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1 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
e la périphérie vers les centres, les impressions automatiques et les sensations ; les autres conduisent des centres vers la périp
l doigt ? Combien n'en faut-il pas pour la perception distincte de la sensation la plus simple ? Enfin, ne sait-on pas que la fac
us les plis des hémisphères ; 5° Des irradiations nées des nerfs de sensations spéciales; 6° Des irradiations nées des ganglio
s de M. Flourens semblent le démontrer, le cerveau seul est organe de sensation avec conscience, c'est-à-dire d'intelligence, si
penserions que dans l'homme, et dans quelques animaux privilégiés, la sensation est un effet immédiat de l'impression extérieure,
es. C'est ainsi que Ch. Bell les range en quatre classes; 1° nerfs de sensations spéciales; 2° nerfs de sensibilité générale; 3° n
. M. Longet les groupe ainsi d'après leurs propriétés : 1° nerfs de sensations spéciales; 2° nerfs de sensibilité générale pouva
iales; 2° nerfs de sensibilité générale pouvant en outre servir à des sensations spéciales; 3° nerfs présidant à la fois aux mouve
sont là les vraies paires nerveuses du crâne. Toutefois, outre les sensations spéciales qui fournissent à l'intelligence la mat
rameau à chacun des trous de conjugaison du crâne. Parmi les nerfs de sensation générale, celui-ci est évidemment dans le crâne l
1° Nerfs moteurs; 2° Nerfs de sensibilité générale; 3° Nerfs de sensations spéciales. I. NERFS MOTEURS CRANIENS. «. Prem
llement des nerfs d'action volontaire et prosbolique. iii. Nerfs de sensation spéciale. a. Première paire. Elle comprend le n
expliqué plus haut. x. Troisième paire. Elle comprend les nerfs des sensations olfactives, ou nerfs olfactifs. (1) Il serait c
rechercher si cette destruction détruit le goût en même temps que la sensation des odeurs. A priori, il y a entre ces deux sensa
me temps que la sensation des odeurs. A priori, il y a entre ces deux sensations de telles analogies, que les deux nerfs pourraien
leux (1), ce n'est pas toutefois dans cet organe encéphalique que les sensations auditives sont perçues, et, en effet, après l'abl
ir dans les hémisphères cérébraux eux-mêmes la condition première des sensations auditives, aussi bien qu'ils le sont des sensatio
tion première des sensations auditives, aussi bien qu'ils le sont des sensations optiques. Malheureusement, il ne m'a point été do
er cette idée de Buffon, « que le cerveau au lieu d'être le siège des sensations , le principe du sentiment, n'est qu'un organe d
important dans l'histoire encore si obscure de ce qu'on a appelé les sensations subjectives? région intermédiaire à la sphère des
t pas conclure que toutes les fibres qui les composent conduisent des sensations pareilles ; elles contiennent en effet autant de
. Il y a des nerfs spéciaux pour la douleur, pour le contact, pour la sensation du froid et du chaud, pour le chatouillement. Les
e spontanéité, de jugement et de mémoire, incapable par conséquent de sensations véritables et de volontés réelles; en effet, pour
mouvements coordonnés peuvent être exécutés à l'occasion de certaines sensations sans aucune participation de l'intelligence (3).
bérance est un centre de perceptivitô, qui, suivant la « nature de la sensation , agit seul ou réclame le concours des « lobes cér
t sans instincts; le cervelet seul est-il détruit, tout subsiste, les sensations et les mouvements 5 mais ces mouvements ne ^'ench
n rien la perfection de l'animal en tant qu'automate; mais toutes les sensations , toutes les perceptions, toutes les idées sont al
t intactes. Ainsi l'automate vit, mais l'âme, en tant que principe de sensations et de spontanéité, est absente. Quelques auteurs
e les médecins analomopathologistes ont écrit sur la localisation des sensations et des facultés cérébrales. Il n'est point prouvé
e ne suivit-il pas cet exemple ? Comment ne vit-il pas que toutes les sensations perçues parla muqueuse nasale ne sont pas nécessa
s'ensuit-il qu'il les perçoive? Cependant Willis accorde aux bêtes la sensation et la perception. Mais si un simple automate peut
es des éléments composants. Ainsi, la faculté d'éveiller une certaine sensation peut être naturellement une propriété de la rose.
ieur à toutes les rêveries des philosophes (5) ? CHAPITRE II. DES SENSATIONS ET DES SENTIMENTS LOCALISÉS. § 1. Définition de
ES SENSATIONS ET DES SENTIMENTS LOCALISÉS. § 1. Définition des mots sensation et sentiment. Dans l'état présent de l'homme et
urellement dans l'âme certaines idées du monde extérieur, ce sont des sensations ; mais en tant que ces idées représentent seuleme
st uni, ce sont des sentiments. Ainsi quand je vois un arbre j'ai une sensation , parce que je conçois naturellement cet arbre com
chologiquement très-importante. En réalité l'âme qui sent, soit des sensations , soit des sentiments, est dans un état passif; ma
quels l'âme est pour ainsi dire entraînée. Toute impression perçue, sensation ou sentiment, produit dans l'âme une idée qui lui
ées est la Mémoire. Il est possible, à la rigueur, de comprendre la sensation . Une cause agit sur le corps et le modifie. L'âme
arce que le mécanisme de celte reproduction n'est point aperçu. Les sensations et les sentiments supposent une certaine interven
es deux cas, c'est toujours l'âme qui sent ou se souvient. § ». Des sensations . L'être qui sent est un; mais il y a plusieurs
§ ». Des sensations. L'être qui sent est un; mais il y a plusieurs sensations ; et de même qu'en un seul objet il peut y avoir p
dans l'âme plusieurs manières d'être affectée par elles. Toutes les sensations de l'homme peuvent être, bien qu'innombrables, ra
en cinq catégories distinctes : La première catégorie comprend les sensations du Toucher. La seconde, les sensations du Goût.
mière catégorie comprend les sensations du Toucher. La seconde, les sensations du Goût. La troisième, celles de Y Odorat. La
uïe. La cinquième, celles de la Vue. Chacune de ces catégories de sensations peut être conçue indépendamment des autres. Chacu
ation pathologique démontre, que le toucher comprend une multitude de sensations particulières, et ces sensations font supposer l'
le toucher comprend une multitude de sensations particulières, et ces sensations font supposer l'existence d'autant de nerfs diffé
leur situation relative, la forme. — La troisième espèce comprend les sensations du chatouillement; et la quatrième celles de la v
fort bien faites le conduisent à distinguer dans le toucher « quatre sensations spéciales, de « douleur, de température, de conta
s combinaisons entre elles (1) Gerdy. Physiologie philosophique des sensations et de l'intelligence, Paris, 1846. « fournissen
es philosophes. Rappelons d'abord que nous ne donnons pas le nom de sensations aux impressions qui nous donnent seulement une id
s'appelle sentiment. Ainsi, la douleur et la volupté ne sont pas des sensations , ce sont des sentiments localisés. De môme, l'obs
de la chaleur, celui de la contraction musculaire, ne sont point des sensations mais des sentiments. Parmi les sens du toucher, l
mais des sentiments. Parmi les sens du toucher, le seul qui donne des sensations véritables est le sens du contact. En effet, son
l'histoire en peu de mots. (1) Recherches phys. et pathol. sur les sensations tactiles. (Arch. gén. de mid. 1852.) La peau et
es surfaces libres des muqueuses sont essentiellement les organes des sensations de contact. M. Gerdy a fort bien fait remarquer q
ne détermine sur la peau de la face palmaire de l'avant-bras, aucune sensation appréciable. L'impression de cette même aiguille
paume de la main. On peut en conclure immédiatement que, eu égard aux sensations de contact superficiel, ces dernières portions de
sions profondes sont ordinairement mêlées de douleur. Or, il n'y a de sensations parfaites que les sensations distinctes. Aussi, p
ement mêlées de douleur. Or, il n'y a de sensations parfaites que les sensations distinctes. Aussi, partout où la nature a voulu r
en ce lieu, comme l'a cru, mais à tort, M. le professeur Gerdy. La sensation de pression commence quand la sensibilité de la f
ésigne sous le nom de toucher sous-onguéal. Le développement de cette sensation consécutive est pour beaucoup dans le système de
t de cette sensation consécutive est pour beaucoup dans le système de sensations d'où résulte l'idée de pression. Il est une aut
autre modification de la sensibilité de contact, que j'appellerai la sensation de traction. Cette sensation se développe quand l
sibilité de contact, que j'appellerai la sensation de traction. Cette sensation se développe quand la peau se détache d'une chose
peau, d'abord tiraillée, revient brusquement sur elle-même. De cette sensation , quand elle est forte, résulte l'idée de viscosit
e l'épidémie. Une chose dont le contact excite une foule de petites sensations distinctes donne l'idée d'un corps rugueux ; mais
donne l'idée d'un corps en mouvement. 11 s'y joint habituellement une sensation de pression latérale. Ces effets sent d'ailleurs
couche des doigts circonscrite par un petit cadre de baudruche, cette sensation se distingue à peine d'avec celle d'un simple con
ntre qu'en effet le sens du toucher ne donne rien autre chose que des sensations de contact. Prenons un disque poli de bois ou d
e, elle donnera toujours les mêmes résultats, c'est-à-dire, après une sensation , une autre sensation pareille. L'idée de cercle o
urs les mêmes résultats, c'est-à-dire, après une sensation, une autre sensation pareille. L'idée de cercle ou de circonférence ne
relations successives. Ainsi nous ne connaissons pas la forme par la sensation du contact, mais par un sentiment, et ce sentimen
lut, si je puis ainsi dire. C'est là un jugement ; ce n'est point une sensation . Mais que dire de cette main divisée en une mul
ins distinctes. é. Mais d'autres impressions cutanées se mêlent aux sensations de contact dans l'acte même du toucher, et ces im
n du monde extérieur, mais seulement le corps modifié, complètent les sensations proprement dites, en leur donnant un caractère de
à cet ordre d'impressions. Ce ne sont pas là à proprement parler des sensations , parce que l'idée qui en résulte a trait à une ce
localisés. Mais si ces sentiments se développent en même temps qu'une sensation de contact, celle-ci en recevra un caractère part
u'il soit jugé le même par le toucher. Ce sont là des accidents de la sensation . Mais ce qui le prouve le mieux, ce sont ces cas
e qui le prouve le mieux, ce sont ces cas maladifs, dans lesquels les sensations de contact gardent toute leur délicatesse, bien q
t, un frottement qui chatouille; ce chatouillement se combine avec la sensation de certains contacts successifs, et cette impress
et la douleur; par eux, dans l'état normal du moins, il n'est pas de sensations indifférentes; sentinelles avancées de la vie, il
re machine absolument incapable de perceptions, et en conséquence, de sensations véritables. Il y a une multitude d'espèces de p
de nerfs spéciaux, différents de ceux par lesquels nous percevons les sensations de contact et même les impressions de température
bles déplaisir ou de douleur touchent mal. L'âme, dans l'exercice des sensations véritables, garde sa liberté, mais dans le plaisi
e auquel le nerf se distribue un certain phénomène assez curieux. Les sensations de contact sont absolument ou presque absolument
s a diminué. Cependant les moindres conlacts éveillent alors, non des sensations , mais des douleurs intolérables. On expliquera ce
rdinaire que le compliqué dans l'organisation; ajoutons, enfin, à ces sensations positives, dont nous venons d'esquisser l'histoir
mment rien n'est au fond plus difficile que l'analyse élémentaire des sensations . Il résulte encore de cette étude rapide, que n
ons goûter, nous ne faisons en réalité qu'odorer. L'histoire de ces sensations et de leur réduction à des éléments simples, a ét
nous percevons ne sont pas toujours vierges de tout mélange avec des sensations ou des sentiments de contact. Il est hors de dout
ions ressenties dans les fosses nasales n'ont rien de commun avec des sensations olfactives. C'est ainsi qu'après la perte complèt
citants, et les sympathies seules ditfèrent. Il est certain que les sensations olfactives se développent par suite d'une certain
y a aussi des odeurs piquantes, acres, acides, caustiques; toutes ces sensations sont mixtes et résultent d'une certaine odeur uni
contact. Cela est évident pour les odeurs chaudes ou fraîches. Les sensations gustatives comme les sensations olfactives sont s
les odeurs chaudes ou fraîches. Les sensations gustatives comme les sensations olfactives sont souvent mêlées à des impressions
ont souvent mêlées à des impressions de contact, et souvent aussi aux sensations olfactives elles-mêmes. Lorsqu'on a établi par l'
faut décider si ce qu'on a pris pour une saveur n'est pas une simple sensation olfactive. M. Chevreul a donné, pour distinguer c
on olfactive. M. Chevreul a donné, pour distinguer ces éléments d'une sensation complexe, un procédé fort simple ; il consiste à
où le mouvement est exclu ; alors aucune odeur n'est perçue, et si la sensation persiste ce ne peut être qu'une impression de goû
a langue et l'odorat, et si l'on se bouche le nez il ne reste que des sensations ou des sentiments de contact ; tel est par exempl
aveurs et les impressions tactiles, et la résultante de ce système de sensations , d'où les odeurs sont exclues, en est singulièrem
xclues, en est singulièrement modifiée, car il y a des résultantes de sensations , et l'analyse n'en est pas toujours chose facile.
s chose facile. Nous imaginons, par une erreur assez naturelle, les sensations que le goût et l'odorat nous procurent comme inhé
ment en lui cer taines propriétés à l'occasion desquelles certaines sensations se produisent en nous; mais ces sensations sont d
asion desquelles certaines sensations se produisent en nous; mais ces sensations sont des effets qui ne sont pas implicitement dan
ces sens sont-elles, à certains égards, des sentiments autant que des sensations , si bien qu'on en pourrait faire une classe inter
l'analyse, enferment aussi plus de méditation. Comme il est peu de sensations plus voisines des instincts, il n'en est pas dont
emarquer avec M. Chevreul combien l'homme met d'intelligence dans ses sensations . Les sensations seules ne donnent que des synthès
Chevreul combien l'homme met d'intelligence dans ses sensations. Les sensations seules ne donnent que des synthèses confuses ; c'
ons sur ce point en parlant de l'ouïe et de la vue. Les différentes sensations , dont nous avons parié jusqu'ici, sont perçues il
s reproduire, mais jamais au gré de la pensée et de la volonté. Les sensations dont nous allons parler maintenant sont d'une aut
vois réellement. J'entends bien ce son, ce concert que je pense. Ces sensations idéales sont, il est vrai, plus faibles que celle
es, se prêtant à toutes les exigences de la pensée, il n'est point de sensations auxquelles elle emprunte davantage; elles lui son
des conditions physiques indispensables pour le développement de ces sensations ; cette étude est du domaine de la physique généra
animaux eux-mêmes ne seront pas soustraits à son empire. Ainsi les sensations de l'ouïe ont sur les sentiments une influence ex
rreur de ces philosophes est spécieuse. L'homme tire un tel parti des sensations de l'ouïe dans le langage, qu'il peut avec justic
dans sa reconnaissance. Mais on n'a pas remarqué que directement ces sensations fournissent peu d'idées, et qu'elles sont moins i
s; mais ces idées peuvent venir à l'esprit par toutes les voies de la sensation . Ainsi l'ouïe n'a rien en propre, sinon la facult
signes auquel l'esprit attache en quelque sorte ses idées. Toutes les sensations sont propres à cela ; mais à des degrés divers, e
s prouvent plus la force de l'esprit que la valeur intrinsèque de nos sensations prises en elles-mêmes. D. De la Vue. Il y a d
s sensations prises en elles-mêmes. D. De la Vue. Il y a dans les sensations de la vue deux éléments bien distincts : l'un de
lleurs la vue est comme l'ouïe ; l'esprit se complaît au milieu des sensations que ces sens élaborent, l'imagination les représe
istence des objets que touchent nos surfaces cutanées, que, là où ces sensations de contact manquent, nous concevons aisément, com
n'avons une idée claire d'aucun de nos organes, sinon en tant que la sensation du toucher peut s'exercer sur eux ou par eux. C'e
rieures, nous n'avons point l'idée de notre œil modifié. C'est là une sensation par excellence. Si l'aveugle de Cheselden sembl
ans le sens opposé à la direction que vous lui donniez. » {Traité des sensations . Paris, 1767, t. II, p. 419). — On peut modifier
, le toucher vient en aide au jugement, et corrige cette erreur de la sensation . J'ai démontré plus haut que le toucher n'est rie
it que nous voyons hors de nous l'image que l'âme a perçue, et que la sensation qu'elle a de chaque point de l'objet est rapporté
ces impressions dans l'œil qu'une idée confuse. Cette synthèse de la sensation ne peut donc être amenée à sa perfection que par
uée de jugements que l'habitude rend à la longue instinctifs, que nos sensations éveillent enfin des idées adéquates et parfaites.
combien plus de perfection! rapides comme l'esprit, la succession des sensations dans l'œil est si prompte, que toutes semblent s'
édiatement sur une feuille de papier d'une couleur B. Alors il a la sensation qui résulte du mélange de cette : couleur B,
t deux objets différemment « colorés, ce qu'il y a d'analogue dans la sensation des deux « couleurs éprouve un tel affaiblissemen
sés... De là des phases dont les unes « sont de la même nature que la sensation primitive, et peu-ce vent être appelées les phase
formation de toutes ses idées, que dis-je? dans l'élaboration de ses sensations distinctes, explique mieux que tous les raisonnem
Des sentiments généraux et des passions, Dans l'état normal, toute sensation est accompagnée d'un sentiment corrélatif. La sen
C'est par un véritable abus de langage qu'on dit vulgairement : une sensation agréable, une sensation douloureuse; par elles-mê
abus de langage qu'on dit vulgairement : une sensation agréable, une sensation douloureuse; par elles-mêmes les sensations n'ont
ne sensation agréable, une sensation douloureuse; par elles-mêmes les sensations n'ont rien de commun avec le plaisir ou la douleu
ale, l'un des plus importants et des moins remarqués cependant. Les sensations et les sentiments sont des motifs déterminants d'
PITRE III. DE LA MÉMOIRE. § *. De la mémoire en général. Si les sensations sont difficilement expliquées, si les sentiments
retrouver dans l'esprit, et suivant un certain ordre, les traces des sensations , des volontés et des idées passées, c'est compter
rtain signe et un certain instinct viennent-ils à coïncider dans la sensation une ou plusieurs fois, l'idée de l'un ramènera né
tempéraments qui résultent de la prédominance de tel ou tel ordre de sensations dans les habitudes naturelles de l'esprit. Un de
nation. Après avoir rapidement traité des parties de l'histoire des sensations qui ont avec notre sujet un rapport plus immédiat
ré dans l'étude de l'intelligence, et parlons de l'imagination. Les sensations résultent des impressions que font sur nos sens l
it une certaine image du corps. Ainsi, le caractère fondamental d'une sensation , c'est la propriété qu'elle a d'éveiller une idée
a d'éveiller une idée nécessaire, celle d'extériorité. Or, ce que la sensation est au monde, l'imagination l'est à la sensation.
orité. Or, ce que la sensation est au monde, l'imagination l'est à la sensation . Elle est dans l'intelligence comme un écho des s
l'est à la sensation. Elle est dans l'intelligence comme un écho des sensations antérieures. Elle les reproduit sous une forme no
este à l'âme le monde réel. On peut donc admettre que la sphère de la sensation et celle de l'imagination se touchent, mais que l
andis que des mouvements effectifs sont la conséquence nécessaire des sensations , l'imagination, dans son état normal du moins, no
et, si je puis ainsi dire, des ébauches do réaction. D'ailleurs la sensation et l'imagination se correspondent, et il n'y a ja
eu rien d'essentiel dans l'imagination qui n'ait été d'abord dans la sensation . Un aveugle-né n'imagine point des couleurs ; un
llectu quod non prius in sensu. Mais de cette correspondance entre la sensation et l'imagination, on conclurait à tort à l'identi
out, c'est que l'exercice de l'une diminue l'activité de l'autre. Les sensations exigent l'intervention des im pressions du deho
n ne démontre mieux la légitimité de cette distinction première de la sensation et de l'imagination. Mais, tout en les distingu
drait pas méconnaître leurs analogies réelles. Il est certain que les sensations fortes impressionnent vivement l'imagination, et
magination peut, en l'absence de toute cause extérieure, éveiller des sensations réelles. Il y a donc entre les organes internes d
Il y a donc entre les organes internes de l'imagination et ceux de la sensation , des correspondances naturelles et des échanges r
d'impressions actuelles, il peut s'éveiller dans l'âme des images des sensations passées. Ces images enchaînées, combinées au gré
'à demi l'automate. De cette inégalité naturelle entre la force des sensations réelles et celle des sensations imaginaires résul
négalité naturelle entre la force des sensations réelles et celle des sensations imaginaires résulte, par une comparaison qui s'op
le. Or, comme cette comparaison ne peut avoir lieu qu'en présence des sensations extérieures, s'il y a un état possible dans leque
des sensations extérieures, s'il y a un état possible dans lequel ces sensations soient obscurcies, les sensations imaginaires pou
a un état possible dans lequel ces sensations soient obscurcies, les sensations imaginaires pourront dominer à leur tour et régne
nouveau, l'être vivant a conscience de lui-même, mais il n'a plus de sensations distinctes, sinon les sensations imaginaires. I
nce de lui-même, mais il n'a plus de sensations distinctes, sinon les sensations imaginaires. Il y a un troisième état qui paraî
quel les impressions idéales arrivent au point d'égaler l'énergie des sensations extérieures, et cela pendant l'état de veille, en
epose, ainsi que nous l'avons vu, sur ce fait que, les deux ordres de sensations se développant à la fois, les sensations extérieu
fait que, les deux ordres de sensations se développant à la fois, les sensations extérieures dominent; mais, bien que dominantes,
s deux mondes, le réel et l'idéal, se mêlent; d'où résulte une double sensation , une double action, une double science. 11 est
et de les soulever. Il avait donc une idée de cet aliment dont aucune sensation actuelle ne trahissait la présence. L'observati
appartient qu'à lui, celle de diriger à son gré son attention sur ses sensations ou sur ses idées. Seul il sait, quand sa pensée l
u monde et peut s'élever jusque dans l'infini. Tous les modes de la sensation ne sont point représentés également dans l'imagin
ouvoir de nous rendre présentes : j'en dirai autant de la plupart des sensations du toucher, et en particulier du sens de la doule
s forces de l'attention et de l'aperception étant concentrées sur une sensation dominante. 2° Une impression sensoriale éteint
s doloribus semel obortis, vehementior obscurat alte-rum. » Ainsi une sensation forte éteindra d'autant plus facilement une sensa
um. » Ainsi une sensation forte éteindra d'autant plus facilement une sensation plus faible, qu'elle sera de même nature. La lumi
n son, fût-il d'ailleurs assez faible. Or, dans l'état de veille, les sensations imaginaires peuveut être assimilées à des sensati
t de veille, les sensations imaginaires peuveut être assimilées à des sensations très-faibles. 3° Le mouvement d'une attention v
Le mouvement d'une attention vive portée à une chose quelconque, soit sensation , soit action, nuit de manière générale à la liber
ale à la liberté de l'imagination, de même qu'elle nuit à celle de la sensation en général. Un homme attentif à une conversation
quiétistes. 5° Il y a toutefois des conditions dans lesquelles des sensations ou des actions extérieures peuvent favoriser le d
ons ou des actions extérieures peuvent favoriser le développement des sensations imaginaires. Ces conditions sont réalisées toutes
imaginaires. Ces conditions sont réalisées toutes les fois que cette sensation ou cette action sont corrélatives à la chose qu'o
chose est facilement et naturellement imaginée, même en regard d'une sensation vive d'un ordre quelconque, lorsque cette sensati
e en regard d'une sensation vive d'un ordre quelconque, lorsque cette sensation est habituellement associée à cette chose. Ains
principe d'association, le nom d'idées consécutives. 7° Lorsque des sensations sont habituellement ordonnées en séries, il suffî
ées en séries, il suffît que les premières soient reproduites dans la sensation , pour que la série entière s'ensuive dans l'imagi
re spécial qui établit entre les faits de l'imagination et ceux de la sensation une transition naturelle. On sait que certains di
velles. 8° Les idées imaginaires peuvent être considérées comme des sensations très-faibles. Réciproquement, des sensations très
re considérées comme des sensations très-faibles. Réciproquement, des sensations très-faibles peuvent être prises pour des sensati
iproquement, des sensations très-faibles peuvent être prises pour des sensations imaginaires. Cette proposition mérite d'être appu
ns que cet air lui était auparavant inconnu. 9° En conséquence, des sensations très-faibles seront d'autant plus aisément perçue
es impressions trop faibles pour déterminer, à proprement parler, une sensation , peuvent dans certaines conditions éveiller des i
on propre mouvement, puisque, ainsi que nous venons de l'établir, des sensations très-faibles peuvent n'être comprises que sous fo
ve. La cause qui produit le sommeil obscurcit en général toutes les sensations à la fois; mais quelquefois l'une d'elles survit
une d'elles survit à coi anéantissement (1). Dans certains cas, les sensations seules sont endormies, mais la faculté de se mouv
est impossible d'accepter la théorie de M. Charma, qui veut que toute sensation perçue pendant le sommeil, éveille, ne fût-ce qu'
ne fût-ce qu'un instant. Les songeurs s'accommodent fort bien de ces sensations et continuent souvent de rêver. Charma, Du sommei
t la veille, nous ne connaissons les choses que par les idées que les sensations nous en donnent. Ainsi l'homme se meut dans l'idé
de et coïncide avec lui, qu'importe qu'elle ait ou non pour cause des sensations actuelles? N'est-ce point là l'histoire du voyage
at naturel, dit Deleuze, il perd absolument le souvenir de toutes les sensations et de toutes les idées qu'il a eues dans l'état d
inadéquates et des volontés impuissantes. Cette paralysie, en face de sensations pénibles et d'imaginations effrayantes, s'appelle
es songes. Les idées amenées pendant le sommeil normal au degré des sensations réelles portent le nom de rêves ou de songes. Ces
). D'ailleurs comme Wolf l'a, selon nous, admirablement démontré, les sensations obscures qui nous assiègent pendant le sommeil, e
crânienne, en sorte que je le sentais ballotter dans ma tête ; cette sensation me jeta dans une si étrange perplexité que je m'é
moins agité par les vents. Dès lors, ces émanations « éveilleront des sensations dans le corps, en raison même de « l'état de somm
ces rêves sont rares; j'en dirai autant de ceux qui représentent des sensations olfactives. Quelques personnes, au nombre desquel
ucher sont plus fréquents. Un jeune homme fut un jour réveillé par la sensation d'un baiser déposé sur sa joue, il était cependan
nations. Nous donnerons exclusivement le nom d'hallucinations à des sensations qui se développent sans cause extérieure adéquate
art du temps, sinon toujours, elles se développent à l'occasion d'une sensation ou d'une idée sous l'influence du principe d'asso
déclarons donner exclusivement le nom d'hallucinations de l'ouïe, aux sensations auditives qui se développent en l'absence de tout
ètement rejetée. 11 n'y a pour nous d'autres hallucinations que les sensations auditives qui se développent en l'absence de tout
arc galvanique, n'a point une hallucination, parce qu'il y a à cette sensation une cause connue, et que le rapport de nos sens a
'âme, antérieure au monde, et il n'y a que les organes extérieurs des sensations qui aient, avec les divers agents de la nature, u
rdre de choses, avec des organes différents, l'âme pourrait avoir des sensations analogues aux sensations actuelles. Une propositi
organes différents, l'âme pourrait avoir des sensations analogues aux sensations actuelles. Une proposition pareille ne pourra par
s hallucinations dans lesquelles la pensée elle-même se transforme en sensations distinctes ; elles prennent évidemment naissance,
gorie comprend ces idées qui s'imposent à l'âme en l'absence de toute sensation proprement dite. J'ai dit plus haut comment, dans
on entend en réalité, quand la cause extérieure n'a déterminé que des sensations excessivement faibles. Ici ce sont des pensées qu
ative et qui semblent des perceptions sans cause extérieure, tant les sensations dont elles sont revêtues sont subtiles et raréfié
e nerveux. Genève, 1778. T. I, p. 196, cilé par M. Michéa. Délire des sensations , p. 48. (3) Hist. med. mirab. Francf. 1613, lib
hale est le siège de ces impressions si vives, d'où résulte l'idée de sensation ? Quelle autre partie est l'organe de l'imaginatio
ons imaginer. Pendant la veille normale, il ne se produit jamais de sensations à l'occasion de ces perceptions imaginaires. L'im
idées pourront acquérir, dans ce cas, le caractère et la vivacité de sensations véritables. Toutes les fibres qui composent le ce
le premier cas il pourrait y avoir duplicité du sens interne avec des sensations normales; dans ie second, la pensée pourra n'avoi
e Christian Wolf. Il est certain que, même dans l'état de veille, nos sensations et nos sentiments éveillent par voie d'associatio
viens d'avoir éprouvé autrefois, à la suite d'une longue maladie, une sensation singulière. Mes mains me semblaient n'avoir plus
impression n'étant pas discutée, l'idée ne sera plus qu'un écho de la sensation . Le genre d'illusion dépendra complètement alors
corps île l'être qui Imagine. La tendance au mouvement qui suit une sensation véritable est une tendance nécessaire; de plus, t
indices de réaction, dont le résultat demeure incomplet. Ainsi, à la sensation correspondent des mouvements achevés, mais l'imag
érales n'est pas moins évidente. Un médecin, préoccupé de certaines sensations ressenties du côté du cœur, examinait fréquemment
, et en modifier l'état « actuel de manière à y produire de nouvelles sensations ? Le « premier soin des expérimentateurs, ajouten
837, p. 18 et suiv., 962 et suiv. Gerd. Physiologie philosophique des sensations et de l'intelligence. Paris, 1846, p. 164. — Cf.
nclure à l'existence de l'âme en tant que capable d'impressions et de sensations diverses. L'âme est libre dans l'ordre de l'intel
décider en quoi ils diffèrent. Nous avons déjà expliqué comment toute sensation dans l'état normal éveille un sentiment. Le senti
uleur et celui du plaisir sont, pour ainsi dire, à côté de toutes les sensations , et mêlent, aux éléments fournis par elles, les r
propres. Ainsi, indépendamment de ses propriétés particulières, toute sensation est, grâce à cette association, indifférente, agr
réable ou désagréable, et modifie l'harmonie du sens interne. Toute sensation éveillant nécessairement un sentiment, il en résu
refuse, repousse ou fuit, crache ou vomit l'objet qui a déterminé la sensation , on pourra immédiatement conclure à l'existence d
si, l'homme ne se distingue point d'avec l'animal en tant qu'il a des sensations , des sentiments et des volontés qu'il exprime, ma
ience démontrant que la plus grande valeur de M, appréciable dans une sensation immédiate, est de deux ou trois tout au plus ; ce
au que l'âme sent et veut. Le cerveau est donc à la fois un organe de sensation et un organe de volonté. Il y a ici une grande di
chaque hémisphère exerce sur le côté opposé du corps, et cependant la sensation , la pensée, la volonté, sont unes. Il n'y a pas d
es des départements distincts, non pour l'intelligence, mais pour les sensations . Cela paraît assez prouvé pour les nerfs olfact
ance de tel ou tel de ces départements affectés à tel ou tel ordre de sensations ou de sentiments, on pourrait conclure à la prédo
se son défaut d'étendue. On peut, en effet, établir que l'étendue des sensations est relative en général à la perfection des appar
ner l'automate à certaines actions ; mais je n'approuve pas le nom de sensations brutes que leur a donné M. Longet. Il n'y a pas,
sations brutes que leur a donné M. Longet. Il n'y a pas, en effet, de sensations sans intelligence; si donc l'intelligence est abo
s hémisphères cérébraux, nous pensons avec M. Flourens que toutes les sensations le sont avec elle. Les faits dont je viens de p
celui des couches corticales. Elle s'accrott donc, non en raison des sensations périphéri ques, mais de l'intelligence; ainsi p
de l'âme qui dominent le corps au point de créer de toutes pièces des sensations énergiques dans l'hallucination. On pourrait donc
, en tant qu'organe d'intelligence; son action multiple, eu égard aux sensations est, quant à l'âme, une et synergique,- l'organis
associations qui s'établissent si facilement dans l'esprit entre les sensations et les idées les plus disparates, et sur lesquell
pinions des philosophes sur l'âme............ ib. CHAPITRE II.— Des sensations et des sentiments localisés. 401 § 1. Définitio
ensations et des sentiments localisés. 401 § 1. Définition des mots sensation et sentiment......... ib. § 2. Des sensations..
1. Définition des mots sensation et sentiment......... ib. § 2. Des sensations ........................ 403 § 3. Des sentiments
2 (1911) La pratique neurologique
l'une et l'autre de ces deux régions. La vue donnant à la fois des sensations de lumière, de couleur et de forme, il faut épr
Dans ce cas, il faut éveiller son attention, lui faire analyser ses sensations , et, au besoin, l'aider, par les moyens suivant
auses mul- tiples, la lumière, la convergence, l'accommodation, une sensation cutanée, une pensée, une émotion. Ils se font t
lus faible qui, au moment de son incurvation, parvient à donner une sensation cornéenne. On peut encore utiliser un instrumen
HAMP VISUEL. 4't portion AB de la rétine, sans donner lieu à aucune sensation objective. De là le nom de scotomes subjectifs
ré- tlexcs visuels et spécialement le centre réflexe pupillaire. La sensation lumineuse transportée par le nerf optique file
es. Au niveau du corps gcnouillé externe, il y aurait diffusion des sensations transmises par les faisceaux systématisés des v
homo- latéral Moebius). Le malade voit noir et n'a pas perdu toute sensation dans la portion atteinte des champs visuels. La
l voit; les yeux se dirigent d'une manière réflexe vers le côté des sensations perçues, ils abandonnent le côté d'où ne vient
e d'affections. Certains neurasthéniques se plaignent souvent d'une sensation de pesanteur et même de chute de la paupière, s
ontanément quand le mineur travaille au jour. Ce nystagmus donne la sensation du mouvement des objets extérieurs, et provoque
[LANNOIS.] 150 MALADIES DE L'OREILLE. " ? conduit détermine une sensation sonore qui s'atténue pendant le passage du cour
us que le passage du courant, et l'ou- verture détermine une faible sensation sonore. Les recherches de Brenner, de Erb, de G
, chez un sujet sain, il fallait 6 milliampères pour déterminer une sensation sonore, n'en fal- lait que 2 ou 5 clans les cas
pond clinique- mont comme s'il l'était par son excitant spécifique ( sensation tactile ou douloureuse par la compression du cu
re de l'otecrane, phosphènes par pression sur les globes oculaires, sensation gustative par irritation mécanique de la corde
trouble purement psychique, voisin de l'illusion. Inversement, les sensations lumineuses agissent sur l'organe de l'ouïe : on
électrique. Enfin, d'après Urbantschitsch, on pourrait observer des sensations gustatives et olfactives, sous l'influence des
tre d'un instinct primordial de l'homme, la sociabilité, et par les sensations désagréables qui accompagnent la surdité, bruits
TROUBLES DE L'ODORAT On peut observer des troubles par excès de la sensation olfactive, hYPe1'- osmie, des troubles par défa
dans le tube poreux, il n'y a pas d'olfaction : si on le retire, la sensation odorante sera d'autant plus forte que le couran
aoutchouc, il fallait tirer le tube de 7 millimètres pour avoir une sensation olfactive. L'unité de mesure s'appelle olfaclie.
parosmie se présente fréquemment sous forme d'isosmie (Collet), la sensation étant toujours la même pour des odeurs très varié
elle peut être congénitale. , La cacosmie se montre en dehors d'une sensation odorante réelle. Le plus souvent elle est très
VERTIGES (1) par le Dr André LÉRI DÉFINITION Le vertige est une sensation illusoire de déplacement de notre corps par rap
on). Quel que soit le sens du déplacement, il s'agit toujours d'une sensation purement subjective. Aussi est-ce à tort que l'
ins déplacements anormaux, mais réels, objectifs, accompagnés de la sensation de ces déplacements : ainsi, certains mouvements
ans crise convulsive; la perte de connais- sance, en supprimant les sensations même réelles, empêche que ce pseudo- vertige so
éelles, empêche que ce pseudo- vertige soit jamais accompagné de la sensation erronée qui seule con- stitue le vertige vrai.
u n'être pas représenté dans le champ des images conscientes » ; la sensation vertigineuse, trouble psycho-sensoriel subjectif,
ion subjective et se traduisant par l'impotence fonctionnelle de la sensation et de la locomotion (incli- naison, latéro-puls
et des sens, toute défaillance, d'origine cardiaque ou autre, toute sensation brusque et momentanée d'anéantissement physique
ion brusque et momentanée d'anéantissement physique et mental, sans sensation illusoire de déplacement. DESCRIPTION ET VARI
cement. DESCRIPTION ET VARIÉTÉS Le déplacement illusoire, dont la sensation constitue le vertige, peut paraître se produire
s ce dernier cas, le sol tout entier semble se dérober sous lui, la sensation est très différente de celle du « dérobement de
se prolonger pendant le décubitus horizontal, et l'in- dividu a la sensation que le plancher s'effondre sous son lit, ou que l
t bascule et oscille. L'occlusion des yeux fait souvent diminuer la sensation ; dans d'autres cas elle l'exagère ('). Le su
Le sujet a toujours, au moins au début du vertige, la notion que sa sensation de déplacement est purement illusoire; néanmoins
ts compensateurs de la tête,. des bras et surtout des jambes; 1. La sensation vertigineuse comprendrait pour Bonnier quatre var
grante du vertige tel que le comprend Bonnier, au même titre que la sensation vertigineuse. - .. Toute sensation vertigineuse
Bonnier, au même titre que la sensation vertigineuse. - .. Toute sensation vertigineuse est pénible et accompagnée de peur o
e de connaissance; toutes les idées se trouvent concentrées sur les sensations de translation anormale et sur la crainte de la
comme l'artério-sclérose par exemple, peut déterminer à la fois des sensations vertigineuses, des attaques syncopales et des c
moins vives, colorées ou non, en éblouissements, ou au contraire en sensations débrouillard et d'obscurité. Les phénomènes aud
l'espace nous est fournie par la réunion d'un très grand nombre de sensations . Les sensations musculaires,. les sensations osté
st fournie par la réunion d'un très grand nombre de sensations. Les sensations musculaires,. les sensations ostéo-articulaires
n très grand nombre de sensations. Les sensations musculaires,. les sensations ostéo-articulaires et cutanées y prennent part;
on de l'ensemble de notre corps par rapport au monde extérieur. Les sensations visuelles ont dans cette dernière notion une pa
cette dernière notion une part beaucoup plus grande, ainsi que les sensations auditives ; on le conçoit facilement. Mais il
de troubles portant sur l'autre. De l'accord parfait de toutes les sensations qui nous indiquent la situa- tion de notre corp
rd naît le vertige. Mais les troubles de chacune de ces variétés de sensation ne détermineront pas le vertige avec une égale
quence et une égale intensité; les troubles du sens musculaire, des sensations ostéo-articulaires et cutanées, influant peu sur
ue du sens de l'espace, le labyrinthe, sur le nerf qui transmet ses sensations , le nerf vestibulaire, sur le centre qui surtou
t le cervelet que l'on trouvera l'origine de la plupart des grandes sensations vertigineuses, accessoirement dans les organes
tical quelconque détermine pendant la rotation et après l'arrêt une sensation illusoire de rotation des objets ou de notre corp
ertige des chevaux de bois par exemple, le, vertige de la danse. La sensation vertigineuse est d'autant plus nette et plus pr
ue nous regardons un autre train se mettre en marche, nous avons la sensation illusoire de notre déplacement en sens contrair
n augmente pro- gressivement l'intensité, il se produit d'abord une sensation de vertige, puis une inclination latérale de la
uit toujours chez le sujet normal du côté du pôle positif (). I. La sensation subjective es ! toujours plus forte que l'inclina
de la rota- tion ; quand on arrête brusquement l'appareil, il a la sensation de con- tinuer à tourner pendant quelques insta
nuer à tourner pendant quelques instants, mais en sens inverse; ces sensations sont dues aux modifications de pression dans le l
uement du syndrome de Ménière par 1 absence d'orien- tation dans la sensation vertigineuse, par les gros troubles de l'équilibr
ertige auriculaire, en agissant soit sur l'appareil récep- teur des sensations du sens de l'espace, le labyrinthe, soit sur le n
serve très fréquemment des formes atténuées se tradui- sant par une sensation d'étourdissement, d'ebtonissemcnt, de tournoie-
acé par un état vertigineux léger, du treinbleinent des jambes, une sensation de dérobeinent du sol; la migraine otique est une
tre que le malade a la notion de la rotation de l'appareil, il a la sensation vertigineuse d'une rotation en sens inverse au
rientation déter- mine : 1° l'absence de toute orientation dans les sensations vertigi- neuses de déplacement; 20 des troubles
p- pareil de Mach; le malade n'a ni la notion de la rotation, ni la sensation SEMIOLOGIE. -109 vertigineuse de rotation en
ges dans un train en marche, par exemple, provoquent facilement des sensations vertigineuses. L'amblyopie, qui empêche la distin
n ne prendra pas pour un signe de l'origine oculaire du vertige les sensations lumineuses variées qui accompagnent souvent le
rès rares; ils sont rarement très violents et consistent surtout en sensations d'instabilité, en obnubilations avec trouhles vis
ué par : 1° du vertige plus ou moins intense et brutal avec ou sans sensation vertigineuse; 2° l'effon- drement par dérobemen
t aux attaques pendant la bromura- tion (Charcot). H est précédé de sensations visuelles et auditives diverses et peut affecte
diverses et peut affecter toutes les variétés du vertige cérébral : sensations de tournoiement, de soulèvement, de dérohetrlen
i méconnue que celle des différents vertiges cérébraux; pourtant la sensation illusoire de déplacement naîtrait particulièrem
c la céphalée en casque, l'un des symptômes les plus fréquents; les sensations illusoires de déplacement apparaissent à toute
lmas comme un syndrome cérébelleux. - Kraf1't-ElJin considère ces sensations connue dues à des troubles vaso- moteurs portan
imple trouble de la conscience du moi, une exagération de certaines sensations de mouvement. Régis a noté avec raison que l'en
ertiges arté- rio-scléreux. Le vertige mental de Lasèriuc est une sensation d'angoisse, violente, subite et invincible, pro
que. - . L'accès est précédé d'une sorte (l'aura constituée par une sensation de brûlure, de chatouillement ou de constrictio
été lente et prolongée. Le vertige de l'ivresse alcoolique est une sensation de tournoiement du sujet on des objets environn
ications d'origine externe ou interne provoquent cer- tainement les sensations vertigineuses par des mécanismes très variables
bien enfin certains de ces produits toxiques ne détermineraient les sensations vertigineuses que par l'intermédiaire d'un réll
la suppression subite et instantanée des opérations cérébrales, des sensations et de la inutilité. En cas de survie au choc in
teur ne s'accompagne ni d'altération des traits, ni de troubles des sensations . Le réveil est facile en général; et les idées
D' MOUTIER L'agnosie est la perte de la faculté de transformer les sensations sim- ples ou élémentaires en sensations supérie
faculté de transformer les sensations sim- ples ou élémentaires en sensations supérieures ou perceptions propre- ment dites.
peut en définir l'usage, il ne peut le nommer. Il a donc encore des sensations , mais ne sait plus les interpréter. 11 s'exprime
t rarement totale. Le plus souvent elle porte, sur divers ordres de sensations , sans les embrasser tous. Ainsi, un malade peut
éfaut. Plus souvent l'agnosie porte isolément sur un ordre donné de sensations . Dans l'agnosie tactile (trouble de l'identific
définition suivante : « Un homme qui a la conviction entière d'une sensation actuellement perçue alors-que nul objet extérie
llement perçue alors-que nul objet extérieur propre à exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état
uer J'hallucination de l'interprétation délirante; dans ce cas, les sensations sont perçues normalement, mais le malade interprè
ps est décomposé, pourri. Les hallucinations tactiles consistent en sensations de fourmillements, de brûlures, d'attouchements
tion la police. Les hallucinations kinl's- lllésiques consistent en sensations de lourdeur ou de légèreté, en sensations de ch
lllésiques consistent en sensations de lourdeur ou de légèreté, en sensations de chute, etc., elles appartiennent d'ailleurs il
ion physique, s'obser- vent, s'analysent, interprètent toutes leurs sensations . Certains autres ont ces mêmes craintes des mal
veux : la douleur il la piqûre, à la brûlure, par exemple, sont des sensations perçues objectivement par le sujet, et l'étude
eure, donne habituellement des renseignements précis et sûrs. Les sensations subjectives, au contraire, sont réveillées par de
nerveuses; les douleurs névralgiques, les engourdissements sont des sensations que le sujet perçoit spontanément, qu'il peut déc
surface cutanée comme de la surface muqueuse. éveillent en nous des sensations diverses qui sont au nombre de trois : la sensati
nt en nous des sensations diverses qui sont au nombre de trois : la sensation de contact, la sensation de température qui se
diverses qui sont au nombre de trois : la sensation de contact, la sensation de température qui se divise en sensation de ch
sensation de contact, la sensation de température qui se divise en sensation de chaud et de froid, et enfin la sensation de
rature qui se divise en sensation de chaud et de froid, et enfin la sensation de douleur. Existe-t-il des excitants différent
ouleur. Existe-t-il des excitants différents a chacune de ces trois sensations ; ces trois modalités de la sensibilité réponden
cupation de diviser la sensibilité générale en un certain nombre de sensations spécifiques passant par des 'systèmes de libres
d sont de nature physique, moléculaire. Le contact exagéré donne la sensation de pression; pour d'autres, le tact et la press
pour le tact), soit de conducteurs spéciaux (dissociation des deux sensations dans certaines affections médullaires, Strumpei
: ET PHYSIOLOGIE DES VOIES SE-XSITIVES. 279 La douleur est-elle une sensation propre, autonome, ou n'est-elle qu'une modalité
nerveux. Toute excitation violente d'un nerf sensitif provoque une sensation douloureuse. La dou- leur, ditRichet, est produ
e excitation est recueillie par des nerfs spécialement affectés aux sensations doloriques. Les faits cliniques de dissociation
orie de fibres ne peut nous renseigner que sur une seule qualité de sensations . Dans des travaux récents (magnums. Blix, Golds
ercles ou lignes courbes, points dont chacun ne peut fournir que la sensation spécifique qui lui est propre. Il existe ainsi
nombre d'auteurs se refusent encore il admettre la spécificité des sensations tactiles, douloureuses, thermiques et muscu- la
sence de deux théories principales : L'une admet la spécificité des sensations tactiles, douloureuses, ther- miques et du sens
brièvement. L'autre, au contraire, s'opposant à la spécificité des sensations , attribue à la moelle la fonction non seulement
LES DE LA SENSIBILITÉ 'OBJECTIVE..281, pas lieu d'admettre que les, sensations dites tactiles, douloureuses, ther- miques et m
de la pression. Enfin, il faut, comme résultante de ces différentes sensations , étudier le sens musculaire et le sens stéréogn
nseignements qu'il donne sur la nature, le siège et l'intensité des sensations perçues. On interroge alors les différents mode
a peau qu'elle occupe une sensibilité particulière, en dehors de la sensation que donne le poil qnand on le touche. Cette sensi
CTTVE : 285 seau sous le nom de tricheslhésie (6 ? poil; v ? 91,e5, sensation ). La sensibilité capillaire est celle que provo
uchement des poils, en dehors de tout contact de la peau; c'est une sensation ,» sui eneris », la plus exquise de la peau. L
ics n« a ,tyzolrc·sics (Guhier, de Frummltcl) (') constitué par des sensations tactiles ou douloureuses qui sont perçues sur c
ritation d un bouton d'acné, il la cuisse par exemple, provoque une sensation associée dans l'épaule droite. On appelle enf
al les impressions venues de la périphérie et qu'ils perçoivent une sensation tactile comme sensation douloureuse par exemple
s de la périphérie et qu'ils perçoivent une sensation tactile comme sensation douloureuse par exemple, on dit qu'il y a métam
ensation douloureuse par exemple, on dit qu'il y a métamorphose des sensations . Lorsque le malade interprète comme-multiple un
leur), décrite par Pitres, est caractérisée par la production d'une sensation douloureuse intense, à la suite d'une simple ap
ur la peau d'une substance qui, à l'état normal, ne provoque qu'une sensation de contact; observée par Pitres dans l'hystérie
hystérie, elle a été notée dans le tabès par Lannois. 4° Cercles de sensations de Weber. On appelle seuil extensif de la sensi
de Weber. On appelle seuil extensif de la sensibilité ou cercles de sensations de Weber la distance minima au-dessous'de laque
bilité cutanée, caracté- risées par un élargissement des cercles de sensations * et d'expliquer ainsi certains troubles observé
, comme la perte de la perception stéréognostique. Les cercles de sensations à l'état normal varient, suivant les régions, d
n d'un phénomène normal, physiologique, à savoir que la durée de la sensation dépasse celle de l'excitation, surtout lorsque ce
lle de l'excitation, surtout lorsque celle-ci a été prolongée. Deux sensations tactiles doivent être séparées pendant un temps
-il naturel que lors- qu'on observe en clinique la prolongation des sensations , on doive éga- lement noter la fusion des sensa
olongation des sensations, on doive éga- lement noter la fusion des sensations , le malade ne ressentant qu'une seule excitatio
ou fonctionnelles. Le phénomène inverse s'appelle l'épuisement des sensations . Toutes ces données sur le degré, ia localisati
stte de l'excitation périphérique nécessaire il la production de la sensation . Nous en parlerons à propos de la sensibilité éle
ube froid; le malade doit alors indiquer exactement la nature de la sensation perçue. Les appareils construits pour la mensur
hémiplégiques une- diminu- tion, une abolition ou un retard, de la sensation thermique à la chaleur, alors que le froid est
erçu normalement; d'autres fois, ce sont des per- versions de cette sensation que l'on observe, le chaud étant senti comme fr
nce on peut rapprocher les deux bobines du chariot pour éveiller la sensation dite indifférente; dans la seconde, la distance
férente; dans la seconde, la distance nécessaire pour provoquer une sensation -i douloureuse. Tableau de la sensibilité éle
't'IiOUlt.l ? I)I, Ll si : \SIPI(.t't'I I.IBJI : C'l'll ? . 291 une sensation spéciale qui n'est pas identique, à celle qui est
dite électro-musculaire. En augmentant le courant, on détermine une sensation douloureuse; celle-ci est d'ordre complexe, car
té des troubles nerveux. La pression des troncs nerveux éveille une sensation de fourmillement particulière qui irradie dans
re de distribution du nerf comprimé; si on augmente la pression, la sensation devient nettement douloureuse. On recherche en
ion des tissus profonds, exercée avec le doigt, éveille en nous une sensation spé- ciale « sui generis », qui nous renseigne
gistcs confondent, en général, la sensibilité à la pression avec la sensation de contact et n'attachent aucune importance aux t
permet de voir que la pression de la peau soulevée ne révèle pas la sensation de pression; mais ce sont les terminaisons nerveu
ilité au tact, à la pression et au mouvement, avec conservation des sensations douloureuses et thermiques. La sensibilité à la
it que la trépidation d'un diapason appliqué sur un os provoque une sensation spéciale que le sujet peut facilement analyser,
qu'il compare à un fourmillement ou à un courant électrique. Cette sensation n'est nullement fonction des nerfs de la peau,
ibra- tion est un excitant spécifique de la membrane périostée : la sensation est transmise uniquement par les filets nerveux
vibratoire accompagne la perte du sens musculaire et la perte de la sensation de pression. L'anesthésie vibratoire peut quelq
spécial. Aussi a-t-on pro- posé d'autres, termes pour le désigner : sensation d'activité musculaire, sensations kinesthésique
'autres, termes pour le désigner : sensation d'activité musculaire, sensations kinesthésiques , sens des ccttztzcdes senieiztcci
t de nos membres; il ne s'agirait pas ici (d'après Claparède) d'une sensation primitive sui generis, mais d'une notion acquis
uvement, pression, choc, etc.) est nécessaire pour faire naître ces sensations locales. On recherche la notion de position en
on de ce mouvement serait précédée de sa représentation mentale. La sensation périphérique subjective de la contraction muscu
oment (Claparède). 4° La notion de la résistance est le résultat de sensations musculaires' et articulaires inusitées, non en
l'altitude qui sont étroitement associées dans la vie pratique. La sensation de poids naît quand l'individu résiste à la for
nt des perversions dans l'in- lerprétation du lieu et du mode de la sensation , des paresthésics, de la [ROUSSI'.] ] Fig. 14
.' i. SENSIBILITE. lopoesthésie avec retard dans la perception des sensations et élargisse- ment des cercles de Weber. Ces
- taires (tact, douleur, etc.), un trouble dans la localisation des sensations et une perte complète de la faculté de reconnaî
Ce sont des modifications autant qualitatives que quantitatives des sensations , qui peuvent intéresser séparément ou simultanéme
s de paresthésies que nous avons décrites : aphalgésie, retard des- sensations , fusion des sensations (tétanos sensitif, P. Mari
ous avons décrites : aphalgésie, retard des- sensations, fusion des sensations (tétanos sensitif, P. Marie), allo- chirie, etc
ans souffrir. En un mot, ces troubles sont « sub- conscients », les sensations non perçues sont de même enregistrées par les m
normal pour provoquer le besoin d'uriner. Sensibilité mammaire. La sensation douloureuse particu- lière, 1 ? oV(Hlu¡"e par l
choc et la compression de la trachée provoquent à l'élat normal une sensation angoissante, avec irradiation douloureuse vers
rties latérales du cou, le mediastin et la base de la langue. Cette sensation pénible disparaît chez un tiers des tabéliques.
re de nouvelles recherches. 1. Yny. IIR.1D (II.) On dislurbances of sensation wilh especial références to the pain of viscéra
èvent d'une excitation intérieure, spontanée. Le malade perçoit ces sensations subjectives en dehors de toute excitation périp
ider dans les renseignements qu'on veut obtenir de lui au sujet des sensations qu'il éprouve spontané- ment, et en évitant de
r la pression, par le contact, par des mouve- ments appropriés, les sensations subjectives dont il se plaint, d'en loca- liser
action individuelle, facteur très important dans l'appréciation des sensations subjectives ; on évitera aussi d'influencer en
ossibilité d'une simu- lation d'autant plus facile, qu'il s'agit de sensations subjectives, échap- pant à un examen somatique;
ins fréquente dans la neurasthénie, la céphalée consiste ici en une sensation de vide, de pesanteur, de constriction qui suggèr
A la face, elles peuvent occuper le front, la joue, l'or- bite avec sensation d'arrachement de l'oeil, le menton et l'oreille d
relèvent du domaine de la psychologie. On peut dire que « c'est une sensation fixe, extériorisée, qui, dans un autre domaine,
habituellement., en France, sous le nom de dyseslhésics. toutes les sensations subjectives anormales autres que la douleur; ce
ourmillements, des engourdissements, des angoisses des membres, des sensations de chaud ou de froid, de doigt mort, de bain ou
? membre ; è1.À')'o ? douleur), les dysesthésies consistent en une sensation de brûlure, le malade ayant ainsi la sensation
es consistent en une sensation de brûlure, le malade ayant ainsi la sensation d'avoir le pied dans de l'eau bouillante. Souve
bjectifs de la période d'invasion ou de syncope locale. Ce sont des sensations d'engourdisse- ment, d'onglée, de doigt mort su
ts de la maladie, stades d'asphyxie locale, stades de gangrène, les sensations subjectives s'exaspèrent; de véritables douleur
les affections de la moelle, surtout à la période prodromique, les sensations dysesthésiques sont fréquentes. Tout d'abord inte
ition de la faiblesse, dit Dejerine, est annoncée au malade par des sensations anormales, des dysesthésies, dans le ou les mem
nse, de douleur véritable au sens propre du mot, mais plutôt, d'une sensation de chaud ou de froid. L'intensité de ces sensatio
is plutôt, d'une sensation de chaud ou de froid. L'intensité de ces sensations aug- mente à mesure que la paralysie se dévelop
ès névroses et les psychoses. Les dysesthésies sont égale- ment des sensations subjectives qu'on observe dans les névroses. Dans
ns, principalement dans la, folie de persécution. III. - BESOINS, SENSATIONS INTERNES, CÉNESTHÉSIE Il existe tout un groupe
SOINS, SENSATIONS INTERNES, CÉNESTHÉSIE Il existe tout un groupe de sensations subjectives qui sont à la base de notre vie men
subjectives qui sont à la base de notre vie mentale : .ce sont les sensations dites internes, partant des organes internes, e
ur, sens de l'existence ou cénesthésie.. - Les modifications de ces sensations internes peuvent se rencontrer au cours de cert
lancolie, etc.) que l'on observe des modifications fréquentes de la sensation de besoin organique.. En. plus des altérations
peuvent s'observer égaler ment ici, on note des modifications de la sensation de la faim qui est tan- tôt diminuée, tantôt ab
nuée, tantôt abolie (anorexie mentale) ou exaltée (boulimie); de la sensation de soif qui est abolie (adipsie) ou augmentée (po
soif qui est abolie (adipsie) ou augmentée (poly-. dipsie). . Les sensations internes ou la sensibilité organique comprennent
, 1906. THOUIILES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 57 £ 1 toutes les sensations internes qui -parlent des organes et transmettent
t trop vivement le fonctionnement; ou bien encore ils éprouvent des sensations étranges, celles d'animaux qui remuent dans leu
e, une heure. La douleur disparaît alors et le malade a une exquise sensation de bien-être. Le retour des accès se produit soit
s d'accès paroxystiques. Les accès sont très pénibles, don- nent la sensation de coups de couteau, de décharges électriques dan
, le hoquet, l'éternuement. Parfois on observe de la dysphagie, une sensation de strangulation. Les points douloureux de la n
intercostale est caractérisée par des douleurs continues, sourdes ( sensations de tension, de constriction) et par des accès par
I1hardt, est une affection assez rare, qui se carac- térise par des sensations de fourmillement, d'engourdissement, ou des dou
l6 NÉVRALGIES ET ALGIES. des paroxysmes douloureux, il persiste une sensation d'endolorissement vague. Les douleurs de la s
ffections. Certaines céphalées sont diffuses, donnent au malade une sensation de constriction générale quoique prédominant le p
its obscurs, évitant tout mouvement. La migraine est accompagnée de sensations nauséeuses et de vomissements, elle dure plus o
bral sénile. La céphalée des neurasthéniques se caractérise par des sensations d'engourdissement ou de compression des régions
ent ou de compression des régions latérales et frontale de la tête ( sensation de casque). Les algies cérébrales des hystériques
er ou de fourchette, avec un abaisse-langue : on provoque alors une sensation désagréable, des picotements, des nausées et qu
donc, en saine logique, être question ici d 'anesthésie. puisque la sensation dou- loureuse est certainement perçue, niais ce
considère l'incapacité où se trouvent les malades de localiser ces sensations douloureuses. Le pincement prolongé, nous l'avo
1° n'est pas réellement 1)érni;tnestlrésiyue, puisqu'il éprouve des sensations douloureuses quand on le pince; 2° est incapable
pince; 2° est incapable de reconnaître la nature et la cause de ces sensations douloureuses (esthésio- gnosie) ; 5° est incapa
- gnosie) ; 5° est incapable de localiser le point d'où partent ces sensations douloureuses. Si nous avons un peu longuement
profondément que l'on vent le malade sans qu'il en 1émoi»Tie aucune sensation . De plus, dans l'hémiplégie névropathique, j'ii
f, dissimulé pour ainsi dire. Tantôt il s'agit- de paresthésies, de sensations subjectives d'engourdissement, de fourmillement,
aladie, le malade éprouve dans un seul ou dans les deux membres des sensations de tension, de gène, de pesanteur, d'engourdissem
iquide pénétrant dans le vestibule détermine du spasme. Ils ont des sensations paresthésiques douloureuses que la déglutition de
resthésie. Au point, de vue symptomatique les malades éprouvent les sensations de picotement, de fourmillement ou de brûlure q
ien est absolument négatif, lloure a insisté sur la disparition des sensations pendant les repas. PHATIQUE NEUIIOL. 41 [LA 1
l peut consister seulement en accès de toux spasmodique : après une sensation de chatouillement ou d'irritation de la gorge,
nseurs de l'intégrité de l'arbre respiratoire est mis enjeu par une sensation faussement localisée. Il est nécessaire aussi q
irritation catarrhale des premières voix respiratoires. Il y a une sensation de picotement ou de chatouillement au niveau du
'élasticité du muscle correspondant du côté opposé demeuré sain. La sensation de mollesse devient plus caractéristique quand
jambe sur la cuisse. La palpation des muscles rétractés donne une sensation de dureté particulière, de corde tendue, soit
w2° l'intégrité des conducteurs centripètes qui trans- mettent ces sensations et des centres qui les perçoivent; 3° l'intégrité
rçoivent; 3° l'intégrité des centres qui, d'après l'ensemble de ces sensations perçues, envoient il tous les muscles qui doive
nsi{ine ? qu'il y ait abolition, diminution ou seulement retard des sensations . Quoique cette théorie ait été discutée, il ne
vements et de ses attitudes que par les yeux; le cérébelleux a la sensation très nette des mouvements simples qu'il exécute,
e, qui ne sent souvent pas l'objet entre ses doigts, qui n'a pas la sensation de l'effort à déployer pour le conserver, le la
it par une sorte d'adaptation de l'individu au degré atténué de ses sensations , par un perfectionne- ment du contrôle de la vu
886 et dont l'étiologie n'est pas connue. Elle se manifeste par une sensation de fatigue, une fai- blesse musculaire progress
a démarche ébrieuse peut même se rencontrer indépendamment de toute sensation vertigineuse; parfois il existe aussi une ébauc
ATIONS. plus grande puissance possible ; ils étaient arrêtés par la sensation de fatigue ; le massage et l'électrisation cont
dement progressive, car un malade, qui s'est habitué à éprouver une sensation donnée pour une contraction musculaire d'une in
'une intensité donnée, aura besoin d'une nouvelle rééducation si la sensation devenait rapidement moindre pour la même contra
malade de se rendre compte de la force de ses contractions et de la sensation qu'il devra éprouver le jour où, la rééducation
De plus, les mouvements forcés amènent à l'étal normal la fatigue, sensation favorable en ce qu'elle arrête les mouve- ments
t où ils deviennent nuisibles et épuisants pour les muscles; or, la sensation de fatigue est très atténuée ou nulle dans les
r le mieux, outre le sens de la vue et la sensibilité générale, les sensations auditives. Beaucoup plus souvent il est indispe
; de plus la stase des aliments dans l'arrière-bouche détermine une sensation de strangulation angoissante, parfois presque per
ne (éclampsic puerpérale). Enfin la véritable aura n'est pas rare : sensations subjectives, rapportées soit auxparties périphé-
ubles nerveux ne sont pas des raretés : byperesthésies, névralgies, sensations de fatigue du côté des yeux, amblyopie, diplopi
éralisés ou partiels, en grincements de dents, en clignotements, en sensations de chatouillement sur la luette, dans l'un des
se passer la langue sur les lèvres, les mouvements coordonnés. Des sensations particulières de chaud, de froid, d'engourdisse
palpitations, les coliques violentes, l'angoisse respiratoire avec sensation de spasme laryngé, le vertige, le bégaiement ou
eures de l'abdomen vers l'épigastre, la poitrine, le cou. Il va des sensations de suffocation, de sifflement dans les oreilles
pyrexies : l'intensité du tremblement, le claquement des dents, la sensation de froid que présente le malade en font faire a
leurs facultés intellectuelles et leurs sentiments que, dans leurs sensations mêmes et dans leurs réactions motrices, vaso-mo
tic n'a souvent été au début qu'un mouvrton.r 4d*eÏense contre une sensation insignifiante. On constate assez souvent chez l
sujet se donne un coup de poing) ; déterminés au début par quelque sensation anormale, démangeaison, etc. Tics des mains et
, ou deux, de façon assez correcte : puis brusquement, avec ou sans sensation de fati- gue, son pouce et son index s'étendent
ement ou lentement immo- bilisée, « collée sur le papier », par une sensation progressive de fatigue, d'engourdissement, de r
des troncs nerveux, du radial en particulier. Parfois on a noté des sensations parcslhésiqucs (fourmillements, picotements), par
enfin, il existe assez souvent au niveau des régions atteintes des sensations subjectives de brûlure, d'ailleurs modérée. La gl
corps, et l'on voit apparaître des sueurs prof'uses accompagnées de sensations de chaleur intolérables. Cette apparition de su
ire lui- même; exceptionnellement un calcul vésical peut donner des sensations rénales, ainsi que les affections de la prostat
t dans la verge, les. aines, l'anus et le rectum : elles donnent la sensation d'un corps étranger offensif de l'urètre ou du
court la muqueuse vésicale sans y provo- quer dé douleur ni même de sensation . Presque toujours, ces vessies sont dilatables;
cède. Enfin, à chaque miction. le pas- sage de l'urine provoque une sensation de brùlure plus ou moins vive. TROUBLES DE LA C
parce que la vessie et le col, anesthésiés, ne transmettent plus la sensation du besoin ni de la miction. Ordinairement, l'in
qui se sont éta- htics lentement, est souvent des plus épineux. Les sensations accusées par les malades sont plutôt de nature
d'être volup- tueuse et s'accompagne d'une douleur et surtout d'une sensation de brll- ture au niveau du cordon, des testicul
esticules. Ailleurs des phénomènes bizarres se montrent, tel que la sensation d'un corps étranger dans le rectum. Quoiqu'on a
lll'rotiqup, se répé- tant si souvent chez certaines malades que la sensation et le désir sont constants; elles présentent de
ctures des muscles constricteurs du vagin, rarement accompagnées de sensations voluptueuses au début, et aboutissant toujours
s : troubles digestifs, faiblesse générale, palpitations, vertiges, sensations de vide, crainte de la folie, etc. Plusieurs devi
e un retard ou une absence d'éjaculation, une perturbation dans les sensations voluptueuses qui sont atténuées ou prolongées;
pas rare d'observer des pares- thésies, dont la plus pénible est la sensation d'un corps 'étranger dans le vestibule de la bo
d'un corps 'étranger dans le vestibule de la bouche : cette fausse sensation peut être intense au point de revêtir tous les
rvenir subitement après une crise ou être précédée de prodromes, de sensations paresthé- siques dans l'organe atteint. De tr
aryngien innervent la base de la langue, siège plus particulier des sensations d'amertume. La corde du tympan et le lingual in
ura soin de rechercher et au besoin d'éliminer les viciations de la sensation , telles que les peu- vent provoquer une paralys
les doigts. On sent le côté atteint se durcir peu ou point; on aune sensation de mollesse toute différente de la résistance phy
ger à une lésion du trijumeau. Le spasme est caractérisé par une sensation de strangulation ' au début de la déglutition; un
s'accompagne, entre les accès ou tentatives d'alimentation d'aucune sensation de strangulation subjective. Le voile du palais
st précédé de bâillement, de pâleur, d'accélération du pouls, d'une sensation générale d'anéantissement. Le malade salive abo
des caractères fort dissemblables. Tantôt tournoiement vrai, tantôt sensation de soulève- ment, de culhute ou (l'enfoncement,
e culhute ou (l'enfoncement, il est quelquefois réduit a une simple sensation d'obnubilation improprement appelée vertige. C'
moral, spontanément quelquefois. Ces contractions s'accompagnent de sensations plus ou moins désagréables et les anses se dess
son; autrement, il ne s'alimenterait jamais plus, car il a perdu la sensation de la faim. La langue reste bonne; on peut se d
enceintes (désir du vinaigre, du poivre, etc). Acorie. Perte de la sensation de satiété; on cesse de manger par raison. Ex
même temps que le besoin de nourriture, un. malaise effrayant avec sensation de mort imminente. Aussi( les poches de ces mal
pain chez un boulanger, etc. Faim nauséeuse. La nausée remplace la sensation d'appétit qu'il est fréquent d'éprouver vers 4
4 ou 5 heures de l'après-midi; en même temps se produit une légère sensation ' de vertige avec salivation, et quelquefois mê
mmeil : ils se réveillent soudain ballonnés, élreints parfois d'une sensation d'angoisse prononcée que soulage bientôt l'exoné-
rait être tenté de l'aire opérer les gastropathes chez lesquels les sensations douloureuses sont un obstacle à l'alimentation;
génital, son irrégularité de distribution, l'absence de godet et la sensation plus ou moins nette il la palpation de cordons
facile à vaincre. Le passage à travers ce ligament jaune donne une sensation spéciale qui ne trompe pas, analogue à celle qu
e à celle que l'on percevrait en piquant une peau de tambour; cette sensation étant perçue, on pourra affirmer que l'aiguille
lle de l'oeil gauche et leur réunion donnera dans le stereosconc la sensation du relief. 1. Les perfec ! ionncments de la r
des sen- sations particulières de pi- cotement mélangées à des sensations de cuisson ou de brûlure, mais encore il pro-
e dis- tribution périphérique d'un nerf soumis à son action des sensations d'engourdissement et de fourmillement. Il con-
on- vient sans, doute de faire intervenir dans la production de ces sensations non seulement l'action directe du courant, mais
action réflexe consécutive il l'excita- tion des nerfs du goût. Des sensations gustatives, en effet, sont facile- ment produit
eture et ouverture, et les mots contraction' ou secousse (ou encore sensation pour les organes de la sensibilité). Le pôle néga
termittences fréquentes et d'énergie suffisante. Elle pro- duit des sensations de picotement mélangées de sensations de brûlure
uffisante. Elle pro- duit des sensations de picotement mélangées de sensations de brûlure assez désagréables dès que le couran
lure assez désagréables dès que le courant est un lieu fort, et les sensations deviennent rapidement douloureuses lorsqu'on au
u de l'électrode, soit à distance dans l'espace interpolaire et les sensations accompagnant l'excitation des muscles peuvent g
normalement, au niveau des points d'application des électrodes, une sensation de picotement et de chaleur, qui devient une sens
ctrodes, une sensation de picotement et de chaleur, qui devient une sensation de brûlure et de douleur souvent très vive lors
que l'intensité et la densité du courant sont un peu élevées. Cette sensation se produit non seule- ment à la fermeture du co
au d'un nerf sensitif on d'un neri contenant des mets sensitifs, la sensation de picotement ou de fourmille- nient se produit
nerfs sensitifs se produisent d'ahord à la fermeture : la première sensation est perçue à NF et elle est de courte durée ; p
et elle est de courte durée ; puis, si le courant est plus fort, la sensation (picotements, fourmillements de direction excentr
durable tout en diminuant peu à peu pendant NI); puis apparaît une sensation analogue, courte et plus faible à PO; plus tard s
analogue, courte et plus faible à PO; plus tard se montre il PF une sensation faible, ne se convertissant en sensation durabl
s tard se montre il PF une sensation faible, ne se convertissant en sensation durable pendant PI) qu'avec des courants plus f
ec des courants forts, lorsqu'on a attendu suffisamment pour que la sensation de ND ait disparu après avoir diminué progressi
rès avoir diminué progressivement (') on voit appa- raître à NO une sensation faible mais bien nette. Dans la pratique il est
difficulté d'obtenir des patients une analyse suffi- sante de leurs sensations . Il est souvent très difficile aussi d'obtenir un
très difficile aussi d'obtenir une distinction suffisante entre les sensations produites sous les électrodes et les sensations
uffisante entre les sensations produites sous les électrodes et les sensations produites dans la sphère de distribution du nerf.
ffisamment énergiques, provoque à chaque choc du couvant induit une sensation brève et rapide de picotement dont le degré est e
u courant. Lorsque les intermit- tences du courant sont rapides, la sensation devient continue, constric- tive, désagréable e
l'excitation porte au niveau d'un tronc ou d'un rameau nerveux, la sensation se propage dans la sphère de distribution du ne
électrique, dont il est facile de graduer l'énergie par les 1. Les sensations provoquées par le courant diminuent, en effet, pr
e courant électrique on peut rechercher à quel moment le minimum de sensation commence : ' être perçu, puis à quel moment la se
e minimum de sensation commence : ' être perçu, puis à quel moment la sensation devient douloureuse. Il y a parfois intérêt à e
s par les patients à des éclairs, auxquelles s'ajoutent souvent des sensations colorées. C'est particulièrement au moment des
l'occasion de fluctuations dans son intensité que se produisent ces sensations . On s'est efforcé de déterminer comment celles-
souvent d'une personne il l'autre au point de vue de la qualité des sensations lumineuses ou colorées. En passant de la physio
e cou, la nuque et parfois sur la partie supé- rieure du tronc. Les sensations gustatives se trouvent provoquées non seulement
courant il l'état permanent. Du côté du pote positif on observe une sensation acide, un goût métallique, du côté du pôle négati
ne sensation acide, un goût métallique, du côté du pôle négatif une sensation salée ou alcaline. Il n'est pas certain que ces s
gatif une sensation salée ou alcaline. Il n'est pas certain que ces sensations soient exclusivement dues il l'action directe d
'électrolyse interviennent aussi dans leur production. L'examen des sensations gustatives provoquées par le courant galva- niq
guère à tenir compte que de la diminution ou de l'abolition de ces sensations ; on les observe principalement dans les cas de
if. Dans certaines conditions pathologiques ce courant provoque des sensations auditives, bruissements ou bourdon- nements, qu
ant sur l'appareil d'équilibration ils provoquent en même temps des sensations de vertige accompagnées de malaise plus ou moin
ncé et souvent pénible. Dans certaines conditions pathologiques les sensations auditives deviennent beaucoup plus faciles à pr
s et plus prolongées à l\F qu'à P 0; il est plus rare d'obtenir des sensations à PF et à NO, on pent l'observer cependant et m
ette oreille. Généralement l'oreille sur laquelle se produisent les sensations auditives dans la réaction paradoxale réagit co
'électrode indifférente était appliquée sur. elle, le maximum de la sensation perçue s'y manifeste donc lorsque l'électrode exp
ôle positif avec une ferme- ture du courant, PF : souvent aussi une sensation auditive est produite, mais plus faiblement, av
l s'en produit. Dans le premier cas, lorsqu'il ne se produit pas de sensations auditives, on se trouve en présence soit d'une
ns le second cas, lorsqu'il se produit plus ou moins facilement des sensations auditives, on doit en rechercher la cause soil da
phale, les méningites, les traumatismes crâniens. La présence de sensations auditives facilement obtenues entraîne le plus
us souvent avant qu'on arrive à 6 ou 8 m. A., le patient accuse une sensation d'étourdis- NERF ACOUSTIQUE. VERTIGE VOLTAÏQUE.
l'électrode qui correspond au pôle positif. Ce n'est d'abord qu'une sensation subjec- tive ; niais, si on laisse passer le co
n laisse passer le courant et surtout si on l'augmente un peu, à la sensation subjective de vertige s'ajoutent des phénomènes
rve souvent du côté des yeux du nystagmus latéral. Généralement les sensations subjectives de vertige et les phénomènes object
s'obtient plus difficilement que dans l'état normal. En qualité la sensation d'entraînement et l'inclination de la tête au l
s antérieures. Dans certaines polynévrites, les troubles sensitifs, sensations d'engour- dissement, de fourmillement, anesthés
ctilité de ces muscles. On en est averti par des signes subjectifs ( sensation de raideur dans la joue ressentie par le malade
rrive généra- lement un moment où l'on reconnaît il un geste que la sensation est [E HUET .] 1 : -d ÉLECTROTHÉRAPIE. E. p
temps encore l'éleclri- station, mais en diminuant le courant si la sensation paraît devenir trop douloureuse. A la suite de
. Chorée électrique. Béribéri. Atrophie musculaire, 722. Besoins, sensations internes, cénesthésie, 378., Biceps. Innervat
ons anormales, 114. sud orale, troubles, 98. Sénilisme, ·190. ' Sensations internes, cénesthésie, 578. Sens des attitudes
s. Recherche, 562. - Douleurs, 36 ? Dysesthésies, 574. - Besoins, sensations internes, cénes- thésie, 578. - tactile, 285. -
284. - Interprétation de l'impression périphé- rique. Cercles de sensations de Weber, 285. - Durée du temps nécessaire à la
3 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
tinuent à impressionner l'ouïe du sujet; mais il y a annulation de la sensation , qui n'est pas perçue par l'intelligence, à cause
es qui restent suspendues à ses bras, à sa joue, elle n'accuse aucune sensation , elle ne les voit même pas. Ce fait d'anesthési
Bernheim, c'est-à-dire la correction psychique et l'annulation de la sensation par l'idée suggérée nous paraît, au contraire, sa
cru jusqu'ici que l'hallucination négative annulait complètement les sensations visuelles ou auditives, en empêchant qu'elles ne
présente deux phases. Dans la première, le sujet perçoit encore les sensations provenant d'autres agents que le magnétiseur, mai
les sensations provenant d'autres agents que le magnétiseur, mais ces sensations , de quelque nature qu'elles soient, leur paraisse
me pique, me pince ou me tire les cheveux. Benoist perçoit les mêmes sensations que moi et aux mêmes pointsl Si j'endure une souf
ue le sujet n'a plus besoin de toucher l'opérateur pour percevoir les sensations éprouvées par celui-ci. Lc dialogue suivant f
psychologie est nécessaire pour comprendre ce singulier phénomène. La sensation a deux instants bien distincts. Dans le premier,
ans le corps, et vivant parce qu'il est dans un corps vivant : ici la sensation va du dehors au dedans, elle est passive dans le
; écouter, regarder, palper. Alors l'activité propre de l'âme dans la sensation est clairement consciente. Or, dans toute sensati
de l'âme dans la sensation est clairement consciente. Or, dans toute sensation clairement aperçue, il y a au moins un commenceme
d'application, et c'est cene application qui, d'après nous, achève la sensation et la rend nettement consciente. Voilà pourquoi,
nne désignée, il ne reçoit de cette personne que des commencements de sensation ; que, lui-même n'achevant jamais ces rudiments, i
tous les organes de son corps; leur fonctionnement lui occasionne des sensations douloureuses et pénibles, ce qui lui fait croire
t,déperdition des forces. Elle ne fait que se lamenter « analyser ses sensations , vit dans une agitation continuelle et ne dort pl
l et les fonctions digestives, et surtout à détourner l'attention des sensations anormales multiples. — La malade se trouve fort b
raits principaux : demi-crise. i*r degré. La personne éprouve une sensation de chaleur ou de froid qui semble suivre la main
e chaleur ou de froid qui semble suivre la main du magnétiseur. Cette sensation est quelquefois assez intense pour être pénible à
point magnétisé, et particulièrement celui des animaux, lui cause une sensation désagréable qui peut aller jusqu'à lui occasionne
tapes constituées par les cinq derniers degrés de la demi-crise. La sensation de bien-être si caractéristique de notre état de
s douleurs de* personnes avec lesquelles on les met en rapport. Cette sensation est fugitive et ne laisse pas de traces au réveil
le soin de rompre le rapport; si c'est le magnétiseur qui souffre, la sensation est des plus vives et elle persiste souvent au ré
elle à laquelle il donnait des soins depuis fort peu de temps. • La sensation des maladies d'une personne, par le simple contac
ant, même a distance (i). « Mme B... semble éprouver la plupart des sensations ressenties par la personne qui l'a endormie. Elle
té signalé par tes magnétiseurs. - Le phénomène de la transmission ie sensation du magnétiseur au magnétisé, dit Lafonulne -Vè-mo
in de la Société de ptychologie physiologique, iS85, t- ntajej. sensations ne se produit qu'après une longue suite de séance
procès-verbaux : «.....Nous avons souvent observé une communauté de sensations véritablement remarquable entre l'operateur et
e qui pourrait être nommé d'une façon plus exacte une transmission de sensations . Ce phénomène est évidemment intimement lié à ceu
e, détermine des contractions d'estomac avec difficulté de digestion, sensation de serrement au front et consécutivement une gran
on. L'iodurc de potassium donne des tremblements des membres et une sensation oc brûlure et de picotement aux yeux. Les odeur
nt «eue dualité, cette opposition que j'ai fait ressortir tantôt. Les sensations peuvent même devenir tellement vives, tellement i
uniquement par l'instinct, c'cst-à-dirc comme étant l'esclave de ses sensations et des impressions qui lui arrivent du monde exté
s phénomènes lorsqu'ils sont artificiellement provoqués. Il y a des sensations qui reconnaissent pour point de départ, non le mo
mais l'intérieur du corps, les viscères ; c'est ce qu'on appelle les sensations viscérales: ces sensations agissent sur certains
les viscères ; c'est ce qu'on appelle les sensations viscérales: ces sensations agissent sur certains individus en état de sommei
à meure leur système nerveux dans des dispositions particulières. Ces sensations , agissant sur le système nerveux et mettant en je
x de satisfaire leur besoin d'émotions on. leur recherche inquiète de sensations inconnues, a Ces études sur l'hypnotisme sont p
Un matin du mois d'août 1885, à son réveil, il éprouva en urinant une sensation de brûlure dans le canal. Il eut bientôt tous les
ultat du sommeil ordinaire. Pour qu'il n'ait pas été réveille par la " sensation de l'extraction qui lui était faite, il fallait q
>t transmise aux centres encéphaliques; si, là. elle se traduit en sensation , en idée, en ressentiment : et si, durable ou fug
ble ou fugace, agréable ou pénible, CEI rcss:mimem. cette idée, cette sensation demeure plus ou moins conforme à la cause provoca
tifs à l'hypnose. Dans certains cas, les malades se plaignaient d'une sensation de froid extraordinaire ou d'une chaleur excessiv
occupation suffit a elle seule pour provoquer ou grossir une foule de sensations plus ou moins bizarres. Quelle différence entre c
J'appelic hallucination positive l'acte qui consiste à concevoir des sensations correspondant à des objets qui n'existent pas; ce
oir des sensations correspondant à des objets qui n'existent pas; ces sensations . nées dans l'imagination du sujet, sont cxtórioré
y, hallucination négative, l'acte qui consiste à ne pas concevoir des sensations correspondant 'ides objets réels. Le sujet ne voi
ura-cérébral jusqu'au centre cortical sensoriel ac la vision : là. la sensation est perçue. Mais le sujet peut ne pas avoir consc
ation est perçue. Mais le sujet peut ne pas avoir conscience de cette sensation perçue; il ne la conçoit pas; elle est lettre mor
n négative. L'imagination neutralise, ou bien la conscience ignore la sensation réellement perçue : le sujet ne sait pas qu'il l'
pour toutes les hallucinations négatives : toutes correspondent à des sensations réellement perçues par le cerveau, mais qui n éme
as à se rendre compte; d'autres enfin croient que cette voix et cette sensation émanent d'une autre personne présente. Ils récrim
ve parfois à rendre l'hallucination négative complète poor toutes les sensations en faisant la suggestion ainsi : « A votre réveil
à la suite de cette suggestion détaillée, à neutraliser toutes leurs sensations : d'autres n'arrivent à neutraliser que la sensat
er toutes leurs sensations : d'autres n'arrivent à neutraliser que la sensation visuelle, toutes les auties suggestions sensoriel
cination par fixation subit: et rapprochée, soit le somnambulisme par sensation visuelle prolongée ou tout autre procédé. G...
dance syncopale. En même temps se produisait au niveau du périnée une sensation douloureuse que le malade définissait en disant q
est un peu fléchi sur le bra* et, aux mouvements provoqués, donne la sensation de la JlcxibUius eerca* Les mouvements voient! re
8 ans par Hansen. a la suite de l'hypnose, le sujet se plaignit d'une sensation bien marquée de faiblesse, d'une céphalalgie pers
nt parler, un jugement (souvent inconscient) porté sur la cause de la sensation , cause qa» se présente à l'esprit comme lui étant
gage de M. Bernheim' ; et il n'y a pas neutralisation effective de la sensation , mais seulement une neutralisation simulée. C'est
thésique. quoique n'étant pas perçue par le sujet sous la forme d'une sensation tactile ou musculaire, déter- (i) Nature and ar
n, l'interrogation de l'expérimentateur ne pone pas sur le nombre des sensations tactiles perçues, mais sur le nombre de points qu
comparable à celui de la lumière électrique. C'est probablement cette sensation lumineuse qui provoque la sommation. 5* Le* ima
risée par une cwa qui part de la région ovarienne où elle produit une sensation de constriction, arrive au larynx et amène une gè
nde toujours qu'on ouvre la fenêtre de la salle où clic est enfermée. Sensation manifeste de boule hystérique. Immédiatement ap
nt que d'une façon indécise; leurs réponses sont nnbi^ués comme leurs sensations . Il en est, je le veux bîea, qui croient que la s
ion est difficile. J'en propose deux. La première est celle-ci. Les sensations sont perçues et non conçues (dans le sens que je
énomène psycho-sensoriel, c'est-à-dire au phénomène de conscience. La sensation entre dans le domaine de la conscience : la mémoi
tralise; elle fait acte d'inhibition; elle efface à chaque instant la sensation perçue ; el!e recouvre les sens d'un bandeau : le
bitaires, et dit qu'en même temps il éprouvait de la photophobie, des sensations de lumière vive, d'étincelles, d'éblouîssements,
sacro-lombaire. Après plusieurs jours, quand le malade put se 'lever, sensation de ouate sous les pieds, sentiment de, chute immi
!• Ce qu'on appelle le besoin de dormir, qui consiste en certaines sensations et particulièrement un sentiment de lourdeur dans
dants de toute influence cérébrale, puisqu'ils sont étrangers à toute sensation perçue, sont des actes réflexes d'impression médu
s malades, quelques variantes dans ses applications. Nous avons vu la sensation auditive se produire au simple contact de la main
ait la tierce personne seule au contact direct de l'hypnotisé, aucune sensation auditive ne se manifestait de ce fait, l'ouïe res
fles hallucinations proprement dites, c'est-à-dire les perceptions de sensations n'ayant aucune réalité extérieure, les perception
allusion ont déjà été publiés (j£i> E. Yuhg, Des Erreurs de nos sensations . Contribution à Vètude de l'illusion et de rhallu
ames Sully (t). elle peut suffire à produire comme le simulacre d'une sensation réelle. C'est ce qui arrive, quand les circonstan
ar exemple ; du même coup, un certain nombre de convives éprouvent la sensation de ce goût particulier, sans que celui-ci reconna
dre que je vais retrouver la carte soi-disant magnétisée, grâce à une sensation , attraction, souille, tremblement, odeur, etc., q
carte qui m'a été signalée par le compère, je simule de percevoir la sensation annoncée. Comme je ne me trompe jamais, chacun
quelque peu incrédule, de s'assurer par lui-même de la réalité de la sensation . Je le fais sortir â son tour, le prévenant qu'en
lé, imite alors la recherche qu'il m'a vu faire, il est attentif à la sensation que je lui ai annoncée et toujours, ou presque to
t à lui certifier que la carte sur laquells il croit avoir éprouvé la sensation est bien celle que je suis censé avoir magnétisée
ours croissant. Il en vient à éprouver rapidement et intensivement la sensation , tandis qu'au premier tour celle-ci n'est jamais
e sentaient absolument rien sur aucune des cartes de la figure, ni la sensation annoncée, ni une autre sensation quelconque. Cela
ucune des cartes de la figure, ni la sensation annoncée, ni une autre sensation quelconque. Cela fait une proportion de ij,8 pour
la réponse ne prête à aucune équivoque. Ordinairement, toutefois, la sensation ne leur paraît pas très intense la première fois
moins, avoir distingué la carte qu il venait de signaler, grâce à une sensation dans tout l'avant-» bras jusqu'au coude, sensatio
naler, grâce à une sensation dans tout l'avant-» bras jusqu'au coude, sensation qu'il compara à la secousse d'une bouteille de Le
avoir éprouvé, outre la secousse, « un peu d oppression » ou d'autres sensations variées, telles, pat exemple, qu'une certaine gên
ets. Deuxième groupe. — 9; personnes auxquelles j'avais suggéré ??? sensation tactile quelconque, sans la qualifier spécialemen
tude que je leur laissais sur ce dernier point. Toutes ont accusé une sensation (faible au premier tour), une sensation limitée a
point. Toutes ont accusé une sensation (faible au premier tour), une sensation limitée au bout des doigts chez la plupart: mais
a plupart: mais elles ont varié beaucoup dans l'appréciation de cette sensation . Questionnées â cet égard, les unes ont répondu q
ation. Questionnées â cet égard, les unes ont répondu que c'était une sensation de brûlure, ou de pesanteur, ou de picotement, ou
ux reprises, un sujet répondit qu'elle avait éprouvé « une singulière sensation , comme un chatouillement des nerfs à l'intérieur
haudes brmes. Auguste R.... 25 ans. certifie n'avoir pas éprouvé de sensation ??? doigts sur la carte qu'il signale. « Pourquoi
ns la plupart des cas cilès plus haut, la croyance à la réalité de la sensation est telle chez le sujet, qu'il faut insister aupr
lui affirmer qu'on l'a trompé, il est trop certain d'avoir éprouvé la sensation pour revenir en arrière. Je me rappelle la répons
r un complexe adéquat d'irritations sensorielles périphériques. Toute sensation simple (la perception est un agrégat dynamique de
es. Toute sensation simple (la perception est un agrégat dynamique de sensations associées et contient d'anciens jugements organis
nous entendions parler d'une paralysie vraie, d'une destruction de la sensation et de la perception; dans notre pensée, ce mot d'
le lui donna des soins dévoués, se fatigua et commença a éprouver des sensations pénibles et désagréables. Un jour, le médecin qui
ression, a la manière d'un piston qui se déplace. Elle avait aussi la sensation d'une boule partant de l'hypogastre, remontant ve
autre dans la main gauche, puis on fait goûter l'eau à un sensîtif. Sensation rafraîchissante procurée par l'eau de la main dro
siqoe. Je l'appelle l'Od. Tous les corps attirants provoquent une sensation de chaleur sur la main gauche : de froid sur la m
c'est le pâle nord qui produit cette impression. Enfin, toutes ces sensations d'effluves, de chaleur et de froid peuvent ctre t
tions d'effluves, de chaleur et de froid peuvent ctre transformées en sensations lumineuses, à condition d'enfermer le sujet dans
s la poche de droite ou dans celle de gauche ? 6* Eprouvez-vous une sensation quelconque lorsque vous vous regardez dans un mir
sensation quelconque lorsque vous vous regardez dans un miroir? Cette sensation est-elle agréable ou désagréable? 7* Quand vous
ant des plans différents. L'cflort qu'elle tente lui fait éprouver la sensation de tomber d'une hauteur, et reste sans résultat.
iques. Au bout d'une demi-heure environ, elle commença à éprouver une sensation de nausées et des éblouisse-ments transitoires. P
ce de M. Viechow. (.) C. R. Soc de Biot., lS87, p. 5.., 747- 79«- - Sensation et mouvement, Bibl. de phil. contemp-, 1887.
. Remaki qui présentait des secousses convulsives avec piresthésie et sensation de faiblesse dans le bras et la jambe du côté dro
NIQUE Comment le goût se forme ou ae corrompt. Ce n'est pas de la sensation , mais du sentiment que nous voulons parler, de l'
oût qu'il eût fallu dire, car il s'agit ici du sentiment et non de la sensation . La sensation est bornée a l'usage d'un organe,
llu dire, car il s'agit ici du sentiment et non de la sensation. La sensation est bornée a l'usage d'un organe, mais l'esprit,
4 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
es minutes: en même temps que M. X... accusait à l’endroit touché une sensation de chaleur très manifeste, le mouvement en arrièr
viens plus fort au physique comme au moral ; j'éprouve maintenant des sensations de bien-être, de joie de vivre qui m’avaient aban
très craintive; elle a peur que son mal ne s’aggrave. Elle accuse la sensation de boule qui lui remonte au gosier. présente de l
endance troublante d’attirer l’attention du sujet. 3. Supprimer les sensations de fatigue, qui, en plus du vrai épuisement. cont
mis par le cerveau sous une forme rappelant l’acte réflexe : 1° Une sensation centripète ; 2° L’excitation d’un groupe de neu
n mouvement centrifuge ou acte. Dans l’acte voulu, au contraire, la sensation centripète provoque l’excitation de plusieurs gro
tude donnée au malade est conservée. Vous élevez le bras du sujet, la sensation ainsi provoquée est perçue par le cerveau, car el
e les contractions musculaires qui tiennent le bras élevé. Mais cette sensation et les contractions qu’elle détermine restent inc
de. Dans la léthargie, le cerveau est isolé du monde extérieur, les sensations n'y parviennent point, le bras retombe quand on l
.a fascinai ion nous semble une forme particulière (le l'extase. T’ne sensation unique, fournie par l’objet contemplé, remplit la
volonté à celle du sujet, lui inspirer les idées, les sentiments, les sensations qu’il lui plaît, il peut lui suggérer les actes d
tions. Les principales sont: Influence réciproque de la pensée, de la sensation et des mouvements végétatifs ( 1802 ; Essais de p
celui qui accompagne 1«: début de la nausée. On doit éprouver la sensation que le son résonne au Tond de la gorge. Au début,
il a pris les caractères d’un bourdonnement d’abeille. Pour donner la sensation que le son se rapproche, il faut le faire résonne
, fournit également un intéressant moyen de contrôle pour l'étude des sensations et la mesure des réactions. o Sur le terrain de
inhibition est assez profonde pour que des bruits de l’entourage, des sensations organiques, des idées intercurrentes ne troublent
exe. Nous entendons premièrement un son, et ce son n’est même pas une sensation simple, mais complexe, car il a des harmoniques.
triste, un changement de notre respiration, la manifestation d'autres sensations organiques; nous constatons peut-être, de plus, d
ublante de détourner son attention; enfin, nous pouvons supprimer les sensations de fatigue qui> surajoutées au vrai épuisement
suggestion le fait. Enfin, on peut, par la suggestion, dissocier des sensations et des idées qui restent unies sous l’influence d
mari, car il peut arriver qu’au cours du sommeil, sous l’influence de sensations voluptueuses, un prénom qui n’est pas le sien rev
ologistes en ont étudié les lois. Dans l’acte réflexe médullaire, une sensation peut amener non seulement un mouvement mais une s
sont donc coordonnés, pourtant ils sont purement réflexes et dûs à la sensation (t) Au début l'hypnotisme fut uniquement regard
lexes. La suggestion peut être assez puissante pour neutraliser une sensation réelle, amener l’anesthésie. provoquer des sensat
neutraliser une sensation réelle, amener l’anesthésie. provoquer des sensations fausses à la peauou aux viscères, dans la sphère
tère commun : aboutir à un résultat fatal, déterminé à l’avance parla sensation causale. Les sentiments, les passions, les rais
flexion, de force de contrôle et de puissance d’arrêt. Au début, la sensation influence de même les cerveaux les plus et les mo
u globe oculaire fixant l'attention sur un objet. Ne recevant plus de sensation , le cerveau ne pense plus, il s'engourdit, il dev
au ne pense plus, il s'engourdit, il devient un instrument passif. La sensation que vous déposerez en lui aura le champ libre et
les degrés depuis la sommation légère jusqu’à la léthargie où aucune sensation ne parvient plus au cerveau. L’hypnose amène chez
suite les différences. L’acte réflexe est caractérisé par : 1° La sensation provoque un courant nerveux centripète P ; 2* C
ipète P ; 2* Ce courant nerveux vient exciter un neurone sensitif : sensations S : Fig. I. Acte réflexe simple. P, sensati
urone sensitif : sensations S : Fig. I. Acte réflexe simple. P, sensation déterminant un courant nerveux centripète ; S, ne
s suggestionablc, car le cerveau est isolé du monde extérieur, aucune sensation n’y parvient; ni paroles, ni vue d'objet; ni sens
érieur, aucune sensation n’y parvient; ni paroles, ni vue d'objet; ni sensation musculaire ; car si on soulève le bras il retombe
rvée. Vous élevez le bras du sujet, il reste dans cette attitude : la sensation ainsi provoquée est donc perçue par le cerveau, c
nstant d’arrét ses dents s’entrechoquent, comme si elle éprouvait une sensation de froid trop vif. Le docteur Janet l’endormit, e
érèse. 11 s'agit d'une femme en proie au délire religieux. Elle a des sensations de lévitation et d’ascension telles qu'elle croit
ostile pour l’éloigner et la réduire, si en même temps la plupart des sensations sont suspendues, si toute distraction est supprim
résister au choc des hallucinations ou des émotions, à se dire qu’une sensation vive et réelle peut n’avoir aucun objet extérieur
aussi vieux que la pensée humaine. La localisation des fonctions des sensations et de l’intelligence, des passions et de la motil
e curiosité scientifique de l’homme sur l’origine et la nature de ses sensations et de ses idées, ne s’est reposée que dans la con
s outre mesure. J’ai simplement voulu dire qu'une même idée, une même sensation , une même représentation répétée d’une manière is
omparer à certains abat-jours en papier. — Puis elle dit avoir eu une sensation de froid extrême. — Quant aux deux drains que n
diarrhée ; à l’inverse, la suggestion guérit l’hyperhidrose («), une sensation psychique désagréable peut suspendre la sécrétion
s la perturbation des actes vitaux qui servent à la manifestation des sensations affectives et des passions » (2). En 1864, Lasè
« Un individu distrait par une forte préoccupation ne perçoit pas des sensations que, dans une autt e situation d’esprit, il eût à
hèse psychologique. » « Un certain nombre de phénomènes élémentaires, sensations et images, cessent d’être perçus et paraissent su
neurones constituant la voie centripète de l’arc; 2° Un neurone de sensation ; 3° Un neurone de mémoire ; 4° Un neurone do
on par la conscience. (Les figures perçues par la conscience sont les sensations , les images et les idées.) Enfin, de même que l
la nuit tombe. I. Anesthésies hystériques Nous avons vu que la sensation avait pour théâtre un neurone spécial ou neurone
que la sensation avait pour théâtre un neurone spécial ou neurone de sensation . Soit la voie centripète spino-corticale (schèm
me rapport de contiguïté existe entre le neurone c'p et le neurone de sensations , chez l’homme normal éveillé. Mais il n’en est
centre quelconque s'expliquepar la rétraction de tous ses neurones de sensation , l’hypoesthésie par la rétraction d’un certain no
est formé par les neurodiélectriques situés en amont des neurones de sensation . La rétraction d’un certain nombre de neurones
ones de sensation. La rétraction d’un certain nombre de neurones de sensation peut se produire aussi chez l’homme normal et à l
te. s’p'. deutoneurone centripète d neuro-diélectrique. s, neurone de sensation . La fléche indique le sens du courant nerveux.
marquablement exact, en tant qu’il peint le mouvement des neurones de sensation distraits momentanément de la masse commune. Et c
logiques appliquées à la physiologie. La rétraction des neurones de sensation peut être partielle et progressive, de telle sort
écharges nerveuses centripètes qui éclatent alors, donnent lieu à des sensations spéciales, qui ont été bien étudiées par Paul Sol
ments, fourmillements, tiraillements, élancements, brûlures, et enfin sensations de « décharges électriques ». Ces sensations vari
ents, brûlures, et enfin sensations de « décharges électriques ». Ces sensations varient avec les neurones intéressés. C’est ainsi
eulement de fourmillements et de brûlures dans la tète, mais aussi de sensations de fils qui se cassent, de bulles qui éclatent, d
s et de battements auriculaires. Les divers systèmes de neurones de sensation sont susceptibles do se rétracter individuellemen
ez les hystériques. Quand la rétraction porte sur les neurones de sensation tactile ou kinétique (anesthésie cutanée, muscula
pressions tactiles et kinétiques ; de telle sorte que les neurones de sensation de l’hémisphère droit, moins entraînés à l’extens
s cesse impressionnée par les mouvements de l’espace, les neurones de sensation , qui lui correspondent, sont mieux entraînés à l’
La macropsie hystérique paraît due à la dilatation des neurones de sensation visuelle, la micropsie à leur contraction, et la
pale de ces troubles de la sensibilité, la rétraction des neurones de sensation , c'est que l’hystérie est avant tout une maladie
l’amblyopie hystérique n’est pas due à la rétraction des neurones de sensation de la scissure calcarine, car, s’il en était ains
e déterminer chez l’hystérique une rétraction durable des neurones de sensation , peuvent aussi déterminer chez le sujet normal un
nes sains. Les causes qui déterminent la rétraction des neurones de sensation chez les hystériques peuvent aussi, différemment
son mari et pendant les vingt années de son . veuvage, — éprouve des sensations génitales qui surviennent sous forme de crises ai
dents, s’enfonce les doigts dans la bouche. Si j’avais recherché ces sensations , continue-t-elle, j’aurais vécu autrement : les o
ndant que je m’efforce de provoquer l’hypotaxie par le maintien d’une sensation auditive, monotone et uniforme, sa pensée distrai
te la diminution en soutenant l'énergie du malade et en atténuant les sensations de l’état de besoin. La durée de cette période va
ctuelle de nos connaissances, particulièrement eu cc qui concerne les sensations et les réactions nerveuses que nous croyons spéci
tériques sont dues à la rétraction d’un certain nombre de neurones de sensation voisins. L’agrégat S ainsi rétracté conserve ses
s à idées. Les neurones à images simples font suite aux neurones de sensation , et sont situés dans les mêmes centres. On peut e
o-corticalc avec ses neurones de transmission cp, c’p\ son neurone de sensation s, et, communiquant normalement avec celui-ci, un
euro-diélectrique infranchissable d entre ce neurone et le neurone de sensation s. Si dès lors une image identique à celle que
agrégat Mé ainsi rétracté conserve ses relations avec les neurones de sensation S, mais ne communique plus avec les autres neuron
s centripètes. s, colonies des ncuroneo corticaux. s, neurones do sensation . Mé, agrégat hypermnésiquo. :. Isthme d'nyper
s de l'agrégat hypermnésique peut même se communiquer aux neurones de sensation s situés en aval, et il se produit des hallucinat
se produit des hallucinations. L’hallucination n'est en effet qu’une sensation provoquée par des ondes nerveuses réfléchies. C'e
une sensation provoquée par des ondes nerveuses réfléchies. C'est une sensation en retour. ' Et cela est si vrai qu’elle peut d
rai qu’elle peut déterminer les mêmes modifications organiques que la sensation provoquée par les ondulations centripètes (frisso
ans. Il sufTisait de suggérer à cette malade qu’elle était princesse ( sensation auditive provoquant la décharge), pour qu’elle vi
aversé les neurones des voies centripètes [cp, c’p'), les neurones de sensation 5, et le neurone de mémoire mé, arrivent aux neur
voies centripètes ovario-cérébrales, qu’il traverse les neurones des sensations ovariennes sans donner lieu à une perception, qu’
ollatérales avec les neurones de mémoire et même avec les neurones de sensation . De telle sorte que les muscles qui sont paralysé
érébrale. Silos neuro-diélectriques siègent au-dessus du neurone de sensation , la contracture est douloureuse. S’ils siègent
s'était aperçu que sa femme manifestât quelquefois des désirs ou des sensations sous une autre forme que la copulation. Il m’avou
qui je soupçonnais actuellement une simp e erreur de transmission des sensations . Elle avait atteint le moment psychologique où le
ciable, et que, d’ailleurs, elle devait être incapable d’éprouver des sensations dont elle ne soupçonnait seulement pas l’existenc
t sa femme actuelle, n’a fait aucune tentative capable d’éveiller les sensations de cette jeune femme. 11 n'y a pas d'enfants. Q
un état psychique, consistant soit en une absence totale de certaines sensations , soit en une erreur de transmission de ces sensat
le de certaines sensations, soit en une erreur de transmission de ces sensations . 2° Que cet étal psychique est essentiellement
s neurones de mémoire associée ou non à la rétraction des neurones de sensation . Ainsi s’explique leurs caprices et leur incons
te sur un seul des trois systèmes de neurones supérieurs (neurones de sensation , de mémoire et de mouvement). En général des neur
de la sensibilité, de la mémoire et de la molilité. Les neurones de sensation se trouvant en amont des neurones de mémoire et d
ant à une attaque ; tandis que la rétraction complète des neurones de sensation , chez un malade présentant des secousses, fait ce
ples ou systématisées. Inversement la réextension des neurones de sensation rétractés entraîne celle des autres neurones. C’e
uent de la même manière. Au surplus quand l’extension des neurones de sensation est devenue complète, et que par suite les déchar
urones de mémoire ou de mouvement se rétractent avant les neurones de sensation , ou que des neurones appartenant aux trois systèm
processus de rétraction commence le plus souvent par les neurones de sensation . Il en est ainsi à ce qu’il semble dans l’hypnose
un homme qui, dans le même moment, éprouverait toutes les variétés de sensations , aurait tous ses souvenirs présents à la mémoire,
), ou au contraire de fatiguer un certain nombre de leurs neurones de sensation (par exemple de leur faire entendre un bruit mono
’ continuant de recevoir des ondulations centripètes, ses neurones do sensation entreront en vibration, ses neurones de mémoire s
5 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
de observé, que la recherche de la sensibilité restera toujours une sensation , un résultat subjectif que nous ne pourrons contr
nsibilité, tandis que les erreurs de localisation et les retards de sensation peuvent être considérables. De plus,on peut noter
fficile de porter des objets lourds ; la marche produisait vite une sensation de fatigue et de l'essouflement. Ceci se passai
'épingle, le contact d'un tube chaud ou d'un tube froid donnent des sensations aussi nettes que chez un sujet normal. Le sens mu
urs. Très amaigris et sans hypertrophie, donnant à la palpation une sensation fibro-graisseuse, ils mesurent en circonférence :
és ne sont pas douloureux ; ils donnent à la palpation une certaine sensation de dureté fibro-graisseuse. Les articulations n
chefs moyens du trapèze. Le muscle trapèze donne à la palpation une sensation .fibreuse ; il a con- servé cependant une assez
sont pas douloureux à la pression ; ils doivent à la palpation une sensation fibro-graisseuse. Ils ne présentent pas de secous
i de troubles des réactions électriques, donnant à la palpation une sensation myo-nhreuse, déterminant des déformations carac
sont ballants le long du corps; bref le myopathique donne encore la sensation d'un homme « chiffon ». Or tout autre est l'i
es ? Certes, chez eux la palpation des masses musculaires donne une sensation fibreuse, surtout très mar- quée au niveau des
es deux tiers supérieurs de la cuisse. Le toucher existe, mais la sensation est évidemment émoussée et grossière à partir d
tage 56 socA de l'extrémité du membre. Aux pieds, par exemple, la sensation est assez obs- cure. La piqûre est ressentie
oids c'est absolument la même chose. La malade accuse de nombreuses sensations purement subjectives, elle dit t qu'elle sent m
Elle ressent quelquefois du fourmillement aux jambes et accuse des sensations de chaleur, de brûlure, de froid, surtout quand
cial pour la variation des attitudes, avec ce que l'on a appelé les sensations kinesthésiques. De même qu'on a considéré tort
de phénomènes physiologiques appartenant au monde concret, à des « sensations qui n'ont rien à faire avec l'espace », du même a
Bien plus, n'allons pas supposer un instant que l'intelligence, la sensation soient quelque part et quelque chose en même te
entation, Rev. philos., juin 1901. (4) E. Claparède, Avons-nous des sensations spécifiques de posit. des membres, Année psycho
compris que le physique et le psychique étaient hétérogènes, que la sensation n'a rien à faire avec l'es- pace et que, en par
hysiques, abandonner ces personnalités équivoques et poétiques, les sensations qui n'ont rien à faire avec l'espace, l'intelli
eptacles des phénomènes exté- rieurs, qui y prendraient la forme de sensations ; ce sont des milieux organi- ques qui ne conti
ielles, des idées. L'intelligence, comme les sens, les idées et les sensations , c'est quelque chose de pesant, de chaud, qui a
science qui peuvent localiser sans être eux-mêmes localisables, des sensations qui n'ont rien à faire avec l'espace, des états s
s de nos cir- convolutions ; c'est la déesse imagination, la déesse sensation , la déesse motri- cité ; ces personnalités subj
est pour le moment incompréhensible et inacceptable. Pourquoi telle sensation a-t-elle son origine orientée à notre droite, sin
Mais à l'état normal, notre conscience n'y est pas intéressée et la sensation globale d'attitude segmentaire nous suffit, car l
les attitudes de toutes les parties du segment sont absorbées par la sensation globale de l'attitude du segment lui-même, mais
ire de la motricité appropriée. § 4. - Le sens des attitudes et les sensations kinesthésiques. Le sens des attitudes se confor
nié la perception^ des attitudes dans le mouvement et considéré la sensation de mouvement comme une sensation primitive. Et
dans le mouvement et considéré la sensation de mouvement comme une sensation primitive. Et ! 'on admet que c'est le mouvemen
n- tense que celle que provoque un état continu. Nous savons que la sensation du mouvement actif est plus vive que celle du m
lus ou moins profond des facultés corticales, il ne surnage que les sensations les plus vives et les plus nettement et forteme
bre paralysé. » Et il remarque que le malade n'accuse en général la sensation de déplacement que lorsque ce déplacement est d
tion de variation d'attitude et la fragilité et la faiblesse de la sensation d'atti- tude fixe se retrouve à l'étal patholog
elle qu'éveille la variation : il est donc naturel que le seuil des sensations de mouvement soit plus bas que celui de la sensat
le seuil des sensations de mouvement soit plus bas que celui de la sensation d'at- titude, comme le seuil des sensations de
plus bas que celui de la sensation d'at- titude, comme le seuil des sensations de frottement sera plus bas que celui des sensa
e le seuil des sensations de frottement sera plus bas que celui des sensations de contacts. « On ne comprendrait pas, dit M. C
images de diverses attitudes et semble résider tout entière dans la sensation périphérique, ce qui n'est pas le cas pour la not
pour la notion d'attitude qui consiste en images, évoquées par des sensations obtuses et sans contenu inté- ressant. » Et q
s obtuses et sans contenu inté- ressant. » Et qu'est-ce que cette sensation périphérique de mouvement ? Est-elle possible s
tte sensation périphérique de mouvement ? Est-elle possible sans la sensation de déplacement et par suite de placement ? Conçoi
sensation de déplacement et par suite de placement ? Conçoit- on la sensation de mouvement sans celle d'un changement de lieu o
eu ou d'atti- tude ? Et sait-on ce que sont, pour M. Claparède, ces sensations d'attitudes « obtuses et sans contenu intéressa
s sont l'objet d'une excilation quelconque, nous envoient certaines sensations , chacune empreinte d'un certain cachet, d'une c
met de les distinguer. Nous reconnaîtrons donc, parmi ces multiples sensations , celles par exemple qui nous viennnent de l'art
à leur tour chacune leur couleur spéciale. Soit A, B, C, D, quatre sensations fournies par quatre positions an- gulaires diff
différentes de l'articulation cubito-humérale. En elles-mêmes, ces sensations élémentaires ne signifient rien et ne peuvent nul
cachet, cette cou- leur spéciale qui nous permet de distinguer ces sensations qui ne signifient rien, qui varient avec les at
sons maintenant, continue l'auteur, que nous ayons remarqué qu'à la sensation articulaire A correspond l'image VISUELLE d'une c
par suite d'expériences fréquemment réitérées, on comprendra que la sensation A pourra évoquer par la conscience l'image d'un
la logique appliquée à la psychologie. Il y a pour ces auteurs des sensations primitives de mouvement, elles seules sont spéc
sations primitives de mouvement, elles seules sont spécifiques, les sensations élémentaires d'attitudes ne signifient rien par
emblée (ce d'emblée vient bien après l'a priori), que, y eût-il des sensations spécifiques de position des membres, on ne sau-
position des membres, on ne sau- rait en aucune façon considérer la sensation de mouvement comme leur suc- cession ou leur so
tage faire une canne en additionnant beaucoup de parapluies ? Si la sensation d'attitude et la sensation de mouvement sont qu
dditionnant beaucoup de parapluies ? Si la sensation d'attitude et la sensation de mouvement sont qualitativement différentes,
ensation de mouvement sont qualitativement différentes, pourquoi la sensation de mou- vement révélera-t-elle mieux l'attitude
ieux l'attitude que l'attitude ne révélera le mouvement ? ` ? Et la sensation visuelle n'est-elle pas aussi un peu différente q
visuelle n'est-elle pas aussi un peu différente qualitativement des sensations de mouvement ou d'attitude ? Cette psychologie né
ssociationniste me semble un peu jeunette. Que peut bien être une sensation primitive de mouvement ? Sans orienta- tion, sa
uvement ? Sans orienta- tion, sans notion d'attitudes, sans même de sensation de variation, peut-être aussi ? « Le mouvement
ut-être aussi ? « Le mouvement est perçu immédiatement, grâce à des sensations spé- cifiques ; la notion de mouvement n'est pa
ption d'une variation (p. agi) 1 » « Si M. Bonnier entend que ces sensations confuses (d'attitudes) émanant de la profondeur
ier l'image visuelle de cette atittude qu'ils veulent réaliser, les sensations périphériques qui doivent en devenir le symbole.
ne peut plus être défendu maintenant, puisque c'est un ensemble de sensations des muscles, des tendons, des articula- tions e
s. Ce que nous nous propo- sons d'étudier ici, c'est l'ensemble des sensations qui nous renseignent sur l'état de nos organes
enseignent sur l'état de nos organes moteurs, c'est cet ensemble de sensations que nous appe- lons par le terme « sens muscula
sens qui nous renseigne sur l'état de nos muscles. Il en exclut la sensation de position des membres, le sens kinesthésique.
de Landry. « Chacun peut apprécier l'im- portance du rôle de cette sensation par laquelle nous acquérons l'idée précise de l
ns des impressions suivantes, provenant toutes de la péri- phérie : sensations tactiles, cutanées ou superficielles, des tissus
r, c'est qu'on ait donné le nom de sens musculaire à un ensemble de sensations qui ne nous font nulle- ment connaître... nos m
lon qu'il s'agit de phénomènes passifs ou actifs. Il y a en plus la sensation d'activité. Est-ce spécialement la sensation d'ac
ifs. Il y a en plus la sensation d'activité. Est-ce spécialement la sensation d'activité musculaire qu'il faut dire ? Non, je
musculaire dans cette activité. J'ai à l'intérieur des segments la sensation de tension, de traction, de pression, de gonfleme
e cas de passivité ; mais ce quelque chose ne me donne nullement la sensation d'un état musculaire ; c'est une variation de f
s de l'activité dans l'attitude ou dans le mouvement, ou plutôt une sensation d'activité, mais pas plus de sens musculaire qu
ans les sen- sations de pression au contact ou de tiraillement. Ces sensations sont plus ex- tramusculaires que musculaires à
ent ou des segments actifs, j'ai donc le pouvoir de lo- caliser une sensation d'activité qui s'ajoute à la notion d'attitude, m
que nous faisons pour nous définir à nous-même une perception, une sensation , est avant tout un effort d'objectivation. Il suf
ivation. Il suffit que l'on analyse une LE SENS DES ATTITUDES 169 sensation , même intime et profonde, pour qu'en cherchant à
successivement sur les cinq doigts de ma main, j'éprouve une double sensation . D'abord chacun de mes doigts, à mesure que mon a
mon champ sensoriel en le dirigeant vers tel ou tel point, j'ai la sensation de ce travail d'attention auquel je me li- vre,
ctivement, volontairement, ou d'une variation active d'attitude, la sensation se complique de la perception de l'effort voulu
ion se complique de la perception de l'effort voulu. Il y a déjà la sensation de l'effort exercé, réalisé, perceptible au niv
egment considéré, nous l'avons vu plus haut. Mais il y a en plus la sensation de la volonté employée, de l'effort de réalisatio
l'effort de réalisation : c'est à peu près ce que Wundt a appelé la sensation d'innervation. J'ai d'une part la sen- sation d
ons produites au niveau du segment actif par l'effort mus- cnlaire, sensation qui n'est pas plus musculaire qu'articulaire ou c
us musculaire qu'articulaire ou cutanée ; mais j'ai d'autre part la sensation de quelque chose de tendu dans le cerveau, la s
tre part la sensation de quelque chose de tendu dans le cerveau, la sensation qu'une partie de ma volonté générale, disponible,
n ce moment en tension, si je puis dire. De quelle nature est cette sensation ? ? « Il m'est possible d'analyser ce que je re
'analyser ce que je ressens cérébralement et indépen- damment de la sensation périphérique et segmentaire de l'effort réalisé,
lisé, quand je veux cet effort. C'est, avanttout, la conscience, la sensation de l'exercice de ma faculté d'attention ; je ne
veux réaliser un geste, un effort moteur, - c'est toujours la même sensation cérébrale que j'éprouve, une perception de tensio
d'atten- tion dans la faculté en jeu. Si cela s'appelle volonté, la sensation de ma volonté agissante est la même pour un eff
ep- tion ou d'action motrice. J'ai souvent cherché à analyser cette sensation d'effort nerveux et à voir si elle varie de for
plexes attributions, si varia- bles selon les points considérés, la sensation de sa mise en travail est également uniforme. E
e à cette attitude ; l'image de telle autre région représente telle sensation , telle faculté psychique, etc., et n'a qu'indir
sur les propriétés invariables de l'espace infini de l'univers. Les sensations sont celles des trois directions : la sagittale o
le (droite et gauche), et la verticale (haut et bas). Sur ces trois sensations de direction sont basées nos notions des trois ét
est l'appareil des canaux semi-circulaires de l'o- reille. « Les sensations de cet organe servent aux animaux à orienter leur
formation de la notion d'es- pace à trois étendues. L'ensemble des sensations de nos autres organes des sens, en tant qu'elle
de trois coordonnées rectangulaires, fournies direc- tement par les sensations du labyrinthe. » . (1) E. de Cyon, Les bases na
s, auront un espace si copieusement défini et pourront projeter les sensations un peu obtuses de leurs autres organes senso- r
tation objective d'un espace qui reste idéal bien que formé par des sensations d'étendue et de direction, a quelque chose qui co
onsistance objective sur lequel se projettent et se superposent les sensations qui forment un espace visuel ou tactile, on se
u tactile, on se demande à quoi ce canevas peut bien servir. Si les sensations qui forment un espace visuel et celles qui form
s ; leur trouble, le vertige, est précisément la per- turbation des sensations qui régissent le maintien des attitudes, et leur
u avec une conscience presque éteinte de l'analyse tactile, - de la sensation de poids,etc. Et inversement la conscience des
ger, loc. cit., p. 697). Le FÚltlspha ! 1'e de Munck, la sphère des sensations du corps, se rapproche beaucoup de notre sens d
it être le lieu où sont perçues et conser- vées dans la mémoire les sensations qui concourent à former les représentations mot
otrices et tactiles » (et p. 704)... « il n'est pas douteux que les sensations kinestésiques, le toucher actif, le pouvoir de lo
ations kinestésiques, le toucher actif, le pouvoir de localiser les sensations à la surface cutanée, doivent être localisés dans
§ 11. Le sens des attitudes et l'orientation psychique. Bien que la sensation , d'après certains auteurs, n'ait rien à faire ave
onséquent ni quelque part ni quelque chose, pour quelques autres la sensation est là où se trouve l'appareil capable de la réal
une forme. Dans ce domaine psychique, la moindre image, la moindre sensation , la moindre idée, la moindre représentation, ne
que forcément superposé à un com- plexus anatomique. Les idées, les sensations , ont donc une forme comme les images sensoriell
e a commencé à se plaindre de céphalée continuelle et parfois d'une sensation très désagréable de « vide dans la tête ». Dès
at persiste, le malade se plaint beaucoup de la tête, et accuse une sensation de lourdeur du bras gauche, qui lui paraît plus p
une di- zaine de fois par 24 heures : il éprouvait tout il coup la sensation d'une bouffée de chaleur qui remonterait des me
té visuelle paraît peu diminuée. Ouïe. Le malade n'éprouve pas de sensations subjectives. L'acuité audi- tive est normale.
d'une souplesse ex- trême ; ils peuvent sauter, courir, etc. Les sensations générales telles que la faim, la soif, les différ
t les images mentales jouent un rôle de tout premier ordre dans les sensations ou l'accomplissement des besoins généraux. Il suf
ue le simple fait de voir manger ou boire une personne réveille les sensations de faim et de soif. Il est bien connu des médec
s réflexes patellaires. Retard très notable 'dans la perception des sensations douloureuses portées sur les membres inférieurs.
, il déclare souvent, ne fût-ce que par la mimique, avoir perçu les sensations provoquées (1). Les réflexes tendineux et cutan
aude sur la cuisse ou le bras gauches, le malade accuse parfois une sensation analogue à celle que provoquerait le frôlement d'
d'autre et en être débarrassée. A ce moment même, elle éprouva une sensation étrange, le renard venait de prendre possession
bout et la marche amènent rapide- ment une lassitude extrême et une sensation de brisement dans les membres. Tandis qu'au déb
(1) Leç. 1893-1894, p. 55 et 56. M. Brissaud a noté cette fatigue, sensation purement objective que rien ne parait motiver o
ir. Peu après, les deux pieds se mirent à enller. Du pied gauche la sensation d'engourdissement se propa- gea peu à peu à la
es à des éclairs. Dans toute l'étendue de ce membre, il éprouve une sensation continuelle de froid ; aussi J'enveloppe-[-il de
pour satisfaire ce besoin, il est obligé de pousser. Il n'a pas la sensation du passage de l'urine à travers le canal. Le je
début ont consisté en phénomènes de paresthésie engour- dissement, sensation de froid - qui ont fait place à des douleurs asse
s'est produit : d'abord R... a éprouvé de l'engourdissement et une sensation de froid dans le pied gauche. Ces sensations an
'engourdissement et une sensation de froid dans le pied gauche. Ces sensations anormales ont gagné la jambe, la cuisse et la h
ait de troubles de la sensibilité subjective, le malade éprouve une sensation de froid dans toute l'étendue du membre inférie
d'un abaissement de la température locale, avec lequel coïncide une sensation subjective de froid. On constate, en outre, l'abo
usculaire est normal à gauche et à droite ; une piqûre provoque une sensation moins désagréable à droite, mais la compression
les fibres ascendantes de la région latérale transmet- traient les sensations de douleurs et de température. Mais ce n'est là e
intenant à nous occuper des symptômes cérébelleux proprement dits : sensations vertigineuses, nystagmus, latéropulsion vers le
fibres nerveuses bulbaires dans la transmission des divers modes de sensations , dans les fonctions de l'équilibre et de la syn
équentes : la soeur qui l'accompagne en a vu plu- sieurs. Après une sensation de picotement qui débute par la main droite et
e il y a quelques mois : beaucoup de crises sont réduites à l'aura, sensation de picotement dans le bras droit. L'in- tellige
6 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
rédisposé. Emotive incroyable, phobies variées, amnésies, aboulies, sensation très pénibles de vide intra-cérébral avec obnubil
les plus frappants sont les états pathologiques-caractérisés par des sensations d'épuisement, de fatigue générale, de dépression,
ion des états d'anxiété, le relèvement des forces, la suppression des sensations douloureuses et le réveil de l'énergie. Chez les
pratique. « Ces états, écrit-il, sont caractérisés par un ensemble de sensations émotionnelles, au milieu desquelles la sensation
par un ensemble de sensations émotionnelles, au milieu desquelles la sensation de l'effroi, de ia peur irréfléchie et angoissant
rophiques, glandulaires, etc. De là aussi le retentissement forcé des sensations viscérales ou cénesthésïques sur l'affectivité mo
le3 appréhensifs. 11 fera la part qui revient à la perception et à la sensation , au jugementet à l'émotion, à l'idée et au terrai
s profond. £8 Février. Mme B..., éprouve aujourd'hui une singulière sensation : « Comme des tranchées sans douleurs », dit-ellc
ieures. Du 18 au 24 Février. Cette femme éprouve continuellement la sensation de contractions sans douleurs, mais le travail av
près dis années, l'empire absolu qu'il avait acquis, en 1885, sur ses sensations , ses volontés, ses sentiments, ses actes, etc.
du sujet et je lui débande les yeux. Il nous rend compte alors des sensations qu'il a éprouvées. D'abord, pendant les passes
e importance au récit qu'ils me font de leurs impressions et de leurs sensations , car n'ayant jamais entendu d'autres personnes fa
ré en arrière par les deux bras, et c'est alors qu'il a reculé. Celte sensation correspondait bien à la suggestion qui était fait
issé le mouvement s'exécuter. Il se montre lui-même très étonné de la sensation qu'il a éprouvée et qu'il ne s'explique pas. 11 r
e ; le sujet heurte du pied ce faible obstacle et il semble que cette sensation inattendue le fasse sortir de i'élat d'attention
ous avez pu voir, en effet, que tous les sujets ont éprouvé les mêmes sensations , les ont analysées de la même façon et traduites
ne pouvaient donc pas agir par imitation ni par autosuggestion ; les sensations qu'ils signalaient devaient donc être exactes et
tes : « Mes fausses reconnaissances sont accompagnées d'une véritable sensation de dédoublement : l'une des individualités no fai
ral de la miction n'existait pas ou était paralysé. Chez d'autres, la sensation de besoin no stimule qu'insuffisamment ce centre
duire nettement l'action de l'instrument explorateur à la réalité des sensations perçues. On ne s'attachera pas par conséquent à l
de porcelaines taillés d'une certaine manière ('). Ces expériences de sensations fantastiques nous font pressentir l'état mental d
fluante, dépourvue d'im-portunités, existe. C'est le sentiment ou la sensation d'origine viscérale, d'origine organique, normal.
e seront différentes des vibrations ordinaires, et l'on éprouvera des sensations anormales qui rentreront dans l'histoire des symp
é, et qu'il y a hypercènesthésie. Un mécanisme analogue ressortit aux sensations de besoins de l'organisme, en particulier à celle
ité viscérale ou cènesthésie, quand elle est pervertie, détermine des sensations étranges qui bientôt feront naître un délire comm
huit jours après, presque guéri et disant. « qu'il avait éprouvé une sensation de chaleur particulière qui, chaque jour, lui per
celle-ci perçoit exactement, dans le point visé par l'instrument, une sensation de fourmillement et de pesanteur bien accusée. Qu
lement et de pesanteur bien accusée. Quand on a obtenu cette première sensation en laissant, pendant quelques secondes, l'instrum
duquel on aura arrêté l'instrument. « La distance à laquelle cette sensation peut être perçue, de même que l'étendue de la sur
ait les mêmes opérations sur la couche sensible, le sujet éprouve les sensations correspondantes. De plus, on constate qu'à mesure
extérieure du verre, no touchant pas Peau, le sujet n'exprime aucune sensation ; j'enfonce de nouveau mon épingle dans l'eau san
sujet peut donc ressentir dans les mains un certain ébranlement, une sensation de contact; s'il y avait là une auto-suggestion,
arrachait les cheveux. Pour me rendre compte de la manière dont la sensation arrivait au sujet, et de la rapidité avec laquell
res expériences. Je constatai alors qu'il éprouvait instantanément la sensation de piqûre lorsque je plongeais l'épingle dans l'e
'eau avec l'épingle, et celui où la physionomie du sujet exprimait la sensation de douleur. Aucun temps appréciable ne peut être
eau avec l'épingle et l'instant où la physionomie du sujet exprima la sensation . Faisant alors une chaîne de deux, trois personne
e le verre d'eau et le sujet, je constatai un retard progressif de la sensation . En employant cinq personnes j'obtins un retard d
où le mouvement de physionomie du sujet indiquait qu'il éprouvait la sensation . J'arrive à une expérience plus curieuse encore
er un membre, le sujet faisait très bien la différence entre les deux sensations et disait : Vous me pincez, au lieu de dire : Vou
e du sujet en différents points, il ne bougea pas et n'exprima aucune sensation . Je piquai alors sur l'ombre elle-même, aussitôt
et ne sentait absolument rien, mais dès que l'ombre était touchée, la sensation parut plus vive que dans la plupart des autres ex
ours obtenu l'extériorisation de sa sensibilité, mais quelquefois ses sensations étaient vagues et manquaient de netteté, soit qu'
i on le pinçait. Dans d'autres cas, il distinguait bien le genre de sensation et la nature de la douleur, mais il n'arrivait pa
l'objet ou la personne. Ainsi, dans une des séances d'expériences, la sensation , qui pourtant était bien nette, fut constamment p
s d'autres circonstances, il arrivait à une certaine localisation des sensations , mais encore un peu imparfaite. C'est ainsi qu'il
aux membres. J'ai constaté aussi que, dans certains cas, lorsque les sensations étaient vagues et mal localisées, si j'éveillais
illais le sujet et si je l'hypnotisais de nouveau, j'obtenais des sensations très nettes avec une localisation d'une précision
je pique parmi les parois du verre, le sujet éprouve certainement une sensation de contact. S'il y avait de l'auto-suggestion,
toucher le verre, c'est-à-dire sans qu'il puisse éprouver la moindre sensation directe, il témoigne qu'il ressent la piqûre. J
s, je vous pique à la jambe. Le sujet éprouvait évidemment toutes les sensations qui lui étaient ainsi suggérées. Il faut n'avoir
onne n'a jamais nié que l'on peut, à un sujet hypnotisé, suggérer une sensation de piqûre, de brûlure ou autre, dans un point dét
de ce fait que le sujet éprouve et distingue les différents genres de sensations , piqûres, brûlures, pincements, etc. Elle expliqu
ssi qu'il les localise dans telle ou telle partie du corps, quand ces sensations sont éprouvées par un sujet placé en face de
dans certains cas déterminés, un retard régulier et progressif de la sensation chez le sujet hypnotisé. Que le verre d'eau soit
ar trois, quatre ou cinq personnes en communication avec le sujet, la sensation devrait être aussi rapidement perçue par lui si l
uvent être observés directement: j'aurais pu aussi bien citer des sensations tactiles, des hallucinations visuelles ou auditiv
tinuerait à être suggestible et on pourrait lui suggérer toujours des sensations , des émotions, des mouvements et même du sommeil.
l'esprit est en arrêt sur l'idée de dormir, là il est en arrêt sur la sensation visuelle. Les circonstances ont fait que les ex
Ce réflexe décompose les phénomènes nerveux en trois phases : 1) La sensation arrive au cerveau ; 2) Elle met en branle le ce
tère par conséquent, doit être étudié dans ces trois phases : Quelles sensations il perçoit, comment fonctionne son cerveau, quels
ci-dessus va nous faire mieux comprendre encore ces avantages. 1. — Sensations . a) La sensation est perçue faible ou intense,
ire mieux comprendre encore ces avantages. 1. — Sensations. a) La sensation est perçue faible ou intense, on aura des apathiq
tiré un si grand parti. Notons que souvent la grande intensité des sensations perçues par un sens peut être méconnue ; car ce s
Rappelons ce que nous avons dit à propos de la cause des actes : La sensation peut traverser le cerveau sans provoquer ni senti
éré. Le cerveau peut réagir et provoquer un acte d'opposition. La sensation met en action un groupe de cellules, éveille un s
ation met en action un groupe de cellules, éveille un sentiment. La sensation excite plusieurs groupes de cellules, d'où plusie
si raisonné. Appliquons ces données à l'étude des caractères. a) La sensation provoque un acte d'imitation. Ces suggestionnés
actes sociaux sont exagérés: coutumes, modes, croyances, etc. c) La sensation détermine un acte d'opposition. Ce sont les esp
gir par persuasion amicale. Nous allons étudier ce dernier. d) La sensation excite un groupe de cellules facile à faire vibre
entiments. Les sujets qui vibrent toujours de même sous le choc des sensations sont les sentimentaux. Ce groupe varie à l'infini
traduit par aucun mouvement: maître de lui-même, sang-froid. e) La sensation excite plusieurs groupes de cellules. Ce sont les
st par lui que ce dernier nous est dénoncé. C'est donc en étudiant la sensation et l'acte, qu'il faut reconnaître le travail céré
imple qu'elle parait au premier abord. Un même acte déterminé par une sensation peut être dû à des motifs cérébraux très différen
minutes, sur la pointe de l'aiguille, pour goûter aussitôt toutes les sensations , agréables ou pénibles, de l'hypnose. Si tout c
e son esprit là pensée de la souffrance actuelle et même supprimer la sensation présente, tandis qu'il susciu* l'image intense de
mplement indifférentes, souvent même à l'exclusion aussi de certaines sensations d'origine véritablement objective; l'unité (au mo
AL Par M. le Dr Charles Binet-Sanglé I DE LA CRÉDIVITÉ I. LES SENSATIONS ET LA CROYANCE. Les hommes ont une inclination
ination native à croire, et croient, pour l'immense majorité, que nos sensations ont une cause objective, et qu'en dehors du moi i
t une cause objective, et qu'en dehors du moi il existe un monde. Les sensations internes, tactiles, gustatives, olfactives, audit
pas cette croyance, car nous savons, d'une part qu'elles procèdent de sensations réelles, d'autre part qu'elles n'apparaissent que
ENT ET LA CROYANCE. Le jugement et le raisonnement reposent sur les sensations . Tout jugement est la traduction dans le langage
les sensations. Tout jugement est la traduction dans le langage d'une sensation , d'une image simple, d'une image composée ou d'un
mage composée ou d'une idée. Or, l'image simple est le souvenir de la sensation , l'image composée une combinaison d'images simple
un des cas particuliers qu'elles enferment; nous revenons à l'une des sensations originelles, o Notre intelligence, dit Pascal, ti
u'il faut savoir, c'est que, les principes de la raison procédant des sensations , les sens et la raison se soutiennent et se corro
ement qu'une hallucination est discernée ; et d'autre pari, une seule sensation suffit pour faire apparaître la justesse ou la fa
raisonnement ne va à rencontre d'une vérité sensorielle, — jamais une sensation n'infirme la conclusion d'un raisonnement normal.
chez une autre personne, lui donner, en bâillant ou en éternuant, les sensations prémonitoires du bâillement ou de I'éternue-ment,
la suggestion hypnotique sur les fonctions de la vie organique et les sensations Internes, — L'hypnotisme et la psychologie de l
té de ma voix qui patiemment répète dor— mes....., dor—mes.....; la sensation auditive, d'abord vague, à peine existante, s'i
r—mes....., n'a cessé d'être maintenue et régulièrement accrue ; la sensation persiste donc comme un « état fort » et, de plus
A ce moment, il ne subsiste plus guère chez notre sujet que la seule sensation auditive causée par le dor—mes....., d>r—mes
qualité et la quantité du phénomène conscient ne variant plus, cette sensation auditivo simple, homogène, toul à l'heure pleinem
manifester le pouvoir absolu que j'avais conservé sur les idées, les sensations , les volontés, les actes de M"" D... J'aurais pu,
impressions dans les sens, à la transformation de ces impressions en sensations , puis en idées, et par suite en actes, que ces id
'esprit est en polyidéïsme, s'il va continuellement de la création de sensations et d'idées à la création d'autres sensations et d
lement de la création de sensations et d'idées à la création d'autres sensations et d'autres idées, dans le sommeil il est en mono
es recherches expérimentales sur la localisation des souvenirs el des sensations tactiles, — le résultat d'une enquête faite par q
monoculaire ne donne pas, entre deux points inégalement éloignés, la sensation d'ouïe différence de profondeur; c'est là un fait
fait certain, d'où l'on j)cut tirer celle conclusion probable que la sensation de profondeur, en général, n'est pas donnée par l
d'ombre et de -la lumière, etc. La vision binoculaire produit la sensation de profondeur sous l'action de la convergence et
percevoir les couleurs, c'est-à-dire qu'ils ne produisent pas plus la sensation d'espace que celle de couleur. tën outre, noire
seulement aucune partie extérieure do son corps ne semble éprouver la sensation physique d'un contact quelconque; mais, ce qui es
si l'on a suggéré l'analgésie seule, le malade peut faire revivre les sensations tactiles sans retrouver le souvenir des sensation
faire revivre les sensations tactiles sans retrouver le souvenir des sensations douloureuses. Ce qui prouve que cette inhibition
7 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
douleurs à la tête et par tout le corps, de battements de cœur, d'une sensation de froid, et demande à boire. 25 mai. — La mala
permanente des régions ovariennes, principalement de la gauche: — 2° sensation d'une boule qui monte vers l'épigastre; — constri
rire ; besoin incessant de changer de place. Tympanite considérable. Sensation de tremblottement des intestins, borbo-rygmes, va
régions ovariennes sont hyperesthésiées. La pression donne lieu à la sensation de boule ; cette sensation s'arrête àl'épigastre
peresthésiées. La pression donne lieu à la sensation de boule ; cette sensation s'arrête àl'épigastre ; il n'y a pas de troubles
s céphaliques et jamais il ne survient d'attaque. W... déclare que la sensation pro- 4 duite est plutôt agréable, mais ne veu
l'autre. Sens génital. — Les rapports sexuels ne produisent aucune sensation ; on l'accuse de froideur. Elle est heureuse qu'on
; ne rêve pas d'animaux. D'autrefois, elle revoit ses amoureux, a des sensations lascives « plus que dans la réalité » , sensation
es amoureux, a des sensations lascives « plus que dans la réalité » , sensations qui la fatiguent. — Une fois réveillée, elle se r
er, p. 53t hq- t. \\f p- ^gg. 2 L'aura hystérique comprend toutes les sensations qui annoncent l'approche de l'attaque. membres,
mitée à l'un des seins et l'attouchement le plus léger occasionne une sensation pénible 2 ; ou bien elle siège en même temps sur
. 23), elle éprouve une douleur au niveau de l'ovaire gauche, puis la sensation « d'une grosseur » qui va et vient de celte régio
nt les crises convulsives, cette région, est le point de départ d'une sensation douloureuse, que la malade compare à une boule qu
ne presque aussitôt la région ovarienne correspondante, d'où, part la sensation d'une boule qui monte au creux de l'estomac. Cett
ertor. Phénomènes consécutifs. — M... se plaint de nausées et d'une sensation de froid, et, de fait, elle frissonne. L'irrégu
nt douloureux au centre du flanc gauche. La pression donne lieu à une sensation d'étouffement. Pas d'attaque (?). 5° Hyperesthé
me si on traversait le ventre avec des aiguilles. » Arrive ensuite la sensation de boule qui monte à l'épigastre ; cette sensatio
Arrive ensuite la sensation de boule qui monte à l'épigastre ; cette sensation , toujours ascendante, au dire de la malade, se ré
a eu des relations, tantôt des hommes « inconnus. » Elle éprouve des sensations voluptueuses et se réveille « en train... » ; 2
ns. » Il lui semble qu'il est là, qu'il l'embrasse ; elle éprouve des sensations génitales analogues à celles que produisent les r
qu'on a cessé l'inhalation. — En résumé, l'éther produit surtout des sensations agréables. Ces deux dernières observations peuv
inhalation. — Le bromure d'éthyle, qui s'évapore vite, détermine une sensation de vertige : tous les objets environnants semblen
ns vu que, naguère, elle tombait sans être prévenue ; puis, elle a la sensation de « quelque chose » qui part de cette région et
qui part de cette région et monte au creux de l'estomac où elle a la sensation « d'une barre » ; ce « quelque chose,» qu'elle ne
ain nombre de fois; à ces phénomènes s'ajoutent des palpitations, des sensations douloureuses occupant les autres zones hystérogèn
à cette phase et l'atta que avorte. Mais, en général, après que la sensation que nous venons d'indiquer a duré pendant une ou
e, j'ai des palpitations et je suis perdue. » Bientôt, en effet, la sensation de constriction du cou augmente ; des langues de
e siège de battements, et cela surtout à gauche, enfin se produit une sensation de vertige : P... perd connaissance, l'attaque éc
e. — Avant les attaques, et quelquefois pendant deux jours, B... a la sensation d'une chose qui va et vient de la région ovarienn
I, p. 48, et t. II, p. 202. ! Lorsqu'on prend une douche froide, la sensation produite par le jet, lorsqu'il frappe entre les d
ous de l'épine iliaque antérieure gauche : la pression occasionne les sensations de « quelque chose, qui remonte et fait étouffer
eillent en sursaut, à diverses reprises; elles ont des secousses, des sensations de fourmillement, des impatiences, principalement
urs amoureux, s'imaginent avoir des rapports sexuels, et éprouver des sensations plus voluptueuses que dans la réalité. Geneviève
p avec 4 grammes de chloral. Le teint est terreux; M... éprouve une sensation de chaleur par tout le corps, elle cherche à mett
a pu garder un peu de lait ; la diarrhée diminue. Elle a toujours une sensation de chaleur insupportable, principalement dans les
° Point latéro-mammaire. — En dehors du sein, la pression produit une sensation de serrement au cœur, avec constriction laryngée.
hose dans tout le corps. » Elle se comprime elle-même et ces diverses sensations s'évanouissent en quelques instants. —La peau est
elle était domestique. Elle rêve souvent de son ancien amant et a des sensations voluptueuses. Elle assure n'avoir jamais eu de ma
s nausées suivies ou non de vomissements bilieux ou alimentaires, une sensation de barre et de gonflement à l'estomac, de la tymp
a douleur s'opposant à un examen complet. La malade assure avoir la sensation d'une boule qui se déplace (?). La respiration
on sur l'une ou l'autre de ces régions est douloureuse et rappelle la sensation de boule, avec suffocation. Ces phénomènes parais
gulier. Hyperesthésie ovarienne double, plus intense à gauche, avec sensation d'une boule qui remonte ; parfois elle s'exagère
uer, on fait des alternatives voltaïques sans que H... accuse d'autre sensation qu'un léger éblouissement. Pendant une huitaine d
commifes, fut bruflée *. Nous avons souvent raconté, en abrégé, les sensations voluptueuses éprouvées par les hystériques, soit
s ayons déjà relaté un grand nombre de fois les hallucinations et les sensations éprouvées pnr les hystériques sous l'influence de
lade elle-même, à notre demande et après des instances réitérées, des sensations que lui procure l'éther et qui la poussent à en r
ite d'amyle est moins agréable que celle de l'éther. On voit que, aux sensations voluptueuses, se mêlaient des rêves pénibles, dan
figure grimace. Aura. — Elle part de l'ovaire droit. La malade a la sensation d'une boule qui monte de l'ovaire à l'épigastre,
la boule va et vient de l'épigastre à la base du cou et détermine une sensation de strangulation. Les palpitations augmentent de
contracture et dans la flexion et dans l'extension. X... dit que les sensations qu'elle éprouve ne sont pas les mêmes dans les de
fre « comme lorsqu'on a une crampe » ; dans celle-là, elle n'a qu'une sensation de raideur non douloureuse. X... dit que, dans
one hystérogène par excellence, chez B...; cette zone est le siège de sensations analogues à des coups, à des contusions, accompag
plus ; la compression de la région ovarienne ne déterminerait plus la sensation de boule. — La vue, Y odorat, le goût, Youïe, son
et même davantage avant l'attaque, elle est immobile, se plaint d'une sensation de boule, de douleurs au cœur, demeure immobile e
se montrent les symptômes de l'aura proprement dite. Elle éprouve la sensation d'une boule qui monte de la région ovarienne gauc
fois qu'on l'endort, et ces plaques rouges, qui s'accompagnent d'une sensation de chaleur , persisteraient pendant une partie de
, à la suite d'une série plus ou moins prolongée, elles éprouvent des sensations analogues à celles qu'elles ressentaient dans la
un 1 Nous avons vu que l'éther déterminait chez les hystériques des sensations voluptueuses et nous avons dit que la plupart en
8 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Le malade se plaint d'engourdissement dans les deux jambes, de la sensation impar- faite du sol (il lui semble qu'il marche
s très vives et attirent peu son attention. Il ressent en outre une sensation de lourdeur. S'il appuie un instant, ses bras r
ve des agacements, des four- millements permanents dans les jambes, sensations qui n'ont, dit-il, rien d'analogue aux crises d
un peu d'hypéresthésie et un peu de retard dans la perception des sensations . Pas de crises laryngées ni gastriques. Le goût,
ds, les jambes et les mains, qui le gênent pour s'habiller. Il a la sensation subjective de la perle, de l'absence de ses pieds
itié inférieure 64 -il PATHOLOGIE NERVEUSE. du visage. Toutes ces sensations sont purement subjectives et ne correspondent à
igéminé, procédant par deux secousses successives, accompagné d'une sensation de gêne au cou et à la partie supérieure du ste
'épigastre et au niveau de la colonne, lombaire, sans déterminer de sensation à distance. Il existe une anesthésie au contact
90.) Chez trois femmes et deux hommes âgés de plus de trente ans, sensation désagréable de picotement et de brûlure dans la l
REVUE DE pathologie NERVEUSE. 107 à un autre (Obs. X). Ce sont des sensations -d'obtusion du tact avec fourmillements, de fri
rsions), du sens thermique (mêmes espèces), du sens musculaire, des sensations sté- réognosiques, le malade prenant un couteau
lade s'oriente mal dans ce qui l'entoure et devient confus dans ses sensations internes. A cet état s'ajoute l'influence des a
trice; si la mélan- colie ou la manie se compliquent par de fausses sensations , elles s'harmonisent avec l'élément fondamental
isent sous forme d'attaque d'épilepsie sensitive. En pareil cas, la sensation de fourmillement apparaît dans le pied droit, r
re mise en relief est celle-ci : Parfois il éprouve tout à coup une sensation d'engourdisse - ment, de fourmillements dans la
de crises qui survenaient vers deux heures du matin. Elle avait une sensation de boule à l'estomac, une douleur vive au verte
e craint de le voir passer pour voleur. Tout lui déplaît. C'est une sensation de vide qu'elle a dans le gosier qui lui donne
e sont plus mes parents. Tout mon corps me semble étrange. J'ai une sensation de vide dans le côté. Tout a été faux dans ma v
de voir les hallucinations ver- bales motrices s'accompagner d'une sensation auditive spé- ciale que les malades distinguent
es, car elle n'a jamais accusé à l'interrogatoire à ce sujet aucune sensation précise. ' (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENT
de fourmillements; en somme aucune altération sen- sorielle sauf la sensation d'eau froide le long de la colonne ver- tébrale
tat normal des articulations et du système musculaire : mais grande sensation de fatigue, et facilité à se fatiguer.. Au poin
es réponses parait due à l'hébétude mentale plutôt qu'au retard des sensations . La température est un peu au-dessous de la nor
les de nutrition des nerfs spéciaux ganglionnaires, à ressentir des sensations morbides contre nature, si bien que peu à peu des
centres plus élevés, le malade en arrive à croire réellement à ces sensations anormales et à devenir la victime d'une illusio
timulation spéciale, s'hy- péresthésient et donnent naissance à des sensations morbides. Pas à pas, tout le système sympathiqu
pas, tout le système sympathique est soumis à des impulsions et des sensations qu'il n'éprouve pas à l'état sain : ce sont des p
t peut donner naissance, après la-convalescence de la fièvre, à des sensations illusoires, mal comprises par le cer- veau. En
la région dorsale, au point que le plus léger contact lui donne une sensation si pénible qu'elle se dérobe au toucher, et pou
Voici une petite idiote, réduite à la vague perception de quelques sensations : elle est étrangère presque à tout ce qui l'en
égion psycho- motrice, un mouvement de recul s'effectue, les deux sensations agréable et douloureuse sont enregistrées, comp
iste à cette force qui le pousse, il est énervé, angoissé; il a une sensation de contraction dans la région épigastrique, enf
euvent survenir dans tous les phénomènes psycho- logiques, dans les sensations , les souvenirs, les perceptions, les associatio
ppeler le rôle immense que tous les psychologues ont fait jouer aux sensations dans la formation de l'intelligence, et vous' c
ne les remarque pas tou- jours. Elles ne portent pas sur toutes les sensations venant d'un certain sens, mais sur un groupe de
utes les sensations venant d'un certain sens, mais sur un groupe de sensations formant un système, en laissant parvenir à la c
s ces anes- thésies localisées, les associations habituelles de nos sensations , les idées que nous nous faisons de nos organes
et supprimer plus ou moins complètement telle ou telle catégorie de sensations . Nous avons ici encore une remarque importante
l'anesthésie de la face et qui sont légion, si elles éprouvent une sensation horrible, et elles vous répondront toutes que cel
e cela leur est bien égal. A propos de cette différence entre les sensations subjectives produites par l'anesthésie hystériq
is il s'agissait cette fois des sen- sations musculaires et non des sensations tactiles. J'étudiais non plus à l'hôpital, mais
dent qui consiste à provoquer la crise d'hys- térie au moyen de ces sensations en apparence disparues de l'esprit du sujet m'a
ychologie quelques notions sur les sen- sations. Ce phénomène de la sensation a été défini d'une manière fort vague : la plùp
moins explicite des définitions analogues à celles de Wundt : « les sensations sont des états de conscience primitifs qu'il es
ossible de décomposer en phénomènes plus simples' ». En un mot, les sensations seraient en psycho- logie ce que sont les atome
tent une autre formule pour compléter et préciser la première. « La sensation , disent- ils, c'est le phénomène qui se passe e
lexes. C'est l'idée de la personnalité, c'est-à-dire la réunion des sensations présentes, le souvenir de toutes les impression
ire que la personnalité déjà énorme a saisi et absorbé cette petite sensation nouvelle qui vient de se produire. Si j'osais,
prolongement pour saisir et absorber un tout petit être, la petite sensation qui vient de naître à côté de lui. Cette opérat
Cette opération d'assimilation et de synthèse se répète pour chaque sensation qui naît en nous et il en naît à chaque moment
i comme exemple. Appelez ces phénomènes comme vous vou- drez, des sensations élémentaires, des états affectifs, pour em- plo
à chaque instant, dans une même perception personnelle, toutes les sensations élémentaires qui naissent en lui de tous côtés.
ôtés. Chez l'homme le mieux constitué, il doit y avoir une foule de sensations élémentaires produites par la première opératio
mènes tels que T ou M dans la figure 2, restent ce qu'ils sont, des sensations subconscientes; réelles sans donte, et pou- van
il ne pourra par exemple, à chaque moment, percevoir plus de trois sensations élémentaires telles que VV'A et il laissera le
en dirigeant autrement son attention, avoir la perception de ces sensations tactiles qu'il avait laissées de côté et, dans un
e moment, il pourra former une perception personnelle même avec des sensations musculaires.M. Par exemple, au premier moment,
récisse encore; le malade ne peut plus percevoir à la fois que deux sensations élémentaires. Par nécessité même, il réserve ce
es. Par nécessité même, il réserve cette petite perception pour les sensations qui lui semblent à tort ou à raison les plus im
tions qui lui semblent à tort ou à raison les plus importantes, les sensations de la vue et de l'ouïe. Il faut avoir conscienc
e l'on voit et de ce que l'on entend et il néglige de percevoir les sensations tac- tiles et musculaires dont il croit pouvoir
, si j'ose ainsi dire, rattraper dans sa perception personnelle des sensations trop longtemps négli- gées : il est devenu anes
ses importantes dont voici, je crois, les deux principales : 1° les sensations existent dans l'esprit humain sous deux formes
a conscience complète et la notion de personnalité et sous forme de sensations élémentaires, sub- (*3nbui.entes, sans être rat
té; 2° la per- ception personnelle peut disparaître, tandis que les sensations élémentaires persistent; cette disparition de l
algré les distractions et les anesthésies hystériques. Si de telles sensations existent, direz-vous, elles doivent pouvoir se
existent, direz-vous, elles doivent pouvoir se manifester, car des sensations mêmes élé- mentaires jouent toujours un certain
savez, sans que j'insiste sur la théorie de ce phéno- mène, que les sensations amènent à leur suite des mouve- ments ; eh bien
les sensations amènent à leur suite des mouve- ments ; eh bien, les sensations dont nous parlons même non senties par le sujet
mme pour coudre une étoffe, elle tient une aiguille. En un mot, ces sensations en apparence non senties amènent régulièrement
le mouvement qui les sui- vrait dans les conditions normales. Les sensations sont aussi, et très souvent même, le point de d
rt de ce qu'on appelle en psychologie des associations d'idées. Une sensation devient une sorte de signe, à propos duquel nai
c'est un papillon. » Elle ne se trompe jamais; il faut donc que la sensation du contact au petit doigt ou au pouce existe d'
res, elle aurait toujours le même résultat. Enfin, messieurs, des sensations ont une autre consé- quence encore, qui peut êt
r. » Le souvenir est parfait, j'ai donc le droit de supposer que la sensation avait existé. Je m'aperçois, messieurs, que je
. Je m'aperçois, messieurs, que je vous ai montré des exemples de sensations subconscientes empruntées à divers sens, et que
m'a permis de lui faire éprouver avec précision toutes ces petites sensations déli- cates, et d'en conserver pour ainsi dire
YSTÉRIQUE. 349 perception personnelle de rien; n'a-t-elle eu aucune sensation élémentaire ? Pour le vérifier je mets un crayo
nce du souvenir, et ce souvenir lui-même ne montre-t-iL pas que les sensations musculaires ont existé d'une manière quelconque
ement. Son champ de conscience si petit a perdu momen- tanément les sensations tactiles du côté droit qu'il contient d'or- din
p. 35), a montré un procédé intéressant pour mettre en évidence les sensations subconscientes des membres anesthésiques. Les a
s anesthésiques. Les associations anciennes et naturelles entre ces sensations en apparence disparues et les autres pensées du s
ommes heureux de constater cette nouvelle preuve de l'existence des sensations subconscientes dans les anesthésies hystériques
exemple, on met facilement en relief chez eux la persistance de la sensation visuelle dans l'oeil amaurotique quand les deux
ce et chez qui on n'arrive jamais à mani- fester aucune trace de la sensation subconsciente. Eh bien, messieurs, je vous lais
rouble de la perception personnelle, mais une .suppression de toute sensation . Mais réfléchissez bien aux con- séquences de v
quelconque vous ne réus- sissiez pas à manifester l'existence de la sensation subcons- ciente. Il y a là mille conditions, le
phénomène tout particulier ; ce n'est aucunement une altération des sensations élémentaires qui restent ce qu'elles doivent êt
cher entre elles et de rattacher à la notion de la personnalité les sensations nouvelles. Elle est due à une fai- blesse de ce
x intérieures ; c'était de l'autre vie. » Il n'y a pas chez elle de sensation auditives, car lorsqu'on lui demande dans quell
cinations de l'ouïe etque, réciproquement, celles-ci engendrent des sensations psychiques (sentiments) anormales. En un mot, p
u froid, et se traduit successivement par : douleurs, paresthésies, sensation de froid avec pâleur des doigts, puis, colo- ra
en particulier, du sens musculaire; les malades localisent mal les sensations , appré- cient moins distinctement la position d
ette observation que l'hallucination est précédée et accompagnée de sensations élé- mentaires. Ne sait-on pas que l'hallucinat
les hallucinations de l'ouïe, l'oreille correspondante éprouve des sensations présentant tous les caractères des sensations r
spondante éprouve des sensations présentant tous les caractères des sensations réelles ; de même il existe des hallucina- tion
cinations motrices. Tout mouvement est normalement provoqué par une sensation qui est l'expression d'un besoin, d'un effort,
s n'a par elle-même la puissance de provo- quer un mouvement. Les sensations kinesthésiques sont la conséquence des mouve- m
nomalie du facteur sensible, des conceptions représentatives et des sensations kinesthésiques. On peut plus ou moins probablem
qu'il ne faut pas confondre avec l'inversion du sens génital ou des sensations génitales. Il s'agit ici de délire, de conception
'anomalie se borne pendant longtemps à la simple per- version de la sensation sexuelle et que l'occasion seule provoque l'imp
teur nie qu'on puisse affirmer l'existence d'hallucina- tions ou de sensations physiques anormales, mais il reconnaît les illu
9 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
esprit, est le schéma des réflexes que nous donnons ici (fig. 1). Une sensation D, perçue par le nerf tactile d, fait vibrer la c
ou centrifuges qui déterminent une contraction musculaire : ainsi une sensation peut déterminer un mouvement chez un animal décap
ur ou jugé tel. Il réside donc dans l'éveil des idées provoqué par la sensation D. Le courant A allant en a' a" excite d'autres c
déterminant l'acte. Prenez plusieurs personnes excitées par la même sensation et répondant par le même acte : donner à un pauvr
pouvons avoir des actes involontaires d'origine cérébrale. Si un,e sensation ne provoque pas d'associations d'idées et provoqu
dée opposée à celle conseillée, et l'acte inverse se produit. Si la sensation provoque des associations d'idées, la volonté app
empreintes par hérédité ou éducation. Une fois mises en branle par la sensation centripète, elles amènent de suite le mouvement c
tes n'existent pas, nous pouvons avoir le type du capricieux dont les sensations déterminent des actes divers, incoordonnés, sans
ncoordonnés, sans but, et prennent l'aspect déréglé. Non seulement la sensation ne provoque pas d'associations d'idées et amène d
ntre de suite au repos et ne vient pas contrecarrer l'action d'autres sensations consécutives. La durée et la persistance de l'exc
e et la persistance de l'excitation cellulaire sous l'influence d'une sensation constituent l'attention. Les courants dérivés p
er sans amener de courant centrifuge, de mouvement correspondant à la sensation . L'esprit qui offre trop de courants dérivés est
résolus peuvent être imaginatifs ou logiques. Chez l'imaginatif, la sensation éveille une foule d'images et s'y épuise. Colerid
main de maître, ce caractère qui était le sien. Chez le logique, la sensation détermine de nombreuses idées. Les unes poussent
autre. Ici, le courant centripète se dépense en dérivés multiples. La sensation amène des pensées dubitatives ; l'acte ne se prod
es fois, il est moins fréquent, môme anormal (impulsion homicide). La sensation excite vivement la cellule A"' d'où part immédiat
t autre chose. Quelle soit constituée par une idée absurde ou une sensation erronée, le malade reconnaît sa fausseté, son inu
sta plusieurs heures dans un état cataleptique. Il décrit ainsi les sensations du cocaïnomane : D'abord c'est une excitation i
auditive augmente au point de devenir douloureuse : puis ce sont des sensations et même des visions de bêtes ou de serpents coura
, sous forme de mouvements d'attraction ou de répulsion, ou encore de sensation de contact à distance. 2' Sur les objets inanim
le second, au contraire, il ne suffira pas du récit d'un seul crime à sensation , il faudra une série de lectures, qui peu à peu a
asque, avec instabilité très notable de la mémoire et de la volonté ; sensation horriblement pénible de vide intra-cérébral, surt
. Mais le symptôme psychique le plus pénible pour Mlle Sh... est la sensation de vide cérébral qui suit tout effort de pensée o
précision. Incontestablement, le mal de mer débute toujours par une sensation vertigineuse: pâleur, céphalalgie frontale, anxié
ige, qui est la porte d'entrée de la naupathie, parait résulter de la sensation de la perte de l'équilibre. Observez, en effet, l
s eurent lieu par de très gros temps : conserve un appétit excellent. Sensation do bien-être qu'il attribue au traitement. Obse
rs temps, que j'éprouvais le lendemain une très grande lassitude, une sensation d'épuisement et de vacuité qui se localisait surt
r. le sujet se plaignit à moi spontanément d'avoir éprouvé cette même sensation au même point. Du reste, l'action mentale nécessa
-physique : Recherches théoriques et expérimentales sur la mesure des sensations et spécialement des sensations de lumière et de f
es et expérimentales sur la mesure des sensations et spécialement des sensations de lumière et de fatigue ; in-8°, 115 p. Bruxelle
dans la nature constitue la quatrième. La cinquième, l'origine de la sensation , est absolument transcendante ; elle marque, avec
ppareils, tout courant d'arrivée détermine un courant de sortie ; une sensation centripète détermine un courant centrifuge. Mai
ntrifuge. Mais si nous tenons les deux extrémités de la chaîne : la sensation causale et le mouvement qu'elle détermine, nous i
xtrémités. Prenons le cas où ces chaînons sont les plus simples. La sensation détermine immédiatement le mouvement : il s'agit
t le mouvement : il s'agit du réflexe. Le courant sensilif apporte la sensation â une cellule de la corne médullaire postérieure
série en cascade explique bien le mouvement complexe consécutif à une sensation unique. Le cerveau peut exécuter des actes semb
éflexes médullaires : ce sont les actes automatiques habituels. Une sensation a provoqué un acte. Le fait seul que le courant a
et la motrice, facilite le contact pour l'avenir. La liaison entre la sensation et l'acte est plus intime ; le contact d'autant p
blanc, mais, vers douze ans, on ne peut plus rien lui apprendre. La sensation qui détermine l'acte habituel peut provoquer l'ac
acte habituel peut provoquer l'acte du côté excité, et de plus, si la sensation est intense, du côté opposé. On peut ainsi expliq
itube dans l'obscurité. Mais fait-il clair, ses yeux suppléeront ; la sensation visuelle du sol déterminera un courant centripète
tre médullaire ou cérébral. Ce dernier peut être très compliqué ; une sensation donnant lieu à une série d'actes complexes, toujo
vant de devenir centrifuge. C'est ce qu'on appelle une association de sensations . Cet acte, en apparence réfléchi, est en réalité
plupart des actes des animaux seraient le résultat d'associations de sensations . Auguste Comte prétend même que nombre d'esprits
tout parmi les peu cultivés, n'agissent qu'en vertu d'associations de sensations . Les actes n'ont que l'apparence d'actes réfléchi
a maladie débuta, il y a 15 ans, par un rhume de cerveau avec fièvre, sensation d'engourdissement de la tête accompagnée de doule
marche, de même un effort de notre volonté consciente peut abolir une sensation , en provoquer une autre. Mais c'est surtout des
, et je n'hésite pas à faire de lui le modificateur le plus actif des sensations productrices de la plupart de nos actions. Et je
remarquai que j'éprouvais le lendemain une très grande lassitude, une sensation d'épuisement et de vacuité qui se localisait dans
, le sujet se plaignait à mol spontanément d'avoir éprouvé cette même sensation au même point. Du reste, l'action mentale, nécess
'accroît rapidement et devient bientôt presque Intolérable, » Cette sensation d'épuisement et de vacuité, se localisant à l'occ
miennes ont plus d'une fois prolongé ces intervalles. Il y a aussi la sensation d'épuisement et de vacuité à l'occiput que vous m
sme lui et son sujet sont très fatigués et qu'ils ont à l'occiput une sensation d'épuisement. Je l'arrête et lui dis : — Vous
é. Pas de tremblement épileptoïde du pied et de la rotule. Pas de sensation de boule hystérique. Pas d'hypercsthésie au nivea
douleurs. Pour la première fois depuis un mois, la malade éprouve la sensation de faim. Le 26. — Mieux sensible, malgré que la
a joie et la tristesse suggérées. Samedi 27 Mars. — Psychologie des sensations ; — Les anesthésies. — Les hyperesthésies.— La sen
ressent aucun malaise pendant son sommeil, mais au contraire, il a la sensation d'un repos bienfaisant, et il est facile de const
ans l'état de santé. Après le réveil, il éprouve parfois une légère sensation d'engourdissement facile à dissiper par quelques
les paupières. Je lui donnai des lunettes fumées pour éviter la vive sensation lumineuse et priai la sœur de service de noter l'
occlusion permanente de l'œil gauche accompagnée de larmoiement avec sensations douloureuses à la lumière. L'œil droit était clos
mais cessé de prendre du bromure). Avant l'attaque, L... accuse une sensation de constriction dans la partie droite du cou ; ce
se une sensation de constriction dans la partie droite du cou ; cette sensation est bientôt suivie d'une surdité bilatérale ; pui
le occupant toute la partie latérale gauche ; à la palpation, on a la sensation d'une tumeur dure profondément située, un peu dou
n pouvait déterminer le sommeil aussi facilement, et sans produire de sensations désagréables, en fermant les paupières du patient
t de cette suprême loi de l'esprit, qui ordonne que le souvenir d'une sensation déterminée soit suivie par une répétition des mou
terminée soit suivie par une répétition des mouvements auxquels celte sensation était auparavant associée. Je suis disposé a pour
es. « On y peut constater, disait-il, un sensible accroissement de la sensation musculaire, car on verrait le patient serrer plus
e la première tentative heureuse de la désassociation des différentes sensations que toute l'histoire connue de l'organisme humain
ession de la douleur est ainsi obtenue par l'inhibition de toutes les sensations possibles du sujet et précisément celles qui devr
la compression de ce membre au-dessus du point qui est le siège de la sensation anormale, peut arrêter une attaque. Ce moyen a ét
sur des sujets sensitifs, certains phénomènes tels que : désagréable sensation d'éblouissement, migraine, attaques d'évanouissem
les idées suggérées étaient capables d'exercer une grande variété de sensations physiques et de conditions mentales. La relatio
Accordant à Braid qu'il était depuis longtemps reconnu que diverses sensations anormales suivaient la direction prolongée de l'a
elle-même avaient résulté de la peur, on supposa généralement que ces sensations anormales étaient accompagnées de changements phy
ui avait été dit ou fait, mais elle se plaignit d'éprouver une grande sensation de raideur et de tension. Son mari lui dit alors
vent de la première. Quant à celle-ci, elle est le prolongement d'une sensation . Le cerveau est un lieu de passage. Toutes ces
s parles sens ou venues de la périphérie sont susceptibles de devenir sensations , perceptions, idées, émotions, actes, successivem
Par elle, une idée tend à se reproduire indéfiniment, soit acte, soit sensation ; par elle, la conductibilité d'une voie nerveuse
dynamiques-psychiques de haute importance. Cependant, dérivée d'une sensation visuelle, auditive ou autre, une idée est accepté
ditions réveille un même ordre d'idées, de suggestions. Mais si les sensations provenues du contact avec le monde extérieur dépo
contact avec le monde extérieur déposent en nous des suggestions, les sensations internes, viscérales, musculaires, sans localisat
utosuggestions. Elle découle d'une association d'idées bâties sur une sensation interne, et « en rapport avec des souvenirs accum
r les conditions diverses héréditaires et acquises, une spécialité de sensations . La succession des interprétations cérébrales des
alité de sensations. La succession des interprétations cérébrales des sensations , l'ensemble des modes particuliers de sentir, tel
gestion attenante sont imputables à l'individualité. « L'idée ou la sensation première est mûrie par le cerveau et, celui-ci, p
sychique. De ce travail cérébral nous ne connaissons que l'idée ou la sensation initiale : la porte d'entrée ; et la conception d
ion. L'idée-acte est positive ou négative. Positive, elle redevient sensation ; négative, elle neutralise une sensation, un mou
Positive, elle redevient sensation ; négative, elle neutralise une sensation , un mouvement, en vertu de ses pouvoirs de dynamo
ar lui d'exemples probants auxquels nous renvoyons L'idée redevenue sensation ! c'est l'explication des illusions sensorielles
ndividuelles tantôt faibles, tantôt massives. Une idée dérivait d'une sensation , elle a pénétré la conscience ; elle s'inscrit da
he de se manifester ; elle reste latente. Son rappel sera celui de la sensation originelle. Les malades imaginaires ont cette c
. Les malades imaginaires ont cette crédulité qui réalise de telles sensations en retour, si l'on peut ainsi dire. Ils sont jour
pparence, qu'aux seules images visuelles, Pœhler les renforce par les sensations musculaires et par les images motrices d'articula
cet enfant est vivement impressionné par les objets extérieurs et les sensations visuelles qu'il éprouve sont intenses ; celles-ci
mmeil profond, le réve ou le somnambulisme, résulteront selon que les sensations ou les idées prédominantes sont plus ou moins éga
10 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, vous donne 30 pathologie NERVEUSE. au bout de quelque temps une sensation singulière d'étourdissement, un petit vertige,
surprenant que le clinicien, ayant à chaque instant à analyser la « sensation », ce phéno- mène psychologique primitif et irr
qui permettent, comme on va le voir tout à l'heure, de mesurer les sensations avec une précision pour ainsi dire mathématique
ncontrer l'appareil terminal d'un nerf con- ducteur centripète, une sensation nait par là même dans la conscience. Un phénomè
e; telle lumière a une intensité triple de telle autre; quant aux sensations qui en résultent, nous ne pouvons qu'accuser le
ible de déterminer combien, ou quel nombre de fois par exemple, une sensation lumineuse est plus intense qu'une autre; et il
différence entre deux excitants d'une part, et de celle entre deux sensations (perception différentielle) de l'autre. - Nous
ayant une intensité donnée, a, frappe notre oreille et produise une sensation . Si ce ton vient à subir une modification d'une
ière à atteindre une intensité, b, nous n'aurons pas seulement deux sensations suc- DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE. 51
la sen- sation, de la perception différentielle, de la somme des sensations , et d'autres valeurs encore. Mais cet ordre de
grandeur déterminée, au-dessous de laquelle il ne se produit aucune sensation : c'est ainsi que, pour em- prunter un exemple
ou comme si elle était poursuivie. Elle ne peut nous expliquer les sensations qu'elle éprouve dans ces moments. Toujours est-
RITIQUE LE SENS MUSCULAIRE; Par PAUL SOLLIER. I. L'existence de sensations spéciales, émanant des muscles, semble avoir éc
pendant longtemps aucune distinction n'existait entre les diverses sensations données par la sensibilité tactile. D'après W
réhension active » qu'ils opposaient au toucher comme « capacité de sensation ou simple conscience de passion » . Vers la f
inct du toucher, dans lequel certains au- teurs ont voulu voir la « sensation d'activité musculaire ». (Bel- lion. Recherches
ion. Recherches historiques sur la pathologie et la physiologie des sensations tactiles. Th. Paris, 1853.) - Dans un livre sur
evient surtout l'honneur d'avoir établi nettement l'exis- tence des sensations émanées des muscles, auxquelles il donna défini
entiment de l'activité muscu- laire ». [Recherches physiol. sur les sensations en général. Arch. de méd. 1837. - De la sensati
physiol. sur les sensations en général. Arch. de méd. 1837. - De la sensation du tact et des sensa- tions cutanées; Bull, de
; Bull, de l'Acad. de huez., 1841 . Physiologie phi- losophique des sensations et de l'intelligence, 1846.) C'est surtout à pa
a5), puis de Gendrin, en 1816 et 1847, qui montrent que chacune des sensations tactiles peut être isolément modifiée, les autr
eulement de la sensibilité musculaire, tandis que pour d'autres les sensations provenant de toutes les parties profondes des m
à propos de ses expériences, fit ressortir' que, dans ces cas, une sensation accompagnant l'innervation centrale, pourrait b
as où nous soulevons et résistons, soit en partie du moins, non une sensation dans le muscle, mais une notion de la quantité
ergie mentale motrice » est toujours accompagnée et aidée « par des sensations dont les conditions sont, d'une part, le. nisus
sculaire, et, d'autre part le corps résistant ou pressant ». De ces sensations , les premières c'est-à-dire les sentiments liés
lquefois appelé le sens musculaire. Les dernières, c'est-à-dire les sensations déter- minées par la pression externe ont leur
u et appartiennent alors au sens du toucher proprement dit, ou à la sensation cutanée, et en partie dans la chair, auquel cas
les muscles volontaires mis enjeu. D'après Wundt, « le siège des sensations de mouvement ne paraît pas être dans les muscle
ns les cellules nerveuses motrices... Nous n'avons pas seulement la sensation d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouveme
d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La sensation de mouvement est donc liée à l'inner- vation mo
gistes ont essayé de faire dériver, autant que possible, toutes les sensations de mouvement d'une seule source. Dans cette int
ource. Dans cette intention, ils ont cherché : 1° à les ramener aux sensations dépression delà peau; 2° ils ont voulu y voir d
er aux sensations dépression delà peau; 2° ils ont voulu y voir des sensations musculaires spécifiques, qui, dépendant des app
rieur des muscles, seraient considérées en quelque sorte comme les sensations d'un sixième sens, le sens musculaire; 3° enfin
sens musculaire; 3° enfin, selon une autre supposition, ce sont des sensations d'innervation ; elles dépendent uniquement de l
contient, évidemment une partie de la vérité, et par conséquent les sensations du mouvement sont pour nous des produits fusion
ent sont pour nous des produits fusionnés complexes, provenant de sensations d'origine différente. » Il estime (Menschen u.
n'est point là le cas, car la LE SENS MUSCULAIRE. 87 force de la sensation dépend seulement de l'influence motrice, partan
ifuge de l'énergie nerveuse et ne résulte pas, comme dans le cas de sensation pure, d'une influence affluant par les nerfs ce
Ferrier objecte que'les mouvements coor- donnés ne sont pas dus aux sensations , mais sont produits par la simple mise en jeu d
ister et avoir sa grandeur normale. Il faut donc admettre que cette sensation de mouvement, indépendante de la peau, réside d
lité particulière aux muscles, ou dans LE SENS MUSCULAIRE. 89 une sensation d'origine centrale, accompagnant l'innervation
contractés par le courant électrique seul. Il montra de plus que la sensation de pression nous permet d'apprécier beaucoup pl
olontaires, semble précéder et dé- terminer la contraction, avec la sensation qui donne le sentiment de la pesanteur, de la r
stance, etc., et qui a été appelée sons musculaire par Ch. Bell, et sensation d'activité musculaire par Gerdy. Cette dernière
Bell, et sensation d'activité musculaire par Gerdy. Cette dernière sensation est le résultat ou le prodnit de la contraction
ntraction musculaire; l'observation clinique m'a démontré que cette sensation est un phénomène qui dépend plutôt de la sen- s
culaire. La conscience musculaire peut exister indépendamment de la sensation d'acti- LE SENS MUSCULAIRE. 91 t vité muscula
logie, 1852, p. 293) paraît avoir été le premier à soutenir que les sensations qui accom- pagnent nos mouvements ou en résulte
oids sont en réalité composées d'impressions tactiles, en partie de sensations passives émanant de nos muscles et de nos artic
actions en groupes fonctionnels et leur coordination, mais aussi la sensation exacte de ce que les muscles sont en train de f
conscient, comme la vue ou le toucher : il est plutôt du genre des sensations organiques, contribuant inconsciemment ou avec
ntuition motrice. Ce rapport lui semble être analogue à celui d'une sensation d'un sens spécial avec l'idée correspondante. L
culiers. Telle était aussi l'opinion de Landry quand il dit : « La sensation d'activité musculaire qui fournit l'idée de résis
i, la possibilité de rectifier les erreurs de la contraction. Cette sensation remplit le rôle de dynamomètre à l'égard de l'i
dont Wundt interprète la nature du sens musculaire, que pour lui la sensation du mouvement est liée à l'innervation motrice.
la sensation du mouvement est liée à l'innervation motrice. Chaque sensation du mouvement est pour lui une résultante proven
est pour lui une résultante provenant de trois facteurs différents, sensation de pression de la peau et des parties sous-cuta
nts, sensation de pression de la peau et des parties sous-cutanées, sensation de contraction des muscles, et sensations d'inn
s parties sous-cutanées, sensation de contraction des muscles, et sensations d'innervation centrale, qui ne peuvent jamais êtr
ysiol. du syst. nerveux) est aussi d'accord sur l'importance de ces sensations de mouvement par rapport aux autres impressions
l a pleinement reconnu la part impor- tante prise par le rappel des sensations de la contraction musculaire dans l'accomplisse
nuation des mouvements, il serait aussi en partie influencé par des sensations réelles, se réalisant dans les mêmes parties du
omme des centres du toucher. Ferrier répond à cela : c Savoir si la sensation est excitée avant que se produise le mouvement
limitées, les mouvements ne sont précédés de, ni associés à aucune sensation autre que celle qui accompagne les contractions
en- tres moteurs corticaux que « sont emmagasinés les résidus des sensations musculaires dont nous tirons nos intuitions mot
lors, il en arrive à nier les centres moteurs. « Si, dit-il, nos sensations de mouvement sont concomitances des courants el
ionnement du cerveau lui-même et des rapports qui existent entre la sensation et le mouvement. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
ents, des fourmillements dans les mains et dans les pieds, puis une sensation de brûlure, des douleurs cuisantes, une grande
r son délire qui s'alimentait presque exclusivement dans de fausses sensations génitales. Jamais il n'a été mégalomaniaque.
la main avec le pulpe du doigt, la malade ne s aperçoit pas de la sensation de contact, quand elle n'a pas vu le doigt se p
le doigt se poser sur elle, et pourtant elle apprécie encore des sensations assez fines. Ainsi elle ramasse sans difficulté
l'articulation méta- carpienne, la malade n'éprouve ni douleur, ni sensation pé- nible, bien que cette extension anormale so
it, et au moment de l'interruption 'du courant la malade éprouve la sensation de la secousse musculaire, mais tout se passe c
a jamais eu d'atta- ques de nerfs, ni aucun phénomène hystériforme ( sensation de boule, etc.), elle est fort intelligente, tr
réciable. Il n'y a ni rétrécissemont du champ visuel ni perte de la sensation des couleurs ; pas de troubles de l'odorat, du
chocs des phalanges sur le toucher de l'instrument provo- quent une sensation douloureuse : celle-ci se produit même au repos
, se réveille un matin, au commencement de l'an- née 1384, avec une sensation de chaleur insolite dans la jambe droite. Le dé
our, brusquement et sans cause appréciable : il devient le siège de sensations anormales de froid, mais la sensi- bilité tacti
t empêchant de le placer dans une bonne position dans le lit. Cette sensation tient souvent le malade éveillé. Les nerfs sont
a- ralysie des extrémités droites sans aucune anomalie objective; sensation constante de chaleur anormale ; aucune modificati
conte l'individu guéri : il éprouvait pendant son mutisme comme une sensation d'arrêt des opérations intellectuelles, un vide
iner la moindre douleur et sans produire d'écoulement sanguin ; les sensations de chaleur ou de froid ne sont pas mieux perçue
e celle d'un autre, qui ne perçoit que 0,2 de différence entre deux sensations lumi- neuses. L'acuité visuelle, au contraire
es bulles sur les extrémités digitales et des paresthésies tenaces ( sensation de cuisson froide), dans les extrémités supérie
halalgie générale fréquente; douleur à la nuque et les membres. Une sensation de cuisson inquiétait souvent le malade : elle
se trouvait la thermoanesthésie; ses degrés étaient divers : tantôt sensation de chaleur, tantôt cuisson plus ou moins intense
ntôt cuisson plus ou moins intense allant jusqu'à la douleur; cette sensation ne comprenait ordinairement que telle ou telle
t de la cuisson : dans la journée, celle-ci était remplacée par une sensation de froid éprouvée dans toute la moi- tié droite
tié droite du corps jusque dans le bain à28° 1. De temps en temps, sensation de fourmillement, qui se répandait de la tête au
tantôt dans l'autre. D'après l'expression du malade, il éprouve une sensation de traction dans le dos et le côté, quoi- que l
peu exagérée : « La moindre des choses qu'on me touche, ça me fait sensation . » Et, de fait, le moindre chatouillement, une
la pulpe du doigt humide, ou môme sur la langue et les lèvres, une sensation à peine perceptible. Les électrodes sont formées
toujours exclusivement diurne, son intensité est modérée, c'est une sensation pénible de pression et de serrement plutôt qu'u
lée neurasthénique et quelques mots sur les phénomènes, vertiges, sensations subjectives diverses, etc., qui peuvent accompagn
sible du prix de journée. Les écrivains qui publient des articles à sensation sur les asiles d'aliénés, omettent d'indiquer l
11 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avoir des troubles de la marche. Sans avoir perdu ses forces, sans sensation subjective de vertige, elle ne pouvait marcher
La sensibilité thermique est atteinte : un objet froid provoque une sensation de brûlure. L'acuité visuelle est à peu près no
e perte de connaissance; souffrances très vives dans les membres et sensation d'angoisse, de mort prochaine; légère cya- nose
sie complète. Quel- quefois il y a lenteur dans la transmission des sensations comme dans le tabès. L'hyperesthésie se montre
appareil; les mouvements et le moindre contact y déterminaient les sensations du pincement; en y passant la main je ressentai
- cation amygdalitique sur le nerf (névrite). P. KERAVAL. IX. DES sensations pathologiques simples ET associées chez LES ali
par W. de 13ECllTlWEW. (Neurolog. Centoalbl., XV, 1896.) 5 Toute sensation se compose de la qualité, de l'intensité, de la
ines sensa- tions qui provoquent dans un autre territoire une autre sensation . C'est ainsi que l'action d'une trop vive lumiè
, il faut, pour produire ce phénomène, une notable inteusiti; de la sensation première. Chez les nerveux, la nuance sentiment
sensation première. Chez les nerveux, la nuance sentimentale d'une sensation est trans- formée à cause de l'altération de le
la douleur dans l'hyperesthésie), en exagérant l'inten- sité d'une sensation , normale ou morbide, provoquera justement sa pr
à d'autres territoires du système nerveux. De là chez l'aliéné les sensations morbides et les cosensations ou sensations asso
De là chez l'aliéné les sensations morbides et les cosensations ou sensations associées toutes particulières qui modifient ou
genèse de telles ou telles idées délirantes créées souvent par les sensations anormales ou les hallucinations sensorielles.
nd il regarde quelqu'un dans les yeux, il ressent dans le pénis une sensation comparable à celle qui pré- cède le débit de l'
on comparable à celle qui pré- cède le débit de l'urine. Mais cette sensation peut à son tour dispa- raître lorsqu'il- regard
as de signe objectif de lésion ver- tébrale, rectale, sexuelle. Ces sensations associées n'ont pas d'autre action sur sa consc
as rare qu'il critique ses halluci- nations. Autre exemple où des sensations simples et associées de nature morbide on, ains
, affectée d'hallucinations de la vue, de l'ouïe, de l'odorat, avec sensations associées de l'ouïe, du tact, de la vue. Toutes
sa voix qui lui dit qu'il s'efforce de l'assister, delà sauver. Les sensations associées pathologiques ou douloureuses de cett
e qu'il est grossier à son égard, ou désagréable ; elle éprouve des sensations désagréables quand elle touche la table, les mu
aration est très difficile à durcir. P. KERAVAL. XIX. Etude sur les sensations illusoires des amputés; par le pro- fesseur Pit
de connaissance courante que les amputés éprouvent fréquemment des sensations désagréables ou douloureuses, qui leur paraisse
nsmission des impressions sensitives, on admet généralement que les sensations illusoires des amputés ont leur point de départ
ne peuvent pas créer de toutes pièces ou modifier nota- blement les sensations étranges perçues par les amputés. Dans la premi
s dont se plaignent les amputés avec leurs caractères fréquence des sensations illusoires (96,87 p. 100); date et durée de leu
, névralgies des moignons, syncinésies; acci- dents résultant de la sensation illusoire des amputés; disparition spontanée de
nt de la sensation illusoire des amputés; disparition spontanée des sensations illusoires; état mental.des amputés. Reprenant
sur lesquels repose l'inter- prétation psycho-physiologique de ces sensations , AI. Pitres montre que l'illusion en vertu de l
'excitation isolée de chacun d'eux donne lieu le plus souvent à des sensations distinctes qui sont rapportées par les sujets aux
aux extrémités périphériques des nerfs excités. D'autre part, les sensations illusoires des amputés peuvent être influencées
on leur donne plus de netteté. Certaines associations d'idées ou de sensations les rendent plus précises ; mais elles ne sont
émanation du ganglion d'Ander : ch. Si ces nerfs con- duisaient les sensations au trijumeau, ce serait une exception à la loi
ésumé des phénomènes relatifs aux troubles de la localisation de la sensation ; aux troubles de l'appréciation des distances de
nces de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 65 deux sensations ; aux troubles de la perception. Conclusions : 1
n. Conclusions : 1° la localisation est un élément accessoire de la sensation tactile, élément qui peut se trouver isolément
nsitifs et sert ci conduire la-sensation doulou- reuse ainsi que la sensation thermique. KERAVAL. XXXI. Contribution A la que
la ferme volonté d'exécuter chez l'autre. La crise consiste en une sensation de désespoir infini, d'abandon complet de toute
t le goût (elle peut différer le sucre du sel), moins l'ouïe et les sensations tactiles; en palpant un crayon, elle dit que c'
gauche est atteint d'amaurose complète ; la malade n'a même plus la sensation lumineuse lorsqu'on projette sur sa rétine la r
nts cardiaques (52 à la minute) avec quelques irrégularités. Aucune sensation subjective de ce côté. Pas de dyspnée. La sensi
ment sans cause appréciable. Le 18 août elle eut dans la soirée une sensation spéciale d'en- gourdissement, « d'enflure » dan
h, mais chez quelques ma- lades il n'éclate que sous l'influence de sensations soit auditives, soit visuelles ; l'auteur ne l'
s ; l'auteur ne l'a jamais vu se manifester consécutive- ment à des sensations du goût ou de l'odorat. La durée des phéno- mèn
écrétion du suc thyroïdien. Les symptômes accessoires, tremblement, sensation de chaleur, hyperexcitabilité nerveuse, etc., p
thésiée, mais il y a retard considérable dans la transmission des sensations douloureuses cutanées. Forte alopécie disséminé
leur sort. Ils montrent bien qu'ils sont incapables d'éprouver des sensations et des sentiments normaux, mais ils en souffren
occupait moins qu'au collège, mais il éprouvait toujours les mêmes sensations , aussi bien dans le rêve que dans la veille. Il
rticulier du cou et de la nuque. Ces pollutions s'accompagnaient de sensations de plaisir sexuel très vif, mais étaient immédi
qu'au contact de la main, d'éprouver brusquement une pollution avec sensation très vive suivie d'un sentiment de honte qui lui
ssitée mais -qui n'ont jamais provoqué chez elle autre chose qu'une sensation pénible qu'elle ne supportait que par devoir. ·
n'ont amené aucun 286 . CLINIQUE MENTALE. changement ni dans les sensations ni dans les sentiments sexuels. Ses tendances h
ire, l'auteur arrive aux conclusions suivantes : f<). Toutes les sensations et les étals mentaux sont moteurs. b). L'organism
de la face. Au moment où le spasme va commen- cer, le malade a une sensation de coton dans l'oreille gauche; dans l'interval
nthétique par son pouvoir de grouper pour les suspendre en bloc des sensations diverses et nombreuses n'ayant en réalité aucun
rs. Cas 8 : dans la moi- tié des cas, la crise est précédée par une sensation d'odeur de fumée de bois. Cas 9 : dix ou douze
leurs lancinantes à la partie moyenne de la cuisse gauche. Cas 11 : sensation d'engourdissement sur toute la périphé- rie. Ca
1 : sensation d'engourdissement sur toute la périphé- rie. Cas 12 : sensation de froid sur la région lombaire. (Americcala Jo
e mot, à signification très large, se cachent des éléments divers : sensations simples, telles la sensation tactile, la sensatio
rge, se cachent des éléments divers : sensations simples, telles la sensation tactile, la sensation thermique, la sensation d
éments divers : sensations simples, telles la sensation tactile, la sensation thermique, la sensation douloureuse ; notions p
ns simples, telles la sensation tactile, la sensation thermique, la sensation douloureuse ; notions plus complexes, telles la
mique, la sensation douloureuse ; notions plus complexes, telles la sensation du toucher actif, les sensations kinesthésiques,
; notions plus complexes, telles la sensation du toucher actif, les sensations kinesthésiques, se dédoublant à leur tour en d'
dédoublant à leur tour en d'autres notions. C'est de chacune de ces sensations particulières qu'englobe le nom vague de sensibil
s concomitants d'anesthésie ou mieux d'hypoesthésie portant sur les sensations tactiles proprement dites et sur l'ensemble des
sur les sensations tactiles proprement dites et sur l'ensemble des sensations kinesthésiques. Les recherches cliniques, portant
part des cas. De tous ces faits, il résulte que la perception de la sensation brute, au lieu d'être une, se fait en plusieurs
tres restant intacts; qu'il y a plusieurs centres de perception des sensations et qu'on ne peut placer dans la zone rolandique
teints de mélancolie, chez lesquels la maladie se manifeste par des sensations incommo- de-, pénibles ou douloureuses. Ce sont
e fondamentale est une base organique, le sens du corps. Toutes les sensations répondant à un organe (respiration du sens musc
l soit d'ordi- naire, qui est la base de l'individualité psychique. Sensations organiques liées à la respiration, à la circula
l'appareil génital, de l'état des muscles, sensibilité musculaire, sensation générale de nutrition, etc., telles sont les co
« L'état vital de l'organisme s'exprime dans la conscience par une sensation , ou plutôt par une affection permanente vagueme
nt directement conscients de cette action physiologique en tant que sensation définie, mais ses effets n'en sont pas moins at
ues multiples se traduisent par des troubles subjectifs douloureux, sensations pénibles de four- millements, de picotements, d
pocondriaques semblent n'être qu'une inter- prétation délirante des sensations maladives qu'éprouvent les malades atteints de
tion psychique. Le malade interprète d'une manière délirante des sensations anormales qu'il ressent, et ce sont ici les sen-
S'il se plaint de ne plus avoir de cerveau, de coeur, c'est que les sensations internes correspondant à ces viscères sont supp
Traduction Dagonet et Duhamel. ' Couard, p. 31-2. -Biiiet et Fe. Sensation el mouvement, ch. \v. ' ' LE DÉLIRE MÉLANCOLIQU
existence est incomplète, dit une malade d'Equirol3; je n'ai aucune sensation humaine..., il me manque la faculté de jouir de
t pour ainsi dire séparée de moi et ne peut plus me procurer aucune sensation ; il me semble que je n'ar- rive jamais jusqu'a
360 PATHOLOGIE MENTALE. rien, n'entends rien ; toute action, toute sensation m'est étrangère..., je suis une machine, un aut
emand, qui signifie aussi bien lourd, épais, terne, éteint. D Cette sensation est non seulement visuelle, mais cutanée. c L'a
ui m'isolait du monde extérieur... Je ne saurais dire combien cette sensation était profonde ; il me semblait être transporté
es sens pas comme avant ; je n'ai plus d'estomac, je n'ai jamais la sensation d'avoir faim. Quand je mange, je sens bien le g
enille, deviendrait tout d'un coup papil- lon, avec les sens et les sensations d'un papillon, Entre l'état ancien et l'état no
celui du papillon, il y a scission profonde, rupture complète. Les sensations nouvelles 362 PATHOLOGIE MENTALE. ne trouvent
nous fait attribuer une origine externe au mouvement centripète des sensations devait nous faire attribuerune origine interne
Traité sur l'aliénation, Amsterdam, 18` ? G. ' Voir Binet et Féré. Sensation el mouvement. THÉORIE DES NEURONES 371 Par su
ons des nerfs sensitifs dgub e ganglion, et la transformation de la sensation en impuisiommoj trice a lieu dans le corps prot
troubles consistant en suffo- cations, douleurs de tête avec clou, sensation de boule, pylorisme et cesophagisme. Elle prése
troubles s'atténuent de bas en haut : au niveau de l'ab- domen, les sensations fortes sont légèrement perçues, mais toujours m
ue d'une façon assez grossière, avec le crachoir métallique pour la sensation de froid, avec un bol contenant de la soupe pou
ur la sensation de froid, avec un bol contenant de la soupe pour la sensation de chaud), sauf dans une zone étroite allongée
uf dans une zone étroite allongée à la face interne du bras, où les sensations tactiles sont moins bien perçues. Mais même dan
es phénomènes. Si on pince un pli cutané, le malade n'accuse aucune sensation . Si on pince une masse muscu- laire, il sent qu
ur., 1893, t. XXVII, p. 97.) UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 4 lt9 sensations thermiques n'étaient pas perçues ; au contraire l
ment au sujet des voies sensitives intra- médullaires. Toutes les sensations sont apportées à la moelle par les racines post
es racines postérieures. On peut les diviser en deux groupes : 1° sensations cutanées : a) tactiles ; b) douloureuses ; c) the
cutanées : a) tactiles ; b) douloureuses ; c) ther- miques, etc. 2° sensations profondes : a) sens musculaire,. b) tendons, li
aponévroses, articulations, etc. Dès leur entrée dans la moelle les sensations cutanées se séparent des sensations profondes :
leur entrée dans la moelle les sensations cutanées se séparent des sensations profondes : les sensations cutanées passent de
les sensations cutanées se séparent des sensations profondes : les sensations cutanées passent de l'autre côté, comme le prou
tt a vu l'hémisection s'accompagnet d'une diminution bilatérale des sensations douloureuses, puis, dans la suite, l'anesthésie
ve ARCIIIVES, 2' série, t. Y. 29 450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les sensations profondes au contraire paraissent rester du mêm
c'est-à-dire la dissociation qui nous occupe 1. Non seulement les sensations profondes restent du même côté de la moelle, ma
ux données, en nous montrant la dissociation de ces deux espèces de sensation , et la conservation, l'exaltation même des sens
ne (comme le montre le syndrome de elles se dissocient encore : les sensations douloureuses et thermiques restant dans l'axe g
ial (syringomyéhe, liématoinyélie, myélite cen- trale, etc..) ; les sensations tactiles vont au cordon postérieur (sections de
t qui sente. C'est cette force qui me possède, je n'ai même plus la sensation des larmes. » Elle sent des bêtes qui la travai
mauvaises pensées. Il a cher- ché en vain à se faire exorciser. Ses sensations sont changées, la lumière du jour lui paraît te
ve il la face externe et antérieure de la cuisse droite une brusque sensation de tension, d'engour- dissement qu'il compare à
sion de l'exposition de lierlin, sensibilité douloureuse extrême et sensation de piqûre sur toute la face antérieure et ^laté
ue intellectuelle occasionne un affaiblissement des perceptions des sensations tactiles. Parmi les branches de l'enseignement
té produisent en général un retour à la normale des perceptions des sensations tactiles. Les travaux écrits servant d'examens
ux de l'accès, non pas seulement la première convulsion, mais toute sensation précé- dant le spasme, l'aura elle-même, dépend
e, la note 4 de la page 370, doit être modifiée ainsi : Féré (Ch.), Sensations et Mouvements (au lieu de Binet et Féré). BUL
llet, 223. Amenza. Formes de l' , par Buc- celli, 142. Amputés. Sensations illusoit es des - par Pitres, 57. Anémie pern
tion hanchée avec la - dorsale pri- mitive, par P. Richer, 399. Sensations pathologiques simples ou associées chez les ali
12 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
uggestive répond à des indications formelles, celles de combattre les sensations objectives du malade, qui sont le plus souvent le
tre les sensations objectives du malade, qui sont le plus souvent les sensations prédominantes dans le besoin morphinique. Ces sen
souvent les sensations prédominantes dans le besoin morphinique. Ces sensations objectives peuvent persister longtemps après que
. Ces sensations objectives peuvent persister longtemps après que les sensations subjectives ont disparu et constituer à elles seu
s et même sans aucun appareil, on peut faire d'utiles recherches. Les sensations , les mouvements, l'attention, la mémoire, la volo
nxiété neurasthénique. Ces états sont caractérisés par un ensemble de sensations émotionnelles au milieu desquelles la sensation d
s par un ensemble de sensations émotionnelles au milieu desquelles la sensation de l'effroi, de la peur irréfléchie et angoissant
isse des plus pénibles au moment de monter en chaire le dimanche. Ses sensations longtemps attribuées à une timidité exagérée, ne
et difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation mentale des sensations qui ne sont que l'exagération pathologique des se
mentale des sensations qui ne sont que l'exagération pathologique des sensations normales ; d'autant plus qu'elles ne sont pas acc
ntit du malaise toute la journée, éprouvant des étouffements et une sensation de poids au creux épigastrique. En sortant de t
cinations? 19° L'hallucination suggérée se compose-t-elle comme une sensation physique (miroir, loupe, lorgnette, etc.). Binet
personnalité étant représentée, à un moment donné, par l'ensemble des sensations , des pensées, des volitions conscientes, celle de
élément névralgique, les hallucinations, l'apparition fréquente de la sensation de constriction pharyngée, la permanence par delà
cortical : mimique inconsciente des cataleptiques et des hystériques, sensation d'innervation chez les hystériques anesthésiques.
la personnalité. 7° Activité d'une cellule corticale éprouvant une sensation d'idée isolée, ce que l'on appelle une conscience
ompte des indications des patients sur leur sommeil, après le réveil ( sensation de fatigue, véritable demi-sommeil avec conservat
dangers dont parle Zjeussen ; elle laisse intacte pour le patient la sensation d'indépendance,— et de cette façon on peut l'endo
aient, mutuellement, pour retrouver les émanations de l'Esprit saint. Sensation de légèreté, d'absence de corps. Ensuite, erreurs
ue droit fournit à la moitié temporale de la rétine de l'œil droit la sensation lumineuse et détermine en même temps les mouvemen
oitié nasale de la rétine de l'œil droit avec ceux qui fournissent la sensation lumineuse et les mouvements réflexes, et à la moi
qui ont été obtenus chez les personnes à l'état de veille et avec une sensation de bien-être, pour la détermination du temps de s
rien que cette musique. Une fois réveillés, vous vous rappellerez les sensations que vous aurez éprouvées. » Les sujets ainsi pr
egistrés ; on réveillait ensuite le patient et on prenait note de ses sensations . Voici par exemple les effets de la « Chevauché
ujet déclare qu'il n'a pas perçu la musique comme son, mais comme une sensation générale, une sorte d'excitation produite par une
e furieuse à travers l'espace. » CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Même sensation de course furieuse à travers l'espace, chez M. O.
accélération extrême des pulsations, un abaissement de la tension. La sensation éprouvée par le sujet a été celle de « grandeur e
e suspirieuse ; la face était pâle et couverte d'une sueur froide. La sensation éprouvée par les sujets était celle de « mort » ;
ce point de vue spécial, ont provoqué chez les sujets hypnotisés des sensations de « désir », de « frénésie », mais n'ont jamais
usique de ces passages peut produire de pareils effets et qu'alors la sensation « d'envie », de o désir », se rapproche singulièr
nuation du même effort, il perçoit dans cet organe et y transforme en sensations ces impressions venues des sens, et les dépose da
la veille, l'homme est en perpétuel effort, soit pour recueillir des sensations , soit pour fixer dans la mémoire leurs produits q
sée tenant le gouvernail et étant la promotrice, non seulement de ses sensations et de ses idées, mais aussi de ses jugements, de
te, avec plus de conscience, son assistance active à la réception des sensations au cerveau, à la création des idées et à leur enm
re, la volonté ('). La volonté, déjà en germe dans la formation des sensations et dos idées, est, en se superposant à l'attentio
somnambules, entre autres, — que longtemps on avait cru isolés, — les sensations et les Idées se forment toujours dans leur esprit
mémoire et les sens, il suffit de l'impression vive d'un rêve, d'une sensation brusque, d'un besoin naturel, etc., pour tirer de
C'est dans le sens de celle-ci que sont interprétés les matériaux des sensations provenant de l'extérieur et incomplètement perçue
cles de l'extension et le défaut de sug-gestibilité pour de nouvelles sensations musculaires. La suppression de la sensation de fa
bilité pour de nouvelles sensations musculaires. La suppression de la sensation de fatigue, qui dépend, d'ailleurs, de la dissolu
me, goutte, schlérose multiple, tremblement mercuriel, troubles de la sensation musculaire, de la sensibilité, de la vue, contrac
t restent latentes. Dans la constipation habituelle manque souvent la sensation du besoin d'aller à la selle, ou elle s'établit t
directes ou indirectes. L'idée est génératrice du mouvement et de la sensation . II suffit donc de provoquer l'idée chez le sujet
aire naître vient de lui-même, que ce soit le sommeil, un fait ou une sensation . La fatigue des yeux n'interviendrait dans la pro
nière. Elles débutent par une tristesse morne (aura psychique) et une sensation de strangulation. Puis surviennent des convulsion
: c'est-à-dire que pour percevoir les impressions, les transformer en sensations et en idées, examiner les motifs de leurs actions
eux, dans l'attente du phénomène, parvenaient assez vite à accuser la sensation annoncée. J'étais ainsi renseigné à leur égard :
fléchie et de la volonté sur les impressions des sens converties en sensations , puis en idées simples et composées ; on constate
par ses efforts propres, la formation des impressions des sens et des sensations , des idées, des jugements et des actes volontaire
e sûre d'elle-même l'audace qui fait qu'on la brave. Elle éprouve une sensation d'étonnement et de surprise craintive. » Et il dé
veillé, des airs qu'il sait chanter sans les avoir jamais appris, une sensation d'un transport à travers les airs. Enfin, parfois
t beaucoup; elle éprouve donc, selon son propre aveu, les craintes et sensations des acteurs. Le plus curieux est son état pendant
ons : si les phénomènes réussissent, elle éprouve des frissons et des sensations agréables, même voluptueuses. La présence d'espri
es, dans les coudes et bras entiers. Voici ce qu'elle rapporte de ses sensations , lorsqu'elle met en mouvement la sonnette à l'arc
e éprouve l'engourdissement et la chair de poule dans les doigts; ces sensations croissent toujours, et en même temps elle sent da
ête doucement : c'est alors que le phénomène a lieu. Elle éprouve des sensations analogues, en exécutant tous les mouvements à dis
Les changements physiques dans le cerveau, amenés par la pensée ou la sensation , produiraient des ondulations de l'éther ambiant,
i, notre sujet voulut essayer de fumer. Il fut pris de nausées, d'une sensation de constriction de la gorge, avec sécrétion exagé
aire de tenir compte des renseignements donnés par les sujets sur les sensations qu'ils éprouvent. Je suis personnellement d'avi
incombe la responsabilité, certains journaux publient des articles à sensation , le public s'émeut et les gouvernements promulgue
e ne dort pas et qu'elle a toujours peur de se trouver mal. Elle a la sensation d'un casque serrant la tête, une douleur très viv
l éprouve des douleurs au niveau de la première vertèbre dorsale, une sensation continuelle de fatigue, un affaiblissement généra
bien le contact de sa main avec des billets de banque lui procure une sensation désagréable. C'est pourquoi il a imaginé de préco
de physique à l'Université de Prague, connu par divers travaux sur la sensation . Faculté de médecine de rome. — Est nommé priva
isions, les voix, les impressions tactiles, etc., des hallucinés, ces sensations vives et remémorées, qu'ils éprouvent même aussi
u sommeil : chez eux, il n'y a plus de désillusions produites par des sensations vraies de la veille se mêlant avec les créations
bitude se renouvelle surviendront, vous éprouverez en la main la même sensation de pression que vous ressentez en ce moment. Votr
ée automatiquement, il avait nettement ressenti dans l'avant-bras une sensation de pesanteur qui avait contrarié le mouvement. Ce
as une sensation de pesanteur qui avait contrarié le mouvement. Cette sensation de pression était telle qu'il éprouvait dans le b
malade ne sent rien, mais il y a de l'hyperesthésie du pied droit. La sensation est normale sur le devant des jambes. Les réflexe
au, elle aurait dit, d'aprèsla mère : « Mère ! j'éprouve une curieuse sensation ; je sens une chaleur brûlante dans le dos. n A q
était enveloppé de vapeur. » Elle se plaignit de picotements et d'une sensation de chaleur dans l'épine dorsale, et la mère en l'
7 avril, à 10 heures, une série de conférences sur la psychologie des sensations . Cours d'hypnotisme a l'Ecole pratique dr la fa
fluence de la suggestion sur les fonctions de la vie organique et les sensations internes. — Applications à la thérapeutique génér
au moins dans l'immense majorité des cas, la pensée s'appuie sur une sensation ou sur un souvenir de sensation, qui en constitue
é des cas, la pensée s'appuie sur une sensation ou sur un souvenir de sensation , qui en constitue en quelque sorte comme le subtr
, et il existe une mémoire persistante de cet acte (une mémoire de la sensation centripède et de la réaction centrifuge), mémoire
uvement de ce bras, vous aurez alors par la mémoire le souvenir de la sensation de ce qui se passe en votre système nerveux lorsq
généralisées ; enfin des transmissions surnuméraires) celles où telle sensation mentale, accessoires au phénomène de la pensée, u
ù telle sensation mentale, accessoires au phénomène de la pensée, une sensation olfactive par exemple, est éveillée par une induc
se façonnent sur sa personne : habitudes, langage, théories morales, sensations douloureuses, maladies, etc. ; ils acceptent tout
Reynolds. — « Remarcks on paralysis and other disorders ot motion and sensation dependent of idea », 1869. Un travail sur le même
e maintenant qu'une fois par jour. Ce vertige ne s'accompagne ni de sensation de bruit dans les oreilles, ni de troubles oculai
s'agit des hystériques. Vous savez qu'il existe dans leur esprit des sensations qu'elles ignorent, et je vous ai présenté dernièr
ai présenté dernièrement une femme hémiopique qui avait cependant des sensations subconscientes dans la moitié en apparence insens
, ces attaques conservèrent leur caractère purement hystérique: aura, sensation de boule, convulsions, cris, arc de cercle et som
ère suivante. Maria, fatiguée et angoissée, avait encore nettement la sensation de la boule, puis survenaiseni quelques secousses
ues et restaient au-dessous du seuil de la conscience, comme sont les sensations dans Panesthésie hystérique. IV Messieurs, ce
te et on le constate encore par places le long des côtes où l'on a la sensation de petites aspérités. Pas de convulsions, — auc
13 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
iques ou non, ce sont surtout des névropathes, qui amplifient leurs sensations , les détournent de leur véritable signification
ensa- tions éprouvées par les malades : picotement désa- gréable, sensation de brûlure, ayant son siège de pré- dilection d
rologiache Centralblatt, p. 389, 1890. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. ces sensations se localisaient parfois à la pointe et le plus
auche de la langue, en se rapprochant de la base; dans deux cas ces sensations n'étaient pas seulement localisées à la langue,
ans l'autre. Hadden (Lance 1890, vol. I, n° 4), On a subjec- tive sensation on the mouth in women, a également étudié ces m
té la conservation du goût pour les choses salées et sucrées, des sensations anormales déterminées par la mastica- tion de l
rité de ses malades était des nerveuses. Chez une de celles-ci, les sensations douloureuses de la langue s'étaient surtout acc
ment considé- rable de la langue, de douleurs très vives et d'une sensation désagréable dans la bouche. Cette malade est tr
ssionnable, très vive, loquace, exagérée dans la description de ses sensations . Depuis deux ans elle n'était plus réglée et av
, un sentiment anormal de chaleur et de picotement, analogue à la sensation produite par le poivre. Hygiène buccale, résect
filles sont prises soit de nausées incoercibles, ou éprouvent les sensations les plus variées et les plus bizarres; salivati
guérirent sous l'influence d'un traitement approprié. Toutefois, la sensation vertigineuse qui accompagnait l'état moral part
uivie par les craintes que lui inspirait l'état de sa bouche et les sensations diverses qu'elle pré- tendait ressentir. , Le
, des substances salées ou sucrées, ne produit sur les dents aucune sensation particulière. Comme je l'ai dit plus haut, cett
us beau lui représenter, en atténuant comme il conve- nait, que les sensations dont elle se plaignait, avaient une origine cér
ot et son état s'améliora rapidement. En même temps disparurent les sensations bizarres dont elle se plaignait et elle a pu re
eure sur le maxillaire. D'autres fois, le malade accusait aussi des sensations douloureuses localisées à la racine qui lui ava
lémentaires de ces transformations du , mouvement psychique » : Les sensations peuvent se transformer en d'autres sensations,
nsées- les sentiments peuvent se changer en d'autres sentiments, en sensations et eu pensées; les pensées, enfin, en d'autres
nsations et eu pensées; les pensées, enfin, en d'autres pensées, en sensations ou en sentiments. » Il moto psichico c la cosci
de l'intelligence, - qui n'est qu'une « complexité croissante de sensations réflexes corticales », - il est permis de voir,
elle des maladies mentales. Ainsi, dans l'hypnose, la répétition de sensations sim- ples, homogènes, continues, diminuerait ou
cles qui doivent être mis enjeu pour la production du mouvement. La sensation d'innertion motrice, c'est la conscience de l'e
déterminera, selon Tamburini, outre une per- ception visuelle, une sensation des mouvements de l'oeil, une représentation mo
te de mots que la malade sent dans sa bouche», c'est-à-dire par des sensations de très légers mouve- ments de la langue, et ce
aux parties où va l'impulsus centrifuge. La malade éprouve donc une sensation aussi nette que celle qui se produirait si la p
equi, sans qu'il y ait d'articulation véritable, provoqueront une sensation analogue pour la conscience, ou des ru- diments
us éprouvons tous eu rêve lorsque, sans nous mouvoir, nous avons la sensation d'une chute du haut d'une tour ou dans un préci
ient l'activité du cer- veau, mais les fonctions de cet organe, les sensations , ' losso. - La circolazione del sangue nel cerv
d Gautier, avait soutenu que les diffé- rents processus psychiques, sensations , perceptions, images, concepts, etc., seraient
concluait A. Gautier, et c'était pour lui l'évidence même, que « la sensation , la pensée, le travail d'esprit n'ont point d'é
conservation de l'énergie. En outre, A. Gau- tier ayant dit que la sensation , la mémoire, l'intel- ligence, ne pouvaient avo
u'avec une sorte de tibulation très pro- noncée (non accompagnée de sensations vertigineuses). D'autre part l'enfant, très rég
utres doivent, être considérées comme une expression associée d'une sensation subjective. Dans cette hypothèse, j'ai institué
èse que ces mouvements de la tête et des yeux sont les signes d'une sensation visuelle subjective et dus à une action associé
uvements ne peuvent donc pas être considérés comme l'in- dice d'une sensation visuelle subjective; mais cela ne serait pas ré
e à travers les centres oculo-moteurs comme celles qui excitent les sensations visuelles dans l'écorce, et delà lésion du trac
cécité verbale ne s'accompagne pas forcément de trouble notable des sensations visuelles, quoique dans quelques cas où la lési
evées. Les fonctions des centres visuels, en rapport avec la simple sensation visuelle ou la simple représentation, sont plus
ssions faites sur lui par les objets dont il est en- touré qu'à une sensation visuelle. C'est une question qui deman- derait
pondant à ces oscillations thermiques du cer- veau ? Etaient-ce des sensations ou des émotions ? Les excitations auxquelles ét
tion intense et d'une certaine durée. Cela ne veut pas dire qu'une sensation simple ne puisse aussi provo- quer un changemen
de leur étude, l'intensité de la réaction émotive dépend, non de la sensation simple qui la provoque, mais de la nature et du
vent de substratum aux émotions seraient des représentations et des sensations d'un caractère essen- tiellement idéatif et abs
lexes et si délicats, et où les représentations l'emportent sur les sensations , des sujets hypnotisés. Un second résultat, d
ception, idéation, im- pulsion volontaire, attention), mais non des sensations simples et des impulsions motrices organisées :
écifique des éléments nerveux de ces centres, mais de la nature des sensations de l'organe périphérique avec lequel ces aires
érie de réactions qu'on peut presque considérer comme indiquant une sensation auditive sub- jective, réactions qui m'ont guid
l'excitation de la région occipito-angulaire comme un indice d'une sensation visuelle subjective, nous avons, je pense, dans
je pense, dans ces réactions des signes plus caractéristiques d'une sensation auditive subjective. La détermination, cependant,
ention de l'animal par d'autres sens, comme la vue, l'odorat, ou la sensation que quelqu'un s'approche produite par la vibra-
, etc., que chez les singes, comme chez les animaux inférieurs, une sensation auditive simple et grossière est toujours possi
lus haut degré dans l'oreille du côté opposé. La différence dans la sensation auditive des deux côtés a diminué beaucoup et a
. Celui qui est atteint de surdité verbale n'est pas privé de toute sensation auditive, car il peut entendre le tic tac d'une
olution temporale supérieure. Les cas de décharges auditives, ou de sensations auditives subjec- tives avec lésions irritative
achine. Et Hughes Bennett' a rapporté plusieurs cas de décharges de sensations auditives suivies d'une perte tempo- raires de
exe plus ou moins générales. Il ne semble pas que les trajets d'une sensation propre dégénèrent en haut à une grande distance
été démontré d'une façon décisive, être le trajet d'aucune forme de sensation propre (employant cette expression pour dis- ti
propre (employant cette expression pour dis- tinguer le trajet des sensations conscientes de celui des impressions, plutôt af
inférieures, nous pouvons l'éliminer des chemins parcourus par les sensations propres. Le cordon autéro-latéral où Gowers pla
du côté opposé. On ne pouvait déterminer avec certitude si quelques sensations n'étaient pas atteintes, mais sûrement la sensi
faculté qu'on a trouvée possible avec l'absence complète d'aucune sensation de mouvement. Dans quatre, on ne dit pas la métho
ffaiblie des deux côtés. Hémianesthésie gauche généralisée pour les sensations tactiles, disposées par plaques pour les sensat
alisée pour les sensations tactiles, disposées par plaques pour les sensations douloureuses. Parole et voix normales. Les réfl
suppression du toxique. La morphinomanie est caractérisée par la sensation de besoin, la présence d'un état nerveux hérédita
. Aujourd'hui c'est la Morphinomanie à deux. Un nouveau procès iL sensation nous a valu la publication d'une observation très
xemples de folie communiquée (1860). Hallucination reproduisant des sensations vives antérieures. Apha- sie au point de vue ps
de vue psychologique (1865). Des faux jugements à l'oc- casion des sensations (181'J). De la folie à la suite des fièvres inter
ses gastralgirlues e qui s'accompagnent de 342 CLINIQUE NERVEUSE. sensation de strangulation et d'étouffement, durent deux he
ire jusqu'à la perte de connaissance. Elles étaient précédées d'une sensation dou- loureuse à l'épigastre, de palpitations, d
, d'éblouissements devant les yeux, puis survenait très souvent une sensation de strangulation au cou et alors elle pâlissait
volonté de l'opérateur, le malade interprétant à sa manière chaque sensation perçue. Lorsque l'un de nous vint à Paris, muni
laissées exclusivement à l'initiative du malade qui s'approprie la sensation perçue et la trans- forme à son gré en une hall
ions de la base. Ces expériences prouvent que les formes variées de sensation comprises sous le nom de sensibilité commune et
nt qu'une piqûre très forte et qu'un fer chaud ne produisait aucune sensation , mais après ce laps de temps une LES LOCALISATI
e des résultats qui peuvent être inter- piétés comme l'indice d'une sensation olfactive subjective, torsion de la lèvre et de
que nous pouvons être certains par les réactions extérieures de la sensation olfactive subjective produite par l'excitation,
moins, une lésion du bulbe olfactif. On a publié plusieurs cas de sensations de goût ou d'odeurs dans le cas des lésions du
des lèvres et les mouvement ? de gurtation que l'on observe avec la sensation d'odo- rat pendant a l'état de rêverie » des at
tifs. Le docteur James Anderson 1 a cepen- dant publié un cas d'une sensation d'odeur et de goût particulière avec une tumeur
ncer ou d'approcher un fer chaud. produisait des signes évidents de sensations comme de l'autre côté. Cet état persista les de
és à l'excitation sensitive ; mais cela ne tient pas à un défaut de sensation , car l'attention de l'animal est attirée aussit
. Anzer, Jomm. Med. Se. 1884. » Cortical Localisation o f cutaneous sensations , 1888. ' ZMr Lehre von de)' Localisation des Ge
nt parti- culier. De ces impressions, les plus importantes sont les sensations visuelles et les impressions comprises générale
'acte volon- taire luit-même. - - Je prétends que les centres des sensations qui accompagnent l'ac- tion musculaire et qui f
démontrer que l'action volontaire n'est pas nécessairement liée aux sensations actionnées par le mouve- ment lui-même. On pe
nt infiniment moindres que si elles étaient gui- dées aussi par les sensations nées des mouvements eux-mêmes. Par le sens musc
ni vus ni sentis. Mais quoique dans les conditions ordinaires les sensations de mouvements sont l'accompagnement invariable de
rganiquement, ils sont ana- tomiquement différenciés des centres de sensation générale et spéciale. CENTRES FRONTAUX. La
llard qui s'étend comme un voile devant les yeux. La durée de cette sensation , qui peut être fugitive, est très variable, ell
cille entre cinq minutes et une demi- heure. Parfois, il existe une sensation de vertige beaucoup plus accentuée, qui peut, p
lisées et profuses, des fourmillements; quelques sujets accusent la sensation d'éclairs devant les yeux. Lorsque ces phénomèn
morbide des sen- timents. Or les sentiments accompagnent tantôt nos sensations et sont alors appelés sentiments sensoriels ; t
VUE ANALYTIQUE. s'alimente presque exclusivement dans leurs fausses sensations gé- nésiques, aboutissent comme les autres à la
iège des phénomènes mentaux. Comme le dit M. Binet : « Qu'on ait la sensation du rouge, ou qu'on ait le souvenir du rouge, ou
t dire que l'hallucination est une idée délirante elle-même devenue sensation . Mais, pour que ce développement puisse s'effec
giques, mais serviront à l'étude des actes psychiques, tels que les sensations , l'action, l'association des idées, les souveni
14 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
c'est là sans doute la cause des visions de femmes à la suite d'une sensation olfactive favorable à l'excitation sexuelle. Ce
ne impression ; mais cette pression quoique forte ne produit qu'une sensation obtuse et non pénible. ' 1 ' z ' La pression
malade perçoit bien la piqûre, mais la 24 1 " PATHOLOGIE MENTALE. sensation qu'il restent n'est pas douloureuse et il n'accus
sensation qu'il restent n'est pas douloureuse et il n'accuse que la sensation de l'ongle qui tracerait une ligue sur la peau. E
La sensibilité à la température est conservée; il apprécie bien la sensation des corps chauds ou froids. Le réflexe de la pl
e se fait par intervalle et par jet sans cependant qu'il éprouve la sensation du besoin. C'est l'émission par regorge- ment.
ur moi. Les souvenirs ne sont pas un phénomène aussi simple que les sensations ; leur théorie beaucoup plus com- plexe est loin
re les souvenirs, de les distinguer soit des imaginations, soit des sensations présentes et de les localiser à tel ou tel poin
ons inconnues laissées par les sen- sations et les souvenirs de ces sensations seront matérielle- ment détruits d'une façon ir
, n'est pas due à la des- truction même des traces laissées par les sensations . En d'autres termes, dans toute amnésie hystéri
ie. Ainsi que nous l'avons vu dernièrement, il ne suffit pas qu'une sensation isolée, simple, soit produite dans l'esprit pou
appréciée par le sujet. Il faut, pour la conscience complète d'une sensation qui s'exprime par le «je sens», qu'une nouvelle
re. . 44 clinique nerveuse. qu'une sorte de synthèse réunisse les sensations produites et les rattache à la masse des idées
nelle saisisse cette image et la rattache aux autres souvenirs, aux sensations nettes ou confuses, exté- rieures ou intérieure
n de sa percep- ception personnelle les images des couleurs que les sensations des couleurs. Quelquefois aussi on peut faire u
si l'on suggère très fortement au sujet qu'il éprouve une certaine sensation tactile, un chatouil- lement, par exemple, sur
constaterez une sorte de loi d'une application assez régulière; les sensations et les images de la même espèce semblent associ
nons le schéma qui nous a servi dernièrement, nous pouvons à chaque sensation élémentaire T T' T", M M', etc., associer les i
de ce fait : la percep- tion personnelle P P quand elle saisit les sensations M' V V' A est en même temps capable de saisir l
isir les images associées m' v v' a, au contraire en négligeant les sensations TT' T" elle perd en même temps les images t t'
d'une manière bien plus compliquée. La disparition d'une certaine sensation et d'une certaine image peut bien ne pas donner
r continuellement dans une même perception person- nelle toutes les sensations et les images, semble choisir pour les perce- v
e cette association des images et des sensa- tions, comme celle des sensations tactiles et des mouvements, est une association
itable destruction des phénomènes psycholo- giques élémentaire, des sensations ou des images ; il n'y a toujours qu'une impuis
'un ennui, d'une répdmande légère, il éprouve des suffocations avec sensation de constriction au niveau de l'estomac et de la
e ce fait de ceux de Berlin, c'est que le patient ne ressent pas de sensations désagréables, se prête volontiers à ce qu'on lu
la vue normal, avec ii)té-riLédufi)nd d3 l'oeil. Gra- duellement,, sensation d'engourdissement dans les doigts de la main ga
ssagère des extrémités' où parésiesinter- vallaires des doigts avec sensations désagréables; bientôt les flé- chisseurs de la
anties et assure que l'organe malade modifie ou supprime toutes les sensations en rapport avec lui, de même nous pouvons, chez
mparé à celui- là, s'il arrivait à débarrasser les aliénés de leurs sensations , senti- ments, impulsions, conceptions anormaux
on contre toutes les anomalies de l'humeur et de l'affectivité, les sensations d'angoisse, les impul- sions pathologiques, sex
ralt. l'amblyopie transitoire. 205 Le malade dit que, pendant une sensation de malaise, il voit apparaître devant l'un de s
té où siège la migraine. Quelquefois pendant l'accès le malade a la sensation que son oeil est poussé au dehors, ou au contra
x, après avoir éprouvé des attaques com- plètes) consistent dans la sensation d'étincelles brillantes et ins- tantanées"accom
is avec moins d'intensité, l'autre côté. Plus tard, surviennent une sensation de vertige, des nausées et des vomissements, qu
r dans un oeil; et parfois, dans ce même oeil, le malade accuse une sensation de tension (Finck) ou de battement de pouls (Ga
lade avait, un est mort t 1 « Le malade commençait par éprouver une sensation d'anxiété à la région précordiale, puis survena
na- sale. Dans ce dernier cas, le malade disait qu'il éprouvait la sensation d'un grand rond noir, qui l'empêchait de voir e
issement débutait toujours parle petit doigt de la main et du pied ( sensations de froid), puis se généralisait à toute la moitié
ntier le champ visuel. Les cas où le malade dit de n'éprouver autre sensation que d'un simple obscurcissement de z la vue (ex
t, en général, des troubles loca- lisés de la sensibilité générale ( sensations d'engourdissement, de fourmillement, etc...) ou
r les troubles de la vue, tels que les éblouissements passagers, la sensation de brouil- lard ou de véritables petits scotôme
es ordinaires de tous les paroxysmes (batte- ments dans les tempes, sensation de boule, etc...), on note presque toujours l'e
l'orbite et devient très vive. En même temps le malade éprouve une sensation de tremblement de l'aile du nez ou d'autres tro
es cercles colorés, et ils perdent connais- sance lorsqu'ils ont la sensation que ces corps brillants vont arriver sur eux. L
. 220 . CLINIQUE NERVEUSE. devient prédominante, même sans que la sensation vertigi- neuse proprement dite existe. - . Il
surviennent à intervalles plus ou moins longs, et consistent en une sensation parti- culière de fourmillement et d'engourdiss
érisés par la douleur au niveau de la région pariétale gauche, avec sensation de poids et de chaleur, par la pâleur du visage
nnaissance, morsure de la langue, quelquefois miction involontaire, sensations parti- culières au creux épigastrique, comme ch
x deux yeux. Depuis environ trois ans, accès d'engour- dissement et sensation de froid et d'impuissance motrice au pied et à
n oeil droit. Jamais de véritables migraines, mais très souvent une sensation de pesanteur à la tête, fatigue de l'intelligen
ressentit tout à coup un engourdissement de la main gauche ; cette sensation pénible gagna bientôt le bras, l'épaule, puis le
tissus, comme les paralysies, les convulsions, les anomalies de la sensation . Nous sommes maintenant en état de comprendre p
aux qui commandent et enregistrent leurs facultés motrices et leurs sensations . . Bien que nous soyons peu renseignés sur la c
re. Les caractères de l'aura ou prodrome de l'accès, tels que les sensations de rêves ou états intellectuels similaires, les i
appareil POUR la PERCEPTION DES PHÉ- NOMÈNES lumineux au MOYEN DES sensations thermiques ET DU sens DU lieu; parK. Noiszewski
à ce que la personne en expérience déclare égale la température des sensations thermiques auxquelles elle est simultanément so
, sont aussi doués à un haut degré de la propriété de localiser les sensations thermiques. Ces endroits sont : le bout des doigt
ant à la distance, deux de nos individus pouvaient perce- voir deux sensations thermiques écartées de 1 millimètre (extrémités
érentielle normale pour le tact et la température, percevaient deux sensations 'écartées de 10 millimètres (extrémités des doi
nscience de ma personnalité. Le pis est que j'analyse très bien mes sensations , mes émotions et que je m'en effraie et m'en ré
s tour à tour. Enfin il y a en moi un terrible amalgame d'idées, de sensations , de faits, de gestes : je n'explique plus rien.
sthésies par rétrécissement du champ de conscience personnelle, les sensations pouvant toutefois donner lieu à des réactions é
tout le trajet, un ma- laise qui va croissant. Dans l'estomac, la sensation devient très doulou- reuse, les bruits et les m
lesbruits, tous les sifflets de chemin de fer lui donnent les mêmes sensations pénibles et lui chargent l'estomac. Les mots, dit
s dans les membres surtout en correspondance des articulations, les sensations de fourmillements, dont elle souf- frait depuis
aque épileptiforme constituée comme il suit : lme Gi... annonce une sensation de fourmillements au bout des doigts de la main
dans des fournaises ardentes,... etc. Souvent elle éprou- vait une sensation de serrement au sommet du sternum; d'au- tres f
urvenaient le matin vers sept heures. Elles étaient précédées d'une sensation de suffocation, 11m° Gi...perdait complètement
marteau ni ici, ni dans aucun autre endroit du crâne, ne donne de sensation douloureuse. Motilité. - Mm° Gi... accuse de la
e répond avec rapidité aux demandes qu'on lui fait, elle décrit ses sensations avec beaucoup de précision, elle a une mémoire
DU cerveau. 393 et à la langue. Au commencement du mois de mai, la sensation d'engourdissement continua à perdre la tendance
sie sensitive, il ne reste plus à ^présent (13 août) que les vagues sensations de fourmille- ment qu'elle éprouvait depuis son
ccès épileptiformes sont constitués par deux phé- nomènes : a), une sensation de fourmillement et d'engour- dissement ; - b),
é du corps sur lequel G... était resté couchée pendant la nuit. Ces sensations , après être restées pour un certain temps systé
cette névrose. A présent nous devons nous demander pourquoi cette sensation anormale s'est systématisée pendant si longtemps
gnèrent de faiblesses qui lui survenaient subite- ment, il avait la sensation de la défaillance, il était obligé de s'asseoir
t pas d'une bonne santé. Il se plaint de fréquentes faiblesses avec sensation de défaillance ; il a tous les matins des accès d
lose '. Dès cette époque, Cha... est sujet très fréquemment à des sensations de défaillance qui l'obligent à s'asseoir et à in
ce qui l'obligent à s'asseoir et à inter- rompre son travail; cette sensation se présente sous une forme d'accès et s'accompa
t s'accompagne de céphalée, de diplopie et d'étour- dissements. Ces sensations sont-elles dues à l'anémie céré- brale consécut
tysie grave et accès de céphalées, diplopie, étourdissements avec sensation de défaillance; enfin, crises convulsives avec
ique au grand complet, à savoir la boule qui remonte à la gorge, la sensation de suffocation, le sitflement dans les oreilles
, le sitflement dans les oreilles, le battement dans les tempes. La sensation de défaillance a été poussée jusqu'à la perte d
e de carbone et une solution saline très forte n'ont produit aucune sensation . 410 PATHOLOGIE NERVEUSE. L'anesthésie était
entit au mollet de la jambe gauche une crampe très douloureuse, une sensation de froid qui envahit très rapidement la partie
soir à huit heures, il ressentit dans la jambe et dans le bras une sensation de chaleur, en peu de minutes le mouvement revi
plètement dans toute la moitié gauche du corps. On n'obtient pas de sensation de chaleur avec le. thermo-esthésio- mètre chau
rale est ici d'une netteté remarquable. Crampes au mollet gauche, sensation de froid qui gagne rapidement toute une moitié du
amment les attaques et qu'il s'accompagne tou- jours d'une profonde sensation de frayeur. Bal'... se réveille en sursaut, ter
lace promenée sur la surface de la peau à droite ne provoque aucune sensation de froid. L'applica- tion du thermo-esthésiomèt
tion du thermo-esthésiomètre chauffé à 55 degrés ne donne pas de sensation de chaleur; à 85 degrés il réveille par-ci par-là
n de chaleur; à 85 degrés il réveille par-ci par-là une très légère sensation de chaud, qui n'est même pas douloureuse. Il y a
ue, rapprocha le scotôme scintillant de la migraine, accompagnée de sensations visuelles, que Purkinje et Brunton ont décrite
e cerveau. Ce sont les troubles du langage et de l'intelligence, la sensation de vague et de vide, parfois le vertige, c'est-
que lors de l'amblyopie binoculaire centrale et péri- phérique, les sensations de nuage, de scintillement, etc., sont plus for
s. Quelquefois encore apparaissent des névralgies oculaires, ou une sensation de tension dans l'oeil, qui pourraient faire so
ure et même plus. Les douleurs de tête, compliquées parfois d'une sensation de vertige, surviennent généralement sur un point
mple lorsque l'accès survient après un jeûne prolongé et pendant la sensation de faim, ou même sans cause appréciable, le tro
rait au malade, d'après la loi de la projec- tion extérieure de nos sensations , le phénomène du scotôme et parfois du scintill
qui pourra encore être très utile contre la migraine), ou pour une sensation instantanée de froid sur le visage. INDEX BIBLI
son esprit tout le système énorme de souvenirs, d'images et même de sensations auquel il était lié. Même la sensibilité tac- t
nt aussi déter- ~ minées par les circonstances extérieures, par les sensations que nous éprouvons, par tout ce que nous pouvon
rent et que l'idée d'un ballet de l'Opéra ne s'accorde pas avec les sensations visuelles que vous éprouvez. Le développement d
tout une certaine faiblesse dans la volonté, dans la perception des sensations et des souvenirs, il y en a chez qui l'amnésie
ès peu de choses à la fois. Il en est de leurs actes comme de leurs sensations et de leurs souvenirs. Ainsi que nous l'avons v
: sa conscience trop étroite ne renferme plus les souvenirs et les sensations antagonistes, elle oublie qu'elle est l'hôpital
es et impersonnels, plus d'hallucinations en contradiction avec les sensations réelles ' ; 2° en même temps, vous voyez que l'
de ne plus bégayer à son réveil et on lui suggère de percevoir les sensations à gauche. Dès qu'il est réveillé, il prononce t
caliser avec précision les mouve- 51 CORRESPONDANCE. ments et les sensations corrélatives. Le D'' W. B. Ransom a rapporté un
utre voie à une conclusion iden- tique, c'est que les phénomènes de sensation et les phénomènes de mouvement sont inséparable
15 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
n qu'il s'agissait d'une pure suggestion. Car, s'il s'était agi d'une sensation gustative désagréable, le sujet aurait reconnu le
is à quatre minutes. Huit jours après sa sortie de l'hôpital, cette sensation continue, les coliques et la diarrhée avaient dis
de départ. Toute expression intestinale, la digestion, réveillait la sensation . Pourquoi, pendant quelque temps, la douleur s'es
ssent et qui sont acceptées par lui. Ces idées deviennent mouvements, sensations , images, émotions, actes ; la transformation idéo
n épigastrique et la région précordiale où les malades accusaient des sensations douloureuses. Dans les cas d'anesthésie hystéri
mois, d'après Garbini, le sens chromatique commence à être excité. La sensation du rouge se développe d'abord en môme temps que c
t qu'ils ne sont pas influencés. L'auto-suggestion les domine ; leurs sensations douloureuses ou leurs idées personnelles les obsè
tête à la maintenir. Le 14 et le 15, le malade accuse, de plus, une sensation de brûlure en urinant; il urine souvent, dit-il,
peu à la fois. Les urines sont d'ailleurs claires et normales. Cette sensation de brûlure est-elle l'effet d'une auto-suggestion
réveil. Mais jusqu'à présentée n'ai rien pu obtenir par l'hypnose. La sensation douloureuse est incarnée dans son cerveau. Consci
; aussitôt que je touche la région affectée, on voit qu'il évoque la sensation douloureuse et contracte ses traits. Au réveil, s
uf, au début, des tiraillements et des brûlures d'estomac. Plus tard, sensation de gêne, de pesanteur, de plénitude de l'estomac,
s, du délire, du mouvement, quand elle perçoit de la sensibilité, des sensations ? Pas plus que nous voyons à l'œil ou au microsco
tre garçon l'idée de lombric suffit à extérioriser dans l'abdomen une sensation qui n'est qu'un réveil de douleur, souvenir créé
ant de tousser, c'est-à-dire depuis près de quatre ans, il accusa une sensation douloureuse dans le poignet gauche et la face ant
e dans le poignet gauche et la face antérieure de l'avant-bras. Cette sensation a persisté depuis, augmentant surtout depuis un a
que le point n'existe pas, le malade éprouve toujours à ce niveau une sensation de brûlure. Depuis un an, il sent le matin, qua
es malléoles. Cette douleur est très vive; le malade la compare à une sensation d'arrachement de bas en haut, quand elle s'exacer
l n'a jamais eu de douleur dans la jambe droite. — Depuis 8 mois, ces sensations douloureuses l'empêchent de dormir ; il dort en p
ou artérielle par endartérite ou endo-phlébite peut donner lieu à des sensations douloureuses, à de l'engourdissement, à des cramp
vement qui s'accomplit, « Nous éprouvons, m'ont-ils tous affirmé, une sensation indéfinissable, comme nous n'en avons jamais ress
t sous forme de mouvements d'attraction ou de répulsion, ou encore de sensation de contact à distance; 2e Sur les objets inanim
it qu'apporter sa contribution propre à l'ensemble des perceptions et sensations d'origine externe ou d'origine interne qui peuven
on du vertige, j'ai constamment vu confondre l'état vertigineux et la sensation vertigineuse ; et j'ai du établir qu'on pouvait p
, etc., qui sont des états nerveux non localisés, tandis que d'autres sensations internes, coliques, crampes, palpitations, etc.,
mites d'une certaine force d'excitation maxima et minima, de même les sensations internes, localisables ou non, exigent un certain
lère, de faim, de soif, etc., sont des états bulbaires, tandis que la sensation de vertige, de nausée, etc., sont des perceptions
lle-ci n'est le plus souvent, au moins en matière de sentiments et de sensations internes, que le reflet conscient de l'autre. C
me que le vertige « tenait trop de place » dans son bulbe, de même la sensation du vertige tiendra trop de place dans sa cortical
veux non localisables que nous connaissons surtout comme une sorte de sensation générale de même ordre que le vertige ou la colèr
articulier que l'on appelle si exactement la « petite mort ». Cette sensation de suspension de la vie, d'effondrement, d'évanou
anesthésie qui s'accroît à mesure que s'approche la syncope, — cette sensation , de même nature que l'oppression et le ver-lige,
danger semble faire inhibition non sur la peur elle-même, mais sur la sensation qu'on en peut avoir. De même que notre rétine peu
ia de parler momentanément d'autre chose, parce que, disait-il, cette sensation s'accompagnait parfois chez lui d'une peur folle,
lle avec vertiges passagers, me disait que son vertige lui donnait la sensation qu'elle n'existait plus « de corps » et qu'elle r
ce absolu est chose rare ; et cependant, qui ne connaît la singulière sensation que nous fait éprouver, au milieu du bruit de
ouver tous les éléments d'une phobie vraie. Nous avons distingué la sensation de peur, de la peur elle-même ; nous avons fait d
est ébranlée lentement par les vibrations des cloches. On ressent la sensation d'un mouvement de roulis très lent. C'est le rock
illeurs, les contractions ne sont accompagnées pour le sujet d'aucune sensation consciente ; 3° Tendance à la contracture dans le
athématique entre les mouvements de l'opérateur et ceux du sujet ; 5° Sensation diverse que le sujet déclare éprouver dans les pa
éprouver dans les parties visées et dont les plus ordinaires sont la sensation de chaleur pouvant aller jusqu'à la brûlure, les
es sont la sensation de chaleur pouvant aller jusqu'à la brûlure, les sensations de piqûres, sensation de picotement, sensation de
chaleur pouvant aller jusqu'à la brûlure, les sensations de piqûres, sensation de picotement, sensation de fourmillement et sens
squ'à la brûlure, les sensations de piqûres, sensation de picotement, sensation de fourmillement et sensation d'engourdissement.
ns de piqûres, sensation de picotement, sensation de fourmillement et sensation d'engourdissement. Tous les sujets accusent la re
s les sujets accusent la ressemblance de ces trois derniers genres de sensations avec les sensations électriques. En outre, certai
t la ressemblance de ces trois derniers genres de sensations avec les sensations électriques. En outre, certaines parties du corps
. Méthodologie psycho-physique. Loi de Fechner. Physiologie des sens ( sensations musculaires et organiques, le toucher, l'ouïe, la
Buts. Méthodes. Observations et expériences. — Psychologie des sens, sensations et idées, mémoire. — Lois de l'association. — La
science de la connaissance — Action de l'imagination — Sentiments et sensation , les sentiments esthétiques, éthiques et logiques
nts esthétiques, éthiques et logiques, les émotions et les lois de la sensation . — Le système de la volonté, la conscience de la
lations de la psychologie et du droit criminel. Psycho-pathologie des sensations sexuelles. Grandes névroses (hystérie, épilepsie)
, j'ai souvent réussi à découvrir l'attitude précédente par la faible sensation d'une courbature des membres. Enfin, j'ai fait de
git ordinairement que de peu de moments avant le réveil. En outre, la sensation d'une faible courbature annonce, dans beaucoup de
de froid) et, conformément aux lois psychologiques, on interprète ses sensations isolées selon ses expériences générales, c'est-à-
estreint en rêves, l'attention est très souvent attirée sur une seule sensation sans être contrôlée par la comparaison avec d'aut
seule sensation sans être contrôlée par la comparaison avec d'autres sensations , ainsi on exagère la sensation isolément conçue.
ôlée par la comparaison avec d'autres sensations, ainsi on exagère la sensation isolément conçue. Or, la sensation d'un mouvement
es sensations, ainsi on exagère la sensation isolément conçue. Or, la sensation d'un mouvement d'un membre est, sans doute, celer
ent d'un membre est, sans doute, celeris paribus, plus marquée que la sensation d'une tension musculaire sans mouvement ; donc, l
la conscience fatiguée qui aime à exagérer ce qu'elle sent conçoit la sensation indistincte (qui dépend, en réalité, d'un membre
es sens; aussi en réve ou la fatigue domine, nous nous expliquons nos sensations mus culaires par des images d'autres personne
. J'ajouterai que dans le dernier exemple, très vrai-sembablement les sensations cutanées collaborent avec les sensations musculai
, très vrai-sembablement les sensations cutanées collaborent avec les sensations musculaires. Sans doute, ce fait — des nombres rê
ns musculaires. Sans doute, ce fait — des nombres rêvés à cause d'une sensation aux doigts — accuse la relation infinie qui exist
atigue le sommeil est profond, mais pas assez pour qu'il exclut toute sensation périphérique et toute interprétation de celle-ci,
indistinctement du membre en question sans être capable d'associer sa sensation à la notion du membre et de sa propre personne ;
le second cas. Enfin, à quelques moments du sommeil, les centres des sensations doivent être plus fatigués que ceux de la pensée
e abstraite ; voilà la raison pour laquelle quelquefois, en rêve, les sensations cutanées et musculaires des doigts disparaissent,
tomatiquement, à éveiller sa conscience, en un mot à trhnsforrner une sensation non perçue en ^perception. Dans un grand nombre
ste, le sujet peut avoir des rêves visuels et des hallucinations avec sensations de lumière. Si 2 persiste 1 étant détruit, il aur
cas de gustation colorée. Les odeurs peuvent réveiller très vives les sensations visuelles d'objets en rapports avec eux. etc., et
à la tête, je recherchais toutes les occasions qui font éprouver des sensations agréables, les bals, les soirées et le flir-tage.
nsciente disparaîtra à son tour. Ce sommeil s'étend du mouvement à la sensation . La deuxième période de la chloroformisation es
nsi, quand on nous chatouille, le réflexe est la règle ; c'est que la sensation ne passe que par la moelle et les centres subcons
ion musculaire, et non pas à un effet dans les centres nerveux, à une sensation par exemple, puisque le nerf moteur, comme nous l
les causes occasionnelles. Mais l'idée, quelle qu'elle soit — idée de sensation , idée de mouvement, idée d'émotion, — une fois ac
sme. Quant aux causes de l'idée, elles sont innombrables, car toute sensation peut être le point de départ d'une névrose psychi
s violents comme arracher les cheveux aux personnes de son entourage. Sensation d'étouffement, d'étranglement, le tout durant de
fluence dc la suggestion sur les fonctions de la vie organique et les sensations internes. — La circulation et la respiration chez
is à dix heures et demie du matin, des leçons sur la pfiysiologie des sensations . M. Jules Soury, maître de conférences, fait, l
ions frontale et temporale droites. Ces douleurs commençaient par une sensation de gonflement à la poitrine, puis au cou ; elle a
yeux constamment attaches sur l'ennemi deviné, étranger à toute autre sensation , insensible aux caresses, sourd à la voix de ses
16 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
la répulsion, la tristesse du chloroforme : l'air irrespirable et la sensation de mort prochaine. On peut donc dire que chaque
dans la suite à ce point de vue, nous avons toujours observé que les sensations étaient perçues nettement et pour ce qu'elles éta
t de même pour les substances sapides, les excitations auditives, les sensations cutanées. Les réponses des malades étaient toujou
qui se passe dans son cerveau. Il en est à peu près de même pour les sensations de température. Une impression de froid la fait f
ouvre la tête et les épaules d'un châle imaginaire. En présence d'une sensation de chaleur, elle fait le geste de se dévêtir, ess
rmale, les excitations sont perçues, mais elles ne produisent que des sensations justes, justement interprétées par le sujet qui l
tions complexes qu'il perçoit peut-être. Au contraire, donnez-lui une sensation simple de couleur, de son, de rhythmc, de goût, d
là aussi le mécanisme est analogue et qu'il y a eu plus qu'une simple sensation . Quoi qu'il en soit d'autre part de l'interprét
et de varier avec chaque malade qui interprète à sa façon chacune des sensations qu'on lui fait percevoir. De l'influence des ex
la volonté de l'opérateur, le malade interprétant à sa manière chaque sensation perçue. Lorsque l'un de nous vint à Paris, muni
t laissées exclusivement à l'initiative du malade, qui s'approprie la sensation perçue et la transforme à son gré en une hallucin
tomba par terre sans connaissance, sans avoir été prévenu par aucune sensation particulière. Il se releva au bout de quelques in
et on s'aperçut que le malade percevait ce son et s'appropriait cette sensation pour en faire le point de départ d'hallucinations
qui concerne le contact, la douleur et le sens musculaire. Quant aux sensations thermiques, il y a une sorte d'inversion. Le chau
sées suivies quelquefois de vomissements par régurgitation, frissons, sensations de chaud et de froid. A cela s'ajoute une sorte d
anesthésique à l'état de veille; aussitôt le malade manifeste que la sensation est perçue, en faisant une grimace, et en portant
teur m'envoie, sans doute. » Cherchant si le malade extériorise ses sensations , on place un prisme devant l'œil gauche. Le malad
. Dans son premier mémoire, il écrit, à propos de sa malade, « que la sensation n'est éveillée en elle qu'autant que la cause qui
consiste dans la preuve qui nous est donnée de notre existence par la sensation de nos organes, nos réactions physiques vis-à-vis
rieur, provoque le réveil subit, ou le retour à l'état normal, avec sensation douloureuse, aggravée par le dépit d'être ramenée
ela vient sans doute de la conservation chez lui de la cénesthésie ou sensation intime de ses organes vitaux. M. Ch. Richet établ
mésaventures. Charcot, t. ii. 17 Mais ce n'est pas tout, et cette sensation de bien-être dans laquelle se trouvent la plupart
s le flanc droit, d'ascension d'une boule à l'épigastre et au cou, de sensation de strangulation, de battements dans les tempes,
nstatait : Ja perte des réflexes rotuliens, le signe de Rotnberg, une sensation de constriction en ceinture et une incoordination
es. Le malade se plaint d'engourdissement dans les deux jambes, de la sensation imparfaite du sol (il lui semble qu'il marche sur
pas très vives et attirent peu son attention. 11 ressent en outre une sensation de lourdeur. S'il appuie un instant, ses bras res
prouve des agacements, des fourmillements permanents dans les jambes, sensations qui n'ont, dit-il, rien d'analogue aux crises dou
tôt un peu d'hypéreslhésie et un peu de retard dans la perception des sensations . Pas de crises laryngées ni gastriques. Le goût,
pieds, les jambes et les mains, qui le gênent pour s'habiller. 11 ala sensation subjective de la perte, de l'absence de ses pieds
t occupe les deux premières phalanges des doigts. Enfin il accuse une sensation de gonflement et d'engourdissement dans la moitié
t d'engourdissement dans la moitié inférieure du visage. Toutes ces sensations sont purement subjectives et ne correspondent à a
te. —Hémiplégie gauche sans participation de la face. — Vertiges. — Sensation d'entraînement à gauche. — Mort. —Autopsie. — T
voir commencé à sentir « comme du coton » sous son pied gauche. Cette sensation a disparu vers la fin de janvier, une dizaine de
pour calmer les vertiges que pendant la nuit, le malade ne ressent ni sensation vertigineuse, ni sensation d'entraînement vers la
e pendant la nuit, le malade ne ressent ni sensation vertigineuse, ni sensation d'entraînement vers la gauche. Il peut occuper da
debout ou marche-t-il, le vertige est immédiatement accompagné d'une sensation d'entraînement vers la gauche. Il disparaît compl
s, il commence par se caler sur le côté gauche (dernier vestige de la sensation d'entraînement à gauche, qui disparaît). Puis, si
e regarder. Rien d'autre n'est ressenti par le malade assis, quand la sensation de vertige qu'il éprouve toujours est ainsi à peu
nde partie attribuables à sa diplopie ; toutefois il s'y joignait des sensations d'entraînement à gauche, et de plus le vertige ne
ue ses lèvres sont plus saillantes. De plus il a souvent aux mains la sensation de l'onglée et la cyanose y est assez fréquente.
Le mois suivant, il a accusé, dans les bras et les cuisses, quelques sensations douloureuses qui ont cédé au salicy-late de soude
e répète tous les mois. Aura : Secousse brusque du bras droit, avec sensation d'un éclair qui monte du bras à la tête. Très cou
a pouvant se transformer en prodrome éloigné, les mêmes mouvements de sensation se produisant quelquefois la veille du jour de l'
troubles de la sensibilité thermique subjective et aussi à certaines sensations internes, viscérales en particulier. Observatio
es vertiges ; les accès n'en ont jamais été précédés. Consiste en une sensation douloureuse de tiraillement dans la région stomac
tante, ne précède que le plus petit nombre des accès. Consiste en une sensation de vapeur chaude qui monte du cou à la tête et fa
ation de vapeur chaude qui monte du cou à la tête et fait place à une sensation de froid. Observation XL Mal... Caroline, 25 an
e, ne précédant que les accès de moyenne intensité; consistant en une sensation de malaise douloureux, qu'elle ne peut définir en
vec délire postépi-leptique. Aura : Précède tous les accès diurnes. Sensation de malaise, de froid avec frissonnement, d'autant
e variées les auras dans la sphère de la sensibilité. Fourmillements, sensations de chaud, de froid, etc., sont les plus fréquente
Pr Charcot, dans ses leçons cliniques, attirer l'attention. C'est la sensation de colique intestinale avec besoin impérieux d'al
isible même les yeux fermés. Durée: un quart d'heure au maximum. Puis sensation rapide d'engourdissement remontant des bras à la
s à la tête, enfin perte de connaissance et accès. Quelquefois à à la sensation visuelle s'ajoute une sensation auditive : bruit
aissance et accès. Quelquefois à à la sensation visuelle s'ajoute une sensation auditive : bruit de grands coups de marteau. Pr
aitement typique. La crise de migraine est quelquefois accompagnée de sensation d'engourdissement dans les doigts de la main droi
nes auditifs et vertige. Enfin dans les trois autres c'est une simple sensation de vertige, d'étourdissement qui constitue l'aura
suelles de 7 à 8 accès. Aura consistant en un vertige subit ou avec sensation de froid glacial qui envahit la tête, et transpir
'est une «pensée» obsédante à laquelle il est en proie et non pas une sensation auditive. Habituellement il fait tous ses efforts
ns celui d'Echeverria (3), qui date de 1870. Ce dernier mentionne des sensations , des douleurs dans l'estomac, du spasme glottique
des sensations, des douleurs dans l'estomac, du spasme glottique, des sensations d'étranglement. Gowers, beaucoup plus tard, a n
ogastriques, se trouvent des phénomènes douloureux épigastriques, des sensations d'étouffement et dans un cas l'aura rappelle « la
ues, des sensations d'étouffement et dans un cas l'aura rappelle « la sensation bien connue dans l'hystérie, et dans bien des cas
ien connue dans l'hystérie, et dans bien des cas d'épi-lepsie pure la sensation perçue paraît exactement la même que le globus hy
ttente, soit continue et exagérée au moment des accès. C'est de cette sensation toute simple que dérivent toutes les auras abdomi
u ventre ou de l'estomac et remontant à la gorge, où elle produit une sensation d'étouffement. Les manifestations de l'aura cépha
a région épi-gastrique et au cou. Elle paraît à ce moment souffrir de sensations de douleur et d'étouffement. La perte de connaiss
ent les accès de petit mal, mais non d'une façon constante. C'est une sensation douloureuse, vague, remontant de l'estomac vers l
mpter les absences qui sont plus fréquentes. Aura consistant en une sensation de boule qui monte de l'estomac à la gorge et l'é
tervalle de quatre ans (1870-74). Aura constante, consistant en une sensation très pénible de tiraillements dans le ventre, laq
tante, précède les vertiges et les grands accès. Elle consiste en une sensation douloureuse de vide dans l'estomac qui remonte de
ra très manifeste, précédant régulièrement chaque accès de petit mal. Sensation de boule qui remonte de l'estomac à la gorge et b
térique complète, boule montant du ventre et de l'estomac à la gorge, sensation d'étouffement, sifflements dans les oreilles et b
mps pour lui éviter des blessures dans sa chute. Elle consiste en une sensation de malaise, de faiblesse subite, accompagnée d'
t en une crise de battements de cœur très violents, accompagnés d'une sensation de faiblesse générale. Durée variable, mais toujo
onstituent. Ce sont tout d'abord des manifestations d'ordre sensitif: sensations de faiblesse générale, de malaise, puis un troubl
t que de phénomènes cardiaques, les palpitations pouvant produire ces sensations de malaise, de faiblesse générale qui les accompa
as toujours la même à toutes les attaques. Le plus souvent, c'est une sensation de vide dans l'estomac, « comme si elle n'avait p
e n'avait pas mangé depuis un mois. » D'autres fois c'est d'abord une sensation douloureuse de constriction dans les tempes et le
es vertiges, c'est d'abord le vertige avec bruits d'oreille, puis une sensation de goût amer « plus qu'amer * dans la bouche, enf
rnes, se reproduisant tous les mois environ. Aura consistant en une sensation de boule montant du bas-ventre, serrant l'estomac
ours successifs, toutes les trois semaines). Aura consistant en une sensation de constriction dans la région stomacale, remonta
poque des règles. Aura constante avant les grands accès convulsifs. Sensation de constriction douloureuse du ventre et de l'est
partielle au début est anomal, nous retrouvons l'aura hystérique, la sensation de serrement du cou, les bourdonnements d'oreille
17 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
avail, tant à cause de la faiblesse de ses jambes, qu'en raison des sensations pénibles qu'il éprouvait, dans les membres infé
ion également était accélérée (28), mais le malade n'avait t aucune sensation subjective de dyspnée. Ch...mait bon appétit ;
ion des lombes, les tempes et les mâchoires ont été envahis par des sensations pénibles ; elles revêtaient surtout les ca- rac
de. Rappelez-vous cependant qu'il a éprouvé, à un moment donné, des sensations pénibles, assez tenaces ; c'étaient, suivant l'
s forces ont beaucoup diminué et il éprouve du côté de ses bras une sensation de lassitude et de fai- blesse semblable il cel
igts dans la main. Dans le même ordre d'idées nous rappellerons les sensations de raideur survenues à un moment donné de l'aff
ité. I Subjectivement il existe chez tous les trois malades une , sensation de fatigue et de courbature. Troicblesuccso- au
cérébelleuse. Développement considérable des muscles des jam- bes. Sensation de lassitude dans les jambes. Plantes voûtées. Ex
xique, cérébelleuse. Impossibilité de se tenir sur une seule jambe. Sensation de lassitude dans les jambes. Exagération des réf
ne seule jambe ; 1° Démarche ataxique de nature cérébelleuse ; 60 Sensation de lassitude dans les jambes : 7° Exagération d
at de la nutrition des muscles. Aucune dénutrition. Sensibilité. La sensation douloureuse est conservée, les autres formes de
« La rapidité avec laquelle bulles et vésicules se développent, la sensation de cuisson, de brûlure, de vésication qui précède
férieurs. Immobilisation. Douleurs très vives surtout à l'é- paule. Sensations de picotements et de fourmillements sur la main.
ochelle, on essaye l'électrisation qui est extrêmement douloureuse ( sensation d'ostéoclasie) ; on est obligé d'y renoncer. Du r
ulo-cutanés, n'ont pas été explorés. Examen DE la sensibilité. La sensation tactile est conservée et ne semble pas exagérée s
sauf au chatouil- lement, dans la région de l'omoplate droite. La sensation du mouillé est normale. Les objets mis dans la
ns hésitation avec la main gauche. 116 J. SABRAZÈS ET L. MARTY La sensation douloureuse, en revanche, a subi des perturbation
froid en hiver il droite qu'il gauche. Actuellement, il n'a aucune sensation de température anormale, ni d'un côté, ni de l'
e dans ses divers segments que celle du membre supérieur gauche. La sensation au contact d'un corps froid est exagérée dans la
e l'épi trochlée ; au- dessous de ce point la pression provoque les sensations habituelles. La sensibilité électrique est très
lare : « Qu'il vient de ressentir des tiraille- ments violents, des sensations de brûlure intenses et de fulguration le long des
lon qu'il s'agit de phénomènes passifs ou actifs. II y a en plus la sensation d'activité. Est-ce spécialement la sensa- tion
usculaire dans cette acti- vité. J'ai à l'intérieur des segments la sensation de tension, de traction, de pression, de gonfle
s le cas de passivité ; mais quelque chose ne me donne nullement la sensation d'un état musculaire ; c'est une variation de L
de l'activité dans l'at- titude ou dans le mouvement,ou plutôt une sensation d'activité, mais pas plus de sens musculaire qu
nt d'ordre tactile ; elle résulte d'une intensité variable dans les sensations de pression au contact ou de tiraille- ment. Ce
ans les sensations de pression au contact ou de tiraille- ment. Ces sensations sont plus extramusculaires que musculaires à prop
nt ou des segments acti fs, j'ai donc le pouvoir de lo- caliser une sensation d'activité qui s'ajoute à la notion d'attitude, m
que nous faisons pour nous définir à nous-même une perception, une sensation , est avant tout un effort d'objectivation. Il suf
vant tout un effort d'objectivation. Il suffit que l'on analyse une sensation , même intime et profonde, pour qu'en cherchant à
successivement sur les cinq doigts de ma main, j'éprouve une double sensation . D'abord cha- cun de mes doigts, à mesure que m
on champ sensoriel en le diri- geant vers tel ou tel point, j'ai la sensation de ce travail d'attention auquel je me livre, j
ivement, volontaire- ment, avec une variation active d'attitude, la sensation se complique de la perception de l'effort voulu
ion se complique de la perception de l'effort voulu. Il y a déjà la sensation de l'effort exercé, réalisé, perceptible au niv
egment considéré, nous l'avons vu plus haut. Mais il y a en plus la sensation de la volonté employée, de l'effort de réalisat
l'effort de réalisation, c'est à peu près ce que Wundt a appelé la sensation cl'izne ? vation. J'ai d'une part la sensation
ue Wundt a appelé la sensation cl'izne ? vation. J'ai d'une part la sensation des modifications produites au niveau du segmen
tions produites au niveau du segment actif par l'effort musculaire, sensation qui n'est pas plus musculaire qu'articulaire ou
us musculaire qu'articulaire ou cutanée ; mais j'ai d'autre part la sensation de quelque chose de tendu dans le cerveau, la s
tre part la sensation de quelque chose de tendu dans le cerveau, la sensation qu'une partie de ma volonté générale, disponibl
n ce moment en tension, si je puis dire. De quelle nature est cette sensation ? Il m'est possible d'analyser ce que je ressen
'analyser ce que je ressens cérébralement et indé- pendamment de la sensation périphérique et segmentaire de l'effort réa- li
lisé, quand je veux cet effort. C'est,avant tout, la conscience, la sensation de l'exercice de ma faculté d'attention ; je ne
je veux réaliser un geste, un effort moteur, c'est toujours la même sensation cérébrale que j'éprouve, une perception de tens
, d'attention dans la faculté en jeu. Si cela s'appelle volonté, la sensation de ma volonté agissante est la même pour un eff
rception ou d'action motrice. J'ai souvent cherché à analyser celle sensation d'effort nerveux et à voir si elle varie de for
omplexes attributions, si variables selon les points considérés, la sensation de sa mise en travail est également uniforme. E
ù ces effets se produisent. L'ataxique médullaire, dorsal, garde la sensation de la volonté agissante, il n'a plus celle de s
nt qu'il existe un sens musculaire, il ne pourrait naître que de la sensation du mouvement destiné il rétablir l'équilibre perd
né il rétablir l'équilibre perdu. Or, ce mouvement est dicté par la sensation d'une perte de l'équilibre, forcément antérieur
t ce ne peut être que de cet exercice musculaire que naîtraient les sensations d'activité musculaire dont on a cherché à faire
s le tunnel, la fuite en arrière du paysage nous confirmait dans la sensation de la projection du train dans le sens direct;
tunnel, l'image de la projection en avant s'efface rapidement et la sensation produite par cette image anté- rieure se transf
sensation produite par cette image anté- rieure se transforme en la sensation inverse, laquelle éveille l'hallucina- tion sen
hon contre le tym- pan, le malade sans avoir éprouvé ni vertige, ni sensation de constriction labyrinthique, mais seulement u
une plaque congestive au centre de la joue, si le sujet éprouve une sensation persistante de froid et si surtout on constate
tique : apathie, embonpoint naissant, plaque congestive de la joue, sensation persistante de froid, volume amoindri du corps
ls : la nuque est presque complètement dégarnie. Elle éprouve une sensation continuelle de froid. La constipation est opiniâ-
température subnormale ; la voix coassante; la parole traînante; la sensation de froid persistant, dénotent le myxoedème fran
resque journellement dans la matinée un malaise indéfinissable, une sensation de syncope imminente. Bien qu'a un examen très at
son état de santé. Très intelligente et analysant parfaitement ses sensations , elle put me tracer le tableau suivant, qui est
fois. Dans un cas, il était généralisé sauf à la tête, c'était une sensation de chatouil- lement existant d'une façon consta
e anesthésie sensible. Un autre avait eu pendant plusieurs mois des sensations de fourmillement et de brûlure sur la face exte
(Good). Le troisième s'estplaint pendant six semaines environ d'une sensation de démangeaison et de cuis- son sur les deux ép
volontiers « le boléro de Nessus ». Il y avait deux mois que cette sensation avait disparu rapidement sinon brusquement, qua
mais encore de dysesthésie (Wood, l'etrina, etc. [1]), et aussi de sensations subjectives douloureuses comme Von Bechtereid en
rtificielle. ' Cet état morbide, dit-il, est constitué par de vives sensations prurigi- neuses, s'exagérant par accès dans les
tes ou croûteuses, traces de grattage. Si on l'interrogeait sur ses sensations il répétait constamment « non ». On ne peut pas s
a été décelée au moyen d'une épingle à pointe acérée pour éviter la sensation de tact que donnent les eslhésio- . mètres. La
éviter la sensation de tact que donnent les eslhésio- . mètres. La sensation tactile a été éprouvée à l'aide d'un tampon d'oua
u par son seul poids : on évite par ces moyens les erreurs dues aux sensations thermiques que donnent souvent les doigts, et a
ls d'un pinceau. - Il importe enfin de tenir compte d'une part, des sensations plus exquises que donnent les contacts dans les
les différents phénomènes étudiés sous les noms de métamorphose des sensations , contradiction dans les locali- sations, rappel
des sensations, contradiction dans les locali- sations, rappel des sensations , troubles du nombre de perceptions par rapport à
s en planches lithographiques où l'on trouve superposées les quatre sensations avec leurs différents degrés. (Voir Pl . LUI.)
raphie des lrouhles sensitifs dans le tabès ; ses rapports avec les sensations des tabétiques (Sem. méd., 13 octobre 1891, n° 41
ant, le chaud est perçu comme froid et inverse- ment ; la véritable sensation ne s'établit qu'à la longue. Au pied et à la che-
tombée de la nuit ; elles amènent de l'insomnie, elles laissent des sensations douloureuses sur leur trajet. Un an plus tard,
eure. - Anesthésie depuis les pieds jusqu'à la région sa- crée ; la sensation tactile est toutefois conservée sur une bande lar
e est devenue impossible, surtout dans l'obscurité, par suite d'une sensation de fourmillement dans les pieds, accompagnée de p
nsation de fourmillement dans les pieds, accompagnée de perte de sa sensation du contact avec le sol. Il y a trois ans, étaie
u talon sont abolis. La recherche du réflexe plantaire provoque une sensation de brûlure sans donner de mouvements bien nets de
s. La malade éprouve dans les doigts, surtout à la main gauche, une sensation d'engourdissement. La région lombaire est vag
Résistance aux mouvements passifs relativement conservée à droite. Sensation spontanée de fourmillements dans toute l'étendue
toral. Abolition du réflexe rotulien ; pas de fourmillement, pas de sensations sub- jectives anormales. Après électrisation
tendons des fléchisseurs contracturés. Sensibilité intacte ; pas de sensation subjective ; se plaint de respirer diffici- lem
frotte très nettement contre la cavité glénoï- dienne en donnant la sensation de contact de deux surfaces rugueuses ; elle est
rrière, entraîné par le corps, qui, dit-il, a un poids énorme. Même sensation subjective de poids pendant la marche. Le mal
ne de déglutition ; quelques trou- bles gastriques sans importance; sensation de pesanteur. Pas de dilatation de l'estomac ;
ale bilatérale. Le foie et la rate ne sont pas augmentés de volume; sensation de soif continue. Appareil génito-1t1'inaire.
ie guérit rapidement, mais au bout de quelques jours il éprouva une sensation de faiblesse dans le membre inférieur; bientôt
moins vives ; elle ressent dans les seins, le gauche sur- tout, des sensations de fourmillement, d'arrachement que calme la comp
face interne des cuisses et aux fesses. A la plante des pieds, la sensation de chaleur est perçue avec un retard de 3". Obs
travers de doigt au-dessus de l'om- bilic, à gauche la perte de la sensation tactile remonte jusqu'à l'aisselle ; une bande
té dans la zone d'anesthésie crânienne où il y a di- minution de la sensation thermique. B. Face postérieure. - Hypoesthésie
depuis la ligne axillaire jusqu'à la ceinture ; le froid y doune la sensation de chaleur. * Observation VIII. . Desm... (An
, depuis le coude jusqu'à l'extrémité des deux derniers doigts. Ces sensations se retrouvent à l'épigastre et à la région mamm
es nerfs cubitaux. Aux autres parties du corps, excepté la tète, la sensation du froid est plus intense que normalement. B.
descendant aussi le long des bras. Aux autres parties du corps, les sensations thermiques sont perçues plus fortement q i il'é
dème dur des jambes et des pieds, plus marqué à droite, donnant la- sensation du lipome ou du myxoedème, la peau conservant sa
dème névro- pathique, lequel est blanc, brillant, indolore, sauf la sensation de disten- sion des téguments qu'il provoque so
raison de son métier..1 Page de 18 ans, il commença à ressentir des sensations de fourmillement et de faiblesse dans la main gau
langes. Pas de douleur spontanée ni provoquée par la pression, mais sensation permanente de froid sans phé- nomène de l'onglé
18 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
es jours, généralement de 7 à S heures du soir. L'aura débute par une sensation pénîhle nu creux épïgnslrique. le regard devient
'une expression empruntée an langage philosophique. à transformer une sensation non peinte en a/Krception. Cela est tellement vra
inuée, continue encore, avec confusion, a présider à la réception des sensations et au remuement des idées, coin nie avant la form
les autres prenant simplement naissance au pôle d'activité, dans les sensations internes et externes et ilans les maltu-iaiix «le
ement dans la rue. Fut prise d'une crise d'angoisse accompagnée d'une sensation d'étouffement, de constriction à l'épignstre avec
nt se trouver dans une foule, évite les fêtes publiques à cause-de la sensation qu'elle éprouve d'y être enfermée. Les crises d'a
: se roule à terre, jette tout ce qui est a sa portée, éloufiemcuts : sensation de brulùre. pleurs ou rires. Durée 4 h. Depuis
s perceptifs et plus mouvementés. Ces faits de réception latente de sensations an pôle actif île la pensée dissociée, chez les d
e idée toute existante qu'elle est. On sait, depuis longtemps, qu'une sensation n'est perçue au cerveau qu'autant qu'elle est dis
ur les idées dominantes que je viens île signaler, idées qui sont des sensations transformées rt fixées dans l'esprit ; elles rest
ion, retrouver dans les tissus innervés par le grand sympathique, des sensations el des perceptions internes qui leur étaient rest
que des physiologistes ont autrefois donné le nom de tact général aux sensations perçues au cerveau, dont les unes correspondent,
na-gogique. dont l'origine est toujours sensorielle. Quatre fois, une sensation de sécheresse à la bouche ou des besoins mal sati
un vol agréable dans l'air, etc. A l'exception de ces quelques cas de sensations perçues dans le sommeil, et du besoin d'uriner qu
logiques et marquées du sceau de la raison. En dehors des quelques sensations dont j'ai parlé plus haut, et qui y ont été des é
observations ; je dois dire qu'à l'exception de ces quelques laits de sensations vraies, j'ai puisé cent trente-deux fois, pour la
avantage sensorielles que les miennes : c'est-à-dire des rêves où les sensations vraies ne se soient entre mêlées,en plus forte pr
le sommeil en voie de formation et pendant sa durée, des rêves où les sensations réelles se mêlent aux images sensibles remémorées
d'activité de l'esprit, s'y font aussi accompagner même de nombreuses sensations puisées par les dormeurs, autour d'eux et à leur
u moment de la formation et de la continuation de leurs rêves. Et ces sensations , ils les doivent certainement ajouter, comme je l
sentant transporté mollement en l'air, illusionné que j'étais par la sensation des mouvements delà! paillasse elastique de mon l
avec impudeur. Les mana-uvres de l'onanisme semblent lui procurer des sensations très voluptueuses. La nuit, quand elle s'est touc
as plus à un autre qu'à moi. de sortir du cercle rétréci des quelques sensations et idées récentes que l'on a prises autour de soi
été les représentations que je me suis faites des sons et des autres sensations . Ainsi, des détonations que j'entendais, voyant m
es paroles concernant les idées abstraites et non représentatives des sensations . A ce que je viens d'écrire, il y a eu cependan
é de la pensée, sont, chez moi, en petite partie : soit les cflets de sensations perçues en ¦n'endormant ou pendant le sommeil : s
auf des proportions différentes dans l'intensité et le nombre des sensations perçues et des souvenirs remémorés, ces rêves doi
eur réalité, les rêves du sommeil léger sont des liaisons bizarres de sensations perçues et principalement d'idées remémorées, don
ossibilité où sont ceux qui dorment de faire effort pour associer ces sensations et ces idées selon leurs rapports naturels, cl le
u repos, de s'éveiller au moment désiré : bref, c'est tout ce qui est sensation , émotion, idée et qui a la propriété de rappeler
à crier et me pria d'arrêter. Il m'assura qu'il en avait ressenti une sensation si désagréable qu'il ne voudrait, pour tout l'or
ystériques : anesthésie parfaite des globes oculaires et dit pharynx, sensation de boule hystérique..., mais elle n'a jamais eu d
rte douleur; je vous pique : et sans toucher la malade j'ai obtenu la sensation de la douleur: après j'ai dit au sujet : je vais
s-sanl la liste de leurs souffrances e| s'attardaiit u la lecture des sensations olwetlantes qu'ils ont méticuleusement analvsées
xiste aussi des troubles de la sensibilité qui se manifestent par des sensations bizarres : fourmillements, picotements, douleurs
millements, picotements, douleurs erratiques dans les membres. El une sensation de fatigue, de courbature générale 'amyosthénie)
ie biologique : M. Labortle. professeur, le mercredi à 4 heures : Les Sensations et les organes des sens. Cours d'anthropologie
ions relevant essentiellement du domaine de la vue, provoques par des sensations ou idées quelconques, en dehors au moins en appar
elques lignes sont consacrées aux phénomènes de synes-thésîes, où les sensations évocatrices et celles qui sont évoquées appartien
C est ainsi que, chez quelques personnes, certains mots éveillent des sensations olfactives ; chez d'autres, une impression gustat
nes non encore observés. M. Flournov «'occupe ensuite des cas où la sensation visuelle s'organise en une figure, en un symbole,
, notamment dans les cas où. à la faveur d'une forte impression, deux sensations se sont unies d'une façon presque indissoluble. T
sympathique qui est en cause. Voici comment l'auteur l'explique. Une sensation quelconque, par exemple, l'audition d'un bruit, é
ns plus ou moins conscience.et qui est la tonalité affective de cette sensation . En d'autres termes, une sensation, une idée est
est la tonalité affective de cette sensation. En d'autres termes, une sensation , une idée est toujours accompagnée d'un certain é
on, dont l'ensemble est la condition d'une émotion. De même que toute sensation éveille un état émotionnel particulier, de même e
-dire chaque phénomène est capable de produire l'autre. En outre, une sensation différente, mais ayant la même réaction émotionne
uer, par l'intermédiaire de ces modifications organiques, la première sensation qui les accompagne d'habitude. Celte dernière thé
celle-ci perçoit, exactement dans le point visé par l'instrument, une sensation «le fourmillement et de pesanteur bien accusée. Q
lement et de pesanteur bien accusée. Quand on a obtenu cette première sensation en laissant pendant quelques secondes l'instrumen
duquel on aura arrêté l'Instrument. « La distance it laquelle cette sensation peut-être perçue, de même que l'étendue de la sur
grande exaclitode. Cette visualité est tellement prédominante que les sensations auditives, un peu intenses, se transforment imméd
ives, un peu intenses, se transforment immédiatement chez ce sujet en sensations colorées. Il a aussi imaginé des procédés de simp
juillet). Tabcowla. — Trouble de la sensibilité sc produisant par une sensation de sable du côté malade dans un cas d'hérai-cho
connaissons directement que la succession de nos états de conscience. Sensation , motifs divers, délibération, choix et décision,
s et actes sans conscience, pouvoir moteur des images, conditions des sensations , temps de réaction, conditions d'apparition et de
tion de savoir quel est le siège île lu conscience qui accompagne les sensations et les déterminations motrices. « Y a-t-il, dit M
ont le résultat de la sensibilité musculaire el. à ce titre, sont des sensations de mouvement plutôt que des mouvements proprement
z la douleur ». s'il piquait le verre sans bruit, il ifv irait aucune sensation , s'il louchait le verre en produisant un son, hs
gration est suivie rapidement d'une réintégration parfaite, alors les sensations sont vives cl nombreuses; il y a des délibération
affaiblie romrae pour les étals de conscience qui la précèdent. I-es sensations sonl faibles, les images éveillées dans le proces
sus psychiques, depuis les plus simples jusqu'aux plus complexes. Sensations , idées, associations, réflexion, attention, mémoi
ans sa comptabilité. Tant qu'il est à son bureau, il n'éprouve aucune sensation pénible, mais lorsqu'il s'agit pour lui de traver
. Comme on s'est moqué de lui chaque fois qu'il s'est plaint de ces sensations , ¡1 y a longtemps qu'il u en parle plus à personn
n de fer. soit à une certaine distance de chez, lui, il éprouvait une sensation d'anxiété assez pénible, l'n jour, étant arrivé à
nible, l'n jour, étant arrivé à une centaine de pas de sa demeure, la sensation d'anxiété fut si forte qu'il se trouva dans l'imp
st difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation mentale des sensations normales et qui ne sont accompagnées ni de dépres
ifs déterminants. Il a fait un acte volontaire aussi bien qu'il a des sensations , aussi bien qu'il a des motifs, aussi bien qu'il
voque un léger bruit ou déplace un courant d'air dont le sujet ail la sensation , on peut le faire reculer ou avancer, sans qu'on
fférentes parties de leurs corps sans qu'elles manifestent la moindre sensation . Ces expériences n'ont en elles-mêmes rien d'extr
ns de la veille surgissent pendant l'hypnose, et réciproquement : les sensations vraies et suggérées se confondaient : la malade n
l'idée que je veux suggérer, disparition d'une douleur, d'un spasme, sensation de chaleur, etc. Ainsi pratiquée, la suggesti
eil se plaignent de céphalalgie, de vertiges, de lourdeur de tète, de sensations diverses; il en est qui ont des crises de nerfs.
nsité des impulsions que celui-ci envoie aux nerfs moteurs. Certaines sensations ont une action dépressive et inhibitive sur les m
x qui agissent sur eux d'une façon dynamogène et éveillent en eux des sensations agréables ». Va donc pour les amateurs de rouge
excitation particulière et qui montrent une prédominance maladive des sensations de l'odorat. M. Xordau est plein d'horreur en p
assommantes, véritables mémoires écrits sans ordre, au caprice de ses sensations , mais auxquels il attribue une importance capital
llionième puissance ; leur force de résistance aux impressions et aux sensations morales et physiques, est si faible qu'ils sont f
nt profond qu'il détermine une réelle aneslhésic du col vésical. La sensation vésicale est donc insuffisante pour le réveiller;
eur complexité revêtent les modes les plus divers dans les faits de : sensation , perception, mémoire, imagination, raisonnement,
tômes passagers, mais qui avec le temps se consolident et donnent des sensations et des souffrances au nosophobe. comme s'il était
19 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avec le doigt et la piqûre à l'épingle, le pincement, éveillent les sensations normales. La pression sur les masses musculaire
ux. Sur la face antérieure de la cuisse et de la jambe droite, la sensation du toucher existe ; mais le pincement de la peau
st pas douloureuse, sur la face dorsale du pied, la piqûre donne la sensation du toucher; anesthésie et analgésie à la face p
embre inférieur gauche le pincement et la piqûre donnent une simple sensation d'attouchement; cependant la piqûre est perçue
e. L'application d'un corps froid aux membres supérieurs donne la sensation normale,; sur le thorax et l'abdomen le froid e
sur le thorax et l'abdomen le froid et la chaleur ne donnent pas la sensation thermique, mais le malade accuse une piqûre trè
ccuse une piqûre très douloureuse. Sur la verge, le froid donne une sensation de chaud ; sur la cuisse gauche une sensation d
e, le froid donne une sensation de chaud ; sur la cuisse gauche une sensation de froid. La perception des tem- pératures est
r obtuse à la plante des pieds ; la pointe de l'épingle y donne une sensation de chatouillement. Miction et défécation involo
vives quand on passe le bassin sous les cuisses, mais il n'a pas la sensation du froid. Urine neutre, les dernières portions
ésie a notablement diminué au thorax, la piqûre n'y provoque que la sensation à peu près normale, mais l'application d'un cor
faiblemeut. Le froid est bien perçu à l'abdomen et aux cuisses, la sensation y est encore un peu douloureuse. Aux jambes, le
t encore un peu douloureuse. Aux jambes, le froid ne donne que la sensation du toucher. Secousses dans les membres inférieu
plète de l'hyperesthésie cutanée, Encore quelques troubles dans les sensations thermiques ; un corps chaud appliqué sur le côt
s ; un corps chaud appliqué sur le côté droit du thorax donne une sensation de froid. Un corps chaud ou froid ne donne, à la
corps chaud ou froid ne donne, à la face externe des jambes, qu'une sensation de toucher. Il perçoit encore confusément la pi
oquent des douleurs dans le bassin et au haut des cuisses, avec une sensation très grande de pesanteur. Le talon droit est,
loureux dans le bras droit quand il essaie de soulever la jambe. La sensation de cercle douloureux existe, aujourd'hui, au mi
pplication du froid à la cuisse gauche et à l'abdomen pro- duit une sensation douloureuse; elle n'est pas perçue à la 12 1-)
uisses et sur l'abdomen; les corps chauds ne provoquent pas la même sensation pénible. Température du matin, 38°; du soir, 38
l'appétit. Les urines sont acides, fortement colorées. 72° jour. Sensation de chaleur très pénible dans les par- ties infé
à six jours un gramme d'iodure de potassium et il croit que cette sensation de chaleur, qui existait du reste déjà auparavant
bres. 98° jour. Nouvel accès de fièvre avec frissons répétés ; la sensation de cercle autour du bassin n'existe plus. Tempéra
domen et la poitrine détermine de la dou- leur en même temps que la sensation du froid est perçue. Température du matin et du
soulever ses jambes, les mouvements passifs y sont très douloureux. Sensation de chaleur brûlante à la peau sur toute la surf
e du corps. L'injection d'un liquide dans l'esto- mac détermine une sensation de froid pénible au creux épigas- trique, et un
r. Diminution des douleurs et disparition à peu près complète de la sensation de chaleur à la peau. Tempéra- ture du matin, 3
rature du soir, 2°,8. 129° jour. Frissons à six heures du matin. La sensation de chaleur vive dans la cavité abdominale a fai
tion de chaleur vive dans la cavité abdominale a fait place à une sensation de froid. Température du matin, 40°. Le soir, l'a
embres supé- rieurs. Il accuse, à la face postérieure du tronc, une sensation de froid humide comme s'il était plongé dans de
d'un frisson avec tremblement violent des membres ; il accuse la sensation d'un froid intense. La température est à 38°,9.
rée. Le malade, qui est très intelligent et analyse très bien ses sensations , n'a pas remarqué qu'un bruit soudain, une surpri
iques ; traité sans succès par la valériane et l'atropine. Aura : : sensation de piqûre dans la région dorsale. Vésicatoire au
nnue; traitée sans succès par la valériane, l'atropine, etc. Aura : Sensation de chatouillement le long de la colonne vertébr
ce de perle de connaissance. Comme prodromele ma- lade accusait une sensation de chaleur qui lui montait à la tête, parfois p
chaque jour, durant six jours, deux ou trois accès débutant par une sensation de pression montant de l'abdomen, suivis de l'a
e suffisant d'appareils terminaux pour que les centres analysent la sensation et distinguent entre l'intensité de l'excitatio
r et un minimum de sensibilité. Lorsqu'en effet, pour apprécier une sensation cutanée, on est obligé d'augmenter la force d'un
ioste sous-jacent se mettant de la partie. Quant au caractère de la sensation , la piqûre d'aiguille qui ré- sulte de l'excita
et lorsqu'on pressait un peu à ce niveau la malade éprouvait une sensation pénible toute spéciale, il lui semblait qu'elle a
arriver à rendre le sommeil aux psychopathes, à les débarrasser des sensations pénibles intra ou extra-céphaliques qui ifs tour-
tifs non motivés; tout aliment 96 SOCIÉTÉS SAVANTES. provoque une sensation de plénitude pénible, ayant son siège à la régi
yspepsie proprement dite, mais à des phénomènes psychiques et à des sensations anormales. M. Sciiuele ne partage pas l'avis de
même de sa construction, imprimer un progrès à la connaissance des sensations tactiles. 101 SOCIÉTÉS SAVANTES. On parvient
n disposera les choses de telle sorte que l'on puisse exclure toute sensation thermique), la durée de l'expérience. Dans ces
s d'avec la normale, la barre la plus rugueuse ne provoqua pas de sensation de rudesse. Chez d'autres malades ne révélant pas
un patient qui a appris à annihiler son innervation volontaire, la sensation d'une résistance exagérée, et quand cette résis
ion minima, et que c'est à peine s'il existe de différence entre la sensation de résistance qu'on perçoit chez un individu sain
forme dont on fait mouvoir les membres (ab- sence de tonus), et les sensations de résistance qu'on perçoit chez le même sujet,
265. - SOCIÉTÉS SAVANTES. 123 M. Snh : LL prend la parole sur les sensations pathologiques en tant que symptômes de perturba
pathologiques en tant que symptômes de perturbations mentales. Les sensations patho- logiques, jadis peu remarquée;, ont été,
elu (Dysphrénie névralgique), après avoir observé, en clinique, les sensations pathologiques, arrive à ce résultat que le grou
tat que le groupe des perturba- tions mentales, dans lesquelles les sensations pathologiques constituent une partie fondamenta
dont la genèse ne dérive pas d'une lésion encéphalique directe. Les sensations pathologiques relèvent du vaste domaine des hal
e devenait trop épaisse et trop longue. La malade, attribuant cette sensation à ce qu'elle a trop mangé s'abstient dès lors l
ien qu'elles soient saines; on les arrache sans résultats. Mais les sensations pathologiques les plus fréquentes sont celles q
lame d'acier, serpents, grenouilles, démonomanie intra- somatique). Sensations pathologiques des organes sexuels, plus fréquen
ns. La colonne vertébrale est bien moins fréquemment hantée par les sensations pathologiques; elles n'y sont pas non plus auss
aractère de toitures (douleurs, machines). A la tête, on accuse des sensations de tension, pression, plénitude, vide, constric
'eau chaude ou dans l'eau froide inondé de vermine. Périodicité des sensations pathologiques et quant à leur force (exaspérati
u de dépression (deux cas); souvent, dans ces entités morbides, une sensation de douleur et de pesanteur dans les membres emp
sidence, événements imprévus), on arrive quelquefois à modifier les sensations pathologiques, voire à les supprimer pour un te
s (un exemple de persécuté en 1818). Chez maints mélancoliques, les sensations pathologiques disparaissent le soir, l'humeur d
entales. Discussion : M. Hasse. Tous les persécutés éprouvent des sensations patholo- giques. Elles sont fréquentes chez les
M. ENGELKEN connaît depuis douze ans un chiffonnier qui éprouve des sensations pathologiques abdominales. Des magiciens lui so
se place sur le SOCIÉTÉS SAVANTES. 125 ventre pour échapper à ces sensations désagréables, et aussitôt les magiciens se fauf
plus haute classe. Tout effort somatique ou psychique engendre les sensations pathologiques les plus violentes dans la tête,
perte de connaissance, elle éprouvait dans la poitrine une forte sensation d'oppression qui l'étouffait et qu'elle traduisai
sens du toucher (sens de la température, impression douloureuse, sensation de contact, sens de la place, sens de la pesanteu
pense qu'il y a lieu d'établir une distinction for- melle entre la sensation de frôlement et celle de pression et aussi entr
a peau, d'autre part par l'action mus- culaire ; la délicatesse des sensations de frôlement et de piqûre peut se montrer diffé
ns sans cause appréciable, sans qu'il puisse rendre compte d'aucune sensation prémonitoire qui puisse ressembler à une aura;
it sur les images, et aussi une araignée énorme ; il a en outre une sensation de chute dans un précipice. Pas d'hallucination
r le réflexe crémastérien est affaibli ou nul dans la région où les sensations sont émoussées ou abolies. Presque toujours, quan
latiniforme et bosselé. La paroi du kyste (celui-ci vidé) donne une sensation pseudo-cartilagineuse. Les bosselures rappellen
e chromatique aussi bien, et même d'une manière plus intense que la sensation réelle de la couleur. Si, par exemple, on prése
moitiés l'hallucination du rouge, elle accuse sur l'autre moitié la sensation du vert complémentaire. Or c'est précisément ce
n regarde fixement un carton moitié blanc et moitié rouge. 3, Les sensations subjectives. Toute hallucination d'une couleur
ur qui dure un certain temps laisse après elle, comme le fait une sensation de la même couleur, une sensation consécutive de
sse après elle, comme le fait une sensation de la même couleur, une sensation consécutive de couleur complémentaire. Ce phéno
idée persistante d'une couleur complémentaire, comme si c'était une sensation réelle (Wundt) brillante, développe une image con
r. Ces faits nous montrent le rapport étroit de parenté qui unit la sensation , l'hallucination et le souvenir. 4° Mélange des
heures au maximum) ou nocturnes (novembre); malaise très prononcé ; sensation de piqûres dans le côté gauche et vomisse- ment
tobre 1881, il res- sent soudain, en procédant à ses semailles, une sensation d'en- gourdissement avec formications.sur toute
nt derrière elles des ulcérations difficiles à guérir. Actuellement sensation de «brûlure froide dans les deux extrémités sup
pide (des troubles mentaux dans la), par Charpentier. 275, 395. Sensations pathologiques dans les psychoses, 123. Sensib
20 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it/en un ordre déterminé par l'expérience du froid et du chaud ; la sensation cutanée du froid éveille l'idée que l'eau se co
chique et l'interprétation fausse, allégorique et imaginaire . des sensations éprouvées colore défavorablement la nature des
Elles ont pour origine les changements d'état de la conscience, les sensations morbides, et correspondent à l'état d'esprit et
m- pagne d'une modalité sentimentale unicolore qui détonne sur la sensation indifférente, produite par l'idéation nor- male
l'obsession par névralgie ou toute autre 22 '2 clinique mentale. sensation physique d'organes. Invariablement elle arrive
p de tonnerre ; mais le sentiment douloureux, parfois accompagné de sensations névralgiques, qu'elle éveille, la fait triomphe
s de coeur, accélération du pouls, douleurs précordiales, et autres sensations pénibles. Retour incessant des accès d'obsessio
ire, de les trouver exagérés ; demandez alors s'il n'existe pas une sensation anormale de lassitude après une station debout un
n bassin, qu'il roulait dans l'eau, qu'il passait dans des tuyaux ; sensations de chutes. Pendant plusieurs jours, il éprouva
mais rappelant aussi par bien des côtés le délire des dégé- nérés : sensation de vide cérébral, fatigue intellectuelle rapide,
tout ce qu'il y a de vrai dans la doc- trine de la spécificité des sensations , considèrent comme histolo- giquement fondée l
extérieur, recueillie par les sens, est projetée et transformée en sensation . » Jules Souri. Archives, 2' série, t. VIII.
inairement en érection ? '1 M. Magnan. Celui-ci ne recherche aucune sensation tandis que les autres sont des trotteurs. L'idé
s optiques jusqu'au centre visuel cortical. Là s'est pro- duite une sensation consciente : la vision d'une lumière à ma droit
aient plus être déter- minés que par une impression rétinienne. Les sensations venues d'ailleurs, l'excitation transmise par l
voyons que le début se marque plusieurs fois par du malaise, des , sensations de vertige et de fatigue. Le malade de l'observa-
la malade marche devant elle, la physionomie inquiète et avec une sensation de malaise et de fatigue. Dans d'autres cas, ap
e, sans perte de connaissance, sans paralysie, avec seulement une sensation de faiblesse ; ou bien encore il présente une c
iforme nous parait être Je repos. Nous perdons même rapide- ment la sensation de ce mouvement circulaire accéléré, tandis que
ent la sensation de ce mouvement circulaire accéléré, tandis que la sensation de la position du corps par rapport à la vertical
iste. C'est que, dit Mach, les canaux semi circulaires servent à la sensation de la rotation de translation tandis que l'utricu
s. Émaciation, disparition de la force musculaire. Conservation des sensations des mouvements totaux passifs accompagnés de ny
rrêt, se produit le vertige- de rotation ordinaire, c'est-à-dire la sensation opposée au mouvement de rotation du début. Cons
moteur commun, le droit interne de l'oeil gauche est seul paralysé. Sensation auditive abolie des deux côtés, qu'il s'agisse de
vernalis, renforcé par trois séances de suggestion hypnotique. Les sensations anales anormales et la dépression qu'il accuse so
n ; du côté de la sphère psychique, certaine inquiétude, loquacité, sensation de goût et d'odeur désagréables, incohérence d'
ontractures. OBSERVATIONS D'HÉMIPLÉGIE AVEC HÉ\fl.ANESTHÉSIE. 279 sensation douloureuse ou non. Même analgésie pour le thorax
ent les précautions prises. La piqûre fait éprouver à la malade une sensation douloureuse ; quelques secondes après, l'anesth
rvalle, parfois même, elle rapporte au membre infé- rieur droit les sensations qui ont pour origine une excitation périphériqu
membre inférieur sain ; mais il ne semble pas que M... perçoive de sensation dou- loureuse, car, si l'on pique le membre gau
quante-deux ans, éprouvant la - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 307 sensation d'un courant d'air glacé sur la cuisse pendant le
sibilités étant normales d'ailleurs, sauf une hyperesthésie pour la sensation de froid. L'auteur fait à cette occasion une re
re héréditaire, aucun stigmate hystérique, le mutisme, les diverses sensations qu'elle éprouve, et tout son air, indiquent l'h
glande thyroïde, une tachycardie, un tremblement généralisé et une sensation de chaleur dans tout le corps. L'intérêt de cette
a voix intérieure se fait percevoir, accusent des mouve- ments, des sensations spéciales. Ces mouvements sont géné- ralement l
MOTRICES VERBALES. 389 les lèvres. Rien de singulier à ce fait. Ces sensations tactiles et musculaires ne sont que les résidus
articulation des mots provoque. Mais il faut aussi tenir compte des sensations kinesthé- siques variées localisées au larynx,
atoires. C'est qu'en effet au cours de l'articulation des mots, les sensations tactiles et musculaires de la langue et des lèv
propager en ligne droite vers le triangle de Scarpa. Bientôt cette sensation pénible se transforme en une véritable brûlure
ant de l'arcade de Fallope à la partie moyenne de la cuisse ; cette sensation de brûlure s'accompagne de douleurs térébrantes
: douleur précordiale, palpitations, tachycardie, éblouissements et sensation de congestion céphalique, augmenta- lion brusqu
1 mark 30, celui d'éther 1 mark (1 fr. 25) et il provoque, avec une sensation de chaleur plus rapide, une ivresse plus agréab
la question sur son vrai terrain tendaient à placer l'ori- gine des sensations en question, non point dans les muscles, au moi
iqua plus à un sens spécial, mais à une modalité particu- lière des sensations tactiles. C'est Schiff qui émit le premier cette
noms plus en rapport avec les idées nou- velles. L'expression de « sensations kinesthésiques Cl rée par Charlton Bastian est
s à lui adresser ne savent pas s'en passer ». La classification des sensations élémentaires, dont l'ensemble constitue le sens
;, admettait quatre notions élé- mentaires ou quatre modalités des sensations musculaires 6. C'étaient : 1° La notion des mou
x, 1891. ° Nous ne comprenons dans l'étude du sens musculaire ni la sensation pioduite par la pression des muscles, ni la sen
culaire ni la sensation pioduite par la pression des muscles, ni la sensation de courbature qui se produit au niveau des musc
mouvements passifs, la notion de position, la force musculaire, la sensation de pression avec des poids différents, le sens
des poids sou- pesés ressoit seule au sens musculaire tandis que la sensation de pression avec différents poids ressort à la
perception des déplacements successifs. Outre que pour expliquer la sensation du mouvement actif et la ramener à la sensation
e pour expliquer la sensation du mouvement actif et la ramener à la sensation des attitudes successives Cherchewski est oblig
t compte de la position où ce déplacement l'avait amené. Puisque la sensation ^brute de mouvement passif peut exister sans que
mbre soit elle-même perçue, il parait bien diflicile de faire de la sensation de mouvement la résultante de sensations de pos
en diflicile de faire de la sensation de mouvement la résultante de sensations de position qui en l'espèce ne se pro- duisent
ns élémentaires que nous avons énumérées, entre elles et avec les sensations d'autre nature. Pour lui, la sensation de posit
, entre elles et avec les sensations d'autre nature. Pour lui, la sensation de position des membres, la plus facile à explo
membres, la plus facile à explorer cliniquement n'est pas due à une sensation primitive irré- ductible. Une position donnée d
nière générale, cette explication ne saurait être généralisée. La sensation de mouvement passif est un élément irréductible
ent passif est un élément irréductible qui précède dans le temps la sensation de position et de direction. Et ici- se place d
ntes, car elle a pour objet l'étude des organes d'où provient cette sensation simple. Trois sortes d'organes sont àcon- sidér
e qu'elle soit, est im- puissante à nous révéler autre chose qu'une sensation de mouve- ment ; elle ne peut en déterminer les
er les sources. Wundt a dit à ce propos : « L'analyse de toutes ces sensations est particulièrement difficile car c'est leur a
tués à rapporter aux mouvements des parties de notre corps. Chaque sensation élémentaire n'ayant de signification qu'en tant
s, malgré l'e f SENS MUSCULAIRE. 465 fort du biceps on n'a aucune sensation de mouvement, il croit pou- voir établir que le
a aucune sensation de mouvement, il croit pou- voir établir que les sensations musculaires proprement dites n'in- terviennent
es réserves au sujet de cette expérience, Clapa- rède admet que les sensations de mouvement proviennent pour la plus grande pa
ez lui un juste éclectisme, car tout en admettant la suprématie des sensations articulaires il se refuse à dénier toute partic
nsations articulaires il se refuse à dénier toute participation aux sensations musculaires proprement dites. Dans la product
de la notion du mouvement actif il faut faire intervenir les mêmes sensations , mais avec quelque chose de plus. A la suite de
beaucoup d'auteurs avaient été amenés à admettre l'existence d'une sensation spéciale accompa- gnant l'influx nerveux volont
même en qui elle se personnifiait parmi les contemporains admet les sensations mus- culaires périphériques et ne fait interven
les sensations mus- culaires périphériques et ne fait intervenir la sensation centrale et d'activité cérébrale qu'à l'occasio
uvements actifs =. Cherchewski a repris la même idée et pour lui la sensation du mouvement actif est constituée par l'associa
sensation du mouvement actif est constituée par l'association de la sensation d'innervation d'origine centrale avec la sensat
ssociation de la sensation d'innervation d'origine centrale avec la sensation des attitudes segmentaires. Claparède se refuse
on des attitudes segmentaires. Claparède se refuse à admettre cette sensation d'in- nervation et il montre le mal fondé des e
s qui prétendent prouver l'origine centrale du sens musculaire. Les sensations illu- soires des amputés, ou Weir Abitchell ava
paraissaient par la cocaïnisation du moignon. En l'absence de cette sensation d'innervation c'est l'existence de la représent
er et Wundt avaient cru devoir forger une théorie spéciale. » Les sensations fournies par les organes périphériques sont de
lus différentes dans le mouvement actif et le mouvement passif; les sensations musculaires et articulaires sont plus vives dans
des positions successives en- gendrées par ce mouvement même. La sensation ou notion de résistance que Beaunis, partisan con
le cas où un mouvement actif rencontre.une certaine résistance les sensations musculaires et articulaires qui donnent lieu à
ce les sensations musculaires et articulaires qui donnent lieu à la sensation primitive de mouvement acquièrent une inten- si
n primitive de mouvement acquièrent une inten- sité anormale; 2° La sensation kinesthésique qui a coutume d'être associée à c
intervient également, mais elle peut être considérée ici comme une sensation de peu d'impor- tance relativement à celles qui
ette notion de résistance. Dans le cas d'effort, il y a en plus des sensations habituelles qui indiquent la résistance, une sé
ues mots les idées de Claparède. Il n'y a en somme pour lui que des sensations de mouvement, éléments psychologiquement irrédu
hy- siologiquement analysables, et dans la formation desquels les sensations musculaires proprement dites entrent pour une lar
soit de variations' quali- SENS MUSCULAIRE. 467 Î tatives de ces sensations de mouvement, soit de leur association avec d'a
mbreux côtés son travail réalise un progrès sensible. Le rôle des sensations musculaires proprement dites avait en effet été
ement. Pour notre part nous pensons que si dans la production de la sensation brute de mouvement le principal rôle est dévolu
it à ce propos : « La contraction d'un muscle est accompagnée d'une sensation toute particulière qui fait apprécier exactemen
s élevée est seule- ment le fait d'une variation quantitative de la sensation et que la notion de désaccord entre les associa
mentale, sans un jugement. Or il nous parait que dans le fait de la sensation de résistance, aucun jugement n'intervient si,
t seulement nécessaire quand il s'agit de comparer entre elles deux sensations de résistance données, comme par exemple dans l
ée. Mais cette image motrice ne peut être elle-même qu'un résidu de sensations musculaires antérieurement perçues. Or, ' .1. P
ience, d'une représentation mentale et ce que les auteurs appellent sensation d'innervation, entendant par là la sen- sation
ne lui offre aucune résistance sous les pieds et lui donne la même sensation que du sable. Eugène X... éprouve des engourdisse
quels rien ne fait, l'anurique devient hypochondriaque, éprouve des sensations pénibles dans le périnée, ne pense qu'a sa vessie
Quatre semaines plus tard, dans la même région, diminution de la sensation de contact ; le patient sent et localise une fort
a pérityphlite, avoir REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 499 perçu une sensation de velu au milieu de la même région ; depuis il
; des paresthésies de la moitié gauche de la face (engourdissement, sensation de peau adhérente) ; une diminution de la sensi
; enfin, au bout de quelques jours, parésie de la jambe gauche avec sensation de froid et fourmillements. 11 existe de la dou
l'ombre. Quatorze jours avant l'admission, il existe peu de fièvre, sensation anormale dans le dos, douleur thoracique ; puis
de ce qui se passe dans le service de M. Bourneville prouve que les sensations rythmiques s'imposent facilement aux intelligen
21 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
utres semaines. , , < Il sent venir la rougeur. Il éprouve une^ sensation vague d'avoir dans la poitrine une certaine qua
atre ou cinq fois dans un court espace de temps. Avec la rou- geur, sensation de chaleur exagérée la tête, battements forts d
es plus ordinaires, il éprouve, au moment de la bouffée, une simple sensation de chaleur à la face. S'il se trouve avec quelq
Des bouffées successives montent; le corps se couvre de sueur, avec sensation d'horripilation. P. X... sent alors son coeur b
aits physiologiques où la rougeur avait envahi tout le corps. Une sensation de chaleur souvent très vive accompagne la rougeu
diques, l'extase, le rire continu, les hallucinations de la vue, la sensation d'enlèvement dans le vide ; 18° comme l'alcooli
nte les recherches des aliénistes français. Les idées résultent des sensations et « la mé- thode expérimentale est le fondemen
bilité, qui n'est qu'un mode de l'irritabilité. L'hétérogénéité des sensations de la vue, de l'ouïe, de l'odorat, etc., dépend
rces du monde extérieur qui sont nécessaires à la production de ces sensations ; 2° de la structure des organes terminaux des
higkeit) que la nutrition et les stimuli extérieurs transforment en sensation (Empfindung). Avons- nous le droit de supposer,
eux-ci comme des parties différenciées de l'épiderme, et toutes les sensations comme des modifications du toucher. La science
res corticales de la vision, par exemple, n'abolit que cet ordre de sensation en laissant subsister celles du son, de l'odora
e nerveuse qui, en vertu de ses connexions ana- tomiques, donne une sensation visuelle, pourrait aussi bien, dans '- d'autres
lle, pourrait aussi bien, dans '- d'autres conditions, produire une sensation tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellul
résulte avec nécessité que la nature propre ou spécifique de chaque sensation repose sur le caractère propre ou spécifique, d
cellules des centres corticaux de la sensibilité qui servent àcette sensation . » (Ibid., p. 291.) Un partisan des idées de Gu
tions des muscles de l'oeil. De même pour les centres corticaux des sensations organi- ques et des mouvements des viscères, po
ivre avec les yeux le contour des caractères reproduisant ainsi les sensations qui accompagnent l'action d'écrire. Il lit diff
st nullement gaucher d'ailleurs, mais quelque peu ambidextre. Les sensations qui accompagnent l'écriture, sont assez identique
s nerveuses. De là les différences radicales entre les qualités des sensations que nous percevons (tactiles, visuelles, olfact
le neurasthénique, le pessi- miste analyse d'une façon morbide ses sensations , ses pensées, ses actions,tout ce qui intéresse
s en même temps dans ma tête. "L'invisible peut ' Binet et Ferré. - Sensations et mouvements. , 182 . CLINIQUE MENTALE. alor
qui conduisent t au développement psychologique. Après l'étude des sensations , vient celle de l'attention, des instincts, des
r tout à la fois les progrès des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 223 sensations , des sentiments et de l'intelligence. (American j
iments; il garde le silence et ne rend compte qu'après la crise des sensations qu'il a éprouvées; il a des tendances vagues au
e disposition d'humeur, il perçoit sous une forme douloureuse les sensations provenant de son propre corps et du monde extérie
ovenant de son propre corps et du monde extérieur, et porte sur ces sensations des jugements erronés. L'orientation individuel
e excitation morbide avec perversion de l'odorat, d'où résultait la sensation habituelle de mauvaises odeurs. « Quant au go
u lieu de la perversion il y a abolition totale et bilatérale-de la sensation , comme dans une autre de nos observations où le
odorat. Hémianosmie totale ou partielle. Perversions de l'odorat ( sensations subjectives; odeurs de pour- riture, odeurs inf
venant dans cette sorte de grimace que font les sujets soumis à une sensation gustative extrêmement désagréable. Les substanc
ne autre forme qui est la perversion. La perversion consiste en des sensations subjectives, c'est-à-dire que le malade perçoit
té de la muqueuse nasale où elles s'accompa- gnent ordinairement de sensations analogues dans les autres branches du trijumeau
ace et du cou. Au début avant l'éternuement notre malade accuse des sensations anormales dans la face presque toujours du côté
e toujours du côté gauche et toujours prédominantes de ce côté. Ces sensations consistent dans une sorte d'aura occupant princ
dans une sorte d'aura occupant principalement la joue. C'est une sensation étrange, une sorte de constriction de la face,
imaces volontaires avec ce côté de la face comme pour réveiller une sensation absente. S'il touche sa face à ce moment il lui
n même temps la narine du même côté est enchifrenée. Le malade a la sensation que la narine gauche est bouchée, tandis qu'à d
nuements qui viennent de se produire, mettent fin à la crise et les sensations anormales dans la sphère du trijumeau dispa- ra
llements, de l'engourdis- sement dans la joue et le cou, et non des sensations olfactives qui sont accusées par le malade. L
ue. Enfin l'accès tabétique s'accompagne, parfois, non toujours, de sensations de chaleur à la face et probablement d'un état
sibilité spéciale. L'odorat et le goût sont dans ce cas le siège de sensations subjectives. Les malades sentent des odeurs dés
s odeurs désagréables en dehors de tout objet pouvant provoquer ces sensations , y compris leur haleine qui n'est pas fétide. L
d'autres troubles impliquant la participation du bulbe. Ces fausses sensations du goût et de l'odorat étaient continuelles dan
nutes, quelques heures, quelques jours. Elles consistaient dans des sensations particulières qui s'accompagnaient presque cons
e, survenant spontanément ou à l'occasion des aliments. Parfois ces sensations persistent ou se reproduisent si souvent qu'ell
ue le goût participe à la maladie gastrique. En relation avec les sensations subjectives de terre, d'amer- tume, etc., des t
lequel persistent naturellement avec plus ou moins d'intensité les sensations subjectives du goût ? A notre avis cet état de
troubles de l'olfaction. Nous avons déjà indiqué combien toutes ces sensations désagréables, ces saveurs et ces odeurs pouvaie
dont ils sont l'objet et rapportent sans la moindre hésitation les sensations subjectives à leur maladie. .Mais de l'illusion
caractères spéciaux, reconnaissant pour cause les troubles de leurs sensations . Les douleurs fulgurantes vont devenir des déch
es douleurs fulgurantes vont devenir des décharges électriques; les sensations de flamme dérivant de la lésion du nerf optique
transforment en tourments imposés par des ennemis imaginaires. Les sensations subjectives de l'odorat et du goût sont elles-m
ymptômes du délire de persécutions et cela à l'occasion des fausses sensations du goût et de l'odorat. Il importe donc de mett
euls l'envahissement du bulbe ; chez un de nos malades à côté de la sensation olfactive et gustative, de poisson pourri, on t
e sont des paresthésies, des fourmillements, des constrictions, des sensations de raideur, d'agacement, de réfrigération, ou m
constaté très souvent depuis six mois (à la période ataxique); une sensation de rigidité et de chatouillement désagréable av
engourdissement de face, en crispation, ou fourmillement, en cette sensation qui pousse le malade à faire des grimaces pour
goûts fort désagréables et jamais de perversion leur rappelant une sensation agréable. La sensation du dégoût, cette sensati
s et jamais de perversion leur rappelant une sensation agréable. La sensation du dégoût, cette sensation vague, ne pourrait-e
eur rappelant une sensation agréable. La sensation du dégoût, cette sensation vague, ne pourrait-elle pas être à l'origine des
le'vomissement qui survient. Le dégoût à son début semble donc une sensation d'ordre musculaire, la conscience vague d'un mo
des aliments. Sans doute ce mouvement est souvent consécutif à une sensation rebutante ayant son point de départ dans la sen
viscéral peut-il être perverti dans le tabes et aboutir ainsi à la sensation vague du dégoût que secondai- rement et par un
sion, le dégoût pour un objet ? 2 THÉORIE DES NEURONES. 281 Cette sensation nauséeuse vague sur laquelle le malade greffe u
e voie sensitive centrale, propageant jusqu'au cerveau les diverses sensations de la sensibilité générale, peut être inférée a
. Ces cellules forment un groupe physiologique qui correspond à une sensation ou perception déterminée ; la perception y est
, sous la sollicitation de la volonté, élaborera le souvenir de ces sensations a (p. 5). Le phé- nomène de l'avalanche impliqu
ps, par contraste, analogie, etc., correspondant à un même ordre de sensations , ont pour substratum les connexions établies en
core à sa seule raison qu'il obéira ! Cela est absurde. C'est de la sensation que vient l'impulsion maîtresse, la force de proj
e que dans une certaine mesure. L'association de la raison et de la sensation est évidem- ment la condition idéale de l'accom
n idéale de l'accomplissement, d'un acte puisque la raison, sans la sensation , ne pourraitl'exécuter, et que la sensa- tion s
rent sous tous les rapports dans la règle. E. Margouliès. LUI. La sensation douloureuse ; par J. Roux. 111.1e D" J. Roux (P
ar J. Roux. 111.1e D" J. Roux (Prov. méd., 10 oct. 1896) étudie les sensations dou- loureuses au point de vue de leurs voies d
ellectuels et les émotions. Il établit le fait de la séparation des sensations tactiles et doulolt1'ellses au niveau de la moe
e le même cylindre. Quelle est la nature de la douleur ? Est-ce une sensation spéciale ou bien un degré des autres sensations
douleur ? Est-ce une sensation spéciale ou bien un degré des autres sensations ? Y Nos sensations, dit M. Roux, peuvent se div
sensation spéciale ou bien un degré des autres sensations ? Y Nos sensations , dit M. Roux, peuvent se diviser en sensations
s sensations ? Y Nos sensations, dit M. Roux, peuvent se diviser en sensations externes et en sensations internes ou cénestési
tions, dit M. Roux, peuvent se diviser en sensations externes et en sensations internes ou cénestésiques. Les premières nous r
x peuvent être la source d'émotions pénibles ou désagréables. Les sensations externes peuvent seules donner la douleur physiqu
sensations externes peuvent seules donner la douleur physique. La sensation douloureuse est le phénomène subjectif, le fait d
tion de l'indi\idu. Le phénomène de conscience qui l'accompagne (la sensation douloureuse) est pénible, parce que la cause qu
eurones olfactifs, ce qui s'explique par une plus grande variété de sensations visuelles ; il est à noter, comme règle général
l'écorce cérébrale, varie selon la complexité 'et la ri- chesse des sensations qui parviennent à l'appareil périphérique. L'ét
centripètes. Il se peut que ces fibres servent à transmettre les sensations d'innervations et aient des fonctions qui les dis
iennent au cerveau. Ces fibres peut- être servent à transmettre les sensations d'innervation qui viennent de l'appareil moteur
etite quantité de fibres suffi- rait peut-être pour transmettre les sensations d'innervation, qui portent des mécanismes moteu
ettage de l'utérus ; elle dura vingt minutes et ne détermina aucune sensation douloureuse. L'anesthésie fut obtenue par sugge
centres d'association que se réunissent et se fusionnent toutes les sensations qui lenr sont transmises par les centres sensor
i lenr sont transmises par les centres sensoriels. C'est là que ces sensations sont comparées entre elles et aux sensations an
iels. C'est là que ces sensations sont comparées entre elles et aux sensations antérieures. Les centres d'association sont don
s le rachitisme et l'hydrocéphalie. Elle donne à la palpation une sensation de tension et d'élasticité. Elle présente des bat
ent des vertiges, de la céphalée, des bourdonnements d'oreille, des sensations anor- males dans la tête, de la somnolence, de
ntre le condyle interne de l'humérus et l'olécrane, a déterminé une sensation douloureuse peu accentuée chez 7 malades seulem
une analgésie unilatérale ; 4 réagissaient normalement. Chez 2, la sensation dou- leureuse était diminuée. Résultat : 50 p.
s de parésie) des membres du côté droit. Pas d'anesthésie, mais une sensation d'engourdissement dans les mêmes parties. L'éle
s maux de têle fréquents, des vertiges, et transpiration abondante, sensation de froid aux membres inférieurs, dont la peau e
érieures produit des troubles sensitifs divers. Les conducteurs des sensations doulou- reuses et thermiques entourent le canal
t sont reliés au faisceau de Gowers, tandis que les conducteurs des sensations tac- tiles suivent les cordons postérieurs en d
co- psychologique à Londres, par Nicolson, 251. Douloureuse. La sensation -, par Roux, 325. Dure -mère iuchidienne. End
22 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
OCALISATION cérébrale DU sens musculaire. Le rôle physiologique des sensations musculaires que nous ve- nons d'étudier est de
re elle est rarement complète; les malades parétiques ont encore la sensation brute du mouvement qu'ils exécutent, mais ils n
sons du faisceau sensitif. Tout concorde à montrer que le siège des sensations musculaires se trouve dans la zone rolandique.
nsciente du com- plexus sensitif que Bastian englobe sous le nom de sensations kinesthésiques et qui correspond comme nous l'a
ire à la lumière d'une conscience moins parfaite, la perception des sensations musculo-tactiles. La destruction des centres su
ussi celle des associations sensitives complexes d'où résultent les sensations complètes et vives de l'état normal. III. - D
ntérieurement perçues et déjà fixées dans la mémoire, soit avec des sensations différentes, surtout visuelles, la représentati
n après tout discutable, de savoir s'il s'agit d'une association de sensations élémentaires diverses, ou d'un sens réel ayant
'image tactile d'un objet est donc en dernière analyse un résidu de sensations musculaires et tactiles. Hoffmann avait établ
ommémoratives tactiles et par suite impossibilité de rapprocher les sensations éprouvées de ' Dana. The localisation of culane
ions éprouvées de ' Dana. The localisation of culaneous andmuscular sensations and memories. (Journal of nervous and mental di
ette seule particularité explique qu'il puisse subsister, certaines sensations élémentaires étant abolies. En effet, à défaut de
actif ne donne aucun résultat malgré l'intégrité respective de ses sensations composantes, il s'agit vraisemblablement d'un d
ait désormais de grands progrès à faire dans l'étude analytique des sensations musculaires. En revanche la question de la loca
alternant avec de la dé- pression hypochondriaque produite par des sensations anormales. Au milieu de sa loquacité exubérante
, de la personnalité, le moi prend naissance, ce moi qui perçoit la sensation et se reconnaît comme tel, comme quelque chose
me quelque chose de spécial, de particulier. De ce moi, qui est une sensation , dépendent les processus émotionnels et mentaux
moi peut être modifié, pathologiquement modifié, malade même si les sensations qui agissent sur lui, sont différentes de ce qu
veil du sommeil hypnotique, les conditions suggérées se réalisent : sensation de bien être et abaissement de la température.
face dont la peau devient sèche et rugueuse. Il y a un an et demi, sensation de froid, même dans une chambre très chauffée;
illements cutanés, un froid aux pieds continuel, avec deux zones de sensation brûlantes au milieu, du tibia; la peau du corps
sion effectuée sur le pisiforme, qui fréquemment s'accompagne d'une sensation nette, voire désagréable. Si l'on prolonge la p
utes, apparaissent quelques convulsions dans l'aire du sillon et la sensation devient plus désagréable mais le sillon dispara
à peine les parties de la peau recouvertes de poils, on produit une sensation comparable au chatouillement; il suffit t d'un
en mouvement les poils de la surface de la peau sans déterminer la sensation de contact (Nois- chewsky, Société de médecine
bombé au-dessus des tissus voisins, et qui donne à la pression une sensation légère, mais nette, de fluc- tuation. En dehors
eur entre le pouce et l'index, on provoque chez l'individu sain une sensation de douleur légère et en même temps une très fai
'hémiplégie cérébralé organique, la même manoeuvre donne lieu à une sensation douloureuse plus intense et en outre à une flex
Il déclare avoir, dans la partie inférieure de son champ visuel, la sensation d'un gouffre noir situé au devant de ses pas.
ussi vieux que la pensée humaine. La localisation des fonctions des sensations et de l'intelligence, des passions et de la motil
uriosité scientifique de l'homme sur l'origine et la- nature de ses sensations et de ses idées ne s'est reposée que dans la con-
age, que Bastian appelle kines- thésique, formée par des résidus de sensations musculaires, ten- dineuses, articulaires, etc.
es et des centres cérébraux de la douleur. La douleur n'est pas une sensation spécifique, mais un mode de la sensibilité géné
ensation spécifique, mais un mode de la sensibilité générale. Toute sensation comporte un ton affectif. 11 y a plaisir ou dou
ation est une preuve certaine que nos connaissances proviennent des sensations et confirme le vieil axiome d'Aristote : Nihil
uncl COmp. MUSIOES (.1.-J.). On the development of dislurbances of sensation in diseuses of the spinal cord. Brochure in-8»
ait d'au- POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTÉRIQUES. 195 cunc espèce de sensation douloureuse. M... n'y attacha d'abord aucune im
maladies des voies urinaires. Le passage de sondes amènent quelques sensations douloureuses, un peu de sang dans les urines, m
rotule ou du pied. Le sens musculaire est conservé. Il n'existe ni sensations de dérobe- ment de jambes, ni soubresauts dans
pour l'or ou pour l'argent. Le malade n'a jamais ressenti enfin de sensations douloureuses spon- tanées quelconques ou présen
ue de ces organes. La vessie a une capacité normale. Le malade a la sensation du liquide qui entre dans la cavité vési- cale
cavité vési- cale après le passage d'une sonde, mais il n'a plus la sensation de plénitude de la vessie. Il perçoit aussi tou
vésical, sans être accompagnée jamais de véritable douleur ou de sensation de brûlure dans le canal. La quantité ainsi émise
- çoit le passage du cathéter tout le long de son trajet, il a la sensation du liquide injecté dans la vessie; cependant la m
la capacité de la vessie est non seulement normale, mais encore la sensation de plénitude de la vessie n'existe plus : le mu
ête lui semble enserrée comme dans un étau, d'autres fois elle a la sensation nette d'un clou qui s'enfonce en avant des pari
ffre beaucoup de l'estomac, ne supporte plus le corset; en 1897, la sensation d'appétit disparaît, ainsi que le besoin de la
. Les séances sont très douloureuses; la malade accuse surtout la sensation de l'os iliaque rongé ; le point de la cheville r
tement un point au renflement cer- vical de la moelle. Les diverses sensations subjectives dues au retour de la sensibilité, e
s de l'intestin, gargouillements; coups de couteau dans l'intestin, sensation de torsion de l'intestin, sensation d'un ser- p
ups de couteau dans l'intestin, sensation de torsion de l'intestin, sensation d'un ser- pent qui se noue et se dénoue. Mon ve
disparu. 10. Flanc droit, région hépatique. La malade accuse une sensation de brûlure, de picotements. Il y a un point doulo
l'observation sur le fait que nous venons de signaler. Quant aux sensations subjectives accusées par la malade, elles sont
a faim à son estomac. Déjà le réveil de la bouche a amené une vive sensation de soif qui se maintient à partir de ce moment.
spiratoires deviennent aussitôt plus amples, s'accompa- gnant d'une sensation d'étouffement que la malade ne peut ana- lyser,
les pieds des deuxièmes frontales. La malade a nettementaccusé des sensations de coups dans l'intérieur de la poitrine, sensa
mentaccusé des sensations de coups dans l'intérieur de la poitrine, sensations qui cessaient lorsque cessait ma percussion. Je
droite : sifflements, bat- tements, oreille bouchée, gonflée ; puis sensation d'écoulement de liquide et enfin sentiment de b
'une de ces douleurs se manifeste, ou bien même lorsqu'une simple sensation d'énervement fatigue un de ses membres, elle proc
bratoire qui va rencontrer l'écorce ; 2° Le sujet extériorise une sensation donnée : c'est là une conséquence de la loi de
onnée : c'est là une conséquence de la loi de l'extériorisalion des sensations ; 3° Le sujet n'extériorise pas au cuir chevelu
le centre cortical de l'organe, centre qui renferme les résidus des sensations antérieures parties de l'organe. On peut m'ob
ations antérieures parties de l'organe. On peut m'objecter que la sensation transmise par le triju- meau, quoique inconscie
ude respiratoire plus grande ainsi 224 4 RECUEIL DE FAITS. qu'une sensation d'étouffement; la malade accuse un point doulou
isse respiratoire. Il n'existe pas d'autre zone hystérogène. Pas de sensation de boule. Pas de trouble des sphincters ; pas t
souvent ignorées du malade, ne se traduisant au -réveil que par des sensations assez peu caractéristiques. Dans ces cas l'incont
souvenir, bien qu'il fut quelquefois éveillé en ce moment par une sensation de contraction musculaire locale et de battement.
mons : pour le cerveau : cé- phalalgie occipitale sourde, insomnie, sensation de bandeau fron- tal, endolorissement du cuir c
ce, sensibilité douloureuse des globes oculaires : diminution de la sensation du toucher et de la thermo-esthésie, lenteur du
ans, il se plaignait d'un sentiment de constriction à la gorge avec sensation de corps étranger se déplaçant du coeur à la go
l'ouïe; alternatives de calme pendant lesquelles elle se plaint de sensations de serrement à la gorge et de douleurs d'estoma
estomac qui remontait au cerveau; à partir de ce moment il avait la sensation d'un instrument qui tournait rapidement en fais
trique se présentant sous forme de crises d'anxiété accompagnées de sensations de constriction de l'estomac et de dyspnée. Ces
ctivité de ses images composantes. L'idée se fait, selon sa nature, sensation , mouvement, émotion, quand ses images constitua
omme de quarante-deux ans qui lorsqu'il vint me voir, souffrait des sensations paresthésiques à la partie antérieure des cuiss
M. Magnan -a noté « que des chocs sur la peau peuvent provoquer la sensation d'une morsure, de la reptation d'une couleuvre,
ccessoires. Ce même auteur a observé un alcoolique chez lequel la sensation éprouvée par la peau se confondait avec l'halluci
lesquels l'excitation d'un des organes sensuels donne lieu à deux sensations distinctes : l'une a pour siège la sphère de l'or
e. L'audition des sons musicaux réveillait chez ces deux frères des sensations chromatiques où chaque ton musical avait la cou
actives en comprimant et lâchant alternativement les narines. Ces sensations sont-presque toujours très désagréables. Ils nuus
la rose ». Nous pourrions multiplier ces exemples, prouver que ces sensations durent quelques minutes, qu'on peut les éveille
he avec dégoût. Un troisième croit déguster de « l'ab- sinthe ». La sensation de celte liqueur, disons-le en passant, revient
» après une légère excitation, et fasse effort pour la cracher. La sensation hal- lucinatoire est chez lui tellement nette q
vre, pourquoi me faire prendre de la quinine ? » Quoique rares, des sensations plus agréables se révèlent quelquefois. Un mala
soriels, à la périphérie il y a toute autre chose. Aux centres, les sensations sont subjectives, ce sont des percep- tions san
ent le même effet que les frottements, avec cette différence que la sensation parait persister plus long- temps. Vue. Par l
e. » Puis, tout à coup, deux minutes envi- ron après le début de la sensation , le malade s'écrie : « Je n'en- tends plus rien
a démarche ataxique; les douleurs lanci- nantes dans les jambes, la sensation d'une ceinture serrant le tronc au niveau du sa
'innervation et du changement de situation d'un objet n'est pas une sensation simple. Il est évident qu'elle résulte de la co
s musculaire est perdu, mais peut persister si toute autre forme de sensation cutanée se perd ou se trouble. 3° Le centre de
ccomplissement de l'acte de violence est souvent ac- compagné d'une sensation de soulagement (détente nerveuse). Enfin, les t
le tissu cérébral, et beaucoup de psychologistes assurent que toute sensation a nécessairement une origine périphérique. Aux
'on applique un diapa- son vibrateur à l'os, on obtient partout une sensation nette de vibration. Les os, situés superficiell
gées. Une couche épaisse de tissus mous affaiblit quelque peu cette sensation . Les troubles de cette sensation consistent d'a
s mous affaiblit quelque peu cette sensation. Les troubles de cette sensation consistent d'abord dans ceci, qu'un diapason vi
rçue. Parfois on peut noter, au contraire, l'exagéra- tion de cette sensation . Parfois encore les vibrations du diapason prov
sensation. Parfois encore les vibrations du diapason provoquent une sensation de picotement, ou de chaleur, ou même de brûlur
cas examinés, le sujet accusait la vibra- tion et en même temps une sensation de brûlure ; dans d'autres cas, la brûlure s'ac
ies d'identifications cérébrales : les identifi- cations primaires ( sensations simples) et les identifications secon- daires,
Quel hasard ? C'est le centre de la gustation qui a produit cette sensation quand le papier a frôlé la langue. C'est l'hypere
sensible à l'excitation périphéri- que, et nous pouvons éveiller la sensation de parfums plus ou moins vagues : ça sent fort,
. » 19. - Le nez et la langue restent seuls sensibles, il y a des sensations plutôt agréables. 22. Il est calme maintenant,
rition complète de toute hallu. cination spontanée, C... accuse des sensations plus ou moins agréables à la langue, quand nous
erçue; elle diffère autant et de la même manière du souvenir que la sensation elle-même. » « L'hallucination, dit M. Ch. Vall
ysiologie de l'hallucination. Nous prétendons que les troubles, les sensations que nous avons provoquées chez nos alcooliques
llu- cinations centrales, produites par l'excitation mentale. Les sensations que nous avons pu produire chez nos alcooliques
23 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
e sommeil est devenu beaucoup plus léger, le malade est averti de ses sensations vésicales et sphinctériennes, il se lève pour uri
et, tout en dormant d'un sommeil réparateur, d'être a l'affût de ses sensations vesicales ; elle lui prescrit, dans les premiers
heusement le malade n'existe pas ; pas de crise d'étouffement. pas de sensation d'asphyxie commune à tou6 les anesthésiques ; le
6 les anesthésiques ; le malade s'endort confiant, paisiblement, sans sensation pénible et sans l'angoisse qui étreint toutes les
ysgraphie, et je pus obtenir qu'elle fit suivre chaque inscription de sensations d'une bonne résolution. Ainsi, tandis que le 10
'une souffrance que je ressens de la tête aux pieds : c'est comme une sensation de brûlure à l'épiderme. Je ne veux plus avoir pe
est confondue avec toute insinuation d'idée, d'acte. d'image ou de sensation , avec toute persuasion, avec toute éducation, ave
vz% eut. Il n'est pas plus rationnel d'admettre que la sensibilité, sensations et sentiments, puisse être interrompue, que de cr
le sommeil, les fonctions de respiration et de circulation abolies : sensation et sentiments, c'est la sensibilité vivante, et U
eurs perpétuellement changeants qui. à chaque instant, provoquent des sensations nouvelles, des émotions conscientes ou inconscien
nd que nous nous sommes plus complètement soustraits à toute eause de sensations . S'il s'agit d'obtenir le sommeil provoqué, l
tiendraient en activité, il suffit d'y produire une suite continue de sensations monotones et homogènes, de telles sensations équi
re une suite continue de sensations monotones et homogènes, de telles sensations équivalant à la suppression de toute sensation.
homogènes, de telles sensations équivalant à la suppression de toute sensation . Ces principes dont l'application nous permet d
ns en plaisirs et douleurs, gravitent une infinité de perceptions, de sensations , que chacun de nous apprécie souvent, tour à tour
s échouent vaincus et impuissants ». N'éprouvons-nous pas certaines sensations , ou certains sentiments de plaisir, qui pourtant
euse nous ont paru conservées. Le sens stéréognostique est intact. La sensation de rugueux, de poli, de poids est presque toujour
ccuper de procéder a leur rééducation quand ils éprouvent quelque sensation d'impuissance à se remettre au travail. Ces appli
icultés pour se tenir debout et pour reprendre ses occupations . La sensation d'impuissance à agir fit naître chez lui la crain
veau par n'importe quel sens : la parole, la lecture, la musique, une sensation interne, une odeur, etc.. toute impression transf
, le nombre, l'heure et le rapprochement des repas, on est esclave de sensations impérieuses ou déviées, de besoins factices ou pa
t différents éléments qui ont abouti à les ramener à un complexus des sensations ... La nature de ces sensations ? Elle est différe
bouti à les ramener à un complexus des sensations... La nature de ces sensations ? Elle est différente, suivant les auteurs. Pour
? Elle est différente, suivant les auteurs. Pour les uns, ce sont les sensations qui viennent des organes périphé- riques et q
- riques et qui ont le cerveau comme centre ; pour les autres les sensations seraient celles qui consistent dans les modificat
d Neurologie) qui définit l'Emotion « un sentiment qui accompagné une sensation distincte ». Ex. : Elle est un simple sentiment
it plus ce qu'elle disait. Les bains d'Alarye l'améliorent. Elle a la sensation de la boule hystérique et a eu quelques attaques
aisonnement, on a provoqué chez lui des opinions, des mouvements, des sensations et des actes.qui ne seraient pas survenus si la s
cation imaginaire de sinapisme, je n'obtins aucun érythème, ni aucune sensation nette de cuisson. L'idée me vint alors que cet ho
erveau, dépourvu d'images correspondantes, était inapte à évoquer les sensations qu'elles comportent. Le peu de cuisson qu'il épro
tique, il me fut facile de provoquer chez lui, par la suggestion, une sensation de cuisson avec rougeur bien manifeste (l). On do
e sujet en expérience ait réellement éprouvé, au préalable, certaines sensations avec leurs suites habituelles. Ainsi le gramo-pho
fixer » en ce point les effets suggestifs, on peut se demander si la sensation étendue suscitée par le pansement occlusif ne ser
tout son effet. C'est ainsi que dans le rêve, tantôt nous prenons nos sensations pour des réalités, tantôt elles nous apparaissent
nnaître, dans l'effet obtenu, les images qui l'ont provoqué. 8° Une sensation réelle, une fois éprouvée, peut-être projetée, pa
ar dessus la lésion suggérée est, peut-être, susceptible d'effacer la sensation de localisation et de rendre, de la sorte, négati
ont le résultat d'instincts, d'impulsions, leur obéissance résulte de sensations de réflexes. —je veux ajouter aujourd'hui, de sug
avec calme et volonté, de provoquer les mouvements à obtenir par des sensations physiques répétées, et encore répétées entre de n
tions physiques répétées, et encore répétées entre de nombreux repos, sensations poussées, s'il est nécessaire, jusqu'à la douleur
pas, mais son cerveau est un merveilleux enregistreur, sa mémoire des sensations est extraordinaire. Le dressage méthodique dévelo
e gamme de réflexes, il emmagasine en ce cerveau toute une variété de sensations ; mais des sensations voulues par l'éducateur et
l emmagasine en ce cerveau toute une variété de sensations ; mais des sensations voulues par l'éducateur et cataloguées par lui.
voulues par l'éducateur et cataloguées par lui. Ces réflexes et ces sensations prennent, au contact de l'écuyer, un développemen
e excitation extérieure ne viendrait provoquer d'idées, d'actes ou de sensations . Si aucune sollicitation n'intervient pour leur f
l'impulsion de la volonté, mais une modification des sentiments, des sensations , des représentations des images de mouvements du
nuit, une ou plusieurs fois : mais, il n'éprouve à- ce moment aucune sensation à l'estomac ; cet organe est absolument muet et n
ques normales et en même temps faisant apparaître au point faible les sensations pathologiques de l'état de veille. Discussion
Paul Parez. — Une autre interprétation peut être invoquée. Les mêmes sensations viscérales qui passent souvent inaperçues, au mil
eut-être aussi l'agrément de ces états de conscience dans lesquels la sensation du sommeil se mélange si singulièrement à celle d
haque jour, de longues heures à d'interminables rêveries. Il avait la sensation de vivre comme dans un rêve et ne sortait de cet
ns lesquels l'homme se complalt parce qu'ils ne sont pas dépourvus de sensations agréables, on en observe d'autres qu'il subit, et
es défaillances ont le triste privilège d'altérer la franchise de nos sensations et de nos émotions en les modifiant dans leur par
trée dans le sommeil, soit le moment du réveil. » « Ces images, ces sensations fantastiques se produisent, dit-il, au moment où
fatigue des sens qui s'émoussent momentanément, n'apportent plus les sensations au cerveau, et dès lors, ne fournissent plus à l'
at perçoit les odeurs ; mais cependant leur aptitude à transmettre la sensation n'est plus aussi vive, aussi nette que dans l'éta
ions de son imagination,, de ses souvenirs les plus récents ou de ses sensations . UN CAS DE MORPHINOMANIE DATANT DE SIX ANS ET
u Dr Raffegeau, et après un de ces bains, il se demandait même si les sensations dont il s'était plaint n'étaient pas dues, en gra
(de Leicester) Le traités classiques qui abordent les anomalies des sensations sexuelles ne parlent que de celles du sexe mâle.
turelle de lu femme qui lui fait taire toute allusion à ces sortes de sensations . Chez l'homme, l'acte sexuel est considéré surt
et 7 ans, me confie dans le courant de la conversation, qu'elle a des sensations de nausée et de dégoût pour l'acte sexuel. Ces se
'elle a des sensations de nausée et de dégoût pour l'acte sexuel. Ces sensations , éprouvées depuis son mariage ont augmenté d'inte
ns d'affection pour lui. se refusant à faire à son mari l'aveu de ses sensations et sachant que j'étudiais la question sexuelle, e
que l'acte sexuel était horrible pour elle, qu'il lui provoquait des sensations de nausée et de dégoût. Le cas me parut assez r
au moins une demi-douzaine de ces cas en quelques mois.) L'absence de sensations sexuelles joue un rôle très important dans la vie
lodies religieuses. La malade m'apprit qu'elle n'avait éprouvé de sensations vraiment agréables qu'en entendant les chants pie
graphie de cet organe. Le cerveau est l'aboutissant des principales sensations qui naissent à la périphérie de notre corps et da
appelés centres nerveux, neurones et cellules où sont recueillies nos sensations physiques et morales. Par l'intervention de procé
ues et morales. Par l'intervention de procédés mystérieux, toutes ces sensations sont converties en mouvements bien déterminés, à
n gênée, un tremblement des jambes qui se refusaient à me porter, ses sensations de piqûres et de tiraillements dans tout le corps
ntemplation oisive. Notre état de conscience se réduit à une suite de sensations sonores. Qu'arriverait-il alors si peu à peu les
d'abord il oublie son mal pour écouter cette voix qui le charme ; aux sensations pénibles qu'il éprouvait, on a substitué de simpl
; aux sensations pénibles qu'il éprouvait, on a substitué de simples sensations sonores qui peu à peu iront elles-mêmes en s'affa
voir d'abord absorbé notre attention, finissent par l'engourdir ; les sensations sonores auxquelles notre conscience se trouvait r
e la nacelle, accentuent, cette tendance à la somnolence. C'est cette sensation d'abandon à un sommeil irrésistible que Lamartine
s aides en a plusieurs fois fait sur lui-même la remarque. Quant à la sensation d' « allégement du cerveau ». dans les mêmes cond
e des relations. L'enfant s'en défendait mal, car il en éprouvait une sensation agréable, et c'est cela que le malade ne peut se
avoir que le cheval est inintelligent ; tout chez lui se ramène à des sensations et à des réflexes. Le cheval dressé est un cheval
sé est un cheval suggestionné ; il réagit automatiquement d'après des sensations qu'il ne peut oublier. M. Béhillox. — La mémoir
raisonnement est toujours bon et ne se laisse pas influencer par des sensations d'un seul sens, puisque nous avons donné à l'enfa
sque nous avons donné à l'enfant ' l'habitude de contrôler tontes ses sensations par tons les sens et en particulier par le sens t
sens musculaire et le toucher nous habitueront a ce contrôle, car les sensations provoquées par eux ont besoin d'être vérifiées pa
que nous éprouvions pleine satisfaction. Cet enchaînement dans les sensations , les perceptions et les déterminations est encore
24 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
consistent en crampes, fourmillements. Douleurs paroxystiques avec sensations de brûlure et d'élancement, forçant le malade à
ns l'automne de 1897 se plaint de ressentir des fourmillements, des sensations de froid et de doigts morts, plus accentués aux
Peu- dant l'hiver 1S9S-96, ces phénomènes augmentent, ainsi que les sensations désagréables, sans que des douleurs à propremen
te même dans une chambre chaude. La malade a toujours aux mains une sensation subjective de froid. Les doigts sont anormalement
issent engourdies : il a de la peine à les fermer; il compare cette sensation à celle qu'on éprouve quand on a l'onglée. Les jo
fût de- venu plus sensible au froid qu'auparavant, il n'éprouve ni sensation de chaud ni sensation de froid aux mains. Il re
sible au froid qu'auparavant, il n'éprouve ni sensation de chaud ni sensation de froid aux mains. Il remarque seulement que la
d'ivoire du côté gauche, il ne sent qu'à 1 1/2. Subjectivement, les sensations tactile et stéréognostique sont bien conservées.
ardin de l'hôpital mais il n'a pu rester longtemps de- hors, car la sensation pénible de chatouillement et de douleurs cuisante
ds sont également douloureux. Les poignets de même sont le siège de sensations pénibles ; depuis le début de la maladie, il en
l'affection individualisée sous le nom cl'acropal'esthésie (1), les sensations de fourmillement, d'engourdissement l'inaptitude
d'une perturbation vasculaire intense avec rougeur vive de la peau, sensation de brûlure intense,modifi- cations ophtalmoscop
sans qu'il y doive apporter quelque minutie. C'était auparavant une sensation désagréable. C'est maintenant une maladie : l'a
ure. Les phénomènes décrits par eux consistent en engourdissements, sensations de piqûres multiples et légères, en fourmilleme
rmillements au niveau de l'extrémité des doigts et des orteils. Ces sensations sont,au début de la maladie, généralement intense
tence quand elle n'entraîne pas pour lui un état pénible de par les sensations désagréables qui l'ac- compagnent. Il ne me par
troubles nutritifs des tissus : d'où névrites légères, amenant ces sensations dysestliésiques, ces fourmi 1 lements, ces engo
eau de la joue est souple, se laisse plisser, ne donnant nullement la sensation de parchemin et que sa coloration pour être moi
r, température) : il n'y a ni hyperexcitabilité, ni persistance des sensations . Au point de vue sécrétoire, la sécrétion sébac
mémoire que nous nous référerons. (2) Eo. CLAPARÈDE, Avons-nous des sensations spécifiqups de position des membres ? 7 (Année
me sens mus- culaire, a désigné cependant l'étude qu'il a faite des sensations occasion- nées par les organes moteurs : Revue
notion de l'attitude de son bras. Il se pourra qu'elle ait diverses sensations tac- tiles provenant de l'articulation du coude
ticulation du coude, etc., mais elle sera incapable de tirer de ces sensations le moindre renseignement sur la position de son
atrice. Mais la question est précisément de savoir pour- quoi telle sensation est localisée au point où le contact s'est fait,
'image au sens optique du mot. Quand il nous dit que les idées, les sensations ont une forme, sont localisées ici ou là, sont «
s qu'inattendues, parle-t-il des idées ou des lobes du cerveau, des sensations ou des plexus cellulaires, c'est ce qu'il est imp
naissances, bien qu'il ait fallu un Descartes pour l'apercevoir. La sensation de rouge perçue par moi n'a aucun rapport imagi
atre ans : « On est fondé à admettre que primitivement, par la pure sensation , nous ne savons rien du lieu où les nerfs qui n
, nous ne savons rien du lieu où les nerfs qui nous communiquent la sensation sont ébranlés. Primitivement, toutes les sensat
communiquent la sensation sont ébranlés. Primitivement, toutes les sensations sont de simples états d'excitation per- ceptibl
ivité de notre âme, au moyen de laquelle nous nous représentons nos sensations comme comprises dans un ensemble et douées de r
tain cachet, cette couleur locale qui nous permet de distinguer ces sensations qui ne signifient rien, qui varient avec les at
ne signifie nullement que le piocessus articu- laire nous donne la sensation immédiate que l'avant-bras est horizontal ou form
rétine, Helmholtz (2) a établi cette proposition fondamentale : Les sensations sont, pour notre conscience, des signes dont l'
non quelque chose d'empirique et d'acquis, mais reposaient sur des sensations spécifiques et tenant à la disposition même des o
r les difficultés, déclare ingénument que tout est si simple... ! Sensation de mouvement. La question de la perception du mou
cial pour la variation des attitudes, avec ce que l'on a appelé les sensations kinesthésiques ». Rien de plus juste, à premièr
que ne soit pas spé cifique et immédiat. 58 ED. CLAPARÈDE avoir sensation de mouvement indépendamment de toute connaissance
), Ëxner (3), V. Henri (4). Cela ne semble-t-il pas indiquer que la sensation de mouve- ment est une donnée sensorielle primi
genartige sinnliche Anschauung) tout aussi directe et vécue que les sensations de couleur ou de contact qui l'accompagnent. C'
oments » (5). J'avais invoqué, à l'appui de cette spécificité de la sensation hinestlé- sique, le fait que certains hémiplégi
complètement perdu la notion d'attitude, ont conservé cependant la sensation de mouvement passif de leurs membres. A quoi M.
donc conclure que la variation objective de l'attitude éveille une sensation qui n'implique pas la connaissance de l'attitud
n'implique pas la connaissance de l'attitude qui a varié, donc une sensation spécifique. Ce n'est donc pas « l'attitude qui
qui révèle le mouvement ». Mais alors, demande M. Bonnier, « si la sensation d'attitude et la sen- sation de mouvement sont
- sation de mouvement sont qualitativement différentes, pourquoi la sensation (1) Hall AND DONALDSON. biolor sensation of the
t différentes, pourquoi la sensation (1) Hall AND DONALDSON. biolor sensation of the skin., Mind., X, 1885. (2) GOLDSCfIEIDBR
n d'attitude est le résultat d'une association ou d'une addition de sensations de mouvement. Or, je tiens à faire remarquer que
ais dit une énormité pareille. Je n'ai jamais prétendu que c'est la sensation de mouvement qui engendre la perception de l'atti
comme il est dangereux de confondre le subjectif et l'objectif, là sensation avec l'excita- tion, et de se servir d'un vocab
arfois, les accès sont précédés d'une aura qui se manifeste par une sensation de frôlement aux membres inférieurs, gagne le t
uve les portes, son lit, etc. ; elle ne peut se conduire seule et ses sensations tactiles ne suppléent en rien ses sensations vi
conduire seule et ses sensations tactiles ne suppléent en rien ses sensations visuelles. La malade reste assise la plus grand
a vue au début de ses crises ; l'aura se manifeste toujours par une sensation de frôlement sur les membres inférieurs. A la sui
les circonvolutions ont le même aspect; au toucher, on éprouve une sensation très nette de fluctuation. Cette fluctuation est
e externe des lobes occipitaux ; ces parties donnent au toucher une sensation très nette de dureté. L'examen macroscopique
tincts, l'un affecté à la percep- tion colorée, l'autre à la simple sensation lumineuse. Si cette disposition anatomique étai
ons nécropsiques, que, dans notre cas, les cellules affec- tées aux sensations colorées auraient été atteintes les premières, le
auraient été atteintes les premières, les cellu- les affectées aux sensations lumineuses en second lieu. Notre observation s'
vision des formes et des couleurs tandis quepii : 3 tent encore des sensations de lumière, disparition enlin de ces dernières/
de règle de voir les malades perdre leur sens topographique, leurs sensations tactiles restant normales. On pour- rait object
se représenter la place occupée par cet objet dans l'espace. Leurs sensations tactiles actuelles ou les images de leurs sensati
'espace. Leurs sensations tactiles actuelles ou les images de leurs sensations tactiles an- térieures sont insuffisantes, pour
ations tactiles an- térieures sont insuffisantes, pour suppléer les sensations visuelles. C'est peut-être ce qui explique la p
rs parfois violentes parcourant les membres, Chutes fréquentes avec sensation de dérobement des jambes ; il était incapable d
d'éprouver de temps en temps des palpitations qui s'accompagnent de sensations pénibles dans la région pré- cordiale supérieur
parle psycho- logiquement, une amnésie, une perte de conscience des sensations et des images correspondantes, et si on veut pa
ni sur aucune autre partie du corps ; pas de fourmillements, ni de sensations anor- males ; aucune douleur spontanée, il n'y
à la température est conservée ; il y a toutefois exagération de la sensation de froid dans le membre snpérieur droit quand le
ficilement : le tissu cellulaire est épaissi, induré; il marque les sensations . On parvient cependant à reconnaître que l'extrém
çu ; parfois quelques mictions involontaires ; le malade n'a pas la sensation de l'urine passant dans le canal. Pas d'anest
squ'on comprime ses masses graisseuses témoignent de l'existence de sensations douloureuses assez vives. Deux autres arguments
ionnel. ' Il est assez probable que, dans notre second cas quelques sensations viscé- rales pouvaient être l'agent provocateur
c celle que j'ai pu observer dans mes cas. Comme les pensées ou les sensations diverses peuvent causer par une association san
es peuvent causer par une association sans frein les pensées et les sensations les plus bizarres et les plus contraires ainsi
a malade a pu, de suite après l'opération, localiser exactement des sensations gagnant l'écorce par des troncs autres que le m
ré une névrectomie, comme dans celui qui nous occupe, on a noté des sensations vacillantes : la sensibilité, normale d'abord e
pas du tout les mêmes renseigne- ments qu'aux extrémités : on a une sensation de dureté beaucoup plus grande. Le fait d'aille
te reste lié à l'idée qui lui a donné naissance, la recherche d'une sensation gustative. Le léchage, demeuré volontaire, n'a pa
ns aucune raison, presque constamment. Très exceptionnellement, une sensation anormale quelconque provoque un acte de léchage
sans le consentement du sujet qui ne va jamais à la recherche d'une sensation particulière. Etat mental. - Intelligence moy
re ; des piqûres très 388 RUDLER ET CHOMER fortes déterminent une sensation légère et ne provoquent aucune douleur ; de mêm
ute aux yeux : le malade commence à raconter volontiers ses fausses sensations ; il les représente quelquefois d'une manière p
de délire alcoolique continu parle ordinairement volontiers de ses sensations morbides ; il est expansif, souvent même de bonne
te voix de ses propres pensées etc. ; sur le terrain de ces fausses sensations surgit ordinairement le délire de persécution,
ens, lorsque le malade conserve plus ou moins longtemps ses fausses sensations et croit à la réalité de ses illusions; ici, d'
lirium tremens » (Wernicke) se caractérise par cela que les fausses sensations associées et l'agitation motrice, propres au de
25 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ou- vent pas dans les extrémités inférieures, pendant la séance, la sensation passagère d'engourdissement qui est la meilleur
urs par une aura localisée dans la jambe gauche. Ce n'était pas une sensation de fourmillement ni d'engourdissement, c'était
sensation de fourmillement ni d'engourdissement, c'était plutôt une sensation motrice de raideur ou de contraction, une crainte
, tout à fait caché dans l'épaisseur du cerveau, et qui, d'après la sensation du toucher, devait avoir les dimensions d'un pe
tres sensitifs, qui gardent et associent les ima- ges provenant des sensations cutanées et musculaires, et qui mettent en acti
l'accès un fait capital : c'est son début constant par une aura de sensation motrice localisée dans la jambe gauche. Eh bi
ptômes qui plaident dans le même sens. C'était, en premier lieu, la sensation de lourdeur que le malade accusait plusieurs fo
immédiatement après les convulsions, et qui peut être comparée à la sensation de fatigue ou de courbature que l'on expériment
local ? La décharge épileptique dansle centre de transformation des sensations musculaires du membre inférieur en perceptions
n perceptions et en images mentales peut-elle évoquer là de fausses sensations , des hallucinations et créer le délire ? Je l
tion par le toucher de la forme des objets ne sont pas le faitd'une sensation simple primitive, elles ne peuvent se former qu
tive, elles ne peuvent se former que par un rapprochement entre les sensations éprouvées et celles de divers ordres perçues dé
troublée davantage, le tact est parfaitement conservé ainsi que la sensation douloureuse développée par la piqûre, et la sen
ainsi que la sensation douloureuse développée par la piqûre, et la sensation thermique; la localisation des points explorés es
la main une certaine hy- peresthésie au froid et au chaud dont les sensations restent persistantes. La sen- sibilité articula
eut que dire : c'est chaud, c'est froid. Nous avons noté déjà les sensations subjectives de froid perçues dans le membre sup
ste dans l'ap- préciation de la forme des objets; mais c'est là une sensation complexe et il n'est pas inutile d'insister sur
ter sur ce fait dans l'élude des diverses anesthésiés que, dans une sensation même simple, il est aisé de distinguer deux élé-
s filets nerveux périphériques, d'autre part l'élaboration de cette sensation , sa synthèse avec les images des autres sensati
boration de cette sensation, sa synthèse avec les images des autres sensations données par le même objet et avec celles des se
des autres sensations données par le même objet et avec celles des sensations antérieures plus ou moins semblables. C'est ainsi
; encore faut-il remarquer que la peau n'a pas le privilège de ces sensations dites simples, les surfaces articulaires ou les l
Si cette sensibilité a élé niée, c'est qu'on l'a confondue avec les sensations complexes que les auteurs ont réunies sous le n
forte ils déduisent la position de l'article. Mais à l'aide de ces sensations en quelque sorte élémentaires : sensibi- lité c
ensibilité articulaire, sensibilité musculaire,l'esprit élabore une sensation plus complexe, il les réunit, les associe aux sen
hercher la localisation. Pour cela il faudrait d'abord l'isoler des sensations élémen- taires à l'aide desquelles elle est for
i les mobilisent. Il ne faut pas s'appuyer sur de tels faits où les sensations élémentaires X ayant disparu la sensation compl
sur de tels faits où les sensations élémentaires X ayant disparu la sensation complexe ne saurait exister, pour localiser le
embres et de leurs segments, dite encore le sens de l'espace, ou la sensation de pression, et M. Aba admet que ces six facteu
ie ou du moins d'hypoes- tbésie, que cette anesthésie porte sur les sensations tactiles proprement dites, les sensations doulo
anesthésie porte sur les sensations tactiles proprement dites, les sensations douloureuses qui sont surtout des sensations de d
proprement dites, les sensations douloureuses qui sont surtout des sensations de dé- fense n'étant pas atteintes, que la topo
ut cette autre con- clusion à savoir que ce sont principalement les sensations associées qui font défaut dans les lésions cort
cevoir une série d'étapes entre les centres de perception de chaque sensation élémentaire et les centres mo- teurs volontaire
destruction de la zone rolandique n'abolit pas la perception de la sensation brute il n'y a pas anesthésie, il y a hypoesthési
- mais seulement la perception des variations qualitatives de cette sensation ; que c'est un centre de sensibilité perfectionn
ommémoratives tactiles et par suite impossibilité de rapprocher les sensations éprouvées de celles déjà produites par les obje
nce grise des circonvolutions. La synthèse, -\ le rapprochement des sensations actuelles et des sensations passées ne peuvent
s. La synthèse, -\ le rapprochement des sensations actuelles et des sensations passées ne peuvent évidemment se faire que par
dépendance immédiate. C'est dans les centres d'association que les sensations tactiles, visuelles, olfactives, acoustiques se
e réunissent, se fusionnent, sont comparées entre elles et avec les sensations passées, ce sont les instruments de la pensée et
e ces centres cérébraux, les uns centres de projection servant à la sensation simple et au mouvement ré- flexe plus ou moins
né mais involontaire, les autres centres d'association servant à la sensation complexe formée de la compa- raison des images
que le sens stéréo- gnostique résultat complexe de l'association de sensations simples actuel- les et d'images antérieures con
ements dans les membres infé- rieurs, surtout accusés à droite, une sensation d'engourdissement dans la zone du cubital. Depu
ite, ankylosée dans toutes ses articulations, donnait au malade une sensation de pesanteur et de poids, en même temps qu'elle
nte de plus en plus jusqu'à ce que finalement la palpation donne la sensation d'une tumeur dure, incapable d'être différencié
centre de la tumeur est osseux, sa péri- phérie donne absolument la sensation du cartilage (Hawkins, notre cas). Lorsque la t
le milieu de la plaque avec le doigt, le malade n'éprouvait aucune sensation ». En 1354, Addison et Bazin décrivirent la chélo
t le reflet de la nacre. La palpation permet de percevoir les mêmes sensations que celles fourniespar la plaque chéloïdienne d
ccuse une céphalée frontale intense, des vertiges, des nausées, une sensation douloureuse au creux épigastrique et dans la régi
ée à con- sulter. Quand les secousses se répètent, elle éprouve une sensation de suffo- cation et quelquefois des sueurs prof
au repos, les orteils s'engour- dissent et le pied se refroidit; la sensation de refroidissement remonte jusque vers la jarre
ssent tout à coup. Ces mouvements s'accompagnent généralement d'une sensation d'engourdissement il l'extrémité des doigts. Dans
t s'étendre assez loin pour dé- terminer une dysphagie intense avec sensation très pénible de déchirure et de tension à la ma
surations. Je dirai d'abord quelques mots à propos de la nature des sensations douloureuses. La question du trouble de chaqu
nt qu'il existe des terminaisons nerveuses spéciales destinées à la sensation de douleur. Mais on sent la douleur non seuleme
ait contraire à la notion « de la santé », excluant complètement la sensation de la douleur. Pourtant dans les manuels, même
nerveuse sensitive est capable de recevoir et de trans- mettre une sensation douloureuse et si en outre on accepte que chaque
haute ou basse au delà des limites dé- finies cesse de provoquer la sensation de chaleur et produit la douleur. Si l'on accep
nt calorique, dépassant ce que l'homme peut supporter, provoque une sensation plus aiguè, la douleur. Par conséquent, il exis
eur. Par conséquent, il existe une différence quantitative entre la sensation calorique et la douleur provoquée parle même ir
e d'un même irritateur, mais d'une force différente, provo- que des sensations tout à fait différentes. On observe la même sim
différence quantitative entre les sens de toucher, dépression et la sensation de la douleur. Le même corps, à une température
sans influence sur la peau, faiblement louché, donne seulement une sensation de toucher; touché plus fortement, il donne une
ement une sensation de toucher; touché plus fortement, il donne une sensation de pression, et touché encore plus fortement la
e dans la peau des fonctions spéciales, exclusivement destinées aux sensations dou- loureuses. A ce sujet on ne peut pas accep
ion : « sens de la douleur » ; ce n'est pas un « sens », mais une « sensation de la douleur ». Les données anatomiques et phy
iques ne contredisent pas cette explication. Les tissus, privés des sensations tactiles et thermiques, sont peu sensibles aux
nt aussi capables, comme plusieurs autres fibres, de transmettre la sensation de la douleur (nerf sympathique). Les moyens
ur que je puisse entrer dans des développements plus larges sur ces sensations . Je ne dis rien des courants électriques, comme
trouvé par les mots : augmentation, abaissement ou état normal dés sensations douloureuses. La comparaison pour juger l'abaisse
comparaison pour juger l'abaissement graduel ou retour graduel des sensations douloureuses était presque impossible et, en to
intérieure de la lèvre inférieure à 1/2 hau- 236 MOCZUTKOWSKY la sensation des irritations de la peau. Comme preuve il donne
e même qu'avec un doigt, sans la pression nécessaire, on n'a pas la sensation du pouls. - Dans les plis normaux de la peau la
ant- bras la sensibilité douloureuse est plus basse. Le degré des sensations tactiles n'est pas parallèle au degré des sensa-
sont à côté l'une de l'autre, ne possè- dent pas au même degré des sensations douloureuses ; peut-être cela dé- pend de ce qu
cas elle s'enfonce dans l'orifice d'une glande, sans provoquer une sensation douloureuse. Cette question attend encore des e
mains qui recouvrent les articulations des doigts). La force des sensations douloureuses n'est pas toujours en raison inverse
de la peau : derrière l'oreille où la peau est plus mince, on a des sensations douloureuses seulement de 0,5 millimètres ; sur l
(le vi- sage, la tête). Mes observations sur les changements des sensations douloureuses sous l'influence de l'accumulation
le comme la couture, la serrurerie, la cor- donnerie, abaissent les sensations douloureuses, surtout sur les faces pal- maires
s grandeurs relatives, mais aussi des grandeurs non relatives de la sensation doulou- reuse de la peau. L'exercice a une bo
examinés appren- nent à définir avec plus de précision'les moindres sensations douloureuses. On ne réussit à saisir aucune rel
oureuses. On ne réussit à saisir aucune relation entre le degré des sensations douloureuses traumatiques et le degré des sens
ses traumatiques et le degré des sens calorique, de l'espace, de la sensation tactile ainsi que la sensation de la pression. 11
s sens calorique, de l'espace, de la sensation tactile ainsi que la sensation de la pression. 11 y a une con- tradiction fond
ion. 11 y a une con- tradiction fondamentale entre les chiffres des sensations douloureuses traumatiques recueillis par moi et
ns douloureuses traumatiques recueillis par moi et les chiffres des sensations douloureuses, électriques recueillis par Bernha
pâteuse, accompagnée de fièvre, doulou- reuse.Plus tard, dysphagie, sensation très pénible de déchirement et de tension à la
as de douleur dans les articu- lations des épaules, mais plutôt une sensation de tiraillement. Les mouvements des autres arti
ction forcée du bras droit, sont peu douloureux ; il y a plutôt une sensation de tiraillement ; pour le bras gauche, à peu pr
nt qui est douloureux lorsque Duf... éternue. Duf... a encore une sensation particulière, spontanée celle-ci et constante,
uche, de 4 pouces 2 lignes et demie à droite. La malade éprouve une sensation subjec- tive de chaleur sur la peau du côté dro
opique. Dilatations veineuses de la face interne de la joue droite; sensation de lobules adipeux en ce point. Traînée pigmentai
En saisissant entre les doigts la moitié droite des lèvres, on a la sensation d'un pli deux fois plus épais qu'a gauche. Le nez
auche provoque une réaction plus vive qu'a droite ; sur le front la sensation est la même à droite qu'à gauche. La sensibilit
zès et Cabannes). Dans le cas de Friedreich, la malade se plaint de sensations subjectives de chaleur. La température de la fa
ession du dehors, ou d'un simple regard, d'un son inarticulé, d'une sensation intérieure, d'un souvenir, lorsque la névrose e
temps que se déclare une subite réaction manifestement hystérique ( sensation de houle, bourdonnements d'oreilles, etc.). Au
t durs, mais non aussi rigides que l'os ; ils donnent au loucher la sensation des lymphatiques cancéreux, ou d'artères très a
s congénital. Ossification puis- sante de la cuisse droite, on a la sensation d'une tumeur périostique réunie plus tard à une
26 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, une région quelconque du membre droit, le malade ressent la même sensation de picotements d'aiguilles sur toute la longueu
de picotements d'aiguilles sur toute la longueur du membre. La même sensation se produit par le con- 26 CLINIQUE NERVEUSE.
UE NERVEUSE. tact. L'application du froid ne produit plus la même sensation de picotements d'aiguilles, mais un senti- ment
leurs comme des éclairs qui partaient tout d'un coup, souvent aussi sensations de brûlure ou de froid. Dans les yeux, il voy
nts brillants s'agiter devant lui. Au niveau du thorax, il avait la sensation d'un corset de fer. Souvent aussi, il éprouvait
pas induré ; sa consistance aurait plutôt un peu diminué. Pas de sensations anormales à la face ou au cou, mais à deux ou t
on jusqu'à quatre travers de doigts au-dessous du nombril, il a une sensation de corset qui le serre extrêmement fort et lui
ment fort et lui donne quelquefois des étouffements violents; cette sensation du corset n'est pas continuelle, mais survient
quelquefois aussi c'est pendant des journées entières qu'il a cette sensation et il souffre alors énormément. Mais c'est surt
lité à l'extrémité supérieure gauche, et le 20, au supérieur droit, sensations de brûlure, douleurs fulgu- rantes, crises gast
é de la parésie vésicale et rectale. Dans les membres, il avait des sensations de brûlure. Il est resté au lit une vingtaine d
ne donnent plus DES ACDIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 33 la sensation d'étouffement qui les accompagnait avant le trait
es ; continuité de douleurs uréthrales et de douleurs fulgurantes ; sensations de brûlure à la cuisse gauche. Vers le commence
eurs fulgurantes n'ont pas cessé de visiter le malade. Il avait des sensations de brûlures à la cuisse gauche. Vers le commenc
savoir la région qui, à une époque antérieure, était le siège de la sensation de brûlure, toute cette surface, dis-je, est an
de est pris d'engourdissements de pieds par suite desquels il a une sensation vague de ses chaus- sures et de ses caleçons. C
de l'acte de co'it. L'éjaculation est hâtive et ne développe aucune sensation volup- tueuse. Les douleurs uréthrales depuis
EMPLOI DES SCAPHANDRES. 47 malade de M. Marie a commencé à avoir la sensation d'un corset de fer, à la même époque que la par
au moment même de la disparition-complète de la paralysie; cette sensation servant en quelque sorte de symptôme de transit
ables donnant lieu quel- quefois à des étouffements violents. Cette sensation de serrement durait chaque fois un temps variab
is aussi (OBs. XX), c'est pendant des journées entières que cette sensation dure et le malade souffre alors énor- mément.
enté d'engourdissements de pieds, par suite desquels il avait une sensation vague de ses chaussures et de ses caleçons. Lor
douleurs en ceinture étaient plus tolérables, ne don- nant plus la sensation d'étouffements. Les crises gas- triques n'avaie
l'acte du coït, l'éjaculation était hâtive et sans développement de sensation volup- tueuse. Après le traitement, les polluti
ssion et l'invasion de l'accident. Pas de symptômes du début. Vague sensation de pantalons et de caleçons. Anesihésie sous to
de pantalons et de caleçons. Anesihésie sous tous les modes. Pas de sensation du sol. Le soir, ci 10 heures, picotements d'ai
oulaient entre l'excitation et la perception sensitive; une fois la sensation perçue, elle durait plus qu'à l'état normal. Le
rictionner avec du vinaigre chaud; il n'aurait eu qu'une très vague sensation de la friction. On l'avait pincé aussi et il n'
es d'intervalle entre la décompression et l'invasion de l'accident. Sensation de pression à la nuque, engourdissements, anéan
essité d'uriner dès le besoin perçu. Fonctions génitales émoussées. Sensation du froid au membre parétique. Nicolas Cirkas, â
bien, mais au bout de ce temps, le malade est pris d'une très forte sensation dépression à la nuque, comme si un malaise le s
aissance pas d'autres symptômes. Au bout de trois heures à midi, la sensation de pression à la nuque, les engourdissements, c
eures. Au genre de symptômes sensitifs,nous devons rat- tacher la sensation de pression à la nuque, comme si une main le sa
chique et les étourdissements; celle de 1'013SERVA-flON XXVI par la sensation de pression à la nuque, les engourdissements et
aso-moteurs. Excepté le malade de l'OBSERVATION XXVI, qui avait une sensation de froid au membre paralytique, ceux des Observ
, mains et pieds. En pressant la peau avec le doigt, on éprouve une sensation sui generis, celle que donnerait une subs- tanc
s moitiés l'hallucination du rouge, elle aura sur l'autre moitié la sensation du vert complémentaire (Parinaud). - On dit à une
plus fréquentes dans la région du dos, qui donnaient au malade la sensation d'un léger choc. Plus tard, quand survinrent les
vinrent les hal- lucinations de l'ouïe, les patients éprouvèrent la sensation d'une main leur frappant sur l'épaule en même t
ure, enfin, la sensibilité des parties sous-jacentes à la peau. Les sensations excentriques sont en outre l'objet d'un paragraph
frait de froid et de douleurs lancinantes dans les jambes, et d'une sensation de ceinture très marquée. Plus tard parurent en
i fait l'effet d'un simple contact. Retard dans la transmission des sensations et polyesthésie (S. ressent deux ou trois fois
qûre). Confusion dans l'estimation de la place où se produisent les sensations tactiles (elle prend souvent lajambe gauche pou
tat normal. Dans les jambes, douleurs lancinantes et térébrantes, sensation subjective de rigidité. Quand on exerce des mouve
peut constater une flaccidité complète de toutes les articulations. Sensation de froid et engourdissement dans la plante des
irantes dans les jambes ; dans ces dernières, se fait remarquer une sensation d'engourdissement et des fourmillements ; quand
'un simple attouchement et il y a retard dans la trans- mission des sensations . La sensibilité à la pression est très émous- s
endroits, au contraire, hyperesthésie. Dans les membres supérieurs, sensation d'engourdissement dans les trois derniers doigt
s deux jambes, analgésie extrême, retard dans la transmission des sensations . La sensibilité à la température est aussi très a
reil auriculaire à la couche corticale du cerveau. Dans le fait, la sensation auditive est quelquefois si aiguë que le malade
iges. A ce moment, il essaye de se plaindre à ses compagnons de ses sensations vertigineuses, mais il ne peut pro- noncer un s
pression et l'enlèvement du casque, le 'scaphandrier est pris d'une sensation de brûlure qui commençait des pieds et suivant
ne distinguait plus le jour de la nuit. En même temps, il avait une sensation de brûlure tellement intense dans les yeux qu'il
és, enfin aucun autre symptôme. C'était la cécité accompagnée de la sensation de brûlure et de la rougeur des conjonctives qu
urs avaient presque complètement disparu et( il ne lui reste qu'une sensation incom- mode de plénitude dans les yeux et de br
r. La cécité était absolue. Vers la fin de la première semaine, ces sensations de pléni- rude et de brûlure avaient disparu. P
du casque, on le voit se frotter les yeux, ce qui était dû à une sensation de brûlure intolérable, ses conjonctives auraient
ps, le malade se plaignait d'une douleur à la région gastrique avec sensation d'angoisse. Cet état, qui n'était accompagné d'au
e troubles de la sensi- bilité. ZD c - Il avait en même temps une sensation précordiale avec plénitude et gêne de la respir
que comme contacts. Aucun ralentissement dans la transmission des sensations n'a pu être constaté dans les endroits où la piqû
t;O; mais il ne distingue nulle part une différence de 2 degrés. La sensation de pression est excessivement affaiblie ; dans la
rêmement troublé dans les membres inférieurs. La localisation des sensations est très inexacte, mais il n'est pas possible d
l n'est pas possible de dire que le malade ait indiqué le siège des sensations trop près du centre seulement, ou seulement tro
s fulgurantes furent remplacées par des douleurs au côté droit, une sensation de ceinture et de constriction dans les muscles
elle le malade commença à se plaindre pour la pre- mière fois d'une sensation de ceinture caractéristique à la partie inférie
voit déjà plus. Le la mars 1887, J... commença à se plaindre de la sensation de ceinture qui s'était calmée et pour la premi
nsibilité au contact et au froid. Subjectivement, nous trouvons une sensation de ceinture, des douleurs lancinantes et des pa
accès, on remarquait ou quelque symptôme nerveux (par exemple : la sensation de ceinture), ou l'aggravation des symptômes pr
crié : « Tenez-moi ! je m'en vais, je me préci- pite. » Il avait la sensation que sa chaise s'enfonçait et lui avec elle; imm
itions et qu'on lui a enlevé le casque, il a été bientôt pris d'une sensation pareille à celle du premier accident, c'est-à-d
elui d'un coup de fusil. Cette fusillade a été bientôt suivie d'une sensation vertigineuse intense; le malade avait la sensat
tôt suivie d'une sensation vertigineuse intense; le malade avait la sensation qu'il se trouvait dans un bateau très agité par u
des bourdonnements (fusillade), ver- tige de translation très fort ( sensation de bateau agité), terminai- son par des nausées
398 CLINIQUE NERVEUSE. la titubation se dissipe complètement. La sensation vertigineuse permanente devientplus légère et l
s et séparées par des intervalles, pendant lesquels il n'y a pas de sensations vertigi- neuses ; le calme est parfait. Seuls l
été pris d'une crise de vertige de translation, le malade ayant la sensation que sa chaise s'enfonçait avec lui au fond de l
t-cinq mi- nutes son séjour au fond, il fut pris d'une dyspnée avec sensation de sutfocation et d'une sueur abondante. Immédi
x membres surtout sous l'influence des variations atmos- phériques. Sensation désagréable à la région lombaire. Pas de troubl
il semblait qu'il allait recouvrer entièrement le mou- vement et la sensation des membres inférieurs; mais malheureu- sement
peau, à peu près comme chez tout le monde; et, d'un autre côté, la sensation élec- trique est vivement sentie, car tout le c
asc. Il, 1888. Bouelialoff. Etude sur les causes de distinction des sensations . Arch. de Kovalewsky, t. XII, n° 2, 1888. De
tions. Arch. de Kovalewsky, t. XII, n° 2, 1888. De la qualité des sensations gustatives. Arc7e. de Kova- lewsky, t. XI, iio
rz. de Mierjiewsky, 0° an., fasc. I, 1888. - De la localisation des sensations auditives dans l'espace. Thèse inaugurale, Sain
mie.) M. le D'' C.-L. (de New-York). Localisations cérébrales des sensations cutanées. Il y a une identité complète, entre les
, un malaise particulier et un besoin irrésistible de supprimer ces sensations par l'alcool. C'est une faim ou une soif pathol
27 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ujet chez lequel, depuis l'enfance, certaines paroles éveillent des sensations gustatives correspondant à la saveur de certain
fruits ou de cer- tains mets, ou même d'objets non comestibles. Ces sensations gus- tatives restent presque toujours à l'état
es la profession est d'ordmaire, relative- ment supérieure ; 5° une sensation illégitime de bien être se ren- contre chez une
ctes inspirés ou conseillés par un initiateur coupable. La première sensation éprouvée avait été enregistrée par la mémoire a
les se trouvaient donc dans une dépendance étroite avec la première sensation et le réflexe génital n'était réveillé que par
xe génital n'était réveillé que par des idées se rapportant à cette sensation . L'explication de ces états mentaux se trouve d
a neuro-pathologiè ne doivent pas être sépa- rées. Les troubles des sensations , des perceptions 'hallucinations et illusions),
plutôt à ce que le restant du lobe occipital perçoit, lui aussi, la sensation de la lumière. G. DENY. XVI. Encéphalite aigue
M. DENY répond qu'il ne suffit pas à un sujet de ne pas avoir la sensation de ses organes pour en mer l'existence ; il lui f
concours », et que chaque moitié est présente à tout acte eta toute sensation dans la mesure permise par son organisation, pu
lle des sentiments, mais il vaut mieux considérer ceux- ci aveç les sensations , propos des acquisitions de chaque co-être. ? '
susceptible ... de percevoir l'idée des objets et de ressentir des sensations très com- plexes ... de saisir les rapports' qu
e eux, les idées entre elles "ou avec les objets, enfin les' idées, sensations et objets avec le sujet même... Il vit sur un f
corporées i ba mémoire, comme le sont les images, les ob- jets, les sensations ressenties et les mots'qui représentent ces idé
sensations ressenties et les mots'qui représentent ces idées et ces sensations » (p. 56). 11 existe en effet des preuves de l'
naissance, ces groupements ne portent que sur un ordre restreint de sensations et, outre que, sauf ceux des images visuelles e
bjet d'un raisonnement propre- ment dit. - Suivons maintenant les sensations , les sentiments, les idées, bref, tout ce que p
ique de la moitié opposée du corps..Nous ne reviendrons pas sur les sensations visuelles déjà trop longuement envisagées à pro
longuement envisagées à propos des voies et centres optiques. Les sensations gustatives et olfactives unilatérales sont extrê-
les sont extrê- mement rares. Il en est à peu près de même pour les sensations au- ditives, qui, du reste, mieux encore que le
our les sensations au- ditives, qui, du reste, mieux encore que les sensations visuelles. mettent en jeu les deux hémisphères,
nt sensoriel met forcément en jeu les deux hémisphères. Parmi les sensations données par la peau et les muqueuses, beau- cou
où les deux côtés du corps ne sont pas opposés. Presque toutes les sensations , si importantes comme repères mnémoniques. dues
souvenirs cénesthésiques et sont identiques pour les deux côtés.Les sensations nées de l'effort, capitales pour la genèse de l
l en est de même pour la plupart des élé- ments affectifs de chaque sensation , même lorsque ces éléments ne sont pas déjà rév
rsque ces éléments ne sont pas déjà réveillés par l'évocation d'une sensation antérieure. Enfin, certaines des sensations tac
és par l'évocation d'une sensation antérieure. Enfin, certaines des sensations tactiles liées aux « appétits » les plus élémen
deux hémisphères ; toute SUR L1 SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 513 sensation tactile nu thermique est conduite par des fibres
i élimine les extrêmes ,des cen- tres corticaux physiologiques. Les sensations les plus simples sont d'abord vagues ; ce n'est
des localisa- tions plus fines. Admettons pourtant que, pour les sensations tactiles, la part du côté non impressionné soit
moins encore, pour la simple reconnaissance, il faut souvent que la sensation s'associe à des sensations visuelles, auditives,
le reconnaissance, il faut souvent que la sensation s'associe à des sensations visuelles, auditives, à des complexus ayant cet
ce, la collaboration passée et présente des deux hémisphères. Les sensations les plus facilement évoquées par la mémoire sont
tout entier. D'autre part, c'est par leur teinte affective que les sensations sont ordinairement le point de départ d'une réa
d'étendue ne peut pas être l'effet du moi conscient. Si donc les sensations s'unissaient en deux séries ditiiitéà,élià- que
our les deux co-êtres, c'est que chacun non seulement participe aux sensations et actes de l'autre, niais encore connaît ses é
nécessite et impli- que l'intégration primordiale et spontanée des sensations des 'deux hémisphères. Or il est impossible de
tions des 'deux hémisphères. Or il est impossible de dissocier .ces sensations du reste du contenu de Fêtât de conscience, et,
ntres de perception,`le principe de 1' « unité d'im- pression ou de sensation », défendu aussi par Cajal est également contra
conscience parmi lesquels les plus apparents sont l'indécision, la sensation d'impuissance à agir et surtout la dif- ficulté
e- Son esprit se déplace et son corps reste à Sainte- Anne. Il a la sensation d'être souvent piqué à la fesse, lia de nombreu
t ab- solument justifiée. La condition principale qui fait qu'une sensation se lie ou est ca- pable d'être rattachée par la
d ceenes. thésique, ou, en d'autres termes, de l'état affectif, des sensations internes : et de l'état des organes sensitive -
e, si de vastes anesthésies tactiles sont survenues depuis peu, les sensations nouvelles venues pourront ultérieurement s'évoq
thésie,de la sensibilité cu- tanée ou sensorielle, survenance d'une sensation forte et à teinte affective accusée, ou bien ba
es fois, par exemple dans la suggestion sous hyp- nose, on voit une sensation fortement affective, riche en associa- tions de
« perceptions incomplètes » de Leibniz, c'est-à-dire de toutes les sensations restées au-dessous du seuil de la conscience ma
le plus souvent la création de « l'état fort » au cours duquel les sensations en question ont été reçues : ce mécanisme est d
e son bras gauche avec celle de la sensibilité ou de l'ensemble des sensations du côté gauche ou du bras gauche. Dans les cas
avait formé des groupements de représentations de mouvements ou de sensations , considérées dans le temps : maintenant les mou
sensations, considérées dans le temps : maintenant les mouvements, sensations sont consi- dérés et groupés d'après leurs rapp
par le transfert ; ou bien,les modifications oenesthésiques ou une sensation forte et remplissant certaines conditions ayant
entiment de l'iden- tité, non dans la succession des impressions et sensations car... ». J'interromps la citation pour faire r
tité ne comprend pas seulement « la suc- cession des impressions et sensations » ainsi que l'Au- leur le fait dire injustement
x co-êtres, sont pour chacun de ceux-ci des actes mentaux, si les sensations de l'un sont communiquées à l'autre comme sensa
taux, si les sensations de l'un sont communiquées à l'autre comme sensations ou comme ébranlements : cherchons en un mot à d
« Même en les supposant com- muniquées d'un co-être à l'autre, les sensations peu- vent, si elles ne sont pas contradictoires
l'un à l'autre, jusqu'à n'en faire plus qu'un moralement, « la même sensation surgirait en même temps dans chacun d'eux » (p.
onscience de droite l'est-elle aussi et simulta- nément par la même sensation ? Non, d'après les données mêmes du problème. L
mêmes du problème. La conscience de gauche communi- que t-elle la sensation à celle de droite ? Si elle ne le fait pas touj
le pas ne se faire que par une manifestation qui n'est déjà plus la sensation , mais un signe, naturel ou conventionnel, repré
tion, mais un signe, naturel ou conventionnel, représentant cette sensation ? L'ouvrage entier reste muet sur ce point. Je co
ces n'est plus un,mais deux faits psychologiques. Donc, dire que la sensation est communiquée comme sen- sation, ce serait di
ation est communiquée comme sen- sation, ce serait dire qu'une même sensation est double étant connue des deux coêtres, chose
ns les difficultés rencon- trées à propos de la communication de la sensation elle- même. Elle est donc connue d'une façon di
ernance d'un état pri- me et d'un état'second. La communication des sensations d'un co-être à l'autre,mentionnée plusieurs foi
'opposent à « la Sensibilité supérieure qui raisonne et précise ses sensations et à une Mémoire supé- rieure [celles du MoiJ q
lles il les satisfait » (p. 92). Quant au Moi, qui a maintenant des sensations et des percep- tions propres, il sera présenté
L'une et l'autre sont in- térieures car comment cottcevrais-je une sensation qui ne se- rait pas en moi » (p. 68). Et « du f
favorisées les souvenirs de la veille et par celles que créent les sensations sub- sistantes, la plupart d'origine interne. C
le que par l'évocation,cnor- donnée ou incohérente, peu importe, de sensations antérieures ? Pourquoi les sensations et percep
incohérente, peu importe, de sensations antérieures ? Pourquoi les sensations et perceptions sont elles supprimées ou très am
usculaire sont entière- ment distincts de ceux qui enregistrent les sensations tactiles et thermiques ; 2° les centres qui reç
ie. Mais cette anesthésie n'est que la perte de la conscience des sensations , car dans certains cas le sujet qui pré- tend n
t cependant automatiquement. Mais si ce n'est que la conscience des sensations qui est perdue dans l'anesthésie, pourquoi cett
qui ne peut plus embrasser dans une seule synthèse personnelle les sensations musculaires et les représentations de mouvement
ur et psycho-moteur, c'est-à-dire que c'est là qu'abou- tissent les sensations parties de la périphérie du mem- bre, tant exte
mineront qu'un état insuffisant pour provoquer le mou- vement et la sensation consciente dont il est la réponse, mais suffisa
conçoit que le réveil de ce fonc- tionnement doit's'accompagner de sensations et de réac- tions psychiques un peu particulièr
tablir des échelles de sensibilité qui permettent, étant donnés une sensation , un trouble sensitif quelcon- que, de savoir à
ant donné un état somatique déter- miné,de prévoir quelles sont les sensations éprouvées par le sujet. Cette étude permet de
Les deux coêtres sont « en relations régulières » (p. 97); leurs sensations de perceptions peuvent être « communi- quées pa
l'ensemble de son contenu : il y a dans ce contenu nombre de faits, sensations , perceptions SUR LA SYMÉTRIE BILATERALE DU CORP
ciproque des influx auxquels il donne passage, « l'intégration des sensations conscientes provenant des deux moitiés du corps »
les souvenirs rudimentaires qui président à la reconnaissance de la sensation ,à la perception et à toute la série d'actes psy
motifs ruminés.Cet oubli est quelquefois causé, ou rempli, par une sensation intercurrente ou tout autre état de conscience
force intérieure naît qui va.... soumettre à une sorte de contrôle sensations , idées, no- tions et volitions » (p. 130). Cett
ensorielles est invariablement déprimante : il diminue l'acuité des sensations et la rapidité des perceptions. Il faut donc po
rapporte aussi le cas d'une épileptique dont l'aura consiste en une sensation de fausse reconnaissance des objets environnant
nd il reprend son acti- vité, ce retour s'accompagne d'une série de sensations qui se présentent dans un ordre et avec des car
ord que même si j'avais suggéré aux su- jets d'avoir telle ou telle sensation , de faire tel ou tel mouvement, cela n'enlèvera
ous » ou « sentez-vous », s'étirer, secouer la tête, éprouver des sensations diverses,se. mettre tout à coup à repasser leur
finer dans « la connaissance de nos seules,propres et accidentelles sensations » (p. 149), mais encore celui de ne pas fournir
a jamais « amener à la connaissance d'autre chose que de nos seules sensations » et celte connaissance ne pourra « jamais, mêm
tile ou auditif et les représentatiors qui lui sont liées, soit les sensations , perceptions ou reconnaissances les plus simple
tion ou d'imitation doit être écartée*. Aucun n'a paru obéir à une sensation subjective préalable, mais il est probable qu'ils
stable intérêt scientifique. Principaux ouvrages DE "1. Ch. FÉRÉ. - Sensation et mouvement, 1 vol., 1 IUU, traduction espagno
diverses formes de la croyance : on croit parce qu'on objective ses sensations , ou par raisonnement, ou par sentiment, ou par
âge, docilité, surémotivité... faiblesse d'esprit, veilles, jeûnes, sensations ), les modes de contagion religieuse. Cette cont
28 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ité corticale ? Dans la perte des images mentales ou dans celle des sensations brutes de la vue ? Avant de répondre à ces ques
siologique, puisqu'il s'agit de savoir si l'écorce est le siège des sensations en même temps que des perceptions et des images
ations en même temps que des perceptions et des images, ou si les sensations ont pour siège, en dehors des hémisphères céréb
cécité est absolue (Flourens, Munk) : les sen- sations brutes, les sensations élémentaires, ont donc ' Pubblicazioni del R. I
ages perçues ; il conserverait encore la possibilité d'éprouver des sensations visuelles. Munk, après Flourens, prétend réalis
e au centre cortical de la vision que l'éla- boration psychique des sensations visuelles, dont le siège serait situé dans les
ision ne sont que le siège des percep- tions et des images, non des sensations élémentaires de la vue. Chez deux singes, dont
vision a d'ailleurs été incomplète, Luciani a pu constater que les sensations de la vue étaient redevenues parfaites : ces an
ont été découverts, bref,~où les régions des transfor- mations des sensations en perceptions et en images mentales ont pu êtr
me étant à la fois de vrais centres de perceptions élémentaires des sensations et des dépôts d'images mentales. Dès l'origine,
rritation qui, ici, détermine des convulsions, évoque là de fausses sensations , ressuscite des per- ceptions, des images qui,
oteurs de l'écorce, atteint les centres sensoriels et y suscite les sensations ou les images intenses de l'hallucination'. Hit
uand elle est suffisamment intense, est perçue comme si c'était une sensation ; cette image visuelle est projetée au dehors c
e sensation ; cette image visuelle est projetée au dehors comme une sensation extérieure... L'image mentale est perçue LES FO
épileptiformes, appliquée aux cen- tres sensoriels fait naître des sensations subjectives de la vue, de l'ouïe, etc., que man
ons de la vue. Charcot, Fer- et interprétée comme si elle était une sensation rétinienne. On perçoit une image comme on perço
une sensation rétinienne. On perçoit une image comme on perçoit une sensation . » Alfred Binet, La vision mentale. (Re ? philo
mine alors complètement; nous croyons fatalement à la réalité des sensations ou des visions qu'elle suscite en nous, et aucu
t violent ou insolite, Ferrier les interprétait comme l'effet d'une sensation auditive subjective. Cette sensation provoquait
rprétait comme l'effet d'une sensation auditive subjective. Cette sensation provoquait, par action réflexe, les 1 Sui cenlr
réaclions représentent des mouvements réflexes consé- cutifs à des sensations subjectives, les auteurs italiens 'inclinaient
i vont-ils s'atténuant si l'animal survit assez longtemps. Mais les sensations brutes de l'ouïe redeviennent toujours parfaite
uniquement destiné aux perceptions et aux images acoustiques; les sensations simples de l'ouïe par- viennent ailleurs, mais
entale auditive du mot, qui est effacée dans la surdité verbale, la sensation élémentaire des sons ou des bruits demeurant in
rait essentiellement sur les'centres d'élaboration psychique de ces sensations , non sur les centres des perceptions ou des sen
hique de ces sensations, non sur les centres des perceptions ou des sensations brutes, si toutefois on inclinait encore à adme
880), que je n'ai pu consulter. 7'1. PHYSIOLOGIE. intacte. Or les sensations acoustiques verbales étaient perçues et compris
relet; phlyctène. La jambe est moins douloureuse; à la pal- pation, sensation de fausse fluctuation. Deux incisions sont faites
E : SUSPENSION. 127 En 1875, diplopie qui dure six mois. En 1888, sensation de coton sous les pieds, la marche devient très
membres inférieurs auxquels elles se sont limitées jusqu'à ce jour. Sensation de constriction thoracique et lombaire. 128 REC
nt le som- meil. Nous ne devons pas oublier que, plusieurs fois, la sensation d'engourdissement des pieds s'est atténuée ou a
bilité qui existaient aux membres inférieurs, et en particulier les sensations de froid et les fourmillements qui étàient très p
REVUE CRITIQUE. des mictions fréquentes avec incontinence parfois, sensation de coton dans les membres inférieurs, absence d
. Il signale ce fait, déjà mentionné par M. Charcot, c'est que : la sensation de soulage- ment et le retour de la coordinatio
du traitement (7 à 23 séances), le sommeil est devenu meilleur, la sensation de chaleur a diminué, la rigidité des membres e
observés dans l'excitation du lobe occipital sont le résultat de sensations optiques subjectives ne peut être considérée comm
u'il est en rapport en grande partie, sinon exclusivement, avec les sensations douloureuses et tactiles. C'est une extension des
cuse actuellement (après avoir vu double pendant l'été de 1886) une sensation d'op- pression dans la région stomacale, des na
rapprocher les pieds sur la même ligne et qu'on lui ferme les yeux. Sensation toute subjective d'engourdissement dans les ext
s et les joues, soit plus épais que normalement et tuméfié; il a la sensation du masque tabétique des Italiens; et cependant,
sont des voies habi- tuelles pour le passage et la transmission des sensations ; les autres sont des voies pour ainsi dire neuv
'effectue, grâce à cette loi, le passage d'un groupe particulier de sensations toujours les mêmes nous aurons alors l'explicat
d devoir de l'éducation de rendre, pour ainsi dire, praticable» aux sensations morales et utiles certains trajets nerveux rest
au contraire, ceux qui n'étaient que des portes d'en- trée pour les sensations basses et nuisibles. Or, pour donner nais- sanc
s sensations basses et nuisibles. Or, pour donner nais- sance à une sensation , il faut faire intervenir une excitation. Les e
est presque constammenl diminué, souvent il est aboli pour une des sensations gustative* fondamentales à l'exclusion des autr
heures environ, la paralysie disparaît avec le développement d'une sensation de picotements d'ai- guille. De 6 à 7 heures le
r; la sensibilité restait intacte, les malades se plaignaient d'une sensation de froid, de langue lourde, gênant la parole; v
stupide, bouffissure des paupières et des lèvres, langue épaisse, sensation de froid, cyanose et lourdeur des bras et des jam
i, qui constitue à l'état normal, le véritable régulateur entre les sensations , les mouvements et les actes psychiques purs. M
n'existe pas à ce sujet de loi aussi formelle. Chaque état prend la sensation qui lui est le plus utile et rien de plus. 11
ieurs. Ce prétendu sens musculaire pourrait bien ne résulter que de sensations multiples purement centripètes, c'est-à-dire vu
res, dont une part revient aux sen- sations cutanées, une autre aux sensations articulaires, musculaires proprement dites, etc
lequel l'évocation des images graphiques des let- tres amenait des sensations diverses de tact, de goût, de sens musculaire.
culaire. Par exemple l'O est noir pour la vue et s'accompagne d'une sensation de chaleur étouffante, de chute dans un précipice
es extrémités inférieures. Persistance des désirs amou- reux et des sensations agréables de l'orgasme vénérien, persis- tance
Elle était dans sa boutique à travailler, quand elle ressentit une sensation pénible d'engourdissement qui débuta par la lan
que la moitié des figures pendant qu'elle servait le monde. »; ces sensations durent une heure ou deux, puis un violent mal d
sensibles », où sont conservées et associées les images nées des sensations cutanées, musculaires et d'innervation des régi
xpressément que toute représentation de ce genre est accompagnée de sensations musculaires, si bien que la vue seule d'un obje
produire ces mouvements avec ou sans conscience; les résidus de ces sensations mus- culaires constituent seuls la condition du
ol des nuages, Stricker éprouve dans les muscles des yeux les mêmes sensations que s'il suivait en réa- lité les nuages ; s'il
s'il suivait en réa- lité les nuages ; s'il cherche à arrêter cette sensation musculaire, l'image du nuage en mouvement s'arr
s de l'innervation motrice, mais ils ne le font qu'à la manière des sensations qui déterminent des mouvements réflexes '. Quan
, ce n'est pas l'énergie des mouvements musculaires, mais, avec les sensations de tact et de 1 Dei ]J1'e/esi cen/I'i motori ne
es centrifuges ou kinésodiques d'un arc réflexe, grâce auquel les sensations tactiles, qui règlent nos mouvements, pro- voqu
nel avec cette zone. Si donc Horsley n'a pu -constater la perte des sensations du tact et du froid ^après la section des cordo
nt le centre (ou les conducteurs nerveux conduisant au -centre) des sensations du tact et du froid ; ces deux sensations sont
onduisant au -centre) des sensations du tact et du froid ; ces deux sensations sont transmises par les cordons postéiietirs de
cipital ne peuvent être de natuie réflexe, c'est-à-dire résulter de sensations optiques subjectives, car, après l'ablation total
c'est-à-dire des résidus des perceptions' antérieures, mais non des sensations . J'arrive aux résultats des dernières expérienc
. La pression serait plus douloureuse à droite et déterminerait une sensation d'oppression avec irradiation vers la base du c
étermine une dou- leur irradiée vers l'épigastre en déterminant une sensation d'op pression. Le point abdominal est plus doul
de ces endroits gonflés est abaissée, autant de fait que d'après la sensation des malades, qui éprouvent un sentiment de froi
st localisée dans quelques parties du corps. Avec cela apparaît une sensation de grande fatigue, de faiblesse, 424 REVUE CRIT
se développa petit à petit. La malade se plaignait tout le temps de sensation de froid, surtout aux endroits gonfles. L'intér
uestion jouissent agréablement des variantes du ca- rillon; mais la sensation , ils la manifestent différemment, seize d'entre
xtinction des conceptions musicales dans le sensorium; cet ordre de sensations et d'activité peutau contraire parfaitement sub
oté, la propulsion ou la rétropulsioti, l'agitation nocturne par la sensation de chaleur, le masque facial propres à la paral
29 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
mps incrédule peut-être; il s'étonne de ne point obtenir du tabac les sensations tant vantées. Néanmoins, peu à peu la suggestion
et il fumera jusqu'à la fin de ses jours. Il trouve dans le tabac les sensations qu'on lui avait annoncées et qu'il y cherchait. L
e dans le même sens, sur l'intensité des actions magnétiques. « Ces sensations , ordinairement inconscientes, seraient peut-être
rre relativement considérables ; elle se guide sans doute d'après des sensations tactiles et olfactives. Les mammifères nous don
ntermédiaires exécutifs, pense, parle ou écrit. Tout sentiment, toute sensation , toute pensée a sa création dans le cerveau et se
, ni espace, ni passé, ni avenir; le devenir même n'existe pas. Une sensation peut sembler durer des siècles ou une seconde. C'
s siècles ou une seconde. C'est l'état présent qui est tout. C'est la sensation vive, ardente, d'une puissance singulière, d'une
du toucher. Horsley. — Le degré de localisation des mouvements et les sensations correspondantes. Pierre Janet. — L'aboulie. Lange
les rapports de la respiration avec l'attention. Munsterberg. — Les sensations complexes du plaisir et de la douleur. Lombroso.
ter le passage suivant d'un travail que j'ai publié, en 1887, sur les Sensations des Insectes (2} : « Instinct de la direction.
t-Ebing. les symptômes de ces aberration» doivent se comprendre comme sensation » et idées obsédantes occasionnées par auto-sugges
u, l'intelligence consciente, la volonté, et produisent, en créant la sensation de fatigue et de narcose, une disposition favorab
Il éprouvait en même temps des douleurs tris vives à l'épigastre; une sensation de boule remontant jusqu'au pharynx et sensation
s à l'épigastre; une sensation de boule remontant jusqu'au pharynx et sensation de froid dans la région précordiale. 11 tomba lou
et l'épigastre, percevant toujours vers la région précordiale la même sensation de froid sur laquelle il insiste. Toute la jour
II Physiologie psychologique proprement dite, c'est-à-dire étude des sensations ; Rapports de la sensation avec l'excitation péri
e proprement dite, c'est-à-dire étude des sensations ; Rapports de la sensation avec l'excitation périphérique; sensibilité perce
ion des couleurs d'un certain nombre de publications récentes sur les sensations produites par les couleurs (la perception des cou
uge rétinien est celte substance dont la décomposition fait uaitre la sensation du jaune; celte décomposition produit immédiateme
e rétinien, et la décomposition du jaune rétinien permet d'obienir la sensation du bleu. Les motifs qui militent en laveur de l'a
uvées exclusivement ou tout au moins d'une façon prépondéra 11 le les sensations du jaune et du bleu ; 2" Les spectres d'absorpt
es, représentent l'inicnsitè avec laquelle ils ont dans le spectre la sensation du jaune et du bleu. Les autres motifs sur lesq
ger. Bientôt l'excitation factice créée par l'injection s'éteint, les sensations les plus normales sont douloureusement ressenties
n huit piqûres. Elle est arrivée à un degré d'énervation extrême, ses sensations génitales sont abolies, la menstruation est presq
e envie qui pourrait survenir. Pendant deux mois elle a eu encore des sensations très pénibles : crainte de mourir, état d'esprit
stées produira ce qu'on appelle dans les comptes rendus un mouvement ( sensation ). Mais ce mouvement sera ressenti par tous à la f
nces pour exprimer tous les sentiments, des analogies avec toutes les sensations . On sait l'importance qu'attachaient les rhéteu
pées analogues aux idées qu'on a et dont on est fortement occupé, aux sensations qu'on ressent et qu'on vent exciter; aux phénomèn
e devient une constriction qui remonte jusqu'à la gorge et produit la sensation d'étouffement caractéristique de la boule hystéri
l, que rhalluciuation. éprouvée au milieu de la veille, et malgré les sensations réelles environnantes, soit identique au rêve de
e. — il. J.-V. Laborde, le mercredi, à quatre heures. Programme : Les sensations et les organes des sens. Evolution organique et f
Dans la théorie Yung-Helmholtz sur le mécanisme de la perception des sensations lumineuses colorées, la sélection des couleurs fo
en est de même du réveil. La simultanéité n'existe même pas pour les sensations diverses qui ont leur siège dans un seul et même
mple, ne perd ni ne récupère exactement au même moment l'aptitude aux sensations de tact, de douleur, de chaleur. On sait, de plus
si, sur l'homme profondément endormi, incapable d'éprouver la moindre sensation visuelle quand on lui entr'ouvre les paupières, l
s perceptrices des centres nerveux préposés à l'exercice des diverses sensations perdent et recouvrent leur activité avec une inég
ai pas à me rendormir. Au second réveil, j'éprouvai encore la mente sensation d'illumination de mes pupilles en vert. Mais, cet
se relevaient. D'où j'ai dû conclure que, pour éprouver la fugitive sensation de vive coloration verte des objets quand les yeu
sont en très légère avance sur celles, dn rouge et du violet. D'où la sensation très fugitive d'une belle coloration verte quand
o-électrisation : 3° Que l'effet suggestif n a rien à faire avec la sensation directe du courant; si cela était, l'effet favora
sychologie physiologique, à la Sorbonne, son cours de physiologie des sensations . Dans le premier semestre, il traitera do la ph
un d'autre et en être débarrassée. A ce moment même, elle éprouva une sensation étrange ; le renard venait de prendre possession
ur un accès aigu d'hypochondrie ayant débuté six mois auparavant. Les sensations hypochondriques étaient des plus nombreuses, et i
es lettres, la vois parlée, les notes de musique n'éveillaient aucune sensation colorée. Au contraire, la voix chantée s'associai
ion colorée. Au contraire, la voix chantée s'associait aussitôt à une sensation de couleur qui persistait dans le souvenir et lui
tc. La gustation colorée n'était très développée que pour certaines sensations gustatives. Du fait de son hypochondrie. il ne se
il était sujet, comme tous les hypochondriaques, s'associaient à une sensation colorée. C'est ainsi qu'il avait des éructations
aissait pas important, tandis qu'il se répandait en remarques sur ses sensations hypochon-driaques, ont empêché de préciser, comme
é a exercer pour dominer une habitude qui ne me procurait plus qu'une sensation désagréable. Puissé-je renier émancipé... etc. «
ux dans le côté gauche de la face et du corps provoqués par la toux ; sensation de douleur avec aigreur remontant de l'appendice
yeux de façon qu'il voie Où est sa main, il dit ne plus avoir aucune sensation , ni de froid, ni de chaud. Cette perversion de
lle change le blanc en noir et le noir en blanc, substituant ainsi la sensation opposée à la sensation réelle (ce qui existait ch
noir et le noir en blanc, substituant ainsi la sensation opposée à la sensation réelle (ce qui existait chez notre malade â parti
cellules étant modifiées dans leur modalité, c'est la conscience des sensations perçues qui est neutralisée ou pervertie. Il y a
une anomalie qui les empêche d'accepter, ou les pousse a altérer les sensations perçues. C'est une véritable aliénation mentale l
oubles manifestés lorsque l'injection n'était pas faite à son heure : sensation de « froid partout ». « de glace dans les veines
de la morphine était absolue. La malade présenta divers troubles : sensations de froid, nausées sans vomissements, vertiges, di
leur, de la colère; l'animal pense, mais sa pensée est asservie à ses sensations , à ses instincts, aux besoins de son organisme ;
te impression persiste, J'éprouvai, dans l'immense salle à manger, la sensation que donne une table que viennent de quitter des c
énérale, d'un manque de sommeil, d'appétit et d'énergie, accusait des sensations douloureuses dans différents nerfs. Chose remar
er, il me pria de lui venir en aide avec l'hypnose. Dès la première sensation d'bypnotîfation. qui fut faite en présence de mon
. Ces crises, d'après le malade, sont précédées d'une aura : c'est la sensation d'une corde qui, se tendant à l'intérieur de ses
é. Celle céphalalgie, localisée au pourtour des orbites, loi donne la sensation d'aiguilles de feu qui traverseraient les tégumen
ujet à l'eut de veille, le sujet pouvant lui-même prendre note de ses sensations , de ses idées, de ses déterminations et les rappo
le calme le plus grand. Ces sommeils sont précédés, dit-elle, d'une sensation d'engourdissement dans le pied droit, sensation q
édés, dit-elle, d'une sensation d'engourdissement dans le pied droit, sensation qui monte le côté droit du corps Jusqu'à l'œil dr
à la région épigastrique, puis jusqu'au pharynx, avec constriction et sensation de boule. Depuis ces huit mois, pendant le cour
e. Il y a trois semaines, en dehors des règles, la malade a la même sensation de douleur iliaque et de constriction épigastriqu
fait le samedi, ? dix heures, des conférences sur la physiologie des sensations . Psychologie physiologique. — M. Jules Soury, m
nistes sont en contraction permanente et donnent très nettement cette sensation à la main appliquée i plat. Exagération du réflex
ait les mêmes opérations sur la couche sensible, le sujet éprouve les sensations correspondantes. « De plus, on constate qu'à me
ne petite distance d'un sujet extériorisé, transmettait à ce sujet la sensation des piqûres dont je la perçais, vers le haut du c
iquais aux pieds. c Cependant, je parvins à localiser exactement la sensation , en implantant dans la tête de la figurine, une m
° 2.) figurine après l'avoir enlevée du contact de Collette, aucune sensation n'est non plus perçue. Avec des plaques photogr
e du tris-mus des mâchoires. Elle a le clou hystérique et accuse la sensation de la boule ; le point mammaire existe, mais on n
tre accompagné par quelqu'un, sans cependant se résoudre à avouer ses sensations parce qu'il en avait honte. En même temps il sent
30 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns venues des protoneurones. Le sujet se reconnaît alors objet de sensation et cause de mouvement. 1 L'usure fonctionnelle
trouvé non plus aucune relation entre l'état du sens génital et les sensations subjectives ressenties dans la peau par certain
anatomique ne puisse rien nous apprendre sur ce qu'est en soit une sensation , une perception, une image, un concept, il deme
de la conscience, elle ne saurait étudier le monde lui-même. » Les sensations , voilà les éléments derniers de notre connaissa
de fin, et, d'une manière générale, de la nature des choses, de la sensation , par exemple, et de la pensée. Pas plus que Cla
ifs, observés en rapport avec cette dysphagie, l'auteur a noté : la sensation de la boule (globus), paresthésies diverses dans
tous ses modes, tactile, douloureuse et thermique est intacte; les sensations sont bien localisées; le - `malade, les yeux ba
Quelque soit la variété de mémoire interrogée, quelques soient les sensations perçues que l'on cherche à faire revivre,on se
de transformer en mouve- ments, au moyen des voies efférentes, les sensations reçues ou perçues, mais d'arrêter ou d'inhiber
système nerveux, de soi et par soi, c'est-à-dire sans impression ou sensation préalable, puisse produire un mou- vement, c'es
de processus qui a débuté, à quelque moment donné, par l'effet de sensations perçues ». Chez l'homme, notre connaissance des
ouleur s'accomplissent lors même qu'il n'existe absolument aucune sensation . Peut-être convient-il de citer ici les mouvement
ons, de l'exislence de centres de projection. Que l'élaboration des sensations soit accompagnée de ces états internes que nous
ans les conclusions suivantes : 1° Les sentiments com- prennent les sensations et les émotions ; 2° les sensations sont les se
es sentiments com- prennent les sensations et les émotions ; 2° les sensations sont les sentiments que l'on peut rapporter d'u
précise au corps ; 3° les émotions qui sont en réalité composées de sensations , et particulièrement de certaines sensations re
n réalité composées de sensations, et particulièrement de certaines sensations ressenties dans les parties du corps ébranlées
rapportées au corps, et c'est pourquoi on les appelle quelquefois « sensations de l'esprit » (feelings of tlie Olianl.); 4" les
112 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. composées de sensations (corporelles), lorsque celles-ci sont agréa- bl
sidérables dans leur capacité de sentir, qu'il s'agisse de simples sensations ou de simples émotions ; 6° cette différence dans
es indications précieuses pour le traite- ment ; 9° de même que les sensations tendent à éveiller des sensa- tions en harmonie
ns en harmonie avec elles-mêmes, ainsi les sentiments en géné- ral ( sensations et émotions réunies) tendent à provoquer des idée
des idées agréables, et inversement : d'où la grande influence des sensations corporelles sur les pensées; 10° les sentiments i
el, en d'autres termes la partie du système nerveux qui concerne la sensation , peut être comparée à un orgue : l'écorce senso
a musique; quand on joue sur le clavier sensoriel il en résulte des sensations ; 2" si l'on frappe sur certaines notes du clav
r sensoriel (rétine, épanouissement du nerf auditif) on éveille des sensations intellectuelles (sensation de la vue, de l'ouïe)
ssement du nerf auditif) on éveille des sensations intellectuelles ( sensation de la vue, de l'ouïe) ; si l'on frappe sur les
e, de l'ouïe) ; si l'on frappe sur les autres notes, on éveille des sensations qui, relative- ment, ne sont ni spécialisées ni
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 113 les diviser en deux catégories : a) sensation de bien-être ; b) sen- sation de malaise; 4° da
malaise; 4° dans le chapitre psychologique on a montré comment les sensations influencent ces émotions, et comment les sensat
é comment les sensations influencent ces émotions, et comment les sensations et les émotions associees influencent la pensée e
que la coenesthésie est agréable, c'est-à-dire lorsqu'il existe une sensation de bien-être, on voit apparaître une émotivité
ant dans leurs rapports bien définis avec les objets, ainsi que ses sensations . 2° Psychophysique. Passant à la seconde partie
es sont influencés par les états physiques. On a toujours dit de la sensation qu'elle etait vive ou obtuse; de la pensée, qu'el
intérieures influencent la rapidité de la pensée ou la qualité des sensations : un orage peut éclaircir ou une tourmente de nei
lesquelles on a déterminé et mesuré les conditions physiques de la sensation et de la pensée, ont fait des- cendre la psycho
tétanos qu'après un repos de quelques heures. Le sujet éprouve une sensation pénible de fatigue et d'inertie invincible ainsi
^ DE ; PATHOLOGIE. MENTALE. mais dont la compression provoquait une sensation d'engourdis- sement de l'avant-bras et de la ma
colie, davantage dans la manie,.et plus encore dans la démence, les sensations de contact, de température, de douleur, sont ém
e chez ces malades, on remarque qu'elle dépend en grande partie des sensations spéciales, des états émotifs parti- culiers (bo
E. sphincters demeurent intacts. Les troubles sensitifs, sauf des sensations douloureuses, font défaut. Dans la névrite, les t
riser cette déduction, mais le cas prouve du moins que ces modes de sensation ne sont pas transmis par les cordons postérieur
aut mieux encore regarder les cordons postérieurs comme la voie des sensations tactiles. ' Poulard. 150 REVUE DE PATHOLOGIE NE
éviation conju- guée, sans doute par action réflexe évoquée par une sensation au- ditive, d'origine irritative et expérimenta
de la lentille) un fond d'oeil absolument normal, ne produit aucune sensation . Il en est de même avec une lampe électrique di
sur- le-champ dans ses yeux à l'aide d'une seringue, provoque une sensation à laquelle elle se prête volontiers ; après quelq
et on y marche carrément dessus, sans qu'elle en éprouve la moindre sensation . La résistance aux divers mouvements de flexion
fée au rouge blanc, elle ne bron- che, pas et accuse simplement une sensation de chaleur au niveau de l'oeil droit, le gauche
'à hier après-midi trois heures, la malade avait exclusi- vement la sensation du noir; à partir de ce moment, sans cause conn
noir; à partir de ce moment, sans cause connue, elle a recouvré la sensation du clair. *' L'examen pratiqué par notre ami M.
uge intense, mais elle ne distingue rien ; elle continue à avoir la sensation du noir. On remplace le carreau rouge par un ve
n met ensuite un carreau de vitre ordinaire : elle a encore la même sensation de blanc. En somme, l'expérience demeure négati
sthésique seul, les pau- pières étant fermées, la malade accuse une sensation de vert, ici au niveau de- l'oeil droit exclusi
la conscience de cette vision dépasse le moment de l'expérience. La sensation inconsciente devient un instant consciente, pou
re, pour ainsi dire, son oeil gauche comme elle ignore toutes ses sensations du côté gauche : elle en fait abstraction. Si nou
siologique, peut n'être pas perçue par le sujet, nous savons que la sensation qui en résulte demeure alors inconsciente, qu'e
é. l ' Comprenons-nous mieux pour cela cette non-perception de la sensation visuelle ? Trois théories sont en présence pour
n proie à un état soporeux particulier, état très différent par les sensations qu'il provoquait du sommeil suit ordinaire, soi
dou- leur» s'étendent également dans le dos. La malade a la même sensation , que si l'on y versait de l'eau tres froide ;.il
ents) si nous faisons un bruit, ou si nous provoquons chez elle une sensation quelconque plus ou moins intense ou bien aucune
individu qui vient d'avoir un cauchemar revoit, dans- les nouvelles sensations qui s'offrent à lui, la continua- tion de son r
ut qu'il se ressaisisse, fasse une analyse minutieuse de toutes ses sensations , juge 'tous les phénomènes qui se présentent à
ui se présentent à sa conscience et fasse une nouvelle synthèse des sensations présentes avec toute sa vie passée. Il lui faut
res disposés en des tableaux, il résulte que l'pmmagasi- nement des sensations issues des mouvements passifs se fait remarquer
cision, et que le souvenir en est assez complet. Le souvenir de ces sensations ne commence à s'af- faiblir que lorsque les int
au moins de deux minutes ; quand ces intervalles sont moindres, les sensations correspondant aux mouvements revien- nent assez
q minutes, le sujet met deux fois plus de temps à se rappeler leurs sensations . Le souvenir se modifie REVUE D'ANATOMIE Er DE
la piqûre, la pression sont longtemps perçus comme tels puis comme sensations de contact. Le chaud, le froid sont d'abord mal
l'un pour l'autre, enfin incapables de provoquer autre chose qu'une sensation de contact. L'évaluation des différences de poi
ue pas des différences de plusieurs kilogrammes, et n'accuse qu'une sensation de contact; 4° La sensibilité au contact persis
tion de l'éther répandu sur la peau analgésique donne lieu à une sensation de chaleur. Le contact du chloroforme n'est pas
act du chloroforme n'est pas perçu et parfaitement toléré ; 5° La sensation de chatouillement de la plante des pieds est pe
uillement de la plante des pieds est perçue pendant longtemps comme sensation de chatouil- lement, mais elle ne provoque plus
début, on peut observer une erreur manifeste de localisation des sensations (piqùre ou pincement). Dans l'analgésie com- pl
sensations (piqùre ou pincement). Dans l'analgésie com- plète, les sensations de contact sont de même quelquefois mal localis
ivement la sensibilité à la pression, la sensibilité thermique, les sensations de chatouillement, la sensibilité à la douleur,
onque de la peau analgésique ne provoque aucune tubéfaction, aucune sensation de chaleur : il est toléré indéfiniment, alors
de l'aréole, sont hystérogènes. La malade éprouve dans l'organe des sensations de pesanteur, des lancées parfois si violentes
sente l'observation, elle trouve son interprétation dans une fausse sensation , dans une idée morbide entretenue et confirmée
mènes dont il s'agit, le facteur fon- damental est le trouble de la sensation organique : ce trouble engendre une action morb
tre, souffrant de troubles de la sensibilité générale, se plaint de sensations douloureuses le long de l'épine dorsale, qu'ell
ournal of lIlentat Science. Octobre 1900.) Dans la perception d'une sensation , il faut tenir compte des fac- teurs suivants :
e est la force qui, en agissant sur le corps, donne naissance à une sensation : on la confond souvent avec la sensation elle-
, donne naissance à une sensation : on la confond souvent avec la sensation elle-même, bien qu'elle en soit distincte ; par e
ncte ; par exemple la même force qui, agissant sur l'oeil, donne la sensation de lumière, donnera, si elle agit sur la peau,
onne la sensation de lumière, donnera, si elle agit sur la peau, la sensation de chaleur, et pourra ne pas donner de sensatio
it sur la peau, la sensation de chaleur, et pourra ne pas donner de sensation du tout si elle agit sur la tête couverte de ch
r une série physique, telle qu'elle apparaît à l'esprit : c'est une sensation rap- portée à des objets externes : et dans la
31 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gue marche, elle éprouve dans la région hypo- gastrique gauche une. sensation de pesanteur accompagnée d'une légère douleur.
A la suite d'un accès de contrariété, elle éprouva tout à coup une sensation d'étouffement au niveau du cou, elle perdit conna
plus en plus pâles. Elle éprouvait en même temps aux extrémités une sensation d'engourdissement (syncope locale). Quelques jo
faite pour les dernières règles. La malads éprouve tout d'abord une sensation nette d'en- gourdissement aux doigts et aux ort
l'asphyxie. Le passage de la syncope à l'asphyxie s'annonce par une sensation de picote- ment qui disparait lorsque les doigt
ts paraissent augmenter la durée de cet état. La malade éprouve une sensation de chaleur en plongeant les mains dans l'eau ch
, deux litres et demi chaque jour. Elle n'a plus devant les veux la sensation de mouches volantes dont elle s'était plaint pe
lement que l'on voit les malades interpréter par des allégories les sensations morbides qu'ils éprouvent. 28 CLINIQUE MENTAL
- rielles apportent naturellement à ces conceptions l'appoint des sensations spéciales. Ces idées s'implantent, grâce à des la
andes, et les regarde comme incapables d'être le point de départ de sensations douloureuses par eux-mêmes. Il pense que, lorsq
dans la zone d'anesthésie, la douleur était inter- prétée comme une sensation de tact. Il y avait analgésie sans anes- thésie
comprimée sur les par- ties latérales, l'auteur en conclut que les sensations de douleur et de température passent par ces pa
rature passent par ces parties latérales, tandis que le tact et les sensations musculaires passent par les parties postérieures
des glandes ou follicules au-dessus de la peau, donnant lieu à une sensation toute spéciale. Or, cette sensation peut se pro-
de la peau, donnant lieu à une sensation toute spéciale. Or, cette sensation peut se pro- duire dans des points où il n'y a
ause, et d'un autre côté la chair de poule peut exister sans que la sensation se produise. La chair de poule peut se pro- dui
rentes parties du corps ? 2° quelle est la température qui donne la sensation de douleur par application du froid ou du chaud s
la plus basse qui donnera par application sur la surface cutanée la sensation de chaleur, et la température la plus haute qui
ensation de chaleur, et la température la plus haute qui donnera la sensation de froid ? 4° quelle est la relation qui existe
les variations de température entre 5° C. et 60° C. produisent des sensations de chaud ou de froid sur toutes les parties du
° C. et supérieures à 68° C. produisent de la douleur en plus de la sensation de chaud ou de froid, quand l'épreuve est faite
C. et 50° C. Au-dessus ou au-dessous de cette tempéra- ture il y a sensation de froid ou de chaud mais indolore. Ces résul-
qui accompagnent le travail; 5° dans la plupart des expériences la sensation de chaleur sur n'importe quelle partie du corps e
ation de la chaleur in- terne du corps comme dans l'hyperhémie. Les sensations de froid sont produites : a. par une augmentati
'erreur mises à part, elle est à peu de chose près la même pour les sensations de chaleur ou de froid d'une intensité égale ap
coeur, des douleurs et de la paresthésie dans les jambes, j'ai des sensations optiques. Mais, tout bien considéré, mieux vaut e
ées, à la suite d'une violente émotion. Depuis lors, il éprouve une sensation de faiblesse extrême; actuellement, il ne peut
feste, on note aussi le tremble- ment épileptoïde du pied. Aucune sensation anormale pendant le repos, si ce n'est un vague
sentiment de gêne dans la partie interne de l'aine droite. Cette sensation s'exagère un peu quand le membre exécute des mou-
it, dans les deux pieds, à la région plantaire exclusi- vement, une sensation de brûlure intense ; cette douleur survient sur
il est contraint de s'arrêter. Il éprouve dans les deux jambes une sensation de fai- blesse, et en même temps une sensation
les deux jambes une sensation de fai- blesse, et en même temps une sensation de brûlure dans les pieds. 11 se repose une diz
urs tout à fait comparables à celles dont il souffre main- tenant : sensations de brûlure très pénibles, d'abord dans l'épaule
ieur droit; ensuite, quittant complètement le membre supérieur, ces sensations s'em- parent du membre inférieur droit, siégean
t, siégeant à la face externe de la cuisse et au gros orteil. Cette sensation de brûlure interne se cal- mait par l'immersion
la face externe de la cuisse droite, zone où se montrent les mêmes sensations de brûlure qu'au niveau des pieds. Il y a vingt
pieds. Il y a vingt ans que le malade éprouve dans cette région ces sensations de brûlure et qu'il s'est aperçu de la diminution
ue l'idée subconsciente trop faible pour apparaître au mi- lieu des sensations et des idées de la veille se développe plus fac
t sa mère étaient impressionnables, coléreux, sa mère éprouvait une sensation de boule quand elle était con- trariée. Le gran
considérablement accentué depuis quelque temps. Elle éprouve des sensations de chaleur, de boule, des énervements pro- ' Da
outre, une anesthésie et analgésie complètes avec intégrité de la sensation de température. Il nous paraît inutile de multi
atre ans, atteinte d'attaques de nerfs, avec perte de connaissance, sensation de brûlure, pleurs et rires involontaires, il s
paralysés. Il y avait enfin perte du pou- voir de localisation des sensations dans le bras et la jambe gauches. P. S. REVUE
laires abolis; ouïe normale; goût; toucher normaux. Mais toutes les sensations venues d'un côté du corps étaient rapportées au
, les jugeant désagréables, de les re- jeter. Evidemment toutes les sensations du corps collaborent à cette faculté à l'état n
faculté à l'état normal. Mais il n'est pas moins certain que des sensations qui normalement n'existent point deviennent alors
de. Elle était prise de tremble- " ment généralisé et éprouvait des sensations comparables à des 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. dé
pénible dans le domaine de l'odorat. A chaque souvenir, c'était la sensation de dégoût et d'horreur qu'elle avait éprouvée a
e la peau du cadavre qu'elle ressentait *de nouveau. Puis à cette sensation succéda une idée, celle de la mort, qui revenai
ionnels sont nuls. Il n'existe pas de dou- leur, mais seulement une sensation de chaleur mordicante. Au début il y eut dans l
pendant la période menstruelle. Elle avait antérieurement accusé la sensation de doigt mort au niveau du pouce. droit. 182
versités de ces délires tiennent à la différence d'explications des sensations morbides sur lesquelles repose la déviation du
aut en croire l'ar- ticle publié dans la Revue scientifique sur les sensations d'un noyé par M. A.-C. Hartley, le souvenir des
l faut également faire entrer en ligne de compte la suractivité des sensations des mouve- ments en rapport avec l'expression d
ations de l'ouïe, on voit que le malade se rend bien compte que ses sensations n'ont pas trait à un objet exis- tant réellemen
x de son père, elle était avertie de l'arrivée de l'attaque par une sensation de tremble- ment du bras droit. Immédiatement a
ait toujours ' Loc. cit., p. 154. - RECUEIL DE FAITS. 297 d'une sensation d'engourdissement et de pesanteur dans ces memb
contribuer pour leur part au souvenir. Existe-t-il une mémoire des sensations internes ? Conserve-t-on une mémoire des émotio
cation.. * -10 11 n'est.pas douteux que la première existe pour les sensations internes; pour ce qui est des sensations de fai
a première existe pour les sensations internes; pour ce qui est des sensations de faim et de soif, par- exemple, il n'arrive j
se tromper sur leur iden- tité, lorsqu'on' les ressent. De même, la sensation de fatigue n'est pas moins facilement reconnue.
es derniers quatre' groupes : 1° les saveurs et les' odeurs; 2° les sensations internes (faim, soif, fatigue, dégoût) ; 3° le co
le s'est épaissie, se plaignant continuellement de fatigue et d'une sensation de froid, de douleurs dans le dos et les bras ; p
sie nasale donne au malade, quand les deux yeux. sont ouverts, la sensation d'une hémianopsie droite. Le malade devrait bien
uoique ayant les deux yeux ouverts, ne perçoit en réa- lité que les sensations de l'oeil gauche et fait abstraction de celles
s bien -embarrassants' relatifs- à l'achromatopsie hystérique. La sensation que les' malades déclaraient ne. pas percevoir se
ait 'donner au sujet des suggestions ayant pour point de repère une sensation déterminée du, côté insensible et que la sugges
)Asi ,W Lo · ,i · " /de ! association des idées;, au moment : ourla^ sensation * tactile ïïk /»,<+'' ' ' i. f 1 . y t, â . ,
s cependant que cet acte sub scie t nàj-dû être ? déterminé^par/une sensation également, "subcons^fP â+.dûètre; déterminé'pâr
périence est démonstrative, elle nous montre laper-j . sistance des sensations subconscientes malgré l'anesthésie' rétinienne
obes occipitaux, épuise- ment fonctionel qui ne supprimerait pas la sensation élémen- taire comme ferait une destruction de c
lle. A. M. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXXII. La perversion DE la sensation sexuelle ; par SIOLI (Allg. Zeitsch. f. Psychia
ur un trouble de l'associa- tion des idées. Exemple : les premières sensations sexuelles vous poussent à l'onanisme. Or l'onan
; ce n'est qu'à la fin qu'arrive l'éjaculation s'accompagnant de la sensation de plaisir. Donc la première association d'idée
ssoir. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., L, 5.) Examen analytique de la sensation sexuelle non différenciée de l'hétérosexualité
on différenciée de l'hétérosexualité de l'homosexualité. . 1 ° La sensation sexuelle non différenciée est l'i nsti net vague
u sexe joue aucun rôle. A une autre période, probablement quand les sensations commencent à se concentrer dans les organes sex
jamais avec décision (deux observations). 2° L'hétérosexualité. La sensation physique de l'excitation sexuelle se rattache à
adisme féminin. La menstruation (périodicité) joue un rôle dans les sensations sexuelles de la femme ; d'où sa passivité et en
s le courage de répondre. Ce défaut d'activité dépend de ce que mes sensations sont trop faibles pour qu'elles agissent sur ma
est plus ou moins éloigné, tantôt très rapproché de l'accès. Cette sensation de malaise vague et- indéfinissable peut être r
la stercorhémie commence ? Ne s'accompa- gnent-ils pas comme ici de sensations vagues de malaise, de maux de tète, de diminuti
mme résultat, l'amélioration de l'état général, la diminution de la sensation de chaleur et de tremblement et la diminution du
me ou le localiser à des intensités assez élevées sans produire ces sensations douloureuses et les eschares souvent inévitable
uelque temps le cerveau répond à l'ingestion des spiritueux par des sensations générales désagréables, puis, un beau jour, le
rsonnalité multiple artificielle, par)tu)st,H8. "Perversion de la sensation sexuelle, par Sioli, 388. Pie-mère, kyste de
32 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
moindre lecture, même la plus petite tension d'esprit, aggrave les sensations . Depuis deux mois le malade n'a pour ainsi dire
treize ans. Voici ce dont il se plaignait. Il ressent, dit-il, une sensation de tension qui siège uniquement sur le devant d
ion de tension qui siège uniquement sur le devant du front. Cette sensation , tolérable en temps ordinaire, devient douloureus
ste limitée au front. Cependant, à certains moments, il éprouve une sensation de vive chaleur sur le sommet de la tête. A la
? l.riij.rr-. T bouche, donne par un fiance, a produit sur elle une sensation étrange quelle n'avait point éprouvée dans sesa
u Seuls,1'obtusion1ÎnteJlectuelle ainsi 1 que'ljes désordre^ des sensations ;' de.l'émotivité'et de la sensibilité, tombent !
re Aur.t.le,jugepeyt,Jett;la,raison,mais sur. ses auxiliaires,, lac sensation , la- mémoire,; j la repré. sentation.mentale,1`
méfieldel'sa'sénsibilité;' mais' on'- n'é'sus'pècte'3 pàs' ! jses sensations . "J Aussi{f kai : jê 'jamais ¡ : Jnc8rÍtÍlé n.fnn
abondantes généralisées ou localisées, s accompagnant souvent d une sensation de chaleur purement subjective; ( manifes- , ?
Peu de teml ? s;apr,4's, il r'1spnt des,paresthésics (formicaLions, sensations ! de chale,ur¡ eL. c\e¡ froid) 1 d¡UlsJes ex tr
l,estliési (lue,, amaurose à peu près, complète,, en ce sens que la sensation ^de lumière, subsiste (pas d'altéra\iol)s9P.I.Itha
cette' erréurtn'est qu'ùnëpreuÿé,detplus de ,]'objectivité tde ,1a sensation ? Quandl'objet"sur. lequel figure l'hallucination
poisonnés. Si on lui a suggéré l'idée d'une substance nauséeuse, la sensation pourra être assez intense pour provoquer le vom
our provoquer le vomissement. Odorat. - Il peut devenir le siège de sensations erronées du même genre. Le sujet sentira, par e
de provoquer des illusions et des hallucina- tions viscérales ; la sensation d'un corps étranger dans l'intérieur du corps,
ant pour aller sa- tisfaire son besoin imaginaire. La suggestion de sensations géné- siques provoquerait des désirs tout aussi
attouchement, dans l'état de somnambulisme provoqué, détermine des sensations génitales assez intenses pour amener l'orgasme.
ns et sur les viscères que peuvent se manifester les suggestions de sensations fausses, il est possible de suggérer l'idée d'u
du même genre peuvent être créés à volonté, dès qu'on a suggéré une sensation fausse por- tant sur l'un quelconque des sens s
ns les phénomènes dont nous venons de parler ; la sincé- rité de la sensation et du délire est démontrée indirectement par l'
c'est à peine s'ils marquent du chagrin. S'il ne s'y joint pas une sensation fausse de douleur, il est rare qu'ils s'afflige
ne en est au reste un antidote excellent. La rougeur de la face, la sensation de brûlures et de piqûres par tout le corps ave
ances ? ? croit devoir cesser la lecture' de' son' mémoire 'sur les sensations parce qu'il a déjà traité complètement le sujet
'hallucination s'ef- fectue, où elle parvient à la connaissance. La sensation subjec- tive revêt de telles couleurs, sous l'i
Ce retour d'hypochondrie s'explique, sans doute, d'abord par les sensations douloureuses plus ou moins vagues qu'amène souv
nter- prétation hypochondriaque : celle-ci, quand il s'agit d'une sensation plus ou moins pénible, est à peu près la premiè
que Cour.. commença à éprouver quelques troubles du mouvement. La sensation de résistance du sol devint obtuse, et la marche
tout aux genoux, aux mollets et aux pieds. Il existe en outre une sensation pénible et continue de fonrmillement douloureux a
mme simples contacts, et les piqûres profondes ne provoquent pas de sensation douloureuse. La masse musculaire de l'éminence
ace dorsale des deux pieds. Quelquefois, elles ne produisent qu'une sensation légère au moment où elles sont pratiquées, et d
t.1UL1'lltl : w. {M ! la direction de l'ombilic et provoquaient une sensation de constriction très énergique sur la partie mo
ds sont très faibles. . Le malade éprouve depuis quelques jours une sensation per- manente de froid dans les deux pieds. Cett
ours une sensation per- manente de froid dans les deux pieds. Cette sensation est purement subjective, la température de ces
UES NON TRAUMATIQUES. 191 1 des picotements dans les mollets et des sensations de brûlure qui l'exaspèrent à certains moments
pouvons nous exprimer ainsi. Ils em- ployaient, pour définir leurs sensations , des expressions imagées et vives; ils parlaien
morsure, de dilacération dans la profon- deur. Cette intensité des sensations n'existe pas, comme on sait, dans beaucoup d'au
hiques ordinaires où les malades n'accusent le plus souvent que des sensations vagues et diffuses. Quand l'affection était arr
ies douleurs; les malades se plaignaient d'é- prouver à la tête une sensation de compression qui sié- geait surtout à la régi
ieux de constater combien, pendant ces deux périodes de la vie, les sensations se localisent dans des régions différentes, et
l ouvre spontanément les yeux et semble regarder autour de lui; les sensations désagréables se traduisent par des gémissements
qu'il pouvait s'en souvenir. La rumination, toujours précédée d'une sensation de plénitude à l'épigastre, commençait environ
les aliments : avant la rumination, cette dame n'éprouve jamais de sensations de plénitude stomacale. La rumination se pro- d
Sommeil tranquille. Une demi-heure ou une heure après le repas, une sensation de plénitude dans la région du cardia l'obligeait
deux la fonction était volontaire et s'accompagnait d'une véritable sensation de plaisir. Cependant on voit que la volonté pe
préférence cer- tains mets, uniquement dans l'attente de l'agréable sensation qu'ils lui procureront lors de la rumination. Q
bilité. '- ' '' P. K. , r. ' ' ' IX. Contribution A L'ÉTUDE DE la sensation sexuelle contraire (Í1wcl'sion'dù sens génital)
, a augmenté l'irrigation en tel ou tel territoire. P. K. XI. Des sensations ; par Théodore 1\IExivnr. (Jahrb. f. Psych., Ill,
repart une innervation vasculaire secondaire, et c'est ainsi que la sensation émane de ce double jeu, en même temps qu'elle d
t aboutir, selon l'intensité, à la lipothymie, auxquels est liée la sensation de déplaisir, de douleur (asphyxie vasculaire t
vec ses mêmes effets physiques et moraux, par le même mécanisme; la sensation désagréable sans la douleur corporelle s'appell
ychique et se rattache aussi aux processus d'arrêt vaso-moteurs. La sensation qui entraine le réflexe de pré- hension dévelop
ation produit soit une anémie, soit une hypérémie vasculaire, et la sensation en soi est la forme de perception subjective de
re à fuir les sources de destruction, à rechercher au contraire les sensations de félicité. La multiplicité de tous les actes, l
re frottement était insupportable. Quelquefois aussi il y avait une sensation de contriction autour des membres. Il a trois a
choc. En même temps elle avait des dou- leurs dorso-lombaire et une sensation de contriction très pé- nible à la.base du thor
ieurs années déjà; ces accès de toux la réveillent souvent la nuit. Sensation de constriction thoracique en cuirasse, s'exa-
dianhéos qui se manifestent sans motif, et cessent de même. Les sensations génitales et les désirs sont complètement aboli
e, soit une voyelle soit une autre, servant à exprimer une sorte de sensation ; c'est ainsi que les nuances a et é, dans la v
, grâce au peu de sensibilité du voile au palais, le moment de la sensation musculaire peut surtout servir à établir les di
tions dentales et glottiques peuvent être déter- minées d'après les sensations musculaires et tactiles. Ceci constitue, assuré
a philosophie de l'histoire, 1859, p. 331. J .Michéa. Du délire des sensations , p. 106. Archives, t. VI. 2*2 338 . CLINIQUE
irouvé le ballonnement abdominal signalé dans le fait précédent. La sensation de plénitude à l'épzgaslre dont il est parlé da
e n'exprime habituellement ni peine ni plaisir. 11 ne manifeste ses sensations que dans un seul cas et d'une seule manière. Lu
umination, gâtisme. La sensibilité générale est conservée, mais les sensations sont perçues assez lentement. Les sens spéciaux
ement de l'état morbide. Le sentiment de l'état morbide provient de sensations ayant pour point de départ le cerveau; telles l
point de départ le cerveau; telles la céphalalgie prémonitoire, la sensation de vide, de dilatation, d'ouverture et de ferme
f. Psych., XXXIX, 2 et 3.) ' Ce mémoire traite successivement des sensations anormales de la sensibilité à la pression, des
ula- rités qu'il nous paraît intéressant de mettre en relief. Les sensations anormales qui se montrent dans la lypémanie peu
s ; mais ce n'est pas la règle. Quand la psychose est pré- cédée de sensations anormales il y a lieu d'admettre une relation a
. La moelle et la moelle allongée se font pour les irradiations des sensations et de l'hyperesthésie à la pres- sion les condu
sont très fréquemment atteintes en même temps que l'on constate des sensations anormales, dans la mélancolie et la folie systé
vaso-moteurs assez fréquents dans la mélancolie qui s'accompagne de sensations anormales, il importe de noter la rougeur de la
les, il importe de noter la rougeur de la face et des oreilles avec sensation subjective de cha- leur, soit continue, soit pa
iques. Elle se manifeste par des impulsions paroxystiques issues de sensations anormales, qui, quelle qu'en soit l'origine périp
fréquence des idées mélancoliques chez des individus en proie à des sensations auditives subjectives, que l'on constate ou non c
areil de l'ouïe; ces idées les conduisent sou- vent au suicide. Ces sensations subjectives sont souvent le point de départ d'i
véritable supplice de Tantale auquel ajoute encore l'altération des sensations gustatives; le pain leur semble de la paille ;
du, véritable croyant, est en pleine anxiété. Rêves de même nature, sensations d'incubes. Dans une des observations, la malade
otivés, radotages de diverses sortes, troubles dans la perception,- sensations vertigineuses bizarres (ballottement), illu- si
euse multiloculaire de l'écorce du cerveau, parBrûck- ner, 265. Sensations (des), tu69 Sensation sexuelle contraire, 268.
l'écorce du cerveau, parBrûck- ner, 265. Sensations (des), tu69 Sensation sexuelle contraire, 268. Société psychiatrique
33 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Dans la plupart des cas de tabes, les troubles de localisation des sensations et les altérations de la sensibilité a la douleur
à que pour l'exécution correcte des mouvements, non seule- ment les sensations cutanées et celles des parties profondes sont A
les faisceaux afférents du cordon postérieur ne servent point a des sensations conscientes, et qu'une partie des excitations que
othétique, peut-on en donner ? D'ordinaire apparaissent d'abord les sensations de dou- leur, puis les troubles de localisation
les sensations de dou- leur, puis les troubles de localisation des sensations ; en même temps, la conduction des sensations e
s de localisation des sensations ; en même temps, la conduction des sensations est ralentie; l'ataxie existe, mais la sensibil
s au début, si bien qu'il ne reste plus de voies nerveuses pour les sensations de douleur. Il n'existe point de nerfs spécifiq
voies centrales particulières pour la transmission de cet ordre de sensations . La sensation de douleur résulte de la som- 16
s particulières pour la transmission de cet ordre de sensations. La sensation de douleur résulte de la som- 16 REVUE CRITIQUE
ules qui repré- sentent le second neurone de la voie sensitive ; la sensation dedou- leur est l'effet de ces excitations. Or
e aux anastomoses multiples et variées qui existaient, alors qu'une sensation tactile sera encore perçue, un stimulus, même i
tation, le discernement ; c'est quand on dépasse les phénomènes de sensation et de perception qu'une tournure d'esprit habitue
ée graduellement par une autre forme de vitalité, dans laquelle des sensations diverses, de nature forte et intense, parcouren
tions diverses, de nature forte et intense, parcourent son cerveau, sensations qui ne sont encore ni reconnues, ni clairement
tête ; il prend les personnes les unes pour les autres, éprouve des sensations irrésistibles et se sent obligé à courir derriè
s de ce genre qui sont venus consulter parce qu'ils éprouvaient une sensation de lassitude. d'affaiblissement général ainsi q
douloureuse, si elle dure un certain temps. Pour M. Ch. Richet la sensation externe avance sur la sensation douloureuse ; le
ertain temps. Pour M. Ch. Richet la sensation externe avance sur la sensation douloureuse ; le retard delà sensation douloure
sation externe avance sur la sensation douloureuse ; le retard delà sensation douloureuse varie d'après l'auteur de 7 centièmes
L'auteur conclut que la douleur est une qualité qui s'ajoute à la sensation , qu'il n'existe pas des organes spéciaux pour la
par une impression forte. Elle est perçue plus tar- divement que la sensation qui lui donne naissance. Pour l'auteur ce rétar
ue quelque chose comme une boule lui traverse le corps ; elle a des sensations de froid dans la tête ; elle se plaint aussi de
dans l'hypesthésie que dans la pares- thésie ou l'abolition de ces sensations spécifiques. Comme exemple de paresthésie des s
ion de ces sensations spécifiques. Comme exemple de paresthésie des sensations du goût, ils citent des sensations persistantes
Comme exemple de paresthésie des sensations du goût, ils citent des sensations persistantes de saveur sucrée 1. : 1 Les lési
'odorat n'échappent donc pas à la patho- génie générale. Quant à la sensation de dégoût qu'éprouvent ces ma- lades, sensation
énérale. Quant à la sensation de dégoût qu'éprouvent ces ma- lades, sensation qui va souvent usqu'à provoquer, avec la nausée,
provoquer, avec la nausée, le vomissement, Klippel l'attribue à une sensation d'ordre musculaire, àla vague conscience d'un m
u sens musculaire viscéral pourrait, dans le tabes, pro- voquer des sensations nauséeuses auxquelles le malade rapporte - ses
e que sa représentation visuelle. On pourrait présumer que ces deux sensations qui viennent, ]01 squ'elles agissent isolément,
ment de la maladie la plupart des sujets préten- dent ressentir des sensations de chaleur; effectivement on trouve dans le cre
e au froid. Cette cryanes- thésie ne doit pas se confondre avec les sensations de chaleur du début de la maladie; avoir des se
re avec les sensations de chaleur du début de la maladie; avoir des sensations de chaleur et ne.pas' sentir le froid sont deux
affection du tou- cher caractérisée par une altération spéciale des sensations de poids et de volume. Lorsqu'un malade, attein
du froid et de la douleur dans toute la moitié gauche du corps avec sensation de fourmillements. Dix-huit mois après l'attaqu
persistent exactement comme au début. Homme, cinquante-huit ans. Sensation de faiblesse subite dans le bras droit, parésie
respiratoires de cette névrose. A peine signalent-ils une certaine sensation d'oppression, de la toux nerveuse et l'asthme d
plus développé, en respectant les autres plus voisines d'un fait de sensation simple (olfactives, gusta- tives...) M. 131UA
moyenne et inférieure de la cuisse gauche. IL existerait aussi une sensation de froid plus vive à la jambe gauche, surtout e
membre inférieur du cote gauche. Cette douleur s'accompagnait d'une sensation de froid dans la jambe gauche, allant du pied au
fauchant et en frôlant le sol. A ce premier examen, il existait une sensation de froid dans le pied gauche, la jambe du même
nt plus petite que la droite. Le sujet accuse en outre en hiver une sensation de froid plusmar- quée du côté gauche que du cô
légumes, à genoux, lorsqu'il ressentit au creux poplité; gauche une sensation de glace accompagnée de fourmillement. En même
glace accompagnée de fourmillement. En même temps il éprouvait une sensation de douleur dans la région- fessière, au niveau
de fourmillements dans les deux mollets dans : toute leur hauteur, sensation qui persisla pendant huit jours et finit par di
ion forcée du membre inférieur droit dans l'extension détermine une sensation de douleur légère, au creux poplité. Rien de te
nées ( ? ) ressenties par le sujet dans la cuisse gauche et dans la sensation de froid du membre inférieur corres- pondant. M
es phénomènes morbides'ont fait leur appari- tion. Au début par une sensation de froid glacial'accom- pagnée de fourmillement
re à la tête et aux muscles de la respiration, s'accompagnant'd'une sensation de chaleur, de soif, de sudation, et de temps e
s les jambes. Après les crises persistaient' de l'excitation, une sensation de dépression, de refroidissement pendant le repo
la démarche ataxique, le malade parait ivre ; bientôt survient une sensation de calme, suivie d'un sommeil de deux ou trois
diminution dans la précision avec laquelle le malade localise les sensations tactiles. Une particularité digne de remarque, c'
une paralysie croisée du mouvement du côté droit avec douleurs et sensations , thermiques à gauche, limitées à la région située
ERVEUSE. assez souvent précoce, c'est l'analgésie, sans perte de la sensation tactile; elle débute da préférence par les extr
es. Elle éprouve d'abord une douleur au niveau de la tète, puis une sensation de boule avec strangulation, bruit de cloches,
érieur et inférieur droits, un peu d'hypoesthésie. Normale pour les sensations thermiques et tac- tiles. La force musculaire
les indivi- duelles. R. DE Musgbavk-Clay. XXXV. Psychro-esthésie ( sensation de froid) et psychro-algie (duu- leur de froid)
es formesl ! es plus rares de paresthésie. la psychro- esthésie, ou sensation de froid. Cette sensation est absolument indépe
de paresthésie. la psychro- esthésie, ou sensation de froid. Cette sensation est absolument indépendante de l'abaissement de
, qui ne s'accompagne pas toujours d'une douleur nette, bien que la sensation puisse quelquefois aller jusque-là, mais à laqu
quefois aller jusque-là, mais à laquelle ne s'associe jamais, ni la sensation de piqûres, ni celle d'engourdissement. Cette f
ns exactement le trajet d'un nerf, et son siège est variable. Cette sensation est purement dermique et superficielle; c'est l
s extérieures, à un contact froid, en sorte qu'elle ressemble à une sensation objective. Elle peut disparaître par l'exercice
e heures; elles étaient annoncées par une aura, sous la forme d'une sensation anormale qui parcourait le membre supé- rieur g
faire les constatations suivantes : les attaques débutaient par une sensation de raideur dans les doigts et dans le pouce de
nsi que la parésie de la main droite. Lé malade accusait une légère sensation d'engourdissement. A part cela, il était plein'
d'aucune modification du pouls. Ces crises étaient précédées d'une sensation de suffocation,et de l'émission d'un son aigu et
rgeait une charrette de charbon, il éprouva par tout le corps une « sensation singulière » qu'il ne peut définir que par ce m
e pour une personne qu'il ne connaissait pas, et suivi peu après de sensation de vertige avec état confus. En général, le cou
ises de dépression mentale, précédées de symptômes assez bizarres : sensation de poids, ou quelquefois de vide, à la région f
en reconnaissant parfaitement le caractère hallucina- toire de ses sensations ; vers le même moment, il tint des propos incoh
, une pression trop forte produit la fatigue et masque la véritable sensation . Il faut aussi se méfier du frottement de l'ext
ue ne semble plutôt pas être 492 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. une sensation indépendante de la sensation tactile ; mais un
492 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. une sensation indépendante de la sensation tactile ; mais un attribut de cette dernière qu
dans l'urine. Il semble y avoir eu des auras représentées par la sensation d'une alêne transperçant le crâne entre les tempe
fac- teurs a abouti à ce que nous voyons. l'. Ki baval. LXI. Des sensations anormales obsédantes et des erreurs senso- riel
unnnl : w. (OGoréaié 2aichiafrü, IV, 1899.) Il convient d'appeler sensations obsédantes des sensations anor- males, plus ou
iafrü, IV, 1899.) Il convient d'appeler sensations obsédantes des sensations anor- males, plus ou moins élémentaires, qui pr
lles ou telles circonstances. Ainsi, des malades, qui éprouvent une sensation pathologique ou désagréable quand ils REVUE DE
orte quel étranger, en sont affectés : il en est qui ressentent une sensation anormale obsédante de cécité, l'impossibilité d
l en est chez lesquels la lumière électrique engendre des séries de sensations désagréables. Nombreux exemples. Ces sensations
endre des séries de sensations désagréables. Nombreux exemples. Ces sensations ne se limitent pas à la sensi- bilité générale,
rreur sensorielle proprement dite. Le malade, par exemple, qui a la sensation que l'objet qu'il voit devant lui se meut droit
parfaitement conscience qu'il marche sur le sol, mais il éprouve la sensation correspondante. Révision de l'opinion de quelqu
symptôme. Enu- mération de faits pour chaque sens. De même que les sensations obsédantes, les hallucinations obsédantes peuve
hénomènes réels. Cette dernière idée est presque la règle quant aux sensations qui se rapportent au domaine du corps du malade
tout si ces erreurs sensorielles n'atteignent pas le plein'degré de sensations réelles, affectent la forme de psemlo-lallucina
frapper les per- sonnes qu'elle rencontrait, parce qu'elle avait la sensation que sa main accomplissait l'acte de frapper. Pl
s aiguës. La source de l'idée délirante se trouve toujours dans une sensation intérieure mal définie qui s'accompagne d'une a
34 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
'elle ne l'aiguise ni ne l'émousse. L'organe reste le même, les mêmes sensations s'y reproduisent, mais lorsque ces sensations son
este le même, les mêmes sensations s'y reproduisent, mais lorsque ces sensations sont intéressantes pour l'àme. elle s'y applique
de l'opération, qui dura en tout une demi-heure, elle ne manifesta la sensation d'aucune douleur. , Elle fut ensuite rapportée
t écoulé avant sa maladie ; elle ne se souvenait absolument d'aucunes sensations tactiles ou visuelles. Le succès avec lequel le D
tata qu'elle était totalement incapable de voir ou d'apprécier aucune sensation lumineuse. Sa surcité était également complète. M
licat que chez la moyenne de» personnes. Il en était de même pour les sensations de pression et pour les impressions électriques.
gique de l'organe que l'on a la prétention de cultiver. Le rôle de la sensation sur l'encéphale, celui de l'encéphale sur la volo
— Paris. Octave Doin, in-12, 310 pages. 1889. — Prix: 4 francs. Les sensations internes, par H. Beaunts, professeur de physiolog
oucement... Et. lorsque vous serez réveillé, vous n'éprouverez aucune sensation d'engourdissement, ni de fatigue... Vous aurez l'
eure avant le début de l'attaque. Comme autres auras, il accuse une sensation de piqûre au sein droit et une douleur vive dans
se livre a la masturbation. L'habit gris éveille toujours en lui des sensations voluptueuses. 11 en est continuellement obsède. «
I1 n'y éprouve aucune volupté et les femmes n'éveillent en lui aucune sensation sexuelle. Il resta tout à fait impuissant, malgré
e, impressioanabtlitè insolite, énervevement, irascibilité, caprices, sensations douloureuses fixes ou erratiques difficiles à loc
même; soit par rapport aux objets extérieurs; c'est, d'autre part, la sensation qui accompagne le mouvement musculaire et qu'on a
ntrer que le prétendu sens musculaire est réductible à un ensemble de sensations purement centripètes, comme toutes les sensations
le à un ensemble de sensations purement centripètes, comme toutes les sensations . 3° Il importerait de déterminer la part que pren
3° Il importerait de déterminer la part que prennent ces différentes sensations à l'élaboration des données relatives au sens mus
données relatives au sens musculaire et. en particulier, la part des sensations provenant de la surface cutanée, des sensations a
ticulier, la part des sensations provenant de la surface cutanée, des sensations articulaires et enfin des sensations musculaires
enant de la surface cutanée, des sensations articulaires et enfin des sensations musculaires proprement dites. La réalité de ces d
gmann. consistent en ce que le sujet qui eaj est atteint, éprouve une sensation visuelle de couleur chaque fois que le Sun d'une
lettre frappe son oreille. Dans le cas précité, le malade avait une sensation tranchée de couleur pour chaque lettre, voyelle o
ncore des particularités du même ordre très intéressantes. Il a des sensations diverses de tact, de goût, de sens musculaire, lo
s musculaire, lorsqu'il évoque les images graphiques des lettres. Ces sensations sont constantes pour chaque lettre. Ainsi par exe
chaque lettre. Ainsi par exemple, l'O est noir pour la vue, donne la sensation d'une chaleur étouffante pour la température, la
, donne la sensation d'une chaleur étouffante pour la température, la sensation de chute dans un précipice pour le sens musculair
a sensation de chute dans un précipice pour le sens musculaire, et la sensation de terreur pour les sentiments affectifs. Il exis
ou est hypnotisé i, lorsqu'il sait qu'il doit dormir, lorsqu'il a une sensation qui l'invite au sommeil. C'est sa propre foi, c'e
révenir qu'ils allaient dormir. Mais la fatigue des paupières est une sensation qui, chez certains, donne au sensorium l'idée du
on qui, chez certains, donne au sensorium l'idée du sommeil. C'est la sensation qui suggère l'hypnose. Certains, très impressionn
ors, créent l'image du sommeil; c'est une invite au sommeil C'est une sensation qui réveille par habitude ou par action réflexe t
médiatement en acte. L'assimilation de l'idée et sa transformation en sensation , mouvement, image, acte, souvenir rétroactif, etc
le telle que chaleur, engourdissement concentrant l'attention sur une sensation et captivant le sensorium pour l'empêcher de se d
ixer l'esprit, à matérialiser l'idée, si je puis dire ainsi, dans une sensation physique. Quelquefois la suppression d'un trouble
les visuels caractérisé* par l'abaissement de l'acuité à droite, avec sensation d'un nuage central se plaçant devant la vue. Cet
oucher (sur sa joue) une carte pour laquelle je lui avais suggéré une sensation de température différente des autres ; ce fait ne
des autres ; ce fait ne peut s'expliquer que par l'association de la sensation tactile dûe à la surface môme de la carte, avec l
pendant une demi-heure entière, mais au bout de ce temps, j'avais la sensation d'avoir chaud aux pieds. Je n'ai pas constaté à l
as constaté à la main si les pieds étaient réellement chauds, mais la sensation de chaud étant différente de la sensation de froi
réellement chauds, mais la sensation de chaud étant différente de la sensation de froid, je constatais très bien cette différenc
onditions irréprochables, par un froid indiscutable, en plein air. La sensation de chaud a accompagne l'auto-suggestion, a dispar
u bout de dix minutes, j'ai chaud aux pieds; j'espère conserver cette sensation , mais, le rideau étant levé, les acteurs étant en
gestion d'avoir chaud aux pieds. Moins de cinq minutes après, j'ai la sensation d'avoir chaud aux pieds, et je constate, par le c
t fait appel à toute sa force de volonté pour se rendre maître de ses sensations maladives en essayant maintes (ois d'accomplir l'
érer a la personne endormie, non-seulement, ce qu'on savait déjà, des sensations et des hallucinations, mais, chose plus grave, de
lonté; il est alors possible à l'operateur d'y imprimer à son gré des sensations , des images et d'y faire naître la volonté d'un a
des images et d'y faire naître la volonté d'un acte quelconque ; ces sensations , ces images, et celte volonté se reproduisent pho
veux sur lesquels nous n'avons pu avoir d'indications bien précises : sensation de brûlure autour de la tête, syncopes (?) etc..
douleur est exaspérée par la pression et la marche. Clou hystérique, sensation fréquente de brûlure autour de la tête. Du côté
'anesthésie paraît complète. Il n'en est rien cependant et toutes les sensations sont parfaitement perçues, mais la malade est dan
se souvient fort bien que lorsqu'il l'eut dans la main il éprouva une sensation voluptueuse telle, qu'il entra immédiatement en é
llé se souvient de ce qui s'est passé dans l'hypnose et n'a pas eu la sensation de dormir. II — Sommeil profond — La volonté du
le réveil. Le dormeur reconnaît au réveil d'avoir eu plus ou moins la sensation de dormir. III. — Somnambilisme. — Amnésie comp
nt recueillie de M. Rauzier: « 1° Crises convulsives — Début par la sensation de boule et des fourmillements dans les membres.
on fut très grande; le délire continua ; c'était surtout un délire de sensations . La pression que j'avais exercée sur la poitrine
psychique pas même celui des rêves ne se mani- feste. Seulement les sensations tactile et auditive ne sont pas inhibées-Spontané
tie à l'école de ces jeunes psychologues décadents qui substituent la sensation au sentiment. Doué dune intelligence vive, en imp
iorité. Avec cela, peu ou point de sens moral. Chambige avait soif de sensations et buvait sans scrupules à toutes les sources qui
longue. L. ., entend-il parler d'un meurtre, lit-il un fait divers à sensation , il est saisi d'angoisse pendant toute la journée
e la realité des souffrances qu'on lui impose En un mot, ses moindres sensations sont interprétées dans le sens de ses idées mélan
aliment facile pour l'entretien du délire. Le malade éprouve-t-il une sensation quelconque, émet-il une pensée, aussitôt il enten
le est douée en tout temps d'une véritable hyperesthésie ; la moindre sensation , la moindre impression est centuplée. A un degré
que une nécessité, par l'habitude qu'elles en avaient contractée. Les sensations que cette Ivresse procure sont, paraît-il. si dél
ra pour elle indifférente et nulle, puisqu'elle n'aura produit aucune sensation . Du côte droit, il en est tout autrement : la s
ntact : l'impression du stylet promené sur la région dorsale, devient sensation dès qu'il a dépassé la ligne des apophyses épineu
ution. Il se manifeste à l'insu de la malade, sans qu'elle éprouve de sensation de chaleur ou de picotement : et après quatre ou
e mesure notable. La malade se plaint plusieurs fois par jour d'une sensation de boule qui part de la région épigastrique, et l
le avait à cette époque vingt-neuf ans. — elle éprouva, dit-elle, des sensations de chaleur vers la peau, et des démangeaisons qui
â chaque tracé, en disant que le contact de la pointe lui donnait la sensation d'un fer rouge passé sur la peau. L'exaltation
e. Des douleurs s'irradiant dans tout le bras gauchey déterminent une sensation constante d'engourdissement. Le malade se plain
un choix particulier et des sauces savantes, en tirer de si agréables sensations ? C'est au moyen de ce raisonnement que nous fin
ombien de gens sont sensibles à cela ? Combien de raffinés aiment ces sensations peu coûteuses de respirer l'odeur des foins coupé
notre palais, doit aussi nous plaire par son odeur. Dans cet ordre de sensations , les deux s'éduquent et se suggestionnent ensembl
le somnambulisme (c'est un fait) restaure momentanément une série de sensations et d'images ordinairement absentes. Dès lors le s
d'états de conscience qualitativement différents les uns des autres ( sensations ) et qui ne ressemblent en rien à cette excitation
simultanés mais incomplets, et se ravissant les uns aux autres les » sensations , les images et par conséquent les mouvements qui
à ce point de vue sont misérables, si l'on compare le petit nombre de sensations et d'idées qu'ils gardent à la masse énorme de ce
rties génitales, mais aussitôt que j'essayai de lui persuader que ces sensations n'étaient pas causées par une certaine personne q
effet palliatif, du moment que le malade croyait a la réalité de ses sensations subjectives, de ses hallucinations et qu'il trouv
35 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
êt, par une sorte de culte de l'art pour l'art, tantôt en vue défaire sensation , d'exciter la pitié, etc., est chose vulgaire, en
is-Reymond au maximum ne provoquait et ne provoque aujourd'hui aucune sensation ; mais hier nous avons pu constater, qu'en insist
s dans la perception des formes ; on relève encore l'obnubilation des sensations lumineuses. — 3° Mais un fait qui doit particuliè
titue une partie de l'aura. Ce sont tantôt des battements, tantôt une sensation de brûlure. L'attaque une fois développée, peut ê
pontanées sont précédées de tristesse, de battement des tempes, d'une sensation de boule qui va de la région précordiale au laryn
es 6 h. 1/2 en Russie), la douleur de tête s'exaspère et lui donne la sensation d'une plaie vive, puis viennent des tin- lement
laie vive, puis viennent des tin- lements d'oreille ; il n'a pas la sensation , de boule, mais une sorte de constriction thoraci
t, par une sorte de culte de l'art pour l'art, tantôt en vue de faire sensation , d'exciter la pitié, etc., est chose vulgaire che
siégeant dans le cou, dans la partie postérieure de la tête, par une sensation de constriction siégeant au sommet de la poitrine
t. I. 4. Anatomie comparée, t. II, p. 460. de tel ou tel ordre de sensations dans les habitudes naturelles de l'esprit. A la
Les mois, les paroles retrouvés lui semblent résonner à son Oreille, sensation nouvelle pour lui. Il taut qu'il fasse des effort
et quand il répète plus lard la chose apprise, il a très nettement la sensation de Vaudilion intérieure, précédant l'émission des
sensation de Vaudilion intérieure, précédant l'émission des paroles, sensation qu'il ne connaissait pas autrefois. M. X... par
en voyant des choses que je dois connaître depuis fort longtemps. Mes sensations , ou. plutôt mes impressions, étant indéfiniment n
moment est venu de refléter la chose apprise, il a très nettement la sensation , nouvelle pour lui, de l'audition intérieure préc
de l'estomac une sorte de gonflement avec pulsation, puis, au cou, la sensation de boule. Elle tombait alors dans une espèce d'ét
la région épigastrique et par des battements de cœur; quelquefois la sensation nette de boule existe. Il n'y a jamais d'aura cép
de l'aura hystérique: douleur précordiale, constriction du cou, avec sensation de boule, sifflements dans les oreilles, et batte
dont elles aient pris naissance, elles débutent toujours par une vive sensation de brûlure au niveau des points spasmogènes à laq
mogènes à laquelle succèdent d'abord la douleur épigastrique, puis la sensation de constriction du cou et de boule, enfin l'aura
cependant, la pression du testicule et du cordon ne produisent aucune sensation anormale. Quand on presse légèrement sur les plaq
rtificielle de cette zone hystérogène sont toujours précédées par une sensation à'aura douloureuse parfaitement caractérisée, laq
précédée d'une aura : douleur iliaque au niveau du point hystérogène, sensation de boule qui, de l'épigastre, remonte jusqu'à la
Déjà, depuis le matin, il souffrait d'une douleur à l'épigastre avec sensation de boule, d'étouffement et de bourdonnement dans
ammaire déterminait très facilement les divers phénomènes de l'aura : sensation de constriction du thorax, puis du cou; battement
més à l'épaule, au coude, au poignet, n'occasionnent également aucune sensation , quelque violents qu'ils soient. Au contraire, à
entre autres, il l'affirme du moins, qu'à ce moment, il a éprouvé une sensation qui lui a fait croire que son membre supérieur ét
ns déterminer la moindre trace d'expression douloureuse ou même d'une sensation quelconque. Les réflexes tendineux du poignet et
articulation scapulo-humérale ne font éprouver aucune douleur, aucune sensation ; j'ajouterai que toutes les notions fournies par
le accuse dans toute l'étendue du membre supérieur correspondant, une sensation d'engourdissement, de pesanteur et de faiblesse ;
es hystériques les pratiques de l'hypnotisme Dans cette hypothèse, la sensation particulière accusée par nos femmes hystériques d
s chez nos deux hommes en conséquence de la chute sur l'épaule, cette sensation , dis-je, pourrait être considérée comme ayant fai
force pour se réaliser objectivement, sous la forme de paralysie. La sensation dont il s'agit aurait donc joué dans les deux cas
acer sous vos yeux, à litre d'exemple, un 1. En ce qui concerne les sensations produites par le choc, nos deux hommes sont incap
l éprouvait à ce moment-là; or la description qu'il nous a donnée des sensations a répondu exactement à la description de l'aura h
t of the sensorium which presides over and controls the movements and sensations of the periphery. (Page, Injuries of the Spine an
p de poing d'intensité modérée sur la partie supérieure du membre. La sensation d'engourdissement, d'absence du membre, de faible
suit : De temps à autre, il se produit dans le membre contracture une sensation d'aura qui remonte vers le pharynx et y produit u
a face palmaire de la main où l'application d'un corps froid donne la sensation d'un corps chaud. La sensibilité profonde et le s
r des amis, il fut pris chez eux d'une grande attaque, précédée d'une sensation de boule remontant au cou, et dans laquelle il y
pied, etc., ne produisent pas la moindre douleur, pas même la moindre sensation ; quand les yeux sont fermés, le malade ignore ab
sont représentées de la façon suivante : douleur dans un des flancs, sensation de boule qui remonte jusqu'au cou, menaces d'étou
deur, d'une saveur, à la vue d'un objet particulier, à la suite d'une sensation quelconque en un mot ; et si le plus souvent elle
ers troubles transitoires de la sensibilité et du mouvement, tels que sensation de lourdeur, parfois aneslhésie réelle et parésie
u'il faut chercher le point de départ de la suggestion. D'un côté, la sensation de lourdeur, de pesanteur, d'absence du membre co
e d'une façon permanente d'une céphalée conslrictive qui lui donne la sensation d'un casque lourd enserrant la tête de toutes par
t énergiquement contracter les muscles ne détermine absolument aucune sensation . Le malade n'a pas et n'a jamais eu rien qui re
cot a fait connaître'. On se bornera donc à relever ce qui suit : Les sensations produites par le choc local ont été ici le point
rant centrifuge de la force nerveuse et ne résulte pas, comme dans la sensation proprement dite, d'une influence transmise par le
. » D'après Wundt (Physiologie, trad. franc., p. 447), » le siège des sensations de mouvement ne paraît pas être clans les muscles
dans les cellules nerveuses motrices... Nous n'avons pas seulement la sensation d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement
tion d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La sensation de mouvement est donc liée à l'innervation motric
ions (centres moteurs corticaux) que sont emmagasinés les résidus des sensations musculaires dont nous lirons nos intuitions motri
ées sensitives et des idées motrices ; les idées sensitives étant des sensations ravivées, et les idées motrices étant des mouveme
ment pas un élément moins important de nos processus mentaux, que les sensations ravivées d'une façon idéale. — Contrairement aux
ura, perte de connaissance, pas de mouvements des membres; au réveil, sensation de boule épi-gastrique et besoin de pleurer ; jam
lle se sent tomber, elle appelle pour qu'on vienne la relever; aucune sensation de vertige ni d'élourdissement, aucun vestige de
front aurait produit chez lui, dansle courant de l'année dernière, la sensation d'aura qu'on provoque actuellement par la pressio
remarqué que, depuis quelques années, quand il a un coryza, il a une sensation de sécheresse dans la narine gauche, pendant que
e crises accompagnées d'étouffements, de constriction de la gorge, de sensation de boule, de douleurs dans les jambes, que la mal
phénomènes subjectifs : constriction delà gorge ; à mesure que cette sensation de pression disparaît, le malade recouvre la paro
36 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e l'occlusion des yeux et cessant par leur ouverture, succède à une sensation , inexpliquée-quant à sa nature, de perte d'équi
fois que ses pieds ont touché un de ces objets, il a manifesté une sensation toute différente, et a pu déter- miner assez so
lité du tronc en tout point comparables à ceux que provoquerait une sensation de démangeai- son dans le dos, terminent cette
physiologique que parce qu'elles ne sont pas voulues, et que les sensations qui leur donnent naissance sont absentes. Un
sie et le tremble- ment du bras; dans le troisième, la frayeur avec sensation d'angoisse; dans le -quatrième, la céphalalgie.
n vain de se dégager. Immédiatement après le choc, il ressentit une sensation d'engourdissement dans la région lombaire. Lors
squ'aux rebords costaux, les piqûres d'épingle ne provoquent aucune sensation , au-dessous de ces limites elles sont appréciée
ensation, au-dessous de ces limites elles sont appréciées comme une sensation tac- tile. La sensibilité tactile est également
ubles de l'appareil de la vision, pas de zones hystérogènes, pas de sensation de boule, pas d'attaques. Et cependant, nous av
e. Au bout d'un semaine ou deux de rémission, la céphalalgie et une sensation fiévreuse reparurent ; la température s'éleva v
ca. (Neurolog. Centralbl., 1891.) Les individus qui ont perdu les sensations kinesthésiques sont incapables de se mouvoir le
légèrement avec le doigt les sutures crâniennes, on détermine une sensation toute particulière, différente de celle que l'on
blant à une démangeaison pénétrante, qui dure plus longtemps que la sensation provoquée par la compression d'autres régions c
inon une similitude complète avec les conditions physiologiques des sensations . Par suite, les agents physiques, qui sont capabl
nsorielles (vision colorée, synesthésies), les signes physiques des sensations ; en nous mon- trant, au cours de son exposé, le
importante parmi ces effets et est la condition indispensable de la sensation comme des états de conscience : interne, même l
ant une exci- tation générale du système nerveux s'accompagne d'une sensation de bien-être, de plaisir ; tandis que le travai
otions ? Si les hémisphères sont indispensables à la production des sensations , état de conscience d'origine externe, ils sont
sorte que, la sensibilité tactile étant parfaitement conservée, les sensations de douleur et de température ne sont plus perçu
vertige, nous avons trouvé comme élément constituant prin- cipal la sensation de perte d'équilibre pouvant aboutir à la chute
erreur, d'anxiété, d'état moral, tout cela n'indique-t-il pas cette sensation cérébrale qui consti- tue pour nous le vertige
quand elle aboutit à la perte de l'équi- libre et est causée par la sensation de cette perte d'équilibre. Un dernier mot pour
semaine et se sent bien plus sûre dans la marche. 4 avril. Légère sensation de tournoiement fugace dans les mouvements brus
onne percevait la montre à 18 à 8S centimètres d'une oreille, où la sensation du'diapason lui était absolument dou- loureuse
tion binauriculaire fonctionnent nor- malement, et qu'on atténue la sensation perçue du côté sain en agissant par pression su
point d'accord avec la vérité des choses et que,, d'autre part, les sensations , les pensées, les actes des aliénés sont en compl
au sujet : par suite d'un trouble profond du mécanisme mental, les sensations et les pensées sont privées de leur guide appropr
atives à des personnes et à des objets d'un usage quotidien. Pas de sensations de plaisir, au contraire, éré- thisme pénible.
ec myosis, hypoalgésie et ralentissement dans la conductibilité des sensations douloureuses dans les jambes, hypéresthésie au ni
intellectuelle pathologique du travail d'élucubration cérébrale des sensations . Il est évident qu'il y avait par suite trouble
la sensibilité galvanique. Chez la plupart des sujets, la première sensation lumineuse gal- vanique se montre à la fermeture
la fermeture de l'anode et à l'ouverture de la cathode; la dernière sensation qui apparaisse apparaît à l'ouverture de l'anod
des virtuelles au pôle postérieur de l'oeil. Quant à la durée de la sensation dans ses rap- ports avec chacune des électrodes
issement et de rigidité des deux mains et des deux avant- bras. Les sensations de brûlure et de piqûre insupportables sont dif
a circulation de l'artère étant morcelée et comme forcée ; de là la sensation d'oppression épigastrique des mélanco- liques,
on, tous les muscles sont flasques, mous : ils ne don- nent pas une sensation des masses fermes comme du côté gauche. Mouveme
le malade est pris, sur son échelle (il peignait un plafond), d'une sensation de vertige c'était vers une heure du matin puis
d inerte le long de son corps et il éprouve dans la main droite une sensation de fourmillement qu'il compare à celle que donn
l compare à celle que donnerait du sable tombant sur la main. Cette sensation a persisté un mois environ. Le lendemain, il
chaque secousse spasmodique s'ac- compagne dans l'oeil droit d'une sensation visuelle tout à fait t analogue à celle du scot
eut distin- guer s'il est chaussé ou non. Chaque accès laisse une sensation de fatigue habituellement durant quelques jours
tendances by- pochondriaques et mélancoliques, névralgies diverses, sensations pénibles, troubles digestifs et vaso-moteurs).
lever, rarement après le repas. Ils ne ne s'accompagnent d'aucune sensation douloureuse ; les deux mains sont atteintes simul
à l'infini; la langue usuelle ne suffit plus à décrire de pareilles sensations , et c'est alors que l'aliéné invente de curieux
ent psychique n'ont été aucunement modifiés. R. AI.-C. LIX. Du la sensation DE PRESSION sur la tète ET DE LOURDEUR DE la tè
avec quel luxe d'expressions les malades s'attachent à décrire les sensations pénibles qu'ils éprouvent du côté de la tête. M
e la tête. M. Campbell les rattache à trois groupes principaux : 1° sensations de pression sur la tête; 2° sensations de pesan
rois groupes principaux : 1° sensations de pression sur la tête; 2° sensations de pesanteur de la tête; 3° sensations plus vag
de pression sur la tête; 2° sensations de pesanteur de la tête; 3° sensations plus vagues, mais analogues, et participant proba
premières variétés. A ces trois groupes, il faut ajouter certaines sensations de pesanteur ayant pour siège les yeux ou les p
t les diverses variétés et les localisations parti- culières de ces sensations , et avoir rappelé qu'elles ne s'accom- pagnent
e influence assez marquée sur l'apparition ou la disparition de ces sensations , que quelques auteurs ont placées sous la dépen
ement par des crises de convulsions cloniques géné- ? ,ales et par la sensation d'un globe ascendant dans le trajet de l'casoph
la perturbation des actes vitaux qui servent à la manifestation des sensations affectives et des passions 1. » L'hystérie devien
nolds. - Remarlcs on paralysis and others disol'de7's of motion and sensation dépendant of idea, 1869. , Charcot. - Maladies
and l'accident arrive, il est composé par toute une longue suite de sensations et de pensées très variées qui n'avaient aucune
psychologiques alternant suc- cessivement2 » ; il a dans l'une des sensations , des souvenirs, des mouvements qu'il n'a pas da
Plus souvent en- core, à notre avis, un petit fait quelconque, une sensation dé- ' Les actes inconscients et la mémoire pend
oupe de phénomènes qui constitue le somnambulisme, et quand cette sensation est provoquée elle amène automatiquement à sa sui
flamme ou simplement du papier rouge pour avoir une attaque. Ces sensations provocatrices qui jouent le rôle de signal peuven
accidentellement ou même par des investigations médicales et cette sensation bien spéciale sera dorénavant associée avec l'a
de presser des points hystéro- gènes, c'est-à-dire de provoquer une sensation déterminée appartenant au groupe des phénomènes
souvent une existence psychologique rudimentaire dans laquelle les sensations et les idées peu nom- breuses ne se contrôlent
s elles sont cependant intelligentes et démontrent l'existence de sensations , de souvenirs, de jugements parfaitement réels.
perception personnelle, une partie reste indépendante sous forme de sensation ou d'images élé- 1 Revue philosophique, 1888, t
ne résistance. Comme troubles subjectifs il y a lieu de relever une sensation de froid très caractérisée, car le malade, malg
maintenir leurs bords appliqués l'un contre l'autre, on éprouve la sensation d'une résistance à vaincre ; de même, si le mal
ituitaire, mais n'est pas reconnu; l'ammo- niaque ne produit pas de sensation désagréable. Le chatouille- ment de la muqueuse
L DE FAITS. fatigue de tous les instants; les seuls absents sont la sensation de chaleur qui n'a jamais existé et se trouve r
n de chaleur qui n'a jamais existé et se trouve remplacée par une sensation de froid, et les phénomènes de propulsion, de r
e de Cramer, les hallucinations de l'ouïe avec les néologismes, les sensations somatiques anormales du corps. Lors même que de
r, 274. T IX.\TOPHOI31E et suicide, parNicou-' I;tti, 91. Tète, sensation de lourdeur de -, par Campbell, 393. Tétante,
37 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
à rougir et est très- froide au toucher; la malade n'a pas d'autre sensation que celle du froid. Entre la région rouge et re
beaucoup souffrir. Immédiatement avant l'accès, elle éprouve une sensation d'engourdissement dans le bras gauche, prédomin
urdissement dans le bras gauche, prédominant dans le poignet; cette sensation fait monter son bras « en l'air. » Puis, la têt
on applique la main sur la surface glacée, le malade ac- cuse une sensation pénible de brûlure. L'anesthésie, d'ail- leurs,
.. a pleuré encore abon- damment et a éprouvé, jusqu'à 3 heures, la sensation d'eau glacée qui passait dans son bras gauche,
aris, 1814), aurait remarqué que le nitrite d'amyle déterminait une sensation de fraî- cheur dans les fosses nasales. Bien qu
nifestent par accès. Chez l'homme, le nitrite d'amyle détermine une sensation de vertige, coïncidant avec la période de chale
ance. Observation III. - Epilepsie remontant à 7 ans. - Aura : .' sensation de constrictivn à l'épigastre; na1tsées. - A'itri
depuis sept ans. Environ une minute avant l'accès, elle éprouve une sensation qu'elle qua- lifie de serrement, et qui siège à
qu'elle qua- lifie de serrement, et qui siège à l'épigastre. Cette sensation se transforme en nausée ; puis l'accès éclate,
né- ment et la nausée et l'accès. Malgré cet heureux résultat, la sensation de pesanteur dans la tête alarme miss E..., perso
a été très-accidentée. Souvent, après ses attaques, elle accuse une sensation de froid dans la jambegauche ; elle a des secou
a région ovarienne gauche elle les compare il des tortillements; b) sensation - NITRITE D'AMYLE. 105 d'une boule qui, de là
orte de gonflement; alors les battements de coeur augmentent ; - c) sensation de constriction à la-partie anté- rieure du cou
es malades après la terminaison naturelle de leurs attaques; b) une sensation de vertige, compliquée d'un peu d'hébé- tude ;
gauche, se lamente, prétendant qu'on le lui a enlevé. Cette fausse sensation s'explique sans doute par l'existence de l'anes
nd qu'on lui tire la tète, lus « pés » (les pieds) ; cette dernière sensation s'explique par la contracture qui existe durant
la ligne médiane. Il existe pourtant une zone intermédiaire où les sensations sont (I Notes recueillies par SI. Berger. HYS
r la muqueuse nasale, on ne provoque, à gauche, ni .éternuement, ni sensation . A droite, d'ailleurs, la pituitaire parait peu
. Tout le côté correspondant estle siège de fourmillements et d'une sensation de froid persistante. Les muqueuses sont devenu
bien que ceux du côté droit, mais la faradisation'ne produit aucune sensation . Le membre infé- rieur gauche est dans la rigid
, ne s'écartent que d'un ou deux cen- timètres. Etc.. dit avoir une sensation de constriction à la gorge qui l'empêche d'aval
e la langue, qui sort seulement par la commissure labiale gauche. - Sensation perpétuelle du besoin d'uriner. Par la sonde, o
rler qu'à voix basse, et, au bout de peu de temps, elle éprouve une sensation de fatigue, de gène, d'abord à la région sterna
auche, la malade assure avoir dans l'avant-bras et dans le bras une sensation qu'elle com- pare à une gouttelette d'eau qui r
112 après la tentative d'extension. Etch... aurait, en outre, une sensation de saisissement, d'oppression et, enfin, de sé-
la glace parce que la malade se plaint que son poids la fatigue. - Sensations fréquentes de vertige. - Soif vive, empêchant l
mai. Depuis le 20 janvier, les douleurs ovariennes gau- ches, avec sensation de tiraillement, d'arrachement ou de resserreme
d droit, ordinairement libre, se tourner en dedans. Elle accuse des sensations très-singulières ; elle sent comme un jet de va
l'oeil droit, elle a des bouffées de chaleur, elle se plaint d'une sensation de roulement le long de la colonne vertébrale,
ur dans le bas-ventre qu'elle dis- tingue d'une envie d'uriner. Ces sensations fugitives, dispa- raissant pour revenir bientôt
d, s'est imaginé qu'elle allait étouffer. Sous l'influence de cette sensation , elle s'est débattue de la tète, du tronc et du
eux côtés. Elle se plaint de douleurs dans l'épaule gauche et d'une sensation de froid dans la main correspondante. La sensib
; elle avait comme un bandeau qui la serrait. Espérant calmer ces sensations affreusement pénibles, elle a voulu lever la tète
e s'est engagée parce qu'elle voulait se lever afin d'échapper à la sensation de strangulation qui lui faisait croire qu'elle
ni la main tout entière. Les personnes et les objets lui donnent la sensation d'une ombre qui passe. A gauche, la vue est enc
38 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ce moment même, mais encore il ne l'est pas le plus souvent par la sensation désagréable d'hu- midité et de froid qui en est
r suite d'un rêve de miction et les dormeurs profonds, parce que la sensation qui précède l'envie d'uriner n'est pas assez fo
r plus loin et affirmer que chez cer- tains malades au moins, cette sensation n'est même pas perçue. Les incontinents diurnes
aire soit due à une sorte de distraction, de non-assimilation de la sensation de besoin envoyée au cerveau par la moelle, ou
mouillées à quinze jours d'intervalle. Symptômes hy¡,té1'ifo1'11ws; sensation de boule remontant de l'esto- mac à la gorge. D
ute doit ètre mise sur le compte du trouble de la menstruation, les sensations utérines anormales ayant éveillé, par contiguït
les au rang des causes spécifiques. La névrasthéme propre (fatigue, sensation de casque, dyspepsie flatulente, paresthésies s
-faradique, réac- tion dégénérative de plusieurs muscles, diplopie, sensation defroid intense et.continue dans les jambes ; p
entôt de la douleur dans les globes ocu- laires et les orbites, une sensation pénible de tension dans le front, les tempes, l
même des tabétiques qui éprouvent de la fatigue sans avoir marché ( sensation de cour- bature, de lourdeur, de plomb dans les
de tabétiques, qui ont un retard considérable dans la perception de sensation de fatigue. En effet nous avons observé des mal
t situés à gauche. Observation I : paresthé- sies au pied gauche et sensation de corset à gauche. Observa- TION VII : arthrop
et s'il n'y a pas d'anesthésie tactile, le malade accuse d'abord la sensation tactile de la friction, et ce n'est que quelque
nstants après qu'il ressent la douleur. Toujours douloureuse, cette sensation est cependant différem- ment traduite par les m
enfonçait un morceau tranchant de glace dans la plante du pied. La sensation dou- loureuse, provoquée par la friction ne dis
fulgurantes ne se montrèrent plus pendant trois ans. En juin 1892 sensation de cuirasse qui lui serre la poitrine prin- cip
motilité des membres supé- rieurs. ' Au tronc il est à noter une sensation très pénible de constrictibn 184 , CLINIQUE NER
ses. La circonférence de la main a augmenté encore d'un centimètre. Sensation de fourmille- ments, de lourdeur. Aucun changem
st interrompue au bout d'un quart d'heure, la malade accusant une sensation de malaise cardiaque « une boule dans le sein gau
acune de ces formes s'ac- compagnerait, au dire de la malade, d'une sensation spéciale : dans le cas d'oedème rosé, des fourm
emblant provenir du pli du coude ( ? ). C'est, ordi- nairement, une sensation de chaleur qu'on retrouve dans le premier cas,
tué. D = 22. Douleurs vagues à la face palmaire du bout des doigts. Sensation de froid telle que la malade expose sa main au
par un coup dans les reins, un mal au coeur » ; il éprouverait une sensation d'angoisse, de mort prochaine, une peur indéfin
lui descendrait dans les bourses ». Le frisson arrive ensuite, avec sensation d'horri- pilation, le malade « sent ses cheveux
ses cheveux D. Chose curieuse il n'y a pas, à proprement parler, de sensation de froid. Durée moyenne de l'accès, 20". Ces
- ment bilatérales. Le malade ressentirait à certains moments une sensation de froid aux mains, et c'est alors qu'il y aurait
as. - « Un homme, dit Esquirol, qui a la convic- tion entière d'une sensation actuellement perçue alors que nul objet extérie
llement perçue alors que nul objet extérieur propre à exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état
ns l'état pathologique. C'est cette inconscience de l'origine de la sensation , qui, à mon avis, caractérise l'hallucination.
rétation tout autre que celle qu'on en a donnée, qu'il s'agit là de sensations subjectives interprétées et non de véritables hal
lors, mais alors seulement, il interprète d'une façon délirante les sensations auditives qu'anté- rieurement il appréciait à l
les d'origine périphérique. La maladie auriculaire donne lieu à une sensation subjective, c'est-à-aire sans objet et celle-ci
consiste à sentir alors que rien n'impressionne le sens, c'est une sensation moins l'impression qui la produit habituellemen
'une fausse hallucination, il convient d'appliquer l'appellation de sensation subjective interprétée, laquelle indique bien l'o
les cas, accessoire. L'hallucination n'est pas un simple délire des sensations , « c'est un véritable délire dans le sens le pl
cination se produit en écho, s'exacerbe à l'oc- casion de nouvelles sensations réelles et n'exclut pas l'état de cons- cience.
, rien de plus. En effet, il y a là, iL l'origine du phénomène, une sensation réelle; l'oreille, influencée pathologiquement,
sement dans les foules ou la morsure par des chiens. Cette fausse sensation tient, non à des habitudes psychiques seu- leme
leur, mais quelquefois il se produit à leur suite une réaction avec sensation d'onglée. Dans l'asphyxie locale, les extrémité
leur est presque constante, c'est un engourdissement pénible, une sensation de brûlure, des élancements; après l'accès se déc
reconnaît qu'au moment où il va céder à son habitude il éprouve une sensation de résistance intime à l'impulsion. Cette résis
ve précédant l'émission de la parole qui est elle-même suivie d'une sensation profonde de soulagement et de bien-être. La dur
s le coup des manifestations con- vulsives, il éprouve toujours une sensation de gêne et d'oppres- sion qui se retrouve d'ail
à dire qu'à un moment donné, il obéit parfaitement, mais la même sensation d'anxiété qui se manifeste à l'occasion des phéno
divers troubles paresthésiques, engourdissements, fourmillements, sensation d'un corps étranger dans le rectum, etc. 2° Tro
ui peut devenir dur et se localiser, ce qui donne à la palpation la sensation d'une ou de plusieurs tumeurs adhérentes et gro
aire qui s'observe chez presque tous les malades, ils éprouvent une sensation de chaleur pénible et se découvrent en dormant.
s dans les membres infé- rieurs et dans le membre supérieur gauche, sensation de compres- sion du thorax en ceinture. Actuell
dix mois après, à la suite de l'influenza, hoquets continuels avec sensation d'une boule dans la gorge. Traitement prolong
r s'était endormi dans un champ, à l'ombre; il fut réveillé par une sensation pénible de piqûre et de gonflement à la langue.
ndre choc. Sensibilité conservée, douleur au côté gauche du thorax, sensation de chaleur interne, le malade ne peut conserver
lesse dans les membres inférieurs, de céphalalgie frontale et d'une sensation d'étranglement. Hyperesthésie ovarienne. Facultés
ière année de sa maladie; elle avait des douleurs en ceinture et la sensation de cui- rasse en fer. A cette époque difficulté
juin et juillet 1891, la malade en descendant un escalier avait la sensation comme si elle tombait dans le vide, son corps éta
ans le service du profes- seur Charcot. Un mois après elle avait la sensation de cuirasse et de ceinture en plomb. Au mois de
ésies. Fourmillements fort désagréables aux orteils des deux pieds. Sensation de crampes aux pieds. Phénomène plantaire. La f
hésie au froid aux extrémités inférieures. Sur le reste du corps la sensation de la température est normale. 3lotilité. - L
r debout. Si on la maintient dans une position verticale, elle a la sensation de tomber dans un précipice. Elle pousse des cr
issent au bout d'une quinzaine de jours et laissent après elles une sensation de lourdeur dans les genoux. En décembre 1893 c
éaucun trouble du côté de la vessie. Il y a deux ans elle avait des sensations de corps étranger dans le rectum avec des besoi
emple, on lui fait une piqûre sur le cou-de-pied elle a d'abord une sensation vague : Vous me tou- chez, » dit-elle, et puis
nements d'oreille. Sensibilité. Retard général de la perception des sensations tactiles, douloureuses et thermiques sauf pour
marche s'aggrave rapidement. Lesjambes sont constamment engourdies. Sensation de ceinture et de corset en fer. Vers la fin de
peu près. L'application du froid il la plante des pieds produit une sensation de brûlure tellement forte que le malade pousse
viennent avec le temps fréquentes. A la même époque ténesme rectal. Sensation de corps étranger dans le rectum. En 1890, le m
qu'il se fatigue facilement. La marche lui devient pénible. Il a la sensation comme si la chaussure était trop étroite et com
s'il marchait sur du galet. Paresthésies aux fesses. Le malade a la sensation d'être assis sur un hémisphère qui fait balance
rès les selles, après avoir uriné et parfois après le coït. En 1890 sensation de ceinture. En septembre 1891, le malade tombe d
iction rapide avec l'ongle le long de la plante du pied produit une sensation de douleur très vive. Ce phénomène se produit a
du coton. Il n'était pas très ferme sur ses jambes. A cette époque sensation de ceinture serrée et dou- leurs fulgurantes da
us fait attribuer une origine externe au mouvement centripète des sensations doit nous faire attribuer une origine interne, au
embres, surtout dans 'les inférieurs, mais, sans le type fulgurant. Sensation de compression en ceinture vers la base du thor
plus la sensibilité tactile est abolie dans les membres inférieurs. Sensation de marcher sur du velours. Excitabilité élec- t
n serait sur le faisceau unissant le centre de réception commun des sensations auditives au centre spécialisé pour la réceptio
loureux, ainsi que l'avaient pensé certains auteurs, et la première sensation qu'elle engendre n'est pas une sensation pénible
ns auteurs, et la première sensation qu'elle engendre n'est pas une sensation pénible ; 2° La vision ne fournit, à l'origine,
ondaires, et qu'elles sont le résultat d'associations d'idées et de sensations , ce qui est la base de l'ac- quisition des perc
- Paris, 1897. - Société d'éditions scientifiques. Roux (1.). - La sensation douloureuse (Étude psychologique). liro- chiure
39 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
orsions. L'aura céphalique classique était précédée elle-même d'une sensation globuleuse qui partant du flanc gauche remontai
s côtés de la face et sur les yeux (qui étaient devenus le siège de sensations lumineuses diverses, étincelles, etc., et de comp
, des douleurs dans la région sacrée et les membres inférieurs avec sensation d'insensibilité des mains. Amélioration. Quelque
olontaires avec quelques troubles légers de la sensibilité. Parfois sensation de vertige. On le renvoie le 16 octobre. Plus t
s et l'avait re- couvré après un séjour en Suisse. Elle éprouve une sensation bizarre dans le membre inférieur droit, comme s
mais était encore dans l'impossibilité de se boutonner lui-même. La sensation de refroidissement aux membres inférieurs était
répul- sion, la tristesse du chloroforme : l'air irrespirable et la sensation de mort prochaine. On peut donc dire que chaq
ans la suite à ce point de vue, nous avons toujours observé que les sensations étaient perçues nettement et pour ce qu'elles éta
même pour les substances sapides, les excita- tions auditives, les sensations cutanées. Les réponses des malades étaient touj
son cerveau (Pl. IX, fig. 2). Il en est à peu près de même pour les sensations de température. Une impression de froid la fait
vre la tête et les épaules d'un châle imaginaire. En présence d'une sensation de cha- Sieur elle fait le geste de se dévêtir,
ale, les excitations sont perçues, mais elles ne produisent que des sensations justes, justement interprétées par le sujet qui l
ns com- plexes qu'il perçoit peut-être. Au contraire donnez-lui une sensation simple de couleur, de son, de rhythme, de goût,
aussi le mécanisme est analogue et qu'il y a eu plus qu'une simple sensation . Quoi qu'il en soit d'autre part de l'interprét
de varier avec chaque malade qui interprète à sa façon chacune des sensations qu'on lui fait percevoir. GEORGES GUI\0\, SOI'I
s. Il dit avoir quelquefois au niveau des fausses côtes droites une sensation de boule grosse comme un oeuf de pigeon, qui lu
ètement aboli à gauche où le sulfate de quinine ne lui donne qu'une sensation de plâtre, et diminué à droite, où son amertume
de constriction à la gorge, des battements dans les tempes, toutes sensations qui rappellent assez bien les symptômes de l'au
l eut une seconde attaque. Il se rendit mieux compte cette fois des sensations qu'il éprouva avant de perdre connaissance. 11
de l'apparition de l'aura hystérique. Le malade accuse d'abord une sensation de boule qui de l'épigastre lui remonte à la gorg
ernum. Cette douleur conslrictive, térébrante, s'accompagnait d'une sensation de pesanteur en avant de la poitrine, mais n'ir
a bouche ouverte. Il la mord souvent lorsqu'il parle. Souvent aussi sensation de raideur. En somme, on se croirait en présenc
ant dans le flanc droit. La compression de celte zone détermine une sensation de boule qui remonte au creux épigas- trique, d
e faiblesse ou pour mieux dire, le malade, par suite d'une sorte de sensation de tremblement des genoux, ne pouvait facilement
ur toute l'étendue de la surface cutanée. Le malade se plaint d'une sensation très vive de refroidissement au niveau des paup
nerveuses le 16 janvier 1889. Elle souffre depuis quatre ans d'une sensation de faiblesse et de pesanteur dans les quatre me
re un caractère plus significatif si l'on avait des détails sur les sensations subjectives qui les accompagnent, est-ce que to
ifs. Diminution de l'acuité auditive (surtout à gauche) perte de la sensation des vibrations transmises par les os du crâne.
it, elle fut prise d'un malaise subit. Ce malaise consistait en une sensation de boule siégeant au creux épigastrique, d'ango
prime l'ovaire gauche, la malade suffoque aussitôt; elle accuse une sensation de boule il l'épigastre; la tète lui tourne, elle
ade était prise toutà coup, et presque toujours vers le soir, d'une sensation de boule localisée au creux épigastrique; elle ét
it alors incapable de se'tenir debout; si on l'interrogeait sur les sensations qu'elle éprouvait alors, elle répondait qu'elle é
ne transpirerait ni de la face ni du corps. Elle a cepen- dant des sensations de chaleur, mais sans sueur, et en hiver, une sen
- dant des sensations de chaleur, mais sans sueur, et en hiver, une sensation continuelle de froid. La sudation ne semble pas
légère pression au creux épigastrique. La malade accuse d'abord une sensation d'étouffement, puis il lui semble que sa gorge es
suivants : faiblesse générale, céphalée constriclive permanente avec sensation de pression à l'occiput, sensation de compressi
lée constriclive permanente avec sensation de pression à l'occiput, sensation de compression à la région sacrée, perte de l'a
ltérieurement, aucune douleur dans les régions ova- riennes, aucune sensation de boule, de constriction à la gorge, rien qui ra
série des prodromes qui caractérisent l'aura hystérique, à savoir : sensation de boule partant de l'aine gauche et remontant au
se presque aussitôt des symptômes classiques de l'aura hystérique : sensation de boule remontant à la gorge, suffocation, batte
strictive, généralisée, mais prédominant à la région occi- pitale ; sensation de gêne, de pression, permanente au niveau de la
s forces; inappétence; digestions difficiles s'accompa- gnant d'une sensation de poids et de gonflement à l'épigastre et parfoi
la colonne vertébrale jusqu'aux lombes. C'étaient des douleurs avec sensation de batte- ments, de chocs rhythmés dans les tem
se de l'observation : « la malade souffrait depuis quatre ans d'une sensation de faiblesse et de pesanteur dans les quatre me
le au froid; au moindre abaisse- ment de température il éprouve une sensation de refroidissement très intense dans les membre
. Au contraire dans la syringomyélie, à côté de la conservation des sensations de con- tact, on trouve l'analgésie et surtout
nt que « c'est frais », à droite que « c'est froid et mouillé ». La sensation du « mouillé » n'existe pas à gauche. Enfin, à
sensation du « mouillé » n'existe pas à gauche. Enfin, à gauche, la sensation de froid ou de chaud, quel que soit le corps em
ns du monde ; il percevait bien le contact des instruments, mais la sensation n'était nullement douloureuse. » De' plus, on r
ions symétriques du côté opposé. Dans cette zone de transition, les sensations dou- loureuses deviennent d'autant plus vives q
empérature semble pervertie de ce côté; un corps froid réveille une sensation de chaleur. Anesthésie pharyngée du côté droit.
il travers l'urèthre, et, au niveau du col vésical, on perçoit une sensation de résistance très nette. En outre, la malade s
nne gauche très accentuée. Il y a des exacerbations spontanées avec sensation d'aura et de boule à la gorge, mais les altaque
gauche. L'application d'un corps froid permet de reconnaître que la sensation de froid est beau- coup plus prononcée à gauche
t beau- coup plus prononcée à gauche qu'à droite, partout, et cette sensation est très douloureuse au niveau des points hyper
parties hyperesthésiécs du tronc, il y a exagération de la toux et sensation de boule. Dans l'examen, on voit la trace de gros
se d'exceptionnel. Elle n'a pas pu dire si elle avait éprouvé z des sensations particulières daus cette période préparatoire de
lade ne peut guère localiser, elle se trompe de membre, confond les sensations diverses. Il y a pour toutes les sensations un
de membre, confond les sensations diverses. Il y a pour toutes les sensations un retard de une à trois secondes. Le sens musc
squ'à la fin de juillet, les sphincters sont restés paralysés et la sensation du besoin spécial ne s'est pas produite. Pendant
besoin spécial ne s'est pas produite. Pendant quelques jours, cette sensation s'est montrée sans que la malade pût se retenir
te la moitié du corps, comparativement surtout avec le côté gauche. Sensation très marquée de froid aux pieds, objective et s
ant environ toutes les semaines : ces attaques sont précédées d'une sensation de boule remontant de l'épigastre au cou et l'é
s doigts et des ongles dans la paume de la main. Elle y ressent une sensation de chaleur anormale. Toutes les tentatives qui
DE LA SALPÊTRIÈRE. pour l'écartement nécessaire pour provoquer deux sensations avec le compas de Weber en faveur des parties s
embre il pesait 66 kilos; sa santé générale est excellente, sauf la sensation perma- nente de froid. Il n'a aucun signe d'aff
ions ni de céphalalgie; il se plaint uniquement, dit sa mère, d'une sensation douloureuse qu'il localise du Lui r DE LA ,"c ?
les hyperesthésies, les engourdissements, les four- millements, les sensations subjectives sont la règle. Les douleurs subject
ant ses jambes à droite et à gauche, le sol donnant à ses pieds une sensation " de mousse. Depuis 1888., elle est entrée plusi
s la salle (en un mois de temps). Ces attaques sont précédées d'une sensation bizarre dans le flanc droit qui monte dans la r
iverses reprises des douleurs très vives au creux épigastrique avec sensation d'un cercle de fer enserrant l'épigastre. Ces c
uc- cale sont également insensibles. Le réflexe pharyngé est aboli. Sensation de tapis sous les pieds. Le sens musculaire est
mprime fortement les masses musculaires de la cuisse, il accuse une sensation de contact. En certains points d'ailleurs celle
e; il avait une douleur assez vive dans la région thyroïdienne avec sensation d'an- goisse el d'étouffement. Le corps thyroïd
sation de boule qui remontait jusqu'au cou et l'étranglait : cette sensation globuleuse s'accompagnait de battements tempora
ans motif. Si la crise de larmes ne se produit pas, elle éprouve la sensation du globe épigastrique ascendant, mais elle ne p
deux mains se contracturaient, la malade a ressenti à la gorge une sensation de strangulation, des éloulfements, et elle a p
ent plus accusée il gauche qu'à droite. Les épreuves relatives à la sensation du contact sont douteuses; cependant les expéri
40 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
'un corps étranger; un autre encore se gratte comme pour combattre la sensation d'une démangeaison intense,etc., etc. Pour ce q
eurs ce qui s'est passé : tout à coup P...on, après avoir éprouvé une sensation d'étouffement et ressenti dans le scrotum comme «
expressément le spasme glosso-labié, les étouffements, la boule, les sensations particulières dans les parties sexuelles, des con
voir préciser exactement le lieu où a porté l'excitation : de plus la sensation produite diffuse en quelque sorte au-dessus et au
quinine à la dose de 0,60, 0,80 à 1 gramme par jour. La cessation des sensations vertigineuses à la suite de ce traitement sera, s
De là part uneaura ascendante qui monte vers le cou et y produit une sensation d'étranglement, puis vers la tête où surviennent
sais que l'accès n'était, chez notre jeune malade, précédé par aucune sensation d'aura et cela est vrai ; mais elle ressent cepen
issent sans en avoir été précédées. Elles ne sont marquées par aucune sensation pénible : elles ne s'accompagnent pas de crampes,
à s'appuyer contre le mur et qui avait été précédée toujours par une sensation de constriction à la gorge, des sifflements d'ore
ations du coude et de l'épaule avec violence sans produire la moindre sensation . Il y a là un contraste entre les troubles de la
n sentiment de constriction, de pesanteur souvent très pénible. Cette sensation ne le quitte jamais complètement mais elle s'aggr
toucher un objet de cuivre, surtout s'il était sale,sans éprouver une sensation de dégoût se traduisant par des crachottements.
nt des battements intenses au creux épigastrique d'où part bientôt la sensation de « quelque chose» qui monte dans la gorge et «l
ite, la malade ressent ces mêmes battements épigastriques, cette même sensation d'un corps étranger remontant vers la gorge, qu'e
ives; elles se font sentir spontanément, et sont alors comparées à la sensation que produirait une brûlure ou un vésicatoire à vi
qu'on comprime légèrement un pli cutané compris entre deux doigts, la sensation produite chez le patient n'est pas seulement une
s conditions, chez les tabétiques ouïes hystériques, et surtout cette sensation oVaura consécutive à la pression, ne sont pas l'e
que doit se développer spontanément, le malade en est prévenu par une sensation particulière qui part du scrotum, remonte à l'épi
sibilité qui existaient aux membres inférieurs, et en particulier les sensations de froid et les fourmillements qui étaient très p
Aux membres inférieurs, le malade souffre de fourmillements et d'une sensation de froid. Absence des réflexes rotuliens. Signe d
u avoir lieu dans des conditions à peu près normales. Seulement « les sensations , nous a-t-il dit, ne sont plus les mêmes qu'autre
a un an. Besoins fréquents d'uriner et parfois incontinence d'urine. Sensation de coton dans les pieds et les jambes; réflexes r
e séance le malade affirme qu'il sent mieux le sol, qu'il n'a plus de sensation de coton dans les pieds ; qu'il marche mieux. Apr
ez-nous de vos douleurs, de vos urines, Le malade : Je n'ai plus la sensation de coton sous les pieds. Je n'ai plus de douleurs
eurs est très marquée. Douleurs fulgurantes peu intenses, mais il y a sensation douloureuse et ob-tusion de la sensibilité de la
uis sont: un état très satisfaisant de la marche,de la miction et des sensations pathologiques qui existaient dans les pieds. Le s
haient le sommeil. Nous ne devons pas oublier que, plusieurs fois, la sensation d'engourdissement des pieds s'est atténuée ou a d
nson, surtout lorsque la raideur des diverses parties du corps et les sensations pénibles diverses qui l'accompagnent si «nuveni,
ance à être projeté vers la gauche, côté de l'oreille malade. Cette sensation de translation violente était d'autant plus pénib
r lui est un grand soulagement. N'allez pas croire, cependant, que la sensation vertigineuse ait disparu ; elle s'est atténuée sa
s'est atténuée sans doute, elle laisse du répit du moins en tant que sensation très pénible: mais désormais, la voilà pour de lo
s grands vertiges spontanés, marqués principalement par ces terribles sensations de chute soudaine ou de tournoiement autour de l'
ce déjà longue dans la matière, il nous faudra pour en finir avec les sensations vertigineuses dont il souffre, revenir peut-être
nt la station debout et dans la marche, sans qu'il éprouve la moindre sensation vertigineuse, les jambes fléchissent sous lui tou
les. La malade n'y accuse aucune douleur, fulgurante ou autre, aucune sensation de constriction ; pas d'engourdissement, pas d'hy
surtout, mais s'étend parfois au crâne tout entier où elle donne une sensation pénible de compression et de poids, comparable à
'il marche; ses jambes sont très faibles, dit-il, et il y éprouve des sensations singulières ; il assure qu'il ne sait pas netteme
l'occlusion des yeux. Je ne voudrais pas omettre de vous parler d'une sensation de pression, de constriction pénible que le malad
t vers le creux épigastrique. Pendant le jour, il a, par moments, une sensation de boule remontant de la fosse iliaque gauche ver
es après le réveil. Ces rêves, presque constamment, sont suivis d'une sensation d'oppression du creux épigastrique, avec serremen
uffrant de crises gastriques se plaignent parfois très vivement d'une sensation de brûlure, siégeant soit à la région de l'estoma
'une série de douleurs véritablement crampoïdes, c'est-à-dire par des sensations douloureuses semblant dues à un état de contractu
eresthésiés. et il y a à distinguer, sous ce rapport, les douleurs ou sensations pénibles, anomales en tout cas, qui se produisent
ment de brûlure, occupant principalement les jambes et les pieds. Ces sensations douloureuses s'exaspèrent la nuit; la malade s'en
perçues avec un retard qui peut aller jusqu'à trois secondes; que les sensations douloureuses produites par ces excitations, conta
ns, siégeant principalement aux membres inférieurs; elle éprouvait la sensation d'eau bouillante qui lui coulait sur les jambes e
lui-même, soit les téguments qui le recouvrent, le malade éprouve la sensation de quelque chose qui lui remonte vers la poitrine
te région devient douloureuse au moment où se produit spontanément la sensation d'aura qui précède les attaques convulsives. La
ue l'application de la main sur ces parties vous y fait percevoir une sensation de froid très caractéristique. A propos du déve
es, les pieds souvent « butaient » en marchant. Il se plaignait d'une sensation de poids et de constriction sur le crâne ; ses di
a pomme, une forte étincelle. Il assure avoir parfaitement reconnu la sensation particulière de choc qu'il vient de décrire. « C'
blant, obsédé, assure-t-il, constamment par une odeur de soufre et la sensation de quelque chose d'acre qui le tenait à la gorge,
ui l'a douloureusement ébloui et peut-être aussi le pétillement et la sensation de brûlure qu'il aura éprouvés à la fois (1). D'a
mêmes, vous le savez que, D...cy s'est exprimé pour rendre compte des sensations olfactives qu'il dit avoir éprouvées. Par ce qu
s diverses circonstances de son récit, à savoir entre autres, la rude sensation de choc qu'il a éprouvée tout à coup dans le memb
lors que le bégaiement s'est établi. Ces divers troubles à savoir : sensation de boule, battement, des tempes, etc, etc, appart
e, on voit, à la suite de quelques prodromes parmi lesquels figure la sensation dans l'œil droit d'un cercle lumineux présentant
r ; puis au moment où le tonnerre s'est rapproché il a été pris d'une sensation de constriction à la gorge, d'angoisse respiratoi
un corps étranger ; un autre encore se gratte comme pour combattre la sensation d'une démangeaison intense; il en est d'autres en
ver derrière la tête, sur les épaules, dans les membres, et certaines sensations de marcher comme sur un tremplin, ou un « sommier
s présenté les phénomènes suivants: Tout à coup le malade éprouve une sensation de malaise difficile à définir. Il lui semble que
nt au contraire obnubilées ou même supprimées et ne produisent qu'une sensation uniforme de contact. Alors, quand ce concours sin
du thermomètre chauffée jusqu'à 90° ne produit pas autre chose qu'une sensation de contact; il n'y a pas trace d'une impression s
ons où l'application sur la peau d'un bloc de glace ne produit pas de sensations de froid et celles où les impressions de froid so
tie supérieure du doset sur le devant de lapoitrine ne produit qu'une sensation de contact. Il en est de même sur toute l'étendue
et de lamain. Dans d'autres explorations par la même application, la sensation de froid est perçue à un certain degré sur lapoit
de la poitrine, l'application de la plaque du thermomètre ne donne la sensation de Fig. 120 Fig. 121 Sensibilité au froid.
ains, les avant-bras, et le tiers inférieur des bras,pour produire la sensation de chaud, il faut que le thermomètre marque 63° e
ent quand on Les pince ; mais on peut les brûler sans qu'ils aient la sensation thermique. « Voici, ajoute-t-il, un jeune homme h
septembre, il commença à éprouver un mal de tête consistant en une sensation continuelle de serrements ou de poids pesant sur
conde attaque semblable à la première et précédée commeelle des mêmes sensations de serrement à la gorge, d'étouffement, de battem
xagération des réflexes rotuliens et de la trépidation spinale; 2° la sensation produite par les tentatives de flexion ou d'exten
nd on cherche à imprimer au membre un mouvement passif, on éprouve la sensation d'une résistance progressive et élastique, en que
elle se trouvait limitée par un obstacle mécanique ne donnant pas la sensation de résistance élastique et absolument invincible.
r la cuisse, et de plus cet examen fit éprouver dans cette région une sensation montrant que celui-ci était rempli de tissu fibre
aussi rigide, que les tentatives de redressement du pied donnaient la sensation de résistance élastique qui est propre aux contra
du, et on ne sent nulle part cette résistance élastique, qui donne la sensation d'un ressort tendu, qui appartient à la contractu
, 391.— Réactions électriques, 383. — Réflexes, 86. — Retard dans les sensations , 388. — Rétractions tendineuses, 382, 539. — (Rêv
41 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
plume sur les cornées et la muqueuse nasale sans éveiller la moindre sensation ; abolition de la sensibilité réflexe de la moell
l'état d'hypotaxie est réalisé le plus aisément par le maintien d'une sensation simple, homo-* gène, uniforme, continue, exclusiv
exclusive. Dans le cas actuel, je fais intervenir plus volontiers la sensation auditive. Voici, dans sa teneur générale, la tech
t, sans brusquerie. Que se passc-t-il alors psychologiquement? La sensation auditive, d'abord vague, à peine existante, s
or... mez..., ne cesse d'être maintenue et progressivement accrue; la sensation auditive persiste donc comme un c état fort » ; d
à fait écartées. A ce moment, il ne subsiste plus guère que la seule sensation auditive causée par dor... mez..., dor... met..
quantité et la qualité du phénomène conscient ne variant plus, notre sensation simple et homogène, tout à l'heure pleinement con
e l'acte : il y a participation active du cerveau. Au conlraire, la sensation passive du mouchoir dans la main amène mécaniquem
l'envie de ronger du fil la prend comme une crise nerveuse, avec une sensation d'angoisse qui ne se calme que lorsqu'elle a pu s
ment poignant arrive, elle gémit: c'est son dernier gémissement, « la sensation est trop forte. L'ange cependant, un jeune page d
objecter avec raison que le lïernin a mal interprété efe déformé Ick sensations intimes dont sainte Thérèse nous ci:! i-.voir été
discipliner ses sens, à ne pas laisser libre cours aux désirs ou aux sensations voluptueuses dont ils étaient le point de départ
tion provocatrice d'hallucinations, un substralum et un aliment à ses sensations voluptueuses, elle se créa un centre nerveux de d
ions, à mettre enjeu les mômes centres nerveux, provocateurs de mêmes sensations voluptueuses. A sainte Thérèse, esprit supéri
ranglée, s'efforce de respirer, » Elle exprime encore à nouveau les sensations de lé'jèreté ot d'élive-ment sur la pointe des pi
Légère douleur à la pression au niveau de l'ovaire droit, mais pas de sensation de boule ni d'étoulTemcnt. Jamais de manifestat
phériques vaso-moteurs Le membre anesthésié est exsangue et, quand la sensation revient, le sang reparait également. M. Jules V
race, d'éducation, de milieu, modifier l'impression produite par les sensations reçues et la manifestation des sentiments. Aprè
uelquefois le refus de nourriture est sous la dépendance d'une fausse sensation , d'une fausse conception, d'une idée morbide, ins
ement dites, sans perte de connaissance, au moins au début. Elle a la sensation classique de boule qui remonte, puis du verti
môme temps, par une suggestion appropriée on accentue la notion de la sensation d'arrêt qu'il ressent, associant ainsi à la repré
long de l'œsophage, il pénètre dans l'estomac, il ne provoque aucune sensation , vous n'éprouvez aucun malaise d'aucune sorte, vo
r {*}, et parloitsi bas qu'à peine la pouvoit-on entendre » (3). La sensation de corps étranger et de fluctuation n'étoit pas i
. Parvenu à l'âge d'homme, il se tourmente de tout et s'exagère ses sensations ; de plus, il croit qu'on lui en veut : fils de tr
ont des battements aux tempes, des sifflements dans les oreilles, des sensations de tournoiement et de serrement; le cœur bat fort
les cotisations à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Les sensations d'un professeur électrocuté Au lendemain de l'é
ion, il nous parait intéressant de rapporter, d'après un journal, les sensations éprouvées par M. André Broca, le distingué profes
uit, mais je ne pus pousser qu'un cri informe. Je n'eus plus alors la sensation de l'existence de mes mains et de mes bras, étant
t je revins à moi. Je marchai un peu, mais seulement avec la curieuse sensation que ma tête et mes jambes existaient seules. J'es
instants après la décharge, a conservé sa lucidité, puisqu'il a eu la sensation très nette qu'il était perdu. On peut alors facil
is, à cinq heures, à partir du mercredi /5 janvier. Psychologie des sensations et Psychométrie. MD° le Dr Wycroskorosde, chargée
ie. MD° le Dr Wycroskorosde, chargée de conférences. Objet du cours : Sensations et perceptions. — Instruments et appareils employ
ie, a été chargée de faire une série de leçons sur la Psychologie des sensations et la Psychométrie. Les membres de notre Comité
n et l'habitude du succès, il concentrera toute son attention sur ses sensations digitales ou palmaires: il sera à raffut du moind
cros-thésie une maladie du toucher, caractérisée par l'altération des sensations de poids et de volume, je vous ai demandé de dési
osthésie, le même symptôme lorsque le malade au lieu de rapporter ses sensations à des objets ou à des personnes étrangères les ra
ression de la douleur par la suggestion est due à une dissociation de sensations considérées jusqu'à présent comme inséparables. L
ligence qui se manifeste dans cette suppression. Il y a sélection des sensations désagréables. Ce n'est pas la pure insensibilisat
n, il y a également association puisqu'il y a formation d'un groupede sensation ,groupe complexeetsi j'osaisdire, bien serré. Auss
se distinguent seulement des précédents en ce que'les groupes de sensation que suscite la suggestion vont être formés pour ê
produit successivement les diverses phases du sommeil-provoqué. Mêmes sensations sur d'autres malades et quelque fut d'ailleur le
s son rôle secondaire, elle donne simplement à nos souvenirs et à nos sensations la note gaie ou triste, sans troubler notre jugem
uvenirs des précédentes grossesses se sont réveillés, et les diverses sensations éprouvées autrefois ont repris vie. Sous l'influe
sthésies, paresthésies, céphalalgies diverses, douleur rétrosternale, sensation de boule et constriction à la gorge, etc. ; c)T
uelques variantes ne modifiant d'ailleurs pas sa nature. Ainsi la sensation peut se présenter brusquement à l'esprit sans avo
divination accidentelle et isolée de pensée ('), de pressentiment, de sensations diverses, les sujets intéressés se trouvent, au m
inguer un sujet actif et l'autre passif, absolument inconscient de la sensation qu'il provoque. La fréquence même de cette mani
omnambulique n'était pas nécessaire pour déterminer la perception des sensations lumineuses et qu'elle se produisait, chez certain
lerons Vantèvoyant. L'autre, Y&ntêvu, n'a jamais conscience de la sensation qu'il provoque et, déplus, l'antévoyant peut lui
l'antévu rayonne vers l'antévoyant pour déterminer chez celui-ci une sensation visuelle subjective. On ne peut admettre davantag
roniques, parce qu'alors l'antévu serait, lui aussi antévoyant, et la sensation deviendrait réciproque, alors que les observation
ent dans le même état psychique et éprouveraient simultanémentla même sensation . Cherchons la cause de l'antévision dans d'autr
li, à l'aide de nombreuses observations, que la simultanéité entre la sensation d'un objet présent, clairement et distinctement a
airement et distinctement aperçu, et le renouvellement spontané d'une sensation antécédente estd'autant moins possible que ces de
our l'ouïe. — Froid aux pieds ou aux mains, chaleur exagérée pour les sensations de tact. — Douleurs, migraines, coliques, rhumati
omènes subjectifs les plus habituels sont de la lourdeur de tête, des sensations d'engourdissement, de four- millement dans le
mot d'asthénopie nerveuse, et c'est déjà trop dire : elle n'a que des sensations purement subjectives. A l'âge de 20 ans, elle a
interruption assez longue, elle éprouve souvent des étouflements, la sensation de boule, etc. Les rapports conjugaux sont très
droite. Pas d'achromatopsie. La compression de l'ovaire produit la sensation de boule. Elle remonte jusqu'à la gorge et produi
ion de boule. Elle remonte jusqu'à la gorge et produit la toux et une sensation d'étouffement. Pas d'attaques convulsives. Le s
Ecole de psychologie, p. 192, 223, 225, 255, 352. Electrocuté (Les sensations d'un professeur), p. 221. Enseignement médical
42 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
approche de l'hypo-" chondric, plus l'imagination est obsédée par des sensations et des idées " qui s'y sont incarnées de longue d
ression provenant soit de l'extérieur (impression sensorielle, bruit, sensation tactile, etc.), soit des organes [sensations inte
ssion sensorielle, bruit, sensation tactile, etc.), soit des organes [ sensations internes, sensations musculaires, génitales, etc.
uit, sensation tactile, etc.), soit des organes [sensations internes, sensations musculaires, génitales, etc.), constitue le point
de rêves. Chez moi ce point de départ se trouve spécialement dans les sensations tactiles, musculaires et dans les impressions par
seule fois cependant un air de la Favorite). Rien de spécial pour les sensations tactiles et les sensations de température. Je n'a
de la Favorite). Rien de spécial pour les sensations tactiles et les sensations de température. Je n'ai ressenti que très raremen
ne ou de fatigue. Autant qu'il m'en souvienne, je n'ai jamais eu de sensations olfactives. Une seule fois j'ai éprouvé une sensa
i jamais eu de sensations olfactives. Une seule fois j'ai éprouvé une sensation gustative très nette. Je ne m'arrêterai pas sur
é une sensation gustative très nette. Je ne m'arrêterai pas sur les sensations génitales: elles ne présentent rien de particulie
sensations génitales: elles ne présentent rien de particulier. Les sensations organiques jouent chez moi un rôle assez importan
t les plus grotesques sur lesquelles il est inutile d'insister. Les sensations de mouvement (images motrices) sont un des élémen
s trois ans il est sujet â de nombreuses pertes de connaissance : une sensation de boule part de l'cpigastre pour aboutir au lary
quoi il s'agit. Alorsil me fait connaître, tout en se dépêchant, les sensations de borborygmes et de vives douleurs qu'il éprouva
eur et se porte bion. Le iOjuin, j'essaie de provoquer chez elle la sensation d'une brûlure. A l'un des doigts. Barbe S... gard
me je remarque que ce paysan n'éprouve qu'à un degré très léger cette sensation de chaleur et cette irritation de la peau qui son
ble de reproduire l'image qu'éveille l'application de ce remède et la sensation qu'il donne. C'est ainsi que le phonogramme du gr
t-être même ce paysan se représente-t-il, dans son cerveau, une autre sensation qui lui est plus familière, celle, par exemple, q
r de ce remède, l'hypnose réussit à provoquer aussitôt chez lui et la sensation d'une brûlure et la rougeur nécessaire à l'endroi
i se plaignent qu'on peut i:gcr si elles ont quelque douleur ou autre sensation , cette fille qui n'avoit aucun mouvement, ne donn
yeux ouverts, rien n'étoit capable de lui faire donner des marques de sensation . 7* Enfln, elle se tirait d'elle-même de cet ét
uffre de dépression physique et d'un état neurasthénique complet avec sensation de casque, de craquement dans la tête, de bourdon
ne. On fait en outre les constatations suivantes : ovarie gauche avec sensation de suffocation à la pression et anesthésîe passag
ystériques, mais à tous les individus, en général, à savoir que toute sensation , pourvu qu'elle soit homogène, uniforme, continue
ses battements. D'autres fois, j'ai recours à un complexus de courtes sensations visuelles, auditives, tactiles et musculaires, to
; et celui-ci s'endort, en vertu des lois psycho-physiologiques de la sensation , sans qu'aucune suggestion soit intervenue pour p
ue et je suggère la disparition prochaine de la douleur, ainsi que la sensation de chaleur et de bien-être pour le moment du réve
'hui, s'il vous arrive de sentir une irritation quelconque ou quelque sensation désagréable telle que angoisse, douleur, etc., vo
d'épaule ont complètement disparu, qu'elle n'est plus attentive à ses sensations , qu'elle ne pense plus à sa maladie, qu'elle l'a
le navire descend, par exemple, on ne larde pas à éprouver comme une sensation de vide dans la trie ou au creux de l'estomac, se
er comme une sensation de vide dans la trie ou au creux de l'estomac, sensation qui disparait dès que le mouvement inverse se pro
isparait dès que le mouvement inverse se produit; et alors, c'est une sensation nouvelle, différente et même contraire qui se dév
rentière. Dans ses sorties à travers la ville, elle faisait toujours sensation . Témoin l'anecdote suivante rapportée par le Cons
ême maigreur; elle ne pesaitque 38kil. J'attribuai à la même cause la sensation de constante lassitude dont elle se plaignait, et
dit qu'en outre d'un mal de tête léger, mais constant, elle avait la sensation que son cerveau ne fonctionnait plus comme autref
idées, mes pensées, mes jugements, et môme dans mes sentiments et mes sensations . » Elle a peur que cet état ne la pousse au sui
sthénie confine à l'hypochondrie, l'imagination reste obsédée par des sensations ou des idées préconçues, qui engendrent lauto-sug
bide de notre façon de sentir et d'agir. Désordres circulatoires et sensations pénibles vont de pair et constituent un cercle vi
adies : anesthésies plus ou moins nettes etdistractions ou erreurs de sensations , amnésies transitoires ou passagères et doutes, a
Nous devons considérer généralement ces phobies comme l'expression de sensations normales en état d'exagération pathologique par s
r les leçons de l'expérience. On pourrait dire également que sans ces sensations nous n'aurions pas créé les sciences, l'indus
rait pas le courage. Pour mériter le titre de brave, Il faut avoir la sensation de la crainte et la dominer. » Donc le fait d'a
'un concert musical ne réside pas dans les instruments, mais dans les sensations subjectives de ses auditeurs. La bcautéel l'harmo
conformément à son idéal. L'enfance vit joyeuse dans l'égoismc de la sensation ; la jeunesse se lance avec enthousiasme à la mise
esiderata de la séance de ce soir. Vous allez vous retirer avec une sensation de malaise... Car je ne vous ai point montré, mêm
exercée par le médecin sur le malade, un procédé pour restreindre les sensations et les idées de ce dernier, de façon à faire préd
, a accompli ses travaux sur les instruments permettant d'étudier les sensations , avec ses élèves Pierron et Vaschidc. 6. Mais,
Il s'agit là d'un véritable onanisme mental ; car pour éprouver les sensations qu'ils recherchent, les malades n'ont pas besoin
tement conscience de son état et le raisonne ; dès qu'elle évoque une sensation , elle ne tarde pas à l'éprouver ; elle ressemble
œsophage, l'estomac sont toujours irri- tés, ce qui lui cause une sensation de brûlure dans la poitrine et au creux de l'esto
sensation de brûlure dans la poitrine et au creux de l'estomac: celte sensation lui parait un indice de la nécessité de boire enc
ntité d'eau-de-vie qui n'amène pas le complet enivrement, pour que la sensation de brûlure dans la poitrine disparaisse. L'nncslh
naturelle de la crise alcoolique. Le malade souffre cruellement de la sensation de brûlure qu'il a dans l'estomac, de l'insomnie
mps, les alcooliques périodiques cherchent à s'isoler. Peu à peu, les sensations s'émoussent. L'individu reprend son train de vie
malade cette tendance à s'écouter, s'il n'arrive pas à supprimer ces sensations de souffrance, il est possible que le patient rec
e à boire, motivant sa conduite par le désir de faire disparaître ses sensations douloureuses. Heureusement, de tels cas ne sont q
. Ils n'ont pas bu depuis le matin et se sentent mal à leur aise. Une sensation de tristesse les accable ; ils ont mal à la tète
'en vont, tout à fait calmes, allégés et contents, avec .une agréable sensation de détente et de bien-être. Ces faits confirmen
piqûres avec une seringue vide, la piqûre lui causant, dit-elle, une sensation qui lui est agréable et qui lui donne les Illusio
lement obtenue pur la suggestion hypnotique. Il faut remarquer que la sensation de l'impuissance, dans ces cas, loin d'exclure le
ant provoqué l'auto-suggestion, impression qui a été renforcée par la sensation auditive (Mademoiselle, vous voyez déjà). Pour le
lle, vous voyez déjà). Pour le second symptôme (paraplégie), c'est la sensation visuelle (rigidité et relâchement alternatif des
le (rigidité et relâchement alternatif des muscles) suivie de la même sensation auditive (voilà les mouvements revenus). Or, ce
ensibilité, hyperesthésie cutanée généralisée. Mon malade éprouve des sensations de brûlures par tout le corps. Le doigt qui percu
si la respiration se fait normalement la malade éprouve cependant une sensation de mal-être, d'étou fiemen t. c H me semble que j
pas, je m'étouffe tandis que lorsque je respire par le ventre j'ai la sensation de respirer » ; si elle mange ce n'est pas parce
gination musicale, enfin le plaisir causé par la musique qui n'est ni sensation pure, ni sentiment pur, mais qui part de la sensa
ue qui n'est ni sensation pure, ni sentiment pur, mais qui part de la sensation pour aboutir au sentiment. Il est à deux lins, di
Ces malades, en effet, se plaignent de l'estomac ; ils éprouvent des sensations de serrement dans le territoire du plexus hypogas
43 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
loureux, elle montre la région ovarienne. Elle a des étouffements. La sensation douloureuse part du ventre, s'arrête à l'épigastr
cit., p. 302. mais surtout à droite. Tout d'un coup elle éprouve la sensation d'une étreinte : quelqu'un l'embrasse et la soulè
ression à la ré-gion épigastrique, et d'étranglement à. la gorge. Ces sensations constituent le mode de manifestation le plus ordi
s d'un titre et dans lequel l'attaque avait pour signe précurseur une sensation de froid et une décoloration des mains et du bout
ttaques épileptiformes. Celles-ci avaient pour signes précurseurs une sensation subjective de froid et une décoloration des mains
le que nous avons signalé, elle faisait place à de l'anesthésie, avec sensation d'engourdissement dans les doigts et les orteils.
en. Oppression ex-trême, la respiration se précipite, étouffement; la sensation monte à la Fig. 8. gorge, strangulation. Batt
spécifiques. Il ne s'agit pas là d'une douleur banale, car c'est une sensation complexe qui s'accompagne de tout ou partie des p
ls qu'ils se produisent d'eux-mêmes à l'approche des crises, et cette sensation provoquée, les malades la reconnaissent pour l'av
cœur avec fréquence extrême du pouls, et enfin se développe au cou la sensation du globe hystérique (deuxième nœud). » En ce po
ent au bruit strident que produit le sifflet d'un che-min de fer; une sensation de coups de marteau frappés sur la région tempora
ulèvent la poitrine. A la gorge ce n'est plus une dou-leur, c'est une sensation de suffocation; la malade sent à la bas( du cou c
-ter dès le début, redoublent surtout du côté droit ; elle éprouve la sensation de coups de marteau dans la tempe droite et en mê
'ordre après avoir duré une à deux minutes au plus. Elle a comme la sensation d'un vent qui la renverse et la fait tomber en ar
de cœur violents, de frissons intenses avec cla-quements de dents et sensation de froid, puis d'étouffements, avec sensa-tion de
tend qu'on lui tire la tête, les « pés » (les pieds) ; cette dernière sensation s'explique par la contracture qui existe durant l
un état de contracture généralisée avec retour de la connaissance et sensation douloureuse très vive dans les membres contractur
tion de la douleur ovarienne, puis douleur précordiale, palpitations, sensation de suffocation et de strangulation, puis enfin, b
ce côté gauche du ventre la malade ressent des «- glouglou ». Puis la sensation douloureuse monte dans la région du cœur, et la g
o-difie en rien l'attitude cataleptique et ne provoque aucun signe de sensation . Les paupières clignent quand on touche la conjon
ntes et plus régulières. Au début de la crise la malade éprouvait une sensation d'étranglement (boule hystérique), une violente d
apique. Chez cette malade le début de l'attaque était marqué par la sensation de boule, une douleur violente du côté de l'utéru
battements dans les tempes, de nausées avec suffocation hysté-rique ( sensation de boule) et douleur ovarienne gauche très vive.
ent peu à peu. Elle ne ressent plus la strangu-lation hystérique avec sensation de boule, et les sifflements d'oreille sont moins
ons observés chez nos malades, qu'en l'entendant décrire ses diverses sensations , il nous semblait entendre une hystéro-épileptiqu
ur s'irradiant vers l'épigastre, accélération des battements du cœur, sensation de constriction à la gorge, sifflements dans l'or
rouve comme un serrement; les battements cardiaques s'accélèrent; une sensation de globe ou de boule est ressentie à la gorge ; l
l'attaque apparaît Y aura; pas de douleur ovarienne propre-ment dite; sensation de constriction à l'épigastre, de boule serrant l
nt l'attaque les phénomènes de Yaura hysterica. La malade éprouve une sensation dou-loureuse, mais complexe, s'irradiant vers l'é
la région temporale et l'œil du même côté. Faisons-nous analyser ces sensations subjectives, nous apprenons qu'elles sont caracté
ifs, d'envies de pleurer ou de rires inextinguibles. Elle éprouve une sensation de constriction et d'étranglement à la gorge, et
ceux qui paroissoient spontanément, sans avoir été précédés d'aucune sensation extérieure ou affection de l'âme, étoient les plu
égime ; enfin le soin que l'on prit de lui éviter tout chagrin, toute sensation désagréable, la rendit moins excitable. Au mili
contentement sont leur véritable antidote. Les passions tristes, les sensations désagréables, la vue seule et surtout l'odeur de
ode. J'appellerai l'attention sur le début de l'accès marqué par la sensation de la boule hystérique, la pâleur de la face, l'i
sant un cri. Parfois elle est prise d'un tremblement nerveux général, sensation de froid dans le dos, ou bien elle se prend à por
ment douloureux dans la région iliaque gauche (aura ovarienne) et une sensation de tension de l'abdomen. La face devenait pâle et
période d'aphasie ataxique sui-vait l'aphonie. L'action réflexe et la sensation étaient abolies pendant l'atta-que et elle suppor
'espèce de raidissement général que l'on oppose machinalement à toute sensation douloureuse, vive et instantanée. Ce qu'il y a de
, l'objet qui a causé leur première frayeur; les autres accu-sent les sensations les plus extraordinaires, se plaignent de cordes
ajouter à la gêne de la respiration, et font quelquefois éprouver la sensation d'un cercle qui en serrerait la base. Il en est d
l'expression de toutes les passions de l'âme, et celle de toutes les sensations . » Pendant les convulsions, les malades sont so
» (Mathieu loc. cit. pag. 531). Michéa dans son livre Du délire des sensations rapporte plusieurs exemples d'hallucinations de n
ent, un fourmillement se fait sentir dans sa tète, et elle éprouve la sensation d'une barre de fer qui la tient dans les reins, p
, sa figure est inondée d'une sueur froide et glacée, elle éprouve la sensation d'une boule qui a son point de départ à l'épigast
alalgie violente, de l'agitation, de l'oppression à l'épi-gastre, une sensation de globe montant de l'épigastre au cou; puis surv
à droite, s'exaspère. L'oppression thoracique suit immédiatement avec sensation dé strangulation. Pas de palpitations. La face se
de suite, et était accompagné et suivi de grandes douleurs, et d'une sensation vive de chaleur dans cette partie; souvent il n'a
La malade sent l'approclie des attaques; elle en est prévenue par une sensation de constriction au niveau de l'estomac, suivie im
mmédiatement de celle d'une boule qui vient comprimer la gorge. Cette sensation se renouvelle plusieurs fois, la face devient con
tendu plusieurs fois le malade se plaindre, après les attaques, d'une sensation de constriction à la gorge; il prenait en nous di
, » pour inventer des états par lesquels elles se promettent de faire sensation , ou d'exci-ter la pitié touche à l'incroyable ».
e répond aux questions qu'on lui adresse et peut rendre compte de ses sensations . On constate ainsi que le tact est conservé à dro
orés avec la poudre de coloquinte et l'éther ne donnent lieu à aucune sensation . 11 n'est pas possible dans cet état de provoqu
. est hémianesthé-sique droite). Elle rend parfaitement compte de ses sensations et Thalluci-nation provoquée n'est pas possible.
e le même que précédemment et la malade rend aussi bien compte de ses sensations , mais elle n'est plus à même de se défendre des f
riable de rigidité musculaire, qui a fait comparer par les auteurs la sensation que l'on éprouve, en déplaçant les membres catale
primer une grande fatigue du poids qu'elle disait porter..... » Les sensations extérieures ont sur les hypnotisés un très grand
e, 1865. richer. 27 n'importe quel procédé, la malade éprouve une sensation d'engour-dissement toute particulière. Elle répon
utres manifestations hystériques, qu'une humeur un peu fantasque, des sensations pénibles (clou, boule), et des accès de météorism
ignorait et ce qu'on faisait et ce qu'on cherchait), n'accusa d'autre sensation que celle du froid exactement perçue dans les poi
a malade, espérant, eu détournant son attention, lui faire oublier la sensation du froid qu'elle avait accusée au moment RICUEH
un morceau de fer qui, par sa forme et son volume, devait rappeler la sensation de contact de l'aimant ; dans ces conditions, jam
rmentée par de vives douleurs abdominales. Enfin il était suivi d'une sensation de refroidissement et d'un léger frisson nerveux.
une sensation de refroidissement et d'un léger frisson nerveux. Cette sensation de froid à la suite des séances d'hypnotisme a ét
urs et un retard prolongé dans les règles. Elle accuse constamment la sensation d'une boule qui part deFépigastre et remonte au c
d'un accès par un trouble particulier dans la vue, et surtout par la sensation de mouvements très rapides dans les globes oculai
par une grande bizarrerie de caractère, des névralgies diffuses, des sensations d'étouffement qui prenaient les caractères de la
s organes des sens, et cependant les sens, envisagés comme organes de sensations spéciales, peuvent conserver un certain degré d'a
échappent facilement à l'investigation de l'observateur, parce que la sensation éprouvée par la malade, lors de leur attouchement
rmes et d'un rouge intense ne procure à la ma-lade qu'une très légère sensation de chatouillement. Il mai. — Même état ; la pea
ienne comprimée à l'épi-gastre et de là au cou, où elle détermine une sensation de strangulation. Les souvenirs ne peuvent aller
ne attaque d'hys-térie : spasmes toniques et contorsions des membres, sensation de strangu-lation que la malade exprime en portan
ous raconte enfin dans les mêmes termes que pendant l'état normal les sensations qui, chez elle, précèdent le sommeil et suivent l
lconque de son corps, l'enfant se laisse faire et semble éprouver une sensation agréable. Lorsqu'au contraire le contact est fait
uninvertalle de quelques jours n'en éprouva pendant longtemps que des sensations voluptueuses... Huit années s'étaient écoulées da
usqu'à mon lit sans parler, et se couchait sur moi; c'était alors une sensation effroyable, un cauchemar dont rien ne saurait app
puits; mais elles tombaient avec moi dans cet abîme sans fond. Cette sensation fut pénible; mais elle dura peu; car je criai : J
-nalgésie un premier degré de perte de la sensibilité, dans lequel la sensation au pincement ou à la piqûre, tout en étant encore
un écartement immédiatement inférieur les deux pointes donnaient une sensation unique On fit alors, sur le point exploré de l'av
s 3 dixièmes, tandis que du côté opposé les deux pointes donnaient la sensation d'une seule pointe à des distances de 3 centimètr
qua bientôt un changement en sens inverse, c'est-à-dire que la double sensation avait lieu à droite, l'écartement des pointes éta
2 centimètres i dixièmes, tandis qu'à gauche il n'y avait plus qu'une sensation unique pour les deux pointes distantes de 3 centi
ique, qui déclare tout d'abord que le vert est blanc,devrait avoir la sensation , lors-que le disque tourne, de la couleur rouge m
e rose subjective. Le vert qu'elle ne voit pas lui donne néanmoins la sensation d'une couleur complé-mentaire qu'elle peut percev
lui-même. Lorsque la vibration qui, pour les yeux sains, détermine la sensation du vert, arrive à ce centre, elle n'est pas jugée
va frapper la partie du corps en regard de la poinie en produisant la sensation d'un vent frais. h. Aigrette. — Si la pointe mé
par sa base sur le patient en figurant un pinceau ou une aigrette. La sensation est celle d'un picotement plus ou moins vif. Ce
la neutralisation se fait brusquement par une étincelle bruyante. La sensation est celle d'une piqûre et d'un choc. Les muscles
bord à peine marqués, tantôt dès la première séance, se manifeste une sensation d'allége-ment et de bien-être, l'appétit est augm
niaques de Kintorp, dit Calmeil, accusaient à la plante des pieds une sensation de brûlure comparable à celle qui aurait été prod
aux côtés de la poitrine et dans la tête, au front ou à la tempe, des sensations douloureuses d'une nature particulière, qu'elles
t des Iiallucinations et enfin des convulsions; toutes éprouvèrent la sensation d'un corps qui, s'agitant dans leur estomac, remo
oisson. Les symptômes observés étaient d'ordinaire les suivants : une sensation de fatigue et d'oppression, des cris semblables à
mon âme! » Le corps entier s'agite comme une feuille de tremble, une sensation de pesanteur intolérable oppresse la poitrine, la
des préludes plus ou moins pi'olongés, qui consistaient en une forte sensation d'inquié-tude et de repentir, une oppression ou d
44 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
u côté droit du corps, ou un bruit près de l'oreille droite, ou une sensation de sel sur la moitié droite de la langue, ou en
hologie. M. Brouillet a exposé, au salon de 1887, une toile qui fit sensation , el représentant- : « Une leçon du DI' Charcot
eau chaude, l'eau a la température ambiante, la glace donnaient une sensation de tiédeur, tandis que plus loin la sensation de
a glace donnaient une sensation de tiédeur, tandis que plus loin la sensation de contact était Fig. 32 et 33. 116 NOUVELLE
de la sensibilité : au niveau de l'hypochondre et du flanc gauches, sensation d'eau froide coulant sur la peau, douleur insig
ulant sur la peau, douleur insignifiante, frissons légers ou plutôt sensation de froid dans la région dorsale; dans le membre a
ion de froid dans la région dorsale; dans le membre anesthé- sique, sensation de « chatouillements », qui sont apparus depuis q
s de lésions du fond de l'oeil. La malade se plaint de vertiges, de sensations de défaillance, de palpi- tations ; battements
pendant la résistance à la flexion est la même qu'auparavant. Les sensations d'agacement qui n'existaient primitivement que da
contractions fibrillaires visibles et la malade n'en accuse pas la sensation . Pas de tremblement des mains. Mais les jambes na
ti- nence d'urine, impuissance sexuelle, dérol)cmciil des jambes, sensation de lapis sous les pieds, etc. En ce momcnt mê
erstices musculaires. Par la seulement nous pouvons concevoir celte sensation de dureté éléphantiasiquo ou même cette ré- sis
les jambes, les cuisses et le tronc jusqu'à la région mammaire, les sensations tactiles sont très diminuées, les sensations doul
a région mammaire, les sensations tactiles sont très diminuées, les sensations douloureuses et thermi- ques perçues mais avec
elle éprouve non des craque- ments ni des douleurs mais une simple sensation de déviation dans la jambe NOUV. ICONOCR DL LA
yotrophie notable. La sensibilité objective est conservée, mais les sensations thermiques et douloureuses sont perçues avec reta
urs siégeaient dans les mollets et dans les cuisses. En même temps, sensation d'un corset de fer étreignant son thorax, quelq
s cette même époque qu'apparaissent des troubles dans la marche, la sensation d'épais tapis sous les pieds, le dérobement des
relevé surtout des douleurs compa- rables il des brûlures ou il des sensations de froid glacé. Prodromes éloignés. Mais ce qui
ai 1894, et recueillie par 111. le Dr Henry Meige. (2) Beaunis, Les sensations internes, Paris, Alcan, 1889. 274 NOUVELLE ICON
t-il-dire que par habitude, nous faisons abstraction d'une foule de sensations perçues ; par habitude, nous ne sentons plus le
nt, si notre sensibilité est émoussée ou lésée, nous savons quelles sensations sont perverties ou nous man- quent. C'est ainsi
nous man- quent. C'est ainsi que les tabétiques accusent la fausse sensation d'un tapis épais sous leurs pieds. Ce fait, vul
z l'homme malade, un phénomène conscient. Imaginez que toutes les sensations perçues soient conscientes au môme de- gré, la
t, nous rentrerions vraiment dans le chaos ! Sans doute, toutes ces sensations sont bien perçues en fait ; mais l'attention, h
docu- ment inintelligent et brutal. En résumé, qu'il s'agisse de sensations visuelles ou de toute autre sensation, le cerve
En résumé, qu'il s'agisse de sensations visuelles ou de toute autre sensation , le cerveau n'a conscience que do celles sur le
scuter. Mais, en connaissons-nous d'analo- gues dans le domaine des sensations viscérales ? En d'autres termes, si nous avons
e des sensations viscérales ? En d'autres termes, si nous avons des sensations viscérales, organiques, cellulaires, ces sensatio
nous avons des sensations viscérales, organiques, cellulaires, ces sensations sont- ellec conscientées ? A cette question, vo
se pour hypothèse, j'incline à croire qu'un trouble cérébral où les sensations viscérales dominent, ne peut guère survenir qu'
'exaspérer dans l'état morbide, elles peuvent aussi s'atténuer. Telle sensation qui n'est pas consciente chez l'homme sain, dev
réveille quand la roue du moulin s'arrête. Ainsi, Messieurs, les sensations viscérales peuvent être perverties dans l'é- ta
nstant son intérêt d'actualité. Frenkcl a remarqué récemment due la sensation de fatigue pouvait disparaî- tre ou s'amoindrir
ble, faiblesse douloureuse, dira-t-on ? En fait, la fatigue est une sensation , et, en tant que sensation, elle est indéfiniss
dira-t-on ? En fait, la fatigue est une sensation, et, en tant que sensation , elle est indéfinissable. On ne peut pas plus la
e grand mérite de pousser l'analyse du phénomène bien au delà de la sensation perçue. La fatigue ne consiste pas seulement en u
de la sensation perçue. La fatigue ne consiste pas seulement en une sensation ; elle n'est pas seulement subjective : elle es
des muscles que la méthode graphique permet d'apprécier de visu. La sensation et le fait matériel sont naturellement solidaires
objectivement constata- blé, alors que, selon toute probabilité, la sensation est déjà subjectivement perçue. La clinique (où
la sensibilité musculaire. Retenez seulement que la fatigue est une sensation de provenance musculaire. Du reste, Mosso l'a d
nous tous est une sorte de tétanisation commençante. Et quant a ta sensation même, nous avons le droit de la consi- dérer co
que l'on appelle l'as- thénie addisonienne n'est autre chose qu'une sensation de fatigue générale. Vous savez que les sujets
capsulaire. Cette digression me ramène a notre point de départ. La sensation de fatigue (1) Arch. de plesiol., 1893, n 4, p.
isme des substances nuisibles. Un tabétique qui n'éprouve pas cette sensation , tel était le malade de Frenl;el -, continue d'él
bras retombent le long du tronc, réellement fatigués, mais sans la sensation de fatigue préalable. Les fibres de la sensibilit
rganes, des tissus, des éléments anatomiques profonds. Toutes les sensations qui nous sont fournies par l'ensemble de ces sens
esthésie, ou sensibilité commune (7.o ! 11à, commun, li ! irrel1tn" sensation ). Littré délinitlacéncs- thésie « une espèce de
ous dire de la cénesthésie ce que je vous disais tout à l'heure des sensations sensitivo-sensorielles. Elle est consciente ou in
système de fibres chargées d'utiliser pour la fonction motrice, des sensations emmagasi- nées depuis un temps plus ou moins lo
xistait par contre de l'hyperes- thésie localisée il ce niveau avec sensation de chaleur. On trouvait d'ailleurs chez ce mala
ndant des troubles subjectifs de la sensibibilité à la température ( sensations de chaleur). M. Marinesco établit une étroite r
Au moin- dre reproche, à la moindre contrariété, elle éprouvait une sensation de constriction à l'épigastre et à la gorge et
, selon la rapidité de leur succession, mais se- lon l'acuité de la sensation tonale dont cette papille spirale est le siège
ois derniers doigts de la main droite ; ils étaient comme morts. La sensation do contact n'y était plus bien nette ; puis la
uit de la diplopie également permanente et le malade pour éviter la sensation vertigineuse qui en résulte ferme volontairemen
çoit non l'ir- ritation directe de l'agent extérieur qui produit la sensation , mais une irritation cellulaire et il l'a perço
sus de la cheville. Il existe un peu d'hésitation sur la nature des sensations au niveau du mollet : le malade ne sait si on l
l'analgésie se limite aux organes génitaux et il la zone périanale. Sensation pénible et constante de froid dans le pied gauche
rmales deve- nait le siège de fourmillements très pénibles et d'une sensation de froid coïnci- dant avec un abaissement réel
45 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
issaient, montant comme un flot et se croisant dans son esprit, des sensations étranges, des conceptions bizarres, des raisonn
orte, s'accompagne-t-elle d'un afflux sanguin vers l'encéphale, les sensations , les idées, les sentiments, les aspirations pre
vrai et du faux, subit le mouvement fortuit et des impressions, des sensations , des conceptions, des sentiments, des impulsion
la sensibilité, les sentiments naturels semblent renaître avec des sensations positives et des souvenirs exacts. On en est d'
comme un centre réflexe, nul ne songe plus à y placer le siège des sensations conscientes. Quanta la couche optique, pas plus
e. - Certaines données cependant sont acquises : 1° le trajet des sensations dans la moelle n'est ni régulier ni constamment l
chacun à recevoir un groupe spécial de conducteurs, à élaborer une sensation spéciale. (Dans cette hypothèse, il y aurait un
se suppléent-elles aisément au point de vue de la perception des sensations , assez aisément pour qu'il ne soit pas permis d'a
centres isolés affectés à la per- ception des diverses variétés de sensations (tactiles, visuelles, olfactives, gustatives, a
nt constaté, avec une lésion des points précités, l'in- tégrité des sensations auditives et visuelles. On voit donc que sur le
écouler des observations récemment compulsées par S. Exner, que les sensations visuelles sont per- çues surtout par les circon
et de l'écriture) contrastant avec le souvenir facile des anciennes sensations . Ainsi l'épileptique qui lira péniblement une l
sément de l'impossibilité, pour le malade hébété, d'interpréter les sensations anormales dont il estl'objet (délire) : ces sen
erpréter les sensations anormales dont il estl'objet (délire) : ces sensations anormales seraient l'équivalent de la perte total
agères psycho- sensorielles proeparoxysmiques telles que -la double sensation 94 le revue de pathologie mentale. auditive,
écordiale : des crises douloureuses éclatent, caractérisées par une sensation particulière de cons- triction épigastrique et
y contredi- saient pas, à penser à un trouble dans la réception des sensations sonores ; sur l'assertion de M. Richter que le
constances atténuantes. Le.second groupe com- prend, sous le nom de sensation sexuelle contraire (inversion du sens génital d
e à lui seul d'atteindre ce but. Si, comme il le croit lui-même, la sensation sexuelle perverse n'est qu'un symptôme, au moin
lades sous l'influence de leurs impul- sions délirantes et de leurs sensations pathologiques. Il s'en tient à ceux qui ont gué
es. Les principaux symptômes observés sous cette influence furent : sensation de constriction thoracique, dyspnée, asthénopie
nt : sensation de constriction thoracique, dyspnée, asthénopie avec sensation de mouches volantes démangeai- sons désagréable
aires variés, la surdité, quelquefois inaperçue, d'une oreille, une sensation passagère de vertige précèdent les symptômes de
e et jeter après une secousse violente le malade dans les horribles sensations du paroxysme. D'autres fois, l'état vertigineux
s, projeté diversement. Au contraire peut-il marcher, il y a tantôt sensation subjective de chute, tantôt chute véritable, RE
- - 3° Troubles de la sensibilité. Il peut y avoir intégrité des sensations ou anesthésie : cette dernière est plus ou moins
rtoreuse est fréquente et précoce. Se Température. Le frisson, la sensation du froid sont des revue de pathologie mentale.
es nerveux ou somatiques de l'anémie (stéatose ou émaciation) ; des sensations anormales ou désagréables à l'épigastre, dans l
33 le malade, assure aux conceptions irrésistibles, y compris les sensations , perceptions, actes et impulsions de même source,
complet se composant de deux éléments, l'un cen- tripète qui est la sensation , l'autre centrifuge, qui, parle mou- vement, en
cède, comme stade prodromique pur, la monomanie non moins que les sensations d'angoisses qui appartiennent et à l'hypochondrie
la lecture du travail de M. le pro- fesseur Meynert intitulé : Des sensations et des passions. (Jahrbùcher f. Psychiatrie, II
ans environ, à la suite d'une dysenterie grave, Il... a éprouvé une sensation de craquement dans le dos, « son dos s'est décr
ouliers à la jeune fille; puis, il cherchait à se rendre compte des sensations que celle-ci éprouvait en marchant avec ses sou
emble entrer en ébullition et vouloir soulever le crâne ; de là, la sensation descend par la nuque, suit la colonne vertébral
mme un duel entre l'être étranger et lui ; mais le jour arrivé, une sensation de langueur s'empare de toute sa personne, son
t, il s'essuyait tout aussitôt ; le contact du lait lui donnait une sensation de velours. Il n'hésitait pas à distribuer ce l
us fréquent et aussi le plus important pour le diagnostic est cette sensation de fatigue, de brisement, de lassitude, ce dépé
rche, surtout dans l'obscurité. Ce symptôme peut s'associer à une sensation de picotement dans les membres inférieurs, comme
douloureux et si mal connu de la crampe, peut être rapproché de la sensation de lassitude pour l'époque d'apparition, la fré
que la polydipsie et les mictions nocturnes, contribuent avec les sensations subjectives diverses fourmillements, picotements,
les sensations subjectives diverses fourmillements, picotements, sensations de froid, etc., à provoquer Y insomnie qui se man
'ailleurs chez les diabétiques en dehors de tout besoin et de toute sensation spéciale, et doit appeler notre attention sur l
rait, sur les deux gros orteils, une anesthésie à la chaleur et une sensation de froid persistante dont il s'aperçut dans le
t, au contraire, ces diabétiques accusent des fourmille- ments, des sensations de compression, de refroidissement, de chaleur,
diabétique est très sensible au froid extérieur (Trous- .seau). La sensation du froid peut être générale (Fritz), alter- ner
sont des douleurs vagues, articulaires, se combinant alors avec la sensation de lassitude. Souvent elles se localisent dans
même marche, tant la faiblesse du genou droit est grande. Il a une sensation de pesanteur; à chaque moment, il sent sa jambe
uloureuse de la peau de ce membre et de la moitié droite du tronc ; sensation de fourmillement et d'engourdissement du -pied
re dorsale. Plus haut la sensibilité parait normale. A droite, la sensation de fourmillement est très vive, le sens du touc
e profonde n'occasionne pas la douleur. En un mot, augmentation des sensations tactiles et analgésie (jus- qu'à la sixième ver
ie, avec REVUE DE PATHOLOGIE. NERVEUSE.' 371 1 conservation de la sensation tactile, parce que là partie posté- rieure des
seule atteinte, tan- dis que le cordon postérieur qui transmet les sensations tactiles, a été respecté. Il est à remarquer
s et l'on cherche à se figurer qu'il est le véritable siège de la sensation douloureuse. Pour rendre plus facile cette illu
un entrecroisement partiel des pyramides ? Quant aux rapports des sensations douloureuses de cette région, de nombreux faits
: à ce moment, élancements le long de la colonne verté- brale, avec sensation de froid dans cette région. Dysacousie de l'ore
46 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
quoi consiste cette dissociation syringomyélique de l'anesthésie. Les sensations de tact sont conservées, la douleur n'est point p
e anesthésie plus ou moins complète et plus ou moins absolue pour les sensations de chaud et de froid. En un mot, dans la syringom
portant en l'espèce, sur tous les modes de la sensibilité. Ici, les sensations de contact sont généralement conservées, tandis q
la tête, qui est très accentuée, même au repos complet, est due à la sensation continuelle de bourdonnement et de vertige que le
ient point, mais, par contre, une attaque convulsive, précédée par la sensation caractéristique de la boule hystérique et provoqu
festement hystériques. Toutes sont précédées d'une aura consistant en sensation de strangulation, angoisse respiratoire, battemen
circonstances, d'une parésie fugace d'un des membres supérieurs, avec sensation d'engourdissement remontant de l'extrémité du mem
evient à sa place comme sous l'influence d'un ressort. On éprouve une sensation d'élasticité dans la traction et dans la Fig. 2
sse jusque dans lo ventre et bien qu'elle ne donne à la malade aucune sensation de constriction gastrique ou pharyngée, il est ce
rgique sur la région des muscles extenseurs n'éveille non plus aucune sensation douloureuse. La sensibilité est normale sur tou
huit mois par des douleurs suivant le trajet du nerf, accompagnées de sensation d'engourdissement et de froid. La marche était en
reuse à la pression et pendant la marche. Dans le pied et la jambe, sensations de picotement, chatouillement, survenant irréguli
ntécédents personnels qu'elle a eu plusieurs attaques d'hystérie avec sensation de boule , sanglots, etc., et d'ailleurs, il exis
° = AS contraction très légère. ~ ~ j néant. Le malade accuse une sensation de froid permanente dans le membre inférieur droi
, mais était encore dans l'impossibilité de se boutonner lui-même. La sensation de refroidissement aux membres inférieurs était m
de faiblesse ou, pour mieux dire, le malade, par suite d'une sorte de sensation de tremblement des genoux, ne pouvait facilement
sur toute l'étendue de la surface cutanée. Le malade se plaint d'une sensation très vive de refroidissement au niveau des paupiè
on. Au contraire dans la syringomyélie, à côté de la conservation des sensations de contact, on trouve l'analgésie et surtout la t
llements qui lui enlèvent, mais seulement pendant qu'ils existent, la sensation nette de la nature du sol sur lequel il marche. E
rche. En dehors de ces moments où les fourmillements existent, pas de sensation de caoutchouc, ni de tapis, etc.. Il a toujours t
érescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux. Quelques sensations dysesthé-siques dans les pieds (sensation que ses
oubles cérébraux. Quelques sensations dysesthé-siques dans les pieds ( sensation que ses pieds sont collés l'un à l'autre dans le
nts à un haut degré dans la paralysie alcoolique et qui consistent en sensations 1 Les analyses d'urine complètes et pratiquées
ôlement ou la pression profonde. Ici le malade n'accuse aucune de ces sensations douloureuses. Il se plaint seulement d'une sorte
lent à répondre aux questions qu'on lui adressait, analysait mal ses sensations et n'en rendait compte que très imparfaitement. A
eurs fulgurantes du tabès, le malade continue à souffrir de certaines sensations dysesthésiques subjec-jectives que je vous ai men
jours, au niveau des pieds et de la partie supérieure des jambes, une sensation de chaleur exagérée, de brûlure même, qui le forc
r. Mais dès qu'il tente de les remettre sous les couvertures, la même sensation de brûlure reparaît, et il préfère passer des nui
éfère passer des nuits entières les pieds découverts et froids. Ces sensations , vous le savez, Messieurs, se remarquent égalemen
é, souvent interrompu par des cauchemars consistant principalement en sensation de chute dans des précipices. Il n'a jamais vu, a
re depuis longtemps de « crises gastralgiques » qui s'accompagnent de sensation de strangulation et d'étouffement, durent deux he
naire jusqu'à la perte de connaissance. Elles étaient précédées d'une sensation douloureuse à l'épigaslre, de palpitations, de bo
es, d'éblouissements devant les yeux, puis survenait très souvent une sensation de strangulation au cou et alors elle pâlissait e
nt dans le dos, entre les deux épaules, une violente douleur avec une sensation de suffocation qui l'oppresse pendant dix minutes
ensibilité. Les excitations thermiques et douloureuses provoquent des sensations tactiles. Les perceptions tactiles y sont conserv
oique de loin en loin. Mais en 1868 (il avait alors dix-huit ans), la sensation de pesanteur à gauche, qui, jusqu'à cette date,
ine. La piqûre, le pincement de 'a peau ne donnent à peu près que des sensations de contact. Sur quelques points très limités, l'a
éral ? Chez lui, les céphalées sont, le plus souvent, accompagnées de sensation vertigineuse; une fois même il est tombé à terre
xercice plus que modéré), il se réveille au milieu de la nuit avec la sensation d'un grand coup de bâton qu'on lui donnerait sur
es autres doigts, l'avant-bras et le bras. Elles s'accompagnent d'une sensation douloureuse indéfinissable: « Mes os se brisent,
sont annoncées actuellement par un sentiment d'étouffement ou par la sensation d'une boule montant de l'épigastre à la gorge; en
^ venus chez elle des accidents nerveux variés. Elle avait parfois la sensation d'une boule qui lui remontait jusqu'à la gorge ;
nesthésie gauche incomplète avec perte du sens musculaire de ce côté, sensation de pesanteur des membres gauches qui sont faibles
ariété. Elle ressent, avant ces crises, au niveau de l'estomac, une sensation de boule qui remonte vers la gorge, l'étouffé et
e doit avoir sa crise n° 1. — L'ouïe est normale. La perception des sensations gustatives est notablement moins vive sur la moit
, elle éprouve à l'épigastre une douleur plus ou moins violente, avec sensation d'une poche énorme, faisant glou-glou et lui semb
te fois devant nous. Elle bâille, dit-elle, parce qu'elle éprouve une sensation d'étouffement qui la force à faire de grandes ins
llement, mais d'un mouvement involontaire presque continuel, dû à une sensation identique à l'aura ordinaire de l'attaque hystéri
, hystérique : douleur au cœur épigastrique, constriction du pharynx, sensation de boule remontant de l'estomac à la gorge. Pas
être avorté ; dans ce cas la malade de l'observation III accusait une sensation de malaise; il fallait que le bâillement fût comp
'accompagnent souvent, comme à l'état physiologique d'ailleurs, d'une sensation de soulagement. IV. Les crises de bâillements
ant la crise, ou même lorsque celle-ci va venir, la malade accuse une sensation de boule qui remonte de l'épigastre; elle a des b
47 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
meuse''soûrde=rriuette=âvèùgle,; le, sens dé .là", température, les sensations motrices de la peau,,etc. sj, â1ri0;. nu * ? L pl
re supérieur droit par exemple, est attribuée par 'Le, malade à une sensation ressentie du côté symé- triquement opposé. ' -j
t;I '- 'TJb'T-- <",<ri 'D'après Horsiëy ces transpositions de sensation " seraient liées àL , une lésion de la zone rola
En outre, troubles anormaux de la céneslhésie, comme par exemple la sensation bizarre, couché au lit, que les membres et le t
nt une pseudo-neurasthénie avec mouvements et pression douloureuse, sensation de faiblesse des membres, etc. Puis viennent le
fVI1 y,411··luf Ca : IL-Un'mélancolique;ressent,en juillet 1889 une sensation de re froid'ise'me'iit* d'ans 1, les pieds ? d'
oide rend fréquemment de bons services lorsqu'on veut combattre les sensations anormales, surtout celles qui sont circonscrites
froids partiels et'en particulier les bains de pieds diminuent les sensations anormales de la tête, notamment la sensation' d
ps, parfois unilatérale, le plus souvent bilatérale, accompagnés de sensation , de picotements ou de fourmillement et de sécré
surtout après le repos; elle a des douleurs erratiques partout, des sensations de frissons et de bouffées de chaleur, qui lui
bâiller, puis une frayeur, une anxiété de la mort la saisit avec la sensation d'un choc dans le cerveau, des battements artér
eur, qui présentent une certaine périodicité et sont accompagnés de sensations de fatigue, et de brisement des os; céphalée en
s battements du coeur soient accélérés, parfois doulou- reuses avec sensation d'oppression ou de serrement cardiaque; colonne
d aussi aux articulations, surtout du cou-de-pied où la malade a la sensation d'un étau qui le com- primerait violemment, et
de la rétine de l'oeil droit par des filets nerveux conduisant des sensations de lumière et des réflexes, à la moitié tempora
orps, au contact et à la pression, et localise assez facilement les sensations . Il n'a pas été possible de détermi- ner bien e
correspondantes. ' L'acuité auditive est quelque peu diminuée. Les sensations de l'ouïe sont extériorisées et assez bien situ
'hystérie. Ce qu'on peut dire, c'est que, d'une façon générale, les sensations ., sont perçues lentement, faiblement, et déterm
oir été mieux conservées dans sa mémoire que les résidus des autres sensations . Mais cette idée de flammes peut aussi être ven
pénible. Elle ne peut retenir qu'avec la plus grande difficulté une sensation nouvelle ? On a vu qu'elle ne sait pas le nom d
pas et ne les reconnaît pas. On voit donc que les trois groupes de sensations verbales, audi- tives, visuelles et graphiques
ent des souvenirs à peu, près nuls. Je n'ai pu expérimenter sur les sensations verbales motrices d'arti- culation. -,Les sen
nter sur les sensations verbales motrices d'arti- culation. -,Les sensations tactiles sont aussi impuissantes à réveiller des
psychologiques, surtout une incapacité de comparer entre elles des sensations ou des images, d'établir des jugements. Je conn
mblable à ce qu'on observe ailleurs. L'atten- tion est nulle et les sensations disparaissent à mesure qu'elles sont perçues. C
a-t-il sous cette faiblesse des cellules nerveuses à rete- nir les sensations qui les ont irritées ? Un état d'épuisement chr
n résulterait en définitive une diminution de la iétentivité de ces sensations *. Il y a certaine- ment une condition particul
comme tremblée; de l'incertitude de la démarche avec ver- tige; des sensations de froid, d'engourdissement, d'horripilation, a
voulons ou exécutons un mouvement, nous nous rendons compte que la sensation a lieu, que le souvenir nous rappelle des impre
réduit au minimum la somme des phénomènes .conscients. A côté de la sensation , de la mémoire, de la volition conscientes, il
nsation, de la mémoire, de la volition conscientes, il y a donc des sensations , des souvenirs, des volitions inconscients. A l
ntrent ; mais elle a perdu la conscience d'un certain nombre de ses sensations , de ses sou- venirs, de ses volitions : delà de
té inconsciente et automatique. 11 résulte de ce qui précède que la sensation et les images qui restent en dehors du champ de
érie. Nous avons , montré que les divers phénomènes psychologiques, sensations , i souvenirs, idées, se répartissent chez l'hys
ent névralgique, les hallu- cinations, l'apparition fréquente de la sensation de constriction pharyngée, la permanence par de
t l'instru- ment de la réaction de l'être vivant déterminée par ses sensations . Je suis amené à conclure des faits observés qu
20 milliampères. Il importe de régler cette inten- sité suivant la sensation éprouvée, qui doit être intermédiaire entre le
ié temporale de la rétine de l'oeil droit les fibres chargées de la sensation lumineuse et simultanément des actions réflexes
tié nasale de la rétine de l'oeil droit des fibres char- gées de la sensation lumineuse et des fonctions réflexes; il n'envoie
emporale de la rétine de l'oeil gauche des fibres chargées et de la sensation lumineuse et de l'action réflexe; il n'envoie à l
l'intelligence sont peu accusés. La malade se plaint surtout d'une sensation extrême de refroidissement et de somnolences in
e heures). La désinfiltration ne tarda pas à devenir manifeste; les sensations de froid, la somnolence, la torpeur disparurent
e de la conscience), gardent leur inté- grité à la suggestion d'une sensation et agissent comme font la sensation réelle et l
- grité à la suggestion d'une sensation et agissent comme font la sensation réelle et l'émotion. Dans iasyringomyétie, les ex
t une élude sur les hallucinations synesthéliques, ou phénomènes de sensations fausses associées (au- dition colorée) et combi
ne les vois pas ? montrant qu'ha- bituellement elle supplée par les sensations visuelles au défaut de ses sensations kinesthés
ellement elle supplée par les sensations visuelles au défaut de ses sensations kinesthésiques. Le champ visuel des deux côtés
dans ces expériences, que la malade soit privée isolé- ment de ses sensations soit optiques, soit auditives, il est à remarqu
ment du champ de la conscience permettant à M... de percevoir les sensations actuelles. Mais tout ne se borne pas là ; il en e
ion extérieure, et de même que la conscience perçoit maintenant les sensations présentes, elle s'assimile également les images
nésie apparentes ne sont en réalité qu'un défaut d'assimilation des sensations d'une part, et d'autre part, des images qui son
ollege Department (1892-93). a) Physiologie du système nerveux. Des sensations (cours professé au Biolo- gical Building (1 tri
ement et la paresthésie laryngés, la diminution des réflexes, de la sensation de contact, de la sensibilité douloureuse de ce
sens de la pression est surtout dissocié; il y a disparition de la sensation de la pression exercée sur la peau seule, alors q
ds et les mains', pré- 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cédés de sensations de chatouillement dans le coude et le genou ou
e (Obs. III et V). Thérapeutique. Thermocautère Paquelin contre les sensations douloureuses subjectives et peut-être la suspen
ubjectives et peut-être la suspension. P. KERAVAL. LIX. PERTE DE la sensation DE fatigue CHEZ UN TABÉTIQUE; par , FRENKEL. (N
cette opération qu'une légère sensibilité dans le bras droit; cette sensation disparait bien- tôt, puis revient, mais sans le
, est indifférent aux émotions. Actes peu pondérés (disparition des sensations réflexes communes) semble vivre en rêve quoique
ences de ces habitudes, sans 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. mes sensations et le décor qu'elles entraînent, décor synchrone
tion de la sériation des associations d'idées et des perceptions. Sensation de ce qui est agréable et désagréable, affectivit
nt le décor et la nature de ce réflexe le mouvement consécutif à la sensation organique sera un mouve- ment de préhension, de
sommeil, puis, vers le milieu de la nuit un réveil accompagné d'une sensation d'angoisse précordiale très pénible et d'une in
ec prédominance d'idées de persécution. G. DENY. XXXVI. UN cas DE sensations auditives ET VISUELLES subjectives, auto-observ
occupations pénibles, sans cesse aux écoutes, il adapte d'abord les sensations audi- tives normales à ses tendances maladives;
r les régions psychiques supé- rieures avec tous les caractères des sensations normales. Le patient, constamment sur le qui-vi
la subjugalion. Chaque jour il pefte4rc"plus avant dans ce monde de sensations étranges, et chaque jour il s'efforce de percer
s sensoriels hallucinatoires qu'aux troubles de la cénesthésie, des sensations organiques, « de ces incita- tions obscures qui
nerveux » (Ribot). L'apparition dans la conscience d'un faisceau de sensations internes insolites, sans rapport avec les éléme
s par son métier de bijoutier. Enfin, il se plaint sans cesse d'une sensation de froid généralisé. Mais ce dont il se plain
mesure que la polyurie diminuait, la soif ardente, l'insomnie, les sensations de froid disparaissaient et les sécrétions nasa
autres. L'idée du moi se forme dès le début de la vie à l'aide des sensations et des sentiments correspondants; c'est la sens
uite la nôtre. Nos conceptions ont pour origine et pour mobiles les sensations de plaisir ou de déplaisir qui déterminent nos
déterminent nos sympathies,[nos antipathies physiques et morales ; sensations et sentiments produisent, en engendrant les idé
lques cas, nettement constaté, dès le début, la coparticipation des sensations et des sentiments. Chez ces malades, on remarque
ts. Chez ces malades, on remarque souvent pendant quelque temps une sensation d'étouffement, un état d'agitation intérieure v
els que l'insomnie, la tristesse, l'in- capacité intellectuelle, la sensation de douleurs au dos, etc.. Vient ensuite une obs
cintillant, par Manz, 397. SEcnETpROFESS)o\\EL,du,par Bach, 55. Sensations visuelles et auditives sub- jectives, par Fuchs
i- nesco, 394. 538 TABLE DES MATIÈRES. T.lnÉ1'IQUE, perte de la sensation chez un -, par Frenkel, 39G. Témoignage, du d
48 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ble et obligeait l'entourage de l'exiler. ' , z Quelquefois,-à la sensation du regard d'aulrui le malade uprnu- vait le sen
l'essai de rhypnolisinel'excilait fortement et éveillait en lui une sensation désagréable, telle qu'on était obligé de l'envo
du regard d'autrui et éprouvait par conséquent continuellement une sensation désagréable. En 1904, jusqu'au jour de son dépa
Mois d'une romance russe. '23 CLINIQUE MENTALE. ' - l'idée et la sensation d'avoir l'expression impure dans ses yeux lorsq
il' : « moi seule je dois m'affliger dans la solitude. « Avec une sensation d'un fort battement de coeur et avec peur. j'é-
t il remarquer que le regard d'autrui provoque chez ces malades des sensations spéciales très désagréables dans le domaine orb
n décrivant son état dit : « Le regard d'autrui provoque en moi une sensation désa- gréable qui apparaît dans une contraction
bres cervicales et dorsales supérieures. Enfin il existe une fausse sensation de membres imaginaires.- 11 semble au malade qu
,i-iostite), Lou[ conduit au diagnostic énoncé plus haut. La fausse sensation tient à l'excitation du bout central des conducte
itrine ou sur son ventre. 11 se rend très bien compte que c'est une sensation erronée, mais il ne peut s'en débarrasser, même
de la partie contiguë de substance blanche qu'il faut rapporter les sensations fausses. P. IER.1VAL. IX. Remarques sur les n
e pure avec hémianopsie homonyme latérale droite. Persistance de la sensation de lumière brute dans le champ droit. MM. Lévy
ment aurait continué, mais plus lent. En novembre, il ressent une sensation de courbature lombaire continuelle, puis des do
uleurs dans les deux membres inférieurs consistant en crampes, avec sensation de broiement, de torsion, le long de laface pos
ontribution à la connaissance de la dissociation thermique et de la sensation algique dans les blessures et affections de la
mo-analgésie du même côté, on trouve souvent une dissociation de la sensation des impressions caloriques, algides, algiques ;
e l'analgésie est entre ces deux niveaux. z 15. La dissocialion des sensations de chaleur et de froid atteint son maximum à l'
ctes inspirés ou conseillés par un initiateur coupable. La première sensation éprouvée avait été enregistrée parla mémoireave
- cun fondement. Y a-t-il, à l'origine de ces préoccupations, des sensations réelles ou imaginaires S'agit-il d'un trouble i
raves et prolon- gés, la douleur viscérale réfléchie apparait, les, sensations produites par l'activité anormale des viscères
tive ou splanchnique ; mais il ne faut pas opposer radicalement les sensations internes et ex- ternes, et, dans toute percepti
ns hypochondriaques,gastralgiques ou autres, sont com- parables aux sensations illusoires des amputés, qui ne sont jamais créé
ptions hypochondrie- ques ne sont que l'interprétation délirante de sensations anor- males réelles : un angineux croit avoir u
interpréter dans le sens hypo- chondriaque ni dans aucun autre ses sensations anormales ; en revanche, l'imbécile, le débile,
plus souvent, doit s'abstenir ; cette interpréta- tion absurde des sensations éprouvées et qui caractérise ce délire s'observ
ffirme qu'il est malade et cela parce qu'il se sent malade. Cette sensation ou représentation fausse de maladie qui constit
erturbation des centres corti- eaux où sont déposées les images des sensations internes ou organiques auxquelles nous devons l
sous le nom de cénesthésie. DE L'HYPOCHONDRIE. 181 Or, comme ces sensations internes ne proviennent pas uni- quement de nos
rnes ne proviennent pas uni- quement de nos viscères, qu'à côté des sensations viscérales transmises par le pneumo-gastrique o
est la «conscience du moi physique » et qu'elle comprend foutes les sensations endogènes que nous avons de notre corps et de n
lle qui résulte d'une lésion viscérale ; la perception inexacte des sensations provenant de cette irri- tation est alors l'ori
mer, représentant ainsi une sorte de réaction motrice contre une sensation d'engourdissement. Dans d'autres cas, ces sté-
e ayant pour but de leur, apprendre à interpréter sainement leurs sensations , quelles qu'elles soient, à n'y pas répondre inop
tions sont réglées,comme celles des autres centres moteurs, par des sensations musculaires, articulaires, etc. 11 s'ensuit que
esmoteursmédullairesetles régions qui adres- sent à ces centres les sensations qui règlent la motricité. Et l'étendue même des
nnable. Vers 17 ou 18 ans, aurait eu 3 ou 4 crises convulsives avec sensation de boule et de constric- tion à la gorge, sans
0 CLINIQUE MENTALE. (Peut-être s'agit-il là d'une interprétation de sensations résultant de l'absorption de la morphine). En
ations résultant de l'absorption de la morphine). En décembre, la sensation de tranformation corporelle est tou- jours préd
lle affirme, toujours à titre d'explica- tion de l'étrangeté de ses sensations et de l'impossibilité où elle se trouve de les
ansformation de son corps, doutait ce- pendant de la réalité de ses sensations et par suite de sa propre existence, nous perme
des centres corticaux où sont fixées et enregistrées les images des sensations internes ou organiques, auxquelles nous devons
és par la malade, nous explique l'é- trangeté, la bizarrerie de ses sensations , et par suite ses illusions de membres déformés
rporelle n'interviennent ici qu'à titre d'explication délirante des sensations anormales, an- goissantes et obsédantes éprouvé
changées, différentes de ce qu'el- les étaient autrefois, etc. Les sensations actuelles que lui (1) G. DENY et Paul Camus. Su
oujours en rapport sans doute avec la bi- zarrerie, l'étrangeté des sensations organiques, mais es- sentiellement contingentes
avec obsession de se souvenir, de se représenter, de retrouver les sensations or- ganiques perdues ou perverties ; 2° une abo
'est surtout, dit Cotard, dans leur élaboration céré- brale que les sensations s'altèrent et se transforment de la manière la
sions, môme régulièrement transmises, ne produisent plus que des sensations alarmantes par leur étran- geté (L) n. Séglas
vec des troubles cénesthésiques, se relient ' 1 il l'altération des sensations dans leur élaboration céré- brale, à des pertur
s qui paraissent liés à une al- tération a, hypo, hyper ou para des sensations internes ou organiques, quel que soit, du reste
guration spatiale, de définition topographique des cho- ses dont la sensation persiste. » . Dans le premier cas, il y a, d'ap
que ce « sens de l'espace » est étroite- ment lié à l'intégrité des sensations organiques, mus- culaires, articulaires, segmen
oteurs mis en branle. Il convient, en outre, de rappeler que chaque sensation organique possède un timbre, une tonalité propr
ache avec raison tant d'importance, loin d'être indépendantes des sensations organiques, en font donc partie intégrante. Or,
en font donc partie intégrante. Or, comme ce sont les images de ces sensations orga- niques, envisagées isolément ou associées
grouper en un seul faisceau toutes les anomalies et aberrations des sensations organiques qui constituent le fondement de tous
n toute schématique de la division du travail nerveux en énergie de sensation et énergie de motilité est fondée sur quelques
anglions et à l'écorce (2). Parmi elles, les voies conductrices des sensations organiques paraissent les premières, puis vienn
tions organiques paraissent les premières, puis viennent celles des sensations spé- ciales dans l'ordre suivant : odorat (3),
imaginer dans quel marasme psychique serait l'individu. Seules, les sensations ther- mique ou algique sont conservées, le tabl
cons- çience est de disjoindre, dans le temps, les réactions des sensations » (1), c'est-à-dire de transformer le réflexe en
enfin, les. impressions de froid (Blix et ('olscheider). Quant aux sensations douloureuses, elles se- raient dues, d'après la
t réflexes, cet au- teur tendrait plutôt il admettre deux ordres de sensations douloureuses : des sensations brutes en rapport
ait plutôt il admettre deux ordres de sensations douloureuses : des sensations brutes en rapport avec les étages inférieurs du
ions brutes en rapport avec les étages inférieurs du cerveau et des sensations différenciées qui seu- les seraient d'origine c
o-pathologillue. Nos viscères ne devenant ordinairement le siège de sensations douioureu- l'euses qu -¡lia période moyenne del
é d'hypnotisation qui consiste dans le maintien d'une seule et même sensation visuelle, le som- meil survient plus facilement
musculaire est diffuse et s'accompagne, dans les cas graves, d'une sensation de malaises et de fatigue intense. En général,
maladie en jan- ,iel'l ! Iü : 3, par des douleurs vertébrales avec sensation de forte courbature, irradiant en ceinture H'I'
uivants, de failllesso progres- siw, de raideur et de douleurs avec sensation de brûlure. Fin avril. Les même* phénomènes app
iminmc sur foule l'étendue des mem- bres inférieurs pour toutes les sensations ; pas de gibbosilé. Mort le 27 mai 1904. ' .
scialiqup double, dilllillu- tion de la sensibilité pour toutes les sensations limitée en haut par une zone ifltyperesthésie p
avec hémianopsie homonyme laté- rale droite. Persistance de la sensation de lumière brute dans le champ droit, par Lé-
bution à la connaissance de la dissociation thermique et de la sensation algique dans les olepsures et affections de l
ti»go-e»célhnl7tc. - do l,t douleur, par Mlle Yotovko, p. 370. Sensation algique. Voir Moelle. Sérum sanguin. Voir Epile
49 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eur se calme et disparaît complète- ment vers midi, en laissant une sensation de lourdeur très prononcée dans la tête. La nui
temps à autre quelques phénomènes nerveux a,sez typiques, tels que sensation de boule avec constriction ala gorge. En remo
extrêmement marquée. Il y aune agitation plus ou moins grande, une sensation de malaise, de^ douleurs dans le ventre et l'hy
n plus ou moins longue de son diabète, est pris brus- quement d'une sensation de faiblesse extrême; rapidement, cet état de f
nique autorise à affirmer le diabète. L'urine peut donner la même sensation odorante; mais il est préférable de recourir, p
autres cas, l'intensité est moindre; les malades se plaignent d'une sensation de dyspnée continuelle; ils éprouvent d'une man
e, car il existe déjà au moment de la phase d'excitation, est cette sensation de fai- blesse générale, d'anéantissement physi
es de la première période sont de la céphalalgie, des vertiges, une sensation de malaise général, des douleurs en divers poin
ité anormale, plus habituellement un état de somnolence diurne avec sensation d'affaissement extrême. . Puis, au bout de quel
s'accentuant surtout la nuit, et se mon- trant par accès, et d'une sensation de faiblesse extrême; elle crut d'abord à des a
nde thyroïde n'a pu être apprécié. Pas d'anesthésie ; il existe une sensation continuelle de refroi- dissement. Malheureuseme
janvier 1883, pendant la nuit, douleurs très violentes, nombreuses sensations anormales, finalement paralysie complote de la
sparaissent et laissent après elles un sentiment de lourdeur et des sensations anormales dans l'extré- mité supérieure dont le
t de temps à autre la marche et la station debout impossibles, avec sensation de brûlure et d'engourdissement dans les pieds;
aralysie des deux extrémités supérieures avec douleurs violentes et sensations d'engourdissement des pieds et des mains, bient
un sentiment de fatigue généralisée, des douleurs lombaires, des sensations de froid et dechaud, une pesanteur de tête, la pe
l'hyperesthésie auditive que nous venons de rappeler, et par cette sensation de battements que le malade compare aux batteme
ude de ces deux derniers 1 A. Mairet. De l'illusion en général, des sensations visuelles comme causes d'illusions. Th. de Mont
isuelles comme causes d'illusions. Th. de Montpellier, 1876, et Des sensations auditives comme causes d'illusions. (Montpellie
x jambes; là (aux cuisses) le froid est perçu et développe même une sensation exa- gérée et particulièrement désagréable. Qua
gle aux membres inférieurs, il ne sent rien ou presque rien (légère sensation de contact); mais, quelques minutes après, il a
égère sensation de contact); mais, quelques minutes après, il a des sensations douloureuses au niveau de toutes les piqûres. A
ent froids, glacés; les aliments solides ou liquides provoquent une sensation identique dans leur passage jusqu'à l'estomac.
ir, en dînant chez ses parents, elle éprouve presque subitement une sensation de cons- triction douloureuse à la base du thor
de cons- triction douloureuse à la base du thorax et à l'épigastre, sensation qui monte à la partie supérieure delà poitrine,
eille, par con- « séquent, chez lui une conscience très intense des sensations qui « le provoquent, l'accompagnent et le suive
gique. La douleur produite par le froid ou la chaleur constitue une sensation bien plus grossière que la per- ception de la t
(degrés de chaleur modérés), et il s'en faut de beaucoup que cette sensation douloureuse possède la finesse de différenciati
e sensation douloureuse possède la finesse de différenciation de la sensation physiologique du milieu ambiant. Six tableaux à
e d'une attaque d'hémianopsie accompagnée d'aphasie, d'une série de sensations subjectives; en même temps il se montre agité,
lante du pied, du côté gauche, mais les corps chauds engendrent une sensation dou- loureuse, vive. Affaiblissement très marqu
moments du trem- blement. Il y a plus de trois ans qu'il accuse une sensation de chaleur céphalique, de la constipation, de l
inappétence ; descelle époque, humeurmorose. Pendant l'été de 4882, sensations impor- lunes à la tête et dans les yeux, affaib
excessives à l'occasion des changements de temps et de température, sensations de poids dans les yeux, au milieu du front, au-
gauche ; fréquemment, en outre, douleurs térébrantes à l'occiput ; sensations de tension péricrânienne ; on retrouve la cicat
se met travailler; de la douleur de tête il reste une inexprimable sensation de boulimie. Puis, quelques se- 281 SOCIÉTÉS SA
centigrammes plusieurs fois par jour) diminue très notablement les sensations désagréables résultant de l'abstinence de la mo
aît bientôt. A la Pentecôte suivante, il éprouve sur les jambes une sensation de «e froid désagréable, causée par un coup de
s articulations des genoux sont constam- ment le siège d'une légère sensation de traînée comparable à une caresse du vent, et
hinisé; quand il suspend ses injections, il éprouve toute espèce de sensations désagréables et une sorte d'agitation qui l'emp
té est émoussée depuis l'épaule jusqu'à l'extrémité des doigts, les sensations sont perçues avec un léger retard. Les douleurs
de paresthésie, retard dans la perception, localisation fautive des sensations , etc. 3. Dans ce troisième groupe, nous plaçons
, elle reprend son entretien avec nous. Elle n'ac- cuse pas d'autre sensation que celle d'une grande fatigue avec une céphala
de bien-être, « de retour à la vie ». Chez les morphinomanes, cette sensation est avidement recher- chée ; l'abstinence les m
ar mois. L'accès est complet, précédé d'un aura consistant dans une sensation de constriction, à l'épigastre. Quelquefois, mi
ignent d'une augmentation de fréquence initiale du pouls, suivie de sensation subjective de lourdeur de tête avec hébétude, f
sion des sens montre bien cette complexité; car, dans ce cas-là, la sensation reste ce qu'elle doit être, mais c'est l'interpré
reste ce qu'elle doit être, mais c'est l'interpréta- tion de cette sensation qui est erronée. Les Anglais, avant tout le mon
vant tout le monde, ont montré que l'image n'est autre chose qu'une sensation conservée et reproduite spontanément, c'est-à-d
issance. Il y a donc plusieurs sortes d'images, autant qu'il y a de sensations spéciales, autant qu'il y a de sens, y compris
r. La démonstration est faite, en s'appuyant principalement sur les sensations et les images visuelles, plus commodes à évoque
cientifique, 1885). Dans la perception externe, avons-nous dit, une sensation éveille une série d'images. L'hypnotisme mont
suggère une hallucina- tion à une hystérique, on fait joindre à une sensation exacte une image fausse. Mettons ce point impor
nt que c'est son portrait. Qu'est-il donc arrivé ? On a ajouté à la sensation que donne ce carton blanc, toujours reconnaissa
is que, dans la perception, l'image est suggérée directement par la sensation . Dans l'illu- sion des sens ordinaire, il y a a
tion fausse qui montre bien le mécanisme de la perception vraie. La sensation suggère une image ou plusieurs qui sont soudées
suggère une image ou plusieurs qui sont soudées par l'esprit à la sensation et qui paraissent ne faire qu'un avec elle. Mais
econnaître un livre que nous avons sous les yeux, nous ajoutons aux sensations brutes de la vue toutes les idées correspondant
livre, toutes choses qui ne nous sont fournies que par un réveil de sensations antérieures, c'est-à-dire une évocation d'image
que ne nous fournit pas l'expérience présente. Nous dépassons la sensation brûle dans la perception extérieure. Les expérien
réalité du lieu qui unit les propriétés de l'objet révélées par la sensation , et celles représentées par les Images ressus-
ion, et celles représentées par les Images ressus- citées par cette sensation . Il y a donc un jugement (Paulhau), qui d'aille
sé ce problème de côté. BIBLIOGRAPHIE. 451 La loi de fusion des sensations ou des images semblables n'est pas nouvelle; ma
50 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
ue, dans leur sommeil, on peut leur imposer des rêves, des idées, des sensations , des actes comme Altred Maury et d'autres l'ont é
térieur, de lui-même, qui fait la suggestion. Quand, par exemple, une sensation douloureuse à la région thoracique, perçue par le
éveloppe une association d'idées, lesquelles idées se transforment en sensations qui engendrent à leur tour de nouvelles idées; de
, musc, froid, musique. Panthéon, éveillent ou tendent à éveiller des sensations guslatives, olfactives, tactiles, visuelles, plus
ène suggestion existe; c'est une idée transformée en mouvement, acte, sensation , éraotiou, image. On a dit : « Pour qu'il y ait s
ves, sensorielles, qui fait la transformation de l'idée en mouvement, sensation , image, est réfréné par les facultés d'attention,
re en rapport avec le sujet endormi, peut lui suggérer des actes, des sensations , des émotions, des rêves hallucinatoires. Dans le
ous silence. Au fond de l'activité des centres nerveux, au fond des sensations , des représentations qui constituent nos idées, n
el ou tel organe sensitif ou moteur, et provoque ou la projection des sensations , des représentations, ou le mouvement des membres
môme dans le cas où cette activité se manifeste sous la forme soit de sensations , de représentations, soit de différents mouvement
gner, par induction, d'une excitation simultanée des centres d'autres sensations , ainsi que des centres moteurs du cerveau, et les
d'autres sensations, ainsi que des centres moteurs du cerveau, et les sensations visuelles devraient s'accompagner de toutes les a
visuelles devraient s'accompagner de toutes les autres catégories de sensations , ainsi que de toute une série de mouvements génér
ubjectivement, par l'apparition en nous d'une série de sentiments, de sensations , de représentations, d'idées et d'impulsions volo
quels se transmet cette excitation. En arrivant jusqu'aux centres des sensations , des représentations, etc., l'excitation nerveuse
rovoque en eux une série de phénomènes qui mènent au développement de sensations et de représentations, visuelles dans un groupe d
l'inducteur, et dont celui-ci n'a pas conscience lui-même. Que les sensations et les représentations, qui passent par le champ
nd on a faim, provoque une excrétion de la salive. Lians ces cas, les sensations et les représentations correspon- dantes, se re
voquer à leur gré cette chair de poule, rien qu'en se représentant la sensation du froid. Et, dans ce cas, cette représentation v
s qui réagissent très notablement sous l'action de divers sentiments, sensations et représentations qui parcourent notre champ int
représentations qui parcourent notre champ interne psychique. Chaque sensation , chaque représentation plus ou moins forte provoq
écissement des vaisseaux périphériques qui accompagne nos différentes sensations et représentations, ainsi que tout travail intell
r la transmission excentrique de l'excitation nerveuse des centres de sensations et de représentations sur les nerfs qui règlent l
se passe ainsi en lui (1). Non moins dépendants des sentiments, des sensations et des représentations qui passent par le champ d
duquel j'exerce une pression énergique, me dit qu'il n'éprouve aucune sensation , la réalité de ce trouble n'apparaît pas à mon es
la séance, c'était à qui viendrait près de lui pour s'informer de ses sensations , et maint sceptique se disait prêta faire l'expér
onscients de son inducteur, mouvements qu'il ressent sous la forme de sensations cutanées de pression, de petits coups, ou de rési
ncentrer entièrement sur les oscillations et les modifications de ses sensations cutanées et de ses sensations musculaires. Le seu
scillations et les modifications de ses sensations cutanées et de ses sensations musculaires. Le seul moyen pour cela, c'est d'élo
l'attention, affaiblit par cela même sa pleine concentration sur les sensations cutanées et musculaires. Cette concentration an
côté, cette concentration uniforme et continue de l'attention sur les sensations d'un genre uniforme augmenta quelquefois extrêmem
pensées tendent à la complète concentration de son attention sur ses sensations cutanées et musculaires, au moyen desquels ¡1 sui
la possibilité d'un fait pareil, a déclaré que s'il se guide sur ces sensations , ce n'est que d'une manière inconsciente ; il res
donc évident qu'il lui est difficile ensuite de se rendre compte des sensations qui le guidaient pendant la séance de la lecture
nanimement qu'ils parviennent à deviner en se laissant guider par les sensations qui affectent leur peau et leur système musculair
s'accomplissent des expériences pareilles, uniquement fondées sur les sensations cutanées et musculaires. Mais û quoi l'homme ne p
es de zoologistes et de botanistes capables, sans autre guide que les sensations cutanées, de déterminer l'espèce, le genre des pl
vants : incoordination motrice et marche caractéristique de l'ataxie; sensation de la marche dans du colon; abolition des réflexe
une observation du même genre, mais, dans le cas qu'il a observé, les sensations lumineuses étaient provoquées, non par une excita
s provoquaient l'apparition de différentes couleurs; toujours la même sensation lumineuse correspondant à la même saveur. Le ma
u monde, a conscience de peines et de satisfactions physiques et a la sensation de beaucoup d'impressions (1). Les affirmations
u'il sait, c'est qu'il a acquis cette image, que le souvenir de cette sensation antérieure persiste et qu'il est capable de la re
ses iliaques, hypéreslhésie du membre supérieur gauche, étouffements, sensation d'une boule posl-sternale. Elle était sujette à
l'intensité des douleurs dans l'aine a déterminé chez notre homme une sensation de faiblesse, avec agitation, tremblement, contra
du membre ont pu, par influence psychique, contribuer à localiser la sensation douloureuse dans cette région correspondant à peu
ns peur et sans raideur; je le fais se lever et s'asseoir sans aucune sensation à la région sacro-lombaire. Je le fais s'incliner
n attention sur mes paroles et l'empêcher de rester concentré sur ses sensations ; je change par insinuation douce et persuasion le
des, qu'il marchait moins bien. Si j'avais laissé cette idée et cette sensation prendre racine dans son cerveau, si je l'avais la
ait de rien. La suggestion verbale enlevait instantanément toutes les sensations désagréables qu'elle me disait ressentir. Cet éta
développées dans son liés intéressent et très suggestif travail sur : Sensation et Mouvement. Vous savez avec quel déterminisme e
ise convulsive si on avait insisté. On déterminait très facilement la sensation de constriction laryngée, de boule. « En outre,
de symptùmes subjectifs propres à l'urticaire, prurit très prononcé, sensation de chaleur et de cuisson; or, dans le phénomène q
rticaire dermographique, où l'on n'a noté, et encore rarement, qu'une sensation de chaleur légère. La pseudo-urticaire dermogra
ait passée), mais aussi à l'influence évidente de l'antypirine sur la sensation de prurit de l'urticaire vraie diminuant et cessa
roduire. Obs. II. — Hystérie grave. — Crises hystéro-épileptiques ; sensation de boule; grandes attaques; hallucinations noctur
le eut un grand saignement de nez, à la suite duquel elle éprouva des sensations inaccoutumées. Il lui semblait qu'elle avait la g
uvelées un très grand nombre de fois. Toujours elles débutent par une sensation de boule au niveau de l'estomac. Elle en a eu tou
suggéré l'insensibilité à la douleur et l'absence absolue de toute sensation douloureuse ou même simplement désagréable. M.
bonne, le vendredi 2b' mars, un cours sur la Physiologie générale des Sensations . — Des exercices pratiques sur les matières du co
éprouvé une petite vibration insignifiante, il ne lui restait aucune sensation désagréable dans l'alvéole après l'extraction del
rageusement dans le fauteuil et supporta l'extraction sans la moindre sensation douloureuse. Le 10 mars 1891, M"* J..., vingt-d
rbonne. le vendredi 23 mars, un cours sur la Physiologie générale des Sensations . — Des exercices pratiques sur les matières du co
heure, résolution complète, le tout annoncé par des élouffements, la sensation d'une boule qui remonte partant du ventre, etc...
hyslêro~démoi\opaM\\e. Voici comment, en effet, la malade décrit les sensations qu'elle éprouve après s'être frotté les reins de
venl au cerveau troublé les impressions périphériques, qui donnent la sensation confuse de l'impotence du membre contusionné par
51 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
Pour les morphinomanes en privation, ce médicament rappelle, par les sensations qu'il fait naître, l'effet de la piqûre. Quant au
— Vous n'éprouverez plus jusqu'à la fin de votre accouchement qu'une sensation de pression, très supportable, nullement douloure
on d'un état morbide pendant lequel, par suite d'une réviviscence des sensations antérieurement emmagasinées, le malade semble rel
ment et s'occuper de travaux intellectuels. Sous l'influence de ces sensations , le dipsomane, quelle que soit sa position, élevé
Cependant, Je pouvoir de l'hypnotiseur a des limites : les idées, les sensations du patient pourront éprouver certaines modificati
ni l'idée de faute, ni l'idée de répression; aucun conflit entre les sensations et les sentiments: l'exercice du sens intime et d
nous montrera ce .qu'est le sympathisme organique : transmission des sensations , des états émotifs, transmission nerveuse physiqu
ts extérieurs. Si ces objets sont indifférents, tout se borne à une sensation de contact ou de douleur; la décharge se fait aux
son attention sur une idée, cette idée se transforme, malgré lui, en sensation ou en acte suivant sa nature. Si je porte ma main
s 5o, je la réveille, je lui demande comment elle va. Elle accuse une sensation de faiblesse vers la tête, absence de force dans
bsence de force dans les bras et de l'oppression caractérisée par une sensation de. barre de fer, par moments, à la ceinture. Ell
A 4 heures 28, je la réveille. Interrogée, elle accuse toujours une sensation d'aiguille au poignet, au coude et à l'épaule dro
uque. Interrogée pendant son sommeil, elle n'accuse qu'une certaine sensation de fatigue à la nuque (due sans doute à la pressi
umé, la pilocarpine a déterminé un semblant d'ivresse, l'émétique une sensation d'oppression, l'eau de laurier-cerise des douleur
utre, en effet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte, sensation , mouvement ou image. Plus récemment encore, M.
sement se propage à vos bras et à vos jambes. — » Vous éprouvez une sensation de calme, de repos, de bien-être... Vous allez av
ent, l'enfant ferme naturellement les yeux et il se laisse aller à la sensation d'engourdissement suggérée. Quelquefois, la résis
dans un sommeil profond. Auparavant, il semble passer par toutes les sensations qui précèdent l'établissement du sommeil normal.
sont acceptées sans contrôle et transformées par le cerveau en actes, sensations , mouvements, images. La modalité psychique ainsi
lé la toile représentant Charcot a la Sal-pêtriere, qui fit si grande sensation au dernier Salon. Ce qui frappait dans cette œuvr
uen un jeune homme de 20 ans, sujet à des crises caractérisées par la sensation d'une boule remontant du ventre à la gorge (boule
as droit sensible: rien à gauche. La malade, interrogée, extériore la sensation du toucher à droite, dans la région homologue de
nait un réflexe énergique, mais à droite, et la malade extériorait la sensation dans l'œil droit non touché. L'expérience de l'éc
ogue avait lieu pour les couleurs. La malade, interrogée, accusait la sensation colorée de l*œi! droit alors qu'on lui présen
amille. Interrogée sur ses idées absurdes, elle m'avoue qu'elle a des sensations génitales, des idées erotiques qui la torturent;
un peu douloureuses. Depuis 18 mois elle a des idées erotiques avec sensations particulières du côté des organes génitaux et ell
rès triste. Plus elle veut les chasser, plus elles sont intenses. Les sensations n'accompagnent pas toujours ces idées. Elles sont
es. Elles sont moins vives pendant la marche. Jamais ces idées et ces sensations ne sont venues pendant la nuit. Pendant que la ma
sont venues pendant la nuit. Pendant que la malade a ces idées ou ces sensations , il n'y a pas d'émission de liquide par les organ
épéter : qu'elle n'aura plus d'idées absurdes, qu'elle n'aura plus de sensations génitales, qu'elle se guérira très bien. Je lui r
ure. La journée a été bonne. Elle n'a pas eu d'idées absurdes, pas de sensations génitales et elle n'a pas pleuré. Cette nuit, e
deux reprises différentes, hier, elle eut quelques idées et quelques sensations ; mais cela a été très fugace. Elle est contente:
ons. 15 décembre. La guérison persiste. N'a pas eu ses idées et ses sensations depuis le mois d'avril. L'état général est bien
uditive. M. Gellé. — L'allochirie consiste dans la perception d'une sensation dans le coté opposé au point où l'excitation a li
une sensation dans le coté opposé au point où l'excitation a lieu. La sensation est localisée dans le point symétrique de l'autre
, jusqu'à l'hémisphère gauche. Ainsi, l'excitation est gauche et la sensation est droite et symétrique : la perception par l'en
ception par l'encéphale est telle que c'est sur le côte opposé que la sensation est rapportée. Dans le cas de lésions bilatéral
ue d'un côté du corps, avec conservation plus ou moins parfaite de la sensation subjective des deux côtés et pourquoi l' anesthés
rtés jusqu'à ce jour, il s'agit toujours de la perception croisée des sensations cutanées. Le fait que je rapporte ici est un ca
s avec le diapason ; de plus, les pressions centripètes provoquent la sensation de vertige, la constriction pénible des tempes, l
t), mais bien par l'oreille gauche, c'est-à-dire qu'elle n'éprouve la sensation du piaulement que dans l'oreille gauche hyperesth
nt alternativement les méats auditifs de la pulpe du doigt, rendre la sensation droite ou gauche à volonté ; or, par cette occlus
se guide l'orientation ou bruit; je pense que, cher notre malade, la sensation produite à gauche doit être tellement supérieure
ïe et de l'odorat, de petites attaques convulsives accompagnées d'une sensation d'étouffement, en est la confirmation. Les deux n
lus nettement caractérisés, ainsi que d'attaques représentées par une sensation douloureuse dans l'un des flancs, de boule remont
congélation, de sphacèle et chute des orteils à l'exclusion de toute sensation douloureuse, l'impression prolongée du froid humi
ctu quod prius non fuerit in sensu! Mais comment peut-on confondre la sensation passive et grossière avec les purs concepts, l'at
e des phénomènes psychologiques relatifs au magnétisme. Tels sont îes sensations et les mouvements, les actions réflexes automatiq
que et motrice. Qu'est-ce que la suggestion? Comment suggère-t-on des sensations , des idées et des actes aux hypnotisés? Quels son
manœuvres hypnotiques provoquent de la pesanteur de l'encéphale, une sensation de fatigue, du vertige, des nausées; les os parai
prit ses sens et raconta une histoire des plus extraordinaires. LES SENSATIONS ÉTONNANTES DE LA VICTIME. Il déclara se nommer
ame. Peu d'instants après le départ de la station, il ressentit des sensations très extraordinaires et se trouva dans l'impu
x pick-pockets qui ont profité de sa syncope pour le dévaliser. Les sensations éprouvées par le malade avant l'attaque se rattac
art de l'attaque est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent une sensation de pression, de constriction autour du poignet. A
du sommeil hypnotique et qui, instruits à analyser et raisonner leurs sensations , ne parviennent pas à saisir une différence entre
gts porte une bague en or, touché la main sans qu'il y prit garde. La sensation dudit anneau fut douloureuse, d'après ce qu'il pr
un des doigts de ce malade et celui-ci se plaint immédiatement d'une sensation douloureuse, d'une sensation de brûlure. Ces di
t celui-ci se plaint immédiatement d'une sensation douloureuse, d'une sensation de brûlure. Ces diverses brûlures existent réel
ère. Us entendent sonner toutes les heures. Quelques-uns éprouvent la sensation désagréable de frissons légers, ou d'autres sympt
a psychologie proprement dite, je constate que la psycho-physique des sensations n'est pas en faveur comme en Allemagne: mais le r
t montré que la quantité de mouvement produit dépend de la nature des sensations et des sentiments. S'ils sont dépressifs, la quan
52 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
Pour les morphinomanes en privation, ce médicament rappelle, par les sensations qu'il fait naître, l'effet de la piqûre. Quant au
— Vous n'éprouverez plus jusqu'à la fin de votre accouchement qu'une sensation de pression, très supportable, nullement douloure
on d'un état morbide pendant lequel, par suite d'une réviviscence des sensations antérieurement emmagasinées, le malade semble rel
ment et s'occuper de travaux intellectuels. Sous l'influence de ces sensations , le dipsomane, quelle que soit sa position, élevé
Cependant, Je pouvoir de l'hypnotiseur a des limites : les idées, les sensations du patient pourront éprouver certaines modificati
ni l'idée de faute, ni l'idée de répression; aucun conflit entre les sensations et les sentiments: l'exercice du sens intime et d
nous montrera ce .qu'est le sympathisme organique : transmission des sensations , des états émotifs, transmission nerveuse physiqu
ts extérieurs. Si ces objets sont indifférents, tout se borne à une sensation de contact ou de douleur; la décharge se fait aux
son attention sur une idée, cette idée se transforme, malgré lui, en sensation ou en acte suivant sa nature. Si je porte ma main
s 5o, je la réveille, je lui demande comment elle va. Elle accuse une sensation de faiblesse vers la tête, absence de force dans
bsence de force dans les bras et de l'oppression caractérisée par une sensation de. barre de fer, par moments, à la ceinture. Ell
A 4 heures 28, je la réveille. Interrogée, elle accuse toujours une sensation d'aiguille au poignet, au coude et à l'épaule dro
uque. Interrogée pendant son sommeil, elle n'accuse qu'une certaine sensation de fatigue à la nuque (due sans doute à la pressi
umé, la pilocarpine a déterminé un semblant d'ivresse, l'émétique une sensation d'oppression, l'eau de laurier-cerise des douleur
utre, en effet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte, sensation , mouvement ou image. Plus récemment encore, M.
sement se propage à vos bras et à vos jambes. — » Vous éprouvez une sensation de calme, de repos, de bien-être... Vous allez av
ent, l'enfant ferme naturellement les yeux et il se laisse aller à la sensation d'engourdissement suggérée. Quelquefois, la résis
dans un sommeil profond. Auparavant, il semble passer par toutes les sensations qui précèdent l'établissement du sommeil normal.
sont acceptées sans contrôle et transformées par le cerveau en actes, sensations , mouvements, images. La modalité psychique ainsi
lé la toile représentant Charcot a la Sal-pêtriere, qui fit si grande sensation au dernier Salon. Ce qui frappait dans cette œuvr
uen un jeune homme de 20 ans, sujet à des crises caractérisées par la sensation d'une boule remontant du ventre à la gorge (boule
as droit sensible: rien à gauche. La malade, interrogée, extériore la sensation du toucher à droite, dans la région homologue de
nait un réflexe énergique, mais à droite, et la malade extériorait la sensation dans l'œil droit non touché. L'expérience de l'éc
ogue avait lieu pour les couleurs. La malade, interrogée, accusait la sensation colorée de l*œi! droit alors qu'on lui présen
amille. Interrogée sur ses idées absurdes, elle m'avoue qu'elle a des sensations génitales, des idées erotiques qui la torturent;
un peu douloureuses. Depuis 18 mois elle a des idées erotiques avec sensations particulières du côté des organes génitaux et ell
rès triste. Plus elle veut les chasser, plus elles sont intenses. Les sensations n'accompagnent pas toujours ces idées. Elles sont
es. Elles sont moins vives pendant la marche. Jamais ces idées et ces sensations ne sont venues pendant la nuit. Pendant que la ma
sont venues pendant la nuit. Pendant que la malade a ces idées ou ces sensations , il n'y a pas d'émission de liquide par les organ
épéter : qu'elle n'aura plus d'idées absurdes, qu'elle n'aura plus de sensations génitales, qu'elle se guérira très bien. Je lui r
ure. La journée a été bonne. Elle n'a pas eu d'idées absurdes, pas de sensations génitales et elle n'a pas pleuré. Cette nuit, e
deux reprises différentes, hier, elle eut quelques idées et quelques sensations ; mais cela a été très fugace. Elle est contente:
ons. 15 décembre. La guérison persiste. N'a pas eu ses idées et ses sensations depuis le mois d'avril. L'état général est bien
uditive. M. Gellé. — L'allochirie consiste dans la perception d'une sensation dans le coté opposé au point où l'excitation a li
une sensation dans le coté opposé au point où l'excitation a lieu. La sensation est localisée dans le point symétrique de l'autre
, jusqu'à l'hémisphère gauche. Ainsi, l'excitation est gauche et la sensation est droite et symétrique : la perception par l'en
ception par l'encéphale est telle que c'est sur le côte opposé que la sensation est rapportée. Dans le cas de lésions bilatéral
ue d'un côté du corps, avec conservation plus ou moins parfaite de la sensation subjective des deux côtés et pourquoi l' anesthés
rtés jusqu'à ce jour, il s'agit toujours de la perception croisée des sensations cutanées. Le fait que je rapporte ici est un ca
s avec le diapason ; de plus, les pressions centripètes provoquent la sensation de vertige, la constriction pénible des tempes, l
t), mais bien par l'oreille gauche, c'est-à-dire qu'elle n'éprouve la sensation du piaulement que dans l'oreille gauche hyperesth
nt alternativement les méats auditifs de la pulpe du doigt, rendre la sensation droite ou gauche à volonté ; or, par cette occlus
se guide l'orientation ou bruit; je pense que, cher notre malade, la sensation produite à gauche doit être tellement supérieure
ïe et de l'odorat, de petites attaques convulsives accompagnées d'une sensation d'étouffement, en est la confirmation. Les deux n
lus nettement caractérisés, ainsi que d'attaques représentées par une sensation douloureuse dans l'un des flancs, de boule remont
congélation, de sphacèle et chute des orteils à l'exclusion de toute sensation douloureuse, l'impression prolongée du froid humi
ctu quod prius non fuerit in sensu! Mais comment peut-on confondre la sensation passive et grossière avec les purs concepts, l'at
e des phénomènes psychologiques relatifs au magnétisme. Tels sont îes sensations et les mouvements, les actions réflexes automatiq
que et motrice. Qu'est-ce que la suggestion? Comment suggère-t-on des sensations , des idées et des actes aux hypnotisés? Quels son
manœuvres hypnotiques provoquent de la pesanteur de l'encéphale, une sensation de fatigue, du vertige, des nausées; les os parai
prit ses sens et raconta une histoire des plus extraordinaires. LES SENSATIONS ÉTONNANTES DE LA VICTIME. Il déclara se nommer
ame. Peu d'instants après le départ de la station, il ressentit des sensations très extraordinaires et se trouva dans l'impu
x pick-pockets qui ont profité de sa syncope pour le dévaliser. Les sensations éprouvées par le malade avant l'attaque se rattac
art de l'attaque est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent une sensation de pression, de constriction autour du poignet. A
du sommeil hypnotique et qui, instruits à analyser et raisonner leurs sensations , ne parviennent pas à saisir une différence entre
gts porte une bague en or, touché la main sans qu'il y prit garde. La sensation dudit anneau fut douloureuse, d'après ce qu'il pr
un des doigts de ce malade et celui-ci se plaint immédiatement d'une sensation douloureuse, d'une sensation de brûlure. Ces di
t celui-ci se plaint immédiatement d'une sensation douloureuse, d'une sensation de brûlure. Ces diverses brûlures existent réel
ère. Us entendent sonner toutes les heures. Quelques-uns éprouvent la sensation désagréable de frissons légers, ou d'autres sympt
a psychologie proprement dite, je constate que la psycho-physique des sensations n'est pas en faveur comme en Allemagne: mais le r
t montré que la quantité de mouvement produit dépend de la nature des sensations et des sentiments. S'ils sont dépressifs, la quan
53 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
points voisins apparaissaient des taches nous donnant au contraire la sensation d'une exagération de substance calcaire. Ce qui f
ieur du corps de certains procès organiques, laquelle fait naître des sensations kinesthétiques d'un genre particulier. Les rêve
ient plus subtile, plus ténue, plus fine, plus délicate. Une foule de sensations , inaperçues pendant la veille, alors que nous som
par des excitations dont nous n'avons pas la moindre conscience; ces sensations subconscientes sont recueillies à notre insu, s'e
ble est moins actif, plus émotif, plus triste, plus irritable. Si les sensations qu'ils possèdent provoquent des idées de même nat
ibre aux facultés inférieures : impressions sensitives et affectives, sensations , impulsions automatiques, réflexes, dont nous dés
toujours dans le même sens, c'est-à-dire que le groupe inférieur des sensations , impressions, impulsions, domine le groupe inféri
urrait définir la sensibilité, la faculté qui nous fait percevoir une sensation quelconque lorqu'une impression vient exciter un
sibilité telle qu'une excitation qui ne produirait normalement qu'une sensation légère ou une sensation de contact, produit une s
citation qui ne produirait normalement qu'une sensation légère ou une sensation de contact, produit une sensation violente ou pén
ment qu'une sensation légère ou une sensation de contact, produit une sensation violente ou pénible, c'est ce qu'on appelle l'hyp
ul mental, par la chronométrie mécanique, vous mesurez la vitesse des sensations et des perceptions ; tous les sens sont interrogé
nscience de ne pas pouvoir émettre un son provoque dans le larynx des sensations désagréables, desquelles nait le besoin d'en affr
au contraire, le sentiment de fatigue dans le larynx qui, en tant que sensation désagréable, fait appel a la toux, est encore acc
fatigues occasionnés par la toux. Ainsi la toux provoque de nouvelles sensations désagréables qui augmentaient l'irritation. Lor
llucination par Esquirol : un homme qui a la conviction entière d'une sensation actuellement perçue, alors que nul objet extérieu
ellement perçue, alors que nul objet extérieur propre à exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état d
e des images, peut s'appliquer aux sons, aux odeurs, aux saveurs, aux sensations diverses du tact. Parlons des hallucinations de
dions maintenant l'impression causée sur les malades par ces diverses sensations de l'ouïe ; ces bruits produisent des effets vari
ion à peine perceptible, pourra se rendre compte de la fausseté de la sensation ; il pourra vivre en liberté de la vie ordinaire
eaucoup à son mari, nous dit-elle, parce qu'elle éprouve avec lui des sensations extraordinaires; pendant le jour ce diable est lo
s, mais elles durent plus de cinq minutes et ne s'accompagnent pas de sensations douloureuses dans les muscles contractures; et pu
e môme un tic des jambes. Elle ne sait pas se rendre maîtresse de ses sensations , elle les interprète mal et la perturbation de l'
ence de ses sollicitations habituelles à boire, le malade éprouve une sensation de résistance à ses tendances automatiques et il
de veille apparente (états hypnoïdes), on peut, à l'aide de certaines sensations et surtout à l'aide de la parole, provoquer chez
ent point de sa présence ; je ne pouvais mettre « d'empêchement a ces sensations où il n'y avait rien de ma partici-« pation. »
l'utilité du Parallélisme qui réalise parfaitement les conditions de sensation monotone, continue, prolongée, favorables à l'hyp
de coudre, ou la plume, s'il écrit, le jeune homme répond qu'il aune sensation de striction dans l'avant-bras, ainsi que le beso
cer de fortes tractions sur la main pour faire disparaître cette sensation douloureuse et fort gênante.Le père, chargé des f
tuel. A son réveil, le jeune homme est comme étonné. Il éprouve une sensation de bien-être indéfinissable, et se considère comm
n'ose pas écrire : Il est facile de le deviner d'après l'analyse des sensations qu'elle éprouve et surtout par la connaissance de
au point de vue des mœurs, Marie Alacoque, en tenant sa place, a des sensations erotiques ; on lui fait tenir la place d'une pers
rotiques ; on lui fait tenir la place d'une personne vertueuse et les sensations disparaissent. Concluons : Les citations préc
rche périlleuse. L'église se tient Nota. — On m'objecte des fausses sensations de la vue comme le daltonisme et des fausses sens
e des fausses sensations de la vue comme le daltonisme et des fausses sensations du toucher qui ue sont pas des hallucinations. Ce
r le crâne déterminait, après une application de 10 à 20 minutes, une sensation d'engourdissement qui enveloppait tout le corps e
ir. Insensibilité par plaques sur les membres — anesthésie plantaire. Sensation de boule et d'étranglement à la gorge, anesthésie
et permet aux malades, la crise passée; de raconter ou d'écrire leurs sensations comme choses vraies, cela parfois dans un style q
des organes génitaux l'expression. C'est sous l'empire de ces fausses sensations , soit pendant l'état de veille, soit pendant la p
res sur le délai! des opérations de notre âme, relativement aux mêmes sensations . » Il ajoute même un peu plus loin : « Dans ces c
. Les objets sur lesquels travaille la conscience, c'est-à-dire les sensations et les idées qui en dérivent ne sont-elles pas mo
u une preuve quelconque de l'existence de la matière ; que toutes nos sensations sont causées par la force et par la force seuleme
e écrasée, coups d'épée ou de pistolet! et que cette personne a eu la sensation pénible du rêve s'imposant à elle, sans qu'elle p
vers Ténériffe : c'était un vertigineux avec un état nauséeux. Les sensations sont vraies dans leurs points de départ; elles ar
e perçoivent ni contact, ni douleur, ni variations de température, ni sensations d'attitude ou de mouvement; d'autres conservent t
alière, c'est elle qui donne lieu à la plupart de nos actes et de nos sensations ». « On nous affirme énergiquementi dit Wundt (
plutôt sympathiques, marque d'une exception la loi formulée par Péré ( Sensation et mouvement, 2e édit., p. 149). « La dépression,
teurs et le polygone magnétisé exécute ces ordres (2) ; des ordres de sensations et le polygone éprouve ces sensations, les utilis
ces ordres (2) ; des ordres de sensations et le polygone éprouve ces sensations , les utilise pour ses actes et dans certains cas
aient point de sa présence : je ne pouvais mettre d'empêchement à ses sensations , où il n'y avait rien de ma participation. Text
ait dans le souvenir. » Cette description correspond exactement aux sensations qui nous ont été révélées par deux pianistes célè
rmation inconsciente, à l'insu de la volonté, de l'idée en mouvement, sensation ou image, par suite de l'inertie des centres modé
très faibles, les malades se rendent compte de la non-réalité de leur sensation ; ils comprennent qu'ils ont entendu, qu'ils ont
ti quelque chose d'irréel ; mais comme ils ont eu dans le cerveau une sensation , ils cherchent une expression pour dire ce qu'ils
explication scientifique du fait. Rappelons-nous le mécanisme d'une sensation , de la vision par exemple ; trois faits se produi
on pourrait dire avec plus de raison qu'un fou est un homme ayant les sensations à l'envers. Je m'explique : Je suis, sain d'e
s, non loin de là : « qu'elle ne pouvait mettre d'empêchement à ces « sensations où il n'y avait rien de sa participation, » nous
54 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e du père et de la mère. Inversion du sens génital : dès l'enfance, sensations voluptueuses, et depuis la puberté parfois éjac
rande fatigue suit la crise, l'appé- tit reste bon, il y a même une sensation de faim. Pendant deux ou trois jours les urines
rs reprises, des relations avec une femme, éprouvant d'ailleurs les sensations voluptueuses habituelles. L'effet moral a été e
englobées et comprimées par le tissu muqueux ne perçoivent que des sensations affaiblies, incapables de stimuler d'une façon
ns pren- nent bientôt la forme de bêche ; le malade y éprouve des sensations de raideur, de froid, d'engourdissement. Mais n
igts, il faut un écart de cinq douzièmes de pouce pour obtenir deux sensations . La malade a ressenti au début des douleurs uni
ait serrée comme par un dé à coudre. Elle éprouvait aussi comme une sensation d'engourdissement à la face, à l'extrémité de l
e palustre, deux fois l'effort 'brusque ou prolongé, trois fois'des sensations émotives violentes, une fois l'inflammation du
u progrès comme tant d'autres. L'auteur termine par l'analyse d'une sensation chez le nouveau-né, qui est la répétition du di
e n'a qu'un souvenir confus de ce qui s'estpassé, et s'étonne d'une sensation de fatigue qu'elle éprouve dans tout le côté dr
rent à grossir progressivement, en même temps qu'elle éprouvait des sensations bizarres, du côté de la peau, sensations doulou
emps qu'elle éprouvait des sensations bizarres, du côté de la peau, sensations douloureuses, de brûlure, de piqûres d'épingle,
prochaient d'avoir tué l'enfant d'une de ses voisines. De nouvelles sensations bizarres se déclaraient du côté des téguments,
ou même pas du tout; la sécrétion sébacée est tarie. Il existe des sensations anormales du côté des téguments : fourmillement
ns anormales du côté des téguments : fourmillements, picotements, sensation de froid, de brûlure, de torsion des chairs. -
aussi une certaine gêne de la respiration pouvant aller jusqu'à une sensation de dyspnée véritable. La voix a un timbre spé
ente, principalement du côté gauche, et en même temps, elle a une sensation déboule qui remonte de l'épigastre vers lagorge.
: dans la nuit suivante le développement des douleurs intenses avec sensation de cuisson sur divers points du trajet de la br
d'attaques analogues à celle qu'elle a aujourd'hui, précédées de sensation de boule qui remonte du ventre au cou, batte- m
est annoncée par une recrudescence de la douleur ovarienne, par une sensation de boule qui part de l'épigastre vers la gorge
s prises d'un sentiment vague et indéfinissable de tristesse avec sensation de serrement à la gorge, de boule ascendante, d
es contre M. La R...'. '. Elle décrit avec les moindres détails les sensations , tac- tiles, les attouchements dont elle a été
roisième croit remarquer que la marche et la station provoquent des sensations douloureuses, et' alors pour les éviter, elle a
dans leur langage, employant des mots expressifs pour peindre leurs sensations , et l'on voit souvent dans les hôpitaux éomme d
e la sensibilité, de la difficulté consécutive, de la marche, de la sensation de « corps élastique » qu'il éprouve sous ses p
arynx et des viscères abdominaux, spasmes qu'elles expriment par la sensation de corps étranger à la gorge, de bêtes qu'elles
son âge, refuse parfois de manger et bientôt éprouve nettement la sensation de la boulé hystérique, puis elle est prise de dy
craintes du médecin. Car, l'attention constante donnée aux moindres sensations du malade, « l'habitude .de satisfaire, tous se
e, les saupoudrât-on de sulfate de quinine, ne lui procure aucune sensation , aucun malaise, aucun réflexe. Le seul signe d'in
renflement arrondi décrit une courbe inféro-antérieure, donnant la sensation d'une corne d'Ammon absente. Cette opinion est
age s'accompagnent de lipothymies. Induration, anesthésie, du tact, sensation permanente de froid dans les parties les première
oid dans les parties les premières affectées. Les doigts donnent la sensation de bougies stéariques. Intégrité des fonctions
lquefois les hallucinations ne sont que la reviviscence d'anciennes sensations normales. Fugaces dans les formes expansives, e
un léger chatouillement, le froid, le chaud, déterminent une vive sensation de brûlure. A droite, l'hyperesthésie n'occupe qu
rvé. Il n'existe pas de retard appréciable dans la transmission des sensations . A ces troubles sensitifs, se joignent des doul
cupent surtout le genou et le cou-de-pied. A droite, il éprouve une sensation continuelle de fourmillement. En outre, il sign
ne sensation continuelle de fourmillement. En outre, il signale une sensation de constriction thoracique, de pesanteur épigas
u- leur s'est un peu atténuée : la piqûre d'une épingle donne une sensation de fourmillement d'autant plus distincte qu'elle
quemment elle est partielle ; certaines malades n'ont perdu que la sensation du violet, par exemple ; et en général il y a c
mps; mais, la pression sur les points qu'ils occupent détermine une sensation spéciale. Ces détails ont été mis en lumière pa
ts ovariens ; mais la pression sur ces points provoque toujours une sensation de boule qui remonte à l'épigastre et à la base
ur le DE L HYSTUITO -ÉPILEPSIE. 301 point douloureux dit ovarien ( sensation de boule qui remonte, mouvements de déglutition
ubis). La pression sur ces points pro- voque une douleur vive et la sensation de quelque chose qui remonte vers la gorge. La
e. A neuf heures et demie, une douleur, qui s'est accompagnée des sensations dont nous venons de parler, est suivie d'une 30
s'échappant dès que je pressais un peu. Je n'ai pas pu obtenir une sensation analogue du côté droit. L'anesthésie n'a pas ét
core revenue, l'application d'un corps froid ne donne lieu qu'à une sensation de contact, sauf en quelques régions (au niveau
élioré, sans être normal cependant; le froid détermine toujours une sensation de fourmille- ments. Du côté droit, la force mu
et de la nature des objets qu'il louche; il a cerendan conservé la sensation de contact et la notion du poids. Il lui arrive
eurs jours, l'application d'un corps froid ne donnait lieu qu'à une sensation de contact ou pro- voquait une sensation de fou
d ne donnait lieu qu'à une sensation de contact ou pro- voquait une sensation de fourmillements; ce sont là des parti- culari
ant le sommeil, tantôt après des pro- dromes, qui consistent en une sensation de brûlure ou de corps étranger ; elles peuvent
e plusieurs théories pathogéniques. Des accidents névralgiques, une sensation de tension oculaire ont fait croire à un glauco
e les troubles de la sensi- bilité (fourmillement, endolorissement, sensations de froid) et beaucoup plus rarement ceux de la
55 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la racine de la cuisse et plus marquée^ au-dessous du genou. Les sensations thermiques sont affaiblies, légèrement troublées
s de la sensibilité sont en général plus accentués; de ce côté, les sensations sont longue- ment interprétées et le malade rép
ucoup plus d'hési- tation aux explorations (fig. 2). Par moments, sensations de froid ou de chaud dans les membres inférieur
t plus à la jambe qu'à la cuisse, légèrement diminuée à gauche ; 2, sensations thermiques : légèrement troublées à droite, dim
és, davantage du côté gauche, et plus aux jambes qu'aux cuisses; 3, sensations thermiques : perverties surtout à gauche. 8 CLI
on- tracture aussitôt en flexion. 11 juin. Peu de retard dans les sensations ; la douleur n'est pas perçue, elle produit le m
st pas perçue, elle produit le même effet que le contact, dout la sensation est elle-même affaiblie; la sensibilité thermique
s de peine à l'expliquer. Ce qui persiste en dernier lieu, c'est la sensation élémentaire, celle qui ne diffé- rencie plus ni
es chemins détournés ou non adaptés : d'où le retard fréquent de la sensation . Au point de vue des compressions pottiques int
un certain degré de spasme des 4 David Linn Edsall. Dissociation of sensation of lhe syringomyelic type occlIl'in9 in ! 'oll'
r pendant la pendaison des bourdonnements des oreilles et une forte sensation de brûlure le long de la colonne vertébrale. Ch
lté à parler, puis de la gêne et de la fatigue respiratoires. Cette sensation de fatigue, d'épuisement, envahit peu à peu tous
e rencontre plus' souvent aussi à côté des idées de grandeur, et la sensation de « bonhomie » fait place à une sorte d'attent
ent des tremblements nerveux, elle se compliqua, un beau jour de la sensation d'étranglement à la gorge, d'une bouchée arrêtée
t égale des deux PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. \ 99 côtés. Pas de sensation d'engourdissement dans la main paralysée. Le ma
rps. Le sens stéréognostique est conservé. Le malade a très bien la sensation de position de ses membres et reconnaît les let
Dès l'abord, le passage du courant ne provoque chez Gu... aucune sensation , bien que, cependant, on constate la contraction
l'avant-bras hypoesthésique. Le sens stéréognostique est intact, la sensation de position du membre conservée (fig. 14). - ,
le (obs. IV). Son apparition a été généralement accompagnée par une sensation légère d'engourdissement ou de fourmillements d
le reste inconnu et. des idées émises, par Flechsig (opposition des sensations à la mémoire et aux autres phénomènes* 132 REVU
ns 3 mouchoirs. La salive est fluide ; il éprouve une conti- nuelle sensation désagréable à la bouche. De cause, même occa- s
s de perception plus développés, et qu'à la limite de tout foyer de sensation ou de perception il existe des zones de perfect
nement intérieur. Je suis vacciné pour un mo- ment. Je sens (idée ? sensation ? probablement les deux) que je ne rougirai pas
que la manifestation d'une association d'idées. J'ai eu d'abord la sensation que je rougissais. Or, toute sensation n'existe
d'idées. J'ai eu d'abord la sensation que je rougissais. Or, toute sensation n'existe que lorsqu'elle est perçue (à preuve q
e la sensibilité n'éprouve et n'accuse rien quand je le pique). Des sensations de rougeur étant perçues de plus en plus souvent,
ir le champ de la conscience. Cette idée étant liée intimement à la sensation d'où elle est née, arrive peu à peu, par un phéno
mie intellectuelle assez complexe, mais très commun, à remplacer la sensation . Elle se substitue à elle et produit les mêmes
phénomène de rougeur, toujours ou presque toujours provoqué par ces sensations visuelles, auditives, etc. Or, comme cette vue,
elles, auditives, etc. Or, comme cette vue, cette audition sont des sensations , et que, d'autre part, ces sensations existent en
vue, cette audition sont des sensations, et que, d'autre part, ces sensations existent en nous à l'état d'Idées, ces Idées-Pe
ons provoquent la rougeur avec la même puissance que les primitives sensations . A l'appui de mon opinion, je dirai que mon ére
e je rougissais moins facilement. L'idée a perdu en force ce que la sensation a perdu en fréquence. Je citerai encore ceci :
l1'l ! a¿ of Inslmitv, octobre 1899, p. 285 à 293. Nous avons des sensations d'abord, puis tout un'monde d'idées s'affranchi
i avaient pas échappé. - 1° Les cas où le délire est causé par la sensation seule de la dou- 230 REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
de la sécheresse de la bouche, des palpitations, de la dyspnée, une sensation de vide stomacal, de la pâleur, des frissons, etc
II. Une femme couchée dans un hangar à foin éprouve tout à coup la sensation qu'elle boit du lait froid. Peu de temps après,
echterew pense que l'origine de semblables absurdités réside en des sensations anormales, stomacales et épigastriques, qui pro-
ion du cou-de-pied pen- dani la marche et à la station debout, puis sensation de froid à la jambe droite, atrophie des muscle
et appétits, matière de la vie affective; la vie animale par les sensations , matière de la vie intellectuelle ' ». End'autres
trales (idées, perceptions) ou par des excitations périphériques ( sensations ), mais son intervention serait seule capable de
SUR LA THÉORIE DE L'OBSESSION. 267 perturbation qui, pardessus les sensations , sembleatteindre, directement la fonction intel
les membres, et l'intelligence, considérée comme l'élaboration des sensations et des images, renferment des éléments communs.
railleries ou d'autres motifs pour réveiller en moi cette pénible sensation . J'avais déjà reconnu que la cause de mon tourmen
shabituer, plus mon tourment en était accru. D'abord, cette pénible sensation me surprit dans la rue lorsque je rencontrais d
mment déprimé, de terrifiantes dispositions d'àme, d'insupportables sensations au théâtre, bref, la plus grande incapacité à p
t une compression des paupières lorsque les yeux sont fermés et une sensation de piqûre ou de picotement sur tout le visage.
ut, qu'il existe une période latente qui ne se manifeste par aucune sensation subjective : c'est elle qui vient d'être révélé
ou poils qui occupent un centimètre carré. II ne se produit pas de sensation si le poil n'est lui-même touché. Le réflexe pi
elles du corps, là où ils sont le plus touffus et le plus longs. La sensation de chatouillement, qui d'ordinaire accompagne l
ation. Pour que les malades éprouvent toujours localement la même sensation , je dissous la morphine dans du sérum de Hayem."
Joffroy ne soient pas prévenus de la supercherie par leurs propres sensations ? '1 M. JorrRoy s'est déjà pos.é cette question
ne qui sert de véhicule à la morphine, déterminant toujours la même sensation , peut laisser croire au morphinomane que la dos
aise général, des vertiges, des bouffées de chaleur àla tête et une sensation de pesanteur dans les membres. La perte de conn
iers mois. Ces ecchymoses ne s'accompagnent généralement d'aucune sensation douloureuse et disparaissent au bout de quelques
t de maux de tête, de bouffées de chaleur, de palpitations et d'une sensation désagréable dans la gorge. La température dans
es de sang des parties génitales. Seigle ergoté (3 x 0,3). 24. La sensation de pesanteur dans les membres et les verti- ges
u après, elle fut prise (comme lors de l'accès du 5 janvier), d'une sensation d'op- pression qui, partant de l'hypochondre ga
a pression ; lorsqu'on la comprime fortement, la malade a la même sensation d'oppression remontant au coeur et à la gorge qu'
ie, mais elles ont été précédées d'une aura franchement hystérique ( sensation de boule remontant d'un point ovarique gauche v
n sans cause apparente ; souvent elles ne s'accompagnent d'aucune sensation subjective, de sorte qu'elles peuvent passer co
endormie dans la position classique et s'était réveillée avec une sensation d'engourdissement dans le bras, mais sans trouble
depuis l'age de seize à dix-huit ans des phénomènes analogues avec sensation de chute, se produisant surtout dans un endroit
int de vifs battements de coeur, de tremblements des mains, d'une sensation de compression au cou, elle a l'air d'une hystéri
ment, pour surmonter la résis- tance. Cet effort s'accompagne d'une sensation indolente de spasme au niveau de la bouche. Çà
lité des muscles atteints. Miction et défécation libres. Tristesse, sensation de mort pro- chaine, traitement inefficace : mo
ertain degré d'anesthésie tactile, mais sans perte bien nette de la sensation de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 douleur
les attaques, ils prennent la forme de perversions sen- sorielles, ( sensation de terreur inexplicable, illusions, hallucina-
st sans influence sur l'insensibilité physique et mo- rale ; 12r la sensation est atténuée chez le criminel, c'est-à dire que
onstant; 1° ce rétrécisse- ment s'étend à toutes les qualités de la sensation lumineuse; 3° la diminution du champ pour le bl
mps visuels restreints. C'est ainsi qu'il peut arriver que là ou la sensation de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 495 couleu
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 495 couleur blanche est anéantie, la sensation de toute autre couleur demeure conservée; 9° le
et thermique, mais tout le côté droit du corps est le siège- d'une sensation de lourdeur avec fourmillements intenses présen
expérience, avec un courant de un ou de plusieurs milliampères, une sensation de vertige et une inclination de la tête du côt
e; un courant, même intense, de 15 à 20 milliampères ne provoque ni sensation de vertige, ni inclination à gauche ou à droite
56 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
temps à autre de pleurer sans motif, d'avoir des étouffements et une sensation de boule qui remontait vers la gorge. Mme L....
on et se cache le visage. Suivant elle, la compression dé termine une sensation de strangulation, prédominant à droite. En généra
loureuse, mais Th. assurait que cette manœuvre ne déterminait plus la sensation ordinaire de strangulation. La sensibilité généra
ier. Elle aurait eu, aussi, des rapports sexuels sans éprouver aucune sensation voluptueuse. « C'est un essai que j'ai voulu fair
st énervée, a envie de crier, éprouve dans les bras et les jambes des sensations qu'elle compare à des fils qui se raccourciraient
apins verts qui courent de tous côtés. Pendant qu'elle me raconte ses sensations de la veille, elle a de temps en temps des secous
malade a la face pâle ; elle se plaint de crampes à l'estomac, d'uns sensation qu'elle assimile à celle que déterminerait une co
la cause occasionnelle de leurs attaques. N'est-ce pas un rappel des sensations physiques qu'elle a ressenties dans son enfance q
s baisers, perçoit le contact de son corps sur le sien,et éprouve les sensations les plus voluptueuses. Durant ces scènes, elle es
a fallu insister beaucoup, encore dissimule-t-elle une partie de ses sensations et de ses visions. (1) ' C'est une opinion très
la vision. — Irrégularités de la menstruation. — Effets de l'éther ; sensations qu il détermine. — Tremblements. — Amaurose. — 'S
ns le moindre embarras, les mots les plus expressifs pour peindre ses sensations ou manifester ses désirs et ses appétits vénérien
uche, constriction épigas-trique, douleur et palpitations cardiaques, sensation d'une boule qui monte au cou (laryngisme), troubl
ion d'une boule qui monte au cou (laryngisme), troubles cé-phaliques ( sensation de coups de marteau dans le côté gauche de la tèt
emporale, sifflements dans les oreilles, mais plus intenses à gauche, sensations lumineuses, mouvements convulsifs de l'œil gauche
lle, ne sachant quelle position prendre, ayant des impatiences ou une sensation de rétraction. Dès qu'elle s'endort, elle se figu
e sorte de béatitude, un air de contentement, exprime mainte-nunt des sensations d'une nature toute opposée. M... semble en proie
le garde le lit à peu près toute la journée et se plaint toujours des sensations douloureuses, énumé-rées précédemment. Elle a des
tremblement des lèvres et des membres, sans éprouver, d'ailleurs, de sensations de froid. Quand elle marche, elle est quelquefo
de mouvements rapides ; la lumière fatigue la malade qui a encore la sensation d'un brouillard épais, semé de flammes, surtout d
e l'après-midi; en se réveillant, elle a ressenti une seconde fois la sensation d'une paille qui s'enfoncerait dans l'œil droit e
une huitaine de jours, douleurs vagues, tortillements dans le ventre, sensation de rétraction des muscles « comme si on les tirai
e. Elle assiste à des scènes variées, semble éprouver tour à tour des sensations agréables ou pénibles, si l'on en juge par le jeu
» qu'elle dépeindrait sur le moment, mais dont le souvenir Cl) Les sensations de cet ordre se perpétuent tant qu'il y a des hom
ne compresse trempée dans de l'eau bouillante, la malade accusait une sensation de froid intense, tandis que sur les mêmes partie
r les mêmes parties l'application d'un morceau de glace produisait la sensation d'une brûlure (1). » On voit, par cette citation,
domine chez M..., de même que dans son délire hystérique, ce sont les sensations génitales. Ce n'est pas là, du reste, un trait di
85, 93, 108, 147, 149. Sécrétion vaginale dans les attaques, 137. Sensations génitales, 85, 140, 154 et passim.— Abolition des
57 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
ut de quelques minutes je revins à moi, conservant une vague idée des sensations que j’avais éprouvées et émerveillé d'une si bell
rsque ma belle-sœur entra. Trois jours après mon enfant était morte! ( Sensation prolongée.) Je crois de toute mon âme au magnétis
par l’éther démontre admirablement la différence qui existe entre la sensation et la perception si souvent rencontrées dans l’ét
Les personnes à qui l’on a fait respirer du chloroforme éprouvent la sensation d’une locomotion aérienne, ce qui rappelle les vo
épreuve; et ce n'est que le lendemain, lorsqu’il aura oublié celte sensation désagréable, qu’il pourra servir à de nouvelles é
e l’enfant, je plaçai ma main sur son épigastre, la mère éprouva la sensation «l’une pression exercée sur elle dans la même rég
un jour. La vision somnambulique nous prouve qu’0/2 peut éprouver des sensations sans le secours des sens; mais seulement dans un
pour les 4 autres sens, et nous rend transitoirement susceptibles des sensations qu’elle éprouve par desorganes fort différents de
tomber de Scylla en Carybde. Ces savantas, avec leurs aperceplions de sensation , d’intuition, de la conscience du moi humain, emb
ulaires, mais à mesure que cet état s’élève, on éprouve davantage une sensation de bien-être. L’action est ici tonte physique, ta
du baron de Reichenbach comme sujet dexpérimentation, et qui faisait sensation à Vienne depuis quelque temps. Le docteur Tzermac
donnée à ces courants, ils pouvaient indiquer et décrire les diverses sensations qu’ils leur faisaient éprouver. Celte supposition
. Celte supposition est démentie par tous les faits de l'enquête. Les sensations produites parles courants dont la direction avait
tre de même partout. Quoi qu’il en soit les Arcanes, ont fait quelque sensation dans le monde magnétique. Ce livre, est un pas ve
re, approché à quelques pouces de la somnambule, lui produisait une sensation pénible, on proposa d’avoir plusieurs boites pare
ien faible, car ce n’était qu’un clou de fauteuil. 5° Illusion (les sensations . » Le magnétiseur proposa que l’on prit parla m
d’un esprit faux et subtil, mais dans l’exposition pure et simple des sensations qu’elle avait éprouvées, nous mettant à même de c
mon cerveau : on comprendra donc facilement qu'au moyen de pareilles sensations je pusse indiquer la base de cette colonne de flu
sa puissance; elle avait pris une telle extension que déjà toutes mes sensations lui étaient dévoilées, ou pour mieux dire il les
compte de la position quelle avait dans sa chambre. Je reconnus a mes sensations qu'elle était assise, les jambes croisées 1 une s
fier un jour la justesse de mes appréciations, et sachant d’après mes sensations habituelles qu’il était sorti, je quittai ma cham
ix, j’arrivai progressivement à lui. A mesure que j’en approchais mes sensations grandissaient, et cela à tel point, quej’aurais p
à du moins ma pensée, et celle réflexion est basée sur l’étude de mes sensations . Je crois aujourd hui que si à cette époque j’eus
ance ses mouvements, ses gestes, ses poses, et que ainsi toutes ses sensations m’étaient transmises. J’exagère peut-être en me s
et je serai plus dans le vrai en disant que la majeure partie de ses sensations m’étaient réfléchies. Lorsqu'il en fut instruit p
it pour reconnaître d’une manière plus positive cette transmission de sensations , soit pour se faire un jeu de mes souffrances. Ai
it obligé d’éprouver une douleur pour m’en réfléchir plus vivement la sensation , il avait du moins le pouvoir de la déplacer et m
coup perdu de son intensité; il en était de même de toutes mes autres sensations . J’ctais donc porté à croire que si je mettais un
oreilles bouchées, etc., et éloignant de ma pensée le souvenir de mes sensations antérieures, je me concentrai le plus possible po
au bout d’une demi-heure environ il n’y avait pasde différence et mes sensations étaient alors aussi fortes qu’avant d’avoir bouch
, que j’en ai vérifié maintes et maintes fois l’exatitude, et que les sensations dont je rends compte sont appuyées par de nombreu
renait de plus en plus la sonorité qu’elle avait perdue et mes autres sensations grandissaient à mesure. Aussi lorsque mes affaire
ts divers : a mesure que je m’en rapprochais je reconnaissais à mes sensations «pie le rapport augmentait. De retour, je constat
ersévérance à toute épreuve. Dès ce moment je pris note de toutes mes sensations , je tins un recueil d’observations journalières o
le je me trouvais à son égard, il était instruit non-seulement de mes sensations les plus restreintes, mais encore de mes pensées
izontalement,jusqu'à ce qu'amené dans la direction du courant par mes sensations , je finissais par la tenir immobile, les regards
ide dans la même direction d'où j’en avais perçu une première fois la sensation ,j’étais forcément amené à constater de nouveaux p
dais j’arrivais promptement vers la maison qui le recelait, et où mes sensations indiquaient sa présence. Je ne m’en tenais pas à
domicile de mon magnétiseur, contre lequel je cherchais à lutter. Mes sensations me dévoilaient qu’il était chez lui, et il y avai
esquelles il passait se déroulèrent devant moi et je reconnus que ses sensations visuelles m’étaient réfléchies. Je ne me lassais
e j'ai lu récemment les désigne sous le nom de morsures de Satan. Ces sensations douloureuses s accrurent à tel point qu’elles me
ante vers les pnrlies comprimées, lîans cet état je remarquais que la sensation des pincements que je recevais du dehors venaits'
à influencer mon magnétiseur, et je cherchais même à lui renvoyer les sensations douloureuses qu’il me faisait éprouver. Ainsi jem
ntir la douleur; mais je n'ai jamais su d’une manière positive si ces sensations iui étaient transmises. Je crois du moins qu’il n
-r; I une influence des mi.'ux caractérisé s. !1 v faisait naître les sensations 1 -s plus varié.??, si bien cuir dans le principe
dede mon appréciation, j’obtenais un résultat tout à fait inverse des sensations ordinaires, car l’effl diminuait par ce rapproche
ceté, si cela était nécessaire pour m’en réfléchir plus vivement In sensation . Pour |"'on ni* suppose pas que ces odeurs lussen
bac, suivant I usage qu il en avait, et qu’il voulût m’en renvoyer la sensation , il me forçait ainsi à éternuer malgré les effort
es, je constatai, comme à la première, une réduction notable dans mes sensations ; mais cette amélioration alla toujours eu décrois
e j’ai trouvé du dévouement, de l’attention à écouter le récit de mes sensations et les meilleures dispositions à y croire. Ce n’e
côté, persuadés que je ne leur en imposais pas sous le rapport de mes sensations et de mes souffrances, et jugeant qu’elles étaien
veau, et se répandant sur mon système nerveux il y perçoit toutes mes sensations et ne me communique les siennes que lorsqu’il veu
t d'habilelé et dans les commencements qu’il m’a laissé percevoir des sensations qu’il aurait voulu me cacher, mais mainte- nant
arquer que sans se déranger de ses occupations il peut recueillir mes sensations par ce lien de fluide qui nous unit, et que pour
é 'lien différent les unes des autres; ainsi la majeure partie de mes sensations sont pour lui peu sensibles lorsqu'il n’y porte q
s à ceux du coma puységurien ; la transmission de pensée et celle des sensations de magnétiseur à magnétisé y sont beaucoup plus p
d’eux. Ainsi le magnétiseur ne peut percevoir en outre de ses propres sensations que celles de son sujet, il ne peut voir, entendr
établir ce rapport avec tout autre individu, et recueillir ainsi les sensations d’une personne (pii leur est étrangère et avec la
puis plusieurs jours, malgré les efforts faits pour l’en tirer. Toute sensation étant abolie, toute manifestation volontaire susp
s sa maladie, cette enfant, aujourd’hui nubile, n’a accusé la moindre sensation magnétique; soit qu’on l'interroge, soit qu’on /e
rsonne qu’il a désignée jusqu’à ce jour comme la source de toutes ses sensations . Mais ce qu’il y a de certain , c’est que toutes
nd nombre de somnambules lucides que j’ai observés. Le siège de cette sensation varie à l'infini. Le somnambule rapporte souvent
la sensibilité du tact permet de distinguer les couleurs? toutes les sensations ne peuvent-elles pas sc réduire à un sens unique,
ion instinctive qui les dirige dans l’appréciation des maladies. La sensation réciproque de nos infirmités doit-elle nous surpr
me à distance. La théorie des pressentiments , et la transmission des sensations trauma-tiques dont les Chinois se servent depuis
r sa tumeur et les parties voisines, sans qu’il manifestât la moindre sensation ; l'application de la machine électrique durant c
liai? Souffrez-vous beaucoup ; il répondit : Rode hai, sahib. 11 y a sensation dans la partie, ou : Je la sens. » 11 eut un ac
58 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e sorte, quand tout à coup, sans avoir éprouvé préalablement aucune sensation de vertige, sans avoir senti aucun phénomène pr
e le malade semble ne pas en être prévenu, il existe en réalité une sensation spéciale qui la précède ; le malade sent comme
rique remonterait à la gorge ; mais l'attaque suit de si près cette sensation que le malade n'a pas le temps de se garer et q
plus grande facilité ; il éprouve en même temps dans la gorge une sensation de houle très pénible. - On pratique de nouveau l
e ces attaques, quoique sou- dain en apparence, est précédé par une sensation de boule à la gorge, que ces attaques peuvent ê
te auto-suggestion a été comme le réveil et l'extériori- sation de, sensations antérieurement emmagasinées. » A vrai dire,' da
eur d'or- lU revue de Pathologie Mentale, dr<' sexuel (fausses sensations locales). Si, en ce qui cuncerne les accès rudi
mènes paralytiques, affaiblissement psychique). Il y a deux mois, sensation d'oppression douloureuse dans la moitié gauche du
6(; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tanée, d'obsession optative, de sensation , de réflexion subite, de méchanceté impulsive,
Irresponsabilité. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 83 XXXV. L1 sensation sexuelle contraire (inversion du sens génital)
influence que p.'oduitl'amyinitrite sur les actes volontaires. a. Sensations subjectives. L'influence de l'amylnitrite est var
- ques inspirations, étaient pris de titubation, malaise général, sensation de dépression qui se prolongeait pendant plusieur
ses courbes d'un collègue qui connaissait l'effet produit. Quand la sensation de chaleur ' atteignait son maximum, les battem
lièrement réussi dans cinq cas de mélancolie; sous leur action, les sensations anormales, les troubles parétiques, les tremble
ment une influence favorable sur les symptômes, notamment sur les sensations pathologiques; elle agit aussi, mais très peu et
'étendre les médius, surtout à droite; en même temps, il existe une sensation d'engourdisse- ment sur le bord cubital de la f
a fonction centripète de transmettre aux hémis- phères cérébraux la sensation extérieure (notion de situation de l'individu;
s ? Ils sont sensibles à la pres- sion, mais on ne constate pas les sensations excentriques normales que déchaîne d'ordinaire
ique, dans le cours d'une paralysie bulbaire, survint sou- dain une sensation de constriction de la gorge qui laissa après el
nflements sensiblement symétriques qui donnaient à la palpation une sensation molle, pâteuse, dépourvue d'élasticité. Des gon
tourdi avant de tomber, qu'il n'avait éprouvé étant à cheval aucune sensation de ver- lige, et qu'il n'avait pas perdu connai
e son membre su- périeur droit, était absentet il avait en place la sensation d'un corps très lourd qu'on aurait appendu au c
elle avait présenté à diverses reprises des crises ner- veuses avec sensation de boule rétro-sternale, constriction de la gor
philitique, on a noté les symp- tômes initiaux suivants : hébétude, sensation de tension, de pression de douleur céphalique,
foyer. Quand on soumet simultanément les deux côtés du corps à des sensations d'égale intensité, le côté du corps para- lysé
REVUE DE pathologie NERVEUSE. doigts du côté gauche accompagnées de sensations de tremble- ment dans le bras et la jambe, du m
de tout genre accompagnés d'obnubilation de la connaissance; pardes sensations subjectives importunes, des sensations anor- ma
n de la connaissance; pardes sensations subjectives importunes, des sensations anor- males bizarres, des vertiges, des douleur
même fureur une boisson. L'un et l'autre sont à la poursuite d'une sensation qui doit remettre momentanément un terme à leur
stituer la cannabinone au poison des morphino- manes, parce que les sensations désagréables qui se montrent à la suite de son
ions désagréables qui se montrent à la suite de son administration, sensations que tout individu non morphinomane déclare parf
lité tactile, douloureuse et musculaire; la gauche n'a perdu que la sensation de la douleur et de la température. Les réflexe
à agiter les mains et faillit sauter du lit. Le 28 décembre, les sensations de la douleur et de la température reparurent d
; toutes les espèces de sensibilité le sont aussi; il n'y a que la sensation de la température qui est un peu troublée; dans
de l'oeil gauche est de -îü-; celle du droit est très faible ; les sensations du goût sont troublées : il dit que la quinine es
e nerveux fait constater : la vision des deux yeux est de 20/40; la sensation des couleurs n'est pas troublée; le champ visue
n matin, je lui trouve une anesthésie cutanée de tout le corps. Les sensations tactiles et douloureuses sont abolies; il est p
anesthésie des muqueuses sur tout le corps, avec un trouble de la sensation musculaire, de même que le 9 janvier. Le 18 jan
uble dans QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 285 la sensation des couleurs; l'oeil droit voit en vert des fils
thésiées. La sensibilité cutanée de toute espèce n'existe plus; les sensations musculaires sont en désordre, comme dans le cas
lité, troubles parfois très capricieux, par exemple l'abolition des sensations de là douleur et de la température; tandis que
geon entre les deux sourcils; à la palpatiou, cette tumeur donne la sensation de l'oedème; elle présente à sa surface une rou
is, nullement à la région thoracique ; partout mêmes carac- tères : sensation de froid désagréable au toucher de la peau qui
sion du doigt ne s'y marque pas comme dans l'oedème, mais donne une sensation de résistance, mollasse et élastique à la fois.
es, qui glissent sous la pression et, quoique donnant aux doigts la sensation du tissu lipomateux ou myxomateux, rappellent é
ensation du tissu lipomateux ou myxomateux, rappellent également la sensation éprouvée en saisissant un varicocèle. Au-dess
roite; la marche s'appe- santit, face vultueuse. Jambes infiltrées; sensation de froid; culo- ration jaunâtre de la face; asp
t plus avec leur netteté première, la trame en est modifiée par les sensations intimes et les émotions; ainsi se produit le dé
chaud (40 à 45°), et si l'on s'étudie à prendre sur le fait non la sensation occasionnée par le contact, mais le moment où l
occasionnée par le contact, mais le moment où le sujet réagit à la sensation réelle du chaud ou du froid, on constate que le
égion de l'écorce cérébrale (gyrus sigmoide) contient le centre des sensations tactiles et frigorifiques ou des conducteurs qui
les cordons postérieurs de la moelle trans- mettent deux espèces de sensations ; 3" ces deux espèces de sensations sont supprim
e trans- mettent deux espèces de sensations; 3" ces deux espèces de sensations sont supprimées quand on comprime les troncs ne
ire, les hallucinations multi- ples, l'anesthésie, les extases, les sensations viscérales étranges, etc. Parmi les manifestati
59 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rche, cette con- tracture a disparu. C'est alors qu'est apparue une sensation de boule venant de l'estomac et s'arrêtant dans
aire n'existe pas dans'les points où sont localisées ces soi-disant sensations mus- culaires. Il y a des états pathologiques d
ts, bien qu'il puisse exister de la rigidité, il n'existe jamais de sensation de poids rapportée au muscle. La seule sensatio
n'existe jamais de sensation de poids rapportée au muscle. La seule sensation éprouvée est une sensation de fatigue, peut-être
n de poids rapportée au muscle. La seule sensation éprouvée est une sensation de fatigue, peut-être de dou- leur ou d'endolor
sation de fatigue, peut-être de dou- leur ou d'endolorissement ; la sensation de poids est absente. Si les muscles sont malad
la sensation de poids est absente. Si les muscles sont malades les sensations sont de la nature des sen- sations organiques,
douloureux, on peut trouver le muscle rigide ; mais ce n'est pas la sensation de poids qui existe, c'est celle de rigidité mu
aire. Quelle que soit la cause de cette rigi- dité, il n'y a qu'une sensation qui appartienne au muscle, c'est celle de tensi
sion. Comment se fait-il que pour ce sens spécial il n'y ait pas de sensation spéciale de poids ? Même chez les aliénés et RE
jectives rapportées spécialement au muscle. Et pourtant les fausses sensations du toucher, de l'ouïe, etc., sont invariable- m
nt. Les difficultés du sujet peuvent donc se résumer ainsi : 1° les sensations de poids ne sont pas rapportées spécialement au
par des irritations cutanées, ne donnent jamais autre chose que les sensations organiques de ten- sion ou de fatigue ; 4° les
muscles ne fournissent pas d'exemple de ce que l'on entend par les sensations du sens musculaire. R. de 111USGriAVe-CLl. f
fonctions d'association étaient probablement troublées; à certaines sensations et impressions 'sensorielles ne se rattachait a
ne se rattachaient que peu des idées habituelles et, par suite, ces sensations , ces percep- tions ne faisaient plus aucune imp
es animaux sans aucune espèce de raison. Elle se plaint aussi d'une sensation de froid qu'il est très difficile de faire disp
entendues, ce sont les spectacles extraordinaires vus, ce sont les sensations amoureuses éprouvées, qui forment la trame de c
e et spontanée des derniers postes de l'appareil con- ducteur de la sensation , placés dans la moelle. L'irritation varie d'in
ntensité, et cesse aussi tout à fait par moments. Cesse-t-elle, les sensations des objets sont normalement perçues; existe-t-e
e qu'elle fait elle a besoin d'aide. Pas de désirs actifs, pas de sensations sensuelles, pas d'ambition. L'auteur fait suivr
epuis la troisième paire corticale jusqu'à la moelle ianée ; 2° une sensation générale de fatigue exagérée par les mouvements
ite nez I'orlc Médical Journal, 14 décembre 1901.) On sait que la sensation est constituée par une série très com- plexe de
es zones intéressées étaient celles qui concernent la réception des sensations de douleur et de froid, la première était altér
n'y avait nulle part de renversement de la formule galvanique. La sensation tactile et la perception de la chaleur étaient no
c'est le résultat de l'exploration de la sensibilité thermique. La sensation de la chaleur était absolu- ment normale et ses
pplication du froid sur la peau était invariablement prise pour une sensation de chaleur, et les degrés de froid étaient sent
xistait pas. Il s'agissait plutôt d'une hyperesthésie à l'égard des sensations causées par le froid, lesquelles étaient perçue
s causées par le froid, lesquelles étaient perçues sous la forme de sensations de chaleur. Toutefois à cette anomalie sensorie
perceptions primitives, ceux qui sont en quelque sorte l'écho de la sensation originelle : 'par exemple, les mots que l'on pe
parfois du ventre, jusqu'au gosier et qui l'étouffé ». A part cette sensation de boule hystéri- que, aucun autre phénomène in
glandulaire; ils ne sont le siège d'au- cun écoulement et d'aucune sensation pénible. A la palpation, on ne trouve aucun poi
tit bon. Les règles coulent pendant trois jours avec abondance sans sensation insolite, sans boule hystérique. Les règles, fi
Depuis longtemps, et tout particulièrement au moment des épo- ques, sensation de la boule hystérique ; l'accès d'agitation a ét
de la boule hystérique ; l'accès d'agitation a été précédé de cette sensation : « C'est une chose, dit la malade, qui me remo
ez presque toutes les femmes, dit-il, les mamelles sont le siège de sensations particulières à l'ap- proche des règles. Il en
ès faibles, les malades se rendent compte de la non-réalité de leur sensation ; ils comprennent qu'ils ont entendu, qu'ils on
chose d'irréel ; mais comme pourtant ils ont eu dans le cerveau une sensation , ils cher- chent une expression pour dire ce qu
ication scienti- fique du fait. Rappelons-nous le mécanisme d'une sensation , de la vision par exemple ; trois faits se prod
ourrait dire avec plus de rai- son qu'un fou est un homme ayant les sensations à l'envers. Je m'explique : Je suis, sain d'e
oi ». Ailleurs, Thérèse raconte qu'elle eut d'autres fois la même sensation de présence à côté d'elle, soit d'anges, soit d
ant, soit en l'entendant parler ou se remuer, tandis que dans cette sensation , il n'y a point d'obscurité semblable'et Notre-
dées fausses et d'actes dérai- > sonnables : -ces aliénés ont la sensation , par exemple, que leurs corps sont devenus lour
'élever et voler comme des anges ; alors, sous l'influence de cette sensation , se produisent de nombreuses aventures et parfo
mental, par la chronométrie mécanique, vous mesurez la vitesse des sensations et des perceptions ; tous les sens sont interro
organes des sens, les phénomènes de rétractation de la peau, -la sensation de froid aux cheveux, d'horripilation, l'asthénie
il y a des spasmes du coeur dont le sujet a conscience, donnant la sensation d'un malaise grave, allant jusqu'au sentiment d
n se répétant, même après la disparition du corps étranger et de la sensation qu'avait provoquée celui-ci, que ce mouvement e
ite et de toute volonté d'homme prêle à les défendre leur valent la sensation de n'être pas comme les autres femmes. Dans l
haut : Thérèse décrit admirablement, pour les avoir éprouvées,- les sensations perçues dans ce demi-sommeil 'toutes les facult
ation d'une demi-conscience et le souvenir très vif, au réveil, des sensations éprouvées. Comme elle le dit, l'intelligence, l
nce infinie d'une union imaginaire : .C'était, nous disait-elle, la sensation de béatitude que doit éprouver un fumeur d'opiu
un degré de plus de piété. « Dans l'oraison d'extase on n'a plus de sensations dis- tinctes ; on jouit simplement, sans connaî
s : perte presque complète de la perception du monde extérieur; les sensations .de la vue, de l'ouïe, du toucher sont, sinon co
ndu, les membres immobiles. dans une position une fois prise; les sensations les plus vives et les plus douces se reflètent su
peu, mais le sujet con- serve la mémoire des visions, auditions et sensations diverses perçues pendant l'accès, il se termine
s oreilles n'entendent pas et la peau anesthésiée n'éprouve plus de sensations de douleur ou de chaleur. Le thermomètre invari
nel, accumulé en excès dans l'organisme. Une idée, une émotion, une sensation quelconques suffisent, DES OBSESSIONS EN PATHOL
(Morel). L'attaque est constituée par une angoisse avec pho- bie ( sensation d'abolition de la vie, d'évanouissement, de fol
e reproduire avec intensité pendant les paroxysmes angois- sants la sensation première, reproduction qui se reconstitue intég
cet égard et nous savons qu'ils sont d'accord pour accuser cette sensation de dédoublement de deux forces contraires agissan
conduisent les excitations à l'écorce du cerveau et produisent les sensations ; une certaine par- tie· des cordons postérieurs
rieurs ne sont pas sensitives, ne sont pas destinées à expédier les sensations de mouvements et de position. Une partie de ces
ces fibres, tout en restant centripète, n'a rien de commun avec la sensation propre ment dite, elle sert de voie de transmis
rmettant de juger et de vérifier constamment ses impressions et ses sensations mentales les unes parles autres. Deux vérificat
ppent beaucoup plus tardivement que ceux qui transmettent la simple sensation lumineuse. Toutes les preuves que l'on peut réu
errain favorables à l'éclosion de conceptions délirantes nées d'une sensation réelle ? E. B. XX. De l'épilepsie consciente et
t, mais une sorte de suggestion, le sujet finissant par éprouver la sensation réelle de chute dans l'espace et commençant à e
60 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
passants, ressent le froid de la nuit sur ses épaules, éprouve des sensations génitales suivies au réveil d'un sentiment de f
ou sur les faits du monde extérieur, soit qu'elle s'exerce sur les sensations internes, sur les divers éléments de la cénesth
es se fatiguent rapidement, on sait aussi que, chez d'autres, cette sensation de fatigue est retardée, que certains la dissim
, très rarement une obsession. Bref, le malade est l'esclave de ses sensations et de sa maladie. De même, chez les dégénérés
ait physiquement : douleurs à l'estomac, bouche pâteuse et d'autres sensations à l'état d'ébauche, toutes de nature à faire so
ence, bouffées de chaleur, douleurs dans la région ovarienne et une sensation douloureuse qui, partant de l'estomac, montait à
omac, montait à la gorge et y provoquait une vive constriction avec sensation d'étouf- fement (boule hystérique) ; quelquefoi
des troubles gastriques divers, la bouche mauvaise, quelquefois une sensation d'étouffement, sans la réelle constriction à la
'onanisme digital. A dix-sept ans, elle cherchait à se procurer des sensations voluptueuses d'une autre façon; elle se suspend
toutes sortes d'idées que créait son imagina- tion, idées liées aux sensations qu'elle avait éprouvées lors de son premier coi
car elle affirmait que les rapports sexuels lui donnaient moins de sensations voluptueuses que l'onanisme exercé à sa manière
sait aussi à désirer : fatigue générale, inappétence, constipation, sensation générale de faiblesse et de douleur le long de
ur appari- tion. Elles étaient précédées d'un état d'énervement, de sensations de fourmillements dauslos bras, elle devenait a
caractérisait par un gonflement et une douleur dans le ventre, une sensation de boule hystérique avec étouffement et ensuite
PATHOLOGIE MENTALE. prise par une sorte de convulsion génitale, des sensations volup- tueuses suivaient et finalement elle se
y entre et vole un paquet de soie. L'acte accompli s'accompagne de sensations volupteuses habi- tuelles. Ensuite, fatiguée, e
ses douleurs, qui d'ailleurs ne sont que l'hypertrophie mentale de sensations banales. Les accidents ont débuté par des clign
endant toute cette période , ajoute la femme, il aurait souffert de sensation de pesanteur fort possible au niveau de sa hernie
survenant à intervalles variables, s'annonçant fréquemment par une sensation particulière, sorte d'aura qui fait dire au mal
sité. Aussi nous sommes-nous laissé quelque peu influencer parles sensations et les impressions des malades eux-mêmes et nou
croissantes. Mais les malades n'aiment pas beaucoup, en général, la sensation énergique fournie par les intensités élevées, e
uire une brûlure si l'on néglige de s'informer de temps à autre des sensations éprouvées par la malade sous l'influence du cou
occupés de la question, mais dont l'évaluation est impossible. Les sensations éprouvées par les malades au moment du passage
u tout avec 4, 5, 6 milli- ampères, tel autre accuse simplement une sensation de fourmillement, enfin un troisième aura une i
faibles ne se sont plaints de phénomènes douloureux ou seulement de sensations désagréables. - D. Durée. La durée de l'appli
Lorsqu'on demande aux malades d'étabir une comparaison entre les sensations éprouvées avant le traitement et posté- rieurem
présente un accès passager d'aliénation mentale caractérisé par des sensations physiques anormales toutes parti- culières, de
.), entraine la perte complète du goût, de toutes les catégories de sensations gustatives. 2. La destruc- tion de toutes les a
t une perte partielle du goût à l'égard de catégories distinctes de sensations gustatives, ce qui* évidemment, peut indiquer l
cérébrale de centres séparés indépendants affectés aux principales sensations du goût à la perception du sucré, de l'acide, d
de la suprasylvienne antérieure (2" circonv.). La réceptivité de la sensation amère et de la sensation salée diminue vraisembla
rieure (2" circonv.). La réceptivité de la sensation amère et de la sensation salée diminue vraisemblable- ment graduellement
ntérieure voisine ; la réceptivité de la sen- sation acide et de la sensation sucrée diminue graduellement à mesure que l'on
ces expériences la réalité de la loi de Weber et Fechner quant aux sensations gustatives : on est obligé de juger de l'intens
ensations gustatives : on est obligé de juger de l'intensité de ces sensations par toute sorte de mouvements réflexes dont le
solution sapide doit croître beaucoup plus vite que l'intensité des sensations auxquelles elle donne naissance, si l'on en jug
s fibrillaires ; troubles de la sensibilité cutanée avec retard des sensations et douleurs fulgurantes ; nystagmus dynamique ;
t présenté la forme disséminée avec nodules adi- peux douloureux et sensation de déchirure provoquée par la mobi- lisation de
du délire, ou bien des troubles du sentiment apparaissant avant les sensations gastri- ques : apathie, angoisse, confusion de
étales et occipitales, remontant après de trois ans, associée à une sensation de lassitude et de fatigue générale habituelle.
quarante-sept ans, couturière. En 1888, la malade éprouve quelques sensations désagréables dans les gencives en mangeant. Ces
que des paroxysmes douloureux des plus intenses. Ensuite : 2° Une sensation pénible qui n'est pas une véritable douleur et
ements qui sont plutôt des tiraillements sur le trajet du nerf, des sensations de petite bête qui trottine au-dessus de la lèv
re, le bâillement. Une sorte d'aura la précède, caractérisé par une sensation de pesanteur dans la tête, sensation indéfiniss
a précède, caractérisé par une sensation de pesanteur dans la tête, sensation indéfinissable de lourdeur au front. La douleur
novembre et en décembre, il n'y a pas eu de douleurs, sauf quelques sensations pénibles au moment des règles. La malade contin
Il n'existe pas de douleurcontinue. Entre les accès iln'y a qu'une sensation d'endolorissement. Il n'y a pas de point dou- l
vons conseillé une reprise temporaire du traitement. Toutefois, ces sensations pénibles n'ont pas persisté. Le malade nous a d
face de douleurs qui, faibles au début, et ne donnant lieu qu'à une sensation de chatouillement, localisées d'abord à la temp
deux mois dans un état très satisfaisant, n'avoir plus que quelques sensations pénibles c des douleurs molles ro, dit-il, « me
des éclairs qui passent devant les yeux, immédiatement suivis d'une sensation de déchirement dans la moitié droite delà face.
nt dans la moitié droite delà face. Entre les accès il n'y a qu'une sensation d'endolorissement. Ces accès se répètent quinze
ariable. Alors même que ce point de repère serait constitué par des sensations subjectives, il ne joue pas le rôle d'un simple s
els que l'état de l'or- gane sensoriel périphérique, l'existence de sensations subjectives, l'état mental du sujet, et des div
parE. Veress pour l'individu normal : « A mesure que le seuil de la sensation de chaleur s'élève, le seuil de la sensation de d
ure que le seuil de la sensation de chaleur s'élève, le seuil de la sensation de douleur s'élève dans une proportion analogue
servée, et pour les membres supérieurs uniquement. Le système des sensations musculaires profondes des membres supérieurs fo
ns la vie quotidienne du sujet. Deux groupes sont à distinguer, a : Sensations et mouvements gou- vernés par le sentiment d'un
une direction et la connaissance d'un point de repère constant. 6 : Sensations et mouvements que ne guide pas l'idée d'une dir
usculaire, et le sentiment de la position du membre, l'ensemble des sensations musculaires cessera de donnera la cons- cience
n d'une synergie, d'une concordance entre les divers groupes de ces sensations : de nouvelles variables seront introduites dan
is of (tll four l'unis andof o;te Sicle of the face Dissociation of Sensation , 111-8- de 1-1 pages. Journal of nervous and me
ank ini : ation. L'état dépressif s'améliore progressi- vement : la sensation de fatigue disparait avec la céphalée et l'asth
rganes percepteurs par excellence. , L'expérience a montré que la sensation de vibration n'a-lieu qu'à l'endroit même d'app
t; 3° De l'aura du goût ren- contrée chez l'épileptique; - 4° De la sensation amère ou acide antérieure aux accès de ce derni
te conception ancienne sur la psy- chologie de la conscience et des sensations , ont été vivement com- battues par M. Claparède
mpris que « le physique et le psychique étaient hétérogènes, que la sensation n'a rien à faire avec l'espace, que si la localis
enté dansl'ob.- session ; c'est l'idée émotive qui se transforme en sensation exté- riorisée. Des considérations intéressan
s parties génitales l'autre lui léchait la bouche. Elle éprouva une sensation intense qu'elle n'a jamais oubliée, mais qu'ell
. Le cerveau de l'enfant, à sa naissance, ne pourra conserver les sensations qui lui viennent du monde extérieur, l'adolescent
fondamental du cordon antéro-latéral et destinées pour conduire les sensations thermiques et douloureuses. Discussion. Le Dr
61 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lé et écrit vienne à manquer et alors le mot écrit est réduit à une sensation optique. Telle serait l'explication de l'alexie d
centre visuel, grâce à l'association existant entre les mots et les sensations musculaires des mouvements de l'écriture, ces d
s les cas; l'auteur attacherait vo- lontiers plus d'importance à la sensation du froid comme symp- tôme de réapparition du my
e demi-heure. Dans le second mode de début, le plus rare, c'est une sensation de crampe épigas- trique, promptement suivie de
thodologie psycho-physique. Loi de Fechner. Phy- siologie des sens ( sensations musculaires et organiques, le toucher, l'ouïe,
s. Méthodes. - Observations et expériences. Psy- chologie des sens, sensations et idées, mémoire. Lois de l'asso- ciation. La
ence de la con- naissance. Action de l'imagination. - Sentiments et sensation , les sentiments esthétiques, éthiques et logiqu
ts esthétiques, éthiques et logiques, les émotions elles lois de la sensation . Le système de la volonté, la conscience de la
lations de la psvchoiogie et du droitcriminei.Psycho-pathotogie des sensations sexuelles.- Grandes névroses (hystérie, épileps
ancinantes et s'ac- compagnent de phénomènes sensoriels, tels que : sensations de rayons électriques dans l'oeil gauche et bou
tanées ou provoquées, il existe dans ces mêmes parties du corps une sensation habituelle d'engourdissement et des fourmille-
ès fréquents. La sensibilité, ou plutôt la faculté de percevoir les sensations de contact et de chaleur, est à peu près intact
excitait ses nerfs sensitifs, mais il avait des fourmillements, des sensations morbides variées dans ses nerfs altérés, et il
i s'agi- taient et sortaient de sa peau. En un mot il y avait une sensation réelle qu'il appréciait mal ; c'est bien là l'ill
re, comme pour les hallucina- tions auditives, il s'agit de fausses sensations qui ont été interprétées d'une manière erronée
la lésion de la région du pli courbe aurait donné nais- sance à des sensations lumineuses, et la malade qui transfor- mait en
mait en voix ses bourdonnements d'oreilles, aurait transformé ses sensations lumineuses en hallucinations, ou plus juste- me
er que le malade, ayant éprouvé dans le membre supérieur gauche des sensations mor- bides, les transforma en hallucinations, a
e genre à des troubles subjectifs de la sensibilité, à de fausses sensations rapportées à la périphérie, et le malade qui est
hallucinations unilatérales n'étaient que la traduction erronée de sensations morbides. Il faut rapprocher de ces cas les f
t suivies d'une amblyopie de l'oeil gauche. L'auteur attribue les sensations lumineuses et la cécité à la lésion des régions
à des mouvements choréiques s'il s'agit d'un centre moteur, à des sensations lumineuses, à de l'amblyopie, à des bourdonnement
être tenté de le croire. La lésion donne seulement naissance à des sensations morbides (fourmillements, sensa- tions auditive
ucinatoires. Dans les deux cas il y a des troubles sensitifs et des sensations subjectives, qui sont transformées en hallucina
gatif a une action prédominante non seulement au point de vue de la sensation produite, mais aussi sur les phéno- mènes vaso-
oyer un faisceau de chiendent qui donne une médecine sociale. 117 sensation de fraîcheur. C'est là, on le voit, une sorte d'a
nt souvent fort mal doués au point de vue de l'oreille musicale. La sensation du rythme, d'ailleurs, n'est pas particulière a
ants ; mais ils jouent sans expression, obéissant bien plus à leurs sensations du moment qu'à la pensée musicale du compositeur.
en outre des voies médullaires, un centre sous-cortical, siège des sensations et de leurs souvenirs; un centre cortical senso
caractérisée par les symptômes suivants : a) Idées obsédantes; - h) Sensation obsédantes; c) Mouvements 144 REVUE DE PATHOLOG
mpulsifs) qui, n'étant le plus souvent que le résultat des idées et sensations obsédantes, peuvent avoir un eexistence propre
note, avant le début des troubles psychiques, des maux de tête, une sensation de malaise, une anxiété vague. Bientôt apparais
é, ni de la sensibilité cutanée. Un matin, B... parait éprouver des sensations vertigineuses avec vomissements, refroidissemen
hilitiques, présentant des douleurs fulgurantes paroxystiques, avec sensation de froid et de pression aux extrémités inférieu
fications des désirs sexuels, les troubles de l'intelligence et des sensations , et la variabilité des réflexes tendineux. L'
aractérisé au début par l'apparition brusque, sans prodromes, d'une sensation de chaleur et de brûlure au périnée, avec élevu
de la peau était énorme : les bords en étaient d'un rouge vif : la sensation de brûlure et le prurit étaient intenses. - Ces
entre ses différents territoires de l'hypéralgie, surtout pour les sensations de froid. LWOFF. LVIII. Pollutions nocturnes
la main droite (c'est un écrivain de profession), il a éprouvé des sensations désagréables dans ce membre envahissant bientôt
troubles de l'ouïe, in- sensibilité à la pression du nerf cubital, sensation de coton à la plante du pied, troubles de sensi
ne un homme de vingt-six ans chez lequel l'affection débuta par des sensations douloureuses dans les mem- bres inférieurs et p
ne un homme de vingt-six ans chez lequel l'affection débuta par des sensations douloureuses dans les mem- bres inférieurs et p
en surface qui gagnait la peau de la région ; bientôt survenait une sensation de brûlure, puis la plaque s'étendait excentriq
quand on frôle la plaque avec le doigt, il semble au malade que la sensation tactile se fait à travers une lame de carton.
e les phénomènes moteurs sont, en ce qui concerne l'oeil, liés à la sensation même. Ne connaît-on pas les noyaux spéciaux qui
utes, la perception parfaite revient à mesure que disparaissent les sensations en question, du centre à la périphérie, comme s
e demi- heure, laissant après lui, une céphalalgie très légère, une sensation de pesanteur aux tempes, surtout à droite, qui
v f. lilinioch. 111edicin, XXII, p. 372), caracté- risées par : une sensation d'engourdissement qui se montre à la face exter
ation personnelle au mémoire de Bern- hardt sur les paresthésies et sensations douloureuses dans la région du fémoro-culané. D
éflexe plantaire cutané, au moment même le malade a parfaitement la sensation REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
La loi de Weber-Fechner établit les rapports de grandeur entre la sensation et l'excitation : la première est fonction logari
ogression des stimuli sui- vant l'axe des abscisses, et celle de la sensation suivant les ordon- nées. Cette courbe est con
ourbe de Weber-Fetchner : pour produire des augmentations égales de sensation , il faut des augmentations croissantes d'excita-
tions égales de stimulus donnent des augmentations décroissantes de sensation . Mais il faut considérer trois actes dans le ph
matérielle produite dans l'appareil nerveux par le stimulus ; 3° la sensation ou phénomène subjectif accom- pagnant cette mod
tions de grandeurs 1, 2, 3, 4, 5, et une série correspondante de sensations 1, 3, 5. 6, 7 ; cette disproportion a-t-elle une
est fonction téorné- trique du stimulus externe, et accompagnée de sensation propor- tionnelle à sa propre valeur. Avec le m
urité du point impres- sionné ; elle est donc secondaire. Enfin les sensations thermiques sont encore inutiles à ce degré de l
orps de l'un et de l'autre sexe, le pouvoir exclusif d'éveiller les sensations amou- reuses et de produire l'orgasme voluptueu
un affaiblissement de l'activité psychomotrice volontaire et de la sensation de fatigue musculaire. Les boudées mystiques de
ts et le remit dans le feu, sans avoir, à aucun moment, éprouvé une sensation douloureuse. Peu après, il s'aperçut qu'il avai
dans les régions saines la limite minima à laquelle le malade a la sensation du passage du courant. Elle correspond au 0 de
l'aide de cet instrument, M. Motschutkowsky a vu que la force de la sensation douloureuse ne correspond point partout à l'épais
ur de la peau : à épaisseur égale de la peau en diverses places, la sensation douloureuse est influencée par le degré de résist
ésentés par ce petit appareil seraient : 1° notation chiffrée de la sensation douloureuse ; 1° contrôle de l'appareil sur soi
e tubercule quadrijumeau postérieur du même côté, que le trajet des sensations auditives entre le tuber- cule quadrijumeau et
effet des fibres du corps trapézoïde, qui sert de voie centrale aux sensations auditives, et des olives supérieures, qui serve
62 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
ènent le besoin de boire, d'autres qui ne laissent pas, après eux, la sensation de soif. Selon moi, dans le cas dont il s'agit, l
ns-nous rappeler qu'en physiologie toute excitation productrice d'une sensation homogène, uniforme, continue, a, pour produir
d'une façon excitant le système nerveux et incitant à rechercher des sensations nouvelles, gens dont la principale préoccupation
ouvelles, gens dont la principale préoccupation est de rechercher les sensations génitales, ce qui se voit notamment chez les peup
ts diffèrent entre eux par les sens auxquels ils s'adressent, par les sensations qu'ils mettent en jeu pour arriver à ce but. La p
en jeu pour arriver à ce but. La peinture et la sculpture donnent les sensations de couleurs, de formes gracieuses, de proportions
nfini. Il existe, il est vrai, un ordre de succession rationnel de la sensation à l'idée et de l'idée à l'émotion; mais, si la se
ionnel de la sensation à l'idée et de l'idée à l'émotion; mais, si la sensation varie seulement en intensité,d'un individu à un a
hose, un défaut, une lacune, qui les sépare de la perfection ; aucune sensation n'est si complète en elle-même qu'elle procure le
elle subit cette opération à l'étal de veille, sans manifester aucune sensation sensible et les suites furent des plus heureuses.
veil il me raconta qu'avant de perdre conscience il avait éprouvé des sensations fort pénibles : pris do vertige il s'était senti
hloroformées », ajouta-t-il. Quelles que soient les causes de cette sensation de chute dans le som- meil narcotique, on l'é
é la tranquillité et j'ai rendu le rove inoffeneif. Il se peut que la sensation de chute sous le chloroforme s'explique par une p
fréquente parce que la plupart des patients savent d'avance que cette sensation peut se présenter. Quelquefois les médecins en pr
uant à moi j'ai dit à mon sujet dans l'état post-hypnotique : « cette sensation n'est pas obligatoire, vous ne l'éprouverez plus
ose, le sommeil et l'inconscience arrivaient très vite et sans aucune sensation terrifiante. XI s'en suit que les deux phénomènes
dre dans la pensée du sujet. Car si l'on avait laissé libre jeu à ces sensations de vertige et de frayeur elles auraient pu prendr
perversions de ces phénomènes intellectuels primordiaux, que sont les sensations : ils prouvent en outre que les perceptions erron
ns participation de jugement. Toute la vie psychique est bornée à des sensations visuelles, auditives ou organiques, à la fois sim
emps de guerre, déterminent dans les centres nerveux des complexus de sensations internes, qui constituent la peur et aboutissent
surprenante, l'électivité olfactive aurait comme point de départ une sensation constituant une véritable révélation sexuelle. Da
ressortir l'influence durable que laiese dans la mémoire la première sensation rencontrée dans l'ordre sexuel. Je rappelais que,
l n'étant plus réveillé que par des idées se rapportant h la première sensation fortement ressentie. Chez l'homme normal, qui, co
ment olfactif et gustatif, il n'y a rien d'étonnant que les premières sensations voluptueuses nées d'une impression olfactive prod
d'abord, il faut distinguer le suicide-impul -sion, déterminé par une sensation soudaine, irréfléchie et irrésistible, du suicide
d'une rivière, de la mer. elle est prise d'une angoisse subite, d'une sensation de mal être, d'agitation qui ne cesse que lorsqu'
re nettement formulée mais elle est implicitement contenue dans cette sensation de bien être que lui donne la solitude et la cont
e lui donne la solitude et la contemplation de l'eau qui coule. Cette sensation est si nette qu'elle produit un changement comple
iments humains, quand il affirme que chez l'homme, il est le sens des sensations douces et délicates, celui des tendres souvenirs.
ans ses rêves, se voit brusquement abandonnée, tout à fait seule ; la sensation d'isolement lui est si pénible qu'elle se réveill
, en général, ainsi nue le nom l'indique, uniquement par une certaine sensation de fatigue ; cette phase d'après Janet, n'a pas g
difficile de considérer comme un symptôme d'alié' nation mentale des sensations qui ne sont que l'exagération pathologique de sen
mentale des sensations qui ne sont que l'exagération pathologique de sensations normales. » Le travail publié en 1894 par le Dr
ction comparée chez l'homme et chez la femme. Chez les animaux, les sensations olfactives et gustatives sont les premières uni s
s, ont donné des résultats plus concluants : Odorat Hommes. Femmes. Sensation générale : Solution a l'huile de girofle jusqu'
: Solution a l'huile de girofle jusqu'au......... 1/89000 1/35600 Sensation qualifiée au ....... 1/34000 1/31400 Sensation
.. 1/89000 1/35600 Sensation qualifiée au ....... 1/34000 1/31400 Sensation quantitative fine...... 75 0/0 52.8 0/0 Gout Ho
nt à provoquer chez ses ma!ades,avec un état d'esprit indifférent, la sensation de tranquillité et dejrepos. Sa manière de procéd
ceptivité. On peut alors suggérer la somnolence. Si le malade a eu la sensation du repos, il entre bientôt aussi dans la somnolen
la facilité avec laquelle ils sont restés. D'autres encore ont eu la sensation que leurs pensées ont été comme immobilisées. Q
un aimant près de moi. -• Elle reconnaissait le même effet et la même sensation déjà éprouvés autrefois. Une autre dame était a
e viendra l'esprit inquiet; elle guettera continuellement ses propres sensations et notera, en les exagérant, toutes ces petites m
qni aient accordé k l'odorat un rOle important dans la symphonie des sensations supérieures. L'odorat, aux yeux du plus grand nom
, éprouvant une douleur a la jambe, se gratte, ce qui lui procure une sensation agréable. Il part de ce fait d'observation pour m
yeux brillants, le visage animé, la mine souriante : elle éprouve la sensation de vivre. Elle s'étonne de se voir dans une cha
nt une influence marquée sur la production du réveil. Telles sont les sensations viscérales de la faim, de la soif, ainsi qne les
sont les sensations viscérales de la faim, de la soif, ainsi qne les sensations révélatrices des divers besoins naturels (érectio
suffisante chez ces malades. Chez eux. l'excitation consiste en une sensation d'irritation particulière —. superficielle ou pro
ifeste cette irritation sous la forme d'une fnusse faim, d'une fausse sensation de vide, d'une brûlure, de régurgitations acides,
compte, bien entendu, de son caractère génital, tout d'abord pour la sensation d'éréthisme nerveux éprouvée, ensuite et surtout
nté n'est plus quand la pupille se dilate. La suggestion commande, la sensation prime la raison. Observation X. — Les dilatatio
on et d'autres agents psychiques sur les troubles dans le domaine des sensations . La dernière traite des troubles dans l'action
Aussi l'exténuation ne suffit pas pour induire le sommeil, il faut la sensation de fatigue. Quand l'excitation cesse et fait plac
soumet à l'examen la mise en jeu de la volonté dans les troubles des sensations et analyse à cet effet l'essenee de notre faculté
explique l'influence de l'image-souvenir, dépeint les troubles de la sensation consécutifs aux troubles généraux du système nerv
es troubles de la sensation-L'étude des conditions sans lesquelles la sensation morbide peut être chassée du champ de la conscien
s portant à fixer l'attention sur une douleur ou sur un trouble de la sensation quelconque, le traitement à instituer réclame la
rouble morbide. L'homme à le pouvoir de détourner ses pensées d'une sensation , d'une' idée spéciale, soit au moyen du travail,
es surexcités peut-être utilisé dans le traitement des troubles de la sensation . C'est au sommeil provoqué par concentration de
63 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
enregistreurs spéciaux. L'écriture automatique se ramène aussi à des sensations ou des mouvements perçus mais devenus cryptoides,
ur et ?a douleur subissent un certain retard danc la perception de la sensation . En outre, les cercles de Veber qui indiquent la
; réalité : ou contraire, plus lo sommeil est superficiel, plus les sensations journalières apparaissent ei plus les rêves reflè
, fournit également un intéressant moyen de contrôle pour l'étude des sensations et la mesure des réactions. Cela ne suffit-il p
ait il y a dix ans, elle avait donc 45 ans, La crise débute par une sensation douloureuse dans l'estomac comme (1) Leçon cliaiq
ande intensité; elle est plus marquée pour les lettres nasales. Ces sensations paradoxales dépendent de lésions labyrinthiques,
e d'obsession présente une variété inGnie ; elle affecte à la fois la sensation générale et les sens spéciaux. Par exemple une pe
oit des éclairs ou elle est incapable d'ouvrir les yeux, ou elle a la sensation de la cécité, ou elle se figure marcher en l'air
son enfant tué, et tout en courant lui porter secours il éprouva une sensation terrible d'effroi et d'angoisse, suivie de trembl
pre leurs communications avec la périphérie et de fermer la porte aux sensations importunes. Se basant alors sur la découverte d
e chandelle qu'on souffle ou bien submergé et englouti par ce flot de sensations uniques, où tout s'absorbe. La transition fut mar
fait de deux façons bien différentes : soit par généralisation d'une sensation unique, si intense que toute autre se tait (ou pa
anesthésié chirurgicale comme « ub complet anéantissement, sans nulle sensation ni impression *. Mais s'il y a abolition totale d
ecte bien qu'un nombre de jours représente une abstraction et non une sensation . Le temps, répond Beaunis, est non pas une abstra
ne abstraction mais une succès-/page> page n="136"> sion de sensations et de réactions liées entre elles par une certain
uéries le surlendemain. L'un des expérimentateurs a remarqué que la sensation de chaleur était plus forte devant le foyer que d
était le bon? — « Il m'est impossible de vous le dire ; j'ai eu la sensation que ce moment était venu. » Je ne pus faire jai
us les phénomènes produits durant l'hypnose (conceptions, mouvements, sensations , images) doivent leur origine à cette force nerve
conscience de n'avoir rien senti. Si nous analysons, en effet, les sensations éprouvées par le patient au cours d'une extractio
ent au cours d'une extraction, nous devons distinguer, d'une part, la sensation très désagréable et très impressionnante de l'eff
employé (davier ou élévateur) aux os de la face et, d'autre part, la sensation plus ou moins douloureuse que produit la torsion
la plupart des cas, n'est pas assez psychologue pour sélectionner ses sensations ou, du moins, ne jouit pas pour cela d'une libert
eront rien que le sentiment d'énucléation de la dent, dégagé de toute sensation douloureuse, non seulement afin de les voir nous
s son imagination, éprouvé une véritable souffrance qui, ajoutée à la sensation désagréable des mouvements de luxation, laisse da
ment mémo que l'homme, à éprouver les/page> page n="212"> « sensations de l'agréable et du plaisir, ils produisent même
n certain a état de conscience » qui fait que, sous le coup des mêmes sensations , à parité d'organes, l'un et l'autre se comporter
e plaisir qui doit être la résultante de la saiisfaction entrevue, la sensation imaginée par le sens du goût, tout cela ne suffir
pression sensible au dynamomètre. A la jambe, la malade accusait une sensation d'engour dissementet de fourmillement; les mouvem
la tristesse et l'humilité. Les adjuvants accessoires sontcertaines sensations visuelles, auditives et olfactives. i. — Adjuva
u'une cause de sug-gestibilité. iii. — Adjuvants accessoires. i. —¦ Sensations visuelles. De même qu'une belle maison induit l
dont le nom parait contenir toute l'explication du phénomène. II. — Sensations auditives. Un autre adjuvant de la suggestion r
ut même aller jusqu'à l'hypnose, comme l'a montré de Rochas. III. — Sensations olfactives. L'usage des parfums se retrouve dan
ourn I of mental Science, sur la physiologie du plaisir ou plutôt des sensations agréables, dans lequel il étudie surtout le mécan
es sont dues â une vaso-dilatation, les autres, comme par exemple, la sensation d'être tenu en suspnns, à la vaso-con strict ion.
ase est la plus pure, la plus intense et sans doute la plus haute des sensations agréables que puisse éprouver l'organisme humain.
qui ne peut être que d'une courte durée. Il résulterait de là que nos sensations agréables sont plus persistantes que nos sensatio
ait de là que nos sensations agréables sont plus persistantes que nos sensations pénibles, je ne sais jusqu'à quel point cette phy
agne les contres vaso-moteurs, soit par la route directe des nerfs de sensation , soit par une voie plus détournée passant par les
us détournée passant par les centres « psychiques « du cerveau ». Les sensations agréables produites par des modifications do temp
loucher, appartiennent au groupe des jouissances simples, duo« à une sensation unique, tandis que celles qui dérivent des couleu
rivent des couleurs et des sons réclament la coopération de plusieurs sensations . Les races méridionales d'Europe sont caractérisé
ont, en outre, d'une grande importance pour engendrer et accroître la sensation do plaisir : c'est le changement et la sympathie.
ONTAGION' RELIGIEUSE. Quels sont les substrats physiologiques de la sensation , de l'image simple, de limage composée, de l'idée
invite à donner de ces substrats les définitions suivantes : 1° La sensation correspond à l'impression, sur une partie d'un ne
mouvements du milieu ambiant; 2° L'image simple, ou souvenir de la sensation , correspond à la reproduction de ces ondulations
ces ondulations sur l'empreinte qu'elles ont laissée au moment de la sensation ; 3° L'image composée, l'idée et le jugement co
substance a-. En effet, sauf dans l'hallucination, le souvenir de la sensation , par exemple, est moins vif que la sensation. De
ation, le souvenir de la sensation, par exemple, est moins vif que la sensation . De plus les souvenirs vont s'effaçant, comme si
que mot correspond uu système d'ondulations sonores, de même à chaque sensation , à chaque image, à chaque idée, à chaque jugement
une maladie du toucher, caractérisée par une altération spéciale des sensations de poids et de volume. Lorsqu'un malade, attein
la suggestion hypnotique sur les fonctions de la vie organique et les sensations internes. — L'hypnotisme et la psychologie de la
ppareil spécial, il lui envoie des fluides et fait naître en elle des sensations bizarres, surtout dans la langue et le nez, etc.
64 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
es phénomènes douloureux dans la main droite. C'étaient d'abord des sensations de froid, puis de véri- tables picotements qui
e tour de la main gauche : de ce côté également se mon- trèrent des sensations pénibles dans la même sphère, sensations qui s'ac
lement se mon- trèrent des sensations pénibles dans la même sphère, sensations qui s'accom- pagnèrent en peu de temps de faibl
endineuses s'y dessinent nettement. Il peut y avoir des sueurs, des sensations de froid au Loucher, de l'état lisse de la peau
: ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. époque apparurent des sensations pénibles de fourmillement et d'engourdis- semen
; ce même médecin le piqua en divers endroits sans provoquer aucune sensation . D... raconte qu'on le ramena chez lui en voitu
ion debout. Celle-ci, comme la marche, ne tarde pas à provoquer une sensation douloureuse dans la région dorso-lombaire; le mal
nement excessif du ventre. La défécation ne s'accompagnait d'aucune sensation . La vue fut affaiblie pendant plusieurs mois, pui
ceux que j'ai signalés ailleurs (Bull. Soc. biol., 1885, p. 590; - Sensation et mouvement, Bibliothèque de philosophie contemp
isse el lente, ses mouvements plus lents qu'auparavant. Excepté des sensations transitoires d'engourdissement dans les parties a
re où les tissus pouvaient être pincés en plis épais, et donnant la sensation d'un développement excessif du tissu adipeux so
e composition et une abondance ordinaires. Pas d'augmentation de la sensation de la soif. ' L'intelligence du malade est libr
ité. Comme corollaire des phénomènes signalés, nous dirons que la sensation d'engourdissement des pieds s'atténue ou disparaî
des atteints de paralysie agitante, en calmant les contractures, la sensation de chaleur nocturne, en procurant en un mot aux
des crises convulsives du même genre; en outre il a quelquefois des sensations d'étouffement suivies NOUVELLE ICONOGRAPHIE T.
s vêtements sem- blaient n'aller de nulle part. M. Freund eut cette sensation qu'il avait devant lui une sorte de singe anthr
rapidement; la marche serait devenue lourde et sans élasticité. Une sensation presque permanente de pesanteur et d'épuisement l
à vingt minutes; elle est précédée d'une aura, qui consiste en une sensation de constriction épigastrique. Elle est à prédom
mine des mouvements réflexes et du larmoiement, sans qu'il y ait de sensation douloureuse perçue par la malade. Autour de l
occlusion se maintient. On a, du reste, en essayant de l'ouvrir, la sensation nette d'un obstacle actif. La vision est complète
ependant il dit avoir éprouvé, il la vue de certaines femmes, une « sensation spéciale », un trouble qu'il ne peut définir, m
flacon d'ammoniaque placé sous le nez ne paraît occasionner aucune sensation pénible. On ne peut dire quel est l'état de la
che XXV.' ' ' ' . Cet état squameux de la peau donne au toucher une sensation de rugosité; il existe sur toute la surface du
a malade se plaint avec insistance d'une certaine lourdeur et d'une sensation d'engourdissement dans tout le côté gaucho. Elle
t dans tout le côté gaucho. Elle accuse aussi dans'tout ce côté une sensation de chaleur excessive. Elle. n'a jamais éprouvé
s. Elles sont précédées des phénomènes de l'aura classique. Aura. Sensation de boule partant du pli de l'aine et remontant à
ensation de boule partant du pli de l'aine et remontant à la gorge; sensation de contraction à la gorge; suffocation, palpitati
les quinze jours, parfois deux fois dans la même semaine, il a une sensation assez subite d'étouffement avec battements dans
e la peau, est doulou- reusement ressentie, elle s'accompagne d'une sensation d'oppression, de battements dans les tempes; il
l'âge de seize ans pendant la convalescence de la fièvre typhoïde : sensation de boule sans attaques. Depuis, jusqu'en 1887,
ïde : sensation de boule sans attaques. Depuis, jusqu'en 1887, même sensation avant les règles avec battements dans les tempe
ilis. Depuis 1887, elle a toujours ressenti dans le côté gauche des sensations douloureuses (fourmillements, piqûres d'aiguill
sur ce point. Cette fois la main était gonflée et violacée. Aucune sensation anormale, ni douleurs ni fourmillements dans la
lques secondes. Dans la nuit à trois reprises, crise d'étouffement, sensation de serrement de la gorge il vingt minutes d'int
gauche du ventre. Durant la nuit, il a eu plu- sieurs étouffements, sensation de boule partant de l'abdomen et remontant rapi
lements, les excitations légères à fleur de peau, y déterminent une sensation de cuisson insupportable. Par contre, une pressio
Le contact d'une boule d'eau très chaude ne détermine qu'une vague sensation de chaleur. 2° Des douleurs spontanées; ces dou
spontanées; ces douleurs consistent en tiraillements, élancements, sensations de brûlure. Elles sont assez intenses pour empê
es pour empêcher le sommeil. Tous ces troubles : oedème, cyanose, sensations douloureuses, hy- peresthésie et contracture on
hésie : rétention d'urine. En mars, tuméfaction malléolaire gauche, sensation de froid intense dans la jambe gauche. En avril
t; il existe de plus, souvent, in situ, dans le membre atteint, des sensations d'engourdissement, de fourmillement, de refroi-
sont nuls au niveau de l'éruption. Zunker note seulement une légère sensation de chaleur chez un de ses malades; mais il y a
sen- sation de boule avec constriction- à la gorge, étouffement et sensation de déchirement dans l'intérieur du crâne. Les c
le début; les trois périodes étaient bien nettes. Le sujet avait la sensation d'aura avant sa crise, à la poitrine, au cou et
65 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
d'être signalées qu'elles onl jusqu'à présent passé inaperçues. Une sensation générale d'affaiblissement et de fatigue se trouv
lus bas à droite qu'à gauche; on y sent des masses dures donnant la sensation de ganglions hy- pertrophiés. Des petits lipome
qûre, la chaleur; seulement elle met beaucoup de temps à accuser la sensation . Il y a lil probablement plus qu'un retard réel
s deux mois sous forme de crises : ces douleurs alternaient avec la sensation de lancement brusque des jambes en avant ou de
Rien d'anormal aux membres supérieurs. La sensibilité cutanée, la sensation du sol pendant la marche ou dans la station son
s souvent des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs : la sensation du sol est conservée, le sens du lieu rien près c
ouleurs constrictives. Disparition du trouble des sphincters et des sensations clitoridiennes. Artériosclérose généralisée. In
de l'arthropathie : elle n'a été précédée alors ni plus tard d'aucune sensation douloureuse spéciale. Une fois la malade a trou
s clitoridiennes, survenant presque toutes les nuits, affectant les sensations de rapports sexuels masculins, revenant jusqu'à
sente des phénomènes d'acroparesthésie dans les bras et les mains : sensations de fourmillement intense, piqûres d'épingle au bo
vent de tenir un objet dans les mains sans le sentir, ou d'avoir la sensation tactile d'un objet sans le tenir. La sensibil
oubles de la vue, consistant en diminution de l'acuité visuelle, en sensations passagères de brouillard, d'obscurcissement, se
s légère difficulté de la miction à des intervalles éloignés. Les sensations générales voluptueuses deviennent plus rares : el
u creux épigastrique ne réveille pas la moindre douleur, la moindre sensation pénible. Insensibilité ovarienne droite : un peu
mbreux corps étrangers, durs, roulant sous les doigts et donnant la sensation de cré- pitation. L'arthropathie est complèteme
. b) Sensibilité. - Aux membres inférieurs, douleurs fulgurantes et sensation de boue molle sous les pieds. Le long du bord c
res, mais très vives, en éclairs ; à plusieurs reprises, il a eu la sensation de coton sous les pieds. Tout cela ne l'a pas em-
c- ters, ni douleurs subjectives et objectives le malade accuse une sensation d'en- gourdissement et de froid au niveau de la
u niveau du gril costal sont des tuméfactions donnant une véritable sensation de paquet de ficelle et se réduisant avec facilit
dont les unes sont ab- solument molles, dont les autres donnent une sensation de paquet de ficelle. Les tumeurs sont douloure
méfactions molles, incomplètement réductibles et donnant parfois la sensation du varicocèle. Enfin des concrétions pierreuses a
u du côté droit étaient ai peu près nuls, la malade se plaignait de sensations de fourmillement, et d'engourdissement dans les
cielles et les piqûres profondes ne réveil- laient pas la moindre sensation consciente du côté des parties anesthésiées. Le
i dire l'espèce de l'objet, elle a seulement eu à son contact une sensation de froid. L'anesthé- sie avait envahi non seule
mé- faction assez bien limitée, triangulaire, donnant au palper une sensation lipomateuse. Même les descriptions anatomo-path
complexes comme dans l'athétose. Ils n'étaient asso- ciés à aucune sensation anormale telle que vertiges, etc.,et n'étaient pa
e force..... le toucher le plus délicat était perçu à gauche et les sensations ainsi que le sens musculaire dans un état absol
n'y avait pas de paralysie motrice, mais une perte définitive de la sensation pour toutes les sortes d'excitants. Sur la paupiè
NÉ MARTIAL petit territoire (mal défini quant à ses contours) où la sensation était émoussée pour le toucher et la douleur. P
r l'accident est passé, on ne constate aucune blessure, à peine une sensation de fatigue, decour- bature, mais quelque temps
lla à 6 heures avec de violentes douleurs de tête, des nausées, une sensation d'étourdissement, il se mit à vomir. Il sen- ti
ine mobilité sur les couches profondes, mais on ne trouve pas cette sensation que donne unetumeurfranchement encapsulée.Quelq
2, douleurs rhumatoïdes dans les membres inférieurs : paresthésies ( sensation de picotements et engour- dissements dans les p
t en 1892 en montant sur un trottoir et liée depuis ce temps ci une sensation de sursau- LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES
nclinaison en avant de plus en plus grande dans la station debout ; sensation de tomber la face contre le sol. Inclinaison en
grande intensité. Alors survinrent des paresthésies multiples, des sensations de fourmillements et de picotements dans tout l
ation debout, le malade se penche de plus en plus en avant, avec la sensation par instants de tomber, la face contre le sol.
ou tout au moins de raucité remarquable de la voix, avec dyspnée et sensation de déchirement de la gorge et de la région sous
ns cette région ne détermine pas de la douleur mais fait naitre une sensation désagréable. Quant à la région dorsale, on sent
uleurs fulgurantes de grande intensité, clans la jambe gauche, avec sensation de raideur musculaire. En 1868, troubles de la
e. En 1868, troubles de la sensibilité dans les mains et les pieds. Sensation d'en- gourdissement et de picotements. En 1870,
de de la station de- bout et de la marche surtout dans l'obscurité, sensation de dérobement du sol. En 1880, marche talonnant
es provoquer par la volonté seule. Elles ne débutaient fas. par une sensation locale de chatouillement ou de démangeaisons au n
poursuivait son idée bii' son rêve, elle se sentait envahir par les sensations agréables, qui accompagnent le coit jusqu'aux s
ir par les sensations agréables, qui accompagnent le coit jusqu'aux sensations voluptueuses finales : une sensation de lassitude
ccompagnent le coit jusqu'aux sensations voluptueuses finales : une sensation de lassitude l'envahissait alors, rapidement di
e temps en temps. La malade a des accès de toux très pénibles, avec sensation angoissante de cons- triction laryngée, sans ic
tales et vaginales, de grande intensité, mais de courte durée. La sensation de sol en duvet a disparu, mais il survient à que
ient à quelques interval- les, dans les mains et dans les pieds,des sensations désagréables de picotements et de fourmillement
ans aucun retard mais partout sous la forme d'une vive brûlure. Les sensations de chaud et de froid sont fortement perçues et so
e chatouillement est conservé. Pas d'erreur de localisations de ces sensations . Les réflexes plantaires, les réflexes abdomina
tiraillées, tordues, sans que ces mouvements fassent apparaître une sensation douloureuse quelconque. Il n'y a pas du tout de
ique profonde à la percussion sont diminuées. A noter un retard des sensations aux membres inférieurs. La colonne vertébrale
articulations. Ces bruits très intenses ne s'accompagnent d'aucune sensation douloureuse mais ils terrifient le malade qui i
au chaud est bien conservée. Pas de retard, ni de métamorphose des sensations . Il n'existe pas non plus de défaut de localisa
On observe même quelquefois un léger retard dans la perception des sensations , mais ces dernières sont parfaitement localisée
la percussion fortes ne réveille la moindre douleur, la plus petite sensation désagréable. La voussure hémithoracique droite es
la malade qui craint toujours de tomber ; elle a continuellement la sensation qu'elle va tomber en avant. Elle peut cependant
s conditions et lors- qu'il se réveille la nuit, il éprouve la même sensation : la tête est lourde, il a constamment envie de
rtiges ; à plusieurs reprises, nous lui avons demandé s'il avait la sensation de tourner, ou d'être projeté, ou même de s'enfon
té olfactive est conservée, la céphalée, les douleurs de reins, les sensations de fatigue, un état neurasthénique sont habituels
prurit cutané, quelques douleurs lan- cinantes dans les jambes, une sensation de sécheresse permanente de la bouche, une disp
uleur lombaire qui persiste quelques jours et laisse après elle une sensation de pression dans le rachis et les lombes (obs.VII
il fait un effort pour marcher plus vite et aussitôt ap- paraît la sensation d'une boule dure comprimant l'abdomen d'arrière e
a t avant (obs. VI). Douleur lombaire, tressautement des vertèbres, sensation de pression abdominale représentant, sinon tout
neuses corres- pondantes, épaissies et saillantes. Elles donnent la sensation deplusieurs masses calleuses que le loucher sép
éveille une légère douleur (obs. VI). Souvent ce n'est même pas une sensation dou- loureuse, mais simplement désagréable. La
ns dysesthésie notable : légère hypoes- thésie plantaire, un peu de sensation de tapis sous les pieds. Anesthésie pharyngée,
ostéo-arthropathie tabétique garderait pour elle l'absence de toute sensation douloureuse à la palpa- tion, à la pression, de
sie gauche pour le tronc et les membres ; la tête est épargnée. Les sensations tactiles sont partout conservées. Comme sensati
st épargnée. Les sensations tactiles sont partout conservées. Comme sensation subjective,B.. accuse une grande pesanteur de la
ui semble que « sa tête est entourée d'une croûte de pâte » ; cette sensation pénible disparaît dès qu'il prend la position h
nts) est très fortement diminué à droite. Quand elle est perçue, la sensation est exactement localisée. L'épreuve de la sensi
l n'a plus eu de convulsions En avril 1897, il a eu subite- ment la sensation des doigts morts et pendant dix minutes ne vit pl
exagérée du côté droit, mais le malade lo- calise parfaitement les sensations et en distingue les modalités. La sensibilité a
e portant assez bien mais se plaignant de douleurs de tête et d'une sensation de travail- lement-du côté gauche. Un jour, s
aux jambes. En hiver les jambes deviennent aisément cyanosées avec sensation de froid ; en été, au contraire, elle y éprouve
avec sensation de froid ; en été, au contraire, elle y éprouve une sensation de brûlure de temps à autre. Jamais de desquama
, elle était un peu émotive, pleurait facilement, avait parfois une sensation de boule à la gorge, était sujette à des maux d
emit d'elle-même aux pastilles de thyroiodine (1) sans autre qu'une sensation de faiblesse générale avec pâleur, anorexie, disp
66 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
s une seule tentative d'hypnotisation: mais la malade dominée par des sensations douloureuses, enfant gâtée par ses parents dont e
s se rapportant aux choses faites, vues ou entendues pendant le jour, sensation de chute, zoopsie persistant après le réveil; ins
tel ou tel de nos organes et non les autres de manière à produire la sensation du toucher, de la vue. du son. de la chaleur etc.
Il y a deshannonie plus ou moins complète dans la qualité de leurs sensations : il en résulte une émotivité et une susceptibili
l accomplit ponctuellement la suggestion et s'aperçoit ensuite par la sensation qu'il en éprouve, qu'il a une épingle profondémen
ons de ses amis ne soient plus fortes que sa volonté. 9 mai. -- Les sensations du besoin de boire et de fumer ont été moins vive
jà su tirer de si intéressants résultats dans ses précédentes études ( sensation et mouvementé 1887), dégénérescence et criminalit
ers reprises des attaques d'hystérie : l'aura est caractérisée par la sensation d'une boule partant de l'ovaire droit. Elle perd
Nous lui faisons la suggestion qu'elle aura recouvré à son réveil la sensation du chaud et du froid. Nous constatons, non sans s
mment colorées. Ainsi il a pu produire chez eux de la catalepsie, des sensations émotionnelles diverses: joie, satisfaction, anxié
suggestion hypnotique, il a comparé l'effet de la suggestion à la sensation du bien-être procuré par l'ivresse et a prétendu
ssi finit par s'établir une indifférence complète, l'absence de toute sensation voluptueuse. je demandais un jour à un voyageur
e la volonté, tels que suppression de la vue. de l'ouïe transfert des sensations , tandis que des suggestions portant sur des faits
e par lui. L'idée arrive au cerveau par un des cinq sens ou par les sensations internes, musculaires ou viscérales. Chaque cerve
ient (douleur, démangeaison, froid, etc.) image (hallucination, rêve) sensation viscérale (coliques, vomissements, etc.) acte et
onté ; il est alors possible à l'opérateur d'y imprimer à son gré des sensations , des images et d'y faire naître la volonté d'un a
, des images et d'y faire naître la volonté d'un acte quelconque; ces sensations , ces images et cette volonté se reproduisent phot
ma montre pendant 10 m., puis ferme les yeux et s'endort. Léthargie. Sensation abolie par suggestion. Je la laisse dormir pendan
Française (Saône-et-Loire), quatrième grossesse, anémique, nerveuse, sensation d'une boule à la moindre contrariété. Son père a
up, elle dit éprouver une violente douleur dans la gorge rt comme une sensation d'étouffement, ce qui la fit revenir complètement
moment-là ses souffrances avaient disparu pour ne lui laisser qu'une sensation de constriction dans le ventre. Elle se (i) ???
'on pouvait toucher la cornée avec le doigt sans provoquer la moindre sensation . Le 17 février 1891, je fus appelé près de la m
, les troubles de la sensibUité générale (byperesthésies, névralgies, sensations morbides), certains troubles de la mobilité (paré
x mois; il resta alité pendant huit jours, puis marcha, mais avec une sensation de gêne douloureuse, en se forçant. Il existait u
cerveau postérieur 'siège de l'instinct sexuel proprement dit et des sensations \isuelles, tactiles, olfactives qui le mettent en
nir réveillant l'appétit sexuel), ou sous une influence périphérique ( sensation provenant des muqueuses génitales}. Chez les spin
nitale, est chez eux troublée. Un priapisme persistant s'établit, des sensations voluptueuses se produisent, la moelle entre en ac
odes à un éréthisme génital se traduisant par du prurit vulvaire, des sensations voluptueuses et sur lequel les causes morales, le
magination. C'est au milieu de leurs enfants, d'étrangers.... que ces sensations irrésistibles viennent chercher les malades, acco
re son ménage quand survenait tout à coup, au niveau de la vulve, des sensations absolument identiques à celles du coït; en môme t
t maintenant d'une façon irrésistible, pour augmenter l'intensité des sensations . Pendant plusieurs années, les choses ont duré ai
le faire, mais elle se retient, non sans éprouver € A l'estomac » une sensation désagréable qui se propage jusqu'aux organes géni
le matin, sans cause apparente; parfois elles sont provoquées par la sensation d'agacement produite par les hémorrhoïdes que la
uite par les hémorrhoïdes que la malade porte depuis douze ans; cette sensation anale se propage A la fourchette et dans le vagin
ent des mouvements de propulsion du bassin et elle ressent toutes les sensations d'un rapprochement sexuel, sensations qui s'irrad
ssin et elle ressent toutes les sensations d'un rapprochement sexuel, sensations qui s'irradient dans les reins et à l'anus. En mê
Mon Dieu! j'aime mieux mourir! Quel malheur! » tout en éprouvant des sensations voluptueuses et en entrecoupant ses lamentations
t faire avorter la crise, elle se lève, s'babille : peine mutile; les sensations génitales continuent ; elle se cramponne alors i
ve, au milieu des cris et de mouvements désordonnés irrésistibles, la sensation du coït avec sécrétion des glandes vulvo-vaginal
mains) se répétant avec une rapidité vertigineuse. Je lui suggère la sensation d'un fluide magnétique entre mes deux mains, sur
nouveau. Je lui suggérai la disparition de la peur et de toutes les sensations maladives, sommeil calme, l'obéissance entière à
un an par des tiraillements douloureux à la région epigastrique avec sensation de faim; de plus, elle ressentait comme un nœud à
ne passent plus du tout. Quand elle avait mangé, elle ressentait une sensation de gêne et d'arrêt, vers le milieu du sternum, du
même le lait, ne passe pas; elle n'a d'ailleurs jamais vomi. Mais la sensation de gêne produite est tellement intense et s'accou
quides qu'elle peut avaler. Elle ressent une gène rétro-sternale avec sensation d'étouffemeni ; cette gêne est suivie bientôt de
nfiture et un verre de vin pour son souper; elle n'accuse plu* aucune sensation douloureuse. Depuis cinq mois, la malade ne dorma
bien et demande sa sortie. Il s'agit, dans cette observation, d'une sensation hystérique de nœud ou gène rétro-sternale, produi
ternale, produite par le passage des aliments, datant de un an. Cette sensation dégénère parfois en étouffements et en crises con
e ne peut prendre autre chose ; cependant elle ne vomit pas ; mais la sensation de gène est telle qu'elle ne peut rien prendre de
e. C'est au niveau de la fourchette et du vagin que se localisent les sensations génitales les plus intenses. Notons la présence d
rché les stigmates de l'hystérie : jamais d'accidents conv'ulsifs, de sensation de boule. Pas de douleur à la pression de l'ovair
MM. Charcot et Bouchard, il survenait spontanément chez la malade des sensations voluptueuses qu'elle comparait à celtes du coll.
nécessaire dans ce genre de travail provoquait souvent chez elle des sensations voluptueuses avec spasme erotique et éjaculation.
'en continua pas moins à éprouver tous les huit ou quinze jours des a sensations voluptueuses violentes, qui la surprenaient à l'i
e sorte de chatouillement, de vibration dans l'intérieur du vagin. La sensation gagnait le clitoris qui entrait bientôt en érecti
ce une nymphomane? pas davantage. L'appétit sexuel n'existe plus. Ces sensations génitales, loin de les rechercher, elle les subit
67 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eux moitiés de la face. De légères piqûres provoquent partout une sensation de douleur égale des deux côtés. Le loucher e
ombre, déprimée ; la malade prête beaucoup d'attention à toutes ses sensations anormales. Les fonctions intellectuelles sont e
t même dans les endroits où un courant maximum ne provoque pas de sensation douloureuse. Point d'analgésie, ni d'anesthésie
ventre et à la partie inférieure de la poitrine. De temps en temps, sensation de fourmillement dans les mains. Des sensations
De temps en temps, sensation de fourmillement dans les mains. Des sensations étranges sont éprouvées dans la cavité buccale
on n'aperçoit nulle part d'atrophie. Souvent le malade éprouve une sensation difficile à décrire à l'épigastre; point de dou
manesthésie existe au moins cinq à six ans, les maux de tête el les sensations vertigi- neuses depuis trois à cinq années. 11
nt des erreurs du jugement des tabétiques, qui croient éprouver des sensations n'ayant pas de raison d'être trois observations
ntensité de la sollicitation, on voit brusquement se développer une sensation anormale extrême ; d'autres individus demeurent
e ces perturbations se résume ainsi; très souvent l'intensité de la sensation ne croit chez le tabétique qu'avec l'étendue de
ne sont-ils perçus que si on leur donne une certaine surface, et la sensation ne se développe-t-elle que lorsqu'on applique côt
rine, à des troubles vasomoteurs (battements de coeur, lipothymies, sensation de manque d'air) est devenue la source du délir
dynamométriques, sur l'acuité auditive, surle temps de réaction des sensations auditives et tactiles pendant la veille et le s
xercer chacun de ces trois états sur le corps, c'est-à-dire sur les sensations , les mouvements et les fonc- tions organiques,
il est pris tout d'un coup d'une douleur atroce, accompagnée d'une sensation de brûlure et de soif à la région précordiale : l
tout se mouvait, dit-il, autour de lui et avec lui; il comparait sa sensation à celle d'un bateau qui est battu par les flots
fermés et se cramponnant aux objets environnants pour éviter cette sensation vertigineuse. C'est alors que, suivant l'habitu
à le frictionner. Mais, dès qu'on commence à le toucher, la même sensation survient et le malade pousse des cris , en priant
s lui enfoncèrent une aiguille sans que le malade en eût la moindre sensation . Au bout de dix jours, durant lesquels il fallu
n'a rien senti; mais, au bout de ce court délai, il est pris d'une sensation dépression avec constriction à la nuque, comme si
t-à-dire seize jours en tout. Nous avons oublié d'ajouter qu'aucune sensation voluptueuse n'était associée à ce priapisme. Le
es membres paralysés du-malade sans qu'il en ressentit la moindre sensation . Unerétention d'urines et de selles a nécessité l
nt très fort, qui rapidement monte jusqu'aux côtes gauches. La même sensation ayant la même marche ascendante arrive au côté
après sa montée et l'enlèvement du casque, le malade est pris d'une sensation de chaleur à la nuque qui bientôt après se trans-
Paralysie spastique du membre inférieur gauche et un peu du droit. Sensations étranges du membre gauche ; hyperesthésie au fr
e casque. Immédiatement, il a été pris d'une dyspnée intense avec sensation de suffocation imminente; la respiration était so
on membre gauche, alors il sent depuis le genou jusqu'au pied une sensation désagréable de picotement. Cette sensation ne se
genou jusqu'au pied une sensation désagréable de picotement. Cette sensation ne se pro- duit pas à droite. Il y a aussi une
urtout du membre droit. A cette époque, le malade avait recouvré la sensation de la défécation. L'impuis- sance génitale pers
rmés et se cramponnant aux objets environnants, pour éviter cette sensation vertigineuse. Dès qu'on commençait à le frictio
ade de l'Observation X, et ont consisté eu une dyspnée intense avec sensation de suffocation accompagnée de respiration sonor
XI). Les compagnons des malades se gardent bien de satisfaire cette sensation , et avec raison, comme on le verra dans la suit
avec raison, comme on le verra dans la suite. s). Brùlure. Cette sensation de brûlure a été remarquée une seule fois chez
it ce mode de sensibilité est en partie détruit, en partie diminué. Sensations subjectives : état frileux, fourmillement, sens
rtie diminué. Sensations subjectives : état frileux, fourmillement, sensation de constric- tion dans la partie supérieure de
are. Le malade sentie froid de la neige, l'eau chaude lui donne une sensation de chaleur, il ne suppose pas l'existence de so
sensa- tions du côté droit, mais en revanche la neige donnait la sensation de froid. Chez ce malade, on pouvait DE LA GLIO
rversion du sens de la température les objets froids produisent une sensation de chaleur et à l'inverse (OBs. IV). Nous n'avo
nt les malades se plaignent de paresthé- sies de différente sorte : sensation de refroidissement, sensibilité au froid des me
mbres, ne dépendant pas toujours du refroidissement de ces parties, sensation du froid se répandant sous la peau, etc.; parfo
rfois, au DE LA GLI011ATOSr MEDULLAIRE. 209 ) contraire c'est une sensation de chaleur et de tiédeur, allant jusqu'à la dou
sensation de chaleur et de tiédeur, allant jusqu'à la douleur, une sensation de « cuisson froide », de constriction, de corp
rescription médicale, pour com- battre une insomnie avec agitation, sensation d'angoisse, misan- thropie, à partir du milieu
tieux, dont le gros lot est la principale base. Lorsqu'un crime à sensation vient de se produire, beaucoup de névro- pathes
arrivent jusqu'aux côtes gauches. Quelques moments après, la même sensation se produit exactement au côté opposé. Ces fourm
ômes du groupe respiratoire, les douleurs atroces épigastriques, la sensation de brûlure et la soif, symptômes du groupe gast
bre gauche du malade de l'OBSERVATION X, celui-ci éprou- vait une sensation désagréable de picotements, depuis .DES ACCIDEN
t lui traverser la peau avec une aiguille sans provoquer la moindre sensation . En ce moment, le. malade ayant envie d'uriner
rs sont, dit-il, plus permanentes, plus lourdes, accompagnées d'une sensation de serrement de constriction. Elles choisissent
pas de symptômes céphaliques. Le 22 janvier est venu s'ajouter une sensation désagréable à la région sacrée, sur laquelle se
le, une région quel- conque de ce membre, le malade ressent la même sensation de picotements d'aiguille sur toute la longueur
e picotements d'aiguille sur toute la longueur du membre; la même sensation se produit par le contact. L'application du froid
duit par le contact. L'application du froid ne pro- duit plus cette sensation de picotements d'aiguilles, mais un senti- ment
nt de l'arliculation, et d'une dyspnée intense ; le malade avait la sensation d'un poids considérable qui l'étoull'ait. Pas de
st la dyspnée du malade de J'OB- SLRVATION XVIII, qui avait même la sensation d'un poids considérable sur la poitrine, lequel
quefois penchée en arrière. Parole lente, le plus souvent tremblée. Sensation intercurrente ' Voy. Archives de Neurologie, vo
68 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
'air extérieur, la main appliquée sur la jambe gauche, saine, a une sensation de frais; sur la cuisse droite (malade) une sen
saine, a une sensation de frais; sur la cuisse droite (malade) une sensation de tiède, et une sensation de chaud, au niveau de
frais; sur la cuisse droite (malade) une sensation de tiède, et une sensation de chaud, au niveau de la jambe du même côté (t
temps à l'air libre, la main ap- pliquée sur le tibia gauche a une sensation de « frais » sur la partie inférieure du tibia
« frais » sur la partie inférieure du tibia droit, elle perçoit une sensation de « tiède », et une sensation nette- ment « ch
ure du tibia droit, elle perçoit une sensation de « tiède », et une sensation nette- ment « chaude » lorsqu'on la place sur l
aryngés : après quelques brèves secousses de toux ou bien après une sensation de chatouillement à la gorge, la malade tom- ba
e inusitée ; elle dit ne pas pouvoir tenir en place et éprouver des sensations de fourmillement et de piqûres cutanées. 6 av
certaine gêne dans la déglutition et la mastica- tion ainsi qu'une sensation de pesanteur dans la région sus-sternale. La co
e resta alitée pendant trois jours, sans lièvre, paraît-il, avec la sensation d'une gêne douloureuse dans les mouvements de l
t qu'à l'exploration de la paroi postérieure du pharynx on avait la sensation que l'un des corps vertébraux fût projeté en av
s étaient caractérisées par une douleur subite et angoissante, avec sensation d'élan, siégeant dans la région rétro-sternale,
squ'à 25 ans aucune maladie, fut pris à cette époque de douleurs et sensation de froid dans le pied droit pendant la marche. En
il ressentit dans le bord interne de l'avant-bras et de la main une sensation d'engourdissement, avec picote- ments douloureu
ital au niveau de la gouttière épitrocliléenne ne provoquait aucune sensation anormale, ni aucune recrudescence des troubles mo
le rire devient alors béat, puis tu ni ? "ux, violent. Il donne une sensation de fatigue profonde. La malade met tout en jeu po
ues sont absolument indolores. Le sujet accuse simplement une vague sensation de compression au-dessus du cartilage cricoïde.
é dans l'impossibilité absolue d'arti- culer le moindre mot.On a la sensation que l'on est en présence d'un spasme produit pa
ci un facteur men- tal quelconque : pas de besoin impérieux, pas de sensation de satisfaction, la crise une fois accomplie, a
sme réflexe suffise pleinement à les produire. Il n'y a pas que les sensations tactiles qui soient susceptibles de déterminer
moins du monde. La vue 172 LEFÈVRE distraite de la fourchette, la sensation kinesthésique dans la position du bras constitu
elles. En se réfléchissant, l'excitation primitive, c'est-à-dire la sensation peut en- core atteindre le centre Il où elle se
nature et son intensité. On sait, en effet, en physiologie que les sensations retentissent sur la circulation en ré- Fic. II.
en ré- Fic. II. - A représente les cenlres récepteurs de toutes les sensations , conscientes ou végétatives, venant du monde ex
ne peinture, une photographie en chair de l'excitation. Lorsque des sensations différentes affectent.en même temps l'organisme
er au sur et à mesure que celle-ci devient plus intense, de même la sensation qui n'est qu'une excitation agit d'autant plus
xe intellectuel, nous allons saisir au moment de sa pénétration une sensation quelconque et la suivre dans tout son parcours
ent à se faire acte c'est-à-dire à se transformer en mouvements, en sensations ou en actes d'inhi- bition. Elle est démontrée
s au sur et à mesure que le cerveau se meuble de connaissances, les sensations excitatrices éprouvent de la résistance dans leur
iques conditionnées par des équivalents mécaniques des idées ou des sensations . Ajoutons encore qu'il semble, lui aussi, être
e est postérieure à la nais- sance que son développement dépend des sensations auditives. Le sourd-muet ne parle pas, parce qu
ion. Mais maintenant que l'on sait d'une ma- nière certaine que les sensations constituent des équivalents mécaniques des chos
uxième point. Si nous supposons maintenant qu'une excitation, une sensation c'est-à-dire lin mot, un écrit, un événement et
de tout comme à propos de rien. Les crampes surviennent sans cette sensation de besoin qui précède souvent l'exécution d'un
le malade est pris subitement, pendant qu'il manie la plume, d'une sensation de fatigue, accompagnée d'une roideur spéciale
de la main droite. Il commença à éprouver des fourmillements et une sensation de froid dans les troispremiers doigts de la ma
forte douleur dans les muscles de l'épaule et du bras droits, avec sensation de fatigue extrême ; il lui fallait un vrai coura
s et saillants. Les jumeaux très dévelop- pés donnent au toucher la sensation de noyaux irréguliers, les uns très durs, les a
miers troubles de la maladie actuelle. Ils se manifestèrent par une sensation douloureuse et diffuse à tous les os. Bien que
a les rugosités d'une peau d'orange. Au toucher, la pean donne une sensation de fermeté, d'élasticité ; elle est très épaiss
races. Des symptômes névritiques il ne restait plus qu'une certaine sensation douloureuse à la pression du nerf médian et du
d il écrivait, quand il « créait ». Dans ses travaux de copie cette sensation disparaissait, mais pour ÉTUDE SUR LES CRAMPES
l définit ce qu'il éprouve alors de la façon sui- vante : c'est une sensation à la fois de faiblesse et de raideur dans les doi
uleur dans le membre supérieur droit ; il accuse seulement quelques sensations pares- thésiques dans l'avant-bras et dans la m
lignes par jour très correctement, éprouvant quelquefois encore une sensation de raideur dans les doigts et le bras, mais trè
et augmen- tés de volume. Le cancer plenro-pulmonaire détermine une sensation très pénible de constriction et de resserrement
es suivants : La dyspnée est intense, accompagnée de polypnée et de sensation de suffo- cation ; la respiration rappelle par
ase initiale ont été les symplômes bien connus.et partout décrits : sensation générale de malaise et d'abatte- ment, fièvre,
» mais sans difficulté de res- pirer ; en même temps elle a eu une sensation de chaleur dans les membres inférieurs, et elle
'mouvements extrêmement réduits dans le membre inférieur droit. La sensation de chaleur avait alors disparu. Le même soir la m
ut sentir des piqûres faites avec la pointe d'une épingle, mais ces sensations sont moins distinctes que plus haut sur le thorax
re de Potain est de 12. La malade se plaint t de palpitations et de sensation d'oppression à l'occasion du moindre effort. Ap
que. Archi- ves générales de Médecine, 1900, i, p. 641. (2) Féré, Sensations el mouvements, Paris, 1887. (3\ JACQUI'I, Mémoi
des muscles du corps et des extrémités est exagérée. Sensibilité : sensations subjectives de douleur dans la partie supérieure
raquement dans l'épine dorsale, au niveau de la région lombaire. La sensation que le malade éprouva en ce moment, fut telle q
bital des deux mains. Sur la face antérieure de la main droite, les sensations thermiques ne sont presque plus perçues : la cha-
et examinée, l'inefficacité de la cure iodurée, l'absence de toute sensation douloureuse, l'absence de pléiade ganglionnaire
e soir une forte fièvre ; alors il était anxieux et par suite d'une sensation vague et désagréable au milieu du dos il ne pou
ntractent. Ainsi la respiration est très insuffisante,le malade a une sensation de dyspnée et ouvre largement la bouche à chaqu
nose. N'ayant point du tout la conscience troublée, le malade a la sensation très nette qu'il va mourir d'une suffocation ca
n de fortune pri- vilégiée permet d'épuiser rapidement la gamme des sensations se créent de toutes pièces la mentalité infirme
se maintenir debout quelque temps; mais il a du vertige et il a la sensation que tout tourne autour de lui. Quand il passe
trait dans l'ar- ticulation des genoux.Plus tard il s'aperçut d'une sensation de rigidité en mar- chant ; celle-ci, toutefois
il marchait comme une recrue. L'année suivante, le patient nota une sensation de faiblesse dans tout le membre inférieur droit,
s froid et il en a beaucoup souffert. Le 7 octobre il a éprouvé une sensation d'engourdissement aux extrémités des doigts. Le
sauf le soir du 8 octobre, 37°9. Etat le Il octobre. - Un peu de sensation d'engourdissement aux doigts. Une parésie très
sse des membres inférieurs a commencé et en même temps une certaine sensation de raideur des articulations des membres inféri
septembre, il a senti des dysesthésies aux jambes et aux pieds, des sensations de fourmil- lement et de picotement, mais pas d
été obligé de rester au lit. Pendant le même temps il a éprouvé des sensations de fourmillement aux mains et une faiblesse des m
périphériques, les orteils et les bouts des doigts, par exemple des sensations d'engourdissement, de fourmillement ou de picot
nsations d'engourdissement, de fourmillement ou de picotement ou la sensation que les téguments y sont recouverts d'un corps
mal. qu'une sorte de registre sur lequel vont s'inscrire, grâce aux sensations dont ils sont l'origine, tous les actes instincti
ctes qui re- lèvent de l'instinct, mais ce sont ceux-ci qui, par la sensation que leur réalisation fait naître, deviennent la
tue une sorte de registre sur lequel viennent s'inscrire toutes les sensations , seule source des idées, L'équilibre organique
nent en outre sur ce que les autres font et qu'ainsi il perçoit des sensations dont le terme idée est un équivalent psychologiqu
. L'individu n'est conscient de ce qu'il fait que parce qu'il a des sensations et la preuve, nous la trou- vons dans ce fait q
cun esprit positif, qu'une activité vitale quelconque, mou- vement, sensation ou pensée relève d'un substratum et, par conséque
lexe, la sensibilité se transfor- me mécaniquement en mouvement, en sensation nouvelle ou en acte d'inhibition, en vertu des
stomac, la muqueuse est impressionnée d'une façon adéquate et cette sensation est conduite par une cellule ner- veuse avec se
borer les sucs digestifs. Bref, par une suite de communications, la sensation initiale agit sur une cellule sensi- tive qui r
tte et cherche à se débarrasser de la substance irritante. C'est la sensation elle-même qui a mis les pattes en mouvement grâ
de l'activité de l'autre. Cette cause réside évidemment dans les sensations qui naissent du mou- vement vital et dans les e
s matières fécales, il se vide automatiquement. Ce sont de même des sensations viscérales ou cutanées qui déterminent les contra
s qui leur sont destinés, la préhension des aliments provoquent des sensations qui sont reçues, enregistrées et perçues. A ce
isitions que le cerveau enregistre et perçoit, dans la me- sure des sensations qu'il reçoit successivement par l'intermédiaire d
69 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
épublicaine et à Saumur, dépassent au contraire la mesure et, avec la sensation de lourdeur qu'elles inspirent, surtout les derni
donc donner une description certaine. « J'éprouve tout d'abord une sensation bizarre, indéfinissable, dans la main droite ; pu
es tournantes, pendule explorateur, cumberlandisme avec contact), les sensations et la mémoire inférieures (fausses divinations, c
sentiment triste se trouve considérablement atténué et dominé par une sensation reposante. La couleur jaune est, elle, une coul
lus sur la population cette impression d'incomplet, de décousu, cette sensation inexprimable de déshabillé, de lâché, de vague ma
s successives, les images et les idées que le sens visuel produit par sensations synchro-niques . Ajoutons que, chez les aveugle
n mystique et croyance aveugle à sa mission ; phénomènes miraculeux ; sensations érotiques latentes ou apparentes ; symptômes nerv
t de place dans un lieu étroit ou dans un souterrain, etc. Toutes ces sensations s'expliquent le plus naturellement du monde par l
rtir les caractères fondamentaux : 1° faiblesse de transformation des sensations en idées ; 2° diminution du pouvoir de création ;
se, d'autant que la malade prétendait instamment qu'elle avait eu une sensation spéciale au moment de l'injection ; que celle-ci
es, par exemple, l'existence du monde extérieur, l'objectivité de nos sensations , la permanence et l'unité du moi, la réalité de l
idéaliste de la connaissance vous empêchera de sortir de vos propres sensations subjectives. Les problèmes que je viens d'énonc
que nous agissons comme si le monde extérieur existait, comme si nos sensations avaient une valeur objective, comme si l'espace é
s'il n'a jamais entendu cet air. De même » ordonnez-lui d'éprouver la sensation de brûlure et les phénomènes somatiques qu'elle c
, aucune rougeur n'apparaît ; J. K. éprouve seulement une très légère sensation de chaleur. Réveillé, il confesse que, non seulem
Par conséquent, la suggestion expérimentale ne doit solliciter une sensation et son trouble trophique concomitant que si Vune
Les larmes ne sont donc pas l'apanage de l'espèce humaine. Les mêmes sensations produisent chez les animaux et chez l'homme les m
ient dans cette catégorie les individus incapables de se souvenir des sensations ressenties, qui n'avaient aucune habileté manuell
manière particulière : un certain nombre de phénomènes élémentaires — sensations et images — cessent d'être perçus et paraissent s
pinion de M. Sollier, mais c'est précisément sur les réactions et les sensations des centres modifiés, comme nous allons le voir q
, d'oppression, de palpitations cardiaques, de transpiration et d'une sensation pénible dans les yeux, comme après une lecture pr
'impulsions, d'idées et de phobies obsédantes. Dans son travail « Les sensations externes et internes ; leur influence sur le cara
Chez mes deux malades, la phobie obsédante a pu germer aux dépens des sensations internes, qui, dans certaines conditions, s'assoc
avoir pour objectif principal, d'une part, d'amender l'intensité des sensations ressenties et, d'autre part, de suggérer qu'il es
théorie de l'obsession. (Arch. de Neurol., avril i902). D. Dril : Les sensations externes et internes ; leur influence sur le cara
ont l'expression de la névrose. Au premier groupe appartiendraient la sensation de boule, l'hyperesthésie de certaines parties du
écanisme de production des divers syndromes hystériques. Une série de sensations correctrices, psychiques, motrices, sen-sitives,
rapport immédiat avec les pensées, les représentations mentales, les sensations , surtout émotives... Le désordre du moi de l'hyst
le lendemain elle était toute couverte de rougeurs s'accompagnant de sensations de brûlure. Elle fut reçue à l'hôpital, où on la
06 se produisit une crise particulièrement violente, annoncée par une sensation d'étouffé ment, et au sortir de laquelle Alexandr
ce d'or étant alors appliquée sur le coté gauche du front produit une sensation de brûlure ; la .sensibilité à la piqûre reparaît
èce d'or sur un point quelconque de la peau ne provoquait plus aucune sensation de brûlure. Cet état de parfait équilibre s'est
son d'autres symptômes se rattachant à la même cause. Hémianesthésic, sensation spéciale due au contact de l'or, ont disparu en m
aris) Nous désignerons, sous le nom de paresthésie pharyngée, toute sensation erronée ayant pour point de départ ou pour abouti
pour point de départ ou pour aboutissant le larynx. Suivant qu'il y a sensation sans objet, ou mauvaise interprétation d'une lési
r de ¦ leur maladie. En clinique on a le plus souvent affaire à des sensations de fausse présence : le malade croit avoir dans l
es arthritiques, certaines toux nerveuses, ont la même origine. Cette sensation de corps étranger est ordinairement fixe ; rareme
; rarement elle se déplace, à la façon de la boule hystérique. Les sensations d'obstruction se rapprochent de la précédente. Lé
fonctionnelles. Lorsque le pharynx nasal est le point de départ des sensations maladives, il peut se produire une phobie respira
une crise d'asthme parfois des plus violentes. La localisation de la sensation erronée peut ne pas être en-rapport avec le siège
violentes douleurs dentaires. D'autres fois, les malades accusent des sensations d'ardeur, de sécheresse, qui peuvent donner naiss
écrétoires, fréquents chez les nerveux. C'est parmi les porteurs de sensations douloureuses que se recrutent (1) Rapport à la
bénigne, qui comprend les cas banaux et journaliers, il n'y a qu'une sensation de gène, sans obscurcissement de la conscience, n
anxiété morbide. Les amygdales sont souvent le point de départ de ces sensations erronées, qui sont généralement curables. Dans
s résultent d'une excitabilité du grand sympathique, qui fait que des" sensations qui, chez un sujet normal, sommeillenldans l'inco
lenldans l'inconscient, envahissent la conscience de nos malades. Ces sensations , souvent étranges, aboutissent à des obsessions,
un organe plus ou moins éloigné (foie, estomac, utérus, reins). Une sensation à point de départ pharyngée ne constituera une pa
aresthésie que si le malade, à force de fixer son attention sur cette sensation finit par ne plus pouvoir l'en distraire. A côté
e, est susceptible d'exagérer la phobie ou de substituer une nouvelle sensation maladive à l'ancienne. On obtient souvent d'excel
70 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ait s'opposer à l'émission des sons, il éprouvait en même temps une sensation de constric- tion à ce niveau; d'après ces rens
ne, deux, trois secondes environ, rigi- dité qui s'accompagne d'une sensation spéciale parfaitement perçue par le malade, et
is de la difficulté à ouvrir convenablement la bouche et éprouve la sensation de raideur dans les muscles des mâchoires et da
l'exécution même du mouve- ment ; ce phénomène est accompagné d'une sensation spéciale à laquelle le malade ne se trompe pas,
vidus sains. Ce qui gêne surtout le malade, ce n'est donc pas cette sensation , mais bien l'impotence fonc- tionnelle causée p
utres muscles complètement atro- phiés; il n'y a pas non plus cette sensation de spasme tout à fait caractéristique. Si, ma
moyen de pressions douces exercées sur la surface tympanique, une sensation sonore provoquée au con- tact du diapason la 3
être ronde a résisté. On obtient donc ainsi une sorte de gamme de sensations correspondantes aux divers états de l'appareil
isse. Epreuve des pressions centripètes : Belles variations de la sensation à droite; à gauche, extinction brusque du son du
ues phénomènes curieux : des engourdissements de tout un côté ; une sensation de froid dans la cuisse; des douleurs dans la v
s pas du tout parles os du crâne; le diapason placé au vertex donne sensation maximum du côté non blessé. Epreuves par les pr
l y eût le moindre retard entre l'excitation et la perception de la sensation provoquée. Aussi était- il facile de déterminer
ec la taille géné- rale du malade. Par la pression on éprouvait une sensation spéciale de tissu lardacé, sans imprimer sur la
maux de tête. Puis surviennent les phénomènes de l'aura hystérique, sensation de boule à la gorge, serrement à l'épigastre qu
dant quelques instants, commence à se sentir défaillir. Elle a la sensation de la mort qui approche, et se produit alors le
du nerf olfactif ne 'provoque ni douleur, ni réflexe, mais bien une sensation odorante phosphorée; même constata- tion cliniq
ne d'urine, l'incertitude de la démarche, le signe do Romber- et la sensation d'engourdissement dans le nerf cubital gauche.
t vaste externe con- sidérablement aplatis à droite. Formication et sensation vel- 103 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vétiqu
e des accidents neuf jours après, avec tendance à tomber à gauche : sensation de froid dans la moitié gauche de la face, dévi
r droit. Jamais de perte de connais- sance ; céphalalgie fréquente; sensation de pression sur la tête. La marche est un peu i
accidents de cette nature et eu particulier dans le vertige avec sensation de translation, du type de celui de Ménière. De
écoulement d'oreilles, ni battements, ni bourdonnement. La seule sensation qui tourmente le sujet, c'est la surdité, il n'en
e, état demi-syncopal, la face se porte du côté opposé; angoisse et sensation de rotation. Enfonçure énorme et opacité du tym
e médecin récolte les dires du malade et note les modifications des sensations auditives que le sujet a éprouvées. J'ai cherch
tions concorder avec chaque poussée ; il y a désac- cord entre les sensations éprouvées par le sujet et par l'opérateur. Et
r, le son du diapason frontal cesse d'être perçu, et aussitôt une sensation de vertige traverse la tête du sujet, et le rend
tige traverse la tête du sujet, et le rend hébété et étourdi. Cette sensation se répète à volonté ; et l'exa- men en ce sens
ns effectuées, le sujet n'éprouve rien de tel, ou tout au moins des sensations particulières, nées de l'ébranlement labyrin- t
tripètes, onze fois celles- ci ont amené l'extinction brusque de la sensation du son du diapason posé sur le front (bosse fro
e. Dans les cas où les pressions ont causé des varia- tions dans la sensation sonore ou éveillé le vertige; souvent aussi le
de l'épreuve. A l'état sain il y a concordance complète entre les sensations variées soit du sujet, soit de l'observateur. T
gnait d'étouffements, de palpitations cardiaques et éprouvait la sensation d'une boule remontant à la gorge. A partir de ce
douleurs frontales, marquées surtout au niveau de la tempe droite ( sensations de coups de marteau); c'est à ce niveau de L'HY
la main. La parole devient déplus en plus difficile et entrecoupée. Sensation de boule à la gorge et fré- quents mouvements d
es, ulté- rieurement, des accès de troubles psychiques, précédés de sensations spéciales, durant plusieurs jours, se présentan
rtir de ce moment, on ne constate qu'une fois, en janvier 1882, une sensation d'oppression pénible à la région précordiale. L
il >( 1, 1-, ' ;j~ laie et pariétale ascendantes, à l'égard des sensations de contact. Pour Munk et, Tripier, .en effet, l
mne. Il fait tous les mouvements ? ' . , ' , Elle se plaint d'une sensation d'engourdissement s'étendant à tout le membre i
ieur est le même qu'au début ? , '. 8 avraZ. = Elle se plaint d'une sensation , du brûlure dans toute la jambe' gauche ! Elle'
uche ; d'abord simple parésie, mais bientôt paralysie to- tale avec sensation de, froid aux extrémité^ des doigts en'même tem
s, tabétiques se sont montrés, il a a onze ans. Ils consistaient en sensations douloureuses aiguës, 'au"niveau dé- la réâiôn'd
lômbaire et de la'colonne verté- t brale : tC'étaient surtout'des : sensations de-i-oiîgeïi2ent qui surve- , liaient par crise
r aucune · " , ' UJJ^ir'jll ilU ? ljVlll ? «tlLlill.lJj, ,IJI ? I sensation . f; ,jnJJifl l"fll '1 . L l 1 in ·J J'iJE f . '1
ccompagnée )d'abord de chaleur, érythème, transpiration, puis d'une sensation defroidsubjective ayeCjCyanosp et état blafard
nt n'intporte oil, vuirehemlant ses examens, et sont précédés d'une sensation de malaise général souvent ac- compagné de batt
s sujets en ques- tion. M. Kirn consacre- enfin quelques pages à la sensation sexuelle inverse ', dont il apporte deux nouvel
esponsabilité complète dans le second. P. K. XXI. Contribution A la sensation sexuelle contraire AU point DE vue \IliDICO-LI;
posé'; l'attraction est telle que l'indi- vidu éprouve les pensées, sensations , aspirations du sexé'-qu'il1 devrait, avoir,aur
? ^j»1» ? »;. 1lw..l. 1, i » . cividu avec tous les attributs d une sensation naturelle ? puis7, ? .», ? i, ,.i fiRii ? ).[') n
peur aiguë, manie), par parli.pris (folie morale), par angoisse et, sensations irrésistibles (lypémanie),par motif psychique e
procède pu de la réflexion (délire), ou des hallucina- tions, ou ne sensations pénibles (action réflexe); 'en' tout cas) il' fau
nomoi. ? ? Uffiflin ? 11. -Iliffiif ,1 o-r/,9.n ? ? )).rt) 1 ses sensations propres d origine'' locale ou excentrique; I)atgo
mais plus souvent de l'hyperesthésie : les malades se plaignent de sensations douloureuses internes; ils ont une aversion spé
pposition avec ceux de la première phase. Les malades éprouvent une sensation de bien-être général; ils ont de l'appétit, pre
71 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
(Pitres) (résumé) '. Légal, soixante-six ans; le 22 novembre 1875, sensation d'en- gourdissement dans les membres du côté dr
Vertiges sans perte de connaissance et que le malade compare à une sensation d'isolement. Il voit encore lalumière. mais ne
es et cloniques, sommeil prolongé. Les vertiges sont précédés d'une sensation vague, qui pré- vient le malade. Les grands acc
n- complets. Ils seraient précédés d'idées noires, d'une sorte de sensations d'étouffement ; puis la malade perd connaissance,
les à cheveux dans la peau, sans éprouver de douleur. En outre, les sensations sont confuses : les deux pointes d'un compas as
l'une de l'autre (7 à 8 centim.) ne donnent presque partout que la sensation d'une seule piqûre et encore est-elle souvent t
les très graves de la sensibilité générale donnant lieu à autant de sensations fausses ou faussement interprétées. De toutes l
s ou des préoccupations exagérées sur l'état de la santé, sur des sensations maladives de toute nature auxquelles s'associent
se montrent les accès suivants : au milieu de la meil- leure santé, sensation de tension sus-larsngienne siégeant immé- diate
iopathique du crémaster tout aussi inexpliquée qui, elle, cause une sensation de contraction locale ex- trêmement pénible. Gu
dans le dos et l'arti- culation du pied droit, pesanteur de tête ; sensation de faiblesse générale et de débilité. Vingt-neu
expériences, celles qui étaient capables de rendre compte de leurs sensations n'ont accusé aucun trouble et ne se souviennent
aura sensitive, consistant en une douleur très vive analo- gue à la sensation produite par une décharge électrique, et locali
s par leur état, ils se concentrent en eux- mêmes, amplifient leurs sensations , par exgération du sens émotif, et presque cons
ûfrplils`rien'luiaurivér'de pis. Dans lc9soui'ire's'areastiqucy la' sensation do plaisir est fournie' par la conscience qu'a l'
ale en ce sens que ce dernier pro- voque la formation de pensées et sensations fausses; souvent, par exemple, chez les déments
identique compliqué de formica- lions dans la main gauche et d'une sensation veloutée toute par- ticulière sur la peau de l'
oit l'amblyopie de j'ceu gauche, les formications de la main et les sensations de la région auriculaire du même côté, ainsi qu
les. 260 VARIA. avec des ceintures : on évite ainsi au patient la sensation de froid produite par l'humidité du réceptacle.
e tous leurs muscles sont également atteints. La palpation donne la sensation caractéristique de la pseudo- hypertrophie : il
e- nons de plus précis, c'est que les accès sont annoncés par une sensation de strangulation et qu'ils s'accompagnent de pert
lée». Plusieurs fois aussi après les attaques, Ang... a éprouvé une sensation de vertige. « Je tombe », nous disait-elle, la
r occupant le milieu du crâne et se propageant des deux côtés, avec sensation de battements au niveau des points douloureux,
s l'aura, exécute plusieurs mouvements de moulinet. De l'épaule, la sensation qu'il éprouve et qu'il dit très difficile à dé-
auche et la face se dévierait du même côté. Grar... éprouverait des sensations de traction dans l'a;il gauche qui se porterait
lusions suivantes. Il existe, pour la perception dans l'écorce, des sensations tactiles, du sens musculaire, des sensations do
n dans l'écorce, des sensations tactiles, du sens musculaire, des sensations douloureuses, des centres spéciaux, situés au voi
PHYSIOLOGIE. 323 nage de la zone motrice. Les centres destinés aux sensations tac- tiles gisent immédiatemeut en arrière et e
ehors du champ moteur; ceux qui président au sens musculaire et aux sensations douloureuses occupent une région qui surmonte l
née des groupes musculaires qui entrent enjeu pour l'expression des sensations de divers ordres, expression spéciale à chaque
trois ans et neuf ans après la ménopause. Les crises consistent en sensation classique de la boule hystérique, en éructations,
des paralgésies et une diminution considérable de tous les modes de sensations . La névrite est-elle la cause, est- elle une co
s. Le bain fa- radique (IV) détermine, à la surface de la peau, des sensations de picotements, démangeaisons, élancements, brû
qui estimmergée). Tous deux en- traînent, à six milliweb.,les mêmes sensations que suprci, quelles que soient les modalités du
eu plus d'acuité dans les deux modes d'intervention. On obtient des sensations gustatives et vi- suelles à l'aide de très faib
lobe droit sensiblement plus petit, aplati, donnant au toucher une sensation de dureté, de den- sité, évidemment en état de
ts états d'hypnotisme, soit une exaltation, soit une dépression des sensations et des sens spéciaux. » R. M. C. XLIV. CONTRI
ieut être confondues avec des mouvements réflexes consécutifs à une sensation tactile violente et propagée, Hitzig répond qu'
ements d'oreilles et de la dysacousie, un défaut de perception, une sensation de chaleur ou de froid dans la tête, des vertig
savoir quelles sont les cellules qui se font les intermédiaires des sensations olfactives. M. Zacher (d'Heidelberg). Sur les a
nnaissance (accès d'angoisse et d'oppression, terreur nocturne avec sensations spasmodiques, aura motrice et sensitive, etc.)
cillants, ils se plaignent presque sans exception de toute sorte de sensations nerveuses (battements de ceeur, tremblements, c
tions de l'être avec le mi- 390 BIBLIOGRAPHIE. lieu extérieur. La sensation résulte de l'excitation de l'organe psy- chique
l'arrêtant, le transforme de diverses manières, de là les diverses sensations et les différents actes. En tout cas, la sensib
e la sensi- bilité, avec les dysesthésies. Les unes portent sur les sensations ou les sentiments d'origine sensorielle pure, l
orrespond le syndrome mélancolie. Il va de soi que, de même que les sensations normales donnent naissance à des idées normales
les sensations normales donnent naissance à des idées normales, les sensations anormales donneront naissance à des conceptions
72 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
vre supérieure et la lèvre inférieure, le menton, accompagnés d'une sensation de froid mais sans changement de coloration. Da
, 4e etc. division, jusqu'à ce que le malade accuse net- tement une sensation de douleur. Pour contrôler les indications du mal
at de deux piqûres. Tous les endroits de la peau ne donnent pas une sensation de douleur de la même qualité. Dans les plis en
r au malade qu'on ne lui demande pas de préciser le caractère de la sensation .' 11 suffit qu'à mesure que la pointe de l'aigu
e, le malade puisse indiquer exactement le moment, pour traduire la sensation par les mois : « ça fait mal ». Si la piqûre es
uite de l'effet analgé- sique de la pression. Cependant la première sensation de douleur aura produit assez d'impression, pou
Une autre remarque s'impose. L'algésimètre peut donner lieu à deux sensations distinctes : la pression et la douleur, qui se ma
n peut diminuer la douleur, et la douleur peut faire disparaître la sensation de pression. Dans ces phénomènes la perception
nsation de pression. Dans ces phénomènes la perception physique des sensations joue certainement un rôle important. Mais n'imp
physiologiques -distinctes, mais situés dans le voisinage. Entre la sensation douleur et la sensation tactile, il n'existe que
es, mais situés dans le voisinage. Entre la sensation douleur et la sensation tactile, il n'existe que des différences de qua
sensation tactile, il n'existe que des différences de quantité; la sensation de pression se trouve entre les deux. La sensa-
l'attouchement devient une pression. C'est pour cela que toutes ces sensations devraient être exprimées en poids. La particulari
s jusqu'à présent, il n'existe au- cune relation constante entre la sensation à la douleur et les sensations thermiques, tact
au- cune relation constante entre la sensation à la douleur et les sensations thermiques, tactiles, de l'espace et de la pres
TnS(1vt11, d'après le travail de Water Pacht (1). L'intensité des sensations douloureuses n'est pas partout en propor- tion
ntages de mon appareil sont les suivants : il permet d'exprimer les sensations douloureuses en chiffres. Les résultats peuvent ê
se particulière de la part du malade pour déterminer le début d'une sensation douloureuse. L'examen peut être fait pendant qu
sion du tendon rotulien. Habituellement, elles s'accompagnent d'une sensation douloureuse. Des contractions fibrillaires semb
ession des muscles des mollets développe chez lui des douleurs, une sensation de brûlure, de pétillement au niveau des mus- c
de l'engourdisse- ment, des fourmillements aux pieds, ou encore des sensations anormales dans le rectum (sensation de brûlure,
ments aux pieds, ou encore des sensations anormales dans le rectum ( sensation de brûlure, ou de corps étranger, de ténesme).
l'observation a été publiée par Bernhardt, de Berlin, éprouvait la sensation voluptueuse que développent les rapports sexuel
s possible, même dans un organe par- faitement sain, de trouver des sensations qui ne s'étaient jamais accusées jusque-la ; la
la crainte permanente se portant sur cet organe peut faire que ces sensations vagues se transforment en une véritable douleur.
ne reste pas localisée ; outre les phénomènes de l'aura propagée : sensation de strangulation, troubles céphaliques, etc., ell
le mamelon s'érigeait. Toute la région était devenue le siège d'une sensation de cuisson avec picotements de la peau et élancem
re; il fallait un con lad prolongé ou brutal pour y pro- voquer une sensation peu douloureuse de chatouillement (lig. 24 et 25)
ue dans le territoire cruro-fessier l'anesthésie est absolue et les sensations tactiles, douloureuses el. thermiques entièrement
ièrement abolies, dans le territoire ano-périlléo-scrolal ces mêmes sensations sont au contraire simplement affaiblies. Il s'a
Il a bien l'érection normale mais il n'éprouve pas dans le coït de sensation voluptueuse. Il n'a pas davantage conscience de l
la sensibilité, transmettant au système nerveux central toutes les sensations extérieures de douleur, de tempéra- ture etc.
pé- rieures. Les courants faradiques ne provoquent pas la moindre sensation douloureuse. (Fig. 47) En comparant ensemble le
s, ces lèvres pâles, ces mains blanches et ces bras amaigris, cette sensation de brisement du corps que l'on devine et celte rê
une trace de grattage, sans oedème. Elles ne sont le siège d'aucune sensation morbide, mais la sensibilité y paraît normale ;
ensibilité, en par- ticulier, ne présentait aucune altération : les sensations périphériques étaient normalement perçues. C'es
pas il comparer le serrement de la gorge qui les accompagnai it la sensation qu'éprouvent les hystériques pendant les phénom
, Trousseau (4) trace le tableau suivant : « L'individu éprouve une sensation de fourmillement dans les mains et dans les pie
déjà signalés : insomnie, rêves, cauchemars, caractère irrégulier, sensation de boule, étouf- fements, bâillements. Stigma
fements, bâillements. Stigmates hystériques. Sensibilité cutanée : sensation de contact con- servée. Douleur. Diminution g
le sens musculaire est aboli. - Subjectivement la malade accuse une sensation très intense et très per- sistante de froid qui
fficulté à marcher, ses jambes ployaient sous elle et elle avait la sensation de mar- cher sur un corps mou, par conséquent u
même façon que la droite, sans autres phénomènes douloureux qu'une sensation assez pénible d'engourdissement et de fourmilleme
de la sensibilité sont également atteints : le tact, la douleur, la sensation de température, la sensibilité profonde, le sen
é cutanée abolie aussi bien pour le tact que pour la douleur et les sensations thermi- ques, et dont le mode de distribution,
rois métalliques de la sonde, le malade accusa seulement une légère sensation au niveau du méat, la région membraneuse n'étai
73 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt la malade a débuté il y a trois mois : elle éprouva une nuit une sensation d'engour- dissement dans tout le membre inférie
chatouillement, surtout celui de la plante du pied, sont suivis de sensations désagréables et de secousses cloniques. Aucun
ur cette région provoque des mouvements de défense énergiques, sans sensations d'aura. C'est une zone hyperesthésique et non h
ais elle dit que de temps en temps elle éprouve dans les genoux une sensation particulière qui lui fait croire que les membre
la mamelle gauche existent deux zones hystérogènes déterminant des sensations d'aura, et des attaques. Celles-ci sont ainsi con
es crises nerveuses ainsi constituées : battements dans les tempes, sensations de constriction dans la gorge, puis perte de co
A la main droite sur ses deux faces, le froid ne donne plus qu'une sensation de contact, le chaud est à peine perçu et plutô
ation de contact, le chaud est à peine perçu et plutôt encore comme sensation de contact. Aux doigts et sur- tout à partir de
it plus du tout la chaleur. On peut le brûler sans qu'il accuse une sensation outre que celle du con- tact. A la main gauche
que le long du trajet des autres nerfs. Il n'y a pas de retard des sensations . D... raconte en outre, que depuis '18"/7 il re
hial. Enfin D... se plaint d'avoir, depuis quelques semaines, une sensation de poids, de gêne, parfois des élancements au niv
'anormal dans la sécrétion sali- vaire. Le malade n'accuse aucune sensation subjective; il n'est gêné que par l'abondance d
albl., 1886.) 11 arrive souvent que chez un paralytique général, la sensation d'une piqûre d'aiguille soit au moment même exa
ertébrale à droite et à gauche, il aboyait, grondait, percevait les sensations en tous les points du revêtement cutané; il ne
; dans le côté gauche il éprouvait une douleur sourde, un poids, la sensation qu'on éprouve à une forte tension musculaire et
e rapproche de la ligne moyenne du côté droit apparaît d'abord la sensation de chaleur et des deux températures sus-indiqué
à percevoir d'abord la t° de + 50°, qui ne donne au malade qu'une sensation de tiédeur, mais du côté gauche au contraire, l
férents symptômes indéfinis subjectifs et faisait attention à ses sensations d'une façon peu habituelle aux gens de'sa class
nt d'une sen- sation plus forte du froid à l'épaule droite; cette sensation a été remplacée par un sentiment de constrictio
ste elle était très peu accusée. On n'observa pas de perversion des sensations thermiques. Le degré de la thermo- anesthésie p
droit; sa jambe lui semblait étrangère, il y éprouvait une certaine sensation qui la lui faisait paraître plus lourde. En été
'altérations subjectives : le malade se plaint éter- nellement de sensations indéfinies dans les membres droits qui tiennent
s parties périphériques ; mais ici également la piqûre provoque une sensation de douleur. Le sens de la température est très
jectifs sont demeurés dans le même état. Hypocon- drie marquée; des sensations diverses sont éprouvées dans le dos et le ventr
ré plus ou moins considérable et pour plus ou moins longtemps. La sensation vague de douleur existant pres- que continuelle
elle perçoit la différence entre 32 et 26°, car 32° provoquent une sensation de chaleur et une t° de z6^ ne la provoquent po
ement simultané fait sur deux espaces interosseux ne donne que la sensation d'un seul attouchement. L'attouchement du tendon
40°, entre 0 et 40°. Aucune de ces températures ne provoque ici de sensations spécifiques de chaleur et de froid. Le thorax e
le malade a passé à l'hôpital il se plaignait de toute une série de sensations subjectives : tantôt de céphalalgie, tantôt d'a
général il suit, avec attention extraordinaire chez un ouvrier, les sensations les plus insignifiantes et se plaint de quelque c
ce malade aussi nous a fait entendre toute une série de plaintes de sensations indéfinies et pas bien accusées; on n'entend de
e beaucoup de battements de coeur, mais j'éprouve en même temps une sensation de douleur et de soulagement à la fois de- puis
Polyurie. En 1880, douleurs en ceinture . Incertitude de la marche. Sensations de gonflement des pieds et de dénivellement. Si
voir fait de travaux pénibles Pur.. éprouvait de temps en temps une sensation de fatigue qui augmentait rapidement et l'oblig
l s'écoulait quatre ou cinq jours entre deux crises successives. La sensation de cour- bature siégeait uniquement dans les lo
ait ; il n'avait plus d'équilibre. Ses pieds étaient le siège d'une sensation bizarre ; ils lui paraissaient tou- jours enflé
sembla que le sol était mou «comme du coton ». Enfin il éprouva une sensation encore plus désagréable qu'il décrit sous le no
a une sensation encore plus désagréable qu'il décrit sous le nom de sensation de dénivellement, et dont voici les caractères
ait marcher les yeux- fermés, ses jambes se dérobaient sous lui, la sensation de dénivellement augmentait et, en fin de compt
suite de rêves érotiques ou même sans rêves, et non accompagnées de sensations voluptueuses. Vers la fin de 1880 et le commenc
s-cutanée, ni de troubles trophiques de la peau ou des ongles. La sensation de position des membres inférieurs est bien con-
l reconnaît les posi- tions qu'on leur donne, mais il dit que cette sensation est un peu lente à se produire. Tandis qu'il sa
ambes sont perçues avec un léger retard et avec un dédoublement des sensations par suite duquel le malade per- çoit d'abord un
e phénomène du dédoublement des perceptions qu'il faut rapporter la sensation de dénivellement, qui contribue pour une large
cas, si on fait marcher le malade sur les genoux il éprouve la même sensation d'affaisse- sement du sol que lorsqu'il appuie
ymptômes constatés en 1881. La démarche est toujours incertaine. La sensation de dénivellement persiste. Le signe de Romberg
s avec des retards considérables et de grosses erreurs de lieu. Les sensations de chaleur sont mal appréciées. Un jour, le mal
e ; toutefois, en passant le doigta leur surface, on a nettement la sensation de crêtes successives ; en avant sur le bord ci
conserver indéfiniment (plus d'une demi-heure) sans tremblement, ni sensation de fatigue les positions que l'on imprime passi
ansformé la personne (aberration des processus intel- lectuéls, des sensations ); tantôt on a affaire à une prédisposition psyc
pagnent les changements dans la pigmentation, et donnent lieu à ces sensations . Le Dr Yiuaur a montré que, chez les aliénés, o
que-là, le malheureux persécuté s'est maintenu dans les limites des sensations vraies sur lesquelles il a fondé ses in- ductio
74 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
, l'influence parfois remarquée de la volonté sur sa production, la sensation de plaisir qui l'accompagne le plus généralemen
qu'il pouvait s'en souvenir. La rumination, toujours précédée d'une sensation de plénitude à l'épigastre, commençait environ
les aliments : avant la rumination, cette dame n'éprouve jamais de sensation de plénitude stomacale. La rumination se pro- d
Sommeil tranquille. Une demi-heure ou une heure après le repas, une sensation de plénitude dans la région du cardia l'obligeait
fet chez le malade la pro- duction de la rumination. Bientôt légère sensation de poids dans l'épigastre qui se soulère un peu
deux la fonction était volontaire et s'accompagnait d'une véritable sensation de plaisir. ' Froriey's Notizen, t. XLV, p. 337
s aliments ne remontent pas spontanément; mais alors il éprouve une sensation de gêne à l'é- pigastre qui l'engage provoquer
préférence cer- tains mets, uniquement dans l'attente de l'agréable sensation qu'ils lui procureront lors de la rumination. Q
trouvé le ballonnement abdominal signalé dans le fait précédent. La sensation de plénitude à l'épigastre, dont il est parlé d
e n'exprime habituellement ni peine ni plaisir. 11 ne manifeste ses sensations que dans un seul cas et d'une seule manière. Lu
umination, gâtisme. La sensibilité générale est conservée, mais les sensations sont perçues assez lentement. Les sens spéciaux
és l'un de l'autre. « Le vomissement, dit Longet, s'annonce par une sensation par- ticulière qui est la nausée, sensation acc
nget, s'annonce par une sensation par- ticulière qui est la nausée, sensation accompagnée de malaise et d'anxiété générale. I
tout dans la grande courbure de l'estomac, c'est la différence de sensation que j'éprouve dans cet organe dans le mérycisme
conservèrent toujours leur goût naturel. Le patient n'avait pas de sensation de malaise après la rumina- tion, mais la malad
ient ne vomit pas, malgré le développement des gaz; il n'eut pas de sensations désa- gréables de l'estomac. On peut donc admet
s le premier jour de l'écoulement ; la jeune fille n'a- vait pas la sensation de boule, mais « elle sentait le sang lui mon-
t fini » et qu'il n'a qu'un peu de céphalalgie. Interrogé sur les sensations qu'il a éprouvées au début de la crise, il raco
ire, a donc fait défaut. Le malade revient à lui et se plaint d'une sensation de boule qui l'ét.reint à la gorge. 9 février
ires de l'attaque consistent DE L·HYS'l'ERO-EY1LI;PSIE. 95 en une sensation douloureuse, dirigée d'une zone iliaque à l'autre
uvent, comme nous l'avons rapporté plus haut, l'aura débute par une sensation de boule qui naît au-dessous de l'ombilic « sem
nsemble de phénomènes. D'autres fois, parvenue à l'épigastre, cette sensation de boule re- descend vers le pubis, disparaît,
emblé que, sous l'influence d'un bracelet de plaques de cuivre, les sensations tactiles devenaient un peu émoussées. Le malade
ouvre spontanément les yeux et semble regarder autour de lui ; les sensations désagréables se traduisent par des gémissements
s devons dire toutefois que, au palper, cette collection donnait la sensation d'un kyste. En enlevant à la fois la calotte cr
nt se déprimer comme une paroi kystique peu tendue; on obtient la sensation que l'on aurait en déprimant légèrement la paro
75 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
a pression y détermine, surtout lors- qu'elle est un peu forte, une sensation spéciale d'aura qui, partie de ce point, gagne
jambes lui refusaient tout service; en même temps il éprouvait des sensations d'aura qui devaient se reproduire lors des cris
d'aura qui devaient se reproduire lors des crises ultérieures. Ces sensations consis- ¡,'lU. : 1. y / ET LA MAllGHE DAi'i :
un fardeau assez lourd, il ressentit quelques heures plus tard une sensation d'aura sans perte de connaissance et tomba sans
occasion d'une nouvelle contrariété, survient une légère crise avec sensation de boule dans la gorge et d'étouffements suivis d
et à la pression surtout. Au mois d'août 1887, nouvelle crise avec sensation de boule, étouffements, perte de connaissance,
et la main qui soutient la jambe pendant cette manoeuvre perçoit la sensation d'un véritable claquement dû au tendon d'Achille
uvées peu de temps après par 0..., sans perte de connaissance, avec sensation de constriction à la gorge, se refuseraient à d
; que les tentatives de redressement du pied faisaient percevoir la sensation de résistance élastique qui est propre aux contra
du et on ne sent nulle part cette résistance élastique qui donne la sensation d'un ressort tendu qui appar- tient à la contra
gauche des douleurs revenant par accès au cours desquels tantôt la sensations péni- ble remonte à l'estomac, prend la malade
imprimer des mouvements, mais encore spontanément. M... compare ces sensations à des brûlures. Toutefois, presque tout le membre
'est mariée à dix- huit ans, n'a pas eu d'enfant; appétit sexuel et sensations génitales modérés. Vers l'âge de quinze ans, sa
membre contracture, on éprouve une sorte de résistance élastique « sensation du ressort tendu D; si c'est au membre rétracté
ed et à la face antéro-externe de la jambe, il n'existe plus qu'une sensation d'engourdissement, sensation dont les limites son
e de la jambe, il n'existe plus qu'une sensation d'engourdissement, sensation dont les limites sont exacte- ment celles de l'
il n'existe plus, au niveau de l'ancienne zone d'anesthésie, qu'une sensation assez intense d'engour- dissement. Il en est de
t une corde rigide. En même temps, la palpation du muscle donne une sensation de dureté, de rigidité spéciale. Cependant, p
aucune irrégularité de la surface; elles ne sont le siège d'aucune sensation particulière. En avant et en arrière, ces tache
t ce dont il se plaint, comme phénomène de sensibilité, c'est d'une sensation particulière à la plante des pieds, et pendant
is servi aussi du compas de Weber pour apprécier les qualités de la sensation tactile. Ce moyen est insuffisant; cependant il m
ues, et, à ce niveau, il faut comprimer assez fortement pour que la sensation se produise. Ailleurs elle est aussi, je crois, u
UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICII (Suite et fin ! .) Les sensations de froid et de chaleur, grossièrement appréciées,
f dans deux cas, douteux d'ailleurs, sous la forme classique. Comme sensations anormales et non doulou- reuses, je signale la
ue. Comme sensations anormales et non doulou- reuses, je signale la sensation de sable, de coton sous la plante des pieds pen
signaler. C'est l'anesthésie par. plaques, au niveau desquelles la sensation tactile est absente et toutes les autres formes
x, le chatouillement ainsi provoqué amenait, au dire du malade, une sensation génésique voluptueuse, qui fut accompagnée à tr
est conservée, peut-être augmentée. En tout cas, il y a constamment sensation de froid aux jambes et surtout aux pieds; ce phé-
tte époque. Depuis ce temps aussi il éprouve pendant le travail une sensation de fatigue au niveau de la région dorsale, sensat
le travail une sensation de fatigue au niveau de la région dorsale, sensation qu'il soulage en se tenant courbé en avant, les
mais qui cependant ne l'empêchaient point de faire son service. Ces sensations pénibles s'éten- dirent bientôt aux fesses, pui
rent brusquement. Quinze jours après elle se couche avec frisson et sensation de brisement général, elle tremblait *de tous s
ent une fois encore pour ne plus revenir depuis. Elle éprouvait une sensation de faiblesse au creux épigastrique; il lui sembla
-humérale. Ces craquements sont très forts et donnent à peu près la sensation du sac.de noix. Les pectoraux résistent assez b
u'une tendance très marquée à suer des mains. En même temps que ces sensations douloureuses survint l'augmentation de volume d
76 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
n four- millements dans les pieds, dans les membres inférieurs avec sensations d'eau chaude ou d'eau froide glissant tout le l
route. Nous connais- sons des syphilitiques qui, après avoir eu les sensations particulières dans 4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ses lèvres sont plus saillantes. De plus il a souvent aux mains la sensation de l'onglée et la cyanose y est assez fréquente
Le mois suivant, il a accusé dans les bras et les cuisses, quelques sensations douloureuses, qui ont cédé au salicylate de sou
ulaires violentes de l'ataxie qui étaient accompagnées de certaines sensations , tandis que la démarche tranquille leur est parfa
o- quent les contractions musculaires fortes et inattendues. Chaque sensation désagréable et inattendue peut exciter le centr
ur le ventre du malade. Règle générale : il faut se diriger par les sensations du malade. On excite quelquefois des nerfs sens
cie, transparente, entre deux renflements qui donnent au toucher la sensation de deux noyaux durs ; le noyau cen- tral ou sup
a tête, on trouve que cette pression, d'abord ne détermine au- cune sensation particulière au niveau de la main ; mais au nivea
pproche davantage de l'extrémité des doigts. A l'extrémité même, la sensation de fourmillement est maxima. Aujourd'hui (10 ja
lancinant et fulgurant. Depuis l'âge de 48 ans la malade accuse la sensation de sable sous les pieds. Vers l'âge de 53 ans ell
essant sans cause. Il y a des fourmillements aux quatre extrémités. Sensation de sable à la plante des pieds, avec froid habi
nti comme du chaud ; la chaleur est perçue comme du froid, ou comme sensation tactile indifférente ; bouf- fées de chaleurs e
115 Trois phénomènes particuliers sont encore à signaler : 1° Une sensation d'étouffement ci la gorge, nécessitant la positio
rvation de la sensibilité au contrat coïn- cidant avec la perle des sensations de douleur et de température) sur les mem- bres
latérales, et qui auraient disparu dans un bref délai. En mai 1889, sensations bizarres : il lui semblait, le soir, dans son lit
sement douloureux notable : la pression provoquait à peine quelques sensations pénibles. Les deux autres phalanges s'éliminent
rvée sauf au sommet de la fêle et en avant de l'oreille droite. Les sensations de froid et de chaleur sont abolies sur ces pet
ticules sont à peine sensibles à la pression. Douleurs spontanées. Sensation de constriction élastique des jambes ; fourmill
ns l'adduction. Depuis plusieurs années l'accès est précédé par une sensation de houle qui monte du nomhril vers la gorge. Le
ron. A ce moment (en septembre) il éprouva pour la première fois la sensation de dérobement des jambes; c'était en montant un
a précédente. Voyant qu'il n'allait pas mieux et sous le coup d'une sensation d'éner- vement qui l'empêchait de rester en pla
ni de l'odorat, ni de l'ouïe. Constipation légère avec rémission. Sensation de froid aux pieds depuis le début de la maladie
sant la liste de leurs souffrances, et s'attardant à la lecture des sensations obsé- dantes qu'ils ont méticuleusement analysé
eurs dans le cou et dans les deux épaules ; la malade y éprouve une sensation très-pénible de froid. 208 NOUVELLE ICONOGRAPHI
'u- rine. - - 25 juin. Douleurs de tète horribles du côté gauche. Sensation de torsion du globe oculaire. Puis paralysie du
te ré- gion. Dans le membre inférieur droit, le malade accuse une sensation d'engourdis- sement profond qui n'a rien de dou
itement perçus et localisés. Le malade accuse dans les 2 genoux une sensation de constriction pénible par instant. II prétend
siques de la neurasthénie : Céphalée persistante, consistant en une sensation pénible dépression autour de la tête et prédomi
resque im- possible à comprendre. Il accuse en outre une foule de sensations obsédantes en divers points du 284 NOUVELLE ICO
subis, s'attardant aux plus menus détails, et analysant toutes ses sensations avec une profusion de gestes qui facilite heureus
NTRADI PNOTIQUES 313 si même nous fermons ses yeux ; il éprouve une sensation de picotement et de fourmillement à cet endroit
une sensation de picotement et de fourmillement à cet endroit. Ces sensations subjectives expliquent les contractures acousti
s subjectives expliquent les contractures acoustiques ; ce sont des sensations de la peau analogues aux excitations tactiles.
rs organes terminaux, ne sont pas assez sensibles pour éveiller des sensations de lumière, mais suffisent à effectuer des mouvem
e de la rétine de l'ail droit par des filets nerveux conduisant des sensations de lumière et des réflexes, il la moitié tempor
d'é- légance. Rosa A., a étudié longuement et méticuleusement les sensations pénibles qu'elle éprouve. - Elle en sait plus,
malheurs, heureuse quand elle s'attarde il décrire par le menu ses sensations . D'elle-même, elle nous annonce, non sans fiert
tte douleur par un mouvement trop brusque. Ils accusent aussi des sensations douloureuses dans tous les membres, souvent app
e faiblesse mus- culaire dans lequel ils se trouvent (Amyosthénie). Sensation de brisement, de courbature, de fatigue invinci
marchant » (Dutil). ' Les troubles dyspeptiques manquent rarement : sensations de lourdeur, de gonflement de l'estomac après l
nérale est aussi atteinte et ses altérations se manifestent par des sensations bizarres que les malades décrivent avec un grand
; bourdonnements d'oreilles, vertiges, battements dans les tempes, sensation de constriction à la gorge (boule hystérique),
de cercle, grands mouvements, attitudes pas- sionnelles. Au réveil, sensation de fatigue extrême, parfois hémiplégie générale
77 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
M. X..., qui est très intelligent, se rend très bien compte de ses sensations , et raconte en ces termes ce qui se passe alors
peu sensible ; néanmoins le malade avait parfois spontané- ment une sensation de brûlure à ses membres paralytiques et surtou
, une demi-heure après la sortie du caisson, a senti subitement une sensation de pression au creux épigastrique, une gêne de
pression au creux épigastrique, une gêne de la respiration et une sensation d'affaiblissement des membres inférieurs. Les d
vivement au courant faradique sans que le malade en ait la moindre sensation . for août. Le membre inférieur gauche peut, dan
les petits vaisseaux de la sclérotique qu'il faut attribuer cette sensation de brûlure et cette envie irrésistible de se fr
ons de cette portion. Or, le nerf de l'espace une fois comprimé, la sensation de 70 CLINIQUE NERVEUSE. l'équilibre disparaî
anes mêmes de la respiration en y appar- tenant en propre (dyspnée, sensation de suffocation), doivent être rattachés à l'ent
de chaque côté. La pres- sion de ces divers points ne donne pas la sensation de boule, mais provoque comme des coups de mart
tés. 26. La pression sur la région ovarienne droite détermine une sensation de boule remontant au larynx. Essais d'hypnotis
s en août. Anémie légère. Picotements dans les seins et les flancs. Sensation de brûlure autour de l'oreille. 30 septembre.
es appartient encore à l'es- sence de la cécité psychique. Quand la sensation de lumière a disparu, on a affaire à la cécité
ux-ci comme des parties différenciées de l'épiderme, et, toutes les sensations , comme des modifications du toucher '. La scien
kelllll ! J dei' Sin1lcswel'¡,zeuge (1878). Huxley. La nature de la sensation et la structure de nos or- gaites. Uev. scienti
ruction des aires corticales de la vision n'abolit que cet ordre de sensations en laissant subsister celles du son, de l'odora
e nerveuse qui, eu vertu de ses connexions anatomiques, donne une sensation visuelle, pourrait aussi bien, dans d'autres co
suelle, pourrait aussi bien, dans d'autres conditions, produire une sensation tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellul
rable. Ces expériences ne prouvent-elles pas que la spécificité des sensations dérive de la spécificité naturelle, non acquise
ns des. muscles de l'oeil. De même pour les centres corticaux des sensations organiques et des mouvements des viscères, pour
les tendons, où le sens musculaire l'emporte bien sur les autres sensations , qui y sont peu ou point représentées, le moyen
rale. Voici maintenant comment ce savant s'explique la genèse des sensations musculaires : une excitation des nerfs moteurs
du courant centripète), alors, pour des raisons diffé- rentes, la sensation musculaire manquera. Un autre disciple éminent
tre. Sur d'autres régions, elle est rugueuse et donne au toucher la sensation de l'ichthyose; elle offre de fines squames bla
tion accuser, il la suite de l'usage des bains de sable chauds, une sensation dé bien-être des plus agréables; les forces sou
sociétés savantes. 259 chondriaque aiguë, accompagnée de nombreuses sensations dans la gorge, l'abdomen, les viscères : elles
iste à toute espèce de médicaments; à une période plus avancée, les sensations anormales s'exaspèrent, toutes les parties du c
ibilité, aussi le premier signe de la narcose intestinale est-il la sensation du bien-être. M. KOEPPEN (de Strasbourg). De la
symptômes physiques suivants de la neurasthénie patho- génétique : sensation de pression de la tête, insomnie, accès de stén
ue une nécessité par l'habitude qu'elles en avaient contractée. Les sensations que cette ivress.e procure sont, paraît-il, si
ents qui lui enlèvent, mais seulement pendant qu'ils existent, la sensation nette de la nature du sol sur lequel il marche. E
. En dehors de ces moments où les fourmillements existent, pas de sensation de caoutchouc, ni de tapis, etc... Il a toujours
érescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux. Quelques sensations dysesthé- siques dans les pieds (sensation que
les cérébraux. Quelques sensations dysesthé- siques dans les pieds ( sensation que ses pieds sont collés l'un à l'autre dans l
s à un haut degré dans la paralysie alcoolique et qui consistent en sensations douloureuses tant spontanées que développées pa
ent ou la pression profonde. Ici le malade n'ac- cuse aucune de ces sensations douloureuses. Il se plaint seulement d'une sort
ent à répondre aux questions qu'on lui adressait, analysait mal ses sensations et n'en rendait compte que très imparfaitement.
rs fulgurantes du tabes, le malade continue à souffrir de certaines sensations dysesthésiques subjec- jectives queje vous ai m
Mais dès qu'il tente de les remettre sous les couvertures, la même sensation de de brûlure reparaît, et il préfère passer de
e passer des nuits en- tières les pieds découverts et froids. Ces sensations , vous le savez, Messieurs, se remar- quent égal
hénomènes convulsifs. Quelque temps avant leur apparition elle a la sensation d'une boule qui venant de l'épigastre vient lui
ément de douleur. Tout le monde sait que cet élément existe dans la sensation du chatouille- ment. La dissociation de la se
intellectuelle parce que tous les lypémaniaques sont af- fectés de sensations bizarres, anormales et pathologiques qu'ils loc
une punition du ciel. Pour M. Snell, tout mélancolique éprouve des sensations d'ordre hypochondriaque ; or, il y a des mélanc
ces d'hypochondrie, L'angoisse précordiale n'a rien à voir avec les sensations organiques, Quant à la stupeur sans angoisse de
78 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t la bonté ». L'ap- parition s'évanouit, la malade éprouva alors la sensation d'une « violente déchirure dans le front ». Ce
rtir de son enveloppe mortelle il y a quatre mois (allusion à « ses sensations de mort éprouvées en Suisse et dans le Midi, à
j, le, 1, m, n, o, p, q. r, s, t. Elle s'arrête et pense attentat ? sensation intérieure de négation, elle pense alors attent
at ? sensation intérieure de négation, elle pense alors attention ? sensation inlé- rieure d'affirmation. Elle poursuit alors
ses sensitives du conduit par le corps étranger avec le cortège des sensations désagréables qui l'accompagne esl le primum mov
sente une série de bosselures et de dépressions; au palper on a une sensation de résistance au niveau des bosselures et une sen
gus ayant disparu, le malade conserve durant un temps très long des sensations lumineuses. Ces lésions n'ont rien de spécial à
écautions hygiéniques portant principalement sur la suppression des sensations visuelles et olfactives, la position horizontal
tériques, mais à tous les individus, en général, à savoir que toute sensation , pourvu qu'elle soit homogène, uniforme, contin
n, pratiquée au niveau de la face, n'éveille plus maintenant aucune sensation douloureuse, mais, comme au niveau du bras, ell
ires cutanés. Le G janvier1896,1V1 ? 5 ? souffrant de douleurs avec sensations d'engourdissement dans les pieds et les mains,
res sur ses mains et sur sa bouche. Ce sont les lèvres de Deus. Ces sensations on;. lieu aussi bien pendant les périodes d'exa
'ailleurs très agréablement accueillies. Manifestations génésiques. Sensations de lévitation. E1'otisme mystique. - Les troubl
spéciales. Les caresses se localisent aussi à la sphère génitale en sensations voluptueuses qui remontent le long de son corps
e regard de travers me troubla; il produisit dans tout mon être une sensation étrange de stupeur que je n'avais jamais ressen
ation simulée pendant cinq minutes et en les interrogeant sur leurs sensations . Sur 203 sujets examinés (t 11 femmes et 192 ho
Il n'a donc pas les inconvénients de l'aiguille ou de l'épingle. La sensation ressentie en appliquant l'extrémité du crin est
nse, et que l'on applique cette anse sur l'oeil, on peut étudier la sensation de con- tact. Pour l'appréciation de la sensibi
efusait à la conjonctive toute perception thermique. Ces diverses sensations éprouvées par les malades à la piqûre au contac
née, à des distances variables, la cornée n'arrive à percevoir deux sensations et encore d'une façon restreinte (25 p. 100 des
ncore, nombre d'obsédés décrivent avec un grand luxe de détails des sensations de corps étrangers (pierres ou bêles), dans leu
co-membraneuse comme point du départ du délire de posses- sion. Les sensations subjectives exactes perçues sont interprétées d
et absurde par une prédisposée. Les mêmes -SOCIÉTÉS SAVANTES. 273 sensations peuvent donner lieu au délire de grossesse. Enfin
re (onychophagie, clveiloplcagie); ils ont pour point de départ une sensation anormale (démangeai- son, petite douleur) que l
, à l'état d'habitude, et continue à se produire, alors même que la sensation initiale n'existe plus. Les tics de ce genre pe
uleurs locales résultant des chocs réitérés. Bien que ces nouvelles sensations soient la conséquence même des mouvements nerve
ause d'une migraine accompagnée : scotome scintillant, céphalalgie, sensations vertigineuses et nau- séeuses. Les crises s'acc
ne peut expliquer les troubles de la parole, la parésie faciale, la sensation d'engourdissement du bras. Mais pour le scotome
d'engourdissement du bras. Mais pour le scotome, l'hémianopsie, les sensations vertigineuses con- comitantes, il faut admettre
rie excessive. De très bonne heure, Y... a été porté à observer ses sensations coenesthésiques. à epier le fonctionnement de s
le regardait pas et lui était indifférent. Tantôt il eprouvait une sensation comme si sa langue, contre sa volonté et son dé
rapporte d'une ma- nière critique et qu'il a conscience des fausses sensations auditives et dee idées obsédantes obscènes et s
analogues, sont loin de vouloir parler de si bonne volonté de leurs sensations morbides, comme le faisait notre malade ; d'aut
ais dès que j'ai les yeux fermés j'étouffe et j'ai peur ». Ces deux sensations d'étouffement et de terreur, sont typiques, ell
ue le résultat de cette, absence de perception. A l'état normal, la sensation de bien-être est déterminée par l'équilibre, l'
ption périphérique : ne sentant plus son corps elle éprouve cette sensation de chute que chacun a éprouvé au moins une fois
on ne tombe et on ne s'étouffe pas sans raison, elle associe -ses sensations qui ne sont pas, à proprement dit, des sensa- t
t pas, à proprement dit, des sensa- tions, mais l'interprétation de sensations absentes qui de- vraient normalement exister, a
comment chaque valeur de perspective pou- vait être associée à une sensation lumineuse. L'histologie moderne nous a appris q
l'image-fantôme, possède aussi assez d'énergie pour animer d'une sensation lumineuse cette perspective dépourvue de vie par
isinage. Or, le contraste en question est l'oeuvre de la rétine. La sensation lumineuse appartenant à l'image-fantôme est d'o
ntôme est d'origine purement cérébrale et, par suite, s'ajoute à la sensation colorée du voisinage émanée de l'excitation rét
re conscience. Le monde extérieur n'est pour nous qu'une série de sensations des sens, cela veut dire qu'il émane de l'action
n deux mois avait cédé au K. Br. et aux bains. Cela commence par la sensation d'un choc dans les épaules et aussitôt REVUE D'
il semble que ce qui l'entoure ne lui soit- de rien, il éprouve une sensation bizarre vague. Cet état est dû à la déchéance d
connaît de- puis longtemps, tout àcoup tout lui estnouveau. Il a la sensation , malgré qu'il sache bien que la rue lui est fam
plus ou moins vif, dans le même instant, peut, à l'instar d'autres sensations agréables, agir jusqu'à un certain point par l'
aire et du sens stéréognostique; b. le malade ne peut localiser les sensations tactiles et thermiques; il localise moins diffi
sie hystérique n'est pas une anesthésie vraie, qu'il y a en réalité sensation perçue, mais qu'elle est aussitôt inhibée par s
nnelle sont primaires et dérivent de l'utilisation insuffisante des sensations d'organes et que vu le rôle important que ces sen
issociation du contenu sensoriel spécifique de la perception et des sensations organiques correspondantes. C'est à cette théor
qui produit le phénomène de l'angoisse, au mpins objectivement. La sensation d'angoisse a sans doute son point de départ dan
one, l'électricité, la transmission télépathique des pensées et des sensations auditives ou autres interprétations analogues y
me d'une force involontaire. Lorsqu'on lui demande d'exprimer les sensations qu'elle éprou- vait sous l'influence de l'obses
bration auto- matique qui déterminera une sorte d'état de rêve. Une sensation de dépression physique et morale très accentuée
79 (1934) Oeuvre scientifique
its ont une apparence normale ; rien dans son aspect ne traduit les sensations qu'il prétend éprouver, et vous apprenez en l'i
ous lui, qu'il est projeté par terre, et à plus forte raison si ces sensations s'accompagnent de bourdonne- ments d'oreilles,
es questions lui sont posées plusieurs fois. Il se persuade que les sensations dont il a entendu la description sont réelles ;
te de recommander au malade de me prévenir dès qu'il aura perçu une sensation de contact, de piqûre, ou toute autre impressio
fant, de le questionner de temps en temps pour se rendre compte des sensations qu'il éprouvera et de l'évolution des troubles.
mes d'une suggestion. Certains d'entre eux éprouvent réellement des sensations pénibles, mais ils les interprètent d'une manière
s qui se croient atteints d'une angine de poitrine, alors que leurs sensations sont exclusivement provoquées par l'existence d'u
fondé uniquement sur des symptômes subjectifs, c'est-à-dire sur des sensations qui peuvent être feintes, imaginaires ou dénaturé
en- sions, donnant à la main qui soutient et accompagne le pied, la sensation d'un rythme parfait. ' Ce phénomène peut être
e rappela que deux jours auparavant il avait éprouvé subitement une sensation de froid dans les membres du côté gauche. Ne sent
main de l'ob- servateur. Il résulte de ces diverses perceptions une sensation d'ensemble que l'on a très nettement à l'examen
lois de la pesanteur, donnera à la main sur laquelle il repose une sensation de poids, produira un effort statique qui sera
n publiée par M. Barat et intitulée : « Substitution des images aux sensations , à propos d'un cas d'hallucina- tions et d'illu
moyen ou son tiers supérieur, on provoque chez l'individu sain une sensation de douleur légère et en même temps une très faibl
'hémiplégie cérébrale organique, la même manoeuvre donne lieu à une sensation de douleur plus intense, et, en outre. à une fl
éclenché par la sen- sation spéciale qui résulte de l'hyperalgésie, sensation nouvelle, non encore éprouvée, insolite et occa
e reconnaît bien toutes les excitations thermiques, mais accuse une sensation moins nette qu'au point correspondant du côté g
r comme une surprise douloureuse ; d'ailleurs, le malade accuse une sensation particulièrement désagréable. Cette réaction se
en perçues, suivant les moments, mais elles provoquent toujours une sensation doulou- reuse extrêmement pénible ; le pincemen
reuse extrêmement pénible ; le pincement de la peau détermine la même sensation . Cette hyperalgésie disparaît dans le territoir
nt à ce qui a lieu chez les sujets témoins, n'accuse presque aucune sensation de fatigue. La méthode graphique fait ressortir
ourant le sujet en expérience éprouve, entre autres phénomènes, une sensation de vertige ainsi qu'une inclination latérale de
à ma disposition, et les sujets en expérience n'éprouvaient aucune sensation spéciale. En outre, on constate parfois un mouv
nt en s'accentuant pendant plusieurs mois. Plus tard il éprouva des sensations analogues, mais bien moins intenses, au membre
sieurs fois par minute et, sans être douloureux, donnent lieu à une sensation de fatigue qui pousse le malade à reprendre le
la table et se portait en dehors, en même temps qu'il éprouvait une sensation de tiraillement dans le cou et dans l'épaule du c
le malade. Les jours suivants, ce trouble s'accentua et de plus la sensation de tiraillement du cou s'accompagna de mouvements
s spasmodiques le fatiguent notablement, provoquent dans le cou une sensation de gêne, de lassitude très pénible, mais n'ont ja
que quand il mange, du côté droit de la bouche, il a simplement la sensation de la présence d'un corps étranger, mais qu'il
ion de la présence d'un corps étranger, mais qu'il n'éprouve aucune sensation gustative. L'intelligence est absolument normal
nt à ce qui a lieu chez les sujets témoins, n'accuse presque aucune sensation de fatigue. Ainsi donc, l'équilibre volitionnel s
musculaire est normal à gauche et à droite ; un piqûre provoque une sensation moins désagréable à droite, mais la compression
che et dort assez bien. Le 7 mars, en se réveillant, il éprouve une sensation de froid dans tout le côté droit du corps; il c
au toucher que ce côté est, en effet, plus froid que le ganche. La sensation de froid est profonde ; il l'éprouve « même dans
urs normaux des deux côtés. Du côté droit, où le malade éprouve une sensation de froid, on constate un refroi- dissement très
droite du tronc l'application d'un morceau de glace éveille une vive sensation de chaleur. La température est à peu près égale
la diminution de volume des doigts commence presque aussitôt après la sensation pro- vocatrice, s'accentue pendant quelques sec
rès nette, quoique moins intense, en général, que celle qui suit la sensation effective. Disons tout de suite que l'étude de
motifs suivants. a) Le malade s'est toujours plaint d'éprouver une sensation anormale il droite; le côté gauche ne lui a jam
ordre objectif. Voyons d'abord les premières, elles portent sur les sensations de dépla- cement, de rotation, qui peuvent être
condes de durée, peut en cas de trouble labyrinthique provoquer des sensations anormales fort désagréables, susceptibles de se p
rinthe ont pour consé- quence une diminution ou une abolition de la sensation de vertige, per- mettant parfois aux malades de
ilité dans le domaine des racines sacrées. 2" La dissociation des sensations produites par la pression ; du côté où siègent
douleur ; du côté des troubles de la sensibilité superficielle, la sensation de pression est nettement perçue, mais la sensati
perficielle, la sensation de pression est nettement perçue, mais la sensation doulou- reuse est presque absente, faits qui ca
simple dans le domaine des XIe et XIIe dorsales. Hypoesthésie avec sensations douloureuses pour tous les modes sur le membre
nette et quelquefois obscure), le tact, la piqûre et le froid.ÎLes sensations sont d'autant plus nettes qu'on excite le terri
condes, mais, quel que soit l'endroit excité, la malade localise'la sensation douloureuse qu'elle éprouve à la limite supérie
ifeste sous forme d'accès fréquents et violents s'accom- pagnant de sensation de battements et de douleurs dans la nuque, le co
r 191 8- 1 consécutivement à une grippe et s'est manifestée par une sensation de lourdeur aux membres inférieurs. Les troubles
bres inférieurs ne se sont pas atténués, elle est débarrassée d'une sensation de raideur, de constriction à la partie inférie
r qu'en introduisant le trocart dans la masse, il n'avait pas eu la sensation spéciale d'une membrane tendue qu'on per- fore,
pas eu la sensation spéciale d'une membrane tendue qu'on per- fore, sensation qu'on éprouve d'habitude, dit-il, en ponctionnant
plus vivement que précédemment et que c'est là qu'elle éprouve une sensation tout à fait naturelle. Les réflexes de défense
'autrefois, qu'elle se fatigue plus rapidement, et elle éprouve des sensations anormales dans les membres infé- rieurs : « des
APLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE nombreux), la malade perçoit une sensation désagréable lorsqu'on lui applique sur les cuis
e de crampes siégeant au mollet droit : quatre jours plus tard, ces sensations douloureuses gagnent la région postérieure de l
x segments de la moelle sous- jacents à la lésion, éprouvent là une sensation différente de la normale. (') J. Babinski et J.
1127 Ils se servent, par exemple, des expressions suivantes : « La sensation n'est pas naturelle » ou « c'est comme si ma pe
Fig. (3o. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4g notamment à gauche où les sensations thermiques sont souvent perçues. Or, du côté ga
te de recommander au malade de me prévenir dès qu'il aura perçu une sensation de contact, de piqûre, ou toute autre impressio
quant à leur forme, leur intensité, leur localisation, suivant les sensations causées par le choc et les circonstances diverses
s malades atteints de contractures réflexes se plaignent parfois de sensations douloureuses ; les douleurs sont soit spontanée
Il y a cinq ans le malade a commencé à éprouver des douleurs et une sensation de fourmillements dans les mains, qui n'ont jam
u de douleurs fulgurantes. Ses mains sont engourdies, il éprouve la sensation d'un vernis qui les recouvrirait ; il se bouton
encore. Ils ne sont pas constants, mais il est exceptionnel que les sensations vertigineuses ne diminuent pas, au moins quelqu
s s'étendirent aux muscles de la paroi abdominale en provoquant une sensation extrêmement pénible de serre- ment comme par un
é- nuent alors et, en même temps, la malade commence à éprouver une sensation de fatigue aux membres inférieurs après une mar
t nous demander conseil. Ses crises, caractérisées par une violente sensation de déchirement, étaient presque subintrantes et p
80 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
a suite. Elles se déclaraient subitement, et étaient marquées par une sensation comparable à celle que produirait l'intromission
de la cinquième paire. Dans les paroxysmes, les malades éprouvent des sensations qu'ils comparent à celles que produirait l'arrach
entait de temps à autre, et subitement, dans l'anus et le rectum, des sensations qu'il com-parait à celles que produirait l'introd
ntroduction forcée dans le rec-tum d'un corps long et volumineux. Ces sensations survenaient tout à coup et disparaissaient rapide
. — Modifications de la sensibilité : retard dans la transmission des sensations , dysesthésie. — Sensations associées. Second ca
sibilité : retard dans la transmission des sensations, dysesthésie. — Sensations associées. Second cas : Lésions portant sur une
, à titre de premier symptôme, de four-millements, de picotements, de sensations de chaud et de froid, dans les membres inférieurs
grise ne provoque, sous l'influence des excitations, aucune espèce de sensations . En revanche, les troubles purement moteurs, la p
er pincement, l'application d'un corps froid, donnent naissance à une sensation très pénible, toujours la môme, quelle que soit l
Gharcot. Œuvres complètes, t. ii. 9 Dans la plupart des cas, ces sensations persistent pendant plusieurs minutes, parfois un
citée. Cela rentre dans l'histoire de ce qu'on désigne sous le nom'de sensations associées. On a cherché, vous le savez, à se re
uent aucune trace de mouvements réflexes. Le malade n'accuse aucune sensation pénible dans les membres paralysés. Il dit éprouv
placée dans un courant d'air très frais. Peu après, elle éprouva une sensation qu'elle compare à celle qu'aurait pu déterminer u
ant d'eau glacée qu'on aurait fait couler le long de son dos. A cette sensation a succédé bientôt une douleur assez vive, accompa
entre le développement soudain des bruits d'oreille et l'invasion des sensations vertigineuses. Maladies de l'oreille : otite la
. — Cas de vertige de Meniere. — Situation de la malade en mai 1875 : sensations vertigineu-ses permanentes ; — crises annoncées p
elle le peint elle-même en ter-mes pittoresques. C'est, dit-elle, la sensation qu'on peut ressentir lorsque, placé au sommet d'u
llement, vous l'entendrez peut-être, en proie à une exaspé-ration des sensations vertigineuses, pousser des cris violents. Par m
sortes d'accès. Ceux-ci paraissaient être caractérisés surtout par la sensation d'un brusque mouvement de translation, non pas de
vent dans la rue ; Gir... éprouvait -ejors le plus habi-tuellement la sensation d'une chute en avant et elle se voyait obligée, p
n juge par les dix ou douze observations qui me sont personnelles, la sensation d'un mouvement de translation du corps tout entie
de soit précipité à terre violemment, dans le sens correspondant à la sensation vertigineuse. Je puis citer à ce propos le cas d'
dans ceux-ci on n'observe ni fourmillements, ni engour-dissements, ni sensations quelconques rappelant une aura ; jamais de paraly
ouve-ments communiqués au lit exaspéraient aussi, à un haut degré, la sensation vertigineuse, et beaucoup d'entre vous n'ont pas
vous en souvenez, tou-jours annoncés et immédiatement précédés par la sensation d'un bruit aigu, perçant, qui survient tout à cou
vertige lui-même, il se montre chez G... conforme au type classique : sensation , succédant au sifflement, d'un brusque mouvement
mais perdu connaissance. Toujours le début était brusque, imprévu. La sensation d'une chute en avant survenait tout à coup, et, d
membres du côté droit, je reconnus qu'ils n'étaient le siège d'aucune sensation de fourmillement et qu'ils ne présentaient pas de
survient. Je dois ajouter que plusieurs fois, après avoir éprouvé la sensation d'être attiré vers la gauche, le malade a subi pe
ment diminués. C'est en produisant ces mouvements que l'on éprouve la sensation de craquements dans l'articulation coxo-fémorale.
ts segments des membres inférieurs un vase en étain, c'est tantôt une sensation de brûlure qui est accusée, tantôt une simple sen
st tantôt une sensation de brûlure qui est accusée, tantôt une simple sensation de contact. Ni le froid ni le poids du vase ne so
der, elle parvient après avoir fait une sorte d'effort pour saisir la sensation vraie, à reconnaître qu'elle s'est trompée tout d
x un sentiment presque permanent de chaleur et de chatouillement. Ces sensations s'exas-pèrent de temps à autre tout à coup et son
e manière assez lente. Depuis quelques jours, Catherine éprouve une sensation de constriction dans la région pharyngienne, sans
e. — Modification de la sensibilité: re-tard dans la transmission des sensations , dysesthésie. — Sensations associées Second cas :
sibilité: re-tard dans la transmission des sensations, dysesthésie. — Sensations associées Second cas : Lésions portant sur une de
entre le développement soudain des bruits d'oreille et l'invasion des sensations vertigineuses. Maladies de l'oreille : otite la
. — Cas de vertige de Ménière. — Situation de la malade en mai 1815 : sensations vertigineu-ses permanentes ; — crises annoncées p
postérieures 215., Secoussesfibrillaires, 221. (V.Amyo-trophies.) Sensations (Retard dans la trans-mission des), 129. — Associ
81 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
tête, qui est très accentuée même au repos com- plet, est due à la sensation continuelle de bourdonnements et de vertige que
apprenant une nouvelle fâcheuse, le malade éprouve tout d'abord une sensation de boule ou de poids à l'épigastre, il étouffe,
inte de toux convulsive, accom- pagnée de suffocation et des autres sensations qui constituent l'aura hystérique. Le trembleme
rois fois presque coup sur coup; le malade se plaignait alors d'une sensation d'agacement dans les genoux, il écartait les ja
nonce d'une nouvelle fâcheuse, cet homme fut pris tout à coup d'une sensation de boule remontant du ventre à la gorge. Il éto
jet (celui-ci tenant son bras horizontalement étendu) percevait une sensation tout à fait semblable à celle que produit le co
r la plaque de métal, mais encore elle était prise, à ce moment, de sensations génitales extraordinairement pénibles. Mettre une
ps les douleurs continuaient. Tandis qu'au début c'était une simple sensation de courbature, à ce moment c'étaient des élance
on lombaire de la colonne vertébrale, lancinantes, ou consistant en sensation de violente courbature. Elles gênent la malade
urs ont changé de caractère : tandis qu'au début c'était une simple sensation de courbature, à ce moment 'étaient des élancem
e, et il y avait des jours où il devenait très violent. Alors, à la sensation de serre- ment, venaient s'ajouter des battemen
dant un ou deux jours. En outre, il se plaignaitfréquemment d'une sensation de lourdeur insuppor- table dans le bas du dos,
ie inférieure de la région lombaire et sur la ligne médiane ; cette sensation n'était pas continuelle. Quand il en souffrait,
détermine d'abord une douleur très vive, puis le malade accuse une sensation de serrement ci la gorge avec angoisse respirat
t annon- cées actuellement par un sentiment d'étouffement ou par la sensation d'une boule montant de l'épigastre à la gorge ;
venus chez elle des accidents nerveux variés. Elle avait parfois la sensation d'une boule qui lui remontait jusqu'à la gorge;
hésie gauche incom- plète avec perte du sens musculaire de ce côté, sensation de pesanteur des membres gauches qui sont faibl
ariété. Elle ressent, avant ces crises, au niveau de l'estomac, une sensation de boule qui remonte vers la gorge, l'étouffe e
TION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, lit ' La perception des sensations gustatives est notablement moins vive sur la mo
elle éprouve à l'épigastre une douleur plus ou moins violente, avec sensation d'une poche énorme, faisant glou-glou et lui se
fois devant nous. Elle bâille, dit-elle, parce qu'elle éprouve une sensation d'étouffement qui la force à faire de grandes ins
ment, mais d'un mouvement involontaire presque continuel, dû à une sensation identique à l'aura ordinaire de l'attaque hystéri
ystérique : douleur au coeur épigastrique, constriction du pharynx, sensation de boule remontant de l'estomac à la gorge. P
avorté ; dans ce cas la malade de l'observation III accu- sait une sensation de malaise ; il fallait que le bâillement fût com
ccompagnent souvent, comme à l'état physiologique d'ailleurs, d'une sensation de soulagement. IV Les crises de bâillements
t la crise, ou même lorsque celle-ci va venir, la malade accuse une sensation de boule qui remonte de l'épigastre; elle a des b
Ch. Féré, Hystérie el Fatigue (C. r. Soc. de biologie 188.i, p. 197). Sensation et Mou- vement (Bibl. de phil. conte1l ! JI., i
ves de leurs narghilés, ils ne peuvent s'en abstenir qu'au prix des sensations les plus pénibles, tandis que la dose de 30 à 4
. La température des mains est peu près* égale. Il y a toujours une sensation de froid dans le bras droit bien que la tempéra
santé. Etant à la chasse, le 10 mars 1884, il cul tout d'un coup la sensation d'un voile couvrant l'oeil droit; le même fait
l tombait ainsi une ou deux fois chaque jour. Il avait en outre une sensation de fraîcheur aux mains toute particulière; le tou
lement des douleurs en coups d'épingle dans les mêmes régions. La sensation de froid aux jambes, de glace sous la plante des
était pris subitement, parfois au milieu de la conversation, d'une sensation de picotement, de corps étranger au niveau du l
ntinue. A la main, quand la sensibilité électrique (frémissement et sensation douloureuse) a été ramenée, la sen- silililé il
82 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
omme des affaiblissements, des suppressions au moins apparentes des sensations , des sou- venirs, des mouvements. (Les hyperest
un arrêt du fonctionnement des centres nerveux qui servent à cette sensation tactile ou visuelle; ou bien ces anesthésies ne
e être supprimé. Nous avons montré dans de nombreuses études que la sensation tactile, la sensation visuelle, même à la périp
ons montré dans de nombreuses études que la sensation tactile, la sensation visuelle, même à la périphérie du champ visuel,
ibles 1. Si on considère l'attention sous son aspect moteur, férié. Sensation et Mouvement , 1887, p. 21 et Pathologie des dmu-
se, on constate qu'une femme hystérique ne peut percevoir plusieurs sensations à la fois : dès qu'elle est occupée à sentir un
is et cesse de pouvoir le faire dès qu'elle est dis- traite par une sensation ou un autre mouvement. Ce dernier point a été p
t perpétuelle, qui empêche ces personnes d'appré- cier aucune autre sensation en dehors de celle qui occupe actuellement leur
nscience semble très petit, il est rempli tout entier par une seule sensation relativement simple, un seul souvenir, un petit
Elle n'est ni profonde, ni complète, car elle laisse subsister des sensations élémentaires sous forme de phé- nomènes subcons
rès fréquent, on constate des alternances des équivalences dans les sensations disparues. « La sensibilité, disait autrefois C
idus normaux, mais ne pouvaient pas à cause 1 Cabanis. Histoire des sensations , dans l'étude sur le rapport du physique et du
, le plus souvent incomplets et se ravissant les uns aux autres les sensations , les images et par conséquent les mouvements qu
intellectuels sont assez développés pour que le sujet perçoive les sensations , comprenne même les signes et le langage, mais
amp de la conscience; un certain nombre de phénomènes élémentaires, sensations et images, cessent d'être ' ' ! un)un, p. 11. B
a maladie se compose ainsi qu'il suit : vertiges, lourdeur de tête, sensation de lassitude, diminution de l'appétit, affaibli
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 51 sation cérébrale des sensations du toucher, de la douleur, de la température, a
on entend stricte- ment par « sens musculaire » : il signifie toute sensation de mou- vement, les sensations tactiles et mixt
sens musculaire » : il signifie toute sensation de mou- vement, les sensations tactiles et mixtes, toute sensation pro- venant
sensation de mou- vement, les sensations tactiles et mixtes, toute sensation pro- venant des muscles de la peau, des ligamen
de la peau, des ligaments, des tendons, des surfaces articulaires, sensations qui sont le résultat d'une action musculaire et
ccidents ac- tuels. Vers cette époque, il a commencé à éprouver des sensations de froid dans les jambes; il lui semblait, dit-
les avoir constam- ment dans l'eau. Il ne parvenait à vaincre celte sensation que devant un feu très vif. En même temps surve
ements douloureux presque continuels. La marche est gênée par une sensation de chatouillement de la plante des pieds et de
s; de plus, douleurs violentes aux cuisses, affectant par moment la sensation «d'éclairs» : elles suivent à peu près exacteme
lade ressent des fourmillements continuels dans les jambes et a une sensation de froid au niveau des jambes et des pieds. (La
une chaise pour marcher. De plus, quand il éprouve en marchant une sensation de froid, la contracture des muscles rend la ma
e, étudie très finement les altérations des différents éléments des sensations tactiles, et arrive à cette conclusion que dans
ie-. mélancolie incapacité de travailt'intellectuel'' "obtusion1 et sensation de pression céphaliq'ue1 'sensations pénibles d
ernières doses : sécheresse de la gorge, dila- tation des pupilles, sensation de faiblesse, nausées aux repas. Ainsi, tandis
ue assez marquée : dilatation des pupilles, sécheresse de la gorge, sensation de faiblesse, dimi- nution des forces et nausée
tion pupillaire, sécheresse de la gorge, diminution des forces avec sensation de faiblesse, vomituritions aux repas et immédiat
émane évidemment de foyers circonscrits du bulbe qui provoquant des sensations hypo- chondriaques anormales éveillent au plus
anisme, produire artificiellement l'exaltation ou la dépression des sensations , il y a lieu de supposer que des modifications
tanément sans le con- cours de la volonté et.par conséquent sans la sensation de,l'effort. Ces mouvements peuvent être réprim
admettant que les olives sont des organes destinés à recueillir les sensations tac- tiles pour les transmettre au cervelet, ne
et devient tout de suite trop forte. » Il ajoute d'ailleurs que des sensations plus voluptueuses que celle des rapports licite
on motrice de la fonction sensitive et l'impulsion motrice comme la sensation découlent pour l'auteur d'un seul et même proce
tre qui sent, mais un centre est le siège du processus qui cause la sensation . L'antithèse entre les termes «moteur » et « se
cale. Il ap- prouve et modifie le schéma de Jackson. Pour lui, la sensation la plus élémentaire est un rapport entre deux f
ité de conscience. Le sens de l'effort résulte d'une association de sensations avec un travail molléculaire siégeant dans les
le d'une action dans les centres supérieurs et d'un autre côté, les sensations d'effort et de fatigue dépendentd'échanges maté
es centres. Il y a toujours liaison intime entre le mouvement et la sensation . P. SOLLIER. XXXIX. Description DE la couche mo
ompagnée de paralysie des cordesvocales chez lequel il existait des sensations douloureuses dans les extrémités insensibles.
ucinations motrices communes, également très accentuées, telles que sensations de déplacement d'une partie du corps ou du corp
ains actes volontaires), des troubles de la sensibi- lité profonde ( sensations de pesanteur, de légèreté, de vide, de rapetiss
après, elle recommence de suite. Cette voix s'accompagne souvent de sensations de piqûres, d'engourdis- sement dans une partie
es ressent; elle se touche et en même temps la malade éprouve des sensations voluptueuses. Bien que cette femme soit une mis
puis cinq mois de vives douleurs dans les deux jambes. Il avait la sensation d'épingles s'enfonçant dans les chairs. Le moindr
lité à gauche, rétrécissement concentrique notable du champ visuel, sensation de boule lui montant à la gorge. J'en avais a
nt concentrique notable du champ visuel. Elle avait eu souvent la sensation de boule hystérique partant du creux épigastrique
sionnable à l'excès, quelques maux de tête, des étouffements, une sensation de constriction à la gorge. Ce fut tout. Une tume
l'hystérie, rétrécissement concentrique très marqué du champ visuel sensation de boule nerveuse lui serrant la gorge et la suf-
ble et double du champ visuel, l'anesthésie du pharnyx et certaines sensations de suffocation, d'étranglement à la gorge. Elle
ne neurasthénique avec les principaux syndromes : asthénie motrice, sensations de casque lui serrant le crâne, douleurs à la n
h-7-oparesthésie. Le bout des doigts et des orteils est le siège de sensations insupportables, de fourmillements, et cependant
83 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
y a des hallucinations psychomo- trices qui suivent quelque fois la sensation d'angoisse pré- cordiale, laquelle se propage p
ance indispen- sable et souvent impossible dans les familles. Les sensations , délires et hallucinations des malades peu- ven
e et hypochondriaque, ce sont les préoccupations de leur santé, les sensations et hallucina- tions internes, viscérales, organ
xemples, syphiliophobie, phobie, des intoxications, et toutes leurs sensations se con- centrent autour de ces idées. Donc, sel
on- centrent autour de ces idées. Donc, selon les idées, délires, sensations qui prédominent, nous aurons des formes diverses
nférieur droit, et enfin des troubles subjectifs de la sensibilité ( sensation de froid, fourmille- ments). Il est à remarquer
THOLOGIE NERVEUSE. 69 L'effet d'une telle vie est stimulant par les sensations et les impres- sions différentes et multiples.
ne d'un muscle, tantôt dans un autre, et dont l'unique cause est la sensation douloureuse. Ces mouvements ne sont pas le moin
équemnent de ma- lades indociles ou difficiles à interroger sur une sensation aussi délicate, qui peuvent exécuter pendant l'
ans ses problèmes pratiques. C'est ainsi que chacun des processus « sensations viscérales », « folie», c émotions », « instinc
Journal of insanity, octobre 1897.) E. B. IX. Psychro-aesthésie ( sensations de froid) et psychro-algie (douleurs de froid)
froid) et psychro-algie (douleurs de froid) ; par le Dr DANA. Les sensations de froid constituent une forme rare de pares- t
thésie et ont été décrites sous le nom de psychro-cesthésie. Ces sensations de froid ne sont pas ordinairement très pénibles,
elles ne sont en rien comparables, au point de vue douleur avec les sensations de chaleur. L'auteur rapporte sept cas de psych
nique du système central ou périphérique. Il existe deux classes de sensations de froid. , Dans la première, le symptôme n'est
hérique sur l'un des points de son parcours. La seconde classe de sensations de froid, la psychro-cesthésie proprement dite.
froid, la psychro-cesthésie proprement dite. est constituée par une sensation tout à fait loca- lisée. le plus souvent sur la
nt plus ou moins exactement avec la distribution d'un nerf. Cette sensation est superficielle : il semble au patient qu'un ob
E DE THÉRAPEUTIQUE, 165 des piqûres dans le côté droit aussi par la sensation d'eau chaude lui coulant sur la peau ; l'examen
d'une crise d'agitation et alors le malade n'eut plus cette bizarre sensation qui d'ailleurs ne reparut plus après le retour
ct non plus les altérations de la person- nalité physique, mais les sensations subjectives ressenties par les malades dans la
ets chez lesquels le sens tactile a pu être bien vérifié ont eu ces sensations subjectives et chez un seul elles ont évolué pa
aillements, 2 des décharges électriques dans la peau, un dernier la sensation d'une constriction comme si les membres étaient
c'était sans conteste celui qui ressentit au plus haut degré cette sensation , laquelle était répandue par tout le corps, mai
tact et les aberrations de la personnalité physique, ainsi que les sensations subjectives de LE SENS TACTILE ET LA PARALYSI
, soit dépressives de la personnalité physique, et aussi avec les sensations subjectives ressenties dans la peau par les malad
roubles trophiques des mains, de la scoliose et la dissociation des sensations . Cette dis- sociation, bien qu'elle ne soit plu
contraire, ceux à tares héréditaires moins nombreuses coor- ' Feré. Sensation et mouvement. 278 PATHOLOGIE MENTALE. donne
lle y est relativement rare et s'y présente plutôt sous la forme de sensations subjectives variées, traduites par les sujets d
ou de confusion. Qu'il s'agisse de souvenirs, d'appré- ciations de sensations , de questions à saisir, d'idées à expri- mer, t
fait, l'auteur admet que la névrome en- voyait vers les centres des sensations perturbatrices continuelles qui gênaient les pe
qui gênaient les perceptions.' Après la résection du névrome les sensations recueillies par les anastomoses récurrentes, qu
, etc. Sont enfin examinées les voies de transmission anormales des sensations auditives et tactiles des choses lorsqu'elles d
d'un choc brus- que dans la région céphalique, donnant au malade la sensation d'une attrition, sensation qui persiste pendant
région céphalique, donnant au malade la sensation d'une attrition, sensation qui persiste pendant quelques minutes, puis dis
et sain, la compression brusque du creux épigastrique détermine une sensation douloureuse très spéciale accompagnée d'angoiss
ionnel lié le plus habituellement à ce phénomène est la perte de la sensation de la faim. Il est probable, sans qu'on puisse
! » Sans une minute de répit, elle cherche à se défendre contre ces sensations pénibles qui' l'assiègent de toutes parts. In
ci, elle a eu de nouveau, à la suite de cha- grins domestiques, une sensation de boule qui l'étouffait ; elle portait la main
symptômes d'hystérie (somnambulisme, crises à forme de contracture, sensation de boule). Cette dégénérée hystérique commet à
ès nerveuse, elle avait fré- quemment des crises d'étouffement avec sensation de boule à la gorge ; elle faisait ordinairemen
in gauche sur le genou du même côté et réfère à ce dernier point la sensation de brûlure. Dans le membre abdominal gauche se
ilité la somme d'attention, auparavant consacrée à la production de sensations , de mouvements et d'idées. Que cette attention,
u système nerveux périphérique et central. Le délire interprète des sensations réelles. Ces altérations du système nerveux son
s frappent le sys- tème-nerveux périphérique et central, créant des sensations péni- bles dont l'interprétation constitue le d
névroses et aux il2toxie(t- tions. Les névroses sont une source de sensations pénibles. Ces sensations, chez un sujet prédisp
- tions. Les névroses sont une source de sensations pénibles. Ces sensations , chez un sujet prédisposé, peuvent être le point
nous l'avons dit, de fourmillements dans les membres et aussi d'une sensation de froid presque continue; un peu plus tard, el
eur du tabes, je me trouvais en présence des symptômes suivants : sensation d'engourdissement, de fourmillement sur le trajet
et mis en présence de ces pages sublimes, les contemplerait avec la sensation d'une chose vécue. Il y reconnaîtrait ses compa
malade n'a jamais été un - grand dormeur. Il ne se plaint d'aucune sensation douloureuse et déclare se sentir tout aussi vig
uscles du cou et de la nuque : déglutition difficile, voix éteinte, sensation de constriction à la gorge, pupilles normales, pa
so-algie, douleurs de froid, par Uana, 419. Psvcuno - oestiiésie. Sensations de froid, par Dana, 149. Racines cervicales.
84 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
père que l'oreille appliquée contre la paroi osseuse per- cevra une sensation analogue au frémissement que l'hydatide provoque
rocher un diapason sans obtenir la moindre réaction prouvant que la sensation est perçue. La perception osseuse recherchée pa
e notre sujet qui ne présente ni gêne de la flexion de la jambe, ni sensation de bride, de corde résistante tendue au-dessus de
la lumière. Ils baissent les yeux vers le sol, comme pour éviter la sensation douloureuse que leur causent les rayons lumineux.
, de la céphalée gravative, continue, sans localisation nette, avec sensation de serrement de tête; puis des troubles psychiq
ces temps derniers. Les crises sont précédées le plus souvent d'une sensation d'ennui et de lassi- tude : elle songe à ses pa
pas être auprès d'eux, etc. La crise elle-même est annoncée par une sensation de constriction au creux épi- gastrique ; elle
qui durent de 1 il 2 minutes et sont uniquement constituées par la sensation de constriction abdominale. Elle n'a ni vertige
égions occupées auparavant par ces plaques, le malade n'accusait la sensation chaude ou froide qu'après un moment d'hési- xiv
ds froid. Nous avons remarqué en outre une légère persistance de la sensation de cha- leur. III. Sensibilité tactile. La me
tres, 0. D. = 25 cent. Lorsque le malade lit,il éprouve bientôt des sensations de piqûres et de brû- lure dans les yeux, puis
- tion ; 9° des neurones de la vaso-constriction. 4° Neurones des sensations pathiqnes. La douleur est due, soit à une somma
aisemblance, dans l'écorce de l'hémisphère droit. 2° Neurones des sensations tactiles. Que l'hémisphère droit soit lésé chez
sthésie oscillante me paraît due à l'hyperamiboïsme des neurones de sensation tactile de l'hémisphère droit, hyperamiboïsme ré
, c'est-à-dire à la rétraction complète. Lorsque les neurones des sensations tactiles se rétractent, des neuro- diélectrique
'ailleurs que les neurones rétractés sont bien les neu- rones où la sensation tactile a lieu, et non les neurones de leurs cond
t faite et dans la région symétrique. Cela montre de pi neurones de sensations tactiles des deux hémisphères sont e : étroite.
de l'hy du même côté. Cela paraît être dû à ce que les neurones des sensations tactiles sont situés plus en aval que les neuro
s sensations tactiles sont situés plus en aval que les neurones des sensations doulou- reuses. Des neuro-diélectriques situés
bilité tactile, est l'une des raisons de la grandeur des cercles de sensation à la face externe des membres, au dos, aux fess
nes de celle-ci, est également diminuée à gauche. 3° Neurones des sensations de froid et des sensations de chaud. J'ai essay
ement diminuée à gauche. 3° Neurones des sensations de froid et des sensations de chaud. J'ai essayé de démontrer que les hypo
es résultaient de la rétraction en masse d'un groupe de neurones de sensation , qui, tout en restant en relation avec ses cond
ressionne à la fois les nerfs du froid et les nerfs du chaud, et la sensation perçue est la somme algébrique de ces deux impr
me, 1901). NOEVUS VEINEUX ET UYSTÉRIE 231 lion des neurones des sensations de chaud dans les régions de l'écorce cor- resp
peresthésiques pour le froid, et par la rétraction des neurones des sensations de froid dans les régions de l'é- corce corresp
ésie, pour le chaud ou le froid, c'est-à-dire anesthésiques pour la sensation inverse, ne se superposent pas au naevus. Elles
chaud, un objet chaud n'é- tait pas perçu froid. 4° Neurones des sensations auditives. La diminution de la sensibilité audi
ement fonctionnelle (hyperamiboïsme et rétraction) des neurones des sensations auditives de l'écorce de l'hémi sphère droit. t
auditives de l'écorce de l'hémi sphère droit. t. 5° Neurones des sensations visuelles. Les rétrécissements oscillants des c
he, au désavantage de celle-ci, car nous savons que les neurones de sensation et les neurones de mouvement qui commandent une
une connaissance plus exacte par un toucher méthodique, elle eut la sensation de doigts froids longs et aplatis ; les ongles
auches, une zone de battements. La région du coeur est en- dolorie ( sensation subjective). Au foyer d'auscultation de l'orifice
aissait constituer l'élément principal, fut justement le retour des sensations spéciales. C'est un fait qui pourra surprendre
e consistance générale ferme dans sa partie interne, elle donne une sensation plus élastique, sur une coupe transversale de n
intact. Pas d'anesthésie tactile, mais retard de la perception des sensations . Sensation d'endolorisse- ment le long de la co
d'anesthésie tactile, mais retard de la perception des sensations. Sensation d'endolorisse- ment le long de la colonne verté
même compliqués (flexion des jambes, retrait du corps pour fuir une sensation désagréable,succion, déglutition). L'enfant pré
oments, etc. - Elle raconte que, dès l'âge de 11 ans, elle avait la sensation d'une boule qui remontait du côté gauche de l'a
qui remontait du côté gauche de l'abdomen et venait lui donner une sensation d'étranglement au niveau du cou. Cette sensatio
ait lui donner une sensation d'étranglement au niveau du cou. Cette sensation s'est reproduite par périodes plus ou moins lon
oule semblait prendre naissance suffisait pour faire disparaître la sensation d'étranglement. Elle ne paraît pas avoir jamais
s avant, elle avait com- mencé à ressentir surtout en marchant, une sensation de roulement et de cuis- son dans le sein droit
ans la région ovarienne et tout le côté gauche ; elle avait aussi une sensation de brûlure au niveau des reins et du dos, comme
volume du sein la gêne encore un peu, mais elle n'y éprouve qu'une sensation de douleur et de légère cuisson. Si elle a des en
re. En résumé, il s'agit ici d'une femme que ses petites crises, la sensation de boule, les douleurs variées, la fringale ven
is 15 mois, sans cause appréciable, son sein est devenu le siège de sensations pénibles, cuisson, brûlure, douleurs lan- cinan
reux s'associent à l'hypertrophie. Outre les dou- leurs spontanées, sensation delourdeur, de roulement intérieur, de cuisson,
s, etc.(C.R. de la Soc. de biologie, 1885, p. 223, 242, 253, etc.). Sensation et mouvement, Etudes expérimentales de psycho-m
vue du mouvement (C. R. de la Soc. de biologie, 1901, p. 930). (5) Sensation et mouvement, p. 6. Note sur l'influence réciproq
ux pél iphériques ne percevraient donc pas tous également les mêmes sensations ; ils semblent se partager les rôles d'avertisseu
bilité intacte. On note seulement que le membre donne à la main une sensation de fraîcheur d'ailleurs peu importante. Nous
85 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la douleur ne sont pas les mêmes que les centres c percepteurs des sensations tactiles, sans que cependant il soit encore per
uat du centre par rapport à l'expression (centres moteurs), on a la sensation (centres sensitifs) ; 3° les alté- rations du l
on locale s'effectue par l'électro- lyse interpolaire; b) celle des sensations douloureuses s'accomplit par un courant artific
fallu des aiguilles de 5 milligrammes à 1 gramme pour produire une sensation chez les tabétiques, sauf sur certaines régions
mmunication typtologique ; Professeur J. Grasset (Montpellier) : La sensation du « déjà vu » ; Professeurs F. Raymond et P. J
. Ordinai- rement, nous faisons usage de nos facultés sans avoir la sensation nette de notre activité mentale, et si nous dev
pas en présence de simples suppositions ou inductions, mais que la sensation de l'activité mentale (s'exerçant d'une façon a
s desjointures et des muscles. Sens de la tempé- rature : outre les sensations de brûlure ou de chaleur douloureuse, elle a de
fées de chaleur et des boulfées de froid glacial. Sens musculaire : sensation d'extrême fatigue, de lassitude douloureuse san
res paraissent en plomb. Sensibilité tactile : elle se plaint d'une sensation particulière que l'auteur n'a jamais observée a
àce en la comparant à du verre ou à de la soie, elle constate cette sensation en frottant ses doigts les uns contre les autre
e ce que res- sentent les malades qui prennent de la belladone : la sensation est peut-être purement nerveuse, mais il se peu
resse de la peau ne correspond nullement à la sen- sation éprouvée. Sensation du goût : elle perçoit avec intensité des saveu
urtout la saveur astringente, qui n'a rien de commun avec l'odorat. Sensations olfactives : elle est tourmentée par des odeurs
antes, ou bien elle sent des parfums de fruits, de citrons surtout. Sensations respiratoires : il y a toute une série de sensa
trons surtout. Sensations respiratoires : il y a toute une série de sensations qui se rattachent à la respiration, et qui devr
fumigations, on accroche sarespiration. Sensi- bilité viscérale : , sensation de mouvement et de torsion dans l'ab- domen ; o
u- coup, en provoquant non seulement de la douleur, mais d'autres sensations spéciales. Sensations visuelles : les hallucinati
nt non seulement de la douleur, mais d'autres sensations spéciales. Sensations visuelles : les hallucinations de la vue parais
lité à ce qu'elle croit avoir vu qu'à ses hallucinations de l'ouïe. Sensation d'activité mentale : il ne paratt pas y avoir d
e femmes, surtout lorsqu'il les lacérait, provoquaient chez lui des sensations voluptueuses pouvant aller jusqu'à l'érec- tion
ci comme un phénomène mental, un phénomène de réception erronée des sensations (Leyden, Fischer), le produit d'un désordre de
OGIE PATHOLOGIQUES. retomber avec la disparition de la tétanie. Les sensations parais- sent très émoussées, sinon tout à fait
ec odeur permanente de sulfure de carbone dans la bouche, céphalée, sensation d'ivresse, troubles de la mé- moire. Après avoi
u- mettre. Un mois après elle ressentit pour la première fois des sensations d'engourdissement dans le bras gauche, elle n'a
surface du corps sont hypéresthésiés. f J'insisterai encore sur une sensation très nette de cons- r triction thoracique avec
1899, la malade avait alors trente et un ans, elle se plaint d'une sensation de fatigue au moindre effort, de douleurs vague
euses. LOCALISATIONS. DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 287 I Les sensations subjectives sont variées autant que péni- bles,
souffrance du sympathique dont la moelle extérioriserait ainsi les sensations . C'est une hypothèse que je livre à votre criti
disparais- sent au bout de quelque temps ; peu après il accuse une sensation d'engourdissement dans les deux derniers doigts
au cinquième métacar- pien. Cet engourdissement s'accompagne d'une sensation de froid plus ou moins accusée suivant les mome
même région le malade éprouve, comme nous l'avons déjà indiqué, des sensations d'engourdissement et de four- millement. Sur le
ocement avec de l'eau bouillante sans avoir ressenti la plus légère sensation . Toutefois, il existe une intégrité de la sensi
is l'époque où apparurent les premiers troubles syringomyéliques, sensation de brûlure « de feu ardent », éruption de taches
, vibrant dans le voisinage immédiat de la VIGIE paire, perçoit une sensation sonore beaucoup plus puissante que l'individu n
oustique spé- cialisé. IL BO : OEIER. - L'acoustique dérive de la sensation tactile et tient à une variation de pression mo
s, par M. Malapert, un article de M. Bourdon sur la distinction des sensations des deux yeux, et enfin une série de mémoires d
achève mais dont le coefficient intellectuel est très appauvri Une sensation de mouvement, d'une part, provoque par associat
X... nous dit que pendant l'audition du morceau elle a éprouvé des sensations très semblables à celles du rapprochement sexue
l'auriculaire; les mouvements de ce doigt étaient difficiles et les sensations d'engourdissement augmentaient par le travail. A
d'où elle était venue et qui prend ainsi de nouveau la forme d'une sensation , de manière à être prise pour la réalité. Tanzi
a zone psychique supra-sensorielle et les centres corticaux de pure sensation , alors même que ces trajets sont destinés à d'a
onction centrifuge : Flechsig les considère comme modérateurs de la sensation ; Ramon et Cajal leur attribue une action toniq
tion rétrogressive, descendre non seulement jusqu'aux centres de la sensation , mais bien plus bas encore, jusqu'à la périphér
activité spéciale duquel nous sommes cons- cients de telle ou telle sensation ? Nous savons que dans les cen- tres moteurs le
ociations motrices. Bien que l'auteur pense, avec Tamburini, que la sensation dont nous sommes conscients dénote une modifica
centre sensoriel cortical, il n'en est pas moins vrai que sauf les sensations élémentaires (douleur, lumière, bruit), nous ne
entaires (douleur, lumière, bruit), nous ne paraissons pas avoir de sensations pures, et il semble que ceci nous force à admet
e ceci nous force à admettre ou qu'un certain degré de synthèse des sensations se produit dans le centre spécial du centre qui
e, dit-il, qu'il y a en moi quelque chose â'anli,l/loé.3.. Il a une sensation de vide dans la tête, depuis son dernier accès
orce cérébrale est infini. Nous devons toutefois supposer que toute sensation consciente, si simple soit-elle, affecte l'écorce
eil du sommeil provoqué par l'opium est loin de s'accompagner d'une sensation de repos. Le chloral, le sulfonal, le trional,
édicament, mais s'accompagne au bout de quelclue temps d'une grande sensation de dépression. Le contraste entre les effets du
ion stéréognostique n'est pas un sens spécial, mais une synthèse de sensations simples. 496 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Brissaud o
86 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
restreindre les motifs nouveaux qui surgiront souvenirs évoqués ou sensations nou- velles, au cours de la délibération entre
ntrôle de la Raison instituée par eux et entr'eux. 3e preuve. Les sensations peuvent être subies inconsciem- ment, subconsci
des ligaments et des muscles, en faisant abstraction du trouble des sensations dues au fonctionnement (Signalempfindungen). De
rovoqué des spasmes du côté opposé du corps, spasmes précédés d'une sensation d'engourdissement et de fourmillements. L. Hill
tée. De plus, comme dans la moelle, les fibres intervenant dans les sensations de température et de douleur, cheminent dans le
pilepsie, etc. Le signe d'Hoffmann (percussion d'un tronc nerveux : sensations ir- radiées dr.3 le domaine de ce nerf) n'est p
e médiumnimique. Les hallucinations con- sistaient en mouvements ou sensations de mouvements de l'une ou de l'autre main indif
ensations de mouvements de l'une ou de l'autre main indifféremment, sensations grâce auxquelles il connaissait ce que sa main
nations.que les malades atteints de ces troubles n'éprouvent pas de sensations , n'entendent pas de paroles, mais qu'on leur pa
citée par l3aillarger,la malade n'entend pas de voix et n'a pas la sensation de parler ses pensées ; les conversa- tions se
sé chronique, car elle est basée, comme l'a dit Baillarger, sur des sensations ex- ternes ou internes parfaitement réelles et
l'étude d'actualité du rôle du lobe temporal dans la perception des sensations auditives ; les points de cette observa- tion q
doux caractères fondamentaux : la faiblesse de trans- formation des sensations en idées ; le rétrécissement du champ cérébral.
ossibilité pour le malade, de supporter la lumière du jour. Cette sensation désagréable entraîne souvent le blêpharospas- (
rit cette impressionnabilité particulière et excessive à toutes les sensations visuelles et pour Bermutz, c'est une véritable
l'Infirmerie du Dépôt, Paul Gar- nier insistait sur ce fait que la sensation de brouillard rouge perçue par certains épilept
se cacher dans les fossés et en se mas- turbant elle éprouvait des sensations voluptueuses. Quand elle a été mariée, elle n'a
ères crises. ' L'aura qui précède la crise est constituée par une sensation voluptueuse que la malade sent monter d'un geno
nnonceraient par des battements des paupières, mais surtout par des sensations hyperesthésiques que la malade localise au côté
e sent comme un souf- fle lui monter du ventre vers la tête, pas de sensation d'étran- glement. Il lui semble alors voir du f
ensibilité générale, à localisations variées, caractérisées par des sensations étranges, indéfinissa- bles, pénibles plutôt qu
rouvé soi-même, même à un beaucoup moin- dre degré d'intensité, des sensations analogues : comme Goethe l'a déjà dit dans son
é unilatérale et, si l'on soumet le patient à l'appareil de Mack.la sensation de rotation dexlrorsum continuera à être perçue
u casque. Ils ont consisté, au début, en bourdonnements d'oreilles, sensation de chaleur à l'ab- domen avec nausées, étourdis
n notable de la force du bras gauche. Oppression assez marquée avec sensation de compression de la cavité thoracique.La tête
aise général semblable à un éva- nouissement. Il faut noter que ces sensations n'ont rien de com- mun avec l'orgasme et ne coï
nt du coït. Au moment de ejaculatio hominis elle ne re- çoit aucune sensation particulière. L'embrassement et les ca- resses
trailles s'échappent de l'abdomen, peut même parfois provoquer des sensations spécifiques dans la profondeur des organes géni-
s sensations spécifiques dans la profondeur des organes géni- taux ( sensation de chaleur el de chatouillement). A la pensée q
ana- logue aux associations anormales connues dans la sphère des sensations comme, par exemple, l'audition colorée, etc.
toujours : : de quelle manière garrotte-t-on les criminels, quelles sensations éprouvent ces der- niers, mais les autres circo
malade rêvait-qu'il était forçat lui-même et qu'il éprouvait les sensations d'un homme mis aux fers.... Lorsque le ma- lade
es hystériques : la suggestion expérimentale ne doit solliciter une sensation et son trouble trophique concomitant que si l'u
s d'idées de persécution corporelle ou d'idées hypochondriaques.Ces sensations nous montrent d'ailleurs que les lésions ont eu
anesthésie gauche, puis paresthésies à gauche avec sueurs profuses, sensations subjectives anormales et abolition du sens de l
en droit. Rien au coeur. Pas d'hystérie V. Femme 55 ans : début par sensation permanente de froid aux extrémités, palpitation
très nerveux, très irrita- ble ; de temps en temps,il éprouvait la sensation d'un serrement et d'une anxiété dans la région
s la région du coeur ; quelquefois il ressentait aux extrémités des sensations particulières désagréables,semblables à celles
e forces pour se lever. Les premiers jours, lé malade éprouvait une sensation de séche- resse dans la bouche et dans le phary
oduit une douleur brûlante) ; douleurs fulgurantes dans les doigts, sensation de la sensibilité diminuée dans les mains et en
ensation de la sensibilité diminuée dans les mains et en même temps sensation de la peau (C mise à nu ». Le sens stéréognos-
pareils chez les, /11f¡Í'liqllC (la s'na ! iq]1 de mouvement et la sensation de direction de ce mouvement pissociees). 412 C
ormales complexes (comme celles d'un liquide répandu sous la peau), sensations qui apparaissent sou- vent comme un prodrome de
thétiques ». Elle peut aussi prove- nir de l'absence de contrôle de sensations , récentes par les expé- riences antérieures. Ma
ts qui, par le mécanisme de l'association, servent à contrôle ! les sensations nouvelles, ne se présentent plus à la cons- cie
e par le rôle prépondérant des associations qui servent à juger les sensations : ce n'est pas la critique qui manque à l'obsédé,
nt souvent par de l'incohé- rence : « l'attention, déchaînée, va de sensation en sensation sans s'arrêter à aucune. En même t
r de l'incohé- rence : « l'attention, déchaînée, va de sensation en sensation sans s'arrêter à aucune. En même temps, les sou
, les souvenirs latents, plus faciles à réveiller, permettent à des sensations insignifiantes, normalement incapables d'attire
normalement incapables d'attirer l'attention, de la détourner des sensations fortes et de former des représentations». Le te
e définition insuf- fisante » : angoisse obsédante, hallucinations, sensations obsé- dantes (Zwangsangst, etc.) L'obsession pe
87 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
uvait les pincer, les piquer profondément, sans déterminer la moindre sensation . Désireux de savoir si, dans une telle circonstan
se à nu, comme on ferait sur les touches d’un piano ; mais que chaque sensation distinctement perçue, non-seulement n’était pas d
ût laissé faire. Je l’envoyai également en Russie, où il éprouva la sensation contraire. Parfois je le revêts de l’habit et d
n homme à califourchon sur le cou du sujet, avec la volonté que cette sensation persistât au réveil. Nous eûmes une scène des plu
e recueillir, au delà des limites que les sens peuvent atteindre, des sensations ou des connaissances qu’elle transmettra aussi fa
le goût qu’il nous avait plu de leur donner ; leur odorat accusait la sensation des parfums les plus variés, qui n’existaient rée
c'est elle qui donne ii la vie aux nerfs et qui produit en nous la sensation . Cet « élément n'est que d’un degré au-dessous de
de leur langage, la confusion de leurs idées, l'inconstance de leurs sensations ne pouvaient manquer de produire cet assemblage c
à Nantes, en 1828, parM"' Renaud-de-Saint-Amour, firent une profonde sensation . Les uns y virent des miracles, d’autres du magné
prendre de sujets très-sensibles au magnétisme, qu’ils éprouvaient la sensation de bourdonnements dans une oreille. Ayantausculté
et pulmonaire, l’action de ces seuls organes servant d’expression aux sensations du grand sympathique, il est logique de conclure
i se volatilisent aux dépens de la chaleur du corp* et produisent une sensation de froid très-vive, le même résultat est obtenu.
dans l'air qui viennent frapper les nerfs auditifs et le siège de la sensation de l'ouïe, quoique l’origine de ces ondulations a
s à regarder comme l’opération normale de nos facultés, suspendant la sensation , arrêtant le pouvoir du mouvement volontaire et l
aussi avoir été transformées. Le sujet peut être impressionné par la sensation d’autrui : crier d un coup donné à un autre, dégu
n effroi. Elle se mit au lit fort émue, et ressentit bientôt après la sensation d'un coup de poing dans la poitrine, n Je ne joue
ne joue Îias à ce jeu-là, » dit-elle. Un second coup, ou du moins a sensation d’un second coup, acheva de l'effrayer, et, rallu
n mouvement corporel ; lorsque, par la pensée, nous lui imprimons une sensation — joie ou douleur, — un sentiment — amour ou anti
de avait des attaques pendant lesquelles elle tombait et éprouvait la sensation d’un corps qui partait du bas-ventre, arrivait à
Le 21, pendant la magnétisation, la malade éprouva à l'épi* gastre la sensation d’un mouvement (pii lui sembla produit par un cor
s maux de tête, des gargouillements, des coliques, des selles; par la sensation de toile d’araignée, la chair de poule, la courba
s étourdissements, de l’exaltation et en projetant sur les sens des sensations bizarres et illusoires, comme des sons harmonieux
quels il semble que certaines personnes ont la faculté d’éprouver une sensation à l’approche d’un corps sans le toucher. Je ne sa
température qui peut avoir lieu dans ces cas pourrait expliquer cette sensation , mais l’expérience prouve qu’un nerf dont l'atmos
car, à bien prendre, C homme peut être considéré comme un seul nerf à sensation complexe)? N’est-ce pas l’absorption électrique p
n jour un domestique qui le servait dans un dîner, lui produisait une sensation singulière toutes les fois qu’il passait derrière
ses ailes par ondulations, mènerait à cette idée, si un phénomène de sensation mesmérique ne le prouvait pour ainsi dire d’une m
mis dans un certain mouvement, lequel, arrivé au cerveau, produit la sensation , parvenu aux muscles, produit la contraction. Ce
réfléchit, s’infléchit, se réfracte et échauffe les corps. Toutes les sensations sont excitées, et les membres des animaux sont mu
n rhythme très-lubrique, ne laissent aucun doute sur la nature de ses sensations . Qu’une femme lui passe la main sur le dos, ell
ter contre ses jambes. Ceci revient chez nous à cette différence de sensation que produit le chatouillement d’une femme et celu
d’une femme et celui d’un homme ; ce dernier est nul et se borne à la sensation tactile excitée localement, tandis que le chatoui
que le chatouillement d’une femme infiltre dans tout l’organisme une sensation qui réveille l’orgasme le plus endormi et porte u
lus endormi et porte un émoi incroyable jusque dans nos moelles. La sensation du chatouillement est également inverse chez la f
enant les yeux ouverts, étonnés, plongeant dans une phase nouvelle de sensations incomprises, mais révélées par l'arôme qui s’écha
du contact, perçoit et décrit avec une exactitude parfaite toutes les sensations corporelles, douleurs et maladies de la personne
bout d’une autre minute, elle s’éveilla en se plaignant encore de la sensation du picotement. A la séance suivante, je voulus lu
ient appuyée contre les dents; expliquant parfaitement par gestes les sensations nouvelles qu’ils éprouvaient, gestes par lesquels
M. de Puybonnieux du prix des petites boites qui leur procuraient des sensations si nouvelles et si délicieuses. Des observation
urs étaient entièrement paralysés ; parfois elle ressentait comme une sensation de fourmillement dans les orteils et dans les doi
’existait plus après la vingtième séance, il ne restait qu’une légère sensation de picottement au sommet de la tête, dans le cuir
pendant quinze à vingt minutes, sans causer au sujet de douleur ni de sensation désagréable ; les coideurs s’affaiblissent gradue
A ce moment, je sentis la présence de l’esprit. J’éprouvai d’étranges sensations , des coups furent frappés avec force sur la table
l’ombre d’une personne qui se mouvait sur le parquet. J’éprouvai une sensation électrique, je tremblais et je me levai. Devant m
s’échapper, et en ce moment je me réveillai. Je sentis alors une vive sensation de brûlure à la paume de la main gauche, et je fu
le jeta à une distance de dix Iiieds. Ma couverture fut enlevée. La sensation de brûlure à a paume de la main devint plus vive.
l’assemblée, me secoua les mains, ainsi qu’à plusieurs personnes; la sensation que j’éprouvai fut celle du contact d’un corps fr
le met en rapport. La sensibilité est abolie, néanmoins il perçoit la sensation d'une piqûre d'aiguille faite au magnétiseur, de
eux existences : l'une externe, dans notre cerveau, lequel reçoit nos sensations seulement pour les transmettre ; l’autre interne,
l’autre interne, dans le plexus de notre estomac, lequel éprouve ces sensations de plaisir ou de douleur à lui transmises par le
aient. La présence de la houille et celle de la marne lui causait une sensation brûlante ; celle du plâtre, des contractions au c
doigt, bien que la pression des deux doigts fût la môme et qu’aucune sensation 11e me fit apercevoir la différence de leur actio
st «l’agent intermédiaire de l’âme et du corps», c’est «l'agent de la sensation et du mouvement. » L’état magnétique ne développe
evra pas l’impression, parce que le fluide vital, qui est l’agent des sensations , a cessé de se répandre sur les objets extérieurs
termine à l’objet qui l’a provoquée. C’est alors seulement qu’il y a sensation et vue, phénomènes uniquement réservés à l’action
l'insensibilité physique est inévitable, puisque les conditions de la sensation n’existent plus. Le système nerveux est à demi pa
nerveux est à demi paralysé chez le sujet; l’âme n'en reçoit plus de sensations , ou du moins celles qu’elle peut encore éprouver,
st-il pas rationnel de conclure qu’ils sont aussi les instruments des sensations dont le mécanisme nous échappe? Remarquons en out
auteur des Rapports entre Dieu, l'homme et l'nmvers. Ce livre a fait sensation dans les sectes. « Une chose très-étrange à étu
88 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
ti : elle a cru voir, elle a cru entendre, ce qui n'était que fausses sensations de l'ouie et de la vue, mais elle est certainemen
rmés, bien que les spasmes persistent, Marie-Louise accuse cette même sensation d'étouffement qu'elle accusera plus tard lorsque
sent, la respiration normale se rétablit et la malade n'accuse aucune sensation de mal être, d'étouffement. Mais dès que l'anesth
maintenir la respiration normale, la malade accuse de nouveau la même sensation d'étouffement. C'est que sous l'influence de l'an
comme il existe des perceptions visuelles, leur absence détermine les sensations contraires à celles qui devraient normalement exi
autre part que l'abolition de ces perceptions visuelles détermine les sensations contraires à celles qui devraient normalement exi
ement exister. C'est pourquoi les yeux fermés Marie-Louise accuse des sensations d'étouffement, d'incapacité psychique et motrice.
i la caractérise à ce moment est, dans son ensemble, constitué par la sensation de vivre : elle est tout à fait comparable au dor
ontraire, l'anes-thésie générale ayant disparu, elle a de nouveau des sensations multiples; or, comme ces sensations ne peuvent ré
nt disparu, elle a de nouveau des sensations multiples; or, comme ces sensations ne peuvent réveiller que des souvenirs antérieurs
urs à son état second, elle est ramenée à la période de sa vie où ces sensations ont disparu. Marie-Louise se trouve dans le même
perceptions visuelles. Il semblerait donc qu'une fois réveillée, les sensations visuelles devraient réveiller non seulement les s
rmales, elles étaient diminuées dans leur intensité, de sorte que les sensations visuelles du réveil ayant leur intensité normale
racture à un doigt; sensilif, il éprouvera soit une douleur, soit une sensation de froid ou de chaud en un point quelconque du co
se trouve tout à coup séparé du reste du monde par l'interruption des sensations qui n'arrivent plus au cerveau ou bien n'y arrive
née dans nos livres de médecine : la voici : o On n'a plus alors de sensations distinctes : on jouit complètement d'un bien où s
la conscience n'est pas un phénomène surajouté, un épiphénomène delà sensation , mais qu'elle est fonction de la sensation, c'est
outé, un épiphénomène delà sensation, mais qu'elle est fonction de la sensation , c'est-à-dire d'une façon plus générale, la résul
r l'intermédiaire des filets nerveux dans les organes profonds par la sensation de chaleur ou de froid produite au-dessus du poin
oins complète de la perception du monde extérieur par l'abolition des sensations , de la vue, de l'ouie et du toucher ? Oui, il y
e, de l'ouie et du toucher ? Oui, il y a chez elle obnubilation des sensations : Que lisons-nous à ce sujet dans les livres pr
tement, ou s'cst- elle répétée? 5. L'émotion résulte-t-elle d'une sensation visuelle, auditive, tactile ou d'un récit ou d'
l'extase signalés dans nos livres de médecine : 1° l'obnubilation des sensations ; 2° La concentration de l'attention: 3* la transf
il. C'est ce qui constitue la fatigue subjective caractérisée par une sensation . 2° L'élément objectif. Indépendamment de ces c
eut endormir ne sont nullement influencées si leur attention va d'une sensation à une autre ou voltige, tour à tour, sur une foul
ypnose, le plus courant consiste dans le maintien d'une seule et même sensation visuelle. Cette sensation visuelle sera d'autant
nsiste dans le maintien d'une seule et même sensation visuelle. Cette sensation visuelle sera d'autant plus * endormante » qu'ell
er. Au contraire, par un attouchement sensible, je lui suggère, une sensation de chaleur, phénomène de sensibilité, et une sens
i suggère, une sensation de chaleur, phénomène de sensibilité, et une sensation de contractions, phénomène moteur. Il ressent en
vive dans l'hypo-condre droit ; elle éprouve, en outre, au bras, une sensation de brûlure; on y constate, en effet, non seulemen
ns toutes les régions du corps, sans qu'elle paraisse éprouver aucune sensation de douleur ou môme simplement de tact. Le sens th
une idée; cela est possible mais en pratique suggérer c'est créer une sensation et par la sensation une idée. Par quelque procédé
ossible mais en pratique suggérer c'est créer une sensation et par la sensation une idée. Par quelque procédé que ce soit, l'hypn
dée. Par quelque procédé que ce soit, l'hypnotiseur crée toujours une sensation de fatigue dans les yeux, fatigue préliminaire mê
ement, pendant le sommeil, le polygone, la sousconscience, perçoit la sensation de la vessie et déclenche la contraction du sphin
hincter; l'incontinent, lui, dort trop profondément pour percevoir la sensation et la surveiller; le réflexe automatique du sphin
ide, se contentant d'un peu de lait, en disant qu'elle n'avait aucune sensation de faim. Elle restait aussi très longtemps sans é
ces fonctions offraient un ralentissement notable, d'où l'absence de sensation de faim et la rareté des mictions. Si enfin, nous
Mlle L. ressentit, au niveau de la grande courbure de l'estomac, une sensation très douloureuse de déchirement, et elle vomit un
iodique ou incoercible, lorsque le sujet se laisse monoïdéiser par la sensation présente: il réalise alors, conformément aux lois
89 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
es : sécrétion de la salive, du suc gastrique,etc. En même temps la sensation de l'image du morceau dans les centres de la vu
sychiques primaires, desquels résultent plus tard tous les autres : sensations sexuelles et de la volonté, associations multip
ensations sexuelles et de la volonté, associations multiples de ces sensations , faculté de s'inculquer et de reproduire ces se
ples de ces sensations, faculté de s'inculquer et de reproduire ces sensations , faculté de la pensée et du raisonnement, etc.
much undue pressure, as to bring on head-ache, gênerai uneasiness,a sensation ,as if the head were too lare,loss of spirits, c
e se plaignait de douleurs dans les diverses parties du corps et de sensation de froid dans les extrémités. Comme c'était un
ues plus compliqués et se trouvant en rapport avec l'association de sensations primitives et de notions différentes, avec la fa-
rradient à toute la région métatarsienne et aux autres orteils avec sensation douloureuse du moignon de la phalange amputée eu
syncope, ni asphyxie lo- cales des extrémités ; il n'a jamais eu la sensation de doigt mort, il n'a jamais eu de crises parox
n, tantôt à une démangeaison insupportable, tantôt à une piqûre. La sensation de constriction est la plus douloureuse, le malad
isparaître ce symptôme en une heure. Le sujet se plaint aussi d'une sensation de froid fréquente dans ce membre. La pression
e se plaint de four- millement, de lourdeur dans la main gauche, de sensation de chaleur dans la jambe gauche et de fourmille
ade fut prise par une fièvre qui appa- raissait tous les soirs avec sensation de chaleur et d'une diarrhée, d'abord légère, q
oigt; une éprouvette remplie d'eau à 70° fournit d'ailleurs la même sensation et cette thermoanesthésie s'étend un peu plus b
eu fort, regard brillant, sourcils marqués, pau- pières pigmentées, sensation d'avoir toujours trop chaud, transpirations fac
osisme léger, consistant en grand besoin de déplacement, agitation, sensation de chaleur, rapidité et force des émotions. Qua
e d'émotions ou des règles, sont prises* de battements de coeur, de sensation de boule les étouffant et de pleurs ; des obèse
sans tendance au sommeil, la mémoire redevenue facile et sûre, avec sensation subjec- tive de fièvre. On voit le double int
ernières phalanges. Ces douleurs sont fort aiguës, comparables à la sensation d'onglée, mais elles sont passagères. L'état gé
en rapport avec l'irritation des nerfs rachidiens, sous la forme de sensation depares- thésie, d'hyperesthésie circonscrite,d
uent, la (marche est possible même sans boiterie, mais il avait une sensation de raideur dans les mouvements de la hanche. Il
s accentués ; ce sont surtout des phénomènes de pares- thésie : les sensations de toucher sont douloureuses, le contact détermin
s sensations de toucher sont douloureuses, le contact détermine une sensation de brûlure. Par contre, il y a un certain degré d
ur la vessie, par des arrêts brusques au milieu de la miction, avec sensation de brûlure. Les érections sont incomplètes et d
enfants seulement croient à ces choses. ' 306 ETTORE LEVI Pudeur. Sensations sexuelles. But du mariage. - Apparemment la pudeu
remarque un très léger degré d'hypertonie musculaire qui donne une sensation de vive résistance dans les mouvements passifs'
tient dans un état de santé suffisant. Subjectivement il accuse une sensation de faiblesse ; quelquefois il souffre de palpit
oniaque, l'acide acétique, l'acide chlorhydrique lui produisent une sensation à peine désagréable. Quant à l'examen des yeu
t. Gâtisme. Hallucinations visuelles, sans localisation spéciale. Sensations de vertige ; a peur de tomber quand elle est co
gues il celles de notre obs. III ('1) : mouvementées, alliées à des sensations de vertige, angois- santes et rendant pour ce m
our le distinguer du précédent, de l'excitation consi- (1) FÉnH : , Sensation et mouvement; - Mosso, La peur. DE LA PATHOGÉNI
e condition organique, ce qui revient à dire que les termes idée et sensation sont synonymes, énern6- tiquement équivalents.
élémentaire n'ayant pas d'organes des sens n'est pas susceptible de sensation pro- prement dite ; en physiologie, j'ai utilis
sensation pro- prement dite ; en physiologie, j'ai utilisé celui de sensation , mais il est facile de voir que ces expressions
ir que ces expressions sont deux mots pour une même chose et que la sensation n'est que l'excitation de l'être complexe à fonct
tion phy- siologique, j'ai signalé l'équivalence des termes idée et sensation et l'éga- lité de leurs pouvoirs énergétiques.
et l'éga- lité de leurs pouvoirs énergétiques. L'idée n'est que la sensation interne d'une sensation externe. Les répercussi
pouvoirs énergétiques. L'idée n'est que la sensation interne d'une sensation externe. Les répercussions restent identiques pou
ne. Les répercussions restent identiques pour la 392 " L. LEFÈVRE sensation et l'idée de cette sensation et ce sont deux expr
identiques pour la 392 " L. LEFÈVRE sensation et l'idée de cette sensation et ce sont deux expressions diffé- rentes pour
inexpressif et aucun jeu de physionomie ne trahit la perception de sensations agréables ou désagréables. Pierre remet le mouc
tez vraiment rien ? » Cinquante pour cent des sujets accusaient une sensation ; nombre des sujets prétendaient sentir un léger
ger souffle sur la peau du visage ; d'autres parlaient d'une légère sensation de tremblement du corps ; d'autres encore d'une
uverte vers le tube ». Presque tous les sujets accusaient alors une sensation au bout des doigts : un tremblement, ou bien un
allumé la lumière électrique, j'expliquais tranquillement que leur sensation avait été l'effet d'une auto- suggestion, j'aff
ONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANÉES SPONTANÉES 501 que ces sensations persistent en effet lorsqu'on fait l'expérience d
e en pleine lumière. 80 pour 100 des sujets qui avaient éprouvé une sensation spéciale, n'éprouvaient plus rien. Seulement qu
sujet, piqué d'avoir été induit en erreur, continuait à sentir des sensations extraordinaires. L'expérience a été faite avec
ait toujours de personnes qui apparaissaient normales. Puisque leur sensation spéciale se montrait sous l'influence de la sug-
risme. Et cela est vrai particulièrement lorsqu'on ne parle pas des sensations subjectives des sujets, mais plutôt des phénomè
donc bien sûr qu'un phénomène objectif (ce qui diffère d'une simple sensation du sujet) qui présente ce double carac- tère de
ystérique de la pratique privée, qui accusait de temps en temps une sensation de piqûre très vive au niveau de la pulpe digit
90 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'affection actuelle a débuté au mois d'août de cette année, par une sensation de fatigue, de courbature généralisée ; bientôt a
ont un peu douloureuses à la pression ; la malade accuse encore une sensation de constriction thoracique et des douleurs erra
t complètement disparu. Vers le mois d'octobre 1891, il éprouve une sensation de fatigue dans les jambes et sa marche devient
nt altérée; quelques faits témoi- gnent du retard de la perception ( sensation après coup).Le sens du goût, assez souvent affa
alade à constituer de toutes pièces l'hallucination sensorielle. La sensation sonore pro- voquée par la vibration du nerf aco
montrant l'influence des images optiques des lettres et le rôle des sensations du mouvement nécessaires pour exécuter (image m
té qu'une machine; pour écrire il faut un appareil enregistreur des sensations , un appa- reil d'idéation représentative, et la
Transmission aux origines bulbaires du pneumogastrique. Angoisse et sensation anormale au sensorium, équilibre instable du ce
EUSE. 1. Trouble DE la sensibilité générale SE traduisant par UNE sensation DE sable DU côté malade dans un cas D'HÉMICHORÉE
amidal. - La malade éprouve, dans tout le côté gauche du corps, une sensation subjec- tive de poussière, de sable, de sel : e
ant aux faisceaux moteurs de l'écriture et à ceux qui reçoivent les sensations motrices nécessaires pour que l'on écrive, cell
est pourquoi, en dessinant, c'est- VARIA. 15a à-dire à l'aide des sensations produites par le mouvement qui retrace les lett
nées, des cloportes des cavesalui cause une terreur invincible, une sensation * d'an goi ss P, i toute spéciale. Il se sou-. v
au,vertige, qui n'est pas toutefois sans lui procurer une certaine sensation de plaisir. Mais nous croyons qu'en insistant o
stème ,3 musculaire irite(les, terminaisons nerveuses et produit la sensation ndè,mâlaisé etle,liesô7n ? dë ? liâilëcdè psiti
i, assez fréquents sciatique, douleurs névralgiques et rhumatoïdes, sensations de froid et de chaud. L'auteur donne un résumé
aisément^une chute.' C'est un phénomène tout à fait différent de la sensation par lâquéllé lès' inûscles; à'l'a"'s'uite,d' ü n"
t non de la dystrophie spinale de Remak quant à la dissociation des sensations (hypal,ie et thermbypestliésie) avec conservati
n'est que très peu altérée, ' tandis que, dans le tabès,' ces deux sensations sont très fortement atteintes. ' ',u ? C''J " /
; la motilité et le sens, musculaire'doivent être conservés; 5° les sensations irrésistibles ressortissant à chacun de ces'org
à des substances qui n'en ont pas : ' Quelques faits témoignent des sensations après coup.1 Sens du ! ;oQt' assezcsouvënti,affai
ayant pour'symptt5mescummuns : l'angoisse précordiale, certaines sensations de nature hypochondriaque, de légères anomalies d
strique, il se développe de l'angoisse et le 'cerveau. 'perçoit dés sensations anormales, les centres sont dans un état d'équi
acines -postérieures erend 2 : compte,du non-ralentissement : de la sensation . douloureuse, de, l'absencehde douleurs lancina
, ments de la main comme s'ils- ! l'écrivaient dans l'espace et les sensations provoquées- par ces 'mouvements leur rappellent l
I On sait ce qu'il faut entendre par hallucination1 : * c'est une sensation actuellement perçue, sans, que nul objet extérieu
lement perçue, sans, que nul objet extérieur propre à exciter cette sensation soit a portée des sens ' ». C'est la définition
e par Esquirol, à laquelle je ne vois rien à changer 2. , Dans la sensation normale, il ya trois facteurs; l'objet exté- ri
iction profonde,, absolue, des hallucinés; il s'agit pour eux d'une sensation réelle, et, pas plus qu'ils ne doutent de la fi
s plus qu'ils ne doutent de la fidélité et de l'existence, de leurs, sensations nor- maies, .ils ne sauraient se résigner à met
l'objet. extérieur existe; mais il n'est pas perçu normalement. La sensation qu'il donne est défigurée par le cerveau chargé
lt; l'illusion- il y ai toute la -.série -d'interprétations dont la sensation est devenue le point de départ. Je ne veux pas
ation .est ;une , reproduction j si-j.exacte, j si - ;fidèle, de la sensation normale,) que nous sommes bien obligés 'd'admet
f;, mais qui forcément ne peut être que, pas- usager;" fugitif, les sensations se1 succédant^et s'effaçant rapide- dément les
trouvpnspJusen présence d'halluci- nations ? mais bel et bien, dp, sensations , réelles,, basées sur, des pÊéjoment,s obiectif
interne ; les pupilles sont dilatées, paresseuses ; pas de ptosis. Sensation continuelle de vertige.. , , L'enfant, intellig
,marcher-et ne* pouvait se tenir debout*. sans,soutien. Toutes- les sensations spécialesrétaient'émoussées; etr39 cet état\éta
ide de (ces appareils, de. provoquer, chez ces malades, au lieu des sensations sonores ordinaires,. des hallucinations de, l'o
(2UE. 319 11. Ramadier,qui avaitd,éciit ce trouble sous le, nom, de sensation de mouillure. Tentative de localisation dans la
es de la sensibilité, générale (hàlluci ? 1 nations kinesthétiques, sensation de déplacémentdu, corps)..ta,Ça,. > marche,
vons, à l'état faible, dans le gosier, la' langue, qles lèvres; des sensations musculaires,' tactiles," articulaires qui rsont
nc le sa...J 't ? J' t. t1^4'.a· .` t ? ? \. A ? ... ? siège des, sensations ,. provoquées , par, les (mouvements, des j °j.
deecentre'prpdui 1 ? la repl;éséntàtlôn, dé,cès4.môûvéménts, ,les,, sensations motrices .verbales; « 2°un courant nerveux cent
é qui, sansqu'il yait d'articulation véritable ? provoqueront une sensation analogue pour la conscience ? ou ticulation, pe
lucinations '* motrices verbales,"s'expliquent par ce fait que les' sensations - tactiles, musculaires des lèvres et de la lan
de l'articulation des mots. Il 'faut tenir compte*1 en outré, 'des sensations kinesthétidues >variées P,rae ! eUsptdu' lar
générales, auditives, visuelles, gustatives (la malade éprouve des sensations , de dé- placement du corps en son entier, croit
s"d'association( détermine la sensibilité consciente prématurée dés sensations organiques \t ainsi prend naissance l'onanisme.
ette à des évanouissements, survenant à a moin re con r riété, avec sensation (, de boule et crises 'dé, pleurs;' le jour* de so
vec des douleurs semblables dans les'mains et, les doigts, ou d'une sensation de constriction de la poitrine; enfin, le plus
geant au* niveau., de l'urèthre ou du col de la, vessie; ou bien de sensations pénibles du rectum « allant depuis la simple in
s du rectum « allant depuis la simple incommodité^de la. pesanteur ( sensation d'un corps* étranger) jusqu'aux souffrances com
91 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
étaient couchées depuis une heure environ lorsque, sous l’effet d’une sensation intime, elles se réveillèrent en sursaut. Elles n
s d viscères cessent eux-mêmes de soulirir sympathiquement de « cette sensation de refroidissement, sans doute parce que « la pea
la somme d’énergie qui lui est propre, et puisqu’un renversement des sensations quelles qu’elles soient, tel qu’il faut l’admettr
nt et le degré d’impression-nabilité des individus, depuis uné légère sensation de froid ou de chaud, de fourmillement, de bien-ê
au bout de quelques instants il résultera pour lui de ce contact une sensation de froid à sa main gauche et de chaleur à la main
jet sur lequel il sera posé, la main gauche du sensitif éprouvera des sensations distinctes et différentes, selon l’extrémité qu’i
sitif, émane du cristal ; car les sensitifs délicats en perçoivent la sensation à plusieurs mètres de distance. La répétition c
e la flamme bleue; de chaleur de la flammé rouge. La netteté de ces sensations et de ces visions dépend évidemment du degré de s
rsqu’elle se trouvait au-dessus d’une mine de fer, elle éprouvait des sensations mixtes, mais surtout une impression de grand froi
couches de charbon de terre et de soufre s’annonçait par une étrange sensation de chaleur dans l’intérieur du corps, et la prése
ions : chacune des lumières produit, sur la main sensitive, les mômes sensations , un peu plus prononcées peut-être, que celles que
ère de cet astre; que d’autres redoutent cette influence, à cause des sensations désagréables de frissons, de malaise, de picoteme
sensitif, ce dernier voit une flamme rouge, et cette flamme donne la sensation tiède. Le faisceau de Sirius, au contraire, exami
d'où part le souille tiède. C’est pourquoi dans les nuits étoilées la sensation de fraîcheur est dominante. L’influence physiol
Il est psychologiquement démontré, disent-ils, que ni le désir, ni la sensation , ni l’initiative du mouvement ne peuvent apparten
, Paris, 1855). La Matière est tout ce qui produit ou peut produire sensation sur nos organes. « Les physiciens avaient d’abo
hait partout et ne trouvait rien. Une nuit, à cc tapage se joignit la sensation qu’on attirait sa couverture ; il se leva brusque
ions sont incessantes et si naturelles qu’elles se confondent avec la sensation de la vie, et restent inaperçues. « Les savants
orps naît de l'idée, et l'idée de l'esprit. faculté psythé pour les sensations , cl la faculté nous pour les pensées. Nous ignoro
e. O Vulgairement apprèeiablet D. C. de M. ment le produit de nos sensations intérieures et extérieures,... La sympathie, l'an
e conférences à l'Ecolenormalc supérieure. «JPour l’homme, toul est sensation , et donne un mouvement plus ou moins précipité à
De Varielate rerum, 1547.) a Quand je le veux, je me délivre de mes sensations corporelles, comme dans l’extase.... Lorsque j’y
pas suspecte à M. d’Arbaud. « Dans le somnambulisme magnétique, les sensations participent d’un autre mode d’existence que dans
quels il semble que certaines personnes ont la faculté d’éprouver une sensation à l’approche d’un corps sans le toucher. Je ne sa
rature qui peut avoir lieu dans ce cas sufiirait pour expliquer cette sensation ; mais l’expérience prouve qu’un nerf dont l’atmo
la mandragore, l’opium, le laudanum provoquent des hallucinations ou sensations fantastique de (I) Qanoon-c-islam ,or the cus/o
lui est suggérée s’objective pour elle, et les sens perçoivent comme sensation ce qui n’est qu’une conception délirante : phénom
idées, il n’est point étonnant que quelques-uns aient perçu comme des sensations externes des faits dont leur esprit était préoccu
mier chez qui la répétition fréquente de ce phénomène ait produit une sensation assez vive pour le porter à le remarquer et à l’é
D.-H. André, Membre de plusieurs Académies et Sociétés savantes. SENSATIONS ÉPROUVÉES PAR UN ENFANT DE DOUZE ANS SOUMIS A LA
aisait pas de mal, au contraire, j'éprouvais un certain plaisir à ces sensations nouvelles pour moi et qui sont fort drôles (sic).
ient; recherches par M. Constant, 396. Rêves (des). Voy. Sommeil. Sensations de fraîcheur ou de cha-lour, de bien-être ou de m
etc., 379. — Coup d'œil sur le même sujet, par M. d'Arbaud, 179. Sensations éprouvées par un enfant de douze ans, magnétisé p
dation artilicielle de batraciens. 43. Fluide magnétique et odique. Sensations qu'il provoque, suivant le mode employé, 16, 582,
90, 96, 514, 510, 564. Seconde vue (faits de), 55, 547, 490, 515. Sensations fluidiques éprouvées par les magnétisés et les se
dos mourant. 89,102. Transmission montale de volonté, suggestion de Sensations ou d'impressions, 170. 176. 537, 546. Uromancie
92 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
dizaine de minutes, L... éprouve : a) une douleur à l'épigastre, avec sensation de gonflement; il lui semble qu'une boule remonte
lle se fasse mal. è) Elle a ensuite des battements de cœur, et c) une sensation de chaleur qui envahit la moitié gauche de la fac
tard, vers 13 ans et demi. Leur apparition aurait été précédée d'une sensation de boule qui partait de l'estomac et remontait à
et on produit de la douleur. L'extraction de la sonde donne les mêmes sensations ; il semblerait que, à un moment, la sonde est pi
e des légumes. 3 nov. — Hier soir, V... était agitée, éprouvait une sensation de constriction à l'épi-gastre, avait envie de se
. Là, une pression, même légère, est très-douloureuse, occasionne une sensation de pesanteur avec élancements. Cette douleur est
e si l'on appuyait davantage, elle aurait une attaque, car elle a une sensation particulière du côté des ovaires, des palpitation
'extraction de la sonde est également douloureuse et donne lieu à une sensation d'arrachement (contracture du col de la vessie et
e du pied et du genou. La malade dit avoir éprouvé successivement une sensation d'engourdissement dans les orteils puis dans les
s dépassé. — A droite, l'application de l'aimant n'a déterminé aucune sensation particulière. 14 nov. —La contracture du pied e
tracture au bout de 7 à 8 minutes (engourdissement, fourmillements, « sensation de desserrement, comme si on me dénouait la jambe
nsibilité est normale à gauche; les mouvements réflexes et toutes les sensations se manifestent sans retard. Lanotiondeposition
siégeant au niveau de V or aire droit (fiyperesthésie ovarienne) ; — sensation de boule qui monte à la région épigastrique (nœud
t que le médicament la pique aux yeux et dans le nez et lui donne une sensation de resserrement à la gorge; elle a une toux sèche
la moitié inférieure de l'avant-bras ; ce retour a été précédé d'une sensation de picotement. Le lendemain, l'anes-thésie était
alysie : X... se sert de sa jambe, dans laquelle il n'y a plus aucune sensation pathologique. — La notion de position est abolie
as ; elle dit que sa langue écorchait son palais et qu'elle avait une sensation de tiraillement en avant du cou. Parfois, L...,
« une araignée dans l'oreille droite, » sans doute pour traduire les sensations qu'elle éprouve. Après un repos relativement as
c'est le premier nœud de Y aura proprement dite. Puis, elle accuse la sensation d'une boule qui remonte à l'épigastre (2° nœud ou
trile d'ample ; la voix revient ; la malade dit qu'elle a éprouvé une sensation de décrochement ; pendant l'inhalation, il lui se
droite; elle sent une boule qui monte à l'épi-gastre et détermine une sensation de serrement ; puis, elle a des palpitations card
iées, provoque une attaque. A... dit que cette pression détermine une sensation de compression douloureuse dans le côté droit du
ne sensation de compression douloureuse dans le côté droit du ventre, sensation qui remonte, l'étouffé, etc. Août-Décembre (1).
93 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
termes, tout ce qui se passe chez l'animal, sans l'intervention d'une sensation ou d'un acte mental, peut s'effectuer sans l'inte
noté 1, p. 41. nerf mixte, — de douleurs plus ou moins vives ou de sensations anormales, indices de l'irritation que subissent
iment le bras, l'avant-bras et la main, j'ai vu le malade accuser une sensation musculaire assez notable, alors même que ces musc
e la pression. Un pincement lé-ger, le chatouillement, sont suivis de sensations douloureuses très sensibles. J'emprunte le fait
ment, ainsi que Enfin le contact d'un corps froid produit aussi des sensations douloureuses que le malade compare à celles qu'oc
contact presque nulle. Le contact d'un corps froid s'ac-cuse par une sensation obscure de picotement. L'insensibilité n'est pas
sée du mouvement) est plus chaude que la droite. Le malade accuse une sensation de constriction ou plu-tôt de compression à la ba
eur vive s'est mani-festée au genou droit qui est tuméfié et donne la sensation de fluctuation. 11 y a, en outre, tuméfaction dou
ct. I, part. II, TheLancet, july 13, 1861). Après avoir admis que les sensations pénibles, telles que celles de formi-cation, de p
ecte des fibres nerveuses encéphaliques, il ajouta : « Ce sont là des sensations rapportées à lapériphérie, analogues à celles qui
sentiment général de tension et de fatigue; besoin de déplacement. — Sensation habituelle de chaleur excessive. — Température da
raideur prédomine à droite. Sensibilité conservée. — Pendant la nuit, sensation de froid qui, partant de l'épaule, descend jusqu'
récautions. ; B. ] c'est encore une affection cruelle par suite des sensations péni-bles qu'éprouve le malade. Ordinairement, et
vous avons entretenus, il ne s'agit pas de souffrances vives, mais de sensations désagréables, d'un ordre spécial. Ce sont des cra
erçus avec leurs caractères normaux et la rapidité voulue. Mais une sensation très pénible encore qu'éprouvent les ma-lades et
et que je n'ai trouvée mentionnée dans aucune descrip-tion, c'est une sensation habituelle de chaleur excessive, qui fait que, au
les cas de notre service déposent en faveur de cette assertion. Cette sensation de chaleur, particularité digne d'être notée, bie
lades. Or l'expérience m'a prouvé que, quel que fut le degré de cette sensation subjective et aussi celui du tremble-ment, la tem
de se découvrir, même par les saisons lés plus froides, en raison des sensations de chaleur intérieure qu'ils éprouvent? Nous ne s
in point pathognomonique. La pression, en l'exaspérant, détermine des sensations irradiées, toutes spéciales. Ces sensa-tions part
nt dans ces régions par une oppression plus ou moins considérable, la sensation bien connue de boule ou de globe ; 3° la tête, où
ur la moitié droite do la bouche (langue, palais, gencives, joue), la sensation de chaleur est moins vive que sur la moitié gauch
spécifiques. Il ne s'agit pas là d'une douleur banale, car c'est une sensation complexe qui s'accompagne de tout ou partie des p
ls qu'ils se produisent d'eux-mêmes à l'approche des crises, et cette sensation provo-quée, les malades la reconnaissent pour l'a
r avec fréquence extrême du pouls, e-t enfin se développe au cou la sensation du globe hystérique [deuxième nœud). En cepoint
rent au bruit strident que produit le sifflet d'un chemin de fer, une sensation de coups de marteau frappés sur la région tempora
sou-lage ainsi, dit-il, presque à cour sûr les malades, pourvu que la sensation du globe n'ait pas encore dépassé le diaphragme(4
n ovarienne gauche, douleur d'un caractère spécial, s'accompagnant de sensations particulières qui s'irra-diaient vers la région é
as-père par la pression. C'estau niveau de ce point douloureux que la sensation d'aura prémonitoire des attaques semble prendre o
de l'eau qui coule dans l'in-térieur du talon. » Elle se plaint d'une sensation constante cle chaleur et ne garde qu'un drap sur
is endormie elle ne se réveille qu'au bout de cinq à six heures. La sensation de chaleur, le besoin de déplacement, — sauf la n
blement des mains, des jambes. — Mêmes besoins de déplacement et même sensation de chaleur, etc. —Le tronc est incliné à angle dr
reux dont ils deviennent bientôt le siège. D'ailleurs, à part cette sensation de fatigue, de pesanteur qui existe dans les memb
sont, en effet, l'observation le démontre, les deux couleurs dont la sensation dans l'amblyopie hystérique se conserve le plus l
: douleur ovarienne (1), irradiations vers l'épigastre, palpitations, sensation du globe hystérique au cou, sifflements d'oreille
ations, sensation du globe hystérique au cou, sifflements d'oreilles, sensation de coups de marteau dans la ré-gion temporale, ob
l'expression de toutes les passions de l'âme, et celle de toutes les sensations . » Pendant les convulsions, les malades sont so
sentiment général de tension et de fatigue; besoin de déplacement. — Sensation habituelle de chaleur excessive. — Température da
94 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
e la sensibilité porte sur les sen- sations douloureuses et sur les sensations thermiques. Cette anesthésie totale occupe touj
e. A gauche, t'anesthésie est peut-être un peu moins profonde ; les sensations très intenses sont un peu perçues, mais elles don
al du bras et de l'avant-bras. De temps en temps la malade avait la sensation d'une ceinture lui comprimant le thorax, ou bien
pérature de la salle était appliquée sur la peau, V... accusait une sensation de brûlure. Mais à un deuxième et à un troisième
core à l'heure actuelle des phénomènes douloureux consistant en une sensation de constriction des genoux et particulièrement
urant. La région cubitale n'est plus douloureuse. Depuis un mois la sensation de constriction thoracique n'a pas reparu. En g
it jamais eu de vertiges à proprement parler. Mais elle éprouve une sensation de crainte pour descendre un escalier ou pour tra
vec prédominance nocturne. Elles s'accompagnent presque toujours de sensations douloureuses le long du bord cub,ital du bras et
-même temps le doigt était' rouge au niveau de l'articulation, avec sensation de chaleur à ce niveau. La tuméfaction apparaissa
out- c'est ,d'une raideur extrêmement pénible de la nuque et, d'une sensation de brûlure qu'il ressent entre les deux épaules
l pou près constantes coïncidant avec des douleurs lombaires et une sensation d'engourdis- sement très marqué dans le membre.
objective générale est conservée. Par contre, il existe encore des sensations d'engourdissement et de fourmil- lements surtou
es il partir du cou-de-pied ; un retard très manifeste des diverses sensations au contact, à la piqûre, à la température, dans
OELLE ÉPINIÈRE 131 Vers le 17 juillet 1891, il a ressenti une forte sensation de fatigue et de cour- bature dans les membres
ans la flexion forcée sur le thorax, il ressent immé- diatement une sensation très marquée d'engourdissement dans les membres
la sensibi- lité générale est diminuée. La malade localise bien ses sensations mais celles-ci .sont mal interprétées au point
s, et de constipation opiniâtre. , " Elle avait,dans les jambes,des sensations douloureuses avec engourdissement et il lui sem
impossible, dit-elle, de faire un pas plus vite que l'autre. Les sensations d'engourdissement qu'elle éprouve dans les membre
eutré, insensible, elle ne peut en apprécier les dimen- sions ; les sensations voluptueuses ont disparu. Elle a perdu toute no
née et le pourtour de l'anus et de l'hypoesthésie des fesses, de la sensation moins marquée d'engourdissement des membres in-
nue possible, mais la malade peut même courir après un omnibus. La sensation pénible d'anesthésie comparée par la malade la gê
mbre, l'amélioration est très marquée; la marche est très bonne, la sensation d'anesthésie anale et périnéo-vulvaire s'atténue
nades sans fatigue. Lorsqu'elle s'assied elle n'a plus qu'une vague sensation d'engourdissement de la région inférieure des fes
ale à la pi- qûre. Lorsque Mme X... va il la garde-robe elle a la sensation du passage des ma- tières fécales ; de même pou
l'urine; les besoins restent néanmoins un peu impérieux. Elle a la sensation normale d'une canule d'injecteur anal et d'une
l et d'une canule d'injecteur vaginal. De même pendant le coït; les sensations voluptueuses qui avaient disparu au début de l'
formée une bourse séreuse avec hy- pertrophie du derme, donnant une sensation pseudo-fluctuante. Sans cause apparente, le pie
bjective, mais les degrés en sont variables suivant les points. Les sensations de tact simple ou de piqûre sont moins nettes a
e plantaire des pieds est un peu plus sensible que les jambes. La sensation de froid, moins facilement accusée qu'aux membres
u contraire pour 160 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ'i'mjOE les sensations de chaleur qui n'impressionnent d'abord que comme
pe, bien que formant bloc, lassés et s'engrénant, donnent encore la sensation de mobilités partielles (PI. XL). Pour le métac
s les points du corps. Il n'y a de douleurs d'aucune sorte : pas de sensations de froid, d'engourdissement, pas de démangeaiso
s, sous forme de sciatique droite puis gauche, donnant au malade la sensation de déchirements aigus, comme si on lui promenai
Sans faire de chute, il se reçoit simplement à faux. Il a alors la sensation que quelque chose vient de se déboîter dans la ha
tion vésiculeuse était survenue, accompagnée de démangeaisons et de sensations de brû- lure. Dès le dixième jour de sa maladie
Dès le dixième jour de sa maladie, cette jeune femme éprouvait des sensations bizarres dans les membres : engourdissement, four
s jambes, fortes douleurs rhumatoïdes dans les épaules. Bientôt ces sensations anormales se répandirent dans tout le corps, oc
n'étaient pas perçues, le contact d'un corps froid développait une sensation de chaleur. Les muscles et les troncs nerveux P
95 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
e. No- tons ici, l'acte conjugal n'était pour lui qu'un devoir, les sensations volup- tueuses faisant complètement défaut par
mbe) : quand on lui faradise la peau av ec la brosse électrique, la sensation de picotement et celle de douleur ne sont perçu
issent normalement leurs fonctions et chez lequel manquent même les sensations subjectives qui ac- /il NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
un frisson suivi de chaleur et de congestion ; les malades ont une sensation de cha- leur dans la tête, dans le visage; ils
é de la peau de la face est émoussée et qui, en outre, ont perdu la sensation de l'existence de leur visage; il semble à ces
et qu'il ne leur reste de la tête que la partie postérieure. Cette sensation , comme vous pouvez l'imaginer, est atroce, insupp
d'une façon incomplète. C'est seule- ment au front qu'il accuse la sensation pénible que vous savez et ce symp- tôme, je vou
id. Bien que la glace, appliquée sur cette main. ne provoque aucune sensation , le malade affirme qu'il y éprouve une impressi
lent épaissies, difficiles à délimiter par la palpa- lion ; ou a la sensation de masses calleuses siégeant à ce niveau el contr
ombaire. En cette région, la pression, la percussion provoquent une sensation désagréable, qui n'est pas une douleur véritabl
cocher. En 1865, douleurs dans les jambes, surtout à gau- che, avec sensation de raideur musculaire. Ensuite, surtout' partir d
douleurs lombaires diminuent peu à peu, mais il subsiste comme une sensation de pression sur le rachis et les lombes ; il se
les cho- réiques. Il y a de la céphalalgie et de la rachialgie, des sensations pénibles, mal définies, des douleurs spontanées
embres et de tout le corps, les propul- sions et les rélropulsions, sensation de chaleur, etc., empêcheront une mé- prise.
ogressivement sans déterminer de douleur ; il y avait seulement une sensation de raideur analogue à celle qui existe dans les m
, sourde, monotone. La sensibilité est égale des deux côtés. Pas de sensation de chaleur ; besoin continuel de se donner du m
sistent en un malaise général de faible intensité, mais surtout une sensation douloureuse et un sentiment de faiblesse, de raid
feraient les parois d'une caisse de résonnance et l'on éprouve une sensation toute particulière que certains sujets compa- (
chemins de fer ou en voiture. Pendant toute la durée du voyage, les sensations si pé- nibles et parfois si douloureuses qui so
rer une demi-heure, et être autant que pos- sible quotidiennes ; la sensation de bien-être que le malade éprouve après la tré
d, mais aussitôt que la vibration a commencé c'est au contraire une sensation de légèreté qu'é- prouve le malade que le poids
e les met clans la bouche pour en avoir le goût qui lui procure une sensation de plaisir mais elle les crache ensuite. Ce qu'el
crampes dans les doigts et dans la main, avec de temps en temps des sensations de brûlure et d'élancements des plus pénibles. Ce
baissement de température, mais par une coloration rouge foncé, une sensation de brûlure intense survenant par crises et corres
veille, mais même dans ces cas il commet des erreurs de lieu et de sensation considé- rables. De même, des explorations répé
s jointures du même côté, sans déterminer chez le malade la moindre sensation douloureuse. L'anesthésie existe donc pour les pa
provoque immédiatement une crise de douleurs et de larmes. Pas de sensations anormales ni de douleurs spontanées en dehors des
ni de douleurs spontanées en dehors des crises. Pendant les crises, sensation d'étouffement à la gorge. Le réflexe pharyngien
n oeil supprimé au point de vue de la fonction ; il ne donne aucune sensation positive ou négative. Champ visuel.- A gauche,
rnativement la mâchoire, comme s'il manquait d'air ou qu'il eût une sensation d'étouffement à la gorge. La crise dure environ
he. Le malade perçoit fai- blement le contact mais n'éprouve pas la sensation douloureuse de la pi- qûre. La sensibilité ther
de la langue. Nous ferons re- marquer que le malade se plaint d'une sensation de sécheresse du môme côté de la cavité buccale
u côté droit de la bouche. Le malade éprouve dans les deux yeux une sensation d'ardeur, et une abondance de larmes plus consi
ères chez nos deux hommes par suite de la chute sur l'épaule, cette sensation dis-je, pourrait être considérée comme la raiso
ire pour se réaliser objec- tivement sous la forme de paralysie. La sensation dont il s'agit, aurait en conséquence joué le r
éjà très éloignés de cet état psychique dans lequel on a éprouvé la sensation qui fai naître l'idée que nous voyons se tradui
ulaires très modérées. La môme expérience démontre encore que toute sensation douloureuse est à éviter si l'on veut obtenir u
96 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re, car, souvent, il était pris la nuit, pendant son sommeil, d'une sensation d'étoutfernents suivie de perte de connaissance.
ut loucher, piquer, brûler la peau sans. que D... accuse la moindre sensation . Au membre inférieur, il exisLe trois petites z
ses yeux des points brillants. En même temps il pâlitet éprouve une sensation de constriction à la gorge qui lui semble prise
e supérieur gauche qui serre moins fort, et qui donne au malade une sensation de pesanteur insolite lorsqu'il le soulève. P
e menace d'un renvoi, 11 est pris bientôt d'éblouisse- ments, d'une sensation de constriction à la gorge et rentre chez lui.
peu saillante, se sent forcée de rechercher pour l'autre pied une sensation analogue; de même, lorsqu'elle a placé une main
2 à 10 milligrammes), ses effets sont les suivants : il produit une sensation de chaleur à l'estomac, la circulation s'accélère
ffaiblissement musculaire qui y prédomine, est précédé soit par une sensation incommode de raideur, soit par des oscillations
nt des accès; non pas du reste le grand froid, mais simple- ment la sensation d'un morceau de bois à une température de 10 à
s quatre ans d'une paralysie des membres inférieurs, accompagnée de sensations particulières, toujours d'ordre subjectif. Réfl
depuis dix-sept ans, éprouvait au moment de chaque menstruation des sensations anormales du côté des organes sexuels, de l'hypé-
eux, les bizarreries de caractère, les hallucinations réflexes, les sensations spinales irradiées (télégraphiques), l'évolution
ique sur la région des muscles extenseurs n'éveille non plus aucune sensation douloureuse. La sensibilité est normale sur tou
mois par des douleurs suivant le trajet du nerf, accompa- gnées de sensation d'engourdissement et de froid. La marche était
verre à sa bouche. Les autres signes de la maladie de Parkinson, la sensation de chaleur, l'attitude spéciale, font ici défau
vive sur le trajet d'un nerf paralysé, mais le fait est rare. Des sensations d'engourdissement et de fourmillement paraissen
de la parésie, de la diminution de l'excitabilité faradique, et une sensation d'engourdissement. Dans un cas dû à Lamotte, on
s troubles transitoires de la sensibilité et du mouvement, tels que sensation de lourdeur, parfois anesthésie réelle et parés
c la paume de la main (Charcot). La malade accuse immédiatement une sensation d'engourdissement, de pesanteur et de faiblesse
6 mars, la malade--Se plaint d'une douleur dans l'aisselle et d'une sensation d'engourdissement dans le bras; elle ne sent pl
nes manifestement exagérés du choc local : anes- thésie, paralysie, sensation d'engourdissement et d'absence du membre, et le
ard, impossibilité de marcher longtemps et de monter les escaliers; sensation de froid dans le dos avec état dou- loureux des
e qu'un certain degré d'inquiétude morale. Durée : des heures, avec sensation de tension anormale du côté de l'os hyoïde et d
malade ressent d'abord une certaine lourdeur de tête et une légère sensation de tension et de traction dans l'angle interne
bitaire. gauche, et devient très vive, en même temps il éprouve une sensation de tremblement de l'aile gauche du nez. Puis su
es attaques constituées comme il suit : battements dans les tempes, sensation de constriction dans la gorge, mouvement d'abai
La malade ressent des battements dans les tempes, elle éprouve une sensation de constriction dans la gorge et la paupière droi
ite; la ma- lade en effet, dit qu'elle éprouve exactement les mêmes sensations que lorsque ces phénomènes se produisent sponta
vements rapi- des d'élévation et d'abaissement de la paupière, la sensation de çonstriction dans la gorge, constituent, par
a- miné. Ce résultat s'obtiendra par une différence maxi- mum des sensations à percevoir. Nous déterminerons de cette manièr
emble évidente chez elle, si l'on se rappelle ces étouffements, ces sensations de boule qu'elle avait dès sa jeunesse, ces cri
pendant à noter que la malade accuse dans les doigts de la main une sensation d'engourdissement et prétend ne pas sentir son
nous la lui montrions écrite sur un papier en nous assurant que la sensation visuelle avait assez duré pour que la malade ai
ce de leurs yeux à une distance suffisante pour ne pas provoquer de sensation ^ de chaleur, et, qu'excités il marcher, ils évi
ls paraissaient ressentir les im- pressions faites sur les nerfs de sensation commune. Quant aux sens spéciaux du goût et de
ablation des hémisphères enlève seulement la perception propre, les sensations brutes ayant leur centre dans les ganglions més
tuels, continue à jouir de ses facultés sensorielles, preuve que la sensation et l'intelligence ne sont pas la même et unique
nt par les relations psychiques entre l'intention volontaire et les sensations intramusculaires, pour ainsi dire au seuil de l'a
ion produite par les altérations patholo- giques. C'est pourquoi la sensation lumineuse subjective est conservée, c'est pourq
97 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aire et que les autres personnes ne devaient pas éprouver les mêmes sensations qu'elle ; mais cela s'explique très bien, son m
eau, les sièges res- pectifs des centres de projection servant à la sensation simple et au mouvement réflexe, involontaire, e
réflexe, involontaire, et des centres d'association, ser- vant à la sensation complexe et à la motililé volontaire ? La phy-
que le sens stéréognostique, résultat complexe de l'association de sensations simples, actuelles et d'images antérieures cons
'hémorrhagie en général est peu abondante et unique et suivie d'une sensation de bien-être. Le traitement relève du traitemen
, épileptiques, neurasthéniques, des troubles sensoriels ou moteurs sensations douloureuses après le coït, anesthésie cutanée,
vasomoteurs sous forme d'apparition de taches bleu- foncées, et de sensation de froid aux membres. Les réflexes cuta- nés so
té, faites en prenant comme point de comparaison l'apparition de la sensation électrique minima. Il a aussi démontré que la s
ition de la sensation électrique minima. Il a aussi démontré que la sensation de fermeture précède toujours celle d'ouverture
e fermeture précède toujours celle d'ouverture au pôle + et que les sensations produites par les étals variables de fermeture
qui progresse, surtout la nuit et le fait crier dans son lit; cette sensation a bien diminué au bout de quelques semaines, ma
de temps à autre, légers vertiges avec perte de connaissance. La sensation de brûlure, comparée par le malade à celle que pr
écrivait ; ils étaient précédés d'une aura (vomituritions, malaise, sensation cardiaque anormale, palpitations, dépression) et
A l'heure actuelle la malade ne se plaint guère de douleurs ou de sensations subjectives quelconques. Dans la moitié inférie
ses sensa- tions anormales musculaire, articulaire, cutanée, de ses sensations vertigineuses, enfin de la vue même de son inco
d'être prolongé et consolidé par des moyens propres à atténuer les sensations anormales du tabétique. Paralysie périphériqu
nir droite sur les épaules. Cette parésie était accom- pagnée d'une sensation de poids dans la région cervicale. A qua- torze
x secondes entre l'application de la chaleur et la perception de la sensation , dans le dos du même côté cet intervalle se prolo
est normale et le patient éprouve, lorsque les yeux sont fermés, la sensation produite au moyen d'une plume passée sur toute
x : délire tranquille avec hallu- cinations visuelles et auditives, sensation d'angoisse provoquée par la vue d'un grand espa
us, B.-W., fasc. 2 et 3.) Deux malades hynoptisés racontent leurs sensations : diminu- ' lion de la personnalité; on dort, m
ux sans antécédents pathologiques, qui a commence par présenter une sensation d'engourdissement dans les doigts de la main ga
ensation d'engourdissement dans les doigts de la main gauche; cette sensation a gagné la main, puis s'est étendue jusqu'à l'é
ssée pour le membre inférieur du même côté. Plus tard survint une sensation de tension dans le côté gauche du cou et de la tê
sibilité montre une analgésie très mar- quée sur tout le corps. Les sensations tactiles et thermiques sont au contraire perçue
e bulbe des voies de conductibilité différentes, et que la voie des sensations douloureuses s'est trouvée seule abolie dans le
droit, qui décroitcepen- dant de haut en bas, faible diminution des sensations douloureuses dans le bras droit qui perçoit néa
bras droit qui perçoit néanmoins encore les impressions lac- tiles. Sensation subjective de faiblesse dans la jambe droite dont
et à la face antérieure des cuisses. Tremble- ment des mains, avec sensation d'engourdissement le matin. La sensibilité cuta
nts du dos ; depuis cinq ans celle également des mouvements du cou. Sensation de cons- triction dans les jambes; depuis un mo
s (Entwohnungskuren), à savoir : état d'an- goisse et d'inquiétude, sensation de brûlure à l'épigastre et à la .gorge ; sécré
e. Chez quelques-uns on constate un retard dans la transmission des sensations , des erreurs dans leur localisation. » ' On v
els rapports existent entre ceux-ci, les désordres moteurs et les sensations subjectives ressentis par les paralytiques dans l
lus violenle que jamais. A l'examen : douleur vive à l'inspiration, sensation de constriction et de boule à la gorge, hémiane
ses dans le bras, battements des paupières du côté hémiplégié, avec sensations de suffocation et sueurs profuses. Per- sistanc
rande intensité, à son achèvement, à sa définition précise certaine sensation ou certain fait psychologique, et qui produit u
d'intensité, d'autres diminuent. , Tout ce que nous avons dit d'une sensation visuelle, pourrait se répéter d'une sensation o
nous avons dit d'une sensation visuelle, pourrait se répéter d'une sensation olfactive : nos connaissances anatomiques sont
ssances anatomiques sont assez précises pour cela. Quant aux autres sensations , l'étude de leurs appareils anatomiques n'est p
eu- nesse ; Ho la maladie se complique fréquemment d'insomnie, de sensation vertigineuse, d'accès d'angoisse précordiale (Men
de cette émotivité, qui suffit pour la provoquer. Quantité d'autres sensations neurasthéniques. Sous l'influence du bromure et
n'étaient pas dans le courant ordi- naire de sa vie ; tête lourde, sensation de pression sur le front, mais pas davantage. C
on spécifique : comment donc expliquer les mo- dalités des diverses sensations , si l'on admet que le corps cellulaire n'est qu
t chargées de conduire l'excitation sensible au cerveau pour qu'une sensation ait lieu. C'est par là qu'est prévu le trajet d
. La vie psychique du nouveau- né procède des perceptions brutes de sensations élémentaires im- médiatement eu rapport avec le
eloppement de la faculté d'imitation, il unit les sous-entendus aux sensations correspondantes qui dépendent des mouvements ef
98 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
ation. Puisqu'il y a chez les infusoires des organes destinés à une sensation spéciale, puisqu'il y a des yeux, il faut dans l'
gir, celle substance ne peut être isolée dans un organe, autrement la sensation resterait isolée aussi, ou plutôt elle n'exisle-
s, i83o, t. 3, p, 323. rail pas. Dès qu'il y a plusieurs organes de sensation , il faut à ces organes un lien qui les unisse ent
airement chez tous les animaux qui ont plusieurs organes destinés aux sensations , Celle conséquence, qui me semble rigoureuse, se
ils ont des yeux, ils doivent être pourvus d'un organe qui reçoive la sensation de la vue, et d'un point central qui puisse mettr
la sensation de la vue, et d'un point central qui puisse mettre cetle sensation en rapport avec le reste do l'économie. Mais co
eux un système locomoteur, ils n'ont d'autre organe spécial pour les sensations que lesfilamens lentaculaires, placés à l'orifice
sement de la digestion, de la respiration, de la circulation et de la sensation du4oucber. Un même ganglion préside à ces diverse
idéré comme ayant une propriété exclusive ? eu en d'autres termes, la sensation est-elle dévolue seulement au ganglion labial, la
iennent aboutir les nerfs destinés aux sens, c'est lui qui reçoit.les sensations . ¦ê Les conséquences de ce fait sont faciles
s, à l'entonnoir et à l'oreille , ainsi, il sert, en même temps, à la sensation , au mouvement, à la respiration et à hmutrition.
t inconnue du système nerveux. Berlin, i836 (en allemand). ganesdes sensations ; les animaux vertébrés auraient les deux ordres d
s; il n'y a, sous ce rapport, aucune différence entre les nerfs de la sensation et ceux du mouvement; entre les nerfs qui naissen
paire peut devenir le siège et le point de réunion de leurs diverses sensations . » A cela, je répondrai : 1° Que le nerf optiqu
M. Ehrenberg ayant pour conséquence de refuser aux invertébrés toute sensation , toute sensibilité, est, par cela seul, inadmissi
alique le plus considérable. U. Tous les mollusques jouissent de la sensation du toucher; beaucoup de la vue et peut-être de l'
ir? nous ne pouvons que le supposer. Et au-delà des sens, au-delà des sensations qu'ils procurent, qu'y a-t-il ? Un centre nerveux
r des hommes hallucinés, c'est-à-dire par des hommes qui, atteints de sensations délirantes, racontaient de bonne foi et avec une
nous trouvons des individus qui, frappés de la même maladie, ont des sensations et par suite des convictions semblables à celles
eux aient pu connaître, par la tradition ou autrement, que de telles sensations aient jamais été éprouvées. Si nos visionnaires r
s se développent en suivant la progression suivante : « a) Quelques sensations et des instincts bornés à la recherche de la nour
ncts bornés à la recherche de la nourriture et à la génération ; b) Sensations plus étendues et plus nombreuses, ardeur extrême
, ardeur extrême pour la génération, voracité, cruauté aveugle ; c) Sensations encore plus étendues, construction d'un domicile,
es, construction d'un domicile, voracité, cruauté, ruse, astuce; d) Sensations très étendues, construction d'un domicile, vie de
nement existe et le système principal, celui auquel sont dévolues les sensations et les volitions, prend un caractère particulier
me, le sont beaucoup moins : or, un sens peu développé fournit peu de sensations , et partant peu d'idées dépendantes de ces sensat
fournit peu de sensations, et partant peu d'idées dépendantes de ces sensations . Ajoutons que les sensations fournies par un même
t partant peu d'idées dépendantes de ces sensations. Ajoutons que les sensations fournies par un même organe ne diffèrent pas seul
. La perfection d'un sens ne consiste donc pas seulement à donner une sensation déterminée avec facilité et précision, mais aussi
avec facilité et précision, mais aussi à donner une grande variété de sensations . Ce que je dis pour l'ouïe de l'homme, doit s'a
ez les animaux, nous avons tout lieu de penser qu'il leur fournit des sensations qui nous sont inconnues, et nous jugeons, en effe
; en revanche, ils ont la vue perçante et l'or gane affecté à cette sensation , généralement très gros, est muni, dans plusieurs
s facultés regardées comme primordiales de l'entendement, savoir : la sensation , l'attention, la mémoire, l'imagination, le jugem
et jusqu'à un certain point, la volonté qui suppose la liberté. La sensation , ou faculté de sentir, est très vive chez les ois
La mémoire est presque aussi développée chez certains oiseaux que la sensation ; faible chez la mésange, par exemple , qui se la
e donc. La volonté, chez les oiseaux, se laisse apercevoir entre la sensation et l'action, et même entre la pensée et l'action.
'approche de l'aliment désiré : le premier a senti, et il a obéi à sa sensation ; le second a senti, jugé et voulu : il a fait ce
ls sont doués des facultés primordiales de l'entendement, mais que la sensation l'emporte de beaucoup sur la réflexion. § IV. R
organes secondaires de l'encéphale, ils sont liés à l'exercice d'une sensation qui est relativement moins importante dans les ma
t celles du cerveau. Par l'intermédiaire des cordons antérieurs, la sensation arrive au cerveau, et la perception s'y opère :
tion arrive au cerveau, et la perception s'y opère : la mémoire des sensations se fixe dans les circonvolutions cérébrales; l'as
99 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ent la parole. Quel timide ne reconnaîtrait, à cette description, les sensations qu'il ressent lorsqu'un regard d'autrui l'intimid
avec douleurs s'irradiant dans tout le bras gauche et déterminant une sensation constante d'engourdissement; il passe des nuits e
che, expirez l'air de vos poumons sur votre main, vous éprouverez une sensation de chaleur produite par l'air expiré auquel se jo
pourrait être définie : l'action de provoquer un état de conscience ( sensation , idée, sentiment, volition), que cet état de cons
ureux sur le trajet du colon. Souvent on est obligé de poursuivre les sensations douloureuses de place en place par des applicatio
s. » Faria : « Quelques époptes sont inaccessibles aux plus légères sensations dans de graves incisions, blessures et amputation
, p. 60.) « D'autres, selon Faria, éprouvent, sous la suggestion, des sensations de froid, de chaud, enfin de toute espèce (1). »
nt le sommeil hypnotique peut notablement influer sur les émotions et sensations mentales. Braid vivait dans une période où la phy
té maladive, mais elle ne perçoit ni les vibrations inférieures de la sensation physique, ni les vibrations supérieures de la sen
épétition de ces actions déprimantes. La plupart des timides ont la sensation du trouble apporté dans leur organisme par le cho
d'actes inspirés ou conseillés par un initiateur dépravé. La première sensation éprouvée avait été enregistrée par la mémoire du
se trouvaient désormais dans une dépendance étroite avec la première sensation et le réflexe génital n'était plus réveillé que p
génital n'était plus réveillé que par des idées se rapportant à cette sensation . Il y a à ce sujet un exemple classique, c'est
vue moral, notre sympathie doit aller aux êtres qui souffrent; or la sensation de la timidité est souvent fort douloureuse. D'
que, seul, perçoit l'homme fatigué, c'est un malaise particulier, une sensation pénible d'impuissance, difficile à décrire, mais
ux qui l'ont éprouvée. C'est la diminution des forces qui provoque la sensation de fatigue, et celle-ci est un avertissement qui
ravail devient nuisible à l'organe. Mais si la puissance d'agir et la sensation qui la révêle sont liées par un rapport de cause
ion l'une de l'autre. En un mot. la fatigue comporte des degrés et la sensation qui nous en donne conscience ne nous en donne pas
es avaient encore de la force en réserve. Chez l'homme entraîné, la sensation de fatigue se produit beaucoup plus tard que chez
du poumon aussi bien que celui des muscles. Chez lui, l'éducation des sensations respiratoires intervient puissamment pour perfect
ent à lutter contre le besoin excessif de respirer, en résistant à la sensation pénible, à la soif d'air, qui le poussait, au déb
aîné à toutes les formes de la fatigue. Quand l'homme lutte contre la sensation de fatigue, sa volonté et sa sensibilité subissen
inverses pour chacune d'elles. C'est une loi de psychologie que toute sensation s'émousse par l'accoutumance, c'est-à-dire par le
olonté. C'est donc parce que sa volonté est devenue plus forte et ses sensations moins vives, que l'homme entraîné arrive à souten
e par la lutte et la Sensibilité très atténuée par l'accoutumance, la sensation de fatigue perd presque complètement son empire s
science : il peut rester insensible à la fatigue et n'éprouver aucune sensation d'épuisement, quand il a déjà perdu la faculté de
les pertes causées par le travail. Il n'est plus mis en garde par la sensation de fatigue contre le danger des efforts excessifs
de bien peut devenir un mal et, si on s'applique trop à combattre la sensation de fatigue, on arrive à priver l'organisme d'un m
la fois, plus apte à faire usage de ses forces et plus maître de ses sensations , naît un sentiment très remarquable de tranquilli
ue chose. Il fut expliqué à la plaignante qu'il s'agissait de fausses sensations , et comme nous étions à bout de ressources, cette
t maître de lui arrive à exprimer ses impressions, ses besoins et ses sensations par le seul moyen de ses lèvres et de ses yeux. M
avec leurs panaches de crins tombant en chute circulaire, donnent une sensation de tristesse, d'absence de mouvement, que n'ont p
ment; la coupole au contraire, avec sa masse et sa forme lourdes, une sensation de poids, de lourdeur, d'écrasement, de mollesse,
sque de notre artillerie pour ressentir aussitôt très nettement cette sensation que le bizarre placement sut* le devant d'un plum
conscience parmi lesquels les plus apparents sont : l'indécision, la sensation d'im puissance à agir et surtout la difficulté d'
s et même à distance et en donnait le diagnostic détaillé d'après les sensations qui à ce moment la traversaient. Ces pouvoirs, do
100 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ouffrait de douleurs dans la tète- et le cou. Il se plaignait d'une sensation de fatigue le matin, se sentait épuisé et sans
dant l'été il souffrit des yeux, des lunettes le soulagèrent, mais la sensation de fatigue reparaissait de temps en temps. Il e
aussi un peu engour- die par l'effet de la prolongation d'une même sensation sans variation. Mais l'image de l'étal de flexi
s étendons l'arlicle. Quelques-uns accusent aussi en même temps une sensation de tension de la peau au niveau de l'articulation
chez le malade, cherchent par ces variations rapides à réveiller la sensation et à pouvoir par consé- quent acquérir l'image
eux fermés, dévie comme un labyrinlhique et il survient chez lui la sensation vertigineuse. Je dois constater que l'iris réag
on plus que des attaques de labyrintliisme. Le malade ne souffre de sensation vertigineuse que quand il ferme les yeux étant
tige engendré l'instabilité et l'instabilité à son tour engendre la sensation illusoire de déplacement et d'autres troubles acc
e que, sans le secours du lalv'- rinthe, ils auraient facilement la sensation vertigineuse qui augmenterait leur instabilité.
rable des pieds, des jambes, des genoux, sans qu'il y ait cependant sensation sulrjectivede froid ; colo- ration rouge violac
de la pupille droite; le malade se plaint de temps en temps, de la sensation " de brouillard, de nuages devant les yeux. Depu
4 SOUQUES, BAUDOUIN ET LANTUEJOUL malade se plaint simplement d'une sensation de lourdeur, de pesanteur qui persiste encore a
a- tion de contact au pinceau, de même que la localisation de cette sensation existent, mais elles sont moins fixes que du cô
in est légèrement rosée, violacée. Enfin le malade dit éprouver une sensation de froid très accentuée au niveau de la main et s
est-à-dire par son image cinesthésique, qui n'est que le résidu des sensations musculaires, articulaires, tactiles qui se prod
qui se substitue à la mémoire volontaire et consciente. Ce sonl les sensations cénesthésiques d'innervation et musculaires, écri
taient une forte impulsion à les accomplir, en éprouvant presque la sensation que leur membre volait. Or, si l'on considère q
automatique, qu'on constate chez nos sujets, soit due au résidu des sensations musculaires, articulaires et tendineuses qui se
aire explication dans la cénesthésie, à savoir dans la synthèse des sensations internes cérébrales qui tirent leur origine des
étude de cette all'ec- (1) l'ATwzt, Les composants somatiques de la sensation el de la i ep) ésentation4 Archives italiennes
ans sensibilité cénesthésique ; nous ne sommes pas conscients d'une sensation quelconque, si celle-ci ne se joint pas à l'ens
sensation quelconque, si celle-ci ne se joint pas à l'ensemble des sensations internes qui forment la base de notre personnal
a perle de la sensibilité cénesthésique d'un nombre considérable de sensations , et que celles-ci; même perçues par les centres
avec la peau anesthésique ou voit avec l'oeil amaurotique, mais ces sensations demeurent tout à fait subcons- cientes. Cela ex
ntres cénesthésiques n'ont pas seulement la faculté de recevoir les sensations internes, mais aussi celle de transmettre l'excit
esthésie, de même qu'elles influent considérablement sur toutes les sensations ; il n'y (1) Pronier. De l'anesthésie généralisé
les plus fantastiques ont très souvent leur origine dans de faibles sensations cénesthésiques. L'hy- pothèse n'est pas alors h
d le malade veut serrer la main du médecin, l'examinateur a bien la sensation d'une action musculaire irrégulière, mal soutenue
tre quittée. En palpant les tendons des fléchisseurs, nous avons la sensation de contractions et de relâchements alternatifs. Q
uit jours après. Les crises laryngées étaient caractérisées par des sensations de picotement dans la gorge, amenant des quinte
dans les deux gros orteils, douleurs peu intenses, comparées à des sensations de prurit, très inconstantes d'ailleurs. Il se pl
es, mais avec des paroxysmes pendant lesquels le malade éprouve des sensations de brûlure superficielle et profonde, provoquan
uperficielle sont moins importants, il faut noter cependant que les sensations sont très persistantes, les localisations parfois
ues ont été notés. Comme troubles vasomoteurs, il faut signaler une sensation subjective de froid au niveau des mains et non
on subjective de froid au niveau des mains et non des pieds ; cette sensation n'est pas perçue objective- ment. Enfin la main
ulgurantes, lérébrantes, constrictives, classiques des tabétiques ; sensations étranges, très douloureuses, angoissantes, qui co
. Les crises de tyrnpanisme local dans le côté droit du ventre, les sensations de brûlure ont diminué progressivement, la marc
tenses mais contiuues ; aux extré- mités, elles revêtent le type de sensations anormales, en particulier, de cryestliésies.
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