mastication est parfaitement conservée. L'examen de la
sensibilité
dans le domaine de la Ve paire n'a rien décélé d'
omoteurs que nous avons relevé chez les deux autres. Examen de la
sensibilité
. L'examen de la sensibilité cutanée et du sens
levé chez les deux autres. Examen de la sensibilité. L'examen de la
sensibilité
cutanée et du sens musculaire chez Elisabeth es
vons pu relever l'existence d'aucune altération, partout l'état des
sensibilités
superficielles et profondes nous a paru absolumen
lités superficielles et profondes nous a paru absolument normal. La
sensibilité
subjective aussi n'est pas troublée. Elisabeth ne
sition des troubles vasomoteurs, au caractère des altérations de la
sensibilité
aux extrémités et à la présence des durillons sur
llaires, des troubles des réactions électriques, des troubles de la
sensibilité
objective à la périphérie des membres et enfin, f
einte des voies cérébelleuses. Dans l'amyotrophie Charcot-Marie, la
sensibilité
objective n'est jamais profondément troublée. E
ades, en effet, il existait seule- ment une simple diminution de la
sensibilité
tactile des extrémités. Nous n'avons pu relever
ctile des extrémités. Nous n'avons pu relever aucune altération des
sensibilités
subjectives. On a écrit souvent que dans la for
physique, on relève les symptômes suivants. Les divers modes de la
sensibilité
superficielle sont conservés. Les sensibilités pr
es divers modes de la sensibilité superficielle sont conservés. Les
sensibilités
profondes sont intactes. Pas de troubles de l'o
parésie du bras droit et de la jamhe droite. Pas de troubles de la
sensibilité
objective. Les troubles de la parole sont les m
douleurs dans tout le membre supérieur droit. Pas de troubles de la
sensibilité
objective. 9. La main droite est violacée ; tou
ui. Au point de vue physique on constate les troubles suivants : la
sensibilité
tactile et douloureuse est intacte au niveau de
s'atrophia ; puis l'atrophie porta sur tout le membre supérieur. La
sensibilité
était légère- ment diminuée dans la moitié droi
laires étaient vifs, les achilléens abolis, les plantaires normaux.
Sensibilité
troublée sur les jambes. La paralysie des membr
rd supérieur des omo- plates (les membres supérieurs y compris). La
sensibilité
thermique etdoulou- reuse est abolie dans les m
s et sur l'abdomen jusqu'aux côtes inférieures. Dans ces régions la
sensibilité
douloureuse a dis- paru ; depuis les dernières
ces intercostaux elle est affaiblie. Dans les membres supérieurs la
sensibilité
tactile et douloureuse est affaiblie. Au membre
it Babinski ? ). Ré- tention de l'urine et des matières fécales. La
sensibilité
est abolie aux membres inférieurs et à l'abdome
nerfs crâniens fonctionnent normalement. La force musculaire et la
sensibilité
sont intactes dans tous les membres. Les réflex
; douloureux : dans les segments distaux des membres inférieurs la
sensibilité
douloureuse est affaiblie, sur le pied droit el
lexe du muscle triceps vif bilaté- ralement ; périostal aboli. La
sensibilité
douloureuse est affaiblie sur la moitié gauche du
ents sont possibles mais limités et faibles, surtout du côté droit.
Sensibilité
intacte. Réflexes patellaires vifs ; achilléens m
côtés (à gau- che il s'épuise vite). Réflexes abdominaux abolis. La
sensibilité
est conservée à la face. Au cou du côté gauche
mps que s'affaiblissaient les mouvements des membres supérieurs. La
sensibilité
A cette époque était intacle. Quelques semaines
ysie flasque presque complète des membres inférieurs et supérieurs.
Sensibilité
troublée. La malade est morte un an à peu près
contractures, certains mouvements anormaux, quelques troubles de la
sensibilité
. Ce démembrement de l'hystérie n'a pas été l'oe
le sommeil, soit naturel, soit anesthésique. 4° Les troubles de la
sensibilité
. En dehors de ces hyperesthésies ac- compagnant
ce soit. La peau est souple, d'épaisseur et de couleur normales. La
sensibilité
n'est pas inférieure à celle du reste du corps.
droite (l'enfaut est gaucher) avec une cer- taine diminution de la
sensibilité
du même côté. L'état somatique longuement décri
un trau- matisme du côté droit du crâne et en gardé, dit-elle, une
sensibilité
spéciale en ce point. Pendant son adolescence o
NCHI NI ET MAURO ZANAS1 Partout sont normales toutes les espèces de
sensibilité
. Examens particuliers. Examen des urines et du
ofonds normaux. Rien de remarquable du côté des diverses espèces de
sensibilité
dans toutes les parties du corps. Marche à pe
e peu grossies. Rien de remarquable du côté des diverses espèces de
sensibilité
. Examens particuliers. Examens des urines et du
de veines variqueuses. Système nerveux : Aucun trouble objectif de
sensibilité
; les nerfs super- ficiels n'apparaissent pas a
la troi- sième branche du trijumeau de gauche pour toutes sortes de
sensibilités
, des troubles de la parole, confusion, voix fai
légère extension du gros orteil et la flexion des autres doigts.
Sensibilité
. Hémi-hypoesthésie tactile gauche,douloureuse et
affaiblissement. Le pied est immobile. La marche est impossible. La
sensibilité
est affaiblie depuis la partie inférieure de l'ab
en et sur les membres inférieurs qu'au-dessus de cette limite. La
sensibilité
douloureuse y est affaiblie également. Les piqûre
stérieure des membres inférieurs). Même chose en ce qui concerne la
sensibilité
thermique. Les réflexes patellaires sont très v
ements passifs des genoux, la tonicité musculaire est augmentée. La
sensibilité
tactile est conservée sur l'abdomen et les jambes
a sensibilité tactile est conservée sur l'abdomen et les jambes. La
sensibilité
douloureuse est très affaiblie aux membres inféri
exagéré. Extensions involontaires des jambes. Affaiblissement de la
sensibilité
jusqu'à la ligne passant à un ou deux travers de
n ; le fond de l'oeil est normal ; la vue est bonne. L'examen de la
sensibilité
à la face et sur la tête ne démontre pas de mod
eurs. La malade peut exécuter tous les mouvements avec facilité. La
sensibilité
tactile, douloureuse, thermique, musculaire et
is ; à droite, ne sont pas ressentis du tout, excepté au pied où la
sensibilité
est affaiblie (ces troubles envahissent les mem
, dans toute son étendue,surtout dans la partie dorsale moyenne. La
sensibilité
au toucher et à la douleur est conservée dans l
mbres, mais la douleur est un peu affaiblie sur la jambe gauche. La
sensibilité
thermique est affai- blie sur le membre inférie
érature 38°3. Les membres inférieurs sont complètement flasques. La
sensibilité
tactile (thermique, douloureuse, musculaire) est
rature estélevée.OEdème des membres inférieurs. Paraplégie flasque.
Sensibilité
(tous ses genres) abo- lie jusqu'à l'épigastre.
bre inférieur gauche et de l'affaiblis- sement notable du droit. La
sensibilité
du membre inférieur gauche était 326 C) FLATAU
côté de la vessie et du rectum. Immédiatement avant l'opération la
sensibilité
s'est rétablie aux deux membres inférieurs, ell
accentuée du côté opposé à la tumeur. L'étrange res- titution de la
sensibilité
se laisse aussi expliquer par une diminution pas-
assez superficielles). Les mem- bres sont cyanosés et froids. La
sensibilité
(tactile, douloureuse et thermique) est abolie au
tion épileptoïde de la rotule et du pied. Phénomène de Babinski. La
sensibilité
comme auparavant (on a constaté encore que la mal
exes tendineux exa- gérés, phénomène de Bahinski. L'abolition de la
sensibilité
aux membres inférieurs et sur l'abdomen atteint
Incontinence de l'urine (la nuit). Les douleurs sont les mêmes. La
sensibilité
tactile est assez bien conservée. Analgésie compl
sont également affaiblis (à cause des douleurs comme elle dit). La
sensibilité
est intacte. Les' réflexes du muscle triceps so
patellaires et achilléens sont très vifs. Le plantaire, vif, normal.
Sensibilité
, conservée. Pas d'ataxie. La pression sur les t
erçoit que les deux membres sont faibles surtout celui à gauche. La
sensibilité
est normale. L'avant-bras et le bras gauche sont
de la colonne vertébrale dans la partie dorsale est douloureuse. La
sensibilité
est intacte. Les réflexes patellaires exagérés
nférieur gauche, la malade souvent ne reconnaît pas les piqûres. La
sensibilité
, excepté eu cela, est normale. Le ventre est tr
hanche droite étaient presque impossibles à exécuter (douleurs). La
sensibilité
du corps n'était pas troublée (ce n'est que la
s cliniques. 60 ans, hémiplégie droite complète avec troubles de la
sensibilité
et psychiques. Durée de la maladie, 15 jours. '
s, hémiplégie droite complète avec aphasie totale et troubles de la
sensibilité
. Examen macroscopique. Foyer hémorragique récen
. Notes cliniques. - 7 ans, hémiplégie gauche avec trou- bles de la
sensibilité
. Durée de la maladie, 1 an. ' Examen macroscopi
tus suivi d'hémiplégie gauche complète avec troubles intenses de la
sensibilité
. Examen macroscopique. Dans l'hémisphère gauche
tes cliniques. 62 ans, paraplégie spasmodique avec trou- bles de la
sensibilité
et incontinence d'urine. Il peut marcher étant so
ui, émis au niveau du bord inférieur du grand fessier, apportent la
sensibilité
à la peau de la partie inférieure de la fesse. Le
ligne axillaire antérieure, envoie son rameau postérieur donner la
sensibilité
à la partie postéro- interne du bras (Morel), e
rgence, vu l'impossibilité d'accomplir l'exa- men. L'examen de la
sensibilité
révèle la présence de zones d'hypoesthésie et d'h
aire) et de la 3e, 4e et 5° vertèbre sacrale (région parianale). La
sensibilité
thermique, barique et paresthésique est partout b
xie statiqueet dynamique des membres inférieurs, les troubles de la
sensibilité
à type principale- ment radiculaire, le symptôm
E LA COLONNE VERTÉBRALE 421 myélie, l'existence des troubles .de la
sensibilité
tactile et dolorifique à type radiculaire et no
des doigts et des mains sont un peu maladroits. Aucun trouble de la
sensibilité
tactile, ni anestbésie, ni hypoesthésie. La sensi
trouble de la sensibilité tactile, ni anestbésie, ni hypoesthésie. La
sensibilité
à la température est normale. Il n'existe nulle
pileptoïde des deux pieds et phénomène de Babinski. Abolition de la
sensibilité
tactile sur le membre inférieur gauche et sur le
ieur gauche et sur le tronc jusqu'au IIfe espace intercostal, de la
sensibilité
douloureuse et thermique dans les mêmes régions
affaiblis. Rétention de l'urine. Incontinence des matières fécales.
Sensibilité
douloureuse des vertèbres cervicales inférieures
sal) (fig. 31). Le jour suivant on constate l'affaiblissement de la
sensibilité
(l'hypoesthé- sie) du Se doigt de la main gauch
gauche et du bord cubital de l'avant-bras. Par contre réapparut la
sensibilité
du pied et de la jambe gauche et du pied droit.
ents, de même que le genou droit et le pied gauche. La limite de la
sensibilité
est descendue en même temps jusqu'au bord infér
articulations prennent plus d'amplitude. Peu à peu réap- paraît la
sensibilité
(du côté droit dans le sens descendant). Le plus
e l'articulation du cou-de-pied et des or- teils des deux pieds. La
sensibilité
, assez vite revenue à la normale du côté gauche
itislii bilatéral. Rétention de l'urine et des matières fécales. La
sensibilité
est notablement troublée depuis la ligne passan
blée depuis la ligne passant au-dessus des mamelons vers le bas. La
sensibilité
tactile était émoussée dans cette région d'une
gion d'une façon moins prononcée sur la jambe et le pied gauche. La
sensibilité
douloureuse est affaiblie dans les mêmes régions
s IlI°,IVe jusqu'aux XIe, ELLE segments dorsaux. Les troubles de la
sensibilité
douloureuse sont moins pro- noncés dans le memb
loureuse sont moins pro- noncés dans le membre inférieur gauche. La
sensibilité
thermique est atteinte dans les mêmes régions q
atéralement ; crémastériens, conservés ; plan- taires, abolis. La
sensibilité
est abolie sur les membres inférieurs et sur le t
sant les bords supérieurs des omoplates. Aux membres supérieurs, la
sensibilité
tactile est conservée. Les troubles de la sensi
upérieurs, la sensibilité tactile est conservée. Les troubles de la
sensibilité
douloureuse arrivent en arrière jusqu'à la nuque
orte également sur le membre gauche supé- rieur. Les troubles de la
sensibilité
thermique s'élèvent encore plus haut (sur le co
restait sèche. La jambe gauche s'affaiblissait de plus en plus. La
sensibilité
commençait à se troubler depuis les mamelons en
e quelqu'un et s'appuyant sur une canne, pouvait encore marcher. La
sensibilité
était profondément troublée sur le tronc depuis
s cette zone est séparée de l'anesthésie médullaire par une zone de
sensibilité
all'aiblie (Heilbronner). Parmi les symptômes r
souvent on peut obser- ver un autre type : un affaiblissement de la
sensibilité
aussi bien que de la motilité dans les deux mem
nt alors en un affaiblissement ou abolition de tous les modes de la
sensibilité
y compris le sens musculaire (au- dessus de la
ues cas rares on a constaté des trou- bles de la dissociation de la
sensibilité
, rappelant ceux de la syringomyélie (Devic-Tolo
t dans les stades avancés.de la maladie (pour tous les genres de la
sensibilité
), l'absence de phénomènes moteurs irritatifs, l
ce des anesthésies qui peuvent réaliser le type de dissociation des
sensibilités
, l'irritation des cellules motrices (secousses fi
tade névralgique, des douleurs des vertèbres, la dissociation de la
sensibilité
. Malaisé attire encore l'attention sur ce fait
cas assez souvent dans les stades avancés des tumeurs méningées. La
sensibilité
est le plus souvent affaiblie; cet affaiblissem
lité est le plus souvent affaiblie; cet affaiblissement concerne la
sensibilité
douloureuse et thermique, beaucoup moins la tac
les troubles sensitifs du type segmentaire avec dissociation de la
sensibilité
, les atrophies musculaires et la paralysie flasqu
eut fournir d'indications précises sur la façon dont se comporte la
sensibilité
, à cause des conditions mentales du malade. Mic
dont t j'ai publié dans ce journal l'observation. 1 Examen de la
sensibilité
. - Rien subjectivement. L'examen objectif montr
n subjectivement. L'examen objectif montre que toutes les formes de
sensibilité
, superficielles et profondes, sont intactes.
se fait normalement en flexion comme chez l'adulte. Examen de la
sensibilité
. - Rien subjectivement. Tout est normal à l'exa
té. - Rien subjectivement. Tout est normal à l'examen objectif ; la
sensibilité
à toute forme de stimulation est partaite et pr
ait normalement en flexion. La démarche est parfaitement normale.
Sensibilité
. Rien subjectivement. L'examen objectif montre qu
n subjectivement. L'examen objectif montre que toutes les formes de
sensibilité
superficielle et profonde sont normales. Examen
e impotence complète et restait confinée au lit. Les troubles de la
sensibilité
profonde étaient ex- trêmement accusés. Aboliti
rvation, le second jour après l'opération la ma- lade a recouvré la
sensibilité
du pied et de la jambe gauches et du pied droit.
ès l'opé- ration, une amélioration (l'urine s'évacuait normalement,
sensibilité
tac- tile et douloureuse des jambes normales, r
a diadococinésie pour la main droite et pour la main gau- che. La
sensibilité
était intacte et les pupilles ne présentaient rie
amation furfuracée. Pas d'hypertrophie sen- sible des ganglions. La
sensibilité
générale semble légèrement obtuse, ce qui tient
marche plus légère et plus rapide. La taille se déve- loppe ; la
sensibilité
au froid diminue. Au point de vue intellectuel,
n, pas de réaction de dégénérescence, réflexe patellaires atténués,
sensibilité
conservée, intelligence relative, pas de cause
.) Observation de myélite transverse mais avec conservation de la
sensibilité
tactile contrastant avec l'analgésie et l'anesthé
exes tendineux et, en partie, des réflexes cutanés, intégrité de la
sensibilité
et des sphincters. L'atrophie de la substance m
névrite optique). L'état mental commençait à s'altérer ainsi que la
sensibilité
à droite, sauf pour la face. Pas d'antécédents
econde dentition a été retardée, elle ne tarde pas à apparaître. La
sensibilité
cutanée se rétablit, et la 62 REVUE DE THÉRAPEU
ie jacksonnienne, de para- lysie du bras gauche avec troubles de la
sensibilité
, de céphalalgie et de névrite optique. L'analys
és. La douleur, l'hyperalgésie du bras ont à peu près disparu. La
sensibilité
au loucher est presque normale, quoique peut-être
fait un phénomène inverse. La malade éprouverait des troubles de la
sensibilité
générale déterminant des mouvements, provoquant
elle d'engourdissement et des fourmille- ments très fréquents. La
sensibilité
, ou plutôt la faculté de percevoir les sensations
, ou encore que son bras était pressé par de lourds paquets : or la
sensibilité
tactile était diminuée à la main et au bras gau
sensibilité tactile était diminuée à la main et au bras gauche, la
sensibilité
au froid y était au contraire augmentée, et dan
donne lieu dans les cas de ce genre à des troubles subjectifs de la
sensibilité
, à de fausses sensations rapportées à la périph
ents, des engourdissements, en un mot des troubles subjectifs de la
sensibilité
, c'est-à-dire la matière première que le cervea
millements, à des engour- dissements, s'il s'agit des centres dc la
sensibilité
visuelle, auditive ou tactile; mais jamais le c
ens esthétique chez l'enfant. Au point de vue de l'oreille et de la
sensibilité
à la musique, les idiots ne pa- raissent pas êt
catalepsie et l'exécution monotone de mouvements automati- ques. La
sensibilité
générale paraît au moins obtuse. Les troubles t
roits et l'extension de la main gauche est presque impossible. La
sensibilité
générale des membres supérieurs est conservée,
be et de la cuisse sont douloureux à la pression des deux côtés. La
sensibilité
tactile, est amoindrie sur les pieds plus que d
res, de phénomènes douloureux sur le trajet des troncs nerveux avec
sensibilité
à la pression, d'un certain degré d'atrophie av
réflexe du genou, avec paralysie flasque, atrophie, et perte de la
sensibilité
faradiqne du muscle, en l'absence de tout sympt
le. Il est commun de rencontrer dans cette forme de traumatisme une
sensibilité
anormale aux impres- sions extérieures, qui sur
s- copique. L'hémisection produit une diminution bilatérale de la
sensibilité
des régions sous-jacentes; mais cette perturbat
trois malades chez lesquels les opératious intel- ·le,e,tuelles, la
sensibilité
dans tous les modes, la mobilité ne s'exer- Ç â
ant ces périodes de défaillance, on constatait une diminution de la
sensibilité
dans tous les modes, une parésie avec ataxie de
sous le nom de phénomènes de fatigue. Pendant les défaillances, la
sensibilité
tactile, la sensi- bilité à la douleur, à la ch
d'excita- liou. 1884. Même état. Hallucinations de la vue, de la
sensibilité
gé- nérale. 1885. Quelques manifestations még
it une calvitie complète. Pas de troubles de la motricité, ni de la
sensibilité
cutanée. Un matin, B... parait éprouver des sen
té ni incoordination des mouvements, ni vertiges, ni troubles de la
sensibilité
générale. Mais, après avoir présenté de l'excit
igastrique superficielle est volumineuse et saillante; les diverses
sensibilités
sont normales. Pas de liseré gingival. Il paraî
si bien que la luette qui était allongée et légèrement épaissie. La
sensibilité
géné- rale et le goût étaient conservés. La dég
perdu, le globe oculaire ayant été absolument détruit. A droite la
sensibilité
à la lumière solaire avait persisté, mais à un
plus des symptômes cardiuaux, on rencontre 45 fois la douleur ou la
sensibilité
de la région occipitale : ce signe est douteux
exagérés dans 12, diminués ou absents dans 12. Les troubles de la
sensibilité
générale n'ont été que trop rare- ment notés po
ue, les vertiges, l'ataxie, l'asthénie musculaire, la douleur et la
sensibilité
de la région occipitale, la tendance de la démarc
pupille (myosis, mydriase, pupille d'Argyll-Hobertson, perte de la
sensibilité
réflexe à la lumière et il l'accommodation); 3°
de l'ataxie de la marche. P. Iil : nnvaL. LVII. Des troubles DE la
sensibilité
ET DE LEURS localisations dans LE tabès DOnSALI
venk1'al1kheiten, t. XXVII, 1. 3, 1893.) ' Parmi les troubles de la
sensibilité
, l'hypesthésie du tronc appa- raît de bonne heu
ndant longtemps elle se manifeste au tronc par une diminution de la
sensibilité
aux frôlements, tandis qu'aux membres supérieur
nsibilité aux frôlements, tandis qu'aux membres supérieurs c'est la
sensibilité
à la douleur et la notion de position qui dimin
e et lombaire. Ces régions présentent souvent des plaques isolées à
sensibilité
normale. Cette anesthésie tactile ne suit pas l
des crises choréiformes, athétoides, réflexes, avec troubles de la
sensibilité
, qui sont de l'amyotaxie, de l'hyperkinésie réf
ises gastriques, troubles génito-urinaires, troubles de l'ouïe, in-
sensibilité
à la pression du nerf cubital, sensation de coton
u nerf cubital, sensation de coton à la plante du pied, troubles de
sensibilité
douloureuse et thermique, signe de Romberg. Abs
htalmoplégie droite, et surtout anesthésie complète pour toutes les
sensibilités
à gauche. L'autopsie montre à droite une tumeur
mécanique des muscles du membre supérieur gauche. Diminution de la
sensibilité
cutanée douloureuse et thermique sur toute la m
douloureuse et thermique sur toute la moitié gauche du corps; la
sensibilité
au contact est conservée par places. Au membre su
membre supé- rieur gauche, il y a abolition presque complète de la
sensibilité
douloureuse et thermique et affaiblissement de
de la sensibilité douloureuse et thermique et affaiblissement de la
sensibilité
tac- tile depuis les insertions du deltoïde jus
t jusqu'à l'extrémité des doigt=, perte complète des trois modes de
sensibilité
. OEdème cutané prononcé et changement de colora
hallucinations de l'ouïe auxquelles peuvent s'ajouter celles de la
sensibilité
générale. A la période d'état le délire se systém
es hallucinalionsdes sens sont rares chez ces malades, celles de la
sensibilité
générale le sont moins, et assez souvent, à une
ordinaires présentent la réaction normale. En ce qui concerne la
sensibilité
culanée, ses résultats concordent avec ceux de Ko
le superficiels, extrêmement vifs et rapides. A l'état ordinaire la
sensibilité
à la douleur est exagérée sur toute la plaque,
sensibilité à la douleur est exagérée sur toute la plaque, mais la
sensibilité
tactile est émoussée : quand on frôle la plaque
he, volume plus grand de la moitié gauche de la langue, troubles de
sensibilité
dans le domaine delà première et de la deuxième
e branche du trijumeau gauche. Les troubles du sens thermique et la
sensibilité
à la douleur étaient très marqués ; la sensibil
thermique et la sensibilité à la douleur étaient très marqués ; la
sensibilité
électrique, le sens de la loca- lisation et de
bsence des réflexes cornéen et conjonctival gauches, troubles de la
sensibilité
à la douleur et du sens thermique dans la moitié
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 375 réflexes cutanés et de la
sensibilité
(observation). Cet épuisement du réflexe tendin
verait aussi dans la tétanie. C. - Chez les paraplégiques complets (
sensibilité
et motricité) par affection de la moelle, une l
e la radiation du calorique par la peau. 7° Légère diminution de la
sensibilité
tactile et doulou- reuse ; quand il y a, avant
t doulou- reuse ; quand il y a, avant l'expérience, asymétrie de la
sensibilité
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
sthésie du trijumeau gauche ; affaiblisse- ment et diminution de la
sensibilité
dans les membres du côté droit, c'est-à-dire pa
udé la fonction vaso-motrice croisée. P. K. LUI. LE TROUBLE DE la
sensibilité
de BERNHARDT au niveau DE la cuisse; par S. LRE
; il peut survenir de la rigidité musculaire; pas de troubles de la
sensibilité
ni de troubles sphinc- tériens. Ce complexus
tions constantes, dont les degrés seuls varient, attestant ainsi la
sensibilité
prévue de cette région et imputables à des affe
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 soit la nature de l'action nerveuse. Les
sensibilités
diverses n'ont pas de conducteurs spéciaux, et
W. 'I'URNER. (train, été et automne 1895.) Cette lésion trouble la
sensibilité
dans le domaine du trijumeau d'un côté et sur t
omplète du trijumeau ; sur le corps et les membres, abolition de la
sensibilité
tactile et de ses localisations, perte de la se
tion de la sensibilité tactile et de ses localisations, perte de la
sensibilité
à la tempéra- ture ; intégrité de la douleur. D
i, localisation exacte des impressions tactiles, conservation de la
sensibilité
thermique ; analgésie complète. Donc au point d
. Chez cet individu, prédisposé par une altération profonde de la
sensibilité
morale et affective, un. fait insignifiant en lui
int de vue anatomique permet- taient de considérer les fibres de la
sensibilité
dans leur trajet compris entre la cellule du ga
is les neurones LES NEURONES. 427 d'association, de mouvement, de
sensibilité
, etc. D'ailleurs, au point de vue physiologique
traverse le système nerveux en donnant lieu aux phéno- mènes de la
sensibilité
, du mouvement, de la pensée, est tou- jours la
t tou- jours la même, mais seulement transformée, par exemple, de
sensibilité
en mouvement. Les expériences des physiologistes
moteur était apte à conduire vers les centres les impressions de la
sensibilité
, du moment où il est mis en rapport avec un org
eux dans l'étude bien plus compliquée du système des neurones de la
sensibilité
. B. Pathologie des neurones du système de la se
ones de la sensibilité. B. Pathologie des neurones du système de la
sensibilité
. (Les tabès.) Les neurones qui s'échelonnent po
n faut pour le moins trois ou quatre pour parcourir la chaîne de la
sensibilité
. Les neurones de la chaîne sensitive sont aussi
ssortiront de ce qui va être dit sur ce sujet. La téléneurone de la
sensibilité
est un neurone géant. Ses racines se distribuen
ouveau neurone dans le cerveau, etc. , La chaîne des neurones de la
sensibilité
présente donc une série assez longue de neurone
égénéres- cence combinée dans les neurones spinaux et non pour la
sensibilité
dans les téléneurones ni pour la voie motrice dan
on a toutes les lésions qui ont été décrites dans le neurone de la
sensibilité
et de la motilité et en particulier la dégénére
n postérieure hémiplégie droite-- paraplégie ; - dissociation de la
sensibilité
, etc. - Luxation du 1'adius droit. - Ankylose d
ôté de la racine de la verge. Rien à l'anus. Le corps est glabre.
Sensibilité
spéciale. La vue, l'ouïe, le goût, l'odorat sont
goût, l'odorat sont con- servés et au même degré des deux côtés.
Sensibilité
géizéi ale. a) Sensibilité au contact. Les yeux f
servés et au même degré des deux côtés. Sensibilité géizéi ale. a)
Sensibilité
au contact. Les yeux fermés, le malade reconnaî
s le contact de gros objets appuyés avec pression sur sa main. b)
Sensibilité
à la douleur. 1° Côté gauche : anesthésie en gant
la main les mêmes régions sauf que l'éminence thénar a conservé la
sensibilité
. Sur l'avant- 1152 RECUEIL DE FAITS. bras et
sibilité. Sur l'avant- 1152 RECUEIL DE FAITS. bras et le bras, la
sensibilité
à la piqûre est normale et le malade distingue
ent la pointe de deux épingles à 5 millimètres d'écartement. - c)
Sensibilité
thermique. Thermo-anesthésie de la main gauche
algésie très marquée et thermo-anes- thésie avec conservation de la
sensibilité
tactile. Dans les mêmes régions, ci gauche, les
tile. Dans les mêmes régions, ci gauche, les différents modes de la
sensibilité
sont conservés '. La physionomie dénote un ce
lles. Février. Embarras gastrique bilieux. Un nouvel examen de la
sensibilité
donne les résultats suivants : anesthésie totale
rçoit ni la chaleur, ni le froid, ni la douleur [dissociation de la
sensibilité
). Pas de troubles de la sensibilité sur le tronc
la douleur [dissociation de la sensibilité). Pas de troubles de la
sensibilité
sur le tronc et les membres inférieurs. Avril
train posté- rieur en avant, le pied gauche frottant sur le sol.
Sensibilité
spéciale, normale et égale des deux côtés. L'exam
le D1' KOENiG, n'a décelé aucune lésion. - Il en est de même de la
sensibilité
des muqueuses. Sensibilité générale. Elle est c
aucune lésion. - Il en est de même de la sensibilité des muqueuses.
Sensibilité
générale. Elle est conservée sur la face, au cou,
En ce qui concerne les membres supérieurs, les divers modes de la
sensibilité
sont conservés des deux côtés de l'épaule jusqu'a
appartenir à la maladie de Morvan. Tout d'abord, les troubles de la
sensibilité
sont ana- logues à ceux qu'a décrits cet auteur
zone d'environ cinq centimètres de hauteur au niveau de laquelle la
sensibilité
à la douleur persiste, alors que la sensibilité
veau de laquelle la sensibilité à la douleur persiste, alors que la
sensibilité
tactile, au froid, à la chaleur est abolie. Nou
leur est abolie. Nous devons faire remarquer que les troubles de la
sensibilité
semblent quelquefois varier. C'est ainsi qu'en
'en février 1890 nous avons noté une dissociation par- tielle de la
sensibilité
. Ce ne serait pas là une exception. «Aujourd'hu
aits nombreux que dans la maladie de Morvan la dissociation de la
sensibilité
peut parfaitement exister. » (Loc. cit., p. 194.)
Du cas précédent par le Dr Régnier. Pour mesurerla diminution delà
sensibilité
, comme nous n'avions pas à notre disposition de
rsiens. existe de chaque côté'du genou une zone de diminution de la
sensibilité
= 1 divi- sion 1/2 de la largeur d'une pièce de
de la largeur d'une pièce de cinq francs. Jambe. - Diminution de la
sensibilité
= 1 division 1/2 dans la moitié inférieure de l
e bord interne diminution = 1/2 division. Jambe. Diminution de la
sensibilité
= 1 division dans toute la moitié inférieure. I
moitié inférieure. Il y a également deux zones de diminution de la
sensibilité
= 1 division 1/2 sur la face interne et la face e
ndue égale à la largeur d'une pièce de cinq francs. A la cuisse, la
sensibilité
est normale. B. Cont1'actilité. Exploration far
résumé, l'examen électrique démontre que tant au point de vue de la
sensibilité
que de la contractilité, les signes sont plus pro
à droite qu'à gauche aux deux membres. Sur le tronc et la face, la
sensibilité
et la contractilité n'ont pas subi de modifi- c
PATHOLOGIQUES. LXXV. NOUVEL appareil POUR apprécier LE DEGRÉ DE la
SENSIBILITÉ
DOULOUREUSE DE LA PEAU, OU ALGI;SIOMi·,TRE pal'
ions divisionnaires faciles à lire. On obtient ainsi une échelle de
sensibilité
. Un connaît, en effet, exactement le moment où
l'une à l'autre.-Les muqueuses sont moins sensibles que la peau. La
sensibilité
atteint son acmé à la face dorsale des articulati
oindre des sus et sous- épineux et sous-scapulaire, paralysie de la
sensibilité
dans le terri- toire des nerfs axillaires, musc
e. Mais, chez la femme, ni la conservation, ni la suppression de la
sensibilité
à la douleur du tronc ulnaire ne peuvent servir
ic le plus délicat. Le syndrome syringomyélique (dissociation de la
sensibilité
) existe dans la maladie de Morvan, mais y est p
ement du champ visuel dans le - scintillement, par Berger, 385.
Sensibilité
. Troubles de la de Bernhardl à la cuisse, pat F
TABLE DES MATIÈRES. 505 sucré, par Grube, 58. Des troubles de la
sensibilité
et de leur locali- sation dans le -, par Loehr,
dure peu. Pas de phénomènes vasomoteurs appréciables à la face. Le
sensibilités
générale et spéciale sont physiologiques. Les s
ligemment à toutes les questions et ne présente aucun trouble de la
sensibilité
ni de la motilité. Tout ici indiquait une. lési
paralysie radiculaire par arrachement, compliquée d'hémalomyélie.
Sensibilité
osseuse décelée par le diapason. M. EGGER prése
teinte de paraplégie spasmo- dique et qui a perdu toutes les autres
sensibilités
, a conservé sa sensibilité osseuse au diapason
dique et qui a perdu toutes les autres sensibilités, a conservé sa
sensibilité
osseuse au diapason (ce qui expliquerait la non-f
dité de sa paralysie). Il y a donc dissociation possible des autres
sensibilités
et de la sensibilité osseuse. M. Dufour. En eff
Il y a donc dissociation possible des autres sensibilités et de la
sensibilité
osseuse. M. Dufour. En effet, la cocaïne qui an
e grise centro-postérieur : dissociation, dite syringomyétique, des
sensibilités
(et troubles vasomoteurs) ; 70 le syndrome asso
s. Extrait de la Revue Neurologique. Allird (F.). -Conlraclilité et
sensibilité
électriques pendant l'anal- gésie chirurgicale
à droite. Les réflexes cutanés sont nettement diminués à droite. La
sensibilité
est légèrement émoussée à droite. En résumé, il
r relèvement des orteils Il n'y a pas de troubles apparents de la
sensibilité
. L'enfant voit bien, elle entend bien. Elle ne
e modifications des réflexes patellaires. Pas de clonus du pied. La
sensibilité
est conservée intégralement. Examen des yeux. =
agit d'un dynamomètre pour adultes). Il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
. Les réflexes patellaires sont normaux. Il n'y
e la tête, du corps ou des mains, il n'existe pas de troubles de la
sensibilité
. D'après le dire de la mère, l'enfant aurait de
de clonus caractérisée par 2 ou 3 ressauts. Pas de troubles de la
sensibilité
. Le nystagmus remonte à la naissance. Le sujet n'
s patellaires sont normaux. Il ne parait pas exister de troubles de
sensibilité
. D'après le père, le tremblement des yeux aurai
al au coeur ni aux poumons. Il n'a pas de polymicro adénopathie. La
sensibilité
est normale. Les réflexes patellaires sont norm
pas de rire ni de pleurs spasmodiques. Il n'a pas de troubles de la
sensibilité
. Il n'y a pas de tremblement intentionnel des m
nes géni- taux sont bien développés. Il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
à la piqûre et de la sensibilité thermique. On
és. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité à la piqûre et de la
sensibilité
thermique. On ne constate pas de tremblement de
s, le repos prolongé, etc. XVIII. Analyse des mouvements et de la
sensibilité
dans l'anes- thésie par l'éther; par JorEyKo et
ment des hémi- sphères cérébraux par les vapeurs anesthésiques ; la
sensibilité
disparaît avant la motilité, le réveil de la mo
aît avant la motilité, le réveil de la motilité précède celui de la
sensibilité
. On sait d'autre part que chez les parturientes
ns porter atteinte aux mouvements volontaires. La disparition de la
sensibilité
à la douleur précède donc, chez l'homme comme c
it cancéreuse. R. de AIUSGRAVE-CL.11-. XXV. Des interférences de la
sensibilité
; par A. Adamkikwicz. (Nezii-olog. Ceniralblatt,
Ceniralblatt, XIX, 1900.) Il existe deux espèces de troubles de la
sensibilité
: des (roubles objectifs et des troubles subjec
des objets sont normalement perçues; existe-t-elle, elle entrave la
sensibilité
objective. De sorte que, la fonction de la sens
e entrave la sensibilité objective. De sorte que, la fonction de la
sensibilité
objective a beau être intacte, elle est altérée
esthésie et dans les proportions de l'intensité de l'anomalie de la
sensibilité
subjective. Tel est le résultat phy- siologique
ndent l'une vers l'autre. Ce sont de véritables interférences de la
sensibilité
. < ' P. Keraval. REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYS
une tumeur sous-cutanée de con- sistance graisseuse. A ce niveau la
sensibilité
cutanée est abolie dans tous ses modes dans une
e aux muscles de l'épaule et du bras. Pas de troubles marqués de la
sensibilité
, pas d'altération des sphincters. ' En attend
ciation hystérique du sens de la température avec inver- sion de la
sensibilité
au froid ; par G.-W. Mac CASKEY. Tite nez I'orl
de la chaleur étaient nor- males sur toute la suriace du, corps. La
sensibilité
à la douleur faisait défaut sur la surface tota
ui est surtout remarquable c'est le résultat de l'exploration de la
sensibilité
thermique. La sensation de la chaleur était absol
rté nettement. Un examen ultérieur montra que les altérations de la
sensibilité
s'étaient notablement amendées. Ces anomalies
a sensibilité s'étaient notablement amendées. Ces anomalies de la
sensibilité
et de la vision ne pouvaient dépendre que de l'
l intérêt de ce cas est dans la nature même de l'alté- ration de la
sensibilité
au froid. L'analgésie thermique n'est peut- êtr
uvient pas qu'il ait été publié des cas de cette dissociation de la
sensibilité
au froid dans l'hystérie ; mais on l'a observée
myélie : chez leur malade toutefois il y avait perte complète de la
sensibilité
sur une surface très étendue. En fait, dans le
t provoquées et entretenues par des hallucinations de l'ouïe, de la
sensibilité
générale, de l'odorat et du goût. Les hallucina
ire. Les réflexes tendineux sont exagérés dans le tiers des cas. La
sensibilité
est diminuée dans plus de la moitié des cas, ai
de que àlàl. Sérienx et àlds- selon l'affirment. Les troubles de la
sensibilité
cutanée sont peut- être plus apparents que réel
de la main, en plus de l'hémiatrophie faciale. Aucun trouble de la
sensibilité
. La pression artérielle sur le membre paralysé
membre sain. Les auteurs insistent sur l'absence des troubles de la
sensibilité
dans cette paralysie radiculaire, qui s'expliqu
ue, du sens de l'orientation et du sens topographique. Les diverses
sensibilités
étaient altérées à droite. Il existait un ramol
ssivement l'ap- pareil nerveux central : Ie De la motilité et de la
sensibilité
géné- rale. Ce dernier comprend : a) Les voie
des diffé- rents organes, coeur, poumons, foie, tube djgestif...
Sensibilité
très diminuée à 'gauche; la malade perçoit à pein
iqûres profondes; hypoes- thésie de la cornée gauche et du pharynx.
Sensibilité
exagérée des deux ovaires. Douleurs erratiques
truation, les seins ordinairement se- gonflent, acquièrent plus de
sensibilité
et de tension ; la femme éprouve dans son intér
une hallucination psychique du sens du tact, hallucination de la
sensibilité
générale, que je crois très rare ; comme elle e
mme on le voit, y avoir des hallucinations psychiques du sens de la
sensibilité
générale, analogues à celles de la vision, anal
e Thérèse; nous allons parler maintenant des hal- lucinations de la
sensibilité
générale et des organes géni- taux en particuli
Vous ramenez les troubles de la pensée, aussi bien que ceux de la
sensibilité
ou de la motilité, comme un effet à une cause, à
ion du corps qui en est le siège. N'est-ce pas là une preuve que la
sensibilité
peut intervenir direc- tement pour refréner un
nir direc- tement pour refréner un tic ? Mais, à côté des cas où la
sensibilité
joue ainsi le rôle d'agent inhibiteur du tic, i
e de beaucoup de tics, au même titre que les autres désordres de la
sensibilité
. Sur quelques détails relatifs et l'cliologie e
lontaires sont corrects, et ils ne semblent avoir aucun trouble des
sensibilités
cutanée, musculaire, articulaire, osseuse. Mais i
t la symptomatologie en l'exagérant, du moins en ce qui concerne la
sensibilité
et la motricité. Il me suffit de distraire l'en
ppelaient toutes trois ensemble, soit une exclamation jaillie d'une
sensibilité
commune, celles-ci par exemple : « Nous le juro
ubles de l'équilibre s'exagèrent quand le malade ferme les yeux, la
sensibilité
est obtuse aux membres inférieurs, les réflexes
tête est tournée à gauche, le bras gauche soulevé retombe inerte ;
sensibilité
à la douleur, réflexes patellaires et cutanés a
se que l'écrivain moderne des symptômes de l'extase : même perte de
sensibilité
, même perte des forces, même abolition des sens
stiqua une lésion équivalant ci une section Or, chez ce patient, la
sensibilité
au contact persista jusqu'à la mort. A l'examen
qu'il considère comme due à une section médullaire, alors que la
sensibilité
au contact a persisté jusqu'à la mort. La lésion
nous avons dans l'état de la mémoire un réactif d'une très grande
sensibilité
, réactif qu'un juge d'instruction peut commodémen
tous les exercices de force au cours desquels le tabétique. dont la
sensibilité
profonde est troublée ou abolie, con- tusionne
' ' 378 . SOCIÉTÉS SAVANTES. C'est à ce titre de stimulant de la
sensibilité
cutanée (en fric- tions, effleurages, percussio
tions, effleurages, percussion légère), à titre de stimulant de la
sensibilité
profonde et surtout de la nutrition musculaire (p
éger tremblement intentionnel du bras gauche. Pas de troubles de la
sensibilité
. Crises épileptiformes à caractère jack- sonien
s.- Corps thyroïde appréciable. Membres supérieurs bien conformés ;
sensibilité
bien conservée. Membres inférieurs également bi
es, tous les accidents disparaissent, sauf de temps à autre quelque
sensibilité
des parties affectées. P. Keraval. XVIII. Un
escription complète. H. C. XX. Etude sur les troubles objectifs des
sensibilités
superficielles dans le tabès; par A. Biche et d
onduits aux conclusions'suivantes : A. les troubles objectifs de la
sensibilité
se traduisent chez les tabétiques par des anest
culièrement pénibles (douleurs, troubles de la motilité et de la
sensibilité
localisés surtout au côté gauche) survenus à la s
es attouchements et un massage léger des paupières. Le retour de la
sensibilité
a été annoncé par de vives souffrances. A la suit
lence hystérique; les choses se sont passées, en effet, comme si la
sensibilité
restait au total la même et se répartissait dif
inations effectuées par cette voie ; troubles de la calorification (
sensibilité
insolite au froid ; refroidissement et cyanose
complète des globes oculaires à la pression. Chez 25 tabétiques, la
sensibilité
oculaire a été trouvée normale 12 fois, perturb
. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE' 435 XXXIII. Les troubles de la
sensibilité
dans le tabes ; par les Drs Frenkel et Foersler
ves de psychiatrie et neurologie de Westphal. 1° Des troubles de la
sensibilité
sont un symptôme constant dans le tabes. 2° Ils
lité sont un symptôme constant dans le tabes. 2° Ils comprennent la
sensibilité
cutanée et la sensibilité profonde articulaire
nt dans le tabes. 2° Ils comprennent la sensibilité cutanée et la
sensibilité
profonde articulaire et musculaire. 3° Parmi les
ité profonde articulaire et musculaire. 3° Parmi les troubles de la
sensibilité
cutanée, ceux du toucher sont constants. 4° Les
lité cutanée, ceux du toucher sont constants. 4° Les troubles de la
sensibilité
se trouvent d'une façon cons- tante au tronc et
e considérés comme un signe initial du tabes. 5° Des troubles de la
sensibilité
aux membres supé- rieurs sont la règle dans le
s du tabes ordinaire. G° Aux membres inférieurs, les troubles de la
sensibilité
cutanée sont exceptionnels dans la période préa
que les différentes régions de la peau atteinte des troubles de la
sensibilité
chez le même malade sont séparées par des régio
rat' gauche, exagération des réflexes tendineux, diminution de la
sensibilité
aux bras et avant-bras, plus prononcée au bord in
ononcée au bord interne- qu'au bord externe; enfin, abolition de la
sensibilité
à l'extrémité z des doigts et au bord interne d
ordon latéral. La diminution ou l'abolition de tous les modes de la
sensibilité
, revue DE pathologie nerveuse. 437 Î au lieu
s cordons postérieurs ont été envahis. Enfin, la diminution de la
sensibilité
au bras et à l'avant-bras, plus prononcée au bord
s aux infé- rieures qu'aux supérieures. Quant à l'abolition de la
sensibilité
à l'extrémité des doigts et dans la moitié inte
de la DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE. 4G9 volonté ou de la
sensibilité
, d'où l'habitude prise de la dési- gner par un
s le verrons plus tard, est un amoindrissement consi- dérable de la
sensibilité
, sans zones délimitées. II. Incidents pathologi
st compréhensible, étant donné l'amoindrissement considérable de la
sensibilité
du sujet. Le troisième et surtout le quatrième
oint de côté, expectoration, ont manqué par suite de la très faible
sensibilité
du sujet. Les signes donnés par la percussion f
tisfaisantes. Ce qui est évident tout d'abord, c'est que, l'état de
sensibilité
très amoindrie qui était le sien, fut la cause
occasionnelle seule nous est connue, c'est l'amoindrissement de la
sensibilité
. 1 En cet état, T... a peut-être obéi à une voi
à conduire les sensations'de position, de mouvements, en un mot la
sensibilité
des parties profondes des membres improprement
ndes, dont la lésion entraine une diminu- tion ou la perte de cette
sensibilité
. Ces deux systèmes émanent -des fibres des raci
ent. Aussi trouve-t-on à la période de début, soit un trouble de la
sensibilité
cutanée sans autres modifications, soit la pert
sensibilité cutanée sans autres modifications, soit la perte de la
sensibilité
profonde sans modification de la sensibilité cu
s, soit la perte de la sensibilité profonde sans modification de la
sensibilité
cutanée, soit simplement de l'ataxie seule sans
ves et cérébelleuses à la fois, par l'association des troubles delà
sensibilité
à l'ataxie, déterminée par la dégénérescence de t
s de la peau. Par là se pro- duit l'ataxie dénuée de troubles de la
sensibilité
. La dégénéres- cence du système cérébelleux cen
gion, l'augmentation de la pression sanguine, les altérations de la
sensibilité
, les troubles de la vision et la cécité cortica
ent le facial, notamment dans son trajet auditif. M. Il. XLIX. La
sensibilité
à l'aimant, avec tableaux et 32 figures ; par C
chez son malade. G. D. XXV. Évolution comparée des troubles de la
sensibilité
aux trois périodes de la paralysie générale ; p
Soc. de méd. ment, de Belgique, septem- bre 1901). De l'étude des
sensibilités
tactile, douloureuse et génitale étudiées simul
sumons ainsi : Il est tout à fait exceptionnel de trouver les trois
sensibilités
nor- males au même moment, tandis qu'on les tro
iron, mais le fait le plus fréquent est l'anormalité simultanée des
sensibilités
douloureuse et génitale (la sensibilité tactile
'anormalité simultanée des sensibilités douloureuse et génitale (la
sensibilité
tactile restant indemne), plus fréquente que l'
ité tactile restant indemne), plus fréquente que l'anormalité de la
sensibilité
génitale seule. Jamais la sensibi- lité tactile
E MENTALE. 521 1 quent pour le tact et la douleur, celle-ci pour la
sensibilité
géni- tale. - XXVI. Un enfant d'idiote ; par
ion amena la disparition des troubles subjectifs et objectifs de la
sensibilité
. - 11 -est difficile d'expliquer l'apparition d
également intéressant, il y a anesthésie sous tous les modes de la
sensibilité
(tactile, sensitive et thermique) dans le même
ir troubles mentaux. AGENÉSIE. Voir spina bificla. Aimant. Voir
sensibilité
. Alcooliques. Les-récidivistes, par Legrain e
r Joteykoet Stéfa- nowska, 143. Analyse des mouve- ments et de la
sensibilité
dans l' par l'éther, par Joteyko et Stéfanows
hystérique du sens de la tempé- rature avec intervention de la
sensibilité
au froid, par Mac Cas- key. 160.-Voir Sein. Con
Keid, 56. L'évolution du des couleurs; par Edridge-Green, 503.
Sensibilité
osseuse décelée par le diapason, par Eggcr, 65.
oi2e. Tares. Voir Massage. Etude sur les , troubles objectils ses
sensibilités
superficielles dans le-, par hiche et de Goth
sur les fonctions de la nutri- tion, par Hayem, 432. Les - de la
sensibilité
dans le tabès, par Frenkel et Foersler, 435.
ns cardiaques, par Zederbaum, 511. Evolution comparée des - de la
sensibilité
aux trois périodes de la paralysie générale,
aire rigoureuse des trois premières lombaires, avec trouble de la
sensibilité
dans lemémeterri- toire,'par Armand Delille et
La paralysie du mouvement est complète aux membres inférieurs. La
sensibilité
à l'épingle est conservée aux membres supé- rie
cides ; pas d'évacuations alvines. Intelligence nette. 3° jour. -La
sensibilité
a reparu sur la verge et la moitié droite du sc
s musculaires provoque de la douleur des deux côtés. Sur le thorax,
sensibilité
normale à la partie supérieure, hyperesthésie à
ie inférieure. A l'abdomen, hyperes- thésie cutanée jusqu'au pubis.
Sensibilité
normale aux organes génitaux. Sur la face ant
à la moitié inférieure du thorax ; le froid est perçu à l'abdomen ;
sensibilité
au tou- cher obtuse à la plante des pieds ; la
s a dépassé trois litres. Ni sucre, ni albumine. 15° jour. - Pas de
sensibilité
à la pression sur la colonne vertébrale, si ce
as; le malade leva très bien la jambe gauche et tend le genou. La
sensibilité
des cuisses est redevenue normale. Aux jambes l
aminée à la sortie de la sonde est légèrement acide, 33° jour. La
sensibilité
tactile est à peu près complète- ment revenue p
nsibilité tactile est à peu près complète- ment revenue partout. La
sensibilité
thermique est encore obtuse aux membres inférie
s mouvements au pied ; l'exten- seur commun ne se contracte pas; la
sensibilité
est faible à la région péronière, la contractio
pour porter le pied dans l'abduction. - A la région postérieure la
sensibilité
est plus développée, les jumeaux se contractent
e plus que l'électrisation directe des muscles. Jambe gauche : La
sensibilité
électrique est obtuse comme à droite; la contra
a plus grande reconnaissance. Il n'existe chez lui aucun trouble de
sensibilité
: le coeur est sain ; le champ visuel est norma
sant. Ajoutons qu'il n'a jamais existé chez lui aucun trouble de la
sensibilité
et que l'examen du fond de l'oeil et du champ v
la profession de clerc d'huissier : il ne présente aucun trouble de
sensibilité
, le champ visuel est normal; les or- ganes géni
oeur et des autres viscères ne nous révèle rien de particulier ; la
sensibilité
générale et spéciale est con- servée. Observa
us les organes, y compris le coeur, sont sains ; pas de troubles de
sensibilité
. Son institutrice nous apprend qu'en jouant et
es involontairement proférées. Pas de troubles appréciables de la
sensibilité
, pas de parésie des membres. M. le professeur
ans ses actions et est, en général, assez gaie. L'exploration de la
sensibilité
cutanée donne une hêmi-anesthésie, une hémi-pares
trompe. L'examen des membres droits donne des résultats opposés.
Sensibilité
spéciale. La malade ne distingue pas le violet et
trophie lente des extrémités supérieures, des troubles légers de la
sensibilité
, l'ab- sence des réflexes tendineux, rarement l
oit et de la jambe gauche. Sur ces parties on note : intégrité delà
sensibilité
, exagération des réflexes tendineux, production
e en traite- ment. Suit l'appréciation critique. P. K. XI. Sur la
SENSIBILITÉ
DE la peau A l'égard DES excitants ÉLEC- TRIQUE
constate que c'est la peau de la face qui présente la plus grande
sensibilité
; les membres inférieurs sont moins sensibles que
xercice plus ou moins sou- tenu des régions envisagées entraîne une
sensibilité
plus ou moins exquise. Il faut encore faire int
de s'appliquer déterminer un minimum de dou- leur et un minimum de
sensibilité
. Lorsqu'en effet, pour apprécier une sensation
fondes entre en jeu. Ainsi, pour le front et la joue, le minimum de
sensibilité
tactile relève d'une force de courant presque i
rce de courant presque identique, tandis que, en ce qui concerne la
sensibilité
à la douleur, le front est beaucoup plus vite i
- gine témoignent de l'excitation de petits troncules cutanés. La
sensibilité
de la peau vis-à-vis du courant continu (An à la
laires, des dents, du palais, du nez, de l'oreille, des sens, de la
sensibilité
, de la motilité, du sympathique, des masticateu
phalalgie, de l'angoisse prrcordiaie. survient une exagéralion delà
sensibilité
des organes sensoriels; des hallu- cinations vi
plement se traduire par de l'obnu- bilation de la connaissance, une
sensibilité
exagérée à l'égard d'ex- citations qui échappen
.) Le bromure de zinc agit suivant l'importance de la dose sur la
sensibilité
, puis sur lamotilité; il arrête le coeur des gren
iques qui ifs tour- mentent, à faire disparaître les troubles de la
sensibilité
générale, les vertiges, et l'engoûrnent intra-c
le patient a reconquis une partie de son sens musculaire et de sa
sensibilité
, mais les réflexes patellaires n'ont pas reparu.
Bonn). Contribution ci la physiologie et ci 1(i p(itho- logie de lu
sensibilité
tactile. Les recherches du professeur liumpf on
ces conditions, on trouve, que chez un grand nombre d'hommes, la
sensibilité
cutanée de régions identiques est exactement la m
en rapport avec la cathode présente une augmenta- tion nette de la
sensibilité
. Ces deux modifications apparaissent quelque te
s ouvert, dès que le phénomène primitivement constaté a disparu, la
sensibilité
tactile décèle une modification exactement inve
inverse sur les régions qui viennent d'être soumises à l'anode (la
sensibilité
, tout à l'heure abaissée, augmente, puis diminu
ut à l'heure abaissée, augmente, puis diminue), ou à la cathode (la
sensibilité
, tout à l'heure exagérée, diminue). D'ailleurs,
ur des zones soumises au courant, il existe toujours un district de
sensibilité
inverse. Effet des narcotiques. Toutes les prép
t des narcotiques. Toutes les préparations de ce genre diminuent la
sensibilité
. L'ingestion gastrique de deux centi- grammes d
grammes de cet agent entraîne, par exemple, un abaissement de la
sensibilité
de la pointe des doigts qui perçoit non plus la b
Chez d'autres malades ne révélant pas de diminution objective de la
sensibilité
, cette méthode trahit des déviations notables.
e qu'il y ait un peu de parésie faciale gauche, de diminution de la
sensibilité
générale. 'Voy..<''c/ftt'es<'N<' : <
sse en revue les faits cli- niques relatifs aux modifications de la
sensibilité
et aux différentes formes d'liémople; il les tr
. Si les iiiodifica- BIBLIOGRAPHIE. 137 tions pathologiques de la
sensibilité
visuelle avaient été étudiées plus rigoureuseme
traires à l'existence de centres juxtaposés pour les trois modes de
sensibilité
. Il combat les idées de Schneller. Une observat
Une observation d'hémiopie latérale droite, avec , trouble de la
sensibilité
, termine cet important mémoire. Parinaud. VIL L
de 1 Loc. czi., p. b4. commotion DE la moelle épinière. 119 la
sensibilité
à la lésion visible, le caillot sanguin, il n'e
blesse dans les épaules/ sans troubles de l'in- telligence ni de la
sensibilité
-générale ou spéciale. L'atrophie musculaire en
core manifestes. L'évolution de la maladie se lit sans douleurs, la
sensibilité
des muscles atrophiés n'était pas exagérée; il
e vertébrale suivis d'atrophie mus- culaire. Dans les trois cas, la
sensibilité
était peu ' 1·hr l.iyrel, vol. Il, 1881', p. JG
ensibles l'un que l'autre; du reste il n'existe aucun trouble de la
sensibilité
générale ou spéciale. On ne constate aucune aut
t pas moins une très grande impor- tance. Chez tous nos malades, la
sensibilité
générale était tout à fait normale : les sens s
urs, ou des crises convulsives antérieures, ou des troubles de la
sensibilité
, ou un rétrécissement du champ visuel, tous phé
<o) ! ,lac< ? 'ctf(to ? latct0riCprésententaucune anomalie.
Sensibilité
générale et spéciale, normale. - Le phénomène du
rachis présente à la région dorsale une grande concavité droite. La
sensibilité
est conservée. Le malade est hébété, répond trè
suis né, qui m'a appris cela ». Son cou- sin avait dix-huit ans.
Sensibilité
générale et spéciale normale; pas d'exagération d
és à droite, et il existe une trépidation du pied très mar- quee.
Sensibilité
: La sensibilité, au contact, à la douleur, à la
l existe une trépidation du pied très mar- quee. Sensibilité : La
sensibilité
, au contact, à la douleur, à la tempe- DES TItU
iation ni asymétrie de la langue qui se meut aisément en tous sens.
Sensibilité
géné- rale intacte, il en est de même de la sen
tous sens. Sensibilité géné- rale intacte, il en est de même de la
sensibilité
spéciale, sauf pour la vision. Il existe en eff
ntrée dans le service il n'existe plus de troubles moteurs, mais la
sensibilité
au froid et à la douleur était un peu diminuée
genou. La dila- tation pupillaire qui succède aux excitations de la
sensibilité
générale, des organes des sens, de l'activité p
trémités supérieures sont constamment en mouvement; intégrité de la
sensibilité
; signe de Romberg. Diagnostic de Friedreich : a
\EIiVEUE. 255 réflexes tendineux patellaires, de l'intégrité de la
sensibilité
. Sous l'influence d'injections sous-cutanées de
êmes sur la peau et dans les muscles, une diminution évidente de la
sensibilité
tac- tile. La paralysie gagne le tronc et le di
rature dans les membres inférieurs, avec un peu d'exagération de la
sensibilité
à la douleur dans les mêmes régions. Longtemps
té. Relations homologues entre les réflexes cutanés et l'état de la
sensibilité
, c'est-à-dire que le réflexe cutané, et en parti-
ulnaire pour remédier à une altération motrice et un trouble de la
sensibilité
obser- vés dans l'extrémité supérieure; les sym
ans, qui avait été blessé; élongation du nerf médian, retour de la
sensibilité
, mais pas d'amélioration de la motilité du bras
ans, une névralgie accompagnée de troubles de la motilité et de la
sensibilité
. Une seconde observation du même auteur se rapp
t s'accentuer progressivement, quoique lentement. Le retour de la
sensibilité
s'opère aussi très vite au tronc, et finit par
beaucoup plus lentement les extrémités inférieures. Ce retour de la
sensibilité
s'ac- compagne d'hyperesthésie très accusée, qu
oduit par une fracture peut exister un moment, puis disparaître. La
sensibilité
sur un point peut exis- ter dans la commotion,
que faiblement de la main droite; la main tremblait en écrivant. La
sensibilité
était intacte. Le membre inférieur correspondan
plus accen- tués et amène tous les troubles de la motilité, de la
sensibilité
et de la nutrition qui caractérisent la myélite.
e et plus ou moins longue, le malade revient à lui, les troubles de
sensibilité
spéciale disparaissent et la sphère pathologiqu
ceux-ci également ceux qui président aux* diffé- rentes variétés de
sensibilité
. Le rôle que la moelle remplit dans certaines f
il ne semble pas du tout que ce malade ait eu de l'hémichorée. La
sensibilité
de tout le côté gauche paraît normale au toucher
le côté gauche paraît normale au toucher et à la pression; mais la
sensibilité
au chatouillement et au froid est presque entiè
été observées à droite (troubles trophiques) ; 3° enfin que, si la
sensibilité
au tou- cher et à la pression était conservée,
si la sensibilité au tou- cher et à la pression était conservée, la
sensibilité
au chatouil- lement el au froid était abolie su
rébrales et dans l'hystérie, il existe un rapport constant entre la
sensibilité
spéciale de l'oeil et la sensi- bilité de ses e
nstances, l'hallucination visuelle produit une modification dans la
sensibilité
des téguments, ce qui nous paraît rendre probab
sie, il suffit de pro- voquer une vision imaginaire pour ramener la
sensibilité
des membranes externes de I'oeil. Chez un autre
t fréquemment inégalité des pupilles; émoussement très accusé de la
sensibilité
cutanée; vertiges fréquents; convul- sions des
de l'ataxie des extrémités inférieures avec légers troubles de la
sensibilité
et absence du phénomène du genou. Tous ces accide
cependant pas absolument pendant le sommeil. Aucune anomalie de la
sensibilité
, pas d'anomalie de l'excitabilité méca- nique,
Le retour de lamo- tilité à la normale, l'absence de troubles de la
sensibilité
, l'ab- sence de tremblement, permettent d'exclu
T. Elle a traita un homme en proie à une paralysie partielle de Irt
sensibilité
sur l'extrémité supérieure droite, la moitié dr
er la participation de la moitié droite de la face au trouble de la
sensibilité
? M. BERNHARDT. 11 y a un an et demi que je con
partie du tronc et de toute l'extrémité inférieure droite quanta la
sensibilité
. L'absence de troubles de la motilité et d'atroph
ion, par M. Remak, du galvanomètre vertical absolu de Hirschmann, à
sensibilité
graduable. Un couple aslatique d'ai- Voy. Revue
du courant les oscillations galvanométriques et, par conséquent, la
sensibilité
de moitié ou du quart. Il en résulte que chaque
té principale des résis- tances convenables destinées à diminuer la
sensibilité
, on ne change en rien la résistance totale du g
nge en rien la résistance totale du galvanomètre à l'égard de toute
sensibilité
; elle équivant à 500 unités Siemens. Discussio
n ; appétit exagéré. On trouve, à l'examen, de l'émoussemeiit de la
sensibilité
dans tous ses modes sur les deux extrémités su-
sens du tact, delà pression, de la vigueur, du lieu; mais c'est la
sensibilité
douloureuse et le sens de la température qui on
interosseux de la main gauche. Rien du côté de la motilité ni de la
sensibilité
des extrémités inférieures. Exagération des ré-
d'un bâton. Cette raideur disparaît pendant le sommeil et au repos.
Sensibilité
tout à fait normale; il en est de même des réfl
er. 275, 395. Sensations pathologiques dans les psychoses, 123.
Sensibilité
tactile (physiologique et pathologique), 103.
r : il est remarquable de noter que ce sont pour ces troubles de la
sensibilité
car- diaque que la malade a dû interrompre son
t moins énergiques à droite que du côté opposé. L'exploration de la
sensibilité
à ses différents modes (con- tact, piqûre, chau
fection certains symp- tômes ont pu être notés, qui, intéressant la
sensibilité
, la motricité, la trophicité, la vasomotricité,
possibles, tant aux membres supérieurs qu'aux membres inférieurs.
Sensibilité
. - Au-dessous d'une ligne circulaire correspondan
iculté. Le réflexe massétérin existe, mais il n'est pas exagéré. La
sensibilité
est parfaite dans tout le domaine de la V° pair
ONIQUE 45 gêné soit par le réflexe pharyngien très vif, soit par la
sensibilité
laryngée qui est exquise. Notre malade réagit t
liampère et demi. Tous ces signes démontrent bien l'intégrité de la
sensibilité
endo-laryngée, qui est sous la dépendance de la
palpable au-dessus du pubis. La malade se croit enceinte (1). La
sensibilité
objective dans toutes ses formes a été retrouvée
nation et une insuffisance fonction- nelle du voile du palais. La
sensibilité
sous toutes ses formes demeure parfaitement intac
ture des muscles de la nuque et des alté- rations très graves de la
sensibilité
. De même dans la pachyméningite cervicale byper
orsale a un début bien différent, s'accompagne à des troubles de la
sensibilité
, à des altérations trophiques, à des signes oculo
e paralysie d'abduction des cordes vocales dans l'inspiration. La
sensibilité
estparfaitementnormalepartout,y compris la sensib
piration. La sensibilité estparfaitementnormalepartout,y compris la
sensibilité
endo-laryngée. Le tonus musculaire, les sphinct
dien, toujours du même côté, étaient très atrophiés. L'examen de la
sensibilité
générale, des fonctions sensorielles et des réf
histoire de la malade, nous avons soigneusement relevé l'état de la
sensibilité
endo-laryngée : elle était parfaite, nous avons e
nne (47), Poore (109), J. Millier ont constaté de l'abolition de la
sensibilité
musculaire dans des cas semblables. Charcot (35
ent où les doigts pressaient le pis. On trouvait des troubles de la
sensibilité
sur le territoire du radial droit, et de la réact
hypothénar, ainsi que des interosseux, avec DR et diminution de la
sensibilité
dans le pouce et l'index. G. Kaster (86) publie
e par Zander (209) chez des joueurs de tambour, avec troubles de la
sensibilité
, par suite delà contraction répétée et exagérée d
ut dans le quatrième doigt, sans aucune douleur et sans troubles de
sensibilité
. Le jeu du hautbois devint ainsi impossible, et l
tie des muscles de l'éminence thénar ; il n'existe aucun trouble de
sensibilité
. L'impotence fonctionnelle est professionnelle
tôt définitivement au travail. On ne constatait aucun trouble de la
sensibilité
, ni du bras, ni de l'avant-bras ; la pression d
soupe, mais le spasme n'a été que passager dans ces conditions. La
sensibilité
de la main droite est parfaite ; on ne trouve a
n' évidence aussi par les traits accentués de ce côté. Quant à la
sensibilité
, elle est un peu obtuse dans toute la moitié gauc
èrement contracturée, et décrit un arc de cercle assez prononcé. La
sensibilité
tactile et thermique droite est normale ; à la pi
ns dans la musculature des yeux et de la langue. Pas d'atteinte des
sensibilités
sensorielles, pas de troubles de la déglutition
des yeux et dans le domaine du facial supérieur. ' Les différentes
sensibilités
sont conservées du côté hémiplégie ; pas de tro
e les muscles de la face, ces divers signes sont plus marqués. La
sensibilité
cutanée est peut-être moins nette à la piqûre du
ssoufflement, pas de toux, pas d'expectoration ; Pas de troubles de
sensibilité
; pas de douleurs ; Force normale dans les memb
lléens sont normaux ; le réflexe plantaire se fait en flexion. La
sensibilité
est normale dans toutes ses formes sur toute la s
omme n'était différenciée et que toutes étaient également douées de
sensibilité
et de mouvements. A vrai dire, il n'existait en
A vrai dire, il n'existait encore qu'une irritabilité générale sans
sensibilité
spéciale. Sous l'influence d'un excitant, le pr
irritable en chacun de ses points, acquiert en certains autres une
sensibilité
spéciale vis-à-vis de certai- nes excitations l
de circulation de l'énergie. Celle-ci y entre par les organes de la
sensibilité
, y produit des manifestations absolument person
t normaux ; il n'existe ni troubles vaso-moteurs, ni troubles de la
sensibilité
. Tous les orga- nes sont sains. Au point de v
s la loi des secousses ». Pas de troubles de la trophicité et de la
sensibilité
, sauf l'apparition à la partie moyenne du bord
ne trouve ici rien d'anormal après l'examen des différents modes de
sensibilité
. Il n'y a pas non plus de phénomènes douloureux
éduite. Les troubles de dégéné- .rescence sont nets. Du côté delà
sensibilité
générale du corps on ne trouve aucune modi- fic
Le, réflexe pharyngien existe, de même que le réflexe cornéal. La
sensibilité
objective du malade a été examinée sous toutes se
ité objective du malade a été examinée sous toutes ses formes : les
sensibilités
: tactile, douloureuse, thermique, osseuse, stéré
ni albumine. La palpation du ventre ne décèle aucune tumeur. 1 La
sensibilité
tactile à la douleur, au chaud et au froid est no
est normale, le sens de position est conservé. Pas de trouble de la
sensibilité
visuelle et auditive. Les reflexes patellaires
bjectif ne montre aucune espèce de trouble de la motilité, ni de la
sensibilité
, ni de la réflectivité. Le malade n'éprouve pas d
nviron, un état parétique très accusé du membre supérieur droit. La
sensibilité
reste normale. Interrogé attentive- ment, le ma
gauche, se renouvellent et ne durent qu'une mi- nute environ. La
sensibilité
sous ses divers modes ne parait pas modifiée. Le
trépidation épileptoïde, ni danse de la rotule. Les troubles de la
sensibilité
consistent en une hypoesthésie marquée sur tout
'hypoesthésie sur tout le côté droit. A gauche, la motilité et la
sensibilité
sont presque normales du côté des membres, mais
ste escarre se produisit au pied droit. Seule, la persistance de la
sensibilité
sous toutes ses formes aux membres infé- rieurs
ation initiale, justifient la conservation des, différents modes de
sensibilité
et l'apparition de douleurs intenses. Les lésio
s. Réflexes patellaires exagérés,clonus très facile à provoquer, la
sensibilité
cutanée est très diminuée dans toute l'étendue
es qui s'étendent sans interrup- tion jusqu'au niveau des seins. La
sensibilité
tactile et le sens musculaire sont tout à fait
ibilité tactile et le sens musculaire sont tout à fait normaux ; la
sensibilité
tactile est éprouvée en touchant très légèremen
des membres supérieurs sont très accusés. Aux membres supérieurs la
sensibilité
est absolument normale. La limitation de l'an
gments sacrés, nous constatons tout à fait les mêmes troubles de la
sensibilité
qu'aux membres inférieurs, et en conséquence la
s de la sensibilité qu'aux membres inférieurs, et en conséquence la
sensibilité
tactile est normale. Le 10 novembre, une poncti
rfs crâ- niens. L'ophtalmoscopie est normale. L'examen répété de la
sensibilité
des bras ne nous fait constater aucun trouble.
tulieus deviennent plus vifs. Le 30 novembre, nous observons que la
sensibilité
tactile est un peu diminuée au pied droit et à
troubles de la conscience. 400 PETREN ET EHRENBERG L'examen de la
sensibilité
fait aussitôt après l'attaque n'indique aucune al
aravant. - Le 11 décembre, l'examen de la malade nous révèle que la
sensibilité
tactile a disparu presque complètement aux memb
ostal. Un examen répété ne nous a jamais révélé aucun trouble de la
sensibilité
des bras, ni à leur face interne ni ailleurs. L
de la thermoanesthésie jusqu'au plan mamellàire sans troubles de la
sensibilité
tactile. Les cas de poliomyélite aiguë où l'on a
Les cas de poliomyélite aiguë où l'on a observé des troubles de la
sensibilité
sont extrêmement rares. Medin a remarqué une fo
din a remarqué une fois aux membres inférieurs une diminution de la
sensibilité
tactile et Wickman a noté une fois aux membres
nalgésie et thermoanesthésie si complètes, sans aucun trouble de la
sensibilité
tactile et d'une distribution si typique n'a ja
is un examen répété ne nous a jamais révélé aucun trouble net de la
sensibilité
des bras. Le manque de tout symptôme d'irritati
isation de la lésion qui a causé ce change- ment des troubles de la
sensibilité
, nous nous reporterons à un travail que 402 PET
ET EHRENBERG j'ai publié (P. 78), il y a 7 ans, sur les voies de la
sensibilité
cutanée dans la moelle. J'avais groupé aussi co
la maladie, qu'on pouvait tirer des conclusions sur les voies de la
sensibilité
dans la moelle. Ce sont surtout les cas de coup
enta lions. Ce travail m'a conduit à une conception des voies de la
sensibilité
qui est acceptée depuis par un grand nombre d'a
est peut-être pas très connue en France. Ma conclusion a été que la
sensibilité
à la douleur et les sensibilités thermiques pas
France. Ma conclusion a été que la sensibilité à la douleur et les
sensibilités
thermiques passent ensemble, d'abord par les co
atéraux et montent dans la région des faisceaux de Gowers. Pour ces
sensibilités
, cette opinion est sans doute admise généraleme
é à cette conclusion qu'il existe dans la moelle deux voies pour la
sensibilité
tactile : l'une est celle qui passe, avec les v
sensibilité tactile : l'une est celle qui passe, avec les voies des
sensibilités
douloureuses et thermiques, par le cordon latér
'admet en général. , Ce résultat de mon analyse sur les voies de la
sensibilité
dans la moelle nous conduit à une conséquence n
s la moelle nous conduit à une conséquence nécessaire, c'est que la
sensibilité
tactile ne peut être troublée sans que le sens
té tactile ne peut être troublée sans que le sens musculaire et les
sensibilités
à la douleur et à la température ne le soient e
et à la température ne le soient en même temps. C'est-à-dire que la
sensibilité
tactile peut être conservée alors que les autres
que la sensibilité tactile peut être conservée alors que les autres
sensibilités
superficielles (mais pas le sens musculaire) so
s (mais pas le sens musculaire) sont seules atteintes, parce que la
sensibilité
tactile possède encore une voie par le cordon pos
r. Par conséquent, si le sens musculaire seul est affecté, et si la
sensibilité
tactile subsiste intacte, c'est que la voie com
té tactile subsiste intacte, c'est que la voie commune à toutes les
sensibilités
cutanées reste encore. Depuis la date où j'ai
x n'ont nullement parlé contre cette conception sur les voies de la
sensibilité
dans la moelle, mais l'ont au contraire appuyée.
ous allons maintenant employer cette conception sur les voies de la
sensibilité
pour le diagnostic de ce cas. Il n'y avait d'abor
e l'anal- gésie et de la thermoanesthésie, mais sans troubles de la
sensibilité
tactile ou du sens musculaire ; mais, par la su
aire ; mais, par la suite, les troubles du sens musculaire et de la
sensibilité
tactile ont apparu en même temps. D'après mon opi
ont apparu en même temps. D'après mon opi- nion sur les voies de la
sensibilité
, il faut conclure que le changement du ÉTUDES C
l'appari- tion des troubles nouveaux : du sens musculaire et de la
sensibilité
tactile) est dû à une lésion qui a atteint les
tomyélie, il faut expliquer les troubles du sens musculaire etde la
sensibilité
tactile, qui sont survenus plus tard dans le dé
tons ce dia- gnostic, il faut expliquer les troubles initiaux de la
sensibilité
, c'est-à- dire l'analgésie et la thermoanesthés
nesthésie, par une lésion des cordons laté- raux des deux côtés. La
sensibilité
tactile est alors restée normale, ce qui s'expl
us avons, d'après l'opinion précitée, l'une des deux voies de cette
sensibilité
, étaient alors intacts. En acceptant l'idée d
e para- plégie flasque. Dans le cas qui nous occupe, le fait que la
sensibilité
tactile et le sens musculaire étaient au début
l'a montré l'apparition des troubles du sens muscu- laire et de la
sensibilité
tactile, mais alors la paraplégie devenait spasmo
dique. Mais cet auteur remarque qu'en môme temps les troubles de la
sensibilité
vont en diminuant; par conséquent, toute la sér
peut en outre s'empêcher d'être frappé de ce que les troubles de la
sensibilité
aient montré au début une dissociation syringom
acceptant ma conclusion (P.) indiquée ci-dessus sur les voies de la
sensibilité
de la moelle), il faudrait admettre une lésion
raplégie présentant une certaine systématisation des troubles de la
sensibilité
, par exemple, une dissociation syringomyélique
xcitation de la plante du pied détermine la flexion du gros orteil.
Sensibilité
. Anesthésie de la cornée et du pharynx ; sur le r
du pharynx ; sur le reste du corps il n'existe aucun trouble de la
sensibilité
au tact et à la douleur et de la sensibilité th
te aucun trouble de la sensibilité au tact et à la douleur et de la
sensibilité
thermique. 1 Organes des sens. L'ouïe est norma
entré à l'hôpital. Otto éprouve rarement des douleurs de tête. La
sensibilité
est intacte dans tous ses modes. Les divers réfle
grande fatigue : le type de la démarche est simplement traînant.
Sensibilité
. L'examen de toutes les formes de sensibilité sup
simplement traînant. Sensibilité. L'examen de toutes les formes de
sensibilité
superficielle et profonde ne démontre aucun tro
profonde ne démontre aucun trouble déterminé. Toutes les formes de
sensibilité
apparaissent légèrement émoussées sur toute la
n très facile. Notre géant ne présente rien d'anormal du côté de la
sensibilité
qui est en général un peu obtuse ; mais ce fait
'ataxie, ni de trou- bles sphinctériens, ni la moindre lésion de la
sensibilité
tant superficielle que profonde, tant subjectiv
égion dorsale. Les muscles du cou et du corps sont atro- phiés ; la
sensibilité
est émoussée au niveau de la division des nerfs d
7) n'ont pas trouvé d'atrophie musculaire ni de modifications de la
sensibilité
chez un malade qui a présenté de la spon- dylos
ever les bras jusqu'à la verticale ; il lève les jambes au lit ; la
sensibilité
est conservée dans la région fémorale droite. Lor
ien compte de la marche des réflexes. Pas de réflexe maxillaire. La
sensibilité
mécanique des muscles du corps et des extrémités
lité mécanique des muscles du corps et des extrémités est exagérée.
Sensibilité
: sensations subjectives de douleur dans la parti
rtébrale, irradiations de ces douleurs vers les épaules et la tête.
Sensibilité
objective : légère exagération de toutes sortes d
ête. Sensibilité objective : légère exagération de toutes sortes de
sensibilité
dans la partie supérieure du corps, aux bras et
sensibilité dans la partie supérieure du corps, aux bras et au cou.
Sensibilité
musculaire sans modifications. Sens musculaire
cles, un affaiblissement de' la respiration, une diminution : de la
sensibilité
, des douleurs dans les jambes, sans lésions des
ts. Dans la zone innervée par le médian, il y avait des troubles de
sensibilité
sous forme d'hypoesthésie au contact, à la doul
bres infé- rieurs, aucun trouble objectif des diverses formes de la
sensibilité
. La parésie du nerf médian s'améliora rapidemen
nesme ; presque à la même date il avait ressenti des troubles de la
sensibilité
sous forme de cuisson sur la face interne de la
- férieurs. Pas d'ataxie. Pas de signe de Romberg. L'examen de la
sensibilité
objective avait donné les résultats suivants :
ien que sur la face palmaire des deux mains. Cette diminution de la
sensibilité
avait, pour limite supérieure, une ligne passan
ctile et à la douleur sur sa face postéro-externo. Diminution de la
sensibilité
tactile et à la douleur sur le gros orteil, sur
e- puis le tiers moyen de la jambe jusqu'au pied tout entier, cette
sensibilité
était bien conservée. A gauche : diminution d
tte sensibilité était bien conservée. A gauche : diminution de la
sensibilité
tactile et la douleur sur le gros or- teil et s
des bords cutanés taillés à pic. L'examen des diverses formes de la
sensibilité
a donné à cette époque les résultats suivants :
hypoesthésie thermique avec tendance à tout percevoir comme chaud :
sensibilité
aux vibrations du diapason, conservée sur les côt
ervée sur les côtes et sur toute la cage thoracique. En arrière :
sensibilité
tactile et à la douleur normale : tendance à perc
e : tendance à percevoir chaud même ce qui est froid. Au diapason :
sensibilité
bien conservée tout le long de l'épine dorsale
, anesthésie également sur la plante des pieds des deux côtés. La
sensibilité
est abolie sur la cuisse droite et sur la face pl
eds : anesthésie sur les autres par- ties des membres inférieurs.
Sensibilité
articulaire : troubles peu évidents dans les quat
ensité et la façon particulière suivant laquelle les troubles de la
sensibilité
sont dis- tribués au niveau des deux membres in
u des deux membres inférieurs. Nous avons en effet, constaté que la
sensibilité
objective, dans ses di- verses formes, est, en
pouvons pas attribuer une grande valeur à l'état particulier de la
sensibilité
, précisément parce que notre malade est un tabé
t un tabétique et qu'il présente de plus des troubles étendus de la
sensibilité
, même dans d'autres parties du corps. Pour tout
peu plus grand dans le sens antéro-postérieur. Les troubles de la
sensibilité
ne sont pas différents de ceux qui ont été cons
ce fait : à savoir que nonobs- tant les troubles très graves de la
sensibilité
siégeant dans l'un des mem- bres inférieurs et
très importants de tabes qu'il pré- sen ta i t. 't) M. EGGER, La
sensibilité
osseuse (ltev. Neurol., 1908, n° 8, 30 avril, pag
té, à ce moment, constate entre autres symptômes des troubles de la
sensibilité
, de la dyschro- matopsie, une diminution de l'a
éflexe cutané plantaire est en flexion. le cré- mastérien aboli. La
sensibilité
sur toute la surface du corps est obtuse, et le
ant ne se plaint plus de mal de tête ni de douleurs dans le dos. La
sensibilité
cutanée est normale. Pas de troubles de la consci
la verge : « Aime-moi. » S.... était un impulsif non dépourvu de
sensibilité
. Il le montra à plusieurs reprises. Il connaiss
t en même temps une paralysie du droit interne de l'oeil gauche. La
sensibilité
au tact et à la douleur semblait émoussée au ni
éfaut d'attention de la malade empêchaient tout examen sérieux. Les
sensibilités
profondes parais- saient indemnes Le diagnostic
s ré- flexes crémastériens et abdominaux peuvent être obtenus. La
sensibilité
générale et spéciale est conservée, sauf la visio
produit des [deux côtés. Les réflexes abdominaux sont normaux. La
sensibilité
générale et spéciale sont normales, excepté la vi
anifeste des pieds. Les réflexes cutanés ne se produisent pas. La
sensibilité
générale semble conservée. La malade réagit promp
e. La malade réagit promptement à la piqûre et à la chaleur. ' La
sensibilité
spéciale est très difficilement examinée à cause
es épineuses, n'éveille aucune douleur. Il n'y a rien du côté de la
sensibilité
objective des membres supérieurs, du dos,de la
supérieurs, du dos,de la poitrine et de l'abdomen. Rien du côté delà
sensibilité
tactile dans les membres inférieurs. Il existe
resthésie du pied pour la chaleur et le froid. Pas de trouble de la
sensibilité
musculaire, du sens de vibration et stéréognostiq
pilles est normale. Il u'y a rien de remarquable par rapport à la
sensibilité
subjective et objec- tive. Tous les sens spécif
e réflexes teudiueux. Il y a une certaine ataxie du bras gauche. La
sensibilité
est normale, sauf des troubles très légers de la
he. La sensibilité est normale, sauf des troubles très légers de la
sensibilité
tactile aux pieds et aux doigts. Il peut être ass
ution de l'excitabilité, mais pas de réaction de dégénérescence. La
sensibilité
tactile est un peu diminuée aux orteilsetaux part
ux parties périphéri- ques des doigts : pas d'autres troubles de la
sensibilité
tactile. Le sens à la dou- leur est normal ; qu
xes du tendon dAchille et les réflexes plantaires ont disparu. La
sensibilité
tactile est un peu diminuée aux pieds, partout ai
st un peu diminuée aux pieds, partout ailleurs elle est normale. La
sensibilité
à la douleur et la sensibilité thermique sont par
artout ailleurs elle est normale. La sensibilité à la douleur et la
sensibilité
thermique sont partout normales. Le sens muscul
rs a augmenté. Les troubles du sens musculaire aux orteils et de la
sensibilité
tactile aux pieds se sont aggravés. Le 4 févrie
tendon d'Achille, mais les réflexes abdominaux sont conservés. La
sensibilité
tactile est normale partout, à l'exception des pi
mes phalanges des doigts où il y a une dimi- nution très légère. La
sensibilité
à la douleur est partout normale. Le 7 mai il e
dans la poly- névrite que dans la poliomyélite. Venons enfin à la
sensibilité
. Tout le monde est d'accord pour recon- naître
e est d'accord pour recon- naître qu'on ne trouve de troubles de la
sensibilité
que très rarement dans la poliomyélite. Dans la
t le cas assez souvent. D'autre part, la présence de troubles de la
sensibilité
, surtout aux extrémités des mem- bres, forme, c
central par deux fibres au moins dont l'une, centripète, conduit la
sensibilité
et l'autre, centrifuge, transmet l'influx nerve
ane moteur sous forme de réponse motrice. Dans l'action réflexe, la
sensibilité
se transfor- me mécaniquement en mouvement, en
, de la tétine et du mamelon provoque les mouvements de succion. La
sensibilité
se transforme directement en mouvement en se réfl
anque, du reste, souvent, c'est celui de la pensée con- sciente. La
sensibilité
se transforme mécaniquement en mouvement. Si IN
rieur ; contracture avec exagération des réflexes. Diminution de la
sensibilité
sous tous les modes, surtout au mem- bre inféri
e vingt-cinq ait,. Hémiplégie prédominante sur le membre supérieur.
Sensibilité
intacte. Réflexes tendineux exagérés. La face
e prédominante dans le membre supérieur; diminution et retard de la
sensibilité
. Contracture avec exagération des réflexes. L
est encore très accentuée, avec contracture, et perver- sion de la
sensibilité
. Aphasie motrice. La joue droite est flasque et
olé- ment l'un et l'autre oeil. Pas de troubles de motilité ni de
sensibilité
des membres, mai- ! exagération manifeste du ré
manifeste du réflexe radial et du réflexe rotulien du côté gauche.
Sensibilité
intacte. Dysarthrie : le malade trouve facileme
les, qui ont leur ori- gine dans une perversion ou diminution de la
sensibilité
gé- nérale et spéciale. Ces hallucinations et i
ypéresthésie, dysesthésie et enfin une anesthésie des sens et de la
sensibilité
générale, ce qui explique la fréquence des bles
maux. Pas de tremblements de la langue. La parole est normale. La
sensibilité
cutanée à la douleur et à la température complè-
ontinuels de la langue, comme s'il était à goûter quelque chose. La
sensibilité
générale au toucher, à la température et à la d
la température et à la douleur est un peu diminuée et retardée. La
sensibilité
spéciale paraît bonne, mais l'état mental du ma
arqués. Les réflexes des extenseurs et des fléchisseurs normaux. La
sensibilité
générale à la douleur et à la température, norm
ère et à l'accommodation. La langue n'offre pas de tremblements. La
sensibilité
générale à la douleur et à la température est l
nérale à la douleur et à la température est légèrement diminuée. La
sensibilité
spé-, ciale normale. Le pouls petit, filiforme.
ugmentés.' La marche est bonne. Les réflexes rotuliens exagérés. La
sensibilité
générale à la douleur est un peu obtuse, le mal
tuse, le malade ne localise pas bien la place où il a été piqué. La
sensibilité
spéciale n'offre rien de particulier. Le coeur n'
mpérature et à la douleur est conservée. On observe pourtant que la
sensibilité
à la douleur est un peu émoussée, le patient su
pporte facilement les piqûres qu'on lui fait, les localise bien. La
sensibilité
spéciale conservée dans toutes ses manifestatio
diminuée. La marche est normale. Le réflexe rotulien est aboli. La
sensibilité
générale à la douleur et à la tem- LES MÉLANC
es lèvres, mais elle présente de légers tremblements des doigts. La
sensibilité
culanée à la douleur est obtuse. La pression de
ur sont forts et sonores; la respiration superficielle et lente. La
sensibilité
générale à la douleur esteonservée; la malade com
, la malade s'opposant à cet examen. LES MÉLANCOLIQUES. 49 La
sensibilité
cutanée n'est pas normale; on constate une plaque
même des points anesthésiques sur diverses régions du corps, où la
sensibilité
à la douleur est exagé- rée, exemple aux région
nt conservés ; de même le réflexe plantaire et crémasté- rien. La
sensibilité
générale au toucher et à la température, conservé
sensibilité générale au toucher et à la température, conservée; la
sensibilité
à la douleur est un peu diminuée; le malade ne pe
ndifférence personnelle à l'égard des objets lui appartenant. D'une
sensibilité
exagérée à l'endroit des réprimandes qui déter-
e du facial inférieur droit, et enfin des troubles subjectifs de la
sensibilité
(sensation de froid, fourmille- ments). Il est
vements et cessant pen- dant le sommeil. Yeux et pupilles indemnes.
Sensibilités
diverses REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 65 e
arfois aussi dès les premières périodes de la maladie, alors que la
sensibilité
musculaire proprement dite et la sensibilité cu
maladie, alors que la sensibilité musculaire proprement dite et la
sensibilité
cutanée ne présentent point de de modifications
daptation au changement des conditions extérieures. Théorie de la
sensibilité
. L'ataxie est en rapport avec les mem- bres don
la sensibilité. L'ataxie est en rapport avec les mem- bres dont la
sensibilité
est le plus atteinte. Là où existe le plus gran
lité est le plus atteinte. Là où existe le plus grand trouble de la
sensibilité
, existe la plus grande ataxie. Les exceptions n
lorsqu'il a les yeux fermés et est atteint de grands troubles de la
sensibilité
, il ne le peut plus. Quand le trouble de la sen
ubles de la sensibilité, il ne le peut plus. Quand le trouble de la
sensibilité
n'est encore que faible, l'exagé- ration de la
les mouvements difficiles. C'est en réagissant sur le trouble de la
sensibilité
du système musculaire et articulaire que le pat
le ; sans doute le réapprentissage de la coordination amé- liore la
sensibilité
, mais ce n'est pas constant, et le degré de cette
'un travail de coordination manuelle n'affine chez un homme sain la
sensibilité
objectivement mesurable, pas plus la rééducation
s coordinateurs perdus de l'ataxique n'améliore néces- sairement sa
sensibilité
. P. Keraval. XVI. Quelques manières de voir rel
s dans l'intelligence, les autres organes des sens, la motilité, la
sensibilité
, les actions réflexes ou dans les organes intér
à leur délire; ils y concentrent toutes leurs pensées ; la moindre
sensibilité
de cicatrice devient pour eux l'occasion de dél
ne paralysie syphili- tique avec dissociation syringomyétique de la
sensibilité
en avril 1895 et vit se développer ensuite une
a réaction douloureuse, ce qui peut s'expliquer par une plus grande
sensibilité
chez la femme. Enfin, il faut encore mentionner
nt confirmée, 44 présentaient le signe de Biernacki, 32 avaient une
sensibilité
cubitale normale, 8 donnaient un résultat doute
iernacki ne donne pas d'indications nouvelles au point de vue de la
sensibilité
générale des malades. Les troubles de la sensib
de vue de la sensibilité générale des malades. Les troubles de la
sensibilité
sont, en effet, très fréquents chez les alié- n
ssion à déployer chez un indi- vidu déterminé, ni pour connaître sa
sensibilité
et sa réac- tion normales à la douleur ; qu'il
; tesystème osseux normal ; les extrémités froides et cyanosées. La
sensibilité
générale est diminuée; elle ne peut pas localis
ré, le réflexe plantaire diminué, le rétlexe crémastérien aboli. La
sensibilité
générale est diminuée, mais il parait que le ma
rémastéricn diminués. Il n'y a pas de trépidation épileptoïde. La
sensibilité
générale est conservée pour le toucher, la tempé-
ations par minute. Le foie est augmenté de volume et douloureux. La
sensibilité
générale est un peu diminuée aux jambes, mais i
est un peu diminuée aux jambes, mais il localise assez bien. ' La
sensibilité
spéciale est bonne; le malade ne distingue pour-
obes oculaires déviés en haut et à droite, les pupilles rigides. La
sensibilité
générale à la douleur complètement abolie, de mêm
exe plantaire est aboli, le réflexe crémastérien bien diminué. La
sensibilité
générale à la douleur est retardée et bien dimi-
l n'y a pas de trépida- tion épileptoïde. La marche est normale. La
sensibilité
générale conservée pour le toucher et la tempér
lantaire conservés. Il n'y a pas de trépida- tion épileptoïde. La
sensibilité
générale est exagérée pour le toucher et la dou
sensibilité générale est exagérée pour le toucher et la douleur. La
sensibilité
spéciale conservée, la malade reconnaît bien le
bien diminué, le réflexe crémastérien un peu diminué à droite. La
sensibilité
générale est conservée pour le toucher et la tem-
s. Il n'y a pas de trépidation épileptoïde. La marche normale. La
sensibilité
générale paraît relardée pour le. toucher et pour
réflexe rotulien est conservé. Le réflexe plantaire est aboli. La
sensibilité
générale au toucher et à la doulenr paraît conser
plantaire conservé ainsi que la con- traction idéo-musculaire. La
sensibilité
générale conservée pour le toucher et la douleur,
pouls est petit et lent; les extrémités froides. Des réflexes et la
sensibilité
sont à l'état normal. La malade pré- sente de n
de les impres- sions denlaires. Le sens du toucher est conservé. La
sensibilité
'120 0 ' PATHOLOGIE MENTALE. cutanée est di
iminué. Il n'y a pas de tremblements de la langue ni des doigts. La
sensibilité
gé- nérale est diminuée, elle parait pourtant b
e la langue et des doigts. Le réflexe pharyngien est conservé. La
sensibilité
générale à la douleur est conservée en grande p
et d'analgésie à la jambe gauche et à la fesse droite ; aux bras la
sensibilité
est normale. Il n'y a pas d'ovarie. Du côté des
testiculaire diminué. II n'y a pas de trépidation épileptoïde. La
sensibilité
générale au toucher, à la douleur et à la tempé-
pas de trépidation épi- leptoïde. 126 PATHOLOGIE MENTALE. La
sensibilité
générale au toucher est conservée ; la sensibi-
N'empêche que la clinique ne montre la relation de troubles de la
sensibilité
ou de la motilité avec l'altération exclusive et
nt thalamopète ; or elle ne produit pas du tout de troubles de la
sensibilité
ni du sens musculaire. Est-il vraiment possible d
au niveau du bras el de la main gauches, et une dimi- nution de la
sensibilité
à la jambe. Pas de syphilis dans ses anté- céde
névrite optique à la première période. Réflexe rotulien exagéré. La
sensibilité
est émoussée : la peau de la main est en moiteu
iration s'est légè- rement accélérée. A 7 heures moins le quart, la
sensibilité
se réveille et le lapin se tient sur ses pattes
ser de traces; plus tard se manifestèrent quelques trou- bles de la
sensibilité
et une paralysie qui persista et s'étendit aux
ceux de l'hystérie, on note un abaissement de tous les modes de la
sensibilité
, des paumes et des plantes, et dans le domaine
s- sion. III. L. Minor. DtSSOCMt'OH s< ? tt : o ! H)/tue de la
sensibilité
dans les myélites transverses (à propos d'un tr
ail, M. Marinesco prétend que la dissociation syringomyélique de la
sensibilité
n'a encore jamais été notée dans les myélites t
tice à propos delà lettre du professeur Pick sur les troubles de la
sensibilité
dans les myélites transverses. Le travail de M.
tre le premier à avoir signalé l'existence de la dissociation de la
sensibilité
dans les myélites transverses, a provoqué, en d
décrit, il y a longtemps déjà, des troubles syringomyéliques de la
sensibilité
au-dessus de la zone de l'anesthésie complète dan
Minor avait signalé avant lui l'existence de la dissociation de la
sensibilité
dans les myélites. ' Secrétaires des séances :
ection ancienne du médian. Suture. Prétendu retour im- médiat de la
sensibilité
; par A. L\MBOTTE et Sano. (./0 ! <f) : . de
suivies au bout de quarante-huit heures d'un retour partiel de la
sensibilité
tactile et d'un retour complet de la sensibilité
tour partiel de la sensibilité tactile et d'un retour complet de la
sensibilité
articu- laire. Pour expliquer ce fait, l'auteur
oubles parétiques avec perte du réflexe patellaire, altérations des
sensibilités
, para- lysie du diaphragme pour l'une et dyspha
inutes, puis disparaît tout aussi brusquement. Il n'existe pas de
sensibilité
locale, ni pendant le paroxysme, ni après. La
tres a en outre remarqué que l'affaiblissement ou l'abolition de la
sensibilité
profonde de l'épigastre chez les tabétiques n'é
te impotence. Les troubles de la motilité (incoordination) et de la
sensibilité
(anesthésie plantaire absolue) sont plus marqué
quelques questions simples; les hallucinations avec troubles de la
sensibilité
générale persistent, au contraire : géné- ralem
s de l'ouïe ; coups de ton- nerre, menaces insultes; troubles de la
sensibilité
générale ; idées délirantes d'ordre mélancoliqu
r de la décussation au niveau de cet organe des conducteurs de la
sensibilité
; mais les importantes et nouvelles expériences de
cune résistance aux mouvements passifs de flexion et d'extension.
Sensibilité
. Dans le membre abdominal droit existe une anes-
mbre abdominal droit existe une anes- thésie complète de toutes les
sensibilités
depuis le niveau de l'ar- ticulation coxo-fémor
rsale et dans le bord externe ; et en ce qui concerne la plante, la
sensibilité
a réapparu de la partie antérieure à la partie
primitive de Browu-Séquard de la décussation des conducteurs de la
sensibilité
au niveau de la moelle, il faudrait admettre qu
énérale et spéciale y occupent la première place. Ces Roubles de la
sensibilité
correspondent évidemment à des altéra- 378 SO
tisé, lié à une névrose, se reconnaîtra toujours aux troubles de la
sensibilité
. Ceux-ci porteront le cachet de la névrose dont
s inférieurs, mais elle était moins intense. En ce qui regarde la
sensibilité
, la malade percevait le contact d'un corps appl
pérature des objets était mal ressentie ; pas de dissociation de la
sensibilité
. Pas de réflexe plantaire; abolition des réflex
oup plus vives à leur niveau. La motilité était plus atteinte quela
sensibilité
; cependant, on trouvait chez notre malade certa
épidation épileptoïdes plus marquée à droite. Pas de troubles de la
sensibilité
, mais dans les derniers temps quelques douleurs à
côtés; 7° Le cervelet n'a pas de rapport chez les animaux avec la
sensibilité
cutanée; 8° L'ablation du cervelet a une grande i
es sont parfois paresseuses. Les réflexes rotuliens font défaut. La
sensibilité
est normale. On note du dermographisme, d'aspec
ctes apparaît plus nette- ment que celle de l'intelligence ou de la
sensibilité
; tels les convulsions, les tics, les troubles d
imeiie Vander Ilaeglieii. Long (Ed.). - Les voies centrales de la
sensibilité
générale (Etude anatomo-clinique). Volume (le 2
mé- moires sensorielles verbales, inhérentes à des centres de la
sensibilité
rendent les services suivants : 1° font exécuter
réagissent bien à la lumière et à l'accommodation. L'examen de la
sensibilité
cutanée fait constater la présence d'une zone d
iésie et cette anesthésie portent toutes les deux uniquement sur la
sensibilité
à la douleur ; la sen- sibilité au toucher et à
était porteur de stigmates permanents d'hys- térie : troubles de la
sensibilité
cutanée et rétrécissement du champ visuel, sans
des fibres sectionnées du médian fut suivie du retour rapide de la
sensibilité
: celle-ci disparut, il est vrai, au bout de qu
resque entièrement d'illusions, d'hallucinations, de troubles de la
sensibilité
générale, s'exagère dès que le sujet, isolé dan
s mouvements d'extension qui sont surtout accentués. Les diverses
sensibilités
sont exagérées à droite, la raie méningitique y e
nergique sous l'influence de courants induits de moyenne intensité,
sensibilité
à la piqûre, à la température légèrement émouss
épaules puis des deux bras. Au niveau des membres inférieurs, la
sensibilité
au contact et à la douleur est diminuée. Les musc
re était perma- nente, elle ne s'atténue pas pendant le sommeil. La
sensibilité
est intacte. Vers l'âge de six mois, l'eniant
est moins marqué à gauche. L'exagération des réflexes a diminué.
Sensibilité
normale. En résumé, il ne s'agit pas, dans ce c
saisissent difficilement les objets. Les réflexes sont exagérés. La
sensibilité
à la pression est un peu diminuée, les autres var
nsibilité à la pression est un peu diminuée, les autres variétés de
sensibilité
sont normales ; on note une anesthésie en manchet
on conjuguée de la tête et des yeux à gauche. Il regarde sa lésion.
Sensibilité
abolie'au niveau des membres paralysés. Quel- q
biologie, t. XXIV, 1872, p. 2-3. SOCIÉTÉS SAVANTES. 505 de la
sensibilité
cutanée peu marqués. Un mois plus tard, l'es- c
Section ancienne du -; su- ture ; prétendu retour immédiat de la
sensibilité
, par Lambotte et Sano, 306. Section partielle d
rthrite tuberculeuse de l'épaule, par Lau- nois et Paviot, 402.
Sensibilité
. Comte notice propos de la lettre du professeur
hypothénar, des interosseux dorsaux de la main droite (pl. V). " "
Sensibilité
à la dou1elll' (¡oÏtI'Îre) rt a la l,empél'atllre
tion de dégénérescence des muscles atrophiés. Réactions normales.
Sensibilité
générale. - 11 existe une hémianesthésie droite à
hémianesthésie droite à peu près totale pour les trois modes de la
sensibilité
(tact, douleur, tem- pérature) (fig. 5, 6, 7, 8
DIE DE MORVAN ? ? - 15 Fouie) et portant sur les divers modes de la
sensibilité
générale sans participation du sens musculaire.
date récente paraîtrait-il/ Il n'y a non' plus aucun trouble de la
sensibilité
soit générale ou spéciale- (froid,; chaleur,- c
ude des oscillations ainsi enregistrées ne dépend pas seulement de la
sensibilité
du tambour à réaction, du poids de la masse mét
la masse métallique, elle varie également avec la lon- gueur et la
sensibilité
du style inscripteur, toutes conditions dont l'un
ôt un certain degré d'amaigrissement général. Pas de troubles de la
sensibilité
. La piqûre, le contact sont parfaite- ment perç
, 83 ? bras gauche, e°8; jambe droite, 39o9; jambe gauche, 81°8. La
sensibilité
parait intacte sur tout le tégument, aussi bien
ation, le nombre des oscillations s'élève à 12 ou 13 par seconde.
Sensibilité
. Sens. Vision. - Dyschromatopsie pour le violet;
aboli à droite; le goût très émoussé à droite ; l'ouïe est normale.
Sensibilité
générale (fig. 35, 36). - On constate 1° une dimi
ale (fig. 35, 36). - On constate 1° une diminution très nette de la
sensibilité
générale pour tous ses modes (contact, douleur, t
sque absolue du goût et de l'odorat des deux côtés; diminution delà
sensibilité
pharyngée; dimi- Fin. 38. - Respiration costale
loppés, mais suffisants néanmoins pour confirmer le diagnostic. La
sensibilité
est conservée dans tous ses modes à droite. Elle
asis vcrsicolor. - Pas de réflexe pharyngien, pas de troubles de la
sensibilité
générale. Champ visuel normal à droite, à gauch
ntués chez celle malade. Il existe néanmoins un léger trouble de la
sensibilité
dont la présence acquiert ici une grande import
connaissance et les bâillements que nous avons déjà mentionnés. La
sensibilité
au contact est con- servée sur toute la surface
contact est con- servée sur toute la surface cutanée, ainsi que la
sensibilité
au chaud et au froid. Mais il n'en est pas de m
sibilité au chaud et au froid. Mais il n'en est pas de même pour la
sensibilité
à la CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYS
existe sinon une analgésie, du moins une diminution no- table de la
sensibilité
à la figure et dans toute la moitié droite du cor
e. Il en aurait eu au début quand on lui parlait de sa maîtresse.
Sensibilité
. -La sensibilité générale semble conservée; quant
eu au début quand on lui parlait de sa maîtresse. Sensibilité. -La
sensibilité
générale semble conservée; quant aux sensibilit
Sensibilité. -La sensibilité générale semble conservée; quant aux
sensibilités
spéciales, il est impossible de les apprécier. -
, cet état mélan- colique paraît être primitif. L'exploration de sa
sensibilité
, si imparfaite qu'elle ait. pu être, ne permet
s yeux, de la langue, du pharynx et de la face. Aucun trouble de la
sensibilité
ni des organes des sens, ni de l'intelligence.
traction dans ceux des cuisses. Les réflexes tendineux sont abolis.
Sensibilité
intacte. Pas de troubles des sphincters ni de d
vir de ses membres supérieurs. Il n'existait aucun trouble ni de la
sensibilité
, ni des sphincters. A l'entrée de la malade à
- pétit sexuel est nul. Nous n'avons trouvé aucune altération des
sensibilités
générales ou spéciales. La voix et la vue sont
gourdissement de la joue droite et aussi un peu de diminution de la
sensibilité
dans cette région, l'acuité visuelle n'était pas
, il y avait des signes d'une affection périphérique du trijumeau :
sensibilité
à la pression et légère ancsthésio du territoire
de la face n'est paralysé, et à part le fourmillement des doigts la
sensibilité
est normale partout. Les fonctions sensorielles s
ONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. àpeu, et les uns après les autres. La
sensibilité
a toujours été conservée, Les réflexes étaient
luence de l'électricité, la peau devient très rouge). A droite. -
Sensibilité
électrique un peu plus considérable qu'à gauche
ne peut ni les étendre, ni les fléchir complètement (Fig. 57). La
sensibilité
cutanée est conservée sur les deux mains, la mala
échisseurs se contractent avec plus de force que les extenseurs. La
sensibilité
cutanée électrique est très vive dans cette régio
aussi quoique l'améliora- tion soit moins marquée de ce côté. La
sensibilité
tactile est parfaite sur les deux mains. La diffé
différence n'est pas aussi sensible que dans ces derniers temps. La
sensibilité
reste la même. Les muscles de la main reprennen
communiquer : Etat de A. P... le 2janvier 1889. - Ni troubles de la
sensibilité
, ni troubles trophiques. Mains : atrophie loc
nce du 21 juin 1890). TABES ET DISSOCIATION SYRINGOMYÉLIQUE DE LA
SENSIBILITÉ
L'histoire clinique que nous rapportons est cel
de symptômes tabétiques et de dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. Elle soulève une question de diagnostic d'un cer
rappelant le tabes, d'un cas de tabes avec troubles anormaux de la
sensibilité
, ou encore d'une combinaison de ces deux affect
nte; les mains devenaient aussi froides et perdaient peu à peu leur
sensibilité
. Vers la même époque, il remarqua qu'il avait u
ne à se boutonner; mais cela tient beaucoup plus aux troubles de le
sensibilité
qu'aux désordres moteurs, non appréciables. I
il lui semble que la face plantaire est glacée. · Troubles de la
sensibilité
. Sensibilité tactile (Fig. 64,05). - Le passage
ble que la face plantaire est glacée. · Troubles de la sensibilité.
Sensibilité
tactile (Fig. 64,05). - Le passage du pinceau e
mais ne sent pas la chaleur. A la limite des parties précédentes la
sensibilité
revient. progressivement à la normale' sur une
du bras la douleur qu'elle occasionne est vive sans être exagérée.
Sensibilité
électrique (Fig. 70, 71). Bobine à fil fin de l'a
c. 61. Fig. 63. Topographie do la diminution ou de la perte de la
sensibilité
tactile (pinceau). Au niveau des mains les hach
niveau des mains les hachures indiquent une simple diminution de la
sensibilité
tactile (le passage du pinceau est senti). Au n
s électrodes ont été laissées en place pendant un certain temps, la
sensibilité
électrique revient progressivement au maximum, s'
ur reparaître ensuite si l'excitation continue. A la main, quand la
sensibilité
électrique (frémissement et sensation douloureu
Pas de phénomènes douloureux. Le goût et l'odorat sont intacts. La
sensibilité
de la- muqueuse buccale n'est pas altérée. L'
e façon régulière et systématique l'élat des différents modes de la
sensibilité
dans cette affection. La dissociation syringomy
. 70. Fic. 71. J. Topographie de l'analgésie et de la perte do la
sensibilité
électrique TABES ET DISSOCIATION SYHINGOMYELIQU
eider s'éleva contre cette hypothèse en s'appuyant sur l'état de la
sensibilité
thermique chez les tabétiques, qui est d'ordina
erfs périphériques ne faisaient pas partie du processus morbide. La
sensibilité
peut être fort diversement modifiée dans les né-
odifiée dans les né- vrites. Dans un travail sur les troubles de la
sensibilité
d'ori- gine périphérique et les voies de transm
anesthésie à la douleur et à la température et conserva- tion delà
sensibilité
tactile 2. Il n'est donc pas juste de dire que la
on a en effet constaté au niveau des macules la conservation de la
sensibilité
tactile avec altération de la sensibilité à la do
les la conservation de la sensibilité tactile avec altération de la
sensibilité
à la douleur et à la température. Cette dissoci
analogue. Soit dit en passant, d'après Jacoby, la persistance de la
sensibilité
au froid plaiderait en faveur d'une névrite pér
. 222 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTHICRE. Les troubles de la
sensibilité
présentés par notre malade pourraient donc à la
arche pa- rallèle. Il est juste encore d'ajouter que d'ordinaire la
sensibilité
à la douleur est atteinte en première ligne ain
ur est atteinte en première ligne ainsi que le sens du tact, que la
sensibilité
à la température est en général conservée jusqu'a
e ni sucre. L'état général est bon, l'appétit plutôt diminué.. La
sensibilité
générale et spéciale, explorée avec soin à divers
phénomène qui lui arrive de temps en temps. Nous avons exploré sa
sensibilité
générale et spéciale : elle était normale. Ob
nt, d'une part, des paralysies amyotrophiques et des troubles de la
sensibilité
, d'autre part de l'agitation et du délire, ou e
iel, pas de cordons lymphatiques. Pas de trouble trophique ni de la
sensibilité
, sauf une douleur exquise sur laquelle nous all
lcération, etc. , Par contre, au niveau des régions oedématiées, la
sensibilité
est alté- rée. Le contact, la piqûre, le chaud
du nerf facial de chaque côlé. Urine normale. Pas de troubles de la
sensibilité
. Organes des sens normaux. Rien à l'ophtalmo- s
u est tout aussi souvent touchée que le facial. L'émoussement de la
sensibilité
, ou même l'anesthésie de la face, est indiqué d
cide, cependant le malade se plaint que sa mémoire a un peu faibli.
Sensibilité
de la face parfaite. - Les réflexes rotuliens s
ibrillaire dans les lèvres ni dans la langue. Pas de troubles de la
sensibilité
, ni sur la face ni dans la bouche. Le réflexe p
e la Tourelle, 128. Tabès et dissociation syringomyélique de la
sensibilité
, par Parmentier, 213. Transfiguration (La) du S
Hystérie (Champs visuels dans 1' ). 3, 4, 9, 10, 33, 34; schémas de
sensibilité
dans l ? 1, 2, 35; 36. Hystériques (Tracés de
de tremble- ments 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23. Morvan (Schémas de
sensibilité
dans la ma- ladie de -), 5, 6, 7, 8. Paralysi
ion du tronc dans la ), ), 72, 73. Sclérose en plaques, 78, 79.
Sensibilité
(Tabes et dissociation syringomyé- lique de la
nsidéré comme une dépen- dance et une conséquence de la perte de la
sensibilité
et spé'- cialement de la sensibilité musculaire
conséquence de la perte de la sensibilité et spé'- cialement de la
sensibilité
musculaire. Mais vous verrez que chez notre mal
e, le signe de Romberg existe très bien et que cependant toutes les
sensibilités
, même la sensibilité muscu- Archives, t. XXV. 1
existe très bien et que cependant toutes les sensibilités, même la
sensibilité
muscu- Archives, t. XXV. 1 2 CLINIQUE NERVEUS
siques que le signe de Romberg est la conséquence de la perte de la
sensibilité
et spécialement du sens musculaire chez les ata
l'accommodation; le signe d'Argill Robertson n'existe donc pas. La
sensibilité
ne présente aucun trouble ; afin de faire cette
. L'expérience suivante rend démonstrative cette conservation de la
sensibilité
plan- taire : les yeux étant fermés on a fait m
es seconds, je rangerai l'évolution rapide et la conservation de la
sensibilité
dans tous ses modes. Il est rare de voir une at
fulgurantes, à l'abolition des réflexes rotuliens, à la perte de la
sensibilité
. J'en ai vu de très beaux exemples. Les exemple
s de dyschromatopsie ; le goût, l'ouïe, l'odorat sont conservés; la
sensibilité
, sous ses divers modes, est intacte; pas de zon
odorat diminués à droite; il en est de même des divers modes de la
sensibilité
. Sens musculaire légèrement obtus de ce côté ;
e- venue à peu près égale des deux côtés ; les divers modes de la
sensibilité
ont été récupérés. Quant aux troubles sensoriels,
deux côtés ; l'abdo- minal et le plantaire sont absents à gauche.
Sensibilité
. Il existe à gauche une anesthésie-sensitivo-sens
ni il ne peut se remettre debout sans s'aider avec son bras sain.
Sensibilité
. La sensibilité thermique est abolie complètement
remettre debout sans s'aider avec son bras sain. Sensibilité. La
sensibilité
thermique est abolie complètement sur tout le c
itrine, la thermo-anesthésie surpasse un peu la ligne médiane. La
sensibilité
dolorifique est encore complètement abolie. Cepen
ces limites elles sont appréciées comme une sensation tac- tile. La
sensibilité
tactile est également abolie à gauche. L'anes-
correspondant au rebord costal. Entre cela et l'arcade crurale, la
sensibilité
était de beaucoup obnubile, mais pas abolie. Post
rouve une raie de la largeur de 2 à 3 centimètres, dans laquelle la
sensibilité
est presque normale. La sensibilité thermique
centimètres, dans laquelle la sensibilité est presque normale. La
sensibilité
thermique présentait à peu près la même distribu-
ieurement jusqu'à la moitié du sternum. En dehors de cette zone, la
sensibilité
ther- mique est seulement affaiblie. Le 8 jui
sensibilité ther- mique est seulement affaiblie. Le 8 juillet, la
sensibilité
tactile est revenue dans tout le mem- bre infér
les et dolorifiques sont perçues normalement. L'amélioration delà
sensibilité
a été continue et progressive. Au commencement
nsibilité a été continue et progressive. Au commencement d'août, la
sensibilité
était revenue dans tous les membres inférieurs
qu'il persiste dans le membre qui a été contracturé des troubles de
sensibilité
, de l'exagération des réflexes tendineux, compa
- tenant au groupe de l'amelttia de Meynert; hallucinations de la
sensibilité
cutanée semblables à celles des alcooliques et ce
- gnifiant (en dehors, bien entendu, d'aucune hallucination de la
sensibilité
générale) et porte si loin son erreur que la mort
ieurs reprises d'un sommeil bizarre, accompa- gné de troubles de la
sensibilité
et du mouvement, de phosphaturie, sommeil au co
comme à l'état normal, où l'émission des sons est conservée, où la
sensibilité
n'est pas abolie, où le malade, enfin, au lieu
E MENTALE. 97 sommeil : sinon, comment expliquer ces troubles de la
sensibilité
et cette phosphaturie, n'existant que pendant l
anatomique du système nerveux accompagnée d'excès des fonctions de
sensibilité
. Il est diminué ou épuisé : dans la névrite mul
très im- portant pour nous à éclaircir. Les hallucinations de la
sensibilité
générale sont très fréquentes, tous les auteurs
quelques hypochondriaques plus tard persécutés, les troubles de la
sensibilité
précèdent le délire de persécution proprement d
de la prédominance dans un sexe ou dans l'autre des troubles de la
sensibilité
générale. Coexistent-ils avec les idées ambitie
mmunes, impul- sions ou phénomènes d'inhibition, les troubles de la
sensibilité
profonde et viscérale sont aussi très marqués :
suite d'un ictus, présenta de la paralysie de la motilité et de la
sensibilité
dans la moitié gauche du corps, avec amaurose d
ui, parties de ce lobe, vont à la capsule interne. M.KREUSER. De la
sensibilité
à la pressiondes sutures craniennes.- Chez la p
s. Chez les malades atteints d'affections cérébrales chroniques, la
sensibilité
des sutures est plus fréquemment émoussée que c
, chez les sujets affectés de processus intra-craniens aigus, cette
sensibilité
est exagérée, elle atteint même le degré d'une do
phaliques, en les rattachant à des troubles de la circulation. La
sensibilité
spéciale des sutures crâniennes doit être transmi
es, nous invoquerons, à l'appui de cette thèse, l'irradiation de la
sensibilité
douloureuse en sens inverse du trajet des nerfs
puscules de Pacchioni joue peut-être bien un rôle important dans la
sensibilité
en question. Qu'on se rappelle ces observations
moi-même, un rôle dans les symptômes cliniques mis en évidence. La
sensibilité
des sutures servirait alors à diagnostiquer une
régions assez grandes de la peau ne présentent aucun trouble de la
sensibilité
. Le champ visuel est rétréci surtout du haut en
est presque ;aboli.- Au bout de trois semaines, les troubles de la
sensibilité
disparurent, l'ouïe est devenue normale, le champ
bitus vont se former. Les réflexes tendineux sont très exagérés. La
sensibilité
est presque intacte. Toutes les méthodes thérap
part, il a vu chez des hystériques, des modifications stables de la
sensibilité
, à type syringomyélique. Les auteurs français ont
eut des panaris analgésiques avec perte des phalanges tandis que sa
sensibilité
à la douleur est assez vive en ce moment. II.
Trépidation réflexe des deux côtés. Divers degrés de troubles de la
sensibilité
. Thermanesthésie en ja- quette, analgésie consi
tion et conséquemment une dépression de l'énergie motrice. et de la
sensibilité
,- un ralentissement des pro- cessus nerveux et
partie du thorax, une anesthésie dis- sociée de telle sorte que, la
sensibilité
tactile étant parfaitement conservée, les sensa
épète, il n'avait jamais éprouvé aucune gêne, aucun trouble de la
sensibilité
dans l'accomplissement des fonctions de ce memb
la coloration, ni de la température du membre, aucun trouble de la
sensibilité
. Les muscles atrophiés sont le siège de contrac
yélites diffuses déterminent généra- lement quelques troubles de la
sensibilité
; or, il n'est pas question de cela chez noire m
aut donc en venir aux affections spinales silencieuses quant à la
sensibilité
, mais se traduisant à la fois par de l'a- troph
as de troubles du côté des sphincters. Pas de troubles oculaires.
Sensibilité
. La sensibilité de la peau et des muqueuses est
du côté des sphincters. Pas de troubles oculaires. Sensibilité. La
sensibilité
de la peau et des muqueuses est partout intacte
teurs attribuent le symptôme de Rom- berg aux divers troubles de la
sensibilité
, à l'anesthésie. Je n'ai pas besoin d'insister
tiques sont de ce nombre. Par contre, il y a des personnes avec une
sensibilité
tout à fait normale qui cependant le présentent
ile; ils man- quent, quel que soit le degré de l'ataxie, lorsque la
sensibilité
est intacte. » Vulpian admet aussi cette théori
51. 184 CLINIQUE NERVEUSE. même toute l'ataxie aux troubles de la
sensibilité
. J'en dirai autant pour Erb qui se rallie encor
ne observation d'ataxie locomotrice avec « intégrité parfaite de la
sensibilité
musculaire, articulaire et cutanée » ; ccpendan
s cas, le signe de Romberg peut exister sans trouble objectif de la
sensibilité
. Seulement comme il ne veut malgré cela abandon
est le premier et le plus léger symptôme d'une diminution de cette
sensibilité
musculaire qu'aucune autre manifestation ne déc
utôt un peu petite, symétrique, mais un peu tournée vers la gauche.
Sensibilité
réflexe du voile du palais conservée. Voûte pal
bourdonnement que dans l'organe altéré ; beaucoup de sourds ont une
sensibilité
exagérée au bruit. Quant à l'hypéresthésie nerv
assereau, le droit est légèrement moins volumineux que le gauche.
Sensibilité
générale au tact, à la douleur, à la température
jets qu'on lui indique sans hésitation et est nettement droitier.
Sensibilité
à la piqûre normale sur lous les points explorés.
nale spasmodique), presque toujours liée à de légers troubles de la
sensibilité
et de la vessie (J. Ross Seeligmuller Rumpf). M
ce membre se cyanosait, devenait douloureux et oedémateux; puis, la
sensibilité
du membre diminuait, et le triceps fémoral étai
men des individus, M. Hoche a trouvé ce qui suit : Le minimum de la
sensibilité
lumineuse galvanique se montre dans les yeux sa
très sensibles, ce qui prouve qu'il y a chez eux exagération de la
sensibilité
des surfaces senso- rielles centrales et non de
tant atteint d'anomalies de la réfraction. L'âge parait diminuer la
sensibilité
galvanique. Chez la plupart des sujets, la prem
à la pression. Intégrité constante des sphincters. Intégrité de la
sensibilité
. Toujours chez tous les malades, marche symétri
M. FREUND présente des schémas destinés à enregistrer l'état de la
sensibilité
. On les trouve chez Hirschwald, de Berlin. M. H
muscles; l'enfant remuait les bras, et il n'y avait pas de perte de
sensibilité
ni rien de ce genre. Le cas avait été examiné p
est conservée, caractere diagnostique important; les troubles de la
sensibilité
sont très fréquents; tandis que les réflexes cu
conde les attitudes n'obéiraient à aucune loi. Les trou- bles de la
sensibilité
presque constants dans la première et modi- fia
s du système nerveux se réduisent en der- nière analyse : motilité,
sensibilité
, intelligence et trophicité; on a les dysbasies
t dans la paralysie radiale vulgaire. Seulement ici, c'est total.
Sensibilité
. Elle est intacte dans tous ses modes. Le contact
eule région dans le membre supérieur malade ou dans l'épaule, où la
sensibilité
présente une altération quel- conque. Le malade
eux enlevé. L'os s'est reformé et il est soudé à l'acromion. Pas de
sensibilité
spéciale de cette région. La sensibilité y est no
soudé à l'acromion. Pas de sensibilité spéciale de cette région. La
sensibilité
y est normale comme partout ailleurs. i , 1 R
pied. La marche est parfaite. , , 17 février. Nouvel examen : de la
sensibilité
, elle est intacte partout et en particulier dan
pulsation. Le malade ne présente aucun point hystérogène, pas de
sensibilité
testiculaire. ? Sens spéciaux. C»il. Pas de dif
à fait singulier chez notre malade est l'absence de troubles de la
sensibilité
dans le membre paralysé. C'est un fait extraord
ans les cas semblables de monoplégie hystérique '. Non seulement la
sensibilité
de la peau est conservée dans tous ses modes, m
et simplement, la paralysie motrice du membre sans rien dire de la
sensibilité
. J'ignore, quant à présent, ce qui adviendrait
, nous avons obtenu la perte du mouvement mais aussi la perte de la
sensibilité
. Il s'agis- sait'd'une femme chez laquelle on n
. 259, 275.) 1 330 CLINIQUE NERVEUSE. tôt à des altérations de la
sensibilité
, anesthésie ou hyperesthésie, tantôt à des trou
HYSTÉRIQUE. 331 L et de l'épaule pour l'extension et la flexion. La
sensibilité
est abolie dans tous les modes, depuis l'extrém
service, le malade pré- sentait encore une notable diminution de la
sensibilité
dans le membre paralysé, aujourd'hui il y a peu
embre paralysé, aujourd'hui il y a peu de troubles manifestes de la
sensibilité
. Absence du réflexe pharyngien. Perte de l'odor
utée. Enfin le malade a pu serrer le dynamomètre. A ce moment, la
sensibilité
revient sur la main et les doigts, il reste seule
QUE. 333 10 mars. - Le mouvement du poignet est commencé, mais la
sensibilité
n'est pas encore tout à fait rétablie. 18. Il a
la mesure des circonférences du bras : 338 CLINIQUE NERVEUSE. La
sensibilité
pharyngée est abolie. L'ouïe, l'odorat et le go
n ne paraît pas trop gênée. Il en est de même de la digestion. La
sensibilité
ne présente aucun trouble. Quant à l'intelligence
r les mouve- ments des membres inférieurs. Toutes les espèces de la
sensibilité
cutanée sur la tête, les extrémités supérieures
her était émoussé et celui de la douleur, de la tempéra- ture et la
sensibilité
faradique manquaient complètement. Les limites
p : le malade se réveille un matin sans éprouver le tremblement, la
sensibilité
se rétablit; il n'éprouve qu'une sen- sation d'
, débilité mentale, - Les idiots ne paraissent pas avoir une grande
sensibilité
, mais deux débiles hystériques reconnurent très
tante dans la maladie de Friedreich. Les réflexes son nor- maux. La
sensibilité
est partout conservée sauf aux membres infé- ri
sibilité est partout conservée sauf aux membres infé- rieurs, où la
sensibilité
au chaud et au froid paraissent se confondre. L
igue n'apparaît. Les hallu- cinations de la vue sont fréquentes. La
sensibilité
générale est altérée. La fonction génitale est
impossible de nier que bien des discussions sur les troubles de la
sensibilité
, sur les suggestions, sur les som- nambulismcs
ents, les troubles du langage, les convulsions et les lésions de la
sensibilité
. It faut-remarquer toutefois que l'état de déme
frant des symptômes spinaux caractéristiques, tels que parésie avec
sensibilité
normale exagération des réflexes tendineux, aug
la persistance d'idées délirantes fixes, sans trouble du côté de la
sensibilité
morale, ne constitue pas le fond même de la fol
IL comme sédatif, par Carlyle Johnstone, 456. Sutures crâniennes,
sensibilité
des , par Kreuser, 127. Syphilis du système n
le hasard et aussi un peu la pente naturelle de nos recherches sur la
sensibilité
des hystériques nous conduisirent, sous les auspi
organiques ; 3° Les troubles de la inutilité ; 4° Les troubles de la
sensibilité
. 1. On avait constaté, huit jours auparavant, l
ité. 1. On avait constaté, huit jours auparavant, l'intégrité de la
sensibilité
. PRODROMES Agitation et contractures o pa
ncore abolie, les pupilles insensibles à la lumière. Ce re-tour de la
sensibilité
qui gagnait progressivement de la périphérie au c
Le 5 au matin éclatent les grandes attaques. § 4. — TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
L'anesthésie totale, ou le plus souvent d'une m
lacée par de l'anesthésie quand celles-ci devenaient imminentes. La
sensibilité
spéciale est également affectée, et du môme côté
a sensibilité spéciale est également affectée, et du môme côté que la
sensibilité
générale, dont elle partage le sort. Les deux sen
quelconque puisse intéresser l'un des sens, sans que la peau perde sa
sensibilité
. Cette considération ferait rentrer dans le cadre
du corps anesthésiée, ramenait infailliblement en quelques minutes la
sensibilité
au point de contact. Dans la tentative faite peu
plète à droite, la main droite peut à peine serrer. Du côté gauche la
sensibilité
existe à un faible degré ; la main gauche, tout e
sthésie, près du bord gauche du sternum, et sur ce point seulement la
sensibilité
à la piqûre persiste. Les zones hystérogènes ne
y a toujours hallucination. 3° Pendant l'attitude passionnelle, la
sensibilité
générale et spé-ciale est complètement abolie, ma
ux leur origine dans des troubles de l'intelligence (délire) et de la
sensibilité
(hallucina-tions, illusions), la troisième et la
nécessaire pour les calmer. Cependant elle accuse toujours une grande
sensibilité
au genou, le plus léger contact lui arrache des c
thésié. Ces applications devenaient très douloureuses à mesure que la
sensibilité
reve-nait. Mlle X... prit la résolution d'aller e
ir sur l'articulation fraîchement délivrée. On reprit les douches. La
sensibilité
de la jambe était revenue. Mais la légère atrophi
muscles de la région buccale et semblant correspondre avec l'excès de
sensibilité
de l'ovaire droit. D'autres fois la phase cloni
lation coxo-fémoralë, où, nous l'avons dit, se trouve un îlot dont la
sensibilité
est exagérée (hyperesthésie). Il y a cependant de
alors dix-neuf ans. Une complexion délicate, une vie sé-dentaire, une
sensibilité
vive, des émotions fréquentes, ressenties pendant
ants.Xes courts instants de rémission étaient mar-qués par une grande
sensibilité
. Elle embrassait sa mère et la caressait ten-drem
ir la bouche, tantôt celle de la fermer; enfin la perte entière de la
sensibilité
et la mort apparente. La respiration n'était plus
ris, 1805, n° 540. Les facultés intellectuelles sont suspendues, la
sensibilité
est notablement diminuée, les mouvements convulsi
nt livide, l'écume paraît à la bouche, la perte de connaissance et de
sensibilité
est absolue; puis la pros-tration sans ronflement
bril-laire des muscles de la face; perte absolue de connaisance et de
sensibilité
. Ensuite secousses cloniques rares, puis résoluti
nt toutes les périodes de l'attaque. Inutile d'ajouter que toutes les
sensibilités
sont abolies. Il faut en excepter une, la sensibi
que toutes les sensibilités sont abolies. Il faut en excepter une, la
sensibilité
à la région ovarique ; nous y reviendrons dans un
core pouvoir ouvrir les yeux, elle reprend lentement connaissance. Sa
sensibilité
revient peu à peu, ses contractions disparaissent
gauches, tandis que le côté droit était pris de raideur tétanique. La
sensibilité
générale et l'exci-tabilité réflexe étaient aboli
on vers le bas-ventre, qui devenait dur comme une planche; une grande
sensibilité
à la région hypogastrique, un sentiment de sulTuc
leur. Parfois cependant les extrémités deviennent l'roides. Plus la
sensibilité
générale ou spéciale s'émousse, plus l'idée-image
ans son Traité de Fexpé-rience, parle d'une dame douée de beaucoup de
sensibilité
et de tendresse, qui éprouva dans sa jeunesse des
ns, 84 pulsations. » Nous essayons à ce moment de voir où en est la
sensibilité
cutanée. Elle est absolument abolie. Ni pincement
ge pas, n'a pas un tressaillement, ce qui prouve à l'évidence, que la
sensibilité
cutanée et la sensibilité musculaire sont tout à
llement, ce qui prouve à l'évidence, que la sensibilité cutanée et la
sensibilité
musculaire sont tout à fait anéanties. « 1 h. 5
angue. La circulation et la respiration demeuraient normales; mais la
sensibilité
générale était complètement anéantie. A différent
itement au mo-ment précis où cessait la pression. Ce n'était point la
sensibilité
spéciale à l'organe qui était enjeu, mais bien un
sie persiste toujours, totale et complète. Nous avons interrogé les
sensibilités
spéciales (œil, nez, ouïe) sans relever aucun tro
veux se manifestèrent, et, depuis lors, ne firent que s'ag-graver. La
sensibilité
générale était exaltée au point qu'une lumière un
impressionnée va d'abord au cen-tre nerveux par la voie des nerfs de
sensibilité
, puis du centre nerveux aux organes du mouvement
des grandes épingles qui servent habituellement à l'exploration de la
sensibilité
. Aussitôt qu'elle l'a reconnue, qu'elle la saisis
raissent au gré de l'observateur, sans changer en rien l'état de la
sensibilité
ou de la motilité. Pendant tout ce temps les ye
présente tous les signes de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. La
sensibilité
à la piqûre est abolie aussi bien à la peau qu'au
. psych., 1858, p. 222). Je rapporterai plus loin quelques faits de
sensibilité
élective qui ont quelques ana-logies avec l'obser
celui de la rue, le moindre son enfin, paraît affecter cruellement la
sensibilité
de l'ouïe; un contact ordinaire amène une certain
les mêmes circonstances que celles dans lesquelles se déve-loppent la
sensibilité
cutanée spéciale. 8° Pas de transformation poss
n. L'intelligence est [plus éveillée, et, servie par des sens dont la
sensibilité
est parfois ^exaltée, elle accomplit alors des ac
des piqûres qui devenaient le siège d'un peu d'urticaire; de fait, la
sensibilité
était revenue sur toute la surface du corps. 7)
rmés ou couverts) ; toujours la malade revint à elle et recouvrait la
sensibilité
dès que, les yeux restant fermés, on retirait l'a
ont formées, la malade a ressenti une céphalalgie intense, une grande
sensibilité
et irritabilité, peu de sommeil, convulsions géné
ûlée, ni ammoniaque, ni piqûres, ne purent nous donner aucun signe de
sensibilité
: le galvanisme fut employé sans que la malade mo
roit, elle fait à chaque piqûre un léger mouvement qui indique que la
sensibilité
n'est pas complètement abolie de ce côté. La conj
tour à tour. L'insensibilité à la piqûre est générale et complète. La
sensibilité
spéciale persiste à un certain degré, à droite; d
à garder. L'anesthésie est générale et complète, elle intéresse la
sensibilité
générale aussi bien que tous les sens. L'œil droi
ésie cutanée est totale. La conjonctive oculaire conserve un peu de
sensibilité
. Quand on la touche du bout du doigt, les paupièr
es. Le 21. Encore un peu de somnolence. Mais la vue s'éclaircit, la
sensibilité
commence à apparaître. Le 22. id. Le 23. La m
es faits qui nous intéressent particulièrement. L'exploration de la
sensibilité
faite avec soin permit de constater qu'elle était
ieures du tronc, les gouttières vertébrales, étaient aussi privées de
sensibilité
; un seul point très limité, situé entre les cinqu
ment, est si pénible qu'elle essaye toujours de s'y soustraire.) La
sensibilité
était abolie sur les muqueuses de tous les organe
pille très dilatée, pas de clignotement; le pouls calme, régulier; la
sensibilité
complè-tement abolie. Pas de réponse ni d'attenti
t de vinaigre) et de plus anesthésie profonde de la peau, perte de la
sensibilité
tactile, thermique et musculaire, anesthésie comp
les sens paraissent abolis. 10 h. 15 minutes. —La scène change, la
sensibilité
est exquise. La ma-lade se parle à elle-même très
aise, palpita-tions, boule, perte apparente de la connaissance et des
sensibilités
, cris : «Ma-man ! » maman ! y convulsions très fo
ard fixe et hébété, à pupille dilatée et immobile. La vue, l'ouïe, la
sensibilité
paraissent abolies. » Enfin la reprise du trait
mandine H... se retourne dans son lit comme une personne qui rêve; la
sensibilité
, quelquefois abolie, est toujours très émoussée;
endant ce sommeil, les yeux sont convulsés, ren-versés en arrière. La
sensibilité
intacte pendant la veille se trouve an-nulée. y
, elles donnent un dépôt albu-mineux de la moitié environ du tube. La
sensibilité
est exaltée partout au simple contact et au pince
nsées. 3° Erreur sur le temps ou l'espace. 4° Développement de la
sensibilité
de l'ouïe. Soldées fixes et conceptions déliran
de symptômes permanents. Ils consistent en des troubles divers de la
sensibilité
(anesthésie,hyperesthésie...), delà motilité (par
ux chapitres; dans l'un je rangerai ce qui a trait aux troubles de la
sensibilité
, et dans l'autre ce qui se rapporte aux troubles
ielle prononcée ne s'accompagner que d'un léger affaiblissement de la
sensibilité
générale. L'anesthésie sensitive en effet peut
ter à des degrés très dif-férents, depuis une diminution légère de la
sensibilité
jusqu'à sa disparition complète. On désigne habit
bituellement sous le nom d'a-nalgésie un premier degré de perte de la
sensibilité
, dans lequel la sensation au pincement ou à la pi
nces faites au laboratoire de la Salpêtrière au sujet du retour de la
sensibilité
sous l'influence d'agents divers, nous avons vu l
vu la coloration du membre ne suivre en aucune façon la marche de la
sensibilité
. Quel que soit le degré de l'anesthésie, les ma
ronc d'un seul côté sont simultanément atteints. Tous les modes de la
sensibilité
RICHER. 34 commune sont affectés : sensibilit
us les modes de la sensibilité RICHER. 34 commune sont affectés :
sensibilité
au tact, à la douleur, à la température. Les or
orps frappée la pre-mière d'insensibilité. Parmi les troubles de la
sensibilité
spéciale, les altérations de l'organe de la visio
certains cas, exister indépendamment de toute autre altération de la
sensibilité
générale ou spéciale; l'on conçoit qu'il faille l
un phénomène du plus heureux augure Cette mobilité des troubles de la
sensibilité
pouvait faire prévoii la facilité avec laquelle c
compréhension plus vaste. Ces mêmes agents, en effet, qui ramènent la
sensibilité
, peuvent dans des circon-stances spéciales produi
produire l'anesthésie : de plus, ils ne se bornent pas à agir sur la
sensibilité
, mais ils intéressent également — parfois au même
oint limité du tégument ont, entre les mains de M. Vulpian, ramené la
sensibilité
dans certains cas d'anesthésie d'origine cérébral
e sont pas plus perçues qu'auparavant. Un peu plus tard cette zone de
sensibilité
s'est étendue, et dans les cas extrêmes, il peut
ercurielle d'un thermomètre tenu dans la main s'élève à mesure que la
sensibilité
reparaît, et peut monter de plusieurs degrés. Ce
e, est liée à la disparition simultanée de l'une ou l'autre espèce de
sensibilité
, dans une étendue égale de la région symé-trique
nesthésie revient au côté gauche, laissant le côté droit recouvrer sa
sensibilité
, et rétablissant en somme les chosesdanslemême ét
pas, comme dans nos cas, entre l'anes-thésie complète d'un côté et la
sensibilité
d'un autre côté. C'est un phénomène plus délicat
nutieux à observer. Il ne s'agit que de différences de degrés dans la
sensibilité
. ^Si la sensibilité augmente d'un côté, elle di
ne s'agit que de différences de degrés dans la sensibilité. ^Si la
sensibilité
augmente d'un côté, elle diminue au même moment d
cet auteur : Sur deux points symé-triques des avant-bras on mesura la
sensibilité
avec le compas. On constata qu'à Comme le trans
oscillations surviennent avec une régularité qui ne se dément pas; la
sensibilité
ne quitte un des côtés du corps que pour envahir
as gauche, une application d'essence de moutarde. L'exploration de la
sensibilité
faite aussitôt, montra qu'à gauche, les deux poin
istantes de 3 centimètres 8 dixièmes. Mais cette augmentation de la
sensibilité
du côté droit ne fut également que passagère, et
ant quelques minutes, et toujours il fut constaté que pen-dant que la
sensibilité
augmentait d'un côté, elle diminuait de l'autre.
d'un côté, elle diminuait de l'autre. Peu à peu les différences de la
sensibilité
de l'un et de l'autre côté diminuèrent et bientôt
bre de sujets et toujours avec le même résultat. L'augmentation de la
sensibilité
d'un côté correspondait toujours à une diminution
a sensibilité d'un côté correspondait toujours à une diminution de la
sensibilité
de l'autre côté, et le retour à l'état normal s'e
e d'une série d'oscillations entre l'élévation et la diminution de la
sensibilité
. En général, un côté gagnait exactement ce que l'
rde. 11 y avait alors, aussitôt l'application faite, diminution de la
sensibilité
sur le point de l'application, et en même temps a
e autre maladie aux lois qui régissent la patho-logie tout entière.
sensibilité
oscille bien d'un côté à l'autre du corps, mais,
ain nombre d'observations détaillées dans les-quelles la marche de la
sensibilité
sous l'influence des applications aimantées a été
ée ou maintenue. IV. — Les oscillations existent aussi bien pour la
sensibilité
spéciale que pour la sensibilité générale. V. —
llations existent aussi bien pour la sensibilité spéciale que pour la
sensibilité
générale. V. — La rapidité, la durée, le nombre
scillations sont terminées, la malade de-meure, au point de vue de la
sensibilité
, dans un état de stabilité relative qui peut dure
observé trois variétés : 1" La malade recouvre pour quelque temps la
sensibilité
totale ; 2" la malade demeure en état de transfer
M AT 0 P S 1 E HYSTÉRIQUE Les agents aesthésiogènes agissent sur la
sensibilité
spéciale de la même façon que sur la sensibilité
ènes agissent sur la sensibilité spéciale de la même façon que sur la
sensibilité
générale. Sous leur influence les organes des sen
alade distingue parfaitement toutes les couleurs des deux yeux, et la
sensibilité
cutanée s'est généralisée. Elle n'est plus ni ane
t nos autres observations publiées dans le Progrès. le retour de la
sensibilité
ordinairement momentané peut être rendu définitif
ue soit l'agent œsthésiogène sous l'influence duquel le re-tour de la
sensibilité
se soit effectué, il suffit, pour immobiliser le
t, pour immobiliser le phénomène et rendre persistant ce retour de la
sensibilité
, de maintenir en contact avec la peau redevenue s
in, on voit se pro-duire l'anesthésie au lieu de l'application, et la
sensibilité
revient en même temps au point symétrique, du côt
mpérature et la force musculaire sont intéressés en même temps que la
sensibilité
générale et de la même façon que précédemment.
. Mais aus-sitôt que l'on cesse l'apphcation, on voit réapparaître la
sensibilité
normale dans toutes les parties du corps et cela
à laquelle un traitement convenablement conduit aurait rendu toute sa
sensibilité
. l'IMPRES SIONNABILITÉ AUX AGENTS .«STIIÉSIOGÈN
appréciables, d'émotions vives par exemple. Chez une même malade la
sensibilité
métallique ne change pas d'ordinaire; on a vu cep
ique (saturnisme, alcooHsme...), les agents œsthésiogènes ramènent la
sensibilité
delà même façon que dans les anesthésies hystériq
-niques le phénomène du transfert n'a pas lieu généralement et que la
sensibilité
, une fois ramenée sous l'influence de l'agent œst
b) L'influence des agents œsthésiogènes et le mode du retour de la
sensibilité
sous leur action plaident en faveur de l'origine
e hystérique. Je rappellerai l'éclosion simul-tanée des phénomènes de
sensibilité
sur plusieurs points symétri-ques de la surface d
nente hystérique s'accompagne toujours d'un trouble dans l'état de la
sensibilité
. Le plus souvent, le membre contracture est en mê
énomène que l'on a désigné, par analogie avec ce qui se passe pour la
sensibilité
, sous le nom de transfert de la contrac-ture, se
es pour laisser peu de place à la fantai-sie. Le mode de retour de la
sensibilité
, le transfert, les oscillations consécutives, l'a
ui survient à ce moment et dure tout le temps de l'accès s'étend à la
sensibilité
spéciale. Nous savons que les inhalations d'ammon
erte de connaissance, et aux variétés de l'attaque dans lesquelles la
sensibilité
spéciale persiste quelquefois, comme dans la cata
us efficace. 1" Anesthésie cutanée et sensorielle. — La perte de la
sensibilité
, dans ces divers degrés est un des symptômes les
e plus habituellement : après quelques mi-nutes la distribution de la
sensibilité
se modifie spontanément et si on l'in-terroge de
nesthésie acquise a disparu, mais sans compensation celte fois, et la
sensibilité
générale et spéciale est normale partout. La mala
hésie qui par transfert ou pour mieux dire par compensation ramène la
sensibilité
dans une région symétriquement placée de l'autre
ts que dans l'expérience précédente. En un mot la réappa-rition de la
sensibilité
se généralise en suivant exactement la marche ind
apparais sent du côté de l'application, correspondent des plaques de
sensibilité
dans les régions symétriques du côté insensible.
fait très fréquent et facile à constater est l'existence propre delà
sensibilité
cutanée électrique. On voit des sujets percevoir
insensibles à toute autre excitation. Quelquefois le réveil de cette
sensibilité
électro-culanée sur toute la surface du corps est
ifférent des deux côtés du corps. Seulement ici c'est le retour de la
sensibilité
qui est le phénomène primitif et c'est l'anesthés
est générale comme dans le bain élec-trique ou le grand diapason, la
sensibilité
le plus souvent se généralise après une première
ormément. L'amblyopie a persisté quelques temps après le retour de la
sensibilité
générale. Dans la marche régulière des phénomèn
rve dans les formes les mieux caractérisées de la grande hystérie, la
sensibilité
récupérée persiste pendant un temps très variable
'on est étonné de ne pas obtenir chez une malade la restitution de la
sensibilité
qui les jours précédents se faisait rapidement. C
t la conclusion la plus importante de ce qui précède, à mesure que la
sensibilité
et les fonctions organiques s'améliorent, les att
-épileptiques du service de M. Charcot, l'influence du maintien de la
sensibilité
sur l'éloignement des attaques et cela dans des
emmes, affectées de névropathies indécises, mais sans troubles dte la
sensibilité
, acquérir, après une ou plusieurs séances, une hé
se-cousses, contracture de l'œsophage, attaques convulsives) et de la
sensibilité
(anesthésie, hyperesthésie). Au sujet de ce qui
qu'aussitôt. » Il ne paraît donc point qu'il y ait ici lésion de la
sensibilité
génitale; aussi il a'a jamais été question d'incu
plus. » {Ibid., p. 56.) Chez les possédées de Morzines l'état de la
sensibilité
était à peu près nor-mal dans l'intervalle des cr
ras, dans le dos. « La muqueuse nasale, les lèvres, conservent leur
sensibilité
; la barbe d'une plume promenée sur ces parties, l
ent cessé de voir ni d'entendre et n'ont pas perdu entière-ment foute
sensibilité
, et quoique leurs membres devinssent fort raides
e la catalepsie partielle, soit de la raideur généralisée. Quant à la
sensibilité
cutanée, elle est perdue pendant tout le cours de
vec soin, l'état de l'innervation, et spécialement la moti-lité et la
sensibilité
. Au palper, les muscles de la face, des membres e
te réserve est nécessaire : il y a en effet un point du corps oiji la
sensibilité
persiste à un faible degré, c'est la conjonctive.
motilité..................................... § 4. — Troubles de la
sensibilité
................................... '^f^ .Vura h
ésiogènes sur l'achromatopsie hystérique....... 540 Le retour de la
sensibilité
ordinairement momentané peut être rendu dé-finiti
On le pince, on le pique, on le secoue, sans éveiller une ombre de
sensibilité
. Nous le faisons soulever, le dos appuyé sur le
currence, surtout dans les formes moins accentuées. La raison, la
sensibilité
, les sentiments naturels semblent renaître avec
au premier temps et à la pointe; batte- ments du coeur réguliers.
Sensibilité
générale normale et égale des deux côtés du corps
tait complète; mais on ne peut savoir s'il y eut des troubles de la
sensibilité
. Au bout de peu de jours, les mouvements revinr
e au membre supérieur gauche qui parait complète- ment intact. La
sensibilité
au contact, à la douleur, à la température, sont
ur, à la température, sont intacts sur toute l'étendue du corps. La
sensibilité
à la pression est peut-être diminuée à droite.
'il.3. REVUE CRITIQUE LE FAISCEAU SENSITIF ET LES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
DANS LES CAS DE LÉSIONS CÉRÉBRALES; Par Gilbe
omiques et cliniques sur le faisceau sensitif et les troubles de la
sensibilité
dans les lésions du cerveau. Paris, 1881. II.
dans les lésions du cerveau. Paris, 1881. II. DES troubles DE la
sensibilité
dans leurs rapports avec les v LÉSIONS DE LA CA
adies du système nerveux, 1872. z Magnan, De l'hémianesthésie de la
sensibilité
générale et des sens dans l'alcoolisme chroniqu
ésie d'origine cérébrale. Paris, < 877. III. DES tiioubles DE la
SENSIBILITÉ
D1NS leurs rapports avec les lésions du centre
sous leur véritable point de vue. La question des troubles de la
sensibilité
dans leurs rapports avec les lésions du cerveau
nts auteurs sur le rôle quejoue- raient, à l'égard des fonctions de
sensibilité
, la protubérance (Gordy, Longet, Vulpian) ou la
nt la conductibilité centri- pète amener l'abolition complète de la
sensibilité
dans le côté du corps opposé. Ce qui revient à
ies à la périphérie par les nerfs de · DU FAISCEAU SENSITIF. 71 1
sensibilité
générale ou spéciale arrivent à la moelle par les
est alors constitué au complet; il renferme toutes les fibres de la
sensibilité
générale ou spéciale. (Carrefour sen- sitif.)
tomiques pour les be- soins de la cause. II. DES TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
CONSÉCUTIFS AUX DIVERSES LÉSIONS DU FAISCEAU SE
mes efforcé de l'établir. En somme la perte totale des fonctions de
sensibilité
, dévo- lues à un hémisphère, ne saurait s'obser
cette hypothèse, il y aurait un centre pour la 78 REVUE CRITIQUE.
sensibilité
tactile, un autre pour la vue, pour l'ouïe, etc.)
nerveuses centripètes, après leur sortie de la capsule (fibres des
sensibilités
communes et spéciales), s'en- chevêtrent et vie
ez le singe. Entrons dans quelques détails. A. Des troubles de la
sensibilité
dans leurs rapports avec les lésions de la caps
ne conçoit pas, en effet, la pos- sibilité du rétablissement de la
sensibilité
, avec une destruction complète des fibres sensi
ives, au niveau du carrefour. Il est né- cessaire d'admettre, si la
sensibilité
reparait sous l'influence des oesthésiogènes, o
cas dans lesquels on a noté d'une façon positive l'abolition de la
sensibilité
commune, avec intégrité des sensibilités spé- 8
positive l'abolition de la sensibilité commune, avec intégrité des
sensibilités
spé- 80 REVUE CRITIQUE. ciales '. Trois de ce
usieurs sens, eussent révélé une légère différence entre l'état des
sensibilités
spéciales du côté sain et du côté malade. On co
ne abolition complète ou à peu près complète de celle des fibres de
sensibilité
commune, alors que tous les conducteurs centripèt
dont il s'agit, qu'on, peut constater une abolition complète de la
sensibilité
géné- rale coïncidant avec une intégrité au moi
ège constant, en supposant que les con- ducteurs des impressions de
sensibilité
commune cheminent dans la partie externe de la
on arrive à cette con- clusion que toutes les fibres préposées à la
sensibilité
spéciale se rapprochent des expansions optiques
ans y insister toutefois, la possibilité de troubles profonds de la
sensibilité
générale, sans altération de la sensibilité spé
troubles profonds de la sensibilité générale, sans altération de la
sensibilité
spéciale, dans le cas de lésion capsulaire, inv
bilatérale dans 6 82 REVUE CRITIQUE. chaque hémisphère, pour la
sensibilité
tactile, qu'il n'y en a pour les autres formes
ur la sensibilité tactile, qu'il n'y en a pour les autres formes de
sensibilité
. La plus ou moins grande facilité des suppléanc
en confir- mer ou à en infirmer la valeur. B.-Des troubles de la
sensibilité
dans leurs rapports avec les lésions du centre
st un trouble complexe bien différent des simples altérations de la
sensibilité
spéciale. La cécité et la. surdité des mots, ne
ent évoluer sans s'accompagner de troubles, au moins marqués, de la
sensibilité
spéciale, ce qui revient à dire qu'en cas de lé
ns qui précèdent s'appliquent, dans notre pen- sée, aussi bien à la
sensibilité
commune qu'aux sensibilités spé- ciales. Munk e
nt, dans notre pen- sée, aussi bien à la sensibilité commune qu'aux
sensibilités
spé- ciales. Munk et Schiff d'abord, R. Tripier
nscrits et isolés affectés à l'élaboration des formes variées de la
sensibilité
. Est-ce à dire que, au point de vue des percept
arquée sur les sens en question. Nous-même, nous avons admis que la
sensibilité
tactile était plus fréquemment troublée à la su
cune isolément, dé- truites, sans qu'il s'ensuive de troubles de la
sensibilité
géné- rale et spéciale. Les anesthésies tacti
Ces observations ne disent malheureusement rien de précis sur la
sensibilité
générale et spéciale des malades. Rapprochant c
ces phénomènes sous le nom baroque de sinapiscopie. Le retour delà
sensibilité
dans le côté anesthésique sous l'influence de l
nsi la sensi- bilité douloureuse revenait toujours, mais jamais lia
sensibilité
thermique. Ces recherches, faites avec le conco
vec le concours du Dr Adler chez l'homme sain, ont démontré que les
sensibilités
tactile et douloureuse s'exagèrent à l'endroit
es sensations anormales seraient l'équivalent de la perte totale de
sensibilité
du début de l'accès complet. Un premier degré q
es proportions de fréquence qu'en ce qui a trait aux troubles de la
sensibilité
postparoxystiques. Ce sont juste- ment ces pert
ieurs, absolument comme dans le tabes classique. V. Du côté de la
sensibilité
, on observe les troubles les plus variés, tels
ec complication de méningite. Cinq à six jours après l'accident, la
sensibilité
est extrême dans tous les membres et au tronc :
tribution à l'élude des oscillations spontanées et provoquées de la
sensibilité
dans Vhémiancslliésie. Brochure in-8" de 31 pag
s, deuxième examen. Un transfert s'est produit depuis la veille; la
sensibilité
est revenue à gauche complète- ment dans le mem
membre inférieur; du côté opposé anesthésie ou simple diminution de
sensibilité
dans les points symétriques. Les résultats four
t vrai qu'il existait seule- ment à gauche une légère diminution de
sensibilité
; sans trouble visuel. En réalité, ce n'était pa
ductibilité a été partout constatée chez la dernière malade dont la
sensibilité
était à peine diminuée du côté gauche. Tels s
iques; il ne semble pas qu'il y ait en eux ce trouble profond de la
sensibilité
morale que Griesin- ger considère comme l'éléme
hypochondriaque de négation est souvent lié à des altérations de la
sensibilité
. L'anesthésie est fréquente dans la stupeur où
e me faites pas de mal ! » Dans quelle mesure ces altérations de la
sensibilité
concourent-elles au développement du délire hyp
versement de leur esprit. Us voient leur carac- tère s'aigrir, leur
sensibilité
et leurs instincts se per- vertir, en même temp
oins persistante, sa va- leur diagnostique. - - 3° Troubles de la
sensibilité
. Il peut y avoir intégrité des sensations ou an
La céphalalgie est assez fréquente et précoce. 4° Troubles de la
sensibilité
spéciale. Ouïe : on a constaté une fois seuleme
s la région du nerf cubital gauche l'expan- sion des troubles de la
sensibilité
auparavant limités à droite. Inanité du traitem
pèce d'une lésion de l'écorce avec les troubles caractéristiques de
sensibilité
et de motilité du côté opposé. Il a, de plus, e
plus pris que la jambe. Elle ne s'accompagne pas de troubles de la
sensibilité
. Cn. F. 1 Arclt. de Netcrol.; t. III, p. 187.
empérature est la même que celle des régions voisines. L'état de la
sensibilité
à leur niveau n'est pas constant; chez une même
et les frictions cutanées ne déterminent pas non plus l'attaque; la
sensibilité
spéciale des zones hystérogenes siège pro- fond
utilations très fré- quents. Homicide plus rare. Troubles de la
sensibilité
. Anesthésie. Hallucinations manquent sou- v
p. lst. Archives, t. IV. 22 . 338 REVUE CRITIQUE. motilité, la
sensibilité
générale et spéciale, les fonctions intel- lect
or et Goodliart n'ont point retrouvé ces lésions. B. Troubles de la
sensibilité
. L'aaesthésie complète est rarement notée dans
dit-il lui-même. D'après les auteurs du Compendium de médecine, la
sensibilité
de la peau devient obtuse ou s'efface complètem
éritables fris- sons de la période de consomption (Trousseau). La
sensibilité
tactile disparaît et le diabétique ne peut tenir
lets de corde à larges mailles. Il n'y a pas que ces troubles de la
sensibilité
, nous le verrons plus loin, qui rappellent ceux
tercostale, pense que celle qui siège à droite, coïncidant avec une
sensibilité
doulou- reuse du foie, pourrait bien dépendre d
es organes des sens, les viscères même offrent des troubles de leur
sensibilité
spéciale. Pour la fréquence et l'importance, il
avec des. caractères par- ticuliers, tels que : conservation de la
sensibilité
de la peau au pourtour, apparition d'escarres e
eurs spontanées, pas de fourmille- ments, ni d'engourdissements. La
sensibilité
au froid est plus grande sur le membre inférieu
tique dans le membre inférieur droit, avec tendance au tremblement,
sensibilité
douloureuse de la peau de ce membre et de la mo
ifférence de température ou de coloration aux mem- bres inférieurs.
Sensibilité
et sens musculaire, normaux à gauche ; diminués
d'anesthésie qui atteint la sixième vertèbre dorsale. Plus haut la
sensibilité
parait normale. A droite, la sensation de fourm
a douleur notablement augmenté, celui de la température normale. La
sensibilité
de la peau au courant galvanique ou faradique é
un point quelconque, on porte toute son attention sur l'état de la
sensibilité
du point symétrique de l'autre côté du corps et
l'articulation de l'épaule de ce côté (inté- grité des modes de la
sensibilité
ordinaire) ; bientôt tuméfaction de la région p
be gauche. Parésie vésicale.,Faibles manifes- tations du côté de la
sensibilité
. Au moment de l'admission, paralysie de la jamb
vec rigidité/Phénomènes tendineux ac- cusés. Troubles modérés de la
sensibilité
. Cystite ; contracture. Accidents du décubitus.
4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des réflexes tendineux. Troubles de
sensibilité
( ? ) dans les extrémités inférieures. En 1878,
res. En 1878, bruit systolique au coeur. En 1880, nul trouble de la
sensibilité
; de temps à autre, tensions musculaires dans l
mmten heilkunde.) Contribution a l'étittie des hallucinations de la
sensibilité
; par H. AnNAL. Thèse de Lyon, 1882. Du délire
cot et Magnan, 296. Sensitif (le faisceau), et les troubles de la
sensibilité
dans les cas de lésions cérébrales, par Ballet,
de l'activité qui exigent une dépense musculaire ; 2 Différence de
sensibilité
; 3° Spécialité fonctionnelle en ce qui concern
deux hommes en moi ». 2° preuve. Toutes nos facultés psychiques,
sensibilité
, volonté, jugement, imagination, etc.,sont à de
ntre chacun d'eux : différence de force musculaire, diffé- rence de
sensibilité
, localisation du langage dans l'hémisphère céré
cés de flexion et d'extension qu'on imprime au membre.Par cnnfre,la
sensibilité
à la piqûre paraît obtuse du côté correspon- da
s dits trophiques que l'on rat- tache généralement à la perte de la
sensibilité
ou à la maladresse des mouvements. On sait, d'a
t des papilles, du nystagmus, de la profusion de l'O. D. De plus,la
sensibilité
de la main droite à la chaleur était lé- gèreme
rement diminuée ainsi que le sens musculaire et la steréognosie. La
sensibilité
au contact et à la douleur était normale. On po
et notamment dans Fa : légèreté et courte durée des troubles de la
sensibilité
, d'après Monakow (Gehimpatho- logie, 1905, et F
F. Muller, les foyers limités à Fa ne donnent pas de troubles de la
sensibilité
. Chez le singe, Brodmann (1905), à vu l'ablatio
l'ablation de Fa ou de Pa suivie des mêmes troubles graves de la
sensibilité
, mais ce résultat, contraire aux vuesde l'A., par
raire aux vuesde l'A., paraît à ce- lui-ci sans valeur parce que la
sensibilité
a été examinée trop tôt (5 et 6 jours) après l'
i servent à la conductitibilité de la réflectivité cutanée et de la
sensibilité
générale. Les deux faits que rapporte l'auteur vi
une abolition de tous les réflexes cutanées avec conservation de la
sensibilité
superficielle et profonde ainsi que des réflexe
es de con- duction différentes pour les réflexes cutanés et pour la
sensibilité
générale, conformément à l'opinion de Fnrannini
OLOGIE NERVEUSE. Domaine du trijumeau gauche : perte complète de la
sensibilité
à la douleur, au chaud et au froid ; conservati
sensibilité à la douleur, au chaud et au froid ; conservation de la
sensibilité
tactile ; portion motrice du nerf intacte. Moit
mblables, l'ataxie coïncidait avec une dis- sociation croisée de la
sensibilité
; la lésion était donc toujours très limitée. D
state la chute des poils et la dissociation syrin- gomyélique de la
sensibilité
. L'amytrophie et les troubles de la sensibilité
gomyélique de la sensibilité. L'amytrophie et les troubles de la
sensibilité
sont en faveur de la syringomyélie, les troubles
litütstaerungen bei Paralysis progressiva incipiens (Troubles de la
sensibilité
au début de la p. g.) ; par J. Prr,TZ,de Cracov
15, p. 690 à 694, 8 sché- mas topographiques, leur août 1906.) La
sensibilité
à la douleur est souvent diminuée dans la paraly-
e valeur diagnostique, car elle est diffuse et, à l'état normal, la
sensibilité
à la douleur est très variable. L'A. aurait obs
ronc il y a même souvent de l'hy- peralgésie ; 2° exagération de la
sensibilité
tactile ou hyperes- thésie dans une zone de là
que les aveugles. Même le doigt lecteur d'un aveugle pré- sente une
sensibilité
tactile moindre que celle de ses autres doigts,
stérie, s'ajoute à ce tableau : c'est une perversion profonde de la
sensibilité
affective, une véritable folie morale. Elle s'ing
tains sujets, dans l'état second ont une mémoire plus complète, une
sensibilité
plus vive, une activité in- tellectuelle plus d
l des malades. Huglius Jackson est le premier qui ait signalé cette
sensibilité
rétinienne exagérée pour certaines couleurs ava
. Camus (de Paris). - Les cénesthopa- Lhies sont des troubles de la
sensibilité
générale, à localisations variées, caractérisée
classer tous les symptômes observés : 1° Groupe des anomalies de la
sensibilité
; 2° Groupe des anoma- lies de la motricité ou
quand il y a le phénomène douleur, ou toute autre exagération de la
sensibilité
, toujours vous trouverez une diminu- tion de la
n de la sensibilité, toujours vous trouverez une diminu- tion de la
sensibilité
dans un autre point du corps, qui se manifes- t
que que nous avons donnée à l'hystérie. Il faut considérer que la
sensibilité
et la force ne sont que des mo- dalités différe
e, peut avoir pour contre-partie une anesthésie, di- minution de la
sensibilité
; une douleur, exagération extrême de la sensib
minution de la sensibilité ; une douleur, exagération extrême de la
sensibilité
, peut avoir pour contre-partie, une paralysie, di
conque que l'on trouve soit dans les organes internes, soit dans la
sensibilité
cutanée du sujet. Si nous considérons l'état ps
aisonnement doivent dominer d'une façon ha- bituelle, tandis que la
sensibilité
, qui s'éveille par l'impression res- sentie, la
n soumet l'hystérique à une exploration suffisamment complète de sa
sensibilité
et de sa force de motri- cité,on trouve toujour
tifs concomitants sont très intenses. Anes- thésie totale, absolue,
sensibilités
superficielles pour le tact, la tem- pérature,
membres inférieurs avec abolition complète de la motricité et de la
sensibilité
, une paralysie des sphincters. Dans la deuxième
en con- servé. La malade se plaignait toujours de douleurs vives.
Sensibilité
objective troublée, hyperesthésie plus marquée
procédé une amé- lioration notable : disparition des troubles de la
sensibilité
, pos- sibilité de la marche. M. SICARD pense
une véritable fonction à laquelle concourent l'intelli- gence et la
sensibilité
,lI. Mairet en dégage, au début de ses con- sidé
-physiologique de ces éléments : intelligence, peur de la punition,
sensibilité
morale,etc. envisagés soit en eux-mêmes, soit p
e de l'éducation dans le développement de l'intelligence et de la
sensibilité
morale. J. BOLET. CORRESPONDANCE Retraites de
nombreuses, quelques hallucinations auditives, des trou- bles de la
sensibilité
générale. L'exemple de Marie Forel n'a pas été
les sensoriels, le délire reste à prédominance in- tellectuelle. La
sensibilité
profonde n'y entre pas en jeu, il n'y a au- cun
dominance intellectuelle, de la mise en jeu toute superficielle des
sensibilités
, de l'origine assez personnelle de certaines te
'a pas d'activité mégalomane, 11 ? Granet a peu de troubles de la
sensibilité
générale, elle ne connaît pas non plus l'écho A
n nette de l'origine périphérique de certaines hallucinations de la
sensibilité
générale, causes elles-mêmes d'idées de persécu
s d'occlusion des paupières à l'approche brusque d'un objet pointu.
Sensibilité
cutanée et « sens musculaire » nor- maux. Les m
difficile, consistent en phénomènes ataxiques, troubles divers des
sensibilités
subjective et objective, et sont parfois assez ac
ainsi : « une irritation quelconque du systè- me nerveux exalte la
sensibilité
du même côté, l'abaisse de l'autre une irritati
orale de l'acte repose sur un double fond, intellectuel et sentant (
sensibilité
394 BIBLIOGRAPHIE. physique transformée et se
t sentant (sensibilité 394 BIBLIOGRAPHIE. physique transformée et
sensibilité
morale). B). Par cette seule conscience de la v
s éléments constitutifs de la respon- sabilité : l'intelligence, la
sensibilité
morale et la peur de la pu- nition. C). Enfin,
orps avec la conscience morale : intelligence; peur de la punition;
sensibilité
morale ; sentiments tendres (af- fection, bonté
est que le bien et le mal.étant ce que l'intelligence montre il la
sensibilité
morale être tel. l'éducation devra aussi s'adre
bilité morale être tel. l'éducation devra aussi s'adresser il celte
sensibilité
. 1 ? C')ULONJOU. XII. Rapport médical de l'asil
polynévritique associée à de l'acronévrite. Troubles partiels de la
sensibilité
articulaire. Guérison. Par le Prof. Alcxasdue
uche puis dans l'extrémité inférieure droite ; le malade a perdu la
sensibilité
de la langue et du palais. Le joui- suivant, l'
les fourmillements ont envahi aussi les extrémités supérieures ; la
sensibilité
de la langue et du palais s'est rétablie. Dès c
upilles sont nor- males. La force musculaire est partout conservée.
Sensibilité
. Des paresthésies très pénibles (engourdissemen
de toutes les phalanges ; tandis qu'à la face dorsale de la main la
sensibilité
est intacte ; à gauche, l'hypoesthésie est plus
ntier et sur le bassin. Abstraction faite des troubles signalés, la
sensibilité
est normale. Chose à noter : la perception stéréo
urs, sauf l'hypoesthésie vibratoire men- tionnée ; entre autres, la
sensibilité
articulaire au niveau des orteils est intacte.
s, la sensibilité articulaire au niveau des orteils est intacte. La
sensibilité
de la langue et du palais est nor- male. Les gr
n, on trouve un peu d'asthénie (la fatigue se produit trop vite).
Sensibilité
. Membres inférieurs. La sensibilité musculo-arti-
fatigue se produit trop vite). Sensibilité. Membres inférieurs. La
sensibilité
musculo-arti- culaire des orteils est abolie co
r brûlante) ; douleurs fulgurantes dans les doigts, sensation de la
sensibilité
diminuée dans les mains et en même temps sensat
e de grandes difficultés à ap- précier les différentes monnaies. La
sensibilité
articulaire au ni- veau des articulations des d
davantage, mais les troubles ont toujours le caractère partiel : la
sensibilité
articulaire est abolie complètement pour la fle
t pour le mouvement latéral vers le côté radial ; en même temps, la
sensibilité
est conservée pour le mouvement latéral vers le
e intensité moins grande ; la marche, le sens stéréognostique et la
sensibilité
vibratoire se sont améliorés ; au lieu d'anesth
ut à fait, la flexion est très faible. Les troubles objectifs de la
sensibilité
cutanée et articulaire ont conservé le même car
alisation ; entre au- tres, le caractère partiel des troubles de la
sensibilité
articulaire au niveau des articulations métacar
liorée, le signe de Domberg est moins prononcé ; les troubles de la
sensibilité
cutanée et vibratoire saris change- ments (les
le montre le tableau suivant, représentant t les altérations de la
sensibilité
articulaire dans les divers mouve- ments passif
réflexes profonds des membres supérieurs et inférieurs font défaut.
Sensibilité
. L'hypoesthésie et l'hyperalgésie de la lace do
gésie avec la dysesthésie aux bouts des doigts restent en- core. La
sensibilité
musculo-articulaire au niveau des doigts s'est
existe, outre l'hypoesthésie,l'hyperalgésie avec la dysesthésie. La
sensibilité
articulaire au niveau des orteils s'amé- liore.
e. La sensibilité articulaire au niveau des orteils s'amé- liore.La
sensibilité
vibratoire aux parties périphériques des extré-
(30 déc.) a donné presque les mêmes résul- tats que le sixième La
sensibilité
articulaire des orteils du côté gaucho est prpsqu
me examen (I5 janv.194) démontre l'amélioration con- tinuelle de la
sensibilité
: l'hypoesthésie et l'hyperalgésie de la face d
il nd reste que l'hypoesthésie de la face plantaire des pieds ; la
sensibilité
articulaire dos orteils conti- EMPOISONNEMENT P
en(`38,janv.lon a constatéle rétablissement pres- que complet de la
sensibilité
articulaire des orteils dans tous les mouvement
ticulaire des orteils dans tous les mouvements ; les troubles de la
sensibilité
cutanée des mains on t. disparu ; quant aux pie
xclusivement aux mains et aux pieds ; c'est ici qu'on constatait la
sensibilité
exagérée des nerfs à la pression, les douleurs
les, les troubles objec- 40S CLINIQUE NERVEUSE. tifs locaux de la
sensibilité
, de la motilité et en partie de ,la coordinatio
n des mains et des pieds, j'apporte une attention particulière à la
sensibilité
à la pression des branches périphériques des ne
bilité à la pression des branches périphériques des nerfs, laquelle
sensibilité
peut être explorée bien simplement, en exerçant
g, qui a été constaté au moment où il n'y avait aucun trouble de la
sensibilité
ni de la mobi- lité dans les membres inférieurs
n ce que, pendant tout le cours de la maladie, les troubles de la
sensibilité
articulaire se manifestaient exclusivement ou p
oindre à la perte de perception de flexion la même altération de la
sensibilité
articulaire par rapport à un mouvement latéral
onsidérable de tous les symptômes né- vritiquos, les troubles de la
sensibilité
articulaire ont disparu complètement. On ne p
a est prouvé par le manque de parallélisme entre les troubles de la
sensibilité
cutanée et les altéra- tions de la sensibilité
e les troubles de la sensibilité cutanée et les altéra- tions de la
sensibilité
articulaire dans notre cas : au mo- ment de la
e dans notre cas : au mo- ment de la disparition des troubles de la
sensibilité
arti- culaire (cinquième examen) l'hypoesthésie
s ayons observé (21', 3e et 4e examens) les troubles partiels de la
sensibilité
ar- ticulaire, c'est-à-dire que le malade perce
moins fqrtes pourrait provoquer tantôt une diminution diffuse de la
sensibilité
articulaire au niveau des doigts, tantôt - on c
s léger et non étendu - pourrait exister sans au- cun trouble de la
sensibilité
articulaire. Mais los troubles partiels et en m
re. Mais los troubles partiels et en même temps constants dp ladite
sensibilité
, troubles qu'on observait pendant une longue du
ctées des branches nerveuses plus fortes (les troubles diffus de la
sensibilité
cutanée de la main, sensi- bilité à la pression
ion des espaces interosseux, etc.),mais les troubles partiels de la
sensibilité
articulaire montrent bien que, outre ce process
nage des articulations mêmes {2}. Ainsj les troubles partiels.de la
sensibilité
profonde (ar- ticulaire), considérés à ce point
ttention sur le§ troubles, par- tiel plus nu jupius constants du la
sensibilité
nrtjrutaire (Iziils les Illec- tinns diverses d
ques. Les données que nous avons sur les troubles objectifs de la
sensibilité
cutanée sont aussi favorables à cette opinion.
bes polynèvritique aigu ; la deuxième forme est caractérisée par la
sensibilité
exa- gérée des nerfs de la main et du pied à la
e la main et du pied à la pression et par les troubles locaux de la
sensibilité
, de la motilité et de la coordination ; nous av
oubles, ce caractère se manifestant surtout dans les troubles de la
sensibilité
articulaire (l'acronévrite). Il est impossibl
te connexion parle aussi en faveur de ce diagnostic. La perte de la
sensibilité
de la langue et du palais qui existait, d'après
gitation, ni congestion de la face, ni conges- tion des oreilles.
Sensibilité
générale. La sensibilité au tact et à la douleur
e la face, ni conges- tion des oreilles. Sensibilité générale. La
sensibilité
au tact et à la douleur a été longtemps abolie
supérieurs : de forme, attitude et motilité parais- sant normales.
Sensibilité
normale, pas d'onycophagie. Membres inférieurs.
illant ; rien de particulier à la palpation, ni à la percussion. La
sensibilité
générale paraît intacte, Puberté : les aisselle
exagération (algies), perversion ou dimi- minution passagère de la
sensibilité
; troubles moteurs, tous dus à ce que « les imp
ed, par Kurt, Mendel, p. 54. Sur les rapports des cutanés avec la
sensibilité
, par Noica, p. 61. 1. Repos. Voir Neurones.
, p. 455. Sérum de Roux, voir Paralysies. Sels. Voir Tétanie.
Sensibilité
. Voir Réflexes. Sinus caverneux. Voir Phlébite.
par Bonne, p. 40. Syndrome BULB.11RE. Sur le t ? dissociation des
sensibilités
, l' conjointement avec des trou- bles cérébel
ongénitale unique du -, par Courtellemont, p. 466. Troubles de la
sensibilité
au dé- but de la paralysie générale, par Dilt
pas d'altéra- tion des ongles. Température habituelle : 36°. Nulle
sensibilité
anormale au froid, et transpiration conservée.
sous l'influence de la fatigue et du temps humide. L'examen de la
sensibilité
objective superficielle et profonde reste négat
r l'absence- de lu titubation 'cérébe))éùse 'et' des troubles de la
sensibilité
; 4° pour des' rais'orisfarl'àto'ri11qiles' : les
chant l'exécution des simples mouvements actifs. Les troubles de la
sensibilité
ne sont pas constatés ; il y a absence de paral
ui cepen- dant auraient été bien intéressants, comme par exemple la
sensibilité
générale, etc., etc., avant la provocation de l
nces qui ont accompagné la blessure, l'examen de la motilité, de la
sensibilité
, de la trophicité, etc., la recherche des réact
le à celle du côté opposé, les troubles de la réflectivité et de la
sensibilité
souvent nuls, mais qu'en revanche il existe pre
ndolore, est relativement aisée, mais se produit instantanément. 6.
Sensibilité
. - Il n'y a pas de troubles objectifs de la sensi
anément. 6. Sensibilité. - Il n'y a pas de troubles objectifs de la
sensibilité
, mais dans l'éternuement et la toux, le malade
t considérablement plus limi- tés et beaucoup plus douloureux. 6.
Sensibilité
. - Pas de troubles objectifs. N'a jamais eu de tr
po- sition du pouce ainsi que celle à la flexion du poignet. ' 6.
Sensibilité
. Anesthésie dans le territoire du médian et du ra
re du médian et du radial à la main. Pas de trouble subjectif de la
sensibilité
. 7. Réflectivité. Réflexe du triceps (t, 5, 6)
persiste pas. Celle du pouce est beaucoup plus résis- tante. . 6.
Sensibilité
. - Pas le moindre trouble de la sensibilité objec
us résis- tante. . 6. Sensibilité. - Pas le moindre trouble de la
sensibilité
objective ni subjective. N'en a jamais eu. 7.
'extension de la deuxième, qui n'est pas tout à fait complète. 6.
Sensibilité
. - Pas de troubles de la sensibilité. 7. Réflec
t pas tout à fait complète. 6. Sensibilité. - Pas de troubles de la
sensibilité
. 7. Réflectivité. - ExagéraLion très, légère de
vive douleur tou- jours sur le tendon des muscles extenseurs. 6.
Sensibilité
. - Pas de troubles de la sensibilité objective, n
don des muscles extenseurs. 6. Sensibilité. - Pas de troubles de la
sensibilité
objective, ni subjective. 7. Réflectivité. Pas
ur dans les interligues palmaires méta- carpo-phalangiens. j J 6.
Sensibilité
. Pas de troubles de la sensibilité objective, sau
éta- carpo-phalangiens. j J 6. Sensibilité. Pas de troubles de la
sensibilité
objective, sauf une anes- thésie de la dernière
r la supi- nation et l'on sent la saillie du rond pronateur. - 6.
Sensibilité
. - Hypoesthésie tactile très marquée de tout le m
ons fléchisseurs, et la première phalange du pouce se fléchit. 6.
Sensibilité
. Pour la piqûre, mais non pour l'électricité, ane
use de l'articulation phalango-pha- langinienne de ce doigt. ' 6.
Sensibilité
. - Pas de trouble de la sensibilité objective ni
langinienne de ce doigt. ' 6. Sensibilité. - Pas de trouble de la
sensibilité
objective ni subjective, sauf au moment de la r
es redresser (irréductibilité de la contracture des lombricaux). 6.
Sensibilité
. Hypoesthésie dans le tiers externe du dos et de
es phalanges est beaucoup plus difficile que celle du poignet. 6.
Sensibilité
. Pas de trouble de la sensibilité objective, sauf
ifficile que celle du poignet. 6. Sensibilité. Pas de trouble de la
sensibilité
objective, sauf une liy- peresthésie marquée à
e. - On obtient sans peine l'exécution de tous les mouvements. 6.
Sensibilité
. Pas de troubles de la sensibilité. 7. Réflecti
ion de tous les mouvements. 6. Sensibilité. Pas de troubles de la
sensibilité
. 7. Réflectivité, Pas de modification des réfle
Motilité provoquée actuelle. Tous les mouvements sont possibles. 6.
Sensibilité
. Hypoesthésie en gant jusqu'au coude, d'après les
os soit retenu en arrière tout contre le deuxième métacarpien. 6.
Sensibilité
. - Hypoesthésie au contact dans la moitié externe
t habituel de la main, Etat de cyanose habituel. La recherche de la
sensibilité
avec l'épingle amène des saignements à chaque c
tés à cause de la fixation de la main dans l'attitude décrite. 6.
Sensibilité
. Pas de troubles de la sensibilité. 7. Excitabi
main dans l'attitude décrite. 6. Sensibilité. Pas de troubles de la
sensibilité
. 7. Excitabilité électrique. - Hypoexcitabilité
ieurs sujets, nous avons renoncé à cette épreuve. J. Troubles de la
sensibilité
. - 4° Sensibilité objective. a) Pas de modifica
avons renoncé à cette épreuve. J. Troubles de la sensibilité. - 4°
Sensibilité
objective. a) Pas de modification à X, I, XIII,
ue : VIII, IX, XIV, XI ; par hypoesthésie organique : III, XV. 2°
Sensibilité
subjective. Douleur excessive pendant la réductio
4.Y. Dans tous les autres cas, il n'y a pas de modification, de la
sensibilité
subjective. K. Etat psychique. 1° Mentalité a
raînent d'une façon cou- rante des troubles de la motilité et de la
sensibilité
objective dans le do- maine de ces nerfs ; elle
t des doigts; la palpation de la cicatrice de sortie occasionne une
sensibilité
doulou- reuse sur le bord cubital. En outre,
'un parce qu'il présentait une gêne de la marche due à une certaine
sensibilité
de la plante du pied dans la station debout, un
en fut évacué de nouveau pour une gêne de la marche due à un peu de
sensibilité
de la plante du pied et surtout à la cicatrice
flexes tendineux et cutanés sont normaux et égaux. Aucun trouble de
sensibilité
objective. Aucune altération ni du côté de l'ap
ns sont plus violents, plus intenses que les nôtres parce que d'une
sensibilité
plus obtuse, d'une intelligence plus fruste. Ils
et des muscles ; réapparition de lé- gers mouvements dans la nuque.
Sensibilité
tactile et à la piqûre intacte. Sphincters norm
ffaisserait s'il n'était soutenu. Au niveau des membres inférieurs,
sensibilité
superficielle au toucher abolie. Sensibilités p
es membres inférieurs, sensibilité superficielle au toucher abolie.
Sensibilités
profondes musculaire et osseuse conservées. La pi
nservées. La piqûre, même péné- trante, ne provoque aucune douleur.
Sensibilité
thermique normale. Sens musculaire conservé.
oquet. Analgésie complète aux membres inférieurs ; diminution de la
sensibilité
à la piqûre ; dans les autres régions, sensibil
diminution de la sensibilité à la piqûre ; dans les autres régions,
sensibilité
musculaire conservée. Pas de douleurs à la pres
uction assez faciles. Peut s'asseoir. Mouvements de tète faciles.
Sensibilités
normales, sauf douleurs diffuses dans les membres
s masses musculaires. Seule, la percussion des tibias éveille de la
sensibilité
. Les sensibilités au toucher, à la piqûre et à
s. Seule, la percussion des tibias éveille de la sensibilité. Les
sensibilités
au toucher, à la piqûre et à la température sont
uche. 4, 5 tré- pidations à droite. Pas de signes de Babinski. La
sensibilité
à la piqûre et à la température semble exagérée d
pied gauche à 10, 15 centimètres, le droit à 15, 20, difficilement.
Sensibilité
à la piqûre très atténuée, aux deux pieds. Sensib
fficilement. Sensibilité à la piqûre très atténuée, aux deux pieds.
Sensibilité
tactile conser- vée. Sensibilité normale au niv
ûre très atténuée, aux deux pieds. Sensibilité tactile conser- vée.
Sensibilité
normale au niveau des cuisses. Pas de douleurs à
ion de la jambe droite à xi centimètres, plus difficile- ment. La
sensibilité
à la piqûre existe, bien atténuée. 8. - Pas de
ffaisse sur ses jambes, fait quelques pas en étant très soutenu. La
sensibilité
est revenue. 19. - Elève la jambe à 44 centimèt
en extension légère, en flexion à droite. Pas de clonus du pied.
Sensibilités
normales. Sensibilité musculaire normale. March
n flexion à droite. Pas de clonus du pied. Sensibilités normales.
Sensibilité
musculaire normale. Marche pénible, hésitante a
des deux côtés ; 3 on 4 trépidations anx pieds. Pas de troubles de
sensibilité
. Mammite gauche. MYÉLITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES.
ération du réflexe rotulien des deux côtés. Démar- che spasmodique.
Sensibilités
normales. Marche de la maladie. 10 juin. Réflex
ite. 28. Fléchit encore sur les genoux, en descendant l'escalier.
Sensibilité
normale. Observation XI. Oge Célestin, du 2°
s membres infé- rieurs. Légère exagération des réflexes des genoux.
Sensibilités
normales. 13. Urines couleur normale. Sueurs.
t. Phénomène de la main léger ; accentuation du réflexe du coude.
Sensibilités
normales. Evacuation. Les douze cas dont les
c des douleurs encore persistantes dans les masses musculaires. Les
sensibilités
tactiles et à la piqûre sont abolies, alors que
es sensibilités tactiles et à la piqûre sont abolies, alors que les
sensibilités
profondes (musculaires, osseuses) sont conservées
une parésie avec, dans le cas 10, une modification passagère de la
sensibilité
. Ces derniers cas, à vrai dire, tout en étant,
ieurs, on ne peut observer aucune atrophie ni de diminu- tion de la
sensibilité
. La force des mouvements est normale. Les mouveme
cause un peu de douleur. Pas de troubles de la motilité aux jambes.
Sensibilité
au tact et à la douleur normale. Réflexes rotulie
ine agitation motrice dans les muscles des membres inférieurs. La
sensibilité
au tact et à la douleur est normale. Maintenant
is, mutilation des'doigts et des orteils, ectropion des deux côtés,
sensibilité
diminuée au trijumeau premier. Il y avait une his
quelquefois douleurs aux jambes, pas d'anesthésie ailleurs, mais la
sensibilité
se trouve considérablement diminuée, quand elle
uite est venue une parésie des bras, avec des troubles légers de la
sensibilité
. Ces symptômes ont persisté pendant cinq ans. Dep
vait le signe de Romberg. La réaction d'électricité nor- male et la
sensibilité
normale. Meinertz est hésitant, s'il faut regarde
et il ne pouvait manger. Depuis, on a constaté parésie des jambes,
sensibilité
normale, les troncs ner- veux sensibles à la pr
les ongles ne sont pas dé- formés ni striés. Aucun trouble de la
sensibilité
subjective ou objective ; aucune anesthésie ni
qu'il n'existe encore actuellement ni paralysie ni aucun trouble de
sensibilité
objective ; 2° que cette amyotrophie soit survenu
mbres inférieurs et du tronc. Il n'y a nulle part de troubles de la
sensibilité
objective, si ce n'est peut- être une légère hy
urant fara- dique et galvanique. Rien à signaler à L'examen de la
sensibilité
générale qui est normale dans ses différentes m
aradique et galvanique. Ils n'ont pas de contractions fibrillaires.
Sensibilité
générale normale. Réflexes tendineux des membre
thrie. Céphalée frontale intermittente. Pas d'autres troubles de la
sensibilité
sub- jective. d b ... f.. M .' . d.. Rien du
ère. Pas de spasme ou d'hémispasme facial.' Pas de troubles de la
sensibilité
. La parésie semble plus accentuée à gauche. M
mbres supérieurs. - Force normale. Réflexes anti-brachiaux normaux.
Sensibilité
normale. Membres inférieurs. Force normale. Mar
épileptoïde. Réflexes crémastériens normaux. Pas de troubles de la
sensibilité
. Pas de tremblement. Coeur normal. Pouls : 72
). Diadococinésie. Il n'y a pas d'ataxie, d'apraxie ni d'agnosie.
Sensibilité
. Douleurs vagues au membre inférieur gauche. Doul
férieurs on remar- que que l'hyperesthésie s'étend jusqu'au pied.
Sensibilité
thermique. La malade sent le froid pour la chaleu
froid pour la chaleur dans les parties où se trouve l'adiposité.
Sensibilité
douloureuse. Hyperesthésie aux extrémités inférie
peresthésie. Il n'y a pas de perturbations baresthésiques, ni de la
sensibilité
profonde. Réflectivité. - Réflexes plantaires e
aisir un objet. Pas de troubles sphinctériens, ni de troubles de la
sensibilité
. La démarche est nettement spasmodique. D'autre
normaux à droite. Réflexes pupillaires paresseux à la lumière. La
sensibilité
à la douleur, autant qu'il me fut possible de m'e
il en est du milieu du thorax pour les nerfs sudoraux comme pour la
sensibilité
tactile et qu'un même espace intercostal reçoit
ation nerveuse et en particulier à la douleur. , Les troubles de la
sensibilité
en paieil,cs sont assez peu marqués. Il y a hyp
palmaire de la main malade, d'où l'odeur spéciale de macération. La
sensibilité
objective au contact et à la piqûre est diminuée
ortantes proportions la valeur fonctionnelle. 3° Des troubles de la
sensibilité
subjective (douleurs fulgurantes) sans trouble
la sensibilité subjective (douleurs fulgurantes) sans trouble de la
sensibilité
objective. 4° Une augmentation considérable des
ent s'observer en pareil cas, elles comportaient des troubles de la
sensibilité
objective, notamment là dissociation syringomyé
et les réflexes des membres supérieurs sont normaux ; les diverses
sensibilités
superficielles sont intactes; on ne constate au
és superficielles sont intactes; on ne constate aucun trouble de la
sensibilité
articulaire ou de la sensibilité - osseuse au d
on ne constate aucun trouble de la sensibilité articulaire ou de la
sensibilité
- osseuse au diapason, même au niveau des artic
atigue vite, dit-il, pendant la marche et la station debout. - La
sensibilité
objective, superficielle et profonde, est normale
euse et cutanée est normale. Pas d'anesthésie. Comme troubles de la
sensibilité
subjective, pas de douleurs sauf dans la région d
es supérieurs et des réflexes cutanés. Il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
subjective, aucune anesthésie ni superficielle
nts des membres supérieurs et inférieurs. ) Pas de troubles de la
sensibilité
superficielle ni profonde ; pas de troubles de
de la sensibilité superficielle ni profonde ; pas de troubles de la
sensibilité
subjective, sauf quelques céphalées très rares et
verticale et de la marche normale contraste avec l'intégrité de la
sensibilité
, de la force musculaire, et de la coordination
ce de paralysie. La malade, dans ces cas, n'a pas de troubles de la
sensibilité
dans les membres infé- rieurs et conserve le li
rmal : ni amaigrissement, ni troubles trophiques d'aucune sorte. La
sensibilité
générale et spéciale est conservée dans tous se
arité du cas m'en- gagea à l'observer avec le plus grand soin. La
sensibilité
et l'énergie musculaire des deux membres infé-
, et le malade est menacé d'une chute. Il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
cutanée. Observation IX. (Rédigée d'après les
e musculaire est conservée, et les mouvements sont coordonnés. La
sensibilité
cutanée est légèrement diminuée du côté gauche.
es membres inférieurs atteints dans leur leur motilité, dans ( leur
sensibilité
, existe de plus des troubles de la station et de
tent rien d'anormal, sinon un état vari- queux assez prononcé. La
sensibilité
est abolie dans tous ses modes jusqu'au niveau du
jusqu'au niveau du DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 51 pli de l'aine (
sensibilité
cutanée et articulaire et sens musculaire.) Les
. Mydriase du côté correspondant. Thermanesthésie et troubles de la
sensibilité
dans le membre supérieur droit. Le nommé Emil
ccuse ni douleurs de tête, ni perte de mémoire, ni aucun trouble de
sensibilité
spéciale. Du côté de la vue no- tamment, on ne
se du côté droit ait ralenti sur l'acuité de la vision. L'examen de
sensibilité
montre que celle-ci est intacte dans tous ses m
hénomènes persistent encore aujourd'hui et voici ce que l'examen de
sensibilité
nous revèle. La sensibilité à la température es
jourd'hui et voici ce que l'examen de sensibilité nous revèle. La
sensibilité
à la température est égale aux deux bras et aux
con- tact. A la main gauche on ne constate rien de semblable. La
sensibilité
, au contact, à la douleur la' sensibilité élec-
ate rien de semblable. La sensibilité, au contact, à la douleur la'
sensibilité
élec- trique persistent dans toute l'étendue de
pas rouge : il n'y avait aucun trouble pupillaire, aucun trouble de
sensibilité
. La pression au niveau des apophyses épineuses
ui détermine l'hypéridrose. Ce sont alors différents nerfs, soit de
sensibilité
spéciale, soit de DES ÉPHIDROSES DE LA FACE. 73
it de sensibilité spéciale, soit de DES ÉPHIDROSES DE LA FACE. 73
sensibilité
générale qui sont le point de départ de l'ac- t
départ réside dans une excitation des nerfs du goût, des nerfs de
sensibilité
générale ou spéciale, ou encore dans une pertur
son RAPPORT SUR MISTRAL. 87 I frère ne lui arrache aucun signe de
sensibilité
. Sa volonté est nulle; il fait exactement et sa
lquefois aussi il se produit un spasme convulsif de déglutition. La
sensibilité
cependant reparut à un moment donné, sous l'inf
t à une conception fausse. P. K. VIII. D'un TROUBLE précoce DE L1
sensibilité
dans la démence para- LYTIQUE ; par Tu. ZIEHEN.
la quantité et le poids spécifique sont parfaitement normaux. La
sensibilité
générale et spéciale sont conservées. Dans les an
roupe : Idées de persécutions avec hallucinations et troubles de la
sensibilité
générale. (Ce groupe comprend trois variétés :
che. Exagération des réllexes cutanés et tendineux; intégrité de la
sensibilité
dans tous ses modes; intégrité du sens musculaire
tate bien encore le long du sciatique et des nerfs cruraux, mais la
sensibilité
au tact et à la douleur parait intacte. Le 20 j
lombaire des cornes grises antérieures; l'absence de troubles de la
sensibilité
implique l'intégrité de la moelle postérieure.
IE NERVEUSE. DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 167 l'omoplate par la
sensibilité
normale ; dn côté droit une anesthé- sie modéré
non indiquée sur le dessin) se fait une amélioration rapide de la
sensibilité
thermique. 11 est à remar- quer qu'à mesure qu'
TOSE MÉDULLAIRE. 169 revanche, il se développa un abaissement de la
sensibilité
dou- loureuse dans la plus grande partie de la
bresauts musculaires, de la scoliose, des troubles subjectifs de la
sensibilité
, de la préoccu- pation de sa santé. Sans parler
lade, commença depuis le mois d'octobre 1883 par un chan- gement de
sensibilité
dans le membre inférieur droit; sa jambe lui se
t; les réflexes abdominaux sont nettement accusés des deux côtés.
Sensibilité
. Une série d'altérations subjectives : le malad
roite et des paresthésies antérieures. Les troubles objectifs de la
sensibilité
ont considérablement augmenté. (fig. 5.) Dans la
cette supposition; la délimitation caractéristique des régions à
sensibilité
altérée (sur la nuque et le thorax), des troubl
déterminer l'endolorisse- ment local de tel ou tel autre organe.
Sensibilité
. - Membre supérieur droit. Le plus léger attouc
attouchement est partout perçu et bien localisé par la malade. La
sensibilité
à la douleur est abaissée dans es parties périp
) Le sensde la température est abaissé dans la même région que la
sensibilité
générale. Les mains ne sentent pas la différence
rence moindre de 2°. Membre supérieur gauche. Toutes les espèces de
sensibilité
sont normales ; douleurs sourdes de temps en te
sourdes de temps en temps, mais pas de douleur à la pression. La
sensibilité
est normale dans le reste du corps. Les organes
s pourtant pas affaire à une lésion des nerfs périphériques : 1) La
sensibilité
est altérée plus que le mouvement ; 2) des degr
ssociée peut-être à celle des cordons nerveux, ce qui explique leur
sensibilité
douloureuse à la pression. Observation V. H
er légèrement encore. Il n'y a pas eu d'augmentation de sueurs; une
sensibilité
au froid, se manifesta dès le début de l'affaib
bilité au froid, se manifesta dès le début de l'affaiblissement. La
sensibilité
était bonne ; il n'y avait pas de douleurs. De
es dans le tendon d'Achille; les réflexes cutanés sont conservés.
Sensibilité
. - Le malade sent et localise partout régulièreme
ns du lieu est très bien développé sur les membres inférieurs. La
sensibilité
à la douleur examinée par de légères piqûres et
le pouce est faible. Le malade serre assez fort le poing. L'état de
sensibilité
est partout demeuré stationnaire. Les tumeurs s
ormal, quoiqu'il existe cependant quelquefois des altérations de la
sensibilité
cutanée des membres inférieurs. Mais, du moins
atoire ou une alté- DES ÉPHIDHOSES DE LA FACE. 221 t ration de la
sensibilité
des organes splanchniques. » Les recherches de
drose faciale que présentait notre malade, nous avons vu que si les
sensibilités
spéciale et générale de la face étaient indemne
rale de la face étaient indemnes, il n'en était pas de même de la
sensibilité
du bras droit. Il y avaitde la thermanes- thési
rbation morale ou le plus ordinairement l'impression d'un nerf de
sensibilité
générale ou spéciale qui provoquent l'hypersuda
e ses bras, mangeait pro- prement avec la cuiller et la fourchette.
Sensibilité
générale et spéciale normales. Nutrition. - I
Malin : T. R. 40°,8; - Soir : 38°,6. - Pas de nouveaux accès. La
sensibilité
cutanée avait disparu, le réflexe tendineux 234
tes, cherche à se lever. Le pouls est moins fort, plus rapide. La
sensibilité
cutanée est revenue. - Pupilles étroites, égales,
s'il essaie de tourner à gauche. On ne note pas de troubles de la
sensibilité
et de la motilité. Le malade présente une hyper-
chez nos malades, il nous est permis, avant de parler des diverses
sensibilités
, d'étudier l'état de la nutri- tion générale, r
l'inspiration de vapeurs irritantes; quant au goût et à la vue leur
sensibilité
paraît également abolie. Toutefois, il ne faudr
il n'en a certainement pas été ainsi. En ce qui regarde encore la
sensibilité
générale, rappelons- nous que, très fréquemment
pour ainsi dire, pendant le sommeil le contrôle inconscient de leur
sensibilité
générale, pervertie ou non, c'est que cette sen
ent de leur sensibilité générale, pervertie ou non, c'est que cette
sensibilité
est susceptible de modifications sous l'in- flu
« L'application d'un aimant à la cuisse droite, dit-il, abolit la
sensibilité
dans tout le côté droit sans faire disparaître le
lité dans tout le côté droit sans faire disparaître les troubles de
sensibilité
à gauche (hémianesthésie). » Si l'on observe pa
la production d'une hémianesthésie complétant la perte totale de la
sensibilité
, il est aussi donné de voir la réapparition pre
est aussi donné de voir la réapparition presque complète de cette
sensibilité
générale sous l'influence d'injections sous- cu
e; la malade ne réagit sous l'influence d'aucune exci- tation... La
sensibilité
toutefois reparut à un moment donné sous l'infl
t formées, la malade a ressenti une céphalalgie intense, une grande
sensibilité
et irritabilité, peu de sommeil, con- vulsions
lée, ni ammoniaque, ni piqûres ne purent nous donner aucun signe de
sensibilité
; le galvanisme fut employé sans que la malade m
t dans le domaine de la sensi- bilité générale que dans celui de la
sensibilité
spéciale et nous savons que dans le plus grand
es sont tirés : 1° de l'état de la température ; 2° de l'état de la
sensibilité
; 3° de la participation diverse de la face aux
Il existe d'autres considérations tirées encore de l'étude de la
sensibilité
que l'on pourrait invoquer pour établir le dia-
vent chez les hystériques : 1° faire reparaître (ou disparaître) la
sensibilité
; 2° transférer l'hémianesthésie du côté opposé
ble d'admettre que les agents esthésio- gènes puissent restaurer la
sensibilité
abolie par une lésion organique. » En effet, M.
la peau pou- vait faire reparaître momentanément tout au moins la
sensibilité
chez des ataxiques, chez des hémiplégiques hémi-
ts absentes, car il simulait même un trismus. Il ne montrait aucune
sensibilité
, lorsqu'on lui enfonçait des aiguilles sous les
eaucoup de cas, ce ne sont pas des organisations blessées dans leur
sensibilité
même et qui auraient besoin du visage doux et c
ditive, rapports qu'il nie, contrairement à M. Gellé. L'étude de la
sensibilité
galvanique est bien faite et conduit à conclure
que est bien faite et conduit à conclure que la diminution de cette
sensibilité
n'a aucun rapport avec celle des autres maladie
sensibilité n'a aucun rapport avec celle des autres maladies de la
sensibilité
. Quant aux zones hystérogènes des muqueuses, el
ieurs. Il ne lui arrive pas de perdre ses jambes dans son lit. La
sensibilité
cutanée est obtuse. Les piqûres pratiquées sur
astralgiques. En 1885, le protocole de l'observation signale que la
sensibilité
cutanée est plus obtuse qu'en 1883. Les piqûres
ucoup plus petit que le gauche. Sa consistance est plus molle et sa
sensibilité
à la pression et au choc est très affaiblie. Le
en être la cause. Le testicule gauche n'a pas diminué de volume. Sa
sensibilité
à la pression et sa con- sistance sont normales
et la coloquinte ; puis il rouvre la bouche pour en redemander ; la
sensibilité
à la douleur parait bien conservée, quoique per
Aura en forme de boule; aucun signe d'hystérie, pas de perte de la
sensibilité
au tact, à la dou- leur, à la température. Pas
mbre est étendu. D'ailleurs aucun signe d'hystérie, aucune perte de
sensibilité
ou du sens musculaire. Ces troubles moteurs son
uliers. La marche n'est pas modifiée par l'occlusion des yeux. La
sensibilité
générale, la sensibilité spéciale, la notion de
as modifiée par l'occlusion des yeux. La sensibilité générale, la
sensibilité
spéciale, la notion de position, la direction d
terprétations ; elle embrasse l'émoussement ou la disparition de la
sensibilité
cutanée soit dans tous ses modes, soit dans plu
démence ou de folie systématique, il a trouvé, en ce qui regarde la
sensibilité
cutanée, - hémianesthésie totale et com- plète
idées. Parallèlement aux perturbations sus-énoncées, apathie de la
sensibilité
morale ; dès le début de l'amélioration, la pat
ent collègue nous permette de faire observer que les troubles de la
sensibilité
générale se montrent assez sou- vent dès le déb
e la volonté, ou sur des lésions psycho-sensorielles, lésions de la
sensibilité
. Analysant le délire ambitieux du paralytique g
e par un banquet. M. Thomsen lit son mémoire sur les troubles de la
sensibilité
chez les aliénés. Il sera publié ailleurs2. La
estée que dans six à sept cas (Thomsen), - enfin, l'intégrité de la
sensibilité
des organes génitaux chez les paraplégiques à l
. En même temps parésie gauche. Intégrité des nerfs crâniens, de la
sensibilité
, des réflexes, de l'excitabilité élec- trique.
hardt a vu en pareil cas de l'ataxie, de très grands troubles de la
sensibilité
, de la démence psychique (Berlin Klin. Wochensc
apacité de travailler, de l'amnésie, de la dépression du côté de la
sensibilité
morale, du changement de l'humeur, de l'excita-
able de déterminer des troubles moteurs ? 2° Y a-t-il trouble de la
sensibilité
? - 3° La dégénérescence secondaire est-elle la
règle ? L'orateur conclut affirmativement sur le premier point; la
sensibilité
à la douleur peut être diminuée; il survient une
e la paralysie ; pas d'atrophie; intégrité de la vie mentale, de la
sensibilité
, des fonctions vésico-rectales. Durée : deux an
s dépassé le territoire de ce nerf à la main, et les troubles de la
sensibilité
se sont limités à ce domaine exclusivement. C'e
istence de l'atrophie musculaire et d'une paralysie partielle de la
sensibilité
du même membre, paralysie généralement très éte
as de M. Oppenheim,le bras atrophié ne pré- sente pas de trouble de
sensibilité
non plus que l'extrémité supé- rieure ; c'est à
t normaux, exceptés les rotuliens qui paraissent un peu diminués.
Sensibilité
parfaite. Il faut encore mentionner une céphalé
x et cutanés sont normaux. La mobilité est conservée. Du côté de la
sensibilité
subjective le malade dit qu'il se produit comme u
tre. Il n'a pas de vertige et seulement de'légers maux de tête. La
sensibilité
objective et la démarche sont normales. Etat ps
ent autour de lui, il a l'air ahuri, il rit très facilement. ' La
sensibilité
objective est conservée. Les réflexes rotuliens
emble plutôt ressortir à des troubles apraxirlues. L'examen de la
sensibilité
ne révèle rien de spécial : J... dit ressentir da
ans les jambes des douleurs dont il ne peut préciser la nature. Les
sensibilités
tactile et thermique sont bien conservées. Il e
parétiques dans la sphère lahio-glosso-pharyngée, sans troubles de
sensibilité
, sans nystagmus ni déformations squelettiques.
l'instabilité sur place l'exagération des réflexes, l'intégrité des
sensibilités
, du sens musculaire, des sphincters, l'absence
cinantes et en ceinture, de la parésie vésicale, des troubles de la
sensibilité
et des fonctions génitales, de l'incoordination
urs en ceinture, de crises rectales et nasales et de troubles de la
sensibilité
à disposition radiculaire,nepréseutaitni signe
très juste et les résultats obtenus dans l'étude des troubles de la
sensibilité
chez les tabétiques par )1. Egger, M. Egger est
lente et progressive, on acquiert l'opinion que les troubles de la
sensibilité
, quels qu'ils soient, résident dans un fonction-
mme toute, légitime d'établir une comparaison enlre le réveil de la
sensibilité
cutanée par la sommation et le réveil d'une réfle
er le fonctionnement de l'intelligence, de la cons- cience et de la
sensibilité
. On peut supposer que cllez le tabétique amau-
t et à la douleur) : ce sont là les seul.; troubles objectifs de la
sensibilité
. ' Durant le séjour à I'Ilùpital, aucun trouble
les réflexes tendineux et peauciers sontnormaux : à l'examen de la
sensibilité
on constata une légère différence de la sensibili
l'examen de la sensibilité on constata une légère différence de la
sensibilité
à la dou- leur dans la partie inférieure de la
missure : et, dans un champ limité au-dessous du sinus,on trouve la
sensibilité
tant au tact qu'à la douleur émoussée sans pouvoi
rmographisme paraissant en rapport avec l'éré- thisme nerveux. La
sensibilité
d'ailleurs et les réflexes cutanés, tendineux et
n de la voûte palatine qui est capricieusement arduisée, et dont la
sensibilité
est émoussée. Interrogé sur la date approximati
Nous avons recherché tout particulièrement l'état des diflérentl1s
sensibilités
. Il n'y a rien d'anormal pour la sensibilité pr
état des diflérentl1s sensibilités. Il n'y a rien d'anormal pour la
sensibilité
profonde. Pour ce qui est des sen- sibilités su
. Il semble que l'hypoesthésie au contact, à la douleur, et pour la
sensibilité
thermique soit parallèlement pro- portionnelle
sthésie est moins marquée que daus les régions pacbydermisées où la
sensibilité
est fort atténuée. Sur les plaques achromi- que
ne symétrie indiscutable. et si l'on excepte le trouble partiel des
sensibilités
tégumentaires, trouble en partie peut-être déte
tions et les intoxications, même en l'absence de tout trouble de la
sensibilité
et de la motilité, il faut examiner les réflexe
er par der- rière. L'ultramicroscope est ainsi nommé parce que sa
sensibilité
dépasse de beaucoup celle du microscope ordinai
ensibilité dépasse de beaucoup celle du microscope ordinaire. Cette
sensibilité
varie avec l'in- tensité de la lumière employée
bles aux changements de milieu de la cellule et c'est grâce à cette
sensibilité
que les granulations subissent des modification
es tendineux et cutanés étaient normaux ; un examen minutieux de la
sensibilité
révéla partout l'existence des réactions physio
uvement des orteils. Réflexes pupillaires normaux. L'examen de la
sensibilité
montre la conservation des sensations tactiles,
chilléens). Réflexes crémastériens et plantaires, nuls également.
Sensibilité
. - Aucun trouble objectif de la sensibilité (cont
taires, nuls également. Sensibilité. - Aucun trouble objectif de la
sensibilité
(contact, tempéra- ture, douleur) aux membres s
ide et moins exacte, ce qui s'explique par le refroidissement. La
sensibilité
profonde et la notion des attitudes segmentaires
eux sont abolis aux quatre membres. Pas de troubles objectifs de la
sensibilité
. Quant aux contractions fibrillaires, elles exi
tentes dans les membres inférieurs. Pas de troubles objectifs de la
sensibilité
, ni d'in- coordination motrice. Pas de troubles
électriques, phéno- mènes douloureux sans troubles objectifs de la
sensibilité
. A l'examen histolo- gmue : atrophie cellulaire
ndant plusieurs années, atrophie des mains à 19 ans. Troubles de la
sensibilité
cutanée et profonde. Diminution des réactions é
steppage, réflexes rotuliens très faibles, légère diminution de la
sensibilité
; atrophie des membres supérieurs, mains, avant
e l'avant-bras. Abolition des ré- flexes tendineux. Intégrité de la
sensibilité
dans tous ses modes. Réactions électriques dimi
face. Réflexes tendineux abolis ; pas d'ataxie ni de troubles de la
sensibilité
. Troubles vaso-moteurs périphériques. Insuffisanc
ngue ; diminution des réactions électriques ; pas de troubles de la
sensibilité
; psychose mania- que-dépressive, tics convulsi
supérieurs, atrophie des muscles de la main, puis de l'avant bras,
sensibilité
intacte ; diminution des réactions élec- trique
abolition des réflexes tendineux ; pas de contractions fibrillaires,
sensibilité
(fi Uebe)-eii2eii Fall von progressiver neuroti
iminution des réactions électriques, parfois RD. ; diminution de la
sensibilité
cutanée aux membres inférieurs attribuée au Kak
dosités, sans douleurs à la pression. Diminution considérable de la
sensibilité
superficielle et profonde, prédominant à la pér
ux extrémités, pieds-bots équins, mains simiennes. Diminution de la
sensibilité
aux membres inférieurs et dans la moitié inféri
réflexes tendineux, hypertrophie des troncs nerveux, troubles de la
sensibilité
cutanée : pas de phénomènes douloureux, pas d'ata
ue sont indolentes dans la règle. Or, ces troubles subjectifs de la
sensibilité
sont inconstants, font défaut dans un certain n
u du pied, des sensations 310 1 THOMAS ET.JUfENTIÉ de froid ; les
sensibilités
tactile, douloureuse et thermique semblent intact
s sont toujours spontanées et Fig. 1 A. - Schéma des troubles de la
sensibilité
constatée en septembre 1906, à gauche, Si, SI e
, en tout cas il n'y a pas de signe de Babinski. Les troubles de la
sensibilité
sont très développés : il existe encore quelques
es modes (Voir fig. 2, B et C), il n'existe pas de dissociation des
sensibilités
. Les sphincters, fortement touchés au début (ré
ments fibrillai- res dans les muscles atrophiés. Aucun troublede la
sensibilité
. Les réflexes tendineux des membres inférieurs
ue chez lui aucun trouble n'affecte quelque forme que ce soit de la
sensibilité
, que la compression des troncs nerveux et même
ement ni de colère. L'examen physique ne révèle rien d'anormal : la
sensibilité
est conservée, le malade fait une grimace très
strabisme. Les oreilles sont détachées, mais pas très déformées. La
sensibilité
est normale. La flexibilité cireuse a disparu. Le
rieurs sont normaux ; la marche ne présente rien de particulier. La
sensibilité
à la piqûre est diminuée, avec retard à la perc
de Babinski bilatéral est facile à provoquer. Les troubles de la
sensibilité
(à la douleur, au chaud et au froid) comme sur
chaud et au froid) comme sur la figure 1. Fit. 1. Troubles de la
sensibilité
(d'après les schémas de Flatau). Sensibilité à
Fit. 1. Troubles de la sensibilité (d'après les schémas de Flatau).
Sensibilité
à la douleur (16 février 1904). 394 ROTSTADT
n d'urine ; incontinence des matières fécales. Les troubles de la
sensibilité
au toucher comme sur la figure 3. 1t. Au côté g
al ; insomnie. Sensation de brûlure aux membres inférieurs. Fig. 2.
Sensibilité
au chaud et au froid (1G avril 190,t). 396 ROTS
ux) et troubles sensitifs (types dedissocia- Fig. 3. Troubles de la
sensibilité
tactile (10 mai 1904). CARIE DES VERTÈBRES 397
a des symptômes de parésie spas tique et des troubles variés de Ja
sensibilité
sur toutes les parties du corps situées au-dessou
n entrée à l'hôpital, nous voyons chez le malade les troubles de la
sensibilité
tactile s'ajouter aux troubles de la sensibilit
les troubles de la sensibilité tactile s'ajouter aux troubles de la
sensibilité
douloureuse et thermique notés plus haut. La limi
nsibilité douloureuse et thermique notés plus haut. La limite de la
sensibilité
tactile troublée a été parallèle- à celle des aut
e enseigne toutefois que la dissociation dite syringomyélique de la
sensibilité
n'est pas le pro- pre uniquement de celte malad
ti- xxv 21 402 ' ROTSTADT ques transitoires, des troubles de la
sensibilité
à limite circulaire comme cela a lieu généralem
ersales de la moelle. Au début, il n'y avait que des troubles de la
sensibilité
à la douleur (Voir sch. I), au chaud et au froi
éinées augmentaient, l'analgésie devint complète et les voies de la
sensibilité
tactile se trouvèrent égale- ment soumises à la
ments et contractions comme symptômes subjectifs des troubles de la
sensibilité
qui accompagnent ordinairement les douleurs et
muscles de la main gauche du type Aran-Duchenneetdes troubles de la
sensibilité
sous la forme de dissociation ; l'ensemble de c
position qu'il s'agissait de syringomyélie. La dissocia- tion de la
sensibilité
s'est montrée une fois encore un symptôme trompeu
n insuffisant et incertain est le symptôme de la dissociation de la
sensibilité
pour diagnostiquer la sy- rinbomyélie. Une mala
mènes spastiques avec exagération des réflexes. L'observation de la
sensibilité
présenta la dissociation typique ; à l'autopsie
et la paralysie flasque des membres inférieurs. L'observation de la
sensibilité
découvre également la dissociation aux membres
, pas de troubles sphinctériens. L'impuissance sexuelle persiste.
Sensibilité
. Le malade se plaint toujours de la sensation de
bsolu. Du reste, pas de douleurs, ni aux membres ni au tronc. Toute
sensibilité
objective est conservée dans le domaine des nerfs
bres supérieurs, il existe une très faible, minime diminution de la
sensibilité
superficielle (tact, douleur, chaleur) dans la mo
s régions postérieurs des membres inférieurs et dans le périnée, la
sensibilité
superficielle semble conservée. Elle l'est encore
QUE DU RACHIS 409 Dans tous les autres doigts des deux mains, cette
sensibilité
n'est.pas non plus parfaite. Pour éviter les er
sur les premières. Le sens des attitudes est conservé, ainsi que la
sensibilité
à la pression. Les vibrations du diapason sont
probable compression osseuse sont : des troubles très légers de la
sensibilité
subjective et objec- tive, à caractère radicula
stériens existent. Les plantaires sont normaux : pas de Babinski.
Sensibilité
. La sensibilité totale est diminuée dans toute la
t. Les plantaires sont normaux : pas de Babinski. Sensibilité. La
sensibilité
totale est diminuée dans toute la région du triju
minution est plus accentuée dans la région de l'ophtal- mique. La
sensibilité
des muqueuses conjonctivales, cornéennes, pituita
les, cornéennes, pituitaires, lin- guales est diminuée à droite. La
sensibilité
du pharynx est également diminuée à droite. L
e. La sensibilité du pharynx est également diminuée à droite. Les
sensibilités
musculaire, tendineuse, osseuse, articulaire, son
maux ; les plantaires en flexion à droite, sans flexion à gauche.
Sensibilité
. Le trijumeau est pris à droite. La sensibilité s
flexion à gauche. Sensibilité. Le trijumeau est pris à droite. La
sensibilité
sous toutes ses formes est diminuée surtout aux
e supé- rieur, moindre dans la région du maxillaire inférieur. La
sensibilité
conjonctive, cornéenne, labiale et linguale est p
ne, labiale et linguale est plus diminuée à droite qu'il gauche. La
sensibilité
pharyngienne est aussi atteinte du même côté. '
st positif. a les signes de Raimiste et Grasset à l'état d'ébauche.
Sensibilité
. -Elle est affectée dans la région du Ve nerf. An
ieur : hyposthésie dans la zone maxillaire inférieure. Les autres
sensibilités
sont normales. Vision. Lorsqu'il éprouve les cé
tuée dans le second. Nous n'avons pas trouvé de perturbations de la
sensibilité
générale. HOSPICE DE LA SALL)l l'l ! 1t : liE
s de signe de Babinski. Les réactions pupillaires sont normales. La
sensibilité
est normale. Même état dans un deuxième examen
En tout cas, pas de signe de Babinski net. Pas de troubles de la
sensibilité
. Pas de douleurs fulgurantes. Parésie du moteur
nt de .vue de différence d'un côté à l'autre. Pas de troubles de,la
sensibilité
. En 1910, à un nouvel examen, on note également
s du coude, on peut le provoquer, mais il est diminué également. La
sensibilité
au tact, à la chaleur et à la piqûre est tou- j
pagne d'une raideur des membres sans déviation nette de la face. La
sensibilité
parait légèrement diminuée du côté hémiplégie.
est possible de juger de ce dernier point). Pas de trou- bles de la
sensibilité
. 4.36 P. MARIE ET FOIX 3° Atrophie théna1'o-h
as de clonus. Les réflexes abdominal et crémastérien existent. La
sensibilité
est normale au tact, à la figure, la chaleur. L
gauche, existe du côté droit (côté atteint). Pas de troubles de la
sensibilité
, superficielle ou profonde. Pas de troubles de la
refusée par le malade. Wassermann négatif. Pas de troubles de la
sensibilité
. Pas de signe Rien du côté de la sensorialité.
nt légers de l'éminence hypothénar et des muscles interosseux. La
sensibilité
de la main est normale. Les réflexes tricipitaux
aison. L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 443 3
Sensibilité
normale, marche bonne. Rien de très notable à l'e
ssement. Pas de signe de Romberg net. Pas de troubles marqués de la
sensibilité
. Du côté des yeux, signe d'Argyll Robertson bil
ens, radial, cubital existent. Pas de troubles objectifs nets de la
sensibilité
. Le malade perçoit le pinceau, mais dit le sentir
ni de paralysie ocu- laire. En résumé, troubles subjectifs de la
sensibilité
dans les trois premiers doigts de la main droit
Nous arrivons maintenant aux éléments variables. Les troubles de la
sensibilité
objective sont rares. Ils manquaient dans nos 2
dans nos (i cas uniquement cliniques. Par contre les troubles de la
sensibilité
subjective sont fréquents. Ce sont des douleurs
ningo-myélite syphilitique. L'existence de troubles objectifs de la
sensibilité
constitue évidemment un argument important en f
n centrale, médullaire. 3° L'existence de troubles subjectifs de la
sensibilité
n'a pas de valeur, l'existence de troubles obje
xcitation de sa partie moyenne produit un mouvement d'adduction. La
sensibilité
et la motilité sont normales. La malade accuse de
ute poussée aiguë et de toute modification de couleur, cha- leur et
sensibilité
dans les changements de position et la consistanc
re auditive, visuelle, olfactive, gusta- tive, motrice, frapper. la
sensibilité
générale ou spéciale. Sa durée est une des cond
I. 1 2 CLINIQCE MENTALE. vue, la cocaïne des hallucinations de la
sensibilité
générale, sans qu'on puisse connaître la genèse
a station debout, aucun trouble de la mar- che, aucun trouble de la
sensibilité
. Au point de vue somatique, athérome artériel q
nital n'étaient pas sans rapports avec les altérations des autres
sensibilités
, sensibilité au toucher, sensibilité à la douleur
ent pas sans rapports avec les altérations des autres sensibilités,
sensibilité
au toucher, sensibilité à la douleur. Or avec l
ec les altérations des autres sensibilités, sensibilité au toucher,
sensibilité
à la douleur. Or avec la première il ne saurait
llèlement aux manifestations psychiques, depuis les rudiments de la
sensibilité
jusqu'aux phénomènes d'idéation et de conscienc
rts avec l'état des réflexes superficiels. Il a cependant trouvé la
sensibilité
épigastique profonde plus souvent augmentée que
d'un homme de trente-huit ans qui présentait une abo- lition de la
sensibilité
dans tous ses modes, non seulement au niveau de
roubles trophiques. On y note, du reste, souvent des troubles de la
sensibilité
, surtout de la sensibilité thermique et des tro
te, du reste, souvent des troubles de la sensibilité, surtout de la
sensibilité
thermique et des troubles de la calorification. "
ut mettre au premier plan les conditions qui soutiennent un état de
sensibilité
exagérée, le plus souvent l'état d'attente anxi
nne des résultats négatifs. L'ouïe est affaiblie des deux côtés. La
sensibilité
est affaiblie du côté paralysé. Le malade meurt
ique l'existence de lésions dégénératives. Quant aux troubles de la
sensibilité
, la plupart des auteurs admet actuel- lement le
réflexes tendineux du genou et du poignet notablement diminués. La
sensibilité
générale dans tous ses modes, tactile, douloureus
s chiffres tracés sur sa peau. Le sens musculaire est conservé. Les
sensibilités
spéciales sont également indemnes : en particulie
ait plainte de douleurs frontales au-dessus de la racine du nez. La
sensibilité
qui était très émoussée parut se réveiller avec
l'odorat. Après une bronchite fébrile, l'écoulement diminua, et la
sensibilité
générale redevint obtuse : elle était agitée ne
imysium. G. DENY. X. Tactiomètre. Instrument propre à déterminer la
sensibilité
du toucher ; par 0. 0. jlO1'SCIiOU1KO\YSKY. (Ob
ans des formes simplement névrosiques. L. D. XXIX. Altération des
sensibilités
tactile, et thermique consécu- tives à une lési
par P'I;nn,n. (ltiv. sperirre di et dt .lLed. leg., 1900, 1.) La
sensibilité
thermique a-t-elle des voies de transmission dis-
ité thermique a-t-elle des voies de transmission dis- tinctes de la
sensibilité
tactile' ? La question n'a pas encore reçu de s
e exactement superposables. Il faudrait donc admettre pour les deux
sensibilités
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
'de la totalité des deux membres inférieurs avec conservation de la
sensibilité
générale, exagération de la sensibilité réflexe
s avec conservation de la sensibilité générale, exagération de la
sensibilité
réflexe tendineuse," abolition des réflexes cutan
tés inférieures avec absence des deux. réflexes patellaires, et une
sensibilité
marquée des troncs nerveux et des muscles deces
point la pression était douloureuse. Diminution appréciable.' de la
sensibilité
au contact, à la douleur, à la température dans.
avec une certaine atteinte des sphincters, de légers troubles de la
sensibilité
(douleur, sensibilité exagérée et paresthésie), p
inte des sphincters, de légers troubles de la sensibilité (douleur,
sensibilité
exagérée et paresthésie), perte des réflexes et
de la déglutition. Réflexes perdus. Pas de troubles marqués de la
sensibilité
. Il y eut plus tard de l'atrophie musculaire avec
mbe, et sans aucun trouble vésical ou rectal. La dissocia- tion des
sensibilités
était bien marquée. Il y avait conservation de
des sensibilités était bien marquée. Il y avait conservation de la
sensibilité
tactile, avec perte de la sensibilité à la chaleu
Il y avait conservation de la sensibilité tactile, avec perte de la
sensibilité
à la chaleur, au froid et à la douleur; et, ce
s sensitifs : Douleur névralgique au niveau du cou et de l'occiput.
Sensibilité
tactile partout conservée. Thermoanes- thésie,
rs est probablement suffisante pour expliquer la conservation de la
sensibilité
tactile. Ainsi se trouve confirmée, dans ce cas
nt la substance grise dans les faisceaux de Gowers ; tandis que, la
sensibilité
tactile est transmise par les fibres des cordon
es neurones des gauglions postérieurs servent à la conduction de la
sensibilité
tactile ; ces fibres sont directes c'est-à-dire n
sthésie de la face, si ce n'est sur la cornée et la conjonctive. La
sensibilité
sur le reste du corps ne fut pas explorée. -
ensemble qui ressemble au phénomène du « doigt mort ». Quelquefois,
sensibilité
sur le trajet du nerf cubital, mais sans points
une sclérodermie très marquée des doigts rétractés en griffes ; la
sensibilité
n'est altérée qu'aux dernières phalanges selon
me de langage cogitatif interne et psychomotrices et à celles de la
sensibilité
générale. Il amenait par le recueillement de la
ont le plus souvent observés. Parmi les modifications du côté de la
sensibilité
, si l'hy- peresthésie sous ses diverses formes
ière supérieure gauchefermée, est unpeu plusfaibleque la droite. La
sensibilité
de la cornée gauche, aussi bien dans sa por- ti
; il n'y a pas d'augmenta- tion exagérée de la glande thyroïde. La
sensibilité
trachéale, abolie à gauche, est conservée à dro
nués à gauche, assez exagérés à droite. Abolition complète de toute
sensibilité
ova- rienne gauche ; la palpation réveille au c
le se rapproche de la crête de l'os coxal, où elle emprunte même sa
sensibilité
à quelques filets du douzième nerf intercostal.
l'olécrâne = 23m,5; la pression dynamométrique est de 17 kilos. Les
sensibilités
musculaire, tendineuse, osseuse, ainsi que les
E CHEZ UNE* FILLETTE. ] 85 réflexes, sont conservés et normaux ; la
sensibilité
cutanée est légèrement exagérée. Le membre su
entiment de l'existence du membre est absent. Cette abolition de la
sensibilité
musculaire n'est pas modifiée par le passage d'un
ons presque anormales. Enfin, elle est encore superficielle, et les
sensibilités
tactile, douloureuse, thermique ou électrique s
au-dessous du becrotulien est de 30 ? 5. Le réflexe rotulien et la
sensibilité
plantaire sont vifs; le réflexe du tendon d'Ach
existe ; pas de phénomène de Babinski ni de signe de Schoeffer. La
sensibilité
cutanée sous ses divers modes est un peu exagér
STÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 187 1 achilléen sont normaux, la
sensibilité
plantaire est nulle. Pas de phé- nomène de Babi
it « draguage » à proprement parler, ni boiterie concomitante. La
sensibilité
aussi bien profonde que superficielle est abolie
d, elle ne réagit en aucune façon. Certains réflexes et certaines
sensibilités
profondes sont conser- vés (réflexes pupillaire
x, du bras et, du poi- gnet, rotulien, achilléen), d'autres abolis (
sensibilités
conjonctive- cornéenne, oculaire profonde, mamm
iculier, il est intéressant de noter que le réflexe pharyngien, les
sensibilités
épigastrique profonde, trachéale et volvaire ont
ratures de chaque côté. Nous avons déjà indiqué l'abolition de la
sensibilité
gauche profonde : musculaire, nerveuse, osseuse
eviendrons pas. Mais nous insisterons davantage sur les troubles de
sensibilités
plus spéciales, celles des organes des sens.
Le goût, l'odorat et l'audition sont entièrement perdu s gauche. La
sensibilité
exquise du conduit auditif externe est nulle ; le
n'existe point pour la narine droite dont la muqueuse a conservé sa
sensibilité
olfac- tive. De même, on peut placer quelques g
. Toujours nous avons trouvé identiques, constants, les troubles de
sensibilité
géné- rale ou spéciale ; les troubles parétique
l visuel au lieu de se faire en moins, peut se faire en plus, et la
sensibilité
rétinienne devient hyperes- thésie rétinienne,
-37. ' 206 CLINIQUE NERVEUSE. * Et cependant la persistance de la
sensibilité
de l'appareil sensoriel n'en est pas moins cert
s certaine. A ce titre, à titre in- conscient, la persistance de la
sensibilité
générale est aussi certaine dans l'anesthésie c
aussi certaine dans l'anesthésie cutanée, que la persistance des
sensibilités
olfactive, gustative, auditive est certaine dans
ageusie, la surdité, que, dans le cas présent, la persistance de la
sensibilité
visuelle est certaine dans la cécité. l ' Com
ses sensorielles consti- tuées par des hallucinations de toutes les
sensibilités
. Ces hallucinations revêtent'souvent un caractè
ie à des hallucina- tions terrifiantes de la vue, de l'ouïe, de la.
sensibilité
géné- rale ; elleivoit une guillotine, des homm
ais, diminuent progressive- ment ; ce sont les hallucinations de la
sensibilité
générale qui cessent les premières, mais bientô
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE - PATHOLOGIQUES. XXXIII. Altérations de la
sensibilité
tactile et thermique à la suite de la lésion d'
uteur à admettre l'existence de fibres distinctes pour les diverses
sensibilités
, et distribuées différemment dans les troncs ne
épileptiques dans la sphère psycho-sensorielle. J. Séglas. XLII. La
sensibilité
chez les sourds-muets- du rapport avec l'âge et
par'FERRAI. (Riv. sp. di fren., 1899, fasc. 3-i.) Les différentes
sensibilités
, 'excepté la sensibilité tactile et aussi, bien
ren., 1899, fasc. 3-i.) Les différentes sensibilités, 'excepté la
sensibilité
tactile et aussi, bien qu'à un degré moindre, l
pté la sensibilité tactile et aussi, bien qu'à un degré moindre, la
sensibilité
générale, vont en se perfectionnant chez les so
ensibles que les sourds-muets congénitaux. Le mancinisme sensoriel (
sensibilité
générale et à la douleur) est très fréquent chez
congénitaux que chez les acquis. Les variations individuelles de la
sensibilité
sont très étendues. - J. Vécus. XLIII. Sur l'
qu'à celles des cen tres psycho-moteurs : depuis les troubles de la
sensibilité
liés à d'évidentes altérations, jusqu'à ses per
thogénie du suicide (2 février 1900); , par le D1' REBOUL. 11. La
sensibilité
oculaire à la pression et ses modifications dans
ar M. Le Merle, et clas- sées en groupes différents selon que cette
sensibilité
a été, ou absente, ou exagérée, ou diminuée, ou
u absente, ou exagérée, ou diminuée, ou abolie, il résulte que la
sensibilité
oculaire à la pression peut être modifiée dans de
poal- gésie de plus en plus légère jusqu'au retour intégral de la
sensibilité
; 3° La sensibilité cutanée à la douleur (pincem
en plus légère jusqu'au retour intégral de la sensibilité; 3° La
sensibilité
cutanée à la douleur (pincement, piqûre), dispa
cutanée à la douleur (pincement, piqûre), disparaît la première. La
sensibilité
cutanée à la tempéra- ture s'abolit ensuite : E
sensibilité cutanée à la tempéra- ture s'abolit ensuite : Enfin la
sensibilité
à la pression est perdue. Le pincement, la piqû
ieurs kilogrammes, et n'accuse qu'une sensation de contact; 4° La
sensibilité
au contact persiste en effet la dernière : elle
ions de contact sont de même quelquefois mal localisées ; z 7° La
sensibilité
cutanée au contact reparaît la première, puis a
u contact reparaît la première, puis apparaissent successivement la
sensibilité
à la pression, la sensibilité thermique, les se
puis apparaissent successivement la sensibilité à la pression, la
sensibilité
thermique, les sensations de chatouillement, la
n, la sensibilité thermique, les sensations de chatouillement, la
sensibilité
à la douleur, c'est-à-dire dans l'ordre inverse
nos malades qui, avani toute injection de cocaïne, possédaient une
sensibilité
, électrique parfaite, nous avons vu cette sensi
ssédaient une sensibilité, électrique parfaite, nous avons vu cette
sensibilité
s'abolir : les courants intenses n'étaient null
s provoquaient de très violentes contractions musculaires ; 9° La
sensibilité
profonde s'abolit au sur et à mesure de l'insta
jection, n'avait aucun trouble du sens des attitudes ; 'l'Il' Les
sensibilités
viscérales profondes (testiculaire, épigastriqu
s'abolir. Même dans les analgésies remontant jusqu'aux épaules, la
sensibilité
épi- gastrique profonde s'affaiblit mais ne dis
rique profonde s'affaiblit mais ne disparaît point tota- lement. La
sensibilité
testiculaire à la pression peut per- sister dan
stait douloureux, alors que le cordon spermatique avait perdu toute
sensibilité
au pince- ment et à la pression. Modification
le réflexe plantaire. Ils reparaissent dans le même ordre que la
sensibilité
cutanée, avec laquelle ils semblent étroitement
urs et des réflexes testiculaires avec une abolition complète de la
sensibilité
douloureuse des régions des cuisses ou de l'abd
ns des cuisses ou de l'abdomen excitées et perte incomplète de la
sensibilité
au contact de ces mêmes régions ; 2° Nous avons
ans le territoire analgésié dans le but de rechercher- l'état de la
sensibilité
n'ont presque jamais saigné. Souvent nous les a
onction lombaire simple n'ajamais entraîné de mo- difications de la
sensibilité
cutanée profonde ou viscérale; 2° La ponction l
on des mouvements à gauche, surtout des mains ; 4° Diminution de la
sensibilité
musculaire ; 5° Affaiblissement de l'ouie du cô
be du côté correspondant à la lésion; 2° anesthésie pour toutes les
sensibilités
dans le membre inférieur du côté opposé à la lési
embre supérieur du côté opposé à la lésion, il y a bien perte de la
sensibilité
tactile ; 3° hyperesthésie au toucher et à tout
: la même forme de rai- sonnement est applicable aux troubles de la
sensibilité
spéciale ou générale : la peau sent, l'écorce n
causes du sommeil hypnotique, les zones hypno- gènes, l'étude de la
sensibilité
chez les hypnotisés, la suggestibilité et les s
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Mais l'émoussement considérable de la
sensibilité
que l'on ren- contre si souvent dans la folie a
en effet, n'a d'importance spéciale que si elle est associée à une
sensibilité
pupillaire normale, car la présence d'une modif
e inspiration peut avoir sa source dans notre organisme, dans notre
sensibilité
, dans notre imagination, dans notre volonté. Qu
suites des « Reluquets ». Une autre, souffrant de troubles de la
sensibilité
générale, se plaint de sensations douloureuses
vité intellectuelle des périodes précédentes le fonds maladif de la
sensibilité
sur lequel... s'étaient graduelle- ment dévelop
le cas d'une déli- rante chronique chez laquelle les troubles de la
sensibilité
géné- rale et les interprétations délirantes ce
ormes bustes de la-. parScl7ackewitsch, 39. -, par Touche, 151.
Sensibilité
. Altération des - tac- tile et thermique, par F
iovoquer le - artificiel, par Hartenberg, 526. SGUnns-ocETS. La
sensibilité
chez les -, par Ferrai, 223. Souvenir des mou
de l'alcool et du - sur le travail, par Féré, 369, 463. Tabès.
Sensibilité
oculaire dans le , par Le Merle, 280. Traite-
ée il gauche. Nous avons signalé déjà les troubles subjectifs de la
sensibilité
, les dou- leurs dont se plaint la malade dans l
es constrictives, véri- tables douleurs en ceinture. L'examen de la
sensibilité
objective nous montre l'existence d'une légère
affaiblie mais on ne constate pas de réaction de dégénérescence. La
sensibilité
objective est très peu troublée : toutes les exci
, les excitations déterminent plutôt une impression douloureuse. La
sensibilité
profonde paraît intacte. La malade se plaint de
la moelle il n'y avait pas dans ce cas de troubles objectifs de la
sensibilité
permettant de localiser la lésion. L'examen com
roubles vertigineux. Enfin en raison de l'absence de troubles de la
sensibilité
sur les mem- bres inférieurs et le tronc, il y
effet de dégénérescences de ses faisceaux longs et cliniquement la
sensibilité
était conservée. 3° Les racines, quoique plus a
Burdach), ont fait preuve d'une tolé- rance très grande puisque la
sensibilité
objective était presque intacte et que dans les
s de latéralité exécutés à l'extérieur de la cavité buccale. / La
sensibilité
superficielle de la langue à la piqûre, au tact,
act, est moindre à la pointe qu'à la base, à gauche qu'à droite. La
sensibilité
profonde à la pres- sion de la langue entre l'i
pouce est plus marquée à droite qu'à gau- che (côté atrophié). La
sensibilité
gustative a été déterminée pour les substances sa
à droite et de 35 à gauche,au dynamomètre (le sujet est droitier).
Sensibilité
égale des deux côtés. Trophicité normale. Mem
s- set-Gaussel),ne montrent aucun degré, même léger, d'hémiparésie.
Sensibilité
égale des deux côtés. Les réflexes rotuliens so
du corps, quelques troubles du goût et une diminution légère de la
sensibilité
de la langue prédominant dans la moitié gauche. L
s : soulignons chez notre malade certaines modifica- tions dans les
sensibilités
tactile et gustative. A QUELLE LÉSION RATTACHER
bulbaire, déviation de la luette, troubles légers du goût et de la
sensibilité
tactile de la langue. On sait combien se sont m
aryngée, et il y a,en plus,d'une part, les troubles homonymes de la
sensibilité
linguale, qui ne rentrent dans aucun des syndrome
e avec symptôme clonique ; des deux côtés phénomène de Babinski. La
sensibilité
à la douleur, et à la chaleur est complètement
xyphoïde (schéma de Ed. Flatau), jusqu'aux pieds inclusivement ; la
sensibilité
tactile est également affaiblie à partir de cette
vis de mouvements involontaires, accompagnés de la diminution de la
sensibilité
sur tous les modes, à partir dune ligne supérie
droit, paralysie complète des membres inférieurs, suppression de la
sensibilité
à la douleur, au chaud et au froid et affai- bl
a douleur, au chaud et au froid et affai- blissement prononcé de la
sensibilité
tactile dans les limites sus-indiquées ; traite
édullaire. La démarcation supérieure segmentaire des troubles de la
sensibilité
ainsi que le rôle prépondérant dans le développ
ieures -redressement des genoux repliés, de plus en plus facile. La
sensibilité
tactile reparait complètement ; le malade commenc
nski bilatéral ; réflexes abdominaux et crémastériens très faibles.
Sensibilité
à la douleur, au toucher et à la chaleur affaib
ligne ombilicale (schéma de Flatau) jusqu'aux pieds inclusivement ;
sensibilité
musculaire des orteils amoindrie ; pas de trou-
motilité devient normale, et la force est relativement suffisante.
Sensibilité
tactile et à la douleur ; le sens musculaire revi
èrement l'abaissement, au 58 jour, de la limite supérieure de l'in-
sensibilité
, de 3-4 doigts en travers jusqu'à la ligne ombili
achidien causés notam- ment par l'engorgement des libres amenant la
sensibilité
dans les segments dorsaux 5 el 6, sans en détru
tendineux (m. tricip.) vifs, les périostaux des deux côtés normaux.
Sensibilité
normale. Couché, le malade remue convenablement
pa- thologiques) est rendue avec un certain effort. Troubles de la
sensibilité
: lé- ger affaiblissement de toutes les formes
la sensibilité : lé- ger affaiblissement de toutes les formes de la
sensibilité
depuis la ligne du tronc (D. I. E plus ou moins
; il ne peut déjà plus marcher sans aide; limite des troubles de la
sensibilité
sans changement. 2 octobre. Appareil d'extensio
tension musculaire augmentent ; phénomène de Babinski bilatéral, la
sensibilité
au toucher,à la douleur, au froid et au chaud d
t minime. Des deux côtés, dans les orteils, troubles profonds de la
sensibilité
; réflexes tendineux très vifs ; symptôme patell
e Babinski ; crémastérien faible, absence de symptômes abdominaux ;
sensibilité
à la douleur, au toucher et à la chaleur affaib
ents libres gagnèrent en force et en amplitude ; les troubles de la
sensibilité
douloureuse, tactile et thermique disparurent;
bilité douloureuse, tactile et thermique disparurent; par contre la
sensibilité
musculaire dans les orteils continuait à être a
MOELLE 47 2-28 août. Le malade fait ses premiers pas avec aide. La
sensibilité
musculaire dans les orteils n'est plus que légè
es pieds. Signe de Babinski bilatéral ; pas de réflexes abdominaux.
Sensibilité
tactile légèrement affaiblie dans les extrémité
é tactile légèrement affaiblie dans les extrémités inférieures ; la
sensibilité
à la douleur et à la chaleur affaiblie aussi à
tau) jusqu'aux genoux ; affaiblissement de plus en plus grand de la
sensibilité
à la chaleur et à la douleur. Dans la suite a
une courte période de douleurs dans le dos, perd progressivement la
sensibilité
dans les extrémités infé- rieures ; après 9 moi
e la faiblesse complète de la vessie ; la constipation augmente. La
sensibilité
du toucher, de la douleur, du chaud et du froid
plus bas que la ligne ombilicale; sur les extrémités inférieures la
sensibilité
à la chaleur, à la douleur et le sens musculaire
érieures ; réflexes tendineux manquent ; suppression complète de la
sensibilité
à partir de, la limite supérieure, indiquée dan
de Babinski bilatéral. Réflexes abdominaux faibles. Toubles de la
sensibilité
; disparition du senti- ment de la douleur et d
ur aux membres inférieurs, affaiblissement de ces deux formes de la
sensibilité
sur le ventre, au niveau du sacrum et des fesse
cale (schéma de E. Flatau). Tonicité des muscles sans augmentation,
sensibilité
tactile, sens musculaires normaux. 52 ROTSTADT
t 9 mois,. sans aucun symptôme doulou- reux avec des troubles de la
sensibilité
sous forme de changements disso- ciés, tout cel
le cours subséquent de la maladie. Du reste même les troubles de la
sensibilité
du type des changements dissociés ne sont pas t
subséquente. Aussi, vu l'évolution irrégulière avec troubles de la
sensibilité
à type de modifications dissociées, a-t-on judi-
Sphincters. - Aucun trouble des sphincters vésicaux et rectaux. IV.
Sensibilités
: u) Subjective : Rien à signaler, sauf la céph
s. Il n'y avait que les réflexes roluliens qui étaient exagérés. La
sensibilité
était normale. La maladie était apparue il la sui
a maladie présente dans l'un et dans l'autre cas la même marche. La
sensibilité
est normale dans les deux cas, la force dynamom
nts involontaires dis- paraissent complètement. Réflexes normaux.
Sensibilités
normales. La malade, après l'apparition des sec
regarde à droite; ces mouvements sont arythmiques et inconstants.
Sensibilités
normales. Réactions électriques des muscles égale
sont vifs; mais les rotuliens sont normaux dans les deux cas. Les
sensibilités
sont normales. Les organes des sens sont intact
ens sont vifs, les plantaires se font en flexion. La motilité et la
sensibilité
sont tout à fait normales. ' A l'examen radiogr
ont normaux aux membres supérieurs aussi bien qu'aux inférieurs. La
sensibilité
est parfaite. Les réflexes tendineux et périostau
nd diamètre des testicules : 5 centimètres. Pas de troubles de la
sensibilité
. Les réflexes rotuliens exagérés surtout du côt
côté gauche sont plats. Le malade ne présente pas de troubles de la
sensibilité
. L'existence des réflexes rotulien, achilléen e
e de l'ombilic au sol de 62 cen- timètres). Au point de vue de la
sensibilité
générale notons une légère hypoesthésie tactile
le voir sur les photographies. Pas de troubles des réflexes, de la
sensibilité
et de la motilité. Ponction lombaire négative.
ue la cuisse. Nulle part on ne trouve d'oedème. La motilité et la
sensibilité
sont normales, le réflexe plantaire se fait en
re, toutefois ou ne remarque jamais ni contractures, ni spasmes. La
sensibilité
si la douleur est conservée : l'enfant réagit i
à la piqûre d'une épingle. On ne peut rien dire de sûr au sujet des
sensibilités
thermiques, tactiles et stéréo- gnosiques. Le
marche et il reste levé toute la journée. Les différentes formes de
sensibilité
et les sens spécifiques sont complètement normaux
ie des quatre membres, des muscles du cou, de la dé- glutition : la
sensibilité
douloureuse, la seule qu'on pût explorer, est bie
ternes de paralysie. Il existe en outre de fréquents (roubles de la
sensibilité
. A part donc l'identité des symptômes que nous
une hydrocéphalie hy- diopalhique, une tête énormément grande, sans
sensibilité
à la pression des sutures, on est autorisé à pe
érence du crâne par une hydrocéphalie et dans ce cas on a une forte
sensibilité
de la suture à la palpation. Des raisons différ
ême hypertrophie ou pseudohypertrophie. En examinant l'état de la
sensibilité
cutanée, je pus constater en explorant tous les
lité cutanée, je pus constater en explorant tous les modes de cette
sensibilité
, qu'il était intact. Les irritations tactiles,
on avec l'épingle réveille des douleurs sensibles à la malade. La
sensibilité
superficielle objective est conservée pour le tou
quelle, les jours suivants. Examen DU malade. Système nerveux :
Sensibilité
: est intacte à la face, au tronc, aux membres su
ig. i. TROUBLES DE L'ÉCRITURE PAR ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE 243 la
sensibilité
influant sur tous les mouvements réflexes automat
devient luisante, légèrement brunâtre, les poils y sont rares et la
sensibilité
moins prompte. Fuchs ne se prononce pas sur la pa
de Stellwag est positif, la convergence des yeux est limi- tée, la
sensibilité
est obtuse au niveau des plaques sclérodermiques.
graves mo- difications de structure et de circulation sanguine, la
sensibilité
est à peu près intacte ; à peine est-elle un pe
Au niveau des orteils on observe une diminution très notable de la
sensibilité
tactile et dou- loureuse. La sensibilité au fro
inution très notable de la sensibilité tactile et dou- loureuse. La
sensibilité
au froid est bien conservée, tandis que la sensib
loureuse. La sensibilité au froid est bien conservée, tandis que la
sensibilité
au chaud est légèrement diminuée dans les régio
les altérations thermiques que nous avons relatées. L'examen des
sensibilités
objectives n'a rien donné en plus des résultats
ons constaté encore, chez notre malade, une légère diminution de la
sensibilité
au niveau des extrémités. Les auteurs sur ce poin
aire, des troubles vaso-moteurs, tro- phiques et des troubles de la
sensibilité
. En plus nous ajouterons qu'il n'est pas rare d
car on trouve par-ci par-là des points plus intensément colorés. La
sensibilité
tactile, thermique et à la douleur est diminuée
ue à une région déterminée de la moelle épinière. Les troubles de
sensibilité
, bien que légers, notés dans ce cas,plaideraient
t une tuméfaction au niveau du sciatique, et celui-ci manifeste une
sensibilité
exquise au moindre attouchement. Il s'agit à n'
ion dans la disposition et le fonctionnement des cordes vocales. La
sensibilité
tactile est conservée, sauf pour une petite zone,
le de la main et des doigts ; mais la perception quantitative de la
sensibilité
n'est pas aussi nette que du côté sain. La sensib
tative de la sensibilité n'est pas aussi nette que du côté sain. La
sensibilité
à la douleur et à la température est diminuée s
es et striées transversalement. La marche est normale, ainsi que la
sensibilité
et la réflectivité. Août 1913. Etat stationna
moteurs, pas de sudation, pas de larmoie- ment de l'oeil gauche. La
sensibilité
de toute la face esl normale à tous ses modes e
leptoïde du pied ni de la rotule. Il n'existe pas de troubles de la
sensibilité
cutanée du tronc ou des mem- bres; Pas de troub
bres est parfaite. Les réflexes sont normaux. Pas de troubles de la
sensibilité
ou des organes des sens. Les organes splanchniq
vée. All... peut siffler et souffler sans difficulté. Du côté de la
sensibilité
subjective, quelques légères douleurs rénales.
très paresseuses. Pas de strabisme ni de paralysies oculaires. La
sensibilité
dans tous ses modes est normale et égale des deux
testicule droit réduit au volume d'une noisette ne présente pas la
sensibilité
spéciale à la pression, on ne sent pas l'épidid
noire de la radiographie. L'examen physique ne révèle rien qu'une
sensibilité
un peu marquée des crémasters qui, au moindre a
appui sur les malléoles et grimper sur ses jambes et ses cuisses.
Sensibilité
. L'examen de la sensibilité a été difficile à fai
grimper sur ses jambes et ses cuisses. Sensibilité. L'examen de la
sensibilité
a été difficile à faire à cause du niveau menta
ur du pays, sans aucune éducation. Cependant, il nous a paru que la
sensibilité
subjective et objective, superficielle et profo
quels qu'ils soient, sont normaux. Il n'existe aucun trouble de la
sensibilité
cutanée, aucun trouble trophique soit au niveau
Le signe d' \ rgyll-Roht'I'tsou est très net. Pas de troubles de la
sensibilité
objective. Le malade se plaint de douleurs dans
sent des fourmillements et des engourdisse- ments des jambes. La
sensibilité
tactile, thermique et douloureuse, est abolie aux
inale inférieure jusqu'à deux travers de doigt sous l'ombilic. La
sensibilité
au diapason, la sensibilité profonde et le sens a
x travers de doigt sous l'ombilic. La sensibilité au diapason, la
sensibilité
profonde et le sens articulaire sont tout à fai
e doigt. Les dou- leurs ont cédé presque tout a fait. 12 août. La
sensibilité
de la face interne de la cuisse (tiers supérieur)
douleurs lombaires intenses avec irradiations dans les membres. La
sensibilité
objective, tactile, thermique et douloureuse es
ve, tactile, thermique et douloureuse est profondément atteinte. La
sensibilité
tactile est abolie sur les membres inférieurs e
côtes. L'anesthésie haresthésique s'étend jusqu'au même niveau. La
sensibilité
articulaire des orteils, du cou-du-pied et du gen
articulaire des orteils, du cou-du-pied et du genou est abolie. La
sensibilité
au diapason est abolie pour le squelette de la mo
t abolis. Atrophie musculaire massive dans la cuisse et les jambes.
Sensibilité
tactile, douloureuse et thermique profondé- men
as. Le pied est tombé. On note un degré de steppage. 25 mai. - La
sensibilité
vibratoire est reparue au niveau des os des pie
ui-même sa maladie : Je me souviens d'avoir toujours eu beaucoup de
sensibilité
. La plus petite satisfaction accordée à mes dés
es paupières, ni de la langue. Réflexes testiculaires très faibles (
sensibilité
testiculaire très vive. Les deux testicules sont
lire quelques nombres écrits. Les jours suivants exagération de la
sensibilité
il l'égard des sons, hypoacousie; finalement, à
gie pathologique des troubles les plus divers de la motilité, de la
sensibilité
, des réflexes des sens spéciaux. Au point de vue
IV, fasc. III, IV.) XXVI. Contribution A l'étude DES troubles DE la
sensibilité
11YGItIQUE; par le D'' 111u1GazzINI. (Anrt. eli
'ol., anno XIII, fasc.1, 2.) Nouvelle observation de troubles de la
sensibilité
hygrique chez un paralytique général, analogue
vec abolition des réflexes des mem- bres supérieurs; troubles de la
sensibilité
pareils à ceux de la syrien- gomyélifij diagnos
face, s'étendent à la nuque, à l'occiput, au plexus brachial, avec
sensibilité
à la pression des points d'élection des nerfs a
at donc l'opinion qui fait des petites pyramides des cellules de la
sensibilité
, des grandes, des cellules de la motilité, et a
ysiologiques existant entre les nerfs de la inutilité et ceux de la
sensibilité
? c La connaissance de ces rapports histolo- gi
rmais être considérées avec plus de fondement comme des cellules de
sensibilité
(cellule di senso). De ces études de Golgi su
s lésions, irritatives ou destructives, des centres corticaux de la
sensibilité
106 PATHOLOGIE NERVEUSE. générale ou spéciale
ion ou les lésions des zones motrices, provoquer des troubles de la
sensibilité
. L'hypothèse de Tamburini (1876) sur la nature
ns les différentes zones de l'écorce cérébrale, les fonctions de la
sensibilité
et celles de la motilité ne sont pas plus disti
ue, que ne le sont les deux types de cellules du mouvement et de la
sensibilité
; anatomiquement, les deux formes d'activité spé-
nsi, « il 1 aura mélange, dit-il, du siège anatomique central de la
sensibilité
tccctileet de l'activité Psyc/¡o-111otl'ice »,
pas encore bien précises, tandis que pour la vision, l'odorat et la
sensibilité
commune, les résultats de mes recherches histol
s de l'écorce céré- f hrale ne sont, en réalité, que des centres de
sensibilité
générale. / C'était, pour Meynert, une explicat
cellule nerveuse ne possède qu'une seule énergie fonctionnelle : la
sensibilité
, qui n'est qu'un mode de l'irritabilité. L'hété
ales du cerveau, que Meynert. a rapporté les différents modes de la
sensibilité
générale et spéciale. Seule, la fibre musculair
ute l'opinion qui voit, dans les petites pyramides, des cellules de
sensibilité
; dans les grandes, des cel- lules de motilité,
térieur ses pseudopodes pour s'emparer de sa proie. Les nerfs de la
sensibilité
et ceux du mou- vement sont comme des expansion
e cellules épidermiques modifiées par l'adaptation. Il suit que les
sensibilités
spéciales ou spécifiques de l'ouïe, de la vue,
e l'ouïe, de la vue, du goût, de l'odorat se sont développées de la
sensibilité
générale (E. Ilaeckel, Huxley) : elles ne sont
rine de la spéci- ficité fonctionnelle des différents centres de la
sensibilité
générale et spéciale de l'écorce cérébrale. L'h
orce et confondus pêle-mêle avec les autres éléments centraux de la
sensibilité
générale et spéciale. La doctrine d'une diversi
l de Golgi ou de Gerlach, serait en rapport avec plusieurs nerfs de
sensibilité
différente, pourrait réu- nir en soi une plural
partie de ces éléments sans dommage aucun pour les fonctions de la
sensibilité
. Par exemple, si les cellules nerveuses des sph
par la nature, des éléments ou cellules des centres corticaux de la
sensibilité
qui servent àcette sensation. » (Ibid., p. 291.
Puis, pourquoi parler encore de cellules motrices et de cellules de
sensibilité
? Forel protestait ; il s'élevait contre Golgi
n sensible est une cellule épithéliale, une cellule périphérique de
sensibilité
d'où sort un prolongement nerveux, comme des ce
os de la confusion, dans l'écorce, des éléments anato- miques de la
sensibilité
et de la motilité volontaire, pourquoi les cell
pourquoi les cellules nerveuses centrales des divers organes de la
sensibilité
et du mouvement devraient être morphologiquemen
de ces deux fonctions fondamentales, encore admi- ses par Golgi, la
sensibilité
et le mouvement. Par là Golgi se défend d'insin
ndraxiles les plus typiques, celles des nerfs périphéri- ques de la
sensibilité
générale. Enfin, peut-être importuné du bruit q
e les résumer. Ce sont : paralysie du train pos- térieur (motilité,
sensibilité
) ; persistance des réflexes cutanés, abdominaux
te psychose, les idées de vol, d'empoisonnement, les troubles de la
sensibilité
générale, les hal- lucinations de la vue occupe
s de râles. - Circulation : coeur régulier; pas de bruit morbide.
Sensibilité
générale conservée sous ses divers modes; paraît
Malgré l'abaissement du taux de la vitalité et la diminution de la
sensibilité
générale que l'on observe si fréquemment dans les
taux sont associés à la présence de douleurs dites à distance, avec
sensibilité
des tissus superficiels du corps et de la peau
ger strabisme et nystagmus. Pas de troubles de la mobilité et de la
sensibilité
, sauf des troubles de la parole. Le malade se p
lucinations, des idées de persécution basées sur des troubles de la
sensibilité
géné- rale, des interprétations délirantes. Le
de maladies, le tabes affecte un système physiologique, celui de la
sensibilité
générale et spéciale. De là ses déterminations
douceâtre ou sucré. Dans le second cas il y avait diminution de la
sensibilité
guslative. Dans une observation du Dr Magnan 6
de la pituitaire et de la muqueuse buccale qui appartiennent à la
sensibilité
spéciale (nerfs olfactif et glosso-pharyngien) de
if et glosso-pharyngien) de ceux qu'on relève dans le domaine de la
sensibilité
spéciale (tri- jumeau) de ces mêmes muqueuses.
jeu desquels ilfaut faire entrer en ligne de compte les nerfs de la
sensibilité
générale qui se rendent à la muqueuse pituitair
n qui justifie dans notre énumération le relevé des désordres de la
sensibilité
générale de la bouche et du nez. L'ensemble des
rait seulement fort vraisemblable que les troubles du goût et de la
sensibilité
de la langue des tabétiques retentissent d'une
deur. Ici encore le trouble doit porter essentiellement soit sur la
sensibilité
générale de la muqueuse pituitaire ou linguale,
ement isolé dans chacun de ces appareils. a). Les perversions de la
sensibilité
générale qui se produi- sent dans les branches
lui l'abolition du réflexe au chatouillement, une diminution de la
sensibilité
au toucher et, du côté' gauche seulement, une d
de raideur dans la sphère du trijumeau. Il semble au malade que la
sensibilité
disparaît dans les tégu- ments de la joue. Cett
che sa face à ce moment il lui semble que la joue n'existe plus, la
sensibilité
devenant de plus en plus obtuse dans cette part
hère du trijumeau dispa- raissent à ce moment. Les troubles de la
sensibilité
et l'enchifrènement n'existent t qu'à gauche. C
donc certain que la crise nasale est provoquée par un trouble de la
sensibilité
générale, et non de la sensibilité spé- ciale,
t provoquée par un trouble de la sensibilité générale, et non de la
sensibilité
spé- ciale, de l'odorat. C'est le nerf trijumea
ne soit provoqué dans l'un et l'autre cas par des troubles de la
sensibilité
nasale. Mais les différences qui séparent ces deu
LES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 267 b). Perversions de la
sensibilité
spéciale. L'odorat et le goût sont dans ce cas
ments la provoquaient en très grande abondance. La diminution de la
sensibilité
générale de la langue était peu marquée; mais d
dépend du trijumeau ; mais à son tour il retentit sur le nerf de la
sensibilité
spéciale et c'est pourquoi une étude du 1 Vulpi
ire et qu'on recherche l'abolition des réflexes, les troubles de la
sensibilité
, les dou- leurs, les symptômes visuels qui appa
nt la fonction est la sécrétion salivaire ; 3° Des troubles de la
sensibilité
dans la sphère du triju- meau caractérisé surto
tait douceâtre ou sucré. Chez le second malade des mêmes auteurs la
sensibilité
gustative est diminuée dès le début. D'après
dans la grande majorité des cas de tabes ce sont les troubles de la
sensibilité
qui ouvrent la scène. Les moda- lités en sont d
nsation qui pousse le malade à faire des grimaces pour réveiller la
sensibilité
endormie des joues et du front. En second lieu,
ou centrale, l'anatomie pathologique montre que le système de la
sensibilité
est pris dans son ensemble. Ainsi le ganglion d'A
suivant les cas, c'est-à-dire, soit par la lésion des nerfs de .la
sensibilité
spé- ciale (nerfs olfactif et glosso-pharyngien
(nerfs olfactif et glosso-pharyngien), soit par celle du nerf de la
sensibilité
générale de la langue et de la pituitaire, soit
après tant de contro- verses, reconnus comme jouissant seuls de la
sensibilité
spé- ciale de l'odorat et du goût. Même dans le
ême dans les cas où il y a anesthésie du trijumeau à la face, si la
sensibilité
générale de la langue et de la pituitaire est i
rsistent, la seule conclusion logique est d'incriminer les nerfs de
sensibilité
spéciale en laissant de côté le trijumeau. 2°
meau. 2° Dans d'autres cas les symptômes relèvent des nerfs de la
sensibilité
générale dont les lésions entraînent secondaireme
s lésions entraînent secondairement la perte ou la perversion de la
sensibilité
spéciale. Si le nerf lingual n'est pas le nerf
ison que plusieurs auteurs ont affirmé que ce nerf était doué de la
sensibilité
spéciale du goût. Trizani après section du ling
r quel mécanisme agit le trijumeau pour entraîner l'abolition de la
sensibilité
dans la sphère du glosso-pharyngien ou du nerf
nique de langue saburrale névropathique. 3° Il n'est pas jusqu'à la
sensibilité
musculaire qui ne puisse peut-être jouer un rôl
sécutif à une sensation rebutante ayant son point de départ dans la
sensibilité
géné- rale ou spéciale ou même dans un acte de
tahes. Ils reconnaissent pour cause soit une lésion des nerfs de la
sensibilité
spéciale,du glosso- pharyngien et de l'olfactif
logique ou fonctionnelle des cellules nerveuses en cel- lules de la
sensibilité
ou de la motilité, fondé sur la morphologie de
centrale, propageant jusqu'au cerveau les diverses sensations de la
sensibilité
générale, peut être inférée avec certitude : 1°
sur ceux-ci que reposait l'hypothèse des cellules de motilité et de
sensibilité
de Golgi, hypothèse ruinée par Kôlliker, His, W
ules du deuxième type de Golgi, qui sont sans doute des cellules de
sensibilité
, mais comme toutes les autres cellules nerveuses,
mais comme toutes les autres cellules nerveuses, sans exception, la
sensibilité
étant la seule propriété spécifique de ces élém
ques et centraux de la vision, de l'audition, de l'olfaction, de la
sensibilité
générale, etc., réa- lise les conditions nécess
ne autre de même nature, c'est-à- dire appartenant au même ordre de
sensibilité
, par le nombre et la position respective des gr
constate ensuite que les fibres du sens musculaire et celles de la
sensibilité
tactile paraissent avoir d'étroites relations :
mbault) dans lequel le sens musculaire ait été atteint alors que la
sensibilité
tactile demeurait normale : encore s'agissait-i
e de Brown-Sequard paraissent démontrer que toutes les fibres de la
sensibilité
tactile ne s'entre- croisent pas dans la moelle
quatre derniers doigts de la main, le pouce n'intervenant pas. La
sensibilité
cutanée est normale dans tous ses modes. La malad
alysie du nerf musculo-cutané du côté gauche. Comme il existe de la
sensibilité
dans la région du point sus-clavi- culaire des
sente une monoplégie du bras droit avec névralgie et troubles de la
sensibilité
dans le même membre, de l'insommie, de la perte
e l'analgésie (chez 2 le résultat a été incertain). Sur 100 femmes,
sensibilité
à la pression dans 88 cas, analgésie dans 9 cas ;
s le dixième des cas. Pas de cas d'analgésie chez la femme. Mais la
sensibilité
à la pression disparaissait chez 12 sujets, pen
heures consécutives à l'accès. Après une durée de douze heures, la
sensibilité
à la pression redevenait normale chez presque tou
existaient au commencement de la maladie; disparurent plus tard. La
sensibilité
restait normale. Autopsie. - Néphrite parenchym
en existe d'innombrables variétés ou combinaisons. Etant donnée la
sensibilité
extrême et plus ou moins durable des éléments c
e épileptiforme ou une pneumonie (p. 12). - A la période ultime...,
sensibilité
, mou- vements volontaires, états psychiques con
du pied existe. Le crémastérien et le plantaire sont normaux. La
sensibilité
est complète dans toutes ses manifestations. Le
envahissement des noyaux bulbaires, sans altération accusée de la
sensibilité
, sans participation de la vessie ou du rectum, et
acines nerveuses concorde avec l'absence de symptômes du côté de la
sensibilité
. Dans la seconde partie de leur travail, les au
tremblement de la langue ni des extrémités. Pas d'altérations de la
sensibilité
, sauf une hyperesthé- sie droite insignifiante.
mais ils existent tous; les réflexes superficiels sont normaux. La
sensibilité
n'est REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 461 pas a
stance grise ont pour consé- quence constante des altérations de la
sensibilité
cutanée (syringo- myélie, hématomyélie), pourvu
ande partie de la substance blanche peut être dégénérée sans que la
sensibilité
soit altérée (maladie de Friedreich). LXIV. D
e plus sur le sol. Il existe de la contracture des adducteurs. La
sensibilité
est normale. Les réflexes rotuliens sont seuls
ibiale postérieure (sauf les interosseux). Excitabilité électrique,
sensibilité
normale; pas de troubles trophiques. Ves- sie e
serait à la limite de la moelle dorsale et lombaire; troubles de la
sensibilité
. Plus tard, tout le renflement lombaire paraît
motrice et sensitive complètes dans le domaine de la moelle sacrée,
sensibilité
dissociée (contact conservé) dans le domaine de
nt jusqu'au domaine delà huitième paire dorsale, les troubles de la
sensibilité
jusqu'aux racines dor- sales supérieures. Mort
t sensitive, excitabilité faradique des nerfs et muscles conservée,
sensibilité
exagérée depuis les pieds jusqu'à un travers du
essus. Chaque excitation qui agit sur les nerfs périphériques de la
sensibilité
a pour résultat une constriction des vaisseaux
plus grand nombre des anarchistes, c'est un altruisme exagéré, une
sensibilité
morbide à la douleur des autres. Cet altruisme
TABLE DUS MATIERES. lepsie consécutives par Bourne- ville, 186.
Sensibilité
. Troubles de la hygrique par Mingazzil1l, 58.
vant : « Dégénérescence mentale avec hallucinations, troubles de la
sensibilité
générale, préoccupations hypochondriaques, idée
outenue. Il n'y a aucun trouble des sphincters, aucun trouble de la
sensibilité
ob- jective cutanée et profonde ; les réflexes
que. Réflexes patellaires normaux. Pas de troubles sphinctériens.
Sensibilité
. Aucune altération de la sensibilité cutanée. La
Pas de troubles sphinctériens. Sensibilité. Aucune altération de la
sensibilité
cutanée. La malade se plaint d'avoir quelquefoi
llaires dans les muscles atrophiés. Pas de troubles objectifs de la
sensibilité
. La malade dit ne pas sen- tir de douleurs dans
a face, du tronc et des membres inférieurs. Pas de trou- bles de la
sensibilité
cutanée. Douleurs intermittentes pendant quel-
ogressive, la présence de secousses fibrillaires, l'intégrité de la
sensibilité
cutanée, l'état normal des réflexes rotuliens s
hie musculaire prédominant aux extrémités il y a des troubles de la
sensibilité
et des douleurs du type fulgurant, de l'incoordi-
la périphérie entre les conducteurs de la moti- lité et ceux de la
sensibilité
et, d'autre part, rappelle des faits analogues
rmittents et d'intensité moyenne mais sans troubles objectifs de la
sensibilité
cutanée. Telle est la formule anatomo-clinique
mière et à l'accommo- dation. Pas de nystagmus. Aucun trouble des
sensibilités
superficielles ; sens des attitudes parfaitement
de nystagmus. Motilité des yeux normale. ' Pas de troubles de la
sensibilité
(superficielle et profonde : le sens des atti-
Réflexe abdominal conservé des deux côtés. Pas de troubles de la
sensibilité
marqués : il existe seulement une légère diminu
nsibilité marqués : il existe seulement une légère diminution de la
sensibilité
à la piqûre aux deux jambes. La parole est légè
t conservé. Dans un seul cas (Obs. III) existent des troubles de la
sensibilité
sub- jective et objective sous la forme de doul
légère hypalgésie aux jambes ; à noter la parfaite intégrité de la
sensibilité
profonde même chez ce malade. Ce malade, âgé de
tres, quelques troubles de la motilité, de la réflectivité et de la
sensibilité
présentés par des vieillards. Mais dans ces cas
flexes abdominaux sont conservés à droite et affaiblis à gauche. La
sensibilité
superficielle est normale à tous les modes. Le se
e ne sont pas modifiés ; mais il existe des troubles notables de la
sensibilité
osseuse, le temps de perception des vibrations
es d'in- coordination, l'abolition des réflexes, les troubles de la
sensibilité
osseuse, les phénomènes oculaires : signe d'Arg
s. Pas de troubles cardio-respiratoÏ1'es, jamais de vomissements.
Sensibilité
normale à tous points de vue : ni sur la face, ni
nous n'avons relevé d'anesthésie sous quelque mode que ce fût. Les
sensibilités
olfactives et gustatives sont intactes. L'acuité
ette hypothèse qu'avec réserves. Il n'y a en effet aucun trouble de
sensibilité
, pas de douleurs fulgurantes, ni de troubles sphi
illaires sont conservés. Il n'existe, nulle part, de troubles de la
sensibilité
subjective ou objective (tant superficielle que
meaux, réaction de dégénérescence dans le muscle jambier antérieur,
sensibilité
intacte). Au membre inférieur gauche l'aspect est
oumons. Le foie et la rate un peu volumineux. Pas de troubles de la
sensibilité
ou des réflexes. Etat intellectuel normal. Aucu
tant qu'à la troisième poussée. ' , j Des troubles, en moins, de la
sensibilité
ont été également observés dans quelques cas. C
yroïdien n'a pas donné de résultats, le poids est resté le même, la
sensibilité
des masses adipeuses n'a point diminué, et la mal
lade est dans l'impossibilité d'accommoder. 188 ROSSI ET ROUSSY
Sensibilité
générale : parfaitement conservée partout, pour t
servée partout, pour tous les modes ; pas d'anesthésie cornéenne.
Sensibilité
spéciale : le goût et l'odorat sont normaux. La
spondant à la macula. Pas de troubles objectifs ou subjectifs de la
sensibilité
générale. Fond de l'oeil normal. Goût et odorat
'être relevé dans notre observation est l'absence de troubles de la
sensibilité
générale, bien que, nous l'avons vu, il existât s
calotte participe à la lésion, on peut observer des troubles de la
sensibilité
générale du côté de l'hémiplégie ; leur présenc
agel, que pour qu'il y ait des trou- bles accusés et durables de la
sensibilité
, dans les cas de foyer pédoncu- laire, il faut
tion et c'est à ce moment qu'on note l'absence des trou- bles de la
sensibilité
; avant cette date tous les renseignements que no
e. Il est donc logique d'admettre, que si certaines modalités de la
sensibilité
, comme celle du tact, de la douleur et de la temp
avoir été atteintes d'au très modalités de la sensibi lité, comme les
sensibilités
profondes, le sens musculaire, le sens stéréogn
par lésion du ruban de Reil médian) ce sont surtout les troubles de
sensibilité
profonde qui prédominent. Il est d'ailleurs facil
ène en inhala- tions, etc. Cet état continua pendant 5 jours ; la
sensibilité
revint] faiblement à la partie supérieure du tr
nervée par la 1'" dorsale) restait insensible. Mais le retour de la
sensibilité
s'est accompagné de douleurs continues aux endroi
ndroits où elle est re- parue. A la limite entre l'anesthésie et la
sensibilité
normale existait une cein- ture d'hyperesthésie
nt atteints jusqu'à la 7e racine, c'est ce qui explique pourquoi la
sensibilité
persiste - affaiblie, il est vrai - dans la par
e systématisée, avec des al- térations douteuses ou anciennes de la
sensibilité
objective, sans réaction de dégénération et d'u
; et la forme grave, ou mixte, avec des altérations profondes de la
sensibilité
objective, avec réaction de dégénérescence et é
s du tronc, suppression des réflexes tendineux, aucun trouble de la
sensibilité
, légère diminution des réactions électriques au
t moyennede la cuisse gauche ; suppression des réflexes tendineux ;
sensibilité
objective normale en POLYNÉVRITE AIGUË INFANTIL
ersion polaire, et au nerf sciatique poplité externe du même côté ;
sensibilité
électrique en apparence augmentée lorsqu'on fai
suppression des réflexes tendineux. Trouvant que la recherche de la
sensibilité
objective était très difficile en ce cas, je me b
iner la topographie de la paralysie ou des troubles objectifs de la
sensibilité
, comme dans le cas 5, topographie périphérique
céphalo-rachidien est normal (1). Les altérations objectives de la
sensibilité
, diminuant lentement de la périphérie vers la r
e, on peut observer quelques légères altérations ob- jectives de la
sensibilité
, de l'hypoesthésie et même de l'anesthésie, mais,
jours accompagnée, ce qui est décisif, d'altérations intenses de la
sensibilité
objective. En somme, dans la polynévrite aigu
ors elle est plus étendue et accompagnée de troubles profonds de la
sensibilité
objective. HOSPICE DE LA Salpêtrière CLINIQUE
estion, de la respiration et de la circulation sont nor- maux. La
sensibilité
est normale ; la force musculaire est peu dévelop
t absolument immobile. La cornée et la con- jonctive ont gardé leur
sensibilité
et le réflexe cornéen est très vif. Le tonus oc
commodation existe, mais très faible ; pas de réflexe à la douleur.
Sensibilité
cornéenne, conjonctivale et réflexe cornéen norma
utanés et tendineux sont normaux ; pas de troubles appréciables des
sensibilités
viscérales, tendineuses et osseuses profondes. ,
donne un léger éblouissement ; il existe donc une diminution de la
sensibilité
rétinienne pour la lumière ; comme l'a montré P
Parinaud, cette anésthésie pour la lumière est compatible avec une
sensibilité
normale pour les couleurs et avec une acuité visu
'est-à-dire fait agir le muscle grand oblique de l'oeil droit. La
sensibilité
est extrêmement touchée, au point de vue subjecti
dou- loureux. Objectivement, on constate de très gros troubles des
sensibilités
sv- pe1'/icielles, ainsi qu'en rend compte le s
CI, surtout dans sa partie posté- rieure, au niveau de laquelle la
sensibilité
à la température est complètement abolie, les a
la sensibilité à la température est complètement abolie, les autres
sensibilités
superficielles étant normales. , A droite, dans
e ca tout entier, c'est-à-dire la région du cou et de la nuque ; la
sensibilité
à la piqûre y est tout à fait nor- male, le tac
e la moitié droite du tronc et des membres, ~'les trois modes de la
sensibilité
superficielle sont atteints, surtout la tempéra-
MYÉLIE AVEC PHÉNOMÈNES BULBAIRES 265 ture, le tact un peu moins, la
sensibilité
à la piqûre étant mieux conservée. C'est dans l
e l'on descend, et en particu- lier au niveau de la jambe droite la
sensibilité
aux trois modes est évidemment il FIG. 1. H
st évidemment il FIG. 1. Hachures horizontales = troubles de la
sensibilité
thermique. Hachures verticales = troubles de la
s de la sensibilité thermique. Hachures verticales = troubles de la
sensibilité
tactile. Hachures obliques .= troubles de la se
bles de la sensibilité tactile. Hachures obliques .= troubles de la
sensibilité
aux trois modes. ) 2GG RAYMOND ET LJONNE }' m
re du thorax, mais il est impossible do t préciser davantage. Les
sensibilités
profondes sont très atteintes, surtout à droite.
Les sensibilités profondes sont très atteintes, surtout à droite. La
sensibilité
osseuse pour les vibrations du diapason est pre
niveau des FIG. 2, 2. '1\ Hachures horizontales = troubles de la
sensibilité
thermique. Hachures verticales = troubles de la
s de la sensibilité thermique. Hachures verticales = troubles de la
sensibilité
tactile. Hachures obliques = troubles de la sen
ubles de la sensibilité tactile. Hachures obliques = troubles de la
sensibilité
aux trois modes Sln1\GO\(1'GLIG AVEC PHÉNOMÈNES
on, particu- lièrement aux extrémités. A droite, comme à gauche, la
sensibilité
osseuse est normale à partir des épaules jusqu'
e est normale à partir des épaules jusqu'au sommet de la tète. La
sensibilité
articulaire et la notion de position sont des plu
mastérien affaibli des j deux côtés. Il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
au niveau de la cavité buccale et du pharynx ;
ue, le tact était un peu diminué; du côté droit de la tête seule la
sensibilité
thermique est troublée; à gauche, au niveau de
e seulement, on observe une anesthésie totale à la température. Les
sensibilités
profondes sont très troublées sur- tout à droit
certains symptômes, la déformation '\ vertébrale et les troubles de
sensibilité
pourraient à la rigueur en impo- ser pour une c
nent de paraplégie spasmo- ' clique, de scoliose, de troubles de la
sensibilité
, même avec dissociation dite syringomyélique (1
s de symptômes nous seront particulièrement utiles, les troubles de
sensibilité
et les phénomènes bulbaires. Nous ne reprendron
aires. Nous ne reprendrons pas l'étude détaillée des troubles de la
sensibilité
, (1) At.Jmcrs et LnawuTre, Rev. Neurol., 190fi,
de C' à gau- che) ; partout ailleurs, contrairement à la règle, la
sensibilité
tactile est,; plus émoussée que la sensibilité
ement à la règle, la sensibilité tactile est,; plus émoussée que la
sensibilité
douloureuse /<$ Les troubles des sensibilité
lus émoussée que la sensibilité douloureuse /<$ Les troubles des
sensibilités
profondes sont plus considérables que cx" qu'on
n signale d'habitude : il existe à droite de très gros troubles (le
sensibilités
superficielles, tandis qu'à gauche on observe de
ers troubles du sens des attitudes aux doigts et aux orteils, et la
sensibilité
osseuse, tant au point de vue de l'intensité qu
ainement diminuée aux extrémités, c'est-à- dire en des points où la
sensibilité
superficielle est normale à tous les modes. `
a chaleur et au froid, conserva- tion parfaite de toutes les autres
sensibilités
). Elle siège à droite, c'est-à- dire du côté de
aire cette hypothèse ; dans le cas qui nous occupe, les troubles de
sensibilité
ont une disposition ra- diculaire, variable ave
ervicales, la température est très atteinte, le tact peu touché, la
sensibilité
à la douleur et la sensihilité osseuse sont norma
t normales ; tandis que brusquement à partir de C'' les troubles de
sensibilité
deviennent in- tenses et atteignent à la fois l
les de sensibilité deviennent in- tenses et atteignent à la fois la
sensibilité
superficielle sous tous ses modes et la sensibi
nt à la fois la sensibilité superficielle sous tous ses modes et la
sensibilité
profonde. Il y a donc, certainement, du côté dr
sion paraît atteindre avant tout la corne postérieure (troubles des
sensibilités
superficielles, troubles trophiques), mais le c
ubles trophiques), mais le cordon postérieur ne paraît pas indemne (
sensibilités
profondes presqu'a- 272 RAYMOND ET LEJONNE bo
quel point nous connaissons mal les voies conductrices des diverses
sensibilités
dans la moelle. Les deux faisceaux pyramidaux s
pousse la toile et exerce convenablement son métier de piqueuse. La
sensibilité
du moignon, de l'appendice, des bourgeons digitau
gnon, animé dans sa totalité de mouvements volontaires, possède une
sensibilité
très développée, à tous les modes. Des mouvemen
ENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 347 brusque changement de la
sensibilité
morale, sous forme de chagrin mo- ral, tristess
, angoisse et désespoir. Dans 14 cas sur 22, un dé- rangement de la
sensibilité
morale, avec une nuance dépressive, était dès l
indépendant de l'intelligence, sans troubles particu- liers dans la
sensibilité
morale. Dans 4, une surexcitation de toutes les p
e mer et son intensité dépendaient de la sorte de dérangement de la
sensibilité
: l'étal expansif semblait en préserver, l'état
nts, pas de raideur de la nuque, pas de dévia- tion du rachis. La
sensibilité
subjective ou objective ne présente aucun trouble
roite, avec signe de Babinski des deux côtés. Pas de troubles de la
sensibilité
. Ces phénomènes sont survenus depuis quelques j
égère hémihypoesthésiedu côté droit, sans troubles subjectifs de la
sensibilité
. Les réflexes rotuliens sont exagérés. Signe de
e musculaire. Il ne semble pas y avoir des troubles grossiers de la
sensibilité
, autant du moins que l'état intellectuel de la ma
la colonne vertébrale dans la région dorsale. Au point de vue de la
sensibilité
, sur le membre supérieur droit la thermo- anest
ment dorsal. Les troubles moteurs aussi bien que les troubles de la
sensibilité
permettaient déjà de localiser avec assez de pr
de la macro- 382 LHERMITTE ET ARTOM somie, des perversions de la
sensibilité
[De Cambiaire(l) ], d'autre part l'absence de p
us les bras ; la barbe et la moustache sont moyennement fournies.
Sensibilité
générale normale. Les réflexes du coude et du p
r- geons cutanés ; d'autre part, il n'y a point de cicatrice, et la
sensibilité
est très développée. Troisier fait rentrer so
seins n'ont jamais été le siège d'aucune douleur, ni même d'aucune
sensibilité
anormale, et que la pression et la palpation n'
ids (1) Dans l'intervalle des deux opérations, Manec observa que la
sensibilité
tactile de la mamelle était très obtuse. Les te
es jambes out presque disparu ; la mobilité du pied est normale. La
sensibilité
est conservée entière sur tout le corps et dans
ue la tête reste pendant un instant dans la position droite. , La
sensibilité
cutanée est normale des deux côtés. Les réflexe
ment, on observe des zones d'hypoesthésie pour tous les modes de la
sensibilité
, prédominantes au niveau des membres supérieurs
es, la réaction à la-' lumière et à l'accommodation conservées ; la
sensibilité
de même. ' 1 Les mains tenduesdu malade tremble
nsé ; la verbigération passe chez lui souvent en éclats de rire. La
sensibilité
, pour autant qu'un peut le juger d'après les réfl
ouïe et la vue aussi. Nous ne pûmes p'l'5 examiner objectivement la
sensibilité
musculaire. En jugeant d'après les poses incomm
ion d'angoisse, pourtant elles ne déri- vent point tout droit de la
sensibilité
dépressive. Le mélan- colique cherche ordinaire
d'anormal n'a été constaté. Aucuns troubles de la motilité et de la
sensibilité
. Aucuns dérangements trophiques ni physiques. L
a conduite du malade ne démontre pas de délire ou d'il- lusions. La
sensibilité
est conservée. Le malade sent les piqûres, voit
t de l'attention. Les mouvements actifs ont conservé leur force. La
sensibilité
et le sens musculaire aussi ; si on met sur la
ation de calvitie congénitale partielle dans ses rap- ports avec la
sensibilité
pilaire; par P. Ossipow. (Neurolog. Centrulbl.,
ec suppuration, présentant une main de Morvan et des troubles de la
sensibilité
caractérisés par uue hémia- neslhésie sensilivo
pour la dou- . leur, contrairement à ce qui a lieu pour les autres
sensibilités
: musculaire, tactile, visuelle, etc. Il résult
dantes du cerveau. , P. KERAVAL. Il. Tentative de recherche de la
sensibilité
pilaire chez les , malades atteints de tabes do
rii, VI, 1901.) Dix-neuf observations : (figures). L'atteinte de la
sensibilité
cutanée chez le tabetiqûe commence fort souvent
sensibilité cutanée chez le tabetiqûe commence fort souvent par la
sensibilité
pilaire. De plus, le trouble de cette dernière
ccupe une bien plus grande surface que celui des autres modes de la
sensibilité
cutanée, et le degré du trouble de la sensibili
utres modes de la sensibilité cutanée, et le degré du trouble de la
sensibilité
pilaire est plus profond que celui des autres,
sibilité pilaire est plus profond que celui des autres, modes de la
sensibilité
cutanée. Le trouble de la sensibilité pilaire m
celui des autres, modes de la sensibilité cutanée. Le trouble de la
sensibilité
pilaire marche plus vite que celui des autres mod
nsibilité pilaire marche plus vite que celui des autres modes de la
sensibilité
cutanée. La triclioanesthésie est donc précoce
époque où il n'existe pas encore de trouble des autres modes de la
sensibilité
cutanée,- à cette époque on a déjà à sa disposi
d'établir le diagnostic. Il'faut se défier pour la recherche de la
sensibilité
tactile de l'em- ploi de pinceaux de blaireau q
atrophie musculaire du membre inférieur gauche sans troubles de la
sensibilité
, sans mo- difications des réflexes, ni phénomèn
uellement de savoir si la topographie habituelle des troubles de la
sensibilité
dans la syringomyélie ré- pond davantage à la d
'attaquant directement aux causes de l'insomnie, en agissant sur la
sensibilité
générale, en diminuant l'angoisse et la ' doule
s du froid et les nerfs du chaud, un déprimant pour les nerfs de la
sensibilité
tactile etdolorifique. Cette différence est due
m- bres inférieurs, qni sont le siège de douleurs fulgurantes. La
sensibilité
des muscles à la compression est accusée et doulo
donc aucune analogie avec l'amyotrophie du type Déjerine-Sottas.
Sensibilité
osseuse. , MM. RIFDEL et P. Marie présentent un
DEL et P. Marie présentent un nouveau diapason pour recherche de la
sensibilité
osseuse, l'appareil porte un indice optique gra
d'évaluer le temps de durée de la sen- sibilité au diapason. Cette
sensibilité
se trouve notablement dimi- nuée dans sa durée,
té des cordons postérieurs dans un cas de mal de Pott où toutes les
sensibilités
étaient abolies sauf la sen- sibilité osseuse a
nt d'y revenir dans un travail ultérieur. SOCIÉTÉS SAVANTES. 81
Sensibilité
tactile et thermique dans le tabès. MM. Roussea
ur éviter les causes d'erreur, à la tem- pérature du sujet. Pour la
sensibilité
thermique ils se servent' de gouttes d'eau dist
'eau distillée de deux centigrammes chauffée au bain marie. Pour la
sensibilité
dynamique ils emploient des boules. Ils ont tro
riens, thermoanesthésie abso- lue jusqu'à l'ombilic, diminution des
sensibilités
profondes, etc. Mort dans le coma, après un syn
des cas, au point de vue du développement de l'intelligence et des
sensibilités
(sous réserve, bien entendu, des variations don
tre auditif), V (centre visuel), K (centre kinétique), T (centre de
sensibilité
générale), comme M (centre de la parole articulée
entre visuel, écorce de la région calcannienne ; T, centre tactile {
sensibilité
générale), écorce de la région périrolandique : :
; aA, v\'. tT, voies ccnlripèdcs de l'audition, de la tision, de la
sensibilité
générale'; Ee, Mw, Kk, voies centrifuges de l'é
t cette métamorphose. Nous ferons obser- ver que la recherche de la
sensibilité
se pratique généralement à l'aide d'une aiguill
t normal. Aussi les paralysies, les contrac- tures, les troubles de
sensibilité
hystériques ou h3 pnotiques dif- fèrent-ils par
çon inusitée aussi, elles sont limitées à l'une des divisions de la
sensibilité
. Il n'est pas rare de rencontrer des cas dans l
au type de la paranoïa commune organisée. Voici les principales :
Sensibilité
générale : douleurs aiguës et vives sur toute la
lassitude douloureuse sans cause : les membres paraissent en plomb.
Sensibilité
tactile : elle se plaint d'une sensation partic
résentation dans la con- science de quelques troubles de la région.
Sensibilité
génitale : on lui introduit un fil électrique d
. (Obozrênié psichiatrii. VI, 1901). - - - ... Ce trouble de la
sensibilité
consiste, comme on sait, en ce que l'excitation
e qui parfois occupent simultanément la vue, l'ouïe, le toucher, la
sensibilité
générale. Influence bienfaisante en l'espèce de
e cérébelleuse, avec des troubles de la parole, sans troubles de la
sensibilité
, qui a évolué lentement dès l'enfance. On croir
ie des extrémités avec troubles radiculaires et disso- ciation delà
sensibilité
. M. Brissaud fait observer que les malades cité
ubles antérieurs connus. Elle ne s'accompagne d'aucun trouble de la
sensibilité
subjective ou objective, mais d'exagération des
'équilibre : les sens musculaires, de position stéréognostique; les
sensibilités
à la pression de la trachée, du testicule des n
'ouïe ; la malade croit qu'on lit sa pensée. Hal- lucinations de la
sensibilité
générale ; certaines personnes, dit-elle, son m
rsistance du même état men- tal ; hallucinations de l'ouïe et de la
sensibilité
générale très fré- quentes. On vient toujours l
de la langue, tremblement des muscles de la face. Diminution de la
sensibilité
au contact et à la douleur. Gâtisme. A l'ophtha
ÉPILEPSIE PATUOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 207 î et des
sensibilités
à la puberté. Rôle pathogénique des émotions, d
spécial, un empâtement physique et de profondes modifi- cations des
sensibilités
et notamment de la sensibilité morale et de l'a
et de profondes modifi- cations des sensibilités et notamment de la
sensibilité
morale et de l'affectivité ? ` ? « Que nous r
ne excitation cérébrale spéciale, d'une exaltation particulière des
sensibilités
qui se manifeste de façon bien frappante à la p
t-à-dire à une époque où toute son impressionnabilité et toutes ses
sensibilités
s'exaltent plus facilement à l'occa- sion d'une
tale. Là encore, dans les simples variations de la mentalité ou des
sensibilités
de l'épileptique, le corps thyroïde doit jouer
ne compo- sition intime que nous ne connaissons pas encore, d'une
sensibilité
spéciale et appelé à donner des réactions vives
des exaltations ou des dépressions psychiques et des variations de
sensibilité
analogue à celles que l'on remarque communément
a- tion analogue, à une différence d'activité fonctionnelle et de
sensibilité
organiques près ; ils différent seulement par l
, que chez tel autre, on ne rencontre que troubles psychiques ou de
sensibilité
et confusion mentale, vertiges, etc Je revien
sproportion entre la constitution originelle, au point de vue de la
sensibilité
, de l'impressionnabilité des centres nerveux en
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 229 1° Diminuer la
sensibilité
, l'excitabilité méningo-encépha- lique ; 2° mod
alement été touchés. Contrairement à la rè- gle, les troubles de la
sensibilité
et les troubles d'ordre génital ont fait défaut
n que son maxillaire soit large ainsi que ses mains et ses pieds.
Sensibilité
osseuse. MM. EGGER et IIIEDEL discutent la vale
t la valeur respective de leurs dia- pasons pour la recherche de la
sensibilité
osseuse. M. Egger repro- che à celui de M. Ried
la peau et désqua- mation exagérée. La recherche de l'état de la
sensibilité
est délicate dans l'espèce et ne peut être qu'i
qu'imparfaite. Il est superflu d'insis- ter sur les troubles de la
sensibilité
subjective : paresthésies, fourmillements, doul
disposition des troubles sensitifs, sans dissociation des diverses
sensibilités
, sans anesthésies totales, qui sont bien plutôt
avec erreurs de localisation, et aussi confusion entre les diverses
sensibilités
, tactiles, thermiques et dou- loureuses. LOCA
e. La station debout était presque impossible, les réflexes et la
sensibilité
objectives ne présentaient pas de modifica- tio
suivant les moments. L'examen de cette région montre la perte de la
sensibilité
au contact et à la douleur, et on remarque de p
s le revoyons quinze jours plus tard. Les troubles subjectifs de la
sensibilité
ont alors à peu près dis- paru, et c'est l'atro
ne appréciable de paralysie des extenseurs. - Notons enfin que la
sensibilité
au contact et à la douleur le long du trajet du
t du nerf ' cubital est diminuée, surtout au niveau de la main ; la
sensibilité
au froid et au chaud est au contraire bien con-
à la-partie inférieure de l'avant-bras et au creux 'de la main, la
sensibilité
au contact est légèrement atténuée. Sur le traj
es avant-bras et des bras et l'existence de nombreux-troubles de la
sensibilité
font rejeter - l'hypothèse d'atrophie musculair
othèse d'atrophie musculaire progressive type Aran-Du- chenne. La
sensibilité
à la douleur a totalement disparu au niveau des
la plus légère sensation. Toutefois, il existe une intégrité de la
sensibilité
au contact et du sens musculaire, même au nivea
e, même au niveau des parties analgésiées. Cette dissociation des
sensibilités
permet donc de porter le diagnostic de syringomyé
oquet et vomissements et hémiplégie laryngée gauche; troubles de la
sensibilité
générale, caractérisés par de l'analgésie et su
le malade présente des zones hyperes- thésiques et spasmogènes ; la
sensibilité
au tact, à la piqûre et à la chaleur est normal
est normale. Réflexes conjonctival et laryngé très diini. nués. La
sensibilité
profonde ne parait pas altérée. Le sens des att
re, accompagnée de paraplégie flasque, avec abolition de toutes les
sensibilités
au contact, à la douleur, à la température, à l
auditives. En même temps se produisent chez lui des troubles de la
sensibilité
générale et des troubles génitaux qui développe
ontre chez certains hystériques : inégalité variable de la pupille,
sensibilité
troublés (anesthésie et h3·peres- thésie se sup
idées de persécution subsistent en rapport avec ses troubles de la
sensibilité
générale et de ses fonctions géné- siques. Il e
re est considérablement affaiblie. Chezles ataxiques ayant perdu la
sensibilité
osseuse, le son que produit le diapason, vibran
ées des oreilles. Il se fait donc chez le sourd un aflinement de la
sensibilité
générale comme chez l'aveugle. Ces observations
eugle. Ces observations rendent probable l'idée que les nerfs de la
sensibilité
générale jouent un rôle actif dans la transmissio
ernant le mécanisme de l'audition. L'au- dition par les nerfs de la
sensibilité
générale doit être considérée comme la plus anc
deux yeux, et enfin une série de mémoires dus à M. A. Binet sur la
sensibilité
. La deuxième partie comprend des analyses bibli
plus souvent de l'ouïe, quelquefois de la vue, de l'odorat et de la
sensibilité
générale; il a des idées délirantes d'indignité
e fonction tout entière qui est en jeu. et que toutes les sortes de
sensibilité
qui se rattachent à cette fonc- tion peuvent êt
duelle de la nature par- ticulière, originelle, du cerveau (extrême
sensibilité
aboutissant à la mélancolie, volition faible ab
n est survenue chez une-femme, et est associée à des troubles de la
sensibilité
objective et subjective. Par contre, la précoci
les, mais présenta des phéno- mènes de dissociation sensorielle. La
sensibilité
tactile et muscu- laire, la vue, l'ouïe surtout
les, oll'aclives, gustatives bien conservées. Pas de troubles de la
sensibilité
tactile ou à la douleur. Pas de crises convulsi
le, etc., d'hallucinations auditives ou bien d'hallucinations de la
sensibilité
générale ; c'est ce que nous voyons dans les OB
des mains et de la langue pouvant se généraliser, troubles de la
sensibilité
(hypoesthésie, anesthésie), et quelques trou- b
, le tremblement est de beau- coup moins accusé, les troubles de la
sensibilité
générale font habituellement défaut. En consi
s, brusquerie dans ses mouvements, le langage un peu indistinct, la
sensibilité
générale normale. Elle reconnaît les médecins ;
meil hypnotique) il y a trouble à la fois de la conscience et de la
sensibilité
. Il y a donc là trois états psychiques qu'il fa
des injec- tions de cocaïne. Il faut aussi signaler ce fait que la
sensibilité
, abolie dans le domaine du nerf maxillaire infé
erte radiculaire de la notion de relief est due à la diminution des
sensibilités
super- ficielle et profonde sur le même domaine
sie du groupe des muscles extenseurs et du deltoïde. Troubles de la
sensibilité
objective à topographie radiculaire comme dans
ysie ascendante aiguë. 11 n'y avait pas eu de trouble notable de la
sensibilité
. A la période aiguë du début avait succédé une
re. Au début, des injections hypodermiques d'atropine ont ramené la
sensibilité
par tranches horizontales et symétriques, suiva
e jusqu'à l'os et provoque de la douleur; c'est le premier signe de
sensibilité
qui se manifeste depuis près de vingt ans. Puis
506 sociétés savantes. l'excitabilité foradique un peu diminuée; la
sensibilité
est sans modification. ' - Sur l'influence th
bservation de - congé- nitale partielle dans ses rapports avec la
sensibilité
pilaire, par Os- sipow, 56. Canal rachidien.
s, par Cla¡J" 492, SÉÉLlTÉ et démence sénile,par Rus- sel, 160.
Sensibilité
pilaire. Voir Calvitie Tentative de recherche d
iculaires et ganglionnaires du , par Thomas et Hauser, 60. - Voir
Sensibilité
pilaire. Un cas de- spasmodique, par Sano, 67.
iens, par de Buclr, 69. - juvénile, par Camus et Chiray, 78. Voir
Sensibilité
. Fruste avec conservation des réflexes cutanés
ses; il se croit toujours riche à millions, mais les troubles de la
sensibilité
générale dominent. Tout le monde cherche à l'em
eux dont le délire s'alimente exclusivement dans les troubles de la
sensibilité
génitale. Ces malades n'arrivent jamais à la mé
le rôle principal ne revient-il pas aux troubles si variés de la
sensibilité
organique ? En portant nos recherches de ce côté,
eusement consolidée, soit aux troubles de la vue. Les troubles delà
sensibilité
sont multiples. Le malade se plaint d'engourdis
r la pres- sion, par la marche, par les mouvements. Du côté de la
sensibilité
viscérale il nous faut signaler l'impuis- sance
lques accidents nerveux : perte du réflexe rotalien, troubles de la
sensibilité
, frigidité génitale, troubles vésicaux même ne
fibril- laires, sans atrophie appréciable. Pas de troubles de la
sensibilité
autre que les engourdissements et les crises de
ect assez robuste, d'embonpoint ordinaire. 1 Comme troubles de la
sensibilité
, il se plaint des douleurs à type fulgurant que
i amère; deux dénis font défaut. Pas de troubles appréciables de la
sensibilité
objective, générale ou sen- sorielle. Les tro
n aucun point du corps. Le réflexe pharyngien persiste ainsi que la
sensibilité
cornéenne. La vision- des couleurs se fait parf
a face et du cou, on n'ob- serve pas des modifications notables. La
sensibilité
cutanée est normale. Tous les organes sensoriel
opor. Les aphasies, les troubles de la motilité, les troubles de la
sensibilité
, les paralysies des muscles de l'oeil, la démence
uscles de l'oeil, la démence sarcas- tique avec propos triviaux, la
sensibilité
du crâne à la percussion permettent de localise
me paroxystique. La force musculaire a diminué. Aucun trouble de la
sensibilité
ni des réflexes. C'est une affection de même na
. P. IERAVAL. XXVIII. CONTRIBUTION A la question DES TROUBLES DE la
SENSIBILITÉ
dans les affections EN foyer du CERVEAU; par L.
CERVEAU; par L. D.1BESCHEIVITSCH. (Neurol. Centralbl., 1890.) La
sensibilité
est troublée quand il y a lésion du segment pos-
rachiale droite; dans le même membre et surtout à la périphérie, la
sensibilité
est diminuée dans tous ses modes. La marche de
rs dans l'hémisphère en ques- tion, il appert que la paralysie delà
sensibilité
et de la motilité du membre droit est imputable
u signe de Romberg, de parésies, de contractures, de troubles de la
sensibilité
, de troubles des réflexes. Le frère le plus a
original. . P. KERAVAL. XXXI. DE L'OCCURRENCE DES TROUBLES DE la
SENSIBILITÉ
dans la SCLÉ- rose EN plaques disséminées; par
Vingt-neuf, soit 88 p. 10o, dénotent des troubles indéniables de la
sensibilité
. Dans 48 p. 100, trente sont temporaires, fugac
Dans 48 p. 100, trente sont temporaires, fugaces. Généralement, la
sensibilité
reste normale des mois, voire des années; puis,
corps; ou bien des anomalies qualitatives ou quantitatives de la
sensibilité
tactile, du sens de la pression, de la sensibilit
ntitatives de la sensibilité tactile, du sens de la pression, de la
sensibilité
doulou- reuse (analgésie, hypalgésie, hypéralgé
le cylindraxe reste altéré et perd sa fonction; les troubles de la
sensibilité
deviennent alors irrémé- diablement permanents.
ntis ; l'électri- cité réagit moins à droite qu'à gauche De même la
sensibilité
de la face et du membre inférieur est affaiblie
le. 150 CLINIQUE NERVEUSE. - On ne constate pas de troubles de la
sensibilité
autres que les fourmillements sus-indiqués. P
qui ne les empêche pas d'affecter en toute circonstance, une grande
sensibilité
, ou NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 165 plutôt u
des reflxes rotuliens, douleurs fulgurantes, troubles divers de la
sensibilité
objective... signes de la première catégorie, l
élicat pour ceux de la première : signe de Westphal, troubles de la
sensibilité
... L'influence du traitement pourra fournir des
ES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 19J' crises viscérales, de troubles de la
sensibilité
. Cependant quelques- uns des symptômes de l'ata
elques jours, hallucina- tions de l'ouïe, de la vue, troubles de la
sensibilité
générale, délire mélancolique, interprétations
musculaire générale est normale. Pas d'incurvation spinale, pas de
sensibilité
à la pression sauf au niveau des dernières lomb
i les caractères fonctionnels, citons des altérations variées de la
sensibilité
, la précocité du sens génésique, le développement
la plupart des cas on peut la considérer comme une perversion de la
sensibilité
sans lésion nerveuse. Le diagnostic de l'anes
par exemple que le côté lésé doit être le siège de troubles de la
sensibilité
. Quand il accuse un trouble de la sensibilité, il
ège de troubles de la sensibilité. Quand il accuse un trouble de la
sensibilité
, il se peul par conséquent qu'il n'existe que d
e; on ne constatait chez lui aucun trouble du champ visuel ni de la
sensibilité
. Une des observations principalement caractéris
aux hystériques. Le champ vi,uel est rétréci, surtout à gauche; la
sensibilité
générale et spéciale de la langue est diminuée, s
(palmures). Finalement, scoliose de la colonne dorsale à droite. La
sensibilité
est émoussée, même pour la chaleur, le long du
nc, jusqu'à la sixième côte; mais les fins contacts sont perçus. La
sensibilité
est reslée normale, à la partie inférieure SOCI
s gauche, de la jambe gauche; intégrité de la connaissance et de la
sensibilité
; elle laisse aller ses urines et ses matières.
part à l'hypertrophie. L'examen complet des organes internes, de la
sensibilité
, des réflexes cutanés et tendineux, de la tonic
l'application d'excitants appropriés sur l'appareil terminal de la
sensibilité
, sur le nerf lui-même, et probablement aussi sur
ormalement, et leur contractilité est normale. Tous les modes de la
sensibilité
intacts. Les sécrétions salivaires, lacrymales
ne année après, que sa langue diminue de plus en plus de volume. La
sensibilité
de la face est normale. Contractilité électriqu
à la clinique : nerfs douloureux à la pression et oedème des pieds.
Sensibilité
et sphincters normaux, réflexes tendi- neux abo
intellectuelles de l'idiot et de l'imbécile. Dans le domaine de la
sensibilité
, il étudie les troubles de la vision, depuis le
ce à ce point de vue wec les imbéciles, chez qui les troubles de la
sensibilité
« sont sous la dépendance d'une complication ne
le n'ait point de convulsions, tels que : . Affaiblissement de la
sensibilité
dans les membres inférieurs, avec un certain de
embres inférieurs, avec un certain degré de faiblesse musculaire;
Sensibilité
excessive (hyperesthésie) le long de la colonne v
a un léger dépla- cement du membre qui semble indiquer une certaine
sensibilité
obtuse. L'application des sinapismes des insp
est fermée; elle n'a aucune communication avec son entourage. La
sensibilité
de la peau est à ce moment fort exagérée; lors-
science dans lequel elle était et par l'obtu- sion moins grande des
sensibilités
et des sens, qui restaient, dans une certaine m
des quelques jours suivants. Ces manifestations si évidentes de la
sensibilité
tac- tile et du sens du goût sont la règle géné
es grandes attaques, au contraire, dans les- quelles l'obtusion des
sensibilités
et des sens étaient complètes, elle dépensait U
e ses crises régulières; elle tombait sans mouvement, sans trace de
sensibilité
, n'ayant -aucun signe de souffrance, point d'al
s considérations intéressantes : ' Sur les troubles multiples des
sensibilités
et des sens; SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉR
ymptômes palpables, accessibles à l'obser- vation. Au contraire, la
sensibilité
et l'insensibilité sont des phénomènes psychiqu
re était bien ou mal disposée, selon ses goûts. Il semble qu'ici la
sensibilité
et l'insensibilité soient réparties, non pas d'
'anesthésie occupant exactement la région du poignet, tandis que la
sensibilité
est intacte à la main et à l'avant-bras. - ' El
rire, et qu'il a appelé le masque tabétique. Les malades perdent la
sensibilité
d'une partie plus ou moins étendue de la face,
sez-vous de ces observations ? Quel est votre avis sur l'état de la
sensibilité
de ces deux jeunes filles ? Si vous aviez un ra
explications grossières et puisque l'in- 340 ' CLINIQUE NERVEUSE.
sensibilité
comme la sensibilité sont des faits psychologique
es et puisque l'in- 340 ' CLINIQUE NERVEUSE. sensibilité comme la
sensibilité
sont des faits psychologiques, il faut demander
s pouvons alors nous représenter ce qu'on appelle vulgai- rement la
sensibilité
comme une opération à deux temps.' Pre- mier te
il amaurotique d'Isabelle et cependant ces réflexes dépendent de la
sensibilité
rétinienne. Vous savez aussi que, dans l'état n
comme tout à fait organiques, quoiqu'ils soient liés cependant à la
sensibilité
. Je vais vous montrer des faits du même genre q
e je la pince et qui sent parfaitement. Il est vrai que cette belle
sensibilité
ne durera pas longtemps : j'enlève le pain à ca
et caractérisé par de l'angoisse, de la terreur, des troubles de la
sensibilité
générale, des hallucinations et des illusions d
ntait des signes d'hystérie (boule, ovarie gauche, diminution de la
sensibilité
de ce côté). Sous l'influence d'un traitement
par un fou systématique sur ses hallucinations. On y trouve que sa
sensibilité
anormale provoque des hallucinations de l'ouïe
sentiments) anormales. En un mot, pour M. Dees, la perversion de la
sensibilité
générale (alternatives d'byperesthésies, de par
au degré de l'atrophie des muscles; hyperalgésie, intégrité de la
sensibilité
tactile et thermique. Diminution des réflexes sup
i de modifica- tions de la force musculaire, ni d'altérations de la
sensibilité
géné- rale ou spéciale. J. SCCLas. XX. DE L'I
es plus précoces de la faculté d'expression de l'action mentale. La
sensibilité
graduellement croissante des centres nerveux à
à peu près dans l'ordre. Le lendemain, convulsions généralisées. La
sensibilité
est intacte sur le visage et sur tout le corps.
t moins vigoureux. Par contraste il existe un affaiblissement de la
sensibilité
, et, en particulier, du sens musculaire; les ma
gulatrice sur elle et, d'accord avec elle, organisent un système de
sensibilité
motrice. Qu'un centre moteur soit, de par son h
t de modifications pathologiques dans les tractus centripètes de la
sensibilité
musculaire de l'appa- reil d'articulation. Voic
est pas besoin de donner le pas aux excitations pathologiques de la
sensibilité
centripète des muscles du langage, sur les halluc
partenir à un autre sexe que le leur; c'est plutôt une erreur de la
sensibilité
physiologique malade que de la sensibilité psyc
plutôt une erreur de la sensibilité physiologique malade que de la
sensibilité
psychologique. Ou bien c'est un jeune homme qui
tre de la seconde. Il insiste sur la multiplicité des examens de la
sensibilité
, à l'aide d'appareils précis inconnus du malade,
répétition des recherches précises, de dresser la géographie de la
sensibilité
du patient. Le rétrécissement concen- trique du
es et prolongées. Peu à peu, on arrive à rappeler l'intégrité de la
sensibilité
, à faire disparaître presque toute la parésie,
on trouva une élévation de température, avec tuméfaction et légère
sensibilité
de la gorge. La tuméfaction progressa, la fièvr
la présence ou l'ab- sence de l'arthropathie et des troubles de la
sensibilité
. Il n'y a qu'une modification quantitative de l
ce, puis ceux qu'accuse le malade, c'est-à- dire les troubles de la
sensibilité
. Viennent ensuite ceux constatés par le médecin
112. Rétine, embolie de l'artère centrale de la par Manz, 251.
Sensibilité
, troubles de la dans les foyers cérébraux, par
les réflexes achilléens et tricipi- taux sont très affaiblis. La
sensibilité
générale (superficielle et profonde) et spéciale
terne, ou temporale il partir de 45°, un scotome très limité, où la
sensibilité
lumineuse est complè- tement abolie, et une zon
assifs s'exécutent facile- ment. - La marche est impossible. La
sensibilité
douloureuse est conservée, et il en est probablem
servée, et il en est probablement de même pour les autres formes de
sensibilité
.bien que l'état psychique de la malade ne nous
pied-bot, exagération du réflexe rotulien mais sans troubles de la
sensibilité
et des sphincters. La radiographie montre des e
Scholz a peut-être des rapports avec le ramollissement osseux et la
sensibilité
osseuse à la pression. C'est d'ailleurs aussi l
u entendu ; seules quelques ra- res impressions, ayant agi sur leur
sensibilité
, persistent plus solidement ; une malade, par e
des nerfs périphériques ; on n'y voit pas mentionné l'examen de la
sensibilité
et de la réflectivité des membres in- férieurs.
es os et des articulations et aussi par l'absence de troubles de la
sensibilité
objective. En se basant exclusivement sur des s
articulation coxo-fémorale du côté droit. Enfin, on note une légère
sensibilité
douloureuse dans les articulations maxillaires.
ion des mou- vements dans le sacrum et elles irradient dans l'aine.
Sensibilité
douloureuse objective de la seconde vertèbre do
UË 127 les cordons nerveux de l'extrémité inférieure gauche ont une
sensibilité
dou- loureuse ; le système nerveux est normal.
sence de réflexes rotuliens. Ataxie des extrémités inférieures ; la
sensibilité
, surtout la sensibilité musculaire, est alfalblie
ens. Ataxie des extrémités inférieures ; la sensibilité, surtout la
sensibilité
musculaire, est alfalblie dans les membres infé
ns aucune cause apparente, pendant un mois il eut une tumeur et une
sensibilité
douloureuse de l'articulation du genou gauche.
militaire, pendant les exercices gymnasti- ques, il ressentait une
sensibilité
douloureuse et une gêne dans l'articulation gau
gauche et douleurs en ceinture. Absence de troubles objectifs de la
sensibilité
; sensibilité dou- loureuse des apophyses épine
eurs en ceinture. Absence de troubles objectifs de la sensibilité ;
sensibilité
dou- loureuse des apophyses épineuses des vertè
écuter que'quelques mouvements de flexion de doigts seulement. La
sensibilité
se conserve presque partout intacte, les réflexes
ctés d'une contrac- ture que l'on peut encore vaincre cependant. La
sensibilité
à la piqûre est émoussée. Les moitiés droites d
dans les deux membres inférieurs. : \ : \1\' . 13 194 SOUQUES La
sensibilité
n'est pas abolie : le malade retire les jambes qu
parle, il regarde son inter- locuteur d'un regard inexpressif. La
sensibilité
n'est pas abolie : le malade réagit quand on le p
lier, pas d'ataxieou d'asynergie ; intégrité des réflexes et de la
sensibilité
, sauf Fig. t. Obs. 1.- Position de la tumeur (f
e à la pi- qûre sur tout le côté droit du corps, avec intégrité des
sensibilités
profondes. A gauche, très légère exagération de
e troubles sphinctériens, ni vésicaux, ni intestinaux, ni génitaux.
Sensibilité
. Sensibilité subjective. - Le malade n'éprouve au
hinctériens, ni vésicaux, ni intestinaux, ni génitaux. Sensibilité.
Sensibilité
subjective. - Le malade n'éprouve aucune sensa-
male; pas d'engourdissements, pas de paresthésies, pas de douleurs.
Sensibilité
objective. - La sensinilité tactile est conservée
ité tactile est conservée sur tout le corps et paraît normale. La
sensibilité
à la piqûre est conservée partout mais, quelquefo
le malade est tailleur sans s'en apercevoir. Ces altérations de la
sensibilité
à la piqûre sont bien manifestes sur les membres
es supérieurs, sur le cou et sur la poitrine jusqu'au mamelon. La
sensibilité
à la pression n'est pas intéressée. La sensibil
au mamelon. La sensibilité à la pression n'est pas intéressée. La
sensibilité
thermique est pervertie sur presque toute la part
e poids et de résistance sont normales. Le sens stéréognostique, la
sensibilité
osseuse ne sont pas modifiés. Un phénomène dign
cas de sy ringo- myélie. La main en griffe, la dissociation de la
sensibilité
, l'enophtalmie, la cypho-scoliose sont des cara
ersécution assez mal systématisé, hallucinations de l'ouïe et de la
sensibilité
générale, impotence partielle du membre supérieur
écédente, on ne constate au niveau des placards aucun trouble de la
sensibilité
. Ici encore, il semble bien que nous nous trouv
e manifestation unique du rhuma- tisme et de la blennorrhagie : une
sensibilité
douloureuse et des douleurs névralgiques aiguës
érations des tissus mous périarticulaires, l'absence de troubles de
sensibilité
et, enfin, la persistance d'un état général sat
n même temps paralysie sensitive avec diminution très marqnée de la
sensibilité
au tact et à la chaleur dans la moitié gauche du
et à la chaleur dans la moitié gauche du pharynx et du voile. La
sensibilité
est conservée au niveau de la moitié gauche de la
lon médian dévie, la langue flasque et anémiée du côté gauche. La
sensibilité
de la muqueuse linguale est conservée. En résum
flexion à droite, à gauche l'on n'obtient pas de réponse nette. '
Sensibilité
. - Aucun trouble de la sensibilité superficielle
btient pas de réponse nette. ' Sensibilité. - Aucun trouble de la
sensibilité
superficielle ou profonde, sauf au niveau de la
eux. Ils passent en général au bout de 2 ou 3 heures de repos. La
sensibilité
générale est intacte. Les réflexes rotulieus et
pieds est bien conservée. Les réflexes tendineux sont affaiblis. La
sensibilité
est complètement abolie au niveau de l'omoplate
ression de l'extrémité des doigts en flexion forcée dans la main.
Sensibilité
. Rien d'appréciable. L'inertie de la malade rend
urpurique à la face dorsale du pied droit. Sécheresse de la peau.
Sensibilité
diminuée. - Variations dans les réactions de la m
violentes : paroxysmes de colère, crises de larmes. Troubles de la
sensibilité
générale, sensations de paille de fer dans son li
y a des ataxiques tabétiques, qui ne présentent pas de troubles de
sensibilité
objective consciente, ou qui en présentent si peu
ons exposer ici une observation d'alaxie tabélique, sans trouble de
sensibilité
objective, et dans laquelle on verra que le malad
on de Wassermann cherchée dans le sang a été positive. Toutes les
sensibilités
superficielles - toucher, thermique et douleur
vibratoire sont bien conservées. Nous avons cherché avec minutie la
sensibilité
des attitudes pour chaque articulation des memb
s, rien d'anormal. Quoique ce malade ne présente ni des troubles de
sensibilité
superficielle ou profonde, ni de l'hypotonie, i
ntestables de malades tabétiques et ataxiques sans aucun trouble de
sensibilité
objective consciente. L'examen d'un assez grand
bles ataxiques plus accen- tués et toujours sans aucune perte de la
sensibilité
et surtout de la sensi- bilité profonde. Et s'i
ils ou du pied, que nous ne pouvons pas admettre que cetle perte de
sensibilité
puisse aggraver l'ataxie. Il est bien entendu q
ie. Il est bien entendu que ces malades, avec de légers troubles de
sensibilité
, sont des malades de transition entre le malade
il pré- sentait le signe de Romberg, sans avoir des troubles de la
sensibilité
pro- fonde. L'explication est la suivante- : le
dant sa vie une paralysie spinale spasmodique avec altération de la
sensibilité
de la vessie et du rectum. L'autopsie permit de
éraires rudimentaires : La malade ne présente pas de troubles de la
sensibilité
objective générale. Au point de vue de la sensi
roubles de la sensibilité objective générale. Au point de vue de la
sensibilité
sensorielle nous signalons la diminution de l'o
xes abdominaux sont normaux. Les réflexes pupillaires normaux. La
sensibilité
douloureuse semble diminuée. Pas de troubles appa
angement de coloration. La sen- sation du contact est conservée; la
sensibilité
thermique est très émoussée et la sensibilité à
act est conservée; la sensibilité thermique est très émoussée et la
sensibilité
à la douleur abolie. La température de la peau dé
, qui demande dix à douze secondes pour dis- paraître. Les diverses
sensibilités
sont normales et la température locale est égal
NASALt ! leT AURICULAIRE 401 dizaine de secondes à disparaître; la
sensibilité
cutanée est émoussée, surtout quand l'enfant es
ine a toujours été normale. Pas de trouble de la motilité, ni de la
sensibilité
, ni des réflexes. La croissance est régulière.
tômes tels que je les ai observés. « Les testicules perdent de leur
sensibilité
, s'amollissent, diminuent de vo- lume d'une man
R ET REBATTU réduit, est de consistance normale, mais il a perdu sa
sensibilité
spéciale. Le réflexe crémastérien, faible à dro
me ne> veux est normal par ses réflexes et parla recherche de la
sensibilité
: l'oeil droit a une petite tache cornéenne et un
l ; la vision intacte (sans hémianopsie) comme les autres sens ; la
sensibilité
parfaite et les réflexes conservés aux membres
On ne trouve pas de troubles de la motilité, pas de troubles de la
sensibilité
, sauf une paresse de la sensibilité. Pas de tro
motilité, pas de troubles de la sensibilité, sauf une paresse de la
sensibilité
. Pas de troubles des réflexes moteurs et sen- s
aggravé sous certains rapports. La force mus- culaire a diminué. La
sensibilité
s'est atténuée sous tous ses modes dans toute l
son aspect extérieur, les dou- leurs, les troubles objectifs de la
sensibilité
étaient dès cette époque compara- bles à ceux q
. Cet exemple leverait tous les doutes s'il en pouvait subsister.
Sensibilité
. Atténuation légère pour tous les modes de sensib
subsister. Sensibilité. Atténuation légère pour tous les modes de
sensibilité
sur la main (pouce excepté) et l'avant-bras. Ce
de l'accident ; il n'y avait pas de craque- ments articulaires; la
sensibilité
était à peu près normale; il n'y avait pas de t
s seulement chez des malades qui pré- sentent de grands troubles de
sensibilité
, et en particulier du sens des atti- tudes, app
d'une hémiplégie droite, qui présentait, avec de grands troubles de
sensibilité
superficielle et profonde surtout aux extrémités,
roubles de mictions. Le malade présente des troubles très grands de
sensibilité
générale, car il ne peut apprécier le toucher u
aussi presque complètement perdu sur la même surface que les autres
sensibilités
. Les mouvements de la tête sont conservés et bi
vent une fois de plus le rapport qui existe entre la motilité et la
sensibilité
, et la faculté que nous avons de remplacer un s
mi ces qualités,nous pouvons citer la vitesse : c'est grâce à cette
sensibilité
profonde que nous dirigeons nos membres et nos
tant de mouvements délicats avec noire main ; mais si un jour cette
sensibilité
disparaît, par une lésion organique comme celle
r voir quels sont les troubles moteurs provoqués par la perte de la
sensibilité
et en particulier par la perte du sens articula
n'est que chez celui-ci que nous avons trouvé des trou- bles de la
sensibilité
, et en particulier de la sensibilité profonde, à
ns trouvé des trou- bles de la sensibilité, et en particulier de la
sensibilité
profonde, à un de- gré aussi intense et telleme
nservés. Aux membres supé- rieurs, les réflexes sont normaux. Les
sensibilités
superficielles sont conservées partout, les piqûr
orales. Ce phénomène ne peut être interprété que par la perte de la
sensibilité
, et sur- tout de la sensibilité articulaire. Vo
e interprété que par la perte de la sensibilité, et sur- tout de la
sensibilité
articulaire. Voilà de quoi il s'agit. Le malade'é
léger engourdissement aux doigts des deux mains. Pas de troubles de
sensibilité
objective, sauf une légère diminution du toucher
genoux jusqu'aux orteils ; le chaud et le froid sont conservés. La
sensibilité
la pression est abolie. Il localise mal les piq
hez les tabétiques ataxiques, et qui sont consécutifs aux pertes de
sensibilité
consciente et surtout de la sensibilité conscie
t consécutifs aux pertes de sensibilité consciente et surtout de la
sensibilité
consciente profonde. Les malades z qui présente
omplique par d'autres troubles, consécutifs ceux-ci à des pertes de
sensibilité
cons- 500 NO1CA ciente - 2e groupe des phénom
500 NO1CA ciente - 2e groupe des phénomènes ataxiques. Entre ces
sensibilités
, nous citons la sensibilité tactile, la sensibi
pe des phénomènes ataxiques. Entre ces sensibilités, nous citons la
sensibilité
tactile, la sensibilité à la pression et surtout
ues. Entre ces sensibilités, nous citons la sensibilité tactile, la
sensibilité
à la pression et surtout la sensibilité muscula
la sensibilité tactile, la sensibilité à la pression et surtout la
sensibilité
musculaire ou articulaire. Nous n'avons encore
- tiennent que le mécanisme de l'ataxie doit tenir à la perte de la
sensibilité
consciente et surtout à.la perte de la sensibil
à la perte de la sensibilité consciente et surtout à.la perte de la
sensibilité
profonde. D'ailleurs, il était bien logique de
postérieurs. C'est de ces arguments qu'est sortie la théorie de la
sensibilité
de Vulpian-Leyden, pour expliquer tout le mécan
sisté sur ce point -dans lesquels on ne trouvait ni des troubles de
sensibilité
superficielle, ni des troubles de sensibilité p
it ni des troubles de sensibilité superficielle, ni des troubles de
sensibilité
profonde, ce qui n'empêchait t pas que les mala
ous les phénomènes ataxiques doivent s'expliquer par la perte de la
sensibilité
consciente, comme d'un autre côté, nous croyons q
nne de Boulogne, nous voyons,qu'il n'admet- tait pas la perte de la
sensibilité
profonde, comme étant la cause de l'ataxie, mai
, Duchenne prétendait que ses ma- lades ne présentaient plus aucune
sensibilité
consciente. ni snperficielle, ni profonde. Ma
- res, mais sans chercher si les malades présentaient des pertes de
sensibilité
profonde et sans saisir le mécanisme de ces tro
simples, que nous avons appris à combiner, pensons-nous, grâce à la
sensibilité
consciente surtout la sensibilité profonde muscu-
ombiner, pensons-nous, grâce à la sensibilité consciente surtout la
sensibilité
profonde muscu- laire ou articnlaire -- et par
second groupe, et ceux-ci coexistant toujoursa\ec des pertes de la
sensibilité
cons- ciente, et surtout de la sensibilité prof
ursa\ec des pertes de la sensibilité cons- ciente, et surtout de la
sensibilité
profonde (sens musculaire ou articu- laire), et
uand « un cristal est brisé il se clive et se régénère, il vit ; la
sensibilité
« est proportionnelle à l'intelligence de chaqu
ls lui font quelque- fois l'impression d'avoir changé de volume. La
sensibilité
cutanée est diminuée par places, cette hypoesth
e hémiataxie assez notable, malgré l'intégrité presque complète des
sensibilités
périphériques. Pour l'auteur, il s'agirait d'un
s sous-cor- licaux, lésion intéressant les fibres centripètes de la
sensibilité
non consciente, et respectant les neurones thal
e musculaire progressive du même memhre et de la dissociation de la
sensibilité
aux extrémités des deux mem- bres supérieurs. D
V. Un cas de myopathie atrophique progressive avec trou- bles de la
sensibilité
; par Lamiom et Porot. (Nouv. ]conogl', de la Sl
présente en outre un phénomène rarement signalé, des troubles de la
sensibilité
objec- tive et subjective, douleurs lancinantes
'avant-bras et d'un petit territoire de la face externe du bras; la
sensibilité
était conservée à l'épaule et dans presque tout
professeur Stciierback. Inspiré par les travaux dé Max Egger sur la
sensibilité
osseuse, le professeur Stcherback a constaté qu
eures correspondantes. Pas de zone d'anes- thésie : les troubles de
sensibilité
consistaient uniquement en 64 REVUE D'ANATOMIE
us cérébelleux, des paralysies et contractures. L'in- tégrité de la
sensibilité
générale est constante, pathognomonique. Les tr
rait tout à fait banale si elle ne s'accompagnait de troubles de la
sensibilité
à topographie radiculaire. L'existence , de ces
lité à topographie radiculaire. L'existence , de ces troubles de la
sensibilité
jointe à la présence d'une lympho- cytose légèr
rone. Un seul gros tronc du membre ayant parfois suppléé à toute la
sensibilité
du membre,il faudrait admet- treque chaque tron
rd dès le départ. La suggestion a surtout pour effet de diminuer la
sensibilité
olfactive et visuelle, ainsi que d'exalter la r
iogènes portant aussi bien sur la sensi- bilité spéciale que sur la
sensibilité
générale. Qu'il y ait ou non transfert, la rest
énérale. Qu'il y ait ou non transfert, la restauration de l'une des
sensibilités
taetile, algique ou theimique entraine celui de
des sensibilités taetile, algique ou theimique entraine celui de la
sensibilité
spéciale et récipro- quement. Pour ce qui conce
a sensibilité spéciale et récipro- quement. Pour ce qui concerne la
sensibilité
spéciale, je l'ai sur- tout étudiée chez les ac
e aussi bien qu'à leur côté sensible ; danF ce cas, le retour de la
sensibilité
précède toujours l'invasion du sommeil. M. BÉ
extenseur du pouce; encore sont-ils très faibles. L'examen de la
sensibilité
fait constater de gros troubles objectifs occup
Ces troubles consistent en anes- thésies et portent surtout sur la
sensibilité
thermique, la sensibilité tactile est la mieux
anes- thésies et portent surtout sur la sensibilité thermique, la
sensibilité
tactile est la mieux conservée. Enfin, la' limite
os yeux, vous rendre compte de la disposition de ces troubles de la
sensibilité
objective. J'ajoute qu'au niveau de la main, le
ui l'indolence est telle que les nerfs n'ont certainement plus leur
sensibilité
nor- male. . " Mais il est un autre symptôme
ysie faciale droite jusqu'en novembre 1903. Au point de vue de la
sensibilité
, l'examen de la face comme celui du membre supé
ôté gauche. Ici encore l'anesthésie porte sur les trois modes de la
sensibilité
, elle est moins marquée pour la sensibilité tac
r les trois modes de la sensibilité, elle est moins marquée pour la
sensibilité
tactile que pour les deux autres; elle predomin
s clair - je remarque qu'il n'existait à ce niveau aucun trouble de
sensibilité
-; à la face posté- rieure du coude droit une c
ie, t. XVIII. 8 . li. '1 114 CLINIQUE NERVEUSE. i L'étude de la
sensibilité
n'était pas moins instructive : les troubles co
ivers modes, de façon à reproduire une véritable dissociation de la
sensibilité
, en troubles trophiques ponvant aller jusqu'à l
nous avons relevé chez nos malades des troubles très marqués de la
sensibilité
: anesthésies, hypoesthésies aux divers modes,
ires, dans lesquelles on notait expressément que les troubles de la
sensibilité
faisaient défaut, répondent à la réalité des ch
bien fondé de cette manièire de voir. Du moment que des troubles de
sensibilité
un peu importants sont superposés à l'atrophie
tits muscles des mains et s'accompagnant de troubles profonds de la
sensibilité
; or ces signes sont bien ceux que nous avons re
s troubles des réactions électriques, l'existence de troubles de la
sensibilité
objective, leur nature et leurs loca- lisations
n radi- culaire ; d'autre part, bien que chez nos deux malades la
sensibilité
tactile soit nettement diminuée, il n'existe pas
polynévrites ne réaliseraient pas une semblable dissociation de la
sensibilité
; enfin nous ne relevons dans les antécédents d
au niveau des membres par les extré- mités, par dés troubles de la
sensibilité
objective intéressant inégalement les trois mod
Sensations de lévitation. E1'otisme mystique. - Les troubles de la
sensibilité
générale revetent aussi des formes plus spécial
si assez souvent vers le déclin des paroxysmes anxieux alors que sa
sensibilité
interne est encore altérée, c'est un trouble co
ssion ont un certain retentissement en exagérant les troubles de la
sensibilité
et l'état hypocondriaque. Ainsi sont nées des i
d'Achille sont très exagérés des deux côtés. Point de clonus. La
sensibilité
n'est pas troublée. Les réflexes cutanés sont ass
ir. Or je suis parvenu à la. débarrasser de ses crises, à rendre sa
sensibilité
normale, à - corriger ses désordres mentaux ; p
'emblée diffus et généralisé aux trois grandes facultés psychiques (
sensibilité
, intelligence et volonté); mais et c'est là ce
es de la vie affective, qui dénotent une disparition complète de la
sensibilité
morale, liée elle-même, bien entendu, à un affa
rticipe aux difficultés inhérentes à toutes les déter- minations de
sensibilité
: les sujets hésitent, se contredisent et il z
ar un chiffre le degré d'acuité sensible. Pour mesurer l'état de la
sensibilité
profonde, il est le plus simple en clinique, de
r. Dans ce cas il arrive que les malades atteints de troubles de la
sensibilité
ou de la motilité trouvent l'un des poids ou l'
ré qu'il n'y avait aucun parrallélisme entre la force motrice et la
sensibilité
du membre, et le sens de l'estimation du poids
vasculaire (endo et péri-artérite et phlébite). Recherches sur la
sensibilité
normale de la cornée et de la . conjonctive.
\BANNES et II. ROBll'iEAU 1. Nous avons utilisé pour l'étude de la
sensibilité
conjonctivo-cornéenne à la piqûre des crins de
n peut étudier la sensation de con- tact. Pour l'appréciation de la
sensibilité
thermique, nous nous sommes servis d'eau chaude
gens ayant dépassé la qua- rantaine ou chez des personnes âgées. La
sensibilité
à la piqûre de la conjonctive bulbaire reste no
ède deux particularités que l'on ne retrouve pas dans l'étude de la
sensibilité
cornéenne : a) elle est plus vive dans la moiti
njonctive le froid ou la chaleur. Nous pouvons même affirmer que la
sensibilité
ther- mique de cette dernière membrane est rare
onjonctivale (20 à 25 p. 100). , La cornée est en somme douée d'une
sensibilité
douloureuse exquise. Toutes les impressions un
a peau, montre encore combien est spéciale, dans ses qua- lités, la
sensibilité
de la cornée. Le climat de Pau et les nerveux.
ant pas d'avoir une valeur pathognomonique ; 3° L'abolition de la
sensibilité
plantaire est fréquente dans l'hys- térie 42 p.
phénomène, mais ce der- nier peut se montrer sans altération de la
sensibilité
(20,35 p. l00) de même que l'anesthésie plantai
la 266 SOCIÉTÉS SAVANTES. motilité, de l'activité réflexe, de la
sensibilité
, troubles trophi- ques et vaso-moteurs ; 2° Tro
et des articles de Larguier sur la mémoire, de Zwaardemaker sur la
sensibilité
de l'oreille, de Michel sur Spencer et Renouvier.
malade est anesthésique totale, elle n'a conservé aucun mode de sa
sensibilité
tant externe qu'interne, une seule fonction lui
peur de tomber, la crainte d'é- touffer. Or cette malade a perdu sa
sensibilité
cutanée, mus- culaire, osseuse de sorte qu'elle
ux- ci sont sous la dépendance la plus étroite des troubles de la
sensibilité
, troubles qui déterminent un état spécial, état d
et, resensibilisant notre malade par la méthode de M. Sol- lier, la
sensibilité
tend à reparaître mais d'une façon encore très
anes- thésie. ' Actuellement cette malade est très améliorée : la
sensibilité
. sauf quelques points hyperesthésiques est norm
e. Elle n'en reste pas moins hypnotisable et depuis le retour de la
sensibilité
je n'ai plus observé ni dans le sommeil normal
turgescentes, hémiparésie gauche, para- phasie : rien du côté de la
sensibilité
, pouls régulier sans len- teur. Le quatrième, c
faut, par suite, toujours rechercher, en pareils cas, l'état de la
sensibilité
, des organes des sens, des réflexes, qui parfois
différence entre les deux côtés. Sous l'influence du traitement la
sensibilité
du maxillaire inférieur rede- vient normale, et
oment de son dé- part, persiste encore un trouble très marqué de la
sensibilité
dans le territoire de l'ophthalmique et du maxi
s se traduisent par des troubles de la motilité, des troubles de la
sensibilité
, de l'ataxie, de l'atrophie musculaire. 1. Le
es spasmes susceptibles de rétrocéder. 2. En fait de troubles de la
sensibilité
, on constate : a, avant tout des perturbations
oins difficilement les impressions douloureuses. Les troubles de la
sensibilité
sont en somme tout aussi graves quand il y a lé
à gauche, point à droite. L'avant-bras gauche est fort maigre ; la
sensibilité
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 345 thermique e
orsale. La paralysie motrice à gauche pagnée d'un émoussement de la
sensibilité
à droite, mon faible que soit ce syndrome de Br
une rareté pour l'explosion de la catatonie. P. Keraval. XLIL De la
sensibilité
de l'arcade zygomatique, comme signe d'af- fect
s anciens des parties essentielles du cerveau se trahissent par une
sensibilité
marquée de l'arcade zygomatique, très nette dan
étaient en faveur d'un désordre diffus ou même fonctionnel. Cette
sensibilité
se peut expliquer par le trait d'union que forme
n attention sur l'instabilité des manifes- tations psychiques ou de
sensibilité
de l'épileptique, en lui montrant ce qu'il prés
e convulsive, avant elle, des troubles de l'intelligence et de la
sensibilité
, une irritabilité, une sensiblerie, un caractère
t bien souvent arthritique, que son irritabilité, ses variations de
sensibilité
ressemblent parfois un peu à celles de l'arthri
fibres motrices sont mélangées des fibres sensitives. celles de la
sensibilité
cutanée. (Déjerine, E. Long). Figures à l'appui.
on, avec ou sans hypnose, soit indirectement par restauration de la
sensibilité
au moyen d'exci- tations mécaniques périphériqu
se puissent améliorer ou guérir. P. Keraval. XIV. Troubles de la
sensibilité
dans les états neurasthéniques et r mélancoliqu
la paralysie générale à la constatation de certains troubles de la
sensibilité
, notamment d'une hyperesthésie dans le domaine
maxillaire supérieur, voûte palatine ogivale). Aucun trouble de la
sensibilité
, aucun symptôme d'hystérie. Au point de vue int
a peu de mémoire et ne possède que des notions sommaires. , , La
sensibilité
affective est bien développée chez elle, elle n'a
isme. Pas de vers intestinaux. Pas de bronchite ni d'hémoptysie. La
sensibilité
géné- rale est normale. Au point de vue sensori
insuffisants pour permettre à l'enfant de s'en servir utilement. La
sensibilité
y est diminuée au tact, à la température, à la
jambe. Le membre entier est paralysé et en état de contracture. La
sensibilité
y est diminuée au tact, à la température, à la
à la constipation ; ne gâte jamais. La respiration est normale. La
sensibilité
générale est diminuée du côté gauche. Intellige
s provoqués. La température y est diminuée. Il en est de même de la
sensibilité
dans ses divers modes. Notons enfin l'atrophie
ralysie au membre supérieur, l'auteur pense que le fait est dû à la
sensibilité
plus ou moins grande des cellules nerveuses sui
moment des accès. On trouve quelquefois une diminution nette de la
sensibilité
à la piqûre dans le territoire cutané du trijum
sans bruit et évoluant constamment sans ictus, sans troubles de la
sensibilité
. Les malades présentent, en outre presque toujo
ouvent normaux; signe de Babinski inconstant. Pas de troubles de la
sensibilité
. Le psychisme est rarement intact, on constate
n des réflexes pupillaires, rotuliens et plantaires. Troubles de la
sensibilité
et des fonctions vésicales. Epanchement pleural
et neurologistes du S.-O. de l'Allemagne, 415. Conjonctive. Voir
Sensibilité
. Constitution IDCO-OUSESSIVE comme forme psyc
Voir Paralysie géné- rale. Coprolalie. Voir Tics. Cornée. Voir
Sensibilité
. Corps étranger. Voir Mydriase. Couche optiqu
MyopATHiE. Un cas de atrophi- que progressive avec troubles de la
sensibilité
, par Lamion et Po- rot, 57. , Miosis. Voir Mé
. Sur l'exploration clinique du musculaire, par Claparède, 245.
Sensibilité
. Voir Myopathie. Re- cherches sur la - normale
de percep- tion des distances en profondeur, par Pick, 328. de la
sensibilité
dans les étals neurasthéniques et mélancoliqu
vec laquelle la sommation s'établit qu'on doit en somme considérer la
sensibilité
hypnogénique comme un des symptômes de la grande
rande hystérie. Ces excitations périphériques s'adressent soit à la
sensibilité
générale soit i\ la sensibilité spéciale. Elles s
s périphériques s'adressent soit à la sensibilité générale soit i\ la
sensibilité
spéciale. Elles sont, suivant les circonstances,
it pas la question qu'on lui posait et ses yeux étaient hagards. Sa
sensibilité
à gauche était diminuée. II existait un point ova
février et le 1er mars, je revois la malade, la guérison persiste. La
sensibilité
est normale. Importance de la constatation exac
st normale. Importance de la constatation exacte des troubles de la
sensibilité
dans l'hystérie Par le D' P. Joire (de Lille).
c de l'hystérie. Parmi les éléments du diagnostic, les troubles de la
sensibilité
sont des premiers à envisager, les réflexes ocula
mer les idées que je soutiens depuis longtemps sur les troubles de la
sensibilité
compensés chez les hystériques. On se bornait aut
esthésie do la cornée pour un seul œil. tandis que de l'autre côté la
sensibilité
était normale ou exagérée. EnGn chez d'autres suj
sur la cornée du mémo œil une zone d'anesthésie et une autre zone de
sensibilité
normale ou d'hyperesthésie. Ces zones d'anesthési
eul œil ne peuvent en aucune façon permettre de préjuger l'état de la
sensibilité
de l'autre œil, qui peut être normal ou aneslhési
able d'induire en erreur, soit, oarce qu'il se bornera à constater la
sensibilité
d'un point, soit parce qu'il portera tout à la fo
e toute une moitié latérale du voile du palais, avec hyperesthésie ou
sensibilité
normale de l'autre moitié. Chez d'autres, anesthé
la dimension d'une pièce de un ou de deux centimes et laissaient une
sensibilité
normale ou exagérée sur toutes les autres parties
quer le mouvement réflexe, et empêchait de constater un trouble de la
sensibilité
existant en réalité. Nous tirerons de ces dif
stic de l'hystérie et en particulier de rechercher les troubles de la
sensibilité
. 2" L'exploration des réflexes oculaire et phar
Déjà fixé par les détails qui viennent d'être rapportés, j'explore sa
sensibilité
et je découvre une hémianesthésie totale à droite
re d'éthyle, douche statique, électricité faradique, etc. Bientôt, la
sensibilité
redevient normale dans tout le côté droit. Mais
ptique très manifeste, raideur musculaire, nystagmus, abolition de la
sensibilité
au contact et à la douleur : on peut impunément l
muqueuse nasale sans éveiller la moindre sensation ; abolition de la
sensibilité
réflexe de la moelle constatée par la titillation
re des mâchoires qui empêche l'alimentation de la malade ; absence de
sensibilité
olfactive. Du 7 au 15 août, la malade est soumi
13 juillet et parait fort étonnée de se trouver chez ses parents. La
sensibilité
au contact est rétablie, mais des zones d'anesthé
ence et ne présenter aucun état délirant quelconque. D'autre part, sa
sensibilité
et ses réflexes n'offrent rien d'anormal. (1} P
une fille, mais elle comporte des dissociations et des troubles de la
sensibilité
qui n'existent point ici. L'œdème auquel se rap
contractures ou à des paralysies ; il va de pair avec des troubles de
sensibilité
. Cette jeune fille, en effet, présente à gauche
réation de centres psychiques d'arrêt, mais aussi à l'éducation de la
sensibilité
morale. On ne saurait s'imaginer à quel point l
dont la valeur diagnostique ne saurait échapper: l'exagération de la
sensibilité
morale: « J'ai oublié de dire que durant l'anné
té du membre est plus basse d'un degré que celle du côté opposé. La
sensibilité
est très obtuse au tact et à la douleur sur toute
oute l'étendue de l'œdème. Au-dessus de l'œdème, la température et la
sensibilité
sont normales. Cette disposition anatomiquede l
lité sont normales. Cette disposition anatomiquede l'œdème et de la
sensibilité
me font penser immédiatement à l'œdème bleu hysté
t, fait plus curieux, une perte de la mémoire des mouvements et de la
sensibilité
musculaire. Au Heu de poser le verre sur la table
s'effacent, d'autres sont atténuées, les habitudes disparaissent. La
sensibilité
et la faculté de recevoir des impressions se déve
ix fatiguée, il lui semblait impossible de réussir. Je connaissais sa
sensibilité
hypnotique, l'ayant déjà endormie, et je m'efforç
ccepté aussitôt. Heureusement j'avais à faire à un sujet d'une grande
sensibilité
hypnotique; je pus d'emblée l'endormir profondéme
it, et la bète devint aphone. Il y avait une notable diminution de la
sensibilité
cutanée, sans atrophie musculaire. L'administrati
de « rn&ngiare ». On note 'aussi de profondes altérations de la
sensibilité
viscérale; il n'y a pas d'hallucinations visuelle
s écartées. Mon jeune client à aucun moment ne témoigna de la moindre
sensibilité
et garda jusqu'au bout une immobilité absolue.
'hui, cette femme présente une analgésie totale absolue. Les diverses
sensibilités
, tactile, thermique, musculaire, articulaire, ain
c'est le sens stéréognostique seul qui a disparu alors que les autres
sensibilités
restent intactes. L'hystérie est capable, à elle
stérie est capable, à elle seule, de réaliser ces dissociations de la
sensibilité
, tout aussi bien que les injections sous-arachnoi
inale, etc. Il ne faut donc pas se fier uniquement aux troubles de la
sensibilité
pour faire des diagnostics différentiels. Actue
assurer, la calmer, attirer souvent son attention sur ses troubles de
sensibilité
, en somme la tonifier et la suggestionner. CO
stion devra être utilisée également pour combattre les troubles de la
sensibilité
morale, de l'intelligence et de la volonté, si fr
sera supprimé. Cettecause est double : c'est, d'abord, un trouble de
sensibilité
de la région stomacale et, en outre, un trouble d
e toxines et de produits de fermentations anormales. Le trouble de la
sensibilité
est justiciable de l'électricité statique; quant
suggestion, soit par des massages on aura supprimé les troubles de la
sensibilité
et décontracturé les muscles. Cette femme, au con
s tendineux et osseux sont normaux. Mais il existe des troubles de la
sensibilité
. A gauche, on constate une anesthésic absolue dis
sie. L'hyporeslhésie et l'anesthésie portent sur tous les modes de la
sensibilité
. Si nous n'avions pas eu d'anesthésie, nous aur
liquera à exalter l'attention, à dûtruire l'ancslhésic, à rétablir la
sensibilité
. S'il le faut, on utilisera le sommeil hypnotique
entis rien ; au contraire, une hyperestnésie, c'est-à-dire une grande
sensibilité
du tissu sensitif, fut constatée au doigt. Je tou
ances mystiques invérifiables de ceux qui ont plus de sentiment et de
sensibilité
que de raison, et ils sont et seront toujours nom
était la catalepsie. Chez les sujets hystéro-épileptiques même, la
sensibilité
aux diverses manœuvres hypnogéniques est vari
il existe, dans le membre inférieur gauche, et pour tous les modes de
sensibilité
, une anesthésie totale qui occupe, en forme de bo
stance, sur la suggestion posthypnotique, sur l'extériorisation de la
sensibilité
, sur le dédoublement de la personnalité, etc. D
toux convulsive, rire convulsif, spasmes, etc. ; b) Troubles de la
sensibilité
; névralgies (faciale, stomacale, utérine, ovarie
obies, modifications du caractère, hypochondrie, hallucinations de la
sensibilité
générale, hallucinations visuelles ou auditives,
Séance du mardi U Janvier 1902. — Présidence de M. Juies Voisix.
Sensibilité
et hypnotisme chez les hystéro-épileptiques . p
vec laquelle la sommation s'établit qu'on doit en somme considérer la
sensibilité
hypno-gënique comme un des symptômes de la grande
rapport avec l'état des centres encéphaliques. Aussi l'examen de la
sensibilité
du sujet avant l'expérience présente-t—il un inté
ut particulier. Soit un malade totalement hémianesthésique, dont la
sensibilité
(générale et spéciale) est, sur un côté du corps,
on s'aperçoit que le sommeil ne survient qu'après réapparition de la
sensibilité
. Dans le cas où la sensibilitépcut être, par un
squ'on ramène expérimentalement et d'une façon passagère seulement la
sensibilité
tant générale que spéciale des deux côtés du corp
ose hémilatérale. Or. dans les conditions que nous venons de dire, la
sensibilité
ramenée momentanément des deux côtés du corps est
n'occupait qu'une des moitiés du sujet. Dans le cas où l'état de la
sensibilité
est différent pour chaque côté du corps, les phén
ur chacun de ces côtés, un développement en rapport avec l'état de la
sensibilité
. II se produit alors, le plus généralement, deux
me excitation périphérique. L'une des moitiés du corps, celle dont la
sensibilité
est la plus marquée avant l'expérience, se trouve
nsité des phénomènes qui les caractérisent dépendent de' l'état de la
sensibilité
(générale et spéciale). Elles lui sont en quelque
Elles lui sont en quelque sorte proportionnelles. Mais l'état de la
sensibilité
ne fait que traduire au dehors l'état de fonction
commande à ce côté. Et cela est si viai que, sans avoir examiné la
sensibilité
du sujet avant l'expérience, on peut, presqu'à co
r, nous n'avonsjamais réussi à provoquer l'hypnose qu'autant que leur
sensibilité
(générale et spéciale) n'était pas intacte dans t
de là que les modificateurs périphériques susceptibles de ramener la
sensibilité
seront, de ce fait, capables de déterminer le rév
é à diverses reprises sur l'intérêt majeur que présente l'étude de la
sensibilité
dans l'hystérie et l'hypnotisme. Dans son enseign
érison de l'hystérie résidait dans le retour complet et durable de la
sensibilité
(générale et spéciale) dans tous pes modes. L'i
leurs, doit, pour guérir la névrose, avoir une action certaine sur la
sensibilité
et la motilité.....Tout le traitement consiste
ntant de leurs cotisations. Liseur de pensée, liseur de muscles, et
sensibilité
tactile. Nous avons reçu de M. Giard, professeu
un contact..... « L'inspection de la figure montre les degrés de la
sensibilité
qui, faible au front, augmente à mesure qu'on des
sont pas produites. La malade dort mieux et son sommeil est calme. La
sensibilité
est devenue égale de deux côtés. Mais je vous a
. M. le D' Paul Magnin fait une étude d'ensemble des rapports de la
sensibilité
et de l'hypnotisme chez les hystéro-épileptîques
conducteur parce que les tempes sont la partie du corps humain où la
sensibilité
tactile est le plus affinée. M. le Président an
), par Paul Farez, p. 240. Liseur de pensée, liseur de muscles et
sensibilité
tactile, p. 318. Liebeault (Une lettre du Dr), p.
ôté du corps, par Bérillon et Magnin, p. 282. Hystéro-épileptiques (
Sensibilité
et hypnotisme chez les), par Paul Magnin. p. 301.
disparu et la paralysie faciale est très atténuée. Le retour de la
sensibilité
est très appréciable, quoique encore imparfait.
il voit double et, quand il marche, couvre son oeil droit ; pas de
sensibilité
du cuir chevelu. Léger degré d'asy- métrie des
ssi beaucoup plus facilement que le gauche. Intégrité absolue de la
sensibilité
générale et spéciale. Les sphincters sont frapp
se détachent tous les jours : la plus étendue existe au sacrum. La
sensibilité
tactile persiste toujours. Danslesdeux dernie
s elle n'engendre que des troubles passagers et peu marqués de la
sensibilité
, car les circonvolutions précédentes ne consti-
mais il est difficile d'apprécier une différence entre les deux. La
sensibilité
générale est conservée, il en est de même des s
a devient de plus en plus profond; il n'y a pas de paralysie, et la
sensibilité
à la douleur, à la piqûre, au pincement, bien q
ours, était aigrelette; la soif vive, la constipation opiniâtre. La
sensibilité
était diminuée aux membres supérieurs; l'affais
térale modérée du sciatique. Le jour suivant, les troubles de la
sensibilité
augmentent, il se produit des convulsions clo-
distribués dans les quatre membres ; en même temps, troubles de la
sensibilité
subjectifs ou objectifs, dont l'intensité est e
res cliniques. Marche ascendante de la paraly- sie ; troubles de la
sensibilité
bornés à des formications pas- sagères, évoluti
que quand les muscles sont très atrophiés; les réflexes cutanés, la
sensibilité
générale et spéciale, la nutrition de la peau,
isuel. - 4° La participation des autres organes sensoriels et de la
sensibilité
cutanée et muqueuse est éminemment variable. 5"
es troubles fonction- nels de chacun des appareils sensoriels et la
sensibilité
cutanée. 6° Les hémianesthésies vraies sont rar
D'après eux, dans la plupart des cas d'hystérie, la paralysie de la
sensibilité
cutanée est non pas totale sur un côté, mais pa
sensorielle contrastant avec l'intégrité absolue et constante de la
sensibilité
cutanée, et, inversement, une insensibilité total
Charcot tout entière basée sur les rapports des perturbations de la
sensibilité
générale et spéciale aoec L'ovurie, dont ils ne t
pour le blanc et toutes les couleurs, accompagné de troubles de la
sensibilité
cutanée occu- pant d'ordinaire certaines partie
n. B. Chorée. Sur vingt faits, trois témoignent d'anomalies de la
sensibilité
générale et spéciale. L'un d'eux concerne sinon u
hi- ques; 2° à certains malaises nerveux; 3° à des troubles de la
sensibilité
dans le sens le plus large du mot. Il s'agit géné
e confirmées ou diagnostiquées pendant la vie. - Les troubles de la
sensibilité
cutanée émanent de lésions de la partie postéri
iciel : intégrité des organes génitaux; il n'existait qu'une grande
sensibilité
des ovaires. Une jeune fille de seize ans, non
abdominanx ; le soir, anxiété fréquente. L'examen décèle une grande
sensibilité
de la région ovarienne et de l'atrésie du col u
ombreuses sensations anormales, finalement paralysie complote de la
sensibilité
, de la motilité, des réflexes sur la moitié infér
xigmuller. Sur l'hémiunesthésic. Cas intéressant de paralysie de la
sensibilité
et de la motilité, ayant pendant deux ans occup
n note des troubles intellectuels évidents, des lacunes morales. La
sensibilité
du côté atteint est ou normale ou légè- rement
. Dans la chorée, en effet, il existe toujours une diminution de la
sensibilité
au cha- touillement de la plante des pieds ; ja
paré- sies et des tensions musculaires avec de légers troubles de
sensibilité
et de vessie, etc. Il en a vu trois cas et en c
is sans parésie et sans réflexes tendineux, légers troubles de la
sensibilité
et de la vessie. Il admet qu'il y a là une comb
es se présentent; tantôt seulement de légers troubles subjectifs de
sensibilité
avec un peu de faiblesse vésicale; tantôt des d
s présentent, au moins en partie, une diminution très notable de la
sensibilité
. Pas d'ataxie véritable : même les yeux fermés,
en ne révèle aucune trace d'anesthésie. Mais le malade pense que la
sensibilité
tactile est un peu plus lente sur la moitié dro
re générale, mais pas de paralysie localisée. Vue et ouïe normales.
Sensibilité
au pincement conservée. Nerfs optiques normaux.
pas d'hémiplégie nette ni d'anesthésie. Il pensait cependant que la
sensibilité
tactile, lorsqu'il passait la main sur un objet
ucun moment, il n'y eut d'hémiplégie ni de monoplégie nettes, et la
sensibilité
était toujours à peu près sinon tout-à-fait nor
u de disposition à l'obésité et ne présente pas aucun trouble de la
sensibilité
générale du genre de ceux des hystériques. Quan
ui fait mal et évitant leur explo- ration. Malgré le retour de la
sensibilité
dans la peau et les tissus des articulations en
it pas les contractures somnambuliques; presque pas de suggestions.
Sensibilité
cutanée comme au 29, même pendant l'hypnotisme.
peau du ventre et la face dorsale du coude présentent le maximum de
sensibilité
; la pulpe des doigts est la moins sensible. La f
côtés oscille entre 0, 0 et 2,8. Individualités très marquéesde la
sensibilité
des divers sujets ; différences variant entre 1
et 52, 6. Insensibilité toute spéciale des extrémités des doigts ;
sensibilité
modérée de la pointe delà langue, sensibilité p
trémités des doigts ; sensibilité modérée de la pointe delà langue,
sensibilité
plus grande du côté gauche : diffé- rence moyen
ontre que lorsqu'on arrive aux températures élevées ; parfois cette
sensibilité
douloureuse est dimi- nuée. 2° Même observation
aucune anomalie des sécré- . tiens sudoripare ou sébacée, ou de la
sensibilité
dans les endroits en question. L'auteur rattach
tés détermine un mouvement associé dans l'autre. Diminution de la
sensibilité
; les piqûres d'aiguilles ne sont perçues, et enco
champ visuel, de l'ouïe, des nerfs sensoriels, des réflexes, de la
sensibilité
et de la motilité générale. Rien du côté de l'e
celles qu'on lui fait prendre. Hallucina- tions de l'ouïe et de la
sensibilité
générale, changeantsuivantleur teneur variable,
tes et les hallucinations n'entament plus le domaine affectif de la
sensibilité
morale : le patient vit donc en paix avec le mo
t, les yeux fermés, marcher et se tenir debout, aucun trouble de la
sensibilité
; pour fléchir le genou, il s'incline à gauche s
3, le patient remarque, pour la première fois, un émoussement de la
sensibilité
plantaire qui disparaît bientôt. A la Pentecôte
le signe de Romberg ; la perte de la viri- lité ; l'intégrité delà
sensibilité
, à part les anomalies sensorielles enregistrées
constipation modérée; jamais de douleurs lancinantes, mais grande
sensibilité
à la plante des pieds sous l'influence de la pr
bsence de réflexe pa- stellaire ; signe de Romberg; intégrité de la
sensibilité
; pas de diplopie; pas de douleurs en ceinture;
nou, des réflexes plantaires eterémastériens; pas de troubles de la
sensibilité
; excitabilité électrique normale; pendant quatre
exagération du phénomène du genou, diminu- tion considérable de la
sensibilité
, surtout à gauche ; extrémités froides et cyano
s égaux à eux-mêmes, monotones; pupilles larges; diminution de la
sensibilité
cutanée; c'est au beau milieu de cet état que sur
es globes oculaires propres au sommeil 1; si on excite fortement la
sensibilité
de ce ma- lade, notamment en le secouant violem
s'évanouissent à leur tour. Il peut s'y joindre des troubles de la
sensibilité
morale primitifs, de la stupeur, de l'exagérati
intégrité des mouvements isolés. Diminu- tion très accentuée de la
sensibilité
, dans tous ses modes; ralen- tissement des impr
voile du palais ; paralysie, des quatre membres avec troubles de la
sensibilité
. Parésie du dia- p/; ? 'aM : e. Arythmie du coe
érées soit par les mouvements, soit par la pression des muscles; la
sensibilité
est normale dans ses diffé- rents modes. Les
est devenu lourd, paresseux et moins habile à saisir les objets. La
sensibilité
est émoussée depuis l'épaule jusqu'à l'extrémit
et celle-ci ne peut être maintenue au delà de quelques minutes. La
sensibilité
est normale. 25. - Le bras gauche, presque co
er sur lo plan du lit. Pas de douleurs spontanées ni provoquées, La
sensibilité
au contact, à la douleur, à la-tem- pérature es
ue complète, absolue, intéressant au même degré la motilité et la
sensibilité
. Le bras droit commence à .se prendre et devien
t commence à .se prendre et devient lourd, malhabile, paresseux. La
sensibilité
cutanée de ce segment est intéressée dans tous
droit, atteint en dernier lieu, est complètement paralysé, privé de
sensibilité
. A ce moment les quatre membres sont donc frapp
ume, et ne réagissent que faiblement à l'exci- tation faradique. La
sensibilité
est partout abolie dans tous ses modes, sauf au
cles réagissent mieux à l'excitation élec- trique. Parallèlement la
sensibilité
revient dans ces mêmes régions. 4 novembre. L
le bras et la jambe, mais la force musculaire est- très amoindrie;
sensibilité
presque normale. Les douleurs persistent toujou
a motilité. Cette paralysie s'accompagne de troubles profonds de la
sensibilité
caractérisés par de l'anesthésie absolue et des
établissent, en effet, qu'une paralysie généralisée, absolue de la
sensibilité
et de la motricité peut survenir sans altératio
ible que sans la touche, parce qu'il semble être sûr qu'au moins la
sensibilité
du mouvement est loca- lisée aux zones motrices
des jambes, surtout de la gauche. Actuellement pas de troubles de
sensibilité
, jamais d'anes- thésie plantaire. Exagération d
rac- tures, de l'exagération du réflexe rotulien; une perte de la
sensibilité
paraplégique, l'impossibilité de mar- cher les
lité paraplégique, l'impossibilité de mar- cher les yeux fermés (la
sensibilité
étant plus atteinte à gauche et la motilité à d
dans lesquels il n'y ait eu aucun phénomène d'incoordination ou de
sensibilité
. Sur les 26 cas positifs à ce dernier point de
e. Incontinence d'urine, conscience des vertiges, pas de trouble de
sensibilité
ni de plaques anesthé- siques. Pas d'inégalité
ù suis-je ( ? ), est-ce que je suis folle ? Céphalalgies violentes;
sensibilité
cutanée exagérée et douloureuse au contact dans
gauche. Etat de fureur épileptique. En novembre 1884, on note : la
sensibilité
cutanée est intacte, sans plaques d'anesthésie,
uque, n'ont pas diminué les céphalées. Rien à noter du côté de la
sensibilité
cutanée et des autres organes des sens. De temp
du coeur, les signes d'une insuffisance mitrale. Pas de troubles de
sensibilité
ni de motilité. RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIP
gie gauche complète avec hyperes- thésie du même côté. Depuis, la
sensibilité
est incomplètement revenue et, actuelle- ment e
ement, démarche spasmodique avec paresthésies, et disparition de la
sensibilité
, incontinence de l'urine' goutte à goutte, cons
e méthode se retrouve dans les articles sur les modifications de la
sensibilité
générale et spéciale, sur celles de larespiration
arbone produit des troubles nerveux divers qui peuvent atteindre la
sensibilité
(hyperesthésie, anesthésie, unilatérale, bilaté
s ont paru symétriques. L'ouïe, le goût et Yodorat sont normaux. La
sensibilité
générale est intacte. Membre supérieur droit. L
odifiée depuis 1866. 1877. Décembre. L'état général est le même. La
sensibilité
n'a pas subi de changements. Les accès deviennent
. — Crises gastriques. — Migraine. — Attitude des membres paralysés.—
Sensibilité
spéciale et générale.—Aura. — Marche des accès. —
fois aussi la jambe fléchit tout à coup. Les différents modes de la
sensibilité
sont intacts ; il n'y pas, à cet égard, la moindr
du corps que sur la moitié gauche, où il y a un affaiblissement de la
sensibilité
, mais non une abolition. L... n'a que rarement
jambe sont plus frais à droite qu'à gauche. Les différents modes de
sensibilité
sont normaux. — L'ouïe est un peu obtuse à droite
t sont plus froids que les régions correspondantes du côté gauche. La
sensibilité
est normale des deux côtés. Accès. D... affirme
terne. 40 40,5 Distance de celle-ci à l'orteil médian. . 17 18 La
sensibilité
générale et la sensibilité spéciale sont conservé
e celle-ci à l'orteil médian. . 17 18 La sensibilité générale et la
sensibilité
spéciale sont conservées.— Gr... travaille sans c
s élevée que la gauche. -«- Le pli fessier est abaissé à droite. La
sensibilité
générale est conservée dans ses divers modes. — U
varus équin. Les orteils sont dans la flexion et très-contracturés-La
sensibilité
au contact, au pincement, etc., est conservée.
isparait entièrement. 13 fév. — Amélioration de l'état mental. — La
sensibilité
générale, examinée dans ses divers modes, parait
e vertébrale (emplâtres stibiés). Le système pileux est développé. La
sensibilité
cutanée, dans ses divers modes, est conservée.
se de 2 cen-tigr. On a noté des retours incomplets et passagers de la
sensibilité
à la douleur. — Le médicament a produit les vomis
, et les symptômes permanents de l'hystérie sont toujours présents.
Sensibilité
. — Anesthésie complète à gauche; à droite, analgé
té. — Anesthésie complète à gauche; à droite, analgésie très-accusée;
sensibilité
au froid, obtuse. — L'insensibilité porte non-seu
ale, vulvo-vaginale, sont insensibles à gauche et ne possèdent qu'une
sensibilité
très-obtuse à droite. La sensibilité spéciale p
gauche et ne possèdent qu'une sensibilité très-obtuse à droite. La
sensibilité
spéciale présente les mêmes différences. Ainsi, p
collier de plaques de zinc, appliqué pendant cinq minutes, ramène la
sensibilité
de la muqueuse bucco-pharyngienne.Une plaque de z
la face interne du cou-de-pied droit; ni contracture, ni retour de la
sensibilité
; — à la face interne du cou-de-pied gauche ; au b
sion. Application de l'aimant :.1° à droite, retour incomplet de la
sensibilité
; pas de contracture ; — 2° à gauche, disparition
ormal ; 3° l'action des métaux (or, zinc) sur les modifications de la
sensibilité
; 4° l'influence de Y aimant sur la contracture ;
mière d'insensibilité. Elle intéresse, on le sait, non-seulement la
sensibilité
de la peau dans tous ses modes ainsi que la sensi
-seulement la sensibilité de la peau dans tous ses modes ainsi que la
sensibilité
des muqueuses, mais encore la sensibilité spécial
tous ses modes ainsi que la sensibilité des muqueuses, mais encore la
sensibilité
spéciale : vue, ouïe, odorat, goût. Les troubles
reprises, des malades, dont l'anesthésie était générale, recouvrer la
sensibilité
dans la moitié du corps envahie la dernière et, à
lles attaques, dans la moitié primitivement affectée. Le retour de la
sensibilité
, s'il se maintient, constitue un signe d'un favor
-thésie et paralysie du côté gauche. — Retour de la motilité et de la
sensibilité
à gauche : Hémianesthésie et hyperesthésie ovarie
ais elle n'a été réglée. Elle a été admise pour une paralysie de la
sensibilité
du bras droit et des attaques d'hystérie grave, p
et traîne un peu la jambe correspondante qui lui parait lourde. La
sensibilité
cutanée, dans ses divers modes, est abolie sur to
té insensible. Il en est de même des raies tracées avec l'ongle. La
sensibilité
est normale à gauche; les mouvements réflexes et
e sait plus indiquer, sans erreur, l'attitude qu'on leur a imposée.
Sensibilité
spéciale. — L'ouïe est notablement diminuée à a
du soir, 39 attaques. Les règles sont à leur fin. 15 juillet. — La
sensibilité
est normale à gauche; l'hyper-esthésie ovarienne,
nne, de ce côté, a disparu. 25 juillet. — Hémianesthé-sie à droite,
sensibilité
normale à gauche. Au dynamomètre Burq : 39 à droi
armature d'or sur l'a vent-bras droit : au bout de 10 minutes, la
sensibilité
est revenue dans la main et la moitié inférieure
petite pile a u sulfate de cuivre : au bout d'une heure, retour de la
sensibilité
(1). 1 0-12 janvier. — Règles assez abondantes.
tion de position est perdue pour le membre inférieur. — A gauche , la
sensibilité
est intacte. Les fonctions de la respiration et
à elle, X... est raisonnable. 24-25 août. —X... est tranquille. La
sensibilité
est normale à gauche. Septembre.—Hy dro thérapi
ures, qu'un peu de fatigue. 24 nov. — X... a repris ses douches. La
sensibilité
est revenue à gauche. 1er décembre. — Nouvelles
ation de nitrile d'ample ; retour définitif de la voix. 7 déc. — La
sensibilité
est revenue complètement. 31 déc. — X... a cons
sensibilité est revenue complètement. 31 déc. — X... a conservé sa
sensibilité
. Elle n'a pas eu d'attaques dans le courant du mo
ordinairement faire cesser en détournant l'attention de la malade. La
sensibilité
morbide n'est pas bornée au sein, mais s'étend à
t aperçue qu'elle sentait. Nous constatons, en effet, le retour de la
sensibilité
par tout le corps, et la disparition de la rachia
et 3 décembre. — On a noté des oscillations entre l'anesthésie et la
sensibilité
à diverses reprises. 9 décembre. — La sensibili
'anesthésie et la sensibilité à diverses reprises. 9 décembre. — La
sensibilité
est normale des deux côtés (peau, muqueuses, sens
onnait queM.X.. n'est pas Camille. 12 décembre. — Persistance de la
sensibilité
. Le sommeil est très-court (2 ou 3 heures). 13
arquons que, sous l'actionde l'émotion qu'elle vient de ressentir, la
sensibilité
est entièrement revenue, que la rachialgie n'exis
es attaques. 19 décembre. — G... a pleuré pendant toute la nuit. La
sensibilité
est conservée. G... est contente d'être en cell
n à l'état de veille. 11. M. Bernard Leroy. — Extériorisation de la
sensibilité
. 12. M. Gorodichze. — Dyspnée nerveuse guérie p
ux est possible, et la malade marche fort bien « à quatre pattes d.
Sensibilité
. — Légère hyperesthésie dans toute la moitié droi
ibilité. — Légère hyperesthésie dans toute la moitié droite du corps.
Sensibilité
au contact, a la chaleur, au froid, conservée, ma
t une céphalée continue, des crises nerveuses fréquentes et une telle
sensibilité
qu'un objet brillant quelconque ou l'intervention
était sujet, l'indication première était donc de le délivrer de celle
sensibilité
. C'est ce que je fis; dès le premier jour. Je l'e
une fois!7jours, des vomissements, de la céphalée, des troubles de la
sensibilité
, etc., etc. Le hasard m'ayant fait découvrir qu
qui est considérée par certains esprits comme une aristocratie do la
sensibilité
. Sans doute y eut-il dans le cas de mon malade
é-rieuremeiit ilirigccuau-dcssusdcsa lete, et en un tissu réticule de
sensibilité
cosmique autour de l'oiseau. (Sans électricité.)
euse, non plus dans le domaine de la motricité, mais dans Celui de la
sensibilité
. » Il persiste d'ailleurs dans son ancienne convi
re. Il s'agit, dans le premier cas, d'une crise intermittente de la
sensibilité
physique et morale, compatible avec un retour com
la surveiller de peur qu'elle ne mette son projet à exé-culion. La
sensibilité
est normale et l'hystérie hors de cause. Rien de
gnathe, voûte palatine normale, oreilles bien formées, pas de goitre,
sensibilité
aux membres supérieurs, inférieurs et à la face n
ns les trois manifestations principales de celles-ci : le sommeil, la
sensibilité
, la motilité. Comment dorment les aliénés? Comm
ce sur son état de responsabilité, L'ÉTAT PHYSIQUE DES ALIÉNÉS - LA
SENSIBILITÉ
Par le Dr P. Kéraval, médecin en chef de l'asil
ères. Comment fonctionnent les modes physiologiques habituels de la
sensibilité
nerveuse commune chez l'aliéné? L'examen n'est
les limites du cadre où nous nous plaçons, il y a lieu de diviser la
sensibilité
en trois genres : i° la sensibilité d'origine ext
laçons, il y a lieu de diviser la sensibilité en trois genres : i° la
sensibilité
d'origine externe ; 2° la sensibilité d'origine o
ibilité en trois genres : i° la sensibilité d'origine externe ; 2° la
sensibilité
d'origine organique; 3° la sensibilité réflexe.
lité d'origine externe ; 2° la sensibilité d'origine organique; 3° la
sensibilité
réflexe. 1° Sensibilité d'origine externe Les
° la sensibilité d'origine organique; 3° la sensibilité réflexe. 1°
Sensibilité
d'origine externe Les nerfs et organes sensitif
ents extérieurs aux centres nerveux, déterminent, à l'état normal, la
sensibilité
cutanée, douloureuse, thermique, électrique, gust
tte hyperesthésie forme le pendant rationnel des hallucinations de la
sensibilité
générale de la peau que nous avons relevée dans l
la vue, de la couleur dans l'hystéro-épilepsie, de Charcot. Toute la
sensibilité
est, en ce cas, paralysée du côté où il y a ovari
antastiques nous font pressentir l'état mental de ces aliénés dont la
sensibilité
spéciale est déformée et disjointe, à leur insu,
réparées ou remplacées, â certains moments, par des perversions de la
sensibilité
, notamment de l'odorat. L'ouïe fournit également
illusions des mêmes sens ! Il convient de s'acharner à l'étude de la
sensibilité
générale et spéciale de l'aliéné. C'est d'autant
hallucinations unilatérales du même côté que l'oreille atteinte. 2°
sensibilité
d'origine organique Tous les organes du corps s
ses qui n'existent pas, tout comme le lui font croire les nerfs de la
sensibilité
générale ou spéciale d'origine externe dont nous
ait la description. Les assertions précédentes feraient croire que la
sensibilité
viscérale ne fonctionnerait plus du tout; il y au
e, trop diminuée chez le dyspeptique et le mélancolique. Enfin, cette
sensibilité
viscérale ou cènesthésie, quand elle est perverti
arrivés pendant la longue période où il avait déliré activement. 3°
sensibilité
réflexe Bien des travaux contemporains ont mis
t qui lui rendent impossible la flexion des reins et du tronc. Pas de
sensibilité
au toucher d'ailleurs, ni de l'épine dorsale, ni
TIQUE 12° année. — N° 7. Janvier 1898. DE L'EXTÉRIORISATION DE LA
SENSIBILITÉ
. Par M. le Dr Paul Joire (de Lille). Il y a u
e que l'étendue de la surface sensible, varie essentiellement avec la
sensibilité
nerveuse de la personne en expérience ; et c'est
a pointe à environ un centimètre de la peau. « Je trouvai que cette
sensibilité
spéciale se développe et s'accroît parallèlement
tte sensibilité spéciale se développe et s'accroît parallèlement à la
sensibilité
hypnotique et comme elle par l'entraînement. »
phénomène, que je désignai sommairement à cette époque sous le nom de
sensibilité
à distance, a été dans ces dernières années bien
en étudié et décrit par M. Rochas sous le nom d'extériorisation de la
sensibilité
; dénomination qui lui convient beaucoup mieux.
« Dès qu'on magnétise un sujet, dit le colonel Albert de Rochas, la
sensibilité
disparait chez celui-ci à la surface de la peau.
ait établi depuis longtemps ; mais ce qu'on ignorait, c'est que cette
sensibilité
s'extériorise; il se forme, dès l'état de rapport
rme une série de couches analogues, à peu près equidistantes, dont la
sensibilité
décroit proportionnellement à leur éloignement du
» En résumé, comme on le voit, ce phénomène d'extériorisation de la
sensibilité
consiste en ceci, que, en même temps que l'an
ps que l'anesthésie se produit par suite de l'état hypnotique, la
sensibilité
, qui a disparu de la surface de la peau, ne se pe
ences plus précises dont nous allons parler. Dans ces expériences, la
sensibilité
du sujet ne reste plus vaguement distribuée dans
bsolument distinct et indépendant du corps du sujet, se charger de sa
sensibilité
, de telle sorte que le sujet ressentira d'une faç
e ne lo savais pas moi-même. L'idée de tenter l'extériorisation de la
sensibilité
ne m'était venue que lorsque j'avais vu le sujet
mis entre les mains le verre d'eau dans lequel j'avais extériorisé sa
sensibilité
, je pris moi-même le verre et le tins moi-même de
voulu essayer de charger différentes substances autres que Peau de la
sensibilité
du sujet en expérience. J'ai pris d'abord une pet
je l'ai expérimenté, il ne m'a pas semblé se charger facilement de la
sensibilité
du sujet. Le bois s'est montré plus favorable à
quelques instants au contact du corps du sujet se sont chargées de la
sensibilité
, de telle façon que, même après qu'elles avaient
mnambulisme, le verre d'eau fut placé entre ses mains et chargé de sa
sensibilité
, comme dans les premières expériences. Je constat
Les choses étant ainsi disposées, je fais, par suggestion, passer la
sensibilité
du sujet dans la personne placée devant lui, c'es
j'ai fait dans les expériences suivantes. Après avoir fait passer la
sensibilité
du sujet en état de somnambulisme au sujet à l'ét
fût projetée exactement sur la muraille. Je lui suggérai alors que sa
sensibilité
serait reportée tout entière sur son ombre, c'est
u à quelques remarques intéressantes. D'abord l'extériorisation de la
sensibilité
au degré que je viens de décrire est un phénomène
t c'est la première fois que je rencontre cette extériorisation de la
sensibilité
depuis plusieurs années que je la recherche. Je
'ai opéré avec ce sujet, j'ai toujours obtenu l'extériorisation de sa
sensibilité
, mais quelquefois ses sensations étaient vagues e
piqûres et les impressions qui étaient faites à l'objet chargé de sa
sensibilité
. Dans d'autres circonstances, il arrivait à une c
e. Dans certains cas, en affirmant au sujet, par suggestion, que sa
sensibilité
a disparu et se trouve reportée dans l'objet ou l
ant pourrons-nous expliquer ces phénomènes de l'extériorisation de la
sensibilité
? Je dirai de suite que j'ai constaté le phénomèn
moi-même. Je n'ai eu l'idée d'essayer sur lui l'extériorisation de la
sensibilité
qu'après qu'il était déjà en somnambulisme. 2°
aut n'avoir jamais été témoin des expériences d'extériorisation de la
sensibilité
pour leur assimiler de pareilles manoeuvres. Pe
ion verbale que tout le monde connaît. Dans l'extériorisation de la
sensibilité
, au contraire, nous prenons toutes les précaution
aucune façon du moment oû l'on va piquer l'objet qui est chargé de sa
sensibilité
. On a soin de faire des manœuvres analogues sur d
objets environnants ou semblables à celui dans lequel on a reporté sa
sensibilité
. C'est ce que nous avons démontré dans l'expérien
rement qu'il éprouve les impressions portées sur l'objet chargé de sa
sensibilité
, et il ne les éprouve pas dans les environs ou su
nes circonstances. Ce phénomène si curieux de l'extériorisation de la
sensibilité
ne peut donc pas être expliqué maintenant par la
Paralysies hystériques. Certes, on avait parlé de «es troubles de la
sensibilité
générale chez les hystériques, l'attention était
me, 3" année, 1889, p. 119. —'Troubles fonctionnels des sens et des
sensibilités
dans l'hypnotisme. » Revue de l'Hypnotisme, 3' an
l est très dangereux, d'après ce que disent les infirmiers. Il a la
sensibilité
générale quelque peu diminuée; il tombe en léthar
e. 4e Partie : Etats médianiques. Télépathie. Extériorisation de la
sensibilité
. Suggestion mentale. Transmission de la pensée. E
que passif. Phéaomènes télépathiques. 23 juin : Extériorisation de la
sensibilité
. Sensibilité à distance. 29 juin : De la suggesti
héaomènes télépathiques. 23 juin : Extériorisation de la sensibilité.
Sensibilité
à distance. 29 juin : De la suggestion mentale. T
ntact quelconque; mais, ce qui est plus étonnant encore, c'est que la
sensibilité
fonctionnelle organique n'existe pas davantage. A
ou à la colonne vertébrale. D'après ce spécialiste; l'abolition de la
sensibilité
, qui se produit parfois et temporairement dans le
é incroyables ». C'est alors que, pour réveiller et régulariser cette
sensibilité
, il a recours à l'électrothérapie courants contin
physique (nouvelles), par le Dr Bonjour, 79. Extériorisation de la
sensibilité
{de l'), par le Dr Joire, 193. Folklore, 221.
Séance annuelle do la Société d'hypnologie et de psychologie, 13.
Sensibilité
(la), par le Dr Kéraval, 170. Sensibilité (exté
et de psychologie, 13. Sensibilité (la), par le Dr Kéraval, 170.
Sensibilité
(extériorisation de la), 194. Société d'hypnolo
aladies du système nerveux qui affectent plus particulièrement la
sensibilité
et le mouvement. I. Les affections du système
nt des états anormaux de l'es- prit correspondant à des troubles de
sensibilité
psychique, quel est donc l'état normal ? Nous a
suite d'une syncope, il y a eu un peu d'incontinence d'urine. c)
Sensibilité
. - La malade se plaint d'éprouver de temps en t
t du pied. Sarrazin les compare à des sensa- tions de brûlure. La
sensibilité
est relativement peu atteinte. Il existe cepen-
més; l'enfant avoue des habitudes d'onanisme assez fréquentes. La
sensibilité
cutanée est parfaite. Lessens spéciaux ne présent
dtictioîz et de translation de l'attaque précédente. Examen de la
sensibilité
. - A aucune période de la maladie, en dehors de
s et de l'état d'hypnotisme, nous n'avons observé de troubles de la
sensibilité
générale chez notre malade et, de même qu'il n'
. Nous nous sommes enquis, à maintes reprises, le l'intégrité de la
sensibilité
chez notre malade, et nous avons tenté de la mo
de vent dirigées du tronc vers les extrémités inférieures, mais la
sensibilité
ne s'est on rien modifiée. Bien qu'il ne fût pa
r les téguments ne pourrait pas avoir quelque retentissement sur la
sensibilité
, et il nous a semblé que, sous l'influence d'un
nfant est plongé dans le sommeil hypnotique et, de ce moment, toute
sensibilité
dispuraît, DE I,'HYSTÉH.O-ÉPILEPSOE. 95 La tr
'expérience et l'état hypnotique dure, cette fois, cinq minutes. La
sensibilité
réparait immédiatement avec le réveil. Pendant l'
on actuelle consiste à aider sa mère dans les travaux du ménage. La
sensibilité
est parfaite, et les zones hysté- ronènes ont d
tes les fonctions sont normales; il ne présente aucun trouble de la
sensibilité
générale et spéciale. Sa mère est toujours sati
la production ou l'arrêt des attaques; l'absence de troubles de la
sensibilité
. V. Les expériences instituées pour produire l'
et rate normaux ; pas de dilatation stomacale; selles régulières. -
Sensibilité
générale intacte. Sens spéciaux assez obtus, mê
avons examiné à plusieurs reprises la malade au point de vue de la
sensibilité
, et nous n'avons rien trouvé d'anormal, pas de
et les poings sont fermés. A gauche, le membre devient flasque. La
sensibilité
ne présente rien d'anor- mal. Les urines ne ren
cles des mâchoires, du voile du pa- lais, de la face était normale.
Sensibilité
intacte. Con- tractilité électro-musculaire con
langue. La déglutition réflexe subsistait. Pas de troubles de la
sensibilité
de la peau, ni de la muqueuse palatine; les mus
otilité du côté gauche, sans atrophie musculaire, ni troubles de la
sensibilité
. Rien du côté des yeux. Ouïe et odorat un peu a
elle est le siège de petits mouvements fibrillaires incessants. La
sensibilité
au contact, à la piqûre, est moindre sur le côt
ibilité au contact, à la piqûre, est moindre sur le côté gauche. La
sensibilité
spéciale est égale des deux côtés. Les lèvres
e normal; pas de contractions fibrillaires; pas d'altérations de la
sensibilité
générale ni spéciale. Le voile du palais est in
peut cependant le faire con- tracter en le touchant avec le doigt.
Sensibilité
conservée. Pas de déviation de la luette.. ¡, 1
vec une parésie croissante des membres inférieurs, diminution de la
sensibilité
dans ses di- vers modes, exagération du réflexe
atrophie- des muscles du mollet et des péroniers, diminution de la
sensibilité
sous toutes ses formes jusqu'à un pouce de l'om
x central et périphérique dans toutes ses fonctions : mo- tilité,
sensibilité
générale spéciale, intelligence. M. Charcot fai
Bonn cite plusieurs exemples de troubles de la motilité et de la
sensibilité
des membres inférieurs, mais il s'agissait d'ar
nt. Les mouvements de la face sont conservés. Pas de troubles de la
sensibilité
de la langue ni de la face. Pas de troubles cir
roubles se montrèrent aussi à gauche : perte presque complète de la
sensibilité
cutanée, et affaiblissement de la motilité au n
la motilité au niveau du membre supé- rieur. Au membre inférieur la
sensibilité
était obtuse, mais - sans être complètement sup
uche avait recouvré son activité. Mais au bras les s troubles de la
sensibilité
et la parésie persistaient encore. En 1a66, le
'à droite. Diverses expé- riences, faites dans le but d'explorer la
sensibilité
tactile et la sensibilité gustative font consta
riences, faites dans le but d'explorer la sensibilité tactile et la
sensibilité
gustative font constater l'intégrité de ces fonct
, elle n'est entendue que du côté sain. b) Membre supérieur gauche.
Sensibilité
tactile un peu affaiblie au niveau de l'épaule,
auche. Sensibilité tactile un peu affaiblie au niveau de l'épaule,,
sensibilité
à la douleur très bien conservée. Le deltoïde e
inférieur gauche. Pas d'atrophie musculaire; mais diminution de la
sensibilité
de la peau à la douleur. d) Lésions des jointur
ue. DE LHC11.1'l'ltUl'lllis DE LA LANGUE. 205 L'exploration de la
sensibilité
de la muqueuse linguale nous donne les résultat
Actuellement, il n'y a pas de phénomènes objectifs du côté de la
sensibilité
de la tête, pas plus à droite qu'à gauche. Le c
é spécialement' à ce pointlde vue, l'exis- tence de troubles, de la
sensibilité
. dont quelques-uns persistent encore, dans la s
ue ou des muscles des yeux, on ne trouve relaté aucun trouble de la
sensibilité
. Nous pensons que ces troubles n'ont pas'été su
'médiane,' ét'de toute la moitié correspon- dante de la langue. Là
sensibilité
générale et spéciale est pourtant indemme parto
euvent porter sur les fonctions de sécrétion ou d'excrétion, sur la
sensibilité
, ou enfin ils consistent en phénomènes de réact
a paralysie de la vessie s'accompagne fréquemment de la perte de la
sensibilité
spéciale de l'organe. Il en résulte que souvent
e n'est pas constante : un certain nombre de sujets ont conservé la
sensibilité
réflexe de la vessie qui se contracte spontaném
le plus souvent que d'une façon passagère. C. Les Troubles de la
sensibilité
varient de forme et de siège. a) Existe-t-il un
ible aux impressions doulou- reuses qu'aux impressions tactiles. La
sensibilité
de ces mem- branes peut être diminuée ou perver
, comme il persiste dans les membres, malgré la perte absolue de la
sensibilité
tégumentaire. Dans les myélites transverses, l'
réflexe, persiste ou non. Dans l'ataxie locomotrice, la perte de la
sensibilité
vésicale et uréthrale qui peut faire partie d'u
iquer que le sens musculaire est atteint plus que la motilité. La
sensibilité
réflexe de la vessie ou des sphincters ne peut
eur trajet périphé- rique. 6) La dysesthésie, la perversion de la
sensibilité
, peut se tra- duire de différentes façons : Il
4" Il ne faut pas confondre avec la névralgie, la dysesthésie, la
sensibilité
douloureuse de la vessie et de l'urèthre que l'on
, en grande partie du moins, suus la dépendance d'altérations de la
sensibilité
; il en est de môme en ce qui concerne les organ
ussi étudierons-nous d'abord ces altérations. a) Les troubles de la
sensibilité
de l'urèthre et de la vessie se présentent sous
ènes tabétiques qui se montrent sur les autres ap- pareils. 1° La
sensibilité
tactile de la vessie est àpeu près nulle, etson
uée tout autant à la perte du sens mus- culaire qu'à la perte de la
sensibilité
de la muqueuse ; elle est 'Fournier. - De l'ata
ère concevoir que l'anesthésie de l'urèthre puisse exister quand la
sensibilité
de la vessie reste intacte. C'est pourtant ce q
ique- rions volontiers ces faits en disant que c'est seulement la
sensibilité
des muqueuses qui est abolie, tandis qu'il y a pe
ne s'écoule encore. 2° L'hyperesthésie ou plutôt la dysesthésie, la
sensibilité
exagérée et anormale peut atteindre la vessie s
u côté de'l'oeil, qui sont indépendants de toute modification de la
sensibilité
, de même il peut-'exister du côté de la vessie
e l'auteur ait omis l'examen de la vue (champ visuel, achromatisme,
sensibilité
de la cornée, etc.) et des sens spéciaux qui po
ndfessier, ce tremble- ment disparut au bout de quelques jours.- La
sensibilité
reparut un peu plus tard, mais ce n'est qu'au b
sé par des désordres fonctionnels variables du côté des sens, de la
sensibilité
, de la motilité sans lésion d'aucune espèce, si
une perte de connaissance, et une paralysie de la motilité et de la
sensibilité
de tout le côté gauche, accompagnée de vomissem
nution quantitative de la réaction électrique. Pas de trouble de la
sensibilité
, nuls troubles aussi du côté de la vessie ou du
ne hémihypcresthésie cutanée coin- cidant avec une diminution de la
sensibilité
spéciale de l'oeil et de l'oreille. M. Walton t
e l'altération fonctionnelle des sens spéciaux et de troubles de la
sensibilité
des téguments qui les re- couvrent. C'est à tor
esthésie ne veut pas dire perfec- tionnement, mais perversion de la
sensibilité
; le cas de M. Walton vient donc à l'appui de la
apport avec une dégénération descendante (Féré). Les troubles de la
sensibilité
sont inconstants et variables. Résumons d'ailleur
moment du pas- sage des liquides). Réflexes conservés ainsi que la
sensibilité
. Pas de troubles de la vue, de l'ouïe, ni de l'
tion de l'épaule, mouvements d'extension et de flexion des doigts).
Sensibilité
conservée dans tous ses modes ainsi que réflexe
s. Paralysie complète de la jambe gauche. - Pas de troubles de la
sensibilité
. Exagération du réflexe patellaire. Pas de con-
s, dès qu'on les soulève; réflexes cutanés et tendineux conservés ;
sensibilité
diminuée. Du côté droit, contracture du bras en
n vain sur le muscle lui-même. Or, dans la première observation, la
sensibilité
cutanée avait totalement disparu; la seconde, e
ralytiques prédominent, alors qu'il n'existe plus de troubles de la
sensibilité
. Y a-t-il une ataxie locomotrice syphilitique ?
vulsions des membres supérieurs. On constate presque au début de la
sensibilité
à la pression au niveau de la septième, vertèbr
Nulle symptomatologie en ce qui concerne la moelle, le cerveau, la
sensibilité
spéciale ou générale (réactions électriques nor
lisme qu'il au- rait dû dire. M. Lunier comprend très bien qu'une
sensibilité
extrême de la vue permette aux uns de voir ce q
tives, se traduisant: 1° par une abolition des différents modes de la
sensibilité
cutanée ; 2° par une in-sensibilité des parties p
e. 11 se produisit une hémiparaplégie gauche, avec conservation de la
sensibilité
de ce côté. Vers le dou-zième jour, on remarqua u
orables, avaient suffi, je le répète, au rétablissement complet de la
sensibilité
et du mou-vement dans les membres inférieurs. C
pas tout encore. La moelle paraît jusqu'à un cer-tain degré douée de
sensibilité
dans les cordons postérieurs, si l'on en juge tou
la contractilité électrique peut être conservée en même temps que la
sensibilité
électrique est accrue, particularité qui semble p
moelle épinière. — Symp-tômes. — Des troubles de la motilité et de la
sensibilité
liés à la compression spinale. — Hémiplégie et hé
— Troubles de la mixtion ; — théorie de Budge. — Modifications de la
sensibilité
: retard dans la transmission des sensations, dys
e-ment, d'après la théorie, que, dès l'origine, les conducteurs de la
sensibilité
, c'est-à-dire la substance grise, ont subi une mo
vous le disais tout à l'heure, dans la paralysie par compression, la
sensibilité
ne se modifie en général que très tard, d'une man
empérature. Le tronc et les membres de ce côté auraient conservé leur
sensibilité
ou se montre-raient hyperesthésiés. La zone d'ane
situées au-dessous de la zone transverse d'anesthésie con-servent la
sensibilité
normale. Elles se montrent très souvent même nota
fort longtemps leur volume ainsi que leur propriétés électriques. La
sensibilité
des membres paralysés peut n'être pas notablement
s muscles alrophiés ne ré-pondent plus aux excitations faradiques. La
sensibilité
n'est, dans la règle, en rien modifiée. Une myé
ment dans ces membres ; bientôt elle se montra com-plète, absolue. La
sensibilité
était de son côté naturellement amoindrie dans le
droite n'occupant guère que la jambe et le pied ; conservation de la
sensibilité
de ce côté, dans les parties paralysées ; anesthé
ù la lésion hémilatérale siège plus haut dans la moelle — perte de la
sensibilité
dans diverses parties des deux côtés du tronc et
smission des excitations motrices et auraient, peu de rapport avec la
sensibilité
. Messieurs, ces résultats, fondés sur l'expérim
e, sont lésées profondément. Cette absence d'une modification de la
sensibilité
est un trait qui différencie les maladies du grou
sur toutes les régions de la substance grise, d'où il résulte que la
sensibilité
et le mou-vement sont, de toute nécessité, altéré
, accessoire et certes l'absence d'altérations un peu ac-cusées de la
sensibilité
, contrastant avec une paralysie motrice aussi abs
muscles frappés de paralysie. 3° Absence de troubles marqués de la
sensibilité
, — de pa-ralysie du rectum ou de la vessie, — abs
mble avoir été, je le répète, complète, absolue ; et, malgré cela, la
sensibilité
de la peau n'était nullement affectée. Jamais non
part quelques fourmillements, il n'a jamais existé de troubles de la
sensibilité
; la vessie et le rectum ont toujours fonctionne
es mains pour porter ses aliments à sa bouche. Les divers modes de la
sensibilité
cutanée ne sont en rien mo-difiés sur les différe
dans des limites très restreintes. On note avec soin qu'ici encore la
sensibilité
cutanée n'est en rien modifiée; on note aussi, pa
relevée dans les observa-tions cliniques, de troubles durables de la
sensibilité
cutanée, de paralysie du rectum ou de la vessie,
ons delà moelle. Ce sont des altérations plus ou moins marquées de la
sensibilité
, et particulièrement une anesthésie cutanée plus
ouleurs provoquées par la pression qui traduisent une exaltation delà
sensibilité
des masses musculaires. f) Enfin, je dois consi
depuis cinq ou six ans. — Pas de contractures, pas de troubles de la
sensibilité
: contrac-tions librillaires très accusées. Dans
ce. — Contracture permanente spasmodique. — Absence de troubles de la
sensibilité
. — Déformations paralytiques; attitude de la main
dans cette dernière maladie, l'absence de troubles quelconques de la
sensibilité
est la règle, tandis que, dans l'autre, il est as
s fourmillements passagers elle ne se complique d'aucun trouble de la
sensibilité
. Les fonc-tions de la vessie et du rectum sont re
idation dans le tabès dorsal spasmodique. — Absence de troubles de la
sensibilité
. — Début. — Évolution. — Mode d'envahissement des
ce des membres, sans s'accom-pagner jamais de troubles notables de la
sensibilité
. 1 Tabès dorsalis (Sauvages. Classis. X, I, 1.)
-tion motrice d'où l'affection tire son nom, des troubles divers delà
sensibilité
: douleurs fulgurantes et terebrantes revenant pa
soit l'intensité de ces symptômes appartenant à la sphère motrice, la
sensibilité
reste intacte : pas d'aneslhésie, pas d'hyperesth
intacte : pas d'aneslhésie, pas d'hyperesthésie ; aucun trouble de la
sensibilité
cutanée considérée dans ses divers modes, non plu
sibilité cutanée considérée dans ses divers modes, non plus que de la
sensibilité
profonde; pas de douleurs lombaires -pas de doule
es d'incoordination motrice viennent se surajouter aux troubles de la
sensibilité
et aux autres symptômes dont nous donnions à l'in
sant les phalanges des doigts de la main. (J.-M. C.) troubles de la
sensibilité
, déjà si accentués lors des premières phases, per
m-blable ne se voit chez les sujets atteints de tabès spasmodique. La
sensibilité
, entre autres, reste indemne chez eux jusqu'au de
n for-tuite, toute affection spinale dans laquelle des troubles de la
sensibilité
ou de l'intelligence, des désordres fonctionnels
e dans l'hospice, l'existence d'une obnubilation très prononcée de la
sensibilité
dans ses divers modes, sur toute l'étendue des me
a parésie suivie de rigidité des membres, l'absence de troubles de la
sensibilité
, de désordres de la vessie et du rectum : mais el
une trépidation très accentuée. laire et les troubles variés de la
sensibilité
paraissent être des phénomènes constants1. III.
— Hémichorée post-hémiplégique. — Faits cliniques. — Trou-bles de la
sensibilité
générale et spéciale. — Troubles moteurs : leur r
émianesthésie générale du côté droit du corps. En d'autres termes, la
sensibilité
est, de ce côté, profondément modifiée sur la fac
ndément modifiée sur la face, le tronc et les mem-bres. Voilà pour la
sensibilité
générale. Ce n'est pas tout : Y ouïe, le goût, et
ière. Elle occu-pait le côté droit du corps : à l'heure qu'il est, la
sensibilité
spéciale paraît s'être partout rétablie, et quant
la sensibilité spéciale paraît s'être partout rétablie, et quant à la
sensibilité
générale, elle est redevenue à peu près normale à
fre encore sur toute son étendue un affaiblissement très marqué de la
sensibilité
tactile. En terminant, je ferai ressortir une f
motrice, — et à part la céphalalgie, — de troubles quelconques de la
sensibilité
, soit à la face, soit dans les membres, je consta
souvent si prononcées dans l'ex- tait d'ailleurs aucun trouble delà
sensibilité
dans la partie paralysée : ni anes-thésie, ni ana
exposé par quelques détails relatifs surtout à divers troubles de la
sensibilité
et du mouvement et à l'état gé-néral. Appareil
nférieurs. Il paraît manifeste, toutefois, qu'au niveau des pieds, la
sensibilité
est notablement émoussée. —L'exploration de la se
pieds, la sensibilité est notablement émoussée. —L'exploration de la
sensibilité
au froid fournil les résultats suivants: Si, aprè
l'incoordination des mouvements s'est accusée. Les divers modes de la
sensibilité
sont là conservés. Cependant la malade ne disting
côté gauche ne présentent aucune anomalie, quant au mouvement et à la
sensibilité
, dans l'intervalle des accès qui viennent d'être
après, une paralysie incomplète du mouvement, avec obnubilation de la
sensibilité
du membre supérieur gauche, s'était manifestée. L
n affaiblissement progressif ne s'accompagnant d'au-cun trouble de la
sensibilité
marqua pour les membres supérieurs le début des a
n'a pas été compté en 1875 ; en 1873, il était calme et régulier. La
sensibilité
cutanée est normale. La pression sur les masses m
e le droit. Il n'existe aucun signe d'une altération quelconque de la
sensibilité
dans toute l'étendue des membres su-périeurs. L
s'accompagnent pas de trémulation. Il n'existe aucun trouble de la
sensibilité
aux membres infé- rieurs, où la malade n'éprouv
ù la malade n'éprouve ni douleurs, ni crampes, ni four-millements. La
sensibilité
électro-musculaire y paraît également normale, ta
en des muscles, elle revêt la forme de mouvements fibril-laires. La
sensibilité
semble conservée dans tous ses modes. Le pouls es
de même diamètre. Nulle part il n'existe chez B... de troubles de la
sensibilité
. — Le pouls est fai-ble, mais non accéléré ; la t
égie sans contracture, mais avec hémi-chorée et affaiblissement de la
sensibilité
du côté gauche du corps. Lorsque la main gauche
moelle épinière. ?— symptomes. — des troubles de la mot1l1té et de la
sensibilité
liés a la compression spi-nale. — hémiplégie et h
es. —Troubles de la miction; — théorie de Budge. — Modification de la
sensibilité
: re-tard dans la transmission des sensations, dys
ce. — Contracture permanente spasmodique. — Absence de troubles de la
sensibilité
. — Déformations paralytiques; attitude de la main
idation dans le tabes dorsal spasmodique. — Absence de troubles de la
sensibilité
. — Début. — Évolution. — Mode d'envahissement des
— Hémichorée post-hémiplégique. — Faits cliniques. — Trou-bles de la
sensibilité
générale et spéciale. — Troubles moteurs : leur r
05. — Pseudo-né-vralgie, 109.— Troubles de la mo-tililé, 125. — De la
sensibilité
, 129. — Compression brusque de la — au cou, 158
nt à l'hys- térie tout un ensemble de symptômes : les lésions de la
sensibilité
, la sitiophobie si accusée, et en outre l'histo
ment de la main est moins accentué. Il n'existe aucun trouble de la
sensibilité
. Les réflexes rotuliens sont très faibles, pres
roit interne. Enfin il parut y avoir une diminu- tion notable de la
sensibilité
de la conjonctive de l'oeil gauche, laquelle su
gateurs hypocondriaques, les idées de suicide et les troubles de la
sensibilité
, mais il faut dire que, si des idées de suicide
t à ce propos à la plus vive surveillance. Quant aux troubles de la
sensibilité
si je n'en ai constaté aucun, il faut remarquer
lle se disait ossifiée et morte, il a pu exister des troubles de la
sensibilité
. Enfin des idées d'immortalité nettement-formul
qu'occupèrent aussi les hallucinations de l'odorat, de l'oue, de la
sensibilité
géné- rale et les illusions de la vue dès le dé
en ce qu'il n'existait pas à proprement parler de dissociation delà
sensibilité
; les troubles partant à la fois sur toutes les
bilité ; les troubles partant à la fois sur toutes les formes de la
sensibilité
, avec prédominance toutefois sur la sensibilité
les formes de la sensibilité, avec prédominance toutefois sur la
sensibilité
thermique ; 2° par l'existence d'une hémiatrophie
impotence fonctionnelle presque complète, mais laissant intacts la
sensibilité
et le squelette. Les cas semblables, tant par l
néralisées d'emblée. Les convulsions sont précédées d'un aura de la
sensibilité
musculaire de la jambe gauche et suivies de délir
re ; aucune autre lésion. L'auteur en conclut : «1° Le centre de la
sensibilité
musculaire du membre inférieur semble être placé-
z lesquels on constate, dans un membre supérieur, l'abolition de la
sensibilité
des reliefs. La main ne reconnait plus les obje
froid. Il en résulte, pour l'au- teur, qu'il existe, isolable, une
sensibilité
spéciale qu'on peut appeler sens stéréognostiqu
aires, symptômes listé- ruides ; clou hystérique, émoussement de la
sensibilité
à la douleur, du sens thermique, excitabilité v
uadrangulaire comprise entre les deux omoplates. Dissociation de la
sensibilité
, avec, pourtant, affaiblis- sement du tact. Par
sensitives les plus importantes, sachant combien les troubles de la
sensibilité
sont graves dans la paralysie générale. L'atr
des cordons postérieur et latéral, que l'un est le conducteur de la
sensibilité
, l'autre, celui de la motilité, l'une et l'autr
t pas nous rendre compte de ses impressions et des troubles de sa
sensibilité
. C'est à peine si sa force musculaire peut être
profit. Puisque la lésion des con- ducteurs de la motilité et de la
sensibilité
est aussi profonde et aussi constante, elle doi
souvent, se déshabille. On est obligé de la nourrir à la sonde; la
sensibilité
est normale. Au mois de juillet l'agitation est
la décharge peut servir à l'exciter. Le second nous montre que la
sensibilité
est d'autant plus irritée par les courants fara
du pédoncule cérébral. Enfin, il faut noter un trouble marqué de la
sensibilité
afférente au nerf sus-orbitaire. Nous avons aff
provoque la sen- sation de velu. Il existe un affaiblissement de la
sensibilité
dou- loureuse et des réflexes cutanés, le sens
parole, aboli- tion des réflexes tendineux, avec conservation de la
sensibilité
, etc.), sauf l'hérédité. En 'outre, le frère un
iennent, si ce n'est aux bras qui restent paralysés et dépourvus de
sensibilité
; il peut mou- voir librement les jambes au lit,
aux, plantaires) en partie absents. Pas de troubles objectifs de la
sensibilité
; léger engourdissement de la sensibilité des do
e troubles objectifs de la sensibilité; léger engourdissement de la
sensibilité
des doigts. Réaction lente des pupilles; l'odor
ration antérieure, s'il n'y avait en même temps une paralysie de la
sensibilité
qui n'est pas en rapport avec le trajet des ner
nnels. De plus, quelques jours après l'admission, le trouble. de la
sensibilité
disparaissait, au moyen du traitement faradique,
s du tendon d'Achille sont conservés; phé- nomène du pied à droite.
Sensibilité
diminuée au tronc et sur les deux jambes, mais
omaine du plexus sacré reste presque intact. Des divers modes de la
sensibilité
, celle à la douleur parait la plus altérée. Le
trouve au-dessus de la zone d'hyperes- thésie une diminution de la
sensibilité
jusqu'à la hauteur de la quatrième côte. Les mo
sie du tronc ayant monté jusqu'au cou, il n'y a que la face dont la
sensibilité
reste intacte. Rétention d'urine permanente. Es
vième racine dorsale jus- qu'au niveau des racines du plexus sacré (
sensibilité
conser- vée dans la région du nerf fémoro-cutan
urg, 1888. SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 179 de la
sensibilité
, des réflexes, de la contractilité électrique,
r leur délire; ils y concentrent toutes leurs pensées; la moindre
sensibilité
de cicatrice devient pour eux l'occasion de délir
pas permettre à nos lecteurs d'apprécier ce petit chef-d'oeuvre de
sensibilité
délicieuse et vraie. Voici l'allocution de M. l
version, d'ailleurs habituelle chez les déments organi- ques, de la
sensibilité
affective. Basophobie chez un hémiplégique ; hé
rises cessèrent au bout d'un mois; puis la malade recouvra toute sa
sensibilité
interne, retour qui s'accompagna, comme l'auteu
beaucoup moins accentuée, surtout à gauche ; pas de troubles de la
sensibilité
ni des sphincters ; le facies est hébété et stupi
nt révélées par l'atrophie ou la perte plus ou moins complète de la
sensibilité
. Si la dégénération de la lèpre - continue le s
r droit. SYRING011YÉLIE. z77 Dissociation syringomyélique de la
sensibilité
. Analgésie. Excep- tion faite de la tête et du
sensibilité. Analgésie. Excep- tion faite de la tête et du cou, la
sensibilité
à la douleur est altérée sur toute la surface c
étroite située dans la partie interne de la même articulation : la
sensibilité
est normale dans ces derniers points. Dans le t
entie dans les mômes parties que celle de la chaleur. Toucher. La
sensibilité
au toucher est normale et le patient éprouve, l
cervicale hypertrophique avec dissociation syringomyé- lique de la
sensibilité
. Dans les cas cités par cet auteur, la période
Fig, 2f. 282 CLINIQUE NERVEUSE. bien que la dissociation de la
sensibilité
ne constitue pas un symptôme pathognomonique de
ans la jambe gauche. Dans la tête, le tronc et la cuisse droite, la
sensibilité
à la SYRINGOMYÉLIE. 283 chaleur est normale
complète dans les deux pieds, sauf dans la moitié des plantes où la
sensibilité
à la douleur est normale, ainsi que dans les de
ite depuis le tiers inférieur jusqu'à l'articulation du genou. La
sensibilité
tactile est complète sur toute la surface cutanée
ctéristique en même temps que l'atrophie et les perturbations de la
sensibilité
, on peut presque assurer qu'elles caractérisent
manifestés, en même temps qu'une angine légère, des troubles de la
sensibilité
et une grande faiblesse des membres inférieurs.
le nom de main de Duehenne-Aran. Malgré l'absence de troubles de la
sensibilité
, l'auteur croit pouvoir ratta- cher cette amyot
a jambe gauche sont seulement marqués d'ataxie. L'exploration de la
sensibilité
montre une analgésie très mar- quée sur tout le
la périphérie. Les premiers troubles obser- vés se rapportent à là
sensibilité
, car les voies de conduction sen- sitive subiss
variété de dissociation sensitive qu'il a présentée. Tandis que les
sensibilités
tactile et thermique dissociées dans la syringo-
ées dans la syringo- myélie normale étaient conservées intactes, la
sensibilité
doulou- reuse était abolie; l'analgésie était p
e était presque absolue. On peut en conclure que ces trois modes de
sensibilité
possèdent dans le bulbe des voies de conductibi
aque, etc), et sous le rapport des troubles de la motilité et de la
sensibilité
. Aussi ne devons-nous pas être surpris de l'emb
inégalité pupillaire, affaiblissement mus- culaire, troubles de la
sensibilité
, etc. (obs, 2, 3, 4, 11 et 12). b) Toutes les f
lité de la région cervicale est normale. Dou- leurs en ceinture. La
sensibilité
cutanée est normale. Les réflexes rotuliens son
le- ment des mains, avec sensation d'engourdissement le matin. La
sensibilité
cutanée est normale. Les réflexes rotuliens sont
ymptômes suivants : douleurs fulgurantes aux jambes; troubles de la
sensibilité
générale aux jambes, au tronc et aux bras ; ata
plus le trouble hépatique intervient-il, par l'intermédiaire de la
sensibilité
, pour colorer le délire d'une teinte spéciale.
s finit par manifester en permanence des illusions du goût et de la
sensibilité
générale, se plaignait qu'on lui coupât les bra
ade est agité, avec désordre des idées et des actes, troubles de la
sensibilité
générale, idées vagues de persécution par la ph
e délire susénoncé accompa- gné d'hallucinations de l'ouïe et de la
sensibilité
générale. C'est une grande et forte femme, affe
ns écoulés, on le trouve cité dans tous les articles roulant sur la
sensibilité
des para- lytiques généraux et publiés non seul
t durable. M. Grasset et M. Cullerre croient que les troubles de la
sensibilité
sont à peu près constants mais n'ont qu'une val
érale » du Dictionnaire encyclopédique des sciences médi- cales, la
sensibilité
peut être lésée dans ses divers modes et de div
, telles que, par exemple, l'alcoolisme signalé par Lasègue. » La
sensibilité
est-elle altérée et diminue-t-elle au sur et à
à rapporter l'opinion de Calmeil, selon lequel les désordres de la
sensibilité
apparaîtraient les derniers et ne se manifester
adie, laquelle atteint si gravement les fonctions muscu- laires, la
sensibilité
puisse demeurer intacte presque jus- qu'aux der
t vers la fin de la deuxième période ou au début de la troisième la
sensibilité
s'émousse peu à peu pour s'éteindre presque com
es anesthésies et des hyperesthésies de la surface cutanée, mais la
sensibilité
tactile pour lui s'émousse avec la maladie conf
de médecine de Charcot et Bouchard, trouvent que les troubles de la
sensibilité
générale sont tout à fait excep- tionnels dans
té signalées à la période initiale. A la période d'état, dit-il, la
sensibilité
aussi peut être troublée de façons diverses ; t
. Magnan et M. Sérieux qui s'expriment ainsi : « Les troubles de la
sensibilité
ne sont pas rares, mais leur recherche est mala
ule et de Krafft Ebing en Allemagne, Mickle en Angleterre. - « La
sensibilité
, lisons-nous dans le Traité des maladies mental
ic différentiel avec l'alcoolisme chronique mais les troubles de la
sensibilité
augmentent à mesure que la maladie se développe
, le malade est transformé en ange). Dans les périodes avancées, la
sensibilité
est émous- sée à un haut degré. » De son côté
nt un rôle insignifiant. Dans les stades avan- cés de la maladie la
sensibilité
est diminuée ; cependant un examen exact des fo
ations mentales des sujets. A la seconde période il a souvent vu la
sensibilité
cutanée diminuée ou abolie, mais l'hyperes- thé
ltés perceptives des patients, il peut-être nettement établi que la
sensibilité
cuta- née est obscurcie dans beaucoup de cas, p
ie localisée et entre autres, celui d'un para- lytique qui avait la
sensibilité
de la plante des pieds hype- resthésiée et du r
t mon interne, et qui- dans son intéressante thèse sur l'Etat de la
sensibilité
chez quelques mélancoliques, conseille de donne
e expérimentateur qui, à chaque constatation, apprécie l'état de la
sensibilité
tactile. Et maintenant, lais- sons parler les f
constate des trou- 406 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. bles de la
sensibilité
également bilatéraux, imputables à la lésion mé
e entre les altérations du réllexe patellaire et les troubles de la
sensibilité
à la douleur et du tact. (A ? itzalesii2étlico-
is les ascendantes jusque dans la moelle. Les troubles variés de la
sensibilité
constatés pendant la vie sur les membres affect
eprésente un territoire central de projection pour l'ensemble de la
sensibilité
et de la motilité de la partie correspondante d
partie correspondante du corps. La simultanéité des troubles de la
sensibilité
et de la motilité observée chez ces malades perme
éphale et du cer- veau terminal, et cela quel que soit l'état de la
sensibilité
. G. D. LVI. De l'influence des réactifs SUR l'e
bservation en question, en outre, il y avait une dissociation de la
sensibilité
dans les parties anesthésiées comme si l'on ava
térieures est du reste compatible avec la paralysie dissociée de la
sensibilité
, et l'anes- Lliésie droite a, quoique lentement
ves d'excita- tion et de dépression. Hallucinations, troubles de la
sensibilité
générale, prédominance d'idées de persécution.
vation XII. -Dégénérescence mentale. Hallucinations. Troubles de la
sensibilité
générale. Idées ambitieuses et de persécution. On
multanément, s'accompa- gnant d'hallucinations et de troubles de la
sensibilité
générale. L'onomatomanie s'est présentée surtou
des cordons latéraux, les altérations plus ou moins grandes de la
sensibilité
à une lésion des cornes posté- rieures, les tro
ralytiques des sphincters, une eschare sacrée et des troubles de la
sensibilité
. Vulpian admet la poliomyélite subaiguë de Duch
rteil en dedans, ils sont en attitude vicieuse moyenne. 'Etat de la
sensibilité
. - Sensibilité générale. · 1 f - 1 1 , ' Le mal
, ils sont en attitude vicieuse moyenne. 'Etat de la sensibilité. -
Sensibilité
générale. · 1 f - 1 1 , ' Le malade n'accuse au
res, ni crampes. < "'1 . 1 L'exploration des différents modes de
sensibilité
donne les résul- tats suivants. Si l'on presse,
uche quel que soit le point de la peau des membres inférieurs. La
sensibilité
à la piqûre est diminuée, mais non abolie. Si ave
rme de quelques accès en éclair dans les muscles de la cuisse. La
sensibilité
profonde est intéressée. La torsion articulaire d
pas douloureuse ; il voit l'acte mais ne perçoit aucune douleur. La
sensibilité
à la température est conservée; il apprécie bie
thénar et hypothénar sont presque totalement effacées. L'état de la
sensibilité
des membres supérieurs ne pré- sente actuelleme
ALE DE DUCHENNE. 2o 5 'pas plus que pour les membres inférieurs. La
sensibilité
générale est seulement un peu émoussée. Face,
ralysie des sphincters, une eschare au sacrum,- des troubles de. la
sensibilité
suffisamment prononcés au point que la. torsion
qui amenait le retour des souvenirs, Rose recouvrait subitement la
sensibilité
tactile' et muscu- Il Il est bon de dire qu'à c
perdu. La restauration accidentelle, j'en conviens, du même état de
sensibilité
s'était accompagné de la restauration de tous l
chacun de ces états de souvenir il avait un état particulier de la
sensibilité
, et il suffisait, quand c'était possible, de réta
'était possible, de rétablir artificiellement tel ou tel état de la
sensibilité
, pour faire naitre immédiatement l'état de mémo
et chez beaucoup d'autres une rela- tion étroite entre l'état de la
sensibilité
et l'état de la mémoire, telle que nous l'avion
as toujours, quand une hystérique a perdu complètement une'certaine
sensibilité
, elle a perdu en même temps la faculté de perce
ême temps la faculté de percevoir les images qui dépendent de cette
sensibilité
. Ainsi une malade dont j'ai rapporté autre- foi
ent. A ce moment vous pouvez cons- tater en pinçant le bras, que la
sensibilité
tactile est revenue tout entière à ce membre. L
des anesthésies. Ce serait alors la variation brusque de l'état de
sensibilité
qui déterminerait les amnésies localisées'. C
nnent identiques qu'au moment seulement où les répar- titions de la
sensibilité
sont devenues équivalentes. Je n'insiste pas su
ns son état normal, le plus habituel. Je vous rappelle l'état de sa
sensibilité
à ce moment : anesthésie tactile et muscu- lair
es stigmates hystériques, et ne présente plus aucune anesthésie. La
sensibilité
tactile est délicate, plus de signe de Romberg,
somnambulisme complet que nous voyons le mieux l'association de la
sensibilité
et de la mémoire dont je vous ai parlé. Certain
ies qui surviennent à ce moment, et mieux dans les variations de la
sensibilité
consciente. Mais nous savons que cette explicat
t. II, p. 38 et 79. ÉPILEPSIE ANCIENNE, D'ORIGINE TRAUMATIQUE. 57
sensibilité
. La sensibilité générale semble normale, la sensi
79. ÉPILEPSIE ANCIENNE, D'ORIGINE TRAUMATIQUE. 57 sensibilité. La
sensibilité
générale semble normale, la sensibilité spécial
MATIQUE. 57 sensibilité. La sensibilité générale semble normale, la
sensibilité
spéciale également. - Facies sans expression. L
'examen ne révè- lent aucun stigmate actuel ou passé. Du côté de la
sensibilité
géné- rale et spéciale, on ne trouve rien de pa
rt des cas; 10° l'acuité centrale est absolument indépendante de la
sensibilité
visuelle périphérique; elle était normale chez to
ouleur ouïe goût odorat) suit généralement' le rétrécissement de la
sensibilité
visuelle périphérique; cela est plus constant c
alysé, l'idée a arrêté les fonctions du centre cortical du bras; la
sensibilité
cutanée, les mus- cles et les articulations ont
ion la couleur de l'humeur, la façon de sentir et l'affectivité, la
sensibilité
morale et intellectuelle, les .126 sociétés sav
été prise d'une attaque hystérique. Elle a de l'ovarie droite et la
sensibilité
est diminuée du côté droit du corps. Chez cet
encore on observe de l'aphasie, ou plus rarement des troubles de la
sensibilité
ou de la motilité. - La marche de la migraine o
is en relief) : l'aphasie, ou mieux dys- phasie, les troubles de la
sensibilité
, les troubles moteurs, les syndromes épileptifo
associées d'amblyopie transitoire, les troubles de motilité et de
sensibilité
de la face et des membres siègent du côté droit.
s tout à l'heure, le cas le plus fréquent. b). Les troubles de la
sensibilité
, qui peuvent accompagner les accès d'amblyopie
ce paralytique. Ce sont, en général, des troubles loca- lisés de la
sensibilité
générale (sensations d'engourdissement, de four
ents, hallucinations acoustiques). Quel- quefois ces troubles de la
sensibilité
, au lieu de rester limités à un seul côté, peuv
général moins fréquents et moins persistants que les troubles de la
sensibilité
. 11 s'agit d'ordinaire de paré- sies ou de para
, les réflexes sont légèrement augmen- tés, surtout à gauche, et la
sensibilité
parait amoindrie du côté droit. Les pupilles so
vait existé aucune trace de paralysie soit du mouvement, soit de la
sensibilité
. L'aphasie, dans ce cas, était le symptôme uniq
'avant son accident. Pas de troubles visuels. Pas de troubles de la
sensibilité
. Pas de troubles moteurs. Réflexes normaux. L'a
, divers centres gustatifs. Il y a, de même, un centre affecté à la
sensibilité
générale. , Il a été permis de localiser des ce
ctement en relation avec les fonctions organiques, les formes de la
sensibilité
, qui entrent si largement dans la cons- titutio
x bras et des épaules; convulsions fibrillaires. Rien du côté de la
sensibilité
; pas de spasme; exagération des réflexes tendin
zewski a trouvé : 1° Les endroits de la surface cutanée doués d'une
sensibilité
tactile exquise, sont aussi doués à un haut deg
teint de paralysie faciale et un neurasthénique en possession d'une
sensibilité
différentielle normale pour le tact et la tempé
convulsions, spasmes, paralysies de divers ordres); troubles de la
sensibilité
pseudesthésies, hypéresthésies, anesthésies, tr
glosse ; aphasie motrice complète; cécité verbale, diminution de la
sensibilité
à ' A comparer avec le cI'(1niomètl'e optique d
parole, par moments incontinence d'urine passagère. Intégrité de la
sensibilité
, de l'intelligence, de la vue; pas de nystagmus
igne de Romberg, exagération du phénomène du genou, intégrité de la
sensibilité
et des fonctions vésicales, douleurs des membre
ière. Les premiers symptômes consis- tèrent dans des troubles de la
sensibilité
générale et viscérale, des hallucinations kines
dans la période d'aura des attaques; variations spon- tanées de la
sensibilité
et surtout du champ visuel, correspondant aux p
t complètement disparu. Il existe chez le malade des troubles de la
sensibilité
: zones hyperesthésiques testiculaires, iliaque
s, sous-mammaire à gauche rachidienne, céphalique. Diminution de la
sensibilité
cutanée, musculaire, articulaire à droite, rétr
hémiplégie, les convul- sions, les contractures, les troubles de la
sensibilité
générale et spéciale, ceux du langage et de l'i
tés en extension. L'attaque ne s'accom- pagna pas de la perte de la
sensibilité
; elle dura une dizaine de minutes; après l'atta
. L'expression de son visage est triste, son regard un peu vague.
Sensibilité
géné1'ale, - Un examen très soigné, qui a été rép
e. Nous nous croyons donc autorisés à considérer ces troubles de la
sensibilité
comme de nature identique : leur durée très lon
ssion a toujours manifestée dans la reproduction des troubles de la
sensibilité
, je pense que c'est dans les circonstances, ci-
gués; c'est dans la règle, ainsi les troubles de la motilité, de la
sensibilité
et de l'intelligence se développèrent presque c
; il a tous les matins des accès de toux avec expectoration rare.
Sensibilité
. Dans le côté gauche du corps, on observe une p
é. Dans le côté gauche du corps, on observe une perte absolue de la
sensibilité
tactile, douloureuse et thermique ; seulement l
iculièrement du goût et de l'odorat, en outre des altérations de la
sensibilité
générale. Il en conclut, avec M. Déjérine, qu'i
ais nous ferons observer que pour cons- tater la modification de la
sensibilité
spécifique, M. Féré s'est servi d'un procédé qu
donne pas l'impression d'une santé très bonne. , SE\$IB1LITÉ ? La
sensibilité
a la douleur, tactile et thermique est abolie c
e, ses voisins de lit ont entendu qu'il criait : maman ! maman ! La
sensibilité
ne s'est pas modifiée notablement. Les conditio
tiques de la fulguration, à savoir le délire et les troubles de la
sensibilité
, de la motilité, consécutives au choc électrique;
était insensible et complètement paralysée. Après six semaines, la
sensibilité
et les mouvements réappa- rurent brusquement. S
l, le marteau lui parut lourd et la paralysie du mouvement et de la
sensibilité
dans la main se produisit rapi- dement comme la
, après cette époque, à l'approche des orages, la paralysie de la
sensibilité
et de la motilité réapparaissait dans le bras pen
tervalles, santé parfaite, pas de troubles de la motilité, ni de la
sensibilité
. L'hystérie, dans ces cas, saute aux yeux, comm
de la colonne vertébrale, gibbosité qui apparut dans son enfance.
Sensibilité
. La sensibilité à la douleur est complètement abo
rtébrale, gibbosité qui apparut dans son enfance. Sensibilité. La
sensibilité
à la douleur est complètement abolie sur toute
épingles sans y provoquer la moindre sensa- . lion douloureuse. La
sensibilité
thermique est atteinte à un très fort degré. Un
brûlure à la main droite sans s'en aperce- voir. Au contraire, la
sensibilité
tactile est très bien conservée. Le contact d'u
rables. ' L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 419
Sensibilité
spécifique. L'odorat est très altéré, le sulfure
erons l'hémianesthésie. Elle est complète pour toutes les sortes de
sensibilité
. Seule,' la sensibilité tactile est conservée;
Elle est complète pour toutes les sortes de sensibilité. Seule,' la
sensibilité
tactile est conservée; or, cette dissociation de
la sensibilité tactile est conservée; or, cette dissociation de la
sensibilité
on ne l'a observée, quant à présent, que dans la
semblable, en raison de l'association fréquente des troubles de la
sensibilité
générale et, spéciale, qui ne pourraient, dans
autres névralgies, ou bien encore avec les troubles passagers de la
sensibilité
, de la palpitation nerveuses, de l'insomnie, et
s du côté des membres, des troubles plus ou moins localisés de la
sensibilité
ou de la motilité, des altérations des fonctions
venirs, d'images et même de sensations auquel il était lié. Même la
sensibilité
tac- tile et musculaire du côté droit, qui semb
s, mange et dort, elle se renforcit, reprend ses souvenirs, puis sa
sensibilité
. Eh bien ! je ne pouvais plus rien lui commande
aveur du côté droit. - Réflexes rotuliens normaux. Troubles de la
sensibilité
. Hémianesthé51e gauche très accusée. portant su
Hémianesthé51e gauche très accusée. portant sur les trois modes de
sensibilité
(tact, douleur, tempéra- ture). Le malade est d
és pour être perçus et encore y a-t-il retard dans la perception.
Sensibilité
des fosses nasales très obtuses à gauche. Conjonc
r. Ce matin, il parle parfaitement sans la moindre difficulté. La
sensibilité
est en partie revenue dans la moitié gauche du
e l'oeil gauche complètement amaurotique et on tente de [ramener la
sensibilité
et les mouvements. C'est alors qu'apparaît un nou
observe plus particulièrement les anomalies et les désordres de la
sensibilité
morale; dans cette catégorie rentrent naturelleme
ntinence d'urine, le signe de Westphal. Ni ataxie, ni trouble de la
sensibilité
. La paralysie agitante se révéla par l'immobili
ner, dite la loi parallèle, aux modi- fications pathologiques de la
sensibilité
. Le professeur W. Tschisch, de Dorpat, étudie l
ue, psychiatrie. M. Lombroso a en- voyé au congrès une étude sur la
sensibilité
des femmes, normales, aliénées et criminelles,
s à gauche, qui provoquent de l'oedème, à la suite d'une fatigue.
Sensibilité
. Il existe dans la région frontale une céphalalgi
s de la hanche gauche vers le genou correspondant. L'examen de la
sensibilité
objective ne relève pas de troubles aux différe
es membres, le tronc et la face. Au niveau delà colonne dorsale, la
sensibilité
aux différents modes est sensiblement diminué.
des crises, les doigts deviennent insensibles subjecti- vement. La
sensibilité
à la piqûre et à la chaleur y est de même abolie.
existe des .troubles de coloration, on trouve une diminution de la
sensibilité
aux différents modes. Elle est conservée partou
marquée, le refroidissement est considérable. La malade a perdu la
sensibilité
des doigts dont elle ne peut plus se servir. El
'étude du rhumatisme articu- laire aigu sur les modifications de la
sensibilité
cutanée et de la sensibilité électrique '. Barb
laire aigu sur les modifications de la sensibilité cutanée et de la
sensibilité
électrique '. Barbillon montre que non seulement
ais encore sur toute la surface du membre atteint de rhumatisme, la
sensibilité
faradique est très diminuée ou complètement abo
Deuxième période à 44 ans. Hallucinations de l'ouïe, troubles de la
sensibilité
générale. Systématisation de 1 Voir Archives de
s malheurs. On voit alors que, ni hallucinations, ni troubles de la
sensibilité
générale n'ont diminué. Roger, Allard, un jeune
croit comme à une réalité. L'humeur varie, mais l'ensemble de la
sensibilité
affective reflète un état d'angoisse. Le Wahnsi
t hallucinations senso- rielles) entraînant des modifications de la
sensibilité
morale, et évoluant promptement. S'il est hallu
tématique vraie ou Verrüclalaeit, par sa marche, l'ac- tivité de la
sensibilité
morale, la mobilité et l'incoordination des idé
, et des psychopathies séniles par l'intensité des troubles de la
sensibilité
affective, la plus grande abondance des idées,
et qu'elle n'existe pas dans l'organe lui-même. ELudiant ensuite la
sensibilité
des tissus viscéraux, il en distingue trois sor
les unes sur les autres. Il donne un certain nombre de sché- mas de
sensibilité
, tant personnels qu'empruntés à d'autres auteurs,
nt au-dessous de la ligne passant par la lésion : perte complète de
sensibilité
au toucher, à la douleur, au froid et au chaud,
coude, absents. Au-dessus de la lésion existait une zone étroite de
sensibilité
diminuée, et au-dessous une zone d'hy- peresthé
sculaire se fit cependant bien, mais les os restèrent atrophiés; la
sensibilité
revint complètement. P. S. VIII. Théorie DE la
ravail très soigné porte sur les points suivants : 1° quelle est la
sensibilité
relative de la peau au chaud et au froid sur les
nombre de « points spécialement sensibles à la cha- leur » et à la
sensibilité
à la chaleur dans les différentes parties du co
corps et entre les points « spécialement sensibles au froid » et la
sensibilité
au froid ? 5° quelles sont les influences qui mod
mée mise à l'épreuve, l'épaisseur, la température de la peau; 4° la
sensibilité
relative des différentes parties du corps au fr
bout de deux mois, paraplégie complète pour la motilité et pour la
sensibilité
, réflexes très exagérés. Rétention d'urine et des
surface cutanée; elle s'élève, au contraire,'dans le rectum; 6° la
sensibilité
tactile et dou- loureuse diminue légèrement; 7"
Aux membres inférieurs, aucune anomalie appréciable, comme couleur,
sensibilité
, force musculaire. Les. artères battent norma-
on objective dans les membres inférieurs : coloration, température,
sensibilité
cutanée, sont normales; la force musculaire ell
ns électriques (faradiques et galvaniques) normales. Troubles de la
sensibilité
. Nous avons noté plus haut les sensa- tions de
rûlure qui se montrent spontanément ou à la suite de la marche. -
Sensibilité
de la peau conservée, sauf une bande verticale de
stant dans cette zone. Examen du système nerveux. Partout ailleurs,
sensibilité
cutanée et musculature intactes. Béilexes pupil
à des sentiments profonds. La Ve7,7,ücktheit ne témoigne pas d'une
sensibilité
morale si persis- tante ; les sentiments ne son
cardinaux : la confusion mentale [Verwirrtheit), des troubles de la
sensibilité
morale permanents ou intermittents, ou, plus ex
ient pris à leur tour. La tête et le bras gauche étaient libres. La
sensibilité
partout nor- male. Après un traitement, qui a
plicable à tous les cas de tremblements légers ou forts, puisque sa
sensibilité
peut être modifiée. Grâce à ce dispositif, l'au
ant aux opinions divergentes de M. Moeli sur des relations entre la
sensibilité
morale et l'activité intellectuelle, il ne saur
lectuelle, il ne saurait y avoir que des malen- tendus. En effet la
sensibilité
morale est cette faculté de notre esprit qui no
l'extinction appa- rente de toute activité intellectuelle et de la
sensibilité
morale : c'est la démence aiguë. Chacun de ce
pas plus possible d'établir, une relation entre la réaction de la
sensibilité
du cubital et les autres symptômes tels que la ré
cubital et les autres symptômes tels que la réaction pupillaire, la
sensibilité
à la douleur etc. L'étude comparative au même p
vélé ce qui suit : sur 63 de ces aliénés, on cons- tata 50 fois une
sensibilité
marquée à la douleur du cubital, c'est- à-dire
lytiques dans les jambes et le tronc, troubles lents du côté de la
sensibilité
; paralysie vésicorectale, persistance des douleur
u, et la tête restent épargnés. Suppression de tous les modes de la
sensibilité
jusque dans le territoire des cinquième et sixi
s dans le territoire de la quatrième racine dorsale; au-dessus la
sensibilité
est normale. Les jours suivants les progrès de la
ec une violence extrême (territoire de la deuxième racine dorsale).
Sensibilité
circonscrite très nette à la pression et la per
est calme, l'appétit régulier. Il y a absence de tout trouble de la
sensibilité
et delà motilité. En résumé : de l'observatio
uche, après une crise syncopale intense, devint rouge, présenta une
sensibilité
douloureuse très marquée. Quand nous vîmes la m
réflectivité est normale. Il existe quelques troubles passagers de
sensibilité
. On constate un matin de l'analgésie au niveau
ment assez marqué des yeux. Il existait en outre un gonflement avec
sensibilité
des testicules. Le cas de Seeligmuller survient
ans les orteils des phénomènes qui furent rapportés à la goutte. La
sensibilité
, la motilité, la nutrition, la réflectivité son
les phénomènes suivants : dimi- nution dans les divers modes de la
sensibilité
, rachialgie, rétré- cissement concentrique du c
moteurs se rapprochent ceux qui se présentent dans le domaine de la
sensibilité
générale ou viscérale. Il est à remarquer que t
ncu, par des hallucinations de l'ouïe, du goût, de l'odorat et delà
sensibilité
générale, qu'il avait été rendu totalement impu
écution, des idées de gran- deur et des troubles très accusés de la
sensibilité
générale. Afin de se protéger contre les tourme
es eux-mêmes s'en aperçoivent et s'en plaignent. Les troubles de la
sensibilité
morale et l'agitation motrice ne sont pas primi
es de persécutions, mais il ajoute que, cette anomalie de l'humeur (
sensibilité
morale ou affective) est secondaire, con- >
t une affection de l'intelligence, dans laquelle les troubles de la
sensibilité
mo- DE i LAt. PARANOÏA' ! -t ' 287 - ' raie (
perçut que la jambe droite était parétique aussi. Elle croit que la
sensibilité
était intacte. Au bout d'environ quinze jours e
Oejeiune. 11 s'agit d'un cas d'hémiplégie avec hémianesthésie de la
sensibilité
générale et perte du sens musculaire par lésion
zones sensitives indépendantes des zones motrices, la motilité, la
sensibilité
générale ainsi que le sens mus- culaire, ayant
et bientôt s'établit une hémiplégie du côté droit avec perte de la
sensibilité
du même côté, par intermittences. La malade véc
es tendineux, des réflexes cutanés, oedème des pieds et des jambes,
sensibilité
douteuse à la pression sur les troncs des nerfs
oscille, titube en marchant. Absence d'ataxie et de troubles de la
sensibilité
. Pas de syphilis antérieure. La percussion de l
urent bien qu'encore faibles notamment à droite, les troubles de la
sensibilité
cédèrent, l'amélioration fut manifeste. Ceci se p
e dans les extrémités supérieures, avec très faible diminution delà
sensibilité
douloureuse. .fq 1 1 -. 1 lit) · ? . ? 11 t li
La syringomyélie a été le facteur des troublés très accentués de la
sensibilité
, mais on ne saurait dire la part qui revient dans
nambulismes,jetc. ) { if Signalons seulement les stigmates de la
sensibilité
! qui- sont intéressants'. Justine a été longte
ivons a-un résultat facile à prévoir. Vous savez i qu'en réalité la
sensibilité
rétinienne, n'est pas altérée dans l'hystérie e
I-sillo -il . : ) 1'· ·Ilil */) ; i vil droit que toutes les autres
sensibilités
de ce cote sont égaler ' ? x11 ii' v "' '^" ' /
,n.'LLL ., ? t ? i , . : de L index de. 1 operateur. iEn, effet,. la
sensibilité
j tactile n.est ^pas s développée'au'mème point
ble assez probant. otc^ei(^.'j - i.U plii ? IV of9o ou Etat de Ja
sensibilité
. g L'état de,, la sensibilité chez les épil'pti
'j - i.U plii ? IV of9o ou Etat de Ja sensibilité. g L'état de,, la
sensibilité
chez les épil'ptique "s" dont nous parlons' est
sion0 intellectuelle ? On observe une diminution ou une absence, de
sensibilité
qui rappelle celle desr alcooliques en état d'i
témoigne'encore plus que les précé- dentes de la disparition de la
sensibilité
à la douleur. , z OUI- q <K',jM) ....p.mlmnO
sont très exagérés. Trépidation épi- leptoïde des deux côtés. La
sensibilité
cutanée est obtuse mais conservée sur toute la
lement continuel qui se géné- ralise. Pas d'atrophie musculaire. La
sensibilité
est diminuée, les réflexes plantaires n'existen
xer sur le métacarpien. Le réflexe olécranien est aussi exagéré; la
sensibilité
est obtuse mais persiste. Quant à l'expression
ppelant en rien ce que l'on voit dans l'athétose. Pas d'anesthésie,
sensibilité
très nette et localisation parfaite des excitat
, le nombre des accusa- teurs est notable. Les hallucinations de la
sensibilité
générale les porte à se dire tourmentés par des
sans lacunes intel- lectuelles. Urninges ou tribades possèdent une
sensibilité
très déli- cate, très active, très nuancée, trè
t des psychoses affectives aiguës, pourvu que la modification de la
sensibilité
morale ne dépasse pas un certain degré; 3° la m
la surémotivité pathologique (modalité pathologique spéciale de la
sensibilité
morale) et, par cela même, se séparent en quelq
de l'humeur produite elle-même par une sollicitation 'normale de la
sensibilité
, mais qui s'implantent d'une façon indélébile d
y font, procède d'un mécanisme morbide dans la modalité même de la
sensibilité
et de l'intelligence. La genèse est normale mai
ie : rétrécissement du champ visuel, émoussement unila- téral de la
sensibilité
cutanée, insensibilité pharyngée. Tous ces sign
oolique. Quand l'épileptique est gai, il éprouve des troubles de la
sensibilité
générale et des troubles du sys- tème moteur qu
rie et dans un de neurasthénie. L'anisométropie n'influe pas sur la
sensibilité
de la réaction. Ces résultats correspondent à c
anisme^ les névralgies, les troubles vésicaux et les troubles de la
sensibilité
cutanée chez les tabétiques. Le pinceau galvani
rinaires plus sûrement et plus vile que la suspension. 11 ramène la
sensibilité
dans les membres inférieurs, amende les douleur
re lorsqu'on veut agir sur la nutrition, sur le système nerveux, la
sensibilité
cutanée, les réflexes sécrétoires et vaso-moteu
tion générale et l'hygiène alimentaire, l'état des divers ordres de
sensibilité
, la conformation du ciâne, la recherche du rach
sont paralysés ainsi que la moitié correspondante de la face. La
sensibilité
est moins obtuse ; le pouls moins fré- quent, l
iaques. Elle u'ofl're aucun symptôme d'hystérie î la motilité et la
sensibilité
, en particulier, sont normales. - Granules de d
nt insensible au contact, au pincement, à la piqûre d'épingle. La
sensibilité
à la chaleur est conservée : si, par exemple, o
st passagère. Peu à peu, elle fait place à une obnubi- lation de la
sensibilité
, et vingt minutes environ après l'éloignement d
rouge, insensible, a recouvré sa tem- pérature, sa coloration et sa
sensibilité
normales (1), (l) Souvent la température dépass
secourir les autres ma- lades. Hémianesthésie du côté gauche. La
sensibilité
au contact, au froid, au chaud, est très obtuse
. à gauche ; sur le bras droit à S cent.; sur le gauche à 1 i. - La
sensibilité
à la dou- leur est émoussée ; une piqûre superf
l'on y touche. « Elle est complétement anesthésiée d'un côté ; la
sensibilité
est bien diminuée de l'autre. Elle se met dans
té du côté droit; L... serre peu et marche en traînant la jambe. La
sensibilité
à la douleur et à la température est entièremen
dans l'extension; les orteils, seuls, sont fortement fléchis. La
sensibilité
est absolument abolie ; le pincement, entre autre
La malade est impuis- sante à lui imprimer le moindre mouvement. La
sensibilité
de la langue, à la douleur, est abolie à droite
ngue, à la douleur, est abolie à droite, très-émoussée à gauche. La
sensibilité
pharyngienne est conservée car l'intro- duction
oïdienne sont contracturés. Le ventre est mo- dérément ballonné. La
sensibilité
est entièrement éteinte sur la moitié droite du
te du corps. Sur la moitié gauche, au contraire, la motilité' et la
sensibilité
à la douleur sont conservées. La malade accuse
fois, il semble qu'au niveau de cette région, la peau a conservé sa
sensibilité
. La contracture de la face et de la langue, l'e
'llémianestltésie est toujours complète du côté droit. A gauche, la
sensibilité
générale est simplement un peu obtuse. - Les se
expériences ne sommes parvenus à surprendre le plus léger indice de
sensibilité
et en particulier la moindre contraction muscu-
otalement fléchie sur la cuisse, quand le talon quitte le lit. t.
Sensibilité
. - Il y une hémianesthésie gauche cutanée absol
soumet qu'avec peine à cet examen. Nous n'avons pas pu examiner la
sensibilité
de la muqueuse anale, vulvaire, vagi- nale, etc
dire, il est vrai, que nous avons plutôt agi, par ce moyen, sur la
sensibilité
générale que sur la sensibilité spé- ciale.. ..
ns plutôt agi, par ce moyen, sur la sensibilité générale que sur la
sensibilité
spé- ciale.. ...' . Goût. Il est aboli sur to
e droit surtout, sous le siège d'une tuméfaction manifeste ( ? ).
Sensibilité
et contractilité faradiques. Tous les muscles réa
ougeur, la moindre pression a le même effet sur les téguments. La
sensibilité
est toujours absolument nulle à gauche ; mais a
quelques contractions fibrillaires qui disparaissent bientôt. La
sensibilité
, toujours complètement abolie du côté gauche, p
parait légèrement diminuée à droite. La ligne de démarcation de la
sensibilité
est un peu reculée à droite, ce qui n'a rien d'
plète. La contrac- tilité électrique est conservée ; par contre, la
sensibilité
élec- trique parait éteinte, excepté dans une r
de la faradisation, il se produit au voisinage de la région où la
sensibilité
électrique est la plus vive, une éruption semblab
achialgie augmentée par la pression sur les apophyses épineuses. La
sensibilité
électrique, nulle sur la moitié gauche du corps
n des paupières, la malade continue à tenir son verre. Du reste, la
sensibilité
tactile n'est pas abolie tout-à-fait à la main.
ssement, d'oppression et, enfin, de sé- cheresse de la bouche. - La
sensibilité
électro-musculaire a disparu. Lorsque les rhéop
droite du tronc ; mais, au cou, à la face et sur le bras droit, la
sensibilité
n'est pas tout-à-fait abolie. A droite, il y
gauche et d'une sensation de froid dans la main correspondante. La
sensibilité
est reve- nue, mais seulement en partie. Ainsi,
ent de la plante des pieds ne produit aucun mouvement ré- flexe, la
sensibilité
au contact est obtuse par tout le corps. La sen
flexe, la sensibilité au contact est obtuse par tout le corps. La
sensibilité
au froid semble avoir reparu ; elle serait même
Les membres du côté droit sont ani- més d'un léger tremblement. La
sensibilité
parait un peu plus obtuse à droite qu'à gauche.
sur les deux moitiés de la langue, principalement à gauche. - La
sensibilité
au contact, au pincement, au froid, au chatouil-
peut être regardée comme entièrement guérie. .. il 876. Juin. La
sensibilité
spéciale et générale est normale. - Le sommeil
rsque dans le cas actuel, à diverses reprises, la paralysie de la
sensibilité
et du mouvement envahirent le côté droit. L'hy-
esthésie, il ne faut pas oublier qu'elle intéresse en même temps la
sensibilité
générale et la sensibilité spéciale. Les modifi
blier qu'elle intéresse en même temps la sensibilité générale et la
sensibilité
spéciale. Les modifications de l'ouïe, de l'odo
n- servation d'une partie centrale du champ visuel. 5) Quant à la
sensibilité
, on trouve les troubles du sens musculaire du côt
e changement dans les réactions fa- radiques et galvaniques. , La
sensibilité
est troublée (Fig. 2). On trouve notamment à la l
es petites places de la partie antérieure surtout du côté droit. La
sensibilité
à la douleur est bien conservée, la thermo-esth
rotuliens et cutanés sont nor- maux, il n'y a pas de trouble de la
sensibilité
, ni de la motilité dans les autres parties du c
. Mais dans aucun de ces cas il n'est pas question de trouble de la
sensibilité
. Les cas qui nous semblent plus rapprochés du n
e- ment du bras droit fut arrêté. Il n'y avait pas de trouble de la
sensibilité
. Cet état persiste pendant 14 ans. L'auteur con
vent après l'encé- phalite des enfants. En outre les troubles de la
sensibilité
dans notre cas et dans celui de Hoppe-Seyler pr
trépidation spinale du pied. , Incontinence vésicale et rectale.
Sensibilité
tactile fortement émoussée aux deux membres infér
s des membres inférieurs sont plus étendus. Mais les troubles de la
sensibilité
per- sistent ainsi que l'exagération des réflex
ation de l'état paréto-spasmodique ; on constate des troubles de la
sensibilité
accompagnant les troubles moteurs. A la fin de
ucun cas, cette dernière affection ne s'accompagne de trouble de la
sensibilité
et, depuis presqu'un an que ce malade est en. obs
contraction douloureuse, mais il n'y a aucun trouble objectif de la
sensibilité
, ni de contractions toniques, autant qu'on peut s
ne commence à colorer la partie achromatique dans la cellule. Cette
sensibilité
de la partie achromatique vis-à-vis du bleu de mé
lèvement d'apparence ortiée. Chaque piqûre faite pour rechercher la
sensibilité
a donné naissance à une papule et la pression du
axillaire. De plus il souffre de l'onglée au moindre froid. ` ? °
Sensibilité
à la douleur. - Le malade accuse une douleur plus
même le pleurer spasmodique. B. - Sensibilités spéciales. - I. -
Sensibilité
à la pression el sensibilité musculaire. - Obje
e. B. - Sensibilités spéciales. - I. - Sensibilité à la pression el
sensibilité
musculaire. - Objets employés, deux poids de 10
: perçu plus lourd du côté droit. Poids de 2 grammes : id. II. -
Sensibilité
thermique. Première série d'observations (12 déc.
ilité thermique. Première série d'observations (12 déc. 1900). 1. -
Sensibilité
au froid. - Il existe plusieurs plaques d'hyperes
nit par percevoir normalement, mais avec une légère douleur. 2. -
Sensibilité
au chaud. Il existe également un certain nombre d
léole interne. Deuxième série d'observations (15 février 1901), -10
Sensibilité
au froid. Toutes les plaques d'hyperesthésie po
Toutes les plaques d'hyperesthésie pour le froid ont disparu. 2"
Sensibilité
au chaud. Un objet froid est perçu chaud à la fac
ont disparu. Troisième série d'observations (23 février 1901).- 1°
Sensibilité
au froid.- Un objet chaud est senti froid à la
a face palmaire de la main gauche, sauf à l'é- minence thénar. 2°
Sensibilité
au chaud-. - Normale. Si dans les deux dernière
n outre une légère persistance de la sensation de cha- leur. III.
Sensibilité
tactile. La mesure de la sensibilité tactile avec
sensation de cha- leur. III. Sensibilité tactile. La mesure de la
sensibilité
tactile avec l'esthésio- mètre à coulisse nous
ent unilatéral, qu'il siège dans une région anesthésique (or ici la
sensibilité
tactile est diminuée à gauche), et qu'il peut ê
ppement d'un certain nombre d'autres appartenant aux systèmes de la
sensibilité
thermique, de la sensibilité tactile, de la sensi
'autres appartenant aux systèmes de la sensibilité thermique, de la
sensibilité
tactile, de la sensi- bilité.visuelle, de l'acc
e altération : 1° des neurones de la douleur; 2° des neurones de la
sensibilité
tactile ; 3° des neurones de la sensibilité mus
; 2° des neurones de la sensibilité tactile ; 3° des neurones de la
sensibilité
musculaire ; 4° des neurones de la sensibilité
° des neurones de la sensibilité musculaire ; 4° des neurones de la
sensibilité
thermique; 5° des neurones (1) Ch. BINET-SANGLÉ
s de neurologie, sept. 1900). 228 BINET-SANGLÉ ET VANNIER de la
sensibilité
auditive ; 6° des neurones de la sensibilité visu
ANGLÉ ET VANNIER de la sensibilité auditive ; 6° des neurones de la
sensibilité
visuelle ; 7° des neurones des mouvements de la
noire malade, c'est ce qui semble résulter encore de l'étude de la
sensibilité
tactile. En effet, la sensibilité tactile est,
résulter encore de l'étude de la sensibilité tactile. En effet, la
sensibilité
tactile est, pour la plupart des régions, dimin
rature et (1) VAN GEIIUCHTFN, La dissociation syringomyélique de la
sensibilité
, etc... (in Semaine médicale, 1899, p. 113).
t provoqué la réextension des prolongements et l'amélioration de la
sensibilité
. Ce qui prouve d'ailleurs que les neurones rétr
st que, lors des applications métalliques, l'"™*i ? > tion de la
sensibilité
tactile se produisit à la fois dans la région c
nt compte à la fois de ces deux sortes de troubles. L'étal' de la
sensibilité
tactile chez notre malade n'est pas dépourvu d'
j'estime que la fréquence des heurts, qui finissent par émousser la
sensibilité
tactile, est l'une des raisons de la grandeur d
sation à la face externe des membres, au dos, aux fesses, etc. La
sensibilité
musculaire qui n'est qu'une forme de la sensibili
fesses, etc. La sensibilité musculaire qui n'est qu'une forme de la
sensibilité
tac- tile, et dont les neurones doivent être si
d'ordinaire l'accumulation du sang veineux dans la peau diminue la
sensibilité
thermique, les plaques d'hyperesthésie, pour le
froid. 4° Neurones des sensations auditives. La diminution de la
sensibilité
auditive à gauche me paraît due égale- ment à u
nuit, elle présente des hallucinations de la vue, de l'ouïe, de la
sensibilité
générale, on la chatouille la nuit sous les pie
nt disparu. L... actuellement n'a plus de céphalées. L'examen de la
sensibilité
nous a 240 ' VASCIIIDE ET VURPAS donné les ré
us a 240 ' VASCIIIDE ET VURPAS donné les résultats suivants : les
sensibilités
au tact, à la douleur, à la cha- leur semblent
n parvient à fixer son attention on voit nettement que ses diverses
sensibilités
sont normales. L... a été soigneusement examiné
males. L... a été soigneusement examinée dans nos recherches sur sa
sensibilité
; et si nous ne traduisons pas nos résultats par
l a vu les personnes absentes qu'il désigne. Il semble aussi que la
sensibilité
générale ait donné lieu à des hallucinations vr
l'index : elle a saigné, et la cicatrisation a été nor- male. La
sensibilité
est difficile à apprécier, étant donné l'âge du p
ues, surtout à la mâchoire inférieure. Prognathisme supérieur. La
sensibilité
sous ses divers modes est partout normale. Dès
. Les orteils se fléchissent quand on pique la plante du pied. La
sensibilité
est partout conservée sous tous ses modes (contac
froid et chaud, sens musculaire). On a constaté plusieurs fois une
sensibilité
, assez vive des zones pseudo-ovariennes. Pas de
ssu cérébral par les toxines issues du foyer pathologique ; extrême
sensibilité
aux toxines de l'écorce grise), cliniques (anal
la face externe des cuisses. Rien d'anormal à l'examen électrique.
Sensibilité
au contact très diminuée aux membres inférieurs
très diminuée aux membres inférieurs et abolie au-dessous du genou,
sensibilité
à la piqûre conservée partout. Sensibilité au f
e au-dessous du genou, sensibilité à la piqûre conservée partout.
Sensibilité
au froid abolie aux membres inférieurs à partir d
ment dans l'extension à gauche, pas à droite. Pas de troubles de la
sensibilité
. Ouïe et goût intacts. - Relèvement du gros o
es signalées dans les précé- dentes observations n'existent plus.
Sensibilité
normale. Ouïe et goût intacts. Déglutition normal
s tendineux et cuta- nés conservés, plutôt exagérés. Troubles de la
sensibilité
. Chez ce malade le diagnostic d'hérédo-ataxie c
gérés. On relevait aussi l'existence de mouve- ments spontanés. Les
sensibilités
tactiles, musculaires thermiques, la sen- sibil
particulier du côté de la force et de la résistance musculaire. La
sensibilité
superficielle est normale dans tous ses modes, ma
'avant-bras, très in- tense au petit doigt. L'investigation de la
sensibilité
objective révèle une hypoesthésie dans la moi-
ypothénar et les in- terosseux ; à la face dorsale,au contraire, la
sensibilité
parait être normale et l'on observe même de l'h
les douleurs le long de son trajet et les désordres objectifs de la
sensibilité
sur une partie de sa zone cutanée, voilà des do
congénère. Vollcmann a relevé des faits analogues relativement à la
sensibilité
, et depuis, un grand nombre de faits ont mis en
accompa- gnées parfois de phénomènes thermiques, de troubles de la
sensibilité
, de douleurs, de changements de couleur de la p
férieur hypertrophié, les poils légèrement plus gros et longs. La
sensibilité
cutanée est intacte, les réflexes normaux ; le ré
e réflexe plantaire se fait en flexion. Il ne semble pas exister de
sensibilité
particulière au froid. (1) La compression conse
es rôles d'avertisseurs sans exercer de cumul. C'est ainsi que la
sensibilité
tactile et la sensibilité douloureuse ne seraie
ns exercer de cumul. C'est ainsi que la sensibilité tactile et la
sensibilité
douloureuse ne seraient pas perçues par les mêm
bonnes raisons pour proposer aussi comme distincts les nerfs de la
sensibilité
normale et les nerfs dolorifi- ques (1). Les
ition cutanée; l'absence encore de contracture et de troubles de la
sensibilité
. Ces divers symptômes étrangers à la poliomyéli
ES 491 sive et active du membre est normale, la force conservée, la
sensibilité
intacte. On note seulement que le membre donne
seau sa surface. Le froid la cya- nose légèrement et provoque de la
sensibilité
. Sous son action, les téguments 494 E. RAPIN
fait sourdre de la sérosité transparente. Ongles bien conformés. La
sensibilité
cutanée parait normale. Le dos de la main gau
lade avec une aiguille sur les membres inférieurs, on trouve que la
sensibilité
à la douleur est complètement abolie. L'anes- t
i démontre que l'anesthésie est surtout périphérique. De même, la
sensibilité
au contact paraît émoussée; mais, fait particu-
ensibilité au contact paraît émoussée; mais, fait particu- lier, la
sensibilité
thermique subsiste dans son intégralité. Je n'a
que subsiste dans son intégralité. Je n'ai noté aucun trouble de la
sensibilité
dans les autres parties du corps. Les réflexe
ent progressif avec anesthésie périphérique et conserva- tion de la
sensibilité
thermique, phénomènes paralytiques affectant les
e pied. Autant qu'on peut s'en assurer sur un enfant aussi jeune la
sensibilité
est aussi forte à gauche qu'à droite. A ce prem
orce musculaire est égale des deux côtes; il en est de même pour la
sensibilité
, la température et la coloration des téguments.
omme aux supérieurs, il n'existe aucune anomalie, de la peau, de la
sensibilité
, de la température, de la force musculaire. Les r
très limités. Nulle part les mouvements provoqués ne causent aucune
sensibilité
anor- male, non plus que la pression sur les ar
scendrait bien au-dessous du genou. Il n'existe aucun trouble de la
sensibilité
, ni des sens spéciaux, ni des réflexes. A part
es articulations seulement, et laissant intactes la musculature, la
sensibilité
, les réflexes. La généralisation de l'affection à
oins bizarres de l'innervation, il est certain, dis-je, que cette
sensibilité
nerveuse est une cause prédisposante dont la co
e. Deux accès de mélancolie. H««MC ! ) : ft<ions. Troubles de la
sensibilité
générale. Six tent(ilives de suicide. - Impulsi
e ne souffrait pas, se plaignait seulement d'avoir la tête vide; la
sensibilité
spéciale, surtout celle de l'ouïe était exagéré
e l'ouïe était exagérée, mais il n'y avait pas d'hallucinations. La
sensibilité
générale avait presque absolument disparu et elle
role bien articulée, pas de traces de scrofule ni de rachitisme. La
sensibilité
spéciale est conservée, mais il y a des trouble
le est conservée, mais il y a des troubles notables et variés de la
sensibilité
générale. Ce qui domine, c'est surtout de l'ane
ongue durée de la maladie ? 2 D'un autre côté, les troubles de la
sensibilité
spéciale et générale, relatés dans l'observatio
des illusions du goût, de l'odorat, des troubles très graves de la
sensibilité
générale donnant lieu à autant de sensations fa
élancolie qui présente le plus souvent ces sortes de troubles de la
sensibilité
; et si, chez cer- tains persécutés on trouve qu
des symptômes suivants : prédominance excessive des troubles de la
sensibilité
générale, différentes idées spéciales énoncées
tes de leur vie journalière. « C'est, dit M. O'Brien, cette intense
sensibilité
nerveuse, qui, selon moi, est la base des phéno
rtout heu- reuse quand il existe des douleurs et des troubles de la
sensibilité
et que l'ataxie n'est pas très prononcée. P. KE
18`i' ? .) Faisant abstraction des troubles de la motilité et de la
sensibilité
qui furent ceux habituels, nous relèverons l'ét
l entier, ainsi que l'étendue des phénomènes. Pas de troubles de la
sensibilité
; pas de paralysie franche. Aucun foyer cérébral
cessions complètes de certains symp- tûmes, tels que troubles de la
sensibilité
, douleurs, crises laryn- gées. Enfin, bien d'au
ibres moteurs du nerf maxillaire inférieur). La peau est atrophiée.
Sensibilité
normale, collt"(Ictilité électrique des muscles
l'anode. La force du courant mis en jeu, variable au reste avec la
sensibilité
du malade et avec la susceptibilité de l'électr
".i(1%ig · 3.) '"-'* x .ï 77 2 - ..... 4d·t·, .7 .. , Examen de' la
sensibilité
. La sensibilité générale au tact, à la températ
"-'* x .ï 77 2 - ..... 4d·t·, .7 .. , Examen de' la sensibilité. La
sensibilité
générale au tact, à la température et à la doul
s autres sens ne présentaient aucune altération. Cet examen de la
sensibilité
a été pratiqué à deux reprises, pendant l'état
ncore quelques mouvements volontaires ; face, rien ; parole facile;
sensibilité
générale obtuse. Observation (I). Foyer hémor
roite ; commissure labiale, droite tirée en haut ;parole difficile;
sensibilité
générale obtuse. OBSERVATION (111). Ramollissem
érieur : déviation des traits à droite ; parole difficile; hoquet ;
sensibilité
générale obtuse. » <"" ' 1 . J It"'yji ! i a
ins revemrà,gauche;monvementsJdela,rtète.faciles,Z,·,1 mouvement et
sensibilité
conservés aux* membres^ droits \n\> I 70 ANA
llLcw;v : « Délire chronique (teec hallucina- tions, troubles de la
sensibilité
générale et prédominance d'idées de persécution
onc.sont.plus fréquentes dans les cas'où'le rétIexemanquersJf 340°.
Sensibilité
tactile des* pieds. La perception"'des'sensations
la paralysie traumatique > ? du nerf radial, les troubles de la
sensibilité
sont, de primé ahold ? Jf,, très faibles en int
c hallucinations sensorielles, idées de persécution, troubles de la
sensibilité
générale et instincts pervers. C'est pour punir
nte lors de son arrivée à la Salpêtrière des troubles marqués de la
sensibilité
générale et spéciale. I. Sensibilité générale.
e des troubles marqués de la sensibilité générale et spéciale. I.
Sensibilité
générale. Elle est profondément altérée dans to
rticulièrement au niveau des membres supérieurs. Ces troubles de la
sensibilité
générale sont là à l'état permanent, paraissant
out le corps, avec légère prédominance à gauche cependant. II. La
sensibilité
spéciale n'est pas moins touchée que la sensibi
ndant. II. La sensibilité spéciale n'est pas moins touchée que la
sensibilité
générale. La malade sent très mal les odeurs. L
maHe ? ! <s : Anes- thésie généralisée incomplète intéressant la
sensibilité
générale et la sensibilité spéciale, avec prédo
ie généralisée incomplète intéressant la sensibilité générale et la
sensibilité
spéciale, avec prédominance de l'anesthésie à g
pas chez elle les symptômes permanents habituels de l'hystérie. La
sensibilité
générale (au tact, à la douleur, à la températu
ervée des deux côtés du corps. 11 n'y a pas de trouble marqué de la
sensibilité
spéciale. Pas de zones douloureuses ou liystéro
nuit, un engourdissement dans le petit doigt de la main droite ; la
sensibilité
dans ses divers modes y est conservée. 11 n'y a
i sont des lacunes lymphatiques. P. K. X. Sun LA localisation de la
sensibilité
cutanée et DU SENS TOUS- OCULAIRE A Li SUBI'.4C
musculaire des extrémités opposées, tantôt par une diminution de la
sensibilité
à la douleur. P. K. XI. Recherches expérimental
ersistèrent pendant quelque temps, puis cessèrent aussi ; seule, la
sensibilité
tactile resta un peu diminuée. Quant au diagnos
paru dans les deux tiers antérieurs de la langue. En même temps, la
sensibilité
de l'occiput et celle du bras droit n'existentp
roite une ophthalmie neuroparalytique, ainsi que des troubles de la
sensibilité
, mais ceux-ci limités aux branches maxillaires
trijumeau, et dans l'existence de l'ophlhalmie en une région où la
sensibilité
était intacte. Absence d'autopsie. P. K. XXV. S
la démarche et finalement une paralysie des bras et des jambes. La
sensibilité
est conservée presque par- 330 REVUE DE PATHOLO
ie d'hémiplégie droite comprenant le facial, avec disparition de la
sensibilité
; rotation de la tête à gauche, mort dans le com
des deux côtés, une névrite du cubital caractérisée surtout par une
sensibilité
extrême du nerf à la pal- pation, et des douleu
de l'ensemble des petits muscles de la main; une dimi- nution de la
sensibilité
à la face interne du bras et de l'avant-bras, à
ie déterminèrent une amélioration graduelle de la motilité et de la
sensibilité
. La sensibilité finale- ment récupéra son intég
une amélioration graduelle de la motilité et de la sensibilité. La
sensibilité
finale- ment récupéra son intégrité avec ses qu
pas de paralysie complète ; quelques- uns eurent des troubles de la
sensibilité
. La capsule interne cou- tient donc les fibres
, et les fibres centripètes en rapport avec certaines sphères de la
sensibilité
. La mort prématurée des vic- times ne permet pa
des réflexes tendineux; tension musculaire forte; intégrité de la
sensibilité
et du sens musculaire; affaiblissement de la cont
arésie légère de l'appareil musculaire du voile du palais à droite.
Sensibilité
extrême de la colonne vertébrale à la nuque. Au
ent en rapport avecl'électrisation; une diminu- tion variable de la
sensibilité
farado-cutanée, indépendante, elle aussi, et de
ication; la tempéra- ture axillaire s'abaisse de 0,2 à 0,o de C. La
sensibilité
farado- cutanée s'amoindrit par lesbainsde cath
ntégrité absolue de tous les modes delà motilité, l'intégrité de la
sensibilité
et de l'excitabilité électl ique ; l'exagératio
it d'abord. L'examen ne révèle pas de troubles de la motilité de la
sensibilité
, de l'excitabilité électrique. La cicatrice est m
t marcher, les yeux fer- més : la force, les réflexes tendineux, la
sensibilité
n'ont éprouvé aucune modification. L'évolution
ne permet pas un examen plus complet de la parole, de la vue, de la
sensibilité
. Il sait son nom, celui de ses frères, connaît so
éfinition dont elle relève.Munk fait du centre moteur une sphère de
sensibilité
. Or, c'est à Hitzig que revient l'honneur d'avo
bilité mécanique des muscles dans cinq cas ; un fait témoigne de la
sensibilité
des fibres 378 SOCIÉTÉS SAVANTES. à la percus
e fut visi- blement allongé. Au stade initial, légers troubles delà
sensibilité
; mais jamais de perturbations objectives de cet
ieures. Intégrité de la vessie et du rectum ; pas de troubles de la
sensibilité
; pas d'ataxie, pas de troubles du sens muscula
es viscérales, l'ab- sence du phénomène du genou. Nul trouble de la
sensibilité
, du sens musculaire. Tel fut l'état qui persist
is de toute la surface, anesthésie portant sur tous les modes de la
sensibilité
, y compris le sens musculaire. En même temps, r
du champ vi- suel, et qui s'allie fréquemment à des troubles de la
sensibilité
cutanée et des sens spéciaux, est presque carac
nt concentrique du champ visuel, accompagné ou non de trouble de la
sensibilité
cutanée, des nerfs sensoriels (ouïe, goût, odor
là les diverses sensations et les différents actes. En tout cas, la
sensibilité
est la source de toutes les facultés, de toutes
r Erb et Westphal, 335. (incitation des nerfs de l'homme), 342.
Sensibilité
cutanée et sens muscu- laire (localisation cent
ue, l'ouïe, la vue, l'odorat, le goût, le toucher semblent absents.
Sensibilité
générale très obtuse, d'où indifférence à la do
mêmes. Ils ont des sentiments affectifs, souvent superficiels. La
sensibilité
générale est d'ordinaire émoussée. Les sens, so
se perd dans le vague. Le mouvement, la marche, la préhension, la
sensibilité
générale, la sensibilité spéciale sont en gé- n
Le mouvement, la marche, la préhension, la sensibilité générale, la
sensibilité
spéciale sont en gé- néral intacts. Au point de
stérieur ; - hémiplégie droite -- paraplégie ; - dissociation de la
sensibilité
, etc. - Luxation du radius droit. - Ankylose du
ôté de la racine de la verge. Rien à l'anus. Le corps est glabre.
Sensibilité
spéciale. - La vue, l'ouïe, le goût, l'odorat son
goût, l'odorat sont con- servés et au même degré des deux côtés.
Sensibilité
gêné) ale. - a) Sensibilité au contact. Les yeux
servés et au même degré des deux côtés. Sensibilité gêné) ale. - a)
Sensibilité
au contact. Les yeux fermés, le malade reconnai
s le contact de gros objets appuyés avec pression sur sa main. b)
Sensibilité
à la douleur. - Il Côté gauche : anesthésie en ga
la main les mêmes régions sauf que l'éminence thénar a conservé la
sensibilité
. Sur l'avant- z4 PARE50-AN11.GES1E L1 : 5 extré
ARE50-AN11.GES1E L1 : 5 extrémités supérieures. bras et le bras, la
sensibilité
à la piqûre est normale et le malade distingue
ement la pointe de deux épingles à 5 millimètres d'écartement. c)
Sensibilité
thermique. - Thcrmo-anesthésie de la main gauche
ésie, très marquée et ilternzo-anes- thésie avec conservation de la
sensibilité
tactile. - Dans les mêmes régions, Ii gauche, l
le. - Dans les mêmes régions, Ii gauche, les différents modes de la
sensibilité
sont conservés 1. La physionomie dénote un ce
es. Février. - Embarras gastrique bilieux. Un nouvel examen de la
sensibilité
donne les résultats suivants : anesthésie totale
rçoit ni la chaleur, ni le froid, ni la douleur (dissociation de la
sensibilité
). Pas de troubles de la sensibilité sur le tronc
la douleur (dissociation de la sensibilité). Pas de troubles de la
sensibilité
sur le tronc et les membres inférieurs. Avril
train posté- rieur en avant, le pied gauche frottant sur le sol.
Sensibilité
spéciale, normale et égale des deux côtés. L'exam
le D1' i\OENtG, n'a décelé aucune lésion. - Il en est de même de la
sensibilité
des muqueuses. Sensibilité générale. - Elle est
aucune lésion. - Il en est de même de la sensibilité des muqueuses.
Sensibilité
générale. - Elle est conservée sur la face, au co
En ce qui concerne les membres supérieurs, les divers modes de la
sensibilité
sont conservés des deux côtés de l'épaule jusqu'a
appartenir à la maladie de Morvan. Tout d'abord, les troubles de la
sensibilité
sont ana- logues à ceux qu'a décrits cet auteur
zone d'environ cinq centimètres de hauteur au niveau de laquelle la
sensibilité
à la douleur persiste , alors que la sensibilit
eau de laquelle la sensibilité à la douleur persiste , alors que la
sensibilité
tactile, au froid, à la chaleur est abolie. Nou
leur est abolie. Nous devons faire remarquer que les troubles de la
sensibilité
semblent quelquefois varier. C'est ainsi qu'en
'en février 1890 nous avons noté une dissociation par- tielle de la
sensibilité
. Ce ne serait pas là une exception. « Aujourd'h
aits nombreux que dans la maladie de Morvan la dissociation de la
sensibilité
peut parfaitement exister. » (Loc. cit., p. 194.)
Du cas précédent par le D' RÉGNIER. Pour mesurerla diminution de la
sensibilité
, comme nous n'avions pas à notre disposition de
resumé, l'examen électrique démontre que tant au point de vue de la
sensibilité
que de la contractilité, les signes sont plus pro
à droite qu'à gauche aux deux membres. Sur le tronc et la face, la
sensibilité
et la contractilité n'ont pas subi de modifi- c
de chute du rectum, accident fréquent chez ces malades; gâtisme.
Sensibilité
vive au froid. Vue et ouïe, normales. Tempéra*
ués s'exécutent facile- ment. Il n'y a pas de contrac- ture. - La
sensibilité
est un peu obtuse. - Les réflexes paraissent
mouvements spontanés qu'elle exécute le sont avec lenteur. La
sensibilité
générale au contact, à la température, à la d
s Petites adénites chroniques dans les aissel'es et les aines, La
sensibilité
générale sous ses divers modes (tact, dou- Desc
cle ritles. - Circulation : coeur régulier; pas de bruit morbide.
Sensibilité
générale conservée sous ses divers modes; parai
tude régulière. Pas de déformations. Mouvements dans tous les sens.
Sensibilité
au contact, à la température et à la douleur co
ce sont très marqués, les yeux hagards, les pupilles dila- tées. La
sensibilité
à la lumière est conservée ; la sensibilité au
pupilles dila- tées. La sensibilité à la lumière est conservée ; la
sensibilité
au tact est diminuée. - La face est pâle et ama
ots ordinaires, n'a été signalé chez aucun de nos six malades. La
sensibilité
générale est naturelle. Il paraît en être de mê
sensibilité générale est naturelle. Il paraît en être de même de la
sensibilité
spéciale, autant du moins que l'état intellectu
. Le reste du corps est glabre. Pas d'adénopathies cervicales. La
sensibilité
générale est un peu obtuse, autant qu'il est po
vant le traitement ils étaient rudes, sembla- bles il des crins. La
sensibilité
exagérée au froid a disparu. 4-7 février. - L'a
. - Persistance de la fontanelle antérieure. Hernie ombili- cale.
Sensibilité
au froid. - Alopécie partielle. - Colo- ration
s les jardins. Il ne sait ni lire, ni écrire, ni compter, etc. La
sensibilité
générale et la sensibilité spéciale sont con- s
ni lire, ni écrire, ni compter, etc. La sensibilité générale et la
sensibilité
spéciale sont con- servées. N.. parle assez bie
médullaires, d'où l'état spasmodique (paraplégie spasmodique). La
sensibilité
au contact, à la douleur, à la température est
ien sous l'influence du cou- J'ant électrique (Pile de Chardin). La
sensibilité
électrique est égale des deux côtés. Il en est
bilité électrique est égale des deux côtés. Il en est de même de la
sensibilité
au toucher, à la douleur, à la température et p
le chaud et le froid sur la moitié antérieure gauche du corps. - La
sensibilité
spéciale (goût, odorat audition) est conser- vé
e de Bavière (2). » Lundi, 24 janvier. » Pansement intact. Peu Je
sensibilité
à droite; rien à gauche partie insensibilisée.
irritation, sans sécrétion; pas de rougeur dans le voisinage, pas de
sensibilité
. Le collodion, qui avait été appliqué sur la plai
t, présentaient des phénomènes différents, soit au point de vue de la
sensibilité
organique (hyperesthésie ou anesthésie), soit au
é organique (hyperesthésie ou anesthésie), soit au point de vue de la
sensibilité
psychique (gaîte ou tristesse). Ainsi serait dé
que nous pouvions, grâce â cette influence, éveiller ou éteindre les
sensibilités
sur telles ou telles parties de son corps, suppri
ésie sensitivo-sensorielle limitée exactement à la ligne médiane. Les
sensibilités
à la douleur, au chaud, au froid, à la pression,
u ses autres facultés, vous verrez combien son impressionnabilité, sa
sensibilité
morale est mobile et désemparée ; vous la ferez r
qu'il est des cas où cet état est l'effet du trouble accidentel de la
sensibilité
physique et morale qui ne laisse plus à l'homme s
nétisme terrestre. La conclusion, c'est que certaines personnes d'une
sensibilité
exceptionnelle peuvent être assimilées a des inst
n haut, les paupières clignent et tremblent. Diminution notable de la
sensibilité
aux piqûres. Demi-collapsus des membres supérieur
égions excessivement excitables et que nous avons tous notre genre de
sensibilité
propre, notre corde sensible, qui est la note de
Vient-on maintenant à faire appel à d'autres plexus sensitifs, à la
sensibilité
cutanée, par exemple ? on note les effets suivant
émotions provoquées d'une façon centripète par les états divers de la
sensibilité
périphérique. Il est curieux de constater à ce
e la vie ne le fait pas sans une participation profonde émanant de sa
sensibilité
intime : il met en même temps en activité son esp
-dessus de leur front, présentèrent des troubles incontestables de la
sensibilité
, de la con-tractilité musculaire et de la conscie
se extrême des forces mises en jeu dans ces opérations et du degré de
sensibilité
réactionnelle auquel est arrivé l'organisme humai
Il était impossible de coordonner les mouvements des doigts, mais la
sensibilité
de la peau ne paraissait pas modifiée ; ces phéno
n que c'est du premier coup que nos sujets atteignent leur maximum de
sensibilité
aux substances présentées à l'extérieur. La plu
de voir un morceau de fer, de zinc, posé sur le bras, bouleverser la
sensibilité
dans l'organisme, qu'un fragment de chloral produ
ui les charge, et, d'autre part, avec les organes périphériques de la
sensibilité
, où s'opèrent les décharges qui servent aux relat
le, la rupture d'équilibre du systéme nerveux, la surexcitation de la
sensibilité
, toutes conditions fréquentes dans l'hystérie, l'
117 aliénées . . . 4,27 p. 100 de gauchères. Au point de vue de la
sensibilité
, les Drs Amadeï e: Tonini ont trouvé, sur 90 alié
Drs Amadeï e: Tonini ont trouvé, sur 90 aliénés, 73 individus dont la
sensibilité
était meilleure à gauche qu'à droite. De plus,
roportion est quadruple pour les femmes. Il en serait de même pour la
sensibilité
. La conclusion que l'on peut tirer de ces docum
e : Contribution à l'étude de l'hystérie chez l'homme. Troubles de la
sensibilité
chez les Orientaux. Les Alssaouas. (Archives de N
l'hôpital, on constate que tout le côte gauche du corps est privé de
sensibilité
. Les contractions du diaphragme sont à peu près s
pile, un autre métal de polarité différente provoque le retour de la
sensibilité
ou la décontracture. Ils ont ainsi reconnu que
ion de la force musculaire ; les applications hétéronomes ramènent la
sensibilité
, transfèrent les hyperesthésies, attirent, sugges
l de New-York, les courants induits qui. par la vive excitation de la
sensibilité
qu'ils déterminent, augmentent le plus souvent le
embres supérieurs et les membres inférieurs sont bien conformés. La
sensibilité
générale est très bien conservée. Pas de douleur
que cause la lésion ; 2° Une moitié de l'encéphale peut servir a la
sensibilité
, aux mouvements volontaires et aux actions vaso-m
moitié latérale de la moelle épinière, au moins en ce qui concerne la
sensibilité
et les actions vaso-motrices. L'intérêt que pré
omnambulisme. » Lorsque je vous l'amenai, vous avez constaté que la
sensibilité
était parfaite, les pupilles également normales;
ces méthodes. L'ouvrage est divisé en cinq parties, traitant de la
sensibilité
, des fonctions du cerveau (pensée, raison, percep
ifférencie ce sommeil provoqué du sommeil spontané. Les phénomènes de
sensibilité
, de motilité, d'idéation, d'imagination illusions
nt d'un sommeil provoqué. Bientôt il reconnaît en elle un sujet d'une
sensibilité
exquise aux pra-tiques de l'hypnotisme. 11 parle
sache ne connaît encore de signe auquel se reconnaît, à priori, cette
sensibilité
spéciale. J'essayai de faire quelques tentative
mme hystérique, l'engourdissement serait remplacé par des troubles de
sensibilité
(parésie, anesthésie) beaucoup plus accentués, ét
es, des hallucinations, des troubles de l'ouïe, de la vision et de la
sensibilité
, puis à des accès de léthargie, de catalepsie et
et. à ce propos. M. Féré a fait remarquer que, pour ce qui est de la
sensibilité
générale et de la motilité, des phénomènes du mêm
es d'un tout autre genre, j'avais, au préalable, examiné l'état de sa
sensibilité
. La malade était, à l'état de veille, hémianesthé
ité. La malade était, à l'état de veille, hémianesthésique gauche. La
sensibilité
générale était, de ce côté, abolie dans tous ses
était, de ce côté, abolie dans tous ses modes. Pour ce qui est de la
sensibilité
spéciale : l'odorat était nul -à gauche, en même
it auditif n'était point senti. Même résultat pour le goût et pour la
sensibilité
de la langue et du pharynx. Du côte de l'œil: ret
ensibilité de la langue et du pharynx. Du côte de l'œil: retard de la
sensibilité
de la cornée, abolition totale de la sensibilité
l'œil: retard de la sensibilité de la cornée, abolition totale de la
sensibilité
de la conjonctive, achroma-topsie absolue; imposs
vos doigts, maïs je ne puis dire combien il y en a. » Du côté droit,
sensibilité
(générale et spéciale) intacte. La malade est a
s l'influence de l'hypnotisation, il n'y avait pas eu transfert de la
sensibilité
de droite à gauche. Je plaçai alors, dans le plan
it, du moins en apparence, les couleurs des deux yeux. L'examen de la
sensibilité
de l'œil gauche devait me fournir l'explication d
reilles petites, bien ourlées: pas de lobule. Voûte palatine ogivale.
Sensibilité
cutanée égale des deux côtés. Pas de points hysté
t l'ébranlement maximum a lieu dans l'appareil auditif gauche dont la
sensibilité
est anormalement accrue. On sait, en effet, que s
che à volonté ; or, par cette occlusion, on a accru temporairement la
sensibilité
normale de l'oreille touchée en même temps qu'on
sur un homme de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'excès de
sensibilité
nerveuse se traduisait par des troubles hystériqu
itudes à l'hypnotisme, à la suggestion, au transfert, abolition de la
sensibilité
cutanée du côté droit) nettement tranchés. Dans
d'une santé parfaite jusque-là, il s'était produit des troubles de la
sensibilité
générale, ainsi que des troubles trophiques et se
ymptôme morbide, ni les stigmates connus de l'hystérie. Notamment, la
sensibilité
était normale partout. Elle sentait très bien les
se tasse, prend une coloration brunâtre et ne conserve qu'une obtuse
sensibilité
. La secrétion urinaire, par compensation, acqui
deux modes se produisent ; ce n'est pas seulement l'atténuation de la
sensibilité
cutanée, c'est son abolition complète qui s'obser
obstacle imprévu, on ressent de la douleur, de l'engourdissement, la
sensibilité
est diminuée et la force dynamométrique amoindrie
notisable. On s'est même évertué à trouver un moyen sûr pour tâter la
sensibilité
hypnotique d'un individu quelconque. D'après Ocho
idu quelconque. D'après Ochorovicz, il y aurait une relation entre la
sensibilité
hypnotique et la faculté d'être influencé par l'a
imant (hypnoscope) ; d'après Burg, ce serait le cuivre qui indique la
sensibilité
à l'hypnose et l'aimant l'incompatibilité. Quoi q
yperexcitation, puisqu'on peut constater qu'il y a augmentation de la
sensibilité
neuro-musculaire, et l'autre centrale, sur le cer
nt la même chose. REVUE DE LA PRESSE Un ces curieux d'hystérie;
sensibilité
des téguments au contact de l'or, — leçon de M. l
nférieur. De plus, fait curieux encore, sa peau est d'une extrême
sensibilité
.'au contact de certains métaux, et malgré l'extrê
r cet homme, un fait absolument acquis, absolument incontestable : la
sensibilité
de ses téguments au contact de l'or. Poursuivan
iliaque gauche très nette a une pression modérée. Diminution de la
sensibilité
aux piqûres du membre supérieur gauche et des deu
s se laisser examiner; elle résiste à l'auscultation, à l'étude de la
sensibilité
de la vision. Elle se livre à des violences sur
raisons, toutes plus spécieuses, de se produire. L'oisiveté avive la
sensibilité
nerveuse. Le travail manuel la réfrène. Les priva
llons donc faire appel à la raison, â l'intelligence, a volonté, à la
sensibilité
, .Que sert d'avoir affaire à un animal raison-nab
nnée à l'âge de l'enfant, à son tempérament et, plus exactement, à sa
sensibilité
. « Elle doit être certaine, c'est-à-dire exécut
s devons nous attacher à faire le contraire, c'est-à-dire à aviver sa
sensibilité
, car ce n'est pas, comme on est tenté de le croir
cachet de consomption à cette physionomie enfantine. L'examen de la
sensibilité
générale, de même que celui des différents sens s
ardel, 26. Sédentarité dans les écoles (de la), par Férécl, 57.
Sensibilité
des téguments à l'or chez un hystérique, 3o3. S
e de Bavière (2). » Lundi, 24 janvier. » Pansement intact. Peu Je
sensibilité
à droite; rien à gauche partie insensibilisée.
irritation, sans sécrétion; pas de rougeur dans le voisinage, pas de
sensibilité
. Le collodion, qui avait été appliqué sur la plai
t, présentaient des phénomènes différents, soit au point de vue de la
sensibilité
organique (hyperesthésie ou anesthésie), soit au
é organique (hyperesthésie ou anesthésie), soit au point de vue de la
sensibilité
psychique (gaîte ou tristesse). Ainsi serait dé
que nous pouvions, grâce â cette influence, éveiller ou éteindre les
sensibilités
sur telles ou telles parties de son corps, suppri
ésie sensitivo-sensorielle limitée exactement à la ligne médiane. Les
sensibilités
à la douleur, au chaud, au froid, à la pression,
u ses autres facultés, vous verrez combien son impressionnabilité, sa
sensibilité
morale est mobile et désemparée ; vous la ferez r
qu'il est des cas où cet état est l'effet du trouble accidentel de la
sensibilité
physique et morale qui ne laisse plus à l'homme s
nétisme terrestre. La conclusion, c'est que certaines personnes d'une
sensibilité
exceptionnelle peuvent être assimilées a des inst
n haut, les paupières clignent et tremblent. Diminution notable de la
sensibilité
aux piqûres. Demi-collapsus des membres supérieur
égions excessivement excitables et que nous avons tous notre genre de
sensibilité
propre, notre corde sensible, qui est la note de
Vient-on maintenant à faire appel à d'autres plexus sensitifs, à la
sensibilité
cutanée, par exemple ? on note les effets suivant
émotions provoquées d'une façon centripète par les états divers de la
sensibilité
périphérique. Il est curieux de constater à ce
e la vie ne le fait pas sans une participation profonde émanant de sa
sensibilité
intime : il met en même temps en activité son esp
-dessus de leur front, présentèrent des troubles incontestables de la
sensibilité
, de la con-tractilité musculaire et de la conscie
se extrême des forces mises en jeu dans ces opérations et du degré de
sensibilité
réactionnelle auquel est arrivé l'organisme humai
Il était impossible de coordonner les mouvements des doigts, mais la
sensibilité
de la peau ne paraissait pas modifiée ; ces phéno
n que c'est du premier coup que nos sujets atteignent leur maximum de
sensibilité
aux substances présentées à l'extérieur. La plu
de voir un morceau de fer, de zinc, posé sur le bras, bouleverser la
sensibilité
dans l'organisme, qu'un fragment de chloral produ
ui les charge, et, d'autre part, avec les organes périphériques de la
sensibilité
, où s'opèrent les décharges qui servent aux relat
le, la rupture d'équilibre du systéme nerveux, la surexcitation de la
sensibilité
, toutes conditions fréquentes dans l'hystérie, l'
117 aliénées . . . 4,27 p. 100 de gauchères. Au point de vue de la
sensibilité
, les Drs Amadeï e: Tonini ont trouvé, sur 90 alié
Drs Amadeï e: Tonini ont trouvé, sur 90 aliénés, 73 individus dont la
sensibilité
était meilleure à gauche qu'à droite. De plus,
roportion est quadruple pour les femmes. Il en serait de même pour la
sensibilité
. La conclusion que l'on peut tirer de ces docum
e : Contribution à l'étude de l'hystérie chez l'homme. Troubles de la
sensibilité
chez les Orientaux. Les Alssaouas. (Archives de N
l'hôpital, on constate que tout le côte gauche du corps est privé de
sensibilité
. Les contractions du diaphragme sont à peu près s
pile, un autre métal de polarité différente provoque le retour de la
sensibilité
ou la décontracture. Ils ont ainsi reconnu que
ion de la force musculaire ; les applications hétéronomes ramènent la
sensibilité
, transfèrent les hyperesthésies, attirent, sugges
l de New-York, les courants induits qui. par la vive excitation de la
sensibilité
qu'ils déterminent, augmentent le plus souvent le
embres supérieurs et les membres inférieurs sont bien conformés. La
sensibilité
générale est très bien conservée. Pas de douleur
que cause la lésion ; 2° Une moitié de l'encéphale peut servir a la
sensibilité
, aux mouvements volontaires et aux actions vaso-m
moitié latérale de la moelle épinière, au moins en ce qui concerne la
sensibilité
et les actions vaso-motrices. L'intérêt que pré
omnambulisme. » Lorsque je vous l'amenai, vous avez constaté que la
sensibilité
était parfaite, les pupilles également normales;
ces méthodes. L'ouvrage est divisé en cinq parties, traitant de la
sensibilité
, des fonctions du cerveau (pensée, raison, percep
ifférencie ce sommeil provoqué du sommeil spontané. Les phénomènes de
sensibilité
, de motilité, d'idéation, d'imagination illusions
nt d'un sommeil provoqué. Bientôt il reconnaît en elle un sujet d'une
sensibilité
exquise aux pra-tiques de l'hypnotisme. 11 parle
sache ne connaît encore de signe auquel se reconnaît, à priori, cette
sensibilité
spéciale. J'essayai de faire quelques tentative
mme hystérique, l'engourdissement serait remplacé par des troubles de
sensibilité
(parésie, anesthésie) beaucoup plus accentués, ét
es, des hallucinations, des troubles de l'ouïe, de la vision et de la
sensibilité
, puis à des accès de léthargie, de catalepsie et
et. à ce propos. M. Féré a fait remarquer que, pour ce qui est de la
sensibilité
générale et de la motilité, des phénomènes du mêm
es d'un tout autre genre, j'avais, au préalable, examiné l'état de sa
sensibilité
. La malade était, à l'état de veille, hémianesthé
ité. La malade était, à l'état de veille, hémianesthésique gauche. La
sensibilité
générale était, de ce côté, abolie dans tous ses
était, de ce côté, abolie dans tous ses modes. Pour ce qui est de la
sensibilité
spéciale : l'odorat était nul -à gauche, en même
it auditif n'était point senti. Même résultat pour le goût et pour la
sensibilité
de la langue et du pharynx. Du côte de l'œil: ret
ensibilité de la langue et du pharynx. Du côte de l'œil: retard de la
sensibilité
de la cornée, abolition totale de la sensibilité
l'œil: retard de la sensibilité de la cornée, abolition totale de la
sensibilité
de la conjonctive, achroma-topsie absolue; imposs
vos doigts, maïs je ne puis dire combien il y en a. » Du côté droit,
sensibilité
(générale et spéciale) intacte. La malade est a
s l'influence de l'hypnotisation, il n'y avait pas eu transfert de la
sensibilité
de droite à gauche. Je plaçai alors, dans le plan
it, du moins en apparence, les couleurs des deux yeux. L'examen de la
sensibilité
de l'œil gauche devait me fournir l'explication d
reilles petites, bien ourlées: pas de lobule. Voûte palatine ogivale.
Sensibilité
cutanée égale des deux côtés. Pas de points hysté
t l'ébranlement maximum a lieu dans l'appareil auditif gauche dont la
sensibilité
est anormalement accrue. On sait, en effet, que s
che à volonté ; or, par cette occlusion, on a accru temporairement la
sensibilité
normale de l'oreille touchée en même temps qu'on
sur un homme de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'excès de
sensibilité
nerveuse se traduisait par des troubles hystériqu
itudes à l'hypnotisme, à la suggestion, au transfert, abolition de la
sensibilité
cutanée du côté droit) nettement tranchés. Dans
d'une santé parfaite jusque-là, il s'était produit des troubles de la
sensibilité
générale, ainsi que des troubles trophiques et se
ymptôme morbide, ni les stigmates connus de l'hystérie. Notamment, la
sensibilité
était normale partout. Elle sentait très bien les
se tasse, prend une coloration brunâtre et ne conserve qu'une obtuse
sensibilité
. La secrétion urinaire, par compensation, acqui
deux modes se produisent ; ce n'est pas seulement l'atténuation de la
sensibilité
cutanée, c'est son abolition complète qui s'obser
obstacle imprévu, on ressent de la douleur, de l'engourdissement, la
sensibilité
est diminuée et la force dynamométrique amoindrie
notisable. On s'est même évertué à trouver un moyen sûr pour tâter la
sensibilité
hypnotique d'un individu quelconque. D'après Ocho
idu quelconque. D'après Ochorovicz, il y aurait une relation entre la
sensibilité
hypnotique et la faculté d'être influencé par l'a
imant (hypnoscope) ; d'après Burg, ce serait le cuivre qui indique la
sensibilité
à l'hypnose et l'aimant l'incompatibilité. Quoi q
yperexcitation, puisqu'on peut constater qu'il y a augmentation de la
sensibilité
neuro-musculaire, et l'autre centrale, sur le cer
nt la même chose. REVUE DE LA PRESSE Un ces curieux d'hystérie;
sensibilité
des téguments au contact de l'or, — leçon de M. l
nférieur. De plus, fait curieux encore, sa peau est d'une extrême
sensibilité
.'au contact de certains métaux, et malgré l'extrê
r cet homme, un fait absolument acquis, absolument incontestable : la
sensibilité
de ses téguments au contact de l'or. Poursuivan
iliaque gauche très nette a une pression modérée. Diminution de la
sensibilité
aux piqûres du membre supérieur gauche et des deu
s se laisser examiner; elle résiste à l'auscultation, à l'étude de la
sensibilité
de la vision. Elle se livre à des violences sur
raisons, toutes plus spécieuses, de se produire. L'oisiveté avive la
sensibilité
nerveuse. Le travail manuel la réfrène. Les priva
llons donc faire appel à la raison, â l'intelligence, a volonté, à la
sensibilité
, .Que sert d'avoir affaire à un animal raison-nab
nnée à l'âge de l'enfant, à son tempérament et, plus exactement, à sa
sensibilité
. « Elle doit être certaine, c'est-à-dire exécut
s devons nous attacher à faire le contraire, c'est-à-dire à aviver sa
sensibilité
, car ce n'est pas, comme on est tenté de le croir
cachet de consomption à cette physionomie enfantine. L'examen de la
sensibilité
générale, de même que celui des différents sens s
ardel, 26. Sédentarité dans les écoles (de la), par Férécl, 57.
Sensibilité
des téguments à l'or chez un hystérique, 3o3. S
- Séquard, Leyden, Féré, Ge.116, Ga et Weiss peut s'étendre, à la
sensibilité
des muqueuses et' tous' les 'appareils' sen'sitif
s multiples jusqu'à quarante-six ans. Dissociation très nette de la
sensibilité
sur les membres inférieurs, les' parties génita
ient faiblement' Les muscles paralysés étaient très atrophiés et la
sensibilité
au froid et'au chaud très imparfaite.' Deux moi
re ? ses'mains'lui permettaient - les * mouvements normaux et'- la"
sensibilité
'était revenue. : ·- '3 q, '' i inrm `t eéwiyri
et spontanément dou)ou'rèux ? Pasd'àtaxie.Pas de diminution de la
sensibilité
. ? ? » "' "" ? 3C ? t*11'" 'Mtf «"«f» "" 1 · -1
lentement ! et le force à.'prendre le lit* aul mois de no- vembre.
Sensibilité
.; tactile.) amoindrie ? pas ! d'analgésie. t Réfl
llaires sont abolis. Dpuleurs, fulgurantes danstles quatre membres.
Sensibilité
tactile intacte partout. Aux jambes, la'sensibi
e partout. Aux jambes, la'sensibilité à la douleur a disparu et la.
sensibilité
ther- mique est pervertie. La vue est diminuée,
sion, sont encore possibles. Réflexe patellaire complètement aboli,
sensibilité
normale. 1 1 Déformation particulière des pieds
est la période prodromique, est caractérisée par des;troubles de la
sensibilité
, la rachialgie syphilitique de Charcot, et par
s : des illusions et des hallucinations de l'ouïe, de la vue, de la
sensibilité
générale, des idées de persécution hypocondria-
ans l'hémisphère droit qui pré- side de préférence aux fonctions de
sensibilité
. C'était une sorte de cécité corticale d2c tuct
s d'amyosthénie. Pas de troubles vaso- moteurs, aucun trouble de la
sensibilité
générale, ni des sens. Apophyses épineuses des
out ombilicale. Aucun -autre trouble, ni du côté des sens, ni de la
sensibilité
générale. Foie légèrement engorgé. Rate normale
pathies se traduisent, dans certains cas, par la dissociation de la
sensibilité
et non par de l'anesthésie totale; se rappeler au
s du corps, pour le développement de leur intelli- gence et de leur
sensibilité
: c'est par la pondération, par l'effort lent e
les conditions expérimentales sont identiques. Soit qu'on excite la
sensibilité
cutanée par des frictions, le sens de l'ouïe pa
de l'épididyme sur 171 épileptiques, c'est-à-dire 19, 87 p. 100. La
sensibilité
morbide du testicule n'est pas très rare chez les
a confusion mentale, le Wahnsinn et la Verrùcktheit, l'affectivité (
sensibilité
morale) ne joue qu'un rôle secondaire. d. Il peut
par contraste avec les anomalies de l'humeur et les troubles de la
sensibilité
morale, représente, sous le titre de forme princi
ne altération morbide de l'activité intellectuelle dans laquelle la
sensibilité
morale ne joue qu'un rôle secondaire. Sous le t
us la situation de ses membres et ne peut exécuter aucun mouvement.
Sensibilité
spontanée et à la pression de la colonne lombai
ujet et qu'on l'y maintient quelque temps sur l'acte commandé. La
sensibilité
ne présente pas de troubles notables. Elle sent s
ur sa peau avec une épingle pendant qu'elle a les yeux bandés. La
sensibilité
à la douleur est conservée, bien qu'un peu obtuse
à la douleur est conservée, bien qu'un peu obtuse. De même pour la
sensibilité
à la chaleur. La malade différencie les corps c
paraît salé. En somme, il n'existe pas de troubles bien nets de la
sensibilité
, ou tout au moins le mode usuel de nos explorat
fication de l'écriture consé- cutive) ; en outre il y a perte de la
sensibilité
tactile à la douleur dans la main et l'avant-br
té tactile à la douleur dans la main et l'avant-bras et perte de la
sensibilité
thermique dans la main ; altération trophique d
LIN. XXVIII. ARTIIROPATIIIE SYTINGOMYËLÎQUE ET DISSOCIATION DE LA
SENSIBILITÉ
par M. J.-B. CHARCOT. Intéressante observation
a surface, cutanée de cette région d'une zone de dissociation de la
sensibilité
du type syringomyélique, alors qu'auparavant la
n de la sensibilité du type syringomyélique, alors qu'auparavant la
sensibilité
était normale à ce niveau. La coïncidence de ce
s de douleurs, pas de troubles sphinctériens, pas de troubles de la
sensibilité
, mais tristesse et irritabilité; antécédents ne
éléments constitutifs d'un tout nosographique : les troubles de la
sensibilité
générale et spéciale (je rappelle sans décrire)
ve. Elles présentent des hallucinations de la vue, de l'ouïe, de la
sensibilité
générale. Ces phénomènes prennent fin pendant l
res sont également douloureux. 11 y a aussi quelques troubles de la
sensibilité
, notam- ment de l'hypo-esthésie symétrique au n
ement liées ; il a des hallucinations de l'ouïe, des troubles de la
sensibilité
générale. D'invisibles ennemis le traquent de t
ine, les yeux tantôt fermés, tantôt ouverts, avec une fixité et une
sensibilité
telles que tout réflexe palpébral était aboli;
us nette les stigmates classiques de l'hystérie. Les troubles de la
sensibilité
sensitivo-sensorielle sont aussi développés que
douleur, ni la température ne sont perçus en aucun point du corps ;
sensibilité
profonde abolie; perte absolue du sens 1 Commun
L'odorat et le goût sont abolis. Perte du réilexe pharyngien, de la
sensibilité
de l'anus et du rectum ; la malade prenant un l
e que le clou qui est très net. D'après l'examen des troubles de la
sensibilité
, la malade se présente donc à nous comme attein
nsitivo-sensorielle, et ne présente, en fait de modifications de la
sensibilité
, que la disparition du clou. L'amnésie, elle, s
ngés, la diminution des réflexes, de la sensation de contact, de la
sensibilité
douloureuse de cet organe qui ne perçoit plus l
ion profonde exercée comme d'ordinaire subsiste. P. K. LUI. DE la
SENSIBILITÉ
colorée; par le Dr LE DANTEC. (Journ. de méd. d
phénomène qu'il a découvert chez les hystériques anesthésiques : la
sensibilité
colorée. La couleur du spectre varie non seulem
, les yeux fermés,- de quel côté porte l'excitation. Le signe de la
sensibilité
ou signe du spectre est caractéristique d'une a
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. dans la catégorie des phénomènes de la
sensibilité
colorée. Le phé- nomène du spectre peut s'expli
par la transmission de l'exci- tation périphérique au centre de la
sensibilité
générale d'abord, puis par irradiation au centr
ère atrophie des muscles du dos et du scapulum; 4° diminution de la
sensibilité
, surtout dans la région où se divisent les rame
baisse lentement. Il n'accuse pendant cette opération qu'une légère
sensibilité
dans le bras droit; cette sensation disparait bie
ela, marcher plus d'une demi-heure. Ce n'est pas au trouble de la
sensibilité
qu'il faut attribuer ce tour de force, l'examen
ma- noeuvre qu'un homme sain. Il doit y avoir diminution de cette
sensibilité
douloureuse du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 39
iques. Ce n'est pas non plus une chorée progressive; de plus il y a
sensibilité
à la pression du sciatique st du plexus sus- cl
. Sensation de ce qui est agréable et désagréable, affectivité ou
sensibilité
morale, sont également la monnaie du décor des se
ts de la neurasthénie. On en peut rapprocher un autre trouble de la
sensibilité
morale, la terreur des hystériques. La terreur
é (la terreur vous stupéfie), la convulsibilité, les troubles de la
sensibilité
et d'autres nerfs sensoriels (cécité, surdité, in
ce. Hallucinations du goût , de l'odorat, de la vue. Troubles de la
sensibilité
générale. Systématisation du délire plus étroit
de la Belle- Jardinière, concierges. Néologismes. Troubles de la
sensibilité
générale : électricité, magnétisme'. Troubles d
es hallucinations multiples de nature pénible, des troubles de la
sensibilité
générale et du délire de persécution. . Le trou
manifestent pas moins leur haineuse animosité. Les troubles de la
sensibilité
générale sont, en effet, très fréquents; tantôt
de diminuer, le champ des persécutions s'étend; aux troubles de la
sensibilité
générale s'allient, surtout chez les femmes, de
nterprétations délirantes, hallucinations de l'ouïe, troubles de la
sensibilité
générale, toute une accumulation de preuves san
ers de la Belle-Jardinière ; concierges. Néologisme. Troubles de la
sensibilité
générale : électricité, magnétisme. 0... (Henri
us sommes en 1889. La malade a quarante-six ans. Les troubles de la
sensibilité
générale font leur apparition. L'électricité, l
-neuf ans. A l'asile, ni les hallucinations, ni les troubles -de la
sensibilité
générale ne s'atténuent. Les malades la chinent
Parallèlement à ces troubles hallucinatoires, les troubles de la
sensibilité
générale vont leur train, l'électricité la tracas
nition, l'insomnie, toutes les épreuves douloureuses auxquelles sa
sensibilité
morale est sans cesse soumise, cette manière de
ne hémianesthésie gauche très nette pour les différents modes de la
sensibilité
et une zone pseudo-ovarienne douloureuse du mêm
s de paralysie absolue des sphincters, de troubles profonds de la
sensibilité
et surtout compliqués de troubles trophiques grav
corticale doit être au reste transformée par la modification de la
sensibilité
sensorielle ; l'altération primitive du territo
s anormales, comme dans la folie systé- matique, les troubles de la
sensibilité
morale étant de nature su- bordonnée et dépenda
ixe qui s'édifie lentement sans que la conscience soit troublée, la
sensibilité
morale prenant une allure expansive; ce système
formant un groupe parfaitement séparé, des troubles primitifs de la
sensibilité
morale ou affective (Affect.-odei- Geficlclsstt
es, permettent de reconnaître tantôt une atteinte très vive de la
sensibilité
morale (mélancolie manie) tantôt une forte part
se rattachent à l'alcoolisme. M. Cramer dit, en ce qui concerne la
sensibilité
morale ou affec- tive : « elle ne joue qu'un rô
'activité con- ceptuelle. Mais il n'est pas du tout démontré que la
sensibilité
affective de ces malades n'ait pas été du tout
tout amoindrie au début. On reconnaît généralement un lien entre la
sensibilité
, l'hu- meur et le texte des conceptions. Dans l
à l'aide des sensations et des sentiments correspondants; c'est la
sensibilité
morale qui, sans conteste, règle les allures de
d'un être avec le monde extérieur n'ait pas été influencée par la
sensibilité
(terme générique) en général; naturellement nous
du tout affaire à l'idée obsédante et vivante d'une persécution. La
sensibilité
intime de ces malheureux témoigne tout au contr
se produirait-il pas chez les fous systé- matiques ? Évidemment la
sensibilité
intime entre en jeu. Tout au moins est-ce à sup
e par ces mots qu'ils sentent en eux une modifi- cation vague de la
sensibilité
. Aussi les voit-on précipités, iné- gaux, inqui
t, et ne sauraient être attribués à la suppression secondaire de la
sensibilité
par la nature des conceptions pathologiques. Il
impossible de localiser en des régions distinctes l'idéation et la
sensibilité
et d'en disséquer à ce point les rapports que nou
ations locales les plus différentes peuvent, par irradiation sur la
sensibilité
morale, engendrer ces complexus symptomatiques
ve d'un mécanisme psychologique normal, quand elle se rattache à la
sensibilité
morale, ou à des troubles de l'iden- tification
de critique des symptômes périphériques : troubles de motricité, de
sensibilité
et trophiques, montre que les observations sur
rive habituellement : elle a provoqué en outre une diminution de la
sensibilité
au niveau des plantes des pieds, de la région p
passagère, anes- thésie thermique et douloureuse, diminution de la
sensibilité
tac- tile et conservation du sens musculaire su
e motrice, d'abord complète, plus tard incomplète, diminution de la
sensibilité
tactile et perte du sens musculaire sur tout le
t la moelle épinière, sur les conducteurs chargés de transmettre la
sensibilité
à la douleur dans le côté gauche du corps et su
Sensations visuelles et auditives sub- jectives, par Fuchs, 413.
Sensibilité
colorée, par Le Dantec, 393. Séquestration de
e,Je IIlltlin, au 10\eil ; l'Ill' dilllinue di.lll la journée. La
sensibilité
au tact et à la piqùic parait (;1)]\ : ,('1'\ l'o
ntestinaux. Pas de bronchite, pas d'hémoptysie. Vue et ouïe bonnes.
Sensibilité
normale. Elle reconnaît bien ses parents et a d
fant sait monter et descendre un escalier, de même que sauter. La
sensibilité
au contact, à la douleur, il la température, es
s propres du gros orteil. Intégrité des réflexes tendineux et de la
sensibilité
, mais il y a eu au début des douleurs lancinanl
articipation pré- coce des muscles du bassin, la conservation de la
sensibilité
, l'âge de la malade, le faciès quelque peu myop
ont qu'en rire. Avec le temps ils deviennent très égoïstes, et leur
sensibilité
morale s'affaiblit trop pour qu'ils prennent pa
rent infiniment plus atteints que ceux des cuisses. Intégrité de la
sensibilité
cutanée. Douleurs et paresthésies passagères n'
('o nolalde; il existe de la dissociation ? l'il1golll{'lique de la
sensibilité
sur loul le bord t'uhilal de la main cl de l'av
uite la 7" paire cervicale. L'absence de douleurs, de irouhlcs delà
sensibilité
, l'existence de contractions librillaires et de
ndineux abolis, contractions lilrrillai- res, Pas du troubles de la
sensibilité
, pas de signes du paralysie bulllaire. Réaction
que le 1'1'1'\ l'au des pel'- sonnes orilinaiios no jouit pas d'une
sensibilité
particulière à re- gard des rayons \ ; il s'eu
bruyants. L'isolement n'amène aucune amélioration. Le réveil de la
sensibilité
sans hypnose échoue l . SOClE , l "S , S,\\,,
te hémiplégie est presque constamment accompagnée de troubles de la
sensibilité
proportionnels à l'intensité de la para- lysie
nsibililé élémentaire et de l'acinesthésie. C'est ainsi que pour la
sensibilité
tactile, on constate une dimi- nution plus ou m
tact et un défaut de la localisation de la surface cutanée. Dans la
sensibilité
à la douleur, outre la diminution de l'intensit
aladie. Dans les formes moins graves d'hémiplégie, .les troubles de
sensibilité
sont moins marqués et ont la même distribution
ie et, thermoclysesthésic, avec un très léger affaiblissement de la
sensibilité
tactile,telle eslla forme de dissociation nolée p
tion endoracliidienne d'acide prussique au centième qui supprime la
sensibilité
et la motilité, amène l'in- continence des urin
en rapport a\ec la localisation cérébelleuse. De ce trou- ble de la
sensibilité
résultent l'astasie, l'atonie, l'asymétrie des
. La répartition de la para- lysie, l'absence de tout trouble de la
sensibilité
, de sensibilité à la pression des troncs nerveu
de la para- lysie, l'absence de tout trouble de la sensibilité, de
sensibilité
à la pression des troncs nerveux, de réaction d
nts dans les membres, lassitude, douleurs, musculaires déchirantes,
sensibilité
à la pression du muscle, tels sont les symptôme
)- tren étaient accompagnées des troubles s)ringomYl'liques de la
sensibilité
. Donc la rétraction de l'aponev rose palmaire ne
dans la zone du trijumeau, des Iroub les scnsi tifs (troubles delà
sensibilité
tadilc) et des troubles frophiques (cataracte p
ès d'elle et la touchait aux par- lies » ; ces hallucinations de la
sensibilité
générale sonl généra- lement combinées avec des
té gauche. Même résultat en opérant avec un fragment de sucre. La
sensibilité
à la piqûre et au pincement est abolie, la sensi-
saul' aw cW6miLU ; la nlaiu el Ic pierl muL conservé entière leur
sensibilité
, ce qui explique la persistance du ;,cus ,I<"I
on cerveau droit, tout comme elle avait souf- fert par lui dans ses
sensibilités
générale et spéciale. Cette observation était é
spécial. Ainsi, avant le développement des centres corticaux de la
sensibilité
on ses modalités diverses, tous les processus n
sont emparés des processus psychiques liés à tel ou tel mode de la
sensibilité
, tandis que les centres sous-corticaux ont serv
ercostaux du côté droit. Le malade, avec d'autres désordres de la
sensibilité
cutanée, ne sentpointen une région cutanée la c
pareil des impressions thermiques. On ne peut dire qu'il existe une
sensibilité
générale thermique comparable à la sensibilité
e qu'il existe une sensibilité générale thermique comparable à la
sensibilité
tactile, douloureuse,etc. Dans l'anesthésie à l'é
La comparaison des si¡ ! 1H's cliniques -observés relativement à la
sensibilité
eLilla vaso-molricilé, avec les constatations h
que ou du sympathique, les centres corticaux de perception de la
sensibilité
générale. On conçoit, que si la réceptivité de ce
re». Guérison et redressement complet. Il s'agirait d'un trouble de
sensibilité
de nature hystérique, ayant produit de la contr
es- que apopjectiforme, douleurs terribles ininterrompues, grande
sensibilité
à la pression des nerfs et muscles, atteinte quas
absence du réflexe du tendon d'A- chille d'un cote, troubles de la
sensibilité
cutanée) (assurent le diagnostic : observation
éprouvée, la criminalité se pouvant grelfer sur des troubles de la
sensibilité
, et de la volonté, et non sur des altérations d
ctobre à JI. (alwnnes, Celui-ci, consla- tant alors des troubles de
sensibilité
dans le côté droit, pense à l'hystérie et adres
men de l'appareil de la vision. Valentine présente à l'examen de la
sensibilité
une hé»i-anes- thésie droite qui est totale pou
ibilité une hé»i-anes- thésie droite qui est totale pour toutes les
sensibilités
superficiel- les : contact, piqûre, douleur, te
superficiel- les : contact, piqûre, douleur, température seule ; la
sensibilité
électrique cutanée n'est pas complètement aboli
ique cutanée n'est pas complètement abolie ; en ce qui concerne les
sensibilités
profondes, les sensibilités osseuse, tendineuse
ètement abolie ; en ce qui concerne les sensibilités profondes, les
sensibilités
osseuse, tendineuse, el nerveuse sont abolies ;
ieux que l'en- trée en action du sens stéréognostique réveillait la
sensibilité
thermique au niveau de la main (1). Adroite,
erne et externe, sont insensibles à droite, mais la recherche de la
sensibilité
provoque la sécrétion des lar- mes. La sensibil
recherche de la sensibilité provoque la sécrétion des lar- mes. La
sensibilité
conjonctivo-cornéonuo est au co ntraire nor- (1
SIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES LXXX1Y. Contribution à la question de la
sensibilité
vibra- toire (osseuse),pal' E.A.Schtschkrbak. N
\'111. 1901. ) De la localisation et de la valeur clinique de la
sensibilité
osseuse ou vibratoire, par L..Minou. (Neurolog.
constituent des absor- bant. ("liez les sujets pathologiques, la
sensibilité
vibratoire peut pré- SfiKcr des altérations tou
'élatle la sen- sibilité profonde et de tous les autres modes de la
sensibilité
cu- tanée. D'où la nécessité de rechercher chez
u- tanée. D'où la nécessité de rechercher chez tout névropathe la
sensibilité
vibratoire en même lempsque les autres modes de l
la sensibilité vibratoire en même lempsque les autres modes de la
sensibilité
. Ilexisteune hypoesthesie, une anestbésie, une hy
n côté aux conclusions suivantes : 1° Pour comparer exactement la
sensibilité
vibratoire avec les autres qualités de la sensa
intégrité des os n'est pas du tout indispensable àl'intégrité de la
sensibilité
vibratoire ; celle-ci peut demeurer normale dans
turé et une articulation fortement altérée continuent à conduire la
sensibilité
vibratoire. 4" La périostite, la carie, les épa
des parties molles comme les téguments cutanés, dépourvues de toute
sensibilité
à raison d'une lésion transverse de la moelle,
ue lesjointUl'es ne jouent guère de rôle dans la transmission de la
sensibilité
vibratoire, et qu'il ne saurait être question d
t d'application,ainsi que cela a lieu pour les au- tres modes de la
sensibilité
cutanée. 9° Quand le nerf périphé- rique est lé
. 9° Quand le nerf périphé- rique est lésé en même tempsquel'os, la
sensibilité
vibratoire dis- paraît généralement. 10° Elle e
e nouvelles recherches sont nécessaires pour savoir s'il existe une
sensibilité
osseuse spéciall ? 1 1 En somme, la nouvelle mé
supporter la compa- raison avec les anciens procédés d'examen de la
sensibilité
, ni quanta la simplicité de l'épreuve, ni quant
xcitation mais à une sommation d'excitations. 120 Il se peut que la
sensibilité
vibratoire trouve son application en neuro-path
tte tolérance vis-a-vis du corps étranger est la diminution de la
sensibilité
réflexe du pharynx jointe à la diminution de la
de la sensibilité réflexe du pharynx jointe à la diminution de la
sensibilité
générale. Enfin, il cette absence de si- gnes c
mineuse. Prolonge-t-on la fermeture à l'anode, la rétine perd de sa
sensibilité
; elle se fatigue comme lorsqu'elle est soumise
lorsqu'elle est soumise àun éclairage intense, et,en même temps, sa
sensibilité
réflexe s'épuise ; c'est l'inverse pour la fer-
onditions ha : bituelles et n'est pas augmentée par la cocaïne : la
sensibilité
de ces pupilles à l'égard de la cocaïne parait
e du sens musculaire aux doigts des deux mains avec intégrité de la
sensibilité
de la main et de l'avant-bras ; par GOUCHARD, (
ne hémiplégie incomplète du côté droit avec quelques troubles de la
sensibilité
n droite. À gauche, conservation delà sensibili
es troubles de la sensibilité n droite. À gauche, conservation delà
sensibilité
au contact et diminution de la sensibilité à la
auche, conservation delà sensibilité au contact et diminution de la
sensibilité
à la douleur et à la chaleur jusqu'au niveau du
'agit d'une hématomyélie spontanée. Les troubles radiculaires de la
sensibilité
permettent de localiser la lésion dans la subst
ystagmus, mais pas de troubles électriques, pas d'altérations de la
sensibilité
, pas d'amyotrophie. Les plaques auraient leur l
autre trouble moteur de la face et des membres, aucun trouble de la
sensibilité
, ni des réflexes ni des vasomoteurs. Une lésion
erte du musculaire aux doigts des deux mains avec intégrité de la
sensibilité
de la main de l'avant-bras ; par Bouchard, 44
la sensibilité de la main de l'avant-bras ; par Bouchard, 445.
Sensibilité
vibratoire (osseuse). Contribution à la questio
rprété, et, pour notre confrère, les troubles de la mobilité et de la
sensibilité
devaient plutôt se rattacher à l'hystérie traumat
es qui admettent que certaines races, (jaune, rouge ou noire), ont la
sensibilité
plus émoussée que la race blanche. En effet, ils
mais réel. En second lieu, l'on sait que, pendant le sommeil, notre
sensibilité
interne devient plus subtile, plus ténue, plus fi
1° Groupe des anomalies psychiques ; 2° Groupe des anomalies de la
sensibilité
; 3° Groupe des anomalies de la motricité ou de
Voyons maintenant ce qui se passe dans le groupe des phénomènes de la
sensibilité
. Et d'abord, qu'est-ce que la sensibilité? On p
groupe des phénomènes de la sensibilité. Et d'abord, qu'est-ce que la
sensibilité
? On pourrait définir la sensibilité, la faculté
é. Et d'abord, qu'est-ce que la sensibilité? On pourrait définir la
sensibilité
, la faculté qui nous fait percevoir une sensation
exciter un nerf. Cette définition très large comprend à la fois, la
sensibilité
sensorielle, quelle qu'elle soit, et la sensibili
end à la fois, la sensibilité sensorielle, quelle qu'elle soit, et la
sensibilité
tactile. Mais il est évident aussi que cette sens
soit, et la sensibilité tactile. Mais il est évident aussi que cette
sensibilité
comprend dans ses genres bien des degrés différen
e sensibilité comprend dans ses genres bien des degrés différents. La
sensibilité
normale devra être considérée comme la région moy
ion de l'état normal, et nous allons voir que ces modifications de la
sensibilité
en plus ou en moins vont nous apparaître s'écarta
ormale. Qu'est-ce en effet que le premier degré d'exagération de la
sensibilité
1 C'est une sensibilité telle qu'une excitation q
ffet que le premier degré d'exagération de la sensibilité 1 C'est une
sensibilité
telle qu'une excitation qui ne produirait normale
'autre côté de la normale, comme premier degré de la diminution de la
sensibilité
? C'est une sensibilité qui perçoit d'une façon tr
le, comme premier degré de la diminution de la sensibilité? C'est une
sensibilité
qui perçoit d'une façon trop faible les impressio
e pour le mettre en regard de l'hyperesthésie, et nous y joindrons la
sensibilité
retardée. Revenons à la sensibilité exagérée; q
sthésie, et nous y joindrons la sensibilité retardée. Revenons à la
sensibilité
exagérée; que trouvons-nous au point extrême de c
xagérée; que trouvons-nous au point extrême de cette exaltation de la
sensibilité
? C'est une sensibilité telle qu'une excitation im
ous au point extrême de cette exaltation de la sensibilité? C'est une
sensibilité
telle qu'une excitation imperceptible produit une
reste être purement psychique. L'exagération de la diminution de la
sensibilité
nous conduit à l'autre point extrême. C'est un ét
tation quelle qu'elle soit, ne produit plus aucune impression, car la
sensibilité
pourra toujours être indéfiniment diminuée jusqu'
qu'à ce qu'elle ait totalement disparu. La disparition complète de la
sensibilité
c'est l'anesthésie. Si nous récapitulons tout c
sthésie. Si nous récapitulons tout ce que nous venons de dire de la
sensibilité
, nous voyons que nous avons une progression compl
nt les grandes étapes seront : L'anesthésie. L;hypoesthésie ou la
sensibilité
retardée. La sensibilité normale. L'hyperesthésie
ont : L'anesthésie. L;hypoesthésie ou la sensibilité retardée. La
sensibilité
normale. L'hyperesthésie. La douleur. Et si nou
sion et la simplifier par une formule algérique en fonction de la
sensibilité
normale, nous pourrons dire. La sensibilité nor
rique en fonction de la sensibilité normale, nous pourrons dire. La
sensibilité
normale sera exprimée par S ; l'hypoesthésie par
tteindre. Pour les phénomènes de force comme pour les phénomènes de
sensibilité
, nous allons trouver des anomalies dans le sens d
gression aussi complète et aussi régulière que pour les phénomènes de
sensibilité
. Celte progression sera : La paralysie. La pa
F Une autre présentera de l'aboulie, de l'apathie. Diminution de la
sensibilité
par places rétrécissement du champ visuel. Trembl
F = F+n Prenons un cas de troubles plus accusés, à la fois de la
sensibilité
et de la force. Esprit brillant. Emotivité exagér
aite. Elle est aussi indispensable que l'examen des réflexes ou de la
sensibilité
. Les renseignements que donne l'hypnotisation son
on. Vous ramenez les troubles de la pensée, aussi bien que ceux de la
sensibilité
ou de la motilité, comme un effet à une cause, à
dant ce phénomène est souvent accompagné d'une forte diminution de la
sensibilité
, l'insecte demeurant immobile si on le pique ou l
s ; la couche graisseuse sous-cutanée est suffisamment développée. La
sensibilité
de la peau est tout à fait normale. Les réflexes
ues, soit des crises de nerfs avant ou après, soit des troubles de la
sensibilité
. Or, ici, on ne constate aucun des stigmates perm
vulsions cloniques plus ou moins prononcées, une perte complète de la
sensibilité
et de connaissance, de sorte que l'auteur a pu, c
dans une élude complète sur le diagnostic et sur les modalités de la
sensibilité
hypnotique. Pour le moment, nous voulons simpleme
e. Des notre premier examen, nous avons constaté chez lui une telle
sensibilité
à l'hypnotisme que nous avons pensé qu'il ne s'ag
compléterons notre traitement en renfermant dans de justes limites sa
sensibilité
à l'hypnotisme qui, lorsqu'elle atteint de telles
quelques minutes de vibration locale, nous obtenions le retour de la
sensibilité
dans le côté hémianesthé-sique. Dans plusieurs ca
s cas ce retour de l'hémianes-thésie était obtenu par transfert de la
sensibilité
d'un côté à l'autre. Après avoir étudié avec Bu
les et répétées. L'excitant pouvait d'ailleurs s'adresser soit à la
sensibilité
spéciale, soit à la sensibilité générale. J'ai
uvait d'ailleurs s'adresser soit à la sensibilité spéciale, soit à la
sensibilité
générale. J'ai pu guérir de cette façon un gran
en branle parfois avec une ardeur incomparable (Dr Letulle). Sur la
sensibilité
: le caractère devient aimable (phtisis amabilis)
otre propre corps; de même, en observant les actions produites par la
sensibilité
qu'ils ont, ainsi que nous, on peut acquérir des
iences présentant tous les degrés de perfection depuis la plus sourde
sensibilité
jusqu'aux intelligences voisines de la nôtre. D
aires de l'hypnose, de la suggestion, des modifications connues de la
sensibilité
, des troubles psychiques si variés de l'hystérie
tre visuel : écorce de la région calcarinienne. T : Centre tactile (
sensibilité
générale) : écorce de la région périrolan-dique.
he. aA, uV, tT : voies centripètes de l'audition, de la vision, de la
sensibilité
générale... Ee, Mm, Kk ; voies centrifuges de l
réception, comme A (centre auditif), V (centre visuel), T (centre de
sensibilité
générale); de l'autre, les centres moteurs, de tr
certaines impressions sensorielles et certains ne conservent que des
sensibilités
partielles, systématisées, électives : un enfant
caractéristique de l'hypnose (3). Il en est de même de l'état de la
sensibilité
. Beaucoup de sujets sont insensibles à toutes les
titude ou de mouvement; d'autres conservent totalité ou partie de ces
sensibilités
; nous décrirons chez certains de curieuses sensib
partie de ces sensibilités; nous décrirons chez certains de curieuses
sensibilités
électives ou des anesthésies systématisées....
s uns des autres. Ainsi l'hyperesthésie n'est que l'exagération de la
sensibilité
et la paralysie n'est que l'exagération de la fai
resthésie et la paralysie sont des phénomènes morbides, tandis que la
sensibilité
et la faiblesse ne sont ou peuvent n'être que des
e ce qui se passe; l'anesthésie de la main droite est totale. Ici, la
sensibilité
est absolument intacte et il n'existe aucun signe
c la manière dont sont organisés, chez l'individu, l'intelligence, la
sensibilité
et le caractère. Des causes morales extérieures à
qui s'y rapportent acquérir, durant le sommeil un degré plus grand de
sensibilité
. La mémoire, l'association des idées, l'imaginati
hausses. Le fait m'a été certifié par un de ses amis personnels. La
sensibilité
d'Adolphe Nourrit, de l'Opéra, s'était tellement
us les réflexes étaient normaux; il ne fut relevé aucun trouble de la
sensibilité
, ni de la motilité. Nous recherchâmes soigneuseme
; retour de la motilité avec hémiplégie droite (marche), retour de la
sensibilité
(miction) ; retour de la conscience ; aphasie par
z du tremblement alcoolique. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 5 La
sensibilité
parait normale des deux côtés, mais cette recherc
plète; de plus, il paraissait y avoir une légère dimi- nution de la
sensibilité
du même côté. La face ne présentait aucune para
0). La voracité a été notée dans 2,1 p. 100. ' Le- troubles de la
sensibilité
générale se rencontrent dans 43,3 cas p. 100; i
peaucier du cou. Intégrité du voile du palais, de la luette, de la
sensibilité
, des fonctions sudorales, de la coloration, de
E. Bn : RN.IC¡(1. (Neurolog. Centmlbl., XIII, 1894.) L'examen de la
sensibilité
à la pression du nerf cubital entre l'olécrâne
S. FBEUND. (Neurolog. Centralbl., XIII., 1894.). , . Ce sont : la
sensibilité
à la pression des vertèbres dorsales supé- rieu
e bassin s'inclinant du côté de la jambe oscillante. L'examen de la
sensibilité
électrique démontre, d'une façon géné- rale, un
1 Le membre, inférieur droit n'est pas du tout paralysé, mais la
sensibilité
y est fortement lésée : anesthésie à la douleur,
ons de contact et de pression sont conservées. Ces troubles de la
sensibilité
dépassent le membre et on les retrouve à la moi
accompagnée DE réactions ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE TROUBLES DE LA
SENSIBILITÉ
; par - M. Thomas-D. SA VILLE (de Londres). Trad
le tabes sensitif, les fibres ner- veuses centripètes de toutes les
sensibilités
subissent la dégénéres- cence, et que dans le t
énéres- cence, et que dans le tabes moteur, les seules fibres de la
sensibilité
réflexe sont atteintes. Comment, avec cette t
ngomyélie comprend : l'atro- phie musculaire, la dissociation de la
sensibilité
et les troubles trophiques. Chaque symptôme peu
: . Observation. Monoplégie brachiale droite. Dissociation de la
sensibilité
, arthropathies multiples. Luxation spontanée de l
s névrites périphériques il peut y avoir de la dissocia- tion de la
sensibilité
. En réalité, cependant, et la chose n'est pas d
e. Les membres inférieurs sont raides, en extension constante. La
sensibilité
est conservée, les réflexes sont normaux. Même tr
le champ de la cons- cience, déchaîne les instincts et oblitère la
sensibilité
morale. Nous avons été chargés récemment, le D'
thésie (Féré, Lannegrâce, Bechterew) résulte de la diminution de la
sensibilité
générale du globe de l'oeil qui fait partie int
; il a ainsi obtenu une hémianesthésie faciale et céphalique de la
sensibilité
tactile et douloureuse ; avec elle est survenue
ns spéciaux est donc bien la résultante de la suppres- sion de leur
sensibilité
générale. Quel en est le mécanisme ? Est-ce par
gée*de trente et un ans, d'idées de persécution avec troubles de la
sensibilité
générale et chez la seconde, âgée de quarante-s
ments. Elancements douloureux, mais pas de troubles bien nets de la
sensibilité
provoquée. Les lésions des sommets ont fait des
e und Nerven- heilkunde, XXXV), a pu observer la dissociation de la
sensibilité
après les hémorragies dans le voisinage du cana
te ou incomplète. Cette paraplégie est accompagnée de lésions de la
sensibilité
, de l'innervation de la vessie et du rectum, de
de quelques symptômes : les réflexes rotuliens, par exemple, et la
sensibilité
dissociée. Les lésions isolées, ou même quelque
e, amaigri, pâle. Extrémités inférieures légère- ment oedémateuses.
Sensibilité
exagérée aux extrémités inférieures et dans l'h
les se traduisent par des troubles du mouvement, des troubles de la
sensibilité
et des troubles de l'intelligence, confondant s
la vue si rares chez le persécuté adulte, de troubles variés de la
sensibilité
générale, et en particulier des troubles de la
és de la sensibilité générale, et en particulier des troubles de la
sensibilité
génitale. L'évolution du délire de persécution
ubles sensoriels visuels dans la moitié des cas; des troubles de la
sensibilité
générale dans un quart. Les hallucinations du goû
ns sont maladroites et tremblent également. Pas de troubles de la
sensibilité
ni des sens, sauf de l'odorat qui paraît alfaib
leurs dans les membres supérieurs, de l'engourdissement et de l'in-
sensibilité
des mains dans leur partie cubitale surtout, de l
nation motrice considérable, les réflexes rotuliens sont abolis; la
sensibilité
est à peu près conservée, sauf à l'extré- mité
étérisme contient un peu d'albumine. A droite, paralysie mo- trice,
sensibilité
conservée. Mort au bout de six jours par pneu-
dans le second il est droitier. Varia- tions du caractère et de la
sensibilité
générale et des sens spéciaux dans les deux éta
tait fréquemment accompagnée par des accès plus ou moins définis de
sensibilité
superficielle. Il n'avait considéré ces phénomè
ion des différentes branches du trijumeau montrent que les zones de
sensibilité
ne correspondent pas à leur distribution; 4° co
et abdomi- naux ne produisent pas seulement de la douleur et de la
sensibilité
dans le corps, mais encore sur certaines partie
M. IIfARINESCO. La syringomyélie caractérisée par des troubles de
sensibilité
et des amyotrophies du type Aran-Duchenne relève
omme des troubles paralytiques très intenses et la perversion de la
sensibilité
tactile. M. le professeur RoTa (de Moscou). Je
cliniques connus sous le nom de dissociation syringomyélique de la
sensibilité
, elle n'a rien de commun avec la cavité syringo
u trijumeau aux troubles de dissociation dite syringomyélique de la
sensibilité
. Dans les cas de syringomyélie gliomateuse, c'est
ditions anatomiques de la disso- ciation dite syringomyélique de la
sensibilité
sont tout autres que dans la gliomatose (avec o
ques des mains et des doigts. Le sens musculaire est conservé. La
sensibilité
cutanée est altérée sur toute la surface du corps
e, pas de réaction ou réaction très faible; au contact du doigt, la
sensibilité
paraît conservée; les objets froids (comme un v
a surface du corps comme une sensation de chaleur (perversion de la
sensibilité
thermique pour le froid); pour les objets chaud
de la sensibilité thermique pour le froid); pour les objets chauds,
sensibilité
émoussée. La vue, l'ouïe, l'odorat, le goût sem
E. matières fécales et anesthésie complète pour tous les modes de
sensibilité
. Pensant qu'il s'agissait d'une hydrorachis san
ement chez ses malades la percussion afin de déterminer le degré de
sensibilité
locale delà tête et de la colonne vertébrale. I
e osseuse syphilitique); la seconde révèle des lésions pro- fondes (
sensibilité
pariétale des épileptiques, sensibilité occipital
le des lésions pro- fondes (sensibilité pariétale des épileptiques,
sensibilité
occipitale de certaines affections cérébrales),
onne conservation de la force des mouvements, pas de troubles de la
sensibilité
, conservation des sphincters, anomalies psychique
olonne vertébrale ; ils commandaient mieux à leurs membres, et leur
sensibilité
était moins obtuse. Dans un des cas rapportés l
avec hyperexcitabilité idiomusculaire, une légère diminution de la
sensibilité
à la douleur; en outre, signe de Romberg, démar
Même traitement. L'enfant se plaint de douleurs lom- baires, de la
sensibilité
de ses seins, de lassitude dans les jambes.- Ca
. - Mydriase. Intégrité des fonctions du rectum et de la vessie. La
sensibilité
cutanée ne parait pas modifiée. - L'articulatio
es de la névrite multiple (paralysies, amyotrophies, troubles de la
sensibilité
), présente une forme clinique bien définie. Il
ant l'apparence d'une affection spéciale aiguë, b). Désordres de la
sensibilité
(fourmillements, hypoesthésie ou anesthésie, hy
anorexie, d'une faiblesse générale nolable, de symptômes sensilifs,
sensibilité
des nerfs à la pression, hypereslhésie cutanée.
s sont : le début la plupart du temps aigu, avec des troubles de la
sensibilité
, désordres de la mémoire, agitation, délire; l'
sp. di frein., t. 1, fasc. 111-1V.) Dans la folie épileptique, la
sensibilité
à la douleur est la plupart du temps diminuée,
sont plus intenses; les cutanés et les muqueux faibles ou nuls, la
sensibilité
à la douleur moindre. Dans la folie paralytique
uleur moindre. Dans la folie paralytique, à la période initiale, la
sensibilité
à la douleur est quelquefois abolie, les réflex
seconde période, exagération du plan- taire, affaiblissement de la
sensibilité
à la douleur. - A la troisième période, la sens
sement de la sensibilité à la douleur. - A la troisième période, la
sensibilité
à la douleur devient très faible, les réflexes
sculaires énergiques. Dans les accès épileptiques ou congestifs, la
sensibilité
à la dou- leur est faible ou nulle, les réflexe
l'autre côté. Dans la folie alcoolique, exagération fréquente de la
sensibilité
à la douleur, des réflexes plantaire, idio-musc
-mus- culaires sont normaux, le patellaire rapide. Dans la manie,
sensibilité
à la douleur vive; réflexes cutanés et muqueux
insi que les idio-musculaires et tendineux.- Dans la mélancolie, la
sensibilité
à la douleur est normale, ou exagérée; les réfl
us les réflexes. Dans la paranoïa, les réflexes restent normaux, la
sensibilité
à la douleur est parfois diminuée.-Dans l'imbéc
nsibilité à la douleur est parfois diminuée.-Dans l'imbécillité, la
sensibilité
à la douleur est au-dessous de la normale; les
autres réflexes ra- pides, les tendineux vifs. - Dans l'idiotie, la
sensibilité
à la douleur est faible, de même que les réflex
ent troublés. Dans les affections de l'écorce, les troubles de la
sensibilité
gé- nérale confirment la théorie qui y fait rés
e qui y fait résider, unis aux centres moteurs, des centres pour la
sensibilité
générale : la diminution ou l'abolition des réf
suivants : à gauche, ptosis de moyenne intensité, obtusion de la
sensibilité
à la douleur dans la pallie supérieure du territo
hie musculaire et contracture des extrémités, légère obtusion de la
sensibilité
. Les mouvements du globe de l'oeil gauche sont
de muscles. Pas de tremblements fibrillaires. Pas de troubles de la
sensibilité
aux membres supérieurs. Dans ce cas, contrairem
l psychique, les troubles moteurs et les auties modifications de la
sensibilité
. M. M\x LAEHR a recherché le signe du cubital c
t à noter que dans ces cas, il existait en outre des troubles de la
sensibilité
dans le territoire du cubital ; chez quelques-u
rimitive avec réac- tions électriques anormales et troubles de la
sensibilité
par Sa- ville, 67. Analgésie du tronc cubital
uscles de laface, par Bernhardt 59. - nerveuses et troubles de la
sensibilité
, par Brissaud, 68. - musculaire progressive, ty
priétés biologiques beaucoup plus générales encore, des facultés de
sensibilité
, d'adaptation et de mémoire de la matière vivan
donnés par les centres nerveux et transmis par les nerfs. Enfin, la
sensibilité
sous ses divers modes influence à tout instant
rtains cas, chez les ataxiques en particulier, la rééducation de la
sensibilité
est importante pour le rétablissement des fonct
ourrons d'une part, nous adresser aux moyens propres à réveiller la
sensibilité
et compter d'autre part sur l'action compensatr
fréquence des mou- vements involontaires, enfin nous savons que la
sensibilité
musculaire est capable de suppléer la sensibili
ous savons que la sensibilité musculaire est capable de suppléer la
sensibilité
articulaire toujours plus profondément touchée,
n tiendra grand compte aussi des troubles de la 78 THÉRAPEUTIQUE.
sensibilité
et surtout de la sensibilité profonde. Enfin les
des troubles de la 78 THÉRAPEUTIQUE. sensibilité et surtout de la
sensibilité
profonde. Enfin les ' localisations propres à c
ou par lésions acquises des centres ner- veux : la musculature, les
sensibilités
et les réflexes sont demeurés intacts. L'autops
au, soit par tout le corps, soit seulement en quelques endroits, et
sensibilité
à la pres- sion de plusieurs troncs nerveux (sc
e réflexe unilatérale, ni à l'inégalité des pupilles et à l'inégale
sensibilité
réflexe de l'immobilité pupillaire réflexe bila
ant à l'autre noyau sphinctérien, produire l'égalité parfaite de la
sensibilité
réflexe ; où que gise la lésion dans le trajet
ique sont tout autres (Heddoeus), et l'inté- grité fréquente de la.
sensibilité
malgré l'existence du myosis et de l'immobilité
nu, il résiste au bruit le plus intense et au mouvement sans que la
sensibilité
ni les réflexes ne soient nullement troublés; c
t prospère : il a engraissé de 4 kilogs. Il existe encore un peu de
sensibilité
à la pression des points d'émergence des nerfs
main droite et pouvait la brûler sans aucune douleur, alors que la
sensibilité
tactile était conservée. Les mouvements de l'ar
. Les deux affections articulaires étaient comme les troubles de la
sensibilité
dus à la syringomyélie. Or ces derniers trouble
isolé dans l'organisme.'Le tempérament s'identifie chez eux avec la
sensibilité
. M. Fouillée et M. Manouvrier, retournent à une
ot, l'essence du]caractère doit être cherchée exclusivement dans la
sensibilité
. 11 n'est que la prépondérance native d'un inst
il qu'elle n'y est rien . N'est-elle pas innée au même titre que la
sensibilité
, et ne peut-elle pas modifier cette dernière .
e caractère une synthèse des trois grandes facultés psychiques : la
sensibilité
, l'intelligence et l'activité. Nous devons, no
ur, montrent l'absence de rapport constant entre les troubles de la
sensibilité
cutanée et ceux de la sensibilité acoutisque ;
constant entre les troubles de la sensibilité cutanée et ceux de la
sensibilité
acoutisque ; l'existence d'hypoesthésie acoustiqu
les hystériques, alors même qu'ils ne présentent aucun trouble delà
sensibilité
, apparaît évidente dans la plupart des cas. L'a
ions de l'ouïe et de la vue, troubles du goût, de l'odorat et de la
sensibilité
générale », et devint le sujet actif d'une foli
persécution, illusions et hallucinations multiples, troubles de la
sensibilité
générale, interprétations délirantes. Excitation
els apparaissent ; ce sont des troubles du goût, de l'odorat, de la
sensibilité
générale, l'activité du délire est à son apogée
motrices ne détermine pas chez tout le monde un égal désordre de la
sensibilité
, an point de vue de l'intensité ou de l'étendue
ndant la soirée qui suit les accès. La muqueuse nasale présente une
sensibilité
exagérée au niveau d'un éperon de la cloison.
intérosseux sont paralysés par suite le cubital. Les troubles de la
sensibilité
consistent en une anesthésie profonde complète
ils s'exagèrent dès qu'elle parle ou qu'on lui parle de sa maladie.
Sensibilité
cutanée normale ; les réflexes sont impossibles
gérés. Réflexes cutanés exa- gérés. Pas de troubles objectifs de la
sensibilité
. Troubles oculaires (pupilles inégales avec myd
vaste des- truction de toute cette région fait aussi disparaître la
sensibilité
tactile de la langue, et cette anesthésie est e
struction bilatérale a été importante : il est probable qu'alors la
sensibilité
tactile et les fonctions de l'écorce des partie
HOLOGIQUES. 267 vienne antérieure est principalement le siège de la
sensibilité
tac- tile de la langue, de l'acide et du sucré.
antérieure, celui du sucré à sa partie supérieure : le centre de la
sensibilité
tactile de la langue occuperait, dans la même c
c atrophie musculaire et contractions fibrillaires ; troubles de la
sensibilité
cutanée avec retard des sensations et douleurs
olition des réflexes rotuliens, sans amyotrophie, ni troubles de la
sensibilité
. L'auteur incline à croire que ces troubles son
ence, atrophie musculaire, etc. Il n'existait pas de troubles de la
sensibilité
. C'est en se fondant sur le développement rapid
ents : pas de rétrécissement du champ visuel, pas de troubles de la
sensibilité
. Le traitement a été commencé le 30 avril 1900,
des crises, mais dans leur intervalle il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
. La malade a usé de tous les médicaments qu'on
n ne constate en dehors de ces phénomènes aucune modification de la
sensibilité
, dans aucun de ces modes; il n'y a ni troubles
la sensibilité, dans aucun de ces modes; il n'y a ni troubles de la
sensibilité
gustative ni salivation anormale; mais la malad
le ont disparu presque complètement, ne laissant plus qu'une légère
sensibilité
. Les paroxysmes sont devenus très rares, très l
et la démarche un peu spasmodique. Aussitôt qu'on veut explorer la
sensibilité
, le corps entier entre en une raideur généralis
l faut considérer comme symptômes cons- tants : la diminution de la
sensibilité
à la douleur et l'exagération de la tonicité mu
es, quelquefois des idées de persécution liées à des troubles de la
sensibilité
. Une hygiène sévère, la diète lactée, les purga
; la sensi- bilité à leur niveau était tout à fait différente de la
sensibilité
de la peau aux endroits non dépigmentés. L'abse
4 ou 5 exceptions acci- dentelles sur le total des mesures. 2° La
sensibilité
cutanée a été trouvée généralement plus affinée
tables de Weber (sauf pour le visage). 3° La distribution de cette
sensibilité
ne varie pas seulement d'une région à l'autre :
stri- butions des nerfs cutanés. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 4° La
sensibilité
même de chaque région est sujette à des variati
bles et dissemblables est donc la méthode de choix pour explorer la
sensibilité
cutanée et vérifier l'attention des réponses, t
en rapide et précis. LE Président. Les recherches effectuées sur la
sensibilité
sont toujours intéressantes, parce qu'elles son
grades. Comme le froid a pour effet de diminuer considérablement la
sensibilité
de la peau, nous avons opéré sur des modèles d'
ie flasque avec relâchement des sphincters, irtégrité de toutes les
sensibilités
, réactions normales à la galvanisation et à la
Les radiographies sont communiquées. Note sur les altérations de la
sensibilité
et leur rapport à la po'cep- tion de l'espace,
..., au point de vue de la dégénérescence des diverses formes de la
sensibilité
, et des modifications que la pré- sence des tro
l'espace, a conduit les auteurs aux conclusions suivantes : 1" La
sensibilité
tactile superficielle, mesurée à l'aide d'aiguill
niers, les erreurs de localisation sont presque constantes. 2° La
sensibilité
à la douleur et à la chaleur thermique, mesurée
eau distillée pesant o gr. 02, est diminuée. Le rapport de ces deux
sensibilités
est exprimé par la loi formulée parE. Veress po
proportion analogue; les courbes exprimant les valeurs de ces deux
sensibilités
suivent une même marche ascen- dante ou descend
ités suivent une même marche ascen- dante ou descendante. » 3° La
sensibilité
musculaire profonde, dynamique, est seule con-
patellaires sont plus exagérés du côté droit que du côté gauche. La
sensibilité
dans toutes ses espèces n'est pas troublée ; le
insignifiante du nerf facial, ne présentent rien de particulier. La
sensibilité
est normale. Les mouvements volontaires sont un
fonctions du système nerveux cérébro-spinal parais- sent intactes :
sensibilité
générale, organes sensoriels, moti- lité, intel
abilité des muscles et des nerfs se traduit par une diminu- tion de
sensibilité
avec variations lentes de potentiel, la réaction
pré- sente à l'état normal ou du côté sain. G. Deny. XXIX. De la
sensibilité
du squelette ; par le Dr Max Egger. , L'auteur
de régénération car tandis que pendant les deux premières années la
sensibilité
ne pouvait être rappelée par aucun procédé, dan
hésie gauche avec le caractère de la diminution centripète pour les
sensibilités
superficielles. Dans les deux cas, perte complè
roubles sensitifs égaux. Chez l'ata- xique une perte complète de la
sensibilité
profonde, la réalisa- tiou exacte d'une attitud
les mouvements passifs, on observe partout une légère rigidité. La
sensibilité
cutanée est nor- male, mais le sens musculaire
s constants et faradiques, instruments pour l'examen du sang, de la
sensibilité
, du fond de l'oeil, des réflexes (appareil mul-
toute leur étendue. Les ongles sont amincis. Pas de troubles de la
sensibilité
. Subjectivement, la malade n'accuse qu'une sensa-
affection : amyotrophie, réaction de dégénérescence, troubles des
sensibilités
, localisation nette aux membres inférieurs, intég
délirants, ne peut y vivre. Les hallucinations, les troubles de la
sensibilité
sont attribués à l'influence des esprits. On étai
cas semblables. SOCIÉTÉS savantes. 549 Du trouble dissocié de la
sensibilité
cutanée dans la lésion du tronc cérébral. Dr
urmillements dans la moitié gauche de la face et la main gauche. La
sensibilité
tactile'partout normale. Analgésie et tlzeumonn
extrémités sont normaux. Douleurs dans la moitié droite de la tête.
Sensibilité
tactile normale partout. Un affaiblissement trè
sens tactile est sans modifications. Abaissement très profond de la
sensibilité
thermique et douloureuse sur toute la moitié ga
fulgurantes dans la région de la branche II du trijemeau gauche. La
sensibilité
tactile est conservée partout. Profonde anesthé
rmoanesthésie unilatérales ou entrecroisées avec conservation de la
sensibilité
tactile (la dissociation syringo- myélique) du
. M. Alax EGGER. La méthode des relevés périodiques de l'état des
sensibilités
a montré que les anestbésies organiques (tabès,
60 piqûres par seconde. Avec cet instrument on réveille partout la
sensibilité
où la dégénérescence nerveuse a créé de l'anest
hie du - par l'hilippe, 375. Le des altitudes, par Bon nier, 459.
Sensibilité
. De la - du squelette, par Egger, li-53 - Voir
ABORATEURS. de lariéglutition. Voir Diplégie. Du - dissocié de la
sensibilité
cutanée dans la lésion du tronc cérébral, par
dation et à la convergence. Le réflexe consensuel est conservé. Les
sensibilités
superficielles (tactile, thermique et à la douleu
(tactile, thermique et à la douleur) sont normales, de même que les
sensibilités
profondes (attitudes segmenlaires, sens stéréogno
u niveau des orteils, mais on ne notait aucun trouble évident de la
sensibilité
objective locale, pas plus que des modification
ion ver- ticale et 78 en station horizontale. Pas de troubles de la
sensibilité
cutanée. Réflexes rotuliens très augmentés. Pas
en rapport probable avec une lésion de la voie centrifuge. . . La
sensibilité
est altérée, sur le domaine paralysé, jusqu'à la
et à la douleur, avec retard net des perceptions. Ce trouble de la
sensibilité
s'étend peu à peu en montant de l'ex- trémité d
te rien de particulier à signaler. L'examen des différents modes de
sensibilité
à la piqûre, au contact, à la chaleur, ne nous
trariait son travail. Par ailleurs, elle était en bonne santé. La
sensibilité
était normale, les réflexes faibles, les fonction
ne position moins doulou- reuse. Cette modification morbide de la
sensibilité
s'observe aussi chez les tabétiques, mais chez
ts se constatent sur les grandes étendues de peau anesthé- siée. La
sensibilité
se conserve ou reparait dans un point, dans une p
terne du pied gauche, qui est sans points marqués à l'encre ; là la
sensibilité
est conservée normale. La peau de la face exter
us grande importance diagnostique. Je dois parler de l'étal de la
sensibilité
des tissus profonds chez les lé- Fig. 12 Fla.
re les auteurs, je désire dire d'abord quelques mots sur cette même
sensibilité
dans d'autres névrites avec l'intention d'envisag
nd elle n'est pas très manifeste, nous devons exciter légèrement la
sensibilité
aux atti- tudes des articulations que nous expl
lorons, faisant abstraction de la sensi- bilité de la peau et de la
sensibilité
douloureuse. Il faut examiner successivement l'
sensibilité douloureuse. Il faut examiner successivement l'étal de
sensibilité
des segments des pieds, en commençant par les a
'extension. En procédant avec celte lenteur et celte régularité, la
sensibilité
est Fig. 15 Fig. 17 Fig 16 Fig. 18 140
relations articulaires sont les plus efficaces des excitants de la
sensibilité
. Il faut agir de cette manière parce que les ta
s tabétiques qui ont le symptôme que je décris et qui conservent la
sensibilité
cutanée ils sont en grand nombre dans la période
u les ar- ticulations les plus dislales, nous examinerons l'étal de
sensibilité
pro- fonde des articulations plus rapprochées d
ment Chez beaucoup de tabétiques nous voyons se conserver encore la
sensibilité
cutanée et même exister l'hyperesthésie plantai
certain qu'à côté de ce grand nombre de lépreux qui conser- vent la
sensibilité
profonde dans leurs extrémités allérées,,il n'y a
ste pour l'extension ou pour la flexion d'un article, tandis que la
sensibilité
est conservée pour des mouvements et pour des att
'est pas anormal et qu'il n'y a pas d'anisochorie. D'autre part, la
sensibilité
acoustique est pai faite pour son âge ; il n'y a
SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTEME NERVEUX et qui, néanmoins, conservent la
sensibilité
de leurs membres inférieurs, Letabétique est un
persistance de la motilité relative, jointe à la conservation de la
sensibilité
profonde, fait que beaucoup de malades, ayant :
, après un certain temps, acquérir un degré de plus ou moins grande
sensibilité
au moyen de branches qui procèdent de nerfs voisi
été faits, il faut indispensablement, avant tout, la dotation de la
sensibilité
, c'est-a- dire d'informations continuelles conc
s du côté des articulations dont les muscles sont atrophiés. "- «
Sensibilité
le plus souvent intacte, quelquefois cependant al
ante. Chez l'un de nos malades : F..., il n'y a aucun trouble de la
sensibilité
ni subjective, ni objective, pas plus de la sen
e, ni objective, pas plus de la sensibililé superficielle que de la
sensibilité
profonde, et le sens stéréognostique est absolume
X cas d'atrophie musculaire CHARCOT-hlARl E 183 Partout ailleurs la
sensibilité
est normale. Chez lui aussi le sens stéréo- gno
anés, tendineux et muqueux normaux. Pas de troubles objectifs de la
sensibilité
; subjectivement, prurit généralisé, intense et fr
La démarche est normale, la force est intacte. Troubles sensitifs.
Sensibilité
subjective : Jamais de douleurs propre- ment di
lement, et d'un prurit accentué sur tout le territoire du zona. 1
Sensibilité
objective : Au niveau du membre supérieur gauche,
sur le bord cubital de la main et sur les deux derniers doigts. La
sensibilité
thermique parait presque normale. Elle est très p
té thermique parait presque normale. Elle est très peu diminuée. La
sensibilité
à la pression, au diapason, sont légèrement dimin
e, on a : 0 à gauche pour 18 à 20 à droite. Troubles sensitifs. -
Sensibilité
subjective : Mêmes phénomènes. Jamais de grande
ment de la pesanteur, de la lourdeur du bras. Le prurit persiste.
Sensibilité
objective : Même zone d'hypoesthésie à tous les m
t la conscience Il n'y a pas de conscience, écrit Bianchi (2), sans
sensibilité
cénesthésique ; nous ne sommes pas conscients d
ner- veuse et l'attention interne du sujet, provoque la perle de la
sensibilité
cénesthésique d'un nombre considérable de sensa
s somatiques des émotions elles-mêmes (Bianchi), on concevra que la
sensibilité
cénesthésique soit d'autant plus vive que l'émoti
de Sollier (2), d'Allonnes (3), où la dépression remarquable de la
sensibilité
cénesthésique se joignait à la perte absolue de l
s une émotion qui ne provoque un désordre ou une augmentation de la
sensibilité
céneslhésique. L'on conçoit bien alors que l'hype
effet, une émotion très intense peut déterminer la dépression de la
sensibilité
cénesthésique sans pour cela causer des phénomè
ns une confirmation très appréciable des rapports existant entre la
sensibilité
cénesthésique et la suggestibilité dans le fait q
mps en temps des trémulations générali- sées sont observées. ' La
sensibilité
(superficielle et profonde) est intacte. La réa
n'est causée ni par la simple paralysie, ni par les troubles de la
sensibilité
, ni par l'apraxie. Par contre elle montre quelq
face dorsale de petites plaques érythémateuses eczématiformes. La
sensibilité
est remarquablement indemne, jamais le malade n'a
gourdissements ni de fourmillements dans ses membres supérieurs. La
sensibilité
objective est normale, aussi bien la sensibilit
res supérieurs. La sensibilité objective est normale, aussi bien la
sensibilité
superficielle que la sensibilité profonde, à tous
jective est normale, aussi bien la sensibilité superficielle que la
sensibilité
profonde, à tous les modes. On ne note aucun tr
face, de la langue, les peauciers sont indemnes. Les troubles de la
sensibilité
subjective sont importants : le malade se plaint
n toucher rectal permet de constater l'intégrité de la prostate. La
sensibilité
objective est extrêmement atteinte. La sensibil
la prostate. La sensibilité objective est extrêmement atteinte. La
sensibilité
superficielle semble à peu près normale sauf au
nte et sur le dos du pied, pour les trois modes : contact, douleur,
sensibilité
thermique. Au niveau des jambes et des cuisses,
thermique. Au niveau des jambes et des cuisses, les troubles de la
sensibilité
superficielle sont moins importants, il faut note
inceau pour une pi- qûre, le froid pour le chaud et inversement. La
sensibilité
profonde est encore plus profondément altérée.
des quatre derniers orteils, tendance au redressement du gros orteil.
Sensibilité
cutanée. Pas de troubles appréciables dus il l'
er dans le tractus intestinal, crises intéressant tous les modes de
sensibilités
générale et spéciales, sans modifier le travail d
onctions nerveuses ne révèle aucun trouble moteur, aucun trouble de
sensibilité
superficielle au contact, à la piqûre, à la chale
sensibilité superficielle au contact, à la piqûre, à la chaleur, de
sensibilité
profonde (pression, sens des attitudes), sauf cep
ues noevi sur les régions mammaires et dorsales. Sur ces plaques la
sensibilité
tactile et douloureuse est troublée; il ya, suiva
'y a donc dans l'épilepsie ni rétention de sel ordinaire, ni hyper-
sensibilité
, ni intoxication par le sel. 4° Plus intéressan
pris d'une longue attaque. Admis à l'hôpital, il montre une grande
sensibilité
à la pression de la région temporale droite attei
n. Grâce à tous ces phénomènes de foyer, le trauma- tisme, la forte
sensibilité
à la pression locale, et un alcoolisme modéré a
es réactions, terrain qui n'est autre que la débilité nerveuse. -
Sensibilité
de l'appareil digestif. - L'appareil digestif est
s principales. Il en existe beaucoup d'autres dans le domaine de la
sensibilité
, de la réflectivité, de la motri- 412 AUSTIiEGP
ou postérieures de la tête. L'exploration du crâne ne révèle aucune
sensibilité
à la pression. La douleur ne descend pas dans l
ions diverses de son intelligence, son- der.les divers points de sa
sensibilité
affective et mo- rale, mais surtout de ce que n
ous -parlerons quand) ! ! sera temps. - "Quant'aux''troubles de/la»
sensibilité
,,) ils' servent ? toutes' les' fois' qu ? ils e
es ? / j, ., ? 1 f .. 1 Et,* en effet, soit que. les troubles de la
sensibilité
diminuent, peu à peu et viennent à-disparaître,
t., ? {,<t..ntl ¡tq1.9tJ pélÜb)e,ltaptàt .expajLs troubles,de la
sensibilité
; les ¡interpréta- tions, les idées délirantes n
s actes, d'un caractère sauvage, fuyant le monde et douée de peù/de
sensibilité
? A virigt'et un ans, 'elle eut un accès' de'mani
e cette modification. D'après èlle, durant la période expansive, sa
sensibilité
devient de plus en plus vive, son caractère de
ici22atî*oi ? s iicois- cie ? îl'es de la-.vue et^de l'ouïe,, de la
sensibilité
générale et, du sens génésique. -Systématisatio
liorer,'1 s'est aggravée par l'adjonctionjdUiallucinations- de', la
sensibilité
, gé- néralel otr du sens génésiqueaVictorine ac
J or"" / ? Hallucinations conscientes de la vue, de / o;<, de La
sensibilité
, l ·'ü` T : (r `i If'1 /llÏi1 ; ·o f"Ii.1·'rll
mars' 1874.- Père congestif; peu intelligent, défiant/dépourvu de
sensibilité
.' D'Ar : .1.' atété de tout temps un éireranbrmal
ainsi 1 que'ljes désordre^ des sensations;' de.l'émotivité'et de la
sensibilité
, tombent ! sous : l'appréciation;du sensl intim
lles^toujours elleslse greffent sur un)trouble1dés sens(ou- : de'la
sensibilité
? 91n9= x ' ^- jcas. où., la conscince'(est"
s instincts; en,second ! lieu, les perversions. Iypémamiaqgsudellla
sensibilité
;, Jamais., -je^n>j)rrenB f contréounaliénér,
actère¡ et 'des1 instincts, (,les'perveÍ'sioÍ1s lypémaniaquèslde"la
sensibilité
;' vexa ! - ''tation cérébrale ? )1 h 111'-)1'1&
es,et du, besoin de,lesjtra- duire, telle.est, au point de vue delà
sensibilité
, la transformation -subie par 1'sd ? transforma
paral3sié'à formethémiblégiqiie' aceompa'gnée''dè1tro'ublék 'dc'la'
sensibilité
(hémiancsthésie) cl J même l'llol' 'm\'l' "" "'
rant moteur, sensible, où' double ;' ici se place la question de la
sensibilité
centrifuge, récurrente, c est- à-dire irradiant
à la re- production du mouvement sur les surfaces cutanées dont la
sensibilité
é 1, est, moins ! nette Utrno a,J <utqT ? q
.,I ? 1 -, l, l ,'1 ; XI. Contribution A L ETUDE DES troubles de LA
sensibilité
ET "'1'"ri If' ,II' "1 h nt : "YI)'f n... ? y,,
aissance et,ne.sont imputables, en somme, qu'à 1 des troubles de la
sensibilité
excluent,- dit)M : "Bernhardt,"l'at-1 teinte de
¡"tn ? HF\ff''I¡'t'l ? fld''l ? 1 ? "'I\Ü de S ? 1 ! 1\11,111 de la
sensibilité
, cutanée, un certain degré d anal- a gesle; Ics
téguments sont insensibles à la douleur ; mais certains modes de la
sensibilité
de la peau, ainsi que le sens musculaire et les
Nous laisserons de côté l'état léthargique, parce que, bien que la
sensibilité
générale et spéciale'ne soit pas totalement aboli
: exemple, sitôt, qu]on a .développé une hallucination visuelle, la
sensibilité
des membranes externes de l'oeil revient dans l
us déjà apportés pour établir la, corrélation qui existe, entre .la
sensibilité
spéciale non seulement , dans, l'hystérie2, nia
on l'a voulu ainsi, tandis que, l'organe du côté opposé conserve sa
sensibilité
normale. Ou encore on peut suggérer une hallucina
ucher revêtent des formes encore plus variées; tous les modes de la
sensibilité
de la peau peu- vent être atteints ensemble ou
la nécessité d'être ce qu'on a l'habitude d'être. L'homme, dont la
sensibilité
est normale et est réputé en équilibre mental,
nté est annulée ou du moins atténuée dans la même proportion que la
sensibilité
. Pendant le sommeil somnambu- lique, l'expérime
ut pas même être mise en question; il s'agit de modifications de la
sensibilité
qui comman- dent des modifications de réaction.
LIRE L.IRa L.1 VÉSANIE. Ii J diverses, peu à peu les troubles de la
sensibilité
ont pu s'émousser et un à un disparaître chez l
soit devenue de plus en plus pauvre; bien que les troubles de la
sensibilité
ayant il peu près cessé ne se trouvent plus là
ertains déments, encore, persistent, de plus, divers troubles de la
sensibilité
; ceux-ci seront alors interprétés de façons div
persistance de troubles dans la sensi- bilité viscérale ou dans la
sensibilité
sensorielle, puis par une diminution de l'activ
tion de l'activité délirante. Pour inter- préter ces troubles de la
sensibilité
par quelque idée ambitieuse ou de persécution,
'est elle, au sur et à mesure que se développent les troubles de la
sensibilité
, au 1 Voyez Cerise et Morel, 1OC- cit. Archiv
continue de fonrmillement douloureux au niveau des doigts. -- La
sensibilité
cutanée au contact, à la douleur et à la tem- p
ntent seulement quelques stries transversales peu pro- fondes. La
sensibilité
présente quelques troubles au niveau des pieds.
qu'elle occupe, la peau a ses caractères normaux; elle conserve sa
sensibilité
à la piqûre, au contact et à la température. Il
nt subjective, la température de ces parties n'est pas abaissée. La
sensibilité
des membres inférieurs est abolie au niveau de
s l'observation VI ne présentait pas de troubles appréciables de la
sensibilité
. Telles sont les conclusions principales qui no
tarsalgie, les exostoses, l'ostéite épiphysaire", etc., etc. Cette
sensibilité
de l'organisme a bien certainement des causes c
convulsions. Dans le cours de la maladie, le bras gauche perdit la
sensibilité
et le mouvement; le médecin n'aurait pas explor
suffisante pour leur assurer une occupation simple et facile ; leur
sensibilité
est émoussée, mais pas au point qu'ils ne puiss
aisse assez d'intelligence pour rentrer dans la société et assez de
sensibilité
pour souffrir, il n'en sera pas moins toujours
laires avec agitation qui sont entretenues par des troubles de la
sensibilité
. C'est en agissant sur cette fonction qu'elle vie
pût noter de perturbation grossière du côté de Ja molilité ou de la
sensibilité
. Mort à vingt-deux ans de phlhisie. L'ensemble
. De là les associations d'idées. Exemples : telle excitation de la
sensibilité
agit par le centre sous-cortical sur la moelle
faisait défaut et que.lorsque, dans ces conditions, on excitait la
sensibilité
, la dila- 'llat,ig.nj p1,1pilh11re.,élait en ra
festaient des douleurs, elle constata fréquemment l'existence d'une
sensibilité
douloureuse de la peau disparaissant peu de tem
pas la même précision locale; il en résulte que, grâce au peu de
sensibilité
du voile au palais, le moment de la sensation m
a pré- vision du point d'articulation et le développement de . la
sensibilité
tactile des lèvres provenant de l'exercice des
, dans le premier cri de l'enfant, manifestation pre- mière de sa
sensibilité
générale, sont contenus en germe les mouvements
électrique est normale, les réflexes tendineux sont exagérés. La
sensibilité
, étudiée avec le plus grand soin, est trouvée i
cun signe d'atrophie, leur contractilité électrique est normale. La
sensibilité
, dans tous ses modes, est intacte non seulement
; les mouvements volontaires avaient conservé leur carac- tère ; la
sensibilité
était intacte. Mais l'affection des poumons fit
Soif modérée; urines nor- males. Rien au coeur; un peu d'emphysème;
sensibilité
et moti- lité intactes. Le malade fut d'abord
régulières sans constipation ni diarrhée, rumination, gâtisme. La
sensibilité
générale est conservée, mais les sensations sont
es membres. Pas de ganglions au cou, aux aisselles, ni aux aines.
Sensibilité
générale intacte; sens spéciaux obtus.- Rien au e
' Ce mémoire traite successivement des sensations anormales de la
sensibilité
à la pression, des perturbations des fonctions se
n, des perturbations des fonctions sensorielles de la peau et de la
sensibilité
musculaire, des troubles moteurs et vasomoteurs
ement à telles zones ou s'étendre plus ou moins au corps entier. La
sensibilité
à la pres- sion s'y allie souvent et porte auss
sion les conducteurs de l'encéphale. Les diverses fonctions de la
sensibilité
cutanée sont très fréquemment atteintes en même t
e la faculté d'apprécier la distance estexagérée, soit de ce que la
sensibilité
à la douleur est plus grande (mélancolie, folie
à la psychose entrent aussi en ligne de compte. La diminution de la
sensibilité
à la douleur dans la stupi- dité est susceptibl
e ces symptômes, les uns sont des réflexes issus des troubles de la
sensibilité
avec lesquels ils coïncident quant au temps et
ce n'est pas un réflexe, car elle coïncide avec la diminution de la
sensibilité
à la douleur. Parmi les troubles vaso-moteurs a
ue, ni délire, jamais de paralysies, contractures ni troubles de la
sensibilité
. De moins en moins apte au travail, elle n'a ja
dilatation pupillaire du côté gauche. Rien dans le domaine de la
sensibilité
, ni des organes des'sens. L'autopsie révèle des p
lésion d'une région limitée peut abolir la motilité, tandis que la
sensibilité
persiste tant qu'un cordon nerveux, si petit qu
rarement isolées, enfin mobiles et passagères. La paralysie de la
sensibilité
peut présenter les mômes carac- tères. D'autres
ibilité peut présenter les mômes carac- tères. D'autres troubles de
sensibilité
, tels que l'hyperesthésie, les névralgies, méri
nées : début (ipoplecti- - forme, hémiplégie droite, troubles de la
sensibilité
; pns d'autopsie; par M. LECOQ. (France médicale
c sclérose du), 118. Circonvolutions cérébrales (troubles de la
sensibilité
et de l'antité vi- suelle dans les lésions des)
t excité, il ne sent point. L'excitabilité appartient à la moelle, la
sensibilité
dépend d'un autre appareil, du cerveau. Le Gall
rquée du membre cervical sur le membre lombaire au point de vue de la
sensibilité
intelligente? La réduction des faisceaux blancs
ange en quatre classes; 1° nerfs de sensations spéciales; 2° nerfs de
sensibilité
générale; 3° nerfs du mouvement volontaire; 4° ne
près leurs propriétés : 1° nerfs de sensations spéciales; 2° nerfs de
sensibilité
générale pouvant en outre servir à des sensations
ns intérieures, il y a dans la face une vie matérielle, savoir: de la
sensibilité
et du mouvement. A cet égard, la face ressemble a
avoir dans chacune des paires nerveuses crâniennes, des nerfs pour la
sensibilité
générale, et des nerfs pour le mouvement automati
es, nous suivrons l'ordre suivant : 1° Nerfs moteurs; 2° Nerfs de
sensibilité
générale; 3° Nerfs de sensations spéciales. I
céphalo-rachidiens, sous le triple point de vue des mouvements, de la
sensibilité
et de l'intelligence. CHAPITRE PREMIER. DES N
es, mais deux doigts de la main et la moitié du médius perdirent leur
sensibilité
(1). (1) Œuvres analomiques et physiologiques d
estion est résolue par l'observation. Le mouvement étant conservé, la
sensibilité
peut être abolie et réciproquement. Les commentat
s qui résultent de l'irritation des racines antérieures. Ainsi, toute
sensibilité
dépend en réalité des racines postérieures, et l'
n divise sur un animal vivant la moelle épinière en deux segments, la
sensibilité
et l'intelligence demeurent entières dans le segm
rieures aux mouvements d'extension. Ces derniers tiennent en outre la
sensibilité
sous leur dépendance. L'habile expérimentateur vo
sensibilité sous leur dépendance. L'habile expérimentateur voyant la
sensibilité
persister dans les parties postérieures du corps
mouvement de l'extrémité postérieure fut conservé de ce côté, mais la
sensibilité
y fut diminuée. L'inverse eut lieu dans le côté o
e mouvement des extrémités postérieures fut d'abord affaibli, mais la
sensibilité
persista. Huit heures après, le lapin marchait co
iquée de manière à ne laisser entiers que les cordons postérieurs, la
sensibilité
des membres abdominaux fut, au contraire, singuli
érimentale. T. Ili, p. 191.) (2) Exp. 2. Loc. cit. vicale, sur la
sensibilité
, est confirmé par d'autres expériences, mais d'au
, après la section des deux cordons postérieurs dans cette région, la
sensibilité
des extrémités antérieures est détruite, tandis q
l coupe enfin vers la région dorsale l'un des cordons postérieurs, la
sensibilité
des membres postérieurs fut conservée, et du côté
u cervicale, l'hypéresthésie du côté lésé, et l'affaiblissement de la
sensibilité
du côté opposé. Il a donc connu quelques-uns des
cordons postérieurs et les cordons antérieurs conduisent également la
sensibilité
. Mais le mouvement volontaire exige le conflit et
blancs. 11 pense toutefois qu'ils servent les uns et les autres à la
sensibilité
et au mouvement (2). Les questions relatives à ce
n transversale l'une de ses moitiés, et il trouve que, de ce côté, la
sensibilité
n'est point anéantie. Il en conclut, pages 88 et
ar Fodera confirme d'ailleurs les données de l'anatomie. En effet, la
sensibilité
persistait et s'exagérait même dans le train de d
rs comme servant exclusivement, les uns au mouvement, les autres à la
sensibilité
; mais les opinions varient beaucoup quant au rôle
de conducteurs. La preuve, dit-il, que la substance grise n'a sur la
sensibilité
aucune influence, c'est qu'on peut la déchirer, l
termédiaire aux deux segments de la moelle, suffit pour entretenir la
sensibilité
du segment postérieur. Si l'on enlève toute la
rise de manière à découvrir la face profonde des cordons latéraux, la
sensibilité
est perdue pour toujours, mais la motilité peut r
une conduction de la susbtance grise. Il constate la diminution de la
sensibilité
dans les parties postérieures du côté sain, fait
ôté sain, fait vu autrefois par Fodera (1). Il ajoute que ce reste de
sensibilité
n'est diminuée que pour un temps par la destructi
is à des étages différents et à la distance de quelques vertèbres, la
sensibilité
d'abord anéantie revient au bout de quelques jour
tudié sur les mammifères les effets de l'hémisection de la moelle. La
sensibilité
, dit-il, persiste dans le membre postérieur du cô
vons vu plus haut, prétend cependant qu'au bout de quelques jours, la
sensibilité
se rétablit, mais que chez les mam- (1) Mémoire
lle en deux moitiés symétriques, par une section médiane, anéantit la
sensibilité
des deux membres postérieurs. M. Brown Séquard aj
rtion de cet organe d'où naissent les membres antérieurs, anéantit la
sensibilité
dans ces membres, tandis qu'elle demeure entière
nt les cordons postérieurs ne soient exclusivement en rapport avec la
sensibilité
. Comment donc se fait-il que la sensibilité soit
vement en rapport avec la sensibilité. Comment donc se fait-il que la
sensibilité
soit plus grande quand on les a tranchées? Cela n
igueurcomprendrecomment,aprèsrhémisection,lemembre ne perd rien de sa
sensibilité
. Mais il semble en acquérir davantage. Qui expliq
a cela? La difficulté est d'autant plus grande que de l'autre côté la
sensibilité
n'est point anéantie, elle n'est qu'affaiblie, ai
Il existe toujours dans le membre opposé au côté divisé une certaine
sensibilité
(2). Cette observation s'accorde fort bien (1)
es dont nous nous occupons, et comment « nous jugeons de l'état de la
sensibilité
. Il est évident que « dans les expériences faites
animaux, nous ne pouvons « guère constater que la modification de la
sensibilité
à la « douleur (1)..... » (I) Mém. cit., p. 14.
eux moitiés du corps. Or cette harmonie suppose la conservation de la
sensibilité
. Il est probable qu'une grande partie de ces entr
quant aux effets directs de la section des cordons restiformes sur la
sensibilité
, n'est point conforme aux résultats qu'avait anno
positions jusqu'à présent inconnues. M. Longet a constaté l'extrême
sensibilité
de la face postérieure de la protubérance, mais i
ité de la face postérieure de la protubérance, mais il attribue cette
sensibilité
aux fibres ascendantes qui proviennent des faisce
) Physiologie. T. II, p. 213. « rachidien; 2° que relativement à la
sensibilité
générale, la « protubérance est un centre de perc
ns. Il est certain qu'il joue un rôle essentiel dans l'histoire de la
sensibilité
générale et de la locomotion. Il est probable d'a
pas saisi le vrai sens de ces expériences en attribuant à un reste de
sensibilité
des actes automatiques coordonnés mais sans but e
. De là la nécessité d'admettre, soit pour le mouvement, soit pour la
sensibilité
une action directe de chaque hémisphère, et une a
nse pas qu'on puisse conclure de ce fait, à l'existence d'un reste de
sensibilité
réelle, après l'ablation des hémisphères cérébrau
les effets de vapeurs irritantes sur la muqueuse nasale, c'est que la
sensibilité
tactile n'était pas éteinte. Mais l'analyse du sc
atérialisme perce sous sa doctrine. De la matière subtile, capable de
sensibilité
, à la matière subtile capable d'intelligence, la
palmaire de l'avant-bras. L'on prouverait de la même manière que leur
sensibilité
superficielle est plus vive que celles des joues
les n'amènent point de douleur. D'ailleurs, il ne s'ensuit pas que la
sensibilité
soit obtuse en ce lieu, comme l'a cru, mais à tor
M. le professeur Gerdy. La sensation de pression commence quand la
sensibilité
de la face profonde entre en jeu. Mais l'apprécia
'où résulte l'idée de pression. Il est une autre modification de la
sensibilité
de contact, que j'appellerai la sensation de trac
t nous donner une idée précise de la figure d'aucune de nos dents? La
sensibilité
est là au maximum, et cependant le toucher y est
à un animal dont les mouvements sont précis et rapides, mais dont la
sensibilité
est bornée. Ainsi les ostéozoaires, à la fois art
mangeaison. Des sentiments analogues, développés dans un membre où la
sensibilité
de contact est affaiblie, sont pour beaucoup dans
ns de contact sont absolument ou presque absolument abolies. Ainsi la
sensibilité
à certains égards a diminué. Cependant les moindr
de M. Bown Séquard quelque chose d'analogue, et cette exagération de
sensibilité
douloureuse qu'ils ont observée après l'hémisecti
uvements réciproques des paupières et du globe de l'œil, éveillant la
sensibilité
de la conjonctive, sont la cause principale de l'
indre de la rétine à recevoir les impressions à l'égard desquelles la
sensibilité
est comme épuisée. Mais cette explication ne saur
normal, toute sensation est accompagnée d'un sentiment corrélatif. La
sensibilité
propre des organes est-elle éveillée dans un degr
ment aux gens qui, ayant beaucoup lu et beaucoup entendu, ont plus de
sensibilité
que de mémoire. Car il y a cette différence essen
ou des bruits. Cette fréquence est d'ailleurs en raison directe de la
sensibilité
auditive de celui qui rêve et de son inclination
i, de toute cause étrangère capable d'éveiller directement le mode de
sensibilité
propre aux nerfs auditifs. L'homme qui entend un
diffère beaucoup de la catalepsie. En effet, elle touche surtout à la
sensibilité
; or M. Puel, dans un beau travail sur la cataleps
ffet, dit assez clairement qu'ils sentent ; or, reconnaître en eux la
sensibilité
, c'est leur accorder implicitement une âme. Desca
terminent. L'œil s'ouvre-t-il modérément dans le regard, c'est que la
sensibilité
qui lui est propre n'a point été lésée. L'oreille
es athlétiques du malade, mais elle est cependant très respectable.
Sensibilité
intacte. Phéno- mène du genou difficile à obten
avec agilité. De même pour les mou- vements des membres supérieurs.
Sensibilité
in- tacte. - Ilieii de spécial dans l'explorati
ulaires n'est pas non plus sans avoir une certaine importance. La
sensibilité
, dans ses différents modes, a toujours été trou
malade de l'observation 5,941, et que je ne puis qu'indiquer. Une
sensibilité
excessive au bruit et le vertige sont Archives,
ine, bien que peu accusés, les phénomènes du genou et du pied. La
sensibilité
cutanée était parfaitement conservée, elle se man
e réflexe plantaire. A côté de ces troubles de la motilité et de la
sensibilité
, nous devons insister sur l'hypertrophie consid
eurs nulle anomalie dans le développement, nulle altéra- tion de la
sensibilité
en aucun de ses modes, nul trouble tro- phique,
action musculaire para- doxale, l'intégrité de tous les modes de la
sensibilité
et des fonctions vésico-rectales, l'existence d
e qui doit en outre condenser les impressions issues du district de
sensibilité
. Une petite partie de ce dernier organe surviva
s révèle : une démarche nor- male, absence de troubles du côté delà
sensibilité
, et de réflexes patellaires ; une paralysie vés
tes jusqu'à quinze centimètres au-dessus de l'articulation du pied.
Sensibilité
à la douleur et sens musculaire partout normaux
e son travail. Des phénomènes moteurs rapprochés des troubles de la
sensibilité
, l'auteur tire le diag- nostic de névrite 'péri
ques semaines para- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 103 lysie de la
sensibilité
des quatre membres. Entrée en convales- cence e
ux jambes normaux ; absence de réflexe patel- laire des deux côtés.
Sensibilité
électro-cutanée des régions anesthésiées éteint
occipito- pariétal peuvent être soupçonnées par les troubles de la
sensibilité
; 4° que les tumeurs volumineuses de la protubé
modifica- tion du pouls, de la température, delà respiration, de la
sensibilité
, ni de la force musculaire, contrairement aux a
ond de l'oeil. Je ne constate à ce moment aucune modification de la
sensibilité
ou du mouve- ment dans les autres parties du co
oite, intéressant le facial du même côté. Pas de modification de la
sensibilité
. Tendance marquée à tomber à droite, dès que le
tent normalement., Pas de lésions du fond de l'oeil. L'examen de la
sensibilité
rétinienne n'a pas été fait. Parmi les autres
ccompagne pas d'ailleurs de paralysie appréciable des mem- bres. La
sensibilité
cutanée est également normale. Le malade n'accu
à 30 centimètres, S = ; dans les deux yeux qui sont emmétropes. La
sensibilité
pour la lumière est légère- ment affaiblie à la
tendineux persistent sans exagéra- tion, pas de modification de la
sensibilité
. Ptosis congénital double. Forte myopie avec in
ons. Dans quelques-uns de ces cas, unehyperesthésiemala- dive,une
sensibilité
excessive au bruit accompagnaient, et deux fois
ompagnaient, et deux fois au moins provoquaient le vertige. Cette
sensibilité
indique sans doute qu'il y a autre chose que la
re pour quelque chose dans cette évolution morbide. Il en est de la
sensibilité
réflexe comme de la sensibilité acoustique : ce
évolution morbide. Il en est de la sensibilité réflexe comme de la
sensibilité
acoustique : certains sujets la possèdent plus
fonction du nerf qu'elle affecte, tantôt des troubles graves de la
sensibilité
, tantôt des troubles trophiques variés, des éru
qu'on lui pose, mais il répond par des paroles inintelligibles. La
sensibilité
est abolie du côté droit et considérablement di
mie. Les manifestations par lesquelles les patientes exprimaient la
sensibilité
ovarienne étant loin de correspondre à une orig
sion complète de la fonction motrice du médian et du cubital, et la
sensibilité
des deux nerfs, bien qu'affaiblie, était conser
Cette observation rappelle l'expérience de Paul Bert relative à la
sensibilité
des nerfs de la queue du rat. D'où ce fait inté
à gauche jusqu'à l'ombilic. Exagéra- tion des réflexes cutanés. La
sensibilité
électrique est partout normale, excepté quand o
euses dans le tronc et les extrémités, le malade, dépourvu de toute
sensibilité
aux membres inférieurs, en proie à une paralysi
pond plus quand on lui parle. A l'entrée à l'hôpital pas de fièvre,
sensibilité
et motilité intactes, urines normales, mydriase
ée au bras, épargnant la face et le tronc, sans aucun trouble de la
sensibilité
, ni des réflexes, avec les réactions électriques
jttosis et déviation de la langue à gauche dans celle-ci) et que la
sensibilité
générale était obtuse dans les membres paralysé
ent l'avant- bras sur le bras, 'et la main sur l'avant-bras ? ? 1
Sensibilité
. a) Générale : 'Intacte" dans' tous' ses modes;
du lobule paracentral . 2 mars. -,Même état de la motilité~et de la
sensibilité
. Les réflexes tendineux absents deux jours aupa
pourtour des malléoles de la jambe gauche. ' 1 12 na·s. Motilité,
sensibilité
, réflexes comme la veille. Mais l'oedëme limité
trophiés. La main est violette et froide. , ? .^0 ,j.-... > La
sensibilité
est toujours intacte. li;il ' Morte le 14 mars.
. Il s'agit de Y intégrité absolue, rigoureusement constatée, de la
sensibilité
dans tous ses modes (sensibilité générale et sp
rigoureusement constatée, de la sensibilité dans tous ses modes (
sensibilité
générale et spéciale) avec une lésion profonde
» ! démette dernière, abolition ou.au moins affaiblissement de la
sensibilité
: tuous -nous ! sommes attaché-r ailleurs,,1, .'e
était'pas toute la zone sensitive ? et que, par'suite,lies' de la
sensibilité
, positifs dans quelques cas de lésions des circ
omiques et cliniques sur le faisceau sensilif et les troubles de la
sensibilité
dans les lésions du cerveau. (Thèse'de Paris 1880
eau Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, ( article :
Sensibilité
. , 2 R. Tripier. De 1'(t ? iesthésie 1»otlitile
existe une exagé- ration notablo du' réflexe patollaire. , ou La
sensibilité
est intacte comme la motilité à la face, au mem
gt;It, part ie'up 6.rièui-e, d%' la j'a fii bèet- ]a' CUisse, ou la
sensibilité
au contact1' est» seulém'r : nt"'dimiriüéè ? s nt
rtain degré d'hyperesthésie à la piqûre et au froid ; tandis que la
sensibilité
à'daJ douleur et1 à( laHemp'ératurê e'st abolie
tieux, il est impossible de'constater'un trouble quel- conque de la
sensibilité
. L'état de la sensibilité du membre inférieur e
e'constater'un trouble quel- conque de la sensibilité. L'état de la
sensibilité
du membre inférieur est le même qu'au début ? ,
a augmenté ; sans qu'on puisse observer de troubles bien nets de la
sensibilité
. La mo- î 'U< » i -'iii'ii. » tilité du br
gauche. La langue est un peu déviée à gauche. Aucun trouble de la
sensibilité
, ni subjectif, ni objectif du côte de la face.
'face. Sur leFeôté âauché,du corps, et ,sur, le membre supérieur;da
sensibilité
au contact, parait un peu plus obtuse qu'à'droi
pbaaajmëi' 1 I ? lt ,j .Nous constatons ,un retard notable,. de, la
sensibilité
à la douleui'j dans tout le iôté gauche du corp
corps, y compris la face, et une aboli- tion-absolue;de ce,mode,de,
sensibilité
.dalos,tout,le côté^ droit. La sensibilité au ta
ion-absolue;de ce,mode,de,sensibilité.dalos,tout,le côté^ droit. La
sensibilité
au tact, à. la pression, à la température, est. a
ternativement a droite et a gauche,' un corps sapide; cependant, ta
sensibilité
gustativea droite parait nulle ou affaiblie.,(
gation du neif sus-orbilaire gauche qui pro- voffuc le retour de^la
sensibilité
dans la main correspondante. 'Les .k1 .1', · ?
action secondaire com- mun à toutes les atrophies musculaires. La
sensibilité
générale est aussi profondément frappée dans se
la vue devient, indispensable à l'exécution des moindres actes. Les
sensibilités
articulaire, mus- culaire et spéciale sont parf
fallut changer le diagnostic. Les contractures, les troubles de la
sensibilité
, l'intégrité de la contractilité électrique exc
il (concernent en",effet'des trouble's'dé fâ iliôtilité'éf'de i la,
sensibilité
.témoignant de-lésioii-,z"médiill'a'ié's ? 1 ! 6'
s, grotte sur des hallucinations de l'ouïe; puis de la vue et de la
sensibilité
générale; plus tard, accès de somnolence. Six m
(trois mois environ). En somme, disparition de la molilité et delà
sensibilité
, ? a;tMtKfS eerca et rigidité totale du système
faitement par écrit. On note également chez lui la diminution de la
sensibilité
et l'hypcrexcitabilité neuro-musculaire (rigidi
ombaire, à une période où .il n'exis- tait encore ni trouble de, la
sensibilité
; ni ataxie; ni modification ,le . , 1 1 Il . e
e qu'il y a eu chez la malade en question des troubles vagues de la
sensibilité
etjdo la motilité. 11 insiste aussi sur ce fait
xes rotuliens. Pas de tremblement épileptoïde spontané ou provoqué.
Sensibilité
intacte au toucher, à la douleur et à la tempér
pousser un son à la malade le voile du palais se relève à peine. La
sensibilité
réflexe du voile du palais est un peu diminuée,
che, on fait très aisément apparaitre des raies vaso-motrices. La
sensibilité
au froid ou à la piqûre est parfaitement con- s
vements de la mâchoire. Tendance à rire ou à pleurer sans motif. La
sensibilité
à la piqûre au pincement, à la tempé- rature es
vési- cale. Après l'opération les troubles moteurs et ceux de la
sensibilité
s'aggravèrent. Mort le trente-troisième jour d'
portants qui suivent : l'élongation des nerfs amène un retour de la
sensibilité
dans le membre où l'hémisection de la moelle ép
seulement les parties animées par le nerf sciatique recouvrent leur
sensibilité
après l'élongation de ce nerf, mais le même phé
t après, il étirait le nerf sciatique et constatait le retour de la
sensibilité
dans la région du cubital. M. Quinquand expliqu
Séquard et Quinquaud, mais ne put constater la resti- tution de la
sensibilité
affaiblie du côté opposé à l'hé- misection de l
iatique faite du côté de l'hémisection, ni une modification de la
sensibilité
d'un nerf à la suite de l'élongation d'un autre
sies dans la région du nerf élongé; que les parésies intéressent la
sensibilité
, les fonctions motrices et trophiques à un degr
uf un certain amaigrissement; son état général n'était pas mauvais,
sensibilité
normale partout. Les deux membres inférieurs ét
u rectum, de vessie et des organes génitaux ; pas de troubles de la
sensibilité
; pas d'embarras de la parole. Il y avait une ex
onditions, il ne se pro- duit aucun trouble de la motilité ni de la
sensibilité
. Seules les moitiés homonymes des deux rétines
ment de l'examen, il existe de la para- plégie avec diminution dela
sensibilité
des membres inférieurs, des douleurs térébrante
ent mortelle (durée totale : trois mois) sans grands troubles de la
sensibilité
; atteinte successive des extrémités, du tronc,
que toujours la maladie en question commence par des troubles de la
sensibilité
(violentes douleurs); puis très fréquemment on
EVUE DE pathologie NERVEUSE. 95 cause du défaut d'exploration de la
sensibilité
, du champ visuel et des zones hystérogènes. L
il éprouve des paresthésies dans les cuisses avec diminution de la
sensibilité
cutanée; il se fatigue facilement en marchant :
les tabétiques sont, sans exception, en proie à des troubles de la
sensibilité
(hyperalgésie au début, hypoesthésie à la fin)
aires. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. SUR LES allures DE la
SENSIBILITÉ
générale ET spéciale chez les convulsifs ET les
t, du goût, du sens musculaire), avec ou sans participa- tion de la
sensibilité
cutanée, existent non pas seulement chez les hy
(sans trouble de la connaissance) entamant la vie affec- tive ; la
sensibilité
générale et spéciale est assez souvent affectée
d'angoisse d'origine conceptuelle ou hallucinatoire, tandis que la
sensibilité
générale et spéciale est atteinte dans la folie
la durée, à l'intensité, à l'évo- lution, entre les troubles de la
sensibilité
et les épisodes en question. P. K. II. Quelqu
n'y a aucun rapport entre la distribution des zones et l'état de la
sensibilité
, car le transfert de l'hémianesthésie ne s'acco
n de cesétats, pendant lesquels la cons- cience est oppressée et la
sensibilité
aux impressions extérieures se trouve élevée, c
catrice de vésicatoire à la partie moyenne et externe du bras. La
sensibilité
générale est normale : lasensiLilité spéciale int
des premières vertèbres dorsales. ,, T ? , % . . 1'\ . " ;' - La,
sensibilité
générale « est normale; les sens spéciaux sont
permanente. Il n'y a pas non plus de craquements articulaires. La
sensibilité
est intacte dans tous ses modes. Le contact, la
he de la langue, la narine du même côté paraissent aussi dénuées de
sensibilité
. Anesthésie pharyngienne. T'r<ft'<eMic
e. 20. A la visite, le bras droit a recouvré ses mouvements et sa
sensibilité
. Le côté gauche est hémi-anesthésié et contractur
, avec sensation de brûlure, vives déman- geaisons, et retour de la
sensibilité
au point précis de l'applica- tion. Plaque symé
n de Broca, tandis que les causes qui provoquent les troubles de la
sensibilité
ne paraissent pas influencer la fonction du lan
tés inférieures avec conservation du sens du tact, diminution de la
sensibilité
à la douleur et du tact dans les extrémités sup
ieures et supérieures est tout à fait normale. Dans la sphère de la
sensibilité
, l'examen n'a pas montré de changement, mais la
re le tabes dorsal spasmodique parleraient aussi les troubles de la
sensibilité
et de la vessie, mais M. Charcot ainsi que M. E
les normales; pas de vomissements, de mérycisme, ni de gâtisme. La.
sensibilité
générale et spéciale est conservée... Peau :
peu obscure au niveau du mamelon; à gauche, elle est normale. La
sensibilité
, générale et spéciale, est intacte. Etat intell
ngue bonne; ni vomissements, ni diarrhée. - Foie et rate normaux.
Sensibilité
géné/'ale intacte. Sens spéciaux obtus, surtout
ent donné, susciter des idées d'empoisonne- ment. Tel trouble de la
sensibilité
générale et viscérale, anes- thésie, hyperesthé
de suicide que la malade rat- tache d'elle-même aux troubles de la
sensibilité
, violences, agita- tion extrême. - Erreurs de p
ine le sonmambulisme, les yeux ne s'ouvrant qu'incomplètement. La
sensibilité
générale et spéciale reparaît alors : les zones h
il. 20. - Très calme mais toujours délirante : les troubles de la
sensibilité
sont revenus; hallucinations à gauche seulement.
reçoit bien. - Polyurie depuis quelques jours. Aucun trouble de la
sensibilité
. 11. - Hallucinations du sens musculaire, on la
emblements du côté droit surtout dans le bras. Pas de troubles delà
sensibilité
, dou- leur profonde au niveau de la bosse parié
ts hyperestbésiques ne sont pas re- venus, diminution notable de la
sensibilité
dans tout le côté droit du corps et de la face.
appeler la névropathie diabétique. Ceux- ci, qu'ils portent sur la
sensibilité
, la motilité ou l'intelligence, constituent pou
nsitifs. - Les troubles sensitifs affectent les sens spéciaux ou la
sensibilité
générale. Ils peuvent intéres- ser la vue, l'ou
rversions de ces sens (OBS. XXXIX, XL). Dans d'autres cas, c'est la
sensibilité
tactile qui est atteinte. Les malades de nos Ob
uvent sous forme de névralgies que se traduisent les troubles de la
sensibilité
générale. Ces névralgies diabétiques ont été ét
névralgie de l'ovaire (OBS. XXXVIII). Ces troubles si variés de la
sensibilité
coexistent fréquem- ment chez le même sujet. Il
otilité paraît moins souvent atteinte, chez les diabétiques, que la
sensibilité
. Lasègue et Charcot ont signalé cependant un ce
de paralysie dans l'intervalle ; l'intelligence était intacte ; la
sensibilité
parfaite. L'apparition de ces crises avait coïn-
on remarque chez les malades, de l'irritation (OBS. XIX, XX), une
sensibilité
exagérée. La fréquence des troubles cérébraux e
té dans l'espèce hantées par les troubles les plus notables de la
sensibilité
, comme les nerfs moteurs et les nerfs mixtes ont
les contractures ; celles-ci ont été suivies de dimi- nution de la
sensibilité
cutanée du tronc et des membres. Mort de phthis
des vices de conformation, à des paralysies de la motilité, de la
sensibilité
générale ou de la sensibilité spéciale et aux tro
des paralysies de la motilité, de la sensibilité générale ou de la
sensibilité
spéciale et aux troubles fonctionnels qui en dé
sé, un barreau d'acier, le transfert se produit bientôt. Mouvement,
sensibilité
dans ses divers modes, tout a passé de gauche à
VANTES. Ce changement saisissant, accompagnant le transfert de la
sensibilité
et du mouvement de gauche à droite, nous pensons
u- ret électrique disparaît toute paralysie du mouvement et de la
sensibilité
; en même temps, le sujet se trouve dans un nouvel
cité, a restitué au système nerveux l'intégrité de ses fonctions de
sensibilité
et de mouvement, et, du même coup, a transporté
Le transfert s'opère avec une symétrie parfaite. La paralysie de la
sensibilité
, du mouvement, a passé de droite à gauche ; en
du corps jusqu'à l'ombilic. Toute la partie supérieure jouit de la
sensibilité
et du mouvement. La zone hystérogène a abandonn
le malade est débarrassé de tous les troubles du mouvement et de la
sensibilité
. Essais dyna- mométriques de la main;droite : 3
us par des agents physiques paral- lèlement aux modifications de la
sensibilité
et de la motilité, si bien que l'expérimentateu
épinière (contribution il l'étude des fausses), par Po polI, 305.
Sensibilité
générale chez les consul. sil's et les aliénés
), lapuissance musculaire restant cependant relativement faible; la
sensibilité
est intacte dans tous ses modes ; les ré- flexe
able- ment diminués. Le sens musculaire ne parait pas troublé. La
sensibilité
cutanée est normale dans tous ses modes. Il n'y
stables. Oreilles assez grandes, bien ourlées, lobule pas adhérent.
Sensibilité
générale bien conservée. Pas de troubles tropbi
à cause de la raideur. Pas de phénomènes du pied. Pas de douleurs,
sensibilité
générale conservée. Pas de nystagmus ; pas de s
ation épileptoide. Pas de nystagmus. Pas de signe de Roml)erg. La
sensibilité
générale parait conservée dans tous ses modes aut
é autrefois par Duchenne (de Boulogne). Il s'agit de sujets dont la
sensibilité
de la peau de la face est émoussée et qui, en o
main en ques- tion. Cette même main perd peu à peu la finesse de sa
sensibilité
au contact. Le malade sentait malles fils avec
deux côtés, surtout il droite. Pas de trépidation éliileptoïlle.
Sensibilité
cutanée. N'est altérée que dans la moitié droite
ts, où la diminution est fort marquée. A la piqûre. Abolition de la
sensibilité
au-dessous du milieu du membre supérieur; diminu-
à 80°), même, répartition, si ce n'est qu'au membre in- férieur la
sensibilité
décroît de haut en bas jusqu'à devenir nulle Ù pa
de ce membre, et au membre inférieur jusqu'au genou. A gauche : la
sensibilité
est partout normale dans tous ses modes. Sens
s'est produit dans son état aucune modification, si ce n'est que la
sensibilité
au froid et à la chaleur, intacte d'abord du côté
ainsi du. la main et dans la moitié in- férieure de de ce côté. La
sensibilité
a la piqûre s'est abolie dans les mômes régions
'an- née 1868, paresthésies, douleurs fulgurantes, émoussemcl de la
sensibilité
plantaire, incertitude de la marche. En 1880, d
es. Il serait intéres- sant d'étudier systématiquement l'étal de la
sensibilité
cutanée au niveau des muscles atteints. Il est
RCOT) 3. Symptômes accessoires [suite)*. II. TROUBLES SENSITIFS
Sensibilité
générale. Le plus souvent les troubles sensitifs
lir nettement l'inté- grité du sens musculaire (Huet et Simpson).
Sensibilités
spéciales. Vision. Des mouvements involontaires
Les réflexes tendineux sont normaux. Il n'y a pas de trouble de la
sensibilité
. La parole est lente, tramante ; les sons émis
'il y ait un peu- moins de mobilité. -. ' Pas de, troubles de. la
sensibilité
, pas de rétrécissement du champ visuel. Le somm
, les yeux fixes et brillants. Parole lente, sourde, monotone. La
sensibilité
est égale des deux côtés. Pas de sensation de cha
rants d'une intensité assez forte el tels que cer- tains malades, à
sensibilité
un peu développée, ont peine il les supporter.
Paris portèrent sur l'homme sain, indemne de toute altération de la
sensibilité
. En appliquant la tige vibrante sur un point cl
çon. Elle est ordinairement, à part quelques caractères tirés de la
sensibilité
et de l'examen du champ visuel qui permettent d
mars z ? . Etat actuel. Alcoolique, D... est de plus hystérique; la
sensibilité
générale au tact, à la douleur et à la températ
Monod et Reboul, nous voulons signaler surtout ce qui a trait à la
sensibilité
: « Membre supérieur droit : anesthésie complète
ace dorsale, la partie antérieure de la face plantaire et le talon,
sensibilité
conservée à la voûte plantaire ; à la jambe, anes
anesthésie du tiers inférieur de la face antérieure ; à la cuisse,
sensibilité
diminuée sur la face externe. Membre inférieur
t à la cuisse, l'anesthésie occupe les mêmes régions qu'à gau- che.
Sensibilité
diminuée à la face. Les réflexes du poignet et du
inuée à la face. Les réflexes du poignet et du coude sont exagérés.
Sensibilité
articulaire disparue, des deux côtés, au coude, a
inué ». Il n'est pas question dans cet exposé de dissociation de la
sensibilité
, l'attention n'ayant pas encore été attirée à c
eu exagérés des deux côtés, sans trépidation spi- nase., - - .. .
Sensibilité
. -,Pas.de-troubles, subjectifs appréciables,, sau
ur coup, sur un même point, semblent parfois amener le retour de la
sensibilité
. Mais ces per- ceptions, si elles existent, son
varie pas notablement, suivant qu'on examine tel ou tel mode de la
sensibilité
cutanée, et le schéma ci-joint convient approxi
dissociation syringomyélique. Dans les autres régions du corps, la
sensibilité
générale est normale. Au point de vue sensoriel
la sensibilité générale est normale. Au point de vue sensoriel, la
sensibilité
est intacte. Il n'y a pas de ré- trécissement d
r blanche à 80° du périmètre). Dans les régions anesthésiques, la
sensibilité
musculaire et articulaire est abolie. Trouble
e Romberg. Pas de nystagmus. Pas de strabisme; rien aux pupilles.
Sensibilités
générale et spéciale sont indemnes. Contractilité
, nous devons retenir encore l'existence possible de troubles de la
sensibilité
dans la maladie organique et à plus forte raison
existe dans l'hémiplégie spasmodique infantile, la diminution de la
sensibilité
n'est jamais aussi grande que dans l'hémianesthés
ère est inégal, sournois et peureux. L'examen de la motilité, de la
sensibilité
et de la nutrition donne les résul- tats suivan
aux du côté gauche, la force musculaire intacte. II. Troubles DE la
sensibilité
. - Sensibilité générale. La sensibilité est com
che, la force musculaire intacte. II. Troubles DE la sensibilité. -
Sensibilité
générale. La sensibilité est complètement aboli
intacte. II. Troubles DE la sensibilité. - Sensibilité générale. La
sensibilité
est complètement abolie sur toute la moitié dro
ion d'étouffement à la gorge. Le réflexe pharyngien est conservé.
SENSIBILITÉ
spéciale. Vue. L'examen de l'appareil de la visio
u examiner les réactions électriques, a constaté ce qui suit : La
sensibilité
électrique est abolie à droite pour la peau et le
llant le long du tabouret électrique ; il n'y a pas de transfert de
sensibilité
à la première expé- rience par la pointe électr
10 mai. Application de l'aimant en permanence. Le 11. Retour de la
sensibilité
profonde sur tout le côté droit. Le malade dit
viron une heure et se termine par des larmes. Le 15. Retour de la
sensibilité
cutanée, mais seulement par plaques irré- guliè
la forme de l'hé- michorée, de la contracture, et le retour -de la
sensibilité
générale sous l'in- tluence de l'aimant se sont
nts hystériques. Enfin, est-il besoin de rap- peler le retour de la
sensibilité
chez notre malade sous l'influence de l'aimant
nte. Vous voyez sur la tôle plusieurs cicatrices. En examinant la
sensibilité
de la peau, nous la trouvons diminuée dans la m
tact mais n'éprouve pas la sensation douloureuse de la pi- qûre. La
sensibilité
thermique ne manifeste pas d'altération. Du côt
sibilité thermique ne manifeste pas d'altération. Du côté droit, la
sensibilité
se conserve intacte dans toutes ses formes. Nou
ons notre examen. Jusqu'ici nous avons rencontré : un trouble de la
sensibilité
qui intéresse la moitié gauche, une diminution
la sensibilité qui intéresse la moitié gauche, une diminution de la
sensibilité
du tact, une perle de la sensibilité à la douleur
é gauche, une diminution de la sensibilité du tact, une perle de la
sensibilité
à la douleur, la sensi- bilité thermique se con
leur, la sensi- bilité thermique se conservant. Du côté droit, la
sensibilité
apparaît intacte : nous trouvons seulement une
d'analgésie située sur la poitrine. A côté de ces altérations de la
sensibilité
, nous trouvons des troubles sensoriels de l'oui
asensibilité complète; on voit une parésie des membres pelviens. La
sensibilité
est en partie conser- vée, mais elle est obtuse
iat. On ne peut pas attribuer l'ataxie locomotrice à la perte de la
sensibilité
. D'autre part l'explication de l'ataxie par un
iot, le premier(1807),nota la diminution de la chaleur vitale et la
sensibilité
au froid comme des symptômes fré- luents de la
salés, administrés deux fois par semaine depuis octobre 1879. La
sensibilité
générale est conservée et paraît un peu émoussé
peu émoussée; le chatouillement n'est généralement pas perçu. La
sensibilité
aufroid est très marquée. Quantaux sensibi- lit
la Salpêtrière, chez lesquels aussi on retrouve les troubles de la
sensibilité
avec leurs modifications par les agents esthési
al, l'hystérie, sauf peut-être pour les troubles particuliers de la
sensibilité
morale, plus spéciaux à la femme, est la même d
l, montre nettement l'identité des attaques et des troubles de la
sensibilité
. Observation. Antécédents névropathiques du côt
cêtre (Novembre 18 ï 9) .-Iézzianestlzésie droite portant sur la
sensibilité
générale et spéciale : dyschromatopsie. Zones h
ormaux et les diverses fonctions s'accom- plissent régulièrement.
Sensibilité
. L'état actuel de la sensibilité s'est modifié à
s'accom- plissent régulièrement. Sensibilité. L'état actuel de la
sensibilité
s'est modifié à plusieurs reprises sous l'influ
es attaques, on constata que la fosse iliaque gauche présentait une
sensibilité
particulière à la pression, en même temps qu'il
au pincement, au cha- touillement et au froid. Lorsqu'on explore la
sensibilité
avec une épingle sur l'abdomen, on voit que l'a
ression sur la zone hystérogène (clou hystérique). Cet état do la
sensibilité
persista sans se modifier nota- blement jusqu'a
le point symétrique. Nous reviendrons plus loin sur l'état de la
sensibilité
en rendant compte des expériences que nous avon
l'hystérie, à savoir : l'hénia2est)tésie, intéressant à la fois la
sensibilité
générale et la sensibilité spéciale; - les poin
énia2est)tésie, intéressant à la fois la sensibilité générale et la
sensibilité
spéciale; - les points ou zones hystél'ogènes,
ur l'avant-bras droit. Au bout d'un quart d'heure d'application, la
sensibilité
revient dans toute l'étendue du côté droit mais
tête les piqûres sont nettement senties mais à un degré moindre. La
sensibilité
au froid est très marquée dans tout ce côté. Du
é au froid est très marquée dans tout ce côté. Du côté gauche, la
sensibilité
persiste bien qu'un peu diminuée; les réflexes
levés après ces constatations (10 h. 15), on note à 10 h. 22 que la
sensibilité
est retournée à son état primitif ; le côté dro
un quart d'heure après, aucun phéno- mène nouveau n'est survenu; la
sensibilité
reste intacte à gauche, abolie à droite. Les zo
le commencent à être perçues aux environs de l'aimant tandis que la
sensibilité
devient obtuse du côté gauche; à 10 h. 30, le t
e sensation, les yeux du malade étant tenus fermés. A la langue, la
sensibilité
à également passé de gauche à droite. Mêmes rem
ilité à également passé de gauche à droite. Mêmes remarques pour la
sensibilité
à la tempéra- ture. L'aimant étant alors retiré
mant étant alors retiré (10 h. 32), on constate dès 10 h. 35 que la
sensibilité
commence à devenir obtuse du côté droit : quelq
nt été faites sans amener de modification durable dans l'état de la
sensibilité
, l'enfant fut envoyé tous les matins à la douch
hémianesthésie a disparu peu à peu et il a recouvré complètement la
sensibilité
sous l'influence de l'hydrothérapie. Nous ne cr
tte note, de faire une légère res- triction pour les troubles de la
sensibilité
morale qui em- pruntent sans doute un caractère
s organes génitaux, ne présentent rien de particulier à noter. La
sensibilité
générale et spéciale parait normale. 28 mars. D
tement sur un sol dur et rugueux, le membre privé de mouvements et de
sensibilité
par suite de la section du sciatique. Lorsque le
vais-seaux de la conjonctive ; la sécrétion des larmes s'exagère. La
sensibilité
des paupières, de la conjoncti\re, de la cornée e
onjonctivite la plus légère jusqu'à lablennorrhée la plus intense. La
sensibilité
s'exalte toujours et l'hyperesthésie peut s'éleve
n, Meissner a vu paraître dans l'œil,qui avaitconservé d'ail-leurs sa
sensibilité
, des lésions trophiques très prononcées. L'auteur
l'inflammation de l'œil s'est développée malgré la persistance de la
sensibilité
(2). Nous avons vu dans les expériences de Samu
ermittentes, se mon-trèrent plus tard à peu près continues. Jamais la
sensibilité
de la face ne disparut complètement ; une légère
5 ans fut frappé tout à coup d'une hémiplégie droite avec perte de la
sensibilité
du même côté. Quelques semaines avant cette attaq
ue très étroite, réagissait encore sous l'influence de la lumière. La
sensibilité
resta tou-jours normale dans tout le côté gauche
ons voulu mentionner que ceux dans lesquels il est bien établi que la
sensibilité
de la face n'a pas été atteinte : les deux cas qu
com-primé ; sa coloration est modifiée. Malheureusement, l'état de la
sensibilité
de la peau de la face n'est pas indiqué dans ce c
ître, Martin-Magron, alors que je m'essayais dansunedirec-tion que ma
sensibilité
à l'égard des animaux devait me faire abandonner
nues dans le muscle (2). 11 importe de remar-quer, d'ailleurs, que la
sensibilité
musculaire et cutanée se maintient souvent à un d
ques des nerfs mixtes, les troubles fonctionnels portent moins sur la
sensibilité
des muscles que sur leur contractilité ; ainsi un
pas le moins du monde par l'excitation électrique la plus intense. La
sensibilité
cutanée esl encore moins affectée que la sensibil
plus intense. La sensibilité cutanée esl encore moins affectée que la
sensibilité
musculaire, dans ces mômes lésions nerveuses. Duc
tête ou des yeux. Les commissures labiales ne sont point déviées; la
sensibilité
paraît très émoussée sur tous les points du corps
ible. Toutes les parties au-dessus delà fracture étaient privées delà
sensibilité
et du mouvement. Le lendemain, érections continue
r la région dor- 1. Cité par Ollivier (d'Angers), loc. cit. 2. La
sensibilité
était également conservée dans le cas du docteur
présente en outre un degré plus ou moins prononcé d'exaltation de la
sensibilité
tactile et il offre de plus une élévation notable
e par contre sa température normale et ses mou-vements, tandis que la
sensibilité
tactile s'y montre très amoin-drie ou même complè
côté droit présente au contraire, une obnubilation très marquée de la
sensibilité
, tandis que les mouvements y ont en grande partie
mouvement, est le siège d'une diminution notable de tous les modes de
sensibilité
et a conservé la température normale. En outre —
s que, au voisinage delà région sacrée,, la fesse du membre, privé de
sensibilité
, mais non paralysé du mouvement, devient le siège
e siège de mouvements spasmodiques, de soubresauts.— Au contraire, la
sensibilité
paraît, sur ce même membre, exagérée dansla plupa
uvements volontaires sont parfaitement normaux ; mais, par contre, la
sensibilité
est à peu près complètement éteinte. Analgésie co
sensibilité est à peu près complètement éteinte. Analgésie complète ;
sensibilité
au contact presque nulle. Le contact d'un corps f
sont raides, à des degrés différents : la raideur prédomine à droite.
Sensibilité
conservée. — Pendant la nuit, sensation de froid
res inférieurs. — Parésie. — Rémissions. — Absence de trou-bles de la
sensibilité
. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes t
el il ne s'adjoint, le plus ordinairement, aucun trouble marqué de la
sensibilité
. En général, l'un des membres inférieurs est af
instant, pour y insister sur l'absence déjà notée des troubles de la
sensibilité
. Les malades se plaignent bien, parfois, de fourm
ssagers et peu accusés. D'ailleurs, il est facile de constater que la
sensibilité
cutanée est, sur les membres affectés, presque to
alade n'était pas fortement maintenue » — Aux membres inférieurs « la
sensibilité
tactile a diminué d'une manière notable », La mal
e des membres inférieurs : la conservation des différents modes de la
sensibilité
aux membres inférieurs et supérieurs: l'intégrité
les cordons postérieurs,— efle ne s'accom-pagne d'aucun trouble delà
sensibilité
, d'aucun trouble appré-ciable dans la nutrition d
férieurs; Parésie et trem-blement des membres supé-rieurs. Partout la
sensibilité
tactile est en grande partie perdue. — Améliorati
la décolora-tion de la peau et des muqueuses; névralgie intercostale;
sensibilité
ovarienne développée du côté gauche, douleur à. l
antéro-postérieur, tout un côté, — face, cou, tronc, etc., — aperdula
sensibilité
, et si très souvent cette perte de la sensibilité
c, etc., — aperdula sensibilité, et si très souvent cette perte de la
sensibilité
porte seulement sur les parties superficielles (t
couche optique et du corps strié—restent à peuprès sans effet sur la
sensibilité
. A ce point de vue, Messieurs, le résultat est, d
s, cette para-lysie vaso-motrice apparaît dès l'origine. Quant à la
sensibilité
, elle n'est pas modifiée d'une manière apprécia
, même après la restauration du ;^oy^ement. X^C^s-'à^férations delà
sensibilité
peuvent se présenter avec les caractères suivants
er alors Y analgésie et la thermo-anesthésie, avec conservation de la
sensibilité
tactile, ainsi que l'ont constaté MM. Landois et
de la couche optique coïncide avec la diminution ou l'abolition de la
sensibilité
sur le côté du corps,frappé d'hémiplégie. Souvent
troisième noyau du corps strié. Quant à présent l'anesthôsie de la
sensibilité
générale parait seuleavoir été été signalée, en c
yers apoplectiques dans le cerveau (hémorragie et ramollissement), la
sensibilité
re-paraît, en règle générale très promptement, l'
ie très intense du côté gauche (membres, tronc, etc.). A la l'ace, la
sensibilité
est de ce côté seulement diminuée. De temps en te
t spécialement sur ce symptôme qu'ils rattachent sans hésitation à la
sensibilité
anormale de l'ovaire. En Allemagne, Bomberg a,s
résistan-tes, on peut reconnaître la tuméfaction ou même seulement la
sensibilité
de l'ox^aire. L'introduction du doigt par le rect
sé, occupant par suite la face, le tronc, etc. Cette altération de la
sensibilité
intéresse non seulement la peau, mais encore les
, xrous constatez, au bout de 10 à 15 minutes d'appli-cations, que la
sensibilité
a reparu dans tous ses modes, non seulement sous
eu, comme dans l'hystérie, pour résultat de provoquer le retour de la
sensibilité
normale. Mais,, tandis que, dans ces deux cas, le
ez le pressentir, surtout prononcée adroite. V...est une hystérique h
sensibilité
zinc. J'ajouterai enfin, et c'est là un trait don
e à un certain degré, on ne constate chez M. R... aucun trouble de la
sensibilité
: pas d'anesthésie. pas d'hyperesthésie, seulemen
; — absence de tout tremblement dans les mouvements vo-lontaires. La
sensibilité
est conservée. — La parole est un peu gênée, mais
t nid à gauche. Parfois refroidissement et cyanose des extré-mités.
Sensibilité
conservée. —Pas de contracture. — Diminution de l
e, sans accident particulier. Pas de modifications quelcon-ques de la
sensibilité
en dehors des parties où l'ancsthésie a été const
ète. Cette dernière circonstance donne l'idée d'explorer l'état de la
sensibilité
dans toute l'étendue du corps ; et l'on constate
ne hémianesthésie droite, absolue,complète, portant, à la fois sur la
sensibilité
générale et sur les sens spéciaux, vision et odor
res inférieurs. — Parésie. — Rémissions. — Absence de trou-bles de la
sensibilité
. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes t
la chaleur varie, les yeux deviennent brillants; une exaltation de la
sensibilité
pourra survenir, comme aussi une prostration de f
'habituellement, quelquefois aussi de l’exaltation ou expansion de la
sensibilité
morale. Est-il des êtres qui no sentent absolum
i n’attendaient, sans doute, pour se manifester, qu’un excitant de la
sensibilité
. J’ai vu le même fait se reproduire sur quelque
ine d’heures. On ne pouvait en avoir aucun signe d’intelligence et de
sensibilité
. J’obtins de M. le professeur de clinique interne
ait plutôt brisé les membres que de les fléchir. L’intelligence et la
sensibilité
semblaient éteintes : le bruit leplus fort, la lu
dont, quelques minutes auparavant, on ne pouvait obtenir un signe de
sensibilité
, m’entendait et me répondait. Dans le moment arri
t, en dirigeant un doigt sur une partie douloureuse, y développer une
sensibilité
si prodigieuse qu’un corps quelconque, placé entr
a poitrine disparurent en même temps que la dyspnée et la toux, et la
sensibilité
et la mobilité furent rétablies dans le bras para
olentes douleurs de la partie occipitale de la téte, avec perte de la
sensibilité
et de la puissance musculaire d’un côté, ce qui l
roire, cette irritation n'est, à son début, qu’une augmentation de la
sensibilité
, causant un afflux de fluides dans celte partie ;
direct, et évidemment spécifique du magnétisme, étant de diminuer la
sensibilité
et l’activité vasculaire, ne peut-on pas espérer
hommes sains, bien disposés de coeur et d'àme, avant suffisamment de
sensibilité
pour être émus à la vue des souffrances d'autrui,
toutes les affections où, par des causes naturelles ou maladives, la
sensibilité
est vivement excitée par le magnétisme, c’est par
... se fit remarquer dans cette expérience; il est surtput porté à la
sensibilité
; mais en lui parlant de choses gaies, en lui mont
nce d’une substance ou matière, dont la volonté, Y intelligence et la
sensibilité
sont des qualités essentielles, ne peut manquer d
tres de cette dernière nature, doués de volonté, A'intelligence et de
sensibilité
, que je substitue à ceux que l’on appelle de purs
systèmes nerveux dont je viens de vous parler, il y a les netfs de la
sensibilité
, bien distincts de ceux de la volonté, et qui son
r suite une sorte de suffocation, quelquefois un épanouissement de la
sensibilité
avec un état de bien-être inaccoutumé. Le foie,
dents qui causaient le plus de douleur. La malade ne témoigna aucune
sensibilité
. Frappé de ce résultat, M. Prideaux voulut le ren
urces vraiment merveilleuses dont le magnétisme possède le secret. La
sensibilité
des.malades, .dit-il en terminant, est de deux so
a sensibilité des.malades, .dit-il en terminant, est de deux sortes :
sensibilité
à la température, etsensibilité à l’effet d’une l
dormis ot procédai au pansement sans qu’il donnât le moindre sigpe de
sensibilité
. Je jugeai devoir procéder ainsi pour les autres
aisser toucher leurs somnambules; on apercevait chez les dormeurs une
sensibilité
qui s’exaltait par le moindre contact étranger, e
t senties et extrêmement douloureuses lors-« que la peau reprenait sa
sensibilité
normale. » Ici encore je devrais vous citer de
rsé par le ruban du séton, était très-enflammé, et sur* ses bords une
sensibilité
excessive existait. Elle jugea, endormie, que le
nétisme souvent la détermine seul par ses propriétés : il stupéfie la
sensibilité
; il refoule au loin, dans d’autres cas, le princi
ujet. Vous pouvez donc, dans un grand nombre de cas, anéantir toute
sensibilité
, fnapper d’inertie toute la surface du corps, et
re pénétrer profondément dans les chairs une force qui annihile toute
sensibilité
. Quel singulier phénomène! combien il est digne d
it. Non. Vous avez repoussé, refoulé au loin le principe qui donne la
sensibilité
à toutes les parties; mais il n’est point anéanti
Chose singulière, il est des cas où toute la vio est à la surface; la
sensibilité
alors semble doublée; on sent, on perçoit ce qui
Boismont, «près avoir rapporté une foule de faits d’exaltation de la
sensibilité
, ajoute : « On ne saurait nier «pic, dans certain
, dans certaines maladies, il ne se développe une surexcitation do la
sensibilité
, qui donne aux sens une (inesse et une acuité pro
tions engendrent la gaîté. Le mercure et ses sels entretiennent une
sensibilité
morbide, un dégoût prononcé pour quelque occupati
sse de l’actionner et les effets se calment; mais cet homme est d’une
sensibilité
telle que la seule approche du magnétiseur renouv
apparition. J’ai changé ainsi les heures de leur arrivée, modifié la
sensibilité
, fait perdre aux nerfs l’habitude qu’ils avaien
t les muscles, quoique revenus à leur état habituel, conservaient une
sensibilité
douloureuse que je ne pouvais faire cesser. L’u
de force suffisante : l’excès n’est pas utile. Plus il rencontre de
sensibilité
et moins il doit agir. Il est des malades à qui c
i ne sont point utiles à son rétablissement. Si c’est seulement une
sensibilité
phénoménale, il l’exagérera encore pour montrer s
nsu et sans qu’il manifestât. le plus léger signe de souffrance ou de
sensibilité
. M. Topliam est avocat; il déclare d’abord à la
; « voici de nouveaux sujets. » Et vous, mademoiselle K...... votre
sensibilité
magnétique me permet do faire les expériences les
onnant lo reste du corps. De cette manière il obtient quelquefois une
sensibilité
qu’il n’eût point découverte, et, peut rendre non
yer dans les cas qui nous occupent maintenant. Il est des cas où la
sensibilité
au magnétisme a besoin pour être produite d’une m
ns. Ces parties semblaient ne plus exister, il fallait y ranimer la
sensibilité
; je ne l’espérai pas en vain. Ma main appliquée t
is qui n’a pas assez fixé l'attention : la diminution graduelle de la
sensibilité
magnétique. Tous les jours, depuis le 4, cet ho
mérite une sérieuse attention. Par cette espèce d’exaltation de la
sensibilité
dont les somnambules ont souvent besoin pour sent
ement des mains, comme il arrive quand on veut déguiser les signes de
sensibilité
. Le patient rinça sa bouche et fut ensuité éveill
sont beaucoup moins dangereuses que dans l’état normal, parce que la
sensibilité
a disparu complètement dans le plus grand nombre
and nombre des cas, ou, du moins, s’est considérablement modifiée. La
sensibilité
vient de l’âme qui a pour agent le système nerveu
t des crises artificielles, plusieurs de suite. J’ai détruit ainsi la
sensibilité
trop vive de leur système nerveux, entretenu par
ces cas l’accouchement a été très-heureux. Le magnétisme ravive la
sensibilité
, il la porte même sur des organes manquant de cel
airs, sur la face, les bras, etc., du patient qui ne manifeste aucune
sensibilité
. Le médecin avoue sa surprise de la singularité d
rgence de provoquer le développement de crises toutes les fois que la
sensibilité
du malade le permet. Sur la question de savoir
employai les mômes procédés et j’obtins le même résultat. Voyant sa
sensibilité
au magnétisme, je pensai qu’il lui était nécessai
ombattre ce fâcheux symptôme. Au bout de huit jours, elle était d’une
sensibilité
telle qu’une demi-minute me suffisait pour la met
e. 74, 111, 229, 236, 284, 289, 499, 507, 524, 567 Exaltation de la
sensibilité
. . 251 Extase; voyez Influence de la musique, 3
i un exemple. Nous ne relevons, chez ce malade, aucun trouble de la
sensibilité
, aucun phénomène d'ordre vasomoteur. Il n'exist
abilité électrique. Nous ne relevons, chez lui, aucun trouble de la
sensibilité
; pas de phénomènes vaso-mo- teurs. Peut-être
rigidité ; les lésions des cordons postérieurs, les troubles de la
sensibilité
et de l'équilibre. Nous arrivons aux lésions mu
musculaire diminuée dans le membre inférieur droit. Troubles de la
sensibilité
du trijumeau, de la peau, des bourses et delà v
621). - L'influence de l'éducation de la mobilité volontaire sur la
sensibilité
(ibid., 1891, t. XI.IV, p. 391). (2) FoRGEOT,
t aussi à ce niveau que la cyphose est maxima. Partout ailleurs, la
sensibilité
est intacte ; il n'existe pas de zone d'anesthési
Pas de troubles vasculaires, cyanose notable à la peau du membre.
Sensibilité
cutanée. - La peau est moins sensible, au contact
agération des reflexes tendineux du côté malade, les troubles de la
sensibilité
cutanée au membre sain, la guérison et le redre
-même après lui) est très net. D'autre part il y a diminution de la
sensibilité
au contact du membre sain et des crampes fréque
e sciatique d'origine radiculaire. Le fait de la diminution de la
sensibilité
cutanée au membre sain, en l'absence de paralys
-Sequard. J'admettrais plus volontiers qu'il s'agit d'un trouble de
sensibilité
de nature hystérique, quoique je n'aie pas réus
Réflexes rotuliens paraissent diminués. Pas de troubles nets de la
sensibilité
. Pas de paralysie oculaire. Tremblement de la
on n'y retrouve pas le balbutiement des paralytiques généraux. La
sensibilité
subjective ou objective semble normale. Pas de tr
xe rotulien seulement ébauché du côté gauche. Pas de troubles de la
sensibilité
, réflexe plantaire diminué, réflexe crémas- tér
ncontinence d'urine. Pas de troubles subjectifs, ni objectifs de la
sensibilité
, conservation de la sensibilité de pression. Pe
bles subjectifs, ni objectifs de la sensibilité, conservation de la
sensibilité
de pression. Perte presque absolue de la notion d
vités nasales et buccales. A part ses douleurs des poignets, et une
sensibilité
extrême au froid, souvent notée chez les hypo-
pothyroïdie, sa petite taille, son gros ventre, sa face lunaire, sa
sensibilité
au froid ; on ne peut nier toutefois que l'orga
ils en éventail ; on constate égaleméut le signe de Strumpell. La
sensibilité
à la piqûre est diminuée à droite, mais la sensib
trumpell. La sensibilité à la piqûre est diminuée à droite, mais la
sensibilité
au pince- ment est conservée. La malade est a
s de sueur ; cet état existait avant la maladie. , L'examen de la
sensibilité
est négatif. Les réflexes rotuliens sont exagér
pincement du biceps qui produit un bour- relet localisé manifeste.
Sensibilité
à la douleur normale. Sensibilité ther- mique c
n bour- relet localisé manifeste. Sensibilité à la douleur normale.
Sensibilité
ther- mique conservée. ' Sensibilité tactile
bilité à la douleur normale. Sensibilité ther- mique conservée. '
Sensibilité
tactile mesurée à l'esthésiomètre. Elle est en gé
ien en rapport avec son état mélancolique. Les hallucinations dé la
sensibilité
..générale (électricité du parquet) parais- sent
rrêt dans l'évolution des tumeurs cutanées. Aucune anomalie de la
sensibilité
, pas de rétrécissemeut du champ visuel, pas d'a
membres inférieurs et supérieurs. Retard dans la transmission de la
sensibilité
avec byperesthésie aux membres inférieurs. En deh
mbres inférieurs. En dehors de cela il u'existe aucun trouble de la
sensibilité
superficielle ou profonde. Réflexes tendineux a
jambe). Retard dans la transmission des sensations. Altération des
sensibilités
pro- fondes et de la notion de position. Rétent
ère des membres inférieurs devenant plus prononcée les yeux fermés.
Sensibilité
peu altérée. Troubles légers de la marche et de l
abolition des réflexes tendineux. Atrophie des muscles de la main.
Sensibilité
à peu près normale. Troubles sphinctériens. Myo
inférieurs. Réflexe patel- laire aboli. Pas d'atrophie musculaire.
Sensibilité
superficielle altérée sur les membres inférieur
aire. Sensibilité superficielle altérée sur les membres inférieurs.
Sensibilité
profonde conservée. Inégalité pupillaire, réflexe
e aux membres supé- rieurs et inférieurs. - Peu de troubles de la
sensibilité
: zone d'hyperesthésie au tact et à la douleur
très marquée aux membres inférieurs, légère aux membres supérieurs.
Sensibilité
peu touchée aux membres, cependant anesthésie p
dination très accusée aux membres inférieurs. Peu de troubles de la
sensibilité
cutanée (sensibilité au tact et à la douleur).
aux membres inférieurs. Peu de troubles de la sensibilité cutanée (
sensibilité
au tact et à la douleur). Altérations très marq
sensibilité au tact et à la douleur). Altérations très marquées des
sensibilités
profondes aux membres inférieurs et aux membres
des altérations insignifiantes, toutefois chez un tabétique dont la
sensibilité
était très atteinte dans le domaine du trijumeau,
s, priapisme, et douleur spontanée à la base du cou. L'examen de la
sensibilité
et des réactions vaso-motrices cutanées donne les
laboration avec Cathelineau. De la superposition des troubles de la
sensibilité
et des spas- mes de la face et du cou chez les
fonctionnent comme en leur état physiologique. L'exploration de la
sensibilité
tactile, thermique et douloureuse, ne révèle ri
suite de pé- richondrite ou d'aplatissement latéral (Dr Cartaz). La
sensibilité
de l'organe est bien conservée. L'examen de l
z). La sensibilité de l'organe est bien conservée. L'examen de la
sensibilité
de la face révèle une hypoesthésie très marquée
t de la langue est insensible tant aux excitations s'adressant à sa
sensibilité
générale, qu'à celles s'adressant à la gustation.
t et cependant il n'y a pas de refroidissement ni de troubles de la
sensibilité
. Le pansement est renouvelé pour la première fo
e externe des cuisses. Mouvements ataxiques aux mèmbres supérieurs.
Sensibilité
au contact et au froid très diminuée aux membres
rès diminuée aux membres inférieurs et abolie au-dessous du genou ;
sensibilité
à la piqûre conservée. Signe d'Argyll Ro- berts
ent violentes dans la région lombaire et les fesses. Troubles de la
sensibilité
au niveau des membres inférieurs, réactions pupil
és. Crampes et fourmillements dans les mollets. Douleurs lombaires.
Sensibilité
tactile et à la piqûre abolie aux jambes et aux p
fibrillaires dans la même région, la localisation de troubles de la
sensibilité
aux membres inférieurs, diminution de l'acuité
xes rotuliens, les troubles visuels et auditifs, les troubles de la
sensibilité
et de la parole très marqués et les phéno- mène
e la bouche pendant la crise et elle est un peu tremblottante. La
sensibilité
est normale, il, n'existe ni hémi-anesthésie ni a
difficulté à uriner, bien que le besoin soit pres- sant. Pour la
sensibilité
on constate que la malade est moins sensible au f
moins sensible au froid et à la douleur sur tout le côté gauche. La
sensibilité
tactile est partout normale. La notion de posit
, des veines. On remarque l'existence d'une cyphose cervicale. Le
sensibilité
cutanée est très diminuée sur tout le côté gnuche
état. Cyphose très marquée à la région cervicale. Trou- bles de la
sensibilité
plus étendus, avec retard de la perception. Le fo
se cervicale infé- rieure, à concavité droite. Les troubles de la
sensibilité
cutanée n'ont guère varié depuis plusieurs an-
ée n'ont guère varié depuis plusieurs an- nées. La diminution de la
sensibilité
porte sur les perceptions douloureuses et therm
e observation clinique a été relatée déjà à propos des troubles de la
sensibilité
dans la thèse de Georges Hausser, 380 TUOMAS
intégrité relative des cornes antérieures. Quant aux troubles de la
sensibilité
ils s'expliquent par les lésions correspondantes
térieures que nous avons poursuivie jusqu'au ganglion. À droite, la
sensibilité
est atteinte dans les régions correspondantes aux
la topographie radi- culaire. D'autre part, la conservation de la
sensibilité
dans les régions innervées par les segments de
ement teinté d'émeraude ; en vrai connaisseur, et pour af- finer la
sensibilité
de son palais, il s'est fait servir en même temps
yngien existe. Un peu d'hyperesthésie cutanée sur tout le corps. La
sensibilité
à la chaleur existe. ' Quelques faibles doule
resthésie cutanée. Le réflexe rotu- lien gauche a toujours disparu.
Sensibilité
à la chaleur normale. Urine norma- lement. Le
nué, réflexe cré- mastérien aboli, réflexe abdominal presque nul.
Sensibilité
au toucher et à la chaleur normale, la douleur au
éflexe patellaire presque aboli à gauche, plus marqué à droite. Les
sensibilités
sont bien conservées, normales, non dissociées. P
uscles du tronc et des quatre membres avec intégrité complété de la
sensibilité
: mort au bout de deux mois. Dans la moelle, dest
is il y arrive sans "mouvement ataxique. Il n'a aucun trouble de la
sensibilité
, pas de Romberg, etc. Au reste, l'explication
ment musculaire, allant parfois jusqu'à la crampe douloureuse. La
sensibilité
est normale dans tous ses modes. Il n'y a rien à
cher et qui est à constituer peu près en entier. 3. Troubles de la
sensibilité
. - Les troubles de la sensibilité générale sont
près en entier. 3. Troubles de la sensibilité. - Les troubles de la
sensibilité
générale sont considérés comme très fréquents c
e sujet ; tout au plus pouvons-nous signaler, au point de vue de la
sensibilité
cutanée : l'hyperesthésie du bout du nez à la p
ion organique du cerveau, accompagnées de trou- bles profonds de la
sensibilité
et de la motilité; mais presque constamment, da
dessus signalée) ; on y remarque quelques petites cicatrices (4).
Sensibilité
générale et spéciale : normales. Le réflexe ten
est glabre; les cheveux, les sourcils sont d'un blond cendré. La
sensibilité
générale est normale. Réflexe tendineux peu déve-
eux que fournit l'aimant, pour distinguer l'épilepsie simulée. La
sensibilité
générale et locale (cette dernière prise surtou
ceux que M. Maggiorani prétend avoir en- registrés ; selon lui, la
sensibilité
au tact et à la douleur diminuerait chez les ép
res ; pas de paralysie ; pas d'exagéra- tion du réflexe tendineux ;
sensibilité
au chatouillement et au pincement conservée.
nvier. - Application d'aimants. On s'assure d'abord de l'état de la
sensibilité
; l'ancsthésic est com- plète (piqûre, pincemen
oitié inférieure du nez, partie centrale et moyenne du front) où la
sensibilité
est con- servée. 10 h. 30 matin. - On appliqu
aimant en fer à che- val le long de chaque cuisse. 10 h. 45. - La
sensibilité
est revenue dans les membres inférieurs en proc
du tronc; elle reparaît plus vite à gauche qu'à droite. 11 h. La
sensibilité
a reparu sur toute la partie supé- rieure du me
semble moins sensible, la main ne l'est pas du tout. A droite, la
sensibilité
est beaucoup moins accusée; le ma- lade ne perç
lu et du pavillon de l'oreille persiste. 11 h. 10. - A gauche, la
sensibilité
se développe suc- cessivement en suivant le tra
partie HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 129 centrale du médian. - A droite, la
sensibilité
n'a encore reparu ni à la main, ni au poignet.
l : rien encore sur la région innervée par le médian. 11 h. 30.- La
sensibilité
est entièrement revenue, aussi bien sur les mem
te, 3do,6; à gauche, 38°,3. 2 h. 35. - On enlève les aimants : la
sensibilité
est nor- male sur tous les points. 4 h. - Mêm
ourant d'air passant le long des cuisses. Au sur et à mesure que la
sensibilité
reparaissait, le contact de la chemise lui donn
uve de la difficulté à exécuter les mouvements de gymnastique. La
sensibilité
persiste, bien qu'affaiblie; en certains points
d'un air honteux qu'il va bien et demande à boire. A ce moment; la
sensibilité
a disparu, mais quelques instants après, elle r
/2, il s'endort d'un sommeil profond et très calme. 31 janv. - La
sensibilité
persiste; on cherche à endor- mir le malade, ma
tteint d'une violente céphalalgie ayant duré environ 2 heures. - La
sensibilité
persiste; les sens spéciaux ne présentent rien
la jambe droite. Les jambes et les pieds sont un peu cyanosés. La
sensibilité
au pincement et au chatouillement est égale- me
e plus, il existe de la raideur dans les hanches et les genoux ; la
sensibilité
réflexe est assez prononcée ; pas d'eschares, p
iques. Le chatouillement ne détermine aucun mouvement réflexe ;- la
sensibilité
à la piqûre est conservée, l'enfant fléchit un
faire saisir le dynamomètre à l'enfant. Tissu graisseux abondant.
Sensibilité
générale également conservée des deux côtés; ré
érale également conservée des deux côtés; réflexe tendineux normal.
Sensibilité
spéciale (odorat, goût) obtuse. Vue bonne ; ne
ézito-urinaire : bien conformé ; - pas de poils ; - masturbation.
Sensibilité
générale et spéciale intactes. - Parole libre.
l'état des membres inférieurs, nous constatons : l'intégrité de la
sensibilité
et de la force mus- culaire, l'intégrité des ré
réflexes rotuliens sont forts, les réflexes plantaires exagérés, la
sensibilité
est intacte dans tous ses modes, il n'existe au
a région du facial et du trijumeau. Les troubles subjectifs de la
sensibilité
et la parésie généralisée (accompagnée plus tard
ésion vers le trijumeau, nous avons noté l'absence de trouble de la
sensibilité
; du moins on ne put jamais constater de différ
; du moins on ne put jamais constater de différence nette dans la
sensibilité
des deux côtés de la face. L'attention de la mala
que dans une faible mesure. Nous nous efforçâmes donc d'exercer la
sensibilité
auditive par l'action de corps sonores et de la
pied butte contre le sol. De plus, ce qui est important ici, la
sensibilité
est at- teinte, on constate des troubles acce
reste été signalée congénitaiement, il pense que les troubles de la
sensibilité
, que les troubles des sphincters doivent être m
glutition étaient des plus pénibles, la parole incompréhensible. La
sensibilité
d'ailleurs était intacte, mais le réflexe massé
tremblements fibrillaires. Le pouls bat 168 à la minute. Partout la
sensibilité
est normale. Cet homme est atteint lui aussi d'
nstate dans les muscles de la face un abaissement quantitatif de la
sensibilité
électrique; le rétlexe du palais mou manque; la
déjà auparavant. 1° on y trouve des changements assez marqués de la
sensibilité
, à savoir : du goût et de la vue. Ces changemen
excitabilité électrique, exagération des réflexes, diminution de la
sensibilité
dans les memhres infé- rieurs, surtout du côté
s, accès apoplectiformes avec hémiplégie gauche, affaiblissement de
sensibilité
générale, sur- tout de la sensibilité musculair
ie gauche, affaiblissement de sensibilité générale, sur- tout de la
sensibilité
musculaire. Démence avec délire de gran- deur.
ILOFP exprime un doute concernant les résultats de l'exa- men de la
sensibilité
générale, surtout de la sensibilité musculaire
s résultats de l'exa- men de la sensibilité générale, surtout de la
sensibilité
musculaire chez des paralytiques avec démence p
84 BIBLIOGRAPHIE troubles vaso-moteurs, mais sans troubles de la
sensibilité
. Les membres inférieurs présentent des manifest
des troubles du mouvement et de la sta- tique ; les troubles de la
sensibilité
articulaire et de la sensibilité musculaire ont
la sta- tique ; les troubles de la sensibilité articulaire et de la
sensibilité
musculaire ont diminué proportionnellement. Dan
la théorie qui fait dépendre l'ataxie tabétique des troubles de la
sensibilité
superficielle et pro- fonde n'est plus soutenab
progressivement et insidieusement. TI n'existe aucun trouble de la
sensibilité
, ni anesthésie, ni douleurs, ni fourmille- ment
us et de l'annulaire droits. Il n'y a pas de réflexes tendineux. La
sensibilité
au tact et à la tem- pérature est normale mais
trémités. - Il n'y a pas d'exagé- ration des réflexes rotuliens. La
sensibilité
à la douleur est assez obtuse et l'on relève de
nature syncopale, suivie de parésie droite qui s'amende rapidement.
Sensibilité
intacte, réflexes nor- REVUE D'ANATOMIE ET DE P
n ; fourmillements et dou- leurs dans les membres. Dissociation des
sensibilités
à la tempé- rature, au tact et à la douleur sur
ralgésie dans la région supérieure du rachis, perte graduelle de la
sensibilité
autour du thorax : d'abord, thermo-anesthésie,
ie et thermo-anesthésie du nez et des oreilles. Perte de toutes les
sensibilités
du côté droit sauf à la face. Sueurs profuses d
face. Sueurs profuses du côté droit. Dissociation en plaques de la
sensibilité
à la température et au contact à gauche. Rachis c
érations de la syrin- gomyélie peuvent produire des désordres de la
sensibilité
selon deux modes : 1° en entravant la pénétrati
tinuité des trajets conducteurs médullaires, ce qui abolit aussi la
sensibilité
au-dessous de la lésion. Ils montrent encore qu
t les faits cliniques qui ont montré d'une part la dissociation des
sensibilités
, et d'autre part la lésion des racines postérie
racines postérieures seules coïncidant avec des altérations de la
sensibilité
thermique seule; in Etain parts LXX et LXXI.) Mai
riphériques et d'organes terminaux dstincts pour chaque forme de la
sensibilité
cutanée, que de déterminer pour chacune de ces
ueuse buccale; sensation de brûlure dans la gorge, diminution de la
sensibilité
et de l'action réflexe du voile du palais ; cri
paralysie. D'ailleurs l'examen du rachis reste négatif. L'examen de
sensibilité
révèle une anesthésie complète dans ce membre ;
les sensations provoquées au niveau du membre. Partout ailleurs, la
sensibilité
est normale. Ainsi, cette enfant pré- sente une
ale. Ainsi, cette enfant pré- sente une perte du mouvement et de la
sensibilité
dans le membre inférieur gauche. L'auteur dis
dial, médian, cubital ; il existe des troubles correspondants de la
sensibilité
. Les six pre- mières branches sont atteintes da
tal ne le sont que partiellement. La comparaison des troubles de la
sensibilité
et de la motilité permettent d'éliminer une aff
paradoxale. Les douleurs mobiles dans le dos, avec intégrité de la
sensibilité
; la conservation de la vessie et du rectum ; l'
conservé, de même le réflexe oculo- palpébral. Pas de strabisme, la
sensibilité
générale est intacte. Il ne m'est pas possible
ne d'anesthésie, ni aucune plaque d'hypéresthésie. L'examen de la
sensibilité
spéciale est négatif. Impossible, vu l'âge, de
issement concentrique notable du champ visuel, une diminution de la
sensibilité
du côté gauche et un peu d'anesthésie pharyngie
. C'était une paralysie flasque, les réflexes étaient conservés, la
sensibilité
était diminuée à l'avant-bras,-normale au bras
et le bras n'avaient pas encore retrouvé le mouvement. Le 22, la
sensibilité
était absolument normale et les doigts pou- vai
mais dans la polyomyélile antérieure il n'y a pas de troubles de la
sensibilité
, la réaction est nulle sous les courants faradi
ahsie ne tarda pas à s'ac- compagner d'atrophie musculaire, mais la
sensibilité
resta toujours intacte; il en fut de même des s
de vingt et un ans, fantassin. Il présente : 1° des troubles de la
sensibilité
à localisation spécifique ; 2° des tremble- men
e résistance s'affirme par une fatigue intellectuelle facile et une
sensibilité
extrême à l'égard de certains agents et particu
s le deuxième, sans que l'on ait constaté une manifesta- tion de la
sensibilité
sensorielle proprement dite. Les manifesta- tio
sibilité sensorielle proprement dite. Les manifesta- tions de cette
sensibilité
ont affecté même l'aspect de réactions complexe
blent prendre naissance au début de la vie : sensations viscérales,
sensibilité
gustative et olfactive, et enfin sen- sibilité
est également manifestée dès la première manifestation des diverses
sensibilités
; l'associa- tion et la coordination appliquées
ont situés dans le tronc nerveux général, très près des nerfs de la
sensibilité
cutanée, et probablement ils sont séparés des vas
s bas que la clavicule) et des mem- bres du côté droit, troubles de
sensibilité
musculaire du membre supérieur droit, qui en ou
ns la branche inférieure du perf facial droit et des troubles de la
sensibilité
mus- 358 SOCIÉTÉS SAVANTES. culaire et tactil
utaient ordinairement du côté droit. Les réflexes sont exagérés. La
sensibilité
est conservée. Hémianop- sic, parfois cécité ps
destruction considérable du cerveau et la fai- blesse psychique, la
sensibilité
restait normale. M. RossoLmo trouve irrégulier
diagnostic : étouffement, enroue- ment hystérique. Diminution de la
sensibilité
du pharynx. Il y a huit mois (septembre 1896),
s si difficile chez l'enfant. Le bébé peut avoir des troubles de la
sensibilité
générale et spéciale sans qu'il nous soit possi
Biemacki (analgésie du nerf cubital des deux côtés). Troubles de la
sensibilité
générale. Etat psychique. Affai- blissement de
géré. Le réflexe rotulien très exagéré. Le plantaire diminué. La
sensibilité
générale très retardée, le sens de localisation a
e. « Comparer, dit Ribot, comme l'ont fait certains auteurs, la «
sensibilité
» et l' « intelligence » pour rechercher si l'une
être verbale ou commune, sensorielle ou motrice, atteindre aussi la
sensibilité
générale.' .' Marche. Durée. Pronostic. Termina
rieure. On y voit suinter'une goutte de sang ainsi que du pus. La
sensibilité
au toucher ainsi qu'à la douleur est exagérée,
e un peu plus fort on provoque des cris de douleur. Ajoutons que la
sensibilité
au froid était extrêmement exagérée. Elle avait
oût, la vue, l'odorat, sont conservés. L'intelligence intacte. La
sensibilité
électrique normale; les fléchisseurs du pied ne s
e zone, parfois considérable, de dissociation syringomyélique de la
sensibilité
, trouvée souvent par l'auteur dans les segments
sujette à des transpirations abon- dantes, quelquefois profuses. La
sensibilité
générale et spéciale est intacte; la peau dans
rax et des extrémités avec conservation de la nutrition musculaire;
sensibilité
absolument normale; rien au sensorium. Les phén
ntracturées en extension et que tout mouve- ment est impossible. La
sensibilité
est normale. La malade se plaint seulement de l
rose en plaques on rencontre la plus vive ataxi- sans trouble de la
sensibilité
, ce qui prouve que ce dernier sympe tome n'est
e du palais et de la langue nor- maux ; conservation du goût, de la
sensibilité
. Pas de contractures pas de convulsions fibrill
parésie des muscles de la cein- ture scapulaire ; 2° Troubles de la
sensibilité
; paralysie partielle de la sensibilité à la dou
apulaire ; 2° Troubles de la sensibilité; paralysie partielle de la
sensibilité
à la douleur et à la température dans la partie
lies pigmentaires ; il y a dissociation marquée des fonctions de la
sensibilité
; enfin les membres supérieurs sont exclu- sive
omme une entité morbide; comme Leube, il la définit : Névrose de la
sensibilité
tactile de l'estomac. La fonction motrice et sé
ont elle est atteinte, toutes les tentatives d'exploration soit de la
sensibilité
cutanée, par exemple, soit du champ visuel ayant
erveux. 3- M. le Dr Paul Magnin (de Paris). — Les modifications de la
sensibilité
chez les hypnotisés. 4 M le Dr de Jong ;de La H
t le développement le plus remarquable et la plus .grande finesse. La
sensibilité
de la face était deux ou trois fois plus grande q
énomènes de perception sensi-tive. de mémoire et de transformation de
sensibilité
en mouvement, en un mot l'acte nerveux réflexe es
dont le malade n'avait pas conscience, l'hyperesthésie, à droite, la
sensibilité
à la pression de la fos«e iliaque, symptôme, pour
symptôme, pour le dire en passant, d'une saisissante analyse avec la
sensibilité
a la pression de l'ovaire, si commune chez la fem
lui des stigmates d'hystérie non équivoques : légère diminution de la
sensibilité
du côté gauche, points hyperesthésiques rachidien
ises l'avaient conduite a la découverte importante du transfert de la
sensibilité
. Ce transfert nous l'avions détermine par les app
phère, l'électricité, les aimants qui étaient tes modificateurs de la
sensibilité
. Bientôt, en 1881, le docteur Barety faisait inte
voyez vos questionnaires, eussent été a même d'apprécier l'état de la
sensibilité
et le rétrécissement du champ de visuel de ces ha
prement dites et. en second lieu, quels sont les centres cérebraux de
sensibilité
musculaire. Dans quelle mesure ces centres céré
inverse n'est pas moins remarquable. Au lieu de se concentrer sur la
sensibilité
de s plexus nerveux du bassin, la surexcitation m
tiblesquant â la motilité (paralysie, Con tracture. etc.). quant à la
sensibilité
(froid, chaud. anesthésie plus ou-moins marquée),
commence l'hypnose, c'est-à-dire la suggestion, parle mouvement ou la
sensibilité
. Je mets les bras du sujet en l'air ; ils y reste
ou cet aimant que j'applique m sur la main ; au bout de trois fois la
sensibilité
sera revenue dans la a main et la moitié de l'aya
3. ?. 466. Paris, 1889. mesnet ??oubles fonctionnels des sens et des
sensibilités
dans l'hypnotisme, Paris. 1889. in-8°, 23p. m
aliens, présents a 1 opération, constatent que le sujet a perdu toute
sensibilité
et que ses muscles conservent toutes les position
Déjà depuis plusieurs minutes les plaques étaient appliquées et la
sensibilité
ne réapparaissait pas- J'étais très surpris de ce
de cuivre et au bout de quelques instants la malade avait recouvré la
sensibilité
cutanée et sensorielle. Ou est-ce que cela voulai
e expcctaU, attendait le résultat qu'elle connaissait et cependant la
sensibilité
n'avait pas réapparu en présence des plaquettes d
ce des plaquettes d'or tandis que le eurert ramena très rapidement la
sensibilité
cutanée et sensorielle. Cette observation prouve
ntelligence, aux attaques convulsives, aux troubles des sens et de la
sensibilité
générale, aux névralgies, aux contractures et aux
llucinations de la vision, de l'audition, de l'odorat, du goût, de la
sensibilité
générale et spéciale ainsi que les conceptions dé
été pris peu à peu l'an dernier de troubles de la motilité et de la
sensibilité
limités aux membres inférieurs, troubles qui ont
llich: L'abaissement de la temperature chez l'homme après perte de la
sensibilité
pour le froid et le chaud, suggérée dans l'état
les lignes parallèles n°4 allas de Galezowski). Pas de troubles de la
sensibilité
générale. Pas de stigmates sus et sous-mammaires,
ffrayés, ils appelèrent un médecin. Le médecin chercha a réveiller la
sensibilité
de la peau par divers moyens: rien n'y fit, le so
en présence d'une hystérique, c'est-à-dire d'une femme affectée d'une
sensibilité
nerveuse anormale. D'autre part, on a su qu'à d
a physionomie respire l'intelligence. Nous constatons du côté de la
sensibilité
: hémianesthésie sensi-tivo-sensorielle gauche tr
tions au réveil ne nous laisser* acun doute sur la conservation de la
sensibilité
. Plus lard, lorsque se. ques de sommeil ne sont p
nes les plus manifestes de la grande hystérie, (attaques, troubles de
sensibilité
, de motilité, etc., etc.). Il est presque instant
qu'un affaiblissement musculaire du membre supérieur du même côté. La
sensibilité
et la force musculaire étaient conservées pour le
signala un fait important dans ces termes : « Mais pourquoi rendre la
sensibilité
de l'ouïe du côté droit à cette malade puisqu'en
allique, que si elles recouvraient, sous l'action locale du métal, la
sensibilité
, la force musculaire, la vue, l'ouïe, l'odorat, l
la réelle valeur scientifique de cette découverte du transport de la
sensibilité
et de la force musculaire, que le jour où je cons
que des malades mar- chaient parallèlement avec les oscillations de
sensibilité
et de la motilité. et. à ce transport de la sensi
cillations de sensibilité et de la motilité. et. à ce transport de la
sensibilité
, de La motilité et de la température d'un côté à
it pas aux dépens du côté gauche, et que, lorsqu'elle recouvrerait la
sensibilité
de la peau et des sens à droite, elle conserver
a sensibilité de la peau et des sens à droite, elle conserverait la
sensibilité
du côté gauche, c'est-à-dire qu'il n'y aurait pas
ession d'un homme franc, sans cœur et sans préjugés, étranger à toute
sensibilité
morale, suivant avec audace les impulsions de ses
et d'hallucinations multiples, ponant sur tous les sen«, y compris la
sensibilité
générale, mais avec une prédominance remar- qua
toute la surface du corps, à cela près qu'elle avait perdu toutes ses
sensibilités
, que l'analgésie et l'anesthésie étaient complète
re, a priori, leur commune origine; troubles fixes et persistants des
sensibilités
périphériques, analgésie, anesthesie soit général
actères communs à tous ces malades. (1). D'autre part, l'examen de la
sensibilité
morale, de l'émotivité, du caractère, nous démont
duit aucune sensation. Du côte droit, il en est tout autrement : la
sensibilité
conservée s'éveille au moindre contact : l'impres
paule à l'autre, sans différence appréciable. Il est évident que la
sensibilité
de la peau est bien une condition indifférente, p
ougeurs, des élevures. des saillies sur ces régions du corps privé de
sensibilité
. Et. quand au milieu de ces cruelles épreuves,
ar ses antécédents, révèle des troubles nerveux multiples du côté des
sensibilités
cutanées. La sensibilité générale est profondém
es troubles nerveux multiples du côté des sensibilités cutanées. La
sensibilité
générale est profondément modifiée ; anesthésie,
du ventre, des seins, sans qu'elle ressente la moindre douleur. La
sensibilité
au froid, à la chaleur, au chatouillement est com
u se grattait. L'examen que nous fîmes à cette époque, des diverses
sensibilités
, nous démontra que l'analgésie cutanée était rest
de la névrose hypnotique : catalepsie, léthargie et convulsions. Sa
sensibilité
hypnotique s'était développée au point qu'elle s'
qu'un souvenir vague de ce qui c'était passé. L'examen des diverses
sensibilités
nous révèle les mêmes troubles du côté gauche, ve
nous avons à parler. Sa mère a toujours été nerveuse, d'une extrême
sensibilité
. Son père, irascible et violent. Elle, mariée
sa durée. L'examen direct de la malade nous démontra que toutes les
sensibilités
de la peau étaient conservées et égales des deux
s leur imprimions: le sens musculaire était donc bien conservé. Les
sensibilités
, bien qu'éveillées sur toute la surface du corps,
t la sensation d'un fer rouge passé sur la peau. L'exaltation de la
sensibilité
et du sentiment était telle que. si nous avions i
a rien perdu de son mouvement ni de sa force. L'examen des diverses
sensibilités
relève une hémianesthésie complète à droite. La
Toutes ses muqueuses à l'orifice des sens ont également perdu leurs
sensibilités
à droite. Lessens eux-mêmes, l'ouïe, l'odorat,
tres près, la ligne médiane du corps en avant comme en arrière. Les
sensibilité
du coté gauche sont intactes sans l'hyperesthésie
herches que j'avais faites sur la peau de cet homme pour explorer ses
sensibilités
à l'aide d'une épingle, m'ayant montré que chaque
staté à diverses reprises que je pouvais réveiller par suggestion ses
sensibilités
sur telles ou telles parties de ses membres engou
e bras gauche : et vous resterez guéri ! ! Réveille, il retrouve sa
sensibilité
complète; l'hémianesthésie a disparu; son bras dr
u indigo. Cet œdème bleu s'accompagne fréquemment de troubles de la
sensibilité
consistant d'habitude dans une anesthésie complèt
s la forme de la dissociation syringomyclique avec perte totale de la
sensibilité
à la température et à la douleur et conservation
tact. Et cette combinaison de l'œdème et des troubles dissociés de la
sensibilité
pouvait certes emba-rasser le diagnostic entre un
perça el une croule couvrit la peau découverte. Huit jours après, la
sensibilité
revint et quinze après jours il n'y avait plus à
le monde extérieur: il causait avec son entourage, il gesticulait; la
sensibilité
n'était pas abolie chez lui; il ne présentait auc
ait les preuves tirées de l'hyperexcitabilité neuro musculaire, de la
sensibilité
, de la relation avec le monde extérieur, de la tr
n douloureux, sont surtout constitués par des troubles divers de la
sensibilité
, de la mémoire, de la volonté, qui se manifeste
n dé- faut, quand ils ne pensent plus à jouer la comédie de l'in-
sensibilité
ou de l'amnésie et on en conclut facilement que c
nitions récentes DE l'hystérie. 5 duit par un affaiblissement de la
sensibilité
des mouvements de la volonté '... 8 \I. Feré a
es alternances des équivalences dans les sensations disparues. « La
sensibilité
, disait autrefois Cabanis, semble se comporter
ensibilitédu côté gauche, il la perd du côté droit. Obtenez-vous la
sensibilité
tactile totale, le rétrécissement du champ visu
ystériques s'accom- pagnent beaucoup plus souvent de troubles de la
sensibilité
que les paralysies organiques. En général, ceux
ie hystérique. Qu'on se rappelle par contre avec quelle ténacité la
sensibilité
persiste en cas de lésion nerveuse. 36 CLINIQUE
trouvera toujours que la motilité souffre en premier lieu et que la
sensibilité
est épargnée ou seulement affaiblie, car il per
ons tout à fait spéciales qui puissent produire une affection de la
sensibilité
intense et durable (car- refour sensitif), et m
même ce fait n'est pas exempt de doutes. Cette manièred'être de la
sensibilité
, différente dans leslésions organiques et dans
e début des symptômes et l'apparition des troubles classiques de la
sensibilité
. Le diagnostic, égaré par un tableau clinique i
ntense que l'on arrête facilement par la torsion du gros orteil. La
sensibilité
est complètement intacte sous tous ses modes. P
s maladies chroniques de la moelle. L'absence de tout trouble de la
sensibilité
m'empêcha de conclure à la syringomyélie, quoiq
atomiques à l'ap- pui, dans lesquelles il n'y a eu aucun trouble de
sensibilité
. D'ailleurs à l'époque où j'observais mon malad
upant tout le membre inférieur droit, sauf au niveau du pied, où la
sensibilité
est la même qu'à gauche. La sensibilité est encor
uf au niveau du pied, où la sensibilité est la même qu'à gauche. La
sensibilité
est encore normale dans tout le reste du corps.
ans après, en octobre '1891, les troubles caractéris- tiques de la
sensibilité
se montrent à la partie interne de la jambe et
ntier (thèse de Critzman, 1892), où il n'y a eu aucun trouble de la
sensibilité
pendant toute la durée de la maladie. Plus tard
toute la durée de la maladie. Plus tard, lorsque les troubles de la
sensibilité
ont apparu, nous notons encore une anomalie ou
ucoup trop insuffisantes : lorsqu'il s'agit de la physiologie de la
sensibilité
tous les faits semblent paradoxaux et contradic
a. XI1. DES paralysies du' plexus 'brachial et 'du trouble de la
sensibilité
QUI se montre "dans rL.1"P.1R.1LYSIE"ASILLIRE;i p
e : , ? ? ' : 1 [ 111/ u. 4 il 1' , ca. 1 ? [ t Les troubles) de la
sensibilité
,,1 étendus dans les paralysies qui» siègent' su
tés principales l'absence d'hérédité, la présence de troubles de la
sensibilité
, et de la glycosurie; L'auteur émet ensuite de
r sa causé, par 'ses' troubles particuliers' du- mouvement et de la
sensibilité
! ' Elle se développe en effet dans l'enfance, to
parole. L'iodure n'est pas supporté... Pas d'accidents convulsifs.
Sensibilité
^ tactile et à la Cou- leur légèrement diminuée.
iale hystérique est peU|intense et s'accompagne^ de troubles de, la
sensibilité
, est con- firmée,par nos observations. Peut-êtr
la malade ne peuf'plus'se -mouvoir.' Troubles intermittents de' la
sensibilité
cutanée, du goût, de l'odorat, de, la vue,, de la
s mo- 8 teurs 'rétrocèdent," il reste" des troubles- partiels de la
sensibilité
. Huit''jours" après, hén11opie) latérale 1 gauc
aleur pathogéniqüe. La'n'ature' et la disparition des lésions de la
sensibilité
, si fl'équeÍ1tes'ch(iz les mélancoliques jouent '
ènes. Les réflexes tendineux sont exagérés dans les quatre membres.
Sensibilité
générale et sens spéciaux normaux. Aucun signe
sitiophobie, probablement en excitant la sécrétion salivaire et la
sensibilité
gustative. Elle met fin à l'état mental des ali
t proviennent souvent, d'une autre source que la perversion de leur
sensibilité
morale, et qu'ils sont alors la conséquence d'u
ait absolu- UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 37S ment intacte. La
sensibilité
générale semble normale à droite, en tenant com
serait, d'après lui, précédée d'une maladie de l'affectivité, de la
sensibilité
morale, le plus souvent d'une mélancolie; telle
larges réagissant bien, mais dirigées en dehors. Diminution de la
sensibilité
à la plante des pieds. Pas d'albuminurie automati
eu d'enfant, présentait une dentition très défec- tueuse, et de la
sensibilité
des os à la pression. ' Discussion. M. SPERLING
rganiques. M. GOLDCHEIDEIt. Contribution ci l'examen objectif de la
sensibilité
dans la névrose traumatique. Mémoire publié in
de la neurasthénie. A l'hystérie se rattachent les troubles de la
sensibilité
: anesthé- sies localisées, troubles oculaires,
ononcer, sans en oublier et sans en transposer. Aucun trouble de la
sensibilité
. L'appétit et la digestion sont normaux ; un pe
ureux étaient absents ou non mentionnés. Quant aux troubles de la
sensibilité
proprement dite, nous en avons trouvé mention s
qu'elle tenait. » Dans toutes les autres observations, l'état de la
sensibilité
n'était pas mentionné, ou bien, et c'est le cas
braux qui président au mouvement, mais dans ceux qui président à la
sensibilité
et à l'intelligence qu'il faut chercher le sièg
horéique depuis l'âge de onze ans. Gloutonnerie. Conservation de la
sensibilité
. Onanisme quotidien, durant des heures. Démence
du sens musculaire, et de celles de Munk qui en fait le siège de la
sensibilité
générale. L'espace est bien restreint où l'on p
agération des réflexes rotuliens et ab- sence du clonus du pied. La
sensibilité
était intacte. Le sommeil et l'appétit restaien
t de la tem- pérature ; les troubles trophiques ont fait défaut. La
sensibilité
cu- tanée est restée normale. Une certaine amél
ns variables des pupilles; hippus intermittent; aucun trouble de la
sensibilité
ni de la motilité. Intégrité des ré- ilexes, Lé
ral"du système nerveux; elle va de pair avec une exagération de la
sensibilité
et une légère excitabilité de l'appareil de la vi
ement concentrique considérable, du côté ou existe le trouble de la
sensibilité
rétinienne que de l'autre côté. Il est à remarq
heim. Je traite en ce moment un tabétique affecté de paralysie delà
sensibilité
et de la motilité dans le domaine du tri- jumea
ience de l'état morbide, la somnolence, le coma; les troubles de la
sensibilité
psychique; la faiblesse irritable; l'hyperes- t
anteur, de légèreté, de vide, de rapetissement), des troubles de la
sensibilité
viscérale, des hallucinations génitales. Ce son
rapide du sujet, le diagnostic fut vite établi. Les troubles de la
sensibilité
, hémianesthésip sensitivo-sensorielle droite, cet
ènes hystériques avaient disparu, sauf peut-être les troubles de la
sensibilité
que je n'ai pas songé à étudier. Et la jeune fi
Rétrécissement concentrique du champ visuel. Pas de troubles de la
sensibilité
générale. Ces vomissements continuels sans douleu
irma dans mon diagnostic. Anesthésie pharyngienne, diminution de la
sensibilité
à gauche, rétrécissement concentrique notable d
issement concentrique notable du champ visuel, une diminution de la
sensibilité
du côté gauche, et un peu d'anesthésie pharyngi
certainement une hystérique car elle présentait des troubles de la
sensibilité
générale et sensorielle : perte du goût, rétréc
erveuse lui montant à la gorge et l'étouffant, une diminution de la
sensibilité
à droite, etc. Pas de signe de dégénérescence ni
ais les stig- mates hystériques existaient : anesthésie du pharynx,
sensibilité
diminuée à droite, ovarie à gauche et à droite,
jusqu'à la gorge et la serrant jusqu'à l'étouffer. Elle gardait une
sensibilité
très prononcée dans les deux régions ovariennes.
nal, 1892) les aimants d'une extrême puissance n'agissent ni sur la
sensibilité
, ni REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 479 sur la circul
s de l'homme nor- mal. Mais, de même qu'il y a des variétés dans la
sensibilité
indi- viduelle, de même les individus pathologi
le. Ainsi s'explique l'atrophie dans les régions qui président à la
sensibilité
. Elle diffère des altérations pathologiques du
nnt· y F · itR9lwbnf ..If .tn ? y, 11, DtscusstoY.ï h M. Remak. La
sensibilité
à l'égard de la chaleur n est altérée, dans le
in'dè Re); mais la' constatation d'une^ paralysie^ partielle 'de la
sensibilité
à l'égard'dë'Ia'chaleur, du froid' et de la dbù
itavec' de l'atrophie musculaire ? un troublé très élendu''dé'la'r'
sensibilité
.' Dans"trois 'observations fruste's,' il' fallut
du type delmorvaii-et chez un, homme indemne de tout trouble de la
sensibilité
qui avait le masque d'un r. nnnn t1(t at1 fY9r'
ence Ilécla syringoni3,e- lié. Puis, la paralysie partielle. de, la
sensibilité
et, en particulier la , ''li"Vyi.lïi - ? ' ' '&
aneslhésie; est rare dans' le tabès. Toutefois, les anomalies de là
sensibilité
dans le. tabes ! (Bollco`;iStern) prouvent.'qu'il
de la paraplégie, avec perte du sens musculaire et diminution de la
sensibilité
tactile. Un an après il s'améliore sous l'influ
côté de cela des crises d'hystérie apparurent avec diminution de la
sensibilité
du membre inférieur droit, existence de zones h
, par Homen,' 49 ; de.s, du plexus brachial, et du trouble de ;la
sensibilité
) dans la ,'axil; ^ laire,' par'Pagenstedier, ,1
Scotome] - Du ="'scintillant' par - ' Manz,'495 ? m 9' J "1 ut '
Sensibilité
,' contribution a. l'examen , objectif delà ' da
uvent être hypnotisés profondément dès la première tentative. Cette
sensibilité
à la suggestion et à l'hypnotisme que présentent
ressai les régions sensibles en affirmant qu'il n'y avait plus aucune
sensibilité
, que les vers, s'il y en avait, étaient tués et q
uvait palper et presser profondément le ventre sans réveil 1er aucune
sensibilité
. La toux n'existait presque plus. La douleur scap
rouge, qui réagit très vivement à la pression, on ne détermine aucune
sensibilité
. Remarquez que c'est le jeudi, comme d'habitude
, associé à la suggestion, peut amener le rétablissement rapide de la
sensibilité
. Dans les cas de contracture hystérique, il est
t de l'hystérie traumatique. Au moment où je vous le présentais, la
sensibilité
était parfaite, la motilité revenue, mais la forc
uelques services dans la salle. On pouvait alors se convaincre que la
sensibilité
était parfaite ainsi que la contractilité et que
on par le toucher confirmait ces renseignements. Les troubles de la
sensibilité
étaient aussi singulièrement distribués aux membr
rent rapides : d'abord le malade éprouva des fourmillements, puis une
sensibilité
obscure, enfin la sensibilité fut complètement ré
de éprouva des fourmillements, puis une sensibilité obscure, enfin la
sensibilité
fut complètement rétablie, d'abord au pénis, puis
ontenant une petite quantité de sulfate de cuivre. Les troubles de la
sensibilité
guéris, les troubles de la motilité disparurent g
urs. J'applique les mains sur la région douloureuse, j'affirme que la
sensibilité
disparait, qu'il ne sentira plus rien. Mais sa fi
catégories. On a distingué ainsi trois facultés : l'intelligence, la
sensibilité
et l'activité, qui ne forment pas trois formes di
emment différent de son voisin. Ce sont surtout les tendances de la
sensibilité
, les penchants affectifs, qui, avec l'énergie act
ation. Guidée par l'intelligence, la volonté réprime les écarts de la
sensibilité
, et c'est grâce à la volonté que l'homme peut lut
es [céphalée, insomnie, rachialgie, dyspepsie). Pas de troubles de la
sensibilité
générale ou sensorielle. Pas do gastralgie à prop
OUVRAGES REÇUS A LA REVUE A. de Rochas. — L'extériorisation de la
sensibilité
. Etude expérimentale et historique. Un vol. broch
lle fait des idées, du délire, du mouvement, quand elle perçoit de la
sensibilité
, des sensations ? Pas plus que nous voyons à l'œi
n nerf; les nerfs de la jambe et de l'avant-bras ne présentent aucune
sensibilité
spéciale à la pression ; il n'y a pas d'atrophie
matin. Les douleurs ont à peu près disparu : il n'accuse plus que la
sensibilité
au poignet et au cou-de-pied. Le 27, je fais su
euro-musculaire n'existe pas; il n'y a aucune trace d'anes-thésie, la^
sensibilité
cutanée est normale au toucher comme à la douleur
re. Les fonctions des organes des sens ne sont pas abolies, mais leur
sensibilité
, très développée pour tout ce quf vient" de l'hyp
nt de noter une hyperesthésie générale très prononcée, et surtout une
sensibilité
à la lumière considérable. Une lumière vive ou ap
gue, le sujet se montre d'une apathie complète, mais il a conservé la
sensibilité
à la lumière et au toucher ; souvent un sommeil p
t chaque fois qu'il dormirait très vite et qu'il n'aurait plus aucune
sensibilité
. En dix minutes il était parfaitement insensibl
gie) et, au point de vue de l'hygiène professionnelle, la perte de la
sensibilité
tactile et la maladresse qui résulte de l'absence
oint de vue du dëveloppemeot intellectuel, soit au point de vue de la
sensibilité
morale. Et puisque la prophylaxie jusqu'ici est
. A peine entreprend-on aujourd'hui les recherches à l'égard de cette
sensibilité
spéciale qui nous permet de connaître non seuleme
OUVRAGES REÇUS A LA REVUE A. de Rochas. — L'extériorisation de la
sensibilité
. Etude expérimentale et historique. Un vol. broch
santé se dérangea et présenta un ensemble de troubles singuliers. La
sensibilité
cutanée des bords opposés de l'annulaire et du pe
aidant, l'état de phobie s'accentue. Elle a des hallucinations, de la
sensibilité
cutanée, les rêves deviennent terrifiants, l'idée
lète en indiquant le procédé que j'emploie pour vérifier l'état de la
sensibilité
du sujet au cours de ces expériences. Supposons q
4°, 553 pages. Paris, 1893. A. de Rochas. — L'extériorisation de la
sensibilité
. Etude expérimentale et historique. Un vol. broch
é, de l'anesthésie de la conjonctive bulbaire avec conservation de la
sensibilité
cornéenne. On note enfin pour les deux yeux le
n de l'année 1862, d'une maladie qui amena bientôt la paralysie de la
sensibilité
et du mouvement dans les membres inférieurs, ains
paraissent presque seuls ; la spontanéité des actes est annihilée; la
sensibilité
consciente est abolie, mais non la sensibilité an
ctes est annihilée; la sensibilité consciente est abolie, mais non la
sensibilité
animale. Ainsi l'individu qui est plongé dans cet
'hypnose est le sommeil de ces circonvolutions. Dans la narcose, la
sensibilité
d'ordre animal est abolie à son tour ; la motilit
seul : il y a conservation des mouvements automatiques, tandis que la
sensibilité
consciente est abolie; ce fait peut vous sembler
ues produisent un sommeil qui paraît aller du bulbe au cerveau, de la
sensibilité
au mouvement; le sommeil ainsi produit commence p
nt en intensité et en fréquence, et finiront par disparaître, puis la
sensibilité
consciente disparaîtra à son tour. Ce sommeil s'é
de narco-anesthésique. Les réflexes périphériques disparaissent, la
sensibilité
instinctive est abolie, d'où l'absence de réflexe
de la vie animale, sur les réflexes communs, par la suspension de. la
sensibilité
d'abord et bientôt par la paralysie du mouvement.
impossible d'expliquer ces suspensions souvent transitoires de la
sensibilité
, de la motricité ou du fonctionnement des divers
à peine perceptible, le sang quitte les extrémités, se refroidit, la
sensibilité
disparaît au point qu'on peut agiter les animaux,
misation : elle produit d'abord le sommeil du cerveau, elle abolit la
sensibilité
; mais, quand le réflexe cornéen disparait, déjà
par le toucher de ma main. Le 5 Juin. Elle ne présente plus qu'une
sensibilité
extrême des paupières qu'on ne peut toucher sans
cissement notable du champ visuel, dè rhémi-hypoesthésie, une extrême
sensibilité
nerveuse avec pleurs, ont paru confirmer cette hy
lement n'avoir pas eu de rêve ('). Tel est le fait. Etant donnée la
sensibilité
du malade à I hypnose, on est en droit d'espérer
ons. Rien au cœur. Hemianesthésie droite complète. Diminution de la
sensibilité
à la piqûre à l'avant-bras gauche. Pas de stigmat
ois, à trois jours d'intervalle entre chaque Les variations de la
sensibilité
avec l'Age et la condition sociale. Par M. Mac
les sont plus sensibles à la localisation avant la puberté, mais leur
sensibilité
à la chaleur reste à peu près la même avant et ap
ns et au tube digestif vivrait différemment qu'un homme possédant une
sensibilité
normale, à supposer même qu'il pût vivre. Les aut
âgé d'environ 3 mois, d'une intelligence précoce et rare, d'une vive
sensibilité
, plein d'enjouement, et, chose peu commune, plein
notisable mais sugges-lionnable, par Verrier, 182. Variations de la
sensibilité
avec l'âge et la condition sociale des), par Mac
gères contractions, sous l'influence de l'excitation électrique. La
sensibilité
générale est partout normale ; il n'existe pas dé
que ses forces diminuent dans l'avant-bras et dans la main gauche; la
sensibilité
y devient d'abord obtuse, puis elle finit par s'y
q centimètres de dia-mètre, dans une partie de l'avant-bras privée de
sensibilité
. Relativement à la moelle épinière, on observe
r les symptômes inflammatoires qui précèdent leur formation, par leur
sensibilité
qui existe dès le début, et parce que la fluctuat
, et présentent une fluctuation plus évidente, plus uniforme et d'une
sensibilité
pins tardive qui, souvent même, ne se montre ja
t être soutenu pour ne pas tomber après avoir fait quel-ques pas ; la
sensibilité
est intacte, tant dans les membres supé-rieurs qu
et d'une longue durée, qui laissèrent après elles une paralysie de la
sensibilité
et du mouvement des extrémités inférieures. Il
de fatigue et après avoir été mouillé. Maladie datant de trois mois;
sensibilité
obtuse aux membres inférieurs. Le malade peut, au
ports, et dans le même sens, entre les deux membres supé-rieurs. La
sensibilité
tactile est obtuse dans toute l'étendue des mem-b
ormal, très retardée (trois secondes d'intervalle) et très prolongée.
Sensibilité
au froid paraissant très vive. Notions de positio
a faradisation cutanée ne détermine qu'une sensation très obscure. La
sensibilité
musculaire est elle-même très affaiblie. La sensi
s obscure. La sensibilité musculaire est elle-même très affaiblie. La
sensibilité
tactile et musculaire est également bien diminuée
t le membre correspondant, comme il a été dit plus haut, conservé une
sensibilité
plus nette que la main droite. Cette tuméfactio
x ans. Les mouvements des mains sont aussi de plus en plus précis. La
sensibilité
est moins obtuse dans tous les points du corps où
an après le début de la maladie, l'altération de la motilité et de la
sensibilité
était des plus profondes. La marche était à peu p
u'il semble, à cause de l'affaiblissement extrême des divers modes de
sensibilité
et de l'abolition presque absolue des notions de
peu affaiblie. La faradisation des muscles est très dou-loureuse. La
sensibilité
tactile est diminuée sur toute la surface cutanée
ce cutanée des membres inférieurs ; sensation du sol très obtuse ; la
sensibilité
à la température, à la douleur, au chatouillement
nt aujourd'hui encore plus grave-ment atteints que les inférieurs. La
sensibilité
tactile y est sur-tout très altérée : la main ne
mme au travers d'un linge. Les contacts légers ne sont pas perçus. La
sensibilité
à la douleur et à la température n'est pas abolie
le-même, la malade est obligée de faire les plus grands efforts. La
sensibilité
tactile est plus nette sur la peau du visage que
Il y a de légères contractions in-volontaires des muscles de la face.
Sensibilité
de contact très di-minuée dans l'intérieur des na
moins embarrassées. Les mou-vements des mains sont plus libres et la
sensibilité
y est bien moins obtuse; la malade peut saisir et
ps de petites secousses dans divers points des membres supérieurs. La
sensibilité
y reprend de jour en jour un peu plus de netteté.
nstants, et elle pourrait garder plus longtemps cette attitude, si la
sensibilité
de la paume des mains était assez rétablie pour l
eux infirmières. Si la malade n'était pas absolument aveugle ou si la
sensibilité
de ses mains n'était pas encore obtuse, il est év
rsistent pendant quelque temps après l'application du corps froid. La
sensibilité
électrique persiste à un degré marqué. La force m
et s'af-faisse bientôt. Station impossible, les yeux étant fermés.
Sensibilité
tactile obtuse. Les excitations telles que pincem
montre que l'irritabilité musculaire est à peu près intacte et que la
sensibilité
musculaire est très affaiblie. Simple sensation d
des membres inférieurs, mouvements ac-compagnés de vives douleurs.
Sensibilité
tactile obtuse. Les yeux fermés, la malade ne sen
très confusément le sol ; elle s'affaisse dès qu'elle ferme les yeux.
Sensibilité
à la température conservée. Sensations de douleur
elle est affaiblie dans les muscles de la région jambière antérieure.
Sensibilité
musculaire diminuée. L'excita-tion de la peau ne
airement et se portent dans l'adduction ou l'ab-ductionjTexagérées.
Sensibilité
et motilité intactes à la face et aux membres sup
endant, depuis quelque temps, légers fourmillements dans les doigts ;
sensibilité
cutanée très affaiblie sur le tronc. La malade
r le nitrate d'argent d'après la méthode que nous avons indiquée ; la
sensibilité
tactile est devenue plus nette i, les notions de
dix malades, on a pu constater un affaiblissement considérable de la
sensibilité
tactile ; lorsque l'on posait doucement le doigt
égion lombaire. Nous sommes portés à penser que cette diminution delà
sensibilité
tactile est un phénomène morbide constant dans l'
progressive avancée, et l'on n'est pas en droit d'affirmer que cette
sensibilité
est intacte, si l'on n'a pas employé le mode d'ex
exploration qui vient d'être indiqué. recouvré de la précision ; la
sensibilité
à la douleur et la sen-sibilité à la température
exemple de l'in-fluence qu'a eue le traitement sur les troubles de la
sensibilité
de tempé-rature (Obs. III.). Dans ce cas, le cont
ard, parce qu'elle ne peut pas demeurer assise dans un fauteuil. La
sensibilité
de contact, de température, de douleur, paraît pr
st conservée dans tous les muscles des membres inférieurs. Quant à la
sensibilité
musculaire, elle est certainement affaiblie, au m
mbres supérieurs ont conservé la liberté de leurs mou-vements et leur
sensibilité
est intacte. Ils sont parfois le siège de fourmil
devant, sans pouvoir agir avec celles de derrière. En même temps, la
sensibilité
paraît fort émous-sée ; on peut lui marcher sur l
perte des mouvements volontaires et même réflexes, et abolition de la
sensibilité
. Le nitrate d'argent a fait reparaître l'excitabi
its; bientôt après, on a vu renaître, dans les membres paralysés, une
sensibilité
émoussée ; le froid, le pincement, etc., produisa
Pott, nous avons vu d'abord se rétablir les mouvements réflexes et la
sensibilité
, puis, la guérison faisant des progrès, nous avon
violente qu'avait fait naître son fils. Il se rappelle avoir gardé su
sensibilité
. On l'a soigné en ce moment pour une ataxic locom
pas à proprement parler un sens, c'est un résultat de l'éducation de*
sensibilités
profondes, do la sensibilité musculaire et articu
s, c'est un résultat de l'éducation de* sensibilités profondes, do la
sensibilité
musculaire et articulaire. Ce sens peut s'acquéri
ens peut s'acquérir, et, lorsqu'il manque c'est que l'éducation de la
sensibilité
profonde n'a pu être faite comme par exemple chez
légie cérébrale Infantile ou chez ceux qui offrent des troubles de la
sensibilité
musculaire ou articulaire. M. Déjerlne, dans un d
gnostique de octtomalade a disparu aussi, bien qu'au premier abord sa
sensibilité
paraisse peu altérée. TJn examen minutieux permet
minutieux permet de constater chez elle une légère dissociation de la
sensibilité
. Le tact est normal, tandis que la chaleur et ?a
ire pour percevoir distinctement deux piqûres, sont plus grands et la
sensibilité
plus altérée. On a objecté que, pour démontrer
levé par la suggestion hypnotique le sens slôréognostique bien que la
sensibilité
profonde soit restée Intacte. Traitement des mo
t qu'une expérience au moins fût faite pour s'assurer de l'état de la
sensibilité
chez cette malade, Brown-Séquard fit venir deux d
bsolue de connaissance de ce qui se passait autour d'elle et perte de
sensibilité
, car aucune trace de douleur n'a été donnée sous
u transfert, et l'on peut obtenir de la même façon le transfert de la
sensibilité
, anesthésie, hypéreslhésie ou de tout autre phéno
nesthésie générale ou partielle, comme toute autre modification de la
sensibilité
. Chez ces mêmes sujets, si une paralysie, une con
s mêmes sujets, si une paralysie, une contracture ou un trouble de la
sensibilité
s'est produit par une cause morbide quelconque, i
et faire disparaître isolément les troubles de la motricité ou de la
sensibilité
chez les sujets très suggestionnâmes, on peut aus
i, que depuis quelques minutes, les plaques étaient appliquées, et la
sensibilité
ne réapparaissait pas. M. Vulpian souriait déjà,
es plaques. Au bout de quelques instants, la malade avait recouvré la
sensibilité
cutanée et sensorielle ; verification faite, les
nhain, Charcot) ; 3e Les excitations périphériques s'adressant à la
sensibilité
cutanée (irritations périphériques faibles et rép
elle recevait de ses enfants. Son intelligence était affaiblie ; sa
sensibilité
presque absolument réduite au sentiment religieux
étaient remarquablement doués pour l'intelligence, l'émo-tîvilé et la
sensibilité
, ces trois qualités principales des grands artist
sensibilité, ces trois qualités principales des grands artistes si la
sensibilité
s'attache au beau, des grands savants si la sensi
rtistes si la sensibilité s'attache au beau, des grands savants si la
sensibilité
s'attache au vrai. Il faut dire qu'un autre don,
réditéquc de leur milieu. Des suggestions répétées détournèrent leurs
sensibilités
du but normal. Nous les avons vu répudier leur gr
compas de Webes); elle ne comporte ni dissociation entre les diverses
sensibilités
au contact, à la douleur ou à la température, ni
us, il y a toujours parallélisme entre l'état de la mobilité et de la
sensibilité
; c'est le membre le plus paralysé qui est le plu
rébrale affecte une distribution qui lui est propre : les troubles de
sensibilité
sont plus accusés au membre supérieur qu'au membr
nt très intense, comporte parfois une dissociation entre les diverses
sensibilités
tactiles, douloureuse ou thermique, parfois aussi
on stéréognostique seule avec intégrité complète de tous les modes de
sensibilité
superficielle et profonde ; elle est d'ordinaire
L'état de la inutilité n'est pas toujours parallèle avec celui de la
sensibilité
. La distribution de tout à l'heure ne convient pa
ination des mouvements ne sont pas proportionnels uux altérations des
sensibilités
superficielles et profondes; déplus, pendant que
présentant la teinte exacte des poils d'alDino3. A aucun moment, les
sensibilités
cutanées de ia tête et de la face n'avaient été a
rdissement; 2e dissociation et abolition des différentes formes de la
sensibilité
; 3° perte de conscience ; 4° résolution musculai
thésie de la motilité. Insistons sur quelques points importants. La
sensibilité
cutanée est la première atteinte ; on perd d'abor
a première atteinte ; on perd d'abord la finesse du toucher, puis lu.
sensibilité
à la douleur et à la température, puis ce tact gr
et à la température, puis ce tact grossier et rudimentaire qu'est la
sensibilité
au contact. Cette anesthésie va des extrémités au
de la tempe gauche, puis de la droite. Fait curieux et peu connu,.la
sensibilité
ne cède pas à la fois des deux côtés, mais l'hémi
s: une fois ces points touchés, l'ancsthésie est totale. La perle des
sensibilités
se fait dans le même ordre que, plus tard, la rés
subsiste le dernier. A un degré plus avancé d'anesthésie, c'est la
sensibilité
générale qui disparaît; alors se trouve réalisée
rgien. Il reste cependant encore parfois des traces et des résidus de
sensibilité
tactile, de sensibilité profonde et un certain se
t encore parfois des traces et des résidus de sensibilité tactile, de
sensibilité
profonde et un certain sens musculaire. Quant aux
ile, de sensibilité profonde et un certain sens musculaire. Quant aux
sensibilités
spéciales, leur organisation a été plus longue et
sens intime. Les autres sens cèdent également peu à peu î le goût, la
sensibilité
au chatouillement, l'odorat disparaissent ou vont
a conscience reparaît brusquement sans que la douleur ni les diverses
sensibilités
reviennent; tous ces cas peuvent alterner tantôt
e, les fonctions cardiaques et respiratoires s'accomplissent bien, la
sensibilité
est normale. La premiere séance eut lieu le 2 m
n peu de céphalalgie, mais plus de cauchemars ni d'hallucinations. La
sensibilité
est normale et les fonctions du cœur et de la res
ait de son affection, au même litre que les anomalies que présente sa
sensibilité
générale ou celle des organes des sens. Quoi qu'i
nt perfectionné ses moyens de plaire: son émotivité s'est affinée, sa
sensibilité
a augmente; en se civilisant, il est aussi devenu
nt de faire des faux pas. On 30 rappelle que chez les Sybarites, la
sensibilité
cutanée était à ce point développée que, dans leu
rales du côté droit. Mais le membre malade, bien qu'ayant conservé la
sensibilité
tactile, musculaire et thermique, a complètement
sensibilité tactile, musculaire et thermique, a complètement perdu la
sensibilité
à la douleur. Or, cet homme est machiniste au c
emière piqûre, la personnalité calculatrice, intéressée, exclusive de
sensibilité
/page> page n="312"> affective réapparai
e étude, on peut dire qu'elle n'a qu'une mémoire, mais qu'elle a deux
sensibilités
morales. L'altération porte surtout sur la sphère
la morphine venait influencer la localisation cérébrale affectée à la
sensibilité
morale et comme si l'inhibition des centres affec
— Influence des états psychiquee sur les sens. Sur les organes de la
sensibilité
et du mouvement. 6 Juin. — Delaméthoded'expérimen
, muqueuse de la bouche d'un rouge assez vif, sentiment de cuisson et
sensibilité
de toute sa surface , développement considérable
nce totale des selles, les coliques qui étaient presque continues, la
sensibilité
du ventre, qui avait augmenté, son inégale tuméfa
table : diminution du hoquet, des vomissemens, de la tension et de la
sensibilité
abdominales. Le 27, les évacuations alvines con
ée dans l'état comateux le plus profond. Perte de myotilité, perte de
sensibilité
, perte d'intelligence. La peau était brûlante et
es , sanguinolentes, couleur lie-de-vin , d'une fétidité gangreneuse;
sensibilité
hypogastrique; peau froide, surtout aux extrémité
n, pratiquée de manière à imprimer une commotion au foie, éveille une
sensibilité
caractéristique qui est exactement limitée à la r
foie. La pression exercée sous le rebord des côtes n'éveillait qu'une
sensibilité
douteuse; mais la percussion pratiquée de haut en
ment sans tomber en syncope ; pouls filiforme, misérable, irrégulier;
sensibilité
très vive le long du rebord des côtes; je reconnu
rebord des côtes et même sous les côtes, ne développe souvent aucune
sensibilité
. Je dois dire cependant que, dans quelques cas, l
ession dans les espaces intercostaux qui correspondentan Foie, que la
sensibilité
de cet organe est mise en jeu. D'autres fois, c'e
es fortement de bas en haut, et de gauche à droite, qu'on éveille une
sensibilité
jusqu'alors inaperçue ; mais le meilleur moyen de
ilité jusqu'alors inaperçue ; mais le meilleur moyen de développer la
sensibilité
morbide du foie, c'est la percussion pratiquée su
dans la région du foie : l'exploration ordinaire ne développe aucune
sensibilité
( je n'avais pas encore mis en usage l'exploratio
e à la région du foie ; la pression la plus forte ne développe aucune
sensibilité
. Les jours suivans, la malade paraissait en voi
re, et se prolonger dans l'hypochondre et dans le flanc gauches. La
sensibilité
de la région du foie, vive d'abord et augmentant
elle acquiert le volume d'un œuf; elle devient alors très dure, d'une
sensibilité
telle que le malade peut à peine supporter le con
ent sentir sur le dos du pied qui était complètement gangrené : cette
sensibilité
tenait sans doute à la même cause qui fait que le
ataplasmes sinapisés sur le pied malade; 011 chercha à y réveiller la
sensibilité
par l'introduction d'aiguilles à acupuncture. L'e
exprime très bien cette association de froid intense et d'absence de
sensibilité
tactile, en disant que ses membres sont froids et
te successive de tous les organes des sens et l'engourdissement de la
sensibilité
de la face. En effet, le crâne étant ouvert, le
dans sa moitié latérale gauche et aucun phénomène de myotilité ni de
sensibilité
n'a manifesté la lésion de cette protubérance. Le
marquer que l'intelligence a persisté jusqu'au dernier moment, que la
sensibilité
générale et que la myotilité n'ont point été inté
es de suite. Je n'ai noté, ni l'état de la myotilité, ni l'état de la
sensibilité
; ce qui suppose qu'elles ne présentaient pas de
lle n'accuse d'ailleurs aucune céphalalgie, aucune diminution dans la
sensibilité
soit générale soit spéciale. Diagnostic. — Lési
tés exclusivement sur les organes de la locomotion. Les organes de la
sensibilité
ont été respectés ; la vision, l'olfaction, l'aud
endues avec des draps passés en travers et fixés au bois du lit. La
sensibilité
est conservée dans les mêmes membres inférieurs.
e paraplégie par compression étaient les suivans : i° intégrité de la
sensibilité
; i° intégrité des excrétions alvines; 3°paralysie
la présence d'un reste de moelle dans le lieu de la compression. La
sensibilité
était conservée et le mouvement était détruit; or
des racines antérieures au mouvement et des racines postérieures à la
sensibilité
. Les tumeurs sous-arachnoïdiennes du cordon rac
me incurable, trois mois après son accident. Décubitus dorsal obligé,
sensibilité
tactile des pieds abolie jusqu'aux malléoles; plu
, sensibilité tactile des pieds abolie jusqu'aux malléoles; plus haut
sensibilité
obtuse. La sensibilité allait en augmentant à mes
es pieds abolie jusqu'aux malléoles; plus haut sensibilité obtuse. La
sensibilité
allait en augmentant à mesure qu'on approchait du
s. recueillie par M. Diday, élève interne. XXXIIe LIVRAISON. À la
sensibilité
tactile avec picotemens douloureux, l'attitude et
eur. Les picotemens douloureux éprouvés par la malade prouvent que la
sensibilité
tactile peut être complètement abolie, et la sens
uvent que la sensibilité tactile peut être complètement abolie, et la
sensibilité
organique persister encore. Quant au mode de ci
e l'incurabilité. Dans la paraplégie par compression, la lésion de la
sensibilité
égale, si elle ne dépasse, la lésion de la myotil
, etc. La douleur coexiste souvent avec une diminution notable dansla
sensibilité
tactile. Je prescrivis deux moxas de chaque côt
férieur gauche: il y avait paralysie du mouvement et exaltation de la
sensibilité
. Le moindre contact était douloureux. Je vis qu'i
ours , la malade recouvra le mouvement, en même temps que disparut la
sensibilité
morbide. A chaque heure, pour ainsi parler, la
ctères de cette singulière combinaison de paralysieet d'exaltation de
sensibilité
morbide, qui est le propre de la méningite rachi-
à la manière d'un vent qui se glisserait rapidement de bas en haut.
Sensibilité
tactile abolie presque complètement sur le tronc
se partout. J'explique cette apparente contradiction,en disant que la
sensibilité
tactile est abolie, mais que la sensibilité des m
adiction,en disant que la sensibilité tactile est abolie, mais que la
sensibilité
des muscles est augmentée : il y a paralysie doul
rement, en sorte que la paralysie paraît subordonnée à la douleur. La
sensibilité
douloureuse à la pression a cessé depuis les orte
act des membres est douloureux, ce n'est point par l'exaltation de la
sensibilité
de la peau (car nous avons vu que la peau était i
je l'avais fait dans les casante-rieurs , l'exaltation morbide de la
sensibilité
cutanée, j'ai observé l'insensibilité de la peau.
paralysés, qu'il y avait paralysie du mouvement par exaltation de la
sensibilité
musculaire. Voici d'ailleurs, sous ce point de
ueillies sur la matière. Paralysie musculaire èt conservation de la
sensibilité
, tel est le résumé qu'il donne lui-même à plusieu
bres. Remarquons cette expression le pincement: donc, pour exciter la
sensibilité
, il fallait avoir recours à un moyen que nous emp
cours à un moyen que nous employons tous les jours pour découvrir une
sensibilité
douteuse. Le pincement était perçu : de quelle ex
it perçu : de quelle expression nous servirions-nous pour dire que la
sensibilité
est affaiblie dans une partie, mais n'est pas enc
alysie douloureuse s'est étendue aux membres supérieurs, il dit" « La
sensibilité
persiste toujours dans les membres inférieurs, al
uscles partant du bassin semblent s'agiter. » Si Dance n'a reconnu la
sensibilité
cutanée que parle semblant de mouvemens des muscl
où s'opère le grattement et le pincement, sans qu'il y ait pour cela
sensibilité
. D'ailleurs l'état des facultés intellectuelles d
ut-être à la manifestation de ses impressions. Toujours est-il que la
sensibilité
cutanée n'était pas exaltée ; car Dance n'aurait
au moins rester dans le doute sur la solution de cette question : la
sensibilité
de la peau est-elle augmentée ? Je dois aussi,
mais ne peut se soutenir.Commotions fréquentes dans tout le corps.
Sensibilité
des pieds et des jambes presque nulle ; perceptio
très faible. Elle meut très bien les extrémités supérieures; mais la
sensibilité
des mains est dans le même état que celle des pie
Paralysie incomplète du mouvement, paralysie presque complète de la
sensibilité
tactile : tels ont été les symptômes de cette atr
ns pas oublier comme caractère fréquent de paralysie incomplète de la
sensibilité
la lenteur de perception des impressions faites s
amais de crampes , jamais de secousses. Je n'ai pas noté l'état de la
sensibilité
, ce qui suppose qu'elle ne présentait rien de par
touche. Urines et selles involontaires. Je n'ai pas noté l'état de la
sensibilité
tactile. Des eschares se forment. Le 25 décembr
es membre» inférieurs. La malade ne peut exécuter aucun mouvement. La
sensibilité
est intacte, le chatouillement est perçu à la pla
reux : elle assure que, dans le principe, la peau conservait toute sa
sensibilité
. En même temps urines et matières fécales involon
ptembre 1832. C'est à cette époque que la peau des membres a perdu sa
sensibilité
. Voici son état le i5 février i833 , jour de so
ne peuvent déterminer le plus léger mouvement, exciter la plus légère
sensibilité
. J'étudie avec beaucoup de soin l'étendue de la p
bliquement dirigée en arrière et en bas jusqu'à la région dorsale. La
sensibilité
était parfaite dans toutes les parties situées au
es, entrecoupées, saccadées. La malade sortait très bien la langue.
Sensibilité
. La sensibilité est très obtuse: les piqûres avec
, saccadées. La malade sortait très bien la langue. Sensibilité. La
sensibilité
est très obtuse: les piqûres avec les épingles, l
e à laisser lesdoigts rapprochés , bien que l'épingle soit tombée. La
sensibilité
des doigts est donc presque complètement abolie.
t donc presque complètement abolie. C'est par suite de ce défaut de
sensibilité
, qu'elle n'a pas senti se former une maladie de a
éressés, et cependant la myotilité n'était pas moins affaiblie que la
sensibilité
. Je ne crois pas qu'aucune expérience physiologiq
son état fut complètement stationnaire. Voici quel était cet état:
sensibilité
obtuse, qui ne se manifeste que tardivement, je v
après l'action de la cause et persiste long-temps. C'est le défaut de
sensibilité
et nullement le défaut de myotilité, qui empêche
RAISON. 6 La myotilité est affaiblie dans la même proportion que la
sensibilité
: tous les mouvemens sont exécutés; mais ils sont
ais la malade pouvait encore s'en servir pour prendre des alimens. La
sensibilité
persistait: le chatouillement des pieds détermina
mouvement aux membres supérieurs, érosion. Aucune douleur spinale. La
sensibilité
tactile du tronc est engourdie. La malade ne sent
ortant, ne provoque aucun mouvement, ce qui suppose, non l'absence de
sensibilité
, mais l'absence de myotilité; car ce chatouilleme
paraplégie : elle fut conduite à Paris. Après avoir reconnu que-la
sensibilité
des membres inférieurs était intacte, que le chat
sensibilité presque complète des membres inférieurs. Diminution de la
sensibilité
des membres supérieurs. Diminution notabley mais
lsives , douloureuses ou non douloureuses. Membres supérieurs. — La
sensibilité
des membres supérieurs est singulièrement diminué
cette opposition, ce contraste entre l'insensibilité de la peau et la
sensibilité
exquise des muscles et autres parties subjacentes
compression porte sur toute l'épaisseur de la moelle. L'étude de la
sensibilité
cutanée dans les maladies de la moelle présente u
dans les maladies de la moelle présente un grand intérêt. La perte de
sensibilité
est souvent uniforme, d'autres fois elle est inég
us long-temps son empire; mais,je l'ai déjà dit, de tous les modes de
sensibilité
tactile, celui qui résiste le pl us aux causes de
ud est pour moi une preuve péremptoire d'une abolition complète de la
sensibilité
. Toute sensibilité tactile peut avoir été aboli
reuve péremptoire d'une abolition complète de la sensibilité. Toute
sensibilité
tactile peut avoir été abolie en totalité ou en p
e position leurs membres paralysés. Ce fourmillement est la lésion de
sensibilité
la plus commune , celle qui précède tous les autr
phénomènes de paralysie; il ne disparait complètement que lorsque la
sensibilité
tactile est presque complètement abolie. (1) Qu
tion. Il est des cas de paraplégie dans lesquels il n'existe aucune
sensibilité
tactile, et dans lesquels cependant les stimulans
la cuisse, sans mouvement appréciable. Ces mouvemens attestent-ils la
sensibilité
proprement dite? Non, le malade ne sent pas si on
ouveler cette faculté. C'est donc une mauvaise manière d'apprécier la
sensibilité
avec conscience en pathologie expérimentale, que
euses, mais la percussion pratiquée sur ces apophyses déterminent une
sensibilité
très prononcée au niveau des deuxième, troisième,
e le jour précédent; le membre supérieur droit est dans le même état;
sensibilité
des membres inférieurs, qui se retirent par le pi
exerce aucune influence sur l'intelligence; qu'elle semble exalter la
sensibilité
morale, qu'elle détermine des phénomènes hémiplég
gauche; impossibilité absolue d'articuler les sons; conservation delà
sensibilité
et de l'intelligence; toujours gaie, me tendant l
rieur; paralysie moins complète et sans rigidité du membre inférieur.
Sensibilité
intacte. Urines et selles involontaires. Intellig
je trouvai tous les signes d'une péritonite: intumescence gazeuse et
sensibilité
excessive de l'abdomen, surtout à l'hypogastre; p
Mobilité des pupilles. Les membres sont dans une complète résolution.
Sensibilité
extrêmement obtuse. L'enfant pousse quelques cris
ne perforation de la poche ; et en effet, deux jours après ma visite,
sensibilité
excessive de tout le corps ; mort au bout de ving
s'effectue ; il est également très difficile d'apprécier le degré de
sensibilité
du membre paralysé. La déglutition , toujours dif
n état de rigidité. La flexion est portée aussi loin que possible. La
sensibilité
est obtuse ; l'engouement bronchique fait des pro
xception du membre supérieur gauche, qui présente un peu de rigidité.
Sensibilité
générale très obtuse; la malade ne donne de marqu
é. Sensibilité générale très obtuse; la malade ne donne de marques de
sensibilité
qu'à la suite d'un pincement fort et prolongé. Mo
lade y éprouvait de grandes démangeaisons. Ces papilles étaient d'une
sensibilité
telle que la malade disait qu'elle se trouverait
et inférieur du côté droit; la volonté n'a plus aucun empire sur eux.
Sensibilité
très obtuse, surtout au bras ; trouble de l'intel
déglutition sont libres. Point d'hémiplégie faciale. Intégrité de la
sensibilité
et de la perception. Urines et selles involontair
e du mouvement de la moitié gauche du corps. Diminution notable de la
sensibilité
du même côté. Perte presque complète de la vision
perception de la chaleur est la preuve d'une abolition complète de la
sensibilité
. 38e liv., pl. v, p. g. CHAUFFERETTE. Inconvéni
iv-, pl. iv, v, p. FOURMILLEMENT. Le fourmillement est la lésion de
sensibilité
la plus commune. 38eliv., pl. v, p. /0. FRACTUR
oute perception de froid est la preuve d'une abolition complète de la
sensibilité
. 38e liv., pl. v, p. g. FRONTAL. Rondelle cancé
plégie par méningite rachidienne. 32e liv., pl. 1, 11, p. 8, //. — La
sensibilité
de la peau est-elle augmentée dans la paraplégie
7? % — Caractères de cette paralysie. 32e liv., pl. 1, n,p. 8,n. — La
sensibilité
de la peau est-elle augmentée dans la paraplégie
es cutanées et les cicatrices muqueuses. 30e liv., pl. ni, p. 4. — La
sensibilité
de la peau est-elle augmentée dans la paraplégie
4. — Hémorrhagîe spontanée de la peau. 35e liv., pl. v, p. 4. —Sur la
sensibilité
cutanée dans les maladies de la moelle. 38e liv.,
ant le cervelet et la protubérance annulaire. 26e liv., pl. 11, p. /.
SENSIBILITÉ
. Diminution notable de sensibilité do la moitié g
annulaire. 26e liv., pl. 11, p. /. SENSIBILITÉ. Diminution notable de
sensibilité
do la moitié gauche du corps, résultant de tuberc
., pl. 11,-p. 2. —Dans la paraplégie par compression, la lésion de la
sensibilité
égale au moins celle de la myolilité. 32e liv., p
égale au moins celle de la myolilité. 32e liv., pl. 1,11, p. 6. — La
sensibilité
de la peau est-elle augmentée dans la paraplégie
sensibilité presque complète des membres inférieurs. Diminution de la
sensibilité
des membres supérieurs, suite de degeneration gri
degeneration grise de la moelle épinière. 38e liv., pl. v, p. —Sur la
sensibilité
cutanée dans les maladies de la moelle. 381" liv.
la moelle. 381" liv., pl. v, p. p.— Le fourmillement est la lésion de
sensibilité
la plus commune. 38e liv., pl. v,p. 10. SENTIMENT
sente de l’anesthésie pharyngée ; elle n'offre aucun autre trouble de
sensibilité
et n'a jamais eu d'attaques d’hystérie. Pour ra
tres à leur tour — par suite d'un trouble cœnesthésique soit de cette
sensibilité
viscérale en rapport avec l’état anatomique des o
organe ou les troubles de fonction susceptibles de retentir sur cette
sensibilité
cœnesthésique et d’irriter par contre-coup telle
remonte au gosier. présente de l’hvpoesthésie pour tous les modes de
sensibilité
et un certain rétrécissement du champ visuel. L
s; ils présentent de l’instabilité mentale, manquent de mémoire ou de
sensibilité
ou d’attention, se montrent violents, emportés, i
e, hyperesthésie, dyses-thésie, paresthésie pour tous les modes de ki
sensibilité
. Hallucinations auditives, visuelles, olfactives,
et des diverses excitations périphériques sur les modifications de la
sensibilité
. Apres avoir écrit son rapport sur la métalloth
; 2° de la nature de son milieu ; 3° de l’état de sa santé ; 4°de sa
sensibilité
à l'hypnotisme. Pour ce qui regarde le premier
traitement etsurveillé de près. Par rapport à la 4* condition : la
sensibilité
du malade, à l’hypnotisme ; on a allégué quelquef
phénomènes, demeurés sans explication, comme les modifications de la
sensibilité
. Mais c'est surtout par ses applications thérapeu
ore des livres comme ceux de M. de Rochas sur l’extériorisation de la
sensibilité
, et dans un genre moins sérieux des romans tels q
lucinations télépathiques, les dédoublements, l’extériorisation de la
sensibilité
, les mouvements d’objets sans contact et le flott
rt, tout sentiment de relation peut être interdit par le sommeil ; la
sensibilité
peut être émoussée et même éteinte, mettant la fe
L’hypnose amène chez les bons sujets la perte de la conscience, de la
sensibilité
et l’amnésie au réveil. En des cas moins favorabl
provoqué d’une manière réellement surprenante l'extériorisation de la
sensibilité
, la visibilité des effluves magnétiques et électr
tiseur qui ne se met généralement pas suffisamment en garde contre la
sensibilité
extraordinaire que peut acquérir son sujet et
cipline psychique, nous arracherons nos malades à la tyrannie de leur
sensibilité
, nous les affranchirons de tout ce qui est capabl
, mais le principe de la localisation des fonctions psychiques, de la
sensibilité
et de l'intelligence, est presque aussi vieux que
elatives à la structure et aux fonctions des organes de la vie, de la
sensibilité
et de la pensée, depuis Alcméon de Crotone (verso
ifiques, sur la détermination anatomique du siège des fonctions de la
sensibilité
et de l'intelligence soit dans les ventricules, s
réflexe pharyngien, points douloureux le long du rachis, troubles de
sensibilité
, etc. Tous les jours depuis six ans, elle est pri
es trois modalités d’une même énergie générale, se répercutant sur la
sensibilité
à la fois générale et spéciale, se traduisent par
e sommeil à distance, l'ccriture automatique, ¡’extériorisation de la
sensibilité
, les dédoublements de la personnalité, etc., etc.
sentiments, les hallucinations télépathiques, l’extériorisation de la
sensibilité
, les mouvements d’objets sans contact et le llott
u : la marche est devenue impossible. Il n’existe aucun trouble de la
sensibilité
ni de la motilité : la peau du genou n'est pas ép
sorte que l’anesthésie fasse place à l'hypoesthésie, et celle-ci à la
sensibilité
normale. Elle' peut être totale et soudaine, de t
té normale. Elle' peut être totale et soudaine, de telle sorte que la
sensibilité
normale reparaisse d’emblée. Mais dans ce derni
. C’est précisément ce qui se passe, lorsqu’on restaure rapidement la
sensibilité
d'un hystérique. Les décharges nerveuses centripè
es intéressés. C’est ainsi que, suivant Paul Sollier, le retour de la
sensibilité
cérébrale est précédée non seulement de fourmille
e cas d’anesthésie généralisée, le côté droit recouvre d’ordinaire sa
sensibilité
avant le côté gauche. Cela tient à ce que le côté
ripètes, et si j’admets, comme cause principale de ces troubles de la
sensibilité
, la rétraction des neurones de sensation, c'est q
, des massages, des mouvements actifs et passifs feront reparaître la
sensibilité
normale chez un anesthésique. Inversement une ane
e du masseter et en outre de l'hypoesthésie pour tous les modes de la
sensibilité
. Elle a présenté de l'incontinence d'urine et a é
mouvements communiqués d’extension et de flexion, les troubles de la
sensibilité
sont limités à la jambe et au pied. Cette malade
effacement du pli naso-buccal droit, déviation de la langue à gauche,
sensibilité
diminuée à droite, région dorsale gauche douloure
u buste, poids, travail ergographique, force de préhension des mains,
sensibilité
de l’ouie pour les deux oreilles, acuité de la vi
que. Dès lors il est facile de comprendre pourquoi ces troubles de la
sensibilité
se trouvent si souvent associés chez un même mala
ps, les rapports chez les jeunes mariées, par suite d’une trop grande
sensibilité
de l'orifice vulvaire généralement due à une défl
oration incomplète et liée à une vulvite plus ou moins marquée. Cette
sensibilité
n’est que momentanée et n'oppose pas un obstacle
et avaient décidé tous deux à venir me consulter. S’il existait de la
sensibilité
, il n'y avait aucun signe de contracture et la fe
uction d'un spéculum de Cusco se fit avec la plus grande facilité. La
sensibilité
de l'orifice vulvaire disparut ainsi. J’ai tenu
anquée : soit par timidité et inexpérience du mari, soit par excès de
sensibilité
de la femme qui recule, instinctivement, devant l
tre révélé qu’à l’occasion du coït. Celle affection consiste en une
sensibilité
particulièrement douloureuse delorilice vulvaire,
pas indifférente à certaines caresses ; elle montrait par exemple une
sensibilité
particulière du côté de la poitrine, elle était m
en état de rétraction, et l’on constate à la fois des troubles de la
sensibilité
, de la mémoire et de la molilité. Les neurones
extension. En effet, chez les hystériques : 1° Les troubles de la
sensibilité
sont suivis de troubles de la mémoire ; 2° La d
roche en proche aboutissant à l’hypnose ; 4° Un trouble léger de la
sensibilité
, comme l’aura, est suivi à l’instant même d’une d
devient très profonde ou absolue (J) » ; 5° Enfin tel trouble de la
sensibilité
peut être suivi de contractures simples ou systém
aîne celle des autres neurones. C’est ainsi que la restauration de la
sensibilité
est suivie de celle de la mémoire et de la motili
secousses ne se produisent plus. La disparition des troubles de la
sensibilité
entraîne aussi la disparition des contractures.
ut donc poser en loi que, chez les hystériques : Les troubles de la
sensibilité
sont toujours suivis de troubles de la mémoire et
e la motilité (amyosthénie par exemple) et que : L'amélioration de la
sensibilité
est toujours suivie d'une amélioration de la mémo
rdissements et vertiges, troubles oculaires, auditifs, troubles de la
sensibilité
générale, de la motilité, désordres de la circula
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