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1 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ate ou tout au moins prompte; tantôt elle se fait attendre quelques semaines . Quelquefois la guérison survient d'elle-même a
otable se produit. 18 juin z Elle n'a pas uriné au lit depuis trois semaines . 4 juillet.- Elle a eu une légère miction noctu
seule nuit mouillée depuis le 6. 18 mai. Aucun accident depuis cinq semaines ; les règles sont survenues pour la première foi
t les mois de décembre et janvier 1893 à raison de deux séances par semaine ; il y a neuf nuits mouillées pendant le mois de
de sentir le besoin et de se réveiller. Il reviendra deux fois par semaine . 31. Le tiers des nuits a été humide depuis le
0 kilomètres aller et retour pour se soumettre au traitement chaque semaine . Enfant assez bien développée, quoique fluette,
e résultat est nul. 8 décembre. Deux nuits sèches seulement dans la semaine . 15. Cinq nuits sèches. Janvier 1895. Plus de
ulement et d'une façon irrégu- lière, environ deux à trois fois par semaine . Enfant peu développée pour son âge. 16 févri
nt émue. A partir de ce moment elle pisse au lit plusieurs fois par semaine . Ça lui TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'URINE PA
tion d'être propre et de se réveiller. Elle reviendra deux fois par semaine . 3 décembre. Deux nuits mouillées seulement dep
n'avait pas uriné au lit et on la considérait comme guérie, mais la semaine dernière ayant été prise d'angine avec fièvre,
ur- menée pour la préparation de son certificat d'études et cette semaine elle a pissé trois fois au lit. Suggestion. 23
mais jusqu'à dix ans, ça ne lui arrivait que deux ou trois fois par semaine , tandis que maintenant c'est toutes les nuits.
ir le besoin et se réveiller. 45. Les quatre premiers jours de la semaine , maux de tête, épistaxis, vomissements, grande
une fois la nuit pour faire. » 29. Une seule nuit mouillée dans la semaine et c'est la der- nière. 12 janvier 1896. Cet
sentir le besoin et se réveiller. 29. Une seule nuit sèche dans la semaine . 5 janvier 1896. Trois nuits sèches dans la sem
t sèche dans la semaine. 5 janvier 1896. Trois nuits sèches dans la semaine . Il se réveille vers quatre heures du matin et
quatre heures du matin et appelle. 12. Quatre nuits sèches dans la semaine . 19. Cinq nuits sèches. 2 février. Une seule
; sentir le besoin et se réveiller. 16. Trois nuits humides cette semaine . Ferme toujours les yeux par pure obéissance. M
depuis le 13. 23. Il n'a pissé involontairement que deux fois cette semaine . \ TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'URINE PAR S
s. Il ne se mouille plus le jour mais a pissé au lit une fois cette semaine . 1er avril. Cet enfant est guéri et ne reviendr
s, les autres beaucoup moins mouillées. 14. Ça va beaucoup mieux; semaine presque entièrement sèche ; le père n'est même
est même pas sûr qu'il y ait eu des mictions invo- lontaires. 21. Semaine mauvaise; six nuits mouillées sur sept. 28. Une
se; six nuits mouillées sur sept. 28. Une seule nuit mouillée celte semaine . 3 novembre. Toutes les nuits mouillées sauf un
es nuits mouillées sauf une. 10. Trois nuits sèches sur sept. Les semaines se succèdent ainsi alternativement bonnes et ma
t. Quatre nuits sèches sur sept. 12. - Une seule nuit sèche dans la semaine . Le traitement est continué jusqu'au 28 octobre
le extrême et un délire qui dure deux jours. Après un séjour de six semaines dans un hôpital de province, grande amélioratio
es . REVUE DE THERAPEUTIQUE. 59 Nous avons suspendu pendant une semaine , puis recommencé de la même façon jusqu'à ce jo
l'opium à doses croissantes (jusqu'à 1 gramme, ls ? 0) pendant six semaines , et sur la suppression brusque de ce médicament
é l'opium à l'état pur (opium à 12 p. 100 de morphine); la première semaine , 0,20 par jour Jes trois premiers jours et 0,30
our Jes trois premiers jours et 0,30 les quatre autres; la deuxième semaine , 0,40 ; la troisième semaine, 0,60; la quatrième
et 0,30 les quatre autres; la deuxième semaine, 0,40 ; la troisième semaine , 0,60; la quatrième semaine, 0,80; la cinquième
a deuxième semaine, 0,40 ; la troisième semaine, 0,60; la quatrième semaine , 0,80; la cinquième semaine, 1 gramme ; la sixi
a troisième semaine, 0,60; la quatrième semaine, 0,80; la cinquième semaine , 1 gramme ; la sixième semaine, 1,20. Après la
uatrième semaine, 0,80; la cinquième semaine, 1 gramme ; la sixième semaine , 1,20. Après la sixième semaine, suppression br
ième semaine, 1 gramme ; la sixième semaine, 1,20. Après la sixième semaine , suppression brusque de l'opium, qui est rempla
... Ils ont trouvé chez des animaux, qui avaient sur- vécu quelques semaines à cette expérience, outre la dégéné- rescence d
rie. 1880. J Marie. - Leçons sur les maladies de la moelle, 1892. Semaine médi- cale, 1891. Gazelle des hôpitaux, 1891.
Archives de médecine expérimentale, 1891. 21. Gombaull et Philippe. Semaine médicale, avril 1895. 22. Hoche. Nell1'ologisch
es Centralblatt, avril 1890. 29. Marie. Gazette des hôpitaux, 1894. Semaine médicale, 189. 30. Marie. Leçons sur les maladi
ectiforme ». A l'arrivée ce diagnostic fut accepté. Au bout de deux semaines la rémission était suffisante pour permettre à
un paralyti- que général sans délire. Cet état se mainlint quelques semaines , une amélioration relative laissa donner une pe
ans vient d'être mise à la disposition du parquet. Depuis quelques semaines elle a entendu des voix qui lui commandent impé
nces, et une certaine améliora- tion n'est appréciable qu'après des semaines de traitement. On reconnaîtra que ce ne sont pa
e malade n'a pu se sou- mettre à notre traitement que pendant trois semaines . Néan- moins nous avons obtenu chez lui un résu
- tion motrice s'est atténuée à la suite des exercices. Après six semaines de traitement ce malade pouvait à l'aide d'une ca
que temps après le mariage, sa femme fit une fausse couche de six semaines . Elle a eu depuis trois enfants, dont deux sont m
pendant six mois nous avons eu des séances ensemble trois fois par semaine . Le mal ade faisait cependant tous les jours le
ère, chez M. Ray- mond où les crises se chiffrent par 3 environ par semaine , et, le 1 E. Wils et D. Cooper. Brain, 1893.
r à certains moments, mais ne se produisent guère que deux fois par semaine maintenant. Chute, avec cri, convulsions toniqu
est névropathique ; on enlève ce qu'il y a de trop, au bout de six semaines , après l'évolution de la maladie infectieuse qui
d'hystérie grave avec tentatives réitérées de suicide guérie en six semaines . Bien d'autres exemples pourraient être cités p
ommis- sion conseille de ne jamais demander plus de 50 francs par semaine aux pensionnaires privés, pour ne pas avoir à sub
n de chacun d'eux. 4. Donner le coût per capela, par année et par semaine , pour les soins, le traitement médical, l'entre
34. Les moyens de distraction sont nombreux : danses une fois par semaine , concerts, représentations théâtrales, bateaux de
malpropres. Les gâteux ont régulièrement deux bains à l'éponge par semaine . Les bains ordinaires sont à 36° C. Le spray es
embres supérieurs avec atrophie musculaire généralisée. En quelques semaines la malade -devient complètement impotente, puis
s'étaient produites rapidement. Elles guérirent seules en quelques semaines . La seconde observation a la plus grande analog
et un ans, pour laquelle elle suit un traitement d'une durée de six semaines . A l'âge de vingt-quatre ans elle a eu un en- f
de la vessie, ni du rectum. La ma- lade est réglée toutes les trois semaines . Les bruits du coeur sont un peu sourds, mais s
dispositions fréquentes de la malade, qui faisaient que pendant des semaines nous étions forcés d'interrompre le traitement,
une autre fois de l'influenza à répétition, qui rendait pendant six semaines tout traitement impos- sible. Pour les mouvem
tinuelles, sans rémission nocturne. Ces crises durèrent pendant une semaine et rendaient la malade inca- pable d'aucun trav
n du pied. A la suite de cet accident il reste couché pendant six semaines . Pendant toute cette période crises de douleurs f
rice. Amélioration considérable de l'ataxie loco- motrice après six semaines de traitement. M. M..., âgé de cinquante-deux a
e. Commencement du t ? -aiteineizl le 5 juillet 1805. - Après six semaines de traitement amélioration considérable de l'inco
les réunit parfois à la table de famille. Prix de la pension par semaine . Le minimum varie générale- ment de 50 francs à
aine. Le minimum varie générale- ment de 50 francs à 375 francs par semaine . Le plus grand établis- sement a 6 p. 100 de ma
ades gratuits. Par contre, son prix maxi- mum est de 750 francs par semaine , voilà ses deux extrêmes. La maison estime ses
ée : 1° mélancolie pendant six mois, puis santé apparente de quatre semaines ; 2° manie avec mégalomanie, et périodes dépres
uite s'établissait une période de dépression qui durait plusieurs semaines parfois. En dehors de ces crises les malades prés
Discussion. M. Meschede. Le nombre des heures d'enseignement par semaine est sujet à de grandes variations. Le chiffre qui
les malades et le personnel. 1.11ERCKr,IN.- Une heure de cours par semaine suffit, si l'on veut que les auditeurs puissent
heures de cours théorique et une deux heures de cours pratique par semaine sont néces- saire L'expérience faite dans les q
2 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
ié, de l'examiner. z Vers la fin du mois de novembre 1879, quelques semaines après notre nomination de médecin de l'hospice
trière. La section des enfants était située, il y a encore quelques semaines , tout à fait à l'extrémité sud-est de l'éta- bl
de place dans les sections spéciales, les enfants y séjournent des semaines et des mois, confondus avec les adultes, sans e
vé en 1853; à droite, les ateliers qui seront achevés dans quelques semaines (PI. 84, 87). Le fond de cette cour est occupé
âtiment, celui des réfectoires. (Voir le n° 85 du Plan.) Quelques semaines plus tard, M. Gallois dut les faire suspendre c
moplate droite fracturée; il a été à Lariboisière pendant plusieurs semaines (1872); sauf une plaie du sourcil gauche, c'est
gulière. Bromure de potassium, 2 gr. ; augmenter d'un gramme par semaine jusqu'à 8 gr. 1881. 16 avril. Adézo-plzlcnon de
à des accès épileptiques qui reve- naient au moins une fois chaque semaine , il fut mis en traitement au commencement d'aoû
. Les injections furent faites, dans tous les cas, trois fois par semaine ; les doses varièrent de 1/15 à 1/10 de grain 2.
re (injection sous- cutanée de un huitième de grain, trois fois par semaine ). Le ma- lade eut pendant les quatorze premiers
ent (commencement de juin 1866) ils ne sont pas revenus. Après sept semaines de traitement, on trouva du sucre dans l'urine.
n'a pas d'antécédents héréditaires; il est intelligent; il y a deux semaines , il eut de nouveaux accidents convulsifs ; il e
raitement, commencé le 29 septembre, fut con- tinué durant quelques semaines . Les accès cessèrent de suite et ne reparurent
njections de 1/1 à à 1/4 de grain lui furent faites quatre fois par semaine . Les accès perdirent leur type. Dans les deux p
ésence de sucre dans les urines fut aussi constatée après plusieurs semaines de traitement. La contractilité électro-muscula
jeunes sujets. » M. Benedikt faisait des injections trois fois par semaine durant six à huit semaines ; il suspendait alor
ikt faisait des injections trois fois par semaine durant six à huit semaines ; il suspendait alors le traitement s'il n'y av
s serait sans danger. Les in- jections étaient faites pendant trois semaines tous les cinq jours. Edlessen ', encouragé par
s accès, d'abord assez légers et assez éloignés, il est resté trois semaines sans en avoir; les vertiges persistaient et ve-
tion progressive d'un gramme tous les cinq jours, 2 bains salés par semaine . 25 septembre. - Progrès très sérieux en lectur
l'approche d'un accès ». 5 novembre. - Purgatif; 2 bains salés par semaine . 6 novembre. Bromure de potassium : 2 grammes;
; du 14 au 21 janvier : 2 grammes; augmenter d'un gramme toutes les semaines , jusqu'à 6 grammes. 17 janvier. - 15 accès de j
t fait une coupure au front, dont la cicatrice existe encore. Trois semaines après, il eut une diarrhée, au cours de laquell
bras gauche «qui était tombant ». Il a recommencé à marcher quatre semaines après les convulsions (on lui avait fait prendr
ente colère en avril 1882, sous un prétexte futile, et il y a trois semaines deux étourdissements dans lesquels il ne serait
journées. C'est par exception qu'on la voit durer pendant toute une semaine . Elle débute par un frisson de quelques minutes
érales très médiocres. Elle est épidémique. Son incubation est de 2 semaines et demie 11 3 semaines (Emminghaus). Les prodro
Elle est épidémique. Son incubation est de 2 semaines et demie 11 3 semaines (Emminghaus). Les prodromes sont de « quelques se
apparue sans prodromes et dont la température était normale. Trois semaines auparavant le même enfant avait eu une rougeole
nstant. On pouvait même encore les retrouver jusqu'à la troisième semaine après le début de la maladie. (1. Voiries nombr
ras arraché par une courroie. Son pre- mier accès aurait débuté une semaine après, au milieu de la nuit. Cependant, sa femm
entre; pas d'alcoolisme, ni d'excès d'aucune sorte. Accouchement, 3 semaines avant terme (déterminé par une émotion), nature
envoyé de la Pitié. Il a travaillé un peu dans les cadres. Depuis 3 semaines il ne fait rien. Pour la première fois, il se p
un de ses cama- rades avec lequel il jouait de l'argent. Depuis 3 semaines , il a une bonne amie qui a 16 ans ; elle travai
ÉCÉDENTS PERSONNELS; ARRESTATIONS. 167 en temps, presque toutes les semaines , il se sauvait de chez lui; toute la journée il
l'infirmerie de la prison de la Santé, où il est resté environ une semaine . Il a été ensuite envoyé à la Grande Roquette.
3 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
iuutes il répond 2. Le malade est resté à l'hôpital seulement trois semaines , juste le temps de guérir de son abcès et pour
de seutant des douleurs le long du membre supérieur droit. Depuis 5 semaines , douleurs en ceinture ; elles atteignent les plis
dominaux présentaient le contraire. Avant sa sortie de l'hôpital (4 semaines de séjour), il commença à éprouver des douleurs
r des douleurs bien localisées et limitées, ce n'est que quel- ques semaines avant la mort que la douleur a atteint son point
um ; elle a envahi le membre inférieur droit (face antérieure). Une semaine après, ces douleurs ont passé. A leur place ont a
érection. A la fin d'avril le malade pesait 172 livres, il y a deux semaines , 140, maintenant 143 livres. Durant les deux
ujours, elles ne cessaient parfois que pour 1 ou 2 heures. Il y a 3 semaines , les douleurs du sacrum commencèrent à se propage
upérieur droit est libre des douleurs jusqu'à présent. Il y a trois semaines elle a eu la sensation comme « si elle accouchait
elle a eu la sensation comme « si elle accouchait », cela a duré 2 semaines . Pendant les dernières 5 semaines la malade reste
elle accouchait », cela a duré 2 semaines. Pendant les dernières 5 semaines la malade reste couchée sur le ventre, cette po
u moindre mouvement. La malade ne la laisse pas toucher. Depuis une semaine , la malade souffre d'une rétention complète de l'
ne, la malade souffre d'une rétention complète de l'urine. Depuis 3 semaines il y a constipation (la malade va à la selle uniq
iquement après un lavement et alors « ça coule »). ' Depuis trois semaines la jambe gauche est devenue plus faible et depuis
Il y a 2 mois et demi apparaissent des douleurs au sacrum. Depuis 3 semaines ces douleurs commencèrent à se propager vers la f
che et gonflement de ce membre. Hyperesthésie de la jambe. Depuis 3 semaines , réten- tion et incontinence des matières fécal
aines, réten- tion et incontinence des matières fécales. Depuis une semaine , rétention complète de l'urine. Depuis 3 semain
écales. Depuis une semaine, rétention complète de l'urine. Depuis 3 semaines , affaiblissement du membre in- férieur gauche,
L'affaiblissement des membres croissait toujours et au bout de deux semaines le malade ne peut plus marcher. Depuis quelques s
ut de deux semaines le malade ne peut plus marcher. Depuis quelques semaines , troubles urinaires minimes (rétention d'urine
uche puis des membres inférieurs surtout du gauche. Depuis quelques semaines des troubles urinaires légers. Etat actuel. L
que faibles pouvaient bien exécuter tous les mouvements. Il y a 5-6 semaines et malade fut renversé avec la petite voiture d
notable. La malade récupéra la possibilité de marcher au bout de 6 semaines . Putnam et Elliot opérèrent un sarcome du sacru
agissait de fièvres convulsives et cet état se maintint pendant une semaine . Après une huitaine, cet état fiévreux dis- par
tion et rougeur du visage, probablement un érysipèle qui dura trois semaines , au bout desquelles Elisabeth s'était complètem
ints de côté persistèrent. Il est apparu de la douleur au dos. Deux semaines plus tard les membres inférieurs commencè- rent
e de 4o aus, est entrée à l'hôpital le 7 septembre 1905. Il y a dix semaines , douleurs dans la région occipitale. En même temp
d même marcher, travailler ; elle se sentait assez bien. Il y a une semaine elle a ressenti de la raideur de tout le membre s
UMÉ, - Dans ce cas il s'agit d'une femme de 45 ans, qui ressent dix semaines avant sa mort des douleurs et des élancements der
nts derrière la tête. En même temps la face et le cou enflent. Neuf semaines plus tard tout le membre supérieur droit devien
sont douloureux. Les douleurs sont devenues très fortes depuis une semaine , les membres inférieurs sont lourds, le malade a
Depuis, le tableau clinique ne présenta pas de rémission, et trois semaines après le début des symptômes alarmants, la mort
tèbres dorsales. - Evidemment à un moment de la maladie (quelques semaines avant la mort) la tumeur a augmenté rapidement
gauche du cou une petite tumeur qui augmentait toujours. Il y a six semaines elle était du volume d'un citron. Depuis elle c
était du volume d'un citron. Depuis elle croissait vite. Depuis une semaine , douleurs dans l'épaule et le bras gauches et a
13 juillet. - Opération de la tumeur. ' 15 août. Il y a quelques semaines , après l'opération de la tumeur située du côté
issement des deux membres inférieurs, surtout du gauche. Il y a une semaine les membres inférieurs et le tronc sont devenus
s supérieurs. La sensibilité A cette époque était intacle. Quelques semaines plus tard les mouvements de la tête sont devenu
t secondairement (obs. X). Ces symptômes peuvent persister quelques semaines et même quelques mois avant que les symptômes m
es douleurs dans la partie supérieure du corps) durait à peine deux semaines après lesquelles, en quelques jours, se développa
ureuse. La mort frappe vite (après quelques jours) ou bien quelques semaines ou quelques mois. Tous ces phénomènes périphéri
sie de cause médullaire ne se prolonge pas trop longtemps, quelques semaines , quelques mois au plus. Quelquefois on voit des
ie spastique inférieure) le malade s'est rétabli et put marcher six semaines après l'opération. Dans le cas de Sick la tumeu
ration on ait éloigné uni- quement la tumeur primitive du dos, huit semaines après le reste du kyste et les arcs vertébraux
r, le cerveaudes aliénés morts de dé- lire aigu dans l'espace d'une semaine environ après le début de la maladie et dont na
resser aux cas aigus ou suraigus, qui n'ont que quelques jours, une semaine tout au plus, de durée et dont le nombre est tr
tégorie le (1) l3amnssr, Démembrement de l'hystérie traditionnelle, Semaine Médicale, 1909. (2) Revue Neurologique, 1908, p
t les crises se rapprochent, se groupent, deviennent même certaines semaines subintrantes, et de telles séries laissent une pa
ans perte de conscience; cette hémiplégie disparut au bout de trois semaines . Deux mois plus tard, céphalée violente qui dim
au céphalées et attaques d'épilepsie, symptômes qui apparurent deux semaines après une chute dans laquelle l'occiput avait b
es très fortes douleurs dans la région lombaire. Elles ont duré six semaines . Puis elles sont disparues pour un court laps d
sement de cette région et des membres infé- rieurs. Depuis quelques semaines , affaiblissement des jambes. Enfin, depuis peu,
arues pourla première fois dix mois avant l'opération, ont duré six semaines , ont disparu pour un temps, puis elles se sont
des jambes. Troubles urinaires et troubles du côté du rectum. Trois semaines avant l'opération, on constatait l'affaiblissemen
s occupaient le second plan dans le tableau cli- nique. Après trois semaines de durée des douleurs, l'affaiblissement des mem
us l'influence des compresses chaudes. La douleur existait quelques semaines et puis a disparu complètement. Mais à ce moment
e des matières fécales. Pas d'in- continence d'utinp. Les dernières semaines elle souffre de crampes dans la jambe droite. E
le côté gauche. Constipation, difficulté d'uriner. Depuis quelques semaines , crampes dans la jambe droite. Elle ne-peut pas
oitié gauche du ventre. Escarres profondes sur la fesse. Mort trois semaines après l'opéra- tion. L'autopsie montra une tu
Rétention d'urine et de matières fécales. Le malade est mort trois semaines après son entrée à l'hôpital. L'autopsie a dé
rs de la jambe droite persistent jusqu'au moment actuel.Il y a neuf semaines la jambe gauche est devenue douloureuse. En même
deux membres inférieurs, surtout dans le droit, . Depuis quelques semaines , douleurs dans le membre supérieur gauche. Dou-
t jour et nuit. Vertiges, bourdonnements d'oreille. Depuis quelques semaines diplopie. L'oeil gauche voit comme à travers un
ir pas trouvé des lésions dans un cerveau de chien exa- miné quatre semaines après la section de la moelle. ' Je suis revenu
des lésions de la capsule interne. Chez une hémiplégique, morte six semaines après un ictus causé par une embolie vasculaire
e hémiplégie droite, de laquelle il s'est sensiblement amélioré ; 5 semaines avant l'exitus il a un second ictus suivi d'hém
des mouvements volontaires et des fonctions du faisceau pyramidal. Semaine médicale, 1 octobre, 1903. 1116. 9. D'après Hor
ôt de douleurs abdo- minales violentes et d'un état fébrile. Quatre semaines après le début des acci- dents, un abcès fétide
er un fait pathologique (PI. L). 440 CHEVALLIER parut après trois semaines . Nourri au sein, le bébé eut sa première dent à
des contractures des membres inférieurs, des paresthésies. Quelques semaines après les premiers symptômes, apparaissent des tr
s froid, et a ressenti une forte douleur de la nuque, qui dura deux semaines . En même temps, il yavaitde la difficulté d'uri
909, le malade présente des réflexes patellaires vifs (pendant deux semaines le gauche est minime), les achilléens et les plan
(tumeur de la queue de che- val), les douleurs duraient-au début 4 semaines , puis disparaissaient pour 1. 2 ans, puis réapp
tant la durée est très courte, la mort survient au bout de quelques semaines ou de quelques mois (Lorenz, illoller, Nonne).
re) se plaignait de très fortes douleurs des bras, qui duraient des semaines entières. La malade comparait ces douleurs à des
remier vécut deux ans, le second 10 mois, le troisième seulement 10 semaines . Tous les autres enfants étaient normaux. Dob
n signe d'Argyll-Robertson bilatéral. La malade a succombé quelques semaines après son entrée dans le service, malgré un tra
jours, et un mois après l'opération, elle essayait de marcher. Onze semaines après l'opéia- tion la malade marchait toute se
nheim). Cette aggravation dis- parait en quelques jours ou quelques semaines . Il y a des causes qui peu- vent produire l'agg
ppen- heim attire l'attention sur le fait que pendant les premières semaines qui suivent l'opération les symptômes morbides
ulbaires (Chipault, Oppenheim, Nonne) ou quelques jours ou quelques semaines après l'opération, prin- cipalement par suite d
s à 420), la tumeur n'a pas été éloignée et la malade mourut, trois semaines après l'opération sans phénomènes septiques. De 2
ejerine et Spiller. - Sur le trajet intramédullaire des racines post. Semaine méd., 1895, p. 321. DERCUM. Thyroid melaslasi
hr. f. Nervenheillt., 32, 1907. FERr4ET. - Lymphadénomes multiples. Semaine méd., 1897. p. 13. Fermo. Vitiligo et tumeur né
litaire de la moelle, siégeant au niveau des 11-111 paires sacrées. Semaine méd., 1897, p. 92. Martini. Deux cas de paraplé
le traitement des tumeurs malignes. Policlinico, 14, 1907, p. 11-12; Semaine méd., 1908, Nr. 9, p. 10'r. Meirowitz. - Comp
'agit d'une étude ex- périmentale où le chien est sacrifié quelques semaines , quelques mois au plus, après la section du cor
4 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
raumatismes de la moelle épinière et son explication physiologique ( Semaine médicale, 1899, p. 513). 2 Brissaud. Leçons sur
ison, qu'elle faisait pendant les huit premiers mois trois fois par semaine et trois secondes chaque séance, lui occasionna
us les deux jours, tous les trois jours et, enfin, deux séances par semaine . L'extension doit se faire avant les repas et d
t contre-indiquée. Ainsi, nous avons pu suspendre pendant plusieurs semaines un patient pesant 85 kilos, à qui le professeur
En butte, dans ces dernières années, et surtout dans ces dernières semaines , à des soucis de toute nature, il appelle à l'a
ssance, hémoglobinurie, tuméfaction aiguë de la rate. Durée : trois semaines , guérison. Les principaux symptômes furent surt
ce pendant une demi-heure, une heure au plus, mais durant plusieurs semaines il éprouve dans la colonne vertébrale et dans l
ement. Il est probable, d'après ce qui a été noté sur les premières semaines de la maladie, que la chute, qui a porté sur la
uve en est dans l'améliora- tion survenue au bout de trois à quatre semaines . Mais la moelle même a été lésée, très probable
au gosier : finalement les nausées se mirent de la partie. Trois semaines après son début, elle consistait en plusieurs acc
dre que la crise ne lui prit dès qu'elle sortirait. Il y a trois semaines , pour la première fois est apparu un accès d'ango
, mais la surdité corticale persiste jusqu'à la mort survenue trois semaines après la dernière crise à la suite d'acci- dent
n outil, abandonne son travail et entre à l'hôpital Saint-André six semaines environ après le début des accidents. Etat ac
trois ou quatre dans les cas où la maladie durait depuis plusieurs semaines . Cela semble prouver que la paralysie devient p
e réflexes achilliens après trois mois d'extension (deux fois par semaine ). Voici du reste son observation. M. C..., âg
janvier 1901, et l'extension par la planche inclinée trois fois par semaine . Le 2 avril 1901. Marche améliorée : améliorati
rès à la Salpêtrière on reconnut le tabes; pendaison trois fois par semaine et les pointes de feu le long de la colonne ver
zaine pendant les deux autres années; de la pendaison deux fois par semaine pendant les deux premières années, de trois, qu
oins à la Sal- pêtrière. Nous lui faisons l'extension deux fois par semaine , sui- vant les règles indiquées plus haut. Le
donné des ca- chets, écrit la malade, et on m'a fait trois fois par semaine l'élon- . gation (procédé de GillesdelaTourette
ar l'inclinaison à 40° cinq mi- nutes, 50° cinq minutes. Toutes les semaines nous avons aug- mentela durée des séances, jusq
avec lourdeur et fatigue, empêchant la marche. Cet état dura six semaines . Un confrère, consulté par la malade, lit le diag
le traitement antisyphilitique et des pointes de feu deux fois par semaine . A ce moment la malade est devenue ataxique et
ntre à Beaujon, en pleine ataxie et amaurosique. Elle y reste trois semaines ; au début de son séjour, elle eut une rétentio
ous fimes à cette malade au commence- ment l'extension six fois par semaine ; [ensuite nous supprimions deuxfois et finîmes
[ensuite nous supprimions deuxfois et finîmes par trois séances par semaine de quinze à vingt i A. Raoult. Traitement de l'
' l'une de nos hémiplégiques d'un âge avancé; et pendant les trois semaines que nous avons déjà eu l'occasion de lui appli-
s crises sont rares : il n'en survient qu'une en deux ou quel- ques semaines , elles sont parfois déterminées par l'avant-goût
a zone sécrétoire de la sigmoïde antérieure, produit, deux ou trois semaines après cette destruction, la sécrétion du suc ga«-
e du bulbe et de la protubérance d'un foetus de chien de six à neuf semaines , colorée au carmin aluné, après durcissement au
amen des pièces par les méthodes de Weigert, Marchi, Nissl, trois semaines après l'opération. . On trouve, à la suite de l
remière fébrile sans symptômes spinaux bien caractérisés dura trois semaines . Dans la seconde la fièvre tomba et des contrac
culier dans : une leçon sur « les phobies à deux », publiée dans la Semaine médicale du 19' février '1896, est donc antérie
ngrès des Aliénistes et Neurologistes français, Nancy, 5 août 1896, Semaine Médicale, Presse Médicale, 22 août 1896. Des même
si j'avais été blâmé une fois, je m'en serais tourmenté pendant des semaines et des mois. A ce moment, mon maître qui me v
trouvais, mais on m'aimait, on me persuada et je demeurai plusieurs semaines . Un de mes cousins qui se trouvait aussi à la c
à la campagne, au contraire, je n'avais rien fait pendant plusieurs semaines . Je devais presque me laisser trainer pour acco
regard se soit attaché un moment sur le maître. Au bout de quelques semaines , il cessa de venir au cours, et comme quelques
r de nouveau il recommença à suivre ses cours, et à trois ou quatre semaines et même davantage, il me fit des visites et il
eurs fois il a fait de la simulation, et qu'il était même resté une semaine sans manger, disait-il, alors qu'il avait été s
ongé de ses parents, qui ne sont pas venus le voir depuis plusieurs semaines , A... est triste et ennuyé. Présente quelques a
nation continue de l'organisme pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines , ce qui a lieu dans une maladie infectieuse. Il
pparence grave ou légère, d'emblée par un repos au lit de plusieurs semaines , qui ne doit être suspendu, une, deux fois au p
urs semaines, qui ne doit être suspendu, une, deux fois au plus par semaine , que par un bain tiède de courte durée. Le régi
t trop brusquement. Au début, aucun médicament. Au bout de quelques semaines , à l'occasion, de préférence, d'une attaque, et
'une attaque, et en ayant soin de constater si le malade compte une semaine au minimum d'alite- ment, M. Kothe prescrit la
. Il débute par 15 grammes, en lavements, et atteint en six ou sept semaines , 30 et même 40 grammes, en s'arrêtant à la dose
ivalents psychiques. Cette dose, il la donne pen dant deux ou trois semaines , pour revenir à la dose originelle dans les six
is semaines, pour revenir à la dose originelle dans les six ou sept semaines qui suivent. Cela fait un traitement médicament
r la peau tendre ordinairement couverte, elles subsistent plusieurs semaines . Le hâle est évidemment dû aux rayons lumi- neu
conservation faible de la réaction à l'accommodation, notée quatre semaines après le traumatisme, est ici-un phénomène de r
été commencé. La dermophinomisation est obtenue en trois ou quatre semaines au bout desquelles on informe le morphinomane q
duite à une faible dose, je donne un peu d'opium pendant encore une semaine , puis j'ai recours à-l'hydro- thérapie et aux t
eurs survenue après des paroxysmes épileptiques dont l'un dura huit semaines et guérit complètement. Ces paraplégies quelle
itoire gauche. Les accès se répètent tous les quinze jours, à trois semaines , parfois beaucoup plus souvent. La malade accus
isme articulaire aigu presque généralisé. Dans l'espace de quelques semaines , toutes les articulations du corps furent prise
taques convulsives qui se répètent généralement toutes les quelques semaines . Ces atta- ques sont quelquefois précédées d'un
e deux ans, la malade remarquait qu'elle perdait presque toutes les semaines Archives, 2- série, t. XIII. 23 3 3tVt CLINIQ
fit une saignée ; les écoule- ments cessèrent et, au bout de trois semaines , les périodes firent leur première apparition,
uis, elle en a plusieurs, à des in- tervalles variant de une à cinq semaines ; ces derniers temps, elles sont venues tous les
rand découragement à cause des nombreuses attaques de ces dernières semaines . A partir d'au- jourd'hui, la température est p
né quelques signes d'aliénation mentale. Ce n'est toutefois que six semaines avant que les troubles mentaux devinrent très a
nue com- plète. Un traitement électrique amena la guérison en trois semaines . M. Lannois pense que les l'acteurs étiologique
ouvements et sa respiration on guérit presque complètement, en cinq semaines , le bégaiement instrumental et le bégaiement de
imultanéité de tous les accidents rapidement développés en quelques semaines indique qu'il n'y a qu'un seul foyer. C'est une
, dans un espace de temps qui varie de quelques jours à une ou deux semaines , est atteint d'ataxie bien accusée des extrémit
a rupture d'un ma- riage très désiré. Cette rupture datant de trois semaines fut suivie d'une crise hystérique avec trouble
ro-spinale. Deux ponctions lombaires ont été pratiquées il quelques semaines d'intervalle, la première a permis de diagnosti
use, est frappé, subitement, d'une hémianopsie homonyme gauche. Six semaines plus tard, il s'y ajoute une hémianopsie homony
ir d'une intoxication alimentaire observée par lui il y a plusieurs semaines . Quand, au bout de quelque temps, la bonne rent
ès avoir reçu l'avis des autorités, ou bien après un délai de trois semaines après la communication de son rapport. Les auto
5 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
l'appui. I. Messieurs, Le 21 avril, il y a par conséquent trois semaines de cela, il s'est présenté devant nous un homme d
'autres plus communs où la maladie évolue chro* nîquement pendant des semaines , des mois, des années même. C'est ainsi que chez
à prévoir, mais il était bon en tous cas de le constater. Dans les semaines qui suivirent l'entrée à l'hospice, les crises so
de chorée augmentant de fréquence, se reproduisant plusieurs fois par semaine , et par moments plusieurs fois par jour, elle ent
...er a été prise d'un délire qui s'est prolongé jusqu'au jeudi de la semaine suivante (21 juin) et a cessé après une nouvelle
on le renvoya. Rentré chez lui, il resta bien portant pendant trois semaines et recommença à travailler. Mais dans les premier
le soit, qui dure, nous ne dirons pas des heures, mais des jours, des semaines entières? A cela la réponse est facile. On ne fai
tiforme, s'individualiser et s'allonger au point de durer une et deux semaines consécutives (2). Pourquoi s'étonner de voir se p
e la feuille commencée ce jour-là, le dernier mot écrit près de trois semaines auparavant. Il y a dans ce fait une preuve indé
, un manuscrit commencé dans une attaque somnambulique survenue trois semaines auparavant. Il y a donc là, en réalité, une secon
ormal. Alors Félida présentait ce phénomène singulier que pendant une semaine , par exemple, bien qu'elle fût dans son état norm
nt tout ce qu'elle avait fait et tout ce qui s'était passé pendant la semaine précédente, et que, dans la semaine suivante, en
t ce qui s'était passé pendant la semaine précédente, et que, dans la semaine suivante, en condition seconde, elle connaissait
s d'un mois. Enfin une troisième crise analogue, d'une durée de trois semaines , revint encore dans les mêmes conditions après de
taque. On connaît des cas de délire hystérique ayant duré plusieurs semaines et qui cependant ne représente point autre chose
le souvenir de tout ce qui s'est passé, à sa connaissance, depuis six semaines , c'est-à-dire depuis le 14 juillet au soir. Cepen
ngue crise de trois jours qui en est résultée. Cette période de six semaines , qui s'étend du 15 juillet au 28 août, nous l'app
égard, un effet rétroactif. Tous ces souvenirs accumulés pendant six semaines ont été comme balayés ; ils n'existent plus ou pa
'amnésie rétrograde portant, comme je vous l'ai déjà dit, sur les six semaines antérieures au 28 août. On constate alors que cet
M. Terrier. L'interne aurait pratiqué une incision d'urgence et trois semaines après notre malade aurait quitté l'hôpital Saint-
ue lui (38 ans), et avait des coïts fréquents, jusqu'à trois fois par semaine . Vers la même époque il affirme avoir commencé
qu'il nie avoir eu la vérole, par mesure de précaution. Pendant trois semaines on lui fait des frictions mercurielles et on admi
stique : miction involontaire, morsure de la langue. Deux à trois par semaine , le matin. Aura de durée variable, consistant e
Accès caractéristiques très fréquents au début (plusieurs fois par semaine ), puis diminués de fréquence dans la suite (un to
ans cause connue. Accès typiques ; très fréquents, deux à trois par semaine et quelquefois en séries ; plus souvent diurnes q
r des accès toujours nocturnes, se répétant toutes les quatre ou cinq semaines . Aujourd'hui accès typiques, diurnes et nocturnes
enfin aujourd'hui accès de fréquence irrégulière (plusieurs fois par semaine ou une ou deux fois par mois), diurnes et nocturn
mbe, puis diurnes et nocturnes. Accès très fréquents, de un à dix par semaine . Quelques accès de petit mal. Aura précédant ré
ar pendaison. Deux frères névropathes. Début à l'âge de 17 ans, une semaine après l'émotion ressentie en voyant un épileptiqu
s, au bout d'un an, grands accès, au début très fréquents, toutes les semaines , par séries de 3 à 6 ; puis moins fréquents dans
à 6 ; puis moins fréquents dans la suite (toutes les trois ou quatre semaines ) sous l'influence du traitement. Aura constante
emières années de l'enfance. Accès très fréquents (plusieurs fois par semaine ) de grand mal et de petit mal. Aura très courte
n'ont jamais cessé depuis et se reproduisent toutes les deux ou trois semaines . Aura consistant en une crise de battements de
etour des accès, qui ont lieu très fréquemment, deux à trois fois par semaine , avec une recrudescence avant et après ses périod
ée par le suicide de sa mère. Depuis, deux accès par mois, pendant la semaine de ses règles. L'aura n'est pas la même pour le
réquents (deux crises pendant deux jours successifs, toutes les trois semaines ). Aura consistant en une sensation de constrict
onvulsions. Début à 17 ans par un grand accès. Pendant les quelques semaines précédentes, elle avait été en proie à une sorte
19 ans 1'° enf. 24 ans 2 ans 1" enf. 5 ans 1 mois. 1 mois. 1 semaine . 15 jours. 1 mois. 1 semaine Variable. 8 ou 15 j.
ns 1" enf. 5 ans 1 mois. 1 mois. 1 semaine. 15 jours. 1 mois. 1 semaine Variable. 8 ou 15 j. 1 semaine. Variable. Variabl
1 mois. 1 semaine. 15 jours. 1 mois. 1 semaine Variable. 8 ou 15 j. 1 semaine . Variable. Variable. 3 à 4 mois. I mois. I mo
em. s 1 mois. s 1 mois. 15 jours s 1 mois. 3 3 à 4 jours. 2 1 semaine , s 2 mois, s 4 jours. s 1 mois. i. Variable,
is, s 4 jours. s 1 mois. i. Variable, s 2semaines s Variable, s l semaine , s 1 mois, s 1 à 2 mois, s 1 mois, s 1 à 2 sem. s
maine, s 1 mois, s 1 à 2 mois, s 1 mois, s 1 à 2 sem. s 15 jours, s l semaine , is 6 à 8 mois, is Variable, is 1 mois, is Variab
udiants attachés à la clinique. En effet, on voit plus là en quelques semaines qu'on ne voit partout ailleurs en plusieurs mois,
fait alors revenir à l'intérieur de l'hospice, les autres jours de la semaine , par petits groupes, les malades de cette catégor
52 nouveaux. En multipliant ces derniers chiffres par 52 (nombre de semaines de l'année), nous aurons pour un an un nombre tot
ves de Neurologie (n° 67) in extenso, après un extrait publié dans la Semaine médicale du 15 septembre 1886. L'autre a été publ
affection généralement très tenace, très rebelle, qui peut durer des semaines , des mois, des années même, et dont un des caract
des désagréments qui se reproduisirent fréquemment pendant plusieurs semaines ; des querelles graves, des menaces s'en suiviren
r eu à se plaindre ni de ses maîtres, ni de ses camarades. Il y a dix semaines environ, sans cause connue, il a été pris de maux
te, tandis que les bruits hystériques, quoique persistant parfois des semaines , des années, finissent toujours par guérir en fin
t d'ailleurs accompagnée d'aucun autre phénomène saturnin. Il y a 5 semaines , ce malade a été pris de nouveau d'un accès de co
hithéâtre à Rouen et aux Quatre-Mares, et il est arrivé à prendre par semaine cinq litres d'eau-de-vie ou d'alcool. En conséque
6 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Nous le voyons à différentes reprises, car il vient trois fois par semaine à la Salpêtrière prendre un bain d'électricité
ne semble pas s'améliorer, car au 24 juillet, depuis plus de trois semaines , il n'est pas venu à l'hô- pital. 26 juillet.
à des accès épileptiques qui reve- naient au moins une fois chaque semaine , il fut mis en traitement au commencement d'aoû
. Les injections furent faites, dans tous les cas, trois fois par semaine ; les doses varièrent de l/t5 à 1/10 de grain 2.
re (injection sous- cutanée de un huitième de grain, trois fois par semaine ). Le ma- lade eut pendant les quatorze premiers
ent (commencement de juin 1866) ils ne sont pas revenus. Après sept semaines de traitement, on trouva du sucre dans l'urine.
n'a pas d'antécédents héréditaires; il est intelligent; il y a deux semaines , il eut de nouveaux accidents convulsifs ; il e
raitement, commencé le 29 septembre, fut con- tinué durant quelques semaines . Les accès cessèrent de suite et ne reparurent
injections de 1/16 à 1/4 de grain lui furent faites quatre fois par semaine . Les accès perdirent leur type. Dans les deux p
ésence de sucre dans les urines fut aussi constatée après plusieurs semaines de traitement. La contractilité électro-muscula
jeunes sujets. » M. Benedikt faisait des injections trois fois par semaine durant six à huit semaines ; il suspendait alor
ikt faisait des injections trois fois par semaine durant six à huit semaines ; il suspendait alors le traitement s'il n'y av
ues serait sans danger. Les injections étaient faites pendant trois semaines tous les cinq jours. Edlessen', encouragé par
ce réflexe tendineux. Or, l'un de ces six individus, avait eu, six semaines auparavant une diphthérie grave, sans paralysie,
rie grave, sans paralysie, et le i éflexe patellaire revenait douze semaines plus tard des deux côtés. L'examen ultérieur de
et le lendemain une autre : elle ne sait pas non plus le jour de la semaine , à moins qu'un journal ne tombe sous sa main et
. Eléiii. Siem.); employés pendantdeuxmois et demi (six séances par semaine de dix minutes), ils font gra- duellement cesse
se forme au lieu d'opération un phlegmon qui tue l'opéré en quatre semaines . Autopsie. Dégénérescence grise des cordons pos
(durée des douleurs, neuf à dix jours; durée de la paralysie, huit semaines ). Depuis lors, chaque année, un accès semblable
rmé- ment (c'est la paralysie de l'iris qui cède la première) ; dix semaines plus tard, on ne trouve plus qu'un vestige de m
ilation et la désassimilation, et a les prolonger pendant plusieurs semaines au-delà du temps de l'abstinence, jusqu'à ce qu
ez les aliénés qui jeûnent en demeurant couchés au lit, la dernière semaine d'abstinence se traduit par l'élimination d'une q
la destruction de l'albumine organique; elle est, dans la dernière semaine d'abstinence, pour l'acide sulfurique, de 222 m
nt le jeûne, à peu près nulle, elle est on moyenne dans la dernière semaine , de 2 décigr. par jour. Dès que le malade se re
miers, etc.) et les séances de concerts répétées plusieurs fois par semaine contribuent à en faire un endroit de rendez-vou
n 18î6. La moyenne de ses attaques fut pendant cinq ans de deux par semaine . Puis une lacune considérable existe dans ses s
uction, tendances aggressives, un accès de manie furieuse de quatre semaines ). Inutilité de K I. K 13r. oxyde de zinc. Néanmoi
utilité de K I. K 13r. oxyde de zinc. Néanmoins au bout de quelques semaines , la parole est revenue, le bras gauche a récupé
urée de l'obnubitation psychique dont le minimun a dû être de trois semaines , sur l'absence d'hébétude objective pendant ce
u en peu de jours) tantôt il est lent (quelques jours à une ou deux semaines ). M. Engetken ne connaît pas d'exemple ou l'eff
es produisent un résultat curatif considérable; on les continue une semaine ou davantage, et, dès qu'on constate que le mie
vient pas de recrudescence; on diminue de moitié, pendant une autre semaine ; s'il se montre des indices de rechute, on ajou
oses de 10 à d : i centigr. ; la constipation cède dès les quelques semaines con- sécutives, sinon les laxatifs en font just
e la sédation de l'excitation. Durée du traitement : des jours, des semaines , plusieurs mois, quelque- fois très longtemps.
ades traités pondant l'année : 4 morts, 45 réformés, 17 guéris. (La Semaine médicale du 30 octobre 1884.) Société rR\-.\C
les symptômes du choc du système nerveux. Pendant les six premières semaines , il ne put prendre d'aliments solides et fut in
ndre d'aliments solides et fut incapable de marcher pen- dant dix semaines . Les douleurs de dos persistèrent pendant toute
s deux épaules un coup de poing d'un de ses camarades de jeu. Une semaine après, le faciès prend un aspect languissant et
s accès, d'abord assez légers et assez éloignés, il est resté trois semaines sans en avoir; les vertiges persistaient et ve-
tion progressive d'un gramme tous les cinq jours, 2 bains salés par semaine . 25 septembre. - Progrès très sérieux en lectur
'approche d'un accès ». 5 novcmLre. - Purgatif; 2 bains salés par semaine . 6 novembre. Bromure de potassium : 3 grammes l
; du 14 au 21 janvier : 2 grammes; augmenter d'un gramme toutes les semaines , jusqu'à 6 grammes. 17 janvier. 15 accès de jou
gie droite et était aphasique. Son aphasie a persisté environ trois semaines , puis elle a recouvré peu à peu la parole. Etat
. Puis les extrémités supérieures s'atrophient rapide- ment. Quatre semaines après le début des accidents, réaction dégénéra
de régions circonscrites de la sphère visuelle entraîne (six à huit semaines après l'opération), des arrêts de développement q
te à l'âge de trois ans. Ce malade s'agite tout à coup pendant sept semaines et meurt subi- tement. On trouve à l'autopsie u
questions d'intérêt qui ne sollicitent plus son at- tention. Trois semaines plus tard, au retour d'une courte prome- nade,
t fait une coupure au front, dont la cicatrice existe encore. Trois semaines après, il eut une diarrhée, au cours de laquell
bras gauche «qui était tombant ». Il a recommencé à marcher quatre semaines après les convulsions (on lui avait fait prendr
nte colère en avril 1 882, sous un prétexte futile, et il y a trois semaines deux étourdissements dans lesquels il ne serait
n'est aujourd'hui douteuse pour personne, vient d'avoir en quelques semaines plus de dix mille attaques. M. FALHET demande q
s multiple. C'est un garçon de onze ans ayant eu la diphthérie neuf semaines avant son admission (6 août) ; évolution de la
arole nasonnée, régurgitation des liquides par le nez. Depuis trois semaines , incertitude des jambes, diplo- pie, impossibil
tubation du côté vers lequel a eu lieu la rotation. Au bout de deux semaines de ce traitement, voici les symptômes permanent
jet d'un mot de réponse dans le plus bref délai, avant la fin de la semaine prochaine si c'est possible. Vous nous obligere
7 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
selles et ne dormait pas la nuit. II resta à l'hôpital pendant cinq semaines . On lui fit des applications de glace sur le vent
inues avaient disparu; mais de temps en temps, deux ou trois fois par semaine , sans cause connue, survenait encore un accès de
t disparu. Mais, chose remarquable, le jeudi et le vendredi de chaque semaine , à huit heures du matin, une douleur très vive se
n bruit étrange, comme si des grenouilles s'y battaient. » Quelques semaines après, Nicole, qu'on avait — détail important — c
git de deux fakirs, dont l'un avait séjourné vivant dans la terre six semaines , et l'autre dix jours. Pour l'observateur, l'état
l, donné le soir, ramenait le sommeil et le malade pouvait, après une semaine de traitement, se rendre utile dans la salle. Il
net, puis dans une gouttière plâtrée, enfin qu'au bout de six ou sept semaines , on lui avait appliqué un corset de Sayre et qu'i
rasthénique ou névropathique douloureuse qui a persisté plus de trois semaines . J'ai vu, depuis deux ans, beaucoup de ces névrop
de fièvre intermittente : l'année dernière il aurait eu pendant trois semaines , la fièvre tous les jours. Il a d'ailleurs fait,
ie gravative violente avec obnubilation visuelle, qui persista quatre semaines , en même temps que survinrent chez lui des épista
antes se répétant trois ou quatre fois par jour et qui durèrent trois semaines . Il conserva longtemps à la suite une grande faib
l ne travaillait au plus que deux à trois heures par jour. Depuis six semaines il ne travaille plus du tout. Il s'agit donc d'
phalalgie qui a duré un mois, les épistaxis consécutifs pendant trois semaines , s'expliqueraient aussi par une dyscrasie sanguin
ité plusieurs exemples de moutons ensevelis sous la neige pendant des semaines et qui furent retrouvés vivants. M. J. Grant
er; on ne les retrouva que le 15 février couverts de neige depuis six semaines . ? la faveur du dégel on en aperçut quelques-uns
elis dans la neige du dimanche 13 janvier au vendredi 15 mars, soit 8 semaines et cinq jours Ils avaient juste la place pour se
que certains Fakirs puissent également se soustraire pendant quelques semaines à l'influence de l'inanition? Concours sur titr
tine avec albuminurie consécutive la tient au lit pendant près de six semaines . Elle commence déjà à se lever. On la promène au
assée. On entendait retentir les cornes, les trompettes qui, quelques semaines plus tard, devaient encourager les rameurs de cha
r suite du surmenage intellectuel, est resté sans être rasé pendant 3 semaines . A son retour il s'est aperçu de l'apparition de
ens à affirmer que les crises qui se répétaient en moyenne 3 fois par semaine avaient le caractère d'un délire épileptique inte
ai tenu à formuler le diagnostic d'hystéro-épilepsie. Pendant les six semaines que dura l'hypnose prolongée, j'avais suggéré mai
meil qui la prenaient tout d'abord à des intervalles de deux et trois semaines , et qui, peu à peu, devinrent plus fréquentes, au
quence de ses attaques de sommeil qui s'élevaient à deux et trois par semaine , et de les réduire à devenir seulement mensuelles
et attachées à une ceinture autour de la chemise ; pendant plusieurs semaines , je portais ces bûches toute la nuit. Une autre
e à l'hôpital dans un état d'affaiblissement extrême, car, depuis six semaines , elle refuse absolument de manger ; ni exhortatio
ibles avaient été impuissants. Au contraire, la verrue grossissait de semaine en semaine. On lui parla d'une vieille femme des
nt été impuissants. Au contraire, la verrue grossissait de semaine en semaine . On lui parla d'une vieille femme des environs qu
nche qui faisait ressort, pour finir par l'exercice du tricycle. De semaine en semaine les progrés étaient visibles ; à chaqu
isait ressort, pour finir par l'exercice du tricycle. De semaine en semaine les progrés étaient visibles ; à chaque séance —
a kleptomanie, mais même.d'en faire un élève travailleur. En quelques semaines , l'influence des suggestions pédagogiques s'était
l'hiver de 1890 à 1891 ; la maladie proprement dite avait duré trois semaines ; mais cet homme avait eu une parésie de tout le c
raison de douter. L'un des fakirs en question était resté enterré six semaines , l'autre dix jours. Pour y arriver, les fakirs, h
t amaigris, mats vivants, le i5 février, couverts de neige depuis six semaines . Ils avaient vécu de quelques bruyères, dans un é
tes les personnes que j'ai connues ont été guéries en une à trois semaines après une seule séance. « Je me servis d'un pro
a l'existence de ses verrues et n'en apercevra plus dans deux à trois semaines . c J'ai réussi toujours jusqu'à présent. « De
s ce jour, qu'il l'oublierait et qu'elle disparaîtrait en une ou deux semaines . a Deux semaines plus tard, je revis mes connai
oublierait et qu'elle disparaîtrait en une ou deux semaines. a Deux semaines plus tard, je revis mes connaissances et appris q
motivé de mon excellent confrère,et ami le D' Dehenne, qui vient six semaines après confirmer l'opinion du Dr Trousseau, après
Depuis l'âge de cinq ans, la malade C..avait régulièrement toutes les semaines des névralgies à la tête, surtout dans les région
te et des espaces intercostaux se reproduisaient régulièrement chaque semaine . Insensiblement la faiblesse de la jambe droite d
droit. Souffle. Râles sous-crépi tants. Cette maladie a duré trois semaines . Amélioration de l'état mental pendant la fièvre,
avec incapacité de travail et état mélancolique, fut, après quelques semaines , compliqué d'un phénomène bizarre. Quand le patro
lheureusement, le service militaire le réclamait en France, et, trois semaines après son incorporation, il eut un nouvel accès d
ès de léthargie. Je fus appelé pour le soigner, quand déjà depuis une semaine il se trouvait dans cet état. Cette fois, en une
anifestait son désir. Les choses persistèrent ainsi pendant plusieurs semaines . Pour y mettre fin, on dut sacrifier la poule.
Sa terreur ne cessa réellement que plusieurs heures après, et, dès la semaine suivante, on ne retrouva plus en lui aucune des f
ique, des signes évidents de désordres intellectuels. Au bout de cinq semaines , lorsqu'il quitta notre hôpital, il était dans le
seur. » L'affaire se termina par une transaction. 11 y a quelques semaines , j'ai eu des nouvelles de cet animal. Il présente
malades, le mois de Février trois cent six malades; dans la première semaine de Mars il y en avait plus de soixante. Ces pèl
rande femme, maigre, sèche, qui depuis plusieurs mois fait toutes les semaines le voyage de Suisse en France. Très enthousiaste,
8 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
sation d'envoyer notre personnel enseignant suivre pendant quelques semaines les classes de cette institution. Ces visites r
sium, en commençant par deux grammes, en augmentant d'un gramme par semaine jusqu'à huit grammes- Pas d'amélioration appréc
remier accès la nuit, un autre accès 5 jours après, puis toutes les semaines . - Légère amélioration. Gil... Félix Jean, 18
camphre du Dr Clin (chaque capsule contient 0 gr. 20) pen- dant une semaine ; trois pendant une semaine; quatre pen- dant un
capsule contient 0 gr. 20) pen- dant une semaine; trois pendant une semaine ; quatre pen- dant une semaine. 15 juin. - Les
dant une semaine; trois pendant une semaine; quatre pen- dant une semaine . 15 juin. - Les capsules ont été suspendues le
e : 2 capsules du 15 au 20 janvier ; 3 du 21 au 31, sus- pendre une semaine et recommencer. A partir du mois de février, le
sules de bromure de camphre : à partir d'aujourd'hui, 3 pendant une semaine , 4 pendant une semaine, 5 pendant une semaine.
phre : à partir d'aujourd'hui, 3 pendant une semaine, 4 pendant une semaine , 5 pendant une semaine. Suspendre. 1889. ` ? 9j
rd'hui, 3 pendant une semaine, 4 pendant une semaine, 5 pendant une semaine . Suspendre. 1889. ` ? 9janvier.-L'enfantacontin
le n'a eu ni perte de connaissance ni hémorrhagie ce jour-là. Six semaines après, elle a rendu beaucoup de sang infect par l
ssez mauvaise : anorexie et vomissements ; à partir de la quatrième semaine , jusqu'à la fin du 6e mois, elle a été sujette
uer l'avortement et l'a forcée de garder le lit pen- dant plusieurs semaines . « L'enfant, dit-elle, était descendu. » Pas de
a toujours eu des croûtes du cuir chevelu, à partir de la cinquième semaine , tandis que le second enfant n'en a jamais prés
es envelopper dans de l'ouate. Après les convulsions, pen- dant six semaines , il aurait eu de la congestion pulmonaire. Puis
rouvrait les yeux. Ces accidents réviennent environ deux fois par semaine ; il lui est arrivé d'être un mois sans en avoir.
Suzanne a tété assez mal la pre- IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 83 mière semaine , puis elle a bien pris le sein. Au bout d'un mois
hite à la fin du mois d'août. Elle a guéri en 15 jours. Il y a deux semaines , elle aurait eu, pendant quatre jours, toute la
ont pas grande signification, dit sa mère; elle ne sourit pas. » La semaine dernière, sans motif, elle a ri aux éclats. Ell
huit mois, dans le cours de sa première bronchite, au bout de deux semaines , elle a eu pendant trois jours et chaque jour à
IONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. '1 ;-11 convulsions à six semaines , rougeole, tubercules ; idiotie com- plète. A
- liâenle' ; 10° Garçon, dix ans, aurait eu des convulsions à six semaines et en aurait eu à diverses reprises jusqu'à sept
ois, accès de cris attribués par le méde- cin aux coliques. A trois semaines , petites convulsions internes : immobilité, occ
trentaine. 160 UNE FAMILLE D'HYSTÉRIQUES. leur avril. - Depuis la semaine dernière, trois où quatre vertiges au plus. Pas
az située près de son domicile, puis il a été employé pendant trois semaines à l'abattoir de la Villette. Il a recommencé à
ravaillé d'abord chez un bandagiste avec sa soeur, puis a été trois semaines blanchisseuse. Ce métier étant trop fatigant, e
onvulsions internes se manifestant à six reprises de l'âge de trois semaines à quatre mois ; des accès de cris nocturnes d'un
Il a toujours été sujet à la constipation et reste quelquefois six semaines sans aller à la selle. On n'a jamais essayé de
9 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
ide de la suggestion hypnotique. On a fondé à Moscou, il y a quelques semaines , une infirmerie pour les alcoo-' liques; ces dern
pétence, anémie, aménorrhée, insomnie. On venait de lui imposer six semaines de repos avant de l'envoyer prendre un nouveau po
notique, l'avaient vivement engagée à venir passer chez elles ces six semaines , afin de profiter de ma présence dans leur pays.
tat fut des plus remarquables sur tous les points et, au bout des six semaines , la jeune fille était réellement transformée. Le
te communication. Je renouvelai partiellement à peu près toutes les semaines la longue séance de ma seconde visite. Au momen
ongée d'une façon ininterrompue pendant des jours, « même pendant des semaines , plus le malade bénéficiera de « son efficacité.
de dont le moindre mérite est d'ôtre inoffensive. » Il y a quelques semaines , la mort venait prendre le maitre Liébcault. Le g
par se raser deux fois par mois. Bientôt elle dut le faire toutes les semaines , puis deux fois par semaine. Etant tombée malad
is. Bientôt elle dut le faire toutes les semaines, puis deux fois par semaine . Etant tombée malade, on la transporta à l'hôpi
mur, * p. 152, ;loco citato). coquetterie, et au bout de quelques semaines , sa barbe avait acquis la longueur que l'on peut
fin une constipation opiniâtre avec garde-robo seulement uno fois par semaine . Il pèse 62 kilos. Je lui fais fixer mon regard
obe toutes les 2i heures. Le traitement est continué pendant deux semaines , avec une séance tous les jours, puis trois fols
nt deux semaines, avec une séance tous les jours, puis trois fols par semaine , pendant trois semaines. La spermatorrhée, l'hype
une séance tous les jours, puis trois fols par semaine, pendant trois semaines . La spermatorrhée, l'hyperesthésie de la région p
depuis, jusqu'à la tin du mois de janvier, c'est-à-dire pendant cinq semaines , une fois par semaine. Dans l'état hypnotique, la
s, sans aucun de ses accès coulumiers. Depuis, ¡1 vient deux fois par semaine . Depuis le début du traitement jusqu'à aujourd'hu
, j'appris que l'enfant soufTrait de crises nerveuses depuis quelques semaines , qu'il avait été transporté à l'hôpital en désesp
e rendit involontairement des matières dures toutes les deux ou trois semaines et même plus rarement ; la miction, également inv
u des pieds, qui devinrent sensibles à la piqûre ; pendant plus d'une semaine , ces injections pratiquées tous les jours, amenèr
ne durée de vingt ans, devint le siège d'une rougeur, suivie quelques semaines plus tard d'une esebarc superficielle. Une toux
e de Luang-Prabang, à cent lieues de la frontière du Tonkin. Quelques semaines après son arrivée à Londres, elle fut présentée à
. Les partisans des doctrines de Darwin triomphèrent pendant quelques semaines , en affirmant qu'on avait trouvé un être représen
période de sommeils discontinus, durant de quelques jours a quelques semaines et alternant avec de courts réveils. Il en est ai
s et empêche qu'on le lui introduise dans la bouche. Pendant quelques semaines , elle refuse la viande : un jour on lui en fnit p
r ma malade le 22 août, & la condition qu'elle reviendra dans une semaine , pour un jour, afin que je lui fasse encore une s
cpmbien de temps elle pourra restera Saralow; elle me répond : « Deux semaines , cor je veux me commander des costumes et j'ai gr
éprouve plus d'angoisse, ni de mal de téte. Elle reste à Saratow deux semaines , durant lesquelles elle va huit fois au théâtre :
ore aux moments où la malade se ressouvient de son mal. Au bout d'une semaine l'angoisse est passée et la jeune fille ne pense
ait plus mal. Je recommande à la malade de revenir au bout de trois semaines afin que Je renouvelle la suggestion; maisje ne l
t les relations et les déplacements. J'étais consulté il y a quelques semaines pour une petite jeune ûlle, laquelle ne peut alle
suggestion éthyl-méthylique. Médecine et Religion : Mira-clcs. La Semaine religieuse, de Châlons, publie la relation d'une
de révolte qui naîtrait en lui. C'est elle qui a soutenu, pendant des semaines , l'armée russe, la masse des simples combattants,
t cette insomnie totale est bien supportée, en apparence, pendant des semaines et des mois, por ceux qui la présentent. Nous avo
et des mois, por ceux qui la présentent. Nous avons vu, pendant trois semaines , un infirmier soignant, nuit et jour, assidûment
une chute grave, suivie d'accouchement prématuré. Plusieurs fois par semaine , sous l'influence de doses plus considérables d'a
nt le sommeil naturel ont lieu, dans le début, quatre à cinq fois par semaine . Notre homme ne s'en doute pas; il ne résiste don
tité de la liqueur verte seulement te samedi et le dimanche de chaque semaine . Au cours de cette même année 1900, survient la p
e la foule y croit. Il me sera permis d'ajouter que, après quelques semaines , pendant lesquelles je lui ai fait une dizaine de
ent de jour en jour. Quand je la vois pour la première fois, quatre semaines se sont écoulées depuis l'apparition des vomissem
anque. Il est, en apparence, très ferme dans sa résolution. Ainsi une semaine se passe, puis quinze jours, et quelquefois davan
lus, et voilà le tableau de la crise d'ivrognerie. Ainsi se passe une semaine , puis deux et même davantage. Il arrive quelquefo
séance se permet de boire, ne fût-ce qu'un peu de vin, deux ou trois semaines après. J'ai eu huit cas de cette sorte. Mes obser
nt de boire après trois séances ou se remettant à boire deux ou trois semaines après le commencement du traitement. Mes observ
gé. Sur 142 alcooliques habituels, 48 ont suivi le régime pendant une semaine et moins, 2 d'entre eux sans aucun résultat; sur
ésultat. Donc, presque un tiers a suivi le traitemenl pendant une semaine et moins. 45 alcooliques habituels et 40 périodiq
ues habituels et 40 périodiques l'ont suivi pendant une période d'une semaine à un mois ; 3 d'entre eux sans résultat. Ainsi 19
e cette catégorie ; l'un d'eux n'a subi le traitement que pendant une semaine , et l'autre pendant deux semaines ; depuis lors,
a subi le traitement que pendant une semaine, et l'autre pendant deux semaines ; depuis lors, il y a de cela deux ans, ils ne bo
y a de cela deux ans, ils ne boivent plus ; le troisième, après deux semaines de traitement, ne boit plus depuis trois ans. Un
s, reparaissent l'agitation ainsi que l'insomoie et cela, pendant des semaines . Cette observation, avec ses contre-épreuves, a
lique. Ce n'est donc qu'à celui-ci que j'ai recours. Deux séances par semaine pendant un mois; les idées changent, la gaieté re
it, dit-elle, revenir ses papillons noirs, et est tranquille pour uno semaine ; vient, pour la dernière fois, me voir, à la fin
gue et les lèvres, en exécutant ce travail assez rapidement. En trois semaines , elle avait réussi a broder des dessins avec de l
que tu m'as rencontrée à la gare », Le jeune homme, depuis quelques semaines , vivait sous l'empire d'une idée Axe, qui l'oblig
e, afin de pouvoir, en les relisant, renforcer sa volonté. Quelques semaines après, le jeune homme est venu nous remercier et
10 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hypodermiques d'antipyrine. Insensiblement, il y a eu, depuis trois semaines , une légère amélioration : les douleurs sont de
ment de perte de la parole avec incons- cience et convulsions. Cinq semaines après, se développe la para- plégie spéciale.
durent trois à quatre jours et qui reviennent à peu près toutes les semaines . C'est une douleur qui commence entre les sourcil
ver; dès lors, elle n'a pas cessé d'avoir deux à trois attaques par semaine environ. Etat actuel. -Au repos dans la station
elques secondes. Cet état persista sans modifi- cations pendant six semaines , après lesquelles elle se décida à venir à Pari
u du plexus brachial. Enfin D... se plaint d'avoir, depuis quelques semaines , une sensation de poids, de gêne, parfois des é
rendit involontairement des matières dures toutes les deux ou trois semaines et même plus rarement; la mic- tion, également
s pieds, qui devinrent sensi- bles à la piqûre ; pendant plus d'une semaine , ces injections, pra- tiquées tous les jours, a
ntinué de prendre 2 milligrammes de strychnine par jour pendant six semaines . L'auteur l'a vu trois mois après : le sujet n'
onctif et aux parois vasculaires, de sorte que dans les pre- mières semaines , il ne se forme pas de réseau conjonctif continu.
avancés de l'inflammation par cautérisation (quatrième à huitième semaine ) se traduisent par une tendance à l'épaississemen
ervés, est passager, car il ne dure généra- ment pas plus de quatre semaines environ, est tout simplement un symptôme de lés
l'espace intravaginal du nerf optique. - Homme atteint, la septième semaine de son mariage récent, d'a- bord d'éruption fur
des deux comtés, l'établissement a reçu 33 malades payau chacun par semaine la somme de 14 s. En 1886 il y '158 faits diver
a lui faisait paraître plus lourde. En été 1884, durant deux, trois semaines , il se développa dans le bras droit un état sembl
on, de la circu- lation et de la respiration. Les règles durent une semaine environ et s'accompagnent de vertiges légers. L
Il fut ouvert à l'hôpital ; la maladie se termina au bout de trois semaines . Le gonflement ne s'était pas étendu à toute la
qu'au niveau des têtes métacarpiennes. La maladie dura près de cinq semaines environ. L'enflure de la paume était considérab
r la plaie à l'aide de la charpie ; tout se termina au bout de cinq semaines (l'abcès s'ouvrit quinze jours après le début d
poque, il a eu des étourdissements qui reve- naient toutes les deux semaines , tous les mois et de plus des accès. Le secon
ils sont de plus en plus fréquents. En 1883, il avait un accès par semaine . Depuis mai z, il a eu en outreplusieurs séries
usine geimaine, morts de convulsions. Premières convulsions à six semaines portant exclusivement sur le côté droit et préd
la grossesse. Accouchement huit jours après. - Con- vulsions de six semaines à trois ans. Puis accès convulsifs. - Aura médi
scence du processus morbide. Quelquefois au milieu d'un long stade ( semaine ou mois) de manie appa- raissent quelques jours
plusetlamalade de MM. Bourneville et Hegnard (Ons. XI), après six semaines de sommeil, conservait encoreun certain embon-
0, obs. I. - Keser : Un cas de sommeil prolongé chez un hystérique. Semaine médicale, G avril 1887, p. 139. Archives, t. XV
rt, nous placerons les re- marques faites par M. Keser sur Chaufat ( Semaine méd.). « L'application d'un aimant à la cuisse
des pieds qui devinrent sensibles à la piqûre ; pendant plus d'une semaine ces injections pratiquées tous les jours amenèr
; cinq ou six hommes ne pouvaient la retenir. Cet état dura trois semaines , après lesquelles la chorée se dé- clara ; aprè
e cheval qui pour le moment n'eut pas de suites fâcheuses, mais six semaines après elle est morte dans l'espace de six heures.
(Briquet); cent heures (Laufenauer)' ; plusieurs jours, cinq à six semaines (Charcot, Bourneville et Regnard) ; vingt- '1él
885, n" 15, p. 775. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 283 trois semaines (Gairdner); dix-huit mois (Pfendler, Ons. 1); -,
ostic entre l'hé- miplégie capsulaire et l'hémiplégie hys/él'ique. ( Semaine medicale, ni 5, 2 février 1887, p. 37.) 'De l
nalité ; puis, l'accident augmente à ce point, au cours des quatre semaines suivantes, qu'il ne trouve plus à sa disposition
taxique chez un gar- çon de six ans et neuf mois, Pendant plusieurs semaines , abat- tement ; puis le 9 mai 1885, céphalalgie
on donne trois cuillerées à bouche par jour, pendant la pre- mière semaine , quatre pendantla seconde, cinq la troisième, et
çoit qu'il se produit rarement des cas intraitables. Après quelques semaines de traitement, ils se conforment à la routine e
es sans lésions organiques, car ils gué- rirent tous après quelques semaines ou quelques mois de traitement. Dans l'observ
uvent tressauter le malade. Elles siégeaient, pendant les premières semaines qui suivirent leur apparition, sur la hanche dr
tation de M. Charcot le 7 février 1888; il est atteint depuis trois semaines d'une paralysie faciale gauche; le malade croit
ttaques hysléro- épileptiques qui reviennent environ toutes les six semaines et se montrent toujours le soir. Ces attaques p
émotion vive, une paralysie faciale du côté droit qui a duré trois semaines environ. Une autre soeztî, de D..., âgée de vin
uoique ner- veux. La paralysie faciale chez ce malade date de trois semaines ; il ne s'est pas exposé au froid et ne sait à q
plégies de la face d'intensité moyenne : vers la fin de la première semaine on peut constater une légère diminution de l'ex
é des nerfs; puis dans le cours de la deuxième et de la troisième semaine apparaissent dans les muscles les modifica- tio
totale et qui guérit cependant complètement dans l'espace de six semaines . M. Déjerine a communiqué à la Société de biolo
augmenté progressivement ; ils revenaient d'abord toutes les trois semaines , puis tous les quinze jours. Vers douze ans la
(Archiu. de new'olog, 1877, t. XIII, p. 35î.) . magner. - Anal, in Semaine médicale, 6 juillet 1887, p. 280. '° J. Adam. A
s. Cette malade, que nous avons perdue de vue, a guéri quel- ques semaines plus tard. Ces phénomènes particuliers peuvent
places de ce côté. Ces derniers phé- nomènes étaient apparus trois semaines après l'apparition de mouvements choréiques du
si, dans son enfance, Mm0 B... a eu de la chorée, pendant quelques semaines , si elle bégaie, elle ne s'en est pas moins mon
la famille sociétés savantes. 471 me raconte que depuis quelques semaines le malade se plaint qu'on lui fait des misères
trente-neuf ans, atteint de tabès caractérisé, qui, il y a quelques semaines , a vu se développer graduellement de la paralys
ogrammes et de préparations microsco- piques. Chez un enfant de six semaines , hydrocéphalie interne, absence de corps calleu
11 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
availle bien à la gymnastique. Apprenti cordonnier, il est chaque semaine récompensé. Au réfectoire, il a appris à se servi
te année son nom, son âge, la date de sa naissance, les jours de la semaine , les mois, l'heure, les nombres, la valeur des
mots tels que ceux concernant les couleurs, nombres, jours de la semaine , vêtements, famille. Lemait.. éprouve une grand
une division supérieure, ne vont à l'école qu'une demi-journée par semaine et restent, les autres jours, le matin et le so
École un cours spécial de solfège. Ces cours ont lieu deux fois par semaine et ont pour but de préparer de nouveaux musicie
vice dentaire. - M. le D1' Bouvet a continué à venir presque chaque semaine donner des soins il nos malades au point de vue
ont des visites les jeudis et dimanches, enfin que deux fois par semaine ils font des promenades aux environs de l'hospi
ulation il serait nécesaire qu'il donnât maintenant deux leçons par semaine . L'Administration départe- mentale et la Commis
i, l'an dernier, a suivi assidûment notre service pendant plusieurs semaines . Retenons, pour mémoire : 1° l'application de l
XXXIV Traitement ET éducation DES IDIOTS. Les vacances durent : une semaine (Noël), six jours (Pâques, Pentecôte), quatre s
durent : une semaine (Noël), six jours (Pâques, Pentecôte), quatre semaines (Août et Juillet). Dans les heures de l'après-m
bre 1900. Monsieur, Après avoir quitté Paris, j'ai passé quelques semaines en Suisse avant d'arriver à Berlin. C'est pourq
ode intuitive, l'en- seignement et les exercices dans les premières semaines d'après la nature des sujets. A la fin des quat
aines d'après la nature des sujets. A la fin des quatre premières semaines scolaires, dans une réunion tenue par les maîtres
se pratique dans les jardins d'enfants. Dans les quatre premières semaines , les enfants n'ont à fournir ni livre, ni cahie
l'augmentation du nombre des heures de classe. Ce nombre varie par semaine , suivant telle ou telle classe, de 12 à 18. A
bâtiments de l'enclave achetée par le département il y a quelques semaines . 2° Passage des enfants devenus adultes dans le
aient, écrit-il, être assistées il domicile et placées, en quelques semaines , en dehors de l'asile, ce qui réaliserait en ou
rbulent, plutôt désobéissant et entêté; 4° une fausse couche de six semaines avec pertes abondantes; 5° une fille de 8 ans q
vement petite, j'avais la taille d'un enfant de neuf ans ; en trois semaines , je suis devenue grande comme je suis aujourd'h
plus âgé). Quatre enfants : 1er Garçon, mort de convulsions à 5 semaines ; - 2° fausse couche à 6 mois 1/2, survenue un mo
à grossir rapidement, et pendant le séjour de la mère a St-Louis (2 semaines ) il aug- mentait de 60 grammes par jour. - Klov
9 ? ? iars. Revacciné sans succès. - Traitement : 2 bains salés par semaine . Juin : Hydrothérapie sirop de fer - bains salé
re, on nous assure que la situation était la même après la première semaine de convulsions, qu'aujourd'hui. Les convulsions
phénomène ne se produisait pas spontanément. Deux ou trois fois par semaine , on notait des secousses des reins et de la tête.
III. Une fièvre typhoïde en voie d'incubation s'étant déclarée deux semaines après l'admission, la conva- Idiotie myxoedémat
ans. Une soeur morte à 2 ans de la rougeole. Une fausse-couche à 6 semaines . Conception avouée dans l'ivresse. Grossesse ac
- ialsieu dans les membres inférieurs, sans douleurs, durée trois semaines . - Accouchement à terme et normal. A la naissan
12 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
véritable état de mal obsédant dont la durée peut se prolonger des semaines et même des mois, en revê- tant les apparences
s où je les ai vus durer beaucoup plus longtemps, pendant plusieurs semaines . 38 CLINIQUE MENTALE. J'ai observé un jeune h
écanismes moteurs chez des malades ; heureusement dès les premières semaines on obtient en règle très générale des progrès a
ui l'accompagne ; il est résolu à démissionner. Au bout de quelques semaines , il reprend confiance, commence à sortir seul e
nous dit-on, quand, au bout d'un temps suffisant (au minimum une semaine ), des femelles ainsi traitées ont mis bas, nous a
pénis, sans douleur, accompagnée d'uréélirite catarrhale. Quelques semaines plus tard ou en même temps se produisent des él
eloppe très lentement une paralysie, qui devient complète après des semaines ou des mois, du crural et du sciatique, parfois
mporte plusieurs mois, une année ou deux. La mort en trois à quatre semaines est rare. L'histologie minutieuse et longue dét
fou lorsqu'il avait bu, et cela lui arrivait souvent. Un jour de la semaine dernière qu'il avait bu plus que d'habitude. Pi
nt ensemble 57 enfants. 25 de ceux-ci moururent pendant la première semaine de faiblesse, convulsions. oedème cérébral, etc
ée de sa fille dès le premier jour, elle présente après la première semaine une cédation assez marquée dans l'acuité des ph
entrer de nouveau à Paris consulter un médecin. Il y a de cela sept semaines , quand, au moment de partir dans ce but, un mat
deux fausses couches : la première de deux mois et l'autre de six semaines . Ses enfants sont bien portants. Au mois de déc
le soir à quatre heures, elle rentre chez elle. Enfin, il y a trois semaines , toujours sans cause et en parfaite santé, elle
d'une crise; était porté souvent aux idées noires et restait des semaines entières sans parler. Sa mère, morte à quatre-vin
e l'énervait énormément et lui provoquait des crises presque chaque semaine . Toujours à cet âge elle fit une seconde fièvre
réaction myasthénique. Tendance à la fatigue des membres. En peu de semaines les extrémités, le tronc et la nuque témoignent
ire se montre à des intervalles de quelques jour ? ou de quelques semaines , soit avec pauses très irrégulières, cas le plus
s chaque hiver. Sa paralysie a débuté en 1893, arrivant en quelques semaines à abolir à peu près complètement les mouve ment
l s'effraya encore davantage à l'idée de l'opération. Environ trois semaines après celle-ci, les troubles commencent, elle c
astille. » A partir de ce moment, la femme revoit son mari chaque semaine , et constate que son état allait plulôt en empira
diminue rapidement pour disparaître complètement en trois ou quatre semaines . Mais pendant la durée de cette pleurésie d'aut
Paris, il subit la cystotomie sus-pubienne. Il revint chez lui cinq semaines après l'opération, et muni d'un appareil, il ne
icide, cette dernière ne pou- vait le quitter. Enfin après quelques semaines de cet été il se pendit à sa croisée pendant qu
la fièvre. Un médecin consulté ordonne un vésicatoire. Après trois semaines la malade va mieux. En septembre le point de cô
s lors il était facile de saisir que les douleurs dans la cinquième semaine de la gravidité étaient occasionnées par la rup
r au-dessus de 38° (au rectum). Le 10 janvier 1901, environ trois semaines après la mort du foe- tus, la laparotomie fut f
s, et aussitôt elle se calma, dormait bien et guérit au bout de dix semaines . Il semble que la peur pour la solitude peut ex
coup plus fréquent de voir ces crises précédées pendant quelques semaines ou quelques mois de douleurs vagues, continues
avait tendance à s'exagérer. On peut se contenter de 3 séances par semaine . Ce chiffre est celui qui convient aux formes p
ssée algique, il y aura intérêt à faire prendre ces séances dans la semaine précédant la menstruation. Cer- taines malades
e- ments des yeux à gauche et des membres gauches. Après quelques semaines , retour à l'état normal jusqu'en 1892. A cette ép
ce hépatique. M. TRÉNEL a observé une femme, atteinte pendant trois semaines d'un délire très actif de persécution survenu a
re l'autopsie d'une malade du service de M. le Dr Déjerine, trois semaines après-une atteinte de zona portant sur le territo
s épreuves ont eu lieu à l'Asile clinique, chaque jour, pendant une semaine . Cette épreuve fondamentale consistait en l'exa
tinue, et survenant seulement par crises de quinze jours ou trois semaines , avec des intervalles de repos peu prolongés cepe
ne façon à peu près continue. Septembre : deux ou trois séances par semaine ; n'éprouve que des cuissons insignifiantes'; l
crise très forte à la suite du brouillard. Cette crise a duré trois semaines et a été l'une des plus violentes, et la plus lon
névralgie. - A cette époque les accès se montraient trois fois par semaine , et duraient cinq à six heures ; la disparition
us facilement. Elle prend assez régulièrement ses trois séances par semaine . En mars 1901, alors que le traitement paraissa
régularité aucune, prendre quelques séances. Il se passe ainsi des semaines entières sans douleur, et quand celles-ci se pr
rique a été suivi pendant six à sept mois à raison de trois fois la semaine , puis la névralgie a disparu pen- dant treize m
amélioration évidente, et il n'est resté depuis ce moment (quelques semaines avant le traitement électrique actuel) que des
plus complète de la face au moment de l'accès. Dans les premières semaines la névralgie était localisée sur le nerf sous-o
la neuvième fois et accouche prématurément au huitième mois. Trois semaines plus tard, à des intervalles de cinq jours, ell
orps de la malade, la chute de tous les cheveux dans l'espace d'une semaine , la chute des dents de la mâchoire supérieure,
ervée. La sphère émotive et l'hu- meur sont sans modification. Deux semaines après l'entrée à l'hôpital, la malade fut attei
hus abdominal assez grave, la période fébrile dura à peu près trois semaines . Dans la période de la chute de température les
ta une cépha- lalgie. Bientôt s'associèrent des vomissements et une semaine plus tard - un affaiblissement de la vue. L'exa
cerbation devinrent de plus en plus rares et moins accentuées. Sept semaines après le début de la maladie, la vue s'améliora
pparurent des céphalalgies très fortes et des vertiges pendant deux semaines , mais sans réapparition ultérieure de ces sympt
et reprend sa vie sexuelle. 412 CLINIQUE MENTALE. Moins de trois semaines plus tard, tous les symptômes anxieux avaient t
Paris. Baillière, édit.. 1891. - Brissaud. L'Anxiété paroxystique. Semaine Médicale, 1890), Freud, Ueber die l3eneclztiguzg
quelineArnauldt, abbesse de Port-Royal des Champs, qui la logea six semaines auprès du monastère, et celles d'Antoine Singli
int. Déguenillés, ils ne sont changés de literie que toutes les six semaines et de paille tous les trois mois. Tous les moye
us en éveil par des questions posées sur les différents cours de la semaine , tant par les professeurs que par leurs camarad
orels et les habitudes de propreté. Les enfants valides vont chaque semaine en promenade dans la cam- pagne. Le traitemen
d'une affection pulmo- naire de sa mère, on l'envoya pour quelques semaines chez une cousine qui vivait aussi à la campagne
llaitement avec plaisir. Tout allait bien pendant les six premières semaines , lorsqu'un jour pendant qu'elle allaitait son e
ourn. de Neurologie, 1902, 11" 23). 11 s'agit d'un enfant de sept semaines , né à terme dans de bonnes conditions, qui est
peu déve- loppés : ce n'est que chez les enfants venus à terme de 4 semaines environ que la formation de la myéline est asse
13 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
Je ne leur demandais pourtant que de revenir toutes les deux ou trois semaines afin de les surveiller pendant un an ou deux et a
angoisse, faiblesse morale, crainte, absence d'énergie). Au bout de 6 semaines le malade -pouvait lire son journal et marcher de
Dubois nous apprend dans son livre que le malade guérit à la huitième semaine . Je n'ai eu que deux cas d'astasie-abasie total
jeune homme était guéri. H marcha toute la journée, resta encore deux semaines à l'hôtel pour maintenir la -uérison et partit po
l'a soumise à un traitement hypnotique et gymnastique. Au bout de six semaines , le succès étaîF assez avancé pour qu'elle pût re
avancé pour qu'elle pût rentrer chez elle où elle continue depuis dix semaines ses exercices et se sent à peu près guérie. L'i
elques jours, le diagnostic dyspepsie nerveuse était confirmé. Quatre semaines plus tard la malade rentrait chez elle mangeant d
érissent rapidement, une bonne partie se remettent en quelque six-dix semaines et un petit minimum suivent le traitement quelque
itement, est continué pendant six mois avec des séances deux fois par semaine . Pendant un an, la guérison ne se dément pas, mal
ns contact sur le visage pour maintenir l'hypnotisation. Pendant deux semaines les séances sont répétées chaque jour. A ce momen
nt est continué encore un mois avec séances ayant lieu trois fois par semaine . Chaque fois le malade se trouve mieux, puis, tou
t de la fesse quand ce confrère l'a confiée à mes soins ; en quelques semaines il y eut une amélioration très notable et, dès lo
J'ai vu trois malades au début de leurs troubles qui mirent plusieurs semaines à se développer et nécessitèrent enfin l'internem
que j'avais soignée et que j'avais dû faire interner au bout de cinq semaines recourut ensuite aux soins de M. Dubois après que
suggestion directe, la majorité de ces malades guérirait en quelques semaines . Certes nous savons que le régime est nécessair
ple réflexe, tel geste en vue d'écarter un danger. Dès lors, chaque semaine , il annonce régulièrement qu'il a eu l'une ou l'a
moins « pontifier » et à rapprocher les distances. Pendant quelques semaines , la veille de chaque composition, je l'hypnotise
ut, toujours sous condition, renvoyé dans sa famille. Il y a quelques semaines , le maire et le commissaire central de Narbonne d
nt rentré dans la bonne voie, et son patron envoyait, il y a quelques semaines , une lettre de quatre pages d'éloges sur son comp
gastrite aigüe avec de fortes douleurs de tête. Peu de fièvre. Deux semaines plus tard, elle a des convulsions, pousse des cri
mon toast, je n'aurai qu'à rappeler ce que je disais, il y a quelques semaines , à la séance annuelle de la Société d'hypnologie
s appréciables. Trois séances d'hypnotisme sont pratiquées en trois semaines . La première fait disparaître l'insomnie. Pendant
mmeil. Un grand nombre d'entre eux ont même dit qu'il fallait, chaque semaine , avoir un jour au moins où on laisserait dormir l
la voyante déclare que l'enfant devait rester couchée. Au bout de six semaines de traitement les souffrances de l'enfant devinre
ions. Le malade devait lire les trois premières pendant la première semaine , la seconde série de trois suggestions la seconde
la première semaine, la seconde série de trois suggestions la seconde semaine , enfin les trois dernières la troisième semaine.
uggestions la seconde semaine, enfin les trois dernières la troisième semaine . La quatrième semaine, il devait lire successivem
semaine, enfin les trois dernières la troisième semaine. La quatrième semaine , il devait lire successivement les trois séries d
ns. Je transcris les parties importantes delà lettre reçue quelques semaines après, me rendant compte du traitement. « Votre
xactement et à la lettre vos prescriptions... A la fin de la première semaine je trouvais déjà en moi plus de courage et de for
uvais déjà en moi plus de courage et de force. Aujourd'hui, quatrième semaine , j'ai beaucoup moins peur, et si je ne suis pas e
un mois avant le concours et lui fais trois séances de suggestion par semaine . Peu à peu, il cesse de trembler, il acquiert de
du succès ! Comme le précédent candidat, je le vois trois fois par semaine , pendant un mois. Les progrès sont lents, mais ré
e a pleinement joui de son premier voyage sur mer. Elle a passé trois semaines consécutives en bateau à vapeur sans le moindre s
nation, ayant peur de ne pas pouvoir supporter la traversée de quatre semaines . Elle ne connait pas la grande mer, il est vrai,
r la position qu'on lui offre. Trois séances de suggestion données la semaine du départ ont eu l'heureux résultat de prémunir m
sa cabine depuis le commencement du voyage, c'est-à-dire depuis trois semaines . La pauvre malade, exténuée, présentait un état d
e séance, l'amélioration se dessine. La guérison est obtenue en trois semaines . Elle a souffert beaucoup du mal de mer et craint
ssi démonstrative qu'on puisse le souhaiter. En effet, au bout de six semaines d'exercice persévérant et progressif, le sujet ar
le périmètre du thorax peut gagner plusieurs centimètres en quelques semaines et que l'air introduit dans la poitrine, à chaque
. Or la pratique méthodique de l'exercice peut la ramener en quelques semaines et créer l'auto-sugges-tion optimiste et le récon
cune question. M0 B... continue à lui donner des leçons pendant une semaine , sans le moindre succès. Alors il lui fait écrire
est continué régulièrement [pendant deux mois avec trois séances par semaine . Au bout d'un mois son état général est tout à fa
ychopathologie du tube digestif; il le continuera le Samedi de chaque semaine , à la même heure. L'Administmteur-Ûêranl : Ed.
rons d'abord celle d'un des plus importants des journaux médicaux, la Semaine médicale, qui écrivit ceci : « Nous constatons av
14 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
écrire de mémoire son nom, son âge, ses vêtements, les jours de la semaine , les nombres jusqu'à 20, établissant une relati
onnaissance usuelle. C'est ainsi que nous avons : Les 7 jours de la semaine , sur l'air du Petit navire ; l'Histoire du blé,
une division supérieure, ne vont it l'école qu'une demi-journée par semaine et restent, les autres jours, le matin et le so
us est arrivé de n'avoir qu'un seul instituteur pendant une ou deux semaines . Autrefois les instituteurs n'avaient qu'un moi
s avec succès. Service dentaire. M. le' Dr DuMONT est venu chaque semaine donner des soins it nos malades au point de vue
ite- ment. La dose de un demi-milligramme au début de la première semaine , était portée progressivement a 3 milligr. à la
première semaine, était portée progressivement a 3 milligr. à la 4° semaine . Les essais ont été pour- suivis pendant 4 mois
tion. lien est même, quiy ont passé plusieurs jours, môme plusieurs semaines , ou des mois, entre autres M"" la doctoresse Mo
56, Musée pathologique. LXV de Christiana toutes deux pendant une semaine (1) ; de deux institutrices envoyées par notre
fants, le samedi, à titre de récompense variant de 5 à 50 cent. par semaine et qui s'élèvent à 1.560 francs pour toute l'an
eudis et dimanches souvent trop prolongées, enfin que deux fois par semaine ils font des promenades aux environs de l'hospi
t nécessaire Puberté. MX que le professeur donnât doux leçons par semaine . L'Administration départementale et la Commissi
fait sa visite annuelle. Promenades. -Elles ont lieu deux fois par semaine , soit dans les communes voisines, soit il Paris
ection pour montrer le nez, les yeux ou la bouche. Après quelques semaines de cet exercice l'enfant non seulement com- pre
ible pour les person- nes qui ne vivaient pas avec lui, et quelques semaines ont suffi. D'autres idiots paraissent ne pas
être arrivé à peu près à la moitié de l'expiration. Après quelques semaines de ces exercices, on fait prononcer un mot de p
03, Mon cher Collègue, Vous pouvez envoyer vos infirmières dès la semaine pro- clitiiiie. Je ferai tout mon possible pour
La même surveillante -institutrice pourrait, deux ou trois fois par semaine , rassembler les enfants valides et leur faire u
et où un petit groupe de jeunes filles pourraitulre conduit chaque semaine en effectuant ainsi une promenade salutaire ; s
de 1 m. 40. Poids : 27 kil. 200. Glande thyroïde ; 0 gr. 50 la 1re semaine , 0 gr. 75 lu seconde, 1 gr. ensuite jusqu'à la
re. 1899. 2 janvier. - Heprise de la glande, 0 gr. 50 pendant une semaine , 0 gr. 75 durant la seconde semaine, puis 1 gr.
la glande, 0 gr. 50 pendant une semaine, 0 gr. 75 durant la seconde semaine , puis 1 gr. Suppression de la glande le 19 janv
a glande thyroïde lui a été administrée de la façon suivante : 1" semaine , 0,75 ; 2° semaine, 1 gr. ; 3° semaine, 1 gr. 25,
lui a été administrée de la façon suivante : 1" semaine, 0,75 ; 2° semaine , 1 gr. ; 3° semaine, 1 gr. 25, jusqu'au 31 mars
ée de la façon suivante : 1" semaine, 0,75 ; 2° semaine, 1 gr. ; 3° semaine , 1 gr. 25, jusqu'au 31 mars. Le poids était alo
tait malade depuis 3 ans ; très nerveux; migraineux. - Mère morte 3 semaines après la naissance de sa fille. - Soeur, 38 ans
ère année. Dans la deuxième année, il en avait encore plusieurs par semaines . Dans la troisième une par mois. Dans la quatri
A trois ans méningite qualifiée de tuberculeuse qui a duré quatre semaines . L'enfant est restée 12 heures dans le coma. Av
t normaux. A la nais- sance, enfant très grosse ? Convulsions à six semaines . - Retard dans la marche. Gâtisme. Manies. Co-
s. Poids : f5 kgr. ; Taille : 1 ? 30. Traitement thy- roïdien : Ire semaine , 0 gr. 55; 2° semaine, 0 gr. 60; 3e semai- ne,
aille : 1 ? 30. Traitement thy- roïdien : Ire semaine, 0 gr. 55; 2° semaine , 0 gr. 60; 3e semai- ne, 0 gr. 75 : puis 1 gr ?
raîche ; début le 20 mai ; 0 gr, 25 de glande tous les jours la 1,, semaine , 0 gr, 50 la 2e., 0 gr, 75 la 3 ; 1 gr. la 4e.
on prend le poids et la taille tous les 8 jours, a vu, dès la 1 ? semaine , son poids diminuer, et dès la 3°, sa taille augm
ilis. Ne boit pas d'alcool, dit la mère. Fume 0 fr. 50 de tabac par semaine . Pas de traumatismes. Caractère un peu vif. Pas
issements qui ont cessé depuis un an; ils apparaissaient toutes les semaines pendant qu'elle était enceinte de la malade ; p
oujours été en retard au point de vue de l'intelligence. - Depuis 3 semaines les accès apparaissent la nuit ; ils ne diffère
15 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
onnaissance usuelle. C'est ainsi que nous avons : Les 7 jours de la semaine , sur l'air du Petit navire ; l'Histoire du blé,
une division supérieure, ne vont il l'école qu'une demi journée par semaine et restent, les autres jours, le matin et le so
Du.mont depuis le 15 avril 1901. Les leçons ont lieu deux fois par semaine , le mercredi et le jeudi. Elles durent chacune
petites multiplications. Est passé en'3" classe depuis quel- ques semaines . - Apprenti tailleur, travaille beaucoup, très
s avec succès. Service dentaire. M. le Du DUSIOVT est vcnu chaque semaine donner des soins il nos malades au point de vue
ntessort, suivre régulièrement tous les exercices pendant plusieurs semaines . -' xliv Visites du service. de Madrid (Espag
nts, le samedi, à titre de récom- pense variant de 5 a 50 cent. par semaine et qui s'élèvent il 1.360 francs pour toute l'a
dis et dimanches souvent trop prolon- gées, enfin que deux fois par semaine ils l'ont des promenades aux environs de l'hosp
tion, il serait nécessaire que le professeur donnât deux leçons par semaine . L'Administration départementale et la Commissi
général le 15 novembre. Promenades. - Elles ont lieu deux fois par semaine , soit dans les communes voisines, soit à Paris.
que temps. L'enfant Fourn... iGélston) est venu également, chaque semaine , prendre une leçon il la petite école de DI ? B
9. 1902.- A janvier. Traitement thyroïdien : 0 gr25 pen- dant une semaine ; 0 gr 50, puis 0 gr 75, enfin 1 gramme. Mars.
rlien : 0 gr. 25 de glande thyroïde fraîche de mou- ton pendant une semaine , puis 0 gr. 50, - 0 yr. 75 et un gramme. Sa tem
avec convulsions à (i mois ; 2° noire malade; 3° fausse couche à G semaines , à la suite d'une émotion pro- voquée par la ch
fant avait 6 mois quand on s'en est aperçu, cela durait depuis six semaines . La nourrice a été trouvée ivre-morte ; le len-
plus tard premier accès; succession régulière des accès toutes les semaines pendant un an. Cessation des accès pendant un a
sse droites profon- dément brûlées. Il dut rester alité pendant six semaines , avec une grosse fièvre, mais pas de délire. Hu
et série d'accès. Après quoi les séries d'accès se répètent chaque semaine , pendant un an, pour cesser complètement pendan
,au maximum de dix en 21 heures. On enregistre une série toutes les semaines . L'état de l'enfant avant et après la série d'a
Il a toujours été sujet à la constipation et reste quelquefois six semaines ( ? ) sans aller à la selle. On n'ajamais essay
alcoolique, elle buvait de tout et s'enivrait plu- sieurs fois par semaine , violente, morte d'une congestion cérébrale ave
son âge. Intelligence ordinaire. Trois ou quatre convulsions à six semaines qui n'ontjamais reparu depuis. Pas d'incontinen
ux à trois ans, les convulsions se sont espacées, venant toutes les semaines puis tous les quinze jours. La physionomie étai
aît les parties de son corps, les vêtements, un peu les jours de la semaine . Il est toujours méchant et sournois avec ses cam
e en écrit un cer- tain nombre de mémoire, tels que les jours de la semaine , les Fig. 21. - Lem..., en octobre 1897. 144
ncendie et entendu crier : « Au feu ! », elle n'a cessé, durant une semaine , de crier : « Au feu ! ». Ces expressions, gros
leure, en un mot un mieux sensible s'est opéré. Purgatif toutes les semaines ; deux douches par jour. 13 avril. L'enfant q
elle cause davantage et soutient une conversation ; cependant cette semaine il lui est arrivé d'avoir des idées un peu biza
le suivant : bain de rivière de 10 minutes ; purgatif toutes les' semaines ; tisanes amères ; lotions froides, vinaigrées su
ion de la mère pendant la grossesse. III. A l'entrée et pendant une semaine , R... a été tranquille, d'apparence saine, au p
CO-YEDAGOGIQIlE. dictée, écrit également de mémoire les jours de la semaine les mois de l'année, les saisons. L'écriture es
e contusion et non fracture. L'enfant a maigri depuis deux ou trois semaines . Aucun trouble, du côté des organes thoraciques
ut probablement atrihuer les petites cmlûltl- sions survenues à six semaines , le retard de la mar- che, de la parole et de l
16 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
lent les lettres, savent écrire leur nom, leur âge, les jours de la semaine , les mots de la leçon de lecture de chaque jour
s qui, pendant longtemps, se rappellent le menu du goûter. Chaque semaine nous faisons une promenade. Cet été une voiture
une division supérieure, ne vont il l'école qu'une demi-journée par semaine et rcstent, les autres jours, le matin et le so
ers de menuiserie et de serrurie. Les leçons ont lieu deux fois par semaine , le mercredi et le jeudi. Elles durent chacune
cé M. le Dr Bouvet, comme dentiste, le 111 juillet, est venu chaque semaine donner des soins il nos malades au point de vue
nts, le samedi, à titre de récom- pense variant de 5 à 50 cent. par semaine et qui s'élèvent à 1.560 francs pour toute l'an
dis et dimanches souvent trop prolon- gées, enfin que deux fois par semaine ils font des promenades aux environs de l'hospi
rs et infirmières vont le 00;00 soit à l'école primaire (3 fois par semaine ), silt aux cours professionnels (i ou 3 fois par
3 fois par semaine), silt aux cours professionnels (i ou 3 fois par semaine ). Ils vont par séries aux exercices pratiques u
tion, il serait nécessaire quo le professeur donnât doux leçons par semaine . L'Administration départementale et la Commissi
l général le 16 novembre. Promenades. -Elles ont lieu deux fois par semaine , soit dans les communes voisines de la Fondatio
heures à l'étude. A Londres, 25 heures de travail intellectuel par semaine de 5 jours avec un repos de deux heures h midi,
vre typhoïde à sept ans et demi, intelligent.; 0° tille morte à six semaines de cholérine ; 7° notre malade ; 8° garçon, dix
uite. (Frictions). Accès de cris nuit et jour pendant les premières semaines . L'enfant a été nourrie simultanément au sein e
reproduites tous les jours jusqu'à quatre par jour. Durant les deux semaines ayant précédé sou placement à la Sal- pêtrière
ire : affolement à la sortie. -Premiers accidents épileptiques deux semaines après cette émotion. Ver- tiges de plus en plus
urs l'ois il a fait de la simulation, et qu'il était même resté une semaine sans manger, disait-il, alors qu'il avait été s
ongé de ses parents, qui ne sont pas venus le voir depuis plusieurs semaines , A... est triste et ennuyé et présente quelques
er. Leur médecin, le Dr Peulcvé, aurait dit que la fille était de 3 semaines en retard ; elle n'avait pas d'ongles, cependant,
'une minute et en a ri. Pas d'envies de boire. accouche- ment trois semaines avant terme, naturel, sans chloroforme, cordon
les il peine formés, n'a tété qu'au 17° jour, a eu 5 nourrices en 3 semaines , on les trayait pour lui donner le lait; le 2e
pen- dant quatre mois, quintes modérées. Jaunisse l'an dernier (3 semaines ). - Pas de scarlatine, pas de varioloïde. Vacciné
e quelques progrès pour la marche. - Traitement : 3 bains salés par semaine . Sirop d'iodure de fer. - Huile de foie de moru
raitement : huile de foie de morue, sirop de fer, 2 bains salés par semaine . Purgation toute les semaines (25 gr. d'huile d
morue, sirop de fer, 2 bains salés par semaine. Purgation toute les semaines (25 gr. d'huile de ricin). 18 novembre. Le ce
ption et durant la gros- sesse. L'accouchement aurait eu lieu trois semaines avant terme; l'enfant était petit et ses ongles
'époque menstruelle absente, période 111élancoti- que durant. trois semaines , Retour de l'excitation coïncidant avec l'époqu
orrespondant à l'époque de ses règles absentes. Puis, pendant trois semaines , l'enfant est taciturne, elle garde un 111 utis
jetait tout par la fenêtre. Sa famille allait la voir deux fois par semaine et a pu apprécier les changements. Traitement :
ptemhre 1808 (H. ans) et offrit les mêmes caractères. Elle dura une semaine . Pendant trois semaines, mutisme presque comple
t offrit les mêmes caractères. Elle dura une semaine. Pendant trois semaines , mutisme presque complet. 130 Folie DE l'adoles
estion, régu- lières. ' ' Elle a été mise à l'école pendant trois semaines : « J'ai été obligée de la retirer parce qu'ell
17 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ière supérieure ; dispa- rition progressive de la paralysie en huit semaines . Depuis lors, les accidents se reproduisirent d
ps que les douleurs cessaient entièrement; cet état dura quelques semaines , puis peu à peu de légers mouvements revinrent
peu à peu de légers mouvements revinrent dans les paupières et, dix semaines après le début de la para- lysie on ne pouvait
ssements disparurent ; le ptosis diminua. Au bout d'en- viron trois semaines le droit supérieur était seul encore para- lysé
mes disparurent au bout de trois jours et l'oeil fut paralysé. Huit semaines après le commencement de l'accès, il existait e
ité pupillaire et paralysie de l'ac- commodation), et dure quelques semaines . Dans la période libre d'accès existe une parés
l'oculo- moteur commun ; ces accès duraient en tout deux ou trois semaines et revenaient environ deux fois par an. Depuis tr
e oculaire se montre très souvent, environ toutes les quatre ou six semaines , dit le malade; elle est toujours précédée des
ait au bout d'un ou de quelques jours, tantôt au bout de quelques semaines seulement,et cela surtout dans les dernières anné
té de 1 Depuis la rédaction de ce travail nous avons trouvé dans la Semaine Médicale sous la rubrique « Lettres d'Angleterr
de E. Clark, fille de douze ans, sujette à des migraines toutes les semaines le strabisme divergent, le ptosis et la dilatat
dans l'acétonémie aiguë; mais ils se prolongent pendant plusieurs semaines avant-d'amener le coma mortel. Ce qui domine, c
bourgogne par le perchlorure de fer; ce n'est qu'après cinq à six semaines de ces manifestations morbides que se produit e
ervé. Les grandes fonctions viscérales sont intactes. Pendant six semaines , son état ne change pas ; mais ensuite il s'agg
tion violente persiste jour et nuit ; rien ne peut la calmes ; sept semaines après son admission, il se calme tout à coup et
quatre ou six jours; répétition des accès : quatre fois en quatre semaines ; dans l'intervalle, alitement à plusieurs repris
Plus tard encore, elle présenta un sommeil non interrompu de quatre semaines , sans qu'elle bût ou mangeât quoique ce fût, et
au bras gauche, mais cessa spontanément après une durée de quelques semaines . Par contre, une paralysie de la jambe droite r
s fièvre, et voyant un délire con- tinuel, furieux, durer plusieurs semaines , j'employai un grand nombre des remèdes usités
n évacuant beaucoup plus doux avait si fort empiré son état. Neuf semaines passèrent ainsi dans un transport continuel. On
pa les genoux, puis les pieds et les épaules, et dura environ trois semaines . Il avait été admis pour cette 1 Ch Fernet. Du.
de Bordeaux à chaque repas, le retour à la santé fut obtenu en six semaines environ. Le sommeil était bon ; le malade avait
ait que l'on rencontre souvent chez les hé- mianopsiques). Quelques semaines avant sa mort il lisait et écri- vait facilemen
le, avec hémiplégie complète (deve- nant spasmodique après quelques semaines ) et hémianes- thésie, est probablement causée p
rale, avec hémiplégie typique (deve nant spasmodique après quelques semaines ), aphasie si c'est le côté droit qui est affect
res sont restées p resque immobiles. Ces arthrites du- rèrent trois semaines , s'accompagnèrent de fièvre et donnèrent lieu à
le attaque de rhumatisme articulaire se prolongeant pendant trois semaines ; outre les jointuiesscapulo-huméraleset fémoro-ti
nu depuis longtemps c'est qu'à la suite d'hémiplégie, deux ou trois semaines après l'attaque, le malade tient l'avant-bras e
ents choréiques. Sa mère avait remarqué que, depuis trois ou quatre semaines , il devenait « songeur». Au- cun autre prodrome
avec ischurie. La paraplégie disparait au bout de trois mois. Trois semaines plus tard se manifestent de l'incontinence de l
! ('pas cl'ucéto- nurie. Et ses observations démontrent combien de semaines l'acé- tonuri.e peut durer sans qu'on constate
lucinations, les conceptions délirantes rétrocèdent au bout de cinq semaines ; il se met travailler; de la douleur de tête il
oût à fin septembre, bains à Nenndorf. Pendant les quatre premières semaines , vingt-huit bains, auxquels un ajoute tantôt du
is. Amélioration à tous égards. A ce moment, dyssen- terie de trois semaines ; quand il quitte le lit, il lui faut, à l'instar
r l'intermédiaire du raphé de la protubérance, qui, dès la première semaine delà vie, con- tient des fibres myéliniques. La
eur, à la paralysie générale. Ces semi-délires qui durent plusieurs semaines ont be- soin, pour éclore, d'un terrain préparé
ités supérieures consistant en un défaut de coordination. Plusieurs semaines après, ataxie statique excessivement accusée da
. La réunion annuelle du conseil de l'asile de Glasgow a eu lieu la semaine dernière. Du rapport du secrétaire, il résulte
us aiguës, l'alimentation devient presque impossible, et pendantsix semaines , la malade ne prend presque rien, sinon de l'ea
lade ne prend presque rien, sinon de l'eau sucrée. Vers la septième semaine elle a du strabisme convergent; elle est prise
bord à intervalles assez éloignés, tous les mois ou toutes les cinq semaines , de préférence la nuit. La malade passe trois a
« Eh bien Eh bien ! » Au mois de juillet, état de mal pendant une semaine , avec subdélirium etmanie religieuse. Incontine
ient plus fréquentes et plus fortes, sur- venant environ toutes les semaines . Depuis l'âge de dix ans, leur fréquence a dimi
dant la puerpéralilé, paré.-ie des extrémités infétieures. Quelques semaines plus lard, amélioration suivie d'aggravation ,
un usage peu modéré des sti- mulants alcooliques; a fait il y trois semaines , élant en élat d'ivresse, une chute de voiture,
des anesthésiques (éther, chloral, alcooliques, morphine); en deux semaines le sevrage est affectué; mais alors, quarante-h
18 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
compagne d'une amyo- atrophie assez prononcée, qui se développe une semaine en- viron après le début de la paralysie, et qu
ilité qui a duré neuf heures. Vers la même époque, c'est-à-dire une semaine environ après le début de la paralysie, le memb
de trois mois, l'épilepsie se développa et durait déjà depuis douze semaines quand W. Hay vit la malade. Il reconnut les tra
constate 41,1. Du reste pas de coma, défervescence dès la quatrième semaine . Deux morts parmi les aliénés; en un cas, il s'
un dément de quarante-deux ans (hypostase pulmonaire à la quatrième semaine ); dans l'autre, on avait affaire à une démente
i- naires. Il obéissait aux ordres donnés. Lorsque, au bout d'une semaine ou deux, son état commença à s'améliorer, il ne r
ans, malade depuis six mois, irritable, confondant les jours de la semaine , paraissant avoir eu deshallu- cinations de la
lucinations sensorielles. Durée : depuis quelques heures à quelques semaines , voire quelques mois. Il n'est pas rare alors d
rie par L'ERGOTINF par SORGENFREY. (Neurol. Centrabl., 1885.) Une semaine après avoir été soumis à un refroidissement hum
dans les bras; Ifs jambes tendent à récupérer leurs fonctions. Une semaine plus Lard, sans qu'on fût obligé d'ordonner une
e de la méthode de Weigert sur des enfants à terme âgés de quelques semaines . Il y a' lieu de distinguer entre les fibres tr
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 113 blissement dans les jambes qui, quelques semaines plus tard, s'accroissait et se compliquait de r
és de ce côté. Aphasie : 4 cas, un des malades observé pendant cinq semaines présentait des troubles de la motilité du laryn
nciers ont, dans deux occasions, rendu des services si- gnalés. Une semaine après leurs examens, ils furent appelés pour ra
ble de la cuisse, phlegmon qui suppura forte- ment durant plusieurs semaines , elle fut de nouveau atteinte, après la guériso
lètement paralysé, la parole était embarrassée. Au bout de quelques semaines , son état s'amé- liora notablement; mais, le 31
l. Le mal de tête a, peu à peu, disparu dans l'espace de quelques semaines et G... a repris ses occupations ordinaires, les
envahissement du côté gauche par les convulsions. Mort après trois semaines de maladie avérée. L'autopsie révèle une gêne d
lit pathologie cérébelleuse. Examen ana- tomique d'un chat de huit semaines ayant présenté une ataxie très prononcée, avec
rs après l'évolution de la diphthérite. progressèrent pendant trots semaines , puis dispa- rurent graduellement dans l'espace
ots semaines, puis dispa- rurent graduellement dans l'espace de six semaines (Observ. de M. Uhthoff). Le fait de M. Mendel c
lade a eu jusqu'à cinq accès par jour, rarement il a été plus d'une semaine sans en avoir. Le patient a une bonne mémoire
remier accès d'a- gitation qui eut lieu en 1881 et ne dura que cinq semaines (quel- ques idées de persécution concomitantes)
s'instruit, afin d'examiner leur état mental au besoin pendant six semaines ». Quel résultat a donné cet examen dans ces co
un. La séquestration dans rétablissement ne devra pas dépasser six semaines . Dès que ces matériaux seront prêts, M. Guttsta
ques mieux entendus et des bains salés, adminis- trés deux fois par semaine depuis octobre 1819. La sensibilité générale es
a nourriture ou des bonbons. Une poupée qu'il a eu pendant quelques semaines paraissait lui procurer quelque plaisir. Le s
colloïde, extirpa- tion totale le 25 mars 1881 ; guérison en trois semaines . Le mari rapporte, le 19 février 1883, que sa f
iculaire, extirpa- tion totale le 8 janvier 1874; guérison en trois semaines . - En février 1883, cachexie crétinoïde très pr
perplasique, extirpation totale le 21 juillet 1877; guérison en six semaines , ré- cidive naturelle en 1882; diminution des f
lloïde, extir- pation totale le 4er novembre 1879; guérison en cinq semaines . - En février 1883, cachexie crétinoïde très pr
extirpation totale le 17 janvier 1883, tétanie, guérison en quatre semaines . - En 1884, début de la cachexie pachydermique.
nges opérés par M. Horsley ne survivent guère plus de six ou sept semaines à l'opération. M. Horsley est cependant par- ve
Biologie, VU, fasc >.) * Ilerzeu. -A A quoi sert la thyroïde ( Semaine rn¿d" 11 août 1886). 5 Fuhr, Die Exstirpation d
ais nécessaire de dégager la tension plus d'une fois. Au bout d'une semaine ou de cinq jours, la plaie peut être légèrement
ture peuvent être enlevés à n'importe quel moment après la première semaine . On trouvera toujours que le cuir chevelu tend
du cerveau. Le malade a été hémiplégique, mais petit à petit (sept semaines ) la paralysie disparut. Vers quinze ans, le mal
le status epilepticus. Après sa sortie de l'hôpital, il resta sept semaines sans attaque; à la fin de cette période, elle r
nt directe- ment la cicatrice. La plaie a complètement guéri en une semaine . La pression du sérum fut deux fois relâchée (u
une nouvelle série d'attaques qui arrivaient une ou trois fois par semaine jusqu'à son entrée le 4 décembre 1885. La natur
mée comme ci-dessus. Les 3/6 guérirent parpremière intention en une semaine quoi qu'il y eût un oedème considérable du cuir
attaques arrivaient par séries de trois ou quatre toutes les trois semaines . Etat actuel. - Le malade est grand, fort ; il
q millimètres. La plaie fut complètement guérie en trois jours. Une semaine après l'opération, le malade se plaignait de fa
19 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
Y électrothérapie, et où de nombreux malades viennent, trois fois la semaine , recevoir des soins appropriés à leur état. Le
inze ans, non réglée, qui fréquente notre clinique depuis environ six semaines . Elle est venue chercher à Paris une guérison qu'
tenir d'un jeune garçon qui fréquente notre clinique, depuis quelques semaines , et qui présente une série d'accidents nerveux as
ce point chez la jeune israélite que vous voyez depuis bientôt trois semaines ; vous vous rappelez que, chez elle, la contractu
ce qui se passait et ne sentait pas complètement abandonné. Plusieurs semaines se passèrent ainsi et rien ne changeait : le père
ant-bras et sa main gauche. La brûlure, quoique peu profonde, mit six semaines à guérir, et aujourd'hui, il reste une plaque rou
tervention d'une cause nouvelle qu'elle s'est produite seulement sept semaines après. C'est le 15 août qu'il sentit des douleu
ar M. Debove, le 1er octobre, et à celle qui a été faite par nous une semaine plus tard, nous trouvons ce qui suit : 1° Une hém
ée, rhumatismale ou de toute autre nature. Déjà, dans les premières semaines qui ont suivi l'accident, il s'était manifesté da
à peu près ce qu'elle fut quinze jours plus tard, c'est-à-dire trois semaines après l'accident ; voici un spécimen qui date de
séparés par des intervalles d'abord courts, mais au bout de quelques semaines , ils devinrent de plus en plus éloignés et aujour
e 15 novembre, le plus jeune des deux, François, âgé de onze ans, six semaines environ après la fameuse séance de spiritisme, qu
ur insu, l'alimenta lion reste toujours insuffisante. On attend des semaines , des mois, espérant toujours que le désir des ali
z-moi et je me charge du reste. » Ma lettre resta sans réponse. Six semaines plus tard, je voyais, un matin, arriver chez moi,
je voudrais vous montrer ce qu'est devenue leur affection depuis six semaines , époque à laquelle a été institué le traitement d
n moyenne trois par jour, ce qui donne un total de 20 à 25 crises par semaine Je vous présente maintenant le petit Jacques, l
1S jours, les attaques ne se montrent plus que deux ou trois fois par semaine ; elles sont moins violentes et durent à peine un
illes. Ces excès se renouvelaient de temps à autre, plusieurs fois la semaine . Ils le privaient naturellement du sommeil nécess
ents qui n'avaient cédé à aucune médication, cessèrent au bout de six semaines environ tout à coup. Vers ce temps-là, fut reconn
ra. Il guérit, mais la convalescence fut longue, et pendant plusieurs semaines , il resta très affaibli, sujet à ressentir des cr
matisme articulaire aigu qui l'avait tenu au lit, pendant cinq ou six semaines . L'idée nous vint, en conséquence, tout naturelle
acte un rhumatisme articulaire aigu qui l'a retenu au lit pendant six semaines . Depuis cette époque, le genou droit se montre de
ide; Porcz..., n'ayant pas pu tolérer la douche, prend trois fois par semaine un bain sulfureux. En outre, tous les deux jours,
certainement, à l'aide d'un traitement approprié, au bout de quelques semaines peut-être, s'ils veulent bien nous y aider2. En s
peu étendue, il est vrai, au niveau de l'épaule. Chez Porcz..., la semaine passée, l'aiguille du dynamomètre ne marquait pas
assée, l'aiguille du dynamomètre ne marquait pas au-delà de 5k. Cette semaine , nous avons gagné quelque chose, car, une fois, l
é la courbe ci-dessous (fig. 74) \ On voit que, pendant la première semaine du traitement (celui-ci a été commencé le 5 juin)
'épreuve dynamométrique donnait chez lui 5k seulement ; au bout d'une semaine , le chiffre était dellk; il était de 47k au bout
'une semaine, le chiffre était dellk; il était de 47k au bout de deux semaines , de 2tk quinze jours plus tard. Le 11 juillet, le
. Le 11 juillet, le malade a quitté l'hôpital brusquement ; durant la semaine qui a précédé sa sortie la moyenne avait été de 2
vouloir cependant l'affirmer, et je serais heureux si, dans quelques semaines , dans quelques mois peut-être, je pouvais vous pr
de quelques jours à peine — chez notre malade, il existe depuis trois semaines ; — on l'a vu s'étendre à des mois, et des années
uet. Entré dans le service de M. Rigal, il guérit au bout de quelques semaines , subitement, par l'application du miroir laryngos
ment, par l'application du miroir laryngoscopique. C'est il y a trois semaines que, à la suite de la même cause, à savoir : une
nt le séjour de deux mois qu'il ht à l'Hôtel-Dieu. Durant la première semaine , le malade n'a pas cessé d'être plongé dans le co
tel-Dieu, service de M. Merklen, le 13 janvier 1886, c'est-à-dire six semaines après l'accident. Là on reconnut tous les caractè
lire un journal espagnol, c'est la même chose. Au bout de quelques semaines , disparition complète des accidents. Obs. III (
n des efforts, et des séances d'électricité, on arriva, au bout de la semaine , à lui faire dire oui, non, à voix basse. La voix
es, il y eut des périodes de quelques jours et accidentellement d'une semaine au plus, où la malade ne pouvait parler qu'à voix
y a, pendant un certain temps qui peut varier de quelques jours à des semaines , du bégaiement, une certaine hésitation de la par
20 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
ît la valeur jusqu'à 10, celui des aliments, vêtements, jours de la semaine , couleurs, surfaces, etc. Laur... (Marcel), 10
une division supérieure, ne vont à l'école qu'une demi-journée par semaine et restent, les autres jours, le matin et le so
ole un cours spécial de solfège. Ces cours ont lieu deux fois par semaine et ont pour but de préparer de futurs musiciens
rvice dentaire. M. le D'' Bouvet a continué il venir presque chaque semaine donner des soins à nos malades au point de vue
tion il serait nécessaire qu'il donnât mainte- nant deux leçons par semaine . L'Administration dé- partementale et la Commis
timents de l'enclave achetée par le département il y a quel- ques semaines . 2° Passage des enfants devenus adultes dans le
Quant à la date d'apparition do ces accidents, elle varie de six semaines à deux mois après le début du traitement; mais
r pour éviter une chute proba- ble. Traitemrnt. - Bain toutes les semaines , douche froide sur le dos jusqu'au 15, et douch
e- ments que ceux du début. On dut le faire manger pendant quatre semaines . Après les convulsions, la parole était perdue.
uvrier il l'atelier de cordonnerie où on l'a envoyé il y a quelques semaines . Juillet. - Pénil et corps glabres; prépuce lon
embre, il a participé à tous les exercices militaires pen- dant six semaines (2mc bataillon de chasseurs). Réformé n° '2 le
Huile de foie de morue, sirop d'iodure de fer, deu bains salés par semaine . Gymnastique : exercices du saut, de la marche,
gauche. Sept mois plus tard, accidents méningitiques pendant trois semaines et rémission des accès con- vulsifs durant troi
d, douleurs dans le bas-ventre, disparues par le repos au lit. Deux semaines après, elle a été effrayée par les cris d'une f
ensuite lSfi . IDIOTIE symptomatique. une rémission d'une ou deux semaines . On a alors remarqué que les yeux étaient broui
e. L'obcénité a remplacé la pudeur. Ce délire maniaque a duré une semaine . Alors se produit une nouvelle rémission du 3(1
es mois, puis elles seraient deve- nues plus fréquentes, toutes les semaines et même tous les deux ou trois jours. Ce n'est
on mauvais état général. Huile de foie de morue ; 2 bains salés par semaine . 1898. 4 mars. - Aggravation de l'état général.
général 15 minutes et revenaient envi- ron toutes les deux ou trois semaines . Auparavant, à la classe, il était sujet il des
Tant qu'ils ont vécu séparés, ils couchaient ensemble une fois par semaine . D'avril à octobre 1881, rapports sexuels quoti
intelligente, n'a pas l'air d'une (1) Elle est morte à l'Age de si semaines . VIE sexuelle : traumatisme, etc. 235 coureus
re au mois d'avril et de juillet. Dans son dernier accès, après six semaines de repos, il s'est fait au menton une plaie qui
t maintenant moins enclin ; il s'en passe quel- quefois pendant une semaine . (Dans les premiers temps du mariage, il avait
ient plus. 17 bien conservée. Il ne travaille plus, depuis quatre semaines ; chaque fois qu'il se place, il est renvoyé a c
. Elle no tra· vaille pas. Son père, malade, est alité depuis trois semaines . Lui-même ne travaille pas régulièrement à caus
pports sexuels, mais sa femme le met il la ration de deux coïts par semaine . Pas d'accès pendant ou après le coït. Pas d'on
[lLel1les scènes d'intérieur. J'ai eu trois accès coup sur coup, la semaine dernière. Jamais ils n'avaient été aussi fréquent
vaille 540 Diminution de la mémoire. et gagne 12 it 15 francs par semaine , ce qui est insuffisant. Sa femme doit accouche
tente de le payer moins cher que les autres ouvriers, 15 francs par semaine . 5 octobre. - A la suite du dernier accès, il a
vailler régulièrement chez le même patron. Il gagnait 22 francs par semaine . A la suite d'un accès, le 7 février, il fut re
3 novembre 1890. 1892. 16 février. - Elle a eu des convulsions à 3 semaines d'intervalles, la dernière le 9 février; durée
21 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ire ; la deuxième à un sujet qui a succombé à la fin de la première semaine , en pleines crises convulsives subintrantes, av
c'est un épileptique à crises assez espacées, deux en moyenne par semaine . On lui donne 3 grammes de bromure par jour. Le
marier. « Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit. » Semaine médic, Il oct. 1899. Travail et alitement dans
st la rapi- dité de la perte de la vision, avec cécité complète six semaines après les convulsions. Cette perte rapide de la
, où il relate un cas d'empoison- nement par le sulfonal. Depuis la Semaine Médicale a publié un article du professeur Lépi
ôté droit et présente des troubles d'aphasie qui ont duré plusieurs semaines . Auparavant il n'a jamais vu double. A cette ép
énomène des orteils et de sa valeur séméiologique, par J. Babinski. Semaine médicale, 1898, p. 321 et suiv. Sur le réflexe
ccès de manie aiguë avec confusion des idées qui guérit en quelques semaines . C'est le quatiième accès, le premier est surve
oussée de tuberculose pulmonaire qui s'éteignit au bout de quelques semaines . Relégué à la division des semi-agités, il fut
agiter. Un accès d'excitation maniaque se déclara et dura plusieurs semaines . En 1900, l'excitation reparut pendant quelque
apidement mais la surdité per- sista jusqu'à la mort survenue trois semaines après la dernière crise. - . A l'autopsie on
ERVEUSE. Alençon ; mais à son arrivée au corps, il a du rester cinq semaines à l'infirmerie parce qu'il boitait : cette infi
ventouses et des cautères dans la région des reins. Au'bout de six semaines , il 'sortit' du service marchant toujours assez
l n'y a pas de troubles des sphincters. Le sujet a eu il y a quatre semaines une cholérine qui dure encore un peu. L'intelli
Par contre, l'évolution progressive de la maladie, l'envahisse- ' Semaine Médicale, 1894, n° 57, p. t53. 2 Lorrain. Coiii
pouvait plus se fermer, la bouche était déviée à droite. Après deux semaines , la bouche se dévia à gauche. Les régions attei
paralysie- traumatique ; : cette période peut ! s'étendre de quatre semaines à cinq ans. L'hystérie est étran- gère à la pro
ire gratuitement une leçon publique (offei2t. liche Yorleszanp) par semaine ; leurs autres conférences sont'babi- tuellement
docenten ou des professeurs. Ces cours, d'une durée de deux à trois semaines , ont, la plupart, heu quotidiennement. Les hono
électrodiagnos- tic et à l'électrothérapie. Il a lieu cinq fois par semaine , de 5 à 6 heures. Honoraires : 23 marks. Durée
ine, de 5 à 6 heures. Honoraires : 23 marks. Durée du cours : trois semaines . A Berlin, les cours de vacances, fondés en 187
xercices de diagnostic, rédaction de rapports, etc.) trois fois par semaine ; l'autre par le Dr Koeppen, également trois foi
is par semaine; l'autre par le Dr Koeppen, également trois fois par semaine (psy- chiatrie clinique avec ses applications à
. Eulenburg, West- phal, Oppenheim, Hemak (trois et quatre fois par semaine (hono- raires : 30 et 40 marks). A propos de
teurs et les étrangers les- suivent en foule. Dans l'espace de cinq; semaines , un professeur, traite complètement tout'un gen
. 4° Organisation de cours cliniques payants d'une durée de trois semaines environ, analogues aux « Cours de vacances » des
des établissements privés consacrés aux aliénés. Stage de quelques semaines pour les médecins de l'armée et de la marine, e
ARNRIFII. Le traitement des psychoses aiguës i)oi, le repos au lit. Semaine médie., Il oct. 1S99. S. Pozzi. - Notes sur l'e
, le fond de celui- ci commença à se couvrir de granulations et six semaines après la cicatrisation était complète. Dans l
ion de la tem- pérature, qui retombe au niveau normal au bout d'une semaine au plus : quelquefois la température normale, p
du nez, près de l'orbite. Il perdit connaissance et demeura sept semaines à l'hôpital. Depuis cette époque, il a la parole
RVEUSE. 251 moment de l'accident pour ne revenir qu'après plusieurs semaines , en restant rauque et dure. Il ne voyait pas au
. A ce mo- ment, il fut atteint d'une thyroïdite aiguë qui dura une semaine , et s'accompagna de fièvre, de gonflement du co
n. l . l3oissLn. VARIA. LES aliénés EN liberté. E. Depuis trois semaines , la veuve Dumontier, de Droisy, âgée de soixant
ure, on nous assure que la situation était lamême après la première semaine de convulsions, qu'aujourd'hui. * Les convulsio
phénomène ne se produisait pas spontanément. Deux ou trois fois par semaine , on notait des secousses des reins et de la tête.
dont il prend jusqu'à cinq litres par jour et plu- sieurs fois par semaine , il se grise. A vingt-quatre ans, il présente d
ette observation, succomba avec tous les symptômes de la rage trois semaines environ après avoir été mordue à la lèvre supér
n effet, du samedi au lundi, le pied suppura plus que dans les deux semaines précédentes. La difficulté la plus grande que p
battait mes suggestions par son auto-sugges- tion. Pendant bien des semaines , j'allai la voir tous les deux jours, réitérant
hangement panoramique des symptômes est paifois si rapide qu'en six semaines on peut voir se suivre toutes ces formes cliniq
roit, apparue le second jour, et qui s'est dissipée au bout de deux semaines environ. 3° Nancrède (Tlie operative Treatment,
mplète, qui a persisté pendant neuf jours. La paralysie a mis trois semaines à se dissiper. Le malade a eu une attaque d'épile
de neuf ans avait fait une chute sur le côté droit du crâne. Trois semaines après, il a été pris d'un léger tremblement de
à des manies ; il s'est livré à la masturba- tion. Au bout de cinq semaines il ne subsistait plus la moindre trace de manif
qué une agi- tation insolite des membres du côté droit; pendant une semaine L'EPILEPSIE PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT
é privé de l'usage de la parole ; puis il se mit à balbutier. Des semaines s'écoulèrent, avant qu'il pût de nouveau s'expri-
res, au point de se reproduire seulement toutes les trois ou quatre semaines ; voire qu'à la suite de l'application d'un vésic
IVocheizsch2,ifi, 1894, n° 4, p. 68. Durée d'observation, quelques semaines . Navratil. Beitriige zur Ilirnchirurgie. SLutt,
olue : guérison au moyen de bains, de KL de strychnine, en quelques semaines , deux à trois mois. Pas d'autopsies. L'intensit
s lésions rabiques. In-8° de 8 pages. Paris, 1900. Imprimerie de la Semaine médicale . Danien (G.). Ecoles pour les enfants
epsia, 1894. * Congrès de la Société de chirurgie allemande dans la Semaine me- dicale, 1899. Voir pages 370 et 387 du numé
ve, une forme aiguë ou transitoire de quelques heures à une ou deux semaines , une forme prolongée pendant des semaines ou de
ques heures à une ou deux semaines, une forme prolongée pendant des semaines ou des mois. Ce sont les céphalalgies qui fourn
irconstance, vingt- quatre heures, et il garda le lit ensuite trois semaines environ. Déjà, à la suite de la première secous
ur soeur M1110 C... atteinte de troubles mentaux, Pendant toute une semaine elles soignent la malade jour et nuit, sans pren-
22 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
es dans leur apparition; elles viennent à peu près toutes les trois semaines , et se reproduisent pendant trois ou quatre jou
sesse, elle fut atteinte de fièvre typhoïde, et avorta à la sixième semaine . Les deux grossesses suivantes furent bonnes, e
e. Tout allait bien, les règles étaient réapparues au bout de six semaines , quand, deux mois après l'accouchement (18 janvie
ssance de l'accident; aussi ne s'en préoccupa-t-ellepas. Mais trois semaines plus tard (le 6 février), en sepréparantà son p
nnée 1881, se sont renouvelées à des intervalles variables de trois semaines à deux mois, toujours le matin entre le réveil
psychiques, pas de syphilis, pas d'affection cardiaque. En quelques semaines , attaques répétées, passagères, caractérisées p
trouble n'est que de courte durée; il est vrai que pendant quelques semaines il éprouve une certaine lassitude générale. Pas
olles et le tissu osseux ne pré- sentaient aucune altération. Trois semaines après, aucun nouvel accès d'épilepsie ne s'étai
bles psychiques et l'observation dans un asile pendant au moins six semaines , tels sont les éléments qui doivent permettre à
ne injection de 1 milligr. et d'augmenter de 1 millligr. toutes les semaines . La dose maxima n'a pas dépassé 6 milligrammes.
sèrent. De sorte qu'après vingt-quatre séances dans le cours de six semaines , la malade quittait le service ne conservant qu
rie. La nourriture est bonne; on donne quatre fois de la viande par semaine , du poisson frais ou salé les autres jours. J
a nourriture commune est bonne et abondante; quatre à cinq fois par semaine on sert de la viande fraîche ou salée; les autr
par un intervalle d'environ six mois : la première série dura trois semaines , les deux autres, quatre mois. Foisn... retourne
dans l'intervalle des sr/es ? accM ? Dans l'intervalle de plusieurs semaines ou même' de plusieurs mois qui séparait les sér
ions des pension- maires dès deux sexes, que le travail soit chaque semaine coupé par un congé ou deux demi-congés, et qu'à
leindev^entnmorose,'isusceptib,lo,lsilencieiise.Tll ! i'iyba'isix3q semaines ,, elle .commence, à' refuser de. manger. Jet ? dé
sme chronique est, .comparativement, aiguë; elle comprend plusieurs semaines à plusieurs mois. Les guérisons sont'parfois'co
ircs^Apgravation'.progréssive atteignant son acmé au bout de quatre semaines : craintesi perpé- tuelles de la mort. L'amélio
ment mécanique et artistique avant midi. Des six après-midi de la semaine : Deux sont remplies par des promenades en comm
font une leçon ou une conférence scientifique plusieurs fois par semaine devant les autres malades de rétablissement qui n
santé; le nouveau complexus psychique s'est montré dès la première semaine qui s'écoulait après t'état lyllémaniadue. Il e
uffrances réelles et réclamations vives du malade dès les premières semaines , si on le soustrait à la morphine; cet état sig
outes pareilles aux premières; mais cette fois elles durèrent trois semaines . Enfin, cette fois- ci, elles durent déjà depui
ois semaines. Enfin, cette fois- ci, elles durent déjà depuis trois semaines . Aucune circonstance particulière ne parait les
moplate droite fracturée; il a été à Lariboisière pendant plusieurs semaines (181 ? ); sauf une plaie du sourcil gauche, c'e
galière. Bromure de potassium, 2 gr. ; augmenter d'un gramme par semaine jusyu'à 8 r. 1881. 16 avril. Adéno-phlegmon de
'anasarque, le malade, homme de trente-sept ans, présente, quelques semaines plus tard, les signes de diabète aux- quels se
îna presque toujours la mort. Les animaux qui survécurent plusieurs semaines présentèrent de la dégénérescence secondaire ;
aralysie complète avec contracture dans le sens de l'extension. Dix semaines après, affaiblissement des extrémités gauches ave
trême de la colonne vertébrale à la nuque. Au bout de quatre à huit semaines , troubles de la dégluti- tion; hypersécrétion s
oit, tandis que le facial inférieur gauche devient parétique. Trois semaines encore, et les muscles masticateurs se paralysent
pour empiéter des deux côtés sur la moitié interne médiane. En dix semaines , on constatait une atro- 1 Voy. poar l'explicat
fants : le plus jeune a dix mois. Durée du premier accès : deux semaines . (La cause supposée est l'émotion ressentie en
fants : le plus jeune a huit mois Durée du premier accès : neuf semaines . Cause inconnue. Pas d'idées de suicide ; pas
es de début : évanouis- sement; état semi-conscient pen- dant une semaine ; au técetl, grande dépression et mélancolie.
dix ans, de la choroïdite avec diplopie, présente depuis plusieurs semaines une modification de la manière d'être et des tr
oscope ne révèlent aucune anomalie. Généralement, au bout de peu de semaines , l'amélioration est assez marquée ; mais toujou
deux jambes, accès durant chacun entre plusieurs jours et plusieurs semaines ; en même temps, elle excrétait une abon- dante
llet ; elles atteignaient, après plusieurs heures et même plusieurs semaines , à une période d'acmé caractérisée par une rigi
le. Puis, à la suite d'un état de mal per- sistant depuis plusieurs semaines , l'urine demeura albumineuse, dans l'intervalle
nie typique complète, mortelle en quatorze jours, ou trois à quatre semaines au plus, se nomme légitime soeviens; c'est le d
23 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
lant » dans le service de M. Dieulafoy, en sort au bout de quelques semaines pour venir il la Salpèlrière. Etat actuel (27
i durent quinze à vingt minutes et se répètent une ou deux fois par semaine . Pas de troubles trophiques. Troubles vaso- mot
ement hémorrhagique par l'oreille droite; cet écoulement dura trois semaines . Il aurait eu à ce moment du délire (« il était
et albuminurie. C'est à la suite de ces attaques d'éclampsie, trois semaines après l'avortement, qu'est survenue la paralysie
ible et difficile. Constipation et paralysie de la vessie. Quelques semaines après, le matin au réveil, la -parole revint subi
ile et il tombe souvent. Il y a trois mois, diplopie qui dure trois semaines . Etat actuel. Durant les premières semaines, on
diplopie qui dure trois semaines. Etat actuel. Durant les premières semaines , on ne constate aucun signe évident d'affection
aitement. ? Iodure et bromure associés au chloral. Au bout de trois semaines , le tremb]ementa beaucoup diminué ainsi que les a
s dévia- tion de la face. Cette hémiplégie disparaît au bout de six semaines , sans laisser do traces. Deux ans plus tard app
édèrent rapidement au bromure et à la valériane, et au bout de cinq semaines il n'était plus question- de ce tremblement.
de l'anesthésie diffuse et des Iroubles de la vue. Au bout de trois semaines d'un traitement hydrothérapique, cette fausse scl
entièrement perdu la vue, de l'oeil droit; et l'avait recouvrée six semaines après. Quand je l'examinai, elle ne pouvait ni li
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cacher la vue du jour; une semaine environ après la chute de la paupière gauche, l
que je propose. Deux de mes opérés sont morts du croup, l'un quatre semaines , l'autre cinq semaines après la guérison. L'exa-
mes opérés sont morts du croup, l'un quatre semaines, l'autre cinq semaines après la guérison. L'exa- men du crâne témoigne
qui ont guéri deux en quelques jours, la troisième a suppuré trois semaines ; dans aucun cas il n'y a eu de nécrose. Le pl
dispa- rut presque subitement » après avoir duré pendant plusieurs semaines . Le tremblement persistait toujours. Bref, depu
peut être à peine sensible au bout de quelques jours ou de quelques semaines . Il est fugace; il peut disparaître complètemen
les jours; il est passager et peut disparaître au bout de quelques semaines ou de quelques mois. 3° Les vertiges doivent
la vue. De nouveau il alla à Panama, d'où il revint à New-York sept semaines après. Enfin il entra à l'hôpital où Sachs eut
ègles sont venues t régulièrement jusqu'à présent toutes les quatre semaines . Elles existaient le jour du premier examen, le
t-Louis, dans le service de M. Lailler où elle n'est restée que six semaines . Les deux photographies ci-jointes (Pl. XXI) du
s que la malade eut éprouvé une vive frayeur), jusqu'à la première. semaine de septembre. Pendant cette période de trois mo
rédominant dans la région occipitale qui est apparue dès la seconde semaine après la col- lision. Dès qu'il se met à lire,
service de la clinique. Il a toujours des attaques, une ou deux par semaine en moyenne. Mais il existe chez lui actuellement
lever et faire quelques promenades au dehors. Mais dans la dernière semaine de septembre il commença à éprouver un mal de t
êne de la déglutition. Notable degré de surdité. Au bout de trois semaines , le malade fut pris un jour d'une quinte de toux,
que. Les douleurs fulgurantes sont nulles, sauf dans les dernières, semaines de sa vie, où elles se montrent accidentellemen
lement sorti de l'orbite, que la cornée présenta, pendant plusieurs semaines , des ulcérations qui ne guérirent complètement
ne tardèrent pas à revenir, succédant à des accalmies de quelques " semaines . Bientôt la douleur s'étendit à la jambe gauche
TRAITEMENT CHIRURGICAL DES RÉTRACTIONS MUSCULAIRES. 253 quelques semaines , laissa après elle une amélioration assez notable
e espèce de douleur et la guérison s'effectua au bout de cinq à six semaines , non sans laisser des déformations du doigt qui
allèrent en progres- sant. Néanmoins elle put quitter le lit. Trois semaines après, elle entra à la Charité, dans un service
- lescence commence au mois d'août; la malade se lève pendant trois semaines , tout en conservant une douleur fixe dans l'abd
épidation des membres inférieurs quand elle marche. Depuis quelques semaines , elle a la sensa- tion de pieds et de jambes en
parésie du membre inférieur droit, qui la fait boiter pendant deux semaines environ. Cette fois encore, l'apparition et la
embre inférieur droit est frappé comme les deux premières fois. Une semaine plus tard, la même chose arrive au membre infér
m sont paralysés. Le pied droit a été frappé d'abord, le gauche une semaine après, puis la main gauche presque en même temp
amp visuel est rétréci des deux côtés. . 9 avril 1888. Depuis une semaine environ, la malade commence à marcher. En même
ngt ans (1889), elle entre à l'hôpital Laënnec, où elle reste trois semaines . Vue à cette époque par mon ami Poulalion, elle a
des crises analogues aux précédentes et revenant environ toutes les semaines : ces attaques sont précédées d'une sensation de
a recours à la suspension et à l'hydrothérapie. Au bout de quelques semaines , on constate une amélioration ; peu à peu la para
ise de chorée rhythmée du bras gauche et d'aphonie qui a duré trois semaines . Après avoir passé quelques jours à l'Hôtel-Die
douleurs dans les membres inférieurs. Ces dou- leurs ont duré trois semaines ; elles revenaient tous les soirs vers sept heures
se redresser, de peur de les exagérer. Après cette période de trois semaines , ces accidents dou- loureux se sont amendés; il
. Depuis huit mois, il a eu deux ou trois accès de palpitations par semaine . Ces accès durent plusieurs heures; ils sont très
elle a été prise brusquement d'un accès de mutisme qui a duré trois semaines . Pas d'autres antécédents névropathiques connus
M. Gouraud. Elle avait, à cette époque, deux ou trois attaques (par semaine ) de grande hystérie : elle était hypnotisable et
URS ». 155 deux actuellement) et rentre ivre qualre à cinq fois par semaine . 11 est très emporté et « ferait n'importe quoi
pour désigner des objets complètement différents. Au bout de trois semaines , il commence à se servir de son membre inférieur
L'amyo- trophie cncffetévolueiciavecune granderapidité; en quelques semaines on assiste la fonte des masses musculaires, pui
ès de nuit,' il aurait eu une hémiplégie droite qui aurait duré six semaines . Dans le cas actuel, l'engour- dissement et l'e
t en plusieurs tronçons pour hâter le durcissement. Au bout de cinq semaines on la lavait soigneusement dans de l'eau et on
24 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
our au lit à l'hôpital d'Argenteuil a été absolu pendant environ cinq semaines ; au bout de huit semaines, le malade a pu repren
genteuil a été absolu pendant environ cinq semaines ; au bout de huit semaines , le malade a pu reprendre son travail ; mais il a
La mère. — Oui, monsieur, il y a quatre mois ; cela a duré quelques semaines . M. Charcot, à la mère. — Àvez-vous souffert au
entrain. Les accidents qui l'ont amené ici, datent cependant de six semaines ou deux mois à peine. Quelques mots d'abord sur
pas devant vous. Rappelez-vous que l'hémiplégie chez lui date de six semaines déjà. Remarquez qu'en marchant, notre malade traî
les divers segments de ce membre. Au sortir de l'hôpital, six ou huit semaines après l'accident, il boitait encore, et il a épro
sept jours ; elle a continué à dormir par la suite pendant plusieurs semaines encore. J'ai fait allusion, une fois de plus, à c
enre, peut se prolonger pendant une et parfois même pendant plusieurs semaines , de telle sorte qu'en somme, entre ces cas d'état
ttribuait non à la douleur mais à la faiblesse du membre. C'est six semaines après l'accident qu'il se présenta pour la premiè
n articulaire s'était accusée bien rapidement, puisque au bout de six semaines elle était considérable. Il est clair qu'au milie
arcot : Depuis quand avez-vous ces vertiges? Le malade : Depuis six semaines seulement. J'oubliais de vous dire, monsieur, qu'
malade prendra pendant deux ou trois séries de quinze jours ou trois semaines , séparées par des intervalles de huit ou dix jour
s cause appréciable, dans des accès de tristesse qui durent plusieurs semaines , plusieurs mois. Je crois devoir reproduire ici
ils ont gagné le membre inférieur du même côté et la face enfin; une semaine après, le côté droit a été pris à son tour. Le
q jours après son entrée à l'hôpital, l'autopsie est restée négative ( Semaine médicale, Lettres d'Angleterre, par le Dr Kcser,
p-tique âgée de 15 ans qui est entrée dans le service depuis quelques semaines seulement. Nous en savons assez sur son compte po
circumduction sont redevenus possibles à la hanche vers la troisième semaine . Mais la reconstitution n'a pas été plus loin ; p
d'heure. Elles se reproduisent habituellement trois ou quatre fois la semaine . La recherche des stigmates a fait reconnaître
dait à se rétablir. L'examen par M. le Dr Gellé, fait il y a quelques semaines , a donné ce qui suit : Affection purement nerveus
er? La mère. — Monsieur, il y a trois ou quatre mois ; il y a trois semaines il a failli être écrasé par une voiture et c'est
ans l'application répétée cinq ou six fois,à des intervalles de trois semaines ou un mois, de petites pointes de feu, sur les di
core aujourd'hui et qui à cette époque l'obligèrent à s'aliter. Trois semaines environ plus tard, il fut admis à l'hôpital Saint
l en avait été 1. Des paralysies hyste'ro-traumaliques chez Vhomme, Semaine médicale, 7 décembre 1887. quitte pour la peur,
st que les érections et les désirs sexuels ont reparu depuis quelques semaines ; les relations ont même pu avoir lieu dans des c
toscopique régulier pratiqué chez notre malade par M. Gellé, quelques semaines après l'accès qui vient d'être décrit. « Otites p
pour effet d'amener bientôt un répit; les symptômes, pendant les deux semaines de repos qui furent prescrites au malade, revinre
Les premières palpitations du cœur ont paru chez Duf...che quelques semaines avant la célébration de son mariage qui a eu lieu
était définitivement établie en permanence, et était depuis plusieurs semaines devenue â peu près complète lorsque la malade est
t dû y être transportée sur une civière ; elle était depuis plusieurs semaines déjà confinée au lit. Les membres paralysés sont
veille, elle est retourné chez ce même magnétiseur cinq fois en trois semaines ; elle ne pouvait pas s'en empêcher, dit-elle, c'
iculté. L'hémiplégie a été progressive, comme on voit; elle a mis six semaines environ à se développer. Le malade entre à la Sal
'est produite. C'était un matin vers 8 heures, il y a de cela trois semaines ; la malade descendait son escalier lorsqu'elle r
n allure, ne sont plus aujourd'hui ce qu'elles étaienl il y a quelque semaines , à une époque plus voisine du début de la maladie
ttaque de rhumatisme articulaire aigu qui l'a tenu au lit pendant six semaines ; d'ailleurs pas de convulsions dans l'enfance, p
rd seuls observés; puis tout à coup, après plusieurs jours, plusieurs semaines ou même plusieurs mois, les symptômes de la malad
n commence l'emploi du Bromure à la dose par jour de 4 grammes la lre semaine de chaque mois, 5 la 2e, 6 la 3e, 7 la 4e et ains
rs. Accès avorté. Le 2. Le Bromure est diminué de 1 gramme chaque semaine , donc 3, 4, 5, 6 grammes. Le 27. On cesse le
romure d'ammonium. La dose, par jour, devait être pendant la première semaine de 4 grammes de principe actif, de 5 grammes la d
ière semaine de 4 grammes de principe actif, de 5 grammes la deuxième semaine , de 6 la troisième, de 7 grammes enfin la quatriè
uoi, le mois suivant, on devait recommencer par 4 grammes la première semaine , 5 la deuxième, 6 la troisième, 7 la quatrième et
la première prescription, c'est-à-dire 4 grammes par jour la première semaine du mois, 5 la seconde, 6 la troisième et 7 la qua
conscients présentaient l'apparence extérieure de personnes normales ( Semaine Médicales, 10 août 1889, p. 291). délire post-é
ler de ce train il pourra, comme il l'espère, reprendre dans quelques semaines le cours de ses singulières pérégrinations (1).
elle une sorte de démence temporaire, s'étend quelquefoisà plusieurs semaines . Évidemment, quelque chose de ce genre s'est pr
terrible. Les accès étaient nombreux ; il en avait deux ou trois par semaine . Les choses allèrent ainsi, avec quelques amélior
On le traita par l'électrisation. Il avait été électrisé pendant six semaines sans succès, lorsqu'un jour, tout à coup, inopiné
s est justement celui que M. le Dr Debove a présenté, il y a quelques semaines , à la Société médicale des hôpitaux. C'est un n
deux ans, par des bouffées de chaleur revenant deux ou trois fois par semaine et qu'il appelle des congestions. En même temps l
lever et faire quelques promenades au dehors. Mais, dans la dernière semaine de septembre, il commença à éprouver un mal de
prédominant dans la région occipitale qui est apparue dès la seconde semaine après la collision. Dès qu'il se met à lire, son
e service de la Clinique. Il a toujours des attaques, une ou deux par semaine en moyenne. Mais il existe chez lui actuellement,
té ainsi. Les signes de la neurasthénie ont apparu chez Claw... trois semaines environ après l'accident dont il a été victime. U
ade sera confiée aux soins de M. Terrillon, et j'espère dans quelques semaines vous la présenter de nouveau, cette fois complète
25 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te au lit durant quelques heures et, dort..pendant, les 3 premières semaines , l'action du médicament est irrégulière, des nu
1904 des accès maniaques très intenses d'une durée do 15 jours à 3 semaines suivis d'une période de dépression légère d'éga
ilis. Ne boit pas d'alcool, dit la mère. Fume 0 fr. 50 de tabac par semaine . Pas de traumatismes. Caractère un peu vif. Pas
issements qui ont cessé depuis un an; ils apparaissaient toutes les semaines pendant qu'elle était enceinte de la malade; pu
oujours été en retard au point de vue de l'intelligence. - Depuis 3 semaines , les accès apparaissent la nuit ; ils ne diffèr
es membres supérieurs Pl surtout de la racine des membres. Quelques semaines plus lard : paralysie absolue des muscles de l'
ullcvc tle Jtoulcvcraer a·. idées. Elle présente depuis plusieurs semaines des troubles mentaux que l'on peut ranger sous
de grandes incertitudes, il s'est ducillé u se : marier il y a sept semaines , mais cette résolution n'a pas apporté à son e-
Même état ; il déchire, est débraillé. Il a eu pen- dant plusieurs semaines d'abondants vomissements liquides ou alimentair
phénomènes paroxystiques. Ce même malade a eu. pendant plusieurs semaines , une crise de vomissements incoercibles. 11 cst
une durée inusitée, se prolon- geant de plusieurs jours à plusieurs semaines . Le plus tenace de ces phénomènes est assurémen
tristesse, indifférence à ce qui l'entoure et refus d'aliments. Une semaine après, elle manifeste des idées mélancoliques, de
dure plusieurs jours et se renouvelle à plusieurs reprises dans les semaines suivantes. En novembre, l'étal confusionnel s'e
t aucune idée et n'ayant, plus de crises maniaques depuis plusieurs semaines . 1<2 ( a t géné- ral satisfaisant. 1901, 2
vrait à aucun excès. L'accès actuel s'est développé il y a quelques semaines sans cause appréciable. 11 a commencé par manif
é : outre une plaio il. la tète, lésions internes, hématurie, trois semaines de lit. Il se remariait deux ans après environ
s- sières, celles qui demandent le moins de soin. Depuis quelques semaines enfin tout Lr'll\aillui élaiL de\I)l1u impossible
d'agraphie. En même temps lacune de la mémoire qui dure, elle, six semaines ; inca- pable de fournir des renseignements sur
la fa- radisation transversale du crâne. Finalement, après trois semaines de ce traitement, le malade n'a plus de diplopi
teinte de la coloration pas la moindre modification, même après des semaines et des mois. Seulementla paraffine liquide ne s
utres muscles, se développerait généralement à la lin de la seconde semaine , et entraînerait ruptures, hémorrha- gies, supp
e (quelques jours de durée) en 1 1 cas ; b. de courte durée (2 il G semaines ) en I cas ;- c. de longue durée (S mois iL 10 a
par la méthode de Cajal des nerfs sectinnnescta trouve après trois semaines des fibrilles très nom- breuses et lines dans l
é spécialement à cause de son développement rapi- de. Mais quelques semaines plus tard, il prit part à un accident de voitur
leur, quelquefois avec une chute brusque, environ une fois chaque semaine . , Rarement il a des colères violentes, sans pr
ulsifs, ils ne se montrent guère que toutes les quatre, cinq ou six semaines , généralement au lever, après les ablutions : i
andis qu'en temps de vacuité, ils n'existaient que pendant les deux semaines intermédiai- res, de la période menstruelle et
ères suivant l'époque de l'évolution (1). Pendant les pre- mières semaines , elle peut provoquer des malformations variées
ée sont allées en augmentant; elle en aurait actuellement trois par semaine . L'attaque survien- drait dans la journée, jama
raiLrecL(·e solwc,nc buvant que du houblon, lorsqu'elle fui, il y a semaines ,confiée à une noce dans son pays d'origine. Là,
vant plus que de l'eau, du houblon el un peu de . café depuis trois semaines . Mais si les accidents Lwirluos ee sonl amendés
vulsions comme dans l'epi- lepsie. Durée, de un jour il plusieurs semaines ; formes périodiques à grands intervalles lucid
nopsie plus marquée et plus persistante : elle durera des mois, des semaines , voire plus d'un an,siles altérations sont éten
la fron- tale ascendante. Les résultats sont si satisfaisants que 6 semaines après on s'adresse à l'hémisphère gauche. L'exa
jours plus tard, le mamelon droit est aussi atteint. Au bout d'une semaine , les douleurs s'étendent à tout le sein, puis,
ant à l'oeil gauche, sa rougeur a complète- ment disparu. Dans la semaine qui suit, les phénomènes aigus s'atténuent en-
on persista pendant un mois, puis récidive des symptômes. A trois semaines de distance, troisième opération, réouverture d
achidien se mit il couler et l'état du malade se transforma. Quatre semaines après, la cépha- lalgie, les crises de rachialg
er mois au moins de la grossesse, non plus que les priver des trois semaines de repos dont elles onthesoin après leurs couch
uvent qu'il tuerait sa femme et se suiciderait ensuite. Mardi de la semaine dernière, vers 4 heures de l'après-midi, Barbet
out à la première, il persiste plusieurs jours et parfois plusieurs semaines . Si par conséquent on examine d'autant plus sou
sigmo'ide et des régions voisines augmente, chez les chiens de deux semaines , les mouve- ments respiratoires; c'est donc un
les tubercules quadriju- meaux, on obtient, chez les chiens de deux semaines , des modifi- cations de la respiration et du sy
par les méthodes de Nissl et Weigert montrent chez le chien de deux semaines la pleine diffé- renciation de couches isolées
ar des phénomènes cardiovasculaires. Quoique, chez le chien de deux semaines , la construction de l'écorce de cette ré- gion
se en plaques, M. Claude présente un malade de : : 8 ans qui, trois semaines après une infection grippale, subit des trouble
psychiatrique. Depuis plusieurs années, ce cours réunissait chaque semaine un nombre toujours croissant d'étudiants et de
à quoi il a pieusement consacré sa vie de labeur. Il y a quelques semaines , il pouvait encore sortir dehors, mais tout derni
était venu passer à Dun-sur-Auron, auprès du DrA. Marie, plusieurs semaines pour suivre les créations nou- velles du départ
par des chefs de service consciencieux, ne le sont que deux fois la semaine . Ne craignez- vous pas d'immobiliser les nlé- d
26 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
pulation, il serait nécessaire que leprofcsscurdonnâtdeuxleçons par semaine . L'Administration départementale et la Commission
r leurs chaises respectives, à brosser leurs vête-ments deux fois par semaine et à cirer leur chaussures le jeudi et le samedi.
jour ou deux, alors que leurs parents voudraient les garder toute une semaine , d'autres enfin ne veulent pas sortir du tout.
eil général le 15 juin. Promenades. — Elles ont lieu deux l'ois par semaine , soit dans les communes voisines, soit à Paris: J
ièrement en 1907. Service dentaire. — M. le Dr Frey est venu chaque semaine accompagné de ses élèves donner des soins à nos m
nce, rien de particulier. ¦— Accès de cris nuit et jour pendant trois semaines . — Première dent à dix mois ; den-tition complète
est à la fois spécial et général. L'enfant prend deux bains salés par semaine , avec exercices préliminaires de la marche. On lu
x capsules de bromure de camphre à la dose suivante : pen-dant la lre semaine : 1 cuillerée d'elixir et 2 capsules, pendant la
lre semaine : 1 cuillerée d'elixir et 2 capsules, pendant la seconde semaine : 1 cuillerée 1/2 d'elixir et 3 capsules : 3e sem
dant la seconde semaine : 1 cuillerée 1/2 d'elixir et 3 capsules : 3e semaine : 2 cuillerées d'elixir, 4 capsules ; 4° semaine
r et 3 capsules : 3e semaine : 2 cuillerées d'elixir, 4 capsules ; 4° semaine : 2 cuille-rées 1/2 d'elixir, 4 capsules, pendant
; 4° semaine : 2 cuille-rées 1/2 d'elixir, 4 capsules, pendant la 5e semaine : 3 cuille-rées et 5 capsules. Puis on diminue le
a même façon qu'on les avaient augmentées pendant une durée de quatre semaines . Les accès sont moins fréquents qu'au printemps d
congénital, dénoté par les accès de cris, durant les quatre premières semaines ; de là un retard de la marche, de la propreté, de
as s'en servir. — Traitement : exercices de marche, 2 bains salés par semaine , sirop d'iodure de fer, douches. Etat actuel, (
ppées. Traitement : exercer l'enfant à la marche, 2 bains salés par semaine , frictions sur les membres avec du vin aroma-tiqu
Sort guéri de l'infirmerie, le 23 mai. Juillet. — 3 bains salés par semaine , exercices des join-tures. Août. — A l'examen d
27 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
vement : la crampe en écrivant disparut la première au bout de six semaines environ de traitement et ne reparut plus ; les
manomètre de Potain. Le malade prend depuis plu- sieurs mois, trois semaines par mois, deux cuillerées à café par jour d'eup-
, du massage et de la rééducation, l'état de M. Lef... s'est en six semaines très rapidement amé- lioré. Meige et Feindel
ans les deux premières. L'action du radium se poursuivant plusieurs semaines après la fin de l'application, nous avons laiss
nd feu, et puis elle ne s'est rendu compte d'elle-même qu'après une semaine . Quand elle a repris connaissance d'elle-même,
gauche. Elle présentait de l'incontinence d'urine dans la première semaine de sa maladie. On était aussi obligé de la faire
comprenait en partie ce qu'on lui disait et ce n'est qu'après trois semaines que son langage lui est revenu d'un jour iL l'a
hasique (aphasie motrice) qui s'est résolu complètement après trois semaines . De même nous ne pouvons être fixés sur l'état
Réactions électriques normales. Traitement électrique : après trois semaines de traitement, pas d'améliora- tion appréciable
ut soumis à la cure de démorphinisation par le sevrage rapide. Sept semaines plus tard, M. M ? put écrire de nouveau de la m
ndre le Morse, les mêmes accidents réapparurent au bout de quelques semaines . Les observations de crampe des télégraphistes
oïde qui se manifesta sous une forme bénigne, ne dura pas plus de 4 semaines et guérit très bien sans aucune suite fâcheuse.
s d'ecchy- moses. Il ne s'émotionna pas autrement. Au bout de trois semaines , il apparut à l'endroit du coup une dépression
deux centimètres. La plaie est réunie par sutures; au bout de deux semaines , guérison par première intention. Après l'opéra
5 milliampères ; la durée d'application de 3 minutes, deux fois par semaine environ. Dans la forme trémulente et paralytique
tement pendant lequel on lui suggéra au commencement, deux fois par semaine et ensuite une fois, que sa main était « engour
ce nouveau mode d'écriture ; tous y prenaient goût, reve- naient la semaine suivante avec leurs cahiers où l'on pouvait jour
abituelles d'une myéloma- lacie récente, datant au plus de quelques semaines . Les tissus paraissent nécrosés,le plus grand n
au début réel de la maladie, c'est-à-dire 9 cas pendant la première semaine (dont 3 dans les trois pre- miers jours) et 4 c
dont 3 dans les trois pre- miers jours) et 4 cas pendant la seconde semaine . En conséquence, il nous a été donné de pouvoir
le cathéter n'a jamais été employé. Ces symptômes ont persisté une semaine . Pendant ce temps le malade avait toute la colo
immobile et il y avait un opisthotonos prononcé. Au cours de cette semaine s'est produite une parésie du membre inférieur
la raideur de la nuque ont disparu pendant le cours de la première semaine passée à la clinique. Au commencement de janvie
que le malade, qui avait été auparavant debout, est resté quelques semaines au lit, la force mus- culaire est revenue dans
est devenue immobile et fixe. La raideur de la nuque a persisté une semaine . Pendant ce temps (les parents ne peuvent pas d
membres ; mais, en tout cas, quand elle s'est levée au bout de deux semaines , il n'y avait qu'une parésie du membre inférieu
e, même très peu, il tombe comme une masse ; toutefois, pendant les semaines où il a été assis, il lui est devenu possible de
t des douleurs lombaires. Ces symptômes ont persisté à peu près une semaine ; puis sont venues des douleurs des cuisses et
ait lui causaient des douleurs ; ces symptômes ont duré presque une semaine . Pendant ce temps 390 PETREN ET EHRENBERG une
u membre inférieur gauche, qui a cependant disparu au bout de 'deux semaines . La motilité du membre inférieur droit s'est amél
LA POLIOMYÉLITE AIGUË 391 1 La malade est traitée pendant quelques semaines par des exercices métho- diques des mouvements
est diminuée. Le malade a quitté la clinique déjà au bout de deux semaines . Quant à son état postérieur, je sais seulement
lade a mal de tête. Ces derniers symptômes ont subsisté pendant une semaine . Cependant la raideur de la nuque persiste enco
a fièvre s'est déclarée un peu plus tard et il est resté au lit une semaine . Pendant ce temps la parésie de l'épaule droite
rvé aussi une faiblesse des jambes. Les douleurs ont persisté trois semaines , mais la faiblesse a disparu en peu de temps.
membres inférieurs, le tronc et le bras gauche. Pendant les deux semaines suivantes il a eu des douleurs intenses dans les
a continué à augmenter pendant quelques jours, presque pendant une semaine , d'après le malade. Il y avait alors une paraly
avait alors une paralysie de la vessie et il a été cathétérisé une semaine . Le malade croit qu'il n'y a pas eu de parésie
Ensuite, l'état du malade a persisté presque identique pendant une semaine ; seuls les troubles moteurs de la vessie ont dis
uls les troubles moteurs de la vessie ont disparu au cours de cette semaine . La fièvre a continué cette même semaine, avec un
disparu au cours de cette semaine. La fièvre a continué cette même semaine , avec un maximum de 39°. Le 23 octobre l'état
QUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 397 La fièvre a continué pendant six semaines à partir du commencement de la maladie. Il a eu
; en effet, ce n'est qu'assez rarement qu'ils persistent plus d'une semaine . Dans quelques cas pourtant, ils restent beaucoup
s mé- ningitiques (la raideur de la nuque) persister jusqu'à 3 ou 4 semaines . Les douleurs semblent un peu plus souvent pers
raideur de la nuque n'a pas com- plètement disparu au bout de trois semaines . Des douleurs dans les mem- bres inférieurs (où
e cas XI, la persistance de la raideur de la nuque pendant quelques semaines nous fait reconnaître avec certitude que la ménin
EN ET EHRENBERG '. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 411 semaine que dans deux cas (Brissaud et Londe, Guinon et R
e ayant été exami- nés par la ponction lombaire pendant la première semaine , nous pouvons en ajouter trois autres (avec num
trouve en général dans la poliomyélite, pendant les deux premières semaines de la maladie, une lymphocytose pure et pas de le
ns, de Gryta, entre à la clinique le 16 janvier 1908. Il y a deux semaines , le garçon est tombé malade avec frissons, mal de
e assez bien sans être complètement rétablie. Il y a trois à quatre semaines , elle a commencé d'être abattue ; en même temps s
enus plusieurs fois,aussi la nuit. Elle a passé les trois dernières semaines au lit. Le 28 septembre les parents ont observé
ite séreuse, mais, comme tous les symptômes ont disparu en quelques semaines , ce diagnostic sem- ble difficile ci accepter.
x mois après le début de la maladie et (obs. XLVII) au bout de deux semaines ; mais il semble que, dans ce dernier cas, la par
observé un cas de ce genre. Wickman rapporte un cas, observé trois semaines après le début de la ma- ladie, où il y avait u
terminant de la diplopie. Ces accidents persistèrent pendant trois semaines , puis, spontanément, disparurent complètement.
le second est notre ma- lade, le troisième est mort au bout de six semaines . Il était « mal conformé au point de vue respir
qu'il se sentait malade, et qu'il n'avait plus aucune mémoire. Uue semaine plus tard, il se présente à la visite du médecin-
ments qu'on lui faisait sur la cuisse ». Br... est soigné pendant 6 semaines à l'hôpital militaire de V... et obtient un con
tographies. Ces ulcérations restent stationnaires pendant plusieurs semaines . Elles sont soignées par l'alitement et des pan
les cas XI et XXIII la cathétérisation a été continuée pendant une semaine ; dans le cas XXV, un peu moins longtemps ; dan
er une restauration complète, non seulement pendant les pre- mières semaines après le début de la maladie, mais quelquefois en
. Le malade ne peut plus marcher ni se tenir debout depuis quelques semaines . Incontinence d'urine et des matières. ter mars
é une fois dans un cas de poliomyélite une aphasie disparue en deux semaines ; en tout cas, cette observation ne peut démont
s jamais de réaction nette de dégénérescence. Au bout de quelques semaines , la restauration a commencé et s'est développée
souvent exposé aux intempéries. Il n'est pas buveur. Il y a 2 à 3 semaines , il est tombé d'une hauteur de 2. mètres à 2 m. 1
é ce jour-là plusieurs fois. Puis, il est resté au lit chez lui une semaine environ. Etat le il. février. Pas de douleurs.
ailleurs. Le sens musculaire est normal. Pendant les deux premières semaines passées à la clinique, la faiblesse aug- mente
tellaires sont encore plus affaiblis. Après une période de quelques semaines où les symptômes ont été constants, la res- tau
ublié par Brissaud et Gy : développement des symptômes pendant deux semaines , au début, douleurs dans les doigts, paralysie
28 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
à la crosse, de quilles et de croquet. Promenades. - Deux fois la semaine , les enfants sont con- duits en promenade, sous
assage et soins du ménage. Comme les garçons, elles vont toutes les semaines en promenade dans les environs. » Dans son disc
120 enfants confiés à dix institutrices. Elle est venue pendant une semaine , chaque jour, dans le service, pour se rendre c
ctée à l'hôpital des Enfants-malades où il a fait un séjour de deux semaines avant de venir dans notre service. Renseignemen
ne sage-femme. [Père, mort à 40 ans de congestion cérébrale après 3 semaines de maladie, avec hémiplégie gauche. Il était ne
ui, surve- nues au 18° jour de la vie, ont persisté pendant trois semaines . Si l'on accepte l'hypothèse que nous venons d'
alysie du côté droit avec impossibilité de parler. Au bout de trois semaines la mar- che est devenue possible, mais en traîn
a parole. 52 Syndrome : imbécillité, hémiplégie, ÉPILEPSIE. Trois semaines environ après la terminaison de cette méningite
eu une méningite, avec convulsions toniques et cloniques à la 4e semaine de la maladie; Ces convulsions duraient de 15 à
donne dès le 1er jour le traitement suivant : 2 bains salés par - semaine ; huile de foie de morue et sirop d'iodure de £ e
enfants : 1° une fille venue il 6 mois et qui n'a vécu que quelques semaines ; 2° notre malade. Noire malade. Vers le quatri
nt quelquefois tous les 2 ou 3 jours; parfois aussi plus de trois semaines s'écoulaient sans qu'il s'en présentât. A cause d
lui apprendre à téter, cependant durant les deux ou trois premières semaines de son existence, « il était bel enfant et ress
it bel enfant et ressemblait à tous les autres. » Vers la troisième semaine , l'enfant commença à décliner, il maigrissait e
'église. » Toujours gâteux, il avait parfois la diarrhée durant une semaine . Sa parole, à 3 ans 1/2, se bornait à quel- que
. a eu la coqueluche à2 ans 1/2 (elle fut légère et ne dura que six semaines ), et la rougeole à 3 ans 1/2, ù Trousseau. C'es
parait être la conséquence des accidents survenus à l'âge de trois semaines , qui ont persisté jusqu'à la fin du troisième m
as de tantes. Deux frères et trois soeu<'s ; L'ainé est mort à G semaines ; pas de renseignements. La 2°, fille, est mort
assez facilement son attention. - Trai- tement : 2 bains salés par semaine ; 2 cuillerées d'huile de foie de morue; 2 de s
ce des gâteux et soumis au traitement suivant : 3 bains salés par semaine ; I cuillerée par jour de sirop d'iodure de fer ;
puis, l'accouchement a eu lieu, et l'enfant est mort au bout de 3 semaines ). Des deux enfants vivants, deux filles, l'une a
Ces crises se sont renouvelées cinq ou six fois en un mois ou six semaines puis ont cessé complètement. Première dent à 2
ente quelques modifications ou particularités : au bout de quelques semaines , elle commença à manger et ne prit plus le bibe
avec des lavements nutritifs, et au lait de chèvre, pendant trois semaines environ après sa naissance. Il fut ensuite confié
9 ans, à l'époque de son placement, il en avait plusieurs fois par semaine . Le plus long inter- valle entre elles, durant
ératures différentes de la sienne. - Traitement : 3 bains salés par semaine ; exercer l'enfant à marcher ; mettre de la tei
ve pendant longtemps. » Il se remit au bout de quinze jours à trois semaines sans paralysie consécu- tive. Aucune maladie
is 20 minutes environ (lic). 27 mais Traitement : 2 bains salés par semaine , 10 minu- tes. Sirop iodure de fer; sirop antis
naient autrefois tous les mardis ; actuellement il y en a trois par semaine . On rase les cheveux, et on applique un large v
s yeux malades : cette affection guérit au bout de deux mois. A six semaines , les ongles commencèrent à pousser. Il fut pris
riait, gâtait et se masturbait continuellement. Au bout de quelques semaines , son état s'est amélioré, il sourit, obéit à qu
qui ont guéri, deux en quelques jours, la troisième a suppuré trois semaines ; dans aucun cas, il n'y a eu de nécrose. Li,
10 mois. Dentition complète à 2 ans. Convulsions dites internes à 3 semaines , se reproduisant quotidiennement jusqu'à la fin
convulsions. Répétition des convulsions toutes les nuits pendant 2 semaines : accès de colère, dur à élever. - il 3 ans, no
ver. - il 3 ans, nouvelles convulsions, tous les soirs, pendant une semaine . - Aggravation des colères, turbulence, désobéi
29 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'obscurité mentale ne fut complètement' dissipée qu'au bout de six semaines . L'absorption dans la méditation, l'opiniâtreté
érien; il fume pour 1 fr. ;i0 et prise pour 2 centimes de tabac par semaine . Le début de la maladie remonte à l'âge de dix-
s sectionne. Lorsqu'en effet un cerveau a macéré pendant quelques semaines . dans le bichromate en solution concentrée, la
u- leur ; de cette nuit obnubilatoire persistant des jours et des semaines , se dégagent de temps à autre, comme autant de
ges, de la prostration ; ils sont obligés de garderie lit plusieurs semaines (forme typhoïde de Levinstein). Le diagnostic
ayant reparu, on a de nouveau recours au sulfate de quinine, et six semaines après, le malade sort parfaitement guéri, tant
re place au collapsus, tel en est le tableau habituel à la deuxième semaine du rhumatisme, en l'absence de complications ca
sexe indifférent. Durant-les unes moins, les autres plus de quatre semaines , ce sont elles qui représentent l'aliénation v
trième ou cinquième jour de l'affection pulmonaire, se prolonge des semaines , des mois après la maladie. Toutes bénignes, ces
s filles. Le garçon, entaché d'hérédité, guérit au bout de quelques semaines . La pathogénie échappe complètement. D. Exant
sion et précipitation dans les idées. Durant en'moyenne moins d'une semaine , rarement plus d'une année (hérédité, influence
suicide et sitophobie, elles commencent au début de la troi- sième semaine par de l'insomnie ou une crise de manie, après
huit observations, cinq malades ont guéri; trois, au bout de trois semaines à sept mois, sont simplement améliorés. Tonique
me au onzième jour pendant la desquama- tion : durée ordinaire, une semaine . Pronostic absolument favorable. 3° Rougeole.
cence à un délire gai de la période fébrile. Durée habituelle : une semaine . Gué- rison. E. Fièvre typhoïde. C'est la mal
il convien- drait de rassembler d'abord les délires de lapreniière semaine , plus ou moins semblables aux délires initiaux
) de Liebermeister, survenant brus- quement au cours de la deuxième semaine , en même temps que la température baisse, accid
sés par le calme, t'enjoument de l'humeur. C'est dans la pre- mière semaine d'octobre que se produit l'alternance régulière à
'intensité de la néphrite ressort de la durée de l'al- buminurie (3 semaines ) ; elle peut donc tout au moins avoir con- trib
t en danger imminent de tomber. Pendant les deux ou trois premières semaines , on n'obtiendra que des résultats très peu appr
gnée d'une énorme tuméfaction laissant, après une durée de quelques semaines , des ulcérations, puis des cicatrices irréguliè
naigre de bois brut une ou deux fois par jour pendant deux ou trois semaines , l'abandonnant ainsi im- prégné à la températur
oncé et même noire. L'action se continue d'ailleurs durant quelques semaines sans qu'il faille renouveler le bain; la dureté
. Au bout de deux mois, elle guérit subitement; mais après quelques semaines elle fut reprise des mêmes accidents et amenée
ent de dents; le sommeil avait complètement disparu. Après quelques semaines , M. C... quitta le lit, mais il lui fut impossi
les accès; il s'estimait heureux quand il y échappait pendant deux semaines ; mais la résistance n'était' jamais plus longu
lontaires, etrétention d'urine qui nécessita le cathétérisme. Trois semaines après son entrée, qui avait eu lieu le 8 novemb
eu à peu son vocabulaire, de telle sorte qu'à la fin de la deuxième semaine le langage arti- culé était redevenu normal. Il
se prolonge pendant trois à six REVUE DE pathologie NERVEUSE. 377 semaines . L'abcès chronique est caractérisé par une périod
son existence. La durée de cette période latente varie de quelques semaines à plusieurs mois. Dans un cas de Harlin, le tra
n générale et de la galvanisation centrale, le malade guérit en six semaines . 378 s REVUE DE pathologie nerveuse. L'auteur
nte, malaise général, dépres- sion prononcée. Enfin, au bout de dix semaines , parésie de la jambe gauche qui présente les mê
les mêmes troubles de la sensibi- lité que le bras droit. Quelques semaines avantl'issuc mortelle, somnolence et coma dont
des douleurs lancinantes dans les extrémités inférieures. Quelques semaines après, tremblements à l'occasion des mouve- men
ils étaient caractérisés par des halluci- nations de la vue; trois semaines plus tard, c'est-à-dire huit jours avant son en
s un mois, et aurait présenté des troubles intellectuels depuis une semaine ; on n'aurait pas constaté de rhumatisme. Lors d
ements choréiformes. Hallucinations de l'ouïe et du goût. Après six semaines de séjour, amélioration générale, physique et m
30 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
une division supérieure, ne vont à l'école qu'une demi-journée par semaine et restent, les autres jours, le matin et le so
olo un cours spécial de solfège. Ces cours ont lieu deux fois par semaine et ont pour but de préparer de nouveaux musicie
Serrice dentaire. M. le Dr Bouvet a continué à venir presque chaque semaine donner des soins à nos malades au point de vue
ion, il serait néces- saire qu'il donnât maintenant deux leçons par semaine . Les ferons de choses sont multipliées le plus
ppléant; - une pianiste ; une institutrice spéciale, donnant chaque semaine quelques leçons d'ob- servation aux plus petits
quelques jours et tous les enfants prendront un bain-douche chaque semaine .' L'école compte environ deux cent quarante enf
uvait avoir son certificat d'études cette année. Dans les premières semaines de février (1898), l'enfant était devenue plus
s asphyxie, ni circulaires. - Elle fut nourrie au' sein durant cinq semaines puis au biberon avec du lait de vache jusqu'à a
de la moindre contrariété. On s'était déjà aperçu dès la cinquième semaine que l'enfant ne pouvait mouvoir éga- lement bie
ssent pas être le point de départ de la maladie, car déjà vers cinq semaines , les parents avaient remar- qué une certaine di
ntre et de la diar- rhée et aurait été sans connaissance durant une semaine . Le médecin a dit d'abord qu'il avait une fièvr
ttouchements. L'appétit qui avait été bon durant les deux dernières semaines , a notablement diminué. 2 mais On a toujours be
r- veux et suit régulièrement le traitement suivant : un bain par semaine ; une douche par jour ; gymnastique ; travaux du
tre. Cette épidémie a atteint toute son intensité clans la dernière semaine du mois d'août et dans les deux premières semai
clans la dernière semaine du mois d'août et dans les deux premières semaines de septembre, et les der- niers cas se sont pro
concernant l'albuminurie. Pas de traumatismes. - Accouchement trois semaines avant terme; grossesse gémellaire ; le malade e
les chiffres, à compter au boulier. Il sait de même les jours de la semaine , les mois, les saisons et reconnaît les différe
crise. A partir de lit, les crises reviennent une fois ou deux par semaine , avec les mêmes caractères jusqu'à l'âge de 8 m
is lors les accès n'ont jamais cessé pendant plus d'un mois il cinq semaines . Ils reviennent assez régulièrement pendant le
douce ;dou- ! eu)\'. de tête se reproduisant trois ou quatre fois par semaine et l'obligeant à se coucher ; parfois vomisseme
is de la cholérine : - 10° fille morte à 6 mois, convulsions chaque semaine ; sa tête était toujours rejetée en arrière, to
nt les hivers jusqu'à 4 ans, il lui arrivait deux ou trois fuis par semaine d'uriner au lit. Envoyé il l'école maternelle à
ncle, pour le faire taire, lui a donné une giffle, il est resté six semaines sans lui causer ; il continuait cepen- dant à f
minutes. Le même jour elle en aurait eu deux -autres. Pendant une semaine , on a noté deux ou trois crises par jour, duran
Les parents ont relevé des élourdissemenls, environ une fois par semaine : L'enfant étant sur sa chaise tombait comme en
31 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
micrcs de Bicêtre. Service dentaire. M. le D" Bouvet vient chaque semaine donner des soins aux pensionnaires au point de
la régularité des exercices, qui sont faits deux autres fois par semaine sous la conduite de 1\llle Langlet. 47 enfants
10 mois. Dentition complète à 2 ans. Convulsions dites internes à 3 semaines , se reproduisant quotidiennement jusqu'à la fin
s convulsions 4 à 5 fois par an. De 5 à G ans, accès toutes les six semaines . - De 7 à 9 ans., accès mensuels. - l ffaibliss
ce des enfants de son âge. De 5 à 6 ans, convulsions toutes les six semaines . A partir de 6 ans, crises tous les mois; elles
s, avec complications cérébrales ; une autre morte de bronchite à G semaines . Sauf la rubéoli- que, les autres n'ont pas eu
cidents graves, des symptômes insolites de bronchite. Après trois semaines de souffrances, le malade rejeta, au milieu d'u
gues au malade précédent. On en ignorait la cause. Au bout de trois semaines , la mort semblait 45fit ÉPILEPSIE ; DÉMENCE PAR
ngt-quatre heures. Il y aurait eu des rémis- sions de deux ou trois semaines . Rougeole à deux ans; otite gauche à 2 ans 1/2,
ans; otite gauche à 2 ans 1/2, puis ophtalmie double qui dura cinq semaines ; ensuite survint une deuxième otite qui persist
Rhumatisme articulaire à 44 ans, ayant nécessité un séjour de deux semaines au lit. Aucun autre antécédent mor- bide, ni sy
ment gan- glionnaire et angine érythémateuse. La maladie dura une semaine . La température atteignit h0, 2 le second jour, e
ns, elle aurait eu « comme un abaissement de la matrice », puis six semaines plus tard, elle perdit environ durant deux heur
varioloide du 3° au 4e mois, ayant exigé un séjour au lit de trois semaines . Accouchement naturel, à terme, sans accidents.
nt de miction et de défécation. Elles revenaient environ toutes les semaines et duraient de 10 à 30 minutes. Lorsqu'elles ét
au décubitus et fut envoyé à Bicétre, après un séjour de plusieurs semaines à l'Asile Clinique. Lors de son entrée à Bicêtr
rbutique, huile de foie de morue, 3 bains de son et 1 bain salé par semaine ; de plus il était mis 3 fois par jour régulièr
mariage. Grossesse absolument sans accident à part une syncope à i; semaines , eans conséquences. /lccouc/ie)ne ? it spontané
amètre. Four- chette accentuée. Traitement : Deux bains salés par semaine . Exercices jour- naliers de gymnastique. Fréque
sirop d'iodure de fer ; huile de foie de morue, 2 bains salés par semaine . Exercices de marche. Juin. - Amélioration légè
l. Toujours capricieux et méchant. On dut le mettre durant quelques semaines à la Sûreté de Bicètre. 1889. Peti..., plus rai
lui faire plusieurs points de suture et de le faire séjourner une semaine à l'infirmerie. Puberté. (Juillet). Visage, ais
s de Vigo., on maintient autant que possible la capeline durant une semaine ; après un repos d'une semaine, on la renouvell
ue possible la capeline durant une semaine ; après un repos d'une semaine , on la renouvelle, et si un incident quelcon- q
es à l'onguent mercuriel. En même temps on administre deux fois par semaine un paquet de Ogr. 10 de calomel. Tous les mois,
esse. Accouchement prématuré à 8 mois. Asphyxie à la naissance. A 3 semaines , augmen- tation de la tête. Etat actuel. Examen
s trop volumineuse; elle fut nourrie au sein par sa mère. A trois semaines , on remarqua une saillie anormale des yeux qui
ro-phosphate de chaux, une cuillerée à café par jour. Deux fois par semaine , calomel. 25 177.2. - Valentine est toujours bi
hate de Coirre. Valentine continue à prendre deux bains salés par semaine . La tête, toujours couverte de transpiration, par
bain salé tous les trois jours durant 8 à 10 minutes. Deux fois par semaine 0 gr. 10 de calomel. Trois cuillerées à café de
32 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
elles (1), mortes l'une à 20 jours, « de faiblesse n, l'autre à six semaines , de convul- sions internes; 3° fille morte à 9
'à 17 mois, le petit malade fut élevé en nourrice ; vers la sixième semaine ,on commença à « s'apercevoir qu'il n'était pas
s enfants idiots des deux sexes, se terminant, au bout de plusieurs semaines ou de plusieurs mois par la mort, et dans lesqu
énériens; fume pour 1 fr. 50 et prise pour 25 centimes de tabac par semaine . Le début de la maladie remonte à l'âge de 18 a
d'attaque. L'état général de l'enfant est excellent. 22 mars. La semaine précédente il y a eu une attaque deux jours de
ue deux jours de suite, avec une durée d'une heure. Pendant cette semaine même les crises ont reparu tous les jours HYSTÉ
ttaques. (1) L'enfant venait à la gymnastique du service 3 fois par semaine III. Observations d'épilepsie. Arthropathie
En 1869, fièvre intermittente tierce, d'une durée de deux ou trois semaines , traitée par le sulfate de quinine. Avant sa
? I, qu'il est entré à l'hôpital Saint-Antoine, où il est resté six semaines . A dater de là, la gène de la parole a fait des
Observation I. Idiotie. - Epilepsie. - Premières convulsions à 7 semaines . - Rumination. - Rougeole à 4 mois ( ? ). Rouge
usqu'à 26 mois, il a été atteint de ses premières convulsions à 7 semaines . Celles-ci consistaient en de petites secousses
con- vulsions se reproduisaient néanmoins jusqu'à 2 ou 3 fois par semaine . Depuis deux ans, il n'y en a plus. Etat actuel
otre malade. Grossesse bonne ; toutefois,versla sixième ou huitième semaine , la mère eut une peur vive occasion- née par la
frique, où il est resté sept ans ; il se grisait plusieurs fois par semaine et quelquefois restait plu- sieurs jours de sui
un mois après, troisième état de mal d'une durée de 3 heures; - six semaines plus tard, quatrième état de mal (pendant 4 heu
le de foie de morue, sirop d'iodure de fer, deux bains d'amidon par semaine ; lotions alcalines ; exercer l'enfant à marche
a grossesse, la mère fit des excès de boisson : dans le cours d'une semaine , elle but deux litres de cerises à l'cau-de-vie
trois ans deuxième attaque cle convulsions quidurèrent environ une semaine . Dès lors, l'état intellectuel s'affaiblit dava
t : exercer l'enfant à marcher tous les jours; deux bains salés par semaine ; sirop d'iodure de fer, huile de foie de morue.
rs qu'elle était enceinte de notre malade. Durant son séjour (six semaines ), elle a été traitée par les bains et les frict
. Notre malade. - La grossesse a été bonne; pendant les premières semaines est survenue l'éruption de psoriasis, dont il a
s, les accès d'épilepsie se sont manifestés, se répétant toutes les semaines , diurnes ou nocturnes. L'enfant poussait un cri
33 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a durée de l'hémiplégie qui disparut complètement au bout de quatre semaines . Observation II. M. N..., trente-deux ans, négo
e jours. Réactions électriques normales.- Gué- rison au bout de six semaines . Nous avons revu la malade il v a trois ans; el
s. Intégrité par- faite des réactions électriques. Guérison en cinq semaines . Nous avons été appelé, il y a deux ans, à donn
Réactions électriques normales. Guérison complète au bout de cinq semaines . Observation VII. - ï4lm° l''..., âgée de trent
facial gauche sont paralysés ; guérison complète au bout de quatre semaines . Observation XIV. Mmo G..., soixante ans. Pas d
nous permet de porter un pronostic très favorable. Au bout de trois semaines , la paralysie avait totalement disparu. Observa
parente qu'est survenue la paralysie faciale. Elle date déjà de six semaines quand nous voyons le malade pour la première fo
ueuse, à doses ascendantes. Arrivé à 30 centigrammes par jour, cinq semaines après le DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 63 commen
eux nouveaux accès, peu de temps après, à un intervalle de quelques semaines , lui survinrent dans les promenades 1 Itard. Mé
tes ; d'abord tous les huit jours, puis une, deux ou trois fois par semaine ; enfin, depuis deux mois, c'est-à-dire depuis
r le bras et dans la paume de la main; ces douleurs durent quelques semaines puis diminuent. En octobre, apparition d'une gr
ais du côté malade, par suite de l'oedème. Eschare durant plusieurs semaines à la face dorsale de la deuxième phalange du mé
Dl Morse diagnostiqua un abcès sous-cutané de cette région. Quatre semaines après, il devint subitement paralysé de tout le
lée névrite segmentée. La névrite multiple a une durée de plusieurs semaines et la longueur de la convalescence dépend de la
. Ce n'est que peu de temps avant sa mort, survenue au bout de cinq semaines par pneumonie, que l'on put constater chez lui
x fois par jour, un avant, et l'autre après midi. Au bout de quatre semaines , la jeune fille recouvra sa santé première. L'u
n nomme vulgairement pasteur. Cette expérience fut faite pendant la semaine sainte, et comme, on put prouver qu'aucune frau
ne cour du reste de l'hospice. Les aliénés y séjournent deux, trois semaines , parfois un mois avant d'être en- voyés à l'asi
n des bâtiments de la basse-cour où on les garde une, deux ou trois semaines avant de les envoyer à l'asile de Saint-Dizier.
instant où s'exerce le traumatisme, mais plusieurs jours, plusieurs semaines après. Les leçons de M. Charcot, les thèses de
e de son affection. Mais ce mieux ne fut pas de longue durée. Trois semaines après, les douleurs reparaissaient, non plus so
aud du froid, sauf pour les températures extrêmes : il y a quelques semaines , elle s'est brûlée accidentellement un doigt av
éraux. Ce traitement fut suivi rigoureusement pendant près de six semaines , au grand bénéfice de la santé générale, mais san
s existent des sueurs locales abondantes. Les douleurs durent trois semaines , assez intenses pour amener de l'insomnie : pui
s du côté analgésique, ainsi que les réflexes tendineux. Quelques semaines plus tard, le membre inférieur gauche se prend
j'ai appris bien souvent que ces paralytiques, qui, depuis quelques semaines , étaient en proie à une excitation génésique, p
grave (fièvre typhoïde ? ), qui le tint au lit pendant plusieurs semaines . A partir de cette époque on s'a- perçut qu'il
4 CLINIQUE NERVEUSE. avoir eu la rubéole ? Coqueluche pendant six semaines . Enfin il aurait eu de temps en temps des fièvr
onsé- cutive à un traumatisme crânien chez une femme. Après trois semaines , la malade a guéri mais n'a jamais depuis retrouv
vient, confesse que sa maladie a fait de lui, pendant ces dernières semaines un être bien extravagant ! ... Il demande que t
ssements et lassitude durant un jour et se reproduisant à plusieurs semaines d'intervalle. Elle accuse une étude-immodérée d
février, la malade s'habille pour la première fois depuis quelques semaines ; elle tombe alors soudain à terre, sa tête se f
e par des accès de quelques jours; puis le mutisme a duré plusieurs semaines et a fini par se prolonger plusieurs mois. Il r
e 1885, puis revint et se remit à travailler, mais au bout de trois semaines il fut pris de bronchite; et finale- ment mouru
pourles premières, et de 326 pour les secondes. Depuis plu- sieurs semaines , on n'a enfermé ni isolé aucun malade, résultat
a donné rendez-vous pour le 6 novembre et elle compte le nombre de semaines qui restent à courir jusqu'à ce jour. Le 6 no
chauds et de la galvanisation de la moelle épinière trois fois par semaine . Pendant le premier mois, il prenait de 0,75 à 1
ance. Frère probablement épileptique. - Emotion de la mère, trois semaines avant l'accouchement, et tremblement consécutif.
ments de la tête, mais ne se débat pas. Il aurait eu deux crises la semaine dernière; il n'en avait pas eu depuis trois moi
d enfant. Elle au- rait été prise d'un tremblement qui a duré trois semaines , jusqu'à l'accouchement. Celui-ci a eu lieu à t
demander son admission à l'hôpital, et dont il mourut au bout d'une semaine . A l'autopsie, il fut découvert, outre l'empyèm
34 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
THOLOGIE NERVEUSE." En juillet 1887, le malade, qui depuis quelques semaines avait repris de l'ouvrage dans une fabrique de
it pas pro- noncer. La parole revint petit à petit au bout de six semaines à deux mois. C'est vers ce temps que D... entra
dant un certain temps, qui peut varier de quelques jours à quelques semaines , du bégaiement, une certaine hésitation de la p
d'aphasie de durée très courte. IV. - Il persiste pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois avec des alternatives d'améli
au diagnostic des tics avec l'hystérie, une leçon clinique dans la Semaine médicale de 1886 (n° 37) et plusieurs leçons du
tout comme, s'il s'était agi d'une chorée convulsive. Au bout d'une semaine , sa soeur nous'le ramenait amélioré; huit jours
in. Cette brûlure est en voie de cicatrisation et date de plusieurs semaines ; elle est la conséquence d'une chute dans le fo
able'. La guérison survint graduellement; au bout d'un mois, cinq semaines elle était complète; mais, comme il est dit plus
s enfin un réveil tardif de la motilité volontaire (au bout de huit semaines ) et une certaine atrophie des extenseurs de l'a
de paralysie dont la durée varie de quelques jours à deux ou trois semaines . Pendant ces attaques il est sombre, morose, ne
a première idée, d'autant plus qu'aujourd'hui, voilà de cela quatre semaines , les paralysies de la sensibilité et de la motili
a l'opération sont favorables. Il semble alors dans les pre- mières semaines qui suivent l'intervention chirurgicale que le
baix : Ce matin, rue d'Alsace, un ouvrier nommé V..., renvoyé la semaine dernière, de l'usine Vanoutryve, parce qu'il élai
la face plantaire du pied, mais bien moins accentué. Au bout de six semaines , la malade essaie de se lever, mais ne peut mar
eption, elle ne se montre que plusieurs jours, ou même quel- ques semaines après la phase asphyxique. Symptômes. - Nous av
orps succéda au coma ; la face était respectée, - guérison en trois semaines - une autre, de Laroche, d'hémiplégie et d'hémi
inale desscendante, les accidents paralytiques disparaissent en dix semaines , mais les autres phénomènes subsistent malgré d
nt intense, paralysie faciale indolenle du côté droit : durée trois semaines . En 1878, nouvelle paralysie faciale gauche, ma
is avec douleurs vio- lentes dans le cou et la nuque : durée quatre semaines . En 1886, après refroidissement, douleurs lanci
ne quelquefois d'une lièvre légère (jusqu'à 39°), pendant plusieurs semaines . Elle se complique très souvent de névrite desc
e; pigmentation diffuse sur la peau qui entoure les yeux. En quatre semaines le bras tout entier et les seins sont envahis p
eune homme de quinze ans sans énergie, pusillanime. Trois ou quatre semaines à la suite d'une chute sur la tête, réponses lent
Expériences sur trente chiens de divers âges ; depuis l'âge d'une semaine jusqu'à la période adulte. Après leur avoir fait
ixation de l'attention, association des images...). Depuis quelques semaines qu'elle est en traitement, cette malade, qui av
'hérédité directe. Dans un des faits, l'iufluenza avait débuté cinq semaines après la délivrance, les suites de couches s'étan
exige qu'un alitement de un jour ou deux, et cependant, pendant des semaines , le système nerveux demeure prostré ; le malade e
troubles nerveux et psychiques. On le guérit à l'asile en quelques semaines en cessant le traitement nasopha- ryngien, en l
ut d'un mois environ, période d'accalmie, la malade raconte que les semaines précédentes elle était toujours dominée par l'i
quête exacte sur tous les faits de séquestra- tion rapportés chaque semaine par les journaux, et on verra que les 4/5 conce
asme glosso-labié uni-latéral des hystériques. Leçon de M. Charcot ( Semaine Médicale, an 1887, p. 37.) DE LA MIGRAINE OPHTH
aucune régula- rité, à n'importe quelle heure du jour. Depuis trois semaines elles sont devenues très fréquentes; elles revi
re que trois mois après, d'une façon complète. Dans les premières semaines après l'accouchement, alors qu'elle souffrait d
par exemple. A cette époque, son mari la fit traiter pen- dant six semaines par un magnétiseur, mais il a été obligé., dit-il
rentrer chez elle, prétendait qu'elle allait mourir. Au bout de six semaines elle rentra chez elle. A ce moment ses facultés
d'hui. Il nous est arrivé de lui dire plusieurs fois le jour 'de la semaine sans qu'elle puisse le retenir : il fallait pou
actuels, elle a des souvenirs plus nets, sait bien les jours de la semaine et fait moins d'erreurs de temps. Ce résultat,
est ainsi que la malade n'a jamais pu retenir un mot (le jour de la semaine par exemple) tant que nous nous sommes contenté
res des renfle- ments cervicaux et lombaires ; examen de une à sept semaines après l'opération : dégénérescence secondaire.
N POUR ESCROQUERIE. L'arrondissement de Nivelles (Belgique), dit la Semaine médicale, est infesté par une catégorie spécial
nous allons raconter a eu, au con- traire, une issue fatale. « La semaine dernière, dit The médical Record, de New York, en
utrefois à l'asile de Flathurst, mais il s'évada il y a environ six semaines . Le 26 septembre, il reparut à l'asile, et mena
35 (1934) Oeuvre scientifique
1892); 3° Du phénomène des orteils et de sa valeur sémiologique (in Semaine médit ? 27 juillet 1898) ; 4" Diagnostic dZO'ér
broncho-pneumonie qui l'a conduit à garder le lit pendant plusieurs semaines . Le premier jour où il essaie de se lever, enco
LS ET DE SA VALEUR SÉMIOLOGIQUE . [J. Babinski.) Publié dans La Semaine Médicale, 27 juillet ¡8g8. E vous entretiendrai
ette des orteils, j'ai émis une opinion contraire et, environ trois semaines après ma première consultation, un deuxième exame
manière approximative, on peut dire que vers la fin de la deuxième semaine qui suit l'attaque, la surréflectivité est établi
aisse- (1) Charcot, Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques, Semaine méd ? 1887, p. 37- (2) Brissaud et Marie, De la
et la contracture dans l'hémiplégie organique», par Van Gehuchten, Semaine méd., 1898, p. 507. HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ET HÉM
e période, c'est-à-dire à partir de la quatrième ou de la cinquième semaine , ces réflexes sont presque toujours exagérés, sau
en ai donné une description détaillée dans une leçon publiée par la Semaine médicale à laquelle je vous prie de vous report
s explorations pendant plusieurs jours, au besoin pendant plusieurs semaines et retenir, entre les limites variées qui ont é
. 145, je publie une étude sur les réflexes de défense, et quelques semaines plus tard (Revue Neurologique, t. XXVIII, p. 22
suis convaincu, certain même, qu'autrefois beaucoup de malades (1) Semaine médicale, 27 juillet rt3g3. RÉFLEXES DE DÉFENSE
s explorations pendant plusieurs jours, au besoin pendant plusieurs semaines , et retenir, entre les limites variées qui RÉFL
peine quelques secondes, mais qui l'oblige à s'arrêter. Pendant les semaines qui suivent, des crampes analogues se renouvell
e, si ce n'est qu'elle a eu deux enfants morts, l'un à l'âge de six semaines et l'autre à trois mois. Depuis dix-huit mois, la
gne et ne doit pas infailliblement guérir dans un délai de quelques semaines quand la D. R. fait défaut ; ils fournissent une
nt d'affaiblir l'acuité visuelle, qui peut rester normale plusieurs semaines et même plusieurs mois. Il est indiqué de faire
rs lente, qu'elle peut conduire à la cécité en l'espace de quelques semaines , et qu'en un pareil laps de temps un DE LA CRAN
fièvre, délire et insomnie. La période fébrile a duré environ trois semaines au bout desquelles la malade, en apparence tout
a marche devint encore plus difficile. Le malade déclare que, trois semaines après le début de la maladie, il lui était devenu
phénomène des orteils et de sa valeur sémiologique, par J. Babinski. Semaine médicale, 27 juillet 1898. 320 PARAPLÉGIES
t été sujette à des accès de noctambulisme. A vingt-deux aus, trois semaines après une couche, à la suite d'une terreur viol
L'état des réflexes et la contracture de l'hémiplégie organique ». Semaine médicale, 21 décembre 18go : . (2) Voir ce suje
ou imprimés est perçu par lui d'une manière parfaite. Il y a deux semaines , il a été pris, à la suite d'un effort, d'une par
s d'aplatissement, de dépression, d'indifférence qui durent plusieurs semaines , puis de revenir à un état plus satisfaisant da
anés et pour conséquence à peu près inévitable, au bout de quelques semaines , une exagération des réflexes tendineux. Or, ici,
blie ; les jours suivants, ce trouble s'accentua et au bout de deux semaines aboutit à une cécité complète. Puis l'oeil droit
à signaler. La malade fait usage d'iodure de potassium depuis deux semaines ; le 27 juin, je lui prescris de la liqueur de
, je lui prescris de la liqueur de Van Swieten. En l'espace d'une semaine il s'opère une notable amélioration dans les fonc
des accès de douleurs fulgurantes dans les jambes. Il y a quelques semaines , elle a été prise d'une douleur de tête qui a é
ue ophtalmologique, igo2). Kahler. Les symptômes précoces du tabes ( Semaine médicale, 18go). Leval-Piquechef. Des pseudo-ta
Observation I. D..., LI3 ans. Vers le milieu de février igog, une semaine environ après une grippe qui avait duré 5 jours
E LA MOELLE Depuis, l'amélioration a été continue; au bout de trois semaines la malade a pu rentrer chez elle et, actuelleme
écente ; les troubles de la sensibilité ne dataient que de quelques semaines ; ils ont rétrocédé quelques jours après l'extract
istait pas avant l'opération. Depuis, l'amélioration se poursuit de semaine en semaine, et à la fin de juillet les troubles
avant l'opération. Depuis, l'amélioration se poursuit de semaine en semaine , et à la fin de juillet les troubles de sensibi
èse de 1\1. Gendron, igi3. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES (¡ni Quelques semaines plus tard, la paralysie des membres inférieurs es
ubsistent avec la même intensité. Le 25 janvier, c'est-à-dire trois semaines après l'opération, la malade est pour la premiè
cuisse et de la jambe gauches. Après une nouvelle période de trois semaines , la malade exécute ces mouvements sans faradisa
rès diminuée pour les grandes articulations. Pendant les quelques semaines où la malade reste encore' à l'hôpital, la sensib
n arrêt du lipiodol au niveau de la première vertèbre lombaire. Six semaines plus tard, une nouvelle épreuve est faite par voi
YSTÉRIE TRADITIONNELLE PITHIATISME [J. BABINSKI. Publié dans la Semaine Médicale, 6 janvier I[JOr;. Ayant fait mes prem
RAPEUTIQUE ET EN MÉDECINE LÉGALE . B : 1BINSICI. Publié dans la Semaine Médicale, 2-j juillet /,9/0. L'hypnotisme a été
convulsives. Les études qu'il fit ultérieurement, dans les quelques semaines qui suivirent le désastre, à un moment où cepen-
uait le baptême du feu. Et cependant, ni ce jour-là, ni pendant les semaines consécutives aucun d'eux ne présenta de manifes
n hallux valgus par résection de la tète du 1 cl métatarsien. Trois semaines après, alors que la plaie opératoire était cica
r ordinaire ou même une sandale. A partir de ce moment, pendant six semaines à deux mois, il vient tous les matins sauter à
ets qui avaient été atteints de tétanos. Dans certains cas, plusieurs semaines après la guérison apparente de l'affection, des
'accentuant très rapidement et qui ont abouti au bout de cinq à six semaines à un affaiblissement très marqué de la vision du
el à la dose de 5 centigrammes par injection et d'une injection par semaine . Pendant les dix premiers jours les troubles ocul
ions sont répétées une fois par semaine pendant une période de cinq semaines ; elles sont interrompues alors en raison de l'ap
alutaires se font sentir seulement après quel- ques jours, quelques semaines ou plus tardivement encore. Ils ne sont pas con
ne broncho-pneumonie grippale pendant une épidémie de grippe, trois semaines après l'intervention qui ne semble pas pouvoir êt
te à droite une forte dépression de la moelle. Pendant les quatre semaines consécutives à l'intervention, l'état de la malad
urs et il n'y a plus de mouvements spasmodiques involontaires. Quatre semaines après l'intervention, on autorise la malade à s
nstate qu'elle peut se tenir debout et faire quelques pas. Quelques semaines après, elle sort de l'hôpital ; elle marche alo
aphie qui n'est, du reste, pas plus nette que la première. Mais une semaine environ après la première radiographie, je m'aper
ation notable. Le malade, lorsque je l'ai présenté à la Société six semaines après le début du traitement, était déjà en mesur
ammes par jour. Cette cure est continuée pendant une période de six semaines , c'est-à-dire jusque vers le milieu du mois de
ne des orteils et de sa valeur sémiologique (Leçon faite à la Pitié Semaine médicale, 27 juillet 1898). 49. De quelques mou
go8). 155. Démembrement de l'hystérie traditionnelle. Pithiatisme ( Semaine médicale, 6 janvier 190g). 156. Quelques rema
36 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t morts en bas âge : l'un à huit jours, l'autre au bout de quelques semaines ; les quatre autres, quatre soeurs, n'ont jamais
s ont bien noté deux périodes de calme relatif, chacune de quelques semaines de durée, mais, même dans ces moments, la- face
heures. -Cette malade, atteinte de chorée manifeste depuis quelques semaines , nous avait été adressée pour suivre un traitem
ion d'une décharge électrique leur est applicable. 3 J.-M. Charcot. Semaine médicale, 6' année, n° 37, p. 364, et Archives
vant-bras et dans le bras, puis dans le membre inférieur. Après six semaines , la motilité s'était complètement rétablie dans
Charcot. Hémispasme glosso-labié unilatéral chez les hystériques. ( Semaine médicale, 1887.) Brissaud et Marie. De la déviati
après, débute une nou- velle attaque, qui se prolonge pendant sept semaines et qui est suivie, au bout de dix jours, d'une
eut perte de connaissance. Il parut alors se remettre. Au bout d'un semaine ou deux de rémission, la céphalalgie et une sen
ue portant quatre ans avant la mort sur le lobe temporal droit, six semaines avant sur le territoire irrigué par la quatrièm
es religieuses. (B.) ' G. Ballet. Leçon à l'hôpital Saint-Antoine. ( Semaine médicale, 18q 1 .) .. * .. SOCIÉTÉS SAVANTES.
sans les comprendre.'Le goût est presque ;aboli.- Au bout de trois semaines , les troubles de la sensibilité disparurent, l'
ience première : le nerf facial d'un cobaye adulte est arraché; six semaines après, l'animal est tué, le cerveau est durci d
insky et l'architecte Strom se mirent à l'oeuvre dans les premières semaines de l'année 1888 et que, le 15 novembre 1891 l'a
l raconte à ce propos. Cela le prenait environ une fois ou deux par semaine , le soir, vers onze heures, peu de temps après
? ). On cessa la médication iodurée et mercu- rielle. Il resta six semaines malade. L'oedème disparut rapidement en quelque
mpanique ou des incisions répétées auraient triomphé du mal en cinq semaines , et évité les complications. C'est ainsi que le
avec une faiblesse générale telle que le sujet se tient pendant des semaines cou- ché ; des sueurs froides, des nausées, des
laint de surdité graduelle- ment plus forte surtout depuis quelques semaines , léger tremble- ment général; pas d'oedème, poi
IQUE 217 santés ; fait chaque jour la douche d'air' dès la première semaine du traitement. Les troubles subjectifs de l'o
ts et tenaces au moment des règles. Elle n'en a eu qu'un seul cette semaine et se sent bien plus sûre dans la marche. 4 a
fait à la dernière période de la maladie. La figure 20, prise trois semaines après l'accident, permet de constater que la pl
yeux malades; cette affection guérit-au bout de deux mois. A six semaines , les ongles commencèrent à pousser. Il fut pris à
riait, gâtait et se masturbait continuellement. Au bout de quelques semaines , son état s'est amélioré, il sourit, obéit à qu
ne, le salicylate de soude, la pipéracine; en outre, trois fois par semaine bains faradiques de trois minutes. Sous l'influ
ésentait pas d'antécédents héréditaires, pas d'al- coolisme. Quatre semaines avant son admission, il s'était heurté violemme
nantes reparais- sent sans aucune autre altération appréciable. Une semaine plus tard, mort subite. On constate au microsco
yant jamais eu auparavant ni chorée ni néphrite, chez lequel, trois semaines après le début des symptômes choréiques, il se
raît si grave, cesse soudain, après avoir duré quelques jours, deux semaines au plus. Tout à coup les malades reprennent leur
ésultat. Il n'aurait pas, dit-il, rapporté ce cas aujourd'hui, cinq semaines après l'opération, si on ne lui avait pas deman
épidémie de suicides a sévi dans cette ville pendant la. dernière semaine : seize personnes ont attenté à leurs jours, les
a été de la part de M. Charcot l'objet d'une leçon publiée dans la Semaine médicale du 8 juin 1892, n° 29, Sur un cas de m
eux épaules indifféremment pour charger. Il y a eu avant-hier trois semaines (le 24 janvier 1891), étant à table à une heure
essenti le moindre malaise, le moindre étourdissement. Depuis trois semaines , il a travaillé de temps en temps, toujours san
IS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 335 ont duré plus de six semaines ; après quoi, les accès de migraine ont disparu,
che n'a pas cessé d'exister depuis ce jour. Seulement, il y a trois semaines , le malade a recouvré petit à petit quelques mo
un tremblement des extrémités inférieures et persiste pendant deux semaines pour disparaître brusquement. Pendant l'accès,
faire certain que le tremblement per- sistait chez lui durant deux semaines avec des interruptions seule- ment pendant le s
auparavant rétréci. L'état d'une santé relative dure jusqu'à trois semaines et, sans incidents, on voit soudainement éclate
e l'auteur, le tremblement peut de- venir stationnaire et durer des semaines et mois entiers. De ces mots, on doit conclure
la Manche, ne perd rien de son importance : 1° Combien de fois par semaine doit-on donner de la viande de boucherie en hiv
nel retour du même et invariable menu pour chacun des jours de la semaine , et cette misère-là est de celles auxquelles on p
e de manie chronique changea ses habitudes de malpropreté après une semaine de camisole. Nulle autre méthode .qne la force
100 des ivrognes, mais, comme la période de traitement dure quatre semaines et que les malades viennent de différents pays
37 (1911) La pratique neurologique
ère et guérit complètement au bout de quelques jours ou de quelques semaines . Le retour de la vision, comme sa disparition, se
it peu à peu sans laisser de trace dans un temps qui varie de trois semaines à deux mois et demi, parallèlement à l'atténuat
ralement moins violent, se déclare souvent quelques jours, quelques semaines ou quelques mois après le premier : c'est la va
éritables crises d'un sommeil souvent intense, persistant plusieurs semaines ou même plusieurs mois. Le début de telles crises
s aiguës, l'alitement devra parfois être continué pendant plusieurs semaines , voire même deux il trois mois; on pourra toute
ils peuvent être très prolongés, même plusieurs jours et plusieurs semaines , comme l'a conseillé ]\roepelin. Le massage fav
é l'objet de revues et de recherches anatomiques nombreuses (Apert, Semaine Médicale, 1908) Poynton, Parsons, Gordon Holmes
ente. Le plus sou- vent elle ne dure que quelques jours ou quelques semaines , alors que les troubles moteurs persisteront de
enso- riels ne sont que de courte durée (quelques jours ou quelques semaines au maximum); ils sont souvent irréguliers, atte
, dont l'appareil nerveux périphérique presque 1. Voir J. LnEMUTTE, Semaine niécl., 1G juin 1909, p. 277. TROUBLES DE LA SE
lement définitive; quelquefois passagère, elle ne dure que quelques semaines ou quelques mois. Fréquemment elle coïncide ave
prodromique de l'affection; elle est persistante et peut durer des semaines ou des mois, mais habituellement elle s'amende
migraine. Habituellement périodi- ques, ils apparaissent toutes les semaines ou tous les mois, par inter- , TROUBLES DE LA S
de la cause (pu conditionne l'affection. La durée varie de quelques semaines à plusieurs mois. Souvent il persiste durant tr
activité réflexe de la moelle en général : ils diminuent quel- ques semaines après la naissance. Pclizmns (2), sur 40;¡ enfant
itifs est d'être transitoires (de quel- ques heures à deux ou trois semaines ) dans la plupart des cas. On peut affirmer qu'i
its muscles des mains ; elle peut être pré- coce (dès les premières semaines de l'hémiplégie) ou tardive. On a aussi signalé
quant ces différentes localisations. En 1902, dans un travail de la Semaine médicale, Pierre Marie et G. Guillain ont montr
x membres supérieurs a été faite par plusieurs auteurs : Chauffard ( Semaine médicale, 15 5 février l JO 1 ) ; Aubertin (Tri
05 généralement plusieurs jours et souvent une, deux, parfois trois semaines et plus. Dans la maladie de l cmdor/ ('), la
heures et peut se prolonger quelques jours et quelquefois toute une semaine . Quant au retour des accès, il ne peut être prévu
e prévu; quelquefois les accès se reproduisent une ou deux fois par semaine , une fois par mois ; quelquefois la fréquence d
r son chef sternal. Duchenne dit avoir vu un malade vivre plusieurs semaines en ne respirant qu'avec un sterno-mastoïdien, m
iculaires obstétricales à pro- nostic bénin, guérissant en quelques semaines , la plupart au contraire sont très graves et ce
ilatérales, ne sont pas graves et disparaissent au bout de quelques semaines . Certains cas de paralysie faciale congénitale
ur de l'oreille. La paralysie faciale bénigne guérit en une ou deux semaines sans laisser de traces. La paralysie faciale gr
articulier a étudié les lésions musculaires dégénéra- 1. Maiusesco. Semaine médic., 15 février 1890. t. . [A. LERI] 708
cement dans le cours même d'une pleurésie aiguë, dès la 2e ou la le semaine (Lasègue, Desplats). Quand l'atrophie ne frappe
ysie spinale infantile l'atrophie ne se montre que long- temps, six semaines au moins et- souvent beaucoup plus, après une par
e des hémiplégiques est parfois précoce, débutant dès la première semaine , et affecte une marche subaiguë; presque toujours
ne-Aran. La circonférence des membres diminue souvent 1. 3l,mxesco. Semaine médic, 25 nov. 1898. 2. PAI\IION et Porrsco. Ro
nt, puis, au bout d'un temps qui varie de quelques jours à quelques semaines , quelques heures parfois, les symptômes de la név
progression se fait souvent par secousses; la durée est de quelques semaines à quelques mois, puis la régression survient et
yotro- phique est le plus souvent longue et se prolonge pendant des semaines et des mois, mais la régression est la règle et
scles de l'épaule, grand pectoral seul, etc.). Elle débute quelques semaines après la paralysie et évolue rapidement; elle e
rinaires et génitaux. Les accidents sont souvent tardifs, plusieurs semaines ou plusieurs mois après l'intoxication ; leur é
es troubles sensitifs, l'évolution généralement rapide, en quelques semaines ou quelques mois, quelquefois même aiguë, en quel
aucun moment de cette évolution très variable en durée (plu- sieurs semaines à plusieurs mois et même plusieurs années, 2 il ;
et la mort survient au bout de quelques jours, rarement de quelques semaines , le plus ordinairement par syncope. Les ma- lad
e cérébrale possible. Il s'agit de malades qui souffrent depuis des semaines d'abattement, de torpeur, de maux de tête, de p
e cérélwllll- rnbro-spinal et dont la guérison survient en quelques semaines . 2° Tremblements permanents. Les tremblements p
convulsive et passagère, mais quelquefois il peut durer pendant des semaines , des mois, il peut être généralisé, il imite le
. polynévrite. L'évolution de la chorée molle est en général de six semaines à deux mois, au bout de ce temps le petit malad
L'amélioration se l'ait progressivement, la durée totale varie de 0 semaines à 4 mois, mais on peut dire qu'une danse de Sai
t chez des hystériques et même I-Iocquet et Gilles de la. Tourette ( Semaine médicale, 1899), contestent l'existence de la c
on a pu observer un paramyoclonus d'origine articulaire (Chauffard, Semaine médicale, 1890). , CHORÉE ÉLECTRIQUE DE BERGE
e est variable, rare- ment très longue, de quelques jours il 2 ou 5 semaines , sauf exception, durée d'ailleurs en rapport av
Elle débute parfois avec une attaque, d'emblée complète et dure des semaines , des mois, des années, ou bien elle accompagne
près l'ictus, se prolonge pondant plusieurs jours et même plusieurs semaines . Il en est de même du ramollissement. Cependant
e longtemps ; on a signalé les durées invraisemblables de plusieurs semaines et jusqu'à cinquante jours 11). Les hystériques
our. Il survient presque tous les jours et cela souvent pendant des semaines et des mois. L'hémosialé- mèse peut être périod
rement suppures; 5° C'est une lésion d'assez longue durée : 5, 4, 5 semaines ; Ou A la suite de cette lésion, après une secon
e d'enfants morts-nés ou par des morts d'enfants dans les premières semaines ou dans les premiers mois, morts souvent très r
es sels insolubles seront injectés une fois par semaine durant cinq semaines . Les injections doivent d'ail- leurs être renou
is cents grammes par vingt-quatre heures. Au total, au bout de cinq semaines , la quantité de liquide perdu était de trente l
intermittente. Ses formes les plus rapides durent volontiers 4 ou 6 semaines (Ilanot et Joffroy, Mocquin, Merle), tandis que
mes, généralisées ou jacksonniennes, qui peuvent survenir plusieurs semaines , plusieurs mois ou plusieurs années après un tr
de pratiques radiographiques, une modification telle que quel- ques semaines après le début du traitement la malade fut en éta
ors nettement accusées et per- sistent pendant longtemps, plusieurs semaines an moins, plusieurs mois le plus souvent, parfo
elle ne continue pas dans ce sens; bientôt en effet, au bout d'une semaine environ, elle se relève et ne tarde pas à se mont
sa période d'état; c'est généralement dans le cours de la deuxième semaine , après la lésion, qu'apparaissent les altératio
et ne deviennent bien apparentes que dans le cours de la troisième semaine , rarement davantage ; il est fréquent de les vo
e ; sa durée est souvent assez courte, de quelques jours à quelques semaines , c'est généralement le cas sur les territoires
la durée de ces deux périodes réunies varie en moyenne de quelques semaines à quelques mois. Enfin la DR continuant son évo
se montrent plus ou moins durables, se prolon- gent des jours, des semaines , parfois des mois : elles paraissent sous la dépe
examen on en peut trouver il un examen ultérieur pratiqué quelques semaines ou quelques mois après. Il y a donc intérêt dan
constater a un moment, soit plus facilement reconnaissable quelques semaines ou quelques mois après. Dans le processus chron
endant encore d'importantes indications en le répétant il plusieurs semaines ou à plusieurs mois d'intervalle ; une DR complèt
sant assez rapidement et ne laissant guère de traces après quelques semaines . Dans la polynévrite, le pronostic de la DR com
réparation est ^beaucoup plus rapide et peut être bonne en quelques semaines . ... Dans les radiculites, la signification pro
ne pourra juger de sa forme et de son degré qu'après deux il trois semaines . C'est à partir de ce moment seulement qu'on po
indique une paralysie légère, devant guérir rapidement en quelques semaines et n'exposant pas à de la contracture secondair
ntes et décroissantes; ces contractions ondulatoires des muscles ne semaines parfois, une grande diminution de l'excitabilité
eillent d'appli- quer de honne heure, par exemple après une ou deux semaines , quelque- fois même après quelques jours seulem
d'agir sur les dégénérescences secondaires. Au bout de deux à trois semaines elle paraît devoir être sans inconvénients. II
ire de la renouveler tous les jours; deux ou trois applications par semaine pendant quelques semaines sem- blent suffisante
les jours; deux ou trois applications par semaine pendant quelques semaines sem- blent suffisantes. On pourrait combiner
nous croyons que, suivant les cas, on peut le tenter après quelques semaines ou seule- zonent après quelques mois. Avec le
. Il suffira de renouveler l'élec- trisalion deux ou trois fois par semaine . On a employé aussi dans les hémiplégies cérébr
u l'autre de ces procédés ne sera répété que deux ou trois fois par semaine . A ce traitement s'appliquent les remarques déj
eux et peut-être plus prudent d'attendre quelque temps, une ou deux semaines au moins, pour commencer le traitement élec- tr
e que l'on peut espérer du traitement. Dans le cours de la première semaine , et souvent même dans le cours de la deuxième,
u moins grande gravité des lésions; mais vers la fin de la deuxième semaine , ou dans le cours de la troisième, lorsque s'es
a intérêt à renouveler de temps il autre, à intervalles de quelques semaines au plus, l'examen électl'Odiagnostiquc afin de
t de renouveler le traitement tous les deux jours ou trois fois par semaine . Au lieu de pratiquer la galvanisa- tion contin
igée, il y a lieu d'ajouter, après quelque temps, deux ou plusieurs semaines suivant les cas, des exci- tations des muscles
la valeur choisie pour la galvanisation continue. Après quelques semaines de ce traitement il y a lieu souvent d'insister
mois, 5 à 6 mois en moyenne. On pourra le suspendre alors quelques semaines pour le reprendre pendant quelques mois, le suspe
vasion soient en rétrocession; c'est donc seulement après plusieurs semaines , lorsque les douleurs ont beau- coup diminué si
te la guérison et la produit en quelques jours parfois, en quelques semaines plus généralement. Dans ces cas nous conseillon
ien suffit- sant de renouveler le traitement deux ou trois fois par semaine . Il ne faut pas oublier que dans les paralysies
de DR ne se montrent souvent bien confirmées qu'après deux ou trois semaines , parfois même quatre semaines; aussi convient-i
ien confirmées qu'après deux ou trois semaines, parfois même quatre semaines ; aussi convient-il d'agir prudemment avec le tr
ntôt, et il peut être préférable de commencer pendant les premières semaines le traitement des paralysies faciales légères a
ce traitement par la seule galvanisation con- tinue, deux il trois semaines , par exemple, on fait en plus quelques exci- ta
aire de temps à autre des intervalles de repos de deux ou plusieurs semaines dans les applications du traitement électrique.
rop prolongées et trop souvent répétées : deux ou trois séances par semaine sont largement suffisantes. sl'.Ill'1'71- temcn
on continue, mais de l'appliquer de temps il autre pendant quelques semaines ou quelques mois, et de le suspendre pendant des
ectrisation tous les jours; deux ou trois séances de traitement par semaine sont en général suffisantes. La faradisation se
elle ne s'accuse qu'après un temps plus long, au bout de plusieurs semaines , et il n'est pas rare, de, la voir entrecoupée
mois, avec des séances plus espacées, au nombre de une il deux par semaine , période de soutien (Zimmern). Lorsque la névra
péter que tous les deux jours, parfois même seulement deux fois par semaine . Lorsque les malades sont arrivés à bien suppor
risation tous les jours et se contenter de deux à trois séances par semaine . Au bain statique on ajoute, suivant les symptô
près une première applica- tion du traitement pendant quatre il six semaines , on le suspendra pen- dant trois il quatre sema
t quatre il six semaines, on le suspendra pen- dant trois il quatre semaines , pour le recommencer pendant plusieurs semaines
ant trois il quatre semaines, pour le recommencer pendant plusieurs semaines , le suspendre de nouveau, et continuer de même en
de quelques jours pour les petits fragments, d'une ou de plusieurs semaines pour les fragments plus volumineux. Solution
r sont fixés et mordancés dans le liquide de llüllcr pendant 4 il 8 semaines , lavés pendant plusieurs jours à l'eau distillé
ne se colore plus par les sels de chrome, puis colorés pendant 3 il semaines dans des flacons contenant du picro-carmin de R
ordancées il froid dans le liquide de .Millier pendant quatre à six semaines . Le séjour à l'utuve à 57 degrés active le durc
38 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'à il y a un an. Depuis ce temps elles surviennent toutes les trois semaines . A dix-huit ans, elle se maria; elle fit cinq g
très mar- qué avec rougeur intense. La malade dut garder le lit six semaines . L'oedème s'effaça peu à peu. La jambe reprit s
vive, le gonflement articulaire intense. La malade dut rester trois semaines dans l'im- mobilité absolue. La guérison n'eut
des calomnies de sa voisine, elle éprouva jusqu'à trois crises par semaine . Elle remarqua en même temps une diminution dan
fois par jour, un jour se passait rarement sans crise. Pendant six semaines les alternatives de syncope et de retour à la col
». D'ailleurs son mari ne découche-t-il pas deux ou trois fois par semaine ? On dit bien qu'il se rend à Chantilly, dans une
de son lourd service. Il l'appelait chez lui à Paris, deux fois par semaine , pour recevoir les familles des aliénés. Sachan
distraire et on pouvait craindre que je devinsse fou. Quatre ou six semaines après, le mauvais sang que je m'étais fait (pou
mentale ( l'eriuirrlheit), parce que, parfois, pendant plusieurs semaines et même plusieurs mois, elle est entrecoupée d'un
et le malade est obligé de se confiner dans son lit. Après quelques semaines , les phénomènes paralytiques s'amendent un peu,
ER. (Brain, part. IV, 1893, p. 556.) Blessures de la tête; quelques semaines après attaque de mu- tisme, précédée de vertige
e une marche extrêmement aiguë, qu'elle dure rarement plus de trois semaines , qu'elle ne fleurit guère que sur des cerveaux
ve. J'eus la bonne fortune de ne pas commettre d'erreur pendant six semaines . Tou- tefois, je déclare quejen'ai jamais été p
, au moins une fois par an, les aliénés incurables, et une foislpàr semaine les malades présen- tant des chances de guériso
spoir de le voir jeter définitivement le masque. C'est ainsi que de semaine en semaine notre examen a dépassé la durée habi
voir jeter définitivement le masque. C'est ainsi que de semaine en semaine notre examen a dépassé la durée habituelle d'un
es et les articulations vertébrales. La malade garda le lit trois semaines . Elle avait eu de la fièvre avec soif vive, de
n. La malade revient le 23 septembre. Elle a passé une très bonne semaine . Les règles sont venues au 17 li. PATHOLOGIE NE
Voir pour la maladie de Raynaud : Hutchinson (de l'Acropathologie, Semaine médicale, 1893), crée le mot de phénomènes de Ray
cet état. Cette jeune fille resta ensuite alitée pendant cinq à six semaines ; dans la journée elle était calme, inerte, indi
ramasse fréquem- ment dans les rues et que reçoivent pour quelques semaines tantôt l'asile d'aliénés, tantôt la prison. On
cas de rechute, l'hôpital ne le reprend plus, même pendant quelques semaines , par la raison que le malade pouvant être consi
rofonde, suppriment le sommeil, nuisent à la digestion; en quelques semaines le malade s'épuise et c'est alors que la psycho
bide qui, avec des oscillations dans l'intensité, dure deux à trois semaines . Tous les symptômes sont moins prononcés que da
bien et sont par suite méfiants et irritables. Entre deux et quatre semaines la lucidité progresse en même temps que se relè
retour peut avoir lieu généralement entre la sixième et la huitième semaine qui suit l'explosion de la confusion mentale (V
plus tardive à laquelle on l'a cons- taté est la fin de la première semaine ; sa durée est généralement de quelques jours s
is, le bras droit fut dégagé. Elle garda le lit pendant cinq ou six semaines . En quittant le lit, elle s'aperçut qu'elle ne
dominaient au commencement pour disparaître au bout de quel- ques semaines , s'expliquent bien par cette supposition. Et, qu'
de la publication du cas, la guérison datait seulement de quelques semaines ou de quelques mois. Avant l'opération la mal
s; il éprouvait au même moment de grandes difficultés à marcher. La semaine suivante, brûlures vives dans les membres et le
région auriculaire du côté gauche, sans lésions apparentes, fut six semaines plus tard, pris de céphalalgies, vomissements r
seconde observation concerne un jeune gar- çon de dix ans qui sept semaines après la résection amygdalienue change de'carac
; l'aphasie et l'hémiparesthésie duraient plu- sieurs heures. Trois semaines plus tard tout avait disparu. Tous ces exemples
matoporpbyrine. On supprime le médicament; graduelle- ment en trois semaines , ces symptômes inquiétants disparaissent; ceux
t de tabes dorsal. Il fut soumis à la frankiini- sation pendant six semaines et prit des bains de sel tièdes. Le résultat fu
'une extraordinaire faiblesse des membres infé- rieurs. Pendant six semaines il subit deux fois par jour le courant de Morto
ération rêgressivequi, dans les 330 sociétés' savantes. premières semaines , ne va pas au delà du centre voisin. Peu im- po
varie dé 1 quelquesl41eures a plusieurs jours, voire même plusieurs semaines . , - Ir- fqf-naYn'fi al y·.r. av9 10 n . t ? C'
légie du côté droit. Les deux phénomènes après avoir duré plusieurs semaines ont progressivement et complè- tement disparu,
soutirait de douleurs rhumatismales articulaires depuisenviron une semaine . Le gonflement, la chaleur, la rougeur, la doul
out à fait disparu. Le traitement est encore continué deux fois par semaine dans le courant de janvier. Mais la malade ne p
sthésique au-dessus et en dedans de la plaie cutanée de la joue. La semaine suivante, conjonctivite droite avec petite ulcé
al. Diverses conditions défectueuses dans l'hygiène des premières semaines , comme le décubitus habituel sur le même côté,
(un seizième de glande thyroïde) et données seulement deux fois par semaine . Chez les deux malades il y eut augmentation de
cortical. L'un était un cas de folie puerpérale, datant de quelques semaines et terminé par la mort : on trouva les cellules c
le retour du spasme ciliaire, de faire au malade pendant plusieurs semaines , avec des intervalles convenables, des instilla
39 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
ter jusqu'à 0 gr. 60, dose qu'on ne doit atteindre qu'à la huitième semaine . Quant aux bienfaits qu'il a retirés de ce médi
die que V... eut des étourdissements, revenant une ou deux fois par semaine . Au bout d'un an, les étourdisse- ments cessère
aurait eu, à 6 mois, des convulsions qui ont persisté durant trois semaines et ont eu pour conséquence un arrêt de développ
e enragée. ». - Les accès venaient environ toutes les deux ou trois semaines . A 13 ans, II... retourna chez sa mère nourrice
remiers mois, les accès se succédèrent approximativement toutes les semaines ; puis, ils s'éloignèrent, ne survenant que tous
es, les inha- lations furent faites deux fois par jour, pendant six semaines ; la dose fut portée graduellement de 3 à 20 gou
le sommaire : Observation XIII. Homme de 53 ans. Trois accès par semaine . Aura partant du cou et quelquefois de la -main
rvation XV. - Homme, âgé de.2,i ans. Il a parfois 20 accès dans une semaine . A partir du mois de juin fez, on lui fait resp
Dan..., après les inhalations de nitrite d'amyle, est restée huit semaines sans avoir de crises; - une autre, lier..., n'a
is jours sans pouvoir ni boire ni manger. Elle fut agitée toute une semaine , par des « peurs » fréquentes, se figurant sans
plusieurs hommes fussent t occupés nuit et jour à la maintenir. Une semaine plus tard les attaques, cessèrent, la paralysie
nt que le lui permit sa maladie. Les attaques revenaient toutes les semaines . Pensant que ].1 YSTÉRO- ÉPILEPSIE, 119 `J le
es cuisses. Ces accidents ne se seraient dissipés qu'au bout de six semaines . Dans les premiers jours de 1869, Etch... fut t
avait des pertes uté- rines se prolongeant quelquefois une ou deux semaines . Jus- qu'à la fin de 1868, le flux menstruel, t
t entrée à Necker, le flux menstruel n'a paru qu'une seule fois, la semaine dernière et n'a eu qu'une durée éphémère. L'hyp
8 à gauche et à 31 : : i°,2 a à droite. - Les règles sont venues la semaine dernière et ont été suivies d'une hémorrhagie i
manière toute particulière et sont restés inertes pendant plusieurs semaines . - III. Début des contractures permanentes.
ennent par le nez sans que la malade en ait conscience. Depuis deux semaines , elle vomit tout ce qu'on lui fait prendre. Les
tracture, elle n'avait d'évacuations alvines qu'au bout de quelques semaines ; enfin, durant la phase de l'alimentation insu
1 gr. "986 centigr. d'urée. Quelque temps avant, il lui fallait une semaine pour en sécréter autant; puis, dans la journée,
ière s'était répandu jusqu'à Pllray-le-Monial ! (Voir aussi dans la Semaine religieuse, 1875, l'article inti- tulé : Un gra
40 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
s en janvier et en juillet. Ces vomissements duraient chaque fois une semaine et la quantité du sang vomie chaque jour ne dépas
ans le service de M. Du-buisson. Calmé après un court séjour do trois semaines dans cet asile il sortit un peu amélioré quant à
Ses phobies, bien qu'atténuées persistaient encore. Au bout de six semaines d'une amélioration apparente, il eut un alourdiss
de. Cette jeune fille était obligée de garder le lit presque loute la semaine après chacun des dimanches nombreux où elle avait
inique. Après cette troisième séance nous l'avons perdue de vue ; une semaine après elle revint pleine de joie avec sa maman et
rveuses, tome II, p: 592. (i) ? chût : Congrès de Toulouse, 1681. — Semaine médicale, 28 octobre 1S87. — Revue de G Hypnotism
même journée ; do 1887 à 1890 je l'ai encore rencontrée deux fois par semaine . C'était une grande hystérique. Or, en en 1890, e
u rester dans l'état second où je l'avais placée pendant un jour, une semaine , des années. 3i j'endormais de nouveau cette je
'Hîmiasesthêsie d'origine cêhîbiiale, par M. le Professeur Dbjerine, ( Semaine Médicale, 26 Juillet 1899). L'hémianesthésie d'
r le sommeil. On admet que jusque vers la troisième ou la quatrième semaine de la vie, l'enfant ne reste guère éveillé en deh
u y avaient été fort goûtées. M- le Dr Jules SIMON (de Paris). La semaine dernière a succombé M. le Dr Jules-Fénélon Simon,
, sinon qu'un groupe de tapageurs (comité électoral) lui a durant des semaines , répété son nom. »/page> page n="134">
s même que des changements organiques périodiques peuvent couvrir des semaines et des mois: cela prouve non pas que la mesure du
En tous cas, l'immunité préserve seulement pour un espace de quelques semaines ou de quelques mois, car bientôt survient un accl
Iervilly, dans l'Avenir National, de 1848, écrit « qu'il n'y a pas de semaine où, à Paris, on ne vienne chercher une pierre d'a
s jours, puis tous les deux ou trois jours, puis une ou deux fois par semaine . Il va de mieux en mieux. Le milieu dans lequ
e la guérit aussi. Plusieurs d'entre vous ont déjà vu, il y a trois semaines cette jeune personne que voici et qui, ayant de l
imitation de ses compagnes, elle est devenue choréique. II y a trois semaines quand je vous l'ai présentée, ses mouvements, ryt
vomir régulièrement comme il vient d'être dit. Cela dure depuis trois semaines ; il quitte le domicile conjugal pendant huit jou
l'accouchement, mais l'amélioration n'est réelle qu'au bout de trois semaines , quand la jeune mère est de nouveau sur pied. D
es suggestions ; les séances doivent être de plus cn plus espacées de semaine cn semaine, puis de mois en mois. La rechute dépe
ons ; les séances doivent être de plus cn plus espacées de semaine cn semaine , puis de mois en mois. La rechute dépend le plus
de Londres. II mourut à trente-deux ans, d'une chute de cheval. Cinq semaines après sa mort, Hodg-e?? rendait de nouveau visite
billevesée. Déjà ce malaise s'était produit quatre lois dans la même semaine , quand arriva le fait suivant. Rappelé un soir à
i fut atteint d'une fistule tuberculeuse de l'anus, qui mit plusieurs semaines à guérir. Néanmoins, la grossesse fut bonne et l'
e tuberculeuse. Tel était cependant le cas. En effet, aprè3 plusieurs semaines de séjour daus cette maison de santé, je pus cons
lle, je le fis enfermer dans une maison de santé. Au bout de quelques semaines de repos, les troubles cérébraux s'amendèrent et
a fait ses premières injectior.s de tuberculine, j'ai passé plusieurs semaines dans les hôpiiaux de Berlin, et là j'ai observé d
ent lui-môme, se développe et se complique petit à petit. Ainsi, de semaine en semaine, les idées terrifiantes se modifient e
e, se développe et se complique petit à petit. Ainsi, de semaine en semaine , les idées terrifiantes se modifient et évoluent.
squ'à sa complète guérison. * Sur ces entrefaites, je lis dans la Semaine médicale les articles de MM. Léptne et P. Marie s
ans la maladie de Parkinson confirmée. Après avoir été trois fois par semaine pendant trois mois,soumis au traitement hypnotiqu
ue, rapide, de courte durée. La seconde, au contraire, peut durer des semaines , des mois môme, et, chose étonnante, passer inape
ous aï parle d'un enfant de douze ans qui avait fait une fugue de six semaines et qui s'est ressaisi, un beau jour, sur lo bord
tpasencore quinze ans.Sa dernière fugue, toute récente, a duré quatre semaines . Cette jeune fille n'est pas une vicieuse, mais u
e lettre : cette personne n'a plus de crises ; mais, depuis plusieurs semaines , elle a des obsessions ; par exemple, elle se sen
gnements du médecin, ce jeune homme n'aurait commencé qu'il y a trois semaines environ à devenir souffrant et à ressentir des do
41 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
manière t continue, tantôt par accès qui durent plusieurs jours, une. semaine environ. Ces personnes conservent quelquefois ass
e l'hypnotiser qu'au bout de deux ou trois jours.l puis au bout d'une semaine , puis de deux semaines, puis d'un, i deux, trois,
out de deux ou trois jours.l puis au bout d'une semaine, puis de deux semaines , puis d'un, i deux, trois, quatre mois. On peut c
ation ou s'il recommence à boire pendant le traitement; au bout d'une semaine ou deux'après la première hypnotisatipn, — ne fut
ur faisait des injections à 0.001 de strychnine pendent deux ou trois semaines . Quelquefois une certaine amélioration en résulta
). Sa mère est morte d'apoplexie ; elle-même est hystérique. Chaque semaine , elle a des crises à grand fracas, perd connaissa
e nocturne se limite exactement à la nuit du lundi au mardi de chaque semaine . Je n'ai pu avoir la clef de cette bizarre auto-s
avant son examen, je lui fais des séances de suggestion deux fois par semaine , pendantlesquelles je l'accoutume successivement
de province. Les principaux artistes jouent trois ou quatre fois par semaine : toutes les autres soirées sont consacrées aux ré
stérique est celle qui dure le plus longtemps, parfois des jours, des semaines et môme des mois. L'hystérique se comporte alors
es deux ou trois jours, ces séances sont répétées pendant près de six semaines , après lesquelles Victor B., débarrassé de son sp
té, son caractère et sa volonté. Il n'y a de cela encore que quelques semaines , mais il y a tout lieu d'espérer que le résultat
l était devenu subitement muet. L'aphonie totale persista pendant six semaines ; aussi soudainement qu'il l'avait perdue, il reco
ndant un jour ou deux, puis pour trois ou quatre jours, puis pour une semaine ou deux, enfin pour des mois entiers, et la sitop
énaslhénique, extravagante et bizarre, qui, d'ordinaire, ne mange par semaine qu'un peu de pain et une grosse assiette de vermi
ada quelques-unes » p). • Toutefois «Dieu l'éprouva les six dernières semaines par un état intérieur tout-à-fait pénible » (s).
grand changement « chez sa femme que je voyais deux ou trois fois par semaine , elle sem-« blait triste, très préoccupée, sa san
e. Cette jeune fille a eu, six mois auparavant, pendant envirpn une semaine , des crises de vomissements, tantôt verts, tantôt
uent et l'accalmie dure environ deux nouveaux mois. — Il y a quelques semaines , ils sont redevenus de plus en plus fréquents et,
jeune fille ne tarde pas à avoir un bon appétit; au bout de quelques semaines , elle a gagné quinze livres. Sa santé est aujourd
tc.) L'état du tube digestif n'est redevenu normal qu'après plusieurs semaines , alors que les vomissements et le ptyalisme avaie
Depuis huit ans, il a des crises qui se sont aggravées, il y quelques semaines . Il se trouve mal à l'aise, il tremble de tout le
lmonaire qui mit sa vie en danger et qui la retint au lit pendant six semaines . La convalescence dura longtemps ; cette femme re
e j'acceptai avec empressement. Mais la malade laissa passer quelques semaines avant de venir me voir et elle ne s'y décida qu'a
ceinte. Et de fait, le tympanisme intestinal disparut peu à peu les semaines suivantes. Quant aux règles, elles ne revinrent p
i un nouvel examen. C'est inutile, me dit-elle, puisque dans quelques semaines nous serons fixés. A la fin du neuvième mois, l
de leurs maux ; « Qu'en agissant ainsi et en répétant, pendant des semaines et quelquefois des mois, sur le même malade, ses
dire quelques mots d'un tout petit incident survenu, il y a quelques semaines , dans ma clientèle; il me parait intéressant parc
s alors, ce qu'on ne m'avait pas encore révélé, que, depuis plusieurs semaines , les rares matières qui sortent du rectum affecte
même trois heures. Cette jeune fille vint à la clinique il y a trois semaines et depuis elle n'a eu qu'une seule crise le lende
it beaucoup de tort dans l'esprit des gens du pays. J'appris quelques semaines après que l'on avait consulté un autre confrère q
porter le matin de bonne heure le lait chez lesclicnts. Il y a trois semaines , en revenant de livrer du lait à 6 h. du matin, s
le est restée trois mois sans s'arracher les cheveux. Depuis quelques semaines , elle a recommencé; elle se les éclaircit, comme
le monde des hypnologistes et des psychologues. Pendant les dernières semaines de sa longue et laborieuse vie, Durand [de Gros)
s cellules qu'ils habitent sont désinfectées régulièrement toutes les semaines . Les cellules des « habitants » occupent un bât
abitants » sont chargés de lire les journaux et les revues et, chaque semaine , il paraît un journal imprimé dans le réformatoir
le d'aliénés. A propos de la voyante de Boulleret. . On lit dans la Semaine religieuse du Puy : « Mgr l'évéque du Puy appre
42 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
peut être très fugace, disparaître, par exemple, au bout de quelques semaines , quelques jours, quelques heures même. Cela const
es frictions mercurielles, avec une interruption de huit jours chaque semaine , et on lui donna de l'iodure de potassium continu
nt une période de temps qui peut varier de quelques jours à plusieurs semaines . Vous avez compris, par ce qui précède, quelle
4). — 23 ans, cocher. Débuta l'âge de 14 ans, accès toutes les 4 eu 6 semaines . Ils durent de 3 à 4 jours. La douleur occupe Je
da la paup'ère et la diplopie croisée ont persisté pendant près de 8 semaines . 3° Cas de Hasner (cité d'après Mœbius). — Fill
er 1886. La période douloureuse n'a pas duré cette fois plus de trois semaines ; elle a présenté, d'ailleurs, exactement tous le
ire de temps à autre, en même temps que tous les 15 jours, toutes les semaines , reparaissait, pour quelques heures ou quelques j
e possible à l'origine, ont commencé à s'atténuer au bout de quelques semaines ; mais, ainsi que cela s'est vu à la suite du sec
ai, a pris chaque jour le bromure de la façon suivante : une première semaine 4 grammes, la seconde 5 grammes, la troisième 6 g
première fois; même caractère vespéral et nocturne. Au bout de trois semaines , la douleur cesse et est remplacée par une paraly
ourdà le traitement par le bromure. 4 grammes chaque jour pendant une semaine , 5 grammes la seconde, 6 grammes la troisième, de
ne semaine, 5 grammes la seconde, 6 grammes la troisième, de même les semaines qui suivent, sans interrompre un seul jour l'empl
la face plantaire du pied, mais bien moins accentué. Au bout de six semaines , la malade essaie de se lever, mais ne peut march
e nerveux déterminées par l'abus de la machine à coudre. M. Guélliot ( Semaine médicale du 7 et du 10 janvier 1882) relevait cet
cuisse droite, entre l'ischion et le grand trochanter. Pendant trois semaines , la douleur est extrêmement vive et la malade ne
'immobilité symétrique des yeux, la pupille restant indemne. Quelques semaines plus tard, le voile du palais se paralysa ainsi q
donnance : « Persistance des symptômes oculaires. De plus, depuis six semaines , une certaine difficulté de la déglutition ; voix
de la paupière gauche, assez complète pour cacher la vue du jour; une semaine environ après la chute de la paupière gauche, la
ause et adopté la même formule. Ainsi, dans une leçon publiée dans la Semaine médicale, le 2 février 1887, je disais : « Dans l
l fut soigné comme blessé à l'hôpital de la Pitié et au bout de trois semaines il était complètement guéri. En 1887, deuxième
e retrouve pas dans le ptosis paralytique. Le hasard nous a amené, la semaine dernière, un tabétique avec chute complète de la
rinfluence d'un peu d'éther. Jadis très rapprochées (deux à trois par semaine ), elles sont aujourd'hui beaucoup plus rares. Le
e droite ; il en résulte une claudication légère qui s'accentue trois semaines plus tard, quand survient de la raideur du membre
er huit jours, comme autrefois, ne se termine pas avant deux et trois semaines . Voilà les manifestations arthritiques, voici les
. C'est un homme qui s'est présenté à la policlinique, il y a trois semaines , et que vous reconnaîtrez sans peine, si je vous
le. Voici, en résumé, les résultats que nous avons obtenus en trois semaines : plus d'accès d'épilepsie partielle, plus de par
s diplopie actuelle. La diplopie aurait existé autrefois durant trois semaines environ. Aucun de ces deux malades n'offre de tro
elle fut prise d'une amauroso complète qui disparut au bout de trois semaines sans laisser aucun reliquat, aucun trouble visuel
que nourriture. En même temps, léger degré de diplopie. Environ une semaine après l'apparition de ces nouveaux phénomènes, to
anorexiques et les vomissements dont elle a souffert pendant quelques semaines avant son entrée. 1er septembre. — Les bâilleme
térée. Ces crises la prennent régulièrement deux à trois fois par semaine , de 6 à 8 heures du soir. Elles rompent néanmoins
ments qui reprennent au réveil et peuvent ainsi persister pendant des semaines et des mois sans que la santé générale semble en
43 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
sa première admission. Puis, au bout d'un temps variant de quelques semaines , à 5, 6 mois ou davantage, l'Administration réc
tigrammes de bromure d'or dans une journée. Pendant les premières semaines , le médicament était donné par un pharma- cien
tat général s'était considérablement amé- lioré, toutefois quelques semaines plus tard, après la cessation du traitement, on
que par frictions fait Ù domicile, mais il faut pendant six à douze semaines se soumettre à un traitement méthodique dans un
des). 3 novembre. Suppression des douches. - Deux bains salés par semaine . 1882. 25 mars. L'enfant a eu ces jours-ci une
e des oreilles. A 10 ans, l'enfant étant en Belgique, environ trois semaines avant la constatation d'une crise, un agent en
, des vomissements verdâtres ; la mort ne survint qu'au bout do 4 semaines . - Mère, morte à 40 ans, assassinée par un indi-
gr. 03. - 22 juin : la dose a été augmentée de 0 gr. 01 toutes les semaines jusqu'à 0 gr. 08. - 15 octobre : suppression du
ite, puis les accès se répé- tèrent tous les mois ou toutes les six semaines . - On lui a fait boire du sang de boeuf (il y a
um. L'enfant interrogé dit que les accès reviendraient toutes les semaines environ et souvent plusieurs fois par semaine ; i
endraient toutes les semaines environ et souvent plusieurs fois par semaine ; il fait de lui-même une distinction de ses ac
y a encore des réserves à faire. Doit-on, en tous cas,dire, après 6 semaines de traitement seulement,que cette malade a réel
. » Depuis cette époque, il aurait eu environ 2 ou 3 attaques par semaine jusqu'à l'âge de 13 ans; à la suite de l'une d'
tte à des migraines qui durent 12 heures et re- viennent toutes les semaines ; elle en souffre depuis 10 ans ; étant jeune f
que la chambre était éclairée. Ces cauchemars existaient depuis 3 semaines , quand, une nuit, son père étant rentré ivre, f
ourdissements. De 8 à 9 ans, les accès revenaient toutes les 2 ou 3 semaines ; de 9 à 10 ans, ils se renouvelèrent plus fréqu
i, on ne peut pas invoquer l'action des accès car de- puis quelques semaines ils ont été très rares. Suppression du bromure
44 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
taient encore entrés en scène. Un traitement suggestif, pendant trois semaines , amena la guérison. Tous mes malades accusèrent
ns le cours de la première heure, il m'a lviendra un malheur dans une semaine , un mois, on an »! En éloignant le terme fatal, i
. » — 8 — S — I — tous les 2 jours pendant » — 10 — — 5 — I — par semaine pendant . . » — 15 — — 4 — 2 - - par mois penda
pendant la nuit le sommeil est toujours tranquille. Pendant les sept semaines suivantes, les séances eurent lieu à quelques jou
est très intéressant à noter que, quoique après un traitement de cinq semaines , les muscles de la face n'obéissent point encor
montra un somnam- bule d'une très grande suggestibilité, en quatre semaines , il fut complètement guéri. Depuis trois ans, il
le ne ressentit plus aucune douleur, je l'hypnotisai à nouveau. Trois semaines après, elle me visitait pour m'annoncer l'heureus
second degré, mais l'ellet du traitement fut immédiat. Au bout d'une semaine , on put le laisser sortir seul en toute sécurité,
aine, on put le laisser sortir seul en toute sécurité, et après trois semaines , je le renvoyai chez lui, guéri selon toute appar
rmis d'aller au bord de la mer avec quelques amis; elle y demeura une semaine , et à son retour vint tous les jour» me voir do l
r do la campagne qu'elle habitait. Ce bon état persista pendant trois semaines , mai» alors &es anciens souvenirs, ses ennuis
stint de boire pendant un mois environ, but avec modération les six semaines sui-ranies, mais elle tomba malade et se remit à
traitement de quinze jours. Après cela, il resta sobre pendant trois semaines , et puis il recommença à boire graduellement, jus
uggestions post-hypnotiques. On le garda en observation pendant trois semaines et on i'enroya au bord de la mer. Après y être re
sorte que je dus le saigner. On le garda en observation pendant trois semaines encore, et durant ce temps, je l'hypnotisai fréqu
le jusqu'au troisième degré et très docile aux suggestions. Après une semaine ue traitement, on lui permit de sortir seul, mais
ça à y ajouter un peu de vin. Du vin il passa aux spiritueux, et, six semaines après avoir quille l'Angleterre, il commença à bo
le renvoyai chez lui bien, en apparence. II fut sobre pendant trois semaines et ent de nouveau une attaque. On l'a envoyé dans
éloignement pour l'alcool et on l'hypnotisa chaque jour pendant trois semaines . On le renvoya alors chez lui et depuis il a obte
ai dipsomane, et des crises de désir ardent reviennent toutes les dix semaines . II se montra très sensible à l'hypnotisme et fol
, de constipation habituelle, avec une selle toutes les deux oa trois semaines , de céphalalgie et de douleur épigastnque. Ces tr
ur l'épine dorsale et sur l'épaule gauche ». c II y a environ trois semaines , dit M. John E. Kyslop (1), j'étais appelé à la c
Le 18 mai dernier, on l'envoya à Plombières où il prit pendant trois semaines des bains de Tapeur sans résultat. Au contraire,
grandes oscillations irrégulières ; ce tremblement existe depuis six semaines et s'est développé, dit-il, a la suite d'injectio
rs davantage, en l'encourageant sans la violenter, obtint en quelques semaines ce que je n'avais pu obtenir par la suggestion hy
ut d'un coup qu'elles n'ont plus reparu. Il y a de cela environ six semaines . Il n'y a pas de raisons de croire qu'elles réapp
is, elle en a eu un certain nombre; elles reviennent toutes les trois semaines environ. La crise débute par un accès partant de
ur l'état mental de notre malade, qui fut prise pendant les dernières semaines de sa vie d'un délire tranquille, avec hallucinat
mier est celui d'un jeune gentleman qui me fut envoyé il y a quelques semaines . Trois semaines avant sa visite, une jeune fille,
'un jeune gentleman qui me fut envoyé il y a quelques semaines. Trois semaines avant sa visite, une jeune fille, à la main de la
eux. Il perdit tout sommeil, tout appétit, et, dans l'espace de trois semaines , son poids avait diminué de seize livres. Il te p
ncore mauvaise impression. Des extraits d'une lettre reçue quelques semaines après celle consultation serviront d'épilogue à c
nt de douleurs intolérables à la mâchoire supérieure depuis plusieurs semaines . Après examen, je reconnus que toutes ses dents é
aucun mouvement musculaire dans sa physionomie. Dans l'espace de deux semaines , j'ai pratiqué sur elle cinq grandes extractions
n'est pa« - rare devoir l'amnésie embrasser planeurs jours, plusieurs semaines et même plusieurs mois, ot cela toit après un tra
table amnésie rétrograde qui embrasse ici une première période de six semaines environ; pendant toute cette période, la vie de l
tème nerveux, a partir du 2 mai. Le cours aura lieu quatre fois par semaine et sera complet en vingt leçons. Les é'èves, dont
crises se répètent pendant toute la grossease, deux à trois fois par semaine et jusqu'à deux ou trois fois par jour; jamais d'
ouchement, n'ayant plus lieu que tous les huit ou quinze jour», trois semaines , quelquefois un mois. Cette malade avait de l'i
à tout, n'allant à la selle que tous les quinze jours, ou même trois semaines . Elle avaii de plus une éveiitration (écartemen
ôt modérée et maintenue dans les limites voulues (des règles). Cinq semaines après, elle est prise d'un phlegmon du pouce droi
45 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
ine à se tenir de- bout, mange peu et ne dit rien pendant plusieurs semaines . (i) Thèse de Zurich, 1914. (2) Voir WEBER, N
s de l'arrière, les malades sont res- tés couchés pendant plusieurs semaines . Au point de vue de la pathogénie, il est intér
ion provoquait des douleurs insupportables. Au bout de deux à trois semaines la douleur devenait moins intense et c'est à ce m
à 0 gr. 78 d'albumine par litre) qui a disparu au boul de quelques semaines . ' D'autre côté, on pourrait rapprocher nos cas
hs 'musculaires spontanées d'un caractère clonique ; après quelques semaines d'isolement, les grands mouvëments'avaient'fdrt d
es (des mouvements de préhension) sont constatées. Après quel- ques semaines d'observation, la malade succombé dans' un étal d
rique. Au bout de cinq mois et demi, et vers la fin de la troisième semaine du traitement mécanothérapique, cette hypotonie
entes. Le malade eut une grave syncope chloroformique. Pendant deux semaines l'oedème dimi- nua, puis il augmenta à nouveau.
au-dessus de l'apophyse styloïde du cubitus. Il a été extrait trois semaines après par le chirurgien. Il y aurait eu un peu
du creux poplité; les douleurs furent vives, mais pendant quelques semaines seulement ; la paralysie ne fut que très légère
l'existence d'une fracture de l'humérus tiers inférieur.Après trois semaines , l'enflure ayant suflisamment diminué, le bras
autre appareil, plus simple, qu'il ne garde, du reste, que quelques semaines . Il commence, dès lors, des mouvements quotidie
ssion. Localité de cantonnement. - Champ... Début. -Il Il a trois semaines , par des douleurs spontanées, survenues rapi- 2
a marche ; à l'entrée xxviii 15 5 218 ETIENNE au service, trois semaines après le début des crises douloureuses, il existe
vement dans deux cas; le gros orteil, encore en flexion après trois semaines dans l'observation IV, était en extension vers
ctions de mercure ; il a reçu 4 ou 5 in- jections, la dernière deux semaines avant l'entrée à la clinique. Le malade raconte
is surtout des douleurs nocturnes. Pas de cé- phalalgie. Depuis une semaine , il prend de l'iodure de potassium. Etat à l'en
sychose et où est venue plus tardivement (pendant les six dernières semaines de la vie) une paralysie des jambes. La moelle
traitement fini, les symptômes de polynévrite ont commencé. Quand 3 semaines plus tard est apparue une nouvelle éruption syp
six injections d'huile grise de 7 grammes de mercure. Il y avait 6 semaines entre les deux séries. Pendant la deuxième séri
la clinique. Comme les injections n'ont été faites qu'une fois par semaine , il semble probable qu'il s'est agi d'une.forme i
série d'injections de mercure s'est mal- heureusement réduit à deux semaines . Comme l'état du malade avait empiré pendant le
e artis. On voudrait peut-être remar- quer que l'intervalle de deux semaines seulement entre la seconde et la troisième séri
poitrine, parfois, surtout la nuit, très violentes. Après quelques semaines de. ces douleurs, la malade ne pouvait plus dév
de fausses couches. Un enfant, le premier, né à terme et mort à six semaines . Le début des troubles actuels est difficile à
ci aurait probablement rétrocédé assez rapidement après une ou deux semaines avec 1'estilutio ad integrum. Elle ne serait pa
mplexe et subite symptomatologie qui s'est développée pendant trois semaines ? Toute la symptomatologie et la marche de la m
à l'épaule et au coin gauche de la bouche. Il est resté couché une semaine avec de fortes douleurs de tête et des douleurs
et consécutivement monoplégie brachiale gauche qui a duré plusieurs semaines . - Etat en février 1916. Le malade présente une
t spécialement atteint, garde un oedème notable pendant plu- sieurs semaines et reste le siège de douleurs d'abord et surtout
ANN, Monalsschr. f. Geburtsh. u. Gyniikolog., Feb. 1911, Analysé in Semaine Médicale, 1911, p. 363. MVttt - - 21 398 SOUZ
ablissant rapidement (parfois l'individu dans l'espace de^ quelques semaines gagne étonnamment en poids), est d'une distribu
es d'assouplissement du tronc. Les jours suivants, pendant quelques semaines , on le soumet à une séance quotidienne d'exerci
trique jouent un rôle dans, le maintien de la guérison. Pendant les semaines d'entraînement qui suivent cette guérison, la v
eu à peu d'intensité et de fréquence, et disparurent au bout de six semaines . Pendant les trois premiers jours, il aurait eu
T MÉGEVAND, Miles NAIDITCH ET RATHAUS ser. Il l'a gardé pendant six semaines . Au bout de ce temps, on le sort du plâtre et o
i applique un second corset plâtré, dans lequel il reste encore six semaines . On le sort encore de cet appareil, et immédiat
uivirent l'accident, il urina du sang. Il resta alité pendant trois semaines environ; quand il se leva, son tronc était touj
le dos. Il continue son service, malgré les douleurs, pendant cinq semaines encore. Ce n'est qu'au bout de ce temps qu'il s
lombaire. Ce malade va être soumis tous les jours, pendant quelques semaines , à des exercices d'assouplissement, de marche e
'il ne peut être obtenu qu'au bout de quelques jours ou de quelques semaines , et qu'on est exposé à des récidives plus fréqu
46 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e l'amélioration pourra survenir et l'aphasie s'amender. Quelques semaines après, cette hémiplégie disparaît en effet. La ma
de gravité et bien que nous puissions le guérir en deux ou trois semaines , nous n'éprouvons aucun remords à lui conserver
t, il a perdu connaissance et est resté dans cet état pendant trois semaines ; il n'a eu absolument cons- cience de rien. D'a
perdu de sang par les oreilles ni par la bouche. Au bout de trois semaines environ, il commença à entendre parler autour de
angeant quelquefois un peu de couleur. Ce n'est qu'au bout de six semaines qu'il recommença à voir clair petit à petit. A
certain nombre de médicaments qu'il ne peut indiquer au bout de six semaines ; il sortit amélioré. Ses douleurs d'estomac av
moelle et de l'urèthre par le cathéter galvanique trois fois par semaine , iodure de potassium et arsenic. Etat du malade
ela dure deux ou trois nuits de suite, au bout desquelles plusieurs semaines se passent sans pollutions. Ces pollutions ne son
de la moelle et de l'urèthre par la sonde galvanique trois fois par semaine , l'iodure de potassium et l'arsenic. Il a suivi
re- marduable : c'est sa durée, qui n'a pas été de moins de trois semaines . Durant ce temps très long, le malade n'avait a
paru a fait aussitôt place à la cécité complète. « Au bout de trois semaines environ, dit 111. Marie, il commence à entendre
faite après cinq minutes, tandis que celui de M. Marie a mis six semaines pour recommencer à voir clair petit à petit; 2°
. L'évo- lution permettait de remarquer l'apyrexie dès la troisième semaine la défervescence commençant chez le plus grand
nce commençant chez le plus grand nombre des malades dès la seconde semaine ; diarrhée modérée; rareté des hémorrhagies inte
ments survenus dans l'état mental de chaque malade, au moins chaque semaine pendant le premier mois de séjour, au moins cha
Hinterstrange d'après Flechsi- se manifestent déjà dès la quatrième semaine de la vie intra-utérine; mais ce n'est que quat
e corps) : elle rentra à l'hôpital des syphilitiques, y passa trois semaines et, à l'expiration de ce terme, en sortit soula
ssesse, elle mit au monde un enfant vivant qui mourut au bout d'une semaine ; quelques mois plus tard, nouvelle grossesse et
souffrir de constipations opiniâtres persistant parfois toute une semaine ; dans le but de se débarasser de cette pénible a
était impossible, de les désigner par leurs noms. Au bout de trois semaines , le trouble de la parole avait presque entièrem
sion d'étincelles de l'OBSERVATIO-,f XVII, la cécité de plus de six semaines de l'OBSERVATION XX, et enfin les bourdonnement
demi-heure ; I)l 110 CLINIQUE NERVEUSE. et le deuxième de quatre semaines . En voici les ob- servations : Observation XX
ur se soulager. La cécité était absolue. Vers la fin de la première semaine , ces sensations de pléni- rude et de brûlure av
sations de pléni- rude et de brûlure avaient disparu. Pendant trois semaines après l'accident, le malade ne voyait rien et n
ire qui quelquefois changeait de couleur. ' Au début de quatrième semaine le malade, à sa grande joie; avait commencé à v
oration a grandement marché au point qu'à la fin de la quatrième' semaine , le malade voyait comme avant son accident. ` C
sion ; 3° leur durée est très courte et parfois instantanée ; six semaines pour l'OBSERVATION XX, quatre semaines pour l'O
et parfois instantanée ; six semaines pour l'OBSERVATION XX, quatre semaines pour l'OBSERVATION XXXVIII ; une demi-heure pou
s céphaliques, pas d'autres troubles quelconques. ' Au bout d'une semaine , il a commencé par entendre, toutefois d'une fa
ogrès remarquablement rapides, met des mois, exceptionnellement des semaines , pour atteindre le plus haut degré de son dével
cinq jours après la paralysie du voile du palais disparaît, et deux semaines plus tard celle des yeux. Guérison complète après
bilité persiste, la paralysie motrice disparait au bout de quelques semaines ; la regénéra- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 281
membre inférieur gauche, paralysie qui disparait au bout de trois semaines . Si alors on pratique une nouvelle hémi-section
éré de ses tumeurs adénoïdes, il apprenait l'alphabet entier en une semaine . Elèves de gymnases et étudiants ont remarqué que
tion succéda immédiatement de l'érotomanie qui guérit en quelques semaines . M. Eulenburg (de Berlin). Des courants de tens
r un coma grave. Néanmoins les accidents s'amendent au bout de deux semaines , tout va bien. Mais dans lasuite, série d'accès
qu'il n'était 363 PATHOLOGIE NERVEUSE. marié que depuis quelques semaines et qu'il craignait que sa femme n'apprît sa mal
pen- dant des mois et des années et non pendant des jours et des semaines . Les douleurs lancinantes ont commencé chez le
son état anté- rieur. Depuis ce moment, son état s'atténuait d'une semaine à l'autre, lentement mais progressivement. Et
sens du goût; parole nasonnanle, liquides rejetés par le nez. Deux semaines après, faiblesse dans les membres inférieurs avec
éprouvées la nuit à la tête et le long des os. Au bout de quelques* semaines , les mouvements commen- cent à reparaitre aux a
47 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
symptôme de Weber va pour ainsi dire en s'effa- çant, il y a trois semaines l'hémiplégie des membres était complète, ainsi
ans des conditions souvent difficiles pour se rendre trois fois par semaine à la Salpêtrière étant une véritable garantie de
rotuliens sont restés conservés ou ont disparu seu- lement quelques semaines avant la mort. Westphal (3) a eu le mérite de p
l., 1885. Nikoutowsky, Med. obozrenije, 1889 (en russe). Jacquet, Semaine médicale, 1891. Annales de dermatol., 1892. Bno
et quelques dixièmes (Munchmeyer) ; elle dure un ou deux jours, une semaine , voire plus, suivant l'intensité du processus et
s, plus jeunes que lui, bien constitués et de bonne santé. A de 3 semaines , il eut une coqueluche, dont les quintes firent
sclérodermie localisée. Thèse Paris, 1898. (2) De la sclérodermie, Semaine médicale, 23 février 1898. 144 LOUIS SPILLMANN
ement, l'asy- métrie de la face avait disparu ; au bout de quelques semaines la restauration paraissait complète ; mais depu
ient moins intenses ; il ne s'en était pas produit dans la dernière semaine de mars. La fatigue du membre inférieur semblai
irement plusieurs petites poussées de quelques jours ou de quelques semaines se succèdent à un court inter- valle, de façon
our une femme ivre, tant sa démarche était titubante. Pendant trois semaines , elle resta chez elle, passant la plus grande par
e crier : « au feu, à l'assassin, etc. » Pendant un séjour de trois semaines que X... fil ensuite à la campagne chez une de
oit natives, congénitales, soit se ma- nifestant dans les premières semaines ou les premiers mois de la vie, mais toujours l
ilis. Le jeune est né sain et bel enfant. Jusqu'à ces dernières six semaines , il a été bien portant ; puis il a été pris de
le, en mai 1870. Comme traitement : sept cures mercurielles, de six semaines chacune, avec le protoindure pour les six premi
ce en 1876 il un enfant quelque peu cbétif, qui, dés l'âge de trois semaines , com- mence à présenter des lésions cutanées su
t à terme d'un enfant hydrocéphale, qui meurt en naissant. Quelques semaines plus lard, M. X... présente sur le thorax une éru
e grossesse : fille venue à terme, bien portante. Vers la quatrième semaine , symptômes multiples et non équivoques d'hé- ré
t venu à terme, bien constitué, ayant la tête un peu forte. A trois semaines , des convulsions se manifestent, et la tète de l'
nements d'anamnèse, les convul- sions disparaissent au bout de cinq semaines de traitement ; mais l'hydrocé- phalie continue
sain d'apparence, qui est envoyé en nour- rice. A l'âge de trois semaines , bulles de pemphigus aux mains et aux pieds ; pui
bre supérieur gauche, depuis le poignet jusqu'au coude, se prit une semaine après ; plus tard, atteinte des épaules et des ma
rès de l'articulation ; l'évacuation le soulagea. Mort au bout de 3 semaines ; autopsie partielle 12 heures après la mort :
dorsale qui a DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 281 débuté une semaine auparavant par de violenles douleurs. On constate
nt à la nu- que, sans cause. Ce gonflement disparaît au bout d'jine semaine et un autre apparaît derrière l'épaule droite.
d'jine semaine et un autre apparaît derrière l'épaule droite. Trois semaines après, les membres supérieurs commencent à deve
de la mâchoire jusqu'à l'immobilisation complète. Il y a quelques semaines atteinte des muscles de la cuisse qui partent du
cation com- plète du tenseur du fascia lata. Depuis deux ou trois semaines , le processus s'est étendu à la hanche droite et
che du thorax avec des douleurs intenses et de la dyspnée. Depuis 4 semaines , les adducteurs de la cuisse droite aussi étaie
douleurs. il janvier 1891. - La fracture est consolidée. Pendant 3 semaines , sen- sation de tension dans le côté droit de l
ection du nerf maxillaire inférieur déterminer, au bout de quelques semaines , une hypertrophie parfois monstrueuse du Li max
ière des enfants normaux âgés de quelques jours ou même de quelques semaines ; chez ces -derniers les fibres du fais- ceau p
e s'accompagnant du gonflement des ganglions cervicaux. En quelques semaines , la tuméfaction se tassa laissant à sa suite de
nt dans l'espace d'un mois ; la plusgrosse, celle du cou, plusieurs semaines plus tard après suppuration. A l'âge de G mois
érieure du cou et au dos. Disparition des tumeurs au bout de 3 il 4 semaines , sans laisser de traces; d'autres se sont ramol
nous (1) GERULANOS, Deut. Zeit. für Chirurg., XLVII, 1. Analyse in Semaine médicale, 1898, p. 271. PARALYSIE ASSOCIÉE DU
le siège d'aucune irritation, cepen- dant le spasme persistait. La semaine suivante la malade prit un léger mal de gorge q
rises pendant 22 jours jusque 8 grammes par jour. Après la première semaine , les mou- vements ont commencé à diminuer et à
s mentaux puissent précéder la chorée quelquefois même de plusieurs semaines (1). Les idées de sui- cide au cours de la méla
nique serait probablement mortelle, dure des heures, des jours, des semaines , des mois, des années sans que. l'état gé- néra
emières années de sa viej il a eu la rougeole il 6 ans 1/2. , Une semaine après sa naissance, on remarque une déformation d
les membres inférieurs. L'enfant est resté à l'hôpital plusieurs semaines ; il a pris de l'acide phos- phorique dilué, mai
la formation de noyaux indolo- res qui disparurent après cinq à six semaines . Réglée à 13 ans 1/2 et depuis régulièrement; m
s antécédents. En 1879, douleurs au côté gauche du thorax pendant 3 semaines avec un léger état fébrile ; le malade remarqua
lement dans les parties molles de l'épaule gauche qui en quel- ques semaines a beaucoup durci et diminué de volume. Traitement
méd.Berlin, séance du 6 mai 1896. - Myosite ossifiante progressive, Semaine méd., 1896. Présentation d'un malade venant de
uillet 1895 pour masses lom- baires et raideur de la muque. Trois semaines auparavant la mère s'était aperçue de l'existence
. XXIX, 1163-il65. BnucK. - Soc. de med. de Berlin, 6 mai 1896. - Semaine méd., 1896, p. 196. BULIInK. - Ossification des
48 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion d'urine et on fut dès lors obligé de le sonder. ' ' ' 1 Trois semaines après le début de la maladie, la paralysie gagna
s et, malgré toutes mes tentatives prolongées pen- dant plus de six semaines , je n'avais retrouvé aucune mé- moire de cette
maine. Pris par le service militaire, il est réformé après quelques semaines d'observation. Rentré dans sa famille, il ne pe
s consécutifs, d'autrefois, une seule fois dans tout le cours de la semaine , il lui arrivait même de rester quinze jours co
communication du sac embryonnaire avec la vessie et le rectum. Une semaine plus tard, excitabilité, affaiblissement de la
délirantes de persécution; hallucinations de l'ouïe. Depuis quatre semaines , l'aliénation mentale a disparu, le trouble de
des vésicatoires et de la galvanisation prolongée pendant plusieurs semaines , l'amélioration persiste. Mais les douleurs 1 r
de janvier 1890, blépharop- , tose gauche avec diplopie ; quelques semaines plus tard, blépharop- tose droite'. Eu même tem
n. On les tolère, on les laisse parfois contre son gré venir chaque semaine s'immiscer dans la distribution intérieure des
tèrent pendant une année et revenaient tous les quinze jours, trois semaines . Elles firent presque complètement sociétés sav
e crâne avait été fracturé. La première opération eut lieu quelques semaines après la chute à cause des convulsions qui se d
ne communication sur ce sujet. Nous y sommes revenu il y a quelques semaines , lors de la visite de la commission de surveill
ue l'on recevrait des malades particuliers au taux d'une guinée par semaine . Les dépenses, pour l'année, s'élevèrent à 17.4
vaient la singulière habitude de ne hoire aux repas qu'une fois par semaine ; tous les dimanches, en effet, on ornait la table
s. OEdème congestif énorme des deux poumons. - Sept foetus de trois semaines environ dans la matrice. Les épiploons sont far
e même que la migraine simple) et revient tous les mois, toutes les semaines ou tous les jours, comme chez certaines femmes
reste parfois six mois sans en avoir, parfois il en a plusieurs par semaine et même par jour. Le retour des crises peut aff
nsité première. Les attaques sur- viennent à peu près deux fois par semaine et semblent être plus fortes lorsqu'elles précè
is, pour des accidents cardio-pulmonaires qui ont débuté il y a six semaines . Il a encore un degré d'aphasie assez marquée;
L'aspect de la face est le même qu'à la première visite. Il y a six semaines , il a été pris brusquement d'un point décote, d
par le professseur Amandale à l'infirmerie royale. Au bout de trois semaines , il était renvoyé guéri de sa blessure, avec un c
es deux arguments nouveaux que voici : A. Chez un enfant mort à six semaines de spina .bifida, on trouva : 1° un cervelet tr
lorure d'or et d'une solution à 1 p. 100 de sublimé. Durée de trois semaines à cinq mois sans renouveler souvent le liquide.
; exagération des réflexes tendineux du même côté ; gâtisme. Quatre semaines plus tard, l'hémiplégie a presque disparu, mais
eurol. Ce)t<6., 1891.) Paralysie générale aiguë (trois et quatre semaines de durée), sans encéphalite interstitielle. For
ées, salées, acides. Tel est l'ensemble symptomatique qui dure cinq semaines . Au bout de ce temps, les idées mélancoliques s
qui ont guéri, deux en quelques jours, la troisième a suppuré trois semaines ; dans aucun cas, il n'y a eu de nécrose. « Le p
tement au bout de six à sept jours, pour le reprendre au besoin une semaine plus tard. Généralement le calme survient au bo
urner chez elle et de réfléchir, Elle fit ainsi et au bout de trois semaines revint en disant qu'elle désirait que l'opérati
x photographies, l'une prise à vingt et un mois, l'autre il y a une semaine , montrent la plus grande différence d'expressio
s normalement. La mère remarqua que lorsque son fils avait quatre semaines le battement de la fontanelle antérieure cessa. A
ma vers le septième mois. L'enfant fut nourri au sein pendant trois semaines , et ensuite au biberon. Vers trois semaines, si
i au sein pendant trois semaines, et ensuite au biberon. Vers trois semaines , six semaines, trois mois, il eut plu- sieurs a
ant trois semaines, et ensuite au biberon. Vers trois semaines, six semaines , trois mois, il eut plu- sieurs attaques de con
n'eut recours à l'emploi d'aucun instrument. Pendant les premières semaines , elle paraissait comme les autres enfants, mais
ant quelques heures, la température resta normale, et au bout d'une semaine , on enleva les pansements, qui avaient été sali
ont le district, et les vacances accordées seraient au moins de six semaines chaque année. Au sujet d'un médecin adjoint sup
sur l'hypnotisme, modifié par le Sénat au mois de décembre dernier ( Semaine médicale). FAITS DIVERS. 363 Distinctions hon
attaques semblables à celle-ci se répétèrent deux ou trois fois par semaine , plus fréquemment la nuit et pendantla période de
séries de crises, lesquelles se manifestent deux ou trois fois par semaine séparé- ment. Examen objectif (pratiqué le 1°
ont plus fortes au niveau des articulations. Deux ou trois fois par semaine elle a des accès à forme d'épilepsie sensitive.
commu- nication à la Société de biologie (séance du 2 août 1892, Semaine médicale, p. 311), Féré rapporte que dans les deu
a main droite était insensible et complètement paralysée. Après six semaines , la sensibilité et les mouvements réappa- ruren
de sa vie. Tantôt les attaques reviennent périodiquement toutes les semaines , tous les mois, tous les jours, même plu- sieur
Sclérose en plaque et paralysie générale. (Leçons à la Salpêtrière, Semaine médicale, 27 janvier 1892.) 54. P. Blocq et J.
ici un paralytique général qui pendant près d'un an a eu toutes les semaines ou tous les mois des convulsions toniques et cl
grave est de date encore récente, quand elle date de trois à quatre semaines . Chez un malade affecté de maladie de Thomsen,
hypoglosse, étaient lésés. La mort était survenue dans la première semaine au moment où la maladie avait atteint sa phase
49 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
velle atteinte de rhumatisme qui le prit deux ans après et dura six semaines . Enfin, l'an dernier, la parésie et la déformatio
polyarticulaire il y a dix-sept ans, qui le tint au lit pendant six semaines . Il a fait des excès vénériens pen- dant sa jeu
s lui arracher des plaintes. Cette hyperesthésie dura environ trois semaines . Des « crampes » très douloureuses, apparues vers
diens. Une seule fois on l'a sondé pour rétention d'urine, cela six semaines environ après l'accidenl. Inappétence génitale.
environ après l'accidenl. Inappétence génitale. Vers la troisième semaine apparaît, sans cause appréciable, un oedème con
omme un trouble trophique. L'oedème de la main a disparu depuis six semaines . Du côté du cou, le malade signale les douleurs
sistance systématique, le refus d'aliments. Ce stade peut durer des semaines ou des mois. Le stade suivant, d'une durée souv
nsi fixé en extension. - Elle a une ou deux attaques d'hystérie par semaine : elle a eu la première à l'hôpital Beaujon, au
il vers six heures et demie ou sept heures du soir. 4 Deux fois par semaine en moyenne, vers cinq ou six heures du soir, la
ibilité. La malade a toujours en moyenne une attaque convulsive par semaine . Le 10 mars, à quatre heures de l'après-midi, u
, Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques. Leçon clinique in Semaine médicale, 2 février 1887. 2. Cette expérience e
ous les quinze jours, et pendant cette année il a une période d'une semaine environ pendant laquelle ils apparaissent tous
er de fréquence, et ils ne se montrent bientôt que toutes les trois semaines . A partir de 19 à 20 ans, les accès se sont tou
tristesse assez marquée sans délire ni hallucination. Depuis trois semaines la malade s'est aperçue qu'elle avait au niveau d
n même temps son émotivité était revenue, il passait de nouveau des semaines dans les larmes. De temps en lemps, il refusait d
Spasme ¡(losso-lauié unilatéral des hystériques. - Leçon clinique in Semaine médi- cale, 2 février 1887. 2. De la déviatio
t de dix-huit mois, le bras s'est guéri graduellement (en plusieurs semaines ) et il n'y reste plus rien d'anormal. OBSERVATI
ès peureux à l'âge de onze ans à la suite d'une vive émotion. Trois semaines après il a son premier accès. En 1878 (seize
foulée, qu'elle en perd entièrement la force pendant près de trois semaines . » Elle modifie son appareil de traction à l'ai
. Spasme -Iosso-lahié unilatéral des hystériques. Leçon clinique in Semaine médicale, 2 lévrier 1887. Brissaud et P. Marie. D
les, une fois tous les quinze jours, parfois deux fois dans la même semaine , il a une sensation assez subite d'étouffement
Marié il vingt-six ans; huit enfants, dont un est mort il y a trois semaines ; une petite fille un peu nerveuse. Pas de sy-
vec ce gonflement oedémateux qui est allé en augmentant pendant une semaine environ, il s'est développé au niveau des parties
cer une compression élastique des régions gonflées et au bout d'une semaine la tuméfaction oedémateuse avait disparu. Le ca
oire; impotence. On diagnostique rhumatisme fibreux. Au bout de six semaines remue les doigts; au bout de six autres semaines
ux. Au bout de six semaines remue les doigts; au bout de six autres semaines guérison complète. Première grossesse très bonn
une légère pigmen- tation brune, qui actuellement, au bout de trois semaines , est manifeste sur les lignes précédentes. Mais
erts de croûtes. "" - Chez le premier malade, l'éruption a duré six semaines . -.Chez le second (dont nous donnons ici la pho
et plus communicatif. Il-quitta l'hôpital le 13 juillet il 888, six semaines après sa dernière attaque, bien por- tant, robu
t de menuisier pour se vouer à l'agriculture, nous écrivit que deux semaines après son départ de l'hôpital, le 30 juillet, il
ail et sans souvenir de son accès. Il eut une dernière attaque cinq semaines après, le 3 septembre, au matin; il l'avait senti
50 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
passés, on constata une amaurose absolue. Après un séjour de cinq semaines à l'hôpital elle retourne chez elle, de plus en
ment, après s'être atténué, a complètement disparu depuis plusieurs semaines . On constate les mêmes phéno- mènes de synergie
ois mots (février-mai 1806). En juin, période d'excitation de trois semaines . Depuis, légère dépression mélancolique persist
dans le quartier des agitées. Là elle se calme rapidement et trois semaines après le début de ces nouveaux incidents, elle es
ouler dans sa bouche l'iodoforme de son pansement. Au bout de trois semaines on la ramène chez elle ; dans le trajet elle se
tion électrique. On trouve la « réaction rnyotonique ». Après trois semaines de traite- ment, cette affection, datant de l'e
s'est produite aus- sitôt après l'opération, et, au bout de quatre semaines , la malade a pu quitter l'hôpital; elle était a
doucement, progressivement, en inler- calant au besoin une ou deux semaines de repos entre les exer- 60 revue DE thérapeu
s des nerfs périphériques n'apparaissent qu'au bout de quatre à six semaines après l'injection, et entraînent des paralysies
on par la ' Comptes rendus de la Société de Biologie, 1896-97. °- Semaine médicale, 21 nov. 1896. Lettres d'Italie, par Mar
rappé. A l'article : Syphilis MÉDULLAIRE du Traité de médecine, ' Semaine médicale, loc. cit. 96 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
' 7'<Y< : <e</emeWec<eCharcot et Brissaud, p. 633. * Semaine médicale, janv. 1898. LÉSIONS SPINALES DE LA
les et pointues à l'extrémité supérieure. Héré- dité chargée. Six semaines après son entrée elle fait une fièvre typhoïde. E
er dans son lit; cette sensation a bien diminué au bout de quelques semaines , mais elle est devenue continue. Les commémorat
u sang. Résultats généralement favorables dans le cours de quelques semaines , comme le dit Four- nier. A côté de cela, un ca
accès, supprimés par l'administration d'une dose de Br. pendant des semaines et des mois, reparaissent avec une violence int
tish médical Journal, octobre 1897.) Les enfants avaient l'un trois semaines , l'autre trois mois. La tumeur dans les deux ca
e chorée saltatoire hystérique datant de 25 ans, guérie en quelques semaines ; par le Dr Sollier. De l'élimination du bleu de
serait la règle ; dans son cas toute l'affec- tion ne dura que cinq semaines , dans le cas de Schulz vingt- trois jours seule
s qui embellissent la ville nouvelle. Tout vous promet l'une de ces semaines heureuses dont on garde les plus doux souvenirs.
es présentent de nombreuses tares. C'est elle-même une émotive. Six semaines après l'opération, alors que la plaie est compl
il apparaît du deuxième au dixième jour, tantôt enfin, plu- sieurs semaines après l'opération. Quand il est précoce, c'est la
ombe brusque- ment dans un état méningitique qui l'emporte en trois semaines . Outre une tuberculose plus ou moins généralisé
grand établissement. Pour les incurables, deux jours de visites par semaine , comme cela existe partout, me paraissent suffisa
être restreinte à un ou deux jours par SOCIÉTÉS SAVANTES.. 267 semaine pour les incurables. J'ai renoncé à la douche de
ui reste à demeure dans le village; le médecin vient une fois par semaine (l'asile est à 7 kilomètres d'un village et à 3 d
elle descend de . Etal de nos connaissances actuelles sur la lèpre ( Semaine Médicale. 1893). 'Medical AlI1wal, art. Lepro
s muscles de la ceinture scapulaire et, dans le court délai de deux semaines , elle s'étendait à ceux du bras, de l'avant-bra
d, le membre supérieur opposé était atteint à son tour, et quelques semaines après il pendait inerte et décharné le long du
ir vider la vessie, de faire usage de la sonde une ou deux fois par semaine . Ces rétentions ont lieu seulement le matin. A
s un embonpoint absolument remarquable. II. - Pendant les dernières semaines de séjour de M... à l'asile, j'ai observé une i
); mais il faut que ce mélange soit demeuré au repos pen- dant huit semaines et d'abord à l'étuve, jusqu'à ce que l'hématoxy-
ns aucun avantage, la cranieciomie, a été sympatliectomisé quelques semaines plus tard et a vu revenir ses crises comme aupara
revenir ses crises comme aupara- vant, après une rémission de trois semaines . (13.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 329 jours environ
ge de trois mois; accès d'abord rares, maintenant deux ou trois par semaine ; état d'idiotisme et de démence à peu près com
ayant de se couper la gorge. Il s'en fallait, du reste, de quelques semaines , pour qu'il fût arrivé à l'expiration de sa peine
ns aucun de ces cas la guérison ne s'est maintenue plus de quelques semaines ; dans deux cas seulement les malades, effrayés
Deux observations d'accidents de ce genre chroniques pendant des semaines et des mOIs JUSqU'il la mort. Ons. 1. - Encépha
acide gallique et en acides élalique, mélanique, etc., deux à trois semaines plus tard, l'acide tannique a subi la décom- po
e. Troubles habituels typi- ques. Entre la deuxième et la cinquième semaine consécutives, on tue les animaux. Durcissement
nacoeus europoeus), maintenu sans nourriture pendant quatre à six semaines dans un lieu froid, n'a présenté aucune altératio
dégénérescence atteint son maximum pendant le cours de la deuxième semaine qui suit la section de la moelle (méthode de ma
raux des cordons latéraux son maximum dans le cours de la troisième semaine ; elle est à sa période d'acmé à la fin de la qu
ième semaine; elle est à sa période d'acmé à la fin de la quatrième semaine dans les faisceaux latéraux des pyramides; 4° P
igert les dégé- nérescences secondaires sont à peine visibles trois semaines après la section de la moelle; 5° L'ordre dans
51 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
. Nous devons ajouter que tous les adultes assistent une fois par semaine au concert dirigé par M. Peny, le maître de cha
s enfants, qui vient faire l'école pendant une heure, cinq fois par semaine . Ces cours ont lieu dans la petite bibliothèque
ler les vacances de lits qui s'étaient produites dans les dernières semaines (huit), M. Féré était assuré d'avoir successive
ble de la cuisse, phlegmon qui suppura forte- ment durant plusieurs semaines , elle fut de nouveau atteinte, après la guériso
ques mieux entendus et des bains salés, adminis- trés deux fois par semaine depuis octobre 1879. La sensibilité générale es
a nourriture ou des bonbons. Une poupée qu'il a eu pendant quelques semaines paraissait lui procurer quelque plaisir. Le s
colloïde, extirpa- tion totale le 25 mars 1881 ; guérison en trois semaines . Le mari rapporte, le 19 février 1883, que sa f
liculaire, extirpa- tion totale le 8 janvier 187; guérison en trois semaines . - En février 1883, cachexie crétinoïde très pr
perplasique, extirpation totale le 21 juillet 1877; guérison en six semaines , ré- cidive naturelle en 1882; diminution des f
loïde, extir- pation totale le 1 er novembre 1879; guérison en cinq semaines . - En février 1883, cachexie crétinoïde très pr
extirpation totale le 17 janvier 1883, tétanie, guérison en quatre semaines . - En 1884, début de la cachexie pachydermique.
nges opérés par M. Horsley ne survivent guère plus de six ou sept semaines à l'opération. M. Horsley est cependant par- ve
s de Biologie, VII, fasc. 2.) à Herzen. -A quoi sert la thyroïde ( Semaine méd., H août 1886). - Kuhr. - Die Exstirpation
es et de serpents, dont on l'avait entretenu à l'école. Pendant six semaines , il eut une légère rémission après laquelle les
grissement et change- ment de caractère, quelques vomissements. Six semaines après : Constipation, cris continuels. Céphalal
res. Urines normales. L'affection de cet enfant débuta il y a trois semaines au mi- lieu de la nuit. Il s'éveilla en criant
érature s'élève de 380 à 39°, 2. La température pendant la première semaine d'hôpital est constamment restée à 90o Fahrenhe
e l'enfant baissait et il di- vaguait parfois. Une rémission de six semaines , qui sur- vint à ce moment,fut suivie de la réa
leur. Sa cousine ne l'a jamais vu sous cet as- pect ; il a été deux semaines à l'asile d'Ivry et appre- nait comme les autre
ts l'ont repris à 3 ans, en bonne santé et, après l'avoir gardé une semaine , ils l'ont envoyé à Altkirch chez ses grands pa
duré une demi-heure ; puis, pour la troisième fois, convulsions six semaines après les précédentes. En juin, les troubles in
aravant était propre, cessa de l'être et devint gâteux. Pendant G semaines (septembre et octobre), les convul- sions ont d
. A l'âge de 18 ans, elle a quitté sa mère pour vivre pendant trois semaines avec un amant dont elle n'a pas eu d'enfant ; e
l est situé sous les côtes. o L'accouchement eut lieu environ trois semaines avant terme ; il fut très rapide, d'une durée t
ire tous les jours, les malades de ce groupe peuvent rester 2, 3, 4 semaines ou même plus longtemps sans avoir de nouvelles
s accès se sont encore rapprochés et viennent au moins toutes les semaines . Ils sont nocturnes et surtout diurnes; leur ma
52 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s ont donné la description dans le numéro du 8 septembre 1898 de la Semaine médicale, avait été signalé, mais incomplètemen
rs avril 1896 et l'état men- tal s'améliore. Mais pendant plusieurs semaines , la perte de la mémoire subsiste. Ma seconde ob
e être en proie à une idée fixe, existant chez elle depuis quelques semaines après son mariage, qui avait eu lieu en 1813. L
u de ce qu'il avance. Sur sa demande il est mis en liberté quelques semaine plus tard; il revient néanmoins pour la même ra
ans une maison de santé, où, d'ailleurs, elle ne reste que quelques semaines . Maintenant deux autres années se sont écou- lé
vers la guérison. On avait pris du sérum pendant douze jours ; une semaine l'état de l'enfant fut satisfaisant, mais après
se, du degré de la suggestibilité. On fait d'abord deux séances par semaines ; puis, on les espace, finalement il faut les r
convient de répéter les sugges- tions à des intervalles de quelques semaines ou de deux à trois mois. Dans l'ivrognerie péri
ction de la position vicieuse et mettre un appareil plâtré pour six semaines . Parfois le redressement se maintient difficile
° les troubles psychiques tardifs, qui n'apparaissent que plusieurs semaines après l'opération, et que M. Régis attribue à l
gestion pulmo- naire des deux bases; son état fut grave pendant une semaine ; après avoir présenté tous les signes d'une my
énito-urinaire externe était arrêté. C'est environ à la quin- zième semaine de la vie intra-utérine que se produit l'hypos-
iales périphériques; - 4° Le récidive a lieu soit bientôt (quelques semaines ) après la première paralysie, soit bien des ann
onnaissance. Quelques plaques de pemphigus aigu sont survenues deux semaines après l'acci- dent sur tout le terriloire du ne
ureuse, exactement située au niveau du trou sus-orbitaire, Quelques semaines après l'excision de la cicatrice qui, d'ailleurs,
nement l'électrisation la fera marcher et se tenir debout dans cinq semaines , et lui fixons le jour; car le traitement lui don
ment ; sous l'influence des encouiagements, la voilà qui, quelques semaines plus tard, descend l'escalier de son logement sit
e directe des muscles innervés par celui-ci au bout d'environ trois semaines . Et c'est pourquoi, à cette époque, l'élévateur
contractions quand la maladie dans son ensemble a une durée de six semaines . Dans les paralysies nucléaires et fasciculaire
générale. Il s'agit d'un homme de quarante-neuf ans, ayant eu sept semaines avant la mort, à la suite d'attaques congestive
is heures. Chez la pre- mière malade la fièvre cessa au bout de six semaines , reparut quinze jours plus tard et continue jus
ffexes; légère dysphagie. Chez l'autre malade la fièvre dura quatre semaines : démarche incertaine ; accès convulsifs avec p
: Rétention d'urine. Amélioration notable à partir de la troisième semaine , mais on note encore une parésie très accusée d
stérique. Depuis la puberté, ca- ractère hystérique. En 1896, trois semaines avant ses couches, éruption généralisée et rhin
TES. 341 1 suivants : 1° chez les cobayes, à partir de la troisième semaine de l'injection, on observe une exagération des
nel à la quantité de toxine injectée; 6° A partir de la troisième semaine chez les cobayes et de la quatrième chez les la
llon que nous avons pu réensemencer avec succès même au bout de six semaines . C'est surtout au streptocoque pyogène que cet
er et Josué. Presse >7écl., 1897. ' Ol : ltinger et )Iariiiebco. Semaine méd., 1895. 1 Remlinger. Soc. de Biologie, 1896
33 et 31, et Congrès de méd. mentale de Nancy, 1895. 5 G. Ballet. Semaine médicale (Leçon à l'hôpital Saint-Antoine), 1891.
llucination, mais aussitôt sortie, elle recommence à boire. Trois semaines après sa sortie les hallucinations, les cauchemar
ochât point. Hallucinations psycho-motrices verbales. -Depuis trois semaines , un mois, il remarquait une chose bizarre : « d
utenir pour éviter une chute probable. Traitement . Bain toutes les semaines , douche froide sur le dos jusqu'au 15, et douch
lapins. Intoxication par inhalation pendant quatorze jours, quatre semaines , deux mois, trois mois, trois mois et demi. On
. Puis, cette faiblesse irritable fait, de la sixième à la septième semaine , place à une di- minution graduelle de l'excita
lette et de toute fatigue; douches froides; deux électrisations par semaine , faites de la manière suivante : une large élec
es doses de bromures étaient ainsi plus efficaces. En tout cas, six semaines après la suspension de l'opium, sous l'influenc
tendue. Cinq des malades sont décédées de quelques jours à quelques semaines après leur internement ; elles étaient bien en
de quitter l'asile elle meurt subitement par rupture du coeur, six semaines après son entrée. A l'autopsie : foyer de ramol
r démence congéni- tale, ont succombé, de quelques jours à quelques semaines après leur internement, dans un état de démence
Farnarier. Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lil. ( Semaine médicale, 11 oct. 1899, p. 331.) LE TRAITEMENT
spect est à peu près celui d'un mélancolique en stupeur. Toutes les semaines environ, il présente des accès de mélancolie av
I. Observation de névrite optique avec cécité bilatérale, de quatre semaines , terminée par la complète guérison ; par H. Hig
r complet de l'acuité visuelle malgré la persistance, durant quatre semaines , d'une cécité bilatérale. Malade suivi pendant
centre de la papille et de ses limites a complètement disparu. Sept semaines après le début de l'affection, la vision périphér
se pendant quelques minutes des miaule- ments plaintifs. Cinq à six semaines après on le voit paralysé du train de derrière;
perdu son talent de chanteur émérite : le voilà aphone pendant six semaines et demie ; à cette époque il recouvre ses capac
iolentes, accompagnées d'engourdissement et d'insensibilité. Quatre semaines plus tard, dans la même région, diminution de l
53 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
croit transporté dans un monde nouveau et étrange. Au bout de trois semaines il se calme, ne manifeste plus d'idées délirantes
il en tuera des masses et nous enverra les s peaux. Il va partir la semaine prochaine et gagnera des millions en veudaut du
par jour, sans fièvre. Il se guérit de cette diarrhée au bout de 6 semaines . Quinze jours après la guérison, il ressent des
n aurait débuté à la suite d'une affection intestinale ayant duré 6 semaines . Nous reviendrons plus loin sur la valeur que p
, 15 jours après une diarrhée avec épreintes, abondante, qui dura 6 semaines . Dans le cas de Murri déjà cité, le syndrome cé
on marquée du poids qui atteint le chiffre de 45 kilogrammes en six semaines . Dans ce cas le diagnostic de trouble pituitair
1S99. (19) ZAPPERT, Jahrb. f. Kinderh., 1901, Il. 3. (20) ANDRÉ, Semaine médic., 1902, n° 40. (21) MACBENSIS, Med. Recor
'une maladie fébrile aiguë, diagnostiquée méningite et ayant duré 2 semaines , fut atteinte d'hémiparésie droite (avec légère r
esque complète dans les deux extrémités- inférieures. Dans les deux semaines suivantes, atténuation de la paralysie qui se l
la paralysie de la IIIe paire et de l'hémiplé- gie, dans les trois semaines qui suivent l'ictus, l'auteur rejette l'hy- pot
de empirait chaque jour, dit la mère, jusqu'à ce que, au bout d'une semaine plus ou moins, il resta presque complètement pa
rescrivant des bains chauds et massage avec gymnastique passive. La semaine suivante, c'est-à-dire la quatrième de la maladie
laignait de fortes douleurs. Le 12 août, c'est-à-dire après trois semaines de maladie, je l'examinai et j'ob- servai les s
tat de confusion hallucinatoire disparait assez rapidement et trois semaines après son entrée il se montre calme, assez raison
enfantin, taquin et boudeur, jouant comme un tout jeune enfant. Six semaines après son entrée, le 16 septembre, le malade s'af
on syphilitique niée. Sa femme le dit obstiné, très excitable. La semaine qui précéda l'accident du 30 septembre, A... fut
mptômes de maladie, sous forme d'attaque convulsive, précédée d'une semaine d'irritabilité, de dépression. Novembre 1903. A
ronato- flexor mass dont parle Humpliry, et qui, après la cinquième semaine de la vie embryonnaire, forme, non encore dilré
mme ils le sont dans le deuxième groupe des extenseurs, après la 5° semaine de la vie intra-uté- rine, 1 ? et te partie. En
eloppement, 3e groupe des extenseurs, non différenciés (après la 5e semaine intra-utérine). Profondément par rapport à la p
l'index), parfaitement con- formé. La mère, étant enceinte de six semaines , a éprouvé une grande impression à la vue d'un
nique du cou-de-pied et du poignet du côté gauche, qui débuta trois semaines environ avant son accouchement. Elle est accouc
llet 1873 (p. 599-600). Femme morte phtisique à la Maternité, trois semaines après être accouchée de deux jumeaux bien confo
s, livra ces vio- lents assauts, bombarda la ville sans relâche des semaines entières; le nombre des morts et des blessés au
brer et s'élança précipitamment au pied de la colline. Pendant deux semaines il souffrit d'une confusion mentale aiguë. Cert
l'hô- pital le dernier mois du siège et trois dans le courant de la semaine qui suivit la capitulation. Les formes de cette
ectuelle. Le mal faisant de rapides progrès avait au bout de quatre semaines atteint son complet développement. 346 WLADYCZK
oppa tout de suite après une blessure et dans deux, trois ou quatre semaines après des contusions. Chez ces trois patients l
préparation, novembre 1907) : Le cervelet sé- nile. (4) Grasset, Semaine médicale, octobre 1904 : La cérébro-sclérose lacu
, d'un arrêt de développement s'étant produit aux environs de la 5e semaine de la vie intra-utérine, en tous cas certainement
intra-utérine, en tous cas certainement avant la fin de la sixième semaine . Les muscles qui font défaut, et ceux qui sembl
s complexes masses musculaires, apparaissent à la fin de la sixième semaine , ou se différencient les uns des autres à cette d
embre supérieur (d'après Warren Harmon LEwis). Après la troisième semaine : Formation de cellules musculaires sur la part
musculaires sur la partie centrale du myotome. Après la quatrième semaine : Les os de l'avant-bras sont courts et épais.
courts et épais. Le cubitus est le plus grand. Après la cinquième semaine : embryon de H millimètres. Le membre supérieur
muscle et ce qui sera cartilage, est impossible. Après la sixième semaine . Os : L'omoplate est cartilagineuse. La clavicu
cent à se former. Interosseux peu différenciés. Après la septième semaine , embryon de 20 millimètres. Os : Os du carpe, c
s la posi- tion qu'ils doivent conserver. C'est à la fin de la 6e semaine qu'existent le carré pronateur, les mus- cles d
ent chacun des muscles longs du pouce. Avant la fin de la cinquième semaine , au contraire, les formations mus- culaires ont
dont il s'agit se réfère au fait que PARAMORE ingérant pendant une semaine de l'acide oxali- que (0, 65 cent. par jour) re
u malade, on applique une minerve plâtrée. L'appa- reil est gardé 3 semaines . Lorsqu'on l'enlève, la position vicieuse primi-
côté gauche, des eschares se produisirent qui persistaient encore 3 semaines après la cessation de ce traitement. 16 décem
ns moins maître de mes mouvements que dans les premiers jours de la semaine dernière. Mais je sais qu'il faut laisser passer
debout et j'allais commencer la marche; mais, depuis le début de la semaine , une certaine exacerbation s'étant produite, ce
rd, puis aboutissait aux contractions ordinaires du torticolis. Une semaine après le début de ces exercices, j'ai ajouté un
ns la paralysie faciale périphérique et sur la valeur prognostique. Semaine médic. 1S97, Nr..42. 5. REItNHAnI7T (M.). Das
54 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e soldat lui avait promis le mariage, on la garda. Elle entra six semaines avant terme dans unasile de Nancy. Accouchement à
encement de son séjour (elle est devenue propre au bout de quelques semaines ). Elle marche assez bien, à la condition d'être
au travail sco- laire augmente. Nous avons fait faire toutes les semaines la photo- 26 THÉRAPEUTIQUE. graphie, en group
subitement à Lourdes en 1889, la seconde fois à Mazas en quelques semaines sans avoir même suivi un traitement. En même te
t aux- troubles des mouvements présentés par Delannoy pendant trois semaines , ils ont été simulés, cela est certain. Ils ne
inconnues. Le régime, le massage, l'électrothérapie font en quatre semaines disparaître le sucre, mais les troubles nerveux
isme, administrer jusqu'à la dose de 8 grammes par jour pendant six semaines contre l'épilepsie. Les résultats semblent bons
graduelle- ment à se rapprocher de la normale. Après deux ou trois semaines la peau se desquame, surtout au visage et aux e
toléré sans accident ni incident. A la fin d'octobre, après quatre semaines de traitement, la malade perd ses ongles et une
ment; mais les crises spasmodiques subsistent environ deux fois par semaine : la céphalalgie, pas très fréquente, est modér
puration. L'opération donna d'abord un résultat satisfaisant et une semaine entière se passa sans attaque épileptique. Les
ectriciens de 1881. Dans un travail paru le 31 juillet 1895 dans la Semaine médicale, M. Lecercle étudie les modifications
èvre. Dans les 17 cas connus, le délire a débuté dans la pre- mière semaine de la maladie, le plus souvent quatre ou cinq jou
s celui de un cinquième, on peut injecter 4 centi- mètres cubes par semaine ; mais cette dose peut être dépassée. Le pratici
llu insister beaucoup pour l'entraîner. S'y est mis au bout de deux semaines . Se rend utile. Fait lire de petits camarades p
, il s'effectuera une altération régressive qui, dans les premières semaines , ne dépas- sera pas le centre le plus voisin ;
s parésies avec convulsions tono-cloniques persis- tantes. Quelques semaines plus tard, on les tue et on examine le système
tc. Les enfants éducables et ceux qui travaillent pren- nent chaque semaine un bain de propreté; ceux qui sont inéduca- ble
ain de propreté; ceux qui sont inéduca- bles prennent deux fois par semaine un bain salé en outre du bain de propreté. On r
langue; mais ne pouvait ni uriner, ni aller à la selle. Durant deux semaines , il demeura paralysé, sans pouvoir faire agir u
rauma- tisme, il commence à éprouver d'abord une ou deux fois par semaine , puis jusqu'à quatre ou cinq fois par jour, des c
nt l'amélioration ainsi obtenue ne persista pas au delà de quelques semaines . Après divers essais thérapeutiques l'auteur s'
ui sépare ces poussées cutanées varie de quelques jours à plusieurs semaines . Le point de départ, la zone de propagation de
reste qu'une légère parésie à droite qui disparaît à son tour en 4 semaines environ. La diplégie s'était effectuée en 3 sem
son tour en 4 semaines environ. La diplégie s'était effectuée en 3 semaines . La diplégie est très rare; en un demi-siècle o
l'autre était atteinte d'un accès de manie aiguë datant de quelques semaines . L'observation résumée de ces deux cas, par la
s'occuper et prend soin de sa personne. Cet état dure pendant trois semaines . Le foyer de suppuration est tari. L'alimentati
on subite des troubles psychiques. Guérison apparente pendant trois semaines . Retour presque subit à l'état maniaque antérie
lassiques. La température reste au-dessus de 40° pendant près d'une semaine . Délire tranquille, carpliologie. , Traitement
produire, l'état mental normal ne s'est maintenu que pendant trois semaines et un mois. Ce retour subit à l'état normal sui
l'examen, et l'avocat dit qu'il s'agis- sait de paranoïa. Quelques semaines après, le jury renvoya son verdict à plusieurs
ale. Le début est soudain ou progressif : la durée varie de trois semaines à trois mois. La perforation avec péritonite cons
la surface de l'écorce. Chez- un embryon humain, âgé de quelques semaines , cette disposition est des plus nettes. Vers la f
876, atteinte du sciatique gauche. Exaspéra- tion pendant plusieurs semaines en 1880, 1882, 1886, 1888. A la 388 REVUE d'ana
stérieurs sont d'un transparent gris brun. Au bout de deux à quatre semaines on peut obtenir de bonnes coupes à la celloïdine
rcie dans une solution de formol à 1/2 p. 100 pendant deux à quatre semaines . On coupe alors un morceau d'un demi centimètre
n dans la liqueur de Aiüller au bain-marie, de quelques jours à une semaine . Lavage rapide à l'al- cool. Immersion, deux jo
encore sur les collatérales des neurones cérébraux dans la première semaine après la naissance (Flechsig), c'est-à-dire ava
gésique. - A qua- torze ans, second panaris analgésique. - Quelques semaines après, deux abcès du membre supérieur droit. -
é et aussi à cause de la mort de sa mère, B... fut placé quelques semaines après son retour à l'asile des incurables des frè
is, les frères m'ont ramené l'en- fant. Je l'ai gardé deux ou trois semaines et ensuite j'ai obtenu son placement à la colon
direction antéro-postérieure. Ces accidents ont disparu en trois semaines 1. Avril. Second panaris analgésique. B... s'ap
travailler chez un cordonnier du dehors, qui lui donne 0 francs par semaine . 1896. Janvier. Mêmes lésions trophiques de l'a
55 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
mière semaitle dum.tlis, devient la série du soir durant la seconde semaine . Les jeunes 'travailleurs reçoivent toits les's
s jours de promenades. A cet effet, l'Adminis- tration a mis chaque semaine iule somie'dè '15'fr. la disposition des chefs
sés sur le parquet des dortoirs, dans les couloirs même et chaque semaine , par suite de l'encombrement, le direc- teur de
ueuse, à doses ascendantes. Arrivé à 30 centigrammes par jour, cinq semaines après le de l'épilepsie PROCURSIVE. -Il i com
eux nouveaux accès, peu de temps après, à un intervalle de quelques semaines , lui survinrent dans les promenades ' Itard. Mé
tes ; d'abord tous les huit jours, puis une, deux ou trois fois par semaine ; enfin, depuis deux mois, c'est-à-dire depuis
métier de cordonnier, il entre ensuite à la Charité où il reste six semaines et de là est en- voyé à Bicètre. Etat actuel
mois il avait des vertiges presque continuels, mais que depuis une semaine ils sont devenus assez rares. 15 décembre. -
commises et faire réintégrer Grand... dans le service. Plus de six semaines se sont écoulées et rien ne parait avoir été fait
mène nerveux pré- curseur du premier accès. Celui-ci eut lieu trois semaines après, en jouant, sans aura, perte de connaissa
talon gauche. Réflexions. - Vall... a eu son premier accès trois semaines après une émotion vive occasionnée par un empri
'épilepsie PROCURSIVE. avoir eu la rubéole ? Coqueluche pendant six semaines . Enfin il aurait eu de temps en temps des fièvr
poque, il a eu des étourdissements qui reve- naient toutes les deux semaines , tous les mois et de plus des accès. Le secon
ils sont de plus en plus fréquents. En 1883, il avait un accès par semaine . Depuis mai 1884, il a eu en outreplusieurs sér
ine germaine, morts de convulsions. ' Premières convulsions à six semaines portant exclusivement sur le côté droit et préd
grossesse. - Accouchement huit jours après. - Con- vulsions de six semaines ci trois ans. - Puis accès convulsifs. - Aura m
augmenté progressivement ; ils revenaient d'abord toutes les trois semaines , puis tous les quinze jours. Vers douze ans la
Pas de consan- guinité. ' Huit enfants : 1° garçon, mort à trois semaines de convulsions ; - 2° garçon, mort à quatre moi
lotte. Ces crises qui se montraient au début deux ou trois fois par semaine sont devenues de plus en plus fréquentes, mais
ce. - Frère probablement épileptique. - Emotion de la mère, trois semaines avant l'accouchement, et tremblement consécutif.
ments de la tête, mais ne se débat pas. 11 aurait eu deus crises la semaine dernière; il n'en avait pas eu depuis trois moi
d enfant. Elle au- rait été prise d'un tremblement qui a duré trois semaines , jusqu'à l'accouchement. - Celui-ci a eu lieu à
; elle s'est trouvée mal et a eu des lypothymies plusieurs fois par semaine , durant les trois premiers mois. Pendant le siè
4 enfants : 1° notre malade; - 2° fille morte en nour- rice, iL six semaines , d'athropsie, sans convulsions ; 3° fille morte
un autre plombier où il ga- gnait 110 fr. par mois au bout de trois semaines . Mais il se ralentit dans son travail; en août
vailler. Les accès de rire avaient disparu. Mais, au bout de quatre semaines d'amélioration, il refusa de travailler, allait
56 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avait existé une autre hallucination persistante pendant plusieurs semaines et située du même côté : la vue d'une paysanne.
. Sur un cas DE maladie DE LITTLE; par M. leprofesseur f. Raymond. ( Semaine médicale, 1897, n° 1.) II. SUR deux cas DE sclé
par le repos, reprennent après quelques minutes de marche. Quelques semaines après, le malade a un étourdissement avec hémip
eurs du cou ; mais pas d'affaiblissement dans les membres. Dans une semaine , la santé du malade s'améliora graduellement. Le
alade eut une liémiparésie gauche, surtout du membre supérieur. Six semaines après le premier accès, elle fut placée à la cl
re. Durant toute la maladie la température resta normale. Dans deux semaines la malade mou- rut. Autopsie : Il tumeur céré
alade a présenté de l'anes- thésie de la moitié du corps. Après six semaines de grossesse, Mme X... fut prise de vomissement
rvation d'une femme elle laquelle on a vu apparaître la folie trois semaines après une laparotomie; à l'occasion de ce fait,
de manie, dont deux seulement se sont développés après ,1 deuxième semaine : l'âte moyen des malades était de quarante-sep
et par suite son arrêt, sont de nature spéciale : vers la quatrième semaine de la vie intra-utérine les éléments cellulaire
malade une certaine quantité de codéine. Cet essai dura plusieurs semaines le malade s'en trouvant bien, le médecin crut p
ne quantité égale de liquide. Il pro- longea ce traitement quelques semaines jusqu'à réduction de la dose de codéine à un de
n demi-grain par jour, c'est-à-dire à une quantité inoffensive. Une semaine plus tard suppression complète de la codéine sa
nt de répéter aux illettrés les matières du cours. V. Une heure par semaine est suffisante; le cours sera de six mois. Peut
nts; le quatrième enfant, venu à huit mois, est mort au bout de six semaines . Devenue enceinte pour la cinquième fois, elle
mandent non pas seulement des heures, mais des jours et parfois des semaines . Cela est si vrai qu'on, ne parvient à bien con
démontré que, si le médecin veut donner seulement deux minutes par semaine à chaque aliéné, cela lui fera une visite de ci
adie débuta par de fortes céphalalgies. Vers la fin de la troisième semaine , pendant SOCIÉTÉS SAVANTES. 283 3 une nuit, s
-iqzie(etifaiit de deuxans). Aphonie consécutive ayant persisté six semaines . Coxalgie hasté- Tique à cinq ans. J..., peti
rçon de trois ans; à six ans hémiplégie guérissant au bout de trois semaines sans laisser de traces. Hérédité très chargée
e épinière ? ? ... Il a eu un côté paralysé pendant trois on quatre semaines . Mais il est très bien guéri, il jouit actuelle-
sembler à de l'hémiplégie hystérique, la paralysie ayant duré trois semaines sans laisser de traces chez un petit malade exc
de la maladie. Après une période stationnaire qui dura environ six semaines , les mou- vements de la jambe, puis du bras par
écutif au surmenage de certains muscles (extenseurs), dure quelques semaines et cède au repos, aux compresses hydropathiques
a région du cinquième métacarpien (sans oedème, ni lividité); trois semaines plus tard apparurent des varices au côté cubita
xication chronique, sont tout à fait différents; dans quatre ou dix semaines après l'injection (qui a été faite une ou plusi
téressante en ce que 4g,50 du médi- cament fut continué pendant des semaines pour lutter contre le morphinisme d'ailleurs pa
et très intense. Elle dure un laps de temps variable, de quelques semaines à quelques mois; puis elle s'atténue et disparaît
s anor- maux sensitifs la plupart du temps, mais, vers la troisième semaine apparaissent les signes avant-coureurs de la pa
s les membres et un engourdissement qui fut remplacé la cinquième semaine par une paralysie et une anesthésie des mains et
s ce but sont nécessaires, et une direction méthodique de plusieurs semaines au moins estindis-i pensable. , Moyens thérap
t (2 milligr. 1/2 et plus tard, milligrammes deux ou trois fois par semaine ) ; plus tard, il a injecté de l'argentamine (<
et Bidon emploie d'une manière presque constante l'ergo- tine (une semaine par mois), alternée avec l'iodure (trois semaines
l'ergo- tine (une semaine par mois), alternée avec l'iodure (trois semaines par mois). Magnan donne l'ergot trois jours par
ure (trois semaines par mois). Magnan donne l'ergot trois jours par semaine et la phénacétine les quatre autres jours : che
et des troubles urinaires amendés par ce traitement au bout de six semaines à deux mois. Ce médicament n'est pas sans incon
adopter pour le seigle ergoté le rythme, soit de trois jours par semaine , soit de cinq jours tous les quinze jours, et alo
ammes. après les injections : 49 En-résumé, dans l'espace de neuf semaines , il a été intro- duit dans le tissu sous-cutané
t, mais depuis quelque temps, les époques ont lieu toutes les trois semaines . C'est douze jours environ avant son entrée à l
ès à forme paroxystique de ma- ladie de Basedow, qui dura plusieurs semaines . Le bromure et les douches froides n'eurent auc
evient peu à peu, mais la marche n'est possible qu'au bout de trois semaines . Ces deux cas ont plus d'un point de rapprochem
ent devint totale. Quand le malade fut arrêté il errait depuis deux semaines sans qu'on puisse savoir ce qu'il a pu faire pe
lier et traite- ment par les courants faradiques pendant six à huit semaines . Tout travail d'esprit et de fatigue physique d
Le médecin-directeur ou un adjoint visite, au moins une fois par semaine , et plus souvent si l'état de l'aliéné l'exige, l
,ans, IIIlc Franclet; sujette à des crises, de nerfs est tombée la semaine dernière dans sa cheminée au moment où elle ven
57 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
La convalescence a commencé dès le troisième jour; au bout de deux semaines , le malade était complètement guéri. Se basant
ux refroidissements. Il y a quatre ans environ, il dut, pendant six semaines , travailler dans un égout, couché sur le dos et
tion de la chorée. Depuis l'opéra- tion, qui fut faite il y a trois semaines , il's'est produit une amé- lioration marquée da
e semaine'sans'se lever. Ces attaques se produisaient à une ou deux semaines d'intervalle. Il a six mois elles devinrent plu
fut l'inverse pendant les six derniers mois. Pendant les dernières semaines , durées égales des deux syndromes. Pas de rémis
hloral. Par exemple : . VARIA. 171 tant de 1 centigramme chaque semaine , jusqu'au moment où l'on détermine de légers ve
tomba dans l'état où elle se trouve encore aujourd'hui. Pendant six semaines elle n'a pris au- cune nourriture, mais ces der
bien que le fait d'avoir été privée de toute nourriture pendant six semaines ne doive être accepté que sous une certaine réser
vue nosographique et médico- légal (leçon recueillie par Dutil). Semaine médicale : Hystérie chez l'homme ; Hystérie et ti
n après vingt- quatre heures, un après trois jours, trois après une semaine , ACTION SÉDATIVE DE LA DUBOISINE CHEZ LES ALIÉN
t il m'est arrivé fréquem- ment de prescrire, cela durant plusieurs semaines consé- cutives, l'énorme dose quotidienne de 4
la médication ; néanmoins l'amélioration réalisée se maintient deux semaines . Jamais de vomissements ni de perte d'appétit;
e définitive du calme après la suppression qui fut suivie, en trois semaines , d'une augmentation de poids de cinq kilos. La mé
: puis la crise prend fin, alors que d'habitude elle dure plusieurs semaines . A un second paroxysme très violent, 1 milligra
n'obtenons plus que sept à huit heures de tranquillité pendant une semaine , mais 4 milligrammes .durant vingt jours, toujo
é, vu que l'accoutumance s'est définitivement établie au bout d'une semaine environ; les quatre autres n'ont eu qu'une atté
ur aux soins du ménage;'sieste d'une heure ou deux. Au bout de deux semaines , suppression pour contrôle, mais en trois jours
a sixième et la douzième. Suppression pour contrôle et, pendant une semaine , la sédation obtenue se poursuit : il y a encore
au maximum. Quatre milligrammes laissent les choses en l'état une semaine et l'accoutumance s'établit de plus en plus, car
tre, avec 3 milligrammes, dès le second jour on a, pendant quatre semaines , de dix à quatorze heures de calme; une seule mau
rs, 3 milligrammes pendant deux jours et 4 milligrammes pendant une semaine ne donnent ni sédation complète ni sommeil. La
celles-ci, très violente, 1 milligramme de duboi- sine pendant une semaine , 1 milligramme et demi pendant quatre jours, 2
ramme et demi pendant quatre jours, 2 et 3 milligrammes pendant une semaine et 4 milligrammes pendant cinq jours n'apporten
c surexcitation continue. Un milligramme de duboi- sine pendant une semaine , 1 milligramme et demi pendant deux jours, 2 mi
n a ce que,les aliénés en tirent le meilleur parti possible. Chaque semaine ils reçoivent : asiles d'aliénés. 309 lugubre
stades. Un stade -de début, court, de quelques heures à quelques semaines ou mois; délire général très variable, très mobil
miers (un infirmier par neuf malades); ils ont un jour de congé par semaine ; en plus de la journée on accorde la nuit aux .
rvice a été assez correcte. Abattu et découragé pendant la première semaine , il assistait cependant les infirmiers dans leu
) Observation de manie suraiguë ; évolution foudroyante en quatre semaines . Autopsie. Dégénérescence marginale du faisceau
s cinq à six jours. ,Le durcis- sement est complet en deux ou trois semaines (l'alcool a alors chassé l'eau). On le soumet a
soumet alors à l'action de la térébenthine pen- dant deux à quatre semaines . La térébenthine ramollit le cerveau, mais le r
s selon la couleur de la térébenthine. Finalement on le plonge deux semaines dans le vernis gras des peintres à l'huile. On
s à l'huile. On laisse alors le cerveau à l'air pendant une ou deux semaines jusqu'à ce qu'il soit devenu complètement sec e
la région motrice corticale chez le chien. Au bout de deux à trois semaines , on tue les animaux et on examine au microscope
fulgurantes dans les genoux, la cheville gauche et les épaules. Six semaines plus tard, i'oeil droit perçoit encore la lumiè
ins, et la nutrition générale était satisfaisante. Dans la dernière semaine , elle tomba graduellement dans le coma, avec co
t plusieurs jours la malade ne parlait pas. Au bout de deux à trois semaines (usage interne de la teinture de noix vomique) le
étisme, fondée par la Société magnétique de France, a eu lieu cette semaine , rue Saint-Merri, 28. M. de Cliampville a ouvert
° 50, 1892. 2 G. Ballet. Compte rendu du Congrès de Blois, 1892, et Semaine médicale, n° 33, 1893. persécutés auto-accusa
gt-deux ans, domestique, était prise de vo- missements depuis trois semaines . Elle ne pouvait même pas DE L'HYSTÉRIE EN VEND
ce sujet qu'elle venait en dernier lieu me consulter. Depuis trois semaines elle était prise d'une contracture du sterno-mast
rains par jour. Chez quatre' malades dans l'espace de deux ou trois semaines , les accès diminuèrent à la fois de fréquence e
progressive jusqu'à 1 gramme (dose de 0,25 à 0,35). Au bout de six semaines on cesse l'opium, qu'on remplace par 7 gr. 50 de
res, en plus grand nombre, ne durant que quelques jours ou quelques semaines . Sou- vent ces paresthésies se limitent à une p
enlral. On les rencontre d'ailleurs dès la qua- trième et cinquième semaine qui suivent la lésion des nerfs dans les gaines
58 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
de sueurs abondantes : la température monta jusqu'à 41 degrés. Trois semaines plus tard, second frisson. Dans l'intervalle, la
Dans la soirée, nouvelle séance. Je continuai "insi pendant plus de 4 semaines , Dès la première séance. Us crises de douleur ave
onsécutifs aux injec-tions ; j'en ouvris huit à dix, à peu près trois semaines après le début des traitement. C'était la cause d
t crises dès la première séance et achève la guérison en troisàquatre semaines Ce que la suggestion a tait après trois ansde sou
uvoir dire que, selon mon avis, le mariage s'effectuant dans quelques semaines et le changement de lieu qui s'ensuit et qui m'ar
e me permets de vous envoyer un court rapport sur mon état actuel. La semaine qui précédait mes noces, je me trouvais dans une
rolongé dans lequel elle était. Je la vis chaque jour pendant trois semaines pendant lesquelles elle continua à dormir jour et
ela, son état ne présentait rien d anormal. Vers la fin de la seconde semaine , je m'aperçus qu'elle pouvait rester éveillée que
e restèrent normaux Elle eut de l'incontinence d'urine et resta trois semaines sans avoir de gardes robes. Elle venait d'être pu
i fait oublier à ces maheureux toutes les peines endurées pendant des semaines ou des mois, et cette satisfaction consécutive dé
ent. Elle eut à ce moment une attaque de nerfs. Dans le courant de la semaine qui suivit. avant dérobé un litre d'absinthe, ell
, fixation de l'attention, association des images). Depuis quelques semaines de ce traitement, qui n'est en somme que le trait
ieurs mois au traitement par la suggestion, à raison d'une séance par semaine . Une amélioration notable s'est promptement m
de Pravaz . et une solution de morphine. Ramenée à l'hôpital quelques semaines plus tard, elle avait été placée dans un autre se
a pendant deux jours dans un eut comateux fort inquiétant. Quelques semaines plus tard. par une nuit obscure de décembre, elle
nsulte de nouveau, alors je lui propose un sommeil prolongé, de trois semaines peut-être, après lequel elle se relèverait guérie
a disparu. Comment puis-je vous remercier? » Pendant la carede trois semaines , elle dormit presque tout le tempi. D'abord, je b
avation progressive des Symptômes, avait présenté, pendant huit à dix semaines , un tableau semblable à celui que nous avons retr
eau semblable à celui que nous avons retracé plushaul. Durant les dix semaines , il était resté couché, immobile dans son lit, ne
vu, peut persister plusieurs jours comme chez notre malade, plusieurs semaines comme dans le cas de Foville, plusieurs mois comm
. Son état commença à s'améliorer presque immédiatement, et, en trois semaines , elle recouvra les forces et l'appétit. Ses doule
état de somnambulisme. Je l'hypnotisai tous les jours pendant quatre semaines , et une fois par semaine pendant six mois. Pendan
et Cathelineau, que mes sujets ont dormi hypnotisées : 2 pendant 3 semaines de suite, 1 pendant 1 semaine de suite, tandis
ont dormi hypnotisées : 2 pendant 3 semaines de suite, 1 pendant 1 semaine de suite, tandis que les sujets de ces deux obs
sé affirmer, le premier jour, • qu'elle serait remise au bout de la semaine , parce qu'elle aurait pu tout « aussi bien ôlro m
nable, mais la suggestion devait cependant agir, car. en moins de six semaines , tous les symptômes avaient disparu graduellement
re rebelle, qui l'obligeait de rester au lit au moins trois jours par semaine . De plus, elle était sujette à l'insomnie. En u
pons pas sur une réponse détaillée : prochainement, soildans quelques semaines , je pourrai vous envoyer le fameux rapport tout i
ervice d'hôpital, à influencer neuf malades sur dix. n faut plusieurs semaines d'expériences pour arriver à ce résultat; et je r
tous les trois ou quatre mois, durant chaque fois plusieurs joursjju semaines ; la dernière fois, c'était en novembre dernier, p
prenait, même l'eau, le lait, les potions. Ils persistèrent quelques semaines . A la fin, de grandes promenades à la campagne se
l se remit à manger sans vomir, redevint bien portant. Mais, quelques semaines plus tard, sans cause connue, les douleurs reparu
is Jours; elle se répète quelquefois deux fois ou même trois fois par semaine ; d'autrefois, il reste une semaine sans la resse
deux fois ou même trois fois par semaine ; d'autrefois, il reste une semaine sans la ressentir. Il a. d'ailleurs, bon appétit
nde. Puis les crises se suecédèreut ton* les quatre jours pendant six semaines . Elle resta quinze jours sans en avoir, puis fut
quatre heures, survenant à des époques irrégulièreî, toutes les trois semaines environ. Depuis une douzaine de jours, sans cau
nuée, il reste quelque chose, et co n'est qu'après plusieurs jours ou semaines de traitement, lorsque la lésion organique a eu l
rois ou quatre fois dans une même journée, puis restaient une ou deux semaines sans revenir >. Ajoutons qu'à cette époque la
59 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
sculaire. Cette aphasie était absolue, et demeura ainsi pendant une semaine environ.Au bout d'un mois, la malade avait reco
leptiformes qui se manifestèrent régulièrement à intervalles de six semaines . Ces accès étaient toujours très violents et, p
tinua à enrichir quelque peu son vocabulaire pendant en- viron huit semaines , mais elle ne parvint à le reconstituer au-delà d
une amélioration progressive et assez notable. Au bout de quelques semaines , la malade pouvait marcher faci- lement à l'aid
Les accès reparu- rent assez régulièrement à toutes les cinq ou six semaines , et furent in- variablement suivis d'aphasie mo
Puis tout paraît rentrer dans l'ordre. Mais récemment, depuis trois semaines à un mois, il éprouve un trouble très léger de
pied et dans les ge- noux jusqu'aux pieds inclusivement. Depuis six semaines , constipation tenace : depuis 4 jours rétention
la maladie, douleurs persistantes fixes. Ces douleurs, pen- dant 12 semaines ont été le seul indice du processus initial, mais
côtés entre les omoplates et persistant pendant les trois dernières semaines de sé- jour du malade il l'hôpital, on pouvait
emple dans le médiastin postérieur, peut facilement arriver. Cinq semaines après sa sortie de l'hôpital, le malade se trouve
mois, l'émis- sion de l'urine se fait avec difficulté ; depuis une semaine , faible oedème des deux extrémités; depuis plus
ifiante en ceinture sur la cage thoracique, d'une durée de quelques semaines . A cette même époque et pour la première fois, do
légères et passagères dans les jambes et sous la poitrine. Depuis 6 semaines elle perd ses forces ; depuis 5 semaines, le so
sous la poitrine. Depuis 6 semaines elle perd ses forces ; depuis 5 semaines , le soir, plus rarement dans le jour, elle a de
s- sements lors du paroxysme céphalalgirfue. Deux ou trois fois par semaine ap- paraissaient des crises de bourdonnements d
ut le corps. L'évolution se fait en quel- ques jours ou en quelques semaines . Ces secousses sont accompagnées par des sensat
rmol 15 (le dernier immédiatement avant l'usage). Au bout de quatre semaines on peut couper sans inclusion. (3) Lavage dans
, p. 26. Molondenkov. Contribution à l'étude de l'achondroplasie. Semaine Médicale, 9912,n. i. PELLI7.ZI. - DeU'infa.ntil
parents, se rend compte de la saison où nous sommes, du jour de la semaine . Mais très souvent ses répon- NOUVELLE ICONOGRA
e sorte qu'il restait complètement paraplé- gique. Bans la dernière semaine de mai, étant donné ce que les parents disent,
ution subaiguë, laquelle 216 17 ' PUBLIO CIUFF1NI exige plusieurs semaines de traitement, comme chez mon sujet, pour l' at
se plaignait d'une hyperhydrose des pieds, très accentuée depuis 3 semaines . En outre, en examinant le patient, je fus frap
a moitié droite de la nuque, suivies d'accès de vertiges : quelques semaines plus tard bourdonnements dans l'oreille droite, a
quatre repri- ses différentes et chaque fois à un intervalle d'une semaine il passe la nuit avec une femme et pratique 3 c
pour l'avancement des sciences. Session de Caen, du 10 août 1894, in Semaine méd" 1899, p. 357. ' SYNDROME Dur BASEDOW ET
iener med. Bldlter, n° 0, 989ti. (6) Raymond, De la sclérodermie. Semaine médicale, n° 10, 1898. (7) Fox, Soc. de dermato
des oedèmes indolores aux deux jambes, lesquels rétrocèdent après 4 semaines , sauf à la face an- térieure où ils persistent
de Bâle, 1909. 280 l\IAIHNESCO ET GOLDSTEIN chez laquelle, trois semaines après l'accouchement, a commencé la scléro- der
. 953. (8) A9AURICE Klippel, La sclérodermie dans le goitre simple. Semaine médicale, n- 18, 1910. 284 MARINESCO ET GOLDS
4, 1910. (3) PARCHET, Soc. de chir. Séance du 16 novembre 1910, in Semaine méd., 1910, ne 47, p. 562. SYNDROME DE BASEDO
d'épingle, indo- lents, évoluant progressivement pendant plusieurs semaines , pour s'élargir et ensuite donner lieu à une fo
ignaient une forte épaisseur, demeu- raient pendant trois ou quatre semaines et puis tombaient progressivement en laissant d
dules durs, indo- lents, évoluant progressivement pendant plusieurs semaines pour s'élargir ensuite et se transformer en cro
de cinq mois. On ne trouve pas chez elle de spécificité avouée. Six semaines après l'attaque la malade a pu marcher. Elle es
mais c'est pas comme cela... Dimanche je rends... et puis toute la semaine , non. Une fois par semaine ? Oui, jusqu'au bout
es ou personnels, ette a 3 enfants de 8 ans, ans, et 14 mois. Trois semaines avant le deuxième accouchement, elle eut une otit
ébrale, hernie qui augmenta peu à peu de volume pendant la première semaine , et qui, au moment où elle avait atteint son ma
suffisait pour lui faire repéter le mot tout entier. Au bout de six semaines , toute cette partie de la rééducation était termi
ement électrique qu'elle suivit très régu- lièrement trois fois par semaine pendant 7 mois à la clinique de M. le profes- s
l'age de 29 ans, il con- tracta un chancre qui a disparu après deux semaines , et aussi une adénite inguinale suppurée. Sa fe
s engourdissements accentués des membres in- férieurs. Pendant deux semaines il a été soigné dans un hôpital rural et après
plus pu marcher qu'à l'aide d'une et puis de deux cannes. Depuis 3 semaines des douleurs atroces dans les lianes et les deux
60 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mps lourd et couvert. Rougeur variable et intermittente.; Reste des semaines sans rougir, puis rougit très souvent pendant d'a
des semaines sans rougir, puis rougit très souvent pendant d'autres semaines . , , < Il sent venir la rougeur. Il éprouve
sieurs fois par jour. D'autres fois elles cessent pendant plusieurs semaines . Nous avons vu plus haut quelles sont les influ
ésentait des oscillations régulières dans le caractère. Pendant une semaine il était gai, actif; la se- maine suivante il é
et rétrograder considérablement les phénomènes paralytiques. Trois semaines plus tard, vomisse- ments, dyspnée, collapsus ;
ès le quatorzième jour. Onctions mercurielles; Kl. Guérison en sept semaines , qui s'est maintenue depuis. Disparition des ph
is- male, persistant avec un peu de faiblesse du bras droit. Deux semaines plus tard, il s'y ajoute une paralysie de la moit
qu'elle ; finalement, apparition tardive (seulement à la troisième semaine ) des modifications de l'excitabi- lité électriq
mplètement entre eux les divers groupes de malades si deux fois par semaine durant plusieurs heures on les réunit tous dans
vance qu'il n'y aura pas d'abus, car l'ouvrier ne viendra dans la semaine que s'il est réellement empêché de venir le diman
e solution de bichromate de potasse à 2.5 p. 100 pendant quel- ques semaines ; celle-ci était concentrée progressivement jusqu'
Après un mois de repos les séances sont reprises pendant de longues semaines . Mais il reste un certain degré d'hyperesthésie
u le plus tôt revêtu de myéline, est net et complet dès la première semaine qui suit la naissance. Ses fibres se dirigent b
rolog. Centralbl., XV, 1896.) Chez de jeunes chiens de quatre à six semaines , en parfait état, on détruit la moelle, en la l
e la 8° ra- cine cervicale, ayant occasionné la mort de trois à six semaines après le début de la compression. Les fibres du
mides. 2° Celle-ci a lieu dans tous les cas récents, jusqu'à quatre semaines au moins après l'opération, bien que la dégénér
icales que la cessation ou la diminution des attaques pen- dant des semaines ou quelquefois des mois, consécutivement à une
ent déterminé ces troubles mentaux, qui se sont développés quelques semaines plus tard à l'occasion de la douleur - non loca
température, de la prostration et des symptômes nerveux durant une semaine environ, au bout de laquelle tout REVUE DE path
tes de crises. Le malade accuse tous les quelques jours, toutes les semaines , tous les mois un goût désagréable dans la bouc
qu'un peu de roideur et de douleur articulaires. Pendant plusieurs semaines on vit reparaître ces crises convulsives à des
es pupillaires, du strabisme, des vomissements répétés. Pendant six semaines , signes d'induration du lobe infé- rieur droit.
maines, signes d'induration du lobe infé- rieur droit. Pendant sept semaines fièvre irrégulière, mais assez modérée. Le peti
e dorsale ayant complètement écrasé la moelle; la mort survint cinq semaines après l'accident, au moment opportun pour favor
et vingt-cinq ans auparavant) pour des accès de mélan- colie. Trois semaines avant l'entrée, la malade se plaint d'abatte- m
iformes ou épileptiformes, s'étaient répétés à des inter- valles de semaines , de mois et même d'années, jusqu'à ce qu'un de
ui dura assez longtemps, et une augmentation de l'oedème et trois semaines plus tard la quantité des urines monta de 2 000 c
ue d'écrire, sorties provisoires de quelques jours à deux et quatre semaines , travail largement développé, non-restraint aussi
tour ; cette réduction la consentirait-il pour tous les jours de la semaine ? c'est au moins douteux. L'adoption de la me-
quatre tablettes de chocolat coup sur coup. Il ne se passe pas une semaine que nous n'ayons à soi- gner des troubles de ga
ttentes; et le cinquième est mort aussi du tétanos dans la première semaine qui a suivi sa naissance. Leur père a aujourd'h
de la surface sur laquelle elle s'appuyait. Mais, dès la seconde semaine de sa naissance, le crâne commença à durcir de te
r sur lequel s'appuyait cette partie du crâne pendant les premières semaines de l'existence de cet enfant; derrière l'oreill
nfantiles, dans les nos 2, 4 et 6 du même journal (1894) et dans la Semaine médi- cale, janvier 1897. REVUE DE PATHOLOGIE
ographe même des mots longs et difficiles. Il nomme les jours de la semaine et les mois de l'année, mais à la condition qu'
non alcooliques. Pas de syphilis avouée. Non fumeur. Il y a trois semaines , douleur sourde à la nuque, avec éblouissements e
tousser et à maigrir. Ces symptômes ayant persisté pendant quelques semaines , des douleurs violentes siégeant dans la région
uleurs sacro-lombaires et la mort, il y eut un intervalle de quatre semaines . Autopsie : Phtisie pulmonaire, endométrite et
a sen- sibilité est intacte. Mort par une attaque d'asphyxie quatre semaines après le commencement de la maladie. A l'auto
phtalmoplégie et du nystag- mus. Cet enfant était malade depuis six semaines , poussait fré- quemment des cris plaintifs et s
ulaires dépendant des noyaux cellulaires intéressés. Si, après deux semaines le muscle ne répond pas à l'électricité, il est p
dans l'un desquels l'embarras de la parole se continua pendant une semaine et le second deux Jours. Ce trouble était carac
61 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
ne division supérieure et ne vont à l'école qu'une demi-journée par semaine et travaillent à l'ate- lier toute la journée.
revenir cette année. Le cours de dessin, qui a lieu deux fois par semaine , a continué <L être fait il titre gracieux, pa
ix ans. Quatre enfants : 1° Notre malade ; - 2° garçon mort à six semaines de convulsions internes ; à l'époque de la concep
servés à la fin de 1893 qui, après s'être atténués pendant quelques semaines , ont ensuite réapparu et ont abouti à une termi
poque, les crises sont plus fréquentes; elle en a deux ou trois par semaine . A l'école, elle n'a jamais rien appris : elle
Traitement- Elixir polybromuré, une cuillerée à soupe pen- dant une semaine , puis deux pendant une semaine, trois pendant u
une cuillerée à soupe pen- dant une semaine, puis deux pendant une semaine , trois pendant une autre; aller ensuite en dimi
nnée, puis les accès ont réapparu tous les mois, ensuite toutes les semaines et même plusieurs fois par semaine. Durant les
us les mois, ensuite toutes les semaines et même plusieurs fois par semaine . Durant les neufs premiers mois de son séjour à
st ce qui est arrivé chez cette dernière malade. A peine quelques semaines s'étaicnt-elles écoulées après l'état de mal d'
Sirop d'iodure de fer, huile de foie de morue deux bains salés par semaine ; exercices de marche. 15 décembre. L'enfant fa
à l'hôpital des Enfants-Malades (service de M. Di3soroixiHe. Trois semaines plus tard elle a été envo- yée à l'Asile cliniq
s de vomissements. Elles survenaient jusqu'à deux fois dans la même semaine , plus fré- quentes en été qu'en hiver. Elles pe
telligence. - Il comprend ce qu'on lui dit, connaît les jours de la semaine , sait le nom des diverses parties de son corps.
le soldat lui avait promis le mariage, on la garda. Elle entra six semaines avant terme dans un asile de Nancy. Accouche- m
encement de son séjour (elle est devenue propre au bout de quelques semaines ). Elle marche assez bien, à la condition d'être
au travail sco- laire augmente. Nous avons fait faire toutes les semaines la photo- graphie, en groupe, de ces trois mala
escendu à 25 kgr., 700, soit un amaigrissement de 3 kgr ? 300. Deux semaines après la suppression de la glande thyroïde il a
ment, alors que R... ne prenait plus de glande thyroïde depuis cinq semaines , le poids est descendu à 57 kgr. 500, soit une
re service, Dcclez..., âgé de 12 ans, avait quatre ou cinq fois par semaine son som- meil troublé par des cauchemars : il a
dant 3 jours. Il a été ensuite repris, après une suspension d'une semaine , et continué de la sorte jusqu'à la fin de 1890.
62 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
availla dans un atelier de construction. A la paie de la pre- mière semaine , très mortifié, a-t-il dit, de voir qu'au lieu d'
à disparaître après un temps plus ou moins long variant de quelques semaines à plusieurs mois et même plusieurs années. Nous
at de veille, a déterminé au contraire la guérison au bout de trois semaines . G. D. IX. Un cas de sclérose en plaques traité
L'expérience n'a pu être poursuivie, la malade étant morte trois semaines après. 3° Observation VI. Femme de vingt-huit a
Les résultats de ce traitement sont frappants, car au bout de trois semaines les phénomènes les plus apparents de la maladie
une augmentation de la chute des cheveux pendant les deux ou trois semaines ; elle a complètement cessé ensuite; 4° la disp
ons de salycylate de mercure par an. On donnera deux injections par semaine pendant cinq semaines en- viron soit 9 à 10 inj
mercure par an. On donnera deux injections par semaine pendant cinq semaines en- viron soit 9 à 10 injections et chaque inje
s à bacille de Koch. - Cliniquement, la maladie a évolué en trois semaines . - Le deuxième cas, plus classique, représente un
Ils ont persisté, en s'affaiblis- sant dans le cours des dernières semaines jusqu'à la veille de la mort. 104 PATHOLOGIE
aux soins qu'exigeait la maladie de son mari. Pendant les dernières semaines , le malade ne pouvait plus sortir de son lit; i
te vient de publier une leçon sur la chorée des femmes enceintes ( Semaine médicale, 13 septembre 1899, p. 305) dans laquell
tous les aliénés d'un cercle donné. On les y conservera de quelques semaines à un mois ou deux avant de les diriger surle si
8.) Revendication de priorité contre Marinesco. Celui-ci, dans la Semaine médicale du 13 avril 1898, signalait dans les com
le formol et la liqueur de Muller. Un dur- cissement de six à huit semaines avec lavage de l'excès de chrome est particuliè
de Marchi déjà citée. On coupe en disques minces que l'on place une semaine dans cette dernière en changeant le liquide une
ette dernière en changeant le liquide une fois. On lave pendant une semaine , ou mieux, pendant deux semaines, à l'eau pure
quide une fois. On lave pendant une semaine, ou mieux, pendant deux semaines , à l'eau pure renouvelée chaque jour. On inclut d
des épileptiques, où nous le suivons attentivement depuis plusieurs semaines . Les accidents qu'il présente sont divers : 1
ntervention. Cet homme a des crises fréquentes, au moins toutes les semaines , il est dans l'impossibilité absolue de gagner
u à lui, a beaucoup de peine à marcher. Il resta au lit environ une semaine avec les symptômes suivants, que nous résumons
ses. En 1897, les crises augmentent de fréquence, deux ou trois par semaines la nuit, et souvent se répètent deux ou trois f
imètres sur 12 centimètres de large. Pansement picriqué. Quelques semaines après, une plaque de sphacèle se limite net- te
Le malade qui, avant son accident, prenait deux ou trois fois par semaine et chaque fois plusieurs crises remarque que les
ent que le nom- bre des crises s'est abaissé au moment, et quelques semaines après la brûlure, mais qu'après cette période d
bien important. Ici non plus, je ne puis consentira deux bains par semaine . D'abord sous l'influence des bains, le mercure
je conseille de se soumettre à ce traite- ment pendant cinq ou six semaines . Avec cela j'ordonne or- dinairement les gargar
de 5 6 6 grammes. De cette manière, je pouvais laisser de cinq six semaines mes 404 CLINIQUE NERVEUSE. malades sous l'inf
aitement susdit par des frictions mercurielles, pendant cinq ou six semaines , je donne au malade une se- maine ou deux de re
par jour. Je prescris un traitement successif pareil, pendant six semaines au moins. C'est ainsi, que tout le traitement ant
le bras droit et la main droite. Après avoir été, trois fois par semaine pendant trois mois, soumis au traitement hypnotiq
ifestes de dérangement cérébral. Il avait dû cesser, voici quelques semaines , de se rendre à son bureau, et son état empiran
uiétant, il s'aigrit, devint susceptible, hargneux. Il y a quelques semaines , des troubles intellectuels plus graves se mani
a aurait diagnostiqué une méningite. Ces acci- dents durèrent trois semaines . Après cette maladie, l'enfant resta trois mois
Huile de foie de morue, sirop d'iodure de fer, deux bains salés par semaine . Gymnastique : exercices du saut, de la marche,
01° F. Mort au début de la convalescence vers la fin de la deuxième semaine . Ponction lom- baire à la dernière période : li
par l'auteur, entre à l'hô- pital disant qu'il souffre depuis deux semaines de maux de tête et de vertiges ; jusqu'à ce tem
Le fait à noter est que le malade souffrait seulement depuis deux semaines . Le corps calleux qui n'appartient pas à la sphèr
et de la fonction visuelle au bout de quelques jours ou de quelques semaines , sont des cas rares. Aussi l'auteur a-t-il cru
avoir été produites par un travail ayant exposé pendant plusieurs semaines les éminences thénar et hypothénar à une compress
fut atteint d'une fièvre typhoïde grave et garda le lit pendant six semaines ; la convalescence fut longue et il ne se rétabli
naires transportés dans les caves ; Semelaigne vécut ainsi quelques semaines , dans une anxiété perpétuelle, tremblant pour l
sa maison de santé; mais l'intelligence demeura intacte, et, peu de semaines avant sa mort, ceux qui l'approchaient par hasa
de ses petits-fils venait d'entrer dans la vie. Pendant près d'une semaine il demeura en cet état, luttant, de toute sa ro
63 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, douleurs dans le bas- ventre, disparues par le repos au lit. Deux semaines après, elle a été effrayée par les cris d'une f
convulsions semblables. Il a eu ensuite une rémission d'une ou deux semaines . On a alors remarqué que les yeux étaient brouill
chloral et on renouvelle cette dose au besoin. Pendant la première semaine , l'ivrogne reçoit deux verres de vin par jour;
ration. Le médecin-directeur voit les malades curables une fois par semaine au moins et plus souvent, s'il y a lieu, et les i
mois. Les gardes de section visitent tous les malades deux fois par semaine . L'infirmerie de Lierneux est en tout semblable
prescrit que chaque malade aura au moins 1 kilogramme de viande par semaine ; mais le SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 Dr Dupéron ie
ou lsr,2o par jour. Cette dernière dose est conti- nuée pendant six semaines . A ce moment, l'opium est brusquement interromp
o Lui conseille simplement de suspendre le traitement pen- dant une semaine pour le reprendre ensuite. Avec cette pra- tiqu
de 50 grammes purent être prolongés pendant dix minutes ; quelques semaines après nous exercions une heure le matin et une
marcher que foi péniblement, à la dale du 28 juin 1896; après deux semaines de traitement avec massage, bains et exercices
finirent par revenir assez régulièrement toutes les quatre ou cinq semaines . Les choses durèrent ainsi pendant deux ans, le
. L'obscénité a remplacé la pudeur. Ce délire maniaque a duré une semaine . Alors se produit une nouvelle rémission du 30
lu pour cela plus de 10 jours pour 74 malades; il a fallu, de 3 à 4 semaines pour 38 d'entre eux ; il a fallu plus de 4 sema
fallu, de 3 à 4 semaines pour 38 d'entre eux ; il a fallu plus de 4 semaines pour 34, plus de 3 mois pour 11. Autant dire que,
1. Autant dire que, quelle que soit la forme mentale, deux ou trois semaines au plus d'alitement suffisent. Ceci indique en
s opérés pour des tubercules du cerveau, 1 est mort de shock, 1 six semaines après l'intervention, 3 au bout de quelques moi
du cerveau et de l'oeil; elles se sont produites dans les premières semaines du développement foetal à l'époque du stade de
mais le troisième parvint à se soustraire aux recherches. Quelques semaines après l'attentat, un individu se présenta chez
accès d'épilepsie violents et très fréquents, en moyenne 8 à 10 par semaine . 1870. Les accès épileptiques deviennent de plu
. Sons inarticulés. 1871. Les accès sont au nombre de 10 à 15 par semaine . Gâtisme. 16 janvier 1870. 11 succombe aujour
ne incontinence d'urine et des matières fécales. Au bout de trois semaines , la fièvre tombe, les troubles moteurs et sensiti
té opéré mais il n'est pas sans intérêt de faire remarquer que cinq semaines seu- lement s'étaient écoulées entre ce moment
ennent encore quelques nuits et cessent complètement en moins d'une semaine s'il ne survient pas une cause nouvelle d'exci-
se divise en deux périodes. La première période, d'une durée de une semaine à un mois et plus, est consacrée à une thérapeu
affronter la peur tout seul et il n'est pas rare qu'au bout de deux semaines il soit guéri au point d'accomplir l'acte redou
donner la mort devait être chez lui bien arrêtée, car, il y a cinq semaines environ, il avait tenté de s'étrangler ; depuis
il faut un repos au lit prolongé, presque constant pendant quelques semaines et même des mois, dans d'autres, ce repos se ré
hidue, qui lit, à l'âge de quinze ans, une lièvre typhoïde de trois semaines de durée et de formes régulières, à la période
. Le poids du cerveau, après macération dans l'alcool pendant une semaine , était de 10 onces 1/4 (`lui grammes) frais, il a
, momentanément interrompu le traitement pour le reprendre quelques semaines après, et ainsi plusieurs fois de suite. Dans l
de suffire aux besoins du ménage. Mais elle accou- cha, il y a cinq semaines , d'une petite fille qu'elle fut obligée de soig
cice cérébral appliqué au traitement de certains troubles moteurs. ( Semaine médicale, 489fi, p. 123-124.) traitement mécano
hambre spéciale. Le professeur Flechsig fait quatre conférences par semaine , à 8 h. 1/2 du matin, à 4 heures et à 5 heures
istants, un médecin volontaire. -Le professeur fait deux leçons par semaine , à 2 h. 30 et à 4 heures. En 1896, le nombre de
nt alimentés à la sonde deux ou trois fois par jour et pesés chaque semaine : on peut ainsi suivre de près les modification
e menu du dlner et du souper de la troisième classe pour la seconde semaine de septembre : Le 9, dimanche, à midi : soupe a
terre. Le soir : hareng et pommes de terre. Le menu varie chaque semaine . Les auteurs ont calculé que les malades de tro
est de 45 ; celui des infirmières de 50. Le professeur fait, chaque semaine , deux conférences cliniques à l'asile (de 4 à 6
nt plantaire durant depuis deux ans a amené la cicatrisation en six semaines , la guérison se maintient depuis huit mois. M.
uvent manquer de favoriser leur retour à la raison. « Deux fois par semaine , nos réunions, plus solennelles que celles des
clinique médicale faite Li l'hôpital de la Pitié et publiée dans la Semaine médicale (1898), Babinski montre l'importance d
s et deux médecins volontaires. Le professeur Jolly donne, chaque semaine , trois leçons de psy- chiatrie clinique (lundi,
es nerveuses de la Charité est publique; elle a lieu trois fois par semaine (lundi, mercredi, ven- dredi, de il heures à 1
mbaire entraîne la perte du réflexe patellaire, souvent pendant des semaines . 11 apparaît ensuite de nouveau, presque aussi ac
64 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ique. . M. Hayem arracha à de jeunes lapins âgés de quatre à cinq semaines le nerf sciatique et les sacrifia au bout dé de
sacrifié peu de jours après l'opération. Le nerf, examiné plusieurs semaines après l'élongation, présentait quelquefois un e
ent d'être soumis à l'influence de réactifs puissants. Quatre à six semaines après la trac- tion, les ampoules de myéline di
ois jours après une forte traction à la main. Au bout de six à huit semaines , il n'y a que des traces de myéline; mais, en r
u nerf se fait avec plus de force. Chez les lapins sacrifiés quatre semaines après de fortes tractions, on constate l'inégal
gnent d'une longue durée de la révulsion cutanée (des jours ou des semaines ) avant que le transfert se produise ; ce transfer
lement sitiophobie, oedème pulmonaire; mort après un séjour de deux semaines à la Charité de Berlin. Le cerveau présente une
e totale, avec strabisme divergent très accusé. En trois à quatre semaines , la paralysie rétrocède. Nulle autre anomalie ocu
10 à midi, 0,20 le soir); cette malade, après une médication de six semaines , put être déshabituée du médicament en quatre j
après une dose de li, 10, fut soumise, après un intervalle de sept semaines , à 0,20, et tenue au lit : dans ces conditions,
est urgent pour la classe moyenne pouvant payer 10, 12, 18 fr. par semaine , comme il n'en existe pas, de tels malades sont
er des mots ou des phrases prononcés quelquefois depuis plusieurs semaines . Quand il lui arrive de ne pas retrouver prompte-
FAMILLES D'IDIOTS. 191 t ivre plus ou moins deux ou trois fois par semaine ; depuis la guerre cela ne lui arrivait plus qu
venaient en général par série avec des intervalles de une ou deux semaines au plus. A mesure qu'il vieillissait ils devenaie
s fréquents en hiver qu'en été où ils reviennent presque toutes les semaines ; ils n'ont aucun rapport avec les règles. Pas
. Le plus long intervalle entre deux accès serait de trois à quatre semaines . Les accès seraient précédés d'une aura. L'enfa
de, son esprit a-t-il l'avantage de garder l'empreinte des quelques semaines ou des quelques mois qui viennent de s'écouler
e malade mourut brusquement de syncope. 11 était alité depuis trois semaines ; pas d'autopsie. Cette série d'accidents doit ê
abouti à une atrophie totale, aveccécité complète, (durée quatre semaines ), permit le diagnostic entre l'hystérie et la scl
aux épilep- tiques, présente cette particularité que deux fois par semaine , les chefs de clinique de l'hôpital ou d'autres
tervenir la faradisation généralisée musculo-cutanée. En six à huit semaines , ou trois mois, on obtient un résultat éclatant,
egré le plus inférieur, l'idiot ressemble à un enfant des premières semaines 'de la vie, c'est un, , ! l¡tom1l : le végétati
s inférieures, de sorte que la malade dut garder le lit. Après deux semaines les douleurs diminuaient, la fièvre cessait; ma
coup d'absinthe, s'enivrait souvent et ne commençait quelquefois sa semaine que le mercredi. Il était d'ailleurs bon ouvrie
ortant; puis il a été mis en nourrice pour être élevé au sein; cinq semaines plus tard, il était « en'étisie ». Sa mère l'a
on a remarqué, comme les autres années, des périodes de une ou deux semaines durant lesquelles il est inerte, irritable, que
che reste fléchie. Traitement anti-scrofuleuæ; deux bains salés par semaine , essayer de faire marcher l'enfant. 4 novemb
nt commença le 8 août 1883 et fut terminé au bout de douze à quinze semaines . Le 20 novembre, on procédait à l'examen des en
ent à un haut degré. Il a fallu pour les quatre balbutieurs, quinze semaines à six heures de leçon par semaine; pour les bég
les quatre balbutieurs, quinze semaines à six heures de leçon par semaine ; pour les bégayeurs on a dû donner neuf semaines
heures de leçon par semaine; pour les bégayeurs on a dû donner neuf semaines au moins, quinze semaines au plus, du même temp
e; pour les bégayeurs on a dû donner neuf semaines au moins, quinze semaines au plus, du même temps. Un nou- vel examen prat
échappe de Bicêtre le 2 janvier t 885. Après avoir passé plusieurs semaines à Paris, il s'engage dans un régiment d'infan-
inte des personnes qui avaient quitté l'établissement, quatre à six semaines après leur départ, prouvait une longue incubati
âtrement toute nourriture, à conserver son existence au moins trois semaines . Exemple : Une. dame ainsi traitée d'abord dura
té, ont refusé d'ingérer aucune nourriture pendant une, deux, trois semaines ; tous ilsontrecom- mencé à manger. Mais la cond
on à la sonde de quatre mois et demi pendant les quatorze premières semaines , il diminuait de poids de 27 p. 100, puis regag
65 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
g. Centralbl., Xlll, 1894.) Homme de vingt-quatre ans. C'est deux semaines a près sa naissance (accouchement naturel) que
ici tout au moins une observation à marche' extrêmement rapide (six semaines ) en faveur de cette opinion. 11 s'agit d'une as
n, de l'asphyxie locale, de la gangrène symétrique, avec la lèpre. ( Semaine médicale, 1893, n° 37, 15 juin.) , P. K. VI.
s indubitables d'un accouchement récent remontant à trois ou quatre semaines au plus. Arrêtée aussitôt, elle avouait le le
irection pour montrer le nez, les yeux ou la bouche. Après quelques semaines de cet exercice l'enfant non TRAITEMENT ET ÉDUC
nsible pour les personnes'qui ne vivaient pas avec lui, et quelques semaines ont suffi. D'autres idiots paraissent ne pas av
tre arrivé à peu près à la moitié de l'expi- ration. Après quelques semaines de ces exercices, on fait pro- noncer un mot de
VESTPH.1L. (Archiv. f. Psychiat., XXVI, 1.) 1. Dans les premières semaines de la vie, jusqu'à une certaine période qui n'e
lindraxes à leur périphérie cela notamment aux troisième et sixième semaines de la naissance; 3° Les fibres périphériques de
encore complètement atteint; 9° La période des troisième à sixième semaines de la vie est un stade important du développeme
ent rondes, ou partiellement circulaires, sont déjà, à la troisième semaine de la vie, en partie polygonales. Chez un enfan
usieurs attaques quotidiennes dans 29 cas; une ou deux attaques par semaine dans 28 cas; une ou deux attaques par an dans 25
t plus souffrir sa présence ni celle de ses enfants. Un matin de la semaine dernière, sa bru, étant venue voir s'il n'avait
, la « Société contre l'usage des boissons alcooliques », a tenu la semaine dernière, à la mairie du 6° arrondissement, sa
oup, passer des nuits près de lui, se surmener durant les dernières semaines qui ont précédé sa mort. Deux mois après la mor
les oculaires. Facies pâle. La malade tousse un peu depuis quelques semaines . Submatité et respiration très affaiblie sous l
ements ont corroboré com- plètement son dire. Autre exemple : trois semaines après son entrée, elle sait qu'elle est arrivée
le diable qui a fait cela et qui va m'emporter. " Depuis plusieurs semaines , elle devient triste, préoccupée, par- fois anx
ouillait : c'est toujours la main invisible qui fait cela. Quelques semaines après, elle sortait améliorée, mais cependant e
hallucinée qu'aux premiers jours de sa maladie, quand elle sort une semaine après son entrée sur la demande de la famille.
e la malade de M. Rubiez n'a pris que 375 grammes de thymus en cinq semaines , la nôtre, grâce à sa boulimie, a pu absorbersa
dé d'un stade prodromique dont la durée varie d'un jour à plusieurs semaines et que caractérisent des anomalies psychiques o
ou somatiques peu accusées. La guérison se produit après plusieurs semaines ou plusieurs mois. Pas de perte du souvenir. On
esque la qualifier de guérison a été obtenue dans un délai de six semaines . L'auteur a fait suivre cette observation d'un ré
ant quelques heures ou un jour, pour reparaître ensuite pendant des semaines consécutives, la région est en outre douloureus
plus haut. Malheureusement cet état satisfaisant n'a duré que six semaines , au bout desquelles les douleurs ont reparu avec
tographies figurant les trois malades (deux filles et un garçon) de semaine en semaine pendant les deux mois de traitement;
figurant les trois malades (deux filles et un garçon) de semaine en semaine pendant les deux mois de traitement; ils sont r
rois- santes depuis 5 centigrammes jusqu'à un gramme, pendant six semaines ; suppression brusque de l'opium remplacé pendant
édecins réunis pour examen de Delanoy. Je l'ai vu quatre fois cette semaine . Marche comme un facteur rural. » . - 348 VARIA
année il n'en est peut-être pas dix qui aient suivi durant quelques semaines un service d'aliénés et ont pu acquérir quelque
aliénés. » Le médecin est tenu de visiter les malades deux fois par semaine ; il lui est recommandé de consulter, en cas de
églutition et de la parole qui rétrocédèrent complètement après dix semaines . En 1890, second accès caractérisé par les mêmes
ond accès caractérisé par les mêmes signes et d'une durée de quatre semaines . En 1892, troisième accès pendant t lequel on n
prend pas connaissance. Alimentation par la voie rectale durant une semaine ; la semaine suivante, possibilité d'avaler des
nnaissance. Alimentation par la voie rectale durant une semaine; la semaine suivante, possibilité d'avaler des aliments liq
jour vingt-cinq attaques convulsives, qui persislent pendant une semaine , mais en diminuant chaque jour de fréquence. Etat
nuant chaque jour de fréquence. Etat coma- teux pendant environ six semaines : miction et défécation invo- lontaires. Amaigr
le lendemain de l'opération, la guérison fut rapide. Au bout d'une semaine l'enfant peut dire oui et non et elle remue le
ntre l'accident et l'opération et ses souvenirs rela- tivement à la semaine qui a suivi la trépanation sont très indistincts.
suffisant quand nuit et jour il supporte et cela parfois durant des semaines le poids du corps; l'édredon aura son utilité p
66 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
nous avons pu éviter cet inconvénient. Nous mettons la moelle trois semaines dans une solution (que nous ne renouvelons pas)
ymptômes se modifient légèrement. Ainsi, vers la fin de la première semaine , le membre du côté de l'hémisection peut 134 RE
lors avec une rapidité telle que, dès la troisième ou la quatrième semaine , la paralysie n'est plus guère reconnaissable, sa
ans le principe; mais ils le deviennent dans l'espace d'une ou deux semaines . »... « L'accep- tation de cette propriété vica
es recherches ont porté exclusivement sur de jeunes animaux, de six semaines à six mois. La région motrice d'un hémisphère é
. Après la cessation des phénomènes consécutifs connus (cinq ou six semaines ), on opérait de même sur l'autre hémisphère. Lo
aux survivaient peu de temps à cette troisième expérience (de trois semaines à trois mois). Un chien put être conservé plus
nsécutifs avaient toujours complète- ment disparu après cinq ou six semaines . 2° Après la cessation des troubles consécutifs
des deux côtés, la mort survint d'une façon singulière : après des semaines d'une bonne santéapparente, ils maigrissaient r
il s'opère sur arrêté du président du tribunal, valable pour six semaines ; cet arrêté doit être ensuite renouvelé pour un a
eux filles et umgarçon sont morts du croup ; un garçon est mort à 3 semaines sans convulsions; deux autres âgés, l'un de 25
isirent de lâ`niême ma- nière et revinrent ainsi presque toutes les semaines jusqu'à l'âgé' Il 'ou' 5 ans Elles'portaient al
e ; puis les accès se seraient succédé à intervalles assez longs (6 semaines et plus). Les accès reviennentsans prodromes et
que s'est produit le premier accès d'épilepsie, puis un second six semaines après. Un traitement par le bromure de potassiu
f<n\Y\1'\\I : \ ! \.G. \Une,iÍ1terruptlOn dé'traItement"de trois semaines n'empira point son état ? les\ séances' furent
éactiÓÙ ! dé;1)érative,9Jont'Íme' duréé plus'' longue, environ" six semaine Enfin, ceux qui présentent les' phéI1,Õmèn'ésBol'
e fois il reprenaitide l'iodurelde' potassium'' pendant' quelques semaines . Depuis juin 1878; il n'à'eu que' deux légères1 c
même temps, douleurs dans le sciatique gauche, qui, au bout. d'une semaine , devinrent si violentes qu'il pouvait à peine r
. Cette petite opé- ration est généralement, répétée trois fois par semaine , en même temps qu'on institue une médication ap
ut très amélioré ; dans le huitième cas, le remède échoua après une semaine d'essai. Voici un résumé des observations. Un
ntensité. Le traitement fut continué jusqu'à la fin de la quatrième semaine . Les pupilles restant un peu dilatées, les spas
échoué, on employa le soulier à extension.' A la fin de la première semaine , l'appareil fut enlevé ; l'enfant marchait et p
légie infantile ; qu'il suffit pour cela d'un temps fort court, une semaine et probablement moins; qu'une fois vaincue, la
partie inférieure de l'avant- bras par un éclat de bouteille. Cinq semaines après, la cicatrisation de la blessure étant in
ujet à la constipation : on nous assure qu'il reste un mois ou cinq semaines sans avoir de selles ; alors, il aurait une gar
émotions vives avec cris, perte de con- naissance et chute, à la 6° semaine , au 5° et au 7° mois. Accouchement facile, envi
6° semaine, au 5° et au 7° mois. Accouchement facile, environ trois semaines avant terme. B ? à la naissance, n'était pas cy
ans les 24 heures. Les plus longues intermittences étaient de trois semaines . On n'a pas remarqué d'étourdissements. Cet enf
ni se tenir debout. On constate alors qu'il n'entend plus. Trois semaines après, le 9 septembre 1879, l'enfant peut mouvo
re intense. Le deuxième jour il a de la raideur du cou. Après une semaine (deux sangsues derrière chaque oreille, vessie de
) limitées au bras et à la face; embarras de la parole depuis six semaines . Au moment de l'entrée à l'hôpital, paralysie fac
avid V... entre à. l'hôpital de Cincinati au mois de juin 1877. Six semaines auparavant, sensation de pesanteur dans les mem
a protubérance et du cervelet. - Edmar P..., fille de huit ans. Six semaines avant l'entrée à l'hôpital, tremblement, déviat
été déjà légèrement atteinte avant son entrée dans cette école. Une semaine plus tard 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. e
sangsues derrière les oreilles, en trois fois; mort au bout de six semaines . Pas d'autre altération cérébralo qu'une légère
e de la céphalalgie et des maux de tête qui ont duré trois à quatre semaines . Ce malade a été pris cinq semaines avant son e
ête qui ont duré trois à quatre semaines. Ce malade a été pris cinq semaines avant son entrée à l'hopital d'un premier accès
- gère. Une douzaine d'autres accès se produisirent dans les cinq semaines suivantes. A son entrée, le malade raconta qu'il
ême faiblesse. Quoi qu'il en soit, il ne restait plus au bout d'une semaine qu'une fistule étroite qui s'oblitéra le dixièm
La néoplasie des fibres nerveuses s'observe toujours à la 4° ou 5° semaine ; ses premières traces se montrent le 16° jour d
t à peu près rétabli. F. Atrophie musculaire. -Très nette dès la 2° semaine , elle n'est, pour M. Leegaard, le fait que d'un
t atteint de manifestations paralytiques au bras droit ; quel- ques semaines plus tard, paralysie de l'avant-bras gauche. Tr
ons). L'auteur n'a vu que deux cas de folie circulaire survenue six semaines après l'accouchement ; de démence paralytique,
montreraient immédiatement après l'accouchement ou dans la 2e et 3e semaine qui le suit, la lactation n'en déterminerait qu
mure de potassium et d'ammonium qu'il avait absorbées pendant trois semaines . Cn. F. XXXI. L'ivresse par LE chloral; par J.-
temps variable, suivant la susceptibilité individuelle, de quelques semaines à quelques années, les indi- vidus, qui ont pri
ty of Kings, mai 1879.) . Une primipare, vue par le Dr Hunt, deux semaines avant son accouchement, était atteinte d'anasar
67 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
. « La joie fait peur, dit-on. J'en suis certain, car si depuis une semaine je suis très heureux, j'ai également très peur.
oigner, restant ainsi jusqu'au jour où je me mariai, à vingt ans. Six semaines après, j'étais enceinte. « Me voyant très malad
, conformément a une suggestion faite. Elle continua pendant quelques semaines à demander le secours de la suggestion contre des
e satisfaction que celle de combattre la douleur. Au bout de quelques semaines , "le médecin qui la traitait lui apprit à se tair
rps, la douleur empêchant tout mouvement d'abduction du membre. Trois semaines après l'accident, l'anes-thésie avait disparu et
es du Milanais, vingt-cinq maîtres de maisons se tuèrent en une seule semaine . L'imitation dans le suicide, comme, ainsi que
artageait les jeux de ses petites camarades. A partir de la seconde semaine , elle ne fut plus soumise au traitement suggestif
e au traitement suggestif que tous les deux jours; puis, la troisième semaine , que deux fois la semaine et, à dater de la quatr
que tous les deux jours; puis, la troisième semaine, que deux fois la semaine et, à dater de la quatrième semaine, je ne la voy
oisième semaine, que deux fois la semaine et, à dater de la quatrième semaine , je ne la voyais plus qu'une fois par semaine. Au
inique le 29 octobre 1892. Elle était enceinte, arrivée à la septième semaine de sa grossesse, et se plaignait de vomissements
abdominal contracture reprit peu a peu sa situation normale. Quatre semaines plus tard, l'enfant, complètement guérie, pouvait
de railler son hôtesse infortunée. « Cet état de choses dura trois semaines , au bout desquelles on se décida à aller chercher
prises avec l'hallucination, Mme X... eut en effet, pendant plusieurs semaines , chique nuit, des crises asphyxiques subin-trnnte
renier émancipé... etc. « Au moment où j'écris ces lignes, après huit semaines , il reste émancipé, (1) J'ai raconté l'histoire
ation faite elle m'assura avoir en effet très peu souffert. A trois semaines de là. la malade quitta la clinique, parfaitement
contre l'autosuggestion tenace du sujet a-t-il fini, au bout de trois semaines , par restaurer graduellement toutes ces fonctions
ales, le 21 Janvier, et le continuent le jeudi et le samedi de chaque semaine , à oeuf heures quarante-cinq du matin. Hopital
me X... prit l'influenza et dut garder la chambre pendant plus de six semaines . Sous l'influence de l'affaiblisse-ment produit p
rue quand on l'appelait de l'autre trottoir. Mais au bout de quelques semaines , elle avait repris ses habitudes morbides, suivan
e Mlle V... Les mêmes phénomènes se manifestèrent pendant plusieurs semaines . A partir de sept heures du matin, moment où el
jerine a publié, dans le courant de décembre, un article paru dans la Semaine médicale, sur la « Sclérose médullaire des ataxiq
s de nerfs, autrefois très fréquentes, réduites maintenant à deux par semaine , depuis l'époque de la ménopause; ces attaques su
ais ». La suggestion a naturellement été reprise et. au bout de six semaines environ, E... était complètement guéri. Il «erait
ma belle-mère et do la masturbation, qu'arrivera-t-il? » Après six semaines de traitement, E... ne se masturbait plus et n'av
n est de faire cesser le sommeil cataleptique que l'on voit durer des semaines et des mois. La difficulté est grande, puisque
s ne sait rien de ce qui s'est passé pendant sa durée. Il y a trois semaines , en dehors des règles, la malade a la même sensat
es, réservant te choléra pour la fin. Je l'ai attaqué sérieusement la semaine dernière, et je me suis avise d'un procédé assez
rs souffert de maux d'yeux ; actuellement elle est malade depuis cinq semaines . A la suite d'une grande frayeur, elle te vit att
transportée à l'hôpital Saint-Pierre, où elle est restée pendant sept semaines , dans le service de M. Spehl. Elle est sortie de
n'avait eu de scarlatine. La durée de la chorée datait de plusieurs semaines ou de plusieurs mois. Chez quelques-uns de ces en
mentales. MM. Joffroy et Jules Voisin : le jeudi et samedi de chaque semaine , à 9 h. 45. Maladies mentales. M. Auguste Voisi
vieillards Jusqu'au plus Jeune baby, consomme au moins une pilule par semaine . Les pilules consommées annuellement donneraien
mentales- MM. Joffroy et Jules Voisin : le joudi et samedi de chaque semaine , à 9 h. 45. Maladies mentales. M. Auguste Voisi
68 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
ues de l’officialité, pour y jeûner au pain et à l’eau trois jours la semaine ; diffère à statuer définitivement jusque après l’
de Galusliiels, âgée de dii-huit ans, fut saisie, il y a vingt-trois semaines , d’une fièvre bilieuse très-grave, par suite de q
le se trouva alors dans ; une espèce de léthargie, et resta plusieurs semaines sans cou naissance; néanmoins, elle était impress
onnaissance. «L’esprit prescrivit un remède et annonça que dans six semaines le parasite serait expulsé en deux morceaux. Quoi
la prescription était si simple qu’on se décida à l’exécuter. En six semaines , jour pour jour, le reptile fit son apparition ,
assidus qu’il lui prodigua hâtèrent le retour vers la santé, et trois semaines plus tard le rétablissement était complet. 18e
— Le malade est couché dans son lit qu’il n’a pas quitté depuis trois semaines environ ; une maigreur générale extrême, la face
es prescriptions qu’elle va formuler : — Magnétisation trois fois par semaine ; tous les huit jours une purgation avec mannes, d
sur la peau, et se priver de travailler pendant quatre mois. — Trois semaines plus tard, elle fît ajouter aux prescriptions ci-
t mes soulèvements d’estomac et mes vomis* « ments, passés depuis six semaines , comme je vous l’ai dit « à Laval. J’ai pris depu
indre difficulté. On sait qu’une entorse dure toujours au moins 4 à 5 semaines malgré tous les secours de la médecine et de la p
d de constater s’il y avait eu perpétuité dans les efTets obtenus une semaine auparavant, et renouvelés depuis une fois ou deux
d’une foule 1) Le Propagateur homœopalhique , parafant une fuis par semaine , rue des Moulins, 16. (le phénomènes générale
e peu de pain et du poisson ; — reprendre les purgations, deux en une semaine , et aussi deux bains entiers avec une livre de se
l’usage des compresses, et faire prendre à la jambe, deux fois en une semaine , un bain dans l’eau duquel on aura fait bouillir
on a eu lieu, faire usage de la même décoction, quinze jours ou trois semaines environ. Ce Monsieur, que j’ai eu l’occasion de
e résultats. « L’affaire en était restée là, lorsqu’il y a quelques semaines une somnambule, consultée par un intéressé, décla
sang et du fluide nerveux, et m’a enfin guéri dans l’espace de trois semaines de mes affections, au point que je puis maintenan
x en mieux; au bout de quelques jours il put se promener, et en trois semaines il fut complètement rétabli , de manière à pouvoi
Peu de temps après , il y avait déjà une amélioration visible. En une semaine , les membres paralysés recouvrèrent le mouvement
, les membres paralysés recouvrèrent le mouvement ; au bout de quatre semaines , elle put marcher autour de sa chambre. 11 y a ma
elle put marcher autour de sa chambre. 11 y a maintenant six ou sept semaines qu’elle était au plus bas, et hier, je l’aidais à
nfrère Lob qui, pour prôner son eau merveilleuse, fait insérer chaque semaine dans les journaux : ■ Je donne 40,000 fr. à celui
une manière complète, cependant l’exception était rare. Pendant trois semaines que durèrent les essais, qu’on renouvelait tous l
ue d’autres m’ont promis et qu’ils ne m’ont point rendu. 11 y a trois semaines que je suis mort ; l’hôte de cette maison, aidé p
it sujette à des crises épileptiques depuis neuf ans, depuis quelques semaines après la naissance do l’aîné de ses enfants. Jusq
rent , ayant lieu tous les jours, ou plutôt ne cessant qu’un jour par semaine , et elles se répétaient de huit à dix fois par jo
’endormit pendant la séance. J’ai oublié de dire que, depuis bien des semaines , elle ôtait en proie à l'insomnie. Dès le troisiè
ade huit jours et la magnétisa le même nombre de fois. Le jeudi de la semaine qui suivit l’époque de la première visite, madame
faire connaître un événement étrange qui est survenu, il y a quelques semaines , près de Milledgeville, dans le comté de Ca-roll,
ter. L’intérêt des réunions alla toujours croissant pendant plusieurs semaines , et, après les serinons , on invitait, suivant l’
. S., place du Marché, à Nîinçs, vit en songe, pendant une nuit de la semaine dernière, sa tante madame X., se rendant de Saint
i donne sur la rue, a deux escaliers qui se font face. « Depuis une semaine , à diverses heures du jour et de la nuit, à tous
ucune médecine, et de boire de l’eau froide à discrétion. Pendant une semaine , il sembla douteux qu’ils pussent triompher de la
enir un médecin, sa fièvre tint bon, et il lui fallut trois ou quatre semaines avant de pouvoir se lever. Comme il était hostile
avait conçues. Il le magnétise régulièrement quatre ou cinq fois par semaine , et la lucidité du somnambule n’a jamais fait déf
il a ordonné de le magnétiser pendant ce laps de temps trois fois par semaine , le laissant à lui-même pendant chaque première d
mais la convalescence sera longue. » Le pauvre enfant en eut pour six semaines . O médecins ! nous reconnaissons volontiers que
triomphes du magnétisme. Un magnétiseur autrichien nous est arrivé la semaine dernière. Il se nomme le docteur Friedberg. Il a
es. Une tireuse de cartes lui ayant prédit qu'il prendrait dans trois semaines Ismaïl qu'il assiégeait depuis septmois.il fit un
69 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
ite ; de plus elle avait souvent des attaques de nerfs. Il y a sept semaines , elle a été mordue par un chien qu'elle enfer¬mai
gie. A trois jours du début, crachats rouilles, visqueux, pendant une semaine environ. Tous ces détails appartiennent au récit
tieusement relatée chaque jour pendant un laps de temps de plu¬sieurs semaines . Notre but était d'abord d'éviter des répétitions
fait usage de charcuterie cuite durant quinze jours (5 ou 6 fois par semaine ). En Alsace, il faisait souvent usage de viande d
ments, et avant ses repas un verre d'absin¬the. Environ deux fois par semaine , il fait un peu d'excès et le len- 1 Le choc du
e de notre ami et il se soumit au traitement suivant : trois fois par semaine nous lui fîmes prendre des bains amidonnés ; chaq
volume d'eau. Ces badigeonnages furent pratiqués quatre fois en deux semaines ; à l'intérieur nous avons fait prendre, à partir
oude à 1 milligramme. Les badigeonnages furent répétés trois fois par semaine , et aucun des autres moyens de trai¬tement ne fut
x, suspendit les travaux de sa profession et fut guéri au bout de six semaines . Dans les deux observations que nous venons de
e lui et les objets. Cette espèce d'amblyopie s'accrut et, cinq à six semaines plus tard, la vision était totalement abolie à dr
ision dans l'œil droit, laquelle était presque complète au bout d'une semaine . Quinze jours plus tard, l'œil gauche s'améliora.
sirop. La fièvre disparut encore, la sanlé générale s'améliora. Trois semaines après, rechute puis cessation des accès ; mais, l
hôpital Saint-Antoine (service de M. Mesnet) ; elle y est restée sept semaines . Pendant la convalescence de sa fièvre éruptive
État actuel (16 décembre). Céphalée persistante. Alopécie depuis huit semaines ; iritis à gauche. Adénites au cou, à la région ma
it guérie depuis deux ans ; mais le jeune garçon, malade depuis trois semaines seulement, était dans un état d'émaciation inquié
r jamais eu le moindre désir erotique, même en rêve. Après quelques semaines de séjour à l'hôpital, cette femme suc¬comba aux
tion. La douleur disparut, les croûtes tombèrent, et, au bout de cinq semaines , les téguments devenus plus souples avaient cette
hôpital après trois mois de séjour ; elle rechuta au bout de quelques semaines et vint réclamer une seconde fois les soins de M.
(service de M. Duplay) pour une nouvelle hémorrhagie. Au bout de six semaines elle quitta l'hô¬pital, craignant d'y mourir. Le
1 centigramme, une après chaque repas. 17 août. Depuis deux à trois semaines , Mon... éprouve des soubre¬sauts, surtout la nuit
rigée sur l'hôpital de la Pitié où elle succomba, au bout de quelques semaines , à une péritonite purulente, circonscrite aux rég
Il s'agissait d'une femme, C...,Laure, âgée de 22 ans, qui entra six semaines après son accouchement, avec tous les symptômes d
70 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
symptômes sont consignés dans les observations. Au bout de quelques semaines , de quelques mois, le gon-flement disparaît et al
la partie la plus postérieure des cordons latéraux. Depuis quelques semaines , quelquefois depuis plus longtemps encore, les sy
athologie expéri-mentale. B. Au bout de quelques jours, de quelques semaines , plus lard dans certains cas, plus tôt dans d'aut
rqués, et que, d'un autre côté, ils peuvent exister, durant plusieurs semaines , ou plus long-temps encore, à l'état d'isolement,
raumatique, peut subsister, d'une manière continue, pendant plusieurs semaines , sans adjonction de paralysie des membres, ainsi
2, la pupille droite resta très manifeste-ment dilatée pendant quatre semaines , après quoi elle reprit progressivement ses dimen
ois qu'il persiste, à titre de symp-tôme permanent, pendant plusieurs semaines . Je reviens à ce propos sur le cas du docteur Ros
ne dura pas plus de vingt-quatre heures. Néanmoins pendant les quatre semaines qui suivirent l'accident, en outre de la dilatati
ur la tête et perdit connaissance un instant. Il dut rester plusieurs semaines au lit, se plaignant d'une douleur vive au cou et
la faradisation n'affecte plus. Tout muscle qui, au bout de quelques semaines après le début, ne réagit pas, est'menacé d'être
ssement en question devient appréciable de très bonne heure, quelques semaines parfois après le début, ou même plus tôt encore 3
ière progressive, dans l'espace de quelques jours ou même de quelques semaines . Il est d'autres cas enfin où, dans la période
a été dit par M. Du-chenne (de Boulogne), les aurait constatées trois semaines après le début de la maladie sur un fragment de m
avait été pris d'une fièvre intense, laquelle dura pendant plus d'une semaine , et fut suivie d'une paraly-sie motrice complète
é à se produire. On assure toutefois qu'elle a été remarquée quelques semaines seu-lement après le début de la maladie. 11 est à
ique reconnue dans plusieurs ob-servations de myélite dès la première semaine 1 ; et enfin, l'atrophie des muscles rapidement d
ux n'existent pas encore ; on les voit apparaître vers la 6e ou la 8e semaine dans le sillon qui sépare encore latéralement les
s tard (Fig. 13, /). Vers cette même époque (c'est-à-dire la huitième semaine environ) se développent, dans le sillon qui sép
g. 15. — C. de la moelle cervicale d'un embryon humain âgé de 12 à 15 semaines . — Môme signification des lettres. plus postéri
urvenue à la suite d'un refroidissement. Cystite con-sécutive. Quatre semaines après la rétention apparaissent les premiers symp
é plus haut de M. Leyden, et dans lequel la para-lysie survint quatre semaines seulement après une rétention d'urine déterminée
raitement, le malade recouvra les fonctions de la vessie, et quelques semaines après il était capable de sortir de son lit et de
de juillet. Vers le commencement de juin, c'est-à-dire environ cinq semaines après le début du traitement, on remarqua que, de
moitié postérieure, la couche optique. La malade avait succombé trois semaines environ après l'invasion des symptômes apoplectiq
oureuses qui, dans les premiers temps, se montraient toutes les trois semaines environ, devinrent, par la suite, plus fréquentes
on, soit par toute autre cause, le malade a guéri au bout de quelques semaines de traitement. » Depuis cette époque, M. Charco
cation de vésica-toires volants sur la région du larynx ; après trois semaines de traitement, les accidents avaient complètement
les de nitrate d'argent. Ce trai-tement fut suspendu au bout de trois semaines . Il n'avait entravé en rien la marche envahissant
ado-hypertro-phique ou myosclerosique, et qui avait succombé quelques semaines auparavant à l'hôpital Sainte-Eugénie, dans le se
71 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
membres postérieurs, jusqu'à la mort, c'est-à-dire pendant plusieurs semaines ou même pendant plusieurs mois (2). En résumé,
hémiplégie droite avec perte de la sensibilité du même côté. Quelques semaines avant cette attaque, il avait éprouvé dans le glo
ractiliLé électrique s'affaiblir ou même disparaître de six à douze semaines après la section d'un nerf mixte, M. Schiff l'a t
cial, persiste dans les muscles correspondants, pendant plus de douze semaines (2). Après l'arrachement ou la section du nerf fa
ution ou la perte de la contractilité faradique et, dès les premières semaines , Vatrophie et la dégénération des muscles. Bien q
des contractions musculaires ; mais, à partir de la fin de la seconde semaine , à et affaiblissement succède une exaltation qui
terstitiel que se montrent les premiers changements ; dès la première semaine , il s'y accu-mule de nombreux éléments cellulaire
nter d'alté- 1. Voir la note, p. 42. rations que vers la deuxième semaine . A cette époque, on peut constater déjà que le di
t qui porte les caractères duprocessusinftammatoire ; dès lapre-mière semaine , des éléments cellulaires arrondis, présentant un
inture, ainsi tuméfiée, un liquide citrin, transparent. Une ou deux semaines après l'invasion, quelquefois beaucoup plus tôt,
àl'aide d'un appareil ingénieux, dit avoir obtenu, pendant près d'une semaine , une irritation du grand sympathique cer-vical, p
es de paralysie agitante de-puis plusieurs années. Dans les premières semaines , il y a eu un amende-ment de quelques-uns des sym
myéline, car on le retrouve encore parfois, dans la gaîne, plusieurs semaines ou même plusieurs mois après la section du tronc
t une « comtesse », etc. (3). Mlle V.. a été prise, il y a quelques semaines , d'un vérita-ble accès de lypémanie. Elle avait d
e attaque apoplectiformc précédée pen-dant quelques jours ou quelques semaines de vertiges, de cépha-lagie, et suivie d'hémiplég
mme cause : a) une maladie fébrile avec diarrhée qui a duré plusieurs semaines , /;) une émotion morale vive ressentie par la mal
, à l'état de symptômes permanents. Durant des jours consécutifs, des semaines , des mois, la quantité d'urine rendue en vingt-qu
-tion rénale et l'excrétion supplémentaire peut persister pendant des semaines , des mois, sans qu'il en résulte jamais aucun tro
à celui que Schérer a trouvé chez un aliéné qui jeûnait depuis trois semaines ; 9 à 10 grammes d'urée en vingt-quatre heures, v
romatopsi^)dsidece nombre : constatée très nettement, il y a quelques semaines , et à différentes reprises, chez une de nos malad
sthésie intense de la moitié correspondante du corps. Au bout de cinq semaines , la paralysie motrice diminua.—Sfév. 1853. Les mo
par M. Charcot dans la présente leçon. 1873. —9 février. Depuis une semaine environ Ch... est agacée, irritable: parfois même
s très brefs, la nature hystérique du mal, surtout dans les premières semaines , repa-raissait dans tout son jour. Une fleur dans
'égards à celui dontje viens de vous entretenir. Pendant plus de huit semaines , la malade en question éprouva des at-taques épil
m-derlich, à laquelle M. Charcot fait allusion. Observation. — Huit semaines de convulsions hystériformes à marche apy ré-tiqu
lontairement de sa bouche. Le phénomène s'est modifié depuis quelques semaines sous l'influence d'un traitement approprié. (Hyos
oses étaient exactement dans le même état le 31 mai, c'est-à-dire six semaines après l'accident, alors que M. Charcot vit la mal
cation appréciable, avec une ténacité désespérante,pen-dant plusieurs semaines , plusieurs mois, voire plusieurs années. La moind
scène pathologique d'une façon àpeu près exclusive pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois, puis disparaître un beau jour,
rdinaires ; mais les symptômes nerveux persistèrent pendant plusieurs semaines et cédèrent graduellement. Il est à remarquer que
i s'est écoulée de mars à juin 1875. — On voit que, pendant plusieurs semaines , la sécrétion venait au voisinage de zéro. Puis t
72 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
use et adopté la même formule. Ainsi dans une leçon publiée dans la Semaine médicale, le 2 février 1887, je disais : « Dans
fut soigné comme blessé à l'hôpital de la Pitié et au bout de trois semaines il était complètement guéri.. 1 En 1887, deux
tes, tantôt plus fréquemment. Elles durèrent ainsi durant plusieurs semaines , puis disparurent spontanément. Avions-nous a
- saient les mouvements de la patte paralysée, et dans cinq à six semaines le rétablissement était si complet qu'au premier
laie se cicatrisait pe1' primam, ainsi qu'au bout de trois à quatre semaines se formait à l'endroit de la plaie une cicatric
subi une hémisection heureuse, il fallait au moins trois ou quatre semaines . Les cobayes, qui avaient gardé la partie du co
hésie ; ces phénomènes disparurent déjà au bout de six jours. Une semaine après l'opération se manifestèrent les premiers s
s la patte gauche inférieure, qui furent complètement rétablis cinq semaines après l'opé- rtttion. - La sensibilité, deux se
rétablis cinq semaines après l'opé- rtttion. - La sensibilité, deux semaines après l'opération, est rede- venue la même qu'a
partie dorsale inférieure de la moelle épinière, et au bout de six semaines environ, ils trouvèrent l'espace, qui fut restée,
qui se manifesta par des accès généraux bien caractérisés, quelques semaines après la naissance, par exemple chez cinq chien
lut ainsi : Le processus commence par un stade aigu de deux à trois semaines , les cellules normales prolifèrent en grosses c
aire de l'isolement. Mais à Leubus, la durée n'en dépasse pas trois semaines ; nous y évitons la réclusion permanente. M. l'I
droite; il en résulte une claudication légère qui s'accentue trois semaines plus tard, quand survient de 164 CLINIQUE NERVE
nèse des convulsions épilepti- formes remarquées dans les dernières semaines de l'existence du malade. Nous ne devons pas pe
est résulté la paralysie des deux extré- mités du côté droit; sept semaines plus tard, il s'est produit un rétablissement c
e à traitement. Le professeur Eulenburg (de Berlin) a reconnu cette semaine , comme sain d'esprit, un jeune lieutenant de hu
sychiques observés, malgré un traitement prolongé pendant plusieurs semaines , conduit les auteurs à admettre que les injecti
lusieurs cas, l'action antiépi- , leptique diminue après six à huit semaines . D'après une expérience, l'action du médicament
s les conséquences extrêmes de sa méthode, « si au bout de quelques semaines l'effet thérapeutique, sous l'influence de dose
no- mène du genou, mégalomanie caractéristique); elle mourait six semaines après le début de la chorée. A l'autopsie, on tro
'autres accidents qu'à une névralgie intense opiniâtre, cela quatre semaines seulement avant la mort. Ce n'est que lorsque la
urée. - Les crises forment des périodes durant de une à plu- sieurs semaines , périodes après lesquelles tout disparaît complèt
ant de la contribution du Gouvernement est limité à 4 shillings par semaine et par tête ; ou si la dépense totale des aliénés
que la charge nette du pays ou de la ville n'excède4 shillings par semaine . Commeces règlements auront pour effet d'élever
, in BuGI. de la Soc. de méd. mentale de Delgiqtie, nos 59 et 60. Semaine médicale, 1890, n° 50. DES IDÉES DE GRANDEUR CH
est tombé sur la tête, a perdu connaissance et est resté plusieurs semaines à se remettre. Plus tard il a eu le chagrin de
logiques.ll s'est produit chez sa malade, dans le cours de quelques semaines , une hémiatrophie de la face et de la langue ac
rayée et les yeux ouverts. Cela lui arrivait environ trois fois par semaine . Jamais il ne parlait du suicidé, ni de son embou
dégoûtait. Les crises venaient alors tous les mois, toutes les six semaines . On l'envoya ensuite à Berck où il ne fit que pre
ale transverse du plexus cervical superficiel. Guérison en quelques semaines . P. K. XXXVI. Barbes du CALAMUS (Stria,' acusti
sieurs mois, fut atteint de paralysie générale qui évolua en quatre semaines . Chez l'autre malade, la paralysie géné- rale d
CIÉTÉS SAVANTES. 423 tabétiques avancés. Chez l'un d'eux, en quatre semaines les dou- leurs disparurent; il se remit à march
nte, a-t-on dit, parce que lui-même avait de la frigidité. Quelques semaines plus tard se déroulaient devant les tribunaux u
ces spéciales leur permettant d'être eux-mêmes un peu des experts. ( Semaine méd.) UN cas DE fulguration. La Lancet rapporte
73 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
an-Pierre, quatre-vingt-trois ans, attaque d'apoplexie il y a trois semaines . L'hémiplégie gauche, état subcomateux. Le faci
entre à l'hospice le 15 janvier 1896. Antécédents personnels . Cinq semaines avant son entrée à l'hos- pice, la malade rentr
t nerveux et suit régulièrement le traitement suivant : un bain par semaine ; une douche par jour; gymnastique; travaux du
t terme ou à terme ou qui n'ont vécu que quelques jours ou quelques semaines ; 2° les enfants vivants nés à terme ou avant t
ade a eu dix enfants, dont trois avorte- ments, deux sont morts une semaine après la naissance et un autre plus petit a été
de souffrir de la constipation, qu'il reste cinq jours, jusqu'à une semaine , sans aller à la selle; que cet état allerne av
; alors que, chez nous, ces promenades n'ont lieu que deux fois par semaine . Je reconnais que ces promenades peuvent consti
r. Disparition graduelle de ces phénomènes de quelques heures à une semaine après. Retrait de l'oeil dans 160 REVUE DE TH
ées par le poison. Il se produit ensuite pendant une période de six semaines à deux mois eu moyenne, une série de desquamati
de tête avec exacerba- tions matitutinales et de vertiges. Quelques semaines avant son entrée à l'hôpital, il eut un évanoui
délire aigu. Deux de ses malades moururent : l'une au bout de deux semaines , l'autre au bout de quatre jours; la troisième
troisième guérit et l'améliora- tion apparut à la fin de la seconde semaine . Les principaux symptômes qu'il observa furent
s d'amnésie. A. IENraoo. XXXIX. Paralysie faciale guérie en trois semaines par le salicylate de soude; par M. Catiiin. (Re
e qui s'est glissée dans un travail de M. Marinesco, publié dans la Semaine Médicale, 1898, n° 20. Dans ce travail, M. Mari
t les thèses de ce travail ont été publiées dans le même journal ( Semaine Médicale) où parut plus tard le travail du M. Mar
oint important à signaler : le délire proprement dit ne dura qu'une semaine ou deux ; mais pendant plusieurs mois encore, l
es reins remonte le long de la colonne vertébrale. Au bout de trois semaines le malade remarque que son tronc se courbe en a
t douloureux et gonflé, mais revient à l'état normal au bout de six semaines . A noter encore qu'il y a six ans le malade eut
ement troublé, dénutrition rapide. L'évolution se fait en plusieurs semaines , ou en plusieurs mois, l'amélioration survient
is jours, puis tout rentrait dans l'ordre, mais pour recommencer la semaine suivante ; elle prenait ordinairement du vulnér
s'éteint vont elles- mêmes disparaître; et à la fin de la première semaine de janvier, on peut regarder la guérison comme
n coxo-fémorale jusqu'à l'extrémité des doigts ; durant la première semaine se produisit le phénomène de l'allochirie sen-
pression, à trois travers de doigt au-dessous de la blessure ; deux semaines après ce point se trouvait dans la région sacré
é les symptômes qu'a présentés cette malade dans les deux premières semaines qui ont suivi l'accident, mais avant de cherche
es, et dans le gauche de l'hyper- esthésie ; que durant la première semaine de l'accident le phénomène de l'allochirie sens
rie sensorielle était absolument cer- tain ; que dans les premières semaines les réflexes profonds furent nuls, mais qu'ils
t tardifs. Les pre- miers, ceux qui surviennent au bout de quelques semaines ou de quelques mois, n'ont, en effet, ni les mê
remarquer combien il se montrait « ondoyant et divers ». Dans les semaines suivantes, une amélioration progressive se mani
Mmc ..., âgée de vingt-cinq ans, était accouchée depuis plus de six semaines , sans aucun incident et avait déjà repris ses hab
de délire, ayant débuté subite- ment sans cause connue, et duré six semaines avec les mêmes idées délirantes d'auto-accusati
idérables; il est frappé d'amaurose. A l'en croire pendant ces deux semaines il avait pratiqué le coit en HYSTÉRIE MALE. 4
vrant entièrement tout d'un coup la- parole perdue depuis plusieurs semaines . Ces accès de mutisme ne se sont accompagés ni
les salles d'alitement, atteint par- fois mais dépasse rarement une semaine ; les hallucinations ne tardent pas à disparaît
ine de jours, au dire de l'accoucheuse. Ce n'est qu'au bout de deux semaines que cet enfant peut maintenir sa tête presque d
s'aperçoit de la contracture des deux membres inférieurs que trois semaines environ après la* naissance. Les cuisses loi te
on. A sept mois, il ne jouait qu'avec l'auriculaire droit; quelques semaines plus tard il parvint à se servir de l'auri- cul
paralyse que huit jours plus tard. On l'apporte à l'Hôtel-Dieu deux semaines après ; marche impossible, stupeur marquée, int
iveau du genou, du cou de pied. Cette localisation ne dure que deux semaines . L'arthrite coxo-fémorale augmente d'intensité,
35.-pseudo-bulbaire, par Haskovec, 325. faciale gué- rie en trois semaines par le salicy- late de soude, par Catrin, 234.
74 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
èvre typhoïde à sept ans et demi, intelligent; 60 fille morte à six semaines de cholérine ; 7° notre malade ; 8° garçon, dix
uite. (Frictions). Accès de cris nuit et jour pendant les premières semaines . L'enfant a été nourrie simultanément au sein e
reproduites tous les jours jusqu'à quatre par jour. Durant les deux semaines ayant précédé son placement à la Sal- pêtrière
affolement à la sortie. - Pî-eniie ? ,s accidents épileptiques deux semaines après cette émotion. Ver- tiges de plus en plus
Deux phases contraires de l'action de certains znéclica- ments [La semaine médicale, 1889, p. 437). Ch. Féré. La pathologie
ont donc été réellement supprimées. Le malade ayant vécu plusieurs semaines à la suite de son ictus, on a pu faire la part
faiblesse marquée des muscles du tronc et de la nuque des premières semaines disparut égale- ment, ce qui prouve que le cent
vomissements ; cette céphalée persiste avec la même intensité une semaine durant, puis la paupière gauche tombe tout d'un c
- lysies diverses; cela dure plus ou moins longtemps, parfois des semaines , parfois des mois, parfois des années; l'amai-
s les descriptions d'un livre de médecine : il fut pris pendant six semaines d'un sommeil simulant la mort, avec un réveil d
hie. Comme les premières fois, les troubles apha- siques durent une semaine , et à la suite le délire et les hallucina- tion
évolution clinique, elle est caractéri- sée par l'apparition, trois semaines après l'inoculation, de para- lysie avec troubl
mère était aliénée. Lui-même buvait aussi peu. Jusqu'à la dernière semaine on le regardait comme bien portant. Une semaine
Jusqu'à la dernière semaine on le regardait comme bien portant. Une semaine de cela après un vol d'argent de la boutique pa
fig. 18 et 19). Le 22 août, je retrouve, après une absence de trois semaines , la cornée droite présentant encore des altérat
tacher les tics. J'ai exposé, dans un travail publié en 1896 par la Semaine Médicale, la pathogénie de ces états con- vulsi
Assistance DES idiots. Un imbécile cettre. Dans le courant de la semaine der- nière, une dizaine d'incendies ont success
Depuis six ans au moins, G... se grisait fréquemment, une fois par semaine , buvant presque exclusivement du vin en grande
5, un autre ictus moins intense. Cette fois il persiste pendant une semaine environ de la faiblesse mus- culaire du côté ga
eut fallu dire. En outre, des congés d'une, deux, trois et quatre semaines , même renouvelables, sont accordés, dès maintenan
le cervico-dorsale, par coup de revolver, abolit pendant de longues semaines , et jus- qu'à la mort, le tonus et les réflexes
tique, ne pourra pas indiquer le quantième du mois et le jour de'la semaine , il ne saura pas ce qu'il a mangé à son déjeune
te, calomel 0,10 centigrammes par injection intra-musculaire chaque semaine , et iodure de potas- sium à dose progressivemen
mée de cet état de choses, sourit avec incrudulité et continua, les semaines suivantes, à se croire enceinte. Au terme appro
ion néfaste, une sorte de malédiction doit peser sur elle. Quelques semaines se passent ainsi dans le doute, pendant lesquel
organisation originelle, de sa tare, que notre malade, pendant des semaines et des semaines, est obsédée par le besoin d'ar
iginelle, de sa tare, que notre malade, pendant des semaines et des semaines , est obsédée par le besoin d'arriver à une idée
alité de 00 francs. Dans le premier hôtel, nous sommes restées cinq semaines ; après quoi nous avons changé tous les quinze j
vons pu savoir rien de précis quant à leurs hallucinations. Trois semaines plus tard, Jeanne et Clotilde, revues seules, ont
vigueur morale, qu'en pleine infection bacillaire et moins de trois semaines avant la fin, elle donnait, par toutes ses allure
ve la pulpe gangrenée, une légère périostite des racines. Isu trois semaines , tous les accidents disparaissent, sauf de temp
9.) Il s'agit d'une femme de trente ans, bien portante qui, trois semaines après avoir accouché, ressentit tout à coup des d
rendre les observa- tions de deux malades nouveaux, en moyenne, par semaine . Il s'agit là d'un asile normal. Le nombre de
dont la vente leur assure un petit revenu de 14 ou 15 shillings par semaine . La semaine dernière l'administration dut, pour
e leur assure un petit revenu de 14 ou 15 shillings par semaine. La semaine dernière l'administration dut, pour faire face à
venus pendant le séjour de T... ci Maréville. z Le 16 décembre, six semaines après son entrée il l'asile, on fait, en examin
se dissipe promptement. Jusqu'ici, 8 animaux ont survécu plusieurs semaines ; quand on les a tués, on a cons- taté une destr
uéri pendant deux ans. Il lit alors une rechute qui, au bout de six semaines , fut encore suivie d'un retour à l'état normal
ire, sont séparés par un intervalle de quelques jours, de plusieurs semaines , de mois ou d'années. Chez le malade que je'pré
75 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ant l'hémianalgésie fut moins prononcée pendant les trois dernières semaines de la maladie, sans tou- tefois disparaître jam
rche suivante de la maladie jusqu'au jour de la mort qui arriva six semaines après l'attaque. Chaque fois que l'on essayait
oue à tous les repas et risque de s'étouffer. Pendant les dernières semaines il ne peut plus avaler qu'avec les plus grandes d
jamais ni sucre ni albumine. Jamais d'oedème. Pendant les dernières semaines transpirations abondantes. Toutes les em- prein
es, ne se ma- nifesta par des symptômes caractéristiques que peu de semaines avant le décès. La littérature médicale renfe
orps semblait à ce moment in- demne de toute lésion de ce genre. Le semaines suivantes apparurent des tumeurs moliuscoïdes e
es parents qu'elle était guérie. On la rend à sa mère au bout d'une semaine ; dès le lendemain elle a la danse de St-Guy qu
année, a été suivi très régulièrement. S... « n'était pas resté une semaine sans se soigner » avant son entrée à l'hô- pita
uit.Mais il n'est pas excessivement rare de le voir durer plusieurs semaines , 5 ou 6. ou encore davantage. Il y aurait même un
t le coma final d'un temps souvent long, plusieurs jours, plusieurs semaines , plusieurs mois( ? ). Le sommeil à proprement
n intelligence et ses forces s'affaiblissent. Pendant les dernières semaines elles dort nuit et jour,même en mangeant des al
pendant lontemps inter- mittent, mais il devient dans les dernières semaines continu ; continu veut dire sans doute ici plus
ée, la nuit il se plaignait beaucoup. L'auteur observa son malade 6 semaines pendant lesquelles l'état varia peu. Les maux d
l d'une durée considérable. Le Dr Staliniens a observé son malade 6 semaines et très probablement, il dormait déjà depuis lo
ne.On se rappellera en effet que seule l'histoire des six dernières semaines de la maladie est connue. li4 F. SOCA On voit
il eut de la rétention d'u- rines pendant 24 heures, resta quelques semaines au lit, incapable de marcher : après un repos f
maladie actuelle est la première maladie. Le 1. cr mai 1899, trois semaines après un coït suspect, chancre induré de la ver
24 ans. Syphilis en août 1895. Cure par frictions mercurielles de 5 semaines . Bientôt parésie des 4 membres avec engourdisseme
t semi-comateux qui rendait l'interrogatoire difficile. Pendant six semaines , l'état paralytique ne présenta aucune modificati
dans l'7aeo71ylé,rie organique étudiés à l'aide du cinématographe. Semaine médicale, 5 juillet 1899. FiG. Il (Jambe malade
e sol. On se rappelle que dans mon travail antérieur publié dans la Semaine Blérlicale, sur les troubles de la marche dans
st aperçu de la présence de tumé- factions derrière la tête il y au semaines . Les tumeurs sont bilatérales et symétriques et
out de la maladresse du côté droit. Au bout de quelque temps (2 à 3 semaines ), on s'aperçut qu'il avait de ce côté des mouve
u présent et par conséquent de reconnaître. Il ne put pen- dant des semaines reconnaître un ouvrier son camarade, qui était pl
dont il ne se souvenait en rien. Il quitta le lit au bout de huit semaines et rentra chez lui au bout de 3 mois avec assez
s elle s'est produite au bout de 36 heures, deux fois au bout d'une semaine , dans trois cas après trois se- maines, puis en
matique à la suite de semblables acci- dents. - Au bout de quatre semaines le malade était encore au lit et offrait tous les
. fait remonter le début de sa tumeur à deux mois environ. Quelques semaines auparavant, on lui avait dit que son cou grossiss
jamais été troubles ni lactescentes. L'examen, fait il y a quelques semaines , n'a rien décelé d'anormal. Examen du sang : Gl
ade qu'il a observé à la Pitié,en 1894, où elle est restée quelques semaines dans un état de cachexie profonde. UN CAS DE MA
llaire. Chute des dents, en 1886, par dénutrition périostée, en six semaines , sans la moindre douleur. A part une légère con
tébrale, au- cune malformation du thorax. Après un séjour de deux semaines , la malade quitte l'hôpital. Elle revient chez
sque sans interruption. Les crises, autrefois espacées de plusieurs semaines , reviennent maintenant tous les trois ou quatre
le est insuffisante. En effet, dans un second article publié par la Semaine médicale (2) étu- diant les troubles de la marc
enre de recherches dont yL.Marinesco a entretenu les lecteurs de la Semaine médicale et delà Nou- velle Iconographie. Je ré
dans l'hémiplégie organique étudiés à l'aide de la cinématographie. Semaine médicale, p. 225, n° 29, 1899. LA MARCHE DANS L
w Ar- chiv., 1887, - (2) Marie, Sur V hérédo-ataxie cérébelleuse. Semaine médicale, 1893. - (3) Londe, Hérédo-ataxie céré
présenté les symptômes d'une fracture du rocher. Il est resté trois semaines à l'hôpital, puis il est parti, se croyant guéri
édiatement, c'est-à-dire dans un délai de quelques jours à quelques semaines , le traumatisme. Elle est relativement peu fré-
3. DALLEMAGNE, Arch. de méd. expérim., 1893, p. 519. Lan- CEIIEAUX, Semaine médicale, 1895, n° 8, p. 61. -lAI;I1ESC0, Soc. de
ale consécutive. Les réflexes rotuliens étaient très affaiblis. Six semaines avant la mort le malade eut un accès avec perte
ie était également paralysée · Lors de notre premier examen, sept semaines plus tard, voici ce que nous trouvâmes : « La
rs. On la secourut et on ne constata pas de blessure visible. Trois semaines plus tard elle fut prise d'une hémiplégie qualifi
e paralysie droite avec aphasie... il demeura inconscient pendant 3 semaines et quand il revint à lui il ne pouvait dire qu'un
s bien en apparence ; il re- tourna à son travail pendant toute une semaine . Mais onze jours après l'acci- dent on le ramen
l a des attaques bizarres qui le prennent toutes les deux ou quatre semaines . Il ressent une chaleur à la tête, ou des maux
de connaissance, mais la paralysie n'a pas augmenté. Il reste six semaines à Laennec'puis vient à Brévannes. Etat actuel,
mai 1900) parce qu'elle marche encore moins bien de- puis quelques semaines . En l'examinant, on trouve un oedème double des p
uvoir marcher. Vers le printemps de 1897, il put pendant quel- ques semaines avancer sans béquilles, puis la paralysie reparut
76 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
la mamelle, on le laisse vivre un temps variable, de quatre à huit semaines ou même davantage, puis on le sacrifie. On fait
ne pratiquer ces coupes, que lorsque la moelle a déjà séjourné une semaine dans le liquide de Millier, car on évite ainsi
de. On peut dans ces conditions durcir un hémisphère en cinq ou six semaines ; mais d'une manière générale, nous croyons qu'il
ces coupes que lorsque la moelle, le bulbe, etc., ont séjourné une semaine au moins dans le liquide de Millier. Uans les c
n avec cette méthode. La pièce est lavée pendant quelques jours une semaine au moins s'il s'agit d'un hémisphère entier - d
sses pièces, telles qu'un hémisphère entier, il faut au moins trois semaines , quelquefois davantage. On aura soin de renouvele
de. Le séjour dans le collodion sirupeux, varie d'une à cinq ou six semaines , suivant la grosseur de la pièce. Au bout de ce t
de chrome, on place chacun de ces fragments pendant trois à quatre semaines dans de petits flacons bien bouchés, et contenant
résultats dans les dégénérescences secondaires de date récente (trois semaines dans les cas expérimentaux), à une époque par c
ller de 200 à â00 centimètres cubes. - Après un séjour de plusieurs semaines (8 à 6), pendant lesquelles on renouvellera sou
l'0), futur nerf optique, s'allonge et s'étire. Vers la troi- sième semaine de la vie embryonnaire, son axe forme, avec celui
cx- I'u : . 9 i. - l.ucéph,tle V'un embryon humain d'environ In semaines , vu du vertes. (U'ahri·. \\'. fIis.) CA , cer
qu'à la vésicule oculaire secondaire. Vers la fin de la qua- trième semaine , la gouttière est très profonde, et la vésicule o
. j - i FIG. 18. Encéphale d'un embryon humain d'environ quatre semaines (6,9 mm.), vu de profil. (D'après W. His.) AC,
t ganglions .' . cérébraux d'un embryon humain d'en- ? viron quatre semaines . (D'après vs. His). - FiG. 19. Encéphale vu de
cerveau intermédiaire (fig. 17 et 18). Vers la fin de la quatrième semaine , un repli mésodermique médian et antéro-postéri
téraux. I Fia. 22. - Encéphale d'un embryon humain d'environ quatre semaines (6,9 'mm'.). Section vertico-médiane de l'encép
de 1-lis), : représente un angle droit vers la fin de la troisième semaine de la vie. embryonnaire ; il correspond à la pa
able antéflexion, à tel point que vers la quatrième et la cinquième semaine de la vie embryonnaire, la base du cerveau inte
la plus grande largeur de ce dernier; très ouvert vers la troisième semaine de la vie embryonnaire, où il mesure, d'après His
t,, puis en angle aigu, et mesure 0° vers la moitié de la cinquième semaine et 30° à la fin du deuxième mois. L'angle antér
ie. 23. - Embryon humain de 12,1 mm. de longueur âge d'environ quatre semaines et demie. Dessiné d'après nature après éclairci
de chaque côté de la vésicule encé- Fio. 21. Embryon humain de sept semaines (D'après W. His.). La membrane obturatrice du 4
ant de toute la tète de l'embryon. Peu développée vers la troisième semaine de la vie embryonnaire, elle augmente rapidemen
re, elle augmente rapidement et atteint son maximum vers la sixième semaine . A cette époque, l'axe de la moelle allongée form
ité du lube encéphale-médullaire. Chez un embryon de la quatrième semaine , la cavité de la moelle épi- nière affecte la f
Coupe transversale de la moelle d'un embryon humain d'environ quatre semaines et - ' mesurant 6,9 mm. (D'après W. His.) Fo,
sale supérieure de la moelle d'un em- bryon humain d'environ quatre semaines et demie, mesurant 12,5 mm. de longueur. (D'a
sale supérieure de la moelle d'un embryon hu- main d'environ sept semaines et demie, mesu- rant 18,5 mm. (D'après W. His.)
égion dorsale supérieure de la moelle d'un embryon humain de huit semaines et demie, mesurant 24 millim. de lon- gueur. (D
e. Dans l'une et l'autre région ils apparaissent, vers la quatrième semaine de la vie embryonnaire, au niveau du plancher d
et se fusionnent l'une avec l'autre vers la sixième ou la septième semaine (l11s), pour donner naissance à une seule artèr
rieure primitive d'un embryon humain de 10mm,2 âgé d'environ quatre semaines et demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau lon
rieure primitive d'un embryon humain de 9mm,l, âgé d'environ quatre semaines et demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longi
e encéphalique primitive s'évase. Bientôt, au cours de la cinquième semaine , son extrémité externe, celle qui donne insertion
sversale du bulbe d'un embryon humain de 13mm,S, âgé d'environ cinq semaines . (D'après \V. His.) Plp, faisceau longitudinal
sversale du bulbe d'un embryon humain de f3mm,6, âgé d'environ cinq semaines . (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal p
. 35. - Coupe transversale du bulbe d'un embryon humain d'environ six semaines . (D'après \ ? His.) Cio, couche inter-olivair
ncave au début, présente de chaque côté, dès la fin de la cinquième semaine , deux saillies longitudinales séparées par un s
de l'encéphale d'un embryon humain de 93^^,G, âge d'en- viron cinq semaines . (D'après W. His.) 1 DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
cerveaux intermédiaire et moyen d'un embryon humain d'environ sept semaines et demi. (D'après W. His.) Ach, zone choroïdien
e sylvienne. Très légèrement déprimée vers . la fin de la quatrième semaine de la vie embryonnaire, la fosse sylvienne s'ac
e semaine de la vie embryonnaire, la fosse sylvienne s'accentue les semaines suivantes, et devient d'autant plus profonde que
rne de l'hémisphère cérébral d'un em- bryon humain d'environ quatre semaines et demie. (D'après . W. His.) Ach, zone choro
interne de l'hémisphère cérébral de l'embryon de la fig. 49, âge de 4 semaines et demie. (D'après W. His.) Cst, corps strié.
situation profonde. Leur nombre est considérable vers la quatrième semaine de la vie embryonnaire, où elles forment par pl
ale qui tapisse le canal de l'épendyme. Vers la fin de la cinquième semaine chez l'embryon humain Les prolongements ntern
n dans la membrane limitante interne, chez un embryon humain de six semaines . (D'après '\\7. bis.) Ch.pr, chaîne de prolif
maire, que l'on trouve les cellules germinatives. Vers la quatrième semaine de la vie embryonnaire, lorsque le myélospongiu
me musculaire des proto- vertèbres. Chez un embryon de la quatrième semaine , cette lame est du reste très voisine de la lam
ssement du proto- plasma cellulaire : aussi se passe-t-il plusieurs semaines , avant que le cylindre-axe n'arrive jusqu'aux e
s. Lorsqu'on examine le canal neural d'un embryon de la quatrième semaine , on peut distinguer dans la sub- stance grise e
Fra. 81. Coupe transversale de a moelle d'un embryon humain de quatre semaines environ et mesurant Gmm,9. (D'après W. His.)
sale inférieure do - la moelle d'un embryon humain d'environ quatre semaines et demie et mesurant 10mm,9. de longueur. (D'ap
iens, sont fusiformes et bipolaires chez l'embryon humain de quatre semaines (His). Ils donnent naissance à deux prolongements
roupes de fibres du ganglion spinal d'un embryon humain de quatre semaines et demie. (D'après \\'. His.) 148 ANATOMIE DE
plus il est court : peu à peu, il s'accroît et s'allonge; mais des semaines se passent avant que les dernières extrémi- |
- Nerfs et ganglions crâniens d'un embryon humain d'environ quatre semaines et mesurant 10 millim. de long. (D'après W. Bis
ites, n'apparaissent que beaucoup plus tardivement, vers la dixième semaine de la vie intra-utérine (Vignal). A cette époque,
nviron. - c, cellule de l'écorce cérébrale de la souris âgée de six semaines . HISTOGENESE DU SYSTEME NERVEUX. 165 Le prolo
rs et de fibres radiculaires d'un embryon humain - d'environ quatre semaines . (D'après W. His.) Cy, cylindre-axe. - Nb, neur
thélium de la région sus- glottique du larynx d'un chat : g de six semaines . (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golg
vibratiles de la région sous-glottique du larynx d'un chat âgé de 4 semaines . (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi.
P,) et pariétale ascendante (Pa). Entre la deuxième et la troisième semaine après la naissance, elle est très nette au niveau
77 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
perséeutonu ? pRl ·csrcs' · ,9 ! ,i<=,6[u ? ? rr. Depuis, troj^s semaines ilg vâ au délire^ reste néanmoins chez hjijun c
quel'le malade était entré à'l'hOpital,'d'où'i1L'sortit après'trois semaines . A. Marie. 9' le ' Kj.tati* tiuu i ? a ? i. in;
èrement exagérées d'alcool et éclate comme la foudre. Il dure trois semaines au plus dans les cas aigus - cessation brusque
ines au plus dans les cas aigus - cessation brusque dès la première semaine conscience de la maladie du cinquièmp au douziè
quièmp au douzième jour, guérison absolue à la fin de la deuxième semaine . La forme subaiguë : les accidents aigus persiste
éritable délire de persécution avec auto-accusation. Au bout de six semaines il est sorti guéri ; son délire a totalement di
'atténue ou même disparaît au bout de quelques jours ou de quelques semaines , pour reparaître plus tard. Il y a, parmi mes o
cause, tandis que d'autres fois elle se sent très bien. Depuis deux semaines ces troubles ont reparu plus accentués, ce qui
pugnance à se soumettre à un traitement régulier. Mais depuis une semaine à ces désordres psychiques, il s'en est joint d
ur est écrasée par un cab) ramène les contractures. Il y a quatre semaines , nous la retrouvons à Bonn totalement anesthési
mmunication suivante, dit le Puy- de-Dôme du z juillet : Quelques semaines à peine nous séparent de l'ouverture de ce Cong
l'attaque hystérique, on en voit d'autres d'une durée de plusieurs semaines ou même de plusieurs mois. Telle la manie hysté
ait être atteinte de méningite et qui présen- tait depuis plusieurs semaines ce phénomène singulier d'une tem- pérature au-d
une maladie différente : J'ajoutais que très probablement dans six semaines à deux mois, l'accès maniaque toucherait à sa f
' à dormir la nuit, mais elle restait fort agitée- le jour;-deux' semaines après, se produisirent, dans la journée, des mome
en général, mais pouvant s'étendre et durer par- fois jusqu'à trois semaines . Dans ces circonstances, il ne faut pas l'oubli
e première qualité n'est pas rationné. Sur les quatorze repas de la semaine , dix com- portent un plat de viande. La boisson
se renouveler qu'à des intervalles de plusieurs jours, de plusieurs semaines , quelquefois même de plusieurs années. En quo
t un lobe par jour, puis un lobe tous les deux jours. Depuis quatre semaines que ce traitement est commencé, la malade a ing
depuis six ans, firent leur réapparition. En somme, depuis quatre semaines , l'amélioration est évidente. La malade a déjà pe
xpérimentale : Leçons et exercices de laboratoire (trois heures par semaine ); b) Esthétique psychologique. Leçons, démons-
hologique. Leçons, démons- trations et expériences (deux heures par semaine ). 5° COLUMBIA COLLEGE.- Au Columbia Collège, de
). A Palo o Alto, il a fait, en 1893-1893, un cours d'une heure par semaine pendant toute l'année, et s'est occupé de psych
que, mais c'est une paranoïa abrégée durant quelques mois, quelques semaines ou quelques années, à poussées souvent succes-
ue celles des folies partielles ; alors que pour celles-là quelques semaines , souvent quelques jours et même quelques heures
, le Congrès spécial des aliénistes se réunit à Karlsruhe. Quelques semaines après, dans la même ville, à l'appel de Ludwig
ux folies menstruelles typiques; ces accès durent de trois à quatre semaines , ils coïncident avec l'absence ou l'interruption
etit verre de cognac à chaque repas et environ quatre absinthes par semaine . En outre de cette ration habituelle, il se liv
le avec une paralysie radiale gauche, qui guérit au bout de trois semaines . Pas de syphilis. Trois ou quatre blennorrhagie
une grande soif et de fréquentes envies d'uriner. Durant ses trois semaines d'hôpital, il a été tourmenté par des besoins imp
ises analogues. Il est en effet sorti de l'hôpital au bout de trois semaines . La z ÉTUDE DE LA POLYURIE HYSTÉRIQUE. 451 pl
oreille droite. Un écoulement purulent est survenu qui a duré trois semaines et qui a entraîné une surdité unilatérale. Cett
ent et les sécrétions nasale, salivaire se rétablissaient. En trois, semaines , tout était à peu près rentré dans l'ordre. D
station actuelle de la grande névrose 3. ' Potain. De l'llydru71e. ( Semaine méd., 1894, p. 29.) * Mathieu. - La Polyurie hy
ons, la guérison fut obtenue complètement en l'es- pace de quelques semaines , malgré un commencement d'atro- phie dans les m
rveuses de la vérole. Elles peuvent amener la mort en un mois, deux semaines , quelques jours. On peut reconnaître dans leurs
le d'un individu qui avait succombé dans le cours de la troisième semaine à une paralysie syphilitique grave, nous avons pu
ions rénales, tous cas dans lesquels on observe souvent pendant des semaines et même plus longtemps une confusion mentale, un
lui aussi par s'évanouir de la mémoire. Ou bien elle dure quelques semaines pour guérir encore. Ou bien enfin elle se trans-
es malades vont au travail en trois colonnes sans gardiens ; chaque semaine , un des malades assume la responsabilité de la
78 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uregard (Cher) où elle a été transfé- rée, l'enfant, après quelques semaines d'agitation sem- blable à celle qu'elle avait i
à l'in- firmerie centrale (10 octobre), il suffit d'un séjour d'une semaine avec traitement approprié pour que les crises s
ont la majorité, 8 sur 11 pendant quelques heures, cinq jours de la semaine . Cela crée une diversion dans leur existence ;
Les accidents mentaux qui se déroulent pendant les quatre premières semaines consistent : 1° en petits accès d'excitation ma
ême qui intervient pour l'exécution du suicide et pendant plusieurs semaines . Mme X... a, chaque nuit, de grandes crises clo
c troubles mentaux hystériques ». Elle est retirée au bout de trois semaines titre d'essai par son mari, dé- barrassée de se
ur ! Quel beau feu ! Mais laissez-moi donc ! ...» Pendant plusieurs semaines . les crises délirantes sont inces- santes, la m
Léon (tuit, porteur aux pompes funèbres, donnait, depuis quelques semaines des signes de dérangement cérébral. Hier soir,
atique ? . L. Waiil. VARIA Drame DE la folie. Il y a quelques semaines . Crouv, près de Soissons, une femme Lefour, con
parfois il oubliait même sa « manie étrange », mais après quelques semaines tout allait comme au- paravant et même d'une ma
ée et du temps de service considérable qui leur sera demandé chaque semaine , les ar- riérés devant être placés le plus long
t pas en classe le jeudi et ne passe- raient que trente lieures par semaine à l'école, or, une aussi large liberté est dang
esque abolis, la démarche lente el titubante. Gâtisme. Environ deux semaines après son en- trée, on remarque la formation de
ivait-il la plupart du temps en cellule. Plus calme depuis quelques semaines , il avait obtenu du direc- teur de l'asile l'au
1907 inclusivement. 'lEaaISLS drame de la FOLIE. -Depuis plusieurs semaines , le sculpteur Van Beylen, qui jouit à Anvers d'
artes. » Marie vint quelques heures chaque jour, et au bout de deux semaines elle disait à sa maîtresse. « C'est drôle comme t
La découverte de l'espionnage eut lieu quinze jours, au plus trois semaines , après le début de leurs relations, et cela, bien
.l'au- tre est la soeur de Nelly Dor. En septembre 1904, soit six semaines après son renvoi, comme Marie Forel parlait de
itude de la malade fut un peu différente descelle qu'elle était six semaines avant, et ses propos nous révélèrent une curieu
n, avons-nous dit, dans les divergences des récits faits à quelques semaines d'intervalle. Lors de notre premier entretien,
quable s'est produite dans les persécutions ambiantes. Depuis six semaines , on ne m'insulte plus dans la rue ; dans les ég
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 383 ment sans névrite optique, qui dura six semaines ; la vision fut ré- tablie d'abord dans la péri
à 394, 15 mai 1906). Homme, 27 ans ;trauma violent; alitement de 4 semaines ; trois mois après on constate : à gauche amaur
j'appris que la maladie continuait à faire des progrès pendant 3-4 semaines encore ; les douleurs et les pares- thésies dan
s favorable ; ses symp- tômes ne progressaient que pendant quelques semaines et alors les manifestations les plus importante
ar le cuivre, les troubles gastro-intes- tinaux restent pendant des semaines et même pendant des mois (4) ; quant à l'intoxi
ance, rien de particulier. Accès de cris nuit et jour pendant trois semaines .- Première dent à dix mois ; denti- tion complè
t à la fois spécial et général. L'enfant prend deux bains salés par semaine , avec exercices préliminaires de la marche. On
apsules de bromure de camphre à la dose suivante : pen- dant la Ire semaine 1 cuillerée d'élixir et 2 capsules, .pendant la
Ire semaine 1 cuillerée d'élixir et 2 capsules, .pendant la seconde semaine 1 cuillerée 1 /2 d'élixir et 3 capsules ; 3e se
t la seconde semaine 1 cuillerée 1 /2 d'élixir et 3 capsules ; 3e semaine 2 cuillerées d'élixir, 4 capsules ; 4e semaine 2
r et 3 capsules ; 3e semaine 2 cuillerées d'élixir, 4 capsules ; 4e semaine 2 cuille- rées 1 /2 d'élixir, 4 capsules, penda
4e semaine 2 cuille- rées 1 /2 d'élixir, 4 capsules, pendant la 5e semaine 3 cuille- rées et 5 capsules. Puis on diminue l
ngénilal, dénoté par les accès de cris, durant les quatre premières semaines ; de là un retard de la marche, de la propreté,
mètres, dans le triangle de Scarpa, cette in- tervention a en trois semaines amélioré considérablement le mal perforant. t.
a cessé ; le second, en cours de traitement, est traité depuis six semaines par la mé- thode des irradiations juxtaposées d
les soins de la préfecture de la Seine, sont annoncés au moins six semaines à 1 avance par des affiches apposées dans cha-
te des candidats admis à prendre part au con- cours est close trois semaines avant la date d'ouverture du con- cours et arrê
79 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
de de venir me voir seulement tous les deux jours, puis deux fois par semaine . J'ajoute, pendant l'hypnose, que s'il y avait la
de sonner. Un de mes malades est monté ainsi chaque jour, pendant une semaine , jusqu'à la porte de mon appartement, sans se déc
ettre aux parents qu'il serait radicalement guéri au bout de quelques semaines . J'étais obligé de demander un temps assez long p
sitai plus dans la troisième séance à lui faire la suggestion pour la semaine entière. La suggestion fut accomplie de point e
ais il se plaignit la fois suivante d'avoir eu, dans le courant de la semaine , des maux de tète violents et plusieurs saignemen
ndre le plus tôt possible, mon rapport devant être terminé dans trois semaines . Veuillez agréer, etc. Dr Croco fils, 1, rue
ts dans la littérature des cas dans lesquels l'état second a duré des semaines et des mois, sans interruption. Dans la plupart d
çait déjà des phrases entières pendant l'hypnose, et au bout de trois semaines , une guérison complète fut obtenue. Hypnose par f
entant sur deux excellentes somnambules auxquelles, pendant plusieurs semaines , je n'avais, par simple affirmation et dans leur
us citerons d'abord celle du plus important des journaux médicaux, la Semaine médicale, qui écrivait ceci : « Nous constatons a
d'abord, et grossissant ensuite de jour en jour ; au bout de quelques semaines , la source avait acquis son débit actuel, soit pl
nstitue le traitement classique : Deux pilules Dupuytren, pendant six semaines . Sur ces entrefaites, elle est obligée de quitter
t jours et sept nuits sans fermer l'œil. Mais il était, après cette semaine d'insomnie, dans un tel état d'excitation qu'on a
eloppées. On fit les suggestions tous les jours pendant la première semaine , puis trois fois par semaine, et finalement une f
tions tous les jours pendant la première semaine, puis trois fois par semaine , et finalement une fois par semaine. Elles durère
la nuit qui suivit la première visite. Je la traitais trois fois par semaine . Après quatre séances, l'état des mains s'était t
sommeil de la nuit. Je la traitai en tout dix-huit fois, mais deux semaines , au moins, avant qu'elle cessât ses visites, tout
nt le troisième degré de la somnolence. Elle est venue trois fois par semaine , en tout 47 fois. Après la première séance, elle
de somnolence. De fortes suggestions lui furent faites trois fois par semaine , pendant cinq mois. Pendant ce temps, le malade
manda mon avis, je l'envoyai à un dermatologiste. Au bout de quatre semaines , elle me revint disant qu'elle avait suivi fidèle
, eut lieu. Il ne fut pas nécessaire de renouveler le traitement. Six semaines après, les ongles de M. T... étaient admirablemen
illustrés, et le nombre de lettres que j'ai reçues depuis quelques semaines , de divers points de l'Angleterre (dont la plupar
e, et passa les trois jours suivants en promenade avec sa mère. Une semaine après, la malade quitta l'hospice. A la gare, ell
Le prix du séjour à l'hospice est de 7 shellings (soit 8 fr. 75) par semaine et par personne. Ces frais, ajoutés à ceux du voy
hèse d'agrégation parce qu'elle n'était qu'un exercice puéril. En six semaines , il fallait écrire un traité sur un sujet donné.
ésultats durables, M. Bonjour employa l'hypnose prolongée pendant six semaines en suggérant à son malade de s'endormir spontaném
20 ; cela arriva en effet ainsi, et dès lors, c'est-à-dire depuis six semaines , les crises ont complètement cessé. Tous les narc
i 15 mai. NÉCROLOGIE M. le professeur Karl VOGT (de Genève). La semaine dernière est mort à Genève un savant célèbre, un
uand je modifierai les rêves qui les déterminent (1). C..., après six semaines de traitement, n'a plus de sommeils spontanés ; s
de la Faculté de médecine de Paris. Etudiants étrangers. — Dans la semaine d'hiver 1894-1895, on comptait à Vienne 1.881 étu
80 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
romenades. Tous les enfants valides vont en promenade deux fois par semaine , tantôt dans les envi- rons cle la Fondation (G
s nerveuses hystériques pendant l'accouchement. - A partir de la 2e semaine , cris constants. Convulsions à 6 mois auec les
is auec les premières dents. Jusqu'à 2 ans convulsions toutes les 6 semaines . - Parole à 2 ans. Marche à 3 ans. Gâtisme. - D
t jusqu'à la deuxième année, Il... eut des convulsions toutes les 6 semaines environ. Ces convulsions duraient de 1 à 5 minu
aires ont percé, il a eu des convulsions tous les jours pendant 6 semaines . Sa santé et son développement physique parais-
des enfants, aboutissant à l'idiotie. 111. A partir de la seconde semaine de la vie R... poussait des cris continuels qui
s très propre jusqu'à cette époque, se mit à pisser au lit et, en 6 semaines , il était devenu complètement gâteux. Au mois d
ans les derniers temps de son séjour à la maison, il en avait 3 par semaine . Les crises n'auraient pas changé de caractère,
, exercices, de gymnastique, leçons de choses, et 2 bains salés par semaine . 7 octobre. Syphilides papulo-sqùamèusés discrè
l'huile de foie de morue (2 cuillerées), et les bains salés (2 par semaine ). 1885. Janvier. Poids : 17 k. 500. Etat statio
prescrit du bromure de camplire du D1' Clin( 2 capsules pendant une semaine , 3 pen- dant ` ? semaines, 4 pendant une semain
mplire du D1' Clin( 2 capsules pendant une semaine, 3 pen- dant ` ? semaines , 4 pendant une semaine, 5 pendant une semaine,
psules pendant une semaine, 3 pen- dant ` ? semaines, 4 pendant une semaine , 5 pendant une semaine, 6 pendant une semaine.)
ine, 3 pen- dant ` ? semaines, 4 pendant une semaine, 5 pendant une semaine , 6 pendant une semaine.) 23 mars. - Vers 7 h.
maines, 4 pendant une semaine, 5 pendant une semaine, 6 pendant une semaine .) 23 mars. - Vers 7 h. du soir, le malade était
dans la demi- flexion. La contracture aurait persisté pendant trois semaines , la paralysie pendant six semaines, puis il fut
re aurait persisté pendant trois semaines, la paralysie pendant six semaines , puis il fut envoyé en con- valescence à Vincen
s conditions. A la suite l'enfant est resté malade durant plusieurs semaines ; il ne prenait que quelques cuille- rées de lai
huit ans seulement l'enfant a poussé des cris la nuit, durant. deux semaines environ. Dans le jour, il reste sur la chaire o
t : Huile de foie de morue, sirop d'iodure de fer, un bain salé par semaine ; gymnastique ; i petite école. 156 Microcéph
quelquefois deux par jour, puis on passait en- suite deux ou trois semaines sans en voir revenir. Il paraissait y avoir une
81 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
uis huit ans. PATRONAGE DES ALIÉNÉS. XXXI du jour. Trois fois par semaine , il est interrompu de 8 heures à 9 heures du ma
'école qu'à l'atelier, la série d'élèves du matin, dans la première semaine du mois, devient la série du soir durant la sec
remière semaine du mois, devient la série du soir durant la seconde semaine . Les jeunes travailleurs reçoivent tous les sam
s jours de promenades. A cet effet, l'Adminis- tration a mis chaque semaine une somme de 15 fr. à la disposition des chefs
ent. La durée ordinaire du séjour est de 10, 12, 15 jours et même 3 semaines . Nous ajouterons le récit d'un fait déjà ancien
y rendre, mais c'était encore une fausse piste; enfin, au bout de 4 semaines , une domestique ayant besoin de monter dans un
t et gloutonnement. Elle est très constipée, au point de rester des semaines entières sans garde- robes. Souvent elle urine
ulsions; 3° notre malade ; 4° garçon né à terme, chétif, mort à six semaines on ne sait de quoi ; 5° garçon âgé de onze ans,
. Il fut alors pris par son grand-père pater- nel, qui le garda six semaines ; là il eut de grandes crises pour la première f
r disait des grossièretés. Placé chez sa tante il y est resté trois semaines , il faisait du tapage, criait. Il fut mis chez de
mois et demi. Plus tard il fut envoyé à Villepreux où il resta six semaines et d'où il fut rendu, parce qu'il s'était mastu
de ses amis, garçon de magasin chez un teinturier, pendant trois semaines . A partir de là il travaille aux Halles, où il fa
ne cour du reste de l'hospice. Les aliénés y séjournent deux, trois semaines , parfois un mois avant d'être en- voyés à l'asi
n des bâtiments de la basse-cour où on les garde une, deux ou trois semaines avant de les envoyer à l'asile de Saint-Dizier.
82 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ger le malade, parut aggraver son état. Il fallut, au bout de trois semaines , renoncer à ce traitement. C'est alors que les
lus rapide encore que celui de l'année précédente. Au bout de trois semaines , l'enfant reprit ses études, et put travailler
nt pas; il ne put en outre prendre sa douche qu'une ou deux fois la semaine . Aussi les douleurs de tète reparurent à deux o
e de Madrid. Il y contracta la rougeole au bout de trois à quatre semaines . On espéra tout d'abord que cette affection aiguë
ÉE DES ADOLESCENTS. 11 i l'influence du traitement. Vers la sixième semaine , elle avait presque totalement cédé, et l'enfan
agrin et se remit avec ardeur au travail. Mais, au bout de quelques semaines , l'état céphalique reparut et s'aggrava rapidem
e Haynaud con- seilla alors l'hydrothérapie. Mais, au bout de trois semaines , on dut y renoncer, les douleurs paraissant s'a
aibles au début, sont allés toujours en augmentant. Depuis quelques semaines , ils ont pris tant d'intensité que les parents
, et elles avaient pres- que totalement disparu au bout de quelques semaines . L'enfant put terminer son année scolaire de la
our le soumettre à un traitement hydrothérapique. Au bout de peu de semaines , ses douleurs avaient disparu et, au mois d'avr
novembre dernier. Cependant X... nous a dit que, dans les dernières semaines , les maux de tète étaient devenus de nouveau ,t
Une fois 1 accès terminé. Adèle Sic... se sent, durant plusieurs semaines , abattue, sans énergie physique, mais avec beauco
par. mo- ments agités d'une sorte de nystagmus ; pendant plusieurs semaines les anomalies de la fonction locomotrice furent
éur'de' la;Ifatigue 91égèré"q'u'il éprouvait dans les jambes quatre semaines aupara- vans. En onze jours se' développe' de'
parfaitement compatible avec un traitement continué trois à quatre semaines . Cette prolongation est obliga- toire pour les
à part quelques oscillations vespérales, pendant plusieurs jours'et semaines , pour tomber- soudain. Souvent l'anxiété et la
t. rien'; la guérison survenant' en moyenne au bout de deux à trois semaines . L'amnésie' totale'au début de la convalescence
athématiquement contenue dans cet ordre de succession. Il y a six semaines , à son arrivée à l'infirmerie spé- ciale des al
il est vrai, car une dissociation délicate aurait exigé plusieurs semaines de travail assidu) chacun des faisceaux cons- t
oy conseilla de sus- pendre momentanément l'hydrothérapie. Quelques semaines plus tard, l'enfant étant allé passer quelques
Elles ont cessé vers six ans pour reparaître à dix ans, pendant six semaines environ, où elles ont été sui- vies d'une pério
. C'est à cette époque qu'il a eu une méningite qui aurait duré six semaines , et pendant laquelle il aurait été quinze jours
cou et la figure avec une marmite de soupe et cette brûlure mit six semaines il guérir. A partir de l'année 1882, il eut plu
rs ni ell'orts de vomissement. Cette affection disparut en quelques semaines sous l'influence de purgatifs, de toniques végé
restée très émotive. Quand elle voulut se lever, trois ou quatre semaines après la délivrance, elle remarqua tout de suit
et l'abandon de son amant la rendit comme folle pendant quelques semaines ,' mais elle ne fut pas enfermée. Une tante matern
ants : 1° notre malade; 2° une fille, bien constituée, morte à cinq semaines d'une diarrhée cholériforme. Notre malade. Pend
olente de la tête à la suite d'une chute ; croup à cinq ans. A sept semaines , on a remarqué des petites secousses dans les bra
u mois d'août. Il a eu, en janvier 1881, ana rougeole quia duré six semaines et pendant laquelle il n'a eu aucune manifestat
ture a monté plusieurs fois à 39°. Mort vers la fin de la quatrième semaine , après la dernière rechute. (Malheureuse- ment,
presque écrasé, cet individu serait, à des périodes de quatre à six semaines , en proie à des accès d'épi- lepsie. Les circon
ès qu'on se fût assuré à l'asile, pendant une observation de quatre semaines , que le fonctionnement psychique avait repris son
ite aiguë, qui, toutes, à l'exception d'un cas ayant duré plusieurs semaines , ont évolué dans l'espace de quelques jours. Qu
stade des prodromes et le stade du début. Les prodromes durent une semaine ou deux; le malade, inquiet, en proie à un mala
de douleurs vives, persistant de quel- ques jours à trois ou quatre semaines et quelquefois d'une tache ecchymotique-sous-un
83 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
« Je revins à Moscou, raconte M. Dorobetz, le mercredi soir de la semaine de Pâques, et fus mis en rapport par ma domestiqu
que le prochain congrès aurait lieu à Montpellier en 1898, pendant la semaine qui précède Pâques. Ce rejet à 1898 du prochain
ible et rapide. Mme X... est venue chez moi régulièrement pendant 3 semaines , et après chaque visite elle constatait un mieux
eptembre 1895; les séances de suggestion sont répétées trois fois par semaine . J'ajoute au début quelques cachets toniques et e
, de gagner sa confiance et de lui persuader qu'un séjour de quelques semaines à la campagne avec une médication appropriée le g
malade achète une ceinture de Glénard et s'en trouve bien pendant une semaine . Puis son découragement reprend le dessus. Un art
cer graduellement mes visites. J'aidai le malade pendant quelques semaines encore a reprendre la conscience pleine et entièr
rénaux, etc. La dilatation avec ses séances multipliées pendant des semaines , avec l'incertitude du résultat, ne plaisait pas
tes. Ce jeune homme avait présenté il y a deux ans, pendant plusieurs semaines consécutives, et à plusieurs reprises pendant que
Lors de sa rentrée, il était en état normal, et pendant les quelques semaines de son séjour, il est tombé plusieurs fois sponta
l'observation en est la démonstration. En effet j'usai, en quelques semaines , de toute mon éloquence, mais en vain, pour conva
leinement; la ptosis avait disparu. Il esta noter que, depuis trois semaines que s'était produite la chute des paupières, les
vous me laisser tranquille. » Ce trouble du langage a persisté cinq semaines chez cette fillette, qui est aujourd'hui une gran
entre eux la surveillance d'un ami ou d'un aide pendant deux ou trois semaines . Je refuse maintenant de traiter un dipsómano à m
de boire avec excès pendant des jours entiers et passait ensuite une semaine dans un établissement hydrothérapique pour se rem
; septembre 76, octobre 71, novembre 65, décembre 63. Les jours de la semaine donnent pour 100 suicides : lundi 15,5 : mardi 15
ux les moins clairvoyants l'étonnante transformation accomplie en une semaine dans l'organisme et dans l'esprit du jeune sujet.
longée d'une facon ininterrompue, pendant des jours, même pendant des semaines , plus le malade bénéficiera de son efficacité. Il
ayions appliqué à nos malades a été d'une durée d'un peu plus de six semaines . Il n'est nullement nécessaire de provoquer l'a
posons de recourir au sommeil prolongé. Ce sommeil fut continué trois semaines consécutives. Au réveil, le malade était guéri, e
e avait eu l'œil droit fermé plusieurs heures par jour, pendant trois semaines environ. Puis l'œil gauche s'était clos aussi, ma
apidement, grâce à l'emploi d'une antisepsie faible et en moins d'une semaine la malade partait guérie pour Argentan, à la gran
1000 et en prenait d'abord S cuillerées à soupe par jour pendant une semaine , puis C par jour, puis 4, pour remonter, puis
un grand changement chez sa femme queje voyais deux ou trois fois par semaine , car chaque fois qu'elle venait voir son mari, el
chaque changement de saison, des bordées crapuleuses de deux à trois semaines . L'ainée des filles a hérité de la maladie du pèr
chalumeau des yeux de verre pour naturalistes. Deux ou trois fois par semaine , elle allait livrer en ville, et ce détail a son
e débris caséeux. Les suites de l'opération furent excellentes. Trois semaines s'étaient à peine écoulées que Jeanne F... quitta
tout l'abdomen. Enfin surviennent coup sur coup, dans l'espace de six semaines , deux attaques de pseudopéritonite avec faciès gr
éfractaire. On insista pour qu'il revint à la clinique trois fois par semaine . Au bout d'un mois, s'étant convaincu, par la vue
84 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
automatisme ambulatoire... Le 3ß? mardi d'avril tombant pendant la semaine de Pâques, la Société, après discussion, décide,
malades suivent ses conseils à la lettre. Au bout de deux ou trois semaines les malades reprennent leurs forces, l'équilibre
rvation succincte, et nous la citons textuellement : « Il y a trois semaines environ, sans raison apparente, je m'aperçus que
nce de quelques symptômes nerveux, un spécialiste me l'envoie. En 6 semaines , l'audition était revenue complètement aux deux o
guérison s'est maintenue depuis six ans. ¦ M1" P. a depuis trois semaines 24 hoquets par minute. Elle arrive chez moi dans
ue de produire un effet déplorable. J'étais appelé, il y a quelques semaines , à voir un artério-seléreux. 11 y a une quinzaine
s. Le docteur nous a fait lui-même le récit suivant : Il y a deux semaines , dit-il, je fut appelé auprès d'une malade qui so
le ptosis serait complètement guéri. Le 28 mai, c'est-à-dire quatre semaines après, l'état du petit malade est le suivant : VO
ne très grande hyperexcitabilité cutanée qui se maintient pendant des semaines après l'opération. Le moindre contact avec la pea
tiques dans les traitements. Wratch n» 18, 1900. ou deux fois par semaine . Cela a duré jusqu'au mois d'avril ; depuis ce te
gènes dans l'Afrique équatoriale. Après une incubation de plusieurs semaines , ou même de plusieurs mois, surviennent des prodr
e de médecine, le ??? octobre 1903. Bobanghi est mort il y a quelques semaines , au cours d'une crise cataleptiforme ; il y a tro
r à la messe ; puis elle rentre chez elle et se rendort pour toute la semaine . Tantôt le sommeil reste ininterrompu pendant de
enelles qui dormit pendant vingt années consécutives. Il y a quelques semaines , dans l'Allemagne septentrionale, une jeune femme
ester, sans trop en souffrir à ce qu'il semble, des jours et môme des semaines , sans accomplir aucune des évacuations qu'exige l
ortés par Pfendler. Une femme de 28 ans présente, pendant plusieurs semaines , des séries d'attaques de sommeil qui durent de 4
, même avec abstinence complète, pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines . Dans certains cas, l'idée délirante a fini par p
marais au printemps et en été résistent à l'hypnose pendant plusieurs semaines . Mais si on les garde au laboratoire de deux à tr
paraît tout à fait délogée. Nos séances ont eu lieu trois fois par semaine , puis deux fois, puis une fois. Notre malade rest
e reste calme et affranchi de son obsession pendant presque toute une semaine ; il est de nouveau harcelé par ses doutes, la vei
t de nouveau tourmenté. Nous reprenons donc nos séances deux fois par semaine et je le trouve bientôt à point pour qu'une expér
5°. Tous les malades prennent des bains salés, au moins deux fois par semaine ; leur température descend progressivement de 28°
deux autres cas sont plus bizarres encore, car le rire dura toute une semaine ! NOUVELLES Cours de l'Ecole de Psychologie
de la grenouille varie continuellement d'une saison â l'autre, d une semaine à l'autre et même d'un jour à l'autre. la pea
ivent être traités avec modération : ce n'est qu'au bout de plusieurs semaines qu'ils arrivent à dépasser vingt à trente minutes
ation est toujours lente et progressive; ce n'est qu'au bout de trois semaines à un mois qu'elle apparaît : il faut se méfier de
en même temps que la Presse française et étrangère qui, depuis trois semaines , consacre de nombreux articles à l'occasion d
que vous m'introduisiez une sonde. » Et, en fait, pendant les cinq semaines qu'il fut sondé, jamais il n'accusa la moindre gê
il est très calme et de bonne humeur. Il suffit d'une séance pour une semaine entière. Il est vrai qu'on pourrait obtenir un
85 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
id (2). (A suivre) A. BARD01., Interne des hôpitaux. (i) Panas, Semaine méd., 21 novembre 1886. (2) PARINAUD. Anesthési
pparu tardivement chez nos malades surtout chez le 2e. Je voyais la semaine dernière, à l'Hôtel-Dieu, un malade porteur r d
or constate une para- lysie du droit externe qui aurait cédé en six semaines au traitement ioduré. A 31 ans, sans cause appr
lit, mais il est incapable, même soutenu, de se tenir debout. Sept semaines après l'attaque, il peut se lever, s'habiller seu
ur la pointe du pied, on fait la sec- tion du tendon d'Achille. Six semaines après, l'enfant peut mettre la plante du pied s
ers points du corps. Disparition progressive du ptosis au bout de 3 semaines . Le 26 novembre 1891, le ptosis a reparu en deh
onner des lavements de sang et de pepsine. Ce n'est qu'au hout de 3 semaines que les vomissements ont cessé et à ce moment,
ut de huit mois, après un traitement topique par l'iodoforme. Trois semaines plus tard, à l'âge de 43 ans, sur la face plant
l'extrémité de la der- nière phalange. Reslitittio ad integrum en 3 semaines . Concomitamment, pendant l'hiver (le froid aggr
ctus apoplectiforme non suivi de paralysie ; même accident il y a 3 semaines . Survient alors un grand affaiblissement général
mor- phine (observ. IV, V). Au bout de quelques jours à quelques semaines , la moelle elle-même est envahie; et sa partici
ne faiblesse très grande dans les membres infé- rieurs. Cela dura 6 semaines ; on était obligé de le faire marcher. Plus tard
épo- que; il chaque' printemps, il reprenait de l'iodure pendant 6 semaines . De chancre induré, il n'a aucun souvenir : rie
ées se sont ainsi répétées chaque nuit pendant une période de 4 à 5 semaines . La douleur siégeait principalement dans la rég
ssium et les frictions mercurielles, il éprouva, dans l'espace de 3 semaines , une amélioration considérable ; il pou- vait r
cet oeil. Il prétend que, pendant la grande maladie qui l'a tenu 3 semaines au lit en juillet de l'an.dernier, il a eu l'oe
ment). Les douleurs dans les crêtes tibiales persistèrent plusieurs semaines après l'accouchement; mais la malade ne remarqu
tition des aliments. Elle ne vomit pas actuellement ; mais il y a 6 semaines elle a eu une série de vomissements accompagnés
our. Ce traitement a été suivi avec des intervalles de repos (d'une semaine sur trois). On a cru pouvoir négliger l'électri
- ment robuste. Ajoutons que le malade n'est pas buveur. Depuis 6 semaines , avant son admission, malaise général, perte d'ap
es urines. agit NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Depuis 3 semaines , faiblesse dans les jambes et il n'en pouvait plu
rs. Les frictions mercurielles, qui avaient été suspendues depuis 4 semaines , sont reprises. 15. Amélioration : les douleu
façon pro- gressive. Les symptômes se constituent dans le cours de semaines , de mois, parfois même d'années. Ce sont d'abor
core, au point qu'il est obligé de garder le lit pendant près d'une semaine ; au lit d'ailleurs les mouvements des membres
ressément cette particularité dans une récente leçon, parue dans la Semaine médicale (1893). Notre maître M. Brissaud (1) a p
tte époque qu'un sentiment do pesanteur, de gêne dans la région (1) Semaine médicale, 1891, p. 413. DE LA lIiÉNINGO-niYÉLIT
restait raide et il ne pouvait plus tenir son violon. Pendant six semaines il alla suivre uu traitement par les bains froids
récédentes. Elle partit pour Reiclten/tall où elle fut soignée sept semaines par le Dr Orle- nau. Puis, il lui fut conseil
ionnement n'a presque pas changé de nos jours. « Le mardi de chaque semaine , et plus tard tous les jours, dans la grande sa
86 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
ées de fourmil- lement en ce dernier endroit. Pendant la première semaine qui suit l'attaque, la contracture reste com- p
re. Le malade reprend cependant son travail ; mais au bout de trois semaines il est obligé de le quitter à nouveau, le côté
e pus. Cet accident obligea la malade à garder le lit pendant trois semaines au bout desquelles elle no put se lever ni marc
a tumeur du genou ayant reparu, elle dut s'aliter pendant plusieurs semaines : les attaques ces- sèrent pendant ce nouveau s
n portant; la septième est morte à cinq mois d'une méningite (trois semaines malade, cris, convulsions); le huitième, sept ans
es : ces accidents arrivent assez fréquemment, une ou deux fois par semaine . Jamais elle n'a eu d'attaques convulsives ressem
vingt-quatre heures, et souvent plusieurs jours, ou même plusieurs semaines après une attaque, c'est-à-dire qu'on peut les
r l'électricité statique avec étincelles loco dolente, trois fois par semaine , dans le service électrothérapique de la Salpêt
agnostic elltrt l'hémiplégie capsulaire et t'hémiplégie hystérique ( Semaine médicale, n° 5,2 février 1887, p. 37). - Brissa
que sa mère avait été violemment impressionnée, dans les premières semaines de sa gestation, par les événementsqui accompag
nfin, s'il est des cas où la lésion atteint son maximum en quelques semaines , il en est d'autres où la lésion évolue par pouss
e presque complète. La malade reste ainsi immobilisée pendant six semaines . A ce moment, les genoux étaient assez mobiles;
aquelle elle tombe sans connaissance, elle reste au lit pendant six semaines et ensuite elle s'aperçoit que ses jambes sont
l'envoya dans un éta- blissement hydrothérapique où, pendant trois semaines , on lui administra des douches tièdes et des ba
lui fit faire des frictions à l'alcool camphré. Au bout de quelques semaines , il était guéri et marchait bien. Mais un jour,
nts pendant le premier jour, de la rétention d'urine ayant duré une semaine , une constipation opiniâtre ayant persisté un m
baire, à droite de la ligne médiane. En mai 1886, saison de trois semaines à Plombières. Douches, électrisa- tion, amélior
onnait exactement les mêmes chiffres qu'à l'entrée. Pendant trois semaines , le malade continua a être soumis aux douches jou
inq jours ses règles reparaissent. Elle reste couchée pendant trois semaines . Aucune douleur du côté des jointures. Elle rem
se dans la main gauche et des fourmillements. Au bout de quelques semaines , la force est revenue dans cette main, en grand
; il n'y avait pas de glycosurie. Au bout d'un séjour de quelques semaines à l'hôpital pendant lequel les douleurs de tête
surgissaient par deux, trois, quatre à la fois, et en deux ou trois semaines se résorbaient sans jamais suppurer. Délivrée à
87 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
membres inférieurs : sciatique douloureuse à la pres- sion. Après 6 semaines d'immobilisation dans le corset de Sayre, la rach
ble. Aucun trouble du mouvement ou de la sensi- bilité objective; 3 semaines plus tard douleurs abdominales, ventre ballonné
sensibilité obtuse, retard à la per- ception des sensations. Mort 6 semaines après les troubles abdominaux. A l'autopsie,le
on des 3e et 4e orteils. Fièvre avec délire tranquille. Mort cinq semaines après son entrée à l'hôpi- tal. A l'autopsie,
issions, se prolongea jusqu'au mois de février 1894. Après quelques semaines d'un état normal, se trouvant encore à l'hôpital,
l'urine était analysée tous les jours, et le malade fut pesé chaque semaine . La modification la plus importante du traiteme
Or est-ce que la prédis- (1) Acromégalie fruste avec macroglossie, Semaine médicale, 1865. (2) Un cas d'acromégalie, Le Pr
ale avec type iuverse. Prise à l'aisselle matin et soir pendant une semaine , la température oscille entre 36°5 le matin, et
éprouvait pendant ses travaux dans la chapelle Sixtine.Pendant des semaines entières il demeurait sur l'échafau- dage, et a
tion du morceau est laissée dans le liquide de Muller pendant trois semaines , en changeant de temps en temps le liquide. Enfin
quels, lors de son entrée dans notre service, dataient d'environ deux semaines . Ces troubles constitués par des sensations de
uer-Babinski) : hyperesthésie généralisée, bâillements. Après une semaine , pendant laquelle s'aggravent le coma, la dénutri
suite de la section des racines postérieures. Cependant, six à huit semaines après cette section, Joseph (1) trouva les nerf
e travail de Koster (1) dont nous n'eûmes connaissance que quelques semaines plus tard, étaient rapportés d'assez nombreux exa
ces que les nerfs cutanés, et les troncs mixtes, dans les premières semaines qui suivent la section des racines postérieures
X ET HE1TZ velles, portant sur l'état du sympathique non plus 2 à 3 semaines après la sec- tion des racines postérieures, ma
pelons-nous en effet qu'au- cune d'elles n'apparaissait dégénérée 3 semaines après l'opération (obs. XII)'. Sur les dissocia
re, infiniment plus rares que sur les dissociations de la troisième semaine : il est bien évident qu'au huitième mois, ces
de J.-Ch. Roux, lors de ses pre- mières expériences de 1900, que 3 semaines après la section des paires thoraci- ques infér
la dégénérescence des fibres fines du sympathique, évidente à la 3e semaine , est à peu près terminée au 8e et ait 11e mois,
ions, trouvèrent tous deux les gan- glions intacts au bout de 6 à 8 semaines . En 1890, Singer et Münzer, chez de jeunes anim
e jeunes animaux, arrivèrent à des con- clusions identiques après 4 semaines de survie. Lugaro (5) en 1896, conclut d'une sé
e 1LVI11),ou distingue bien ces gaines avec leurs (1) t4twRINfiSCO, Semaine médicale, 1886. 312 ROUX ET HEITZ caractères
ionnaire ne dégénérait pas. En 1887, Joseph constatait que quelques semaines après la sectionnes fibres du bout ganglionnaire
e bout médullaire toutes les fibres dégéné- rées, mais au bout de 7 semaines , ce même bout médullaire était rempli d'un gran
régénération beaucoup plus longue et plus difficile. (1) Marinesco, Semaine médicale, 18 avril 1906. (2) Voir à ce sujet l'
abétiques. Nouv. Iconogr. Salpêtrière, 1904, no 3. (6) Marinesco. Semaine médicale, 18 avril 1906. 320 .. noux ET HEITZ
biologie, 20 mai 1905 et Soc. biologie, 3 mars 1906. (2) Marinesco, Semaine médicale, 18 avril 1906. (3) J.-CH. Roux, Les l
ns sympathiques, où les dissociations les montrent dégénérées trois semaines après la section des racines postérieures. Au bou
t successivement portée à deux tablettes à partir des six premières semaines . Pendant ces dix mois il n'y eut au- cune modif
ssance aux corpuscules amylacés. Stroebe a constaté au bout de deux semaines , la formation de fibres fines à myéline provena
Contribution à l'élude de l'histologie et de laxalhogénis du labes. Semaine Médicale, 28 avril 1906. (3) G. MARINESCO et J.
lle chez le chat. Dans la première, il s'agit d'un animal âgé d'une semaine auquel on a sectionné presque complète- ment la
s muscles du tronc (à l'exception du diaphragme) et depuis quelques semaines , des crises nerveuses paraissant avoir leur poi
vane, par Sorgente, se sont terminés par la mort dans les premières semaines de la vie et parais- sent au contraire se rappr
ravaillait alors comme compositeur dans une imprimerie, et quelques semaines après, il fut forcé de cesser son travail par sui
ondes, elles surviennent assez fréquem- ment, deux à trois fois par semaine . Pas de douleurs constrictives ni téré- brantes
s et du système ner- veux était toujours demeuré négatif, lorsque 3 semaines après son dernier séjour à l'infirmerie, les do
leurs lombaires, irradiées en ceinture; -, elles sont remplacées, 6 semaines plus tard, par des crises d'écrasement, de déch
molles. OBs. V (n° 814). Mal de Pott ayant cliniquement évolué en 6 semaines , en même temps qu'une néphrite aiguë. Gros foye
jours, fil place à l'incontinence vésico-rectale avec frigidité. 6 semaines plus tard, recrudescence des douleurs qui, au bou
ition du signe de Babinski, fièvre avec délire tran- quille, mort 5 semaines après son entrée à l'hôpital. Autopsie. Pas de
88 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
lus ou moins longue, période silencieuse qui peut durer de quelques semaines à plusieurs années (V. pour le tabes le tableau
la potion IK n'est prise que de deux jours l'un, puis deux fois par semaine , enfin cessé tout à fait fin mai. Du 17 juin au
avait quelque amélioration et D.... put se livrer pendant quelques semaines à de petits travaux (emballer des primeurs, emp
e guérit. Nous ne nous occupions plus de la malade depuis plusieurs semaines lorsque les autres ma- lades de la salle consta
iquement avec ce qui reste de ses pou- pées. Mais, pendant quelques semaines , dans la période qui suivit l'ictus, on vit cet
e plus longtemps, leur absence complète ne fut constatée que peu de semaines avant la mort. Je me suis donc cru autorisé à por
mal et qu'un oculiste aurait constaté une hémianopsie gauche. Trois semaines après l'entrée attaque épileptiforme et exitus.
en hiver son rhumatisme l'oblige à tenir le lit pendant de longues semaines . A l'âge de 20 ans, il se présente sous les arm
poque il est pris d'une toux sèche sans expectoration ; après trois semaines dans un effort de toux, il crache du sang et do
ge de 6 ans, scarlatine légère, sans albuminurie, ayant évolué en 6 semaines . A l'âge de 7 ans, varicelle légère sans compli
ndant toute la durée de la maladie et qui à partir de la deu- xième semaine s'associèrent à une urticaire typique. Les phénom
cessa de fumer, les oedèmes ne se présentèrent plus. Après quelques semaines un cigare pas fort, fumé le soir, produit une p
toujours pâle et ne conser- vait pas le godet du doigt. Pendant une semaine la malade fut soumise à une diète lactée absolu
eu- res oscilla entre 7 gr. 25 et 1J gr. 50. Je donnai pendant la semaine suivante 15 gr. de NaCI dans le lait tous les j
que cela est possible, en lui faisant une séance de rééducation par semaine , une par quinzaine et même une séance par mois. C
t près d'elle. Trois mois avant son entrée, il devint gâteux et six semaines avant il eut deux attaques épileptiformes. Pend
du malade ; tardives, elles apparaissent quelques jours ou quelques semaines après le début des accidents, après avoir été pré
st guérie complètement. Après un laps de temps variable de quelques semaines à quelques mois, soudainement il disparaît. '
mer. Journ. of. med. sciences, Bd. 95, 1888, p. 362. 5. Rigochon. Semaine Méd., 1895, 42. 6. Schlesinger. Ueber die fanii
R. - Osmot. Druck..... deux volumes. Wiesbaden, 1904. 95. Lépine. - Semaine médicale, 1890, p. 69. 96. AMnAno. Du rôle de q
e physique et cérébrale. En 1892, une forte grippe la retient trois semaines au lit, et c'est quand elle se remet à écrire q
ains apparaît en 1892, après une grippe qui retient la malade trois semaines au lit. La première fois où, quoique encore trè
riture et seulement pendant l'écriture. Ce n'est qu'au bout de huit semaines , après une série de frictions à l'alcool sur la
ent de la main droite pendant l'écriture, apparaît, dure de longues semaines , puis disparaît. En octobre 1899, au retour d'u
uelquefois le secours de notre doigt est inutile. Au bout de quatre semaines la malade peut écrire presque aussi facilement
usqu'au moment où il disparaît, et il disparait au bout de quelques semaines à la suite de frictions à l'alcool sur la co- l
server la moindre secousse de la main, cela pendant trois ou quatre semaines , et sitôt les lettres terminées, les secousses
violente sur une nerveuse surmenée, le premier jour où, après trois semaines de maladie, elle quitte son lit et veut écrire.
s genoux et les épaules. Les douleurs étant devenues générales deux semaines plus tard, le malade est forcé de garder le lit.
ujours plus fortes le malade est forcé de garder le lit pendant une semaine , Les douleurs qu'il ressentait étaient continue
tait des douleurs aiguës traversant les côtes et la poitrine. Une semaine après, il a quitté le lit ne ressentant plus rien
de 10 ans. A cet âge-là, s'étant refroidi, il a été souffrant deux semaines environ, depuis il soulfre de douleurs dans les
d même que les pieds, les jambes et les épaules étaient enflés. Une semaine après, l'inflammation a dis- paru, mais les dou
sant dans tout le corps, le malade est forcé de garder le lit. Deux semaines après le début de la maladie, dans le même temp
URE HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 453 La maladie actuelle remonte à 4 semaines environ. A cette époque l'en- fant, à la suite
vous l'ai dit, une correction im- médiate, pratiquée trois fois par semaine . Après la suspension, MmeNagorska donnait une l
taille s'inclinait à gauche, mais pour fort peu de temps; quelques semaines plus tard eut lieu une nouvelle atteinte, du mê
pable d'additionner 2 + 2. Il ne connaît pas le nom des jours de la semaine , la date de sa naissance ou celle du jour où no
normale de l'em- bryon. Il faut rappeler que jusqu'à la cinquième semaine de la vie embryon- naire l'extrémité distale de
forment de l'extrémité proximale à l'extrémité distale. Vers la 7" semaine (Forcer), on peut voir quatre- sillons qui doiven
'embryon. Nous savons que les membres se montrent à la fin de la 4e semaine , comme de petits bourgeons arrondis et formés p
différentes entourées par une couche ectodermiquecomplète.Pendantla semaine suivante ces palettes s'allongent et elles se div
ongent et elles se divisent en deux seg- ments ; pendant la sixième semaine le segment proximal se divise encore en deux se
après il a eu une anémie qui débuta par une diarrhée qui dura trois semaines ; il resta au lit plusieurs jours. Il a eu l'
mine, le malade se croit à l'hôpital depuis le com- mencement de la semaine pour la grippe. Son fils a 16 ans et lui-même en
end de légers frottements et des râles fins et humides. Pendant une semaine la température reste aux environs de 38, le mal
. Survient une rémission qui dure jusque vers la fin de la deuxième semaine du séjour de L ? à l'asile, puis les phénomènes c
lents ; en été, un supplément de 2 heures de natation deux fois par semaine ), le brigadier-prèvôt a fréquemment, en effet, le
n'est pas le résultat des contractions ré- pétées durant plusieurs semaines avec une très grande fréquence. Ces contrac- ti
89 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
art qui revient à l'alcool, ce sont les incendies allumés durant la semaine quand, pour une DE LA PYROMANIE. 27 7 cause o
istrat instructeur, et il a continué avec moi pendant de nombreuses semaines ses pro- testations d'innocence. Sa culpabilité
els qu'il dut abandonner son service pour aller se reposer quelques semaines chez sa mère. Le 13 septembre, cinq jours par c
il ne s'était plaint d'aucun trouble physique. Toutefois, quelques semaines avant le second crime, il avait été atteint de
tout en décrivant des cas à marche aiguë, guérissant en quelques semaines ou quelques mois. Il décrit complètement le délir
ice de vingt-quatre heures ne vaut pas un entraînement de plusieurs semaines . Grâce à ce système, le personnel apprend à con
impossible de forcer un même personnel à bien surveiller six à huit semaines de suite. M. GRASHEY. Mais, pendaut cette pério
érulaire et de la bandelette olfactive. Chez un lapin de cinq à six semaines , enlevez un os du nez, et raclez le nerf olfactif
solide ni liquide n'était introduite dans leur chambre. Enfin, deux semaines après la réunion de la mère à la fille, comme c
sans boire ni manger. Nous avions eu ces renseignements quelques semaines avant d'écrire cette seconde narration. Aucun cha
dans sa soixante-seizième année et avait pris sa retraite quelques semaines avant sa mort. Il était connu comme partisan de
le long du rachis ainsi que sur certains muscles ; au bout de deux semaines on ne voyait pas encore d'effet évident. Le patie
e avec ataxie post-diphtéritique chez un garçon de 11 ans; quelques semaines auparavant il avait éprouvé une grande frayeur,
trini, il s'agissait d'une femme de 45 ans. Dans le peu de temps (2 semaines ) que le malade a été traité, je n'ai pu remarqu
santé, le nouveau complexus psychique s'est montré dès la première semaine après l'état mélancolique. Il est extrêmement d
e de mouvements irrésistibles. Un syphilitique présente pendant six semaines de la céphalée et des vertiges ; puis, tout à c
lentes douleurs dentaires et soi-disant érysipèle de la face ; six semaines plus tard, strabisme; trois semaines encore, au m
ant érysipèle de la face ; six semaines plus tard, strabisme; trois semaines encore, au mo- ment où l'état local semble sati
at mental néces- sitait un examen pouvant être prolongé pendant six semaines , M. le ministre de la médecine a transmis les v
qui l'eût pu dénoncer. 11 est vrai que le malade s'est alité quatre semaines avant la mort, mais certainement la tumeur data
xorcismes destinés à chasser le démon. L'aliéné guéri au bout de la semaine rentrait dans son pays. Celui qui n'était pas g
aliénés dans des familles en Ésosse, moyennant 6 à 7 shi- lings par semaine , les paysans fournissent aux aliénés l'habitation
métier de cordonnier, il entre ensuite à la Charité où il reste six semaines et de là est en- voyé à Bicêtre,. Etat actuel
mois il avait des vertiges presque continuels, mais que depuis une semaine ils sont devenus assez rares. 15 décembre. Su
mmises et faire réintégrer Grandidi... dans le service. Plus de six semaines se sont écoulées et rien ne parait avoir été fait
mène nerveux pré- curseur du premier accès. Celui-ci eut lieu trois semaines après, en jouant, sans aura, perte de connaissa
talon gauche. Réflexions. Va))... a eu son. premier accès trois semaines après une émotion vive occasionnée par un empri
rée : huit jours environ. En 1873, fièvre muqueuse ayant duré trois semaines . En 1878, eut un tour de reins, qui dura trois
entrée, il est déjà en voie d'amélioration et depuis plus de six semaines il est tranquille, raisonnable, il dort bien, man
la fontanelle anté- rieure. Il répéta l'opération deux fois, à une semaine d'intervalle, et injecta alors un demi-drachme
raite- ment fut continué, avec quelques changements, pendant sept semaines . L'amélioration était manifeste se caractérisant
injections ne doivent pas être éloignées entre elles de moins d'une semaine ; ceci du reste dépend de la durée des phénomène
90 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ole des Cordeliers ; pendant l'année 1882-83, il allait deux fois par semaine aux cours de chimie de l'Ecole supérieure; il tra
é en apparence, et rien de plus. Il était au service depuis plusieurs semaines , quand, un jour, M. le professeur Forel, de Zuric
femme, de ses enfants qu'il n'avait pas em-» brasses depuis plusieurs semaines , et lui racontai les progrès de l'aîné. » Je lui
qu'il » était malade ; car lui, D..., était malade depuis quelques semaines avec » une vilaine fièvre qui lui avait causé nom
établie. Ce régime moral fut soigneusement suivi et, pendant trois semaines , il n'y eut aucune rechute intellectuelle; l'appé
qu'ils se sont procurés, et ils se livrent à leur passion pendant des semaines sans manger et sans dormir. Pendant les périodes,
leur profonde et intense s'est révélée chez le même sujet à plusieurs semaines et même après une année d'intervalle, et, sauf qu
ntait depuis vingt-deux jours, diminu sensiblement, et en moins d'une semaine il put se faire transporter en litière à la campa
t il s'évadait de l'asile. M. Forel fut très étonné de recevoir une semaine plus tard une lettre de sa femme, qui écrivait :
sculaires par -le massage des muscles. On continue deux séances par semaine sans autre incident. L'hypnotisation devient de p
nte, dans laquelle la suggestion a produit la régularisation à quatre semaines au lieu de treize à quinze jours. Mme H..., tre
'hypnotisai légèrement et, par des suggestions répétées deux fois par semaine pendant un mois, je parvins à la remettre dans so
mère m'annonce que sa fille ne s'est touchée que deux fois depuis une semaine . Le traitement a été répété tous les quinze jou
pendant près d'une demi-heure. Rien ne s'est produit. Il y a trois semaines cependant. M. Focachon, pharmacien à Vézelise, qu
et ne trouve personne qui lui en prête. On continue trois fois par semaine les séances d'hypnotisme avec suggestion de ne pl
vais instincts. Le traitement dura un mois, a raison d'une séance par semaine . La guérison s'est maintenue et les parents, qui
sagacité. » Le jeune domestique que je vous amenai il y a quelques semaines s'appelle Anatole Garlopeau. Il est figé de quinz
e rien ne prouvait l'état d'insanité d'esprit de l'accusé. Quelques semaines avant l'ouverture des débats, un des plus disting
plissement de l'œuvre de justice dont il l'aura chargée... Quelques semaines après, le rêve que le baron Robert avait conçu se
C'est comme un refrain, dit-elle. 26 mai. N'est pas venue depuis 3 semaines . L'amélioration persiste, et elle continue à fair
— et elle ne les avait pas. Ces hallucinations persistèrent plusieurs semaines , puis disparurent petit à petit sans amener d'ent
é les mains. » Un autre, ayant à raconter les faits saillants de la semaine , écrit dans son cahier-journal : M. Grèvy, présid
orée, et en zone subpolaire, où règne chaque année un été de quelques semaines et où la fonte des neiges permet à la végétation
e qui ne mangeait pas ou presque pas et qui n'urinait pas pendant des semaines , bien des gens s'écrièrent : Ah! cela sort des do
'atelier et de gagner 1 franc, pendant les trois derniers jours de la semaine . 3 mars. — La suggestion a réussi. La malade
al à personne; elle est guérie. Elle gagnera plus de 2 francs dans la semaine . 25 mars. — Elle va absolument bien; elle a p
aturellement : elle a des règles déviées par l'anus, toutes les trois semaines a tous les mois. Son appétit est depuis longtemps
par la différence de sa conduite, de ses façons d'être pendant les 3 semaines qui s'écoulent entre les dernières époques catamé
l'onanisme. Depuis ce jour, la mère nous amena l'enfant toutes les semaines . La surveillance établie d'après nos recommandati
hypnotisé par lui. malgré ses tentatives, présenta, pendant plusieurs semaines qui suivirent cette séance, des phénomènes de ner
91 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ole des Cordeliers ; pendant l'année 1882-83, il allait deux fois par semaine aux cours de chimie de l'Ecole supérieure; il tra
é en apparence, et rien de plus. Il était au service depuis plusieurs semaines , quand, un jour, M. le professeur Forel, de Zuric
femme, de ses enfants qu'il n'avait pas em-» brasses depuis plusieurs semaines , et lui racontai les progrès de l'aîné. » Je lui
qu'il » était malade ; car lui, D..., était malade depuis quelques semaines avec » une vilaine fièvre qui lui avait causé nom
établie. Ce régime moral fut soigneusement suivi et, pendant trois semaines , il n'y eut aucune rechute intellectuelle; l'appé
qu'ils se sont procurés, et ils se livrent à leur passion pendant des semaines sans manger et sans dormir. Pendant les périodes,
leur profonde et intense s'est révélée chez le même sujet à plusieurs semaines et même après une année d'intervalle, et, sauf qu
ntait depuis vingt-deux jours, diminu sensiblement, et en moins d'une semaine il put se faire transporter en litière à la campa
t il s'évadait de l'asile. M. Forel fut très étonné de recevoir une semaine plus tard une lettre de sa femme, qui écrivait :
sculaires par -le massage des muscles. On continue deux séances par semaine sans autre incident. L'hypnotisation devient de p
nte, dans laquelle la suggestion a produit la régularisation à quatre semaines au lieu de treize à quinze jours. Mme H..., tre
'hypnotisai légèrement et, par des suggestions répétées deux fois par semaine pendant un mois, je parvins à la remettre dans so
mère m'annonce que sa fille ne s'est touchée que deux fois depuis une semaine . Le traitement a été répété tous les quinze jou
pendant près d'une demi-heure. Rien ne s'est produit. Il y a trois semaines cependant. M. Focachon, pharmacien à Vézelise, qu
et ne trouve personne qui lui en prête. On continue trois fois par semaine les séances d'hypnotisme avec suggestion de ne pl
vais instincts. Le traitement dura un mois, a raison d'une séance par semaine . La guérison s'est maintenue et les parents, qui
sagacité. » Le jeune domestique que je vous amenai il y a quelques semaines s'appelle Anatole Garlopeau. Il est figé de quinz
e rien ne prouvait l'état d'insanité d'esprit de l'accusé. Quelques semaines avant l'ouverture des débats, un des plus disting
plissement de l'œuvre de justice dont il l'aura chargée... Quelques semaines après, le rêve que le baron Robert avait conçu se
C'est comme un refrain, dit-elle. 26 mai. N'est pas venue depuis 3 semaines . L'amélioration persiste, et elle continue à fair
— et elle ne les avait pas. Ces hallucinations persistèrent plusieurs semaines , puis disparurent petit à petit sans amener d'ent
é les mains. » Un autre, ayant à raconter les faits saillants de la semaine , écrit dans son cahier-journal : M. Grèvy, présid
orée, et en zone subpolaire, où règne chaque année un été de quelques semaines et où la fonte des neiges permet à la végétation
e qui ne mangeait pas ou presque pas et qui n'urinait pas pendant des semaines , bien des gens s'écrièrent : Ah! cela sort des do
'atelier et de gagner 1 franc, pendant les trois derniers jours de la semaine . 3 mars. — La suggestion a réussi. La malade
al à personne; elle est guérie. Elle gagnera plus de 2 francs dans la semaine . 25 mars. — Elle va absolument bien; elle a p
aturellement : elle a des règles déviées par l'anus, toutes les trois semaines a tous les mois. Son appétit est depuis longtemps
par la différence de sa conduite, de ses façons d'être pendant les 3 semaines qui s'écoulent entre les dernières époques catamé
l'onanisme. Depuis ce jour, la mère nous amena l'enfant toutes les semaines . La surveillance établie d'après nos recommandati
hypnotisé par lui. malgré ses tentatives, présenta, pendant plusieurs semaines qui suivirent cette séance, des phénomènes de ner
92 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
la situation de cette autre que je vous ai présentée, il y a quelques semaines , et qui avait été endormie par deux sous-officier
dits prophétiques, dans les circonstances suivantes. Il y a quelques semaines , à l'Ecole de Psychologie, j'étudiais dans une sé
sage fort obscur qu'il s'acharnait en vain à traduire depuis quelques semaines . Un mathématicien trouve en rêve la solution d'
ne crise d'asthme et se termina par une lièvre continue qui dura sept semaines (1644). Son fils François-Mercure Van Helmont f
ue tu crois, fais que ma verrue décroisse ! « J'ai vu la malade trois semaines après et la verrue avait complètement disparu.
ultat le jeune homme cessa d'aller voir son médecin. Celui-ci, quatre semaines après, ayant rencontré son malade et ayant consta
uelques minutes, à ce qu'il parait. Au bout de quinze jours à trois semaines , les deux premières verrues sont devenues tout à
, se fânera et finalement disparaîtra. Suzanne B., retenue toute la semaine dans son pensionnat, ne peut venir me voir que ch
nat, ne peut venir me voir que chaque dimanche matin. Au bout d'une semaine , avant même que ne commence notre deuxième séance
ence de coloration. On le voit, quatre séances faites chacune à une semaine d'intervalle ont suffi à supprimer celte verrue.
mai 1899, cette malade vient me voir à nouveau, parce que, depuis six semaines , elle souffre d'une toux violente, sèche, aboyant
e vieille dame, elle a 79 ans, présente chaque année pendant quelques semaines des accès de manie érotique : étendue sur son lit
ion. 5° Suppression complète des boissons alcooliques. — Après deux semaines de traitement, dans lesquelles les séances d'hypn
sseur à l'Ecole de Psychologie. On me fait appeler, il y a quelques semaines , vers 9 heures du matin, auprès d'un enfant de qu
ient à la Divine Majesté ; d'ordinaire elle jeûnait trois jours de la semaine au pain et à l'eau. Ces pratiques austères, elle
rons que cet enseignement existe de la façon la plus complète. Chaque semaine , M. le professeur Raymond, à la Salpêtrière, déga
ux, peut à peine les ouvrir et reste totalement aveugle pendant trois semaines . On fait des pansements locaux; au bout de ce tem
tupéfaction le récit qu'elle leur fait de sa conversation. Quelques semaines se passent pendant lesquelles MlleX... se plait à
bonpoint qu'il avait perdu et put retourner au collège au bout de six semaines . Vers la même époque, la suggestion ainsi faite
aminé cet enfant, je proposai à sa mère de me l'amener trois fois par semaine , afin de lui faire un peu de suggestion. Mon of
ne femme atteinte d'endocardite infectieuse, elle succomba dans la 4e semaine ; jusque peu de temps avant sa mort, elle conserv
résignée s'étendent sur le malade. Vivra-t-il seulement dans quelques semaines ? Le pauvre diable est bien affaissé et bien las ;
u médecin qui était près de lui ? a Le médecin ne répondit pas. « Six semaines seulement, implora le moribond, il me les faut po
assurer que son enfant n'est pas malade. Toutefois, depuis quelques semaines , elle est devenue complètement indolente et apath
ues mois, cependant, son sommeil est meilleur ; mais, depuis quelques semaines , il se termine ordinairement à minuit. A cette he
heures, le second 9 heures. Nos séances se repètent trois fois par semaine . Le sommeil redevient régulier. S'il arrive à la
t à la fois écrits et oraux. Les différents cours professés dans la semaine étant susceptibles d'être demandés sous forme d'i
t lui-même, avec des intervalles d'accalmie qui durent des jours,.des semaines , des années ; pendant ces périodes qui ressemblen
93 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
cessivement trois nourrices. Ce fut avec la dermère et au bout de dix semaines oue les selles se ré-gularisèrent et devinrent no
ssement en question devient appréciable de très-bonne heure, quelques semaines parfois après le début, ou même plus tôt encore1.
ière progressive, dans l'espace de quelques jours ou même de quelques semaines . Il est d'autres cas où dans la période de régr
a été dit par M. Duchenne (de Boulogne), les aurait constatées, trois semaines après le début de la maladie sur un fragment de m
ite des blessés; c'est de plus le guérir radicale- ment en quelques semaines au lieu de perpétuer ses souffrances un temps ind
au bout de quelques mois, il fut pris d'une stomatite qui dura trois semaines . Il reprit son métier, et n'eut aucun accident pe
nt, à l'état de symptôme permanent. Durant des jours consécutifs, des semaines , des mois, la quantité d'urine rendue en vingt-qu
éLion rénale et l'excrétion supplémentaire peut persister pendant des semaines , des mois, sans qu'il en résulte jamais aucun tro
à celui que Scherer a trouvé chez un aliéné qui jeûnait depuis trois semaines ; 9 à 10 grammes d'urée en vingt-quatre heures, v
FEMME ENCEINTE accouchement naturel. — ablation de la tumeur six semaines après la délivrance. — gangrène, érysipèle. — gué
tention, parut fort décon-tenancée, partit et ne revint plus. Trois semaines seulement après la délivrance, les douleurs péri-
quelques jours de repos et de préparation, la malade fut opérée, huit semaines environ après l'accouchement. L'avivement de la p
vités à adresser leur travail à M. le secrétaire général au moins une semaine (10 septembre) avant l'ouverture du Congrès. La c
devint enceinte pour la deuxième fois; et fit une fausse couche à six semaines . Il lui est resté, depuis cette époque, un mal de
dans le vagin. Ce traitement doit être continué pendant deux ou trois semaines . — M. Guéneau conseille encore dans le même cas l
très-courts, la nature hystérique du mal, surtout dans les premières semaines , reparaissait dans tout son jour. Une fleur dans
underlich à laquelle M. Charcot a fait allusion. Observation. —Huit semaines de convulsions hystériformes à marche apy-rêtique
us. La figure 12 est très-instructive à cet égard. Pen-dant plusieurs semaines , le ma-lade reste dans une situation passable, bi
époque que très-irrégulièrement et très-faiblement. Dès les premières semaines du traitement par les courants continus, les règl
sparu depuis son attaque, qui a eu lieu il y a près de deux ans, cinq semaines après un accouchement. 11 y a dix jours, ses règl
ives de réduction après trois mois pour les luxations du bras et huit semaines pour les luxations de la cuisse. Il prétend que l
avant terme et morts; 4 vivent et sont bien portants, 1 est mort à 7 semaines de maladie aiguë. La grossesse relative à notre
centimes environ, autour de laquelle la peau offrit, pendant quelques semaines , une vive réaction in-flammatoire. La malade grat
on développement, elle a pu la supporter sans gêne ni douleur. Sept semaines avant son admission à l'hôpital Saint-Louis, V...
me étranger au pays, né aux environs de Guingamp, qui s'en alla trois semaines après son mariage, à la suite de querelles avec s
six mois et demi avant l'accouchement, et qu'elle a ressenti dans la semaine suivante les premiers symptômes nerveux de la gro
sa possession qu'il est parti pour ne plus revenir, au bout de trois semaines de ménage, proba-blement après ces querelles. P
de ce jour ; soit, au jour de notre premier examen, huit mois et une semaine de grossesse. Victoire, au premier aspect, prés
94 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
n mois entre chaque période de traitement. Deux bains sulfureux par semaine ; trois bains électriques (courants continus) sui
, et évo- luant d'une façon plus ou moins régulière en sept ou huit semaines ». Depuis cette époque, de nouveaux cas ont été
alade répand une odeur infecte. 16 septembre. Mort par asthénie 7 semaines après le début de l'affec- tion. La fin ne peut
t depuis le commencement de la maladie. Pendant les trois premières semaines elle est restée normale ou inférieure à la norm
dé- crits dans le cas précédent. Leur durée fut d'une, deux, trois semaines et demie. Deux fois, j'ai pu me procurer des mo
rt ; la peau a été mise aussitôt dans l'alcool et examinée quelques semaines après. On ne saurait donc considérer les lésion
Vers le mois de dé- cembre 1891, elle tomba trois fois, à quelques semaines d'intervalle, dans un bassin d'eau froide. Ces
it gênée. Puis, peu à peu, elle se rétablit. Ce fut seulement six semaines avant son entrée à l'hôpital (9 octobre 1883),
f dans les cas d'origine traumatique, pendant les premiers jours ou semaines qui suivent l'accident. Quelquefois, ils ne p
du cubital au coude. Nous proposâmes une intervention qui, quelques semaines avant, nous avait, dans un cas en apparence ana
d'un délire qui dure deux jours. A ce délire succède, pendant trois semaines , un état de subdélirium, entrecoupé de quelques
rte qu'il put quitter l'hôpital au bout de trente-sept jours. Six semaines après l'ictus initial, l'hyperesthésie du début a
ène ni fatigue. Ainsi, il demandait une permission de sortie chaque semaine et en profilait pour se rendre àpied de la Salp
e, de la cystite et de la pyélo-né- pyrite. Cet homme succomha sept semaines après l'accident. Or, à l'autop- sie, on consta
s do la sensibilité dans les parties affectées. Un examen fait deux semaines plus tard a montré certaines variations dans la
é lent dans certains cas (jusqu'à 3 ans) et rapide dans d'autres (5 semaines , 3 mois). Dans la plupart des cas, l'ec-- zéma
la fièvre typhoïde. A 15 ans, elle a été affectée 'durant plusieurs semaines d'abon- dantes,hémoptysies, puis, environ un an
à 70°, puis plongés dans de l'alcool absolu, où ils sont restés une semaine , ils furent pla- cés dans la cellouline, où ils
l a eu quatre accès consécutifs, n'en ayant pas eu depuis plusieurs semaines . Dès le lendemain on remarqua que les cheveux t
r chevelu avait pris l'aspect qu'il devait garder pendant plusieurs semaines . .. Les photographies .1 et (Pl . XXXVI) prises
ur périphérie, et guérissant spontanément dans l'espace de quelques semaines ou de quelques mois. Ces faits qui par leur évo
eure. Je poursuis donc mon récit. Notre malade, au bout de quelques semaines , est envoyé il la campagne. C'était au mois d'a
baturée pendant 2 à 3 jours. Cette crise survient tantôt toutes les semaines , tantôt tous les mois. (1) Comby, Médecine mo
crise.nerveuse. La malade eut son retour de couches au bout de six semaines et les règles se montrèrent pendant les 10 mois
e. Les crises avaient disparu avec l'accouchement. Au bout de six semaines , la malade se trouve de nouveau enceinte et fait
ière, salle Trousseau, lit n°44. Elle est paraplégique depuis trois semaines environ. Antécédents héréditaires. Son père est
illement. Ces accidents aigus avaient été précédés pendant quelques semaines de DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 337 p
et leur durée ont été très analogues ; la maladie a duré environ 5 semaines dans un cas et (i dans l'autre. Au point de vue
95 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
nastique vînt donner une leçon tous les matins au lieu de trois par semaine : il n'a pas été fait droit non plus à cette ré
tous les services. Les travaux d'appropriation, autorisés quelques semaines après par M. Peyron, ont été conduits avec acti
boisson; il était souvent ivre plus ou moins deux ou trois fois par semaine ; depuis la guerre cela ne lui arrivait plus qu'
venaient en général parsérip avec des intervalles de une ou deux semaines au plus. A mesure qu'il vieillissait ils devenaie
s fréquents en hiver qu'en été où ils reviennent presque toutes les semaines ; ils n'ont aucun rapport avec les règles. Pas d
. Le plus long intervalle entre deux accès serait de trois à quatre semaines . Les accès seraient précédés d'une aura. L'enfa
coup d'absinthe, s'enivrait souvent et ne commençait quelquefois sa semaine que le mercredi. Il était d'ailleurs bon ouvrie
ortant; puis il a été mis en nourrice pour être élevé au sein; cinq semaines plus tard, il était « en étisie ». Sa mère l'a
on a remarqué, comme les autres années, des périodes de une ou deux semaines durant lesquelles il est inerte, irritable, que
he reste fléchie. Traitement anti-scrofuleux ; deux bains salés par semaine , essayer de faire marcher l'enfant. 4 novemb
ents choréiquos. Sa mère avait remarqué que, depuis trois ou quatre semaines , il devenait « songeur». Aucun autre prodrome.
. Sa tenue est bonne. Trahi- tement : bains et purgatifs 2 fois par semaine ; sirop d'ioduro de fer; gymnastique, école, cor
96 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
tériques. Encéphale, 1881. 3. Germain Sée. De la chorée électrique; Semaine médicale, 6 mars 1884. 4. Ormerod. British médi
ment peut s'établir à demeure et persister sans relâche pendant des semaines et des mois. Enfin il peut arriver que le tremb
ez lesquels ce tremblement persiste, sans interruption, pendant des semaines et des mois. En pareil cas, s'il est quelque pe
océphale; le cinquième est mort d'une affection intestinale à trois semaines . P... a eu, à l'âge de ans, des convulsions à l
gion pariéto-frontale droite, cautérisations répétées deux fois par semaine au nombre de vingt à vingt-cinq pointes. Les br
xiques et les vomis- sements dont elle a souffert. pendant quelques semaines avant son entrée.- - ... . . , le.. septembre
lorsqu'il vint en permission, à Pâques, en 1888. Pendant ses trois semaines de' congé, il alla même travailler chez son ancie
en mouvement. Au mois de janvier 1890, il a présenté pendant trois- semaines environ, une phase d'excitation. Il se levait l
altérée. Ces crises la prennent régulièrement deux à trois fois par semaine , de 6 à 8 heures du soir. Elles rompent néanmoi
s qui repren- nent au réveil et peuvent ainsi persister pendant des semaines et des mois. sans que la santé générale semble
des membres supérieurs, qui aurait été plus notable encore quelques semaines auparavant. Pendant les deux mois qui suivirent
ge de dix mois, le neuvième enfin est mort de faim dans la première semaine par suite d'une malformation congénitale (imper
toute son étendue, à peine plus chaud que l'autre; au bout de trois semaines la tuméfaction dis- parut. Les mêmes symptômes
e nourriture. Enmême temps léger degré de diplo- pie. Environ une semaine après l'apparition de ces nouveaux phénomènes t
t pendant son séjour à Tenon, vers la fin de novembre, dit-il trois semaines après sa rentrée qu'on se serait aperçu de la déf
malade, est traité par la suspension : on le suspend trois fois par semaine ; les séances durent trois, quatre et cinq minutes
Guérison (purgatifs, bains de vapeur, séjour du malade pendant six semaines dans un lieu à température élevée et constante)
ccidents oculaires qui s'amendent ordinairement au bout de quelques semaines . Pas d'antécédents syphilitiques manifestes. On
enaient chaque année au printemps et disparaissaient après quelques semaines : l'oplltbaltnoplégie était donc intermittente.
ans l'espace d'un mois et demi presque complètement. En somme, sept semaines après le déhut de la maladie l'acuité visuelle,
nnance : « Persistance des symptômes oculaires. De plus, depuis six semaines , une certaine difficulté de la déglutition; voix
nts reparaissent comme en 18G7. J'ai revu la malade il y a quelques semaines , et j'ai constaté de nouveau la chute incom- pl
97 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rendre la tranquillité à cette malade pendant quinze jours ou trois semaines . Après ce laps de temps, il fallait recommencer
de longues marches et montait fréquemment à cheval. Au bout de cinq semaines , cette dame retourna chez elle. C'est alors que
t, et, depuis, cette pensée persécutrice ne l'a plus quittée. Trois semaines après cet incident, elle alla dans une autre vi
r rec- tifier l'articulation ( ? ). Pendant quinze jours ou trois semaines il parut à la malade qu'elle dormait mieux, mai
vir. Cet état dura avec des alternatives d'amélioration pendant six semaines environ. Après ce temps, une douleur se déclara
e molaire et de la seconde petite molaire inférieure yauclie. Douze semaines après l'opération malheureuse relatée plus haut
u et nager sur le ventre, comme il lui est arrivé pendant plusieurs semaines de séjour aux bains de mer. Elle passe la journ
sie et d'abasie à l'hôpital, où il se trouvait déjà depuis trois semaines à cause des douleurs dans les reins. Le début ne
e porta bien jusqu'à sa mort qui suivit une seconde opération trois semaines après, pendant laquelle on lui avait en- levé l
t. Il s'ensuivit une cécité complète mais ils disent qu'après trois semaines l'animal recouvra la vision sur une certaine ét
as et de chaque côté mieux que ceux placés en face de ses yeux. Six semaines après l'opération, mon collègue, le professeur
une cécité complète de l'oeil opposé durant d'un à deux jours à six semaines . Ils concluent de leurs expériences que chez le
de fébrile (lièvre modérée) de peu de jours, suivi d'un stade d'une semaine pendant lequel, le pouls étant très peu fréquen
circonscrites dont il vient d'être question. Au bout de quelques semaines , ou peut-être seulement de quelques mois (je ne
llait même pas quand on faisait partir près de lui une capsule. Six semaines après l'opération, pendant que l'animal jouait
qu'on faisait pour le distraire. Le 30 novembre, c'est-à-dire trois semaines après l'opé- ration, ces observations furent co
ant leur déjeuner. Des observations répétées pendant le cours de la semaine suivante montrèrent l'irrégularité apparente de s
préter les sons qu'il entendait. Cet état, cependant, dura quelques semaines au plus. L'animal a repris les sens des sons et r
s, la formation des manchons de myéline, qui s'effectue en peu de semaines , on voit que les trousseaux centraux qui, sont en
'abus de l'éther dans certains districts du nord de ce pays, dit la Semaine Médicale, a décidé que ce produit devait être c
retrouve pas dans le ptosis paralytique. Le hasard nous a amené, la semaine der- nière, un tabétique avec chute complète de
nfluence d'un peu d'éther. Jadis très rapprochées (deux à trois par semaine ), elles sont aujourd'hui beaucoup plus rares. L
e par l'absence du bégaiement pendant des heures, des journées, des semaines des mois, suivant les cas. Quant à ce qui conce
ntion aussitôt de l'autre côté. L'anesthésie tactile dura plusieurs semaines sans changement appréciable, mais une améliorat
raduelle, seproduisit, de sorte que l'examen à la fin de la sixième semaine révéla seulement un certain degré d'altération,
riences auxquelles j'assistais, sur un animal chez lequel quelques semaines auparavant on avait enlevé l'hippocampe et qui av
citants légers du tact. L'analgésie diminue avec le temps, mais six semaines après l'opération elle était toujours manifeste
miers jours, elle a persisté quoiqu'a un moindre degré pendant les semaines dans les cas où les animaux ont été aussi longtem
lité des deux côtés excepté dans le bras, l'épaule et le pied. Onze semaines après la première opération, le gyrus fornicatus
symptômes observés chez cet animal sont d'un grand intérêt. Dans la semaine qui suivit la première opération, on fit de nom
que ses compagnons rejetaient aussitôt après les avoir sentis. Six semaines après l'opération, on plaça une pincée d'aloès
98 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
sieurs étudiants vraiment distingués qui ont perdu, pendant plusieurs semaines et même pendant plusieurs mois, leur aptitude si
es. — La malade se trouve fort bien de ce régime et au bout de peu de semaines elle entre en convalescence, alors qu'avant l'emp
e résultat désiré. La malade a pu quitter la maison au bout de peu de semaines et s'est bien tenue pendant un certain temps. — M
ritable martyre. Les crises se renouvelaient toutes les deux ou trois semaines , duraient quelques jours avec céphalalgies intens
de me décide à publier la note que je préparais. Dans un numéro de la Semaine médicale de 1888, le professeur Lépine a publié,
uis sueur abondante. On crut à un accès de fièvre intermittente. Cinq semaines plus tard, à l'occasion de nouvelles douleurs rhu
resque pas de leur état normal; et cela peut se prolonger pendant des semaines et des mois. Ces sujets dormaient-ils? Evidemment
sentait à être ainsi chancre. Le 20 octobre, je le revois après six semaines d'absence et la guérison s'est maintenue malgré l
de jours, mais les nuits étaient toujours agitées. Environ trois semaines après l'accident, il fut pris, vers onze heurts d
roit pas à l'homéopathie, elle a pris des globules et, en moins d'une semaine , elle a été pariaitement guérie. Le public connaî
lpabilité de l'accusé. Pichereau niait énergiquement. et depuis des semaines le juge d'instruction, H. de Penemprat. cherchait
r les yeux. Elle est retournée chez le magnétiseur cinq fois en trois semaines ; c'e'tJtl plus'Jbrt qu'elle : toujours les chose
douleur. G... guérit entièrement de son uréthrite au bout de quatre semaines , terminaison particulièrement heureuse chez un in
fièvre que la quinine ne guérit pas, retourne en France, c t quelques semaines il sera transformé : sans aucune intenta lion, sc
ois, il est devenu encore plus stupide qu'il ne l'avait été; mais une Semaine de séances analogues aux premières l'ont complète
vint a Nimcs et fut recueillie dans un refuge, où clic passa cinq semaines sans avoir de crises. Les premières remontent i q
Il tousse beaucoup et s'est très amaigri. Très fatigué depuis deux semaines , il a dû s'aliter... Son état >'aggrave rapi
ais pu dépasser un certain résultat maximum acquis dans les premières semaines . Mais la suggestion avait-elle agi sur les élémen
ns le laboratoire da M." Proust, les mercredi et vendredi de chaque semaine . Maladies du sritême nerveux et maladie»-mental
l'avoir parfaitement vue à l'œil nu, n'était plus visible depuis six semaines , d'affirmer devant six personnes cjue je la voyai
le pût la dessiner, non telle qu'elle l'avait réellement vue quelques semaines auparavant, mais telle que son imagination excité
e la prendrai comme exemple. M. le professeur Mierjiewsky fait, par semaine , trois leçons sur les maladies mentales et nerveu
seignement donné * l'intérieur de la clinique ont lieu, deux fois par semaine , des consultations externes, d'une durée de deux
mplètent son enseignement et tont chacun une leçon de deux heures par semaine . Ce sont actuellement les docteurs Erliskv, Danil
ement les docteurs Erliskv, Danillo et Rosenbach. Il y a donc, chaque semaine , seize heures consacrées a l'enseignement des mal
la dysphagie disparaissait entièrement : je pus ainsi, au bout d'une semaine de traite- ment, lui Taire faire chaque jour
le; on lui administra un régime tonique approprié à son état, et, six semaines après, il ne restait plus qu'un peu de rétrécisse
eux séances, de secousses convulsives dont elle souffrait depuis onze semaines . Six malades qui présentaient des attaques hystér
dix jours le malade pouvait marcher. 11 guérit complètement après six semaines de traitement. Ses mollets, qui étaient déjà très
99 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
une division supérieure, ne vont à l'école qu'une demi-journée par semaine et restent à l'atelier toute la journée. Les au
cinés. Service deau'c. M. le D1' Bouvet a continué à venir chaque semaine donner des soins à nos malades au point de vue
e.) Enseignement du dessin. - Les cours ont eu lieu deux fois par semaine régulièrement jusqu'au mois d'août sous la dire
gésique. - A qua- torze ans, second panaris analgésique. - Quelques semaines après, deux abcès dit membre supérieur droit. -
et aussi à cause de la mort de sa mère, 13... fut placé quelques semaines après son retour à l'asile des incurables des frè
is, les frères m'ont ramené l'en- fant. Je l'ai gardé deux ou trois semaines et ensuite j'ai obtenu son placement à la colon
direction antéro-postérieure. Ces accidents ont disparu en trois semaines 1. Avril. - Second panaris analgésique. - B...
travailler chez un cordonnier du dehors, qui lui donne G francs par semaine . 18QG. Janvier. - Mêmes lésions trophiques de l
té le troisième jour de la vie. III. C'est à la fin delà première semaine qu'on aurait constaté la cécité absolue et ulté
- Conception et grossesse, rien de particulier. accouchement trois semaines avant terme. - Asphyxie à la naissance, due au
ons ? guinité. - Inégalité d'âge de deux mois. Accouchement trois semaines avant terme. - Asphyxie à la naissance. - Herni
duit à l'Asile clinique, où il est mort d'une fluxion de poitrine 3 semaines après. - Mère, blanchis. seuse, grande, brune,
es de boire, pas d'opiacés, etc.- L'accottchement a eu lieu trois semaines auant terme ; il a été naturel ; elle a eu 3 heur
'âge de 3 ans, elle a une coqueluche assez forte qui a persisté six semaines . A 11 ans et 3 mois, elle a eu une nouvelle cri
oite la même déviation de la face et de la bouche. Durant les trois semaines qui ont succédé, elle n'a pas pu mar- cher. Ell
. gâte, grince des dents, est salace. Enfin, durant les dernières semaines , à la démence, devenue complète, s'ajoute une c
gie du côté gaucho, qui aurait disparu au bout de trois mois, six semaines après l'accouchement. Elle n'a jamais eu de crise
e, la mère a eu, sans cause connue, une forte perte qui a duré deux semaines (2). Ni traumatisme, ni émotion, ni alcoolisme,
alades où on lui dit qu'il était « rachitique ». Elle le garda cinq semaines et, durant ce temps, constata que sort enfant é
100 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
hésitation avant dr prononcer le gros mol de viol. Depuis plusieurs semaines . tel était donc résumé des faits. L'enfant avai
ile : on lui suggérait de ne corriger des défauts signalés, etc. La semaine dernière, tunnel incident : la belle-mère arrivai
rmant a mesure que les forces revenaient; et, à la lin de la première semaine de juillet, elle était complètement cicatrisée. C
gène du genou. disparue à peu près, revint plus forte au bout d'une semaine . L'hypnolismc se montra impuissant a l'annihi
té. Les accès durent de 1 à 4 h. et se reproduisent 2 à .l fois par semaine . Apres 2 mois de cette névralgie. Mme D… a été
session dominante du nommé Louis ne disparaît pas; c est ainsi que la semaine dernière, sous l'inlluonce d'une de ses époques m
ent de moins en moins fréquentes et cessèrent complètement après deux semaines de traitement. Elle put venir chez moi en voiture
A la suite de la première séance, elle n'eut plus de toux pendant une semaine . Il y eut alors une légère rechute, elle revint m
heur. Mais lorsqu'il u été privé de sa présence pendant deux ou trois semaines , il souffre de son absence et, accompagné de Mme
dans d'autre cas, le changement de personne à tuer. Comme depuis deux semaines il n'avait pas vu son enfant, il arrive qu'un jou
oyés en pareil cas; ils furent régulièrement suivis pendant trois semaines , sans amener la moindre amélioration. Conservant
par des odeurs, des saveurs, par l'idée dos nombres, des jours de la semaine ou des mois. etc. (Quelques lignes sont consacrée
d'une teinte particulière. Ainsi tel se représentera les jours de la semaine comme une série de parallélogrammes ayant des gra
igue. L'hystérie est absolument hors de cause. Depuis environ trois semaines , après un léger refroidissement elle sentit un do
vec l'œil privé encore de la vue. ce qui eut lieu ; et que dans trois semaines , sa paralysie fiscale' aurait disparu, ce qui
ment deux â trois fois par jour avec intervalles de près de trois semaines sans rechute. Du reste, la vision de l'œril droit
, la tète la première. 11 fut gravement contusionné et resta quelques semaines à l'hôpital. Le seul souvenir de cet événemeut
tait depuis vingt-deux jours, diminua sensiblement, et en moins d'une semaine il put se faire transporter en litière à la campa
. dans l'observation 1. une jeune fille qui no dormait pas depuis six semaines retrouva le sommeil. Dans l'observation 2. id
houle danse devant .ses yeux : crises hystériques. C'est après une semaine de celle singulière thérapeutique suggestive que
ours à supprimer les grandes crises d'hystérie en peu de temps, (rois semaines au plus; on réussit toujours, je puis l'affirmer,
le en riant, mais je suis donc démêlée. Ah ! merci, docteur. Peu de semaines après, Mme G.., a quitté Ville-d'Avray, et je ne
d'arsé-niate de strychnine par jour et je lui injecte trois fois par semaine , un. trois et plus lard 4 milligrammes de phospho
s'empresse d'engager de nouveaux sujets presque chaque jour ou chaque semaine (dans l'année 1893 j'ai compté 68 nouveaux produi
porte et s'en vont sans avoir le courage de sonner; ils attendent des semaines avant rie renouveler leur tentative. C'est « qu'i
t le cas suivant de suggestion à l'état de veille : Il y a quelques semaines , une marchande de vin, Mme' R..., avait été trouv
iatement l'œsophagotomie externe et elle guérit en l'espace de quatre semaines . Une troisième femme de trente-deux ans fut de mê
/ 189