e la périphérie vers les centres, les impressions automatiques et les
sensations
; les autres conduisent des centres vers la périp
l doigt ? Combien n'en faut-il pas pour la perception distincte de la
sensation
la plus simple ? Enfin, ne sait-on pas que la fac
us les plis des hémisphères ; 5° Des irradiations nées des nerfs de
sensations
spéciales; 6° Des irradiations nées des ganglio
s de M. Flourens semblent le démontrer, le cerveau seul est organe de
sensation
avec conscience, c'est-à-dire d'intelligence, si
penserions que dans l'homme, et dans quelques animaux privilégiés, la
sensation
est un effet immédiat de l'impression extérieure,
es. C'est ainsi que Ch. Bell les range en quatre classes; 1° nerfs de
sensations
spéciales; 2° nerfs de sensibilité générale; 3° n
. M. Longet les groupe ainsi d'après leurs propriétés : 1° nerfs de
sensations
spéciales; 2° nerfs de sensibilité générale pouva
iales; 2° nerfs de sensibilité générale pouvant en outre servir à des
sensations
spéciales; 3° nerfs présidant à la fois aux mouve
sont là les vraies paires nerveuses du crâne. Toutefois, outre les
sensations
spéciales qui fournissent à l'intelligence la mat
rameau à chacun des trous de conjugaison du crâne. Parmi les nerfs de
sensation
générale, celui-ci est évidemment dans le crâne l
1° Nerfs moteurs; 2° Nerfs de sensibilité générale; 3° Nerfs de
sensations
spéciales. I. NERFS MOTEURS CRANIENS. «. Prem
llement des nerfs d'action volontaire et prosbolique. iii. Nerfs de
sensation
spéciale. a. Première paire. Elle comprend le n
expliqué plus haut. x. Troisième paire. Elle comprend les nerfs des
sensations
olfactives, ou nerfs olfactifs. (1) Il serait c
rechercher si cette destruction détruit le goût en même temps que la
sensation
des odeurs. A priori, il y a entre ces deux sensa
me temps que la sensation des odeurs. A priori, il y a entre ces deux
sensations
de telles analogies, que les deux nerfs pourraien
leux (1), ce n'est pas toutefois dans cet organe encéphalique que les
sensations
auditives sont perçues, et, en effet, après l'abl
ir dans les hémisphères cérébraux eux-mêmes la condition première des
sensations
auditives, aussi bien qu'ils le sont des sensatio
tion première des sensations auditives, aussi bien qu'ils le sont des
sensations
optiques. Malheureusement, il ne m'a point été do
er cette idée de Buffon, « que le cerveau au lieu d'être le siège des
sensations
, le principe du sentiment, n'est qu'un organe d
important dans l'histoire encore si obscure de ce qu'on a appelé les
sensations
subjectives? région intermédiaire à la sphère des
t pas conclure que toutes les fibres qui les composent conduisent des
sensations
pareilles ; elles contiennent en effet autant de
. Il y a des nerfs spéciaux pour la douleur, pour le contact, pour la
sensation
du froid et du chaud, pour le chatouillement. Les
e spontanéité, de jugement et de mémoire, incapable par conséquent de
sensations
véritables et de volontés réelles; en effet, pour
mouvements coordonnés peuvent être exécutés à l'occasion de certaines
sensations
sans aucune participation de l'intelligence (3).
bérance est un centre de perceptivitô, qui, suivant la « nature de la
sensation
, agit seul ou réclame le concours des « lobes cér
t sans instincts; le cervelet seul est-il détruit, tout subsiste, les
sensations
et les mouvements 5 mais ces mouvements ne ^'ench
n rien la perfection de l'animal en tant qu'automate; mais toutes les
sensations
, toutes les perceptions, toutes les idées sont al
t intactes. Ainsi l'automate vit, mais l'âme, en tant que principe de
sensations
et de spontanéité, est absente. Quelques auteurs
e les médecins analomopathologistes ont écrit sur la localisation des
sensations
et des facultés cérébrales. Il n'est point prouvé
e ne suivit-il pas cet exemple ? Comment ne vit-il pas que toutes les
sensations
perçues parla muqueuse nasale ne sont pas nécessa
s'ensuit-il qu'il les perçoive? Cependant Willis accorde aux bêtes la
sensation
et la perception. Mais si un simple automate peut
es des éléments composants. Ainsi, la faculté d'éveiller une certaine
sensation
peut être naturellement une propriété de la rose.
ieur à toutes les rêveries des philosophes (5) ? CHAPITRE II. DES
SENSATIONS
ET DES SENTIMENTS LOCALISÉS. § 1. Définition de
ES SENSATIONS ET DES SENTIMENTS LOCALISÉS. § 1. Définition des mots
sensation
et sentiment. Dans l'état présent de l'homme et
urellement dans l'âme certaines idées du monde extérieur, ce sont des
sensations
; mais en tant que ces idées représentent seuleme
st uni, ce sont des sentiments. Ainsi quand je vois un arbre j'ai une
sensation
, parce que je conçois naturellement cet arbre com
chologiquement très-importante. En réalité l'âme qui sent, soit des
sensations
, soit des sentiments, est dans un état passif; ma
quels l'âme est pour ainsi dire entraînée. Toute impression perçue,
sensation
ou sentiment, produit dans l'âme une idée qui lui
ées est la Mémoire. Il est possible, à la rigueur, de comprendre la
sensation
. Une cause agit sur le corps et le modifie. L'âme
arce que le mécanisme de celte reproduction n'est point aperçu. Les
sensations
et les sentiments supposent une certaine interven
es deux cas, c'est toujours l'âme qui sent ou se souvient. § ». Des
sensations
. L'être qui sent est un; mais il y a plusieurs
§ ». Des sensations. L'être qui sent est un; mais il y a plusieurs
sensations
; et de même qu'en un seul objet il peut y avoir p
dans l'âme plusieurs manières d'être affectée par elles. Toutes les
sensations
de l'homme peuvent être, bien qu'innombrables, ra
en cinq catégories distinctes : La première catégorie comprend les
sensations
du Toucher. La seconde, les sensations du Goût.
mière catégorie comprend les sensations du Toucher. La seconde, les
sensations
du Goût. La troisième, celles de Y Odorat. La
uïe. La cinquième, celles de la Vue. Chacune de ces catégories de
sensations
peut être conçue indépendamment des autres. Chacu
ation pathologique démontre, que le toucher comprend une multitude de
sensations
particulières, et ces sensations font supposer l'
le toucher comprend une multitude de sensations particulières, et ces
sensations
font supposer l'existence d'autant de nerfs diffé
leur situation relative, la forme. — La troisième espèce comprend les
sensations
du chatouillement; et la quatrième celles de la v
fort bien faites le conduisent à distinguer dans le toucher « quatre
sensations
spéciales, de « douleur, de température, de conta
s combinaisons entre elles (1) Gerdy. Physiologie philosophique des
sensations
et de l'intelligence, Paris, 1846. « fournissen
es philosophes. Rappelons d'abord que nous ne donnons pas le nom de
sensations
aux impressions qui nous donnent seulement une id
s'appelle sentiment. Ainsi, la douleur et la volupté ne sont pas des
sensations
, ce sont des sentiments localisés. De môme, l'obs
de la chaleur, celui de la contraction musculaire, ne sont point des
sensations
mais des sentiments. Parmi les sens du toucher, l
mais des sentiments. Parmi les sens du toucher, le seul qui donne des
sensations
véritables est le sens du contact. En effet, son
l'histoire en peu de mots. (1) Recherches phys. et pathol. sur les
sensations
tactiles. (Arch. gén. de mid. 1852.) La peau et
es surfaces libres des muqueuses sont essentiellement les organes des
sensations
de contact. M. Gerdy a fort bien fait remarquer q
ne détermine sur la peau de la face palmaire de l'avant-bras, aucune
sensation
appréciable. L'impression de cette même aiguille
paume de la main. On peut en conclure immédiatement que, eu égard aux
sensations
de contact superficiel, ces dernières portions de
sions profondes sont ordinairement mêlées de douleur. Or, il n'y a de
sensations
parfaites que les sensations distinctes. Aussi, p
ement mêlées de douleur. Or, il n'y a de sensations parfaites que les
sensations
distinctes. Aussi, partout où la nature a voulu r
en ce lieu, comme l'a cru, mais à tort, M. le professeur Gerdy. La
sensation
de pression commence quand la sensibilité de la f
ésigne sous le nom de toucher sous-onguéal. Le développement de cette
sensation
consécutive est pour beaucoup dans le système de
t de cette sensation consécutive est pour beaucoup dans le système de
sensations
d'où résulte l'idée de pression. Il est une aut
autre modification de la sensibilité de contact, que j'appellerai la
sensation
de traction. Cette sensation se développe quand l
sibilité de contact, que j'appellerai la sensation de traction. Cette
sensation
se développe quand la peau se détache d'une chose
peau, d'abord tiraillée, revient brusquement sur elle-même. De cette
sensation
, quand elle est forte, résulte l'idée de viscosit
e l'épidémie. Une chose dont le contact excite une foule de petites
sensations
distinctes donne l'idée d'un corps rugueux ; mais
donne l'idée d'un corps en mouvement. 11 s'y joint habituellement une
sensation
de pression latérale. Ces effets sent d'ailleurs
couche des doigts circonscrite par un petit cadre de baudruche, cette
sensation
se distingue à peine d'avec celle d'un simple con
ntre qu'en effet le sens du toucher ne donne rien autre chose que des
sensations
de contact. Prenons un disque poli de bois ou d
e, elle donnera toujours les mêmes résultats, c'est-à-dire, après une
sensation
, une autre sensation pareille. L'idée de cercle o
urs les mêmes résultats, c'est-à-dire, après une sensation, une autre
sensation
pareille. L'idée de cercle ou de circonférence ne
relations successives. Ainsi nous ne connaissons pas la forme par la
sensation
du contact, mais par un sentiment, et ce sentimen
lut, si je puis ainsi dire. C'est là un jugement ; ce n'est point une
sensation
. Mais que dire de cette main divisée en une mul
ins distinctes. é. Mais d'autres impressions cutanées se mêlent aux
sensations
de contact dans l'acte même du toucher, et ces im
n du monde extérieur, mais seulement le corps modifié, complètent les
sensations
proprement dites, en leur donnant un caractère de
à cet ordre d'impressions. Ce ne sont pas là à proprement parler des
sensations
, parce que l'idée qui en résulte a trait à une ce
localisés. Mais si ces sentiments se développent en même temps qu'une
sensation
de contact, celle-ci en recevra un caractère part
u'il soit jugé le même par le toucher. Ce sont là des accidents de la
sensation
. Mais ce qui le prouve le mieux, ce sont ces cas
e qui le prouve le mieux, ce sont ces cas maladifs, dans lesquels les
sensations
de contact gardent toute leur délicatesse, bien q
t, un frottement qui chatouille; ce chatouillement se combine avec la
sensation
de certains contacts successifs, et cette impress
et la douleur; par eux, dans l'état normal du moins, il n'est pas de
sensations
indifférentes; sentinelles avancées de la vie, il
re machine absolument incapable de perceptions, et en conséquence, de
sensations
véritables. Il y a une multitude d'espèces de p
de nerfs spéciaux, différents de ceux par lesquels nous percevons les
sensations
de contact et même les impressions de température
bles déplaisir ou de douleur touchent mal. L'âme, dans l'exercice des
sensations
véritables, garde sa liberté, mais dans le plaisi
e auquel le nerf se distribue un certain phénomène assez curieux. Les
sensations
de contact sont absolument ou presque absolument
s a diminué. Cependant les moindres conlacts éveillent alors, non des
sensations
, mais des douleurs intolérables. On expliquera ce
rdinaire que le compliqué dans l'organisation; ajoutons, enfin, à ces
sensations
positives, dont nous venons d'esquisser l'histoir
mment rien n'est au fond plus difficile que l'analyse élémentaire des
sensations
. Il résulte encore de cette étude rapide, que n
ons goûter, nous ne faisons en réalité qu'odorer. L'histoire de ces
sensations
et de leur réduction à des éléments simples, a ét
nous percevons ne sont pas toujours vierges de tout mélange avec des
sensations
ou des sentiments de contact. Il est hors de dout
ions ressenties dans les fosses nasales n'ont rien de commun avec des
sensations
olfactives. C'est ainsi qu'après la perte complèt
citants, et les sympathies seules ditfèrent. Il est certain que les
sensations
olfactives se développent par suite d'une certain
y a aussi des odeurs piquantes, acres, acides, caustiques; toutes ces
sensations
sont mixtes et résultent d'une certaine odeur uni
contact. Cela est évident pour les odeurs chaudes ou fraîches. Les
sensations
gustatives comme les sensations olfactives sont s
les odeurs chaudes ou fraîches. Les sensations gustatives comme les
sensations
olfactives sont souvent mêlées à des impressions
ont souvent mêlées à des impressions de contact, et souvent aussi aux
sensations
olfactives elles-mêmes. Lorsqu'on a établi par l'
faut décider si ce qu'on a pris pour une saveur n'est pas une simple
sensation
olfactive. M. Chevreul a donné, pour distinguer c
on olfactive. M. Chevreul a donné, pour distinguer ces éléments d'une
sensation
complexe, un procédé fort simple ; il consiste à
où le mouvement est exclu ; alors aucune odeur n'est perçue, et si la
sensation
persiste ce ne peut être qu'une impression de goû
a langue et l'odorat, et si l'on se bouche le nez il ne reste que des
sensations
ou des sentiments de contact ; tel est par exempl
aveurs et les impressions tactiles, et la résultante de ce système de
sensations
, d'où les odeurs sont exclues, en est singulièrem
xclues, en est singulièrement modifiée, car il y a des résultantes de
sensations
, et l'analyse n'en est pas toujours chose facile.
s chose facile. Nous imaginons, par une erreur assez naturelle, les
sensations
que le goût et l'odorat nous procurent comme inhé
ment en lui cer taines propriétés à l'occasion desquelles certaines
sensations
se produisent en nous; mais ces sensations sont d
asion desquelles certaines sensations se produisent en nous; mais ces
sensations
sont des effets qui ne sont pas implicitement dan
ces sens sont-elles, à certains égards, des sentiments autant que des
sensations
, si bien qu'on en pourrait faire une classe inter
l'analyse, enferment aussi plus de méditation. Comme il est peu de
sensations
plus voisines des instincts, il n'en est pas dont
emarquer avec M. Chevreul combien l'homme met d'intelligence dans ses
sensations
. Les sensations seules ne donnent que des synthès
Chevreul combien l'homme met d'intelligence dans ses sensations. Les
sensations
seules ne donnent que des synthèses confuses ; c'
ons sur ce point en parlant de l'ouïe et de la vue. Les différentes
sensations
, dont nous avons parié jusqu'ici, sont perçues il
s reproduire, mais jamais au gré de la pensée et de la volonté. Les
sensations
dont nous allons parler maintenant sont d'une aut
vois réellement. J'entends bien ce son, ce concert que je pense. Ces
sensations
idéales sont, il est vrai, plus faibles que celle
es, se prêtant à toutes les exigences de la pensée, il n'est point de
sensations
auxquelles elle emprunte davantage; elles lui son
des conditions physiques indispensables pour le développement de ces
sensations
; cette étude est du domaine de la physique généra
animaux eux-mêmes ne seront pas soustraits à son empire. Ainsi les
sensations
de l'ouïe ont sur les sentiments une influence ex
rreur de ces philosophes est spécieuse. L'homme tire un tel parti des
sensations
de l'ouïe dans le langage, qu'il peut avec justic
dans sa reconnaissance. Mais on n'a pas remarqué que directement ces
sensations
fournissent peu d'idées, et qu'elles sont moins i
s; mais ces idées peuvent venir à l'esprit par toutes les voies de la
sensation
. Ainsi l'ouïe n'a rien en propre, sinon la facult
signes auquel l'esprit attache en quelque sorte ses idées. Toutes les
sensations
sont propres à cela ; mais à des degrés divers, e
s prouvent plus la force de l'esprit que la valeur intrinsèque de nos
sensations
prises en elles-mêmes. D. De la Vue. Il y a d
s sensations prises en elles-mêmes. D. De la Vue. Il y a dans les
sensations
de la vue deux éléments bien distincts : l'un de
lleurs la vue est comme l'ouïe ; l'esprit se complaît au milieu des
sensations
que ces sens élaborent, l'imagination les représe
istence des objets que touchent nos surfaces cutanées, que, là où ces
sensations
de contact manquent, nous concevons aisément, com
n'avons une idée claire d'aucun de nos organes, sinon en tant que la
sensation
du toucher peut s'exercer sur eux ou par eux. C'e
rieures, nous n'avons point l'idée de notre œil modifié. C'est là une
sensation
par excellence. Si l'aveugle de Cheselden sembl
ans le sens opposé à la direction que vous lui donniez. » {Traité des
sensations
. Paris, 1767, t. II, p. 419). — On peut modifier
, le toucher vient en aide au jugement, et corrige cette erreur de la
sensation
. J'ai démontré plus haut que le toucher n'est rie
it que nous voyons hors de nous l'image que l'âme a perçue, et que la
sensation
qu'elle a de chaque point de l'objet est rapporté
ces impressions dans l'œil qu'une idée confuse. Cette synthèse de la
sensation
ne peut donc être amenée à sa perfection que par
uée de jugements que l'habitude rend à la longue instinctifs, que nos
sensations
éveillent enfin des idées adéquates et parfaites.
combien plus de perfection! rapides comme l'esprit, la succession des
sensations
dans l'œil est si prompte, que toutes semblent s'
édiatement sur une feuille de papier d'une couleur B. Alors il a la
sensation
qui résulte du mélange de cette : couleur B,
t deux objets différemment « colorés, ce qu'il y a d'analogue dans la
sensation
des deux « couleurs éprouve un tel affaiblissemen
sés... De là des phases dont les unes « sont de la même nature que la
sensation
primitive, et peu-ce vent être appelées les phase
formation de toutes ses idées, que dis-je? dans l'élaboration de ses
sensations
distinctes, explique mieux que tous les raisonnem
Des sentiments généraux et des passions, Dans l'état normal, toute
sensation
est accompagnée d'un sentiment corrélatif. La sen
C'est par un véritable abus de langage qu'on dit vulgairement : une
sensation
agréable, une sensation douloureuse; par elles-mê
abus de langage qu'on dit vulgairement : une sensation agréable, une
sensation
douloureuse; par elles-mêmes les sensations n'ont
ne sensation agréable, une sensation douloureuse; par elles-mêmes les
sensations
n'ont rien de commun avec le plaisir ou la douleu
ale, l'un des plus importants et des moins remarqués cependant. Les
sensations
et les sentiments sont des motifs déterminants d'
PITRE III. DE LA MÉMOIRE. § *. De la mémoire en général. Si les
sensations
sont difficilement expliquées, si les sentiments
retrouver dans l'esprit, et suivant un certain ordre, les traces des
sensations
, des volontés et des idées passées, c'est compter
rtain signe et un certain instinct viennent-ils à coïncider dans la
sensation
une ou plusieurs fois, l'idée de l'un ramènera né
tempéraments qui résultent de la prédominance de tel ou tel ordre de
sensations
dans les habitudes naturelles de l'esprit. Un de
nation. Après avoir rapidement traité des parties de l'histoire des
sensations
qui ont avec notre sujet un rapport plus immédiat
ré dans l'étude de l'intelligence, et parlons de l'imagination. Les
sensations
résultent des impressions que font sur nos sens l
it une certaine image du corps. Ainsi, le caractère fondamental d'une
sensation
, c'est la propriété qu'elle a d'éveiller une idée
a d'éveiller une idée nécessaire, celle d'extériorité. Or, ce que la
sensation
est au monde, l'imagination l'est à la sensation.
orité. Or, ce que la sensation est au monde, l'imagination l'est à la
sensation
. Elle est dans l'intelligence comme un écho des s
l'est à la sensation. Elle est dans l'intelligence comme un écho des
sensations
antérieures. Elle les reproduit sous une forme no
este à l'âme le monde réel. On peut donc admettre que la sphère de la
sensation
et celle de l'imagination se touchent, mais que l
andis que des mouvements effectifs sont la conséquence nécessaire des
sensations
, l'imagination, dans son état normal du moins, no
et, si je puis ainsi dire, des ébauches do réaction. D'ailleurs la
sensation
et l'imagination se correspondent, et il n'y a ja
eu rien d'essentiel dans l'imagination qui n'ait été d'abord dans la
sensation
. Un aveugle-né n'imagine point des couleurs ; un
llectu quod non prius in sensu. Mais de cette correspondance entre la
sensation
et l'imagination, on conclurait à tort à l'identi
out, c'est que l'exercice de l'une diminue l'activité de l'autre. Les
sensations
exigent l'intervention des im pressions du deho
n ne démontre mieux la légitimité de cette distinction première de la
sensation
et de l'imagination. Mais, tout en les distingu
drait pas méconnaître leurs analogies réelles. Il est certain que les
sensations
fortes impressionnent vivement l'imagination, et
magination peut, en l'absence de toute cause extérieure, éveiller des
sensations
réelles. Il y a donc entre les organes internes d
Il y a donc entre les organes internes de l'imagination et ceux de la
sensation
, des correspondances naturelles et des échanges r
d'impressions actuelles, il peut s'éveiller dans l'âme des images des
sensations
passées. Ces images enchaînées, combinées au gré
'à demi l'automate. De cette inégalité naturelle entre la force des
sensations
réelles et celle des sensations imaginaires résul
négalité naturelle entre la force des sensations réelles et celle des
sensations
imaginaires résulte, par une comparaison qui s'op
le. Or, comme cette comparaison ne peut avoir lieu qu'en présence des
sensations
extérieures, s'il y a un état possible dans leque
des sensations extérieures, s'il y a un état possible dans lequel ces
sensations
soient obscurcies, les sensations imaginaires pou
a un état possible dans lequel ces sensations soient obscurcies, les
sensations
imaginaires pourront dominer à leur tour et régne
nouveau, l'être vivant a conscience de lui-même, mais il n'a plus de
sensations
distinctes, sinon les sensations imaginaires. I
nce de lui-même, mais il n'a plus de sensations distinctes, sinon les
sensations
imaginaires. Il y a un troisième état qui paraî
quel les impressions idéales arrivent au point d'égaler l'énergie des
sensations
extérieures, et cela pendant l'état de veille, en
epose, ainsi que nous l'avons vu, sur ce fait que, les deux ordres de
sensations
se développant à la fois, les sensations extérieu
fait que, les deux ordres de sensations se développant à la fois, les
sensations
extérieures dominent; mais, bien que dominantes,
s deux mondes, le réel et l'idéal, se mêlent; d'où résulte une double
sensation
, une double action, une double science. 11 est
et de les soulever. Il avait donc une idée de cet aliment dont aucune
sensation
actuelle ne trahissait la présence. L'observati
appartient qu'à lui, celle de diriger à son gré son attention sur ses
sensations
ou sur ses idées. Seul il sait, quand sa pensée l
u monde et peut s'élever jusque dans l'infini. Tous les modes de la
sensation
ne sont point représentés également dans l'imagin
ouvoir de nous rendre présentes : j'en dirai autant de la plupart des
sensations
du toucher, et en particulier du sens de la doule
s forces de l'attention et de l'aperception étant concentrées sur une
sensation
dominante. 2° Une impression sensoriale éteint
s doloribus semel obortis, vehementior obscurat alte-rum. » Ainsi une
sensation
forte éteindra d'autant plus facilement une sensa
um. » Ainsi une sensation forte éteindra d'autant plus facilement une
sensation
plus faible, qu'elle sera de même nature. La lumi
n son, fût-il d'ailleurs assez faible. Or, dans l'état de veille, les
sensations
imaginaires peuveut être assimilées à des sensati
t de veille, les sensations imaginaires peuveut être assimilées à des
sensations
très-faibles. 3° Le mouvement d'une attention v
Le mouvement d'une attention vive portée à une chose quelconque, soit
sensation
, soit action, nuit de manière générale à la liber
ale à la liberté de l'imagination, de même qu'elle nuit à celle de la
sensation
en général. Un homme attentif à une conversation
quiétistes. 5° Il y a toutefois des conditions dans lesquelles des
sensations
ou des actions extérieures peuvent favoriser le d
ons ou des actions extérieures peuvent favoriser le développement des
sensations
imaginaires. Ces conditions sont réalisées toutes
imaginaires. Ces conditions sont réalisées toutes les fois que cette
sensation
ou cette action sont corrélatives à la chose qu'o
chose est facilement et naturellement imaginée, même en regard d'une
sensation
vive d'un ordre quelconque, lorsque cette sensati
e en regard d'une sensation vive d'un ordre quelconque, lorsque cette
sensation
est habituellement associée à cette chose. Ains
principe d'association, le nom d'idées consécutives. 7° Lorsque des
sensations
sont habituellement ordonnées en séries, il suffî
ées en séries, il suffît que les premières soient reproduites dans la
sensation
, pour que la série entière s'ensuive dans l'imagi
re spécial qui établit entre les faits de l'imagination et ceux de la
sensation
une transition naturelle. On sait que certains di
velles. 8° Les idées imaginaires peuvent être considérées comme des
sensations
très-faibles. Réciproquement, des sensations très
re considérées comme des sensations très-faibles. Réciproquement, des
sensations
très-faibles peuvent être prises pour des sensati
iproquement, des sensations très-faibles peuvent être prises pour des
sensations
imaginaires. Cette proposition mérite d'être appu
ns que cet air lui était auparavant inconnu. 9° En conséquence, des
sensations
très-faibles seront d'autant plus aisément perçue
es impressions trop faibles pour déterminer, à proprement parler, une
sensation
, peuvent dans certaines conditions éveiller des i
on propre mouvement, puisque, ainsi que nous venons de l'établir, des
sensations
très-faibles peuvent n'être comprises que sous fo
ve. La cause qui produit le sommeil obscurcit en général toutes les
sensations
à la fois; mais quelquefois l'une d'elles survit
une d'elles survit à coi anéantissement (1). Dans certains cas, les
sensations
seules sont endormies, mais la faculté de se mouv
est impossible d'accepter la théorie de M. Charma, qui veut que toute
sensation
perçue pendant le sommeil, éveille, ne fût-ce qu'
ne fût-ce qu'un instant. Les songeurs s'accommodent fort bien de ces
sensations
et continuent souvent de rêver. Charma, Du sommei
t la veille, nous ne connaissons les choses que par les idées que les
sensations
nous en donnent. Ainsi l'homme se meut dans l'idé
de et coïncide avec lui, qu'importe qu'elle ait ou non pour cause des
sensations
actuelles? N'est-ce point là l'histoire du voyage
at naturel, dit Deleuze, il perd absolument le souvenir de toutes les
sensations
et de toutes les idées qu'il a eues dans l'état d
inadéquates et des volontés impuissantes. Cette paralysie, en face de
sensations
pénibles et d'imaginations effrayantes, s'appelle
es songes. Les idées amenées pendant le sommeil normal au degré des
sensations
réelles portent le nom de rêves ou de songes. Ces
). D'ailleurs comme Wolf l'a, selon nous, admirablement démontré, les
sensations
obscures qui nous assiègent pendant le sommeil, e
crânienne, en sorte que je le sentais ballotter dans ma tête ; cette
sensation
me jeta dans une si étrange perplexité que je m'é
moins agité par les vents. Dès lors, ces émanations « éveilleront des
sensations
dans le corps, en raison même de « l'état de somm
ces rêves sont rares; j'en dirai autant de ceux qui représentent des
sensations
olfactives. Quelques personnes, au nombre desquel
ucher sont plus fréquents. Un jeune homme fut un jour réveillé par la
sensation
d'un baiser déposé sur sa joue, il était cependan
nations. Nous donnerons exclusivement le nom d'hallucinations à des
sensations
qui se développent sans cause extérieure adéquate
art du temps, sinon toujours, elles se développent à l'occasion d'une
sensation
ou d'une idée sous l'influence du principe d'asso
déclarons donner exclusivement le nom d'hallucinations de l'ouïe, aux
sensations
auditives qui se développent en l'absence de tout
ètement rejetée. 11 n'y a pour nous d'autres hallucinations que les
sensations
auditives qui se développent en l'absence de tout
arc galvanique, n'a point une hallucination, parce qu'il y a à cette
sensation
une cause connue, et que le rapport de nos sens a
'âme, antérieure au monde, et il n'y a que les organes extérieurs des
sensations
qui aient, avec les divers agents de la nature, u
rdre de choses, avec des organes différents, l'âme pourrait avoir des
sensations
analogues aux sensations actuelles. Une propositi
organes différents, l'âme pourrait avoir des sensations analogues aux
sensations
actuelles. Une proposition pareille ne pourra par
s hallucinations dans lesquelles la pensée elle-même se transforme en
sensations
distinctes ; elles prennent évidemment naissance,
gorie comprend ces idées qui s'imposent à l'âme en l'absence de toute
sensation
proprement dite. J'ai dit plus haut comment, dans
on entend en réalité, quand la cause extérieure n'a déterminé que des
sensations
excessivement faibles. Ici ce sont des pensées qu
ative et qui semblent des perceptions sans cause extérieure, tant les
sensations
dont elles sont revêtues sont subtiles et raréfié
e nerveux. Genève, 1778. T. I, p. 196, cilé par M. Michéa. Délire des
sensations
, p. 48. (3) Hist. med. mirab. Francf. 1613, lib
hale est le siège de ces impressions si vives, d'où résulte l'idée de
sensation
? Quelle autre partie est l'organe de l'imaginatio
ons imaginer. Pendant la veille normale, il ne se produit jamais de
sensations
à l'occasion de ces perceptions imaginaires. L'im
idées pourront acquérir, dans ce cas, le caractère et la vivacité de
sensations
véritables. Toutes les fibres qui composent le ce
le premier cas il pourrait y avoir duplicité du sens interne avec des
sensations
normales; dans ie second, la pensée pourra n'avoi
e Christian Wolf. Il est certain que, même dans l'état de veille, nos
sensations
et nos sentiments éveillent par voie d'associatio
viens d'avoir éprouvé autrefois, à la suite d'une longue maladie, une
sensation
singulière. Mes mains me semblaient n'avoir plus
impression n'étant pas discutée, l'idée ne sera plus qu'un écho de la
sensation
. Le genre d'illusion dépendra complètement alors
corps île l'être qui Imagine. La tendance au mouvement qui suit une
sensation
véritable est une tendance nécessaire; de plus, t
indices de réaction, dont le résultat demeure incomplet. Ainsi, à la
sensation
correspondent des mouvements achevés, mais l'imag
érales n'est pas moins évidente. Un médecin, préoccupé de certaines
sensations
ressenties du côté du cœur, examinait fréquemment
, et en modifier l'état « actuel de manière à y produire de nouvelles
sensations
? Le « premier soin des expérimentateurs, ajouten
837, p. 18 et suiv., 962 et suiv. Gerd. Physiologie philosophique des
sensations
et de l'intelligence. Paris, 1846, p. 164. — Cf.
nclure à l'existence de l'âme en tant que capable d'impressions et de
sensations
diverses. L'âme est libre dans l'ordre de l'intel
décider en quoi ils diffèrent. Nous avons déjà expliqué comment toute
sensation
dans l'état normal éveille un sentiment. Le senti
uleur et celui du plaisir sont, pour ainsi dire, à côté de toutes les
sensations
, et mêlent, aux éléments fournis par elles, les r
propres. Ainsi, indépendamment de ses propriétés particulières, toute
sensation
est, grâce à cette association, indifférente, agr
réable ou désagréable, et modifie l'harmonie du sens interne. Toute
sensation
éveillant nécessairement un sentiment, il en résu
refuse, repousse ou fuit, crache ou vomit l'objet qui a déterminé la
sensation
, on pourra immédiatement conclure à l'existence d
si, l'homme ne se distingue point d'avec l'animal en tant qu'il a des
sensations
, des sentiments et des volontés qu'il exprime, ma
ience démontrant que la plus grande valeur de M, appréciable dans une
sensation
immédiate, est de deux ou trois tout au plus ; ce
au que l'âme sent et veut. Le cerveau est donc à la fois un organe de
sensation
et un organe de volonté. Il y a ici une grande di
chaque hémisphère exerce sur le côté opposé du corps, et cependant la
sensation
, la pensée, la volonté, sont unes. Il n'y a pas d
es des départements distincts, non pour l'intelligence, mais pour les
sensations
. Cela paraît assez prouvé pour les nerfs olfact
ance de tel ou tel de ces départements affectés à tel ou tel ordre de
sensations
ou de sentiments, on pourrait conclure à la prédo
se son défaut d'étendue. On peut, en effet, établir que l'étendue des
sensations
est relative en général à la perfection des appar
ner l'automate à certaines actions ; mais je n'approuve pas le nom de
sensations
brutes que leur a donné M. Longet. Il n'y a pas,
sations brutes que leur a donné M. Longet. Il n'y a pas, en effet, de
sensations
sans intelligence; si donc l'intelligence est abo
s hémisphères cérébraux, nous pensons avec M. Flourens que toutes les
sensations
le sont avec elle. Les faits dont je viens de p
celui des couches corticales. Elle s'accrott donc, non en raison des
sensations
périphéri ques, mais de l'intelligence; ainsi p
de l'âme qui dominent le corps au point de créer de toutes pièces des
sensations
énergiques dans l'hallucination. On pourrait donc
, en tant qu'organe d'intelligence; son action multiple, eu égard aux
sensations
est, quant à l'âme, une et synergique,- l'organis
associations qui s'établissent si facilement dans l'esprit entre les
sensations
et les idées les plus disparates, et sur lesquell
pinions des philosophes sur l'âme............ ib. CHAPITRE II.— Des
sensations
et des sentiments localisés. 401 § 1. Définitio
ensations et des sentiments localisés. 401 § 1. Définition des mots
sensation
et sentiment......... ib. § 2. Des sensations..
1. Définition des mots sensation et sentiment......... ib. § 2. Des
sensations
........................ 403 § 3. Des sentiments
l'une et l'autre de ces deux régions. La vue donnant à la fois des
sensations
de lumière, de couleur et de forme, il faut épr
Dans ce cas, il faut éveiller son attention, lui faire analyser ses
sensations
, et, au besoin, l'aider, par les moyens suivant
auses mul- tiples, la lumière, la convergence, l'accommodation, une
sensation
cutanée, une pensée, une émotion. Ils se font t
lus faible qui, au moment de son incurvation, parvient à donner une
sensation
cornéenne. On peut encore utiliser un instrumen
HAMP VISUEL. 4't portion AB de la rétine, sans donner lieu à aucune
sensation
objective. De là le nom de scotomes subjectifs
ré- tlexcs visuels et spécialement le centre réflexe pupillaire. La
sensation
lumineuse transportée par le nerf optique file
es. Au niveau du corps gcnouillé externe, il y aurait diffusion des
sensations
transmises par les faisceaux systématisés des v
homo- latéral Moebius). Le malade voit noir et n'a pas perdu toute
sensation
dans la portion atteinte des champs visuels. La
l voit; les yeux se dirigent d'une manière réflexe vers le côté des
sensations
perçues, ils abandonnent le côté d'où ne vient
e d'affections. Certains neurasthéniques se plaignent souvent d'une
sensation
de pesanteur et même de chute de la paupière, s
ontanément quand le mineur travaille au jour. Ce nystagmus donne la
sensation
du mouvement des objets extérieurs, et provoque
[LANNOIS.] 150 MALADIES DE L'OREILLE. " ? conduit détermine une
sensation
sonore qui s'atténue pendant le passage du cour
us que le passage du courant, et l'ou- verture détermine une faible
sensation
sonore. Les recherches de Brenner, de Erb, de G
, chez un sujet sain, il fallait 6 milliampères pour déterminer une
sensation
sonore, n'en fal- lait que 2 ou 5 clans les cas
pond clinique- mont comme s'il l'était par son excitant spécifique (
sensation
tactile ou douloureuse par la compression du cu
re de l'otecrane, phosphènes par pression sur les globes oculaires,
sensation
gustative par irritation mécanique de la corde
trouble purement psychique, voisin de l'illusion. Inversement, les
sensations
lumineuses agissent sur l'organe de l'ouïe : on
électrique. Enfin, d'après Urbantschitsch, on pourrait observer des
sensations
gustatives et olfactives, sous l'influence des
tre d'un instinct primordial de l'homme, la sociabilité, et par les
sensations
désagréables qui accompagnent la surdité, bruits
TROUBLES DE L'ODORAT On peut observer des troubles par excès de la
sensation
olfactive, hYPe1'- osmie, des troubles par défa
dans le tube poreux, il n'y a pas d'olfaction : si on le retire, la
sensation
odorante sera d'autant plus forte que le couran
aoutchouc, il fallait tirer le tube de 7 millimètres pour avoir une
sensation
olfactive. L'unité de mesure s'appelle olfaclie.
parosmie se présente fréquemment sous forme d'isosmie (Collet), la
sensation
étant toujours la même pour des odeurs très varié
elle peut être congénitale. , La cacosmie se montre en dehors d'une
sensation
odorante réelle. Le plus souvent elle est très
VERTIGES (1) par le Dr André LÉRI DÉFINITION Le vertige est une
sensation
illusoire de déplacement de notre corps par rap
on). Quel que soit le sens du déplacement, il s'agit toujours d'une
sensation
purement subjective. Aussi est-ce à tort que l'
ins déplacements anormaux, mais réels, objectifs, accompagnés de la
sensation
de ces déplacements : ainsi, certains mouvements
ans crise convulsive; la perte de connais- sance, en supprimant les
sensations
même réelles, empêche que ce pseudo- vertige so
éelles, empêche que ce pseudo- vertige soit jamais accompagné de la
sensation
erronée qui seule con- stitue le vertige vrai.
u n'être pas représenté dans le champ des images conscientes » ; la
sensation
vertigineuse, trouble psycho-sensoriel subjectif,
ion subjective et se traduisant par l'impotence fonctionnelle de la
sensation
et de la locomotion (incli- naison, latéro-puls
et des sens, toute défaillance, d'origine cardiaque ou autre, toute
sensation
brusque et momentanée d'anéantissement physique
ion brusque et momentanée d'anéantissement physique et mental, sans
sensation
illusoire de déplacement. DESCRIPTION ET VARI
cement. DESCRIPTION ET VARIÉTÉS Le déplacement illusoire, dont la
sensation
constitue le vertige, peut paraître se produire
s ce dernier cas, le sol tout entier semble se dérober sous lui, la
sensation
est très différente de celle du « dérobement de
se prolonger pendant le décubitus horizontal, et l'in- dividu a la
sensation
que le plancher s'effondre sous son lit, ou que l
t bascule et oscille. L'occlusion des yeux fait souvent diminuer la
sensation
; dans d'autres cas elle l'exagère ('). Le su
Le sujet a toujours, au moins au début du vertige, la notion que sa
sensation
de déplacement est purement illusoire; néanmoins
ts compensateurs de la tête,. des bras et surtout des jambes; 1. La
sensation
vertigineuse comprendrait pour Bonnier quatre var
grante du vertige tel que le comprend Bonnier, au même titre que la
sensation
vertigineuse. - .. Toute sensation vertigineuse
Bonnier, au même titre que la sensation vertigineuse. - .. Toute
sensation
vertigineuse est pénible et accompagnée de peur o
e de connaissance; toutes les idées se trouvent concentrées sur les
sensations
de translation anormale et sur la crainte de la
comme l'artério-sclérose par exemple, peut déterminer à la fois des
sensations
vertigineuses, des attaques syncopales et des c
moins vives, colorées ou non, en éblouissements, ou au contraire en
sensations
débrouillard et d'obscurité. Les phénomènes aud
l'espace nous est fournie par la réunion d'un très grand nombre de
sensations
. Les sensations musculaires,. les sensations osté
st fournie par la réunion d'un très grand nombre de sensations. Les
sensations
musculaires,. les sensations ostéo-articulaires
n très grand nombre de sensations. Les sensations musculaires,. les
sensations
ostéo-articulaires et cutanées y prennent part;
on de l'ensemble de notre corps par rapport au monde extérieur. Les
sensations
visuelles ont dans cette dernière notion une pa
cette dernière notion une part beaucoup plus grande, ainsi que les
sensations
auditives ; on le conçoit facilement. Mais il
de troubles portant sur l'autre. De l'accord parfait de toutes les
sensations
qui nous indiquent la situa- tion de notre corp
rd naît le vertige. Mais les troubles de chacune de ces variétés de
sensation
ne détermineront pas le vertige avec une égale
quence et une égale intensité; les troubles du sens musculaire, des
sensations
ostéo-articulaires et cutanées, influant peu sur
ue du sens de l'espace, le labyrinthe, sur le nerf qui transmet ses
sensations
, le nerf vestibulaire, sur le centre qui surtou
t le cervelet que l'on trouvera l'origine de la plupart des grandes
sensations
vertigineuses, accessoirement dans les organes
tical quelconque détermine pendant la rotation et après l'arrêt une
sensation
illusoire de rotation des objets ou de notre corp
ertige des chevaux de bois par exemple, le, vertige de la danse. La
sensation
vertigineuse est d'autant plus nette et plus pr
ue nous regardons un autre train se mettre en marche, nous avons la
sensation
illusoire de notre déplacement en sens contrair
n augmente pro- gressivement l'intensité, il se produit d'abord une
sensation
de vertige, puis une inclination latérale de la
uit toujours chez le sujet normal du côté du pôle positif (). I. La
sensation
subjective es ! toujours plus forte que l'inclina
de la rota- tion ; quand on arrête brusquement l'appareil, il a la
sensation
de con- tinuer à tourner pendant quelques insta
nuer à tourner pendant quelques instants, mais en sens inverse; ces
sensations
sont dues aux modifications de pression dans le l
uement du syndrome de Ménière par 1 absence d'orien- tation dans la
sensation
vertigineuse, par les gros troubles de l'équilibr
ertige auriculaire, en agissant soit sur l'appareil récep- teur des
sensations
du sens de l'espace, le labyrinthe, soit sur le n
serve très fréquemment des formes atténuées se tradui- sant par une
sensation
d'étourdissement, d'ebtonissemcnt, de tournoie-
acé par un état vertigineux léger, du treinbleinent des jambes, une
sensation
de dérobeinent du sol; la migraine otique est une
tre que le malade a la notion de la rotation de l'appareil, il a la
sensation
vertigineuse d'une rotation en sens inverse au
rientation déter- mine : 1° l'absence de toute orientation dans les
sensations
vertigi- neuses de déplacement; 20 des troubles
p- pareil de Mach; le malade n'a ni la notion de la rotation, ni la
sensation
SEMIOLOGIE. -109 vertigineuse de rotation en
ges dans un train en marche, par exemple, provoquent facilement des
sensations
vertigineuses. L'amblyopie, qui empêche la distin
n ne prendra pas pour un signe de l'origine oculaire du vertige les
sensations
lumineuses variées qui accompagnent souvent le
rès rares; ils sont rarement très violents et consistent surtout en
sensations
d'instabilité, en obnubilations avec trouhles vis
ué par : 1° du vertige plus ou moins intense et brutal avec ou sans
sensation
vertigineuse; 2° l'effon- drement par dérobemen
t aux attaques pendant la bromura- tion (Charcot). H est précédé de
sensations
visuelles et auditives diverses et peut affecte
diverses et peut affecter toutes les variétés du vertige cérébral :
sensations
de tournoiement, de soulèvement, de dérohetrlen
i méconnue que celle des différents vertiges cérébraux; pourtant la
sensation
illusoire de déplacement naîtrait particulièrem
c la céphalée en casque, l'un des symptômes les plus fréquents; les
sensations
illusoires de déplacement apparaissent à toute
lmas comme un syndrome cérébelleux. - Kraf1't-ElJin considère ces
sensations
connue dues à des troubles vaso- moteurs portan
imple trouble de la conscience du moi, une exagération de certaines
sensations
de mouvement. Régis a noté avec raison que l'en
ertiges arté- rio-scléreux. Le vertige mental de Lasèriuc est une
sensation
d'angoisse, violente, subite et invincible, pro
que. - . L'accès est précédé d'une sorte (l'aura constituée par une
sensation
de brûlure, de chatouillement ou de constrictio
été lente et prolongée. Le vertige de l'ivresse alcoolique est une
sensation
de tournoiement du sujet on des objets environn
ications d'origine externe ou interne provoquent cer- tainement les
sensations
vertigineuses par des mécanismes très variables
bien enfin certains de ces produits toxiques ne détermineraient les
sensations
vertigineuses que par l'intermédiaire d'un réll
la suppression subite et instantanée des opérations cérébrales, des
sensations
et de la inutilité. En cas de survie au choc in
teur ne s'accompagne ni d'altération des traits, ni de troubles des
sensations
. Le réveil est facile en général; et les idées
D' MOUTIER L'agnosie est la perte de la faculté de transformer les
sensations
sim- ples ou élémentaires en sensations supérie
faculté de transformer les sensations sim- ples ou élémentaires en
sensations
supérieures ou perceptions propre- ment dites.
peut en définir l'usage, il ne peut le nommer. Il a donc encore des
sensations
, mais ne sait plus les interpréter. 11 s'exprime
t rarement totale. Le plus souvent elle porte, sur divers ordres de
sensations
, sans les embrasser tous. Ainsi, un malade peut
éfaut. Plus souvent l'agnosie porte isolément sur un ordre donné de
sensations
. Dans l'agnosie tactile (trouble de l'identific
définition suivante : « Un homme qui a la conviction entière d'une
sensation
actuellement perçue alors-que nul objet extérie
llement perçue alors-que nul objet extérieur propre à exciter cette
sensation
n'est à la portée de ses sens, est dans un état
uer J'hallucination de l'interprétation délirante; dans ce cas, les
sensations
sont perçues normalement, mais le malade interprè
ps est décomposé, pourri. Les hallucinations tactiles consistent en
sensations
de fourmillements, de brûlures, d'attouchements
tion la police. Les hallucinations kinl's- lllésiques consistent en
sensations
de lourdeur ou de légèreté, en sensations de ch
lllésiques consistent en sensations de lourdeur ou de légèreté, en
sensations
de chute, etc., elles appartiennent d'ailleurs il
ion physique, s'obser- vent, s'analysent, interprètent toutes leurs
sensations
. Certains autres ont ces mêmes craintes des mal
veux : la douleur il la piqûre, à la brûlure, par exemple, sont des
sensations
perçues objectivement par le sujet, et l'étude
eure, donne habituellement des renseignements précis et sûrs. Les
sensations
subjectives, au contraire, sont réveillées par de
nerveuses; les douleurs névralgiques, les engourdissements sont des
sensations
que le sujet perçoit spontanément, qu'il peut déc
surface cutanée comme de la surface muqueuse. éveillent en nous des
sensations
diverses qui sont au nombre de trois : la sensati
nt en nous des sensations diverses qui sont au nombre de trois : la
sensation
de contact, la sensation de température qui se
diverses qui sont au nombre de trois : la sensation de contact, la
sensation
de température qui se divise en sensation de ch
sensation de contact, la sensation de température qui se divise en
sensation
de chaud et de froid, et enfin la sensation de
rature qui se divise en sensation de chaud et de froid, et enfin la
sensation
de douleur. Existe-t-il des excitants différent
ouleur. Existe-t-il des excitants différents a chacune de ces trois
sensations
; ces trois modalités de la sensibilité réponden
cupation de diviser la sensibilité générale en un certain nombre de
sensations
spécifiques passant par des 'systèmes de libres
d sont de nature physique, moléculaire. Le contact exagéré donne la
sensation
de pression; pour d'autres, le tact et la press
pour le tact), soit de conducteurs spéciaux (dissociation des deux
sensations
dans certaines affections médullaires, Strumpei
: ET PHYSIOLOGIE DES VOIES SE-XSITIVES. 279 La douleur est-elle une
sensation
propre, autonome, ou n'est-elle qu'une modalité
nerveux. Toute excitation violente d'un nerf sensitif provoque une
sensation
douloureuse. La dou- leur, ditRichet, est produ
e excitation est recueillie par des nerfs spécialement affectés aux
sensations
doloriques. Les faits cliniques de dissociation
orie de fibres ne peut nous renseigner que sur une seule qualité de
sensations
. Dans des travaux récents (magnums. Blix, Golds
ercles ou lignes courbes, points dont chacun ne peut fournir que la
sensation
spécifique qui lui est propre. Il existe ainsi
nombre d'auteurs se refusent encore il admettre la spécificité des
sensations
tactiles, douloureuses, thermiques et muscu- la
sence de deux théories principales : L'une admet la spécificité des
sensations
tactiles, douloureuses, ther- miques et du sens
brièvement. L'autre, au contraire, s'opposant à la spécificité des
sensations
, attribue à la moelle la fonction non seulement
LES DE LA SENSIBILITÉ 'OBJECTIVE..281, pas lieu d'admettre que les,
sensations
dites tactiles, douloureuses, ther- miques et m
de la pression. Enfin, il faut, comme résultante de ces différentes
sensations
, étudier le sens musculaire et le sens stéréogn
nseignements qu'il donne sur la nature, le siège et l'intensité des
sensations
perçues. On interroge alors les différents mode
a peau qu'elle occupe une sensibilité particulière, en dehors de la
sensation
que donne le poil qnand on le touche. Cette sensi
CTTVE : 285 seau sous le nom de tricheslhésie (6 ? poil; v ? 91,e5,
sensation
). La sensibilité capillaire est celle que provo
uchement des poils, en dehors de tout contact de la peau; c'est une
sensation
,» sui eneris », la plus exquise de la peau. L
ics n« a ,tyzolrc·sics (Guhier, de Frummltcl) (') constitué par des
sensations
tactiles ou douloureuses qui sont perçues sur c
ritation d un bouton d'acné, il la cuisse par exemple, provoque une
sensation
associée dans l'épaule droite. On appelle enf
al les impressions venues de la périphérie et qu'ils perçoivent une
sensation
tactile comme sensation douloureuse par exemple
s de la périphérie et qu'ils perçoivent une sensation tactile comme
sensation
douloureuse par exemple, on dit qu'il y a métam
ensation douloureuse par exemple, on dit qu'il y a métamorphose des
sensations
. Lorsque le malade interprète comme-multiple un
leur), décrite par Pitres, est caractérisée par la production d'une
sensation
douloureuse intense, à la suite d'une simple ap
ur la peau d'une substance qui, à l'état normal, ne provoque qu'une
sensation
de contact; observée par Pitres dans l'hystérie
hystérie, elle a été notée dans le tabès par Lannois. 4° Cercles de
sensations
de Weber. On appelle seuil extensif de la sensi
de Weber. On appelle seuil extensif de la sensibilité ou cercles de
sensations
de Weber la distance minima au-dessous'de laque
bilité cutanée, caracté- risées par un élargissement des cercles de
sensations
* et d'expliquer ainsi certains troubles observé
, comme la perte de la perception stéréognostique. Les cercles de
sensations
à l'état normal varient, suivant les régions, d
n d'un phénomène normal, physiologique, à savoir que la durée de la
sensation
dépasse celle de l'excitation, surtout lorsque ce
lle de l'excitation, surtout lorsque celle-ci a été prolongée. Deux
sensations
tactiles doivent être séparées pendant un temps
-il naturel que lors- qu'on observe en clinique la prolongation des
sensations
, on doive éga- lement noter la fusion des sensa
olongation des sensations, on doive éga- lement noter la fusion des
sensations
, le malade ne ressentant qu'une seule excitatio
ou fonctionnelles. Le phénomène inverse s'appelle l'épuisement des
sensations
. Toutes ces données sur le degré, ia localisati
stte de l'excitation périphérique nécessaire il la production de la
sensation
. Nous en parlerons à propos de la sensibilité éle
ube froid; le malade doit alors indiquer exactement la nature de la
sensation
perçue. Les appareils construits pour la mensur
hémiplégiques une- diminu- tion, une abolition ou un retard, de la
sensation
thermique à la chaleur, alors que le froid est
erçu normalement; d'autres fois, ce sont des per- versions de cette
sensation
que l'on observe, le chaud étant senti comme fr
nce on peut rapprocher les deux bobines du chariot pour éveiller la
sensation
dite indifférente; dans la seconde, la distance
férente; dans la seconde, la distance nécessaire pour provoquer une
sensation
-i douloureuse. Tableau de la sensibilité éle
't'IiOUlt.l ? I)I, Ll si : \SIPI(.t't'I I.IBJI : C'l'll ? . 291 une
sensation
spéciale qui n'est pas identique, à celle qui est
dite électro-musculaire. En augmentant le courant, on détermine une
sensation
douloureuse; celle-ci est d'ordre complexe, car
té des troubles nerveux. La pression des troncs nerveux éveille une
sensation
de fourmillement particulière qui irradie dans
re de distribution du nerf comprimé; si on augmente la pression, la
sensation
devient nettement douloureuse. On recherche en
ion des tissus profonds, exercée avec le doigt, éveille en nous une
sensation
spé- ciale « sui generis », qui nous renseigne
gistcs confondent, en général, la sensibilité à la pression avec la
sensation
de contact et n'attachent aucune importance aux t
permet de voir que la pression de la peau soulevée ne révèle pas la
sensation
de pression; mais ce sont les terminaisons nerveu
ilité au tact, à la pression et au mouvement, avec conservation des
sensations
douloureuses et thermiques. La sensibilité à la
it que la trépidation d'un diapason appliqué sur un os provoque une
sensation
spéciale que le sujet peut facilement analyser,
qu'il compare à un fourmillement ou à un courant électrique. Cette
sensation
n'est nullement fonction des nerfs de la peau,
ibra- tion est un excitant spécifique de la membrane périostée : la
sensation
est transmise uniquement par les filets nerveux
vibratoire accompagne la perte du sens musculaire et la perte de la
sensation
de pression. L'anesthésie vibratoire peut quelq
spécial. Aussi a-t-on pro- posé d'autres, termes pour le désigner :
sensation
d'activité musculaire, sensations kinesthésique
'autres, termes pour le désigner : sensation d'activité musculaire,
sensations
kinesthésiques , sens des ccttztzcdes senieiztcci
t de nos membres; il ne s'agirait pas ici (d'après Claparède) d'une
sensation
primitive sui generis, mais d'une notion acquis
uvement, pression, choc, etc.) est nécessaire pour faire naître ces
sensations
locales. On recherche la notion de position en
on de ce mouvement serait précédée de sa représentation mentale. La
sensation
périphérique subjective de la contraction muscu
oment (Claparède). 4° La notion de la résistance est le résultat de
sensations
musculaires' et articulaires inusitées, non en
l'altitude qui sont étroitement associées dans la vie pratique. La
sensation
de poids naît quand l'individu résiste à la for
nt des perversions dans l'in- lerprétation du lieu et du mode de la
sensation
, des paresthésics, de la [ROUSSI'.] ] Fig. 14
.' i. SENSIBILITE. lopoesthésie avec retard dans la perception des
sensations
et élargisse- ment des cercles de Weber. Ces
- taires (tact, douleur, etc.), un trouble dans la localisation des
sensations
et une perte complète de la faculté de reconnaî
Ce sont des modifications autant qualitatives que quantitatives des
sensations
, qui peuvent intéresser séparément ou simultanéme
s de paresthésies que nous avons décrites : aphalgésie, retard des-
sensations
, fusion des sensations (tétanos sensitif, P. Mari
ous avons décrites : aphalgésie, retard des- sensations, fusion des
sensations
(tétanos sensitif, P. Marie), allo- chirie, etc
ans souffrir. En un mot, ces troubles sont « sub- conscients », les
sensations
non perçues sont de même enregistrées par les m
normal pour provoquer le besoin d'uriner. Sensibilité mammaire. La
sensation
douloureuse particu- lière, 1 ? oV(Hlu¡"e par l
choc et la compression de la trachée provoquent à l'élat normal une
sensation
angoissante, avec irradiation douloureuse vers
rties latérales du cou, le mediastin et la base de la langue. Cette
sensation
pénible disparaît chez un tiers des tabéliques.
re de nouvelles recherches. 1. Yny. IIR.1D (II.) On dislurbances of
sensation
wilh especial références to the pain of viscéra
èvent d'une excitation intérieure, spontanée. Le malade perçoit ces
sensations
subjectives en dehors de toute excitation périp
ider dans les renseignements qu'on veut obtenir de lui au sujet des
sensations
qu'il éprouve spontané- ment, et en évitant de
r la pression, par le contact, par des mouve- ments appropriés, les
sensations
subjectives dont il se plaint, d'en loca- liser
action individuelle, facteur très important dans l'appréciation des
sensations
subjectives ; on évitera aussi d'influencer en
ossibilité d'une simu- lation d'autant plus facile, qu'il s'agit de
sensations
subjectives, échap- pant à un examen somatique;
ins fréquente dans la neurasthénie, la céphalée consiste ici en une
sensation
de vide, de pesanteur, de constriction qui suggèr
A la face, elles peuvent occuper le front, la joue, l'or- bite avec
sensation
d'arrachement de l'oeil, le menton et l'oreille d
relèvent du domaine de la psychologie. On peut dire que « c'est une
sensation
fixe, extériorisée, qui, dans un autre domaine,
habituellement., en France, sous le nom de dyseslhésics. toutes les
sensations
subjectives anormales autres que la douleur; ce
ourmillements, des engourdissements, des angoisses des membres, des
sensations
de chaud ou de froid, de doigt mort, de bain ou
? membre ; è1.À')'o ? douleur), les dysesthésies consistent en une
sensation
de brûlure, le malade ayant ainsi la sensation
es consistent en une sensation de brûlure, le malade ayant ainsi la
sensation
d'avoir le pied dans de l'eau bouillante. Souve
bjectifs de la période d'invasion ou de syncope locale. Ce sont des
sensations
d'engourdisse- ment, d'onglée, de doigt mort su
ts de la maladie, stades d'asphyxie locale, stades de gangrène, les
sensations
subjectives s'exaspèrent; de véritables douleur
les affections de la moelle, surtout à la période prodromique, les
sensations
dysesthésiques sont fréquentes. Tout d'abord inte
ition de la faiblesse, dit Dejerine, est annoncée au malade par des
sensations
anormales, des dysesthésies, dans le ou les mem
nse, de douleur véritable au sens propre du mot, mais plutôt, d'une
sensation
de chaud ou de froid. L'intensité de ces sensatio
is plutôt, d'une sensation de chaud ou de froid. L'intensité de ces
sensations
aug- mente à mesure que la paralysie se dévelop
ès névroses et les psychoses. Les dysesthésies sont égale- ment des
sensations
subjectives qu'on observe dans les névroses. Dans
ns, principalement dans la, folie de persécution. III. - BESOINS,
SENSATIONS
INTERNES, CÉNESTHÉSIE Il existe tout un groupe
SOINS, SENSATIONS INTERNES, CÉNESTHÉSIE Il existe tout un groupe de
sensations
subjectives qui sont à la base de notre vie men
subjectives qui sont à la base de notre vie mentale : .ce sont les
sensations
dites internes, partant des organes internes, e
ur, sens de l'existence ou cénesthésie.. - Les modifications de ces
sensations
internes peuvent se rencontrer au cours de cert
lancolie, etc.) que l'on observe des modifications fréquentes de la
sensation
de besoin organique.. En. plus des altérations
peuvent s'observer égaler ment ici, on note des modifications de la
sensation
de la faim qui est tan- tôt diminuée, tantôt ab
nuée, tantôt abolie (anorexie mentale) ou exaltée (boulimie); de la
sensation
de soif qui est abolie (adipsie) ou augmentée (po
soif qui est abolie (adipsie) ou augmentée (poly-. dipsie). . Les
sensations
internes ou la sensibilité organique comprennent
, 1906. THOUIILES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 57 £ 1 toutes les
sensations
internes qui -parlent des organes et transmettent
t trop vivement le fonctionnement; ou bien encore ils éprouvent des
sensations
étranges, celles d'animaux qui remuent dans leu
e, une heure. La douleur disparaît alors et le malade a une exquise
sensation
de bien-être. Le retour des accès se produit soit
s d'accès paroxystiques. Les accès sont très pénibles, don- nent la
sensation
de coups de couteau, de décharges électriques dan
, le hoquet, l'éternuement. Parfois on observe de la dysphagie, une
sensation
de strangulation. Les points douloureux de la n
intercostale est caractérisée par des douleurs continues, sourdes (
sensations
de tension, de constriction) et par des accès par
I1hardt, est une affection assez rare, qui se carac- térise par des
sensations
de fourmillement, d'engourdissement, ou des dou
l6 NÉVRALGIES ET ALGIES. des paroxysmes douloureux, il persiste une
sensation
d'endolorissement vague. Les douleurs de la s
ffections. Certaines céphalées sont diffuses, donnent au malade une
sensation
de constriction générale quoique prédominant le p
its obscurs, évitant tout mouvement. La migraine est accompagnée de
sensations
nauséeuses et de vomissements, elle dure plus o
bral sénile. La céphalée des neurasthéniques se caractérise par des
sensations
d'engourdissement ou de compression des régions
ent ou de compression des régions latérales et frontale de la tête (
sensation
de casque). Les algies cérébrales des hystériques
er ou de fourchette, avec un abaisse-langue : on provoque alors une
sensation
désagréable, des picotements, des nausées et qu
donc, en saine logique, être question ici d 'anesthésie. puisque la
sensation
dou- loureuse est certainement perçue, niais ce
considère l'incapacité où se trouvent les malades de localiser ces
sensations
douloureuses. Le pincement prolongé, nous l'avo
1° n'est pas réellement 1)érni;tnestlrésiyue, puisqu'il éprouve des
sensations
douloureuses quand on le pince; 2° est incapable
pince; 2° est incapable de reconnaître la nature et la cause de ces
sensations
douloureuses (esthésio- gnosie) ; 5° est incapa
- gnosie) ; 5° est incapable de localiser le point d'où partent ces
sensations
douloureuses. Si nous avons un peu longuement
profondément que l'on vent le malade sans qu'il en 1émoi»Tie aucune
sensation
. De plus, dans l'hémiplégie névropathique, j'ii
f, dissimulé pour ainsi dire. Tantôt il s'agit- de paresthésies, de
sensations
subjectives d'engourdissement, de fourmillement,
aladie, le malade éprouve dans un seul ou dans les deux membres des
sensations
de tension, de gène, de pesanteur, d'engourdissem
iquide pénétrant dans le vestibule détermine du spasme. Ils ont des
sensations
paresthésiques douloureuses que la déglutition de
resthésie. Au point, de vue symptomatique les malades éprouvent les
sensations
de picotement, de fourmillement ou de brûlure q
ien est absolument négatif, lloure a insisté sur la disparition des
sensations
pendant les repas. PHATIQUE NEUIIOL. 41 [LA 1
l peut consister seulement en accès de toux spasmodique : après une
sensation
de chatouillement ou d'irritation de la gorge,
nseurs de l'intégrité de l'arbre respiratoire est mis enjeu par une
sensation
faussement localisée. Il est nécessaire aussi q
irritation catarrhale des premières voix respiratoires. Il y a une
sensation
de picotement ou de chatouillement au niveau du
'élasticité du muscle correspondant du côté opposé demeuré sain. La
sensation
de mollesse devient plus caractéristique quand
jambe sur la cuisse. La palpation des muscles rétractés donne une
sensation
de dureté particulière, de corde tendue, soit
w2° l'intégrité des conducteurs centripètes qui trans- mettent ces
sensations
et des centres qui les perçoivent; 3° l'intégrité
rçoivent; 3° l'intégrité des centres qui, d'après l'ensemble de ces
sensations
perçues, envoient il tous les muscles qui doive
nsi{ine ? qu'il y ait abolition, diminution ou seulement retard des
sensations
. Quoique cette théorie ait été discutée, il ne
vements et de ses attitudes que par les yeux; le cérébelleux a la
sensation
très nette des mouvements simples qu'il exécute,
e, qui ne sent souvent pas l'objet entre ses doigts, qui n'a pas la
sensation
de l'effort à déployer pour le conserver, le la
it par une sorte d'adaptation de l'individu au degré atténué de ses
sensations
, par un perfectionne- ment du contrôle de la vu
886 et dont l'étiologie n'est pas connue. Elle se manifeste par une
sensation
de fatigue, une fai- blesse musculaire progress
a démarche ébrieuse peut même se rencontrer indépendamment de toute
sensation
vertigineuse; parfois il existe aussi une ébauc
ATIONS. plus grande puissance possible ; ils étaient arrêtés par la
sensation
de fatigue ; le massage et l'électrisation cont
dement progressive, car un malade, qui s'est habitué à éprouver une
sensation
donnée pour une contraction musculaire d'une in
'une intensité donnée, aura besoin d'une nouvelle rééducation si la
sensation
devenait rapidement moindre pour la même contra
malade de se rendre compte de la force de ses contractions et de la
sensation
qu'il devra éprouver le jour où, la rééducation
De plus, les mouvements forcés amènent à l'étal normal la fatigue,
sensation
favorable en ce qu'elle arrête les mouve- ments
t où ils deviennent nuisibles et épuisants pour les muscles; or, la
sensation
de fatigue est très atténuée ou nulle dans les
r le mieux, outre le sens de la vue et la sensibilité générale, les
sensations
auditives. Beaucoup plus souvent il est indispe
; de plus la stase des aliments dans l'arrière-bouche détermine une
sensation
de strangulation angoissante, parfois presque per
ne (éclampsic puerpérale). Enfin la véritable aura n'est pas rare :
sensations
subjectives, rapportées soit auxparties périphé-
ubles nerveux ne sont pas des raretés : byperesthésies, névralgies,
sensations
de fatigue du côté des yeux, amblyopie, diplopi
éralisés ou partiels, en grincements de dents, en clignotements, en
sensations
de chatouillement sur la luette, dans l'un des
se passer la langue sur les lèvres, les mouvements coordonnés. Des
sensations
particulières de chaud, de froid, d'engourdisse
palpitations, les coliques violentes, l'angoisse respiratoire avec
sensation
de spasme laryngé, le vertige, le bégaiement ou
eures de l'abdomen vers l'épigastre, la poitrine, le cou. Il va des
sensations
de suffocation, de sifflement dans les oreilles
pyrexies : l'intensité du tremblement, le claquement des dents, la
sensation
de froid que présente le malade en font faire a
leurs facultés intellectuelles et leurs sentiments que, dans leurs
sensations
mêmes et dans leurs réactions motrices, vaso-mo
tic n'a souvent été au début qu'un mouvrton.r 4d*eÏense contre une
sensation
insignifiante. On constate assez souvent chez l
sujet se donne un coup de poing) ; déterminés au début par quelque
sensation
anormale, démangeaison, etc. Tics des mains et
, ou deux, de façon assez correcte : puis brusquement, avec ou sans
sensation
de fati- gue, son pouce et son index s'étendent
ement ou lentement immo- bilisée, « collée sur le papier », par une
sensation
progressive de fatigue, d'engourdissement, de r
des troncs nerveux, du radial en particulier. Parfois on a noté des
sensations
parcslhésiqucs (fourmillements, picotements), par
enfin, il existe assez souvent au niveau des régions atteintes des
sensations
subjectives de brûlure, d'ailleurs modérée. La gl
corps, et l'on voit apparaître des sueurs prof'uses accompagnées de
sensations
de chaleur intolérables. Cette apparition de su
ire lui- même; exceptionnellement un calcul vésical peut donner des
sensations
rénales, ainsi que les affections de la prostat
t dans la verge, les. aines, l'anus et le rectum : elles donnent la
sensation
d'un corps étranger offensif de l'urètre ou du
court la muqueuse vésicale sans y provo- quer dé douleur ni même de
sensation
. Presque toujours, ces vessies sont dilatables;
cède. Enfin, à chaque miction. le pas- sage de l'urine provoque une
sensation
de brùlure plus ou moins vive. TROUBLES DE LA C
parce que la vessie et le col, anesthésiés, ne transmettent plus la
sensation
du besoin ni de la miction. Ordinairement, l'in
qui se sont éta- htics lentement, est souvent des plus épineux. Les
sensations
accusées par les malades sont plutôt de nature
d'être volup- tueuse et s'accompagne d'une douleur et surtout d'une
sensation
de brll- ture au niveau du cordon, des testicul
esticules. Ailleurs des phénomènes bizarres se montrent, tel que la
sensation
d'un corps étranger dans le rectum. Quoiqu'on a
lll'rotiqup, se répé- tant si souvent chez certaines malades que la
sensation
et le désir sont constants; elles présentent de
ctures des muscles constricteurs du vagin, rarement accompagnées de
sensations
voluptueuses au début, et aboutissant toujours
s : troubles digestifs, faiblesse générale, palpitations, vertiges,
sensations
de vide, crainte de la folie, etc. Plusieurs devi
e un retard ou une absence d'éjaculation, une perturbation dans les
sensations
voluptueuses qui sont atténuées ou prolongées;
pas rare d'observer des pares- thésies, dont la plus pénible est la
sensation
d'un corps 'étranger dans le vestibule de la bo
d'un corps 'étranger dans le vestibule de la bouche : cette fausse
sensation
peut être intense au point de revêtir tous les
rvenir subitement après une crise ou être précédée de prodromes, de
sensations
paresthé- siques dans l'organe atteint. De tr
aryngien innervent la base de la langue, siège plus particulier des
sensations
d'amertume. La corde du tympan et le lingual in
ura soin de rechercher et au besoin d'éliminer les viciations de la
sensation
, telles que les peu- vent provoquer une paralys
les doigts. On sent le côté atteint se durcir peu ou point; on aune
sensation
de mollesse toute différente de la résistance phy
ger à une lésion du trijumeau. Le spasme est caractérisé par une
sensation
de strangulation ' au début de la déglutition; un
s'accompagne, entre les accès ou tentatives d'alimentation d'aucune
sensation
de strangulation subjective. Le voile du palais
st précédé de bâillement, de pâleur, d'accélération du pouls, d'une
sensation
générale d'anéantissement. Le malade salive abo
des caractères fort dissemblables. Tantôt tournoiement vrai, tantôt
sensation
de soulève- ment, de culhute ou (l'enfoncement,
e culhute ou (l'enfoncement, il est quelquefois réduit a une simple
sensation
d'obnubilation improprement appelée vertige. C'
moral, spontanément quelquefois. Ces contractions s'accompagnent de
sensations
plus ou moins désagréables et les anses se dess
son; autrement, il ne s'alimenterait jamais plus, car il a perdu la
sensation
de la faim. La langue reste bonne; on peut se d
enceintes (désir du vinaigre, du poivre, etc). Acorie. Perte de la
sensation
de satiété; on cesse de manger par raison. Ex
même temps que le besoin de nourriture, un. malaise effrayant avec
sensation
de mort imminente. Aussi( les poches de ces mal
pain chez un boulanger, etc. Faim nauséeuse. La nausée remplace la
sensation
d'appétit qu'il est fréquent d'éprouver vers 4
4 ou 5 heures de l'après-midi; en même temps se produit une légère
sensation
' de vertige avec salivation, et quelquefois mê
mmeil : ils se réveillent soudain ballonnés, élreints parfois d'une
sensation
d'angoisse prononcée que soulage bientôt l'exoné-
rait être tenté de l'aire opérer les gastropathes chez lesquels les
sensations
douloureuses sont un obstacle à l'alimentation;
génital, son irrégularité de distribution, l'absence de godet et la
sensation
plus ou moins nette il la palpation de cordons
facile à vaincre. Le passage à travers ce ligament jaune donne une
sensation
spéciale qui ne trompe pas, analogue à celle qu
e à celle que l'on percevrait en piquant une peau de tambour; cette
sensation
étant perçue, on pourra affirmer que l'aiguille
lle de l'oeil gauche et leur réunion donnera dans le stereosconc la
sensation
du relief. 1. Les perfec ! ionncments de la r
des sen- sations particulières de pi- cotement mélangées à des
sensations
de cuisson ou de brûlure, mais encore il pro-
e dis- tribution périphérique d'un nerf soumis à son action des
sensations
d'engourdissement et de fourmillement. Il con-
on- vient sans, doute de faire intervenir dans la production de ces
sensations
non seulement l'action directe du courant, mais
action réflexe consécutive il l'excita- tion des nerfs du goût. Des
sensations
gustatives, en effet, sont facile- ment produit
eture et ouverture, et les mots contraction' ou secousse (ou encore
sensation
pour les organes de la sensibilité). Le pôle néga
termittences fréquentes et d'énergie suffisante. Elle pro- duit des
sensations
de picotement mélangées de sensations de brûlure
uffisante. Elle pro- duit des sensations de picotement mélangées de
sensations
de brûlure assez désagréables dès que le couran
lure assez désagréables dès que le courant est un lieu fort, et les
sensations
deviennent rapidement douloureuses lorsqu'on au
u de l'électrode, soit à distance dans l'espace interpolaire et les
sensations
accompagnant l'excitation des muscles peuvent g
normalement, au niveau des points d'application des électrodes, une
sensation
de picotement et de chaleur, qui devient une sens
ctrodes, une sensation de picotement et de chaleur, qui devient une
sensation
de brûlure et de douleur souvent très vive lors
que l'intensité et la densité du courant sont un peu élevées. Cette
sensation
se produit non seule- ment à la fermeture du co
au d'un nerf sensitif on d'un neri contenant des mets sensitifs, la
sensation
de picotement ou de fourmille- nient se produit
nerfs sensitifs se produisent d'ahord à la fermeture : la première
sensation
est perçue à NF et elle est de courte durée ; p
et elle est de courte durée ; puis, si le courant est plus fort, la
sensation
(picotements, fourmillements de direction excentr
durable tout en diminuant peu à peu pendant NI); puis apparaît une
sensation
analogue, courte et plus faible à PO; plus tard s
analogue, courte et plus faible à PO; plus tard se montre il PF une
sensation
faible, ne se convertissant en sensation durabl
s tard se montre il PF une sensation faible, ne se convertissant en
sensation
durable pendant PI) qu'avec des courants plus f
ec des courants forts, lorsqu'on a attendu suffisamment pour que la
sensation
de ND ait disparu après avoir diminué progressi
rès avoir diminué progressivement (') on voit appa- raître à NO une
sensation
faible mais bien nette. Dans la pratique il est
difficulté d'obtenir des patients une analyse suffi- sante de leurs
sensations
. Il est souvent très difficile aussi d'obtenir un
très difficile aussi d'obtenir une distinction suffisante entre les
sensations
produites sous les électrodes et les sensations
uffisante entre les sensations produites sous les électrodes et les
sensations
produites dans la sphère de distribution du nerf.
ffisamment énergiques, provoque à chaque choc du couvant induit une
sensation
brève et rapide de picotement dont le degré est e
u courant. Lorsque les intermit- tences du courant sont rapides, la
sensation
devient continue, constric- tive, désagréable e
l'excitation porte au niveau d'un tronc ou d'un rameau nerveux, la
sensation
se propage dans la sphère de distribution du ne
électrique, dont il est facile de graduer l'énergie par les 1. Les
sensations
provoquées par le courant diminuent, en effet, pr
e courant électrique on peut rechercher à quel moment le minimum de
sensation
commence : ' être perçu, puis à quel moment la se
e minimum de sensation commence : ' être perçu, puis à quel moment la
sensation
devient douloureuse. Il y a parfois intérêt à e
s par les patients à des éclairs, auxquelles s'ajoutent souvent des
sensations
colorées. C'est particulièrement au moment des
l'occasion de fluctuations dans son intensité que se produisent ces
sensations
. On s'est efforcé de déterminer comment celles-
souvent d'une personne il l'autre au point de vue de la qualité des
sensations
lumineuses ou colorées. En passant de la physio
e cou, la nuque et parfois sur la partie supé- rieure du tronc. Les
sensations
gustatives se trouvent provoquées non seulement
courant il l'état permanent. Du côté du pote positif on observe une
sensation
acide, un goût métallique, du côté du pôle négati
ne sensation acide, un goût métallique, du côté du pôle négatif une
sensation
salée ou alcaline. Il n'est pas certain que ces s
gatif une sensation salée ou alcaline. Il n'est pas certain que ces
sensations
soient exclusivement dues il l'action directe d
'électrolyse interviennent aussi dans leur production. L'examen des
sensations
gustatives provoquées par le courant galva- niq
guère à tenir compte que de la diminution ou de l'abolition de ces
sensations
; on les observe principalement dans les cas de
if. Dans certaines conditions pathologiques ce courant provoque des
sensations
auditives, bruissements ou bourdon- nements, qu
ant sur l'appareil d'équilibration ils provoquent en même temps des
sensations
de vertige accompagnées de malaise plus ou moin
ncé et souvent pénible. Dans certaines conditions pathologiques les
sensations
auditives deviennent beaucoup plus faciles à pr
s et plus prolongées à l\F qu'à P 0; il est plus rare d'obtenir des
sensations
à PF et à NO, on pent l'observer cependant et m
ette oreille. Généralement l'oreille sur laquelle se produisent les
sensations
auditives dans la réaction paradoxale réagit co
'électrode indifférente était appliquée sur. elle, le maximum de la
sensation
perçue s'y manifeste donc lorsque l'électrode exp
ôle positif avec une ferme- ture du courant, PF : souvent aussi une
sensation
auditive est produite, mais plus faiblement, av
l s'en produit. Dans le premier cas, lorsqu'il ne se produit pas de
sensations
auditives, on se trouve en présence soit d'une
ns le second cas, lorsqu'il se produit plus ou moins facilement des
sensations
auditives, on doit en rechercher la cause soil da
phale, les méningites, les traumatismes crâniens. La présence de
sensations
auditives facilement obtenues entraîne le plus
us souvent avant qu'on arrive à 6 ou 8 m. A., le patient accuse une
sensation
d'étourdis- NERF ACOUSTIQUE. VERTIGE VOLTAÏQUE.
l'électrode qui correspond au pôle positif. Ce n'est d'abord qu'une
sensation
subjec- tive ; niais, si on laisse passer le co
n laisse passer le courant et surtout si on l'augmente un peu, à la
sensation
subjective de vertige s'ajoutent des phénomènes
rve souvent du côté des yeux du nystagmus latéral. Généralement les
sensations
subjectives de vertige et les phénomènes object
s'obtient plus difficilement que dans l'état normal. En qualité la
sensation
d'entraînement et l'inclination de la tête au l
s antérieures. Dans certaines polynévrites, les troubles sensitifs,
sensations
d'engour- dissement, de fourmillement, anesthés
ctilité de ces muscles. On en est averti par des signes subjectifs (
sensation
de raideur dans la joue ressentie par le malade
rrive généra- lement un moment où l'on reconnaît il un geste que la
sensation
est [E HUET .] 1 : -d ÉLECTROTHÉRAPIE. E. p
temps encore l'éleclri- station, mais en diminuant le courant si la
sensation
paraît devenir trop douloureuse. A la suite de
. Chorée électrique. Béribéri. Atrophie musculaire, 722. Besoins,
sensations
internes, cénesthésie, 378., Biceps. Innervat
ons anormales, 114. sud orale, troubles, 98. Sénilisme, ·190. '
Sensations
internes, cénesthésie, 578. Sens des attitudes
s. Recherche, 562. - Douleurs, 36 ? Dysesthésies, 574. - Besoins,
sensations
internes, cénes- thésie, 578. - tactile, 285. -
284. - Interprétation de l'impression périphé- rique. Cercles de
sensations
de Weber, 285. - Durée du temps nécessaire à la
tinuent à impressionner l'ouïe du sujet; mais il y a annulation de la
sensation
, qui n'est pas perçue par l'intelligence, à cause
es qui restent suspendues à ses bras, à sa joue, elle n'accuse aucune
sensation
, elle ne les voit même pas. Ce fait d'anesthési
Bernheim, c'est-à-dire la correction psychique et l'annulation de la
sensation
par l'idée suggérée nous paraît, au contraire, sa
cru jusqu'ici que l'hallucination négative annulait complètement les
sensations
visuelles ou auditives, en empêchant qu'elles ne
présente deux phases. Dans la première, le sujet perçoit encore les
sensations
provenant d'autres agents que le magnétiseur, mai
les sensations provenant d'autres agents que le magnétiseur, mais ces
sensations
, de quelque nature qu'elles soient, leur paraisse
me pique, me pince ou me tire les cheveux. Benoist perçoit les mêmes
sensations
que moi et aux mêmes pointsl Si j'endure une souf
ue le sujet n'a plus besoin de toucher l'opérateur pour percevoir les
sensations
éprouvées par celui-ci. Lc dialogue suivant f
psychologie est nécessaire pour comprendre ce singulier phénomène. La
sensation
a deux instants bien distincts. Dans le premier,
ans le corps, et vivant parce qu'il est dans un corps vivant : ici la
sensation
va du dehors au dedans, elle est passive dans le
; écouter, regarder, palper. Alors l'activité propre de l'âme dans la
sensation
est clairement consciente. Or, dans toute sensati
de l'âme dans la sensation est clairement consciente. Or, dans toute
sensation
clairement aperçue, il y a au moins un commenceme
d'application, et c'est cene application qui, d'après nous, achève la
sensation
et la rend nettement consciente. Voilà pourquoi,
nne désignée, il ne reçoit de cette personne que des commencements de
sensation
; que, lui-même n'achevant jamais ces rudiments, i
tous les organes de son corps; leur fonctionnement lui occasionne des
sensations
douloureuses et pénibles, ce qui lui fait croire
t,déperdition des forces. Elle ne fait que se lamenter « analyser ses
sensations
, vit dans une agitation continuelle et ne dort pl
l et les fonctions digestives, et surtout à détourner l'attention des
sensations
anormales multiples. — La malade se trouve fort b
raits principaux : demi-crise. i*r degré. La personne éprouve une
sensation
de chaleur ou de froid qui semble suivre la main
e chaleur ou de froid qui semble suivre la main du magnétiseur. Cette
sensation
est quelquefois assez intense pour être pénible à
point magnétisé, et particulièrement celui des animaux, lui cause une
sensation
désagréable qui peut aller jusqu'à lui occasionne
tapes constituées par les cinq derniers degrés de la demi-crise. La
sensation
de bien-être si caractéristique de notre état de
s douleurs de* personnes avec lesquelles on les met en rapport. Cette
sensation
est fugitive et ne laisse pas de traces au réveil
le soin de rompre le rapport; si c'est le magnétiseur qui souffre, la
sensation
est des plus vives et elle persiste souvent au ré
elle à laquelle il donnait des soins depuis fort peu de temps. • La
sensation
des maladies d'une personne, par le simple contac
ant, même a distance (i). « Mme B... semble éprouver la plupart des
sensations
ressenties par la personne qui l'a endormie. Elle
té signalé par tes magnétiseurs. - Le phénomène de la transmission ie
sensation
du magnétiseur au magnétisé, dit Lafonulne -Vè-mo
in de la Société de ptychologie physiologique, iS85, t- ntajej.
sensations
ne se produit qu'après une longue suite de séance
procès-verbaux : «.....Nous avons souvent observé une communauté de
sensations
véritablement remarquable entre l'operateur et
e qui pourrait être nommé d'une façon plus exacte une transmission de
sensations
. Ce phénomène est évidemment intimement lié à ceu
e, détermine des contractions d'estomac avec difficulté de digestion,
sensation
de serrement au front et consécutivement une gran
on. L'iodurc de potassium donne des tremblements des membres et une
sensation
oc brûlure et de picotement aux yeux. Les odeur
nt «eue dualité, cette opposition que j'ai fait ressortir tantôt. Les
sensations
peuvent même devenir tellement vives, tellement i
uniquement par l'instinct, c'cst-à-dirc comme étant l'esclave de ses
sensations
et des impressions qui lui arrivent du monde exté
s phénomènes lorsqu'ils sont artificiellement provoqués. Il y a des
sensations
qui reconnaissent pour point de départ, non le mo
mais l'intérieur du corps, les viscères ; c'est ce qu'on appelle les
sensations
viscérales: ces sensations agissent sur certains
les viscères ; c'est ce qu'on appelle les sensations viscérales: ces
sensations
agissent sur certains individus en état de sommei
à meure leur système nerveux dans des dispositions particulières. Ces
sensations
, agissant sur le système nerveux et mettant en je
x de satisfaire leur besoin d'émotions on. leur recherche inquiète de
sensations
inconnues, a Ces études sur l'hypnotisme sont p
Un matin du mois d'août 1885, à son réveil, il éprouva en urinant une
sensation
de brûlure dans le canal. Il eut bientôt tous les
ultat du sommeil ordinaire. Pour qu'il n'ait pas été réveille par la "
sensation
de l'extraction qui lui était faite, il fallait q
>t transmise aux centres encéphaliques; si, là. elle se traduit en
sensation
, en idée, en ressentiment : et si, durable ou fug
ble ou fugace, agréable ou pénible, CEI rcss:mimem. cette idée, cette
sensation
demeure plus ou moins conforme à la cause provoca
tifs à l'hypnose. Dans certains cas, les malades se plaignaient d'une
sensation
de froid extraordinaire ou d'une chaleur excessiv
occupation suffit a elle seule pour provoquer ou grossir une foule de
sensations
plus ou moins bizarres. Quelle différence entre c
J'appelic hallucination positive l'acte qui consiste à concevoir des
sensations
correspondant à des objets qui n'existent pas; ce
oir des sensations correspondant à des objets qui n'existent pas; ces
sensations
. nées dans l'imagination du sujet, sont cxtórioré
y, hallucination négative, l'acte qui consiste à ne pas concevoir des
sensations
correspondant 'ides objets réels. Le sujet ne voi
ura-cérébral jusqu'au centre cortical sensoriel ac la vision : là. la
sensation
est perçue. Mais le sujet peut ne pas avoir consc
ation est perçue. Mais le sujet peut ne pas avoir conscience de cette
sensation
perçue; il ne la conçoit pas; elle est lettre mor
n négative. L'imagination neutralise, ou bien la conscience ignore la
sensation
réellement perçue : le sujet ne sait pas qu'il l'
pour toutes les hallucinations négatives : toutes correspondent à des
sensations
réellement perçues par le cerveau, mais qui n éme
as à se rendre compte; d'autres enfin croient que cette voix et cette
sensation
émanent d'une autre personne présente. Ils récrim
ve parfois à rendre l'hallucination négative complète poor toutes les
sensations
en faisant la suggestion ainsi : « A votre réveil
à la suite de cette suggestion détaillée, à neutraliser toutes leurs
sensations
: d'autres n'arrivent à neutraliser que la sensat
er toutes leurs sensations : d'autres n'arrivent à neutraliser que la
sensation
visuelle, toutes les auties suggestions sensoriel
cination par fixation subit: et rapprochée, soit le somnambulisme par
sensation
visuelle prolongée ou tout autre procédé. G...
dance syncopale. En même temps se produisait au niveau du périnée une
sensation
douloureuse que le malade définissait en disant q
est un peu fléchi sur le bra* et, aux mouvements provoqués, donne la
sensation
de la JlcxibUius eerca* Les mouvements voient! re
8 ans par Hansen. a la suite de l'hypnose, le sujet se plaignit d'une
sensation
bien marquée de faiblesse, d'une céphalalgie pers
nt parler, un jugement (souvent inconscient) porté sur la cause de la
sensation
, cause qa» se présente à l'esprit comme lui étant
gage de M. Bernheim' ; et il n'y a pas neutralisation effective de la
sensation
, mais seulement une neutralisation simulée. C'est
thésique. quoique n'étant pas perçue par le sujet sous la forme d'une
sensation
tactile ou musculaire, déter- (i) Nature and ar
n, l'interrogation de l'expérimentateur ne pone pas sur le nombre des
sensations
tactiles perçues, mais sur le nombre de points qu
comparable à celui de la lumière électrique. C'est probablement cette
sensation
lumineuse qui provoque la sommation. 5* Le* ima
risée par une cwa qui part de la région ovarienne où elle produit une
sensation
de constriction, arrive au larynx et amène une gè
nde toujours qu'on ouvre la fenêtre de la salle où clic est enfermée.
Sensation
manifeste de boule hystérique. Immédiatement ap
nt que d'une façon indécise; leurs réponses sont nnbi^ués comme leurs
sensations
. Il en est, je le veux bîea, qui croient que la s
ion est difficile. J'en propose deux. La première est celle-ci. Les
sensations
sont perçues et non conçues (dans le sens que je
énomène psycho-sensoriel, c'est-à-dire au phénomène de conscience. La
sensation
entre dans le domaine de la conscience : la mémoi
tralise; elle fait acte d'inhibition; elle efface à chaque instant la
sensation
perçue ; el!e recouvre les sens d'un bandeau : le
bitaires, et dit qu'en même temps il éprouvait de la photophobie, des
sensations
de lumière vive, d'étincelles, d'éblouîssements,
sacro-lombaire. Après plusieurs jours, quand le malade put se 'lever,
sensation
de ouate sous les pieds, sentiment de, chute immi
!• Ce qu'on appelle le besoin de dormir, qui consiste en certaines
sensations
et particulièrement un sentiment de lourdeur dans
dants de toute influence cérébrale, puisqu'ils sont étrangers à toute
sensation
perçue, sont des actes réflexes d'impression médu
s malades, quelques variantes dans ses applications. Nous avons vu la
sensation
auditive se produire au simple contact de la main
ait la tierce personne seule au contact direct de l'hypnotisé, aucune
sensation
auditive ne se manifestait de ce fait, l'ouïe res
fles hallucinations proprement dites, c'est-à-dire les perceptions de
sensations
n'ayant aucune réalité extérieure, les perception
allusion ont déjà été publiés (j£i> E. Yuhg, Des Erreurs de nos
sensations
. Contribution à Vètude de l'illusion et de rhallu
ames Sully (t). elle peut suffire à produire comme le simulacre d'une
sensation
réelle. C'est ce qui arrive, quand les circonstan
ar exemple ; du même coup, un certain nombre de convives éprouvent la
sensation
de ce goût particulier, sans que celui-ci reconna
dre que je vais retrouver la carte soi-disant magnétisée, grâce à une
sensation
, attraction, souille, tremblement, odeur, etc., q
carte qui m'a été signalée par le compère, je simule de percevoir la
sensation
annoncée. Comme je ne me trompe jamais, chacun
quelque peu incrédule, de s'assurer par lui-même de la réalité de la
sensation
. Je le fais sortir â son tour, le prévenant qu'en
lé, imite alors la recherche qu'il m'a vu faire, il est attentif à la
sensation
que je lui ai annoncée et toujours, ou presque to
t à lui certifier que la carte sur laquells il croit avoir éprouvé la
sensation
est bien celle que je suis censé avoir magnétisée
ours croissant. Il en vient à éprouver rapidement et intensivement la
sensation
, tandis qu'au premier tour celle-ci n'est jamais
e sentaient absolument rien sur aucune des cartes de la figure, ni la
sensation
annoncée, ni une autre sensation quelconque. Cela
ucune des cartes de la figure, ni la sensation annoncée, ni une autre
sensation
quelconque. Cela fait une proportion de ij,8 pour
la réponse ne prête à aucune équivoque. Ordinairement, toutefois, la
sensation
ne leur paraît pas très intense la première fois
moins, avoir distingué la carte qu il venait de signaler, grâce à une
sensation
dans tout l'avant-» bras jusqu'au coude, sensatio
naler, grâce à une sensation dans tout l'avant-» bras jusqu'au coude,
sensation
qu'il compara à la secousse d'une bouteille de Le
avoir éprouvé, outre la secousse, « un peu d oppression » ou d'autres
sensations
variées, telles, pat exemple, qu'une certaine gên
ets. Deuxième groupe. — 9; personnes auxquelles j'avais suggéré ???
sensation
tactile quelconque, sans la qualifier spécialemen
tude que je leur laissais sur ce dernier point. Toutes ont accusé une
sensation
(faible au premier tour), une sensation limitée a
point. Toutes ont accusé une sensation (faible au premier tour), une
sensation
limitée au bout des doigts chez la plupart: mais
a plupart: mais elles ont varié beaucoup dans l'appréciation de cette
sensation
. Questionnées â cet égard, les unes ont répondu q
ation. Questionnées â cet égard, les unes ont répondu que c'était une
sensation
de brûlure, ou de pesanteur, ou de picotement, ou
ux reprises, un sujet répondit qu'elle avait éprouvé « une singulière
sensation
, comme un chatouillement des nerfs à l'intérieur
haudes brmes. Auguste R.... 25 ans. certifie n'avoir pas éprouvé de
sensation
??? doigts sur la carte qu'il signale. « Pourquoi
ns la plupart des cas cilès plus haut, la croyance à la réalité de la
sensation
est telle chez le sujet, qu'il faut insister aupr
lui affirmer qu'on l'a trompé, il est trop certain d'avoir éprouvé la
sensation
pour revenir en arrière. Je me rappelle la répons
r un complexe adéquat d'irritations sensorielles périphériques. Toute
sensation
simple (la perception est un agrégat dynamique de
es. Toute sensation simple (la perception est un agrégat dynamique de
sensations
associées et contient d'anciens jugements organis
nous entendions parler d'une paralysie vraie, d'une destruction de la
sensation
et de la perception; dans notre pensée, ce mot d'
le lui donna des soins dévoués, se fatigua et commença a éprouver des
sensations
pénibles et désagréables. Un jour, le médecin qui
ression, a la manière d'un piston qui se déplace. Elle avait aussi la
sensation
d'une boule partant de l'hypogastre, remontant ve
autre dans la main gauche, puis on fait goûter l'eau à un sensîtif.
Sensation
rafraîchissante procurée par l'eau de la main dro
siqoe. Je l'appelle l'Od. Tous les corps attirants provoquent une
sensation
de chaleur sur la main gauche : de froid sur la m
c'est le pâle nord qui produit cette impression. Enfin, toutes ces
sensations
d'effluves, de chaleur et de froid peuvent ctre t
tions d'effluves, de chaleur et de froid peuvent ctre transformées en
sensations
lumineuses, à condition d'enfermer le sujet dans
s la poche de droite ou dans celle de gauche ? 6* Eprouvez-vous une
sensation
quelconque lorsque vous vous regardez dans un mir
sensation quelconque lorsque vous vous regardez dans un miroir? Cette
sensation
est-elle agréable ou désagréable? 7* Quand vous
ant des plans différents. L'cflort qu'elle tente lui fait éprouver la
sensation
de tomber d'une hauteur, et reste sans résultat.
iques. Au bout d'une demi-heure environ, elle commença à éprouver une
sensation
de nausées et des éblouisse-ments transitoires. P
ce de M. Viechow. (.) C. R. Soc de Biot., lS87, p. 5.., 747- 79«- -
Sensation
et mouvement, Bibl. de phil. contemp-, 1887.
. Remaki qui présentait des secousses convulsives avec piresthésie et
sensation
de faiblesse dans le bras et la jambe du côté dro
NIQUE Comment le goût se forme ou ae corrompt. Ce n'est pas de la
sensation
, mais du sentiment que nous voulons parler, de l'
oût qu'il eût fallu dire, car il s'agit ici du sentiment et non de la
sensation
. La sensation est bornée a l'usage d'un organe,
llu dire, car il s'agit ici du sentiment et non de la sensation. La
sensation
est bornée a l'usage d'un organe, mais l'esprit,
es minutes: en même temps que M. X... accusait à l’endroit touché une
sensation
de chaleur très manifeste, le mouvement en arrièr
viens plus fort au physique comme au moral ; j'éprouve maintenant des
sensations
de bien-être, de joie de vivre qui m’avaient aban
très craintive; elle a peur que son mal ne s’aggrave. Elle accuse la
sensation
de boule qui lui remonte au gosier. présente de l
endance troublante d’attirer l’attention du sujet. 3. Supprimer les
sensations
de fatigue, qui, en plus du vrai épuisement. cont
mis par le cerveau sous une forme rappelant l’acte réflexe : 1° Une
sensation
centripète ; 2° L’excitation d’un groupe de neu
n mouvement centrifuge ou acte. Dans l’acte voulu, au contraire, la
sensation
centripète provoque l’excitation de plusieurs gro
tude donnée au malade est conservée. Vous élevez le bras du sujet, la
sensation
ainsi provoquée est perçue par le cerveau, car el
e les contractions musculaires qui tiennent le bras élevé. Mais cette
sensation
et les contractions qu’elle détermine restent inc
de. Dans la léthargie, le cerveau est isolé du monde extérieur, les
sensations
n'y parviennent point, le bras retombe quand on l
.a fascinai ion nous semble une forme particulière (le l'extase. T’ne
sensation
unique, fournie par l’objet contemplé, remplit la
volonté à celle du sujet, lui inspirer les idées, les sentiments, les
sensations
qu’il lui plaît, il peut lui suggérer les actes d
tions. Les principales sont: Influence réciproque de la pensée, de la
sensation
et des mouvements végétatifs ( 1802 ; Essais de p
celui qui accompagne 1«: début de la nausée. On doit éprouver la
sensation
que le son résonne au Tond de la gorge. Au début,
il a pris les caractères d’un bourdonnement d’abeille. Pour donner la
sensation
que le son se rapproche, il faut le faire résonne
, fournit également un intéressant moyen de contrôle pour l'étude des
sensations
et la mesure des réactions. o Sur le terrain de
inhibition est assez profonde pour que des bruits de l’entourage, des
sensations
organiques, des idées intercurrentes ne troublent
exe. Nous entendons premièrement un son, et ce son n’est même pas une
sensation
simple, mais complexe, car il a des harmoniques.
triste, un changement de notre respiration, la manifestation d'autres
sensations
organiques; nous constatons peut-être, de plus, d
ublante de détourner son attention; enfin, nous pouvons supprimer les
sensations
de fatigue qui> surajoutées au vrai épuisement
suggestion le fait. Enfin, on peut, par la suggestion, dissocier des
sensations
et des idées qui restent unies sous l’influence d
mari, car il peut arriver qu’au cours du sommeil, sous l’influence de
sensations
voluptueuses, un prénom qui n’est pas le sien rev
ologistes en ont étudié les lois. Dans l’acte réflexe médullaire, une
sensation
peut amener non seulement un mouvement mais une s
sont donc coordonnés, pourtant ils sont purement réflexes et dûs à la
sensation
(t) Au début l'hypnotisme fut uniquement regard
lexes. La suggestion peut être assez puissante pour neutraliser une
sensation
réelle, amener l’anesthésie. provoquer des sensat
neutraliser une sensation réelle, amener l’anesthésie. provoquer des
sensations
fausses à la peauou aux viscères, dans la sphère
tère commun : aboutir à un résultat fatal, déterminé à l’avance parla
sensation
causale. Les sentiments, les passions, les rais
flexion, de force de contrôle et de puissance d’arrêt. Au début, la
sensation
influence de même les cerveaux les plus et les mo
u globe oculaire fixant l'attention sur un objet. Ne recevant plus de
sensation
, le cerveau ne pense plus, il s'engourdit, il dev
au ne pense plus, il s'engourdit, il devient un instrument passif. La
sensation
que vous déposerez en lui aura le champ libre et
les degrés depuis la sommation légère jusqu’à la léthargie où aucune
sensation
ne parvient plus au cerveau. L’hypnose amène chez
suite les différences. L’acte réflexe est caractérisé par : 1° La
sensation
provoque un courant nerveux centripète P ; 2* C
ipète P ; 2* Ce courant nerveux vient exciter un neurone sensitif :
sensations
S : Fig. I. Acte réflexe simple. P, sensati
urone sensitif : sensations S : Fig. I. Acte réflexe simple. P,
sensation
déterminant un courant nerveux centripète ; S, ne
s suggestionablc, car le cerveau est isolé du monde extérieur, aucune
sensation
n’y parvient; ni paroles, ni vue d'objet; ni sens
érieur, aucune sensation n’y parvient; ni paroles, ni vue d'objet; ni
sensation
musculaire ; car si on soulève le bras il retombe
rvée. Vous élevez le bras du sujet, il reste dans cette attitude : la
sensation
ainsi provoquée est donc perçue par le cerveau, c
nstant d’arrét ses dents s’entrechoquent, comme si elle éprouvait une
sensation
de froid trop vif. Le docteur Janet l’endormit, e
érèse. 11 s'agit d'une femme en proie au délire religieux. Elle a des
sensations
de lévitation et d’ascension telles qu'elle croit
ostile pour l’éloigner et la réduire, si en même temps la plupart des
sensations
sont suspendues, si toute distraction est supprim
résister au choc des hallucinations ou des émotions, à se dire qu’une
sensation
vive et réelle peut n’avoir aucun objet extérieur
aussi vieux que la pensée humaine. La localisation des fonctions des
sensations
et de l’intelligence, des passions et de la motil
e curiosité scientifique de l’homme sur l’origine et la nature de ses
sensations
et de ses idées, ne s’est reposée que dans la con
s outre mesure. J’ai simplement voulu dire qu'une même idée, une même
sensation
, une même représentation répétée d’une manière is
omparer à certains abat-jours en papier. — Puis elle dit avoir eu une
sensation
de froid extrême. — Quant aux deux drains que n
diarrhée ; à l’inverse, la suggestion guérit l’hyperhidrose («), une
sensation
psychique désagréable peut suspendre la sécrétion
s la perturbation des actes vitaux qui servent à la manifestation des
sensations
affectives et des passions » (2). En 1864, Lasè
« Un individu distrait par une forte préoccupation ne perçoit pas des
sensations
que, dans une autt e situation d’esprit, il eût à
hèse psychologique. » « Un certain nombre de phénomènes élémentaires,
sensations
et images, cessent d’être perçus et paraissent su
neurones constituant la voie centripète de l’arc; 2° Un neurone de
sensation
; 3° Un neurone de mémoire ; 4° Un neurone do
on par la conscience. (Les figures perçues par la conscience sont les
sensations
, les images et les idées.) Enfin, de même que l
la nuit tombe. I. Anesthésies hystériques Nous avons vu que la
sensation
avait pour théâtre un neurone spécial ou neurone
que la sensation avait pour théâtre un neurone spécial ou neurone de
sensation
. Soit la voie centripète spino-corticale (schèm
me rapport de contiguïté existe entre le neurone c'p et le neurone de
sensations
, chez l’homme normal éveillé. Mais il n’en est
centre quelconque s'expliquepar la rétraction de tous ses neurones de
sensation
, l’hypoesthésie par la rétraction d’un certain no
est formé par les neurodiélectriques situés en amont des neurones de
sensation
. La rétraction d’un certain nombre de neurones
ones de sensation. La rétraction d’un certain nombre de neurones de
sensation
peut se produire aussi chez l’homme normal et à l
te. s’p'. deutoneurone centripète d neuro-diélectrique. s, neurone de
sensation
. La fléche indique le sens du courant nerveux.
marquablement exact, en tant qu’il peint le mouvement des neurones de
sensation
distraits momentanément de la masse commune. Et c
logiques appliquées à la physiologie. La rétraction des neurones de
sensation
peut être partielle et progressive, de telle sort
écharges nerveuses centripètes qui éclatent alors, donnent lieu à des
sensations
spéciales, qui ont été bien étudiées par Paul Sol
ments, fourmillements, tiraillements, élancements, brûlures, et enfin
sensations
de « décharges électriques ». Ces sensations vari
ents, brûlures, et enfin sensations de « décharges électriques ». Ces
sensations
varient avec les neurones intéressés. C’est ainsi
eulement de fourmillements et de brûlures dans la tète, mais aussi de
sensations
de fils qui se cassent, de bulles qui éclatent, d
s et de battements auriculaires. Les divers systèmes de neurones de
sensation
sont susceptibles do se rétracter individuellemen
ez les hystériques. Quand la rétraction porte sur les neurones de
sensation
tactile ou kinétique (anesthésie cutanée, muscula
pressions tactiles et kinétiques ; de telle sorte que les neurones de
sensation
de l’hémisphère droit, moins entraînés à l’extens
s cesse impressionnée par les mouvements de l’espace, les neurones de
sensation
, qui lui correspondent, sont mieux entraînés à l’
La macropsie hystérique paraît due à la dilatation des neurones de
sensation
visuelle, la micropsie à leur contraction, et la
pale de ces troubles de la sensibilité, la rétraction des neurones de
sensation
, c'est que l’hystérie est avant tout une maladie
l’amblyopie hystérique n’est pas due à la rétraction des neurones de
sensation
de la scissure calcarine, car, s’il en était ains
e déterminer chez l’hystérique une rétraction durable des neurones de
sensation
, peuvent aussi déterminer chez le sujet normal un
nes sains. Les causes qui déterminent la rétraction des neurones de
sensation
chez les hystériques peuvent aussi, différemment
son mari et pendant les vingt années de son . veuvage, — éprouve des
sensations
génitales qui surviennent sous forme de crises ai
dents, s’enfonce les doigts dans la bouche. Si j’avais recherché ces
sensations
, continue-t-elle, j’aurais vécu autrement : les o
ndant que je m’efforce de provoquer l’hypotaxie par le maintien d’une
sensation
auditive, monotone et uniforme, sa pensée distrai
te la diminution en soutenant l'énergie du malade et en atténuant les
sensations
de l’état de besoin. La durée de cette période va
ctuelle de nos connaissances, particulièrement eu cc qui concerne les
sensations
et les réactions nerveuses que nous croyons spéci
tériques sont dues à la rétraction d’un certain nombre de neurones de
sensation
voisins. L’agrégat S ainsi rétracté conserve ses
s à idées. Les neurones à images simples font suite aux neurones de
sensation
, et sont situés dans les mêmes centres. On peut e
o-corticalc avec ses neurones de transmission cp, c’p\ son neurone de
sensation
s, et, communiquant normalement avec celui-ci, un
euro-diélectrique infranchissable d entre ce neurone et le neurone de
sensation
s. Si dès lors une image identique à celle que
agrégat Mé ainsi rétracté conserve ses relations avec les neurones de
sensation
S, mais ne communique plus avec les autres neuron
s centripètes. s, colonies des ncuroneo corticaux. s, neurones do
sensation
. Mé, agrégat hypermnésiquo. :. Isthme d'nyper
s de l'agrégat hypermnésique peut même se communiquer aux neurones de
sensation
s situés en aval, et il se produit des hallucinat
se produit des hallucinations. L’hallucination n'est en effet qu’une
sensation
provoquée par des ondes nerveuses réfléchies. C'e
une sensation provoquée par des ondes nerveuses réfléchies. C'est une
sensation
en retour. ' Et cela est si vrai qu’elle peut d
rai qu’elle peut déterminer les mêmes modifications organiques que la
sensation
provoquée par les ondulations centripètes (frisso
ans. Il sufTisait de suggérer à cette malade qu’elle était princesse (
sensation
auditive provoquant la décharge), pour qu’elle vi
aversé les neurones des voies centripètes [cp, c’p'), les neurones de
sensation
5, et le neurone de mémoire mé, arrivent aux neur
voies centripètes ovario-cérébrales, qu’il traverse les neurones des
sensations
ovariennes sans donner lieu à une perception, qu’
ollatérales avec les neurones de mémoire et même avec les neurones de
sensation
. De telle sorte que les muscles qui sont paralysé
érébrale. Silos neuro-diélectriques siègent au-dessus du neurone de
sensation
, la contracture est douloureuse. S’ils siègent
s'était aperçu que sa femme manifestât quelquefois des désirs ou des
sensations
sous une autre forme que la copulation. Il m’avou
qui je soupçonnais actuellement une simp e erreur de transmission des
sensations
. Elle avait atteint le moment psychologique où le
ciable, et que, d’ailleurs, elle devait être incapable d’éprouver des
sensations
dont elle ne soupçonnait seulement pas l’existenc
t sa femme actuelle, n’a fait aucune tentative capable d’éveiller les
sensations
de cette jeune femme. 11 n'y a pas d'enfants. Q
un état psychique, consistant soit en une absence totale de certaines
sensations
, soit en une erreur de transmission de ces sensat
le de certaines sensations, soit en une erreur de transmission de ces
sensations
. 2° Que cet étal psychique est essentiellement
s neurones de mémoire associée ou non à la rétraction des neurones de
sensation
. Ainsi s’explique leurs caprices et leur incons
te sur un seul des trois systèmes de neurones supérieurs (neurones de
sensation
, de mémoire et de mouvement). En général des neur
de la sensibilité, de la mémoire et de la molilité. Les neurones de
sensation
se trouvant en amont des neurones de mémoire et d
ant à une attaque ; tandis que la rétraction complète des neurones de
sensation
, chez un malade présentant des secousses, fait ce
ples ou systématisées. Inversement la réextension des neurones de
sensation
rétractés entraîne celle des autres neurones. C’e
uent de la même manière. Au surplus quand l’extension des neurones de
sensation
est devenue complète, et que par suite les déchar
urones de mémoire ou de mouvement se rétractent avant les neurones de
sensation
, ou que des neurones appartenant aux trois systèm
processus de rétraction commence le plus souvent par les neurones de
sensation
. Il en est ainsi à ce qu’il semble dans l’hypnose
un homme qui, dans le même moment, éprouverait toutes les variétés de
sensations
, aurait tous ses souvenirs présents à la mémoire,
), ou au contraire de fatiguer un certain nombre de leurs neurones de
sensation
(par exemple de leur faire entendre un bruit mono
’ continuant de recevoir des ondulations centripètes, ses neurones do
sensation
entreront en vibration, ses neurones de mémoire s
de observé, que la recherche de la sensibilité restera toujours une
sensation
, un résultat subjectif que nous ne pourrons contr
nsibilité, tandis que les erreurs de localisation et les retards de
sensation
peuvent être considérables. De plus,on peut noter
fficile de porter des objets lourds ; la marche produisait vite une
sensation
de fatigue et de l'essouflement. Ceci se passai
'épingle, le contact d'un tube chaud ou d'un tube froid donnent des
sensations
aussi nettes que chez un sujet normal. Le sens mu
urs. Très amaigris et sans hypertrophie, donnant à la palpation une
sensation
fibro-graisseuse, ils mesurent en circonférence :
és ne sont pas douloureux ; ils donnent à la palpation une certaine
sensation
de dureté fibro-graisseuse. Les articulations n
chefs moyens du trapèze. Le muscle trapèze donne à la palpation une
sensation
.fibreuse ; il a con- servé cependant une assez
sont pas douloureux à la pression ; ils doivent à la palpation une
sensation
fibro-graisseuse. Ils ne présentent pas de secous
i de troubles des réactions électriques, donnant à la palpation une
sensation
myo-nhreuse, déterminant des déformations carac
sont ballants le long du corps; bref le myopathique donne encore la
sensation
d'un homme « chiffon ». Or tout autre est l'i
es ? Certes, chez eux la palpation des masses musculaires donne une
sensation
fibreuse, surtout très mar- quée au niveau des
es deux tiers supérieurs de la cuisse. Le toucher existe, mais la
sensation
est évidemment émoussée et grossière à partir d
tage 56 socA de l'extrémité du membre. Aux pieds, par exemple, la
sensation
est assez obs- cure. La piqûre est ressentie
oids c'est absolument la même chose. La malade accuse de nombreuses
sensations
purement subjectives, elle dit t qu'elle sent m
Elle ressent quelquefois du fourmillement aux jambes et accuse des
sensations
de chaleur, de brûlure, de froid, surtout quand
cial pour la variation des attitudes, avec ce que l'on a appelé les
sensations
kinesthésiques. De même qu'on a considéré tort
de phénomènes physiologiques appartenant au monde concret, à des «
sensations
qui n'ont rien à faire avec l'espace », du même a
Bien plus, n'allons pas supposer un instant que l'intelligence, la
sensation
soient quelque part et quelque chose en même te
entation, Rev. philos., juin 1901. (4) E. Claparède, Avons-nous des
sensations
spécifiques de posit. des membres, Année psycho
compris que le physique et le psychique étaient hétérogènes, que la
sensation
n'a rien à faire avec l'es- pace et que, en par
hysiques, abandonner ces personnalités équivoques et poétiques, les
sensations
qui n'ont rien à faire avec l'espace, l'intelli
eptacles des phénomènes exté- rieurs, qui y prendraient la forme de
sensations
; ce sont des milieux organi- ques qui ne conti
ielles, des idées. L'intelligence, comme les sens, les idées et les
sensations
, c'est quelque chose de pesant, de chaud, qui a
science qui peuvent localiser sans être eux-mêmes localisables, des
sensations
qui n'ont rien à faire avec l'espace, des états s
s de nos cir- convolutions ; c'est la déesse imagination, la déesse
sensation
, la déesse motri- cité ; ces personnalités subj
est pour le moment incompréhensible et inacceptable. Pourquoi telle
sensation
a-t-elle son origine orientée à notre droite, sin
Mais à l'état normal, notre conscience n'y est pas intéressée et la
sensation
globale d'attitude segmentaire nous suffit, car l
les attitudes de toutes les parties du segment sont absorbées par la
sensation
globale de l'attitude du segment lui-même, mais
ire de la motricité appropriée. § 4. - Le sens des attitudes et les
sensations
kinesthésiques. Le sens des attitudes se confor
nié la perception^ des attitudes dans le mouvement et considéré la
sensation
de mouvement comme une sensation primitive. Et
dans le mouvement et considéré la sensation de mouvement comme une
sensation
primitive. Et ! 'on admet que c'est le mouvemen
n- tense que celle que provoque un état continu. Nous savons que la
sensation
du mouvement actif est plus vive que celle du m
lus ou moins profond des facultés corticales, il ne surnage que les
sensations
les plus vives et les plus nettement et forteme
bre paralysé. » Et il remarque que le malade n'accuse en général la
sensation
de déplacement que lorsque ce déplacement est d
tion de variation d'attitude et la fragilité et la faiblesse de la
sensation
d'atti- tude fixe se retrouve à l'étal patholog
elle qu'éveille la variation : il est donc naturel que le seuil des
sensations
de mouvement soit plus bas que celui de la sensat
le seuil des sensations de mouvement soit plus bas que celui de la
sensation
d'at- titude, comme le seuil des sensations de
plus bas que celui de la sensation d'at- titude, comme le seuil des
sensations
de frottement sera plus bas que celui des sensa
e le seuil des sensations de frottement sera plus bas que celui des
sensations
de contacts. « On ne comprendrait pas, dit M. C
images de diverses attitudes et semble résider tout entière dans la
sensation
périphérique, ce qui n'est pas le cas pour la not
pour la notion d'attitude qui consiste en images, évoquées par des
sensations
obtuses et sans contenu inté- ressant. » Et q
s obtuses et sans contenu inté- ressant. » Et qu'est-ce que cette
sensation
périphérique de mouvement ? Est-elle possible s
tte sensation périphérique de mouvement ? Est-elle possible sans la
sensation
de déplacement et par suite de placement ? Conçoi
sensation de déplacement et par suite de placement ? Conçoit- on la
sensation
de mouvement sans celle d'un changement de lieu o
eu ou d'atti- tude ? Et sait-on ce que sont, pour M. Claparède, ces
sensations
d'attitudes « obtuses et sans contenu intéressa
s sont l'objet d'une excilation quelconque, nous envoient certaines
sensations
, chacune empreinte d'un certain cachet, d'une c
met de les distinguer. Nous reconnaîtrons donc, parmi ces multiples
sensations
, celles par exemple qui nous viennnent de l'art
à leur tour chacune leur couleur spéciale. Soit A, B, C, D, quatre
sensations
fournies par quatre positions an- gulaires diff
différentes de l'articulation cubito-humérale. En elles-mêmes, ces
sensations
élémentaires ne signifient rien et ne peuvent nul
cachet, cette cou- leur spéciale qui nous permet de distinguer ces
sensations
qui ne signifient rien, qui varient avec les at
sons maintenant, continue l'auteur, que nous ayons remarqué qu'à la
sensation
articulaire A correspond l'image VISUELLE d'une c
par suite d'expériences fréquemment réitérées, on comprendra que la
sensation
A pourra évoquer par la conscience l'image d'un
la logique appliquée à la psychologie. Il y a pour ces auteurs des
sensations
primitives de mouvement, elles seules sont spéc
sations primitives de mouvement, elles seules sont spécifiques, les
sensations
élémentaires d'attitudes ne signifient rien par
emblée (ce d'emblée vient bien après l'a priori), que, y eût-il des
sensations
spécifiques de position des membres, on ne sau-
position des membres, on ne sau- rait en aucune façon considérer la
sensation
de mouvement comme leur suc- cession ou leur so
tage faire une canne en additionnant beaucoup de parapluies ? Si la
sensation
d'attitude et la sensation de mouvement sont qu
dditionnant beaucoup de parapluies ? Si la sensation d'attitude et la
sensation
de mouvement sont qualitativement différentes,
ensation de mouvement sont qualitativement différentes, pourquoi la
sensation
de mou- vement révélera-t-elle mieux l'attitude
ieux l'attitude que l'attitude ne révélera le mouvement ? ` ? Et la
sensation
visuelle n'est-elle pas aussi un peu différente q
visuelle n'est-elle pas aussi un peu différente qualitativement des
sensations
de mouvement ou d'attitude ? Cette psychologie né
ssociationniste me semble un peu jeunette. Que peut bien être une
sensation
primitive de mouvement ? Sans orienta- tion, sa
uvement ? Sans orienta- tion, sans notion d'attitudes, sans même de
sensation
de variation, peut-être aussi ? « Le mouvement
ut-être aussi ? « Le mouvement est perçu immédiatement, grâce à des
sensations
spé- cifiques ; la notion de mouvement n'est pa
ption d'une variation (p. agi) 1 » « Si M. Bonnier entend que ces
sensations
confuses (d'attitudes) émanant de la profondeur
ier l'image visuelle de cette atittude qu'ils veulent réaliser, les
sensations
périphériques qui doivent en devenir le symbole.
ne peut plus être défendu maintenant, puisque c'est un ensemble de
sensations
des muscles, des tendons, des articula- tions e
s. Ce que nous nous propo- sons d'étudier ici, c'est l'ensemble des
sensations
qui nous renseignent sur l'état de nos organes
enseignent sur l'état de nos organes moteurs, c'est cet ensemble de
sensations
que nous appe- lons par le terme « sens muscula
sens qui nous renseigne sur l'état de nos muscles. Il en exclut la
sensation
de position des membres, le sens kinesthésique.
de Landry. « Chacun peut apprécier l'im- portance du rôle de cette
sensation
par laquelle nous acquérons l'idée précise de l
ns des impressions suivantes, provenant toutes de la péri- phérie :
sensations
tactiles, cutanées ou superficielles, des tissus
r, c'est qu'on ait donné le nom de sens musculaire à un ensemble de
sensations
qui ne nous font nulle- ment connaître... nos m
lon qu'il s'agit de phénomènes passifs ou actifs. Il y a en plus la
sensation
d'activité. Est-ce spécialement la sensation d'ac
ifs. Il y a en plus la sensation d'activité. Est-ce spécialement la
sensation
d'activité musculaire qu'il faut dire ? Non, je
musculaire dans cette activité. J'ai à l'intérieur des segments la
sensation
de tension, de traction, de pression, de gonfleme
e cas de passivité ; mais ce quelque chose ne me donne nullement la
sensation
d'un état musculaire ; c'est une variation de f
s de l'activité dans l'attitude ou dans le mouvement, ou plutôt une
sensation
d'activité, mais pas plus de sens musculaire qu
ans les sen- sations de pression au contact ou de tiraillement. Ces
sensations
sont plus ex- tramusculaires que musculaires à
ent ou des segments actifs, j'ai donc le pouvoir de lo- caliser une
sensation
d'activité qui s'ajoute à la notion d'attitude, m
que nous faisons pour nous définir à nous-même une perception, une
sensation
, est avant tout un effort d'objectivation. Il suf
ivation. Il suffit que l'on analyse une LE SENS DES ATTITUDES 169
sensation
, même intime et profonde, pour qu'en cherchant à
successivement sur les cinq doigts de ma main, j'éprouve une double
sensation
. D'abord chacun de mes doigts, à mesure que mon a
mon champ sensoriel en le dirigeant vers tel ou tel point, j'ai la
sensation
de ce travail d'attention auquel je me li- vre,
ctivement, volontairement, ou d'une variation active d'attitude, la
sensation
se complique de la perception de l'effort voulu
ion se complique de la perception de l'effort voulu. Il y a déjà la
sensation
de l'effort exercé, réalisé, perceptible au niv
egment considéré, nous l'avons vu plus haut. Mais il y a en plus la
sensation
de la volonté employée, de l'effort de réalisatio
l'effort de réalisation : c'est à peu près ce que Wundt a appelé la
sensation
d'innervation. J'ai d'une part la sen- sation d
ons produites au niveau du segment actif par l'effort mus- cnlaire,
sensation
qui n'est pas plus musculaire qu'articulaire ou c
us musculaire qu'articulaire ou cutanée ; mais j'ai d'autre part la
sensation
de quelque chose de tendu dans le cerveau, la s
tre part la sensation de quelque chose de tendu dans le cerveau, la
sensation
qu'une partie de ma volonté générale, disponible,
n ce moment en tension, si je puis dire. De quelle nature est cette
sensation
? ? « Il m'est possible d'analyser ce que je re
'analyser ce que je ressens cérébralement et indépen- damment de la
sensation
périphérique et segmentaire de l'effort réalisé,
lisé, quand je veux cet effort. C'est, avanttout, la conscience, la
sensation
de l'exercice de ma faculté d'attention ; je ne
veux réaliser un geste, un effort moteur, - c'est toujours la même
sensation
cérébrale que j'éprouve, une perception de tensio
d'atten- tion dans la faculté en jeu. Si cela s'appelle volonté, la
sensation
de ma volonté agissante est la même pour un eff
ep- tion ou d'action motrice. J'ai souvent cherché à analyser cette
sensation
d'effort nerveux et à voir si elle varie de for
plexes attributions, si varia- bles selon les points considérés, la
sensation
de sa mise en travail est également uniforme. E
e à cette attitude ; l'image de telle autre région représente telle
sensation
, telle faculté psychique, etc., et n'a qu'indir
sur les propriétés invariables de l'espace infini de l'univers. Les
sensations
sont celles des trois directions : la sagittale o
le (droite et gauche), et la verticale (haut et bas). Sur ces trois
sensations
de direction sont basées nos notions des trois ét
est l'appareil des canaux semi-circulaires de l'o- reille. « Les
sensations
de cet organe servent aux animaux à orienter leur
formation de la notion d'es- pace à trois étendues. L'ensemble des
sensations
de nos autres organes des sens, en tant qu'elle
de trois coordonnées rectangulaires, fournies direc- tement par les
sensations
du labyrinthe. » . (1) E. de Cyon, Les bases na
s, auront un espace si copieusement défini et pourront projeter les
sensations
un peu obtuses de leurs autres organes senso- r
tation objective d'un espace qui reste idéal bien que formé par des
sensations
d'étendue et de direction, a quelque chose qui co
onsistance objective sur lequel se projettent et se superposent les
sensations
qui forment un espace visuel ou tactile, on se
u tactile, on se demande à quoi ce canevas peut bien servir. Si les
sensations
qui forment un espace visuel et celles qui form
s ; leur trouble, le vertige, est précisément la per- turbation des
sensations
qui régissent le maintien des attitudes, et leur
u avec une conscience presque éteinte de l'analyse tactile, - de la
sensation
de poids,etc. Et inversement la conscience des
ger, loc. cit., p. 697). Le FÚltlspha ! 1'e de Munck, la sphère des
sensations
du corps, se rapproche beaucoup de notre sens d
it être le lieu où sont perçues et conser- vées dans la mémoire les
sensations
qui concourent à former les représentations mot
otrices et tactiles » (et p. 704)... « il n'est pas douteux que les
sensations
kinestésiques, le toucher actif, le pouvoir de lo
ations kinestésiques, le toucher actif, le pouvoir de localiser les
sensations
à la surface cutanée, doivent être localisés dans
§ 11. Le sens des attitudes et l'orientation psychique. Bien que la
sensation
, d'après certains auteurs, n'ait rien à faire ave
onséquent ni quelque part ni quelque chose, pour quelques autres la
sensation
est là où se trouve l'appareil capable de la réal
une forme. Dans ce domaine psychique, la moindre image, la moindre
sensation
, la moindre idée, la moindre représentation, ne
que forcément superposé à un com- plexus anatomique. Les idées, les
sensations
, ont donc une forme comme les images sensoriell
e a commencé à se plaindre de céphalée continuelle et parfois d'une
sensation
très désagréable de « vide dans la tête ». Dès
at persiste, le malade se plaint beaucoup de la tête, et accuse une
sensation
de lourdeur du bras gauche, qui lui paraît plus p
une di- zaine de fois par 24 heures : il éprouvait tout il coup la
sensation
d'une bouffée de chaleur qui remonterait des me
té visuelle paraît peu diminuée. Ouïe. Le malade n'éprouve pas de
sensations
subjectives. L'acuité audi- tive est normale.
d'une souplesse ex- trême ; ils peuvent sauter, courir, etc. Les
sensations
générales telles que la faim, la soif, les différ
t les images mentales jouent un rôle de tout premier ordre dans les
sensations
ou l'accomplissement des besoins généraux. Il suf
ue le simple fait de voir manger ou boire une personne réveille les
sensations
de faim et de soif. Il est bien connu des médec
s réflexes patellaires. Retard très notable 'dans la perception des
sensations
douloureuses portées sur les membres inférieurs.
, il déclare souvent, ne fût-ce que par la mimique, avoir perçu les
sensations
provoquées (1). Les réflexes tendineux et cutan
aude sur la cuisse ou le bras gauches, le malade accuse parfois une
sensation
analogue à celle que provoquerait le frôlement d'
d'autre et en être débarrassée. A ce moment même, elle éprouva une
sensation
étrange, le renard venait de prendre possession
bout et la marche amènent rapide- ment une lassitude extrême et une
sensation
de brisement dans les membres. Tandis qu'au déb
(1) Leç. 1893-1894, p. 55 et 56. M. Brissaud a noté cette fatigue,
sensation
purement objective que rien ne parait motiver o
ir. Peu après, les deux pieds se mirent à enller. Du pied gauche la
sensation
d'engourdissement se propa- gea peu à peu à la
es à des éclairs. Dans toute l'étendue de ce membre, il éprouve une
sensation
continuelle de froid ; aussi J'enveloppe-[-il de
pour satisfaire ce besoin, il est obligé de pousser. Il n'a pas la
sensation
du passage de l'urine à travers le canal. Le je
début ont consisté en phénomènes de paresthésie engour- dissement,
sensation
de froid - qui ont fait place à des douleurs asse
s'est produit : d'abord R... a éprouvé de l'engourdissement et une
sensation
de froid dans le pied gauche. Ces sensations an
'engourdissement et une sensation de froid dans le pied gauche. Ces
sensations
anormales ont gagné la jambe, la cuisse et la h
ait de troubles de la sensibilité subjective, le malade éprouve une
sensation
de froid dans toute l'étendue du membre inférie
d'un abaissement de la température locale, avec lequel coïncide une
sensation
subjective de froid. On constate, en outre, l'abo
usculaire est normal à gauche et à droite ; une piqûre provoque une
sensation
moins désagréable à droite, mais la compression
les fibres ascendantes de la région latérale transmet- traient les
sensations
de douleurs et de température. Mais ce n'est là e
intenant à nous occuper des symptômes cérébelleux proprement dits :
sensations
vertigineuses, nystagmus, latéropulsion vers le
fibres nerveuses bulbaires dans la transmission des divers modes de
sensations
, dans les fonctions de l'équilibre et de la syn
équentes : la soeur qui l'accompagne en a vu plu- sieurs. Après une
sensation
de picotement qui débute par la main droite et
e il y a quelques mois : beaucoup de crises sont réduites à l'aura,
sensation
de picotement dans le bras droit. L'in- tellige
rédisposé. Emotive incroyable, phobies variées, amnésies, aboulies,
sensation
très pénibles de vide intra-cérébral avec obnubil
les plus frappants sont les états pathologiques-caractérisés par des
sensations
d'épuisement, de fatigue générale, de dépression,
ion des états d'anxiété, le relèvement des forces, la suppression des
sensations
douloureuses et le réveil de l'énergie. Chez les
pratique. « Ces états, écrit-il, sont caractérisés par un ensemble de
sensations
émotionnelles, au milieu desquelles la sensation
par un ensemble de sensations émotionnelles, au milieu desquelles la
sensation
de l'effroi, de ia peur irréfléchie et angoissant
rophiques, glandulaires, etc. De là aussi le retentissement forcé des
sensations
viscérales ou cénesthésïques sur l'affectivité mo
le3 appréhensifs. 11 fera la part qui revient à la perception et à la
sensation
, au jugementet à l'émotion, à l'idée et au terrai
s profond. £8 Février. Mme B..., éprouve aujourd'hui une singulière
sensation
: « Comme des tranchées sans douleurs », dit-ellc
ieures. Du 18 au 24 Février. Cette femme éprouve continuellement la
sensation
de contractions sans douleurs, mais le travail av
près dis années, l'empire absolu qu'il avait acquis, en 1885, sur ses
sensations
, ses volontés, ses sentiments, ses actes, etc.
du sujet et je lui débande les yeux. Il nous rend compte alors des
sensations
qu'il a éprouvées. D'abord, pendant les passes
e importance au récit qu'ils me font de leurs impressions et de leurs
sensations
, car n'ayant jamais entendu d'autres personnes fa
ré en arrière par les deux bras, et c'est alors qu'il a reculé. Celte
sensation
correspondait bien à la suggestion qui était fait
issé le mouvement s'exécuter. Il se montre lui-même très étonné de la
sensation
qu'il a éprouvée et qu'il ne s'explique pas. 11 r
e ; le sujet heurte du pied ce faible obstacle et il semble que cette
sensation
inattendue le fasse sortir de i'élat d'attention
ous avez pu voir, en effet, que tous les sujets ont éprouvé les mêmes
sensations
, les ont analysées de la même façon et traduites
ne pouvaient donc pas agir par imitation ni par autosuggestion ; les
sensations
qu'ils signalaient devaient donc être exactes et
tes : « Mes fausses reconnaissances sont accompagnées d'une véritable
sensation
de dédoublement : l'une des individualités no fai
ral de la miction n'existait pas ou était paralysé. Chez d'autres, la
sensation
de besoin no stimule qu'insuffisamment ce centre
duire nettement l'action de l'instrument explorateur à la réalité des
sensations
perçues. On ne s'attachera pas par conséquent à l
de porcelaines taillés d'une certaine manière ('). Ces expériences de
sensations
fantastiques nous font pressentir l'état mental d
fluante, dépourvue d'im-portunités, existe. C'est le sentiment ou la
sensation
d'origine viscérale, d'origine organique, normal.
e seront différentes des vibrations ordinaires, et l'on éprouvera des
sensations
anormales qui rentreront dans l'histoire des symp
é, et qu'il y a hypercènesthésie. Un mécanisme analogue ressortit aux
sensations
de besoins de l'organisme, en particulier à celle
ité viscérale ou cènesthésie, quand elle est pervertie, détermine des
sensations
étranges qui bientôt feront naître un délire comm
huit jours après, presque guéri et disant. « qu'il avait éprouvé une
sensation
de chaleur particulière qui, chaque jour, lui per
celle-ci perçoit exactement, dans le point visé par l'instrument, une
sensation
de fourmillement et de pesanteur bien accusée. Qu
lement et de pesanteur bien accusée. Quand on a obtenu cette première
sensation
en laissant, pendant quelques secondes, l'instrum
duquel on aura arrêté l'instrument. « La distance à laquelle cette
sensation
peut être perçue, de même que l'étendue de la sur
ait les mêmes opérations sur la couche sensible, le sujet éprouve les
sensations
correspondantes. De plus, on constate qu'à mesure
extérieure du verre, no touchant pas Peau, le sujet n'exprime aucune
sensation
; j'enfonce de nouveau mon épingle dans l'eau san
sujet peut donc ressentir dans les mains un certain ébranlement, une
sensation
de contact; s'il y avait là une auto-suggestion,
arrachait les cheveux. Pour me rendre compte de la manière dont la
sensation
arrivait au sujet, et de la rapidité avec laquell
res expériences. Je constatai alors qu'il éprouvait instantanément la
sensation
de piqûre lorsque je plongeais l'épingle dans l'e
'eau avec l'épingle, et celui où la physionomie du sujet exprimait la
sensation
de douleur. Aucun temps appréciable ne peut être
eau avec l'épingle et l'instant où la physionomie du sujet exprima la
sensation
. Faisant alors une chaîne de deux, trois personne
e le verre d'eau et le sujet, je constatai un retard progressif de la
sensation
. En employant cinq personnes j'obtins un retard d
où le mouvement de physionomie du sujet indiquait qu'il éprouvait la
sensation
. J'arrive à une expérience plus curieuse encore
er un membre, le sujet faisait très bien la différence entre les deux
sensations
et disait : Vous me pincez, au lieu de dire : Vou
e du sujet en différents points, il ne bougea pas et n'exprima aucune
sensation
. Je piquai alors sur l'ombre elle-même, aussitôt
et ne sentait absolument rien, mais dès que l'ombre était touchée, la
sensation
parut plus vive que dans la plupart des autres ex
ours obtenu l'extériorisation de sa sensibilité, mais quelquefois ses
sensations
étaient vagues et manquaient de netteté, soit qu'
i on le pinçait. Dans d'autres cas, il distinguait bien le genre de
sensation
et la nature de la douleur, mais il n'arrivait pa
l'objet ou la personne. Ainsi, dans une des séances d'expériences, la
sensation
, qui pourtant était bien nette, fut constamment p
s d'autres circonstances, il arrivait à une certaine localisation des
sensations
, mais encore un peu imparfaite. C'est ainsi qu'il
aux membres. J'ai constaté aussi que, dans certains cas, lorsque les
sensations
étaient vagues et mal localisées, si j'éveillais
illais le sujet et si je l'hypnotisais de nouveau, j'obtenais des
sensations
très nettes avec une localisation d'une précision
je pique parmi les parois du verre, le sujet éprouve certainement une
sensation
de contact. S'il y avait de l'auto-suggestion,
toucher le verre, c'est-à-dire sans qu'il puisse éprouver la moindre
sensation
directe, il témoigne qu'il ressent la piqûre. J
s, je vous pique à la jambe. Le sujet éprouvait évidemment toutes les
sensations
qui lui étaient ainsi suggérées. Il faut n'avoir
onne n'a jamais nié que l'on peut, à un sujet hypnotisé, suggérer une
sensation
de piqûre, de brûlure ou autre, dans un point dét
de ce fait que le sujet éprouve et distingue les différents genres de
sensations
, piqûres, brûlures, pincements, etc. Elle expliqu
ssi qu'il les localise dans telle ou telle partie du corps, quand ces
sensations
sont éprouvées par un sujet placé en face de
dans certains cas déterminés, un retard régulier et progressif de la
sensation
chez le sujet hypnotisé. Que le verre d'eau soit
ar trois, quatre ou cinq personnes en communication avec le sujet, la
sensation
devrait être aussi rapidement perçue par lui si l
uvent être observés directement: j'aurais pu aussi bien citer des
sensations
tactiles, des hallucinations visuelles ou auditiv
tinuerait à être suggestible et on pourrait lui suggérer toujours des
sensations
, des émotions, des mouvements et même du sommeil.
l'esprit est en arrêt sur l'idée de dormir, là il est en arrêt sur la
sensation
visuelle. Les circonstances ont fait que les ex
Ce réflexe décompose les phénomènes nerveux en trois phases : 1) La
sensation
arrive au cerveau ; 2) Elle met en branle le ce
tère par conséquent, doit être étudié dans ces trois phases : Quelles
sensations
il perçoit, comment fonctionne son cerveau, quels
ci-dessus va nous faire mieux comprendre encore ces avantages. 1. —
Sensations
. a) La sensation est perçue faible ou intense,
ire mieux comprendre encore ces avantages. 1. — Sensations. a) La
sensation
est perçue faible ou intense, on aura des apathiq
tiré un si grand parti. Notons que souvent la grande intensité des
sensations
perçues par un sens peut être méconnue ; car ce s
Rappelons ce que nous avons dit à propos de la cause des actes : La
sensation
peut traverser le cerveau sans provoquer ni senti
éré. Le cerveau peut réagir et provoquer un acte d'opposition. La
sensation
met en action un groupe de cellules, éveille un s
ation met en action un groupe de cellules, éveille un sentiment. La
sensation
excite plusieurs groupes de cellules, d'où plusie
si raisonné. Appliquons ces données à l'étude des caractères. a) La
sensation
provoque un acte d'imitation. Ces suggestionnés
actes sociaux sont exagérés: coutumes, modes, croyances, etc. c) La
sensation
détermine un acte d'opposition. Ce sont les esp
gir par persuasion amicale. Nous allons étudier ce dernier. d) La
sensation
excite un groupe de cellules facile à faire vibre
entiments. Les sujets qui vibrent toujours de même sous le choc des
sensations
sont les sentimentaux. Ce groupe varie à l'infini
traduit par aucun mouvement: maître de lui-même, sang-froid. e) La
sensation
excite plusieurs groupes de cellules. Ce sont les
st par lui que ce dernier nous est dénoncé. C'est donc en étudiant la
sensation
et l'acte, qu'il faut reconnaître le travail céré
imple qu'elle parait au premier abord. Un même acte déterminé par une
sensation
peut être dû à des motifs cérébraux très différen
minutes, sur la pointe de l'aiguille, pour goûter aussitôt toutes les
sensations
, agréables ou pénibles, de l'hypnose. Si tout c
e son esprit là pensée de la souffrance actuelle et même supprimer la
sensation
présente, tandis qu'il susciu* l'image intense de
mplement indifférentes, souvent même à l'exclusion aussi de certaines
sensations
d'origine véritablement objective; l'unité (au mo
AL Par M. le Dr Charles Binet-Sanglé I DE LA CRÉDIVITÉ I. LES
SENSATIONS
ET LA CROYANCE. Les hommes ont une inclination
ination native à croire, et croient, pour l'immense majorité, que nos
sensations
ont une cause objective, et qu'en dehors du moi i
t une cause objective, et qu'en dehors du moi il existe un monde. Les
sensations
internes, tactiles, gustatives, olfactives, audit
pas cette croyance, car nous savons, d'une part qu'elles procèdent de
sensations
réelles, d'autre part qu'elles n'apparaissent que
ENT ET LA CROYANCE. Le jugement et le raisonnement reposent sur les
sensations
. Tout jugement est la traduction dans le langage
les sensations. Tout jugement est la traduction dans le langage d'une
sensation
, d'une image simple, d'une image composée ou d'un
mage composée ou d'une idée. Or, l'image simple est le souvenir de la
sensation
, l'image composée une combinaison d'images simple
un des cas particuliers qu'elles enferment; nous revenons à l'une des
sensations
originelles, o Notre intelligence, dit Pascal, ti
u'il faut savoir, c'est que, les principes de la raison procédant des
sensations
, les sens et la raison se soutiennent et se corro
ement qu'une hallucination est discernée ; et d'autre pari, une seule
sensation
suffit pour faire apparaître la justesse ou la fa
raisonnement ne va à rencontre d'une vérité sensorielle, — jamais une
sensation
n'infirme la conclusion d'un raisonnement normal.
chez une autre personne, lui donner, en bâillant ou en éternuant, les
sensations
prémonitoires du bâillement ou de I'éternue-ment,
la suggestion hypnotique sur les fonctions de la vie organique et les
sensations
Internes, — L'hypnotisme et la psychologie de l
té de ma voix qui patiemment répète dor— mes....., dor—mes.....; la
sensation
auditive, d'abord vague, à peine existante, s'i
r—mes....., n'a cessé d'être maintenue et régulièrement accrue ; la
sensation
persiste donc comme un « état fort » et, de plus
A ce moment, il ne subsiste plus guère chez notre sujet que la seule
sensation
auditive causée par le dor—mes....., d>r—mes
qualité et la quantité du phénomène conscient ne variant plus, cette
sensation
auditivo simple, homogène, toul à l'heure pleinem
manifester le pouvoir absolu que j'avais conservé sur les idées, les
sensations
, les volontés, les actes de M"" D... J'aurais pu,
impressions dans les sens, à la transformation de ces impressions en
sensations
, puis en idées, et par suite en actes, que ces id
'esprit est en polyidéïsme, s'il va continuellement de la création de
sensations
et d'idées à la création d'autres sensations et d
lement de la création de sensations et d'idées à la création d'autres
sensations
et d'autres idées, dans le sommeil il est en mono
es recherches expérimentales sur la localisation des souvenirs el des
sensations
tactiles, — le résultat d'une enquête faite par q
monoculaire ne donne pas, entre deux points inégalement éloignés, la
sensation
d'ouïe différence de profondeur; c'est là un fait
fait certain, d'où l'on j)cut tirer celle conclusion probable que la
sensation
de profondeur, en général, n'est pas donnée par l
d'ombre et de -la lumière, etc. La vision binoculaire produit la
sensation
de profondeur sous l'action de la convergence et
percevoir les couleurs, c'est-à-dire qu'ils ne produisent pas plus la
sensation
d'espace que celle de couleur. tën outre, noire
seulement aucune partie extérieure do son corps ne semble éprouver la
sensation
physique d'un contact quelconque; mais, ce qui es
si l'on a suggéré l'analgésie seule, le malade peut faire revivre les
sensations
tactiles sans retrouver le souvenir des sensation
faire revivre les sensations tactiles sans retrouver le souvenir des
sensations
douloureuses. Ce qui prouve que cette inhibition
douleurs à la tête et par tout le corps, de battements de cœur, d'une
sensation
de froid, et demande à boire. 25 mai. — La mala
permanente des régions ovariennes, principalement de la gauche: — 2°
sensation
d'une boule qui monte vers l'épigastre; — constri
rire ; besoin incessant de changer de place. Tympanite considérable.
Sensation
de tremblottement des intestins, borbo-rygmes, va
régions ovariennes sont hyperesthésiées. La pression donne lieu à la
sensation
de boule ; cette sensation s'arrête àl'épigastre
peresthésiées. La pression donne lieu à la sensation de boule ; cette
sensation
s'arrête àl'épigastre ; il n'y a pas de troubles
s céphaliques et jamais il ne survient d'attaque. W... déclare que la
sensation
pro- 4 duite est plutôt agréable, mais ne veu
l'autre. Sens génital. — Les rapports sexuels ne produisent aucune
sensation
; on l'accuse de froideur. Elle est heureuse qu'on
; ne rêve pas d'animaux. D'autrefois, elle revoit ses amoureux, a des
sensations
lascives « plus que dans la réalité » , sensation
es amoureux, a des sensations lascives « plus que dans la réalité » ,
sensations
qui la fatiguent. — Une fois réveillée, elle se r
er, p. 53t hq- t. \\f p- ^gg. 2 L'aura hystérique comprend toutes les
sensations
qui annoncent l'approche de l'attaque. membres,
mitée à l'un des seins et l'attouchement le plus léger occasionne une
sensation
pénible 2 ; ou bien elle siège en même temps sur
. 23), elle éprouve une douleur au niveau de l'ovaire gauche, puis la
sensation
« d'une grosseur » qui va et vient de celte régio
nt les crises convulsives, cette région, est le point de départ d'une
sensation
douloureuse, que la malade compare à une boule qu
ne presque aussitôt la région ovarienne correspondante, d'où, part la
sensation
d'une boule qui monte au creux de l'estomac. Cett
ertor. Phénomènes consécutifs. — M... se plaint de nausées et d'une
sensation
de froid, et, de fait, elle frissonne. L'irrégu
nt douloureux au centre du flanc gauche. La pression donne lieu à une
sensation
d'étouffement. Pas d'attaque (?). 5° Hyperesthé
me si on traversait le ventre avec des aiguilles. » Arrive ensuite la
sensation
de boule qui monte à l'épigastre ; cette sensatio
Arrive ensuite la sensation de boule qui monte à l'épigastre ; cette
sensation
, toujours ascendante, au dire de la malade, se ré
a eu des relations, tantôt des hommes « inconnus. » Elle éprouve des
sensations
voluptueuses et se réveille « en train... » ; 2
ns. » Il lui semble qu'il est là, qu'il l'embrasse ; elle éprouve des
sensations
génitales analogues à celles que produisent les r
qu'on a cessé l'inhalation. — En résumé, l'éther produit surtout des
sensations
agréables. Ces deux dernières observations peuv
inhalation. — Le bromure d'éthyle, qui s'évapore vite, détermine une
sensation
de vertige : tous les objets environnants semblen
ns vu que, naguère, elle tombait sans être prévenue ; puis, elle a la
sensation
de « quelque chose » qui part de cette région et
qui part de cette région et monte au creux de l'estomac où elle a la
sensation
« d'une barre » ; ce « quelque chose,» qu'elle ne
ain nombre de fois; à ces phénomènes s'ajoutent des palpitations, des
sensations
douloureuses occupant les autres zones hystérogèn
à cette phase et l'atta que avorte. Mais, en général, après que la
sensation
que nous venons d'indiquer a duré pendant une ou
e, j'ai des palpitations et je suis perdue. » Bientôt, en effet, la
sensation
de constriction du cou augmente ; des langues de
e siège de battements, et cela surtout à gauche, enfin se produit une
sensation
de vertige : P... perd connaissance, l'attaque éc
e. — Avant les attaques, et quelquefois pendant deux jours, B... a la
sensation
d'une chose qui va et vient de la région ovarienn
I, p. 48, et t. II, p. 202. ! Lorsqu'on prend une douche froide, la
sensation
produite par le jet, lorsqu'il frappe entre les d
ous de l'épine iliaque antérieure gauche : la pression occasionne les
sensations
de « quelque chose, qui remonte et fait étouffer
eillent en sursaut, à diverses reprises; elles ont des secousses, des
sensations
de fourmillement, des impatiences, principalement
urs amoureux, s'imaginent avoir des rapports sexuels, et éprouver des
sensations
plus voluptueuses que dans la réalité. Geneviève
p avec 4 grammes de chloral. Le teint est terreux; M... éprouve une
sensation
de chaleur par tout le corps, elle cherche à mett
a pu garder un peu de lait ; la diarrhée diminue. Elle a toujours une
sensation
de chaleur insupportable, principalement dans les
° Point latéro-mammaire. — En dehors du sein, la pression produit une
sensation
de serrement au cœur, avec constriction laryngée.
hose dans tout le corps. » Elle se comprime elle-même et ces diverses
sensations
s'évanouissent en quelques instants. —La peau est
elle était domestique. Elle rêve souvent de son ancien amant et a des
sensations
voluptueuses. Elle assure n'avoir jamais eu de ma
s nausées suivies ou non de vomissements bilieux ou alimentaires, une
sensation
de barre et de gonflement à l'estomac, de la tymp
a douleur s'opposant à un examen complet. La malade assure avoir la
sensation
d'une boule qui se déplace (?). La respiration
on sur l'une ou l'autre de ces régions est douloureuse et rappelle la
sensation
de boule, avec suffocation. Ces phénomènes parais
gulier. Hyperesthésie ovarienne double, plus intense à gauche, avec
sensation
d'une boule qui remonte ; parfois elle s'exagère
uer, on fait des alternatives voltaïques sans que H... accuse d'autre
sensation
qu'un léger éblouissement. Pendant une huitaine d
commifes, fut bruflée *. Nous avons souvent raconté, en abrégé, les
sensations
voluptueuses éprouvées par les hystériques, soit
s ayons déjà relaté un grand nombre de fois les hallucinations et les
sensations
éprouvées pnr les hystériques sous l'influence de
lade elle-même, à notre demande et après des instances réitérées, des
sensations
que lui procure l'éther et qui la poussent à en r
ite d'amyle est moins agréable que celle de l'éther. On voit que, aux
sensations
voluptueuses, se mêlaient des rêves pénibles, dan
figure grimace. Aura. — Elle part de l'ovaire droit. La malade a la
sensation
d'une boule qui monte de l'ovaire à l'épigastre,
la boule va et vient de l'épigastre à la base du cou et détermine une
sensation
de strangulation. Les palpitations augmentent de
contracture et dans la flexion et dans l'extension. X... dit que les
sensations
qu'elle éprouve ne sont pas les mêmes dans les de
fre « comme lorsqu'on a une crampe » ; dans celle-là, elle n'a qu'une
sensation
de raideur non douloureuse. X... dit que, dans
one hystérogène par excellence, chez B...; cette zone est le siège de
sensations
analogues à des coups, à des contusions, accompag
plus ; la compression de la région ovarienne ne déterminerait plus la
sensation
de boule. — La vue, Y odorat, le goût, Youïe, son
et même davantage avant l'attaque, elle est immobile, se plaint d'une
sensation
de boule, de douleurs au cœur, demeure immobile e
se montrent les symptômes de l'aura proprement dite. Elle éprouve la
sensation
d'une boule qui monte de la région ovarienne gauc
fois qu'on l'endort, et ces plaques rouges, qui s'accompagnent d'une
sensation
de chaleur , persisteraient pendant une partie de
, à la suite d'une série plus ou moins prolongée, elles éprouvent des
sensations
analogues à celles qu'elles ressentaient dans la
un 1 Nous avons vu que l'éther déterminait chez les hystériques des
sensations
voluptueuses et nous avons dit que la plupart en
. Le malade se plaint d'engourdissement dans les deux jambes, de la
sensation
impar- faite du sol (il lui semble qu'il marche
s très vives et attirent peu son attention. Il ressent en outre une
sensation
de lourdeur. S'il appuie un instant, ses bras r
ve des agacements, des four- millements permanents dans les jambes,
sensations
qui n'ont, dit-il, rien d'analogue aux crises d
un peu d'hypéresthésie et un peu de retard dans la perception des
sensations
. Pas de crises laryngées ni gastriques. Le goût,
ds, les jambes et les mains, qui le gênent pour s'habiller. Il a la
sensation
subjective de la perle, de l'absence de ses pieds
itié inférieure 64 -il PATHOLOGIE NERVEUSE. du visage. Toutes ces
sensations
sont purement subjectives et ne correspondent à
igéminé, procédant par deux secousses successives, accompagné d'une
sensation
de gêne au cou et à la partie supérieure du ste
'épigastre et au niveau de la colonne, lombaire, sans déterminer de
sensation
à distance. Il existe une anesthésie au contact
90.) Chez trois femmes et deux hommes âgés de plus de trente ans,
sensation
désagréable de picotement et de brûlure dans la l
REVUE DE pathologie NERVEUSE. 107 à un autre (Obs. X). Ce sont des
sensations
-d'obtusion du tact avec fourmillements, de fri
rsions), du sens thermique (mêmes espèces), du sens musculaire, des
sensations
sté- réognosiques, le malade prenant un couteau
lade s'oriente mal dans ce qui l'entoure et devient confus dans ses
sensations
internes. A cet état s'ajoute l'influence des a
trice; si la mélan- colie ou la manie se compliquent par de fausses
sensations
, elles s'harmonisent avec l'élément fondamental
isent sous forme d'attaque d'épilepsie sensitive. En pareil cas, la
sensation
de fourmillement apparaît dans le pied droit, r
re mise en relief est celle-ci : Parfois il éprouve tout à coup une
sensation
d'engourdisse - ment, de fourmillements dans la
de crises qui survenaient vers deux heures du matin. Elle avait une
sensation
de boule à l'estomac, une douleur vive au verte
e craint de le voir passer pour voleur. Tout lui déplaît. C'est une
sensation
de vide qu'elle a dans le gosier qui lui donne
e sont plus mes parents. Tout mon corps me semble étrange. J'ai une
sensation
de vide dans le côté. Tout a été faux dans ma v
de voir les hallucinations ver- bales motrices s'accompagner d'une
sensation
auditive spé- ciale que les malades distinguent
es, car elle n'a jamais accusé à l'interrogatoire à ce sujet aucune
sensation
précise. ' (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE MENT
de fourmillements; en somme aucune altération sen- sorielle sauf la
sensation
d'eau froide le long de la colonne ver- tébrale
tat normal des articulations et du système musculaire : mais grande
sensation
de fatigue, et facilité à se fatiguer.. Au poin
es réponses parait due à l'hébétude mentale plutôt qu'au retard des
sensations
. La température est un peu au-dessous de la nor
les de nutrition des nerfs spéciaux ganglionnaires, à ressentir des
sensations
morbides contre nature, si bien que peu à peu des
centres plus élevés, le malade en arrive à croire réellement à ces
sensations
anormales et à devenir la victime d'une illusio
timulation spéciale, s'hy- péresthésient et donnent naissance à des
sensations
morbides. Pas à pas, tout le système sympathiqu
pas, tout le système sympathique est soumis à des impulsions et des
sensations
qu'il n'éprouve pas à l'état sain : ce sont des p
t peut donner naissance, après la-convalescence de la fièvre, à des
sensations
illusoires, mal comprises par le cer- veau. En
la région dorsale, au point que le plus léger contact lui donne une
sensation
si pénible qu'elle se dérobe au toucher, et pou
Voici une petite idiote, réduite à la vague perception de quelques
sensations
: elle est étrangère presque à tout ce qui l'en
égion psycho- motrice, un mouvement de recul s'effectue, les deux
sensations
agréable et douloureuse sont enregistrées, comp
iste à cette force qui le pousse, il est énervé, angoissé; il a une
sensation
de contraction dans la région épigastrique, enf
euvent survenir dans tous les phénomènes psycho- logiques, dans les
sensations
, les souvenirs, les perceptions, les associatio
ppeler le rôle immense que tous les psychologues ont fait jouer aux
sensations
dans la formation de l'intelligence, et vous' c
ne les remarque pas tou- jours. Elles ne portent pas sur toutes les
sensations
venant d'un certain sens, mais sur un groupe de
utes les sensations venant d'un certain sens, mais sur un groupe de
sensations
formant un système, en laissant parvenir à la c
s ces anes- thésies localisées, les associations habituelles de nos
sensations
, les idées que nous nous faisons de nos organes
et supprimer plus ou moins complètement telle ou telle catégorie de
sensations
. Nous avons ici encore une remarque importante
l'anesthésie de la face et qui sont légion, si elles éprouvent une
sensation
horrible, et elles vous répondront toutes que cel
e cela leur est bien égal. A propos de cette différence entre les
sensations
subjectives produites par l'anesthésie hystériq
is il s'agissait cette fois des sen- sations musculaires et non des
sensations
tactiles. J'étudiais non plus à l'hôpital, mais
dent qui consiste à provoquer la crise d'hys- térie au moyen de ces
sensations
en apparence disparues de l'esprit du sujet m'a
ychologie quelques notions sur les sen- sations. Ce phénomène de la
sensation
a été défini d'une manière fort vague : la plùp
moins explicite des définitions analogues à celles de Wundt : « les
sensations
sont des états de conscience primitifs qu'il es
ossible de décomposer en phénomènes plus simples' ». En un mot, les
sensations
seraient en psycho- logie ce que sont les atome
tent une autre formule pour compléter et préciser la première. « La
sensation
, disent- ils, c'est le phénomène qui se passe e
lexes. C'est l'idée de la personnalité, c'est-à-dire la réunion des
sensations
présentes, le souvenir de toutes les impression
ire que la personnalité déjà énorme a saisi et absorbé cette petite
sensation
nouvelle qui vient de se produire. Si j'osais,
prolongement pour saisir et absorber un tout petit être, la petite
sensation
qui vient de naître à côté de lui. Cette opérat
Cette opération d'assimilation et de synthèse se répète pour chaque
sensation
qui naît en nous et il en naît à chaque moment
i comme exemple. Appelez ces phénomènes comme vous vou- drez, des
sensations
élémentaires, des états affectifs, pour em- plo
à chaque instant, dans une même perception personnelle, toutes les
sensations
élémentaires qui naissent en lui de tous côtés.
ôtés. Chez l'homme le mieux constitué, il doit y avoir une foule de
sensations
élémentaires produites par la première opératio
mènes tels que T ou M dans la figure 2, restent ce qu'ils sont, des
sensations
subconscientes; réelles sans donte, et pou- van
il ne pourra par exemple, à chaque moment, percevoir plus de trois
sensations
élémentaires telles que VV'A et il laissera le
en dirigeant autrement son attention, avoir la perception de ces
sensations
tactiles qu'il avait laissées de côté et, dans un
e moment, il pourra former une perception personnelle même avec des
sensations
musculaires.M. Par exemple, au premier moment,
récisse encore; le malade ne peut plus percevoir à la fois que deux
sensations
élémentaires. Par nécessité même, il réserve ce
es. Par nécessité même, il réserve cette petite perception pour les
sensations
qui lui semblent à tort ou à raison les plus im
tions qui lui semblent à tort ou à raison les plus importantes, les
sensations
de la vue et de l'ouïe. Il faut avoir conscienc
e l'on voit et de ce que l'on entend et il néglige de percevoir les
sensations
tac- tiles et musculaires dont il croit pouvoir
, si j'ose ainsi dire, rattraper dans sa perception personnelle des
sensations
trop longtemps négli- gées : il est devenu anes
ses importantes dont voici, je crois, les deux principales : 1° les
sensations
existent dans l'esprit humain sous deux formes
a conscience complète et la notion de personnalité et sous forme de
sensations
élémentaires, sub- (*3nbui.entes, sans être rat
té; 2° la per- ception personnelle peut disparaître, tandis que les
sensations
élémentaires persistent; cette disparition de l
algré les distractions et les anesthésies hystériques. Si de telles
sensations
existent, direz-vous, elles doivent pouvoir se
existent, direz-vous, elles doivent pouvoir se manifester, car des
sensations
mêmes élé- mentaires jouent toujours un certain
savez, sans que j'insiste sur la théorie de ce phéno- mène, que les
sensations
amènent à leur suite des mouve- ments ; eh bien
les sensations amènent à leur suite des mouve- ments ; eh bien, les
sensations
dont nous parlons même non senties par le sujet
mme pour coudre une étoffe, elle tient une aiguille. En un mot, ces
sensations
en apparence non senties amènent régulièrement
le mouvement qui les sui- vrait dans les conditions normales. Les
sensations
sont aussi, et très souvent même, le point de d
rt de ce qu'on appelle en psychologie des associations d'idées. Une
sensation
devient une sorte de signe, à propos duquel nai
c'est un papillon. » Elle ne se trompe jamais; il faut donc que la
sensation
du contact au petit doigt ou au pouce existe d'
res, elle aurait toujours le même résultat. Enfin, messieurs, des
sensations
ont une autre consé- quence encore, qui peut êt
r. » Le souvenir est parfait, j'ai donc le droit de supposer que la
sensation
avait existé. Je m'aperçois, messieurs, que je
. Je m'aperçois, messieurs, que je vous ai montré des exemples de
sensations
subconscientes empruntées à divers sens, et que
m'a permis de lui faire éprouver avec précision toutes ces petites
sensations
déli- cates, et d'en conserver pour ainsi dire
YSTÉRIQUE. 349 perception personnelle de rien; n'a-t-elle eu aucune
sensation
élémentaire ? Pour le vérifier je mets un crayo
nce du souvenir, et ce souvenir lui-même ne montre-t-iL pas que les
sensations
musculaires ont existé d'une manière quelconque
ement. Son champ de conscience si petit a perdu momen- tanément les
sensations
tactiles du côté droit qu'il contient d'or- din
p. 35), a montré un procédé intéressant pour mettre en évidence les
sensations
subconscientes des membres anesthésiques. Les a
s anesthésiques. Les associations anciennes et naturelles entre ces
sensations
en apparence disparues et les autres pensées du s
ommes heureux de constater cette nouvelle preuve de l'existence des
sensations
subconscientes dans les anesthésies hystériques
exemple, on met facilement en relief chez eux la persistance de la
sensation
visuelle dans l'oeil amaurotique quand les deux
ce et chez qui on n'arrive jamais à mani- fester aucune trace de la
sensation
subconsciente. Eh bien, messieurs, je vous lais
rouble de la perception personnelle, mais une .suppression de toute
sensation
. Mais réfléchissez bien aux con- séquences de v
quelconque vous ne réus- sissiez pas à manifester l'existence de la
sensation
subcons- ciente. Il y a là mille conditions, le
phénomène tout particulier ; ce n'est aucunement une altération des
sensations
élémentaires qui restent ce qu'elles doivent êt
cher entre elles et de rattacher à la notion de la personnalité les
sensations
nouvelles. Elle est due à une fai- blesse de ce
x intérieures ; c'était de l'autre vie. » Il n'y a pas chez elle de
sensation
auditives, car lorsqu'on lui demande dans quell
cinations de l'ouïe etque, réciproquement, celles-ci engendrent des
sensations
psychiques (sentiments) anormales. En un mot, p
u froid, et se traduit successivement par : douleurs, paresthésies,
sensation
de froid avec pâleur des doigts, puis, colo- ra
en particulier, du sens musculaire; les malades localisent mal les
sensations
, appré- cient moins distinctement la position d
ette observation que l'hallucination est précédée et accompagnée de
sensations
élé- mentaires. Ne sait-on pas que l'hallucinat
les hallucinations de l'ouïe, l'oreille correspondante éprouve des
sensations
présentant tous les caractères des sensations r
spondante éprouve des sensations présentant tous les caractères des
sensations
réelles ; de même il existe des hallucina- tion
cinations motrices. Tout mouvement est normalement provoqué par une
sensation
qui est l'expression d'un besoin, d'un effort,
s n'a par elle-même la puissance de provo- quer un mouvement. Les
sensations
kinesthésiques sont la conséquence des mouve- m
nomalie du facteur sensible, des conceptions représentatives et des
sensations
kinesthésiques. On peut plus ou moins probablem
qu'il ne faut pas confondre avec l'inversion du sens génital ou des
sensations
génitales. Il s'agit ici de délire, de conception
'anomalie se borne pendant longtemps à la simple per- version de la
sensation
sexuelle et que l'occasion seule provoque l'imp
teur nie qu'on puisse affirmer l'existence d'hallucina- tions ou de
sensations
physiques anormales, mais il reconnaît les illu
esprit, est le schéma des réflexes que nous donnons ici (fig. 1). Une
sensation
D, perçue par le nerf tactile d, fait vibrer la c
ou centrifuges qui déterminent une contraction musculaire : ainsi une
sensation
peut déterminer un mouvement chez un animal décap
ur ou jugé tel. Il réside donc dans l'éveil des idées provoqué par la
sensation
D. Le courant A allant en a' a" excite d'autres c
déterminant l'acte. Prenez plusieurs personnes excitées par la même
sensation
et répondant par le même acte : donner à un pauvr
pouvons avoir des actes involontaires d'origine cérébrale. Si un,e
sensation
ne provoque pas d'associations d'idées et provoqu
dée opposée à celle conseillée, et l'acte inverse se produit. Si la
sensation
provoque des associations d'idées, la volonté app
empreintes par hérédité ou éducation. Une fois mises en branle par la
sensation
centripète, elles amènent de suite le mouvement c
tes n'existent pas, nous pouvons avoir le type du capricieux dont les
sensations
déterminent des actes divers, incoordonnés, sans
ncoordonnés, sans but, et prennent l'aspect déréglé. Non seulement la
sensation
ne provoque pas d'associations d'idées et amène d
ntre de suite au repos et ne vient pas contrecarrer l'action d'autres
sensations
consécutives. La durée et la persistance de l'exc
e et la persistance de l'excitation cellulaire sous l'influence d'une
sensation
constituent l'attention. Les courants dérivés p
er sans amener de courant centrifuge, de mouvement correspondant à la
sensation
. L'esprit qui offre trop de courants dérivés est
résolus peuvent être imaginatifs ou logiques. Chez l'imaginatif, la
sensation
éveille une foule d'images et s'y épuise. Colerid
main de maître, ce caractère qui était le sien. Chez le logique, la
sensation
détermine de nombreuses idées. Les unes poussent
autre. Ici, le courant centripète se dépense en dérivés multiples. La
sensation
amène des pensées dubitatives ; l'acte ne se prod
es fois, il est moins fréquent, môme anormal (impulsion homicide). La
sensation
excite vivement la cellule A"' d'où part immédiat
t autre chose. Quelle soit constituée par une idée absurde ou une
sensation
erronée, le malade reconnaît sa fausseté, son inu
sta plusieurs heures dans un état cataleptique. Il décrit ainsi les
sensations
du cocaïnomane : D'abord c'est une excitation i
auditive augmente au point de devenir douloureuse : puis ce sont des
sensations
et même des visions de bêtes ou de serpents coura
, sous forme de mouvements d'attraction ou de répulsion, ou encore de
sensation
de contact à distance. 2' Sur les objets inanim
le second, au contraire, il ne suffira pas du récit d'un seul crime à
sensation
, il faudra une série de lectures, qui peu à peu a
asque, avec instabilité très notable de la mémoire et de la volonté ;
sensation
horriblement pénible de vide intra-cérébral, surt
. Mais le symptôme psychique le plus pénible pour Mlle Sh... est la
sensation
de vide cérébral qui suit tout effort de pensée o
précision. Incontestablement, le mal de mer débute toujours par une
sensation
vertigineuse: pâleur, céphalalgie frontale, anxié
ige, qui est la porte d'entrée de la naupathie, parait résulter de la
sensation
de la perte de l'équilibre. Observez, en effet, l
s eurent lieu par de très gros temps : conserve un appétit excellent.
Sensation
do bien-être qu'il attribue au traitement. Obse
rs temps, que j'éprouvais le lendemain une très grande lassitude, une
sensation
d'épuisement et de vacuité qui se localisait surt
r. le sujet se plaignit à moi spontanément d'avoir éprouvé cette même
sensation
au même point. Du reste, l'action mentale nécessa
-physique : Recherches théoriques et expérimentales sur la mesure des
sensations
et spécialement des sensations de lumière et de f
es et expérimentales sur la mesure des sensations et spécialement des
sensations
de lumière et de fatigue ; in-8°, 115 p. Bruxelle
dans la nature constitue la quatrième. La cinquième, l'origine de la
sensation
, est absolument transcendante ; elle marque, avec
ppareils, tout courant d'arrivée détermine un courant de sortie ; une
sensation
centripète détermine un courant centrifuge. Mai
ntrifuge. Mais si nous tenons les deux extrémités de la chaîne : la
sensation
causale et le mouvement qu'elle détermine, nous i
xtrémités. Prenons le cas où ces chaînons sont les plus simples. La
sensation
détermine immédiatement le mouvement : il s'agit
t le mouvement : il s'agit du réflexe. Le courant sensilif apporte la
sensation
â une cellule de la corne médullaire postérieure
série en cascade explique bien le mouvement complexe consécutif à une
sensation
unique. Le cerveau peut exécuter des actes semb
éflexes médullaires : ce sont les actes automatiques habituels. Une
sensation
a provoqué un acte. Le fait seul que le courant a
et la motrice, facilite le contact pour l'avenir. La liaison entre la
sensation
et l'acte est plus intime ; le contact d'autant p
blanc, mais, vers douze ans, on ne peut plus rien lui apprendre. La
sensation
qui détermine l'acte habituel peut provoquer l'ac
acte habituel peut provoquer l'acte du côté excité, et de plus, si la
sensation
est intense, du côté opposé. On peut ainsi expliq
itube dans l'obscurité. Mais fait-il clair, ses yeux suppléeront ; la
sensation
visuelle du sol déterminera un courant centripète
tre médullaire ou cérébral. Ce dernier peut être très compliqué ; une
sensation
donnant lieu à une série d'actes complexes, toujo
vant de devenir centrifuge. C'est ce qu'on appelle une association de
sensations
. Cet acte, en apparence réfléchi, est en réalité
plupart des actes des animaux seraient le résultat d'associations de
sensations
. Auguste Comte prétend même que nombre d'esprits
tout parmi les peu cultivés, n'agissent qu'en vertu d'associations de
sensations
. Les actes n'ont que l'apparence d'actes réfléchi
a maladie débuta, il y a 15 ans, par un rhume de cerveau avec fièvre,
sensation
d'engourdissement de la tête accompagnée de doule
marche, de même un effort de notre volonté consciente peut abolir une
sensation
, en provoquer une autre. Mais c'est surtout des
, et je n'hésite pas à faire de lui le modificateur le plus actif des
sensations
productrices de la plupart de nos actions. Et je
remarquai que j'éprouvais le lendemain une très grande lassitude, une
sensation
d'épuisement et de vacuité qui se localisait dans
, le sujet se plaignait à mol spontanément d'avoir éprouvé cette même
sensation
au même point. Du reste, l'action mentale, nécess
'accroît rapidement et devient bientôt presque Intolérable, » Cette
sensation
d'épuisement et de vacuité, se localisant à l'occ
miennes ont plus d'une fois prolongé ces intervalles. Il y a aussi la
sensation
d'épuisement et de vacuité à l'occiput que vous m
sme lui et son sujet sont très fatigués et qu'ils ont à l'occiput une
sensation
d'épuisement. Je l'arrête et lui dis : — Vous
é. Pas de tremblement épileptoïde du pied et de la rotule. Pas de
sensation
de boule hystérique. Pas d'hypercsthésie au nivea
douleurs. Pour la première fois depuis un mois, la malade éprouve la
sensation
de faim. Le 26. — Mieux sensible, malgré que la
a joie et la tristesse suggérées. Samedi 27 Mars. — Psychologie des
sensations
; — Les anesthésies. — Les hyperesthésies.— La sen
ressent aucun malaise pendant son sommeil, mais au contraire, il a la
sensation
d'un repos bienfaisant, et il est facile de const
ans l'état de santé. Après le réveil, il éprouve parfois une légère
sensation
d'engourdissement facile à dissiper par quelques
les paupières. Je lui donnai des lunettes fumées pour éviter la vive
sensation
lumineuse et priai la sœur de service de noter l'
occlusion permanente de l'œil gauche accompagnée de larmoiement avec
sensations
douloureuses à la lumière. L'œil droit était clos
mais cessé de prendre du bromure). Avant l'attaque, L... accuse une
sensation
de constriction dans la partie droite du cou ; ce
se une sensation de constriction dans la partie droite du cou ; cette
sensation
est bientôt suivie d'une surdité bilatérale ; pui
le occupant toute la partie latérale gauche ; à la palpation, on a la
sensation
d'une tumeur dure profondément située, un peu dou
n pouvait déterminer le sommeil aussi facilement, et sans produire de
sensations
désagréables, en fermant les paupières du patient
t de cette suprême loi de l'esprit, qui ordonne que le souvenir d'une
sensation
déterminée soit suivie par une répétition des mou
terminée soit suivie par une répétition des mouvements auxquels celte
sensation
était auparavant associée. Je suis disposé a pour
es. « On y peut constater, disait-il, un sensible accroissement de la
sensation
musculaire, car on verrait le patient serrer plus
e la première tentative heureuse de la désassociation des différentes
sensations
que toute l'histoire connue de l'organisme humain
ession de la douleur est ainsi obtenue par l'inhibition de toutes les
sensations
possibles du sujet et précisément celles qui devr
la compression de ce membre au-dessus du point qui est le siège de la
sensation
anormale, peut arrêter une attaque. Ce moyen a ét
sur des sujets sensitifs, certains phénomènes tels que : désagréable
sensation
d'éblouissement, migraine, attaques d'évanouissem
les idées suggérées étaient capables d'exercer une grande variété de
sensations
physiques et de conditions mentales. La relatio
Accordant à Braid qu'il était depuis longtemps reconnu que diverses
sensations
anormales suivaient la direction prolongée de l'a
elle-même avaient résulté de la peur, on supposa généralement que ces
sensations
anormales étaient accompagnées de changements phy
ui avait été dit ou fait, mais elle se plaignit d'éprouver une grande
sensation
de raideur et de tension. Son mari lui dit alors
vent de la première. Quant à celle-ci, elle est le prolongement d'une
sensation
. Le cerveau est un lieu de passage. Toutes ces
s parles sens ou venues de la périphérie sont susceptibles de devenir
sensations
, perceptions, idées, émotions, actes, successivem
Par elle, une idée tend à se reproduire indéfiniment, soit acte, soit
sensation
; par elle, la conductibilité d'une voie nerveuse
dynamiques-psychiques de haute importance. Cependant, dérivée d'une
sensation
visuelle, auditive ou autre, une idée est accepté
ditions réveille un même ordre d'idées, de suggestions. Mais si les
sensations
provenues du contact avec le monde extérieur dépo
contact avec le monde extérieur déposent en nous des suggestions, les
sensations
internes, viscérales, musculaires, sans localisat
utosuggestions. Elle découle d'une association d'idées bâties sur une
sensation
interne, et « en rapport avec des souvenirs accum
r les conditions diverses héréditaires et acquises, une spécialité de
sensations
. La succession des interprétations cérébrales des
alité de sensations. La succession des interprétations cérébrales des
sensations
, l'ensemble des modes particuliers de sentir, tel
gestion attenante sont imputables à l'individualité. « L'idée ou la
sensation
première est mûrie par le cerveau et, celui-ci, p
sychique. De ce travail cérébral nous ne connaissons que l'idée ou la
sensation
initiale : la porte d'entrée ; et la conception d
ion. L'idée-acte est positive ou négative. Positive, elle redevient
sensation
; négative, elle neutralise une sensation, un mou
Positive, elle redevient sensation ; négative, elle neutralise une
sensation
, un mouvement, en vertu de ses pouvoirs de dynamo
ar lui d'exemples probants auxquels nous renvoyons L'idée redevenue
sensation
! c'est l'explication des illusions sensorielles
ndividuelles tantôt faibles, tantôt massives. Une idée dérivait d'une
sensation
, elle a pénétré la conscience ; elle s'inscrit da
he de se manifester ; elle reste latente. Son rappel sera celui de la
sensation
originelle. Les malades imaginaires ont cette c
. Les malades imaginaires ont cette crédulité qui réalise de telles
sensations
en retour, si l'on peut ainsi dire. Ils sont jour
pparence, qu'aux seules images visuelles, Pœhler les renforce par les
sensations
musculaires et par les images motrices d'articula
cet enfant est vivement impressionné par les objets extérieurs et les
sensations
visuelles qu'il éprouve sont intenses ; celles-ci
mmeil profond, le réve ou le somnambulisme, résulteront selon que les
sensations
ou les idées prédominantes sont plus ou moins éga
, vous donne 30 pathologie NERVEUSE. au bout de quelque temps une
sensation
singulière d'étourdissement, un petit vertige,
surprenant que le clinicien, ayant à chaque instant à analyser la «
sensation
», ce phéno- mène psychologique primitif et irr
qui permettent, comme on va le voir tout à l'heure, de mesurer les
sensations
avec une précision pour ainsi dire mathématique
ncontrer l'appareil terminal d'un nerf con- ducteur centripète, une
sensation
nait par là même dans la conscience. Un phénomè
e; telle lumière a une intensité triple de telle autre; quant aux
sensations
qui en résultent, nous ne pouvons qu'accuser le
ible de déterminer combien, ou quel nombre de fois par exemple, une
sensation
lumineuse est plus intense qu'une autre; et il
différence entre deux excitants d'une part, et de celle entre deux
sensations
(perception différentielle) de l'autre. - Nous
ayant une intensité donnée, a, frappe notre oreille et produise une
sensation
. Si ce ton vient à subir une modification d'une
ière à atteindre une intensité, b, nous n'aurons pas seulement deux
sensations
suc- DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE. 51
la sen- sation, de la perception différentielle, de la somme des
sensations
, et d'autres valeurs encore. Mais cet ordre de
grandeur déterminée, au-dessous de laquelle il ne se produit aucune
sensation
: c'est ainsi que, pour em- prunter un exemple
ou comme si elle était poursuivie. Elle ne peut nous expliquer les
sensations
qu'elle éprouve dans ces moments. Toujours est-
RITIQUE LE SENS MUSCULAIRE; Par PAUL SOLLIER. I. L'existence de
sensations
spéciales, émanant des muscles, semble avoir éc
pendant longtemps aucune distinction n'existait entre les diverses
sensations
données par la sensibilité tactile. D'après W
réhension active » qu'ils opposaient au toucher comme « capacité de
sensation
ou simple conscience de passion » . Vers la f
inct du toucher, dans lequel certains au- teurs ont voulu voir la «
sensation
d'activité musculaire ». (Bel- lion. Recherches
ion. Recherches historiques sur la pathologie et la physiologie des
sensations
tactiles. Th. Paris, 1853.) - Dans un livre sur
evient surtout l'honneur d'avoir établi nettement l'exis- tence des
sensations
émanées des muscles, auxquelles il donna défini
entiment de l'activité muscu- laire ». [Recherches physiol. sur les
sensations
en général. Arch. de méd. 1837. - De la sensati
physiol. sur les sensations en général. Arch. de méd. 1837. - De la
sensation
du tact et des sensa- tions cutanées; Bull, de
; Bull, de l'Acad. de huez., 1841 . Physiologie phi- losophique des
sensations
et de l'intelligence, 1846.) C'est surtout à pa
a5), puis de Gendrin, en 1816 et 1847, qui montrent que chacune des
sensations
tactiles peut être isolément modifiée, les autr
eulement de la sensibilité musculaire, tandis que pour d'autres les
sensations
provenant de toutes les parties profondes des m
à propos de ses expériences, fit ressortir' que, dans ces cas, une
sensation
accompagnant l'innervation centrale, pourrait b
as où nous soulevons et résistons, soit en partie du moins, non une
sensation
dans le muscle, mais une notion de la quantité
ergie mentale motrice » est toujours accompagnée et aidée « par des
sensations
dont les conditions sont, d'une part, le. nisus
sculaire, et, d'autre part le corps résistant ou pressant ». De ces
sensations
, les premières c'est-à-dire les sentiments liés
lquefois appelé le sens musculaire. Les dernières, c'est-à-dire les
sensations
déter- minées par la pression externe ont leur
u et appartiennent alors au sens du toucher proprement dit, ou à la
sensation
cutanée, et en partie dans la chair, auquel cas
les muscles volontaires mis enjeu. D'après Wundt, « le siège des
sensations
de mouvement ne paraît pas être dans les muscle
ns les cellules nerveuses motrices... Nous n'avons pas seulement la
sensation
d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouveme
d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La
sensation
de mouvement est donc liée à l'inner- vation mo
gistes ont essayé de faire dériver, autant que possible, toutes les
sensations
de mouvement d'une seule source. Dans cette int
ource. Dans cette intention, ils ont cherché : 1° à les ramener aux
sensations
dépression delà peau; 2° ils ont voulu y voir d
er aux sensations dépression delà peau; 2° ils ont voulu y voir des
sensations
musculaires spécifiques, qui, dépendant des app
rieur des muscles, seraient considérées en quelque sorte comme les
sensations
d'un sixième sens, le sens musculaire; 3° enfin
sens musculaire; 3° enfin, selon une autre supposition, ce sont des
sensations
d'innervation ; elles dépendent uniquement de l
contient, évidemment une partie de la vérité, et par conséquent les
sensations
du mouvement sont pour nous des produits fusion
ent sont pour nous des produits fusionnés complexes, provenant de
sensations
d'origine différente. » Il estime (Menschen u.
n'est point là le cas, car la LE SENS MUSCULAIRE. 87 force de la
sensation
dépend seulement de l'influence motrice, partan
ifuge de l'énergie nerveuse et ne résulte pas, comme dans le cas de
sensation
pure, d'une influence affluant par les nerfs ce
Ferrier objecte que'les mouvements coor- donnés ne sont pas dus aux
sensations
, mais sont produits par la simple mise en jeu d
ister et avoir sa grandeur normale. Il faut donc admettre que cette
sensation
de mouvement, indépendante de la peau, réside d
lité particulière aux muscles, ou dans LE SENS MUSCULAIRE. 89 une
sensation
d'origine centrale, accompagnant l'innervation
contractés par le courant électrique seul. Il montra de plus que la
sensation
de pression nous permet d'apprécier beaucoup pl
olontaires, semble précéder et dé- terminer la contraction, avec la
sensation
qui donne le sentiment de la pesanteur, de la r
stance, etc., et qui a été appelée sons musculaire par Ch. Bell, et
sensation
d'activité musculaire par Gerdy. Cette dernière
Bell, et sensation d'activité musculaire par Gerdy. Cette dernière
sensation
est le résultat ou le prodnit de la contraction
ntraction musculaire; l'observation clinique m'a démontré que cette
sensation
est un phénomène qui dépend plutôt de la sen- s
culaire. La conscience musculaire peut exister indépendamment de la
sensation
d'acti- LE SENS MUSCULAIRE. 91 t vité muscula
logie, 1852, p. 293) paraît avoir été le premier à soutenir que les
sensations
qui accom- pagnent nos mouvements ou en résulte
oids sont en réalité composées d'impressions tactiles, en partie de
sensations
passives émanant de nos muscles et de nos artic
actions en groupes fonctionnels et leur coordination, mais aussi la
sensation
exacte de ce que les muscles sont en train de f
conscient, comme la vue ou le toucher : il est plutôt du genre des
sensations
organiques, contribuant inconsciemment ou avec
ntuition motrice. Ce rapport lui semble être analogue à celui d'une
sensation
d'un sens spécial avec l'idée correspondante. L
culiers. Telle était aussi l'opinion de Landry quand il dit : « La
sensation
d'activité musculaire qui fournit l'idée de résis
i, la possibilité de rectifier les erreurs de la contraction. Cette
sensation
remplit le rôle de dynamomètre à l'égard de l'i
dont Wundt interprète la nature du sens musculaire, que pour lui la
sensation
du mouvement est liée à l'innervation motrice.
la sensation du mouvement est liée à l'innervation motrice. Chaque
sensation
du mouvement est pour lui une résultante proven
est pour lui une résultante provenant de trois facteurs différents,
sensation
de pression de la peau et des parties sous-cuta
nts, sensation de pression de la peau et des parties sous-cutanées,
sensation
de contraction des muscles, et sensations d'inn
s parties sous-cutanées, sensation de contraction des muscles, et
sensations
d'innervation centrale, qui ne peuvent jamais êtr
ysiol. du syst. nerveux) est aussi d'accord sur l'importance de ces
sensations
de mouvement par rapport aux autres impressions
l a pleinement reconnu la part impor- tante prise par le rappel des
sensations
de la contraction musculaire dans l'accomplisse
nuation des mouvements, il serait aussi en partie influencé par des
sensations
réelles, se réalisant dans les mêmes parties du
omme des centres du toucher. Ferrier répond à cela : c Savoir si la
sensation
est excitée avant que se produise le mouvement
limitées, les mouvements ne sont précédés de, ni associés à aucune
sensation
autre que celle qui accompagne les contractions
en- tres moteurs corticaux que « sont emmagasinés les résidus des
sensations
musculaires dont nous tirons nos intuitions mot
lors, il en arrive à nier les centres moteurs. « Si, dit-il, nos
sensations
de mouvement sont concomitances des courants el
ionnement du cerveau lui-même et des rapports qui existent entre la
sensation
et le mouvement. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
ents, des fourmillements dans les mains et dans les pieds, puis une
sensation
de brûlure, des douleurs cuisantes, une grande
r son délire qui s'alimentait presque exclusivement dans de fausses
sensations
génitales. Jamais il n'a été mégalomaniaque.
la main avec le pulpe du doigt, la malade ne s aperçoit pas de la
sensation
de contact, quand elle n'a pas vu le doigt se p
le doigt se poser sur elle, et pourtant elle apprécie encore des
sensations
assez fines. Ainsi elle ramasse sans difficulté
l'articulation méta- carpienne, la malade n'éprouve ni douleur, ni
sensation
pé- nible, bien que cette extension anormale so
it, et au moment de l'interruption 'du courant la malade éprouve la
sensation
de la secousse musculaire, mais tout se passe c
a jamais eu d'atta- ques de nerfs, ni aucun phénomène hystériforme (
sensation
de boule, etc.), elle est fort intelligente, tr
réciable. Il n'y a ni rétrécissemont du champ visuel ni perte de la
sensation
des couleurs ; pas de troubles de l'odorat, du
chocs des phalanges sur le toucher de l'instrument provo- quent une
sensation
douloureuse : celle-ci se produit même au repos
, se réveille un matin, au commencement de l'an- née 1384, avec une
sensation
de chaleur insolite dans la jambe droite. Le dé
our, brusquement et sans cause appréciable : il devient le siège de
sensations
anormales de froid, mais la sensi- bilité tacti
t empêchant de le placer dans une bonne position dans le lit. Cette
sensation
tient souvent le malade éveillé. Les nerfs sont
a- ralysie des extrémités droites sans aucune anomalie objective;
sensation
constante de chaleur anormale ; aucune modificati
conte l'individu guéri : il éprouvait pendant son mutisme comme une
sensation
d'arrêt des opérations intellectuelles, un vide
iner la moindre douleur et sans produire d'écoulement sanguin ; les
sensations
de chaleur ou de froid ne sont pas mieux perçue
e celle d'un autre, qui ne perçoit que 0,2 de différence entre deux
sensations
lumi- neuses. L'acuité visuelle, au contraire
es bulles sur les extrémités digitales et des paresthésies tenaces (
sensation
de cuisson froide), dans les extrémités supérie
halalgie générale fréquente; douleur à la nuque et les membres. Une
sensation
de cuisson inquiétait souvent le malade : elle
se trouvait la thermoanesthésie; ses degrés étaient divers : tantôt
sensation
de chaleur, tantôt cuisson plus ou moins intense
ntôt cuisson plus ou moins intense allant jusqu'à la douleur; cette
sensation
ne comprenait ordinairement que telle ou telle
t de la cuisson : dans la journée, celle-ci était remplacée par une
sensation
de froid éprouvée dans toute la moi- tié droite
tié droite du corps jusque dans le bain à28° 1. De temps en temps,
sensation
de fourmillement, qui se répandait de la tête au
tantôt dans l'autre. D'après l'expression du malade, il éprouve une
sensation
de traction dans le dos et le côté, quoi- que l
peu exagérée : « La moindre des choses qu'on me touche, ça me fait
sensation
. » Et, de fait, le moindre chatouillement, une
la pulpe du doigt humide, ou môme sur la langue et les lèvres, une
sensation
à peine perceptible. Les électrodes sont formées
toujours exclusivement diurne, son intensité est modérée, c'est une
sensation
pénible de pression et de serrement plutôt qu'u
lée neurasthénique et quelques mots sur les phénomènes, vertiges,
sensations
subjectives diverses, etc., qui peuvent accompagn
sible du prix de journée. Les écrivains qui publient des articles à
sensation
sur les asiles d'aliénés, omettent d'indiquer l
avoir des troubles de la marche. Sans avoir perdu ses forces, sans
sensation
subjective de vertige, elle ne pouvait marcher
La sensibilité thermique est atteinte : un objet froid provoque une
sensation
de brûlure. L'acuité visuelle est à peu près no
e perte de connaissance; souffrances très vives dans les membres et
sensation
d'angoisse, de mort prochaine; légère cya- nose
sie complète. Quel- quefois il y a lenteur dans la transmission des
sensations
comme dans le tabès. L'hyperesthésie se montre
appareil; les mouvements et le moindre contact y déterminaient les
sensations
du pincement; en y passant la main je ressentai
- cation amygdalitique sur le nerf (névrite). P. KERAVAL. IX. DES
sensations
pathologiques simples ET associées chez LES ali
par W. de 13ECllTlWEW. (Neurolog. Centoalbl., XV, 1896.) 5 Toute
sensation
se compose de la qualité, de l'intensité, de la
ines sensa- tions qui provoquent dans un autre territoire une autre
sensation
. C'est ainsi que l'action d'une trop vive lumiè
, il faut, pour produire ce phénomène, une notable inteusiti; de la
sensation
première. Chez les nerveux, la nuance sentiment
sensation première. Chez les nerveux, la nuance sentimentale d'une
sensation
est trans- formée à cause de l'altération de le
la douleur dans l'hyperesthésie), en exagérant l'inten- sité d'une
sensation
, normale ou morbide, provoquera justement sa pr
à d'autres territoires du système nerveux. De là chez l'aliéné les
sensations
morbides et les cosensations ou sensations asso
De là chez l'aliéné les sensations morbides et les cosensations ou
sensations
associées toutes particulières qui modifient ou
genèse de telles ou telles idées délirantes créées souvent par les
sensations
anormales ou les hallucinations sensorielles.
nd il regarde quelqu'un dans les yeux, il ressent dans le pénis une
sensation
comparable à celle qui pré- cède le débit de l'
on comparable à celle qui pré- cède le débit de l'urine. Mais cette
sensation
peut à son tour dispa- raître lorsqu'il- regard
as de signe objectif de lésion ver- tébrale, rectale, sexuelle. Ces
sensations
associées n'ont pas d'autre action sur sa consc
as rare qu'il critique ses halluci- nations. Autre exemple où des
sensations
simples et associées de nature morbide on, ains
, affectée d'hallucinations de la vue, de l'ouïe, de l'odorat, avec
sensations
associées de l'ouïe, du tact, de la vue. Toutes
sa voix qui lui dit qu'il s'efforce de l'assister, delà sauver. Les
sensations
associées pathologiques ou douloureuses de cett
e qu'il est grossier à son égard, ou désagréable ; elle éprouve des
sensations
désagréables quand elle touche la table, les mu
aration est très difficile à durcir. P. KERAVAL. XIX. Etude sur les
sensations
illusoires des amputés; par le pro- fesseur Pit
de connaissance courante que les amputés éprouvent fréquemment des
sensations
désagréables ou douloureuses, qui leur paraisse
nsmission des impressions sensitives, on admet généralement que les
sensations
illusoires des amputés ont leur point de départ
ne peuvent pas créer de toutes pièces ou modifier nota- blement les
sensations
étranges perçues par les amputés. Dans la premi
s dont se plaignent les amputés avec leurs caractères fréquence des
sensations
illusoires (96,87 p. 100); date et durée de leu
, névralgies des moignons, syncinésies; acci- dents résultant de la
sensation
illusoire des amputés; disparition spontanée de
nt de la sensation illusoire des amputés; disparition spontanée des
sensations
illusoires; état mental.des amputés. Reprenant
sur lesquels repose l'inter- prétation psycho-physiologique de ces
sensations
, AI. Pitres montre que l'illusion en vertu de l
'excitation isolée de chacun d'eux donne lieu le plus souvent à des
sensations
distinctes qui sont rapportées par les sujets aux
aux extrémités périphériques des nerfs excités. D'autre part, les
sensations
illusoires des amputés peuvent être influencées
on leur donne plus de netteté. Certaines associations d'idées ou de
sensations
les rendent plus précises ; mais elles ne sont
émanation du ganglion d'Ander : ch. Si ces nerfs con- duisaient les
sensations
au trijumeau, ce serait une exception à la loi
ésumé des phénomènes relatifs aux troubles de la localisation de la
sensation
; aux troubles de l'appréciation des distances de
nces de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 65 deux
sensations
; aux troubles de la perception. Conclusions : 1
n. Conclusions : 1° la localisation est un élément accessoire de la
sensation
tactile, élément qui peut se trouver isolément
nsitifs et sert ci conduire la-sensation doulou- reuse ainsi que la
sensation
thermique. KERAVAL. XXXI. Contribution A la que
la ferme volonté d'exécuter chez l'autre. La crise consiste en une
sensation
de désespoir infini, d'abandon complet de toute
t le goût (elle peut différer le sucre du sel), moins l'ouïe et les
sensations
tactiles; en palpant un crayon, elle dit que c'
gauche est atteint d'amaurose complète ; la malade n'a même plus la
sensation
lumineuse lorsqu'on projette sur sa rétine la r
nts cardiaques (52 à la minute) avec quelques irrégularités. Aucune
sensation
subjective de ce côté. Pas de dyspnée. La sensi
ment sans cause appréciable. Le 18 août elle eut dans la soirée une
sensation
spéciale d'en- gourdissement, « d'enflure » dan
h, mais chez quelques ma- lades il n'éclate que sous l'influence de
sensations
soit auditives, soit visuelles ; l'auteur ne l'
s ; l'auteur ne l'a jamais vu se manifester consécutive- ment à des
sensations
du goût ou de l'odorat. La durée des phéno- mèn
écrétion du suc thyroïdien. Les symptômes accessoires, tremblement,
sensation
de chaleur, hyperexcitabilité nerveuse, etc., p
thésiée, mais il y a retard considérable dans la transmission des
sensations
douloureuses cutanées. Forte alopécie disséminé
leur sort. Ils montrent bien qu'ils sont incapables d'éprouver des
sensations
et des sentiments normaux, mais ils en souffren
occupait moins qu'au collège, mais il éprouvait toujours les mêmes
sensations
, aussi bien dans le rêve que dans la veille. Il
rticulier du cou et de la nuque. Ces pollutions s'accompagnaient de
sensations
de plaisir sexuel très vif, mais étaient immédi
qu'au contact de la main, d'éprouver brusquement une pollution avec
sensation
très vive suivie d'un sentiment de honte qui lui
ssitée mais -qui n'ont jamais provoqué chez elle autre chose qu'une
sensation
pénible qu'elle ne supportait que par devoir. ·
n'ont amené aucun 286 . CLINIQUE MENTALE. changement ni dans les
sensations
ni dans les sentiments sexuels. Ses tendances h
ire, l'auteur arrive aux conclusions suivantes : f<). Toutes les
sensations
et les étals mentaux sont moteurs. b). L'organism
de la face. Au moment où le spasme va commen- cer, le malade a une
sensation
de coton dans l'oreille gauche; dans l'interval
nthétique par son pouvoir de grouper pour les suspendre en bloc des
sensations
diverses et nombreuses n'ayant en réalité aucun
rs. Cas 8 : dans la moi- tié des cas, la crise est précédée par une
sensation
d'odeur de fumée de bois. Cas 9 : dix ou douze
leurs lancinantes à la partie moyenne de la cuisse gauche. Cas 11 :
sensation
d'engourdissement sur toute la périphé- rie. Ca
1 : sensation d'engourdissement sur toute la périphé- rie. Cas 12 :
sensation
de froid sur la région lombaire. (Americcala Jo
e mot, à signification très large, se cachent des éléments divers :
sensations
simples, telles la sensation tactile, la sensatio
rge, se cachent des éléments divers : sensations simples, telles la
sensation
tactile, la sensation thermique, la sensation d
éments divers : sensations simples, telles la sensation tactile, la
sensation
thermique, la sensation douloureuse ; notions p
ns simples, telles la sensation tactile, la sensation thermique, la
sensation
douloureuse ; notions plus complexes, telles la
mique, la sensation douloureuse ; notions plus complexes, telles la
sensation
du toucher actif, les sensations kinesthésiques,
; notions plus complexes, telles la sensation du toucher actif, les
sensations
kinesthésiques, se dédoublant à leur tour en d'
dédoublant à leur tour en d'autres notions. C'est de chacune de ces
sensations
particulières qu'englobe le nom vague de sensibil
s concomitants d'anesthésie ou mieux d'hypoesthésie portant sur les
sensations
tactiles proprement dites et sur l'ensemble des
sur les sensations tactiles proprement dites et sur l'ensemble des
sensations
kinesthésiques. Les recherches cliniques, portant
part des cas. De tous ces faits, il résulte que la perception de la
sensation
brute, au lieu d'être une, se fait en plusieurs
tres restant intacts; qu'il y a plusieurs centres de perception des
sensations
et qu'on ne peut placer dans la zone rolandique
teints de mélancolie, chez lesquels la maladie se manifeste par des
sensations
incommo- de-, pénibles ou douloureuses. Ce sont
e fondamentale est une base organique, le sens du corps. Toutes les
sensations
répondant à un organe (respiration du sens musc
l soit d'ordi- naire, qui est la base de l'individualité psychique.
Sensations
organiques liées à la respiration, à la circula
l'appareil génital, de l'état des muscles, sensibilité musculaire,
sensation
générale de nutrition, etc., telles sont les co
« L'état vital de l'organisme s'exprime dans la conscience par une
sensation
, ou plutôt par une affection permanente vagueme
nt directement conscients de cette action physiologique en tant que
sensation
définie, mais ses effets n'en sont pas moins at
ues multiples se traduisent par des troubles subjectifs douloureux,
sensations
pénibles de four- millements, de picotements, d
pocondriaques semblent n'être qu'une inter- prétation délirante des
sensations
maladives qu'éprouvent les malades atteints de
tion psychique. Le malade interprète d'une manière délirante des
sensations
anormales qu'il ressent, et ce sont ici les sen-
S'il se plaint de ne plus avoir de cerveau, de coeur, c'est que les
sensations
internes correspondant à ces viscères sont supp
Traduction Dagonet et Duhamel. ' Couard, p. 31-2. -Biiiet et Fe.
Sensation
el mouvement, ch. \v. ' ' LE DÉLIRE MÉLANCOLIQU
existence est incomplète, dit une malade d'Equirol3; je n'ai aucune
sensation
humaine..., il me manque la faculté de jouir de
t pour ainsi dire séparée de moi et ne peut plus me procurer aucune
sensation
; il me semble que je n'ar- rive jamais jusqu'a
360 PATHOLOGIE MENTALE. rien, n'entends rien ; toute action, toute
sensation
m'est étrangère..., je suis une machine, un aut
emand, qui signifie aussi bien lourd, épais, terne, éteint. D Cette
sensation
est non seulement visuelle, mais cutanée. c L'a
ui m'isolait du monde extérieur... Je ne saurais dire combien cette
sensation
était profonde ; il me semblait être transporté
es sens pas comme avant ; je n'ai plus d'estomac, je n'ai jamais la
sensation
d'avoir faim. Quand je mange, je sens bien le g
enille, deviendrait tout d'un coup papil- lon, avec les sens et les
sensations
d'un papillon, Entre l'état ancien et l'état no
celui du papillon, il y a scission profonde, rupture complète. Les
sensations
nouvelles 362 PATHOLOGIE MENTALE. ne trouvent
nous fait attribuer une origine externe au mouvement centripète des
sensations
devait nous faire attribuerune origine interne
Traité sur l'aliénation, Amsterdam, 18` ? G. ' Voir Binet et Féré.
Sensation
el mouvement. THÉORIE DES NEURONES 371 Par su
ons des nerfs sensitifs dgub e ganglion, et la transformation de la
sensation
en impuisiommoj trice a lieu dans le corps prot
troubles consistant en suffo- cations, douleurs de tête avec clou,
sensation
de boule, pylorisme et cesophagisme. Elle prése
troubles s'atténuent de bas en haut : au niveau de l'ab- domen, les
sensations
fortes sont légèrement perçues, mais toujours m
ue d'une façon assez grossière, avec le crachoir métallique pour la
sensation
de froid, avec un bol contenant de la soupe pou
ur la sensation de froid, avec un bol contenant de la soupe pour la
sensation
de chaud), sauf dans une zone étroite allongée
uf dans une zone étroite allongée à la face interne du bras, où les
sensations
tactiles sont moins bien perçues. Mais même dan
es phénomènes. Si on pince un pli cutané, le malade n'accuse aucune
sensation
. Si on pince une masse muscu- laire, il sent qu
ur., 1893, t. XXVII, p. 97.) UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 4 lt9
sensations
thermiques n'étaient pas perçues ; au contraire l
ment au sujet des voies sensitives intra- médullaires. Toutes les
sensations
sont apportées à la moelle par les racines post
es racines postérieures. On peut les diviser en deux groupes : 1°
sensations
cutanées : a) tactiles ; b) douloureuses ; c) the
cutanées : a) tactiles ; b) douloureuses ; c) ther- miques, etc. 2°
sensations
profondes : a) sens musculaire,. b) tendons, li
aponévroses, articulations, etc. Dès leur entrée dans la moelle les
sensations
cutanées se séparent des sensations profondes :
leur entrée dans la moelle les sensations cutanées se séparent des
sensations
profondes : les sensations cutanées passent de
les sensations cutanées se séparent des sensations profondes : les
sensations
cutanées passent de l'autre côté, comme le prou
tt a vu l'hémisection s'accompagnet d'une diminution bilatérale des
sensations
douloureuses, puis, dans la suite, l'anesthésie
ve ARCIIIVES, 2' série, t. Y. 29 450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les
sensations
profondes au contraire paraissent rester du mêm
c'est-à-dire la dissociation qui nous occupe 1. Non seulement les
sensations
profondes restent du même côté de la moelle, ma
ux données, en nous montrant la dissociation de ces deux espèces de
sensation
, et la conservation, l'exaltation même des sens
ne (comme le montre le syndrome de elles se dissocient encore : les
sensations
douloureuses et thermiques restant dans l'axe g
ial (syringomyéhe, liématoinyélie, myélite cen- trale, etc..) ; les
sensations
tactiles vont au cordon postérieur (sections de
t qui sente. C'est cette force qui me possède, je n'ai même plus la
sensation
des larmes. » Elle sent des bêtes qui la travai
mauvaises pensées. Il a cher- ché en vain à se faire exorciser. Ses
sensations
sont changées, la lumière du jour lui paraît te
ve il la face externe et antérieure de la cuisse droite une brusque
sensation
de tension, d'engour- dissement qu'il compare à
sion de l'exposition de lierlin, sensibilité douloureuse extrême et
sensation
de piqûre sur toute la face antérieure et ^laté
ue intellectuelle occasionne un affaiblissement des perceptions des
sensations
tactiles. Parmi les branches de l'enseignement
té produisent en général un retour à la normale des perceptions des
sensations
tactiles. Les travaux écrits servant d'examens
ux de l'accès, non pas seulement la première convulsion, mais toute
sensation
précé- dant le spasme, l'aura elle-même, dépend
e, la note 4 de la page 370, doit être modifiée ainsi : Féré (Ch.),
Sensations
et Mouvements (au lieu de Binet et Féré). BUL
llet, 223. Amenza. Formes de l' , par Buc- celli, 142. Amputés.
Sensations
illusoit es des - par Pitres, 57. Anémie pern
tion hanchée avec la - dorsale pri- mitive, par P. Richer, 399.
Sensations
pathologiques simples ou associées chez les ali
uggestive répond à des indications formelles, celles de combattre les
sensations
objectives du malade, qui sont le plus souvent le
tre les sensations objectives du malade, qui sont le plus souvent les
sensations
prédominantes dans le besoin morphinique. Ces sen
souvent les sensations prédominantes dans le besoin morphinique. Ces
sensations
objectives peuvent persister longtemps après que
. Ces sensations objectives peuvent persister longtemps après que les
sensations
subjectives ont disparu et constituer à elles seu
s et même sans aucun appareil, on peut faire d'utiles recherches. Les
sensations
, les mouvements, l'attention, la mémoire, la volo
nxiété neurasthénique. Ces états sont caractérisés par un ensemble de
sensations
émotionnelles au milieu desquelles la sensation d
s par un ensemble de sensations émotionnelles au milieu desquelles la
sensation
de l'effroi, de la peur irréfléchie et angoissant
isse des plus pénibles au moment de monter en chaire le dimanche. Ses
sensations
longtemps attribuées à une timidité exagérée, ne
et difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation mentale des
sensations
qui ne sont que l'exagération pathologique des se
mentale des sensations qui ne sont que l'exagération pathologique des
sensations
normales ; d'autant plus qu'elles ne sont pas acc
ntit du malaise toute la journée, éprouvant des étouffements et une
sensation
de poids au creux épigastrique. En sortant de t
cinations? 19° L'hallucination suggérée se compose-t-elle comme une
sensation
physique (miroir, loupe, lorgnette, etc.). Binet
personnalité étant représentée, à un moment donné, par l'ensemble des
sensations
, des pensées, des volitions conscientes, celle de
élément névralgique, les hallucinations, l'apparition fréquente de la
sensation
de constriction pharyngée, la permanence par delà
cortical : mimique inconsciente des cataleptiques et des hystériques,
sensation
d'innervation chez les hystériques anesthésiques.
la personnalité. 7° Activité d'une cellule corticale éprouvant une
sensation
d'idée isolée, ce que l'on appelle une conscience
ompte des indications des patients sur leur sommeil, après le réveil (
sensation
de fatigue, véritable demi-sommeil avec conservat
dangers dont parle Zjeussen ; elle laisse intacte pour le patient la
sensation
d'indépendance,— et de cette façon on peut l'endo
aient, mutuellement, pour retrouver les émanations de l'Esprit saint.
Sensation
de légèreté, d'absence de corps. Ensuite, erreurs
ue droit fournit à la moitié temporale de la rétine de l'œil droit la
sensation
lumineuse et détermine en même temps les mouvemen
oitié nasale de la rétine de l'œil droit avec ceux qui fournissent la
sensation
lumineuse et les mouvements réflexes, et à la moi
qui ont été obtenus chez les personnes à l'état de veille et avec une
sensation
de bien-être, pour la détermination du temps de s
rien que cette musique. Une fois réveillés, vous vous rappellerez les
sensations
que vous aurez éprouvées. » Les sujets ainsi pr
egistrés ; on réveillait ensuite le patient et on prenait note de ses
sensations
. Voici par exemple les effets de la « Chevauché
ujet déclare qu'il n'a pas perçu la musique comme son, mais comme une
sensation
générale, une sorte d'excitation produite par une
e furieuse à travers l'espace. » CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Même
sensation
de course furieuse à travers l'espace, chez M. O.
accélération extrême des pulsations, un abaissement de la tension. La
sensation
éprouvée par le sujet a été celle de « grandeur e
e suspirieuse ; la face était pâle et couverte d'une sueur froide. La
sensation
éprouvée par les sujets était celle de « mort » ;
ce point de vue spécial, ont provoqué chez les sujets hypnotisés des
sensations
de « désir », de « frénésie », mais n'ont jamais
usique de ces passages peut produire de pareils effets et qu'alors la
sensation
« d'envie », de o désir », se rapproche singulièr
nuation du même effort, il perçoit dans cet organe et y transforme en
sensations
ces impressions venues des sens, et les dépose da
la veille, l'homme est en perpétuel effort, soit pour recueillir des
sensations
, soit pour fixer dans la mémoire leurs produits q
sée tenant le gouvernail et étant la promotrice, non seulement de ses
sensations
et de ses idées, mais aussi de ses jugements, de
te, avec plus de conscience, son assistance active à la réception des
sensations
au cerveau, à la création des idées et à leur enm
re, la volonté ('). La volonté, déjà en germe dans la formation des
sensations
et dos idées, est, en se superposant à l'attentio
somnambules, entre autres, — que longtemps on avait cru isolés, — les
sensations
et les Idées se forment toujours dans leur esprit
mémoire et les sens, il suffit de l'impression vive d'un rêve, d'une
sensation
brusque, d'un besoin naturel, etc., pour tirer de
C'est dans le sens de celle-ci que sont interprétés les matériaux des
sensations
provenant de l'extérieur et incomplètement perçue
cles de l'extension et le défaut de sug-gestibilité pour de nouvelles
sensations
musculaires. La suppression de la sensation de fa
bilité pour de nouvelles sensations musculaires. La suppression de la
sensation
de fatigue, qui dépend, d'ailleurs, de la dissolu
me, goutte, schlérose multiple, tremblement mercuriel, troubles de la
sensation
musculaire, de la sensibilité, de la vue, contrac
t restent latentes. Dans la constipation habituelle manque souvent la
sensation
du besoin d'aller à la selle, ou elle s'établit t
directes ou indirectes. L'idée est génératrice du mouvement et de la
sensation
. II suffit donc de provoquer l'idée chez le sujet
aire naître vient de lui-même, que ce soit le sommeil, un fait ou une
sensation
. La fatigue des yeux n'interviendrait dans la pro
nière. Elles débutent par une tristesse morne (aura psychique) et une
sensation
de strangulation. Puis surviennent des convulsion
: c'est-à-dire que pour percevoir les impressions, les transformer en
sensations
et en idées, examiner les motifs de leurs actions
eux, dans l'attente du phénomène, parvenaient assez vite à accuser la
sensation
annoncée. J'étais ainsi renseigné à leur égard :
fléchie et de la volonté sur les impressions des sens converties en
sensations
, puis en idées simples et composées ; on constate
par ses efforts propres, la formation des impressions des sens et des
sensations
, des idées, des jugements et des actes volontaire
e sûre d'elle-même l'audace qui fait qu'on la brave. Elle éprouve une
sensation
d'étonnement et de surprise craintive. » Et il dé
veillé, des airs qu'il sait chanter sans les avoir jamais appris, une
sensation
d'un transport à travers les airs. Enfin, parfois
t beaucoup; elle éprouve donc, selon son propre aveu, les craintes et
sensations
des acteurs. Le plus curieux est son état pendant
ons : si les phénomènes réussissent, elle éprouve des frissons et des
sensations
agréables, même voluptueuses. La présence d'espri
es, dans les coudes et bras entiers. Voici ce qu'elle rapporte de ses
sensations
, lorsqu'elle met en mouvement la sonnette à l'arc
e éprouve l'engourdissement et la chair de poule dans les doigts; ces
sensations
croissent toujours, et en même temps elle sent da
ête doucement : c'est alors que le phénomène a lieu. Elle éprouve des
sensations
analogues, en exécutant tous les mouvements à dis
Les changements physiques dans le cerveau, amenés par la pensée ou la
sensation
, produiraient des ondulations de l'éther ambiant,
i, notre sujet voulut essayer de fumer. Il fut pris de nausées, d'une
sensation
de constriction de la gorge, avec sécrétion exagé
aire de tenir compte des renseignements donnés par les sujets sur les
sensations
qu'ils éprouvent. Je suis personnellement d'avi
incombe la responsabilité, certains journaux publient des articles à
sensation
, le public s'émeut et les gouvernements promulgue
e ne dort pas et qu'elle a toujours peur de se trouver mal. Elle a la
sensation
d'un casque serrant la tête, une douleur très viv
l éprouve des douleurs au niveau de la première vertèbre dorsale, une
sensation
continuelle de fatigue, un affaiblissement généra
bien le contact de sa main avec des billets de banque lui procure une
sensation
désagréable. C'est pourquoi il a imaginé de préco
de physique à l'Université de Prague, connu par divers travaux sur la
sensation
. Faculté de médecine de rome. — Est nommé priva
isions, les voix, les impressions tactiles, etc., des hallucinés, ces
sensations
vives et remémorées, qu'ils éprouvent même aussi
u sommeil : chez eux, il n'y a plus de désillusions produites par des
sensations
vraies de la veille se mêlant avec les créations
bitude se renouvelle surviendront, vous éprouverez en la main la même
sensation
de pression que vous ressentez en ce moment. Votr
ée automatiquement, il avait nettement ressenti dans l'avant-bras une
sensation
de pesanteur qui avait contrarié le mouvement. Ce
as une sensation de pesanteur qui avait contrarié le mouvement. Cette
sensation
de pression était telle qu'il éprouvait dans le b
malade ne sent rien, mais il y a de l'hyperesthésie du pied droit. La
sensation
est normale sur le devant des jambes. Les réflexe
au, elle aurait dit, d'aprèsla mère : « Mère ! j'éprouve une curieuse
sensation
; je sens une chaleur brûlante dans le dos. n A q
était enveloppé de vapeur. » Elle se plaignit de picotements et d'une
sensation
de chaleur dans l'épine dorsale, et la mère en l'
7 avril, à 10 heures, une série de conférences sur la psychologie des
sensations
. Cours d'hypnotisme a l'Ecole pratique dr la fa
fluence de la suggestion sur les fonctions de la vie organique et les
sensations
internes. — Applications à la thérapeutique génér
au moins dans l'immense majorité des cas, la pensée s'appuie sur une
sensation
ou sur un souvenir de sensation, qui en constitue
é des cas, la pensée s'appuie sur une sensation ou sur un souvenir de
sensation
, qui en constitue en quelque sorte comme le subtr
, et il existe une mémoire persistante de cet acte (une mémoire de la
sensation
centripède et de la réaction centrifuge), mémoire
uvement de ce bras, vous aurez alors par la mémoire le souvenir de la
sensation
de ce qui se passe en votre système nerveux lorsq
généralisées ; enfin des transmissions surnuméraires) celles où telle
sensation
mentale, accessoires au phénomène de la pensée, u
ù telle sensation mentale, accessoires au phénomène de la pensée, une
sensation
olfactive par exemple, est éveillée par une induc
se façonnent sur sa personne : habitudes, langage, théories morales,
sensations
douloureuses, maladies, etc. ; ils acceptent tout
Reynolds. — « Remarcks on paralysis and other disorders ot motion and
sensation
dependent of idea », 1869. Un travail sur le même
e maintenant qu'une fois par jour. Ce vertige ne s'accompagne ni de
sensation
de bruit dans les oreilles, ni de troubles oculai
s'agit des hystériques. Vous savez qu'il existe dans leur esprit des
sensations
qu'elles ignorent, et je vous ai présenté dernièr
ai présenté dernièrement une femme hémiopique qui avait cependant des
sensations
subconscientes dans la moitié en apparence insens
, ces attaques conservèrent leur caractère purement hystérique: aura,
sensation
de boule, convulsions, cris, arc de cercle et som
ère suivante. Maria, fatiguée et angoissée, avait encore nettement la
sensation
de la boule, puis survenaiseni quelques secousses
ues et restaient au-dessous du seuil de la conscience, comme sont les
sensations
dans Panesthésie hystérique. IV Messieurs, ce
te et on le constate encore par places le long des côtes où l'on a la
sensation
de petites aspérités. Pas de convulsions, — auc
iques ou non, ce sont surtout des névropathes, qui amplifient leurs
sensations
, les détournent de leur véritable signification
ensa- tions éprouvées par les malades : picotement désa- gréable,
sensation
de brûlure, ayant son siège de pré- dilection d
rologiache Centralblatt, p. 389, 1890. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. ces
sensations
se localisaient parfois à la pointe et le plus
auche de la langue, en se rapprochant de la base; dans deux cas ces
sensations
n'étaient pas seulement localisées à la langue,
ans l'autre. Hadden (Lance 1890, vol. I, n° 4), On a subjec- tive
sensation
on the mouth in women, a également étudié ces m
té la conservation du goût pour les choses salées et sucrées, des
sensations
anormales déterminées par la mastica- tion de l
rité de ses malades était des nerveuses. Chez une de celles-ci, les
sensations
douloureuses de la langue s'étaient surtout acc
ment considé- rable de la langue, de douleurs très vives et d'une
sensation
désagréable dans la bouche. Cette malade est tr
ssionnable, très vive, loquace, exagérée dans la description de ses
sensations
. Depuis deux ans elle n'était plus réglée et av
, un sentiment anormal de chaleur et de picotement, analogue à la
sensation
produite par le poivre. Hygiène buccale, résect
filles sont prises soit de nausées incoercibles, ou éprouvent les
sensations
les plus variées et les plus bizarres; salivati
guérirent sous l'influence d'un traitement approprié. Toutefois, la
sensation
vertigineuse qui accompagnait l'état moral part
uivie par les craintes que lui inspirait l'état de sa bouche et les
sensations
diverses qu'elle pré- tendait ressentir. , Le
, des substances salées ou sucrées, ne produit sur les dents aucune
sensation
particulière. Comme je l'ai dit plus haut, cett
us beau lui représenter, en atténuant comme il conve- nait, que les
sensations
dont elle se plaignait, avaient une origine cér
ot et son état s'améliora rapidement. En même temps disparurent les
sensations
bizarres dont elle se plaignait et elle a pu re
eure sur le maxillaire. D'autres fois, le malade accusait aussi des
sensations
douloureuses localisées à la racine qui lui ava
lémentaires de ces transformations du , mouvement psychique » : Les
sensations
peuvent se transformer en d'autres sensations,
nsées- les sentiments peuvent se changer en d'autres sentiments, en
sensations
et eu pensées; les pensées, enfin, en d'autres
nsations et eu pensées; les pensées, enfin, en d'autres pensées, en
sensations
ou en sentiments. » Il moto psichico c la cosci
de l'intelligence, - qui n'est qu'une « complexité croissante de
sensations
réflexes corticales », - il est permis de voir,
elle des maladies mentales. Ainsi, dans l'hypnose, la répétition de
sensations
sim- ples, homogènes, continues, diminuerait ou
cles qui doivent être mis enjeu pour la production du mouvement. La
sensation
d'innertion motrice, c'est la conscience de l'e
déterminera, selon Tamburini, outre une per- ception visuelle, une
sensation
des mouvements de l'oeil, une représentation mo
te de mots que la malade sent dans sa bouche», c'est-à-dire par des
sensations
de très légers mouve- ments de la langue, et ce
aux parties où va l'impulsus centrifuge. La malade éprouve donc une
sensation
aussi nette que celle qui se produirait si la p
equi, sans qu'il y ait d'articulation véritable, provoqueront une
sensation
analogue pour la conscience, ou des ru- diments
us éprouvons tous eu rêve lorsque, sans nous mouvoir, nous avons la
sensation
d'une chute du haut d'une tour ou dans un préci
ient l'activité du cer- veau, mais les fonctions de cet organe, les
sensations
, ' losso. - La circolazione del sangue nel cerv
d Gautier, avait soutenu que les diffé- rents processus psychiques,
sensations
, perceptions, images, concepts, etc., seraient
concluait A. Gautier, et c'était pour lui l'évidence même, que « la
sensation
, la pensée, le travail d'esprit n'ont point d'é
conservation de l'énergie. En outre, A. Gau- tier ayant dit que la
sensation
, la mémoire, l'intel- ligence, ne pouvaient avo
u'avec une sorte de tibulation très pro- noncée (non accompagnée de
sensations
vertigineuses). D'autre part l'enfant, très rég
utres doivent, être considérées comme une expression associée d'une
sensation
subjective. Dans cette hypothèse, j'ai institué
èse que ces mouvements de la tête et des yeux sont les signes d'une
sensation
visuelle subjective et dus à une action associé
uvements ne peuvent donc pas être considérés comme l'in- dice d'une
sensation
visuelle subjective; mais cela ne serait pas ré
e à travers les centres oculo-moteurs comme celles qui excitent les
sensations
visuelles dans l'écorce, et delà lésion du trac
cécité verbale ne s'accompagne pas forcément de trouble notable des
sensations
visuelles, quoique dans quelques cas où la lési
evées. Les fonctions des centres visuels, en rapport avec la simple
sensation
visuelle ou la simple représentation, sont plus
ssions faites sur lui par les objets dont il est en- touré qu'à une
sensation
visuelle. C'est une question qui deman- derait
pondant à ces oscillations thermiques du cer- veau ? Etaient-ce des
sensations
ou des émotions ? Les excitations auxquelles ét
tion intense et d'une certaine durée. Cela ne veut pas dire qu'une
sensation
simple ne puisse aussi provo- quer un changemen
de leur étude, l'intensité de la réaction émotive dépend, non de la
sensation
simple qui la provoque, mais de la nature et du
vent de substratum aux émotions seraient des représentations et des
sensations
d'un caractère essen- tiellement idéatif et abs
lexes et si délicats, et où les représentations l'emportent sur les
sensations
, des sujets hypnotisés. Un second résultat, d
ception, idéation, im- pulsion volontaire, attention), mais non des
sensations
simples et des impulsions motrices organisées :
écifique des éléments nerveux de ces centres, mais de la nature des
sensations
de l'organe périphérique avec lequel ces aires
érie de réactions qu'on peut presque considérer comme indiquant une
sensation
auditive sub- jective, réactions qui m'ont guid
l'excitation de la région occipito-angulaire comme un indice d'une
sensation
visuelle subjective, nous avons, je pense, dans
je pense, dans ces réactions des signes plus caractéristiques d'une
sensation
auditive subjective. La détermination, cependant,
ention de l'animal par d'autres sens, comme la vue, l'odorat, ou la
sensation
que quelqu'un s'approche produite par la vibra-
, etc., que chez les singes, comme chez les animaux inférieurs, une
sensation
auditive simple et grossière est toujours possi
lus haut degré dans l'oreille du côté opposé. La différence dans la
sensation
auditive des deux côtés a diminué beaucoup et a
. Celui qui est atteint de surdité verbale n'est pas privé de toute
sensation
auditive, car il peut entendre le tic tac d'une
olution temporale supérieure. Les cas de décharges auditives, ou de
sensations
auditives subjec- tives avec lésions irritative
achine. Et Hughes Bennett' a rapporté plusieurs cas de décharges de
sensations
auditives suivies d'une perte tempo- raires de
exe plus ou moins générales. Il ne semble pas que les trajets d'une
sensation
propre dégénèrent en haut à une grande distance
été démontré d'une façon décisive, être le trajet d'aucune forme de
sensation
propre (employant cette expression pour dis- ti
propre (employant cette expression pour dis- tinguer le trajet des
sensations
conscientes de celui des impressions, plutôt af
inférieures, nous pouvons l'éliminer des chemins parcourus par les
sensations
propres. Le cordon autéro-latéral où Gowers pla
du côté opposé. On ne pouvait déterminer avec certitude si quelques
sensations
n'étaient pas atteintes, mais sûrement la sensi
faculté qu'on a trouvée possible avec l'absence complète d'aucune
sensation
de mouvement. Dans quatre, on ne dit pas la métho
ffaiblie des deux côtés. Hémianesthésie gauche généralisée pour les
sensations
tactiles, disposées par plaques pour les sensat
alisée pour les sensations tactiles, disposées par plaques pour les
sensations
douloureuses. Parole et voix normales. Les réfl
suppression du toxique. La morphinomanie est caractérisée par la
sensation
de besoin, la présence d'un état nerveux hérédita
. Aujourd'hui c'est la Morphinomanie à deux. Un nouveau procès iL
sensation
nous a valu la publication d'une observation très
xemples de folie communiquée (1860). Hallucination reproduisant des
sensations
vives antérieures. Apha- sie au point de vue ps
de vue psychologique (1865). Des faux jugements à l'oc- casion des
sensations
(181'J). De la folie à la suite des fièvres inter
ses gastralgirlues e qui s'accompagnent de 342 CLINIQUE NERVEUSE.
sensation
de strangulation et d'étouffement, durent deux he
ire jusqu'à la perte de connaissance. Elles étaient précédées d'une
sensation
dou- loureuse à l'épigastre, de palpitations, d
, d'éblouissements devant les yeux, puis survenait très souvent une
sensation
de strangulation au cou et alors elle pâlissait
volonté de l'opérateur, le malade interprétant à sa manière chaque
sensation
perçue. Lorsque l'un de nous vint à Paris, muni
laissées exclusivement à l'initiative du malade qui s'approprie la
sensation
perçue et la trans- forme à son gré en une hall
ions de la base. Ces expériences prouvent que les formes variées de
sensation
comprises sous le nom de sensibilité commune et
nt qu'une piqûre très forte et qu'un fer chaud ne produisait aucune
sensation
, mais après ce laps de temps une LES LOCALISATI
e des résultats qui peuvent être inter- piétés comme l'indice d'une
sensation
olfactive subjective, torsion de la lèvre et de
que nous pouvons être certains par les réactions extérieures de la
sensation
olfactive subjective produite par l'excitation,
moins, une lésion du bulbe olfactif. On a publié plusieurs cas de
sensations
de goût ou d'odeurs dans le cas des lésions du
des lèvres et les mouvement ? de gurtation que l'on observe avec la
sensation
d'odo- rat pendant a l'état de rêverie » des at
tifs. Le docteur James Anderson 1 a cepen- dant publié un cas d'une
sensation
d'odeur et de goût particulière avec une tumeur
ncer ou d'approcher un fer chaud. produisait des signes évidents de
sensations
comme de l'autre côté. Cet état persista les de
és à l'excitation sensitive ; mais cela ne tient pas à un défaut de
sensation
, car l'attention de l'animal est attirée aussit
. Anzer, Jomm. Med. Se. 1884. » Cortical Localisation o f cutaneous
sensations
, 1888. ' ZMr Lehre von de)' Localisation des Ge
nt parti- culier. De ces impressions, les plus importantes sont les
sensations
visuelles et les impressions comprises générale
'acte volon- taire luit-même. - - Je prétends que les centres des
sensations
qui accompagnent l'ac- tion musculaire et qui f
démontrer que l'action volontaire n'est pas nécessairement liée aux
sensations
actionnées par le mouve- ment lui-même. On pe
nt infiniment moindres que si elles étaient gui- dées aussi par les
sensations
nées des mouvements eux-mêmes. Par le sens musc
ni vus ni sentis. Mais quoique dans les conditions ordinaires les
sensations
de mouvements sont l'accompagnement invariable de
rganiquement, ils sont ana- tomiquement différenciés des centres de
sensation
générale et spéciale. CENTRES FRONTAUX. La
llard qui s'étend comme un voile devant les yeux. La durée de cette
sensation
, qui peut être fugitive, est très variable, ell
cille entre cinq minutes et une demi- heure. Parfois, il existe une
sensation
de vertige beaucoup plus accentuée, qui peut, p
lisées et profuses, des fourmillements; quelques sujets accusent la
sensation
d'éclairs devant les yeux. Lorsque ces phénomèn
morbide des sen- timents. Or les sentiments accompagnent tantôt nos
sensations
et sont alors appelés sentiments sensoriels ; t
VUE ANALYTIQUE. s'alimente presque exclusivement dans leurs fausses
sensations
gé- nésiques, aboutissent comme les autres à la
iège des phénomènes mentaux. Comme le dit M. Binet : « Qu'on ait la
sensation
du rouge, ou qu'on ait le souvenir du rouge, ou
t dire que l'hallucination est une idée délirante elle-même devenue
sensation
. Mais, pour que ce développement puisse s'effec
giques, mais serviront à l'étude des actes psychiques, tels que les
sensations
, l'action, l'association des idées, les souveni
c'est là sans doute la cause des visions de femmes à la suite d'une
sensation
olfactive favorable à l'excitation sexuelle. Ce
ne impression ; mais cette pression quoique forte ne produit qu'une
sensation
obtuse et non pénible. ' 1 ' z ' La pression
malade perçoit bien la piqûre, mais la 24 1 " PATHOLOGIE MENTALE.
sensation
qu'il restent n'est pas douloureuse et il n'accus
sensation qu'il restent n'est pas douloureuse et il n'accuse que la
sensation
de l'ongle qui tracerait une ligue sur la peau. E
La sensibilité à la température est conservée; il apprécie bien la
sensation
des corps chauds ou froids. Le réflexe de la pl
e se fait par intervalle et par jet sans cependant qu'il éprouve la
sensation
du besoin. C'est l'émission par regorge- ment.
ur moi. Les souvenirs ne sont pas un phénomène aussi simple que les
sensations
; leur théorie beaucoup plus com- plexe est loin
re les souvenirs, de les distinguer soit des imaginations, soit des
sensations
présentes et de les localiser à tel ou tel poin
ons inconnues laissées par les sen- sations et les souvenirs de ces
sensations
seront matérielle- ment détruits d'une façon ir
, n'est pas due à la des- truction même des traces laissées par les
sensations
. En d'autres termes, dans toute amnésie hystéri
ie. Ainsi que nous l'avons vu dernièrement, il ne suffit pas qu'une
sensation
isolée, simple, soit produite dans l'esprit pou
appréciée par le sujet. Il faut, pour la conscience complète d'une
sensation
qui s'exprime par le «je sens», qu'une nouvelle
re. . 44 clinique nerveuse. qu'une sorte de synthèse réunisse les
sensations
produites et les rattache à la masse des idées
nelle saisisse cette image et la rattache aux autres souvenirs, aux
sensations
nettes ou confuses, exté- rieures ou intérieure
n de sa percep- ception personnelle les images des couleurs que les
sensations
des couleurs. Quelquefois aussi on peut faire u
si l'on suggère très fortement au sujet qu'il éprouve une certaine
sensation
tactile, un chatouil- lement, par exemple, sur
constaterez une sorte de loi d'une application assez régulière; les
sensations
et les images de la même espèce semblent associ
nons le schéma qui nous a servi dernièrement, nous pouvons à chaque
sensation
élémentaire T T' T", M M', etc., associer les i
de ce fait : la percep- tion personnelle P P quand elle saisit les
sensations
M' V V' A est en même temps capable de saisir l
isir les images associées m' v v' a, au contraire en négligeant les
sensations
TT' T" elle perd en même temps les images t t'
d'une manière bien plus compliquée. La disparition d'une certaine
sensation
et d'une certaine image peut bien ne pas donner
r continuellement dans une même perception person- nelle toutes les
sensations
et les images, semble choisir pour les perce- v
e cette association des images et des sensa- tions, comme celle des
sensations
tactiles et des mouvements, est une association
itable destruction des phénomènes psycholo- giques élémentaire, des
sensations
ou des images ; il n'y a toujours qu'une impuis
'un ennui, d'une répdmande légère, il éprouve des suffocations avec
sensation
de constriction au niveau de l'estomac et de la
e ce fait de ceux de Berlin, c'est que le patient ne ressent pas de
sensations
désagréables, se prête volontiers à ce qu'on lu
la vue normal, avec ii)té-riLédufi)nd d3 l'oeil. Gra- duellement,,
sensation
d'engourdissement dans les doigts de la main ga
ssagère des extrémités' où parésiesinter- vallaires des doigts avec
sensations
désagréables; bientôt les flé- chisseurs de la
anties et assure que l'organe malade modifie ou supprime toutes les
sensations
en rapport avec lui, de même nous pouvons, chez
mparé à celui- là, s'il arrivait à débarrasser les aliénés de leurs
sensations
, senti- ments, impulsions, conceptions anormaux
on contre toutes les anomalies de l'humeur et de l'affectivité, les
sensations
d'angoisse, les impul- sions pathologiques, sex
ralt. l'amblyopie transitoire. 205 Le malade dit que, pendant une
sensation
de malaise, il voit apparaître devant l'un de s
té où siège la migraine. Quelquefois pendant l'accès le malade a la
sensation
que son oeil est poussé au dehors, ou au contra
x, après avoir éprouvé des attaques com- plètes) consistent dans la
sensation
d'étincelles brillantes et ins- tantanées"accom
is avec moins d'intensité, l'autre côté. Plus tard, surviennent une
sensation
de vertige, des nausées et des vomissements, qu
r dans un oeil; et parfois, dans ce même oeil, le malade accuse une
sensation
de tension (Finck) ou de battement de pouls (Ga
lade avait, un est mort t 1 « Le malade commençait par éprouver une
sensation
d'anxiété à la région précordiale, puis survena
na- sale. Dans ce dernier cas, le malade disait qu'il éprouvait la
sensation
d'un grand rond noir, qui l'empêchait de voir e
issement débutait toujours parle petit doigt de la main et du pied (
sensations
de froid), puis se généralisait à toute la moitié
ntier le champ visuel. Les cas où le malade dit de n'éprouver autre
sensation
que d'un simple obscurcissement de z la vue (ex
t, en général, des troubles loca- lisés de la sensibilité générale (
sensations
d'engourdissement, de fourmillement, etc...) ou
r les troubles de la vue, tels que les éblouissements passagers, la
sensation
de brouil- lard ou de véritables petits scotôme
es ordinaires de tous les paroxysmes (batte- ments dans les tempes,
sensation
de boule, etc...), on note presque toujours l'e
l'orbite et devient très vive. En même temps le malade éprouve une
sensation
de tremblement de l'aile du nez ou d'autres tro
es cercles colorés, et ils perdent connais- sance lorsqu'ils ont la
sensation
que ces corps brillants vont arriver sur eux. L
. 220 . CLINIQUE NERVEUSE. devient prédominante, même sans que la
sensation
vertigi- neuse proprement dite existe. - . Il
surviennent à intervalles plus ou moins longs, et consistent en une
sensation
parti- culière de fourmillement et d'engourdiss
érisés par la douleur au niveau de la région pariétale gauche, avec
sensation
de poids et de chaleur, par la pâleur du visage
nnaissance, morsure de la langue, quelquefois miction involontaire,
sensations
parti- culières au creux épigastrique, comme ch
x deux yeux. Depuis environ trois ans, accès d'engour- dissement et
sensation
de froid et d'impuissance motrice au pied et à
n oeil droit. Jamais de véritables migraines, mais très souvent une
sensation
de pesanteur à la tête, fatigue de l'intelligen
ressentit tout à coup un engourdissement de la main gauche ; cette
sensation
pénible gagna bientôt le bras, l'épaule, puis le
tissus, comme les paralysies, les convulsions, les anomalies de la
sensation
. Nous sommes maintenant en état de comprendre p
aux qui commandent et enregistrent leurs facultés motrices et leurs
sensations
. . Bien que nous soyons peu renseignés sur la c
re. Les caractères de l'aura ou prodrome de l'accès, tels que les
sensations
de rêves ou états intellectuels similaires, les i
appareil POUR la PERCEPTION DES PHÉ- NOMÈNES lumineux au MOYEN DES
sensations
thermiques ET DU sens DU lieu; parK. Noiszewski
à ce que la personne en expérience déclare égale la température des
sensations
thermiques auxquelles elle est simultanément so
, sont aussi doués à un haut degré de la propriété de localiser les
sensations
thermiques. Ces endroits sont : le bout des doigt
ant à la distance, deux de nos individus pouvaient perce- voir deux
sensations
thermiques écartées de 1 millimètre (extrémités
érentielle normale pour le tact et la température, percevaient deux
sensations
'écartées de 10 millimètres (extrémités des doi
nscience de ma personnalité. Le pis est que j'analyse très bien mes
sensations
, mes émotions et que je m'en effraie et m'en ré
s tour à tour. Enfin il y a en moi un terrible amalgame d'idées, de
sensations
, de faits, de gestes : je n'explique plus rien.
sthésies par rétrécissement du champ de conscience personnelle, les
sensations
pouvant toutefois donner lieu à des réactions é
tout le trajet, un ma- laise qui va croissant. Dans l'estomac, la
sensation
devient très doulou- reuse, les bruits et les m
lesbruits, tous les sifflets de chemin de fer lui donnent les mêmes
sensations
pénibles et lui chargent l'estomac. Les mots, dit
s dans les membres surtout en correspondance des articulations, les
sensations
de fourmillements, dont elle souf- frait depuis
aque épileptiforme constituée comme il suit : lme Gi... annonce une
sensation
de fourmillements au bout des doigts de la main
dans des fournaises ardentes,... etc. Souvent elle éprou- vait une
sensation
de serrement au sommet du sternum; d'au- tres f
urvenaient le matin vers sept heures. Elles étaient précédées d'une
sensation
de suffocation, 11m° Gi...perdait complètement
marteau ni ici, ni dans aucun autre endroit du crâne, ne donne de
sensation
douloureuse. Motilité. - Mm° Gi... accuse de la
e répond avec rapidité aux demandes qu'on lui fait, elle décrit ses
sensations
avec beaucoup de précision, elle a une mémoire
DU cerveau. 393 et à la langue. Au commencement du mois de mai, la
sensation
d'engourdissement continua à perdre la tendance
sie sensitive, il ne reste plus à ^présent (13 août) que les vagues
sensations
de fourmille- ment qu'elle éprouvait depuis son
ccès épileptiformes sont constitués par deux phé- nomènes : a), une
sensation
de fourmillement et d'engour- dissement ; - b),
é du corps sur lequel G... était resté couchée pendant la nuit. Ces
sensations
, après être restées pour un certain temps systé
cette névrose. A présent nous devons nous demander pourquoi cette
sensation
anormale s'est systématisée pendant si longtemps
gnèrent de faiblesses qui lui survenaient subite- ment, il avait la
sensation
de la défaillance, il était obligé de s'asseoir
t pas d'une bonne santé. Il se plaint de fréquentes faiblesses avec
sensation
de défaillance ; il a tous les matins des accès d
lose '. Dès cette époque, Cha... est sujet très fréquemment à des
sensations
de défaillance qui l'obligent à s'asseoir et à in
ce qui l'obligent à s'asseoir et à inter- rompre son travail; cette
sensation
se présente sous une forme d'accès et s'accompa
t s'accompagne de céphalée, de diplopie et d'étour- dissements. Ces
sensations
sont-elles dues à l'anémie céré- brale consécut
tysie grave et accès de céphalées, diplopie, étourdissements avec
sensation
de défaillance; enfin, crises convulsives avec
ique au grand complet, à savoir la boule qui remonte à la gorge, la
sensation
de suffocation, le sitflement dans les oreilles
, le sitflement dans les oreilles, le battement dans les tempes. La
sensation
de défaillance a été poussée jusqu'à la perte d
e de carbone et une solution saline très forte n'ont produit aucune
sensation
. 410 PATHOLOGIE NERVEUSE. L'anesthésie était
entit au mollet de la jambe gauche une crampe très douloureuse, une
sensation
de froid qui envahit très rapidement la partie
soir à huit heures, il ressentit dans la jambe et dans le bras une
sensation
de chaleur, en peu de minutes le mouvement revi
plètement dans toute la moitié gauche du corps. On n'obtient pas de
sensation
de chaleur avec le. thermo-esthésio- mètre chau
rale est ici d'une netteté remarquable. Crampes au mollet gauche,
sensation
de froid qui gagne rapidement toute une moitié du
amment les attaques et qu'il s'accompagne tou- jours d'une profonde
sensation
de frayeur. Bal'... se réveille en sursaut, ter
lace promenée sur la surface de la peau à droite ne provoque aucune
sensation
de froid. L'applica- tion du thermo-esthésiomèt
tion du thermo-esthésiomètre chauffé à 55 degrés ne donne pas de
sensation
de chaleur; à 85 degrés il réveille par-ci par-là
n de chaleur; à 85 degrés il réveille par-ci par-là une très légère
sensation
de chaud, qui n'est même pas douloureuse. Il y a
ue, rapprocha le scotôme scintillant de la migraine, accompagnée de
sensations
visuelles, que Purkinje et Brunton ont décrite
e cerveau. Ce sont les troubles du langage et de l'intelligence, la
sensation
de vague et de vide, parfois le vertige, c'est-
que lors de l'amblyopie binoculaire centrale et péri- phérique, les
sensations
de nuage, de scintillement, etc., sont plus for
s. Quelquefois encore apparaissent des névralgies oculaires, ou une
sensation
de tension dans l'oeil, qui pourraient faire so
ure et même plus. Les douleurs de tête, compliquées parfois d'une
sensation
de vertige, surviennent généralement sur un point
mple lorsque l'accès survient après un jeûne prolongé et pendant la
sensation
de faim, ou même sans cause appréciable, le tro
rait au malade, d'après la loi de la projec- tion extérieure de nos
sensations
, le phénomène du scotôme et parfois du scintill
qui pourra encore être très utile contre la migraine), ou pour une
sensation
instantanée de froid sur le visage. INDEX BIBLI
son esprit tout le système énorme de souvenirs, d'images et même de
sensations
auquel il était lié. Même la sensibilité tac- t
nt aussi déter- ~ minées par les circonstances extérieures, par les
sensations
que nous éprouvons, par tout ce que nous pouvon
rent et que l'idée d'un ballet de l'Opéra ne s'accorde pas avec les
sensations
visuelles que vous éprouvez. Le développement d
tout une certaine faiblesse dans la volonté, dans la perception des
sensations
et des souvenirs, il y en a chez qui l'amnésie
ès peu de choses à la fois. Il en est de leurs actes comme de leurs
sensations
et de leurs souvenirs. Ainsi que nous l'avons v
: sa conscience trop étroite ne renferme plus les souvenirs et les
sensations
antagonistes, elle oublie qu'elle est l'hôpital
es et impersonnels, plus d'hallucinations en contradiction avec les
sensations
réelles ' ; 2° en même temps, vous voyez que l'
de ne plus bégayer à son réveil et on lui suggère de percevoir les
sensations
à gauche. Dès qu'il est réveillé, il prononce t
caliser avec précision les mouve- 51 CORRESPONDANCE. ments et les
sensations
corrélatives. Le D'' W. B. Ransom a rapporté un
utre voie à une conclusion iden- tique, c'est que les phénomènes de
sensation
et les phénomènes de mouvement sont inséparable
n qu'il s'agissait d'une pure suggestion. Car, s'il s'était agi d'une
sensation
gustative désagréable, le sujet aurait reconnu le
is à quatre minutes. Huit jours après sa sortie de l'hôpital, cette
sensation
continue, les coliques et la diarrhée avaient dis
de départ. Toute expression intestinale, la digestion, réveillait la
sensation
. Pourquoi, pendant quelque temps, la douleur s'es
ssent et qui sont acceptées par lui. Ces idées deviennent mouvements,
sensations
, images, émotions, actes ; la transformation idéo
n épigastrique et la région précordiale où les malades accusaient des
sensations
douloureuses. Dans les cas d'anesthésie hystéri
mois, d'après Garbini, le sens chromatique commence à être excité. La
sensation
du rouge se développe d'abord en môme temps que c
t qu'ils ne sont pas influencés. L'auto-suggestion les domine ; leurs
sensations
douloureuses ou leurs idées personnelles les obsè
tête à la maintenir. Le 14 et le 15, le malade accuse, de plus, une
sensation
de brûlure en urinant; il urine souvent, dit-il,
peu à la fois. Les urines sont d'ailleurs claires et normales. Cette
sensation
de brûlure est-elle l'effet d'une auto-suggestion
réveil. Mais jusqu'à présentée n'ai rien pu obtenir par l'hypnose. La
sensation
douloureuse est incarnée dans son cerveau. Consci
; aussitôt que je touche la région affectée, on voit qu'il évoque la
sensation
douloureuse et contracte ses traits. Au réveil, s
uf, au début, des tiraillements et des brûlures d'estomac. Plus tard,
sensation
de gêne, de pesanteur, de plénitude de l'estomac,
s, du délire, du mouvement, quand elle perçoit de la sensibilité, des
sensations
? Pas plus que nous voyons à l'œil ou au microsco
tre garçon l'idée de lombric suffit à extérioriser dans l'abdomen une
sensation
qui n'est qu'un réveil de douleur, souvenir créé
ant de tousser, c'est-à-dire depuis près de quatre ans, il accusa une
sensation
douloureuse dans le poignet gauche et la face ant
e dans le poignet gauche et la face antérieure de l'avant-bras. Cette
sensation
a persisté depuis, augmentant surtout depuis un a
que le point n'existe pas, le malade éprouve toujours à ce niveau une
sensation
de brûlure. Depuis un an, il sent le matin, qua
es malléoles. Cette douleur est très vive; le malade la compare à une
sensation
d'arrachement de bas en haut, quand elle s'exacer
l n'a jamais eu de douleur dans la jambe droite. — Depuis 8 mois, ces
sensations
douloureuses l'empêchent de dormir ; il dort en p
ou artérielle par endartérite ou endo-phlébite peut donner lieu à des
sensations
douloureuses, à de l'engourdissement, à des cramp
vement qui s'accomplit, « Nous éprouvons, m'ont-ils tous affirmé, une
sensation
indéfinissable, comme nous n'en avons jamais ress
t sous forme de mouvements d'attraction ou de répulsion, ou encore de
sensation
de contact à distance; 2e Sur les objets inanim
it qu'apporter sa contribution propre à l'ensemble des perceptions et
sensations
d'origine externe ou d'origine interne qui peuven
on du vertige, j'ai constamment vu confondre l'état vertigineux et la
sensation
vertigineuse ; et j'ai du établir qu'on pouvait p
, etc., qui sont des états nerveux non localisés, tandis que d'autres
sensations
internes, coliques, crampes, palpitations, etc.,
mites d'une certaine force d'excitation maxima et minima, de même les
sensations
internes, localisables ou non, exigent un certain
lère, de faim, de soif, etc., sont des états bulbaires, tandis que la
sensation
de vertige, de nausée, etc., sont des perceptions
lle-ci n'est le plus souvent, au moins en matière de sentiments et de
sensations
internes, que le reflet conscient de l'autre. C
me que le vertige « tenait trop de place » dans son bulbe, de même la
sensation
du vertige tiendra trop de place dans sa cortical
veux non localisables que nous connaissons surtout comme une sorte de
sensation
générale de même ordre que le vertige ou la colèr
articulier que l'on appelle si exactement la « petite mort ». Cette
sensation
de suspension de la vie, d'effondrement, d'évanou
anesthésie qui s'accroît à mesure que s'approche la syncope, — cette
sensation
, de même nature que l'oppression et le ver-lige,
danger semble faire inhibition non sur la peur elle-même, mais sur la
sensation
qu'on en peut avoir. De même que notre rétine peu
ia de parler momentanément d'autre chose, parce que, disait-il, cette
sensation
s'accompagnait parfois chez lui d'une peur folle,
lle avec vertiges passagers, me disait que son vertige lui donnait la
sensation
qu'elle n'existait plus « de corps » et qu'elle r
ce absolu est chose rare ; et cependant, qui ne connaît la singulière
sensation
que nous fait éprouver, au milieu du bruit de
ouver tous les éléments d'une phobie vraie. Nous avons distingué la
sensation
de peur, de la peur elle-même ; nous avons fait d
est ébranlée lentement par les vibrations des cloches. On ressent la
sensation
d'un mouvement de roulis très lent. C'est le rock
illeurs, les contractions ne sont accompagnées pour le sujet d'aucune
sensation
consciente ; 3° Tendance à la contracture dans le
athématique entre les mouvements de l'opérateur et ceux du sujet ; 5°
Sensation
diverse que le sujet déclare éprouver dans les pa
éprouver dans les parties visées et dont les plus ordinaires sont la
sensation
de chaleur pouvant aller jusqu'à la brûlure, les
es sont la sensation de chaleur pouvant aller jusqu'à la brûlure, les
sensations
de piqûres, sensation de picotement, sensation de
chaleur pouvant aller jusqu'à la brûlure, les sensations de piqûres,
sensation
de picotement, sensation de fourmillement et sens
squ'à la brûlure, les sensations de piqûres, sensation de picotement,
sensation
de fourmillement et sensation d'engourdissement.
ns de piqûres, sensation de picotement, sensation de fourmillement et
sensation
d'engourdissement. Tous les sujets accusent la re
s les sujets accusent la ressemblance de ces trois derniers genres de
sensations
avec les sensations électriques. En outre, certai
t la ressemblance de ces trois derniers genres de sensations avec les
sensations
électriques. En outre, certaines parties du corps
. Méthodologie psycho-physique. Loi de Fechner. Physiologie des sens (
sensations
musculaires et organiques, le toucher, l'ouïe, la
Buts. Méthodes. Observations et expériences. — Psychologie des sens,
sensations
et idées, mémoire. — Lois de l'association. — La
science de la connaissance — Action de l'imagination — Sentiments et
sensation
, les sentiments esthétiques, éthiques et logiques
nts esthétiques, éthiques et logiques, les émotions et les lois de la
sensation
. — Le système de la volonté, la conscience de la
lations de la psychologie et du droit criminel. Psycho-pathologie des
sensations
sexuelles. Grandes névroses (hystérie, épilepsie)
, j'ai souvent réussi à découvrir l'attitude précédente par la faible
sensation
d'une courbature des membres. Enfin, j'ai fait de
git ordinairement que de peu de moments avant le réveil. En outre, la
sensation
d'une faible courbature annonce, dans beaucoup de
de froid) et, conformément aux lois psychologiques, on interprète ses
sensations
isolées selon ses expériences générales, c'est-à-
estreint en rêves, l'attention est très souvent attirée sur une seule
sensation
sans être contrôlée par la comparaison avec d'aut
seule sensation sans être contrôlée par la comparaison avec d'autres
sensations
, ainsi on exagère la sensation isolément conçue.
ôlée par la comparaison avec d'autres sensations, ainsi on exagère la
sensation
isolément conçue. Or, la sensation d'un mouvement
es sensations, ainsi on exagère la sensation isolément conçue. Or, la
sensation
d'un mouvement d'un membre est, sans doute, celer
ent d'un membre est, sans doute, celeris paribus, plus marquée que la
sensation
d'une tension musculaire sans mouvement ; donc, l
la conscience fatiguée qui aime à exagérer ce qu'elle sent conçoit la
sensation
indistincte (qui dépend, en réalité, d'un membre
es sens; aussi en réve ou la fatigue domine, nous nous expliquons nos
sensations
mus culaires par des images d'autres personne
. J'ajouterai que dans le dernier exemple, très vrai-sembablement les
sensations
cutanées collaborent avec les sensations musculai
, très vrai-sembablement les sensations cutanées collaborent avec les
sensations
musculaires. Sans doute, ce fait — des nombres rê
ns musculaires. Sans doute, ce fait — des nombres rêvés à cause d'une
sensation
aux doigts — accuse la relation infinie qui exist
atigue le sommeil est profond, mais pas assez pour qu'il exclut toute
sensation
périphérique et toute interprétation de celle-ci,
indistinctement du membre en question sans être capable d'associer sa
sensation
à la notion du membre et de sa propre personne ;
le second cas. Enfin, à quelques moments du sommeil, les centres des
sensations
doivent être plus fatigués que ceux de la pensée
e abstraite ; voilà la raison pour laquelle quelquefois, en rêve, les
sensations
cutanées et musculaires des doigts disparaissent,
tomatiquement, à éveiller sa conscience, en un mot à trhnsforrner une
sensation
non perçue en ^perception. Dans un grand nombre
ste, le sujet peut avoir des rêves visuels et des hallucinations avec
sensations
de lumière. Si 2 persiste 1 étant détruit, il aur
cas de gustation colorée. Les odeurs peuvent réveiller très vives les
sensations
visuelles d'objets en rapports avec eux. etc., et
à la tête, je recherchais toutes les occasions qui font éprouver des
sensations
agréables, les bals, les soirées et le flir-tage.
nsciente disparaîtra à son tour. Ce sommeil s'étend du mouvement à la
sensation
. La deuxième période de la chloroformisation es
nsi, quand on nous chatouille, le réflexe est la règle ; c'est que la
sensation
ne passe que par la moelle et les centres subcons
ion musculaire, et non pas à un effet dans les centres nerveux, à une
sensation
par exemple, puisque le nerf moteur, comme nous l
les causes occasionnelles. Mais l'idée, quelle qu'elle soit — idée de
sensation
, idée de mouvement, idée d'émotion, — une fois ac
sme. Quant aux causes de l'idée, elles sont innombrables, car toute
sensation
peut être le point de départ d'une névrose psychi
s violents comme arracher les cheveux aux personnes de son entourage.
Sensation
d'étouffement, d'étranglement, le tout durant de
fluence dc la suggestion sur les fonctions de la vie organique et les
sensations
internes. — La circulation et la respiration chez
is à dix heures et demie du matin, des leçons sur la pfiysiologie des
sensations
. M. Jules Soury, maître de conférences, fait, l
ions frontale et temporale droites. Ces douleurs commençaient par une
sensation
de gonflement à la poitrine, puis au cou ; elle a
yeux constamment attaches sur l'ennemi deviné, étranger à toute autre
sensation
, insensible aux caresses, sourd à la voix de ses
la répulsion, la tristesse du chloroforme : l'air irrespirable et la
sensation
de mort prochaine. On peut donc dire que chaque
dans la suite à ce point de vue, nous avons toujours observé que les
sensations
étaient perçues nettement et pour ce qu'elles éta
t de même pour les substances sapides, les excitations auditives, les
sensations
cutanées. Les réponses des malades étaient toujou
qui se passe dans son cerveau. Il en est à peu près de même pour les
sensations
de température. Une impression de froid la fait f
ouvre la tête et les épaules d'un châle imaginaire. En présence d'une
sensation
de chaleur, elle fait le geste de se dévêtir, ess
rmale, les excitations sont perçues, mais elles ne produisent que des
sensations
justes, justement interprétées par le sujet qui l
tions complexes qu'il perçoit peut-être. Au contraire, donnez-lui une
sensation
simple de couleur, de son, de rhythmc, de goût, d
là aussi le mécanisme est analogue et qu'il y a eu plus qu'une simple
sensation
. Quoi qu'il en soit d'autre part de l'interprét
et de varier avec chaque malade qui interprète à sa façon chacune des
sensations
qu'on lui fait percevoir. De l'influence des ex
la volonté de l'opérateur, le malade interprétant à sa manière chaque
sensation
perçue. Lorsque l'un de nous vint à Paris, muni
t laissées exclusivement à l'initiative du malade, qui s'approprie la
sensation
perçue et la transforme à son gré en une hallucin
tomba par terre sans connaissance, sans avoir été prévenu par aucune
sensation
particulière. Il se releva au bout de quelques in
et on s'aperçut que le malade percevait ce son et s'appropriait cette
sensation
pour en faire le point de départ d'hallucinations
qui concerne le contact, la douleur et le sens musculaire. Quant aux
sensations
thermiques, il y a une sorte d'inversion. Le chau
sées suivies quelquefois de vomissements par régurgitation, frissons,
sensations
de chaud et de froid. A cela s'ajoute une sorte d
anesthésique à l'état de veille; aussitôt le malade manifeste que la
sensation
est perçue, en faisant une grimace, et en portant
teur m'envoie, sans doute. » Cherchant si le malade extériorise ses
sensations
, on place un prisme devant l'œil gauche. Le malad
. Dans son premier mémoire, il écrit, à propos de sa malade, « que la
sensation
n'est éveillée en elle qu'autant que la cause qui
consiste dans la preuve qui nous est donnée de notre existence par la
sensation
de nos organes, nos réactions physiques vis-à-vis
rieur, provoque le réveil subit, ou le retour à l'état normal, avec
sensation
douloureuse, aggravée par le dépit d'être ramenée
ela vient sans doute de la conservation chez lui de la cénesthésie ou
sensation
intime de ses organes vitaux. M. Ch. Richet établ
mésaventures. Charcot, t. ii. 17 Mais ce n'est pas tout, et cette
sensation
de bien-être dans laquelle se trouvent la plupart
s le flanc droit, d'ascension d'une boule à l'épigastre et au cou, de
sensation
de strangulation, de battements dans les tempes,
nstatait : Ja perte des réflexes rotuliens, le signe de Rotnberg, une
sensation
de constriction en ceinture et une incoordination
es. Le malade se plaint d'engourdissement dans les deux jambes, de la
sensation
imparfaite du sol (il lui semble qu'il marche sur
pas très vives et attirent peu son attention. 11 ressent en outre une
sensation
de lourdeur. S'il appuie un instant, ses bras res
prouve des agacements, des fourmillements permanents dans les jambes,
sensations
qui n'ont, dit-il, rien d'analogue aux crises dou
tôt un peu d'hypéreslhésie et un peu de retard dans la perception des
sensations
. Pas de crises laryngées ni gastriques. Le goût,
pieds, les jambes et les mains, qui le gênent pour s'habiller. 11 ala
sensation
subjective de la perte, de l'absence de ses pieds
t occupe les deux premières phalanges des doigts. Enfin il accuse une
sensation
de gonflement et d'engourdissement dans la moitié
t d'engourdissement dans la moitié inférieure du visage. Toutes ces
sensations
sont purement subjectives et ne correspondent à a
te. —Hémiplégie gauche sans participation de la face. — Vertiges. —
Sensation
d'entraînement à gauche. — Mort. —Autopsie. — T
voir commencé à sentir « comme du coton » sous son pied gauche. Cette
sensation
a disparu vers la fin de janvier, une dizaine de
pour calmer les vertiges que pendant la nuit, le malade ne ressent ni
sensation
vertigineuse, ni sensation d'entraînement vers la
e pendant la nuit, le malade ne ressent ni sensation vertigineuse, ni
sensation
d'entraînement vers la gauche. Il peut occuper da
debout ou marche-t-il, le vertige est immédiatement accompagné d'une
sensation
d'entraînement vers la gauche. Il disparaît compl
s, il commence par se caler sur le côté gauche (dernier vestige de la
sensation
d'entraînement à gauche, qui disparaît). Puis, si
e regarder. Rien d'autre n'est ressenti par le malade assis, quand la
sensation
de vertige qu'il éprouve toujours est ainsi à peu
nde partie attribuables à sa diplopie ; toutefois il s'y joignait des
sensations
d'entraînement à gauche, et de plus le vertige ne
ue ses lèvres sont plus saillantes. De plus il a souvent aux mains la
sensation
de l'onglée et la cyanose y est assez fréquente.
Le mois suivant, il a accusé, dans les bras et les cuisses, quelques
sensations
douloureuses qui ont cédé au salicy-late de soude
e répète tous les mois. Aura : Secousse brusque du bras droit, avec
sensation
d'un éclair qui monte du bras à la tête. Très cou
a pouvant se transformer en prodrome éloigné, les mêmes mouvements de
sensation
se produisant quelquefois la veille du jour de l'
troubles de la sensibilité thermique subjective et aussi à certaines
sensations
internes, viscérales en particulier. Observatio
es vertiges ; les accès n'en ont jamais été précédés. Consiste en une
sensation
douloureuse de tiraillement dans la région stomac
tante, ne précède que le plus petit nombre des accès. Consiste en une
sensation
de vapeur chaude qui monte du cou à la tête et fa
ation de vapeur chaude qui monte du cou à la tête et fait place à une
sensation
de froid. Observation XL Mal... Caroline, 25 an
e, ne précédant que les accès de moyenne intensité; consistant en une
sensation
de malaise douloureux, qu'elle ne peut définir en
vec délire postépi-leptique. Aura : Précède tous les accès diurnes.
Sensation
de malaise, de froid avec frissonnement, d'autant
e variées les auras dans la sphère de la sensibilité. Fourmillements,
sensations
de chaud, de froid, etc., sont les plus fréquente
Pr Charcot, dans ses leçons cliniques, attirer l'attention. C'est la
sensation
de colique intestinale avec besoin impérieux d'al
isible même les yeux fermés. Durée: un quart d'heure au maximum. Puis
sensation
rapide d'engourdissement remontant des bras à la
s à la tête, enfin perte de connaissance et accès. Quelquefois à à la
sensation
visuelle s'ajoute une sensation auditive : bruit
aissance et accès. Quelquefois à à la sensation visuelle s'ajoute une
sensation
auditive : bruit de grands coups de marteau. Pr
aitement typique. La crise de migraine est quelquefois accompagnée de
sensation
d'engourdissement dans les doigts de la main droi
nes auditifs et vertige. Enfin dans les trois autres c'est une simple
sensation
de vertige, d'étourdissement qui constitue l'aura
suelles de 7 à 8 accès. Aura consistant en un vertige subit ou avec
sensation
de froid glacial qui envahit la tête, et transpir
'est une «pensée» obsédante à laquelle il est en proie et non pas une
sensation
auditive. Habituellement il fait tous ses efforts
ns celui d'Echeverria (3), qui date de 1870. Ce dernier mentionne des
sensations
, des douleurs dans l'estomac, du spasme glottique
des sensations, des douleurs dans l'estomac, du spasme glottique, des
sensations
d'étranglement. Gowers, beaucoup plus tard, a n
ogastriques, se trouvent des phénomènes douloureux épigastriques, des
sensations
d'étouffement et dans un cas l'aura rappelle « la
ues, des sensations d'étouffement et dans un cas l'aura rappelle « la
sensation
bien connue dans l'hystérie, et dans bien des cas
ien connue dans l'hystérie, et dans bien des cas d'épi-lepsie pure la
sensation
perçue paraît exactement la même que le globus hy
ttente, soit continue et exagérée au moment des accès. C'est de cette
sensation
toute simple que dérivent toutes les auras abdomi
u ventre ou de l'estomac et remontant à la gorge, où elle produit une
sensation
d'étouffement. Les manifestations de l'aura cépha
a région épi-gastrique et au cou. Elle paraît à ce moment souffrir de
sensations
de douleur et d'étouffement. La perte de connaiss
ent les accès de petit mal, mais non d'une façon constante. C'est une
sensation
douloureuse, vague, remontant de l'estomac vers l
mpter les absences qui sont plus fréquentes. Aura consistant en une
sensation
de boule qui monte de l'estomac à la gorge et l'é
tervalle de quatre ans (1870-74). Aura constante, consistant en une
sensation
très pénible de tiraillements dans le ventre, laq
tante, précède les vertiges et les grands accès. Elle consiste en une
sensation
douloureuse de vide dans l'estomac qui remonte de
ra très manifeste, précédant régulièrement chaque accès de petit mal.
Sensation
de boule qui remonte de l'estomac à la gorge et b
térique complète, boule montant du ventre et de l'estomac à la gorge,
sensation
d'étouffement, sifflements dans les oreilles et b
mps pour lui éviter des blessures dans sa chute. Elle consiste en une
sensation
de malaise, de faiblesse subite, accompagnée d'
t en une crise de battements de cœur très violents, accompagnés d'une
sensation
de faiblesse générale. Durée variable, mais toujo
onstituent. Ce sont tout d'abord des manifestations d'ordre sensitif:
sensations
de faiblesse générale, de malaise, puis un troubl
t que de phénomènes cardiaques, les palpitations pouvant produire ces
sensations
de malaise, de faiblesse générale qui les accompa
as toujours la même à toutes les attaques. Le plus souvent, c'est une
sensation
de vide dans l'estomac, « comme si elle n'avait p
e n'avait pas mangé depuis un mois. » D'autres fois c'est d'abord une
sensation
douloureuse de constriction dans les tempes et le
es vertiges, c'est d'abord le vertige avec bruits d'oreille, puis une
sensation
de goût amer « plus qu'amer * dans la bouche, enf
rnes, se reproduisant tous les mois environ. Aura consistant en une
sensation
de boule montant du bas-ventre, serrant l'estomac
ours successifs, toutes les trois semaines). Aura consistant en une
sensation
de constriction dans la région stomacale, remonta
poque des règles. Aura constante avant les grands accès convulsifs.
Sensation
de constriction douloureuse du ventre et de l'est
partielle au début est anomal, nous retrouvons l'aura hystérique, la
sensation
de serrement du cou, les bourdonnements d'oreille
avail, tant à cause de la faiblesse de ses jambes, qu'en raison des
sensations
pénibles qu'il éprouvait, dans les membres infé
ion également était accélérée (28), mais le malade n'avait t aucune
sensation
subjective de dyspnée. Ch...mait bon appétit ;
ion des lombes, les tempes et les mâchoires ont été envahis par des
sensations
pénibles ; elles revêtaient surtout les ca- rac
de. Rappelez-vous cependant qu'il a éprouvé, à un moment donné, des
sensations
pénibles, assez tenaces ; c'étaient, suivant l'
s forces ont beaucoup diminué et il éprouve du côté de ses bras une
sensation
de lassitude et de fai- blesse semblable il cel
igts dans la main. Dans le même ordre d'idées nous rappellerons les
sensations
de raideur survenues à un moment donné de l'aff
ité. I Subjectivement il existe chez tous les trois malades une ,
sensation
de fatigue et de courbature. Troicblesuccso- au
cérébelleuse. Développement considérable des muscles des jam- bes.
Sensation
de lassitude dans les jambes. Plantes voûtées. Ex
xique, cérébelleuse. Impossibilité de se tenir sur une seule jambe.
Sensation
de lassitude dans les jambes. Exagération des réf
ne seule jambe ; 1° Démarche ataxique de nature cérébelleuse ; 60
Sensation
de lassitude dans les jambes : 7° Exagération d
at de la nutrition des muscles. Aucune dénutrition. Sensibilité. La
sensation
douloureuse est conservée, les autres formes de
« La rapidité avec laquelle bulles et vésicules se développent, la
sensation
de cuisson, de brûlure, de vésication qui précède
férieurs. Immobilisation. Douleurs très vives surtout à l'é- paule.
Sensations
de picotements et de fourmillements sur la main.
ochelle, on essaye l'électrisation qui est extrêmement douloureuse (
sensation
d'ostéoclasie) ; on est obligé d'y renoncer. Du r
ulo-cutanés, n'ont pas été explorés. Examen DE la sensibilité. La
sensation
tactile est conservée et ne semble pas exagérée s
sauf au chatouil- lement, dans la région de l'omoplate droite. La
sensation
du mouillé est normale. Les objets mis dans la
ns hésitation avec la main gauche. 116 J. SABRAZÈS ET L. MARTY La
sensation
douloureuse, en revanche, a subi des perturbation
froid en hiver il droite qu'il gauche. Actuellement, il n'a aucune
sensation
de température anormale, ni d'un côté, ni de l'
e dans ses divers segments que celle du membre supérieur gauche. La
sensation
au contact d'un corps froid est exagérée dans la
e l'épi trochlée ; au- dessous de ce point la pression provoque les
sensations
habituelles. La sensibilité électrique est très
lare : « Qu'il vient de ressentir des tiraille- ments violents, des
sensations
de brûlure intenses et de fulguration le long des
lon qu'il s'agit de phénomènes passifs ou actifs. II y a en plus la
sensation
d'activité. Est-ce spécialement la sensa- tion
usculaire dans cette acti- vité. J'ai à l'intérieur des segments la
sensation
de tension, de traction, de pression, de gonfle
s le cas de passivité ; mais quelque chose ne me donne nullement la
sensation
d'un état musculaire ; c'est une variation de L
de l'activité dans l'at- titude ou dans le mouvement,ou plutôt une
sensation
d'activité, mais pas plus de sens musculaire qu
nt d'ordre tactile ; elle résulte d'une intensité variable dans les
sensations
de pression au contact ou de tiraille- ment. Ce
ans les sensations de pression au contact ou de tiraille- ment. Ces
sensations
sont plus extramusculaires que musculaires à prop
nt ou des segments acti fs, j'ai donc le pouvoir de lo- caliser une
sensation
d'activité qui s'ajoute à la notion d'attitude, m
que nous faisons pour nous définir à nous-même une perception, une
sensation
, est avant tout un effort d'objectivation. Il suf
vant tout un effort d'objectivation. Il suffit que l'on analyse une
sensation
, même intime et profonde, pour qu'en cherchant à
successivement sur les cinq doigts de ma main, j'éprouve une double
sensation
. D'abord cha- cun de mes doigts, à mesure que m
on champ sensoriel en le diri- geant vers tel ou tel point, j'ai la
sensation
de ce travail d'attention auquel je me livre, j
ivement, volontaire- ment, avec une variation active d'attitude, la
sensation
se complique de la perception de l'effort voulu
ion se complique de la perception de l'effort voulu. Il y a déjà la
sensation
de l'effort exercé, réalisé, perceptible au niv
egment considéré, nous l'avons vu plus haut. Mais il y a en plus la
sensation
de la volonté employée, de l'effort de réalisat
l'effort de réalisation, c'est à peu près ce que Wundt a appelé la
sensation
cl'izne ? vation. J'ai d'une part la sensation
ue Wundt a appelé la sensation cl'izne ? vation. J'ai d'une part la
sensation
des modifications produites au niveau du segmen
tions produites au niveau du segment actif par l'effort musculaire,
sensation
qui n'est pas plus musculaire qu'articulaire ou
us musculaire qu'articulaire ou cutanée ; mais j'ai d'autre part la
sensation
de quelque chose de tendu dans le cerveau, la s
tre part la sensation de quelque chose de tendu dans le cerveau, la
sensation
qu'une partie de ma volonté générale, disponibl
n ce moment en tension, si je puis dire. De quelle nature est cette
sensation
? Il m'est possible d'analyser ce que je ressen
'analyser ce que je ressens cérébralement et indé- pendamment de la
sensation
périphérique et segmentaire de l'effort réa- li
lisé, quand je veux cet effort. C'est,avant tout, la conscience, la
sensation
de l'exercice de ma faculté d'attention ; je ne
je veux réaliser un geste, un effort moteur, c'est toujours la même
sensation
cérébrale que j'éprouve, une perception de tens
, d'attention dans la faculté en jeu. Si cela s'appelle volonté, la
sensation
de ma volonté agissante est la même pour un eff
rception ou d'action motrice. J'ai souvent cherché à analyser celle
sensation
d'effort nerveux et à voir si elle varie de for
omplexes attributions, si variables selon les points considérés, la
sensation
de sa mise en travail est également uniforme. E
ù ces effets se produisent. L'ataxique médullaire, dorsal, garde la
sensation
de la volonté agissante, il n'a plus celle de s
nt qu'il existe un sens musculaire, il ne pourrait naître que de la
sensation
du mouvement destiné il rétablir l'équilibre perd
né il rétablir l'équilibre perdu. Or, ce mouvement est dicté par la
sensation
d'une perte de l'équilibre, forcément antérieur
t ce ne peut être que de cet exercice musculaire que naîtraient les
sensations
d'activité musculaire dont on a cherché à faire
s le tunnel, la fuite en arrière du paysage nous confirmait dans la
sensation
de la projection du train dans le sens direct;
tunnel, l'image de la projection en avant s'efface rapidement et la
sensation
produite par cette image anté- rieure se transf
sensation produite par cette image anté- rieure se transforme en la
sensation
inverse, laquelle éveille l'hallucina- tion sen
hon contre le tym- pan, le malade sans avoir éprouvé ni vertige, ni
sensation
de constriction labyrinthique, mais seulement u
une plaque congestive au centre de la joue, si le sujet éprouve une
sensation
persistante de froid et si surtout on constate
tique : apathie, embonpoint naissant, plaque congestive de la joue,
sensation
persistante de froid, volume amoindri du corps
ls : la nuque est presque complètement dégarnie. Elle éprouve une
sensation
continuelle de froid. La constipation est opiniâ-
température subnormale ; la voix coassante; la parole traînante; la
sensation
de froid persistant, dénotent le myxoedème fran
resque journellement dans la matinée un malaise indéfinissable, une
sensation
de syncope imminente. Bien qu'a un examen très at
son état de santé. Très intelligente et analysant parfaitement ses
sensations
, elle put me tracer le tableau suivant, qui est
fois. Dans un cas, il était généralisé sauf à la tête, c'était une
sensation
de chatouil- lement existant d'une façon consta
e anesthésie sensible. Un autre avait eu pendant plusieurs mois des
sensations
de fourmillement et de brûlure sur la face exte
(Good). Le troisième s'estplaint pendant six semaines environ d'une
sensation
de démangeaison et de cuis- son sur les deux ép
volontiers « le boléro de Nessus ». Il y avait deux mois que cette
sensation
avait disparu rapidement sinon brusquement, qua
mais encore de dysesthésie (Wood, l'etrina, etc. [1]), et aussi de
sensations
subjectives douloureuses comme Von Bechtereid en
rtificielle. ' Cet état morbide, dit-il, est constitué par de vives
sensations
prurigi- neuses, s'exagérant par accès dans les
tes ou croûteuses, traces de grattage. Si on l'interrogeait sur ses
sensations
il répétait constamment « non ». On ne peut pas s
a été décelée au moyen d'une épingle à pointe acérée pour éviter la
sensation
de tact que donnent les eslhésio- . mètres. La
éviter la sensation de tact que donnent les eslhésio- . mètres. La
sensation
tactile a été éprouvée à l'aide d'un tampon d'oua
u par son seul poids : on évite par ces moyens les erreurs dues aux
sensations
thermiques que donnent souvent les doigts, et a
ls d'un pinceau. - Il importe enfin de tenir compte d'une part, des
sensations
plus exquises que donnent les contacts dans les
les différents phénomènes étudiés sous les noms de métamorphose des
sensations
, contradiction dans les locali- sations, rappel
des sensations, contradiction dans les locali- sations, rappel des
sensations
, troubles du nombre de perceptions par rapport à
s en planches lithographiques où l'on trouve superposées les quatre
sensations
avec leurs différents degrés. (Voir Pl . LUI.)
raphie des lrouhles sensitifs dans le tabès ; ses rapports avec les
sensations
des tabétiques (Sem. méd., 13 octobre 1891, n° 41
ant, le chaud est perçu comme froid et inverse- ment ; la véritable
sensation
ne s'établit qu'à la longue. Au pied et à la che-
tombée de la nuit ; elles amènent de l'insomnie, elles laissent des
sensations
douloureuses sur leur trajet. Un an plus tard,
eure. - Anesthésie depuis les pieds jusqu'à la région sa- crée ; la
sensation
tactile est toutefois conservée sur une bande lar
e est devenue impossible, surtout dans l'obscurité, par suite d'une
sensation
de fourmillement dans les pieds, accompagnée de p
nsation de fourmillement dans les pieds, accompagnée de perte de sa
sensation
du contact avec le sol. Il y a trois ans, étaie
u talon sont abolis. La recherche du réflexe plantaire provoque une
sensation
de brûlure sans donner de mouvements bien nets de
s. La malade éprouve dans les doigts, surtout à la main gauche, une
sensation
d'engourdissement. La région lombaire est vag
Résistance aux mouvements passifs relativement conservée à droite.
Sensation
spontanée de fourmillements dans toute l'étendue
toral. Abolition du réflexe rotulien ; pas de fourmillement, pas de
sensations
sub- jectives anormales. Après électrisation
tendons des fléchisseurs contracturés. Sensibilité intacte ; pas de
sensation
subjective ; se plaint de respirer diffici- lem
frotte très nettement contre la cavité glénoï- dienne en donnant la
sensation
de contact de deux surfaces rugueuses ; elle est
rrière, entraîné par le corps, qui, dit-il, a un poids énorme. Même
sensation
subjective de poids pendant la marche. Le mal
ne de déglutition ; quelques trou- bles gastriques sans importance;
sensation
de pesanteur. Pas de dilatation de l'estomac ;
ale bilatérale. Le foie et la rate ne sont pas augmentés de volume;
sensation
de soif continue. Appareil génito-1t1'inaire.
ie guérit rapidement, mais au bout de quelques jours il éprouva une
sensation
de faiblesse dans le membre inférieur; bientôt
moins vives ; elle ressent dans les seins, le gauche sur- tout, des
sensations
de fourmillement, d'arrachement que calme la comp
face interne des cuisses et aux fesses. A la plante des pieds, la
sensation
de chaleur est perçue avec un retard de 3". Obs
travers de doigt au-dessus de l'om- bilic, à gauche la perte de la
sensation
tactile remonte jusqu'à l'aisselle ; une bande
té dans la zone d'anesthésie crânienne où il y a di- minution de la
sensation
thermique. B. Face postérieure. - Hypoesthésie
depuis la ligne axillaire jusqu'à la ceinture ; le froid y doune la
sensation
de chaleur. * Observation VIII. . Desm... (An
, depuis le coude jusqu'à l'extrémité des deux derniers doigts. Ces
sensations
se retrouvent à l'épigastre et à la région mamm
es nerfs cubitaux. Aux autres parties du corps, excepté la tète, la
sensation
du froid est plus intense que normalement. B.
descendant aussi le long des bras. Aux autres parties du corps, les
sensations
thermiques sont perçues plus fortement q i il'é
dème dur des jambes et des pieds, plus marqué à droite, donnant la-
sensation
du lipome ou du myxoedème, la peau conservant sa
dème névro- pathique, lequel est blanc, brillant, indolore, sauf la
sensation
de disten- sion des téguments qu'il provoque so
raison de son métier..1 Page de 18 ans, il commença à ressentir des
sensations
de fourmillement et de faiblesse dans la main gau
langes. Pas de douleur spontanée ni provoquée par la pression, mais
sensation
permanente de froid sans phé- nomène de l'onglé
es jours, généralement de 7 à S heures du soir. L'aura débute par une
sensation
pénîhle nu creux épïgnslrique. le regard devient
'une expression empruntée an langage philosophique. à transformer une
sensation
non peinte en a/Krception. Cela est tellement vra
inuée, continue encore, avec confusion, a présider à la réception des
sensations
et au remuement des idées, coin nie avant la form
les autres prenant simplement naissance au pôle d'activité, dans les
sensations
internes et externes et ilans les maltu-iaiix «le
ement dans la rue. Fut prise d'une crise d'angoisse accompagnée d'une
sensation
d'étouffement, de constriction à l'épignstre avec
nt se trouver dans une foule, évite les fêtes publiques à cause-de la
sensation
qu'elle éprouve d'y être enfermée. Les crises d'a
: se roule à terre, jette tout ce qui est a sa portée, éloufiemcuts :
sensation
de brulùre. pleurs ou rires. Durée 4 h. Depuis
s perceptifs et plus mouvementés. Ces faits de réception latente de
sensations
an pôle actif île la pensée dissociée, chez les d
e idée toute existante qu'elle est. On sait, depuis longtemps, qu'une
sensation
n'est perçue au cerveau qu'autant qu'elle est dis
ur les idées dominantes que je viens île signaler, idées qui sont des
sensations
transformées rt fixées dans l'esprit ; elles rest
ion, retrouver dans les tissus innervés par le grand sympathique, des
sensations
el des perceptions internes qui leur étaient rest
que des physiologistes ont autrefois donné le nom de tact général aux
sensations
perçues au cerveau, dont les unes correspondent,
na-gogique. dont l'origine est toujours sensorielle. Quatre fois, une
sensation
de sécheresse à la bouche ou des besoins mal sati
un vol agréable dans l'air, etc. A l'exception de ces quelques cas de
sensations
perçues dans le sommeil, et du besoin d'uriner qu
logiques et marquées du sceau de la raison. En dehors des quelques
sensations
dont j'ai parlé plus haut, et qui y ont été des é
observations ; je dois dire qu'à l'exception de ces quelques laits de
sensations
vraies, j'ai puisé cent trente-deux fois, pour la
avantage sensorielles que les miennes : c'est-à-dire des rêves où les
sensations
vraies ne se soient entre mêlées,en plus forte pr
le sommeil en voie de formation et pendant sa durée, des rêves où les
sensations
réelles se mêlent aux images sensibles remémorées
d'activité de l'esprit, s'y font aussi accompagner même de nombreuses
sensations
puisées par les dormeurs, autour d'eux et à leur
u moment de la formation et de la continuation de leurs rêves. Et ces
sensations
, ils les doivent certainement ajouter, comme je l
sentant transporté mollement en l'air, illusionné que j'étais par la
sensation
des mouvements delà! paillasse elastique de mon l
avec impudeur. Les mana-uvres de l'onanisme semblent lui procurer des
sensations
très voluptueuses. La nuit, quand elle s'est touc
as plus à un autre qu'à moi. de sortir du cercle rétréci des quelques
sensations
et idées récentes que l'on a prises autour de soi
été les représentations que je me suis faites des sons et des autres
sensations
. Ainsi, des détonations que j'entendais, voyant m
es paroles concernant les idées abstraites et non représentatives des
sensations
. A ce que je viens d'écrire, il y a eu cependan
é de la pensée, sont, chez moi, en petite partie : soit les cflets de
sensations
perçues en ¦n'endormant ou pendant le sommeil : s
auf des proportions différentes dans l'intensité et le nombre des
sensations
perçues et des souvenirs remémorés, ces rêves doi
eur réalité, les rêves du sommeil léger sont des liaisons bizarres de
sensations
perçues et principalement d'idées remémorées, don
ossibilité où sont ceux qui dorment de faire effort pour associer ces
sensations
et ces idées selon leurs rapports naturels, cl le
u repos, de s'éveiller au moment désiré : bref, c'est tout ce qui est
sensation
, émotion, idée et qui a la propriété de rappeler
à crier et me pria d'arrêter. Il m'assura qu'il en avait ressenti une
sensation
si désagréable qu'il ne voudrait, pour tout l'or
ystériques : anesthésie parfaite des globes oculaires et dit pharynx,
sensation
de boule hystérique..., mais elle n'a jamais eu d
rte douleur; je vous pique : et sans toucher la malade j'ai obtenu la
sensation
de la douleur: après j'ai dit au sujet : je vais
s-sanl la liste de leurs souffrances e| s'attardaiit u la lecture des
sensations
olwetlantes qu'ils ont méticuleusement analvsées
xiste aussi des troubles de la sensibilité qui se manifestent par des
sensations
bizarres : fourmillements, picotements, douleurs
millements, picotements, douleurs erratiques dans les membres. El une
sensation
de fatigue, de courbature générale 'amyosthénie)
ie biologique : M. Labortle. professeur, le mercredi à 4 heures : Les
Sensations
et les organes des sens. Cours d'anthropologie
ions relevant essentiellement du domaine de la vue, provoques par des
sensations
ou idées quelconques, en dehors au moins en appar
elques lignes sont consacrées aux phénomènes de synes-thésîes, où les
sensations
évocatrices et celles qui sont évoquées appartien
C est ainsi que, chez quelques personnes, certains mots éveillent des
sensations
olfactives ; chez d'autres, une impression gustat
nes non encore observés. M. Flournov «'occupe ensuite des cas où la
sensation
visuelle s'organise en une figure, en un symbole,
, notamment dans les cas où. à la faveur d'une forte impression, deux
sensations
se sont unies d'une façon presque indissoluble. T
sympathique qui est en cause. Voici comment l'auteur l'explique. Une
sensation
quelconque, par exemple, l'audition d'un bruit, é
ns plus ou moins conscience.et qui est la tonalité affective de cette
sensation
. En d'autres termes, une sensation, une idée est
est la tonalité affective de cette sensation. En d'autres termes, une
sensation
, une idée est toujours accompagnée d'un certain é
on, dont l'ensemble est la condition d'une émotion. De même que toute
sensation
éveille un état émotionnel particulier, de même e
-dire chaque phénomène est capable de produire l'autre. En outre, une
sensation
différente, mais ayant la même réaction émotionne
uer, par l'intermédiaire de ces modifications organiques, la première
sensation
qui les accompagne d'habitude. Celte dernière thé
celle-ci perçoit, exactement dans le point visé par l'instrument, une
sensation
«le fourmillement et de pesanteur bien accusée. Q
lement et de pesanteur bien accusée. Quand on a obtenu cette première
sensation
en laissant pendant quelques secondes l'instrumen
duquel on aura arrêté l'Instrument. « La distance it laquelle cette
sensation
peut-être perçue, de même que l'étendue de la sur
grande exaclitode. Cette visualité est tellement prédominante que les
sensations
auditives, un peu intenses, se transforment imméd
ives, un peu intenses, se transforment immédiatement chez ce sujet en
sensations
colorées. Il a aussi imaginé des procédés de simp
juillet). Tabcowla. — Trouble de la sensibilité sc produisant par une
sensation
de sable du côté malade dans un cas d'hérai-cho
connaissons directement que la succession de nos états de conscience.
Sensation
, motifs divers, délibération, choix et décision,
s et actes sans conscience, pouvoir moteur des images, conditions des
sensations
, temps de réaction, conditions d'apparition et de
tion de savoir quel est le siège île lu conscience qui accompagne les
sensations
et les déterminations motrices. « Y a-t-il, dit M
ont le résultat de la sensibilité musculaire el. à ce titre, sont des
sensations
de mouvement plutôt que des mouvements proprement
z la douleur ». s'il piquait le verre sans bruit, il ifv irait aucune
sensation
, s'il louchait le verre en produisant un son, hs
gration est suivie rapidement d'une réintégration parfaite, alors les
sensations
sont vives cl nombreuses; il y a des délibération
affaiblie romrae pour les étals de conscience qui la précèdent. I-es
sensations
sonl faibles, les images éveillées dans le proces
sus psychiques, depuis les plus simples jusqu'aux plus complexes.
Sensations
, idées, associations, réflexion, attention, mémoi
ans sa comptabilité. Tant qu'il est à son bureau, il n'éprouve aucune
sensation
pénible, mais lorsqu'il s'agit pour lui de traver
. Comme on s'est moqué de lui chaque fois qu'il s'est plaint de ces
sensations
, ¡1 y a longtemps qu'il u en parle plus à personn
n de fer. soit à une certaine distance de chez, lui, il éprouvait une
sensation
d'anxiété assez pénible, l'n jour, étant arrivé à
nible, l'n jour, étant arrivé à une centaine de pas de sa demeure, la
sensation
d'anxiété fut si forte qu'il se trouva dans l'imp
st difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation mentale des
sensations
normales et qui ne sont accompagnées ni de dépres
ifs déterminants. Il a fait un acte volontaire aussi bien qu'il a des
sensations
, aussi bien qu'il a des motifs, aussi bien qu'il
voque un léger bruit ou déplace un courant d'air dont le sujet ail la
sensation
, on peut le faire reculer ou avancer, sans qu'on
fférentes parties de leurs corps sans qu'elles manifestent la moindre
sensation
. Ces expériences n'ont en elles-mêmes rien d'extr
ns de la veille surgissent pendant l'hypnose, et réciproquement : les
sensations
vraies et suggérées se confondaient : la malade n
l'idée que je veux suggérer, disparition d'une douleur, d'un spasme,
sensation
de chaleur, etc. Ainsi pratiquée, la suggesti
eil se plaignent de céphalalgie, de vertiges, de lourdeur de tète, de
sensations
diverses; il en est qui ont des crises de nerfs.
nsité des impulsions que celui-ci envoie aux nerfs moteurs. Certaines
sensations
ont une action dépressive et inhibitive sur les m
x qui agissent sur eux d'une façon dynamogène et éveillent en eux des
sensations
agréables ». Va donc pour les amateurs de rouge
excitation particulière et qui montrent une prédominance maladive des
sensations
de l'odorat. M. Xordau est plein d'horreur en p
assommantes, véritables mémoires écrits sans ordre, au caprice de ses
sensations
, mais auxquels il attribue une importance capital
llionième puissance ; leur force de résistance aux impressions et aux
sensations
morales et physiques, est si faible qu'ils sont f
nt profond qu'il détermine une réelle aneslhésic du col vésical. La
sensation
vésicale est donc insuffisante pour le réveiller;
eur complexité revêtent les modes les plus divers dans les faits de :
sensation
, perception, mémoire, imagination, raisonnement,
tômes passagers, mais qui avec le temps se consolident et donnent des
sensations
et des souffrances au nosophobe. comme s'il était
avec le doigt et la piqûre à l'épingle, le pincement, éveillent les
sensations
normales. La pression sur les masses musculaire
ux. Sur la face antérieure de la cuisse et de la jambe droite, la
sensation
du toucher existe ; mais le pincement de la peau
st pas douloureuse, sur la face dorsale du pied, la piqûre donne la
sensation
du toucher; anesthésie et analgésie à la face p
embre inférieur gauche le pincement et la piqûre donnent une simple
sensation
d'attouchement; cependant la piqûre est perçue
e. L'application d'un corps froid aux membres supérieurs donne la
sensation
normale,; sur le thorax et l'abdomen le froid e
sur le thorax et l'abdomen le froid et la chaleur ne donnent pas la
sensation
thermique, mais le malade accuse une piqûre trè
ccuse une piqûre très douloureuse. Sur la verge, le froid donne une
sensation
de chaud ; sur la cuisse gauche une sensation d
e, le froid donne une sensation de chaud ; sur la cuisse gauche une
sensation
de froid. La perception des tem- pératures est
r obtuse à la plante des pieds ; la pointe de l'épingle y donne une
sensation
de chatouillement. Miction et défécation involo
vives quand on passe le bassin sous les cuisses, mais il n'a pas la
sensation
du froid. Urine neutre, les dernières portions
ésie a notablement diminué au thorax, la piqûre n'y provoque que la
sensation
à peu près normale, mais l'application d'un cor
faiblemeut. Le froid est bien perçu à l'abdomen et aux cuisses, la
sensation
y est encore un peu douloureuse. Aux jambes, le
t encore un peu douloureuse. Aux jambes, le froid ne donne que la
sensation
du toucher. Secousses dans les membres inférieu
plète de l'hyperesthésie cutanée, Encore quelques troubles dans les
sensations
thermiques ; un corps chaud appliqué sur le côt
s ; un corps chaud appliqué sur le côté droit du thorax donne une
sensation
de froid. Un corps chaud ou froid ne donne, à la
corps chaud ou froid ne donne, à la face externe des jambes, qu'une
sensation
de toucher. Il perçoit encore confusément la pi
oquent des douleurs dans le bassin et au haut des cuisses, avec une
sensation
très grande de pesanteur. Le talon droit est,
loureux dans le bras droit quand il essaie de soulever la jambe. La
sensation
de cercle douloureux existe, aujourd'hui, au mi
pplication du froid à la cuisse gauche et à l'abdomen pro- duit une
sensation
douloureuse; elle n'est pas perçue à la 12 1-)
uisses et sur l'abdomen; les corps chauds ne provoquent pas la même
sensation
pénible. Température du matin, 38°; du soir, 38
l'appétit. Les urines sont acides, fortement colorées. 72° jour.
Sensation
de chaleur très pénible dans les par- ties infé
à six jours un gramme d'iodure de potassium et il croit que cette
sensation
de chaleur, qui existait du reste déjà auparavant
bres. 98° jour. Nouvel accès de fièvre avec frissons répétés ; la
sensation
de cercle autour du bassin n'existe plus. Tempéra
domen et la poitrine détermine de la dou- leur en même temps que la
sensation
du froid est perçue. Température du matin et du
soulever ses jambes, les mouvements passifs y sont très douloureux.
Sensation
de chaleur brûlante à la peau sur toute la surf
e du corps. L'injection d'un liquide dans l'esto- mac détermine une
sensation
de froid pénible au creux épigas- trique, et un
r. Diminution des douleurs et disparition à peu près complète de la
sensation
de chaleur à la peau. Tempéra- ture du matin, 3
rature du soir, 2°,8. 129° jour. Frissons à six heures du matin. La
sensation
de chaleur vive dans la cavité abdominale a fai
tion de chaleur vive dans la cavité abdominale a fait place à une
sensation
de froid. Température du matin, 40°. Le soir, l'a
embres supé- rieurs. Il accuse, à la face postérieure du tronc, une
sensation
de froid humide comme s'il était plongé dans de
d'un frisson avec tremblement violent des membres ; il accuse la
sensation
d'un froid intense. La température est à 38°,9.
rée. Le malade, qui est très intelligent et analyse très bien ses
sensations
, n'a pas remarqué qu'un bruit soudain, une surpri
iques ; traité sans succès par la valériane et l'atropine. Aura : :
sensation
de piqûre dans la région dorsale. Vésicatoire au
nnue; traitée sans succès par la valériane, l'atropine, etc. Aura :
Sensation
de chatouillement le long de la colonne vertébr
ce de perle de connaissance. Comme prodromele ma- lade accusait une
sensation
de chaleur qui lui montait à la tête, parfois p
chaque jour, durant six jours, deux ou trois accès débutant par une
sensation
de pression montant de l'abdomen, suivis de l'a
e suffisant d'appareils terminaux pour que les centres analysent la
sensation
et distinguent entre l'intensité de l'excitatio
r et un minimum de sensibilité. Lorsqu'en effet, pour apprécier une
sensation
cutanée, on est obligé d'augmenter la force d'un
ioste sous-jacent se mettant de la partie. Quant au caractère de la
sensation
, la piqûre d'aiguille qui ré- sulte de l'excita
et lorsqu'on pressait un peu à ce niveau la malade éprouvait une
sensation
pénible toute spéciale, il lui semblait qu'elle a
arriver à rendre le sommeil aux psychopathes, à les débarrasser des
sensations
pénibles intra ou extra-céphaliques qui ifs tour-
tifs non motivés; tout aliment 96 SOCIÉTÉS SAVANTES. provoque une
sensation
de plénitude pénible, ayant son siège à la régi
yspepsie proprement dite, mais à des phénomènes psychiques et à des
sensations
anormales. M. Sciiuele ne partage pas l'avis de
même de sa construction, imprimer un progrès à la connaissance des
sensations
tactiles. 101 SOCIÉTÉS SAVANTES. On parvient
n disposera les choses de telle sorte que l'on puisse exclure toute
sensation
thermique), la durée de l'expérience. Dans ces
s d'avec la normale, la barre la plus rugueuse ne provoqua pas de
sensation
de rudesse. Chez d'autres malades ne révélant pas
un patient qui a appris à annihiler son innervation volontaire, la
sensation
d'une résistance exagérée, et quand cette résis
ion minima, et que c'est à peine s'il existe de différence entre la
sensation
de résistance qu'on perçoit chez un individu sain
forme dont on fait mouvoir les membres (ab- sence de tonus), et les
sensations
de résistance qu'on perçoit chez le même sujet,
265. - SOCIÉTÉS SAVANTES. 123 M. Snh : LL prend la parole sur les
sensations
pathologiques en tant que symptômes de perturba
pathologiques en tant que symptômes de perturbations mentales. Les
sensations
patho- logiques, jadis peu remarquée;, ont été,
elu (Dysphrénie névralgique), après avoir observé, en clinique, les
sensations
pathologiques, arrive à ce résultat que le grou
tat que le groupe des perturba- tions mentales, dans lesquelles les
sensations
pathologiques constituent une partie fondamenta
dont la genèse ne dérive pas d'une lésion encéphalique directe. Les
sensations
pathologiques relèvent du vaste domaine des hal
e devenait trop épaisse et trop longue. La malade, attribuant cette
sensation
à ce qu'elle a trop mangé s'abstient dès lors l
ien qu'elles soient saines; on les arrache sans résultats. Mais les
sensations
pathologiques les plus fréquentes sont celles q
lame d'acier, serpents, grenouilles, démonomanie intra- somatique).
Sensations
pathologiques des organes sexuels, plus fréquen
ns. La colonne vertébrale est bien moins fréquemment hantée par les
sensations
pathologiques; elles n'y sont pas non plus auss
aractère de toitures (douleurs, machines). A la tête, on accuse des
sensations
de tension, pression, plénitude, vide, constric
'eau chaude ou dans l'eau froide inondé de vermine. Périodicité des
sensations
pathologiques et quant à leur force (exaspérati
u de dépression (deux cas); souvent, dans ces entités morbides, une
sensation
de douleur et de pesanteur dans les membres emp
sidence, événements imprévus), on arrive quelquefois à modifier les
sensations
pathologiques, voire à les supprimer pour un te
s (un exemple de persécuté en 1818). Chez maints mélancoliques, les
sensations
pathologiques disparaissent le soir, l'humeur d
entales. Discussion : M. Hasse. Tous les persécutés éprouvent des
sensations
patholo- giques. Elles sont fréquentes chez les
M. ENGELKEN connaît depuis douze ans un chiffonnier qui éprouve des
sensations
pathologiques abdominales. Des magiciens lui so
se place sur le SOCIÉTÉS SAVANTES. 125 ventre pour échapper à ces
sensations
désagréables, et aussitôt les magiciens se fauf
plus haute classe. Tout effort somatique ou psychique engendre les
sensations
pathologiques les plus violentes dans la tête,
perte de connaissance, elle éprouvait dans la poitrine une forte
sensation
d'oppression qui l'étouffait et qu'elle traduisai
sens du toucher (sens de la température, impression douloureuse,
sensation
de contact, sens de la place, sens de la pesanteu
pense qu'il y a lieu d'établir une distinction for- melle entre la
sensation
de frôlement et celle de pression et aussi entr
a peau, d'autre part par l'action mus- culaire ; la délicatesse des
sensations
de frôlement et de piqûre peut se montrer diffé
ns sans cause appréciable, sans qu'il puisse rendre compte d'aucune
sensation
prémonitoire qui puisse ressembler à une aura;
it sur les images, et aussi une araignée énorme ; il a en outre une
sensation
de chute dans un précipice. Pas d'hallucination
r le réflexe crémastérien est affaibli ou nul dans la région où les
sensations
sont émoussées ou abolies. Presque toujours, quan
latiniforme et bosselé. La paroi du kyste (celui-ci vidé) donne une
sensation
pseudo-cartilagineuse. Les bosselures rappellen
e chromatique aussi bien, et même d'une manière plus intense que la
sensation
réelle de la couleur. Si, par exemple, on prése
moitiés l'hallucination du rouge, elle accuse sur l'autre moitié la
sensation
du vert complémentaire. Or c'est précisément ce
n regarde fixement un carton moitié blanc et moitié rouge. 3, Les
sensations
subjectives. Toute hallucination d'une couleur
ur qui dure un certain temps laisse après elle, comme le fait une
sensation
de la même couleur, une sensation consécutive de
sse après elle, comme le fait une sensation de la même couleur, une
sensation
consécutive de couleur complémentaire. Ce phéno
idée persistante d'une couleur complémentaire, comme si c'était une
sensation
réelle (Wundt) brillante, développe une image con
r. Ces faits nous montrent le rapport étroit de parenté qui unit la
sensation
, l'hallucination et le souvenir. 4° Mélange des
heures au maximum) ou nocturnes (novembre); malaise très prononcé ;
sensation
de piqûres dans le côté gauche et vomisse- ment
tobre 1881, il res- sent soudain, en procédant à ses semailles, une
sensation
d'en- gourdissement avec formications.sur toute
nt derrière elles des ulcérations difficiles à guérir. Actuellement
sensation
de «brûlure froide dans les deux extrémités sup
pide (des troubles mentaux dans la), par Charpentier. 275, 395.
Sensations
pathologiques dans les psychoses, 123. Sensib
it/en un ordre déterminé par l'expérience du froid et du chaud ; la
sensation
cutanée du froid éveille l'idée que l'eau se co
chique et l'interprétation fausse, allégorique et imaginaire . des
sensations
éprouvées colore défavorablement la nature des
Elles ont pour origine les changements d'état de la conscience, les
sensations
morbides, et correspondent à l'état d'esprit et
m- pagne d'une modalité sentimentale unicolore qui détonne sur la
sensation
indifférente, produite par l'idéation nor- male
l'obsession par névralgie ou toute autre 22 '2 clinique mentale.
sensation
physique d'organes. Invariablement elle arrive
p de tonnerre ; mais le sentiment douloureux, parfois accompagné de
sensations
névralgiques, qu'elle éveille, la fait triomphe
s de coeur, accélération du pouls, douleurs précordiales, et autres
sensations
pénibles. Retour incessant des accès d'obsessio
ire, de les trouver exagérés ; demandez alors s'il n'existe pas une
sensation
anormale de lassitude après une station debout un
n bassin, qu'il roulait dans l'eau, qu'il passait dans des tuyaux ;
sensations
de chutes. Pendant plusieurs jours, il éprouva
mais rappelant aussi par bien des côtés le délire des dégé- nérés :
sensation
de vide cérébral, fatigue intellectuelle rapide,
tout ce qu'il y a de vrai dans la doc- trine de la spécificité des
sensations
, considèrent comme histolo- giquement fondée l
extérieur, recueillie par les sens, est projetée et transformée en
sensation
. » Jules Souri. Archives, 2' série, t. VIII.
inairement en érection ? '1 M. Magnan. Celui-ci ne recherche aucune
sensation
tandis que les autres sont des trotteurs. L'idé
s optiques jusqu'au centre visuel cortical. Là s'est pro- duite une
sensation
consciente : la vision d'une lumière à ma droit
aient plus être déter- minés que par une impression rétinienne. Les
sensations
venues d'ailleurs, l'excitation transmise par l
voyons que le début se marque plusieurs fois par du malaise, des ,
sensations
de vertige et de fatigue. Le malade de l'observa-
la malade marche devant elle, la physionomie inquiète et avec une
sensation
de malaise et de fatigue. Dans d'autres cas, ap
e, sans perte de connaissance, sans paralysie, avec seulement une
sensation
de faiblesse ; ou bien encore il présente une c
iforme nous parait être Je repos. Nous perdons même rapide- ment la
sensation
de ce mouvement circulaire accéléré, tandis que
ent la sensation de ce mouvement circulaire accéléré, tandis que la
sensation
de la position du corps par rapport à la vertical
iste. C'est que, dit Mach, les canaux semi circulaires servent à la
sensation
de la rotation de translation tandis que l'utricu
s. Émaciation, disparition de la force musculaire. Conservation des
sensations
des mouvements totaux passifs accompagnés de ny
rrêt, se produit le vertige- de rotation ordinaire, c'est-à-dire la
sensation
opposée au mouvement de rotation du début. Cons
moteur commun, le droit interne de l'oeil gauche est seul paralysé.
Sensation
auditive abolie des deux côtés, qu'il s'agisse de
vernalis, renforcé par trois séances de suggestion hypnotique. Les
sensations
anales anormales et la dépression qu'il accuse so
n ; du côté de la sphère psychique, certaine inquiétude, loquacité,
sensation
de goût et d'odeur désagréables, incohérence d'
ontractures. OBSERVATIONS D'HÉMIPLÉGIE AVEC HÉ\fl.ANESTHÉSIE. 279
sensation
douloureuse ou non. Même analgésie pour le thorax
ent les précautions prises. La piqûre fait éprouver à la malade une
sensation
douloureuse ; quelques secondes après, l'anesth
rvalle, parfois même, elle rapporte au membre infé- rieur droit les
sensations
qui ont pour origine une excitation périphériqu
membre inférieur sain ; mais il ne semble pas que M... perçoive de
sensation
dou- loureuse, car, si l'on pique le membre gau
quante-deux ans, éprouvant la - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 307
sensation
d'un courant d'air glacé sur la cuisse pendant le
sibilités étant normales d'ailleurs, sauf une hyperesthésie pour la
sensation
de froid. L'auteur fait à cette occasion une re
re héréditaire, aucun stigmate hystérique, le mutisme, les diverses
sensations
qu'elle éprouve, et tout son air, indiquent l'h
glande thyroïde, une tachycardie, un tremblement généralisé et une
sensation
de chaleur dans tout le corps. L'intérêt de cette
a voix intérieure se fait percevoir, accusent des mouve- ments, des
sensations
spéciales. Ces mouvements sont géné- ralement l
MOTRICES VERBALES. 389 les lèvres. Rien de singulier à ce fait. Ces
sensations
tactiles et musculaires ne sont que les résidus
articulation des mots provoque. Mais il faut aussi tenir compte des
sensations
kinesthé- siques variées localisées au larynx,
atoires. C'est qu'en effet au cours de l'articulation des mots, les
sensations
tactiles et musculaires de la langue et des lèv
propager en ligne droite vers le triangle de Scarpa. Bientôt cette
sensation
pénible se transforme en une véritable brûlure
ant de l'arcade de Fallope à la partie moyenne de la cuisse ; cette
sensation
de brûlure s'accompagne de douleurs térébrantes
: douleur précordiale, palpitations, tachycardie, éblouissements et
sensation
de congestion céphalique, augmenta- lion brusqu
1 mark 30, celui d'éther 1 mark (1 fr. 25) et il provoque, avec une
sensation
de chaleur plus rapide, une ivresse plus agréab
la question sur son vrai terrain tendaient à placer l'ori- gine des
sensations
en question, non point dans les muscles, au moi
iqua plus à un sens spécial, mais à une modalité particu- lière des
sensations
tactiles. C'est Schiff qui émit le premier cette
noms plus en rapport avec les idées nou- velles. L'expression de «
sensations
kinesthésiques Cl rée par Charlton Bastian est
s à lui adresser ne savent pas s'en passer ». La classification des
sensations
élémentaires, dont l'ensemble constitue le sens
;, admettait quatre notions élé- mentaires ou quatre modalités des
sensations
musculaires 6. C'étaient : 1° La notion des mou
x, 1891. ° Nous ne comprenons dans l'étude du sens musculaire ni la
sensation
pioduite par la pression des muscles, ni la sen
culaire ni la sensation pioduite par la pression des muscles, ni la
sensation
de courbature qui se produit au niveau des musc
mouvements passifs, la notion de position, la force musculaire, la
sensation
de pression avec des poids différents, le sens
des poids sou- pesés ressoit seule au sens musculaire tandis que la
sensation
de pression avec différents poids ressort à la
perception des déplacements successifs. Outre que pour expliquer la
sensation
du mouvement actif et la ramener à la sensation
e pour expliquer la sensation du mouvement actif et la ramener à la
sensation
des attitudes successives Cherchewski est oblig
t compte de la position où ce déplacement l'avait amené. Puisque la
sensation
^brute de mouvement passif peut exister sans que
mbre soit elle-même perçue, il parait bien diflicile de faire de la
sensation
de mouvement la résultante de sensations de pos
en diflicile de faire de la sensation de mouvement la résultante de
sensations
de position qui en l'espèce ne se pro- duisent
ns élémentaires que nous avons énumérées, entre elles et avec les
sensations
d'autre nature. Pour lui, la sensation de posit
, entre elles et avec les sensations d'autre nature. Pour lui, la
sensation
de position des membres, la plus facile à explo
membres, la plus facile à explorer cliniquement n'est pas due à une
sensation
primitive irré- ductible. Une position donnée d
nière générale, cette explication ne saurait être généralisée. La
sensation
de mouvement passif est un élément irréductible
ent passif est un élément irréductible qui précède dans le temps la
sensation
de position et de direction. Et ici- se place d
ntes, car elle a pour objet l'étude des organes d'où provient cette
sensation
simple. Trois sortes d'organes sont àcon- sidér
e qu'elle soit, est im- puissante à nous révéler autre chose qu'une
sensation
de mouve- ment ; elle ne peut en déterminer les
er les sources. Wundt a dit à ce propos : « L'analyse de toutes ces
sensations
est particulièrement difficile car c'est leur a
tués à rapporter aux mouvements des parties de notre corps. Chaque
sensation
élémentaire n'ayant de signification qu'en tant
s, malgré l'e f SENS MUSCULAIRE. 465 fort du biceps on n'a aucune
sensation
de mouvement, il croit pou- voir établir que le
a aucune sensation de mouvement, il croit pou- voir établir que les
sensations
musculaires proprement dites n'in- terviennent
es réserves au sujet de cette expérience, Clapa- rède admet que les
sensations
de mouvement proviennent pour la plus grande pa
ez lui un juste éclectisme, car tout en admettant la suprématie des
sensations
articulaires il se refuse à dénier toute partic
nsations articulaires il se refuse à dénier toute participation aux
sensations
musculaires proprement dites. Dans la product
de la notion du mouvement actif il faut faire intervenir les mêmes
sensations
, mais avec quelque chose de plus. A la suite de
beaucoup d'auteurs avaient été amenés à admettre l'existence d'une
sensation
spéciale accompa- gnant l'influx nerveux volont
même en qui elle se personnifiait parmi les contemporains admet les
sensations
mus- culaires périphériques et ne fait interven
les sensations mus- culaires périphériques et ne fait intervenir la
sensation
centrale et d'activité cérébrale qu'à l'occasio
uvements actifs =. Cherchewski a repris la même idée et pour lui la
sensation
du mouvement actif est constituée par l'associa
sensation du mouvement actif est constituée par l'association de la
sensation
d'innervation d'origine centrale avec la sensat
ssociation de la sensation d'innervation d'origine centrale avec la
sensation
des attitudes segmentaires. Claparède se refuse
on des attitudes segmentaires. Claparède se refuse à admettre cette
sensation
d'in- nervation et il montre le mal fondé des e
s qui prétendent prouver l'origine centrale du sens musculaire. Les
sensations
illu- soires des amputés, ou Weir Abitchell ava
paraissaient par la cocaïnisation du moignon. En l'absence de cette
sensation
d'innervation c'est l'existence de la représent
er et Wundt avaient cru devoir forger une théorie spéciale. » Les
sensations
fournies par les organes périphériques sont de
lus différentes dans le mouvement actif et le mouvement passif; les
sensations
musculaires et articulaires sont plus vives dans
des positions successives en- gendrées par ce mouvement même. La
sensation
ou notion de résistance que Beaunis, partisan con
le cas où un mouvement actif rencontre.une certaine résistance les
sensations
musculaires et articulaires qui donnent lieu à
ce les sensations musculaires et articulaires qui donnent lieu à la
sensation
primitive de mouvement acquièrent une inten- si
n primitive de mouvement acquièrent une inten- sité anormale; 2° La
sensation
kinesthésique qui a coutume d'être associée à c
intervient également, mais elle peut être considérée ici comme une
sensation
de peu d'impor- tance relativement à celles qui
ette notion de résistance. Dans le cas d'effort, il y a en plus des
sensations
habituelles qui indiquent la résistance, une sé
ues mots les idées de Claparède. Il n'y a en somme pour lui que des
sensations
de mouvement, éléments psychologiquement irrédu
hy- siologiquement analysables, et dans la formation desquels les
sensations
musculaires proprement dites entrent pour une lar
soit de variations' quali- SENS MUSCULAIRE. 467 Î tatives de ces
sensations
de mouvement, soit de leur association avec d'a
mbreux côtés son travail réalise un progrès sensible. Le rôle des
sensations
musculaires proprement dites avait en effet été
ement. Pour notre part nous pensons que si dans la production de la
sensation
brute de mouvement le principal rôle est dévolu
it à ce propos : « La contraction d'un muscle est accompagnée d'une
sensation
toute particulière qui fait apprécier exactemen
s élevée est seule- ment le fait d'une variation quantitative de la
sensation
et que la notion de désaccord entre les associa
mentale, sans un jugement. Or il nous parait que dans le fait de la
sensation
de résistance, aucun jugement n'intervient si,
t seulement nécessaire quand il s'agit de comparer entre elles deux
sensations
de résistance données, comme par exemple dans l
ée. Mais cette image motrice ne peut être elle-même qu'un résidu de
sensations
musculaires antérieurement perçues. Or, ' .1. P
ience, d'une représentation mentale et ce que les auteurs appellent
sensation
d'innervation, entendant par là la sen- sation
ne lui offre aucune résistance sous les pieds et lui donne la même
sensation
que du sable. Eugène X... éprouve des engourdisse
quels rien ne fait, l'anurique devient hypochondriaque, éprouve des
sensations
pénibles dans le périnée, ne pense qu'a sa vessie
Quatre semaines plus tard, dans la même région, diminution de la
sensation
de contact ; le patient sent et localise une fort
a pérityphlite, avoir REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 499 perçu une
sensation
de velu au milieu de la même région ; depuis il
; des paresthésies de la moitié gauche de la face (engourdissement,
sensation
de peau adhérente) ; une diminution de la sensi
; enfin, au bout de quelques jours, parésie de la jambe gauche avec
sensation
de froid et fourmillements. 11 existe de la dou
l'ombre. Quatorze jours avant l'admission, il existe peu de fièvre,
sensation
anormale dans le dos, douleur thoracique ; puis
de ce qui se passe dans le service de M. Bourneville prouve que les
sensations
rythmiques s'imposent facilement aux intelligen
utres semaines. , , < Il sent venir la rougeur. Il éprouve une^
sensation
vague d'avoir dans la poitrine une certaine qua
atre ou cinq fois dans un court espace de temps. Avec la rou- geur,
sensation
de chaleur exagérée la tête, battements forts d
es plus ordinaires, il éprouve, au moment de la bouffée, une simple
sensation
de chaleur à la face. S'il se trouve avec quelq
Des bouffées successives montent; le corps se couvre de sueur, avec
sensation
d'horripilation. P. X... sent alors son coeur b
aits physiologiques où la rougeur avait envahi tout le corps. Une
sensation
de chaleur souvent très vive accompagne la rougeu
diques, l'extase, le rire continu, les hallucinations de la vue, la
sensation
d'enlèvement dans le vide ; 18° comme l'alcooli
nte les recherches des aliénistes français. Les idées résultent des
sensations
et « la mé- thode expérimentale est le fondemen
bilité, qui n'est qu'un mode de l'irritabilité. L'hétérogénéité des
sensations
de la vue, de l'ouïe, de l'odorat, etc., dépend
rces du monde extérieur qui sont nécessaires à la production de ces
sensations
; 2° de la structure des organes terminaux des
higkeit) que la nutrition et les stimuli extérieurs transforment en
sensation
(Empfindung). Avons- nous le droit de supposer,
eux-ci comme des parties différenciées de l'épiderme, et toutes les
sensations
comme des modifications du toucher. La science
res corticales de la vision, par exemple, n'abolit que cet ordre de
sensation
en laissant subsister celles du son, de l'odora
e nerveuse qui, en vertu de ses connexions ana- tomiques, donne une
sensation
visuelle, pourrait aussi bien, dans '- d'autres
lle, pourrait aussi bien, dans '- d'autres conditions, produire une
sensation
tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellul
résulte avec nécessité que la nature propre ou spécifique de chaque
sensation
repose sur le caractère propre ou spécifique, d
cellules des centres corticaux de la sensibilité qui servent àcette
sensation
. » (Ibid., p. 291.) Un partisan des idées de Gu
tions des muscles de l'oeil. De même pour les centres corticaux des
sensations
organi- ques et des mouvements des viscères, po
ivre avec les yeux le contour des caractères reproduisant ainsi les
sensations
qui accompagnent l'action d'écrire. Il lit diff
st nullement gaucher d'ailleurs, mais quelque peu ambidextre. Les
sensations
qui accompagnent l'écriture, sont assez identique
s nerveuses. De là les différences radicales entre les qualités des
sensations
que nous percevons (tactiles, visuelles, olfact
le neurasthénique, le pessi- miste analyse d'une façon morbide ses
sensations
, ses pensées, ses actions,tout ce qui intéresse
s en même temps dans ma tête. "L'invisible peut ' Binet et Ferré. -
Sensations
et mouvements. , 182 . CLINIQUE MENTALE. alor
qui conduisent t au développement psychologique. Après l'étude des
sensations
, vient celle de l'attention, des instincts, des
r tout à la fois les progrès des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 223
sensations
, des sentiments et de l'intelligence. (American j
iments; il garde le silence et ne rend compte qu'après la crise des
sensations
qu'il a éprouvées; il a des tendances vagues au
e disposition d'humeur, il perçoit sous une forme douloureuse les
sensations
provenant de son propre corps et du monde extérie
ovenant de son propre corps et du monde extérieur, et porte sur ces
sensations
des jugements erronés. L'orientation individuel
e excitation morbide avec perversion de l'odorat, d'où résultait la
sensation
habituelle de mauvaises odeurs. « Quant au go
u lieu de la perversion il y a abolition totale et bilatérale-de la
sensation
, comme dans une autre de nos observations où le
odorat. Hémianosmie totale ou partielle. Perversions de l'odorat (
sensations
subjectives; odeurs de pour- riture, odeurs inf
venant dans cette sorte de grimace que font les sujets soumis à une
sensation
gustative extrêmement désagréable. Les substanc
ne autre forme qui est la perversion. La perversion consiste en des
sensations
subjectives, c'est-à-dire que le malade perçoit
té de la muqueuse nasale où elles s'accompa- gnent ordinairement de
sensations
analogues dans les autres branches du trijumeau
ace et du cou. Au début avant l'éternuement notre malade accuse des
sensations
anormales dans la face presque toujours du côté
e toujours du côté gauche et toujours prédominantes de ce côté. Ces
sensations
consistent dans une sorte d'aura occupant princ
dans une sorte d'aura occupant principalement la joue. C'est une
sensation
étrange, une sorte de constriction de la face,
imaces volontaires avec ce côté de la face comme pour réveiller une
sensation
absente. S'il touche sa face à ce moment il lui
n même temps la narine du même côté est enchifrenée. Le malade a la
sensation
que la narine gauche est bouchée, tandis qu'à d
nuements qui viennent de se produire, mettent fin à la crise et les
sensations
anormales dans la sphère du trijumeau dispa- ra
llements, de l'engourdis- sement dans la joue et le cou, et non des
sensations
olfactives qui sont accusées par le malade. L
ue. Enfin l'accès tabétique s'accompagne, parfois, non toujours, de
sensations
de chaleur à la face et probablement d'un état
sibilité spéciale. L'odorat et le goût sont dans ce cas le siège de
sensations
subjectives. Les malades sentent des odeurs dés
s odeurs désagréables en dehors de tout objet pouvant provoquer ces
sensations
, y compris leur haleine qui n'est pas fétide. L
d'autres troubles impliquant la participation du bulbe. Ces fausses
sensations
du goût et de l'odorat étaient continuelles dan
nutes, quelques heures, quelques jours. Elles consistaient dans des
sensations
particulières qui s'accompagnaient presque cons
e, survenant spontanément ou à l'occasion des aliments. Parfois ces
sensations
persistent ou se reproduisent si souvent qu'ell
ue le goût participe à la maladie gastrique. En relation avec les
sensations
subjectives de terre, d'amer- tume, etc., des t
lequel persistent naturellement avec plus ou moins d'intensité les
sensations
subjectives du goût ? A notre avis cet état de
troubles de l'olfaction. Nous avons déjà indiqué combien toutes ces
sensations
désagréables, ces saveurs et ces odeurs pouvaie
dont ils sont l'objet et rapportent sans la moindre hésitation les
sensations
subjectives à leur maladie. .Mais de l'illusion
caractères spéciaux, reconnaissant pour cause les troubles de leurs
sensations
. Les douleurs fulgurantes vont devenir des déch
es douleurs fulgurantes vont devenir des décharges électriques; les
sensations
de flamme dérivant de la lésion du nerf optique
transforment en tourments imposés par des ennemis imaginaires. Les
sensations
subjectives de l'odorat et du goût sont elles-m
ymptômes du délire de persécutions et cela à l'occasion des fausses
sensations
du goût et de l'odorat. Il importe donc de mett
euls l'envahissement du bulbe ; chez un de nos malades à côté de la
sensation
olfactive et gustative, de poisson pourri, on t
e sont des paresthésies, des fourmillements, des constrictions, des
sensations
de raideur, d'agacement, de réfrigération, ou m
constaté très souvent depuis six mois (à la période ataxique); une
sensation
de rigidité et de chatouillement désagréable av
engourdissement de face, en crispation, ou fourmillement, en cette
sensation
qui pousse le malade à faire des grimaces pour
goûts fort désagréables et jamais de perversion leur rappelant une
sensation
agréable. La sensation du dégoût, cette sensati
s et jamais de perversion leur rappelant une sensation agréable. La
sensation
du dégoût, cette sensation vague, ne pourrait-e
eur rappelant une sensation agréable. La sensation du dégoût, cette
sensation
vague, ne pourrait-elle pas être à l'origine des
le'vomissement qui survient. Le dégoût à son début semble donc une
sensation
d'ordre musculaire, la conscience vague d'un mo
des aliments. Sans doute ce mouvement est souvent consécutif à une
sensation
rebutante ayant son point de départ dans la sen
viscéral peut-il être perverti dans le tabes et aboutir ainsi à la
sensation
vague du dégoût que secondai- rement et par un
sion, le dégoût pour un objet ? 2 THÉORIE DES NEURONES. 281 Cette
sensation
nauséeuse vague sur laquelle le malade greffe u
e voie sensitive centrale, propageant jusqu'au cerveau les diverses
sensations
de la sensibilité générale, peut être inférée a
. Ces cellules forment un groupe physiologique qui correspond à une
sensation
ou perception déterminée ; la perception y est
, sous la sollicitation de la volonté, élaborera le souvenir de ces
sensations
a (p. 5). Le phé- nomène de l'avalanche impliqu
ps, par contraste, analogie, etc., correspondant à un même ordre de
sensations
, ont pour substratum les connexions établies en
core à sa seule raison qu'il obéira ! Cela est absurde. C'est de la
sensation
que vient l'impulsion maîtresse, la force de proj
e que dans une certaine mesure. L'association de la raison et de la
sensation
est évidem- ment la condition idéale de l'accom
n idéale de l'accomplissement, d'un acte puisque la raison, sans la
sensation
, ne pourraitl'exécuter, et que la sensa- tion s
rent sous tous les rapports dans la règle. E. Margouliès. LUI. La
sensation
douloureuse ; par J. Roux. 111.1e D" J. Roux (P
ar J. Roux. 111.1e D" J. Roux (Prov. méd., 10 oct. 1896) étudie les
sensations
dou- loureuses au point de vue de leurs voies d
ellectuels et les émotions. Il établit le fait de la séparation des
sensations
tactiles et doulolt1'ellses au niveau de la moe
e le même cylindre. Quelle est la nature de la douleur ? Est-ce une
sensation
spéciale ou bien un degré des autres sensations
douleur ? Est-ce une sensation spéciale ou bien un degré des autres
sensations
? Y Nos sensations, dit M. Roux, peuvent se div
sensation spéciale ou bien un degré des autres sensations ? Y Nos
sensations
, dit M. Roux, peuvent se diviser en sensations
s sensations ? Y Nos sensations, dit M. Roux, peuvent se diviser en
sensations
externes et en sensations internes ou cénestési
tions, dit M. Roux, peuvent se diviser en sensations externes et en
sensations
internes ou cénestésiques. Les premières nous r
x peuvent être la source d'émotions pénibles ou désagréables. Les
sensations
externes peuvent seules donner la douleur physiqu
sensations externes peuvent seules donner la douleur physique. La
sensation
douloureuse est le phénomène subjectif, le fait d
tion de l'indi\idu. Le phénomène de conscience qui l'accompagne (la
sensation
douloureuse) est pénible, parce que la cause qu
eurones olfactifs, ce qui s'explique par une plus grande variété de
sensations
visuelles ; il est à noter, comme règle général
l'écorce cérébrale, varie selon la complexité 'et la ri- chesse des
sensations
qui parviennent à l'appareil périphérique. L'ét
centripètes. Il se peut que ces fibres servent à transmettre les
sensations
d'innervations et aient des fonctions qui les dis
iennent au cerveau. Ces fibres peut- être servent à transmettre les
sensations
d'innervation qui viennent de l'appareil moteur
etite quantité de fibres suffi- rait peut-être pour transmettre les
sensations
d'innervation, qui portent des mécanismes moteu
ettage de l'utérus ; elle dura vingt minutes et ne détermina aucune
sensation
douloureuse. L'anesthésie fut obtenue par sugge
centres d'association que se réunissent et se fusionnent toutes les
sensations
qui lenr sont transmises par les centres sensor
i lenr sont transmises par les centres sensoriels. C'est là que ces
sensations
sont comparées entre elles et aux sensations an
iels. C'est là que ces sensations sont comparées entre elles et aux
sensations
antérieures. Les centres d'association sont don
s le rachitisme et l'hydrocéphalie. Elle donne à la palpation une
sensation
de tension et d'élasticité. Elle présente des bat
ent des vertiges, de la céphalée, des bourdonnements d'oreille, des
sensations
anor- males dans la tête, de la somnolence, de
ntre le condyle interne de l'humérus et l'olécrane, a déterminé une
sensation
douloureuse peu accentuée chez 7 malades seulem
une analgésie unilatérale ; 4 réagissaient normalement. Chez 2, la
sensation
dou- leureuse était diminuée. Résultat : 50 p.
s de parésie) des membres du côté droit. Pas d'anesthésie, mais une
sensation
d'engourdissement dans les mêmes parties. L'éle
s maux de têle fréquents, des vertiges, et transpiration abondante,
sensation
de froid aux membres inférieurs, dont la peau e
érieures produit des troubles sensitifs divers. Les conducteurs des
sensations
doulou- reuses et thermiques entourent le canal
t sont reliés au faisceau de Gowers, tandis que les conducteurs des
sensations
tac- tiles suivent les cordons postérieurs en d
co- psychologique à Londres, par Nicolson, 251. Douloureuse. La
sensation
-, par Roux, 325. Dure -mère iuchidienne. End
OCALISATION cérébrale DU sens musculaire. Le rôle physiologique des
sensations
musculaires que nous ve- nons d'étudier est de
re elle est rarement complète; les malades parétiques ont encore la
sensation
brute du mouvement qu'ils exécutent, mais ils n
sons du faisceau sensitif. Tout concorde à montrer que le siège des
sensations
musculaires se trouve dans la zone rolandique.
nsciente du com- plexus sensitif que Bastian englobe sous le nom de
sensations
kinesthésiques et qui correspond comme nous l'a
ire à la lumière d'une conscience moins parfaite, la perception des
sensations
musculo-tactiles. La destruction des centres su
ussi celle des associations sensitives complexes d'où résultent les
sensations
complètes et vives de l'état normal. III. - D
ntérieurement perçues et déjà fixées dans la mémoire, soit avec des
sensations
différentes, surtout visuelles, la représentati
n après tout discutable, de savoir s'il s'agit d'une association de
sensations
élémentaires diverses, ou d'un sens réel ayant
'image tactile d'un objet est donc en dernière analyse un résidu de
sensations
musculaires et tactiles. Hoffmann avait établ
ommémoratives tactiles et par suite impossibilité de rapprocher les
sensations
éprouvées de ' Dana. The localisation of culane
ions éprouvées de ' Dana. The localisation of culaneous andmuscular
sensations
and memories. (Journal of nervous and mental di
ette seule particularité explique qu'il puisse subsister, certaines
sensations
élémentaires étant abolies. En effet, à défaut de
actif ne donne aucun résultat malgré l'intégrité respective de ses
sensations
composantes, il s'agit vraisemblablement d'un d
ait désormais de grands progrès à faire dans l'étude analytique des
sensations
musculaires. En revanche la question de la loca
alternant avec de la dé- pression hypochondriaque produite par des
sensations
anormales. Au milieu de sa loquacité exubérante
, de la personnalité, le moi prend naissance, ce moi qui perçoit la
sensation
et se reconnaît comme tel, comme quelque chose
me quelque chose de spécial, de particulier. De ce moi, qui est une
sensation
, dépendent les processus émotionnels et mentaux
moi peut être modifié, pathologiquement modifié, malade même si les
sensations
qui agissent sur lui, sont différentes de ce qu
veil du sommeil hypnotique, les conditions suggérées se réalisent :
sensation
de bien être et abaissement de la température.
face dont la peau devient sèche et rugueuse. Il y a un an et demi,
sensation
de froid, même dans une chambre très chauffée;
illements cutanés, un froid aux pieds continuel, avec deux zones de
sensation
brûlantes au milieu, du tibia; la peau du corps
sion effectuée sur le pisiforme, qui fréquemment s'accompagne d'une
sensation
nette, voire désagréable. Si l'on prolonge la p
utes, apparaissent quelques convulsions dans l'aire du sillon et la
sensation
devient plus désagréable mais le sillon dispara
à peine les parties de la peau recouvertes de poils, on produit une
sensation
comparable au chatouillement; il suffit t d'un
en mouvement les poils de la surface de la peau sans déterminer la
sensation
de contact (Nois- chewsky, Société de médecine
bombé au-dessus des tissus voisins, et qui donne à la pression une
sensation
légère, mais nette, de fluc- tuation. En dehors
eur entre le pouce et l'index, on provoque chez l'individu sain une
sensation
de douleur légère et en même temps une très fai
'hémiplégie cérébralé organique, la même manoeuvre donne lieu à une
sensation
douloureuse plus intense et en outre à une flex
Il déclare avoir, dans la partie inférieure de son champ visuel, la
sensation
d'un gouffre noir situé au devant de ses pas.
ussi vieux que la pensée humaine. La localisation des fonctions des
sensations
et de l'intelligence, des passions et de la motil
uriosité scientifique de l'homme sur l'origine et la- nature de ses
sensations
et de ses idées ne s'est reposée que dans la con-
age, que Bastian appelle kines- thésique, formée par des résidus de
sensations
musculaires, ten- dineuses, articulaires, etc.
es et des centres cérébraux de la douleur. La douleur n'est pas une
sensation
spécifique, mais un mode de la sensibilité géné
ensation spécifique, mais un mode de la sensibilité générale. Toute
sensation
comporte un ton affectif. 11 y a plaisir ou dou
ation est une preuve certaine que nos connaissances proviennent des
sensations
et confirme le vieil axiome d'Aristote : Nihil
uncl COmp. MUSIOES (.1.-J.). On the development of dislurbances of
sensation
in diseuses of the spinal cord. Brochure in-8»
ait d'au- POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTÉRIQUES. 195 cunc espèce de
sensation
douloureuse. M... n'y attacha d'abord aucune im
maladies des voies urinaires. Le passage de sondes amènent quelques
sensations
douloureuses, un peu de sang dans les urines, m
rotule ou du pied. Le sens musculaire est conservé. Il n'existe ni
sensations
de dérobe- ment de jambes, ni soubresauts dans
pour l'or ou pour l'argent. Le malade n'a jamais ressenti enfin de
sensations
douloureuses spon- tanées quelconques ou présen
ue de ces organes. La vessie a une capacité normale. Le malade a la
sensation
du liquide qui entre dans la cavité vési- cale
cavité vési- cale après le passage d'une sonde, mais il n'a plus la
sensation
de plénitude de la vessie. Il perçoit aussi tou
vésical, sans être accompagnée jamais de véritable douleur ou de
sensation
de brûlure dans le canal. La quantité ainsi émise
- çoit le passage du cathéter tout le long de son trajet, il a la
sensation
du liquide injecté dans la vessie; cependant la m
la capacité de la vessie est non seulement normale, mais encore la
sensation
de plénitude de la vessie n'existe plus : le mu
ête lui semble enserrée comme dans un étau, d'autres fois elle a la
sensation
nette d'un clou qui s'enfonce en avant des pari
ffre beaucoup de l'estomac, ne supporte plus le corset; en 1897, la
sensation
d'appétit disparaît, ainsi que le besoin de la
. Les séances sont très douloureuses; la malade accuse surtout la
sensation
de l'os iliaque rongé ; le point de la cheville r
tement un point au renflement cer- vical de la moelle. Les diverses
sensations
subjectives dues au retour de la sensibilité, e
s de l'intestin, gargouillements; coups de couteau dans l'intestin,
sensation
de torsion de l'intestin, sensation d'un ser- p
ups de couteau dans l'intestin, sensation de torsion de l'intestin,
sensation
d'un ser- pent qui se noue et se dénoue. Mon ve
disparu. 10. Flanc droit, région hépatique. La malade accuse une
sensation
de brûlure, de picotements. Il y a un point doulo
l'observation sur le fait que nous venons de signaler. Quant aux
sensations
subjectives accusées par la malade, elles sont
a faim à son estomac. Déjà le réveil de la bouche a amené une vive
sensation
de soif qui se maintient à partir de ce moment.
spiratoires deviennent aussitôt plus amples, s'accompa- gnant d'une
sensation
d'étouffement que la malade ne peut ana- lyser,
les pieds des deuxièmes frontales. La malade a nettementaccusé des
sensations
de coups dans l'intérieur de la poitrine, sensa
mentaccusé des sensations de coups dans l'intérieur de la poitrine,
sensations
qui cessaient lorsque cessait ma percussion. Je
droite : sifflements, bat- tements, oreille bouchée, gonflée ; puis
sensation
d'écoulement de liquide et enfin sentiment de b
'une de ces douleurs se manifeste, ou bien même lorsqu'une simple
sensation
d'énervement fatigue un de ses membres, elle proc
bratoire qui va rencontrer l'écorce ; 2° Le sujet extériorise une
sensation
donnée : c'est là une conséquence de la loi de
onnée : c'est là une conséquence de la loi de l'extériorisalion des
sensations
; 3° Le sujet n'extériorise pas au cuir chevelu
le centre cortical de l'organe, centre qui renferme les résidus des
sensations
antérieures parties de l'organe. On peut m'ob
ations antérieures parties de l'organe. On peut m'objecter que la
sensation
transmise par le triju- meau, quoique inconscie
ude respiratoire plus grande ainsi 224 4 RECUEIL DE FAITS. qu'une
sensation
d'étouffement; la malade accuse un point doulou
isse respiratoire. Il n'existe pas d'autre zone hystérogène. Pas de
sensation
de boule. Pas de trouble des sphincters ; pas t
souvent ignorées du malade, ne se traduisant au -réveil que par des
sensations
assez peu caractéristiques. Dans ces cas l'incont
souvenir, bien qu'il fut quelquefois éveillé en ce moment par une
sensation
de contraction musculaire locale et de battement.
mons : pour le cerveau : cé- phalalgie occipitale sourde, insomnie,
sensation
de bandeau fron- tal, endolorissement du cuir c
ce, sensibilité douloureuse des globes oculaires : diminution de la
sensation
du toucher et de la thermo-esthésie, lenteur du
ans, il se plaignait d'un sentiment de constriction à la gorge avec
sensation
de corps étranger se déplaçant du coeur à la go
l'ouïe; alternatives de calme pendant lesquelles elle se plaint de
sensations
de serrement à la gorge et de douleurs d'estoma
estomac qui remontait au cerveau; à partir de ce moment il avait la
sensation
d'un instrument qui tournait rapidement en fais
trique se présentant sous forme de crises d'anxiété accompagnées de
sensations
de constriction de l'estomac et de dyspnée. Ces
ctivité de ses images composantes. L'idée se fait, selon sa nature,
sensation
, mouvement, émotion, quand ses images constitua
omme de quarante-deux ans qui lorsqu'il vint me voir, souffrait des
sensations
paresthésiques à la partie antérieure des cuiss
M. Magnan -a noté « que des chocs sur la peau peuvent provoquer la
sensation
d'une morsure, de la reptation d'une couleuvre,
ccessoires. Ce même auteur a observé un alcoolique chez lequel la
sensation
éprouvée par la peau se confondait avec l'halluci
lesquels l'excitation d'un des organes sensuels donne lieu à deux
sensations
distinctes : l'une a pour siège la sphère de l'or
e. L'audition des sons musicaux réveillait chez ces deux frères des
sensations
chromatiques où chaque ton musical avait la cou
actives en comprimant et lâchant alternativement les narines. Ces
sensations
sont-presque toujours très désagréables. Ils nuus
la rose ». Nous pourrions multiplier ces exemples, prouver que ces
sensations
durent quelques minutes, qu'on peut les éveille
he avec dégoût. Un troisième croit déguster de « l'ab- sinthe ». La
sensation
de celte liqueur, disons-le en passant, revient
» après une légère excitation, et fasse effort pour la cracher. La
sensation
hal- lucinatoire est chez lui tellement nette q
vre, pourquoi me faire prendre de la quinine ? » Quoique rares, des
sensations
plus agréables se révèlent quelquefois. Un mala
soriels, à la périphérie il y a toute autre chose. Aux centres, les
sensations
sont subjectives, ce sont des percep- tions san
ent le même effet que les frottements, avec cette différence que la
sensation
parait persister plus long- temps. Vue. Par l
e. » Puis, tout à coup, deux minutes envi- ron après le début de la
sensation
, le malade s'écrie : « Je n'en- tends plus rien
a démarche ataxique; les douleurs lanci- nantes dans les jambes, la
sensation
d'une ceinture serrant le tronc au niveau du sa
'innervation et du changement de situation d'un objet n'est pas une
sensation
simple. Il est évident qu'elle résulte de la co
s musculaire est perdu, mais peut persister si toute autre forme de
sensation
cutanée se perd ou se trouble. 3° Le centre de
ccomplissement de l'acte de violence est souvent ac- compagné d'une
sensation
de soulagement (détente nerveuse). Enfin, les t
le tissu cérébral, et beaucoup de psychologistes assurent que toute
sensation
a nécessairement une origine périphérique. Aux
'on applique un diapa- son vibrateur à l'os, on obtient partout une
sensation
nette de vibration. Les os, situés superficiell
gées. Une couche épaisse de tissus mous affaiblit quelque peu cette
sensation
. Les troubles de cette sensation consistent d'a
s mous affaiblit quelque peu cette sensation. Les troubles de cette
sensation
consistent d'abord dans ceci, qu'un diapason vi
rçue. Parfois on peut noter, au contraire, l'exagéra- tion de cette
sensation
. Parfois encore les vibrations du diapason prov
sensation. Parfois encore les vibrations du diapason provoquent une
sensation
de picotement, ou de chaleur, ou même de brûlur
cas examinés, le sujet accusait la vibra- tion et en même temps une
sensation
de brûlure ; dans d'autres cas, la brûlure s'ac
ies d'identifications cérébrales : les identifi- cations primaires (
sensations
simples) et les identifications secon- daires,
Quel hasard ? C'est le centre de la gustation qui a produit cette
sensation
quand le papier a frôlé la langue. C'est l'hypere
sensible à l'excitation périphéri- que, et nous pouvons éveiller la
sensation
de parfums plus ou moins vagues : ça sent fort,
. » 19. - Le nez et la langue restent seuls sensibles, il y a des
sensations
plutôt agréables. 22. Il est calme maintenant,
rition complète de toute hallu. cination spontanée, C... accuse des
sensations
plus ou moins agréables à la langue, quand nous
erçue; elle diffère autant et de la même manière du souvenir que la
sensation
elle-même. » « L'hallucination, dit M. Ch. Vall
ysiologie de l'hallucination. Nous prétendons que les troubles, les
sensations
que nous avons provoquées chez nos alcooliques
llu- cinations centrales, produites par l'excitation mentale. Les
sensations
que nous avons pu produire chez nos alcooliques
e sommeil est devenu beaucoup plus léger, le malade est averti de ses
sensations
vésicales et sphinctériennes, il se lève pour uri
et, tout en dormant d'un sommeil réparateur, d'être a l'affût de ses
sensations
vesicales ; elle lui prescrit, dans les premiers
heusement le malade n'existe pas ; pas de crise d'étouffement. pas de
sensation
d'asphyxie commune à tou6 les anesthésiques ; le
6 les anesthésiques ; le malade s'endort confiant, paisiblement, sans
sensation
pénible et sans l'angoisse qui étreint toutes les
ysgraphie, et je pus obtenir qu'elle fit suivre chaque inscription de
sensations
d'une bonne résolution. Ainsi, tandis que le 10
'une souffrance que je ressens de la tête aux pieds : c'est comme une
sensation
de brûlure à l'épiderme. Je ne veux plus avoir pe
est confondue avec toute insinuation d'idée, d'acte. d'image ou de
sensation
, avec toute persuasion, avec toute éducation, ave
vz% eut. Il n'est pas plus rationnel d'admettre que la sensibilité,
sensations
et sentiments, puisse être interrompue, que de cr
le sommeil, les fonctions de respiration et de circulation abolies :
sensation
et sentiments, c'est la sensibilité vivante, et U
eurs perpétuellement changeants qui. à chaque instant, provoquent des
sensations
nouvelles, des émotions conscientes ou inconscien
nd que nous nous sommes plus complètement soustraits à toute eause de
sensations
. S'il s'agit d'obtenir le sommeil provoqué, l
tiendraient en activité, il suffit d'y produire une suite continue de
sensations
monotones et homogènes, de telles sensations équi
re une suite continue de sensations monotones et homogènes, de telles
sensations
équivalant à la suppression de toute sensation.
homogènes, de telles sensations équivalant à la suppression de toute
sensation
. Ces principes dont l'application nous permet d
ns en plaisirs et douleurs, gravitent une infinité de perceptions, de
sensations
, que chacun de nous apprécie souvent, tour à tour
s échouent vaincus et impuissants ». N'éprouvons-nous pas certaines
sensations
, ou certains sentiments de plaisir, qui pourtant
euse nous ont paru conservées. Le sens stéréognostique est intact. La
sensation
de rugueux, de poli, de poids est presque toujour
ccuper de procéder a leur rééducation quand ils éprouvent quelque
sensation
d'impuissance à se remettre au travail. Ces appli
icultés pour se tenir debout et pour reprendre ses occupations . La
sensation
d'impuissance à agir fit naître chez lui la crain
veau par n'importe quel sens : la parole, la lecture, la musique, une
sensation
interne, une odeur, etc.. toute impression transf
, le nombre, l'heure et le rapprochement des repas, on est esclave de
sensations
impérieuses ou déviées, de besoins factices ou pa
t différents éléments qui ont abouti à les ramener à un complexus des
sensations
... La nature de ces sensations ? Elle est différe
bouti à les ramener à un complexus des sensations... La nature de ces
sensations
? Elle est différente, suivant les auteurs. Pour
? Elle est différente, suivant les auteurs. Pour les uns, ce sont les
sensations
qui viennent des organes périphé- riques et q
- riques et qui ont le cerveau comme centre ; pour les autres les
sensations
seraient celles qui consistent dans les modificat
d Neurologie) qui définit l'Emotion « un sentiment qui accompagné une
sensation
distincte ». Ex. : Elle est un simple sentiment
it plus ce qu'elle disait. Les bains d'Alarye l'améliorent. Elle a la
sensation
de la boule hystérique et a eu quelques attaques
aisonnement, on a provoqué chez lui des opinions, des mouvements, des
sensations
et des actes.qui ne seraient pas survenus si la s
cation imaginaire de sinapisme, je n'obtins aucun érythème, ni aucune
sensation
nette de cuisson. L'idée me vint alors que cet ho
erveau, dépourvu d'images correspondantes, était inapte à évoquer les
sensations
qu'elles comportent. Le peu de cuisson qu'il épro
tique, il me fut facile de provoquer chez lui, par la suggestion, une
sensation
de cuisson avec rougeur bien manifeste (l). On do
e sujet en expérience ait réellement éprouvé, au préalable, certaines
sensations
avec leurs suites habituelles. Ainsi le gramo-pho
fixer » en ce point les effets suggestifs, on peut se demander si la
sensation
étendue suscitée par le pansement occlusif ne ser
tout son effet. C'est ainsi que dans le rêve, tantôt nous prenons nos
sensations
pour des réalités, tantôt elles nous apparaissent
nnaître, dans l'effet obtenu, les images qui l'ont provoqué. 8° Une
sensation
réelle, une fois éprouvée, peut-être projetée, pa
ar dessus la lésion suggérée est, peut-être, susceptible d'effacer la
sensation
de localisation et de rendre, de la sorte, négati
ont le résultat d'instincts, d'impulsions, leur obéissance résulte de
sensations
de réflexes. —je veux ajouter aujourd'hui, de sug
avec calme et volonté, de provoquer les mouvements à obtenir par des
sensations
physiques répétées, et encore répétées entre de n
tions physiques répétées, et encore répétées entre de nombreux repos,
sensations
poussées, s'il est nécessaire, jusqu'à la douleur
pas, mais son cerveau est un merveilleux enregistreur, sa mémoire des
sensations
est extraordinaire. Le dressage méthodique dévelo
e gamme de réflexes, il emmagasine en ce cerveau toute une variété de
sensations
; mais des sensations voulues par l'éducateur et
l emmagasine en ce cerveau toute une variété de sensations ; mais des
sensations
voulues par l'éducateur et cataloguées par lui.
voulues par l'éducateur et cataloguées par lui. Ces réflexes et ces
sensations
prennent, au contact de l'écuyer, un développemen
e excitation extérieure ne viendrait provoquer d'idées, d'actes ou de
sensations
. Si aucune sollicitation n'intervient pour leur f
l'impulsion de la volonté, mais une modification des sentiments, des
sensations
, des représentations des images de mouvements du
nuit, une ou plusieurs fois : mais, il n'éprouve à- ce moment aucune
sensation
à l'estomac ; cet organe est absolument muet et n
ques normales et en même temps faisant apparaître au point faible les
sensations
pathologiques de l'état de veille. Discussion
Paul Parez. — Une autre interprétation peut être invoquée. Les mêmes
sensations
viscérales qui passent souvent inaperçues, au mil
eut-être aussi l'agrément de ces états de conscience dans lesquels la
sensation
du sommeil se mélange si singulièrement à celle d
haque jour, de longues heures à d'interminables rêveries. Il avait la
sensation
de vivre comme dans un rêve et ne sortait de cet
ns lesquels l'homme se complalt parce qu'ils ne sont pas dépourvus de
sensations
agréables, on en observe d'autres qu'il subit, et
es défaillances ont le triste privilège d'altérer la franchise de nos
sensations
et de nos émotions en les modifiant dans leur par
trée dans le sommeil, soit le moment du réveil. » « Ces images, ces
sensations
fantastiques se produisent, dit-il, au moment où
fatigue des sens qui s'émoussent momentanément, n'apportent plus les
sensations
au cerveau, et dès lors, ne fournissent plus à l'
at perçoit les odeurs ; mais cependant leur aptitude à transmettre la
sensation
n'est plus aussi vive, aussi nette que dans l'éta
ions de son imagination,, de ses souvenirs les plus récents ou de ses
sensations
. UN CAS DE MORPHINOMANIE DATANT DE SIX ANS ET
u Dr Raffegeau, et après un de ces bains, il se demandait même si les
sensations
dont il s'était plaint n'étaient pas dues, en gra
(de Leicester) Le traités classiques qui abordent les anomalies des
sensations
sexuelles ne parlent que de celles du sexe mâle.
turelle de lu femme qui lui fait taire toute allusion à ces sortes de
sensations
. Chez l'homme, l'acte sexuel est considéré surt
et 7 ans, me confie dans le courant de la conversation, qu'elle a des
sensations
de nausée et de dégoût pour l'acte sexuel. Ces se
'elle a des sensations de nausée et de dégoût pour l'acte sexuel. Ces
sensations
, éprouvées depuis son mariage ont augmenté d'inte
ns d'affection pour lui. se refusant à faire à son mari l'aveu de ses
sensations
et sachant que j'étudiais la question sexuelle, e
que l'acte sexuel était horrible pour elle, qu'il lui provoquait des
sensations
de nausée et de dégoût. Le cas me parut assez r
au moins une demi-douzaine de ces cas en quelques mois.) L'absence de
sensations
sexuelles joue un rôle très important dans la vie
lodies religieuses. La malade m'apprit qu'elle n'avait éprouvé de
sensations
vraiment agréables qu'en entendant les chants pie
graphie de cet organe. Le cerveau est l'aboutissant des principales
sensations
qui naissent à la périphérie de notre corps et da
appelés centres nerveux, neurones et cellules où sont recueillies nos
sensations
physiques et morales. Par l'intervention de procé
ues et morales. Par l'intervention de procédés mystérieux, toutes ces
sensations
sont converties en mouvements bien déterminés, à
n gênée, un tremblement des jambes qui se refusaient à me porter, ses
sensations
de piqûres et de tiraillements dans tout le corps
ntemplation oisive. Notre état de conscience se réduit à une suite de
sensations
sonores. Qu'arriverait-il alors si peu à peu les
d'abord il oublie son mal pour écouter cette voix qui le charme ; aux
sensations
pénibles qu'il éprouvait, on a substitué de simpl
; aux sensations pénibles qu'il éprouvait, on a substitué de simples
sensations
sonores qui peu à peu iront elles-mêmes en s'affa
voir d'abord absorbé notre attention, finissent par l'engourdir ; les
sensations
sonores auxquelles notre conscience se trouvait r
e la nacelle, accentuent, cette tendance à la somnolence. C'est cette
sensation
d'abandon à un sommeil irrésistible que Lamartine
s aides en a plusieurs fois fait sur lui-même la remarque. Quant à la
sensation
d' « allégement du cerveau ». dans les mêmes cond
e des relations. L'enfant s'en défendait mal, car il en éprouvait une
sensation
agréable, et c'est cela que le malade ne peut se
avoir que le cheval est inintelligent ; tout chez lui se ramène à des
sensations
et à des réflexes. Le cheval dressé est un cheval
sé est un cheval suggestionné ; il réagit automatiquement d'après des
sensations
qu'il ne peut oublier. M. Béhillox. — La mémoir
raisonnement est toujours bon et ne se laisse pas influencer par des
sensations
d'un seul sens, puisque nous avons donné à l'enfa
sque nous avons donné à l'enfant ' l'habitude de contrôler tontes ses
sensations
par tons les sens et en particulier par le sens t
sens musculaire et le toucher nous habitueront a ce contrôle, car les
sensations
provoquées par eux ont besoin d'être vérifiées pa
que nous éprouvions pleine satisfaction. Cet enchaînement dans les
sensations
, les perceptions et les déterminations est encore
consistent en crampes, fourmillements. Douleurs paroxystiques avec
sensations
de brûlure et d'élancement, forçant le malade à
ns l'automne de 1897 se plaint de ressentir des fourmillements, des
sensations
de froid et de doigts morts, plus accentués aux
Peu- dant l'hiver 1S9S-96, ces phénomènes augmentent, ainsi que les
sensations
désagréables, sans que des douleurs à propremen
te même dans une chambre chaude. La malade a toujours aux mains une
sensation
subjective de froid. Les doigts sont anormalement
issent engourdies : il a de la peine à les fermer; il compare cette
sensation
à celle qu'on éprouve quand on a l'onglée. Les jo
fût de- venu plus sensible au froid qu'auparavant, il n'éprouve ni
sensation
de chaud ni sensation de froid aux mains. Il re
sible au froid qu'auparavant, il n'éprouve ni sensation de chaud ni
sensation
de froid aux mains. Il remarque seulement que la
d'ivoire du côté gauche, il ne sent qu'à 1 1/2. Subjectivement, les
sensations
tactile et stéréognostique sont bien conservées.
ardin de l'hôpital mais il n'a pu rester longtemps de- hors, car la
sensation
pénible de chatouillement et de douleurs cuisante
ds sont également douloureux. Les poignets de même sont le siège de
sensations
pénibles ; depuis le début de la maladie, il en
l'affection individualisée sous le nom cl'acropal'esthésie (1), les
sensations
de fourmillement, d'engourdissement l'inaptitude
d'une perturbation vasculaire intense avec rougeur vive de la peau,
sensation
de brûlure intense,modifi- cations ophtalmoscop
sans qu'il y doive apporter quelque minutie. C'était auparavant une
sensation
désagréable. C'est maintenant une maladie : l'a
ure. Les phénomènes décrits par eux consistent en engourdissements,
sensations
de piqûres multiples et légères, en fourmilleme
rmillements au niveau de l'extrémité des doigts et des orteils. Ces
sensations
sont,au début de la maladie, généralement intense
tence quand elle n'entraîne pas pour lui un état pénible de par les
sensations
désagréables qui l'ac- compagnent. Il ne me par
troubles nutritifs des tissus : d'où névrites légères, amenant ces
sensations
dysestliésiques, ces fourmi 1 lements, ces engo
eau de la joue est souple, se laisse plisser, ne donnant nullement la
sensation
de parchemin et que sa coloration pour être moi
r, température) : il n'y a ni hyperexcitabilité, ni persistance des
sensations
. Au point de vue sécrétoire, la sécrétion sébac
mémoire que nous nous référerons. (2) Eo. CLAPARÈDE, Avons-nous des
sensations
spécifiqups de position des membres ? 7 (Année
me sens mus- culaire, a désigné cependant l'étude qu'il a faite des
sensations
occasion- nées par les organes moteurs : Revue
notion de l'attitude de son bras. Il se pourra qu'elle ait diverses
sensations
tac- tiles provenant de l'articulation du coude
ticulation du coude, etc., mais elle sera incapable de tirer de ces
sensations
le moindre renseignement sur la position de son
atrice. Mais la question est précisément de savoir pour- quoi telle
sensation
est localisée au point où le contact s'est fait,
'image au sens optique du mot. Quand il nous dit que les idées, les
sensations
ont une forme, sont localisées ici ou là, sont «
s qu'inattendues, parle-t-il des idées ou des lobes du cerveau, des
sensations
ou des plexus cellulaires, c'est ce qu'il est imp
naissances, bien qu'il ait fallu un Descartes pour l'apercevoir. La
sensation
de rouge perçue par moi n'a aucun rapport imagi
atre ans : « On est fondé à admettre que primitivement, par la pure
sensation
, nous ne savons rien du lieu où les nerfs qui n
, nous ne savons rien du lieu où les nerfs qui nous communiquent la
sensation
sont ébranlés. Primitivement, toutes les sensat
communiquent la sensation sont ébranlés. Primitivement, toutes les
sensations
sont de simples états d'excitation per- ceptibl
ivité de notre âme, au moyen de laquelle nous nous représentons nos
sensations
comme comprises dans un ensemble et douées de r
tain cachet, cette couleur locale qui nous permet de distinguer ces
sensations
qui ne signifient rien, qui varient avec les at
ne signifie nullement que le piocessus articu- laire nous donne la
sensation
immédiate que l'avant-bras est horizontal ou form
rétine, Helmholtz (2) a établi cette proposition fondamentale : Les
sensations
sont, pour notre conscience, des signes dont l'
non quelque chose d'empirique et d'acquis, mais reposaient sur des
sensations
spécifiques et tenant à la disposition même des o
r les difficultés, déclare ingénument que tout est si simple... !
Sensation
de mouvement. La question de la perception du mou
cial pour la variation des attitudes, avec ce que l'on a appelé les
sensations
kinesthésiques ». Rien de plus juste, à premièr
que ne soit pas spé cifique et immédiat. 58 ED. CLAPARÈDE avoir
sensation
de mouvement indépendamment de toute connaissance
), Ëxner (3), V. Henri (4). Cela ne semble-t-il pas indiquer que la
sensation
de mouve- ment est une donnée sensorielle primi
genartige sinnliche Anschauung) tout aussi directe et vécue que les
sensations
de couleur ou de contact qui l'accompagnent. C'
oments » (5). J'avais invoqué, à l'appui de cette spécificité de la
sensation
hinestlé- sique, le fait que certains hémiplégi
complètement perdu la notion d'attitude, ont conservé cependant la
sensation
de mouvement passif de leurs membres. A quoi M.
donc conclure que la variation objective de l'attitude éveille une
sensation
qui n'implique pas la connaissance de l'attitud
n'implique pas la connaissance de l'attitude qui a varié, donc une
sensation
spécifique. Ce n'est donc pas « l'attitude qui
qui révèle le mouvement ». Mais alors, demande M. Bonnier, « si la
sensation
d'attitude et la sen- sation de mouvement sont
- sation de mouvement sont qualitativement différentes, pourquoi la
sensation
(1) Hall AND DONALDSON. biolor sensation of the
t différentes, pourquoi la sensation (1) Hall AND DONALDSON. biolor
sensation
of the skin., Mind., X, 1885. (2) GOLDSCfIEIDBR
n d'attitude est le résultat d'une association ou d'une addition de
sensations
de mouvement. Or, je tiens à faire remarquer que
ais dit une énormité pareille. Je n'ai jamais prétendu que c'est la
sensation
de mouvement qui engendre la perception de l'atti
comme il est dangereux de confondre le subjectif et l'objectif, là
sensation
avec l'excita- tion, et de se servir d'un vocab
arfois, les accès sont précédés d'une aura qui se manifeste par une
sensation
de frôlement aux membres inférieurs, gagne le t
uve les portes, son lit, etc. ; elle ne peut se conduire seule et ses
sensations
tactiles ne suppléent en rien ses sensations vi
conduire seule et ses sensations tactiles ne suppléent en rien ses
sensations
visuelles. La malade reste assise la plus grand
a vue au début de ses crises ; l'aura se manifeste toujours par une
sensation
de frôlement sur les membres inférieurs. A la sui
les circonvolutions ont le même aspect; au toucher, on éprouve une
sensation
très nette de fluctuation. Cette fluctuation est
e externe des lobes occipitaux ; ces parties donnent au toucher une
sensation
très nette de dureté. L'examen macroscopique
tincts, l'un affecté à la percep- tion colorée, l'autre à la simple
sensation
lumineuse. Si cette disposition anatomique étai
ons nécropsiques, que, dans notre cas, les cellules affec- tées aux
sensations
colorées auraient été atteintes les premières, le
auraient été atteintes les premières, les cellu- les affectées aux
sensations
lumineuses en second lieu. Notre observation s'
vision des formes et des couleurs tandis quepii : 3 tent encore des
sensations
de lumière, disparition enlin de ces dernières/
de règle de voir les malades perdre leur sens topographique, leurs
sensations
tactiles restant normales. On pour- rait object
se représenter la place occupée par cet objet dans l'espace. Leurs
sensations
tactiles actuelles ou les images de leurs sensati
'espace. Leurs sensations tactiles actuelles ou les images de leurs
sensations
tactiles an- térieures sont insuffisantes, pour
ations tactiles an- térieures sont insuffisantes, pour suppléer les
sensations
visuelles. C'est peut-être ce qui explique la p
rs parfois violentes parcourant les membres, Chutes fréquentes avec
sensation
de dérobement des jambes ; il était incapable d
d'éprouver de temps en temps des palpitations qui s'accompagnent de
sensations
pénibles dans la région pré- cordiale supérieur
parle psycho- logiquement, une amnésie, une perte de conscience des
sensations
et des images correspondantes, et si on veut pa
ni sur aucune autre partie du corps ; pas de fourmillements, ni de
sensations
anor- males ; aucune douleur spontanée, il n'y
à la température est conservée ; il y a toutefois exagération de la
sensation
de froid dans le membre snpérieur droit quand le
ficilement : le tissu cellulaire est épaissi, induré; il marque les
sensations
. On parvient cependant à reconnaître que l'extrém
çu ; parfois quelques mictions involontaires ; le malade n'a pas la
sensation
de l'urine passant dans le canal. Pas d'anest
squ'on comprime ses masses graisseuses témoignent de l'existence de
sensations
douloureuses assez vives. Deux autres arguments
ionnel. ' Il est assez probable que, dans notre second cas quelques
sensations
viscé- rales pouvaient être l'agent provocateur
c celle que j'ai pu observer dans mes cas. Comme les pensées ou les
sensations
diverses peuvent causer par une association san
es peuvent causer par une association sans frein les pensées et les
sensations
les plus bizarres et les plus contraires ainsi
a malade a pu, de suite après l'opération, localiser exactement des
sensations
gagnant l'écorce par des troncs autres que le m
ré une névrectomie, comme dans celui qui nous occupe, on a noté des
sensations
vacillantes : la sensibilité, normale d'abord e
pas du tout les mêmes renseigne- ments qu'aux extrémités : on a une
sensation
de dureté beaucoup plus grande. Le fait d'aille
te reste lié à l'idée qui lui a donné naissance, la recherche d'une
sensation
gustative. Le léchage, demeuré volontaire, n'a pa
ns aucune raison, presque constamment. Très exceptionnellement, une
sensation
anormale quelconque provoque un acte de léchage
sans le consentement du sujet qui ne va jamais à la recherche d'une
sensation
particulière. Etat mental. - Intelligence moy
re ; des piqûres très 388 RUDLER ET CHOMER fortes déterminent une
sensation
légère et ne provoquent aucune douleur ; de mêm
ute aux yeux : le malade commence à raconter volontiers ses fausses
sensations
; il les représente quelquefois d'une manière p
de délire alcoolique continu parle ordinairement volontiers de ses
sensations
morbides ; il est expansif, souvent même de bonne
te voix de ses propres pensées etc. ; sur le terrain de ces fausses
sensations
surgit ordinairement le délire de persécution,
ens, lorsque le malade conserve plus ou moins longtemps ses fausses
sensations
et croit à la réalité de ses illusions; ici, d'
lirium tremens » (Wernicke) se caractérise par cela que les fausses
sensations
associées et l'agitation motrice, propres au de
ou- vent pas dans les extrémités inférieures, pendant la séance, la
sensation
passagère d'engourdissement qui est la meilleur
urs par une aura localisée dans la jambe gauche. Ce n'était pas une
sensation
de fourmillement ni d'engourdissement, c'était
sensation de fourmillement ni d'engourdissement, c'était plutôt une
sensation
motrice de raideur ou de contraction, une crainte
, tout à fait caché dans l'épaisseur du cerveau, et qui, d'après la
sensation
du toucher, devait avoir les dimensions d'un pe
tres sensitifs, qui gardent et associent les ima- ges provenant des
sensations
cutanées et musculaires, et qui mettent en acti
l'accès un fait capital : c'est son début constant par une aura de
sensation
motrice localisée dans la jambe gauche. Eh bi
ptômes qui plaident dans le même sens. C'était, en premier lieu, la
sensation
de lourdeur que le malade accusait plusieurs fo
immédiatement après les convulsions, et qui peut être comparée à la
sensation
de fatigue ou de courbature que l'on expériment
local ? La décharge épileptique dansle centre de transformation des
sensations
musculaires du membre inférieur en perceptions
n perceptions et en images mentales peut-elle évoquer là de fausses
sensations
, des hallucinations et créer le délire ? Je l
tion par le toucher de la forme des objets ne sont pas le faitd'une
sensation
simple primitive, elles ne peuvent se former qu
tive, elles ne peuvent se former que par un rapprochement entre les
sensations
éprouvées et celles de divers ordres perçues dé
troublée davantage, le tact est parfaitement conservé ainsi que la
sensation
douloureuse développée par la piqûre, et la sen
ainsi que la sensation douloureuse développée par la piqûre, et la
sensation
thermique; la localisation des points explorés es
la main une certaine hy- peresthésie au froid et au chaud dont les
sensations
restent persistantes. La sen- sibilité articula
eut que dire : c'est chaud, c'est froid. Nous avons noté déjà les
sensations
subjectives de froid perçues dans le membre sup
ste dans l'ap- préciation de la forme des objets; mais c'est là une
sensation
complexe et il n'est pas inutile d'insister sur
ter sur ce fait dans l'élude des diverses anesthésiés que, dans une
sensation
même simple, il est aisé de distinguer deux élé-
s filets nerveux périphériques, d'autre part l'élaboration de cette
sensation
, sa synthèse avec les images des autres sensati
boration de cette sensation, sa synthèse avec les images des autres
sensations
données par le même objet et avec celles des se
des autres sensations données par le même objet et avec celles des
sensations
antérieures plus ou moins semblables. C'est ainsi
; encore faut-il remarquer que la peau n'a pas le privilège de ces
sensations
dites simples, les surfaces articulaires ou les l
Si cette sensibilité a élé niée, c'est qu'on l'a confondue avec les
sensations
complexes que les auteurs ont réunies sous le n
forte ils déduisent la position de l'article. Mais à l'aide de ces
sensations
en quelque sorte élémentaires : sensibi- lité c
ensibilité articulaire, sensibilité musculaire,l'esprit élabore une
sensation
plus complexe, il les réunit, les associe aux sen
hercher la localisation. Pour cela il faudrait d'abord l'isoler des
sensations
élémen- taires à l'aide desquelles elle est for
i les mobilisent. Il ne faut pas s'appuyer sur de tels faits où les
sensations
élémentaires X ayant disparu la sensation compl
sur de tels faits où les sensations élémentaires X ayant disparu la
sensation
complexe ne saurait exister, pour localiser le
embres et de leurs segments, dite encore le sens de l'espace, ou la
sensation
de pression, et M. Aba admet que ces six facteu
ie ou du moins d'hypoes- tbésie, que cette anesthésie porte sur les
sensations
tactiles proprement dites, les sensations doulo
anesthésie porte sur les sensations tactiles proprement dites, les
sensations
douloureuses qui sont surtout des sensations de d
proprement dites, les sensations douloureuses qui sont surtout des
sensations
de dé- fense n'étant pas atteintes, que la topo
ut cette autre con- clusion à savoir que ce sont principalement les
sensations
associées qui font défaut dans les lésions cort
cevoir une série d'étapes entre les centres de perception de chaque
sensation
élémentaire et les centres mo- teurs volontaire
destruction de la zone rolandique n'abolit pas la perception de la
sensation
brute il n'y a pas anesthésie, il y a hypoesthési
- mais seulement la perception des variations qualitatives de cette
sensation
; que c'est un centre de sensibilité perfectionn
ommémoratives tactiles et par suite impossibilité de rapprocher les
sensations
éprouvées de celles déjà produites par les obje
nce grise des circonvolutions. La synthèse, -\ le rapprochement des
sensations
actuelles et des sensations passées ne peuvent
s. La synthèse, -\ le rapprochement des sensations actuelles et des
sensations
passées ne peuvent évidemment se faire que par
dépendance immédiate. C'est dans les centres d'association que les
sensations
tactiles, visuelles, olfactives, acoustiques se
e réunissent, se fusionnent, sont comparées entre elles et avec les
sensations
passées, ce sont les instruments de la pensée et
e ces centres cérébraux, les uns centres de projection servant à la
sensation
simple et au mouvement ré- flexe plus ou moins
né mais involontaire, les autres centres d'association servant à la
sensation
complexe formée de la compa- raison des images
que le sens stéréo- gnostique résultat complexe de l'association de
sensations
simples actuel- les et d'images antérieures con
ements dans les membres infé- rieurs, surtout accusés à droite, une
sensation
d'engourdissement dans la zone du cubital. Depu
ite, ankylosée dans toutes ses articulations, donnait au malade une
sensation
de pesanteur et de poids, en même temps qu'elle
nte de plus en plus jusqu'à ce que finalement la palpation donne la
sensation
d'une tumeur dure, incapable d'être différencié
centre de la tumeur est osseux, sa péri- phérie donne absolument la
sensation
du cartilage (Hawkins, notre cas). Lorsque la t
le milieu de la plaque avec le doigt, le malade n'éprouvait aucune
sensation
». En 1354, Addison et Bazin décrivirent la chélo
t le reflet de la nacre. La palpation permet de percevoir les mêmes
sensations
que celles fourniespar la plaque chéloïdienne d
ccuse une céphalée frontale intense, des vertiges, des nausées, une
sensation
douloureuse au creux épigastrique et dans la régi
ée à con- sulter. Quand les secousses se répètent, elle éprouve une
sensation
de suffo- cation et quelquefois des sueurs prof
au repos, les orteils s'engour- dissent et le pied se refroidit; la
sensation
de refroidissement remonte jusque vers la jarre
ssent tout à coup. Ces mouvements s'accompagnent généralement d'une
sensation
d'engourdissement il l'extrémité des doigts. Dans
t s'étendre assez loin pour dé- terminer une dysphagie intense avec
sensation
très pénible de déchirure et de tension à la ma
surations. Je dirai d'abord quelques mots à propos de la nature des
sensations
douloureuses. La question du trouble de chaqu
nt qu'il existe des terminaisons nerveuses spéciales destinées à la
sensation
de douleur. Mais on sent la douleur non seuleme
ait contraire à la notion « de la santé », excluant complètement la
sensation
de la douleur. Pourtant dans les manuels, même
nerveuse sensitive est capable de recevoir et de trans- mettre une
sensation
douloureuse et si en outre on accepte que chaque
haute ou basse au delà des limites dé- finies cesse de provoquer la
sensation
de chaleur et produit la douleur. Si l'on accep
nt calorique, dépassant ce que l'homme peut supporter, provoque une
sensation
plus aiguè, la douleur. Par conséquent, il exis
eur. Par conséquent, il existe une différence quantitative entre la
sensation
calorique et la douleur provoquée parle même ir
e d'un même irritateur, mais d'une force différente, provo- que des
sensations
tout à fait différentes. On observe la même sim
différence quantitative entre les sens de toucher, dépression et la
sensation
de la douleur. Le même corps, à une température
sans influence sur la peau, faiblement louché, donne seulement une
sensation
de toucher; touché plus fortement, il donne une
ement une sensation de toucher; touché plus fortement, il donne une
sensation
de pression, et touché encore plus fortement la
e dans la peau des fonctions spéciales, exclusivement destinées aux
sensations
dou- loureuses. A ce sujet on ne peut pas accep
ion : « sens de la douleur » ; ce n'est pas un « sens », mais une «
sensation
de la douleur ». Les données anatomiques et phy
iques ne contredisent pas cette explication. Les tissus, privés des
sensations
tactiles et thermiques, sont peu sensibles aux
nt aussi capables, comme plusieurs autres fibres, de transmettre la
sensation
de la douleur (nerf sympathique). Les moyens
ur que je puisse entrer dans des développements plus larges sur ces
sensations
. Je ne dis rien des courants électriques, comme
trouvé par les mots : augmentation, abaissement ou état normal dés
sensations
douloureuses. La comparaison pour juger l'abaisse
comparaison pour juger l'abaissement graduel ou retour graduel des
sensations
douloureuses était presque impossible et, en to
intérieure de la lèvre inférieure à 1/2 hau- 236 MOCZUTKOWSKY la
sensation
des irritations de la peau. Comme preuve il donne
e même qu'avec un doigt, sans la pression nécessaire, on n'a pas la
sensation
du pouls. - Dans les plis normaux de la peau la
ant- bras la sensibilité douloureuse est plus basse. Le degré des
sensations
tactiles n'est pas parallèle au degré des sensa-
sont à côté l'une de l'autre, ne possè- dent pas au même degré des
sensations
douloureuses ; peut-être cela dé- pend de ce qu
cas elle s'enfonce dans l'orifice d'une glande, sans provoquer une
sensation
douloureuse. Cette question attend encore des e
mains qui recouvrent les articulations des doigts). La force des
sensations
douloureuses n'est pas toujours en raison inverse
de la peau : derrière l'oreille où la peau est plus mince, on a des
sensations
douloureuses seulement de 0,5 millimètres ; sur l
(le vi- sage, la tête). Mes observations sur les changements des
sensations
douloureuses sous l'influence de l'accumulation
le comme la couture, la serrurerie, la cor- donnerie, abaissent les
sensations
douloureuses, surtout sur les faces pal- maires
s grandeurs relatives, mais aussi des grandeurs non relatives de la
sensation
doulou- reuse de la peau. L'exercice a une bo
examinés appren- nent à définir avec plus de précision'les moindres
sensations
douloureuses. On ne réussit à saisir aucune rel
oureuses. On ne réussit à saisir aucune relation entre le degré des
sensations
douloureuses traumatiques et le degré des sens
ses traumatiques et le degré des sens calorique, de l'espace, de la
sensation
tactile ainsi que la sensation de la pression. 11
s sens calorique, de l'espace, de la sensation tactile ainsi que la
sensation
de la pression. 11 y a une con- tradiction fond
ion. 11 y a une con- tradiction fondamentale entre les chiffres des
sensations
douloureuses traumatiques recueillis par moi et
ns douloureuses traumatiques recueillis par moi et les chiffres des
sensations
douloureuses, électriques recueillis par Bernha
pâteuse, accompagnée de fièvre, doulou- reuse.Plus tard, dysphagie,
sensation
très pénible de déchirement et de tension à la
as de douleur dans les articu- lations des épaules, mais plutôt une
sensation
de tiraillement. Les mouvements des autres arti
ction forcée du bras droit, sont peu douloureux ; il y a plutôt une
sensation
de tiraillement ; pour le bras gauche, à peu pr
nt qui est douloureux lorsque Duf... éternue. Duf... a encore une
sensation
particulière, spontanée celle-ci et constante,
uche, de 4 pouces 2 lignes et demie à droite. La malade éprouve une
sensation
subjec- tive de chaleur sur la peau du côté dro
opique. Dilatations veineuses de la face interne de la joue droite;
sensation
de lobules adipeux en ce point. Traînée pigmentai
En saisissant entre les doigts la moitié droite des lèvres, on a la
sensation
d'un pli deux fois plus épais qu'a gauche. Le nez
auche provoque une réaction plus vive qu'a droite ; sur le front la
sensation
est la même à droite qu'à gauche. La sensibilit
zès et Cabannes). Dans le cas de Friedreich, la malade se plaint de
sensations
subjectives de chaleur. La température de la fa
ession du dehors, ou d'un simple regard, d'un son inarticulé, d'une
sensation
intérieure, d'un souvenir, lorsque la névrose e
temps que se déclare une subite réaction manifestement hystérique (
sensation
de houle, bourdonnements d'oreilles, etc.). Au
t durs, mais non aussi rigides que l'os ; ils donnent au loucher la
sensation
des lymphatiques cancéreux, ou d'artères très a
s congénital. Ossification puis- sante de la cuisse droite, on a la
sensation
d'une tumeur périostique réunie plus tard à une
e, une région quelconque du membre droit, le malade ressent la même
sensation
de picotements d'aiguilles sur toute la longueu
de picotements d'aiguilles sur toute la longueur du membre. La même
sensation
se produit par le con- 26 CLINIQUE NERVEUSE.
UE NERVEUSE. tact. L'application du froid ne produit plus la même
sensation
de picotements d'aiguilles, mais un senti- ment
leurs comme des éclairs qui partaient tout d'un coup, souvent aussi
sensations
de brûlure ou de froid. Dans les yeux, il voy
nts brillants s'agiter devant lui. Au niveau du thorax, il avait la
sensation
d'un corset de fer. Souvent aussi, il éprouvait
pas induré ; sa consistance aurait plutôt un peu diminué. Pas de
sensations
anormales à la face ou au cou, mais à deux ou t
on jusqu'à quatre travers de doigts au-dessous du nombril, il a une
sensation
de corset qui le serre extrêmement fort et lui
ment fort et lui donne quelquefois des étouffements violents; cette
sensation
du corset n'est pas continuelle, mais survient
quelquefois aussi c'est pendant des journées entières qu'il a cette
sensation
et il souffre alors énormément. Mais c'est surt
lité à l'extrémité supérieure gauche, et le 20, au supérieur droit,
sensations
de brûlure, douleurs fulgu- rantes, crises gast
é de la parésie vésicale et rectale. Dans les membres, il avait des
sensations
de brûlure. Il est resté au lit une vingtaine d
ne donnent plus DES ACDIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 33 la
sensation
d'étouffement qui les accompagnait avant le trait
es ; continuité de douleurs uréthrales et de douleurs fulgurantes ;
sensations
de brûlure à la cuisse gauche. Vers le commence
eurs fulgurantes n'ont pas cessé de visiter le malade. Il avait des
sensations
de brûlures à la cuisse gauche. Vers le commenc
savoir la région qui, à une époque antérieure, était le siège de la
sensation
de brûlure, toute cette surface, dis-je, est an
de est pris d'engourdissements de pieds par suite desquels il a une
sensation
vague de ses chaus- sures et de ses caleçons. C
de l'acte de co'it. L'éjaculation est hâtive et ne développe aucune
sensation
volup- tueuse. Les douleurs uréthrales depuis
EMPLOI DES SCAPHANDRES. 47 malade de M. Marie a commencé à avoir la
sensation
d'un corset de fer, à la même époque que la par
au moment même de la disparition-complète de la paralysie; cette
sensation
servant en quelque sorte de symptôme de transit
ables donnant lieu quel- quefois à des étouffements violents. Cette
sensation
de serrement durait chaque fois un temps variab
is aussi (OBs. XX), c'est pendant des journées entières que cette
sensation
dure et le malade souffre alors énor- mément.
enté d'engourdissements de pieds, par suite desquels il avait une
sensation
vague de ses chaussures et de ses caleçons. Lor
douleurs en ceinture étaient plus tolérables, ne don- nant plus la
sensation
d'étouffements. Les crises gas- triques n'avaie
l'acte du coït, l'éjaculation était hâtive et sans développement de
sensation
volup- tueuse. Après le traitement, les polluti
ssion et l'invasion de l'accident. Pas de symptômes du début. Vague
sensation
de pantalons et de caleçons. Anesihésie sous to
de pantalons et de caleçons. Anesihésie sous tous les modes. Pas de
sensation
du sol. Le soir, ci 10 heures, picotements d'ai
oulaient entre l'excitation et la perception sensitive; une fois la
sensation
perçue, elle durait plus qu'à l'état normal. Le
rictionner avec du vinaigre chaud; il n'aurait eu qu'une très vague
sensation
de la friction. On l'avait pincé aussi et il n'
es d'intervalle entre la décompression et l'invasion de l'accident.
Sensation
de pression à la nuque, engourdissements, anéan
essité d'uriner dès le besoin perçu. Fonctions génitales émoussées.
Sensation
du froid au membre parétique. Nicolas Cirkas, â
bien, mais au bout de ce temps, le malade est pris d'une très forte
sensation
dépression à la nuque, comme si un malaise le s
aissance pas d'autres symptômes. Au bout de trois heures à midi, la
sensation
de pression à la nuque, les engourdissements, c
eures. Au genre de symptômes sensitifs,nous devons rat- tacher la
sensation
de pression à la nuque, comme si une main le sa
chique et les étourdissements; celle de 1'013SERVA-flON XXVI par la
sensation
de pression à la nuque, les engourdissements et
aso-moteurs. Excepté le malade de l'OBSERVATION XXVI, qui avait une
sensation
de froid au membre paralytique, ceux des Observ
, mains et pieds. En pressant la peau avec le doigt, on éprouve une
sensation
sui generis, celle que donnerait une subs- tanc
s moitiés l'hallucination du rouge, elle aura sur l'autre moitié la
sensation
du vert complémentaire (Parinaud). - On dit à une
plus fréquentes dans la région du dos, qui donnaient au malade la
sensation
d'un léger choc. Plus tard, quand survinrent les
vinrent les hal- lucinations de l'ouïe, les patients éprouvèrent la
sensation
d'une main leur frappant sur l'épaule en même t
ure, enfin, la sensibilité des parties sous-jacentes à la peau. Les
sensations
excentriques sont en outre l'objet d'un paragraph
frait de froid et de douleurs lancinantes dans les jambes, et d'une
sensation
de ceinture très marquée. Plus tard parurent en
i fait l'effet d'un simple contact. Retard dans la transmission des
sensations
et polyesthésie (S. ressent deux ou trois fois
qûre). Confusion dans l'estimation de la place où se produisent les
sensations
tactiles (elle prend souvent lajambe gauche pou
tat normal. Dans les jambes, douleurs lancinantes et térébrantes,
sensation
subjective de rigidité. Quand on exerce des mouve
peut constater une flaccidité complète de toutes les articulations.
Sensation
de froid et engourdissement dans la plante des
irantes dans les jambes ; dans ces dernières, se fait remarquer une
sensation
d'engourdissement et des fourmillements ; quand
'un simple attouchement et il y a retard dans la trans- mission des
sensations
. La sensibilité à la pression est très émous- s
endroits, au contraire, hyperesthésie. Dans les membres supérieurs,
sensation
d'engourdissement dans les trois derniers doigt
s deux jambes, analgésie extrême, retard dans la transmission des
sensations
. La sensibilité à la température est aussi très a
reil auriculaire à la couche corticale du cerveau. Dans le fait, la
sensation
auditive est quelquefois si aiguë que le malade
iges. A ce moment, il essaye de se plaindre à ses compagnons de ses
sensations
vertigineuses, mais il ne peut pro- noncer un s
pression et l'enlèvement du casque, le 'scaphandrier est pris d'une
sensation
de brûlure qui commençait des pieds et suivant
ne distinguait plus le jour de la nuit. En même temps, il avait une
sensation
de brûlure tellement intense dans les yeux qu'il
és, enfin aucun autre symptôme. C'était la cécité accompagnée de la
sensation
de brûlure et de la rougeur des conjonctives qu
urs avaient presque complètement disparu et( il ne lui reste qu'une
sensation
incom- mode de plénitude dans les yeux et de br
r. La cécité était absolue. Vers la fin de la première semaine, ces
sensations
de pléni- rude et de brûlure avaient disparu. P
du casque, on le voit se frotter les yeux, ce qui était dû à une
sensation
de brûlure intolérable, ses conjonctives auraient
ps, le malade se plaignait d'une douleur à la région gastrique avec
sensation
d'angoisse. Cet état, qui n'était accompagné d'au
e troubles de la sensi- bilité. ZD c - Il avait en même temps une
sensation
précordiale avec plénitude et gêne de la respir
que comme contacts. Aucun ralentissement dans la transmission des
sensations
n'a pu être constaté dans les endroits où la piqû
t;O; mais il ne distingue nulle part une différence de 2 degrés. La
sensation
de pression est excessivement affaiblie ; dans la
rêmement troublé dans les membres inférieurs. La localisation des
sensations
est très inexacte, mais il n'est pas possible d
l n'est pas possible de dire que le malade ait indiqué le siège des
sensations
trop près du centre seulement, ou seulement tro
s fulgurantes furent remplacées par des douleurs au côté droit, une
sensation
de ceinture et de constriction dans les muscles
elle le malade commença à se plaindre pour la pre- mière fois d'une
sensation
de ceinture caractéristique à la partie inférie
voit déjà plus. Le la mars 1887, J... commença à se plaindre de la
sensation
de ceinture qui s'était calmée et pour la premi
nsibilité au contact et au froid. Subjectivement, nous trouvons une
sensation
de ceinture, des douleurs lancinantes et des pa
accès, on remarquait ou quelque symptôme nerveux (par exemple : la
sensation
de ceinture), ou l'aggravation des symptômes pr
crié : « Tenez-moi ! je m'en vais, je me préci- pite. » Il avait la
sensation
que sa chaise s'enfonçait et lui avec elle; imm
itions et qu'on lui a enlevé le casque, il a été bientôt pris d'une
sensation
pareille à celle du premier accident, c'est-à-d
elui d'un coup de fusil. Cette fusillade a été bientôt suivie d'une
sensation
vertigineuse intense; le malade avait la sensat
tôt suivie d'une sensation vertigineuse intense; le malade avait la
sensation
qu'il se trouvait dans un bateau très agité par u
des bourdonnements (fusillade), ver- tige de translation très fort (
sensation
de bateau agité), terminai- son par des nausées
398 CLINIQUE NERVEUSE. la titubation se dissipe complètement. La
sensation
vertigineuse permanente devientplus légère et l
s et séparées par des intervalles, pendant lesquels il n'y a pas de
sensations
vertigi- neuses ; le calme est parfait. Seuls l
été pris d'une crise de vertige de translation, le malade ayant la
sensation
que sa chaise s'enfonçait avec lui au fond de l
t-cinq mi- nutes son séjour au fond, il fut pris d'une dyspnée avec
sensation
de sutfocation et d'une sueur abondante. Immédi
x membres surtout sous l'influence des variations atmos- phériques.
Sensation
désagréable à la région lombaire. Pas de troubl
il semblait qu'il allait recouvrer entièrement le mou- vement et la
sensation
des membres inférieurs; mais malheureu- sement
peau, à peu près comme chez tout le monde; et, d'un autre côté, la
sensation
élec- trique est vivement sentie, car tout le c
asc. Il, 1888. Bouelialoff. Etude sur les causes de distinction des
sensations
. Arch. de Kovalewsky, t. XII, n° 2, 1888. De
tions. Arch. de Kovalewsky, t. XII, n° 2, 1888. De la qualité des
sensations
gustatives. Arc7e. de Kova- lewsky, t. XI, iio
rz. de Mierjiewsky, 0° an., fasc. I, 1888. - De la localisation des
sensations
auditives dans l'espace. Thèse inaugurale, Sain
mie.) M. le D'' C.-L. (de New-York). Localisations cérébrales des
sensations
cutanées. Il y a une identité complète, entre les
, un malaise particulier et un besoin irrésistible de supprimer ces
sensations
par l'alcool. C'est une faim ou une soif pathol
ujet chez lequel, depuis l'enfance, certaines paroles éveillent des
sensations
gustatives correspondant à la saveur de certain
fruits ou de cer- tains mets, ou même d'objets non comestibles. Ces
sensations
gus- tatives restent presque toujours à l'état
es la profession est d'ordmaire, relative- ment supérieure ; 5° une
sensation
illégitime de bien être se ren- contre chez une
ctes inspirés ou conseillés par un initiateur coupable. La première
sensation
éprouvée avait été enregistrée par la mémoire a
les se trouvaient donc dans une dépendance étroite avec la première
sensation
et le réflexe génital n'était réveillé que par
xe génital n'était réveillé que par des idées se rapportant à cette
sensation
. L'explication de ces états mentaux se trouve d
a neuro-pathologiè ne doivent pas être sépa- rées. Les troubles des
sensations
, des perceptions 'hallucinations et illusions),
plutôt à ce que le restant du lobe occipital perçoit, lui aussi, la
sensation
de la lumière. G. DENY. XVI. Encéphalite aigue
M. DENY répond qu'il ne suffit pas à un sujet de ne pas avoir la
sensation
de ses organes pour en mer l'existence ; il lui f
concours », et que chaque moitié est présente à tout acte eta toute
sensation
dans la mesure permise par son organisation, pu
lle des sentiments, mais il vaut mieux considérer ceux- ci aveç les
sensations
, propos des acquisitions de chaque co-être. ? '
susceptible ... de percevoir l'idée des objets et de ressentir des
sensations
très com- plexes ... de saisir les rapports' qu
e eux, les idées entre elles "ou avec les objets, enfin les' idées,
sensations
et objets avec le sujet même... Il vit sur un f
corporées i ba mémoire, comme le sont les images, les ob- jets, les
sensations
ressenties et les mots'qui représentent ces idé
sensations ressenties et les mots'qui représentent ces idées et ces
sensations
» (p. 56). 11 existe en effet des preuves de l'
naissance, ces groupements ne portent que sur un ordre restreint de
sensations
et, outre que, sauf ceux des images visuelles e
bjet d'un raisonnement propre- ment dit. - Suivons maintenant les
sensations
, les sentiments, les idées, bref, tout ce que p
ique de la moitié opposée du corps..Nous ne reviendrons pas sur les
sensations
visuelles déjà trop longuement envisagées à pro
longuement envisagées à propos des voies et centres optiques. Les
sensations
gustatives et olfactives unilatérales sont extrê-
les sont extrê- mement rares. Il en est à peu près de même pour les
sensations
au- ditives, qui, du reste, mieux encore que le
our les sensations au- ditives, qui, du reste, mieux encore que les
sensations
visuelles. mettent en jeu les deux hémisphères,
nt sensoriel met forcément en jeu les deux hémisphères. Parmi les
sensations
données par la peau et les muqueuses, beau- cou
où les deux côtés du corps ne sont pas opposés. Presque toutes les
sensations
, si importantes comme repères mnémoniques. dues
souvenirs cénesthésiques et sont identiques pour les deux côtés.Les
sensations
nées de l'effort, capitales pour la genèse de l
l en est de même pour la plupart des élé- ments affectifs de chaque
sensation
, même lorsque ces éléments ne sont pas déjà rév
rsque ces éléments ne sont pas déjà réveillés par l'évocation d'une
sensation
antérieure. Enfin, certaines des sensations tac
és par l'évocation d'une sensation antérieure. Enfin, certaines des
sensations
tactiles liées aux « appétits » les plus élémen
deux hémisphères ; toute SUR L1 SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 513
sensation
tactile nu thermique est conduite par des fibres
i élimine les extrêmes ,des cen- tres corticaux physiologiques. Les
sensations
les plus simples sont d'abord vagues ; ce n'est
des localisa- tions plus fines. Admettons pourtant que, pour les
sensations
tactiles, la part du côté non impressionné soit
moins encore, pour la simple reconnaissance, il faut souvent que la
sensation
s'associe à des sensations visuelles, auditives,
le reconnaissance, il faut souvent que la sensation s'associe à des
sensations
visuelles, auditives, à des complexus ayant cet
ce, la collaboration passée et présente des deux hémisphères. Les
sensations
les plus facilement évoquées par la mémoire sont
tout entier. D'autre part, c'est par leur teinte affective que les
sensations
sont ordinairement le point de départ d'une réa
d'étendue ne peut pas être l'effet du moi conscient. Si donc les
sensations
s'unissaient en deux séries ditiiitéà,élià- que
our les deux co-êtres, c'est que chacun non seulement participe aux
sensations
et actes de l'autre, niais encore connaît ses é
nécessite et impli- que l'intégration primordiale et spontanée des
sensations
des 'deux hémisphères. Or il est impossible de
tions des 'deux hémisphères. Or il est impossible de dissocier .ces
sensations
du reste du contenu de Fêtât de conscience, et,
ntres de perception,`le principe de 1' « unité d'im- pression ou de
sensation
», défendu aussi par Cajal est également contra
conscience parmi lesquels les plus apparents sont l'indécision, la
sensation
d'impuissance à agir et surtout la dif- ficulté
e- Son esprit se déplace et son corps reste à Sainte- Anne. Il a la
sensation
d'être souvent piqué à la fesse, lia de nombreu
t ab- solument justifiée. La condition principale qui fait qu'une
sensation
se lie ou est ca- pable d'être rattachée par la
d ceenes. thésique, ou, en d'autres termes, de l'état affectif, des
sensations
internes : et de l'état des organes sensitive -
e, si de vastes anesthésies tactiles sont survenues depuis peu, les
sensations
nouvelles venues pourront ultérieurement s'évoq
thésie,de la sensibilité cu- tanée ou sensorielle, survenance d'une
sensation
forte et à teinte affective accusée, ou bien ba
es fois, par exemple dans la suggestion sous hyp- nose, on voit une
sensation
fortement affective, riche en associa- tions de
« perceptions incomplètes » de Leibniz, c'est-à-dire de toutes les
sensations
restées au-dessous du seuil de la conscience ma
le plus souvent la création de « l'état fort » au cours duquel les
sensations
en question ont été reçues : ce mécanisme est d
e son bras gauche avec celle de la sensibilité ou de l'ensemble des
sensations
du côté gauche ou du bras gauche. Dans les cas
avait formé des groupements de représentations de mouvements ou de
sensations
, considérées dans le temps : maintenant les mou
sensations, considérées dans le temps : maintenant les mouvements,
sensations
sont consi- dérés et groupés d'après leurs rapp
par le transfert ; ou bien,les modifications oenesthésiques ou une
sensation
forte et remplissant certaines conditions ayant
entiment de l'iden- tité, non dans la succession des impressions et
sensations
car... ». J'interromps la citation pour faire r
tité ne comprend pas seulement « la suc- cession des impressions et
sensations
» ainsi que l'Au- leur le fait dire injustement
x co-êtres, sont pour chacun de ceux-ci des actes mentaux, si les
sensations
de l'un sont communiquées à l'autre comme sensa
taux, si les sensations de l'un sont communiquées à l'autre comme
sensations
ou comme ébranlements : cherchons en un mot à d
« Même en les supposant com- muniquées d'un co-être à l'autre, les
sensations
peu- vent, si elles ne sont pas contradictoires
l'un à l'autre, jusqu'à n'en faire plus qu'un moralement, « la même
sensation
surgirait en même temps dans chacun d'eux » (p.
onscience de droite l'est-elle aussi et simulta- nément par la même
sensation
? Non, d'après les données mêmes du problème. L
mêmes du problème. La conscience de gauche communi- que t-elle la
sensation
à celle de droite ? Si elle ne le fait pas touj
le pas ne se faire que par une manifestation qui n'est déjà plus la
sensation
, mais un signe, naturel ou conventionnel, repré
tion, mais un signe, naturel ou conventionnel, représentant cette
sensation
? L'ouvrage entier reste muet sur ce point. Je co
ces n'est plus un,mais deux faits psychologiques. Donc, dire que la
sensation
est communiquée comme sen- sation, ce serait di
ation est communiquée comme sen- sation, ce serait dire qu'une même
sensation
est double étant connue des deux coêtres, chose
ns les difficultés rencon- trées à propos de la communication de la
sensation
elle- même. Elle est donc connue d'une façon di
ernance d'un état pri- me et d'un état'second. La communication des
sensations
d'un co-être à l'autre,mentionnée plusieurs foi
'opposent à « la Sensibilité supérieure qui raisonne et précise ses
sensations
et à une Mémoire supé- rieure [celles du MoiJ q
lles il les satisfait » (p. 92). Quant au Moi, qui a maintenant des
sensations
et des percep- tions propres, il sera présenté
L'une et l'autre sont in- térieures car comment cottcevrais-je une
sensation
qui ne se- rait pas en moi » (p. 68). Et « du f
favorisées les souvenirs de la veille et par celles que créent les
sensations
sub- sistantes, la plupart d'origine interne. C
le que par l'évocation,cnor- donnée ou incohérente, peu importe, de
sensations
antérieures ? Pourquoi les sensations et percep
incohérente, peu importe, de sensations antérieures ? Pourquoi les
sensations
et perceptions sont elles supprimées ou très am
usculaire sont entière- ment distincts de ceux qui enregistrent les
sensations
tactiles et thermiques ; 2° les centres qui reç
ie. Mais cette anesthésie n'est que la perte de la conscience des
sensations
, car dans certains cas le sujet qui pré- tend n
t cependant automatiquement. Mais si ce n'est que la conscience des
sensations
qui est perdue dans l'anesthésie, pourquoi cett
qui ne peut plus embrasser dans une seule synthèse personnelle les
sensations
musculaires et les représentations de mouvement
ur et psycho-moteur, c'est-à-dire que c'est là qu'abou- tissent les
sensations
parties de la périphérie du mem- bre, tant exte
mineront qu'un état insuffisant pour provoquer le mou- vement et la
sensation
consciente dont il est la réponse, mais suffisa
conçoit que le réveil de ce fonc- tionnement doit's'accompagner de
sensations
et de réac- tions psychiques un peu particulièr
tablir des échelles de sensibilité qui permettent, étant donnés une
sensation
, un trouble sensitif quelcon- que, de savoir à
ant donné un état somatique déter- miné,de prévoir quelles sont les
sensations
éprouvées par le sujet. Cette étude permet de
Les deux coêtres sont « en relations régulières » (p. 97); leurs
sensations
de perceptions peuvent être « communi- quées pa
l'ensemble de son contenu : il y a dans ce contenu nombre de faits,
sensations
, perceptions SUR LA SYMÉTRIE BILATERALE DU CORP
ciproque des influx auxquels il donne passage, « l'intégration des
sensations
conscientes provenant des deux moitiés du corps »
les souvenirs rudimentaires qui président à la reconnaissance de la
sensation
,à la perception et à toute la série d'actes psy
motifs ruminés.Cet oubli est quelquefois causé, ou rempli, par une
sensation
intercurrente ou tout autre état de conscience
force intérieure naît qui va.... soumettre à une sorte de contrôle
sensations
, idées, no- tions et volitions » (p. 130). Cett
ensorielles est invariablement déprimante : il diminue l'acuité des
sensations
et la rapidité des perceptions. Il faut donc po
rapporte aussi le cas d'une épileptique dont l'aura consiste en une
sensation
de fausse reconnaissance des objets environnant
nd il reprend son acti- vité, ce retour s'accompagne d'une série de
sensations
qui se présentent dans un ordre et avec des car
ord que même si j'avais suggéré aux su- jets d'avoir telle ou telle
sensation
, de faire tel ou tel mouvement, cela n'enlèvera
ous » ou « sentez-vous », s'étirer, secouer la tête, éprouver des
sensations
diverses,se. mettre tout à coup à repasser leur
finer dans « la connaissance de nos seules,propres et accidentelles
sensations
» (p. 149), mais encore celui de ne pas fournir
a jamais « amener à la connaissance d'autre chose que de nos seules
sensations
» et celte connaissance ne pourra « jamais, mêm
tile ou auditif et les représentatiors qui lui sont liées, soit les
sensations
, perceptions ou reconnaissances les plus simple
tion ou d'imitation doit être écartée*. Aucun n'a paru obéir à une
sensation
subjective préalable, mais il est probable qu'ils
stable intérêt scientifique. Principaux ouvrages DE "1. Ch. FÉRÉ. -
Sensation
et mouvement, 1 vol., 1 IUU, traduction espagno
diverses formes de la croyance : on croit parce qu'on objective ses
sensations
, ou par raisonnement, ou par sentiment, ou par
âge, docilité, surémotivité... faiblesse d'esprit, veilles, jeûnes,
sensations
), les modes de contagion religieuse. Cette cont
ité corticale ? Dans la perte des images mentales ou dans celle des
sensations
brutes de la vue ? Avant de répondre à ces ques
siologique, puisqu'il s'agit de savoir si l'écorce est le siège des
sensations
en même temps que des perceptions et des images
ations en même temps que des perceptions et des images, ou si les
sensations
ont pour siège, en dehors des hémisphères céréb
cécité est absolue (Flourens, Munk) : les sen- sations brutes, les
sensations
élémentaires, ont donc ' Pubblicazioni del R. I
ages perçues ; il conserverait encore la possibilité d'éprouver des
sensations
visuelles. Munk, après Flourens, prétend réalis
e au centre cortical de la vision que l'éla- boration psychique des
sensations
visuelles, dont le siège serait situé dans les
ision ne sont que le siège des percep- tions et des images, non des
sensations
élémentaires de la vue. Chez deux singes, dont
vision a d'ailleurs été incomplète, Luciani a pu constater que les
sensations
de la vue étaient redevenues parfaites : ces an
ont été découverts, bref,~où les régions des transfor- mations des
sensations
en perceptions et en images mentales ont pu êtr
me étant à la fois de vrais centres de perceptions élémentaires des
sensations
et des dépôts d'images mentales. Dès l'origine,
rritation qui, ici, détermine des convulsions, évoque là de fausses
sensations
, ressuscite des per- ceptions, des images qui,
oteurs de l'écorce, atteint les centres sensoriels et y suscite les
sensations
ou les images intenses de l'hallucination'. Hit
uand elle est suffisamment intense, est perçue comme si c'était une
sensation
; cette image visuelle est projetée au dehors c
e sensation ; cette image visuelle est projetée au dehors comme une
sensation
extérieure... L'image mentale est perçue LES FO
épileptiformes, appliquée aux cen- tres sensoriels fait naître des
sensations
subjectives de la vue, de l'ouïe, etc., que man
ons de la vue. Charcot, Fer- et interprétée comme si elle était une
sensation
rétinienne. On perçoit une image comme on perço
une sensation rétinienne. On perçoit une image comme on perçoit une
sensation
. » Alfred Binet, La vision mentale. (Re ? philo
mine alors complètement; nous croyons fatalement à la réalité des
sensations
ou des visions qu'elle suscite en nous, et aucu
t violent ou insolite, Ferrier les interprétait comme l'effet d'une
sensation
auditive subjective. Cette sensation provoquait
rprétait comme l'effet d'une sensation auditive subjective. Cette
sensation
provoquait, par action réflexe, les 1 Sui cenlr
réaclions représentent des mouvements réflexes consé- cutifs à des
sensations
subjectives, les auteurs italiens 'inclinaient
i vont-ils s'atténuant si l'animal survit assez longtemps. Mais les
sensations
brutes de l'ouïe redeviennent toujours parfaite
uniquement destiné aux perceptions et aux images acoustiques; les
sensations
simples de l'ouïe par- viennent ailleurs, mais
entale auditive du mot, qui est effacée dans la surdité verbale, la
sensation
élémentaire des sons ou des bruits demeurant in
rait essentiellement sur les'centres d'élaboration psychique de ces
sensations
, non sur les centres des perceptions ou des sen
hique de ces sensations, non sur les centres des perceptions ou des
sensations
brutes, si toutefois on inclinait encore à adme
880), que je n'ai pu consulter. 7'1. PHYSIOLOGIE. intacte. Or les
sensations
acoustiques verbales étaient perçues et compris
relet; phlyctène. La jambe est moins douloureuse; à la pal- pation,
sensation
de fausse fluctuation. Deux incisions sont faites
E : SUSPENSION. 127 En 1875, diplopie qui dure six mois. En 1888,
sensation
de coton sous les pieds, la marche devient très
membres inférieurs auxquels elles se sont limitées jusqu'à ce jour.
Sensation
de constriction thoracique et lombaire. 128 REC
nt le som- meil. Nous ne devons pas oublier que, plusieurs fois, la
sensation
d'engourdissement des pieds s'est atténuée ou a
bilité qui existaient aux membres inférieurs, et en particulier les
sensations
de froid et les fourmillements qui étàient très p
REVUE CRITIQUE. des mictions fréquentes avec incontinence parfois,
sensation
de coton dans les membres inférieurs, absence d
. Il signale ce fait, déjà mentionné par M. Charcot, c'est que : la
sensation
de soulage- ment et le retour de la coordinatio
du traitement (7 à 23 séances), le sommeil est devenu meilleur, la
sensation
de chaleur a diminué, la rigidité des membres e
observés dans l'excitation du lobe occipital sont le résultat de
sensations
optiques subjectives ne peut être considérée comm
u'il est en rapport en grande partie, sinon exclusivement, avec les
sensations
douloureuses et tactiles. C'est une extension des
cuse actuellement (après avoir vu double pendant l'été de 1886) une
sensation
d'op- pression dans la région stomacale, des na
rapprocher les pieds sur la même ligne et qu'on lui ferme les yeux.
Sensation
toute subjective d'engourdissement dans les ext
s et les joues, soit plus épais que normalement et tuméfié; il a la
sensation
du masque tabétique des Italiens; et cependant,
sont des voies habi- tuelles pour le passage et la transmission des
sensations
; les autres sont des voies pour ainsi dire neuv
'effectue, grâce à cette loi, le passage d'un groupe particulier de
sensations
toujours les mêmes nous aurons alors l'explicat
d devoir de l'éducation de rendre, pour ainsi dire, praticable» aux
sensations
morales et utiles certains trajets nerveux rest
au contraire, ceux qui n'étaient que des portes d'en- trée pour les
sensations
basses et nuisibles. Or, pour donner nais- sanc
s sensations basses et nuisibles. Or, pour donner nais- sance à une
sensation
, il faut faire intervenir une excitation. Les e
est presque constammenl diminué, souvent il est aboli pour une des
sensations
gustative* fondamentales à l'exclusion des autr
heures environ, la paralysie disparaît avec le développement d'une
sensation
de picotements d'ai- guille. De 6 à 7 heures le
r; la sensibilité restait intacte, les malades se plaignaient d'une
sensation
de froid, de langue lourde, gênant la parole; v
stupide, bouffissure des paupières et des lèvres, langue épaisse,
sensation
de froid, cyanose et lourdeur des bras et des jam
i, qui constitue à l'état normal, le véritable régulateur entre les
sensations
, les mouvements et les actes psychiques purs. M
n'existe pas à ce sujet de loi aussi formelle. Chaque état prend la
sensation
qui lui est le plus utile et rien de plus. 11
ieurs. Ce prétendu sens musculaire pourrait bien ne résulter que de
sensations
multiples purement centripètes, c'est-à-dire vu
res, dont une part revient aux sen- sations cutanées, une autre aux
sensations
articulaires, musculaires proprement dites, etc
lequel l'évocation des images graphiques des let- tres amenait des
sensations
diverses de tact, de goût, de sens musculaire.
culaire. Par exemple l'O est noir pour la vue et s'accompagne d'une
sensation
de chaleur étouffante, de chute dans un précipice
es extrémités inférieures. Persistance des désirs amou- reux et des
sensations
agréables de l'orgasme vénérien, persis- tance
Elle était dans sa boutique à travailler, quand elle ressentit une
sensation
pénible d'engourdissement qui débuta par la lan
que la moitié des figures pendant qu'elle servait le monde. »; ces
sensations
durent une heure ou deux, puis un violent mal d
sensibles », où sont conservées et associées les images nées des
sensations
cutanées, musculaires et d'innervation des régi
xpressément que toute représentation de ce genre est accompagnée de
sensations
musculaires, si bien que la vue seule d'un obje
produire ces mouvements avec ou sans conscience; les résidus de ces
sensations
mus- culaires constituent seuls la condition du
ol des nuages, Stricker éprouve dans les muscles des yeux les mêmes
sensations
que s'il suivait en réa- lité les nuages ; s'il
s'il suivait en réa- lité les nuages ; s'il cherche à arrêter cette
sensation
musculaire, l'image du nuage en mouvement s'arr
s de l'innervation motrice, mais ils ne le font qu'à la manière des
sensations
qui déterminent des mouvements réflexes '. Quan
, ce n'est pas l'énergie des mouvements musculaires, mais, avec les
sensations
de tact et de 1 Dei ]J1'e/esi cen/I'i motori ne
es centrifuges ou kinésodiques d'un arc réflexe, grâce auquel les
sensations
tactiles, qui règlent nos mouvements, pro- voqu
nel avec cette zone. Si donc Horsley n'a pu -constater la perte des
sensations
du tact et du froid ^après la section des cordo
nt le centre (ou les conducteurs nerveux conduisant au -centre) des
sensations
du tact et du froid ; ces deux sensations sont
onduisant au -centre) des sensations du tact et du froid ; ces deux
sensations
sont transmises par les cordons postéiietirs de
cipital ne peuvent être de natuie réflexe, c'est-à-dire résulter de
sensations
optiques subjectives, car, après l'ablation total
c'est-à-dire des résidus des perceptions' antérieures, mais non des
sensations
. J'arrive aux résultats des dernières expérienc
. La pression serait plus douloureuse à droite et déterminerait une
sensation
d'oppression avec irradiation vers la base du c
étermine une dou- leur irradiée vers l'épigastre en déterminant une
sensation
d'op pression. Le point abdominal est plus doul
de ces endroits gonflés est abaissée, autant de fait que d'après la
sensation
des malades, qui éprouvent un sentiment de froi
st localisée dans quelques parties du corps. Avec cela apparaît une
sensation
de grande fatigue, de faiblesse, 424 REVUE CRIT
se développa petit à petit. La malade se plaignait tout le temps de
sensation
de froid, surtout aux endroits gonfles. L'intér
uestion jouissent agréablement des variantes du ca- rillon; mais la
sensation
, ils la manifestent différemment, seize d'entre
xtinction des conceptions musicales dans le sensorium; cet ordre de
sensations
et d'activité peutau contraire parfaitement sub
oté, la propulsion ou la rétropulsioti, l'agitation nocturne par la
sensation
de chaleur, le masque facial propres à la paral
mps incrédule peut-être; il s'étonne de ne point obtenir du tabac les
sensations
tant vantées. Néanmoins, peu à peu la suggestion
et il fumera jusqu'à la fin de ses jours. Il trouve dans le tabac les
sensations
qu'on lui avait annoncées et qu'il y cherchait. L
e dans le même sens, sur l'intensité des actions magnétiques. « Ces
sensations
, ordinairement inconscientes, seraient peut-être
rre relativement considérables ; elle se guide sans doute d'après des
sensations
tactiles et olfactives. Les mammifères nous don
ntermédiaires exécutifs, pense, parle ou écrit. Tout sentiment, toute
sensation
, toute pensée a sa création dans le cerveau et se
, ni espace, ni passé, ni avenir; le devenir même n'existe pas. Une
sensation
peut sembler durer des siècles ou une seconde. C'
s siècles ou une seconde. C'est l'état présent qui est tout. C'est la
sensation
vive, ardente, d'une puissance singulière, d'une
du toucher. Horsley. — Le degré de localisation des mouvements et les
sensations
correspondantes. Pierre Janet. — L'aboulie. Lange
les rapports de la respiration avec l'attention. Munsterberg. — Les
sensations
complexes du plaisir et de la douleur. Lombroso.
ter le passage suivant d'un travail que j'ai publié, en 1887, sur les
Sensations
des Insectes (2} : « Instinct de la direction.
t-Ebing. les symptômes de ces aberration» doivent se comprendre comme
sensation
» et idées obsédantes occasionnées par auto-sugges
u, l'intelligence consciente, la volonté, et produisent, en créant la
sensation
de fatigue et de narcose, une disposition favorab
Il éprouvait en même temps des douleurs tris vives à l'épigastre; une
sensation
de boule remontant jusqu'au pharynx et sensation
s à l'épigastre; une sensation de boule remontant jusqu'au pharynx et
sensation
de froid dans la région précordiale. 11 tomba lou
et l'épigastre, percevant toujours vers la région précordiale la même
sensation
de froid sur laquelle il insiste. Toute la jour
II Physiologie psychologique proprement dite, c'est-à-dire étude des
sensations
; Rapports de la sensation avec l'excitation péri
e proprement dite, c'est-à-dire étude des sensations ; Rapports de la
sensation
avec l'excitation périphérique; sensibilité perce
ion des couleurs d'un certain nombre de publications récentes sur les
sensations
produites par les couleurs (la perception des cou
uge rétinien est celte substance dont la décomposition fait uaitre la
sensation
du jaune; celte décomposition produit immédiateme
e rétinien, et la décomposition du jaune rétinien permet d'obienir la
sensation
du bleu. Les motifs qui militent en laveur de l'a
uvées exclusivement ou tout au moins d'une façon prépondéra 11 le les
sensations
du jaune et du bleu ; 2" Les spectres d'absorpt
es, représentent l'inicnsitè avec laquelle ils ont dans le spectre la
sensation
du jaune et du bleu. Les autres motifs sur lesq
ger. Bientôt l'excitation factice créée par l'injection s'éteint, les
sensations
les plus normales sont douloureusement ressenties
n huit piqûres. Elle est arrivée à un degré d'énervation extrême, ses
sensations
génitales sont abolies, la menstruation est presq
e envie qui pourrait survenir. Pendant deux mois elle a eu encore des
sensations
très pénibles : crainte de mourir, état d'esprit
stées produira ce qu'on appelle dans les comptes rendus un mouvement (
sensation
). Mais ce mouvement sera ressenti par tous à la f
nces pour exprimer tous les sentiments, des analogies avec toutes les
sensations
. On sait l'importance qu'attachaient les rhéteu
pées analogues aux idées qu'on a et dont on est fortement occupé, aux
sensations
qu'on ressent et qu'on vent exciter; aux phénomèn
e devient une constriction qui remonte jusqu'à la gorge et produit la
sensation
d'étouffement caractéristique de la boule hystéri
l, que rhalluciuation. éprouvée au milieu de la veille, et malgré les
sensations
réelles environnantes, soit identique au rêve de
e. — il. J.-V. Laborde, le mercredi, à quatre heures. Programme : Les
sensations
et les organes des sens. Evolution organique et f
Dans la théorie Yung-Helmholtz sur le mécanisme de la perception des
sensations
lumineuses colorées, la sélection des couleurs fo
en est de même du réveil. La simultanéité n'existe même pas pour les
sensations
diverses qui ont leur siège dans un seul et même
mple, ne perd ni ne récupère exactement au même moment l'aptitude aux
sensations
de tact, de douleur, de chaleur. On sait, de plus
si, sur l'homme profondément endormi, incapable d'éprouver la moindre
sensation
visuelle quand on lui entr'ouvre les paupières, l
s perceptrices des centres nerveux préposés à l'exercice des diverses
sensations
perdent et recouvrent leur activité avec une inég
ai pas à me rendormir. Au second réveil, j'éprouvai encore la mente
sensation
d'illumination de mes pupilles en vert. Mais, cet
se relevaient. D'où j'ai dû conclure que, pour éprouver la fugitive
sensation
de vive coloration verte des objets quand les yeu
sont en très légère avance sur celles, dn rouge et du violet. D'où la
sensation
très fugitive d'une belle coloration verte quand
o-électrisation : 3° Que l'effet suggestif n a rien à faire avec la
sensation
directe du courant; si cela était, l'effet favora
sychologie physiologique, à la Sorbonne, son cours de physiologie des
sensations
. Dans le premier semestre, il traitera do la ph
un d'autre et en être débarrassée. A ce moment même, elle éprouva une
sensation
étrange ; le renard venait de prendre possession
ur un accès aigu d'hypochondrie ayant débuté six mois auparavant. Les
sensations
hypochondriques étaient des plus nombreuses, et i
es lettres, la vois parlée, les notes de musique n'éveillaient aucune
sensation
colorée. Au contraire, la voix chantée s'associai
ion colorée. Au contraire, la voix chantée s'associait aussitôt à une
sensation
de couleur qui persistait dans le souvenir et lui
tc. La gustation colorée n'était très développée que pour certaines
sensations
gustatives. Du fait de son hypochondrie. il ne se
il était sujet, comme tous les hypochondriaques, s'associaient à une
sensation
colorée. C'est ainsi qu'il avait des éructations
aissait pas important, tandis qu'il se répandait en remarques sur ses
sensations
hypochon-driaques, ont empêché de préciser, comme
é a exercer pour dominer une habitude qui ne me procurait plus qu'une
sensation
désagréable. Puissé-je renier émancipé... etc. «
ux dans le côté gauche de la face et du corps provoqués par la toux ;
sensation
de douleur avec aigreur remontant de l'appendice
yeux de façon qu'il voie Où est sa main, il dit ne plus avoir aucune
sensation
, ni de froid, ni de chaud. Cette perversion de
lle change le blanc en noir et le noir en blanc, substituant ainsi la
sensation
opposée à la sensation réelle (ce qui existait ch
noir et le noir en blanc, substituant ainsi la sensation opposée à la
sensation
réelle (ce qui existait chez notre malade â parti
cellules étant modifiées dans leur modalité, c'est la conscience des
sensations
perçues qui est neutralisée ou pervertie. Il y a
une anomalie qui les empêche d'accepter, ou les pousse a altérer les
sensations
perçues. C'est une véritable aliénation mentale l
oubles manifestés lorsque l'injection n'était pas faite à son heure :
sensation
de « froid partout ». « de glace dans les veines
de la morphine était absolue. La malade présenta divers troubles :
sensations
de froid, nausées sans vomissements, vertiges, di
leur, de la colère; l'animal pense, mais sa pensée est asservie à ses
sensations
, à ses instincts, aux besoins de son organisme ;
te impression persiste, J'éprouvai, dans l'immense salle à manger, la
sensation
que donne une table que viennent de quitter des c
énérale, d'un manque de sommeil, d'appétit et d'énergie, accusait des
sensations
douloureuses dans différents nerfs. Chose remar
er, il me pria de lui venir en aide avec l'hypnose. Dès la première
sensation
d'bypnotîfation. qui fut faite en présence de mon
. Ces crises, d'après le malade, sont précédées d'une aura : c'est la
sensation
d'une corde qui, se tendant à l'intérieur de ses
é. Celle céphalalgie, localisée au pourtour des orbites, loi donne la
sensation
d'aiguilles de feu qui traverseraient les tégumen
ujet à l'eut de veille, le sujet pouvant lui-même prendre note de ses
sensations
, de ses idées, de ses déterminations et les rappo
le calme le plus grand. Ces sommeils sont précédés, dit-elle, d'une
sensation
d'engourdissement dans le pied droit, sensation q
édés, dit-elle, d'une sensation d'engourdissement dans le pied droit,
sensation
qui monte le côté droit du corps Jusqu'à l'œil dr
à la région épigastrique, puis jusqu'au pharynx, avec constriction et
sensation
de boule. Depuis ces huit mois, pendant le cour
e. Il y a trois semaines, en dehors des règles, la malade a la même
sensation
de douleur iliaque et de constriction épigastriqu
fait le samedi, ? dix heures, des conférences sur la physiologie des
sensations
. Psychologie physiologique. — M. Jules Soury, m
nistes sont en contraction permanente et donnent très nettement cette
sensation
à la main appliquée i plat. Exagération du réflex
ait les mêmes opérations sur la couche sensible, le sujet éprouve les
sensations
correspondantes. « De plus, on constate qu'à me
ne petite distance d'un sujet extériorisé, transmettait à ce sujet la
sensation
des piqûres dont je la perçais, vers le haut du c
iquais aux pieds. c Cependant, je parvins à localiser exactement la
sensation
, en implantant dans la tête de la figurine, une m
° 2.) figurine après l'avoir enlevée du contact de Collette, aucune
sensation
n'est non plus perçue. Avec des plaques photogr
e du tris-mus des mâchoires. Elle a le clou hystérique et accuse la
sensation
de la boule ; le point mammaire existe, mais on n
tre accompagné par quelqu'un, sans cependant se résoudre à avouer ses
sensations
parce qu'il en avait honte. En même temps il sent
ns venues des protoneurones. Le sujet se reconnaît alors objet de
sensation
et cause de mouvement. 1 L'usure fonctionnelle
trouvé non plus aucune relation entre l'état du sens génital et les
sensations
subjectives ressenties dans la peau par certain
anatomique ne puisse rien nous apprendre sur ce qu'est en soit une
sensation
, une perception, une image, un concept, il deme
de la conscience, elle ne saurait étudier le monde lui-même. » Les
sensations
, voilà les éléments derniers de notre connaissa
de fin, et, d'une manière générale, de la nature des choses, de la
sensation
, par exemple, et de la pensée. Pas plus que Cla
ifs, observés en rapport avec cette dysphagie, l'auteur a noté : la
sensation
de la boule (globus), paresthésies diverses dans
tous ses modes, tactile, douloureuse et thermique est intacte; les
sensations
sont bien localisées; le - `malade, les yeux ba
Quelque soit la variété de mémoire interrogée, quelques soient les
sensations
perçues que l'on cherche à faire revivre,on se
de transformer en mouve- ments, au moyen des voies efférentes, les
sensations
reçues ou perçues, mais d'arrêter ou d'inhiber
système nerveux, de soi et par soi, c'est-à-dire sans impression ou
sensation
préalable, puisse produire un mou- vement, c'es
de processus qui a débuté, à quelque moment donné, par l'effet de
sensations
perçues ». Chez l'homme, notre connaissance des
ouleur s'accomplissent lors même qu'il n'existe absolument aucune
sensation
. Peut-être convient-il de citer ici les mouvement
ons, de l'exislence de centres de projection. Que l'élaboration des
sensations
soit accompagnée de ces états internes que nous
ans les conclusions suivantes : 1° Les sentiments com- prennent les
sensations
et les émotions ; 2° les sensations sont les se
es sentiments com- prennent les sensations et les émotions ; 2° les
sensations
sont les sentiments que l'on peut rapporter d'u
précise au corps ; 3° les émotions qui sont en réalité composées de
sensations
, et particulièrement de certaines sensations re
n réalité composées de sensations, et particulièrement de certaines
sensations
ressenties dans les parties du corps ébranlées
rapportées au corps, et c'est pourquoi on les appelle quelquefois «
sensations
de l'esprit » (feelings of tlie Olianl.); 4" les
112 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. composées de
sensations
(corporelles), lorsque celles-ci sont agréa- bl
sidérables dans leur capacité de sentir, qu'il s'agisse de simples
sensations
ou de simples émotions ; 6° cette différence dans
es indications précieuses pour le traite- ment ; 9° de même que les
sensations
tendent à éveiller des sensa- tions en harmonie
ns en harmonie avec elles-mêmes, ainsi les sentiments en géné- ral (
sensations
et émotions réunies) tendent à provoquer des idée
des idées agréables, et inversement : d'où la grande influence des
sensations
corporelles sur les pensées; 10° les sentiments i
el, en d'autres termes la partie du système nerveux qui concerne la
sensation
, peut être comparée à un orgue : l'écorce senso
a musique; quand on joue sur le clavier sensoriel il en résulte des
sensations
; 2" si l'on frappe sur certaines notes du clav
r sensoriel (rétine, épanouissement du nerf auditif) on éveille des
sensations
intellectuelles (sensation de la vue, de l'ouïe)
ssement du nerf auditif) on éveille des sensations intellectuelles (
sensation
de la vue, de l'ouïe) ; si l'on frappe sur les
e, de l'ouïe) ; si l'on frappe sur les autres notes, on éveille des
sensations
qui, relative- ment, ne sont ni spécialisées ni
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 113 les diviser en deux catégories : a)
sensation
de bien-être ; b) sen- sation de malaise; 4° da
malaise; 4° dans le chapitre psychologique on a montré comment les
sensations
influencent ces émotions, et comment les sensat
é comment les sensations influencent ces émotions, et comment les
sensations
et les émotions associees influencent la pensée e
que la coenesthésie est agréable, c'est-à-dire lorsqu'il existe une
sensation
de bien-être, on voit apparaître une émotivité
ant dans leurs rapports bien définis avec les objets, ainsi que ses
sensations
. 2° Psychophysique. Passant à la seconde partie
es sont influencés par les états physiques. On a toujours dit de la
sensation
qu'elle etait vive ou obtuse; de la pensée, qu'el
intérieures influencent la rapidité de la pensée ou la qualité des
sensations
: un orage peut éclaircir ou une tourmente de nei
lesquelles on a déterminé et mesuré les conditions physiques de la
sensation
et de la pensée, ont fait des- cendre la psycho
tétanos qu'après un repos de quelques heures. Le sujet éprouve une
sensation
pénible de fatigue et d'inertie invincible ainsi
^ DE ; PATHOLOGIE. MENTALE. mais dont la compression provoquait une
sensation
d'engourdis- sement de l'avant-bras et de la ma
colie, davantage dans la manie,.et plus encore dans la démence, les
sensations
de contact, de température, de douleur, sont ém
e chez ces malades, on remarque qu'elle dépend en grande partie des
sensations
spéciales, des états émotifs parti- culiers (bo
E. sphincters demeurent intacts. Les troubles sensitifs, sauf des
sensations
douloureuses, font défaut. Dans la névrite, les t
riser cette déduction, mais le cas prouve du moins que ces modes de
sensation
ne sont pas transmis par les cordons postérieur
aut mieux encore regarder les cordons postérieurs comme la voie des
sensations
tactiles. ' Poulard. 150 REVUE DE PATHOLOGIE NE
éviation conju- guée, sans doute par action réflexe évoquée par une
sensation
au- ditive, d'origine irritative et expérimenta
de la lentille) un fond d'oeil absolument normal, ne produit aucune
sensation
. Il en est de même avec une lampe électrique di
sur- le-champ dans ses yeux à l'aide d'une seringue, provoque une
sensation
à laquelle elle se prête volontiers ; après quelq
et on y marche carrément dessus, sans qu'elle en éprouve la moindre
sensation
. La résistance aux divers mouvements de flexion
fée au rouge blanc, elle ne bron- che, pas et accuse simplement une
sensation
de chaleur au niveau de l'oeil droit, le gauche
'à hier après-midi trois heures, la malade avait exclusi- vement la
sensation
du noir; à partir de ce moment, sans cause conn
noir; à partir de ce moment, sans cause connue, elle a recouvré la
sensation
du clair. *' L'examen pratiqué par notre ami M.
uge intense, mais elle ne distingue rien ; elle continue à avoir la
sensation
du noir. On remplace le carreau rouge par un ve
n met ensuite un carreau de vitre ordinaire : elle a encore la même
sensation
de blanc. En somme, l'expérience demeure négati
sthésique seul, les pau- pières étant fermées, la malade accuse une
sensation
de vert, ici au niveau de- l'oeil droit exclusi
la conscience de cette vision dépasse le moment de l'expérience. La
sensation
inconsciente devient un instant consciente, pou
re, pour ainsi dire, son oeil gauche comme elle ignore toutes ses
sensations
du côté gauche : elle en fait abstraction. Si nou
siologique, peut n'être pas perçue par le sujet, nous savons que la
sensation
qui en résulte demeure alors inconsciente, qu'e
é. l ' Comprenons-nous mieux pour cela cette non-perception de la
sensation
visuelle ? Trois théories sont en présence pour
n proie à un état soporeux particulier, état très différent par les
sensations
qu'il provoquait du sommeil suit ordinaire, soi
dou- leur» s'étendent également dans le dos. La malade a la même
sensation
, que si l'on y versait de l'eau tres froide ;.il
ents) si nous faisons un bruit, ou si nous provoquons chez elle une
sensation
quelconque plus ou moins intense ou bien aucune
individu qui vient d'avoir un cauchemar revoit, dans- les nouvelles
sensations
qui s'offrent à lui, la continua- tion de son r
ut qu'il se ressaisisse, fasse une analyse minutieuse de toutes ses
sensations
, juge 'tous les phénomènes qui se présentent à
ui se présentent à sa conscience et fasse une nouvelle synthèse des
sensations
présentes avec toute sa vie passée. Il lui faut
res disposés en des tableaux, il résulte que l'pmmagasi- nement des
sensations
issues des mouvements passifs se fait remarquer
cision, et que le souvenir en est assez complet. Le souvenir de ces
sensations
ne commence à s'af- faiblir que lorsque les int
au moins de deux minutes ; quand ces intervalles sont moindres, les
sensations
correspondant aux mouvements revien- nent assez
q minutes, le sujet met deux fois plus de temps à se rappeler leurs
sensations
. Le souvenir se modifie REVUE D'ANATOMIE Er DE
la piqûre, la pression sont longtemps perçus comme tels puis comme
sensations
de contact. Le chaud, le froid sont d'abord mal
l'un pour l'autre, enfin incapables de provoquer autre chose qu'une
sensation
de contact. L'évaluation des différences de poi
ue pas des différences de plusieurs kilogrammes, et n'accuse qu'une
sensation
de contact; 4° La sensibilité au contact persis
tion de l'éther répandu sur la peau analgésique donne lieu à une
sensation
de chaleur. Le contact du chloroforme n'est pas
act du chloroforme n'est pas perçu et parfaitement toléré ; 5° La
sensation
de chatouillement de la plante des pieds est pe
uillement de la plante des pieds est perçue pendant longtemps comme
sensation
de chatouil- lement, mais elle ne provoque plus
début, on peut observer une erreur manifeste de localisation des
sensations
(piqùre ou pincement). Dans l'analgésie com- pl
sensations (piqùre ou pincement). Dans l'analgésie com- plète, les
sensations
de contact sont de même quelquefois mal localis
ivement la sensibilité à la pression, la sensibilité thermique, les
sensations
de chatouillement, la sensibilité à la douleur,
onque de la peau analgésique ne provoque aucune tubéfaction, aucune
sensation
de chaleur : il est toléré indéfiniment, alors
de l'aréole, sont hystérogènes. La malade éprouve dans l'organe des
sensations
de pesanteur, des lancées parfois si violentes
sente l'observation, elle trouve son interprétation dans une fausse
sensation
, dans une idée morbide entretenue et confirmée
mènes dont il s'agit, le facteur fon- damental est le trouble de la
sensation
organique : ce trouble engendre une action morb
tre, souffrant de troubles de la sensibilité générale, se plaint de
sensations
douloureuses le long de l'épine dorsale, qu'ell
ournal of lIlentat Science. Octobre 1900.) Dans la perception d'une
sensation
, il faut tenir compte des fac- teurs suivants :
e est la force qui, en agissant sur le corps, donne naissance à une
sensation
: on la confond souvent avec la sensation elle-
, donne naissance à une sensation : on la confond souvent avec la
sensation
elle-même, bien qu'elle en soit distincte ; par e
ncte ; par exemple la même force qui, agissant sur l'oeil, donne la
sensation
de lumière, donnera, si elle agit sur la peau,
onne la sensation de lumière, donnera, si elle agit sur la peau, la
sensation
de chaleur, et pourra ne pas donner de sensatio
it sur la peau, la sensation de chaleur, et pourra ne pas donner de
sensation
du tout si elle agit sur la tête couverte de ch
r une série physique, telle qu'elle apparaît à l'esprit : c'est une
sensation
rap- portée à des objets externes : et dans la
gue marche, elle éprouve dans la région hypo- gastrique gauche une.
sensation
de pesanteur accompagnée d'une légère douleur.
A la suite d'un accès de contrariété, elle éprouva tout à coup une
sensation
d'étouffement au niveau du cou, elle perdit conna
plus en plus pâles. Elle éprouvait en même temps aux extrémités une
sensation
d'engourdissement (syncope locale). Quelques jo
faite pour les dernières règles. La malads éprouve tout d'abord une
sensation
nette d'en- gourdissement aux doigts et aux ort
l'asphyxie. Le passage de la syncope à l'asphyxie s'annonce par une
sensation
de picote- ment qui disparait lorsque les doigt
ts paraissent augmenter la durée de cet état. La malade éprouve une
sensation
de chaleur en plongeant les mains dans l'eau ch
, deux litres et demi chaque jour. Elle n'a plus devant les veux la
sensation
de mouches volantes dont elle s'était plaint pe
lement que l'on voit les malades interpréter par des allégories les
sensations
morbides qu'ils éprouvent. 28 CLINIQUE MENTAL
- rielles apportent naturellement à ces conceptions l'appoint des
sensations
spéciales. Ces idées s'implantent, grâce à des la
andes, et les regarde comme incapables d'être le point de départ de
sensations
douloureuses par eux-mêmes. Il pense que, lorsq
dans la zone d'anesthésie, la douleur était inter- prétée comme une
sensation
de tact. Il y avait analgésie sans anes- thésie
comprimée sur les par- ties latérales, l'auteur en conclut que les
sensations
de douleur et de température passent par ces pa
rature passent par ces parties latérales, tandis que le tact et les
sensations
musculaires passent par les parties postérieures
des glandes ou follicules au-dessus de la peau, donnant lieu à une
sensation
toute spéciale. Or, cette sensation peut se pro-
de la peau, donnant lieu à une sensation toute spéciale. Or, cette
sensation
peut se pro- duire dans des points où il n'y a
ause, et d'un autre côté la chair de poule peut exister sans que la
sensation
se produise. La chair de poule peut se pro- dui
rentes parties du corps ? 2° quelle est la température qui donne la
sensation
de douleur par application du froid ou du chaud s
la plus basse qui donnera par application sur la surface cutanée la
sensation
de chaleur, et la température la plus haute qui
ensation de chaleur, et la température la plus haute qui donnera la
sensation
de froid ? 4° quelle est la relation qui existe
les variations de température entre 5° C. et 60° C. produisent des
sensations
de chaud ou de froid sur toutes les parties du
° C. et supérieures à 68° C. produisent de la douleur en plus de la
sensation
de chaud ou de froid, quand l'épreuve est faite
C. et 50° C. Au-dessus ou au-dessous de cette tempéra- ture il y a
sensation
de froid ou de chaud mais indolore. Ces résul-
qui accompagnent le travail; 5° dans la plupart des expériences la
sensation
de chaleur sur n'importe quelle partie du corps e
ation de la chaleur in- terne du corps comme dans l'hyperhémie. Les
sensations
de froid sont produites : a. par une augmentati
'erreur mises à part, elle est à peu de chose près la même pour les
sensations
de chaleur ou de froid d'une intensité égale ap
coeur, des douleurs et de la paresthésie dans les jambes, j'ai des
sensations
optiques. Mais, tout bien considéré, mieux vaut e
ées, à la suite d'une violente émotion. Depuis lors, il éprouve une
sensation
de faiblesse extrême; actuellement, il ne peut
feste, on note aussi le tremble- ment épileptoïde du pied. Aucune
sensation
anormale pendant le repos, si ce n'est un vague
sentiment de gêne dans la partie interne de l'aine droite. Cette
sensation
s'exagère un peu quand le membre exécute des mou-
it, dans les deux pieds, à la région plantaire exclusi- vement, une
sensation
de brûlure intense ; cette douleur survient sur
il est contraint de s'arrêter. Il éprouve dans les deux jambes une
sensation
de fai- blesse, et en même temps une sensation
les deux jambes une sensation de fai- blesse, et en même temps une
sensation
de brûlure dans les pieds. 11 se repose une diz
urs tout à fait comparables à celles dont il souffre main- tenant :
sensations
de brûlure très pénibles, d'abord dans l'épaule
ieur droit; ensuite, quittant complètement le membre supérieur, ces
sensations
s'em- parent du membre inférieur droit, siégean
t, siégeant à la face externe de la cuisse et au gros orteil. Cette
sensation
de brûlure interne se cal- mait par l'immersion
la face externe de la cuisse droite, zone où se montrent les mêmes
sensations
de brûlure qu'au niveau des pieds. Il y a vingt
pieds. Il y a vingt ans que le malade éprouve dans cette région ces
sensations
de brûlure et qu'il s'est aperçu de la diminution
ue l'idée subconsciente trop faible pour apparaître au mi- lieu des
sensations
et des idées de la veille se développe plus fac
t sa mère étaient impressionnables, coléreux, sa mère éprouvait une
sensation
de boule quand elle était con- trariée. Le gran
considérablement accentué depuis quelque temps. Elle éprouve des
sensations
de chaleur, de boule, des énervements pro- ' Da
outre, une anesthésie et analgésie complètes avec intégrité de la
sensation
de température. Il nous paraît inutile de multi
atre ans, atteinte d'attaques de nerfs, avec perte de connaissance,
sensation
de brûlure, pleurs et rires involontaires, il s
paralysés. Il y avait enfin perte du pou- voir de localisation des
sensations
dans le bras et la jambe gauches. P. S. REVUE
laires abolis; ouïe normale; goût; toucher normaux. Mais toutes les
sensations
venues d'un côté du corps étaient rapportées au
, les jugeant désagréables, de les re- jeter. Evidemment toutes les
sensations
du corps collaborent à cette faculté à l'état n
faculté à l'état normal. Mais il n'est pas moins certain que des
sensations
qui normalement n'existent point deviennent alors
de. Elle était prise de tremble- " ment généralisé et éprouvait des
sensations
comparables à des 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. dé
pénible dans le domaine de l'odorat. A chaque souvenir, c'était la
sensation
de dégoût et d'horreur qu'elle avait éprouvée a
e la peau du cadavre qu'elle ressentait *de nouveau. Puis à cette
sensation
succéda une idée, celle de la mort, qui revenai
ionnels sont nuls. Il n'existe pas de dou- leur, mais seulement une
sensation
de chaleur mordicante. Au début il y eut dans l
pendant la période menstruelle. Elle avait antérieurement accusé la
sensation
de doigt mort au niveau du pouce. droit. 182
versités de ces délires tiennent à la différence d'explications des
sensations
morbides sur lesquelles repose la déviation du
aut en croire l'ar- ticle publié dans la Revue scientifique sur les
sensations
d'un noyé par M. A.-C. Hartley, le souvenir des
l faut également faire entrer en ligne de compte la suractivité des
sensations
des mouve- ments en rapport avec l'expression d
ations de l'ouïe, on voit que le malade se rend bien compte que ses
sensations
n'ont pas trait à un objet exis- tant réellemen
x de son père, elle était avertie de l'arrivée de l'attaque par une
sensation
de tremble- ment du bras droit. Immédiatement a
ait toujours ' Loc. cit., p. 154. - RECUEIL DE FAITS. 297 d'une
sensation
d'engourdissement et de pesanteur dans ces memb
contribuer pour leur part au souvenir. Existe-t-il une mémoire des
sensations
internes ? Conserve-t-on une mémoire des émotio
cation.. * -10 11 n'est.pas douteux que la première existe pour les
sensations
internes; pour ce qui est des sensations de fai
a première existe pour les sensations internes; pour ce qui est des
sensations
de faim et de soif, par- exemple, il n'arrive j
se tromper sur leur iden- tité, lorsqu'on' les ressent. De même, la
sensation
de fatigue n'est pas moins facilement reconnue.
es derniers quatre' groupes : 1° les saveurs et les' odeurs; 2° les
sensations
internes (faim, soif, fatigue, dégoût) ; 3° le co
le s'est épaissie, se plaignant continuellement de fatigue et d'une
sensation
de froid, de douleurs dans le dos et les bras ; p
sie nasale donne au malade, quand les deux yeux. sont ouverts, la
sensation
d'une hémianopsie droite. Le malade devrait bien
uoique ayant les deux yeux ouverts, ne perçoit en réa- lité que les
sensations
de l'oeil gauche et fait abstraction de celles
s bien -embarrassants' relatifs- à l'achromatopsie hystérique. La
sensation
que les' malades déclaraient ne. pas percevoir se
ait 'donner au sujet des suggestions ayant pour point de repère une
sensation
déterminée du, côté insensible et que la sugges
)Asi ,W Lo · ,i · " /de ! association des idées;, au moment : ourla^
sensation
* tactile ïïk /»,<+'' ' ' i. f 1 . y t, â . ,
s cependant que cet acte sub scie t nàj-dû être ? déterminé^par/une
sensation
également, "subcons^fP â+.dûètre; déterminé'pâr
périence est démonstrative, elle nous montre laper-j . sistance des
sensations
subconscientes malgré l'anesthésie' rétinienne
obes occipitaux, épuise- ment fonctionel qui ne supprimerait pas la
sensation
élémen- taire comme ferait une destruction de c
lle. A. M. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXXII. La perversion DE la
sensation
sexuelle ; par SIOLI (Allg. Zeitsch. f. Psychia
ur un trouble de l'associa- tion des idées. Exemple : les premières
sensations
sexuelles vous poussent à l'onanisme. Or l'onan
; ce n'est qu'à la fin qu'arrive l'éjaculation s'accompagnant de la
sensation
de plaisir. Donc la première association d'idée
ssoir. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., L, 5.) Examen analytique de la
sensation
sexuelle non différenciée de l'hétérosexualité
on différenciée de l'hétérosexualité de l'homosexualité. . 1 ° La
sensation
sexuelle non différenciée est l'i nsti net vague
u sexe joue aucun rôle. A une autre période, probablement quand les
sensations
commencent à se concentrer dans les organes sex
jamais avec décision (deux observations). 2° L'hétérosexualité. La
sensation
physique de l'excitation sexuelle se rattache à
adisme féminin. La menstruation (périodicité) joue un rôle dans les
sensations
sexuelles de la femme ; d'où sa passivité et en
s le courage de répondre. Ce défaut d'activité dépend de ce que mes
sensations
sont trop faibles pour qu'elles agissent sur ma
est plus ou moins éloigné, tantôt très rapproché de l'accès. Cette
sensation
de malaise vague et- indéfinissable peut être r
la stercorhémie commence ? Ne s'accompa- gnent-ils pas comme ici de
sensations
vagues de malaise, de maux de tète, de diminuti
mme résultat, l'amélioration de l'état général, la diminution de la
sensation
de chaleur et de tremblement et la diminution du
me ou le localiser à des intensités assez élevées sans produire ces
sensations
douloureuses et les eschares souvent inévitable
uelque temps le cerveau répond à l'ingestion des spiritueux par des
sensations
générales désagréables, puis, un beau jour, le
rsonnalité multiple artificielle, par)tu)st,H8. "Perversion de la
sensation
sexuelle, par Sioli, 388. Pie-mère, kyste de
moindre lecture, même la plus petite tension d'esprit, aggrave les
sensations
. Depuis deux mois le malade n'a pour ainsi dire
treize ans. Voici ce dont il se plaignait. Il ressent, dit-il, une
sensation
de tension qui siège uniquement sur le devant d
ion de tension qui siège uniquement sur le devant du front. Cette
sensation
, tolérable en temps ordinaire, devient douloureus
ste limitée au front. Cependant, à certains moments, il éprouve une
sensation
de vive chaleur sur le sommet de la tête. A la
? l.riij.rr-. T bouche, donne par un fiance, a produit sur elle une
sensation
étrange quelle n'avait point éprouvée dans sesa
u Seuls,1'obtusion1ÎnteJlectuelle ainsi 1 que'ljes désordre^ des
sensations
;' de.l'émotivité'et de la sensibilité, tombent !
re Aur.t.le,jugepeyt,Jett;la,raison,mais sur. ses auxiliaires,, lac
sensation
, la- mémoire,; j la repré. sentation.mentale,1`
méfieldel'sa'sénsibilité;' mais' on'- n'é'sus'pècte'3 pàs' ! jses
sensations
. "J Aussi{f kai : jê 'jamais ¡ : Jnc8rÍtÍlé n.fnn
abondantes généralisées ou localisées, s accompagnant souvent d une
sensation
de chaleur purement subjective; ( manifes- , ?
Peu de teml ? s;apr,4's, il r'1spnt des,paresthésics (formicaLions,
sensations
! de chale,ur¡ eL. c\e¡ froid) 1 d¡UlsJes ex tr
l,estliési (lue,, amaurose à peu près, complète,, en ce sens que la
sensation
^de lumière, subsiste (pas d'altéra\iol)s9P.I.Itha
cette' erréurtn'est qu'ùnëpreuÿé,detplus de ,]'objectivité tde ,1a
sensation
? Quandl'objet"sur. lequel figure l'hallucination
poisonnés. Si on lui a suggéré l'idée d'une substance nauséeuse, la
sensation
pourra être assez intense pour provoquer le vom
our provoquer le vomissement. Odorat. - Il peut devenir le siège de
sensations
erronées du même genre. Le sujet sentira, par e
de provoquer des illusions et des hallucina- tions viscérales ; la
sensation
d'un corps étranger dans l'intérieur du corps,
ant pour aller sa- tisfaire son besoin imaginaire. La suggestion de
sensations
géné- siques provoquerait des désirs tout aussi
attouchement, dans l'état de somnambulisme provoqué, détermine des
sensations
génitales assez intenses pour amener l'orgasme.
ns et sur les viscères que peuvent se manifester les suggestions de
sensations
fausses, il est possible de suggérer l'idée d'u
du même genre peuvent être créés à volonté, dès qu'on a suggéré une
sensation
fausse por- tant sur l'un quelconque des sens s
ns les phénomènes dont nous venons de parler ; la sincé- rité de la
sensation
et du délire est démontrée indirectement par l'
c'est à peine s'ils marquent du chagrin. S'il ne s'y joint pas une
sensation
fausse de douleur, il est rare qu'ils s'afflige
ne en est au reste un antidote excellent. La rougeur de la face, la
sensation
de brûlures et de piqûres par tout le corps ave
ances ? ? croit devoir cesser la lecture' de' son' mémoire 'sur les
sensations
parce qu'il a déjà traité complètement le sujet
'hallucination s'ef- fectue, où elle parvient à la connaissance. La
sensation
subjec- tive revêt de telles couleurs, sous l'i
Ce retour d'hypochondrie s'explique, sans doute, d'abord par les
sensations
douloureuses plus ou moins vagues qu'amène souv
nter- prétation hypochondriaque : celle-ci, quand il s'agit d'une
sensation
plus ou moins pénible, est à peu près la premiè
que Cour.. commença à éprouver quelques troubles du mouvement. La
sensation
de résistance du sol devint obtuse, et la marche
tout aux genoux, aux mollets et aux pieds. Il existe en outre une
sensation
pénible et continue de fonrmillement douloureux a
mme simples contacts, et les piqûres profondes ne provoquent pas de
sensation
douloureuse. La masse musculaire de l'éminence
ace dorsale des deux pieds. Quelquefois, elles ne produisent qu'une
sensation
légère au moment où elles sont pratiquées, et d
t.1UL1'lltl : w. {M ! la direction de l'ombilic et provoquaient une
sensation
de constriction très énergique sur la partie mo
ds sont très faibles. . Le malade éprouve depuis quelques jours une
sensation
per- manente de froid dans les deux pieds. Cett
ours une sensation per- manente de froid dans les deux pieds. Cette
sensation
est purement subjective, la température de ces
UES NON TRAUMATIQUES. 191 1 des picotements dans les mollets et des
sensations
de brûlure qui l'exaspèrent à certains moments
pouvons nous exprimer ainsi. Ils em- ployaient, pour définir leurs
sensations
, des expressions imagées et vives; ils parlaien
morsure, de dilacération dans la profon- deur. Cette intensité des
sensations
n'existe pas, comme on sait, dans beaucoup d'au
hiques ordinaires où les malades n'accusent le plus souvent que des
sensations
vagues et diffuses. Quand l'affection était arr
ies douleurs; les malades se plaignaient d'é- prouver à la tête une
sensation
de compression qui sié- geait surtout à la régi
ieux de constater combien, pendant ces deux périodes de la vie, les
sensations
se localisent dans des régions différentes, et
l ouvre spontanément les yeux et semble regarder autour de lui; les
sensations
désagréables se traduisent par des gémissements
qu'il pouvait s'en souvenir. La rumination, toujours précédée d'une
sensation
de plénitude à l'épigastre, commençait environ
les aliments : avant la rumination, cette dame n'éprouve jamais de
sensations
de plénitude stomacale. La rumination se pro- d
Sommeil tranquille. Une demi-heure ou une heure après le repas, une
sensation
de plénitude dans la région du cardia l'obligeait
deux la fonction était volontaire et s'accompagnait d'une véritable
sensation
de plaisir. Cependant on voit que la volonté pe
préférence cer- tains mets, uniquement dans l'attente de l'agréable
sensation
qu'ils lui procureront lors de la rumination. Q
bilité. '- ' '' P. K. , r. ' ' ' IX. Contribution A L'ÉTUDE DE la
sensation
sexuelle contraire (Í1wcl'sion'dù sens génital)
, a augmenté l'irrigation en tel ou tel territoire. P. K. XI. Des
sensations
; par Théodore 1\IExivnr. (Jahrb. f. Psych., Ill,
repart une innervation vasculaire secondaire, et c'est ainsi que la
sensation
émane de ce double jeu, en même temps qu'elle d
t aboutir, selon l'intensité, à la lipothymie, auxquels est liée la
sensation
de déplaisir, de douleur (asphyxie vasculaire t
vec ses mêmes effets physiques et moraux, par le même mécanisme; la
sensation
désagréable sans la douleur corporelle s'appell
ychique et se rattache aussi aux processus d'arrêt vaso-moteurs. La
sensation
qui entraine le réflexe de pré- hension dévelop
ation produit soit une anémie, soit une hypérémie vasculaire, et la
sensation
en soi est la forme de perception subjective de
re à fuir les sources de destruction, à rechercher au contraire les
sensations
de félicité. La multiplicité de tous les actes, l
re frottement était insupportable. Quelquefois aussi il y avait une
sensation
de contriction autour des membres. Il a trois a
choc. En même temps elle avait des dou- leurs dorso-lombaire et une
sensation
de contriction très pé- nible à la.base du thor
ieurs années déjà; ces accès de toux la réveillent souvent la nuit.
Sensation
de constriction thoracique en cuirasse, s'exa-
dianhéos qui se manifestent sans motif, et cessent de même. Les
sensations
génitales et les désirs sont complètement aboli
e, soit une voyelle soit une autre, servant à exprimer une sorte de
sensation
; c'est ainsi que les nuances a et é, dans la v
, grâce au peu de sensibilité du voile au palais, le moment de la
sensation
musculaire peut surtout servir à établir les di
tions dentales et glottiques peuvent être déter- minées d'après les
sensations
musculaires et tactiles. Ceci constitue, assuré
a philosophie de l'histoire, 1859, p. 331. J .Michéa. Du délire des
sensations
, p. 106. Archives, t. VI. 2*2 338 . CLINIQUE
irouvé le ballonnement abdominal signalé dans le fait précédent. La
sensation
de plénitude à l'épzgaslre dont il est parlé da
e n'exprime habituellement ni peine ni plaisir. 11 ne manifeste ses
sensations
que dans un seul cas et d'une seule manière. Lu
umination, gâtisme. La sensibilité générale est conservée, mais les
sensations
sont perçues assez lentement. Les sens spéciaux
ement de l'état morbide. Le sentiment de l'état morbide provient de
sensations
ayant pour point de départ le cerveau; telles l
point de départ le cerveau; telles la céphalalgie prémonitoire, la
sensation
de vide, de dilatation, d'ouverture et de ferme
f. Psych., XXXIX, 2 et 3.) ' Ce mémoire traite successivement des
sensations
anormales de la sensibilité à la pression, des
ula- rités qu'il nous paraît intéressant de mettre en relief. Les
sensations
anormales qui se montrent dans la lypémanie peu
s ; mais ce n'est pas la règle. Quand la psychose est pré- cédée de
sensations
anormales il y a lieu d'admettre une relation a
. La moelle et la moelle allongée se font pour les irradiations des
sensations
et de l'hyperesthésie à la pres- sion les condu
sont très fréquemment atteintes en même temps que l'on constate des
sensations
anormales, dans la mélancolie et la folie systé
vaso-moteurs assez fréquents dans la mélancolie qui s'accompagne de
sensations
anormales, il importe de noter la rougeur de la
les, il importe de noter la rougeur de la face et des oreilles avec
sensation
subjective de cha- leur, soit continue, soit pa
iques. Elle se manifeste par des impulsions paroxystiques issues de
sensations
anormales, qui, quelle qu'en soit l'origine périp
fréquence des idées mélancoliques chez des individus en proie à des
sensations
auditives subjectives, que l'on constate ou non c
areil de l'ouïe; ces idées les conduisent sou- vent au suicide. Ces
sensations
subjectives sont souvent le point de départ d'i
véritable supplice de Tantale auquel ajoute encore l'altération des
sensations
gustatives; le pain leur semble de la paille ;
du, véritable croyant, est en pleine anxiété. Rêves de même nature,
sensations
d'incubes. Dans une des observations, la malade
otivés, radotages de diverses sortes, troubles dans la perception,-
sensations
vertigineuses bizarres (ballottement), illu- si
euse multiloculaire de l'écorce du cerveau, parBrûck- ner, 265.
Sensations
(des), tu69 Sensation sexuelle contraire, 268.
l'écorce du cerveau, parBrûck- ner, 265. Sensations (des), tu69
Sensation
sexuelle contraire, 268. Société psychiatrique
Dans la plupart des cas de tabes, les troubles de localisation des
sensations
et les altérations de la sensibilité a la douleur
à que pour l'exécution correcte des mouvements, non seule- ment les
sensations
cutanées et celles des parties profondes sont A
les faisceaux afférents du cordon postérieur ne servent point a des
sensations
conscientes, et qu'une partie des excitations que
othétique, peut-on en donner ? D'ordinaire apparaissent d'abord les
sensations
de dou- leur, puis les troubles de localisation
les sensations de dou- leur, puis les troubles de localisation des
sensations
; en même temps, la conduction des sensations e
s de localisation des sensations ; en même temps, la conduction des
sensations
est ralentie; l'ataxie existe, mais la sensibil
s au début, si bien qu'il ne reste plus de voies nerveuses pour les
sensations
de douleur. Il n'existe point de nerfs spécifiq
voies centrales particulières pour la transmission de cet ordre de
sensations
. La sensation de douleur résulte de la som- 16
s particulières pour la transmission de cet ordre de sensations. La
sensation
de douleur résulte de la som- 16 REVUE CRITIQUE
ules qui repré- sentent le second neurone de la voie sensitive ; la
sensation
dedou- leur est l'effet de ces excitations. Or
e aux anastomoses multiples et variées qui existaient, alors qu'une
sensation
tactile sera encore perçue, un stimulus, même i
tation, le discernement ; c'est quand on dépasse les phénomènes de
sensation
et de perception qu'une tournure d'esprit habitue
ée graduellement par une autre forme de vitalité, dans laquelle des
sensations
diverses, de nature forte et intense, parcouren
tions diverses, de nature forte et intense, parcourent son cerveau,
sensations
qui ne sont encore ni reconnues, ni clairement
tête ; il prend les personnes les unes pour les autres, éprouve des
sensations
irrésistibles et se sent obligé à courir derriè
s de ce genre qui sont venus consulter parce qu'ils éprouvaient une
sensation
de lassitude. d'affaiblissement général ainsi q
douloureuse, si elle dure un certain temps. Pour M. Ch. Richet la
sensation
externe avance sur la sensation douloureuse ; le
ertain temps. Pour M. Ch. Richet la sensation externe avance sur la
sensation
douloureuse ; le retard delà sensation douloure
sation externe avance sur la sensation douloureuse ; le retard delà
sensation
douloureuse varie d'après l'auteur de 7 centièmes
L'auteur conclut que la douleur est une qualité qui s'ajoute à la
sensation
, qu'il n'existe pas des organes spéciaux pour la
par une impression forte. Elle est perçue plus tar- divement que la
sensation
qui lui donne naissance. Pour l'auteur ce rétar
ue quelque chose comme une boule lui traverse le corps ; elle a des
sensations
de froid dans la tête ; elle se plaint aussi de
dans l'hypesthésie que dans la pares- thésie ou l'abolition de ces
sensations
spécifiques. Comme exemple de paresthésie des s
ion de ces sensations spécifiques. Comme exemple de paresthésie des
sensations
du goût, ils citent des sensations persistantes
Comme exemple de paresthésie des sensations du goût, ils citent des
sensations
persistantes de saveur sucrée 1. : 1 Les lési
'odorat n'échappent donc pas à la patho- génie générale. Quant à la
sensation
de dégoût qu'éprouvent ces ma- lades, sensation
énérale. Quant à la sensation de dégoût qu'éprouvent ces ma- lades,
sensation
qui va souvent usqu'à provoquer, avec la nausée,
provoquer, avec la nausée, le vomissement, Klippel l'attribue à une
sensation
d'ordre musculaire, àla vague conscience d'un m
u sens musculaire viscéral pourrait, dans le tabes, pro- voquer des
sensations
nauséeuses auxquelles le malade rapporte - ses
e que sa représentation visuelle. On pourrait présumer que ces deux
sensations
qui viennent, ]01 squ'elles agissent isolément,
ment de la maladie la plupart des sujets préten- dent ressentir des
sensations
de chaleur; effectivement on trouve dans le cre
e au froid. Cette cryanes- thésie ne doit pas se confondre avec les
sensations
de chaleur du début de la maladie; avoir des se
re avec les sensations de chaleur du début de la maladie; avoir des
sensations
de chaleur et ne.pas' sentir le froid sont deux
affection du tou- cher caractérisée par une altération spéciale des
sensations
de poids et de volume. Lorsqu'un malade, attein
du froid et de la douleur dans toute la moitié gauche du corps avec
sensation
de fourmillements. Dix-huit mois après l'attaqu
persistent exactement comme au début. Homme, cinquante-huit ans.
Sensation
de faiblesse subite dans le bras droit, parésie
respiratoires de cette névrose. A peine signalent-ils une certaine
sensation
d'oppression, de la toux nerveuse et l'asthme d
plus développé, en respectant les autres plus voisines d'un fait de
sensation
simple (olfactives, gusta- tives...) M. 131UA
moyenne et inférieure de la cuisse gauche. IL existerait aussi une
sensation
de froid plus vive à la jambe gauche, surtout e
membre inférieur du cote gauche. Cette douleur s'accompagnait d'une
sensation
de froid dans la jambe gauche, allant du pied au
fauchant et en frôlant le sol. A ce premier examen, il existait une
sensation
de froid dans le pied gauche, la jambe du même
nt plus petite que la droite. Le sujet accuse en outre en hiver une
sensation
de froid plusmar- quée du côté gauche que du cô
légumes, à genoux, lorsqu'il ressentit au creux poplité; gauche une
sensation
de glace accompagnée de fourmillement. En même
glace accompagnée de fourmillement. En même temps il éprouvait une
sensation
de douleur dans la région- fessière, au niveau
de fourmillements dans les deux mollets dans : toute leur hauteur,
sensation
qui persisla pendant huit jours et finit par di
ion forcée du membre inférieur droit dans l'extension détermine une
sensation
de douleur légère, au creux poplité. Rien de te
nées ( ? ) ressenties par le sujet dans la cuisse gauche et dans la
sensation
de froid du membre inférieur corres- pondant. M
es phénomènes morbides'ont fait leur appari- tion. Au début par une
sensation
de froid glacial'accom- pagnée de fourmillement
re à la tête et aux muscles de la respiration, s'accompagnant'd'une
sensation
de chaleur, de soif, de sudation, et de temps e
s les jambes. Après les crises persistaient' de l'excitation, une
sensation
de dépression, de refroidissement pendant le repo
la démarche ataxique, le malade parait ivre ; bientôt survient une
sensation
de calme, suivie d'un sommeil de deux ou trois
diminution dans la précision avec laquelle le malade localise les
sensations
tactiles. Une particularité digne de remarque, c'
une paralysie croisée du mouvement du côté droit avec douleurs et
sensations
, thermiques à gauche, limitées à la région située
ERVEUSE. assez souvent précoce, c'est l'analgésie, sans perte de la
sensation
tactile; elle débute da préférence par les extr
es. Elle éprouve d'abord une douleur au niveau de la tète, puis une
sensation
de boule avec strangulation, bruit de cloches,
érieur et inférieur droits, un peu d'hypoesthésie. Normale pour les
sensations
thermiques et tac- tiles. La force musculaire
les indivi- duelles. R. DE Musgbavk-Clay. XXXV. Psychro-esthésie (
sensation
de froid) et psychro-algie (duu- leur de froid)
es formesl ! es plus rares de paresthésie. la psychro- esthésie, ou
sensation
de froid. Cette sensation est absolument indépe
de paresthésie. la psychro- esthésie, ou sensation de froid. Cette
sensation
est absolument indépendante de l'abaissement de
, qui ne s'accompagne pas toujours d'une douleur nette, bien que la
sensation
puisse quelquefois aller jusque-là, mais à laqu
quefois aller jusque-là, mais à laquelle ne s'associe jamais, ni la
sensation
de piqûres, ni celle d'engourdissement. Cette f
ns exactement le trajet d'un nerf, et son siège est variable. Cette
sensation
est purement dermique et superficielle; c'est l
s extérieures, à un contact froid, en sorte qu'elle ressemble à une
sensation
objective. Elle peut disparaître par l'exercice
e heures; elles étaient annoncées par une aura, sous la forme d'une
sensation
anormale qui parcourait le membre supé- rieur g
faire les constatations suivantes : les attaques débutaient par une
sensation
de raideur dans les doigts et dans le pouce de
nsi que la parésie de la main droite. Lé malade accusait une légère
sensation
d'engourdissement. A part cela, il était plein'
d'aucune modification du pouls. Ces crises étaient précédées d'une
sensation
de suffocation,et de l'émission d'un son aigu et
rgeait une charrette de charbon, il éprouva par tout le corps une «
sensation
singulière » qu'il ne peut définir que par ce m
e pour une personne qu'il ne connaissait pas, et suivi peu après de
sensation
de vertige avec état confus. En général, le cou
ises de dépression mentale, précédées de symptômes assez bizarres :
sensation
de poids, ou quelquefois de vide, à la région f
en reconnaissant parfaitement le caractère hallucina- toire de ses
sensations
; vers le même moment, il tint des propos incoh
, une pression trop forte produit la fatigue et masque la véritable
sensation
. Il faut aussi se méfier du frottement de l'ext
ue ne semble plutôt pas être 492 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. une
sensation
indépendante de la sensation tactile ; mais un
492 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. une sensation indépendante de la
sensation
tactile ; mais un attribut de cette dernière qu
dans l'urine. Il semble y avoir eu des auras représentées par la
sensation
d'une alêne transperçant le crâne entre les tempe
fac- teurs a abouti à ce que nous voyons. l'. Ki baval. LXI. Des
sensations
anormales obsédantes et des erreurs senso- riel
unnnl : w. (OGoréaié 2aichiafrü, IV, 1899.) Il convient d'appeler
sensations
obsédantes des sensations anor- males, plus ou
iafrü, IV, 1899.) Il convient d'appeler sensations obsédantes des
sensations
anor- males, plus ou moins élémentaires, qui pr
lles ou telles circonstances. Ainsi, des malades, qui éprouvent une
sensation
pathologique ou désagréable quand ils REVUE DE
orte quel étranger, en sont affectés : il en est qui ressentent une
sensation
anormale obsédante de cécité, l'impossibilité d
l en est chez lesquels la lumière électrique engendre des séries de
sensations
désagréables. Nombreux exemples. Ces sensations
endre des séries de sensations désagréables. Nombreux exemples. Ces
sensations
ne se limitent pas à la sensi- bilité générale,
rreur sensorielle proprement dite. Le malade, par exemple, qui a la
sensation
que l'objet qu'il voit devant lui se meut droit
parfaitement conscience qu'il marche sur le sol, mais il éprouve la
sensation
correspondante. Révision de l'opinion de quelqu
symptôme. Enu- mération de faits pour chaque sens. De même que les
sensations
obsédantes, les hallucinations obsédantes peuve
hénomènes réels. Cette dernière idée est presque la règle quant aux
sensations
qui se rapportent au domaine du corps du malade
tout si ces erreurs sensorielles n'atteignent pas le plein'degré de
sensations
réelles, affectent la forme de psemlo-lallucina
frapper les per- sonnes qu'elle rencontrait, parce qu'elle avait la
sensation
que sa main accomplissait l'acte de frapper. Pl
s aiguës. La source de l'idée délirante se trouve toujours dans une
sensation
intérieure mal définie qui s'accompagne d'une a
'elle ne l'aiguise ni ne l'émousse. L'organe reste le même, les mêmes
sensations
s'y reproduisent, mais lorsque ces sensations son
este le même, les mêmes sensations s'y reproduisent, mais lorsque ces
sensations
sont intéressantes pour l'àme. elle s'y applique
de l'opération, qui dura en tout une demi-heure, elle ne manifesta la
sensation
d'aucune douleur. , Elle fut ensuite rapportée
t écoulé avant sa maladie ; elle ne se souvenait absolument d'aucunes
sensations
tactiles ou visuelles. Le succès avec lequel le D
tata qu'elle était totalement incapable de voir ou d'apprécier aucune
sensation
lumineuse. Sa surcité était également complète. M
licat que chez la moyenne de» personnes. Il en était de même pour les
sensations
de pression et pour les impressions électriques.
gique de l'organe que l'on a la prétention de cultiver. Le rôle de la
sensation
sur l'encéphale, celui de l'encéphale sur la volo
— Paris. Octave Doin, in-12, 310 pages. 1889. — Prix: 4 francs. Les
sensations
internes, par H. Beaunts, professeur de physiolog
oucement... Et. lorsque vous serez réveillé, vous n'éprouverez aucune
sensation
d'engourdissement, ni de fatigue... Vous aurez l'
eure avant le début de l'attaque. Comme autres auras, il accuse une
sensation
de piqûre au sein droit et une douleur vive dans
se livre a la masturbation. L'habit gris éveille toujours en lui des
sensations
voluptueuses. 11 en est continuellement obsède. «
I1 n'y éprouve aucune volupté et les femmes n'éveillent en lui aucune
sensation
sexuelle. Il resta tout à fait impuissant, malgré
e, impressioanabtlitè insolite, énervevement, irascibilité, caprices,
sensations
douloureuses fixes ou erratiques difficiles à loc
même; soit par rapport aux objets extérieurs; c'est, d'autre part, la
sensation
qui accompagne le mouvement musculaire et qu'on a
ntrer que le prétendu sens musculaire est réductible à un ensemble de
sensations
purement centripètes, comme toutes les sensations
le à un ensemble de sensations purement centripètes, comme toutes les
sensations
. 3° Il importerait de déterminer la part que pren
3° Il importerait de déterminer la part que prennent ces différentes
sensations
à l'élaboration des données relatives au sens mus
données relatives au sens musculaire et. en particulier, la part des
sensations
provenant de la surface cutanée, des sensations a
ticulier, la part des sensations provenant de la surface cutanée, des
sensations
articulaires et enfin des sensations musculaires
enant de la surface cutanée, des sensations articulaires et enfin des
sensations
musculaires proprement dites. La réalité de ces d
gmann. consistent en ce que le sujet qui eaj est atteint, éprouve une
sensation
visuelle de couleur chaque fois que le Sun d'une
lettre frappe son oreille. Dans le cas précité, le malade avait une
sensation
tranchée de couleur pour chaque lettre, voyelle o
ncore des particularités du même ordre très intéressantes. Il a des
sensations
diverses de tact, de goût, de sens musculaire, lo
s musculaire, lorsqu'il évoque les images graphiques des lettres. Ces
sensations
sont constantes pour chaque lettre. Ainsi par exe
chaque lettre. Ainsi par exemple, l'O est noir pour la vue, donne la
sensation
d'une chaleur étouffante pour la température, la
, donne la sensation d'une chaleur étouffante pour la température, la
sensation
de chute dans un précipice pour le sens musculair
a sensation de chute dans un précipice pour le sens musculaire, et la
sensation
de terreur pour les sentiments affectifs. Il exis
ou est hypnotisé i, lorsqu'il sait qu'il doit dormir, lorsqu'il a une
sensation
qui l'invite au sommeil. C'est sa propre foi, c'e
révenir qu'ils allaient dormir. Mais la fatigue des paupières est une
sensation
qui, chez certains, donne au sensorium l'idée du
on qui, chez certains, donne au sensorium l'idée du sommeil. C'est la
sensation
qui suggère l'hypnose. Certains, très impressionn
ors, créent l'image du sommeil; c'est une invite au sommeil C'est une
sensation
qui réveille par habitude ou par action réflexe t
médiatement en acte. L'assimilation de l'idée et sa transformation en
sensation
, mouvement, image, acte, souvenir rétroactif, etc
le telle que chaleur, engourdissement concentrant l'attention sur une
sensation
et captivant le sensorium pour l'empêcher de se d
ixer l'esprit, à matérialiser l'idée, si je puis dire ainsi, dans une
sensation
physique. Quelquefois la suppression d'un trouble
les visuels caractérisé* par l'abaissement de l'acuité à droite, avec
sensation
d'un nuage central se plaçant devant la vue. Cet
oucher (sur sa joue) une carte pour laquelle je lui avais suggéré une
sensation
de température différente des autres ; ce fait ne
des autres ; ce fait ne peut s'expliquer que par l'association de la
sensation
tactile dûe à la surface môme de la carte, avec l
pendant une demi-heure entière, mais au bout de ce temps, j'avais la
sensation
d'avoir chaud aux pieds. Je n'ai pas constaté à l
as constaté à la main si les pieds étaient réellement chauds, mais la
sensation
de chaud étant différente de la sensation de froi
réellement chauds, mais la sensation de chaud étant différente de la
sensation
de froid, je constatais très bien cette différenc
onditions irréprochables, par un froid indiscutable, en plein air. La
sensation
de chaud a accompagne l'auto-suggestion, a dispar
u bout de dix minutes, j'ai chaud aux pieds; j'espère conserver cette
sensation
, mais, le rideau étant levé, les acteurs étant en
gestion d'avoir chaud aux pieds. Moins de cinq minutes après, j'ai la
sensation
d'avoir chaud aux pieds, et je constate, par le c
t fait appel à toute sa force de volonté pour se rendre maître de ses
sensations
maladives en essayant maintes (ois d'accomplir l'
érer a la personne endormie, non-seulement, ce qu'on savait déjà, des
sensations
et des hallucinations, mais, chose plus grave, de
lonté; il est alors possible à l'operateur d'y imprimer à son gré des
sensations
, des images et d'y faire naître la volonté d'un a
des images et d'y faire naître la volonté d'un acte quelconque ; ces
sensations
, ces images, et celte volonté se reproduisent pho
veux sur lesquels nous n'avons pu avoir d'indications bien précises :
sensation
de brûlure autour de la tête, syncopes (?) etc..
douleur est exaspérée par la pression et la marche. Clou hystérique,
sensation
fréquente de brûlure autour de la tête. Du côté
'anesthésie paraît complète. Il n'en est rien cependant et toutes les
sensations
sont parfaitement perçues, mais la malade est dan
se souvient fort bien que lorsqu'il l'eut dans la main il éprouva une
sensation
voluptueuse telle, qu'il entra immédiatement en é
llé se souvient de ce qui s'est passé dans l'hypnose et n'a pas eu la
sensation
de dormir. II — Sommeil profond — La volonté du
le réveil. Le dormeur reconnaît au réveil d'avoir eu plus ou moins la
sensation
de dormir. III. — Somnambilisme. — Amnésie comp
nt recueillie de M. Rauzier: « 1° Crises convulsives — Début par la
sensation
de boule et des fourmillements dans les membres.
on fut très grande; le délire continua ; c'était surtout un délire de
sensations
. La pression que j'avais exercée sur la poitrine
psychique pas même celui des rêves ne se mani- feste. Seulement les
sensations
tactile et auditive ne sont pas inhibées-Spontané
tie à l'école de ces jeunes psychologues décadents qui substituent la
sensation
au sentiment. Doué dune intelligence vive, en imp
iorité. Avec cela, peu ou point de sens moral. Chambige avait soif de
sensations
et buvait sans scrupules à toutes les sources qui
longue. L. ., entend-il parler d'un meurtre, lit-il un fait divers à
sensation
, il est saisi d'angoisse pendant toute la journée
e la realité des souffrances qu'on lui impose En un mot, ses moindres
sensations
sont interprétées dans le sens de ses idées mélan
aliment facile pour l'entretien du délire. Le malade éprouve-t-il une
sensation
quelconque, émet-il une pensée, aussitôt il enten
le est douée en tout temps d'une véritable hyperesthésie ; la moindre
sensation
, la moindre impression est centuplée. A un degré
que une nécessité, par l'habitude qu'elles en avaient contractée. Les
sensations
que cette Ivresse procure sont, paraît-il. si dél
ra pour elle indifférente et nulle, puisqu'elle n'aura produit aucune
sensation
. Du côte droit, il en est tout autrement : la s
ntact : l'impression du stylet promené sur la région dorsale, devient
sensation
dès qu'il a dépassé la ligne des apophyses épineu
ution. Il se manifeste à l'insu de la malade, sans qu'elle éprouve de
sensation
de chaleur ou de picotement : et après quatre ou
e mesure notable. La malade se plaint plusieurs fois par jour d'une
sensation
de boule qui part de la région épigastrique, et l
le avait à cette époque vingt-neuf ans. — elle éprouva, dit-elle, des
sensations
de chaleur vers la peau, et des démangeaisons qui
â chaque tracé, en disant que le contact de la pointe lui donnait la
sensation
d'un fer rouge passé sur la peau. L'exaltation
e. Des douleurs s'irradiant dans tout le bras gauchey déterminent une
sensation
constante d'engourdissement. Le malade se plain
un choix particulier et des sauces savantes, en tirer de si agréables
sensations
? C'est au moyen de ce raisonnement que nous fin
ombien de gens sont sensibles à cela ? Combien de raffinés aiment ces
sensations
peu coûteuses de respirer l'odeur des foins coupé
notre palais, doit aussi nous plaire par son odeur. Dans cet ordre de
sensations
, les deux s'éduquent et se suggestionnent ensembl
le somnambulisme (c'est un fait) restaure momentanément une série de
sensations
et d'images ordinairement absentes. Dès lors le s
d'états de conscience qualitativement différents les uns des autres (
sensations
) et qui ne ressemblent en rien à cette excitation
simultanés mais incomplets, et se ravissant les uns aux autres les »
sensations
, les images et par conséquent les mouvements qui
à ce point de vue sont misérables, si l'on compare le petit nombre de
sensations
et d'idées qu'ils gardent à la masse énorme de ce
rties génitales, mais aussitôt que j'essayai de lui persuader que ces
sensations
n'étaient pas causées par une certaine personne q
effet palliatif, du moment que le malade croyait a la réalité de ses
sensations
subjectives, de ses hallucinations et qu'il trouv
êt, par une sorte de culte de l'art pour l'art, tantôt en vue défaire
sensation
, d'exciter la pitié, etc., est chose vulgaire, en
is-Reymond au maximum ne provoquait et ne provoque aujourd'hui aucune
sensation
; mais hier nous avons pu constater, qu'en insist
s dans la perception des formes ; on relève encore l'obnubilation des
sensations
lumineuses. — 3° Mais un fait qui doit particuliè
titue une partie de l'aura. Ce sont tantôt des battements, tantôt une
sensation
de brûlure. L'attaque une fois développée, peut ê
pontanées sont précédées de tristesse, de battement des tempes, d'une
sensation
de boule qui va de la région précordiale au laryn
es 6 h. 1/2 en Russie), la douleur de tête s'exaspère et lui donne la
sensation
d'une plaie vive, puis viennent des tin- lement
laie vive, puis viennent des tin- lements d'oreille ; il n'a pas la
sensation
, de boule, mais une sorte de constriction thoraci
t, par une sorte de culte de l'art pour l'art, tantôt en vue de faire
sensation
, d'exciter la pitié, etc., est chose vulgaire che
siégeant dans le cou, dans la partie postérieure de la tête, par une
sensation
de constriction siégeant au sommet de la poitrine
t. I. 4. Anatomie comparée, t. II, p. 460. de tel ou tel ordre de
sensations
dans les habitudes naturelles de l'esprit. A la
Les mois, les paroles retrouvés lui semblent résonner à son Oreille,
sensation
nouvelle pour lui. Il taut qu'il fasse des effort
et quand il répète plus lard la chose apprise, il a très nettement la
sensation
de Vaudilion intérieure, précédant l'émission des
sensation de Vaudilion intérieure, précédant l'émission des paroles,
sensation
qu'il ne connaissait pas autrefois. M. X... par
en voyant des choses que je dois connaître depuis fort longtemps. Mes
sensations
, ou. plutôt mes impressions, étant indéfiniment n
moment est venu de refléter la chose apprise, il a très nettement la
sensation
, nouvelle pour lui, de l'audition intérieure préc
de l'estomac une sorte de gonflement avec pulsation, puis, au cou, la
sensation
de boule. Elle tombait alors dans une espèce d'ét
la région épigastrique et par des battements de cœur; quelquefois la
sensation
nette de boule existe. Il n'y a jamais d'aura cép
de l'aura hystérique: douleur précordiale, constriction du cou, avec
sensation
de boule, sifflements dans les oreilles, et batte
dont elles aient pris naissance, elles débutent toujours par une vive
sensation
de brûlure au niveau des points spasmogènes à laq
mogènes à laquelle succèdent d'abord la douleur épigastrique, puis la
sensation
de constriction du cou et de boule, enfin l'aura
cependant, la pression du testicule et du cordon ne produisent aucune
sensation
anormale. Quand on presse légèrement sur les plaq
rtificielle de cette zone hystérogène sont toujours précédées par une
sensation
à'aura douloureuse parfaitement caractérisée, laq
précédée d'une aura : douleur iliaque au niveau du point hystérogène,
sensation
de boule qui, de l'épigastre, remonte jusqu'à la
Déjà, depuis le matin, il souffrait d'une douleur à l'épigastre avec
sensation
de boule, d'étouffement et de bourdonnement dans
ammaire déterminait très facilement les divers phénomènes de l'aura :
sensation
de constriction du thorax, puis du cou; battement
més à l'épaule, au coude, au poignet, n'occasionnent également aucune
sensation
, quelque violents qu'ils soient. Au contraire, à
entre autres, il l'affirme du moins, qu'à ce moment, il a éprouvé une
sensation
qui lui a fait croire que son membre supérieur ét
ns déterminer la moindre trace d'expression douloureuse ou même d'une
sensation
quelconque. Les réflexes tendineux du poignet et
articulation scapulo-humérale ne font éprouver aucune douleur, aucune
sensation
; j'ajouterai que toutes les notions fournies par
le accuse dans toute l'étendue du membre supérieur correspondant, une
sensation
d'engourdissement, de pesanteur et de faiblesse ;
es hystériques les pratiques de l'hypnotisme Dans cette hypothèse, la
sensation
particulière accusée par nos femmes hystériques d
s chez nos deux hommes en conséquence de la chute sur l'épaule, cette
sensation
, dis-je, pourrait être considérée comme ayant fai
force pour se réaliser objectivement, sous la forme de paralysie. La
sensation
dont il s'agit aurait donc joué dans les deux cas
acer sous vos yeux, à litre d'exemple, un 1. En ce qui concerne les
sensations
produites par le choc, nos deux hommes sont incap
l éprouvait à ce moment-là; or la description qu'il nous a donnée des
sensations
a répondu exactement à la description de l'aura h
t of the sensorium which presides over and controls the movements and
sensations
of the periphery. (Page, Injuries of the Spine an
p de poing d'intensité modérée sur la partie supérieure du membre. La
sensation
d'engourdissement, d'absence du membre, de faible
suit : De temps à autre, il se produit dans le membre contracture une
sensation
d'aura qui remonte vers le pharynx et y produit u
a face palmaire de la main où l'application d'un corps froid donne la
sensation
d'un corps chaud. La sensibilité profonde et le s
r des amis, il fut pris chez eux d'une grande attaque, précédée d'une
sensation
de boule remontant au cou, et dans laquelle il y
pied, etc., ne produisent pas la moindre douleur, pas même la moindre
sensation
; quand les yeux sont fermés, le malade ignore ab
sont représentées de la façon suivante : douleur dans un des flancs,
sensation
de boule qui remonte jusqu'au cou, menaces d'étou
deur, d'une saveur, à la vue d'un objet particulier, à la suite d'une
sensation
quelconque en un mot ; et si le plus souvent elle
ers troubles transitoires de la sensibilité et du mouvement, tels que
sensation
de lourdeur, parfois aneslhésie réelle et parésie
u'il faut chercher le point de départ de la suggestion. D'un côté, la
sensation
de lourdeur, de pesanteur, d'absence du membre co
e d'une façon permanente d'une céphalée conslrictive qui lui donne la
sensation
d'un casque lourd enserrant la tête de toutes par
t énergiquement contracter les muscles ne détermine absolument aucune
sensation
. Le malade n'a pas et n'a jamais eu rien qui re
cot a fait connaître'. On se bornera donc à relever ce qui suit : Les
sensations
produites par le choc local ont été ici le point
rant centrifuge de la force nerveuse et ne résulte pas, comme dans la
sensation
proprement dite, d'une influence transmise par le
. » D'après Wundt (Physiologie, trad. franc., p. 447), » le siège des
sensations
de mouvement ne paraît pas être clans les muscles
dans les cellules nerveuses motrices... Nous n'avons pas seulement la
sensation
d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement
tion d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La
sensation
de mouvement est donc liée à l'innervation motric
ions (centres moteurs corticaux) que sont emmagasinés les résidus des
sensations
musculaires dont nous lirons nos intuitions motri
ées sensitives et des idées motrices ; les idées sensitives étant des
sensations
ravivées, et les idées motrices étant des mouveme
ment pas un élément moins important de nos processus mentaux, que les
sensations
ravivées d'une façon idéale. — Contrairement aux
ura, perte de connaissance, pas de mouvements des membres; au réveil,
sensation
de boule épi-gastrique et besoin de pleurer ; jam
lle se sent tomber, elle appelle pour qu'on vienne la relever; aucune
sensation
de vertige ni d'élourdissement, aucun vestige de
front aurait produit chez lui, dansle courant de l'année dernière, la
sensation
d'aura qu'on provoque actuellement par la pressio
remarqué que, depuis quelques années, quand il a un coryza, il a une
sensation
de sécheresse dans la narine gauche, pendant que
e crises accompagnées d'étouffements, de constriction de la gorge, de
sensation
de boule, de douleurs dans les jambes, que la mal
phénomènes subjectifs : constriction delà gorge ; à mesure que cette
sensation
de pression disparaît, le malade recouvre la paro
e l'occlusion des yeux et cessant par leur ouverture, succède à une
sensation
, inexpliquée-quant à sa nature, de perte d'équi
fois que ses pieds ont touché un de ces objets, il a manifesté une
sensation
toute différente, et a pu déter- miner assez so
lité du tronc en tout point comparables à ceux que provoquerait une
sensation
de démangeai- son dans le dos, terminent cette
physiologique que parce qu'elles ne sont pas voulues, et que les
sensations
qui leur donnent naissance sont absentes. Un
sie et le tremble- ment du bras; dans le troisième, la frayeur avec
sensation
d'angoisse; dans le -quatrième, la céphalalgie.
n vain de se dégager. Immédiatement après le choc, il ressentit une
sensation
d'engourdissement dans la région lombaire. Lors
squ'aux rebords costaux, les piqûres d'épingle ne provoquent aucune
sensation
, au-dessous de ces limites elles sont appréciée
ensation, au-dessous de ces limites elles sont appréciées comme une
sensation
tac- tile. La sensibilité tactile est également
ubles de l'appareil de la vision, pas de zones hystérogènes, pas de
sensation
de boule, pas d'attaques. Et cependant, nous av
e. Au bout d'un semaine ou deux de rémission, la céphalalgie et une
sensation
fiévreuse reparurent ; la température s'éleva v
ca. (Neurolog. Centralbl., 1891.) Les individus qui ont perdu les
sensations
kinesthésiques sont incapables de se mouvoir le
légèrement avec le doigt les sutures crâniennes, on détermine une
sensation
toute particulière, différente de celle que l'on
blant à une démangeaison pénétrante, qui dure plus longtemps que la
sensation
provoquée par la compression d'autres régions c
inon une similitude complète avec les conditions physiologiques des
sensations
. Par suite, les agents physiques, qui sont capabl
nsorielles (vision colorée, synesthésies), les signes physiques des
sensations
; en nous mon- trant, au cours de son exposé, le
importante parmi ces effets et est la condition indispensable de la
sensation
comme des états de conscience : interne, même l
ant une exci- tation générale du système nerveux s'accompagne d'une
sensation
de bien-être, de plaisir ; tandis que le travai
otions ? Si les hémisphères sont indispensables à la production des
sensations
, état de conscience d'origine externe, ils sont
sorte que, la sensibilité tactile étant parfaitement conservée, les
sensations
de douleur et de température ne sont plus perçu
vertige, nous avons trouvé comme élément constituant prin- cipal la
sensation
de perte d'équilibre pouvant aboutir à la chute
erreur, d'anxiété, d'état moral, tout cela n'indique-t-il pas cette
sensation
cérébrale qui consti- tue pour nous le vertige
quand elle aboutit à la perte de l'équi- libre et est causée par la
sensation
de cette perte d'équilibre. Un dernier mot pour
semaine et se sent bien plus sûre dans la marche. 4 avril. Légère
sensation
de tournoiement fugace dans les mouvements brus
onne percevait la montre à 18 à 8S centimètres d'une oreille, où la
sensation
du'diapason lui était absolument dou- loureuse
tion binauriculaire fonctionnent nor- malement, et qu'on atténue la
sensation
perçue du côté sain en agissant par pression su
point d'accord avec la vérité des choses et que,, d'autre part, les
sensations
, les pensées, les actes des aliénés sont en compl
au sujet : par suite d'un trouble profond du mécanisme mental, les
sensations
et les pensées sont privées de leur guide appropr
atives à des personnes et à des objets d'un usage quotidien. Pas de
sensations
de plaisir, au contraire, éré- thisme pénible.
ec myosis, hypoalgésie et ralentissement dans la conductibilité des
sensations
douloureuses dans les jambes, hypéresthésie au ni
intellectuelle pathologique du travail d'élucubration cérébrale des
sensations
. Il est évident qu'il y avait par suite trouble
la sensibilité galvanique. Chez la plupart des sujets, la première
sensation
lumineuse gal- vanique se montre à la fermeture
la fermeture de l'anode et à l'ouverture de la cathode; la dernière
sensation
qui apparaisse apparaît à l'ouverture de l'anod
des virtuelles au pôle postérieur de l'oeil. Quant à la durée de la
sensation
dans ses rap- ports avec chacune des électrodes
issement et de rigidité des deux mains et des deux avant- bras. Les
sensations
de brûlure et de piqûre insupportables sont dif
a circulation de l'artère étant morcelée et comme forcée ; de là la
sensation
d'oppression épigastrique des mélanco- liques,
on, tous les muscles sont flasques, mous : ils ne don- nent pas une
sensation
des masses fermes comme du côté gauche. Mouveme
le malade est pris, sur son échelle (il peignait un plafond), d'une
sensation
de vertige c'était vers une heure du matin puis
d inerte le long de son corps et il éprouve dans la main droite une
sensation
de fourmillement qu'il compare à celle que donn
l compare à celle que donnerait du sable tombant sur la main. Cette
sensation
a persisté un mois environ. Le lendemain, il
chaque secousse spasmodique s'ac- compagne dans l'oeil droit d'une
sensation
visuelle tout à fait t analogue à celle du scot
eut distin- guer s'il est chaussé ou non. Chaque accès laisse une
sensation
de fatigue habituellement durant quelques jours
tendances by- pochondriaques et mélancoliques, névralgies diverses,
sensations
pénibles, troubles digestifs et vaso-moteurs).
lever, rarement après le repas. Ils ne ne s'accompagnent d'aucune
sensation
douloureuse ; les deux mains sont atteintes simul
à l'infini; la langue usuelle ne suffit plus à décrire de pareilles
sensations
, et c'est alors que l'aliéné invente de curieux
ent psychique n'ont été aucunement modifiés. R. AI.-C. LIX. Du la
sensation
DE PRESSION sur la tète ET DE LOURDEUR DE la tè
avec quel luxe d'expressions les malades s'attachent à décrire les
sensations
pénibles qu'ils éprouvent du côté de la tête. M
e la tête. M. Campbell les rattache à trois groupes principaux : 1°
sensations
de pression sur la tête; 2° sensations de pesan
rois groupes principaux : 1° sensations de pression sur la tête; 2°
sensations
de pesanteur de la tête; 3° sensations plus vag
de pression sur la tête; 2° sensations de pesanteur de la tête; 3°
sensations
plus vagues, mais analogues, et participant proba
premières variétés. A ces trois groupes, il faut ajouter certaines
sensations
de pesanteur ayant pour siège les yeux ou les p
t les diverses variétés et les localisations parti- culières de ces
sensations
, et avoir rappelé qu'elles ne s'accom- pagnent
e influence assez marquée sur l'apparition ou la disparition de ces
sensations
, que quelques auteurs ont placées sous la dépen
ement par des crises de convulsions cloniques géné- ? ,ales et par la
sensation
d'un globe ascendant dans le trajet de l'casoph
la perturbation des actes vitaux qui servent à la manifestation des
sensations
affectives et des passions 1. » L'hystérie devien
nolds. - Remarlcs on paralysis and others disol'de7's of motion and
sensation
dépendant of idea, 1869. , Charcot. - Maladies
and l'accident arrive, il est composé par toute une longue suite de
sensations
et de pensées très variées qui n'avaient aucune
psychologiques alternant suc- cessivement2 » ; il a dans l'une des
sensations
, des souvenirs, des mouvements qu'il n'a pas da
Plus souvent en- core, à notre avis, un petit fait quelconque, une
sensation
dé- ' Les actes inconscients et la mémoire pend
oupe de phénomènes qui constitue le somnambulisme, et quand cette
sensation
est provoquée elle amène automatiquement à sa sui
flamme ou simplement du papier rouge pour avoir une attaque. Ces
sensations
provocatrices qui jouent le rôle de signal peuven
accidentellement ou même par des investigations médicales et cette
sensation
bien spéciale sera dorénavant associée avec l'a
de presser des points hystéro- gènes, c'est-à-dire de provoquer une
sensation
déterminée appartenant au groupe des phénomènes
souvent une existence psychologique rudimentaire dans laquelle les
sensations
et les idées peu nom- breuses ne se contrôlent
s elles sont cependant intelligentes et démontrent l'existence de
sensations
, de souvenirs, de jugements parfaitement réels.
perception personnelle, une partie reste indépendante sous forme de
sensation
ou d'images élé- 1 Revue philosophique, 1888, t
ne résistance. Comme troubles subjectifs il y a lieu de relever une
sensation
de froid très caractérisée, car le malade, malg
maintenir leurs bords appliqués l'un contre l'autre, on éprouve la
sensation
d'une résistance à vaincre ; de même, si le mal
ituitaire, mais n'est pas reconnu; l'ammo- niaque ne produit pas de
sensation
désagréable. Le chatouille- ment de la muqueuse
L DE FAITS. fatigue de tous les instants; les seuls absents sont la
sensation
de chaleur qui n'a jamais existé et se trouve r
n de chaleur qui n'a jamais existé et se trouve remplacée par une
sensation
de froid, et les phénomènes de propulsion, de r
e de Cramer, les hallucinations de l'ouïe avec les néologismes, les
sensations
somatiques anormales du corps. Lors même que de
r, 274. T IX.\TOPHOI31E et suicide, parNicou-' I;tti, 91. Tète,
sensation
de lourdeur de -, par Campbell, 393. Tétante,
à rougir et est très- froide au toucher; la malade n'a pas d'autre
sensation
que celle du froid. Entre la région rouge et re
beaucoup souffrir. Immédiatement avant l'accès, elle éprouve une
sensation
d'engourdissement dans le bras gauche, prédomin
urdissement dans le bras gauche, prédominant dans le poignet; cette
sensation
fait monter son bras « en l'air. » Puis, la têt
on applique la main sur la surface glacée, le malade ac- cuse une
sensation
pénible de brûlure. L'anesthésie, d'ail- leurs,
.. a pleuré encore abon- damment et a éprouvé, jusqu'à 3 heures, la
sensation
d'eau glacée qui passait dans son bras gauche,
aris, 1814), aurait remarqué que le nitrite d'amyle déterminait une
sensation
de fraî- cheur dans les fosses nasales. Bien qu
nifestent par accès. Chez l'homme, le nitrite d'amyle détermine une
sensation
de vertige, coïncidant avec la période de chale
ance. Observation III. - Epilepsie remontant à 7 ans. - Aura : .'
sensation
de constrictivn à l'épigastre; na1tsées. - A'itri
depuis sept ans. Environ une minute avant l'accès, elle éprouve une
sensation
qu'elle qua- lifie de serrement, et qui siège à
qu'elle qua- lifie de serrement, et qui siège à l'épigastre. Cette
sensation
se transforme en nausée ; puis l'accès éclate,
né- ment et la nausée et l'accès. Malgré cet heureux résultat, la
sensation
de pesanteur dans la tête alarme miss E..., perso
a été très-accidentée. Souvent, après ses attaques, elle accuse une
sensation
de froid dans la jambegauche ; elle a des secou
a région ovarienne gauche elle les compare il des tortillements; b)
sensation
- NITRITE D'AMYLE. 105 d'une boule qui, de là
orte de gonflement; alors les battements de coeur augmentent ; - c)
sensation
de constriction à la-partie anté- rieure du cou
es malades après la terminaison naturelle de leurs attaques; b) une
sensation
de vertige, compliquée d'un peu d'hébé- tude ;
gauche, se lamente, prétendant qu'on le lui a enlevé. Cette fausse
sensation
s'explique sans doute par l'existence de l'anes
nd qu'on lui tire la tète, lus « pés » (les pieds) ; cette dernière
sensation
s'explique par la contracture qui existe durant
la ligne médiane. Il existe pourtant une zone intermédiaire où les
sensations
sont (I Notes recueillies par SI. Berger. HYS
r la muqueuse nasale, on ne provoque, à gauche, ni .éternuement, ni
sensation
. A droite, d'ailleurs, la pituitaire parait peu
. Tout le côté correspondant estle siège de fourmillements et d'une
sensation
de froid persistante. Les muqueuses sont devenu
bien que ceux du côté droit, mais la faradisation'ne produit aucune
sensation
. Le membre infé- rieur gauche est dans la rigid
, ne s'écartent que d'un ou deux cen- timètres. Etc.. dit avoir une
sensation
de constriction à la gorge qui l'empêche d'aval
e la langue, qui sort seulement par la commissure labiale gauche. -
Sensation
perpétuelle du besoin d'uriner. Par la sonde, o
rler qu'à voix basse, et, au bout de peu de temps, elle éprouve une
sensation
de fatigue, de gène, d'abord à la région sterna
auche, la malade assure avoir dans l'avant-bras et dans le bras une
sensation
qu'elle com- pare à une gouttelette d'eau qui r
112 après la tentative d'extension. Etch... aurait, en outre, une
sensation
de saisissement, d'oppression et, enfin, de sé-
la glace parce que la malade se plaint que son poids la fatigue. -
Sensations
fréquentes de vertige. - Soif vive, empêchant l
mai. Depuis le 20 janvier, les douleurs ovariennes gau- ches, avec
sensation
de tiraillement, d'arrachement ou de resserreme
d droit, ordinairement libre, se tourner en dedans. Elle accuse des
sensations
très-singulières ; elle sent comme un jet de va
l'oeil droit, elle a des bouffées de chaleur, elle se plaint d'une
sensation
de roulement le long de la colonne vertébrale,
ur dans le bas-ventre qu'elle dis- tingue d'une envie d'uriner. Ces
sensations
fugitives, dispa- raissant pour revenir bientôt
d, s'est imaginé qu'elle allait étouffer. Sous l'influence de cette
sensation
, elle s'est débattue de la tète, du tronc et du
eux côtés. Elle se plaint de douleurs dans l'épaule gauche et d'une
sensation
de froid dans la main correspondante. La sensib
; elle avait comme un bandeau qui la serrait. Espérant calmer ces
sensations
affreusement pénibles, elle a voulu lever la tète
e s'est engagée parce qu'elle voulait se lever afin d'échapper à la
sensation
de strangulation qui lui faisait croire qu'elle
ni la main tout entière. Les personnes et les objets lui donnent la
sensation
d'une ombre qui passe. A gauche, la vue est enc
ce moment même, mais encore il ne l'est pas le plus souvent par la
sensation
désagréable d'hu- midité et de froid qui en est
r suite d'un rêve de miction et les dormeurs profonds, parce que la
sensation
qui précède l'envie d'uriner n'est pas assez fo
r plus loin et affirmer que chez cer- tains malades au moins, cette
sensation
n'est même pas perçue. Les incontinents diurnes
aire soit due à une sorte de distraction, de non-assimilation de la
sensation
de besoin envoyée au cerveau par la moelle, ou
mouillées à quinze jours d'intervalle. Symptômes hy¡,té1'ifo1'11ws;
sensation
de boule remontant de l'esto- mac à la gorge. D
ute doit ètre mise sur le compte du trouble de la menstruation, les
sensations
utérines anormales ayant éveillé, par contiguït
les au rang des causes spécifiques. La névrasthéme propre (fatigue,
sensation
de casque, dyspepsie flatulente, paresthésies s
-faradique, réac- tion dégénérative de plusieurs muscles, diplopie,
sensation
defroid intense et.continue dans les jambes ; p
entôt de la douleur dans les globes ocu- laires et les orbites, une
sensation
pénible de tension dans le front, les tempes, l
même des tabétiques qui éprouvent de la fatigue sans avoir marché (
sensation
de cour- bature, de lourdeur, de plomb dans les
de tabétiques, qui ont un retard considérable dans la perception de
sensation
de fatigue. En effet nous avons observé des mal
t situés à gauche. Observation I : paresthé- sies au pied gauche et
sensation
de corset à gauche. Observa- TION VII : arthrop
et s'il n'y a pas d'anesthésie tactile, le malade accuse d'abord la
sensation
tactile de la friction, et ce n'est que quelque
nstants après qu'il ressent la douleur. Toujours douloureuse, cette
sensation
est cependant différem- ment traduite par les m
enfonçait un morceau tranchant de glace dans la plante du pied. La
sensation
dou- loureuse, provoquée par la friction ne dis
fulgurantes ne se montrèrent plus pendant trois ans. En juin 1892
sensation
de cuirasse qui lui serre la poitrine prin- cip
motilité des membres supé- rieurs. ' Au tronc il est à noter une
sensation
très pénible de constrictibn 184 , CLINIQUE NER
ses. La circonférence de la main a augmenté encore d'un centimètre.
Sensation
de fourmille- ments, de lourdeur. Aucun changem
st interrompue au bout d'un quart d'heure, la malade accusant une
sensation
de malaise cardiaque « une boule dans le sein gau
acune de ces formes s'ac- compagnerait, au dire de la malade, d'une
sensation
spéciale : dans le cas d'oedème rosé, des fourm
emblant provenir du pli du coude ( ? ). C'est, ordi- nairement, une
sensation
de chaleur qu'on retrouve dans le premier cas,
tué. D = 22. Douleurs vagues à la face palmaire du bout des doigts.
Sensation
de froid telle que la malade expose sa main au
par un coup dans les reins, un mal au coeur » ; il éprouverait une
sensation
d'angoisse, de mort prochaine, une peur indéfin
lui descendrait dans les bourses ». Le frisson arrive ensuite, avec
sensation
d'horri- pilation, le malade « sent ses cheveux
ses cheveux D. Chose curieuse il n'y a pas, à proprement parler, de
sensation
de froid. Durée moyenne de l'accès, 20". Ces
- ment bilatérales. Le malade ressentirait à certains moments une
sensation
de froid aux mains, et c'est alors qu'il y aurait
as. - « Un homme, dit Esquirol, qui a la convic- tion entière d'une
sensation
actuellement perçue alors que nul objet extérie
llement perçue alors que nul objet extérieur propre à exciter cette
sensation
n'est à la portée de ses sens, est dans un état
ns l'état pathologique. C'est cette inconscience de l'origine de la
sensation
, qui, à mon avis, caractérise l'hallucination.
rétation tout autre que celle qu'on en a donnée, qu'il s'agit là de
sensations
subjectives interprétées et non de véritables hal
lors, mais alors seulement, il interprète d'une façon délirante les
sensations
auditives qu'anté- rieurement il appréciait à l
les d'origine périphérique. La maladie auriculaire donne lieu à une
sensation
subjective, c'est-à-aire sans objet et celle-ci
consiste à sentir alors que rien n'impressionne le sens, c'est une
sensation
moins l'impression qui la produit habituellemen
'une fausse hallucination, il convient d'appliquer l'appellation de
sensation
subjective interprétée, laquelle indique bien l'o
les cas, accessoire. L'hallucination n'est pas un simple délire des
sensations
, « c'est un véritable délire dans le sens le pl
cination se produit en écho, s'exacerbe à l'oc- casion de nouvelles
sensations
réelles et n'exclut pas l'état de cons- cience.
, rien de plus. En effet, il y a là, iL l'origine du phénomène, une
sensation
réelle; l'oreille, influencée pathologiquement,
sement dans les foules ou la morsure par des chiens. Cette fausse
sensation
tient, non à des habitudes psychiques seu- leme
leur, mais quelquefois il se produit à leur suite une réaction avec
sensation
d'onglée. Dans l'asphyxie locale, les extrémité
leur est presque constante, c'est un engourdissement pénible, une
sensation
de brûlure, des élancements; après l'accès se déc
reconnaît qu'au moment où il va céder à son habitude il éprouve une
sensation
de résistance intime à l'impulsion. Cette résis
ve précédant l'émission de la parole qui est elle-même suivie d'une
sensation
profonde de soulagement et de bien-être. La dur
s le coup des manifestations con- vulsives, il éprouve toujours une
sensation
de gêne et d'oppres- sion qui se retrouve d'ail
à dire qu'à un moment donné, il obéit parfaitement, mais la même
sensation
d'anxiété qui se manifeste à l'occasion des phéno
divers troubles paresthésiques, engourdissements, fourmillements,
sensation
d'un corps étranger dans le rectum, etc. 2° Tro
ui peut devenir dur et se localiser, ce qui donne à la palpation la
sensation
d'une ou de plusieurs tumeurs adhérentes et gro
aire qui s'observe chez presque tous les malades, ils éprouvent une
sensation
de chaleur pénible et se découvrent en dormant.
s dans les membres infé- rieurs et dans le membre supérieur gauche,
sensation
de compres- sion du thorax en ceinture. Actuell
dix mois après, à la suite de l'influenza, hoquets continuels avec
sensation
d'une boule dans la gorge. Traitement prolong
r s'était endormi dans un champ, à l'ombre; il fut réveillé par une
sensation
pénible de piqûre et de gonflement à la langue.
ndre choc. Sensibilité conservée, douleur au côté gauche du thorax,
sensation
de chaleur interne, le malade ne peut conserver
lesse dans les membres inférieurs, de céphalalgie frontale et d'une
sensation
d'étranglement. Hyperesthésie ovarienne. Facultés
ière année de sa maladie; elle avait des douleurs en ceinture et la
sensation
de cui- rasse en fer. A cette époque difficulté
juin et juillet 1891, la malade en descendant un escalier avait la
sensation
comme si elle tombait dans le vide, son corps éta
ans le service du profes- seur Charcot. Un mois après elle avait la
sensation
de cuirasse et de ceinture en plomb. Au mois de
ésies. Fourmillements fort désagréables aux orteils des deux pieds.
Sensation
de crampes aux pieds. Phénomène plantaire. La f
hésie au froid aux extrémités inférieures. Sur le reste du corps la
sensation
de la température est normale. 3lotilité. - L
r debout. Si on la maintient dans une position verticale, elle a la
sensation
de tomber dans un précipice. Elle pousse des cr
issent au bout d'une quinzaine de jours et laissent après elles une
sensation
de lourdeur dans les genoux. En décembre 1893 c
éaucun trouble du côté de la vessie. Il y a deux ans elle avait des
sensations
de corps étranger dans le rectum avec des besoi
emple, on lui fait une piqûre sur le cou-de-pied elle a d'abord une
sensation
vague : Vous me tou- chez, » dit-elle, et puis
nements d'oreille. Sensibilité. Retard général de la perception des
sensations
tactiles, douloureuses et thermiques sauf pour
marche s'aggrave rapidement. Lesjambes sont constamment engourdies.
Sensation
de ceinture et de corset en fer. Vers la fin de
peu près. L'application du froid il la plante des pieds produit une
sensation
de brûlure tellement forte que le malade pousse
viennent avec le temps fréquentes. A la même époque ténesme rectal.
Sensation
de corps étranger dans le rectum. En 1890, le m
qu'il se fatigue facilement. La marche lui devient pénible. Il a la
sensation
comme si la chaussure était trop étroite et com
s'il marchait sur du galet. Paresthésies aux fesses. Le malade a la
sensation
d'être assis sur un hémisphère qui fait balance
rès les selles, après avoir uriné et parfois après le coït. En 1890
sensation
de ceinture. En septembre 1891, le malade tombe d
iction rapide avec l'ongle le long de la plante du pied produit une
sensation
de douleur très vive. Ce phénomène se produit a
du coton. Il n'était pas très ferme sur ses jambes. A cette époque
sensation
de ceinture serrée et dou- leurs fulgurantes da
us fait attribuer une origine externe au mouvement centripète des
sensations
doit nous faire attribuer une origine interne, au
embres, surtout dans 'les inférieurs, mais, sans le type fulgurant.
Sensation
de compression en ceinture vers la base du thor
plus la sensibilité tactile est abolie dans les membres inférieurs.
Sensation
de marcher sur du velours. Excitabilité élec- t
n serait sur le faisceau unissant le centre de réception commun des
sensations
auditives au centre spécialisé pour la réceptio
loureux, ainsi que l'avaient pensé certains auteurs, et la première
sensation
qu'elle engendre n'est pas une sensation pénible
ns auteurs, et la première sensation qu'elle engendre n'est pas une
sensation
pénible ; 2° La vision ne fournit, à l'origine,
ondaires, et qu'elles sont le résultat d'associations d'idées et de
sensations
, ce qui est la base de l'ac- quisition des perc
- Paris, 1897. - Société d'éditions scientifiques. Roux (1.). - La
sensation
douloureuse (Étude psychologique). liro- chiure
orsions. L'aura céphalique classique était précédée elle-même d'une
sensation
globuleuse qui partant du flanc gauche remontai
s côtés de la face et sur les yeux (qui étaient devenus le siège de
sensations
lumineuses diverses, étincelles, etc., et de comp
, des douleurs dans la région sacrée et les membres inférieurs avec
sensation
d'insensibilité des mains. Amélioration. Quelque
olontaires avec quelques troubles légers de la sensibilité. Parfois
sensation
de vertige. On le renvoie le 16 octobre. Plus t
s et l'avait re- couvré après un séjour en Suisse. Elle éprouve une
sensation
bizarre dans le membre inférieur droit, comme s
mais était encore dans l'impossibilité de se boutonner lui-même. La
sensation
de refroidissement aux membres inférieurs était
répul- sion, la tristesse du chloroforme : l'air irrespirable et la
sensation
de mort prochaine. On peut donc dire que chaq
ans la suite à ce point de vue, nous avons toujours observé que les
sensations
étaient perçues nettement et pour ce qu'elles éta
même pour les substances sapides, les excita- tions auditives, les
sensations
cutanées. Les réponses des malades étaient touj
son cerveau (Pl. IX, fig. 2). Il en est à peu près de même pour les
sensations
de température. Une impression de froid la fait
vre la tête et les épaules d'un châle imaginaire. En présence d'une
sensation
de cha- Sieur elle fait le geste de se dévêtir,
ale, les excitations sont perçues, mais elles ne produisent que des
sensations
justes, justement interprétées par le sujet qui l
ns com- plexes qu'il perçoit peut-être. Au contraire donnez-lui une
sensation
simple de couleur, de son, de rhythme, de goût,
aussi le mécanisme est analogue et qu'il y a eu plus qu'une simple
sensation
. Quoi qu'il en soit d'autre part de l'interprét
de varier avec chaque malade qui interprète à sa façon chacune des
sensations
qu'on lui fait percevoir. GEORGES GUI\0\, SOI'I
s. Il dit avoir quelquefois au niveau des fausses côtes droites une
sensation
de boule grosse comme un oeuf de pigeon, qui lu
ètement aboli à gauche où le sulfate de quinine ne lui donne qu'une
sensation
de plâtre, et diminué à droite, où son amertume
de constriction à la gorge, des battements dans les tempes, toutes
sensations
qui rappellent assez bien les symptômes de l'au
l eut une seconde attaque. Il se rendit mieux compte cette fois des
sensations
qu'il éprouva avant de perdre connaissance. 11
de l'apparition de l'aura hystérique. Le malade accuse d'abord une
sensation
de boule qui de l'épigastre lui remonte à la gorg
ernum. Cette douleur conslrictive, térébrante, s'accompagnait d'une
sensation
de pesanteur en avant de la poitrine, mais n'ir
a bouche ouverte. Il la mord souvent lorsqu'il parle. Souvent aussi
sensation
de raideur. En somme, on se croirait en présenc
ant dans le flanc droit. La compression de celte zone détermine une
sensation
de boule qui remonte au creux épigas- trique, d
e faiblesse ou pour mieux dire, le malade, par suite d'une sorte de
sensation
de tremblement des genoux, ne pouvait facilement
ur toute l'étendue de la surface cutanée. Le malade se plaint d'une
sensation
très vive de refroidissement au niveau des paup
nerveuses le 16 janvier 1889. Elle souffre depuis quatre ans d'une
sensation
de faiblesse et de pesanteur dans les quatre me
re un caractère plus significatif si l'on avait des détails sur les
sensations
subjectives qui les accompagnent, est-ce que to
ifs. Diminution de l'acuité auditive (surtout à gauche) perte de la
sensation
des vibrations transmises par les os du crâne.
it, elle fut prise d'un malaise subit. Ce malaise consistait en une
sensation
de boule siégeant au creux épigastrique, d'ango
prime l'ovaire gauche, la malade suffoque aussitôt; elle accuse une
sensation
de boule il l'épigastre; la tète lui tourne, elle
ade était prise toutà coup, et presque toujours vers le soir, d'une
sensation
de boule localisée au creux épigastrique; elle ét
it alors incapable de se'tenir debout; si on l'interrogeait sur les
sensations
qu'elle éprouvait alors, elle répondait qu'elle é
ne transpirerait ni de la face ni du corps. Elle a cepen- dant des
sensations
de chaleur, mais sans sueur, et en hiver, une sen
- dant des sensations de chaleur, mais sans sueur, et en hiver, une
sensation
continuelle de froid. La sudation ne semble pas
légère pression au creux épigastrique. La malade accuse d'abord une
sensation
d'étouffement, puis il lui semble que sa gorge es
suivants : faiblesse générale, céphalée constriclive permanente avec
sensation
de pression à l'occiput, sensation de compressi
lée constriclive permanente avec sensation de pression à l'occiput,
sensation
de compression à la région sacrée, perte de l'a
ltérieurement, aucune douleur dans les régions ova- riennes, aucune
sensation
de boule, de constriction à la gorge, rien qui ra
série des prodromes qui caractérisent l'aura hystérique, à savoir :
sensation
de boule partant de l'aine gauche et remontant au
se presque aussitôt des symptômes classiques de l'aura hystérique :
sensation
de boule remontant à la gorge, suffocation, batte
strictive, généralisée, mais prédominant à la région occi- pitale ;
sensation
de gêne, de pression, permanente au niveau de la
s forces; inappétence; digestions difficiles s'accompa- gnant d'une
sensation
de poids et de gonflement à l'épigastre et parfoi
la colonne vertébrale jusqu'aux lombes. C'étaient des douleurs avec
sensation
de batte- ments, de chocs rhythmés dans les tem
se de l'observation : « la malade souffrait depuis quatre ans d'une
sensation
de faiblesse et de pesanteur dans les quatre me
le au froid; au moindre abaisse- ment de température il éprouve une
sensation
de refroidissement très intense dans les membre
. Au contraire dans la syringomyélie, à côté de la conservation des
sensations
de con- tact, on trouve l'analgésie et surtout
nt que « c'est frais », à droite que « c'est froid et mouillé ». La
sensation
du « mouillé » n'existe pas à gauche. Enfin, à
sensation du « mouillé » n'existe pas à gauche. Enfin, à gauche, la
sensation
de froid ou de chaud, quel que soit le corps em
ns du monde ; il percevait bien le contact des instruments, mais la
sensation
n'était nullement douloureuse. » De' plus, on r
ions symétriques du côté opposé. Dans cette zone de transition, les
sensations
dou- loureuses deviennent d'autant plus vives q
empérature semble pervertie de ce côté; un corps froid réveille une
sensation
de chaleur. Anesthésie pharyngée du côté droit.
il travers l'urèthre, et, au niveau du col vésical, on perçoit une
sensation
de résistance très nette. En outre, la malade s
nne gauche très accentuée. Il y a des exacerbations spontanées avec
sensation
d'aura et de boule à la gorge, mais les altaque
gauche. L'application d'un corps froid permet de reconnaître que la
sensation
de froid est beau- coup plus prononcée à gauche
t beau- coup plus prononcée à gauche qu'à droite, partout, et cette
sensation
est très douloureuse au niveau des points hyper
parties hyperesthésiécs du tronc, il y a exagération de la toux et
sensation
de boule. Dans l'examen, on voit la trace de gros
se d'exceptionnel. Elle n'a pas pu dire si elle avait éprouvé z des
sensations
particulières daus cette période préparatoire de
lade ne peut guère localiser, elle se trompe de membre, confond les
sensations
diverses. Il y a pour toutes les sensations un
de membre, confond les sensations diverses. Il y a pour toutes les
sensations
un retard de une à trois secondes. Le sens musc
squ'à la fin de juillet, les sphincters sont restés paralysés et la
sensation
du besoin spécial ne s'est pas produite. Pendant
besoin spécial ne s'est pas produite. Pendant quelques jours, cette
sensation
s'est montrée sans que la malade pût se retenir
te la moitié du corps, comparativement surtout avec le côté gauche.
Sensation
très marquée de froid aux pieds, objective et s
ant environ toutes les semaines : ces attaques sont précédées d'une
sensation
de boule remontant de l'épigastre au cou et l'é
s doigts et des ongles dans la paume de la main. Elle y ressent une
sensation
de chaleur anormale. Toutes les tentatives qui
DE LA SALPÊTRIÈRE. pour l'écartement nécessaire pour provoquer deux
sensations
avec le compas de Weber en faveur des parties s
embre il pesait 66 kilos; sa santé générale est excellente, sauf la
sensation
perma- nente de froid. Il n'a aucun signe d'aff
ions ni de céphalalgie; il se plaint uniquement, dit sa mère, d'une
sensation
douloureuse qu'il localise du Lui r DE LA ,"c ?
les hyperesthésies, les engourdissements, les four- millements, les
sensations
subjectives sont la règle. Les douleurs subject
ant ses jambes à droite et à gauche, le sol donnant à ses pieds une
sensation
" de mousse. Depuis 1888., elle est entrée plusi
s la salle (en un mois de temps). Ces attaques sont précédées d'une
sensation
bizarre dans le flanc droit qui monte dans la r
iverses reprises des douleurs très vives au creux épigastrique avec
sensation
d'un cercle de fer enserrant l'épigastre. Ces c
uc- cale sont également insensibles. Le réflexe pharyngé est aboli.
Sensation
de tapis sous les pieds. Le sens musculaire est
mprime fortement les masses musculaires de la cuisse, il accuse une
sensation
de contact. En certains points d'ailleurs celle
e; il avait une douleur assez vive dans la région thyroïdienne avec
sensation
d'an- goisse el d'étouffement. Le corps thyroïd
sation de boule qui remontait jusqu'au cou et l'étranglait : cette
sensation
globuleuse s'accompagnait de battements tempora
ans motif. Si la crise de larmes ne se produit pas, elle éprouve la
sensation
du globe épigastrique ascendant, mais elle ne p
deux mains se contracturaient, la malade a ressenti à la gorge une
sensation
de strangulation, des éloulfements, et elle a p
ent plus accusée il gauche qu'à droite. Les épreuves relatives à la
sensation
du contact sont douteuses; cependant les expéri
'un corps étranger; un autre encore se gratte comme pour combattre la
sensation
d'une démangeaison intense,etc., etc. Pour ce q
eurs ce qui s'est passé : tout à coup P...on, après avoir éprouvé une
sensation
d'étouffement et ressenti dans le scrotum comme «
expressément le spasme glosso-labié, les étouffements, la boule, les
sensations
particulières dans les parties sexuelles, des con
voir préciser exactement le lieu où a porté l'excitation : de plus la
sensation
produite diffuse en quelque sorte au-dessus et au
quinine à la dose de 0,60, 0,80 à 1 gramme par jour. La cessation des
sensations
vertigineuses à la suite de ce traitement sera, s
De là part uneaura ascendante qui monte vers le cou et y produit une
sensation
d'étranglement, puis vers la tête où surviennent
sais que l'accès n'était, chez notre jeune malade, précédé par aucune
sensation
d'aura et cela est vrai ; mais elle ressent cepen
issent sans en avoir été précédées. Elles ne sont marquées par aucune
sensation
pénible : elles ne s'accompagnent pas de crampes,
à s'appuyer contre le mur et qui avait été précédée toujours par une
sensation
de constriction à la gorge, des sifflements d'ore
ations du coude et de l'épaule avec violence sans produire la moindre
sensation
. Il y a là un contraste entre les troubles de la
n sentiment de constriction, de pesanteur souvent très pénible. Cette
sensation
ne le quitte jamais complètement mais elle s'aggr
toucher un objet de cuivre, surtout s'il était sale,sans éprouver une
sensation
de dégoût se traduisant par des crachottements.
nt des battements intenses au creux épigastrique d'où part bientôt la
sensation
de « quelque chose» qui monte dans la gorge et «l
ite, la malade ressent ces mêmes battements épigastriques, cette même
sensation
d'un corps étranger remontant vers la gorge, qu'e
ives; elles se font sentir spontanément, et sont alors comparées à la
sensation
que produirait une brûlure ou un vésicatoire à vi
qu'on comprime légèrement un pli cutané compris entre deux doigts, la
sensation
produite chez le patient n'est pas seulement une
s conditions, chez les tabétiques ouïes hystériques, et surtout cette
sensation
oVaura consécutive à la pression, ne sont pas l'e
que doit se développer spontanément, le malade en est prévenu par une
sensation
particulière qui part du scrotum, remonte à l'épi
sibilité qui existaient aux membres inférieurs, et en particulier les
sensations
de froid et les fourmillements qui étaient très p
Aux membres inférieurs, le malade souffre de fourmillements et d'une
sensation
de froid. Absence des réflexes rotuliens. Signe d
u avoir lieu dans des conditions à peu près normales. Seulement « les
sensations
, nous a-t-il dit, ne sont plus les mêmes qu'autre
a un an. Besoins fréquents d'uriner et parfois incontinence d'urine.
Sensation
de coton dans les pieds et les jambes; réflexes r
e séance le malade affirme qu'il sent mieux le sol, qu'il n'a plus de
sensation
de coton dans les pieds ; qu'il marche mieux. Apr
ez-nous de vos douleurs, de vos urines, Le malade : Je n'ai plus la
sensation
de coton sous les pieds. Je n'ai plus de douleurs
eurs est très marquée. Douleurs fulgurantes peu intenses, mais il y a
sensation
douloureuse et ob-tusion de la sensibilité de la
uis sont: un état très satisfaisant de la marche,de la miction et des
sensations
pathologiques qui existaient dans les pieds. Le s
haient le sommeil. Nous ne devons pas oublier que, plusieurs fois, la
sensation
d'engourdissement des pieds s'est atténuée ou a d
nson, surtout lorsque la raideur des diverses parties du corps et les
sensations
pénibles diverses qui l'accompagnent si «nuveni,
ance à être projeté vers la gauche, côté de l'oreille malade. Cette
sensation
de translation violente était d'autant plus pénib
r lui est un grand soulagement. N'allez pas croire, cependant, que la
sensation
vertigineuse ait disparu ; elle s'est atténuée sa
s'est atténuée sans doute, elle laisse du répit du moins en tant que
sensation
très pénible: mais désormais, la voilà pour de lo
s grands vertiges spontanés, marqués principalement par ces terribles
sensations
de chute soudaine ou de tournoiement autour de l'
ce déjà longue dans la matière, il nous faudra pour en finir avec les
sensations
vertigineuses dont il souffre, revenir peut-être
nt la station debout et dans la marche, sans qu'il éprouve la moindre
sensation
vertigineuse, les jambes fléchissent sous lui tou
les. La malade n'y accuse aucune douleur, fulgurante ou autre, aucune
sensation
de constriction ; pas d'engourdissement, pas d'hy
surtout, mais s'étend parfois au crâne tout entier où elle donne une
sensation
pénible de compression et de poids, comparable à
'il marche; ses jambes sont très faibles, dit-il, et il y éprouve des
sensations
singulières ; il assure qu'il ne sait pas netteme
l'occlusion des yeux. Je ne voudrais pas omettre de vous parler d'une
sensation
de pression, de constriction pénible que le malad
t vers le creux épigastrique. Pendant le jour, il a, par moments, une
sensation
de boule remontant de la fosse iliaque gauche ver
es après le réveil. Ces rêves, presque constamment, sont suivis d'une
sensation
d'oppression du creux épigastrique, avec serremen
uffrant de crises gastriques se plaignent parfois très vivement d'une
sensation
de brûlure, siégeant soit à la région de l'estoma
'une série de douleurs véritablement crampoïdes, c'est-à-dire par des
sensations
douloureuses semblant dues à un état de contractu
eresthésiés. et il y a à distinguer, sous ce rapport, les douleurs ou
sensations
pénibles, anomales en tout cas, qui se produisent
ment de brûlure, occupant principalement les jambes et les pieds. Ces
sensations
douloureuses s'exaspèrent la nuit; la malade s'en
perçues avec un retard qui peut aller jusqu'à trois secondes; que les
sensations
douloureuses produites par ces excitations, conta
ns, siégeant principalement aux membres inférieurs; elle éprouvait la
sensation
d'eau bouillante qui lui coulait sur les jambes e
lui-même, soit les téguments qui le recouvrent, le malade éprouve la
sensation
de quelque chose qui lui remonte vers la poitrine
te région devient douloureuse au moment où se produit spontanément la
sensation
d'aura qui précède les attaques convulsives. La
ue l'application de la main sur ces parties vous y fait percevoir une
sensation
de froid très caractéristique. A propos du déve
es, les pieds souvent « butaient » en marchant. Il se plaignait d'une
sensation
de poids et de constriction sur le crâne ; ses di
a pomme, une forte étincelle. Il assure avoir parfaitement reconnu la
sensation
particulière de choc qu'il vient de décrire. « C'
blant, obsédé, assure-t-il, constamment par une odeur de soufre et la
sensation
de quelque chose d'acre qui le tenait à la gorge,
ui l'a douloureusement ébloui et peut-être aussi le pétillement et la
sensation
de brûlure qu'il aura éprouvés à la fois (1). D'a
mêmes, vous le savez que, D...cy s'est exprimé pour rendre compte des
sensations
olfactives qu'il dit avoir éprouvées. Par ce qu
s diverses circonstances de son récit, à savoir entre autres, la rude
sensation
de choc qu'il a éprouvée tout à coup dans le memb
lors que le bégaiement s'est établi. Ces divers troubles à savoir :
sensation
de boule, battement, des tempes, etc, etc, appart
e, on voit, à la suite de quelques prodromes parmi lesquels figure la
sensation
dans l'œil droit d'un cercle lumineux présentant
r ; puis au moment où le tonnerre s'est rapproché il a été pris d'une
sensation
de constriction à la gorge, d'angoisse respiratoi
un corps étranger ; un autre encore se gratte comme pour combattre la
sensation
d'une démangeaison intense; il en est d'autres en
ver derrière la tête, sur les épaules, dans les membres, et certaines
sensations
de marcher comme sur un tremplin, ou un « sommier
s présenté les phénomènes suivants: Tout à coup le malade éprouve une
sensation
de malaise difficile à définir. Il lui semble que
nt au contraire obnubilées ou même supprimées et ne produisent qu'une
sensation
uniforme de contact. Alors, quand ce concours sin
du thermomètre chauffée jusqu'à 90° ne produit pas autre chose qu'une
sensation
de contact; il n'y a pas trace d'une impression s
ons où l'application sur la peau d'un bloc de glace ne produit pas de
sensations
de froid et celles où les impressions de froid so
tie supérieure du doset sur le devant de lapoitrine ne produit qu'une
sensation
de contact. Il en est de même sur toute l'étendue
et de lamain. Dans d'autres explorations par la même application, la
sensation
de froid est perçue à un certain degré sur lapoit
de la poitrine, l'application de la plaque du thermomètre ne donne la
sensation
de Fig. 120 Fig. 121 Sensibilité au froid.
ains, les avant-bras, et le tiers inférieur des bras,pour produire la
sensation
de chaud, il faut que le thermomètre marque 63° e
ent quand on Les pince ; mais on peut les brûler sans qu'ils aient la
sensation
thermique. « Voici, ajoute-t-il, un jeune homme h
septembre, il commença à éprouver un mal de tête consistant en une
sensation
continuelle de serrements ou de poids pesant sur
conde attaque semblable à la première et précédée commeelle des mêmes
sensations
de serrement à la gorge, d'étouffement, de battem
xagération des réflexes rotuliens et de la trépidation spinale; 2° la
sensation
produite par les tentatives de flexion ou d'exten
nd on cherche à imprimer au membre un mouvement passif, on éprouve la
sensation
d'une résistance progressive et élastique, en que
elle se trouvait limitée par un obstacle mécanique ne donnant pas la
sensation
de résistance élastique et absolument invincible.
r la cuisse, et de plus cet examen fit éprouver dans cette région une
sensation
montrant que celui-ci était rempli de tissu fibre
aussi rigide, que les tentatives de redressement du pied donnaient la
sensation
de résistance élastique qui est propre aux contra
du, et on ne sent nulle part cette résistance élastique, qui donne la
sensation
d'un ressort tendu, qui appartient à la contractu
, 391.— Réactions électriques, 383. — Réflexes, 86. — Retard dans les
sensations
, 388. — Rétractions tendineuses, 382, 539. — (Rêv
plume sur les cornées et la muqueuse nasale sans éveiller la moindre
sensation
; abolition de la sensibilité réflexe de la moell
l'état d'hypotaxie est réalisé le plus aisément par le maintien d'une
sensation
simple, homo-* gène, uniforme, continue, exclusiv
exclusive. Dans le cas actuel, je fais intervenir plus volontiers la
sensation
auditive. Voici, dans sa teneur générale, la tech
t, sans brusquerie. Que se passc-t-il alors psychologiquement? La
sensation
auditive, d'abord vague, à peine existante, s
or... mez..., ne cesse d'être maintenue et progressivement accrue; la
sensation
auditive persiste donc comme un c état fort » ; d
à fait écartées. A ce moment, il ne subsiste plus guère que la seule
sensation
auditive causée par dor... mez..., dor... met..
quantité et la qualité du phénomène conscient ne variant plus, notre
sensation
simple et homogène, tout à l'heure pleinement con
e l'acte : il y a participation active du cerveau. Au conlraire, la
sensation
passive du mouchoir dans la main amène mécaniquem
l'envie de ronger du fil la prend comme une crise nerveuse, avec une
sensation
d'angoisse qui ne se calme que lorsqu'elle a pu s
ment poignant arrive, elle gémit: c'est son dernier gémissement, « la
sensation
est trop forte. L'ange cependant, un jeune page d
objecter avec raison que le lïernin a mal interprété efe déformé Ick
sensations
intimes dont sainte Thérèse nous ci:! i-.voir été
discipliner ses sens, à ne pas laisser libre cours aux désirs ou aux
sensations
voluptueuses dont ils étaient le point de départ
tion provocatrice d'hallucinations, un substralum et un aliment à ses
sensations
voluptueuses, elle se créa un centre nerveux de d
ions, à mettre enjeu les mômes centres nerveux, provocateurs de mêmes
sensations
voluptueuses. A sainte Thérèse, esprit supéri
ranglée, s'efforce de respirer, » Elle exprime encore à nouveau les
sensations
de lé'jèreté ot d'élive-ment sur la pointe des pi
Légère douleur à la pression au niveau de l'ovaire droit, mais pas de
sensation
de boule ni d'étoulTemcnt. Jamais de manifestat
phériques vaso-moteurs Le membre anesthésié est exsangue et, quand la
sensation
revient, le sang reparait également. M. Jules V
race, d'éducation, de milieu, modifier l'impression produite par les
sensations
reçues et la manifestation des sentiments. Aprè
uelquefois le refus de nourriture est sous la dépendance d'une fausse
sensation
, d'une fausse conception, d'une idée morbide, ins
ement dites, sans perte de connaissance, au moins au début. Elle a la
sensation
classique de boule qui remonte, puis du verti
môme temps, par une suggestion appropriée on accentue la notion de la
sensation
d'arrêt qu'il ressent, associant ainsi à la repré
long de l'œsophage, il pénètre dans l'estomac, il ne provoque aucune
sensation
, vous n'éprouvez aucun malaise d'aucune sorte, vo
r {*}, et parloitsi bas qu'à peine la pouvoit-on entendre » (3). La
sensation
de corps étranger et de fluctuation n'étoit pas i
. Parvenu à l'âge d'homme, il se tourmente de tout et s'exagère ses
sensations
; de plus, il croit qu'on lui en veut : fils de tr
ont des battements aux tempes, des sifflements dans les oreilles, des
sensations
de tournoiement et de serrement; le cœur bat fort
les cotisations à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Les
sensations
d'un professeur électrocuté Au lendemain de l'é
ion, il nous parait intéressant de rapporter, d'après un journal, les
sensations
éprouvées par M. André Broca, le distingué profes
uit, mais je ne pus pousser qu'un cri informe. Je n'eus plus alors la
sensation
de l'existence de mes mains et de mes bras, étant
t je revins à moi. Je marchai un peu, mais seulement avec la curieuse
sensation
que ma tête et mes jambes existaient seules. J'es
instants après la décharge, a conservé sa lucidité, puisqu'il a eu la
sensation
très nette qu'il était perdu. On peut alors facil
is, à cinq heures, à partir du mercredi /5 janvier. Psychologie des
sensations
et Psychométrie. MD° le Dr Wycroskorosde, chargée
ie. MD° le Dr Wycroskorosde, chargée de conférences. Objet du cours :
Sensations
et perceptions. — Instruments et appareils employ
ie, a été chargée de faire une série de leçons sur la Psychologie des
sensations
et la Psychométrie. Les membres de notre Comité
n et l'habitude du succès, il concentrera toute son attention sur ses
sensations
digitales ou palmaires: il sera à raffut du moind
cros-thésie une maladie du toucher, caractérisée par l'altération des
sensations
de poids et de volume, je vous ai demandé de dési
osthésie, le même symptôme lorsque le malade au lieu de rapporter ses
sensations
à des objets ou à des personnes étrangères les ra
ression de la douleur par la suggestion est due à une dissociation de
sensations
considérées jusqu'à présent comme inséparables. L
ligence qui se manifeste dans cette suppression. Il y a sélection des
sensations
désagréables. Ce n'est pas la pure insensibilisat
n, il y a également association puisqu'il y a formation d'un groupede
sensation
,groupe complexeetsi j'osaisdire, bien serré. Auss
se distinguent seulement des précédents en ce que'les groupes de
sensation
que suscite la suggestion vont être formés pour ê
produit successivement les diverses phases du sommeil-provoqué. Mêmes
sensations
sur d'autres malades et quelque fut d'ailleur le
s son rôle secondaire, elle donne simplement à nos souvenirs et à nos
sensations
la note gaie ou triste, sans troubler notre jugem
uvenirs des précédentes grossesses se sont réveillés, et les diverses
sensations
éprouvées autrefois ont repris vie. Sous l'influe
sthésies, paresthésies, céphalalgies diverses, douleur rétrosternale,
sensation
de boule et constriction à la gorge, etc. ; c)T
uelques variantes ne modifiant d'ailleurs pas sa nature. Ainsi la
sensation
peut se présenter brusquement à l'esprit sans avo
divination accidentelle et isolée de pensée ('), de pressentiment, de
sensations
diverses, les sujets intéressés se trouvent, au m
inguer un sujet actif et l'autre passif, absolument inconscient de la
sensation
qu'il provoque. La fréquence même de cette mani
omnambulique n'était pas nécessaire pour déterminer la perception des
sensations
lumineuses et qu'elle se produisait, chez certain
lerons Vantèvoyant. L'autre, Y&ntêvu, n'a jamais conscience de la
sensation
qu'il provoque et, déplus, l'antévoyant peut lui
l'antévu rayonne vers l'antévoyant pour déterminer chez celui-ci une
sensation
visuelle subjective. On ne peut admettre davantag
roniques, parce qu'alors l'antévu serait, lui aussi antévoyant, et la
sensation
deviendrait réciproque, alors que les observation
ent dans le même état psychique et éprouveraient simultanémentla même
sensation
. Cherchons la cause de l'antévision dans d'autr
li, à l'aide de nombreuses observations, que la simultanéité entre la
sensation
d'un objet présent, clairement et distinctement a
airement et distinctement aperçu, et le renouvellement spontané d'une
sensation
antécédente estd'autant moins possible que ces de
our l'ouïe. — Froid aux pieds ou aux mains, chaleur exagérée pour les
sensations
de tact. — Douleurs, migraines, coliques, rhumati
omènes subjectifs les plus habituels sont de la lourdeur de tête, des
sensations
d'engourdissement, de four- millement dans le
mot d'asthénopie nerveuse, et c'est déjà trop dire : elle n'a que des
sensations
purement subjectives. A l'âge de 20 ans, elle a
interruption assez longue, elle éprouve souvent des étouflements, la
sensation
de boule, etc. Les rapports conjugaux sont très
droite. Pas d'achromatopsie. La compression de l'ovaire produit la
sensation
de boule. Elle remonte jusqu'à la gorge et produi
ion de boule. Elle remonte jusqu'à la gorge et produit la toux et une
sensation
d'étouffement. Pas d'attaques convulsives. Le s
Ecole de psychologie, p. 192, 223, 225, 255, 352. Electrocuté (Les
sensations
d'un professeur), p. 221. Enseignement médical
approche de l'hypo-" chondric, plus l'imagination est obsédée par des
sensations
et des idées " qui s'y sont incarnées de longue d
ression provenant soit de l'extérieur (impression sensorielle, bruit,
sensation
tactile, etc.), soit des organes [sensations inte
ssion sensorielle, bruit, sensation tactile, etc.), soit des organes [
sensations
internes, sensations musculaires, génitales, etc.
uit, sensation tactile, etc.), soit des organes [sensations internes,
sensations
musculaires, génitales, etc.), constitue le point
de rêves. Chez moi ce point de départ se trouve spécialement dans les
sensations
tactiles, musculaires et dans les impressions par
seule fois cependant un air de la Favorite). Rien de spécial pour les
sensations
tactiles et les sensations de température. Je n'a
de la Favorite). Rien de spécial pour les sensations tactiles et les
sensations
de température. Je n'ai ressenti que très raremen
ne ou de fatigue. Autant qu'il m'en souvienne, je n'ai jamais eu de
sensations
olfactives. Une seule fois j'ai éprouvé une sensa
i jamais eu de sensations olfactives. Une seule fois j'ai éprouvé une
sensation
gustative très nette. Je ne m'arrêterai pas sur
é une sensation gustative très nette. Je ne m'arrêterai pas sur les
sensations
génitales: elles ne présentent rien de particulie
sensations génitales: elles ne présentent rien de particulier. Les
sensations
organiques jouent chez moi un rôle assez importan
t les plus grotesques sur lesquelles il est inutile d'insister. Les
sensations
de mouvement (images motrices) sont un des élémen
s trois ans il est sujet â de nombreuses pertes de connaissance : une
sensation
de boule part de l'cpigastre pour aboutir au lary
quoi il s'agit. Alorsil me fait connaître, tout en se dépêchant, les
sensations
de borborygmes et de vives douleurs qu'il éprouva
eur et se porte bion. Le iOjuin, j'essaie de provoquer chez elle la
sensation
d'une brûlure. A l'un des doigts. Barbe S... gard
me je remarque que ce paysan n'éprouve qu'à un degré très léger cette
sensation
de chaleur et cette irritation de la peau qui son
ble de reproduire l'image qu'éveille l'application de ce remède et la
sensation
qu'il donne. C'est ainsi que le phonogramme du gr
t-être même ce paysan se représente-t-il, dans son cerveau, une autre
sensation
qui lui est plus familière, celle, par exemple, q
r de ce remède, l'hypnose réussit à provoquer aussitôt chez lui et la
sensation
d'une brûlure et la rougeur nécessaire à l'endroi
i se plaignent qu'on peut i:gcr si elles ont quelque douleur ou autre
sensation
, cette fille qui n'avoit aucun mouvement, ne donn
yeux ouverts, rien n'étoit capable de lui faire donner des marques de
sensation
. 7* Enfln, elle se tirait d'elle-même de cet ét
uffre de dépression physique et d'un état neurasthénique complet avec
sensation
de casque, de craquement dans la tête, de bourdon
ne. On fait en outre les constatations suivantes : ovarie gauche avec
sensation
de suffocation à la pression et anesthésîe passag
ystériques, mais à tous les individus, en général, à savoir que toute
sensation
, pourvu qu'elle soit homogène, uniforme, continue
ses battements. D'autres fois, j'ai recours à un complexus de courtes
sensations
visuelles, auditives, tactiles et musculaires, to
; et celui-ci s'endort, en vertu des lois psycho-physiologiques de la
sensation
, sans qu'aucune suggestion soit intervenue pour p
ue et je suggère la disparition prochaine de la douleur, ainsi que la
sensation
de chaleur et de bien-être pour le moment du réve
'hui, s'il vous arrive de sentir une irritation quelconque ou quelque
sensation
désagréable telle que angoisse, douleur, etc., vo
d'épaule ont complètement disparu, qu'elle n'est plus attentive à ses
sensations
, qu'elle ne pense plus à sa maladie, qu'elle l'a
le navire descend, par exemple, on ne larde pas à éprouver comme une
sensation
de vide dans la trie ou au creux de l'estomac, se
er comme une sensation de vide dans la trie ou au creux de l'estomac,
sensation
qui disparait dès que le mouvement inverse se pro
isparait dès que le mouvement inverse se produit; et alors, c'est une
sensation
nouvelle, différente et même contraire qui se dév
rentière. Dans ses sorties à travers la ville, elle faisait toujours
sensation
. Témoin l'anecdote suivante rapportée par le Cons
ême maigreur; elle ne pesaitque 38kil. J'attribuai à la même cause la
sensation
de constante lassitude dont elle se plaignait, et
dit qu'en outre d'un mal de tête léger, mais constant, elle avait la
sensation
que son cerveau ne fonctionnait plus comme autref
idées, mes pensées, mes jugements, et môme dans mes sentiments et mes
sensations
. » Elle a peur que cet état ne la pousse au sui
sthénie confine à l'hypochondrie, l'imagination reste obsédée par des
sensations
ou des idées préconçues, qui engendrent lauto-sug
bide de notre façon de sentir et d'agir. Désordres circulatoires et
sensations
pénibles vont de pair et constituent un cercle vi
adies : anesthésies plus ou moins nettes etdistractions ou erreurs de
sensations
, amnésies transitoires ou passagères et doutes, a
Nous devons considérer généralement ces phobies comme l'expression de
sensations
normales en état d'exagération pathologique par s
r les leçons de l'expérience. On pourrait dire également que sans ces
sensations
nous n'aurions pas créé les sciences, l'indus
rait pas le courage. Pour mériter le titre de brave, Il faut avoir la
sensation
de la crainte et la dominer. » Donc le fait d'a
'un concert musical ne réside pas dans les instruments, mais dans les
sensations
subjectives de ses auditeurs. La bcautéel l'harmo
conformément à son idéal. L'enfance vit joyeuse dans l'égoismc de la
sensation
; la jeunesse se lance avec enthousiasme à la mise
esiderata de la séance de ce soir. Vous allez vous retirer avec une
sensation
de malaise... Car je ne vous ai point montré, mêm
exercée par le médecin sur le malade, un procédé pour restreindre les
sensations
et les idées de ce dernier, de façon à faire préd
, a accompli ses travaux sur les instruments permettant d'étudier les
sensations
, avec ses élèves Pierron et Vaschidc. 6. Mais,
Il s'agit là d'un véritable onanisme mental ; car pour éprouver les
sensations
qu'ils recherchent, les malades n'ont pas besoin
tement conscience de son état et le raisonne ; dès qu'elle évoque une
sensation
, elle ne tarde pas à l'éprouver ; elle ressemble
œsophage, l'estomac sont toujours irri- tés, ce qui lui cause une
sensation
de brûlure dans la poitrine et au creux de l'esto
sensation de brûlure dans la poitrine et au creux de l'estomac: celte
sensation
lui parait un indice de la nécessité de boire enc
ntité d'eau-de-vie qui n'amène pas le complet enivrement, pour que la
sensation
de brûlure dans la poitrine disparaisse. L'nncslh
naturelle de la crise alcoolique. Le malade souffre cruellement de la
sensation
de brûlure qu'il a dans l'estomac, de l'insomnie
mps, les alcooliques périodiques cherchent à s'isoler. Peu à peu, les
sensations
s'émoussent. L'individu reprend son train de vie
malade cette tendance à s'écouter, s'il n'arrive pas à supprimer ces
sensations
de souffrance, il est possible que le patient rec
e à boire, motivant sa conduite par le désir de faire disparaître ses
sensations
douloureuses. Heureusement, de tels cas ne sont q
. Ils n'ont pas bu depuis le matin et se sentent mal à leur aise. Une
sensation
de tristesse les accable ; ils ont mal à la tète
'en vont, tout à fait calmes, allégés et contents, avec .une agréable
sensation
de détente et de bien-être. Ces faits confirmen
piqûres avec une seringue vide, la piqûre lui causant, dit-elle, une
sensation
qui lui est agréable et qui lui donne les Illusio
lement obtenue pur la suggestion hypnotique. Il faut remarquer que la
sensation
de l'impuissance, dans ces cas, loin d'exclure le
ant provoqué l'auto-suggestion, impression qui a été renforcée par la
sensation
auditive (Mademoiselle, vous voyez déjà). Pour le
lle, vous voyez déjà). Pour le second symptôme (paraplégie), c'est la
sensation
visuelle (rigidité et relâchement alternatif des
le (rigidité et relâchement alternatif des muscles) suivie de la même
sensation
auditive (voilà les mouvements revenus). Or, ce
ensibilité, hyperesthésie cutanée généralisée. Mon malade éprouve des
sensations
de brûlures par tout le corps. Le doigt qui percu
si la respiration se fait normalement la malade éprouve cependant une
sensation
de mal-être, d'étou fiemen t. c H me semble que j
pas, je m'étouffe tandis que lorsque je respire par le ventre j'ai la
sensation
de respirer » ; si elle mange ce n'est pas parce
gination musicale, enfin le plaisir causé par la musique qui n'est ni
sensation
pure, ni sentiment pur, mais qui part de la sensa
ue qui n'est ni sensation pure, ni sentiment pur, mais qui part de la
sensation
pour aboutir au sentiment. Il est à deux lins, di
Ces malades, en effet, se plaignent de l'estomac ; ils éprouvent des
sensations
de serrement dans le territoire du plexus hypogas
loureux, elle montre la région ovarienne. Elle a des étouffements. La
sensation
douloureuse part du ventre, s'arrête à l'épigastr
cit., p. 302. mais surtout à droite. Tout d'un coup elle éprouve la
sensation
d'une étreinte : quelqu'un l'embrasse et la soulè
ression à la ré-gion épigastrique, et d'étranglement à. la gorge. Ces
sensations
constituent le mode de manifestation le plus ordi
s d'un titre et dans lequel l'attaque avait pour signe précurseur une
sensation
de froid et une décoloration des mains et du bout
ttaques épileptiformes. Celles-ci avaient pour signes précurseurs une
sensation
subjective de froid et une décoloration des mains
le que nous avons signalé, elle faisait place à de l'anesthésie, avec
sensation
d'engourdissement dans les doigts et les orteils.
en. Oppression ex-trême, la respiration se précipite, étouffement; la
sensation
monte à la Fig. 8. gorge, strangulation. Batt
spécifiques. Il ne s'agit pas là d'une douleur banale, car c'est une
sensation
complexe qui s'accompagne de tout ou partie des p
ls qu'ils se produisent d'eux-mêmes à l'approche des crises, et cette
sensation
provoquée, les malades la reconnaissent pour l'av
cœur avec fréquence extrême du pouls, et enfin se développe au cou la
sensation
du globe hystérique (deuxième nœud). » En ce po
ent au bruit strident que produit le sifflet d'un che-min de fer; une
sensation
de coups de marteau frappés sur la région tempora
ulèvent la poitrine. A la gorge ce n'est plus une dou-leur, c'est une
sensation
de suffocation; la malade sent à la bas( du cou c
-ter dès le début, redoublent surtout du côté droit ; elle éprouve la
sensation
de coups de marteau dans la tempe droite et en mê
'ordre après avoir duré une à deux minutes au plus. Elle a comme la
sensation
d'un vent qui la renverse et la fait tomber en ar
de cœur violents, de frissons intenses avec cla-quements de dents et
sensation
de froid, puis d'étouffements, avec sensa-tion de
tend qu'on lui tire la tête, les « pés » (les pieds) ; cette dernière
sensation
s'explique par la contracture qui existe durant l
un état de contracture généralisée avec retour de la connaissance et
sensation
douloureuse très vive dans les membres contractur
tion de la douleur ovarienne, puis douleur précordiale, palpitations,
sensation
de suffocation et de strangulation, puis enfin, b
ce côté gauche du ventre la malade ressent des «- glouglou ». Puis la
sensation
douloureuse monte dans la région du cœur, et la g
o-difie en rien l'attitude cataleptique et ne provoque aucun signe de
sensation
. Les paupières clignent quand on touche la conjon
ntes et plus régulières. Au début de la crise la malade éprouvait une
sensation
d'étranglement (boule hystérique), une violente d
apique. Chez cette malade le début de l'attaque était marqué par la
sensation
de boule, une douleur violente du côté de l'utéru
battements dans les tempes, de nausées avec suffocation hysté-rique (
sensation
de boule) et douleur ovarienne gauche très vive.
ent peu à peu. Elle ne ressent plus la strangu-lation hystérique avec
sensation
de boule, et les sifflements d'oreille sont moins
ons observés chez nos malades, qu'en l'entendant décrire ses diverses
sensations
, il nous semblait entendre une hystéro-épileptiqu
ur s'irradiant vers l'épigastre, accélération des battements du cœur,
sensation
de constriction à la gorge, sifflements dans l'or
rouve comme un serrement; les battements cardiaques s'accélèrent; une
sensation
de globe ou de boule est ressentie à la gorge ; l
l'attaque apparaît Y aura; pas de douleur ovarienne propre-ment dite;
sensation
de constriction à l'épigastre, de boule serrant l
nt l'attaque les phénomènes de Yaura hysterica. La malade éprouve une
sensation
dou-loureuse, mais complexe, s'irradiant vers l'é
la région temporale et l'œil du même côté. Faisons-nous analyser ces
sensations
subjectives, nous apprenons qu'elles sont caracté
ifs, d'envies de pleurer ou de rires inextinguibles. Elle éprouve une
sensation
de constriction et d'étranglement à la gorge, et
ceux qui paroissoient spontanément, sans avoir été précédés d'aucune
sensation
extérieure ou affection de l'âme, étoient les plu
égime ; enfin le soin que l'on prit de lui éviter tout chagrin, toute
sensation
désagréable, la rendit moins excitable. Au mili
contentement sont leur véritable antidote. Les passions tristes, les
sensations
désagréables, la vue seule et surtout l'odeur de
ode. J'appellerai l'attention sur le début de l'accès marqué par la
sensation
de la boule hystérique, la pâleur de la face, l'i
sant un cri. Parfois elle est prise d'un tremblement nerveux général,
sensation
de froid dans le dos, ou bien elle se prend à por
ment douloureux dans la région iliaque gauche (aura ovarienne) et une
sensation
de tension de l'abdomen. La face devenait pâle et
période d'aphasie ataxique sui-vait l'aphonie. L'action réflexe et la
sensation
étaient abolies pendant l'atta-que et elle suppor
'espèce de raidissement général que l'on oppose machinalement à toute
sensation
douloureuse, vive et instantanée. Ce qu'il y a de
, l'objet qui a causé leur première frayeur; les autres accu-sent les
sensations
les plus extraordinaires, se plaignent de cordes
ajouter à la gêne de la respiration, et font quelquefois éprouver la
sensation
d'un cercle qui en serrerait la base. Il en est d
l'expression de toutes les passions de l'âme, et celle de toutes les
sensations
. » Pendant les convulsions, les malades sont so
» (Mathieu loc. cit. pag. 531). Michéa dans son livre Du délire des
sensations
rapporte plusieurs exemples d'hallucinations de n
ent, un fourmillement se fait sentir dans sa tète, et elle éprouve la
sensation
d'une barre de fer qui la tient dans les reins, p
, sa figure est inondée d'une sueur froide et glacée, elle éprouve la
sensation
d'une boule qui a son point de départ à l'épigast
alalgie violente, de l'agitation, de l'oppression à l'épi-gastre, une
sensation
de globe montant de l'épigastre au cou; puis surv
à droite, s'exaspère. L'oppression thoracique suit immédiatement avec
sensation
dé strangulation. Pas de palpitations. La face se
de suite, et était accompagné et suivi de grandes douleurs, et d'une
sensation
vive de chaleur dans cette partie; souvent il n'a
La malade sent l'approclie des attaques; elle en est prévenue par une
sensation
de constriction au niveau de l'estomac, suivie im
mmédiatement de celle d'une boule qui vient comprimer la gorge. Cette
sensation
se renouvelle plusieurs fois, la face devient con
tendu plusieurs fois le malade se plaindre, après les attaques, d'une
sensation
de constriction à la gorge; il prenait en nous di
, » pour inventer des états par lesquels elles se promettent de faire
sensation
, ou d'exci-ter la pitié touche à l'incroyable ».
e répond aux questions qu'on lui adresse et peut rendre compte de ses
sensations
. On constate ainsi que le tact est conservé à dro
orés avec la poudre de coloquinte et l'éther ne donnent lieu à aucune
sensation
. 11 n'est pas possible dans cet état de provoqu
. est hémianesthé-sique droite). Elle rend parfaitement compte de ses
sensations
et Thalluci-nation provoquée n'est pas possible.
e le même que précédemment et la malade rend aussi bien compte de ses
sensations
, mais elle n'est plus à même de se défendre des f
riable de rigidité musculaire, qui a fait comparer par les auteurs la
sensation
que l'on éprouve, en déplaçant les membres catale
primer une grande fatigue du poids qu'elle disait porter..... » Les
sensations
extérieures ont sur les hypnotisés un très grand
e, 1865. richer. 27 n'importe quel procédé, la malade éprouve une
sensation
d'engour-dissement toute particulière. Elle répon
utres manifestations hystériques, qu'une humeur un peu fantasque, des
sensations
pénibles (clou, boule), et des accès de météorism
ignorait et ce qu'on faisait et ce qu'on cherchait), n'accusa d'autre
sensation
que celle du froid exactement perçue dans les poi
a malade, espérant, eu détournant son attention, lui faire oublier la
sensation
du froid qu'elle avait accusée au moment RICUEH
un morceau de fer qui, par sa forme et son volume, devait rappeler la
sensation
de contact de l'aimant ; dans ces conditions, jam
rmentée par de vives douleurs abdominales. Enfin il était suivi d'une
sensation
de refroidissement et d'un léger frisson nerveux.
une sensation de refroidissement et d'un léger frisson nerveux. Cette
sensation
de froid à la suite des séances d'hypnotisme a ét
urs et un retard prolongé dans les règles. Elle accuse constamment la
sensation
d'une boule qui part deFépigastre et remonte au c
d'un accès par un trouble particulier dans la vue, et surtout par la
sensation
de mouvements très rapides dans les globes oculai
par une grande bizarrerie de caractère, des névralgies diffuses, des
sensations
d'étouffement qui prenaient les caractères de la
s organes des sens, et cependant les sens, envisagés comme organes de
sensations
spéciales, peuvent conserver un certain degré d'a
échappent facilement à l'investigation de l'observateur, parce que la
sensation
éprouvée par la malade, lors de leur attouchement
rmes et d'un rouge intense ne procure à la ma-lade qu'une très légère
sensation
de chatouillement. Il mai. — Même état ; la pea
ienne comprimée à l'épi-gastre et de là au cou, où elle détermine une
sensation
de strangulation. Les souvenirs ne peuvent aller
ne attaque d'hys-térie : spasmes toniques et contorsions des membres,
sensation
de strangu-lation que la malade exprime en portan
ous raconte enfin dans les mêmes termes que pendant l'état normal les
sensations
qui, chez elle, précèdent le sommeil et suivent l
lconque de son corps, l'enfant se laisse faire et semble éprouver une
sensation
agréable. Lorsqu'au contraire le contact est fait
uninvertalle de quelques jours n'en éprouva pendant longtemps que des
sensations
voluptueuses... Huit années s'étaient écoulées da
usqu'à mon lit sans parler, et se couchait sur moi; c'était alors une
sensation
effroyable, un cauchemar dont rien ne saurait app
puits; mais elles tombaient avec moi dans cet abîme sans fond. Cette
sensation
fut pénible; mais elle dura peu; car je criai : J
-nalgésie un premier degré de perte de la sensibilité, dans lequel la
sensation
au pincement ou à la piqûre, tout en étant encore
un écartement immédiatement inférieur les deux pointes donnaient une
sensation
unique On fit alors, sur le point exploré de l'av
s 3 dixièmes, tandis que du côté opposé les deux pointes donnaient la
sensation
d'une seule pointe à des distances de 3 centimètr
qua bientôt un changement en sens inverse, c'est-à-dire que la double
sensation
avait lieu à droite, l'écartement des pointes éta
2 centimètres i dixièmes, tandis qu'à gauche il n'y avait plus qu'une
sensation
unique pour les deux pointes distantes de 3 centi
ique, qui déclare tout d'abord que le vert est blanc,devrait avoir la
sensation
, lors-que le disque tourne, de la couleur rouge m
e rose subjective. Le vert qu'elle ne voit pas lui donne néanmoins la
sensation
d'une couleur complé-mentaire qu'elle peut percev
lui-même. Lorsque la vibration qui, pour les yeux sains, détermine la
sensation
du vert, arrive à ce centre, elle n'est pas jugée
va frapper la partie du corps en regard de la poinie en produisant la
sensation
d'un vent frais. h. Aigrette. — Si la pointe mé
par sa base sur le patient en figurant un pinceau ou une aigrette. La
sensation
est celle d'un picotement plus ou moins vif. Ce
la neutralisation se fait brusquement par une étincelle bruyante. La
sensation
est celle d'une piqûre et d'un choc. Les muscles
bord à peine marqués, tantôt dès la première séance, se manifeste une
sensation
d'allége-ment et de bien-être, l'appétit est augm
niaques de Kintorp, dit Calmeil, accusaient à la plante des pieds une
sensation
de brûlure comparable à celle qui aurait été prod
aux côtés de la poitrine et dans la tête, au front ou à la tempe, des
sensations
douloureuses d'une nature particulière, qu'elles
t des Iiallucinations et enfin des convulsions; toutes éprouvèrent la
sensation
d'un corps qui, s'agitant dans leur estomac, remo
oisson. Les symptômes observés étaient d'ordinaire les suivants : une
sensation
de fatigue et d'oppression, des cris semblables à
mon âme! » Le corps entier s'agite comme une feuille de tremble, une
sensation
de pesanteur intolérable oppresse la poitrine, la
des préludes plus ou moins pi'olongés, qui consistaient en une forte
sensation
d'inquié-tude et de repentir, une oppression ou d
u côté droit du corps, ou un bruit près de l'oreille droite, ou une
sensation
de sel sur la moitié droite de la langue, ou en
hologie. M. Brouillet a exposé, au salon de 1887, une toile qui fit
sensation
, el représentant- : « Une leçon du DI' Charcot
eau chaude, l'eau a la température ambiante, la glace donnaient une
sensation
de tiédeur, tandis que plus loin la sensation de
a glace donnaient une sensation de tiédeur, tandis que plus loin la
sensation
de contact était Fig. 32 et 33. 116 NOUVELLE
de la sensibilité : au niveau de l'hypochondre et du flanc gauches,
sensation
d'eau froide coulant sur la peau, douleur insig
ulant sur la peau, douleur insignifiante, frissons légers ou plutôt
sensation
de froid dans la région dorsale; dans le membre a
ion de froid dans la région dorsale; dans le membre anesthé- sique,
sensation
de « chatouillements », qui sont apparus depuis q
s de lésions du fond de l'oeil. La malade se plaint de vertiges, de
sensations
de défaillance, de palpi- tations ; battements
pendant la résistance à la flexion est la même qu'auparavant. Les
sensations
d'agacement qui n'existaient primitivement que da
contractions fibrillaires visibles et la malade n'en accuse pas la
sensation
. Pas de tremblement des mains. Mais les jambes na
ti- nence d'urine, impuissance sexuelle, dérol)cmciil des jambes,
sensation
de lapis sous les pieds, etc. En ce momcnt mê
erstices musculaires. Par la seulement nous pouvons concevoir celte
sensation
de dureté éléphantiasiquo ou même cette ré- sis
les jambes, les cuisses et le tronc jusqu'à la région mammaire, les
sensations
tactiles sont très diminuées, les sensations doul
a région mammaire, les sensations tactiles sont très diminuées, les
sensations
douloureuses et thermi- ques perçues mais avec
elle éprouve non des craque- ments ni des douleurs mais une simple
sensation
de déviation dans la jambe NOUV. ICONOCR DL LA
yotrophie notable. La sensibilité objective est conservée, mais les
sensations
thermiques et douloureuses sont perçues avec reta
urs siégeaient dans les mollets et dans les cuisses. En même temps,
sensation
d'un corset de fer étreignant son thorax, quelq
s cette même époque qu'apparaissent des troubles dans la marche, la
sensation
d'épais tapis sous les pieds, le dérobement des
relevé surtout des douleurs compa- rables il des brûlures ou il des
sensations
de froid glacé. Prodromes éloignés. Mais ce qui
ai 1894, et recueillie par 111. le Dr Henry Meige. (2) Beaunis, Les
sensations
internes, Paris, Alcan, 1889. 274 NOUVELLE ICON
t-il-dire que par habitude, nous faisons abstraction d'une foule de
sensations
perçues ; par habitude, nous ne sentons plus le
nt, si notre sensibilité est émoussée ou lésée, nous savons quelles
sensations
sont perverties ou nous man- quent. C'est ainsi
nous man- quent. C'est ainsi que les tabétiques accusent la fausse
sensation
d'un tapis épais sous leurs pieds. Ce fait, vul
z l'homme malade, un phénomène conscient. Imaginez que toutes les
sensations
perçues soient conscientes au môme de- gré, la
t, nous rentrerions vraiment dans le chaos ! Sans doute, toutes ces
sensations
sont bien perçues en fait ; mais l'attention, h
docu- ment inintelligent et brutal. En résumé, qu'il s'agisse de
sensations
visuelles ou de toute autre sensation, le cerve
En résumé, qu'il s'agisse de sensations visuelles ou de toute autre
sensation
, le cerveau n'a conscience que do celles sur le
scuter. Mais, en connaissons-nous d'analo- gues dans le domaine des
sensations
viscérales ? En d'autres termes, si nous avons
e des sensations viscérales ? En d'autres termes, si nous avons des
sensations
viscérales, organiques, cellulaires, ces sensatio
nous avons des sensations viscérales, organiques, cellulaires, ces
sensations
sont- ellec conscientées ? A cette question, vo
se pour hypothèse, j'incline à croire qu'un trouble cérébral où les
sensations
viscérales dominent, ne peut guère survenir qu'
'exaspérer dans l'état morbide, elles peuvent aussi s'atténuer. Telle
sensation
qui n'est pas consciente chez l'homme sain, dev
réveille quand la roue du moulin s'arrête. Ainsi, Messieurs, les
sensations
viscérales peuvent être perverties dans l'é- ta
nstant son intérêt d'actualité. Frenkcl a remarqué récemment due la
sensation
de fatigue pouvait disparaî- tre ou s'amoindrir
ble, faiblesse douloureuse, dira-t-on ? En fait, la fatigue est une
sensation
, et, en tant que sensation, elle est indéfiniss
dira-t-on ? En fait, la fatigue est une sensation, et, en tant que
sensation
, elle est indéfinissable. On ne peut pas plus la
e grand mérite de pousser l'analyse du phénomène bien au delà de la
sensation
perçue. La fatigue ne consiste pas seulement en u
de la sensation perçue. La fatigue ne consiste pas seulement en une
sensation
; elle n'est pas seulement subjective : elle es
des muscles que la méthode graphique permet d'apprécier de visu. La
sensation
et le fait matériel sont naturellement solidaires
objectivement constata- blé, alors que, selon toute probabilité, la
sensation
est déjà subjectivement perçue. La clinique (où
la sensibilité musculaire. Retenez seulement que la fatigue est une
sensation
de provenance musculaire. Du reste, Mosso l'a d
nous tous est une sorte de tétanisation commençante. Et quant a ta
sensation
même, nous avons le droit de la consi- dérer co
que l'on appelle l'as- thénie addisonienne n'est autre chose qu'une
sensation
de fatigue générale. Vous savez que les sujets
capsulaire. Cette digression me ramène a notre point de départ. La
sensation
de fatigue (1) Arch. de plesiol., 1893, n 4, p.
isme des substances nuisibles. Un tabétique qui n'éprouve pas cette
sensation
, tel était le malade de Frenl;el -, continue d'él
bras retombent le long du tronc, réellement fatigués, mais sans la
sensation
de fatigue préalable. Les fibres de la sensibilit
rganes, des tissus, des éléments anatomiques profonds. Toutes les
sensations
qui nous sont fournies par l'ensemble de ces sens
esthésie, ou sensibilité commune (7.o ! 11à, commun, li ! irrel1tn"
sensation
). Littré délinitlacéncs- thésie « une espèce de
ous dire de la cénesthésie ce que je vous disais tout à l'heure des
sensations
sensitivo-sensorielles. Elle est consciente ou in
système de fibres chargées d'utiliser pour la fonction motrice, des
sensations
emmagasi- nées depuis un temps plus ou moins lo
xistait par contre de l'hyperes- thésie localisée il ce niveau avec
sensation
de chaleur. On trouvait d'ailleurs chez ce mala
ndant des troubles subjectifs de la sensibibilité à la température (
sensations
de chaleur). M. Marinesco établit une étroite r
Au moin- dre reproche, à la moindre contrariété, elle éprouvait une
sensation
de constriction à l'épigastre et à la gorge et
, selon la rapidité de leur succession, mais se- lon l'acuité de la
sensation
tonale dont cette papille spirale est le siège
ois derniers doigts de la main droite ; ils étaient comme morts. La
sensation
do contact n'y était plus bien nette ; puis la
uit de la diplopie également permanente et le malade pour éviter la
sensation
vertigineuse qui en résulte ferme volontairemen
çoit non l'ir- ritation directe de l'agent extérieur qui produit la
sensation
, mais une irritation cellulaire et il l'a perço
sus de la cheville. Il existe un peu d'hésitation sur la nature des
sensations
au niveau du mollet : le malade ne sait si on l
l'analgésie se limite aux organes génitaux et il la zone périanale.
Sensation
pénible et constante de froid dans le pied gauche
rmales deve- nait le siège de fourmillements très pénibles et d'une
sensation
de froid coïnci- dant avec un abaissement réel
issaient, montant comme un flot et se croisant dans son esprit, des
sensations
étranges, des conceptions bizarres, des raisonn
orte, s'accompagne-t-elle d'un afflux sanguin vers l'encéphale, les
sensations
, les idées, les sentiments, les aspirations pre
vrai et du faux, subit le mouvement fortuit et des impressions, des
sensations
, des conceptions, des sentiments, des impulsion
la sensibilité, les sentiments naturels semblent renaître avec des
sensations
positives et des souvenirs exacts. On en est d'
comme un centre réflexe, nul ne songe plus à y placer le siège des
sensations
conscientes. Quanta la couche optique, pas plus
e. - Certaines données cependant sont acquises : 1° le trajet des
sensations
dans la moelle n'est ni régulier ni constamment l
chacun à recevoir un groupe spécial de conducteurs, à élaborer une
sensation
spéciale. (Dans cette hypothèse, il y aurait un
se suppléent-elles aisément au point de vue de la perception des
sensations
, assez aisément pour qu'il ne soit pas permis d'a
centres isolés affectés à la per- ception des diverses variétés de
sensations
(tactiles, visuelles, olfactives, gustatives, a
nt constaté, avec une lésion des points précités, l'in- tégrité des
sensations
auditives et visuelles. On voit donc que sur le
écouler des observations récemment compulsées par S. Exner, que les
sensations
visuelles sont per- çues surtout par les circon
et de l'écriture) contrastant avec le souvenir facile des anciennes
sensations
. Ainsi l'épileptique qui lira péniblement une l
sément de l'impossibilité, pour le malade hébété, d'interpréter les
sensations
anormales dont il estl'objet (délire) : ces sen
erpréter les sensations anormales dont il estl'objet (délire) : ces
sensations
anormales seraient l'équivalent de la perte total
agères psycho- sensorielles proeparoxysmiques telles que -la double
sensation
94 le revue de pathologie mentale. auditive,
écordiale : des crises douloureuses éclatent, caractérisées par une
sensation
particulière de cons- triction épigastrique et
y contredi- saient pas, à penser à un trouble dans la réception des
sensations
sonores ; sur l'assertion de M. Richter que le
constances atténuantes. Le.second groupe com- prend, sous le nom de
sensation
sexuelle contraire (inversion du sens génital d
e à lui seul d'atteindre ce but. Si, comme il le croit lui-même, la
sensation
sexuelle perverse n'est qu'un symptôme, au moin
lades sous l'influence de leurs impul- sions délirantes et de leurs
sensations
pathologiques. Il s'en tient à ceux qui ont gué
es. Les principaux symptômes observés sous cette influence furent :
sensation
de constriction thoracique, dyspnée, asthénopie
nt : sensation de constriction thoracique, dyspnée, asthénopie avec
sensation
de mouches volantes démangeai- sons désagréable
aires variés, la surdité, quelquefois inaperçue, d'une oreille, une
sensation
passagère de vertige précèdent les symptômes de
e et jeter après une secousse violente le malade dans les horribles
sensations
du paroxysme. D'autres fois, l'état vertigineux
s, projeté diversement. Au contraire peut-il marcher, il y a tantôt
sensation
subjective de chute, tantôt chute véritable, RE
- - 3° Troubles de la sensibilité. Il peut y avoir intégrité des
sensations
ou anesthésie : cette dernière est plus ou moins
rtoreuse est fréquente et précoce. Se Température. Le frisson, la
sensation
du froid sont des revue de pathologie mentale.
es nerveux ou somatiques de l'anémie (stéatose ou émaciation) ; des
sensations
anormales ou désagréables à l'épigastre, dans l
33 le malade, assure aux conceptions irrésistibles, y compris les
sensations
, perceptions, actes et impulsions de même source,
complet se composant de deux éléments, l'un cen- tripète qui est la
sensation
, l'autre centrifuge, qui, parle mou- vement, en
cède, comme stade prodromique pur, la monomanie non moins que les
sensations
d'angoisses qui appartiennent et à l'hypochondrie
la lecture du travail de M. le pro- fesseur Meynert intitulé : Des
sensations
et des passions. (Jahrbùcher f. Psychiatrie, II
ans environ, à la suite d'une dysenterie grave, Il... a éprouvé une
sensation
de craquement dans le dos, « son dos s'est décr
ouliers à la jeune fille; puis, il cherchait à se rendre compte des
sensations
que celle-ci éprouvait en marchant avec ses sou
emble entrer en ébullition et vouloir soulever le crâne ; de là, la
sensation
descend par la nuque, suit la colonne vertébral
mme un duel entre l'être étranger et lui ; mais le jour arrivé, une
sensation
de langueur s'empare de toute sa personne, son
t, il s'essuyait tout aussitôt ; le contact du lait lui donnait une
sensation
de velours. Il n'hésitait pas à distribuer ce l
us fréquent et aussi le plus important pour le diagnostic est cette
sensation
de fatigue, de brisement, de lassitude, ce dépé
rche, surtout dans l'obscurité. Ce symptôme peut s'associer à une
sensation
de picotement dans les membres inférieurs, comme
douloureux et si mal connu de la crampe, peut être rapproché de la
sensation
de lassitude pour l'époque d'apparition, la fré
que la polydipsie et les mictions nocturnes, contribuent avec les
sensations
subjectives diverses fourmillements, picotements,
les sensations subjectives diverses fourmillements, picotements,
sensations
de froid, etc., à provoquer Y insomnie qui se man
'ailleurs chez les diabétiques en dehors de tout besoin et de toute
sensation
spéciale, et doit appeler notre attention sur l
rait, sur les deux gros orteils, une anesthésie à la chaleur et une
sensation
de froid persistante dont il s'aperçut dans le
t, au contraire, ces diabétiques accusent des fourmille- ments, des
sensations
de compression, de refroidissement, de chaleur,
diabétique est très sensible au froid extérieur (Trous- .seau). La
sensation
du froid peut être générale (Fritz), alter- ner
sont des douleurs vagues, articulaires, se combinant alors avec la
sensation
de lassitude. Souvent elles se localisent dans
même marche, tant la faiblesse du genou droit est grande. Il a une
sensation
de pesanteur; à chaque moment, il sent sa jambe
uloureuse de la peau de ce membre et de la moitié droite du tronc ;
sensation
de fourmillement et d'engourdissement du -pied
re dorsale. Plus haut la sensibilité parait normale. A droite, la
sensation
de fourmillement est très vive, le sens du touc
e profonde n'occasionne pas la douleur. En un mot, augmentation des
sensations
tactiles et analgésie (jus- qu'à la sixième ver
ie, avec REVUE DE PATHOLOGIE. NERVEUSE.' 371 1 conservation de la
sensation
tactile, parce que là partie posté- rieure des
seule atteinte, tan- dis que le cordon postérieur qui transmet les
sensations
tactiles, a été respecté. Il est à remarquer
s et l'on cherche à se figurer qu'il est le véritable siège de la
sensation
douloureuse. Pour rendre plus facile cette illu
un entrecroisement partiel des pyramides ? Quant aux rapports des
sensations
douloureuses de cette région, de nombreux faits
: à ce moment, élancements le long de la colonne verté- brale, avec
sensation
de froid dans cette région. Dysacousie de l'ore
quoi consiste cette dissociation syringomyélique de l'anesthésie. Les
sensations
de tact sont conservées, la douleur n'est point p
e anesthésie plus ou moins complète et plus ou moins absolue pour les
sensations
de chaud et de froid. En un mot, dans la syringom
portant en l'espèce, sur tous les modes de la sensibilité. Ici, les
sensations
de contact sont généralement conservées, tandis q
la tête, qui est très accentuée, même au repos complet, est due à la
sensation
continuelle de bourdonnement et de vertige que le
ient point, mais, par contre, une attaque convulsive, précédée par la
sensation
caractéristique de la boule hystérique et provoqu
festement hystériques. Toutes sont précédées d'une aura consistant en
sensation
de strangulation, angoisse respiratoire, battemen
circonstances, d'une parésie fugace d'un des membres supérieurs, avec
sensation
d'engourdissement remontant de l'extrémité du mem
evient à sa place comme sous l'influence d'un ressort. On éprouve une
sensation
d'élasticité dans la traction et dans la Fig. 2
sse jusque dans lo ventre et bien qu'elle ne donne à la malade aucune
sensation
de constriction gastrique ou pharyngée, il est ce
rgique sur la région des muscles extenseurs n'éveille non plus aucune
sensation
douloureuse. La sensibilité est normale sur tou
huit mois par des douleurs suivant le trajet du nerf, accompagnées de
sensation
d'engourdissement et de froid. La marche était en
reuse à la pression et pendant la marche. Dans le pied et la jambe,
sensations
de picotement, chatouillement, survenant irréguli
ntécédents personnels qu'elle a eu plusieurs attaques d'hystérie avec
sensation
de boule , sanglots, etc., et d'ailleurs, il exis
° = AS contraction très légère. ~ ~ j néant. Le malade accuse une
sensation
de froid permanente dans le membre inférieur droi
, mais était encore dans l'impossibilité de se boutonner lui-même. La
sensation
de refroidissement aux membres inférieurs était m
de faiblesse ou, pour mieux dire, le malade, par suite d'une sorte de
sensation
de tremblement des genoux, ne pouvait facilement
sur toute l'étendue de la surface cutanée. Le malade se plaint d'une
sensation
très vive de refroidissement au niveau des paupiè
on. Au contraire dans la syringomyélie, à côté de la conservation des
sensations
de contact, on trouve l'analgésie et surtout la t
llements qui lui enlèvent, mais seulement pendant qu'ils existent, la
sensation
nette de la nature du sol sur lequel il marche. E
rche. En dehors de ces moments où les fourmillements existent, pas de
sensation
de caoutchouc, ni de tapis, etc.. Il a toujours t
érescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux. Quelques
sensations
dysesthé-siques dans les pieds (sensation que ses
oubles cérébraux. Quelques sensations dysesthé-siques dans les pieds (
sensation
que ses pieds sont collés l'un à l'autre dans le
nts à un haut degré dans la paralysie alcoolique et qui consistent en
sensations
1 Les analyses d'urine complètes et pratiquées
ôlement ou la pression profonde. Ici le malade n'accuse aucune de ces
sensations
douloureuses. Il se plaint seulement d'une sorte
lent à répondre aux questions qu'on lui adressait, analysait mal ses
sensations
et n'en rendait compte que très imparfaitement. A
eurs fulgurantes du tabès, le malade continue à souffrir de certaines
sensations
dysesthésiques subjec-jectives que je vous ai men
jours, au niveau des pieds et de la partie supérieure des jambes, une
sensation
de chaleur exagérée, de brûlure même, qui le forc
r. Mais dès qu'il tente de les remettre sous les couvertures, la même
sensation
de brûlure reparaît, et il préfère passer des nui
éfère passer des nuits entières les pieds découverts et froids. Ces
sensations
, vous le savez, Messieurs, se remarquent égalemen
é, souvent interrompu par des cauchemars consistant principalement en
sensation
de chute dans des précipices. Il n'a jamais vu, a
re depuis longtemps de « crises gastralgiques » qui s'accompagnent de
sensation
de strangulation et d'étouffement, durent deux he
naire jusqu'à la perte de connaissance. Elles étaient précédées d'une
sensation
douloureuse à l'épigaslre, de palpitations, de bo
es, d'éblouissements devant les yeux, puis survenait très souvent une
sensation
de strangulation au cou et alors elle pâlissait e
nt dans le dos, entre les deux épaules, une violente douleur avec une
sensation
de suffocation qui l'oppresse pendant dix minutes
ensibilité. Les excitations thermiques et douloureuses provoquent des
sensations
tactiles. Les perceptions tactiles y sont conserv
oique de loin en loin. Mais en 1868 (il avait alors dix-huit ans), la
sensation
de pesanteur à gauche, qui, jusqu'à cette date,
ine. La piqûre, le pincement de 'a peau ne donnent à peu près que des
sensations
de contact. Sur quelques points très limités, l'a
éral ? Chez lui, les céphalées sont, le plus souvent, accompagnées de
sensation
vertigineuse; une fois même il est tombé à terre
xercice plus que modéré), il se réveille au milieu de la nuit avec la
sensation
d'un grand coup de bâton qu'on lui donnerait sur
es autres doigts, l'avant-bras et le bras. Elles s'accompagnent d'une
sensation
douloureuse indéfinissable: « Mes os se brisent,
sont annoncées actuellement par un sentiment d'étouffement ou par la
sensation
d'une boule montant de l'épigastre à la gorge; en
^ venus chez elle des accidents nerveux variés. Elle avait parfois la
sensation
d'une boule qui lui remontait jusqu'à la gorge ;
nesthésie gauche incomplète avec perte du sens musculaire de ce côté,
sensation
de pesanteur des membres gauches qui sont faibles
ariété. Elle ressent, avant ces crises, au niveau de l'estomac, une
sensation
de boule qui remonte vers la gorge, l'étouffé et
e doit avoir sa crise n° 1. — L'ouïe est normale. La perception des
sensations
gustatives est notablement moins vive sur la moit
, elle éprouve à l'épigastre une douleur plus ou moins violente, avec
sensation
d'une poche énorme, faisant glou-glou et lui semb
te fois devant nous. Elle bâille, dit-elle, parce qu'elle éprouve une
sensation
d'étouffement qui la force à faire de grandes ins
llement, mais d'un mouvement involontaire presque continuel, dû à une
sensation
identique à l'aura ordinaire de l'attaque hystéri
, hystérique : douleur au cœur épigastrique, constriction du pharynx,
sensation
de boule remontant de l'estomac à la gorge. Pas
être avorté ; dans ce cas la malade de l'observation III accusait une
sensation
de malaise; il fallait que le bâillement fût comp
'accompagnent souvent, comme à l'état physiologique d'ailleurs, d'une
sensation
de soulagement. IV. Les crises de bâillements
ant la crise, ou même lorsque celle-ci va venir, la malade accuse une
sensation
de boule qui remonte de l'épigastre; elle a des b
meuse''soûrde=rriuette=âvèùgle,; le, sens dé .là", température, les
sensations
motrices de la peau,,etc. sj, â1ri0;. nu * ? L pl
re supérieur droit par exemple, est attribuée par 'Le, malade à une
sensation
ressentie du côté symé- triquement opposé. ' -j
t;I '- 'TJb'T-- <",<ri 'D'après Horsiëy ces transpositions de
sensation
" seraient liées àL , une lésion de la zone rola
En outre, troubles anormaux de la céneslhésie, comme par exemple la
sensation
bizarre, couché au lit, que les membres et le t
nt une pseudo-neurasthénie avec mouvements et pression douloureuse,
sensation
de faiblesse des membres, etc. Puis viennent le
fVI1 y,411··luf Ca : IL-Un'mélancolique;ressent,en juillet 1889 une
sensation
de re froid'ise'me'iit* d'ans 1, les pieds ? d'
oide rend fréquemment de bons services lorsqu'on veut combattre les
sensations
anormales, surtout celles qui sont circonscrites
froids partiels et'en particulier les bains de pieds diminuent les
sensations
anormales de la tête, notamment la sensation' d
ps, parfois unilatérale, le plus souvent bilatérale, accompagnés de
sensation
, de picotements ou de fourmillement et de sécré
surtout après le repos; elle a des douleurs erratiques partout, des
sensations
de frissons et de bouffées de chaleur, qui lui
bâiller, puis une frayeur, une anxiété de la mort la saisit avec la
sensation
d'un choc dans le cerveau, des battements artér
eur, qui présentent une certaine périodicité et sont accompagnés de
sensations
de fatigue, et de brisement des os; céphalée en
s battements du coeur soient accélérés, parfois doulou- reuses avec
sensation
d'oppression ou de serrement cardiaque; colonne
d aussi aux articulations, surtout du cou-de-pied où la malade a la
sensation
d'un étau qui le com- primerait violemment, et
de la rétine de l'oeil droit par des filets nerveux conduisant des
sensations
de lumière et des réflexes, à la moitié tempora
orps, au contact et à la pression, et localise assez facilement les
sensations
. Il n'a pas été possible de détermi- ner bien e
correspondantes. ' L'acuité auditive est quelque peu diminuée. Les
sensations
de l'ouïe sont extériorisées et assez bien situ
'hystérie. Ce qu'on peut dire, c'est que, d'une façon générale, les
sensations
., sont perçues lentement, faiblement, et déterm
oir été mieux conservées dans sa mémoire que les résidus des autres
sensations
. Mais cette idée de flammes peut aussi être ven
pénible. Elle ne peut retenir qu'avec la plus grande difficulté une
sensation
nouvelle ? On a vu qu'elle ne sait pas le nom d
pas et ne les reconnaît pas. On voit donc que les trois groupes de
sensations
verbales, audi- tives, visuelles et graphiques
ent des souvenirs à peu, près nuls. Je n'ai pu expérimenter sur les
sensations
verbales motrices d'arti- culation. -,Les sen
nter sur les sensations verbales motrices d'arti- culation. -,Les
sensations
tactiles sont aussi impuissantes à réveiller des
psychologiques, surtout une incapacité de comparer entre elles des
sensations
ou des images, d'établir des jugements. Je conn
mblable à ce qu'on observe ailleurs. L'atten- tion est nulle et les
sensations
disparaissent à mesure qu'elles sont perçues. C
a-t-il sous cette faiblesse des cellules nerveuses à rete- nir les
sensations
qui les ont irritées ? Un état d'épuisement chr
n résulterait en définitive une diminution de la iétentivité de ces
sensations
*. Il y a certaine- ment une condition particul
comme tremblée; de l'incertitude de la démarche avec ver- tige; des
sensations
de froid, d'engourdissement, d'horripilation, a
voulons ou exécutons un mouvement, nous nous rendons compte que la
sensation
a lieu, que le souvenir nous rappelle des impre
réduit au minimum la somme des phénomènes .conscients. A côté de la
sensation
, de la mémoire, de la volition conscientes, il
nsation, de la mémoire, de la volition conscientes, il y a donc des
sensations
, des souvenirs, des volitions inconscients. A l
ntrent ; mais elle a perdu la conscience d'un certain nombre de ses
sensations
, de ses sou- venirs, de ses volitions : delà de
té inconsciente et automatique. 11 résulte de ce qui précède que la
sensation
et les images qui restent en dehors du champ de
érie. Nous avons , montré que les divers phénomènes psychologiques,
sensations
, i souvenirs, idées, se répartissent chez l'hys
ent névralgique, les hallu- cinations, l'apparition fréquente de la
sensation
de constriction pharyngée, la permanence par de
t l'instru- ment de la réaction de l'être vivant déterminée par ses
sensations
. Je suis amené à conclure des faits observés qu
20 milliampères. Il importe de régler cette inten- sité suivant la
sensation
éprouvée, qui doit être intermédiaire entre le
ié temporale de la rétine de l'oeil droit les fibres chargées de la
sensation
lumineuse et simultanément des actions réflexes
tié nasale de la rétine de l'oeil droit des fibres char- gées de la
sensation
lumineuse et des fonctions réflexes; il n'envoie
emporale de la rétine de l'oeil gauche des fibres chargées et de la
sensation
lumineuse et de l'action réflexe; il n'envoie à l
l'intelligence sont peu accusés. La malade se plaint surtout d'une
sensation
extrême de refroidissement et de somnolences in
e heures). La désinfiltration ne tarda pas à devenir manifeste; les
sensations
de froid, la somnolence, la torpeur disparurent
e de la conscience), gardent leur inté- grité à la suggestion d'une
sensation
et agissent comme font la sensation réelle et l
- grité à la suggestion d'une sensation et agissent comme font la
sensation
réelle et l'émotion. Dans iasyringomyétie, les ex
t une élude sur les hallucinations synesthéliques, ou phénomènes de
sensations
fausses associées (au- dition colorée) et combi
ne les vois pas ? montrant qu'ha- bituellement elle supplée par les
sensations
visuelles au défaut de ses sensations kinesthés
ellement elle supplée par les sensations visuelles au défaut de ses
sensations
kinesthésiques. Le champ visuel des deux côtés
dans ces expériences, que la malade soit privée isolé- ment de ses
sensations
soit optiques, soit auditives, il est à remarqu
ment du champ de la conscience permettant à M... de percevoir les
sensations
actuelles. Mais tout ne se borne pas là ; il en e
ion extérieure, et de même que la conscience perçoit maintenant les
sensations
présentes, elle s'assimile également les images
nésie apparentes ne sont en réalité qu'un défaut d'assimilation des
sensations
d'une part, et d'autre part, des images qui son
ollege Department (1892-93). a) Physiologie du système nerveux. Des
sensations
(cours professé au Biolo- gical Building (1 tri
ement et la paresthésie laryngés, la diminution des réflexes, de la
sensation
de contact, de la sensibilité douloureuse de ce
sens de la pression est surtout dissocié; il y a disparition de la
sensation
de la pression exercée sur la peau seule, alors q
ds et les mains', pré- 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cédés de
sensations
de chatouillement dans le coude et le genou ou
e (Obs. III et V). Thérapeutique. Thermocautère Paquelin contre les
sensations
douloureuses subjectives et peut-être la suspen
ubjectives et peut-être la suspension. P. KERAVAL. LIX. PERTE DE la
sensation
DE fatigue CHEZ UN TABÉTIQUE; par , FRENKEL. (N
cette opération qu'une légère sensibilité dans le bras droit; cette
sensation
disparait bien- tôt, puis revient, mais sans le
, est indifférent aux émotions. Actes peu pondérés (disparition des
sensations
réflexes communes) semble vivre en rêve quoique
ences de ces habitudes, sans 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. mes
sensations
et le décor qu'elles entraînent, décor synchrone
tion de la sériation des associations d'idées et des perceptions.
Sensation
de ce qui est agréable et désagréable, affectivit
nt le décor et la nature de ce réflexe le mouvement consécutif à la
sensation
organique sera un mouve- ment de préhension, de
sommeil, puis, vers le milieu de la nuit un réveil accompagné d'une
sensation
d'angoisse précordiale très pénible et d'une in
ec prédominance d'idées de persécution. G. DENY. XXXVI. UN cas DE
sensations
auditives ET VISUELLES subjectives, auto-observ
occupations pénibles, sans cesse aux écoutes, il adapte d'abord les
sensations
audi- tives normales à ses tendances maladives;
r les régions psychiques supé- rieures avec tous les caractères des
sensations
normales. Le patient, constamment sur le qui-vi
la subjugalion. Chaque jour il pefte4rc"plus avant dans ce monde de
sensations
étranges, et chaque jour il s'efforce de percer
s sensoriels hallucinatoires qu'aux troubles de la cénesthésie, des
sensations
organiques, « de ces incita- tions obscures qui
nerveux » (Ribot). L'apparition dans la conscience d'un faisceau de
sensations
internes insolites, sans rapport avec les éléme
s par son métier de bijoutier. Enfin, il se plaint sans cesse d'une
sensation
de froid généralisé. Mais ce dont il se plain
mesure que la polyurie diminuait, la soif ardente, l'insomnie, les
sensations
de froid disparaissaient et les sécrétions nasa
autres. L'idée du moi se forme dès le début de la vie à l'aide des
sensations
et des sentiments correspondants; c'est la sens
uite la nôtre. Nos conceptions ont pour origine et pour mobiles les
sensations
de plaisir ou de déplaisir qui déterminent nos
déterminent nos sympathies,[nos antipathies physiques et morales ;
sensations
et sentiments produisent, en engendrant les idé
lques cas, nettement constaté, dès le début, la coparticipation des
sensations
et des sentiments. Chez ces malades, on remarque
ts. Chez ces malades, on remarque souvent pendant quelque temps une
sensation
d'étouffement, un état d'agitation intérieure v
els que l'insomnie, la tristesse, l'in- capacité intellectuelle, la
sensation
de douleurs au dos, etc.. Vient ensuite une obs
cintillant, par Manz, 397. SEcnETpROFESS)o\\EL,du,par Bach, 55.
Sensations
visuelles et auditives sub- jectives, par Fuchs
i- nesco, 394. 538 TABLE DES MATIÈRES. T.lnÉ1'IQUE, perte de la
sensation
chez un -, par Frenkel, 39G. Témoignage, du d
ble et obligeait l'entourage de l'exiler. ' , z Quelquefois,-à la
sensation
du regard d'aulrui le malade uprnu- vait le sen
l'essai de rhypnolisinel'excilait fortement et éveillait en lui une
sensation
désagréable, telle qu'on était obligé de l'envo
du regard d'autrui et éprouvait par conséquent continuellement une
sensation
désagréable. En 1904, jusqu'au jour de son dépa
Mois d'une romance russe. '23 CLINIQUE MENTALE. ' - l'idée et la
sensation
d'avoir l'expression impure dans ses yeux lorsq
il' : « moi seule je dois m'affliger dans la solitude. « Avec une
sensation
d'un fort battement de coeur et avec peur. j'é-
t il remarquer que le regard d'autrui provoque chez ces malades des
sensations
spéciales très désagréables dans le domaine orb
n décrivant son état dit : « Le regard d'autrui provoque en moi une
sensation
désa- gréable qui apparaît dans une contraction
bres cervicales et dorsales supérieures. Enfin il existe une fausse
sensation
de membres imaginaires.- 11 semble au malade qu
,i-iostite), Lou[ conduit au diagnostic énoncé plus haut. La fausse
sensation
tient à l'excitation du bout central des conducte
itrine ou sur son ventre. 11 se rend très bien compte que c'est une
sensation
erronée, mais il ne peut s'en débarrasser, même
de la partie contiguë de substance blanche qu'il faut rapporter les
sensations
fausses. P. IER.1VAL. IX. Remarques sur les n
e pure avec hémianopsie homonyme latérale droite. Persistance de la
sensation
de lumière brute dans le champ droit. MM. Lévy
ment aurait continué, mais plus lent. En novembre, il ressent une
sensation
de courbature lombaire continuelle, puis des do
uleurs dans les deux membres inférieurs consistant en crampes, avec
sensation
de broiement, de torsion, le long de laface pos
ontribution à la connaissance de la dissociation thermique et de la
sensation
algique dans les blessures et affections de la
mo-analgésie du même côté, on trouve souvent une dissociation de la
sensation
des impressions caloriques, algides, algiques ;
e l'analgésie est entre ces deux niveaux. z 15. La dissocialion des
sensations
de chaleur et de froid atteint son maximum à l'
ctes inspirés ou conseillés par un initiateur coupable. La première
sensation
éprouvée avait été enregistrée parla mémoireave
- cun fondement. Y a-t-il, à l'origine de ces préoccupations, des
sensations
réelles ou imaginaires S'agit-il d'un trouble i
raves et prolon- gés, la douleur viscérale réfléchie apparait, les,
sensations
produites par l'activité anormale des viscères
tive ou splanchnique ; mais il ne faut pas opposer radicalement les
sensations
internes et ex- ternes, et, dans toute percepti
ns hypochondriaques,gastralgiques ou autres, sont com- parables aux
sensations
illusoires des amputés, qui ne sont jamais créé
ptions hypochondrie- ques ne sont que l'interprétation délirante de
sensations
anor- males réelles : un angineux croit avoir u
interpréter dans le sens hypo- chondriaque ni dans aucun autre ses
sensations
anormales ; en revanche, l'imbécile, le débile,
plus souvent, doit s'abstenir ; cette interpréta- tion absurde des
sensations
éprouvées et qui caractérise ce délire s'observ
ffirme qu'il est malade et cela parce qu'il se sent malade. Cette
sensation
ou représentation fausse de maladie qui constit
erturbation des centres corti- eaux où sont déposées les images des
sensations
internes ou organiques auxquelles nous devons l
sous le nom de cénesthésie. DE L'HYPOCHONDRIE. 181 Or, comme ces
sensations
internes ne proviennent pas uni- quement de nos
rnes ne proviennent pas uni- quement de nos viscères, qu'à côté des
sensations
viscérales transmises par le pneumo-gastrique o
est la «conscience du moi physique » et qu'elle comprend foutes les
sensations
endogènes que nous avons de notre corps et de n
lle qui résulte d'une lésion viscérale ; la perception inexacte des
sensations
provenant de cette irri- tation est alors l'ori
mer, représentant ainsi une sorte de réaction motrice contre une
sensation
d'engourdissement. Dans d'autres cas, ces sté-
e ayant pour but de leur, apprendre à interpréter sainement leurs
sensations
, quelles qu'elles soient, à n'y pas répondre inop
tions sont réglées,comme celles des autres centres moteurs, par des
sensations
musculaires, articulaires, etc. 11 s'ensuit que
esmoteursmédullairesetles régions qui adres- sent à ces centres les
sensations
qui règlent la motricité. Et l'étendue même des
nnable. Vers 17 ou 18 ans, aurait eu 3 ou 4 crises convulsives avec
sensation
de boule et de constric- tion à la gorge, sans
0 CLINIQUE MENTALE. (Peut-être s'agit-il là d'une interprétation de
sensations
résultant de l'absorption de la morphine). En
ations résultant de l'absorption de la morphine). En décembre, la
sensation
de tranformation corporelle est tou- jours préd
lle affirme, toujours à titre d'explica- tion de l'étrangeté de ses
sensations
et de l'impossibilité où elle se trouve de les
ansformation de son corps, doutait ce- pendant de la réalité de ses
sensations
et par suite de sa propre existence, nous perme
des centres corticaux où sont fixées et enregistrées les images des
sensations
internes ou organiques, auxquelles nous devons
és par la malade, nous explique l'é- trangeté, la bizarrerie de ses
sensations
, et par suite ses illusions de membres déformés
rporelle n'interviennent ici qu'à titre d'explication délirante des
sensations
anormales, an- goissantes et obsédantes éprouvé
changées, différentes de ce qu'el- les étaient autrefois, etc. Les
sensations
actuelles que lui (1) G. DENY et Paul Camus. Su
oujours en rapport sans doute avec la bi- zarrerie, l'étrangeté des
sensations
organiques, mais es- sentiellement contingentes
avec obsession de se souvenir, de se représenter, de retrouver les
sensations
or- ganiques perdues ou perverties ; 2° une abo
'est surtout, dit Cotard, dans leur élaboration céré- brale que les
sensations
s'altèrent et se transforment de la manière la
sions, môme régulièrement transmises, ne produisent plus que des
sensations
alarmantes par leur étran- geté (L) n. Séglas
vec des troubles cénesthésiques, se relient ' 1 il l'altération des
sensations
dans leur élaboration céré- brale, à des pertur
s qui paraissent liés à une al- tération a, hypo, hyper ou para des
sensations
internes ou organiques, quel que soit, du reste
guration spatiale, de définition topographique des cho- ses dont la
sensation
persiste. » . Dans le premier cas, il y a, d'ap
que ce « sens de l'espace » est étroite- ment lié à l'intégrité des
sensations
organiques, mus- culaires, articulaires, segmen
oteurs mis en branle. Il convient, en outre, de rappeler que chaque
sensation
organique possède un timbre, une tonalité propr
ache avec raison tant d'importance, loin d'être indépendantes des
sensations
organiques, en font donc partie intégrante. Or,
en font donc partie intégrante. Or, comme ce sont les images de ces
sensations
orga- niques, envisagées isolément ou associées
grouper en un seul faisceau toutes les anomalies et aberrations des
sensations
organiques qui constituent le fondement de tous
n toute schématique de la division du travail nerveux en énergie de
sensation
et énergie de motilité est fondée sur quelques
anglions et à l'écorce (2). Parmi elles, les voies conductrices des
sensations
organiques paraissent les premières, puis vienn
tions organiques paraissent les premières, puis viennent celles des
sensations
spé- ciales dans l'ordre suivant : odorat (3),
imaginer dans quel marasme psychique serait l'individu. Seules, les
sensations
ther- mique ou algique sont conservées, le tabl
cons- çience est de disjoindre, dans le temps, les réactions des
sensations
» (1), c'est-à-dire de transformer le réflexe en
enfin, les. impressions de froid (Blix et ('olscheider). Quant aux
sensations
douloureuses, elles se- raient dues, d'après la
t réflexes, cet au- teur tendrait plutôt il admettre deux ordres de
sensations
douloureuses : des sensations brutes en rapport
ait plutôt il admettre deux ordres de sensations douloureuses : des
sensations
brutes en rapport avec les étages inférieurs du
ions brutes en rapport avec les étages inférieurs du cerveau et des
sensations
différenciées qui seu- les seraient d'origine c
o-pathologillue. Nos viscères ne devenant ordinairement le siège de
sensations
douioureu- l'euses qu -¡lia période moyenne del
é d'hypnotisation qui consiste dans le maintien d'une seule et même
sensation
visuelle, le som- meil survient plus facilement
musculaire est diffuse et s'accompagne, dans les cas graves, d'une
sensation
de malaises et de fatigue intense. En général,
maladie en jan- ,iel'l ! Iü : 3, par des douleurs vertébrales avec
sensation
de forte courbature, irradiant en ceinture H'I'
uivants, de failllesso progres- siw, de raideur et de douleurs avec
sensation
de brûlure. Fin avril. Les même* phénomènes app
iminmc sur foule l'étendue des mem- bres inférieurs pour toutes les
sensations
; pas de gibbosilé. Mort le 27 mai 1904. ' .
scialiqup double, dilllillu- tion de la sensibilité pour toutes les
sensations
limitée en haut par une zone ifltyperesthésie p
avec hémianopsie homonyme laté- rale droite. Persistance de la
sensation
de lumière brute dans le champ droit, par Lé-
bution à la connaissance de la dissociation thermique et de la
sensation
algique dans les olepsures et affections de l
ti»go-e»célhnl7tc. - do l,t douleur, par Mlle Yotovko, p. 370.
Sensation
algique. Voir Moelle. Sérum sanguin. Voir Epile
eur se calme et disparaît complète- ment vers midi, en laissant une
sensation
de lourdeur très prononcée dans la tête. La nui
temps à autre quelques phénomènes nerveux a,sez typiques, tels que
sensation
de boule avec constriction ala gorge. En remo
extrêmement marquée. Il y aune agitation plus ou moins grande, une
sensation
de malaise, de^ douleurs dans le ventre et l'hy
n plus ou moins longue de son diabète, est pris brus- quement d'une
sensation
de faiblesse extrême; rapidement, cet état de f
nique autorise à affirmer le diabète. L'urine peut donner la même
sensation
odorante; mais il est préférable de recourir, p
autres cas, l'intensité est moindre; les malades se plaignent d'une
sensation
de dyspnée continuelle; ils éprouvent d'une man
e, car il existe déjà au moment de la phase d'excitation, est cette
sensation
de fai- blesse générale, d'anéantissement physi
es de la première période sont de la céphalalgie, des vertiges, une
sensation
de malaise général, des douleurs en divers poin
ité anormale, plus habituellement un état de somnolence diurne avec
sensation
d'affaissement extrême. . Puis, au bout de quel
s'accentuant surtout la nuit, et se mon- trant par accès, et d'une
sensation
de faiblesse extrême; elle crut d'abord à des a
nde thyroïde n'a pu être apprécié. Pas d'anesthésie ; il existe une
sensation
continuelle de refroi- dissement. Malheureuseme
janvier 1883, pendant la nuit, douleurs très violentes, nombreuses
sensations
anormales, finalement paralysie complote de la
sparaissent et laissent après elles un sentiment de lourdeur et des
sensations
anormales dans l'extré- mité supérieure dont le
t de temps à autre la marche et la station debout impossibles, avec
sensation
de brûlure et d'engourdissement dans les pieds;
aralysie des deux extrémités supérieures avec douleurs violentes et
sensations
d'engourdissement des pieds et des mains, bient
un sentiment de fatigue généralisée, des douleurs lombaires, des
sensations
de froid et dechaud, une pesanteur de tête, la pe
l'hyperesthésie auditive que nous venons de rappeler, et par cette
sensation
de battements que le malade compare aux batteme
ude de ces deux derniers 1 A. Mairet. De l'illusion en général, des
sensations
visuelles comme causes d'illusions. Th. de Mont
isuelles comme causes d'illusions. Th. de Montpellier, 1876, et Des
sensations
auditives comme causes d'illusions. (Montpellie
x jambes; là (aux cuisses) le froid est perçu et développe même une
sensation
exa- gérée et particulièrement désagréable. Qua
gle aux membres inférieurs, il ne sent rien ou presque rien (légère
sensation
de contact); mais, quelques minutes après, il a
égère sensation de contact); mais, quelques minutes après, il a des
sensations
douloureuses au niveau de toutes les piqûres. A
ent froids, glacés; les aliments solides ou liquides provoquent une
sensation
identique dans leur passage jusqu'à l'estomac.
ir, en dînant chez ses parents, elle éprouve presque subitement une
sensation
de cons- triction douloureuse à la base du thor
de cons- triction douloureuse à la base du thorax et à l'épigastre,
sensation
qui monte à la partie supérieure delà poitrine,
eille, par con- « séquent, chez lui une conscience très intense des
sensations
qui « le provoquent, l'accompagnent et le suive
gique. La douleur produite par le froid ou la chaleur constitue une
sensation
bien plus grossière que la per- ception de la t
(degrés de chaleur modérés), et il s'en faut de beaucoup que cette
sensation
douloureuse possède la finesse de différenciati
e sensation douloureuse possède la finesse de différenciation de la
sensation
physiologique du milieu ambiant. Six tableaux à
e d'une attaque d'hémianopsie accompagnée d'aphasie, d'une série de
sensations
subjectives; en même temps il se montre agité,
lante du pied, du côté gauche, mais les corps chauds engendrent une
sensation
dou- loureuse, vive. Affaiblissement très marqu
moments du trem- blement. Il y a plus de trois ans qu'il accuse une
sensation
de chaleur céphalique, de la constipation, de l
inappétence ; descelle époque, humeurmorose. Pendant l'été de 4882,
sensations
impor- lunes à la tête et dans les yeux, affaib
excessives à l'occasion des changements de temps et de température,
sensations
de poids dans les yeux, au milieu du front, au-
gauche ; fréquemment, en outre, douleurs térébrantes à l'occiput ;
sensations
de tension péricrânienne ; on retrouve la cicat
se met travailler; de la douleur de tête il reste une inexprimable
sensation
de boulimie. Puis, quelques se- 281 SOCIÉTÉS SA
centigrammes plusieurs fois par jour) diminue très notablement les
sensations
désagréables résultant de l'abstinence de la mo
aît bientôt. A la Pentecôte suivante, il éprouve sur les jambes une
sensation
de «e froid désagréable, causée par un coup de
s articulations des genoux sont constam- ment le siège d'une légère
sensation
de traînée comparable à une caresse du vent, et
hinisé; quand il suspend ses injections, il éprouve toute espèce de
sensations
désagréables et une sorte d'agitation qui l'emp
té est émoussée depuis l'épaule jusqu'à l'extrémité des doigts, les
sensations
sont perçues avec un léger retard. Les douleurs
de paresthésie, retard dans la perception, localisation fautive des
sensations
, etc. 3. Dans ce troisième groupe, nous plaçons
, elle reprend son entretien avec nous. Elle n'ac- cuse pas d'autre
sensation
que celle d'une grande fatigue avec une céphala
de bien-être, « de retour à la vie ». Chez les morphinomanes, cette
sensation
est avidement recher- chée ; l'abstinence les m
ar mois. L'accès est complet, précédé d'un aura consistant dans une
sensation
de constriction, à l'épigastre. Quelquefois, mi
ignent d'une augmentation de fréquence initiale du pouls, suivie de
sensation
subjective de lourdeur de tête avec hébétude, f
sion des sens montre bien cette complexité; car, dans ce cas-là, la
sensation
reste ce qu'elle doit être, mais c'est l'interpré
reste ce qu'elle doit être, mais c'est l'interpréta- tion de cette
sensation
qui est erronée. Les Anglais, avant tout le mon
vant tout le monde, ont montré que l'image n'est autre chose qu'une
sensation
conservée et reproduite spontanément, c'est-à-d
issance. Il y a donc plusieurs sortes d'images, autant qu'il y a de
sensations
spéciales, autant qu'il y a de sens, y compris
r. La démonstration est faite, en s'appuyant principalement sur les
sensations
et les images visuelles, plus commodes à évoque
cientifique, 1885). Dans la perception externe, avons-nous dit, une
sensation
éveille une série d'images. L'hypnotisme mont
suggère une hallucina- tion à une hystérique, on fait joindre à une
sensation
exacte une image fausse. Mettons ce point impor
nt que c'est son portrait. Qu'est-il donc arrivé ? On a ajouté à la
sensation
que donne ce carton blanc, toujours reconnaissa
is que, dans la perception, l'image est suggérée directement par la
sensation
. Dans l'illu- sion des sens ordinaire, il y a a
tion fausse qui montre bien le mécanisme de la perception vraie. La
sensation
suggère une image ou plusieurs qui sont soudées
suggère une image ou plusieurs qui sont soudées par l'esprit à la
sensation
et qui paraissent ne faire qu'un avec elle. Mais
econnaître un livre que nous avons sous les yeux, nous ajoutons aux
sensations
brutes de la vue toutes les idées correspondant
livre, toutes choses qui ne nous sont fournies que par un réveil de
sensations
antérieures, c'est-à-dire une évocation d'image
que ne nous fournit pas l'expérience présente. Nous dépassons la
sensation
brûle dans la perception extérieure. Les expérien
réalité du lieu qui unit les propriétés de l'objet révélées par la
sensation
, et celles représentées par les Images ressus-
ion, et celles représentées par les Images ressus- citées par cette
sensation
. Il y a donc un jugement (Paulhau), qui d'aille
sé ce problème de côté. BIBLIOGRAPHIE. 451 La loi de fusion des
sensations
ou des images semblables n'est pas nouvelle; ma
ue, dans leur sommeil, on peut leur imposer des rêves, des idées, des
sensations
, des actes comme Altred Maury et d'autres l'ont é
térieur, de lui-même, qui fait la suggestion. Quand, par exemple, une
sensation
douloureuse à la région thoracique, perçue par le
éveloppe une association d'idées, lesquelles idées se transforment en
sensations
qui engendrent à leur tour de nouvelles idées; de
, musc, froid, musique. Panthéon, éveillent ou tendent à éveiller des
sensations
guslatives, olfactives, tactiles, visuelles, plus
ène suggestion existe; c'est une idée transformée en mouvement, acte,
sensation
, éraotiou, image. On a dit : « Pour qu'il y ait s
ves, sensorielles, qui fait la transformation de l'idée en mouvement,
sensation
, image, est réfréné par les facultés d'attention,
re en rapport avec le sujet endormi, peut lui suggérer des actes, des
sensations
, des émotions, des rêves hallucinatoires. Dans le
ous silence. Au fond de l'activité des centres nerveux, au fond des
sensations
, des représentations qui constituent nos idées, n
el ou tel organe sensitif ou moteur, et provoque ou la projection des
sensations
, des représentations, ou le mouvement des membres
môme dans le cas où cette activité se manifeste sous la forme soit de
sensations
, de représentations, soit de différents mouvement
gner, par induction, d'une excitation simultanée des centres d'autres
sensations
, ainsi que des centres moteurs du cerveau, et les
d'autres sensations, ainsi que des centres moteurs du cerveau, et les
sensations
visuelles devraient s'accompagner de toutes les a
visuelles devraient s'accompagner de toutes les autres catégories de
sensations
, ainsi que de toute une série de mouvements génér
ubjectivement, par l'apparition en nous d'une série de sentiments, de
sensations
, de représentations, d'idées et d'impulsions volo
quels se transmet cette excitation. En arrivant jusqu'aux centres des
sensations
, des représentations, etc., l'excitation nerveuse
rovoque en eux une série de phénomènes qui mènent au développement de
sensations
et de représentations, visuelles dans un groupe d
l'inducteur, et dont celui-ci n'a pas conscience lui-même. Que les
sensations
et les représentations, qui passent par le champ
nd on a faim, provoque une excrétion de la salive. Lians ces cas, les
sensations
et les représentations correspon- dantes, se re
voquer à leur gré cette chair de poule, rien qu'en se représentant la
sensation
du froid. Et, dans ce cas, cette représentation v
s qui réagissent très notablement sous l'action de divers sentiments,
sensations
et représentations qui parcourent notre champ int
représentations qui parcourent notre champ interne psychique. Chaque
sensation
, chaque représentation plus ou moins forte provoq
écissement des vaisseaux périphériques qui accompagne nos différentes
sensations
et représentations, ainsi que tout travail intell
r la transmission excentrique de l'excitation nerveuse des centres de
sensations
et de représentations sur les nerfs qui règlent l
se passe ainsi en lui (1). Non moins dépendants des sentiments, des
sensations
et des représentations qui passent par le champ d
duquel j'exerce une pression énergique, me dit qu'il n'éprouve aucune
sensation
, la réalité de ce trouble n'apparaît pas à mon es
la séance, c'était à qui viendrait près de lui pour s'informer de ses
sensations
, et maint sceptique se disait prêta faire l'expér
onscients de son inducteur, mouvements qu'il ressent sous la forme de
sensations
cutanées de pression, de petits coups, ou de rési
ncentrer entièrement sur les oscillations et les modifications de ses
sensations
cutanées et de ses sensations musculaires. Le seu
scillations et les modifications de ses sensations cutanées et de ses
sensations
musculaires. Le seul moyen pour cela, c'est d'élo
l'attention, affaiblit par cela même sa pleine concentration sur les
sensations
cutanées et musculaires. Cette concentration an
côté, cette concentration uniforme et continue de l'attention sur les
sensations
d'un genre uniforme augmenta quelquefois extrêmem
pensées tendent à la complète concentration de son attention sur ses
sensations
cutanées et musculaires, au moyen desquels ¡1 sui
la possibilité d'un fait pareil, a déclaré que s'il se guide sur ces
sensations
, ce n'est que d'une manière inconsciente ; il res
donc évident qu'il lui est difficile ensuite de se rendre compte des
sensations
qui le guidaient pendant la séance de la lecture
nanimement qu'ils parviennent à deviner en se laissant guider par les
sensations
qui affectent leur peau et leur système musculair
s'accomplissent des expériences pareilles, uniquement fondées sur les
sensations
cutanées et musculaires. Mais û quoi l'homme ne p
es de zoologistes et de botanistes capables, sans autre guide que les
sensations
cutanées, de déterminer l'espèce, le genre des pl
vants : incoordination motrice et marche caractéristique de l'ataxie;
sensation
de la marche dans du colon; abolition des réflexe
une observation du même genre, mais, dans le cas qu'il a observé, les
sensations
lumineuses étaient provoquées, non par une excita
s provoquaient l'apparition de différentes couleurs; toujours la même
sensation
lumineuse correspondant à la même saveur. Le ma
u monde, a conscience de peines et de satisfactions physiques et a la
sensation
de beaucoup d'impressions (1). Les affirmations
u'il sait, c'est qu'il a acquis cette image, que le souvenir de cette
sensation
antérieure persiste et qu'il est capable de la re
ses iliaques, hypéreslhésie du membre supérieur gauche, étouffements,
sensation
d'une boule posl-sternale. Elle était sujette à
l'intensité des douleurs dans l'aine a déterminé chez notre homme une
sensation
de faiblesse, avec agitation, tremblement, contra
du membre ont pu, par influence psychique, contribuer à localiser la
sensation
douloureuse dans cette région correspondant à peu
ns peur et sans raideur; je le fais se lever et s'asseoir sans aucune
sensation
à la région sacro-lombaire. Je le fais s'incliner
n attention sur mes paroles et l'empêcher de rester concentré sur ses
sensations
; je change par insinuation douce et persuasion le
des, qu'il marchait moins bien. Si j'avais laissé cette idée et cette
sensation
prendre racine dans son cerveau, si je l'avais la
ait de rien. La suggestion verbale enlevait instantanément toutes les
sensations
désagréables qu'elle me disait ressentir. Cet éta
développées dans son liés intéressent et très suggestif travail sur :
Sensation
et Mouvement. Vous savez avec quel déterminisme e
ise convulsive si on avait insisté. On déterminait très facilement la
sensation
de constriction laryngée, de boule. « En outre,
de symptùmes subjectifs propres à l'urticaire, prurit très prononcé,
sensation
de chaleur et de cuisson; or, dans le phénomène q
rticaire dermographique, où l'on n'a noté, et encore rarement, qu'une
sensation
de chaleur légère. La pseudo-urticaire dermogra
ait passée), mais aussi à l'influence évidente de l'antypirine sur la
sensation
de prurit de l'urticaire vraie diminuant et cessa
roduire. Obs. II. — Hystérie grave. — Crises hystéro-épileptiques ;
sensation
de boule; grandes attaques; hallucinations noctur
le eut un grand saignement de nez, à la suite duquel elle éprouva des
sensations
inaccoutumées. Il lui semblait qu'elle avait la g
uvelées un très grand nombre de fois. Toujours elles débutent par une
sensation
de boule au niveau de l'estomac. Elle en a eu tou
suggéré l'insensibilité à la douleur et l'absence absolue de toute
sensation
douloureuse ou même simplement désagréable. M.
bonne, le vendredi 2b' mars, un cours sur la Physiologie générale des
Sensations
. — Des exercices pratiques sur les matières du co
éprouvé une petite vibration insignifiante, il ne lui restait aucune
sensation
désagréable dans l'alvéole après l'extraction del
rageusement dans le fauteuil et supporta l'extraction sans la moindre
sensation
douloureuse. Le 10 mars 1891, M"* J..., vingt-d
rbonne. le vendredi 23 mars, un cours sur la Physiologie générale des
Sensations
. — Des exercices pratiques sur les matières du co
heure, résolution complète, le tout annoncé par des élouffements, la
sensation
d'une boule qui remonte partant du ventre, etc...
hyslêro~démoi\opaM\\e. Voici comment, en effet, la malade décrit les
sensations
qu'elle éprouve après s'être frotté les reins de
venl au cerveau troublé les impressions périphériques, qui donnent la
sensation
confuse de l'impotence du membre contusionné par
Pour les morphinomanes en privation, ce médicament rappelle, par les
sensations
qu'il fait naître, l'effet de la piqûre. Quant au
— Vous n'éprouverez plus jusqu'à la fin de votre accouchement qu'une
sensation
de pression, très supportable, nullement douloure
on d'un état morbide pendant lequel, par suite d'une réviviscence des
sensations
antérieurement emmagasinées, le malade semble rel
ment et s'occuper de travaux intellectuels. Sous l'influence de ces
sensations
, le dipsomane, quelle que soit sa position, élevé
Cependant, Je pouvoir de l'hypnotiseur a des limites : les idées, les
sensations
du patient pourront éprouver certaines modificati
ni l'idée de faute, ni l'idée de répression; aucun conflit entre les
sensations
et les sentiments: l'exercice du sens intime et d
nous montrera ce .qu'est le sympathisme organique : transmission des
sensations
, des états émotifs, transmission nerveuse physiqu
ts extérieurs. Si ces objets sont indifférents, tout se borne à une
sensation
de contact ou de douleur; la décharge se fait aux
son attention sur une idée, cette idée se transforme, malgré lui, en
sensation
ou en acte suivant sa nature. Si je porte ma main
s 5o, je la réveille, je lui demande comment elle va. Elle accuse une
sensation
de faiblesse vers la tête, absence de force dans
bsence de force dans les bras et de l'oppression caractérisée par une
sensation
de. barre de fer, par moments, à la ceinture. Ell
A 4 heures 28, je la réveille. Interrogée, elle accuse toujours une
sensation
d'aiguille au poignet, au coude et à l'épaule dro
uque. Interrogée pendant son sommeil, elle n'accuse qu'une certaine
sensation
de fatigue à la nuque (due sans doute à la pressi
umé, la pilocarpine a déterminé un semblant d'ivresse, l'émétique une
sensation
d'oppression, l'eau de laurier-cerise des douleur
utre, en effet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte,
sensation
, mouvement ou image. Plus récemment encore, M.
sement se propage à vos bras et à vos jambes. — » Vous éprouvez une
sensation
de calme, de repos, de bien-être... Vous allez av
ent, l'enfant ferme naturellement les yeux et il se laisse aller à la
sensation
d'engourdissement suggérée. Quelquefois, la résis
dans un sommeil profond. Auparavant, il semble passer par toutes les
sensations
qui précèdent l'établissement du sommeil normal.
sont acceptées sans contrôle et transformées par le cerveau en actes,
sensations
, mouvements, images. La modalité psychique ainsi
lé la toile représentant Charcot a la Sal-pêtriere, qui fit si grande
sensation
au dernier Salon. Ce qui frappait dans cette œuvr
uen un jeune homme de 20 ans, sujet à des crises caractérisées par la
sensation
d'une boule remontant du ventre à la gorge (boule
as droit sensible: rien à gauche. La malade, interrogée, extériore la
sensation
du toucher à droite, dans la région homologue de
nait un réflexe énergique, mais à droite, et la malade extériorait la
sensation
dans l'œil droit non touché. L'expérience de l'éc
ogue avait lieu pour les couleurs. La malade, interrogée, accusait la
sensation
colorée de l*œi! droit alors qu'on lui présen
amille. Interrogée sur ses idées absurdes, elle m'avoue qu'elle a des
sensations
génitales, des idées erotiques qui la torturent;
un peu douloureuses. Depuis 18 mois elle a des idées erotiques avec
sensations
particulières du côté des organes génitaux et ell
rès triste. Plus elle veut les chasser, plus elles sont intenses. Les
sensations
n'accompagnent pas toujours ces idées. Elles sont
es. Elles sont moins vives pendant la marche. Jamais ces idées et ces
sensations
ne sont venues pendant la nuit. Pendant que la ma
sont venues pendant la nuit. Pendant que la malade a ces idées ou ces
sensations
, il n'y a pas d'émission de liquide par les organ
épéter : qu'elle n'aura plus d'idées absurdes, qu'elle n'aura plus de
sensations
génitales, qu'elle se guérira très bien. Je lui r
ure. La journée a été bonne. Elle n'a pas eu d'idées absurdes, pas de
sensations
génitales et elle n'a pas pleuré. Cette nuit, e
deux reprises différentes, hier, elle eut quelques idées et quelques
sensations
; mais cela a été très fugace. Elle est contente:
ons. 15 décembre. La guérison persiste. N'a pas eu ses idées et ses
sensations
depuis le mois d'avril. L'état général est bien
uditive. M. Gellé. — L'allochirie consiste dans la perception d'une
sensation
dans le coté opposé au point où l'excitation a li
une sensation dans le coté opposé au point où l'excitation a lieu. La
sensation
est localisée dans le point symétrique de l'autre
, jusqu'à l'hémisphère gauche. Ainsi, l'excitation est gauche et la
sensation
est droite et symétrique : la perception par l'en
ception par l'encéphale est telle que c'est sur le côte opposé que la
sensation
est rapportée. Dans le cas de lésions bilatéral
ue d'un côté du corps, avec conservation plus ou moins parfaite de la
sensation
subjective des deux côtés et pourquoi l' anesthés
rtés jusqu'à ce jour, il s'agit toujours de la perception croisée des
sensations
cutanées. Le fait que je rapporte ici est un ca
s avec le diapason ; de plus, les pressions centripètes provoquent la
sensation
de vertige, la constriction pénible des tempes, l
t), mais bien par l'oreille gauche, c'est-à-dire qu'elle n'éprouve la
sensation
du piaulement que dans l'oreille gauche hyperesth
nt alternativement les méats auditifs de la pulpe du doigt, rendre la
sensation
droite ou gauche à volonté ; or, par cette occlus
se guide l'orientation ou bruit; je pense que, cher notre malade, la
sensation
produite à gauche doit être tellement supérieure
ïe et de l'odorat, de petites attaques convulsives accompagnées d'une
sensation
d'étouffement, en est la confirmation. Les deux n
lus nettement caractérisés, ainsi que d'attaques représentées par une
sensation
douloureuse dans l'un des flancs, de boule remont
congélation, de sphacèle et chute des orteils à l'exclusion de toute
sensation
douloureuse, l'impression prolongée du froid humi
ctu quod prius non fuerit in sensu! Mais comment peut-on confondre la
sensation
passive et grossière avec les purs concepts, l'at
e des phénomènes psychologiques relatifs au magnétisme. Tels sont îes
sensations
et les mouvements, les actions réflexes automatiq
que et motrice. Qu'est-ce que la suggestion? Comment suggère-t-on des
sensations
, des idées et des actes aux hypnotisés? Quels son
manœuvres hypnotiques provoquent de la pesanteur de l'encéphale, une
sensation
de fatigue, du vertige, des nausées; les os parai
prit ses sens et raconta une histoire des plus extraordinaires. LES
SENSATIONS
ÉTONNANTES DE LA VICTIME. Il déclara se nommer
ame. Peu d'instants après le départ de la station, il ressentit des
sensations
très extraordinaires et se trouva dans l'impu
x pick-pockets qui ont profité de sa syncope pour le dévaliser. Les
sensations
éprouvées par le malade avant l'attaque se rattac
art de l'attaque est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent une
sensation
de pression, de constriction autour du poignet. A
du sommeil hypnotique et qui, instruits à analyser et raisonner leurs
sensations
, ne parviennent pas à saisir une différence entre
gts porte une bague en or, touché la main sans qu'il y prit garde. La
sensation
dudit anneau fut douloureuse, d'après ce qu'il pr
un des doigts de ce malade et celui-ci se plaint immédiatement d'une
sensation
douloureuse, d'une sensation de brûlure. Ces di
t celui-ci se plaint immédiatement d'une sensation douloureuse, d'une
sensation
de brûlure. Ces diverses brûlures existent réel
ère. Us entendent sonner toutes les heures. Quelques-uns éprouvent la
sensation
désagréable de frissons légers, ou d'autres sympt
a psychologie proprement dite, je constate que la psycho-physique des
sensations
n'est pas en faveur comme en Allemagne: mais le r
t montré que la quantité de mouvement produit dépend de la nature des
sensations
et des sentiments. S'ils sont dépressifs, la quan
Pour les morphinomanes en privation, ce médicament rappelle, par les
sensations
qu'il fait naître, l'effet de la piqûre. Quant au
— Vous n'éprouverez plus jusqu'à la fin de votre accouchement qu'une
sensation
de pression, très supportable, nullement douloure
on d'un état morbide pendant lequel, par suite d'une réviviscence des
sensations
antérieurement emmagasinées, le malade semble rel
ment et s'occuper de travaux intellectuels. Sous l'influence de ces
sensations
, le dipsomane, quelle que soit sa position, élevé
Cependant, Je pouvoir de l'hypnotiseur a des limites : les idées, les
sensations
du patient pourront éprouver certaines modificati
ni l'idée de faute, ni l'idée de répression; aucun conflit entre les
sensations
et les sentiments: l'exercice du sens intime et d
nous montrera ce .qu'est le sympathisme organique : transmission des
sensations
, des états émotifs, transmission nerveuse physiqu
ts extérieurs. Si ces objets sont indifférents, tout se borne à une
sensation
de contact ou de douleur; la décharge se fait aux
son attention sur une idée, cette idée se transforme, malgré lui, en
sensation
ou en acte suivant sa nature. Si je porte ma main
s 5o, je la réveille, je lui demande comment elle va. Elle accuse une
sensation
de faiblesse vers la tête, absence de force dans
bsence de force dans les bras et de l'oppression caractérisée par une
sensation
de. barre de fer, par moments, à la ceinture. Ell
A 4 heures 28, je la réveille. Interrogée, elle accuse toujours une
sensation
d'aiguille au poignet, au coude et à l'épaule dro
uque. Interrogée pendant son sommeil, elle n'accuse qu'une certaine
sensation
de fatigue à la nuque (due sans doute à la pressi
umé, la pilocarpine a déterminé un semblant d'ivresse, l'émétique une
sensation
d'oppression, l'eau de laurier-cerise des douleur
utre, en effet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte,
sensation
, mouvement ou image. Plus récemment encore, M.
sement se propage à vos bras et à vos jambes. — » Vous éprouvez une
sensation
de calme, de repos, de bien-être... Vous allez av
ent, l'enfant ferme naturellement les yeux et il se laisse aller à la
sensation
d'engourdissement suggérée. Quelquefois, la résis
dans un sommeil profond. Auparavant, il semble passer par toutes les
sensations
qui précèdent l'établissement du sommeil normal.
sont acceptées sans contrôle et transformées par le cerveau en actes,
sensations
, mouvements, images. La modalité psychique ainsi
lé la toile représentant Charcot a la Sal-pêtriere, qui fit si grande
sensation
au dernier Salon. Ce qui frappait dans cette œuvr
uen un jeune homme de 20 ans, sujet à des crises caractérisées par la
sensation
d'une boule remontant du ventre à la gorge (boule
as droit sensible: rien à gauche. La malade, interrogée, extériore la
sensation
du toucher à droite, dans la région homologue de
nait un réflexe énergique, mais à droite, et la malade extériorait la
sensation
dans l'œil droit non touché. L'expérience de l'éc
ogue avait lieu pour les couleurs. La malade, interrogée, accusait la
sensation
colorée de l*œi! droit alors qu'on lui présen
amille. Interrogée sur ses idées absurdes, elle m'avoue qu'elle a des
sensations
génitales, des idées erotiques qui la torturent;
un peu douloureuses. Depuis 18 mois elle a des idées erotiques avec
sensations
particulières du côté des organes génitaux et ell
rès triste. Plus elle veut les chasser, plus elles sont intenses. Les
sensations
n'accompagnent pas toujours ces idées. Elles sont
es. Elles sont moins vives pendant la marche. Jamais ces idées et ces
sensations
ne sont venues pendant la nuit. Pendant que la ma
sont venues pendant la nuit. Pendant que la malade a ces idées ou ces
sensations
, il n'y a pas d'émission de liquide par les organ
épéter : qu'elle n'aura plus d'idées absurdes, qu'elle n'aura plus de
sensations
génitales, qu'elle se guérira très bien. Je lui r
ure. La journée a été bonne. Elle n'a pas eu d'idées absurdes, pas de
sensations
génitales et elle n'a pas pleuré. Cette nuit, e
deux reprises différentes, hier, elle eut quelques idées et quelques
sensations
; mais cela a été très fugace. Elle est contente:
ons. 15 décembre. La guérison persiste. N'a pas eu ses idées et ses
sensations
depuis le mois d'avril. L'état général est bien
uditive. M. Gellé. — L'allochirie consiste dans la perception d'une
sensation
dans le coté opposé au point où l'excitation a li
une sensation dans le coté opposé au point où l'excitation a lieu. La
sensation
est localisée dans le point symétrique de l'autre
, jusqu'à l'hémisphère gauche. Ainsi, l'excitation est gauche et la
sensation
est droite et symétrique : la perception par l'en
ception par l'encéphale est telle que c'est sur le côte opposé que la
sensation
est rapportée. Dans le cas de lésions bilatéral
ue d'un côté du corps, avec conservation plus ou moins parfaite de la
sensation
subjective des deux côtés et pourquoi l' anesthés
rtés jusqu'à ce jour, il s'agit toujours de la perception croisée des
sensations
cutanées. Le fait que je rapporte ici est un ca
s avec le diapason ; de plus, les pressions centripètes provoquent la
sensation
de vertige, la constriction pénible des tempes, l
t), mais bien par l'oreille gauche, c'est-à-dire qu'elle n'éprouve la
sensation
du piaulement que dans l'oreille gauche hyperesth
nt alternativement les méats auditifs de la pulpe du doigt, rendre la
sensation
droite ou gauche à volonté ; or, par cette occlus
se guide l'orientation ou bruit; je pense que, cher notre malade, la
sensation
produite à gauche doit être tellement supérieure
ïe et de l'odorat, de petites attaques convulsives accompagnées d'une
sensation
d'étouffement, en est la confirmation. Les deux n
lus nettement caractérisés, ainsi que d'attaques représentées par une
sensation
douloureuse dans l'un des flancs, de boule remont
congélation, de sphacèle et chute des orteils à l'exclusion de toute
sensation
douloureuse, l'impression prolongée du froid humi
ctu quod prius non fuerit in sensu! Mais comment peut-on confondre la
sensation
passive et grossière avec les purs concepts, l'at
e des phénomènes psychologiques relatifs au magnétisme. Tels sont îes
sensations
et les mouvements, les actions réflexes automatiq
que et motrice. Qu'est-ce que la suggestion? Comment suggère-t-on des
sensations
, des idées et des actes aux hypnotisés? Quels son
manœuvres hypnotiques provoquent de la pesanteur de l'encéphale, une
sensation
de fatigue, du vertige, des nausées; les os parai
prit ses sens et raconta une histoire des plus extraordinaires. LES
SENSATIONS
ÉTONNANTES DE LA VICTIME. Il déclara se nommer
ame. Peu d'instants après le départ de la station, il ressentit des
sensations
très extraordinaires et se trouva dans l'impu
x pick-pockets qui ont profité de sa syncope pour le dévaliser. Les
sensations
éprouvées par le malade avant l'attaque se rattac
art de l'attaque est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent une
sensation
de pression, de constriction autour du poignet. A
du sommeil hypnotique et qui, instruits à analyser et raisonner leurs
sensations
, ne parviennent pas à saisir une différence entre
gts porte une bague en or, touché la main sans qu'il y prit garde. La
sensation
dudit anneau fut douloureuse, d'après ce qu'il pr
un des doigts de ce malade et celui-ci se plaint immédiatement d'une
sensation
douloureuse, d'une sensation de brûlure. Ces di
t celui-ci se plaint immédiatement d'une sensation douloureuse, d'une
sensation
de brûlure. Ces diverses brûlures existent réel
ère. Us entendent sonner toutes les heures. Quelques-uns éprouvent la
sensation
désagréable de frissons légers, ou d'autres sympt
a psychologie proprement dite, je constate que la psycho-physique des
sensations
n'est pas en faveur comme en Allemagne: mais le r
t montré que la quantité de mouvement produit dépend de la nature des
sensations
et des sentiments. S'ils sont dépressifs, la quan
points voisins apparaissaient des taches nous donnant au contraire la
sensation
d'une exagération de substance calcaire. Ce qui f
ieur du corps de certains procès organiques, laquelle fait naître des
sensations
kinesthétiques d'un genre particulier. Les rêve
ient plus subtile, plus ténue, plus fine, plus délicate. Une foule de
sensations
, inaperçues pendant la veille, alors que nous som
par des excitations dont nous n'avons pas la moindre conscience; ces
sensations
subconscientes sont recueillies à notre insu, s'e
ble est moins actif, plus émotif, plus triste, plus irritable. Si les
sensations
qu'ils possèdent provoquent des idées de même nat
ibre aux facultés inférieures : impressions sensitives et affectives,
sensations
, impulsions automatiques, réflexes, dont nous dés
toujours dans le même sens, c'est-à-dire que le groupe inférieur des
sensations
, impressions, impulsions, domine le groupe inféri
urrait définir la sensibilité, la faculté qui nous fait percevoir une
sensation
quelconque lorqu'une impression vient exciter un
sibilité telle qu'une excitation qui ne produirait normalement qu'une
sensation
légère ou une sensation de contact, produit une s
citation qui ne produirait normalement qu'une sensation légère ou une
sensation
de contact, produit une sensation violente ou pén
ment qu'une sensation légère ou une sensation de contact, produit une
sensation
violente ou pénible, c'est ce qu'on appelle l'hyp
ul mental, par la chronométrie mécanique, vous mesurez la vitesse des
sensations
et des perceptions ; tous les sens sont interrogé
nscience de ne pas pouvoir émettre un son provoque dans le larynx des
sensations
désagréables, desquelles nait le besoin d'en affr
au contraire, le sentiment de fatigue dans le larynx qui, en tant que
sensation
désagréable, fait appel a la toux, est encore acc
fatigues occasionnés par la toux. Ainsi la toux provoque de nouvelles
sensations
désagréables qui augmentaient l'irritation. Lor
llucination par Esquirol : un homme qui a la conviction entière d'une
sensation
actuellement perçue, alors que nul objet extérieu
ellement perçue, alors que nul objet extérieur propre à exciter cette
sensation
n'est à la portée de ses sens, est dans un état d
e des images, peut s'appliquer aux sons, aux odeurs, aux saveurs, aux
sensations
diverses du tact. Parlons des hallucinations de
dions maintenant l'impression causée sur les malades par ces diverses
sensations
de l'ouïe ; ces bruits produisent des effets vari
ion à peine perceptible, pourra se rendre compte de la fausseté de la
sensation
; il pourra vivre en liberté de la vie ordinaire
eaucoup à son mari, nous dit-elle, parce qu'elle éprouve avec lui des
sensations
extraordinaires; pendant le jour ce diable est lo
s, mais elles durent plus de cinq minutes et ne s'accompagnent pas de
sensations
douloureuses dans les muscles contractures; et pu
e môme un tic des jambes. Elle ne sait pas se rendre maîtresse de ses
sensations
, elle les interprète mal et la perturbation de l'
ence de ses sollicitations habituelles à boire, le malade éprouve une
sensation
de résistance à ses tendances automatiques et il
de veille apparente (états hypnoïdes), on peut, à l'aide de certaines
sensations
et surtout à l'aide de la parole, provoquer chez
ent point de sa présence ; je ne pouvais mettre « d'empêchement a ces
sensations
où il n'y avait rien de ma partici-« pation. »
l'utilité du Parallélisme qui réalise parfaitement les conditions de
sensation
monotone, continue, prolongée, favorables à l'hyp
de coudre, ou la plume, s'il écrit, le jeune homme répond qu'il aune
sensation
de striction dans l'avant-bras, ainsi que le beso
cer de fortes tractions sur la main pour faire disparaître cette
sensation
douloureuse et fort gênante.Le père, chargé des f
tuel. A son réveil, le jeune homme est comme étonné. Il éprouve une
sensation
de bien-être indéfinissable, et se considère comm
n'ose pas écrire : Il est facile de le deviner d'après l'analyse des
sensations
qu'elle éprouve et surtout par la connaissance de
au point de vue des mœurs, Marie Alacoque, en tenant sa place, a des
sensations
erotiques ; on lui fait tenir la place d'une pers
rotiques ; on lui fait tenir la place d'une personne vertueuse et les
sensations
disparaissent. Concluons : Les citations préc
rche périlleuse. L'église se tient Nota. — On m'objecte des fausses
sensations
de la vue comme le daltonisme et des fausses sens
e des fausses sensations de la vue comme le daltonisme et des fausses
sensations
du toucher qui ue sont pas des hallucinations. Ce
r le crâne déterminait, après une application de 10 à 20 minutes, une
sensation
d'engourdissement qui enveloppait tout le corps e
ir. Insensibilité par plaques sur les membres — anesthésie plantaire.
Sensation
de boule et d'étranglement à la gorge, anesthésie
et permet aux malades, la crise passée; de raconter ou d'écrire leurs
sensations
comme choses vraies, cela parfois dans un style q
des organes génitaux l'expression. C'est sous l'empire de ces fausses
sensations
, soit pendant l'état de veille, soit pendant la p
res sur le délai! des opérations de notre âme, relativement aux mêmes
sensations
. » Il ajoute même un peu plus loin : « Dans ces c
. Les objets sur lesquels travaille la conscience, c'est-à-dire les
sensations
et les idées qui en dérivent ne sont-elles pas mo
u une preuve quelconque de l'existence de la matière ; que toutes nos
sensations
sont causées par la force et par la force seuleme
e écrasée, coups d'épée ou de pistolet! et que cette personne a eu la
sensation
pénible du rêve s'imposant à elle, sans qu'elle p
vers Ténériffe : c'était un vertigineux avec un état nauséeux. Les
sensations
sont vraies dans leurs points de départ; elles ar
e perçoivent ni contact, ni douleur, ni variations de température, ni
sensations
d'attitude ou de mouvement; d'autres conservent t
alière, c'est elle qui donne lieu à la plupart de nos actes et de nos
sensations
». « On nous affirme énergiquementi dit Wundt (
plutôt sympathiques, marque d'une exception la loi formulée par Péré (
Sensation
et mouvement, 2e édit., p. 149). « La dépression,
teurs et le polygone magnétisé exécute ces ordres (2) ; des ordres de
sensations
et le polygone éprouve ces sensations, les utilis
ces ordres (2) ; des ordres de sensations et le polygone éprouve ces
sensations
, les utilise pour ses actes et dans certains cas
aient point de sa présence : je ne pouvais mettre d'empêchement à ses
sensations
, où il n'y avait rien de ma participation. Text
ait dans le souvenir. » Cette description correspond exactement aux
sensations
qui nous ont été révélées par deux pianistes célè
rmation inconsciente, à l'insu de la volonté, de l'idée en mouvement,
sensation
ou image, par suite de l'inertie des centres modé
très faibles, les malades se rendent compte de la non-réalité de leur
sensation
; ils comprennent qu'ils ont entendu, qu'ils ont
ti quelque chose d'irréel ; mais comme ils ont eu dans le cerveau une
sensation
, ils cherchent une expression pour dire ce qu'ils
explication scientifique du fait. Rappelons-nous le mécanisme d'une
sensation
, de la vision par exemple ; trois faits se produi
on pourrait dire avec plus de raison qu'un fou est un homme ayant les
sensations
à l'envers. Je m'explique : Je suis, sain d'e
s, non loin de là : « qu'elle ne pouvait mettre d'empêchement à ces «
sensations
où il n'y avait rien de sa participation, » nous
e du père et de la mère. Inversion du sens génital : dès l'enfance,
sensations
voluptueuses, et depuis la puberté parfois éjac
rande fatigue suit la crise, l'appé- tit reste bon, il y a même une
sensation
de faim. Pendant deux ou trois jours les urines
rs reprises, des relations avec une femme, éprouvant d'ailleurs les
sensations
voluptueuses habituelles. L'effet moral a été e
englobées et comprimées par le tissu muqueux ne perçoivent que des
sensations
affaiblies, incapables de stimuler d'une façon
ns pren- nent bientôt la forme de bêche ; le malade y éprouve des
sensations
de raideur, de froid, d'engourdissement. Mais n
igts, il faut un écart de cinq douzièmes de pouce pour obtenir deux
sensations
. La malade a ressenti au début des douleurs uni
ait serrée comme par un dé à coudre. Elle éprouvait aussi comme une
sensation
d'engourdissement à la face, à l'extrémité de l
e palustre, deux fois l'effort 'brusque ou prolongé, trois fois'des
sensations
émotives violentes, une fois l'inflammation du
u progrès comme tant d'autres. L'auteur termine par l'analyse d'une
sensation
chez le nouveau-né, qui est la répétition du di
e n'a qu'un souvenir confus de ce qui s'estpassé, et s'étonne d'une
sensation
de fatigue qu'elle éprouve dans tout le côté dr
rent à grossir progressivement, en même temps qu'elle éprouvait des
sensations
bizarres, du côté de la peau, sensations doulou
emps qu'elle éprouvait des sensations bizarres, du côté de la peau,
sensations
douloureuses, de brûlure, de piqûres d'épingle,
prochaient d'avoir tué l'enfant d'une de ses voisines. De nouvelles
sensations
bizarres se déclaraient du côté des téguments,
ou même pas du tout; la sécrétion sébacée est tarie. Il existe des
sensations
anormales du côté des téguments : fourmillement
ns anormales du côté des téguments : fourmillements, picotements,
sensation
de froid, de brûlure, de torsion des chairs. -
aussi une certaine gêne de la respiration pouvant aller jusqu'à une
sensation
de dyspnée véritable. La voix a un timbre spé
ente, principalement du côté gauche, et en même temps, elle a une
sensation
déboule qui remonte de l'épigastre vers lagorge.
: dans la nuit suivante le développement des douleurs intenses avec
sensation
de cuisson sur divers points du trajet de la br
d'attaques analogues à celle qu'elle a aujourd'hui, précédées de
sensation
de boule qui remonte du ventre au cou, batte- m
est annoncée par une recrudescence de la douleur ovarienne, par une
sensation
de boule qui part de l'épigastre vers la gorge
s prises d'un sentiment vague et indéfinissable de tristesse avec
sensation
de serrement à la gorge, de boule ascendante, d
es contre M. La R...'. '. Elle décrit avec les moindres détails les
sensations
, tac- tiles, les attouchements dont elle a été
roisième croit remarquer que la marche et la station provoquent des
sensations
douloureuses, et' alors pour les éviter, elle a
dans leur langage, employant des mots expressifs pour peindre leurs
sensations
, et l'on voit souvent dans les hôpitaux éomme d
e la sensibilité, de la difficulté consécutive, de la marche, de la
sensation
de « corps élastique » qu'il éprouve sous ses p
arynx et des viscères abdominaux, spasmes qu'elles expriment par la
sensation
de corps étranger à la gorge, de bêtes qu'elles
son âge, refuse parfois de manger et bientôt éprouve nettement la
sensation
de la boulé hystérique, puis elle est prise de dy
craintes du médecin. Car, l'attention constante donnée aux moindres
sensations
du malade, « l'habitude .de satisfaire, tous se
e, les saupoudrât-on de sulfate de quinine, ne lui procure aucune
sensation
, aucun malaise, aucun réflexe. Le seul signe d'in
renflement arrondi décrit une courbe inféro-antérieure, donnant la
sensation
d'une corne d'Ammon absente. Cette opinion est
age s'accompagnent de lipothymies. Induration, anesthésie, du tact,
sensation
permanente de froid dans les parties les première
oid dans les parties les premières affectées. Les doigts donnent la
sensation
de bougies stéariques. Intégrité des fonctions
lquefois les hallucinations ne sont que la reviviscence d'anciennes
sensations
normales. Fugaces dans les formes expansives, e
un léger chatouillement, le froid, le chaud, déterminent une vive
sensation
de brûlure. A droite, l'hyperesthésie n'occupe qu
rvé. Il n'existe pas de retard appréciable dans la transmission des
sensations
. A ces troubles sensitifs, se joignent des doul
cupent surtout le genou et le cou-de-pied. A droite, il éprouve une
sensation
continuelle de fourmillement. En outre, il sign
ne sensation continuelle de fourmillement. En outre, il signale une
sensation
de constriction thoracique, de pesanteur épigas
u- leur s'est un peu atténuée : la piqûre d'une épingle donne une
sensation
de fourmillement d'autant plus distincte qu'elle
quemment elle est partielle ; certaines malades n'ont perdu que la
sensation
du violet, par exemple ; et en général il y a c
mps; mais, la pression sur les points qu'ils occupent détermine une
sensation
spéciale. Ces détails ont été mis en lumière pa
ts ovariens ; mais la pression sur ces points provoque toujours une
sensation
de boule qui remonte à l'épigastre et à la base
ur le DE L HYSTUITO -ÉPILEPSIE. 301 point douloureux dit ovarien (
sensation
de boule qui remonte, mouvements de déglutition
ubis). La pression sur ces points pro- voque une douleur vive et la
sensation
de quelque chose qui remonte vers la gorge. La
e. A neuf heures et demie, une douleur, qui s'est accompagnée des
sensations
dont nous venons de parler, est suivie d'une 30
s'échappant dès que je pressais un peu. Je n'ai pas pu obtenir une
sensation
analogue du côté droit. L'anesthésie n'a pas ét
core revenue, l'application d'un corps froid ne donne lieu qu'à une
sensation
de contact, sauf en quelques régions (au niveau
élioré, sans être normal cependant; le froid détermine toujours une
sensation
de fourmille- ments. Du côté droit, la force mu
et de la nature des objets qu'il louche; il a cerendan conservé la
sensation
de contact et la notion du poids. Il lui arrive
eurs jours, l'application d'un corps froid ne donnait lieu qu'à une
sensation
de contact ou pro- voquait une sensation de fou
d ne donnait lieu qu'à une sensation de contact ou pro- voquait une
sensation
de fourmillements; ce sont là des parti- culari
ant le sommeil, tantôt après des pro- dromes, qui consistent en une
sensation
de brûlure ou de corps étranger ; elles peuvent
e plusieurs théories pathogéniques. Des accidents névralgiques, une
sensation
de tension oculaire ont fait croire à un glauco
e les troubles de la sensi- bilité (fourmillement, endolorissement,
sensations
de froid) et beaucoup plus rarement ceux de la
la racine de la cuisse et plus marquée^ au-dessous du genou. Les
sensations
thermiques sont affaiblies, légèrement troublées
s de la sensibilité sont en général plus accentués; de ce côté, les
sensations
sont longue- ment interprétées et le malade rép
ucoup plus d'hési- tation aux explorations (fig. 2). Par moments,
sensations
de froid ou de chaud dans les membres inférieur
t plus à la jambe qu'à la cuisse, légèrement diminuée à gauche ; 2,
sensations
thermiques : légèrement troublées à droite, dim
és, davantage du côté gauche, et plus aux jambes qu'aux cuisses; 3,
sensations
thermiques : perverties surtout à gauche. 8 CLI
on- tracture aussitôt en flexion. 11 juin. Peu de retard dans les
sensations
; la douleur n'est pas perçue, elle produit le m
st pas perçue, elle produit le même effet que le contact, dout la
sensation
est elle-même affaiblie; la sensibilité thermique
s de peine à l'expliquer. Ce qui persiste en dernier lieu, c'est la
sensation
élémentaire, celle qui ne diffé- rencie plus ni
es chemins détournés ou non adaptés : d'où le retard fréquent de la
sensation
. Au point de vue des compressions pottiques int
un certain degré de spasme des 4 David Linn Edsall. Dissociation of
sensation
of lhe syringomyelic type occlIl'in9 in ! 'oll'
r pendant la pendaison des bourdonnements des oreilles et une forte
sensation
de brûlure le long de la colonne vertébrale. Ch
lté à parler, puis de la gêne et de la fatigue respiratoires. Cette
sensation
de fatigue, d'épuisement, envahit peu à peu tous
e rencontre plus' souvent aussi à côté des idées de grandeur, et la
sensation
de « bonhomie » fait place à une sorte d'attent
ent des tremblements nerveux, elle se compliqua, un beau jour de la
sensation
d'étranglement à la gorge, d'une bouchée arrêtée
t égale des deux PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. \ 99 côtés. Pas de
sensation
d'engourdissement dans la main paralysée. Le ma
rps. Le sens stéréognostique est conservé. Le malade a très bien la
sensation
de position de ses membres et reconnaît les let
Dès l'abord, le passage du courant ne provoque chez Gu... aucune
sensation
, bien que, cependant, on constate la contraction
l'avant-bras hypoesthésique. Le sens stéréognostique est intact, la
sensation
de position du membre conservée (fig. 14). - ,
le (obs. IV). Son apparition a été généralement accompagnée par une
sensation
légère d'engourdissement ou de fourmillements d
le reste inconnu et. des idées émises, par Flechsig (opposition des
sensations
à la mémoire et aux autres phénomènes* 132 REVU
ns 3 mouchoirs. La salive est fluide ; il éprouve une conti- nuelle
sensation
désagréable à la bouche. De cause, même occa- s
s de perception plus développés, et qu'à la limite de tout foyer de
sensation
ou de perception il existe des zones de perfect
nement intérieur. Je suis vacciné pour un mo- ment. Je sens (idée ?
sensation
? probablement les deux) que je ne rougirai pas
que la manifestation d'une association d'idées. J'ai eu d'abord la
sensation
que je rougissais. Or, toute sensation n'existe
d'idées. J'ai eu d'abord la sensation que je rougissais. Or, toute
sensation
n'existe que lorsqu'elle est perçue (à preuve q
e la sensibilité n'éprouve et n'accuse rien quand je le pique). Des
sensations
de rougeur étant perçues de plus en plus souvent,
ir le champ de la conscience. Cette idée étant liée intimement à la
sensation
d'où elle est née, arrive peu à peu, par un phéno
mie intellectuelle assez complexe, mais très commun, à remplacer la
sensation
. Elle se substitue à elle et produit les mêmes
phénomène de rougeur, toujours ou presque toujours provoqué par ces
sensations
visuelles, auditives, etc. Or, comme cette vue,
elles, auditives, etc. Or, comme cette vue, cette audition sont des
sensations
, et que, d'autre part, ces sensations existent en
vue, cette audition sont des sensations, et que, d'autre part, ces
sensations
existent en nous à l'état d'Idées, ces Idées-Pe
ons provoquent la rougeur avec la même puissance que les primitives
sensations
. A l'appui de mon opinion, je dirai que mon ére
e je rougissais moins facilement. L'idée a perdu en force ce que la
sensation
a perdu en fréquence. Je citerai encore ceci :
l1'l ! a¿ of Inslmitv, octobre 1899, p. 285 à 293. Nous avons des
sensations
d'abord, puis tout un'monde d'idées s'affranchi
i avaient pas échappé. - 1° Les cas où le délire est causé par la
sensation
seule de la dou- 230 REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
de la sécheresse de la bouche, des palpitations, de la dyspnée, une
sensation
de vide stomacal, de la pâleur, des frissons, etc
II. Une femme couchée dans un hangar à foin éprouve tout à coup la
sensation
qu'elle boit du lait froid. Peu de temps après,
echterew pense que l'origine de semblables absurdités réside en des
sensations
anormales, stomacales et épigastriques, qui pro-
ion du cou-de-pied pen- dani la marche et à la station debout, puis
sensation
de froid à la jambe droite, atrophie des muscle
et appétits, matière de la vie affective; la vie animale par les
sensations
, matière de la vie intellectuelle ' ». End'autres
trales (idées, perceptions) ou par des excitations périphériques (
sensations
), mais son intervention serait seule capable de
SUR LA THÉORIE DE L'OBSESSION. 267 perturbation qui, pardessus les
sensations
, sembleatteindre, directement la fonction intel
les membres, et l'intelligence, considérée comme l'élaboration des
sensations
et des images, renferment des éléments communs.
railleries ou d'autres motifs pour réveiller en moi cette pénible
sensation
. J'avais déjà reconnu que la cause de mon tourmen
shabituer, plus mon tourment en était accru. D'abord, cette pénible
sensation
me surprit dans la rue lorsque je rencontrais d
mment déprimé, de terrifiantes dispositions d'àme, d'insupportables
sensations
au théâtre, bref, la plus grande incapacité à p
t une compression des paupières lorsque les yeux sont fermés et une
sensation
de piqûre ou de picotement sur tout le visage.
ut, qu'il existe une période latente qui ne se manifeste par aucune
sensation
subjective : c'est elle qui vient d'être révélé
ou poils qui occupent un centimètre carré. II ne se produit pas de
sensation
si le poil n'est lui-même touché. Le réflexe pi
elles du corps, là où ils sont le plus touffus et le plus longs. La
sensation
de chatouillement, qui d'ordinaire accompagne l
ation. Pour que les malades éprouvent toujours localement la même
sensation
, je dissous la morphine dans du sérum de Hayem."
Joffroy ne soient pas prévenus de la supercherie par leurs propres
sensations
? '1 M. JorrRoy s'est déjà pos.é cette question
ne qui sert de véhicule à la morphine, déterminant toujours la même
sensation
, peut laisser croire au morphinomane que la dos
aise général, des vertiges, des bouffées de chaleur àla tête et une
sensation
de pesanteur dans les membres. La perte de conn
iers mois. Ces ecchymoses ne s'accompagnent généralement d'aucune
sensation
douloureuse et disparaissent au bout de quelques
t de maux de tête, de bouffées de chaleur, de palpitations et d'une
sensation
désagréable dans la gorge. La température dans
es de sang des parties génitales. Seigle ergoté (3 x 0,3). 24. La
sensation
de pesanteur dans les membres et les verti- ges
u après, elle fut prise (comme lors de l'accès du 5 janvier), d'une
sensation
d'op- pression qui, partant de l'hypochondre ga
a pression ; lorsqu'on la comprime fortement, la malade a la même
sensation
d'oppression remontant au coeur et à la gorge qu'
ie, mais elles ont été précédées d'une aura franchement hystérique (
sensation
de boule remontant d'un point ovarique gauche v
n sans cause apparente ; souvent elles ne s'accompagnent d'aucune
sensation
subjective, de sorte qu'elles peuvent passer co
endormie dans la position classique et s'était réveillée avec une
sensation
d'engourdissement dans le bras, mais sans trouble
depuis l'age de seize à dix-huit ans des phénomènes analogues avec
sensation
de chute, se produisant surtout dans un endroit
int de vifs battements de coeur, de tremblements des mains, d'une
sensation
de compression au cou, elle a l'air d'une hystéri
ment, pour surmonter la résis- tance. Cet effort s'accompagne d'une
sensation
indolente de spasme au niveau de la bouche. Çà
lité des muscles atteints. Miction et défécation libres. Tristesse,
sensation
de mort pro- chaine, traitement inefficace : mo
ertain degré d'anesthésie tactile, mais sans perte bien nette de la
sensation
de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 douleur
les attaques, ils prennent la forme de perversions sen- sorielles, (
sensation
de terreur inexplicable, illusions, hallucina-
st sans influence sur l'insensibilité physique et mo- rale ; 12r la
sensation
est atténuée chez le criminel, c'est-à dire que
onstant; 1° ce rétrécisse- ment s'étend à toutes les qualités de la
sensation
lumineuse; 3° la diminution du champ pour le bl
mps visuels restreints. C'est ainsi qu'il peut arriver que là ou la
sensation
de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 495 couleu
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 495 couleur blanche est anéantie, la
sensation
de toute autre couleur demeure conservée; 9° le
et thermique, mais tout le côté droit du corps est le siège- d'une
sensation
de lourdeur avec fourmillements intenses présen
expérience, avec un courant de un ou de plusieurs milliampères, une
sensation
de vertige et une inclination de la tête du côt
e; un courant, même intense, de 15 à 20 milliampères ne provoque ni
sensation
de vertige, ni inclination à gauche ou à droite
temps à autre de pleurer sans motif, d'avoir des étouffements et une
sensation
de boule qui remontait vers la gorge. Mme L....
on et se cache le visage. Suivant elle, la compression dé termine une
sensation
de strangulation, prédominant à droite. En généra
loureuse, mais Th. assurait que cette manœuvre ne déterminait plus la
sensation
ordinaire de strangulation. La sensibilité généra
ier. Elle aurait eu, aussi, des rapports sexuels sans éprouver aucune
sensation
voluptueuse. « C'est un essai que j'ai voulu fair
st énervée, a envie de crier, éprouve dans les bras et les jambes des
sensations
qu'elle compare à des fils qui se raccourciraient
apins verts qui courent de tous côtés. Pendant qu'elle me raconte ses
sensations
de la veille, elle a de temps en temps des secous
malade a la face pâle ; elle se plaint de crampes à l'estomac, d'uns
sensation
qu'elle assimile à celle que déterminerait une co
la cause occasionnelle de leurs attaques. N'est-ce pas un rappel des
sensations
physiques qu'elle a ressenties dans son enfance q
s baisers, perçoit le contact de son corps sur le sien,et éprouve les
sensations
les plus voluptueuses. Durant ces scènes, elle es
a fallu insister beaucoup, encore dissimule-t-elle une partie de ses
sensations
et de ses visions. (1) ' C'est une opinion très
la vision. — Irrégularités de la menstruation. — Effets de l'éther ;
sensations
qu il détermine. — Tremblements. — Amaurose. — 'S
ns le moindre embarras, les mots les plus expressifs pour peindre ses
sensations
ou manifester ses désirs et ses appétits vénérien
uche, constriction épigas-trique, douleur et palpitations cardiaques,
sensation
d'une boule qui monte au cou (laryngisme), troubl
ion d'une boule qui monte au cou (laryngisme), troubles cé-phaliques (
sensation
de coups de marteau dans le côté gauche de la tèt
emporale, sifflements dans les oreilles, mais plus intenses à gauche,
sensations
lumineuses, mouvements convulsifs de l'œil gauche
lle, ne sachant quelle position prendre, ayant des impatiences ou une
sensation
de rétraction. Dès qu'elle s'endort, elle se figu
e sorte de béatitude, un air de contentement, exprime mainte-nunt des
sensations
d'une nature toute opposée. M... semble en proie
le garde le lit à peu près toute la journée et se plaint toujours des
sensations
douloureuses, énumé-rées précédemment. Elle a des
tremblement des lèvres et des membres, sans éprouver, d'ailleurs, de
sensations
de froid. Quand elle marche, elle est quelquefo
de mouvements rapides ; la lumière fatigue la malade qui a encore la
sensation
d'un brouillard épais, semé de flammes, surtout d
e l'après-midi; en se réveillant, elle a ressenti une seconde fois la
sensation
d'une paille qui s'enfoncerait dans l'œil droit e
une huitaine de jours, douleurs vagues, tortillements dans le ventre,
sensation
de rétraction des muscles « comme si on les tirai
e. Elle assiste à des scènes variées, semble éprouver tour à tour des
sensations
agréables ou pénibles, si l'on en juge par le jeu
» qu'elle dépeindrait sur le moment, mais dont le souvenir Cl) Les
sensations
de cet ordre se perpétuent tant qu'il y a des hom
ne compresse trempée dans de l'eau bouillante, la malade accusait une
sensation
de froid intense, tandis que sur les mêmes partie
r les mêmes parties l'application d'un morceau de glace produisait la
sensation
d'une brûlure (1). » On voit, par cette citation,
domine chez M..., de même que dans son délire hystérique, ce sont les
sensations
génitales. Ce n'est pas là, du reste, un trait di
85, 93, 108, 147, 149. Sécrétion vaginale dans les attaques, 137.
Sensations
génitales, 85, 140, 154 et passim.— Abolition des
ut de quelques minutes je revins à moi, conservant une vague idée des
sensations
que j’avais éprouvées et émerveillé d'une si bell
rsque ma belle-sœur entra. Trois jours après mon enfant était morte! (
Sensation
prolongée.) Je crois de toute mon âme au magnétis
par l’éther démontre admirablement la différence qui existe entre la
sensation
et la perception si souvent rencontrées dans l’ét
Les personnes à qui l’on a fait respirer du chloroforme éprouvent la
sensation
d’une locomotion aérienne, ce qui rappelle les vo
épreuve; et ce n'est que le lendemain, lorsqu’il aura oublié celte
sensation
désagréable, qu’il pourra servir à de nouvelles é
e l’enfant, je plaçai ma main sur son épigastre, la mère éprouva la
sensation
«l’une pression exercée sur elle dans la même rég
un jour. La vision somnambulique nous prouve qu’0/2 peut éprouver des
sensations
sans le secours des sens; mais seulement dans un
pour les 4 autres sens, et nous rend transitoirement susceptibles des
sensations
qu’elle éprouve par desorganes fort différents de
tomber de Scylla en Carybde. Ces savantas, avec leurs aperceplions de
sensation
, d’intuition, de la conscience du moi humain, emb
ulaires, mais à mesure que cet état s’élève, on éprouve davantage une
sensation
de bien-être. L’action est ici tonte physique, ta
du baron de Reichenbach comme sujet dexpérimentation, et qui faisait
sensation
à Vienne depuis quelque temps. Le docteur Tzermac
donnée à ces courants, ils pouvaient indiquer et décrire les diverses
sensations
qu’ils leur faisaient éprouver. Celte supposition
. Celte supposition est démentie par tous les faits de l'enquête. Les
sensations
produites parles courants dont la direction avait
tre de même partout. Quoi qu’il en soit les Arcanes, ont fait quelque
sensation
dans le monde magnétique. Ce livre, est un pas ve
re, approché à quelques pouces de la somnambule, lui produisait une
sensation
pénible, on proposa d’avoir plusieurs boites pare
ien faible, car ce n’était qu’un clou de fauteuil. 5° Illusion (les
sensations
. » Le magnétiseur proposa que l’on prit parla m
d’un esprit faux et subtil, mais dans l’exposition pure et simple des
sensations
qu’elle avait éprouvées, nous mettant à même de c
mon cerveau : on comprendra donc facilement qu'au moyen de pareilles
sensations
je pusse indiquer la base de cette colonne de flu
sa puissance; elle avait pris une telle extension que déjà toutes mes
sensations
lui étaient dévoilées, ou pour mieux dire il les
compte de la position quelle avait dans sa chambre. Je reconnus a mes
sensations
qu'elle était assise, les jambes croisées 1 une s
fier un jour la justesse de mes appréciations, et sachant d’après mes
sensations
habituelles qu’il était sorti, je quittai ma cham
ix, j’arrivai progressivement à lui. A mesure que j’en approchais mes
sensations
grandissaient, et cela à tel point, quej’aurais p
à du moins ma pensée, et celle réflexion est basée sur l’étude de mes
sensations
. Je crois aujourd hui que si à cette époque j’eus
ance ses mouvements, ses gestes, ses poses, et que ainsi toutes ses
sensations
m’étaient transmises. J’exagère peut-être en me s
et je serai plus dans le vrai en disant que la majeure partie de ses
sensations
m’étaient réfléchies. Lorsqu'il en fut instruit p
it pour reconnaître d’une manière plus positive cette transmission de
sensations
, soit pour se faire un jeu de mes souffrances. Ai
it obligé d’éprouver une douleur pour m’en réfléchir plus vivement la
sensation
, il avait du moins le pouvoir de la déplacer et m
coup perdu de son intensité; il en était de même de toutes mes autres
sensations
. J’ctais donc porté à croire que si je mettais un
oreilles bouchées, etc., et éloignant de ma pensée le souvenir de mes
sensations
antérieures, je me concentrai le plus possible po
au bout d’une demi-heure environ il n’y avait pasde différence et mes
sensations
étaient alors aussi fortes qu’avant d’avoir bouch
, que j’en ai vérifié maintes et maintes fois l’exatitude, et que les
sensations
dont je rends compte sont appuyées par de nombreu
renait de plus en plus la sonorité qu’elle avait perdue et mes autres
sensations
grandissaient à mesure. Aussi lorsque mes affaire
ts divers : a mesure que je m’en rapprochais je reconnaissais à mes
sensations
«pie le rapport augmentait. De retour, je constat
ersévérance à toute épreuve. Dès ce moment je pris note de toutes mes
sensations
, je tins un recueil d’observations journalières o
le je me trouvais à son égard, il était instruit non-seulement de mes
sensations
les plus restreintes, mais encore de mes pensées
izontalement,jusqu'à ce qu'amené dans la direction du courant par mes
sensations
, je finissais par la tenir immobile, les regards
ide dans la même direction d'où j’en avais perçu une première fois la
sensation
,j’étais forcément amené à constater de nouveaux p
dais j’arrivais promptement vers la maison qui le recelait, et où mes
sensations
indiquaient sa présence. Je ne m’en tenais pas à
domicile de mon magnétiseur, contre lequel je cherchais à lutter. Mes
sensations
me dévoilaient qu’il était chez lui, et il y avai
esquelles il passait se déroulèrent devant moi et je reconnus que ses
sensations
visuelles m’étaient réfléchies. Je ne me lassais
e j'ai lu récemment les désigne sous le nom de morsures de Satan. Ces
sensations
douloureuses s accrurent à tel point qu’elles me
ante vers les pnrlies comprimées, lîans cet état je remarquais que la
sensation
des pincements que je recevais du dehors venaits'
à influencer mon magnétiseur, et je cherchais même à lui renvoyer les
sensations
douloureuses qu’il me faisait éprouver. Ainsi jem
ntir la douleur; mais je n'ai jamais su d’une manière positive si ces
sensations
iui étaient transmises. Je crois du moins qu’il n
-r; I une influence des mi.'ux caractérisé s. !1 v faisait naître les
sensations
1 -s plus varié.??, si bien cuir dans le principe
dede mon appréciation, j’obtenais un résultat tout à fait inverse des
sensations
ordinaires, car l’effl diminuait par ce rapproche
ceté, si cela était nécessaire pour m’en réfléchir plus vivement In
sensation
. Pour |"'on ni* suppose pas que ces odeurs lussen
bac, suivant I usage qu il en avait, et qu’il voulût m’en renvoyer la
sensation
, il me forçait ainsi à éternuer malgré les effort
es, je constatai, comme à la première, une réduction notable dans mes
sensations
; mais cette amélioration alla toujours eu décrois
e j’ai trouvé du dévouement, de l’attention à écouter le récit de mes
sensations
et les meilleures dispositions à y croire. Ce n’e
côté, persuadés que je ne leur en imposais pas sous le rapport de mes
sensations
et de mes souffrances, et jugeant qu’elles étaien
veau, et se répandant sur mon système nerveux il y perçoit toutes mes
sensations
et ne me communique les siennes que lorsqu’il veu
t d'habilelé et dans les commencements qu’il m’a laissé percevoir des
sensations
qu’il aurait voulu me cacher, mais mainte- nant
arquer que sans se déranger de ses occupations il peut recueillir mes
sensations
par ce lien de fluide qui nous unit, et que pour
é 'lien différent les unes des autres; ainsi la majeure partie de mes
sensations
sont pour lui peu sensibles lorsqu'il n’y porte q
s à ceux du coma puységurien ; la transmission de pensée et celle des
sensations
de magnétiseur à magnétisé y sont beaucoup plus p
d’eux. Ainsi le magnétiseur ne peut percevoir en outre de ses propres
sensations
que celles de son sujet, il ne peut voir, entendr
établir ce rapport avec tout autre individu, et recueillir ainsi les
sensations
d’une personne (pii leur est étrangère et avec la
puis plusieurs jours, malgré les efforts faits pour l’en tirer. Toute
sensation
étant abolie, toute manifestation volontaire susp
s sa maladie, cette enfant, aujourd’hui nubile, n’a accusé la moindre
sensation
magnétique; soit qu’on l'interroge, soit qu’on /e
rsonne qu’il a désignée jusqu’à ce jour comme la source de toutes ses
sensations
. Mais ce qu’il y a de certain , c’est que toutes
nd nombre de somnambules lucides que j’ai observés. Le siège de cette
sensation
varie à l'infini. Le somnambule rapporte souvent
la sensibilité du tact permet de distinguer les couleurs? toutes les
sensations
ne peuvent-elles pas sc réduire à un sens unique,
ion instinctive qui les dirige dans l’appréciation des maladies. La
sensation
réciproque de nos infirmités doit-elle nous surpr
me à distance. La théorie des pressentiments , et la transmission des
sensations
trauma-tiques dont les Chinois se servent depuis
r sa tumeur et les parties voisines, sans qu’il manifestât la moindre
sensation
; l'application de la machine électrique durant c
liai? Souffrez-vous beaucoup ; il répondit : Rode hai, sahib. 11 y a
sensation
dans la partie, ou : Je la sens. » 11 eut un ac
e sorte, quand tout à coup, sans avoir éprouvé préalablement aucune
sensation
de vertige, sans avoir senti aucun phénomène pr
e le malade semble ne pas en être prévenu, il existe en réalité une
sensation
spéciale qui la précède ; le malade sent comme
rique remonterait à la gorge ; mais l'attaque suit de si près cette
sensation
que le malade n'a pas le temps de se garer et q
plus grande facilité ; il éprouve en même temps dans la gorge une
sensation
de houle très pénible. - On pratique de nouveau l
e ces attaques, quoique sou- dain en apparence, est précédé par une
sensation
de boule à la gorge, que ces attaques peuvent ê
te auto-suggestion a été comme le réveil et l'extériori- sation de,
sensations
antérieurement emmagasinées. » A vrai dire,' da
eur d'or- lU revue de Pathologie Mentale, dr<' sexuel (fausses
sensations
locales). Si, en ce qui cuncerne les accès rudi
mènes paralytiques, affaiblissement psychique). Il y a deux mois,
sensation
d'oppression douloureuse dans la moitié gauche du
6(; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tanée, d'obsession optative, de
sensation
, de réflexion subite, de méchanceté impulsive,
Irresponsabilité. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 83 XXXV. L1
sensation
sexuelle contraire (inversion du sens génital)
influence que p.'oduitl'amyinitrite sur les actes volontaires. a.
Sensations
subjectives. L'influence de l'amylnitrite est var
- ques inspirations, étaient pris de titubation, malaise général,
sensation
de dépression qui se prolongeait pendant plusieur
ses courbes d'un collègue qui connaissait l'effet produit. Quand la
sensation
de chaleur ' atteignait son maximum, les battem
lièrement réussi dans cinq cas de mélancolie; sous leur action, les
sensations
anormales, les troubles parétiques, les tremble
ment une influence favorable sur les symptômes, notamment sur les
sensations
pathologiques; elle agit aussi, mais très peu et
'étendre les médius, surtout à droite; en même temps, il existe une
sensation
d'engourdisse- ment sur le bord cubital de la f
a fonction centripète de transmettre aux hémis- phères cérébraux la
sensation
extérieure (notion de situation de l'individu;
s ? Ils sont sensibles à la pres- sion, mais on ne constate pas les
sensations
excentriques normales que déchaîne d'ordinaire
ique, dans le cours d'une paralysie bulbaire, survint sou- dain une
sensation
de constriction de la gorge qui laissa après el
nflements sensiblement symétriques qui donnaient à la palpation une
sensation
molle, pâteuse, dépourvue d'élasticité. Des gon
tourdi avant de tomber, qu'il n'avait éprouvé étant à cheval aucune
sensation
de ver- lige, et qu'il n'avait pas perdu connai
e son membre su- périeur droit, était absentet il avait en place la
sensation
d'un corps très lourd qu'on aurait appendu au c
elle avait présenté à diverses reprises des crises ner- veuses avec
sensation
de boule rétro-sternale, constriction de la gor
philitique, on a noté les symp- tômes initiaux suivants : hébétude,
sensation
de tension, de pression de douleur céphalique,
foyer. Quand on soumet simultanément les deux côtés du corps à des
sensations
d'égale intensité, le côté du corps para- lysé
REVUE DE pathologie NERVEUSE. doigts du côté gauche accompagnées de
sensations
de tremble- ment dans le bras et la jambe, du m
de tout genre accompagnés d'obnubilation de la connaissance; pardes
sensations
subjectives importunes, des sensations anor- ma
n de la connaissance; pardes sensations subjectives importunes, des
sensations
anor- males bizarres, des vertiges, des douleur
même fureur une boisson. L'un et l'autre sont à la poursuite d'une
sensation
qui doit remettre momentanément un terme à leur
stituer la cannabinone au poison des morphino- manes, parce que les
sensations
désagréables qui se montrent à la suite de son
ions désagréables qui se montrent à la suite de son administration,
sensations
que tout individu non morphinomane déclare parf
lité tactile, douloureuse et musculaire; la gauche n'a perdu que la
sensation
de la douleur et de la température. Les réflexe
à agiter les mains et faillit sauter du lit. Le 28 décembre, les
sensations
de la douleur et de la température reparurent d
; toutes les espèces de sensibilité le sont aussi; il n'y a que la
sensation
de la température qui est un peu troublée; dans
de l'oeil gauche est de -îü-; celle du droit est très faible ; les
sensations
du goût sont troublées : il dit que la quinine es
e nerveux fait constater : la vision des deux yeux est de 20/40; la
sensation
des couleurs n'est pas troublée; le champ visue
n matin, je lui trouve une anesthésie cutanée de tout le corps. Les
sensations
tactiles et douloureuses sont abolies; il est p
anesthésie des muqueuses sur tout le corps, avec un trouble de la
sensation
musculaire, de même que le 9 janvier. Le 18 jan
uble dans QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 285 la
sensation
des couleurs; l'oeil droit voit en vert des fils
thésiées. La sensibilité cutanée de toute espèce n'existe plus; les
sensations
musculaires sont en désordre, comme dans le cas
lité, troubles parfois très capricieux, par exemple l'abolition des
sensations
de là douleur et de la température; tandis que
geon entre les deux sourcils; à la palpatiou, cette tumeur donne la
sensation
de l'oedème; elle présente à sa surface une rou
is, nullement à la région thoracique ; partout mêmes carac- tères :
sensation
de froid désagréable au toucher de la peau qui
sion du doigt ne s'y marque pas comme dans l'oedème, mais donne une
sensation
de résistance, mollasse et élastique à la fois.
es, qui glissent sous la pression et, quoique donnant aux doigts la
sensation
du tissu lipomateux ou myxomateux, rappellent é
ensation du tissu lipomateux ou myxomateux, rappellent également la
sensation
éprouvée en saisissant un varicocèle. Au-dess
roite; la marche s'appe- santit, face vultueuse. Jambes infiltrées;
sensation
de froid; culo- ration jaunâtre de la face; asp
t plus avec leur netteté première, la trame en est modifiée par les
sensations
intimes et les émotions; ainsi se produit le dé
chaud (40 à 45°), et si l'on s'étudie à prendre sur le fait non la
sensation
occasionnée par le contact, mais le moment où l
occasionnée par le contact, mais le moment où le sujet réagit à la
sensation
réelle du chaud ou du froid, on constate que le
égion de l'écorce cérébrale (gyrus sigmoide) contient le centre des
sensations
tactiles et frigorifiques ou des conducteurs qui
les cordons postérieurs de la moelle trans- mettent deux espèces de
sensations
; 3" ces deux espèces de sensations sont supprim
e trans- mettent deux espèces de sensations; 3" ces deux espèces de
sensations
sont supprimées quand on comprime les troncs ne
ire, les hallucinations multi- ples, l'anesthésie, les extases, les
sensations
viscérales étranges, etc. Parmi les manifestati
rche, cette con- tracture a disparu. C'est alors qu'est apparue une
sensation
de boule venant de l'estomac et s'arrêtant dans
aire n'existe pas dans'les points où sont localisées ces soi-disant
sensations
mus- culaires. Il y a des états pathologiques d
ts, bien qu'il puisse exister de la rigidité, il n'existe jamais de
sensation
de poids rapportée au muscle. La seule sensatio
n'existe jamais de sensation de poids rapportée au muscle. La seule
sensation
éprouvée est une sensation de fatigue, peut-être
n de poids rapportée au muscle. La seule sensation éprouvée est une
sensation
de fatigue, peut-être de dou- leur ou d'endolor
sation de fatigue, peut-être de dou- leur ou d'endolorissement ; la
sensation
de poids est absente. Si les muscles sont malad
la sensation de poids est absente. Si les muscles sont malades les
sensations
sont de la nature des sen- sations organiques,
douloureux, on peut trouver le muscle rigide ; mais ce n'est pas la
sensation
de poids qui existe, c'est celle de rigidité mu
aire. Quelle que soit la cause de cette rigi- dité, il n'y a qu'une
sensation
qui appartienne au muscle, c'est celle de tensi
sion. Comment se fait-il que pour ce sens spécial il n'y ait pas de
sensation
spéciale de poids ? Même chez les aliénés et RE
jectives rapportées spécialement au muscle. Et pourtant les fausses
sensations
du toucher, de l'ouïe, etc., sont invariable- m
nt. Les difficultés du sujet peuvent donc se résumer ainsi : 1° les
sensations
de poids ne sont pas rapportées spécialement au
par des irritations cutanées, ne donnent jamais autre chose que les
sensations
organiques de ten- sion ou de fatigue ; 4° les
muscles ne fournissent pas d'exemple de ce que l'on entend par les
sensations
du sens musculaire. R. de 111USGriAVe-CLl. f
fonctions d'association étaient probablement troublées; à certaines
sensations
et impressions 'sensorielles ne se rattachait a
ne se rattachaient que peu des idées habituelles et, par suite, ces
sensations
, ces percep- tions ne faisaient plus aucune imp
es animaux sans aucune espèce de raison. Elle se plaint aussi d'une
sensation
de froid qu'il est très difficile de faire disp
entendues, ce sont les spectacles extraordinaires vus, ce sont les
sensations
amoureuses éprouvées, qui forment la trame de c
e et spontanée des derniers postes de l'appareil con- ducteur de la
sensation
, placés dans la moelle. L'irritation varie d'in
ntensité, et cesse aussi tout à fait par moments. Cesse-t-elle, les
sensations
des objets sont normalement perçues; existe-t-e
e qu'elle fait elle a besoin d'aide. Pas de désirs actifs, pas de
sensations
sensuelles, pas d'ambition. L'auteur fait suivr
epuis la troisième paire corticale jusqu'à la moelle ianée ; 2° une
sensation
générale de fatigue exagérée par les mouvements
ite nez I'orlc Médical Journal, 14 décembre 1901.) On sait que la
sensation
est constituée par une série très com- plexe de
es zones intéressées étaient celles qui concernent la réception des
sensations
de douleur et de froid, la première était altér
n'y avait nulle part de renversement de la formule galvanique. La
sensation
tactile et la perception de la chaleur étaient no
c'est le résultat de l'exploration de la sensibilité thermique. La
sensation
de la chaleur était absolu- ment normale et ses
pplication du froid sur la peau était invariablement prise pour une
sensation
de chaleur, et les degrés de froid étaient sent
xistait pas. Il s'agissait plutôt d'une hyperesthésie à l'égard des
sensations
causées par le froid, lesquelles étaient perçue
s causées par le froid, lesquelles étaient perçues sous la forme de
sensations
de chaleur. Toutefois à cette anomalie sensorie
perceptions primitives, ceux qui sont en quelque sorte l'écho de la
sensation
originelle : 'par exemple, les mots que l'on pe
parfois du ventre, jusqu'au gosier et qui l'étouffé ». A part cette
sensation
de boule hystéri- que, aucun autre phénomène in
glandulaire; ils ne sont le siège d'au- cun écoulement et d'aucune
sensation
pénible. A la palpation, on ne trouve aucun poi
tit bon. Les règles coulent pendant trois jours avec abondance sans
sensation
insolite, sans boule hystérique. Les règles, fi
Depuis longtemps, et tout particulièrement au moment des épo- ques,
sensation
de la boule hystérique ; l'accès d'agitation a ét
de la boule hystérique ; l'accès d'agitation a été précédé de cette
sensation
: « C'est une chose, dit la malade, qui me remo
ez presque toutes les femmes, dit-il, les mamelles sont le siège de
sensations
particulières à l'ap- proche des règles. Il en
ès faibles, les malades se rendent compte de la non-réalité de leur
sensation
; ils comprennent qu'ils ont entendu, qu'ils on
chose d'irréel ; mais comme pourtant ils ont eu dans le cerveau une
sensation
, ils cher- chent une expression pour dire ce qu
ication scienti- fique du fait. Rappelons-nous le mécanisme d'une
sensation
, de la vision par exemple ; trois faits se prod
ourrait dire avec plus de rai- son qu'un fou est un homme ayant les
sensations
à l'envers. Je m'explique : Je suis, sain d'e
oi ». Ailleurs, Thérèse raconte qu'elle eut d'autres fois la même
sensation
de présence à côté d'elle, soit d'anges, soit d
ant, soit en l'entendant parler ou se remuer, tandis que dans cette
sensation
, il n'y a point d'obscurité semblable'et Notre-
dées fausses et d'actes dérai- > sonnables : -ces aliénés ont la
sensation
, par exemple, que leurs corps sont devenus lour
'élever et voler comme des anges ; alors, sous l'influence de cette
sensation
, se produisent de nombreuses aventures et parfo
mental, par la chronométrie mécanique, vous mesurez la vitesse des
sensations
et des perceptions ; tous les sens sont interro
organes des sens, les phénomènes de rétractation de la peau, -la
sensation
de froid aux cheveux, d'horripilation, l'asthénie
il y a des spasmes du coeur dont le sujet a conscience, donnant la
sensation
d'un malaise grave, allant jusqu'au sentiment d
n se répétant, même après la disparition du corps étranger et de la
sensation
qu'avait provoquée celui-ci, que ce mouvement e
ite et de toute volonté d'homme prêle à les défendre leur valent la
sensation
de n'être pas comme les autres femmes. Dans l
haut : Thérèse décrit admirablement, pour les avoir éprouvées,- les
sensations
perçues dans ce demi-sommeil 'toutes les facult
ation d'une demi-conscience et le souvenir très vif, au réveil, des
sensations
éprouvées. Comme elle le dit, l'intelligence, l
nce infinie d'une union imaginaire : .C'était, nous disait-elle, la
sensation
de béatitude que doit éprouver un fumeur d'opiu
un degré de plus de piété. « Dans l'oraison d'extase on n'a plus de
sensations
dis- tinctes ; on jouit simplement, sans connaî
s : perte presque complète de la perception du monde extérieur; les
sensations
.de la vue, de l'ouïe, du toucher sont, sinon co
ndu, les membres immobiles. dans une position une fois prise; les
sensations
les plus vives et les plus douces se reflètent su
peu, mais le sujet con- serve la mémoire des visions, auditions et
sensations
diverses perçues pendant l'accès, il se termine
s oreilles n'entendent pas et la peau anesthésiée n'éprouve plus de
sensations
de douleur ou de chaleur. Le thermomètre invari
nel, accumulé en excès dans l'organisme. Une idée, une émotion, une
sensation
quelconques suffisent, DES OBSESSIONS EN PATHOL
(Morel). L'attaque est constituée par une angoisse avec pho- bie (
sensation
d'abolition de la vie, d'évanouissement, de fol
e reproduire avec intensité pendant les paroxysmes angois- sants la
sensation
première, reproduction qui se reconstitue intég
cet égard et nous savons qu'ils sont d'accord pour accuser cette
sensation
de dédoublement de deux forces contraires agissan
conduisent les excitations à l'écorce du cerveau et produisent les
sensations
; une certaine par- tie· des cordons postérieurs
rieurs ne sont pas sensitives, ne sont pas destinées à expédier les
sensations
de mouvements et de position. Une partie de ces
ces fibres, tout en restant centripète, n'a rien de commun avec la
sensation
propre ment dite, elle sert de voie de transmis
rmettant de juger et de vérifier constamment ses impressions et ses
sensations
mentales les unes parles autres. Deux vérificat
ppent beaucoup plus tardivement que ceux qui transmettent la simple
sensation
lumineuse. Toutes les preuves que l'on peut réu
errain favorables à l'éclosion de conceptions délirantes nées d'une
sensation
réelle ? E. B. XX. De l'épilepsie consciente et
t, mais une sorte de suggestion, le sujet finissant par éprouver la
sensation
réelle de chute dans l'espace et commençant à e
passants, ressent le froid de la nuit sur ses épaules, éprouve des
sensations
génitales suivies au réveil d'un sentiment de f
ou sur les faits du monde extérieur, soit qu'elle s'exerce sur les
sensations
internes, sur les divers éléments de la cénesth
es se fatiguent rapidement, on sait aussi que, chez d'autres, cette
sensation
de fatigue est retardée, que certains la dissim
, très rarement une obsession. Bref, le malade est l'esclave de ses
sensations
et de sa maladie. De même, chez les dégénérés
ait physiquement : douleurs à l'estomac, bouche pâteuse et d'autres
sensations
à l'état d'ébauche, toutes de nature à faire so
ence, bouffées de chaleur, douleurs dans la région ovarienne et une
sensation
douloureuse qui, partant de l'estomac, montait à
omac, montait à la gorge et y provoquait une vive constriction avec
sensation
d'étouf- fement (boule hystérique) ; quelquefoi
des troubles gastriques divers, la bouche mauvaise, quelquefois une
sensation
d'étouffement, sans la réelle constriction à la
'onanisme digital. A dix-sept ans, elle cherchait à se procurer des
sensations
voluptueuses d'une autre façon; elle se suspend
toutes sortes d'idées que créait son imagina- tion, idées liées aux
sensations
qu'elle avait éprouvées lors de son premier coi
car elle affirmait que les rapports sexuels lui donnaient moins de
sensations
voluptueuses que l'onanisme exercé à sa manière
sait aussi à désirer : fatigue générale, inappétence, constipation,
sensation
générale de faiblesse et de douleur le long de
ur appari- tion. Elles étaient précédées d'un état d'énervement, de
sensations
de fourmillements dauslos bras, elle devenait a
caractérisait par un gonflement et une douleur dans le ventre, une
sensation
de boule hystérique avec étouffement et ensuite
PATHOLOGIE MENTALE. prise par une sorte de convulsion génitale, des
sensations
volup- tueuses suivaient et finalement elle se
y entre et vole un paquet de soie. L'acte accompli s'accompagne de
sensations
volupteuses habi- tuelles. Ensuite, fatiguée, e
ses douleurs, qui d'ailleurs ne sont que l'hypertrophie mentale de
sensations
banales. Les accidents ont débuté par des clign
endant toute cette période , ajoute la femme, il aurait souffert de
sensation
de pesanteur fort possible au niveau de sa hernie
survenant à intervalles variables, s'annonçant fréquemment par une
sensation
particulière, sorte d'aura qui fait dire au mal
sité. Aussi nous sommes-nous laissé quelque peu influencer parles
sensations
et les impressions des malades eux-mêmes et nou
croissantes. Mais les malades n'aiment pas beaucoup, en général, la
sensation
énergique fournie par les intensités élevées, e
uire une brûlure si l'on néglige de s'informer de temps à autre des
sensations
éprouvées par la malade sous l'influence du cou
occupés de la question, mais dont l'évaluation est impossible. Les
sensations
éprouvées par les malades au moment du passage
u tout avec 4, 5, 6 milli- ampères, tel autre accuse simplement une
sensation
de fourmillement, enfin un troisième aura une i
faibles ne se sont plaints de phénomènes douloureux ou seulement de
sensations
désagréables. - D. Durée. La durée de l'appli
Lorsqu'on demande aux malades d'étabir une comparaison entre les
sensations
éprouvées avant le traitement et posté- rieurem
présente un accès passager d'aliénation mentale caractérisé par des
sensations
physiques anormales toutes parti- culières, de
.), entraine la perte complète du goût, de toutes les catégories de
sensations
gustatives. 2. La destruc- tion de toutes les a
t une perte partielle du goût à l'égard de catégories distinctes de
sensations
gustatives, ce qui* évidemment, peut indiquer l
cérébrale de centres séparés indépendants affectés aux principales
sensations
du goût à la perception du sucré, de l'acide, d
de la suprasylvienne antérieure (2" circonv.). La réceptivité de la
sensation
amère et de la sensation salée diminue vraisembla
rieure (2" circonv.). La réceptivité de la sensation amère et de la
sensation
salée diminue vraisemblable- ment graduellement
ntérieure voisine ; la réceptivité de la sen- sation acide et de la
sensation
sucrée diminue graduellement à mesure que l'on
ces expériences la réalité de la loi de Weber et Fechner quant aux
sensations
gustatives : on est obligé de juger de l'intens
ensations gustatives : on est obligé de juger de l'intensité de ces
sensations
par toute sorte de mouvements réflexes dont le
solution sapide doit croître beaucoup plus vite que l'intensité des
sensations
auxquelles elle donne naissance, si l'on en jug
s fibrillaires ; troubles de la sensibilité cutanée avec retard des
sensations
et douleurs fulgurantes ; nystagmus dynamique ;
t présenté la forme disséminée avec nodules adi- peux douloureux et
sensation
de déchirure provoquée par la mobi- lisation de
du délire, ou bien des troubles du sentiment apparaissant avant les
sensations
gastri- ques : apathie, angoisse, confusion de
étales et occipitales, remontant après de trois ans, associée à une
sensation
de lassitude et de fatigue générale habituelle.
quarante-sept ans, couturière. En 1888, la malade éprouve quelques
sensations
désagréables dans les gencives en mangeant. Ces
que des paroxysmes douloureux des plus intenses. Ensuite : 2° Une
sensation
pénible qui n'est pas une véritable douleur et
ements qui sont plutôt des tiraillements sur le trajet du nerf, des
sensations
de petite bête qui trottine au-dessus de la lèv
re, le bâillement. Une sorte d'aura la précède, caractérisé par une
sensation
de pesanteur dans la tête, sensation indéfiniss
a précède, caractérisé par une sensation de pesanteur dans la tête,
sensation
indéfinissable de lourdeur au front. La douleur
novembre et en décembre, il n'y a pas eu de douleurs, sauf quelques
sensations
pénibles au moment des règles. La malade contin
Il n'existe pas de douleurcontinue. Entre les accès iln'y a qu'une
sensation
d'endolorissement. Il n'y a pas de point dou- l
vons conseillé une reprise temporaire du traitement. Toutefois, ces
sensations
pénibles n'ont pas persisté. Le malade nous a d
face de douleurs qui, faibles au début, et ne donnant lieu qu'à une
sensation
de chatouillement, localisées d'abord à la temp
deux mois dans un état très satisfaisant, n'avoir plus que quelques
sensations
pénibles c des douleurs molles ro, dit-il, « me
des éclairs qui passent devant les yeux, immédiatement suivis d'une
sensation
de déchirement dans la moitié droite delà face.
nt dans la moitié droite delà face. Entre les accès il n'y a qu'une
sensation
d'endolorissement. Ces accès se répètent quinze
ariable. Alors même que ce point de repère serait constitué par des
sensations
subjectives, il ne joue pas le rôle d'un simple s
els que l'état de l'or- gane sensoriel périphérique, l'existence de
sensations
subjectives, l'état mental du sujet, et des div
parE. Veress pour l'individu normal : « A mesure que le seuil de la
sensation
de chaleur s'élève, le seuil de la sensation de d
ure que le seuil de la sensation de chaleur s'élève, le seuil de la
sensation
de douleur s'élève dans une proportion analogue
servée, et pour les membres supérieurs uniquement. Le système des
sensations
musculaires profondes des membres supérieurs fo
ns la vie quotidienne du sujet. Deux groupes sont à distinguer, a :
Sensations
et mouvements gou- vernés par le sentiment d'un
une direction et la connaissance d'un point de repère constant. 6 :
Sensations
et mouvements que ne guide pas l'idée d'une dir
usculaire, et le sentiment de la position du membre, l'ensemble des
sensations
musculaires cessera de donnera la cons- cience
n d'une synergie, d'une concordance entre les divers groupes de ces
sensations
: de nouvelles variables seront introduites dan
is of (tll four l'unis andof o;te Sicle of the face Dissociation of
Sensation
, 111-8- de 1-1 pages. Journal of nervous and me
ank ini : ation. L'état dépressif s'améliore progressi- vement : la
sensation
de fatigue disparait avec la céphalée et l'asth
rganes percepteurs par excellence. , L'expérience a montré que la
sensation
de vibration n'a-lieu qu'à l'endroit même d'app
t; 3° De l'aura du goût ren- contrée chez l'épileptique; - 4° De la
sensation
amère ou acide antérieure aux accès de ce derni
te conception ancienne sur la psy- chologie de la conscience et des
sensations
, ont été vivement com- battues par M. Claparède
mpris que « le physique et le psychique étaient hétérogènes, que la
sensation
n'a rien à faire avec l'espace, que si la localis
enté dansl'ob.- session ; c'est l'idée émotive qui se transforme en
sensation
exté- riorisée. Des considérations intéressan
s parties génitales l'autre lui léchait la bouche. Elle éprouva une
sensation
intense qu'elle n'a jamais oubliée, mais qu'ell
. Le cerveau de l'enfant, à sa naissance, ne pourra conserver les
sensations
qui lui viennent du monde extérieur, l'adolescent
fondamental du cordon antéro-latéral et destinées pour conduire les
sensations
thermiques et douloureuses. Discussion. Le Dr
lé et écrit vienne à manquer et alors le mot écrit est réduit à une
sensation
optique. Telle serait l'explication de l'alexie d
centre visuel, grâce à l'association existant entre les mots et les
sensations
musculaires des mouvements de l'écriture, ces d
s les cas; l'auteur attacherait vo- lontiers plus d'importance à la
sensation
du froid comme symp- tôme de réapparition du my
e demi-heure. Dans le second mode de début, le plus rare, c'est une
sensation
de crampe épigas- trique, promptement suivie de
thodologie psycho-physique. Loi de Fechner. Phy- siologie des sens (
sensations
musculaires et organiques, le toucher, l'ouïe,
s. Méthodes. - Observations et expériences. Psy- chologie des sens,
sensations
et idées, mémoire. Lois de l'asso- ciation. La
ence de la con- naissance. Action de l'imagination. - Sentiments et
sensation
, les sentiments esthétiques, éthiques et logiqu
ts esthétiques, éthiques et logiques, les émotions elles lois de la
sensation
. Le système de la volonté, la conscience de la
lations de la psvchoiogie et du droitcriminei.Psycho-pathotogie des
sensations
sexuelles.- Grandes névroses (hystérie, épileps
ancinantes et s'ac- compagnent de phénomènes sensoriels, tels que :
sensations
de rayons électriques dans l'oeil gauche et bou
tanées ou provoquées, il existe dans ces mêmes parties du corps une
sensation
habituelle d'engourdissement et des fourmille-
ès fréquents. La sensibilité, ou plutôt la faculté de percevoir les
sensations
de contact et de chaleur, est à peu près intact
excitait ses nerfs sensitifs, mais il avait des fourmillements, des
sensations
morbides variées dans ses nerfs altérés, et il
i s'agi- taient et sortaient de sa peau. En un mot il y avait une
sensation
réelle qu'il appréciait mal ; c'est bien là l'ill
re, comme pour les hallucina- tions auditives, il s'agit de fausses
sensations
qui ont été interprétées d'une manière erronée
la lésion de la région du pli courbe aurait donné nais- sance à des
sensations
lumineuses, et la malade qui transfor- mait en
mait en voix ses bourdonnements d'oreilles, aurait transformé ses
sensations
lumineuses en hallucinations, ou plus juste- me
er que le malade, ayant éprouvé dans le membre supérieur gauche des
sensations
mor- bides, les transforma en hallucinations, a
e genre à des troubles subjectifs de la sensibilité, à de fausses
sensations
rapportées à la périphérie, et le malade qui est
hallucinations unilatérales n'étaient que la traduction erronée de
sensations
morbides. Il faut rapprocher de ces cas les f
t suivies d'une amblyopie de l'oeil gauche. L'auteur attribue les
sensations
lumineuses et la cécité à la lésion des régions
à des mouvements choréiques s'il s'agit d'un centre moteur, à des
sensations
lumineuses, à de l'amblyopie, à des bourdonnement
être tenté de le croire. La lésion donne seulement naissance à des
sensations
morbides (fourmillements, sensa- tions auditive
ucinatoires. Dans les deux cas il y a des troubles sensitifs et des
sensations
subjectives, qui sont transformées en hallucina
gatif a une action prédominante non seulement au point de vue de la
sensation
produite, mais aussi sur les phéno- mènes vaso-
oyer un faisceau de chiendent qui donne une médecine sociale. 117
sensation
de fraîcheur. C'est là, on le voit, une sorte d'a
nt souvent fort mal doués au point de vue de l'oreille musicale. La
sensation
du rythme, d'ailleurs, n'est pas particulière a
ants ; mais ils jouent sans expression, obéissant bien plus à leurs
sensations
du moment qu'à la pensée musicale du compositeur.
en outre des voies médullaires, un centre sous-cortical, siège des
sensations
et de leurs souvenirs; un centre cortical senso
caractérisée par les symptômes suivants : a) Idées obsédantes; - h)
Sensation
obsédantes; c) Mouvements 144 REVUE DE PATHOLOG
mpulsifs) qui, n'étant le plus souvent que le résultat des idées et
sensations
obsédantes, peuvent avoir un eexistence propre
note, avant le début des troubles psychiques, des maux de tête, une
sensation
de malaise, une anxiété vague. Bientôt apparais
é, ni de la sensibilité cutanée. Un matin, B... parait éprouver des
sensations
vertigineuses avec vomissements, refroidissemen
hilitiques, présentant des douleurs fulgurantes paroxystiques, avec
sensation
de froid et de pression aux extrémités inférieu
fications des désirs sexuels, les troubles de l'intelligence et des
sensations
, et la variabilité des réflexes tendineux. L'
aractérisé au début par l'apparition brusque, sans prodromes, d'une
sensation
de chaleur et de brûlure au périnée, avec élevu
de la peau était énorme : les bords en étaient d'un rouge vif : la
sensation
de brûlure et le prurit étaient intenses. - Ces
entre ses différents territoires de l'hypéralgie, surtout pour les
sensations
de froid. LWOFF. LVIII. Pollutions nocturnes
la main droite (c'est un écrivain de profession), il a éprouvé des
sensations
désagréables dans ce membre envahissant bientôt
troubles de l'ouïe, in- sensibilité à la pression du nerf cubital,
sensation
de coton à la plante du pied, troubles de sensi
ne un homme de vingt-six ans chez lequel l'affection débuta par des
sensations
douloureuses dans les mem- bres inférieurs et p
ne un homme de vingt-six ans chez lequel l'affection débuta par des
sensations
douloureuses dans les mem- bres inférieurs et p
en surface qui gagnait la peau de la région ; bientôt survenait une
sensation
de brûlure, puis la plaque s'étendait excentriq
quand on frôle la plaque avec le doigt, il semble au malade que la
sensation
tactile se fait à travers une lame de carton.
e les phénomènes moteurs sont, en ce qui concerne l'oeil, liés à la
sensation
même. Ne connaît-on pas les noyaux spéciaux qui
utes, la perception parfaite revient à mesure que disparaissent les
sensations
en question, du centre à la périphérie, comme s
e demi- heure, laissant après lui, une céphalalgie très légère, une
sensation
de pesanteur aux tempes, surtout à droite, qui
v f. lilinioch. 111edicin, XXII, p. 372), caracté- risées par : une
sensation
d'engourdissement qui se montre à la face exter
ation personnelle au mémoire de Bern- hardt sur les paresthésies et
sensations
douloureuses dans la région du fémoro-culané. D
éflexe plantaire cutané, au moment même le malade a parfaitement la
sensation
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
La loi de Weber-Fechner établit les rapports de grandeur entre la
sensation
et l'excitation : la première est fonction logari
ogression des stimuli sui- vant l'axe des abscisses, et celle de la
sensation
suivant les ordon- nées. Cette courbe est con
ourbe de Weber-Fetchner : pour produire des augmentations égales de
sensation
, il faut des augmentations croissantes d'excita-
tions égales de stimulus donnent des augmentations décroissantes de
sensation
. Mais il faut considérer trois actes dans le ph
matérielle produite dans l'appareil nerveux par le stimulus ; 3° la
sensation
ou phénomène subjectif accom- pagnant cette mod
tions de grandeurs 1, 2, 3, 4, 5, et une série correspondante de
sensations
1, 3, 5. 6, 7 ; cette disproportion a-t-elle une
est fonction téorné- trique du stimulus externe, et accompagnée de
sensation
propor- tionnelle à sa propre valeur. Avec le m
urité du point impres- sionné ; elle est donc secondaire. Enfin les
sensations
thermiques sont encore inutiles à ce degré de l
orps de l'un et de l'autre sexe, le pouvoir exclusif d'éveiller les
sensations
amou- reuses et de produire l'orgasme voluptueu
un affaiblissement de l'activité psychomotrice volontaire et de la
sensation
de fatigue musculaire. Les boudées mystiques de
ts et le remit dans le feu, sans avoir, à aucun moment, éprouvé une
sensation
douloureuse. Peu après, il s'aperçut qu'il avai
dans les régions saines la limite minima à laquelle le malade a la
sensation
du passage du courant. Elle correspond au 0 de
l'aide de cet instrument, M. Motschutkowsky a vu que la force de la
sensation
douloureuse ne correspond point partout à l'épais
ur de la peau : à épaisseur égale de la peau en diverses places, la
sensation
douloureuse est influencée par le degré de résist
ésentés par ce petit appareil seraient : 1° notation chiffrée de la
sensation
douloureuse ; 1° contrôle de l'appareil sur soi
e tubercule quadrijumeau postérieur du même côté, que le trajet des
sensations
auditives entre le tuber- cule quadrijumeau et
effet des fibres du corps trapézoïde, qui sert de voie centrale aux
sensations
auditives, et des olives supérieures, qui serve
ènent le besoin de boire, d'autres qui ne laissent pas, après eux, la
sensation
de soif. Selon moi, dans le cas dont il s'agit, l
ns-nous rappeler qu'en physiologie toute excitation productrice d'une
sensation
homogène, uniforme, continue, a, pour produir
d'une façon excitant le système nerveux et incitant à rechercher des
sensations
nouvelles, gens dont la principale préoccupation
ouvelles, gens dont la principale préoccupation est de rechercher les
sensations
génitales, ce qui se voit notamment chez les peup
ts diffèrent entre eux par les sens auxquels ils s'adressent, par les
sensations
qu'ils mettent en jeu pour arriver à ce but. La p
en jeu pour arriver à ce but. La peinture et la sculpture donnent les
sensations
de couleurs, de formes gracieuses, de proportions
nfini. Il existe, il est vrai, un ordre de succession rationnel de la
sensation
à l'idée et de l'idée à l'émotion; mais, si la se
ionnel de la sensation à l'idée et de l'idée à l'émotion; mais, si la
sensation
varie seulement en intensité,d'un individu à un a
hose, un défaut, une lacune, qui les sépare de la perfection ; aucune
sensation
n'est si complète en elle-même qu'elle procure le
elle subit cette opération à l'étal de veille, sans manifester aucune
sensation
sensible et les suites furent des plus heureuses.
veil il me raconta qu'avant de perdre conscience il avait éprouvé des
sensations
fort pénibles : pris do vertige il s'était senti
hloroformées », ajouta-t-il. Quelles que soient les causes de cette
sensation
de chute dans le som- meil narcotique, on l'é
é la tranquillité et j'ai rendu le rove inoffeneif. Il se peut que la
sensation
de chute sous le chloroforme s'explique par une p
fréquente parce que la plupart des patients savent d'avance que cette
sensation
peut se présenter. Quelquefois les médecins en pr
uant à moi j'ai dit à mon sujet dans l'état post-hypnotique : « cette
sensation
n'est pas obligatoire, vous ne l'éprouverez plus
ose, le sommeil et l'inconscience arrivaient très vite et sans aucune
sensation
terrifiante. XI s'en suit que les deux phénomènes
dre dans la pensée du sujet. Car si l'on avait laissé libre jeu à ces
sensations
de vertige et de frayeur elles auraient pu prendr
perversions de ces phénomènes intellectuels primordiaux, que sont les
sensations
: ils prouvent en outre que les perceptions erron
ns participation de jugement. Toute la vie psychique est bornée à des
sensations
visuelles, auditives ou organiques, à la fois sim
emps de guerre, déterminent dans les centres nerveux des complexus de
sensations
internes, qui constituent la peur et aboutissent
surprenante, l'électivité olfactive aurait comme point de départ une
sensation
constituant une véritable révélation sexuelle. Da
ressortir l'influence durable que laiese dans la mémoire la première
sensation
rencontrée dans l'ordre sexuel. Je rappelais que,
l n'étant plus réveillé que par des idées se rapportant h la première
sensation
fortement ressentie. Chez l'homme normal, qui, co
ment olfactif et gustatif, il n'y a rien d'étonnant que les premières
sensations
voluptueuses nées d'une impression olfactive prod
d'abord, il faut distinguer le suicide-impul -sion, déterminé par une
sensation
soudaine, irréfléchie et irrésistible, du suicide
d'une rivière, de la mer. elle est prise d'une angoisse subite, d'une
sensation
de mal être, d'agitation qui ne cesse que lorsqu'
re nettement formulée mais elle est implicitement contenue dans cette
sensation
de bien être que lui donne la solitude et la cont
e lui donne la solitude et la contemplation de l'eau qui coule. Cette
sensation
est si nette qu'elle produit un changement comple
iments humains, quand il affirme que chez l'homme, il est le sens des
sensations
douces et délicates, celui des tendres souvenirs.
ans ses rêves, se voit brusquement abandonnée, tout à fait seule ; la
sensation
d'isolement lui est si pénible qu'elle se réveill
, en général, ainsi nue le nom l'indique, uniquement par une certaine
sensation
de fatigue ; cette phase d'après Janet, n'a pas g
difficile de considérer comme un symptôme d'alié' nation mentale des
sensations
qui ne sont que l'exagération pathologique de sen
mentale des sensations qui ne sont que l'exagération pathologique de
sensations
normales. » Le travail publié en 1894 par le Dr
ction comparée chez l'homme et chez la femme. Chez les animaux, les
sensations
olfactives et gustatives sont les premières uni s
s, ont donné des résultats plus concluants : Odorat Hommes. Femmes.
Sensation
générale : Solution a l'huile de girofle jusqu'
: Solution a l'huile de girofle jusqu'au......... 1/89000 1/35600
Sensation
qualifiée au ....... 1/34000 1/31400 Sensation
.. 1/89000 1/35600 Sensation qualifiée au ....... 1/34000 1/31400
Sensation
quantitative fine...... 75 0/0 52.8 0/0 Gout Ho
nt à provoquer chez ses ma!ades,avec un état d'esprit indifférent, la
sensation
de tranquillité et dejrepos. Sa manière de procéd
ceptivité. On peut alors suggérer la somnolence. Si le malade a eu la
sensation
du repos, il entre bientôt aussi dans la somnolen
la facilité avec laquelle ils sont restés. D'autres encore ont eu la
sensation
que leurs pensées ont été comme immobilisées. Q
un aimant près de moi. -• Elle reconnaissait le même effet et la même
sensation
déjà éprouvés autrefois. Une autre dame était a
e viendra l'esprit inquiet; elle guettera continuellement ses propres
sensations
et notera, en les exagérant, toutes ces petites m
qni aient accordé k l'odorat un rOle important dans la symphonie des
sensations
supérieures. L'odorat, aux yeux du plus grand nom
, éprouvant une douleur a la jambe, se gratte, ce qui lui procure une
sensation
agréable. Il part de ce fait d'observation pour m
yeux brillants, le visage animé, la mine souriante : elle éprouve la
sensation
de vivre. Elle s'étonne de se voir dans une cha
nt une influence marquée sur la production du réveil. Telles sont les
sensations
viscérales de la faim, de la soif, ainsi qne les
sont les sensations viscérales de la faim, de la soif, ainsi qne les
sensations
révélatrices des divers besoins naturels (érectio
suffisante chez ces malades. Chez eux. l'excitation consiste en une
sensation
d'irritation particulière —. superficielle ou pro
ifeste cette irritation sous la forme d'une fnusse faim, d'une fausse
sensation
de vide, d'une brûlure, de régurgitations acides,
compte, bien entendu, de son caractère génital, tout d'abord pour la
sensation
d'éréthisme nerveux éprouvée, ensuite et surtout
nté n'est plus quand la pupille se dilate. La suggestion commande, la
sensation
prime la raison. Observation X. — Les dilatatio
on et d'autres agents psychiques sur les troubles dans le domaine des
sensations
. La dernière traite des troubles dans l'action
Aussi l'exténuation ne suffit pas pour induire le sommeil, il faut la
sensation
de fatigue. Quand l'excitation cesse et fait plac
soumet à l'examen la mise en jeu de la volonté dans les troubles des
sensations
et analyse à cet effet l'essenee de notre faculté
explique l'influence de l'image-souvenir, dépeint les troubles de la
sensation
consécutifs aux troubles généraux du système nerv
es troubles de la sensation-L'étude des conditions sans lesquelles la
sensation
morbide peut être chassée du champ de la conscien
s portant à fixer l'attention sur une douleur ou sur un trouble de la
sensation
quelconque, le traitement à instituer réclame la
rouble morbide. L'homme à le pouvoir de détourner ses pensées d'une
sensation
, d'une' idée spéciale, soit au moyen du travail,
es surexcités peut-être utilisé dans le traitement des troubles de la
sensation
. C'est au sommeil provoqué par concentration de
enregistreurs spéciaux. L'écriture automatique se ramène aussi à des
sensations
ou des mouvements perçus mais devenus cryptoides,
ur et ?a douleur subissent un certain retard danc la perception de la
sensation
. En outre, les cercles de Veber qui indiquent la
; réalité : ou contraire, plus lo sommeil est superficiel, plus les
sensations
journalières apparaissent ei plus les rêves reflè
, fournit également un intéressant moyen de contrôle pour l'étude des
sensations
et la mesure des réactions. Cela ne suffit-il p
ait il y a dix ans, elle avait donc 45 ans, La crise débute par une
sensation
douloureuse dans l'estomac comme (1) Leçon cliaiq
ande intensité; elle est plus marquée pour les lettres nasales. Ces
sensations
paradoxales dépendent de lésions labyrinthiques,
e d'obsession présente une variété inGnie ; elle affecte à la fois la
sensation
générale et les sens spéciaux. Par exemple une pe
oit des éclairs ou elle est incapable d'ouvrir les yeux, ou elle a la
sensation
de la cécité, ou elle se figure marcher en l'air
son enfant tué, et tout en courant lui porter secours il éprouva une
sensation
terrible d'effroi et d'angoisse, suivie de trembl
pre leurs communications avec la périphérie et de fermer la porte aux
sensations
importunes. Se basant alors sur la découverte d
e chandelle qu'on souffle ou bien submergé et englouti par ce flot de
sensations
uniques, où tout s'absorbe. La transition fut mar
fait de deux façons bien différentes : soit par généralisation d'une
sensation
unique, si intense que toute autre se tait (ou pa
anesthésié chirurgicale comme « ub complet anéantissement, sans nulle
sensation
ni impression *. Mais s'il y a abolition totale d
ecte bien qu'un nombre de jours représente une abstraction et non une
sensation
. Le temps, répond Beaunis, est non pas une abstra
ne abstraction mais une succès-/page> page n="136"> sion de
sensations
et de réactions liées entre elles par une certain
uéries le surlendemain. L'un des expérimentateurs a remarqué que la
sensation
de chaleur était plus forte devant le foyer que d
était le bon? — « Il m'est impossible de vous le dire ; j'ai eu la
sensation
que ce moment était venu. » Je ne pus faire jai
us les phénomènes produits durant l'hypnose (conceptions, mouvements,
sensations
, images) doivent leur origine à cette force nerve
conscience de n'avoir rien senti. Si nous analysons, en effet, les
sensations
éprouvées par le patient au cours d'une extractio
ent au cours d'une extraction, nous devons distinguer, d'une part, la
sensation
très désagréable et très impressionnante de l'eff
employé (davier ou élévateur) aux os de la face et, d'autre part, la
sensation
plus ou moins douloureuse que produit la torsion
la plupart des cas, n'est pas assez psychologue pour sélectionner ses
sensations
ou, du moins, ne jouit pas pour cela d'une libert
eront rien que le sentiment d'énucléation de la dent, dégagé de toute
sensation
douloureuse, non seulement afin de les voir nous
s son imagination, éprouvé une véritable souffrance qui, ajoutée à la
sensation
désagréable des mouvements de luxation, laisse da
ment mémo que l'homme, à éprouver les/page> page n="212"> «
sensations
de l'agréable et du plaisir, ils produisent même
n certain a état de conscience » qui fait que, sous le coup des mêmes
sensations
, à parité d'organes, l'un et l'autre se comporter
e plaisir qui doit être la résultante de la saiisfaction entrevue, la
sensation
imaginée par le sens du goût, tout cela ne suffir
pression sensible au dynamomètre. A la jambe, la malade accusait une
sensation
d'engour dissementet de fourmillement; les mouvem
la tristesse et l'humilité. Les adjuvants accessoires sontcertaines
sensations
visuelles, auditives et olfactives. i. — Adjuva
u'une cause de sug-gestibilité. iii. — Adjuvants accessoires. i. —¦
Sensations
visuelles. De même qu'une belle maison induit l
dont le nom parait contenir toute l'explication du phénomène. II. —
Sensations
auditives. Un autre adjuvant de la suggestion r
ut même aller jusqu'à l'hypnose, comme l'a montré de Rochas. III. —
Sensations
olfactives. L'usage des parfums se retrouve dan
ourn I of mental Science, sur la physiologie du plaisir ou plutôt des
sensations
agréables, dans lequel il étudie surtout le mécan
es sont dues â une vaso-dilatation, les autres, comme par exemple, la
sensation
d'être tenu en suspnns, à la vaso-con strict ion.
ase est la plus pure, la plus intense et sans doute la plus haute des
sensations
agréables que puisse éprouver l'organisme humain.
qui ne peut être que d'une courte durée. Il résulterait de là que nos
sensations
agréables sont plus persistantes que nos sensatio
ait de là que nos sensations agréables sont plus persistantes que nos
sensations
pénibles, je ne sais jusqu'à quel point cette phy
agne les contres vaso-moteurs, soit par la route directe des nerfs de
sensation
, soit par une voie plus détournée passant par les
us détournée passant par les centres « psychiques « du cerveau ». Les
sensations
agréables produites par des modifications do temp
loucher, appartiennent au groupe des jouissances simples, duo« à une
sensation
unique, tandis que celles qui dérivent des couleu
rivent des couleurs et des sons réclament la coopération de plusieurs
sensations
. Les races méridionales d'Europe sont caractérisé
ont, en outre, d'une grande importance pour engendrer et accroître la
sensation
do plaisir : c'est le changement et la sympathie.
ONTAGION' RELIGIEUSE. Quels sont les substrats physiologiques de la
sensation
, de l'image simple, de limage composée, de l'idée
invite à donner de ces substrats les définitions suivantes : 1° La
sensation
correspond à l'impression, sur une partie d'un ne
mouvements du milieu ambiant; 2° L'image simple, ou souvenir de la
sensation
, correspond à la reproduction de ces ondulations
ces ondulations sur l'empreinte qu'elles ont laissée au moment de la
sensation
; 3° L'image composée, l'idée et le jugement co
substance a-. En effet, sauf dans l'hallucination, le souvenir de la
sensation
, par exemple, est moins vif que la sensation. De
ation, le souvenir de la sensation, par exemple, est moins vif que la
sensation
. De plus les souvenirs vont s'effaçant, comme si
que mot correspond uu système d'ondulations sonores, de même à chaque
sensation
, à chaque image, à chaque idée, à chaque jugement
une maladie du toucher, caractérisée par une altération spéciale des
sensations
de poids et de volume. Lorsqu'un malade, attein
la suggestion hypnotique sur les fonctions de la vie organique et les
sensations
internes. — L'hypnotisme et la psychologie de la
ppareil spécial, il lui envoie des fluides et fait naître en elle des
sensations
bizarres, surtout dans la langue et le nez, etc.
es phénomènes douloureux dans la main droite. C'étaient d'abord des
sensations
de froid, puis de véri- tables picotements qui
e tour de la main gauche : de ce côté également se mon- trèrent des
sensations
pénibles dans la même sphère, sensations qui s'ac
lement se mon- trèrent des sensations pénibles dans la même sphère,
sensations
qui s'accom- pagnèrent en peu de temps de faibl
endineuses s'y dessinent nettement. Il peut y avoir des sueurs, des
sensations
de froid au Loucher, de l'état lisse de la peau
: ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. époque apparurent des
sensations
pénibles de fourmillement et d'engourdis- semen
; ce même médecin le piqua en divers endroits sans provoquer aucune
sensation
. D... raconte qu'on le ramena chez lui en voitu
ion debout. Celle-ci, comme la marche, ne tarde pas à provoquer une
sensation
douloureuse dans la région dorso-lombaire; le mal
nement excessif du ventre. La défécation ne s'accompagnait d'aucune
sensation
. La vue fut affaiblie pendant plusieurs mois, pui
ceux que j'ai signalés ailleurs (Bull. Soc. biol., 1885, p. 590; -
Sensation
et mouvement, Bibliothèque de philosophie contemp
isse el lente, ses mouvements plus lents qu'auparavant. Excepté des
sensations
transitoires d'engourdissement dans les parties a
re où les tissus pouvaient être pincés en plis épais, et donnant la
sensation
d'un développement excessif du tissu adipeux so
e composition et une abondance ordinaires. Pas d'augmentation de la
sensation
de la soif. ' L'intelligence du malade est libr
ité. Comme corollaire des phénomènes signalés, nous dirons que la
sensation
d'engourdissement des pieds s'atténue ou disparaî
des atteints de paralysie agitante, en calmant les contractures, la
sensation
de chaleur nocturne, en procurant en un mot aux
des crises convulsives du même genre; en outre il a quelquefois des
sensations
d'étouffement suivies NOUVELLE ICONOGRAPHIE T.
s vêtements sem- blaient n'aller de nulle part. M. Freund eut cette
sensation
qu'il avait devant lui une sorte de singe anthr
rapidement; la marche serait devenue lourde et sans élasticité. Une
sensation
presque permanente de pesanteur et d'épuisement l
à vingt minutes; elle est précédée d'une aura, qui consiste en une
sensation
de constriction épigastrique. Elle est à prédom
mine des mouvements réflexes et du larmoiement, sans qu'il y ait de
sensation
douloureuse perçue par la malade. Autour de l
occlusion se maintient. On a, du reste, en essayant de l'ouvrir, la
sensation
nette d'un obstacle actif. La vision est complète
ependant il dit avoir éprouvé, il la vue de certaines femmes, une «
sensation
spéciale », un trouble qu'il ne peut définir, m
flacon d'ammoniaque placé sous le nez ne paraît occasionner aucune
sensation
pénible. On ne peut dire quel est l'état de la
che XXV.' ' ' ' . Cet état squameux de la peau donne au toucher une
sensation
de rugosité; il existe sur toute la surface du
a malade se plaint avec insistance d'une certaine lourdeur et d'une
sensation
d'engourdissement dans tout le côté gaucho. Elle
t dans tout le côté gaucho. Elle accuse aussi dans'tout ce côté une
sensation
de chaleur excessive. Elle. n'a jamais éprouvé
s. Elles sont précédées des phénomènes de l'aura classique. Aura.
Sensation
de boule partant du pli de l'aine et remontant à
ensation de boule partant du pli de l'aine et remontant à la gorge;
sensation
de contraction à la gorge; suffocation, palpitati
les quinze jours, parfois deux fois dans la même semaine, il a une
sensation
assez subite d'étouffement avec battements dans
e la peau, est doulou- reusement ressentie, elle s'accompagne d'une
sensation
d'oppression, de battements dans les tempes; il
l'âge de seize ans pendant la convalescence de la fièvre typhoïde :
sensation
de boule sans attaques. Depuis, jusqu'en 1887,
ïde : sensation de boule sans attaques. Depuis, jusqu'en 1887, même
sensation
avant les règles avec battements dans les tempe
ilis. Depuis 1887, elle a toujours ressenti dans le côté gauche des
sensations
douloureuses (fourmillements, piqûres d'aiguill
sur ce point. Cette fois la main était gonflée et violacée. Aucune
sensation
anormale, ni douleurs ni fourmillements dans la
lques secondes. Dans la nuit à trois reprises, crise d'étouffement,
sensation
de serrement de la gorge il vingt minutes d'int
gauche du ventre. Durant la nuit, il a eu plu- sieurs étouffements,
sensation
de boule partant de l'abdomen et remontant rapi
lements, les excitations légères à fleur de peau, y déterminent une
sensation
de cuisson insupportable. Par contre, une pressio
Le contact d'une boule d'eau très chaude ne détermine qu'une vague
sensation
de chaleur. 2° Des douleurs spontanées; ces dou
spontanées; ces douleurs consistent en tiraillements, élancements,
sensations
de brûlure. Elles sont assez intenses pour empê
es pour empêcher le sommeil. Tous ces troubles : oedème, cyanose,
sensations
douloureuses, hy- peresthésie et contracture on
hésie : rétention d'urine. En mars, tuméfaction malléolaire gauche,
sensation
de froid intense dans la jambe gauche. En avril
t; il existe de plus, souvent, in situ, dans le membre atteint, des
sensations
d'engourdissement, de fourmillement, de refroi-
sont nuls au niveau de l'éruption. Zunker note seulement une légère
sensation
de chaleur chez un de ses malades; mais il y a
sen- sation de boule avec constriction- à la gorge, étouffement et
sensation
de déchirement dans l'intérieur du crâne. Les c
le début; les trois périodes étaient bien nettes. Le sujet avait la
sensation
d'aura avant sa crise, à la poitrine, au cou et
d'être signalées qu'elles onl jusqu'à présent passé inaperçues. Une
sensation
générale d'affaiblissement et de fatigue se trouv
lus bas à droite qu'à gauche; on y sent des masses dures donnant la
sensation
de ganglions hy- pertrophiés. Des petits lipome
qûre, la chaleur; seulement elle met beaucoup de temps à accuser la
sensation
. Il y a lil probablement plus qu'un retard réel
s deux mois sous forme de crises : ces douleurs alternaient avec la
sensation
de lancement brusque des jambes en avant ou de
Rien d'anormal aux membres supérieurs. La sensibilité cutanée, la
sensation
du sol pendant la marche ou dans la station son
s souvent des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs : la
sensation
du sol est conservée, le sens du lieu rien près c
ouleurs constrictives. Disparition du trouble des sphincters et des
sensations
clitoridiennes. Artériosclérose généralisée. In
de l'arthropathie : elle n'a été précédée alors ni plus tard d'aucune
sensation
douloureuse spéciale. Une fois la malade a trou
s clitoridiennes, survenant presque toutes les nuits, affectant les
sensations
de rapports sexuels masculins, revenant jusqu'à
sente des phénomènes d'acroparesthésie dans les bras et les mains :
sensations
de fourmillement intense, piqûres d'épingle au bo
vent de tenir un objet dans les mains sans le sentir, ou d'avoir la
sensation
tactile d'un objet sans le tenir. La sensibil
oubles de la vue, consistant en diminution de l'acuité visuelle, en
sensations
passagères de brouillard, d'obscurcissement, se
s légère difficulté de la miction à des intervalles éloignés. Les
sensations
générales voluptueuses deviennent plus rares : el
u creux épigastrique ne réveille pas la moindre douleur, la moindre
sensation
pénible. Insensibilité ovarienne droite : un peu
mbreux corps étrangers, durs, roulant sous les doigts et donnant la
sensation
de cré- pitation. L'arthropathie est complèteme
. b) Sensibilité. - Aux membres inférieurs, douleurs fulgurantes et
sensation
de boue molle sous les pieds. Le long du bord c
res, mais très vives, en éclairs ; à plusieurs reprises, il a eu la
sensation
de coton sous les pieds. Tout cela ne l'a pas em-
c- ters, ni douleurs subjectives et objectives le malade accuse une
sensation
d'en- gourdissement et de froid au niveau de la
u niveau du gril costal sont des tuméfactions donnant une véritable
sensation
de paquet de ficelle et se réduisant avec facilit
dont les unes sont ab- solument molles, dont les autres donnent une
sensation
de paquet de ficelle. Les tumeurs sont douloure
méfactions molles, incomplètement réductibles et donnant parfois la
sensation
du varicocèle. Enfin des concrétions pierreuses a
u du côté droit étaient ai peu près nuls, la malade se plaignait de
sensations
de fourmillement, et d'engourdissement dans les
cielles et les piqûres profondes ne réveil- laient pas la moindre
sensation
consciente du côté des parties anesthésiées. Le
i dire l'espèce de l'objet, elle a seulement eu à son contact une
sensation
de froid. L'anesthé- sie avait envahi non seule
mé- faction assez bien limitée, triangulaire, donnant au palper une
sensation
lipomateuse. Même les descriptions anatomo-path
complexes comme dans l'athétose. Ils n'étaient asso- ciés à aucune
sensation
anormale telle que vertiges, etc.,et n'étaient pa
e force..... le toucher le plus délicat était perçu à gauche et les
sensations
ainsi que le sens musculaire dans un état absol
n'y avait pas de paralysie motrice, mais une perte définitive de la
sensation
pour toutes les sortes d'excitants. Sur la paupiè
NÉ MARTIAL petit territoire (mal défini quant à ses contours) où la
sensation
était émoussée pour le toucher et la douleur. P
r l'accident est passé, on ne constate aucune blessure, à peine une
sensation
de fatigue, decour- bature, mais quelque temps
lla à 6 heures avec de violentes douleurs de tête, des nausées, une
sensation
d'étourdissement, il se mit à vomir. Il sen- ti
ine mobilité sur les couches profondes, mais on ne trouve pas cette
sensation
que donne unetumeurfranchement encapsulée.Quelq
2, douleurs rhumatoïdes dans les membres inférieurs : paresthésies (
sensation
de picotements et engour- dissements dans les p
t en 1892 en montant sur un trottoir et liée depuis ce temps ci une
sensation
de sursau- LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES
nclinaison en avant de plus en plus grande dans la station debout ;
sensation
de tomber la face contre le sol. Inclinaison en
grande intensité. Alors survinrent des paresthésies multiples, des
sensations
de fourmillements et de picotements dans tout l
ation debout, le malade se penche de plus en plus en avant, avec la
sensation
par instants de tomber, la face contre le sol.
ou tout au moins de raucité remarquable de la voix, avec dyspnée et
sensation
de déchirement de la gorge et de la région sous
ns cette région ne détermine pas de la douleur mais fait naitre une
sensation
désagréable. Quant à la région dorsale, on sent
uleurs fulgurantes de grande intensité, clans la jambe gauche, avec
sensation
de raideur musculaire. En 1868, troubles de la
e. En 1868, troubles de la sensibilité dans les mains et les pieds.
Sensation
d'en- gourdissement et de picotements. En 1870,
de de la station de- bout et de la marche surtout dans l'obscurité,
sensation
de dérobement du sol. En 1880, marche talonnant
es provoquer par la volonté seule. Elles ne débutaient fas. par une
sensation
locale de chatouillement ou de démangeaisons au n
poursuivait son idée bii' son rêve, elle se sentait envahir par les
sensations
agréables, qui accompagnent le coit jusqu'aux s
ir par les sensations agréables, qui accompagnent le coit jusqu'aux
sensations
voluptueuses finales : une sensation de lassitude
ccompagnent le coit jusqu'aux sensations voluptueuses finales : une
sensation
de lassitude l'envahissait alors, rapidement di
e temps en temps. La malade a des accès de toux très pénibles, avec
sensation
angoissante de cons- triction laryngée, sans ic
tales et vaginales, de grande intensité, mais de courte durée. La
sensation
de sol en duvet a disparu, mais il survient à que
ient à quelques interval- les, dans les mains et dans les pieds,des
sensations
désagréables de picotements et de fourmillement
ans aucun retard mais partout sous la forme d'une vive brûlure. Les
sensations
de chaud et de froid sont fortement perçues et so
e chatouillement est conservé. Pas d'erreur de localisations de ces
sensations
. Les réflexes plantaires, les réflexes abdomina
tiraillées, tordues, sans que ces mouvements fassent apparaître une
sensation
douloureuse quelconque. Il n'y a pas du tout de
ique profonde à la percussion sont diminuées. A noter un retard des
sensations
aux membres inférieurs. La colonne vertébrale
articulations. Ces bruits très intenses ne s'accompagnent d'aucune
sensation
douloureuse mais ils terrifient le malade qui i
au chaud est bien conservée. Pas de retard, ni de métamorphose des
sensations
. Il n'existe pas non plus de défaut de localisa
On observe même quelquefois un léger retard dans la perception des
sensations
, mais ces dernières sont parfaitement localisée
la percussion fortes ne réveille la moindre douleur, la plus petite
sensation
désagréable. La voussure hémithoracique droite es
la malade qui craint toujours de tomber ; elle a continuellement la
sensation
qu'elle va tomber en avant. Elle peut cependant
s conditions et lors- qu'il se réveille la nuit, il éprouve la même
sensation
: la tête est lourde, il a constamment envie de
rtiges ; à plusieurs reprises, nous lui avons demandé s'il avait la
sensation
de tourner, ou d'être projeté, ou même de s'enfon
té olfactive est conservée, la céphalée, les douleurs de reins, les
sensations
de fatigue, un état neurasthénique sont habituels
prurit cutané, quelques douleurs lan- cinantes dans les jambes, une
sensation
de sécheresse permanente de la bouche, une disp
uleur lombaire qui persiste quelques jours et laisse après elle une
sensation
de pression dans le rachis et les lombes (obs.VII
il fait un effort pour marcher plus vite et aussitôt ap- paraît la
sensation
d'une boule dure comprimant l'abdomen d'arrière e
a t avant (obs. VI). Douleur lombaire, tressautement des vertèbres,
sensation
de pression abdominale représentant, sinon tout
neuses corres- pondantes, épaissies et saillantes. Elles donnent la
sensation
deplusieurs masses calleuses que le loucher sép
éveille une légère douleur (obs. VI). Souvent ce n'est même pas une
sensation
dou- loureuse, mais simplement désagréable. La
ns dysesthésie notable : légère hypoes- thésie plantaire, un peu de
sensation
de tapis sous les pieds. Anesthésie pharyngée,
ostéo-arthropathie tabétique garderait pour elle l'absence de toute
sensation
douloureuse à la palpa- tion, à la pression, de
sie gauche pour le tronc et les membres ; la tête est épargnée. Les
sensations
tactiles sont partout conservées. Comme sensati
st épargnée. Les sensations tactiles sont partout conservées. Comme
sensation
subjective,B.. accuse une grande pesanteur de la
ui semble que « sa tête est entourée d'une croûte de pâte » ; cette
sensation
pénible disparaît dès qu'il prend la position h
nts) est très fortement diminué à droite. Quand elle est perçue, la
sensation
est exactement localisée. L'épreuve de la sensi
l n'a plus eu de convulsions En avril 1897, il a eu subite- ment la
sensation
des doigts morts et pendant dix minutes ne vit pl
exagérée du côté droit, mais le malade lo- calise parfaitement les
sensations
et en distingue les modalités. La sensibilité a
e portant assez bien mais se plaignant de douleurs de tête et d'une
sensation
de travail- lement-du côté gauche. Un jour, s
aux jambes. En hiver les jambes deviennent aisément cyanosées avec
sensation
de froid ; en été, au contraire, elle y éprouve
avec sensation de froid ; en été, au contraire, elle y éprouve une
sensation
de brûlure de temps à autre. Jamais de desquama
, elle était un peu émotive, pleurait facilement, avait parfois une
sensation
de boule à la gorge, était sujette à des maux d
emit d'elle-même aux pastilles de thyroiodine (1) sans autre qu'une
sensation
de faiblesse générale avec pâleur, anorexie, disp
s une seule tentative d'hypnotisation: mais la malade dominée par des
sensations
douloureuses, enfant gâtée par ses parents dont e
s se rapportant aux choses faites, vues ou entendues pendant le jour,
sensation
de chute, zoopsie persistant après le réveil; ins
tel ou tel de nos organes et non les autres de manière à produire la
sensation
du toucher, de la vue. du son. de la chaleur etc.
Il y a deshannonie plus ou moins complète dans la qualité de leurs
sensations
: il en résulte une émotivité et une susceptibili
l accomplit ponctuellement la suggestion et s'aperçoit ensuite par la
sensation
qu'il en éprouve, qu'il a une épingle profondémen
ons de ses amis ne soient plus fortes que sa volonté. 9 mai. -- Les
sensations
du besoin de boire et de fumer ont été moins vive
jà su tirer de si intéressants résultats dans ses précédentes études (
sensation
et mouvementé 1887), dégénérescence et criminalit
ers reprises des attaques d'hystérie : l'aura est caractérisée par la
sensation
d'une boule partant de l'ovaire droit. Elle perd
Nous lui faisons la suggestion qu'elle aura recouvré à son réveil la
sensation
du chaud et du froid. Nous constatons, non sans s
mment colorées. Ainsi il a pu produire chez eux de la catalepsie, des
sensations
émotionnelles diverses: joie, satisfaction, anxié
suggestion hypnotique, il a comparé l'effet de la suggestion à la
sensation
du bien-être procuré par l'ivresse et a prétendu
ssi finit par s'établir une indifférence complète, l'absence de toute
sensation
voluptueuse. je demandais un jour à un voyageur
e la volonté, tels que suppression de la vue. de l'ouïe transfert des
sensations
, tandis que des suggestions portant sur des faits
e par lui. L'idée arrive au cerveau par un des cinq sens ou par les
sensations
internes, musculaires ou viscérales. Chaque cerve
ient (douleur, démangeaison, froid, etc.) image (hallucination, rêve)
sensation
viscérale (coliques, vomissements, etc.) acte et
onté ; il est alors possible à l'opérateur d'y imprimer à son gré des
sensations
, des images et d'y faire naître la volonté d'un a
, des images et d'y faire naître la volonté d'un acte quelconque; ces
sensations
, ces images et cette volonté se reproduisent phot
ma montre pendant 10 m., puis ferme les yeux et s'endort. Léthargie.
Sensation
abolie par suggestion. Je la laisse dormir pendan
Française (Saône-et-Loire), quatrième grossesse, anémique, nerveuse,
sensation
d'une boule à la moindre contrariété. Son père a
up, elle dit éprouver une violente douleur dans la gorge rt comme une
sensation
d'étouffement, ce qui la fit revenir complètement
moment-là ses souffrances avaient disparu pour ne lui laisser qu'une
sensation
de constriction dans le ventre. Elle se (i) ???
'on pouvait toucher la cornée avec le doigt sans provoquer la moindre
sensation
. Le 17 février 1891, je fus appelé près de la m
, les troubles de la sensibUité générale (byperesthésies, névralgies,
sensations
morbides), certains troubles de la mobilité (paré
x mois; il resta alité pendant huit jours, puis marcha, mais avec une
sensation
de gêne douloureuse, en se forçant. Il existait u
cerveau postérieur 'siège de l'instinct sexuel proprement dit et des
sensations
\isuelles, tactiles, olfactives qui le mettent en
nir réveillant l'appétit sexuel), ou sous une influence périphérique (
sensation
provenant des muqueuses génitales}. Chez les spin
nitale, est chez eux troublée. Un priapisme persistant s'établit, des
sensations
voluptueuses se produisent, la moelle entre en ac
odes à un éréthisme génital se traduisant par du prurit vulvaire, des
sensations
voluptueuses et sur lequel les causes morales, le
magination. C'est au milieu de leurs enfants, d'étrangers.... que ces
sensations
irrésistibles viennent chercher les malades, acco
re son ménage quand survenait tout à coup, au niveau de la vulve, des
sensations
absolument identiques à celles du coït; en môme t
t maintenant d'une façon irrésistible, pour augmenter l'intensité des
sensations
. Pendant plusieurs années, les choses ont duré ai
le faire, mais elle se retient, non sans éprouver € A l'estomac » une
sensation
désagréable qui se propage jusqu'aux organes géni
le matin, sans cause apparente; parfois elles sont provoquées par la
sensation
d'agacement produite par les hémorrhoïdes que la
uite par les hémorrhoïdes que la malade porte depuis douze ans; cette
sensation
anale se propage A la fourchette et dans le vagin
ent des mouvements de propulsion du bassin et elle ressent toutes les
sensations
d'un rapprochement sexuel, sensations qui s'irrad
ssin et elle ressent toutes les sensations d'un rapprochement sexuel,
sensations
qui s'irradient dans les reins et à l'anus. En mê
Mon Dieu! j'aime mieux mourir! Quel malheur! » tout en éprouvant des
sensations
voluptueuses et en entrecoupant ses lamentations
t faire avorter la crise, elle se lève, s'babille : peine mutile; les
sensations
génitales continuent ; elle se cramponne alors i
ve, au milieu des cris et de mouvements désordonnés irrésistibles, la
sensation
du coït avec sécrétion des glandes vulvo-vaginal
mains) se répétant avec une rapidité vertigineuse. Je lui suggère la
sensation
d'un fluide magnétique entre mes deux mains, sur
nouveau. Je lui suggérai la disparition de la peur et de toutes les
sensations
maladives, sommeil calme, l'obéissance entière à
un an par des tiraillements douloureux à la région epigastrique avec
sensation
de faim; de plus, elle ressentait comme un nœud à
ne passent plus du tout. Quand elle avait mangé, elle ressentait une
sensation
de gêne et d'arrêt, vers le milieu du sternum, du
même le lait, ne passe pas; elle n'a d'ailleurs jamais vomi. Mais la
sensation
de gêne produite est tellement intense et s'accou
quides qu'elle peut avaler. Elle ressent une gène rétro-sternale avec
sensation
d'étouffemeni ; cette gêne est suivie bientôt de
nfiture et un verre de vin pour son souper; elle n'accuse plu* aucune
sensation
douloureuse. Depuis cinq mois, la malade ne dorma
bien et demande sa sortie. Il s'agit, dans cette observation, d'une
sensation
hystérique de nœud ou gène rétro-sternale, produi
ternale, produite par le passage des aliments, datant de un an. Cette
sensation
dégénère parfois en étouffements et en crises con
e ne peut prendre autre chose ; cependant elle ne vomit pas ; mais la
sensation
de gène est telle qu'elle ne peut rien prendre de
e. C'est au niveau de la fourchette et du vagin que se localisent les
sensations
génitales les plus intenses. Notons la présence d
rché les stigmates de l'hystérie : jamais d'accidents conv'ulsifs, de
sensation
de boule. Pas de douleur à la pression de l'ovair
MM. Charcot et Bouchard, il survenait spontanément chez la malade des
sensations
voluptueuses qu'elle comparait à celtes du coll.
nécessaire dans ce genre de travail provoquait souvent chez elle des
sensations
voluptueuses avec spasme erotique et éjaculation.
'en continua pas moins à éprouver tous les huit ou quinze jours des a
sensations
voluptueuses violentes, qui la surprenaient à l'i
e sorte de chatouillement, de vibration dans l'intérieur du vagin. La
sensation
gagnait le clitoris qui entrait bientôt en érecti
ce une nymphomane? pas davantage. L'appétit sexuel n'existe plus. Ces
sensations
génitales, loin de les rechercher, elle les subit
eux moitiés de la face. De légères piqûres provoquent partout une
sensation
de douleur égale des deux côtés. Le loucher e
ombre, déprimée ; la malade prête beaucoup d'attention à toutes ses
sensations
anormales. Les fonctions intellectuelles sont e
t même dans les endroits où un courant maximum ne provoque pas de
sensation
douloureuse. Point d'analgésie, ni d'anesthésie
ventre et à la partie inférieure de la poitrine. De temps en temps,
sensation
de fourmillement dans les mains. Des sensations
De temps en temps, sensation de fourmillement dans les mains. Des
sensations
étranges sont éprouvées dans la cavité buccale
on n'aperçoit nulle part d'atrophie. Souvent le malade éprouve une
sensation
difficile à décrire à l'épigastre; point de dou
manesthésie existe au moins cinq à six ans, les maux de tête el les
sensations
vertigi- neuses depuis trois à cinq années. 11
nt des erreurs du jugement des tabétiques, qui croient éprouver des
sensations
n'ayant pas de raison d'être trois observations
ntensité de la sollicitation, on voit brusquement se développer une
sensation
anormale extrême ; d'autres individus demeurent
e ces perturbations se résume ainsi; très souvent l'intensité de la
sensation
ne croit chez le tabétique qu'avec l'étendue de
ne sont-ils perçus que si on leur donne une certaine surface, et la
sensation
ne se développe-t-elle que lorsqu'on applique côt
rine, à des troubles vasomoteurs (battements de coeur, lipothymies,
sensation
de manque d'air) est devenue la source du délir
dynamométriques, sur l'acuité auditive, surle temps de réaction des
sensations
auditives et tactiles pendant la veille et le s
xercer chacun de ces trois états sur le corps, c'est-à-dire sur les
sensations
, les mouvements et les fonc- tions organiques,
il est pris tout d'un coup d'une douleur atroce, accompagnée d'une
sensation
de brûlure et de soif à la région précordiale : l
tout se mouvait, dit-il, autour de lui et avec lui; il comparait sa
sensation
à celle d'un bateau qui est battu par les flots
fermés et se cramponnant aux objets environnants pour éviter cette
sensation
vertigineuse. C'est alors que, suivant l'habitu
à le frictionner. Mais, dès qu'on commence à le toucher, la même
sensation
survient et le malade pousse des cris , en priant
s lui enfoncèrent une aiguille sans que le malade en eût la moindre
sensation
. Au bout de dix jours, durant lesquels il fallu
n'a rien senti; mais, au bout de ce court délai, il est pris d'une
sensation
dépression avec constriction à la nuque, comme si
t-à-dire seize jours en tout. Nous avons oublié d'ajouter qu'aucune
sensation
voluptueuse n'était associée à ce priapisme. Le
es membres paralysés du-malade sans qu'il en ressentit la moindre
sensation
. Unerétention d'urines et de selles a nécessité l
nt très fort, qui rapidement monte jusqu'aux côtes gauches. La même
sensation
ayant la même marche ascendante arrive au côté
après sa montée et l'enlèvement du casque, le malade est pris d'une
sensation
de chaleur à la nuque qui bientôt après se trans-
Paralysie spastique du membre inférieur gauche et un peu du droit.
Sensations
étranges du membre gauche ; hyperesthésie au fr
e casque. Immédiatement, il a été pris d'une dyspnée intense avec
sensation
de suffocation imminente; la respiration était so
on membre gauche, alors il sent depuis le genou jusqu'au pied une
sensation
désagréable de picotement. Cette sensation ne se
genou jusqu'au pied une sensation désagréable de picotement. Cette
sensation
ne se pro- duit pas à droite. Il y a aussi une
urtout du membre droit. A cette époque, le malade avait recouvré la
sensation
de la défécation. L'impuis- sance génitale pers
rmés et se cramponnant aux objets environnants, pour éviter cette
sensation
vertigineuse. Dès qu'on commençait à le frictio
ade de l'Observation X, et ont consisté eu une dyspnée intense avec
sensation
de suffocation accompagnée de respiration sonor
XI). Les compagnons des malades se gardent bien de satisfaire cette
sensation
, et avec raison, comme on le verra dans la suit
avec raison, comme on le verra dans la suite. s). Brùlure. Cette
sensation
de brûlure a été remarquée une seule fois chez
it ce mode de sensibilité est en partie détruit, en partie diminué.
Sensations
subjectives : état frileux, fourmillement, sens
rtie diminué. Sensations subjectives : état frileux, fourmillement,
sensation
de constric- tion dans la partie supérieure de
are. Le malade sentie froid de la neige, l'eau chaude lui donne une
sensation
de chaleur, il ne suppose pas l'existence de so
sensa- tions du côté droit, mais en revanche la neige donnait la
sensation
de froid. Chez ce malade, on pouvait DE LA GLIO
rversion du sens de la température les objets froids produisent une
sensation
de chaleur et à l'inverse (OBs. IV). Nous n'avo
nt les malades se plaignent de paresthé- sies de différente sorte :
sensation
de refroidissement, sensibilité au froid des me
mbres, ne dépendant pas toujours du refroidissement de ces parties,
sensation
du froid se répandant sous la peau, etc.; parfo
rfois, au DE LA GLI011ATOSr MEDULLAIRE. 209 ) contraire c'est une
sensation
de chaleur et de tiédeur, allant jusqu'à la dou
sensation de chaleur et de tiédeur, allant jusqu'à la douleur, une
sensation
de « cuisson froide », de constriction, de corp
rescription médicale, pour com- battre une insomnie avec agitation,
sensation
d'angoisse, misan- thropie, à partir du milieu
tieux, dont le gros lot est la principale base. Lorsqu'un crime à
sensation
vient de se produire, beaucoup de névro- pathes
arrivent jusqu'aux côtes gauches. Quelques moments après, la même
sensation
se produit exactement au côté opposé. Ces fourm
ômes du groupe respiratoire, les douleurs atroces épigastriques, la
sensation
de brûlure et la soif, symptômes du groupe gast
bre gauche du malade de l'OBSERVATION X, celui-ci éprou- vait une
sensation
désagréable de picotements, depuis .DES ACCIDEN
t lui traverser la peau avec une aiguille sans provoquer la moindre
sensation
. En ce moment, le. malade ayant envie d'uriner
rs sont, dit-il, plus permanentes, plus lourdes, accompagnées d'une
sensation
de serrement de constriction. Elles choisissent
pas de symptômes céphaliques. Le 22 janvier est venu s'ajouter une
sensation
désagréable à la région sacrée, sur laquelle se
le, une région quel- conque de ce membre, le malade ressent la même
sensation
de picotements d'aiguille sur toute la longueur
e picotements d'aiguille sur toute la longueur du membre; la même
sensation
se produit par le contact. L'application du froid
duit par le contact. L'application du froid ne pro- duit plus cette
sensation
de picotements d'aiguilles, mais un senti- ment
nt de l'arliculation, et d'une dyspnée intense ; le malade avait la
sensation
d'un poids considérable qui l'étoull'ait. Pas de
st la dyspnée du malade de J'OB- SLRVATION XVIII, qui avait même la
sensation
d'un poids considérable sur la poitrine, lequel
quefois penchée en arrière. Parole lente, le plus souvent tremblée.
Sensation
intercurrente ' Voy. Archives de Neurologie, vo
'air extérieur, la main appliquée sur la jambe gauche, saine, a une
sensation
de frais; sur la cuisse droite (malade) une sen
saine, a une sensation de frais; sur la cuisse droite (malade) une
sensation
de tiède, et une sensation de chaud, au niveau de
frais; sur la cuisse droite (malade) une sensation de tiède, et une
sensation
de chaud, au niveau de la jambe du même côté (t
temps à l'air libre, la main ap- pliquée sur le tibia gauche a une
sensation
de « frais » sur la partie inférieure du tibia
« frais » sur la partie inférieure du tibia droit, elle perçoit une
sensation
de « tiède », et une sensation nette- ment « ch
ure du tibia droit, elle perçoit une sensation de « tiède », et une
sensation
nette- ment « chaude » lorsqu'on la place sur l
aryngés : après quelques brèves secousses de toux ou bien après une
sensation
de chatouillement à la gorge, la malade tom- ba
e inusitée ; elle dit ne pas pouvoir tenir en place et éprouver des
sensations
de fourmillement et de piqûres cutanées. 6 av
certaine gêne dans la déglutition et la mastica- tion ainsi qu'une
sensation
de pesanteur dans la région sus-sternale. La co
e resta alitée pendant trois jours, sans lièvre, paraît-il, avec la
sensation
d'une gêne douloureuse dans les mouvements de l
t qu'à l'exploration de la paroi postérieure du pharynx on avait la
sensation
que l'un des corps vertébraux fût projeté en av
s étaient caractérisées par une douleur subite et angoissante, avec
sensation
d'élan, siégeant dans la région rétro-sternale,
squ'à 25 ans aucune maladie, fut pris à cette époque de douleurs et
sensation
de froid dans le pied droit pendant la marche. En
il ressentit dans le bord interne de l'avant-bras et de la main une
sensation
d'engourdissement, avec picote- ments douloureu
ital au niveau de la gouttière épitrocliléenne ne provoquait aucune
sensation
anormale, ni aucune recrudescence des troubles mo
le rire devient alors béat, puis tu ni ? "ux, violent. Il donne une
sensation
de fatigue profonde. La malade met tout en jeu po
ues sont absolument indolores. Le sujet accuse simplement une vague
sensation
de compression au-dessus du cartilage cricoïde.
é dans l'impossibilité absolue d'arti- culer le moindre mot.On a la
sensation
que l'on est en présence d'un spasme produit pa
ci un facteur men- tal quelconque : pas de besoin impérieux, pas de
sensation
de satisfaction, la crise une fois accomplie, a
sme réflexe suffise pleinement à les produire. Il n'y a pas que les
sensations
tactiles qui soient susceptibles de déterminer
moins du monde. La vue 172 LEFÈVRE distraite de la fourchette, la
sensation
kinesthésique dans la position du bras constitu
elles. En se réfléchissant, l'excitation primitive, c'est-à-dire la
sensation
peut en- core atteindre le centre Il où elle se
nature et son intensité. On sait, en effet, en physiologie que les
sensations
retentissent sur la circulation en ré- Fic. II.
en ré- Fic. II. - A représente les cenlres récepteurs de toutes les
sensations
, conscientes ou végétatives, venant du monde ex
ne peinture, une photographie en chair de l'excitation. Lorsque des
sensations
différentes affectent.en même temps l'organisme
er au sur et à mesure que celle-ci devient plus intense, de même la
sensation
qui n'est qu'une excitation agit d'autant plus
xe intellectuel, nous allons saisir au moment de sa pénétration une
sensation
quelconque et la suivre dans tout son parcours
ent à se faire acte c'est-à-dire à se transformer en mouvements, en
sensations
ou en actes d'inhi- bition. Elle est démontrée
s au sur et à mesure que le cerveau se meuble de connaissances, les
sensations
excitatrices éprouvent de la résistance dans leur
iques conditionnées par des équivalents mécaniques des idées ou des
sensations
. Ajoutons encore qu'il semble, lui aussi, être
e est postérieure à la nais- sance que son développement dépend des
sensations
auditives. Le sourd-muet ne parle pas, parce qu
ion. Mais maintenant que l'on sait d'une ma- nière certaine que les
sensations
constituent des équivalents mécaniques des chos
uxième point. Si nous supposons maintenant qu'une excitation, une
sensation
c'est-à-dire lin mot, un écrit, un événement et
de tout comme à propos de rien. Les crampes surviennent sans cette
sensation
de besoin qui précède souvent l'exécution d'un
le malade est pris subitement, pendant qu'il manie la plume, d'une
sensation
de fatigue, accompagnée d'une roideur spéciale
de la main droite. Il commença à éprouver des fourmillements et une
sensation
de froid dans les troispremiers doigts de la ma
forte douleur dans les muscles de l'épaule et du bras droits, avec
sensation
de fatigue extrême ; il lui fallait un vrai coura
s et saillants. Les jumeaux très dévelop- pés donnent au toucher la
sensation
de noyaux irréguliers, les uns très durs, les a
miers troubles de la maladie actuelle. Ils se manifestèrent par une
sensation
douloureuse et diffuse à tous les os. Bien que
a les rugosités d'une peau d'orange. Au toucher, la pean donne une
sensation
de fermeté, d'élasticité ; elle est très épaiss
races. Des symptômes névritiques il ne restait plus qu'une certaine
sensation
douloureuse à la pression du nerf médian et du
d il écrivait, quand il « créait ». Dans ses travaux de copie cette
sensation
disparaissait, mais pour ÉTUDE SUR LES CRAMPES
l définit ce qu'il éprouve alors de la façon sui- vante : c'est une
sensation
à la fois de faiblesse et de raideur dans les doi
uleur dans le membre supérieur droit ; il accuse seulement quelques
sensations
pares- thésiques dans l'avant-bras et dans la m
lignes par jour très correctement, éprouvant quelquefois encore une
sensation
de raideur dans les doigts et le bras, mais trè
et augmen- tés de volume. Le cancer plenro-pulmonaire détermine une
sensation
très pénible de constriction et de resserrement
es suivants : La dyspnée est intense, accompagnée de polypnée et de
sensation
de suffo- cation ; la respiration rappelle par
ase initiale ont été les symplômes bien connus.et partout décrits :
sensation
générale de malaise et d'abatte- ment, fièvre,
» mais sans difficulté de res- pirer ; en même temps elle a eu une
sensation
de chaleur dans les membres inférieurs, et elle
'mouvements extrêmement réduits dans le membre inférieur droit. La
sensation
de chaleur avait alors disparu. Le même soir la m
ut sentir des piqûres faites avec la pointe d'une épingle, mais ces
sensations
sont moins distinctes que plus haut sur le thorax
re de Potain est de 12. La malade se plaint t de palpitations et de
sensation
d'oppression à l'occasion du moindre effort. Ap
que. Archi- ves générales de Médecine, 1900, i, p. 641. (2) Féré,
Sensations
el mouvements, Paris, 1887. (3\ JACQUI'I, Mémoi
des muscles du corps et des extrémités est exagérée. Sensibilité :
sensations
subjectives de douleur dans la partie supérieure
raquement dans l'épine dorsale, au niveau de la région lombaire. La
sensation
que le malade éprouva en ce moment, fut telle q
bital des deux mains. Sur la face antérieure de la main droite, les
sensations
thermiques ne sont presque plus perçues : la cha-
et examinée, l'inefficacité de la cure iodurée, l'absence de toute
sensation
douloureuse, l'absence de pléiade ganglionnaire
e soir une forte fièvre ; alors il était anxieux et par suite d'une
sensation
vague et désagréable au milieu du dos il ne pou
ntractent. Ainsi la respiration est très insuffisante,le malade a une
sensation
de dyspnée et ouvre largement la bouche à chaqu
nose. N'ayant point du tout la conscience troublée, le malade a la
sensation
très nette qu'il va mourir d'une suffocation ca
n de fortune pri- vilégiée permet d'épuiser rapidement la gamme des
sensations
se créent de toutes pièces la mentalité infirme
se maintenir debout quelque temps; mais il a du vertige et il a la
sensation
que tout tourne autour de lui. Quand il passe
trait dans l'ar- ticulation des genoux.Plus tard il s'aperçut d'une
sensation
de rigidité en mar- chant ; celle-ci, toutefois
il marchait comme une recrue. L'année suivante, le patient nota une
sensation
de faiblesse dans tout le membre inférieur droit,
s froid et il en a beaucoup souffert. Le 7 octobre il a éprouvé une
sensation
d'engourdissement aux extrémités des doigts. Le
sauf le soir du 8 octobre, 37°9. Etat le Il octobre. - Un peu de
sensation
d'engourdissement aux doigts. Une parésie très
sse des membres inférieurs a commencé et en même temps une certaine
sensation
de raideur des articulations des membres inféri
septembre, il a senti des dysesthésies aux jambes et aux pieds, des
sensations
de fourmil- lement et de picotement, mais pas d
été obligé de rester au lit. Pendant le même temps il a éprouvé des
sensations
de fourmillement aux mains et une faiblesse des m
périphériques, les orteils et les bouts des doigts, par exemple des
sensations
d'engourdissement, de fourmillement ou de picot
nsations d'engourdissement, de fourmillement ou de picotement ou la
sensation
que les téguments y sont recouverts d'un corps
mal. qu'une sorte de registre sur lequel vont s'inscrire, grâce aux
sensations
dont ils sont l'origine, tous les actes instincti
ctes qui re- lèvent de l'instinct, mais ce sont ceux-ci qui, par la
sensation
que leur réalisation fait naître, deviennent la
tue une sorte de registre sur lequel viennent s'inscrire toutes les
sensations
, seule source des idées, L'équilibre organique
nent en outre sur ce que les autres font et qu'ainsi il perçoit des
sensations
dont le terme idée est un équivalent psychologiqu
. L'individu n'est conscient de ce qu'il fait que parce qu'il a des
sensations
et la preuve, nous la trou- vons dans ce fait q
cun esprit positif, qu'une activité vitale quelconque, mou- vement,
sensation
ou pensée relève d'un substratum et, par conséque
lexe, la sensibilité se transfor- me mécaniquement en mouvement, en
sensation
nouvelle ou en acte d'inhibition, en vertu des
stomac, la muqueuse est impressionnée d'une façon adéquate et cette
sensation
est conduite par une cellule ner- veuse avec se
borer les sucs digestifs. Bref, par une suite de communications, la
sensation
initiale agit sur une cellule sensi- tive qui r
tte et cherche à se débarrasser de la substance irritante. C'est la
sensation
elle-même qui a mis les pattes en mouvement grâ
de l'activité de l'autre. Cette cause réside évidemment dans les
sensations
qui naissent du mou- vement vital et dans les e
s matières fécales, il se vide automatiquement. Ce sont de même des
sensations
viscérales ou cutanées qui déterminent les contra
s qui leur sont destinés, la préhension des aliments provoquent des
sensations
qui sont reçues, enregistrées et perçues. A ce
isitions que le cerveau enregistre et perçoit, dans la me- sure des
sensations
qu'il reçoit successivement par l'intermédiaire d
épublicaine et à Saumur, dépassent au contraire la mesure et, avec la
sensation
de lourdeur qu'elles inspirent, surtout les derni
donc donner une description certaine. « J'éprouve tout d'abord une
sensation
bizarre, indéfinissable, dans la main droite ; pu
es tournantes, pendule explorateur, cumberlandisme avec contact), les
sensations
et la mémoire inférieures (fausses divinations, c
sentiment triste se trouve considérablement atténué et dominé par une
sensation
reposante. La couleur jaune est, elle, une coul
lus sur la population cette impression d'incomplet, de décousu, cette
sensation
inexprimable de déshabillé, de lâché, de vague ma
s successives, les images et les idées que le sens visuel produit par
sensations
synchro-niques . Ajoutons que, chez les aveugle
n mystique et croyance aveugle à sa mission ; phénomènes miraculeux ;
sensations
érotiques latentes ou apparentes ; symptômes nerv
t de place dans un lieu étroit ou dans un souterrain, etc. Toutes ces
sensations
s'expliquent le plus naturellement du monde par l
rtir les caractères fondamentaux : 1° faiblesse de transformation des
sensations
en idées ; 2° diminution du pouvoir de création ;
se, d'autant que la malade prétendait instamment qu'elle avait eu une
sensation
spéciale au moment de l'injection ; que celle-ci
es, par exemple, l'existence du monde extérieur, l'objectivité de nos
sensations
, la permanence et l'unité du moi, la réalité de l
idéaliste de la connaissance vous empêchera de sortir de vos propres
sensations
subjectives. Les problèmes que je viens d'énonc
que nous agissons comme si le monde extérieur existait, comme si nos
sensations
avaient une valeur objective, comme si l'espace é
s'il n'a jamais entendu cet air. De même » ordonnez-lui d'éprouver la
sensation
de brûlure et les phénomènes somatiques qu'elle c
, aucune rougeur n'apparaît ; J. K. éprouve seulement une très légère
sensation
de chaleur. Réveillé, il confesse que, non seulem
Par conséquent, la suggestion expérimentale ne doit solliciter une
sensation
et son trouble trophique concomitant que si Vune
Les larmes ne sont donc pas l'apanage de l'espèce humaine. Les mêmes
sensations
produisent chez les animaux et chez l'homme les m
ient dans cette catégorie les individus incapables de se souvenir des
sensations
ressenties, qui n'avaient aucune habileté manuell
manière particulière : un certain nombre de phénomènes élémentaires —
sensations
et images — cessent d'être perçus et paraissent s
pinion de M. Sollier, mais c'est précisément sur les réactions et les
sensations
des centres modifiés, comme nous allons le voir q
, d'oppression, de palpitations cardiaques, de transpiration et d'une
sensation
pénible dans les yeux, comme après une lecture pr
'impulsions, d'idées et de phobies obsédantes. Dans son travail « Les
sensations
externes et internes ; leur influence sur le cara
Chez mes deux malades, la phobie obsédante a pu germer aux dépens des
sensations
internes, qui, dans certaines conditions, s'assoc
avoir pour objectif principal, d'une part, d'amender l'intensité des
sensations
ressenties et, d'autre part, de suggérer qu'il es
théorie de l'obsession. (Arch. de Neurol., avril i902). D. Dril : Les
sensations
externes et internes ; leur influence sur le cara
ont l'expression de la névrose. Au premier groupe appartiendraient la
sensation
de boule, l'hyperesthésie de certaines parties du
écanisme de production des divers syndromes hystériques. Une série de
sensations
correctrices, psychiques, motrices, sen-sitives,
rapport immédiat avec les pensées, les représentations mentales, les
sensations
, surtout émotives... Le désordre du moi de l'hyst
le lendemain elle était toute couverte de rougeurs s'accompagnant de
sensations
de brûlure. Elle fut reçue à l'hôpital, où on la
06 se produisit une crise particulièrement violente, annoncée par une
sensation
d'étouffé ment, et au sortir de laquelle Alexandr
ce d'or étant alors appliquée sur le coté gauche du front produit une
sensation
de brûlure ; la .sensibilité à la piqûre reparaît
èce d'or sur un point quelconque de la peau ne provoquait plus aucune
sensation
de brûlure. Cet état de parfait équilibre s'est
son d'autres symptômes se rattachant à la même cause. Hémianesthésic,
sensation
spéciale due au contact de l'or, ont disparu en m
aris) Nous désignerons, sous le nom de paresthésie pharyngée, toute
sensation
erronée ayant pour point de départ ou pour abouti
pour point de départ ou pour aboutissant le larynx. Suivant qu'il y a
sensation
sans objet, ou mauvaise interprétation d'une lési
r de ¦ leur maladie. En clinique on a le plus souvent affaire à des
sensations
de fausse présence : le malade croit avoir dans l
es arthritiques, certaines toux nerveuses, ont la même origine. Cette
sensation
de corps étranger est ordinairement fixe ; rareme
; rarement elle se déplace, à la façon de la boule hystérique. Les
sensations
d'obstruction se rapprochent de la précédente. Lé
fonctionnelles. Lorsque le pharynx nasal est le point de départ des
sensations
maladives, il peut se produire une phobie respira
une crise d'asthme parfois des plus violentes. La localisation de la
sensation
erronée peut ne pas être en-rapport avec le siège
violentes douleurs dentaires. D'autres fois, les malades accusent des
sensations
d'ardeur, de sécheresse, qui peuvent donner naiss
écrétoires, fréquents chez les nerveux. C'est parmi les porteurs de
sensations
douloureuses que se recrutent (1) Rapport à la
bénigne, qui comprend les cas banaux et journaliers, il n'y a qu'une
sensation
de gène, sans obscurcissement de la conscience, n
anxiété morbide. Les amygdales sont souvent le point de départ de ces
sensations
erronées, qui sont généralement curables. Dans
s résultent d'une excitabilité du grand sympathique, qui fait que des"
sensations
qui, chez un sujet normal, sommeillenldans l'inco
lenldans l'inconscient, envahissent la conscience de nos malades. Ces
sensations
, souvent étranges, aboutissent à des obsessions,
un organe plus ou moins éloigné (foie, estomac, utérus, reins). Une
sensation
à point de départ pharyngée ne constituera une pa
aresthésie que si le malade, à force de fixer son attention sur cette
sensation
finit par ne plus pouvoir l'en distraire. A côté
e, est susceptible d'exagérer la phobie ou de substituer une nouvelle
sensation
maladive à l'ancienne. On obtient souvent d'excel
ait s'opposer à l'émission des sons, il éprouvait en même temps une
sensation
de constric- tion à ce niveau; d'après ces rens
ne, deux, trois secondes environ, rigi- dité qui s'accompagne d'une
sensation
spéciale parfaitement perçue par le malade, et
is de la difficulté à ouvrir convenablement la bouche et éprouve la
sensation
de raideur dans les muscles des mâchoires et da
l'exécution même du mouve- ment ; ce phénomène est accompagné d'une
sensation
spéciale à laquelle le malade ne se trompe pas,
vidus sains. Ce qui gêne surtout le malade, ce n'est donc pas cette
sensation
, mais bien l'impotence fonc- tionnelle causée p
utres muscles complètement atro- phiés; il n'y a pas non plus cette
sensation
de spasme tout à fait caractéristique. Si, ma
moyen de pressions douces exercées sur la surface tympanique, une
sensation
sonore provoquée au con- tact du diapason la 3
être ronde a résisté. On obtient donc ainsi une sorte de gamme de
sensations
correspondantes aux divers états de l'appareil
isse. Epreuve des pressions centripètes : Belles variations de la
sensation
à droite; à gauche, extinction brusque du son du
ues phénomènes curieux : des engourdissements de tout un côté ; une
sensation
de froid dans la cuisse; des douleurs dans la v
s pas du tout parles os du crâne; le diapason placé au vertex donne
sensation
maximum du côté non blessé. Epreuves par les pr
l y eût le moindre retard entre l'excitation et la perception de la
sensation
provoquée. Aussi était- il facile de déterminer
ec la taille géné- rale du malade. Par la pression on éprouvait une
sensation
spéciale de tissu lardacé, sans imprimer sur la
maux de tête. Puis surviennent les phénomènes de l'aura hystérique,
sensation
de boule à la gorge, serrement à l'épigastre qu
dant quelques instants, commence à se sentir défaillir. Elle a la
sensation
de la mort qui approche, et se produit alors le
du nerf olfactif ne 'provoque ni douleur, ni réflexe, mais bien une
sensation
odorante phosphorée; même constata- tion cliniq
ne d'urine, l'incertitude de la démarche, le signe do Romber- et la
sensation
d'engourdissement dans le nerf cubital gauche.
t vaste externe con- sidérablement aplatis à droite. Formication et
sensation
vel- 103 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vétiqu
e des accidents neuf jours après, avec tendance à tomber à gauche :
sensation
de froid dans la moitié gauche de la face, dévi
r droit. Jamais de perte de connais- sance ; céphalalgie fréquente;
sensation
de pression sur la tête. La marche est un peu i
accidents de cette nature et eu particulier dans le vertige avec
sensation
de translation, du type de celui de Ménière. De
écoulement d'oreilles, ni battements, ni bourdonnement. La seule
sensation
qui tourmente le sujet, c'est la surdité, il n'en
e, état demi-syncopal, la face se porte du côté opposé; angoisse et
sensation
de rotation. Enfonçure énorme et opacité du tym
e médecin récolte les dires du malade et note les modifications des
sensations
auditives que le sujet a éprouvées. J'ai cherch
tions concorder avec chaque poussée ; il y a désac- cord entre les
sensations
éprouvées par le sujet et par l'opérateur. Et
r, le son du diapason frontal cesse d'être perçu, et aussitôt une
sensation
de vertige traverse la tête du sujet, et le rend
tige traverse la tête du sujet, et le rend hébété et étourdi. Cette
sensation
se répète à volonté ; et l'exa- men en ce sens
ns effectuées, le sujet n'éprouve rien de tel, ou tout au moins des
sensations
particulières, nées de l'ébranlement labyrin- t
tripètes, onze fois celles- ci ont amené l'extinction brusque de la
sensation
du son du diapason posé sur le front (bosse fro
e. Dans les cas où les pressions ont causé des varia- tions dans la
sensation
sonore ou éveillé le vertige; souvent aussi le
de l'épreuve. A l'état sain il y a concordance complète entre les
sensations
variées soit du sujet, soit de l'observateur. T
gnait d'étouffements, de palpitations cardiaques et éprouvait la
sensation
d'une boule remontant à la gorge. A partir de ce
douleurs frontales, marquées surtout au niveau de la tempe droite (
sensations
de coups de marteau); c'est à ce niveau de L'HY
la main. La parole devient déplus en plus difficile et entrecoupée.
Sensation
de boule à la gorge et fré- quents mouvements d
es, ulté- rieurement, des accès de troubles psychiques, précédés de
sensations
spéciales, durant plusieurs jours, se présentan
rtir de ce moment, on ne constate qu'une fois, en janvier 1882, une
sensation
d'oppression pénible à la région précordiale. L
il >( 1, 1-, ' ;j~ laie et pariétale ascendantes, à l'égard des
sensations
de contact. Pour Munk et, Tripier, .en effet, l
mne. Il fait tous les mouvements ? ' . , ' , Elle se plaint d'une
sensation
d'engourdissement s'étendant à tout le membre i
ieur est le même qu'au début ? , '. 8 avraZ. = Elle se plaint d'une
sensation
, du brûlure dans toute la jambe' gauche ! Elle'
uche ; d'abord simple parésie, mais bientôt paralysie to- tale avec
sensation
de, froid aux extrémité^ des doigts en'même tem
s, tabétiques se sont montrés, il a a onze ans. Ils consistaient en
sensations
douloureuses aiguës, 'au"niveau dé- la réâiôn'd
lômbaire et de la'colonne verté- t brale : tC'étaient surtout'des :
sensations
de-i-oiîgeïi2ent qui surve- , liaient par crise
r aucune · " , ' UJJ^ir'jll ilU ? ljVlll ? «tlLlill.lJj, ,IJI ? I
sensation
. f; ,jnJJifl l"fll '1 . L l 1 in ·J J'iJE f . '1
ccompagnée )d'abord de chaleur, érythème, transpiration, puis d'une
sensation
defroidsubjective ayeCjCyanosp et état blafard
nt n'intporte oil, vuirehemlant ses examens, et sont précédés d'une
sensation
de malaise général souvent ac- compagné de batt
s sujets en ques- tion. M. Kirn consacre- enfin quelques pages à la
sensation
sexuelle inverse ', dont il apporte deux nouvel
esponsabilité complète dans le second. P. K. XXI. Contribution A la
sensation
sexuelle contraire AU point DE vue \IliDICO-LI;
posé'; l'attraction est telle que l'indi- vidu éprouve les pensées,
sensations
, aspirations du sexé'-qu'il1 devrait, avoir,aur
? ^j»1» ? »;. 1lw..l. 1, i » . cividu avec tous les attributs d une
sensation
naturelle ? puis7, ? .», ? i, ,.i fiRii ? ).[') n
peur aiguë, manie), par parli.pris (folie morale), par angoisse et,
sensations
irrésistibles (lypémanie),par motif psychique e
procède pu de la réflexion (délire), ou des hallucina- tions, ou ne
sensations
pénibles (action réflexe); 'en' tout cas) il' fau
nomoi. ? ? Uffiflin ? 11. -Iliffiif ,1 o-r/,9.n ? ? )).rt) 1 ses
sensations
propres d origine'' locale ou excentrique; I)atgo
mais plus souvent de l'hyperesthésie : les malades se plaignent de
sensations
douloureuses internes; ils ont une aversion spé
pposition avec ceux de la première phase. Les malades éprouvent une
sensation
de bien-être général; ils ont de l'appétit, pre
(Pitres) (résumé) '. Légal, soixante-six ans; le 22 novembre 1875,
sensation
d'en- gourdissement dans les membres du côté dr
Vertiges sans perte de connaissance et que le malade compare à une
sensation
d'isolement. Il voit encore lalumière. mais ne
es et cloniques, sommeil prolongé. Les vertiges sont précédés d'une
sensation
vague, qui pré- vient le malade. Les grands acc
n- complets. Ils seraient précédés d'idées noires, d'une sorte de
sensations
d'étouffement ; puis la malade perd connaissance,
les à cheveux dans la peau, sans éprouver de douleur. En outre, les
sensations
sont confuses : les deux pointes d'un compas as
l'une de l'autre (7 à 8 centim.) ne donnent presque partout que la
sensation
d'une seule piqûre et encore est-elle souvent t
les très graves de la sensibilité générale donnant lieu à autant de
sensations
fausses ou faussement interprétées. De toutes l
s ou des préoccupations exagérées sur l'état de la santé, sur des
sensations
maladives de toute nature auxquelles s'associent
se montrent les accès suivants : au milieu de la meil- leure santé,
sensation
de tension sus-larsngienne siégeant immé- diate
iopathique du crémaster tout aussi inexpliquée qui, elle, cause une
sensation
de contraction locale ex- trêmement pénible. Gu
dans le dos et l'arti- culation du pied droit, pesanteur de tête ;
sensation
de faiblesse générale et de débilité. Vingt-neu
expériences, celles qui étaient capables de rendre compte de leurs
sensations
n'ont accusé aucun trouble et ne se souviennent
aura sensitive, consistant en une douleur très vive analo- gue à la
sensation
produite par une décharge électrique, et locali
s par leur état, ils se concentrent en eux- mêmes, amplifient leurs
sensations
, par exgération du sens émotif, et presque cons
ûfrplils`rien'luiaurivér'de pis. Dans lc9soui'ire's'areastiqucy la'
sensation
do plaisir est fournie' par la conscience qu'a l'
ale en ce sens que ce dernier pro- voque la formation de pensées et
sensations
fausses; souvent, par exemple, chez les déments
identique compliqué de formica- lions dans la main gauche et d'une
sensation
veloutée toute par- ticulière sur la peau de l'
oit l'amblyopie de j'ceu gauche, les formications de la main et les
sensations
de la région auriculaire du même côté, ainsi qu
les. 260 VARIA. avec des ceintures : on évite ainsi au patient la
sensation
de froid produite par l'humidité du réceptacle.
e tous leurs muscles sont également atteints. La palpation donne la
sensation
caractéristique de la pseudo- hypertrophie : il
e- nons de plus précis, c'est que les accès sont annoncés par une
sensation
de strangulation et qu'ils s'accompagnent de pert
lée». Plusieurs fois aussi après les attaques, Ang... a éprouvé une
sensation
de vertige. « Je tombe », nous disait-elle, la
r occupant le milieu du crâne et se propageant des deux côtés, avec
sensation
de battements au niveau des points douloureux,
s l'aura, exécute plusieurs mouvements de moulinet. De l'épaule, la
sensation
qu'il éprouve et qu'il dit très difficile à dé-
auche et la face se dévierait du même côté. Grar... éprouverait des
sensations
de traction dans l'a;il gauche qui se porterait
lusions suivantes. Il existe, pour la perception dans l'écorce, des
sensations
tactiles, du sens musculaire, des sensations do
n dans l'écorce, des sensations tactiles, du sens musculaire, des
sensations
douloureuses, des centres spéciaux, situés au voi
PHYSIOLOGIE. 323 nage de la zone motrice. Les centres destinés aux
sensations
tac- tiles gisent immédiatemeut en arrière et e
ehors du champ moteur; ceux qui président au sens musculaire et aux
sensations
douloureuses occupent une région qui surmonte l
née des groupes musculaires qui entrent enjeu pour l'expression des
sensations
de divers ordres, expression spéciale à chaque
trois ans et neuf ans après la ménopause. Les crises consistent en
sensation
classique de la boule hystérique, en éructations,
des paralgésies et une diminution considérable de tous les modes de
sensations
. La névrite est-elle la cause, est- elle une co
s. Le bain fa- radique (IV) détermine, à la surface de la peau, des
sensations
de picotements, démangeaisons, élancements, brû
qui estimmergée). Tous deux en- traînent, à six milliweb.,les mêmes
sensations
que suprci, quelles que soient les modalités du
eu plus d'acuité dans les deux modes d'intervention. On obtient des
sensations
gustatives et vi- suelles à l'aide de très faib
lobe droit sensiblement plus petit, aplati, donnant au toucher une
sensation
de dureté, de den- sité, évidemment en état de
ts états d'hypnotisme, soit une exaltation, soit une dépression des
sensations
et des sens spéciaux. » R. M. C. XLIV. CONTRI
ieut être confondues avec des mouvements réflexes consécutifs à une
sensation
tactile violente et propagée, Hitzig répond qu'
ements d'oreilles et de la dysacousie, un défaut de perception, une
sensation
de chaleur ou de froid dans la tête, des vertig
savoir quelles sont les cellules qui se font les intermédiaires des
sensations
olfactives. M. Zacher (d'Heidelberg). Sur les a
nnaissance (accès d'angoisse et d'oppression, terreur nocturne avec
sensations
spasmodiques, aura motrice et sensitive, etc.)
cillants, ils se plaignent presque sans exception de toute sorte de
sensations
nerveuses (battements de ceeur, tremblements, c
tions de l'être avec le mi- 390 BIBLIOGRAPHIE. lieu extérieur. La
sensation
résulte de l'excitation de l'organe psy- chique
l'arrêtant, le transforme de diverses manières, de là les diverses
sensations
et les différents actes. En tout cas, la sensib
e la sensi- bilité, avec les dysesthésies. Les unes portent sur les
sensations
ou les sentiments d'origine sensorielle pure, l
orrespond le syndrome mélancolie. Il va de soi que, de même que les
sensations
normales donnent naissance à des idées normales
les sensations normales donnent naissance à des idées normales, les
sensations
anormales donneront naissance à des conceptions
vre supérieure et la lèvre inférieure, le menton, accompagnés d'une
sensation
de froid mais sans changement de coloration. Da
, 4e etc. division, jusqu'à ce que le malade accuse net- tement une
sensation
de douleur. Pour contrôler les indications du mal
at de deux piqûres. Tous les endroits de la peau ne donnent pas une
sensation
de douleur de la même qualité. Dans les plis en
r au malade qu'on ne lui demande pas de préciser le caractère de la
sensation
.' 11 suffit qu'à mesure que la pointe de l'aigu
e, le malade puisse indiquer exactement le moment, pour traduire la
sensation
par les mois : « ça fait mal ». Si la piqûre es
uite de l'effet analgé- sique de la pression. Cependant la première
sensation
de douleur aura produit assez d'impression, pou
Une autre remarque s'impose. L'algésimètre peut donner lieu à deux
sensations
distinctes : la pression et la douleur, qui se ma
n peut diminuer la douleur, et la douleur peut faire disparaître la
sensation
de pression. Dans ces phénomènes la perception
nsation de pression. Dans ces phénomènes la perception physique des
sensations
joue certainement un rôle important. Mais n'imp
physiologiques -distinctes, mais situés dans le voisinage. Entre la
sensation
douleur et la sensation tactile, il n'existe que
es, mais situés dans le voisinage. Entre la sensation douleur et la
sensation
tactile, il n'existe que des différences de qua
sensation tactile, il n'existe que des différences de quantité; la
sensation
de pression se trouve entre les deux. La sensa-
l'attouchement devient une pression. C'est pour cela que toutes ces
sensations
devraient être exprimées en poids. La particulari
s jusqu'à présent, il n'existe au- cune relation constante entre la
sensation
à la douleur et les sensations thermiques, tact
au- cune relation constante entre la sensation à la douleur et les
sensations
thermiques, tactiles, de l'espace et de la pres
TnS(1vt11, d'après le travail de Water Pacht (1). L'intensité des
sensations
douloureuses n'est pas partout en propor- tion
ntages de mon appareil sont les suivants : il permet d'exprimer les
sensations
douloureuses en chiffres. Les résultats peuvent ê
se particulière de la part du malade pour déterminer le début d'une
sensation
douloureuse. L'examen peut être fait pendant qu
sion du tendon rotulien. Habituellement, elles s'accompagnent d'une
sensation
douloureuse. Des contractions fibrillaires semb
ession des muscles des mollets développe chez lui des douleurs, une
sensation
de brûlure, de pétillement au niveau des mus- c
de l'engourdisse- ment, des fourmillements aux pieds, ou encore des
sensations
anormales dans le rectum (sensation de brûlure,
ments aux pieds, ou encore des sensations anormales dans le rectum (
sensation
de brûlure, ou de corps étranger, de ténesme).
l'observation a été publiée par Bernhardt, de Berlin, éprouvait la
sensation
voluptueuse que développent les rapports sexuel
s possible, même dans un organe par- faitement sain, de trouver des
sensations
qui ne s'étaient jamais accusées jusque-la ; la
la crainte permanente se portant sur cet organe peut faire que ces
sensations
vagues se transforment en une véritable douleur.
ne reste pas localisée ; outre les phénomènes de l'aura propagée :
sensation
de strangulation, troubles céphaliques, etc., ell
le mamelon s'érigeait. Toute la région était devenue le siège d'une
sensation
de cuisson avec picotements de la peau et élancem
re; il fallait un con lad prolongé ou brutal pour y pro- voquer une
sensation
peu douloureuse de chatouillement (lig. 24 et 25)
ue dans le territoire cruro-fessier l'anesthésie est absolue et les
sensations
tactiles, douloureuses el. thermiques entièrement
ièrement abolies, dans le territoire ano-périlléo-scrolal ces mêmes
sensations
sont au contraire simplement affaiblies. Il s'a
Il a bien l'érection normale mais il n'éprouve pas dans le coït de
sensation
voluptueuse. Il n'a pas davantage conscience de l
la sensibilité, transmettant au système nerveux central toutes les
sensations
extérieures de douleur, de tempéra- ture etc.
pé- rieures. Les courants faradiques ne provoquent pas la moindre
sensation
douloureuse. (Fig. 47) En comparant ensemble le
s, ces lèvres pâles, ces mains blanches et ces bras amaigris, cette
sensation
de brisement du corps que l'on devine et celte rê
une trace de grattage, sans oedème. Elles ne sont le siège d'aucune
sensation
morbide, mais la sensibilité y paraît normale ;
ensibilité, en par- ticulier, ne présentait aucune altération : les
sensations
périphériques étaient normalement perçues. C'es
pas il comparer le serrement de la gorge qui les accompagnai it la
sensation
qu'éprouvent les hystériques pendant les phénom
, Trousseau (4) trace le tableau suivant : « L'individu éprouve une
sensation
de fourmillement dans les mains et dans les pie
déjà signalés : insomnie, rêves, cauchemars, caractère irrégulier,
sensation
de boule, étouf- fements, bâillements. Stigma
fements, bâillements. Stigmates hystériques. Sensibilité cutanée :
sensation
de contact con- servée. Douleur. Diminution g
le sens musculaire est aboli. - Subjectivement la malade accuse une
sensation
très intense et très per- sistante de froid qui
fficulté à marcher, ses jambes ployaient sous elle et elle avait la
sensation
de mar- cher sur un corps mou, par conséquent u
même façon que la droite, sans autres phénomènes douloureux qu'une
sensation
assez pénible d'engourdissement et de fourmilleme
de la sensibilité sont également atteints : le tact, la douleur, la
sensation
de température, la sensibilité profonde, le sen
é cutanée abolie aussi bien pour le tact que pour la douleur et les
sensations
thermi- ques, et dont le mode de distribution,
rois métalliques de la sonde, le malade accusa seulement une légère
sensation
au niveau du méat, la région membraneuse n'étai
nt la malade a débuté il y a trois mois : elle éprouva une nuit une
sensation
d'engour- dissement dans tout le membre inférie
chatouillement, surtout celui de la plante du pied, sont suivis de
sensations
désagréables et de secousses cloniques. Aucun
ur cette région provoque des mouvements de défense énergiques, sans
sensations
d'aura. C'est une zone hyperesthésique et non h
ais elle dit que de temps en temps elle éprouve dans les genoux une
sensation
particulière qui lui fait croire que les membre
la mamelle gauche existent deux zones hystérogènes déterminant des
sensations
d'aura, et des attaques. Celles-ci sont ainsi con
es crises nerveuses ainsi constituées : battements dans les tempes,
sensations
de constriction dans la gorge, puis perte de co
A la main droite sur ses deux faces, le froid ne donne plus qu'une
sensation
de contact, le chaud est à peine perçu et plutô
ation de contact, le chaud est à peine perçu et plutôt encore comme
sensation
de contact. Aux doigts et sur- tout à partir de
it plus du tout la chaleur. On peut le brûler sans qu'il accuse une
sensation
outre que celle du con- tact. A la main gauche
que le long du trajet des autres nerfs. Il n'y a pas de retard des
sensations
. D... raconte en outre, que depuis '18"/7 il re
hial. Enfin D... se plaint d'avoir, depuis quelques semaines, une
sensation
de poids, de gêne, parfois des élancements au niv
'anormal dans la sécrétion sali- vaire. Le malade n'accuse aucune
sensation
subjective; il n'est gêné que par l'abondance d
albl., 1886.) 11 arrive souvent que chez un paralytique général, la
sensation
d'une piqûre d'aiguille soit au moment même exa
ertébrale à droite et à gauche, il aboyait, grondait, percevait les
sensations
en tous les points du revêtement cutané; il ne
; dans le côté gauche il éprouvait une douleur sourde, un poids, la
sensation
qu'on éprouve à une forte tension musculaire et
e rapproche de la ligne moyenne du côté droit apparaît d'abord la
sensation
de chaleur et des deux températures sus-indiqué
à percevoir d'abord la t° de + 50°, qui ne donne au malade qu'une
sensation
de tiédeur, mais du côté gauche au contraire, l
férents symptômes indéfinis subjectifs et faisait attention à ses
sensations
d'une façon peu habituelle aux gens de'sa class
nt d'une sen- sation plus forte du froid à l'épaule droite; cette
sensation
a été remplacée par un sentiment de constrictio
ste elle était très peu accusée. On n'observa pas de perversion des
sensations
thermiques. Le degré de la thermo- anesthésie p
droit; sa jambe lui semblait étrangère, il y éprouvait une certaine
sensation
qui la lui faisait paraître plus lourde. En été
'altérations subjectives : le malade se plaint éter- nellement de
sensations
indéfinies dans les membres droits qui tiennent
s parties périphériques ; mais ici également la piqûre provoque une
sensation
de douleur. Le sens de la température est très
jectifs sont demeurés dans le même état. Hypocon- drie marquée; des
sensations
diverses sont éprouvées dans le dos et le ventr
ré plus ou moins considérable et pour plus ou moins longtemps. La
sensation
vague de douleur existant pres- que continuelle
elle perçoit la différence entre 32 et 26°, car 32° provoquent une
sensation
de chaleur et une t° de z6^ ne la provoquent po
ement simultané fait sur deux espaces interosseux ne donne que la
sensation
d'un seul attouchement. L'attouchement du tendon
40°, entre 0 et 40°. Aucune de ces températures ne provoque ici de
sensations
spécifiques de chaleur et de froid. Le thorax e
le malade a passé à l'hôpital il se plaignait de toute une série de
sensations
subjectives : tantôt de céphalalgie, tantôt d'a
général il suit, avec attention extraordinaire chez un ouvrier, les
sensations
les plus insignifiantes et se plaint de quelque c
ce malade aussi nous a fait entendre toute une série de plaintes de
sensations
indéfinies et pas bien accusées; on n'entend de
e beaucoup de battements de coeur, mais j'éprouve en même temps une
sensation
de douleur et de soulagement à la fois de- puis
Polyurie. En 1880, douleurs en ceinture . Incertitude de la marche.
Sensations
de gonflement des pieds et de dénivellement. Si
voir fait de travaux pénibles Pur.. éprouvait de temps en temps une
sensation
de fatigue qui augmentait rapidement et l'oblig
l s'écoulait quatre ou cinq jours entre deux crises successives. La
sensation
de cour- bature siégeait uniquement dans les lo
ait ; il n'avait plus d'équilibre. Ses pieds étaient le siège d'une
sensation
bizarre ; ils lui paraissaient tou- jours enflé
sembla que le sol était mou «comme du coton ». Enfin il éprouva une
sensation
encore plus désagréable qu'il décrit sous le no
a une sensation encore plus désagréable qu'il décrit sous le nom de
sensation
de dénivellement, et dont voici les caractères
ait marcher les yeux- fermés, ses jambes se dérobaient sous lui, la
sensation
de dénivellement augmentait et, en fin de compt
suite de rêves érotiques ou même sans rêves, et non accompagnées de
sensations
voluptueuses. Vers la fin de 1880 et le commenc
s-cutanée, ni de troubles trophiques de la peau ou des ongles. La
sensation
de position des membres inférieurs est bien con-
l reconnaît les posi- tions qu'on leur donne, mais il dit que cette
sensation
est un peu lente à se produire. Tandis qu'il sa
ambes sont perçues avec un léger retard et avec un dédoublement des
sensations
par suite duquel le malade per- çoit d'abord un
e phénomène du dédoublement des perceptions qu'il faut rapporter la
sensation
de dénivellement, qui contribue pour une large
cas, si on fait marcher le malade sur les genoux il éprouve la même
sensation
d'affaisse- sement du sol que lorsqu'il appuie
ymptômes constatés en 1881. La démarche est toujours incertaine. La
sensation
de dénivellement persiste. Le signe de Romberg
s avec des retards considérables et de grosses erreurs de lieu. Les
sensations
de chaleur sont mal appréciées. Un jour, le mal
e ; toutefois, en passant le doigta leur surface, on a nettement la
sensation
de crêtes successives ; en avant sur le bord ci
conserver indéfiniment (plus d'une demi-heure) sans tremblement, ni
sensation
de fatigue les positions que l'on imprime passi
ansformé la personne (aberration des processus intel- lectuéls, des
sensations
); tantôt on a affaire à une prédisposition psyc
pagnent les changements dans la pigmentation, et donnent lieu à ces
sensations
. Le Dr Yiuaur a montré que, chez les aliénés, o
que-là, le malheureux persécuté s'est maintenu dans les limites des
sensations
vraies sur lesquelles il a fondé ses in- ductio
, l'influence parfois remarquée de la volonté sur sa production, la
sensation
de plaisir qui l'accompagne le plus généralemen
qu'il pouvait s'en souvenir. La rumination, toujours précédée d'une
sensation
de plénitude à l'épigastre, commençait environ
les aliments : avant la rumination, cette dame n'éprouve jamais de
sensation
de plénitude stomacale. La rumination se pro- d
Sommeil tranquille. Une demi-heure ou une heure après le repas, une
sensation
de plénitude dans la région du cardia l'obligeait
fet chez le malade la pro- duction de la rumination. Bientôt légère
sensation
de poids dans l'épigastre qui se soulère un peu
deux la fonction était volontaire et s'accompagnait d'une véritable
sensation
de plaisir. ' Froriey's Notizen, t. XLV, p. 337
s aliments ne remontent pas spontanément; mais alors il éprouve une
sensation
de gêne à l'é- pigastre qui l'engage provoquer
préférence cer- tains mets, uniquement dans l'attente de l'agréable
sensation
qu'ils lui procureront lors de la rumination. Q
trouvé le ballonnement abdominal signalé dans le fait précédent. La
sensation
de plénitude à l'épigastre, dont il est parlé d
e n'exprime habituellement ni peine ni plaisir. 11 ne manifeste ses
sensations
que dans un seul cas et d'une seule manière. Lu
umination, gâtisme. La sensibilité générale est conservée, mais les
sensations
sont perçues assez lentement. Les sens spéciaux
és l'un de l'autre. « Le vomissement, dit Longet, s'annonce par une
sensation
par- ticulière qui est la nausée, sensation acc
nget, s'annonce par une sensation par- ticulière qui est la nausée,
sensation
accompagnée de malaise et d'anxiété générale. I
tout dans la grande courbure de l'estomac, c'est la différence de
sensation
que j'éprouve dans cet organe dans le mérycisme
conservèrent toujours leur goût naturel. Le patient n'avait pas de
sensation
de malaise après la rumina- tion, mais la malad
ient ne vomit pas, malgré le développement des gaz; il n'eut pas de
sensations
désa- gréables de l'estomac. On peut donc admet
s le premier jour de l'écoulement ; la jeune fille n'a- vait pas la
sensation
de boule, mais « elle sentait le sang lui mon-
t fini » et qu'il n'a qu'un peu de céphalalgie. Interrogé sur les
sensations
qu'il a éprouvées au début de la crise, il raco
ire, a donc fait défaut. Le malade revient à lui et se plaint d'une
sensation
de boule qui l'ét.reint à la gorge. 9 février
ires de l'attaque consistent DE L·HYS'l'ERO-EY1LI;PSIE. 95 en une
sensation
douloureuse, dirigée d'une zone iliaque à l'autre
uvent, comme nous l'avons rapporté plus haut, l'aura débute par une
sensation
de boule qui naît au-dessous de l'ombilic « sem
nsemble de phénomènes. D'autres fois, parvenue à l'épigastre, cette
sensation
de boule re- descend vers le pubis, disparaît,
emblé que, sous l'influence d'un bracelet de plaques de cuivre, les
sensations
tactiles devenaient un peu émoussées. Le malade
ouvre spontanément les yeux et semble regarder autour de lui ; les
sensations
désagréables se traduisent par des gémissements
s devons dire toutefois que, au palper, cette collection donnait la
sensation
d'un kyste. En enlevant à la fois la calotte cr
nt se déprimer comme une paroi kystique peu tendue; on obtient la
sensation
que l'on aurait en déprimant légèrement la paro
a pression y détermine, surtout lors- qu'elle est un peu forte, une
sensation
spéciale d'aura qui, partie de ce point, gagne
jambes lui refusaient tout service; en même temps il éprouvait des
sensations
d'aura qui devaient se reproduire lors des cris
d'aura qui devaient se reproduire lors des crises ultérieures. Ces
sensations
consis- ¡,'lU. : 1. y / ET LA MAllGHE DAi'i :
un fardeau assez lourd, il ressentit quelques heures plus tard une
sensation
d'aura sans perte de connaissance et tomba sans
occasion d'une nouvelle contrariété, survient une légère crise avec
sensation
de boule dans la gorge et d'étouffements suivis d
et à la pression surtout. Au mois d'août 1887, nouvelle crise avec
sensation
de boule, étouffements, perte de connaissance,
et la main qui soutient la jambe pendant cette manoeuvre perçoit la
sensation
d'un véritable claquement dû au tendon d'Achille
uvées peu de temps après par 0..., sans perte de connaissance, avec
sensation
de constriction à la gorge, se refuseraient à d
; que les tentatives de redressement du pied faisaient percevoir la
sensation
de résistance élastique qui est propre aux contra
du et on ne sent nulle part cette résistance élastique qui donne la
sensation
d'un ressort tendu qui appar- tient à la contra
gauche des douleurs revenant par accès au cours desquels tantôt la
sensations
péni- ble remonte à l'estomac, prend la malade
imprimer des mouvements, mais encore spontanément. M... compare ces
sensations
à des brûlures. Toutefois, presque tout le membre
'est mariée à dix- huit ans, n'a pas eu d'enfant; appétit sexuel et
sensations
génitales modérés. Vers l'âge de quinze ans, sa
membre contracture, on éprouve une sorte de résistance élastique «
sensation
du ressort tendu D; si c'est au membre rétracté
ed et à la face antéro-externe de la jambe, il n'existe plus qu'une
sensation
d'engourdissement, sensation dont les limites son
e de la jambe, il n'existe plus qu'une sensation d'engourdissement,
sensation
dont les limites sont exacte- ment celles de l'
il n'existe plus, au niveau de l'ancienne zone d'anesthésie, qu'une
sensation
assez intense d'engour- dissement. Il en est de
t une corde rigide. En même temps, la palpation du muscle donne une
sensation
de dureté, de rigidité spéciale. Cependant, p
aucune irrégularité de la surface; elles ne sont le siège d'aucune
sensation
particulière. En avant et en arrière, ces tache
t ce dont il se plaint, comme phénomène de sensibilité, c'est d'une
sensation
particulière à la plante des pieds, et pendant
is servi aussi du compas de Weber pour apprécier les qualités de la
sensation
tactile. Ce moyen est insuffisant; cependant il m
ues, et, à ce niveau, il faut comprimer assez fortement pour que la
sensation
se produise. Ailleurs elle est aussi, je crois, u
UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICII (Suite et fin ! .) Les
sensations
de froid et de chaleur, grossièrement appréciées,
f dans deux cas, douteux d'ailleurs, sous la forme classique. Comme
sensations
anormales et non doulou- reuses, je signale la
ue. Comme sensations anormales et non doulou- reuses, je signale la
sensation
de sable, de coton sous la plante des pieds pen
signaler. C'est l'anesthésie par. plaques, au niveau desquelles la
sensation
tactile est absente et toutes les autres formes
x, le chatouillement ainsi provoqué amenait, au dire du malade, une
sensation
génésique voluptueuse, qui fut accompagnée à tr
est conservée, peut-être augmentée. En tout cas, il y a constamment
sensation
de froid aux jambes et surtout aux pieds; ce phé-
tte époque. Depuis ce temps aussi il éprouve pendant le travail une
sensation
de fatigue au niveau de la région dorsale, sensat
le travail une sensation de fatigue au niveau de la région dorsale,
sensation
qu'il soulage en se tenant courbé en avant, les
mais qui cependant ne l'empêchaient point de faire son service. Ces
sensations
pénibles s'éten- dirent bientôt aux fesses, pui
rent brusquement. Quinze jours après elle se couche avec frisson et
sensation
de brisement général, elle tremblait *de tous s
ent une fois encore pour ne plus revenir depuis. Elle éprouvait une
sensation
de faiblesse au creux épigastrique; il lui sembla
-humérale. Ces craquements sont très forts et donnent à peu près la
sensation
du sac.de noix. Les pectoraux résistent assez b
u'une tendance très marquée à suer des mains. En même temps que ces
sensations
douloureuses survint l'augmentation de volume d
n four- millements dans les pieds, dans les membres inférieurs avec
sensations
d'eau chaude ou d'eau froide glissant tout le l
route. Nous connais- sons des syphilitiques qui, après avoir eu les
sensations
particulières dans 4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ses lèvres sont plus saillantes. De plus il a souvent aux mains la
sensation
de l'onglée et la cyanose y est assez fréquente
Le mois suivant, il a accusé dans les bras et les cuisses, quelques
sensations
douloureuses, qui ont cédé au salicylate de sou
ulaires violentes de l'ataxie qui étaient accompagnées de certaines
sensations
, tandis que la démarche tranquille leur est parfa
o- quent les contractions musculaires fortes et inattendues. Chaque
sensation
désagréable et inattendue peut exciter le centr
ur le ventre du malade. Règle générale : il faut se diriger par les
sensations
du malade. On excite quelquefois des nerfs sens
cie, transparente, entre deux renflements qui donnent au toucher la
sensation
de deux noyaux durs ; le noyau cen- tral ou sup
a tête, on trouve que cette pression, d'abord ne détermine au- cune
sensation
particulière au niveau de la main ; mais au nivea
pproche davantage de l'extrémité des doigts. A l'extrémité même, la
sensation
de fourmillement est maxima. Aujourd'hui (10 ja
lancinant et fulgurant. Depuis l'âge de 48 ans la malade accuse la
sensation
de sable sous les pieds. Vers l'âge de 53 ans ell
essant sans cause. Il y a des fourmillements aux quatre extrémités.
Sensation
de sable à la plante des pieds, avec froid habi
nti comme du chaud ; la chaleur est perçue comme du froid, ou comme
sensation
tactile indifférente ; bouf- fées de chaleurs e
115 Trois phénomènes particuliers sont encore à signaler : 1° Une
sensation
d'étouffement ci la gorge, nécessitant la positio
rvation de la sensibilité au contrat coïn- cidant avec la perle des
sensations
de douleur et de température) sur les mem- bres
latérales, et qui auraient disparu dans un bref délai. En mai 1889,
sensations
bizarres : il lui semblait, le soir, dans son lit
sement douloureux notable : la pression provoquait à peine quelques
sensations
pénibles. Les deux autres phalanges s'éliminent
rvée sauf au sommet de la fêle et en avant de l'oreille droite. Les
sensations
de froid et de chaleur sont abolies sur ces pet
ticules sont à peine sensibles à la pression. Douleurs spontanées.
Sensation
de constriction élastique des jambes ; fourmill
ns l'adduction. Depuis plusieurs années l'accès est précédé par une
sensation
de houle qui monte du nomhril vers la gorge. Le
ron. A ce moment (en septembre) il éprouva pour la première fois la
sensation
de dérobement des jambes; c'était en montant un
a précédente. Voyant qu'il n'allait pas mieux et sous le coup d'une
sensation
d'éner- vement qui l'empêchait de rester en pla
ni de l'odorat, ni de l'ouïe. Constipation légère avec rémission.
Sensation
de froid aux pieds depuis le début de la maladie
sant la liste de leurs souffrances, et s'attardant à la lecture des
sensations
obsé- dantes qu'ils ont méticuleusement analysé
eurs dans le cou et dans les deux épaules ; la malade y éprouve une
sensation
très-pénible de froid. 208 NOUVELLE ICONOGRAPHI
'u- rine. - - 25 juin. Douleurs de tète horribles du côté gauche.
Sensation
de torsion du globe oculaire. Puis paralysie du
te ré- gion. Dans le membre inférieur droit, le malade accuse une
sensation
d'engourdis- sement profond qui n'a rien de dou
itement perçus et localisés. Le malade accuse dans les 2 genoux une
sensation
de constriction pénible par instant. II prétend
siques de la neurasthénie : Céphalée persistante, consistant en une
sensation
pénible dépression autour de la tête et prédomi
resque im- possible à comprendre. Il accuse en outre une foule de
sensations
obsédantes en divers points du 284 NOUVELLE ICO
subis, s'attardant aux plus menus détails, et analysant toutes ses
sensations
avec une profusion de gestes qui facilite heureus
NTRADI PNOTIQUES 313 si même nous fermons ses yeux ; il éprouve une
sensation
de picotement et de fourmillement à cet endroit
une sensation de picotement et de fourmillement à cet endroit. Ces
sensations
subjectives expliquent les contractures acousti
s subjectives expliquent les contractures acoustiques ; ce sont des
sensations
de la peau analogues aux excitations tactiles.
rs organes terminaux, ne sont pas assez sensibles pour éveiller des
sensations
de lumière, mais suffisent à effectuer des mouvem
e de la rétine de l'ail droit par des filets nerveux conduisant des
sensations
de lumière et des réflexes, il la moitié tempor
d'é- légance. Rosa A., a étudié longuement et méticuleusement les
sensations
pénibles qu'elle éprouve. - Elle en sait plus,
malheurs, heureuse quand elle s'attarde il décrire par le menu ses
sensations
. D'elle-même, elle nous annonce, non sans fiert
tte douleur par un mouvement trop brusque. Ils accusent aussi des
sensations
douloureuses dans tous les membres, souvent app
e faiblesse mus- culaire dans lequel ils se trouvent (Amyosthénie).
Sensation
de brisement, de courbature, de fatigue invinci
marchant » (Dutil). ' Les troubles dyspeptiques manquent rarement :
sensations
de lourdeur, de gonflement de l'estomac après l
nérale est aussi atteinte et ses altérations se manifestent par des
sensations
bizarres que les malades décrivent avec un grand
; bourdonnements d'oreilles, vertiges, battements dans les tempes,
sensation
de constriction à la gorge (boule hystérique),
de cercle, grands mouvements, attitudes pas- sionnelles. Au réveil,
sensation
de fatigue extrême, parfois hémiplégie générale
M. X..., qui est très intelligent, se rend très bien compte de ses
sensations
, et raconte en ces termes ce qui se passe alors
peu sensible ; néanmoins le malade avait parfois spontané- ment une
sensation
de brûlure à ses membres paralytiques et surtou
, une demi-heure après la sortie du caisson, a senti subitement une
sensation
de pression au creux épigastrique, une gêne de
pression au creux épigastrique, une gêne de la respiration et une
sensation
d'affaiblissement des membres inférieurs. Les d
vivement au courant faradique sans que le malade en ait la moindre
sensation
. for août. Le membre inférieur gauche peut, dan
les petits vaisseaux de la sclérotique qu'il faut attribuer cette
sensation
de brûlure et cette envie irrésistible de se fr
ons de cette portion. Or, le nerf de l'espace une fois comprimé, la
sensation
de 70 CLINIQUE NERVEUSE. l'équilibre disparaî
anes mêmes de la respiration en y appar- tenant en propre (dyspnée,
sensation
de suffocation), doivent être rattachés à l'ent
de chaque côté. La pres- sion de ces divers points ne donne pas la
sensation
de boule, mais provoque comme des coups de mart
tés. 26. La pression sur la région ovarienne droite détermine une
sensation
de boule remontant au larynx. Essais d'hypnotis
s en août. Anémie légère. Picotements dans les seins et les flancs.
Sensation
de brûlure autour de l'oreille. 30 septembre.
es appartient encore à l'es- sence de la cécité psychique. Quand la
sensation
de lumière a disparu, on a affaire à la cécité
ux-ci comme des parties différenciées de l'épiderme, et, toutes les
sensations
, comme des modifications du toucher '. La scien
kelllll ! J dei' Sin1lcswel'¡,zeuge (1878). Huxley. La nature de la
sensation
et la structure de nos or- gaites. Uev. scienti
ruction des aires corticales de la vision n'abolit que cet ordre de
sensations
en laissant subsister celles du son, de l'odora
e nerveuse qui, eu vertu de ses connexions anatomiques, donne une
sensation
visuelle, pourrait aussi bien, dans d'autres co
suelle, pourrait aussi bien, dans d'autres conditions, produire une
sensation
tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellul
rable. Ces expériences ne prouvent-elles pas que la spécificité des
sensations
dérive de la spécificité naturelle, non acquise
ns des. muscles de l'oeil. De même pour les centres corticaux des
sensations
organiques et des mouvements des viscères, pour
les tendons, où le sens musculaire l'emporte bien sur les autres
sensations
, qui y sont peu ou point représentées, le moyen
rale. Voici maintenant comment ce savant s'explique la genèse des
sensations
musculaires : une excitation des nerfs moteurs
du courant centripète), alors, pour des raisons diffé- rentes, la
sensation
musculaire manquera. Un autre disciple éminent
tre. Sur d'autres régions, elle est rugueuse et donne au toucher la
sensation
de l'ichthyose; elle offre de fines squames bla
tion accuser, il la suite de l'usage des bains de sable chauds, une
sensation
dé bien-être des plus agréables; les forces sou
sociétés savantes. 259 chondriaque aiguë, accompagnée de nombreuses
sensations
dans la gorge, l'abdomen, les viscères : elles
iste à toute espèce de médicaments; à une période plus avancée, les
sensations
anormales s'exaspèrent, toutes les parties du c
ibilité, aussi le premier signe de la narcose intestinale est-il la
sensation
du bien-être. M. KOEPPEN (de Strasbourg). De la
symptômes physiques suivants de la neurasthénie patho- génétique :
sensation
de pression de la tête, insomnie, accès de stén
ue une nécessité par l'habitude qu'elles en avaient contractée. Les
sensations
que cette ivress.e procure sont, paraît-il, si
ents qui lui enlèvent, mais seulement pendant qu'ils existent, la
sensation
nette de la nature du sol sur lequel il marche. E
. En dehors de ces moments où les fourmillements existent, pas de
sensation
de caoutchouc, ni de tapis, etc... Il a toujours
érescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux. Quelques
sensations
dysesthé- siques dans les pieds (sensation que
les cérébraux. Quelques sensations dysesthé- siques dans les pieds (
sensation
que ses pieds sont collés l'un à l'autre dans l
s à un haut degré dans la paralysie alcoolique et qui consistent en
sensations
douloureuses tant spontanées que développées pa
ent ou la pression profonde. Ici le malade n'ac- cuse aucune de ces
sensations
douloureuses. Il se plaint seulement d'une sort
ent à répondre aux questions qu'on lui adressait, analysait mal ses
sensations
et n'en rendait compte que très imparfaitement.
rs fulgurantes du tabes, le malade continue à souffrir de certaines
sensations
dysesthésiques subjec- jectives queje vous ai m
Mais dès qu'il tente de les remettre sous les couvertures, la même
sensation
de de brûlure reparaît, et il préfère passer de
e passer des nuits en- tières les pieds découverts et froids. Ces
sensations
, vous le savez, Messieurs, se remar- quent égal
hénomènes convulsifs. Quelque temps avant leur apparition elle a la
sensation
d'une boule qui venant de l'épigastre vient lui
ément de douleur. Tout le monde sait que cet élément existe dans la
sensation
du chatouille- ment. La dissociation de la se
intellectuelle parce que tous les lypémaniaques sont af- fectés de
sensations
bizarres, anormales et pathologiques qu'ils loc
une punition du ciel. Pour M. Snell, tout mélancolique éprouve des
sensations
d'ordre hypochondriaque ; or, il y a des mélanc
ces d'hypochondrie, L'angoisse précordiale n'a rien à voir avec les
sensations
organiques, Quant à la stupeur sans angoisse de
t la bonté ». L'ap- parition s'évanouit, la malade éprouva alors la
sensation
d'une « violente déchirure dans le front ». Ce
rtir de son enveloppe mortelle il y a quatre mois (allusion à « ses
sensations
de mort éprouvées en Suisse et dans le Midi, à
j, le, 1, m, n, o, p, q. r, s, t. Elle s'arrête et pense attentat ?
sensation
intérieure de négation, elle pense alors attent
at ? sensation intérieure de négation, elle pense alors attention ?
sensation
inlé- rieure d'affirmation. Elle poursuit alors
ses sensitives du conduit par le corps étranger avec le cortège des
sensations
désagréables qui l'accompagne esl le primum mov
sente une série de bosselures et de dépressions; au palper on a une
sensation
de résistance au niveau des bosselures et une sen
gus ayant disparu, le malade conserve durant un temps très long des
sensations
lumineuses. Ces lésions n'ont rien de spécial à
écautions hygiéniques portant principalement sur la suppression des
sensations
visuelles et olfactives, la position horizontal
tériques, mais à tous les individus, en général, à savoir que toute
sensation
, pourvu qu'elle soit homogène, uniforme, contin
n, pratiquée au niveau de la face, n'éveille plus maintenant aucune
sensation
douloureuse, mais, comme au niveau du bras, ell
ires cutanés. Le G janvier1896,1V1 ? 5 ? souffrant de douleurs avec
sensations
d'engourdissement dans les pieds et les mains,
res sur ses mains et sur sa bouche. Ce sont les lèvres de Deus. Ces
sensations
on;. lieu aussi bien pendant les périodes d'exa
'ailleurs très agréablement accueillies. Manifestations génésiques.
Sensations
de lévitation. E1'otisme mystique. - Les troubl
spéciales. Les caresses se localisent aussi à la sphère génitale en
sensations
voluptueuses qui remontent le long de son corps
e regard de travers me troubla; il produisit dans tout mon être une
sensation
étrange de stupeur que je n'avais jamais ressen
ation simulée pendant cinq minutes et en les interrogeant sur leurs
sensations
. Sur 203 sujets examinés (t 11 femmes et 192 ho
Il n'a donc pas les inconvénients de l'aiguille ou de l'épingle. La
sensation
ressentie en appliquant l'extrémité du crin est
nse, et que l'on applique cette anse sur l'oeil, on peut étudier la
sensation
de con- tact. Pour l'appréciation de la sensibi
efusait à la conjonctive toute perception thermique. Ces diverses
sensations
éprouvées par les malades à la piqûre au contac
née, à des distances variables, la cornée n'arrive à percevoir deux
sensations
et encore d'une façon restreinte (25 p. 100 des
ncore, nombre d'obsédés décrivent avec un grand luxe de détails des
sensations
de corps étrangers (pierres ou bêles), dans leu
co-membraneuse comme point du départ du délire de posses- sion. Les
sensations
subjectives exactes perçues sont interprétées d
et absurde par une prédisposée. Les mêmes -SOCIÉTÉS SAVANTES. 273
sensations
peuvent donner lieu au délire de grossesse. Enfin
re (onychophagie, clveiloplcagie); ils ont pour point de départ une
sensation
anormale (démangeai- son, petite douleur) que l
, à l'état d'habitude, et continue à se produire, alors même que la
sensation
initiale n'existe plus. Les tics de ce genre pe
uleurs locales résultant des chocs réitérés. Bien que ces nouvelles
sensations
soient la conséquence même des mouvements nerve
ause d'une migraine accompagnée : scotome scintillant, céphalalgie,
sensations
vertigineuses et nau- séeuses. Les crises s'acc
ne peut expliquer les troubles de la parole, la parésie faciale, la
sensation
d'engourdissement du bras. Mais pour le scotome
d'engourdissement du bras. Mais pour le scotome, l'hémianopsie, les
sensations
vertigineuses con- comitantes, il faut admettre
rie excessive. De très bonne heure, Y... a été porté à observer ses
sensations
coenesthésiques. à epier le fonctionnement de s
le regardait pas et lui était indifférent. Tantôt il eprouvait une
sensation
comme si sa langue, contre sa volonté et son dé
rapporte d'une ma- nière critique et qu'il a conscience des fausses
sensations
auditives et dee idées obsédantes obscènes et s
analogues, sont loin de vouloir parler de si bonne volonté de leurs
sensations
morbides, comme le faisait notre malade ; d'aut
ais dès que j'ai les yeux fermés j'étouffe et j'ai peur ». Ces deux
sensations
d'étouffement et de terreur, sont typiques, ell
ue le résultat de cette, absence de perception. A l'état normal, la
sensation
de bien-être est déterminée par l'équilibre, l'
ption périphérique : ne sentant plus son corps elle éprouve cette
sensation
de chute que chacun a éprouvé au moins une fois
on ne tombe et on ne s'étouffe pas sans raison, elle associe -ses
sensations
qui ne sont pas, à proprement dit, des sensa- t
t pas, à proprement dit, des sensa- tions, mais l'interprétation de
sensations
absentes qui de- vraient normalement exister, a
comment chaque valeur de perspective pou- vait être associée à une
sensation
lumineuse. L'histologie moderne nous a appris q
l'image-fantôme, possède aussi assez d'énergie pour animer d'une
sensation
lumineuse cette perspective dépourvue de vie par
isinage. Or, le contraste en question est l'oeuvre de la rétine. La
sensation
lumineuse appartenant à l'image-fantôme est d'o
ntôme est d'origine purement cérébrale et, par suite, s'ajoute à la
sensation
colorée du voisinage émanée de l'excitation rét
re conscience. Le monde extérieur n'est pour nous qu'une série de
sensations
des sens, cela veut dire qu'il émane de l'action
n deux mois avait cédé au K. Br. et aux bains. Cela commence par la
sensation
d'un choc dans les épaules et aussitôt REVUE D'
il semble que ce qui l'entoure ne lui soit- de rien, il éprouve une
sensation
bizarre vague. Cet état est dû à la déchéance d
connaît de- puis longtemps, tout àcoup tout lui estnouveau. Il a la
sensation
, malgré qu'il sache bien que la rue lui est fam
plus ou moins vif, dans le même instant, peut, à l'instar d'autres
sensations
agréables, agir jusqu'à un certain point par l'
aire et du sens stéréognostique; b. le malade ne peut localiser les
sensations
tactiles et thermiques; il localise moins diffi
sie hystérique n'est pas une anesthésie vraie, qu'il y a en réalité
sensation
perçue, mais qu'elle est aussitôt inhibée par s
nnelle sont primaires et dérivent de l'utilisation insuffisante des
sensations
d'organes et que vu le rôle important que ces sen
issociation du contenu sensoriel spécifique de la perception et des
sensations
organiques correspondantes. C'est à cette théor
qui produit le phénomène de l'angoisse, au mpins objectivement. La
sensation
d'angoisse a sans doute son point de départ dan
one, l'électricité, la transmission télépathique des pensées et des
sensations
auditives ou autres interprétations analogues y
me d'une force involontaire. Lorsqu'on lui demande d'exprimer les
sensations
qu'elle éprou- vait sous l'influence de l'obses
bration auto- matique qui déterminera une sorte d'état de rêve. Une
sensation
de dépression physique et morale très accentuée
its ont une apparence normale ; rien dans son aspect ne traduit les
sensations
qu'il prétend éprouver, et vous apprenez en l'i
ous lui, qu'il est projeté par terre, et à plus forte raison si ces
sensations
s'accompagnent de bourdonne- ments d'oreilles,
es questions lui sont posées plusieurs fois. Il se persuade que les
sensations
dont il a entendu la description sont réelles ;
te de recommander au malade de me prévenir dès qu'il aura perçu une
sensation
de contact, de piqûre, ou toute autre impressio
fant, de le questionner de temps en temps pour se rendre compte des
sensations
qu'il éprouvera et de l'évolution des troubles.
mes d'une suggestion. Certains d'entre eux éprouvent réellement des
sensations
pénibles, mais ils les interprètent d'une manière
s qui se croient atteints d'une angine de poitrine, alors que leurs
sensations
sont exclusivement provoquées par l'existence d'u
fondé uniquement sur des symptômes subjectifs, c'est-à-dire sur des
sensations
qui peuvent être feintes, imaginaires ou dénaturé
en- sions, donnant à la main qui soutient et accompagne le pied, la
sensation
d'un rythme parfait. ' Ce phénomène peut être
e rappela que deux jours auparavant il avait éprouvé subitement une
sensation
de froid dans les membres du côté gauche. Ne sent
main de l'ob- servateur. Il résulte de ces diverses perceptions une
sensation
d'ensemble que l'on a très nettement à l'examen
lois de la pesanteur, donnera à la main sur laquelle il repose une
sensation
de poids, produira un effort statique qui sera
n publiée par M. Barat et intitulée : « Substitution des images aux
sensations
, à propos d'un cas d'hallucina- tions et d'illu
moyen ou son tiers supérieur, on provoque chez l'individu sain une
sensation
de douleur légère et en même temps une très faibl
'hémiplégie cérébrale organique, la même manoeuvre donne lieu à une
sensation
de douleur plus intense, et, en outre. à une fl
éclenché par la sen- sation spéciale qui résulte de l'hyperalgésie,
sensation
nouvelle, non encore éprouvée, insolite et occa
e reconnaît bien toutes les excitations thermiques, mais accuse une
sensation
moins nette qu'au point correspondant du côté g
r comme une surprise douloureuse ; d'ailleurs, le malade accuse une
sensation
particulièrement désagréable. Cette réaction se
en perçues, suivant les moments, mais elles provoquent toujours une
sensation
doulou- reuse extrêmement pénible ; le pincemen
reuse extrêmement pénible ; le pincement de la peau détermine la même
sensation
. Cette hyperalgésie disparaît dans le territoir
nt à ce qui a lieu chez les sujets témoins, n'accuse presque aucune
sensation
de fatigue. La méthode graphique fait ressortir
ourant le sujet en expérience éprouve, entre autres phénomènes, une
sensation
de vertige ainsi qu'une inclination latérale de
à ma disposition, et les sujets en expérience n'éprouvaient aucune
sensation
spéciale. En outre, on constate parfois un mouv
nt en s'accentuant pendant plusieurs mois. Plus tard il éprouva des
sensations
analogues, mais bien moins intenses, au membre
sieurs fois par minute et, sans être douloureux, donnent lieu à une
sensation
de fatigue qui pousse le malade à reprendre le
la table et se portait en dehors, en même temps qu'il éprouvait une
sensation
de tiraillement dans le cou et dans l'épaule du c
le malade. Les jours suivants, ce trouble s'accentua et de plus la
sensation
de tiraillement du cou s'accompagna de mouvements
s spasmodiques le fatiguent notablement, provoquent dans le cou une
sensation
de gêne, de lassitude très pénible, mais n'ont ja
que quand il mange, du côté droit de la bouche, il a simplement la
sensation
de la présence d'un corps étranger, mais qu'il
ion de la présence d'un corps étranger, mais qu'il n'éprouve aucune
sensation
gustative. L'intelligence est absolument normal
nt à ce qui a lieu chez les sujets témoins, n'accuse presque aucune
sensation
de fatigue. Ainsi donc, l'équilibre volitionnel s
musculaire est normal à gauche et à droite ; un piqûre provoque une
sensation
moins désagréable à droite, mais la compression
che et dort assez bien. Le 7 mars, en se réveillant, il éprouve une
sensation
de froid dans tout le côté droit du corps; il c
au toucher que ce côté est, en effet, plus froid que le ganche. La
sensation
de froid est profonde ; il l'éprouve « même dans
urs normaux des deux côtés. Du côté droit, où le malade éprouve une
sensation
de froid, on constate un refroi- dissement très
droite du tronc l'application d'un morceau de glace éveille une vive
sensation
de chaleur. La température est à peu près égale
la diminution de volume des doigts commence presque aussitôt après la
sensation
pro- vocatrice, s'accentue pendant quelques sec
rès nette, quoique moins intense, en général, que celle qui suit la
sensation
effective. Disons tout de suite que l'étude de
motifs suivants. a) Le malade s'est toujours plaint d'éprouver une
sensation
anormale il droite; le côté gauche ne lui a jam
ordre objectif. Voyons d'abord les premières, elles portent sur les
sensations
de dépla- cement, de rotation, qui peuvent être
condes de durée, peut en cas de trouble labyrinthique provoquer des
sensations
anormales fort désagréables, susceptibles de se p
rinthe ont pour consé- quence une diminution ou une abolition de la
sensation
de vertige, per- mettant parfois aux malades de
ilité dans le domaine des racines sacrées. 2" La dissociation des
sensations
produites par la pression ; du côté où siègent
douleur ; du côté des troubles de la sensibilité superficielle, la
sensation
de pression est nettement perçue, mais la sensati
perficielle, la sensation de pression est nettement perçue, mais la
sensation
doulou- reuse est presque absente, faits qui ca
simple dans le domaine des XIe et XIIe dorsales. Hypoesthésie avec
sensations
douloureuses pour tous les modes sur le membre
nette et quelquefois obscure), le tact, la piqûre et le froid.ÎLes
sensations
sont d'autant plus nettes qu'on excite le terri
condes, mais, quel que soit l'endroit excité, la malade localise'la
sensation
douloureuse qu'elle éprouve à la limite supérie
ifeste sous forme d'accès fréquents et violents s'accom- pagnant de
sensation
de battements et de douleurs dans la nuque, le co
r 191 8- 1 consécutivement à une grippe et s'est manifestée par une
sensation
de lourdeur aux membres inférieurs. Les troubles
bres inférieurs ne se sont pas atténués, elle est débarrassée d'une
sensation
de raideur, de constriction à la partie inférie
r qu'en introduisant le trocart dans la masse, il n'avait pas eu la
sensation
spéciale d'une membrane tendue qu'on per- fore,
pas eu la sensation spéciale d'une membrane tendue qu'on per- fore,
sensation
qu'on éprouve d'habitude, dit-il, en ponctionnant
plus vivement que précédemment et que c'est là qu'elle éprouve une
sensation
tout à fait naturelle. Les réflexes de défense
'autrefois, qu'elle se fatigue plus rapidement, et elle éprouve des
sensations
anormales dans les membres infé- rieurs : « des
APLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE nombreux), la malade perçoit une
sensation
désagréable lorsqu'on lui applique sur les cuis
e de crampes siégeant au mollet droit : quatre jours plus tard, ces
sensations
douloureuses gagnent la région postérieure de l
x segments de la moelle sous- jacents à la lésion, éprouvent là une
sensation
différente de la normale. (') J. Babinski et J.
1127 Ils se servent, par exemple, des expressions suivantes : « La
sensation
n'est pas naturelle » ou « c'est comme si ma pe
Fig. (3o. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4g notamment à gauche où les
sensations
thermiques sont souvent perçues. Or, du côté ga
te de recommander au malade de me prévenir dès qu'il aura perçu une
sensation
de contact, de piqûre, ou toute autre impressio
quant à leur forme, leur intensité, leur localisation, suivant les
sensations
causées par le choc et les circonstances diverses
s malades atteints de contractures réflexes se plaignent parfois de
sensations
douloureuses ; les douleurs sont soit spontanée
Il y a cinq ans le malade a commencé à éprouver des douleurs et une
sensation
de fourmillements dans les mains, qui n'ont jam
u de douleurs fulgurantes. Ses mains sont engourdies, il éprouve la
sensation
d'un vernis qui les recouvrirait ; il se bouton
encore. Ils ne sont pas constants, mais il est exceptionnel que les
sensations
vertigineuses ne diminuent pas, au moins quelqu
s s'étendirent aux muscles de la paroi abdominale en provoquant une
sensation
extrêmement pénible de serre- ment comme par un
é- nuent alors et, en même temps, la malade commence à éprouver une
sensation
de fatigue aux membres inférieurs après une mar
t nous demander conseil. Ses crises, caractérisées par une violente
sensation
de déchirement, étaient presque subintrantes et p
a suite. Elles se déclaraient subitement, et étaient marquées par une
sensation
comparable à celle que produirait l'intromission
de la cinquième paire. Dans les paroxysmes, les malades éprouvent des
sensations
qu'ils comparent à celles que produirait l'arrach
entait de temps à autre, et subitement, dans l'anus et le rectum, des
sensations
qu'il com-parait à celles que produirait l'introd
ntroduction forcée dans le rec-tum d'un corps long et volumineux. Ces
sensations
survenaient tout à coup et disparaissaient rapide
. — Modifications de la sensibilité : retard dans la transmission des
sensations
, dysesthésie. — Sensations associées. Second ca
sibilité : retard dans la transmission des sensations, dysesthésie. —
Sensations
associées. Second cas : Lésions portant sur une
, à titre de premier symptôme, de four-millements, de picotements, de
sensations
de chaud et de froid, dans les membres inférieurs
grise ne provoque, sous l'influence des excitations, aucune espèce de
sensations
. En revanche, les troubles purement moteurs, la p
er pincement, l'application d'un corps froid, donnent naissance à une
sensation
très pénible, toujours la môme, quelle que soit l
Gharcot. Œuvres complètes, t. ii. 9 Dans la plupart des cas, ces
sensations
persistent pendant plusieurs minutes, parfois un
citée. Cela rentre dans l'histoire de ce qu'on désigne sous le nom'de
sensations
associées. On a cherché, vous le savez, à se re
uent aucune trace de mouvements réflexes. Le malade n'accuse aucune
sensation
pénible dans les membres paralysés. Il dit éprouv
placée dans un courant d'air très frais. Peu après, elle éprouva une
sensation
qu'elle compare à celle qu'aurait pu déterminer u
ant d'eau glacée qu'on aurait fait couler le long de son dos. A cette
sensation
a succédé bientôt une douleur assez vive, accompa
entre le développement soudain des bruits d'oreille et l'invasion des
sensations
vertigineuses. Maladies de l'oreille : otite la
. — Cas de vertige de Meniere. — Situation de la malade en mai 1875 :
sensations
vertigineu-ses permanentes ; — crises annoncées p
elle le peint elle-même en ter-mes pittoresques. C'est, dit-elle, la
sensation
qu'on peut ressentir lorsque, placé au sommet d'u
llement, vous l'entendrez peut-être, en proie à une exaspé-ration des
sensations
vertigineuses, pousser des cris violents. Par m
sortes d'accès. Ceux-ci paraissaient être caractérisés surtout par la
sensation
d'un brusque mouvement de translation, non pas de
vent dans la rue ; Gir... éprouvait -ejors le plus habi-tuellement la
sensation
d'une chute en avant et elle se voyait obligée, p
n juge par les dix ou douze observations qui me sont personnelles, la
sensation
d'un mouvement de translation du corps tout entie
de soit précipité à terre violemment, dans le sens correspondant à la
sensation
vertigineuse. Je puis citer à ce propos le cas d'
dans ceux-ci on n'observe ni fourmillements, ni engour-dissements, ni
sensations
quelconques rappelant une aura ; jamais de paraly
ouve-ments communiqués au lit exaspéraient aussi, à un haut degré, la
sensation
vertigineuse, et beaucoup d'entre vous n'ont pas
vous en souvenez, tou-jours annoncés et immédiatement précédés par la
sensation
d'un bruit aigu, perçant, qui survient tout à cou
vertige lui-même, il se montre chez G... conforme au type classique :
sensation
, succédant au sifflement, d'un brusque mouvement
mais perdu connaissance. Toujours le début était brusque, imprévu. La
sensation
d'une chute en avant survenait tout à coup, et, d
membres du côté droit, je reconnus qu'ils n'étaient le siège d'aucune
sensation
de fourmillement et qu'ils ne présentaient pas de
survient. Je dois ajouter que plusieurs fois, après avoir éprouvé la
sensation
d'être attiré vers la gauche, le malade a subi pe
ment diminués. C'est en produisant ces mouvements que l'on éprouve la
sensation
de craquements dans l'articulation coxo-fémorale.
ts segments des membres inférieurs un vase en étain, c'est tantôt une
sensation
de brûlure qui est accusée, tantôt une simple sen
st tantôt une sensation de brûlure qui est accusée, tantôt une simple
sensation
de contact. Ni le froid ni le poids du vase ne so
der, elle parvient après avoir fait une sorte d'effort pour saisir la
sensation
vraie, à reconnaître qu'elle s'est trompée tout d
x un sentiment presque permanent de chaleur et de chatouillement. Ces
sensations
s'exas-pèrent de temps à autre tout à coup et son
e manière assez lente. Depuis quelques jours, Catherine éprouve une
sensation
de constriction dans la région pharyngienne, sans
e. — Modification de la sensibilité: re-tard dans la transmission des
sensations
, dysesthésie. — Sensations associées Second cas :
sibilité: re-tard dans la transmission des sensations, dysesthésie. —
Sensations
associées Second cas : Lésions portant sur une de
entre le développement soudain des bruits d'oreille et l'invasion des
sensations
vertigineuses. Maladies de l'oreille : otite la
. — Cas de vertige de Ménière. — Situation de la malade en mai 1815 :
sensations
vertigineu-ses permanentes ; — crises annoncées p
postérieures 215., Secoussesfibrillaires, 221. (V.Amyo-trophies.)
Sensations
(Retard dans la trans-mission des), 129. — Associ
tête, qui est très accentuée même au repos com- plet, est due à la
sensation
continuelle de bourdonnements et de vertige que
apprenant une nouvelle fâcheuse, le malade éprouve tout d'abord une
sensation
de boule ou de poids à l'épigastre, il étouffe,
inte de toux convulsive, accom- pagnée de suffocation et des autres
sensations
qui constituent l'aura hystérique. Le trembleme
rois fois presque coup sur coup; le malade se plaignait alors d'une
sensation
d'agacement dans les genoux, il écartait les ja
nonce d'une nouvelle fâcheuse, cet homme fut pris tout à coup d'une
sensation
de boule remontant du ventre à la gorge. Il éto
jet (celui-ci tenant son bras horizontalement étendu) percevait une
sensation
tout à fait semblable à celle que produit le co
r la plaque de métal, mais encore elle était prise, à ce moment, de
sensations
génitales extraordinairement pénibles. Mettre une
ps les douleurs continuaient. Tandis qu'au début c'était une simple
sensation
de courbature, à ce moment c'étaient des élance
on lombaire de la colonne vertébrale, lancinantes, ou consistant en
sensation
de violente courbature. Elles gênent la malade
urs ont changé de caractère : tandis qu'au début c'était une simple
sensation
de courbature, à ce moment 'étaient des élancem
e, et il y avait des jours où il devenait très violent. Alors, à la
sensation
de serre- ment, venaient s'ajouter des battemen
dant un ou deux jours. En outre, il se plaignaitfréquemment d'une
sensation
de lourdeur insuppor- table dans le bas du dos,
ie inférieure de la région lombaire et sur la ligne médiane ; cette
sensation
n'était pas continuelle. Quand il en souffrait,
détermine d'abord une douleur très vive, puis le malade accuse une
sensation
de serrement ci la gorge avec angoisse respirat
t annon- cées actuellement par un sentiment d'étouffement ou par la
sensation
d'une boule montant de l'épigastre à la gorge ;
venus chez elle des accidents nerveux variés. Elle avait parfois la
sensation
d'une boule qui lui remontait jusqu'à la gorge;
hésie gauche incom- plète avec perte du sens musculaire de ce côté,
sensation
de pesanteur des membres gauches qui sont faibl
ariété. Elle ressent, avant ces crises, au niveau de l'estomac, une
sensation
de boule qui remonte vers la gorge, l'étouffe e
TION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, lit ' La perception des
sensations
gustatives est notablement moins vive sur la mo
elle éprouve à l'épigastre une douleur plus ou moins violente, avec
sensation
d'une poche énorme, faisant glou-glou et lui se
fois devant nous. Elle bâille, dit-elle, parce qu'elle éprouve une
sensation
d'étouffement qui la force à faire de grandes ins
ment, mais d'un mouvement involontaire presque continuel, dû à une
sensation
identique à l'aura ordinaire de l'attaque hystéri
ystérique : douleur au coeur épigastrique, constriction du pharynx,
sensation
de boule remontant de l'estomac à la gorge. P
avorté ; dans ce cas la malade de l'observation III accu- sait une
sensation
de malaise ; il fallait que le bâillement fût com
ccompagnent souvent, comme à l'état physiologique d'ailleurs, d'une
sensation
de soulagement. IV Les crises de bâillements
t la crise, ou même lorsque celle-ci va venir, la malade accuse une
sensation
de boule qui remonte de l'épigastre; elle a des b
Ch. Féré, Hystérie el Fatigue (C. r. Soc. de biologie 188.i, p. 197).
Sensation
et Mou- vement (Bibl. de phil. conte1l ! JI., i
ves de leurs narghilés, ils ne peuvent s'en abstenir qu'au prix des
sensations
les plus pénibles, tandis que la dose de 30 à 4
. La température des mains est peu près* égale. Il y a toujours une
sensation
de froid dans le bras droit bien que la tempéra
santé. Etant à la chasse, le 10 mars 1884, il cul tout d'un coup la
sensation
d'un voile couvrant l'oeil droit; le même fait
l tombait ainsi une ou deux fois chaque jour. Il avait en outre une
sensation
de fraîcheur aux mains toute particulière; le tou
lement des douleurs en coups d'épingle dans les mêmes régions. La
sensation
de froid aux jambes, de glace sous la plante des
était pris subitement, parfois au milieu de la conversation, d'une
sensation
de picotement, de corps étranger au niveau du l
ntinue. A la main, quand la sensibilité électrique (frémissement et
sensation
douloureuse) a été ramenée, la sen- silililé il
omme des affaiblissements, des suppressions au moins apparentes des
sensations
, des sou- venirs, des mouvements. (Les hyperest
un arrêt du fonctionnement des centres nerveux qui servent à cette
sensation
tactile ou visuelle; ou bien ces anesthésies ne
e être supprimé. Nous avons montré dans de nombreuses études que la
sensation
tactile, la sensation visuelle, même à la périp
ons montré dans de nombreuses études que la sensation tactile, la
sensation
visuelle, même à la périphérie du champ visuel,
ibles 1. Si on considère l'attention sous son aspect moteur, férié.
Sensation
et Mouvement , 1887, p. 21 et Pathologie des dmu-
se, on constate qu'une femme hystérique ne peut percevoir plusieurs
sensations
à la fois : dès qu'elle est occupée à sentir un
is et cesse de pouvoir le faire dès qu'elle est dis- traite par une
sensation
ou un autre mouvement. Ce dernier point a été p
t perpétuelle, qui empêche ces personnes d'appré- cier aucune autre
sensation
en dehors de celle qui occupe actuellement leur
nscience semble très petit, il est rempli tout entier par une seule
sensation
relativement simple, un seul souvenir, un petit
Elle n'est ni profonde, ni complète, car elle laisse subsister des
sensations
élémentaires sous forme de phé- nomènes subcons
rès fréquent, on constate des alternances des équivalences dans les
sensations
disparues. « La sensibilité, disait autrefois C
idus normaux, mais ne pouvaient pas à cause 1 Cabanis. Histoire des
sensations
, dans l'étude sur le rapport du physique et du
, le plus souvent incomplets et se ravissant les uns aux autres les
sensations
, les images et par conséquent les mouvements qu
intellectuels sont assez développés pour que le sujet perçoive les
sensations
, comprenne même les signes et le langage, mais
amp de la conscience; un certain nombre de phénomènes élémentaires,
sensations
et images, cessent d'être ' ' ! un)un, p. 11. B
a maladie se compose ainsi qu'il suit : vertiges, lourdeur de tête,
sensation
de lassitude, diminution de l'appétit, affaibli
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 51 sation cérébrale des
sensations
du toucher, de la douleur, de la température, a
on entend stricte- ment par « sens musculaire » : il signifie toute
sensation
de mou- vement, les sensations tactiles et mixt
sens musculaire » : il signifie toute sensation de mou- vement, les
sensations
tactiles et mixtes, toute sensation pro- venant
sensation de mou- vement, les sensations tactiles et mixtes, toute
sensation
pro- venant des muscles de la peau, des ligamen
de la peau, des ligaments, des tendons, des surfaces articulaires,
sensations
qui sont le résultat d'une action musculaire et
ccidents ac- tuels. Vers cette époque, il a commencé à éprouver des
sensations
de froid dans les jambes; il lui semblait, dit-
les avoir constam- ment dans l'eau. Il ne parvenait à vaincre celte
sensation
que devant un feu très vif. En même temps surve
ements douloureux presque continuels. La marche est gênée par une
sensation
de chatouillement de la plante des pieds et de
s; de plus, douleurs violentes aux cuisses, affectant par moment la
sensation
«d'éclairs» : elles suivent à peu près exacteme
lade ressent des fourmillements continuels dans les jambes et a une
sensation
de froid au niveau des jambes et des pieds. (La
une chaise pour marcher. De plus, quand il éprouve en marchant une
sensation
de froid, la contracture des muscles rend la ma
e, étudie très finement les altérations des différents éléments des
sensations
tactiles, et arrive à cette conclusion que dans
ie-. mélancolie incapacité de travailt'intellectuel'' "obtusion1 et
sensation
de pression céphaliq'ue1 'sensations pénibles d
ernières doses : sécheresse de la gorge, dila- tation des pupilles,
sensation
de faiblesse, nausées aux repas. Ainsi, tandis
ue assez marquée : dilatation des pupilles, sécheresse de la gorge,
sensation
de faiblesse, dimi- nution des forces et nausée
tion pupillaire, sécheresse de la gorge, diminution des forces avec
sensation
de faiblesse, vomituritions aux repas et immédiat
émane évidemment de foyers circonscrits du bulbe qui provoquant des
sensations
hypo- chondriaques anormales éveillent au plus
anisme, produire artificiellement l'exaltation ou la dépression des
sensations
, il y a lieu de supposer que des modifications
tanément sans le con- cours de la volonté et.par conséquent sans la
sensation
de,l'effort. Ces mouvements peuvent être réprim
admettant que les olives sont des organes destinés à recueillir les
sensations
tac- tiles pour les transmettre au cervelet, ne
et devient tout de suite trop forte. » Il ajoute d'ailleurs que des
sensations
plus voluptueuses que celle des rapports licite
on motrice de la fonction sensitive et l'impulsion motrice comme la
sensation
découlent pour l'auteur d'un seul et même proce
tre qui sent, mais un centre est le siège du processus qui cause la
sensation
. L'antithèse entre les termes «moteur » et « se
cale. Il ap- prouve et modifie le schéma de Jackson. Pour lui, la
sensation
la plus élémentaire est un rapport entre deux f
ité de conscience. Le sens de l'effort résulte d'une association de
sensations
avec un travail molléculaire siégeant dans les
le d'une action dans les centres supérieurs et d'un autre côté, les
sensations
d'effort et de fatigue dépendentd'échanges maté
es centres. Il y a toujours liaison intime entre le mouvement et la
sensation
. P. SOLLIER. XXXIX. Description DE la couche mo
ompagnée de paralysie des cordesvocales chez lequel il existait des
sensations
douloureuses dans les extrémités insensibles.
ucinations motrices communes, également très accentuées, telles que
sensations
de déplacement d'une partie du corps ou du corp
ains actes volontaires), des troubles de la sensibi- lité profonde (
sensations
de pesanteur, de légèreté, de vide, de rapetiss
après, elle recommence de suite. Cette voix s'accompagne souvent de
sensations
de piqûres, d'engourdis- sement dans une partie
es ressent; elle se touche et en même temps la malade éprouve des
sensations
voluptueuses. Bien que cette femme soit une mis
puis cinq mois de vives douleurs dans les deux jambes. Il avait la
sensation
d'épingles s'enfonçant dans les chairs. Le moindr
lité à gauche, rétrécissement concentrique notable du champ visuel,
sensation
de boule lui montant à la gorge. J'en avais a
nt concentrique notable du champ visuel. Elle avait eu souvent la
sensation
de boule hystérique partant du creux épigastrique
sionnable à l'excès, quelques maux de tête, des étouffements, une
sensation
de constriction à la gorge. Ce fut tout. Une tume
l'hystérie, rétrécissement concentrique très marqué du champ visuel
sensation
de boule nerveuse lui serrant la gorge et la suf-
ble et double du champ visuel, l'anesthésie du pharnyx et certaines
sensations
de suffocation, d'étranglement à la gorge. Elle
ne neurasthénique avec les principaux syndromes : asthénie motrice,
sensations
de casque lui serrant le crâne, douleurs à la n
h-7-oparesthésie. Le bout des doigts et des orteils est le siège de
sensations
insupportables, de fourmillements, et cependant
y a des hallucinations psychomo- trices qui suivent quelque fois la
sensation
d'angoisse pré- cordiale, laquelle se propage p
ance indispen- sable et souvent impossible dans les familles. Les
sensations
, délires et hallucinations des malades peu- ven
e et hypochondriaque, ce sont les préoccupations de leur santé, les
sensations
et hallucina- tions internes, viscérales, organ
xemples, syphiliophobie, phobie, des intoxications, et toutes leurs
sensations
se con- centrent autour de ces idées. Donc, sel
on- centrent autour de ces idées. Donc, selon les idées, délires,
sensations
qui prédominent, nous aurons des formes diverses
nférieur droit, et enfin des troubles subjectifs de la sensibilité (
sensation
de froid, fourmille- ments). Il est à remarquer
THOLOGIE NERVEUSE. 69 L'effet d'une telle vie est stimulant par les
sensations
et les impres- sions différentes et multiples.
ne d'un muscle, tantôt dans un autre, et dont l'unique cause est la
sensation
douloureuse. Ces mouvements ne sont pas le moin
équemnent de ma- lades indociles ou difficiles à interroger sur une
sensation
aussi délicate, qui peuvent exécuter pendant l'
ans ses problèmes pratiques. C'est ainsi que chacun des processus «
sensations
viscérales », « folie», c émotions », « instinc
Journal of insanity, octobre 1897.) E. B. IX. Psychro-aesthésie (
sensations
de froid) et psychro-algie (douleurs de froid)
froid) et psychro-algie (douleurs de froid) ; par le Dr DANA. Les
sensations
de froid constituent une forme rare de pares- t
thésie et ont été décrites sous le nom de psychro-cesthésie. Ces
sensations
de froid ne sont pas ordinairement très pénibles,
elles ne sont en rien comparables, au point de vue douleur avec les
sensations
de chaleur. L'auteur rapporte sept cas de psych
nique du système central ou périphérique. Il existe deux classes de
sensations
de froid. , Dans la première, le symptôme n'est
hérique sur l'un des points de son parcours. La seconde classe de
sensations
de froid, la psychro-cesthésie proprement dite.
froid, la psychro-cesthésie proprement dite. est constituée par une
sensation
tout à fait loca- lisée. le plus souvent sur la
nt plus ou moins exactement avec la distribution d'un nerf. Cette
sensation
est superficielle : il semble au patient qu'un ob
E DE THÉRAPEUTIQUE, 165 des piqûres dans le côté droit aussi par la
sensation
d'eau chaude lui coulant sur la peau ; l'examen
d'une crise d'agitation et alors le malade n'eut plus cette bizarre
sensation
qui d'ailleurs ne reparut plus après le retour
ct non plus les altérations de la person- nalité physique, mais les
sensations
subjectives ressenties par les malades dans la
ets chez lesquels le sens tactile a pu être bien vérifié ont eu ces
sensations
subjectives et chez un seul elles ont évolué pa
aillements, 2 des décharges électriques dans la peau, un dernier la
sensation
d'une constriction comme si les membres étaient
c'était sans conteste celui qui ressentit au plus haut degré cette
sensation
, laquelle était répandue par tout le corps, mai
tact et les aberrations de la personnalité physique, ainsi que les
sensations
subjectives de LE SENS TACTILE ET LA PARALYSI
, soit dépressives de la personnalité physique, et aussi avec les
sensations
subjectives ressenties dans la peau par les malad
roubles trophiques des mains, de la scoliose et la dissociation des
sensations
. Cette dis- sociation, bien qu'elle ne soit plu
contraire, ceux à tares héréditaires moins nombreuses coor- ' Feré.
Sensation
et mouvement. 278 PATHOLOGIE MENTALE. donne
lle y est relativement rare et s'y présente plutôt sous la forme de
sensations
subjectives variées, traduites par les sujets d
ou de confusion. Qu'il s'agisse de souvenirs, d'appré- ciations de
sensations
, de questions à saisir, d'idées à expri- mer, t
fait, l'auteur admet que la névrome en- voyait vers les centres des
sensations
perturbatrices continuelles qui gênaient les pe
qui gênaient les perceptions.' Après la résection du névrome les
sensations
recueillies par les anastomoses récurrentes, qu
, etc. Sont enfin examinées les voies de transmission anormales des
sensations
auditives et tactiles des choses lorsqu'elles d
d'un choc brus- que dans la région céphalique, donnant au malade la
sensation
d'une attrition, sensation qui persiste pendant
région céphalique, donnant au malade la sensation d'une attrition,
sensation
qui persiste pendant quelques minutes, puis dis
et sain, la compression brusque du creux épigastrique détermine une
sensation
douloureuse très spéciale accompagnée d'angoiss
ionnel lié le plus habituellement à ce phénomène est la perte de la
sensation
de la faim. Il est probable, sans qu'on puisse
! » Sans une minute de répit, elle cherche à se défendre contre ces
sensations
pénibles qui' l'assiègent de toutes parts. In
ci, elle a eu de nouveau, à la suite de cha- grins domestiques, une
sensation
de boule qui l'étouffait ; elle portait la main
symptômes d'hystérie (somnambulisme, crises à forme de contracture,
sensation
de boule). Cette dégénérée hystérique commet à
ès nerveuse, elle avait fré- quemment des crises d'étouffement avec
sensation
de boule à la gorge ; elle faisait ordinairemen
in gauche sur le genou du même côté et réfère à ce dernier point la
sensation
de brûlure. Dans le membre abdominal gauche se
ilité la somme d'attention, auparavant consacrée à la production de
sensations
, de mouvements et d'idées. Que cette attention,
u système nerveux périphérique et central. Le délire interprète des
sensations
réelles. Ces altérations du système nerveux son
s frappent le sys- tème-nerveux périphérique et central, créant des
sensations
péni- bles dont l'interprétation constitue le d
névroses et aux il2toxie(t- tions. Les névroses sont une source de
sensations
pénibles. Ces sensations, chez un sujet prédisp
- tions. Les névroses sont une source de sensations pénibles. Ces
sensations
, chez un sujet prédisposé, peuvent être le point
nous l'avons dit, de fourmillements dans les membres et aussi d'une
sensation
de froid presque continue; un peu plus tard, el
eur du tabes, je me trouvais en présence des symptômes suivants :
sensation
d'engourdissement, de fourmillement sur le trajet
et mis en présence de ces pages sublimes, les contemplerait avec la
sensation
d'une chose vécue. Il y reconnaîtrait ses compa
malade n'a jamais été un - grand dormeur. Il ne se plaint d'aucune
sensation
douloureuse et déclare se sentir tout aussi vig
uscles du cou et de la nuque : déglutition difficile, voix éteinte,
sensation
de constriction à la gorge, pupilles normales, pa
so-algie, douleurs de froid, par Uana, 419. Psvcuno - oestiiésie.
Sensations
de froid, par Dana, 149. Racines cervicales.
père que l'oreille appliquée contre la paroi osseuse per- cevra une
sensation
analogue au frémissement que l'hydatide provoque
rocher un diapason sans obtenir la moindre réaction prouvant que la
sensation
est perçue. La perception osseuse recherchée pa
e notre sujet qui ne présente ni gêne de la flexion de la jambe, ni
sensation
de bride, de corde résistante tendue au-dessus de
la lumière. Ils baissent les yeux vers le sol, comme pour éviter la
sensation
douloureuse que leur causent les rayons lumineux.
, de la céphalée gravative, continue, sans localisation nette, avec
sensation
de serrement de tête; puis des troubles psychiq
ces temps derniers. Les crises sont précédées le plus souvent d'une
sensation
d'ennui et de lassi- tude : elle songe à ses pa
pas être auprès d'eux, etc. La crise elle-même est annoncée par une
sensation
de constriction au creux épi- gastrique ; elle
qui durent de 1 il 2 minutes et sont uniquement constituées par la
sensation
de constriction abdominale. Elle n'a ni vertige
égions occupées auparavant par ces plaques, le malade n'accusait la
sensation
chaude ou froide qu'après un moment d'hési- xiv
ds froid. Nous avons remarqué en outre une légère persistance de la
sensation
de cha- leur. III. Sensibilité tactile. La me
tres, 0. D. = 25 cent. Lorsque le malade lit,il éprouve bientôt des
sensations
de piqûres et de brû- lure dans les yeux, puis
- tion ; 9° des neurones de la vaso-constriction. 4° Neurones des
sensations
pathiqnes. La douleur est due, soit à une somma
aisemblance, dans l'écorce de l'hémisphère droit. 2° Neurones des
sensations
tactiles. Que l'hémisphère droit soit lésé chez
sthésie oscillante me paraît due à l'hyperamiboïsme des neurones de
sensation
tactile de l'hémisphère droit, hyperamiboïsme ré
, c'est-à-dire à la rétraction complète. Lorsque les neurones des
sensations
tactiles se rétractent, des neuro- diélectrique
'ailleurs que les neurones rétractés sont bien les neu- rones où la
sensation
tactile a lieu, et non les neurones de leurs cond
t faite et dans la région symétrique. Cela montre de pi neurones de
sensations
tactiles des deux hémisphères sont e : étroite.
de l'hy du même côté. Cela paraît être dû à ce que les neurones des
sensations
tactiles sont situés plus en aval que les neuro
s sensations tactiles sont situés plus en aval que les neurones des
sensations
doulou- reuses. Des neuro-diélectriques situés
bilité tactile, est l'une des raisons de la grandeur des cercles de
sensation
à la face externe des membres, au dos, aux fess
nes de celle-ci, est également diminuée à gauche. 3° Neurones des
sensations
de froid et des sensations de chaud. J'ai essay
ement diminuée à gauche. 3° Neurones des sensations de froid et des
sensations
de chaud. J'ai essayé de démontrer que les hypo
es résultaient de la rétraction en masse d'un groupe de neurones de
sensation
, qui, tout en restant en relation avec ses cond
ressionne à la fois les nerfs du froid et les nerfs du chaud, et la
sensation
perçue est la somme algébrique de ces deux impr
me, 1901). NOEVUS VEINEUX ET UYSTÉRIE 231 lion des neurones des
sensations
de chaud dans les régions de l'écorce cor- resp
peresthésiques pour le froid, et par la rétraction des neurones des
sensations
de froid dans les régions de l'é- corce corresp
ésie, pour le chaud ou le froid, c'est-à-dire anesthésiques pour la
sensation
inverse, ne se superposent pas au naevus. Elles
chaud, un objet chaud n'é- tait pas perçu froid. 4° Neurones des
sensations
auditives. La diminution de la sensibilité audi
ement fonctionnelle (hyperamiboïsme et rétraction) des neurones des
sensations
auditives de l'écorce de l'hémi sphère droit. t
auditives de l'écorce de l'hémi sphère droit. t. 5° Neurones des
sensations
visuelles. Les rétrécissements oscillants des c
he, au désavantage de celle-ci, car nous savons que les neurones de
sensation
et les neurones de mouvement qui commandent une
une connaissance plus exacte par un toucher méthodique, elle eut la
sensation
de doigts froids longs et aplatis ; les ongles
auches, une zone de battements. La région du coeur est en- dolorie (
sensation
subjective). Au foyer d'auscultation de l'orifice
aissait constituer l'élément principal, fut justement le retour des
sensations
spéciales. C'est un fait qui pourra surprendre
e consistance générale ferme dans sa partie interne, elle donne une
sensation
plus élastique, sur une coupe transversale de n
intact. Pas d'anesthésie tactile, mais retard de la perception des
sensations
. Sensation d'endolorisse- ment le long de la co
d'anesthésie tactile, mais retard de la perception des sensations.
Sensation
d'endolorisse- ment le long de la colonne verté
même compliqués (flexion des jambes, retrait du corps pour fuir une
sensation
désagréable,succion, déglutition). L'enfant pré
oments, etc. - Elle raconte que, dès l'âge de 11 ans, elle avait la
sensation
d'une boule qui remontait du côté gauche de l'a
qui remontait du côté gauche de l'abdomen et venait lui donner une
sensation
d'étranglement au niveau du cou. Cette sensatio
ait lui donner une sensation d'étranglement au niveau du cou. Cette
sensation
s'est reproduite par périodes plus ou moins lon
oule semblait prendre naissance suffisait pour faire disparaître la
sensation
d'étranglement. Elle ne paraît pas avoir jamais
s avant, elle avait com- mencé à ressentir surtout en marchant, une
sensation
de roulement et de cuis- son dans le sein droit
ans la région ovarienne et tout le côté gauche ; elle avait aussi une
sensation
de brûlure au niveau des reins et du dos, comme
volume du sein la gêne encore un peu, mais elle n'y éprouve qu'une
sensation
de douleur et de légère cuisson. Si elle a des en
re. En résumé, il s'agit ici d'une femme que ses petites crises, la
sensation
de boule, les douleurs variées, la fringale ven
is 15 mois, sans cause appréciable, son sein est devenu le siège de
sensations
pénibles, cuisson, brûlure, douleurs lan- cinan
reux s'associent à l'hypertrophie. Outre les dou- leurs spontanées,
sensation
delourdeur, de roulement intérieur, de cuisson,
s, etc.(C.R. de la Soc. de biologie, 1885, p. 223, 242, 253, etc.).
Sensation
et mouvement, Etudes expérimentales de psycho-m
vue du mouvement (C. R. de la Soc. de biologie, 1901, p. 930). (5)
Sensation
et mouvement, p. 6. Note sur l'influence réciproq
ux pél iphériques ne percevraient donc pas tous également les mêmes
sensations
; ils semblent se partager les rôles d'avertisseu
bilité intacte. On note seulement que le membre donne à la main une
sensation
de fraîcheur d'ailleurs peu importante. Nous
la douleur ne sont pas les mêmes que les centres c percepteurs des
sensations
tactiles, sans que cependant il soit encore per
uat du centre par rapport à l'expression (centres moteurs), on a la
sensation
(centres sensitifs) ; 3° les alté- rations du l
on locale s'effectue par l'électro- lyse interpolaire; b) celle des
sensations
douloureuses s'accomplit par un courant artific
fallu des aiguilles de 5 milligrammes à 1 gramme pour produire une
sensation
chez les tabétiques, sauf sur certaines régions
mmunication typtologique ; Professeur J. Grasset (Montpellier) : La
sensation
du « déjà vu » ; Professeurs F. Raymond et P. J
. Ordinai- rement, nous faisons usage de nos facultés sans avoir la
sensation
nette de notre activité mentale, et si nous dev
pas en présence de simples suppositions ou inductions, mais que la
sensation
de l'activité mentale (s'exerçant d'une façon a
s desjointures et des muscles. Sens de la tempé- rature : outre les
sensations
de brûlure ou de chaleur douloureuse, elle a de
fées de chaleur et des boulfées de froid glacial. Sens musculaire :
sensation
d'extrême fatigue, de lassitude douloureuse san
res paraissent en plomb. Sensibilité tactile : elle se plaint d'une
sensation
particulière que l'auteur n'a jamais observée a
àce en la comparant à du verre ou à de la soie, elle constate cette
sensation
en frottant ses doigts les uns contre les autre
e ce que res- sentent les malades qui prennent de la belladone : la
sensation
est peut-être purement nerveuse, mais il se peu
resse de la peau ne correspond nullement à la sen- sation éprouvée.
Sensation
du goût : elle perçoit avec intensité des saveu
urtout la saveur astringente, qui n'a rien de commun avec l'odorat.
Sensations
olfactives : elle est tourmentée par des odeurs
antes, ou bien elle sent des parfums de fruits, de citrons surtout.
Sensations
respiratoires : il y a toute une série de sensa
trons surtout. Sensations respiratoires : il y a toute une série de
sensations
qui se rattachent à la respiration, et qui devr
fumigations, on accroche sarespiration. Sensi- bilité viscérale : ,
sensation
de mouvement et de torsion dans l'ab- domen ; o
u- coup, en provoquant non seulement de la douleur, mais d'autres
sensations
spéciales. Sensations visuelles : les hallucinati
nt non seulement de la douleur, mais d'autres sensations spéciales.
Sensations
visuelles : les hallucinations de la vue parais
lité à ce qu'elle croit avoir vu qu'à ses hallucinations de l'ouïe.
Sensation
d'activité mentale : il ne paratt pas y avoir d
e femmes, surtout lorsqu'il les lacérait, provoquaient chez lui des
sensations
voluptueuses pouvant aller jusqu'à l'érec- tion
ci comme un phénomène mental, un phénomène de réception erronée des
sensations
(Leyden, Fischer), le produit d'un désordre de
OGIE PATHOLOGIQUES. retomber avec la disparition de la tétanie. Les
sensations
parais- sent très émoussées, sinon tout à fait
ec odeur permanente de sulfure de carbone dans la bouche, céphalée,
sensation
d'ivresse, troubles de la mé- moire. Après avoi
u- mettre. Un mois après elle ressentit pour la première fois des
sensations
d'engourdissement dans le bras gauche, elle n'a
surface du corps sont hypéresthésiés. f J'insisterai encore sur une
sensation
très nette de cons- r triction thoracique avec
1899, la malade avait alors trente et un ans, elle se plaint d'une
sensation
de fatigue au moindre effort, de douleurs vague
euses. LOCALISATIONS. DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 287 I Les
sensations
subjectives sont variées autant que péni- bles,
souffrance du sympathique dont la moelle extérioriserait ainsi les
sensations
. C'est une hypothèse que je livre à votre criti
disparais- sent au bout de quelque temps ; peu après il accuse une
sensation
d'engourdissement dans les deux derniers doigts
au cinquième métacar- pien. Cet engourdissement s'accompagne d'une
sensation
de froid plus ou moins accusée suivant les mome
même région le malade éprouve, comme nous l'avons déjà indiqué, des
sensations
d'engourdissement et de four- millement. Sur le
ocement avec de l'eau bouillante sans avoir ressenti la plus légère
sensation
. Toutefois, il existe une intégrité de la sensi
is l'époque où apparurent les premiers troubles syringomyéliques,
sensation
de brûlure « de feu ardent », éruption de taches
, vibrant dans le voisinage immédiat de la VIGIE paire, perçoit une
sensation
sonore beaucoup plus puissante que l'individu n
oustique spé- cialisé. IL BO : OEIER. - L'acoustique dérive de la
sensation
tactile et tient à une variation de pression mo
s, par M. Malapert, un article de M. Bourdon sur la distinction des
sensations
des deux yeux, et enfin une série de mémoires d
achève mais dont le coefficient intellectuel est très appauvri Une
sensation
de mouvement, d'une part, provoque par associat
X... nous dit que pendant l'audition du morceau elle a éprouvé des
sensations
très semblables à celles du rapprochement sexue
l'auriculaire; les mouvements de ce doigt étaient difficiles et les
sensations
d'engourdissement augmentaient par le travail. A
d'où elle était venue et qui prend ainsi de nouveau la forme d'une
sensation
, de manière à être prise pour la réalité. Tanzi
a zone psychique supra-sensorielle et les centres corticaux de pure
sensation
, alors même que ces trajets sont destinés à d'a
onction centrifuge : Flechsig les considère comme modérateurs de la
sensation
; Ramon et Cajal leur attribue une action toniq
tion rétrogressive, descendre non seulement jusqu'aux centres de la
sensation
, mais bien plus bas encore, jusqu'à la périphér
activité spéciale duquel nous sommes cons- cients de telle ou telle
sensation
? Nous savons que dans les cen- tres moteurs le
ociations motrices. Bien que l'auteur pense, avec Tamburini, que la
sensation
dont nous sommes conscients dénote une modifica
centre sensoriel cortical, il n'en est pas moins vrai que sauf les
sensations
élémentaires (douleur, lumière, bruit), nous ne
entaires (douleur, lumière, bruit), nous ne paraissons pas avoir de
sensations
pures, et il semble que ceci nous force à admet
e ceci nous force à admettre ou qu'un certain degré de synthèse des
sensations
se produit dans le centre spécial du centre qui
e, dit-il, qu'il y a en moi quelque chose â'anli,l/loé.3.. Il a une
sensation
de vide dans la tête, depuis son dernier accès
orce cérébrale est infini. Nous devons toutefois supposer que toute
sensation
consciente, si simple soit-elle, affecte l'écorce
eil du sommeil provoqué par l'opium est loin de s'accompagner d'une
sensation
de repos. Le chloral, le sulfonal, le trional,
édicament, mais s'accompagne au bout de quelclue temps d'une grande
sensation
de dépression. Le contraste entre les effets du
ion stéréognostique n'est pas un sens spécial, mais une synthèse de
sensations
simples. 496 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Brissaud o
restreindre les motifs nouveaux qui surgiront souvenirs évoqués ou
sensations
nou- velles, au cours de la délibération entre
ntrôle de la Raison instituée par eux et entr'eux. 3e preuve. Les
sensations
peuvent être subies inconsciem- ment, subconsci
des ligaments et des muscles, en faisant abstraction du trouble des
sensations
dues au fonctionnement (Signalempfindungen). De
rovoqué des spasmes du côté opposé du corps, spasmes précédés d'une
sensation
d'engourdissement et de fourmillements. L. Hill
tée. De plus, comme dans la moelle, les fibres intervenant dans les
sensations
de température et de douleur, cheminent dans le
pilepsie, etc. Le signe d'Hoffmann (percussion d'un tronc nerveux :
sensations
ir- radiées dr.3 le domaine de ce nerf) n'est p
e médiumnimique. Les hallucinations con- sistaient en mouvements ou
sensations
de mouvements de l'une ou de l'autre main indif
ensations de mouvements de l'une ou de l'autre main indifféremment,
sensations
grâce auxquelles il connaissait ce que sa main
nations.que les malades atteints de ces troubles n'éprouvent pas de
sensations
, n'entendent pas de paroles, mais qu'on leur pa
citée par l3aillarger,la malade n'entend pas de voix et n'a pas la
sensation
de parler ses pensées ; les conversa- tions se
sé chronique, car elle est basée, comme l'a dit Baillarger, sur des
sensations
ex- ternes ou internes parfaitement réelles et
l'étude d'actualité du rôle du lobe temporal dans la perception des
sensations
auditives ; les points de cette observa- tion q
doux caractères fondamentaux : la faiblesse de trans- formation des
sensations
en idées ; le rétrécissement du champ cérébral.
ossibilité pour le malade, de supporter la lumière du jour. Cette
sensation
désagréable entraîne souvent le blêpharospas- (
rit cette impressionnabilité particulière et excessive à toutes les
sensations
visuelles et pour Bermutz, c'est une véritable
l'Infirmerie du Dépôt, Paul Gar- nier insistait sur ce fait que la
sensation
de brouillard rouge perçue par certains épilept
se cacher dans les fossés et en se mas- turbant elle éprouvait des
sensations
voluptueuses. Quand elle a été mariée, elle n'a
ères crises. ' L'aura qui précède la crise est constituée par une
sensation
voluptueuse que la malade sent monter d'un geno
nnonceraient par des battements des paupières, mais surtout par des
sensations
hyperesthésiques que la malade localise au côté
e sent comme un souf- fle lui monter du ventre vers la tête, pas de
sensation
d'étran- glement. Il lui semble alors voir du f
ensibilité générale, à localisations variées, caractérisées par des
sensations
étranges, indéfinissa- bles, pénibles plutôt qu
rouvé soi-même, même à un beaucoup moin- dre degré d'intensité, des
sensations
analogues : comme Goethe l'a déjà dit dans son
é unilatérale et, si l'on soumet le patient à l'appareil de Mack.la
sensation
de rotation dexlrorsum continuera à être perçue
u casque. Ils ont consisté, au début, en bourdonnements d'oreilles,
sensation
de chaleur à l'ab- domen avec nausées, étourdis
n notable de la force du bras gauche. Oppression assez marquée avec
sensation
de compression de la cavité thoracique.La tête
aise général semblable à un éva- nouissement. Il faut noter que ces
sensations
n'ont rien de com- mun avec l'orgasme et ne coï
nt du coït. Au moment de ejaculatio hominis elle ne re- çoit aucune
sensation
particulière. L'embrassement et les ca- resses
trailles s'échappent de l'abdomen, peut même parfois provoquer des
sensations
spécifiques dans la profondeur des organes géni-
s sensations spécifiques dans la profondeur des organes géni- taux (
sensation
de chaleur el de chatouillement). A la pensée q
ana- logue aux associations anormales connues dans la sphère des
sensations
comme, par exemple, l'audition colorée, etc.
toujours : : de quelle manière garrotte-t-on les criminels, quelles
sensations
éprouvent ces der- niers, mais les autres circo
malade rêvait-qu'il était forçat lui-même et qu'il éprouvait les
sensations
d'un homme mis aux fers.... Lorsque le ma- lade
es hystériques : la suggestion expérimentale ne doit solliciter une
sensation
et son trouble trophique concomitant que si l'u
s d'idées de persécution corporelle ou d'idées hypochondriaques.Ces
sensations
nous montrent d'ailleurs que les lésions ont eu
anesthésie gauche, puis paresthésies à gauche avec sueurs profuses,
sensations
subjectives anormales et abolition du sens de l
en droit. Rien au coeur. Pas d'hystérie V. Femme 55 ans : début par
sensation
permanente de froid aux extrémités, palpitation
très nerveux, très irrita- ble ; de temps en temps,il éprouvait la
sensation
d'un serrement et d'une anxiété dans la région
s la région du coeur ; quelquefois il ressentait aux extrémités des
sensations
particulières désagréables,semblables à celles
e forces pour se lever. Les premiers jours, lé malade éprouvait une
sensation
de séche- resse dans la bouche et dans le phary
oduit une douleur brûlante) ; douleurs fulgurantes dans les doigts,
sensation
de la sensibilité diminuée dans les mains et en
ensation de la sensibilité diminuée dans les mains et en même temps
sensation
de la peau (C mise à nu ». Le sens stéréognos-
pareils chez les, /11f¡Í'liqllC (la s'na ! iq]1 de mouvement et la
sensation
de direction de ce mouvement pissociees). 412 C
ormales complexes (comme celles d'un liquide répandu sous la peau),
sensations
qui apparaissent sou- vent comme un prodrome de
thétiques ». Elle peut aussi prove- nir de l'absence de contrôle de
sensations
, récentes par les expé- riences antérieures. Ma
ts qui, par le mécanisme de l'association, servent à contrôle ! les
sensations
nouvelles, ne se présentent plus à la cons- cie
e par le rôle prépondérant des associations qui servent à juger les
sensations
: ce n'est pas la critique qui manque à l'obsédé,
nt souvent par de l'incohé- rence : « l'attention, déchaînée, va de
sensation
en sensation sans s'arrêter à aucune. En même t
r de l'incohé- rence : « l'attention, déchaînée, va de sensation en
sensation
sans s'arrêter à aucune. En même temps, les sou
, les souvenirs latents, plus faciles à réveiller, permettent à des
sensations
insignifiantes, normalement incapables d'attire
normalement incapables d'attirer l'attention, de la détourner des
sensations
fortes et de former des représentations». Le te
e définition insuf- fisante » : angoisse obsédante, hallucinations,
sensations
obsé- dantes (Zwangsangst, etc.) L'obsession pe
uvait les pincer, les piquer profondément, sans déterminer la moindre
sensation
. Désireux de savoir si, dans une telle circonstan
se à nu, comme on ferait sur les touches d’un piano ; mais que chaque
sensation
distinctement perçue, non-seulement n’était pas d
ût laissé faire. Je l’envoyai également en Russie, où il éprouva la
sensation
contraire. Parfois je le revêts de l’habit et d
n homme à califourchon sur le cou du sujet, avec la volonté que cette
sensation
persistât au réveil. Nous eûmes une scène des plu
e recueillir, au delà des limites que les sens peuvent atteindre, des
sensations
ou des connaissances qu’elle transmettra aussi fa
le goût qu’il nous avait plu de leur donner ; leur odorat accusait la
sensation
des parfums les plus variés, qui n’existaient rée
c'est elle qui donne ii la vie aux nerfs et qui produit en nous la
sensation
. Cet « élément n'est que d’un degré au-dessous de
de leur langage, la confusion de leurs idées, l'inconstance de leurs
sensations
ne pouvaient manquer de produire cet assemblage c
à Nantes, en 1828, parM"' Renaud-de-Saint-Amour, firent une profonde
sensation
. Les uns y virent des miracles, d’autres du magné
prendre de sujets très-sensibles au magnétisme, qu’ils éprouvaient la
sensation
de bourdonnements dans une oreille. Ayantausculté
et pulmonaire, l’action de ces seuls organes servant d’expression aux
sensations
du grand sympathique, il est logique de conclure
i se volatilisent aux dépens de la chaleur du corp* et produisent une
sensation
de froid très-vive, le même résultat est obtenu.
dans l'air qui viennent frapper les nerfs auditifs et le siège de la
sensation
de l'ouïe, quoique l’origine de ces ondulations a
s à regarder comme l’opération normale de nos facultés, suspendant la
sensation
, arrêtant le pouvoir du mouvement volontaire et l
aussi avoir été transformées. Le sujet peut être impressionné par la
sensation
d’autrui : crier d un coup donné à un autre, dégu
n effroi. Elle se mit au lit fort émue, et ressentit bientôt après la
sensation
d'un coup de poing dans la poitrine, n Je ne joue
ne joue Îias à ce jeu-là, » dit-elle. Un second coup, ou du moins a
sensation
d’un second coup, acheva de l'effrayer, et, rallu
n mouvement corporel ; lorsque, par la pensée, nous lui imprimons une
sensation
— joie ou douleur, — un sentiment — amour ou anti
de avait des attaques pendant lesquelles elle tombait et éprouvait la
sensation
d’un corps qui partait du bas-ventre, arrivait à
Le 21, pendant la magnétisation, la malade éprouva à l'épi* gastre la
sensation
d’un mouvement (pii lui sembla produit par un cor
s maux de tête, des gargouillements, des coliques, des selles; par la
sensation
de toile d’araignée, la chair de poule, la courba
s étourdissements, de l’exaltation et en projetant sur les sens des
sensations
bizarres et illusoires, comme des sons harmonieux
quels il semble que certaines personnes ont la faculté d’éprouver une
sensation
à l’approche d’un corps sans le toucher. Je ne sa
température qui peut avoir lieu dans ces cas pourrait expliquer cette
sensation
, mais l’expérience prouve qu’un nerf dont l'atmos
car, à bien prendre, C homme peut être considéré comme un seul nerf à
sensation
complexe)? N’est-ce pas l’absorption électrique p
n jour un domestique qui le servait dans un dîner, lui produisait une
sensation
singulière toutes les fois qu’il passait derrière
ses ailes par ondulations, mènerait à cette idée, si un phénomène de
sensation
mesmérique ne le prouvait pour ainsi dire d’une m
mis dans un certain mouvement, lequel, arrivé au cerveau, produit la
sensation
, parvenu aux muscles, produit la contraction. Ce
réfléchit, s’infléchit, se réfracte et échauffe les corps. Toutes les
sensations
sont excitées, et les membres des animaux sont mu
n rhythme très-lubrique, ne laissent aucun doute sur la nature de ses
sensations
. Qu’une femme lui passe la main sur le dos, ell
ter contre ses jambes. Ceci revient chez nous à cette différence de
sensation
que produit le chatouillement d’une femme et celu
d’une femme et celui d’un homme ; ce dernier est nul et se borne à la
sensation
tactile excitée localement, tandis que le chatoui
que le chatouillement d’une femme infiltre dans tout l’organisme une
sensation
qui réveille l’orgasme le plus endormi et porte u
lus endormi et porte un émoi incroyable jusque dans nos moelles. La
sensation
du chatouillement est également inverse chez la f
enant les yeux ouverts, étonnés, plongeant dans une phase nouvelle de
sensations
incomprises, mais révélées par l'arôme qui s’écha
du contact, perçoit et décrit avec une exactitude parfaite toutes les
sensations
corporelles, douleurs et maladies de la personne
bout d’une autre minute, elle s’éveilla en se plaignant encore de la
sensation
du picotement. A la séance suivante, je voulus lu
ient appuyée contre les dents; expliquant parfaitement par gestes les
sensations
nouvelles qu’ils éprouvaient, gestes par lesquels
M. de Puybonnieux du prix des petites boites qui leur procuraient des
sensations
si nouvelles et si délicieuses. Des observation
urs étaient entièrement paralysés ; parfois elle ressentait comme une
sensation
de fourmillement dans les orteils et dans les doi
’existait plus après la vingtième séance, il ne restait qu’une légère
sensation
de picottement au sommet de la tête, dans le cuir
pendant quinze à vingt minutes, sans causer au sujet de douleur ni de
sensation
désagréable ; les coideurs s’affaiblissent gradue
A ce moment, je sentis la présence de l’esprit. J’éprouvai d’étranges
sensations
, des coups furent frappés avec force sur la table
l’ombre d’une personne qui se mouvait sur le parquet. J’éprouvai une
sensation
électrique, je tremblais et je me levai. Devant m
s’échapper, et en ce moment je me réveillai. Je sentis alors une vive
sensation
de brûlure à la paume de la main gauche, et je fu
le jeta à une distance de dix Iiieds. Ma couverture fut enlevée. La
sensation
de brûlure à a paume de la main devint plus vive.
l’assemblée, me secoua les mains, ainsi qu’à plusieurs personnes; la
sensation
que j’éprouvai fut celle du contact d’un corps fr
le met en rapport. La sensibilité est abolie, néanmoins il perçoit la
sensation
d'une piqûre d'aiguille faite au magnétiseur, de
eux existences : l'une externe, dans notre cerveau, lequel reçoit nos
sensations
seulement pour les transmettre ; l’autre interne,
l’autre interne, dans le plexus de notre estomac, lequel éprouve ces
sensations
de plaisir ou de douleur à lui transmises par le
aient. La présence de la houille et celle de la marne lui causait une
sensation
brûlante ; celle du plâtre, des contractions au c
doigt, bien que la pression des deux doigts fût la môme et qu’aucune
sensation
11e me fit apercevoir la différence de leur actio
st «l’agent intermédiaire de l’âme et du corps», c’est «l'agent de la
sensation
et du mouvement. » L’état magnétique ne développe
evra pas l’impression, parce que le fluide vital, qui est l’agent des
sensations
, a cessé de se répandre sur les objets extérieurs
termine à l’objet qui l’a provoquée. C’est alors seulement qu’il y a
sensation
et vue, phénomènes uniquement réservés à l’action
l'insensibilité physique est inévitable, puisque les conditions de la
sensation
n’existent plus. Le système nerveux est à demi pa
nerveux est à demi paralysé chez le sujet; l’âme n'en reçoit plus de
sensations
, ou du moins celles qu’elle peut encore éprouver,
st-il pas rationnel de conclure qu’ils sont aussi les instruments des
sensations
dont le mécanisme nous échappe? Remarquons en out
auteur des Rapports entre Dieu, l'homme et l'nmvers. Ce livre a fait
sensation
dans les sectes. « Une chose très-étrange à étu
ti : elle a cru voir, elle a cru entendre, ce qui n'était que fausses
sensations
de l'ouie et de la vue, mais elle est certainemen
rmés, bien que les spasmes persistent, Marie-Louise accuse cette même
sensation
d'étouffement qu'elle accusera plus tard lorsque
sent, la respiration normale se rétablit et la malade n'accuse aucune
sensation
de mal être, d'étouffement. Mais dès que l'anesth
maintenir la respiration normale, la malade accuse de nouveau la même
sensation
d'étouffement. C'est que sous l'influence de l'an
comme il existe des perceptions visuelles, leur absence détermine les
sensations
contraires à celles qui devraient normalement exi
autre part que l'abolition de ces perceptions visuelles détermine les
sensations
contraires à celles qui devraient normalement exi
ement exister. C'est pourquoi les yeux fermés Marie-Louise accuse des
sensations
d'étouffement, d'incapacité psychique et motrice.
i la caractérise à ce moment est, dans son ensemble, constitué par la
sensation
de vivre : elle est tout à fait comparable au dor
ontraire, l'anes-thésie générale ayant disparu, elle a de nouveau des
sensations
multiples; or, comme ces sensations ne peuvent ré
nt disparu, elle a de nouveau des sensations multiples; or, comme ces
sensations
ne peuvent réveiller que des souvenirs antérieurs
urs à son état second, elle est ramenée à la période de sa vie où ces
sensations
ont disparu. Marie-Louise se trouve dans le même
perceptions visuelles. Il semblerait donc qu'une fois réveillée, les
sensations
visuelles devraient réveiller non seulement les s
rmales, elles étaient diminuées dans leur intensité, de sorte que les
sensations
visuelles du réveil ayant leur intensité normale
racture à un doigt; sensilif, il éprouvera soit une douleur, soit une
sensation
de froid ou de chaud en un point quelconque du co
se trouve tout à coup séparé du reste du monde par l'interruption des
sensations
qui n'arrivent plus au cerveau ou bien n'y arrive
née dans nos livres de médecine : la voici : o On n'a plus alors de
sensations
distinctes : on jouit complètement d'un bien où s
la conscience n'est pas un phénomène surajouté, un épiphénomène delà
sensation
, mais qu'elle est fonction de la sensation, c'est
outé, un épiphénomène delà sensation, mais qu'elle est fonction de la
sensation
, c'est-à-dire d'une façon plus générale, la résul
r l'intermédiaire des filets nerveux dans les organes profonds par la
sensation
de chaleur ou de froid produite au-dessus du poin
oins complète de la perception du monde extérieur par l'abolition des
sensations
, de la vue, de l'ouie et du toucher ? Oui, il y
e, de l'ouie et du toucher ? Oui, il y a chez elle obnubilation des
sensations
: Que lisons-nous à ce sujet dans les livres pr
tement, ou s'cst- elle répétée? 5. L'émotion résulte-t-elle d'une
sensation
visuelle, auditive, tactile ou d'un récit ou d'
l'extase signalés dans nos livres de médecine : 1° l'obnubilation des
sensations
; 2° La concentration de l'attention: 3* la transf
il. C'est ce qui constitue la fatigue subjective caractérisée par une
sensation
. 2° L'élément objectif. Indépendamment de ces c
eut endormir ne sont nullement influencées si leur attention va d'une
sensation
à une autre ou voltige, tour à tour, sur une foul
ypnose, le plus courant consiste dans le maintien d'une seule et même
sensation
visuelle. Cette sensation visuelle sera d'autant
nsiste dans le maintien d'une seule et même sensation visuelle. Cette
sensation
visuelle sera d'autant plus * endormante » qu'ell
er. Au contraire, par un attouchement sensible, je lui suggère, une
sensation
de chaleur, phénomène de sensibilité, et une sens
i suggère, une sensation de chaleur, phénomène de sensibilité, et une
sensation
de contractions, phénomène moteur. Il ressent en
vive dans l'hypo-condre droit ; elle éprouve, en outre, au bras, une
sensation
de brûlure; on y constate, en effet, non seulemen
ns toutes les régions du corps, sans qu'elle paraisse éprouver aucune
sensation
de douleur ou môme simplement de tact. Le sens th
une idée; cela est possible mais en pratique suggérer c'est créer une
sensation
et par la sensation une idée. Par quelque procédé
ossible mais en pratique suggérer c'est créer une sensation et par la
sensation
une idée. Par quelque procédé que ce soit, l'hypn
dée. Par quelque procédé que ce soit, l'hypnotiseur crée toujours une
sensation
de fatigue dans les yeux, fatigue préliminaire mê
ement, pendant le sommeil, le polygone, la sousconscience, perçoit la
sensation
de la vessie et déclenche la contraction du sphin
hincter; l'incontinent, lui, dort trop profondément pour percevoir la
sensation
et la surveiller; le réflexe automatique du sphin
ide, se contentant d'un peu de lait, en disant qu'elle n'avait aucune
sensation
de faim. Elle restait aussi très longtemps sans é
ces fonctions offraient un ralentissement notable, d'où l'absence de
sensation
de faim et la rareté des mictions. Si enfin, nous
Mlle L. ressentit, au niveau de la grande courbure de l'estomac, une
sensation
très douloureuse de déchirement, et elle vomit un
iodique ou incoercible, lorsque le sujet se laisse monoïdéiser par la
sensation
présente: il réalise alors, conformément aux lois
es : sécrétion de la salive, du suc gastrique,etc. En même temps la
sensation
de l'image du morceau dans les centres de la vu
sychiques primaires, desquels résultent plus tard tous les autres :
sensations
sexuelles et de la volonté, associations multip
ensations sexuelles et de la volonté, associations multiples de ces
sensations
, faculté de s'inculquer et de reproduire ces se
ples de ces sensations, faculté de s'inculquer et de reproduire ces
sensations
, faculté de la pensée et du raisonnement, etc.
much undue pressure, as to bring on head-ache, gênerai uneasiness,a
sensation
,as if the head were too lare,loss of spirits, c
e se plaignait de douleurs dans les diverses parties du corps et de
sensation
de froid dans les extrémités. Comme c'était un
ues plus compliqués et se trouvant en rapport avec l'association de
sensations
primitives et de notions différentes, avec la fa-
rradient à toute la région métatarsienne et aux autres orteils avec
sensation
douloureuse du moignon de la phalange amputée eu
syncope, ni asphyxie lo- cales des extrémités ; il n'a jamais eu la
sensation
de doigt mort, il n'a jamais eu de crises parox
n, tantôt à une démangeaison insupportable, tantôt à une piqûre. La
sensation
de constriction est la plus douloureuse, le malad
isparaître ce symptôme en une heure. Le sujet se plaint aussi d'une
sensation
de froid fréquente dans ce membre. La pression
e se plaint de four- millement, de lourdeur dans la main gauche, de
sensation
de chaleur dans la jambe gauche et de fourmille
ade fut prise par une fièvre qui appa- raissait tous les soirs avec
sensation
de chaleur et d'une diarrhée, d'abord légère, q
oigt; une éprouvette remplie d'eau à 70° fournit d'ailleurs la même
sensation
et cette thermoanesthésie s'étend un peu plus b
eu fort, regard brillant, sourcils marqués, pau- pières pigmentées,
sensation
d'avoir toujours trop chaud, transpirations fac
osisme léger, consistant en grand besoin de déplacement, agitation,
sensation
de chaleur, rapidité et force des émotions. Qua
e d'émotions ou des règles, sont prises* de battements de coeur, de
sensation
de boule les étouffant et de pleurs ; des obèse
sans tendance au sommeil, la mémoire redevenue facile et sûre, avec
sensation
subjec- tive de fièvre. On voit le double int
ernières phalanges. Ces douleurs sont fort aiguës, comparables à la
sensation
d'onglée, mais elles sont passagères. L'état gé
en rapport avec l'irritation des nerfs rachidiens, sous la forme de
sensation
depares- thésie, d'hyperesthésie circonscrite,d
uent, la (marche est possible même sans boiterie, mais il avait une
sensation
de raideur dans les mouvements de la hanche. Il
s accentués ; ce sont surtout des phénomènes de pares- thésie : les
sensations
de toucher sont douloureuses, le contact détermin
s sensations de toucher sont douloureuses, le contact détermine une
sensation
de brûlure. Par contre, il y a un certain degré d
ur la vessie, par des arrêts brusques au milieu de la miction, avec
sensation
de brûlure. Les érections sont incomplètes et d
enfants seulement croient à ces choses. ' 306 ETTORE LEVI Pudeur.
Sensations
sexuelles. But du mariage. - Apparemment la pudeu
remarque un très léger degré d'hypertonie musculaire qui donne une
sensation
de vive résistance dans les mouvements passifs'
tient dans un état de santé suffisant. Subjectivement il accuse une
sensation
de faiblesse ; quelquefois il souffre de palpit
oniaque, l'acide acétique, l'acide chlorhydrique lui produisent une
sensation
à peine désagréable. Quant à l'examen des yeu
t. Gâtisme. Hallucinations visuelles, sans localisation spéciale.
Sensations
de vertige ; a peur de tomber quand elle est co
gues il celles de notre obs. III ('1) : mouvementées, alliées à des
sensations
de vertige, angois- santes et rendant pour ce m
our le distinguer du précédent, de l'excitation consi- (1) FÉnH : ,
Sensation
et mouvement; - Mosso, La peur. DE LA PATHOGÉNI
e condition organique, ce qui revient à dire que les termes idée et
sensation
sont synonymes, énern6- tiquement équivalents.
élémentaire n'ayant pas d'organes des sens n'est pas susceptible de
sensation
pro- prement dite ; en physiologie, j'ai utilis
sensation pro- prement dite ; en physiologie, j'ai utilisé celui de
sensation
, mais il est facile de voir que ces expressions
ir que ces expressions sont deux mots pour une même chose et que la
sensation
n'est que l'excitation de l'être complexe à fonct
tion phy- siologique, j'ai signalé l'équivalence des termes idée et
sensation
et l'éga- lité de leurs pouvoirs énergétiques.
et l'éga- lité de leurs pouvoirs énergétiques. L'idée n'est que la
sensation
interne d'une sensation externe. Les répercussi
pouvoirs énergétiques. L'idée n'est que la sensation interne d'une
sensation
externe. Les répercussions restent identiques pou
ne. Les répercussions restent identiques pour la 392 " L. LEFÈVRE
sensation
et l'idée de cette sensation et ce sont deux expr
identiques pour la 392 " L. LEFÈVRE sensation et l'idée de cette
sensation
et ce sont deux expressions diffé- rentes pour
inexpressif et aucun jeu de physionomie ne trahit la perception de
sensations
agréables ou désagréables. Pierre remet le mouc
tez vraiment rien ? » Cinquante pour cent des sujets accusaient une
sensation
; nombre des sujets prétendaient sentir un léger
ger souffle sur la peau du visage ; d'autres parlaient d'une légère
sensation
de tremblement du corps ; d'autres encore d'une
uverte vers le tube ». Presque tous les sujets accusaient alors une
sensation
au bout des doigts : un tremblement, ou bien un
allumé la lumière électrique, j'expliquais tranquillement que leur
sensation
avait été l'effet d'une auto- suggestion, j'aff
ONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANÉES SPONTANÉES 501 que ces
sensations
persistent en effet lorsqu'on fait l'expérience d
e en pleine lumière. 80 pour 100 des sujets qui avaient éprouvé une
sensation
spéciale, n'éprouvaient plus rien. Seulement qu
sujet, piqué d'avoir été induit en erreur, continuait à sentir des
sensations
extraordinaires. L'expérience a été faite avec
ait toujours de personnes qui apparaissaient normales. Puisque leur
sensation
spéciale se montrait sous l'influence de la sug-
risme. Et cela est vrai particulièrement lorsqu'on ne parle pas des
sensations
subjectives des sujets, mais plutôt des phénomè
donc bien sûr qu'un phénomène objectif (ce qui diffère d'une simple
sensation
du sujet) qui présente ce double carac- tère de
ystérique de la pratique privée, qui accusait de temps en temps une
sensation
de piqûre très vive au niveau de la pulpe digit
'affection actuelle a débuté au mois d'août de cette année, par une
sensation
de fatigue, de courbature généralisée ; bientôt a
ont un peu douloureuses à la pression ; la malade accuse encore une
sensation
de constriction thoracique et des douleurs erra
t complètement disparu. Vers le mois d'octobre 1891, il éprouve une
sensation
de fatigue dans les jambes et sa marche devient
nt altérée; quelques faits témoi- gnent du retard de la perception (
sensation
après coup).Le sens du goût, assez souvent affa
alade à constituer de toutes pièces l'hallucination sensorielle. La
sensation
sonore pro- voquée par la vibration du nerf aco
montrant l'influence des images optiques des lettres et le rôle des
sensations
du mouvement nécessaires pour exécuter (image m
té qu'une machine; pour écrire il faut un appareil enregistreur des
sensations
, un appa- reil d'idéation représentative, et la
Transmission aux origines bulbaires du pneumogastrique. Angoisse et
sensation
anormale au sensorium, équilibre instable du ce
EUSE. 1. Trouble DE la sensibilité générale SE traduisant par UNE
sensation
DE sable DU côté malade dans un cas D'HÉMICHORÉE
amidal. - La malade éprouve, dans tout le côté gauche du corps, une
sensation
subjec- tive de poussière, de sable, de sel : e
ant aux faisceaux moteurs de l'écriture et à ceux qui reçoivent les
sensations
motrices nécessaires pour que l'on écrive, cell
est pourquoi, en dessinant, c'est- VARIA. 15a à-dire à l'aide des
sensations
produites par le mouvement qui retrace les lett
nées, des cloportes des cavesalui cause une terreur invincible, une
sensation
* d'an goi ss P, i toute spéciale. Il se sou-. v
au,vertige, qui n'est pas toutefois sans lui procurer une certaine
sensation
de plaisir. Mais nous croyons qu'en insistant o
stème ,3 musculaire irite(les, terminaisons nerveuses et produit la
sensation
ndè,mâlaisé etle,liesô7n ? dë ? liâilëcdè psiti
i, assez fréquents sciatique, douleurs névralgiques et rhumatoïdes,
sensations
de froid et de chaud. L'auteur donne un résumé
aisément^une chute.' C'est un phénomène tout à fait différent de la
sensation
par lâquéllé lès' inûscles; à'l'a"'s'uite,d' ü n"
t non de la dystrophie spinale de Remak quant à la dissociation des
sensations
(hypal,ie et thermbypestliésie) avec conservati
n'est que très peu altérée, ' tandis que, dans le tabès,' ces deux
sensations
sont très fortement atteintes. ' ',u ? C''J " /
; la motilité et le sens, musculaire'doivent être conservés; 5° les
sensations
irrésistibles ressortissant à chacun de ces'org
à des substances qui n'en ont pas : ' Quelques faits témoignent des
sensations
après coup.1 Sens du ! ;oQt' assezcsouvënti,affai
ayant pour'symptt5mescummuns : l'angoisse précordiale, certaines
sensations
de nature hypochondriaque, de légères anomalies d
strique, il se développe de l'angoisse et le 'cerveau. 'perçoit dés
sensations
anormales, les centres sont dans un état d'équi
acines -postérieures erend 2 : compte,du non-ralentissement : de la
sensation
. douloureuse, de, l'absencehde douleurs lancina
, ments de la main comme s'ils- ! l'écrivaient dans l'espace et les
sensations
provoquées- par ces 'mouvements leur rappellent l
I On sait ce qu'il faut entendre par hallucination1 : * c'est une
sensation
actuellement perçue, sans, que nul objet extérieu
lement perçue, sans, que nul objet extérieur propre à exciter cette
sensation
soit a portée des sens ' ». C'est la définition
e par Esquirol, à laquelle je ne vois rien à changer 2. , Dans la
sensation
normale, il ya trois facteurs; l'objet exté- ri
iction profonde,, absolue, des hallucinés; il s'agit pour eux d'une
sensation
réelle, et, pas plus qu'ils ne doutent de la fi
s plus qu'ils ne doutent de la fidélité et de l'existence, de leurs,
sensations
nor- maies, .ils ne sauraient se résigner à met
l'objet. extérieur existe; mais il n'est pas perçu normalement. La
sensation
qu'il donne est défigurée par le cerveau chargé
lt; l'illusion- il y ai toute la -.série -d'interprétations dont la
sensation
est devenue le point de départ. Je ne veux pas
ation .est ;une , reproduction j si-j.exacte, j si - ;fidèle, de la
sensation
normale,) que nous sommes bien obligés 'd'admet
f;, mais qui forcément ne peut être que, pas- usager;" fugitif, les
sensations
se1 succédant^et s'effaçant rapide- dément les
trouvpnspJusen présence d'halluci- nations ? mais bel et bien, dp,
sensations
, réelles,, basées sur, des pÊéjoment,s obiectif
interne ; les pupilles sont dilatées, paresseuses ; pas de ptosis.
Sensation
continuelle de vertige.. , , L'enfant, intellig
,marcher-et ne* pouvait se tenir debout*. sans,soutien. Toutes- les
sensations
spécialesrétaient'émoussées; etr39 cet état\éta
ide de (ces appareils, de. provoquer, chez ces malades, au lieu des
sensations
sonores ordinaires,. des hallucinations de, l'o
(2UE. 319 11. Ramadier,qui avaitd,éciit ce trouble sous le, nom, de
sensation
de mouillure. Tentative de localisation dans la
es de la sensibilité, générale (hàlluci ? 1 nations kinesthétiques,
sensation
de déplacémentdu, corps)..ta,Ça,. > marche,
vons, à l'état faible, dans le gosier, la' langue, qles lèvres; des
sensations
musculaires,' tactiles," articulaires qui rsont
nc le sa...J 't ? J' t. t1^4'.a· .` t ? ? \. A ? ... ? siège des,
sensations
,. provoquées , par, les (mouvements, des j °j.
deecentre'prpdui 1 ? la repl;éséntàtlôn, dé,cès4.môûvéménts, ,les,,
sensations
motrices .verbales; « 2°un courant nerveux cent
é qui, sansqu'il yait d'articulation véritable ? provoqueront une
sensation
analogue pour la conscience ? ou ticulation, pe
lucinations '* motrices verbales,"s'expliquent par ce fait que les'
sensations
- tactiles, musculaires des lèvres et de la lan
de l'articulation des mots. Il 'faut tenir compte*1 en outré, 'des
sensations
kinesthétidues >variées P,rae ! eUsptdu' lar
générales, auditives, visuelles, gustatives (la malade éprouve des
sensations
, de dé- placement du corps en son entier, croit
s"d'association( détermine la sensibilité consciente prématurée dés
sensations
organiques \t ainsi prend naissance l'onanisme.
ette à des évanouissements, survenant à a moin re con r riété, avec
sensation
(, de boule et crises 'dé, pleurs;' le jour* de so
vec des douleurs semblables dans les'mains et, les doigts, ou d'une
sensation
de constriction de la poitrine; enfin, le plus
geant au* niveau., de l'urèthre ou du col de la, vessie; ou bien de
sensations
pénibles du rectum « allant depuis la simple in
s du rectum « allant depuis la simple incommodité^de la. pesanteur (
sensation
d'un corps* étranger) jusqu'aux souffrances com
étaient couchées depuis une heure environ lorsque, sous l’effet d’une
sensation
intime, elles se réveillèrent en sursaut. Elles n
s d viscères cessent eux-mêmes de soulirir sympathiquement de « cette
sensation
de refroidissement, sans doute parce que « la pea
la somme d’énergie qui lui est propre, et puisqu’un renversement des
sensations
quelles qu’elles soient, tel qu’il faut l’admettr
nt et le degré d’impression-nabilité des individus, depuis uné légère
sensation
de froid ou de chaud, de fourmillement, de bien-ê
au bout de quelques instants il résultera pour lui de ce contact une
sensation
de froid à sa main gauche et de chaleur à la main
jet sur lequel il sera posé, la main gauche du sensitif éprouvera des
sensations
distinctes et différentes, selon l’extrémité qu’i
sitif, émane du cristal ; car les sensitifs délicats en perçoivent la
sensation
à plusieurs mètres de distance. La répétition c
e la flamme bleue; de chaleur de la flammé rouge. La netteté de ces
sensations
et de ces visions dépend évidemment du degré de s
rsqu’elle se trouvait au-dessus d’une mine de fer, elle éprouvait des
sensations
mixtes, mais surtout une impression de grand froi
couches de charbon de terre et de soufre s’annonçait par une étrange
sensation
de chaleur dans l’intérieur du corps, et la prése
ions : chacune des lumières produit, sur la main sensitive, les mômes
sensations
, un peu plus prononcées peut-être, que celles que
ère de cet astre; que d’autres redoutent cette influence, à cause des
sensations
désagréables de frissons, de malaise, de picoteme
sensitif, ce dernier voit une flamme rouge, et cette flamme donne la
sensation
tiède. Le faisceau de Sirius, au contraire, exami
d'où part le souille tiède. C’est pourquoi dans les nuits étoilées la
sensation
de fraîcheur est dominante. L’influence physiol
Il est psychologiquement démontré, disent-ils, que ni le désir, ni la
sensation
, ni l’initiative du mouvement ne peuvent apparten
, Paris, 1855). La Matière est tout ce qui produit ou peut produire
sensation
sur nos organes. « Les physiciens avaient d’abo
hait partout et ne trouvait rien. Une nuit, à cc tapage se joignit la
sensation
qu’on attirait sa couverture ; il se leva brusque
ions sont incessantes et si naturelles qu’elles se confondent avec la
sensation
de la vie, et restent inaperçues. « Les savants
orps naît de l'idée, et l'idée de l'esprit. faculté psythé pour les
sensations
, cl la faculté nous pour les pensées. Nous ignoro
e. O Vulgairement apprèeiablet D. C. de M. ment le produit de nos
sensations
intérieures et extérieures,... La sympathie, l'an
e conférences à l'Ecolenormalc supérieure. «JPour l’homme, toul est
sensation
, et donne un mouvement plus ou moins précipité à
De Varielate rerum, 1547.) a Quand je le veux, je me délivre de mes
sensations
corporelles, comme dans l’extase.... Lorsque j’y
pas suspecte à M. d’Arbaud. « Dans le somnambulisme magnétique, les
sensations
participent d’un autre mode d’existence que dans
quels il semble que certaines personnes ont la faculté d’éprouver une
sensation
à l’approche d’un corps sans le toucher. Je ne sa
rature qui peut avoir lieu dans ce cas sufiirait pour expliquer cette
sensation
; mais l’expérience prouve qu’un nerf dont l’atmo
la mandragore, l’opium, le laudanum provoquent des hallucinations ou
sensations
fantastique de (I) Qanoon-c-islam ,or the cus/o
lui est suggérée s’objective pour elle, et les sens perçoivent comme
sensation
ce qui n’est qu’une conception délirante : phénom
idées, il n’est point étonnant que quelques-uns aient perçu comme des
sensations
externes des faits dont leur esprit était préoccu
mier chez qui la répétition fréquente de ce phénomène ait produit une
sensation
assez vive pour le porter à le remarquer et à l’é
D.-H. André, Membre de plusieurs Académies et Sociétés savantes.
SENSATIONS
ÉPROUVÉES PAR UN ENFANT DE DOUZE ANS SOUMIS A LA
aisait pas de mal, au contraire, j'éprouvais un certain plaisir à ces
sensations
nouvelles pour moi et qui sont fort drôles (sic).
ient; recherches par M. Constant, 396. Rêves (des). Voy. Sommeil.
Sensations
de fraîcheur ou de cha-lour, de bien-être ou de m
etc., 379. — Coup d'œil sur le même sujet, par M. d'Arbaud, 179.
Sensations
éprouvées par un enfant de douze ans, magnétisé p
dation artilicielle de batraciens. 43. Fluide magnétique et odique.
Sensations
qu'il provoque, suivant le mode employé, 16, 582,
90, 96, 514, 510, 564. Seconde vue (faits de), 55, 547, 490, 515.
Sensations
fluidiques éprouvées par les magnétisés et les se
dos mourant. 89,102. Transmission montale de volonté, suggestion de
Sensations
ou d'impressions, 170. 176. 537, 546. Uromancie
dizaine de minutes, L... éprouve : a) une douleur à l'épigastre, avec
sensation
de gonflement; il lui semble qu'une boule remonte
lle se fasse mal. è) Elle a ensuite des battements de cœur, et c) une
sensation
de chaleur qui envahit la moitié gauche de la fac
tard, vers 13 ans et demi. Leur apparition aurait été précédée d'une
sensation
de boule qui partait de l'estomac et remontait à
et on produit de la douleur. L'extraction de la sonde donne les mêmes
sensations
; il semblerait que, à un moment, la sonde est pi
e des légumes. 3 nov. — Hier soir, V... était agitée, éprouvait une
sensation
de constriction à l'épi-gastre, avait envie de se
. Là, une pression, même légère, est très-douloureuse, occasionne une
sensation
de pesanteur avec élancements. Cette douleur est
e si l'on appuyait davantage, elle aurait une attaque, car elle a une
sensation
particulière du côté des ovaires, des palpitation
'extraction de la sonde est également douloureuse et donne lieu à une
sensation
d'arrachement (contracture du col de la vessie et
e du pied et du genou. La malade dit avoir éprouvé successivement une
sensation
d'engourdissement dans les orteils puis dans les
s dépassé. — A droite, l'application de l'aimant n'a déterminé aucune
sensation
particulière. 14 nov. —La contracture du pied e
tracture au bout de 7 à 8 minutes (engourdissement, fourmillements, «
sensation
de desserrement, comme si on me dénouait la jambe
nsibilité est normale à gauche; les mouvements réflexes et toutes les
sensations
se manifestent sans retard. Lanotiondeposition
siégeant au niveau de V or aire droit (fiyperesthésie ovarienne) ; —
sensation
de boule qui monte à la région épigastrique (nœud
t que le médicament la pique aux yeux et dans le nez et lui donne une
sensation
de resserrement à la gorge; elle a une toux sèche
la moitié inférieure de l'avant-bras ; ce retour a été précédé d'une
sensation
de picotement. Le lendemain, l'anes-thésie était
alysie : X... se sert de sa jambe, dans laquelle il n'y a plus aucune
sensation
pathologique. — La notion de position est abolie
as ; elle dit que sa langue écorchait son palais et qu'elle avait une
sensation
de tiraillement en avant du cou. Parfois, L...,
« une araignée dans l'oreille droite, » sans doute pour traduire les
sensations
qu'elle éprouve. Après un repos relativement as
c'est le premier nœud de Y aura proprement dite. Puis, elle accuse la
sensation
d'une boule qui remonte à l'épigastre (2° nœud ou
trile d'ample ; la voix revient ; la malade dit qu'elle a éprouvé une
sensation
de décrochement ; pendant l'inhalation, il lui se
droite; elle sent une boule qui monte à l'épi-gastre et détermine une
sensation
de serrement ; puis, elle a des palpitations card
iées, provoque une attaque. A... dit que cette pression détermine une
sensation
de compression douloureuse dans le côté droit du
ne sensation de compression douloureuse dans le côté droit du ventre,
sensation
qui remonte, l'étouffé, etc. Août-Décembre (1).
termes, tout ce qui se passe chez l'animal, sans l'intervention d'une
sensation
ou d'un acte mental, peut s'effectuer sans l'inte
noté 1, p. 41. nerf mixte, — de douleurs plus ou moins vives ou de
sensations
anormales, indices de l'irritation que subissent
iment le bras, l'avant-bras et la main, j'ai vu le malade accuser une
sensation
musculaire assez notable, alors même que ces musc
e la pression. Un pincement lé-ger, le chatouillement, sont suivis de
sensations
douloureuses très sensibles. J'emprunte le fait
ment, ainsi que Enfin le contact d'un corps froid produit aussi des
sensations
douloureuses que le malade compare à celles qu'oc
contact presque nulle. Le contact d'un corps froid s'ac-cuse par une
sensation
obscure de picotement. L'insensibilité n'est pas
sée du mouvement) est plus chaude que la droite. Le malade accuse une
sensation
de constriction ou plu-tôt de compression à la ba
eur vive s'est mani-festée au genou droit qui est tuméfié et donne la
sensation
de fluctuation. 11 y a, en outre, tuméfaction dou
ct. I, part. II, TheLancet, july 13, 1861). Après avoir admis que les
sensations
pénibles, telles que celles de formi-cation, de p
ecte des fibres nerveuses encéphaliques, il ajouta : « Ce sont là des
sensations
rapportées à lapériphérie, analogues à celles qui
sentiment général de tension et de fatigue; besoin de déplacement. —
Sensation
habituelle de chaleur excessive. — Température da
raideur prédomine à droite. Sensibilité conservée. — Pendant la nuit,
sensation
de froid qui, partant de l'épaule, descend jusqu'
récautions. ; B. ] c'est encore une affection cruelle par suite des
sensations
péni-bles qu'éprouve le malade. Ordinairement, et
vous avons entretenus, il ne s'agit pas de souffrances vives, mais de
sensations
désagréables, d'un ordre spécial. Ce sont des cra
erçus avec leurs caractères normaux et la rapidité voulue. Mais une
sensation
très pénible encore qu'éprouvent les ma-lades et
et que je n'ai trouvée mentionnée dans aucune descrip-tion, c'est une
sensation
habituelle de chaleur excessive, qui fait que, au
les cas de notre service déposent en faveur de cette assertion. Cette
sensation
de chaleur, particularité digne d'être notée, bie
lades. Or l'expérience m'a prouvé que, quel que fut le degré de cette
sensation
subjective et aussi celui du tremble-ment, la tem
de se découvrir, même par les saisons lés plus froides, en raison des
sensations
de chaleur intérieure qu'ils éprouvent? Nous ne s
in point pathognomonique. La pression, en l'exaspérant, détermine des
sensations
irradiées, toutes spéciales. Ces sensa-tions part
nt dans ces régions par une oppression plus ou moins considérable, la
sensation
bien connue de boule ou de globe ; 3° la tête, où
ur la moitié droite do la bouche (langue, palais, gencives, joue), la
sensation
de chaleur est moins vive que sur la moitié gauch
spécifiques. Il ne s'agit pas là d'une douleur banale, car c'est une
sensation
complexe qui s'accompagne de tout ou partie des p
ls qu'ils se produisent d'eux-mêmes à l'approche des crises, et cette
sensation
provo-quée, les malades la reconnaissent pour l'a
r avec fréquence extrême du pouls, e-t enfin se développe au cou la
sensation
du globe hystérique [deuxième nœud). En cepoint
rent au bruit strident que produit le sifflet d'un chemin de fer, une
sensation
de coups de marteau frappés sur la région tempora
sou-lage ainsi, dit-il, presque à cour sûr les malades, pourvu que la
sensation
du globe n'ait pas encore dépassé le diaphragme(4
n ovarienne gauche, douleur d'un caractère spécial, s'accompagnant de
sensations
particulières qui s'irra-diaient vers la région é
as-père par la pression. C'estau niveau de ce point douloureux que la
sensation
d'aura prémonitoire des attaques semble prendre o
de l'eau qui coule dans l'in-térieur du talon. » Elle se plaint d'une
sensation
constante cle chaleur et ne garde qu'un drap sur
is endormie elle ne se réveille qu'au bout de cinq à six heures. La
sensation
de chaleur, le besoin de déplacement, — sauf la n
blement des mains, des jambes. — Mêmes besoins de déplacement et même
sensation
de chaleur, etc. —Le tronc est incliné à angle dr
reux dont ils deviennent bientôt le siège. D'ailleurs, à part cette
sensation
de fatigue, de pesanteur qui existe dans les memb
sont, en effet, l'observation le démontre, les deux couleurs dont la
sensation
dans l'amblyopie hystérique se conserve le plus l
: douleur ovarienne (1), irradiations vers l'épigastre, palpitations,
sensation
du globe hystérique au cou, sifflements d'oreille
ations, sensation du globe hystérique au cou, sifflements d'oreilles,
sensation
de coups de marteau dans la ré-gion temporale, ob
l'expression de toutes les passions de l'âme, et celle de toutes les
sensations
. » Pendant les convulsions, les malades sont so
sentiment général de tension et de fatigue; besoin de déplacement. —
Sensation
habituelle de chaleur excessive. — Température da
e la sensibilité porte sur les sen- sations douloureuses et sur les
sensations
thermiques. Cette anesthésie totale occupe touj
e. A gauche, t'anesthésie est peut-être un peu moins profonde ; les
sensations
très intenses sont un peu perçues, mais elles don
al du bras et de l'avant-bras. De temps en temps la malade avait la
sensation
d'une ceinture lui comprimant le thorax, ou bien
pérature de la salle était appliquée sur la peau, V... accusait une
sensation
de brûlure. Mais à un deuxième et à un troisième
core à l'heure actuelle des phénomènes douloureux consistant en une
sensation
de constriction des genoux et particulièrement
urant. La région cubitale n'est plus douloureuse. Depuis un mois la
sensation
de constriction thoracique n'a pas reparu. En g
it jamais eu de vertiges à proprement parler. Mais elle éprouve une
sensation
de crainte pour descendre un escalier ou pour tra
vec prédominance nocturne. Elles s'accompagnent presque toujours de
sensations
douloureuses le long du bord cub,ital du bras et
-même temps le doigt était' rouge au niveau de l'articulation, avec
sensation
de chaleur à ce niveau. La tuméfaction apparaissa
out- c'est ,d'une raideur extrêmement pénible de la nuque et, d'une
sensation
de brûlure qu'il ressent entre les deux épaules
l pou près constantes coïncidant avec des douleurs lombaires et une
sensation
d'engourdis- sement très marqué dans le membre.
objective générale est conservée. Par contre, il existe encore des
sensations
d'engourdissement et de fourmil- lements surtou
es il partir du cou-de-pied ; un retard très manifeste des diverses
sensations
au contact, à la piqûre, à la température, dans
OELLE ÉPINIÈRE 131 Vers le 17 juillet 1891, il a ressenti une forte
sensation
de fatigue et de cour- bature dans les membres
ans la flexion forcée sur le thorax, il ressent immé- diatement une
sensation
très marquée d'engourdissement dans les membres
la sensibi- lité générale est diminuée. La malade localise bien ses
sensations
mais celles-ci .sont mal interprétées au point
s, et de constipation opiniâtre. , " Elle avait,dans les jambes,des
sensations
douloureuses avec engourdissement et il lui sem
impossible, dit-elle, de faire un pas plus vite que l'autre. Les
sensations
d'engourdissement qu'elle éprouve dans les membre
eutré, insensible, elle ne peut en apprécier les dimen- sions ; les
sensations
voluptueuses ont disparu. Elle a perdu toute no
née et le pourtour de l'anus et de l'hypoesthésie des fesses, de la
sensation
moins marquée d'engourdissement des membres in-
nue possible, mais la malade peut même courir après un omnibus. La
sensation
pénible d'anesthésie comparée par la malade la gê
mbre, l'amélioration est très marquée; la marche est très bonne, la
sensation
d'anesthésie anale et périnéo-vulvaire s'atténue
nades sans fatigue. Lorsqu'elle s'assied elle n'a plus qu'une vague
sensation
d'engourdissement de la région inférieure des fes
ale à la pi- qûre. Lorsque Mme X... va il la garde-robe elle a la
sensation
du passage des ma- tières fécales ; de même pou
l'urine; les besoins restent néanmoins un peu impérieux. Elle a la
sensation
normale d'une canule d'injecteur anal et d'une
l et d'une canule d'injecteur vaginal. De même pendant le coït; les
sensations
voluptueuses qui avaient disparu au début de l'
formée une bourse séreuse avec hy- pertrophie du derme, donnant une
sensation
pseudo-fluctuante. Sans cause apparente, le pie
bjective, mais les degrés en sont variables suivant les points. Les
sensations
de tact simple ou de piqûre sont moins nettes a
e plantaire des pieds est un peu plus sensible que les jambes. La
sensation
de froid, moins facilement accusée qu'aux membres
u contraire pour 160 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ'i'mjOE les
sensations
de chaleur qui n'impressionnent d'abord que comme
pe, bien que formant bloc, lassés et s'engrénant, donnent encore la
sensation
de mobilités partielles (PI. XL). Pour le métac
s les points du corps. Il n'y a de douleurs d'aucune sorte : pas de
sensations
de froid, d'engourdissement, pas de démangeaiso
s, sous forme de sciatique droite puis gauche, donnant au malade la
sensation
de déchirements aigus, comme si on lui promenai
Sans faire de chute, il se reçoit simplement à faux. Il a alors la
sensation
que quelque chose vient de se déboîter dans la ha
tion vésiculeuse était survenue, accompagnée de démangeaisons et de
sensations
de brû- lure. Dès le dixième jour de sa maladie
Dès le dixième jour de sa maladie, cette jeune femme éprouvait des
sensations
bizarres dans les membres : engourdissement, four
s jambes, fortes douleurs rhumatoïdes dans les épaules. Bientôt ces
sensations
anormales se répandirent dans tout le corps, oc
n'étaient pas perçues, le contact d'un corps froid développait une
sensation
de chaleur. Les muscles et les troncs nerveux P
e. No- tons ici, l'acte conjugal n'était pour lui qu'un devoir, les
sensations
volup- tueuses faisant complètement défaut par
mbe) : quand on lui faradise la peau av ec la brosse électrique, la
sensation
de picotement et celle de douleur ne sont perçu
issent normalement leurs fonctions et chez lequel manquent même les
sensations
subjectives qui ac- /il NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
un frisson suivi de chaleur et de congestion ; les malades ont une
sensation
de cha- leur dans la tête, dans le visage; ils
é de la peau de la face est émoussée et qui, en outre, ont perdu la
sensation
de l'existence de leur visage; il semble à ces
et qu'il ne leur reste de la tête que la partie postérieure. Cette
sensation
, comme vous pouvez l'imaginer, est atroce, insupp
d'une façon incomplète. C'est seule- ment au front qu'il accuse la
sensation
pénible que vous savez et ce symp- tôme, je vou
id. Bien que la glace, appliquée sur cette main. ne provoque aucune
sensation
, le malade affirme qu'il y éprouve une impressi
lent épaissies, difficiles à délimiter par la palpa- lion ; ou a la
sensation
de masses calleuses siégeant à ce niveau el contr
ombaire. En cette région, la pression, la percussion provoquent une
sensation
désagréable, qui n'est pas une douleur véritabl
cocher. En 1865, douleurs dans les jambes, surtout à gau- che, avec
sensation
de raideur musculaire. Ensuite, surtout' partir d
douleurs lombaires diminuent peu à peu, mais il subsiste comme une
sensation
de pression sur le rachis et les lombes ; il se
les cho- réiques. Il y a de la céphalalgie et de la rachialgie, des
sensations
pénibles, mal définies, des douleurs spontanées
embres et de tout le corps, les propul- sions et les rélropulsions,
sensation
de chaleur, etc., empêcheront une mé- prise.
ogressivement sans déterminer de douleur ; il y avait seulement une
sensation
de raideur analogue à celle qui existe dans les m
, sourde, monotone. La sensibilité est égale des deux côtés. Pas de
sensation
de chaleur ; besoin continuel de se donner du m
sistent en un malaise général de faible intensité, mais surtout une
sensation
douloureuse et un sentiment de faiblesse, de raid
feraient les parois d'une caisse de résonnance et l'on éprouve une
sensation
toute particulière que certains sujets compa- (
chemins de fer ou en voiture. Pendant toute la durée du voyage, les
sensations
si pé- nibles et parfois si douloureuses qui so
rer une demi-heure, et être autant que pos- sible quotidiennes ; la
sensation
de bien-être que le malade éprouve après la tré
d, mais aussitôt que la vibration a commencé c'est au contraire une
sensation
de légèreté qu'é- prouve le malade que le poids
e les met clans la bouche pour en avoir le goût qui lui procure une
sensation
de plaisir mais elle les crache ensuite. Ce qu'el
crampes dans les doigts et dans la main, avec de temps en temps des
sensations
de brûlure et d'élancements des plus pénibles. Ce
baissement de température, mais par une coloration rouge foncé, une
sensation
de brûlure intense survenant par crises et corres
veille, mais même dans ces cas il commet des erreurs de lieu et de
sensation
considé- rables. De même, des explorations répé
s jointures du même côté, sans déterminer chez le malade la moindre
sensation
douloureuse. L'anesthésie existe donc pour les pa
provoque immédiatement une crise de douleurs et de larmes. Pas de
sensations
anormales ni de douleurs spontanées en dehors des
ni de douleurs spontanées en dehors des crises. Pendant les crises,
sensation
d'étouffement à la gorge. Le réflexe pharyngien
n oeil supprimé au point de vue de la fonction ; il ne donne aucune
sensation
positive ou négative. Champ visuel.- A gauche,
rnativement la mâchoire, comme s'il manquait d'air ou qu'il eût une
sensation
d'étouffement à la gorge. La crise dure environ
he. Le malade perçoit fai- blement le contact mais n'éprouve pas la
sensation
douloureuse de la pi- qûre. La sensibilité ther
de la langue. Nous ferons re- marquer que le malade se plaint d'une
sensation
de sécheresse du môme côté de la cavité buccale
u côté droit de la bouche. Le malade éprouve dans les deux yeux une
sensation
d'ardeur, et une abondance de larmes plus consi
ères chez nos deux hommes par suite de la chute sur l'épaule, cette
sensation
dis-je, pourrait être considérée comme la raiso
ire pour se réaliser objec- tivement sous la forme de paralysie. La
sensation
dont il s'agit, aurait en conséquence joué le r
éjà très éloignés de cet état psychique dans lequel on a éprouvé la
sensation
qui fai naître l'idée que nous voyons se tradui
ulaires très modérées. La môme expérience démontre encore que toute
sensation
douloureuse est à éviter si l'on veut obtenir u
re, car, souvent, il était pris la nuit, pendant son sommeil, d'une
sensation
d'étoutfernents suivie de perte de connaissance.
ut loucher, piquer, brûler la peau sans. que D... accuse la moindre
sensation
. Au membre inférieur, il exisLe trois petites z
ses yeux des points brillants. En même temps il pâlitet éprouve une
sensation
de constriction à la gorge qui lui semble prise
e supérieur gauche qui serre moins fort, et qui donne au malade une
sensation
de pesanteur insolite lorsqu'il le soulève. P
e menace d'un renvoi, 11 est pris bientôt d'éblouisse- ments, d'une
sensation
de constriction à la gorge et rentre chez lui.
peu saillante, se sent forcée de rechercher pour l'autre pied une
sensation
analogue; de même, lorsqu'elle a placé une main
2 à 10 milligrammes), ses effets sont les suivants : il produit une
sensation
de chaleur à l'estomac, la circulation s'accélère
ffaiblissement musculaire qui y prédomine, est précédé soit par une
sensation
incommode de raideur, soit par des oscillations
nt des accès; non pas du reste le grand froid, mais simple- ment la
sensation
d'un morceau de bois à une température de 10 à
s quatre ans d'une paralysie des membres inférieurs, accompagnée de
sensations
particulières, toujours d'ordre subjectif. Réfl
depuis dix-sept ans, éprouvait au moment de chaque menstruation des
sensations
anormales du côté des organes sexuels, de l'hypé-
eux, les bizarreries de caractère, les hallucinations réflexes, les
sensations
spinales irradiées (télégraphiques), l'évolution
ique sur la région des muscles extenseurs n'éveille non plus aucune
sensation
douloureuse. La sensibilité est normale sur tou
mois par des douleurs suivant le trajet du nerf, accompa- gnées de
sensation
d'engourdissement et de froid. La marche était
verre à sa bouche. Les autres signes de la maladie de Parkinson, la
sensation
de chaleur, l'attitude spéciale, font ici défau
vive sur le trajet d'un nerf paralysé, mais le fait est rare. Des
sensations
d'engourdissement et de fourmillement paraissen
de la parésie, de la diminution de l'excitabilité faradique, et une
sensation
d'engourdissement. Dans un cas dû à Lamotte, on
s troubles transitoires de la sensibilité et du mouvement, tels que
sensation
de lourdeur, parfois anesthésie réelle et parés
c la paume de la main (Charcot). La malade accuse immédiatement une
sensation
d'engourdissement, de pesanteur et de faiblesse
6 mars, la malade--Se plaint d'une douleur dans l'aisselle et d'une
sensation
d'engourdissement dans le bras; elle ne sent pl
nes manifestement exagérés du choc local : anes- thésie, paralysie,
sensation
d'engourdissement et d'absence du membre, et le
ard, impossibilité de marcher longtemps et de monter les escaliers;
sensation
de froid dans le dos avec état dou- loureux des
e qu'un certain degré d'inquiétude morale. Durée : des heures, avec
sensation
de tension anormale du côté de l'os hyoïde et d
malade ressent d'abord une certaine lourdeur de tête et une légère
sensation
de tension et de traction dans l'angle interne
bitaire. gauche, et devient très vive, en même temps il éprouve une
sensation
de tremblement de l'aile gauche du nez. Puis su
es attaques constituées comme il suit : battements dans les tempes,
sensation
de constriction dans la gorge, mouvement d'abai
La malade ressent des battements dans les tempes, elle éprouve une
sensation
de constriction dans la gorge et la paupière droi
ite; la ma- lade en effet, dit qu'elle éprouve exactement les mêmes
sensations
que lorsque ces phénomènes se produisent sponta
vements rapi- des d'élévation et d'abaissement de la paupière, la
sensation
de çonstriction dans la gorge, constituent, par
a- miné. Ce résultat s'obtiendra par une différence maxi- mum des
sensations
à percevoir. Nous déterminerons de cette manièr
emble évidente chez elle, si l'on se rappelle ces étouffements, ces
sensations
de boule qu'elle avait dès sa jeunesse, ces cri
pendant à noter que la malade accuse dans les doigts de la main une
sensation
d'engourdissement et prétend ne pas sentir son
nous la lui montrions écrite sur un papier en nous assurant que la
sensation
visuelle avait assez duré pour que la malade ai
ce de leurs yeux à une distance suffisante pour ne pas provoquer de
sensation
^ de chaleur, et, qu'excités il marcher, ils évi
ls paraissaient ressentir les im- pressions faites sur les nerfs de
sensation
commune. Quant aux sens spéciaux du goût et de
ablation des hémisphères enlève seulement la perception propre, les
sensations
brutes ayant leur centre dans les ganglions més
tuels, continue à jouir de ses facultés sensorielles, preuve que la
sensation
et l'intelligence ne sont pas la même et unique
nt par les relations psychiques entre l'intention volontaire et les
sensations
intramusculaires, pour ainsi dire au seuil de l'a
ion produite par les altérations patholo- giques. C'est pourquoi la
sensation
lumineuse subjective est conservée, c'est pourq
aire et que les autres personnes ne devaient pas éprouver les mêmes
sensations
qu'elle ; mais cela s'explique très bien, son m
eau, les sièges res- pectifs des centres de projection servant à la
sensation
simple et au mouvement réflexe, involontaire, e
réflexe, involontaire, et des centres d'association, ser- vant à la
sensation
complexe et à la motililé volontaire ? La phy-
que le sens stéréognostique, résultat complexe de l'association de
sensations
simples, actuelles et d'images antérieures cons
'hémorrhagie en général est peu abondante et unique et suivie d'une
sensation
de bien-être. Le traitement relève du traitemen
, épileptiques, neurasthéniques, des troubles sensoriels ou moteurs
sensations
douloureuses après le coït, anesthésie cutanée,
vasomoteurs sous forme d'apparition de taches bleu- foncées, et de
sensation
de froid aux membres. Les réflexes cuta- nés so
té, faites en prenant comme point de comparaison l'apparition de la
sensation
électrique minima. Il a aussi démontré que la s
ition de la sensation électrique minima. Il a aussi démontré que la
sensation
de fermeture précède toujours celle d'ouverture
e fermeture précède toujours celle d'ouverture au pôle + et que les
sensations
produites par les étals variables de fermeture
qui progresse, surtout la nuit et le fait crier dans son lit; cette
sensation
a bien diminué au bout de quelques semaines, ma
de temps à autre, légers vertiges avec perte de connaissance. La
sensation
de brûlure, comparée par le malade à celle que pr
écrivait ; ils étaient précédés d'une aura (vomituritions, malaise,
sensation
cardiaque anormale, palpitations, dépression) et
A l'heure actuelle la malade ne se plaint guère de douleurs ou de
sensations
subjectives quelconques. Dans la moitié inférie
ses sensa- tions anormales musculaire, articulaire, cutanée, de ses
sensations
vertigineuses, enfin de la vue même de son inco
d'être prolongé et consolidé par des moyens propres à atténuer les
sensations
anormales du tabétique. Paralysie périphériqu
nir droite sur les épaules. Cette parésie était accom- pagnée d'une
sensation
de poids dans la région cervicale. A qua- torze
x secondes entre l'application de la chaleur et la perception de la
sensation
, dans le dos du même côté cet intervalle se prolo
est normale et le patient éprouve, lorsque les yeux sont fermés, la
sensation
produite au moyen d'une plume passée sur toute
x : délire tranquille avec hallu- cinations visuelles et auditives,
sensation
d'angoisse provoquée par la vue d'un grand espa
us, B.-W., fasc. 2 et 3.) Deux malades hynoptisés racontent leurs
sensations
: diminu- ' lion de la personnalité; on dort, m
ux sans antécédents pathologiques, qui a commence par présenter une
sensation
d'engourdissement dans les doigts de la main ga
ensation d'engourdissement dans les doigts de la main gauche; cette
sensation
a gagné la main, puis s'est étendue jusqu'à l'é
ssée pour le membre inférieur du même côté. Plus tard survint une
sensation
de tension dans le côté gauche du cou et de la tê
sibilité montre une analgésie très mar- quée sur tout le corps. Les
sensations
tactiles et thermiques sont au contraire perçue
e bulbe des voies de conductibilité différentes, et que la voie des
sensations
douloureuses s'est trouvée seule abolie dans le
droit, qui décroitcepen- dant de haut en bas, faible diminution des
sensations
douloureuses dans le bras droit qui perçoit néa
bras droit qui perçoit néanmoins encore les impressions lac- tiles.
Sensation
subjective de faiblesse dans la jambe droite dont
et à la face antérieure des cuisses. Tremble- ment des mains, avec
sensation
d'engourdissement le matin. La sensibilité cuta
nts du dos ; depuis cinq ans celle également des mouvements du cou.
Sensation
de cons- triction dans les jambes; depuis un mo
s (Entwohnungskuren), à savoir : état d'an- goisse et d'inquiétude,
sensation
de brûlure à l'épigastre et à la .gorge ; sécré
e. Chez quelques-uns on constate un retard dans la transmission des
sensations
, des erreurs dans leur localisation. » ' On v
els rapports existent entre ceux-ci, les désordres moteurs et les
sensations
subjectives ressentis par les paralytiques dans l
lus violenle que jamais. A l'examen : douleur vive à l'inspiration,
sensation
de constriction et de boule à la gorge, hémiane
ses dans le bras, battements des paupières du côté hémiplégié, avec
sensations
de suffocation et sueurs profuses. Per- sistanc
rande intensité, à son achèvement, à sa définition précise certaine
sensation
ou certain fait psychologique, et qui produit u
d'intensité, d'autres diminuent. , Tout ce que nous avons dit d'une
sensation
visuelle, pourrait se répéter d'une sensation o
nous avons dit d'une sensation visuelle, pourrait se répéter d'une
sensation
olfactive : nos connaissances anatomiques sont
ssances anatomiques sont assez précises pour cela. Quant aux autres
sensations
, l'étude de leurs appareils anatomiques n'est p
eu- nesse ; Ho la maladie se complique fréquemment d'insomnie, de
sensation
vertigineuse, d'accès d'angoisse précordiale (Men
de cette émotivité, qui suffit pour la provoquer. Quantité d'autres
sensations
neurasthéniques. Sous l'influence du bromure et
n'étaient pas dans le courant ordi- naire de sa vie ; tête lourde,
sensation
de pression sur le front, mais pas davantage. C
on spécifique : comment donc expliquer les mo- dalités des diverses
sensations
, si l'on admet que le corps cellulaire n'est qu
t chargées de conduire l'excitation sensible au cerveau pour qu'une
sensation
ait lieu. C'est par là qu'est prévu le trajet d
. La vie psychique du nouveau- né procède des perceptions brutes de
sensations
élémentaires im- médiatement eu rapport avec le
eloppement de la faculté d'imitation, il unit les sous-entendus aux
sensations
correspondantes qui dépendent des mouvements ef
ation. Puisqu'il y a chez les infusoires des organes destinés à une
sensation
spéciale, puisqu'il y a des yeux, il faut dans l'
gir, celle substance ne peut être isolée dans un organe, autrement la
sensation
resterait isolée aussi, ou plutôt elle n'exisle-
s, i83o, t. 3, p, 323. rail pas. Dès qu'il y a plusieurs organes de
sensation
, il faut à ces organes un lien qui les unisse ent
airement chez tous les animaux qui ont plusieurs organes destinés aux
sensations
, Celle conséquence, qui me semble rigoureuse, se
ils ont des yeux, ils doivent être pourvus d'un organe qui reçoive la
sensation
de la vue, et d'un point central qui puisse mettr
la sensation de la vue, et d'un point central qui puisse mettre cetle
sensation
en rapport avec le reste do l'économie. Mais co
eux un système locomoteur, ils n'ont d'autre organe spécial pour les
sensations
que lesfilamens lentaculaires, placés à l'orifice
sement de la digestion, de la respiration, de la circulation et de la
sensation
du4oucber. Un même ganglion préside à ces diverse
idéré comme ayant une propriété exclusive ? eu en d'autres termes, la
sensation
est-elle dévolue seulement au ganglion labial, la
iennent aboutir les nerfs destinés aux sens, c'est lui qui reçoit.les
sensations
. ¦ê Les conséquences de ce fait sont faciles
s, à l'entonnoir et à l'oreille , ainsi, il sert, en même temps, à la
sensation
, au mouvement, à la respiration et à hmutrition.
t inconnue du système nerveux. Berlin, i836 (en allemand). ganesdes
sensations
; les animaux vertébrés auraient les deux ordres d
s; il n'y a, sous ce rapport, aucune différence entre les nerfs de la
sensation
et ceux du mouvement; entre les nerfs qui naissen
paire peut devenir le siège et le point de réunion de leurs diverses
sensations
. » A cela, je répondrai : 1° Que le nerf optiqu
M. Ehrenberg ayant pour conséquence de refuser aux invertébrés toute
sensation
, toute sensibilité, est, par cela seul, inadmissi
alique le plus considérable. U. Tous les mollusques jouissent de la
sensation
du toucher; beaucoup de la vue et peut-être de l'
ir? nous ne pouvons que le supposer. Et au-delà des sens, au-delà des
sensations
qu'ils procurent, qu'y a-t-il ? Un centre nerveux
r des hommes hallucinés, c'est-à-dire par des hommes qui, atteints de
sensations
délirantes, racontaient de bonne foi et avec une
nous trouvons des individus qui, frappés de la même maladie, ont des
sensations
et par suite des convictions semblables à celles
eux aient pu connaître, par la tradition ou autrement, que de telles
sensations
aient jamais été éprouvées. Si nos visionnaires r
s se développent en suivant la progression suivante : « a) Quelques
sensations
et des instincts bornés à la recherche de la nour
ncts bornés à la recherche de la nourriture et à la génération ; b)
Sensations
plus étendues et plus nombreuses, ardeur extrême
, ardeur extrême pour la génération, voracité, cruauté aveugle ; c)
Sensations
encore plus étendues, construction d'un domicile,
es, construction d'un domicile, voracité, cruauté, ruse, astuce; d)
Sensations
très étendues, construction d'un domicile, vie de
nement existe et le système principal, celui auquel sont dévolues les
sensations
et les volitions, prend un caractère particulier
me, le sont beaucoup moins : or, un sens peu développé fournit peu de
sensations
, et partant peu d'idées dépendantes de ces sensat
fournit peu de sensations, et partant peu d'idées dépendantes de ces
sensations
. Ajoutons que les sensations fournies par un même
t partant peu d'idées dépendantes de ces sensations. Ajoutons que les
sensations
fournies par un même organe ne diffèrent pas seul
. La perfection d'un sens ne consiste donc pas seulement à donner une
sensation
déterminée avec facilité et précision, mais aussi
avec facilité et précision, mais aussi à donner une grande variété de
sensations
. Ce que je dis pour l'ouïe de l'homme, doit s'a
ez les animaux, nous avons tout lieu de penser qu'il leur fournit des
sensations
qui nous sont inconnues, et nous jugeons, en effe
; en revanche, ils ont la vue perçante et l'or gane affecté à cette
sensation
, généralement très gros, est muni, dans plusieurs
s facultés regardées comme primordiales de l'entendement, savoir : la
sensation
, l'attention, la mémoire, l'imagination, le jugem
et jusqu'à un certain point, la volonté qui suppose la liberté. La
sensation
, ou faculté de sentir, est très vive chez les ois
La mémoire est presque aussi développée chez certains oiseaux que la
sensation
; faible chez la mésange, par exemple , qui se la
e donc. La volonté, chez les oiseaux, se laisse apercevoir entre la
sensation
et l'action, et même entre la pensée et l'action.
'approche de l'aliment désiré : le premier a senti, et il a obéi à sa
sensation
; le second a senti, jugé et voulu : il a fait ce
ls sont doués des facultés primordiales de l'entendement, mais que la
sensation
l'emporte de beaucoup sur la réflexion. § IV. R
organes secondaires de l'encéphale, ils sont liés à l'exercice d'une
sensation
qui est relativement moins importante dans les ma
t celles du cerveau. Par l'intermédiaire des cordons antérieurs, la
sensation
arrive au cerveau, et la perception s'y opère :
tion arrive au cerveau, et la perception s'y opère : la mémoire des
sensations
se fixe dans les circonvolutions cérébrales; l'as
ent la parole. Quel timide ne reconnaîtrait, à cette description, les
sensations
qu'il ressent lorsqu'un regard d'autrui l'intimid
avec douleurs s'irradiant dans tout le bras gauche et déterminant une
sensation
constante d'engourdissement; il passe des nuits e
che, expirez l'air de vos poumons sur votre main, vous éprouverez une
sensation
de chaleur produite par l'air expiré auquel se jo
pourrait être définie : l'action de provoquer un état de conscience (
sensation
, idée, sentiment, volition), que cet état de cons
ureux sur le trajet du colon. Souvent on est obligé de poursuivre les
sensations
douloureuses de place en place par des applicatio
s. » Faria : « Quelques époptes sont inaccessibles aux plus légères
sensations
dans de graves incisions, blessures et amputation
, p. 60.) « D'autres, selon Faria, éprouvent, sous la suggestion, des
sensations
de froid, de chaud, enfin de toute espèce (1). »
nt le sommeil hypnotique peut notablement influer sur les émotions et
sensations
mentales. Braid vivait dans une période où la phy
té maladive, mais elle ne perçoit ni les vibrations inférieures de la
sensation
physique, ni les vibrations supérieures de la sen
épétition de ces actions déprimantes. La plupart des timides ont la
sensation
du trouble apporté dans leur organisme par le cho
d'actes inspirés ou conseillés par un initiateur dépravé. La première
sensation
éprouvée avait été enregistrée par la mémoire du
se trouvaient désormais dans une dépendance étroite avec la première
sensation
et le réflexe génital n'était plus réveillé que p
génital n'était plus réveillé que par des idées se rapportant à cette
sensation
. Il y a à ce sujet un exemple classique, c'est
vue moral, notre sympathie doit aller aux êtres qui souffrent; or la
sensation
de la timidité est souvent fort douloureuse. D'
que, seul, perçoit l'homme fatigué, c'est un malaise particulier, une
sensation
pénible d'impuissance, difficile à décrire, mais
ux qui l'ont éprouvée. C'est la diminution des forces qui provoque la
sensation
de fatigue, et celle-ci est un avertissement qui
ravail devient nuisible à l'organe. Mais si la puissance d'agir et la
sensation
qui la révêle sont liées par un rapport de cause
ion l'une de l'autre. En un mot. la fatigue comporte des degrés et la
sensation
qui nous en donne conscience ne nous en donne pas
es avaient encore de la force en réserve. Chez l'homme entraîné, la
sensation
de fatigue se produit beaucoup plus tard que chez
du poumon aussi bien que celui des muscles. Chez lui, l'éducation des
sensations
respiratoires intervient puissamment pour perfect
ent à lutter contre le besoin excessif de respirer, en résistant à la
sensation
pénible, à la soif d'air, qui le poussait, au déb
aîné à toutes les formes de la fatigue. Quand l'homme lutte contre la
sensation
de fatigue, sa volonté et sa sensibilité subissen
inverses pour chacune d'elles. C'est une loi de psychologie que toute
sensation
s'émousse par l'accoutumance, c'est-à-dire par le
olonté. C'est donc parce que sa volonté est devenue plus forte et ses
sensations
moins vives, que l'homme entraîné arrive à souten
e par la lutte et la Sensibilité très atténuée par l'accoutumance, la
sensation
de fatigue perd presque complètement son empire s
science : il peut rester insensible à la fatigue et n'éprouver aucune
sensation
d'épuisement, quand il a déjà perdu la faculté de
les pertes causées par le travail. Il n'est plus mis en garde par la
sensation
de fatigue contre le danger des efforts excessifs
de bien peut devenir un mal et, si on s'applique trop à combattre la
sensation
de fatigue, on arrive à priver l'organisme d'un m
la fois, plus apte à faire usage de ses forces et plus maître de ses
sensations
, naît un sentiment très remarquable de tranquilli
ue chose. Il fut expliqué à la plaignante qu'il s'agissait de fausses
sensations
, et comme nous étions à bout de ressources, cette
t maître de lui arrive à exprimer ses impressions, ses besoins et ses
sensations
par le seul moyen de ses lèvres et de ses yeux. M
avec leurs panaches de crins tombant en chute circulaire, donnent une
sensation
de tristesse, d'absence de mouvement, que n'ont p
ment; la coupole au contraire, avec sa masse et sa forme lourdes, une
sensation
de poids, de lourdeur, d'écrasement, de mollesse,
sque de notre artillerie pour ressentir aussitôt très nettement cette
sensation
que le bizarre placement sut* le devant d'un plum
conscience parmi lesquels les plus apparents sont : l'indécision, la
sensation
d'im puissance à agir et surtout la difficulté d'
s et même à distance et en donnait le diagnostic détaillé d'après les
sensations
qui à ce moment la traversaient. Ces pouvoirs, do
ouffrait de douleurs dans la tète- et le cou. Il se plaignait d'une
sensation
de fatigue le matin, se sentait épuisé et sans
dant l'été il souffrit des yeux, des lunettes le soulagèrent, mais la
sensation
de fatigue reparaissait de temps en temps. Il e
aussi un peu engour- die par l'effet de la prolongation d'une même
sensation
sans variation. Mais l'image de l'étal de flexi
s étendons l'arlicle. Quelques-uns accusent aussi en même temps une
sensation
de tension de la peau au niveau de l'articulation
chez le malade, cherchent par ces variations rapides à réveiller la
sensation
et à pouvoir par consé- quent acquérir l'image
eux fermés, dévie comme un labyrinlhique et il survient chez lui la
sensation
vertigineuse. Je dois constater que l'iris réag
on plus que des attaques de labyrintliisme. Le malade ne souffre de
sensation
vertigineuse que quand il ferme les yeux étant
tige engendré l'instabilité et l'instabilité à son tour engendre la
sensation
illusoire de déplacement et d'autres troubles acc
e que, sans le secours du lalv'- rinthe, ils auraient facilement la
sensation
vertigineuse qui augmenterait leur instabilité.
rable des pieds, des jambes, des genoux, sans qu'il y ait cependant
sensation
sulrjectivede froid ; colo- ration rouge violac
de la pupille droite; le malade se plaint de temps en temps, de la
sensation
" de brouillard, de nuages devant les yeux. Depu
4 SOUQUES, BAUDOUIN ET LANTUEJOUL malade se plaint simplement d'une
sensation
de lourdeur, de pesanteur qui persiste encore a
a- tion de contact au pinceau, de même que la localisation de cette
sensation
existent, mais elles sont moins fixes que du cô
in est légèrement rosée, violacée. Enfin le malade dit éprouver une
sensation
de froid très accentuée au niveau de la main et s
est-à-dire par son image cinesthésique, qui n'est que le résidu des
sensations
musculaires, articulaires, tactiles qui se prod
qui se substitue à la mémoire volontaire et consciente. Ce sonl les
sensations
cénesthésiques d'innervation et musculaires, écri
taient une forte impulsion à les accomplir, en éprouvant presque la
sensation
que leur membre volait. Or, si l'on considère q
automatique, qu'on constate chez nos sujets, soit due au résidu des
sensations
musculaires, articulaires et tendineuses qui se
aire explication dans la cénesthésie, à savoir dans la synthèse des
sensations
internes cérébrales qui tirent leur origine des
étude de cette all'ec- (1) l'ATwzt, Les composants somatiques de la
sensation
el de la i ep) ésentation4 Archives italiennes
ans sensibilité cénesthésique ; nous ne sommes pas conscients d'une
sensation
quelconque, si celle-ci ne se joint pas à l'ens
sensation quelconque, si celle-ci ne se joint pas à l'ensemble des
sensations
internes qui forment la base de notre personnal
a perle de la sensibilité cénesthésique d'un nombre considérable de
sensations
, et que celles-ci; même perçues par les centres
avec la peau anesthésique ou voit avec l'oeil amaurotique, mais ces
sensations
demeurent tout à fait subcons- cientes. Cela ex
ntres cénesthésiques n'ont pas seulement la faculté de recevoir les
sensations
internes, mais aussi celle de transmettre l'excit
esthésie, de même qu'elles influent considérablement sur toutes les
sensations
; il n'y (1) Pronier. De l'anesthésie généralisé
les plus fantastiques ont très souvent leur origine dans de faibles
sensations
cénesthésiques. L'hy- pothèse n'est pas alors h
d le malade veut serrer la main du médecin, l'examinateur a bien la
sensation
d'une action musculaire irrégulière, mal soutenue
tre quittée. En palpant les tendons des fléchisseurs, nous avons la
sensation
de contractions et de relâchements alternatifs. Q
uit jours après. Les crises laryngées étaient caractérisées par des
sensations
de picotement dans la gorge, amenant des quinte
dans les deux gros orteils, douleurs peu intenses, comparées à des
sensations
de prurit, très inconstantes d'ailleurs. Il se pl
es, mais avec des paroxysmes pendant lesquels le malade éprouve des
sensations
de brûlure superficielle et profonde, provoquan
uperficielle sont moins importants, il faut noter cependant que les
sensations
sont très persistantes, les localisations parfois
ues ont été notés. Comme troubles vasomoteurs, il faut signaler une
sensation
subjective de froid au niveau des mains et non
on subjective de froid au niveau des mains et non des pieds ; cette
sensation
n'est pas perçue objective- ment. Enfin la main
ulgurantes, lérébrantes, constrictives, classiques des tabétiques ;
sensations
étranges, très douloureuses, angoissantes, qui co
. Les crises de tyrnpanisme local dans le côté droit du ventre, les
sensations
de brûlure ont diminué progressivement, la marc
tenses mais contiuues ; aux extré- mités, elles revêtent le type de
sensations
anormales, en particulier, de cryestliésies.
▲