t dans sa moitié extéro-postérieure. La circon- volution du crochet semble ne pas être touchée. Le pli rétrolimbique est tou

vrai, que la déglutition s'améliora un peu dans la suite, sa parole semblait même devenir plus nette, mais on devait attribu

ent sur la partie inférieure de la face ; le voisinage de la bouche semble être plat et raide, la peau y est rouge, eczéma-

partie gauche surtout est mince. Le muscle orbiculaire de la bouche semble être complètement paralysé, cette paralysie se tr

a thermo-esthésie présente bien des difficultés à l'examen, elle ne semble pas être troublée. ' La malade nous affirme qu'

ervé trois cas de ce genre, une certaine dégénérescence héréditaire semble en être la vraie cause. On pourrait encore disc

n'est pas question de trouble de la sensibilité. Les cas qui nous semblent plus rapprochés du nôtre sont les suivants : La

analogue à la poliomyélite aiguè des enfants, au contraire il nous semble très vraisemblable, que dans les cas appartenant

traitent des tumeurs cé-' rébrales la discussion de ces productions semble loin d'être menée paral- lèlement à celle des a

loppé, quelques considérations étiologiques et symptoma- tiques qui semblent pouvoir être utiles au diagnostic, au pronostic e

quide siégeant dans le cerveau et dont la nature parasitaire ne lui semble pas douteuse ; après lui, Théodore Kerckring, W

nes rencontre 12 kystes. Mais la plupart du temps, le diagnostic ne semble reposer que sur l'as- pect macroscopique, et le

surtout dans les diverses observations publiées par les auteurs, il semble exister des confusions entre les différents terme

être méconnue, et si, par son mode de développement, l'échinocoque semble différer tota- lement des autres cestodes, dans

80 au- topsies). Plus rares en Belgique et en Suisse, l'échinocoque semble au contraire plus commun en Allemagne. D'après

un certain nombre de kystes hydatiques du cerveau dont l'évolution semble consé- cutive à un traumatisme ; Babinski et Vu

es qui se prolonge le jour suivant.Elle voit des serpents.) Il nous semble qu'il existe une légère parésie du droit supérieu

irante, la maladie entre dans une phase d rémission : la somnolence semble disparue, la céphalée n'existe plus. La tant de

substance grise qui est seule le siège de la cysticercose ? Il nous semble que les cysticerques sont tous arrivés au cerve

instances, il trace spontanément d'une écriture informe un mot qui semble être son nom : Vleunie... our ? iL g ? M... Ile

près plusieurs tentatives, il écrivit très mal quelques lettres qui semblent vou- loir représenter son nom. Nous ne pouvons

arrière (Hansphry), genu retarsum (Battle). C'est à Albert (2) que semble revenir le mérite d'avoir introduit l'expressio

subluxation trau- matique ou pathologique du pouce. En somme, il semble qu'on ne puisse invoquer chez notre malade d'au-

éviation de ce genre sur le genou correspondant à la hanche malade, semblent être un peu plus nombreu- ses ; mars le degré d

ligamenteux, etc.) dont tout le membre est souvent le siège. Or, il semble bien que la majo- rité des faits rapportés par

les exemples de laxité articulaire naturelle ne sont pas rares. Il semblerait moins juste d'invoquer le degré du raccourcisseme

s pourrait permettre, et même au dernier degré ou dernier terme qui semble aujourd'hui rigoureusement fixé par la nature,

n, ce document sur la longévité humaine vient-il à son heure e nous semble-t -il. De tous côtés on s'agite autour de cette ques

a vie sont le plus apparentes, et d'où l'étiquette, la con- vention semblent le plus écartée. La prospérité universelle du pay

erselle du pays ex- plique cet éclat des beaux-arts. Constantinople semblait être la capitale de l'univers. Ses bijoux, ses

adduction forcée, collé au corps. L'avant-bras est fléchi ; la main semble normale, mais l'ensemble du bras donne l'impres

gulière contracture en flexion. En présence de ces déformations, il semble vraisemblable que l'infirme présentait du côté

qui s'étendent uniformément sur toutes les parties découvertes. Il semble manquer un ou deux doigts à la main gau- che. L

la forme étalée, comme à Sa- lerne et à Monreale ; au contraire il semble pointer en avant, comme un ventre de kyste de l

g forte- ment contracturé en demi-pronation. Les membres inférieurs semblent s'agiter un peu au.hasard. - Peut-être s'agit

orte de serre-tête attaché par des brides sous le menton. Ce détail semble indiquer que le mendiant est atteint de quelque

nvoler au-dessus de sa tête deux diablotins à figures de singes qui semblent fort vexés d'avoir été obligés de quitter leur

les formes aiguës ou subaiguës. - En résumé, les travaux récents semblent démontrer que la moelle épi- niére, lorsqu'elle

ique des éléments nerveux. C'est de cette façon du moins qu'il nous semble nécessaire d'interpréter l'observation que nous

re supérieur droit. Une première radiographie nous représente l'en- semble du membre supérieur du côté droit (PI. XVI) . Ell

aissent très peu développés ; les cubitaux antérieur et postérieur, semblent faire défaut. De même l'examen des muscles de l

ÉMIMÈLE '137 Vaisseaux. - Le système vasculaire, artères et veines, semble assez peu développé dans le segment périphériqu

eux mains les doigts existant paraissaient être des pouces, il nous semble bien plus probable que le cas correspond ainsi qu

n'a que deux phalanges, il paraît correspondre au pouce. Le cubitus semble faire défaut. Les difformités qui résultent de

e les doigts conservés. L'observation que nous avons rapportée nous semble pouvoir être con- sidérée comme un exemple de l

doigt rudimentaire. Ce dernier, d'ailleurs, par son squelette res- semble tellement à un doigt surnuméraire que nous sommes

Pour plus de clarté dans le groupement des cas d'hémimélie il nous semble que l'on pourrait encore distinguer parmi eux tro

e ne paraissent pas devoir reconnaître une pareille origine ; elles semblent plutôt devoir prendre naissance pendant la péri

mimélie et même d'ectromélie proprement dite, cette origine exogène semble bien démontrée ; elle peut être attribuée, par ex

êmes symptômes dans différentes régions ne présage rien de bon.Cela semble indiquer xiv 11 154 THOMAS D. SAVII.L chez

de cette même loi (loi d'Edinger) dans le tabes dorsualis. Il peut sembler étrange, à pre- mière vue, que cette affection,

trophie sans passer parle spasme initial. Ces différentes modalités semblent dépendre de causes prédisposantes variables. Un

onne de bons résultats, lorsqu'elle est bien dirigée. Ce traitement semble surtout réussir dans les cas où la crampe des é

ment semble surtout réussir dans les cas où la crampe des écrivains semble principale- ment provenir d'un défaut de synerg

e confiance dans l'huile de foie de morue et dans le malt, qui nous semblent avoir une action élective sur la nutrition du s

ntre, une dernière mosaïque, beaucoup plus intéressante à nos yeux, semble sortir de la banalité courante (PI. XXII). Elle r

comme date d'exécution le commencement du XVIIe siècle. Cette date semble relativement récente, et bien éloignée des dern

sentations byzantines, sans y mêler d'innovations qui leur auraient semblé hérétiques. Aussi la composition des différentes

s bras est levé vers le ciel la main ouverte. De l'autre, le malade semble chercher à se relever. Une de ses jambes est

fou, à Salonique. Cette figure de possédé à St-Basile de Moscou, me semble constituer un fait du même ordre, et tout à fai

édicures, les dentistes, les urologues et les charlatans ; mais ils semblent avoir répugné à nous montrer les saigneurs. Peut-

n silence, pendant lequel le facies anxieux et désorienté du malade semble interroger l'interlocuteur, ou chercher le fil de

n- tièrement perdu dans la nuit de son cerveau visuel et psychique, semble , lors- qu'on l'appelle, s'éveiller, prêter l'or

faire effort pour saisir le sens de paroles lointaines. La mémoire semble avoir lJ1'esque 'entiè rement disparu ; cependa

ensorielle consciente, et dont ce- pendant les moindres détails lui semblent familiers. Sur la fin d'avril éclatent, à quatr

rs jours, noter l'absence de tout symptôme de localisation. Ce fait semble paradoxal, lorsqu'on réfléchit : d'abord, à l'éno

lus élevés : c'est le lobe psychique par excellence. Et, en effet, il semble bien résulter de la statistique comparée des tr

temps seulement : abandonné à lui-même il y retombe aussitôt; et il semble bien que le mécanisme psychologique de cet état

t par les besoins intérieurs, d'ordre végétatif. L'apport sensoriel semble très diminué, les opérations associatives très

rs, exprimés par les malades. Ce puérilisme psychique, que Brissaud semble avoir bien remarqué aussi, dans la symptomatolo

e, avec un léger degré de strabisme externe, à gauche. Ces troubles semblent pouvoir être rapportés à l'action de voisinage

points on ne distingue plus' qu'une masse amorphe. Tous ces aspects semblent du reste représenter les différents stades d'évol

uée par toute une série d'étapes, dont la disposition périlacunaire semble représenter le der- nier terme. TUMEUR CÉRÉBR

bsence de limites nettes, c'est-à-dire que les éléments cellulaires semblent écartés, comme dissociés, sans que toutefois il

us fortement, surtout par le mélange de Van Gieson. Cette zone, qui semble jouer le rôle de membrane endothéliale, forme d

us du pédicule ou que le pédicule se brise, auquel cas, le globe ne semble pas dépendre d'un vais- seau. C'est en se fonda

formée de cellules accolées et superposées. Cette explication nous semble d'autant plus légitime, qu'il est facile d'en sui

aisseaux voisins dont les lumières arrivent à se confondre. Il nous semble impos- sible d'invoquer ce processus dans notre

ui précède l'autre. Dans les termes où le problème se pose, il nous semble qu'au lieu de chercher à subordonner l'un de ces

variations d'intensité, de rapidité, et aussi de na- ture. Il nous semble qu'en dehors de ces considérations très générales

- pression, mais l'action de celle-ci était en réalité moindre,nous semble-t -il, que le volume de la tumeur permettait de le

ts plutôt situés autour des vaisseaux. Le rôle de ces éléments nous semble ressortir de leur situation, de leur distributi

istribution,de leurs rapports avec les vaisseaux et les cellules. Ils semblent appelés à détruire les cellules nerveuses qui o

rganisme. Mais à côté des leucocytes, les éléments fixes des tissus semblent posséder, d'après les travaux de Virchow et de Ra

t après leur dis- parition. Cette manière de voir est conforme,nous semble-t -il, à l'opinion (1) NISSL, Dliltlzeilzzzgezz su

nes des cuisses de larges plaques roses à bords déchiquetés, et qui semblent produites par un afflux de sang artériel. Elles

inverses à ceux que fournit la palpa- tion. A la main cette région semble plus chaude à gauche qu'à droite. | 2. Températ

ices aux membres inférieurs. - V. Système NERVEUX. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sait lire, écrire et compt

'il regarde avec l'oeil droit. VIII. Intelligence. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sait lire, écrire et compt

ions et les expériences. La grand'mère paternelle de notre malade semble avoir eu des attaques d'épilepsie et est morte

s. Que l'hémisphère droit soit lésé chez noire malade, c'est ce qui semble résulter encore de l'étude de la sensibilité ta

fet expliquer cette différence. Le défaut de convergence des yeux semble indiquer qu'il existe en outre une légère contr

s suivants : les sensibilités au tact, à la douleur, à la cha- leur semblent conservées. Leur recherche est difficile en raiso

dant, dit-elle, je ne me souviens pas lui devoir quelque chose,. me semble que je l'ai toujours payée. » Néanmoins elle re

nt qu'elle n'accorde pas son consen- tement à certaines pensées qui semblent surgira sa conscience, malgré elle et contre so

end causer son père ou son mari morts depuis plusieurs années. Elle semble présenter de nombreuses hallucinations audi- ti

angage purement intérieur et le terme de voix employé par la malade semble être une simple métaphore indiquant l'origine exo

s qui envahissent malgré sa volonté le champ de sa cons- cience. Il semble donc que ces pseudo-hallucinations ne jouent qu'u

uelle nous a conduits une analyse scrupuleuse des faits. Cependant il semble que parfois la malade a des hallucinations véri

endit, nous dit- elle, marcher au-dessus de sa tète. Parfois il lui sembla qu'on lui parlait à voix basse. Aujourd'hui enc

s, celles-ci sont rares en compa- raison des idées intérieures- qui semblent commander les actions du sujet et DÉLIRE PAR IN

ns son imagination ». Après un examen scrupuleux de notre malade il semble qu'il s'agit le plus souvent d'images vi- suell

suelles mentales ; si dans certains cas, la malade présente ce qu'il semble , des hallucinations visuelles véritables, il n'

rsqu'il raconte qu'il a vu les personnes absentes qu'il désigne. Il semble aussi que la sensibilité générale ait donné lieu

supposer, trompé que l'on est par le terme d'hal- lucinations qn'il semble naturel d'appliquer à ce qui n'est en réalité que

es intérieures à peine extériorisées pour la plupart. En résumé, il semble que la genèse de ce délire doive s'expliquer de l

à analyser scrupuleusement son moi moral. De simples hypothèses lui semblent des pensées ou des désirs coupables. Cette intr

at morbide dont la pathogénie n'a pas jusqu'ici été développée,nous semble-t -il,suffisamment au moins d'après nos connaissan

t en parlant de lui nous pensons à un grand nombre d'au- tres) nous semble prouver qu'une introspection exagérée ne convient

y aurait beaucoup de classifications à faire. L'organisme psychique semble donc être en désaccord dans son propre fonction

U MUSÉE DE NANCY PAR R JEAN HEITZ, interne des hôpitaux. Tout semble avoir été dit, au sujet de la perfection du dessi

r Charles Bell, le trouvait peu naturel ; selon lui, le jeune homme semblait feindre des convulsions qu'il n'avait pas. Char-

italiennes. ,Rubens., lui, n'a pas hésité à suivre la voie qui lui semblait la plus droite, la plus franche. Dans l'exécuti

e preuve en faveur de la nature dégénérative de l'achondroplasie me semble résider dans la coexistence presque régulière d

e. Si dans les deux' observations précédentes, la substance toxique semble provenir de l'organisme maternel, il serait imp

blement au-dessous de la moyenne. Cependant les dimensions du tronc semblent normales ; il y a 57 et 58 centimètres du pubis

l'é- pine iliaque antéro-supérieure. Tous les segments des membres semblent participer à cette réduction, mais surtout les

Membres inférieurs : Fémur et tibia sont déformés. Le fémur droit semble avoir subi une sorte de mouvement de rotation en

s rares sont les cas où, sévissant comme une véritable épidémie, il semble avoir pris racine dans la famille, s'attaquant

une fréquence surprenante. A considérer des faits de cet ordre, il semble qu'on puisse invoquer en faveur du rachitisme u

uire aussitôt. La peau, à son niveau est normale. Cette tuméfaction semble le prolongement sous-cutané, vers le canal carp

filet nerveux qui l'accompagne. On ne voit que du tissu adipeux qui semble homogène. Cependant, en disséquant la face palmai

rences de la température entre les deux côtés de la face. Les os ne semblent pas participer à l'atropliie. La voûte palatine

es, dit-il, depuis sa maladie. Le tremblement l'en empêchait moins, semble-t -il, par la gêne physique que par une sorte de d

efois malgré lui au moment même où il croit avoir abouti. Le rythme semble constant. L'at- tention qu'il y porte ne le mod

uérison. Les secousses sont totalement supprimées, le trem- blement semble persister l'état latent : quand il raidit la main

25 excellent dans l'espèce a une action spécifique. Il agit plutôt, semble-t -il, comme un puissant renfort de la suggestion.

dans la série des syndromes hystériques, mais le mécanisme même ne semble pas avoir été approfondi. Il aurait fallu pour

nt sous la dépendance pres- que unique de l'intoxication... Il nous semble qu'à côté du facteur in- toxication, il faut au

de liquide céphalora- chidien (de 6 à 30 centimètres cubes environ) semble amender, au moins temporairement, les accidents

rect, l'intoxication des éléments anatomiques. Au contraire, ce qui semble bien prouvé dans la doctrine de l'urémie, en gé

ertension intracrâ- nienne dans les tumeurs cérébrales : et il nous semble plus logique de trouver une explication univoqu

es effets de la compression cérébrale, une conclusion générale nous semble se dé- gager : c'est que les effets de la compr

ession, ni dans la marche et la durée des accidents observés. II ne semble d'ailleurs pas logique de chercher dans la compre

de dimensions va- riées, de nature névroglique ou leucocytaire qui semblent jouer, vis-à-vis des cellules nerveuses, un rôl

ement de cette pièce était rempli par une chair cartilagineuse, qui semblait être une végétation du diploë. Si on eût fait l

ependant en aucun point il n'y a confusion des deux tissus. Il nous semble que l'adhérence à la dure-mère est secondaire e

pour expliquer les symptômes des tumeurs cérébrales. (1) Il nous semble , d'après la description histologique, qu'il s'agi

ier 1892. Aggravation progressive. En marchant cambre les reins. Il semble que les objets dansent devant lui. Chutes fréqu

lieu de ho environ. Sur la coupe tandis que la substance blanche ne semble pas réduite, la substance grise au contraire es

es cellules sont réunies sous forme de deux noyaux symétriques ; il semble qu'il s'agisse ici des cellules motrices. La se

elles-mêmes, considérablement atro- phiées. Le corps de la cellule semble avoir complètement disparu. Deux ou trois mince

o-carmin. Les résultats sont les suivants : Les racines antérieures semblent diminuées de volume. Les coupes transversales e

les vaisseaux sont très dilatés et gorgés de sang. Quelques fibres semblent avoir disparu, celles qui restent, en nombre as

l médian à la partie supé- rieure duquel des fibres fines et grêles semblent s'entrecroiser. Ce faisceau est traversé de hau

nsitives forment (la bordure antérieure de la région bulbaire. Ce qui semble Fig. 3. - Région inférieure du bulbe. A. Fais

sensitives. De faisceau moteur il n'en est pas question, ce dernier semble avoir été ex- tirpé ou plutôt cette région s'êt

isproportion entre les substances grises et blan- ches. La première semble avoir acquis un développement insolite en compa-

olite en compa- raison de la seconde ou plutôt la substance blanche semble réduite en certains endroits à des dimensions r

eurs ont un volume inégal en raison d'une hé- morrhagie voisine qui semble avoir provoqué une légère diminution d'un côté.

rovoqué une légère diminution d'un côté. Néanmoins le développement semble à peu près normal. On note l'absence et la dégé

de fibres est à peu près totale dans le tiers postérieur, le reste semble avoir également disparu. Rien ne marque la plac

pe intéresse la région dorsale. A ce niveau les cordons postérieurs semblent normalement développés. On remarque quelques rare

aucoup de fibres n'ont pas de myéline (Fig. 6). Le cordon antérieur semble normalement développé; cependant un certain nom

ieure. Comme au niveau de la coupe précédente les faisceaux moteurs semblent avoir totalement disparu ou plutôt ne pas exist

médullaires dans les cornes, les racines antérieures et postérieures semblent tout à fait normales. IV Dans la descriptio

soires de l'olive ou parolive. L'absence complète de ces formations semble prouver l'étroite relation de ces parties bulbair

qu'arrivées au niveau de la région supéro- latérale, ces formations semblent se diriger en haut et sont interrompues, dé- ch

tions semblent se diriger en haut et sont interrompues, dé- chirées semble-t -il ; n'est-ce pas là un vestige de la continuatio

S, op. cil. DU SYSTÈME NERVEUX CUEZ UN ANENCÉPHALE 397 l'épendyme semble interrompu de chaque côté, comme s'il se continua

et ne présentent pas de pigment à leur intérieur. Néan- moins elles semblent présenter des troubles à des degrés divers. Chez

nérescence. Le processus inflammatoire médullaire et périmédullaire semble avoir gagné les ganglions. Les vaisseaux qui le

raxe, aussi bien dans les méninges que dans la substance nerveuse. Il semble cependant d'une façon générale que les épanchem

région bulbo-protubé- rantielle. Les régions supérieures du névraxe semblent de la sorte détruites sur la plus grande partie

hagies produites au sein du tissu nerveux. Le nombre de ces dernières semble aller en décroissant, lorsque l'on avance vers

le aller en décroissant, lorsque l'on avance vers la moelle ; elles semblent égale- ment moins nombreuses à la région lombai

e façon générale tout le tissu nerveux. Les phénomènes de diapédèse semblent très actifs. En un mot ce que nous voyons ce so

comme une induction pour ainsi dire dictée par les faits. I. - Il semble qu'il puisse y avoir des mouvements spontanés ou

mouvements spontanés ou associés observés chez notre sujet ? ° Il semble qu'ici le faisceau pyramidal ait eu un rôle manif

89, p. 5î. 1. DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 401 tatation semblent placer ces parties bulbaires surtout sous la dépe

r chaque côté des éléments épendymaires avec les tissus adja- cents semblent indiquer l'existence à une certaine période embry

N DE SEIN HYSTÉRIQUE 403 exercée sur l'abdomen au point où la boule semblait prendre naissance suffisait pour faire disparaî

normale : ceci ne se rencon- tre guère que dans les cas anciens. Il semble bien d'ailleurs qu'au début du gonflement la pe

gue sèche, avec un pouls à 124. Elle ne répond pas aux questions et semble divaguer. Température 38°5. A l'auscultation, l

marquée en dehors des altérations des os des membres. Les côtes ne semblaient pas prises, et la cage thoracique avait gardé sa

late et l'acromion sont hypertrophiés des deux côtés. Les humérus semblent normaux, sauf la tête, un peu accrue de volume.

ctifs, qu'a pu présenter la malade. La musculature externe des yeux semble parfaite. Pas de nystagmus. Les pupilles sont é

tient un kyste urinaire semblable, mais plus petit. Ses altérations semblent un peu moins prononcées. Le thymus n'a pas pers

port direct avec la force du muscle qui y attachait ses tendons. Il semble que l'os, ramolli (comme l'expliquera l'examen

qui refoule et rétracte à la fois les tissus voisins. En somme, il semble que la formation kystique est, plutôt que l'atrop

ssissement, les cellules sont bien colorées, les artérioles même ne semblent pas atteintes par le processus artérioscléreux et

à certains points, s'hypertrophient, refoulent le tissu fibreux, et semblent évoluer vers le processus adénomateux. Nous avons

autre part les racines examinées ont été trouvées intac- tes. Il ne semble donc pas qu'il faille attribuer une importance sp

lleuse est légèrement épaissie, le tissu conjonctif interstitiel ne semble pas pris. Quelques gaines de myéline çà et là p

nts. Il n'y a pas de pro- lifération conjonctive et la fibre striée semble avoir conservé sa structure nor- male. · Le t

s par quelques points un peu spéciaux : L'intégrité des os du crâne semble enlèvera l'ensemble un des [raids les plus cara

des fémurs se retrouve également dans plu- sieurs observations. Il semble bien que les lésions soient toujours plus ou mo

de dans la fusion partielle du tibia et du péroné droit, fusion qui semble être l'aboutissant du trouble profond de la nut

in- crustation calcaire. L'observation nécroscopique de Guinon (1) semble seule faire exception. Il est noté que le coeur

pour conclure à une lésion médullaire. Mais les nouveaux faits ne semblent pas très favorables à cette manière de voir. L.

nde vasculaire sanguine. - Depuis que la lésion du corps pituitaire semble unanimement reconnue comme la cause probable de

mement lésées, mais chez notre ma- lade il existait un symptôme qui semble à première vue devoir être rat- taché à cette l

maladie d'Addison était présu- mable. Dans notre cas également, il semble y avoir simplement une coïn- cidence. La sclé

des Offices, à Florence (n° 808) (PI. LX). - Un homme à demi-nu qui semble en pâmoison est couché sur le dos, la tête et l

r tient son instrument, la position de la main gauche dont le pouce semble tendre la peau de la région cubitale, peuvent ê

accident isolé. D'antres fois, il est hérédi- taire et familial. Il semble rlte'il puisse être aussi congénital. * . Que

e revêt parfois la forme hypcrlropllique. La dystrophie conjonctive semble affecter au contraire de préférence la forme hy

enflure a aujourd'hui tous les caractères du trophoelème; mais elle semble avoir débuté assez tardivement et avoir été précé

. Quelles sont donc les causes du trophoedème non congénital ? Il semble bien que les maladies infectieuses jouent un rôle

chronique frappe-t-il uniquement les membres infé- rieurs ? Telle semble être sa localisation préférée. Les observations n

on sur les membres supérieurs. Chez sa première malade, l'affection semble même croisée (bras droit et jambe gauche). Ch

nerfs tro- phiques peuvent être l'objet. Notre prétention dût-elle sembler exagérée, nous livrons quand même notre observa

s de convulsions, pas de vomissements, ni diarrhée. La situation ne semblait pas s'aggraver lorsque, le 10 de grand matin, l'o

eviformes. La piqûre des téguments donne du sang. Le système pileux semble un peu plus apparent sur le membre inférieur hype

s réflexes normaux ; le réflexe plantaire se fait en flexion. Il ne semble pas exister de sensibilité particulière au froid.

Ù1'uf¡ chercherons à prouver que, dans cette maladie, où l'atrophie semble ré- "' gner en maîtresse exclusive, l'hypertrop

tations, les trou- bles trophiques, dans la paralysie infantile, ne semblent pas résulter de lésions médullaires massives, c

omme celles-ci de perturbations spinales ou périphériques, qu'elles semblent enfin, comme celles-ci, dans leur localisation

s; elle trouvera une confirmation de sa réalité dans l'analogie que semble présenter la distrilmtion des rôles dans le domai

ne percevraient donc pas tous également les mêmes sensations ; ils semblent se partager les rôles d'avertisseurs sans exercer

d'abord le cantonnement de l'hypertrophie; ses limites à la cuisse semblent dictées d'une façon systématique. Son ar- rêt n

tive. Le mécanisme de l'enflure du bras trouverait son explication, semble-t -il, dans un trouble vaso-moteur qui rapprochera

que son bras gauche est aussi plus volumineux, mais, bien que la main semble un peu plus potelée, la mensuration n'indique p

efusée, m'a-t-elle dit, il une amputation par- tielle (1). (1) Il semblerait que l'hypertrophie des membres place les porteurs

ndant de lymphe, pendant plu- sieurs jours. Cette issue de sérosité semble arrêter le progrès du mal. 1. Cet enfant a une

al. Marie, habituée dès l'enfance, a pris son mal en patience. Elle semble ne pas s'en inquiéter. Elle travaille régulière

travaille régulièrement. Son caractère est doux et tranquille. Elle semble par- faitement heureuse. Les règles viennent sa

plus haut. Dans notre observation, les troubles trophiques observés semblent donc sous la dépendance d'un trouble « cum mate

jambes étaient tout d'abord aussi fortes l'une que l'autre, mais il semble bien qu'il y a eu là un manque d'atten- tion de

mais principalement au 510 ANDRÉ THOMAS membre inférieur, où elle semble trop grande pour la surface à recouvrir. Elle a

. Bien que la différence de volume des deux côtés du corps nous ait semblé moins appréciable qu'au premier examen, nous av

chez celles-ci le développement' s'est-il au contraire ralenti ? Il semble que c'est dans ce dernier sens que la question

ehors et la jambe droite un peu en dedans. , Les membres supérieurs semblent démesurés, et quoiqu'à demi immobilisés en demi

ion, de torsion du tronc sont impossi- bles ; la colonne vertébrale semble complètement ankylosée ; le soulèvement inspira

sées absolument dans la position que nous avons décrite. Les hanches semblent donc complètement soudées. Au contraire les g

de la jambe. Aussi, sur les photogra- phies, les membres supérieurs semblent de dimension exagérée et donnent au malade l'al

urtour de la surface articulaire de la trochlée et des condyles. Il semble que ces surfaces articulaires aient été aplaties

e d'un coin triangulaire. Les quatre premières vertèbres cervicales semblent normales ; mais la 5° et la 6° sont fortement a

rieure du fémur, la déformation est beaucoup plus grande et la tête semble écrasée et fortement déviée dans le sens de la pr

sur les dis- ques intervertébraux. L'extrémité osseuse articulaire semble au reste at- teinte par elle-même.indépendammen

ieur. ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 527 extrémités osseuses. C'est donc, semble-t -il, l'os qui est pris pour son pro- pre compte.

n ; le nom de SPON- GIOPATHIE SPONDYLOI;PIPHYSA1RE pourrait servir, semble-t -il, à dénommer cette forme morbide. NOTE SUR

Z- ^ - Il est curieux de retrouver ce détail deux fois de suite. Il semble pour- tant que' le'peuple des steppes devait êt

feuille de Vaillant (malouine, 1899). 534 HENRY MEIGE A. de Bosse semble y avoir fait le portrait véritable de l' « habile

pos des Pierres de tête (1), un certain nombre de do- cuments où il semble qu'il s'agisse de la saignée « des veines qui son

membres inférieurs, n'avait aucune tendance il disparaître, qu'elle semblait plutôt s'accentuer tous les jours, il s'est ren

troubles du côté des mem- bres inférieurs. Un seul phénomène nous semble devoir attirer l'attention : c'est qu'au- jourd

rogressive présentant les caractères que nous venons d'indiquer, il semble qu'un seul diagnostic s'impose, c'est celui de

(type Du- chenne-Aran) ; 2° la myopathie progressive primitive, il semblait que ces deux grandes formes qu'on opposait l'un

otre malade n'est ni héréditaire, ni familiale et cependant il nous semble difficile d'en faire autre chose qu'une myopa-

n douloureuse est conservée, les autres formes de la sensibilité ne semblent pas altérées mais l'agitation de l'enfant ne pe

ade éclose autour des radieux génies de Frans liais et de Rembrandt semble avoir voulu rivaliser de talent et de finesse p

us devons, pour le moins, huit peintures inspirées par un mal, qui, semble-t -il, faisait rage parmi les jeunes femmes de son t

vélait des aptitudes merveilleuses pour la peinture. Sa vie entière semble avoir été partagée entre deux soucis : festoyer e

x que Jan Steen a consacrés à célébrer les plaisirs de la table, il semble qu'il n'ait connu de la vie que les jouissan- c

lière et Jan Steen s'impose forcément : certaines peintures de l'un semblent les illustrations de certaines scènes de l'autre.

, comme aussi, les soubrettes délurées qui les accompagnent souvent semblent des Lisettes, des Tinettes ou des Nicoles. Ma

s yeux rougis, ces lèvres décolorées, cette grande langueur où elle semble être tombée, tout cela me donne à penser que le

a le coeur bien gros. Ne cherchons pas plus avant. Notre malade me semble atteinte de cette affection à la mode qui, pénétr

hollandaise, victime de l'épidémie de l'époque. Elle est assise et semble à bout de forces, pouvant à peine soutenir sa t

ent, ce luxe -n'est guère enviable, car la propriétaire de céans ne semble pas à même de l'apprécier. Le mal l'a brisée; tou

eilleusement bien. » Si, vraiment le cas est sérieux, ce docteur-la semble-t -il fait pour ins- pirer confiance ? ... Mais qu

accessible à la contagion ? L'histoire ne le dit point. La peinture semblerait le démontrer. Faut-il la croire ? Certes, le Ma

r plus loin, il importe de préciser la signification d'un terme qui semble dépaysé dans le langage médical. Qu'est-ce donc

es syndromes ner- veux dans des manifestations qui, de prime abord, semblent étrangères à la neuropa thologie. Si la relat

ater vous-mêmes que, si un eczéma vulgaire, un lichen, un psoriasis semblent bien souvent n'obéir à aucun ordre nerveux, tel

r les troubles des étages aadic2tlaires ou rhi- zomères, le jour me semble prochain où nous saurons localiser les troubles

le rôle de la métamérie spinale dans la scléroder- mie généralisée semble ne devoir pas être accepté sans discussion, je

ainsi du zona des membres qui.jusqu'à ces toutes dernières années, semblait de- voir conformer sa distribution il celle d'u

'avant-bras. Le pli du coude et l'interligne articulaire du poignet semblent lui avoir imposé des limites infranchissables.

dans les dermato- ses. Et ici cependant le trouble dystrophique ne semble pas jouer le rôle principal ou, du moins, le rô

ar mes collègues MM. Bar et Tissier (1). A première vue, l'éruption semble répartie sur des départements cuta- nés radicul

ctasie. L'aptitude créée par l'irrigation plus abondante du terrain semble donc indispensable. Mais les faits de ce genre

lus fria- bles. Cette mollesse toute spéciale de l'axe médullaire semble donc sous la dépendance directe de ses lésions

ans toutes les régions, de nombreuses fibres larges dont la myéline semble tuméfiée mais reste incolore par le picro-carmin.

2) Par les colorants nucléaires, la sclérose du faisceau pyramidal semble plus dense à droite qu'à gauche. La corne antér

à gauche qu'à droite. H. BULBE ET protubérance. Les lésions ne semblent pas dépasser la moelle. Au-dessus de l'entre- c

llules nerveuses se colorent bien, ne paraissent pas altérées et ne semblent faire défaut nulle part. Les méninges sont cepe

superficielles et moyennes des circonvolutions. Les fibres moyennes semblent plus ou moins altérées dans les différents poin

le. C'est du reste dans cette région que les altérations cérébrales semblent avoir atteint le maximum de leur développement,

u moins nombreuses, à gauche qu'à droite, mais celles que l'on voit semblent normales. 7) Le chevelu de la substance grise e

et concorde avec là dégénéres- cence des faisceaux cérébelleux qui semble également plus jeune et nota- blement moins acc

- cussion. Les altérations de la moelle que nous avons constatées semblent donc bien relever avant tout d'un ancien foyer

pare ayant été réduit dans son épaisseur. L'angulaire de l'omoplate semble un peu amaigri. La colonne charnue des muscles

a configuration. Cependant la masse externe (muscles épicondyliens) semble plus frappée que l'interne (muscles épitrochlée

bital antérieur et la portion interne du fléchisseur commun profond semblent à peu près intacts. Les muscles de la région po

z faciles à trouver. Le corps de l'humérus est tellement ténu qu'il semble qu'on va l'écra- ser en le serrant entre les do

usqu'à l'union des 2/3 supérieurs avec le 1/3 inférieur; là l'humérus semble soufflé en arrière, décrit un ventre postérieur

Examen DE la sensibilité. La sensation tactile est conservée et ne semble pas exagérée sauf au chatouil- lement, dans la

guments ; pas d'anesthésie). Mais les nerfs sont douloureux, ce qui semble indiquer un processus périphérique et cela dans

ort il l'articulation, aux muscles et aux tendons périarticulaires, semblent devoir échapper au traumatisme. Cependant MM. P

n considération les re- cherches de MM. P. Duval et G. Guillain, il semble qu'il faille incriminer en partie le procédé de

e des forces dans le bras droit qui n'a nullement été tra1l- matisé semblerait militer en faveur d'un processus irritatif non se

le siège plus ou moins élevé de la lésion systématique, qu'il doit sembler indispensable de les classer et de les orienter s

extrêmement délicate et difficile à préciser. C'est pourquoi il me semble juste et raisonnable de cherchera porter la sys

du tronc nerveux, l'atrophie est loin d'avoir cette allure ; et il semble que, dans ces cas, il s'agisse bien d'une atrophi

abord cha- cun de mes doigts, à mesure que mon attention s'y porte, semble s'animer et s'affirmer à moi objectivement; il

également uniforme. Et cela se conçoit si l'on réfléchit que ce qui semble différencier l'écorce en attributions fonctionnel

attributions fonctionnelles, ce qui fait que telle région cérébrale semble toute différente de telle autre, ce n'est pas s

nette, tandis que, pendant le retard du globe à se déplacer, l'oeil semble reculer par rapport au mouvement de la tète, et

n nystagmus dans le sens de la rotation, et par conséquent l'espace semble tourner en sens inverse de cette rotation, et se

nous entrons dans un tunnel, à la faible lueur de la lampe, il nous semble que la partie opposée du compartiment vient à n

i- tabilité qui caractérise les phases initiales de l'affection. Il semble que dès que le protoneurone est lésé, l'irritab

s dans cette maladie, mais qu'à part certaines conditions, ils n'en semblent pas moins être le plus souvent symptomatiques du

omoteurs que l'appareil labyrinthique revêt une symptomatologie qui semblerait em- pruntée au tabes, si elle n'appartenait pas

supérieure du conduit, dans la caisse et l'antre mastoïdien. Il me semble vraisemblable que le la- byrinthe fut lésé dans

s ; et comme ceux-ci sont extrêmement courts et rapides, l'illusion semble continue. Toujours mes expérimentations ont con

au- dition d'une certaine mélodie en tournant les yeux à droite. Il semblerait que le nystagmus permanent d'origine labyrinthi

Le diagnostic s'imposait, à mon avis, d'un tabes débutant, comme il semble logique, par la plus grosse des racines postéri

laires devraient tout natu- rellement revenir à l'état de repos, il semble évident que les mouvements et les attitudes abs

l10tricité cesse d'être directement réglée par la vue elle-même, me semblent donc symptomatiques d'une affection de l'appare

ille gauche était atteinte, que la malade tombait de ce côté, il me semble légitime de l'at- tribuera une irritation paral

ccoutrés se livrent avec fureur à la prestidigitation sanglante qui semble avoir joui d'une si grande vogue au XVIe siècle

ès curieux tableau dont nous avons eu récemment connaissance et qui semble avoir été inspiré par l'oeuvre de P. Bruegel le V

lient la pierre traitresse, toute rouge du sang de l'in- cision. 11 semble d'ailleurs fort satisfait de son opération, car i

iblement parallèle à la ligne médiane. Ajoutons que, de plus, il ne semble pas nettement détaché du thorax. Le méplat norm

violent, mais bien de fatigue, de sur- menage musculaire. Il nous semble nécessaire de souligner ici la profession rude et

uche se paralyse. Le rôle du surmenage du muscle grand dentelé nous semble hors de contestation (1). Quel est donc le rô

tie inférieure de son trajet. Mais l'action du froid humide ne nous semble pas prouvée. On invoquait jadis pareille action

e que soit leur cause apparente, est purement hypothétique. II nous semble cependant impossible de ne pas tenir compte de ce

i et de Remak. Telles sont les opinions en présence. La vérité nous semble entre les deux affirmations extrêmes de Duchenn

servations, que l'omoplate est élevée en totalité, mais le fait qui semble le plus fréquent et le plus manifeste, c'est l'

gle inférieur est porté en dedans (1). Le déplacement du scapulum semble donc presque constant pour ne pas dire constant

sur quatre cas de paralysie du grand den- telé, Dans un de ces cas, semble-t -il, l'élévation du bras au-dessus de (1) Il fau

lle présente aujourd'hui : telle est toute la symp- tomatologie. Il semble donc que dans la pathogénie de la sclérodermie,

ient d'atro- phie des membres du môme côté. Ces plaques blanchâtres semblaient être collées à l'os. État actuel, octobre 189

a partie postérieure du bras. L'enfant est revue le 9 juin 1898. 11 semble que l'extrémité des doigts est plus pâle et la

onner une autre étiquette à l'affection en question. La syphilis ne semble pas pouvoir être mise en cause; elle ne fait pas

aques. » Cette description qui a en vue la sclérodermie de l'adulte semble bien pouvoir s'appliquer au cas que, nous venons

ants de 2 à 3 se- maines. Dans les 5 cas de Neumann et de Cruse, il semble s'être agi de sclérodermie à forme circonscrite

s est amaigri, les muscles font une saillie très nette, mais ils ne semblent pas atteints. Le deltoïde, les pectoraux, les s

la surface articulaire des os du pied (astragale et scaphoïde) qui semblent être luxés. Membre supérieur gauche. L'examen d

érations notables du tissu conjonctif péricellulaire. La capsule ne semble point épaissie. Parmi les cellules, les unes se c

cellule. Les autres ne remplissent pas la capsule dont les cellules semblent aug- mentées de volume ; elles se colorent mal

ter de gra- nulations soit pigmentaires, soit d'autre nature. Elles semblent atrophiées ou en voie d'atrophie. Nkhks. Les

résentent un épaississement très marqué des gaines lamelleuses ; il semble y avoir peu d'altération des fibres. Muscles ju

s acces- sible, à chaque instant le clinicien observe des faits qui semblent les in- firmer et qui déroutent. L'observatio

ades et des sirops dépuratifs fournis par son phar- macien, mais ne semble avoir été soumise à aucun traitement spécifique

temps là, « pâles couleurs », « maladie virginale » ou « chlorose » semblaient intimement liées aux troubles de l'appareil gén

ante pâleur des personnages qui les entourent. Le maître hollandais semble même avoir cherché à accentuer le contraste par l

leur extrême pâleur, ne sont jamais amaigries. Au contraire, elles semblent toutes grassouillettes à souhait. t. 1 Est-ce

s parle encore de la mélancolie et d cette invincible lassitude qui semble paralyser les victimes du mal d'aimer. N'est-ce p

s aurons aussi à passer en revue toute une série de pâ- moisons qui semblent bien se rattacher aux funestes conséquences du ma

n'arrive à vaincre, et tant d'autres indices où les maux de l';ime semblent à ceux du corps intimement mêlés en fallait-il

n, d'une part, Samuel von IIoo7straten et Gérard Dow, d'autre part, semblent avoir été les premiers illustrateurs du mal d'amo

r : le dossier d'une chaise, soutenant sa tète avec sa main droite, semble plongée dans un douloureux anéantissement. . Se

pitoyable fléau. Au contraire, ce sont là causes provocatrices, qui semblent exposer plus grièvement aux blessures du mal d'

is ce ne sont encore que des vapeurs. Le médecin ici présent n'en semble nullement alarmé. Solide gail- lard au pourpoin

ri de merveilleuse manière ! ... » - Plaisanterie dont la malade ne semble guère réconfortée, mais qui fait 'sourire un je

nts, et qui, par le geste de la main gauche placée sur sa poitrine, semble indi- qner le siège du mal ». Voilà qui resse

ne servante qui porte un plat de cuivre, et un homme coiffé de noir semblent au comble de la joie. Et c'est encore en souriant

laisanter grassement. Seul, un petit épagneul, assis auprès du lit, semble concevoir quelque inquiétude de l'intervention

titz, quel censeur maladroit songerait à s'en formaliser ? ... Il semble que Jan Steen ait voulu enseigner la morale à la

tée d'un abdomen suffisamment rebondi. Et c'est justement là ce qui semble mettre en gaîté l'assistance. Le mal pour leque

us sévère. La note humoristique disparaît complètement : la maladie semble plus grave. A la tristesse de la patiente, aucu

s et réservées. Jamais de curieux pendant les consultations. , Il semble qu'on soit transporté dans un monde de moeurs plu

ières battues témoignent d'un réel malaise. L'oeil humide et triste semble poursuivre au loin la vision d'un rêve que la v

elots ! Pas un grain de poussière ne lui échappe, nul détail ne lui semble super- flu. De là une facture d'un fini déconce

jeune malade, jeune médecin. Celui-ci est des plus novices; il n'en semble pas moins digne de la grave mission qui lui est

ture sous la direction de Terburg. Son tableau du musée de Dresde semble être une copie de celui de Gé- rard Dow. Il por

u de Mme K... est très éprouvé et le sourcil dans son tiers externe semble fauché. Les dents sont cariées. Les gencives so

st la lisière frontale du cuir chevelu qui s'éclaircit, et le front semble grandir. D'autres fois, les cheveux commencent

e traduit tout de suite par le nasonnement. Les régions supérieures semblent s'engorger d'abord. Les malades se plaignent beau

éphalalgie hypotltyroïdienne revêt surtout deux formes. Tantôt elle semble partir des sinus frontaux, s'étend au-dessus de

ils devraient être librement descendus. D'autres fois, les organes semblent bien développés, mais le pénis est long, pendant,

sont plus intelligents, mais oublieux, légers. La mémoire sur- tout semble leur faire défaut. Certains enfants, déjà grandel

Les symptômes que nous venons de décrire ne valent que par leur en- semble . Isolément, ils ne signifient rien. Intentionnell

souvent, amène parfois une amélioration notable, et la longévité ne semble pas inquiétée par l'hypo- thyroïdie. TRAITEME

int de l'estomac. Les digestions sont lentes et difficiles; son corps semble gonfler démesurément après les repas. Les règle

s solides garnissent les culs- de-sac latéraux. La cavité pelvienne semble comme bourrée par tous ces orga- nes distendus

co- pieusement dormi. La constipation est des plus opiniâtres. lui semble qu'elle n'irait jamais à selle, si elle ne pren

s du- rent longtemps et sont profuses. Le ventre est douloureux. Il semble à la ma- lade que quelque chose descend. A cert

n. Il est gonné, dou- loureux, comme affalé au fond du bassin qu'il semble remplir dans tous ses diamètres. Les ligaments

point de vue clinique, les symp- tômes signalés chez les malades ne semblent pas devoir être rapportés à l'atrophie Charcot-

vraiment trop grandes avec ceux de la description classique. Il nous semble que l'on ne saurait se montrer trop circonspect

e cas de Marinesco, les racines postérieures étaient très altérées, semble-t -il, dans toute la hauteur de la moelle ; il n'e

des observations qui s'écartent trop du type pri- mitif. Aussi nous semble-t -il utile, avant de terminer ces considérations,

ception. Les uns ou les autres peuvent intéresser séparément ou en- semble les diverses manières d'être de la sensibilité de

le toucher. Quant on consulte la plupart des traités classiques il semble qu'il n'y ait plus rien à dire sur la nature, l

malade s'aperçut qu'elle sentait mal le sol sous ses pieds, il lui semblait marcher sur des coussins de plumes ; bientôt el

main droite posée sur la hanche, de la gauche il saisit l'urinai et semble s'abstraire dans la contemplation de son miroit

sourire égayé sa face ridée. La perspicacité de l'homme de l'art ne semble pas lui inspirer grande confiance et nous compr

égance qui plaisait tant à Metzu. Tout y est séduisant ; et médecin semblent rivaliser de jeunesse et de grâce. Un docteur n

eur d'un mal dont il pourrait être aussi le remède ? Vraiment, il semble s'occuper beaucoup plus de l'effet produit par

bien pu en dire autant. Cependant, dans le tableau de Vienne, il ne semble pas que le docteur ait été lui-môme la cause du

Schalken au contraire, imitant en cela Jan Steen etBrac- kenburgh, semble avoir voulu représenter le mal qui résulte de l'a

evoir toute la vérité. Cette vérité qui fait pleurer la coupable ne semble pas non plus très agréable à un troisième perso

e groupement que nous en avons fait est suffisamment justifié, nous semble-t -il, par les descriptions et les interprétations q

es peintures, celles de Brackenburgh et de Schalken en particulier, semblent inspirées différemment. Satiriques et quelque peu

ou de l'autre. Dans l'esprit des peintres, cette différenciation ne semble pas avoir été toujours très nette ; d'où la néc

ls nous pré- sentent, tous les deux, un spasme ou plutôt un tic qui semble bien être d'origine psychique et qui siège sur

t a conservé, sans réagir, cette préoccupation et cette crainte. Il semble bien vraisemblable de rattacher, à celte préoccup

ambe saine, dont la température ne se modifie pas, dont les artères semblent normales est, en réalité, raidie par des spasmes

étude actuelle. Il montre seulement la nature du tic précédent qui semble bien avoir été un phénomène du même genre, chez

s flasques. Les omoplates sont saillantes, les muscles sous-épineux semblent surtout atrophiés. L'atrophie est à peu près

PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 363 Les muscles de l'omoplate semblent assez conservés. Cependant les fosses sous-épin

l'état d'une corde, le droit étant plus atrophié que le gauche. Il semble qu'il existe un peu de rétraction du biceps dro

ntelligence nette, pas de troubles de la mémoire. L'acuité visuelle semble un peu diminuée, pupilles égales, réagissant bien

esque complète du grand dorsal ; à ce niveau on soulève la peau qui semble reposer directement sur le système osseux; atroph

s faisant saillie ; deltoïde très réduit de volume ; ces mus- - des semblent surtout atrophiés quand le sujet est vu de dos ;

sur son lit tout seul sans aide. La motilité des membres inférieurs semble intacte. Impossibilité d'élever le bras à l'hor

Atrophie considérable du deltoïde et des muscles du bras. Le biceps semble assez bien conservé, mais le malade ne peut résis

diens. Le grand dorsal et les muscles de la gouttière vertébrale ne semblent pas atrophiés. Pas de troubles trophiques de

second métacarpien, il existe une dépression considérable, où il ne semble rester aucune fibre musculaire. Atro- phie nota

hysaires) ont sur la genèse de ces manifestations psychiques, il nous semble que l'importance étiologique des tares hérédita

e paraît se rendre nul compte des difformités dont il est atteint, et semble très étonné quand on lui en parle ; son humeur,

s pas tirer de ces faits des conclusions prématurées ; mais il nous semble légitime de les constater dans une formule géné-

inture constrictives ; elle était comme serrée dans un étau, il lui semblait être coupée en deux; elle eut en même temps des t

Consultations empiriques, la consultante est une femme âgée. Il ne semble alors guère possible de mettre en cause le mal

endable; le désespoir d'un petit garçon qui i assiste à cette scène semblerait en confirmer l'exactitude. Au demeurant, la pei

physiologique grossesse, les lypothymies et pertes de connaissance sembleraient non' moins expli- cables. Ne sont-elles pas au

'un très grand intérêt et d'une haute valeur artistique. Mais il ne semble pas qu'à cet égard, il ait partagé le goût de G

de Ve- nise, quel qu'en soit l'auteur, devait être signalé ici. Il semble bien ap- partenir ci la série des pâmoisons que

emplâtre de taffetas noir sur la tempe gauche. Les yeux clos, elle semble avoir perdu connaissance ; son bras pend, inerte,

le pays du néant. La jeune personne qui, dans le fond de la pièce, semble si profondé- ment affligée, pourra bientôt séch

fourrure, trop de caresses sur les chairs, dans celle peinture qui semble faite à la loupe avec une patience évidemment d

main sur l'épaule de sa cliente. Personne ne s'occupe de lui, et il semble manquer d'assurance. Peut-être redoute-t-il qu'

e les sens à cette opulente jeune femme ? Plus qu'aucune autre elle semble faite pour contracter le joli mal qui s'abattait

urbe, mais quelquefois elles ne s'étendaient pas jus- que-là. Il ne semble donc pas que ce lobule puisse être considéré comm

raphasique « c'est un que j'ai cossu, que j'ai connu ». Mais il m'a semblé que ceci ait été tout fortuit, car, quand plus ta

nous l'avons remarqué, cette lésion est presque schématique. Il ne semble pas qu'on doive tenir particulièrement compte de

noncé certains mots (chaise, pain...), mais c'est presque un hasard semble-t -il. En général elle prononce une syllabe quelco

lt; sa phlébite ».... Interrogée sur cette phlébite à laquelle elle semblait n'attacher qu'une minime importance, « C'est, r

arquer la mère, que celle-ci ne grossira pas à son tour, car ce mal semble être un héritage ancestral auquel il semble diffi

à son tour, car ce mal semble être un héritage ancestral auquel il semble diffi- cile d'échapper (Pl. XXXII). Et à l'ap

nt, ont été l'un et l'autre porteurs de « grosses jambes » qui res- semblaient à celles des enfants. L'un de ces oncles, mort

om soit de- venu d'usage courant dans la famille de nos malades, il semble bien super- flu de s'y arrêter. La phlegmatia

- bliera pas que celui-ci s'applique encore à des affections qui ne semblent nullement d'origine parasitaire, et que l'on s'

que toute autre toxine peut également réaliser. Ces observations semblent bien appartenir au groupe des oedèmes infec- ti

s avec l'urticaire chroni- que. L'origine nerveuse de ces accidents semble indiscutable, et l'hystérie peut souvent être i

ent n'est qu'à une des jambes ». La description de l'auteur anglais semblait donc s'appliquer à merveille. La superposition

roite du corps. A la vérité, les exemples d'oedème blanc hystérique semblent plus rares que ne le laisse entendre Sydenham e

téressante observation de M. A. Vigoureux publiée dans ce fascicule semble absolument comparable. Mais dans ces deux cas e

pas impossible qu'elle ait existé, mais l'attention des auteurs ne semble pas s'être arrêtée sur ce point. La première fo

er, le cas mémorable de Milroy et nos propres observations, il nous semble qu'il est permis de croire, d'ores et déjà, à l'e

indolore, qui envahit un ou plusieurs segments du corps, et qui ne semble imputable à aucune des affections connues comme p

RE 475 mes névropathiques aigus et les chroniques. Le cas de Follet semble démontrer que la forme chronique peut apparaîtr

ajouter de façon à réaliser tout le tableau de l'éléphantiasis. Tel semble avoir été le cas d'un des oncles de nos jeunes ma

nc- à quelques brèves remarques. Le terme même de f ? 'o ? oe<me semble indiquer que la manifestation (1) Le terme de l

ent parmi les antécédents morbides. Quanta t'arthritisme, Mathieu semble avoir bien défini son rôle dans la production d

DITAIRE 479 au moment de la puberté. Dans la majorité des cas, elle semble avoir dé- buté entre 13 et 23 ans, c'est-à-dire

manqueraient pas, La série des anomalies de l'évolution corporelle semble infinie, et l'on peut admettre que le système v

s, d'autres tout en tronc, on en voit chez qui la charpente osseuse semble absorber à son profit toute la nutrition ; chez

ppement conjonctif. Dystrophie musculaire et dystrophie conjonctive semblent régies par des causes similaires. L'époque d'ap

compte de la distribution nerveuse périphérique : souvent même elle semble obéir, elle aussi, aux commandements d'un métam

noncer à classifier les types; mais les variantes du tropboedème ne semblent moins nombreuses qu'en raison du petit nombre d

orteils est envahie d'un oedème blanc, dure et indolore. Le membre semble noyé dans une sorte de gangue oedémateuse dont

traînent après quelques hésitations dans la po- sition vicieuse. Il semble que la volonté, assez forte pour ramener la tête,

t de près la grivoiserie, mais avec tant de bonhommie joyeuse qu'il semble avoir pris à tâche de traduire en peinture les en

propos,, d'entrain et d'esprit. . Le Vieillard Malade de Jean Steen semble au premier abord comme une illustration du Mala

rt », va faire « dans les entrailles un effet merveilleux ». Argan, semble-t -il, s'apprête à l'absorber, religieusement. Prè

qu'en effet, si dans le tableau deSteen le décor et les personnages semblent empruntés à la troupe de Molière, la donnée de ce

r celles de sa femme comme sur celles de ses mé- decins, sa naïveté semble sans limites. Mais il est « honnête homme », do

ités d'Heberden, surtout mar- quées au niveau de l'index ; et il ne semble pas qu'il y ait là une simple coexistence : la

frappe, à première vue, par son aspect grotesque. Vue de face, elle semble formée de deux moitiés bien distinctes apparten

ue de tous les os fournit les renseignements suivants : La- tête ne semble pas touchée par le processus d'hypertrophie et de

ygomatiques, etc.) sont épargnés. Les dents du maxillaire inférieur semblent , il est vrai, s'avancer un peu plus en avant qu

ation latérale de la colonne vertébrale. Les apophyses épineuses ne semblent pas hyperostosées, mais elles doivent être soudée

e dorsale. Ni les omo- plates, ni les clavicules, ni le sternum, ne semblent lésés par le processus morbide. II n'y a pas

son point maximum, a, elle, plus de 4 centimètres d'épais- seur, et semble moins effilée que l'autre en avant et en arrière

res ; le pourtour du bassin de 86 centimètres. Une crête iliaque ne semble pas déjetée plus que l'autre par rapport à la l

coxal : si l'on prend comme point de comparai- son l'os gauche, qui semble sain, l'os iliaque du côté droit apparaît plus de

iscères, rien d'important : les poumons, le foie, la rate,les reins semblent sains. Au coeur existe un souffle systolique a la

que a la pointe, qui est cons- tant, se propage vers l'aisselle, et semble symptomatique d'une insuffisance mitrale (La ma

, 31 mars 1903 ; Bulletin médical, 190 ? Il' 26, p. 301. - (3) Il semble pourtant démontré, grâce aux recherches permises

e Paget, il existe pourtant certaines observations où ce traitement semble avoir eu un tel résultat qu'on ne peut lui dénier

de sels calcaires. « Les lésions osseuses de la maladie de Paget semblent être, selon lui, des lésions secondaires, consé

calcaire des artères nourricières des os. » Or l'artério-sclérose semble un fait extrêmement fréquent chez les pa- gétiq

ui de L. Lévi (2) étaient artério-scléreux. Le malade de Guinon (3) semble seul faire exception : Hudelo et Heitz observen

ère de l'os voisin... Les lésions osseuses de la mala- die de Paget semblent être des lésions secondaires, consécutives à l'ai

étiques : ils rapportent dans leur mémoire trois cas personnels qui semblent ressortir de cette pa- Ihogénie, et, parmi les

ment pour la théorie athéromateuse de t'osteitis deformans, il nous semble pourtant que cette théorie est insuffisante, el

ra- phique, la silhouette de l'os se trouve modifiée et un os trapu semble grêle (Comparer PI. V, C et C'). L'aspect que

ante du côté de la concavité (Pl. V, A). En résumé on peut, ce nous semble , Irouver dans certains aspects tout à fait typi

apparence intermé- diaires où les déformations cliniques des os ne semblent pas très dissem- blables. L'aspect ouaté de la

spontanées au cours du tabes. Les fractures de la rotule cependant semblent , si l'on s'en rapporte à la littérature, être d'u

alcoolique. L'affection, pour laquelle la malade vient à l'hôpital, semble avoir débuté il y a cinq ou six ans par des cri

inférieurs. Tendance au pied varus à droite : le pied droit de plus semble un peu raccourci. Pas d'incordination motrice d

irer la langue, dont la pointe est légèrement déviée à droite. Elle semble un peu atrophiée. 28 octobre. La malade a de la

us rarement rugueux. La tumeur suit les mouvements inspiratoires et semble se contracter pen- dant l'inspiration et se dil

ace peu impor- tant de la crête iliaque. - Les membres supérieurs semblent trop longs par rapport au tronc ce qui tient au

t aux déformations du thorax et de la colonne vertébrale. Le bassin semble plus évasé que d'habitude. . Le tissu cellula

ané est en général peu développé. Les organes thoraco-abdominaux ne semblent pas présenter de troubles importants. La mala

e in- gestion insuffisante de ces sels. Cette interprétation nous semble d'accord avec les faits connus et cités plus ha

er aussi à une nfluence des ovaires bien que cette dernière ne nous semble pas encore prouvée, et nous dirons ici que chez

également à cette époque. Il s'agit du genu valgum. Or il ne nous semble pas douteux que ce trouble présente également d

ien fré- quente dans le gigantisme ? `' / Celle môme hypertrophie semble se rencontrer aussi assez souvent t dans l'osté

par une entaille anormale, de telle façon que la région occipitale semble enfoncée dans région cervicale postérieure comme

e de certains oiseaux de basse cour.Notre malade regardée de profil semble promener sa tête sur un véritable cou de pou- l

s sa classification nouvelle nous a paru obscure et ne nous a point semblé englober tous * Les numéros d'ordre placés à la

et la mieux connue de ces affections. C'est elle qui, la première, semble avoir attiré l'attention des médecins ; un aute

yslcinésies professionnelles a élé proposé parJaccoud (80). Il nous semble répondre mieux à l'ensemble des troubles observés

indjy (228) propose de donner à ces diverses impotences, il ne nous semble pas devoir être généralisé à toutes les formes

ons du cervelet qui, d'après certaines expériences, physiologiques, semblerait avoir pour rôle de coordonner les mouve- ments

ément psychique dans la production des crampes professionnelles, il semble bien qu'on puisse classer toutes ces affections

e de névroses coordinatrices d'occupation proposé par Benedtkt nous semble , comme nous l'avons dit, être celui qui con- vi

obligé d'élever le bras ; or, au bout de quelques secondes, il lui semblait que sa main devenait lourde, que les doigts s'e

i ont amené chaque fois des crises angineuses. Cependant dans l'en- semble son état est resté fort satisfaisant. Il peut écr

sternales augmentent d'intensité. Voici donc un exemple, qui nous semble probant, de crampe des écrivains sous la dépend

ONNELLES 79 crampe des pianistes, dont l'origine vasculaire ne nous semble non plus- faire aucun doute. Elle a élé publiée

une véritable « anarchie fonctionnelle » ; et ces désordres moteurs semblent être le résultat « d'aboulies ou amnésies motri

lément médico-artistique. L'un deux cependant, et non des moindres, semble avoir été négligé. Il n'est guère question des

u'à l'époque où leurs prétendus stigmates et leurs propos délirants semblaient ne pouvoir être rattachés qu'à la seule hystéri

uelques années, le doute m'eût paru impossible ; aujourd'hui, il me semble inévitable. Ainsi, l'on a été conduit, par la f

ées, rentrent les oeuvres d'art anciennes, qui, par leur étrangeté, semblent témoigner du déséquilibre mental de leur auteur

s suffisent-elles pour expliquer le fait ? La question de dose nous semble particulièrement importante, aussi avons-nous r

loniques. Ceci vient singulièrement étayer notre manière de voir et semble bien montrer que ces hémorragies sont insuffisant

seulement avoir fait dans la nuit fatale un rêve af- freux : il lui semblait qu'elle était entourée d'un grand feu, et puis el

n certain intervalle pendant lequel l'état comateux aurait duré. Il semble aussi avoir existé un état aphasique (aphasie m

ue les spasmes sont rarement bilatéraux. Mais d'autre part, il ne semble pas qu'il intervienne ici un facteur men- tal q

contraction contradictoire du peaucier et des lèvres (Ph. n° 3), Il semble donc légitime de cataloguer spasme ce qui à un ex

ne comprend, en effet, que les travaux parus après 1905 ; il nous a semblé inutile de faire différemment car l'excellent m

s grande, mais aussi parce que le nain que nous allons décrire nous semble présenter quelques particularités somatiques nouv

omie pathologique et à la pathogénie de cette affection, qu'il nous semble tout à fait superflu de traiter à nouveau ces p

lques points relatifs à la pathogénie de l'achondroplasie, qui nous semblent mériter une certaine critique. Plusieurs auteur

rie que les auteurs mêmes considèrent comme hypo- thétique, ne nous semble aujourd'hui encore fondée sur aucun argument 13

ondée sur aucun argument 134 ETTORE LEVI vraiment positif et nous semble , au contraire, heurter contre nos actuelles con

ion que nous venons de donner de notre nain est suffisante, il nous semble , à affirmer le diagnostic d'achondroplasie telle

nous bornerons à toucher quelques points dont la discussion ne nous semble pas inutile. Le caractère héréditaire de l'acho

l soit légitime d'accepter aujourd'hui ces conclusions ; il ne nous semble pas que l'identité absolue entre les achon- dro

sme, de l'alcool, etc. ' ' Chez notre nain, aucune de ces causes ne semble pouvoir être invoquée, et nous pouvons particul

ine variable du car- tilage d'accroissement. Cette hypothèse nous semble aujourd'hui encore la plus probable quoi- que l

, de certaine ma- nière, l'opposé de celui des géants, cela ne nous semble pas cependant un argument suffisant pour accept

rnier argument qui a été invoqué aussi par MM. Porak etDurante nous semble constituer la plus forte objection contre la genè

ns le sens opposé, dans l'infantilisme. L'hypothèse susdite ne nous semble donc, actuellement, non seulement aucunement pr

onc, actuellement, non seulement aucunement prouvée, mais elle nous semble aussi se heurter contre les seuls faits positif

emment décrit par Schrumpf, tout en étant très intéressant, ne nous semble pas rentrer dans le cadre morbide de l'achondro

e Schrumpf et sur- tout les données de l'examen radiographique nous semblent parler en fa- veur de l'hypothèse d'une forme n

dans lequel ils les tiennent, soit de façou plus explicite encore, semblent supposer ou croire que la fonction intellectuelle

illeur débouché a leurs talents souvent fort remarquables. Ils res- sembleraient complètement à la personne intelligente signalée

s la puissance et l'étendue de la pensée, on a la claire vision, me semble-t -il, que l'interprétation des phénomènes naturels

montré une telle perspicacité, une pénétration si grande qu'il m'a semblé , à tort ou à raison, que quelques-unes de leurs

sychologie et n'a pas eu d'utilité réelle. L'expérimentation est et semble devoir rester, dans l'espèce, fort difficile et

yant toutefois jamais recours qu'aux méthodes scientifiques. Il m'a semblé que le raisonnement basé non plus exclusivement s

égale à celle que ceux-ci possèdent vis-à-vis des animaux, ne vous semblerait -il pas puéril de voir des êtres qui sont seulemen

dans les conditions où cette sécrétion se produit naturellement. Il semble bien que les manifestations intellectuelles ne

lents mécaniques des idées ou des sensations. Ajoutons encore qu'il semble , lui aussi, être la conséquence d'un fonctionne-

nsations constituent des équivalents mécaniques des choses et qu'il semble que les idées ne soient que des équivalents organ

es bien loin d'avoir pénétré toutes les voies de la nature, mais il semble déjà qu'il ne doit pas être plus difficile au c

xpérience, des effets respectivement agréables et douloureux, il me semble qu'il est possible de comprendre que celui-ci cho

nelles ne s'accompagnent d'aucun trouble anatomique appréciable, et semblent relever uniquement d'une cause centrale, cé- ré

rapporte un cas vraiment curieux où la crampe des télégra- phistes semblait manifestement sous la dépendance d'un brightisme

crampe des écrivains, rentrait dans cette catégorie. La morphine semble agir au même titre que le plomb et l'alcool, po

e atrophie mus- culaire du bras droit ; tous les muscles et tendons semblent normaux ; il n'existe ni troubles vaso-moteurs,

est intelligent ; les idées sont vives et bien enchaînées ; mais il semble persister une légère excitation éthylique. Le s

it, après avoir écrit un ou plusieurs mots, la main et l'avant-bras semblaient cloués au bureau ; un certain temps de-repos pe

cas de la névrite sur le territoire du médian, et la crampe réflexe semblait alors être provoquée par une irritation périphéri

s de tennis (Cado) ; des bûcherons (Oppenheim). La dernière en date semble être la crampe des automobilistes : le Dr Sicar

R ETTORE LEVI Voici un document iconographique inédit et qui nous semble intéres- sant, concernant l'achondroplasie (PI.

rès différent, à tel point que l'extrémité supérieure du tibia res- semble à l'épiphyse inférieure du fémur et que sans la p

t en arrière une saillie plus considérable que pour l'os normal; il semble s'être laissé infléchir en arrière et en bas so

t à leur partie moyenne l'as- pect de tubes creux. Les épiphyses ne semblent pas beaucoup modifiées ; - pour les phalanges,

ube transparent de verre mince. Les épiphyses encore plus claires semblent formées d'un tissu homo- gène ou clairsemé, où

bles que la maladie a débuté chez des sujets plus jeunes ; ainsi il semble qu'il y ait non seulement myo- pathie ; mais au

t en arrière, latérale- ment. De haut en bas et en avant le tronc semble plonger en forme de cône vers le ventre qu'il r

anches et le tronc est plissé et effacé ; exa- miné latéralement il semble avoir disparu. En arrière. Aplatissement costal

rophie des intercostaux ; le pectoral gauche est atrophié, le droit semble présenter au contraire une légère hypertrophie,

toutes les tentatives de flexion qui dépasserait l'angle droit. Il semble même qu'elle joue un rôle dans la limita- tion

e si elle recouvrait les muscles d'une épaisseur très mo- dérée. Il semble qu'il y ait aussi sous le rideau musculaire une e

s'est pas produit en somme, de grands changements, le développement semble s'être fait normalement. La paralysie des muscl

ralysie des muscles de la face n'est pas encore bien accusée ; elle semble plus nette au niveau du frontal, de l'orbiculaire

cultés à mâcher ses aliments, à cause de la mâchoire inférieure qui semblait s'être déplacée en avant. Malgré toutes ces alt

la tète qui se présente sous une forme plutôt oxycéphalique et qui semble avoir pris un développement excessif aux dépens

hypertrophiée est assez proéminente. Le cou est affaissé et la tête semble rentrer dans les épaules et incliner en avant.

TTI (PI. XXXII). On est frappé alors par le tassement du thorax qui semble abso- lument enfoncé dans le bassin. Le dos est

e chez les singes. Toutes les altérations de la charpente osseuse semblent nettement plus ac- centuées du côté gauche. La

sont bien plus évidentes que celle du péroné. En effet ce dernier ne semble presque pas atteint, aucune déviation n'étant v

p et actuellement elle est à peu près éteinte. La glande thyroïde semble être un peu atrophiée. Le tissu sous-cutané est

te dystrophie osseuse, qui a débuté il y a plus de 15 ans et qui ne semble pas en train de vouloir s'arrêter, la vie malhe

la dépendance du système nerveux. Cette théorie tro- pho-névrotique semble devoir gagner du terrain de plus en plus, après l

nt. Pas de trouble de l'équilibre ; la marche est lente ; la malade semble lever difficilement ses pieds; on ne constate c

r et non dépressible, l'oedème de notre sujet est géla- tineux ; il semble que la peau très hypertrophiée repose sur un tiss

on, quand j'avais constaté les mêmes signes de psychalgie. Or, il semble évident que l'opération, qui a pu pour un an fair

SIONNELLES 297 En résumé, les applications locales de l'électricité semblent surtout réussir dans les cas où il existe une a

tation, par sa spécialisation pour les nerveux algiques et excités, semble particulièrement indiquée, de façon générale, pou

minuèrent et virent une partie de leurs symptômes disparaître. Il semble donc bien que l'on trouve dans l'hydrothérapie, e

s qui dans bien des cas amènera une guérison durable. Le traitement semble pouvoir se résumer en ces cinq proposi- tions :

le territoire musculaire correspondant. Peut-être le cervelet, qui semble préposé à la coordination des mouvements, serai

x, ne sera indiqué qu'aux cas exceptionnels où une maladie générale semblerait être à l'origine de la dyskinésie fonctionnelle

u bout central vers le bout périphé- rique est manifeste, mais elle semble lente et indécise. Nous avons vu, d'autre part,

ger du neurone. La disposition segmentaire des lésions oblige, nous semble-t -il, à admettre dans ce cas une lésion primitive j

ne lé- sion, des parties saines, là où plus haut la démyélinisation semblait com- plète. L'étude des gaines et, surtout des

de vue du diagnostic de syphilis, qu'elle suffirait à légitimer, ne semble pas apporter d'obstacle au cours du sang, qui r

es coupes, ce qui nous impose forcément certaines réserves, il nous semble que ces altérations vasculaires ne sont pas en

'une origine vasculaire. Dans les foyers né- crotiques, et surtout, semble-t -il, à l'union des parties saines et des par- ti

u voisinage de la méningite suppurée qui existait dans ce cas, tout semblait indiquer que l'altération profonde du tissu ner

nt pour expliquer à lui seul les lésions du tissu nerveux, une part semble bien revenir à l'action des toxines de la syphi

u après le début de la maladie. Dans ces derniers cas, en effet, il semble qu'on trouve en général les cornes antérieures pl

(laen) d'Upsala, qui n'a pas plus de 125.000 habitants environ, il semble qu'on doive accepter l'idée d'une petite épidém

il existe des épidémies de poliomyélite aiguë, où des symptômes qui semblent se rapporter à une méningite aiguë se sont prés

n France, au con- traire, autant que nous pouvons en juger, il nous semble qu'on n'a pas, en général, pris soin de faire d

céphalo-rachidien n'ont que peu d'impor- tance. A première vue cela semble paradoxal, mais l'explication en est fournie pa

membres (un, deux ou plusieurs) au début de la maladie ; il nous a semblé que c'est ainsi que nous pouvons le plus facileme

en cet endroit est beaucoup moindre à droite qu'à gauche et il nous semble que c'est à droite plutôt la partie médiane du mu

ut cas le dernier stade de ce mouvement cause un peu de douleur. Il semble marquer toujours de la douleur si l'on presse s

es réflexes abdominaux n'existent pas. Les mouvements respiratoires semblent maintenant ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE

grands obliques de petites traces de contraction qui cependant nous semblent certaines. Aux autres parties des muscles abdom

ant le médecin a constaté une parésie des membres inférieurs. Il ne semble pas qu'elle ait eu ni mal de tète, ni raideur de

es bulbaires (il y a toutefois dyspnée). Le pronostic de la maladie semble être très incertain. Le 25 août une ponction lo

ie ; aussi lui est-il presque impossible de tousser. En effet, il semble que la respiration ait empiré pendant la pneumoni

tie supérieure du tronc tombe en avant et il ne peut la relever. Il semble aussi y avoir une atrophie de la masse commune de

grand nombre d'auteurs, surtout par des physiologistes, à ce qu'il semble , mais qui n'est peut-être pas très connue en Fran

complète, mais une paraplégie d'un pur type spasmodique. Il ne nous semble pas que cela soit bien en accord avec ce que nous

ès complète et qu'elle devient ensuite moins complète. Mais il nous semble incertain qu'on puisse accepter l'idée d'une lé

e de tous les symptômes. Mais le diagnostic d'une myélomalacie nous semble moins improbable que le diagnostic d'une hémato

aideur de la nuque) persister jusqu'à 3 ou 4 semaines. Les douleurs semblent un peu plus souvent persister longtemps ; nous av

n, IIarbitz et Scheel, Forssner et Sjüvall) (1). Par conséquent, il semble être plus légitime d'admettre une méningite et

IE.Nl3EI(-. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 H cales semble nécessaire ; néanmoins ce malade avait été traité

ndrons bientôt. Dans l'ensemble, le résultat de nos recherches nous semble parler en faveur de la méthode de Nageotte pour

ppée. Etat le 3 octobre. La conscience est conservée, mais l'enfant semble être apathique. Pas de raideur de la nuque, mai

l'enfant semble être apathique. Pas de raideur de la nuque, mais il semble qu'une pression exercée sur la colonne vertébra

'état gé- néral de l'enfant s'améliore considérablement et l'enfant semble être guérie, qnand elle est atteinte d'une diph

male. Quant au diagnostic de ces cas, une méningite séreuse ne nous semble pas douteuse pour les cas XXVII et XXIX. L'hist

poliomyélite, abstraction faite de la paralysie elle- même, il nous semble qu'il existe des différences assez remarquables.

ont en général les cas de poliomyélite) et, en conséquence, il nous semble im- probable qu'il s'agisse de cas de poliomyél

cas sur les 15 de clinique et 5 cas sur les 14 autres. Wickman me semble avoir approfondi la question de la paralysie des

des symptômes d'une parésie des muscles abdominaux. Ce résultat ne semble pas parler très nettement en faveur de l'idée d

ut de la maladie et (obs. XLVII) au bout de deux semaines ; mais il semble que, dans ce dernier cas, la paralysie ait disp

m rapporte un cas où la parésie était plus développée d'un côté. Il semble aussi que Sachs ait observé un cas de ce genre.

es différentes de paralysie des muscles abdominaux. Cependant il me semble qu'on n'a pas toujours prêté assez d'attention

core qu'un commencement de motilité des muscles abdominaux, il nous semble également qu'il existe une parésie intense des

lement assez longtemps pour qu'elle se manifeste. Le seul cas où il semble qu'il y ait lieu de craindre le développement d'u

ons de métamorphose fibreuse que nous avons observées. Mais il nous semble que le fait intéressant est d'avoir pu préciser

alade. Il assure que, depuis cette époque, il n'a plus grandi. Il semble bien, quoique les renseignements qu'il fournit ne

it que possible, on lui trouve une hauteur verticale de 1 m. 88. Il semble qu'une grande partie de cette haute taille soit

ses camarades et sou patron. Il est plutôt gai. Le corps thyroïde semble assez notablement atrophié à la palpation. L'an

veux soit en connexion trophique avec les téguments externes, et il semble bien que l'on ne doive admettre l'exis- tence d

ur des dermato-métamères se juxtaposent étroitement. Cependant nous semble que l'expression « pél'idermalo-mé- taméril¡ue»

'être étudiées dans un travail critique; si certaines d'entre elles semblent à l'abri de toute objection, d'autres au contra

as non radiculo-mélamérique mais bien névro-métamérique : le naevus semble en effet suivre à l'avant-bras, le trajet des b

sont très fréquemment, dans le plus grand nombre de cas nous a-t-il semblé , disposés selon une topographie radiculo-mé- ta

ne lointaine ressem- blance avec celles dites progressives. Il me semble donc certain que, dans le cas de notre malade l'a

présente sur la face dorsale des points de néoformation osseuse qui semblent s'être fondus en une masse unique, occupant dan

s faits similaires je me propose d'étudier dans la suite, car il me semble pouvoir entrevoir dès à présent comment un grou

nt avec lesfaits déjà connus. Le cas que je vais rapporter ici me semble mériter quelque considéra- tion ; il représente

la rougeole ; une soeur utérine mourut à 45 ans de cancer ovarieu, semble-t -il. Le malade n'a eu dans son enfance d'autre m

ctations acides. Il tolère, au contraire, les aliments liquides. Il semble qu'il n'a jamais eu de vomissements couleur mar

Sur l'abdomen n'existent pas de plis cutanés transverses. Le thorax semble rentré dans le ventre : la distance entre la di

stence de quelques petites exostoses. Les péronés sont droits et ne semblent pas lésés dans leur structure. Rien de notable

le plus souvent, la courbure d'un tibia et l'accroissement du crâne semblent aller de conserve. Chez Lippi, qui ne s'en aper

édents héréditaires. Le père du malade est encore vivant. Cet homme semble présenter un certain degré de déséquilibre mental

oubles respiratoires. En résumé, nos observations rapportées ici ne semblent pas parler contre l'idée qu'il y aura toujours

juger d'après les mouvements de l'abdomen pendant la respiration, il semble ([use les mouvements du diaphragme soient assez

it marcher qu'avec beaucoup de difficulté. Vers le soir ce symptôme semble avoir beaucoup augmenté, car il ne pouvait plus

le lit. Il est venu un « mal de gorge » pendant le même jour, et il semble que le malade lui- même ait présumé une angine,

tes les côtes inférieures restent tout à fait en repos et en effet il semble que ce soient seulement les muscles auxiliaires

peut lui faire faire ce mouvement. L'insuffisance de la respiration semble augmenter et en même temps la cya- nose. N'ayan

'état du ma- lade s'est amélioré, la cyanose a diminué et l'anxiété semble disparaître ; le pouls continue d'être assez bo

moelle cervicale. Une paralysie du diaphragme dans la poliomyélite semble être rare. Wickman en publie deux cas (dans tou

paralysie avait com- mencé par les membres inférieurs), mais il ne semble pas connaître de cas publiés par d'autres auteu

e des muscles abdomi- naux que présentait également le malade. Il a semblé à plusieurs repri- ses, pendant ces accès de br

durée si courte que les troubles respiratoires qui en résultent ne semblent pas avoir une importance réelle ; en tout cas,

probablement du lobe temporal, mais chez laquelle les symptômes ne semblaient pas encore être graves, un arrêt de la respirat

mais seulement une hypertrophie de la moitié gauche du cerveau qui semble être le plus déve- loppée pour le lobe temporal

onctionnement du coeur. 5° J'ai fait une autre observation qui nous semble ne pas masquer d'intérêt pour cette question. C

e, M. le Dr C. Bergmark 556 PETREN ET EHRENBERG séance. Il me semble à peu près sûr que cette malade était alors très

s troubles moteurs de la vessie n'ont pas été aussi passagers qu'on semble le croire en général (dans les cas XI et XXIII la

renseignement sur la question de la durée de ces troubles. Il me semble remarquable d'avoir constaté si souvent des troub

elque chose de très rare (Oppenheim, Sachs) ; mais d'autres auteurs semblent admettre une fréquence un peu plus grande de ce

n comme tout à fait inconnu avant lui. Cependant Dejerine et Thomas semblent avoir prêté une cer- taine attention à ce fait,

est mort chez lui à la même époque d'une poliomyélite aiguë. Il me semble plus exact de ne pas exclure ce cas, ce qui donne

muscles abdominaux, mais où la restauration des mucles des membres semble être complète. Voici ces cas : Observation VI,

nts. Dans les muscles abdominaux et les muscles du dos, parésie qui semble également disparaître. Dans tous ces cas, j'ai

embres est depuis devenue presque nor- male.) Mes observations me semblent parler en faveur de la conclusion, qu'il faut a

ement par exercices méthodiques. L'im- portance de cette méthode ne semble pas être assez reconnue, bien que quelques aute

scription quej'ai toujours donnée à ces malades. Cepen- dant, il me semble difficile d'arriver, par cette voie, à un exercic

ec formation consécutive de produits as- sez toxiques : or, il nous semble plus logique d'admettre que les altérations CON

, car les observations de ce genre sont encore très rares ; il nous semble cependant que ce fait mérite d'être étu- dié ul

atique de ce cas si intéressant de gigantisme ? Avant tout, il nous semble légitime de supposer que dans notre cas l'influ

être considéré comme nécessairement lié à la syphilis, mais il nous semble juste de supposer que dans notre cas au moins l

cas n'avaient jamais été remarqués jusqu'ici et présentent, il nous semble , un intérêt tout particulier, car leur déterminat

tion remonte à la période de la vie intra-utérine. , Ce fait nous semble particulièrement intéressant si nous le mettons e

ciste soutenue par MM. Brissaud et Meige et MM. Launois et Roy nous semble aujourd'hui solidement démontrée, et notre cas en

ur de la théorie uniciste de l'acromégalie et du gigantisme ne nous semble pas sans importance et nous invoquons que de nouv

irez-moi toujours, ô lumière des yeux 1 Je suis pauvre et ses mains semblent des camaïeux : Je vais prendre ses mains. Elle

et. La systématisation de l'atrophie que nous allons décrire nous a semblé suffisamment précise pour lui mériter le nom d'

it interne de l'oeil gauche. La sensibilité au tact et à la douleur semblait émoussée au niveau des cuisses et des jambes, m

LHERMITTE Les fibres blanches ne paraissent pas très altérées ; il semble que par endroits il y ait une légère démyélinis

xtrêmement petits, la lame plissée a perdu ses ondulations, l'olive semble comme étirée et amincie. Les deux lames interne

vaisseaux ne paraissent pas malades. Les fibres du noyau dentelé semblent à l'aeil nu avoir complètement disparu au nivea

s consti- tuent le groupe le mieux respecté, quoiqu'un grand nombre semble bien avoir disparu. A la région moyenne, il n

auche. Les fibres qui le composent, colorées par la méthode de Pal, semblent normales ; on ne voit pas de sclérose bien manife

dessus de la lésion, se colorent beaucoup moins bien qu'à droite et semblent atrophiées. Le ruban de Reil médian est atteint

paraissent point suffisamment compré- hensives ; de plus elles nous semblent critiquables par certains points. Ainsi M. Holm

ndant la présence ou l'absence de prolifération névroglique ne nous semble pas constituer un caractère assez particulier p

ires sont le siège de différents phénomènes anormaux. L'endothélinm semble proliférer très fictivement, amenant le cloison

n peu réduit, mais leur substance chroma- tophile est intacte, elle semble même présenter une densité plus grande que d'ha

lules, mais celles- ci sont généralement volumineuses. Les cellules semblent granuleuses. Celles qui appartiennent à la clas

odérée de la graisse de certains groupes cellulaires. Ce qui nous semble être également important, c'est que la majorité d

trouble plus ou moins profond dans la nutrition des muscles. Elle ne semble pas être la conséquence de la cachexie, car nou

stance dans les différentes articulations. La résistance musculaire semble être assez bien conservée. Réflexes. Les pupill

es réflexes cutanés ne se produisent pas. La sensibilité générale semble conservée. La malade réagit promptement à la pi

par ci par là beaucoup de cellules dégénérées, vacuolaires. Il nous semble hors de doute que cette double dégénérescence, pa

e ne dépendant pas de l'insuffisance des glandes génitales. Il nous semble que notre cas peut précisément apporter quelque l

de l'arrêt du développement des organes génitaux. En effet, il nous semble hors de doute que l'hypophyse influence le déve

ystrophies. Nos deux cas appartiennent à ce dernier groupe. Il nous semble qu'on peuten déduire que la compression de la t

avec rétraction dorsale des doigts ; cette maladie n'avait pas, il semble , de ca- 'ractère progressif et ne l'empêcha jam

udes LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 657 est la suivante; il semble que l'hérédité nerveuse ait une part non in- di

croire à l'analogie ou même à l'identité des deux maladies. Il me semble évident qu'il faudrait voir une coïncidence de la

u sens en général donné au mot poliencéphalite), Néanmoins, Wickman semble défendre l'opinion que la poliencépha- lite peu

e, scléroses ou méningites diffuses. Mais il y a un ca- ractère qui semble commun à la plupart des cas ou à tous les cas, c'

. Pourtant toutes les observations qu'on a citées à ce propos ne me semblent pas également probantes. Par exemple, le cas de

est boiteuse ; et pourtant une méningite causée par le pneumocoque semble être beaucoup plus fréquente que le cas de coïn

ide de la poliomyélite peut bien disparaître. Ces considérations me semblent tout à fait probantes. Les résultats des recher

à bicy- clette. Peu à peu les symptômes ont augmenté (en réalité il semble que cette aggravation ne se soit développée que

a ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 671 t résistance, il semble qu'il ait une force assez considérable daus ces m

avec les pieds. Le diagnostic de la polynévrite dans ces trois cas semble être si claire qu'il n'est pas nécessaire d'en

omyélite telles que j'ai essayé de les indiquer dans ce travail, me semblent bien être de nature à mettre en lumière le diag

rissaud et Bauer, 1904 ; Brissaud et Gy, 1908). Pour ma part, il me semble clair que les cas publiés par Brissaud et Londe

premier lieu dans les membres supérieurs ; par conséquent, tout me semble parler en faveur d'une polynévrite. Il en est d

au bout de deux mois pour tous les muscles paralysés. Tout cela me semble clairement indiquer qu'il s'agit d'une polynévr

ne ataxie. Toutefois il faut remarquer que deux de ces cas (16, 26) semblent plutôt être des cas de poliencéphalite, Dans tous

ussi les nerfs crâniens. Par conséquent la conclusion de Wickman me semble tout à fait proba- ble, que l'ataxie peut s'exp

entes de la maladie il faut admettre, j'ai donné des raisons qui me semblent prouver qu'il n'est pas nettement indiqué qu'il

entre les cas d'après l'exten- sion de la paralysie. Mais il ne me semble pas qu'on soit fondé à indiquer comme des forme

lbe ou de la protubérance sont atteints. Si cette distinction ne me semble pas s'imposer strictement au point de vue théor

la paralysie a un type ascendant ou un type descendant. Cela ne me semble pas très fondé, parce que la paralysie est asce

du type ordinaire est d'une nature plus occasionnelle, et il ne me semble pas cons- tituer une différence importante. E

EN ET EHIIENBERG de la moelle. Les seuls cas de la maladie qu'il me semble légitime de sépa- rer des autres, ce sont les c

rbitz et Scheel qui ont insisté sur cetle idée. Pour ma part, il me semble bien évident, qu'une répartition de l'inflammat

en revanche normalement conformée, ainsi que le père et la mère. Il semble donc bien s'agir d'une malformation congénitale,

s'articule par un très étroit cartilage avec une plaque osseuse qui semble provenir de l'ossification isolée du point gauche

nage sans se rapprocher. Les réflexes physiologiques qui en partent semblent se développer sur des plans parallèles. Et je tro

l'action directe de l'acide carbo- nique sur le centre respiratoire semble être admise. En tout cas, qu'il pro- cède d'un

main toute puissante pour animer cette matière inanimée. La vérité semble être, comme toujours, plus naturelle et plus simp

fortes portions d'humanité pour en apercevoir les mouvements d'en- semble et découvrir les ondes qui se communiquent des un

i auraient le plus à coeur d'évoquer aujourd'hui une figure dont il semble qu'aucun trait ne soit digne d'être commémoré :

ntrôler avec ri- gueur aussi bien chez l'homme que sur l'animal, il semble au contraire que la méthode expérimentale puiss

accentuèrent très lentement jusqu'à la phase actuelle où la maladie semble rester stationnaire. Etal actuel. - La malade n

ns purement subjectives, elle dit t qu'elle sent mal le sol, il lui semble qu'il y a du coton sous la plante des pieds. El

circonstance nous avons mieux que cet à peu près, nous avons, il me semble , la preuve absolue sous la main, comme quoi le

tient une autre femme, en bleu, munie d'un cierge avec lequel elle semble écarter le dé- mon voltigeant. La Possédée, les

le dé- mon voltigeant. La Possédée, les bras et les mains inertes, semble plutôt s'effondrer que se débattre ; mais sa bo

a dit, vous concevrez sans peine qu'une affection intéressant l'en- semble des racines de la queue de cheval se traduira par

e constater leur direction cons- tamment verticale parce qu'il nous semble que cette direction a une grande influence sur

r cette fréquence avec laquelle la capsule interne est frappée : il semblerait au premier abord qu'il dût en résulter une sympto

l'état de gâtisme complet et les lacunes protubérantielles. Il nous a semblé que chez les vieillards morts après une longue

De l'examen de toutes les pièces que nous avons pu faire, il nous a semblé que quelle que soit son volume, sa forme et sa

tention est attirée par une zone plus claire dans laquelle le tissu semble raréfié, moins coloré et les noyaux moins abond

Iules névrogliques se colorent un peu moins bien. i Somme toute il semble que la région subisse un ralentissement dans sa v

te pas d'accord sur la constitution et la nature de cette gaine. Il semble cependant (Poirier, Viault et Jolyet) qu'elle s

céphalo-rachidien. Considérée dans la lacune l'artériole cérébrale semble très altérée. Cependant avant d'étudier les lés

beaucoup plus claire, les noyaux sont moins nombreux, les éléments semblent dissociés et écartés les uns des autres. Avant

volumedelalacune, qu'ellesoitmiliaireoulenticulaire, le résul- tat semble le même, et toujours nous avons pu constater l'in

onnaissables, laissant complètement libre le reste de la cavité qui semble sous l'objectif un grand espace vide. Toujours

as considérables comme cela a lieu dans les infarctus viscéraux. Il semble qu'une véritable petite hémorragie se soit prod

sphères bleu foncé situées au milieu des éléments voisins qu'elles semblent repousser. L'acide osmique ne les teinte pas en n

nicité. D'abord ils sont très nombreux dans les lacunes récentes et semblent par leur aspect grenu chargés de matériaux grai

ansformations des lympho- cytes, et admettre ainsi l'identité qu'il semble y avoir eutre les corps granu- leux révélés par

e comparé après la médication thyroïdienne, six semaines plus tard, semble mon- trer d'intéressantes modifications : léger

stions élémentaires qu'on lui pose, y répond par monosyllabes, mais semble profondément indifférente à tout ce qui l'en- t

au psychique d'une enfant de 7 ans : à d'autres points de vue, elle semble , au contraire, un peu au-dessus de ce niveau :

ion, à l'occasion môme de cette puberté, du syndrome myxoedémateux, semble bien démontrer que l'insuffisance thyroïdienne,

llant que celui du côté gauche. Quant aux espaces intercostaux, ils semblent normaux, sans élargissement ni rétrécissement n

as ses muscles, si on examine la paroi antérieure de l'aisselle, il semble que l'on sente au-dessous de la peau un faible

e de malfor- mations graves de la main droite.La mise en réforme me semble s'imposer, étant donné que cet homme ne peut ti

pas grande valeur, et un rapide examen détruit ce que leur réunion semblait avoir de pondéré pour qualifier une maladie net

s spasmodiques des membres avec absence de lésions cérébrales. - Il semble que ces symptômes soient bien peu définis, et ap-

ppement donne au petit malade une mentalité évidemment atteinte. Il semble impossible de concevoir théoriquement un paraplég

s, que j'avais pris pour des processus intellectuels ? M. Claparède semble tenir beaucoup à ces chevaliers du brouillard spi

il en parle comme de dé- mons familiers.Si cependant quelqu'un peut sembler dupe du parler vulgaire et garder, en ce siècle

mbrent les voies scientifiques et qui rappellent, par le cas qu'on en semble faire, les plats aussi substantiels qu'imaginai

à la vie de relation et le contact organisé avec le monde extérieur semblent faire du tact superliciel un sens spécial, le t

iations physiques et chimiques de ce milieu vivant et remuant. « Il semble d'une sensibilité latente qui ne se révèle et ne

un point,c'est ce point qui a réagi dans la masse de l'animal. Ceci semble difficile à exposer, tant la chose est simple.

mé- trale de l'appareil périphérique et des récepteurs centraux. Il semble que cha- que appareil sensoriel ait choisi, pou

ont créé des centres dits moteurs pour lesquels d'emblée le détail semble disparaître dans l'exécution du mouvement d'ensem

n mouvement, sinon une attitude succédant à une autre attitude ? Il semble que pour percevoir un changement d'état, il faut

mouvement n'implique nullement des images de diverses attitudes et semble résider tout entière dans la sensation périphér

mouvement ou d'attitude ? Cette psychologie néo-associationniste me semble un peu jeunette. Que peut bien être une sensati

très mauvais ; en effet, il induit facilement en erreur, puisqu'il semble indiquer que c'est un sens qui appartient aux m

abord chacun de mes doigts, à mesure que mon atten- tion s'y porte, semble s'animer et s'affirmer à moi objectivement; il se

également uniforme. Et cela se conçoit si l'ou réfléchit que ce qui semble différencier l'écorce en attributions fonctionn

attributions fonctionnelles, ce qui fait que telle région cérébrale semble toute différente de telle autre, ce n'est pas sa

critiques à ce système, d'ailleurs peu accepté. L'anatomie comparée semble en prendre très à son aise avec les coordonnées

le prodigalité la nature a fourni à ce besoin d'un espace idéal qui semble caractériser toute la série des êtres organisés

onscient et involontaire dans le détail de son exercice. t( Il nous semble difficile d'admettre la combinaison intime, in si

es de motricité automatique et coor- donnée situés plus bas ». Il semble bien en effet que, dans ce cas heureux de dissoci

de Neef, Marinesco, Parhon et Popesco, Parhon et Golds- tein. 11 semble très logique de concevoir qu'à une lésion d'un ét

certains groupes musculaires. Dans ce sens la méthode expérimentale semble avoir donné des résultats positifs à côté d'aut

. Près de lui une vieille, un panier au bras, appuyée sur un bâton, semble attendre l'arrêt qui va sor- tir de ses lèvres

ouvert sur une tète humaine. Derrière elle, un homme s'approche qui semble lui demander de l'instruire. En face, à droite,

jeune apprenti tient un flacon à long col à côté d'un escabeau, il semble ranger divers accessoires, entonnoir, livres, f

donc tout à fait l'aspect des cellules nerveuses vraies, et il nous semble permis de conclure, d'après leur présence, que la

ut intense au niveau des parties superficielles de la tumeur, où il semble qu'on ait affaire, comme nous le disons dans notr

il est au contraire aminci et de coloration bleuâtre. De plus il semble y avoir des modifications atrophiques dans le dév

e ne répond pas aux questions qu'on lui pose; de temps en temps, il semble vouloir pousser un petit cri, comme si l'examen

r et l'écorce sont intimement unies par une lame pie-mérienne. Il semble donc qu'on puisse admettre que la tumeur s'est dé

rtout son siège exact. Etant donnée son importance comme volume, il semble qu'on eût dû constater de bonne heure les grand

entré chez ses parents; cependant le mal de tête avait cessé, et il semblait y avoir une certaine amélioration, les crises con

l trouve que le trouble disparaît presque complètement, mais il lui semble que les objets tournent autour de lui. Si on ch

ncienne, la surface des circonvolutions paraît nor- male. La base semble également indemne, il n'y a aucune lésion ni tume

t, on est frappé de l'aspect tout à fait particulier du tissu. Il semble qu'on soit en présence d'une coupe des circonvolu

des différentes ré- gions envahies par le processus néoplasique, il semble qu'on puisse inter- préter ainsi la marche du p

ômes; or c'est sur l'hémisphère gauche que siège le néoplasme. Il semble que celui-ci, d'ailleurs, si son début date de ce

l'allaitement au biberon était facile, malgré l'énorme difformité qui semblait devoir l'entraver. La conformation générale, sa

e dès la naissance, augmentant peu à peu de diamètre et très mince, semblait lors . de l'entrée de l'enfant au service, ince

sa coupe donnant un triangle avec une arête interne résistante. Il semble que le point primitif d'ossification unique de ch

de rudiment de globe oculaire; mais, dans la profondeur, une fente semble indiquer une ébauche de canal. Entre la paupièr

rinsèque. Le globe de l'cril droit est rudimentaire comme volume et semble encore peu différencié. Le nerf optique et les

de hauteur sur à 5 millimètres d'épaisseur. Les pages qui précèdent semblent poser un problème difficile de géométrie dans l

possible. Nous avions essayé ce travail de patience ; mais il nous a semblé que ses résultats eussent été exclusivement fac

AKATHISIE 243 tons. Un certain nombre de caractères importants nous semblent être tout à fait différents et séparer cette ak

nt immédiatement pénible, il a des contorsions, de la sueur, il lui semble qu'il n'arrivera jamais, il ne peut pas plus co

ce malade celte pauvre femme de 30 ans qui en apparence ne lui res- semble aucunement. Elle reste calme sur sa chaise et n'a

nons ici qu'une impression purement personnelles),ce bord inférieur semble suivre symétriquement les déplacements et les f

e) la pointe bat. d'une façon très manifeste à gauche, mais il nous semble aussi très manifeste que la pointe est déviée é

(Gâ.6) ; 3° dans toutes ces multiples adaptations respiratoires il semble d'après l'étude de nos tracés que généralement

visuel. La zone interne de la vision paraît légèrement rétrécie. Il semble y avoir là une influence de la position biologi

que nous aurions désiré. Mais ces constatations physiologiques nous semblent pourtant d'une certaine importance ; car nous avo

amilles. On n'y si- gnale pas de jumeaux. La mère de notre malade semble avoir eu une grossesse normale ; tout au moins

en que les enfants eussent un poids normal. L'aîné, un garçon,. qui semblait bien constitué, mourut à 14 jours d'entérite. L

e long de la face interne du fémur, au voisinage du genou. Celui-ci semble complètement ankylosé. La jambe, très en flexion,

ulent deux métatarsiens. Le premier, plus volumineux, plus interne, semble s'articuler directement par son ex- trémité pos

ndyles, souvent difficile à sentir au palper. Le péroné, épaissi, semble vouloir ressembler autant que possible au tibia

ation ? 9 ' Et d'abord, le diagnostic d'absence du tibia peut, nous semble-t -il, être difficilement soutenu. Le gros os qui

s adhérences de même ordre, rompues au moment de l'accouchement. Il semble cependant rai- sonnable d'admettre, avec tous l

ans. Le cou est long, très amaigri ; le corps thyroïde existe, mais semble bien moins développé sur la ligne médiane. En

à les regarder, ni à se livrer sur elles à des attouchements. Il ne semble point avoir eu d'in- version sexuelle, les homm

l'hôpital, le 2 janvier, racontent qu'il est un peu bizarre, qu'il ne semble pas avoir sa raison, qu'il ne reconnaît pas tou

ès avoir exposé les résultats de nos examens, nous verrons si l'en- semble des faits que nous avons observés vient à l'appui

10 jours dans le liquide de Marchi, on obtient encore, nous a-t-il semblé , une meilleure élection sur les cylindraxes. Enfi

u concentriques. Les cellules sont généralement petites, beau- coup semblent très nettement atrophiées, réduites à des amas de

égal, ou diminue vers le ganglion ; toutefois à l'inverse de ce qui semble la règle, les love-11 racines dorsales sont plus

tour d'un petit espace lacunaire ; globuleux. La gaine de Schwann semble parfois épaissie ; on ne peut affirmer, avec la

moléculaire. En certains points même ces résidus proto- plasmiques semblent dépourvus d'éléments nerveux, ou les masquent en

r un amas de la taille d'une grosse cellule gan- glionnaire dont il semble qu'ils aient pris la place. Ce qui paraît justifi

la plupart des gaines de myéline ; les noyaux des gaines de Schwann semblent proliférés (Voir.fÉ.), mais il faut tenir compt

de l'autre. Cette hyperplasie conjonctive est généralisée ; elle ne semble pas retentir sur les éléments nobles ; les fibres

ules, leur structure paraît normale ; leur taille et leur nombre ne semblent nullement diminués. Région lombaire. - Les 3 ga

, et les foyers hémorrhagiques dont elle est creusée çà et là, elle semble due à un processus irritatif intense du tissu i

ons. Observation VII. Delavacq..., 53 ans. Le début de la maladie semble remonter à 9 ans. A partir de cette époque les

nt un grand nombre de petits vaisseaux aux tuniques hyalines. Elles semblent exercer sur les fascicules une certaine compres

tefois un certain nombre ont leur capsule conjonctive proliférée et semblent en voie d'atrophie. LÉSIONS RADICULAIRES ET GAN

es a le même aspect flou, amorphe, clair, précédemment décrit. Elle semble se former par l'agglomération de masses inflamm

ines postérieures pénètrent dans le ganglion. Cette particula- rité semble d'ailleurs se reproduire dans tous les cas et la

e en tant qu'affection mentale autonome. C'est à Kroepelin que nous semble revenir le mérite d'avoir donné la solution la

ale. Une autre opinion, qui a le plus généralement cours en France, semble identifier la catatonie avec les états catalept

persistante, c'est la démence précoce. Ce sont ces cas que Kahlbaum semble surtout avoir eu en vue lorsqu'il a voulu décri

graves du côté de l'intelligence. Le début des accidents mentaux semble dater du retour du régiment. Avant d'aller au s

ans les mouvements stéréotypés dont nous parlerons plus loin et qui semblent exécutés sans la moindre hésitation. Dans les mou

vent sans résultat. Quelquefois au bout d'un temps assez long, P... semble se décider à se mettre en train, esquisse à gra

il très difficile,car P..., dès qu'il est en présence de quelqu'un, semble toujours sur ses gardes et se raidit encore plu

t à fait particulier et porte la marque du négativisme habituel. Il semble que P.... s'applique à s'opposer à tout signe de

rier suivant (1900), cet état se modifie; la stupidité disparaît W. semble comprendre ce qu'on lui dit, car il obéit aux ord

alade précédent,le seul qui soit possible.Bien queW.ne réponde pas,il semble percevoir les excitations cutanées. Parfois il

ie, 15 mai 1902). 344 SÉGLAS Dermostéréographisme très net. Il ne semble pas y avoir de troubles de la sensibilité cutan

llaires. Cyto-diagnostic du liquide rachidien négatif. 1° Il nous semble bien inutile d'insister sur le diagnostic différe

de sa signification psychologique, réside dans les stéréotypies qui semblent former comme un trait d'union entre les symptôm

unité, de synthèse, d'activilé volontaire, c'est l'aboulie. Il peut sembler étrange, au premier abord, que l'opposition, la r

nce du malade, comme des phénomènes élémentaires. Si opposés qu'ils semblent au premier abord, ils ne supposent pas moins ég

écholalie, échopraxie, attitudes cataleptiformes, dont le mécanisme semble devoir aussi se rapprocher beaucoup chez les dé-

de la jambe gauche, de quelques petites exostoses auxquelles on ne sembla pas d'ailleurs attacher grande importance. Rent

ses parents constituent autant de caractères différentiels qui nous semblent devoir être mis en valeur. Plusieurs de ces exo

ent, sans laisser à sa suite ni contracture ni atrophie musculaire, semble bien avoir été d'origine dynamique. 356 LAUNO

avait été diagnostiquée non syphilitique par Ricord » (3). Il nous semble intéressant de rappeler à ce propos que, d'aprè

e malade. Mais, ayant passé sa vie soit à Paris, soit à Rome, il ne semble guère avoir été à un moment donné exposé à la c

homme, le bacille d'Armaner Han- ' sen. Enfin les troncs nerveux ne semblent pas augmentés de volume et l'examen du sang nou

aborder l'étude de la psychiatrie dans le théâtre japonais, il nous semble indispensable de parcourir rapidement l'évolution

tout en s'analysant beaucoup moins que le PeerGynt d'Ibsen. Il nous semble que nous avons surtout deux choses à retenir au s

ations notables de la colonne vertébrale. Cette forte proportion ne semble pas due à une série particulièrement heureuse ; c

servations de notre premier tableau, la huitième (Bel, 54 ans) nous semble devoir être mise à part : il s'agit d'une cypho-s

d'un groupe muscu- laire, rendant compte de ces déviations. Il nous semble donc logique de les rattacher à la maladie de P

complets, et nettement limités par la tension des fléchisseurs, qui semblent légèrement rétractés. Au contraire, le malade d

maximum dans la marche, et disparaît dans la course, ou du moins ne semble pas entraver le mouvement des jambes à cette al

e. . Membres inférieurs. - Tous les segments des membres inférieurs semblent avoir conservé l'intégrité de leur force, seule

sser. Les jambes se déplacent avec grande difficulté. Tout le corps semble retenu en arrière par une force que le malade a

à l'heure impossible ; mais le résultat est médiocre, et les pieds semblent avoir plus de peine à se détacher du sol. Dan

auche évolue aussi facilement que la droite ; en un mot, l'harmonie semble rétablie. En règle générale, le froid, les émot

inscrite sur le tracé cette sorte de loi « la répétition de l'acte semble diminuer l'incorrection du mouvement ». Les premi

exister aussi pour les muscles moins atteints. ' Le fait suivant semble nous en fournir la preuve. Si nous prenons encore

z Vig. Il y a là, au premier abord, une différence fondamentale qui semble nous interdire tout rapprochement entre les deu

ces muscles du mollet et de la région postérieure de la cuisse qui semblent se contracter trop et trop longtemps, d'où un eff

nnaire conduit aux résultats suivants : Dans la majorité des cas il semble que les fibres saines soient un peu plus nombre

rition complète, totale des fibres. Quant à la gaine de Schwann, il semble que ses noyaux conjonctifs se mul- tiplient : s

rplasie des noyaux conjonctifs ? Cette dernière explication ne nous semble pas suffisante pour tous les cas; en effet, tandi

eraient le siège d'une périnévrite in- tense. « Cette prolifération semble partir du périnèvre pour former un anneau qui é

t dans quelques cas l'existence de cette péri- névrite, qui d'abord semble se traduire par une accumulation énorme d'éléme

même circonscrits individuel- lement par de véritables gaines. Ils semblent plongés au sein d'un tissu plus ou moins nettem

e partie des racines postérieures. Cette assertion ne doit, il nous semble , être émise qu'avec réserves. Il importe en eff

ne l'avons nettement observée que dans 2 cas (Obs. 'II et X) et il semble que l'inflammation ne se propage à l'endouévre

si elle affecte les petites veines plutôt que les arlérioles. Elle semble res- pecter les gros vaisseaux voisins. ' Ce

nsemble d'altérations - d'ailleurs déjà plusieurs fois notées - qui semblent aboutir à l'atrophie et à la disparition de quel-

aille normale sans altérer en rien ses caractères histologiques. Il semble donc que parfois l'atrophie cellulaire puisse s

portionnelle à l'atrophie des racines, mais encore parce qu'elle ne semble pas appartenir en propre au tabes. En effet, de

gée.- , Si dans la plupart des cas la lésion interstitielle ne nous semble pas plus intervenir comme lésion initiale dans

, à cheveux et à barbe blancs, la figure contractée par la douleur, semble réclamer l'attention du médecin trop absorbé da

mettre en parallèle avec celui du précédent. A première vue il peut sembler que dans les deux cas la même affection soit en c

est obligé de s'appuyer sur deux cannes. A gauche, la cuisse seule semble obéir à la volonté; la jambe est comme pendante

e avec circonspection et persévérance, on obtient des résultats qui semblent inespérés quand on envisage les choses au point

sité de laisser dans l'ombre quelques côtés de notre sujet qui nous semblent intéressants. Cette étude est un complément de

ns désagréable à droite, mais la compression des masses masculaires semble plus douloureuse de ce côté qu'à gauche. La m

d'avant en arrière, nous ne trouvons plus cette division nette ; il semble qu'à ce niveau les fibres des différentes origine

uadrijumeaux antérieurs, la branche transversale se renfle et l'en- semble du faisceau dégénéré forme ùmtriangle curviligne,

çant jusqu'au noyau central supérieur de la calotte, dans lequel il semble se perdre. Dans la protubérance toutes. ces fib

e Deiters dont le faisceau efférent vers la moelle est sec- lionné, semble jouer un grand rôle dans les troubles observés. S

la chute sur le côté et des mouve- ments d'oscillation des yeux. Il semble donc qu'on peut attribuer avec quelque vraisemb

rs cellules en aussi grand nombre que d'habitude; leurs cellules ne semblent pas atrophiées d'une façon appréciable; on peut

10 jours, on dut la nourrir avec la sonde introduite par le nez. Il semble bien que la déglutition soit devenue très diffi

e longueur, quand on parcourt la surface de la circonvo- lution, il semble que la couche des petites cellules nerveuses poly

t apparue ne donne pas l'impression d'être nouvellement formée : il semble nettement que les cellules qui la compo- LÉSION

isme sont deux troubles de l'évolution assez disparates, pour qu'il semble téméraire au premier abord de les rappro- cher

s auprès des malades ou de leur entourage, ceux que nous rapportons semblent être plus exacts, ayant été contrôlés à domicile

, est de 2 m. 04 (l).Mais dans cette hau- teur, la plus grande part semble due à l'allongement des membres inférieurs : la

ne le comporterait sa taille. Au contraire, les dimensions du tronc semblent voisines de la normale (Distance sterno-pubienn

isines de la normale (Distance sterno-pubienne : 62 cent.). La tête semble petite pour un si grand corps (hau- teur de la

ns pour les étudier spécialement trois données principales qui nous semblent tout particulièrement inté- ressantes : 1° La

duisant, sous des influences variables, chez des sujets adultes qui semblaient avoir atteint leur stature définitive; et, comme

n avait atteint l'âge de 22 ou 24 ans au moment de sa mort : les os semblent avoir atteint leur entier développement, quoique

qu'à )'age de 27 ans, que s'est produite la déformation osseuse qui semble aller d'ailleurs en s'accentuant. On sait que l

accrus d'une manière égale et proportionnelle, et, à cet égard, il semble que les conclusions de Papillault, exactes en 1

us autant en 1902. En ce qui concerne le membre inférieur droit, il semble tout d'abord que l'allongement n'ait pas été tr

Arch. de Neurologie, mars 1898, p. 203. - L'intérêt très grand qui semblerait devoir s'attacher à cette observation est un peu

rès les déclarations de ses soeurs, entre 19 et 17 ans ; ce dernier semble plus probable en raison de l'examen ultérieur q

subitement. Elle fut exhibée encore trois jours avant sa mort, qui semble avoir été causée par une attaque de grippe ou d

ant debout, sur des tiges fixées dans le plancher. En fait, la mort semble avoir été causée par un état de collapsus génér

ées, péricarde normal. Poumons. - Normaux, sauf pour la taille, qui semble au-dessous de la moyenne. Coloration pâle, coll

pour le muséum ; mais leur état spongieux et criblé était tel qu'il sembla douteux qu'ils fussent assez résistants pour so

laires et les maxillaires, aussi bien le supérieur que l'inférieur, semblent énormes, au point que le visage produit dans so

porte sur tout le membre, mais est frappant surtout aux mains, qui semblent dispro- portionnées relativement au reste du me

ment au reste du membre. Musculature faible et flasque. Tous les os semblent , à la palpation, augmentés non seulement en longu

fforme, est plus longue et plus grêle que la droite. Les deux pieds semblent trop grands pour le reste du corps : un certain d

arrière sur la partie asilaire de l'occipital. Le trou occipital semble très petit (diamètre sagittal : 31 mm. ; diamètre

des mains et des pieds, ni la cyphose cervico-dorsale, etc. Sa tête semblé petite, sur- montant un aussi grand corps ; ses

taire : et comme géant, et comme infantile. Mais ces déductions qui semblaient devoir rester hypothétiques, en l'absence du co

ous les auteurs d'anecdotes, et les peintres de moeurs breton- nes, semblent généralement ignorera quel point les bretons du L

aît être de jouer les plus mauvais tours à la race bretonne, qu'ils semblent avoir prise en grippe, et laquelle leur rend av

à dépenser inutilement son argent; aussi les paotred ar zabat qui, semble-t -il, connaissent admira- blement leurs ennemis,

très intéres- sante étude sur une figuration romaine de Maccus qui semble bien avoir été inspirée par l'acromégalie (1).

au. Sur aucun de ceux que j'ai pu voir, le gigantisme de Goliath ne semble avoir été l'objet d'une étude d'après nature. I

isées. On est particulièrement frappé des dimensions des mains, qui semblent énormes, par rapport au reste du corps. Bien pl

asun géant; or, c'est là l'image d'un géant, et même d'un géant qui semble avoir tendance à s'acromégaliser. » A Mantoue

tés de son espèce ». C'est un homme dodu, dont les proportions ne semblent colossales que par comparaison avec les petits

en. Quoi qu'il en soit, ce mode de figuration de saint Cristophe ne semble pas avoir prévalu longtemps. De bonne heure,

f, en apparence ni hérédité similaire, ni hérédité hétérologue, tel semble être tout son patri- moine pathologique. Venu

de la maladie de Friedreich, Butimeyer constata et décrivit un en-1 semble très complexe d'altérations médullaires ; NOUV.

q et lllarinesco,Achard, Weigert. « La disposition en tourbillons semble être tout simplement, dit P. Ma- rie, l'indice

Le dernier mot de la question, du moins avec la technique actuelle, semble être dans les conclusions que MM. Philippe et Obe

n de pression, comme par un corps étranger appliqué contre elle. Il semble qu'a mesure que ce membre inférieur gauche recouv

locomotion dataient de mars 1902, soit 14 mois après l'accident qui semblait n'avoir pas eu de suites. Cependant en fouillan

spéciale sur laquelle cepen- dant l'attention des cliniciens ne me semble pas, que je sache, avoir été éveillée et qui n'

vant,alors qu'il remuait fort bien ses jambes dans son lit et qu'il semblait avoir conservé toute sa force. Cette incertitude,

e qu'il doit saisir ; l'écriture dont je présente un spécimen, res- semble à celle de la sclérose en plaques, irrégulière, h

Parole RÉPÉTÉE. - La parole répétée est tout à fait défectueuse. Il semble qu'il n'y ait pas moyen de fixer l'attention de

s lésions, celle du lobe paracentral et celle de l'hémisphère droit semblent devoir être mises hors de cause. La destruc- ti

courbe, mais quelquefois elles ne s'étendaient pas jusque-là. Il ne semble donc pas que ce lobule puisse être considéré comm

rgique. Ce phénomène est signalé par quelques auteurs ; mais il m'a semblé qu'il méritait mieux que la courte descrip- tio

que l'inclinaison du corps en avant ne soit très pro- noncée. Il ne semble pas que la masse sacro-lombaire y prenne une part

s cambrée, avec ensellure profonde de la région lombaire, où il m'a semblé qu'elle était suppléée par la contraction des m

ire, en raison de la multiplicité des muscles de la région. Mais il semble bien que les contractions musculaires aient pou

très épaissis dessinent une courbure à convexité externe. Le tronc semble affaissé, le thorax tassé sur l'abdomen, l'abdo

ont porté sur une vingtaine d'individus ; mais en tout cas, il nous semble que cette déformation est beaucoup plus fréquente

épression à peu près symétrique. Le thorax par sa partie inférieure semble rentrer dans l'abdomen ; la poitrine est bombée

ion en cuvette déci ite plus haut. Les cartilages des fausses côtes semblent augmentés de volume et sont sou- levés en avant

e relief plus [accusé de la 7" côte (V. Fig. 1). En bas le thorax semble rentrer dans le bassin; mais nous devons attirer

apulaire. Malgré cet affaissement du thorax, les dernières côtes ne semblent pas se mettre au contact de la crête iliaque ;

ADIE DE PAGET 65 Il se produit là en somme une déformation qui nous semble toutà fait com- parable à celle du thorax en lo

t les déformations de la région abdominale, déforma- tions qui nous semblent traduire l'affaissement général du tronc, et résu

les dimensions autéro-postérieures du tronc à sa partie inférieure semblent diminuées ; le bassin est aplati d'avant en arriè

, le renversement du sacrum, et par conséquent du bassin. Ces faits sembleraient indiquer que les altérations du rachis débutent

se fusionner les cartilages des fausses côtes. Quelquefois même, il semble que ce soit à elle plus qu'à une déformation vé

t la saillie du rebord tho- racique, puisque parfois le soulèvement semble se produire non pas au niveau du bord libre de

doute parce qu'elles se produisent très pro- gressivement, il nous semble qu'elles ne débutent guère avant ! 'age de 65 ans

nnorrhagie, ou ont avoué quelques habitudes alcooliques. L'hérédité semble n'avoir aucune influence. Rien dans l'état des

un rapport avec les déformations thoraciques. Le système nerveux ne semble pas altéré : les réflexes sont normaux. Peut-êt

iser cette donnée d'après l'ensemble de nos observations. En somme, semble-t -il ressortir autant de l'étude étiologique que de

e les chiffres les plus élevés de chaque série d'indices dont l'en- semble traduit cependant en moyenne une même chose : éla

thorax, des fémurs et du bassin (les altérations de ce dernier nous semblent simplement des déformations de compensation vis-à

l'anatomie pathologique du syn- drome. décrit. D'ailleurs il nous a semblé observer sur le vivant cette saillie exagérée d

en avant, le menton arrivant presque au niveau du sternum ; le cou semble raccourci. Le malade s'avance lentement et mala

ent à diminuer sa taille. Les bras conservant leur longueur normale semblent trop longs pour les autres segments du corps, e

des étaient survenus longtemps après la constitution du syndrome et semblaient dus aux rapports anormaux des côtes et du bassi

toujours par se cacliecVser, et leur mort sinon due à leur maladie semble du moins hâtée par elle. Les pseudo- Paget au c

, aux deux condyles, aux plateaux tibiaux » (3t. (1) Cependant il semble que dans quelques cas de maladie de Paget, on pui

ofessionnelles, nous isolerons des cas où le principal facteur nous semble être une attitude habituelle, et des cas où un

lasserons les vieillards chez lesquels une raréfaction osseuse nous semble être à la base de tous les phénomènes. Le poids

s signalée. D'ailleurs le thorax en entonnoir est une affection qui semble ordinairement congénitale et ne s'accompagne pa

a couche compacte de l'os, et la raréfaction du tissu spongieux. Il semble y avoir dans ces os plus de graisse qu'à l'état n

et correspondant non plus à l'ostéomalacie mais à l'ostéoporose. Il semble donc qu'il faille distinguer dans le groupe art

tits, du langage, des gestes, etc., modification telle que le sujet semble transformé, pour un temps plus ou moins long, en

ors situé aux portes de Laval et qui en fait aujourd'hui partie. Il semble avoir plusieurs fois varié d'opinion sur son âg

quer. Restait un autre moyen, celui de recevoir Paré chirurgien. Il semble que son ami Etienne de la Rivière se soit entre

e messe. J'ai parlé des femmes de Paré. Il en eut en effet deux. Il semble même avoir eu le veuvage en horreur, car ayant

gauche. Le réflexe cutané plantaire, difficile à mettre en lumière, semble cependant être en extension.Le pied est normal,

le diagnostic de maladie de Friedreich et l'évolution de la maladie semble bien m'avoir donné raison. Au commencement de l

ont relativement petits, le cervelet n'est pas sclérosé, mais il ne semble pas avoir ses dimensions normales, les lamelles

he, au voisinage du fond de la commissure antérieure ; à droite, il semble res- pecté sur toute son étendue. d) Substanc

plus qu'elle n'est ressortie de ses manifestations cliniques. Il semble donc bien difficile, à l'heure actuelle, d'accept

myopathique. Le type Werdnig-Hoffmann est venu combler le fossé qui semblait les séparer et les modalités cliniques différente

maximal de la tumeur présentent un aspect spécial ; en avant elles semblent normales. En arrière l'écorce prend au carmin u

poisons. S'il faut vraiment partout de l'auto-intoxication, il nous semble beaucoup plus logique d'admettre qu'elle est du

'elle revient à elle, elle ne peut se servir de ses jambes. Rien ne semblait faire prévoir à la malade pareil accident et elle

. Il en résulte une exagéra- tion de la concavité palmaire. La main semble creusée à sa partie médiane. Les plis palmaires

mentaires qui s'avancent assez haut dans la tra- béculaire et qui semblent correspondre à une augmentation de la pigmenta-

le pourrait contenir une noisette ; ses parois, très fragiles, res- semblent à des feuilles de papier.Nerf optique et carotide

érées ; les travées interfas- ciculaires contiennent des noyaux qui semblent un peu augmentés de nombre. Sympathique. Dans l

pathogénie de l'acromégalie. L'examen histologique du squelette ne semble jamais avoir été fait. Il est bien probable que

s sont d'une extrême rareté et dans ces cas mêmes l'amélioration ne semble avoir porté que sur l'état général. L'argument

l'autre, au point de vue analomo-cl inique et physio-pathoiogique, semblent relever beaucoup plus d'une exaltation des fonc

de rhumatisme articulaire aigu accompagnées de fièvre, mais qui ne semblent pas avoir donné lieu à une complication cardiaq

ite. La face est légèrement asymétrique, la queue du sourcil gauche semble abaissée. Sur la paupière supérieure gauche on

nt surélevés, mais nets de la papille. Les petits vaisseaux dilatés semblent plus nombreux au niveau de la papille. Les gros

s deux maladies, j'ai pu me for- mer une opinion personnelle qui me sembla confirmée par l'étude com- plète de l'argument.

-difficulté qu'il avait à mar- cher : le membre inférieur droit lui semblait plus raide que le gauche. Il allait « tout de c

ors qu'à gauche ils ne s'accusent pas. Les muscles pectoraux droits semblent un peu diminués de volume. L'é- paule droite pa

agitation. Ici, l'opéré ne paraît pas attaché à la chaière, mais il semble bien que par précaution on ait pris soin de lui

ient. L'opération est confiée à deux jeunes apprentis ; ce qui peut sembler téméraire, mais leur inexpérience doit être gui

utre, la lésion est moins accentuée au niveau d'une petite zone qui semble dessiner la virgule de Schultze. Ici, comme plu

autour des veines comme des manchons ; dans d'autres endroits, elle semble former de véritables nodules infectieux. La s

iens et plantaires sont nor- maux. La sensibilité à la douleur est, semble-t -il, un peu diminuée. La force musculaire est di

ocalisations de ce processus inflam- maloire général et unique nous semblent s'expliquer les différences d'as- pect des deux

erchent la raison dans une spécificité localisatrice, mais que nous semblent mieux expliquer ceux qui substi- tuent au crité

teurs les plus compétents ne sont pas d'accord, peut apporter, nous semble-t -il, quelque lumière sur cette question. D'après l

auprès d'eux une malade qui ne paraissait pas s'améliorer et qui ne semblait pas devoir guérir, incommodés d'ailleurs par les

titude très caractéristique. Le bras est collé contre le tronc ; il semble y avoir un peu d'arthopathie de l'épaule, car t

à une deuxième pression, à la main gauche 22 puis 15. L'épuisement semble donc très rapide. Cette faiblesse de contract

point de vue clinique les rapports intimes entre les deux formes me semblent bien démontrés. Si elles peuvent se montrer disso

trophoe- dème de Meige. Après trois mois, soudainement l'oedème qui semblait dé- finitivement établi, disparaît. Après 15 jo

nois (59)], et selon une observation peu nette de Calderai (60), il semble pos- sible que cet oedème puisse aussi après un

e de cet oedème, car les idées et les théories sur sa pathogénie me semblent très peu claires et démonstratives. Tandis que

CONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 273 et la circulation lymphatique, me semble bien naturelle et bien démon- trée après ce que

pondante à l'articulation du pied fait défaut, autant que le membre semble vraiment un pied d'élé- phant » (Lesser). Nou

ignit plusieurs fois que la nouvelle était trop petite. » Il nous semble que rien ne manque à cette observation, et que de

une syphilis des ascendants ? Une autre pathogénie d'ailleurs nous semble pouvoir être invoquée. Lorsque notre premier ma

num, et cette articulation est semblable à celle du côté normal. Il semble représenter la moitié environ de la longueur de l

e. Le frag- ment externe, atrophié, de dimensions peu appréciables, semble représenter le tiers externe de la clavicule. C

ne perforation punctiforme à sa partie postérieure, perforation qui semble ne pas s'être mo- difiée depuis que la malade s

fragments externes sont plus appréciables que chez la fille. Il ne semble pas qu'il y ait de cordon fibr eu reliant les d

moplate. , Les apophyses costales de la dernière vertèbre cervicale semblent légèrement t saillantes. Le sternum est normal.

ns unies derrière le dos, etc., etc. (XV. Pl. XXXIX, XLI, LU). Il semble de plus qu'aucun mouvement normal ne soit entravé

ent ouvertes, sans que, d'ailleurs, il y eut hydrocéphalie. Il nous semblé intéressant, à l'occasion de ces deux nouvelles o

ostérieurs à celui de M. P. Marie, la'plupart des auteurs étrangers semblent ignorer totale ment ses conclusions ; quelques-

an Francisco) publie une observation semblable. Le dernier cas paru semble être celui de Gross (de Kiel) ; c'est une fille

de Gross (de Kiel) ; c'est une fillette de 12 ans, dont les parents semblent normaux, et qui présente les déformations caracté

ntérieure est encore à 47 ans grande comme la paume de la main ; il semble de plus que la largeur des fontanelles, ainsi q

t été proposées. S'agit-il d'une anomalie régressive ? C'est ce que semble prétendre Guzzoni degli Ancarani qui dans un lo

parait rationnelle et à laquelle les faits que nous avons observés semblent donner raison, c'est celle invo- quée par M. Co

ais pouvant porter sur d'au- tres parties du squelette. Il nous a semblé de plus que, de même que cette tare peut dépasser

loc. cit.). , . . i DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE HÉRÉDITAIRE 325 Il semble que la syphilis soit la cause la plus probable. D

qu'en partie ou même manquer complète- ment. 40 Il ne nous a pas semblé dans ces différents cas que les bras et les épa

lades vus de dos dont les épaules ont été rapprochées en avant ; il semble qu'il y ait dans cette position une dispa- riti

ne de l'omoplate d'une saillie anormale du tubercule du trapèze qui semble nettement en rapport avec l'aplasie claviculaire

râniennes typiques ne s'accompagnent pas d'aplasie claviculaire. Il semble que l'anomalie se soit atténuée dans la série fam

- Répercussion de la méningite sur le développement. - I. Vue d'en- semble du processus méningitique. II. Signes fonctionnel

ombre ne doit pas être réduit de 2 ou 3 unités. Quant au sexe, il semble que les foetus atteints appartiennent en grande

e de la répercussion des maladies cérébro-spinales aiguës sur l'en- semble de l'organisme foetal. L'attitude fournit un au

toujours complètement défaut, du moins en apparence. La cavité qui semble ainsi ouverte est comblée par une formation d'asp

nt, à la seule région de l'écaille occipitale. A ce niveau, la peau semble être perforée et livrer passage à une formation

que dans le cas gé- néral ; le front n'est pas absolument nul ; il semble exister un rebord orbitaire ; aussi l'exorbitis

pourrait même que la perte de substance soit très étendue, comme il semble que cela ait eu lieu dans le cas de Vaschide et

moitié antérieure; dans la moitié postérieure, la suture métopique semble assez large et marque un écart sensible entre les

e l'occipital. Ces dispositions, comme d'ailleurs les pré- cédentes, semblent être peu communes. J'en ai rencontré un exemple ;

Saint-Hilaire et du crâne que j'ai moi-même observé. Les variations semblent plus considérables pour ce qui est de l'occipit

lettiques sont toutes par- faitement symétriques deux il deux et ne semblent avoir subi aucune déforma- tion secondaire. Fro

en là que de très ordinaire. Néanmoins, et c'est le point important semble-t -il, il ne me paraît pas démontré que la situation

tout, l'envahissement conjonctivo-vasculaire du système nerveux ne semble pas être rapide ; s'il est notablement plus avanc

ns l'épaisseur de la moelle ne se sont pas prononcés nettement ; il semble même qu'ils ont attribué' PATHOGÉNIE DE LA PSEU

t une autre particularité, celle-ci d'ordre tout à fait secondaire, semble-t -il, au sujet de laquelle je n'au- (1) SABRAZKS

arence morpho- logique de l'organe auquel elle s'est substituée, il semble que les amas vascu- laires correspondent aux pl

dans son intimité, de nombreux petits capillaires. Néanmoins il ne semble pas que la néoformation y atteigne jamais l'imp

action dystrophique intense, aboutissant à la désintégration. Or, il semble bien que l'état des tissus placés au delà de la

e, celle des ganglions cérébro-rachidiens, n'est pas seulement due, semble-t -il, à la barrière, assez faible en somme, que l

es les unes des autres. D'une part, comme de l'autre, ces vaisseaux semblent creusés dans une substance conjonctive très cohér

on observe nettement une sorte d'effraction de la paroi : celle-ci semble s'ouvrir par endroits, pour livrer passage à une

cutanée très amincie, et inclus dans une trame. conjonctive. Ce qui semble caractériser cette paroi, c'est que, en dehors de

pour l'histologie du moins pour l'anatomie pathologique. Il nous a semblé qu'il serait intéressant de posséder une méthode

éthode que nous avons proposée à la Société de Neurologie (1 ) nous semble avoir ce double avantage (V. Pl. XLVI). Fixal

nt conservées dans l'eau de lavage (2). L'aspect des lésions nous a semblé peu modifié. Les dégénérescences médul- laires

e picotements dans les jambes.- Sphincters normaux L'intelligence semble un peu affaiblie. La mémoire est nettement dimi

sa propreté pour faire ses besoins dans le lit, et qu'au début elle semble avoir eu des hallucinations auditives. Il existai

s forts; Pas de clonus. Démarche spastique. Pas d'ataxie. Il nous semble prudent de ne parler en présence d'une maladie se

sceau de Goll dans le cas de Kühne et Strümpell. Le cas de Donaggio semble donc seul remplir les conditions nécessaires. S

adies il s'agit d'un processus anatomo-pathologique diffus. Il nous semble donc inutile de garder le nom de maladie familial

l spasmodique. D'une façon générale, toutes les maladies familiales semblent être des entités nosographiques beaucoup moins

formes supérieures dans l'âge plus avancé. , En tous cas, il nous semble que dans la plupart des affections familiales,

Westphal), ou l'exis- tence d'un simple nanisme du système nerveux, semble être en faveur de la théorie d'Edinger et prouv

nt le mal ; d'autre part une électrisation énergique du nerf facial semble l'atténuer pour quelque temps ; enfin le malade d

sont des changements de forme plutôt que des dé- formations ; il me semble naturel de réserver ce mot à des modifications

, de l'importance parce que, si j'en juge par mes observations, ils semblent constants dans cette affection (Pl. XLVIII, A e

ien ne peut-il pas avoir une autre origine ? Cette dernière opinion semble admise à l'heure actuelle. M. Brissaud, en effet,

l on soit en mesure d'obtenir un fait de ce genre. De plus il ne me semble pas prouvé qu'en pathologie humaine il y ait des

cte sur la fausse sensation qu'on peut avoir, en palpant ses os qui semblent réduits de volume chez ce malade, j'ai fait l'e

ssitôt senti qu'il n'était plus aussi solide qu'auparavant ; il lui semblait surtout que la force dans les bras et les jambes

'on ren- contre d'habitude chez l'adulte. Les zones d'hyperesthésie semblent plus fréquentes ; la conservation ou l'absence

t suivre immédiatement la cause provocatrice, mais assez souvent il semble que le système nerveux attende pour réagir, qu'il

début, l'attitude vicieuse pa- raît s'être constituée très vite. Il semble que parfois, chez un sujet hysté- rique, un pet

douleur : en lisant nos observations, on verra que tous nos malades semblaient souffrir à la manipulation de leur join- ture,

même, car si l'olfaction paraît obtuse, des végétations adénoïdes en semblent la cause véritable ; la sensibilité de la muque

n seul mouvement de la tête sans ressentir de grandes douleurs ; il semblait même immobilisé quant à la par- tie supérieure

e- ment. La mère nous apprend en outre que la nuit la déformation semblait disparue, tant la tête pendant le sommeil était

s. Toute tentative de mouvement est particulièrement douloureuse et semble augmenter encore la contracture des masses musc

té; qu'aucune douleur n'existe plus, l'enfant ajoute même qu'il lui semble pouvoir tourner la tête. Deux jours après seule-

ou- met l'enfant l'extension et à la contre-extension. Cet appareil semble causer de grandes douleurs au sujet qui se lame

d'équilibre au lieu de le compenser. Dans la concavité, les muscles semblaient se laisser aller et non point se contrac- turer

mesure qu'elle traversait la cour. Au premier abord, cette théorie semblerait donc convenir à notre cas : mais que devient-el

t prise de douleurs dans les reins et les membres inférieurs. Elles semblaient surtout accentuées dans le membre supérieur dro

s. La sen- 466 BROCA ET IIERBINET sibilité la chaleur et au froid semble conservée, pas de retard sensible dans les perc

fut prise de crises nerveuses singu- lières qu'aucun médicament ne semblait calmer. Sur la foi d'un précédent, on la condui

ara la maladie surnaturelle. Des deux côtés, l'impuissance médicale semblait flagrante. Quelques paysans, plus avisés, obtin

e que nous allons voir. , La guérison des malades par la dispersion semblait avoir porté un rude coup à la croyance en la po

n'avaitpu s'empêcher de blâmer ouver- tement des mesures qui ne lui semblaient pas entièrement légales et avait NOUV. ICONOGRA

êque qui avait peut-être endossé plus de res- ponsabilités qu'il ne semblait ; aussi ne céda-t-il que lorsque ces ecclésia- t

rzine, un commissaire de police, personnage trop zélé, un peu borné, semble-t -il, en tout cas,maladroit,qui n'avait sollicité

e bou- langer, de la bonne viande et elle mangera. » Les rechutes semblent , elles aussi, de commande. Une malade <c guéri

dysplasie périostale. Depaul en 1851 apporte des obser- vations qui semblent relever de l'achondroplasie vraie ; il les distin

e donne un nouvel essor à la question en publiant son travail d'en- semble sur l'achondroplasie de l'adulte et en mettant en

ne façon des micromi;les. D'ailleurs, une disposition anatomique ne semble devoir se fixer héréditairement qu'à condition de

s, mais ne se vérifie pas, par exemple, chez l'enfant d'Apert. Elle semble plus fréquente chez l'achondroplasique adulte q

malade de Lepage, que nous avons eu l'occasion d'examiner, la jambe semblait avoir une notable convexité externe ; la palpatio

n (Cestan etlnfroit, Méry); leur calcification ou leur ossification semble en avance sur leur âge. VOI ? l'LLG CO\()GRAI

ann. En l'absence d'examen his- tologique, le diagnostic doit, nous semble-t -il, demeurer en suspens, car diffé- rentes affe

les ne le sont en réalité. Leur diamètre est en général normal mais semble excessif par rapport à leur brièveté. Il y a

possèdent, effecti- vement, une vigueur bien supérieure à celle que semblerait comporter leur pe- tite taille. Le raccourcis

es. Cette rectitude, plus réquente chez l'adulte que chez l'enfant, semblerait indiquer que certaines 500 PORAK ET DURANTE c

imant et en tassant les éléments voisins. Cette assimilation nous semble d'autant plus exacte que ces nodules évoluent u

s dans la bande fibreuse transversale provenant du pé- richondre et semblent établir ainsi une large voie anastomosique entre

les muscles. L'ensemble de ces lésions est intéressant en ce qu'il semble parler en faveur NOUVELLE Iconographie DE la Sa

lasie osseuse. Dans le second cas, l'ébauche embryonnaire elle-même semble avoir été arrêtée dans son dé- veloppement et i

sidérés comme normaux et doivent, jusqu'à preuve du contraire, nous semble-t -il, être classés, même en l'absence de tares évid

oelle (tissu ostéoïde) (comparez PI. LIV, fig. 11 avec fig. 10). Il semble y avoir essentiellement une végétation excessiv

du nouveau-né. Sans admettre la fréquence indiquée par d'autres qui semblent confondre entre elles toutes les dystrophies osse

vons les courbures et les débris \ cartilagineux, et dans lequel il semblerait naturel de ranger ces malades en at- { tendant

osseuse. L'achondroplasie paraît indépendante du système nerveux et semble relever d'une cause générale, la- quelle serait

ane ou un autre par suite de curieux phénomènes de sélection, elles semblent agir en activant ou en ralentissant l'activité et

étrangement au début des lésions achon- . droplasiques. La syphilis semble donc, en tant qu'affection sclérosante,suscep-

nt susceptibles d'entraîner les mêmes lésions scléreuses. Il nous semble donc, en résumé, que l'achond2oplasie ne relève p

complète de l'os compact remplacé par un tissu largement aréolaire, semble provenir moins d'une insuf- 532 PORAK ET DURANT

laire sont également plausibles. A titre de pure hypothèse, il nous semble cependant que : i. La dysplasie congénitale, du

roissance rappelant celui de notre malade. Chez celui-ci la maladie semble être congénitale. Le fait qui attire immédia- t

son père. Il a les allures psychiques d'un enfant. La percep- tion semble normale. L'attention peut-être fixée facilement,

s comme celles de 5, 10 et 20 centimes. L'orientation dans l'espace semble conservée. Il ne présente aucun délire. C'est d

nnaître les mesures exactes, mais d'après la photographie la cuisse semble être plus courte que la jambe. Dans d'autres ca

ade Sicard), le bras=18centimètres,Pavanl-bras = 14 centimètres. Il semble que dans ce cas, la cuisse est elle aussi plus lo

(Huet-Caruette, Joachimsthal). Il est intéressant de relever qu'il semble exister une relation directe entre la réduction

fait important qui mérite d'être retenu. C'est que l'achondroplasie semble être héréditaire au moins dans certains cas, le

les autres. Les cartilages costaux ainsi que l'ap- pendice xiphoïde semblent ossifiés. Ce dernier est immobile. Les extrémités

he de l'achondroplasie par les caractères suivants : 1° L'affection semble être congénitale. 2° Petite taille due à l'arrêt

es symptômes négatifs. Aussi le diagnostic d'achron- droplasie nous semble le meilleur malgré les réserves que l'on peut y

es cas de transition méritent d'être étudiés avec soin. Il nous a semblé utile avant de finir ce travail de discuter un pe

premier point nous ne nous attarderons pas lon- guement. La maladie semble être dans notre cas comme d'habitude congénital

e lésion si systématisée ? Et la réponse la plus vraisemblable nous semble être qu'on doit chercher cette cause dans une alt

tement résolue. Pourtant la lumière commence à se faire. Ce trouble semble dû à une exagération des fonctions hypophysaires,

rmer cette manière de voir. L'hy- perfonction des glandes sexuelles semble elle aussi très rationnelle si l'on pense qu'en

e la vie ? Assurément le fait n'est pas prouvé, mais à priori il ne semble pas im- possible. En effet les études de Ancel

ne façon exagérée pendant la gestation, alors qu'à l'état normal il semble que la sécrétion ovarienne serait plutôt absente

it glabre et on pouvait discuter si le malade était pubère. Mais il semble que la première impul- sion dans l'apparition d

que les faits viendront confirmer ou infirmer. Cette hypothèse nous semble pourtant la plus convenable dans l'état actuel

eils surnu- méraires. Il n'y a pas un scaphoïde séparé : ce dernier semble soudé à l'astra- gale qui arrive jusqu'à la pre

Le monstre que j'ai observé pendant quelques heures présente un en- semble d'anomalies qui plaideparticulièrementpourune hyp

es anomalies congénitales dans lesquelles les anomalies de l'amnios semblent jouer un rôle important (syndactylie, atrésie d

e pas l'intérêt scientifique de notre observation à la quelle il me semble difficile de nier l'influence étiologique d'une c

son index sur son nez. La tête tremble légèrement. La sensibilité semble émoussée au niveau des membres inférieurs, mais i

nces que d'ordinaire; cependant le lobule digastrique et l'amygdale semblent un peu moins atrophiés que les autres parties d

, sont raréfiées et plus minces qu'ailleurs. Les cellules nerveuses semblent à ce même niveau moins nom- breuses que dans le

; on y retrouve des fibres parsemées, coupées transversalement qui semblent moins nombreuses que dans l'olive normale.Sur d

mais elles existent aussi dans les parties où les fibres nerveuses semblent encore complètement intactes. Tous les vaisseau

cervelet est, nous allons le répéter, extrêmement grave, et ne nous semble pas en rapport proportionnel à la sclérose de l'o

pendantes et même très éloignées les unes des autres. Ce cas nous semble encore très intéressant au sujet de l'étiologie.

taté une déviation des pieds en dedans. Mais, constam- ment, il m'a semblé que cette déviation répandait plutôt à une action

jorité des observations, la déviation du pied se fait en dedans. Il semblerait que l'action des muscles externes de la jambe soi

oit tou- jours inférieure à celle des muscles internes. De même, il semblerait que le triceps sural n'entre que rarement en je

catis medicamenta parva sunt... A dater de sa conversion, Pantaléon semble dédaigner la science incer- taine ; il n'opère

belle nuit aux jeunes épousées... » (1). Quoi qu'il en soit, il ne semble pas que saint Pantaléon ait opéré après sa mort

Celles-ci, en raison même de leur siège habituel d'implanta- tion, semblent bien résulter de l'exagération locale d'un proces

de gauche, où existe une vaste caverne. L'infection bacillaire, qui semble avoir débuté en 1901, s'est accompagnée d'hémop

périeurs paraissent très courts, alors que les membres infé- rieurs semblent mieux proportionnés à la taille. Le membre supéri

l'épiphyse supérieure du péroné a en grande partie disparu. Cet os semble aussi repoussé eu dehors, mais il est solidement

la croissance des exostoses para-diaphysaires. La malformation ne semble pas d'ailleurs exclusive à l'homme. Si nous en

croissance, remarquable chez l'individu que nous avons étudié, nous semble démontrer d'une façon indubitable la partici- p

tion du cartilage de conjugaison à la genèse de la malformation. Il semble que le processus de l'ossification s'éparpille en

xie; sa grand'mère maternelle mourut d'une maladie mal précisée; il semble qu'elle ait traîné un temps très long, travaill

âge, l'un à 1 an de pneumonie, l'autre à 2 ans et demi, d'entérite, semble-t -il. Notre Joseph est d'une constitution physiqu

eut durant l'enfance et l'adolescence de graves maladies qui toutes semblent avoir entamé l'appareil respiratoire. Plus tard,

té du pus en quan- tité insignifiante ; la consistance de la tumeur semblait diminuée de sorte que, si on la serrait entre l

qu'on sait bien peu de chose « sur l'étiologie de cette affection. Il semble que les hommes soient affectés un peu plus souv

s souvent que les femmes. Au contraire des autres enchondromes, ils semblent surtout fréquents chez les adultes entre 35 et

tumeurs. » Il termine le chapitre en disant ; « Les tumeurs nous semblent l'expression graduelle d'une manière de réactio

s de croissances (1893). 650 SIMONINI Dans la seconde famille, il semble d'abord,que l'on puisse exclure l'in- fluence d

étudiées, on n'a trouvé trace d'alcoolisme, ni de syphilis. Il me semble donc, qu'en aucune d'elles on ne peut, à priori,

chez ses ascendants ou collatéraux ; la cause réelle de l'affection semble devoir être considérée comme un processus chron

dant une semaine la température reste aux environs de 38, le malade semble aller mieux, puis il retombe dans sa somnolence

torium cerebelli l'arrêta dans sa marche à l'ex- térieur. Cela nous semble d'autant plus plausible qu'en raison de l'oedème,

la mère dans des conversations avec la surveillante du service, il semble résulter qu'il y ait lieu d'incriminer une cont

5 à 20 degrés. L'oeil gauche est en divergence de 50 degrés ; il ne semble pas avoir de mouvements de convergence. Les deux

it constant dans les cas d'ophtalmoplégie congénitale. Cette donnée semble de prime abord per- mettre d'attribuer l'ophtal

par la muscula- ture puissante du sujet. L'angle et le bord spinal semblent plus accusés à droite qu'à gauche. Les photog

aux inférieurs du trapèze existent des deux côtés, la déforma- tion semble toutefois plus accusée du côté droit. Les autre

ner du nom de « scapulm allas physiologiques ? » o Voilà, ce nous semble , les différentes hypothèses à examiner. La lon-

les aux types décrits. La nosogra- phie des dystrophies musculaires semble devoir être considérée jusqu'à nouvel ordre, et

bras a repris une autre position. Tout au moins, cette explication semble-t -elle rationnelle, et, toutes les altérations ou

s'agit alors d'une action directe. Cependant quelques dispositions semblent , au premier abord, résulter d'une action trophi

et le processus qui frappe les capsules surrénales. Si, comme il le semble , une relation existe vraiment, elle est,sans do

de l'amnios que l'on fait appel. Van Duyse (2) avance que « l'amnios semble particulièrement exposé à l'action des agents p

que la question ne serait nullement résolue, contrairement à ce que semblent croire les partisans de cette manière de voir :

ite exencéphalie deviennent des méningitiques. En particulier, tout semble montrer que le genre exencéphale (1) et le genre

u névraxe, les ganglions ne dégénèrent pas eux-mêmes rapidement. Il semblerait , en effet, qu'il dût en être ainsi; que les yeu

ains ; cas au-delà du terme ordinaire. Cet état de parasitisme seul semble capable de lutter contre les causes de mort qui v

favorable. La survie tieut donc nécessairement à une autre cause ; il semble qu'il faille chercher cette cause dans le grand

ention sur un tableau du musée du Prado, Les Sorciers (1). · Goya semble avoir eu toujours une prédilection marquée pour l

Près de l'homme incliné, un personnage, couvert d'un long manteau, semble lui donner quelque prudent conseil. A gauche, deu

ux individus s'approchent du vieillard avec une certaine réserve et semblent le palper timidement du bout des doigts, comme

es, de spectres et d'apparitions (ses victimes peut-être ? ), qu'il semble vouloir écarter de son bras'étendu. A gauche, o

té rendues par le dessin avec une pareille clarté. La musique seule semble faite pour suivre la médi- tation dans ses envo

n et la na- ture de ces troubles. Le cas que nous rapportons nous semble intéressant à beaucoup de points de vue ; et, t

dans la photographie, la tête de José Lopes, qui, au premier abord semble petite pour un si grand corps, est pourtant plu

ux fins, le larynx peu saillant,la voix grêle, et le corps thyroïde semble un peu petit. Bref, il est un homme par son âge

r l'absence complète de ses caractères sexuels secondaires et l'en- semble de ses formes corporelles (excepté ses mains et s

rétion interne dans la pathogénie de cette dépression morale, il me semble qu'on ne saurait pas en exclure tout à fait l'inf

nt caractérisés en présence desquels le dia- gnostic hésite : Il me semble que ces signes sont suffisants, et assez accusé

début exceptionnellement précoce du gigantisme et de l'acromégalie semble remonter à la vie foetale. En effet, tout en co

t au sujet de la congénitalité du gigantisme chez José Lopes, il me semble que dans la genèse de son état, il faut faire u

eune âge. Et on rappelle, à ce propos, que les tailles gigantesques semblent fréquentes chez les eunuques ; que leurs jambes

a puberté), l'accroissement du squelette des animaux châtrés jeunes semblent indiquer l'existence d'un rapport très intime,

ntilisme était sous la dépendance de celle lésion pré- sumée. Il me semble toutefois, a,joute-t-il, que l'idée d'une relatio

ainsi que le début et l'évolution réciproque de ces deux processus, semblent , en effet, affirmer l'existence d'une affinité tr

té de l'infantilisme dysthyroïdien le seul qui, à l'heure actuelle, semble définitivement établi nous ayons aussi un infan

discussion sur les fonctions des glandes à sécrétion interne, il me semble pouvoir éta- blir, comme fort probable, que l'é

ut cas,et quoi qu'il en soit de ces antécédents héréditaires, il me semble certain que José Lopes est de lui-même un dégénér

ble sur les faits relevés dans l'observation du géant portugais, me semble que nous pouvons formuler les principales conclu-

igantisme et de l'acromégalie. peut être parfois congénitale, comme semblent le prouver les troubles oculaires de José Lopes.

troubles oculaires de José Lopes. 5° Le gigantisme et l'acromégalie semblent tenir d'un seul et même trou- ble de la fonctio

paraît être essentiellement dû à l'hypertrophie de l'hypophyse, qui semble être sa lésion causale, du moins dans l'immense

ts que nous avons observés et les conclusions gé- né)'a)es qui nous semblent en découler. Observation I (PI. V et VI). Dan

é par le renversement de cette lèvre. Les téguments faciaux, ridés, semblent trop larges pour les tissus sous-ja- cents. L

e chez les oiseaux. La musculature de la face postérieure du thorax semble très réduite. Les vertèbres sont bien visibles.

ine parfaitement sous les téguments. La partie inférieure du thorax semble enfoncée dans le bassin, ce qui détermine un plis

ée. ' Les phalangettes sont hypertrophiées, mais cette hypertrophie semble tenir aussi à l'infiltration des parties molles

radiale 16, au spbygmo-manomètre de Potain. Les bruits cardiaques semblent normaux. Le foie n'est pas augmenté ni diminué

r une étendue de 3-il travers de doigt. Les fonctions digestives ne semblent pas altérées. 'La malade n'est pas constipée. E

la substance corticale. La substance médullaire bien développée ne semble présenter rien d'anormal. Dans les ovaires, on

pèse que 8 grammes. Sa couleur est jaune- rougeâtre. La consistance semble normale. Après l'enlèvement du. plastron sterna

ngestionné, mais' on ne constate pas de régions atélectasiées. Il semble exister un petit reste de thymus de la couleur de

résente une couleur rouge brune. Sur une coupe, le tissu conjonctif semble hypertrophié. Dans la vési- cule biliaire on tr

coupe que son tissu est chargé de beaucoup de graisse. L'estomac semble réduit de volume et sa musculature atrophiée. L'i

x. L'utérus est petit, rétracté. Le gros intestin, long de 1 m. 60, semble présenter également une réduc- tion marquée de

ération de la moelle qui élargit les espaces du tissu spongieux qui semble plus abondant. Les articulations ne sont ni déf

ue de notre expérience personnelle, cette dernière supposition nous semble la plus probable. C'est ainsi que deux d'entre

r par un trouble d'ordre pa- ralytique ou par une anomalie osseuse, semble bien pouvoir ètre considérée comme une espèce d

t ordre, bien qu'on ne leur a pas toujours prêté l'attention qu'ils semblent mériter. 46 MARIN ESCO, PARHON ET MINEZ C'est

ient devenues plus abondantes. Elles étaient d'ailleurs, à ce qu'il semble , plus abondantes que d'habitude dès le commence-

commence- ment, à l'âge de 13 ans. A la nécropsie le squelette ne semblait pas malléable. L'utérus portait un fibrome du v

u couteau avec la plus grande facilité,et leur substance spongieuse semble plus rouge que nor- malement. L'examen micros

- lement. ' On ne trouvait nulle part de trace d'inflammation. Il semble s'agir d'un corps thyroïde en hypersécrétion.

moins prononcée, car, ainsi que nous venons de le dire, la scoliose semble dans certains cas pou- voir êlre considérée com

Poncet et Jayet (25) ont fait connaître comme une région goitreuse, semble être aussi un pays à ostéomalacie, et ils citen

et l'ostéomalacie. Les faits que nous venons de citer parlent,nous semble-t -il,pour l'exis- tence d'un rapport étroit entre

qui produisent l'ostéomalacie ? C'est la première opinion qui nous semble correspondre mieux à la réa- lité. En effet,

ion se faisait plus lentement que chez les témoins. L'explication semble devoir être cherchée dans la dose trop grande de

l'étude de l'action du corps thyroïde sur les échanges nutri- tifs semble nous donner la raison de l'influence de cette mêm

ïde exerce une action importante dans le métabolisme du calcium. Il semble résulter encore que pour le maintien normal de ce

place les parathyroïdes . En effet les altéra- lions de ces organes semblent influencer non seulement les fonctions ner- veu

t fréquentes aussi dans l'ostéomalacie. La raison de ces phénomènes semble devoir être cherchée dans l'influence exercée p

bres, remarque dont il faut reconnaître la justesse. Ces faits nous semblent plaider pour l'existence d'une influence des pa

de l'ostéomalacie dans le sexe masculin. Mais cette objection ne semble pas irréfutable, car on peut supposer que le rô

ion de ce syndrome, mais le rôle des altérations thyroïdiennes nous semble le mieux établi. A côté de la théorie glandulai

se. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 63 Ce mécanisme nous semble même très vraisemblable, et il y a lieu d'at- t

misés que chez ceux qui ont subi la para-thyroïdectomie seule. Il semble à plusieurs points de vue exister un antagonisme

rveux en.calcium. / CONTRIBUTION A L'ÉTUDK DE L'OSTÉOMALACIE Il semble bien que les glandes parathyroïdes interviennent

assument parfois le caractère de souvenirs ataviques. Il doit môme sembler tout naturel qu'une cause morbide venant agir p

ut lorsqu'ils ont déjà dans l'ontogénésie une vie transi- toile. Il semble en effet qu'il doit en être ainsi. Les études d

it Leibnitz, qui juge les doc- trines ». Le nom de Presbyophrénie semble avoir été imaginé parKahlbaum, mais la référenc

quelques différences, portant sur des points accessoires. ' « Il semble , par exemple, que la désorientation allopsychique

la voix de leur père ou de leur soeur. Dans tous ces cas, l'alcool semble jouer un rôle important. a Le jugement est bon

ans modification ; l'évolution se fait d'une façon progressive ; il semble pourtant que, dans certaines circoustances, l'aff

élément démentiel. La Presbyophrénie, pour Kraepe- lin, n'est plus, semble-t -il, qu'une forme clinique de la démence sénile,

peut guérir. Ou voit ainsi s'effacer les caractères distinctifs qui semblaient séparer les deux syndromes,et on comprend la di

ns, la Presbyophrénie doit être envisagée comme un syndrome. « Il semble (1) bien que le syndrome presbyophrénique peut s'

apport entre les sphærotrichi et la Presbyophrénie. L'opinion qui semble prévaloir en Allemagne, aujourd'hui, confirmée

veux. Cette in- terprétation, d'après notre expérience personnelle, semble être exacte. Après cet exposé historique et au

atomo-pathologistes eux-mêmes, Fischer excepté, ne prétendent plus, semble-t -il, qu'à décrire les lésions d'une forme clinique

ssif. Complètement désorienté dans le temps et dans l'espace, il ne semble pas se préoccuper de ce qui l'entoure ; il répo

ncères; elle ne s'indigne pas de l'accusation portée contre elle et semble ne pas se soucier des conséquences de ses actes

t noté l'apparition du syndrome de Dercum après l'ovarioto- mie. Il semble donc exister des rapports étroits entre la suppre

er, on est souvent étonné de la justesse de ses réponses. . Il me semble que les troubles visuels de F. out eu un caractèr

ait une certaine proportionnalité entre t'age et les dimensions. Il semblerait donc ne pas s'agir ici simplement d'une forme d

. plus petit il droite qu'à gauche. Ce cas, qui par sa longue durée semblait devoir être utilisable au point de vue des dégé

i le chirurgien réussit, le résultat est plutôt pitoyable : cela me semble confirmé par la présenta- tion de malades que f

e mettait tout cela sur le compte de l'ivresse, qui de plus en plus semblait être continuelle, fait peu étonnant vu l'intemp

iques, dont la maladie a souvent pour cause la syphilis, il ne nous semble pas qu'on puisse ré- pondre par l'affirmative'

rares. Dans certains cas mêmes, la perturbation des actes nutritifs semble prédominer sur les régions réputées saines. Cha

'éviter les complications parfois redoutables de la gan- grène nous semble justifier l'abstention d'une méthode, qui, suivan

font suite sont imprimées sur une sorte de parche- min, nous a-t-il semblé , et collées bout à bout sur une poutre longue de

vend it Angers ; - 1\njou et Touraine avoisinent, mais si comme il semble , le Pourpoint date de 1533, il y avait longtemp

3L curieuses archives de Besançon éditées par le Pileur (-1), où il semble donné comme un mot nouveau : « A causes davoir

isse deviner que En poursuyvant le jeu d'aymer Qui au commencer semble doulx, Mais à la fin ce n'est qu'amer ; La pr

teurs d'alors, à 18 roues tranchantes dont le dessinateur a figuré, semble-t -il, comme des gouttelettes de sang (1) Recueil

ts, extension de tous les orteils difficile à différencier de l'en- semble des mouvements de défense, si bien que le signe d

nous a mis en présence de deux petites tumeurs dont la comparaison semble bien significative à cet égard : toutes deux me

intra-crànienne ; au contraire, la 29 située sur la ligne médiane, semble obturer l'aqueduc : les trois premiers ventricule

nt, sans exagération nette des réflexes tendineux. Enfin, la malade semblait atteinte d'aphasie, ne pouvant articuler que les

issements n'ont duré que 2 ou 3 mois. L'année suivante, la céphalée sembla s'atténuer sous l'influence d'un traite- ment m

et intégrité macroscopique de leurs parois, les plexus choroïdes ne semblent pas non plus nltérés. Au contraire, le 48 ventr

endu. Il en est de même pour le canal de l'épendyme, par contre, il semble que les gaines radiculaires des nerfs spinaux p

u'elle déborde de chaque côté, davantage à gauche tou- tefois. Elle semble obturer complètement l'aqueduc dont elle occupe l

t une constatation analogue à l'autopsie d'une femme de 62 ans, qui semblait atteinte d'une hydrocéphalie congé- nilale, ave

et de la veine de Galien. Tous les faits que nous venons d'énumérer semblent bien démontrer que l'oblitération de l'une des

s ouverte du côté droit que du côté gauche. La globe oculaire droit semble plus enfoncé dans l'orbite et plus petit. La pu

miatrophie de la face, la langue est normale. Les nerfs crâniens ne semblent pas touchés. Aspect spécial de la peau de la ma

que les pores de la peau sont très éloignés les uus des autres, ils semblent rares et plus profonds il cause d'une légère bo

se sont des caractères qui suffisent à établir le diagnostic. Il me semble donc inutile de rappeler aussi les autres symptôm

marqués, même plus marqués que d'ha- bitude. Les pores de la peau semblent plus rares parce que la distance entre eux est

que sa mémoire s'en aille, que ses idées ne se suivent pas. « Il me semble , dit-il, que je deviens fou. » Pour s'oc- cuper

it dans une queue de poêlon... » Depuis quelques jours le matin, G. semble avoir de l'excitation par bouffées relativement

en dépôt et que l'infirmier les lui offre, il n'y touche pas et ne semble pas les voir, mais dès que le garçon les a repl

nce précoce catalonique ? A en juger d'après l'état actuel, il ne semble pas qu'il puisse y avoir d'hésitation. Le table

lequel nous avons insisté il y a déjà plus de vingt ans (1) et qui semble désormais acquis. Toutefois, il est à remarquer

ueux de la colonne cervicale. (Fig. 1 et 2). , Dans ce cas-là, il semble bien que les théories cutanées soient insuffi-

niveau des placards aucun trouble de la sensibilité. Ici encore, il semble bien que nous nous trouvons en présence d'un no

taches pigmentées n'occupent pas tout un seg- ment de membre, et ne semblent pas correspondre par conséquent à un segment mé

tes lâches de la région dorso-lombaire, nous devons avouer qu'elles semblent avoir un trajet un peu trop oblique pont, dessi

e ces causes comme spécifique ; il LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 233 semble que la cause principale soit l'existence d'une di

ertébrés ; pour l'homme, il donne surtout un résumé histori- que et semble accepter les opinions de Dimitrova. Les examens

ayé de les faire porter avec plus de détail sur quelques points qui semblent encore énigmatiques. Matériaux d'études et tech

la contenance des noyaux en chromatine, et non pas dans ce qui nous semble plus important, c'est-à-dire dans la relation ave

ques noyaux en forme de fer à cheval. Certains auteurs, après elle, semblent considérer ces boules comme des vacuoles. Par

r à cheval et dans le proto- plasma. L'origine de ces boules nous semble incertaine. Mais à l'égard de leur situation on

ite indistincte et finalement disparait. Troisièmement et ceci nous semble la preuve définitive : par la méthode de Unna Pap

stent entre ces cellules et ces fibres. » Les auteurs venus ensuite semblent avoir donné leur approbation à cette opinion, A

ces figures sont très exactes,mais c'est leur explication qui nous semble inexacte. Il ne suffit pas en effet de constate

is le tissu se colore moins intensivement au milieu des septa où il semble un peu myxomateux. Les variations de grosseur d

t en faveur d'une sécrétion interne de l'organe. Cependant, il nous semble qu'on peut admettre la possibilité d'une aclion

lande pinéale; et les conclusions qu'on peut tirer des tumeurs nous semblent trop hasardeuses. Les méthodes qui donneront se

Boese sur de jeu- nes lapins avec un résultat négatif; mais il nous semble qu'on doit con- tinuer ces recherches avec quel

/^ celln- les pinéales, dans lesquelles il se fait un processus qui semble sécrétoire. Entre les cellules pinéales on voit

e la basichromatine, on ne peut constater aucune modification et il semble qu'elle ne joue aucun rôle dans le processus de b

est égal à la particule migra- trice... Dans le cas du nucléole, il semble que son issue mécanique doive amener une ruptur

onnelles. » Mais, .revenons aux faits qui nous intéressent, il nous semble que la manière la plus logique d'expliquer la f

la membrane nucléaire ; mais d'après ce que nous avons déjà dit, il semble que ces différentes positions du nucléole sont

a structure, et sa situation a une grande distance du noyau il nous semble peu probable que ce soit l'une de ces formation

t un état d'émaciation extrêmes dus en partie à une tuberculose qui semble d'ailleurs ancienne et stationnaire. Elle avance

ambre antérieure est très légèrement diminuée des deux côtés ce qui semble en rapport avec des opacifications commençantes d

ome est bien moins étendu et ne touche pas le spinal médullaire. Il semble certain quepour une telle lésion, l'on constate

de Pierre Marie demeure in- contestée et incontestable. Mais, il semble que à côté du type pur, classique; de l'acromégal

ision. Sa taille était de 1 m. 78. Elle est la même aujourd'hui. Il semble donc que depuis l'age de 18 ans, c'est-à dire d

tal n'est pas très instructive, mais à la radiographie de profil il semble bien qu'il n'y ait pas une sensible augmentation

, du côté droit 60. Le malade savait d'ailleurs mal s'en servir. Il semble doncque le membre supérieur gauche soit plus fo

es, plus ou moins nettement ébauchés de ces diverses affections. Il semble donc qu'il représente une modalité clinique aty

rs normale. Prenant comme guide les radiographies obtenues, il me semble que c'est tout autrement qu'il faut interpréter

us, p. 114-in8, t. 138. 334 runARoLA l'espèce... » (1). Or, il me semble que cette hypothèse, qui s'appuie sur des donné

ABÉTIQUE ÉTUDE CLINIQUE P\R NOICA (de llllC31'csl). Il nous semble que si la question du mécanisme de l'alaxie chez

étant ronde et polie, elle glisse sur le parquet luisant. Il nous semble que la comparaison avec la jambe de notre ataxiqu

hypotonie dans la station bipède et pendant la marche; mais il nous semble qu'on ne la trouve que rarement à un tel degré

ut, le malade paraît au début un peu gêné dans cet appareil qui lui semble rigide, mais quelques mouvements sur place, ou qu

tion maximale de la moelle épinière dans la région dorsale. Il ne semble pas utile de prolonger celte discussion; la seule

entes mises au point. Contentons-nous de signaler les travaux d'en- semble d'Ettore Levi en 1909 et de Franchini et Tanazi e

ités difformes. Le fait que l'on ait cherché à l'interpréter ainsi, semble bien prouver l'absence de tout carac- tère héré

us de la moyenne, mais beaucoup de bon sens et un bon caractère. Il semble qu'on ne puisse décrire un psychisme spécial de

système pileux fait son apparition et, que la croissance cesse. Il semble donc bien qu'en pareil cas l'hypofollctionnemen

- pés, mais la brièveté relative des membres attire l'attention. Il semble bien qu'en pareil cas, le développement des fon

tion d'achondroplasie 381 de même de sa mère. Ni l'un ni l'autre ne semblent avoir présenté de maladies sérieuses, ni d'alco

niers. Il est un fait sur lequel il convient d'insister et qui nous semble en faveur de cette dernière opinion. Nous voulo

ons parler de la présence de la polydactylie chez les aliénés. Il semble bien que ce phénomène se retrouve plus fréquemmen

ères années deux cas de polydactylie chez des aliénés, et il nous a semblé intéressant de les faire connaître avec les réf

aux. Les réflexes pupillaires normaux. La sensibilité douloureuse semble diminuée. Pas de troubles apparents des viscère

oubles apparents des viscères thoraco-abdominaux. Le corps thyroïde semble petit (i). Pas de der- mographisme prononcé.

ent quand on lui adresse la parole. Attention faible. La perception semble retardée probablement à cause de l'inattention. I

. C'est ainsi qu'il prétend que dans l'hospice dont il méconnaît ou semble méconnaître la signification, il se fait un exa

logique. L'unilatéralité même du phénomène dans ce cas spécial nous semble devoir être interprété dans ce sens. Il en est

elle qui voit dans ce phénomène une manifestation pathologique nous semble la plus con- (1) Cyon, Traileihent de l'acromég

érapeutiques. A. Terrain. Existence antérieure. Vie sexuelle. Il ne semble pas que ces malades aient une hérédité chargée

l'alcoolisme. Enfin l'ablation des mamelles chez un jeune garçon ne semble pas être une inconstance étiologique bien intér

enfin que ces sujets ne présentent pas de myxoedème. En un mot ils semblent plus jeunes qu'ils ne le sont en réalité, et n'

est installée un myxoedème généralisé. Rumpell parle d'une peau qui semble infiltrée de graisse, Sainton de bouf- fissure

mais elle ne prend jamais un caractère aigu, eunuchoïde. Enfin, il semble que lorsque le syndrome s'installe tardivement,

Symptômes dépendant d'autres glandes endocrines. La sicrné- nale ne semble intervenir que d'une façon très accessoire. Pourt

nous paraissent encore plus difficilement explicables : l'hypophyse semble devoir plus raisonnablement être incri- minée q

çon (obs. VII) est étrange, mais reste un fait unique : son exérèse semble avoir favorisé l'éclosion du myxoedème. L'ané

berculose ; nous dirons plus loin les résultats nécropsiques. Il ne semble pas que les essais opothérapiques aient été couro

tzy pratique l'ablation mysti- que des glandes sexuelles mâles : on semble s'êtl e j IIStj u'a ujourd'hui moins préoccupé

castrés chirurgicaux ne reparaissent guère devant le médecin et ne semblent que rarement modifier leur babitus. Quand ils le

tées dans les syndromes pluriglandulaires n. D'ailleurs, Gougerot semble avoir récemment voulu dissocier ce syn- drome d

in qu'en pareil cas la dysthyroïdie ait eu le rôle primordial. Il semble en être de même dans les cas de Rumpell, de Djemi

Dans certains cas enfin, la thyroïde et le testicule (ou l'ovaire) semblent être atteints simultanément, comme le pensent C

if entraîne en outre chez la femme une série de modifi- cations qui semblent faire subir à son corps une évolution rétrograde

raient point pourvus d'îlots lesticulaires eclopiques. En somme, il semble que, par leur sécrétion interne, les testicules a

des rapports finit par disparaître ainsi que tout désir sexuel. Il semble donc qu'il faille admettre que par sa sécrétion

st le féminisme qui est réalisé et dans d'autres l'infantilisme. Il semble que c'est surtout chez les sujets encore jeunes,

ticules et n'ayant aucun trait d'infantilisme ou de féminisme. Il semble que, indépendamment de. l'hypothèse toujours poss

des érections, etc.. Pour en revenir à l'infantilisme régressif, il semble que tantôt on relève nettement une atteinte pri

urs et de la face. La peau est pâle, non infiltrée de graisse, ne semble pas épaissie, n'a pas de rides, sauf au niveau

, cutanées (gommes), ganglion- naires. L'opothérapie thyroïdienne semble donner une amélioration passagère. A l'autopsie

ILISME RÉGRESSIF OU TARDIF 441 1 Depuis 3 à 4 ans enfin, les forces semblent avoir réapparu, il a pu porter des fardeaux ; i

gent, la faible pression artérielle (85 mm. au Recklin- ghausen) en semblent des preuves suffisantes. . Le rôle de l'hypophy

taire ou d'oedème. Les 01 ganes 9p.n/tallx sont modifiés ; la verge semble à peu près normale de consistance et d'aspect;

ididyme est perçu isolément d'une façon curieusement nette et il ne semble pas atrophié ; les cordons ne laissent percevoi

s ; il la provoque, essaie un coït, incomplet en général, et qui ne semble pas suivi d'émission spermatique : nous n'avons

très nettement la diffé- rence qu'elle y voit. L'intelligence ne semble pas touchée : ses fonctions bureaucratiques sont

ire ou de la voix qui ne s'est pas modifiée. Le corps thyroïde ne semble pas atrophié 1 la palpation : il n'y a pas d'in-

e mul- tiplient chaque jour. Cette conception, inconnue avant 1907, semble aujourd'hui si naturelle que beaucoup croient q

- sance pluriglandulaire interne thyroïdo-testiculo-surrénale. Elle semble calquée sur celle de Claude et Gougerot, publié

nt survenus alors que tous les accidents étaient constitués, ils ne semblent pas avoir aggravé la mar- che de la maladie.

, le tronc et les membres sont un peu amaigris : la peau est lisse, semble un peu épaissie et blafarde. L'absence de poils s

taire, contractant une blennorragie qui n'a pas eu de suite ; il ne semble pas avoir eu la syphilis dont on ne trouve aucun

de nombreux acini pleins de colloïde normal, mais la résorption ne semble pas se faire. Ces lésions de sclérose et d'atro

ption ne semble pas se faire. Ces lésions de sclérose et d'atrophie semblent un peu plus marquées encore que dans le cas de

habituel ; on note quelques très rares spongiocytes. La médullaire semble peu lésée : sclérose légère diffuse, cellules rét

entent pas de lésions en- docrines évidentes ; à peine les cellules semblent -elles plus petites, plus dis- sociées et mal ra

ids moyen d'après Launois), elle est sclérosée. Les cellules nobles semblent altérées, mais leurs lésions sont difficiles à in

sont très dilatés, gorgés de globules rouges. Les cellules nobles semblent altérées : les cellules cyanophiles, petites et

substance colloïde ni dans les vaisseaux, ni entre les cellules, il semble donc bien qu'il y ait hypofonctionnement. Le fo

t supposer la clinique. La pathogénie et l'étiologie de ce syndrome semblent les mêmes que dans la première observation de C

t avoir échappé ci l'observation médicale. Les faits de ce genre ne semblent pourtant pas d'une rareté exceptionnelle. En ou

es lorsqu'on imprime des mouvements passifs à ces articulations qui semblent quelque peu élargies. Cette condition rappelle

l'identité de nature de leur cas et des nôtres. En conséquence, il semble justifié de considérer la micromélie humérale c

la possibilité de re- lations causales dans les cas considérés. Il semble suffisant de consigner ici les faits. Néanmoins

des conditions particulièrement favorables à cet égard, vient, nous semble-t -il, établir sur des bases précises l'analogie que

dans une zone de la peau qui a perdu le sens du toucher. Il nous semble que ces expériences prouvent une fois de plus le

on du réflexe à la lumière, dans les conditions que j'ai précisées, semble patho- gnomonique de la syphilis acquise ou del

laire ; mais, en réalité, à l'état mono-symp- tomatique ce signe ne semble pas avoir de valeur clinique. Il n'en a pas non

l'épilepsie partielle, dans l'empoisonnement par la strychnine; il semble même qu'il puisse parfois constituer le seul indi

tue donc pas une minutie ; telle particularité qui, à première vue, semble un détail sans importance acquiert parfois un i

» ou « un rétro ». Je vais indiquer maintenant les attitudes qui semblent les meilleures pour la recherche de chaque réfl

t formant un angle obtus avec l'avant-bras. Cette autre position me semble préfé- rable : l'attitude du membre supérieur e

e ; mais avec les procédés usuels, clans un grand nombre de cas ils semblent faire défaut. Ce que nous venons de dire sur le

s certains cas de faire apparaître un réflexe tendineux qui m'avait semblé aboli : c'est la percussion plusieurs fois répé

référons une classification moins physiologique mais plus clinique, semble-t -il. Au point de vue qui nous occupe, on peut cl

xiste un trouble tabétique, le plus saillant de tous, l'ataxie, qui semble s'accompagner nécessairement d'irréflectivité ten

question fut reprise expéri- mentalement, et voici les données qui semblent résulter des recherches RÉFLEXES TENDINEUX ET R

minutes après l'exécution. » . Cette observation, à première vue, semble décisive. Cependant on pour- rait objecter que

. Mais une irritation portant sur l'extrémité des fibres sensitives semble pouvoir déterminer une exagération des réflexes

eaux pyramidaux, les causes de l'irréflectivité prévalent toujours, semble-t -il, sur celles de la surréflectivité. Les réfle

aitement sains, le réflexe abdominal et le réflexe cutané plantaire semblent même faire défaut ; l'irréflectivité est alors

X ET RÉFLEXES OSSEUX 77 comparaison des deux espèces de réflexes ne semble pas avoir beaucoup d'intérêt. Elle mérite au co

idaux fait défaut ou bien est très légère ; c'est, du moins, ce qui semble ressortir des observations anatomo- cliniques r

se portent simultanément en avant et le malade, vu du côté gauche, semble aller l'amble ; en réalité le mouvement en avant

stérie ou plutôt être simulé par l'hystérie. Quoi qu'il en soit, il semble pour le moins plus rare dans l'hémiplégie hysté

- ture hystérique crurale paraissant pure, delà trépidation qui m'a semblé identique à l'épilepsie spinale. Je suis porté

és par la suggestion et l'identité de ces deux ordres de paralysies semble bien montrer que la paralysie qui relève de l'h

igne doit donc faire défaut dans l'hémiplégie hysté- rique et, s'il semblait exister dans un cas, il s'agirait probablement d'

n; aussi, quoique je ne l'aie jamais observé dans l'hystérie, il me semble fort possible qu'exceptionnellement il s'y trouve

t sur la genèse desquels la volonté, l'imagi- nation, la suggestion semblent sans influence. Voici, résumés dans un tableau,

ervation apparente de l'intelligence de cette malade, c'est qu'elle semblait ignorer l'existence de l'hémi- plégie presque c

nombreuses années, elle tenait parfois des propos qui, de sa part, semblaient étranges. Mais sa mémoire était excellente, sa co

ques hémiplégiques qui, sans ignorer l'existence de leur paralysie, semblaient n'y attacher aucune importance, comme s'il se fût

at normal. Je rappellerai ici comment fut découvert ce signe qui me semble être le critérium de l'exagération des réflexes

le diffuse, soit par une compression de la moelle ou du bulbe, elle semble liée, particulièrement quand la contracture en

retrait de la cuisse et celui de la jambe qu'on peut observer alors semblent volontaires et diffèrent d'habitude des réac- t

suivant : « Le fait intéressant pour la question qui nous occupe me semble être celui-ci : la possibilité presque constante

que les fléchisseurs. L'interprétation donnée par mes collègues me semble discutable. Elle ne permet guère de comprendre

marquer que Marie et Foix, malgré leur désaccord apparent avec moi, semblent avoir dans le fond une opinion analogue à la mi

». N'est-ce pas absolument conforme à ce que j'ai soutenu ? Il me semble intéressant, à l'appui de ma thèse, de noter que

s sont parfois d'une intensité moyenne, ils peuvent être faibles et semblent même abolis dans certains cas. Je sais bien que l

ation dans le sys- tème pyramidal, n'en dénote pas la gravité... Il semble même qu'il puisse parfois constituer le seul in

t relatif au niveau, j'ai dit autrefois et tous les neurolo- gistes semblent d'accord là-dessus, que les réflexes de défense s

fléchisseurs. Un passage de l'observation précédente de Lhermitte semble montrer qu'il n'en est pas toujours ainsi. A la

, éditeur), p. 09. RÉFLEXES DE DÉFENSE </)5 5 Cette opinion me semble en contradiction avec certains faits. Vous verrez

amidaux fait défaut ou bien est très légère ; c'est du moins ce qui semble ressortir des observations anatomo-cliniques re

j'écrivais ceci, p. 135 : « Des lésions bilatérales de l'encéphale semblent pouvoir donner naissance à un syndrome analogue

ans une publication récente à laquelle j'ai déjà fait des emprunts, semble faire quelques concessions tout en conservant en

Sauf ces derniers phénomènes, le fonctionnement du système nerveux semble absolument normal. Est-il permis de soutenir en p

(seule mode de réaction que j'envisage r : ï6 ,)6 SÉMIOLOGIE ici) semble bien pouvoir être interprétée comme un retour à u

ue lorsque les excitations portent sur la région plantaire. Il me semble intéressant de rappeler à ce propos que dans les

flexion, à l'état physiologique le mouvement des orteils, la flexion, semble avoir une autre signification que la triple fle

is eu l'occasion de le constater chez des nourrissons et il m'avait semblé qu'il persistait approximativement jusqu'à la p

roit antérieur qui peut être incriminé en pareil cas, et voici quel semble être le mécanisme du phénomène : tant que la ja

and le pied est excité sur son bord externe. De ces observations il semble permis d'inférer que, dans le cas où l'on trouve

itude dans les anesthésies organiques : parfois cependant la limite semble inconstante, comme dans l'anesthésie psychique,

nt à des malades présentant le syndrome de Brown- Séquard, état qui semble particulièrement favorable à la mise en évidence

lexe de flexion de l'avant-bras est normal ; le réflexe d'extension semble affaibli. Les autres réflexes tendineux, vifs à g

t qu'il se produit sous le même aspect à chaque excitation. Il nous semble inadmissible qu'un phénomène aussi paradoxal, une

ine perçues ou même non perçues, les réflexes que nous avons en vue semblent liés, au moins pour une part, à l'hyperalgésie ;

vu dans l'observation II, la disparition de ces réactions spéciales semble avoir coïncidé avec la régression de l'hyperalg

rtains cas de paraplégie spasmodique où la motilité volition- nelle semble complètement abolie, on peut la faire transitoire

ce genre, d'asso- ciations hystéro-organiques. Cette hypothèse nous semble très peu vrai- semblable ; en effet, la réappar

èse des troubles que l'on constate chez un cérébelleux. Il nous a semblé qu'il était, avant tout, essentiel de rapprocher

tion de ce trouble de la déambulation me paraît donc légitime. Elle semble encore plus fondée quand on considère l'attitude

'on critique notre façon d'interpréter ces faits, leur réalité nous semble à l'abri de toute contestation. ADIADOCOCINESIE

e de certains cérébelleux d'avec la démarche des ataxiques, il nous semble que ni l'un ni l'autre de ces deux modes de déa

ls fassent, que leurs yeux soient ouverts ou fermés. » De ces faits semblent découler des conséquences que nous avons égale-

En disposant l'expé- rience de cette manière, il est impossible, me semble-t -il, de supposer que le courant agisse sur l'ore

du vertige voltaïque, l'excitation du vestibule et des ampoules me semble jouer un rôle capital, car lorsqu'on les a détr

e rotation de la tête et parfois aussi du tronc. La région qui me semble la plus excitable est celle qui se trouve au de

ployé simultanément deux circuits électriques indé- pendants, il ne semble pas que ce dispositif ait été utilisé d'une maniè

e l'hypo- excitabilité faradique et l'inexcitabilité absolue ; elle semble constituer le stade ultime de la contractilité

et être taillée aux dépens de la D. R. complète classique. Il ne semble pas impossible, du reste, que dans certains cas,

es ovaires et l'utérus sont très petits; d'après leurs dimensions ils sembleraient appartenir à une fillette de 8 il 10 ans. Cet

fantilisme était sous la dépendance de cette lésion présumée. Il me semble toutefois que l'idée d'une relation de cause à

fluence de la décompres- sion, mais en raison de sa netteté, il m'a semblé digne d'être relaté. Je le rapprocherai d'un au

tre dans mon service à la Pitié le 6 janvier igog. Son intelligence semble normale. Il a un aspect cachectique. Les vomissem

à certains moments. Le malade est somnolent, mais son intelligence semble intacte, et il répond correcte- ment aux questi

igts de la main ; l'acuité visuelle est 2/10. Le goût et l'odorat semblent affaiblis. Ce même jour, on pratique une poncti

ontale. La localisation de la céphalée à la région frontale m'avait semblé un argument important à l'appui de cette hypoth

SIONS CÉRÉBRALES limitée à la région frontale. L'examen post mortem semble montrer que j'avais eu raison d'attacher de la

ements commandent au moins une trépanation décompressive. Il nous semble tout indiqué d'opérer au niveau de l'exostose.

Weill a pratiqué l'examen du larynx et l'a trouvé normal. Le malade semble obnubilé, déprimé, ne répond aux questions qu'on

he. M. Chaillous constate très nette- ment deux taches blanches qui semblent dues à la présence de fibres à myéline et qui (

légie, la paralysie peut siéger du même côté que le néoplasme. Elle semble montrer enfin que ces hémiplégies paradoxales, do

dangers de cette interven- tion dans les cas de tumeur cérébrale me semblent avoir été considéra- blement exagérés, on a pub

dont les dangers, que je ne conteste pas d'une manière absolue, me semblent avoir été très exagérés, ainsi que je l'ai dit pr

on occipitale elle peut donner lieu à de l'hémianopsie. Le cervelet semble plus accommodant, et les troubles qu'entraîne l

es émotions les accentuent, mais les alternatives en bien et en mal semblent aussi bien souvent indépendantes de toute cause.

on sur l'exagération du réflexe du triceps bra- chial gauche, qui semble bien dénoter une irritation du faisceau pyramid

titre quelconque dans la pathogénie des symp- tômes, ce trouble me semble ne pouvoir être qu'un trouble consécutif à un p

s d'un traitement hydrargyrique (après examen du sang), dont la fin semble avoir coïncidé avec une atténuation des trouble

six mois. Au contraire, les mouvements spasmodiques de l'extrémité semblent alors moins prononcés qu'à l'état de repos. Le

formé et dévié par une exostose. A part cette légère claudication, il semble au premier abord que le membre inférieur ne soi

ée et se contracte normalement. Les faits que je viens de rapporter sembleront peut-être banaux. Il est facile, en effet, en s

on soit alors impos- sible, mais je la crois exceptionnelle. Or, il semble qu'il n'en soit pas de même pour ce qui concern

ction du spinal, j'ai déjà cherché à expliquer ce fait qui pourrait sembler para- doxal, à savoir que le maximum d'améliora

'aggravation, le défaut d'activité n'est pas aussi complet qu'il le semble au premier abord. Quand on l'y invite, elle est

ou à émettre un son. Sa tête, son visage, restent figés et elle ne semble ne faire aucun effort pour exécuter l'acte comm

à réci- ter une fable entière d'une manière correcte. Mais cela ne semble vrai que pour les réponses où seule la mémoire

ment sur les syndromes parkinsoniens, le trouble dont nous occupons semble être lié à une altération du système pallidal.

riel a rapporté des faits analogues. En outre, et c'est ce qui nous semble plus particulièrement intéressant, nous pouvons m

ier ces troubles d'une manière très appréciable, par une action qui semble d'ordre purement psychique. Dès les premiers jour

l'âge de 3o ans, en avril 1894, il se maria et à ce moment sa santé semblait parfaite. Six jours après son mariage il fut pr

ne paralysie faciale gauche. De plus il avait des vertiges ; il lui semblait que les objets qui étaient devant lui se déplaç

ts de flexion, d'extension, d'inclinaison et de rotation de la tête semblent être exécutés d'une manière à peu près normale de

s pieds sont en quelque sorte figés au sol. L'occlusion des yeux ne semble pas avoir une grande influence sur le maintien de

est obtenue. Cette fixité est remarquable par sa perfection ; elle semble même supérieure à celle qu'est en mesure de réali

ns désagréable à droite, mais la compression des masses musculaires semble plus douloureuse de ce côté qu'à gauche. La m

s rare de les constater dans l'hémiplégie organique, à laquelle ils semblent alors liés ; mais dans le cas qui nous occupe i

er une sensation anormale il droite; le côté gauche ne lui a jamais semblé plus chaud qu'il ne devait être, mais dès le débu

à la vérité, paraissent normaux. La sensibilité au tact des membres semble un peu diminuée, la sensibilité à la piqûre et

rrive simple- ment à atténuer un peu la flexion, mais ces tractions semblent provoquer de vives douleurs et sont suivies de

mbres inférieurs. La sensi- bilité au tact, à la piqûre et au froid semble normale. Il y a de l'incontinence d'urine et de

nte de toute dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux, mais semble même dénoter que ces faisceaux sont normaux ou ne

'a jamais eu de sa vie de manifestations hysté- riques, qu'il ne me semble pas suggestionnable et que de plus, étant donné

Plusieurs ponctions lombaires sont successivement pratiquées ; elles semblent atténuer les troubles et en particulier l'oedèm

de l'opération. La dure-mère étant incisée autour de la partie qui semble malade, il constate qu'il existe effectivement

e maximum d'intensité possible. Parfois même les réflexes tendineux semblent très affaiblis ou abolis, sans que la contractili

petit à défigurer et à trans- former. Mais, dans certains cas, qui semblent rares, il est vrai, les signes essentiels de la

du bulbe par un néoplasme. Des lésions bilatérales de l'encéphale semblent pouvoir donner nais- sance à un syndrome analog

te, nous l'avons vu, aucun signe d'oblitération artérielle, il nous semble rationnel de rattacher les troubles circulatoires

de même. Dans la période de douze heures qui sépare les crises ils semblent faire défaut ; il subsiste seulement un peu de

e père et la fille, l'idée de syphilis transmise héréditairement me semble s'imposer à l'es- prit, et les dénégations du p

suivre jusqu'au bout l'évolution fatale de son atrophie. Il nous a semblé qu'à cette observation, il serait intéressant d

ions bien vivement. L'étude du champ visuel de l'atrophie tabétique semble à priori banale. Nous espérons montrer que la r

Le scotome central dans l'atrophie tabétique sans lésion surajoutée semble excessive- ment rare. Cette rareté semble encor

ue sans lésion surajoutée semble excessive- ment rare. Cette rareté semble encore plus significative si l'on songe à la fr

il nous a été donné d'observer certaines jL particularités qui nous semblent dignes d'être rapportées. Chez un premier malad

isqu'il est noté dans l'obser- vation de la malade : « L'anesthésie semble intéresser le domaine des cinq racines lombaire

culaires existent chez des malades atteints de lésion médullaire et semblent devoir être rapportés à cette lésion ; nous appor

de la région cervicale de la moelle, malgré leur fréquence, ne nous semblent pas avoir été JL suffisamment étudiées. Nous pe

'. La malade attire l'attention sur quelques troubles de la vue qui semblent devoir être mis sur le compte d'une accommodati

les objets éloignés, ceux qui sont près manquent de netteté et lui semblent « couverts de brouillard ». Il n'existe pas de

n de l'avant-bras sur le bras est très faible, surtout à droite où il semble parfois faire défaut ; la percussion de l'omopl

excitations tactiles, dou- loureuses et thermiques sont perçues, il semble pourtant que le chaud et le froid soient sentis

ite, les lésions de l'arachnoïde étant les plus accentuées. Il nous semble donc préférable d'appliquer à ces altérations l

dullaire comme dans certaines observations. Les lésions médullaires semblent dues beaucoup plus à l'irritation méningée qu'à l

yramide droite est en effet envahie par du tissu de sclérose (S) et semble en partie détruite, mais il ne s'agit là encore q

cervicale hypertrophique. 2° La compression qui macroscopiquement semblait très grande (défor- mation de C3C4) n'a cependa

vent difficiles et comportent des causes d'erreurs. Celles-ci, nous semble-t -il, proviennent en partie de ce que l'on n'a pa

, moins attentif et plus disposé à commettre des erreurs. Il nous semble qu'il nous serait permis de rapprocher cette vari

ure de nous prononcer d'une manière ferme. Quoi qu'il en soit, il semble permis de conclure de ces constatations que si

u supérieur de la compression spinale. Cette proposition pourrait sembler , à priori, contraire à l'opinion cou- rante, d'

ers ; au contraire, les compressions par tumeur juxta-médullaire ne semblent guère curables que par l'acte chirurgical ; il

aspect nacré, qui donne l'impression d'une tumeur. Un prolongement semble pénétrer dans le canal Fig. 5g. Obs. I. Mme B.

ien et l'autre la cavité thoracique. Une ponction exploratrice nous semblait pouvoir donner quelques renseignements utiles au

va, comme nous, à cette conclusion que le diagnostic de mal de Pott semblait devoir être exclu. A l'appui de cette opinion il

. Toutefois, d'après quelques observations faites par les siens, il semble que ces troubles sont de date plus ancienne. La

teur de D 8/g ; leur limite atteint celle des troubles sensitifs ou semble même la dépasser quelque peu. La malade se plai

la radiographie on voit le lipiodol encadrer une figure ovoïde qui semble représenter la masse faisant obstacle au passage

cas de ce genre ('). Mais l'observation que nous venons de relater semble établir que les troubles dépendant d'une compress

intervention chirurgicale avait donc eu d'abord un résultat pouvant sembler désastreux. Mais l'aggravation, comme on l'a vu,

cté ne pourrait-il pas être dans une certaine mesure incriminé ? Il semble bien qu'il peut exercer une irritation sur les mé

dentes : Il serait sage, dans les cas où une compression par tumeur semble probable, de ne soumettre le malade à l'épreuve

plasiques occu- pant le renflement lombaire ; d'autre part ceux qui semblent sous la dépendance de la myélomalacie et des ca

ue le réflexe rotulien, loin d'être exagéré, est aboli ; elle ne se semble pas non plus pouvoir être rattachée à une exagé-

ONS DE LA MOELLE gère (type extension-flexion) avec anesthésie nous semble presque patho- gnomonique d'une compression spi

lité tactile. Les troubles de sensibilité cantonnés dans cette zone semblent bien sous la dépendance de lésions radiculaires

lésion ? Il est permis de faire à ce sujet deux hypothèses qui nous semblent également acceptables. On peut supposer que la

évolution de la maladie, la guérison, aujourd'hui presque complète, semblent indiquer que les altérations n'étaient pas très

ent le mal; d'autre part une électrisation énergique du nerf facial semble l'atténuer pour quelque temps; enfin' le malade

ce sont des changements de forme plutôt que des déformations; il me semble naturel de réserver ce mot à des modifications

, de l'importance parce que, si j'en juge par mes observations, ils semblent constants dans cette affection, et parce qu'il

bien ne peut-il pas avoir une autre origine Cette dernière opinion semble admise à l'heure actuelle. M. Brissaud, en effet,

l on soit en mesure d'obtenir un fait de ce genre. De plus il ne me semble pas prouvé qu'en pathologie humaine il y ait de

maladie systématique et héréditaire (hérédité souvent directe), il semble a priori assez légitime d'admettre qu'elle doit

tri- ceps brachial droit est conservée. 3° En raison du lien qui semble unir la perturbation des réflexes tendi- neux e

d nombre des travaux dont l'hystérie a été l'objet, les médecins ne semblent pas se faire tous une conception identique , V

ui, comme le mot DÉFINITION DE L'HYSTÉRIE 45g « hystérie », ne me semble pas avoir été défini avec une précision suffi-

he à guérir par persuasion certains malades sur les- quels ce moyen semble a pri01'idevoir agir efficacement. Voici, par exe

tolérable ; admettons de plus que ce malade soit hypno- tisable. Il semble vraiment qu'un cas de ce genre réunisse les meill

j'ajouterai que, dans les cas d'hysté- rie où la psychothérapie ne semble pas donner de résultats, l'échec est toujours d

lle on puisse tracer des traits distinctifs aussi spéciaux. Elle me semble aussi inattaquable au point de vue pratique ; n

nmoins, on conserva le terme « hystérie » parce que cette affection semblait tout au 3AllIS9Sl. Où 466 Il YS TÉRIË-PITIIIA

e ce mot consiste simple- ment dans l'énonciation des attributs qui semblent appartenir en propre à cet objet. Si l'hystérie

uelle consis- tant à lui traverser les téguments avec des aiguilles semble avoir démon- tré une abolition des perceptions

idèle qu'il est impossible de distinguer la copie du modèle ; il me semble inutile d'insister sur ce point, car je ne trouve

rche à guérir par persuasion certains malades sur lesquels ce moyen semble a priori devoir agir efficacement. Voici, par e

olérable; admettons, de plus, que ce malade soit hynopti- sable. Il semble vraiment qu'un cas de ce genre réunisse les meill

quelques uns de ses défauts et le résultat que vous obtiendrez vous semblera surtout appréciable si, par bonheur, votre trai

térie. On observe parfois dans l'hystérie, une émission d'urine qui semble in- dépendante de la volition, mais ce n'est qu

de la suggestion dans leur genèse est patent, tandis que les autres semblent apparaître sponta- nément sous l'influence de l

me on le disait jadis. C'est un point désormais acquis ; mais il me semble intéressant de recher- cher les motifs qui avai

les trai- tés classiques, n'était pas mise en doute, et il m'avait semblé que mon observation n'avait pas besoin d'être a

'une manière éclatante le revirement d'opinion de ceux-là mêmes qui semblent le plus attachés à la conception traditionnelle.

it, se sauve et se rétablit ainsi d'une manière subite. Ici l'émotion semble bien être la cause de la guérison et pourtant,

ui permettre de se persuader que son état était curable. Il ne me semble donc pas prouvé que les accidents pithiatiques ai

oisième groupe des phénomènes que nous avons passés en revue. Il me semble qu'il ne peut guère y avoir d'hésitation à cet

grènes, d'hémorragies cutanées, soit d'oedème d'un membre. S'il lui semble impossible d'établir une relation directe entre

ffirmé qu'on allait l'endormir, on constate qu'il ferme les yeux et semble ne plus pou- voir les ouvrir, que ses membres p

es, plus ou moins parfaites, plus ou moins frustes. Tantôt le sujet semble étran- ger à ce qui se passe autour de lui ; il

der au médecin de chercher à les hypnotiser pour les guérir, ce qui semble prouver que l'hypnotisme, en ce milieu, était pri

de diverses manières, entrer en communication avec lui, bien qu'il semble dormir profondément. Vous dites, par exemple : «

e serait prêté depuis longtemps à des expé- riences d'hypnotisme et semblerait , d'après des témoignages dignes de foi, avoir é

donnée la présence ou l'absence de certaines conditions qui sont ou semblent être propres au développement d'accidents nerveux

nterven- tion ces stigmates ne se développaient pas ; la suggestion semble donc constituer pour leur genèse une condition

et à préserver les voisins de la contagion. De ce qui précède ne semble-t -il pas se dégager que l'émotion, du moins l'émo

grand nombre d'individus placés dans des conjonctures ou l'émotion semble immanquable, et ont été à même de les observer

orateurs, ne se bornant pas à publier ce cas comme simple document, semblent en tirer des déductions générales sur la nature

aires, ne les ont pas trouvés non plus. MM. Tinel, Baruk et Lamache semblent en faire bien peu de cas puisque, dans leur obs

cédé leur disparition immédiate ou très rapide et définitive. Il me semble impossible d'admet- tre que, se comportant de p

à ce propos que, comme je l'ai fait remarquer, les grandes émotions semblent même exclure les accidents hystériques. La noti

l l'avis des plus compétents que moi est encore très partagé. Il me semble résulter nettement de tout ce qui précède qu'il e

n'avons trouvé qu'une observation, recueillie par Chartier qui put sembler en opposition avec cette manière de voir. Il s'

ment évidente, tellement indiscutable que l'on n'aurait pas hésité, semble-t -il, si l'on n'avait pas pratiqué une ponction lom

'observateur ; ils s'effacent et tendent à disparaître dès qu'on ne semble plus y prêter attention. C'est certainement grâ

ou crurales. La plus fréquente de toutes ces formes de paralysie semble être la para- plégie. Elle se développe le plus

la réflec- tivité plantaire peut être abolie. Cette irréflectivité semble alors liée aux troubles vaso-moteurs et à l'hyp

o-nerveux, l'existence d'une lésion organique sans doute vasculaire semble tout au moins probable et ren- drait compte de

ique. Nous exposerons plus loin les raisons pour lesquelles il nous semble permis de considérer ces accidents comme étant

nt une perturbation physique, matérielle du système nerveux, ils ne semblent pas correspondre à une lésion nerveuse susceptibl

st réservée dans les Traités de Neurologie les plus modernes, il ne semble plus que, dans ces derniers temps, on y ait att

ans l'hémiplégie organique,la poliomyélite et les névrites, mais il semble que l'attention n'a pas été suffisamment attiré

dues à des blessures par projectiles, alors même que ces lésions ne semblent pas avoir causé de dégâts notables, que les tro

de flexion et de rotation interne de la cuisse sur le bassin qui ne semble pas en proportion avec les troubles de motilité

de la région traumatisée. Ajoutons que l'intensité des troubles ne semble pas être en raison de la durée de l'infection,

omplète d'un segment de membre. Cela n'est pas impossible mais nous semble au moins tout à fait exceptionnel. Il faut reconn

ette étude des cas où les troubles vaso- moteurs sont bilatéraux et semblent en rapport avec une disposition constitutionnel

tères qui nous a frappés au cours de nos investigations et qui nous semble important, est la surexci- tabilité mécanique d

une manière sensible du côté sain ; quelquefois cependant il nous a semblé que, chez de tels sujets, la réfrigération du m

comme un corps inerte, elle se déplace passive- ment en tous sens, semble obéir uniquement aux lois de la physique. Enfin

es caractè- res (brusquerie, polycinésie). Les réflexes tendineux semblent plus souvent exagérés dans les contrac- tures d

s réflexes et les contractures hystériques une distinction qui nous semble fonda- mentale. (1) J. Babinski et J. Froment

e domaine du nerf irrité. L'in- tervention d'un facteur « réflexe » semble encore plus évidente dans ces cas de causalgie

que rapporte Clovis Vincent et dont nous faisons quelques extraits semble rentrer dans ce cadre. Il s'agit d'un sujet attei

plitude sous l'influence de la réfri- gération et de l'anémie. Il semble , à première vue, y avoir une certaine contradicti

s caractères sémiologiques. En résumé, la pathogénie «réflexe» nous semble rendre compte de toutes les particularités du s

actures en flexion de la jambe sur la cuisse. Au deuxième mécanisme semblent répondre particu- lièrement ces états parétique

éder est particulièrement indiquée lorsque les troubles de motilité semblent hors de proportion avec les phénomènes dont la

échec avéré de toutes tentatives thérapeutiques, il n'y a pas lieu, semble-t -il, dans tous les cas où, la réalité des troubles

isemblable, et ces deux faits, particuliè- rement le dernier, m'ont semblé dignes d'être rapportés. II RÉSULTATS THÉRAPE

le procédé des injections de lipiodol imaginé récemment par Sicard semble plein de promesses et permettra sans doute de f

une épidémie de grippe, trois semaines après l'intervention qui ne semble pas pouvoir être incriminée. Dans les 6 autre

scendre. Une autre malade (3), chez laquelle le début des accidents semble très ancien, pré- sente à la fin de 191 à l'épo

; raideur musculaire peu prononcée. La sensibilité à la température semble à certains moments un peu affaiblie aux membres

esquelles les symptômes se sont développés et leur mode d'évolution semblent montrer que les troubles sont sous la dépendanc

N'y aurait-il pas eu, là aussi, une action thérapeutique ? Il me semble que ces observations méritent au moins d'être le

ie suivie de l'ablation de l'utérus, des trompes et des ovaires. Il semble bien, d'après les renseignements qui nous ont é

et des troubles de sensibilité à gauche (syndrome de Brown-Séquard) semble montrer que la lésion spinale est plus marquée

la malade n'a jamais présenté aucune manifestation hystérique, elle semble tout à fait normale au point de vue psychique e

en partie sur les faits précédemment relatés où la radiothérapie a semblé aussi être très efficace, me semble surtout fac

t relatés où la radiothérapie a semblé aussi être très efficace, me semble surtout facile à admettre si l'on accepte, au m

it lieu de soumettre les malades à l'action d'un agent physique qui semble susceptible de procurer une amélioration apprécia

ication. Dystrophie génilo-glandulaire est la dénomination qui nous semble convenir à de tels cas. L'importance du sujet a

ites par les vaisseaux super- ficiels ; ces impressions vasculaires semblent s'accentuer à mesure qu'on appro- che du pôle f

que droit est envahi par une grosse cloison de tissu conjonctif qui semble le diviser en deux moitiés ; de chaque côté les

it pas d'une simple déformation de l'encéphale ; d'autres anomalies semblent prouver . qu'il y avait une augmentation perman

tie par la minceur de l'os en ces points; mais une autre cause nous semble intervenir : c'est la différence d'épais- seur

sion n'a pas eu un effet identique sur les deux hémisphères ; elle semble avoir porté davantage sur le gauche, qui dispos

ype acromégatique. Voici le passage « Même dans les observations où semblent coexister neurolibromatose et acromégalie, les pr

s psychique dans la genèse du mouvement volon- taire simple*. Il me semble que le 'résultat de ces'recherches peut être ré

Sherrington après la section des fibres proprioceptives. , Il me semble que la signification du système autonome pour la

bureau ou dans la rue, il est pris de vertige pendant lequel il lui semble que tous les objets ou personnes qui l'entouren

il a eu depuis 9 mois jusqu'aujourd'hui trois grands accès. Il lui semble que tout d'un coup tout ce qui l'entoure se met

pénibles, survenant tous les huit on quinze jours. Elle dit qu'il lui semble recevoir un grand coup sur le front et sa cépha

n pratique notre méthode, s'en rendre compte immédiatement. Il me semble que les résultats de mes expériences contribuent

diagnostique est évidente. Mais outre la valeur diagnostique, il me semble que les résultats de mes expériences contribuen

La plupart de ses fascicules sont moteurs. Ses fascicules sensitifs semblent peu importants et il ne contient que peu de filet

le'degré de paralysie du fléchisseur profond et des interosseux. Il semble qu'il faille tenir un grand compte des suppléan

es interviennent rendant cette griffe absolument irréductible. Il semble qu'en dehors de la tonicité des fléchisseurs prof

ion des deux dernières phalanges. Un certain tonus des fléchisseurs semble persister puisqu'il y a une très légère incli-

plus fine, les crêtes épidermiques effacées, les couches profondes semblent avoir fondu ; la peau se plisse de plus en plus à

e ont tendance à déborder leur rainure d'incrustation. L'atrophie semble s'étendre aux os, toute la main s'affine et s'éti

ons vasculaires par angustie ou oblitération artérielle. Bref, il semble que les troubles vasomoteurs et trophiques conséc

ue le cal était déjà formé qu'est apparue l'attitude vicieuse. Il semble donc qu'elle dépendît d'une irritation datant de

t l'un vers l'autre en passant par devant les précédents. La main semble ainsi prête à lancer au loin un poignard, dont la

a main ne paraît pas modifiée sauf pour le long supinateur où elle, semble un peu augmentée. Le refroidissement exagère ce

re la deuxième phalange du pouce. La douleur légère, dont le trajet semble être celui du médian (éminence thénar, partie m

cubitale des deux derniers doigts. La griffe des deux autres doigts semble avoir été calquée sur celles des précédents pour

a troisième semaine du traitement mécanothérapique, cette hypotonie semble avoir fait placeà à unehypertonieduterritoiredesl

s, au niveau du dos des phalanges, lorsqu'on essaie de les mouvoir, semblent résulter d'un commencement de rétraction des ten-

des ten- dons extenseurs.. La limitation des mouvements du poignet semble due à des adhérences de la cicatrice cutanée ;

abilité qui existait déjà. , b) Réchauffement : l'hyperexcitabilité semble rester au même degré. Il en est de même de la -

ses doigts. 3 : Attitude actuelle. L'épaule droite est remontée et semble moins large que la gauche par suite de la contr

ur l'index, dont la dernière phalange est légèrement fléchie. La main semble ainsi prête à écrire. 4. Motilité volontaire

halange le bord externe de la deuxième phalange de l'index. La main semble ainsi prête à frapper la poitrine en un geste de

cette blessure et en enlever le projectile, l'hypertonie du radial sembla s'être réfugiée dans les muscles radiaux, et un

ui de porter en dehors, puis en avant, la pre- mier métacarpien. Il semble que cet os soit retenu en arrière tout contre le

nctionnelle, c'est-à-dire sans cause organique ou douloureuse. Elle semble relever d'un mécanisme exclusivement hystéri- q

pé- rature atmosphérique était différente au moment de l'examen. Il semble cependant qu'il y ait un certain rapport entre

on constatait un mélange d'hypertonie et d'hypotonie combinées. Il semble que l'hypertonie soit habituellement primitive

apparu. La simple immobilisation dans les cas d'ori- gine psychique semble pouvoir amener une diminution de l'opacité des

règle le tonus du muscle ne soient pas effleurées. Or ces régions semblent , d'après les études d'Alquier (1), être le point

ciale sur leurpalhogénieet leur traitement préventif, à savoir : il semble que c'est le médecin qui, bien involontairement

on du sympathique est alors en cause ; c'est fort possible, mais il semble que la lésion des fibres sym- pathiques intratr

" tation des filets sympathiques intratronculaires. En tout cas, il semble que les douleurs caùsalgiques sont un signe à p

n'étaient réunis que par un mince cordonnet plat dans lequel il ne semblait pas qu'il y ait aucune continuité nerveuse; on

ujet. Parfois moins tardive, la rétraction de l'aponévrose palmaire semble être aussi une manifestation du rhumatisme chro

ns, leur acuité, leur simultanéité sont autant d'anomalies qui nous semblent rendre le fait clinique intéressant en lui-même

ux orteils : le cinquième est normal. Au premier examen il pourrait sembler qu'il ne soit composé que de deux os, mais c'es

ale, elle peut siéger sur un seul pied. Ces constata- tions ne nous semblent pas avoir un grand intérêt, puisque nous venons

n grand intérêt, puisque nous venons devoir que sur deux sujets qui semblaient présenter une malformation unilatérale, l'un d'

n ne rencontre pas celte traînée osseuse si nécessaire. Ce qui nous semble beaucoup plus intéressant, ce sont les constatati

eint de la malfor- mation en question. La troisième génération, qui semble échapper à cette règle, y est peut-être cependa

nous ignorons ce qu'étaient les trois aînés de cette génération. Il semble que la nature veuille en quel- que manière assu

d et sclérodermie, paraît songer à des lé- sions de ce genre : « Il semble même qu'il y ait un certain degré d'ankylose au n

visage levé vers les projectiles qui sifflent au-dessus d'eux, ils semblent vouloir de leurs dents blanches souriantes happ

auté, mais par justice qu'on agit. La brusquerie de leurs réactions semble quelquefois impulsive. Mais c'est moins de l'im

eure actuelle peut paraître incurable. - L'influence à laquelle ils semblent avoir été le plus accessible, peut- être parce

signes de Babinski. La sensibilité à la piqûre et à la température semble exagérée dans les deux membres inférieurs, et r

ndre. Le malade se trouve un peu mieux et' les douleurs musculaires semblent moins aiguës. Langue toujours chargée. Il s'ass

modiques dans les deux cas de 1015 (ohs. XI et XIII). Les épidémies sembleraient ainsi présenter parfois une certaine individual

sorti de la clinique le 8 août et depuis il est traité chez lui. Il semble qu'on ait continué les injections de salicylate d

ie l'idée d'in- toxication mercurielle comme cause de la mort. Il semble évident qu'il s'agit d'un cas d'intoxication merc

e qu'on pourrait trouver superflu d'en parler ; mais en réalité, il semble que les auteurs aient souvent ou- 232 PETREN-

ont si évidents qu'il ne serait pas nécessaire d'en parler, s'il ne semblait pas que les auteurs en traitant cette question ne

Syphilis de 3 ans. Polynévrite du type ordinaire ; en tout cas, il semble que les symptômes ont été le plus développés aux

mé- ningo-myélite (réflexes exagérés) ? Les deux cas de Buzzard me semblent être des cas assez nets de méningite cérébrale.

n (âge de l'infection syphilitique 3-4 ans), une névrite alcoolique semble probable. Ainsi il faut laisser de côté ces 5 c

coïnci- denced'une infection syphilitique et d'une polynévrite, il semble évident que le nombre des cas où on a établi la

de potassium. L'infection syphilitique n'est pas établie, mais elle semble probable. Spillmann ET ET1ENNE. - Syphilis de 1

miné dans un seul côté, et par conséquent, la nature de l'affection semble incertaine. Ainsi nous avons trouvé 14 observat

de la syphilis DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 239 semblent assigner un âge récent à l'infection syphilitique

gner un âge récent à l'infection syphilitique. Le nombre de ces cas semble leur donner une. assez grande valeur pour juger l

l'infection syphilitique a plus d'un an d'âge et où une polynévrite semble assez probable. Pour le cas de Stocker, il faut e

s. .74.), un tabès s'est depuis développé, et cette circonstance me semble rendre douteuse la façon dont il faut regarder

ce). En outre, il y a quatre cas où le diagnostic de la polynévrite semble très probable et l'âge de l'infection syphilitiqu

obs. 2). Par conséquent, nous avons trouvé 11 cas où la polynévrite semble être sûre, la syphilis étant contractée il n'y

a 9 où il y avait en même temps une érup- tion syphilitique. Il me semble bien évident que nous pouvons, grâce à ces obse

une polynévrite, par suite de la nature de ces cas, leur nombre me semble néanmoins permettre de conclure que le mercure

as de guérison pendant ce temps. La dia- gnose d'une polynévrite me semble très probable. Kussmaul cite encore un cas de P

ment incertain, je n'ose pas dire plus, bien qu'une polynévrite me semble très possible dans ce cas. Chez Hallopeau, on

veut accepter l'idée d'une hystérie qui a causé rhemianesthésie, il semble en tout cas impossible d'expliquer le reste par u

e reste par un autre diagnostic. Le diagnostic d'une polynévrite me semble très probable pour ce cas, mais comme il n'y a

s'il faut regarder le cas comme polynévrite, mais ce diagnostic me semble bien évident. Pour en finir avec les cas où les

nelle), ceux de Kussmaul, de Meinertz et de Spillmann et Etienne me semblent selon toute probabilité être des exemples d'une p

rès qu'on a eu fini avec le mercure, son état s'est amélioré. Il me semble qu'il faut, selon toute probabilité, accepter dan

j'espère avoir donné des raisons fortes pour cette conclusion il me semble bien évident qu'il est tout à fait impnssi- DE

isse pas dans un tel cas d'une intoxication mercu- rielle, et il me semble encore que ce diagnostic est ici de beaucoup la p

te- ment mercuriel. En tout cas, une intoxication mercurielle ne me semble pas improbable. Il y a quelques années, Spitz

liorés peu à peu, mais pas d'éruption syphilitique. Dans ce cas, il semble que le traitement par le mercure a eu une influen

mps, il y avait des symptômes de néphrite. Le diagnostic de ce cas me semble assez douteux, malgré que la présence de la nép

rie comme la cause de l'anesthésie, mais le diagnostic de ce cas me semble incertain, surtout quand on prend en considératio

rdent ce cas comme un exemple d'une polynévrite syphilitique. Il me semble que tout parle pour l'idée que la paralysie fac

. Comme les injections n'ont été faites qu'une fois par semaine, il semble probable qu'il s'est agi d'une.forme insoluble

urvenu trois à quatre mois avant les premiers signes d'atrophie. Il semble que ce traumatisme n'a pu agir que d'une seule

le, on perçoit bien quelques gros craquements, mais ces craquements semblent venir non de l'articulation sca- pulo-humérale,

ollet. Au quart inférieur, une saillie anormale sur la partie externe semble formée par l'extrémité inférieure des muscles d

hémispasme facial.' Pas de troubles de la sensibilité. La parésie semble plus accentuée à gauche. Membres supérieurs. -

ou deux semaines avec 1'estilutio ad integrum. Elle ne serait pas, semble-t -il, passée ina- perçue jusqu'à l'àge de quinze

eille moyenne peuvent retentir facilement sur le facial. Ce dernier semblerait lésé seule- ment après avoir émis toutes ses co

Le trijumeau n'agit donc pas par l'intermédiaire de ce dernier. Il semble bien que la racine sensitive a acquis les propr

rtheimer croit que ce n'est pas là une expli- cation suffisante. Il semble d'après lui que la modification porte sur le 28

ui s'attache à toutes les questions touchant la trophicité, il nous a semblé utile de relater ici l'observation de ce cas av

égion mentonière. La température locale au niveau des deux joues ne semble pas différente d'uu côté à l'autre. L'épaisse

bserve que du côté droit la luette (qui d'ailleurs est petite et ne semble pas différente dans ses deux moitiés), vient en c

S'rEFFEN, ZlIUIi : OWSIi : I, S'PEpIBO, ÂRNHEIM. Tous ces cas ne semblent pas très superposables. Dans le cas de OLLIER,

AZLÈS et CABANNES eux-mêmes. Les cas d'hémi-hypertrophie acquise ne semblent non plus très sembla- bles ni par leur côté cli

oté que les dents étaient plus développées du côté hypertrophié. Il semble que cela existe aussi pour certaines molaires dan

un enduit sébacé'sur le tégument. Dans le cas de ZIEHL il existait, semble-t -il, une exagération de la sécrétion salivaire d

t les causes de l'asthénie; il en reconnaît surtout de deux sortes, semble-t -il, les causes d'ordre moral et les causes d'or

it grimaçant ; l'enfant pleurait ou riait sans cause appréciable et semblait être atteinte d'une aphasie complète, ne pronon

uguée des yeux el de la tête à la droite. Céphalée. A la percussion semblait plus forte à droite, mais l'état grave de la ma

isation du même côté. 6° Vomissements et état nauséeux. 7° La vue semble normale, mais nous n'avons pas eu le temps de fai

tion frontale. Notre cas vient confirmer cette localisation; . Il semble qu'il n'existe pas une, mais deux zones corticale

s la littéra- ture dès le XVII" siècle, et le plus ancien cas connu semble être celui d'Henri II, roi de France (Ambroise

A cause de cela, elles ont été écartées de ce rapport. Du reste, il semble que toutes les hémorragies qui s'épanchent dans

maladie. Mais aussi, si l'on considère toutes ces circonstances, il semble que le clinicien doit rencontrer sur ce terrain

découverte. Ces hémorragies ont été appelées spon- tanées, mais il semble bien que ce nom leur a été donné seulement parce

cun calcul n'a été entrepris, mais, jugeant approxima- tivement, il semble que le nombre des globules blancs vis-à-vis des r

lée sèche. A l'examen plus attentif du foyer hémorragique, celui-ci semblait séparer les circonvolutions voisines, et, par con

, l'explication complète du cas se trouve dans cette découverte. Il semblé on ne peut plus clair que la patiente, lors de la

à plusieurs endroits des points jaunes et des stries. De tels cas semblent être très rares chez les adultes, comme j'ai pu l

dépend de quelque lésion fortuite à l'enlèvement de la calotte. Il semble que l'on puisse conclure que cela n'est pas le ca

utopsie, mais existait auparavant. Quant à la rupture elle-même, il semble très difficile de l'expliquer pathogénétiquemen

e de vaisseaux chez les jeunes enfants dé jusqu'à près de deux ans, semblent aussi dans plusieurs occa- sions pouvoir être r

matiques. Quant aux fontanelles, qui ne sont pas encore fermées, il semble aussi qu'un moment traumalique de crâne relativ

catastrophe de l'hémorragie est survenue. Dans le cas présent, il semble que l'on puisse exclure le traumatisme. L'hémor

chnoïdienue. Entrée à la clinique le 8 décembre 1915. La patiente semble avoir été bien portante auparavant. Les deux dern

ent n'eût passé la 40e année de sa vie. Pourtant son triage des cas semble être tant soit peu arbitraire. Il nous paraît i

r des nombres de cas tout à fait différents. Quoi qu'il en soit, il semble résulter que les individus jeunes ont une certa

dans la substance xxvm 23 334 .1 INGVAR.. cérébrale. Ceci ne me semble pourtant pas être un obstacle à ce que l'hémorr

orragie cérébrale. - Quant aux causes des hémorragies méningées, il semble qu'on a le droi t de se demander s'il y en a de

individus âgés pour la production'de l'hémorragie cérébrale, il me semble tout vraisemblable qu'un nombre, pas trop petit

uérissent en général complètement dans les cas qui survivent, il me semble pourtant digne de mention que l'un ou l'autre s

criminer une hémorragie cérébro-méningée. Quant à l'effet, il ne me semble guère possible de trouver une distinction forme

mentionnés ci-dessus, la coloration brunâtre du liquide centrifugé semble être le seul infaillible, comme Sicard, Bard el W

e sous- arachnoïdien et une hémorragie méningée. Chez le jeunes, on semble pouvoir soupçonner en premier lieu une hémorrag

mination « leptoméningile hémorragi- que » de ces cas. Du reste, il semble que Bittorf a mal compris Ehrenberh (dont l'ouv

udrais mentionner ici les remarques suivantes. - - v A priori, il semble curieux qu'une opération qui, à la pure hémorra-

n lombaire, étant dans ces cas une opération assez dange- reuse, il semble être logiquement fondé et en conformité du princi

pression intra-cérébrale si exagérée que la vie soit en danger, on semble être autorisé à essayer d'alléger celle pressio

s abondantes. - La bouche s'emplissait de salive avec rapidité ; il semblait que du côté gauche la salivation fût plus grand

buccal brusquement recouvert d'une nappe de liquide très clair, qui semblait couler plus de gauche que de droite, mais le mo

er, et qu'en particulier l'amplitude des oscillations a diminué. Il semble s'être produit à gauche une action locale vaso-

et très diminué à droite (ralentissement de 12 au lieu de 20). Il semble donc que la cocaïne se soit comportée vis-à-vis d

u faradique dans tout le domaine du membre supérieur droit.. 1 Il semble donc qu'on ait affaire à un syndrome d'atrophie e

nt l'attitude donnée. Il ne s'agit donc pas de contracture comme il semblait d'abord, mais d'un trouble trophique très spéci

poufs radiaux ont une pression de 12-18. L'articulation de l'épaule semble cliniquement et radiographiquement 364 Il CHIRA

ls : 116. - 20 septembre. L'aphonie paraît s'améliorer un peu et il semble qu'il y ait une ébauche de compensation par la

nous possé- dions aucun document sur les diagnostics posés ; il ne semble pas que la nature de l'affection- progressive a

ce de la thérapeutique, à l'évolution d'une maladie progressive qui semble devoir le priver de son gagne-pain. Discussion.

dans la règle, une topo- graphie proximale ; la forme Aran-Duchenne semble n'avoir été signalée en pareil cas qu'en raison

à l'abcédation. La rotule mobile est élargie dans tous les sens et semble épaissie; les plateaux tibiaux et les condyles fé

hrite hydarthrosante l'hypothèse de l'ostéite gommeuse primitive ne semble plus pouvoir être soutenue. - 2° Ce cas diffè

ce type simple de la dystrophie génito-glandulaire (ainsi que nous semblent devoir être nommés de tels cas), il n'y a pas la

ure est infantile; l'infantile est un hétéro- chronique. Il ne nous semble , pas que l'on doive tenir l'infantilisme comme

raisons cliniques et expérimentales que j'ai invoquées plus haut me semblent établir le rôle exclusif de la glande interstit

s écrit avec raison : « Pour que l'infantilisme s'ensuive, il faut, semble-t -il, que la lésion primitive retentisse sur le t

es morbides : une dystrophie générale indéterminée, attaquant l'en- semble de l'individu dans sa croissance "et son développ

s que Falta fournitpour cette individualisation nosographique ne me semblent pas démonstratifs, et au point de vue pathogéni

tilisme symptomatique par son degré prononcé, par son apparence qui semble spontanée et quelquefois par son hérédité. Il y

à un adulte de 50 ans l'aspect d'un jeune homme (ils sont jeunes et semblent vieux ; quand vieux ils paraissent jeunes) conser

ques tirés du système osseux, auxquels Pende fait allusion, ne nous semblent pas subordonnés par un rapport constant au lype

ganes génitaux ne serait pas lié à la lésion hypophysaire : « // me semble que l'idée d'une relation de cause à effel (1)

; à ce sujet nous souscrivons inlotum ce que Falta écrit : « Il me semble que deux facteurs opposés soient ici en jeu. L'un

graphié, et on n'a constaté aucune lésion. Il n'avait sur le corps, semble-t -il, ni plaies ni ecchymoses. Il aurait eu de la

ont d'ailleurs illisibles (1). Mais, d'après certains détails, il semble bien que cette peinture soit postérieure à la g

par le populaire.* On disait couramment d'un individu dont l'esprit semblait dérangé qu'il avait « un rat dans la cervelle »

a même inspiration et sa com- position reste conforme à un plan qui semble avoir été traditionnel. Une gravure allemande,

uelque peu phobique. Un couple élégant assiste à l'opération. Et il semble que la jeune femme engage son compagnon à suivr

France. A vrai dire, les observations en ce qui regarde notre pays semblent ne pas s'être beaucoup multipliées depuis, car

e.ll l'hôpital. En 1885,il,ya a environ 8 ans, l'affection actuelle semble avoir débuté insi- dieusement par h jambe droit

le début des déformations des bras. Quant à celles du en/ne, elles semblent remonter à 6 ans, et. ont eu un développement a

UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 3 Les déformations thomciqlles semblent avoir débuté plus tardivement. Depuis 4 ans ell

penche en avant, l'abdomen saillant, les bras dans cette po- sition semblent trop longs pour le thorax trop court. La tète éno

ar de gros bourrelets a pris l'aspect de l'éléphantiasis. Le pied semble normal, de forte taille; pas d'irrégularités osse

sseuses, les orteils sont un peu rejetés en dehors. Les genoux ne semblent pas déformés : les fémurs sont considérable- me

ile exploration. Les mains sont très grandes, régulières : elles ne semblent pas toutefois atteintes par l'ostéopathie, si c

très volumineuse, pen- chée sur la poitrine reposant sur le cou qui semble très court. La face qui semble élargie, avec sa

la poitrine reposant sur le cou qui semble très court. La face qui semble élargie, avec saillie considérable des os malaire

out que l'hypertrophie se remarque le plus; Les .fosses- temporales semblent en partie effacées, surtout il gauche; du reste l

colonne vertébrale est courbée en avant; les apophyses épineuses ne semblent pas hypertrophiées. Le thorax est énorme, globu

ent pas hypertrophiées. Le thorax est énorme, globuleux ; les côtes semblent avoir doublé de volume ; leurs articulations se

x ; les côtes semblent avoir doublé de volume ; leurs articulations semblent ankylosées. Le sternum est égale- ment hypertro

l'abdomen est porté en avant et forme saillie. De ce fait le malade semble pour ainsi dire cassé en deux parties. La respi

ie la dyspnée constante du malade. Le larynx et le corps thyroïde semblent normaux. Cliniquement. R. offre tous les signes

lées, surelevées, plus teintées que les parties avoisinantes et qui semblent surajoutées pour ainsi dire à la calotte crânie

différents étages sont moins accentués qu'à l'état normal. La base semble un peu nivelée. Les ailes du sphénoïde ont une

Pied. Les phalanges et le métatarse son normaux. Les os du tarse semblent un peu plus volumineux qu'à l'état normal, ce qui

conservé sa forme, mais les saillies normales ou les dépres- sions semblent un peu nivelées. Pas d'exostoses appréciables dan

plus courbé qu'à l'état normal. L'hypertrophie qui porte sur l'en- semble est cependant plus sensible aux extrémités Diam

es diverses parties. Poids = 860 gr. Les rotules droite et gauche semblent normales. Membre inférieur gauche. Pied ; même

accentuées; sont toutes très volumineuses. La colonne vertébrale semble peu intéressée. La moelle épinière a pu être ex

ure était fortement touchée par l'ostéite déformante. « La face qui semble élargie, disions-nous, avec saillie considérable

de étant âgé alors d'environ 45 ans. Certains phénomènes douloureux semblent avoir précédé les déforma- tions, mais ils n'on

il plusieurs traumatismes et s'est fait de nombreuses fractures qui semblent indiquer un état-spécial de fragilité des os.

t'épaissi en masse, mais régulièrement ; l'aug- mentation de volume semble surtout s'êlre faite aux dépens de la face in-

. BATTAILLE ET Ci. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 49 malade semble avoir conservé ses dents comme la moyenne des ind

icules ont gardé leur volume normal, sauf à leur partie externe qui semble augmenter. Les épaules ont leur aspect ordinaire.

nt hypertrophiées. Les pieds sont grands. Les premiers métatarsiens semblent épaissis; cependant le malade fait L remarquer

déformations. Les crêtes iliaques sont très épaissies et le bassin semble évasé comme un bassin de femme. Les déformation

de cercle, le corps penché en avant; les bras pendants et incurvés semblent trop longs. La taille a en effet diminué : depu

carpiens du même côté. De même certains métatarsiens des deux pieds semblent participer il l'hypertrophie osseuse généralisé

Déodat Dolmonl, enfin les nombreuses scènes d'exorcisme que Rubens semble avoir affectionnées (3), etc. Dans toutes ces o

ché à expliquer par une intervention surnaturelle des accidents qui semblent échapper aux lois de l'équilibre vital. Le Chri

'empêcher de reconnaître que toutes ces manifestations tumultueuses semblent soumises à une même loi générale : la loi de l'

a loi de l'unité et de la constance d'un phénomène pathologique. Il semble que, dans l'antiquité, les grandes agitations ner

nysia- ques d'Athènes d'où elles paraissent avoir été importées. 11 semble cepen- dant qu'avant l'introduction du culte de

oints comparables à ceux qu'on observa plus tard au moyen âge. Il semble en effet que ces rites bachiques se soient contin

orgiaque que la liqueur bachique inspirait aux ménades. » La Pythie semblait une bacchante (sfxSctx- /EUM9o ! t) en état d'i

figurées. Mais la femme assise, qui lève les bras en l'air, et qui semble absor- bée par une vision intérieure, mérite pl

tement crispée. Sur le dessin reproduit par Welcker, la main droite semble tombante, inerte et molle. Elle m'a paru, sur l

lection Jazz Ruvo, j'ai rencontré une autre figure de ménade qui me semble aussi justiciable de la critique médi- cale (1)

cette ménade exprime bien le caractère du délire dionysiaque : elle semble certainement possédée par le dieu ». L'interpré

sur l'avant- bras Celui-ci même, plié à angle droit sur le bras, semble indiquer que la raideur a déjà envahi tout le m

Les étoffes sou- ples et transparentes dont les ménades sont vêtues semblent souvent dans le plus grand désordre, et il n'es

dressée sur le sol puis abandonnée il elle-même. Ce problème qui semble cependant un des plus élémentaires de la phy- -

igaments par la tonicité de certains groupes musculaires. Il nous semble qu'aucune de ces théories n'est vraie à l'exclusi

té opposé; déplus il tourne légèrement auteur d'un axe vertical qui semble passer vers son centre, d'où il suit que la han

Mais les différences sont surtout frappantes aux cuisses. Elles ne semblent pas avoir le même volume. Vue de face, la cuisse

es contribuent à for- mer la racine postérieure du thalamus. Arnold semble avoir voulu décrire le même corps de fibres sou

pos- sible la disposition anatomique normale. D'autre part, il nous semble dé- montré qu'une certaine portion des fibres d

tique est sous-,jacente au faisceau unciforme (FU), dont les libres semblent claires, par. transparence en raison de leur di

e la nature spécifi- que de l'affection spinale. Mais celle-ci nous semble démontrée par l'évo- lution même de la maladie,

supérieur est limitée surtout par la tension du grand pectoral qui semble rétracté. La faiblesse des muscles est proporti

té de la peau des mains et des doigts. La peau est lisse, luisante, semble collée sur les os. Douleurs. Le malade éprouve

e époque qu'il est difficile de dé- terminer. Cependant l'infection semble avoir eu lieu en 1884 ou 188 ? ). A cette date,

aît plus froid que l'au- tre ; à la main, la température de la peau semble être la même des deux côtés. La partie moyenne

IN.IL 117 Les symptômes paralytiques du côté des membres inférieurs semblent s'être légèrement aggravés. Celui qui est par

XVIII et XIX, n'ontpas subi un degré d'émaciation considérable. Ils semblent même en certains points légèrement augmentés de

alysie pseudo-hypertrophique. Néanmoins, si les reliefs musculaires semblent il peu près conservés, la faiblesse est extrême

on, leur rôle de soutiens rigides et résistants. Ce phénomène qui semble il première vue paradoxal s'explique par les ré

du nu chez les sujets sains révèle, à n'en pas douter, ce fait qui semble en désaccord avec les idées généralement admises,

et 111, 1885, 1881. , MYOPATHIE PRIMITIVE GÉNÉRALISÉE H3 tives., semble-t -on revenir aujourd'hui à une conception plus synt

èves (3). Parlant d'abord de la paralysie pseudo-hypertrophique qui semble la forme la plus fréquente et la mieux différen

fa- myopathie primitive généralisée 145 cio ? cctp2tlo-It2cnaéral semble , d'après les conclusions de ces mêmes auteurs,

qu'on s'est plu à leur assigner autrefois, on ne peut nier qu'elles semblent obéir à certaines lois, et que certains groupes

erticale assez profonde. Une dépres- sion au niveau des commissures semble abaisser les coins de la bouche. Ces deux parti

ait saillie sur la face externe de la cuisse. Celle-ci vue de face, semble élargie en ce point; il en résulte un raccourciss

ion des maladies familiales dont la myopathie primitive progressive semble faire partie au premier chef. PAUL LONDE et H

si très atrophiée, surtout dans ses faisceaux internes ; l'atrophie semble à peu près aussi prononcée à gauche qu'il droit

ineuse est un peu excavée à droite comme à gauche. De 75 à 80mm, il semble se produire des C. dans le muscle sus- épineux,

est assez bien remplie dans sa partie interne et le m. sous-épineux semble peu atrophié. A droite : à 100mm C. minima ;

plus du côté droit que du coté gauche, car la paralysie atrophique semble plus UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE

ositions latérales de la tête se dessinent peine. Les omo-hyoïdiens semblent respectés, de même que les muscles de la région

rizontalement de dehors en dedans. Les bras sont très grêles ; il semble que les muscles ont à peu près disparu. Quanl a

e porte surtout sur le long supinateur et les radiaux. Les mains ne semblent pas intéressées. Les réflexes olécrâniens sout

ès élargi. Les cuisses sont très amaigries. Les jambes et les pieds semblent respectés. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRE

ment à 60"'m, à peu près de même des deux côtés. Grand rond : ne semble pas atrophié notablement, C. m. il 65; C. avec dé

r la jambe est également forte et dans cette position la résistance semble à peu près nor- male. Jambier antérieur : C.

l'abdomen, et à l'action non contrebalancée des muscles spinaux qui semblent avoir conservé un certain volume et toute leur fo

us accentuée à droite. Bras. Les masses musculaires des deltoïdes semblent totalement absentes, et les omoplates sont proj

t tout de suite à sa position pri- mitive. (PI. XXII). L'atrophie semble un peu moins accusée au bras et à la jambe gauche

ui- vantes : Au point de vue de l'hérédité, la famille paternelle semble présenter une prédisposition aux affections ner

us extraor- dinaires proportions, des dislocations articulaires qui semblent incompatibles avec la fonction du membre intére

nnaître dans ces artLropa- thies quelque chose d'assez spécial : il semblait frappé de leur polymorphisme. Mais il supposait

ttacher à une lésion des centres nerveux des troubles multiples qui semblent n'avoir avec celle-ci aucun rapport. Les exemples

r est approximativement celui de leur fréquence décroissante. Il ne semble pas qu'un effort soit nécessaire pour que l'aff

l'épaule droite. Le tégument était réduit a une telle minceur qu'il semblait devoir éclater. Je n'ai pas à vous dire que cet

homme de 60 ans, grand, vigoureux, taillé en hercule et qui ne vous semble pas bien ma- Il n'a jamais eu la syphilis, du m

tiquement superposables. Je crois même fermement le contraire. 11 me semble hors de doute que la dégénéralion envahit dans

rçut que la jambe de ce côté était oedé- mateuse. Déjà le genou lui semblait déformé. - Le 21 janvier 1889, le gonfle- ment

renté des suffusions sanguines et des oedèmes chez les ataxiques me semble donc très étroite et je suis tout disposé il le

is, après avoir présenté une éruption suspecte. Du reste, la malade semble avoir contracté la syphilis de son mari, dès la p

e fausse couche. Histoire de la maladie. Le début du tabès actuel semble remonter à 1862 et s'être fait par des troubles

. C'est un pied tabétique d'un type spécial. L'ostéo-arthro- pathie semble porter surtout, sinon exclusivement, sur l'astrag

ement, de même que l'arc du bord interne. En outre, ce bord interne semble raccourci. Le métatarse et les orteils ont une

on normale. De même, la partie péronéo-tibiale de l'articulation ne semble pas notablement altérée. Les mouve- ments de l'

même les membres supérieurs, sauf cependant la sphère du cubital qui semble avoir été parfois le siège de quelques élanceme

lo a duré cinq il six jours. Pendant de longues années, tout le mal semble s'être borné il ces crises dou- loureuses. A au

il sommet externe. Le membre inférieur gauche présente dans son en- semble , mais avec un volume très inférieur, les mêmes pa

musculaires n'y fussent pas absolument étrangers. Enfin, il nous semble que la bilatéralilé et la symétrie des arthropa-

on de la sensibilité. Dans deux observations de Graf l'arthropathie semble avoir été la première manifestation de la maladie

t intr2-cap- sulaires, soit extra-capsulaires.Dans d'autres cas qui semblent plus rares, au lieu de lésions bypertropbiques

sions sensiblement infé- rieures à celles du membre opposé. La main semble , à première vue, avoir subi une amputation irré

. Il est vrai que ce récit manque de contrôle scientifique. Il nous semble néanmoins plus logique de supposer ici une ampu

ses, seules utilisables dans ce but. C'est là une question qui ne semble pas jusqu'à présent avoir attiré l'attention. L

spécial, les résultats obtenus n'étant pas concordants, il nous a semblé utile de les vérifier. D'autre part nous avons

t des origi- nes radiculaires avec les apophyses épineuses, il nous semble utile de noter quelques détails de topographie

t pas omis certains détails qui les avaient frappés, et qui ne leur semblaient pas de nature à nuire à l'harmonie de (1) Voy.

uvre de Bronzet mérite donc les mêmes critiques que l'Ecole dont il semble s'être inspiré. Il a sacrifié à la convention, il

la tête de l'humérus paraît inégale, érodée ; la cavité articulaire semble déformée et élargie. On entend des craquements

C'est ce qu'il fallait démontrer. D'autres faits encore, qu'il me semble utile au moins de signaler, viennent à l'appui

quelles les troubles trophiques et spécia- lement les arthropathies semblent avoir une importance et une fréquence beau- cou

localisation corticale que dans ceux de localisation sous et il Ine semble , malgré l'insuffisance d'une statistique person

ment plus vulgaires. Mais dans tous, quels qu'ils soient, la lésion semble invariablement la même : vous avez nommé la scl

s des altérations de la sensibilité et des troubles trophiques, inc semble plus facile à résoudre. Et voici la solution qu

sibilité. Dans l'observation si inté- ressante de J.-B. Charcot, il semble bien y avoir eu en outre coïncidence clans l'ap

liers avec ou sans élévation de température. Le malade de Bourceret semble être mort de pyohémie. Le genou du côté de la h

e toujours, doit-il s'appuyer sur une anal \ se minutieuse de l'en- semble des symptômes présentés par le malade. Si l'on ch

me avec des béquilles ont pu, après elle, reprendre une vie active. semble donc bien que si, théoriquement, amputer un mem

e et des yeux est bien indiquée. C'est assurément un démoniaque. Il semble même que la main droite soit en extension forcée

Le titre, que nous avons inscrit en tète de cette observation, nous semble pleinement justifié par l'his- toire qui suit.

s appareils respiratoire, circulatoire, digestif, urinaire, etc..., semblent normaux. Le pouls, petit, mais égal et régulier

eaux de cette chaîne et d'en faire un système ininterrompu. Il nous semble superflu d'in- sister davantage sur ce point.

ets augmenter de poids avec tant de rapidité. Les hystériques seuls semblent capables de si brusques retours. Pourquoi la nutr

- culaire s'accole de près au tube ectodermique médullaire, il nous semble nécessaire de rechercher entre ces deux invagin

acer la base de sustentation sous le centre de gravité qui varie ou semble varier de position. C'est le sens des attitudes

taires du reste du corps. Les cas de Dana et d'Allen Slarr (2) nous semblent confirmer cette interprétation. D'autres import

res qui se donnent rendez-vous au vermis supérieur. Ces fibres nous semblent 1 devoir être physiologiquement homodynames.

eur que les expérien- LE NERF LABYRINTIIIQUE 363 ces de Mislawsky semblent faire présider a l'exercice du soufllet thoraciqu

e localiser ni l'extérioriser, l'orientation se fait ailleurs. Elle semble élaborer les images de mémoire auditive, qu'elle

été continué jusqu'à la fin du mois de mars, pendant cinq mois. Il semble donc, malgré les caractères de la céphalée init

ntagion a donc été possible et le diagnostic de lésion tuberculeuse semblé vraisemblable,' sans être toutefois certain. Ou

l'a jamais vu eu effet coexister avec une hémiplégie gauche, ce qui semble prouver qu'elle est occasionnée par la destructio

te et l'hémiparalysie éga- lement droite du voile du palais, ce qui semblerait en rapport avec une lésion diffuse et extensive

es tuberculeux plaident en faveur de la tuberculose. La syphilis ne semble pas être en jeu. L'âge de la malade et la progr

pas être en jeu. L'âge de la malade et la progression des symptômes semblent devoir faire exclure l'hémorrhagie et le ramoll

de, l'hypothèse d'hémorrhagie ou de ramo- lissement pédonculaire ne semble pas davantage admissible et, en l'absence de to

say a décrit un rameau postbran- chial du ganglion auriculaire, qui semble devoir s'effacer par la suite. Cet auteur attri

on auriculaire primitif est le jumeau du ganglion facial, qui, lui, semble bien naître de la chaîne latérale,' il affirme

infusoires libres ou fixés, d'une façon encore peu connue. Il nous semble très vraisemblable que le dernier pro- longemen

inthique avec une racine médullaire pos- térieure, homologation qui semble devoir s'imposer, nous sera très utile pour le

, on la suit le long du faisceau inférieur, du trijumeau, puis elle semble disparaître chez l'homme. Nous pensons qu'elle

res fibres vers le lobe pariétal (Bechterew). Nous verrons qu'elles semblent devoir aboutir particulièrement à la pariétale as

ôté opposé. Koelliker admet un faisceau parallèle au dernier et qui semble aboutir au noyau du facial. Un second faisceau

nsibilité vésicale à la distension a des tendances à reparaître. Il a semblé ce matin au malade qu'il allait uriner ; il a e

mi les affections de la moelle susceptibles de donner lieu à un en- semble symptomatique semblable à celui que nous constato

posi- tions extrêmes des yeux. Mais elle les voit troubles, ils lui semblent confus avec des contours flous. Les secousses n

mes d'iodure de potassium tous les jours), une légère amélioration semble s'être produite : la ptose est moins marquée :

at, la cambrure du pied est il peine marquée, la pointe plan- taire semble légèrement affaissée. (PI. IV.) La lésion siège

es à la tradition de l'Art grec, il en est d'autres où les peintres semblent avoir ÉNÉE BLESSÉ 37 fait table rase des conv

contour disparait,et les ombres elles-mé- mes, doucement estompées, semblent formées par les couleurs, adroitement t mêlées

t digne de remarque, c'est qu'en pemture les procédés et les sujets semblent solidaires les uns des autres. Et puisqu'il exist

enfaisant. ... Et mutas agitare iuglorius artes. Une place à part semble devoir être réservée à ce médecin consciencieux

es la brutalité des oppositions disparaît et les person- nages n'en semblent que plus vivants et plus expressifs. Revenons à

ation remarquables ; cepen- dant dans la région cervico-dorsale, il semble que le névraxe soit un peu plus volumineux qu'i

à la périartérite et qui, plus loin, se complète par l'endartérite, semble constituer l'échelon intermédiaire du processus ;

ncs est limitée au voisinage immédiat de la localisation morbide et semble , par sa diffusion et l'absence de sa systématis

es faits sont restés isolés, sans liens entre eux. Volpert (2) nous semble le seul auteur qui ait tenté une esquisse géné-

la rareté des documents, l'essai nosologique que nous allons tenter semblera-t -il prématuré. Il nous a paru cependant utile, n

épinière. Les cas précoces sont ceux où la détermination médullaire semble ne s'être effectuée qu'un certain laps de temps

le nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute la moelle semblait formée par du tissu lamineux, condensé, feutré

put laisser aucun doute. Quant aux méninges rachidiennes il n'a pas semblé qu'elles fussent altérées ». On pourrait conc

isch et des lésions assez peu précises qu'il a constatées. L'auteur semble surtout avoir été guidé par le désir de relier

mal et de mieux, vers 7 ans, l'enfant était à peu près guérie. Il semble qu'il ait existé là une méningite de la base avec

elaient celles de l'épilepsie. Dans le 1er cas, le traitement mixte sembla donner quelques résultats, dans les deux autres s

do-syphilis dans l'étiolo- gie des phénomènes notés par M. Moncorvo semble indéniable, il ne s'en- suit pas, d'après les s

ent grisâtres. En résumé, si la syphilis congénitale héréditaire ne semble pas donner naissance à la sclérose en plaques,

ible de retrouver les caractères de l'attaque convulsive d'hystérie semble s'étendre indéfiniment, au sur et à mesure que

nt connues de nous, méritent de prendre place à côté des images qui semblent avoir été inspirées par la nature. Nous feron

peu mouvementée, la bou- che est close. Cependant les yeux ouverts semblent convulsés en haut et en dedans. Le bras droit p

attribués à Michel van Coxcyen (Malines, 1499-172), mais plusieurs semblent anté- rieurs et rappellent le vieil art flamand