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1 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
n dans l'ataxie locomotrice. — Insuf-fisance des procédés employés. — Sclérose des cordons postérieurs; sa signification. — Exam
tion. — Examen à l'œil nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des cordons postérieurs. Examen macroscopique.
ieurs ; leur altération paraît constante dans l'ataxie locomotrice. Sclérose fasciculée systématique médiane. — Sclérose fasci
s l'ataxie locomotrice. Sclérose fasciculée systématique médiane. — Sclérose fasciculée latérale. — Dans l'ataxie locomotrice,
iane. — Sclérose fasciculée latérale. — Dans l'ataxie locomotrice, la sclérose débute par les bandelettes postéro-latérales. — R
port entre les lésions et les symptômes. — Mode de propa-gation de la sclérose . — Faisceaux radiculaires internes.— Envahissemen
onc de plein pied dans Vanatomie pathologique. L'étude anatomique des scléroses spinales comporte, vous le Mais, et il importe
ataxie locomotrice progressive se rattache, ainsi qu'on l'a dit, à la sclérose postérieure comme «l'ombre se rattache au corps,
ections, c'est à ce mode d'examen que nous devons la découverte de la sclérose des cordons postérieurs. Et si je relève ce fait,
ressive, est une des formes de la sclé-rose des centres nerveux. La sclérose ou induration grise des centres nerveux répond, v
locomotrice, ne diffère en rien d'essentiel de ce qu'elle est dans la sclérose en plaques ou dans la sclérose symétrique des cor
d'essentiel de ce qu'elle est dans la sclérose en plaques ou dans la sclérose symétrique des cordons latéraux, par exemple. La
hie simple. La méningite spinale, qui coexiste si fréquemment avec la sclérose des fais-ceaux postérieurs, dans l'ataxie, et qui
ques qui concernent l'ataxie locomotrice progressive. Les résultats Sclérose limitée aux cordons médians ou cordons de Goll. F
déterminer à pré-sent. On avait, depuis longtemps, remarqué que la sclérose fascicidée et ascendante des faisceaux postérieur
comprimée sur un point de la région dor- 1 Pierret. — Notes sur la sclérose des cordons postérieurs dans l'ataxie loco-motric
ssive. {Archives de physiologie, 1872, p. 364.) — Notes sur un cas de sclérose primitive du faisceau médian des cordons postérie
trice et douleurs fulgurantes) dans les membres supérieurs. Or, cette sclérose consécutive affecte exclusivement, en pareil cas,
he I, Fig. 1). L'examen attentif des lésions que présente la région Sclérose limitée aux cordons de Goll. Fig- 3. Coupe au niv
ns. On sait que, dans les cas de ce genre, on observe en dehors de la sclérose des cordons de Goll — laquelle est à peu près tou
ais il manquait encore à la démonstration de reconnaître un cas où la sclérose des cordons de Goll fût absente au ren-flement br
nion qu'il s'agit là d'un phénomène analogue à celui qui détermine la sclérose fasciculée médiane ascendante, à la suite des myé
ait à la région cervicale, chez les alaxiques, que dans les cas où la sclérose se montre chez eux très pro-noncée à la région do
toute la hau-teur de la moelle et à cela se bornait, dans ce cas, la sclérose des faisceaux postérieurs. Vous voyez, Messieur
l fait anatomique essentiel dans l'ataxie locomotrice progressive. La sclérose des cordons mé-dians n'est, au contraire, qu'un f
re trompeuse, infidèle, parce qu'elle montrerait tantôt l'ataxie sans sclérose posté-rieure et tantôt celle-ci sans ataxie. VI
e vous l'avez compris, d'après tout ce qui précède, d'établir dans la sclérose postérieure deux for-mes bien distinctes, lesquel
ombinaison. L'une de ces formes pourrait être désignée sous le nom de sclérose fasciculée systématique médiane ou sclé-rosée des
cordons de Goll; elle existe tantôt à titre d'affection consécutive ( sclérose ascendante, consécutive), tantôt à titra d'affect
sent, quels symp-tômes particuliers se rattachent à cette forme de la sclérose postérieure. L'autre forme, la sclérose fasciculé
attachent à cette forme de la sclérose postérieure. L'autre forme, la sclérose fasciculée latérale des cordons postérieurs, ou s
re forme, la sclérose fasciculée latérale des cordons postérieurs, ou sclérose des bandelettes externes tient sous sa dépendance
dans quelques nouveaux développe-ments pour faire ressortir que cette sclérose fasciculée latérale est bien, en réalité, le fait
e altération. Le fait a été mis hors de doute, La vérité est que la sclérose des bandelettes latérales des faisceaux postérieu
airement aux asser-tions des auteurs classiques qui font commencer la sclérose de l'ataxie, par les parties médianes, au voisina
cor-dons latéraux. Pour ce qui est de l'extension si habituelle de la sclérose latérale aux cordons médians, nous n'avons pas re
ême temps que le cordon médian devient habi-tuellement le siège d'une sclérose consécutive ascendante. Les prolongements des ban
g. 5. — A, Racines postérieures. — B. Filets radiculaires internes et sclérose limitée à leur parcours. — C, Corne antérieure dr
tions rétrogrades dans les maladies spinales ; leurs rapports avec la sclérose des cordons posté-rieurs. — Des douleurs fulguran
des cornes antérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux médians postérieurs ; propagation d
des. — Sclérose des faisceaux médians postérieurs ; propagation de la sclérose aux bandelettes latérales des cordons postérieurs
urs constrictives. — Des douleurs fulgurantes symp-tomatiques dans la sclérose en plaques disséminées, la paralysie générale pro
tif, cette fois, à l'anatomie et à la physiologie pathologiques de la sclérose des cordons pos-térieurs, que le manque de temps
primant la moelle dorsale), les cordons pos-térieurs sont affectés de sclérose dans toute leur étendue en hauteur, jusqu'au vois
s modifications que peut pré-senter, dans certaines circonstances, la sclérose consécutive ascendante qu'il faut chercher la sol
n du problème. Ainsi que je vous l'ai fait remarquer, Messieurs, la sclérose ascendante consécutive aux lésions partielles de
tabétiques dans les membres supérieurs. Mais une fois consti-tuée, la sclérose consécutive peut acquérir une existence indi-vidu
orie. Voici l'explication que je propose à leur sujet. En outre de la sclérose fasciculée des cordons médians postérieurs, il ex
mots les caractères fondamen- renflement cervical par exemple, une sclérose plus ou moins prononcée de la région postérieure
moins prononcée de la région postérieure des cordons latéraux. Cette sclérose latérale ascendante reste le plus souvent rudimen
ieurs, tôt ou tard suivie d'une contracture, est un symptôme lié à la sclérose fasciculée latérale occupant le renflement cervic
le renflement cervical delà moelle épinière. En résumé, lorsque la sclérose secondaire ascendante de-meure, comme c'est la rè
fin, la paralysie et la contracture apparaîtraient dans les cas où la sclérose consécutive occuperait, à un haut degré, les cor-
xie locomotrice progressive et la maladie que j'ai proposé d'ap-peler sclérose en plaques disséminées. Celle-ci, comme celle-là,
tions : 1° des symptômes spinaux ; 2° des symptômes cephaliques. — La sclérose en plaques, de même que l'ataxie locomotrice, est
éristiques, je ne dirai pas de l'ataxie loco-motrice, mais bien de la sclérose rubanée postérieure, en tant, du moins, que la lé
se est restée limitée au trajet des faisceaux radiculaires. Seule, la sclérose des rubans exter-nes serait donc, vous le voyez,
quem-ment à des scènes de ce genre. scléreuse. Tel est le cas de la sclérose en plaques dissé-minées. Il n'est pas rare que, d
ront être rapportées, presque à coup sûr, à la forme parti-culière de sclérose postérieure qui conduit à l'ataxie locomo-trice p
de Paris, 1868. attention, dans les maladies spinales autres que la sclérose postérieure, par exemple dans la paralysie généra
ive, par opposition d'une part à la lésion de ces mêmes nerfs dans la sclérose en sortir l'intérêt clinique qui s'attache à le
t de vue clinique — ils permettraient de diagnostiquer l'ataxie ou la sclérose des cordons postérieurs, si déjà elle existe, ou
e induration grise, dont l'aspect rappelle à tous égards, celui de la sclérose fasciculée spinale. Elle paraît, en règle général
ou-velles analogies entre l'induration grise des nerfs optiques et la sclérose spinale tabétique. Il y a lieu de remémorera ce p
t bien plus complète et plus rapide que celle qui se pro-duit dans la sclérose en plaques, les cylindres d'axe persistant en eff
sément l'a-maurose tabétique de celle, par exemple, qui accompagne la sclérose en plaques. L'embolie de l'artère centrale de l
aule, au coude ou au poignet qu'on l'observe. Mais, vous savez que la sclérose spinale postérieure peut être tout à fait récente
portante dans l'espèce et qui, en réa-lité, domine la situation, — la sclérose des cordons posté-rieurs ! J'en ai fini, Messie
ulgaire du mot, et c'est là un trait qui le différencie des foyers de sclérose avec lesquels il a tant d'analogies, car les part
nt, nous retrouvons dans ces tumeurs des caractères qui rappellent la sclérose , car elles sont presque exclusivement constitué
rilles, offrant une grande ressemblance avec ce qu'on observe dans la sclérose confirmée. Mais, nulle part, et c'est là une diff
s de forme ; ramollissement, indura-tion. — Myélite interstitielle. — Scléroses consécutives ascendante et des-cendante. — Les fo
une myélite transverse interstitielle, rappelant les caractères de la sclérose et accompagnée d'une destruction plus ou moins co
voir subi une augmentation de volume. II. Myélite transverse avec sclérose consécutive ascendante et descendante, tels sont,
se présentent dans les cordons envahis avec tous les caractères de la sclérose interstitielle. Il ne s'agit donc pas seulement d
descendante dans l'accep-tion rigoureuse du mot, mais d'une véritable sclérose ou myélite scléreuse fasciculée consécutive. re
ouleur grise ; en un mot, la moelle avait toutes les apparences de la sclérose la plus avan-cée (Pl. III, Fi g. 1). Au-dessus
ent, suivant les lois que nous avons exposéees, les altérations de la sclérose fasciculée secondaire, laquelle occupe, dans le p
ns toute son étendue en hauteur, suivant la loi du dévelop-pement des scléroses fasciculées descendantes. En pareil cas, la contr
ie spinale de l'adulte; — Atrophie musculaire progressive spinale ; — Sclérose latérale amyotrophique, elc. Charcot. Œuvres co
transformation scléreuse de la névroglie; foyers de désinté-gration; sclérose partielle des cordons antéro-latéraux ; atrophie
Enfin, nous signalerons, dans notre observation, une atro-phie avec sclérose partielle des cordons antéro-latéraux et une atro
s cellules sont détruites et qui est représenté par un petit foyer de sclérose . et comme systématiquement dans l'espace ovalai
émise par M. Vulpian, théorie à laquelle j'adhère complète-ment, les scléroses systématiquement limitées aux cordons postérieurs
erveuse motrice est celle que l'on désigne quelquefois sous le nom de sclérose ou i¥atrophie sclé-reuse. — La cellule a diminué
gressive deutéropathique : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale chro
; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. D
ique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l'atrophie musculaire
on spinale et de celle des nerfs périphériques. 2° Vient ensuite la sclérose des zones radiculaires posté-rieures, subslratum
ures, — atrophie lente des muscles, — et de ceux qui caractérisent la sclérose des zones radiculaires postérieures — douleurs fu
mptômes d'amyotrophie progressive 2. 5° Nous devons citer encore la sclérose en plaques. En général, dans les cas ordinaires r
-téropathiques, est celle qui est caractérisée anatomiquement par une sclérose qui affecte symétriquement les faisceaux latéraux
la moelle épinière, dans toute la hauteur de ce cordon nerveux. Cette sclérose fasciculée peut même être suivie, ainsi que nous
insi que nous le dirons, jusque dans le bulbe et la pro-tubérance. La sclérose fasciculée latérale symétrique peut se rencontrer
les symptômes amyotrophiques se surajoutent à ceux qui relèvent de la sclérose latérale. Dans tous les cas qu'embrasse cette é
jà remarqua-blement modifiée. tiennent aux formes deutéropathiques ( sclérose postérieure, sclérose symétrique latérale, pachym
difiée. tiennent aux formes deutéropathiques (sclérose postérieure, sclérose symétrique latérale, pachyméningite). J'en dira
jouent un rôle intéressant comme cela se voit, entre autres, dans la sclérose latérale amyotrophique. B. Après cette énumérat
pe, du ressort de la myélite chronique, de la pachyméningite ou de la sclérose latérale. Celles qui surviennent en conséquence
occuper. DOUZIÈME LEÇON Amyotrophies spinales deutéropathiques. — Sclérose latérale amyotrophique. Sommaire. — Amyotrophie
myotrophique. Sommaire. — Amyotrophies spinales deutéropathiques. — Sclérose latérale amyotrophique ; localisation de la lésio
s cordons latéraux, des faisceaux de Col] et des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale. Sclé
eaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale. Sclérose latérale symétrique primitive. — Anatomic patholo
de l'altération obligatoire de la substance grise antérieure avec une sclérose symétrique et primitive des faisceaux blancs laté
se traduit bientôt, histologiquement, par les caractères propres à la sclérose des centres nerveux. Dans l'isthme et dans le bul
à la sclérose des centres nerveux. Dans l'isthme et dans le bulbe, la sclérose fasciculée peut être suivie jusqu'à l'entre-crois
'une fois, a trouvé sa réalisation, il s'agirait par conséquent d'une sclérose latérale symétrique, consécutive à une lésion cér
se latérale symétrique, consécutive à une lésion cérébrale. Mais la sclérose symétrique totale des faisceaux latéraux peut sur
le-ment de mettre en relief. Ici, deux cas peuvent s'offrir : 1° La sclérose symétrique primitive existe seule, sans complicat
assez souvent qu'une altération de la substance grise s'associe à la sclérose symétrique des faisceaux latéraux. Or, la combina
e progressive se trouvent alors associés là à ceux qui relèvent de la sclérose latérale. III. Nous devons maintenant étudier
ndue en largeur que partout ailleurs. Ainsi, la région envahie par la sclérose s'étend en avant jusqu'au niveau, et même au delà
Sur ce premier point, je serai bref, parce que je suppose connues les scléroses consécutives de cause cérébrale, dont les caractè
ères anatomiques se confondent, à peu de chose près, (avec ceux des scléroses primitives. Je me bornerai seulement J à releve
d aisément de vue. Quelques auteurs ont poursuivi les lésions de la sclérose la-térale primitive jusque dans le pied du pédonc
et contractures de très bonne heure, ce qu'explique l'existence de la sclérose latérale, mais leurs muscles ne sont pas ou sont
la ligne fictive R, R') représentent les mêmes parties dans un cas de sclérose latérale amyotrophique. On voit qu'il existe à pe
primitive. Seulement, le caractère inflammatoire de la lésion dans la sclérose latérale amyotrophique m'a paru plus accentué. Ai
intersti-tielle des muscles se produit, dans l'a-myotrophie liée à la sclérose latérale, tout comme dans l'amyo-trophie vraie. L
sant pour ce qui est relatif à la langue , dont les muscles , dans la sclérose amyotrophi-que, s'atrophient à l'égal de ceux des
aires, qu'on y observe Fig. 22. — Coupe de la langue dans un cas de sclérose latérale amyotrophique avec paralysie labio-gloss
'externe (Fig. 21 et 22.) Après cet exposé des lésions propres à la sclérose latérale amyotrophique, il est dans notre plan de
erai de démontrer dans la prochaine séance. TREIZIÈME LEÇON De la sclérose latérale amyotrophique. — Symptomato-logie. Som
gie. Sommaire. — Faits sur lesquels repose la Symptomatologie de la sclérose latérale amyotrophique. — Observations personnell
es. — Documents à l'appui. Différences qui séparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique de l'atrophie musculaire s
conservation de la contractilité électrique. Symptômes propres à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la para
urs, Après avoir décrit les altérations nécroscopiques propres à la sclérose latérale amyotrophique, il importe actuellement d
crois, de tracer ensuite une ligne de démarcation tran-chée entre la sclérose latérale amyotrophique et les autres formes (X at
ications profondes. Puisse la description que je vais présenter de la sclérose latérale amyotrophique éprouver le même sort !
e l'affection pendant la vie. Telle a été, du reste, l'histoire de la sclérose en plaques disséminées : on n'a connu, pendant lo
-leurs avec beaucoup de soin, montre surabondamment que c'est bien la sclérose symétrique et primitive des faisceaux la-téraux a
dans Guy''sHospital Reports4 sont encore, à mon avis, des exemples de sclérose latérale amyotrophique. Enfin, je ferai rentrer e
n des cas recueillis à la Salpêtrière, dans mon service, relatif à la sclérose latérale amyotrophique. Ce chapitre renferme, de
e vous qui seraient désireux de constater de visu les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique, j'annoncerai qu'il existe
u cours d'anatomie pathologique, a fait reconnaître l'existence de la sclérose la-térale symétrique, avec atrophie des cellules
ives à ce cas, ont été montrées au cours pratique de la Faculté. la sclérose latérale amyotrophique de l'atrophie musculaire s
s il est indispensable de faire remarquer que la plupart des faits de sclérose latérale amyotrophique ont été rassemblés à la Sa
communs à l'amyotrophie progressive vul-gaire et à l'amyotrophie par sclérose latérale ; ce sont: a) l'a-trophie progressive, e
ande partie de l'atrophie des masses musculaires, tandis que, dans la sclérose latérale, la paralysie domine certainement la sit
ins privés de leurs mouvements naturels, sont habituellement, dans la sclérose latérale, le siège d'une rigi-dité habituelle, ré
nt-bras et de la main chez la nommée Tr., âgée de 58 ans, atteinte de sclérose latérale amyoUophique. Le bras est appliqué le
s pas oublier de mentionner une autre particularité. Parfois, dans la sclérose latérale, les membres supérieurs pa-rétiques, con
être pris d'une trémulation qui rappelle celle qu'on observe dans la sclérose en plaques disséminées et aussi chez certains suj
les deux derniers cas comme dans le pre-mier, me paraît relever de la sclérose latérale, trait commun entre tous les trois. Il
e ordinaire, l'émacialion musculaire est quelquefois masquée, dans la sclérose amyotrophique, par une lipomatose luxuriante, la-
de résumer en quelques traits les caractères symplomatologiques de la sclérose latérale amyo-trophique, considérée dans ce qu'on
uccèdent à bref délai, sont, sans con-teste, sous la dépendance de la sclérose latérale et symétrique. Je vous rappellerai que
e et symétrique. Je vous rappellerai que partout où se rencontre la sclérose latérale, la contracture se montre tôt ou tard pl
ure se montre tôt ou tard plus ou moins prononcée. Ainsi : a) dans la sclérose en plaques ; — b) dans En effet, les muscles de
mmencent à s'atrophier fort peu de temps /hémiplégie cérébrale avec sclérose descendante consécutive ; — c) dans les myélites
tion descendante latérale en est la conséquence ; — d) enfin, dans la sclérose primitive des faisceaux latéraux sans atrophie mu
ie, cela est j établi clmiquement. Il y a donc lieu d'admettre que la sclérose latérale, dont elles relèvent, se produit avant l
cale hypertrophique, etc., etc. Sommaire. — Amyotrophic liée à la sclérose latérale descendante consécu-tive à une lésion en
ères qui dist nguent la pachyméningite cervicale hypertrophique de la sclérose latérale amyotrophique. — Amyotrophic consécutive
testablement, n'est pas sans valeur. Pourquoi, m'ont-ils objecté, les scléroses dites descendantes, qui se pro-duisent dans les f
, cérébrales ou spinales, ne retentissent-elles pas, à l'instar de la sclérose symétrique primitive, sur les cornes antérieures
cles dans les membres paralysés ? C'est, en effet, un caractère des scléroses qui surviennent consécutivement aux lésions parti
pagation des lésions à la substance grise dans les cas en question de sclérose latérale n'est pas, tant s'en faut, tout à fait s
même d'escarres. L'examen de la moelle épinière fît reconnaître la sclérose descendante occupant le côté gauche et présentant
era celte interprétation. Toujours est-il. Messieurs, que, dans les scléroses spinales consécutives, le retentissement sur la s
t sur la substance grise est un fait exceptionnel tandis que, dans la sclérose symétrique, elle est un fait pour ainsi dire habi
é, je pense, dans des considérations suf-fisantes sur le compte de la sclérose latérale amyotrophique et il est temps, par consé
. 61, 2e édition. 2 J'ai eu soin de faire remarquer ailleurs que la sclérose symétrique latérale de la moelle peut exister san
avons décrit lors-que nous vous avons entretenus de l'amyotrophie par sclérose latérale. Cependant, pour ne parler que de ce qui
25. — Attitude de la main dans la pachyméningite cervicale. dans la sclérose latérale primitive ; toutefois, en opposition à c
ment à la méningite. La rigidité spasmodique des muscles relève de la sclérose descendante qui, consécutive-ment à la myélite tr
ôt ou tard des fais-iceaux blancs latéraux, et, comme dans les cas de sclérose des-cendante consécutive, les cornes grises antér
ie est un trait qui dis-tinguera déjà la paraplégie qui accompagne la sclérose laté-rale amyotrophique, de celle qui se lie à la
s de la vessie et du rectum enfin, phénomènes qui font défaut dans la sclérose latérale amyotrophique. Bien d'autres caractère
ontraire — nous l'avons dit — être un des éléments néces-saires de la sclérose latérale amyotrophique. m. C'en est assez sur
surviennent quelquefois dans le cours de Xataxie locomotrice et de la sclérose en plaques. A. On sait que l'amyotrophie progre
ns un cas d'ataxie locomotrice compliquée d'atrophie muscidaire. — A, sclérose de la zone radiculaire postérieure. — C, corne an
es1. Dans tous les cas connus, les symptômes qui se rattachent à la sclérose postérieure précèdent le développement de l'a-myo
usculaire qui se surajoute quelquefois aux symptômes ordinaires de la sclérose en plaques. Elle survient, d'après mes observatio
iner des désordres analogues à ceux que nous avons mentionnés dans la sclérose latérale symétrique et que nous retrouverons dans
liner medicinischen Gesellschats. Berlin, 1866. H. 2, p. 191. et la sclérose des cornes antérieures de la substance grise, — a
, — ainsi que cela avait eu lieu dans l'observation de m. Barth, — la sclérose symétrique des cordons latéraux se combine avec l
désignée générale-ment sous le nom de cirrhose. Or, les lésions de la sclérose musculaire se voient dans des conditions très var
t dans toute leur étendue des deux côtés de la moelle, dans le cas de sclérose latérale symétrique et, par-tiellement, d'un seul
e symétrique et, par-tiellement, d'un seul côté de la moelle, dans la sclérose des-cendante consécutive aux lésions cérébrales o
'une façon lente et progressive (amyotrophie spinale protopathique, — sclérose latérale amyotrophique, etc.), si elle évolue sui
modique. Sommaire. — Dénomination provisoire ; sa justification ; — sclérose symé-trique et primitive des cordons latéraux. —
d'envahissement des membres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de forme spinale, contracture hystériq
laques de forme spinale, contracture hystérique, myélite trans-verse, sclérose latérale amyotrophique, etc. Messieurs, Je fe
que j'ai fait connaître à mon tour, depuis longtemps, sous le nom de sclérose symétrique et primitive des faisceaux laté-raux d
inière. Mais, il importe de ne pas l'ou-blier, les observations où la sclérose latérale symétrique primitive, sans participation
slau (Zur Pathologie und Thérapie der Rùckenmarks-Krankheiten-Primare sclérose der seitenstrange. Séparât-Abdruck aus der" Deuts
druck aus der" Deutschen Zeitschrift fur praltische Medicin"). 1 La sclérose latérale symétrique avec participation des cornes
ction bien distincte de celle que M. Charcot a décrite sous le nom de sclérose latérale amyotrophique. (Voir plus haut les Leçon
ique qu'on appelle l'ataxie locomotrice progressive, mais aussi de la sclérose latérale amyotrophique, de la myélite transverse
n, et enfin, bien que la chose soit ici souvent fort difficile, de la sclérose en plaques de forme spinale. Il peut, en d'autres
gle, parce que nous les avons étudiés longuement déjà, à propos de la sclérose en plaques où on les retrouve dans tous leurs dé-
ois, remarqué et décrit. Dans l'observation d'une femme atteinte de sclérose en plaques que nous avons recueillie en 1862, M.
épidation épileptoïde, comme se montrant aune cer-taine période de la sclérose en plaques disséminées, des paraplégies par compr
rose en plaques disséminées, des paraplégies par compres-siO'i, de la sclérose des cordons antéro-latéraux, de la myélite chroni
ation assez fréquente à une période avancée des diverses formes de la sclérose spinale. Le tabès spasmodique, une fois constit
de la forme insulaire ou, au contraire, de la forme fasciculée de la sclérose spinale. C'est pourquoi vous les voyez figurer da
myélite partielle transverse primitive ou déterminée par compression, sclérose latérale amyotrophi-que, sclérose en plaques diss
tive ou déterminée par compression, sclérose latérale amyotrophi-que, sclérose en plaques disséminées, etc. Dans le diagnostic d
diagnostic serait rendu par là plus facile encore à déterminer. La sclérose latérale amyotrophique a de commun, avec le tabès
certains cas, peuvent exister entre le tabès dorsal spasmodique et la sclérose enplaques des centres nerveux. C'est là, ainsi qu
rer plus d'une fois la pierre d'achoppement du diagnostic. Lorsque la sclérose multilocu-laire se présente avec tout l'appareil
défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve dans certains cas réduit, à
ans rigidité concomitante des membres supérieurs (forme spinale de la sclérose en plaques) '. Môme, en pareil cas, la coexistenc
ien lorsqu'il se trouve en présence de certaines formes frustes de la sclérose en plaques. Chascot. Œuvres complètes, t. ii. 2
désordre du mouvement se rapproche non seulement du tremblement de la sclérose en plaques, comme je viens de vous le dire, mais
apparaître quand les faisceaux latéraux de la moelle sont affectés de sclérose à un certain degré, pourvu, toutefois, que, la co
sépare foncièrement ces mou-vements choréiformes du tremblement de la sclérose en pla-ques, de la trémulation des hémiplégiques,
upture d'un anêvrysme de l'aorte. — La moelle épinière présentait une sclérose des cordons postérieurs, caracté-ristique de l'at
s celles qui me sont propres 3, que, dans la plupart des formes de la sclérose , et en particulier dans la sclérose en plaques, o
dans la plupart des formes de la sclérose, et en particulier dans la sclérose en plaques, on observe souvent, à une certaine ép
. 2 Untersuchungen, etc., 2 Theil, Iéna, 1867. 3 Histologie de la sclérose enplaques. Paris, 1869, pp. l! et 13. tion dont
uë la distinction fondamentale proposée par M. Yulpian 1 à propos des scléroses spinales. Le processus morbide, dont on vient d
rose à la région cervicale et à la région dorsale. L'étendue de cette sclérose est manifestement en rapport avec l'intensité de
est immédiatement sous-jacente et il en est résulté une mince zone de sclérose corticale ayant son maximum d'épaisseur au niveau
radiculaires, produit un cer- tain degré de méningite et une légère sclérose corticale. 11 est donc assez naturel que ces acci
sont produites que consécutivement à l'altération spinale. Quanta la sclérose des zones radiculaires antérieures, l'examen d'un
mère; et que celle-ci, une fois enflammée, est devenue la cause de la sclérose corticale. Si maintenant nous considérons que d
noyaux des capillaires, pro-lifération des cellules de la névroglie, sclérose des faisceaux blancs dans les points où ils sont
de physiologie normale et patholo-gique, 1875, p. 741). Deux cas de sclérose latérale symétrique amyotro- phique. (Voyez :
nes spinales antérieures, des racines de l'hypoglosse et du facial. — Sclérose rubarne, symétrique des cordons laté-raux. Cath
'examen n'a pu porter que sur les 2/3 supé-rieurs de cette région. La sclérose des faisceaux latéraux se mon-trait à toutes les
ru présenter tous les caractères de l'état normal. Observation IL Sclérose symétrique des cordons latéraux de la moelle et d
ci toute l'étendue des pyramides antérieures, qui sont le siège d'une sclérose très manifeste et se colorent vivement par le car
e se détache sous la forme d'une bande rouge transversale, on voit la sclérose s'avancer en figurant un coin à base postérieure
sur des coupes trans-versales de la moelle, tous les caractères de la sclérose des fais-ceaux blancs. Les grands tractus conjonc
lorent vivement par le carmin. Si on étudie la disposition de cette sclérose , on voit qu'elle oc-cupe, sur toute la hauteur de
érieures, on descend vers les régions dorsale et lombaire, on voit la sclérose abandonner le cordon antérieur et diminuer pro-gr
ercle de tissu sain périphérique s'élargit notablement, tandis que la sclérose abandonne le contour de la corne anté-rieure. A l
ères, est désignée généralement sous le nom de cirrhose, ou encore de sclérose , et je ne vois pas qu'on ait jamais for-mulé d'ob
s, — telles que sont l'atrophie des cellules nerveuses motrices et la sclérose des cornes antérieures de la substance 1 Verhha
ez : trépidation. PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I SCLÉROSE DES CORDONS POSTÉRIEURS Pig. 1 (à gauche). — Co
le au niveau de la sixième vertèbre dorsale. a, a, Petits noyaux de sclérose situés dans les rubans externes des cordons posté
clérose situés dans les rubans externes des cordons postérieurs. b, Sclérose du cordon intermédiaire. Fig. 1 (à droite). — C
Rubans externes des cordons postérieurs ne présentant aucune trace de sclérose . Fig. 2 (à gauche). — Coupe transversale de la
émergence des racines postérieures, c, sont envahis totale-ment parla sclérose . Fig. 2 (à droite). — Coupe de la région dorsal
e. Fig. 2 (à droite). — Coupe de la région dorsale de la moelle. La sclérose a envahi les mêmes parties qu'au renflement cervi
moelle à la partie inférieure de la région dorsale. — a, a, Ilots de sclérose , situés dans les rubans externes des cordons post
oyenne de la région cervicale. a, a, Rubans externes envahis par la sclérose . — b, Cordon médian resté intact. Charcot,Syst.
é chez un sujet mort avec une paraplégie complète. — a, Trabécules de sclérose . — b, Noyaux disséminés dans le tissu scléreux. —
oint comprimé représenté, grossi, sur la fig. 2. — c, Région dorsale. Sclérose latérale et postérieure. — h, Région cervicale in
. Sclérose latérale et postérieure. — h, Région cervicale inférieure. Sclérose limitée aux cordons de Goll. — a, Renflement cerv
e Goll. — a, Renflement cervical, id. — e, Région dorsale inférieure. Sclérose diffuse des cordons latéraux. — f, Région lombair
érieure. Sclérose diffuse des cordons latéraux. — f, Région lombaire. Sclérose latérale marquée surtout à droite. — g, Renflemen
Sclérose latérale marquée surtout à droite. — g, Renflement lombaire. Sclérose bien limitée à la partie posté-rieure des cordons
. 3. — Coupe à la région cervicale dans un cas de mal de Pott dorsal. Sclérose annulaire, marquée surtout vers les racines posté
i. Fió 1 ÍÄ. 2. Ù 3. ram . ~B ecquet a Paris . PLANCHE IV SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES CORDONS ANTÉRO-LATÉRAUX Fig. 1.
t nerv, t II. Oeuvres complètes. PL. IV. Kg 2. O' PLANCHE V SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES CORDONS ANTÉRO-LATÉRAUX Fig. 1 .
ormale et contient de nombreuses cellules nerveuses. Il n'y a plus de sclérose de la zone radiculaire antérieure, T. Fig. 3. —
on dans l'ataxie locomotrice. — Insuffisance des procédés employés. — Sclérose des cordons postérieurs, sa signification. — Exam
tion. — Examen à l'œil nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des cordons postérieurs. Examen macroscopique.
eurs ; leur altération paraît constante dans l'ataxie lo-comotrice. Sclérose fasciculée systématique médiane. — Sclérose fasci
l'ataxie lo-comotrice. Sclérose fasciculée systématique médiane. — Sclérose fasciculée latérale. Dans l'ataxie locomotrice, l
édiane. — Sclérose fasciculée latérale. Dans l'ataxie locomotrice, la sclérose débute par les bandelettes postéro-latérales. — R
port entre les lésions et les symptômes. — Mode de pro-pagation de la sclérose .— Faisceaux radiculaires internes.— Envahissement
tions rétrogrades dans les maladies spinales,' leurs rapports avec la sclérose des cordons postérieurs.— des douleurs fulgurante
des cornes antérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux médians postérieurs : propagation d
des. — Sclérose des faisceaux médians postérieurs : propagation de la sclérose aux bandelettes latérales des cor-dons postérieur
leurs constrictives. —Des douleurs fulgurantes symptomatiques dans la sclérose en plaques disséminées, la paralysie gé-nérale pr
s la forme ; ramollissement, indura-tion, — Myélite interstitielle. — Scléroses consécutives ascendante et des-cendante. — Les fo
ransformation scléreuse de la névroglie ; foyers de désingréta-tion ; sclérose partielle des cordons antéro-latéraux ; atrophie
gressive deutéropathique : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale chro
; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. D
ique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l'atrophie musculaire
.... 212 DOUZIÈME LEÇON amyotrophies spinales deutéropathiques. — sclérose latérale amyo- trophique. Sommaire. — Amyotro
trophique. Sommaire. — Amyotrophies spinales deutéropathiques. — Sclérose , latérale amyotrophique ; localisation de la lési
s cordons latéraux, des faisceaux de Göll et des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale. Sclé
eaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale. Sclérose latérale symétrique primitive. — Anatomie patholo
....................................... 234 TREIZIÈME LEÇON de la sclérose latérale amyotrophique. — symptomatologie. Somm
gie. Sommaire. — Faits sur lesquels repose la Symptomatologie de la sclérose latérale amyotrophique. — Observations personnell
es. — Documents à l'appui. Différences qui séparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique de l'atrophie musculaire s
conservation de la contractilité électrique. Symptômes propres à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la para
vicale hypertrophique, etc., etc. Sommaire. — Amyotrophic liée à la sclérose latérale descendante consécu- tive à une lésion
ères qui distinguent la pachyméningite cervicale hypertrophique de la sclérose latérale amyotrophique. Amyotrophie consécutive
usculaire en pareil cas. — Pathogénie. Amyotrophie consécutive à la sclérose en plaques disséminées. Paralysie générale spin
m0d1que. Sommaire. — Dénomination provisoire ; sa justification ; — sclérose symé-trique et primitive des cordons latéraux. —
d'envahissement des membres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de forme spinale, contracture hystériq
laques de forme spinale, contracture hystérique, myélite trans-verse, sclérose latérale amyotrophique, etc................ .....
....................,........................... 425 V. Deux cas de sclérose latérale symétrique amyotrophique........- 439
varié-tés, 214. — Protopathiques, 214. — Deutéropathiques, 2*14 (Voir Sclérose latérale). — Dans l'a-taxie locomotrice, 278. — P
on de la lésion par les filets ra-diculaires internes, 279. — Dans la sclérose en plaques, 277, 280. — Lésions du grand sympathi
, 432, 456, 458, 470. (V. Moelle, Nerfs, Paralysie glosso-laryngée, sclérose .) C Cancer vertébral, 9i. Carie vertébrale la
01. — dans Y hémichorée, 359 ; — dans Yhémiparaplégie, 139; — dans la sclérose latérale, 241 ; — dans le tabes spasmodique, 305.
, 326. d Déformations dans l'atrophie mus-culaire, 222. — Dans la sclérose latérale amyotrophique, 256. (V. Paralysie infant
nerfs optiques, 51. Goll (Développement des cordons de), 237. (V. Scléroses .) Goutte et vertige laryngé, 408. Griffe, 222. —
ryngé, 408. Griffe, 222. — Dans la pachymé- ningite, 275. — Dans la sclérose latérale amyotrophique, 442. H Hallucinatio
88. — Compression de la moelle, 99. — Myélite transverse, 100. — Scléroses secondaires , 101. — Lésions de la—, dans les cas
ulbe-, Cellules, Cornes, Paralysies glosso-laryngée et infantile, Scléroses , etc.) Monoplégie transitoire d'origine sy-phil
Lent permanent, 153, 156, — Lésions probables du bulbe, 157.— Dans la sclérose latérale, 426. (V. Hachis). Prolongements nerve
s, 61, 147, 153, 455. Pyélo-néphrite, 326. Pyramides antérieures ( Sclérose des), 458. (V. Moelle, Sclérose, etc.) R Rach
phrite, 326. Pyramides antérieures (Sclérose des), 458. (V. Moelle, Sclérose , etc.) R Rachis (Abcès du tissu cellulaire du
e l'urèthre, 326. S Sarcome angiolithique, 93. Satypjasis, 6 0. Sclérose , 6, 483. — Des bandelettes externes, 10, 14. — De
asmodique. 320. —Des cordons postérieurs, 3, 4. — Par extension de la sclérose la-térale, 3i. — Des zones radiculaires postérieu
2 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
s qui siègent dans cette région. Telles sontles diverses formes de la sclérose fasciculée, que celle-ci soit protopathique ou au
progressive se surajoutent quelquefois aux symptômes classiques de la sclérose des cordons latéraux, etc. Tout récemment encore,
nant l'exposé sommaire d'un cas qui montre bien par quel mécanisme la sclérose fas-ciculée consécutive unilatérale peut, en s'ét
a la plus légère pression des bulles qui bientôt firent place à La sclérose enplaques disséminées (i), les scléroses diffuses
i bientôt firent place à La sclérose enplaques disséminées (i), les scléroses diffuses, reconnaissent la môme règle. On peut en
utopsie, nous reconnûmes, sur ces coupes durcies de la moelle, que la sclérose fasciculée descendante du cordon latérafgauche s'
laires internes traversant l'aire des cordons postérieurs. On voit la sclérose limitée dans les cordons postérieurs au parcours
certain nombre de cellules motrices. 1. Chez une femme atteinte de sclérose multiioculaire cérébro-spinale,que nous avons obs
s cellules sont détruites et qui est représenté par un petit foyer de sclérose . — A, A, cornes postérieures. nombreux myélocyt
empruntés à Thistoire de la paralysie labio-glosso-laryngée et de la sclérose en plaques, fendent à établir que, dans le bulbe
ière et du cerveau (suite). Sommaire. — Affections cutanées dans la sclérose des cordons postérieurs ; Éruptions papuleuses ou
lésion des cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains
aces des douleurs spéciales, en quelque sorte pathognomo-niques de la sclérose fasciculée des cordons postérieurs, et que l'onac
on de la présence des douleurs fulgu-rantes parmi les symptômes de la sclérose des cordons posté-rieurs ? Je ne veux pas entrer
ntrée dans la moelle épinière ; 2° méningite spinale postérieure ; 3° sclérose des cornes postérieures de la substance grise ; 4
Douleurs fulgurantes de l'ataxie, sans incoordination des mouvements, sclérose commençante ,des cordons postérieurs de la moelle
t se développe en général à une époque relativement peu avancée de la sclérose 1. Cannstatt's Jahresbericht, 1868-1869. 3e Bd.
attacher aux altérations banales de l'ataxie locomotrice progressive: sclérose des cordons posté-rieurs, méningite spinale posté
le épinière. Dans le cas où il s'agit du ramollis-sement cérébral, la sclérose descendante de l'un des cordons latéraux de la mo
-cker's Handbuch, p. 595. » DEUXIÈME PARTIE Paralysie agitante et sclérose en plaques disséminées. CINQUIÈME LEÇON De la
ment d'après Galien. — Indépendance de la paralysie agitante et de la sclérose en plaques. — Recherches de Par-kinson. — Travaux
ares sacrées. — Maladies terminales ; elles diffèrent de celles de la sclérose en plaques. — Durée de la paralysie agitante. R
ce des lésions dans la paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en plaques. — Lésions du pont de Varole et de la
ue un certain rôle: la paralysie agi-tante se montre plus tard que la sclérose en plaques. — Sexe. — Hérédité- — Influence de
e, il existe une confu-sion absolue entre la paralysie agitante et la sclérose en pla-ques . La ligne de démarcation entre ces d
sis agi-tans, par W.-R. Sanders. 2. Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisées. Thèse de Paris, 1868. Go
mentionnées des lé-sions disparates. Quelques-unes appartiennent à la sclérose en plaques disséminées ; les autres, parleur mult
le con-traire se remarque souvent dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques. Je dois appeler toute votre attenti
de. Le nystagmus, qui figure si souvent dans la symp-tomatologie delà sclérose en plaques disséminées, n'existepas dans la paral
servent, en général, dans la paraplégie qui accompagne fréquemment la sclérose en plaques disséminées, et c'est là un caractère
ons, mettentfinsi habituellement à l'existence desfemmes atteintes de sclérose en plaques ou d'ataxie locomotrice progressive.
été rencontrées des lésions qui appartiennent vraisemblablement à la sclérose en plaques. Tels sont les cas de Bamberger, Leber
aralysie agitante ou avait-on sous les yeux le tableau clinique de la sclérose en plaques ? Le fait est parfaitement établi, aum
débute, à la vérité, après 40 ans, plus tard, par conséquent, que la sclérose en plaques disséminées. Tou-tefois, cette règle n
l'état convulsif, et cela est d'autant plus remarquable, que, dans la sclérose en plaques, il produit quelquefois un amendement
moins avancés. (B.) (Note de la 2e édition.) SIXIÈME LEÇON De la sclérose en plaques disséminées. — Anatomie pathologique.
s disséminées. — Anatomie pathologique. Sommaire. —Historique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; — P
natomie pathologique macroscopique. - Aspect extérieur des plaques de sclérose . — Leur distribution : cerveau; cervelet, protubé
cerveau; cervelet, protubérance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. — Formes spinale eéphalique ou bul
e. — Capillaires artériels. Caractères histologiques des plaques de sclérose . —Coupes transversales: zone périphérique ; — zon
lon-gitudinales. — Altérations des vaisseaux. — Examen des plaques de sclérose à l'état frais. — Lésions histologiques consécuti
tte maladie d'une autre affection jusqu'alors confondue avec elle, la sclérose en plaques disséminées. C'est à cette affection
nous allons consacrer cette leçon etles suivantes. Anatomiquement,la sclérose en plaques disséminées est une espèce pathologiqu
mençons par quelques mots d'histo-rique. HISTORIQUE. On trouve la sclérose en plaques mentionnée pour la pre-mière fois dans
les 22e et 23e livraisons que vous ver-rez figurées les lésions de la sclérose en plaques. A côté, vous pourrez lire les observa
époque, nulle part ailleurs, à ma connaissance, il n'y a trace de la sclérose en plaques. Après M. Cruveilhier, Carswell, dan
son Atlas (1838), a fait dessiner des lésions qui se rapportent à la sclérose en plaques. Mais cet auteur, qui a puisé surtout
propos aucun fait clinique. Même aujourd'hui, je ne crois pas que la sclérose en plaques soit connue en Angle- terre(1). Je n
ublié, en 1855, des exemples de lésions se rattachant évidemment à la sclérose en plaques ; toutefois, le côté physiologique seu
velles recherches étaientindispensables. C'est à laSalpêtriôre que la sclérose en plaques attira de nouveau chez nous l'attentio
, Zweiter Band, p. 488. 5. Haeser'c Archiv. Band, X. 6. Ueber die Sclérose des Gehirns und Ruckenrnarks (Deutsche Klinik, 18
nscriptions de l'isthme sont très fréquemment le siège des plaques de sclérose , lesquelles, là, sont à la fois périphériques et
ce blanche. (Pl. V et VI). Les nerfs eux-mêmes n'échappent pas à la sclérose . On les voit quelquefois sortir, à leur origine,
rose. On les voit quelquefois sortir, à leur origine, d'une plaque de sclérose et se montrer parfaitement sains ; d'au 1res fois
e doute à cet égard. Les nerfs craniens qui ont offert des plaques de sclérose sont les nerfs optiques, olfactifs et de la 5e pa
ent. Telle est, Messieurs, au point de vue de l'anatomie simple, la sclérose en plaques généralisées; il nous faut entrer main
ue nous le dirons, dans la myélite interstitielle subaiguë,et dans la sclérose proprement dite, lorsque l'altération n'a pas enc
d'aborder l'étude des altérations histologiques de la moelle dans la sclérose en plaques. La description de ces altérations, qu
e l'on examine à l'œil nu un tronçon cle moelle portant une plaque de sclérose , il semble que les parties ma-lades se séparent d
t, Messieurs, le dernier terme du processus morbide, dans la forme de sclérose qui nous occupe; et cette persistance, pour ainsi
marquez-le bien, — un caractère qui paraît appartenir en propre, à la sclérose en pla-ques ; elle ne s'observe certainement pas,
les autres variétés de l'induration grise, soit qu'il s'agisse de la sclérose spinale descendante, consécutive aux lésions du c
ses que subissentles vaisseaux sanguins qui traversent les plaques de sclérose , altérations qui peuvent être bien étudiées sur l
cil. singulier, que ces corps sont toujours moins abondants dans la sclérose en plaques que dans les autres variétés de l'indu
es granulations graisseuses (2). Revenons maintenant aux plaques de sclérose . Nous avons à étudier là des phénomènes pour le m
graisseuses, tantôt libres,tantôt agglomérées Fig. 12. — Plaque de sclérose à l'état frais. — a, gaîne lymphatique d'un vais-
its (Fettkornchen Agglome-rate,) on peut trouver, dans les plaques de sclérose , des .corps granuleux ayant un noyau qui se color
tions graisseuses ne se ren-contrent jamais au centre de la plaque de sclérose , c'est-à-dire flans les régions où la métamorphos
ré-bral par oblitération artérielle, dans la plupart des formes de la sclérose primitive et secondaire, et, en un mot, dans des
bstance grise, elles se trouvent comprises dans l'aire d'uneplaque de sclérose . Ces cellules ne sont pas le siège d'une prolifér
'encéphale, etaussisurles nerfs optiques et olfactifs, les plaques de sclérose présentent essentiellement le même carac-tère que
ractères de l'irritation formatrice. Mais, après avoir reconnu que la sclérose en plaques est une myélite ou une encé-phalite in
s caractèreshistologiques qui la distin-guent des autres formes de la sclérose des centres nerveux, et aussi de plusieurs espèce
nique, et de vous montrer par quel appareil de symptômes se révèle la sclérose en plaques des centres nerveux (1). 1. Dans une
venu modifier les idées générale-ment admises sur l'histologie de la sclérose en plaques. D'après ses recherches, les parties s
ceaux librillaires. (Note de la 2' édition.) SEPTIÈME LEÇON De la sclérose en plaques disséminées. Sypmtomatolgie. sommair
s disséminées. Sypmtomatolgie. sommaire. — Diversité d'aspect de la sclérose en plaques disséminées, au point de vue clinique.
nique.— Causes d'erreurs de diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement; modi-fications qu'i
he quelles ont été les causes qui ont pu refar-der l'apparition de la sclérose en plaques disséminées dans les systèmes nosologi
lle doit prendre place à côté des autres formes, mieux connues, de la sclérose primitive des centres nerveux, il convient de sig
s distingués, maispeufamiliarisé encore avec la symptomntologie de la sclérose en plaques, était venu le visiter dans le servi
d'un cas, à la vérité très complet, de la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques. C. La paralysie agitante estsurtout
ralysie agitante estsurtout la maladieavec laquelle cette forme de la sclérose en plaques a été le plus longtemps, et est encore
pour ce motif, à l'époque où nous nous efforcions de faire sortir la sclérose en plaque du chaos des myélites chroniques, que n
astes (1). On sait commentM. Or- 1. Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisées. Thèse de Paris, 1867.
ipzig, après avoir rapporté un exemple très intéressant, du reste, de sclérose cérébro-spinale, mais oùletremblement paraît avoi
é porté pendant la vie et que, à l'autopsie, on trouva des plaques de sclérose disséminées dans toutes les parties de l'axe céré
ême de distinguer les caractères à l'aide desquels on peut séparer la sclérose en plaques cérébro-spinale des maladies qui s'en
éunis, dans leur plus parfait développement, tous les symptômes de la sclérose enplaques cérébro-spinale. MlleV..., âgée de tr
re il y a trois ans, elle m'a été léguée par 1. Bourncville : De la sclérose enplaques, revue critique (Mouv. méd., 1868. p. 1
id., p. 368, 376, 425, 469, 483). — Bourncville et L. Guérard : De la sclérose en plaques disséminées. Paris 1869. — Bourncville
Paris 1869. — Bourncville : Nouvelle étude sur quelques points de la sclérose en plaques disséminées. Paris, 1869. Charcot. O
onsidérer comme un des caractères cliniques les plus importants de la sclérose en plaques cérébro- 1. Nous reproduisons ci-apr
nom-mée Leru..., qui a succombé, dans le service de M. Charcot, à la sclérose en plaques. Cette femme est entrée à la Salpêtriô
s semblables, s'observe quelquefois dans des affections autres que la sclérose en plaques,par exemple dans l'intoxication mer-cu
'intoxication mer-curielle,dans la méningite chronique cervicale avec sclérose de la couche corticale de la moelle, dans la sclé
cervicale avec sclérose de la couche corticale de la moelle, dans la sclérose primitive ou consécutive des corons latéraux, etc
ce que je tiens, dès à présent, à faire ressortir, c'est que,dans la sclérose en plaques, lorsqueaucunecomplicationn'estinterve
une opinion sur les caractères de l'écriture des malades atteints de sclérose en plaques. Le plus souvent, d'ailleurs, nous avo
ez I'Appencice, n°III.) permettrait déjà de séparer cliniquement la sclérose multilo-cnlaire des contres nerveux de quelques a
res, plus rapides, plus serrées, si je puis parler ainsi, que dans la sclérose multiloculaire; dans celle-ci, les oscillations s
tion des travaux qui l'ont fait admettre dans la clinique usuelle, la sclérose en plaques a été quelquefois désignée sous les no
arres de la chorée proprement dite des oscil-lations rythmiques de la sclérose multiloculaire. Remarquons en premier lieu que, d
n de ses membres, etc. Or, jamais pareille chose ne s'observe dans la sclérose multilo-culaire. Lorsque, dans Valaxie locomotr
ose multilo-culaire. Lorsque, dans Valaxie locomotrice progressive ( sclérose des cordons postérieurs), les membres supérieurs
ertain point les gesti-culations de la chorée et le tremblement de la sclérose multilo-culaire. Voici à l'aide de quels caractèr
rtient à l'ataxie; jamais vous n'observerez rien de semblable dans la sclérose en plaques. J'ajoute en dernier lieu — et ce dern
ts, tandis qu'elle ne modifie en rien les secousses rythmi-ques de la sclérose multiloculaire. Nous ne devons pas oublier tout
ptômes de l'ataxie se trouvent entremêlés quelquefois avec ceux de la sclérose en plaques, quand les îlots scléreux occupent, da
le s'échappait des doigts. A l'autopsie, on trouva une des plaques de sclérose occupant les colonnes postérieures dans une assez
un symptôme à peu près cons-tant, dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques. Il ne faut pas oublier toutefois qu'i
urs, un des symptômes les plus originaux et les plus importants de la sclérose en pla-ques généralisées. Une étude plus approfon
au contraire un symptôme durable, et d'ailleurs plus fréquent, de la sclérose en plaques cérébro-spi-nale; je crois pouvoir aff
affirmer que très rarement, en opposi-tion à ce qui s'observe dans la sclérose postérieure, elle aboutit à une cécité complète (
de remarque, surtout si l'on songe que, après la mort, des plaques de sclérose occupant toute l'épaisseur du cordon nerveux ont
errompue, bien que ceux-ci, dans leur trajet à travers les plaques de sclérose , soient dépouillés de leur gaine de myéline et ré
té le même phénomène dans plusieurs autres cas d'am-blyopie liée à la sclérose multiloculaire. c) Le nystagmus est un symptôme
de M. H. Liouvillc intitulé : Observations détaillées de deux cas de sclérose en îlots multiples et disséminés du cerveau et de
fréquent encore que ne l'est le nystag-mus, — presque consfantdans la sclérose multiloculaire céré-bro spinale, puisque nous le
orairement. En somme, l'embarras de la parole qu'on observe dans la sclérose cérébro-spinale se rapproche, à beaucoup d'égards
ut être rendu plus étroit encore par cette circon-stance que, dans la sclérose multiloculaire, de même que dans la paralysie gén
equel j'appelle votre attention, est un symptôme très important de la sclérose multiloculaire. Il peut contribuer puissamment à
s cas, le vertige est un des phénomènes qui marquent le début de la sclérose multiloculaire des centres nerveux. Autant que j'
quent, aider au dia-gnostic. D. La plupart des malades, atteints de sclérose multiloculaire que j'ai eu l'occasion d'observer,
c l'étude descriptive du cas que je vous ai présenté comme un type de sclérose multilocu-laire des centres nerveux, il me reste
es, laquelle appartient également àTataxie. Elle n'existe pas dans la sclérose multilo-culaire régulière et les malades atteints
sans mesure, convulsivement comme cela a lieu si ordinairementdans la sclérose des cordons postérieurs. Les sphincters ne prenne
uelle de troubles trophiques musculaires dans la paraplégie liée à la sclérose multiloculaire. Les muscles affaiblis conservent,
nt pourtant, dans certains cas, avec les phéno-mènes ordinaires de la sclérose multiloculaire, et s'accusent même parfois à tel
même que la parésie des membres inférieurs, qui n'existe pas dans la sclérose postérieure, ou qui ne s'y montre fout au moins q
lémentaires de deux maladies — l'ataxie locomotrice progressive et la sclérose en plaques cérébro-spinale. Pour mon compte, je n
cadavre, la coexistence de l'induration grise multiloculaire avec la sclérose fasciculée postérieure, et sans nier que cette as
utre genre peuvent se sur-ajouter encore aux symptômes réguliers delà sclérose multilo-culaire. J'ai vu, dans plusieurs cas, d'a
ouvelle: dans ces deux cas, le processus irritatif dont les foyers de sclérose sont 1. Les observations de sclérose en plaques
s irritatif dont les foyers de sclérose sont 1. Les observations de sclérose en plaques dans lesquelles les cordons posté-rieu
us caractéristiques en ce sens que les symptômes et les lésions de ia sclérose en plaques et de l'ataxie locomotrice étaient plu
oteur oculaire externe gauche et sur les nerfs optiques; — plaques de sclérose sur la protubérance, le pédoncule cérébelleux sup
le pédoncule cérébelleux supérieur du côté droit, etc. : — plaques de sclérose à la surface des ventricules latéraux, dans l'int
s le 4e ventricule.—Sur la moelle,nous avons trouvé: 1° une plaque de sclérose longue de dix centimètres, occupant le cordon pos
anléro-lalérnles de la moelle existaient plusieurs petites plaques de sclérose . B). le siège, s'était communiqué, en certaines
. C'est là, Messieurs, un symptôme habituel des phases avancées de la sclérose multiloculaire, il ne succède pas d'emblée, sans
, t. X, l'asc. G, p. 595), l'histoire d'un malade qui a succombé à la sclérose en plaques l'orme bulbo-spinale ,chez lequel on a
de l'organe. — Chez une malade nommée Vincent, qui a succombée à une sclérose en plaques. M. Charcot a observé une atrophie des
es, en effet, n'appartiennent pas exclusivement, tant s'en faut, à la sclérose multiloculaire des centres nerveux. Us seront don
manifester. HUITIÈME LEÇON Des attaques appoplectiformes dans la sclérose enpla-ques. — Des périodes et des formes. — Physi
ent. Sommaire. — Attaques apoplectiformes. — Leur fréquence dans la sclérose en plaques disséminées. —Considérations générales
la température ou point de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques. —Première, seconde et troisième pério
— Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes et de la durée de la sclérose en plaques. Physiologie pathologique. — Relatio
dents cérébraux qui peuvent venir compliquer la symptomatologie de la sclérose en plaques céré-bro-spinale. Il s'agit d'à ttaque
ui constitue les attaques en question n'appartient pas eu propre à la sclérose multiloculaire. 11 se présente dans nombre d'affe
accès. Seul le premier type a été rencontre, quant à présent, dans la sclérose en plaques ; mais il n'est pas douteux qu'en se m
e à coup sûr les altérations cérébro -spinales connues sous le nom de sclérose * fasciculées descendantes. Entre ces lésions pa
r la nature même du processus morbide, méritent d'être assimilées aux scléroses fasciculées descendantes consécutives à l'hémorra
ramollissement du cerveau. Nous savons, d'un autre côté, que, dans la sclérose multiloculaire, les plaques scléreuses oc-cupent
s intervalles, pendant le cours de la maladie. En ce qui a trait à la sclérose en plaques, elles ont été notées trois fois dans
s un cas d'attaque apoplectiforme survenant, chez un sujet atteint de sclérose en plaques. Néanmoins, on peut relever dans plusi
ue, même sous ce rapport, les choses se comportent exactement dans la sclérose multilo-culaire, comme dans la paralysie générale
ré un à un les éléments divers qui composent la symptomatologie de la sclérose multiloculaire lorsqu'il s'agit d'un cas complet
à une foule d'affections diverses; elle se présente pourtant dans la sclérose mulfifocu-laire, vous ne l'avez pas oublié, avec
l, il y eut une rémission passagère (B.). 1. Vulpian. — Note sur la sclérose en plaques de la moelle épinière, obs. n, in Mémo
usieurs fois ouvert la scène, et bientôt les symptômes habituels delà sclérose multiloculaire leur ont succédé ; il n'est pas ra
verons, à peu près avec les mêmes caractères, dans d'autres formes de sclérose de la moelle épinière et en particulier dans la s
es formes de sclérose de la moelle épinière et en particulier dans la sclérose fasciculée postérieure (ataxie locomotrice), prin
Deuxième période. — En général, dès la fin de la première période, la sclérose multiloculaire se présente déjà douée delà plupar
quatre, six ans même après l'appari-tion des premiers accidents de la sclérose multiloculaire. III. Troisième période. —Le c
re, L'autopsie à fait reconnaître, dans ces deux cas, qu'uneplaque de sclérose avait envahi le plancher du quatrième ventricule,
de vomissements. Grossesse à 22 ans qui met lin aux vomissements. La sclérose en plaques disséminées a débuté à 23 ans et demi:
e la description particulière des diverses formes que peut revêtir la sclérose multiloculaire. Les formes cérébrale:, et spinale
correspondant à un envahissement incom-plet des centres nerveux parla sclérose , c'est, si Ton veut, la maladie arrêtée dans son
, le 7 février 1871. Autopsie. — Il existe de nombreuses plaques de sclérose dans le cerveau et la moelle. En raison des sympt
ans qu'on eût noté de râles dans la poitrine. Autopsie. — Plaque de sclérose sur le chiasma des nerfs optiques se prolongeant
sma des nerfs optiques se prolongeant sur les bande-lettes ; — pl. de sclérose dans les ventricules et dans le centre ovale. — S
u de l'origine apparente du nerf trijumeau, on découvre une plaque de sclérose large et irrégulière (Fig. 16, b, b'). Fig. 16.
. 16, b, b'). Fig. 16. — a, pneumogastri que.— b, petite p laque de sclérose : — c, plaque de sclé-rose. Fig Al—a, pneumogas
se. Fig Al—a, pneumogas-trique : — b, hypo-glosse : — c, plaques de sclérose , s'en trouve pour ainsi dire écourtée ; mais le
al, celui que nous rencontrons le plus souvent dans la clinique. La sclérose multiloculaire cérébro-spinale accomplit, en gran
pondant à la partie moyenne des olives, fait voir une autre plaque de sclérose [Fig.il, c) paraissant intéresser le pneumogas-tr
, 1872). Le maximum a, été de 16 à 17 ans (B. 2. Dans trois cas de sclérose en plaques disséminées, avec prédominance des lés
sclé-rose en plaques disséminées, 1869.) enfin du traitement de la sclérose multiloculaire des centres nerveux. Malheureuseme
eich(l) a avancé que le point de départ de la formation des foyers de sclérose serait dans le s\ stème vasculaire. Suivant lui,
uctiondesphénomènes dont l'ensemble constitue la symptomafologie delà sclérose en plaques? Cela est possible, au moins en partie
en hauteur. D'un autrecôté, la prédominance habituelle des plaques de sclérose sur le trajet des cordons anléro-laléraux rend co
ais elle se montre là plus prononcée que dans les autres formes de la sclérose des centres nerveux. Elle peut être invoquée enco
la lenteur avec laquelle les symptômes parétiques progressent dans la sclérose en plaques, et du long espace de temps qui s'écou
on sait concernant les conditions qui président au développementde la sclérose en plaques se réduit à fort peu de chose. 11 para
côté la dernière limite que puissent atteindre les sujets atteints de sclérose en plaques. Relafivementà l'influence héréditai
on qui concerne un enfant qui présenta les pre-miers, symptômes de la sclérose en plaques disséminées à l'âge de 7 ans. Elle mou
ent de la tête ; parole difficile : atrophie des jambes. — Autopsie : Sclérose du pont de Varole et de ses annexes, presque géné
sséminées. Dans la moelle — et principalement la moelle allongée — la sclérose occupe, en première ligne, les cordons postérieur
in (Deutsches Archiv fur KUnische Medicin, t. X, fase. 0, p. 696), la sclérose en plaques a débuté durant la convalescence d'une
MM. Fontaine el Liouville, il est dit que les premiers indices de la sclérose furent précédés par des vomissements bi-lieux, ab
ommée Dr.. Hurleuse, chez la-quelle les premières manifestations delà sclérose en plaques se sont montrées alors qu'elle venait
2. The Lancet (1873, vol. 1, p p. 236) a publié le résumé d'un cas de sclérose en plaques observé par M. Moxon â Guy's tlospital
rgoté, le bromure de po-tassium ont été également administrés dans la sclérose enpla-ques, sans avantage marqué. J'en dirai auta
mple énumération : 1° Tinial : Etude sur quelques complications de la sclérose en plaques disséminées: th. de Paris, 1873; —2° e
ées: th. de Paris, 1873; —2° et3° H. Schiile : Beitrage zur multiplen Sclérose des Gehirnsund Rilckenmarks, in Deutsches Archiv
te particulière. Je reviendrai aussi sur le groupe si intéressant des scléroses de la moelle épinière et, entre autre:, sur celle
un certain nombre d'hystériques. — Exemples. — Lésions anatomiques. — Sclérose des cordons latéraux. — Variétés que présente la
, s'observe dans la sclérosesy-métrique des cordons latéraux, dans la sclérose enplaques, toutes les fois que les foyers spinaux
ndue de plusieurs cen-timètres en longueur; on les observe lorsque la sclérose descendante s'est établie consécutivement à la co
elle se lie à des maladies d'origine très diverse, mais auxquelles la sclérose la-térale est un trait commun. Toutefois, sa prés
r, de semblables symptômes ne s'observentpas dans la progression delà sclérose des cordons latéraux... III. Ainsi, Messieurs
ontrac-ture des quatre membres, et dont le début avait été subit, une sclérose qui occupait symétriquement, et à peu près dans t
i tient sous sa dépendance la contrac-ture permanente dans les cas de sclérose en plaques ou fasci- examen pratiqué le 20 mars
soient,font place à des altérations matérielles plus profondes : une sclérose véritable s'établit. Peut-être n'est-elle pas au-
ndiquer, à coup sûr, le caractère du cas, de savoir par exemple si la sclérose a définitivement ou non élu domicile dans les cor
désespérer de rien. Il importe, d'ailleurs, de ne pas oublier que la sclérose latérale, alors même qu'elle est parfaitement éta
t analogues aux précédentes qui peu-vent survenir dans le cours de la sclérose en plaques (2), et,en-fin, dans les attaques, ave
alysie agitante d'une autre maladie, très intéressante, elle aussi la sclérose en plaques. On connaît la description minu-tieuse
p. 154). Plus loin, enfin, lorsqu'il compare le tremblement dans la sclérose en plaqueset dans la paralysie agitante, M. Charc
ir un peu diminué de hauteur, paraît être devenue plus grosse. (B.) Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la forme s
frustes, comme il les appelle, et la possibi-lité delà guérison de la sclérose enplaques. Nous allons donner ici un résumé des o
e des symptômes céphaliques. Cette malade nous offre donc un cas de sclérose en plaques fruste dans la forme spinale. Elle nou
n plaques fruste dans la forme spinale. Elle nous montre aussi que la sclérose en plaques peut, parfois, subir des temps d'arrêt
s à cette édition les planches VII et VIII rela-tives auxlésions delà sclérose en plaques. Elles ont été dessi-nées sur des pièc
— A l'œil nu, sur des coupes transversales, on trouve des plaques de sclérose dissé-minées et sans ordre: elles occupent, j^ici
uée sur la partie médiane, fait voir une sorte de semis de plaques de sclérose . — De nombreuses coupes du cerve-let n'ont fait d
Tome I, PL II A"Delahaye Lecrosnier, Editeurs, PLANCHE III » SCLÉROSE EN PLAQUES (ENCÉPHALE) Fig. 1. — Cerveau tout e
HALE) Fig. 1. — Cerveau tout entier vu par sa base. — a, Plaques de sclérose dis* séminées en différents endroits de la longue
n différents endroits de la longueur des nerfs olfactifs. 6, Ilots de sclérose sur les nerfs optiques. b\ Partie restée saine d'
c, Ilots scléreux sur le pédoncule cérébral gauche. d, Plaques de sclérose disséminées en divers points de la protubérance,
nerfs émergeant de la protubérance paraissent sains. e, Plaques de sclérose , occupant irrégulièrement divers points de bulbe
plans (horizontal et vertical) résultant de la coupe. a, Plaques de sclérose disséminées dans la substance blanche. 6, Plaque
6, Plaque scléreuse ayant envahi le corps rhomboïdal. c, Plaques de sclérose qui ont été sectionnées presque symétriquement en
vu par sa base. — a, Nerfs olfactifs paraissant sains. — b, Ilots de sclérose sur les nerfs optiques. — c, Ilots de sclérose su
t sains. — b, Ilots de sclérose sur les nerfs optiques. — c, Ilots de sclérose sur les pédoncules cérébraux. d, Plaques de scl
— c, Ilots de sclérose sur les pédoncules cérébraux. d, Plaques de sclérose , disséminées en divers points cle la protubérance
ergeant de la protubérance paraissent sains. e, Plaques et îlots de sclérose occupant irrégulièrement divers points du bulbe r
rement distribuée Les nerfs émergeant du bulbe paraissent sains. g, Sclérose , au début, dans le tissu qui constitue l'espace p
Imp. Becquet fr. Paris. P. Lackerbauer Chromo lith. PLANCHE IV sclérose en plaques (cerveau) . Fig. 1. — Coupe du cerve
Coupe du cerveau faite horizontalement et laissant voir des îlots de sclérose dans différentes régions (substance blanche et su
ions (substance blanche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans les régions antérieures (commissure an-térie
veau, faite aussi horizontalement et. per-mettant devoir des îlots de sclérose dans d'autres régions (substance blanche et subst
ions (substance blanche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans les régions antérieures (commissure an-térie
ans les parties antérieures des ventricules latéraux- c, Plaques de sclérose dans la substance grise du noyau intraventriculai
Imp. Becquet fr. Paris. P. Lackerbauer Chromo lith. PLANCHE V sclérose en plaques (moelle épinière). Fig. 1. — Moelle
ère sec-tionnée est rejetée de chaque côté). s, Plaques et îlots de sclérose , irrégulièrement disséminés, de dimensions et for
e dans toute sa hauteur et rejetée de côté). s, Plaques et îlots de sclérose , irrégulièrement disséminés, à contours iné-gaux,
ent. a. Partie antérieure : — h, Partie postérieure ; — s, Ilots de sclérose . Les parties sclérosées sont, du reste, reprodu
Chromo lith. A. Delahaye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VI sclérose en plaques (moelle épinière). Fig. 1. —Moelle é
e (la dure-mère section-née est rejetée sur les côtés), c, Plaques de sclérose irrégulièrement disséminées. v, Vascularisation
e-mère sec-tionnée est rejetée sur les côtés). s, Plaques et îlots de sclérose irrégulièrement disséminés. v, Vascularisation mé
erticalemen t placée. a, Partie antérieure. p, Partie postérieure. s, Sclérose , (Les parties sclérosées sont reproduites avec
au-dessus du commencement du cône terminal. 14, Filum terminale, La sclérose l'a envahi tout entier, CHARCOT. - Oeuvres comp
Chromo lith. A. Delahaye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VII sclérose en plaques. Fig. 1. — Face interne de l'hémisphèr
. 1. — Face interne de l'hémisphère gauche. a., a, a,____Plaques de sclérose occupant le corps calleux, CC : — la couche opt
fr. Paris. A. Delahaye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VIII SCLÉROSE EN PLAQUES. Fig. 1. — Protubérance et bulbe ; f
ures, les parties colorées en gris cendré représentent des plaques de sclérose . CHARCOT. _ Oeuvres complètes . Tome I . Pl.
re et du cerveau (suite). Sommaire. — Affections cutanées dans la sclérose des cordons postérieurs ; Éruptions papuleuses
lésion des cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains
ment d'après Galien. — Indépendance de la paralysie agitante et de la sclérose en plaques. — Recherches de Par-kinson. — Travaux
ares sacrées. — Maladies terminales ; elles diffèrent de celles de la sclérose en plaques. — Durée de la paralysie agitante. R
ce des lésions dans la paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en plaques. — Lésions du pont de Varole et de la
ue un certain rôle: la paralysie agi-tante se montre plus tard que la sclérose en plaques. — Sexe. — Hérédité* — Influence de
uence de la race......................... 155 SIXIÈME LEÇON de la sclérose en plaques disséminées. — anatomie pathologique.
disséminées. — anatomie pathologique. Sommaire. — Historique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; — P
natomie pathologique macroscopique. — Aspect extérieur des plaques de sclérose . — Leur distribution: cerveau, cervelet, protubér
cerveau, cervelet, protubérance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. — Forme spinale, cépha-lique ou bu
que. — Capillaires artériels. Caractères histologiques des plaques de sclérose . — Coupes transversales : zone périphérique ; — z
lon-gitudinales. — Altérations des vaisseaux. — Examen des plaques de sclérose à l'état frais. — Lésions histologiques consécuti
ésions.................................. 189 SEPTIÈME LEÇON de la sclérose en plaques disséminées. — symptomatologie. Somm
isséminées. — symptomatologie. Sommaire. — Diversité d'aspect de la sclérose en plaques disséminées, au point de vue clinique.
ique. — Causes d'erreurs de diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement; modi-fications qu'i
......... 221 HUITIÈME LEÇON des attaques apoplectiformes dans la sclérose en plaques. — des pério-des et des formes, — phys
ent. Sommaire. — Attaques apoplectiformes. — Leur fréquence dans la sclérose en plaques disséminées. — Considérations générale
la température ou point de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques. —Première, seconde et troisième pér
Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes et de la durée de la sclérose en plaques. Physiologie pathologique. — Relation
un certain nombre d'hystériques. — Exemples. — Lésions anatomiques. — Sclérose des cordons latéraux. — Variétés que présente la
on......................................................... 421 IV. Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la forme s
ue, 287, 304, 340, 346. Amblyopie hystérique, note, 362 ; — dans la sclérose en plaques, 233. Amyotrophie protopathique ( V
au, note, 62; — d'une lésion hémilatérale de la moelle , 103, — de la sclérose en plaques dis-séminées, 62 , 244 ; de la scléros
lle , 103, — de la sclérose en plaques dis-séminées, 62 , 244 ; de la sclérose des cordons latéraux, 61 ; — de la sclérose des c
éminées, 62 , 244 ; de la sclérose des cordons latéraux, 61 ; — de la sclérose des cordons posté-rieurs, 61. Analgésie, 303, 3
rantes, 76 ; — différences qui séparent l'ataxic du tremblement de la sclérose en plaques, 230 ; — dans la sclérose en plaques,
nt l'ataxic du tremblement de la sclérose en plaques, 230 ; — dans la sclérose en plaques, 242. Atrophie musculaire, 5. — cons
. Attaques-Accès, 372, 373, 375. Attaques apoplectiformes dans la sclérose en plaques, 249 ; — fré-quence, 249, 250, : — dan
du - . 72. — Lésions du — dans la paralysie agitante, 182 ; — dans la sclérose en plaques, 193, 251. C Capsule interne, 313.
ation jaune des cellules nerveuses, 218, 219. — Lésions des — dans la sclérose en plaques, 244, 245 ; — — dans la contracture hy
404. — Mouve-ments désordonnés de la — com-parés au tremblement de la sclérose en plaques, 280, 317. — (V. IlÉ-michorée). — ryth
'hématomyé-lie, 65 ; — dans la myélite aiguë centrale, 65 ; — dans la sclérose en plaques, 241. (V. Myopathies.) Contracture h
, 362. — Phy-siologie pathologique de la—,368. — permanente dans la sclérose en plaques, 245. — tardive dans l'hémiplégie de
, 238. Démarche dans la paralysie agitante, 175. Diplopie dans la sclérose en plaques, 233, 258. Douleurs fulgurantes fPat
re (Spécimens de 1') dans la paralysie agitante, 167, 421 ; — dans la sclérose en plaques, 227, 228. Ecthyma, 76. Electro-Di
F Faisceaux racliculaires internes, 79. — Irritation des— dans la sclérose postérieure, 80. Faradisation et galvanisation
tion et galvanisation : diffé-rences d'action, 39, 55, 58 ; — dans la sclérose en plaques, 241. Fève de Calabar dans la paraly
s, 241. Fève de Calabar dans la paralysie agitante, 187 ; — dans la sclérose en plaques, note, 272. G Ganglion cervical su
. Glossy skin, 25. Globe hystérique. (V. Aura.) Griffe dans un cas de sclérose en plaques avec lésions des cellules nerveuses,
s (Ecrasement et ligature des, 54. — Excision des —, 58. — Plaques de sclérose sur les —, 194; — dilatateurs, 149. (V. Corde du
uence du système ner-veux sur la), 4, 6 etpassim. Nystagmus dans la sclérose en pla" ques, 167, 234. O Oblitération calcul
role, Propulsion, Rétropulsion.) — — bulbaire, symptomatique de la, sclérose en plaques, 263. — consécutive à la lésion des
, 48. — générale progiuessive ; caractères qui la rapprochent de la sclérose en plaques, 223, 236. (V. Attaques apoplectifor
Parole (Troubles de la) dans la pa-ralysie agitante, 168 ; — dans la sclérose en plaques, 235. Peau 'Troubles trophiques de l
S Salivation dans la paralysie agi-tante, 169. Sclérodermie, 25. Sclérose fasciculée, 60 ; — descen-dante, 251 : — latérale
1 : — latérale dans l'hys-térie, 362 ; — postérieure, ccmpli-quant la sclérose en plaques, 231, 242, note, 264. (V. Ataxie locom
— dans la moelle, 193 ; — sur les nerfs, 195. — Aspect des plaques de sclérose , 194. — Histo-logie, 195, 205. — Altérations des
Historique, 158 : — dans la pa-ralysie agitante, 166, 229 : — dans la sclérose en plaques, 226. — In-fluence des mouvements, 227
30. Trépidation provoquée" du pied dans l'hystérie, 350 ; — dans la sclérose des cordons latéraux, la sclérose en plaques, la
ed dans l'hystérie, 350 ; — dans la sclérose des cordons latéraux, la sclérose en plaques, la sclérose descendante, 350 (Note).
; — dans la sclérose des cordons latéraux, la sclérose en plaques, la sclérose descendante, 350 (Note). Trismus, 287. Troubl
ie de M. Samuel, 147. — Critique, 150. —Conclusions, 151. — Dans la sclérose en plaques, 263. Tubercule de la moelle, 112.
.) Urticaire dans l'ataxie locomotrice, 175. V Vertiges daus la sclérose en plaques, .236, 258 ; — épileptiques, 375. Vi
3 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
- striés dans quelques cas ; plusieurs se rapportent nettement à la sclérose en plaques, qu'on a longtemps confondu avec la
par Iioller (1) et par Redlich (2). Ces deux auteurs ont signalé la sclérose des parois vasculaires, Redlich insiste beaucou
, et dont il l'ait lesubstratum anatomique de la maladie ; c'est la sclérose périvascu- laire, qu'il dit bien plus accentuée
, par Francesco Burzio (1) en 1902. Dans un cas, cet auteur note la sclérose des cordons postérieurs, principalement du fais
DES CORDONS POSTÉRIEURS 23 médiane'est ici seule découverte par la sclérose , ne contient qu'une bordure très pâle de fibres
l'extrémité postérieure du septum. La branche transversale de la sclérose est presque complètement remplie par des fibres
e eu avant, au niveau de la moitié antérieure du bord externe de la sclérose , une zone mixte où les fibres se mélangent à part
rs ; à la 5e cervicale il se rétrécit encore d'avant en arrière. La sclérose aboutit à la partie postéro- interne du noyau g
dans mon tra- vail sur la pathogénie du tabes (1). 5e Sacrée. La sclérose forme une mince bande rectiligne située immédia-
n arrière qu'en avant ; il existe en outre une très légère tache de sclérose qui se détache eu avant de cette bande et qui c
tache est très mal délimitée. La 4e sacrée manque. 3e Sacrée. La sclérose forme un triangle au centre du cordon postérieur
à ce niveau, comme dans tout le reste de l'étendue de la moelle, la sclérose de la bandelette externe s'accompagne de rétracti
rieure et touche à l'entrée des racines par un angle très effilé de sclérose légère. Les zones conservées sont les mêmes qu'
externe devient extrême- ment net et est constitué par une ligne de sclérose dont l'intensité tranche sur le reste. Sa forme
nue très large. En dedans elle est limitée par cette ligne nette de sclérose interne que nous avons vue débuter vers la 3e d
hent en avant sur le tiers antérieur du septum médian ; la ligne de sclérose intense qui marquait le bord interne depuis la
ténuée progressivement et a fini par disparaître. L'intensité de la sclérose des bandelettes externes va d'ailleurs aussi en
de la périphérie par deux zones d'aspect normal. Insensiblement la sclérose s'atténue et finit par disparaître au point où ce
Weigert-Pal et par la coloration au carmin. Il faut ajouter que la sclérose paraît être déjà ancienne si l'on en juge par l
Lissauer et de tous ceux qui l'ont suivi. Ces ponts, isolés par la sclérose radiculaire, sont représentés fig. 1. Une autre
décider si elle existe ou si elle n'existe pas ; dans un cas où la sclérose des cordons postérieurs et des racines était «
zones de Lissauer tranchaient par leur inté- grité relative sur la sclérose intense des cordons postérieurs ; la diminu- ti
et 3/4. L'un decescas est représenté pl, VII, 4, 7 et 8 : avec une sclérose des cordons et des racines postérieurs portée à
st tardive et que, de plus, elle n'atteint jamais l'intensité de la sclérose des zones radiculaires. La lésion des zones de
le des cordons postérieurs. ' Fio. 6. Va lombaire. Apparition d'une sclérose en forme de fuseau le long du septum médian.
rtion médiane du faisceau de Hoche, mais souvent on voit débuter la sclérose médiane, dans les cas de lésion transverse de l
s de l'embryologie et sur la comparaison entre les dimensions de la sclérose médio-périphérique et celles du centre ovale cons
escription minutieuse racine par racine. Dans cette observation, la sclérose intense s'accompagne de rétraction ; la lésion
paralytique général (3). Enfin, je possède un 2° cas de tabès où la sclérose prend encore la même forme à la même région ; m
r et des fibres endogènes fines verti- cales disséminées malgré une sclérose tabétique avancée. 5 et 6. Moelle C. Tabes moye
LABORATOIRE DE M. LE Dr PIERRE MARIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE DES SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTTQUES, PAR O. CROUZON, Inter
uver à l'autopsie la lésion caractéristique de cette affection : la sclérose des cordons postérieurs. Une fois sur dix ou un
ux de ces dernières années ont permis de prévoir cliniquement cette sclérose combinée (1), nous possédons aujourd'hui une tria
ui a été jus- qu'ici mal élucidé. A l'autopsie de la moelle d'une sclérose combinée tabétique, on cons- tate tout d'abord
zon, Soc. de Neurologie, 1903. (2) Crouzon, Thèse de Paris, 1904. SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 5B de Pal, on voit la coex
isseaux, des ménin- ges, des lymphatiques. Cette deuxième classe de scléroses combinées porte le nom de scléroses combinées p
iques. Cette deuxième classe de scléroses combinées porte le nom de scléroses combinées pseudo-systématiques. Les scléroses s
ées porte le nom de scléroses combinées pseudo-systématiques. Les scléroses systématiques de la moelle en général peuvent êtr
en général peuvent être primi- tives ou secondaires ; mais dans les scléroses combinées du tabes les lé- sions primitives du
llulaire de la moelle ; les cellules de la colonne de Clarke. Les scléroses combinées systématiques secondaires dans le tabes
eux cas qui rentrent dans cette catégorie. OBS. I. Sali..., 57 ans, sclérose combinée tabétique. Service de M. P. Marie à l'
in : Ab., Gor., Faur. Au niveau de la moelle sacrée, on constate la sclérose des parties latérales des cordons postérieurs.
ativement res- pectée. On constate dès ce niveau quelques traces de sclérose du cordon latéral. Dans la moelle lombaire, la
respectée. Au niveau du cordon latéral, on constate un triangle de sclérose dont la base répond au bord de la moelle et don
ise. Au niveau de la moelle dorsale, de la 8e à la 4` ? dorsale, la sclérose des cordons postérieurs est encore plus accentu
, la sclérose des cordons postérieurs est encore plus accentuée. La sclérose du cordon latéral occupe la région du faisceau
surtout dans sa partie postérieure ; 'dans les cordons latéraux, la sclérose occupe une bande étroite répondant à la périphé-
s de la colonne de Clarke. Ce cas pourrait donc répondre au type de scléroses combinées systématiques secondaires. Cependant le
e prolonger au delà du faisceau cérébel- leux'direct et tendre à la sclérose marginale annulaire. Enfin même dans la profond
sem- UU1LLLH ICONOGRAPIIIF DE LA SALPTRIÍ.Rh T. XVII. PI. VIII SCLÉROSES COMBINEES (O. Crauzou) A,B,C. Fau.... Scléros
XVII. PI. VIII SCLÉROSES COMBINEES (O. Crauzou) A,B,C. Fau.... Sclérose combinée tabétique. Moelle dorsale d'aspect losan
tique. Moelle dorsale d'aspect losangique ; son calibre est diminué ; sclérose annulaire des cordons latéraux. D,E,F. Sal....
t diminué ; sclérose annulaire des cordons latéraux. D,E,F. Sal.... Sclérose combinée tabétique. D, moelle aplatie et atrophié
tique. D, moelle aplatie et atrophiée dans sa moitiée postérieure. La sclérose latérale est marginale et occupe SCLÉROSES COMB
a moitiée postérieure. La sclérose latérale est marginale et occupe SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 55 blable au précédent. Ce
alade fut le premier chez lequel on fit le diagnos- tic clinique de sclérose combinée tabétique. - Cas. II. - Dépr... 36 ans
. - Dépr... 36 ans, hospitalisé à Bicêtre (service de M. P. Marie). Sclérose combinée tabétique. Syphilis en l<885 à 18 ans
eils. C'est le premier cas sur lequel ait été fait le diagnostic de sclérose combinée tabé- tique. ' Examen histologique.
ervicale. On constate au niveau des cordons postérieurs une zone de sclérose affectant la forme d'un triangle, à sommet antéri
épond au faisceau cérébelleux direct, une légère bande marginale de sclérose . 2° et 3e cervicales. La lésion du cordon posté
ns à peu près semblables, sauf au niveau du cordon postérieur où la sclérose est plus largement étendue au niveau de la com-
e aspect des lésions. ire dorsale. Dans les cordons postérieurs, la sclérose affecte toujours la forme d'un triangle dont la
ait le sillon postérieur ; au ni» 56 CROUZON - veau du sommet, la sclérose s'étale à droite et à gauche en arrière de la com
de la com- missure postérieure. Au niveau des cordons latéraux, la sclérose est toujours marginale et occupe la partie la p
existe un épaississement considérable de la méninge postérieure. La sclérose du cordon postérieur affecte la même forme dans s
artie médiane ; mais au niveau des angles postérieurs du triangle, la sclérose se diffuse dans la partie postérieure du cordon
un triangle avec un Fig. 1, 2, 3, 4. Coupes de la moelle de Dépr... Sclérose combinée tabétique. Coloration de Weigert. Fi
.. Sclérose combinée tabétique. Coloration de Weigert. Fig. 1. La sclérose occupe la zone avoisinant le sillon postérieur et
pe la zone avoisinant le sillon postérieur et le cordon de Goll. La sclérose latérale est très légère et marginale. Fig. 2.
ll. La sclérose latérale est très légère et marginale. Fig. 2. La sclérose latérale occupe surtout le territoire du faisceau
pe surtout le territoire du faisceau cérébelleux direct. Fig. 3. La sclérose latérale occupe le faisceau cérébelleux direct et
pe le faisceau cérébelleux direct et la zone pyramidale. Fig. 4. La sclérose des cordons postérieurs est surtout marginale.
Fig. 4. La sclérose des cordons postérieurs est surtout marginale. SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 57 sommet externe, un bord
don postérieur est moins étendu dans le sens antéro- postérieur. La sclérose dans le cordon postérieur est toujours plus marqu
rke apparaissent nettement à ce niveau. Dans le cor- don latéral la sclérose est intense, dans la partie postérieure de ce cor
entrale. La méninge postérieure est très épaissie. Latéralement, la sclérose occupe toute la région du faisceau cérébelleux
e. Il existe une méningite postérieure et latérale très marquée. La sclérose est très accentuée eu niveau de l'angle du cord
oir un aspect' triangulaire. Elle a une forme nettement aplatie. La sclérose des cordons postérieurs occupe surtout la régio
lésions sont très marquées et marginales ; dans le cordon latéral la sclérose oc- cupe une zone peu étendue, d'aspect triangu
de Marchi n'a pas révélé de corps granuleux. Bulbe. On poursuit la sclérose jusqu'aux cordons de Goll et dans les pyramides
renant davan- tage l'hématéine qui semblent révéler un processus de sclérose . La troisième frontale droite ne présente pas d
droit. Le nerf cubital droit (au niveau du bras) présente une légère sclérose ; au niveau du coude, il est sensiblement norma
ucun d'eux ne présente d'altération. Comme dans l'observation I, la sclérose occupait surtout le territoire des faisceaux cé
rieure de la ré- gion cervicale, ce qui va un peu à rencontre d'une sclérose systématique de ce faisceau. De plus, elle s'ét
eudo-systématiques. Nous ne nierons pas cependant l'exis- tence des scléroses combinées tabétiques systématiques : Auscher en a
cas et Ballet et Minor admettent leur existence. Mais le groupe des scléroses combinées pseudo-sstémrctiues dans le ta- bes n
altérations des faisceaux latéraux seraient « la conséquence de la sclérose postérieure non SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES
x latéraux seraient « la conséquence de la sclérose postérieure non SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 59 point directement et'pa
i soutenue par Ballet et Minor qui désignent ces cas sous le nom de sclérose primitivement systématique diffusée par lepto-mén
conclure que tel est le mode de production de certaines variétés de scléroses combinées si voisines du tabes que personne jus
le processus de P. Marie et Guillain. OBs. III : - Ab..., 6 ans, sclérose combinée tabétique. Service de M. P. Marie à l'
égrité de la zone cornu commissurale. Dans les cordons latéraux, la sclérose a une forme triangulaire qui s'étend davantage
s que précédemment. Le cordon latéral présente les mêmes lésions de sclérose . Il existe des lésions des colonnes de Clarke, le
s cellules nombreuses, mais un peu plus petites que normalement. La sclérose se confine au niveau du cordon de Goll, dans le
dans les coupes situées au-dessus. Au niveau du cordon latéral, la sclérose est encore plus accentuée que sur les coupes pr
ions du cor- don postérieur. Au niveau de la région cervicale, la sclérose reste limitée au cordon de Goll, et dans le cor
rose reste limitée au cordon de Goll, et dans le cordon latéral, la sclérose se prolonge en avant parallèlement au bord de l
istait pas de lésions au Marchi (Voir Planche IX). OBs. IV. Fau..., sclérose combinée tabétique. Service de M. Pierre Ma- ri
a partie postérieure ; le cordon latéral pré-- sente un triangle de sclérose à base périphérique et dont le sommet s'enfonce
stérieur est complètement sclérosé; au niveau du cordon latéral, la sclérose revêt le môme type, s'étend dans tout le territ
ur est sclérosé presque en totalité ; au niveau du cordon latéral, la sclérose occupe la même disposition que précédemment.
emment. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVII. PI IX SCLÉROSES COMBINEES (0. Cl'O1l,011 Ab ... Sclérose comb
ère. T. XVII. PI IX SCLÉROSES COMBINEES (0. Cl'O1l,011 Ab ... Sclérose combinée tabétique : la sclérose est diffuse dans
COMBINEES (0. Cl'O1l,011 Ab ... Sclérose combinée tabétique : la sclérose est diffuse dans les cordons postérieurs SCLÉRO
ée tabétique : la sclérose est diffuse dans les cordons postérieurs SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 61 Au niveau de la région
de la région cervicale, la moelle a de nouveau un volume normal, la sclérose est moins étendue et au niveau du cordon latéral,
l, la sclérose est moins étendue et au niveau du cordon latéral, la sclérose est surtout marginale, s'étend en avant et fait
o-systématique (Voir Planche VIII, A, B, C). OBs. V. Gor... 62 ans. Sclérose combinée tabétique. Service de M. Piètre Marie
histologique. Au niveau de la région sacrée, la moelle présente une sclérose diffuse du cordon postérieur respectant relativem
du cordon latéral (Voir fig. 7). Au niveau de la région dorsale, la sclérose occupe un triangle dont la base répond au bord
ulement dans sa partie postérieure. Au niveau du cordon latéral, la sclérose affecte toujours la forme triangulaire, occupan
rmaux. En résumé, au point de vue topographique, il s'agit là d'une sclérose com- binée du cordon postérieur, des faisceaux
pense donc que ces cas de dilatation du canal épendymaire, dans les scléroses combi- Fig. 5, 6 et 7. Gor... Sclérose combinée
canal épendymaire, dans les scléroses combi- Fig. 5, 6 et 7. Gor... Sclérose combinée tabétique (Coloration de Weigert). Dans
ée tabétique (Coloration de Weigert). Dans les cordons latéraux, la sclérose occupe surtout la zone pyramidale et occupe un
upe un territoire nettement triangulaire dans les figures 6 et 7. scléroses combinées 'fABÉ'IIQUES 63 peut, à notre avis, q
bérantielle dont le siège exact nous a échappé. Ons. VI. Bits..., sclérose combinée tabétique. Service de M. Pierre Marie
n des deux cor- dons antérieurs. Dans les cordons postérieurs, la sclérose est surtout intense dans la partie postérieure
Dans le cordon antérieur, d'un seul côté, ou note la présence de la sclérose dans le territoire du faisceau pyramidal direct
es des gaines de myéline conservées (Voir fig. 8). 3e Cervicale. La sclérose du cordon postérieur présente la même distri- b
ême distri- bution ; on constate aussi dans les cordons latéraux la sclérose du faisceau py- ramidal croisé et du faisceau'
normales ou moins atteintes. Le cordon antérieur présente la même sclérose du faisceau en croissant, mais la partie postér
entuée dans un des cordons latéraux. -- 5e Cervicale. La bande de sclérose du faisceau cérébelleux direct s'étale en bordu
s cordons postérieurs et antérieurs ; dans les cordons latéraux, la sclérose occupe une zone triangulaire englobant le faisc
cordon latéral est moins large à ce niveau. 7e et 8- Cervicales. La sclérose est plus étendue, dans les cordons posté- rieur
u'à a commissure postérieure. Dans les cordons latéraux, la zone de sclérose u'est pas triangulaire, elle forme de nouveau u
ieur n'est que très peu sclérosé dans le faisceau en croissant : la sclérose est marquée seulement dans la partie qui longe
le faisceau pyramidal antérieur. 10 il Fig. 8, 9, 10, 11. Bits... Sclérose combinée tabétique (Coloration de Weigert). La
11. Bits... Sclérose combinée tabétique (Coloration de Weigert). La sclérose latérale est pyramidale ou pseudo-pyramidale. Les
ontrent l'existence d'une lésion du faisceau sulcomarginal droit. scléroses combinées tabétiques 65 Le cordon latéral est s
pect. 3° Dorsale. Dans le cordon postérieur, même disposition de la sclérose , peut-être un peu plus étendue encore dans la p
tion marginale du faisceau de Burdach. Dans les cordons latéraux, sclérose de forme triangulaire occupant presque exclusiv
que exclusivement le territoire du faisceau pyramidal ; très légère sclérose en bordure de la partie moyenne des cordons lat
e la partie moyenne des cordons latéraux. Dans le cordon antérieur, sclérose empiétant à la fois sur les deux territoi- res
u faisceau pyramidal antérieur. 4° et 5- Dorsales. Même aspect : la sclérose du cordon postérieur est com- plète en général.
nt : un plus grand nombre de fibres est conservé. 11° Dorsale. La sclérose du cordon postérieur est à peu près diffuse, uu
plus marquée dans le cordon de Goll et dans la région ventrale. La sclérose des faisceaux pyramidaux croisés est toujours trè
clle du cordon postérieur. Région dorso-lonzbaire. Il n'y a plus de sclérose du faisceau pyramidal du cordon antérieur. La
a plus de sclérose du faisceau pyramidal du cordon antérieur. La sclérose des faisceaux pyramidaux croisés est toujours trè
lérose des faisceaux pyramidaux croisés est toujours très nette. La sclérose du cordon postérieur est diffuse, un peu moins ac
st indemne de toute lésion. Les cordons latéraux présentent la même sclérose des extrémités des faisceaux pyramidaux. La c
mides. Le cordon postérieur est sclérosé. Un peu au-dessus, la sclérose diminue ; il persiste encore une sclérose mar-
osé. Un peu au-dessus, la sclérose diminue ; il persiste encore une sclérose mar- quée des cordons postérieurs, mais la sclé
iste encore une sclérose mar- quée des cordons postérieurs, mais la sclérose pyramidale est très diminuée aussi bien dans le
de section du nerf. Le nerf optique droit semble plus atteint : la sclérose y est diffuse et les fibres ne persistent qu'en
r des lésions méningo- lymphatiques. Nous croyons donc que si les scléroses combinées tabétiques de la moelle peuvent être
récentes et anciennes, maux de Pott avec compres- sion médullaire, scléroses en plaques, méningo-myélites, myélites trans- v
tré chez des malades porteurs de lésions médullaires ou cérébrales ( scléroses en plaques, hémiplégies anciennes, etc.), prése
mment l'extension en érection 5 Trace ne 5. Etat pathologique. ( Sclérose en plaques paraplégie spasmodique) pd : réflexe
pure, nous ne l'avons rencontré que chez un seul malade, atteint de sclérose en plaques avec un état re- marquablement spasm
(5) signale deux cas analogues et établit un rapprochement avec la sclérose cérébelleuse croisée qui est la règle dans les
tête de clou. Dans les faisceaux latéraux ou remar- que 3 noyaux de sclérose grise moins faciles à voir que celle des cordons
e la Xe et de la XIIe paire, on constate à la partie antérieure une sclérose incomplète des pyra- mides antérieures, les cyl
rès irréguliers, la plupart sont très petits. A la partie antérieure, sclérose assez accenluée du noyau de la XII,, et de la V
lérose assez accenluée du noyau de la XII,, et de la VII 10 paires, sclérose intense des noyaux de la Xe paire, avec dispari
-dessus de la décussation des pyramides, on constate toujours de la sclérose des pyramides antérieures, mais un peu moins ac
eu moins accentuée qu'au niveau du bulbe. On constate également une sclérose intense des noyaux et des faisceaux de Goll, une
aux et du faisceau de Burdach. Enfin, on commence à voir une légère sclérose du faisceau cérébelleux latéral. Le fais- ceau
, les méninges sont légèrement épaissies. On constate nettement une sclérose complète des faisceaux de Goll : il n'y reste p
existe une petite bande relativement saine. A ce niveau également : sclérose complète des faisceaux pyramidaux croisés, et d
des zones postérieures. On voit égale- ment il ce niveau une légère sclérose des colonnes de Clarke. A la partie inférieure
la moelle dorsale, dans la moelle lombaire et la moelle sacrée, la sclérose est beaucoup moins accentuée dans les faisceaux d
etrouve encore nettement l'atrophie de la corne posté- rieure et la sclérose de zones de Lissauer, de même que celle des racin
résumé, l'examen histologique nous a montré au niveau du bulbe une sclérose légère des pyramides extérieures, et des lésions
e la hauteur du bulbe et de la moelle dans les cordons postérieurs, sclérose des cordons de Goll plus accen- tuée au niveau
rdons de Goll plus accen- tuée au niveau de la moelle cervicale, et sclérose des cordons de Burdach, plus marquée dans la mo
plus marquée dans la moelle dorsale ; dans les faisceaux latéraux, la sclérose du faisceau pyramidal croisé, et du faisceau cé
re de la moelle dorsale ; enfin atro- phie des cornes postérieures, sclérose de la zone de Lissauer et sclérose des racines
o- phie des cornes postérieures, sclérose de la zone de Lissauer et sclérose des racines postérieures également marquée dans
ineux arrondis, ou très allongés. Les vaisceaux sont intacts. Foie. Sclérose intense, ayant détruit la lobulation, et ayaut di
dans la maladie de Friedreich, où l'on ne voit ordinairement que la sclérose des noyaux de Goll et de Burdach. Ces lésions ont
produites par l'évolution même de la ma- ladie de Friedreich. La sclérose des noyaux de l'hypoglosse, de l'auditif et du pn
moelle, épaississement des méninges, oblitération du canal central, sclérose des cordons postérieurs et surtout des cordons
l, sclérose des cordons postérieurs et surtout des cordons de Goll, sclérose du faisceau pyramidal croisé et du faisceau cér
ulier dans l'état des viscères ; poumons, coeur, en bon état,pas de sclérose artérielle appréciable, tympanisme de tout l'abdo
t de même nature. Les racines postérieures sont très atrophiées. La sclérose périvasculaire et la sclérose interstitielle so
postérieures sont très atrophiées. La sclérose périvasculaire et la sclérose interstitielle sont relativement prononcées. On
ns intercellulaires un peu plus larges qu'à l'état normal ; mais la sclérose interstitielle n'est pas très dévelop- pés ; le
trophie ; quelques- unes ont disparu. Il existe un certain degré de sclérose interstitielle. Dans le 2e ganglion lombaire ga
glion lombaire gauche on constate des phénomènes analogues, mais la sclérose interstitielle est encore plus nette. Dans tous c
réfaction cellulaire qu'au mode d'effacement des glomérules dans la sclérose rénale de la néphrite interstitielle, où ils disp
Quant aux vaisseaux, ils se montrent très fréquemment atteints de sclérose et de dégénérescence hyaline de leurs tuniques. T
veau de la région supérieure dorsale et de la région cervicale. Une sclérose du cordon de Gowers et du faisceau cérébelleux di
rouve absolument pas de réseau des libres; ce qu'on voit, c'est une sclérose qui est parsemée par un certain nombre de coupes
reste toujours raréfiée et en connexion avec l'élargissement de la sclérose du cordon de Gowers. Dans les parties plus élev
. C'est seulement d'un côté de la moelle qu'on trouve une plaque de sclérose périphérique, de forme oblongue, située immédia
oblongue, située immédiatement en arrière de l'élargissement de la sclérose du cordon de Gowers et laissant libre le reste
iphérie postérieure de la moelle. A partir de cette même hauteur la sclérose du faisceau de Gowers devient dans sa partie an
se. C'est ainsi que nous trouvons dans le segment Ci de nouveau une sclérose tout à fait prononcée de la périphérie pos- tér
épaissie. Toute la pé- riphérie postérieure et latérale montre une sclérose , qui augmente d'arrière en avant et forme dans
la partie dorsale le repli et la substance réticulaire montrent une sclérose très nette, à l'exception du fais- ceau longitu
faisceau cérébelleux direct. La raréfaction des fibres arquées, la sclérose de la partie postérieure de la substance réticu
du raphé, les lésions des olives et de leurs fibres, de même que la sclérose du faisceau de Gowers restent les mêmes que dan
nto-transversales, surtout dans leurs parties posté- rieures et une sclérose de la substance réticulaire. Ainsi toutes les lés
acuxymuc C<l11111l1. a) Fibres musculaires de volume normal avec sclérose non adipeuse - Fibre musculaire hyper- trophiée
e. En tout cas, ces lésions ne ressemblent nullement à celles de la sclérose latérale amyotrophique ou de la polyomyélite ch
sissement de la trame conjonctivo- vasculaire, mais sans lésions de sclérose névroglique dilfuse ou systématisée. Somme tout
s grand nombre de fibres musculaires, en même temps que le tissu de sclérose y était relativement assez développé et surtout p
quelques auteurs, que les lésions du tissu périvas- culaire dans la sclérose et l'épaississement des artères doivent être repo
nt encore mutuellement. Pour Ordonez l'atrophie tabétique était une sclérose d'origine vascu- laire, pour Virchow une névrit
ophique du nerf présente beau- coup d'analogie avec le processus de sclérose des cordons postérieurs, qu'il débute dans les
optique ; aucune fibre n'était conservée. Poncet (2) a constaté une sclérose prédo- minante dans le centre du nerf optique,
rmé la conclusion de Leber sur la variabilité de distribution de la sclérose et a ajouté que les fibres conservées forment de
cents, on voit poin- dre de semblables petits vaisseaux engainés de sclérose ; or à l'état nor- mal c'est seulement dans les
rdivement ÉTUDE DU NERF OI'lI[iUl; DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 3t)î sclérose non seulement des vaisseaux préexistants, mais de
intense et s'attaque même aux vaisseaux nou- veau-venus. Mais cette sclérose est essentiellement périvasculaire ; dans certa
ns cette portion ae neri les pnases successives ae révolution ae la sclérose . - A droite il existe encore de nombreuses fibres
ancée. L'extrême multiplicité de nodules scléreux s'explique par la sclérose et l'obturation des vaisseaux préexistants et d
res. Bien entendu entre les deux aspects que nous avons décrits, la sclérose « nodulaire, insulaire », et la sclérose « trab
que nous avons décrits, la sclérose « nodulaire, insulaire », et la sclérose « trabéculaire », il existe tous les intermédia
la sclérose « trabéculaire », il existe tous les intermédiaires, la sclérose exclusivement trabéculaire en particulier n'exi
es ? Nulle- ment, ce nous semble ; ces lésions sont celles de toute sclérose syphili- tique, de beaucoup de formes de la syp
fait carac- téristiques de cette cirrhose » (Gilbert) (1). Dans la sclérose syphilitique du nerf optique comme dans la sclé
t) (1). Dans la sclérose syphilitique du nerf optique comme dans la sclérose syphilitique du foie, « les bandes (1) Gimieht,
, t. V, p. 16k. PLANCHE L a) Nerf optique gauche de Despr... : sclérose combinée avec cécité. Type du nerf « petit « et
.. : sclérose combinée avec cécité. Type du nerf « petit « et de la sclérose « nodulaire ». Ce nerf, qui ne contient plus aucu
ste dans le nerf encore un bon nombre de fibres et l'on voit que la sclérose est en voie d'évo- lution : sur certaines parti
e est très épaissie et infiltrée de lymphocytes. f) Nerf de Ab... : sclérose combinée avec cécité. Mélange de nombreux nodules
béliques aveugles (portion orbitaire). g) Nerf de Aug... Type de la sclérose « nodulaire » : la plupart des nodules ont en-
épaississement de la méninge ; de la méninge partent des bandes de sclérose qui enkystent, pour ainsi dire, et séparent les f
les faisceaux super- ficiels du nerf. m) Nerf de Uegr .. Type de sclérose sans hypertrophie conjonctive. Les travées, non
aspect finement va- cuolaire. Il semble que le siège initial de la sclérose a été plus périphérique. n) Détail de la coupe
n) Détail de la coupe n : obj. 8. o) Nerf de Desmar... - Type de sclérose avec hypertrophie énorme des travées vas- culo-
nerveuses. Méningite intense. PLANCHE LU p, q, r, s) Début de la sclérose dans la portion orbitaire. p et q) Nerf optique
ortion orbitaire. p et q) Nerf optique gauche et droit de Besn... : sclérose combinée sans cécité - Une légère bande à la pé
s) Nerf optique (portion vasculaire) de Laverg... : tabes-cécité. La sclérose occupe uniquement une étroite bande périphériqu
e quadrant sclérosé répond au faisceau maculaire. t' u) Début de la sclérose dans la partie crânienne. t) Nerf de Faur... :
Début de la sclérose dans la partie crânienne. t) Nerf de Faur... : sclérose combinée sans cécité. Sclérose périphérique avec
rtie crânienne. t) Nerf de Faur... : sclérose combinée sans cécité. Sclérose périphérique avec hyper- trophie conjonctive et
hyper- trophie conjonctive et dislocatives. u) Nerf de Bits... : sclérose combinée sans cécité. Sclérose périphérique à la
t dislocatives. u) Nerf de Bits... : sclérose combinée sans cécité. Sclérose périphérique à la partie inférieure, sclérose r
combinée sans cécité. Sclérose périphérique à la partie inférieure, sclérose rayonnante suivant les branches d'un vaisseau à l
lard arlério-scléreux atteint de cataractes anciennes (Pren...). La sclérose est aussi ici périvasculaire, mais prédomine auto
éninge. ÉTUDE DU NEUF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 369 de la sclérose syphilitique sont constituées par un tissu adulte
fense, de réaction des tissus qui se traduit par la formation de la sclérose . Mais dans la syphilis l'altération vasculaire es
véritable lésion syphilitique des fins vaisseux est unique- ment la sclérose périvasculaire et endo-vasculaire : elle a pour c
la périphérie (nerfs de Besna..., Laverg..., etc.) ; dans ce cas la sclérose est parfois multiloculaire et neUement plus marqu
, aussi bien à la périphérie qu'au centre : dans ces cas il y avait sclérose surtout au pourtour des vaisseaux contenus dans
aisseaux contenus dans le nerf. Il existe, en somme, toujours une sclérose d'origine méningo-vascu- laire, mais c'est tant
vasculaire qui prédomine; dans le premier cas, le plus fréquent, la sclérose prédomine au pourtour du nerf, dans le second e
ires du nerf on voit la périphérie atteinte réunie par une bande de sclérose à la région centrale péri-vascu- laire égalemen
st sensiblement moins sclérosé. Cette localisation première de la sclérose au pourtour des nerfs opli- L;rul)1 : DU NEUF O
auche ne présentait dans sa portion vasculaire qu'une mince zone de sclérose périphérique et un étroit quadrant ; tout le rest
s, peuvent être pris au même titre que le faisceau maculaire par la sclérose d'origine méningée et vasculaire, ce faisceau e
l, d'autre part la grande rareté des scotomes purement centraux. La sclérose parait varier uniquement avec la distribution des
nerf des tabétiques amaurotiques sont exactement les mêmes dans les scléroses combinées à forme tabétique avec amaurose que n
ous avons constaté la même fymphocytosesous-arachnoïdienne, la même sclérose sous-méningée et périvasculaire, parfois en secte
ractères que l'atrophie tabétique au début, même lymphocytose, même sclérose périvasculaire, mais de façon très atténuée. To
, l'espace sous-arachnoïdien était infiltré de lymphocytes, mais la sclérose périvasculaire et la modification de la fascicula
ques faisceaux périphériques du nerf. Quant à la localisation de la sclérose au début nous l'avons trouvée souvent dans la p
de la portion orbitaire : dans les nerfs de Gara... par exemple, la sclérose était périphérique et complètement annulaire dans
ient périphériques dans la portion crânienne. Sou- vent une zone de sclérose rayonnante part d'un vaisseau pie-mérien un peu
é vers le milieu de la face supé- rieure. Dans certains cas où la sclérose est périphérique on voit très nettement les ter
rrespond la phase anato- mique que caractérisent essentiellement la sclérose et l'oblitération des vaisseaux, préexistants e
lammation bien particulière et différente de celle qui aboutit à la sclérose , avec oblitération. Son caractère est de porter s
able membrane sinueuse pseudo- papillaire. Il n'y a que fort peu de sclérose névroglique et la paroi fort mince est entourée
non pas la simple constata- tion d'une cavité centrale entourée de sclérose névroglique, permettront d'en séparer les autre
de paroi névroglique. De même, ni la dégénérescence hyaline, ni la sclérose vasculaires ne sont spécifiques et on peut dire q
vasculaires, au- tour desquelles s'est développé un tissu dense de sclérose névroglique, déterminant ainsi une myélite lent
e. que peut susciter tout autre processus in- flammatoire (myélite, sclérose en plaques, etc.). Contrairement à Philippe et
antérieures grise et blanche, même dépression très marquée et même sclérose annulaire légère prédomi- nante aux zones radic
le. Dépression au niveau de la zone radiculaire antérieure, plus de sclérose périphérique. Le volume de la corne antérieure
e ronde. Dépression radiculaire antérieure nette, surtout à gauche, sclérose périphéri- que légère au niveau de la zone radi
67. Rétine dans l'amaurose tabélique (1 pl.), par A. LÉRI, 304. Scléroses combinées tabétiques (Anatomie pathologique) (2
, XLIII. Sciatique avec cypho-scoliose (H. Fores- Tien), XIV. Scléroses combinées (O. CaouzoN), VIII, IX. Spasme bila
4 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e général. Gli. Izéré. -.4tacie héréditaire, maladie de Friedreich. Sclérose diffuse de la moelle el du bulbe. (Progrès médi
ie labio- gtosso-laryngée. Frère mélancolique. Nièce maniaque. La sclérose en plaques peut être héréditaire3. D'autres foi
n n'avouait aucun antécédent ner- veux. D'ailleurs la parenté de la sclérose multilocu- laire avec les autres affections ner
ait être mise en doute. Observation LXVI. - D..., vingt-neuf ans. Sclérose en plaques. Mère migraineuse. Oncle maternel al
t. XXVIII, p. 144. 3Chvostek. - lVeitac,' 13eilrng zur Itcl'dwcisen sclérose de,' central 71ei-veiisysteis. (.l11gm. Wiener
3, p. 370.) 40 pathologie générale. Observation LXVII. - mye X... Sclérose en plaques. - Père et deux tantes maternelles a
les aliénés. - Fils, tic de la face. Observation LXVIII. - Mme B... Sclérose en plaques. Fille aliénée. Observation LXIX.
ues. Fille aliénée. Observation LXIX. - M"° C..., vingt-cinq ans. Sclérose eu plaques; pas d'antécédents avoués. A eu, à q
ffection méningitique ( ? ). Observation LXX. D..., vingt-neuf ans. Sclérose en plaques. Oncle maternel, mort aliéné à la su
R..., quarante-sept ans. Para- lysie infantile à un an. Début de la sclérose multiloculaire à quarante-deux ans. La scléro
n an. Début de la sclérose multiloculaire à quarante-deux ans. La sclérose en plaques s'accompagne souvent de troubles psy
ité, qui peuvent s'expliquer par la présence de foyers cérébraux de sclérose , non sans analogie avec la sclérose tubéreuse o
ésence de foyers cérébraux de sclérose, non sans analogie avec la sclérose tubéreuse observée dans l'idiotie par MM. Bourn
de la paralysie [générale et peuvent s'expliquer par ce fait que la sclérose en plaques étant une lésion de nature inflammat
ves; ce ne sont que des coïncidences : la folie est associée à la sclérose disséminée au même titre que l'hystérie qui fig
celles que nous avons déjà citées. Citons enfin un sujet atteint de sclérose latérale amyotrophique dont la famille est larg
lle est largement entachée de nervosisme. Observation LXXII. V... Sclérose latérale amyotrophique . - Fille épileptique. C
ente. (Thèse, 1873.) PATHOLOGIE NERVEUSE ÉTUDE D'UN CAS DE FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE COMBINÉE DE LA MOELLE (Scléroses s
UDE D'UN CAS DE FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE COMBINÉE DE LA MOELLE ( Scléroses systématiques ou péri- tubulaires de la moelle
MOELLE (Scléroses systématiques ou péri- tubulaires de la moelle et scléroses péri-vasculaires) ; Par MM. les D" G. BALLET, a
ois, comme le système postérieur, et sa lésion n'est autre que la sclérose latérale amyotrophique. Sclérose systématique d
et sa lésion n'est autre que la sclérose latérale amyotrophique. Sclérose systématique des bandelettes externes des FAUSS
phique. Sclérose systématique des bandelettes externes des FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE L1 MOELLE. si 5 cordons postéri
SSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE L1 MOELLE. si 5 cordons postérieurs et sclérose latérale amyotrophique, telles sont, en somme,
une (l'ataxie locomotrice) est très commune, tandis que l'autre (la sclérose latérale) est plus rare, se développent et évol
constaté, chez plusieurs malades, le développement simultané de la sclérose sur les cordons postérieurs et sur les cordons
sait pas, il est vrai, dans ces cas, l'altéra- tion classique de la sclérose latérale amyotrophique, en ce sens qu'elle n'ét
du mot, de la com- binaison des lésions du tabes avec celles de la sclérose latérale amyotrophique proprement dite, mais de
si, dans les faits où t 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. on l'observe, la sclérose postéro-latérale affecte véri- tablement les ca
clérose postéro-latérale affecte véri- tablement les caractères des scléroses dites systéma- tiques, ou si elle ne relève pas
tiques, ou si elle ne relève pas plus légitimement du groupe des scléroses diffuses, en dépit des apparences. Le problème,
orax et des membres inférieurs. Atrophie grise des nerfs optiques. - Sclérose des cordons pos- térieurs et latéraux. - Atroph
aurait eu un « clou aux parties » qui aurait d'ailleurs duré fausse sclérose systématique DE la moelle. 47 peu de temps. Dep
térique assez nette. Une es- charre au sacrum apparaît. 1. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 49 La malade succomb
n point (fig. 8), ils paraissent indemnes de toute lésion. FAUSSE SCLÉROSE SYSTEMATIQUE DE LA MOELLE. 51 C'est au niveau d
tie inférieure de la région cervicale (PL. II, fig. 9 et 10) que la sclérose est le plus accusée. Elle intéresse en effet to
igures sur les planches exige que nous procédions de la sorte. La sclérose intéresse les cordons latéraux dans toute la ha
de, nous pouvons résumer comme il suit la topographie des lésions : Sclérose étendue à toute la hauteur de la moelle, intére
imultanément les cordons postérieurs et les cordons latéraux. Cette sclérose est surtout accusée au niveau de la partie dors
la moelle fraîche faites par dissociation. b) Sur chaque coupe la sclérose n'est pas prononcée au même degré dans tous les
III), on peut s'assurer qu'àce niveau, les éléments normaux FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 53 de la moelle ont
tes des tissus sains et malades, c'est-à-dire dans les points où la sclérose n'est pas encore parachevée et paraît être touj
trés de leucocytes (PL. III, fig. 13, a). g) Sur les points où la sclérose n'a pas étouffé complètement t les tubes nerveu
ormales. Ce- pendant, là où la corne postérieure est envahie par la sclérose , on constate une infiltration conjonctive des r
les nerfs ne pa- raissaient point sclérosés; du moins, s'il y avait sclérose , celle- ci était très minime. III. En se re
er qu'il s'agit là d'un exemple de double lésion systématique. La sclérose , en effet, intéresse à la fois et dans la plus
A première vue, on a bien affaire ici à la même disposition. de la sclérose que FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE.
bien affaire ici à la même disposition. de la sclérose que FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 55 dans la maladie d
érieurs, du renflement lombaire. Une sem- blable prédilection de la sclérose pour la partie dorsale de l'axe spinal n'est pa
xamen même sommaire pour se convaincre qu'il ne s'agit pas là d'une sclérose systé- matique. Si quelques auteurs, en rapport
eur à leurs observations. Or, que voyons-nous dans notre cas ? La sclérose du cordon latéral affecte-t-elle la même topogr
une indépendance d'allures qui rappelle un peu les habitudes de la sclérose multiloculaire. De par la topographie des lésio
us avons affaire ici, non à une sclé- rose systématique, mais à une sclérose diffuse. On s'en assurera en comparant à l'une
ure 7 (PL. II) par exemple, celle d'une coupe de moelle atteinte de sclérose latérale amyotrophique ou de dégénérescence sec
nées les notions que nous possédons sur la structure de la FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 57 moelle, notions r
vélées par la pathologie, il nous semble difficile de concevoir une sclérose systémati- que du cordon latéral, c'est-à-dire
une thèse récente ', M. Jubineau rapporte trois obser- vations de sclérose prétendue systématique et limitée aux cordons l
mpossible de trouver sur les coupes les lésions constitutives de la sclérose latérale systé- matique. Reste une troisième ob
e l'affection 1 F. Jubineau. Etude sur le tabès dorsal spasmodique ( sclérose pri- mitive des faisceaux latéraux). Thèse du P
e, qui aurait peut-être joué son rôle dans le développement de la sclérose latérale. Quoi qu'il en soit, si l'on veut adme
la sclérose latérale. Quoi qu'il en soit, si l'on veut admettre une sclérose systématique du faisceau pyra- midal, sans part
t que cette observation de Morgan. Si tant est donc qu'une pareille sclérose soit possible, elle est au moins rare. Il ne fa
ion de système. Cependant, à la région cervicale supé- rieure, la sclérose des cordons postérieurs est assez nettement lim
question de la coïncidence possible dans la moelle de lésions de sclérose diffuse et de sclérose systéma- tisée consécuti
idence possible dans la moelle de lésions de sclérose diffuse et de sclérose systéma- tisée consécutive. Une dernière part
le sait, dans le tabes ataxique. Il n'est pas sans intérêt FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 59 de la voir coïnci
- ment des lésions chez notre malade. Nous avons eu affaire à une sclérose diffuse simulant grossièrement une double sclér
affaire à une sclérose diffuse simulant grossièrement une double sclérose systématique des cordons posté- rieurs et latér
tique des cordons posté- rieurs et latéraux, en un mot à une fausse sclérose sys- tématique combinée de la moelle, compliqué
s principaux des faits dont il s'agit, ont été relatés par Prévost ( sclérose des cor- dons postérieurs, compliquée d'une scl
s par Prévost (sclérose des cor- dons postérieurs, compliquée d'une sclérose symé- trique des cordons latéraux)', Westphal (
rrespondre à la réalité ana- tomique. Il ? type.- Il comprend les scléroses diffuses. Celles- ci peuvent, comme nous l'avon
es- ci peuvent, comme nous l'avons montré, ressembler de loin aux scléroses systématiques; mais elles en ont simplement l'a
on a affaire à la lésion classique de l'ataxie locomotrice, à la sclérose systématique de la bandelette externe. Mais cet
er liuckeiz2 ? 2ai,ks, en 1 ! % : rchows, Al'cll ! v., 187U. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 61 affectent toutes
e chaque côté. 3° type. - Ici il s'agit de la combinaison d'une sclérose primitivement systématique avec des lésions de
es bandelettes optiques et des corps genouillés interne et externe. Sclérose des cor- dons postérieurs présentant son maximu
s présentant son maximum d'intensité 1 Prévost. Ataxie locomotrice. Sclérose des cordons postérieurs, com- pliquée d'une scl
e locomotrice. Sclérose des cordons postérieurs, com- pliquée d'une sclérose symétrique des cordons latéraux; in Arch. de ph
iveau d'une atrophie des racines rachidiennes postérieures. Cette sclérose postérieure va de là en diminuant, soit en haut
is, d'autre part, il y avait, en outre de la lésion précédente, une sclérose de la partie la plus pé- riphérique et la plus
latéraux. Or, en examinant attentivement la topographie de cette sclérose sur les figures du mémoire de M. Prévost, on co
diffuse ne résulte pas d'une simple propagation par voisinage de la sclérose postérieure, car, M. Prévost le fait remarquer,
gie. Nous nous demandons aussi si l'Observation III du 1 Haymond. Sclérose des cordons postérieurs et des cordons latéraux,
alade. - Prédominance ptcsque exclusive des symptômes spéciaux à la sclérose des cordons latéraux, in Archiv. de phys. norl1
téraux, in Archiv. de phys. norl1l. etpath., u° 7, ISS ? . FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 63 mémoire de Westph
, en effet, on voit se surajouter aux lésions du tabes une sorte de sclérose corticale qui in- téresse la périphérie des cor
des cordons latéraux et s'étend plus ou moins loin en avant. Cette sclérose surajoutée qui, sur certaines des coupes, simul
lleux, ne nous paraît pas cependant devoir être envisagée comme une sclérose systématique de ce faisceau; car sur quelques p
Contrairement au type précédent consti- tué par la succession d'une sclérose diffuse à une sclé- rose systématique, on peut
ne partent des tractus conjonctifs, qui constituent une véritable sclérose interstitielle; en certains points, au niveau des
ont subi que peu d'épaississement, on trouve de véritables îlots de sclérose , confondus avec les dé- pendances de la gaine l
s les traces d'inflammation subaigüe qu'on trouve d'autres fois. La sclérose , en tous cas, intéresse fort peu la substance g
é entre la troisième dorsale et la dernière cervi- cale. » FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 65 Un fait publié pa
au de la région dorsale supérieure et cervicale inférieure que la sclérose des cordons postérieurs et latéraux était le pl
el. Du reste, nous ne saurions insister plus qu'il ne con- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 67 vient sur ce prem
grande importance, comme nous le dirons par la suite. Quant à la sclérose des parties de la moelle sus et sous-jacentes a
dit, avec des caractères qui la font ressembler étroitement à la sclérose systématique. Voilà pourquoi nous ne serions pa
générescences secondaires au-dessus et au-dessous d'une plaque de sclérose multiloculaire. Le fait est vrai d'une façon gé
té, relevée naguère par M. Charcot dans l'histoire anatomique de la sclérose en plaques, à savoir l'intégrité habituelle des
scuter la réalité, consisterait dans la combinaison de véritables scléroses systématiques intéressant, d'une part, les cor-
e le cordon de Tùrck était lésé du côté droit. Corrélativement la sclérose du faisceau pyramidal occupait une étendue moin
c- kenmarlces, in Arch. sur Psychiatrie, Bd. VIII, Lef1 2. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 69 M. Damaschino a b
cale des Hôpitaux (Compte-rendu, 1882). En résumé, parmi les cas de sclérose combinée des cordons postérieurs et latéraux qu
être, avec quelque vraisemblance, considérés comme des exemples de scléroses combi- nées systématiques : celui de M. Damasch
tribue couramment, c'est-à-dire comme impliquant l'apparition de la sclérose au pourtour des tubes ner- veux qui constituent
iscerner à coup sûr de par les seuls caractères microscopiques, les scléroses d'ori- gine parenchymateuse (sclérose péri-tubu
ractères microscopiques, les scléroses d'ori- gine parenchymateuse ( sclérose péri-tubulaire) de celles qui tiennent à une ir
nnent à une irritation d'une autre nature de la gangue conjonctive ( scléroses péri-vasculaires ou autres). Cependant certaine
de la moelle de notre malade et sur celle d'une moelle atteinte de sclérose systématique type, par exemple de dégénérescenc
re 16 (PL. III). En A est représentée la coupe d'un cordon FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 71 t latéral dégénér
ituant une présomption, de plus contre la nature systématique de la sclérose dans le cas de Sarrazin. D'autre part, sur les
Arch. sur Psychiatrie, 1873. 5 Debove, cité par Fr. Boll. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 73 l'auteur note éga
eurs que dans les tubes nerveux eux- mêmes le point de départ de la sclérose interstitielle diffuse observée chez Sarrazin.
utive au dévelop- pement de la lésion interstitielle. Mais, dans la sclérose systématique de la moelle, on ne rencontre pas,
ion a été première en date, et qu'il s'est agi dans notre cas d'une sclérose péri- vasculaire. L'histoire des scléroses pé
gi dans notre cas d'une sclérose péri- vasculaire. L'histoire des scléroses péri-vasculaires de la moelle est encore presqu
ur, accoutumé à considérer surtout les il- 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. scléroses dites systématiques, c'est-à-dire celles qui se
t aux autres, on les a confondues sous la dénomination générique de scléroses diffuses. Il n'est pas jusqu'à la sclérose en p
nomination générique de scléroses diffuses. Il n'est pas jusqu'à la sclérose en plaques, si bien étudiée pourtant dans ses c
foie. Eh bien ! il en est certainement de même pour la moelle : les scléroses de cet organe ont, cela n'est pas douteux, des
nous en droit d'isoler dès maintenant du groupe, d'une part, les scléroses qui se développent au pourtour d'un système de
les premières aux secondes, en désignant les unes sous le nom de scléroses péri-tubulaires, les autres sous celui de péri-
chacune des formes de sclé- rose précitées. Or, ce qui spécifie une sclérose , c'est précisément son point de départ; c'est a
'est précisément son point de départ; c'est assez dire que FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 7.') si l'on veut ca
qui ne jouaient aucun rôle lors de son développement premier. Toute sclérose péri- vasculaire devient en effet fatalement et
péri- tubulaire. On pourrait alors lui appliquer l'expression de sclérose mixte dont on s'est servi pour désigner certain
il nous semble très vicieux au point de vue de la nosologie. Les scléroses péri-tubulaires et péri-vasculaires étant admis
ins cas, de rattacher à l'une ou à l'autre de ces espèces certaines scléroses données. C'est ainsi que la lésion de l'ataxie
e aux altérations de la plupart des cas de tabes. Qu'il y ait des scléroses des cordons postérieurs, développées pri- mitiv
t établi, par les détails qui précèdent, l'origine vasculaire de la sclérose observée dans notre cas, il reste une dernière
un en- semble d'épisodes qui nous autorisent à considérer FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 77 cette femme comme
tiques tertiaires, dit M. le professeur Fournier', aboutissent à la sclérose ; pourquoi donc vouloir que, dans la moelle, la
e dermatologie, 187G) et Du Tabès spécifique, Paris, 1882. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 79 Nous ne nions pas
nions pas, tant s'en faut, la tendance de la syphilis à faire de la sclérose . Mais quelle sclérose, péri-vasculaire ou péri-
aut, la tendance de la syphilis à faire de la sclérose. Mais quelle sclérose , péri-vasculaire ou péri-tubulaire ? Péri-vascu
inées des cordons postérieurs et latéraux. - Après avoir étudié les scléroses combinées au point de vue de la topographie, de
PATHOLOGIE NERVEUSE. tomatologie qui résulte de l'association d'une sclérose des cordons latéraux à une sclérose des faiscea
résulte de l'association d'une sclérose des cordons latéraux à une sclérose des faisceaux postérieurs. On sait que les sy
tel processus, que leur destruction résulte du développement d'une sclérose péri-vasculaire ou péri-tubulaire; cela ne fait
udes physiologiques. Dès lors, on peut prévoir que, dans les cas de sclérose intéressant simultanément les faisceaux postéri
ra bien vite qu'il y a incompatibilité entre certains symptômes des scléroses postérieures et cer- tains autres qui relèvent
des scléroses postérieures et cer- tains autres qui relèvent de la sclérose latérale. En effet, l'exagération des réflexes
e se pose donc dans ces termes : En cas de lésion intéres- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 81 saut simultanémen
vé quelques symptômes, placés évidemment sous la dépendance de la sclérose des cordons de Burdach, nous faisons allusion a
stérieurs fussent lésés. Ainsi on voit que dans ces trois cas, la sclérose laté- rale a maintenu ses droits en dépit de la
nôtres. Sur ces derniers, en effet, on constate, que tandis que la sclérose du cordon latéral s'étend dans la plus grande p
n lombaire. A l'inverse de ce que nous venons de voir, il est des scléroses combinées, intéressant simultanément les cordon
ent les cordons latéraux et postérieurs, dans lesquels, la FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 83 lésion de ces der
Il nous suffirait, pour l'établir, de rappeler les nombreux cas de sclérose systématique des faisceaux postérieurs avec pro
en est point de même de l'observation de MM. Kahler et Pick; ici la sclérose est aussi prononcée que possible sur les deux o
rité par certains cas de MM. Charcot et Pierret, dans lesquels la sclérose du faisceau de Burdach avait évolué sans son co
e symptomatologie anormale dans le développement considérable de la sclérose posté- rieure. On voit, par ce qui précède, q
lir de loi uniforme au sujet du tableau clinique que présentent des scléroses diffusées aux deux cordons de la moelle. L'anta
moelle. L'antagonisme qui existe entre certains des symtômes de la sclérose latérale et certains de ceux de la sclérose pos
ns des symtômes de la sclérose latérale et certains de ceux de la sclérose postérieure, nous paraît se résou- dre de la fa
la façon que voici : l'avantage est à la lésion prédominante. Si la sclérose postérieure occupe toute la hauteur de la moell
ordinairement flasques ou peu contractures; si, au contraire, cette sclérose laisse intacte une bonne partie des cordons pos
érose laisse intacte une bonne partie des cordons postérieurs, la sclérose latérale reconquiert tous ses droits. Cette opi
iioi 52 et 53.) Nous renvoyons à cet intéressant tiavail. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 85 EXPLICATION DES P
sale. pLANcnJ : (1 1 Fig 7, 8. - Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach.
Fig 7, 8. - Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la rég
l, 12. - Coupes transversales de la moelle aux parties moyennes. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du cordon de Goll. PLAN
sales de la moelle aux parties moyennes. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du cordon de Goll. PLANCHE 111 . Fig. 13. Moi
gion dorsale passant par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieurs. G, Sclérose du cordon
postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieurs. G, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieurr. Fig.
al, etc., n'ont rien de particulier. - Nulle part il n'y a trace de sclérose : c'est, en somme, un cas d'idiotie complète ty
sés pour l'année 1884 : prix Bernard de Civrieux (1 ,OO fr.), De la sclérose et ! plaques dissémi- nées; prix Falret ( 1 ,00
s de Frédéric Jolly (Archiv. (ÜI' Psychiatrie, Band III, 1872, p. z Sclérose dissiminée ayant présenté pendant la vie tous l
autopsie, pas de lésions dans les noyaux bulbaires; mais plaques de sclérose dans les corps calleux, sur les parois des vent
leux, sur les parois des ventricules latéraux; une petite plaque de sclérose fut observée dans chaque capsule, ainsi qu'une
l existait chez des lithémiques des troubles rappelant ceux de la sclérose disséminée, on aurai); obtenu deux fois la guér
alrophie de la langue, dans le cours d'une ataxie locomotrice. « La sclérose des cordons pos- térieurs de la moelle paraît a
xique; l'autopsie a, d'ailleurs, révélé chez elle l'existence de la sclérose des cordons postérieurs. Or, cette malade prése
qu'on la rapprochât de l'a- trophie musculaire progressive et de la sclérose laté- rale amyotrophique. De même, si l'on veut
pas par pure fantaisie et en suivant des voies ar- bitraires que la sclérose postérieure se diffuse. Elle chemine, dans sa m
voies préétablies et toujours les mêmes, l'en- contre de certaines scléroses d'origine vasculaire qui se diffusent sans resp
antérieures de l'axe spinal, et consécutive au développement de la sclérose dans les parties qui, au bulbe, représentent le
système, dans l'axe spinal, existent aussi 1 G. Ballet et L. Minor. Scléroses péritubulaires et scléroses péri- vasculaires,
existent aussi 1 G. Ballet et L. Minor. Scléroses péritubulaires et scléroses péri- vasculaires, m Arch. de Neurologie, janvi
ointdu système nerveux d'une tendance de l'économie à faire de la sclérose . Ces vues générales ont même leur incontes- tab
; il 'est d'ailleurs corroboré par cette cir- constance que dans la sclérose latérale ainyol2-opltique, ces fonc- tions sont
modique, la myélite 11'Ons- verse. Certaines formes anormales de la sclérose en plaques et en particulier celles qui s'accom
s les dégénérations descendantes des cordons latéraux, ni dans la sclérose latérale amyotrophique, dans la paralysie infanti
URINAIRES. 1 243 par ses symptômes céphaliques, se rapproche de la sclérose en plaques, tandis que ses troubles spinaux ont
e qui domine dans l'altération des muscles, c'est une tendance à la sclérose qui imprime aux réactions un caractère d'élasti
vaso-moteurs rénaux. P. K. 250 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XV. Sclérose latérale AY01[tOP)HQUH; par MM. lflEnzEEwss1 et
Pendant la vie, elle présentait tous les symptômes classiques de la sclérose latérale amyotropbique, atrophie des muscles avec
classiques des faisceaux latéraux sur toute l'étendue de la moelle, sclérose des cornes antérieures très prononcée, surtout da
ssoire plus éloigné du raphé, était altéré de la manière suivante : Sclérose beaucoup plus prononcée dans le noyau médian (c
que en même temps. En donnant la description détaillée de ce cas de sclérose latérale, analogue aux faits décrits par Debove
confirme pleinement les idées de M. Charcot, sur l'existence de la sclérose latérale amyotro- phique comme entité nosologiq
ons spinales, dans le cas de cette nature, soient bien celles de la sclérose systématique des cordons postérieurs. Ces lésio
ronique ci diagnostic douteux (sclé- rose latérale amyotrophique ou sclérose en plaques); par L'HÉRI- TIER de CnEzELLE. Thès
ERMONNE. Thèse de Paris, 1884. 1 Sur une des formes frustes de la sclérose en plaques disséminées; par BwB.wLD. Thèse de P
la tumeur, il existait encore d'autres altérations pa- thologiques ( sclérose des vaisseaux, etc.), la diminution du cali- br
t de très bonne heure, dans la moelle dorsale, une étroite bande de sclérose médiane de chaque côté du sillon postérieur. A
urée totale du processus (trois mois) élimine le diagnostic de la sclérose multiloculaire et de la dégénérescence gliomateus
males. Le malade visé dans l'espèce, était en même temps atteint de sclérose et d'atrophie des cordons postérieurs excessive
rneville et Ségalas, 101, 312. Moelle (étude d'un cas de fausse sclérose systématique combinée 1 de la), par Ballet et M
par Frémont, 247. Sciatique (traitement de la), par Glatz, 333. Sclérose latérale amyotrophique, par J\Iicrzejewski et E
PL4NCHES. PLANCHE Il Fig. 7, 8. Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach.
Fig. 7, 8. Coupe de la région dorsale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la rég
Il, 12. Coupes transversales de la moelle aux pai ties moyennes. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du cordon de Goll. Arch
ales de la moelle aux pai ties moyennes. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du cordon de Goll. Archives de Neurologie. T VI
gion dorsale passant par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieurs. b, Sclérose du cordon
postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieurs. b, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieure. Fig.
5 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
secondaires de la moelle, consécutives aux lésions de l'encéphale, la sclérose symétrique et primitive des cor-dons latéraux, la
artères striées sont, en effet, très sujettes à la forme spéciale de sclérose artérielle qui produit les ané-vrysmes miliaires.
antérieure de la capsule interne. Des dégénérations secondaires ou scléroses descendantes. — Lésions qui les produisent; impor
importance du siège et de l'étendue de ces lésions. Caractères des scléroses descendantes : étendue ; — aspects de la lésion s
e faisceau latéral de la moelle. Analogies et différences entre les scléroses latérales consécutives de cause cérébrale et les
entre les scléroses latérales consécutives de cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des faisceaux latéraux. —
s fasciculées primitives des faisceaux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : impuissance motrice, contrac-ture p
l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de substance grise. Sclérose descendante consécutive à une lésion du système c
Carville et DureL pathologiques de ces dégénérations secondaires ou scléroses descendantes, comme on peut les appeler encore. C
Ainsi, parmi ces lésions, il en est qui ne sont jamais sui-vies de scléroses descendantes, tandis que d'autres les pro-voquent
our peu qu'ils atteignent cer-taines dimensions, produisent encore la sclérose descendante, à condition qu'ils ne soient pas tro
llement celles qui accompagnent les mé-ningites, ne produisent pas la sclérose descendante. 4° Au contraire, les lésions corti
la moelle épinière. In Arch.gén. de médecine, 1866. conditions, des scléroses consécutives aussi prononcées que celles qui dépe
t enfin les régions antérieures du lobe frontal ne sont pas suivis de scléroses fasciculées consécutives, tan-dis qu'il est de rè
'est-à-dire capable d'interrompre le cours des fibres médullaires, la sclérose descendante devra s'en suivre. Les foyers d'hémor
ignalées plus haut comme des lieux d'élection, sans accompagnement de scléroses fasciculées consécutives. IV. Relativement à
roses fasciculées consécutives. IV. Relativement à l'anatomie des scléroses fasciculées, je ren-voie pour les détails à l'imp
tent un intérêt particulier. Io Je vous rappellerai d'abord que les scléroses consécutives à une lésion en foyer d'un hémisphèr
ôté de l'écorce grise. Il ne faut pas considérer, comme le fait d'une sclérose consécutive, les atrophies d'une ou plusieurs cir
oelle épinière, chez une ma-lade atteinte de dégénération secondaire ( sclérose fasciculée latérale consé-cutive, de cause cérébr
gion cervicale. — B, région dorsale. — G, région lombaire. On voit la sclérose descendante occuper dans le renflement cervical l
rficielle à la région lombaire. tères d'une induration grise, d'une sclérose qui ne diffère en rien d'essentiel de celle qui s
ne diffère en rien d'essentiel de celle qui s'observe dans le cas de sclérose fasciculée primitive (1). 4° C'est ici le lieu
aussi des différences qui méritent d'être signalées: ainsi, dans les scléroses primitives, la lésion fasciculée est nécessaireme
a fois, et non pas d'un seul côté, comme cela a lieu toujours dans la sclérose consécutive, lorsque le foyer qui en a été le poi
omparez les Fig. 39, 40 et 41, et les Fig. 42, 43 et 44.) Enfin, la sclérose primitive a une grande tendance à en-vahir dans l
antérieures de substance grise, ce que ne fait pas, dans la règle, la sclérose consécu- tive (!)• 11 y a cependant, sous ce ra
relativement aux différences qui exis-tent, anatomiquement, entre la sclérose latérale consécutive, et la slcérose la-térale pr
ations faites sur des coupes transversales durcies, alors même que la sclérose secondaire a intéressé "à peu près toutes les fib
e devenue tout à fait super-ficielle confine à la pie-mère. Dans la sclérose latérale primitive, la zone scléreusc occupe d'un
i est régulièrement envahie par l'altération scléreuse dans le cas de sclérose latérale amyotrophique, tandis que cela n'a lieu
que cela n'a lieu que d'une fa-çon tout à fait exceptionnelle dans la sclérose consécutive de cause cérébrale. iVoir, pour plus
ntes.) Il y a lieu de penser, en considérant ce qui précède, que la sclérose consé-cutive n'affecte qu'une partie des fibres n
latéraux, à savoir les fibres cérébro-spinales ; tandis que, dans la sclérose pri-mitive, il y a envahissement du système latér
l'ensemble symptomatique qui révèle., pendant la vie, l'existence des scléroses spinales fasciculées, primitives, c'est-à-dire in
es se reproduisent avec leurs ca-ractères essentiels, dans les cas de sclérose consécutive à une lésion du cerveau, et constitue
manente, vulgaire. On peut donc dire aujourd'hui qu'entre la lésion « sclérose latérale » et le phénomène « contracture permanen
utre l'histoire de l'hystérie, peut se montrer sans accompagnement de sclérose spi-nale latérale ; mais, lorsque cette lésion ex
utiens. Développée à l'occasion d'une lésion cérébrale en foyer, la sclérose consécutive acquiert, vous le voyez, à un moment
s de ce genre, nous avons constaté, M. Pierret et moi, en outre de la sclérose latérale classique, une lésion de la corne grise
côté opposé (1). VI. Je ne me suis guère occupé, jusqu'ici, de la sclérose fasci-culée d'origine cérébrale, qu'en tant qu'el
ion du système cortical. En tant qu'affection spinale ou bulbaire, la sclérose latérale, dans ce dernier cas, ne diffère aucunem
nd groupe, il y avait eu, au con-traire, hémiplégie permanente, et la sclérose consécutive était parfaitement accentuée. Le trai
ce qui précède, que, comme je vous l'avais annoncé, la production des scléroses secondaires, en conséquence des lésions destructi
ie pathologique. Historique rapide de l'ataxie locomotrice et de la sclérose en plaques long-temps considérées comme des névro
érées en général, j'ai présenté une esquisse anatomo-pathologique des scléroses spinales. L'année d'après, traitant Chargoï, Œu
nnue sous le nom d!'induration multiloculaire des centres nerveux, àe sclérose en plaques, prêterait à des con-sidérations du mê
nnûmes sur des coupes durcies de la moelle épinière qu'en outre de la sclérose fasciculée, il existait dans la corne antérieure
u, sauf la partie la plus externe et à la partic antéro-interne. — C, sclérose du faisceau pyramidal dans le cordon latéral. (D'
soin par M. Pitres est venu pleinement confirmer mes prévisions. La sclérose descendante existait du côté gauche dans toute la
nes. b) Plus bas, voici ce que l'on observe : deux bandelettes de sclérose dans les faisceaux antéro-latéraux représentent l
s.— 2, Coupe de la moelle au niveau de la troisième vertèbre dorsale ( sclérose des deux cordons postérieurs et des deux faisceau
atiques publiées dans les leçons de M. le professeur Charcot, sur les scléroses symé-triques des cordons latéraux, d'après les pr
e épinière jusqu'au plancher du quatrième ventricule. Fig. 71. — A, Sclérose de la totalité des cordons postérieurs (faisceaux
t zones radicuîaires). — Ataxic locomotrice vulgaire. Fig. 72. — B, Sclérose des deux zones radicuîaires postérieures (les fai
sceaux de Goll sont respectés). — Ataxic locomotrice. Fig. 73. — G, Sclérose limitée aux faisceaux de Goll (dégénération ascen
à la suite de l'ablation du gyrus sigmoïde. Exception spéciale à la sclérose en plaques. — Desideratum histologique. Messieu
e la moelle au-dessus de la lésion. — On voit en A la diffusion de la sclérose descendante dans le cordon antéro-latéral sauf à
re, qui, jusqu'à ce jour du moins, semble con-tredire la loi : dans a sclérose en plaques les lésions, alors même qu'elles sont
à la persistance plus longue des cylindres axiles dans les foyers de sclérose multiloculaire. Mais je ne vous garantis pas la v
plique mieux que les autres théories les symptômes spasmodiques de la sclérose descendante. L Messieurs, En vous présentan
ce dernier cas est assurément le plus fréquent — elle consiste en une sclérose partielle ou généralisée de l'un des hémisphères
t le tissu conjonctif est le siège et qui légitime la dénomination de sclérose . a) Dans la première phase, les tubes nerveux é
opagera. Ceci fait comprendre que la contracture permanente liée à la sclérose consécutive du faisceau pyramidal est, dans l'esp
; mais il peut fort bien arriver qu'il fasse défaut alors même que la sclérose latérale n'existe pas (1). La contracture permane
'autres termes, n'est pas, si Von peut ainsi dire, une fonction de la sclérose du faisceau pyramidal. Voilà une donnée dont il e
ent la continuité du faisceau pyramidal ; d'ailleurs, nous verrons la sclérose primitive des faisceaux pyramidaux donner naissan
eux seulement détacher aujourd'hui un épisode. J'ai proposé d'appeler sclérose latérale amyotro-phique cette maladie dans laquel
mprendre que la contracture permanente, bien qu'elle se rattache à la sclérose pyramidale primitive ou consécutive par un lien a
as cependant un symptôme nécessaire, patho-gnomonique. Ainsi, quoique sclérose et contracture s'obser-vent, en général, simultan
contracture s'obser-vent, en général, simultanément, on peut voir la sclérose sans contracture et la contracture sans sclérose
ent, on peut voir la sclérose sans contracture et la contracture sans sclérose comme, par exemple, dans le cas de l'hystérie. On
n est pas moins certain que partout où dans la patho-logie spinale la sclérose des faisceaux pyramidaux existe à un titre quelco
dique peut être, d'après les conditions qui précèdent, rat-taché à la sclérose consécutive descendante. Mais la paraplégie spa
e très vraisemblable que l'affection dont il s'agit se rattache à une sclérose primitive des cordons latéraux. J'ai partagé et j
part, l'autopsie révélera une lésion également spéciale, peut-être la sclérose primitive des faisceaux pyramidaux soupçonnée par
lieu aux symptômes de la paraplégie spasmodique. Je veux parler de la sclérose en plaques ; mais c'est là un point qui mérite d'
ie pathologique n'a encore fourni aucune preuve. — Diagnostic avec la sclérose en plaques. Tabès dorsal chez l'adulte et chez
gnaler un fait qui a été observé dans plusieurs cas, à savoir, que la sclérose descendante n'est pas toujours limitée au côté co
nt, elle expliquera, non seulement, le fait parfaitement établi d'une sclérose descendante des deux faisceaux pyramidaux dans le
être rattachés est actuellement connue : elle ne serait autre que la sclérose symétrique et systématique des faisceaux laté-rau
er sur la réserve ; j'ai fait remarqur que toutes les observations de sclérose symétrique sans participation des cornes grises a
le que j'ai appelée le tabès dorsal spasmodique. Je veux parler de la sclérose en plaques disséminées. Je me bornerai à rappel
e des accidents qui peuvent se trou-ver réunis dans un cas complet de sclérose multiloculaire. Il doit être fort exceptionnel qu
de la maladie avec la paralysie spasmodique, si celle-ci relève d'une sclérose en plaques; et c'est surtout d'après ce principe
st que les altérations dont il s'agit avaient entraîné avec elles une sclérose latérale. Cela montre seulement — ce qu'on savait
topsie démontra qu'il n'en était pas ainsi, et qu'il s'agissait d'une sclérose en plaques. Mais, en relisant l'observation, nous
nne et Aran. Poliomyélites non systématisées. — Myélites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques, sclérose latéra
élites non systématisées. — Myélites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques, sclérose latérale amyotrophique. Du
ées. — Myélites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques, sclérose latérale amyotrophique. Du système neuro-muscul
ra-lysie spasmodique. b) Dans le mode chronique, je vous citerai la sclérose péri-épenclymaire la méningite-spinale hypertroph
érose péri-épenclymaire la méningite-spinale hypertrophique,enfi\i la sclérose en plaques qui, dans certaines circonstances, peu
s, etc.). 2° Parmi les lésions systématiques, il faut mentionner la sclérose postérieure qui, dans bien des cas, s'étend à la
cette énumération, je tiens surtout à appeler votre attention est la sclérose latérale amyotrophique. L'affection reconnaît, je
athologique des diverses régions de la substance grise. APPENDICE Sclérose latérale amyotrophique. — Autonomie et caractère
ris place, en première ligne, l'analyse détaillée d'un cas typique de sclérose latérale amyotrophique. Cette affection, dont la
année, a cru devoir présenter un exemple, en quel-que sorte idéal, de sclérose latérale amyotrophique, et en discuter les points
ractérisée que M. Huchard put, immédiatement, porter le diagnostic de sclérose latérale amyo-trophique. Mais, ce qu'il y a de tr
détermination clinique d'une lésion médul-laire, caractérisée par une sclérose symétrique des cordons latéraux, combinée avec un
Gharcot, on aurait été presque en droit d'affirmer l'existence de la sclérose latérale amyotrophique. D'ailleurs, peu à peu, le
hez l'un et l'autre sujet, conformément à l'appellation anatomique de sclérose latérale amyotrophique, et il serait permis de di
quable concordance des faits déjà nombreux, qui. ont pu être taxés de sclérose latérale amyotrophique, l'acceptation de cette va
ppui de la théorie qui confond, entre autres, dans un même groupe, la sclérose latérale amyotrophique et l'atrophie musculaire d
peuvent être résumés sous les quatre chefs qui suivent: Io Dans la sclérose latérale amyotrophique, la paralysie se-rait aton
le qu'a décrite Duchenne (de Boulogne) ; 4° Enfin les lésions de la sclérose latérale amyotrophique n'auraient rien de spécifi
étaient conformes à la réalité, il est certain que l'autonomie de la sclérose latérale amyotrophique serait compromise. Mais,
harcot. Aussi, les signes cliniques et anatomiques qui donnent à la sclérose latérale amyotrophique une allure si particulière
uvres complètes, t. iv, Localisations. 26 Mais la description de la sclérose latérale amyotrophique n'est pas de date si ancie
n fidèle du type décrit par M. Charcot. (1) Gombault. —Etude sur la sclérose latérale amyotrophique, observa-tions I, II, III,
elque temps avant qu'on parvienne à la fléchir aisément. Diagnostic : Sclérose latérale amyotrophique au onzième mois. Cette mal
t, les malades des observations III et IV sont à coup sûr affectés de sclérose latérale amyotrophique, au même titre que les deu
nt les cas dont M. Leyden s'est servi pour tenter de démontrer que la sclérose latérale amyotrophique n'affectait pas l'allure d
tion de M. de Leyden peut être résumée de la façon suivante : dans la sclérose latérale amyotrophique, décrite par M. Charcot, i
labio-glosso-laryngée de Duchenne, avec les accidents bulbaires delà sclérose latérale amyotrophique, l'insinuation de M. Ley-d
e altération est toujours d'une infime im-portance, relativement à la sclérose du cordon latéral (pyra-midal) ; il suffit, pour
antérieures des noyaux moteurs, on est bien obligé d'admettre que la sclérose du faisceau pyramidal a des rapports très étroits
le desideratum qui manquait encore à la description anatomique de la sclérose amyotrophique, à savoir la prolon-gation pédoncul
se amyotrophique, à savoir la prolon-gation pédonculo-cérébrale de la sclérose latérale, vient d'être rempli par MM. Pick et Kah
ncourt à confirmer l'autonomie clinique et anatomo-pathologique de la sclérose latérale amyotrophi-que ; et, à mesure que le nom
affection ressortira avec plus d'évi-dence (1). Il en sera donc de la sclérose latérale amyotrophi- (i) Quelques faits nouveau
t été rédigées, sont venus augmenter la série des cas authentiques de sclérose latérale amyotro- que, comme il en a été delà s
hentiques de sclérose latérale amyotro- que, comme il en a été delà sclérose en plaques ou de l'ataxie locomotrice. Voilà, cer
nt le plus contribué à la conception synthétique de l'ataxie et de la sclérose multiloculaire. Mais, cette synthèse ne serait pe
être comparées les nombreuses variétés de l'espèce. L'his-toire delà sclérose latérale amyotrophique, à l'heure actuelle, en es
e antérieure delà capsule interne. Des degenerations secondaires ou scléroses descendantes. — Lésions qui les produisent; impor
importance du siège et de l'étendue de ces lésions. Caractères des scléroses descendantes : étendue ; — aspects de la lésion s
e faisceau latéral de la moelle. Analogies et différences entre les scléroses latérales consécutives de cause cérébrale et les
entre les scléroses latérales consécutives de cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des faisceaux latéraux. —
s fasciculées primitives des faisceaux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : impuissance motrice, contrac-ture p
l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de substance grise. Sclérose descendante consécutive à une lésion du système c
ie pathologique. Historique rapide de l'ataxie locomotrice et de la sclérose en plaques long-temps considérées comme des névro
à la suite de l'ablation du gyrus sigmoïde. Exception spéciale à la sclérose en plaques. — Desideratum histolo-gique..........
plique mieux que les autres théories les symptômes spasmodiques de la sclérose descendante.... 335 QUINZIÈME LEÇON. RÔLE phy
ie pathologique n'a encore fourni aucune preuve. — Diagnostic avec la sclérose en plaques. Tabes dorsal chez l'adulte et chez
nne et Aran. Poliomyélites non systématisées. — Myélites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques, sclérose latéra
élites non systématisées. — Myélites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques, sclérose latérale amyolrophique. Du
ées. — Myélites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques, sclérose latérale amyolrophique. Du système neuro-muscul
neuro-musculaire en général............................... 376 I. — Sclérose latérale amyotrophique. -- Autonomie et caractère
brale, 335. Atrophie musculaire dans l'hémi-plégie, 246 ; — dans la sclérose latérale amyotrophique, 397 ; — progressive, 307,
ionnelle de la —, 331 ; — Rôle physiologique de la —, 345 ; — dans la sclérose multiloculaire,359; — dans le tabès dorsal spasmo
asmodique, 365, 373 ; — Valeur séméiologique de la —, 374 : — dans la sclérose latérale amyotrophique, 392. Convulsions épilep
323. I Ictus appoplectique, 296. Induration multiloculaire. (V- Sclérose en plaques.) Infarctus cérébral, 69. Influence mo
ineux en gé-néral et leur analyse graphique, 314 et suiv. ; — dans la sclérose latérale amyotrophique, 353 ; — dans la paraplégi
) Ruban de Vicq d'Azir, 17. S Scissures du cerveau, 14 et suiv. Sclérose descendante. (V. Dégé-nérations secondaires.) S
4 et suiv. Sclérose descendante. (V. Dégé-nérations secondaires.) Sclérose péri-épendymaire, 378. Sclérose en plaques, 181
(V. Dégé-nérations secondaires.) Sclérose péri-épendymaire, 378. Sclérose en plaques, 181 ; — Ab-sence des dégénérations se
ntracture dans la —, 359 ; — Paralysie spas-modique dans la —, 369. Scléroses fasciculées systémati-ques, 161 ; — Autonomie des
1 ; — Autonomie des — 162 ; — consécutives et primitives, 163, 164. Sclérose latérale amyotrophique, 48, 352 ; -- La — est une
l spasmodtque, 359 ; — Théories du —, 368 ; — Diagnostic du — avec la sclérose en plaques disséminées, 369. Tapetum. 139. Të
6 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pect grêle ; histologiquement ésion très accusée, consistant en une sclérose dissociante et atro- phique. Nerf trijumeau g
yenne). A l'examen histologique, il existe en ces divers points une sclérose légère, avec raréfaction des fibres nerveuses f
que. Dans l'atrophie musculaire progressive, la syringomyélie, la sclérose latérale, il y a peu de chose à attendre de l'éle
r f. Raymond. (Semaine médicale, 1897, n° 1.) II. SUR deux cas DE sclérose latérale amyotrophique A début bulbaire; par M.
n est abordée par des voies bien différentes puisqu'il s'agit de la sclérose latérale amyotrophique d'une part et de la mala
a contracture secondaire des hémiplégiques sous la dépendance de la sclérose des cordons latéraux, sclérose deutéropathique
miplégiques sous la dépendance de la sclérose des cordons latéraux, sclérose deutéropathique consécutive à une lésion cérébr
du faisceau pyramidal croisé, invoquée d'abord par Charcot pour la sclérose latérale amyotrophique, puis pour le tabes spas-
appelle avec quelle prudence Charcot admettait la possibilité de la sclérose primitive et symétrique des faisceaux latéraux
les noms de tabès spasmodique, de paralysie spinale spastique et la sclérose des cordons latéraux, puisqu'on peut le rencont
rieux. Mais pour la rigidité musculaire il se refuse à voir dans la sclérose isolée du faisceau pyramidal son explication su
ais dont le cerveau porte les vestiges proha- hlement sous forme de sclérose névrotique. II. C'est à cette même conclusion d
le professeur Raymond par la discussion du problème compliqué de la sclérose latérale amyotrophique que soulèvent les deux c
SE, à ï faire de doute, il s'agit de la maladie de Charcot, de la sclérose latérale amyotrophique. Le second malade est
t la sensibilité est normale. Cet homme est atteint lui aussi d'une sclérose latérale amyo- trophique, à début bulbaire. Mai
trophie musculaire progressive spinale du type Aran- Duchenne et la sclérose latérale amyotrophique soulèvent un des problèm
henne représentée par l'atrophie flasque, Charcot ajouta bientôt la sclérose latérale amyotrophique avec l'élément spasmodiq
seulement cette association habituelle obligatoire dans les cas de sclérose latérale amyotrophique peut faire défaut dans l
ccessif de l'atrophie musculaire type Aran-Duchenne au profit de la sclérose latérale d'abord, puis de la pachyméningite cer
se d'un certain nombre de noyaux bulbaires sans la moindre trace de sclérose des faisceaux blancs. Les négations de Vulpian,
sauraient aller contre l'évidence des faits. Mais l'existence de la sclérose latérale amyotrophique n'a pas moins été discut
c- tions mais les manifestations d'ordre spasmodique propres à la sclérose latérale étaient imputables justement à la scléro
ue propres à la sclérose latérale étaient imputables justement à la sclérose des cordons latéraux qui donnait son nom à la m
éraux qui donnait son nom à la maladie ; or Leyden a constaté cette sclérose chez des sujets qui de leur vivant n'avaient pa
es manifestations spasmodiques ne sont pas sous la dépendance de la sclérose des faisceaux pyramidaux, cela ne devait pas lu
el on est amené à expliquer les manifestations spasmodiques dans la sclérose latérale, et qui consiste à dire : dans les cas
aient pas présenté de manifestations spasmodiques. C'était aussi la sclérose latérale amyotrophique et il en est de même, le
ques de la maladie de Charcot; il n'y avait pas la moindre trace de sclérose de ses cordons latéraux. Nous savons du reste q
de ses cordons latéraux. Nous savons du reste que normalement cette sclérose est remarquable par sa diminution d'intensité d
amidaux n'est pas responsable des manifestations spasmodiques de la sclérose latérale amyotrophique. Mais la sclé- rose laté
l'examen du cerveau n'a pas pu être fait. Mais la séparation de la sclérose latérale et de l'atrophie musculaire doit être fa
lades présentés au début de cette leçon d'affirmer le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique, diagnostic clinique n
ever d'une syringomyélie atypique à prédominance bulbaire, ou d'une sclérose en plaques. ' L'évolution générale du tabes fai
l'hôpital SAINT-ELOI DE MONTPELLIER. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ET SCLÉROSE MULTIPLE DISSÉMINÉE ; Par le professeur GRASS
e nous avons étudiée ensemble il y a quelque temps°- sous le nom de sclérose multiple disséminée. Cette donnée éclaire un pe
peu pré- cisesencequiconcerne lescausesdelaparalysiebulbaire. » - Sclérose latérale amyot1'ophique, p. 350 : « Il est assez
l est assez diffi- cile de se faire une opinion sur la nature de la sclérose laté- rale amyotrophique. Sous quelle influence
? On l'ignore entièrement, les renseignements sur les causes de la sclérose latérale amyotrophique font absolument défaut.
Les causes du tabès dorsal spasmo- diquesontdes plus obscures. » - Sclérose en plaques, p. (j20 : « Les causes sont obscure
p. G3G : « La cause même de la syringomyélie est encore inconnue. » Sclérose latérale amyotrophique, p. 647 : « Les causes s
« L'étiologie MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 101 est fort obscure. Sclérose latérale amyotrophique p. z0 : « On ne sait rie
ue p. z0 : « On ne sait rien sur les causes de cette maladie. » - Sclérose en plaques, p. 327 : « L'étiologie est fort obs-
ladies du système nerveux avec une autre maladie plus générale : la sclérose mulliple disséminée. Si nous montrons que ces r
bscurités, bien loin de là ; mais cela en diminuera le nombre. La sclérose multiple disséminée est une maladie dans l'étio
omme je le crois, il y a dans beaucoup de cas un rapport entre la sclérose multiple disséminée et les maladies du système
xagération des réflexes tendineux nous fait porter le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique. Voilà une maladie du sy
t pauvres en urée : 10 à 12 grammes en vingt-quatre heures. Ainsi : sclérose rénale. Le foie est un peu atrophié : il est pl
out ce tableau symptomatique, en laissant pour le moment de côté la sclérose latérale amyotrophique, et vous avez le tableau
latérale amyotrophique, et vous avez le tableau symptomatique de la sclérose multiple dissé- minée. Je n'ai pas à revenir
x grands caractères : multiplicité et discon- tinuité des foyers de sclérose , multiplicité des causes. L'observation même de
même de notre malade suffit à établir la multiplicité des foyers de sclérose . Il est facile d'établir maintenant la multipli
de syphilis. Voilà bien l'étiologie com- plexe et l'étiologie de la sclérose multiple disséminée : arthritisme, rhumatisme a
ac. Donc c'est le tableau complet, la caractéris- tique vraie de la sclérose multiple disséminée. Reste maintenant la scléro
tique vraie de la sclérose multiple disséminée. Reste maintenant la sclérose latérale amyotrophique. Qu'est-ce ? Son siège e
es et dans les faisceaux pyramidaux. Sa lésion anato- mique est une sclérose encore. Sans doute c'est une maladie systématis
l'atrophie parenchymateuse ; mais enfin ce n'en est pas moins de la sclérose au même titre que toutes les autres. Pourquoi e
faire une maladie à part, distincte des autres ? 1 Pourquoi dire : sclérose latérale amyotrophique et sclérose multiple dis
e des autres ? 1 Pourquoi dire : sclérose latérale amyotrophique et sclérose multiple disséminée coincidant chez le même mal
isséminée coincidant chez le même malade ? Pour- quoi ne pas dire : sclérose multiple disséminée ci foyers multiples dont un
sséminée ci foyers multiples dont un médullaire est la lésion de la sclérose latérale amyotrophique. A côté de cette théor
En réalité, l'artério-sclérose est une des localisations de cette sclérose multiple disséminée. Elle n'est pas l'intermédiai
n'est pas l'intermédiaire obligé entre les causes morbigènes et la sclérose latérale amyotrophique. - Nous reviendrons su
tard quand nous reprendrons l'histoire générale des rapports de la sclérose multiple disséminée avec l'ensemble des maladie
étudier un bien important, puis- qu'il tend à faire rentrer dans la sclérose multiple disséminée un des syndromes nerveux an
les plus obs- curs au point de vue étiologique et nosologique : la sclérose latérale amyotrophique. . Voici maintenant un
s comme des syndromes reliés entre eux par une maladie commune : la sclérose multiple dissé- minée. Voici, d'après l'obser
es réflexes tendineux; c'est la poliomyélite chronique seule sans sclérose des faisceaux pyramidaux; c'est une autre espèc
n-Duchenne de l'atrophie musculaire progressive. Le tableau de la sclérose multiple disséminée est peut-être plus complet
ons et tissu fibreux. Donc pas d'hésita- tion pour le diagnostic de sclérose mulliple disséminée; nous en avons les deux gra
ité des foyers s.cléreux. Il n'y a aucune raison pour faire de la sclérose médullaire une exception et une maladie à part
Il est bien plus rationnel de la considérer au même titre que la sclérose rénale ou la sclérose bronchopulmonaire, comme
tionnel de la considérer au même titre que la sclérose rénale ou la sclérose bronchopulmonaire, comme une manifestation de l
ale ou la sclérose bronchopulmonaire, comme une manifestation de la sclérose multiple disséminée. Dès lors, l'atrophie muscu
l'atrophie musculaire progressive 11 ran-Du- chenue peut, comme la sclérose latérale amyotrophique, être considérée comme u
myotrophique, être considérée comme une localisation de la maladie, sclérose multiple disséminée, sur les cornes antérieures
us avons placé le diabète dans les manifesta- tions possibles de la sclérose multiple disséminée ; 2° l'ab- sence notée d'al
es montre que ces cas ne sont pas des artérioscléroses, mais que Ja sclérose artérielle est simplement un des syndromes de l
is que Ja sclérose artérielle est simplement un des syndromes de la sclérose multiple disséminée comme la sclérose médullair
lement un des syndromes de la sclérose multiple disséminée comme la sclérose médullaire elle-même. Voilà les faits qui me pa
as, l'atrophie musculaire progressive peut être associée à d'autres scléroses et par conséquent un des syndromes, une des man
es et par conséquent un des syndromes, une des manifestations de la sclérose multiple disséminée. Je vais poursuivre la dé
ue dont l'autopsie nous intéresse seule; elle nous montre : 1° la sclérose des faisceaux postérieurs de la moelle; 2° des
mbrane vascularisée très mince et peu injectée »; 9° des plaques de sclérose rares sur les artères cérébrales de la base ; 1
t abdominale s. Vous voyez combien l'altération est complexe : la sclérose porte sur la moelle, les nerfs, les méninges, l
. Examinée sans parti pris cette autop- sie permet de conclure à la sclérose multiple disséminée. En fait c'est une autopsie
En fait c'est une autopsie de tabétique. Pourquoi soustraire à la sclérose multiple disséminée la sclérose des faisceaux méd
tabétique. Pourquoi soustraire à la sclérose multiple disséminée la sclérose des faisceaux médul- laires postérieurs alors q
l- laires postérieurs alors qu'on lui attribue sans difficulté la sclérose des autres organes. Voici un autre cas analogue
résumons exclusivement l'autopsie (obser- vation III, p. 408) : 1° sclérose des cordons postérieurs; 2° atrophie du nerf op
tre rattaché aune maladie plus géné- 1'ale que l'on peut appeler la sclérose multiple disséminée 1. Je n'ai pas à rappeler l
cliniques nerveux qui correspondent à d'autres foyers disséminés de sclérose du système nerveux ; 3° au tabès on trouve égal
au tabès on trouve également associées chez le même sujet diverses scléroses d'organes autres que le système ner- veux. 1.
iniques nerveux qui corres- pondent à d'autres foyers disséminés de sclérose du système nerveux. Ce sont d'abord les polyn
ie générale chez le même sujet. Ce sont là des foyers disséminés de sclérose , car la sclérose joue un réel et grand rôle dan
le même sujet. Ce sont là des foyers disséminés de sclérose, car la sclérose joue un réel et grand rôle dans la paralysie gé
paralysie générale. Vous avez encore l'association du tabes avec la sclérose latérale ; le tabes combiné je l'ai étudié en 1
on du tabes avec la maladie de Basedow, qui s'accompagne souvent de sclérose thyroïdienne. 1 Du tabès combiné (ataxozpasmod.
trouve également fréquemment associées chez le même sujet diverses scléroses d'organes autres que le système nerveux. Nous
l'abandonne aujourd'hui pour y voir un exemple de coexistence de la sclérose tabétique avec un autre foyer de sclérose local
le de coexistence de la sclérose tabétique avec un autre foyer de sclérose localisé sur le coeur. Il,en est de même pour l
pour l'artério-sclérose, celle-ci ne peut pas être l'origine de la sclérose systématisée du tabès ; elle se rencontre cepen
contre cependant souvent, ce sont des manifestations diverses de la sclérose multiple disséminée. On peut en dire autant de
t le diabète se rattache à la sclé- rose multiple disséminée par la sclérose du foie, surtout celle du pancréas, par ses rel
la notion de la complexité étiologique pour le tabes, comme pour la sclérose multiple disséminée ; vous savez, en effet, que
t, que cette multiplicité étiologique est une caractéristique de la sclérose disséminée, au même titre que la présence de fo
ées chez le même sujet sont précisément les causes ordinaires de la sclérose multiple disséminée. C'est de cette façon que v
d exemple de syndrome anatomo-clinique que l'on peut rattacher à la sclérose multiple disséminée, le tabes. Je ne veux pas p
opathe mentale : double hérédité classique, d'un côté de la maladie sclérose multiple disséminée, de l'autre de la localisat
il existe un léger emphysème pulmo- naire. Ainsi vous avez là de la sclérose des vaisseaux, peut- être du rein, de la scléro
ous avez là de la sclérose des vaisseaux, peut- être du rein, de la sclérose du foie, du poumon... Donc en somme il s'agit d
de la sclérose du foie, du poumon... Donc en somme il s'agit de la sclérose multiple disséminée, avec polynévrite. Les même
ses. La polynévrite est une localisation, une manifestation de la sclérose multiple disséminée de ce malade, au même titre
cations jouent en effet un rôle considérable dans l'étiologie de la sclérose multiple disséminée. Quand j'ai étudié avec vou
ltiple disséminée. Quand j'ai étudié avec vous *, l'étiologie de la sclérose multiple disséminée, je vous ai dit que deux gr
oxications font les poussées succes- sives que l'on observe dans la sclérose multiple disséminée. Ainsi chez un arthritique,
e aiguë, chez le même individu, une infection quelconque fera de la sclérose rénale ou de la sclérose médullaire. Les infect
ividu, une infection quelconque fera de la sclérose rénale ou de la sclérose médullaire. Les infections endogènes feront de
omb, à dose inoffensive ou insuffisante pour d'autres, feront de la sclérose chez un arthritique ou un héréditaire. Donc,
et les poisons sont les grandes causes des poussées aiguës dans la sclérose multiple disséminée. Mais il faut en même temps
disme, la syphilis, la sénilité. Voilà l'ensemble des causes de la sclérose multiple dissé- minée. Ces causes deviennent ai
nsi celles des maladies du système nerveux que nous rattachons à la sclérose multiple disséminée. Seulement dans ces cas, il
qui déterminent non plus la formation générale et disséminée de la sclérose , mais la localisation particulière de cette scl
sséminée de la sclérose, mais la localisation particulière de cette sclérose sur le système ner- veux. Ces causes se résumen
humatisme et l'alcoolisme personnels sont chez lui les causes de la sclérose multiple disséminée ; l'hérédité névropathique
'alcoolisme per- sonnel sont les causes de la localisation de cette sclérose multiple sur ses nerfs. De même, un homme à h
névropathique et ayant affaibli sa moelle par des excès fait de la sclérose multiple disséminée sous l'influence de la syph
disséminée sous l'influence de la syphilis ou de l'arthritisme : la sclérose se localise sur la moelle dont la résistance est
dont la résistance est diminuée et il fera du tabes ou telle autre sclérose médullaire. 1 Leçons de clin, méd., 2c série, 1
hale c'est le plus souvent par l'intermédiaire des vaisseaux que la sclérose multiple dissé- minée se manifeste (hémorragie,
lication méningée. Au fond il s'agissait d'un alcoolique atteint de sclérose multiple disséminée, localisée à la fois sur le
up de cas de maladies du système nerveux il y a en même temps de la sclérose multiple disséminée, et on est alors autorisé à
pèces nosologiques. Le tabes, l'atrophie musculaire progressive, la sclérose latérale, amyotrophique, les polynévrites... so
rattachant un grand nombre de ces syndromes anatomo-cliniques à la sclérose multiple disséminée, qui, elle, est une maladie
eci ne s'applique qu'aux syn- dromes nerveux dont la lésion est une sclérose . Ils sont légion. Mais cela peut-il s'appliquer
lérose. Ils sont légion. Mais cela peut-il s'appliquer à toutes les scléroses du système nerveux ? Ici nous trouvons une diff
systématisées et des myélites diffuses, et en général du rôle de la sclérose dans les lésions d'origine parenchymateuse. A
ains auteurs disent non, notamment Brault1. Brault refuse le nom de sclérose aux épanouissements de tissu con- jonctif ne co
x lésions primitives du parenchyme (tabès). Il n'admet donc pas des scléroses systématisées ; ce n'est qu'une simple hyperpro
iante de tissu con- jonctif. Il trouve doublement inexact le mot de sclérose des cordons postérieurs pour le tabes, car, dit
des caractères assignés dans les lignes qui précèdent aux tissus de sclérose ». Je crois qu'il y a de l'exagération dans cet
dans cette manière de voir. Je ne prétends pas que tous les cas de sclérose aient la même pathogénie, le même processus de
sus de formation, - on peut donc reconnaître des variétés parmi les scléroses ? .; mais cela n'empêche pas que tout cela appa
ela n'empêche pas que tout cela appartient aux sclé- roses. Qui dit sclérose , dit traditionnellement hypcrplasie ou hyperpro
hyperproduction de tissu conjonctif; l'effet caractéristique de la sclérose est toujours le même, c'est la substitution du
le même, c'est la substitution du 1 Brault. - Les artériles et les scléroses . (Encyclop. scieulif. des Aides mém.). 1897, p.
primitive et étouffe le tissu parenchymateux : c'est une variété de sclérose . Si l'atrophie parenchymateuse est primitive et
té. Mais dans les deux cas le résultat final est le même : c'est la sclérose . La chose est généralement admise pour les orga
, que le point de départ soit parenchymateux ou interstitiel, si la sclérose se développe, c'est toujours de la sclérose. Il
ou interstitiel, si la sclérose se développe, c'est toujours de la sclérose . Il en est de même pour le foie... Dans le syst
i-même, ce qui prouve qu'il n'y a pas opposition de nature entre la sclérose primitive et la sclérose secondaire c'est que l
n'y a pas opposition de nature entre la sclérose primitive et la sclérose secondaire c'est que les deux peuvent se mêler,
dive des hémiplégiques cérébraux, étudiée par Pitres, est due à une sclérose diffuse secon- daire consécutive à une sclérose
tres, est due à une sclérose diffuse secon- daire consécutive à une sclérose systématisée ; dans le tabes combiné, il y a so
es ne sont pas étroitement systématisées. Donc, je maintiens au mot sclérose son sens général d'hy- perplasie conjonctive. S
rplasie conjonctive. Seulement il y a des variétés : notam- ment la sclérose primitive et la sclérose secondaire à une lésio
ement il y a des variétés : notam- ment la sclérose primitive et la sclérose secondaire à une lésion parenchymateuse primiti
compte de nos Leçons du trimestre dernier. « Sous ce nom nouveau ( sclérose multiple disséminée) M. Grasset décrit des chos
ve, les inflammations interstitielles polyvis- cérales de Bard, les scléroses dystrophiques de H. Martin, les scléroses d'ori
s- cérales de Bard, les scléroses dystrophiques de H. Martin, les scléroses d'origine artérielle de Lancereaux, Gull et Sutto
n M.Grasset aurait dû étudier dans autant de chapitres séparés la « sclérose multiple dissé- minée » suivant qu'elle provien
atbèse fibreuse », comme l'ont indiqué Debove et Letulle ; 3° de la sclérose artérielle, comme l'ont démontré quelques auteu
c'est une erreur de diviser les auteurs en deux camps opposés. Les scléroses non inflammatoires d'origine artérielle exis- t
'origine artérielle exis- tent, ce qui est d'entière évidence ; les scléroses interstitielles d'origine inflammatoire doivent
t en effet les très beaux travaux de Huchard ? D'abord à décrire la sclérose multiple disséminée, ensuite à établir que tous
sclérose multiple disséminée, ensuite à établir que tous foyers de sclérose proviennent de l'arté- riosclérose, que l'artér
intermittente de l'organe, puis étant le point de départ soit de la sclérose dys- trophique d'Ifippolyte Martin, soit de la
soit de la sclérose dys- trophique d'Ifippolyte Martin, soit de la sclérose par voisi- nage de Huchard, soit enfin les sclé
tin, soit de la sclérose par voisi- nage de Huchard, soit enfin les scléroses mixtes par asso- ciation de ces deux processus.
e Letulle, Brault et Bard. Letulle combat carrément la notion de la sclérose dystro- phique, ne comprend pas l'ischémie d'un
ient avec Brault que « la coïncidence plus ou moins commune de la sclérose d'un viscère avec des lésions inflammatoires de
as que « des lésions artérielles soient à l'origine de toutes les scléroses insiste sur ce fait que les lésions conjonctives
x écoles sur le rôle pathogène des vaisseaux dans la production des scléroses observées. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 123
puis entre les lésions des artères et les inflammations chroniques ( sclérose ). Et il conclut par la phrase suivante qui comm
e suivante qui commence les chapitres consacrés à la pathogénie des scléroses : « L'idée générale qui se dégage des faits pré
ésions des vaisseaux, puisque les lésions vasculaires existent sans sclérose , et que, d'autre part, bien plus souvent encore
as que chacun admet de son espèce : la part laissée par Huchard aux scléroses non artérielles et la part laissée par Brault a
ard aux scléroses non artérielles et la part laissée par Brault aux scléroses arté- rielles serait peut-être un peu réduite e
elle (et agréable) que je reste d'accord avec Huchard : que dans la sclérose multiple disséminée il y a souvent de l'artério
est, dans un certain nombre de cas, l'origine de quelques autres scléroses , mais que souvent aussi cette artériosclérose, ou
as, ou n'est pas le point de départ nécessaire des autres foyers de sclérose . Donc, comme toute maladie fréquente, vaste et
Donc, comme toute maladie fréquente, vaste et compré- hensive, la sclérose multiple disséminée, tout en gardant sa '124 CL
e qu'un mot à ajouter pour montrer l'utilité que cette notion de la sclérose multiple disséminée peut avoir pour la thérapeu
ce traitement, tombent dans un scepticisme outré. La notion de la sclérose multiple disséminée ne crée mal- heureusement p
ès, mais toute la neuropathologie. Sans doute, cette notion de la sclérose multiple disséminée OBSERVATION D'APHASIE STATI
, com- mode, mais insuffisante, qui déclare : que le Tabès est la sclérose des cordons et des racines postérieurs. Un grand
laires), retentissent sur le cordon postérieur et y déterminent une sclérose qui peut simuler la sclérose tabé- tique. La le
cordon postérieur et y déterminent une sclérose qui peut simuler la sclérose tabé- tique. La lecture attentive de quelques o
ciennes, nous a donné la conviction qu'on a mis sur le compte de la sclérose tabétique, certaines lésions des cordons postér
re; c'est elle seule qui, bien précisée, permettra de distinguer la sclérose tabé- tique des autres scléroses des cordons po
récisée, permettra de distinguer la sclérose tabé- tique des autres scléroses des cordons postérieurs, dont les travaux récen
armin ammoniacal de Ranvier ou l'éosine, nous avons pu apprécier la sclérose névroglique, l'état des vaisseaux, etc. L'étu
voisine. - Le tissu interstitiel nous a paru sain ; il n'y a pas de sclérose vraiment importante à noter - Le processus atro
de rechercher, par eee : n p le, si le développement graduel de la sclérose des cor- dons postérieurs n'est pas absolument
pres à un ordre déterminé de substance ner- veuse blanche ou grise ( sclérose amyotropbiqne ou des cordons latéraux, tabès ou
ou grise (sclérose amyotropbiqne ou des cordons latéraux, tabès ou sclérose des cordons postérieurs, etc.). La maladie comm
ou moins graves ou étendues, depuis la simple congestion jusqu'à la sclérose complète); 2° des péricéré- brites débutant par
t la marche lente des accidents, doivent faire écarter l'idée d'une sclérose des cordons latéraux et permettent de considérer
l'atrophie et la diminution des lobes centraux en- tiers et par la sclérose lobulaire, observée par Cotard, ainsi que par d
t MM. les professeurs KojEWNiMFF et Rora. M. Oar.ovsxr. Syphilis et sclérose disséminée des centres nerveux. - La. combinais
et sclérose disséminée des centres nerveux. - La. combinaison d'une sclérose disséminée avec des altérations syphilitiques e
x, ayant l'aspect d'un cordon. On trouva des plaques disséminées de sclérose dans les pédoncules, la protubé- rance, la moel
t presque pas du tout atteintes. Le diagnostic différentiel de la sclérose syphilitique disséminée et de la sclérose simpl
nostic différentiel de la sclérose syphilitique disséminée et de la sclérose simple présente beaucoup de difficulté ; souvent
x processus morbides, ne peut servir de base au diagnostic entre la sclérose disséminée simple et syphilitique. A la discu
ltérations secondaires dans les veines (élargissement, thrombose et sclérose ); cette influence est immé- diale, vu le dévelo
; cette influence est immé- diale, vu le développement rapide de la sclérose ; il est possible de supposer que les nerfs pér
de ce genre. .2). M. HOSSOLDIO. Contribution à la palhogénir. de la sclérose en plaques en rapport avec la question des diff
rôle du système vasculaire. L'intérêt contemporain de l'étude de la sclérose disséminée con- cerne deux points : l°la signif
Il n'y a point de dégénérescences secondaires. Le second foyer de sclérose en forme de lame triangulaire est situé dans la r
es et par le tableau microscopique elle est caractéristique pour la sclérose disséminée. Le foyer décrit du cerveau est cons
apport la question, l'auteur formula les conclusions suivantes : la sclérose disséminée peut quelquefois s'éloigner du type co
M. le professeur Roth différencie le cas donné des cas typiques de sclérose en plaques où il faut admettre l'existence d'un a
opiera la coxalgie, elle n'a pas donné, que je sache, l'image de la sclérose .en plaques, sclérose latérale amyotro- phique
le n'a pas donné, que je sache, l'image de la sclérose .en plaques, sclérose latérale amyotro- phique qui frappe à l'âge vir
égénérescences ascendantes du faisceau pyramidal, certains faits de sclérose com- binée) que dans les nerfs périphériques. C
ssent aux lésions du tabes. La lésion principale du tabes étant une sclérose médullaire, cette lésion fera indication thérap
sion médullaire; c'est-à-dire qu'il y a des moyens s'adressant à la sclérose et des moyens s'adressant à la moelle. 1° Moyen
e et des moyens s'adressant à la moelle. 1° Moyens s'adressant à la sclérose . - Le traitement de la sclérose est toujours le
moelle. 1° Moyens s'adressant à la sclérose. - Le traitement de la sclérose est toujours le même, au moins dans ses lignes
s exception et ne modifie pas ce principe. Le vrai médicament de la sclérose , médullaire ou autre, reste l'iode sous ses diffé
et comme l'altérant de choix, destiné à enrayer la production de la sclérose , qu'elle soit syphilitique, arthritique, saturn
parmi les altérants qui ont la préten- tion de combattre l'élément sclérose . C'est le mémoire de Charcot et Vulpian, fait d
nti- grammes, pro die. L'élément indicateur de cet agent, dans la sclérose tabétique, réside surtout dans la flexion médul
plutôt nuisible dans les rémissions. Dans le traitement général des scléroses , le régime joue un rôle absolument de premier o
bsolument de premier ordre. C'est également vrai pour les cas où la sclérose est localisée sur ie protoneurone centripète. N
point de départ de nouvelles poussées sléreuses ; 2° parce que la sclérose envahit souvent les organes éliminateurs ou destr
ite différent suivant l'intensité ou plutôt suivant l'étendue de la sclérose , dans chaque cas particulier. On peut schématique
, qui serviront de cadre aux divers faits indi- viduels. a) Si la sclérose est limitée à la moelle, le régime sera surveillé
t utile de la plupart des traitements choniques prolongés. b) Si la sclérose a envahi simultanément d'autres organes que la
eiller le lait comme boisson exclusive aux repas. c) Enfin, si la sclérose a envahi, en même temps que la moelle, des orga
que dans la nuit s'il y a un réveil spontané ou deux). Si la même sclérose rénale était portée à un haut degré, il fau- dr
5 sif, au moins pour un temps. Ceci rentre dans le traitement des scléroses autres que la sclérose médullaire, scléroses autr
n temps. Ceci rentre dans le traitement des scléroses autres que la sclérose médullaire, scléroses autres qui peuvent coexis
dans le traitement des scléroses autres que la sclérose médullaire, scléroses autres qui peuvent coexister parfois avec le ta
thérapeutiques de ce groupe s'adressent, comme les précédents, à la sclérose . Seulement ils sont commandés ou modifiés par c
ement ils sont commandés ou modifiés par ce fait particulier que la sclérose est, chez nos malades, localisée sur la moelle :
pliqué qu'avec les précautions d'usage et s'il n'y a aucuu signe de sclérose rénale ; dans le cas contraire, on emploiera le
, avtit 1897.) E. l3Lm. XXXVIII. Contribution A la pathologie DE la sclérose EN plaques; par A. Srnihll'ELL, (Ne2crolog. Cen
n d'autres organes ? On n'osait poiut songer d'ailleurs à l'artério sclérose , ni à la syphilis, dont on connaît les rava- ge
le calibre de la lumière des vaisseaux n'est point diminué dans les scléroses en plaques. L'ischémie n'a que faire ici. - ,
tait en même temps : de l'hydromyélie, de la gliose centrale, de la sclérose en plaques vraie, et un fait d'hydromyélie avec f
THOLOGIE NERVEUSE. 505 M. Strumpell annonce que s'il y a des cas de sclérose en plaques où l'on constate du tremblement inte
prononcée sans aucun trouble simultané de la sensibi- lité, dans la sclérose en plaques on rencontre la plus vive ataxi- san
pas une condition sine qua non de l'alaxie. A côté de cela, dans la sclérose en plaques les réflexes des téguments cuta- née
lescence du chez les épileptiques, par Charon et Rri- che. 465. Sclérose latérale amyotrophique il 'début bulbaire, par
bles cérébraux, par liernardbei' et Duharry, 339. ` Syphilis et sclérose disséminée, par Orlovsky, 349. Syringomyélie.
7 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
t la facilité du rire et du pleurer, impulsifs un peu comme dans la sclérose en plaques. Elle n'éprouve ni céphalées, ni ver
elleuse, le début d'une déformation typique du pied. L'idée d'une sclérose en plaques ne s'est pas présentée davantage à vot
FiG. i. - Commencement de la l ? paire cervicale. Collet du bulbe. Sclérose marginale du faisceau antérolatéral, plus marquée
u faisceau antérolatéral, plus marquée au niveau du sillon antérieur. Sclérose marquée des faisceaux de Goll et do Burdach.
sivement croissante, avec abolition des réflexes tendineux; dans la sclérose en plaques, elle est au contraire en rapport av
is encore parce que l'autopsie lui avait démontré l'existence d'une sclérose qu'il crut être strictement limitée aux cordons
l'ataxie locomotrice progressive, et vous vous expliquerez comment sclérose des cordons postérieurs et tabès dor- salis éta
oque, on voyait dans la maladie de Friedreich une combinaison de la sclérose en plaques, bien décrite déjà par Charcot et Vu
pyramidal croisé. Grosse tléin3élinis.ition des colonnes de Clarke. Sclérose très intense des cordons postérieurs. FIG. i. -
tabétiquo des lésions des cordons postérieurs. Atrophie des racines. Sclérose très nette de la région pyramidale croisée. F
upe morbide spécial, ayant une existence autonome ; il s'agit d'une sclérose systématique combinée, primitive, parenchymateuse
éfinition de la nature histo- logique de la maladie de Friedreich « sclérose .combinée primitive » lui reste encore acquise p
te spéciale la disposition fréquente en « tourbillons » du tissu de sclérose et crurent à l'intégrité, dans les ré- gions en
oncerne les cordons postérieurs. Ils crurent à la possibilité d'une sclérose névroglique pure de la moelle, la seule sclé- r
restant localisé dans les cordons postérieurs ; l'autre secondaire, sclérose d'origine conjonctivo- vasculaire s'étendant au
urbillons semble être tout simplement, dit P. Ma- rie, l'indice des scléroses des centres nerveux réunissant les deux condi-
s nerveux. » C'est ainsi qu'elle a pu être constatée dans certaines scléroses cérébra- les atrophiles. On peut même aller plu
lifération au moins aussi dense a été notée dans un grand nombre de scléroses médullaires, principalement dans la sclérose en p
ns un grand nombre de scléroses médullaires, principalement dans la sclérose en plaques, qui, au même litre que la maladie d
aladie de Friedreich, pourraient être alors consi- dérées comme des scléroses névrogliqués. Contrairement, d'ailleurs, à ce q
cées pour que Pitt ait voulu faire de la maladie de Friedreich, une sclérose vasculaire. Je vous rappelle que cette dernière
as étudiés dans mon laboratoire. Dans la névrose des deux sujets la sclérose leur a paru bien différente de celle qu'on a l'ha
oelle de tabétique.Envisagée plus spécialementdans sa nature, cette sclérose est surtout de nature névroglique, mais le tissu
e de la maladie de Friedreich est celui de savoir s'il y a vraiment sclérose des faisceaux pyramidaux croisés. Friedreich ne
Friedreich et Schultze, de Burr, de Bonnus et Mackay signalent une sclérose du faisceau pyramidal direct, sclérose la plupart
nnus et Mackay signalent une sclérose du faisceau pyramidal direct, sclérose la plupart du temps très limitée et peu accentu
mpte sur les dessins. Comparée à celles des cordons postérieurs, la sclérose des cordons an- téro-latéraux leur a paru plus
la forme spinale et la forme cérébelleuse. UNIVERSITÉ DE GENÈVE SCLÉROSE MÉDULLAIRE, TRANSVERSE, SEGMENTAIRE, DORSOLOMBA
é produites par une chaleur très supportable pour nne peau saine. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 19 Traduisant anatomiquement ces t
reviennent aussi plus tard à la face postérieure des deux membres. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 21 à droite. Cette jambe droite, lon
ce de tremblement intentionnel, de nystagmus, de scansion exclut la sclérose en plaques, sclérose qui serait du reste uni et n
entionnel, de nystagmus, de scansion exclut la sclérose en plaques, sclérose qui serait du reste uni et non multiloculaire.
olonne vertébrale, fractures, contusions, commotions,dont les symp- SCLÉROSE MÉDULLAIRE 23 tômes ont leur summum aussitôt ap
départ, siège aux extrémités inférieu- res, segment dans lequel la sclérose envahit tantôt la substance grise ou les faisce
ent les auteurs qui ont donné le traumatisme comme pouvant créer la sclérose des cordons postérieurs. Dans ce cas, la lésion
t spécial. Si en effet il rentre anatomiquement dans la famille des scléroses de la moelle, de la transverse classique en parti
-1888, p 459. (4) SPIf.LMANN et PARISOT, Revue de médecine, 1888. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 25 croissance et de décroissance. El
ilà certes un tableau qu'on n'est guère habitué à observer dans les scléroses en général et les affections chroniques de la m
ations de brûlure que provoquent les mou- vements un peu étendus. SCLÉROSE MEDULLAIRE 27 Remarquons la rapidité de la ré
présenté par le professeur Prévost à la Société médicale de Genève, SCLÉROSE MÉDULLAIRE 29 le 7 octobre 1903 (1), qui parapl
j'avais, sans grande conviction d'ailleurs, établi le diagnostic de sclérose en plaques de forme fruste, d'une de ces formes,
présente le parler scandé el la démarche ataxo-spaslllodique de la sclérose en plaques, mais n'a pas trace de tremblement vol
re son observation, concernant les formes frustes ou anomales de la sclérose en plaques, post ou intra-infectieuses, contient
syndrome du déficit cérébelleux était encore mal connu, et comme la sclérose en plaques lui emprunte nombre de signes, comme
ies cérébel- leuses et sur le cervelet peuvent arriver à simuler la sclérose en plaques classique, on comprendra tout l'inté
France, aux lésions de déficit du cervelet, aux agénésies comme aux scléroses , presque tous (1) Leçon faite à l'hôpital de Mu
ctueuse des consonnes, rappelle absolument « la dys- phasie » de la sclérose en plaques. Il n'a pas de troubles intellectuels,
e DE la Salpêtrière T. XVIII. PI. IV SCLEROSE EN PLAQUES FRUSTE SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE 33 rieurs, au point qu'il ne
l'écriture dont je présente un spécimen, res- semble à celle de la sclérose en plaques, irrégulière, hachée. La parole est
érales ; dès qu'on lui demande un effort de ses membres supérieurs, SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE 35 il contracte sa glotte, po
isolés que laissent les ischémies et les raptus vasculaires ou les scléroses limitées, et ce que la symptoma- tologie relève
erme plus ou moins des traits de la maladie de Henri R..., c'est la sclérose en plaques et la maladie de Fried- reich. Ave
est la sclérose en plaques et la maladie de Fried- reich. Avec la sclérose en plaques, notre malade a très peu de points de
paraît en pleine évolution. Ce proches- sus ne s'accompagne pas de sclérose névroglique appréciable. B. Fibres nerveuses my
paces clairs, sans que toutefois, on puisse apercevoir de taches de sclérose compacte à proprement parler. C. Pédoncules cér
ibres transversales de la protubérance) sont atrophiés, sans grosse sclérose . Très vraisemblable- ment, il s'agit encore d'u
évroglie assez végétante qui les entoure. En certains points, cette sclérose névroglique est dense et affecte la disposition
n tourbillons », en d'autres points, elle est faible et rappelle la sclérose tabétique. Les portions les plus démyélinisées
primi tives de Nonne et de Fraser mettaient en relief l'absence de sclérose , et Londe ajoute : « Peut-être est-ce là la bas
use pourrait suffire à la distinguer de la maladie de Frie- dreich, sclérose primitive des cordons médullaires. Or, l'étude
atrophient et dispa- raissent, sans prolifération névroglique, sans sclérose . Tantôt enfin les lésions sont de nature sclére
es, processus ré- gressifs post inflammatoires se traduisant par la sclérose , Dejerine et Thomas ont décrit sous le nom d'at
mune, on distingue des formes cervicales, cérébrobulbaires. Dans la sclérose en plaques, outre le type classique, cérébrospina
es formes frustes, cérébrale, spinale, bulbaire ou cérébelleuse. La sclérose latérale amyotrophique en tant que début est ta
iquement, cet état cor- respond à une hypoplasie très accusée, sans sclérose , de tout l'axe céré- bro-médullaire. Je n'en
ivement Weigert-Pal). Vaisseaux. Ils présentent un degré notable de sclérose sénile, de sorte qu'évidemment tout ce que nous
'clinique en avril 1896 quelque peu amélioré. Diagnostic probable : sclérose en plaques. Le 23 novembre de la même année, so
y a, surtout dans les lobes frontaux, une altération nouvelle : une sclérose remarquable de l'épendyme, pénétrant même profo
que.- OFI,partie orbitaire de la première circonvol. frontale. S, sclérose péri-vasculaire. V, ventricule latéral. FIG.
inte. Parole lente, bredouillée, tout à fait analogue à celle de la sclérose en plaques. Examen de la motilité. Il existe
nne de ce côté. Parole nasonnée, bredouillée, scandée comme dans la sclérose en plaques. Pas de troubles des sphincters. Les u
es). Fig, 2. Pituitaire. Partie corticale. Dans les mailles d'une sclérose légère on voit des acinis bordés de cellules
ière colloïde (fig. 4). Au microscope on constate immédiatement une sclérose à travées de tissu conjonctif adulte enserrant,
4. Thyroïde. On voit dans des espaces épileptiques qui enserrent la sclérose , des vési- cules dont les cellules épithéliales
hypo- physite parenchymateuse hypertro- phique ; hypertrophie et sclérose de la thyroïde par prolifération des cel- lul
mplement cirrhose thyroïdienne hypertrophique ; hypertrophie avec sclérose et adénomes des surrénales ou cirrhose surrénal
droit, le picro-carmin y décèle des fibres atrophiées et un peu de sclérose . La moelle lombaire, examinée au Nissl, est nor
cellules rondes. Il n'y a pas de dégénéres- cence graisseuse, ni de sclérose interfasciculaire. Les vaisseaux ont leur tuni-
s sont formées de cellules pres- que toutés normales,est atteint de sclérose porto-biliaire adulte,mais légère; les néo-cana
86 BALLET ET LAIGNEL-LAVACTInE Pancréas. - Les pancréas, à part une sclérose péri-lanberhansienne légère, est normal. Rein
dont la pulpe splénique est assez fortement pigmentée, présente une sclérose considérable des espaces périvasculaites. Celle
e (2) dans les méninges des plaques calcaires et dans la moelle des scléroses pseudo-systématisées, à Cagnetto des lésions dé
urs (3), à Bonardi (4) une hypertrophie de la glande pinéale et une sclérose diffuse de la moelle, à Henrot une glande pinéa
ence kystique, 1 avec dépôt calcaire, 1 atrophiée et 1 atrophiée avec sclérose . (3) Ponfick. Deutsch medicinische Wochenschrif
insignifiant. Masson & Cie, l'diteurs PbOlotfPU ! 8erlbn.. SCLÉROSE ALTERNANTE AVEC LOMBO-SCIATIQUE DROITE 235 5 Au
surtout avantageux lorsqu'il s'agit de vérifier si tel .ou tel ses- SCLÉROSE ALTERNANTE AVEC LOi11B0-SCIATIQUE DROITE 237 me
180 Année N° 3 MAI-JU ! N ASILE DE VAUCLUSE (SEINE-ET-OISE). LES SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX
OUROUX et LAIGNEL-LAVASTINE Depuis les travaux de W estphal sur les scléroses combinées deara lytiques généraux, des descript
données de ces lésions. Tout le monde s'entend sur la fréquence des scléroses combinées des cordons postérieurs et latéraux,
er, car souvent on veut induire d'analogies dans la topographie des scléroses à des identités de lésions. Quand des observate
ons fait. Après une rapide esquisse de l'histoire des idées sur les scléroses com- binées des paralytiques généraux, nous don
istingue deux types lésionnels fondamentaux : l'un constitué par la sclérose combinée des cordons antéro-latéraux et posté-
t posté- rieurs (myélite à corps granuleux) ; l'autre formé par une sclérose spé- ciale, limitée aux cordons postérieurs (dé
ciale, limitée aux cordons postérieurs (dégénérescence grise). « La sclérose combinée envahit surtout le cordon latéral, sans
guë, avec corps gra- nuleux abondants et fonte du cylindre-axe ; la sclérose névroglique est assez dense. « La dégénéresce
, Sibelius, etc., l'identité de cette dégénérescence grise et de la sclérose tabétique est ab- solue. Par contre, pour Joffr
progressive, in Tr. de path. mentale, Doin, 1903, p. 1017. (3) Des scléroses combinées de la moelle. Thèse de Paris, 1904. (
es à la paralysie générale, Revue Neurologique, 30 novembre 1903. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
trop d'arbitraire, se répartir en 3 groupes. Dans le 1 er sont 4 scléroses latérales ; dans le 2e, 3 scléroses postérieu-
3 groupes. Dans le 1 er sont 4 scléroses latérales ; dans le 2e, 3 scléroses postérieu- res ; dans le 3e, 5 scléroses combin
latérales ; dans le 2e, 3 scléroses postérieu- res ; dans le 3e, 5 scléroses combinées. 1 or Groupe : Scléroses latérales.
postérieu- res ; dans le 3e, 5 scléroses combinées. 1 or Groupe : Scléroses latérales. Les 4 cas suivants n'ont de lésions
ux tiers externes de la partie pos- térieure du faisceau latéral. SCLÉROSES COMBINÉES médullaires DES paralytiques GÉNÉRAUX 2
Cas. IL P. G. Syphilis probable; démence; paraplégie spasmodique; sclérose des faisceaux pyramidaux croisés (1). Klém...,
aucune lésion dans la moelle ; mais par le picro-carmin on voit une sclérose névroglique dans les aires des deux faisceaux p
, obs. XXIV, p. 31. PLANCHE XXXIII. 1. Obs. IV. Moelle cervicale. Sclérose dense et nettement limitée du système pyra- mid
dorsale. Mêmes lésions que figure 1. 3. Obs. IV. - Moelle lombaire. Sclérose plus limitée des faisceaux pyramidaux croisés 4
yramidaux croisés et myélite diffuse. 5. Obs. II. Moelle dorsale. Sclérose des faisceaux pyramidaux croisés. 6. Obs. XII.
rose des faisceaux pyramidaux croisés. 6. Obs. XII. Moelle dorsale. Sclérose des faisceaux fondamentaux des cordons la- téra
et des bandelettes externes de Pierret. 1. Obs. V. Moelle dorsale. Sclérose tabétique des cordons postérieurs. 8. Obs. VII.
e tabétique des cordons postérieurs. 8. Obs. VII. - Moelle dorsale. Sclérose des cordons postérieurs dite du tabès in- cipie
ostérieurs dite du tabès in- cipiens. 9. Obs. VI. Moelle dorsale. Sclérose tabétique des cordons postérieurs. 10. Obs. XI.
. NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T. XVIII. Pf. XXXIII SCLÉROSES COMBINÉES MEDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX
LAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX (Vigouroux et Laignel-Lavastine) SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
Examen HISTOLOGIQUE. Méninges. Epaissies, elles présentent de la sclérose superficielle et, dans leur partie profonde, de l
; pachyméningite hémorrhagique suppurée de l'hémis- . phère droit ; sclérose des faisceaux pyramidaux (1). . Seig..., 36 ans
r, (1) Vigouroux ET Saillant, Soc. anatomique, juin 1904, p. 515. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
acines antérieures. Pas d'infiltration .de la substance médullaire. Sclérose très dense et bien systématisée au niveau du fa
croisé du côté gauche et direct du côté droit. - - 1-1 A droite la sclérose est moins dense et beaucoup plus diffuse. Elle dé
amidal direct est sain. Le Weigert-Pal met en évidence cette double sclérose . Le faisceau pyramidal croisé est absolument dé
sine, elle ne présente pas trace d'in- filtration inflammatoire. La sclérose des 2 faisceaux pyramidaux se présente au Weige
Weigert-Pal avec les mêmes caractères que de la moelle cervicale : sclérose limi- tée et dense d'un faisceau pyramidal dire
lérose limi- tée et dense d'un faisceau pyramidal direct et croisé, sclérose plus discrète et moins bien limitée de l'autre
de névrite parenchymateuse. 210 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE La sclérose persiste ; des deux cordons pyramidaux, l'un est
es et infiltrées. Pas d'autres altérations. En résumé, ces quatre] scléroses latérales, pour avoir même topographie générale
phie générale, sont très différentes. , La première n'est pas'une sclérose à proprement parler. Ce n'est qu'une simple rar
escence des faisceaux pyramidaux d'origine encéphalique s'ajoute la sclérose consécutive à la plaque de lepto- méningite de
nne des cordons de Goll et de Burdach de la moelle cervicale. Cette sclérose postérieure per- met de faire de ce cas une scl
rvicale. Cette sclérose postérieure per- met de faire de ce cas une sclérose combinée. Il peut servir de transition en montr
misphère droit. Ainsi s'explique l'aspect beaucoup plus dense de la sclérose du faisceau pyramidal direct droit et du faisceau
u faisceau pyra- midal croisé gauche qui diffère sensiblement de la sclérose plus diffuse et moins profonde du faisceau pyra
de la paralysie générale, Nouv. Iconogr. de la Salp., 1900, p. 419. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
SES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 211 2e Groupe : Scléroses postérieures. Les trois cas suivants n'ont de l
G. apparue 6 ans après un tabès confirmé; démence ; mégalo- manie ; sclérose tabétique ancienne des cordons potérieurs ; ménin
solument intacts. Quant aux cordons postérieurs, ils présentent une sclérose très marquée et à peu près générali- sée, sauf
e la partie moyenne de l'en- trecroisement des pyramides montre une sclérose limitée aux cordons posté- rieurs. Seules quelq
rtante. M... a un frère en bonne (1) PERPÈRE, loc, cit., p. 54. , SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
stance médullaire est également enflammée ; on y trouve des artères SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
trophie du nerf optique \ démence avec idées absurdes de grandeur ; sclérose tabétique ancienne des cordons postérieurs ; mé
des nerfs optiques. Les artères de la base sont athéromateuses. La sclérose des cordons postérieurs de la moelle est visibl
rées. Beaucoup sont défor- mées : leur noyau est à peine visible. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
. Certaines cellules sont pigmentées. Nerf optique. - Atteint d'une sclérose énorme névroglique avec tractus scléreux interf
ingite chronique, il répond trait pour trait à la description de la sclérose optique tabétique donnée récemment par Léri (1).
ue tabétique donnée récemment par Léri (1). En résumé, de ces trois scléroses postérieures, les deux premières ré- pondent à
ue rapide, l'associa- tion tabéto-paralytique est évidente. La 3e sclérose est aussi une sclérose tabétique. Elle en a les l
tion tabéto-paralytique est évidente. La 3e sclérose est aussi une sclérose tabétique. Elle en a les lésions sys- tématique
che et grise, sans systématisation, et d'inflammation certaine avec sclérose de la partie postérieure d'un des cordons latér
ordons latéraux. Aussi ce dernier cas peut servir de transition aux scléroses combinées. go Groupe : Scléroses combinées. L
as peut servir de transition aux scléroses combinées. go Groupe : Scléroses combinées. Les six cas suivants présentent des
. Tabès et P.G. Eschares sacrées. - Pachyméningite hémorrha- gigue. Sclérose des cordons postérieurs du tabès incipiens,méning
ne présente pas trace d'inflammation. Au Weigert, on constate la sclérose des cordons de Goll (pl. XXXIV, fig. 9). Au Nis
s régions, PLANCHE XXXIV. 1. Obs. IX. Partie inférieure du bulbe. Sclérose des bandelettes externes de Charcot et Pierret.
tes externes de Charcot et Pierret. 2. Obs. IX. Moelle cervicale. Sclérose des mêmes bandelettes externes et des zones de
faisceaux pyramidaux. 3. Obs. IX. Moelle dorsale. Mêmes lésions de sclérose que dans la moelle cervi- cale avec en plus un
la moitié postérieure de la moelle. 4. Obs. IX. Moelle lombaire. Sclérose des bandelettes externes et dégénéres- cence de
droite, légère et diffuse à gauche. 5. Obs. X. Moelle cervicale. Sclérose des bandelettes externes, des zones de Lissauer
fibres dans les deux aires pyramidales. 6. Obs. X. Moelle dorsale. Sclérose des bandelettes externes et de la partie postér
bres dans les deux aires pyramidales. 1. Obs. X. Moelle lombaire. Sclérose des cordons postérieurs, à l'exception de la zo
angle de Gombault et Philippe et de la zone marginale postérieure ; sclérose totale des zones de Lissauer. Raréfaction des a
atteignant la périphérie. 8. Obs. VIII. Partie inférieure du bulbe. Sclérose des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleu
es faisceaux cérébelleux directs. 9. Obs. VIII. Moelle cervicale. Sclérose des cordons de Goll du tabes incipiens. 10. Obs
Goll du tabes incipiens. 10. Obs. VIII. Moelle dorsale supérieure. Sclérose postérieure du tabes incipiens un peu masquée p
stérieure de la moelle. 11. Obs. VIII. - Moelle dorsale inférieure. Sclérose tabétique à peine perceptible des bandelettes d
LAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX (Vigouroux et Laignel-Lavastine) SCLÉROSES COMBINÉES médullaires DES paralytiques généraux 2
n périphériques. A la moelle lombaire, on constate au Weigert une sclérose légère des ban- delettes externes, une raréfact
es absurdes de grandeur. Ramollissement de la scissure calcarine. - Sclérose des cor- dons postérieurs du tabès incipiens ;
V, fig. 2). Dans la région dorsale on constate les mêmes lésions de sclérose et en plus un gros foyer récent de méningo-myél
myélite (pi. XXXIV, fig. 3). Dans la région lombaire, en plus de la sclérose des bandelettes de Pierret, on voit une double
ble dégénérescence des faisceaux pyramidaux, mais du côté gauche la sclérose est diffuse et dépasse les limites du faisceau py
ramidal (pl. XXXIV, (ig : 4). Les reins présentent des lésions de sclérose . SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQU
XXXIV, (ig : 4). Les reins présentent des lésions de sclérose. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
ltrés. OBs. X (1). P. G. avec tabès à évolution rapide : démence. Scléroses combinées; méningomyélite . Cor.... Marius, 35
LAV15TINB. Tabes à évolution rapide chez un paraly- tique général : sclérose combinée, méningomyélite. Soc. anatom., 1904, p.
sillon postérieur (face interne des cordons de Goll), apparaît une sclérose constituée par une prolifération névroglique. On
ît une sclérose constituée par une prolifération névroglique. On ne SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
ouve dans la moelle les lésions du tabes incipiens, c'est-à-dire la sclérose des zones radiculaires moyennes (bandelettes de
es une raréfaction des fibres, qui donne à la moelle l'aspect d'une sclérose combinée. OBs. XI (1). khan..., marchand de vin
re, etc. (1) Communiquée à la Société Médico-psychologique, 1904. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
yélite. Au Marchi, pas de corps granuleux. Au Weigert, apparence de sclérose combinée. Les deux faisceaux pyrami- daux crois
s sont dégénérés et de plus il y a des lésions de tabes incipiens : sclérose des bandelettes externes de Pierret et de la part
que. Les plus altérées sont les cellules de la colonne de Clarke. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
au Weigert. 4Veigert-Pal. Il existe, en plus de la radiculite, une sclérose combinée consistant en décoloration des faiscea
issl. L'inflammation très accentuée des racines se détache en bleu. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
t relative intégrité des cellules pyramidales. En résumé, ces six scléroses combinées sont l'expression de processus différ
rsale un foyer de méningo- myélite en évolution. Il explique que la sclérose diffuse des cordons laté- raux, constatée dans
ages du névraxe donne l'explication de ces différences d'aspect. La sclérose compacte du faisceau pyramidal croisé est sous
des fibres pyramidales dans le pédoncule, le bulbe et la moelle. La sclérose diffuse et légère de l'autre aire pyramidale es
paralytique et tabétique ont évolué rapidement et simultanément, la sclérose postérieure a tous les caractères topographique
la sclérose postérieure a tous les caractères topographiques de la sclérose tabétique, et comme l'infiltration inflammatoir
cessus nous paraît évident. Dans Ie4°cas(llau....) il y a à la fois sclérose des faisceaux pyramidaux, suite des lésions dif
te, per- met de comprendre, d'une part, la localisation nette de la sclérose dans le faisceau fondamental du cordon latéral,
Si nous rapprochons nos observations de celles déjà publiées, nous SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
sa rareté sans doute. Soukha- noff l'a décrite. Nous avons vu des scléroses latérales répondant à la description de Westpha
tphal et répété après lui, demande des éclaircissements. Toutes les scléroses làtérales que nous avons vues étaient secondair
sions sur lesquelles insiste M. Klippel. Si primitif veut donc dire sclérose d'origine médullaire, nous admettons la scléros
tif veut donc dire sclérose d'origine médullaire, nous admettons la sclérose primitive. Mais, si ce terme n'est pas employé
. Mais, si ce terme n'est pas employé seulement par opposition à la sclérose secondaire à une lésion extra-médullaire, nous
acceptons pas. Comme Dejerine, nous pensons qu'avant d'affirmer une sclérose primitive de la moelle, il est nécessaire de dé
ion capi- tale dont toutes les autres dérivent. Nous avons vu des scléroses postérieures tabétiques. Ce sont des cas identi
es cas de P. Marie, Guil- lain et Crouzon ; avec méningo-myélite et sclérose descendante d'un fais- ceau pyramidal par ramol
y et Rabaud (1). Enfin nous avons vu ce même processus entraîner la sclérose du fais- ceau fondamental du cordon latéral par
on latéral par poliomyélite, comme dans certains cas de Klippel, la sclérose tabétique des cordons postérieurs par radicu- l
aralysie générale. Nouv. Icon. Salp., septembre 1903, p. 272-280. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 2
ot nous croyons pouvoir conclure à la grande diversité d'aspect des scléroses médullaires des paralytiques généraux comme à la
ns le lobule du pneumogastrique et on n'observe plus qu'un tissu de sclérose névroglique avec conservation partielle de la c
Les faisceaux pyramidaux sont atteints des deux côtés d'une légère sclérose . Les cellules des noyaux moteurs présentent peu
entent pas de phénomènes de karyokinèse active ; il n'existe pas de sclérose . 252 DUPRE ET PAGNIEZ Nous avons examiné un f
insignifiante. Le tissu interstitiel est le siège d'une très légère sclérose périfasciculaire qui reste cantonnée aux grands
levés ; c'est la marche complète du processus inflammatoire vers la sclérose , processus à peine ébauché chez l'adulte, lorsque
ocessus de réparation cicatricielle ; c'est une dégénérescence sans sclérose . Il est difficile d'admettre que cette dégénére
u mot. Malgré cela il se distingue nettement du trem- blement de la sclérose en plaques ; car, contrairement à celui-ci, il ne
ts, à un examen la serrant de près, de ceux qu'elle affecte dans la sclérose en plaques. Elle est basse, monotone, non artic
ontracture) pourraient à un examen superficiel évoquer l'idée d'une sclérose en pla ques familiale ou plutôt du tableau clin
n ont essayé d'isoler sous le nom de « maladie familiale à forme de sclérose en plaques ». Les différences que nous avons mo
seront de nous appesan- tir davantage sur ce sujet. La notion de la sclérose en plaques familiale ou même infantile n'est en
ci, le souvenir du tabes dorsal spasmodi- que d'Erb-Charcot avec sa sclérose systématisée et primitive des cordons latéraux
ons latéraux se présente à l'esprit ; M. Raymond a montré que cette sclérose pyramidale, systématisée, que théoriquement on
asmodique, ne se retrouvait pas à l'autopsie ; que c'est souvent la sclérose en plaques, la syringomyélie, la pachyméningite
- pell. Mais parmi ces cas, dans le premier il s'agit sans doute de sclérose latérale amyotrophique au début, car un certain
ons nécessaires. Strümpell a publié récemment trois nouveaux cas de sclérose systématisée du faisceau pyramidal, dont l'un h
éditaire. Mais, là encore, un seul paraît pur ; dans les autres, la sclérose d'autres faisceaux se sura- joute. C'est enco
s, la sclérose d'autres faisceaux se sura- joute. C'est encore la sclérose combinée que l'on trouve dans les rares autop-
e Strümpell (1880) et de Bischoff, l'examen de la moelle montra une sclérose latérale combinée à une sclérose des cordons de G
, l'examen de la moelle montra une sclérose latérale combinée à une sclérose des cordons de Goll dans la région cervicale. L
le pre- mier cas du mémoire de Strumpell de 1904 (cas Polster), la sclérose laté- rale excédait les limites du faisceau pyr
ait les limites du faisceau pyramidal et il s'y ajoutait encore une sclérose des cordons de Goll. Il est donc probable que che
. Il est donc probable que chez notre malade il s'agit encore d'une sclérose combinée. Si d'ordinaire on voit les lésions re
cérébral. Et, de fait, dans le malade n° 2 de Strümpell (1904), la sclérose remontait jusqu'au bulbe de la protubérance. 41
* BALLET ET ROSE ' r M. Brissaud faisant récemment l'autopsie d'une sclérose en- plaque fa- miliale trouva également une scl
autopsie d'une sclérose en- plaque fa- miliale trouva également une sclérose combinée. ' Bâumlin, à l'examen d'une des deux
smodique dans laquelle il voit un exemple familial de cette pseudo- sclérose en plaques de Westphal, dont nous avons parlé plu
Guillain entre la paraplégie de Lorrain et leur maladie à forme de sclérose en plaque doit être maintenue. 1 Il est certa
particulier dans la leur, la ressemblance de - l'affection avec la sclérose en plaques est grande : en effet, on s'y trouve e
décoloration ou atrophie des papilles optiques), qui au cours de la sclérose en plaques vraie constituent une rareté. Dans d
tres observations le tableau n'est plus aussi voisin de celui de la sclérose multiple. Ainsi dans la fameuse observation de Pe
grande entre certains cas d'affections spastiques familiales et la sclérose en plaques ne prouve qu'une chose, c'est que da
emble donc inutile de garder le nom de maladie familiale à forme de sclérose en plaques, qui rappelle un tableau anatomique tr
forme paraplégique pure serait comme si chez les adultes et dans la sclérose en plaques on voulait faire une distinction absol
et une forme disséminée, alors qu'il est excep- tionnel de voir la sclérose en plaques affecter durant toute son évolution
ette réparation du tissu nerveux ne se fait pas et l'atrophie et la sclérose apparaissent. Si cette théorie n'explique pas tou
ssi, tend à rapprocher beaucoup des affections familiales, c'est la sclérose combinée que l'on trouve dans des affections te
tions telles que maladies spastiques familiales, maladie à forme de sclérose en plaques (Brissaud, Friedreich, Charcot-Marie
uver que l'insuffisance fonctionnelle est le phénomène primitif, la sclérose le fait secondaire. S'il peut donc être bon,au
- diaires. Si, en admettant le type de maladie familiale à forme de sclérose en plaques, on veut seulement rappeler que les
ns spastiques fa- miliales peuvent parfois simuler plus ou moins la sclérose en plaques, il n'y a pas grand inconvénient à l
'il importe d'établir entre i'cc/tOH- droplasie proprement dite par sclérose du cartilage de conjugaison, et la 4$ ? PORAK E
s : 1 L'achondroplasie vraie, Uistologiquement caractérisée par une sclérose du cartilage entraînant un défaut d'ossificatio
le bassin et la base du crâne. Ilistologiquement constituée par une sclérose du cartilage épiplysaire d'ossification, elle est
t arrêté dans son développement; il grandit, quoique faiblement. La sclérose n'est pas aussi intense sur tous les points. Ce
istologique seul permet actuellement t de lever tous les doutes. La sclérose atrophique du cartilage de conjugaison avec dis
cel- les de l'achondroplasie. Dans celle-ci nous constations une sclérose , une atrophie du cartilage de conjugaison d'où
anatomo-pathologique l'achondroplasie vraie est constituée par une sclérose du cartilage de conjugaison dont la zone de rivul
es deux maladies. La lésion essentielle de l'achondroplasie est une sclérose , puis une dégéné- rescence calcaire du cartilag
on périostale. La moelle osseuse présente également des si- gnes de sclérose . Dans le rachitisme, au contraire, le cartilage d
rement sécréter de lamelles osseuses. L'achondroplasie, en tant que sclérose est une lésion organique destructive au même ti
s d'état de différencier une quantité suffisante d'osséine. Cette sclérose et ce trouble fonctionnel, quoique portant sur le
n d'occuper une place spéciale en nosologie. On ne confondra pas la sclérose vasculaire du muscle et l'amyotrophie bien qu'ell
ant pas, en général, au moins directement, ni d'inflammation, ni de sclérose proprement dite. Il en est autrement des infect
e plus souvent elles entraînent des lésions inflammatoires et de la sclérose . Lorsque 528 PORAK ET DURANTE l'intoxication
AK ET DURANTE l'intoxication microbienne est lente et prolongée, la sclérose peut évoluer pro- gressivement en l'absence de
ndéterminé. L'achondroplasie, au contraire, se présentant comme une sclérose du car- tilage de conjugaison, affecte une form
été avec d'autres affections. La tuberculose entraîne également des scléroses lentes. (Un connaît, par (1) Les poisons inorga
t les échanges cellulaires ; les autres (comme l'alcool), plutôt la sclérose . LES M)CHO)IÈHËS CONGENITALES S2S exemple, la
raisons de moindre résistance qui nous échappent, entraîneraient sa sclérose , base anatomique de l'achondroplasie. La syph
hondroplasie comme une lésion spécifique, mais simplement comme une sclérose d'origine variable du cartilage d'accroissement
oncerne que l'achondroplasie vraie. Dans la dysplasie périostale la sclérose fait défaut. La résorption exagérée du tissu os
bryon- naire ? Nous l'ignorons. Tandis que l'achondroplasie est une sclérose , l'aplasie périostale se comporte comme une dys
nelle, lésant directement l'ossification chondrale et entraînant sa sclérose , détermine simultanément ou ultérieurement d'au
as pour l'achondroplasie. La cause pathogène est, en elle-même, une sclérose banale et probablement variable (syphilis, tuberc
anes génitaux et de l'intelligence. La formule histologique est une sclérose avec calcification du cartilage de conjugaison
ut être rap- prochée des myopathies. L'achondroplasie, due il une sclérose , représente une formule pathologique plus habit
1897, no 2-3. HOSPICE DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES; ATROPHIE CÉRÉBELLEUSE ET SCLÉROSE
E M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES; ATROPHIE CÉRÉBELLEUSE ET SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE, PA
ontre NOUVELLE Iconographie DE la SALPETR1RE. T. XVIII. Pl. LXI SCLÉROSE EN PLAQUES, ATROPHIE CÉRÉBELLEUSE (Catola) Ma
E (Catola) Masson & Cie Éditeurs PLototyno UcrtLaud, Pans SCLÉROSE EN PLAQUES 587 que la pie-mère et les hémisphèr
aux du cervelet) présentent par ci par là des petites zones pâles SCLÉROSE EN PLAQUES 589 Coupes transversales du cervelet
ssant au ni- veau de la 1110 paire existe une très petite plaque de sclérose dans le tiers interne de la substantia nigra de
. JOl11L'.llll'. . VII - 60 r. dorsale. V 111 - 12e r. dorsale. SCLÉROSE EN PLAQUES SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE DE LA MOE
VII - 60 r. dorsale. V 111 - 12e r. dorsale. SCLÉROSE EN PLAQUES SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE (Cnoln ) SCL
OSE EN PLAQUES SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE (Cnoln ) SCLÉROSE EN PLAQUES 591 sont atteints exclusivement dans
rés irrégulièrement les uns des autres. Dans la moelle lombaire la sclérose est limitée aux] faisceaux pyramidaux. Méninges
e du rhombencéphale et surtout du cervelet; deux petites plaques de sclérose complète dans la substantia nigra de Soemmering
rêmement grave, et ne nous semble pas en rapport proportionnel à la sclérose de l'organe ; nous penchons ainsi à admettre qu
cessus d'une origine vasculaire et vasculo-méningée, à une sorte de sclérose combinée pseudo-systématique. Cette origine vas
igine vasculaire est surtout manifeste au 592 CATOLA niveau de la sclérose de la zone cornu-commissurale et de la commissure
tiple réalisant au même temps le tableau auatomo-pathologique de la sclérose en plaque (surtout au niveau du cervelet et de
de la protubérance), de l'atro- phie cérébelleuse et d'une sorte de sclérose combinée pseudo-systématique. A notre avis, cet
n a décrit rarement le choléra (1) parmi les facteurs causaux de la sclérose multiple ; ensuite parce que dans cette observa-
ressive du type Aran-Duchenne, accompa- gnée ou non de symptômes de sclérose latérale,de sclérose postérieure ou de symptôme
Duchenne, accompa- gnée ou non de symptômes de sclérose latérale,de sclérose postérieure ou de symptômes de méningo-encéphal
ns le démembrement de l'amyotrophie spinale qui a com- mencé par la sclérose latérale amyotrophique, qui s'est continuée par l
ulations. Le corps thyroïde, pesant 110 grammes, est le siège d'une sclérose diffuse, dont l'examen microscopique a permis d
rie et Neurologie, 1905.2. fiHASLIN,CO)ili'ibnlt07t à l'élude de la sclérose cérébrale. Archives de médecine expérimen- tale
ion complète du système nerveux et son remplacement par un tissu de sclérose , grâce à la résistance que le foetus doit, d'un
mince : ce dernier cas marquera l'étendue du processus terminal de sclérose . Quant aux (1) G. B. PHLL121 (de Sassari), Noie
onctivo- vasculaire caractéristique : l'inflammation se termine par sclérose . (1) E. Breschet, Article Anencéphalie du Dicti
uite de la -) (1 pt. ), par LAMY, 424. Paralytiques généraux (Les scléroses l'om- binées médullaires des -) (2 pl.) par V
ante avec lombo droite) (2 fig., 1 pl.), par Henry MnIGE), 234. Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose
nry MnIGE), 234. Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudosystématique de la moelle épinière (2 pl.
seudosystématique de la moelle épinière (2 pl.), par CATOLA, 583. Sclérose en plaques fruste ou syndrome cérébelleux de Ba
te ou syndrome cérébelleux de Babinski (1 pl.), par Scherb, 31. Sclérose médullaire, transverse, segmen- laire, dorso-lo
u- matique, forme clinique curable (6 fig.), par RÉVILLIOD, 17. Scléroses combinées médullaires des para- lytiques généra
ar contracture hystérique chez les enfants (2 fig.), 443. CATOLA. Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose
ig.), 443. CATOLA. Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudo-systéma- tique de la moelle épinière (2
e d'examen du sys- tème nerveux (1 pl.), 399, Ri : VILLIOl) (L.). Sclérose médullaire, trans- verse segmentaire, dorso-lom
s mem- bres (3 pl.), 560. Vigouroux et LAIG ? EL-LAVISTINE. Les scléroses combinées médullaires des paralytiques géneraux
RuDLEn), LXV. Scapul;e alalae physiologiques (RunLEIC), LXXVII. Scléroses combinées médullaires des para- lytiques généra
généraux (Vigourout et LAI G1'o'EL-LAVASTI1'o'E), XXXVIII, XXXIV. Sclérose en plaques, atrophie cérébelleuse (CATOLA), LXI
XXIV. Sclérose en plaques, atrophie cérébelleuse (CATOLA), LXI. Sclérose en plaqes, sclérose pseudo-systé- matique de la
plaques, atrophie cérébelleuse (CATOLA), LXI. Sclérose en plaqes, sclérose pseudo-systé- matique de la moelle (CATOLA), LX
8 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
leucocythes. D-D-D-D. Coupes de vaisseau altérés. 7 : . Tissu de sclérose . F. Tubes nerveux conservés. G-G. Partie de l
ayer, n° 1, service de M. le pl' Charcot). PLANCHE X Figure 19. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale lombaire. Coupe pr
ure et colorée par la méthode de Pall. On voit une petite plaque de sclérose très prononcée dans la zone radiculaire posté-
K. Partie sclérosée du cordon antéro-latéral gauche. L. Plaque de sclérose du cordon latéral gauche. M. Plaque de scléro
e. L. Plaque de sclérose du cordon latéral gauche. M. Plaque de sclérose de la zone radiculaire. Figure 20. SCLÉROSE
che. M. Plaque de sclérose de la zone radiculaire. Figure 20. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. La figure représe
la persistance de nombreux tubes nerveux indemnes dans le tissu de sclérose . A-A-A. Tissu scléreux. B-B-B. Tubes nerveux
es leçons cliniques de M. le Pr Charcot PLANCHE XI Figure 21. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION cervico-dorsale. Coupe prati
ans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall. La sclérose occupe la presque totalité de la coupe, la partie
s mêmes cordons. J. Cordons postérieurs sclérosés. Figure 22. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe
de Pall. On y voit la distribution très irrégulière des plaques de sclérose disséminées dans les cordons postérieurs, la su
elles qui ont fourni la planche X. , PLANCHE XII FIGURE 23. . SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe
nférieure et colorée par la méthode de Pall. On voit des plaques de sclérose extrêmement étendues, occupant la moitié droite d
r gauche. K. Partie de la corne gauche en- vahie par la plaque de sclérose . L. Partie de cette plaque située dans le fai
ieur. N. Zone sclérosée du faisceau latéral droit. Figure 24. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. La figure représe
ut et à droite, partie moins altérée de la préparation. A. Tissu de sclérose . B-B. Région moins altérée où persistent un gra
e intact ayant persisté. E. Vaisseau. PLANCHE XIII FIGURE 25. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION dorsale supérieure. Coupe pr
orsale supérieure et colorée par la méthode de Pall. Les plaques de sclérose sont disséminées dans presque toutes les régions
auche. P. Zone sclérosée du cordon latéral gauche. FIGURE 26. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. Coupe pratiquée d
Pall. Il s'agit d'une lésion des cornes antérieures combinée à une sclérose des cordons postérieurs. A. Corne antérieure.
que celle de la planche précédente, c'est-à-dire qu'il existe de la sclérose postérieure et des altérations des cellules des c
t (obj. 4). On y voit les tubes nerveux disséminés dans un tissu de sclérose . A-A-A. Tissu de sclérose. B. Tubes nerveux r
bes nerveux disséminés dans un tissu de sclérose. A-A-A. Tissu de sclérose . B. Tubes nerveux restés indemnes, coupés trans
psie de cette malade est encore inédit. PLANCHE XVI Figure 31 . SCLÉROSE COMBINÉE. - RÉGION dorsale. Coupe pratiquée dan
tiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. La sclérose occupe les cordons postérieurs et la presque tota
postérieur sclérosé. 0. Faisceau pyramidal sclérosé. FIGURE 32. SCLÉROSE COMBINÉE. - Région lombaire. Coupe pratiquée da
iquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La sclérose est cantonnée dans des zones analogues à celles d
y voit la dispa- rition des tubes nerveux remplacés par du tissu de sclérose , ainsi que des lésions vascu- laires. A-A. Ti
u de sclérose, ainsi que des lésions vascu- laires. A-A. Tissu de sclérose . B. Corpuscule hyalin. C. Tube nerveux peu al
vu à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). On y voit un tissu de sclérose dans lequel persistent quelques tubes nerveux.
sclérose dans lequel persistent quelques tubes nerveux. A. Tissu de sclérose . B-B. Faisceaux ondulés du même tissu. C-C-C.
Lcucocythcs, H. Substance granuleuse. ? 7. Vaisseaux. J. Tissu de sclérose . PLANCHE XXV Figure 49. PARALYSIE INFANTILE
rée par la méthode de Weigert. Cas classique dans lequel on voit la sclérose presque totale des faisceaux postérieurs. A. Co
a préparation a été colorée par le picrocarmin. On y voit le tissu de sclérose dans lequel persistent un assez grand nombre de
quel persistent un assez grand nombre de tubes nerveux. A. Tissu de sclérose . B. Tube nerveux altéré. C-C. Tube nerveux sa
stérieurs sclérosés et colorée au picro-carmin. On voit un tissu de sclérose , avec des corps hyalins, et des lésions vasculair
se, avec des corps hyalins, et des lésions vasculaires. A. Tissu de sclérose . B. Tube nerveux. C. Corps hyalin. D. Coupe
a zone radiculaire sclérosée. .1. Lésion vasculaire. Figure 60. SCLÉROSE LATÉRALE, AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Rég
a région cervicale supérieure et colorée par la méthode de Pall. La sclérose des faisceaux pyramidaux est très nettement dessi
-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. PLANCHE XXXI Figure 61. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Renf
ostérieurs. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. Figure 62. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Fais
, Vérick). On voit des tubes nerveux disparaissant dans un tissu de sclérose . - A. Tissu de sclérose. B-B. Gros tractus fi
es nerveux disparaissant dans un tissu de sclérose. - A. Tissu de sclérose . B-B. Gros tractus fibreux. C. Tubes nerveux
truits. D-D. Tubes nerveux indemnes. PLANCHE XXXII Figure 63. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Régi
postérieur. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. FIGURE 64. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Corn
nts. D-D. Cellules très atrophiées. PLANCHE XXXIII Figure 65. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Régi
postérieur. J-J. Faisceaux pyramidaux al- térés. ' Figure 66. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Fais
roi d'un vaisseau. D. Globules rouges. Toutes ces préparations de Sclérose latérale amyotrophique se rapportent a la moelle
cervicale et colorée par la méthode de Pall. La distribution de la sclérose est beaucoup plus accentuée dans les cordons post
4, Vérick). Les tubes nerveux sont encore nombreux dans le tissu de Sclérose . A-A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux alté
rveux sont encore nombreux dans le tissu de Sclérose. A-A. Tissu de sclérose . B. Tube nerveux altéré. C. Tube nerveux sain
ré par la méthode de Pall. A-A. Substance fibrillaire du tissu de sclérose . B-B. Tubes nerveux restés sains. - C-C-C. Tu
té pathologique centrale et relativement considérable, ainsi que la sclérose secondaire des faisceaux pyramidaux. A. Corne a
tumeur proéminente dans le cordon postérieur. Il existe de plus une sclérose des cordons de Goll. : 1. Corne antérieure. B
est entourée de très peu de substance gliomateuse, et il existe une sclérose remarquable des faisceaux pyramidaux directs et c
gauche au niveau de la partie intermédiaire entre les deux cornes. La sclérose des faisceaux pyramidaux est également manifest
lieu à de grandes difficultés de diagnostic pendant sa vie entre la Sclérose latérale amyotrophique et la Syringomyélie, ce do
9 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ales inférieures sont, surtout à droite, engainées dans un tissu de sclérose dense ; nombreuses adhérences, sur toute la haute
veuses il n'en est pas autre- ment (tabès, neuritis, syringomyélie, sclérose en plaques), car en somme la cause de toutes ce
emarqua chez les animaux une augmentation de croissance des os avec sclérose après des doses minimales de phosphore, de merc
midale, les toxines bacillaires ? Est-ce en occasionnant une légère sclérose , ou bien en amenant un arrêt de développement d
arrêt de développement des faisceaux pyramidaux ? L'hypothèse d'une sclérose acquise et récente nous paraît la moins sédui-
trine entre les clavicules (1) Chez un malade du service atteint de sclérose latérale amyetrophique, le malade quoique paral
t d'un ramollis- sement récent et que nous sommes en présence d'une sclérose très accusée. Cette dégénérescence pourrait-ell
gaines de myéline. Les nerfs radiculaires présentent les lésions de sclérose conjonctive ancienne que j'ai décrites précédem
ulaires postérieures présen- tent déjà un aspect pâle tandis que la sclérose n'est pas encore très intense dans les zones ra
érieurs une lésion radiculaire discrète mais diffuse, plutôt qu'une sclérose intense et nettement systématisée. Cette remarq
qui, dans les coupes colorées à l'hématoxyline, apparaît comme une sclérose riche en éléments cellulaires, avec des lésions v
par un épaississement de leurs enveloppes,qui donne l'aspect d'une sclérose à la fois annulaire et insulaire ; mais il n'ex
, visibles par la méthode de Pal, au niveau de la Ire sacrée,qu'une sclérose des faisceaux pyramidaux et une lésion à peine
être décelées par la présence de fibres régénérées, avant que la . sclérose des cordons postérieurs soit appréciable. OBs.
ques athéromateuses dans la région sus-sigmoïdienne. Léger degré de sclérose rénale. Au sommet du poumon gauche, quelques îl
ivant les cas l'encé- phalomalacie à type lacunaire de P. Marie, la sclérose médullaire polyfas- ciculaire ou enfin la myosi
la paraplégie par rétraction : le rhumatisme chronique fibreux, la sclérose médullaire polyfasciculaire. A une certaine p
longtemps dans leur lit, atteints de contractures secondaires à la sclérose polyfasciculaire,; mais, nous le répé- tons, le
ération assez marquée des noyaux du sarcolemme avec une très légère sclérose interstitielle. Diminution individuelle, pourrait
tération sénile physiologique. Nous ne parlons pas des lésions de sclérose artérielle ou de celles qui frappent si souvent
t auteur qui avait si bien vu et décrit la paraplégie spastique par sclérose polyfasciculaire nous semble avoir rangé à tort
seule- ment dans une région très limitée de la moelle cervicale une sclérose légère touchant le faisceau pyramidal croisé. L
4 ans. Ainsi qu'il arrive dans la contracture tabétique de Démange ( sclérose médullaire polyfasciculaire) l'affection se dis
ture de la maladie ; mais si on peut voir parfois la paraplégie par sclérose polyfasciculaire se compliquer de rétractions mus
La fixité de position des membres est assurée en effet, tant par la sclérose des muscles que par rétraction des tissus fibre
,des coupes colorées suivant les diverses techniques,mon- trent une sclérose marginale telle qu'on la rencontre fréquemment ch
venues des îlots périvasculaires. A un plus fort grossissement, la sclérose constituée par des fibres épaisses renfer- mant
ntrer comment évolue la lésion avant d'aboutir à l'atrophie et à la sclérose accu- sée du muscle. Tout d'abord, ici comme
iniquement par des douleurs fulgurantes et hislologiquement par une sclérose systématique des cordons postérieurs. Le profes
ines. Il n'existait sur les coupes de ces deux nerfs aucune zone de sclérose ni de raréfaction des fibres. Le splanchnique dro
dégénérées. HOSPICE DE BICÊTRE. LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS PAR GIUNIO CATOLA As
e de Florence. L'opinion prédominante au sujet de l'étiologie de la sclérose en plaques est celle qui reconnaît à la maladie
s sont la fièvre typhoïde et la variole; mais on a aussi observé la sclérose en plaques à la suite de la rougeole et de la s
tions penvent jouer un rôle étiologique dans le développement de la sclérose en plaques, on a, au contraire, contesté ce mêm
im, dans son Traité sur les maladies du système nerveux, dit que la sclérose en plaques n'a rien à voir avec la syphilis ; il
-spinale à foyers disséminés. P. Marie dans l'article consacré à la sclérose , en plaques dans le Traité de médecine de Charc
on (la syphi- lis) prenne une part notable dans la production de la sclérose en plaques, du moins telle qu'elle est comprise
auteurs, que tous les cas dans lesquels on a constaté des foyers de sclérose médullaire plus ou moins nombreux, plus ou moin
disséminés, soient par cela même compris sous la déno- mination de sclérose en plaques. Il y a lieu, à mon avis, d'établir ic
l'aspect en em- porte-pièce que nous avons décrit plus haut dans la sclérose en plaques ; elles se continuent ou du moins se
s le tissu ambiant et méritent, jusqu'à un certain point, le nom de sclérose diffuse. « Au point de vue clinique, cette form
elle se présente ordinairement par les symp- tômes classiques de la sclérose en plaques, notamment le tremblement, les troub
ôt de paralysie ; enfin sa marche n'est pas la même que celle de la sclérose en plaques, elle se montre souvent beaucoup plus
ents bien précis ; mais tout en pensant que pour elle comme pour la sclérose en plaques proprement dite, les maladies infectie
: c'est ainsi par exemple que la syphilis, qui ne produit guère la sclérose en plaques pro- prement dite, pourrait être dan
'en réalité toutes deux soient dans la commune acception du mot des scléroses en plaques, je vous proposerais de réserver ce
e et de désigner la seconde sous un autre nom, par exemple celui de sclérose multiloculaire diffuse. Cette. dernière forme,
éanmoins le tableau symptomatique n'est pas le même que celui de la sclérose en plaques ordinaire. Si dans l'anamnèse du malad
syphilis n'a aucune valeur étiologique dans le développement de la sclérose en plaques. Suivant l'avis de Müller, l'existen
la sclérose en plaques. Suivant l'avis de Müller, l'existence d'une sclérose multiple syphili- SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHIL
vant l'avis de Müller, l'existence d'une sclérose multiple syphili- SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 339 * tique est unique
* tique est uniquement admissible dans le sens qu'il s'agit' d'une sclérose multiple secondaire à une artérite syphilitique
sclérotico-inflammatoires semblables à celles qu'on retrouve dans la sclérose en plaques vraie ; il fait remarquer que les de
s n'ont pas les mêmes caractères histologiques que les foyers de la sclérose en plaques vraie. Dans les zones scléreuses de la
. Or tout cela n'appartiendrait pas à la structure des foyers de la sclérose en plaques pure. Ici on aurait, au contraire :
la névroglie représente surtout un processus de réparation, dans la sclérose en plaques la gliose ne serait pas en rapport ave
affirment que le processus anato- 340 GIUNIO CATOLA mique dans la sclérose en plaques commence dans le tissu nerveux. Ils
latau et Koelichen, Bielschowsky. Dejerine décrit un cas à forme de sclérose latérale amyotrophique, et ayant trouvé des lés
on. La même année, P. Marie écrivait dans le Progrès médical : « La sclérose en plaques n'est que la localisation médullo-encé
ème nerveux publié par Jacobson, Minor et Flatau, au chapitre de la sclérose en plaques, a fait remarquer que assez souvent
plaques, a fait remarquer que assez souvent on voit les plaques de sclérose suivre le trajet des vaisseaux. Il reconnaît en m
veine altérée ou thrombosée. ' Pour les auteurs qui considèrent la sclérose en plaques comme une gliose disséminée primitiv
on livre il distingue une sclé- rose en plaques d'origine endogène ( sclérose en plaques vraie) et une sclé- rose en plaques
tre infection. Cela donné, il ne s'agirait pas, dans ces cas, d'une sclérose en plaques vraie, mais d'une sclérose disséminé
rait pas, dans ces cas, d'une sclérose en plaques vraie, mais d'une sclérose disséminée secondaire nettement distincte de la
énumérées. Les auteurs qui soutiennent l'origine infectieuse de la sclérose en pla- SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 341 i
uteurs qui soutiennent l'origine infectieuse de la sclérose en pla- SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 341 i ques tout en accep
lite syphilitique disséminée, éta- blissent entre cette forme et la sclérose en plaques légitime (qu'ils attribuent à l'acti
sidère comme liée à une anomalie congénitale de développement de la sclérose en plaques de n'importe quelle origine infectie
sd'une façon décisive l'infection syphilitique de l'étiologie de la sclérose en plaques. Déjerine et Thomas dans le Traité d
assium et le mercure, car, disent-ils, il n'est pas démontré que la sclérose en plaques ne puisse reconnaître la syphilis co
seule maladie qui semble avoir joué un rôle dans l'apparition de la sclérose (Babinski, Greiff, Orlowsky, Thomas et Long).
lowsky, Thomas et Long). Dans le cas d'Orlowsky il s'agissait d'une sclérose en plaques associée à une myélite syphilitique.
secondaires faisaient défaut. Greiff mentionne la combinaison de la sclérose diffuse du cerveau et de la moelle avec la sclé
mbinaison de la sclérose diffuse du cerveau et de la moelle avec la sclérose en plaques. Long rapporte une observation fort
supérieure et moyenne, épaississement des méninges, deux plaques de sclérose multiple vraie au niveau de la moelle cervicale e
lules nerveuses. L'auteur conclut en admettant la coexistence de la sclérose multiple avec la syphilis spinale. Il ne cons
tiquée par Ladame. « La complication d'une syphilis spinale par une sclérose en plaques de nature différente, dit-il, est ce
avoir des plaques scléreuses tout à fait semblables à celles de la sclérose en plaques vraie sans être en même temps une vr
s de la sclérose en plaques vraie sans être en même temps une vraie sclérose en plaques. Cela d'au- tant plus, suivant son a
é sur les maladies du cerveau admet qu'une petite partie des cas de sclérose en plaques repose sur l'infection syphi- litiqu
rôle que la syphilis héréditaire peut jouer dans ['étiologie de la sclérose en plaques. Il croit que la sy- philis hérédita
culaires comme le point de départ du processus hyperplasique de la sclérose multiple de l'enfance. Une sclérose disséminée
processus hyperplasique de la sclérose multiple de l'enfance. Une sclérose disséminée dans la syphilis héréditaire a été déc
, périsplénite, néphrite interstitielle. Dans ce cas les plaques de sclérose n'avaient pas tous les caractères histologi- qu
n'avaient pas tous les caractères histologi- ques des plaques de la sclérose multiple vraie. Cardarelli en 1897 a relaté un
Cardarelli en 1897 a relaté un cas de combinaison du tabes avec la sclérose en plaques qu'il juge avoir une origine certainem
ène de Romberg, tremblement intentionnel, contractions fibrillaires SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 343 dans la langue et le
lté de la résoudre est d'autant plus grande qu'à côté des foyers de sclérose en plaques avec tous les caractères histo- logi
moins accentuées. En effet, les lésions vas- culaires sont dans la sclérose en plaques plus fréquentes qu'on ne l'a- vait p
presque toutes les plaques. Enfin Rossolimo et Williamson ont vu la sclérose localisée dans tout le territoire d'irrigation
présente pas un caractère histolo- gique exclusif aux foyers de la sclérose en plaques vraie ; on l'a maintes fois décrite
344 GIUNIO CATOLA ' En somme nous pouvons conclure : 1° Dans la sclérose en plaques on a le plus souvent la conservation p
howsky, Lapinsky, Redlich, Siemerling, Probst. 2° Dans les zones de sclérose n'appartenant pas à la sclérose en plaques vrai
rling, Probst. 2° Dans les zones de sclérose n'appartenant pas à la sclérose en plaques vraie, y compris celles d'origine sy
ins complètement défaut. Si à ces conclusions on ajoute que dans la sclérose en plaques vraie on rencontre souvent des lésio
oire car elles aussi ont été maintes fois trouvées altérées dans la sclérose en plaques classique (Borst et d'autres). Cel
miner dans tous les cas la syphilis des facteurs étiologiques de la sclérose en pla- ques. A ce propos je ferai aussi remarq
e présente réellement les caractères histologiques des foyers de la sclérose en plaques vraie et si elle est réellement due à
Car si la syphilis est capable de donner naissance à des plaques de sclérose tout à fait comparables à celles de la sclérose m
ce à des plaques de sclérose tout à fait comparables à celles de la sclérose multiple, cela cons- titue bien une forme spéci
s il n'y a pas de raisons pour refuser à cette forme l'étiquette de sclérose en plaques uni- quement parce que dans son étio
ues uni- quement parce que dans son étiologie figure la syphilis. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPI11LIS 345 Après avoir passé a
étiologique de l'infection syphilitique dans le développement de la sclérose en plaques, je vais rapporter deux observations p
903. - Depuis 5 ou 6 jours le malade dit qu'il voit double le matin SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 347 au moment où il se r
- tubérance est profondément lésée. Les parties restées indemnes de sclérose sont, en résumé, les suivantes : les fibres tra
ée. La moitié droite est encore plus pro- fondément atteinte par la sclérose comme il résulte de la figure. Avec tout cela i
. XIX. Pl. LU Fig. 4 Fig. 5 Fig. 6 Fig. 7 Fig. 8 Fig. 9 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) Masson &
OSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) Masson & Ci«, Éditeurs SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 349 noyau central inféri
e complètement conservées. ' Région bulbaire supérieure. La zone de sclérose occupe les deux pyra- mides, les noyaux arqués,
et les cordons postérieurs sont à peu près normaux, sauf una légère sclérose .sy- métrique bornée aux faisceaux pyramidaux (
u'à la totalité de la moelle lombaire on rencontre des pla- ques de sclérose avec ou sans dégénérescence secondaire. Avec cela
autre preuve très importante qui fait reconnaître à cette forme de sclérose des caractères identiques à ceux qu'on est habitu
les vaisseaux de la substance médullaire transformée en plaques de sclérose , on observe : augmentation en nombre des capillai
. PI. LUI Fig. 10 fig.13 Fig. 11 t Fias Fig. 12 Fig. 15 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) SCLÉROSE EN
s Fig. 12 Fig. 15 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 351 1 ractères d'une mét
différente. Dans la substance médullaire, en dehors des plaques de sclérose , les vais- seaux sont très souvent accompagnés
ssez rares. Les tourbillons de fibrilles maintes fois décrits dans la sclérose en plaque n'y sont pas évidents. Au niveau de
clérose en plaque n'y sont pas évidents. Au niveau des plaques de sclérose il n'existe presque plus une fibre nerveuse ave
aussi d'autres fibres plus ou moins atrophiées. Dans -les zones de sclérose existent, éparses, quelques cellules granuleuses,
ude la structure normale des cellules, même dans les endroits où la sclérose sem- ble la plus complète. L'examen histologi
oyaux à forme et à dimension va- riable. Cette constatation d'une sclérose assez prononcée des régions des noyaux dentés n
'autant plus que nous l'avons rencontrée aussi dans un autre cas de sclérose en plaques légitime. Il vaudrait la peine d'exa
it la peine d'examiner régulièrement ces zones dans tous les cas de sclérose en plaques et particulièrement dans ceux qui pr
ans la méninge confirment, à notre avis, la nature spécifique de la sclérose et lui en impriment un certain cachet histologi
qui s'éloigne un peu de ce que nous trouvons habituellement dans la sclérose en plaques commune; mais, d'un autre côté, nous
ombreux dans la partie inférieure de la moelle. Quelques plaques de sclérose sous l'épendyme des ventricules latéraux. (UVEL
ig. 1 Fig. 2 i Fig. 3 t Fig. 4 4 ,1 : \ Fig. 5 11 I i SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 1 (Catola.) SCLÉROSE E
: \ Fig. 5 11 I i SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 353 Sclérose des zones c
UES ET SYPHILIS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 353 Sclérose des zones ciliaires et périciliaires du cervelet
ure jusqu'à la 88 racine dor- sale existent de très larges zones de sclérose entrecoupées par des petits îlots de tissu nerv
ssissement de la paroi, infiltration, parfois dégénération hyaline. Sclérose des zones ciliaires et periciliaires du cervele
tie des cylindraxes et des cellules ganglionnaires dans les zones des sclérose , absence de dégénerescences secondaires. Je v
-ci peuvent réaliser les caractères histologiques des plaques de la sclérose multiple légitime. Dans ce cas le tableau clini
A la 5° racine le cordon latéral droit est remplacé par une zone de sclérose dans toute sa moitié antérieure. La sclérose occu
mplacé par une zone de sclérose dans toute sa moitié antérieure. La sclérose occupe en même temps la commissure grise,le cor
tie médiane du cordon antérieur du côté gauche sont atteints par la sclérose : il y reste un petit état de tissu sain dans l
es cou- pes photographiées pour voir immédiatement que les zones de sclérose , au moins certaines d'entr'elles, ne sont pas d
henille, la méthode de Stroebe et de Kaplan nous avons pu mettre en SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 355 évidence dans les te
ctement démontrable des cylindraxes nerveux. L'étude des plaques de sclérose y met en évidence une augmentation non douteuse
les autres parties des pla- ques. Au niveau de la grande plaque de sclérose du 6e segment dorsal (fig. 5), les cellules des
térieure de la moelle et au niveau des zones scléreuses. Plaques de sclérose disséminées sans dégénérescences secondaires et
e cas donc,nous voyons réalisée à nouveau l'existence de plaques de sclérose d'une origine sans doute syphilitique, qui présen
cliniques exis- tant entre la myélite syphilitique disséminée et la sclérose en plaques, nous ne pouvons omettre une remarqu
syphilis cérébro-spinale ne réalise jamais la symptomatologie de la sclérose en plaques. Nonne dans son livre,admet qu'elle ne
eu à une symptomato- logie très analogue ou identique à celle de la sclérose en plaques, ceci est démontré aussi d'une façon
ale. La symptomatologie du malade était si comparable à celle de la sclérose en plaques qu'il ne nous semble pas justifié de l
répéter, le diagnostic différentiel est très difficile sinon tout à SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 357 -1 fait impossible.
roubles vésicaux, tout comme on les rencontre dans le tableau de la sclérose en plaques vraie. Notre premier cas est particu-
le fait que nous vou- lions démontrer, savoir que les foyers de la sclérose syphilitique peu- vent posséder tous les caract
ilitique peu- vent posséder tous les caractères histologiques de la sclérose en plaques commune. Nous arrivons ainsi à admet
syphilis peut jouer un rôle assez important dans l'étiologie de la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une fo
e la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une forme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait comparable
antérieure d'une zone médullaire non transformée dans une plaque de sclérose . Colora- tion : hématoxyline d'Ehrlich. - Gross
1888. 2. Babinski (J.) Recherches sur l'anatomie pathologique de la sclérose en plaques 11t étude comparative des diverses v
sclérose en plaques 11t étude comparative des diverses variétés de sclérose de la moelle. Archiv. de physio- logie normale
rmale et pathologique, 1885. 3. Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques, Paris, 1885. 4. BALINT. Beitrage zu
rose. Neurolog. Centralbl., 1903. 11. Bourneville et GuËRARD. De la sclérose en plaques disséminée. Paris 1869. 12. BucHWALc
dorsale e sclerosi a placche d'origine silitica. 15. Catola (G.). - Sclérose en plaques; atrophie cérébelleuse et sclérose pse
a. 15. Catola (G.). - Sclérose en plaques; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudo-systématique de la moelle épinière. Nouv
alis. Deutsche mediz. Wochenschr., ne 43, 1896. 17. CHARCOT. Sur la sclérose en plaques disséminée. Gaz. des hôpitaux, 1868. ,
Archiv. f. Psychiatrie, 1888. ' ' . 21. Dejerine. - Elude sur la sclérose en plaques cérébro spinale à forme de sclérose la
jerine. - Elude sur la sclérose en plaques cérébro spinale à forme de sclérose laté- roamyotroplaigue. Revue de médecine, 1884
mit anat.Be/und. Deutsche Zeitschrift sur Nervenheillcunde, 1902. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 3.a 28. FLATAU urrn KLIC
f. Neurolog.. Centralbl., 1895. 48. Joffroy. - Note sur un cas de sclérose en plaques disséminées. Gaz. méd. de Paris, 187
tschrit. f. klin. Medizin., 1899. 57. Ladame Syphilis médullaire et sclérose en plaques. Revue neurol., vol. VIII. 58. Lanno
rose en plaques. Revue neurol., vol. VIII. 58. Lannois et PAVIOT. - Sclérose en plaques consécutive à une arthrite tuberculeus
64. LONG. - Thèse de privat-docent. Genève, 1899. 65. Marie (P.). - Sclérose en plaques et maladies infectieuses . Progrès méd
ses . Progrès médical, 1884. 360 GIUNIO CATOLA - 66. Marie (P). - Sclérose en plaques. Traité de médecine Charcot-Bouciiard,
ne Charcot-Bouciiard, 2c éd. 1904. 67. : 1ASSALONGO et SILVESTHI. - Sclérose en plaques infantile d'origine grippale. Revue
1887. 71. - De l'influence étiologique de l'hérédo-syphilis sur la sclérose en plaques chez les enfants. Revue mensuelle de
Psych., 1901. 85. RENEu. Contribution à l'origine infectieuse de la sclérose en plaques. Gaz. méd. de Paris, 1893. 86. RED
und Neurologie, 1898. 95. SiEMERLiKQ. Zur Diagnose der multiplen Sclérose . Neurol. Centralb., 1898. 96. Scheikiewtsch. -
plen Sklerose usw. infolge von Syphilis. Berl. klin. Woch., 1885. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPIiILIS 361 101. SCHUSTEII UND
ig u. Wien, 1887. 105. Thomas A. et LoG. Contribution à l'élude des Scléroses de la moelle épinière. Société de Biologie, 189
du plus frappant lorsqu'il coïncide avec un amai- grissement ou une sclérose des tissus mous du corps des doigts ; mais elle
e penser à une transformation adéno- mateuse de la pituitaire. La sclérose active d'une partie de la glande et la transforma
lacés par du tissu conjonctif scléreux. Il existe un certain degré de sclérose 444 ARMAND-DELILLE ET BOUDET périvasculaire e
gré de sclérose 444 ARMAND-DELILLE ET BOUDET périvasculaire et de sclérose interstitielle; au contraire, l'adipose est très
fération intense des noyaux ; il existe de plus un certain degré de sclérose interfasciculaire. De plus, sur toutes les coup
aires, avec un certain degré de 446 .11111e1\D-DISLILLE et BOUDER sclérose interstitielle, mais sans altérations vasculaires
Il existe en tout cas, d'une façon indiscutable, un degré marqué de sclérose névroglique dans toute l'étendue des cornes ant
e et dégé- nérées en partie. Il existe d'ailleurs, à ce niveau, une sclérose névroglique que nous avons pu mettre en évidenc
ttre en évidence par la méthode de Weigert pour la névroglie. Cette sclérose n'est pas également intense autour du néoplasme ;
ibres pourvues d'une gaîne de myéline y sont moins nombreuses et la sclérose monotubulaire y est plus nette. ' On retrouve l
rimitives ? En tout cas elles ne dépendent nullement des lésions de sclérose vasculaire qui sont contingentes ou tout au moi
nérescence des racines postérieures, elles ne diffèrent en rien de la sclérose des cordons postérieurs qu'on observe dans le t
s éléments nerveux comme dans certains processus d'endonévrite : la sclérose est ici 504 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS .. orien
nt le processus dégénératif s'est compliqué à un moment donné d'une sclérose interstitielle secondaire, ou bien la sclérose hy
n moment donné d'une sclérose interstitielle secondaire, ou bien la sclérose hypertro- phique est-elle primitive et a-t-elle
e fait défaut; le trouble moteur serait très analogue à celui de la sclérose en plaques ; nous ferons simple- ment remarquer
natomie pa- thologique générale ; nous ne connaissons pas encore de sclérose qui atro- phique d'emblée, devienne la longue s
as encore de sclérose qui atro- phique d'emblée, devienne la longue sclérose hypertrophique; d'ailleurs (1) Dubreuilh, Etude
es racines sont englobées, parfois tiraillées ; au microscope, leur sclérose a été souvent constatée, parfois même avec alté
peuvent avoir plus ou moins complètement disparu : on constaste la sclérose et l'épais- sissement des méninges molles, des
léger épaississe- ment de leurs^parois. Canal épendymaire oblitéré. Sclérose des racines. Au- dessus et au-dessous de cette
(obs. VI). Les racines, au niveau du foyer, étaient atteintes de sclérose dans les 3 cas suivants : Obs. I, où cette sc
atteintes de sclérose dans les 3 cas suivants : Obs. I, où cette sclérose pouvait s'expliquer par la compression exercée
ù leur englobement par le tissu lardacé était considéra- ble ; leur sclérose est plus marquée dans l'obs. II où il s'agissait
ombo-sacrée, une dilatation du canal central entourée d'une zone de sclérose névroglique. Nous ren- voyons pour l'étude de c
acines cervicales inférieu- res, surtout à droite, dans un tissu de sclérose dense ; après incision de la dure- mère, nombre
, avec chromatolyse diffuse et pigmentation légère. On remarque une sclérose diffuse de la pie-mère et de la névroglie, cell
être ébauche d'aplatissement dans le sens antéro-postérieur. Pas de sclérose névroglique ; méninges et vais- seaux sanguins
ssement dans la région lombo-sacrée des méninges postérieures, avec sclérose notable des leptomé- ninges, au niveau des nerf
VII, fig. 1), un gros tubercule ancien est contenu dans un tissu de sclérose situé dans l'espace épidural ; les racines, eng
ires que dans les culs-de-sac méningés des racines englobées par la sclérose . Au niveau du foyer tuberculeux, dilatation irr
ière des gaînes myélini- ques, avec tuméfaction des cylindres-axes, sclérose névroglique, et lésions dé- génératives au-dess
activité ; à son niveau ( ? 7° dorsales), la moelle est atteinte de sclérose névroglique dif- fuse,prédominante à la partie
ec chromatolyse et pigmentation dans toute la hauteur de la moelle, sclérose des méninges molles. Vaisseaux largement rempli
nt envahi. Au devant de la dure-mère, collé à elle, est un tissu de sclérose sans tuber- cules, contenant de nombreux vaisse
utopsie montre les 6e racines cervicales enserrées dans un tissu de sclérose ; cette com- pression n'avait, cliniquement, dé
aississement de la névroglie, désintégration de la myéline, ou bien sclérose avec atrophie des fibres nerveuses, et, au Pal
trouvons, tantôt des lé- sions « d'oedème »,, tantôt des lésions de sclérose , avec dégénérations, souvent les deux mélangés.
que. HËMIASYKERGIE DROITE ta l' Sur les bords, il n'existe pas de sclérose , ni de réaction leucocytaire. Il s'agit donc d'
ste autour des nappes sangui- nes que quelques leucocytes et pas de sclérose . Au contraire, disséminés dans la protubérance
périeur et occupée par le feutrage sous-lobaire. En plus de cette sclérose ,on remarque,par la méthode de Marchi, 2 ordres.
du lobe semi-lunaire supérieur. Au niveau de ce foyer il existe une sclérose adulte très nette,formée de fibres conjonctives
fibres atteintes parle foyer cérébelleux. La grosse lésion est la sclérose de l'olive bulbaire du côté opposé. Dans la pro
a-olivaire (Pl. LXXX, B). La méthode de Van Gieson montre une forte sclérose de l'olive gauche avec maximum en deux points s
érique (PLLXXX,C). Dans l'autre olive, au contraire,il n'y a pas de sclérose , pas de foyer scléreux, pas de dimi- nution de
ures après la mort). Diagnostic anatomique : Aortite chronique avec sclérose myocardique et artérite des coronaires, emphysè
res, emphysème sénile, bronchite diffuse, périsplénite chro- nique, sclérose rénale intense. La moelle et les nerfs périphériq
plus fort grossissement. Corne antérieure gauche (VII' cerv.). Sclérose ; disparition des groupes cellulaires sauf le gr
es artères : partout on voit des lésions péri-endoartériques et une sclérose péri et paravasale. On voit fréquemment que les e
l'autre. Enfin, l'examen histopathologique peut se résumer ainsi : sclérose médullaire diffuse (sous pie-mérienne, périvascul
pour expli- quer l'action dystrophiante de l'artério-sclérose : la sclérose des septa, les infiltrations et la sclérose pér
l'artério-sclérose : la sclérose des septa, les infiltrations et la sclérose périartérielle, l'engorgement de la circulation
suffi- sance fonctionnelle, et à l'examen anatomique des lésions de sclérose dif- fuse. On pourrait objecter que dans ce cas
ulementprésu- mer l'altération du fonctionnement de l'organe par la sclérose des artères. Mais quand la lésion a fait des pr
d'une variété d'amyotrophie : dans la plupart des cas il s'agit de scléroses latérales ou combinées et de scléroses latérales
plupart des cas il s'agit de scléroses latérales ou combinées et de scléroses latérales amyotrophiques. Cette dernière forme
mo- pathologique est la disparition des cellules radiculaires et la sclérose des cornes antérieures. La formation des lacu
l- laires anciennes et récentes, des infiltrations périvasales, des scléroses fasciculaires diffuses, et, rarement, on fait a
lables cavités : hémorragies miliaires, ramollissements incomplets, scléroses péri et para-vasales. Ainsi que les foyers de d
indirect des échanges altérés, parce que ceux-ci aident l'artério- sclérose . 3° Il est probable que l'artério-sclérose peut
II : Revue de médecine 1901. Des troubles médullaires de l'artério- sclérose . Grasset : Revue neurologique, 1906. ' BtEGAN
chitisme tardif et scoliose des adolescents (1 pl.), 129. CATOLA. Sclérose en plaques et syphilis (3 pl.), 337. CIIARTIE
l des neurones périphériques), par J.-C. Roux et J. HEITZ, 297. Scléroses en plaques et syphilis (3 pl.), par GATOLA, 331
nerveuses (J. NA- GCOTTE), XXXIV, XXXV, XXXVI,XXXVII, XXXVIII. Sclérose en plaques et syphilis (CATOLA), LI, LII, LUI,
10 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE DEUX NOUVEAUX CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTRO- PH1QUE SUIVIS D'AUTOPSIE; P
ontré l'un de nous, rentrent tout naturellement dans le cadre de la sclérose latérale amyo- trophique. En même temps que l
dre de la sclérose latérale amyo- trophique. En même temps que la sclérose du pied des pédon- cules, Kahler et Pick notaie
te : 1 KojewnikofT. Archives de Neurologie, t883, VI, 356. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 3 non seulement la sclé
, 356. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 3 non seulement la sclérose latérale amyotrophique est étroitement localisé
mouvements d'opposition du pouce sont lents, difficiles, de CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 5 même le premier métac
cardiaques constatés aujourd'hui seulement. Ces troubles car CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 7 diaques qui n'existai
ion du premier métacarpien, qui est sur le même plan que les CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPIUQUE. 9 autres métacarpiens.
mple énumératiou, notamment pour les nerfs et les muscles. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 15 Circonvolution parié
cun dans l'espace occupé par les cellules du locus niger non CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 17 plus que dans les au
par le carmin des coupes de la moelle : Région cervicale. Outre la sclérose du faisceau pyramidal croisé et direct, il exis
e blanche, au niveau de l'angle externe des cornes antérieures, une sclérose qui forme une zone transversale s'étendant pres
tend au-devant de la partie antérieure de la corne anté- rieure, la sclérose est beaucoup moins marquée. Les faisceaux de Go
orsale. Mêmes lésions que pour la région cervi- cale : -la bande de sclérose s'étend en avant jusqu'à la péri- phérie de la
nt bien conservées. Région Lombaire.- Dans la substance blanche, la sclérose est presque localisée étroitement à la région o
rveuses est diminué d'une façon très notable; (déjà, dans un cas de sclérose latérale amyotrophique, Kahler avait pu constat
ent voir d'une façon nette les lésions atrophiques ordinaires de la sclérose latérale amyotrophique. Le nerf hypoglosse es
le professeur Charcot, par M. le Dr Brissaud, avec le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique. Tous les renseignem
tirée à gauche, les yeux blancs ; la malade était alors sans CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 21 connaissance, mais e
Lorsqu'on fait lever la malade, elle ne peut faire quelques CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 23 pas qu'en se tenant
ontale et pariétale ascendantes, ne contenaient pas de corps CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 25 granuleux, non plus
nerveuses dans les cornes antérieures. Dans la substance blanche : sclérose des faisceaux de Türclc, sclérose des faisceaux
es. Dans la substance blanche : sclérose des faisceaux de Türclc, sclérose des faisceaux latéraux, occupant non seulement le
ance blanche située en avant de celle-ci, elle présente aussi de la sclérose , mais moins accentuée. Les faisceaux de Goll mo
moins accentuée. Les faisceaux de Goll montrent un certain degré de sclérose dans presque toute leur étendue et, par l'emplo
granuleux n'existent en abondance que dans le faisceau de CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 27 Türck; on en trouve
malformation n'a d'ailleurs vraisemblablement rien à faire avec la sclérose latérale amyo- trophique. 28 PATHOLOGIE NERVE
ce grise, ainsi que des fibres nerveuses contenues dans celle-ci. Sclérose des faisceaux pyramidaux et un peu aussi des autr
ux et un peu aussi des autres parties du faisceau antéro-latéral. Sclérose assez nette des cordons postérieurs formant dans
sté- rieures ni dans les cordons postérieurs. Moelle lombaire. La sclérose occupe très nettement le territoire du faisceau
les cordons de Goll, le long du sillon postérieur, légère teinte de sclérose ; il y a aussi quelques vestiges de sclérose da
ieur, légère teinte de sclérose ; il y a aussi quelques vestiges de sclérose dans les cordons de Burdach, suivant une trainé
ble présenter aussi quelques fibres altérées et peut-être un peu de sclérose . Quant aux autres nerfs examinés, nerf cubital
ques des faisceaux pyramidaux et du noyau de l'hypoglosse. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 31 On peut ainsi non se
35 d'ailleurs, dans les espaces périvasculaires ; dans les cas de sclérose en plaques que nous avons examinés.' ces espace
à la région lombaire. Dégénérescence grise des cordons postérieurs. Sclérose des parois des vais- seaux sanguins. Weltrubs
ente des reins. L'autopsie faite par le professeur Klebs montra une sclérose typique des cordons postérieurs de la moelle, u
s est normale. Dégénérescence diffuse des cordons pos- térieurs ; sclérose des vaisseaux, corpusculesamyloïdes. Le même ta
se compose perdent de leur clarté, et l'on se trouve en face d'une sclérose diffuse rétrécissant le cordon postérieur, comm
u conjonctif. En d'autres termes, nous nous trouvions en face d'une sclérose des cordons postérieurs du côté correspondant à
eurs contours; en un mot, nous avons sous les yeux le tableau d'une sclérose diffuse du cordon postérieur. En faisant un r
que l'arra- chement du nerf sciatique chez le lapin produit de la sclérose et de l'atrophie dans les cornes et les cordons
ît d'autant plus admissible, que la traction nerveuse produit de la sclérose et de l'atrophie des cornes et du cordon postér
être utile dans l'ataxie locomotrice qui, par elle-même, est une sclérose des faisceaux de Burdach, c'est-à-dire d'une pa
gation du ner* sciatique droit pratiquée avec une force de 4 kilos. Sclérose ou cordon postérieur droit, côté de la traction
stème nerveux. Si on jette un coup d'oeil à la symptomatologie delà sclérose en plaques, on est frappé d'une chose de la plu
ande variabilité de la marche et la multi- plicité des formes de la sclérose en plaques, appelé avec juste raison polymorphe
dire nous assistons à une rémission durable. Les rémissions de la sclérose en plaques, qui sont très fré- quentes, ont une
l de la Salpêtrière. Tout ce qui précède démontre évidemment que la sclérose en plaques a une tendance naturelle à la guéris
ES. 71 Jade, et n'était le regard vague qui nous a fait penser à la sclérose en plaques et tourner notre interrogatoire et n
et si originale de la maladie, nous avions posé le diagnostic de la sclérose en plaques. MM. les professeurs Caramitzas, Orp
tt, qui après avoir premièrement envahi les méninges, pro- duit une sclérose médullaire, guérit le plus souvent, même dans l
arement si elle est fortement lésée. Enfin, en ce qui concerne la sclérose en plaques, nous avons le cas de Wilson, où la
om- préhensible et plus conforme aux faits, tout au moins pour la sclérose en plaques. En effet, il est bien établi aujourd'
se en plaques. En effet, il est bien établi aujourd'hui que dans la sclérose en plaques, les cylindres axiles résistent jus-
ut encore trouver une preuve négative de notre explication dans les scléroses dites systématiques. Dans celles-ci, où le cyli
vité ; 2° l'in- tervention de la thérapeutique faite au début de la sclérose en plaques, a peut-être empêché le travail dest
s qu'à l'époque où tout le monde médical apprendra à reconnaître la sclérose en plaques, à son début surtout, quand elle se
e des cas de guérison se multipliera. Il ne faut pas ignorer que la sclérose en plaques n'est pas du tout une maladie rare,
rit dans plusieurs travaux successifs, les troubles oculaires de la sclérose en plaques, qui fournissént des signes si préci
umant les principaux points de ce travail nous dirons : 1" Que la sclérose en plaques est une maladie curable ; 2° La guér
et des racines nerveuses qui en partent). P. K. IV. SUR UN cas DE sclérose granuleuse disséminée DE L'ÉCORCE cérébrale ; p
des cylindraxes. P. K. VII. SUR LES allures DES cylindraxes dans la SCLÉROSE MULTI- loculaire; par F. SCHULTZE. (Neurolog. C
culaire; par F. SCHULTZE. (Neurolog. Centralbl., 1884.) Pourquoi la sclérose multiloculaire ne s'accompagne-t-elle pas de dé
de deux semaines à la Charité de Berlin. Le cerveau présente une sclérose modérée des artères. une coloration grise des ner
dont elles relèvent. La pachyméningite cervicale hypertrophique, la sclérose en plaques, la sclérose laté- rale amyolrophiqu
pachyméningite cervicale hypertrophique, la sclérose en plaques, la sclérose laté- rale amyolrophique, l'atrophie musculaire
te affection et l'atrophie musculaire progressive, ainsi qu'avec la sclérose latérale amyotrophique, constituent-ils index b
t bien situé dans la zone de celui-ci. On Voy. t. X, p. i. cas de sclérose r, vTr : .z.w,r amyotropiiique. 169 voit d'aill
Ueber die progressive) ! spinalen Amyotrophien, Yra ? 1884. cas de sclérose latérale AMYOTROPIIIQUE. 171 que chose d'analog
relevé dans un grand nombre d'autres autopsies : l'extension de la sclérose à une assez grande étendue des faisceaux antéro
aut-il avec certains- auteurs la regarder, comme une preuve, que la sclérose , latérale amyotrophique n'est pas une affection
se par MM. Debove etGombault, qui, envisagent cette extension de la sclérose comme liée, à l'existence de zones de propagati
par l'examen de la région dorsale penser que cette extension de la sclérose est due à la dégénération de ces fibres pyramid
flammation de la substance grise : d'une part cette extension de la sclérose est surtout marquée immédiatement à la périphér
rée que dans les autres régions de la moelle, cette extension de la sclérose aux faisceaux antéro- latéraux est infiniment m
Communication au Congrès internationa de Copenhague, 1884. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE .1\I101'ROl'kIItUli. 173 3 Une autre r
ut à ces faisceaux. D'autre part en comparant aux préparations de sclérose latérale, amyotrophique des coupes prove- nant,
e Goll, nous. avons dans nos autopsies, signalé un certain degré de sclérose des faisceaux de ,Goll; ce,fait 1 a ¡déjà été n
onsigné/dans plusieurs observations.' Chez nos deux malades-, cette sclérose n'était pas également .prononcée, dans 1 'OSIJE
rs dans les faisceaux de Burdach. Quant à la nature même de cette sclérose et du processus qui lui a- donné naissance, nou
ceux-ci. Dans 1 'Observation I, du côté gauche la capsule CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 175 S interne les montr
moyen de la recherche spéciale des corps granuleux, l'examen de la sclérose seule étant il notre avis insuffisant. CAS DE
amen de la sclérose seule étant il notre avis insuffisant. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 177 î nouvel ordre les
CLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 177 î nouvel ordre les autopsies de sclérose latérale amyo- trophique dans lesquelles la lés
vrai, n'est pas considérée par son auteur comme appartenant à la sclérose latérale amyotrophique, nous croyons et nous pa
ntre absolument dans la règle, c'est pour ainsi dire un cas type de sclérose latérale amyo- trophique. La seconde observat
ts analogues que l'on observe dans la paralysie générale ou dans la sclérose en CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 179
observe dans la paralysie générale ou dans la sclérose en CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 179 plaques; quoiqu'il
'est plus tard seulement et peu à peu que les autres signes de la sclérose latérale amyotrophique sont apparus et ont atte
on ne relevait une tendance singu- lière à exclure des cadres delà sclérose latérale amyo- trophique des cas dont le tablea
maximum et avec ses caractères les plus ordinaires, l'aspect de la sclérose latérale amyotro- phique, il ne faut pas oublie
ceaux pyramidaux), se refuse à admettre que ce soient là des cas de sclérose latérale amyotrophique « parce que, dit-il, cet
lue que de vouloir restreindre aussi étroitement le domaine de la sclérose latérale amyotrophique ; les deux observations
e labio-glosso- larngée.(Arcla. de physiol., 1883, 11° 6.) CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 181 t ment des cas de s
6.) CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 181 t ment des cas de sclérose latérale amyotrophique dont le début s'est fait
e caractère spasmodique de l'affection et de faire le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique. Nous relevons la mê
même aspect symptoma- tique que celui présenté par le tableau de la sclérose latérale amyotrophique, d'après Charcot. Mais à
présente de notables différences avec la description de Charcot. La sclérose latérale amyotrophique est, d'après Charcot, un
ent comme dans le type clinique décrit par Charcot sous le nom de sclérose latérale amyotrophique », arrive-t-il à conclur
olrophischer Bulbdr paralyse complicirt mil amyolrophischer Latéral sclérose . Inann. dis- srt ? Durl>at, 188 ? , 182 PA
yotrophique spasmo- dique. Leyden n'a pas reconnu certains cas de sclérose laté- rale amyotrophique parce qu'à son avis, l
l'observa- tion de H. Blumenthal ; elle n'est autre chose qu'une sclérose latérale amyotrophique parfaitement carac- téri
un de nous, nous devons insister sur le caractère spasmodique de la sclérose latérale amyotrophique, : car c'est là la clef
re qu'à l'état d'esquisse. Aussi voit-on peu à peu le cadre de la sclérose latérale amyotrophique s'élargir de plus en plu
- mêmes, mais leurs modalités sont diverses; tantôt a tté- CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 183 nués, tantôt exagér
descen- . ' Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux. - Sclérose latérale amotophiq7ze, a édit., p. ? S0. 184
nom de faisceau géziculé. Ceci étant donné, si l'on admet que la sclérose latérale amyotrophique ait son point de départ
ns notre OBSERVATION Il, en effet, l'évolution n'a pas de- CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 183 mandé moins de deux
début par le bulbe n'indique pas fatalement une marche rapide. La sclérose latérale a donc franchi une nouvelle étape; com
se latérale a donc franchi une nouvelle étape; comme l'ataxie et la sclérose en plaques, d'abord méconnue même dans ses form
quatre extrémités. P. K. XXXII. SUR LES TROUBLES oculaires dans la SCLÉROSE 111ULTI- loculaire; par R. GNAUCK (neural. Cent
t l'atrophie du nerf optique, des accidents assez fréquents dans la sclérose en plaques. Dans la moitié des cas, on constate
relief de l'atrophie du nerf optique d'origine névritique dans la sclérose en plaques, M. Gnauck distingue l'atrophie primi-
plus accentuée pendant longtemps sur la moitié temporale dans la sclérose en plaques. P. K. XXXIII. SUR la CO-ATTEINTE ÉV
l'atrophie musculaire pro- gressive est irréfutable. P. K. XXXIV. SCLÉROSE multiloculaire avec atrophie NÉVRITIQUE bilatér
durée quatre semaines), permit le diagnostic entre l'hystérie et la sclérose en plaques. Cas différent de ceux de Gnauck * e
laques. Cas différent de ceux de Gnauck * et qui prouve que dans la sclérose en plaques la névrite peut ne pas se borner a 1
tions obscures opaques ou brillantes fortement réfringentes) ; 3° sclérose et atrophie cellulaires : disparition du contenu
escence stéato-pigmehtaire *du~proloplasmà''cellu- laire ; 3° de la sclérose et de l'atrophie des cellules ? 4° des altéra-
elle; toutes les autres doivent être classées dans les groupes de scléroses diffuses. L'observation du Dr Tschetschoff, non
s dans le bas du dos qui 1 Arch. de Neurologie, 1884. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 307 augmentaient, puis u
leur bord postérieur. Dans les cordons postérieurs on remarque une sclérose dans la sphère des fais- ceaux de Goll, surtout
postérieure. Dans la partie inférieure de la portion en question la sclérose des fais- ceaux latéraux s'agrandit peu à peu e
avec cette différence seulement que dans les cordons postérieurs la sclérose atteint plus les parties anté rieures, mais non
se voit le même tableau, seulement dans les parties inférieures la sclérose des cordons postérieurs atteint un plus grand d
postérieurs et du bord externe des cordons latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 311 Dans la région de l'
e la seconde paires dorsales, on remarque la même départition de la sclérose comme dans la partie inférieure de la portion c
rvelet et aux faisceaux pyramidaux. Dans les cordons postérieurs la sclérose embrasse comme auparavant les faisceaux de Goll
s racines de la quatrième et cinquième paires, la propagation de la sclérose reste la même ; mais dans les cordons postérieu
dons postérieurs sont encore moins atteints. On remarque surtout la sclérose dans les parties postérieures de cordons latéra
s la partie supérieure de la portion dorsale de la moelle épinière. Sclérose des cordons latéraux et postérieurs et du bord
. Fig. S. - Coupe dans la partie inférieure de la portion dorsale.- Sclérose des cordons latéraux et antérieurs. 312 PATHO
de la huitième paires dorsales, le caractère de l'expansion de la sclérose reste le même, seulement à mesure que la prolifér
out à fait pris, nous ne trou- vons dans les derniers qu'une faible sclérose dans leur moitié antérieure. En outre le côté g
ue dans les cordons antérieurs nous trouvons l'augmentation de la sclérose . Dans la région de la sortie des racines de la
récé- dente. A partir de. cette portion de la moelle épinière, la sclérose diminue peu à peu dans la direction de haut en
des racines postérieures. Fig. 9.- Coupe dans la portion lombaire. Sclérose des cordons latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE
ans la portion lombaire. Sclérose des cordons latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉIMNIÈKE. 313 b) Substance grise.
urtout dans les cordons latéraux, il prenait le caractère net de la sclérose diffuse. Une définition pareille se confirme pa
qu'elle s'approche de la substance grise. b) Dans la région où la sclérose n'atteint pas encore son plus grand développeme
t l'autopsie révélera une lésion également spéciale, peut-être la sclérose primitive des faisceaux pyramidaux, soup- çonné
ral sclerosis. (I3rilisli médical Journal. Janv. 1881.) DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3t7 de la veine fémorale
ue de la moelle durcie, dans la portion cer- vicale, on remarqua la sclérose dans la partie posté- rieure des cordons latéra
eur non plus la périphérie. Dans la portion dorsale de la moelle la sclérose était plus claire, en conser- vant la même loca
re n'existaient pas. Quant au tableau anatomique nous voyons que la sclérose quoique em- brassant à peu près la région des f
faisceaux mentionnés, ceux du cervelet furent atteints et que la sclérose s'avança jusqu'à la moitié antérieure des cordo
884. Bd. XXXIV. 7 Arçh. f. Psychiatrie, 1884, Bd. XV. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3t9 320 PATHOLOGIE NERVE
ence secon- daire des cordons pyramidaux latéraux; Dans deux cas, sclérose en plaques; Dans deux cas, myélite par compress
ransverse; Dans un cas, myélite aiguë limitée ( ? ) Dans dix cas, sclérose diffuse. Si nous exceptons deux observations, o
ès différent; d'après le nombre la première place appartient à la sclérose diffuse, c'est-à-dire au même processus dans le
it et ils n'y truuvrent has de changements caractéristiques pour la sclérose latérale systématique. 11 est il regretter que le
aire il une dégénérescence descendante secondaire ? . DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 32 < Par conséquent,
re; 3) La première place parmi ces affections appar- ' tient à la sclérose diffuse. , 1 Traité des maladies de la moelle
s'appuya sur le jeune âge du sujet, la constatation d'une artério- sclérose , l'absence de néphrite chronique, la faible inten
ale. Observation d'épilepsie chez un jeune homme de dix-huit ans. Sclérose de la corne d'Ammon ', dégénérescence grais- se
on cérébrale. Ces lésions cérébrales (ramollissements, hémorragies, scléroses circonscrites ou diffuses, à processus tantôt p
ignalée par Popoff il la suite de la fièvre typhoïde). 8 Marie. - Sclérose en plaques... Progrès médical, 1884. » Landouzy
ré longtemps ; dans cinq d'entre eux, il existait en même temps une sclérose avancée des cordons postérieurs (avec lésion si
s tuméfiés dans la moelle épinière, par Scltultze, 93; - (dans la sclérose multilocnlaire), 93. Cerveau (sclérose granul
cltultze, 93; - (dans la sclérose multilocnlaire), 93. Cerveau ( sclérose granuleuse de l'écorce du), 92; -, (histologie
lle épinière causées par l'élongation du), par Tarnowski, 35. ' Sclérose latérale amlotrophique (doux nouveaux cas de -
ouveaux cas de - avec autopsie), par Charcot et .Marie, l, 168, Sclérose en plaques (curabilité de )a),parCatsaras,S6.
l, 168, Sclérose en plaques (curabilité de )a),parCatsaras,S6. Sclérose nndtiloculairc (troubles oculaires dans la), pa
avec atropine névritique du nerf optique), par Eulenburg), 229. Scléroses systématiques de la moelle épinière (contributi
on du nerf f sciatique droit, pratiquée avec une force de 4 kilogr. Sclérose ou cordon postérieur droit, côté de la traction
11 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
L'examen de l'ouïe perd de son importance en l'espèce, à cause de la sclérose otique et du vertige de Ménière. Le goût est ab
nique, de savoir que tel ou tel tremblement n'est pas produit par une sclérose en plaques ou une paralysie agitante, ou encore u
oolique, celui de la paralysie générale. Imite le tremblement de la sclérose en plaques. Imite encore plus parfaitement peut
se rencontrent dans des maladies bien distinctes. La première dans la sclérose en plaques des centres nerveux, l'autre dans l'in
Eh bien, dans l'hystérie, nous pouvons retrouver le tremblement de la sclérose mul-tiloculaire considéré dans son type de parfai
Vous n'ignorez pas que le tremblement de la paralysie agitante, de la sclérose en plaques, de la maladie de Basedow enfin, ne pr
ses. Or, nous connaissons tous ces symptômes-là dans l'histoire de la sclérose multiloculaire des centres nerveux. Est-ce donc d
bien tranchés, les caractères assignés au tremblement classique de la sclérose en plaques. Mais procédons. Je dis au malade de
à la station et à la marche, ne sont pas chose très vulgaire dans la sclérose en plaques. On peut les y rencontrer cependant,
e 6 à 6 1/2 par secondes. Donc, contrairement à ce qui a lieu dans la sclérose en plaques, le tremblement ici peut exister déjà
rai, à un très haut degré. Ce dernier trait, qui nous éloigne de la sclérose en plaques, rapproche au contraire notre cas des
en passant, rappelle jusqu'à un certain point la parole scandée de la sclérose multiloculaire. Mais c'est ici le lieu de rappele
é, il n'est pas rare de voir l'hystérie entrer en combinaison avec la sclérose en plaques et se traduire chez le sujet ainsi aff
rrait, d'après cela, supposer que chez 13... il y a coexistence de la sclérose en plaques et de l'hystérie, celle-ci étant repré
s, exactement conforme à celui qui appartient au type classique de la sclérose multilo-culaire. Mais voici des arguments plus
tout cela, il paraît inutile d'insister davantage : le fantôme de la sclérose en plaques s'est évanoui. Nous sommes en présence
sortie des divers services où il est entré portent les diagnostics de sclérose en plaques, alcoolisme, myélite chronique. Le bul
s côtés la plus grande partie, absolument comme cela a lieu dans la sclérose en plaques. Quand le sujet est debout, les osci
ement régulier. Le nombre des oscillations est plus grand que dans la sclérose en plaques. Il s'accroît notablement sous l'inf
approché du premier malade de la leçon précédente. L'analogie avec la sclérose en plaques était telle que l'erreur de diagnostic
ns l'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran ou dans la sclérose latérale amyotrophique. C'est aussi de cette fa
toute paralysie labio-glosso-laryngée appartient nécessairement à la sclérose latérale amyotrophique. C'est une erreur. Outre 5
lle se rattache la paralysie labio-glosso-laryngée non accompagnée de sclérose latérale. Ainsi comprise, l'affection subaiguë
dans certains cas d'amyotrophies spinales (type Duchenne-Aran) et de sclérose latérale amyotrophique. Aussi, Messieurs, malgr
ésitation était un instant permise. Il n'en est pas de même dans la sclérose latérale amyotrophique, considérée dans son entie
n'avions pas encore pour nous guider un autre symptôme capital de la sclérose latérale amyotrophique, l'exagération des réflexe
mple, que nous avons relaté plus haut. On ne la connaît point dans la sclérose latérale amyotrophique, caractérisée, d'autre par
souvent, on sait cependant qu'elle peut manquer quelquefois. Dans la sclérose latérale amyotrophique en particulier, il y a pre
ni sur les appareils sensoriels. La syringomyélie, à l'instar de la sclérose en pla- ques et d'autres lésions centrales orga
es. Ces formes frustes et anormales n'ont pas encore, comme dans la sclérose en plaques, leur histoire régulière. On connaît c
ait pas encore décisif, car on peut supposer : 1° un tabès, vrai avec sclérose des cordons postérieurs, développé pendant le cou
près dans tous les termes, les analogies avec le tabès, l'ataxie par sclérose des cordons postérieurs, semblent perdre de leur
gonflé et la synoviale des extenseurs est envahie par ce processus de sclérose bien spécial qui répond à ce que l'on désigne en
un nouveau jour, les constatations ana-tomiques. La découverte de la sclérose fasciculée postérieure n'a pas enrayé, tant s'en
une situation déjà si profondément triste. Des formes frustes de la sclérose en plaques ( I ) ; Sommaire. — Formes classique
aire. — Formes classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale de la sclérose en plaques. Quelques symptômes rares ou anormaux
tation d'un exemple de forme fruste par effacement. Messieurs, La sclérose en plaques cérébro-spinale, cette affection que c
, sans règle ni système, qu'on puisse « tout voir » en un mot dans la sclérose en plaques. Cette affection est régie, comme les
, etc. Tel est, dans ses grandes lignes, le tableau classique de la sclérose en plaques cérébro-spinale. Je veux appeler vot
pille atrophique blanche et nacrée qui se voit dans le tabes. Dans la sclérose disséminée — les planches que je mets sous vos ye
gué de Moscou, le D1' Maklakoff, me serviront de témoignage — dans la sclérose disséminée, dis-je, la papille quand elle est lés
issante contre une cécité à évolution fatalement progressive. Dans la sclérose multiloculaire, au contraire, l'amblyopie et l'am
mite. Autre caractère non moins important à connaître, c'est que la sclérose en plaques n'appartient pas à la catégorie des ma
tude, vous mentionner quelques manifestations anormales. Les îlots de sclérose peuvent dans quelques cas frapper les cornes anté
anesthésies qui n'appartiennent pas davantage au cadre vulgaire de la sclérose en plaques, peuvent également survenir dans quelq
défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve clans certains cas réduit,
, non sans quelques réserves cependant, M. Pitres trouva des îlots de sclérose disséminés clans la moelle et dans le bulbe. Il t
que, du vivant du malade, nous nous étions rattachés au diagnostic de sclérose latérale amyotrophique. Ces résultats imprévus
un sujet de méditations et de recherches. Il arrivait sans doute à la sclérose mul-tiloculaire ce qui, quelques années auparavan
t. II, p. 293. (2) Pitres. Contribut. à l'étude des anomalies de la sclérose en plaques. [Revue mensuelle, 1877, p. 902.) n'
En raisonnant par analogie nous fûmes donc amenés à soupçonner que la sclérose en plaques était appelée à subir le même sort.
e le tremblement est le signe qui disparaît de préférence, lorsque la sclérose multiple se dégrade, je n'hésitais pas à présente
grade, je n'hésitais pas à présenter cette malade comme un exemple de sclérose en plaques anormale (1). Je puisais mes principau
s, 8 janvier 1878. (2) Charcot. Diagnostic des formes frustes de la sclérose en plaques, Progrès médical, 1879, p. 97. Cette d
cléreuses de l'abducens et du moteur oculaire commun, et que, dans la sclérose en plaques comme dans le tabès, les symptômes ocu
Ùhthoff publie une très intéressante statistique. Sur 100 examens de sclérose multilo-culaire envisagés au point de vue des par
l'époque, vous représente fidèlement le siège de plusieurs plaques de sclérose éparses sur le cerveau, la moelle, le bulbe, les
é que je vais vous indiquer que nous étions parvenu à reconnaître une sclérose en plaques dépouillée de ses attributs les plus c
cles de l'œil soient un peu plus fréquentes dans le tabès que dans la sclérose en plaques (20 au lieu de 17 0/0). Il y a actue
actuellement dans le service de la Clinique deux malades atteints de sclérose en plaques anormale (forme paraplégie spas-modiqu
ue de la paraplégie spasmodique, syndrome banal, se pouvait cacher la sclérose multiloculaire, je disais que, afin de la démasqu
culières. C'est ainsi, Messieurs, que fut ou vert le chapitre de la sclérose en plaques anormale. Depuis cette époque, un cert
ngen, consacrait en 1887, dans son livre, un remarquable article à la sclérose multiloculaire et a ses anomalies. M. Oppenheim (
en ophtalmoscopique. (1) Bouicli. Anomalies et formes frustes de la sclérose en plaques. Th. de Paris, 1883. (2) Babinski. E
h. de Paris, 1883. (2) Babinski. Etude anatomique et clinique de la sclérose en plaques. Th. de Paris, 1885. (3) Oppenheim.
annover. Berl. Klin. Woch., 1888. (4) Bourneville et Guérard. De la sclérose en plaques disse-minées. Paris, 1869. Le fait n
rébrales. Eh bien, d'après M. Oppenheim, il en serait de même dans la sclérose disséminée; ici, pareillement, le secours de l'op
e lésion du nerf optique, peut être quelquefois l'unique indice de la sclérose multiloculaire. Sur vingt examens il a noté onze
nerf optique et retrouvé dans cinq autopsies cinq fois des plaques de sclérose dans le nerf optique, le chiasma ou la bandelette
Il est clair que la constatation, dans certaines formes anormales de sclérose en plaques, de lésions ophthal-moscopiques prendr
aminé, sous le rapport des troubles visuels, cent malades atteints de sclérose en plaques. Chez quarante-cinq d'entre eux il a t
tre eux il a trouvé des lésions ophthalmoscopiques en rapport avec la sclérose multiloculaire : quarante présentaient une décolo
il bien conforme à nos connaissances sur l'évolution singulière de la sclérose en plaques: M. Uhthoff, ayant pu avoir des rensei
almoscopique au point de vue du diagnostic des formes atypiques de la sclérose en plaques. Vous devrez désormais, de parti pris,
intenant à l'étude diagnostique des formes anormales ou frustes de la sclérose en plaques. Je dis frustes en appliquant cette ép
oursuivons notre étude. Le tableau général des formes frustes de la sclérose en plaques peut se diviser en trois parties : A
des mains....., bref, un ou plusieurs des nombreux symptômes de la sclérose en plaques qui se seraient effacés depuis lors en
propose de vous montrer tout à l'heure un exemple très remarquable de sclérose en plaques fruste appartenant à cette catégorie.
joutés qui n'appartiennent pas à la sympto-matologie habituelle de la sclérose multiloculaire ou qui ne s'y montrent qu'exceptio
érose multiloculaire ou qui ne s'y montrent qu'exceptionnellement. La sclérose en plaques se présente ici sous trois variétés pr
ous forme d'hémiplégie cérébrale, n'est pas absolument étrangère à la sclérose multiple, mais elle n'y est d'ordinaire que trans
de la moelle, car on n'a pas signalé, que je sache, de combinaison de sclérose en plaques et de tabes proprement dit. Nous élimi
mille, dans laquelle on constate des signes de tabes et des signes de sclérose disséminée. La maladie de Friedreich constitue, e
spasmodique généralisée aux quatre membres est chose possible dans la sclérose multi-loculaire. Or, c'est là précisément un des
-loculaire. Or, c'est là précisément un des signes fondamentaux de la sclérose latérale. D'autre part, certaines manifestations
té de la déglutition, ne sont pas tout à fait exceptionnelles dans la sclérose en plaques et je vous en montrerai un exemple fra
montrerai un exemple frappant. Ne sont-ce pas là aussi des signes de sclérose latérale ? Enfin les cellules des cornes antérieu
et, au dernier terme, réaction dégénérative, absolument comme dans la sclérose amyotrophique. L'interprétation pathogénique de
avant tout, pour éviter les méprises, être prévenu de ce fait que la sclérose en plaques peut simuler la sclérose latérale. Pré
s, être prévenu de ce fait que la sclérose en plaques peut simuler la sclérose latérale. Prévenus de cette simulation possible,
estigation aucun des symptômes qui appartiennent exclusivement à la sclérose multiloculaire, eh bien, vous commettrez presque
d'abord une femme du nom de B...y. C'est un exemple très suggestif de sclérose atypique par efface-cernent, fruste dans le sens
elez-vous seulement que, de par l'étude que nous avons déjà faite, la sclérose en plaques est possible avec une pareille symptom
i dernier et qui vous a présenté le type parfait du tremblement de la sclérose en plaques. Dans la station assise, dans le décub
t un certain jour sur l'étiologie, sur le mode de développement de la sclérose multiloculaire, et fournissent en même temps des
ait débuté au cours d'une pneumonie, je vous faisais remarquer que la sclérose en plaques se développait souvent à la suite d'un
aigu, vers le douzième jour, que l'affection a débuté (1} P. Marie. Sclérose en plaques et maladies infectieuses. {Progrès rné
rois. Il se pourrait cependant que les attaques apoplectiformes de la sclérose en plaques se fussent, à l'origine, entremêlées a
it par saccades; la parole était lente, scandée, comme dans certaines scléroses en plaques. L'intelligence était nette, mais avec
ébro-spinal quelques lésions inflammatoires persistantes du genre des scléroses ; cependant le sujet est jeune et il ri est pas i
iblement et a fini par atteindre la forme complète et typique de la sclérose cérébro-spinale. Pendant les quatre premières ann
mus et la démarche à la fois titubante et spasmodique ; en un mot, la sclérose multiple est, pour ainsi dire, réduite à sa plus
us une de ses formes (type Rendu), simule à s'y méprendre celui de la sclérose en plaques. Il est très probable que cette simula
ue, vraisemblablement, un certain nombre de ces cures radicales de la sclérose multiloculaire doivent être reportées à l'actif d
ire doivent être reportées à l'actif de l'hystérie. A côté de cette sclérose fruste par effacement, il me reste à vous montrer
érose fruste par effacement, il me reste à vous montrer un exemple de sclérose fruste primitive, abortive. Vous allez voir qu'el
uides par le nez, tous phénomènes étrangers au tableau vulgaire de la sclérose disséminée. Depuis cinq ans que je connais cett
ur aujourd'hui avec cette étude générale sur les formes frustes de la sclérose en plaques. Vous connaissez maintenant les princi
e de cette seconde catégorie. . 385 XXI. Des formes trustes de la sclérose en plaques. (Leçon). Sommaire. — Formes class
aire. — Formes classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale de la sclérose en plaques. Quelques symptômes rares ou anormaux
graphie, 389. Alcoolisme et hystérie, 291, 303. Amblyopie dans la sclérose en plaques, 400. Anesthésie névritique et syrin
e), 338, 346. Bulbaire: paralysie — isolée, 197, c Cécité dans la sclérose en plaques, 400 ; cécité verbale, 389. Céphal
Paralysie faciale hystérique ) Faciès d'Hutchinson, 190; — dans la sclérose latérale amyotro-phique, 234; — myopathique, 236.
Nutrition dans l'hystérie, 453. o Oculaires : troubles —, dans la sclérose en plaques, 400, 403, 407. Œdème blanc des hyst
177. Sclérodactylie, 3. Sclérodermie, 3 ; masque dans la —, 6. Sclérose en plaques, 399 ; Rémissions et arrêts dans l'évo
; — hystérique et tremblement mercu-riel, 51 ; — intentionnel dans la sclérose en plaques, 400 ; — hystérique intentionnel, 50.
12 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
« SIMULATEURS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 1 ( Sclérose en plaques, paraplégie, tabes, amyotrophie et syr
des maladies organiques spinales et en particulier du tabès, de la sclérose en plaques, de la syringomyélie, des paraplégie
e réaliser sur le vivant une sympto- matologie analogue à celle des scléroses médullaires. Or le fait est réel, et il y a peu
Les associations morbides d'hystérie et de tabes, d'hystérie et de sclérose en plaques, etc., existent donc. Dans ces cas, s'
Règle générale, il est toujours aisé de différencier le tabes de la sclérose en plaques et celle-ci de la syringomyélie, etc
III. PREMIÈRE PARTIE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES L'hystérie est le type parfait des n
CLÉROSE EN PLAQUES L'hystérie est le type parfait des névroses ; la sclérose en plaques représente le type des maladies orga
manifestations, par la fugacité de leurs symptômes. Longtemps la sclérose multiloculaire est restée confondue dans le cha
arer les faits et formuler des lois. Il est classique de décrire la sclérose en plaques sous quatre formes : les formes céré
omplètes ou effacées. Un symptôme domine le complexus morbide de la sclérose multilo- culaire, c'est le tremblement à propos
appante tantôt le type de la paralysie agitante, tantôt celui de la sclérose en plaques ». Cinq mois après, lf. le professeur
voir qu'il est un syndrome hystérique simulant de toutes pièces la sclérose en plaques, que la méprise a été maintes fois c
ier successivement : I. Les syndromes hystériques simulateurs de la sclérose ; II. Les « pseudo-scléroses » ; - III. Les as
pseudo-scléroses » ; - III. Les associations de l'hystérie et de la sclérose en plaques; 1Y. Les principaux éléments du diag
différentiel. CHAPITRE I Syndromes hystériques simulateurs de la sclérose . Nous n'aurons en vue dans ce chapitre que l'ét
t avec une fidélité plus ou moins grande les traits multiples de la sclérose en plaques. Les observations que nous allons ra
e travail. , Ons. I (inédite). Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques. - Louis D... it, quarante-ncuf ans,
ambe droite. Le tremblement des mains est analogue il celui de la sclérose en plaques (fig. 1). Lorsque la main est au rep
e sensitivo-motrice n'avaient pas varié. La symptomatologie de la sclérose eu plaques se trouve ici complè- tement réalisé
se qui, d'après MM. Charcot et Marie, est souvent à l'origine de la sclérose en plaques, l'âge tardif auquel se sont développé
eil. L'embarras de la parole lui-même, si ressemblant à celui de la sclérose multiple, a pourtant quelque chose de spécial :
exemple, mais le but est atteint. Il rappelle en un mot celui de la sclérose en plaques. Mais son mode de début, ses variation
Progrès méd., septembre 1890). Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques. Gervais Bl...ger, 39 ans, chaisier,
actères du tremblement (nu. 1) rappellent ceux du tremblement de la sclérose en plaques. Le liquide est projeté au loin et l
légie, tremblement intentionnel, peut-être pourrait-on songer à une sclérose en plaques. L'embarras de la parole qui manque
ourd'hui a jadis existé. Et pourtant il ne saurait être question de sclérose multiple. Ce malade est un nerveux héréditaire
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 23 rappellent ceux de la sclérose en plaques. Mais en y.regardant de près on voit
ar notre collègue et ami M. Poulalion). Syndrome simu- lateur de la sclérose en plaques. - Joseph M...basch, quarante-sept ans
ts ana- logues. Il y resta trois mois ; on aurait, dit-il, parlé de sclérose en plaques. Il y a treize jours, il aurait eu u
accusées avec l'augmentation d'amplitude que l'on rencontre dans la sclérose en plaques. La langue est tremblante; elle paraît
fois de dysarthrie et de tremblement intentionnel, et on songe à la sclérose en plaques. Actuellement, outre ces phénomènes,
n là un tableau fait pour les méprises. Et cependant les plaques de sclérose n'existent pas ici. M... est hystérique : l'h
trois mois. Or les rémissions frappantes que l'on rencontre dans la sclérose en plaques ne sont pas aussi absolues et on est
ssi absolues et on est en droit de se méfier des cures radicales de sclérose multilocu- laire. Du reste, deux ans après, c
oire, automatisme qui n'appartient pas à la sympto- matologie de la sclérose . Et puis cette hémiplégie qui dure depuis trois
par notre ami M. Poulalion). - Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques. Jules Del...re, trente-huit ans, couv
ie, ce malade sortait d'un service hospitalier avec le diagnostic « sclérose en plaques » sur sa feuille de sortie. En quitt
tal. Et pourtant les circonstances mêmes du fait plaident contre la sclérose . On nous concédera facilement qu'il est hystéri
ar MM. Joffroy et Babinski). Syn- drome hystérique simulateur de la sclérose en plaques. La nommée G...ard, quarante ans, en
existait pas ici avec le tabes, avec la paralysie agitante, avec la sclérose en plaques. L'évé- nement est venu détruire ces
de clin. méd., 1800, p. 495). Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques. Armand M., trente-huit ans, vignero
. N'est-ce pas là un tableau morbide qui ressemble étrangement à la sclérose en plaques. « Nous en retrouvons la plupart des
syphilis qui ne doit pas être mise en cause. Mais, comme il est des scléroses en plaques à tableau incomplet, à marche lente, o
rvous systent, Lon- don 1888). Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques. Henriette P..., célibataire, vingt-
le membre est pris d'un violent tremblement analogue à celui de la sclérose multiloculaire « becomes violenty tremulous, m.
joute-t-il, rappelait tellement celui qu'on observe souvent dans la sclérose en plaques, que, étant donné qu'il se trouvait
mptoire la présence de l'hystérie. En effet, on pouvait penser à la sclérose en plaques, à cause de la paraplégie spasmodiqu
dance au rire sans motif. Et néanmoins, il ne saurait s'agir ici de sclérose cérébro- spinale. En effet, la malade est une h
érosemultiloculaire et l'autopsie ne fit découvrir aucune plaque de sclérose , aucune altération appréciable des centres nerveu
tômes ni par son évolution, ne peut être distinguée de la véritable sclérose en plaques. » L'année suivante, Langer signalai
lables; ici encore l'examen anatomo-patholo- gique ne montra aucune sclérose , aucune lésion du système nerveux central. M.
ale, mentionne un cas du même genre. On avait fait le diagnostic de sclérose en plaques, et l'autopsie vint révéler l'absenc
cas identique : l'autopsie donna un démenti formel au diagnostic de sclérose formulé pendant la vie. Cet observa- teur, rapp
rter ce diagnostic durant la vie. A l'autopsie, on ne trouva aucune sclérose médullaire, aucune névrite périphérique. L'absenc
de la nosographie. Ç- OBS. IX (Gazette des hôpitaux, 25 juin 1881). Sclérose en plaques dissé- minées cérébro-spinale à form
git rentre certainement, par son aspect clinique, dans le cadre des scléroses en plaques disséminées. Mais la sclérose ne doit
inique, dans le cadre des scléroses en plaques disséminées. Mais la sclérose ne doit pas porter, dans ce cas, exclusivement
er un observateur peu attentif. Cependant les grands traits de la sclérose en plaques cérébro-spinale se retrouvent presqu
s sans perte complète de con- naissance, etc. Mais, tandis que la sclérose en plaques portant exclusivement sur les cor- d
à celui de ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 43 la sclérose en plaques. Il ne s'exagère pas quand cet homme v
(résumée) (Rolland, in Journ. de Méd. de Bordeaux, 1889). Un cas de sclérose en plaques avec localisation bulbo-protubé1'al1ti
gtemps songer à l'hystérie. Nous sommes ici en présence d'un cas de sclérose en plaques avec localisation bulbo-protubéranticl
ns vésanique. Dans tous les cas, il ne saurait être question ici de sclérose en plaques, et il nous semble parfaitement inut
à son entrée, on trouve les signes suivants, caractéristiques de la sclérose en plaques : facies spécial, mémoire affaiblie, l
même au repos, exagéré parles mouvements volontaires, comme dans la sclérose en plaques. Au repos, les membres inférieurs] ne
È 1\ E. L'auteur discute le diagnostic qui pour lui n'est pas de la sclérose en plaques franche. Il croit qu'il s'agit d'un
ise il y a neuf ans et considérée alors par moi comme un exemple de sclérose en plaques anormal, il est facile de retrouver
wei-Aer,zte,45,janvier 1890). - Le Dur Leuch rapporte quatre cas de sclérose en plaques. Le quatrième concerne un homme de c
s tremblants, on fit à la clinique d'Eichhorst le diagnostic non de sclérose en plaques, mais de névrose tremblante (schutte
omme chez lequel on avait fait divers diagnostics, surtout celui de sclérose en plaques. Plusieurs années après, ce malade m
nerveux com- plexes. Le diagnostic peut osciller, dit-il, entre une sclérose multiloculaire et une hystérie grave. Les princ
accès apoplectiformes analogues à ceux que l'on a observés dans la sclérose en plaques. Malgré l'absence d'autres détails l
ionnelle presque complète. Le tremblement ressemblait à celui de la sclérose en plaques; il lui était im- possible d'approch
out de trois semaines d'un traitement hydrothérapique, cette fausse sclérose en plaques disparut et le tremblement s'atténua
ense qu'il s'agit là d'un trouble organique et vraisemblablement de sclérose en plaques, ayant tiré un grand bénéfice de la
joute que, pour sa part, il croirait volontiers dans ce cas à de la sclérose disséminée. L'auteur anglais soutient dans ce m
; et, comme il a surtout en vue les rapports de l'hystérie et de la sclérose en plaques, il insiste sur la valeur diagnostique
cérébrale chez certains microcé- phales : hydropisie ventriculaire, scléroses cérébrales limitées ou diffuses, etc. Ces éta
nt certaines inflammations de la substance cérébrale, ou encore les scléroses limitées ou diffuses. C'est aussi le groupe des
t sou- vent substituées à des constatations positives. Les diverses scléroses , celles que Iiourneville a étudiées et bien déc
celles que Iiourneville a étudiées et bien décrites sous le nom de sclérose cérébrale tubéreuse hypertrophique, font aussi'
iées il des épaissis- sements crâniens, à une éburnation des os; la sclérose est complexe, DE LA CRANIECTOMIE. 93 et il y
l ; un autre est la copie fidèle du tremblement symptomatique de la sclérose en plaques; un troisième, par sa localisation aux
criptions les mieux conduites. Il simule aussi le tremblement de la sclérose en plaques, mais d'une façon beaucoup moins exact
ines attitudes de repos, ce que ne fait jamais le tremblement de la sclérose multilocu- laire. Celui-ci, comme chacun sait,
oi ce type de tremblement hystérique ressemble au tremblement de la sclérose en plaques et en quoi il en diffère. , Lorsqu
arche, on peut, au premier abord, se croire en présence d'un cas de sclérose en plaques. Les oscillations dont sa tête est s
vateur le tableau que présentent la plupart des malades atteints de sclérose multiloculaire, quand ils sont en mouvement. Sa
implement intentionnel, c'est-à-dire identique au tremblement de la sclérose en plaques. La confusion est ÉTUDE CLINIQUE DES
plus loin l'observation a été ainsi et bien il tort diagnostiqué : sclérose en plaques. Mais là se bornent les analogies.
à lui seul de le différen- cier immédiatement du tremblement de la sclérose en plaques. Lorsqu'un sujet atteint de sclérose
u tremblement de la sclérose en plaques. Lorsqu'un sujet atteint de sclérose en plaques s'est commodément assis sur une chai
ent, de balance- ment un peu lent que présente le tremblement de la sclérose en plaques. Somme toute, en dépit des analogies
ype de tremblement hystérique et le tremblement symptomatique de la sclérose en plaques, nous croyons qu'ils se différencient
nous nous occupons ne simule qu'imparfaitement le tremblement de la sclérose en plaques, il est bien de tous points semblabl
des mouvements intentionnels, rappelant ainsi le tremblement de la sclérose en plaques (Voir les observations II, III, IV, IX
ête est secouée, on peut penser un instant qu'il s'agit d'un cas de sclérose en plaques; mais il n'y a là qu'une ressemblanc
ent étrangers au tableau clinique que présente le tremblement de la sclérose en plaques. Ce dernier cesse toujours et complè-
lement ne possède qu'une partie des caractères du tremblement do la sclérose en plaques. Il n'est pas purement et simplement
alogie est vraiment frap- pante entre ce tremblement et celui de la sclérose en plaques. Ce tremblement existe donc depuis d
mouvements volontaires et, partant, identique au tremblement de la sclérose en plaques, est une variété rarement ÉTUDE CLIN
présentait ce malade est bien une copie fidèle du tremblement de la sclérose en plaques, puisque, nul au repos, il apparaît
ue à forcer les res- semblances jusqu'à rendre la confusion avec la sclérose en plaques à peu près inévitable ! La démarche,
si spéciaux de la vue, enfin tous les symptômes clas- siques de la sclérose multiloculaire s'y retrouvent. C'est, selon toute
blance, à cette catégorie de faits que doivent faire retour, et les scléroses en plaques qui miraculeusement guérissent sous l'
table d'amphi- théâtre se trouvèrent dépourvues de toute plaque de sclérose . Jusqu'ici la névrose hystérique avec ses forme
stérie, des états dynamiques capables de reproduire le tableau delà sclérose en plaques, il faudrait ouvrir un nouveau cadre n
jusqu'ici le besoin ne s'en fait pas sentir. En ce qui concerne la sclérose en plaques, les faits de Westphall sont restés
t hystérique purement intentionnel, simulateur du tremblement de la sclérose en plaques. A.DUTIL, Ancien interne de la Cli
UES « SIMULATEURS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE KPIMHRn ( Sclérose en plaques, paraplégie, tabes, amyotrophie et syr
vis de M. le professeur Charcot et de M. P. Marie, l'hystérie et la sclérose en plaques sont les deux affections du système ne
tagmus. A côté de ces signes qui rendaient certain le diagnostic de sclérose en plaques, survint un tremblement rhythmique d
e supérieur droit, que je ne pouvais accorder avec le diagnostic de sclérose multiple. A un premier essai d'hyp- nose, ce tr
a sensibilité et le rétrécissement du champ visuel relevaient de la sclérose ou de l'hystérie. Ons. XXVI (Oppenheim, in eod.
penheim, in eod. loco). Une jeune fille de quatorze ans atteinte de sclérose en plaques (paraplégie spasmodique, tremblement i
n, en entrant dans la salle, je fus très étonné devoirquema jeune « sclérose en plaques » présentait des mouvements tiqueux an
aire cesser ces tics de contagion. Les autres symptômes (ceux de la sclérose dis- séminée) suivirent leur cours, sans aucune
modification. J'ai vu, ajoute encore l'auteur, un troisième cas de sclérose multiloculaire typique combinée avec l'hystérie
fréquente des symptômes hystériques avec le complexus morbide de la sclérose en plaques. Dans ces cas, l'embarras est parfoi
est souvent provoquée par les maladies organiques spinales : tabes, sclérose en plaques, atrophie musculaire, maladie de Fri
ogies et les différences du syndrome hystérique simulateur et de la sclérose en plaques vraie. Nous exposerons donc dans un
hystérique, ou bien n'y a-t-il qu'une association d'hystérie et de sclérose en plaques ? A. La réponse à la première propos
peut disparaître complètement avec une brusquerie inconnue dans la sclérose en plaques; les émotions, la fatigue semblent l'a
la fatigue semblent l'augmenter, plus qu'elles ne font celui de la sclérose multiloculaire. Il pourrait même et c'est la un
es hystérogènes. Il est plus rapide elplus régulier que celui de la sclérose . 2° L'embarras de la parole consiste plutôt en
ur, de scansion, de monotonie qui caractérisent la dysarthrie de la sclérose multiple. Il se manifeste d'ordinaire consé- cu
e du faisceau pyramidal, etc. 5° Le facies immobile, hébété de la sclérose , peut se retrouver dans l'hystérie simulatrice.
31 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des malades atteints de sclérose . La perte de la mémoire, la facilité des rires
hénique est, avant tout, taciturne, pleureur ; le malade atteint de sclérose en plaques est plutôt gai, il a le rire facile
S185'J, p. 103). Tableau synoptique des symptômes oculaires dans la sclérose en plaques et l'hystérie. ÉTUDE DES SYNDROMES
ssemblance qui existent entre le tremblement mercuriel, celui de la sclérose en plaques et certaines formes de tremblement h
ésitation était un instant permise. Il n'en est pas de même dans la sclérose latérale arnyotrophique, considérée dans son en
'avions pas encore pour nous guider un autre symptôme capital de la sclérose latérale amyotrophique, l'exagération des réfle
le, que nous avons relaté plus haut. On ne la connaît point dans la sclérose latérale amyotro- phique, caractérisée, d'autre
ouvent, on sait cependant qu'elle peut manquer quelquefois. Dans la sclérose latérale amyotro- phique en particulier, il y a
uve a pu être faite pour l'ophthalmoplégie avec ataxie locomotrice, sclérose en plaques, paralysie générale progressive, psy-
de lésions manifestes des noyaux d'origine des nerfs oculomoteurs. Sclérose marquée des fibres qui constituent les rubans d
et la 6- paire. Histologiquement, lésions spinales très-prononcées, sclérose des cordons postérieurs sur toute leur étendue;
le, peu dans la région cervicale, très peu dans la région lombaire. Sclérose dans les cordons de Goll à la région cervicale. '
aire, lésions très prononcées. Le processus initial paraît être une sclérose vasculaire; secondairement se sont pris les noy
celui qui donne lieu à la paralysie labio-glosso- laryngée et à la sclérose latérale amyotrophique. La localisation de ces lé
du bulbe faite au niveau du tiers moyen de l'olive, on voit que la sclérose a gagné la couche de substance blanche qui reco
olonne dé Burdach). Au niveau de la 4° paire de nerfs lombaires, la sclérose s'enfonçait presque jusqu'à la commissure postéri
. Dans le bulbe, le faisceau rond était atteint d'un léger degré de sclérose ; mais les racines ascendantes de la 5" paire ét
mmatoire caractérisée par une rougeur assez intense, appa- rence de sclérose des tissus jointe à un certain degré de ramolliss
tiques d'affections coexistantes avec la folie (ataxie locomotrice, sclérose en plaques), décèlera parfois des anomalies con
« SIMULATEURS » . DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ( Sclérose en plaques, paraplégie, tabes, amyotrophie et syr
QUES « SIMULATEURS DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ( Sclérose en plaques, paraplégie, tabes, amyotrophie et syr
d'un embarras de la parole qui avait fait songer tout d'abord à une sclérose en plaques. Il présen- tait en même temps un oe
sie complète. C'est la un phénomène qu'on ne concevrait pas dans la sclérose des cordons postérieurs sans lésions pupillaires.
rs, les troubles oculaires, etc., pouvaient bien faire songer à une sclérose des cordons postérieurs, mais la conserva- tion
e par ce seul fait qu'il s'agissait d'un homme. Il ne vit là qu'une sclérose des cordons postérieurs ayant franchi ses limit
se idée du tabes en le considérant comme formé exclusivement par la sclérose systématique des cordons posté- rieurs ; il rés
rvation, la réflexion suivante : « C'est un exemple bien évident de sclérose des cordons postérieurs chez un saturnin. » Or,
l ou bien d'autres affections orga- niques cérébro-spinales (tabes, sclérose en plaques, syringomyélie, sclérose cérébrale,
niques cérébro-spinales (tabes, sclérose en plaques, syringomyélie, sclérose cérébrale, etc.), tous ces divers exemples d'asso
efuser au tabes un rôle qu'on accorde à d'autres maladies et que la sclérose des cordons postérieurs peut être un agent prov
des individus bien portants et qui est en outre inconstant dans la sclérose des cordons postérieurs. Fié. 70. Fig. 71.
ES « SIMULATEURS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ( Sclérose en plaques, paraplégie, tabes, amyotrophie et syr
le tableau soit incomplet, relèvent d'une atrophie partielle, d'une sclérose du cerveau qui tient sous sa dépen- dance les c
ce il y eut un certain degré d'atrophie reconnaissant pour cause la sclérose céré- brale, c'est assez vraisemblable. Plus la
, de la laisser sans réponse. Elle nous semble relever plutôt de la sclérose du cerveau où ce fait est signalé par les auteu
au où ce fait est signalé par les auteurs. Quoi qu'il en soit, la sclérose cérébrale a été probablement l'agent provocateu
chemin de fer... à savoir : paralysie agitante, vésanie, épilepsie, sclérose en plaques, etc., etc... Mais dans la règle c'e
e grise. L'examen microscopique fait par M. Chaslin a montré que la sclérose névroglique diffuse était à peu près aussi avan
suffisamment améliorée pour permettre au malade de marcher. Dans la sclérose latérale, les résultats sont généralement négatif
13 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
ns de l'hippocampe. Enfin, dans le cas d'épilepsie chronique, où la sclérose et l'atrophie de la corne d'Ammon constituent u
durable dans ses effets contre lacrampe des écrivains (un cas), la sclérose en plaques (tremblement inten- tonné), 2 cas),
dans quelques affections nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agitante). Volu
des émotions et de la mimique, le tremblement inten- tionnel de la sclérose multiple, la chorée, l'athétose, etc., sont rap
ns quelques aff'eeLiult' nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérir, paralysie agitante). Volu
t pas encore décisif, car on peut supposer : 1° un tabes, vrai avec sclérose des cordons postérieurs, développé pendant le c
rès dans tous les termes, les analogies avec le tabes, l'ataxie par sclérose des cordons postérieurs, semblent perdre de leu
sissement (oculaire n° 2, objectif n° 3, Reichert), on constate une sclérose régu- lière des cordons postérieurs qui laisse
s qui laisse cependant presque in- tacte la zone antéro-externe. La sclérose est aussi intense dans le cordon de Goll que da
rieurs. Les racines postérieures extra-médullaires présentent une sclérose assez avancée; leurs fibres nerveuses ont des dia
ytes. Si l'on examine à l'aide d'un fort grossissement la zone de sclérose , on constate qu'elle est constituée parl'épaissis
s îlots de tissu fibrillaire comme on en rencontre dans beaucoup de scléroses . Ce tissu, dans la colo- ration au picro-carmin
ines de la substance spongieuse sont en grande partie détruites. La sclérose du faisceau pyramidal gagne un peu plus du côté
ent mal sous l'influence des réactifs. Région dorsale moyenne. - La sclérose porte ici sur les cor- dons postérieurs, le fai
ez considérable, tous les autres cordons sont très peu atteints. La sclérose disparaît presque complètement dans le faisceau
une raréfaction des fibres nerveuses dans son tiers postérieur. La sclérose occupe plus régulièrement l'étendue du faisceau
entre-croisement des cordons latéraux. Dans les cordons de Goll, la sclérose persiste régulière et sans aucune modification.
n grand nombre de corpuscules amylacés. Autopsie III. (Friedreich). Sclérose des cordons postérieurs dans leur'totalité plus
ropage un peu dans la moelle allongée. Autopsie IV. (Friedreich.) Sclérose des cordons postérieurs et des cordons latéraux
on antérieure et la substance grise sont également amoindries. La sclérose porte sur les cordons de Goll, le cordon cunéifor
ades sont atteintes de dégénérescence fibrillaire telle que dans la sclérose de la moelle et d,tns le tabes ordinaire. ' O
plus rares et atrophiées. Dans les pyramides antérieures, pas de sclérose et de corpus- cules amyloïdes. La moelle allo
ons pathologiques d'après l'auteur semblent avoir consisté dans une sclérose des cordons postérieurs et des faisceaux pyrami
NATOMIE PATHOLOGIQUE. gulièrement à travers la moelle comme dans la sclérose dissé- minée, mais elle se continuait sur toute
wton Pitt.) - La moelle épinière, extrême- ment mince, présente une sclérose considérable des colonnes de Goll visible depui
lancher du quatrième ventricule où elle se termine. - Il existe une sclérose prononcée de la partie postérieure des colonnes
ie à la partie supérieure qu'à la partie inférieure de la moelle. Sclérose diffuse (et beaucoup plus étendue que dans les co
te modification plus haut que l'en- tre-croisement des pyramides. - Sclérose diffuse des bandes cérébelleuses ascendantes et
se des bandes cérébelleuses ascendantes et légère, mais irrégulière sclérose affectant des fibres disséminées en avant de ce
antérieures, on voit aussi des régions symétriques bien marquées de sclérose affec- tant les colonnes postérieures et les pa
ubstance grise est intacte. Racines postérieures atteintes, mais la sclérose y est peu intense. Les parties limitant la corn
nte d'inflammations chroniques analogues et aussi étendues, dans la sclérose combinée, par exemple, on ne trouve jamais une
(antéro-externe qui est intacte, fait commun au tabes et à d'autres scléroses posté- Fig. 27. ]o',g, 8, Fig. 29. Fiv. 3
l et de Burdach g. 34, 35, 3G). Dans le bulbe, enfin, on note une sclérose peu prononcée des cordons grêles du faisceau cé
te les caractères sui- vants. Le cordon de Goll est atteint d'une sclérose uni- forme à partir de la région lombaire infér
, c'est-à-dire celle de savoir s'il est pos- sible de distinguer la sclérose de la maladie de Fried- reich des autres scléro
de distinguer la sclérose de la maladie de Fried- reich des autres scléroses combinées, ne nous paraît pas aussi complexe qu
du même coup sur ce fait controversé, qui a trait à la marche de la sclérose et qui consiste à déterminer si celle-ci occupe
u'il n'est pas inadmissible que la forme et la distri- bution de la sclérose y revête un cachet particulier. La lésion évolu
t la dégager du chaos où demeurent confuses la plupart des autres scléroses combinées. Mais ces vues presque théoriques ne
du faisceau de Lissauer qui s'expliquerait difficilement en cas de sclérose diffuse. Un argument d'égale valeur nous est fo
ter qu'il est au moins exceptionnel de rencontrer dans les cas de scléroses combinées une dégénérescence aussi typique du f
pique du faisceau pyramidal. Il existe, il est vrai, un groupe de scléroses combi- nées dans lesquelles les altérations des
ncipal rôle et peuvent en imposer jusqu'à un certain point pour des scléroses systéma- tiques, comme l'ont démontré les trava
ki. Mais, en dépit des apparences, qui permettent d'attribuer à ces scléroses la dénomination de « scléroses combinées pseudo
, qui permettent d'attribuer à ces scléroses la dénomination de « scléroses combinées pseudo-systématiques », il est encore
ystématiques », il est encore possible de distinguer ces cas, de la sclérose vraiment systématique de la maladie de Friedrei
uter que l'altération par elle-même révèle son ori- gine, car cette sclérose , quoique fasciculaire, n'est pas composée de ti
lacement du même tissu en tissu fibrillaire. C'est pour cela que la sclérose évolue d'après les lois de la dégénérescence, c
rait sous sa dépendance l'atrophie de l'organe en même temps que la sclérose . L'atrophie se conçoit facilement, puisque l'or
nt nourri de par le désordre vasculaire. Ce même motif détermine la sclérose , par un égal défaut de nutrition. On sait la re
e de la moelle, les altérations des vaisseaux et la formation de la sclérose . Il nous reste à montrer la raison d'être de la
ie de Friedreich est une ma- ladie d'évolution caractérisée par une sclérose d'ori- gine vasculaire occupant systématiquemen
r le Dr XAVIETI FRANCOTTE Professeur à l'Université du Liège. II. SCLÉROSE combinée des coudons postérieurs et DES cordons
lusieurs parties de la moelle, et déjà, de nombreux exemples de ces scléroses combinées se trouvent réunis dans la littératur
er l'un ou l'autre point de l'histoire anatomo-patholo- gique des scléroses combinées. - La moelle dont il s'agit, provient
mère n'est nullement épaissie. Les cordons de Goll pré- sentent une sclérose bien nette. Cependant, derrière la com- missure
les fibres sont demeurées ntactes. Enfin, on constate encore une sclérose bien marquée des faisceaux cérébelleux. A la
il y avait, à la péri- phérie de la moelle, une zone annulaire de « sclérose qui s'élargissait au niveau du faisceau pyramid
ky et Charrin= ont fait connaître un cas dans lequel il y avait une sclérose avancée des cordons pos- térieurs (cordons de G
et cordons de Burdach) et des faisceaux cérébelleux ; en outre, une sclérose moins intense et probablement plus récente atte
eaux pyramidaux directs et les faisceaux pyra- midaux croisés. La sclérose des faisceaux de Türck présentait son maximum à
cervical vers le haut et vers le bas, elle allait en diminuant. La sclérose des faisceaux pyramidaux croisés portait sur un
des 1/Ûcken- tttarla. Al'chiv sur Psychiatrie, t. XVII, p. GU3. $ Sclérose médullaire systématique combinée. (Revue de Médec
on le voit par ces exemples, le tableau ana- tomo-pathologique des scléroses combinées est assez variable. Un des traits qui
la dégénérescence secondaire. Nous sommes donc en présence d'une sclérose primitive. , A1't'ltiv. sur Psychiatrie, t. IX,
IV et /(1., t. XV, planche Il. . Contribution à l'étude des fausses scléroses systématiques de la moelle épinière. Archives d
ves de Virchov, t. LXX.) ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 385 Cette sclérose doit-elle être rangée parmi les pro- cessus dif
-elle aux lésions systé- matiques ? Déjérine la considère comme une sclérose diffuse dont il attribue l'origine à l'inflamma
origine à l'inflammation con- comitante des méninges : pour lui, la sclérose combi- née est une nîéiiiigo-i2yélite corticale
En faveur de sa manière de voir, il invoque la dis- tribution de la sclérose : celle-ci est corticale et elle va en diminuan
de la périphérie vers le centre. De plus, il fait remarquer que la sclérose ne suit dans son trajet, aucun faisceau spécial
et l91rlor. Elle ne pourrait cependant convenir à tous les cas de sclérose combinée. En effet, la base anatomique de cette
méningite spinale postérieure des tabétigues dans la pathogénie des scléroses combinées. (Archives de Physiologie. 3" série,
t. VIII, 1886, p. 84.) ' Goco cilato. 4 Etude d'un cas de fausse sclérose systématique combinée de la moelle. (Archives d
aut. Une autre manière de voir a été émise par Frie- dl'eich 1 la sclérose des cordons postérieurs constitue- rait la lési
étendait à toute la longueur de la moelle. Peut-on considérer les scléroses combinées comme des lésions systématiques ? L
LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3'M 1 moelle dorsale, il vient s'y ajouter une sclérose de la partie contiguë des faisceaux pyramidaux.
ne sclérose de la partie contiguë des faisceaux pyramidaux. Cetle sclérose surajoutée s'accentue de plus en plus, en même
uvons donc pas réalisés dans notre observation les caractères d'une sclérose systématique. Cependant, lorsque l'on considère
ique. Cependant, lorsque l'on considère la symétrie des foyers de sclérose , leur extension à toute la hauteur de la moelle
se. On est conduit à penser qu'il existe un facteur qui dirige la sclérose , qui règle sa propagation à des par- ties de la
dans quelques affections nerveuses (Alaxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agitante).) Vol
(n°5 51 à 100). Plix : 3 fr. Pour nos abonnés 2 fr. PILLIET (A). - Sclérose et Atrophie des glandes gastriques. - Brochure
14 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
on y voit la dégénérescence des fibres dif- fuses et des foyers de sclérose . La disposition de ces foyers est ici également
uée dans différentes maladies nerveuses de nature non tuberculeuse ( sclérose en plaques, hémiplégie, etc.) et la réaction fut
peut dire qu'il s'agisse d'une véritable voix scandée comme dans la sclérose en plaques, parce que ici la prononciation n'est
dans le diagnotic différentiel ; on peut éliminer tout de suite la sclérose en plaques, la sclérose cérébrale primi- tive,
rentiel ; on peut éliminer tout de suite la sclérose en plaques, la sclérose cérébrale primi- tive, la diplégie cérébrale fa
quelques cas où les réflexes tendineux sont complète- ment abolis ( scléroses combinées, tahes, névrites périphériques, etc.).
t pas de limites nettes ; ils ne ressem- blent pas aux foyers de la sclérose en plaques, ni aux festons qu'on rencontre dans
le diagnostic de myélite aiguë ou subaiguë, d'abcès extraduraux, de sclérose en plaques et ce n'est que sur la table d'autop
complet du tissu médullaire au niveau de compression (Luce) ou une sclérose complète transverse de la coupe médullaire (Nil
lasie sont constituées par une sclérosedes cartilages épiphysaires, sclérose qui montre pourquoi les os ne peuvent pas croît
; dans le premier cas, quatre mois à peine après l'apparition de la sclérose initiale ; dans le second cas, quatorze mois ap
mme de 72 ans. A. Moelle dorsale, sans dégénérescence ascendante ni sclérose . B. Moelle sacrée sans dégénérescence descendan
-postérieur. L'étude histologique de la moelle, ne nous a montré ni sclérose au niveau du sillon transversal marqué par l'os
écidée, nous n'étions pas sûrs du diagnostic. Nous avons éliminé la sclérose en plaque et la myélite chronique. Nous consi
rbides du côté de la partie supérieure du corps parlaient contre la sclérose en plaque. La marche de la maladie ne correspon
ie (dans le cordon antérieur une raréfaction ; dans le latéral, une sclérose presque complète surtout en arrière). La moitié d
tatant leur altération dans le tabès et leur conser- vation dans la sclérose latérale amyotrophique, leur attribue un rôle spé
ule cérébral, de six cas de compression de la moelle et d'un cas de sclérose latérale al1lyotrophique. Dans tous ces cas j'a
vaient jusqu'à la disparition complète de ces cellules dans le cas de sclérose latérale amyotrophique. Sano (6) a trouvé dan
l différencié comme structure. L'étude des lésions corticales de la sclérose latérale amyotrophique, affection localisée pre
ont été publiés par Kojewnikoff (1), Char- (1) KOJKWNIKOFF, Cas de sclérose latérale amyotrophique, la dégénérescence des f
du lobule paracentral et de la frontale ascendante dans deux cas de sclérose latérale amyotrophi- que. Depuis, d'autres obse
14) ont publié des mémoires successifs sur l'étude de quatre cas de sclérose laté- rale amyotrophique, dans lesquels ils ont
i pour délimiter la zone (1) CHARCOT et Marie. Deux nouveaux cas de sclérose latérale amyotrophique suivis d'autopsie. Arch.
n, CXII, 1903, p. 683. (8) F. X. Dercum et W. G. SPILLER. Un cas de sclérose latérale amyotrophique, présentant des symptôme
vous and mental disease, 899, no 2, p. 85. W. G. Spiller. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec la dégénérescence a
nerv. c. ment. 1902, n 10. (14) Italo Rossi et G. Roussy. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec dégé- nération de l
lude des localisations motrices corticales à propos de trois cas de sclérose latérale amyotrophique. Revue Neurologique, no 15
Neurologique, no 15, 1907. Elude anatomique d'un quatrième eas de sclérose latérale amyotrophique. Revue Neurologique, n 1
à la conclusion que la localisation des lé- sions corticales de la sclérose latérale amyotrophique démontre que la frontale
s inférieurs. Durée de la maladie, 4 ans. Examen macroscopique. Une sclérose combinée de la moelle. Examen microscopique. Le
ROSE latérale amyotrophique. 1° Cosma S... Notes cliniques. 45 ans, sclérose latérale amyotrophique, typique avec atrophie p
ans le pied de la première circonvolution frontale. Donc, dans la sclérose latérale amyotrophique les pyramides profondes de
ntes de la zone motrice corticale. En comparant ce cas avec ceux de sclérose latérale amyotrophique, nous voyons que la simp
constatation pour établir le substratum anatomo-pathologique de la sclérose latérale amyotrophique. D'ailleurs je reviendrai
s ascendantes passent, en partie, à travers ces noyaux. , Dans la sclérose latérale amyotrophique les lésions des cellules d
e la zone motrice. Or, dans mes cas, et en général, dans les cas de sclérose latérale amyotrophique avec troubles bulbaires,
ement exclure la pensée que, dans notre cas, il puisse s'agir d'une sclérose en plaques, ou d'un syndrome syringomyélique, o
surface quelques taches opalines de périsplénite ; il n'y a pas de sclérose ; les corpules de Malpighi sont nombreux. Le
u début très difficile à diagnostiquer. On pensa à la myélite, à la sclérose en plaques (oscillations de la maladie assez nota
noter ce symptôme dans les cas où il n'y avait pas de tumeurs. (la sclérose en plaque par exemple). Henneberg l'a observé dan
entiel entre elles et les tumeurs des méninges. 1 478 FLATAU La sclérose en plaques, dans la plupart des cas, ne présente
tout dans ces dernières années lorsqu'on reconnut d'une part que la sclérose en plaques peut affecter une forme tout à fait
urs ou avec des douleurs minimes. Actuellement il est prouvé que la sclérose en plaques peut évoluer sans aucun phénomène céph
ent intention- nel. Il existe donc un type franchement spinal de la sclérose en plaques. Outre cela on connaît des cas où ce
ompagnait d'accès de très fortes douleurs. Nonne a décrit un cas de sclérose en plaques où les accès douloureux atteignaient u
ostérieures. J'ai eu l'occa- sion d'observer quelquefois des cas de sclérose en plaques du type spinal exclusivement. Assez
tte affection. Dans mon service aussi j'.obser- vai maintes fois la sclérose en plaqnes avec les paralysies d'un côté seule-
hiale, et ces douleurs repoussaient au second plan le tableau de la sclérose . Dans un autre cas nous avons constaté une vertèb
rd que d'autres symptômes nous ont indiqué qu'on avait affaire à la sclérose en plaques. Il faut encore ajouter que dans tou
n, qu'on rencontre de temps en temps dans les stades initiaux de la sclérose en plaques. Dans tous ces cas il n'y a autre ch
s voudrions pourtant souligner certains traits qui caractérisent la sclérose : 1° Tout d'abord l'évolution de la maladie ne
aussi rapi- dement que dans le cas de tumeur. Dans quelques cas la sclérose à marche chronique que nous avons pu observer l
479 2° Il est fort rare de voir des douleurs considérables dans la sclérose en plaques. Les plaintes des malades au début f
semblant à des tirail- lements. Une de ces malades (qui avait de la sclérose en plaques du type médullaire) se plaignait de
s arthritiques et su- bissent l'influence du mauvais temps. 3° La sclérose en plaques peut également provoquer l'anesthésie
nt au lit de leur propre gré, tandis que nos malades atteints de la sclérose en plaques marchent et se promènent (même ceux
avons examiné le liquide céphalo-rachi- dien de malades atteints de sclérose en plaques, le résultat jusqu'à présent L fut t
ien du lobe frontal que du lobe occipital ; dans le premier cas, la sclérose n'est pas limitée à la partie descendante, mais
partout des reliquats incontestables de mé- ningite chronique et de sclérose cérébrale. C'est à cette méningite et à l'épend
ves, telles que les poren- céphalies, les microgyries et toutes les scléroses atrophiques assez éten- dues, il paraîtra ratio
jeune âge, d'une lésion chronique des centres nerveux, telle que la sclérose . cérébrale, ils ne se développent que difficile
ment somatique (la microcéphalie est fréquente dans ces sujets). La sclérose cérébrale hypotrophique congénitale donne le pl
mari est mort jeune, de la poitrine. A l'autopsie il existait une sclérose des cordons postérieurs extrême- ment prononcée
éritables exostoses, et qui anatomiquement est caractérisée par une sclérose jugale (Porak et Du- rante ...),. qu'il nous a
et jamais une lésion foetale ne laisse autant de dé- formation, de sclérose qu'une lésion survenue à une période plus tardive
UR PIERRE MARIE LESIONS ÉPENDYMAIRES ET SOUS-ÉPENDYMAlHES DANS LA SCLÉROSE EN PLAQUES, PAR Pierre MERLE et C. CASTINE
nes). Les lésions épendymaires et péfi-épendyraaires au cours de la sclérose en plaques ont été signalées par plusieurs aute
tes au point de vue général, au point de vue de la pathogénie de la sclérose en plaques et de la façon dont agit l'élément t
ple typique de cette localisation péri ventriculaire des plaques de sclérose . Il s'agissait cliniquement d'un malade qui mou
s de la parole. Quelque temps après, le tableau symptomatique de la sclérose en plaques était au complet avec spasmodicité d
re la corne occipitale ventriculaire est légèrement symphysée et la sclérose se prolonge sous forme d'une traînée assez épai
dirige vers l'extrémité postérieure du lobe occipital. En avant la sclérose périveutriculaire s'étend jusqu'à un plan qui p
ui passerait par l'extrémité postérieure des noyaux gris. En bas la sclérose se continue également autour des cornes sphénoï
inante. Sur les coupes on rencontre parfois de petites pla- ques de sclérose arrondies qui paraissent être situées eu pleine s
dance. La membrane épendymaire elle-même, qui recouvre la couche de sclérose , paraît par endroits comme détachée, ayant perd
ne. Hémisphère droit. Là encore la lésion la plus importante est la sclérose périventriculaire du ventricule latéral. Toute
latéral. Toute la corne occipitale est englobée dans une coiffe de sclérose et cette sclérose est plus accentuée même que pou
corne occipitale est englobée dans une coiffe de sclérose et cette sclérose est plus accentuée même que pour l'hémisphère g
un demi-cen- timètre. L'étendue en est aussi plus considérable, la sclérose s'avance jusque dans la corne frontale,sans all
marge très mince. Dans le prolongement sphénoïdal, il n'y a pas de sclérose périépendymoire apparente (Pl. LXIX). Dans son
érose périépendymoire apparente (Pl. LXIX). Dans son ensemble cette sclérose périventriculaire est gris blanchâtre et résist
rose périventriculaire est gris blanchâtre et résistante, c'est une sclérose dense. On voit par endroits, généralement à la
nse. On voit par endroits, généralement à la limite de la plaque de sclérose pro- prement dite, de petites plaques qui parai
ogique ces petites plaques doivent aussi être différen- tiées de la sclérose périventriculaire dans son ensemble. En dehors
coupes macroscopiques on peut reconnaître de nombreuses plaques de sclérose . fou \ELLE Iconographie DE la SALP6rAIrRI. T.
ES. (Pierre Merle el C. Pastille). I. Aspect microscopique de 1.x sclérose périventriculaire formant une coiHe qui entoure l
: r peu prés de même pour l'hémisphère gauche). 2. Petite plaque de sclérose à distance du ventricule. (Méthode de Lhermitte e
se à distance du ventricule. (Méthode de Lhermitte et Guccione). La sclérose est lâche dans son ensemble. Les fibrilles très e
ée par l'infiltration cellulaire des grains périvascu- laîres. 3. Sclérose périventriculaire. L'aspect dillére nettement de
riventriculaire. L'aspect dillére nettement de celui de la ¡¡go 2. La sclérose est liellse, formée de fibrilles parallèles et
immédiatement sous-épendymaire. Les rapports sont manifestes entre la sclérose pé- riventriculaire et les lésions supeilkielle
, on constate qu'il paraît exister plusieurs variétés de plaques de sclérose . Les unes sont bien au voisinage du ventricule,
les plus fréquentes, celles qui constituent, la majeure partie de la sclérose périventriculaire. Celles-ci sont en rapport di
ste dans ces pla- ques moins de capillaires que dans les plaques de sclérose lâche à fibrilles enchevêtrées qui se montrent
onctif ayant l'aspect homogène et hyalin. Au-dessus de la plaque de sclérose , l'épithélium épendymaire et la région immédiat
profondeur depuis l'é- pithélium jusqu'aux limites de la plaque de sclérose dont les contours sont, comme nous l'avons dit,
gne irrégu- lière. Lésions épendynàires à distance des plaques de sclérose périventriculaires, - Elles sont peu accentuées
nel. Altérations de la substance cérébrale entourant les plaques de sclérose . Nous avons vu que les limites étaient nettes a
omme cela est classique, la démyélinisation complète des plaques de sclérose » Il existe par- fois, sur les bords, une zone i
des cylindraxes en nombre à peu près identique dans les plaques de sclérose et dans le tissu normal. Dans les plaques périv
he des corps granuleux. - Il en existe très peu dans les plaques de sclérose cérébrale. Autour des plaques périventriculaires,
te est peu intense. Moelle. Il existe de très nombreuses plaques de sclérose à tous les éta- ges. Certaines, à la région cer
est montré oblitéré. La démyélinisation est complète. Le tissu de sclérose est remarquable par la quantité de petits capilla
plaques vraisemblablement jeunes, étant donné les caractères de la sclérose relativement peu dense, sont complètement bourrée
des plaques. 618 ' MEULE ET PAST1NE Chez ce malade, atteint de sclérose en plaques, classique au point de vue clinique,
nt le fait dominant. Dans un cas de Touche (1), il existait,avec la sclérose périventriculaire, des lésions du centre ovale
intéressant est la locali- sation périventriculaire des plaques de sclérose . Cette localisation a été notée par d'assez nom
5). On a signalé aussi la distension des ventricules au cours de la sclérose en plaques (Scliiile, Jolly, Greiff). Certains
ter d'un étal inflammatoire chronique, cause commune des plaques de sclérose et de l'épendymite. Miiller (2) signale comme
mite. Miiller (2) signale comme lieu d'élection pour les plaques de sclérose la région péri-épendymaire de l'aqueduc de Sylv
-épendymaire de l'aqueduc de Sylvius. En examinant plusieurs cas de sclérose en plaques de la collection de M. Pierre Marie,
ckenmarks, 1904. LÉSIONS ÉPENDYMAIRES ET SOUS-ÉPENDYMAIRES 619 la sclérose en plaques et cette atteinte se produit vraisembl
-rachidien. Lhermitteet Guccione (1) ont récemment étudié un cas de sclérose mul- tiple avec localisation périventriculaire
si- dérable. L'intégrité de l'épithélium au-dessus des plaques de sclérose ne leur a pas permis d'admettre que « l'agent i
phalo-rachidien puisse être le véhicule de l'agent irritant dans la sclérose en plaques. C'est cette opinion que l'un de nou
) Liiehmitte et GUCCIONE, Quelques symptômes et lésions rares dans la sclérose en plaques. Encéphale, mars 1910. (2) HORST,
laires au contraire, l'aspect le plus fré- quemment observé est une sclérose névroglique à longues fibrilles paral- lèles à
oïdes, allongés dans le même sens que les fibres elles-mêmes. Celte sclérose parait plus compacte, plus dense que pour les p
genres de lésions peuvent s'observer et beaucoup de points de cette sclérose périventriculaire mon- trent un mélange des deu
LESIONS ÉPENDYMAIRES ET SOUS-ÉPENDYIIfAIRRS 621 tères du tissu de sclérose riche en capillaires sclérosés comme dans cer-
que celui que nous rapportons semblent indi- quer qu'au cours de la sclérose en plaques, il peut se produire une irrita- tio
propageant vers la profondeur sont capables de donner lieu à de la sclérose périventriculaire. La sclérose en plaques est s
nt capables de donner lieu à de la sclérose périventriculaire. La sclérose en plaques est souvent une affection inflammatoir
onrEw 197. Ependymaires (Lésions - et sous-épendy- maires dans la sclérose en plaques) (1 pl.), par PIERRE Merle et G. Pas
LADAME. 184. Raymond (Le professeur -) (1 pl.), par Meige, 489. Sclérose en plaques, lésions épendymaires el sous-épendy
PASTIllE (G.). Lésions épendymaires et sous-épendymaires dans la sclérose en plaques (1 pi.), 613. Mingazzini. Contributi
Merle (Pierre). Lésions épendymaires et sous-épendymaires dans la sclérose en plaques (1 pl.), 613. ROUDNEW - Dermographis
base anatomiques (LADAME), XV et XVI Raymond (Le Prof. -), LIV. Sclérose en plaques, lésions épendymaires (Pierre MERLE
15 (1911) La pratique neurologique
ricule. Polioencéphalile supérieure. Paralysie bulbaire asthénique. Sclérose en plaques. Para- lysie générale. Tabès : rarem
es affections nerveuses non syphilitiques. On l'a rencontré dans la sclérose en plaques (une fois), dans quelques cas de syrin
constitue un symptôme habitue) de la maladie. C'est le cas pour la sclérose en plaques, la maladie de Friedreich. Vices de
variété doit être attribuée il une altération du système nerveux. Sclérose en plaques. On le rencontre dans la moitié des sc
me nerveux. Sclérose en plaques. On le rencontre dans la moitié des scléroses en plaques. Il présente des modalités diverses.
tre que dans les mouvements latéraux des yeux; dans 16 pour 100 des scléroses , les oscillations nystagmiques augmentent dans
res, augmente dans les mouvements intentionnels. Le nystagmus de la sclérose en plaques n'est pas toujours persistant, il pe
a permis de constater que le nys- tagmus est plus fréquent quand la sclérose intéresse les centres encé- plialiques, quand i
inflammations cérébrales de la première enfance et aboutissent à la sclérose atrophique ou tubéreuse, ta lurcncél>lialic, c
nduit auditif interne. [LANNOIS.] 128 MALADIES DE L'OREILLE. 5° Sclérose en plaques. Tabes. - Des troubles auditifs à év
rapide et à caractère de surdité nerveuse ont été signalés dans la sclérose en plaques : on a même décrit des plaques Imlbo-p
suite du sommeil chloroformique. , Elle est. souvent l'indice d'une sclérose au début qui ankylosc plus ou moins complètemen
lards ont souvent de l'anosmié qui paraît liée à l'atrophie ou à la sclérose des bulbes olfactifs. ' Les anosmies d'ordre dy
de l'oreille (Pierre Marie et Wallon, Collet et Lannois), soit par sclérose du nerf auditif (Pierrot), soit peut-être par lés
jambes) un rôle beaucoup plus enace et accessoire. Le vertige de la sclérose en plaques, très fréquent, presque toujours rot
troubles auriculaires (maladies infectieuses, utenin- gites, tabès, sclérose en plaques, tumeurs cérébrales, syphilis, etc.),
t de perméabilité des artères labyrilllhiques (P. Bon- nier) et les scléroses de l'oreille si fréquentes chez les arterio-scier
dernier cas, il serait spécialement syrllplonlaliclue de l'artério- sclérose bulbaire. Ce vertige des arterio-scfereux ne se
la neurasthénie peut être simulé par l'arlério- SÉMÉI0L0G1E. 175 sclérose au début, à la période d'hypertension qui précède
gressif dans la paralysie géné- Tale, des ictus dans le tabès et la sclérose en plaques. Ces troubles font aussi partie du s
ne conversation soit matériellement impossible il suivre. Dans la sclérose latérale amyolrophique, l'anarlhie dépend des par
les plus habituelles ; on les observe tout particulièrement dans la sclérose latérale ann/o/rop/ïK/Me. La langue est atteint
laryngé typique, complet, intense, révèle ;1 peu près à coup sur la sclérose latérale amyotrophiquc, facile à reconnaître pa
nt peu distincte. La façon dont s'expriment les malades atteints de sclérose en plaques est bien caractérisée. Le débit est
e et Sottas. Dans tous ces cas, la parole est scandée comme dans la sclérose en plaques, mais elle est plus explosive, et su
tone et ralenti dans la plupart des dysarthries spastiques, dans la sclérose en plaques notamment. La surdité provoque éga
dérée (on peut être minus habens à des degrés très divers). Dans la sclérose cérébrale infantile, la parole est souvent inco
plus irrégulier dans la paralysie générale. Les malades atteints de sclérose en plaques ont une écriture extrêmement appuyée
succombent à la paralysie générale. , . 5° Idiotie symptomatique de sclérose atrophique. - La sclérose atrophique peut porte
générale. , . 5° Idiotie symptomatique de sclérose atrophique. - La sclérose atrophique peut porter alors sur tout un hémisp
elquefois sur quelques circonvolutions. 4° Idiotie symptomatique de sclérose hypertrophique. - La sclé- rose hypertrophique
tique de sclérose hypertrophique. - La sclé- rose hypertrophique ou sclérose tubéreuse hypertrophique a été décrite par Bour
ui- vant Bourneville, d'origine vasculaire. IGROVZQN.] Fig. '1. Sclérose tubéreuse. Ilots scléretix en et en PC (pli courh
l : a donnés la méthode anatoinique appliquée il l'élude des cas de sclérose latérale amyotroptiiquc (Rossi et, Roussy). E
nt dans une sorte de mélange des symptômes du tabès avec ceux de la sclérose en plaques. Quelquefois les réflexes tendineux
dineux et achilléen et rotulien est un des éléments du syndrome des scléroses combinées de la moelle dans la forme tabétique,
scléroses combinées de la moelle dans la forme tabétique, dans les scléroses combinées de la paralysie générale el dans les
de Babinski (Pierre Marie et Crouzon). Dans les formes subaiguës : ( scléroses combinées de l'anémie penn- cieuse, subacufe co
IS PAR L'EXAMEN DES REFLEXES..45') Dans la forme cérébelleuse de la sclérose en plaques, on peut observer la diminution ou l
ration des réflexes se rencontre dans les affections suivantes : La sclérose en plaques, qu'elle se manifeste sous la forme sp
s réflexes des membres supérieurs est souvent caractéristique de la sclérose latérale amyolropliique, mais dans ce cas il y a
es des membres infé- rieurs forme un ensemble caractéristique de la sclérose latérale amyo- trophique. L'exagération des r
s'observer au cours des affections (fejàuten- tiolnées ci-dessus : sclérose latérale amyolropliique, sclérose en pla- ques,
s (fejàuten- tiolnées ci-dessus : sclérose latérale amyolropliique, sclérose en pla- ques, tumeur cérébrale. [CROUZON]'
t telle qu'elle peut permettre d'affirmer l'existence dune forme de sclérose latérale ou spasmodique : il y a alors raideur
u'en soit la cause (myélite syphilitique ou 11(üdue, syringomyélie, sclérose en plaques), le signe de Babinski est presque c
ébelleuse : on sait que ces affections sont caractéri- sées par une sclérose des cordons postérieurs et par une sclérose des c
caractéri- sées par une sclérose des cordons postérieurs et par une sclérose des cor- dons latéraux. (C'est cette dernière l
rencontre également dans le tabes quand il existe ' des lésions de sclérose combinée des cordons postérieurs et des cordons
mptomatique par laquelle Pierre Marie et Crouzon ont caractérisé la sclérose combinée tabétique. De même, dans l'hémiplégi
système nerveux, telles épie le tahcs, la para- lysie générale, la sclérose en plaques, la chorée de Sydcnttam, la ménin- g
de la vie. La lésion peut être d'ailleurs d'aspect très différent : sclérose lobaire, porencéphalie, méningo-encéphalite, ra
même par sa présence chez un labéti- que de faire le diagnostic des scléroses combinées et il reflète dans ce cas l'existence
des scléroses combinées et il reflète dans ce cas l'existence de la sclérose pyramidale. Signe de Charles Bell. Charles Bell
se, la syphilis, les maladies spéciales il l'axe cérébro-spinal, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique,
adies spéciales il l'axe cérébro-spinal, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique, les troubles d'origine
tardivement altéré) les paralysies dépendant de l'irritation, de la sclérose , de l'agénésie du faisceau pyra- midal, les par
ques. Enfin, un mélange d'ataxie et de spasmodicite caractérise les scléroses combinées. Dans quelques cas. le syndrome est plu
asmodique, le clinicien doit songer avant tout au mal de Pott, à la sclérose en plaques, à la myélite syphilitique d'l,rh. a
ladies rentrant dans ce cadre est assez facile. Nous y rangerons la sclérose latérale amyo- trophique et les paraplégies spa
égies spastiques avec atrophie secondaire. PARAPLEGIE. '. 49;¡ La sclérose latérale amyotrophique est une affection systémat
est fort longue, atteint des années, dépasse infiniment celle de la sclérose latérale amyotrophique. 11 finit par exister une
sont pas toutes il présenter la totalité des symptômes ennmeres. La sclérose latérale amyoirophique, la sclérose en plaiptes
lité des symptômes ennmeres. La sclérose latérale amyoirophique, la sclérose en plaiptes, la syringomyélie, la pach ! /1JIén
ynteningite, la syringo- myélie, elles sont exceptionnelles dans la sclérose en plaques ; elle ne s observe jamais dans la s
lles dans la sclérose en plaques ; elle ne s observe jamais dans la sclérose latérale ainyolrophique. Enfin, la description
rouvé sa place dans les paragraphes précédents, à l'exception de la sclérose en plaques, dont nous présente- rons en quelque
mots les caractères diagnostiques. La paraplégie spasmodique de la sclérose en, plaques est, en général, typique, d'intensi
l'évidence -sa signature éliologique, on peut, on doit songer à la sclérose en plaques. " - 4" Paraplégies shasnirodirjncc
transitions. Bien plus, la syphilis peut déterminer des plaques de sclérose produisant la spasticité des membres supérieurs
gmus, des troubles de la parole, tout le groupement classique de la sclérose en plaques ordinaire; et déjà, chez les paraplé
es nerfs périphériques. , On peut rencontrer dans le tabès, dans la sclérose en plaques des atrophies d'origine myélopathiqu
ou d'insuffisance vasculaire des centres médullaires du membre par sclérose des artérioles de la substance grise. Dans le pre
rs la guérison, d'autre part, certaines formes de paraplégie, Pott, sclérose en plaques, subissent de grandes oscillations.
n montre que cette affection peut rappeler de -près certains cas de sclérose en plaques, de maladie de Fri'edreich ou d héré
on est fort lente.' ' 2" Paraplégies à démarche al axo-spasmodique. Scléroses combinées. Les paraplégies 111 ! J('loJ)({tliiq
Les paraplégies 111 ! J('loJ)({tliiqlles du vieillard dépendent de scléroses médullaires 1)uI'l't1S('erlltllr'CS, de scléros
lard dépendent de scléroses médullaires 1)uI'l't1S('erlltllr'CS, de scléroses combinées. Le début est insi- dieux, marqué par
e avec augmentation de la réflectivité et phénomène de Strmnpeu. La sclérose des cordons postérieurs détermine une certaine
iment, ou se terminer dans le marasme avec gâ- tisme et démence. La sclérose combinée s'observe notamment chez les tabétique
RAPLÉGIE.- j Il I peut se rencontrer une paraplégie musculaire avec sclérose et. raideur, véritable myopathie sénile sur laq
rose musculaire essentielle chez le vieillard,- le mal de Pott, la sclérose en plaques, la myélite syphilitique chez l'adul
cas, les troubles circulatoires, l'épuisement par hyperalgies, les scléroses combinées. Il résulte de ces considérations gén
en foyer, de déterminer le niveau de la compression ou du foyer de sclérose ou de malacie. Pour ce faire, on cherchera tout
yélite aiguë de l'enfance, dans, la poliomyélite chronique, dans la sclérose latérale amyotrophique, l'examen méthodique 'de
pathies), les .névrites, les altérations nucléaires (syringomyélie, sclérose latérale amyotrophique); la paralysie du, spina
é publié par Ott. Les troubles du larynx sont exceptionnels dans la sclérose en plaques : lletlii, yui a fait une étude très
ment des cordes, mais où l'autopsie démontra qu'il s'agissait d'une sclérose du cervelet sans lésions des noyaux de l'hypogl
e l'hypoglosse et du pneumogastrique. J'ai examiné plusieurs cas de sclérose en plaques sans rien trouver d'anormal au larynx.
rmis de n'y voir qu'un syndrome et d'en dissocier successivement la sclérose latérale amyotrophique (Charcot. 1872), la pach
ises, atrophies de l'adulte : Myélopathiques : type Duchenne-Aran : sclérose latérale amyotrophique : syringo- myélie; pachv
as de lèpre nerveuse, de méningo-myélite syphilitique, de tabès, de sclérose en piques, de névrites ? ; poliomyélite antérie
a cependant signalé des exemples dans la poliomyélite chronique, la sclérose latérale amyotrophique, la syringomyélie (Schle
affections médullaires avec amyotrophie semblable (syrin- gomyélie, sclérose latérale amyotrophique, etc.); la conservation de
ins marqués, va- - riables, rappelant ceux du lobes ou ceux de la sclérose en plaques : l'abo- lition des réflexes tendine
la parole (parole scandée, bredouil- lée) ressemblant à ceux de la sclérose en plaques; parfois une légère Bn.&scii. Be
re chronique pure, rare et douteuse, dans la syringomyélie, dans la sclérose latérale amyotrophique, dans certains cas de me
ne-Aran, dans la pachy- méningite cervicale hypertrophique, dans la sclérose latérale amyotro- pbique, dans la forme spasmod
la syringomyélie, dans quelques mb11ngo-myélites syphilitiques avec sclérose des cordons latéraux, ils sont exagérés, soit p
c la maladie provocatrice; elle est particulièrement rapide dans la sclérose latérale amyotrophique (2 ans à 4 ou 5 ans au plu
ome d'Aran-Duchenne l'ait partie du tableau clinique habituel de la sclérose latérale amyotrophique, de la syringomyélie, de l
, de lèpre nerveuse, de méningo- myélite syphilitique, de tabès, de sclérose en plaques, même exception- nellement dans cert
lules radi- culaires des cornes antérieures de la moelle. Dans la sclérose latérale amyotrophiques, la pachyméningite cervic
rale amyotrophiques, la pachyméningite cervicale hypertrophique, la sclérose en plaques, quelques cas de syringomyélie et de
as, les ré- flexes sont normaux ou généralement diminués. Dans la sclérose latérale amyotrophique, au syndrome de l'atrophie
(syndrome Aran- Duchenne.) s'associe le syndrome spasmodique de la sclérose des fais- ceaux pyramidaux latéraux : exagérati
ble; la main est fréquemment une « main de prédicateur ». Dans la sclérose en plaques, l'amyotrophie, généralement modérée,
trophie ou la précèdent et, en dehors des signes ordinaires de la sclérose en plaques (démarche cérébelleuse ou spasmo-
mus, troubles de la vi- sion, etc.), la forme amyotrophique de la sclérose en plaques se caracté- riserait par la fréquenc
ION LOCALE a) Atrophies par lésions vasculaires. Dans l'cc·tério- sclérose et surtout dans l'artérite des gros troncs, en pa
antérieures sont ou peuvent être progressivement altérées, comme la sclérose latérale amyotrophique, la syringomyélie, la méni
rdinaire du syndrome de Duchenne- Aran quand il ne relève pas d'une sclérose latérale amyotrophique, d'une syringomyélie, d'
veux; cypho-scoliose; symptômes médullaires simulant le tabes ou la sclérose en plaques : Romberg, Westphal, Robertson, myosis
fé- rieurs rarement : pieds, jambes, cuisses; évolution lente (sauf sclérose latérale amyotrophique); pas ou peu de troubles
s différentiels : a) Spasmodiques : réflexes tendineux exagérés : Sclérose latérale amyotrophique : paralysie spasmodique de
iques, exagération des ré- flexes ; souvent mains de prédicateur. Sclérose en plaques : Amyotrophie souvent plus généralisée
gique : on les observe alors chez des sujets atteints il ! utero de sclérose cérébrale et nés avec les signes d'une hémiplégie
n trophique excessive émanée des neurones corticaux excités pal' la sclérose . D'autre part, les modifications de la circulatio
nie a d'ailleurs même cause que les troubles sensitifs, à savoir la sclérose des cordons postérieurs; elle peut être aussi e
, pour la plupart, devraient entrer dans la classe très élargie des scléroses combinées. Pratique N6UAOL. 48 [A. LÉRI] 75
'atteinte légère concomitante du faisceau pyramidal, un signe de la sclérose combinée des cordons postérieurs et latéraux, com
ais les secousses et les déviations n'augmentent pas, comme dans la sclérose en plaques, au sur et à mesure que la main appr
-méningés comme les faisceaux de Flechsig ou de Gowers), soit de la sclérose primitive ou secondaire de différents nerfs pér
rot, Dejerine), des symptômes d'ata- xie dite « labyrinthique » par sclérose des nerfs auditifs (le signe de Rombcrgpcut êtr
ices latérales, elles produisent soit un pseudo-tabes pur, soit une sclérose combinée où, à côté de l'ataxie et des différents
diabète par certains auteurs (Rosenstein, Mvière, Auché, etc.), la sclérose des cor- dons postérieurs ayant été reconnue pa
tabes vrai. Elle provoque encore l'ataxie en produisant différentes scléroses combinées : dans ces cas, tantôt l'ataxie prédomi
à quelques symptômes de spasmodicité ou à l'extension des orteils ( sclérose combinée à forme tabé- tique), tantôt la parapl
le important, associée seulement à un léger degré d'incoordination ( sclérose combinée à forme spasmodique, paraplégie syphil
e que la méningite joue un rôle prépondé- rant dans la genèse de la sclérose tabétique des cordons postérieurs); dans ce cas
ne très fréquemment d'incoordina- tions et de quelques symptômes de sclérose des cordons postérieurs : il s'agit dans ce cas
ntes; l'évolution est progressif très lente et très longue. '. La sclérose combinée sénile, décrite par Pierre Marie et Crou
rmine par la mort en l'espace de moins de deux ans, paraît être une sclérose combinée à évolution rapide provoquée tantôt par
ains faits montrent que le signe de Romberg peut être dû à la seule sclérose labyrinthique, indépendamment de toute lésion des
ien définies. Le syndrome se rencontre parfois presque pur dans des scléroses ou des atrophies du cervelet. Dans les atrophie
guère cliniquement que par le syndrome cérébelleux isolé. Dans la sclérose en plaques, le syndrome cérébelleux révèle l'
ues, le syndrome cérébelleux révèle l'existence d'une plaque de sclérose du cervelet ou de la protubérance; etm0me, d'ap
parole et le nystagmus ne se- raient, pas caractéristiques de la sclérose en plaques, mais bien d'une lésion du cervelet ou
u cervelet ou des voies cérébelleuses; s'il sont si communs dans la sclérose en plaques, c'est que dans cette maladie il exi
ébelleuses ; mais ces troubles feraient défaut quand les plaques de sclérose sont limitées il la moelle. Souvent le syndrome
: dans ces cas, qui sont beaucoup plus riches en symptômes que les scléroses ou les atrophie*, il est souvent beaucoup plus ma
t le siège de la lésion. Fig. 12. z Ecriture d'un malade atteint de Sclérose en plaques avec tremblement intentionnel très
s un tremblement intentionnel, plus ou moins analogue à celui de la sclérose en plaques, niais augmen- tant moins nettement
ataxiques, asynergiques et paralytiques : on trouve, en effet, une sclérose combinée de la moelle à laquelle prennent part il
Variétés topographiques : a) Affections du cervelet : Atrophie ou sclérose : syndrome pur- ou associé à épilepsie et trouble
ladies rigoureusement définies comme le tabes, la syringomyélie, la sclérose en plaques, la sclérose laté- rale amyoirophiqu
finies comme le tabes, la syringomyélie, la sclérose en plaques, la sclérose laté- rale amyoirophique, tantôt dans des infec
. Rarement observé avec son complet développement dans le tabès, la sclérose en plaques ou la syringomyélie, le syndrome lab
associé. On rencontre tantôt un syndrome bulbo-spinal comme dans la sclérose latérale amyotrophique, tantôt un syndrome hulbo-
ôt un syndrome hulbo-protubéran- licl ou bulho-ponio-péclonculaire ( sclérose en plaques, syringomyélie par exemple). Le di
lle occurrence posé le diagnostic de tabès (Gianelli, Paviot) ou de sclérose en plaques. Dans ces maladies toutefois, le syndr
le liées lune et l'autre à de gros accidents cérébraux, atrophie et sclérose corticales, microgyrie, porencéphalie. L'évol
suffisamment ce phénomène. C'est surtout il la période ultime de la sclérose latérale amyol1y¡pltique, chez uns ? /r ! ? t&l
ns ? /r ! ? t</(Wi ? <e. un tabétique ou un individu atteint de sclérose en plaques qu'évolue lentement la paralysie lab
cérébrales apyrétiques : congestion, anémie, trau- matisme crânien, sclérose cérébrale, hémorragie, ramollissement, qui peuv
e début remonte à des mois ou à des années. C'est ainsi que dans la sclérose cérébrale chro- nique vous constaterez qu'il v
re part, les oscillations peuvent être assez étendues comme dans la sclérose en plaques; enfin, certains tremblements peuven
on mettra ce fait en évidence dans l'examen d'un malade atteint de sclérose en plaques. 5° Autres influences modificatric
dans les intoxications; il peut être enfin chronique comme dans la sclérose en plaques, dans la paralysie agitante, dans la
nt pas liés à des lésions organiques connues. Tremblement dans la sclérose en plaques. Il est le type du tremblement appar
la marche et l'oblige à garder le lit. A côté du tremblement de la sclérose en plaques, nous mentionnerons immédiatement le
maladie de Friedreich qui est en effet très analogue à celui de la sclérose en plaques. Le diagnostic de la maladie se fera
ève, connue on le voit dans le 11'('111- blement intentionnel de la sclérose en plaques. Enfin, il l'inverse du tremblement
ent intentionnel, il simule alors absolument le trem- blement de la sclérose en plaques, c'est donc alors un véritable symptôm
uques cité par Dutil; c'est la recherche des autres symptômes de la sclérose en plaques, l'état des- réflexes tendineux, le
le nystagmus qui seuls pourront faire affirmer le diagnostic de la sclérose en plaques. 5" Tremblement lent (4 il 5 1/2 o
nghausen et de l'urémie cérébrale; on l'a observé également dans la sclérose en plaques ou au cours de l'atrophie musculaire
orot ont observé la myoclonie associée à la myotonie dans un cas de sclérose en plaques fruste. Paviot et Nové-Josserand l'ont
réique. D'autre part les mouvements athétosiques peuvent simuler la sclérose en plaques. Dans cette affection le tremblement
belleuse ou cërébello-spasmodique orientent le "diagnostic vers. la sclérose en pla- ques ; la paralysie agitantesm;a reconn
ns la maladie de Friedreich; elle peut s'observer également dans la sclérose en plaques. Féré l'a rencon- trée également dan
oses seront relativement rares dans cer- taines affections comme la sclérose en plaques ou la paralysie générale, dans d'aut
lites aiguës, plus rarement dans la syrin- gomyélie, le tabès et la sclérose en plaques. On peut quelquefois, dans la lèpre,
les névrites, la lèpre, le diabète, la syringomyélie, le tabès, la sclérose en plaques, on a signalé leur atrophie, accompa
t sans phénomènes inflammatoires. Dans les né- vrites, le tabès, la sclérose en plaque, la syringomyélie, l'hémiplégie, les
llement entre la pelade et les affections de la VC paire. Dans la sclérose en plaques, les alopécies ne sont point rares. Il
ncore HYPOTHERMIE. 957 7 au moment des attaques congestives de la sclérose en plaques et de la paralysie générale. - Dan
bulbaires; celle de la paralysie labio-glosso-Iaryngée, celle de la sclérose en plaques. Il existe enfin des tachycardies de
rver dans les lésions bulbaires primi- tives ou secondaires (tabès, sclérose en plaques, etc.). TROUBLES DE L'APPAREIL URINA
s s'assurer de l'état d'évacuation de la vessie. On observe dans la sclérose en plaques les mêmes intermittences des contrac
aire) puis inconsciente; de même dans la myélite diffuse et dans la sclérose en plaques où elle est liée à l'évacua- tion in
ie indiqueraient une atteinte des noyaux du bulbe. Signalée dans la sclérose en plaques, la polyurie est fréquente dans le t
ère à court intervalle. Le priapisme est un symptôme du début de la sclérose en plaques, mais cette période dure peu et fait
iedreich, plus fréquente dans la syrin- gomyélie et surtout dans la sclérose en plaques, à la deuxième période, constante da
e la langue est impor- tant. Les accidents syphilitiques, rhagades, sclérose , leucoplasie ont une grande valeur diagnostique
les parkinsoniens, nystagmus et tremble- ment intentionnel dans la sclérose en plaques, etc. Le tremblement est rarement lo
ts peuvent être lents (Parkinson, tremblement dit st'nite). moyens ( sclérose en plaques, hystérie) ou rapides (goitre exophtal
s violents (mouvements de trombone). Au contraire la langue dans la sclérose en plaques ne montre que de faibles secousses f
- culaires violentes, s'observe encore à la période terminale de la sclérose latérale amyotrophique. Le syndrome bulbaire su
ue les troubles constants de la paralysie générale, fréquents de la sclérose en pla- ques, passagers mais dangereux (chute v
mes glosso-labio-laryngés, qu'ils soient liés au tabès (rare), à la sclérose latérale amyotrophique ou aux polioencéphalites i
nique qu'hypersécrétion glandulaire. L'idiot; l'enfant atteint de sclérose cérébrale avec ses contractures, son strabisme,
hez une femme pré- sentant simplement du tabès viscéral (Leyden). Sclérose en plaques. On peut rencontrer des crises très vo
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la maladie de Friedreich et la sclérose en plaques peuvent se rencontrer des diarrhées,
phie d'un- membre congénitale est plus souvent la conséquence d'une sclérose cérébrale que d'un véritable arrêt de développeme
nte; elle s'observe dans les diverses va- riétés d'atrophie et de sclérose cé- rébrale, d'encéphalite foetale et in- fan
bilatérale dans la poliomyélite antérieure chronique (') et dans la sclérose latérale amyotrophique : dans la première, les ré
et une extension des orteils; le tableau clinique simule alors une sclérose latérale amyotrophique à évolution lente (Raymond
nique, méningo-myélile syphili- tique amyotrophique, syringomyélie, sclérose latérale amyotrophique), on constate rarement e
Iransverse, par méningite ou )1J('.ningo-myélite syphilitique, par sclérose en plaques, par cancer médullaire, méningé ou v
és, parfois non ossifiés. Histologiquement, on constaterait une « sclérose du cartilage jugal avec insuffisance de la mult
aires, Joltrain a rencontré 8 réactions positives sur 15. Dans la sclérose en plaques, la réaction a été positive dans les t
rre Marie a montré cliniquement l'origine syphilitique de certaines scléroses en plaques. De même, la réaction était positive
Elle a été constatée dans le liquide cérébro-spinal des tabétiques, scléroses combinées, scléroses en plaques par Mott et All
dans le liquide cérébro-spinal des tabétiques, scléroses combinées, scléroses en plaques par Mott et Ally Burton. Elle a cons
raclridien au cours de cancer du cerveau. Cyto-diagnostic dans la sclérose en plaques. Carrière de Lille a examiné trois c
uatrième ventricule et ceux qui paraissent rattacher les plaques de sclérose hériventriculaire il l'existence d'une épcndymi
ment. Dans les cas qui passent à la chronicité et s'accompagnent de sclérose n]éninu-cérélrale, le rôle respectif des granul
ale, le rôle respectif des granulations, de la pachyependymite, des scléroses périveineuses, choroïdienne et méningée, est. e
omyéliques, les atrophies osseuses de la paralysie infantile et des scléroses cérébrales infantiles, les déformations des név
au plus le rote de cause occasionnelle, paralysie générale, tabès, sclérose en plaques, etc. ; la radiographie n'a rien à v
mation des mains en trident, etc. L'examen radiographique montre la sclérose ou l'ossification des cartilages de conjugaison,
s avec un certain succès dans la syringomyélie, les paraplégies, la sclérose en plaques, le tahes, etc. Les tumeurs de l'hypo-
s. De semblables tentatives ont été faites dans les paraplégies, la sclérose en plaques, le tabès. Les paraplégies spasmodiq
égies spasmodiques dépendant probablement de plaques médullaires de sclérose . P. Lereboullet et Beaujard ont obtenu une amélio
membres inférieurs due à une ancienne paralysie infantile. Dans la sclérose en plaques, les résultats sont souvent favorables
cée). Duhain, Raymond, et Beaujard ont obtenu dans plusieurs cas de sclérose en plaques une amélioration très notahle de la
des poliomyé- lites antérieures subaiguës ou chroniques et dans la sclérose latérale amyotrophique, lorsque les altérations
es cérébrales anciennes, clans les myélites, dans le tabes, dans la sclérose en plaques, dans des paralysies par compression d
la DR dans les affections nerveuses à marche progressive, comme la sclérose latérale ainyolrophique, certaines myélites ou mé
ornes antérieures, soit directement, poliomyélite antérieure aiguë, sclérose latérale amyotrophique, poliomyélite antérieure c
ses et non systématisées, telles que les myélites transverses et la sclérose en plaques et dans les myélites systématisées q
cines, soit par suite de lésions nucléaires concomitantes). Dans la sclérose latérale amyotrophique, la DR n'apparaît souvent
ions analogues. Dans les affections il marche progressive, comme la sclérose 1;U ? rale muyotropliiyne, la syringomyélie, la
es réflexes jusqu'à de la contracture parfois très prononcée. Cette sclérose secondaire s'étend sur toute la longueur du fai
nisation continue de la moelle ait une bien grande influence sur la sclérose descendante du faisceau pyramidal; mais elle es
u compressions de la moelle), de lésions plus ou moins disséminées ( sclérose en plaques), de lésions systématisées. , Les lé
othérapie à un certain nombre de ces affections, notamment dans des scléroses en plaques et dans des cas de compres- sion méd
pendant des intervalles de repos plus ou moins prolongés. Dans la sclérose latérale ccoroln'opl.ilze le processus morbide su
sso-Iaryngée se montre souvent comme expression symptomatique de la sclérose latérale arnyotroplrique, soit il la fin, soit au
oplasma coloré en rouge, leur noyau est moins foncé. Les plaques de sclérose névroglique ont une coloration rouge qui les me
1. - liées à l'alhérome cérébral, 991. - tabétiques, 992. dans la sclérose en plaques. dans l'oedème angioneurotique, 995.
lis- sement cérébral, par les tumeurs céré- brales, 127. - par la sclérose en pla- ques, le tabes, les lésions des nerfs,
tions nerveuses. Syringomyélie, paraplé- gies spasmodiques, -118G.- Sclérose en plaques, compressions médullaires, un. - S
odermie, troubles trophiques, 914. et sclérodactylie, 1050, 1047. Sclérose combinée sénile, ataxie, 7G3. en plaques, lésio
- tic de la cause, 857. - transitoires, 838.- permanents. dans la sclérose en plaques, 858. - dans la maladie de Friedre
16 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
III. Idiotie Microcéphalique; - Hémiplégie spasmodique infantile; Sclérose atrophique; Tuberculose abdominale. PAR BOURN
- Microcéphalie. - Tuberculose intes- tinale. - Mort. Autopsie : sclérose atrophique des circonvolutions cérébrales. - Ul
6 mois. Les convulsions sont susceptibles d'être rattachées. à une sclérose atrophique prédominant dans les régions motrice
isses à cause des contractures qui les maintiennent dans la demi- Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau. 29 flexion sur le bassin
9 kilog. 250. Mensurations de la tête et des membres : Tête. 30 Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau. SCLÉROSE ATROPHIQUE DU c
tête et des membres : Tête. 30 Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau. SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau. 31 1 sage avec la troisi
passage, au pli courbe et au lobe occipital un foyer très net de sclérose atrophique. La face interne de l'hémisphère gau
pocampe. A la face interne de l'hémisphère droit nous notons une sclérose atrophique considérable de la moitié postérieure
portance. La tuberculose. n'est. BOURNEVILLE. Bicêtre., ion, 3 34 SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau. pas suffisamment affirmé
pper. Le tableau des mensurations successives de la tête vient 36 SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau. - d'ailleurs à l'appui d
V. L'examen du cerveau nous a montré, suivant les prévisions, une sclérose atrophique très nette de la pariétale ascendant
se et épilepsie est symptoma- tique, comme on le sait, tantôt d'une sclérose atrophi- que, tantôt d'anciens foyers d'encépha
méningitiques de longue durée ; 2° lorsque le syndrôme relève de la sclérose atrophique, par exem- ple, les accès ne se comp
e caractère demeure habituellement le même dans le syndrôme de la sclérose atrophique. Ici, nous avons noté des modificati
prématurée des os du crâne. V. Idiotie complète symptomatique de sclérose atrophique ; PAR BOURNEVILLE ET FERMER. SOM
e : tubercules crétacés et gangrène du poumon. - Nombreux foyers de sclérose atrophique. Vouri ? Joséphine, âgée de 1 ans, n
s dans des positious intermédiaires. 60 Description DE la malade. SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau. 61 déformés ; pas de cic
a protubérance occipitale, mesurent un centimètre d'épaisseur. 62 Sclérose ATIiOPHIQUD DU cerveau. Les pariétaux dans la p
borde en arrière. Le cerveau est petit, le cerve- let volumineux. Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau. 63 sula, qui est volumin
s. A la partie tout antérieure de F2, se trouve un petit foyer de sclérose atrophique. La frontale ascendante est interrompu
terne. - En avant, les circonvolutions sont norma- les. En arrière, sclérose atrophique portant la partie posté- rieure du l
d à la barre transversale en II du lobule orbitaire ; en arrière, sclérose atrophique du lobe occipital semblable à celle de
atellaires. Ces phénomènes sont en Réflexions. 65 rapport avec la sclérose cérébrale constatée à l'auto- psie. IV. Remar
c précis sur la cause de l'idiotie. VII. Idiotie symptomatique de sclérose atrophique ; tuberculose pulmonaire; - Par BO
lëa- lité de poids des hémisphères cérébraux. - Os dormi- ens. - Sclérose atrophique d'un certain nombre de cir- convolut
symétriques, - Liquide céphalo-rachidien en quantité normale. 86 SCLÉROSE ATROPHIQUE. ABCÈS FROID DU DELTOIDE. 87 vrequ
ble au centre. - Poumon droit vit170 gr.). Adhérences généralisées; sclérose pulmonaire complète des lobes inférieurs; caséi
rammes entre les deux hémisphères cérébraux qui étaient le siège de sclérose atrophique. V. Thil... n'avait aucune chance d'
circonvolutions, l'établissement d'une encéphalite déterminant une sclérose des circonvo- lutions insuffisamment irriguées.
celles des sutures normales (Fi. 2). XI. Idiotie symptomatique de sclérose atrophique de l'hé- misphère.cérébral gauche et
optique, du pédoncule cérébral, du tubercule mamillaire gauches. - Sclérose atrophique de l'hémis- Antécédents héréditaires
rougeole à laquelle il a succombé. Description DU crâne. 139 140 SCLÉROSE ATROPHIQUE DE l'hémisphère gauche. métrique ; e
tal et sur la description de laquelle nous insisterons plus loin. - Sclérose atrophique de PA dans toute son étendue, surtou
nt un aspect ecchymotique. Cette zone offre, sur sa périphérie, une sclérose atrophique plus accentuée mais analogue à celle
s, T3 offre un aspect à peu près normal. (PL. XII). Face interne. - Sclérose atrophique considérable de Fi et du lobule para
toïde avaient fait pen- ser que l'idiotie était symptomatique d'une sclérose atrophique do l'hémisphère cérébral gauche, com
ruits offrant une grande diversité et difficiles il bien décrire. Sclérose ATROPHIQUE ET 111ÉNINGO-ENCPHALITE. 145 VI. Ces
chées des deux hémisphères cérébraux. A gauche, nous trouvons une sclérose atrophique intéressant presque tout l'hémisphèr
lisée de toute la face convexe de l'hémisphère, mais aucun foyer de sclérose . Rien dans les renseignements fournis par la fa
ite. La méningo-encéphalite nettement limitée d'un hémisphère, la sclérose atrophique, non moins nette- ment circonscrite
et demi, ne laisse aucun doute à cet égard. L'absence de foyers de sclérose avec induration corroborait les dires de la nou
e du caratère en 1892. Etat de mal épileptique : mort. Autopsie : sclérose atrophique et méningite chronique. March... (Va
les artères et la protubérance, sont symétri- AUTOPSIE ; MÉNINGITE; SCLÉROSE . 197 ques. La pie-mire de la convexité est très
de 3 ans, n'a fait qu'accroitre. XVIII. Idiotie symptomatique de sclérose atrophique; PAR BOURNEVILLE et DAURIAC. SomfA
droite uers 2 ans 112. - Broncho-pneumo- nie. - Mort. Autopsie : Sclérose atrophique prédominant à gauche. - Inégalité no
meurt à Il heures 45. T. R. après le décès z,9; d'heure après 220 SCLÉROSE ATROPHIQUE. 45°; 1 heure après 311,7 ; - heures
ons répétées, permettait de rattacher l'état mental de Louv., à une sclérose du cerveau. IV. L'autopsie a démontré la réalit
Y hémisphère céré- belleux droit. XIX. Idiotie symptcmatique de sclérose cérébrale atrophique ; Par BOURNEVILLE et NOI
é droit. Autopsie : Synostose partielle de la suture lambdoïde ;- Sclérose atrophique des circonvolutions frontales droi.e
sorte de petit triangle. Pas trace de synostose sur le trajet de SCLÉROSE ATROPHIQUE. 229 cette suture. La suture lambdoï
st blanche et opaque sur le trajet de la scissure de Sylvius. 230 SCLÉROSE ATROPHIQUE. male dans sa moitié inférieure, est
l et temporal ont une dispo- sition régulière. Face interne. - La sclérose atrophique intéresse la partie antérieure du lo
trouverte et bordée par des circonvolutions qui sont le siège d'une sclérose atrophique excessivement accentuée. Cette lésio
scissure de Sylvius. Face interne. - On ne trouve qu'un foyer de sclérose assez accentué à la partie postérieure du lobul
de l'encéphalite qui se traquit anatomi- quement par deux foyers de sclérose atrophique régio- nale. L'état de mal convulsif
légitimé une intervention chirur- gicale, les lésions anciennes de sclérose et l'atrophie des circonvolutions nous en donne
artérielle de l'affection, c'est la limitation macroscopique de la sclérose à gauche (c'est-à-dire du côté le plus atteint)
ire songer à une lésion irritative du corvcauméningite chronique ou sclérose des circonvolutions). D'autre part, l'état rudi
ble est normale. On ne constate nulle part la présence de foyers de sclérose . Le lobe frontal est bien conformé ainsi que le
u niveau du lambda (Fig. 33). OI3S. V. - IDIOTIE SYMPTOMATIQUE DE sclérose TROPHIQUE. ? 0 Pas. d'antécédents héréditaires, c
OBS. VIII. IDIOTIE MICRO CÉPHALIQUE. - Hémiplégie SPASMO- DIQUE. - Sclérose ATIIOPHIQUE. - TUBERCULOSE ABDOMI- NALE. Sowo
ture. Mierocéphalie. - Tuberculose intestinale. Mort. AUTOPSIE. - Sclérose atrophique des circonvolutions cérébra- les. -
tie symptomatique de tumeurs cérébrales, de méningo-encéphalite, de sclérose atrophique, de porencéphalie, ou due au mycedèm
GIQUE. 327 Obs. III. - IDIOTIE probablement symptomatique DE > sclérose cérébrale. Sommaihe. Père emporté, céphalalgies
17 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
été identiques dans tous les cas : faisceau pyramidal normal, sans sclérose ni agénésie, au bvtlbe comme aux principaux niv
urs de ces théories incrimi- nent une lésion du faisceau pyramidal ( sclérose ou agén"sie). A ces dernières théories, nos cas
montrent que la rigidité spasmodique infantile peut exister sans la sclérose ou l'agénésie des libres pyrami- dales. Nos qua
est mince et ne pré- sente pas de vascularisation. Pas de foyers de sclérose ni d'aspect chagriné des circonvolutions. - Le
la mère. Soeur, morte de convulsions. - Frère, mort a Bicêtre de sclérose tubéreuse. Autre soeur migraineuse, a un côté p
t à 7 ans dans notre service il. Bicêtre : idiotie symptomatique de sclérose tubéreuse ou hypertro- phique des circonvolutio
s convulsions ; l'un d'eux est mort dans notre service à Bicêtre de sclérose ,tubéreuse(2). Il suffit de se reporter au somm
la thèse de M. Tuibui, intitulée : Con- tribitlion il l'élude du la sclérose tubéreuse ou hypertrophique du cerveau. Parts,-
n. (Voir la note 1 de la page 180.) XII. Idiotie symptomatique de sclérose tubéreuse ou hyper- trophique. ' - PAR BOUIRN
er- trophique. ' - PAR BOUIRNEVILLE. L'idiotie symptomatique de sclérose tubéreuse ou hypertrophique se rencontre assez
bronchite, dyspnée, 'mort. - ? - AUTOPSIE : - Nombreux noyaux de sclérose tubéreuse sur les deux faces des hémisphères cé
s et de la taille. Tableau des accès. 190 SCLEROSE TUBEREUSE. Sclérose tubéreuse et MÉN1NGO-ENCÉPHALlTE. 191 192 Sclér
OSE TUBEREUSE. Sclérose tubéreuse et MÉN1NGO-ENCÉPHALlTE. 191 192 Sclérose tubéreuse et méningo-encéphalite. pas présenter
lésions analogues il celles de la face externe. F| est atteinte cle sclérose tubéreuse il son origine vers le pli fronto- li
cm. 5 qui continue le noyau de la face externe. D'autres loyers de sclérose occupent le lobule paraccntrat il sa partie pos
semblables il celles du coté oppusé. Face externe - Cinq noyaux de sclérose hypertrophique su rie 10befJ'onlalqui transform
ostérieur 1 cm. f 2. 5° Le tiers moyen de FA est encore le siège de sclérose tubéreuse sur un tra- jet de 2 cm. de longueur.
ences de cette membrane. ('L. XII). Le lobe pariétal n'offre pas de sclérose sur PA, ni sur le lobule pariétal supérieur, ma
supérieur, mais tout le lobule pariétal infé- rieur est le siège de sclérose tubéreuse hypertrophique, le gros noyau scléreu
u noyau pariétal, occupe la moitié postérieure du lobe occipital. Sclérose tubéreuse. 193 Un autre noyau assez petit, d'un
la couche optique du corps strié, une trai- née de petits noyaux de sclérose , formant une saillie assez notable. Nous avons
ssez notable. Nous avons trouvé celle lésion dans tous les cas de sclérose tubéreuse. Au niveau des îlots de sclérose, la
n dans tous les cas de sclérose tubéreuse. Au niveau des îlots de sclérose , la pie-mère n'est nullement adhérente ; elle e
du lobe inférieur du lJOI(llI01t l3oummLLL, Bicêtre, 1898. 13 194 Sclérose tubéreuse. ilroil (110 gr.) ; le poumon gauche
la première fois avec un examen histologi- que complet, deux cas de sclérose hypertrophique tubé- reuse. L'écorce et le cent
le picro-carmin ou (t) Archives de neurologie, t. p. 30 ! i. 196 Sclérose turéreuse. par l'hématoxyline de Weigert-PaI, n
t à elle seule pour confirmer, hi.slolo(Jiquement, le diagnostic de sclérose tubéreuse hypertrophique chez Blach... mais l'é
ortée qu'elle peut avoir pour le mécanisme et la pathogénie de la sclérose tubéreuse hypertrophique. Ladite lésion, tout i
s, prochainement, revenir sur ces principaux stades évolutifs de la sclérose tubé- reuse hypertrophique, en rapprochant de c
empruntés il la belle collection de M. Bour- neville. 198 - ? .- SCLÉROSE TUBÉREUSE' -' - J 2000 RL1 : : nosE Tum : : TII
r l'atten- tion, le caractère, l'affectivité et la marche. IV. La sclérose 11 ! /pert1'ophirjue ou tubéreuse, qui a eu pou
o-sncéphalite concomitante s'est-elle produite en même temps que la sclérose tubéreuse ou ultérieurement, nous ne saurions n
difficile la description clinique de l'idiotie symptomatique cle la sclérose tubéreuse. Les accès de Sclérose tubéreuse. 201
e l'idiotie symptomatique cle la sclérose tubéreuse. Les accès de Sclérose tubéreuse. 201 colère et de cris, les changemen
VI. Le tableau qui précède montre que l'idiotie sym- ptomatique de sclérose tubéreuse se complique sou- vent, au point de v
anatomo- pathologique nous voyons, dans le même tableau, qu'à la sclérose tubéreuse s'ajoute, cinq fois sur dix, la ménin
s. Thèse de Paris. 1888. TH113AL. - Contribution il l'étude de la sclérose tubéreuse ou hyperlrophiqne du cerreau. Thèse d
! 8U8. ' V> -) 22(i.- Explication. des planches. Planche X. Sclérose tubéreuse (V. p. HI1). Face externe ou convexe
ns temporales ? Les chiffres 1, 2, 3, 4, G indiquent les ilôts de sclérose tubéreuse. ' " - BOURNEV'LLE, Bicêtre. 1898.
e, 1898. PL. XII. 232 . Explication des planches. Planche XIII. Sclérose tubéreuse (V. p. 193). - Face interne de l'hémi
LLE et .h Boma1 ..................... XII. Idiotie symptomatique de sclérose tubéreuse ou , hypertrophique ; par BOl : R.1`E
18 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oumons sont congestionnés. Les reins présentent un certain degré de sclérose , la capsule est adhérente et la substance cortica
s'effeuiller. - La tunique musculaire présente un certain degré de sclérose . Elle et envahie par des éléments cellulaires j
iltration sanguine), lésions des artères cérébrales, léger degré de sclérose rénale. Voilà donc le fait tel que nous avons p
retenir seulement deux faits : D'abord l'existence de lésions de sclérose rénale et en général de lésions artérielles ; e
x qui étaient considérablement améliorés et dans un état simulant SCLÉROSE TUBÉREUSE. 29 presque une guérison, avaient un
vre.) HECU El L DE FAITS. Idiotie et épilepsie syinptomatiques de sclérose tubéreuse ou hypertrophique ; l'.ir IIOL'RN'E
tre de 1898 (p. 198) nous avons fait suivre la relation d'un cas de Sclérose tubéreuse du tableau récapitulatif de tous ceux
ladie et après le déeès. Autopsie. Tuberculose pulmonaire. Ilots de sclérose tubéreuse des deux hémisphères cérébraux; petit
me mon enfant. » Rien à mentionner dans le reste de la famille. 1 SCLÉROSE TUBÉREUSE. 31 Mère, trente-cinq ans, blanchisse
tus, Pommettes assez saillantes, régulières. Couche petite, lèvre SCLÉROSE TUBÉREUSE. 33 inférieure pendante, menton peu v
s (5 mai) elle était de 38 ? i et a eu enfin la marche suivante : SCLÉROSE TUBÉREUSE. 35 Sur la face externe de l'hémisphè
nvolutions frontales sont remplacées par quatre volumineux îlots de sclérose tubéreuse. La partie moyenne de F1 est égalemen
rendre compte d'une façon très nette de la répartition des îlots de sclérose , de la forme des circonvolutions et un peu des
e nombreuses petites tumeurs blanches, ressemblant à des îlots de sclérose ( ? ). Le rein gauche est le siège des mêmes lési
plusieurs régions sont pâles et comme lavés. Poids des organes. SCLÉROSE TUBÉREUSE. 37 38 RECUEIL DE FAITS. symptômes
liniques qui permettent de distinguer l'idiotie symptomatique de la sclérose tubéreuse. Certains symptômes : grincements de
de vue de l'anatomie pathologique, de la distribution des îlots de sclérose , de leurs caractères, les renseignements donnés
mporales. Les chiffres 1, 2, 3, 4, 3, etc., indiquent les l'loIs de sclérose tubéreuse. Planche IL Face interne de l'hém
Il., gyrus rectus. Les chiffres 1, 2, etc., indiquent les ilots de sclérose tubéreuse. Planche III. Face externe ou conve
mplète symptomatique d'hydrocéphalie ventriculaire et l'idiotie par sclérose tubéreuse. Mentionnons à part une complète étud
s tabétiques qui ont perdu complètemeut-les reflexes tendineux, une sclérose du fais- ceau pyramidal n'entraîne pas une cont
une contracture spasmodique conformément à la loi de Westphal,,des scléroses médul- laires combinées, et se manifeste unique
nique que l'on peut observer dans le tabes. Dans ce dernier cas, la sclérose pyra- midale provoquera l'exagération des refle
euse des cordons antcro-tatéraux dans la région dor-ale supérieure. Sclérose de la périphérie de la moelle dans les cordons
e la moelle dans les cordons latéraux dans toute la région dorsale. Sclérose des cordons posté- rieurs médians dans la régio
filtration cellulaire (gommeuse) dans la région dorsale inférieure. Sclérose descendante dans les tractus pyramidaux croisés
Sclérose descendante dans les tractus pyramidaux croisés lombaires. Sclérose ascendante dans les cor- dons cervicaux postéri
Campbell et attribué à un trauma- tisme obstétrical, il y avait une sclérose intense des faisceaux pyramidaux de la moelle,
res, avec en même temps un abaissement de la nutrition, bien que la sclérose ait été très légère : on a d'ailleurs rencontré
: on a d'ailleurs rencontré ces mêmes conditions en dehors de toute sclérose . Si, comme cela est plus que probable, les rare
t de toute la région du 4° ventricule, vaisseaux dilatés et gorgés, sclérose sur certains territoires englobant les noyaux d
ratatinement, atrophie et plissement des circonvolutions, et de la sclérose diffuse par méningite ausculaire (ratatinement,
n a produit l'ensemble morbide. Evidemment il ne s'agit pas d'une sclérose en plaques. Une affection bulbaire ne cadrerait p
endu à d'autres symptômes, présente une certaine valeur clinique. Sclérose pupillaire double. - M. B.uussm présente une femm
aymond discute le diagnostic entre une méningite tuberculeuse et la sclérose en plaques. La leçon suivante permet au profess
e permet au professeur d'établir l'état actuel de la question de la sclérose en plaques chez l'enfant, où son existence est
hie musculaire progres- sive, syringomyélie, maladie de Friedreich, sclérose en plaques, hystérie. . Les associations morb
x qui étaient le siège d'une plaie contuse. G. D. XXXI. Un cas de sclérose en plaques avec fou rire ; par J. CRocQ. (./ou)
CRocQ. (./ou)' ? : . de Neurologie, 19CO, n° 8.) XXXII. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec phéno- mènes bulbai
atrophie musculaire progressive, ni d'une syringomyélie, mais d'une sclérose latérale amyotrophique. G. D. XXXIII. Un cas
teuses et des lésions interstitielles. L'induration grise devint la sclérose , l'hyperplasie du tissu interstitielle. Dès 1
uré l'étude des dégénérescences secondaires, rattachées ensuite aux scléroses , Tùrck décrivait une sclérose primitive des cor
secondaires, rattachées ensuite aux scléroses, Tùrck décrivait une sclérose primitive des cordons latéraux; on a prétendu e
pasmodique. Un peu plus tard, Tùrck nous révélait l'existence d'une sclérose des cordons postérieurs dans les cas de tabes d
rlich, de Romberg. En 1863, Friedreich découvrait l'existence d'une sclérose des coi,- dons postérieurs, d'origine héréditai
uchenne. Aujourd'hui, la maladie de Friedreich est classée dans les scléroses systématiques combinées. Vers la même époque,
ndfleisch, de Leyden, de Zencker, nous révélaient l'existence d'une sclérose qui envahit les centres nerveux sous la forme d
cliniques de Charcot et Vulpian nous apprenaient à distinguer cette sclérose en plaques de la paralysie agitante, de la maladi
ladie de Par- kinson, jusque-là confondue avec elle. , A côté des scléroses , un autre groupe d'affections médullaires était
suppose un rapport de causalité entre le symptôme contracture et la sclérose d'une partie des cordons laté- raux, de celle q
le faisceau pyramidal croisé. Charcot nous fit ensuite connaître la sclérose latérale amyolro- phique, qui établissait comme
e amyolro- phique, qui établissait comme un trait d'union entre les scléroses systématiques et les amyotrophies spinales. En
attacherons les troubles observés dans le cas présent, ou enfin, la sclérose terminale de l'organe qui peut aboutir, comme d
née, en réalité causé par l'atro- phie de la glande thyroïde. Cette sclérose du corps thyroïde a été également observée par
r que, par ses caractères d'indolence et de souplesse, d'absence de sclérose et de suppuration, la tumeur thyroï- dienne sem
t in Annales de l'association médicale américaine, 16 août 1894) la sclérose atrophique fut trouvée dans non moins de 96 cas
la sclérose atrophique fut trouvée dans non moins de 96 cas. et la sclérose tubéreuse fut relevée 13 fois. Les désordres sc
a période terminale. D'après ses expériences, Beach remarque que la sclérose est généralement diffuse et s'étend sur une gra
s (Idiotie congénitale idiopathique); 4° Idiotie symptomatique de sclérose hypertrophique ou tubé- reuse ; 5° Idiotie sy
érose hypertrophique ou tubé- reuse ; 5° Idiotie symptomatique de sclérose ulrophique : a) sclérose d'un hémisphère ou des
ubé- reuse ; 5° Idiotie symptomatique de sclérose ulrophique : a) sclérose d'un hémisphère ou des deux hémisphères du cerv
hémisphères du cerveau (sc. hémisphérique ou di-hémisphérique) ; b) sclérose d'un lobe du cerveau (se. lo- baire); c) scléro
misphérique) ; b) sclérose d'un lobe du cerveau (se. lo- baire); c) sclérose des circonvolutions isolées : d) sclérose chagr
rveau (se. lo- baire); c) sclérose des circonvolutions isolées : d) sclérose chagrinée du cerveau ( ? ) ; 6° Idiotie hémip
ur la trépidation épi- leptoïde de tout le membre inférieur dans la sclérose en plaques. BIBLIOGRAPHIE. VIII. La mélancoli
ouvent à désirer. Dans un cas de monoplégie symptomatologique de la sclérose en plaques du bulbe, le traitement masso-mécano
édico-pédagogique. L'idiotie relève de lésions cérébrales variées : sclérose atrophique, sclérose tubéreuse ou hyperlrophiqu
idiotie relève de lésions cérébrales variées : sclérose atrophique, sclérose tubéreuse ou hyperlrophique : des observalions tr
cas (Bourneville). A relever une observation fort intéressante de sclérose en placée* disséminées chez l'enfant. Bournevil
ne lésion des cordons postérieurs ; Deuxième type. Paralysie avec sclérose latérale de la moelle : les réflexes sont exagé
ffet, l'atrophie musculaire, qui peut être sous la dépendance de la sclérose latérale amyotrophique, de la syringomyélie, de
coup de médecins, entre autres par M. Déjerine, suivant laquelle la sclérose du nerf opiique arrê- terait l'évolution du tab
duisent. a. L'atrophie musculaire progressive (type Charcot-Marie). Sclérose des cordons postérieurs dans toute leur longueu
postéro-interne. La zone postéro- interne subit habituellement une sclérose . Les racines postérieures sont dégénérées. b)
son tour. cl) L'ataxie de Friedreich. La lésipn principale est une sclérose dans les cordons postérieurs et anLéro-IaLéraux
t anLéro-IaLéraux. Eu ce qui con- cerne les cordons postérieurs, la sclérose est développée le plus dans les régions dorsale
sacrée, et cesse complètement au niveau des noyaux des cordons. La sclérose présente un développement exubérant de la névro
issement t de leurs parois. Les racines postérieures présentent une sclérose similaire avec des degrés variés d'amincissemen
énéres- cence, et d'une prolifération de névroglie secondaire. e) Sclérose combinée des cordons postérieurs et antéro-latéra
ontrent une dégénérescence simultanée dans ces cordons suivie d'une sclérose , qui cependant ne se limite pas à des systè- me
tres n'indiquent pas des maladies distinctes ; dans la pellagre, la sclérose , d'après Tuczek, affecte principalement le cord
; suivant Babès, elles sont dégénérées. Ces auteurs attribuent la sclérose à l'action immédiate d'une substance toxique sur
la substance du cerveau ; collection liquide dans les ventricules ; sclérose granuleuse.de l'épendyme; un cas en outre de pach
Colin et pal Schncler 512. Rougeur émotive par llartenber, 247. Sclérose . Idiotie et épilepsie symp- tomatiques de tubér
19 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
anesthésique, la syringomyélie, la myélite transverse cervicale, la sclérose latérale amyotrophique, le tabes spasmo- dique,
rescence de ce faisceau disparait com- plètement. Au contraire la sclérose du faisceau cunéiforme, qui est aussi absolumen
ures précédentes, le faisceau cérébelleux direct est le siège d'une sclérose intense, à gauche surtout; ce fait n'a pas lieu
oite. Quant au faisceau de Gowers, il participe large- ment à cette sclérose , surtout dans sa portion postérieure. Au niveau
veau, réfléchie sur le crâne comme dans l'aplatissement qui suit la sclérose . L'absence géné- rale du développement du crâne
Salpê- trière, décrivit, entre autres, la paralysie agitante, la sclérose en plaques, jusque-là confondues, qu'il a pour
que, depuis, il n'y a rien été ajouté de vraiment important 3 ; les scléroses de la Citons aussi les articles : fièvre typhoï
zette des Hôpitaux (1868). J.-M. CHARCOT. 181 moelle épinière, la sclérose primitive des cordons laté- raux, etc. Dans s
les trophiques, venaient les leçons sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques. Il ne les modifia pas et nous avion
ait, c'étaient parfois des sujets tout à fait originaux : telles la sclérose en plaques, les arthro- pathies, la pathogénie
azie (en collabora- tion avec Magnan), 188 ? - Deux nouveaux cas de sclérose latérale amyotrophique suivis d'autopsie (en co
en col- laboration avec Magnan), 1892; La foi qui guérit, 1893; - Sclérose latérale amyot1'ophique ou amyotrophie hystérique
e, hystérie et morphinoma- nie ; De la maladie de Morvan (1889) ; - Sclérose en plaques et para- lysie générale; Arthropathi
t. La parole est lente et scandée, absolument caractéristique de la sclérose en plaques. Au repos le malade n'accuse aucun tre
le malade, nous retrouvons encore tous les signes classiques de la sclérose en plaques, signes qui malgré leur atténuation,
il a laissé tout traitement. Il ne présente plus aucun signe de la sclérose en plaques. Mai 1893. - Depuis cinq mois et dem
adies du système nerveux mentionne les accès de fièvre précédant la sclérose en plaques ; mais la brus- querie de l'invasion
bles et la guérison si prompte de mon malade éloignent l'idée d'une sclérose vraie, et rap- proche mon cas de la pseudo-sclé
essant de savoir si les cas analogues, non traités, ont abouti à la sclérose en plaques vraie. En tout cas il faut noter que
ite, qu'il ne soit pos- sible d'établir, des variétés cliniques. La sclérose multicolaire de la moelle peut, durant des anné
ier argument est d'ordre histologique. Les processus d'atrophie, de sclérose , de dégénérescence à forme de cellules granuleu
? ;,> - ..() " 'Il ne m'est pas possible non plus d'assimiler la sclérose en plaques à une myélite. La première est une m
elles décou- vertes que l'on sait; c'est parce que, dans les cas de sclérose pure- ment spinale en apparence, nous avons tro
ue ou en d'autres parties'de l'encéphale que la forme spinale de la sclérose en plaques est devenue de plus en plus rare et qu
été forcé de ne formuler ce diagnostic qu'après avoir exclu ceux de sclérose disséminée, affec- tions combinées des faisceau
- M. Jolly vient de dire que Westphal admettait l'existence d'une sclérose latérale purement primitive, indépendamment de la
natomo-clinique, et de les enlever à la myélite. Il 1 M. LEYDEN. La sclérose en plaques disséminées, avec symp- tômes cérébr
e en plaques disséminées, avec symp- tômes cérébraux, diffère de la sclérose en plaques purement spi- '- nale. Celle-ci ne r
git- d'une dégénérescence secondaire ou d'une lésion autonome. La sclérose latérale amyotrophique n'est point une affection
u larynx. Ce malade avait pré- senté la plupart des symptômes de la sclérose en plaques et, de plus, un tremblement des cord
e à peu près spécial à cette affec- tion. La nécropsie a montré une sclérose du cervelet avec lésions secondaires de la prot
mblement des cordes vocales et les troubles de la phonation dans la sclérose en plaques. Février 1892. Archives, t. XXVI. 23
conviendra que tout, dans cette observation, était en faveur de la sclérose en plaques : tremblement, trépidation épileptoï
faire l'examen microscopique du cervelet, se contentant de noter sa sclérose et sa teinte : cette lacune est regrettable car
s au carmin acétique de façon à bien mettre en évidence le tissu de sclérose qui se détache en rouge, tandis que les parties
s les couches antérieures des protu- bérances normales. Le tissu de sclérose s'infléchit entre les pyra- mides et gagne le r
. Les olives sont envahies dans la région du hile par un tissu de sclérose dense qui se produit dans leur intérieur. A la pé
et présentant un bord irrégulier, formé par des franges du tissu de sclérose , se dirigeant vers le raphé, à travers le champ
partie moyenne de la protubérance, on est frappé ici encore par 1 a sclérose des fibres transversales, fortement colorées, c
es du bulbe et de la protubérance, nous pouvons les résumer ainsi : sclérose des pédoncules cérébelleux moyens et des olives
. Dans les deux cas, à la lésion cérébelleuse, étaient associées la sclérose des pédoncules cérébelleux moyens et des olives
ans notre observation, comme dans celle de M. Pier- ret, il y avait sclérose des olives. Les relations des olives et du cerv
ncore confirmé par l'expérimentation qui a per- mis de constater la sclérose des olives après ablation du cerve- let. La que
lulaires antérieurs de la protubérance et la présence de tractus de sclérose cloisonnant la pyramide dans le sens antéro-pos
inutile de les reproduire ici. Ainsi donc tous les phé- nomènes de sclérose en plaques, que nous faisions remarquer en term
étation. Cette revue sera basée sur une vingtaine d'observations de sclérose actuellement connues. Tout d'abord la titubat
t, tumeur, etc.), et nous les retrouvons dans la plupart des cas de sclérose . Dans son Traité de diagnostic des maladies de
que médicale. Appendice, p. 37. Menzel,. - Loc. cit. 8 Brosse ! . Sclérose et atrophie du cervelet. (Lyon médical, 20 avri
contré quelques-uns de ces symptômes dans plusieurs observations de sclérose cérébelleuse; ils se trouvaient à peu près tous
rvation que nous publions; et, d'autre part, leur fréquence dans la sclérose en plaques, les erreurs de diagnostic auxquelle
caractère particulier qui puisse le faire distinguer de celui de la sclérose en plaques. Sa patho- génie n'est peut-être pas
il s'agit de conducteurs nerveux cheminant au milieu d'un tissu de sclérose , que cette sclérose soit disséminée en îlots, ou
teurs nerveux cheminant au milieu d'un tissu de sclérose, que cette sclérose soit disséminée en îlots, ou qu'elle soit tout
s de Seppili et dans le nôtre, nystagmus, nouvelle analogie avec la sclérose en plaques'. - Pour compléter cette analogie,
ns l'étude d'un signe qui est pour ainsi dire caractéristique de la sclérose dans les lésions du cervelet : les troubles de
tait scandée, émise par saccades, rappe- lant bien plus celle de la sclérose en plaques. Ajoutons que dans plusieurs de ces
l'hypoglosse, ensuite dans les cas comme celui de Lallement' où la sclérose bien nette d'une olive ne s'accompagnait pas de
ue dans les cas connus jusqu'ici de troubles de l'articulation avec sclérose olivaire, il y avait toujours sclérose concomit
ubles de l'articulation avec sclérose olivaire, il y avait toujours sclérose concomitante du cervelet. Nous tenons bien à fa
du cervelet. Nous tenons bien à faire remarquer ce rapport entre la sclérose de l'organe et la dysarthrie qui ne se rencontr
l'écorce cérébelleuse. Dans cette revue rapide des symptômes de la sclérose céré- belleuse et des lésions bulbo-protubérant
dies de l'oreille et du larynx, nous ratta- chions ce symptôme à la sclérose en plaques, et nous arri- vions même à le consi
grande analogie symptomatique qu'offrait notre observation avec la sclérose en plaques, en partie par les tra- ' 1 vaux ant
a été rencontré se rapportent à peu près tous à des observations de sclérose multiple du cerveau et de la moelle, recueillie
eube1 la première mention de ce symptôme. En décrivant trois cas de sclérose en plaques accompagnés de troubles laryngés, il
i d'interpré- tation de sa pathogénie. Il s'agissait de deux cas de sclérose en plaques qui n'ont pas reçu, il est vrai, le
des cordes, en rai- son de sa coexistence avec les symptômes de la sclérose en plaques. Lôri l'assimile volontiers au tremb
rvé chez une malade qui présentait tous les signes rationnels de la sclérose multiple. L'observation n'était pas accompagnée
remblement des cordes vocales n'a pas été décrit uniquement dans la sclérose en plaques. Hermann Krausel l'a vu dans la chor
ître dans tous les cas une cause identique. En ! ce qui concerne la sclérose en plaques, on peut, en l'assimilant'au tremble
uvements volontaires à travers des cylindres axes dénudés'. Dans la sclérose cérébelleuse on est autorisé à une explication
dans cette étude, nous voyons qu'on peut rencontrer réunis dans la sclérose cérébelleuse l'exa- gération des réflexes, les
les troubles de la parole, bref tous les symptômes habituels de la sclérose en plaques : ordinairement isolés ou au nombre
vec le tremblement, le nystagmus ou les troubles de la parole de la sclérose en plaques. Le diagnostic ne peut se baser que
la coordination qui puissent' mettre sur la trace de cette sorte de sclérose en plaques d'ori- gine cérébelleuse. Nous cro
ncontrée dix-sept fois, soit exactement dans la moitié des cas. Les scléroses superficielles, dans la maladie qui nous occupe,
oliques avec manifestations cérébrales. On constatera bien quelques scléroses hépatiques, rénales et cardiaques, encore sont-
nn7 Une' 'quatrième et dernière ? observation \ est empruntée à une sclérose lâtëralë arpÿotropliique; atrophie des bourgeon
es hémorrhagiques anciens dans. les .deux noyaux lenticulaires; - sclérose des cordons postérieurs dans la moelle cervicale;
ans sa doctrine un amendement considérable ». J. Noir. X. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associés, avec autopsie ;
utopsie l'opinion de M. Grasset qu'il s'agissait bien réellement de sclérose en plaques et que l'hystérie lui était combinée
é 1 gaivalllqne dans la'=; par Eulen- a.lbnl'âs 1F3"m,m 1. {I . Sclérose ,1 1 ENI¡'PLAQUES ? pscndo ? d'origine ''palustre,
20 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
caractérisées. Il est actuellement franchement tabétique. Dans la sclérose en plaques, on observe également de la diplopie
ière, une répartition égale sur toute l'étendue, contrairement à la sclérose en plaques, qui est irrégulière et disséminée sou
nt une assez grande abondance de liquide séro- 1 Bourneville. De la sclérose en plaques. Paris, 1869. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE
la pathogénie des foyers de ramollissement et, ensuite, celle de la sclérose spinale secon- daire, quelques remarques nous p
nombreuses fibrilles de tissu conjonctif, caractère univoque de la sclérose , et la substitution plus ou moins étendue de la
nsiste dans une myosite parenchyma- teuse primitive atrophique avec sclérose très légère, sans que les muscles altérés prése
s empêcheront de songer au type scapulo-huméral myélopathique. La sclérose latérale amyotrophique ne peut être confondue (
es états d'angoisses, le railway-spine. Les lésions céphaliques, la sclérose multiloculaire, la névrose de Weatphal (tableau
PATHOLOGIE NERVEUSE. d'élément diagnostique entre l'hystérie et la sclérose multilocn- ]aire. VI. Remarques sur l'existen
facial est souvent légèrement atteint. Une fois j'ai rencontré une sclérose diffuse de la substance blanche. (.4%. Zeilschr
ère. PATHOLOGIE NERVEUSE DU TABES COMBINÉ (ATAXO-SPASMODIQUE), ou SCLÉROSE POSTËRO-LATËRALE DE LA MOELLE (CONTRIBUTION A
grands types cliniques, comme l'ataxie locomotrice progressive, la sclérose latérale amyotrophique, la paralysie spinale ai
plémentaire par l'histoire du tabes combiné (ataxo- spasmodique) ou sclérose postérolatérale de la moelle épinière. Les ex
core de conclusions. « Nous devrions encore par- ler, dit-il, de la sclérose combinée des cordons posté- 1 Friedreich. Ueber
rsal spasmodique, il dit' quant aux cas compliqués des symptômes de sclérose postérieure, sur lesquels Berger vient d'attire
nt douteux. On devra admettre le plus probablement dans ces cas une sclérose simultanée des cordons latéraux et des cordons
ordinaire), soit dans les par- ties successives d'un même système ( sclérose latérale amyotrophique). Ils considèrent la for
yélite diffuse ou incomplètement systématisée qu'avec celle d'une sclérose des faisceaux postérieurs; mais les autres symp
tat du réflexe rotulien dans un cas d'ataxie qui s'est compliqué de sclérose latérale ? Voilà ce que je serais curieux de po
her à certains points de vue du travail de Ballet et Minor) sur les scléroses d'origine vasculaire. Les mots de « contracture
e tabétique progressive ou sclér. diff. d'orig. vascul. simulant la sclérose fascic. observée chez les vieillards atherom. I
mand.) · SOCIÉTÉS SAVANTES. 291 K. ROT)) et Friedenreicii. Sur la sclérose latérale anM/0< ! 'Op/t ? if. En français.)
r et surtout la tête sont agités pendant cet exercice comme dans la sclérose en plaques. A deux reprises différentes, aphonie
avait affaire non à une lésion spinale grave, telle que myélite ou sclérose disséminée, mais bien à une paralysie purement
s points dans la couche externe. On distinguera cette maladie de la sclérose multiloculaire par la prédominance des lésions
oulus, le nystagmus et le trouble de la parole, si typiques dans la sclérose en plaques ; son stade prodromique remonte à l'
eux qui surviennent à la suite du tabes, de la syringomyélie, de la sclérose multiloculaire de la moelle, et cer- tains état
chez des sujets atteints d'atrophie mus- culaire protopathique, de sclérose latérale amyotro- phique et de névrite traumati
ypno- tisme. (A suivre.) DU TABES COMBINÉ (ATAXO-SPASMODIQUE), ou SCLÉROSE POSTÉRO-LATÉRALE DE LA MOELLE 1 (contribution
onde observation moins complète que la précédente, dans laquelle la sclérose latérale domine beaucoup la scène, mais qui n'e
nous les grouperons en deux catégories : d'abord, les symptômes dé sclérose postérieure (tabes ataxique ordinaire), ensuite
sclérose postérieure (tabes ataxique ordinaire), ensuite ceux de sclérose latérale (tabes dorsal spasmodique) ; en troisi
groupe de phénomènes qui, dans le tabes combiné, appartiennent à la sclérose latérale, et qui, par suite, différencient la m
de Munich) de l'inégalité des cornes d'Ammon et de leur atrophie ou sclérose (Meynert, Kéraval), de l'asymétrie des lobes du
a face antérieure et postérieure de l'organe. Insuffisance mitrale. Sclérose cartilagineuse des muscles papillaires du ventr
s cartilagineuses à sa surface. Reins : le rein gauche présente une sclérose commençante de la substance des pyramides et de
sommet. - Ganglions péribronchiques indurés. Nombreuses plaques de sclérose sur les plèvres. Observation IV. C..., âgé de q
re, le ramollissement d'abord, plus tard peut-être l'induration, la sclérose . - En résumé et comme conclusion de ces différe
nale, et, avant tout, comme nous l'avons cons- taté, dans le cas de sclérose latérale amyotrophique. 2- La persis- tance des
ion du sui- cide. Ca. 1 . VI. Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques; par le Dr J. Babinski, ancien inter
ts : l'absence de dégénérations descendantes et ascendantes dans la sclérose en plaques qui a semblé être une dérogation à l
rer. Non, l'absence habituelle de dégénérations secondaires dans la sclérose en plaques ne constitue pas une déroga- tion à
lés cylindres-axes sont ordinairement conservés dans les plaques de sclérose . Dans les cas où leur intégrité n'est pas complèt
s prolongée d'un grand nombre de cylindres-axes dans les plaques de sclérose . La myéline, en effet, est une substance, pour
il, l'auteur fait une étude comparative des diverses . variétés de scléroses de la moelle, afin de faire mieux ressortir par
x ressortir par ce rapprochement les caractères anatomiques de la sclérose en plaques. Or, la nature de la dégénération des
a disparition souvent complète de la myéline au centre des îlots de sclérose , constituent, au point de vue histologique, les
stituent, au point de vue histologique, les traits essentiels de la sclérose en plaques. Au contraire, la sclérose systémati
, les traits essentiels de la sclérose en plaques. Au contraire, la sclérose systématique secondaire doit ses carac- tères d
ité des lésions vasculaires, à la persistance au milieu du tissu de sclérose d'un grand nombre de tubes à myéline. Par la pe
n parfois complète de la myéline dans les faisceaux scléro- rés, la sclérose tabétique se rapproche davantage, au point de vue
e davantage, au point de vue de ses caractères histologiques, de la sclérose en plaques que de la sclérose secondaire. Dan
e ses caractères histologiques, de la sclérose en plaques que de la sclérose secondaire. Dans le chapitre III, M. Babinski t
git d'une myélite non destructive et peut conduire au diagnostic de sclérose en plaques. A cette étude anatomique sont annex
suivants sont décrites certaines variétés et certaines formes de la sclérose en plaques qui n'ont pas encore été étudiées ou
u ne l'ont été que d'une manière insuffisante. L'hémiplégie dans la sclérose en plaques n'est pas toujours consé- cutive à u
r faussement l'idée d'une lésion cérébrale en foyer. Des plaques de sclérose disséminées dans la moelle peuvent, lorsque les
a peut-être lieu de désigner une pareille affection sous le nom de sclérose en plaques à forme destructive. Si la marche de
om de sclérose en plaques à forme destructive. Si la marche de la sclérose en plaques est d'ordinaire éminem- ment chroniq
; on peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose en plaques. Enfin, il existe une affection dont
e une affection dont la symtomatologie est exacte- ment celle de la sclérose en plaques : paralysie avec contractures, tremb
relations avec l'hystérie et l'épi- lepsie, par Souza Leite, 216. Sclérose en plaques (étude anato- mique et clinique sur
ues (étude anato- mique et clinique sur la), par Babinsky, 455. Sclérose latérale amyotrophique, 291. Sénile (folie),
ure du), par Edinger, 45J. Tabès combiné (ataxo-spasmodique) ou sclérose postéro-latérale de la moelle, par Grasset, 156
21 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
urtout dans les cordons postérieurs.- Les rapports de ces foyers et scléroses avec les septa et les vais- seaux sont souvent
ires qu'ils provoquent font souvent à l'état avancé l'impression de scléroses combinées systé- matiques. d'autant plus qu'ici
nes spinales. Contribution ci l'étude des lésions médullaires de la sclérose latérale tii21yoli-ophiqzie par Cl. PntuppE et
es colonnes de Clarke sont intactes même dans les cas avancés. La sclérose du cordon antéro-Iatéral est d'emblée généralisée
faisceaux ; il s'agit d'une fausse systématisation. D'emblée cette sclérose est très végétante, comme le montrent la méthod
rôle pathogé- nique des altérations des cellules cordonales dans la sclérose des cordons. ' De l'étude des faits et de cet
rdons. ' De l'étude des faits et de cette considération que dans la sclérose latérale amyotrophique les racines s'atrophient
euse, on en vient à la conclusion que dans la maladie de Charcot la sclérose antéro-latérale est une lésion primitive, non sub
aires amènent l'atrophie simple des faisceaux blancs, mais non leur sclérose . Présentation de masques et statuettes concerna
t sur le faisceau pyramidal, mais sans l'intensité observée dans la sclérose latérale amyotrophique ; la lésion prin- cipale
ffections, ne diffèrent que par leur évolution. Des relations de la sclérose latérale amyotrophique avec l'atrophie musculai
ladie l'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne et la sclérose laté- rale amyotrophique compte un certain nomb
quate à la quantité de tissu musculaire atrophiée et une affection ( sclérose latérale amyotro- phique) où l'association d'un
, le protoneurone moteur ou spino-musculaire. Au contraire, dans la sclérose latérale amyotrophique, le proces- sus intéress
t-être même les voies cérébelleuses. D'autre part, l'histoire de la sclérose latérale amyotrophique aussi bien que celle du
té. 74 SOCIÉTÉS SAVANTES. De ce que la nécessité de disjoindre la sclérose latérale amyo- trophique de l'atrophie musculai
uteurs ont cité trois faits de ce genre ; il s'agit de trois cas de sclérose latérale amyotrophique, où les manifestations s
taient minimes. Du côté du cordon antéro-latéral, on a constaté une sclérose légère ; sa topographie et se,s caractères his-
proprement dit, contrairement à ce qui a lieu assez souvent pour la sclérose latérale amyotrophique qui, du reste, affecte a
qui permet seul dans des cas semblables de mettre en évidence la sclérose du faisceau pyramidal, puisque cette dernière ne
it-il dès lors croire à un retour de réflexe sous l'influence de la sclérose post-hémiplégique 'i C'était en effet l'hypot
ons du Cerveau; par Kattwinkel (de Munich) (projections). Sur les Scléroses combinées; par J. Babinski (de Paris). L'associ
la syphilis et que~cette infection produit dans bien des cas de la sclérose du système pyramidal. Si la fréquence de cette
re-. ment, aurait passé inaperçue. A côté de ce premier groupe de scléroses combinées où le labes est très caractérisé, il
théniques. Or, il me paraît très vraisem- blable qu'il s'agit là de sclérose combinée. L'abolition du réflexe du tendon d'Ac
J'ajoute qu'il y a intérêt pratique à à dépister ces cas frustes de scléroses combinées qui représentent probablement le prem
ent analogues à celles de la myélite inflamma- toire aiguë. 8° La sclérose , rapide dans des myélites inflammatoires aiguës,
lent au contraire, dans les cas d'amputation, de dégénération, de « sclérose », des cordons postérieurs. Flatau, trois mois apr
la moelle épinière, mais du cerveau. Il est vraisem- blable que la sclérose des cordons postérieurs est une dégénération co
éjourne à l'hôpital deux ans et meurt de fièvre typhoïde. Autopsie. Sclérose névroglique des lobes occipitaux, temporaux et
sensitif également curieuse. Les auteurs y joignent trois types de sclérose en plaques clas- sique (2 h. et 1 f.) indemnes
onvolutions, - arrêt de développement avec malformations variables, sclérose générale des circonvolutions; enfin, comme dans
e la pneumonie, de la pleurésie, des maladies du système ner- veux ( sclérose en plaques, tumeurs), de la syphilis, du diabète,
nature organique, et une recherche minu- tieuse découvre, soit une sclérose en plaques, le début d'une para- lysie générale
OCIÉTÉS SAVANTES. 171 Lésions des Noyaux du Pneumogastrique dans la Sclérose latérale Amyolrophique de la Paralysie Spinale
anière de le provo- quer. Je l'ai constaté sur un malade atteint de sclérose en plaques datant de deux ans, et je me propose
re (9 fois sur 50 cas). Elle est parfois aussi marquée que dans les scléroses pyramidales, d'autres fois n'existe qu'à l'état
de volume entre le côté amputé réduit. et le côté sain, mais encore sclérose dans la région de la corne postérieure. li. Mar
non atrophie simple (les auteurs jusqu'ici n'ont pas signalé cette sclérose , ou l'ont prise pour une lésion surajoutée); 2° i
ar nos malades. Elle doit faire songer également à cette variété de sclérose en plaques à début paraplégique aigu, décrite p
idus isolés, et bien qu'il existe des observations indiscutables de sclérose en plaques familiales-, nous ne pensons pas que
une marche progrès- sive. Ilistologiquement, Strumpel a trouvé une sclérose combinée primitive portant sur les faisceaux py
e ces lésions systématiquement fasciculées, on a signalé des cas de scléroses combinées primitives, dans les- quelles, en plu
quelles, en plus de ces altérations primordiales, s'est montrée une sclérose disposée sous forme de petits foyers (Wagner),
nomènes sensitifs par,une localisation par- ticulière des foyers de sclérose qui nous paraissent représenter la lésion essen
çonner l'épilepsie et instituer la médication bromurée. G. D. VI. Sclérose en plaques avec amyotrophie; par le D Boocuaon.
ui constitue le phénomène prédominant, doivent être rattachés à une sclérose en plaques. G. D. VIL L'encéphalite aiguë non s
t de développement des circonvolutions, avec ou sans malformations, sclérose atrophique, méningo-encéphalite avec destructio
Destruction complète des circonvolutions. Ménin- go-encéphalite et sclérose . Perr... (Maurice), né à Nouméa, âgé de deux an
enfant est arrivé avec un certificat ainsi conçu : « Est atteint de sclérose cérébro-spinale, qu'il présente des troubles marq
ité, dans des cas de ménin-o-encéplialite de l'enfance avec ou sans sclérose alrophique des circonvolutions. ! ,à où le proc
circonvolutions est occupé à Qa partie médiane par des nodules de sclérose ; à sa périphérie par des libres myéliniques qui a
e former de nombreuses cavités par le même méca- nisme que dans les scléroses atrophiques que nous avons pu étu- dier (format
plupart des cir- convolutions, transformation kystique du cerveau, sclérose des fragments restant des circonvolutions, hydr
mal. Congestion intense des méninges rachidiennes et du bulbe, sans sclérose des artères. A l'ouverture du 4° ventricule, li
ni aux corps amyloïdes de la prostate. En étu- diant un cas type de sclérose amyotrophique latérale, l'auteur et le Dr Dercu
ouvements. C'est un tremblement intentionnel analogue à celui de la sclérose en pla- ques. - Les mouvements élémentaires d
du fond deToeil et aucun signe de lésion nucléaire. Cas fruste de sclérose en plaques ou paralysie générale. A131. Brissau
et de la bandelette à gauche dans la protubérance et dans le bulbe; sclérose du faisceau pyramidal direct à gauche et du crois
e et du cervelet. ' , L'atrophie de l'écorce seule entraîne donc la sclérose des fais- ceaux efférents correspondants à trav
de la couche interolivaire dans le bulbe du même côté, en sus de la sclérose du faisceau efférent. A cette dernière correspo
e ces foyers. P. KEHAYAL. L1V. Des altérations du cerveau dans la sclérose atrophique; par M.-N. JoaxoNSrx. (0&OH'eH !
e. A droite, deux foyers de ramollisse- ment ; à gauche un foyer de sclérose : le tout causé par une endar- térite nodulaire
olique, saturnine ou nicotinique). A noter dans le second cas une sclérose diffuse delà moelle por- tant surtout sur les c
s d'autopsie l'examen clinique avait révélé des signes d'artério- sclérose . Louis Deluas. LVII. Sur la fonction de la glan
traitement mercuriel. M. H. L. Paraplégie spasmodique familiale et sclérose en plaques fami- liale ; par CCSTAN et GUILL.11
ont présenté à partir de l'adolescence l'ensemble syndromique de la sclérose en plaques. Dans les deux maladies observées, l
ur l'admettre entièrement, l'origine fréquemment syphilitique de la sclérose des cordons postérieurs. R. de Musgrave Clay.
reconnue assez tôt, avant l'apparition du processus secon- daire de sclérose , on pourra non seulement l'enrayer mais la guér
t pas (hémorragie méningée ou intrahémisphé- rique, ramollissement, sclérose lobaire, pachyméningile, etc.). Mais la c·tczie
i- plégie infantile 2, dit « que l'on trouve presque toujours une sclérose descendante assez prononcée du faisceau pyramidal
ant mourut à l'âge de huit ans et demi de tuberculose pulmonaire. Sclérose lobaire de l'hémisphère droit, ayant l'écorce et
influence sur la restauration de sa connexion'. S'il y avait eu une sclérose descendante, les tissus sclérosés excitant les
ue, c) myélite, d) tabes dorsalis, e) tabes dorsahs spasmodique, f) sclérose laté- rale amyotrophique, h) poly-myélites anté
ite cervicale et dorsale, c) myélite cervicale et tabes dorsale, d) sclérose en plaques disséminées. 5° Névroses communes el
ar Londe, 344. Atrophie musculaire progressive. Relations de la sclérose latérale amjoiroplnque et de l'- par liajmond
Troubles du goût et de l'odorat dans la -, par de Martines, 320. Sclérose en placlues ou -, par Brissaud et monos. 346. S
à allures de - sl)as- modique, par Lenohle, 193. - spasmodique et sclérose en pla- ques familiales, par Cestan et "Guill
llé- rations du cerveau dans la atroplliql, par Joukowski, 391. Sclérose L\TP.nlLl : %1YOlitOPIII(UE. Lésions médullaire
22 (1934) Oeuvre scientifique
, de certaines intoxications, en particulier de l'alcoolisme, de la sclérose en plaques qui vraisemblablement est la conséquen
trépidation épileptoïde du pied, qui me parait due à une plaque de sclérose occupant la région dorso- lombaire de la moelle
oelle par mal de Pott, de méningomyélite, de myélite transverse, de sclérose en plaques, de syringomyélie, de sclérose latér
de myélite transverse, de sclérose en plaques, de syringomyélie, de sclérose latérale amyotrophique, on observe souvent le p
nerveuses du faisceau pyramidal étaient détruites et dans d'autres ( sclérose en plaques, par exemple) où l'altération n'était
ctivité est un signe cardinal, la maladie de Friedreich, variété de sclérose combi- née. Quoique dans cette affection, aux l
ette affection, aux lésions des arcs tendino-réflexes s'associe une sclérose des faisceaux pyramidaux, les réflexes tendineux
, comme le pense Erb, d'une entité nosologique conditionnée par une sclérose systématique des faisceaux pyramidaux, sans lés
oit, diverses affections spinales diffuses : syphilis médul- laire, sclérose multiloculaire , lésions traumatiques, syringomyé
ois à la suite d'un traitement spécifique. La surréflectivité de la sclérose multiloculaire comme d'ailleurs les autres symp
tion des réflexes tendineux constitue un des signes cardinaux de la sclérose latérale amyotrophique, maladie découverte par mo
ures acquièrent une certaine intensité. J'ai même observé un cas de sclérose latérale amyotrophique dans lequel les réflexes
aient pas abolis, mais simplement affaiblis. Sous l'influence d'une sclérose du faisceau pyramidal la subréflectivité peut s
que l'irréflectivité était souvent définitive. L'adjonc- tion de la sclérose pyramidale ne modifie donc pas nécessairement, ta
adie de Friedreich, où à des lésions des arcs réflexes se joint une sclérose des faisceaux pyramidaux, les causes de l'irréfle
flectivité, qui constitue un des symptômes les plus habituels de la sclérose latérale amyotrophique, se substitue parfois de l
tabes, dans la maladie de Fried- reich et dans d'autres variétés de scléroses combinées. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEU
ement exagérés et peuvent même être normaux. Au contraire, dans les scléroses spinales diffuses, dans les cas de compression
du phénomène des orteils. « Déterminée le plus souvent soit par une sclérose spinale diffuse, soit par une compression de la
int de paraplégie incomplète liée vraisemblablement à une plaque de sclérose ; d'un côté on observe la trépidation épileptoï
cas de paraplégie spasmodique par compres- sion de la moelle ou par sclérose spinale dans lesquels les .I4o SÉMIOLOGIE nér
ntrée, en outre, de la façon la plus indis- cutable, au cours de la sclérose en plaques à forme spasmodique et de la syringo
culièrement intenses dans les cas de compression de la moelle et de sclérose spinale sans dégénération secondaire m'avait déjà
; du reste, jusqu'à présent nous l'avons observée seulement dans la sclérose multiloculaire et dans la compression de la moell
errompre les mouvements. , Voici maintenant deux sujets atteints de sclérose multiloculaire avec plaques soit sur le cervele
e la parole étaient si accusés qu'on avait porté le dia- gnostic de sclérose en plaques ». Dans certaines observations d'aff
après s'être atténués, s'accentuent. L'association à des foyers de sclérose atteignant le cervelet ou ses dépendances de fo
tains troubles cérébelleux, en particu- lier du tremblement dans la sclérose en plaques. Des observations anatomo-cliniques
CTIONS DU CERVELET hyperplasie névroglique rappelant l'aspect de la sclérose en plaques. La topographie de cette lésion est
leuses. SIXIÈME PARTIE PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE 1. SCLÉROSE EN PLAQUES. PARAPLÉGIES I SCLÉROSE EN PLAQUES
AFFECTIONS DE LA MOELLE 1. SCLÉROSE EN PLAQUES. PARAPLÉGIES I SCLÉROSE EN PLAQUESO [J. Babinski.] Extrait de la thès
r 885. i" L'absence habituelle de dégénérations secondaires dans la sclérose en plaques ne constitue pas une dérogation à la
les cylindres-axes sont ordinairement conservés dans les plaques de sclérose . Dans les cas où l'intégrité n'est pas complète
dres-axes détruits. 2° La destruction des gaines de myéline dans la sclérose en plaques, loin d'être sous la dépendance d'un
a disparition souvent complète de la myéline au centre des ilots de sclérose , constituent au (') M. J. Babinski a consacré s
nt au (') M. J. Babinski a consacré sa thèse inaugurale (t885) à la sclérose en plaques : Etude anatomique et clinique sur l
885) à la sclérose en plaques : Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques (i vol., 15o pages, chez Masson, à Par
tte thèse qui marqua une époque dans l'histoire alors récente de la sclérose en plaques, et posait des problèmes dont plusieur
DE LA MOELLE point de vue histologique les traits essentiels de la sclérose en plaques. La nature de la dégénération des tu
ité des lésions vasculaires, la per- sistance au milieu du tissu de sclérose d'un grand nombre de tubes à myéline, donnent à
issu de sclérose d'un grand nombre de tubes à myéline, donnent à la sclérose systématique secondaire des caractères distinct
ion parfois complète de la myéline dans les faisceaux sclérosés, la sclérose tabétique se rapproche davantage, au point de v
e davantage, au point de vue de ses caractères histologiques, de la sclérose en plaques que de la sclérose secondaire. 6° La
e ses caractères histologiques, de la sclérose en plaques que de la sclérose secondaire. 6° La régénération des tubes nerveu
git d'une myélite non destructive et peut conduire au diagnostic de sclérose en plaques. 7° L'hémiplégie dans la sclérose
ire au diagnostic de sclérose en plaques. 7° L'hémiplégie dans la sclérose en plaques n'est pas toujours consé- cutive à u
évelopper progressive- ment. L'hémiplégie constitue parfois dans la sclérose en plaques pendant un temps plus ou. moins long
ut donner l'idée d'une lésion cérébrale en foyer. 8" Des plaques de sclérose disséminées dans la moelle peuvent, lorsque les
a peut-être lieu de désigner une pareille affection sous le nom de sclérose en plaques à forme destructive. 9° La sclérose
ction sous le nom de sclérose en plaques à forme destructive. 9° La sclérose en plaques dont la marche est d'habitude éminemme
. On peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose en plaques. 10° Il existe une affection dont la
te une affection dont la symptomatologie est exactement celle de la sclérose en plaques et dont les lésions échappent complète
ien notable ; elle est surtout déformée. En ce point, il existe une sclérose considérable ca- ractérisée par la disparition
vus de leur myéline. Au-dessus et au-dessous du point comprimé la sclérose s'arrête très vite et, par le carmin, l'on ne v
cette mince collerette de fibres névrogli- ques qui témoigne d'une sclérose diffuse légère telle qu'on l'observe fréquemmen
28 (Obs. III). Coupe au niveau de la 2e paire dorsale. Plaque de sclérose intense. 1 Fig. ag (Obs. III). Coupe au nivea
ag (Obs. III). Coupe au niveau de la GB paire lombaire. Plaque de sclérose légère. 322 p9RAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOEL
l'oeil nu on ne voit nettement sur la moelle qu'une large plaque de sclérose siégeant à droite dans le faisceau antéro-latéral
ans le reste de la moelle on n'aperçoit que des traces douteuses de sclérose en divers points. Rien n'est visible dans le méso
et dorsale supérieure montrent dans le point indiqué, une plaque de sclérose multiloculaire parfaitement typique ; les limit
arfaitement typique ; les limites de cette plaque sont nettes et la sclérose est absolue en ce sens qu'il n'existe plus aucu
les cordons antéro-latéraux ; de ces plaques, les unes montrent une sclérose très intense, mais elles sont très petites ; les
elles peuvent même occuper le faisceau latéral tout entier, mais la sclérose y est plus légère et laisse intactes un grand n
es-axes et au-dessous de ces plaques il n'existe pas la plus petite sclérose systématisée. Les vaisseaux sont épaissis et sc
partiellement altérés (2). (1) Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques, par J. Babinski. Thèse de Paris, 1885
paraplégie était causée par des lésions du système nerveux central ( sclérose spinale, néoplasme comprimant la moelle ou le b
PL1 : CIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE vraisemblablement, atteinte de sclérose multiloculaire. Il est vrai que les muscles de
s. Habituellement, on l'observe chez des sujets atteints soit d'une sclérose spinale diffuse, soit d'une compression de la m
possible, selon lui, de distinguer objectivement cette lésion de la sclérose du tabes. L'excitation lumineuse de l'oeil gauche
e absence de dyschromatopsie qui contrastent avec l'existence de la sclérose papillaire. De plus, lorsque le tabes abolit d'
on notable qui a été obtenue, font écarter de l'esprit l'idée d'une sclérose de nature tabétique. La névrite optique alcooli
entral. BIBLIOGRAPHIE Babinski J. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des nerfs optiques (Revue Neurologiqu
s organiques, notamment dans celles qui sont liées à des plaques de sclérose ou à des compressions de la moelle. Voici comment
lbe (fig. 52) la pyramide droite est en effet envahie par du tissu de sclérose (S) et semble en partie détruite, mais il ne s'
ulbe passant par la partie inférieure des olives O. i. ; S. taches de sclérose dans la pyramide. Py. droite au voisinage de la
elles peuvent être réalisées également par des lésions scléreuses ( sclérose multiloculaire). Ce qui per- met de distinguer
). (') C'est, en particulier pour les centres nerveux, le cas de la sclérose latérale amyotrophique. II SUR L'EXCITABILITÉ
NZIÈME PARTIE THERAPEUTIQUE 1 DU TRAITEMENT MERCURIEL DANS LA SCLÉROSE TABÉTIQUE DES NERFS OPTIQUES [J. Babinski.] P
de la lésion radiculaire. ' De toutes les modifications du tabes la sclérose des nerfs optiques est peut-être celle qui se p
isuelle le degré de la lésion ; -, on sait, d'autre part, que cette sclérose évolue d'une manière presque fatalement progres
durée, et que la contracture a été extrêmement intense. Plaque de sclérose ou tumeur comprimant la moelle, telles sont les
I I. Sur les lésions des tubes nerveux de la moelle épinière dans la sclérose en plaques (Académie des Sciences, 8 juin 1884)
ces, 8 juin 1884). 12. Recherches sur l'anatomie pathologique de la sclérose en plaques et étude compa- rative des diverses
sclérose en plaques et étude compa- rative des diverses variétés de sclérose de la moelle (Archives de Physiologie normale e
ologique, 15 février 1885). 13. Ktude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, 1885, chez Masson).
ies hystériques (Archives de Neurologie, 1886, nos 34 et 35). 16. Sclérose médullaire systématique combinée (en collaboratio
hystérique (Société médicale des Hôpitaux, 5 mai t8g3). 41. Sur les scléroses systématiques dites primitives de la moelle(Id.,
de lésions syphilitiques (Id.). 64. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des nerfs optiques (Id.). 65. Tabes a
ternational de Médecine, Paris, igoo. Section de Neurologie). 66. Scléroses combinées (Id.). 67. De l'influence des lésions
3 avril 1924). 279. Sur la valeur du phénomène des orteils dans la sclérose en plaques (Réunion neu- rologique internationa
ATIERES 63 SIXIÈME PARTIE X PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE Sclérose en plaques. Paraplégies. 1. - Sclérose en plaqu
ES AFFECTIONS DE LA MOELLE Sclérose en plaques. Paraplégies. 1. - Sclérose en plaques ... 313 IL Sur une forme de paraplég
ONZIÈME PARTIE THÉRAPEUTIQUE 1. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des nerfs optiques 587 IL Résultats t
23 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
i- crocéphalie, il y en a qui reconnaissent pour cause tantôt une sclérose atrophique (atrophie cérébrale), tantôt une scl
e tantôt une sclérose atrophique (atrophie cérébrale), tantôt une sclérose hypertrophique ou tubéreuse. Dautres idioties e
récédemment des cas d'idiotie appartenant à l'hydrocéphalie et à la sclérose atrophique ; dans le cours de l'année 1881, il
server des cas d'idiotie ou d'imbécillité consé- cutives : 1 ° à la sclérose tubéreuse ; 2° à la méningo-encé- phalite chron
aboration avec MM. Bonnaire et Wuillamié, internes du service. I. Sclérose tubéreuse ou hypertrophique des circonvolutions
re ; -- Marche ; Bronchio-pzeunozie. - Mort. AUTOPSIE. - Ilôts de sclérose hypei'trophique : Leur siège (Circonvolutions ;
une plaie du front, avec brûlure; « il y eut un trou, mais pres- SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU. 5 que pas d'écoulement de
T. R. 38°,2. 21 Janv. T. R. 38°,4. Soir : T. R. 38°,6. Fip. 1. SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU. 7 22 Janv. T. R. 39°,4. S
sur les autres; la face convexe est le siège de plusieurs îlots de sclérose tubéreuse ainsi distribués : 1° extrémité antér
u apparents, en raison du tasse- ment que déterminent les noyaux de sclérose . - La coupe de ces derniers, permet de constate
rvation nous fournit le troi- sième exemple d'une forme spéciale de sclérose , dont la description anatomique commence à être
publiées dans les A 1'- estives de neurologie t. I, p. 81 et 397. SCLÉROSE TUBÉREUSE DU cerveau. 9 convulsions si légères
- Température hyperpy rétique (43°,4). - Mort. AUTOPSIE.-Ilots de sclérose tubéreuse ou hypertrophie- que ; - caractères;
avons soin de relever cette particularité dans nos observations, SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU. 11 céda que grâce à la sa
gauche. Le testicule gauche seul est descendu; on ne sent pas le SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU. 13 droit à la région ingu
rébraux. A leur surface se montrent en saillie de nombreux îlots de sclérose tubéreuse, remar- quables par leur aspect lisse
r les circonvolutions de voisinage. Hémisphère gauche. Les îlots de sclérose sont distribués de la façon suivante : trois à
s calleux ; - trois à la surface interne de la première frontale. SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU. 15 Le ventricule latéral
sions sur les cir- convolutions orbitaires, Les différents îlots de sclérose , de même aspect que du côté opposé, sont répart
us avons eu occasion de présenter à la Société anatomique un cas de sclérose tubéreuse hypertrophique absolument identique à
concomitant du début de l'affection, que nous avons pu songer à la sclérose hyper- trophique, hypothèse qu'est venue confir
bérance, le bulbe ne présentent aucune asymétrie, au- cune trace de sclérose descendante. Il y a quelques adhérences antéro-
rne d'Ammon. Moelle. Plusieurs coupes n'ont pas fait découvrir de sclérose des cordons postérieurs. l'I1.01'a : \ ? C,,luc
es bronches. Coeur : 370 grammes. Le péricarde ne renferme pas de SCLÉROSE DES CORDONS POSTÉRIEURS. 71 liquide. Les cavité
cette région. A l'aide de sections espacées d'un centimè- tre, la sclérose des cordons postérieurs se montre évidente au s
une étude sur les arthropathies qui s'observent dans le cours de la sclérose des cordons postérieurs (Revue photographique d
D'autre part, il est facile de suivre à l'oeil nu les traces de la sclérose descendante à travers l'étage inférieur de la p
mide antérieure du bulbe, etc. Pour ce qui est de l'existence de la sclérose fasciculée dans les cor- dons latéraux, elle ét
nts lndmonaires. - Convalescence. - Tuberculose pulmonaire : mort. - Sclérose atrophique. Duchaus..., Gaston, est entré à l'h
érations symétriques des circonvolutions, consistant en foyers de sclérose atrophique : deux occupent de chaque côté la to-
ugeole et la tuberculose les accès ont suivi la marche ci-après : SCLÉROSE . CÈRÈHRALE ATROPHfQUE. 125 126 ÉPIDÉMIE DE ROUG
adel.- Prix du cartonnage, 50 c. BOURNEVILLE et L. GUÉRARD. De la sclérose en plaques dissémi- nées. Vol.,gr. in-8 de 240
24 (1913) Exposé des travaux scientifiques
r chez les labéliques, en l'absence de toute hémiplégie ou de toute sclérose combinée. » RÉFLEXES CUTANÉS 37 RÉFLEXES CUTA
oelle par mal de Pott, de méningomyélite, de myélite transverse, de sclérose en plaques, de syringomyélie, de sclérose latéral
de myélite transverse, de sclérose en plaques, de syringomyélie, de sclérose latérale amyo- trophique, on observe souvent le
rveuses du faisceau pyra- midal étaient détruites et dans d'autres ( sclérose en plaques. par exemple) où l'altération n'étai
le cuir chevelu, tandis que dans les paraplégies dues à un foyer de sclérose ou à une compression de la moelle ces réflexes
du phénomène des orteils. Déterminée le plus souvent soit par une sclérose spinale diffuse, soit par une compression de la
du même côté, cliez la malade dont il s'agit, d'un côté, le réflexe SCLÉROSE EN PLAQUES 101 direct étant aboli le réflexe co
t une absence de dyschromatopsie contrastant avec l'existence d'une sclérose papillaire. 3° Enfin, l'évolution de l'affection,
de tous les symptômes à la suite de pratiques radiothérapiques . SCLÉROSE EN PLAQUES Les études anatomiques et cliniques
. SCLÉROSE EN PLAQUES Les études anatomiques et cliniques sur la sclérose en plaques, qui ont fait l'objet de ma Thèse de
e-axe dénudé par suite d'une cassure de la gaine de myéline. C. Sclérose en plaques. Tube à myéline altéré vu sur une co
tion : « Sur une coupe longitudinale passant par une plaque de sclérose , on peut voir dans les points de transition, en
'une couleur noirâtre, qui ne sont autre chose, comme leur réaction SCLÉROSE EN PLAOUES 103 l'indique. que des fragments d
posé ici avec netteté. B. J'ai été amené à discuter, à propos de la sclérose en plaques, la question controversée de la régé
incipales de ma thèse sont les suivantes : « L'hémiplégie dans la sclérose en plaques n'est pas toujours consé- cutive à u
évelopper pro- gressivement. L'hémiplégie constitue parfois dans la sclérose en pla- ques, pendant un temps plus ou moins lo
de le rapporter à une lésion cérébrale en foyer. « Des plaques de sclérose disséminées dans la moelle peuvent, COMPRESSION
a peut-être lieu de désigner une pareille affection sous le nom de sclérose en pla- ques à forme destructive. « La scléro
on sous le nom de sclérose en pla- ques à forme destructive. « La sclérose en plaques, dont la marche est d'habitude éninem-
on peut dire, dans ces cas, qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose en pla- ques. » COMPRESSION DE LA MOELLE. TUM
oubles de l'écriture qui, du reste, ont été surtout étudiés dans la sclérose en plaques, et « l'ataxie cérébelleuse », phéno
ptôme, dans le service de Pierre Marie, chez sept malades atteints de sclérose en plaques et chez un malade porteur d'une lési
s résultats obtenus par ces auteurs : ce Quatre malades atteints de sclérose en plaques ne pouvaient faire les mouve- ments
ale d'Anvers, déc. igo5) communique trois observations, deux d'oto- sclérose , une d'otite moyenne cicatricielle, dans lesquell
Il. Sur les lésions des tubes nerveux de la moelle épinière dans la sclérose en plaques (Académie des Sciences, 8 juin 1884)
ces, 8 juin 1884). 12. Recherches sur l'anatomie pathologique de la sclérose en plaques et élude comparative des diverses va
a sclérose en plaques et élude comparative des diverses variétés de sclérose de la moelle (Archives de Physiologie normale e
ologique, 15 février 1885). 13. Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, )885, chez Masson).
hystériques (Archives de Neu- rologie, 1886, nO' 311 et 35). tG. Sclérose médullaire systématique combinée (en collaboratio
stérique (Société médicale des Hôpitaux, 5 mai 1893). 41. Sur les scléroses systématiques dites primitives de la moelle (Id.,
lésions syphilitiques (il.). lit¡. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des nerfs optiques (Id.). G5. Tabès
ternational de Médecine, Paris, igoo. Section de Neurologie). 66. Scléroses combinées (Id.). 67. De l'influence des lésions
s tendineux) 100 Pseudo-tabes spondylosique.................. 101 Sclérose en plaques loi 1 Compression de la moelle. Tume
25 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
cations, dans les mé- ningites, dans la paralysie générale, dans la sclérose combinée et même dans le tabès, on voit des vas
LLEUSE PAR ' F. TISSOT médecin de l'Asile d'Amiens. Parmi les scléroses combinées congénitales le groupe des alaxies héré
coordination motrice. Le diagnostic ne semble à discuter qu'avec la sclérose en plaques et les sclé- roses combinées congéni
ées congénitales. Ce cas se rapprocherait par quelques points de la sclérose en plaques 74 4 TISSOT dont il y a l'élal par
volume; sur aucun point de l'axe nerveux on ne trouve de plaques de sclérose . Le sys- tème des cordons postérieurs est indem
it apparaître dans le cor- don postérieur du côté droit une zone de sclérose assez bien délimitée dans sa forme générale qui
faisceau ovale de Flechsig. L'autre branche verticale de la zone de sclérose , orientée légèrement eu ohli- , Scliéma représe
cordon postérieur, dans son tiers postérieur. En somme, la zone de sclérose n'atteint ni la corne postérieure ni la péri- p
ure (1'E lombaire el 1 le dorsale) . - On ne trouve plus de zone de sclérose en nappe ; toutes les raci- nes postérieures qu
ttention sur le voisinage étroit, dans la région lombaire, de cette sclérose de la bandelette externe avec l'intégrité de la
zone radiculaire des 3e et 1° paires lombaires est respectée par la sclérose . Notre cas est précisément un exemple de cette
iculaire et systématique,sont nets. Dans les phases ultérieures, la sclérose perd son caractère systématique pour devenir to
sihle d'expliquer la rélrocession des symptômes et l'arrêt dans la sclérose des cordons postérieurs, sous l'influence de la
er à l'amaurose une action d'arrêt sur l'évolution ultérieure de la sclérose . Ce n'est pas ainsi qu'elle agit; ce n'est pas
de ce que chez le tabétique à crise gastrique ou viscéralgidue, la sclérose des cordons postérieurs n'est pas tout, mais co
ner (1) furent effectués sur le sympathique d'un' sujet atteint de sclérose combinée des cordons postérieurs et latéraux; i
pour une poussée subaiguë de bronchite apparue sur un vieux fond de sclérose broncho-pulmonaire qu'il a sollicité son admissio
s. Bronchite, emphysème pulmonaire. Goitre. Hypertrophie cardiaque, sclérose des valvules aortiques et de l'aorte. Un peu de d
disparition d'une partie des éléments nerveux est remplacée par une sclérose de faible intensité. Les lésions si caractérist
constamment révélées indemnes de toute dégénérescence atrophiqueou sclérose interstitielle. Il en est de même pour les nerfs
géné- rescence limitée à une partie de la racine, accompagnée d'une sclérose inter- stitielle ; enfin, on retrouve aussi la
racine L 3 (fig. h), la dégénérescence des fibres ner- veuses et la sclérose interstitielle s'observent déjà plusieurs millimè
ités des membres infé- rieurs. La moelle ne présentait qu'un peu de sclérose névroglique dans les cordons de Goll, diminuant
s allant jusqu'à la RD. A l'examen histo- logique : dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs, raréfaction du réseau
res montrent une hypertrophie notable de la gaine lamelleuse et une sclérose interstitielle. Tout en concluant à une lésion pr
psychose maniaque dépressive ; mort à 20 ans. Examen histologique : sclérose des cordons postérieurs dimi- nuant de bas en h
ibrillaires ; troubles mentaux. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose très étendue des cordons postérieurs et scléros
: Dans la moelle, sclérose très étendue des cordons postérieurs et sclérose plus faible des cordons laté- raux ; altération
, augmentation des noyaux du sarcolemme, tissu conjonctif augmenté, sclérose des parois vasculaires (L'auteur adopte le même
nce mentale. Mort à 42 ans. - Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs; sclérose moins marquée
en histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs; sclérose moins marquée dans les cordons antéro-latéraux; r
es éléments cellulaires et des fibrilles de la substance grise avec sclérose névroglique ; prolifération en îlots de l'épendym
ique et diminution de volume des fibres nerveuses incluses dans une sclérose inters- titielle de quantité variable ; pas d'é
ale passagère; mort à 25 ans. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs et des faisceaux cérébell
les ; signe d'Argyll-Robertson. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs, diminution du réseau d
(atrophie des fibres et des gaines de myéline) et interstitielles ( sclérose orientée suivant l'axe de la fibre et composée d'
e pour les racines antérieures. Nerfs périphériques volumineux avec sclérose conjonctive annu- laire, engainant les fibres.
mution des réflexes lumineux. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs, raréfaction des fibres
ence d'hypertrophie des troncs nerveux, elle est due au fait que la sclérose interstitielle n'a atteint qu'un développement
e les éléments interstitiels aient une autre réaction qu'une légère sclérose cicatricielle. Il y aurait une résorption compara
elle que l'on observe dans la poliomyélite antérieure chronique, la sclérose latérale amyotrophique, où la dégénérescence se
aut degré ; et inversement un cylindraxe atro- phié et dénudé, sans sclérose conjonctive périphérique. On doit donc conclure
pendamment sans avoir de relation de cause à effet; ce n'est pas la sclérose interstitielle qui produit par compression la dis
épinière. Dans cette dernière, la lésion la plus fréquente est une sclérose des cordons postérieurs, non consécutive à une
t pas les dégénérescences primitives médullaires. On a vu aussi des scléroses des cordons antéro-latéraux, parfois systématis
péciales, rappelant celles que l'on voit dans les formes rapides de sclérose latérale all1,)'otrophique, Ce symptôme, très a
ise est détruite, sont complètement dégéné- rées et envahies par la sclérose interstitielle ; les autres sont intactes ; au ni
gine vasculaire, que paraissent pouvoir se rattacher la plupart des scléroses hypertrophiques des différents organes : or les
giques récents de Ménétrier font de la lésion de l'os pagétique une sclérose osseuse hypertrophique. Dans ce cas, il n'y aur
plusieurs os exactement les mômes lésions trophiques que l'artério- sclérose par exemple peut déterminer au niveau de tous les
'ostéite raréfiante désordonnées, hypertrophie due sans doute à une sclérose interstitielle telle qu'on l'observe dans les dif
yméningite cervicale, avec Charcot et Joffro,y, enfin et surtout la sclérose latérale s'approprièrent les cas les plus typique
e M. Sou- ques, l'atrophie à type Aran-Duchenne était associée à la sclérose combinée à forme amyotrophique. Nous nous som
e et c'est cet effondrement de la substance grise qui, associé à la sclérose péri-vasculaire des arlérioles radiculaires antér
ne anté- rieure cicatrisée. On peut voir en outre un léger degré de sclérose péri- vasculaire et dans deux de nos cas un éta
eviendrons. En outre, il existait dans ces deux mêmes cas un peu de sclérose des cordons postérieurs. Cette sclérose, très l
es deux mêmes cas un peu de sclérose des cordons postérieurs. Cette sclérose , très légère dans l'un de nos cas, était plus m
existe pas de lésions inflammatoires très marquées ni de placard de sclérose permettant de pen- ser à la cicatrice d'un foye
érinèvre sont atteints et sur les coupes colorées au Van Gieson, la sclérose se montre extrêmement serrée. C'est une sclér
u Van Gieson, la sclérose se montre extrêmement serrée. C'est une sclérose ancienne et très pauvre en cellules. Il en existe
que saine, l'autre apparaît à peu près complètement détruite par la sclérose . Telles sont les lésions que l'on observe du cô
age, il n'y a pas de gliome à pro- prement parler, mais plutôt delà sclérose névroglique qui occupe les zones dégénérées.
précédente, dans le cordon postérieur toujours une pâleur diffuse par sclérose com- mençante. Fia. 3. Obs. n° I. Téphromalac
eau ; 6° On note en outre une pâleur des cor- dons postérieurs avec sclérose et démyélinisation commençante, et un épaississem
t-être un peu diminuée de volume. La substance blanche présente une sclérose modérée, mais nette du cordon postérieur, et au n
inent les lésions cellulaires de la poliomyélite chronique et de la sclérose latérale amyotrophique. Quelle est la raison de
nière. Zeitschrift sur Min. Med- 1898, Bd XXXIV, p. 469. SOUQUES. - Sclérose combinée tabétique avec atrophie musculaire progr
très dilaté, dont la paroi est très épaisse sans être dure. Pas de sclérose macroscopiquement, rien d'appa- rent aux valvul
i leur a donné une faible nuance orange. Le pancréas présente une sclérose de moyen degré. Les acini ainsi que les îlots d
26 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tations spécifiques de la maladie, en effet, rien ne distin- gue la sclérose du testicule due à la syphilis héréditaire de c
lades, éthylique, a aussi des aboli- tions de réflexes relevant des scléroses médullaires com- binées probables, tabétiformes
eux, présence des cellules endothéliales et de neuro- nophages ; 3° sclérose soit il l'étaL de début soit à la' période adulte
(hémiplégies organiques, affections protubérantielles, myélites, sclérose en plaques, paralysies spinalesspasmodiqucs). C
ophie muscu- laire progressive spinale, de la sy ringomyélie, de la sclérose la- luraluamyotrophidue, de l'atrophie musculai
n plantaire s'accentue ; exemple : paralysie spinale spas- modique, sclérose en plaques. Ce réflexe esl, très intense dans la
mécanique actif et passif. L. V.1HL. \1. - Quelques modalités de la sclérose en plaques à évo- lution peu connue ; par E. MU
connue ; par E. MUFLIER. (I\'eurolo. Centralbl., XXIV. 1905.) I. Sclérose en plaques s'annonçantsouvent longtemps avant l
un léger vacillement du bras à l'occasion des fins travaux. Il. - Sclérose en plaques débutant par une fatigue anormale lo
e forme inter- médiaire à l'atrophie musculaire progressive et à la sclérose laté- rale amyotrophique. P. Keraval. \1'll .
uteul' principal du voile du palais. M. THOMAS rapporte un cas de sclérose en plaques uniquement médullaire. Euphorie dé
pas de songer, pas plus qu'aux tremblements l1ydml'g l'i(IUpS de la sclérose en pla- ques, de. Le réflexe patellaire seul
c'est-à-dire due à la pseudosclérose, et à type Strumpell, due à la sclérose diffuse; par Renato lE131ZZI. (in Rivista de pa
me, indice d'une lésion des racines et des cordons posté- rieurs. Sclérose en plaques. M. LEJONNE montre les préparations
préparations de lésions des cellules des cornes antérieures dans la sclérose en plaques. Phénomènes spasmodiques chez une hy
Sanoe clzc lr nan ? 1 ! IU(i. Quelques symptômes nouveaux dans la sclérose en plaques. VI11. CLAUDE et Egger considèrent c
de myéline nourricière du cylindre-axe conservé. M. Marie. Dans la sclérose en plaques syphilitique, le cylin- dre-axe est
hilitique, le cylin- dre-axe est détruit ; il reste indemne dans la sclérose en plaques infectieuse. Syringomyélie ù sympt
e la( : on fréquenté des altérations du tondde l'oeil indiquant une sclérose vasculaire très avancée, ut pro- bablement auss
t une sclérose vasculaire très avancée, ut pro- bablement aussi une sclérose de la rétine elle-même, qui permet. 232 BIBLI
XXXVI. PEL ? (Léon), né le 9 mars I Sg I . Idiotie du second degré, sclérose en plaques. A son entrée (c8g6) ne se tenait de
ssus pathologiques, tels que les encéphalites, méningo-encéphalite, sclérose , etc., etc., chez les- quels l'examen histologi
elleuses. Les autres signes cliniques devaient faire penser- il une sclérose en plaque, mais l'examen histologique n'a pas c
(Revue Neu- rologique, août 1905.) E. B. \\\I \. -Dix-huitcas de sclérose latérale amyotrophique avec autopsie ; par F. 1
le5'mond et Cestan ont fait de 1896 à 1903, dix-huit au- lopsies de sclérose latérale amyotrophique, après avoir suivi i l'é
gique, les cordons pos- térieurs ont toujours été trouvés sains. La sclérose des cordons antéro-latéraux a toujours affecté
début, devenues définitives par habitude. F. Tissot. XL11. - Les scléroses combinées médullaires des paraly- tiques généra
alpêtrière, 1905, n° 3.) Tout le monde s'ontendsur la fréquence des scléroses combi- nées des cordons postérieurs et latéraux
ont constaté toute une série de localisations et de combinaisons de sclérose répondant à des formes décrites et qui établiss
ésion encéphalique en foyer ou à une pachyméningite hémorragique; - scléroses laté- mIes secondaires soit à des foyers de leu
te, soit ir, des altérations des cellules nerveuses de la moelle; - scléroses postérieures tabétiques, substratum anato- miqu
sentés. Le prix est décerné à M. le Dr 0. Crou- zon, de Paris : Des scléroses combinées de la moelle. Des men- tions honorabl
ures. La ponc- tion lombaire avait accusé une forte polynucléose. Sclérose latérale amyotrophique. MM. Rossi et Roussy ont
non à celle du micro-organisme lui-même. 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. Sclérose latérale amyotrophique anormale. MM. Lejonne et
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Troubles mentaux dans la sclérose latérale # amyotrophique ; . Par le Dl A. CUL
exceptionnels. Dansun mémoire récent concernant dix-huit cas de sclérose latérale amyotrophique appartenant aux formes c
moteurs bulbaires» (1). (1 IhYlo1J eL It. Cestan. Diw-Inrit cas de sclérose latérale amyotrophique avec autopsie. (Revue nc
ions dégénératives ne se bornent pas à l'axe bulbo-spinal dans la sclérose latérale amyotrophique, mais s'étendent sou- ve
rnières années. Ces observations tendent à démontrer que, dans la sclérose latérale amyctrophique, les troubles mentaux pe
B ? Certificat (le 24 heures : « Est atteint de démence organique ( sclérose latérale (1) Gilbert 13nLLr - Traité [de pathol
) Gilbert 13nLLr - Traité [de pathologie mentale. Paris, 1903. LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 435 amyotrophique) avec
ux membres supérieurs, mais il faut le faire manger comme un LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 437 enfant. De plus en
trophic, la paralysie spasmodique et les phénomènes bulbaires de la sclérose latérale amyotro- phique, ce malade présente un
la participation précoce du cortex aux lésions qui relè- vent de la sclérose latérale amyotrophique ; de l'autre les symptôm
tous les objets qu'elle tenait à la main. Peu à peu son humeur LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 430 s'altéra, elle devi
et perturbatrice que cette femme, malade depuis quatre ans déjà de sclérose laté- rale à évolution lente, se met à accuser
el que ses réponses sont peu près incompréhensibles. L'articu- LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 4H lation de la plupart
, la blennorrhagie parmi les anam- nestiques deR ? L'étiologie delà sclérose latérale amyo- trophique est trop peu connue po
ns mon cabinet, en mai 1905, un malade qui m'a paru être atteint de sclérose latérale amyotrophique et sur lequel j'ai conse
bilité cutanée partoutintacte et très développée, exagération. LA SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 443 des réflexes du gen
quelques symptômes aberrants d'al- lure tabétique, au diagnostic de sclérose latérale amyo- trophique que nous donnons sous
onçu : « Est atteint d'une affection organique des centres nerveux ( sclérose latérale amyotrophique) compliquée de troubles
se difficilement aux autres doigts, avec beaucoup d'efforts et LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 445 de maladresse. 11 y
ladie, ainsi que j'en ai observé tout récemment un cas remarquable. Sclérose latérale et myopathie primitives ne sont-elles
tion, indifférence si peu dans les habitudes des victi- mes de la sclérose latérale, et de cette jovialité d'humeur qui en
) A..lolvrltor. Des myopsycllier. {Rente neurologique t 1902.) LA SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 447 lui est, comme nous
alysie générale. L'affaiblissement psychique est dès l'abord LA SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 449 massif, comme dans
ns pas ne pas cons- tater en même temps que, dans l'association, la sclérose latérale amyotrophique, au point de vue somatiq
s inflammatoire d'évoluer beaucoup plus loin, ,1'allcl' .iusr¡u"ida sclérose et il la destruction plus ou moins complète du
anièrequ'on devrait interpréter la marche rapide de certains cas de sclérose latérale amyotrophique et la durée relativement
chroniques chez l'adulte en rapport avec la durée plus courte de la sclérose latérale amyotruphi- que » [Revue neurologique,
423. 3. Paralytique général Voir hypo- thermie. Voir lippus, Sclérose . Paramyoclonus multiplex. Re- cherches histn-
Westphall, c'est-à-dire due ù la , et à type Strümpell, due à la sclérose diffuse, pur Renato Rebizzi, 213. Psychiatrie
odactylie. Voir Syringomy lie. Sclérodermie. Voir Hémiatrophie. Sclérose . Quelques modalités de la - en plaques iL évolu
ole chez les écoliers belges, par Romna, 425. - - mentaux dans la sclérose latérale amyotrophique, par Cul- lerre, 433.
27 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ccasion de présenter dans cet amphithéâtre, des syringomyélies, des scléroses en plaques, des maladies de Friederich, dont le
gite, les types d'atrophie musculaire pro- gressive myopathique, la sclérose latérale amyotrophique, la sclérose en plaques,
e pro- gressive myopathique, la sclérose latérale amyotrophique, la sclérose en plaques, la myélite transverse, la syphilis
ntoxications seraient-elles susceptibles d'entraîner après elles la sclérose des cordons postérieurs. D'après un travail réc
secousses d'un réflexe rotulien exagéré que les tremblements de la sclérose en plaques. 1 Malgré cela j'ai réussi à obtenir
en arrière de la commissure. A ce niveau la lésion dominante est la sclérose embryonnaire qui dissocie les éléments nerveux
x et prend déjà en certains points l'apparence trabé- culaire de la sclérose conjonctive. Les cordons de Goll, au moins dans l
de ces points comme au-dessus, un envahissement très notable par la sclérose embryonnaire, qui atteint déjà en plusieurs end
embryonnaire, qui atteint déjà en plusieurs endroits le stade de la sclérose conjonctive trabéculaire. Dans l'interstice des
uel elles sont ici seules soumises, mais aussi au point de vue delà sclérose interstitielle embryonnaire, dont le foyer prin
quelques tubes décolorés, dans les régions les plus envahies par la sclérose embryonnaire. A côté des altérations précédente
ux. Epaississement des tuniques de la basilaire et des vertébrales. Sclérose des vaisseaux de la région cervicale de la moelle
nique. En réalité, ils sont les analogues des précédents, car la sclérose qui va imprimer sa caractéristique aux manifest
allons immédiatement le montrer. En effet, en 1878, sous le nom de sclérose disséminée, qu'on peut tra- duire par sclérose
1878, sous le nom de sclérose disséminée, qu'on peut tra- duire par sclérose en plaques, Dickinson (1) publiait, sans commenta
e les symp- tômes observés sont évidemment sous la dépendance d'une sclérose céré- brale, d'origine probablement syphilitiqu
on une série de cas pour la plupartcongénitaux, qu'il attribue à la sclérose en plaques, affection que la prédominance habit
it en être de même. Le ta- bleau clinique est nettement celui de la sclérose cérébrale (avec participa- tion primitive ou se
'accompagnant d'idiotie et d'accès épileptiques, et non celui de la sclérose en plaques. Dans un deuxième mémoire, M. Moncor
ants, Paris, Berthier, 1884. , (2) Moncorvo. De l'étiologie de la sclérose en plaques chez les enfants et notam- ment de l
euse. Rien n'autorise, dans tous les cas, à porter le diagnostic de sclérose en plaques. Depuis, M. Moncorvo (1) a publié 3
cliniques observés, que les accidents doi- vent être attribués à la sclérose en plaques. Cliniquement , ces cas doivent être
ompris l'imbécillité et les accès d'épilepsie. Et c'est encore à la sclérose cérébrale, sinon encéphalo-médul- laire, qu'il
(1) Moncorvo. De l'influence étiologique de l'hérédo-syphilis sur la sclérose en pla- ques chez les enfants. Revue mensuelle
yphilis congénitale héréditaire ne semble pas donner naissance à la sclérose en plaques, il ne ressort pas moins des faits, qu
été publiées (1) montrent en effet des lésions de porencéphalie, de sclérose lobaire, d'atrophie.plus ou moins étendue des c
un proces- sus d'infiltration embryonnaire avec son aboutissant, la sclérose , si la survie est suffisante. Amesurequele su
la syphilis adulte si difficiles à différencier anatomiquemont des scléroses des vaisseaux observées dans les infections aut
es antérieures qui étaient «packered and indented ».Il existait une sclérose diffuse s'étendant il toute l'étendue de la moell
érédo-syphilitiques. Chez tous les deux, il existait des lésions de sclérose cérébrale uni et bilatérale, avec oblitération
es artères de la base et des vertébrales dans Ie2e, accompagnées de scléroses descendantes de la moelle consécutives aux lési
endant à disparaître. L'auteur pensa qu'il s'agissait de plaques de sclérose dans le cerveau et dans le bulbe survenues chez
homme de 35 ans qui présenta les symptô- mes caractéristiques de la sclérose multiple (sclérose en plaques) sous /'or- me de
présenta les symptô- mes caractéristiques de la sclérose multiple ( sclérose en plaques) sous /'or- me de paraplégie spasmod
i sont le plus souvent dominés par les phénomènes cli- niques de la sclérose cérébrale. Il devient cependant possible, par une
ment, le processus embryonnaire est passé à l'état adulte, c'est la sclérose qui en est l'aboutissant. Onla retrouve dans le c
la syphilis adulte si difficiles à différencier anatomiquement des scléroses vasculaires observées dans les infections autre
postérieure de la caisse, un petit point suppurant dû à un foyer de sclérose osseuse, en- veloppant quelques fongosités qu'u
de traitement. c) Déviation articulaire plus ou moins raidie par la sclérose périarticu- laire, soit avec formation d'un ang
ELLIER UN « HOMME MOMIE » SCLÉRODERMIE GÉNÉRALISÉE CONGÉNITALE ( Sclérose atrophique de la peau, des muscles, des os), pa
s muscles elles os sont atrophiés à l'extrême, la peau présente une sclérose des plus étendues. Par sa tête, il évoque l'image
se voit dans les myopa- thies. Ces rétractions, plus encore que la sclérose atrophique de la peau et des muscles, brident l
ages tendineux et la peau, parsemée de quelques poils, présente une sclérose atrophique caractérisée par l'état lisse, l'aminc
ui ne date que de deux ans, et paraît devoir être rap- portée il la sclérose de l'oreille moyenne, sous l'influence d'angines
laires au cours du tabès. (2) Raymond, Maladies du système nerveux, scléroses systématiques de la moelle, 1894. (3) Raymond
e se présenter sous la forme de .gommes, elles peuvent aboutir à la sclérose , il est probable qu'elles peuvent aussi régress
nt toules les formes,de dégénérescence cellu- laire, l'atrophie, la sclérose qui a ainsi une double origine. , Les éléments
cette substance. Il est inutile de décrire la gomme, ou le tissu de sclérose . - Certains auteurs font de la congestion simpl
t une altération par places des cornes antérieures. Il existai tune sclérose diffuse s'étendant à toute l'étendue de la moel
. Epais- sissement des tuniques de la basilaire et des vertébrales. Sclérose des vaisseaux de la région cervicale de la moel
DITAIRE 287 philitiques. Chez tous deux,.il existait des lésions de sclérose cérébrale et des altérations vasculaires consid
s considérables, mais la moelle ne présentait que les lésions de la sclérose descendante consécutive aux lésions cérébrales.
que les cellules embryonnaires infiltrent en larges traînées. Cette sclérose de l'espace extradural doit être une lésion pré
tiellement détruite soit que le processus de néoformation, gomme ou sclérose , propagé ou né sur place, envahisse un point de s
28 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
x familles, atteintes l'une de paraplégie spas- modique, l'autre de sclérose en plaques. Les deux observations qui suivent s
ubstance grise est normale. Il y a une dimi- nution des fibres sans sclérose dans le cordon antérieur, au niveau du faisceau
t de développement des circonvolutions, avec ou sans malformations, sclérose atrophique, méningo-encéphalite avec destructio
Destruction complète des circonvolutions. Ménin- go-encéphalite et sclérose . Analyse chimique du liquide céphalo- rachidien
enfant est arrivé avec un certificat ainsi conçu : « Est atteint de sclérose cérébro-spinale, qu'il présente des troubles marq
rité, dans des cas de méningo-encéphalite de l'enfance avec ou sans sclérose atrophique des circonvolutions. Là où le proces
circonvolutions est occupé à sa partie médiane par des nodules de sclérose ; à sa périphérie par des fibres myéliniques qui a
e former de nombreuses cavités par le même méca- nisme que dans les scléroses atrophiques que nous avons pu étu- dier (format
plupart des cir- convolutions, transformation kystique du cerveau, sclérose des fragments restant des circonvolutions, hydr
isseur totale n'atteint pas le tiers de la nor- male, des bandes de sclérose névroglique à fibres parallèles aux bords des c
très épaissies, avec des vaisseaux très dilatés. Quelques bandes de sclérose partent de là vers les circonvolutions. L'épith
rconvolutions sont rétractées, les scissures baillent largement, la sclérose n'est nulle part intense, mais elle atteint pre
es sont très minimes. sr II. Idiotie et Épilepsie symptomatiques de sclérose atrophique des . lobes frontaux. ' Compte-ren
lobes frontaux. ' Compte-rendu de Bicêtre, 1897 p. 96. Vayrad.... Sclérose lobaire symétrique, intéressant les deux lobes
cale. La paroi des ventricules est at- teinte d'un certain degré de sclérose fibrillaire; ses vaisseaux sont ectasiés, mais
la dure-mère. \la<lu.. {Compte-rendu de Bicêtre, 1886, p. 33.) Sclérose lobaire alrophique. intéressant surtout les lobes
out en un épaississement fibreux avec prolifération vasculaire et sclérose des parois des vaisseaux, principalement au niv
taire de la myéline. Une certaine dilatation des ventricules avec sclérose légère de la paroi épendymaire s'observe dans b
par celui- sonner leur lumière et en amener l'oblitération. - II. Scléroses cérébrales atrophiques. Elles s'accompagnent ra
s fibreuse, moins vasoformalrice.... - Dans'les cas extrêmes, la. sclérose peut être telle qu'aucun élément noble n'existe
lules araignées que dans la paralysie générale des aliénés et- la sclérose en plaques...... Dans les cas que nous avons ét
avons étudiés, même la où la lésion semblait absolument localisée ( sclérose lobaire symétrique), nous n'avons trouvé aucun
l. myéline, le tout coïncidant avec l'hyperplasie névroglique et la sclérose des vaisseaux. III. Hydrocéphalies. L'examen
lésions ne sont pas limitées au pourtour des ventri- cules, car la sclérose fasciculée peut envahir le centre ovale. Les fi
substance avec un processus cavitaire assez ana- logue à celui des scléroses lobaires; de même nous avons constaté une réact
mais le fait intéressant c'est que l'on notait la coexistence d'une sclérose assez marquée du centre ovale des circonvolutio
Pas de renseignements. - Oreillons. Rougeole à 9 ans. - Autopsie : sclérose du lobe occipital droit. Loui.. (Joseph), né
ntécédents héréditaires et personnels. Diarrhée, cache- xie ; mort. Sclérose spéciale des deux hémisphères céré- braux auec
pyramidales; un développe- ment incomplet des grandes. Le tout sans sclérose ni foyers inflammatoires. Pour compléter les
ifférence est le plus marquée, où qu'on se trouve en présence d'une sclérose totale à pré- dominance unilatérale, la forme p
iérés. Thèse de Paris. 1888. TnntAL. Contribution à l'étude de la sclérose tubéreuse ou hyperlrophique du cerveau. Thèse d
e il symp- tômes cérébro-spinaux. Thèse de Paris. Lebreton. De la sclérose en plaques chez les enfants. Thèse de Paris.
29 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
dé- finitive. La capsule n'est pas épaissie ; il n'existe pas de sclérose interstitielle ; les vaisseaux sanguins sont mo
s, de pigments et d'hématies. Il existe en plus un certain degré de sclérose interstitielle, sans que la cap- seule paraisse
ux : leurs parois ne présentent aucune altération : il n'y a pas de sclérose périvasculaire. Sur le second morceau, les lési
culaire PROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 57 nique, syringomyélie, sclérose latérale amyotrophique). Seules les formes où l
ion numérique des cel- lules radiculaires des cornes antérieures et sclérose des cordons postérieurs avec tourbillons névrog
s de Charcot et Marie ; mais les lésions médullaires concomitantes ( sclérose des cordons postérieurs, atrophie partielle des
ait été accompagnée de douleurs, trouve à l'examen histologique.une sclérose des cordons latéraux et postérieurs, une atroph
erstitielle avec ou sans hypertrophie ; dans les centres nerveux la sclérose névroglique en tourbil- lons doit être du même
ériques la raréfaction des fibres nerveuses était accompagnée d'une sclérose conjonctive avec épaississement de ces troncs n
des cornes antérieures, dégénérescence des cordons postérieurs avec sclérose névroglique en tourbillons, comme dans le cas de
ICALE, PAR R ITALO ROSSI. Dans la thèse de M. Crouzon sur « Les scléroses combinées de la moelle » (1 ), un chapitre très
oelle » (1 ), un chapitre très intéressant est consacré à l'étude des scléroses combinées chez les vieillards, étude que l'aute
ernier type. Bien que cette étude n'ai pas montré la présence d'une sclérose combinée de la moelle, mais celle d'une atrophie
le, mais celle d'une atrophie très particulière (1) 0. Crouzon, Des scléroses combinées de la moelle, Paris, 1904. Nouvelle I
près des lèvres il y a un tremblement un peu analogue à celui de la sclérose en plaques. Il existe des troubles de la diadoc
ou sont extrêmement rares et peu nets. Il n'existe aucune trace de sclérose dans cette couche ; il n'y a pas de mul- tiplic
es se colore très bien au Pal, au Weigert, ne présente pas trace de sclérose , de Ramollissement ou d'hémorragie; ses vaissea
existe, dans le reste de la corticalité cérébelleuse aucun point de sclérose ou d'infiltration embryonnaire ou de multiplica
n- traciliaire est très bien coloré, abondant, sans dégénération ou sclérose . Au contraire la toison ne se distingue pas, pa
normal, mais microscopiquement elle ne présente ni dégénération ni sclérose ; on ne peut même pas dire qu'il existe à ce ni
e. Nous n'avons pas observé trace de multiplication nucléaire ni de sclérose , tant dans la substance grise que dans la blanc
égère raréfaction diffuse, et sur les coupes au Gieson d'une légère sclérose . Les vaisseaux des racines sont légèrement épai
vieil- lards et qui sont vraisembablement liées à des processus de sclérose vas- culaire. Dans le bulbe et dans la protub
sistent on aurait pu avoir un aspect nor- mal, sans dégénération ni sclérose de la substance même, bien que celle-ci soit at
céphalite inférieure,qui n'est en général qu'une localisation de la sclérose latérale amyotrophique, les noyaux oculo-moteur
diminution de largeur, mais pas de raréfaction de ses fibres ni de sclérose . Le cordon antéro-latéral gauche est, comme nou
dit,on y retrouve une légère raréfaction du réseau myélinique avec sclérose légère, une diminution du nombre des cellules e
st moins volumineux que dans L 3, la ra- réfaction des fibres et la sclérose y est moins accusée. Au sein du foyer on retrou
st cependant pas raréfié, n'existe pas non plus d'hyperplasie ou de sclérose du tissu interstitiel. Dans les segments dorsau
antéro-latéraux sont bien colorés, ne présentent ni dégénération ni sclérose . L'atrophie du cordon latéral gauche, nette dan
dons postérieurs à part la légère atrophie, sans dégénérescence, ni sclérose , décrite dans la moelle lombo-sacrée gauche.
te. Dans aucun de ses faisceaux il n'existe de dégénérescence ni de sclérose . De même pour les pyramides bulbaires qui sont
t pas complètement et qui laisse comme résidus une cicatrice ou une sclérose , et, comme symptômes de cette affection en foye
bien qu'il y ait une légère raréfaction des fibres avec très légère sclérose . Sur la coupe suivante (fig. 4) passant par les
auche qu'à droite et présente une légère raréfaction de fibres avec sclérose très légère. La coupe représentée figure 5, nou
pied du pédoncule dont tout le reste est représenté par du tissu de sclérose au sein duquel per- , sistent quelques faisceau
mpédonculaire; en effet, elle n'est plus formée que par du tissu de sclérose dense avec légère prolifération nucléaire au se
donculaire de cette bandelette dégénérée, on voit en plein tissu de sclérose (fig. 3 et 4) une cavité allongée formée par un
fet d'un processus de raréfection secondaire au sein de ce tissu de sclérose très ancien. Au sur et à mesure qu'on s'approch
moelle colorées au van Gieson, montrent qu'il existe des lésions de sclérose très accusées dans toute l'aire du pyramidal croi
s cas. Quand le malade guérit, les lésions médullaires passent à la sclérose , et les symptômes cliniques de la myé- lite aux
ts : on ne voyait des fibres nerveuses que dans la périphérie de la sclérose , et là même elles étaient altérées et très rare
u plusieurs années auparavant), et morts d'une nouvelle attaque. La sclérose alors représente la guérison, la cicatrice médu
b, Charcot, Leyden, Goldscheider, sur l'origine inflammatoire de la sclérose . Et comme la sclérose et la paraplégie spasmodi
ldscheider, sur l'origine inflammatoire de la sclérose. Et comme la sclérose et la paraplégie spasmodique sont des suites de l
es cavités, etc.) ; dans le second les lésions se transfor- ment en scléroses , c'est-à-dire en cicatrices médullaires. POLYNÉ
douteux, G... fut, après consultation, consi- déré comme atteint de sclérose en plaques. Depuis fin 1902 amaurose totale.
ylzysiolo- gique, Ch. vi, p. 159, Observations cliniques, atrophie, sclérose . (3) LÉRI, loc. cit., p. 41. (4) Oursasrsmee,
eaux, numéro du 7 avril 1907. - ANGLAI>E et FOUI12ÇIAL, Noyau de sclérose cérébrale chez une persécutée sénile, Société d
éance du il décem- bre 1905. Ramollissement du cervelet et cérébro- sclérose lacunaire diffuse, rapporté par le Journal de m
n fragment de foliole dont les diverses parties sont le siège d'une sclérose atrophique (1) CAJAL, lIitolo91f"t del sislema
autour des lacunes en formation : cette organisation des foyers de sclérose en plaques avec tendance lacunaire est le fait de
nous préciserons après les caractères distinctifs. Le travail de sclérose peut s'opérer dans la substance blanche, dans la
nt le réseau est beaucoup plus dense. On peut voir qu'à ce degré de sclérose ne correspond pas une atrophie de la cou- che m
s'organiser ,habiluellement au- tour d'un vaisseau, des plaques de sclérose ; celle qui est dessinée dans la figure 1 de la
ques à celles qui s'observent dans les autres couches. Des îlots de sclérose peuvent s'observer partout ; on les trouve ordi
a planche LXII a été prise. Bien mieux, elle provient d'un noyau de sclérose qui n'est pas caractéristique d'une lésion sénile
ce dessin occupe la place qui reviendrait logiquement à un îlot de sclérose sénile dans la substance blanche, c'est qu'il n
blanche, c'est qu'il nous a paru doublement instructif. En effet la sclérose de la substance blanche qui s'y observe est parfa
érébelleuse sénile ; elle est porteur d'une plaque très ancienne de sclérose tubéreuse dans la- quelle l'aspect de la substa
u contraire par des atrophies très limitées qui sont des plaques de sclérose ordinairement périvasculaire. Ces plaques tendent
aspect n'y est aucunement celui de l'atrophie gé- néralisée. Ici la sclérose est régulière avec de faibles prédominances régio
à la formation lacunaire est nulle. Là tout au contraire la zone de sclérose atrophique est toujours très limitée; autour de
des symphyses inflammatoires méningo-corticaies. C'est dire que la sclérose cérébelleuse est à prédominance doublement superf
fs du membre inférieur ne nous ont montré que de légères lésions de sclérose sans dégénérescence, les nerfs du membre supéri
ordonnés suivant l'orientation normale. Il n'existe aucune trace de sclérose . Il est à noter que les cellules ehromophobes s
ener Universittzt, XI nand, 1904. (6) rLaaww, Sur la pathogénie des scléroses 1ww'o-centl'ales juvéniles. Giornale internatio
L[L ? CHEZ UN HYDROCÉPHALE ÉPILEPTIQUE 427 7 fections telles que la sclérose lombaire infantile, la maladie de Lillle, la ma
baire infantile, la maladie de Lillle, la maladie de Friedreich, la sclérose latérale amyotrophique familiale, l'a- thétose
rogressive, à caractère familial, et ayant pour base anatomique une sclérose dégénéra- tive frappant surtout, mais non exclu
circonvolu- tions sont, mais en ce point seulement, le siège d'une sclérose très accusée, avec raréfaction de la myéline.
30 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
PATHOLOGIE NERVEUSE DU TABES COMBINÉ (A'l'A\0-51 ? SIOUIQUI ? ), ou SCLÉROSE POSTÉRO-LATÉRALE DE LA -MOELLE ' (contributio
siologiquement interprétés , que la lésion du tabes combiné est une sclérose postéro-laté- rale. Toutes les observations r
Allemands, Westphal et surtout Kahler et Pick, ce serait une double sclérose systématisée. Pour l'Ecole française, ce serait
autres et classés suivant cinq types. Le premier type comprend des scléroses diffuses; le second, des cas d'ataxie locomotri
cordons latéraux; le quatrième, des faits.inverses dans lesquels la sclérose systématisée a succédé à la sclérose diffuse; e
aits.inverses dans lesquels la sclérose systématisée a succédé à la sclérose diffuse; enfin le cinquième, les faits propreme
ème, les faits proprement dits (mais très peu nombreux) de double sclérose systématisée. Ces divisions sont trop dissembla
mentale, c'est une question relativement secondaire de savoir si la sclérose diffuse succède à la sclérose systématisée ou s
tivement secondaire de savoir si la sclérose diffuse succède à la sclérose systématisée ou si c'est l'inverse : c'est comme
séparait les tabétiques chez lesquels l'atrophie optique précède la sclérose spinale, et ceux chez les- DU TABES COMBINÉ. '-
ne lésion diffuse et une lésion systématisée (ataxie locomotrice et sclérose en plaques). Le tabes combiné est de cette dern
ous, l'individualité anatomique caractérisée par l'association dune sclérose .postérieure systématisée avec une sclérose lat
par l'association dune sclérose .postérieure systématisée avec une sclérose latérale diffuse (myélite mixte). Donc, le ta
, du tabes spasmodique, de la myélite diffuse transverse et de la sclérose en plaques. ' Pour les deux premières maladies,
s spinaux proprement dits. Le diagnostic est plus difficile avec la sclérose en plaques. Ceci est une maladie cérébro-spinal
mettront un diagnostic. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les lésions de la sclérose en plaques ne présentent ni symétrie ni continu
ncore souvent et qu'on pourra confondre, dans beaucoup de cas, la sclérose en plaques avec le tabes combiné comme on l'a c
térisé par une myélite chronique à siège spécial et constant. Cette sclérose occupe les cordons postérieurs et les cordons l
éférer le nom de tabes combiné (maladie cérébro-spinale) à celui de sclérose médullaire posté.m-latérale, de même que le mot
ou de l'hypnotisme. 43 ataxique est préférable à l'expression de sclérose mé- dullaire postérieure. Le tabes combiné do
es ataxique, du tabes spasmodique, des myélites diffuses et de la sclérose en plaques : les caractères cliniques sont asse
et dans le Progrès médical (20 février 1886) le résumé d'un cas de sclérose combinée présenté à la Société anatomique (8 ja
e aux recherches, que M. Gasquet publie quatre observations (une de sclérose mul- tiple, une de syphilis, une de ramollissem
asile. R. M. C. XVI. Sur quelques CaS DE paralysie générale avec sclérose latérale de la MOELL1 : épinière ; par G.-H. Sa
e) de paralysie générale s'accompagnant chez de jeunes su- jets, de sclérose des cordons latéraux. A l'autopsie, on trouvait
nt d'origine primitivement médullaire, tandis que dans d'autres, la sclérose latérale est consécutive à une atrophie ou à un
provoquée. P. K. XXXI. UN cas DE prolifération DE l'épendyme, avec sclérose sous ÉPENDYMAIR6 : dans LE domaine DES ventricu
une augmentation dans le poids du corps, de l'asymétrie et de la sclérose crâniennes fréquente ? , l'existence également fr
ponse satisfaisante. M. UII1'HOFF. De la névrite optique dans la sclérose multiloculaire. L'an dernier, Gnauck a fait une
t une communication sur ce point 1. Voici plusieurs cas nouveaux de sclérose en plaques, avec névrite optique au niveau des
e mémoire 2. Discussion : M. Hirschberg. 11 est rare que, dans la sclérose en plaques ou dans une myélite chronique, on ob
Présidence de M. Westphal M. WESTPHAL présente un malade atteint de sclérose latérale amyotrophique avec paralysie bulbaire.
3·-spine, la para- lysie pseudo-bulbaire, la paralysie générale, la sclérose en plaques, la paralysie bulbaire et le tabes.
r par voie réflexe, conser- vent leur aptitude pleine et entière. - Sclérose en plaques : état semblable. Paralysie bulbaire
'. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIV. Contributions A l'étude DES scléroses systématiques combinées de la moelle ; par le p
yramidal. Absence complète de toute altération des cordons de Türk. Sclérose des cordons postérieurs et de la substance gris
ment de la pie-mère des cordons postérieurs. D'après ces auteurs la sclérose pyramidale serait indépen- dante de la sclérose
près ces auteurs la sclérose pyramidale serait indépen- dante de la sclérose postérieure et la lésion de la substance grise
rose postérieure et la lésion de la substance grise serait due à la sclérose des faisceaux et cornes posté- rieures. Dans
ntention- nels rappelle, quand on les rapproche de la démence, la sclérose en plaques. A ce propos, Remak critique l'express
égénération d'un petit segment de fibres. P. K. XXXVII. Un cas DE sclérose HTHUALE .\\fV'OTROI'IiIQUE; par A. Kos- chewnik
ningite spinale postérieure des tabétiques dans la patho- génie des scléroses combinées; par C. Westphal (drch. .Psych. XYI,
accompagnée DE PHÉNOMÈNES cérébraux, ENTÉE sur un fonds D'HÉRÉDITÉ ( SCLÉROSE multiloculaire) ; par F. PELizOEus (Arch. f. Ps
o- dique, l'absence d'atrophie, rapprochent cette affection de la sclérose en plaques dont elle diffère par le type régulier
révise l'ensemble des faits connexes, y compris les observations de sclérose multiloculaire pendant l'enfance. Après la sclé
observations de sclérose multiloculaire pendant l'enfance. Après la sclérose en plaques, l'hydrocéphalie serait, d'après lui
u encéphali- tiques (Westphal) ? qu'on puisse penser à une sorte de sclérose en plaques spéciale ? On n'en saurait décider.
hyroïde, plus petite qu'à l'ordinaire, présentait une atrophie avec sclérose ; absence de follicules clos; vaisseaux oblitérés.
; (par in- jecliollssous-cutanées d'éther, 101 ; -(bulbaire avec sclérose latérale), 112 ; - (cas de spi- nale ascendan
sie générale (troubles de la faculté de lire dans la), 67 ; - (et sclérose latérale), 71 ; - (et pachyméningile), 73; -
Bavière (mort du), 416. Ruban de Reil (anatomie du), 102, 110. Sclérose (latérale et paralysie générale), par Savage, 7
omie pathologique du), 217. Tabes (combiné ataxo-spasmodi- que ou sclérose postéro-laté- rale de la moelle), par Gras- s
31 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
de l'affection décrite par M. le professeur Charcot sous le nom de sclérose latérale amyotrophique, c'est-à-dire qui présen
atérale amyotrophique, c'est-à-dire qui présentait à l'autopsie une sclérose des cordons pyramidaux et une altération profon
anvier 1876). 2 Debove et Gomballlt. - Contribution ù l'étude de la sclérose latérale amyotrophique. {Archives de physiologi
té brisée et qu'elle est continuée par une portion mince. Dans la sclérose latérale amyotrophique, nous avons constaté l'e
A'OM/N'a/e 1 Voy. Debove et Gombault- Conl1'i6ution à l'étude de In sclérose latérale amyol1'opltique. (drch. de Physiolog.,
considérable; cet épaississement est dû principalement à ce que la sclérose , surtout active au contact de cette gaine, a tr
prise au niveau d'une racine antérieure cervi- cale dans un cas de sclérose latérale amyotrophique. (Macération prolon- gée
ente-quatre malades atteints d'incoordination mo- `trice liée à une sclérose des cordons postérieurs. Les plus malades d'ent
une hypertrophie partielle des circonvolutions. OBSERVATION III SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES : IDIO
. - Amélioration passagere. - Pneumonie ; mort. Autopsie.- Ilôts de sclérose hypertrophique. - Leur distribution sur les deux
nt partie des circonvolutions. Il s'agit, en un mot, d'une sorte de sclérose hypertrophique de portions plus ou moins grande
euls existé au début font penser aux vertiges qu'on observe dans la sclérose en plaques. Mais la forme de sclérose que l'aut
ertiges qu'on observe dans la sclérose en plaques. Mais la forme de sclérose que l'autopsie a décelée chez notre malade diff
autopsie a décelée chez notre malade diffère de tous points de la sclérose en plaques. En effet, nous avons vu que les foy
ces dernières parties de l'encéphale présentent des lésions dans la sclérose en plaques, que celle-ci affecte de préférence
du côté gauche présentaient dans leur partie supérieure un îlot de sclérose très considérable et disposé de telle façon que
ré. L, ventricule latéral. C s, corps strié. N, N, N, foyers de sclérose tubéreuse. 92 L) THÉRAPEUTIQUE. THÉRAPEUTIQUE
es plus loin, M. Chauvet admet l'in- fluence de la syphilis sur des scléroses ascendantes ou descen- dantes, consécutives à d
1 i s , . ' ration plus rouge qui révèle l'existence de foyers de sclérose ; ce qui surprend immédiatement, c'est le nombre
amen macroscopique. Sur la moelle durcie, se trouve une plaque de sclérose dans la portion cervicale du cordon latéral. Sa p
lle, dans le tronc du sciatique. Il s'agit donc ici d'une véritable sclérose . Pour ce qui est de la relation entre les phéno
cas analogue de M. Schultze (Cen- tîalblatt, 1878), d'une plaque de sclérose dans la portion cer- vicale supérieure du cordo
ro- bablement congénital. Un second cas analogue, d'une plaque de sclérose , occupant exactement le même siège chez un enfa
ements, à de petites embolies, et à des plaques d'encéphalite ou de sclérose . M. BLANDMRD (Londres) fait une communication s
), de Mm0 Put- nam Jacobi (méningite tuberculeuse), et pour ceux de sclérose cérébrale dont M. Grasset a observé deux cas.
aux circonvolutions centrales. Ainsi, dans ce cas, l'atrophie et la sclérose des circonvolu- tions centrales s'accompagnaien
nalo- gue à celui de l'OBs. III. Observation V. ENCÉPHALITE OU SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. Som
. Foyer hémorrhagique dans le lobe frontal droit. Nombreux îlots de sclérose à la surface des circonvolutions cérébrales. Anom
e lésion an- cienne, cause de l'idiotie ; elle consiste en îlots de sclérose (sclé- rose hypertrophaque, scl. tubéreuse) occ
patho- logie nerveuse. Les observations publiées sous le titre de sclérose cérébrale concernent des faits très disparates
disparates au nombre desquels il faut compter surtout des cas de sclérose en plaques. Mais la véritable encépha- ' Ces mê
. Duguet communiquait à la Société anatomique trois observations de sclérose du cervelet qui correspondent bien plutôt à une
de ces circonvolutions. En 1875, M. d'Espine2 faisait mention de la sclérose et de l'hypertrophie cérébrale qu'on peut trouv
en langue hollandaise et il nous a été impossible de l'utiliser. La sclérose diffuse du 1 Vierteljahrschr. f. psych., 1869.
s circonvolutions. Aussi de toutes les publications consacrées à la sclérose de l'encéphale ne voit-on se dégager aucune not
giques que nous rapportons ici, c'est la localisation des foyers de sclérose dans la substance grise, soit à la surface des
Mais celles de ces cellules qui sont les plus voisines du centre de sclérose sont atrophiées, jaunes, granuleuses et trouble
; peut-être est-il permis de supposer, en raison de ce fait, que la sclérose névro- glique dans la substance blanche n'est q
PLANCHE VI Face convexe de l'hémisphère gauche. N, N, N, Ilots de sclérose . P c, îlot occupant le pli courbe. R, sillon
LANCHE VII Face interne de l'hémisphère gauche. N, N, N, îlots de sclérose . Lq, lobe carré. Lp, lobe paracentral. C s,
Erb et M. Charcot admettent qu'il s'agit vraisemblablement d'une sclérose des cordons latéraux. M. Russell ne croit pas q
ons de deux malades qui présentaient le type clinique complet de la sclérose latérale primitive, et à l'autopsie desquels la
développer à deux reprises différentes le syndrome complet de la sclérose latérale. La guérison qui suivit chaque atteinte
ent, par suite' de l'extension de la lésion aux cornes antérieures ( sclérose latérale amyotrophique de M. Charcot). Les aute
teurs sont divisés sur la question de sa^ voir si, dans ces cas, la sclérose est primitive ou secondaire et pour M. Charcot
cas, la sclérose est primitive ou secondaire et pour M. Charcot la sclérose amyotrophique comprendrait ces deux variétés. S
tie intégrante de celui-ci. M. XLIX. DES TROUBLES oculaires dans la SCLÉROSE CÉRÉBRO- spinale (Ataxie); par M. DicKiNsoN, de
ilepsie accompagnée DE mouvements ET DE CONCEPTIONS IRRÉSISTIBLES : Sclérose D'UN hémisphère cérébelleux; par le Dr MESCHEDE
veau, troubles à la convexité. Adhérence du lobe postérieur droit. Sclérose et atrophie de l'hémisphère droit du cervelet. Co
L'autopsie, pratiquée 34 heures après la mort, fit découvrir une sclérose des plus nettes de l'hémisphère cérébelleux droit
es cornes antérieures ; la lésion est alors identique à celle de la sclérose latérale bibliographie. 499 amyotrophique. Ce
ju"' i, - ' z spéciales, I en,Lquelquesoxteapathonomoniques de la sclérose fasciculée des .cordons postérieurs, et que l'on
pour l'auteur, surtout à l'atrophie musculaire progressive et à la sclérose latérale amyotrophique. On constate en' même te
anato- miques (productions gommeuses dans les organes internes et sclérose des cordons postérieurs) doit, au sens de M. W...
t constamment présenté le caractère diffus qui leur est propre, les scléroses , par exemple, des zones radiculaires.ne s'y éta
ntement avec le courant sanguin artériel ». , ' ... , ' C'est une sclérose véritable, analogue en tous points à. la REVUE
de Klebs); elles seraient l'expression d'une dernière phase dont la sclérose corticale serait le premier terme. A raison de
'on découvre alors ne constitueraient, pour le docteurH ? '.7 ni la sclérose multiloculaire en foyer de M. Charcot, ni la sclé
H ? '.7 ni la sclérose multiloculaire en foyer de M. Charcot, ni la sclérose cervicale, les cordons de Goll étaient seuls ma
mode de répartition de la substance grise ou blanche : telle cette sclérose latérale amyotrophique accompagnée d'affection
euses, les rapports étiologiques des anomalies médullaires avec les scléroses systématiques (Schiff). P. K. XXII. SUR L'EMBOL
moelle. On y lira avec intérêt de nouvelles observations : I. De sclérose latérale amyotrophique (affection combinée des
t. Dans un de ces der- niers cas, l'autopsie a montré récemment une sclérose très prononcée des cordons postérieurs. Mais ce
; 31, sept fois, et 6, huit fois. , C. T. LI. DES rapports DE la sclérose multiloculaire DU SYSTÈME nerveux central avec
ns qui présenta successi- vement les manifestations cliniques de la sclérose cérébrospi- nale -.tremblements, convulsions, p
céphalie interne, accompagnée de prolifération épendy- maire, de la sclérose diffuse du cerveau, des foyers disséminés de sc
maire, de la sclérose diffuse du cerveau, des foyers disséminés de sclérose médullaire. PourM. S., l'aspect des lésions dans
Bitot, 524. Ccnelet (atrophie du), par Seppilli, 313. Cervelet ( sclérose du), dans un cas d'épilepsie, par Meschede, 471
chael Léon, 441. Délire religieux et (épilepsie, dans un cas de sclérose cérébelleuse, par Meschede, 471. Délires (coe
, par Chambard,326. Paralysie générale {rapports de la), et de la sclérose multiloculaire, par Fr. Schultze, 607. Paraly
273. Sciatique ( névralgie, syphilitique du ? par Taylor, 303. Sclérose cérébro-spinale (troubles oculaires dans la), p
par Debove et Boudet de Paris, 191. Troubles oculaires dans la sclérose cérébro-spinale, par Dickinson, 461. Troubl
prise au niveau\d'une racine antérieure celui- cale dans un cas de sclérose latérale amyotrophique. (Macération prolon- gée
ré. L, ventricule latéral. C s, corps strié. N, N, N, foyers de sclérose tubéreuse. 672 EXPLICATION DES PLANCHES. PLAN
PLANCHE VI Face convexe de l'hémisphère gauche , N, N, Ilots de sclérose . P c, ilot occupant le pli courbe. R, sillon
LANCHE VII Face interne de l'hémisphère gauche. N, N, N, îlots de sclérose . L q, lobe carré. Lp, lobe paracentral. C s
32 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
ébraux. 1 112 Inégalité DE poids des hémisphères cérébraux. IX. Sclérose en plaques ayant débuté dans l'enfance; Imbécil
trc, chez les enfants du service, de 1879 à 1899, que quatre cas de sclérose en plaques. Nous publions aujourd'hui l'un d'eu
ux. Le malade mangeait peu. Il s'est éteint le 3 juin 1879. » 116 Sclérose en plaques disséminées. la poitrine » avec hémo
en aurait été ainsi pour Lucien (voir la note ci-dessus) ? J; 11' Sclérose en plaques disséminées. 1 petit déjeuner. Il po
a marche a tou- jours été défectucuse ; il tombe fréquemment. 120 SCLÉROSE EN plaques disséminées. A l'école, il se montra
e de boire, ce tremblement offre tous les caractères de celui de la sclérose en plaques. - Revacciné sans résultat. - ler
l Son congé a été de 3 mois; il aurait eu une douzaine d'accès. 124 Sclérose en plaques disséminées. semestre d, l'aînée. B.
ntécédents héréditaires ET personnels. 131 Tableau des Accès, 132 SCLÉROSE EN plaques disséminées. elle n'était plus norma
n faveur de l'existence de lésions méningitiques com- pliquant la sclérose en plaques disséminées. En tout cas, ces lésion
il se manifeste avec les carac- tères spéciaux au tremblement de la sclérose en plaques. Les oscillations s'accentuent à mes
rac- tères particuliers, vient à l'appui de notre diagnostic. 134 SCLÉROSE EN plaques DISSÉMINÉES. L'état parétique, car i
les accès epep/brmes confirment aussi la réalité, chez B..., de la sclérose en plaques. A en juger d'après nos cas personne
de la sclérose en plaques. A en juger d'après nos cas personnels la sclérose en plaques, qui débute dans l'enfance, aurait u
i débute dans l'enfance, aurait une marche bien plus lente que la sclérose en plaques de l'âge adulte et se complique- rai
e l'aspect signalé par M. Charcot dans ses admirables leçons sur la sclérose en plaques : Le 136 Physionomie. regard est v
M a f t- a"- n j 3 ci 7y M w Fig. 5. 138 SCLÉROSE EN plaques disséminées. IX. La prédomi- nance
intellectuel et a enrayé dans une certaine mesure la marche de la sclérose en plaques. Cette maladie a offert une aggra- v
iotie symptomatique de lésions destructives du lobule de l'Insula ; sclérose atrophique du lobe temporal ; Par ttOUR\EV<L
.Q ; extrémité du lobe occipital, pied de FA, F3). Par suite cle la sclérose atrophique très accusée des cir- convolutions q
rien à signaler. Sur la face inférieure nous avons iL noter : 1° La sclérose atrophique du gurus reclus qui se présente sous
qui a 182 IDIOTIE complète symptomatique. eu pour conséquence la sclérose atrophique de la plupart des circonvolutions en
'examen histologique. XIV. Idiotie et épilepsie symptomatiques de sclérose tubéreuse ou hypertrophique ; - PAR BOURNEVIL
ndu de 1898 (p. 198) nous avons fait suivre la relation d'un cas de Sclérose tubéreuse du tableau récapitulatif de tous ceux
e et après le décès. AUTOPSIE.- Tuberculose pulmonaire. - ! lots de sclérose tubé- reuse des deu.v hémisphères cérébraux; pe
is. Le sommeil est très agité, court, l'enfant ne dort qu'une 188 Sclérose tubéreuse. petite partie de la nuit. Quand il s
ès (5 mai) elle était de 38°,5 et a eu enfin la marche suivante : Sclérose tubéreuse. 189 tale est dépourvue de cheveux, c
nvolutions frontales sont remplacées par quatre volumineux Ilots de sclérose tubé- reuse. La partie moyenne de Fi est égalem
). Face interne (PL, VI). - Notons un îlot sur l' à deux cen- 190 Sclérose tubéreuse ou 111-PI : ItTH01'IIIyU. timètres de
rendre compte d'une façon très nette de la répartition des îlots de sclérose , de la forme des circonvolutions et un peu des
de nombreuses petites tumeurs blanches, ressemblant à des îlots de sclérose ( ? ). - Le rein gauche est le siège des mêmes
ont pâles et comme lavés. Tableau du Poids et de la Taille. 192 Sclérose tubéreuse ou hypertrophique. Mesures de la tête
ysie des membres, compliquée ultérieurement de contrac- 1 nre. La sclérose tubéreuse existait-elle à la naissance ou a-t-e
liniques qui permettent de distinguer l'idiotie symptomatique de la sclérose tubéreuse. Certains symptômes : grincements de
sans doute dus à l'existence Bourneville, Bicêtre, 1899. 13 .191 Sclérose tubéreuse ou hypertrophique. des lésions rnérân
de vue de l'anatomie pathologique, de la distribution des ilots de sclérose , cle leurs carac- tères, les renseignements don
rés. Thèse de Paris. 1888. THIRAL. - Contribution à l'étude de la sclérose tubéreuse ou hypertrophique du cerveau. Thèse d
yer ocreux. Les chiffres 1, 2, 3, 4, 5, etc. indiquent les îlots de sclérose tubéreuse. Les autres lettres ont la même sig
la Planche IL Les chiffres 2, 3, t, etc.. indiquent les îlots de sclérose tubéreuse. n r z 1 00 ce f 7' (
33 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ente une atropine nota- ble des faisceaux de fibres nerveuses, avec sclérose bien moins considérable que le tronc de ce nerf
paraison avec ceux du côté droit : il s'agit d'atrophie simple sans sclérose . 5° Le bulbe ne présente d'autre altération que
son affection mentale et de son intoxication. RECUEIL DE FAITS Sclérose atrophique hémisphérique. Imbécillité; hémiplég
lèverons les particularités cliniques et anato- mo-pathologiques. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 19 SOMMAIRE. - Père,
he. Nodosités crétacées de la pie-mère cérébrale et cérébelleuse. - Sclérose atrophique 1 de tout l'hémisphère cérébral gauc
ns (mère plus âgée). Un seul enfant . Température à l'entrée. ' sclérose ATROPHIQUE hémisphérique. 21 chloroforme. Durée
égion. Sa tête, de forme normale, est asymétrique, le côté droit, SCLÉROSE ATROPHIQUE hémisphérique. 23 front et occiput,
, mais lentement. - Elle commence à lire et à écrire ; elle écrit SCLÉROSE ATROPHIQUE hémisphérique. 25 de la main gauche;
do vue de la clause, son état est stationnaire : elle conserve le sclérose ATROPHIQUE hémisphérique. 27 peu qu'elle a acqu
uelques poils à l'anus et au . Tableau des accès el des vertiges. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 2U périnée. Règles pe
ousse maintenant beaucoup et se plaint de la tête; elle dort peu. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 31 Les signes d'auscu
- La marche de la température après la mort a été la suivante : . SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉ.MISPHlÎRrQUE. 33 A13DOIEN. - Le f
1 cent., une petite concrétion qui n'existe pas de l'autre côté. Sclérose atrophique de l'hémisphère gauche, généralisée.
x de différence appréciable, bien que l'enfant soit hémiplégique. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 35 Poids des organes
cillations s'accentuant vers la perle de ces notions. Ce cas con- SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 37 firme ce que nous
0 gr. de moins que le droit. Cette inégalité de poids est due à une sclérose atrophique généralisée de l'hémisphère gauche :
, en somme, d'une épilepsie partielle forme hémiplégique, due à une sclérose al1'01,111- que et il une méningite chroniq ue
ché- ance, avoir été liée aux lésions do méningite plutôt qu'à la sclérose cérébrale. La sclérose atrophique avait détermi
liée aux lésions do méningite plutôt qu'à la sclérose cérébrale. La sclérose atrophique avait déterminé une inégalité de poi
e inéga- lité. (Voir Compte-rendu de Bicêtre pour 1902 et 1903)'. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE.- 39 VII. Dans les cas
u encore,'et c'est ici le cas, quand, il une lésion en foyer ou une sclérose al/'Ophique, s'ajoute une méningite chronique.
a main et du bras. P. KERAVAL. V. Contribution à l'histologie de la sclérose en plaques (nouveaux procédés), par 31. UIELSCH
TttaEaLt3ea. Les fibres nerveuses amyé- liniques dans les foyers de sclérose en plaques, par 31. litNL5CIi0\'SKY.-Contributi
es et des cellules ner- veuses, qu'un serait tenté de considérer la sclérose en plaques comme une lésion primitive de ces ma
des vaisseaux, et l'ex- trême ressemblance des foyers récents de la sclérose eu plaques avec cure de la myélite aiguë issemi
utieuses, (l¡¡'i existe des fibres régénérées dans les foyers de la sclérose en plaques mais « je doute fort qu'elles aient au
11 est, en tout cas, de plus en plus convaincu que dans la vraie sclérose en plaques, il y a lésion de la substance blanche
A\'AL. VII. Nouvelle contribution â l'anatomie-pathologique de la sclérose latérale amyotrophique ; parA. -\ . S\Rt;0. (Nel/
es physiques de paral;siegenerale,al'autopsieduquel on trouva une sclérose du foie, des reins, de la rate, etc.,et un volumi
anormales qui a provoqué les lésions vasculaires ayant abouti à la sclérose et à la gangrène. G. D. L\. Contribution à l'in
érébrale et doit s'expliquer par une altération de la perception. Sclérose en plaques juvénile. 3131. Dupré et P. Garnier
troubles de l'équilibre, ,011liol1lH'1 statique, Au syndrome de la sclérose en plaques, s'a- joutent des troubles hysléro-n
iples : telles sont les par- licularilus intéressantes de ce cas de sclérose eu plaques. Poliomyélite curable chez un gymnas
ralytique qu'après que son mari eut déjà manifesté des symptômes de sclérose médullaire, mais sans trou- bles mentaux. En co
tionnel. On a signalé encore la papile étranglée hilaLéraledansla sclérose en plaques, la jxiehyiiiéningite, quelques maladi
lGl., 1\lll, 190f.) Il s'agit d'une ouvrière de 18 ans, atteinte de sclérose en pla- ques qui, dans la fosse sus-claviculair
l'anomalie osseuse et l'affection nerveuse. Il se peut aussi que la sclérose en plaques soit ! ! l'efl'('e sur un terrain à
i par la malade à l'âge de 8 ans (chute d'un escalier de cave '1 La sclérose en plaques ne débute, il esl vrai, (pie cinq ans
niques du système nerveux : paralysie générale, tabès, épilopsic, sclérose en plaques ; le liquide paraît normal, la pressio
tabès et la paralysie générale, fréquence des éosinophiles dans la sclérose en plaques el la syphilis cérébrale ; 7° hydroc
ion veineuse. Lesmouvemenlschoréïques dus vraisembla- blement à une sclérose cérébrale légère ont entretenu des con- tractio
rps. Dans la pathologie générale des tissus. l'inflammation et la sclérose se font normalement suite, la seconde succé- da
tion constitue une première étape et le processus rési- duel,de la sclérose en représente une autre ; mais. en matière de c
sive, clans cet effondrement il longue échéance du tissu normal, la sclérose vient apporter sou cuvre de reconstitution path
t au processus dont dépendent les stéréotypies primitives ce que la sclérose est il l'in- flammation, c'est-à-dire que ce pr
iagnostic différentiel entrel'ataxie cérébelleuse héréditaire et la sclérose en plaques ; par FouoLlco.(liiv. crit. di clini
ns le bulbe le prolongement delà colonne de Clarke. L. W. XXXIII. Scléroses en plaques familiales. Contribution à la pathog
e appelée diplégic familiale ou paraplégie spas- tique familiale ou sclérose en plaques familiale. L'auteur l'a observée che
plusieurs lares qui se lient il des troubles de développement. t. Sclérose en plaques elle : un enfant de f« ! x. M. Arman
réflexes tendineux, clonus du pied et nystagmus. Il s'agirait d'une sclérose en plaques à forme spinale. Cette affection ne
ibres radiculaires courtes. R. C. LXXY11. Anatomie pathologique des scléroses combinées tabétiques ; par Caouzov.(1\ouu.Icono
dans un cas de pa- ralysie faciale grave avec 1) Il, dans un cas de sclérose en plaques avec paraplégie et dans un cas de né
gie spasti- que familiale pure et à la maladie familiale à forme de sclérose en plaques, types isolés artificiellement entre
it, au coma, puis se termina par une abondante décharge urinaire. Sclérose latérale amyolrophique. .'1.\1. Baymond et (I :
les. Escarre sacrée.. M. Boy rapporte le cas d'une lahéliquc avec sclérose combinée, non alitée chez qui se développa spon
tRISSAUi M. le Président prononce l'éloge funèbre de M. Parinvud. Sclérose en plaques, M. Claude présente un malade de : :
y)t)'c;te/ty)7Mtnxc, ou, selon l'avis de M. Déjerine, une plaque de sclérose unique, n'ayant provoqué aucune dégénérescence ni
iagnostic dill'érentiel enlre 1' cérébel- leuse heréditaire et la sclérose en plaques, par Rodolico, 239. ATHÉIIO)lATEUX
tren, 23-1. Voir Tumeurs. DÉLIRE. Voir Epilepsie. Démence. Voir Sclérose . Fré- ' quence et étiologie de la précoce, pa
forme origi- nale de , par Bechterew,390. Fibres nerveuses. Voir Sclérose . Des d'association de la couche finement gren
n de arséni- cale, par Kron, 312. Paraplégie, spasmodique. Voir Sclérose . Voir Tétanos. Parésie spasmodique. Voir Trou-
eux. Sciatique. "Le signe du salut dans la , par Bloc ! ), 1G4. Sclérose atrophique hémisphé- rique, Imbécillité, hémipl
34 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
, absence du corps calleux, etc.) ; 5° Idiotie sympto- matique de sclérose hypertrophique ou tubéreuse ; 6° Idiotie sympto
sclérose hypertrophique ou tubéreuse ; 6° Idiotie symptomatique de sclérose atl'ophique : a) Sclérose d'un hémisphère ou de
tubéreuse ; 6° Idiotie symptomatique de sclérose atl'ophique : a) Sclérose d'un hémisphère ou des deux hémisphères ; b) Sc
phique : a) Sclérose d'un hémisphère ou des deux hémisphères ; b) Sclérose d'un lobe du cerveau ; c) Sclérose des cir- con
ère ou des deux hémisphères ; b) Sclérose d'un lobe du cerveau ; c) Sclérose des cir- convolutions isolées ; d) Sclérose cha
un lobe du cerveau ; c) Sclérose des cir- convolutions isolées ; d) Sclérose chagrinée du cer- veau ( ? ) ; 7° Idiotie sympt
ontrent par exemple dans l'idiotie sympto- matique de méningite, de sclérose ou d'un arrêt de dé- veloppement congénital du
circonvolu- tions. Et parmi celles-ci nous laisserons de côté les scléroses lobaires, les scléroses tubéreuses, étudiées da
parmi celles-ci nous laisserons de côté les scléroses lobaires, les scléroses tubéreuses, étudiées dans ces derniers temps pa
d'ailleurs fréquente. Enfin nous l'ap- porterons une observation de sclérose -CI petits foyers miliaires, chez un épileptiqu
rise que nous étudions et les états plus marqués de kystes, et de sclérose lobaires, de porencéphalies que l'on voit égale
de l'hémis- phère et se composent toujours des deux mêmes éléments, sclérose interstitielle et lésions des cellules pyramida
ance blanche. La moelle cervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclérose de la substance blanche, les cornes prises sont
musculaires, qui, sous les coupes transverses, sont serrés et sans sclérose interstitielle. On note seulement une dillérence
lle atrophie n'était point la 136 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. grande sclérose lobaire, c'était une atrophie partielle et que l'
un certain point, regarder comme une forme de transition entre les scléroses à grand foyer et les écroulements de la substan
es trois faits auxquels nous venons de faire allusion, une bande de sclérose fournie par du tissu conjonctif rubané, émané d
ifférentes interpellations. On sait que Batty Tuko ayant décrit une sclérose miliaire de l'écorce chez les épileptiques, à l
ombre d'autopsies ; on lui objecta, Plaxton entre autres, que cette sclérose miliaire n'était qu'une apparence due à l'action
ger embarras de la parole, et de la débilité mentale. A l'autopsie, sclérose cérébrale (les détails de l'obser- vation ont é
. Ces fibrilles conjonctives forment un véritable tissu fibroïde de sclérose qui tranche vivement par son aspect sur le tiss
peut leur distinguer trois étapes : 10 prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses ; 3° formati
'enfance ? Ce sont deux questions que nous ne pouvons trancher. Les scléroses lobaires que nous avons pu examiner à Bicêtre e
alté- rations névrogliques, la formation de véritables bandes cle sclérose , pour qu'il ne puisse y avoir aucune erreur sur
Allas, livre XX, pi. lIt, livraison v°. Isambert et Robin. - Cas de sclérose du cerveau dans l'idiotie. - Soc. biologie, 18o
48 ENCÉPHALITES CHRONIQUES : BIBLIOGRAPHIE. Jendrassick et Marie. - Sclérose infantile, Arch. Physiologie, p. 53, 1885. Ri
clérose infantile, Arch. Physiologie, p. 53, 1885. Richardière. - Sclérose de l'encéphale chez les enfants. Thèse Paris, 1
rose de l'encéphale chez les enfants. Thèse Paris, 1885. - Marie. Sclérose infantile. Progrès médical, 1885. Obersteiner.
s nerveuses, Thèse agrég., 1886. Adamkiewicz. - Histogenèse de la sclérose . - 59° congrès natu- raliste des médecins allem
35 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ocalisation des lésions des cordons postérieurs simule par- fois la sclérose ataxique. La ressemblance peut être telle que l
es intactes, mais qui manquent de cohésion, marque évi- dente d'une sclérose commençante. Ces zones correspondent : en arriè
blent légère- ment espacees, ce qui semblerait indiquer un début de sclérose interstitielle. Cependant l'ensemble du cordon
rsale inférieure et moyenne, donnent franchement l'illu- sion d'une sclérose systématisée des cordons postérieurs. Cependant
t sur certaines coupes (6 et 7), moins évident sur d'autres, que la sclérose est diffuse et irrégulière. D'une façon général
ruence si l'on veut, des lésions observées. Poursuivant en effet la sclérose de bas en haut, il serait à la rigueur pos- sib
y a pas lieu de discuter ici la comparaison puisque nous suivons la sclérose depuis la moelle sacrée. A vrai dire, on ne sau
toute la hauteur de la moelle, du faisceau de Goll en entier et la sclérose des champs atteints qui occupent, au moins en p
des bandelettes externes s'est trouvé plus ou moins étouffé par la sclérose envahissante. Peut-être ne faut-il pas a Pl'i01'i
lieu peut-être qu'à des troubles intellectuels. A. Fenayrou. VI. Sclérose diffuse PSEUDO-SYSTÉU.1TIQUE DE la moelle ÉPINIÈR
ogénie, Après avoir pu formuler d'une laçon ferme le diagnos- tic : sclérose difiruse pseudo-systématique de la moelle épinièr
'gique. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4'5 VU. Un cas DE sclérose latérale A31TOTROPHIQUE A DÉBUT BULBAIRE CHEZ U
y a donc lieu de subordonner la paralysie glosao-labio-laryngée la sclérose laté- rale amyotrophique. R.. VIII. UN cas DE
ion de la glande pituitaire, lepto-meningo- myélite chronique, avec sclérose diffuse annulaire et dégénération partielle des
un degré plus accusé encore, la lésion dégénérative a abouti à une sclérose intense. Nous l'avons vue remplacer presque tou
bétiques. Plus loin, nous dirons un mot des rapports de ce tissu de sclérose avec les organes de soutien, la névro- glie et
es et atrophiées. Pour en finir avec la substance grise, notons une sclérose active autour de la corne postérieure, au point
nétrant dans les fais- ceaux blancs, serait capable de produire une sclérose intra- fasciculaire et, conséquemment, une dest
ibres nerveuses. On ne saisit pas très bien pour quelle raison la sclérose névroglique se limiterait aux faisceaux latéraux
rie, la moelle des paralytiques semble envi- ronnée par du tissu de sclérose et comme comprimée entre deux cercles concentri
ogues. Les lésions de la substance blanche se retrouvent dans les scléroses combinées, dans la maladie de Friedreich, dans le
ar A. Hoche. (Neurolog. Cent1'albl" XVI, 1897.) Etude d'un cas de sclérose latérale amyotrophique combinée à une paralysie
me individu celle-ci succède à celui-là. » R. C. XXXVIII. UN cas DE SCLÉROSE EN plaques cérébro-spinale CONSÉ- CUTIVE A L'IN
e et pathogé- nique tendant à établir qu'il s'agit bien d'un cas de sclérose en plaques développé chez un héréditaire névrop
USE. doit chercher à provoquer dans la glande un certain degré de sclérose fibreuse par des injections interstitielles d'iod
de la jambe 132 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. gauche. C'est une sclérose musculaire, une rétraction des tendons et de l'
s altération de la peau, tandis que la jambe gauche est affectée de sclérose musculaire avec rétraction de quelques tendons
lésion du système nerveux central. L'auteur fait remarquer que la sclérose des muscles présente la même tendance à la rétr
même tendance à la rétraction cicatricielle et à l'atrophie. Cette sclérose qui de la peau s'enfonce dans la profondeur, gagn
, alors que, depuis plusieurs mois déjà, s'était dévelop- pée de la sclérose avec contracture des fléchisseurs et de l'aponé-
ses. Dans le cas de Schulz caractérisé par de la sclérodermie, avec sclérose et atrophie musculaire, par places, indépendant
ement ; néanmoins le tableau clinique simu- lait si complètement la sclérose en plaques que jusqu'à l'au- topsie nul doute n
d'origine infectieuse, occupant une hauteur de 4 centimètres. Cette sclérose équivalait à unevéritable section de la moelle, a
arcot. 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 existe, du reste, une forme de sclérose primitive symétrique des tractus pyramidaux dan
ymétrique des tractus pyramidaux dans leur ensemble. Cette forme de sclérose cérébro-spinale est surtout connue des aliénist
e, elle réalise merveilleusement le type si longtemps cherché de la sclérose pri- mitive des cordons latéraux sans atrophie
ileptoïde. La lésion, comme je l'ai dit, est carac- térisée par une sclérose systématique de tout le tractus moteur, les cel
nettement la parenté entre cette forme de paralysie générale et la sclérose latérale amyotrophique. Pendant longtemps, celte
les fibres pyramidales de la couronne rayonnante sont atteintes de sclérose , et peu de temps après, MM.Char. cot et Marie r
ésions indubitables des cellules motrices de l'écorce. Dès lors, la sclérose latérale amyo- trophique devenait une maladie s
ruire peu à peu les cellules des cornes antérieures et réaliser une sclérose latérale amyotrophique chez un paralytique géné
La conséquence sera l'élaboration bien plus appa- rente du tissu de sclérose . Mais la encore nous ne retrouvons pas à côté d
s dorsaux spasmodiques), des deux neurones moteurs simultanément ( sclérose latérale amyotrophique), on ne voit pas que les l
es, même peu avancées, sans altération des cellules nerveuses. La sclérose en plaques parait bien plutôt liée à un processus
ique complet, présente un intérêt tout particulier : il y avait une sclérose des cordons postérieurs de la moelle, avec prédom
t cl'llpnologie, 1898, n° 5.) On sait que pour quelques auteurs, la sclérose latérale amyotro- 'phique, au lieu de constitue
d'atrophie muscu- .laire progressive. NI S'appuyant sur un cas de sclérose latérale amyotrophique dont ils donnent la rela
ucoup plus grande de l'évolution caractérisent assez nette- ment la sclérose latérale amyotrophique pour lui faire une place
Quatre observations d'épilepsie tardive que l'auteur rapporte à la sclérose artérielle des centres nerveux et à la dégénéresc
s qu'elle fait naître dans le système nerveux central par athérome, sclérose , etc., mais, aussi, avant même que ces lésions
A1'autopsie on constate : urocystite gangreneuse etpyélo-néphrite. Sclérose des cordons postérieurs de la moelle dans toute s
pui de l'opinion qui place cette alfection sous la dépendance d'une sclérose systé- matisée combinée de la moelle. L'auteur
rie de cas appartenant nettement à une entité morbide spéciale : la sclérose latérale amyotrophiquer Depuis lors, ce trava
ie POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 437 simple et très rarement la sclérose de ces cellules. Dans toute l'étendue d'un de c
peut présenter, depuis la poussée in- flammatoire aiguë jusqu'à la sclérose secondaire bien carac- térisée, en passant- par
t quelquefois des années pour cela. La cicatri- sation du foyer, la sclérose , survient toujours, mais avec la même lenteur q
encéphalite chronique, ou ce qu'on appelle plus communé- ment de la sclérose cérébrale. Mais ici il s'agit de la sclérose cé
us communé- ment de la sclérose cérébrale. Mais ici il s'agit de la sclérose cérébrale secondaire ayant succédé aux poussées
ue ces foyers occupent la plus large place entre tous, et, comme la sclérose de n'importe quel tissu amène sa rétraction, no
poussées d'encéphalite subaiguë paraissent avoir évolué comme de la sclérose cérébrale. Après ce qui vient d'être dit nous n
occipital puis celles du lobe pariétal inférieur qui déterminent la sclérose la plus intense des faisceaux de Burdach et de
cente de A. Bruce (Revue neurologique, 189G, n° 23), relative à une sclérose latérale amyotrophique, indi- que, entre autres
ns psychologi- ques du criminel, par Rodti- gues, 521. Diabète. Sclérose diffuse de la moelle avec polynévrite dans le-,
lanm, 142. SCu'RODJ : : R111E lardacée, par Spill- mann, f01. Sclérose latérale amyotrophique il début hnthaire, par B
36 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
s inflammatoire ou dégénératif. Dans les deux cas, nous avons de la sclérose et le traitement devra être dirigé dans le même
égénérescences secondaires, il y a également atrophie des fibres et sclérose consécutive. En se resserrant, le tissu conjonc
la- cement. 24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans la sclérose en plaques les résultats sontpeu satisfaisants pa
nt supérieurs à ceux obtenus dans les paralysies spasmodiques et la sclérose latérale amyotrophique. L'explication n'est pas d
une influence fâcheuse sur les phéno- mènes spasmodiques. Dans la sclérose latérale amyotrophique où on trouve des paralysie
nous supposons les symptômes morbi- des être la manifestation d'une sclérose , nous sommes autorisé à espérer de soulager le
ue et plus prononcée. Quand, au contraire, nous pouvons éliminer la sclérose de la pathogénie et rattacher les symptômes à u
i sépa- rent les troubles vocaux de l'athétose double de ceux de la sclérose en pla- ques et de la maladie de Friedreich.
e de la chorée chronique; elle se rap- proche plutôt de celle de la sclérose en plaques, « elle est lente, traînante, plus o
doubles et celle des individus atteint de la maladie de Freidreich, sclérose en plaque, paralysie générale, chorée chronique,
part à augmenter la déformation de cette région ». A l'autopsie, sclérose des cordons postérieurs de la moelle. Lésions int
s vulgaire, et nous n'avons par conséquent pas à en tenir compte. Sclérose en plaques. Les déviations vertébrales appartie
ns vertébrales appartiennent-elles parfois aux manifestations de la sclérose en plaques ? Nous trouvons dans la monographie de
emme chez laquelle débutent, à l'âge de 17 ans, les symptômes d'une sclérose en plaques. Celle- ci évolue suivant la forme c
e intercurrente. L'autopsie montre, conformément au diagnostic, une sclérose en plaques de la moelle, avec intégrité du cervea
qu'on doit examiner attentivement le rachis des sujets atteints de sclérose en plaques. Il est probable que l'attention une f
dix malades affectés de (1) Deutsche 71)i ? lR6, n. 14. (2) De la sclérose en plaques, etc. llil) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
e en plaques, etc. llil) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sclérose en plaques sans rencontrer ni scoliose, ni autre
. Nous n'avons pu nous procurer le travail de cet auteur. A part la sclérose en placlues, dans laquelle la scoliose paraît d'a
nt toutefois exception. Notons l'absence de toute déviation dans la sclérose latérale amyolrophi- que ; nous avons pu nous-m
scles de l'articulation; elle se rapproche plutôt à la parole de la sclérose en plaques, elle est lente; traînante, difficile
les chorées, les ma- ladies des tics, la maladie de Friedreich, la sclérose en plaque, paralysie agitante, etc., affections
et enfin la parole n'est pas altérée dans la paralysie agitante. Sclérose en plaques. L'athétose double se confondrai ! plu
L'athétose double se confondrai ! plus facile- ment encore avec la sclérose en plaques. Massalongo, Bourneville et Pil- lie
la ressemblance et les différences de l'athé- tose double et de la sclérose en plaques. Pourquoi une pareille confusion ser
ause du trouble de la parole et du tremblement qui caractérisent la sclérose en plaques. Les troubles de la parole ont en ef
double, mais les différences sont assez nettes. Tandis que dans la sclérose en plaques, elle est scandée, traînante, au contr
les lèvres et les autres muscles de la face. Les tremblements de la sclérose en plaques, à l'inverse des mouvements athétosi
e en état du repos. La paraplégie spasmodique, si fréquente dans la sclérose en plaques, est exceptionnelle dans l'athétose
les aliénés, et spéciale- ment chez les paralytiques généraux, des scléroses médullaires systémati- sées ou d'autres altérat
l'affection pleurale. Si cette 'relation existait, si un travail de sclérose pleuro-pulmonaire avait arqué peu à peu le rachis
Suite '). Les réflexes tendineux et rotuliens très exagérés dans la sclérose , le.sont rarement chez nos malades. Les contrac
actures et la marche spasmodique sont communs aux deux maladies. La sclérose en plaques, bien qu'on puisse l'observer dans l
ernatives de rémission et d'ag- gravation caractéristiques clans la sclérose en plaques. Ataxie héréditaire ou maladie de Fr
muscles. Quant à la parole, elle est surtout scandée, comme dans la sclérose en plaques, mais non spasmodique comme dans l'a
poque qu'apparaissent généralement nombre d'affections cérébrales : scléroses , pachyméningites, méningo-encéphalites, polienc
ières années, à ces maladies infectieuses, dans l'établissement des scléroses cérébrales et de bon nombre d'altérations encépha
re pense que l'athétose double est l'expression symptomatique de la sclérose cérébrale. Massalongo croit à des altérations sem
t de la névroglie sans localisation spé- ciale, très léger degré de sclérose diffuse avec une certaine prédominence au nivea
r les ventricules latéraux, on ne trouve trace ni sur la moelle, de sclérose . ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 303 Pa
1 mai 1891. Neur. Centr., 15 juin 1891). Richardière. Étude sur les scléroses encépha- liques primitives de l'enfance (Thèse
nt hystérique et s'exagérant par l'acte intentionnel, comme dans la sclérose en plaques. Les deux graphiques ci-joints (fig.
rique, d'apparence intention- nelle, qui imite le tremblement de la sclérose en plaques et le tremblement mercuriel, qui, lu
perai ici. D'après M. Charcot, la contracture tardive et due à la sclérose descen- dante du faisceau pyramidal, et je reco
onner me font penser que la contracture tardive ne dépend pas de la sclérose descendante du faisceau pyramidal qui est tout
ccord av ec notre théo- rie : une névrose peut varier tandis que la sclérose du faisceau pyrami- dal est toujours la môme. O
e force musculaire très considérable nullement expli- cables par la sclérose latérale qui est une dégénéralion. Il est par exe
égion claviculaire est encore plus efficace que dans la myélite. La sclérose des cordons latéraux qui, comme on le suppose,
37 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
. - Vc, ven- tricule. - (La partie blanche indique le siège de la sclérose .) 4 JOUKOWSKY couche de la substance nerveuse
e cette lésion, ainsi que dans le reste de cette couche, on voit la sclérose des libres. Cette sclérose se continue sur la p
s le reste de cette couche, on voit la sclérose des libres. Cette sclérose se continue sur la partie inférieure de la capsul
ale. Th, couche optique. (La partie en blanc indique le siège de la sclérose .) ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'HÉMIANOPSIE D'ORIG
interne de la corne posté- rieure. Cette lésion était suivie de la sclérose des fibres des radiations de Gratiolet, de la s
suivie de la sclérose des fibres des radiations de Gratiolet, de la sclérose de la partie inférieure de la capsule interne rét
aire et de la partie inféro-postérieure des couches optiques. Cette sclérose ne présentait pas la dégénérescence secondaire pr
ganglions centraux, on voit près du foyer de ra- mollissement la sclérose des fibres des radiations de Gratiolet et de ce
let et de celles du faisceau longitudinal inférieur, ainsi que la sclérose du pulvinar des couches optiques. En outre, on
dans cette région la rareiaction des fibres à myéline et une légère sclérose . Dans ce second cas, ainsi que nous l'avons vu,
JOUKOWSKY partie inféro-externe. Cette lésion était accompagnée de sclérose des fibres de la couche sagittale, du pulvinar
ibres du bourrelet du corps calleux et du faisceau de Gratiolet. La sclérose de ce dernier, ainsi que nous l'avons dit plus ha
utre de ces théories on admet d'ailleurs que les lésions ultimes de sclérose ne sont que le résultat de l'organisation des l
on sait que dans ces dernières le tissu normal cède la place à une sclérose névroglique, qui est un tissu de remplacement d
ou fonctionnelles, névrites périphériques, hémiplégie à début lent, sclérose en plaque. Mais dans tous ces cas on peut se conv
syphilitique et qu'ainsi ils s'atrophient lentement pendant que la sclérose envahit les éléments adja- cents. Avant d'all
01. xiv 13 174 DUPRÉ ET DEVAUX giomateuses, sans calcification. Sclérose névroglique intense des nerfs optiques ; lésion
névroglique. L'examen des nerfs optiques a montré l'existence d'une sclérose névroglique intense, proliférante, étouffant le
tération profonde et diffuse des deux tractus, caractérisée par une sclérose névroglique intense étouffant les fibres nerveuse
ainsi que le démontre la figure de la planche IL L'aspect de cette sclérose névro- glique rappelle de près l'apparence des
cie et il existe autour d'eux un manchon leucocytique épais. Légère sclérose névroglique. Observation de M. Touche, Société
ur à la Salpê- trière en 1888, où on élimine successivement ataxie, sclérose en plaques, maladie de Friedreich ; entré à Laë
ni spasmodique, ni empâtée comme 376 SWITALSKI on le voit dans la sclérose en plaques ou dans la maladie de Friedreich. Le
378 SWITALSKI rieurs. Dans les cordons antéro-latéraux on voit une sclérose du faisceau céré- belleux direct et du faisceau
érose du faisceau céré- belleux direct et du faisceau de Gowers. La sclérose est plus marquée dans le faisceau de Flechsig q
echsig que dans celui de Gowers. Région dorsale moyenne. La zone de sclérose du cordon postérieur est plus petite, mais la d
les cordons pos- térieurs,les faisceaux de Goll sont le siège d'une sclérose . Dans les parties pos- térieures des cordons an
-latéraux à la périphérie de la moelle il existe une bande mince de sclérose très nette laquelle conflue en avant avec la sclé
bande mince de sclérose très nette laquelle conflue en avant avec la sclérose du faisceau cérébelleux direct. Le faisceau de
rébelleux direct. Le faisceau de Gowers est toujours le siège d'une sclérose comme le reste du faisceau antéro-Iatéral jusque
Turck (Fig. 2). Dans les régions cervicales supérieures la zone de sclérose occupe dans les cordons postérieurs seulement l
elle et devient de plus en plus mince vers le centre. Cette zone de sclérose a la forme d'un cône. Les faisceaux céré- belle
du cordon antéro-Iatéral, comme nous l'avons signalé plus haut. La sclérose des faisceaux indiqués n'est pas complète, toutes
nes. Le tissu conjonctif dans les faisceaux sclérosés est épais. La sclérose la plus prononcée est celle du faisceau cérébel
t dimi- nué ; on trouve seulement par ci par là une cellule. * La sclérose du faisceau cérébelleux direct se laisse poursuiv
haut. Dans les cas de Fraser, Nonne el Miura on ne constate pas de sclérose dans la moelle tandis que Menzel et nous, nous
pyramidal croisé soit atteint. Au point de vue de l'intensité de la sclérose , les deux cas sont conformes. Ni dans le cas de
ux cas sont conformes. Ni dans le cas de Menzel ni dans le noire la sclérose des faisceaux indiqués n'est complète puisqu'on
us l'avons vu. De ces deux cas se rapproche celui de Miura : pas de sclérose de la moelle, atrophie du cervelet et atrophie du
e la place du fais- ceau pyramidal. Aucune zone amyélinique, aucune sclérose n'indiquent la po- sition qu'il occupe normalem
capsule de Glisson, d'où par endroits se détachaient des bandes de sclérose enfoncées dans le tissu glandulaire. Légère pro
a- tivement mince. Le corps thyroïde, par contre, nous montre une sclérose intense de tout l'or- gane. Sa capsule, très ép
rmément sur chacune des préparations, les si- gnes manifestes d'une sclérose très avancée. La membrane conjonctive d'enve- l
e de tissu conjonctif creusée de petits lacs sanguins. Ces ilots de sclérose centrale sont réunis à la coque par des colonnes
et le volume normaux, les vaisseaux sont sains, il n'y a pas trace de sclérose névroglique. La moelle a été également durcie
es coupes présentent sur toute la hauteur des lésions manifestes de sclérose d'origine vasculaire. La pie-mère est épaissie
long des vaisseaux, et ceux-ci sont entourés d'une zone étoilée de sclérose , surtout dans la substance blanche. Nous n'avons
lles est rétrécie par la prolifération endothéliale, et une zone de sclérose périartérielle se continue avec la sclérose névro
héliale, et une zone de sclérose périartérielle se continue avec la sclérose névroglique. Mais les lésions s'arrêtent là, il
anche. Au carmin, on note çà et là quelques gaines étouffées par la sclérose sur le bord du cordon latéral et dans le cordon p
téro-interne de ce cordon latéral. Au carmin, on peut constater une sclérose plus marquée à ce point que dans les deux cordons
mincie. Ici, les artérioles sont très altérées, et il y a un peu de sclérose conjonctive. C'est à un degré peu avancé, ce que
'y avait qu'un peu d'épais- sissement du tissu de soutènement, sans sclérose véritable. Ils terminaient en réclamant de nouv
de Thibierge. D'autre part, L. Lévi, histologiquement, a trouvé une sclérose très accu- sée avec de grosses lésions vasculai
cas également, il semble y avoir simplement une coïn- cidence. La sclérose de la capsule surrénale est une lésion très rare
rique devait prédominer. Lefas (3) rapporte également deux cas de sclérose plus ou moins com- plète de la capsule. Il n'y
s trouvons dans le traité de Lancereaux (t. III, f. 792), un cas de sclérose des capsules chez une femme de 30 ans, observé
e presque tous les tissus de l'organisme, atteints plus ou moins de sclérose d'origine vasculaire. La névrite interstitielle
t un homme de 65 ans, mort à la suite d'une hémiplégie droite, avec sclérose médullaire descendante chez lequel, dans l'espa
L'augmentation de volume parait due surtout à l'épaississement avec sclérose du tissu conjonctif sous-cutané. Elle se distingu
38 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es vaisseaux qui émergent de la papille. Cette altération est de la sclérose par propagation des parois des vaisseaux de l'e
en'sifiée, et nous trouvons même de véri- tables petites plaques de sclérose évidemment constituées par la réunion d'un cert
timètre du chiasma, il est aisé de se rendre compte de la véritable sclérose qui frappe le nerf, les petits vaisseaux intrat
que moins riche en fibres nerveuses que normalement, étant donné la sclérose conjonctive et névroglique dont il est frappé,
névroglique, infiltration allant du degré le plus faible jusqu'à la sclérose . L'artère et la veine centrales pré- sentaient
eau, c'est ainsi que dans un cas que nous étudions actuellement, la sclérose périvasculaire extrêmement mar- quée dans le vo
ale; enfin sur une section transversale du nerf optique le tissu de sclérose apparaît sous forme d'îlots périvasculaires non
alytique c'est le réseau entier des capillaires qui est le siège de sclérose , celle-ci serait en somme insulaire dans le tab
totale des cellules nerveuses de la rétine et la production de la sclérose papillaire. BIBLIOGRAPHIE LASEGOE. - Thèse d'
e, la maladie de Friedreich, les affections cérébelleuses ( ? ), la sclérose en plaques ( ? ). 2° Mouvements des membres sup
nous avons conscience de n'être pas désarmés devant le danger de la sclérose radicu- culaire postérieure; nous savons que no
onstaté l'existence de ce symptôme révélé par M. Babinski sur trois scléroses en plaques et ne l'ont pas trouvé sur un malade
s trouvé sur un malade atteint d'un syndrome hystérique simulant la sclérose en plaques cérébello-spasmodiques, ils croient,
série tabétique que le signe d'Argyll-Robertson. Il n'existe pas de sclérose des cordons postérieurs; mais à la région dorsa
il présentait les prodromes à son arrivée à l'hôpital. Autopsie. Sclérose des os du crâne, intégrité de la dure- mère. Pi
ation due à une lésion du thymus. G. C. XXIII. Note sur un cas de sclérose cérébrale infantile d'origine hérédo-syphilitiq
ata, à la surface de l'hémisphère gauche, l'existence d'une zone de sclérose cérébrale. Au niveau d'une région répondant for
l'examen microscopique montrèrent en somme qu'il s'agis- sait d'une sclérose générale fort accentuée, accompagnée de la dégé
s le plus grand nombre des cas, l'origine hérédo-syphilitique des scléroses cérébrales dont la traduction clinique répond au
ssant la substance blanche sous les foyers de ramollissement. Cette sclérose névroglique est en rapport évident avec la prod
donc pas, comme M. Babinski l'a déjà avancé, pathognomoniques de la sclérose en plaques et ne se produisent dans cette malad
e produisent dans cette maladie qu'autant qu'il y a de plaques de sclérose sur le cervelet, la protubérance et l'écorce céré
atrophie simple et exceptionnellement d'atrophie dite pigmentaire ; sclérose des vaisseaux ; sclérose névroglique légère), c
ionnellement d'atrophie dite pigmentaire ; sclérose des vaisseaux ; sclérose névroglique légère), cette poliomyélite a évolu
en protoplasma, gonflées, et elles sont peu volumineuses. C'est une sclérose isomorphe, qui représente le degré le plus infé
uses, fouette la nutrition du cylindraxe et provoque sa réparation ( sclérose en plaques). La substance de soutènement, ou
de par la persistance de l'irritation atténuée, devenir chronique : sclérose en plaques consécutive à encéphalomyélite dissé
éfaction de la névroglie qui est énorme, ex : cer- taines formes de sclérose poly-insulaire ou diffuse, avec ou sans augment
on de volume. Le microscope permet d'en déterminer deux aspects, a. Sclérose en plaques : foyer composé d'un réseau fort ou
s la zone margi- nale, cellules étoilées de névroglie gonflées ; b. Sclérose diffuse. Particulière à l'enfance, elle porte s
uto-into- xication qu'à une action réflexe. M. H. XLIV. Un cas de sclérose en plaques à tremblement hémilatéral ; par Reml
; par Remlinger {Revue de Médecine 1899). Observation d'un cas de sclérose en plaques où le tremblement était limité aux m
iagnostic et d'attribuer ce tremblement à l'hystérie. M. il. XLV. Sclérose en plaques médullaires consécutive à une arthrite
n initiative de la moelle. L'autopsie montra qu'il s'agissait d'une sclérose en plaques. L'auteur émet dans ce cas l'hypothè
d. Au point de vue anatomo-pathologique : altérations de la moelle ( sclérose des cordons postérieurs, prédominante dans le c
eut être le siège {Revue neu- rologique, mars 1902). E. 13. LXIX. Sclérose en plaques infantile à forme hémiplégique d'ori-
hérédo-syphilitique probable ; par le I)'' Carrier II s'agit d'une sclérose disséminée chez une enfant de douze ans, attein
des lésions disséminées, sans sys- tématisation aucune, à aspect de sclérose en plaques. {Revue neu- t'o<o : <e, oct.
s lésions vasculaires. {Revue neurologique, oct. 1902). E. B. LYXI. Sclérose en plaques à symptômes transitoires et récidivant
des symptômes, s'il n'est pas un fait nouveau dans l'histoire de la sclérose en plaques s'est présenté rarement avec des car
n'a donné aucun résultat. Etude clinique de la forme tabétique des scléroses combinées. MM. P. Marie et Crouzon ont cherché
ent les signes permettant de faire le diagnostic de cette forme des scléroses com- binées qui est le plus souvent une trouvai
es a pu leur permettre de faire dans plusieurs cas le diagnostic de sclérose combinée. Ils ont pu, par une autopsie, vérifie
valeur de ce signe. Ils signalent la fréquence de la cécité dans la sclérose combinée. Enfin ils ont pu relever chez un de leu
'ensemble symptoma- tique qu'ils décrivent, dépister quatre fois la sclérose combinée chez 55 tabétiques de l'hospice de Bic
ski de con- clure à une affection organique, probablement plaque de sclérose rhumatismale. Malformations congénitales des
ilité et leur rapport à la po'cep- tion de l'espace, dans un cas de sclérose combinée. MM. VASCHIDE et Rousseau. L'examen d'
Rousseau. L'examen d'un malade atteint de sociétés savantes. 383 sclérose combinée, D..., au point de vue de la dégénéresce
ns. Atrophie du pédoncule. 1111f. GoiLC,m et Marie dans un cas de sclérose névroglique éten- due au lobes frontal, rolandi
N montre les pièces d'un ramollissement du locus itigei- seul, avec sclérose du laisceau de Turk et de la pyramide. F. Boiss
lement, mais dans les mouvements ce dernier apparaît, comme dans la sclérose disséminée. La démarche est spasmodique et atax
de travers. La voix et nasale. Le rapporteur exclut dans son cas la sclérose disséminée et la pseudo sclérose de Strumpeli e
rapporteur exclut dans son cas la sclérose disséminée et la pseudo sclérose de Strumpeli et pose le dia- gnostic de la para
es. Une très intéressante observation d'idiotie symptomatique d'une sclérose atrophique limitée aux circonvolu- tions du coi
es et dirigés parallèlement à elles ; et outre l'augmentation et la sclérose des petits vaisseaux avoisinants, l'inflammatio
sans aucune cause visible. Ayant exclu la paralysie agitante et la sclérose disséminée, l'auteur s'arrête sur la diagnostic d
rée de Sydenham, comme elle s'associe à l'épilepsie, au tabes, à la sclérose en plaques etc... Dans les pages qui suivent, l
que les anestbésies organiques (tabès, hémianesthésie hémiplégique, sclérose en plaques, névrites), ne sont pas du tout fixe
esthésies organiques du tabès, de l'hémianesthésie cérébrale, de la sclérose en plaque, de la névrite, ont conservé derrière l
e (4 cas), pellagre avec paraplégie (2 cas); tabès combiné (2 cas), sclérose latérale amyotrophique (1 cas). Le signe de Bab
catiom. Voir Dressage. Emotion. Voir Troubles. Encéphalites. Voir Sclérose céré- Grale. Enfants arriérés. Diagnostic et
88. Sur une forme d' , par Thomar, 281. HÉRI.DO-ST('fIILIS. Voir Sclérose Cél'é- brale. - Voir Friedreich. IIIEROS1'\CR
et Spillmann, 282. - et,itropliiem(isculaire, 1)tr Vacher, 535. Sclérose cérébrale in'antile d'oli- gine hérédo-syphilil
39 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
de chemin de fer. À savoir : paralysie agitante, épilepsie, vésanie, sclérose en plaques, etc., etc.. Mais, dans la règle, c'
s cellules sont détruites et qui est représenté par un petit foyer de sclérose . (Extrait des Maladies du système nerveux, t. II.
e locomotrice et hystérie. 2e Malade. — Cas complexe. — Hystérie et sclérose en plaques. (A propos de ces deux cas, on fait
de l'hystérie avec une affection organique bulbo-spinale, à savoir la sclérose en plaques. Seulement ici, c'est l'hystérie quipa
ser nosographiquement l'hystérie d'un cô.y,jd4$axie locomotrice et la sclérose en plaques, de l'autre ; notre tâche se Jrrou^era
'-ml (noyau bulbaire ou tnêrf périphérique). Diplo-pie consécutive. Sclérose en plaques : 1° Paralysies dans les mouvements as
toires. Ce sont, vous l'avez compris, les symptômes oculaires de la sclérose en plaques qu'il s'agit particulièrement de mettr
n d'une étude régulière. Un des troubles oculaires classiques dans la sclérose en plaques, en tant qu'il s'agit des fonctions mu
onséquence de la paralysie d'un des muscles moteurs de l'œil; dans la sclérose en plaques, au contraire, elle est surtout liée à
te de remarquer que ce symptôme-là n'appartient ni à l'ataxie ni à la sclérose en plaques. Le signe d'Argyll Robertson apparti
t à l'ataxie. Rien de semblable dans l'hystérie, non plus que dans la sclérose en plaques où l'on observe par contre quelquefois
a forme vulgaire, essentiellement transitoire de l'amaurose liée à la sclérose en plaques. L'ophthalmoscope, en pareil cas, ne m
Gnauck,— il n'en est pas de même, dis-je, lorsque l'amaurose, dans la sclérose en plaques, est la conséquence d'une névrite opti
à fait de même des troubles visuels liés à la névrite optique dans la sclérose en plaques. Sans doute, trop souvent ils aboutiss
vague », l'incertitude du regard, c'est très vraisemblablement de la sclérose en plaques qu'il s'agit. Les réflexes pupillair
st pas hystérique. Nous serions donc en présence d'un de ces cas de sclérose en plaques peu nombreux encore (cas d'Eulenbourg
e en plaques peu nombreux encore (cas d'Eulenbourg et de Gnauk) où la sclérose multilocu-laire des centres nerveux s'accompagne
temporaire de l'am-blyopie sont-elles le fait de l'hystérie ou de la sclérose multiloculaire ? cela me parait difficile à décid
es oculaires dont les mis appartiennent à l'hystérie, les autres à la sclérose en plaques. Mais vous venez de voir que si ces
né a reconnaître que, derrière l'hystérie se cachait, chez P...et, la sclérose multiloculaire des centres nerveux. L'examen de r
cuiller à sa bouche. Quelques-uns de ces symptômes qui ré vêlent la sclérose multiloculairesesont notablement amendés, depuis
raires de divers symptômes ne sont pas rares, tant s'en faut, dans la sclérose en plaques, et ils constituent même jusqu'à un ce
qui ouvre la marche. Bien souvent, j'ai vu les symptômes propres à la sclérose mutiloculaire se dégager en quelque sorte au mili
ongue date, et vous voyez par contre, dans le cas qui nous occupe, la sclérose en plaques ouvrir la marche et céder le pas, au m
en un mot, la moelle en ce point offrait toutes les apparences de la sclérose la plus avancée. Au sein des tractus fibreux de
dique, dans un cas de myélite diffuse chronique, enfin dans un cas de sclérose en plaques. A propos des effets physiologiques
mpuissance liée à la neurasthénie. Par contre, un malade atteint de sclérose en plaques avec exagération considérable des réfl
ints de paraplégie spasmodique (huit cas dont deux sont relatifs à la sclérose en plaques), n'a subi quant à présent plus de hui
rse de ce qui s'était produit dans un cas antérieur (sujet atteint de sclérose en plaques signalé dans la leçon du 15 janvier),
grandes oscillations qui rappellent exactement ce qui se voit dans la sclérose en plaques et qui font le plus souvent manquer le
it subir la même évolution que celle de l'ataxie locomotrice et de la sclérose en plaques par exemple, où l'on a vu les types pr
l'hydromyélie ou syrin-gomyélie, certaines tumeurs intraspinales, la sclérose en plaques et enfin la maladie que j'ai désignée
érose en plaques et enfin la maladie que j'ai désignée sous le nom de sclérose latérale amyotrophique. Aujourd'hui, après l'ép
En effet, les différentes affections spinales, — tabès syringomyélie, sclérose en plaques, etc., etc., —-qui, comme nous le rapp
es qui leur appartiennent en propre, font ici complètement défaut. La sclérose latérale amyotrophique elle-même, à laquelle il e
fût-ce qu'à l'état rudimentaire, s'il s'agissait véritablement de la sclérose latérale amyotrophique. En conséquence de ces é
n'en serait pas de même si l'affection des muscles se rattachait à la sclérose latérale amyotrophique. Dans celle-ci, vous le sa
fois, une hémianesthésie et des stigmates chez un individu atteint de sclérose en plaques, ou chez un myopathique, direz-vous qu
sclérose en plaques, ou chez un myopathique, direz-vous que c'est la sclérose en plaques ou la myopathie progressive qui en son
ffection beaucoup plus rare, sans doute, que ne l'est, par exemple la sclérose latérale amyotrophique. J'ai nommé la Syringomyél
— de principes analogues à ceux que nous avons établis à propos de la sclérose en plaques des centres nerveux. Quoi qu'il en s
869, par M. Hallopeau, alors interne à la Salpêtrière, sous le nom de sclérose péri-épendymaire et à la même époque, avec ma col
d'une façon lente et progressive (amyotrophie spinale protopathique, sclérose latérale amyo trophique, etc.), si elle évolue
fatale. L'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran, la sclérose latérale amyotrophique, lapachyméningite cervical
la sensibilité dans un cas donné, permettrait également d'éliminer la sclérose latérale amyotro-phique où on ne les voit point,
hénomènes bulbaires cinq ans après le début, permettent de rejeter la sclérose latérale amyotrophique. Mais le point de vue se d
145 Tableau synoptique des symptômes oculaires dans le Tabès, la Sclérose en plaques et l'Hystérie................. 163 T
.......... 159 Fig. 35 — — (Sensibilité)............ 160 Fig. 36.— Sclérose en plaques et hystérie (Sensibilité) . . . . 167
c.) Achaud, 71. Achromatopsie. — et hystérie, 159. 165, 169. — et sclérose en plaques, 165. — et tabès, 158, 165. Age dans
390. — Rêves, 288, 389. Aliénés voyageurs, 32T. Amaurose. — de la sclérose en plaques, 164. — hystérique, 164. — tabéti-que,
sie, As-tasie, 474. Champ visuel (Rétrécissement du), 138.— dans la Sclérose en plaques, 165, 166. — dans l'Epilepsie et l'Hys
minisme en pathologie, 152. Dickinson, 109, 110. Diplopie.— de la Sclérose en plaques,164, 166. — de l'Hystérie, 164, 266. —
Hystérie. — et mal. de Basedow, 240.— et saturnisme, 121, sq.,— et sclérose en plaques, 162. Hystérie et syringomyélie.— (D
5. — Symptômes, 415. —Type sca-pulo-huméral, 414. Myosis. — Dans la sclérose en plaques, 164. N Nacrée (Papille du tabès),
s) dans l'hystérie, 163. — Dans la maladie de Basedow, 235. — Dans la sclérose en plaques, 163. — Dans le tabès, 163. Olliye (
atique névralgie et Sçiatique névrite, 25. sciatique névrite, 34. Sclérose en plaques. — Achromatopsie, 165,169. — Amaurose,
ions dans la), 170. — Symptômes oculaires, 163. — Tremblement, 170. Sclérose latérale amyotrophique. — Pronostic, 419. Scolios
chronique, 204. — dans la paraplégie spasmodique, 204, 220. — Dans la sclérose en plaques, 204, 217,220, 221 —Dans l'impuissance
40 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- res, vacuolisation, chromatolyse et vacuolisation des cellules, sclérose et demyélinisation d'une grande partie des fibres
, les lésions suivantes : méningites, atrophies cellulaires, légère sclérose névrogliques des régions superficielles de l'éc
'arrêt de développe- ment si évident pour les cellules nerveuses. Sclérose 1\ÉVItOGLQUR. - Malgré les altérations parenchyma
nservent leur disposition habi- tuelle. En résumé, à part la légère sclérose des régions tout-à-fait superficielles de l'éco
a cho- roïde de sorte que la papille (3 fig. 1) présente un état de sclérose déjà avancé; il n'est plus possible d'y disting
pasqu'il jouent ici un rôle prédominaut dans la production de la sclérose . La rétine présente dans ses parties avoisinant
A mesure qu'on s'éloigne de la papille, ces lésions si marquées de sclérose diminuent peu à peu d'intensité; la sextuple ra
s nous trouvons ici en présence de la lésion décrite sous le nom de sclérose en arcades de la rétine. Cette cou- che, qui at
oujours les mêmes altérations des différentes couches; toutefois la sclérose en arcades diminue peu à peu, et bientôt, à env
GÉNÉRAUX. 135 choroïde est très altérée et présente des lésions de sclérose caractéristiques. Du côté de l'hémisphère inf
disparaît et l'on n'observe plus dans les parties non décollées la sclérose en arcades ; d'autre part la rétine présente ju
e bien encore de l'épaississe- ment des parois artérielles et de la sclérose conjonctive, mais la congestion veineuse n'exis
précé- dentes, nous avons observé l'altération de la rétine dite sclérose en arcades, etdans les points décollés les plus é
QUE. intense de ses veines, un exsudat-séreux interstitiel et une sclérose artérielle des plus marquées; ces altérations nou
fibreuses. Des artères de l'arc vasculaire, partent des bandes de scléroses qui unissent entre eux les différents troncs vasc
ifférents troncs vasculaires et montent vers la périphérie. Cette sclérose est jeune, elle est constituée par des cellules r
atiques sont distendues et les capillaires dilatés. il n'y a pas de sclérose , et les cellules hépatiques ainsi que leurs noy
able de syndrome cérébi lieux. Quelen estle signe ? S'agit-il d'une sclérose en masse du cer- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
une pour qu'il soit question d'hémorrhagie ou de ramollissement. La sclérose en plaques n'existe guère au-dessous de quinze
el. 11111. llanm et Croczon présentent divers malades atteints de sclérose spasmodique chez lesquels, ils ont relevé ainsi q
spasmodique chez lesquels, ils ont relevé ainsi que dans des cas de scléroses en plaques et de scléroses combinées le phéno-
ils ont relevé ainsi que dans des cas de scléroses en plaques et de scléroses combinées le phéno- mène de contraction du jamb
racines. Cet aspect ne nous parait pas encore avoir été signalé. Sclérose des olives bulbaires. MM. P. Marie et GUILLAIN
ulbaires. Ceslésions consistent en une hypertrophie des olives avec sclérose et démyeti- irisation des fibres périolivaires
umeurs ni de syphilomes. Les auteurs discutent la possibilité d'une sclérose en plaques mais ne peuvent se prononcer sur l'o
nt des précédentes. Elles comprennent une étude appro- fondie de la sclérose latérale amyoli,oi)hiqzte, basée sur six observa-
de l'histologie, de continuera définir la paralysie générale : une sclérose diffuse, une encéphalite scléreuse ou névrogliq
part, en effet, la lésion des vaisseaux est la diapédèse et non la sclérose . Ces deux termes définissent aujour- d'hui des
utre part, la maladie ne serait pas mieux définie par les termes de sclérose névroglique, qu'on a substitués à ceux de sclé-
la lepto-myélite est bien l'origine de la plus grande partie de ces scléroses , cordo- nales plus que fasciculaires, qui ne pe
tions, c'est que l'atrophie -de l'élément noble est secondaire a la sclérose qui succède à l'in- flammation du tissu conjonc
e se rangent à cet avis. 7')'o ! t&psc/n ! tes dans un cas de sclérose en plaques. IL Laknois (de Lyon). Les troubles
(opti- misme, dépression mélancolique, etc.) sont la règle dans la sclérose en plaques. Il est rare de les voir s'exagérer
nre que Lannois rapporte. Un homme de vingt-six ans présente -une sclérose en plaques typique ayant débuté à dix-sept ans
l'erreur a-t-elle été commise plusieurs fois dans les deux sens, la sclérose en plaques ayant été prise pour de la démence p
n cas observé et autopsié dans le service de M. 11ER.1VAL, et où la sclérose en plaques fut combinée à la paralysie générale
malade succomba. A l'examen, outre le ramollissement cérébral et la sclérose des- cendante, on trouva, à la partie supérieur
des orteils : un tableau clinique simulant presque complètement la sclérose amyotrophique s'est trouvé ainsi constitué, mai
t; il est vraisemblable de supposer que les rares cas signa- lés de sclérose latérale amyotrophique à très longue évolution
de peu de temps. Cette idée convient à la paralysie ugilanle, à la sclérose latérale ozuyotro- phique, à l'hémiah opine fac
d'autres appareils éphémères, si l'on en juge d'après maints cas de sclérose de l'oreille moyenne, d'emphysème pulmonaire, d
bservation personnelle. La syringomyélie évolua sous la forme d'une sclérose latérale amyotrophique hémi- latérale. Autopsie
ouffrir les altérations dont il s'agit se traduisent par un état de sclérose . La preuve que l'anémie est le facteur principa
nitrate d'argent contre certaines manifestations du tabès et de la sclérose en plaques, l'emploi de la suspension dans le t
ndes transversales. En résumé, il s'agit là d'un véritable tissu de sclérose con- jonctiue post-inflammatoire, qui, au moins
rose Fig 39. - Foyer de myélite. 472 - PATHOLOGIE NERVEUSE. une sclérose qui. au lieu d'être conjonctive comme la précéden
etits îlots qui s'enfoncent plus ou moins profondément à travers la sclérose iiévro-lique. Ces tubes nerveux sont intacts, i
oins riches en fibres nerveuses. Tous ces caractères histologiques ( sclérose surtout névroglique et en pleine évolution; per
sus lésionnel plus tardif et très vraisemblablement secondaire à la sclérose conjonc- tive inflammatoire rencontrée dans la
é d'intensité, tout en conservant les mêmes caractères généraux. La sclérose conjonctive n'occupe guère que la moitié latéra
es- zones postérieures. Dans la moitié latérale gauche, se voit une sclérose néorogliquc, identique à celle signalée sur les
es- sive de leurs éléments, comme il arrive au cours de certaines scléroses névrogliques anciennes. D. Coupes au niveau de
s vraisemblablement, a succédé au trauma- tisme initial, a donné la sclérose conjonctive ; la seconde pé- riode a abouti à c
nné la sclérose conjonctive ; la seconde pé- riode a abouti à cette sclérose névrotique de la moitié gau- che de la moelle,
bouche du malade, nous apprendre qu'il s'est agi là d'un travail de sclérose conjonctive sans réaction infectieuse. Les larg
goureusement intact. Les premières lésions sont constituées par une sclérose conjonctive, cicatricielle, à gros tractus, pre
s ont édifié est plus grêle, se colore plus finement, aboutit à une sclérose névroglique que la mort a surpris et fixé en pl
diminué ou qu'il soit augmenté, car les trois cas se présentent. Sa sclérose est la lésion habituelle, elle peut êlre vésicu
la Sarcomatose du sys- teme nerveux, les Lésions cérébrales dans la sclérose en plaques, les Amyolrophics au cours du tabès,
IODERUIE il disposition radicu- laire, par litiet et Sicard, 527. Sclérose des olives bulbaires, par rlalie P et Guillain,
es cavités naso-pharyngiennes, par Rovet, 268. - psychiques, voir Sclérose . - de la sensibilité dans les états neurasthéni
41 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans les deux cas porte, peut-être à tort, le môme nom, celui de sclérose . Par contre, il est assez rare qu'on ait l'occasi
du côté des vais- seaux, du tissu névroglique et à un moment où la sclérose fait défaut, le début de la lésion se faisant l
rs encéphaliques et plus récemment avec M. Durante dans un cas de sclérose combinée enfin et surtout dans la paralysie gén
ore récentes. Il n'est donc pas rare d'y observer la lésion dont la sclérose spinale n'est que la suite et la phase ultime.
use- ment. Elle se rencontre dans les points où va se produire la sclérose , c'est-à-dire plus spécialement dans les cordons
ue nous venons de décrire comme caractérisant la première phase des scléroses communes. Dans un remarquable mémoire 2 cet aut
ésions finalement destructives de l'élément noble. Elle précède les scléroses , elle est à l'ori- o-ine du tabes où elle se po
riennes secondaires à des foyers cérébraux; elle se montre dans les scléroses combinées ', elle existait dans les observation
elle apparais- sait comme caractérisant la lésion récente dans une sclérose en foyers disséminés. Ce n'est pas tout dans
vient de le voir, des examens histologiques sont rares au début des scléroses spinales, il n'en est pas de même dans les myél
nérescences communément observées dans la moelle. Elle précède la sclérose et la prolifération névroglique qui la suit, su
soit commandée par celle du tissu ambiant. Peu à peu un tissu de sclérose à forme myxomaleuse ou inflammatoire va remplac
pathique progressive, de l'atrophie musculaire Duchenne-Aran, de la sclérose latérale amyotrophique, de la poliomyélite anté
iques et du tissu sain ambiant, n'ont rien à voir avec celles de la sclérose multiloculaire. P. K. XXXII : Rires et PLEURS i
cerveau est oedémateuse. Les ventricules du cer- veau sont dilatés. Sclérose des artères de la base du cerveau. - Cavité du
nce ferme. On y re- marque quelquefois de petits îlots brunâtres de sclérose , restes de la résolution d'hémorragies périvasc
ance blanche, mais surtout dans les régions qui sont le siège d'une sclérose par compression, leurs parois sont 212 REVUE D'
des lésions qui viennent d'être signalées. R. M. C. VU. Atrophie ET sclérose du CERVELET; par C. HUBERT-Bo\D. (The Journal o
rales indiquent ordinairement, par leur nature, l'exis- tence d'une sclérose artério-capillaire généralisée. L'étude des rei
amas de pigment altéré et de petits foyers de ramollissement. La sclérose des artérioles est toujours suivie d'une hyperpla
lie ; c) l'idiotie par arrêt de développement ; d) l'i- diotie avec sclérose cérébrale ; e) l'idiotie consécutive à la ménin-
les autres centres. R. de Musgrave CLAY. XLIV. UN cas anormal DE SCLÉROSE EN plaques ; par Théodore DILLER. (The New-York
normale, mais il bords nettement tranchés. S'il s'agit d'un cas de sclérose en plaques, dit l'auteur, ce cas est anormal en
viennent anormaux, tandis qu'ils s'accordent avec l'existence d'une sclérose disséminée. Il ne serait pas impossible toutefois
ologie de la lésion médullaire. R. DE Musgraye CLAY. XLV. UN cas DE SCLÉROSE spinale postérieure, avec prodromes OCU- LAIRr
res réflexes; il montre l'importance des troubles oculaires dans la sclérose posté- rieure, et l'utilité d'un examen ophtalm
vé, et tout est venu confirmer le diagnostic primitivement porté de sclérose postérieure. L'autopsie n'a pu être pratiquée.
et dans la maladie de Friedreich; elle se ren- contre aussi dans la sclérose disséminée, où elle se manifeste à l'occasion d
is tout rentre dans l'ordre. Lwoff. LUI. SUR la forme grave DE la sclérose artérielle DU système NERVEUX central; par L. J
ent, produit la lésion. P. IvEnAV.aL. LXIII. Syndrome APPELANT la sclérose latérale amyotropiiique, chez un syphilitique ;
Sclé- rose bilatérale du faisceau pyramidal direct et croisé ; b.) Sclérose bilatérale du faisceau cérébelleux direct ;c).
roisé ; b.) Sclérose bilatérale du faisceau cérébelleux direct ;c). Sclérose du faisceau de Lissauer ; d). Légère sclérose d
rébelleux direct ;c). Sclérose du faisceau de Lissauer ; d). Légère sclérose du cordon de Goll dans la région cervicale; e).
u tabes. (Revue Neurologique, septembre 1895.) E. B. LXV. UN cas DE sclérose EN PLIQUES A FORME d'hémiplégie alterne ; par l
s du côté opposé, et d'autre part des symptômes incontestables de sclérose en plaques : exagération des réflexes, tremblemen
om- plexe et polymorphe une seule maladie, une forme fruste de la sclérose en plaques. Il y aurait localisation d'une plaque
culaire externe. A côté des trois variétés des formes frustes de la sclérose en plaques par intervention des phénomènes inso
que, sous forme d'une inflammation, d'une dégénéres- cence, etc. La sclérose des parois trouvée à l'examen était si prononcé
ulaire, dans l'épaisseur des tuniques vasculaires, la névrite et la sclérose au début, tout cela montre la possibilité d'un
de l'avant-bras. Thrombose des vasa-vasorum (a); vaisseau oblitéré, sclérose (b); décollement de l'endothélium (c). Fig. 3
variélés de paralysie générale, l'une qui se présente associée à la sclérose postérieure, l'autre qui est associée, secondaire
E MENTALE. 341 l'ordre chronologique, à des symptômes indiquant une sclérose des cordons latéraux. Il estime en outre que le
rsqu'ils soutiennent qu'il existe une maladie spé- ciale qui est la sclérose artério-capillaire, et que, dans cette mala- di
escence ascendante typique. Immédiatement au- dessous de la lésion, sclérose de l'ensemble des cordons. Au niveau de la deux
la deuxième racine dorsale, la moelle a sa configuration nor- male. Sclérose dans la région des cordons postérieurs jusqu'au
dromes moteurs que nous montre chaque jour la clinique, celui de la sclérose latérale amyotrophique. On aura réunis et combi
son tour et la maladie va emprunter quelque chose des signes de la sclérose latérale amyotrophique; l'hémiplégie avec contr
t pas exclusivement en rapport avec les faits suivants : Dans les scléroses combinées, le faisceau pyramidal ne dégénère pa
relativement épargnées. C'est ce qu'on voit habituellement dans la sclérose combinée de Westphal d'une part et dans la mala
devoir rattacher aux convulsions, probablement symptomatiques d'une sclérose cérébrale, le premier groupe ' d'accidents path
noyau. Quelquefois il y a tuméfaction uniforme des cellules avec sclérose partielle du protoplasma. Quoi qu'il en soit, cet
l'hystérie avec des lésions organiques : Bruns a observé un cas de sclérose multiple avec hémianesthésie hystérique, un cas d
maladie de Morvan. Des associations hystéro-o1'ganigues. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associées, suivi de l'au
s d'associations morbides ne sont pas rares, il est probable que la sclérose a fa- cilité l'éclosion de l'hystérie ou peut-ê
Grasset. Par exemple : une analyse de la thèse du Dr Guibert sur la sclérose primitive des cordons latéraux de la moelle; un
mondo, 480. Cervelet. Pathologie du -, par Arndt, 51. Atrophie et sclérose du -, par Hubert Boud, 213. Diagnostic différ
tômes rares, par Janowsky, 368. Sclérodermie, par Ilemngham, 7. Sclérose . Un cas anormal de en plaques, par Diller, 269.
42 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux, 10 ont été améliorés (3 hémiplégies, 3 myélites chroniques, une sclérose en plaques, 3 tabes). Le traitement s'est montré
traire la guérison au bout de trois semaines. G. D. IX. Un cas de sclérose en plaques traité par la méthode de ré- éducati
illet 1898.) Il s'agit d'une malade de vingt et un ans, atteinte de sclérose Archives, 21 série, t. IX. 5 66 REVUE DE THÉR
impossible d'obtenir par cette méthode, dans le traite- ment de la sclérose en plaques, des résultats plus favorables que c
euse atro- phique centripète des neurones de sensibilité, suivie de sclérose . Dans ces conditions, et la première période de
P. KERAVAL. V. Contribution à l'histologie et à la pathologie de la sclérose en plaques insuliforme; par S. Eruen. (i)t.111-
énérées, d'où la dégénérescence des cylin- draxes, car, au début de sclérose , il y a toujours tuméfaction d'un certain nombr
nombre des cylindraxes fins pro- gresse avec le développement de la sclérose ou si cette régénéra- tion s'arrête à un certai
ion s'arrête à un certain stade; mais on les trouve surtout dans la sclérose avancée. 2° Les travées de névroglie de la sclé
rtout dans la sclérose avancée. 2° Les travées de névroglie de la sclérose en foyers s'étendent et ont d'abord l'aspect ho
s altérations vasculaires, rien de nou- veau, sauf en un cas, où la sclérose se développait certainement le long de la l'art
veut dire que quelques cylindraxes disparaissent dès le début de la sclérose en plaques. C'est précisément ce quifait le tremb
de cylindraxes. Cette néoformation explique que dans le cours de la sclérose multiloculaire, il puisse se réta- blir des fon
même rétrocéder. P. KERAVAL. VI. De l'atrophie musculaire dans la sclérose multiloculaire; par L. RuAUEn. (Neurolog. Cenlu
croit successivement à une atrophie musculaire progressive et à une sclérose latérale amyotrophique. A l'autopsie, au lieu d
du reste peu de névroglie, ce qui indiquerait qu'il n'y a pas eu de sclérose ordinaire. L' ! typel'id,ose localisée de l'ava
XVII, 1898.) ' Trois observations ayant pour phénomènes connus : la sclérose 148 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
ande partie de leur étendue. La moelle lombaire présente une légère sclérose diffuse. Donc, malgré l'abondance des lésions,
la contracture fait défaut, malgré la dégénération secondaire et la sclérose des fais- ceaux pyramidaux. Van Gehuclrlen a dé
malade a présenté des symptômes tout à fait semblables à ceux de la sclérose en plaques, à l'autopsie : ramollissement de la
s'étonner si une lésion cérébelleuse a reproduit le syndrome de la sclérose en plaques. Cette dernière affection ne s'accompa
ifs et trophiques plus ac- centués après les ictus. A l'autopsie, sclérose cérébrale atrophique, probablement dif- fuse (d
lle consti- tue un exemple exceptionnel d'un cas d'aphasie due à la sclérose cérébrale atrophique ; 3° comme contribution à
tribution à l'histoire, à peine connue, de la symptomatologie de la sclérose cérébrale de l'adulte. Epilepsie. M. de FLEUR
domaine des circonvolutions centrales. Microscopiquement on note : sclérose de la neuroglie, dégénération des fibres nerveuse
oujours de la mydriase. Les pupilles sont toujours normales dans la sclérose en plaques et la syringomyélie. Dans l'épilepsi
de ramollissement, de dégénérescence, d'hyperplasie conjonctive, de sclérose , alors qu'il existe une altération grave et pro
perpendiculaires à l'axe de ces membres. La seconde est un cas de sclérose en plaques s'accompagnant au niveau des quatre
ains et aux pieds, phénomènes qui engagent à admettre, à côté de la sclérose en plaques, des lésions syringomyéliques dont la
téristique décrite par Baillarger en 18 ? et attribuée par lui à la sclérose de la substance blanche et au ramollissement de
l'action efficace des injections'sous-cu- tanées de spermine sur la sclérose des cordons postérieurs de la moelle épinière p
impossible de regarder ces malades comme complètement guéris de la sclérose des cordons postérieurs de la moelle épinière.
oduirait-elle pas l'amnésie par le même processus ? '/ Nature de la sclérose tubéreuse hypert1'ophique. MM. CL. Pm- lippe et
tées à l'oeil nu et au microscope avec les nouvelles méthodes. La sclérose , l'altération la plus apparente, se présente sous
e entre la pie-mère et le tissu cortical sous-jacent, atteint de la sclérose , décrite plus haut dans sa variété diffuse ; ce
de vraisemblance la théorie, nouvellement reprise, qui fait de la sclérose tubéreuse hypertrophique de Bourneville et Brissa
t 16 cas atteints de tabes, 7 de myélite, 4 de gliomatose, 1 cas de sclérose en plaques, 7 cas de névrites, 2 cas d'épilepsi
e symptomatique de lésions destructives du lobule de l'Insula et de sclérose atrophique du lobe temporal ; Par BOURNEVILLE e
, extrémité du lobe occi- pital, pied de FA, F'.) Par suite de la sclérose alrophique très accusée des circonvolu- tions q
rien à signaler. Sur la face inférieure nous avons à noter : 1° La sclérose atropl41que du gyrus reclus qui se présente sou
lésion s'est ajoutée une encéphalite qui a eu pour conséquence une sclérose at·ophiete de la plupart des cir- convolutions
e l'hypophyse même en l'absence d'acro- mégalie. POULIiD. XXXIII. Sclérose combinée subaiguë de la moelle épinière et ses
parésie, le tabès, l'ataxie héréditaire, la myélile chronique ou la sclérose disséminée. Se basant sur l'analyse soigneuse d
n évite l'erreur en considérant la marche constante et rapide de la sclérose combinée subaiguë. Il y a peu de points communs e
affection dans quelque forme de tabès, de myélite chronique, ou de sclérose disséminée. L'existence d'une anémie marquée et
intoxication. 11 pourrait bien se faire, ajoute l'auteur, que cette sclérose com- binée soit un empoisonnement d'origine fam
ce blanche de la moelle. L'auteur développe un parallèle entre la sclérose latérale et l'hystérie, particulièrement en ce
fibres sensitives du trijumeau. G. DENY. XLVII. Formes frustes de scléroses en plaques à début mono ou hémiplégique avec am
ieux. (Joum. de Neuro- logie, 1899, n° 18.) Ces formes frustes de scléroses en plaques à début mono ou hémipléhique s'obser
dont l'existence pouvait être soupçonnée, se présentait d'abord la sclérose en plaques. Toutes les manifestations observées
eurs, en particulier par Erb en 1878 et par Grasset en 1886, que la sclérose en plaques n'est pas très rare dans l'en- fance
ale spasmodique infantile ou maladie de Little. Le diagnostic de la sclérose en plaques et de la diplégie cérébrale spasmodi
mblement intentionnel à grandes am- plitudes, plus fréquent dans la sclérose en plaques que dans la diplégie cérébrale spasm
die et la méca- nothérapie. Elle est également inefficace contre la sclérose en plaques; on a bien représenté, en ces dernie
cas d'hystérie ou de neurasthénie, maladies capables de simuler la sclérose en plaques avec une parfaite ressemblance. Char
ues avec une parfaite ressemblance. Charcot préconisait contre la sclérose en plaques le nitrate d'argent administré à l'int
ccoutumes, par CumpheH, 338. Atrophie. De 1' musculaire dans la sclérose multicolore, par Brauer, 145. musculaire pro-
t du et ses communications avec les centres, par Doellken, 322. Sclérose . De l'atrophie musculaire TABLE DES MATIERES.
43 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t. XT, 11° part., p. 817), dit avoir observé un malade atteint de sclérose en plaques qui, pendant sa jeunesse, aurait pré
issent par produire ce relâchement et la voussure consécutive. La sclérose leur succède plus ou moins tardivement. Les eff
Observation XI (résumée). Pharyngite chronique ; vieilles otites ; sclérose à droite ; vertiges légers, fréquents l'été, à
e à gauche ; nulle à droite, sans vertige provoqué. Dans ces cas de sclérose , avec immobilisation de l'étrier, la moindre fl
vec la monomanie, et que la conscience a besoin d'une plus CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE. 51 grande force de réflexion
e nous cherchons. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS Note sur un cas de sclérose en plvques fruste; par C. Bouicli, interne des
ire est intéressante àplus d'un titre.- Il s'agit d'un deces cas de sclérose en plaques, qui, par la nature des phénomènes q
forme de doute qu'on émit l'opinion de l'existence possible d'une sclérose en plaques fruste ; l'autopsie confirma pleinemen
la parole, amblyopie; pftt'ttpte spasmodique ; noyaux disséminés de sclérose sur les ventricules cérébraux, plaques coiiflit
mère. La parole est lente, scandée ; entre chaque syllabe il CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE. 53 y a une petite pause ; ma
légère d'ailleurs. L'absence du tremblement caractéristique de la sclérose en plaques était complète ; à aucun moment de sa
aux troubles de la parole d'un autre malade du service, atteint de sclérose en plaques à type classique, qu'appuyé aussi su
e l'analyse de deux faits personnels, qui sont de très beaux cas de sclérose en plaques fruste. {Revue mensuelle de médecine
873. )Jscliares, ér3-sipèle, mort.-Autopsie : Nombreuses plaques de sclérose sur les différentes parties de l'encéphale, sclér
ses plaques de sclérose sur les différentes parties de l'encéphale, sclérose en plaques delà moelle épinière. A l'époque où
. A l'époque où la malade fut présentée comme offrant un exemple de sclérose en plaques fruste, la para- plégie spasmodique
pliénoïdale, En résumé dans le cerveau, on ne trouve des plaques de sclérose que sur les parois des ventricules et seulement
e notre maître, nous avons pratiqué dans l'intérieur des plaques de sclérose des injections interstitielles de picro-carmin.
ns cervicales et la moitié supérieure de la dorsale, des plaques de sclérose , très super- ficielles, ne pénétrant qu'à une t
dernière particularité, tout contribue à établir l'existence d'une sclérose multiloculaire, dont la traduction clinique a p
es, l'existence de manifestations bulbaires, porte le diagnostic de sclérose multiluculaire cérébro-spinale, d'origine intra
tte occasion pour signaler au lecteur un erratum. A la snite du mot sclérose qui termine la ligne 7 de la 1>ane 58 ? il fau
res (troubles de la déglutition) eussent pu appeler l'opinion d'une sclérose latérale amyotrophiqne ; mais la prolongation d
ur la non-existence de mé- ningite chronique postérieure, malgré la sclérose postérieure. Il remarque que, malgré la précisi
n a vu quelques cas analogues et serait disposé aies ranger dans la sclérose en plaques ; maison n'a jamais noté le tremblem
ant ce symptôme ne serait peut-être pas absolument constant dans la sclérose en plaques. Ainsi le Dl Weber dit avoir observé
el le tremblement avait manqué. Comme de plus les symptômes de la sclérose en plaques sont forcément très variables à cause
nd la fixation impossible dans aucune direction. Observation III. Sclérose en plaques. Paralysie conjuguée latérale droite
t pas intéressé. Les paralysies associées sont fréquentes dans la sclérose en plaques ; mais elles sont ordinairement inco
e pour ainsi dire jamais quand la paralysie est ancienne. Dans la sclérose en plaques, la paralysie conjuguée est presque
C'est ce qui a lieu dans l'observation suivante. Observation VII. Sclérose en plaques. Paralysie du mouvement de convergen
ergence. Observation X. M"0 Woid..., vingt-trois ans, atteinte de sclérose en plaques (Consultation de M. Charcot). Symptô
uguée latérale, double et incom- plète, comme la produit parfois la sclérose en plaques, on peut observer cette-forinè de di
st l'indication la plus nette de la perforation du tympan. Si cette sclérose tympanique coïncide avec un ramollissement prof
indé- pendamment de la lésion parenchymateuse, l'existence d'une sclérose diffuse. De la gaine lamelleuse se détachent des
t par le bichromate de potasse, la gomme et l'alcool montrent une sclérose diffuse analogue à celle du sixième nerf intercos
au cours d'une fièvre typhoïde ET RAPPELANT LE TREMBLEMENT DE L\ \. SCLÉROSE EN PLAQUES; par M. BoU- VERET (Lyoit inéclical,
haque mouvement qu'elle tente d'un tremblement pareil à celui de la sclérose en plaques. Les membres inférieurs et supérieur
eur a voulu montrer qu'à l'instar de la paralysie générale et de la sclérose en plaques, l'ataxie locomotrice peut offrir des
i c'est une zone sensible, car on la trouve aussi dégénérée dans la sclérose latérale amyotro- phique. Il y, existe en tout
Poumons : congestion très intense) de deux, bases. Çoeuru 425 gr. ; sclérose cardiaque ? sans lésion- do canalisation, maui-,
rtain degré) de prolifération con-, joilctive, interstitielle, de,, sclérose . Mats;) l'examen, des nerfs ne paraît pas; avor
e inférieur gauche. Arthronalhie du genou gauche. Mort. A ulopsie : Sclérose des cordons 1,1 poster ieurs^ dè''la(,moelk'épi
te, cotis/t- tuant la transition de la paralysie progressive, ci la sclérose multilocu- Liire en foyers. Un homme de cinquan
macroscopique. L'étude microscopique révèle, dans la moelle, de la sclérose multiloculaire diffuse; dans le cerveau, de la
es de l'état de et de son diagnostic avec la folie), 116. Z> Sclérose en plaques fruste (un cas de), par Bomcli, 51.
par Giraudeau, 289. Surmenage intellectuel, 123. Système nerveux ( sclérose multi- loculaire du), 88. Tabès (sur la quest
é au coursd'une fièvre typhoïde et rappelant le tremblementcle la sclérose en pla- ques, par Bouveret, 246. Tubercules q
44 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
supérieur à la normale, puis l'agénésie s'aecompagne d'une légère sclérose conjonctivô-névroglique, suffisante à elle seul
aisceaux pyramidaux nous ont paru intacts, à tous les niveaux, sans sclérose ni agénésie, ce qui est en rapport avec le sièg
oupes colorées parle picro-carmin de Ranvier, on ne constate aucune sclérose conjonctivo- névroglique. S'agit-il d'une doubl
ette lésion est ancienne, datant, au moins, de plusieurs mois; la sclérose est dense, rétractile; les coupes, colorées par
- VI. Alcoolisme; hémiplégie gauche et épilepsie consécutives. Sclérose atrophique; pachyméningite et méningo- encéphal
nts très-nombreux, péri-cellulaires. - Bref, on a sous les yeux une sclérose névroglique en pleine évolution, semble-t-il. L
eux côtés, avec une prédominance nette pour la moitié gauche. Cette sclérose ressemble à la sclérose habituelle de la dégéné
ominance nette pour la moitié gauche. Cette sclérose ressemble à la sclérose habituelle de la dégénération secondaire des hé
me des épileptiques. VIII. Idiotie et épilepsie symptomatiques de sclérose atro- phique des deux lobes frontaux ; PAR BO
fortement, par sa couleur jaunâtre, sur tout le reste du cerveau. SCLÉROSE ATROPHIQUE DES LOBES frontaux. 105 cinq centimè
ssage, qui les réunit, présente un petit foyer jaunâtre, ocreux, de sclérose atrophique, en retrait par rapport à la surface
volution de passage. - Le lobe occipital est peu volumineux, sans sclérose . La lèvre supérieure de la scissure de Sylvius
interne. - On trouve, comme nous l'avons dit, les mômes lésions de sclérose atrophique, intéressant les trois quarts antéri
quarts antérieurs de la première frontale (fi) et la moitié. 106 Sclérose ATROPHIQUE DES LOBES frontaux. correspondante d
t également réduit à de très minimes proportions (PL. IX) par une sclérose atrophique qui a détruit toutes ses circonvolu-
normale et parfaitement symétrique, ne pré- sentant ni agénésie, ni sclérose névroglique, ni diminution de volume des cylind
il nous paraît utile de mentionner ici : Température rectale. 110 Sclérose TROPHIQUE. VII. L'examen des Planches VII et IX
ne partie des circonvolutions, très grêles, paraissent atteintes de sclérose , alors que les circon- volutions pariétales et
mal jusqu'à 3 ans ; fièvre typhoïde avec accidents cérébraux, d'oit sclérose et arrêt de développement des circonvolutions ;
plus qu'à rappeler l'arrêt de développement des lobes frontaux, la sclérose des BOURNEVILLE, Bicêtre, '1897. Il 162 DÉMEN
, ventricule latéral. 196 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche VI. Sclérose cérébrale ATROPHIQUE. Coupe du crâne (p.403)
cêtre, 1897. PL. VI. 198 Explication DES planches. Planche VII. Sclérose ATROPHIQUE DU LOBE frontal DROIT. Face interne
lutions temporales. 200 Explication des planches. Planche VIII. Sclérose ATROPHIQUE DU lobe frontal droit. Face interne
être, 189ï, PL. VII[. 202 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche IX. Sclérose ATROPHIQUE du lobe frontal gauche. Face convexe
volutions temporales. : On EXPLICATION DES PLANCHES. Planche X. SCLÉROSE ATROPHIQUE DU LOBE frontal gauche. Face interne
45 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
'examen de l'ouïe perd de son importance en l'espèce, à cause de la sclérose otique et du vertige de Ménière. Le goût est ab
formes et le tremblement, soit de la paralysie agitante, soit de la sclérose en plaques. Dans une note présentée à la Sociét
y méprendre l'aspect des malades atteints de paralysie agitante, de sclérose en plaques ou d'une autre maladie à tremblement
paralysies agitantes obtenues par un simple jeu de miroirs, de ces scléroses en plaques sans plaques de sclérose, etc. A c
simple jeu de miroirs, de ces scléroses en plaques sans plaques de sclérose , etc. A ce point de vue, nous croyons qu'il exi
fusionner jamais avec elles. L'ataxie, la maladie de Friedreich, la sclérose en plaques, le goitre exophthalmique, la myopat
ement atteintes, on constate sur les pièces fraîches des lésions de sclérose type. Sur les coupes (après durcissement) on vo
is). On voit, d'après la relation de l'autopsie, qu'il existait une sclérose très prononcée avec atrophie cellulaire des cor
des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière, sclérose plus accusée dans les régions du névraxé corres
oute paralysie labio-glosso-laryngée appartient nécessairement à la sclérose latérale amyotrophique : c'est une erreur. Outre
sément intéressé. t ' y Le faisceau pyramidal est atteint d'une sclérose systématique d'origine vasculaire.*Ces tractus
sont très épaissis, et beaucoup de fibres nerveuses ont disparu. La sclérose est exactement limitée à la région qui correspond
te quelques- unes qui sont relativement bien conservées. Outre la sclérose pyramidale qui persiste, on observe de la scléros
ervées. Outre la sclérose pyramidale qui persiste, on observe de la sclérose de la commissure grise. Dans toutes les parti
che et grise sont indemnes. Le faisceau pyramidal est atteint d'une sclérose naissante symé- trique, et en rapport avec l'al
le offrent des lésions très inégales. L'altération dominante est la sclérose atrophique. Dans les parties les plus atteintes
es parois des artérioles sont épaissies, surtout dans les foyers de sclérose ; souvent on trouve leur endothélium tuméfié et pr
droite; cette diminution de l'ouïe tiendrait à un certain degré de sclérose du tympan. L'hypothèse d'une syringomyélie seul
D'autre part, la région des cornes ne présentait en aucun point de sclérose en foyer. En réalité, ces marques de sénilité d
lle est sain. Les planches XLIV, XLV et XLVI sont consacrées à la sclérose en plaques. La planche XLIV reproduit une coupe
a été colorée par la méthode de Pall. On voit une petite plaque de sclérose très prononcée dans la zone radiculaire postérieu
iennes épais- sies. La planche suivante XLVI reproduit une coupe de sclérose en plaques dans une région extrêmement altérée
ies de la moelle sont aisément recon- naissables : on y remarque la sclérose descendante des cordons laté- raux. Dans la rég
décrite dans les Archives de Médecine expé- rimentale. La plaque de sclérose que nous représentons est figurée à un fort gro
CERVICALE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE T 111 PL XLIV SCLÉROSE EN PLAQUES ( REGION PEU ALTÉRÉE ) 1 T 111 PL
111 PL XLV NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRIERE T III PL XLVI SCLÉROSE EN PLAQUES ; FORT GROSSISSEMENT ) > ANATOM
érieur; e, Cordon latéral; f, Cordon postérieur. Planche 1 LIV. - Sclérose en plaques. Région pou altérée ; a, Cordon antéri
très altérée de la zono radiculaire postérieure. - . Planche XLV. Sclérose en pluques (fort grossissement) : a, Tubes normau
s. su NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIËRË. Planche 1L1'I. - Sclérose en ]>laques. Région très altérée; a, Partie sa
réunies, B, rue Mignon, 2. - lA et MOTTE1\OZ, directeurs. Fm 70. - Sclérose en plaques. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
plaques. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T Ili PL XLVI SCLÉROSE EN PLAQUES (Région TRÈS ALTERÉE ) NOUVELLE IC
a- lisé chez une petite fille, avec atrophie con- sidérable, 6. Sclérose en plaques, 44, 45, 46. Syringomyélie, 47, 48,
a -), 28. Sciatique (Déformation du tronc dans la ), ), 72, 73. Sclérose en plaques, 78, 79. Sensibilité (Tabes et disso
46 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
bs- tance caséeuse, enveloppé par une zone circulaire d'un tissu de sclérose , formé de lames conjonctives anastomosées, dans
aire ne renferme pas de calculs. La bile est colorée. On note de la sclérose de l'artère hépa- tique. -- La rate est très
ffus. La moelle est diminuée de volume. On constate à l'oeil nu une sclérose des cordons postérieurs dans toute leur étendue
Nous insisterons peu sur les lésions du foie, qui montre une légère sclérose périportale, non plus que sur celles des reins,
EXES (Achard et Léopold-Lévy) .l. (Méthode de P.il.) z 6° sacrée. Sclérose des zones de Lissauer, et d'un triangle correspon
Pal.) 4' sacrée. Mêmes lésions. C. (Méthode de Pal.) - 1'" sncn4·. Sclérose un peu moins marquée des zones de Lissaucr, et d'
S (Achard et Léopold-Lévy) A. (Méthode de Pal.) - si ;' lombaire. Sclérose moyenne des zones de Lissauer, triangle de scléro
- si ;' lombaire. Sclérose moyenne des zones de Lissauer, triangle de sclérose atteignant le sillon médian postél ieur limité
rne postérieure, champ postéro-externe. B. (Méthode de Pal.) 10mb ? Sclérose des zones de Lissauer, triangle de sclérose comme
(Méthode de Pal.) 10mb ? Sclérose des zones de Lissauer, triangle de sclérose comme sur la figure précédente, un peu plus pos
e radiculaire moyenne et les colonnes de Clarke sont le siège d'une sclérose peu intense. On remarque l'intégrité de la zone d
SALIS 89 rieure. Entre ces deux territoires, on note un triangle de sclérose , correspon- dant à la bandelette externe. Des r
llon médian pos- térieur qu'il respecte, se trouve un territoire de sclérose de moyenne inten- sité. (Pl. X, B.) 3 Région
niveau des zones de Lissauer, moyennement dégénérées, triangles de sclérose atteignant le sillon médian postérieur, s'écart
corne postérieure. Les mêmes champs sont conservés. Le triangle de sclérose déjà indiqué persiste, mais est un" plus postér
au groupe interne des fibres radiculaires postérieures. La zone de sclérose qui correspond à la bandelette externe mentionnée
iveau des cordons postérieurs. Ce sont toujours les mêmes lésions : sclérose des zones de Lissauer, dans lesquelles pénètren
de Bur- dach et dans le cinquième du champ postéro-interne. Légère sclérose des co- lonnes de Clarke. On trouve intacts : l
s rotuliens sont restés conservés. L'examen histologique montre une sclérose des cordons postérieurs gé- néralisée à tout l'
et Léopold-Lévi) .-1. (Méthode de Pal.) Région dorsale inféi ieiue. Sclérose des zones de Lissauer, de la partie moyenne du
e du faisceau de Burdach, et du 5* du champ postéro-interue. Légère sclérose des colonnes de Clarke. Sont conservées : la zo
ieure, le champ postéro-externe. li. (Méthode de Pal.) z° doisiile. Sclérose moins marquée des zones de Lissauer, du \< pos
au de Burdach. C. (Méthode de Pal.) Région cervicale iiifèrieuie. Sclérose des zones de Lissauer, du 5' postérieur du cordon
alade observé avait des signes très marqués de dégénérescence et de sclérose en plaques. Le travail de Fagge est plein d'int
tes ont signalé dans la sclérodermie des lésions nerveuses diverses scléroses des circonvolutions, de la moelle, des nerfs pé
nt tout durcissement : à la région cervi- cale, une teinte grise de sclérose dans les cordons postérieurs surtout au ni- vea
t de Marcbi. Le côpe terminal est sain. Région sacrée. Il y a une sclérose assez marquée des cordons postérieurs ; la lési
altérée. (PI. XXII, E.) Dans les cordons latéraux existe une légère sclérose au niveau de la région qu'occuperait le faiscea
de la région qu'occuperait le faisceau pyramidal croisé, mais là la sclérose est moins accen- tuée que dans les régions plus
core une assez grande quantité de fibres saines. Région lombaire. Sclérose des cordons postérieurs, symétrique, prenant la
un semis de fibres saines. Dans les cordons latéraux il existe une sclérose du faisceau pyramidal croisé. (PI. XXII, D.) Ré
e dans ce dernier. ' - Dans les cordons antérieurs, on constate une sclérose nette du faisceau py- ramidal direct. Les cel
e fibres saines. Le faisceau pyramidal direct est très altéré et la sclérose paraît se prolonger sur le territoire du faisce
ger sur le territoire du faisceau de Gowers. (PI. XXI, B.) Bulbe. Sclérose des noyaux de Goll et de Burdach, au niveau du co
En résumé, il règne sur toute la hauteur des cordons postérieurs une sclérose très accentuée qui semble commencer au niveau d
vement, sinon complètement respectés. Dans les cordons latéraux, la sclérose s'étend de la région sacrée la région cervicale
rouvées sont celles que l'on ren- contre ordinairement, bien que la sclérose du faisceau de Turck ne soit pas signalée dans
i de l'opinion qui fait dépendre la Maladie de Fried- . reich d'une sclérose systématisée combinée de la moelle, opinion soute
sur lesquelles je ne reviens pas en détail. Je ne vois guère que la sclérose en plaques et les tumeurs cérébrales qui puisse
Se péut-il que, chez noire malade, nous ayons affaire à un cas de sclérose en plaques ? Certes, rien dans son cas ne rappe
de sclérose en plaques ? Certes, rien dans son cas ne rappelle la sclérose en plaques classique, avec son appareil symptom
ade, nous pourrions supposer, chez elle, l'existence des plaques de sclérose peu nombreuses, siège exclusive- ment encéphali
nous ayons affaire, chez elle, il une de ces formes irrégulières de sclérose en plaques, mais tel n'est pas mon avis. Rest
considérable et ancien du tissu conjonctif inter-fasciculairo, sans sclérose intra-fasciculaire, sans for- mations embryonna
eau du tissu interfasciculaire. Il semble donc qu'il s'agisse d'une sclérose conjonctive par atrophie simple. Les artères volu
ent) 1. Moelle de paralysie infantile (région cervic.ile). Foyer de sclérose au niveau de la corne gauche. 2. Moelle dans le
ralysie iiifititile (région lombaire inférieure). On voit un loyer de sclérose très étendu dans la corne gauche, plus discret
gion (postérieure, antéro-latérale), nous n'avons constaté trace de sclérose . Les différents groupes de fibres il myéline de
constata pas de diminution de l'une des cornes antérieures, pas-de sclérose : Il faut, dit-il, une attentive recherche, pour
u niveau de la région lombaire (méthode de Pal) un foyer arrondi de sclérose comprenant toute la parlie externe de la corne
e externe de la corne antérieure. Du côté opposé existe un foyer de sclérose circonscrit et plus central (Pl. XXXV,3). On
fantile. Atrophie simple de la corne antérieure d'un côté, foyer de sclérose de l'autre. Le diagnostic peut d'autant mieux se
e et à l'épilepsie. D'une part, on sait que les lésions cérébrales ( scléroses , porencéphalie, etc.) qui donnent les affection
47 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
son du petit nombre des plis de pas- sage. Il n'y a pas de foyer de sclérose . - Sur les doux faces, et principalement sur la
les, sans qu'il paraisse y avoir, au moins à l'oeil nu, de foyer de sclérose . V. Épilepsie idiopathique ; État de mal ; Mo
VI. Dans la majorité des cas d'épilepsie hémiplégi- que, due à la sclérose alrophique, l'intelligence se con- serve dans c
rd il n'y a pas eu autant de décès. Bourneville, Bicêtre, 1895. 7 Sclérose cérébrale hypertrophique ou tubéreuse, compliqu
compliquée de méningite ; Par BOURNEVILLE. Les observations de sclérose lt ill)ei-1 t-ol-)hiq tic ou tubéreuse sont enc
et un autre consigné par M. Jules Simon dans ses conférences Sur la sclérose (5) {iBouriieviLIcj.Sct'oc.htcrctttic des circo
t Bonnaire. - Idiotie complète ; vertiges et accès épilepti- ques ; sclérose tubéreuse des circonvolutions cérébrales (BII/i.
nal., 1881, p. 180) (Knf. Mor... Ch.). (4) Bourneville et Bonnuire. Sclérose tubéreuse ou hypertrophique des circonvolutions
ensuelle des maladies de l'enfance, 1883, p. 55, 1884, p. 1 et 100. SCLÉROSE CL.RÉ13RALE hypertrophique. 99 cérébrale de l'e
et J. Simon, M. II. Richardière a consacré un chapitre spécial à la Sclérose hypertro- phique dans sa thèse inaugurale (1).
n 1888, sur notre conseil, M. J. Thibal prit pour sujet de thèse la sclérose tubéreuse (2), ras- sembla toutes les observati
r nous en 1879. M. Thibal a essayé de tracer la noso- graphie de la sclérose hypertrophique, en passant successivement en re
),. : 3, s ! et so. (*2) Thibal (J ). Contribution à l'élude de la sclérose tubéreuse ou hyper- ., trophique du cerceau.
tion. 1895. - Cachexie progressive ; diarrhée ; mort. AUTOPSIE. - Sclérose hypertrophique ou tubéreuse méningite chronique
en quelque sorte, ce qui rend son voisinage insupportable : - 106 SCLÉROSE hypertrophique ET méningite. La parole est null
z Autopsie : état DES sutures.. 107 i Mesures de la tête. 108 . SCLÉROSE hypertrophique ET méningite. taie ascendante, à
les latéraux n'a. pas été sérieusement examinée. - 110 MÉNINGITE ET SCLÉROSE HYPERTROPHIQUE. seml)le-t-il, étaient en puissa
es de l'idiotie, indices d'un arrêt de développement congénital. La sclérose tubéreuse a-t- clle été la cause ou la conséque
go-cncéphalito seule, à peu près impossible quand elle est due à la sclérose hypertrophique, est ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 111
ue. Elle intéressait toutes les circonvolutions respectées par la sclérose hypertrophique. Elle était à peu près géné- ral
egré et de la répartition de la méningo-eneéphalite. Les îlots de sclérose hypertrophique étaient très inégalement réparti
sure de Sylvius. Les chiffres 1,2,3.... 91,1 indiquent les îlots de sclérose tubéreuse. BOURNEVILLE, Bicêtre, 9895. PL. I.
nvolution du corps calleux. Les chiffres correspondent aux îlots de sclérose tubéreuse. Bourneville. Bicêtre, 1895.. PL. Il.
., lobe occipital. Les chiffres i,i,3, etc., indiquent les ilots de sclérose hyper- trophique ou tubéreuse. Bourneville, B
. L.Q., lobe quadrilatère. L.O., lobe occipital. 1, 2, îlots de sclérose . Bourneville, Bicêtre, 1895. PL. IV. 244 Expl
48 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ité des membres inférieurs est devenue moindre; dans un seul cas de sclérose en plaques sont sur- venus des accidents. Les m
a. M. le Dr Hammond a noté aussi de l'amélioration dans un cas de sclérose médullaire antéro-latérale, et, dans deux cas, d'
tions, l'apoplexie cérébrale ; les lésions valvulaires du coeur, la sclérose du myocarde pouvant influencer la dyspnée, la t
esse et l'accouchement : enfin les maladies de la moelle telles que sclérose en plaques, tabes, maladie de Friedreich, la my
dans quelques affections nerveuses {ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agitante). Volu
circonvolu- tions. Et parmi celles-ci nous laisserons de côté les scléroses lobaires, les -scléroses tubéreuses, étudiées d
armi celles-ci nous laisserons de côté les scléroses lobaires, les - scléroses tubéreuses, étudiées dans ces derniers temps pa
d'ailleurs fréquente. Enfin nous rap- porterons une observation de sclérose à petits foyers miliaires, chez un épileptique
rise que nous étudions et les états plus marqués de kystes, et de sclérose lobaires, de porencéphalies que l'on voit égale
et s'il trouve un point commun à ces deux maladies ce n'est que la sclérose artério-eapillaire, qu'on rencontre souvent ici
pu guérir des hémiplégies cérébrales ainsi que des myélites et des scléroses en'plaques. AI. GASCARD étudie l'INFLUENCE DE l
dans quelques affections nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie 320 BULLETIN BI
RISE. 337 I phère et se composent toujours des deux mêmes éléments, sclérose interstitielle etlésions des cellules pyramidal
ance blanche. La moelle cervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclérose de la substance blanche, les cornes prises sont
musculaires, qui, sous les coupes transverses, sont serrés et sans sclérose interstitielle. On note seulement une différence
rophie n'était point la LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 347 grande sclérose lobaire, c'était une atrophie partielle et que l'
un certain point, regarder comme une forme de^ transition entre les scléroses à grand foyer et les écroulements de la substan
es trois faits auxquels nous venons de faire allusion, une bande de sclérose fournie par du tissu conjonctif rubané, émané d
fférentes interpellations. On sait que f3atty Tuke ayant décrit une sclérose miliaire de l'écorce chez les épileptiques, à l
ombre d'autopsies ; on lui objecta, Plaxton entre autres, que cette sclérose miliaire n'était qu'une apparence due à l'action
ger embarras de la parole, et de la débilité mentale. A l'autopsie, sclérose cérébrale (les détails de l'obser- vation ont é
. Ces fibrilles conjonctives forment un véritable tissu fibroide de sclérose qui tranche vivement par son aspect sur le tiss
peut leur distinguer trois étapes : 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses ; 3° formati
'enfance ? Ce sont deux questions que nous ne pouvons trancher. Les scléroses lobaires que nous avons pu examiner à Bicêtre e
alté- rations névrogliques, la formation de véritables bandes de sclérose , pour qu'il ne puisse y avoir aucune erreur sur
. Atlas, livre 20, pl. III, livraison ve. Isambert et Robin. Cas de sclérose du cerveau dans l'idiotie. Soc. biologie 1851.
reuse infantile, Arch. Physiologie, r p. 51, 1885. Richardière. - Sclérose de l'encéphale chez les enfants. Thèse Paris, 1
rose de l'encéphale chez les enfants. Thèse Paris, 1885. Marie. - Sclérose infantile. Progrès médical, 1885. LÉSIONS DE LA
s nerveuses, Thèse agrég., 1886. Adamkiewicz. - Histogenèse de la sclérose . 59° congrès natu- raliste des médecins alleman
tout cas, Pitres les a rencontrés dans les dix observa- tions de scléroses bilatérales de la moelle épinière, consécutives
es troubles vaso-moteurs en particulier, relèvent directement d'une sclérose diffuse des cordons latéraux de la moelle. Cett
ent d'une sclérose diffuse des cordons latéraux de la moelle. Cette sclérose est essentiellement diffuse et s'étendait dans
titutionnel susceptible de pro- duire de la leplo-méninite ou de la sclérose diffuse de la moelle pourra, dans certaines con
début d'une atonie locomotrice vraie. On peut donc supposer que la sclérose a envahi d'emblée dans ce cas les fibres nerveu
s vasculaires, il n'y en avait que deux qui ne présentassent pas de sclérose des artères du corps, et, en particulier de la
baire chronique compliquée de para- lysie bulbaire supérieure et de sclérose des cordons postérieurs. Cas semblable à ceux d
ubérance, a déterminé l'ensemble des symp- tômes fondamentaux de la sclérose multiloculaire : parole scan- dée, nyslagmus, t
asion des mouvements in- tentionnels. C'est là cependant des cas de sclérose en plaques, dans lesquels ces symptômes font to
ns quatre grandes maladies : l'alaxie loco- motrice progressive, la sclérose en plaques, l'hystérie, la paralysie agitante;
, de la sensibilité, l'abolition des réflexes. L'hémiplégie dans la sclérose en plaques présente des attaques répétées, tran
difficulté dans certains cas de distinguer l'hémiplégie liée à la sclérose en plaques d'avec l'hémiplégie liée à la paralysi
roubles des facultés musicales chez les), par Kast,153. Artério - sclérose généralisée (état des vaisseaux rétiniens dans
49 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
remblement joint aux troubles de la parole, avait fait, songer à la sclérose en plaques. Observation III. - Intoxication sat
de la façon dont il parle. Il ne scande pas les mots comme dans la sclérose en plaques, il ne mange pas les syllabes comme
ant ceux qu'on observe dans les muscles chez les sujets atteints de sclérose en plaques. Tous les mouvements de la langue so
façon plus' uniformément traînante, ni les indi- vidus atteints de sclérose en plaques, qui scandent beaucoup plus régulièr
de la parole, qu'on observe dans la paralysie générale et dans la sclérose en plaques. Nous y avons déjà fait allusion bri
pieds et des mains ont pu faire songer chez Dr... (OBs. II) à la sclérose en plaques 1. Les commémoratifs, le mode de déb
i- tante); - 2° tremblement dans les mouvements volontaires (type sclérose en plaques) ; ;- 3° contractions anormales dans
ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA MOELLE ÉPIN1ÈRE 1 SI'1t1\GOIYI : LIE. SCLÉROSE COMBINÉE. MYÉLITE AIGUË) Par le Dr Xavten FRANC
partie supérieure de la moelle dorsale. Distribution des foyers de sclérose qui sont indiqués par le pointillé. - 48 - ANAT
vasculaires. Fig. 8. - Coupe de vaisseaux situés dans les foyers de sclérose . A, colo- ration par le picro-carmin; B, colora
modifi- cation semblable des vaisseaux : le centre des foyers de sclérose était occupé par un vaisseau assez considé- rab
r ou réaction DU TENDON DU masséter, en CE QUI CONCERNE UN CAS DE SCLÉROSE latérale amyotrophique avec CLONUS DU maxillaire
ment de dents convulsif s'ensuit. Cette réaction existerait dans la sclérose latérale amyotrophique (Beevoor), dans le spasm
com- pliquée decettelésion centrale, la paralysie, générale, et la sclérose en plaques. Or. l'autopsie révéla une gomme occ
ophie des cellules nerveuses de l'ecorce cérébrale et de la moelle. Sclérose médullaire primitive latérale et postérieure.
ibre lorsque les yeux élaient termes constituaient des symptômes de sclérose pos- térieure. 11 faut remarquer toutefois que
ois que l'observation du malade entraînait au delà du diagnostic de sclérose des cordons posté- rieurs et latéraux; les symp
la session de 1887 3. L'observation a élé publiée sous le titre de Sclérose en plaques (Berlin. Juin, Wo- chenschrcf't 1888
e la sensibilité; 5° tabès depuis vingt-trois ans, amélioration; G° sclérose en ,[ -)in bibliographie. plaques, diminution
ettement à l'occasion des mouvements, il est naturel de songer à la sclérose en plaques, dont la trépidation pré- sente les
facile de l'éliminer. M. Charcot, qui a tracé du tremblement de la sclérose en plaques une description magistrale, parvient
nous a permis de conclure que notre malade n'est point atteinte de sclérose en plaques. Le tremblement en effet, s'il se pr
er un tremblement au type de la paralysie agitante ou à celui de la sclérose en plaques. Ici, les deux maladies doivent être
e proportionnellement à l'intensité de la contraction, imprime à la sclérose en plaques son cachet spécial. - Enfin, le trem
sure que le doigt approche du but déterminé comme il arrive dans la sclérose 'en plaques. Ici- le mouvement augmente - bien
ullaires et' des petits îlots disséminés, plus ou moins étendus, de sclérose périvasculaire. Ces lésions ne me paraissent pa
pas aussi banales qu'à De- mange. Je verrais volontiers dans cette sclérose médullaire d'origine artérielle, lorsqu'elle se
p à la trépi- . dation,,épileptoïde,qui se développe à la suite des scléroses sys- tématiques des faisceaux pyramidaux. Ils o
Le tremblement intentionnel a les mêmes caractères que celui de la sclérose en plaques. - Dans un mémoire récent, sur leque
iole, qui pourrait bien être un tremblement hystérique à forme de sclérose en plaques. Vous voyez, que le tremblement hysté-
ai fait plus haut : le type de la paralysie agitante, le type'de la sclérose en plaques, le type du -tremblement sénile. Nou
e agitante. La deuxième comprend le tremblement sénile, celui de la sclérose en plaques et les oscillations de la maladie de
hystérique de Charcot chez laquelle on trouva, à l'au- topsie, une sclérose des cordons latéraux. Vous entrevoyez de la sor
nique consistant dans la présence d'une tumeur ou d'une plaque de sclérose . Il peut se faire, enfin, que la lésion, purement
l'as- phyxie par le charbon pouvait provoquer l'apparition d'une sclérose en plaques. C'est bien l'agent toxique qui est
res non saillantes dans les deux hémisphères, mais surtout à gauche Sclérose tubéreuse de Bour- neville, multiloculaire, occ
de seconde moelle annexée en quelque sorte à la première. Foyers de sclérose et de myélite concomitants. Si l'on résume les
dans quelques affections nerveuses (ataxie locomolrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agitante). Volu
anches hors texte. Napoli, 1890. Tipografico Tocco. PILLIET (A.). Sclérose et atrophie des glandes gastriques. Bro- chure
oyers corticales ou médullaires. La seconde appartient surtout à la sclérose en plaques. Ces deux genres s'observent égaleme
dans quelques affections nerveuses (atnxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie, paralysie agilanle). Volu
complication spéciale de la -, par Grinion et Parmentier, 145. Sclérose EN PLAQUES, par Bruns, Berkhan, 112. SENS mus
50 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
n qui 38 MAItlNESCO, PARHON ET MINERA est restée, on remarque une sclérose très prononcée avec dégénérescence du tissu con
ature lymphatique. L'hypophyse présente à la périphérie un foyer de sclérose sous-capsnlaire et dans la partie moyenne de la
ue intéresse le tissu parenchymateux, on n'observe pas une phase de sclérose . En ce qui concerne la substance médullaire, nos
ans la solution de formol (10 0/0). Au microscope on constata une sclérose très manifeste de la glande. Le tissu conjoncti
sant 40 gram- mes, était infiltré de sels calcaires, présentait une sclérose très avancée et des altérations atrophiques des
ions scléro-graisseuses du foie et des reins, une hypertrophie avec sclérose assez développée du corps thy- roïde et une hyp
rps thy- roïde et une hypertrophie considérable de l'hypophyse avec sclérose asso- ciée.De plus ce dernier organe présentait
ts un aspect carti- lagineux L'ensemble de la glande est atteint de sclérose très accusée. Les nerfs périphériques (médian,
ève aucune lésion des fibres myéliuiques. Rate. - Elle présente une sclérose très appréciable. Reins. On ne relève aucune al
titution normale. Ovaires. - Les ovaires sont atteints d'une légère sclérose diffuse, la couche musculaire est très diminuée
une altération apparente. Les lésions des ovaires consistent en une sclérose diffuse avec disparition de la couche ovigène ;
osseuse ou arthrilis ankilopoetica de Ziegler ». Enfin, il y a une sclérose des capsules et des tissus périarticulaires secon
de 7 à 14 ans.Mais il est remarquable qu'on ne trouve pas, sauf la sclérose des vaisseaux, de changements relativement plus g
ations devenues très amples don- nent aux mouvements l'allure de la sclérose en plaques. xxiv 22 338 ETIENNE ET GELMA Ce
atologie était faite d'éléments par- kinsoniens et d'un syndrome de sclérose en plaques, sur un terrain hysté- rique. Il e
ha- lo-médullaires. Telle est la myélite dont la conséquence est la sclérose de la moelle ; telle est la lésion destructive
ar le tissu inflammatoire de la leptoméningite environnante et leur sclérose consécutive. Donc, comme nous l'avons déjà dit,
rouvons les \aisseaux absolument normaux ; il n'existe pas trace de sclérose et rien qui puisse éveiller l'idée de troubles ci
On ne constate pas non plus ici de mul- tiplication vasculaire avec sclérose des tissus, fait anatomique qui pour- rait être
développement du processus myélitique, ayant eu pour conséquence la sclérose et la rétraction des tissus, cette dernière, s'ad
ar seul un examen histologique pour- rait nous permettre de nier la sclérose des cartilages de conjugaison. Sans doute, notr
permet pas d'éliminer une affection intrautérine, ayant produit une sclérose des cartilages, une cicatrice indé- lébile, mai
, Kassowitz, Spillmann, Porak et Durante, ont toujours montré de la sclérose . Les examens récents, très peu nombreux, n'ont
t jamais, à notre connaissance, 376 REBATTU , établi l'absence de sclérose . Il serait également à désirer que de pareils e
ant en faveur de l'achondroplasie dite physiologique. Lorsqu'il y a sclérose , on est en droit de penser à une maladie infectie
roissance, comme le testicule et l'ovaire. D'ailleurs, l'absence de sclérose ne permet pas d'éliminer une affection, ou au m
Gandy, Brissaud et Bauer, Claude et Gounerot, montre simplement une sclérose plus ou moins marquée; il faut signaler toutefo
xte qu'à l'autopsie on aura trouvé un degré plus ou moins marqué de sclérose au niveau de plusieurs glandes endocrines ? Pou
les glandes endocrines présentaient toutes de l'hypoplasie et de la sclérose ,seule la thyroïde atro- phiée contenait des fol
t que 7 grammes et était le siège d'une inflammation nodulaire avec sclérose intersti- 422 CORDIER ET REBATTU tielle très
roïde pèse 7 grammes, et au microscope présente de larges bandes de sclérose et inflammation nodulaire subaiguë ; ni bacilles
monaires cavitaires ; la thyroïde pèse 12 grammes . et présente une sclérose diffuse très marquée avec follicules tuberculeux.
Hôp. de Paris, 7 décernée 1908. Infantilisme tardif de l'adulte; sclérose atrophique de la thyroïde avec enflamma. tion n
hyroïde. La thyroïde est scléro-atropliique, profondément lésée. La sclérose inter et intralobulaire est très marquée, adulte,
uée, adulte, peu cellulaire sans nodule ni traînées cellulaires. La sclérose pénétrant à l'intérieur des lo- bules devient i
normal, mais la résorption ne semble pas se faire. Ces lésions de sclérose et d'atrophie semblent un peu plus marquées encor
dienne et mal délimitée des acini thyroïdiens. Dans cette masse, la sclérose est intense, compacte, dissociant des traînées
e confondant avec les lobules thyroïdiens ou de thyroïde en voie de sclérose atrophique. Les lésions sont en tous cas très mar
t lésés, difficiles à reconnaître, noyés dans une masse compacte de sclérose fibreuse adulte pauvre en cellules. Les quelq
trouve plus qu'une masse scléreuse, pleine, qui se confond avec la sclérose interlobulaire et qu'on ne reconnaît qu'à sa fo
nt donc encore plus intenses que dans le cas Claude-Gougerot, où la sclérose intertubulaire était peu prononcée, où l'on retro
reux. Mais les lésions des tubes séminipires sont identiques : même sclérose de la paroi fubulaire, même dégénérescence et t
e atrophique. La capsule conjonctive est épaissie, fibreuse. La sclérose à l'intérieur de la glande est diffuse, mais inég
ervé un volume presque 1101'- mal. Dans la corticale atrophiée la sclérose est formée d'un lacis de fines fibrilles avec d
lot d'hyperépinéphrie. La couche réticulaire est moins atteinte, la sclérose y est plus déliée, les capillaires y sont souve
quelques très rares spongiocytes. La médullaire semble peu lésée : sclérose légère diffuse, cellules rétractées. La veine c
é, et sur certains segments enlrans- formation scléro-adipeux. La sclérose est mono et périlobulaire, intralobulaire et péri
éoles où sont amassées les cellules nobles. Suivant les régions, la sclérose est inégale ; au centre et ? une des extrémités
. Le foie est peu lésé : Un peu de périphlébite et une ébauche de sclérose portale insulaire, stel- laire, fibrillaire et
gestionnée et légèrement scléreuse. Capsule fibreuse très épaissie. Sclérose vasculaire et strictement périvascu- laire. Fol
exceptionnels. Les reins sont atteints de néphrite scléreuse. La sclérose est diffuse, intertubulaire, nette, mais peu inte
51 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
Il doit se faire dans ces cas une lésion artérielle productrice de sclérose et lorsque le tissu conjonctif est formé, l'iod
yé- lopatiliques (atrophie musculaire progressive de Duchenne-Aran, sclérose latérale amyotrophique). Il n'y a là qu'une ano
culaire : un mus- cle gros et dur, mais impuissant. D'ailleurs la sclérose n'a pas seulement évolué au niveau des deltoïdes,
rent qu'imparfaitement avec l'idée d'une hémiplégie par atrophie ou sclérose cérébrale. Ce n'est pas ainsi, nous l'avons vu pl
subi ni multiplication ni hypertrophie : nulle part il n'existe de sclérose névroglique. Par place seu- VI. 7 F1G 5. Même
de leur appliquer. C'est ainsi que beaucoup d'auteurs confondent la sclérose atrophique lo- tre du cerveau par lésions en fo
onnaireeracyclopé- dique sur l'hémiplégie spasmodique infantile. La sclérose et l'atrophie cé- rébrales sont en effet des pr
Z LES ENFANTS 11l des cas décrits par M. Jules Simon sous le nom de sclérose cérébrale chez les enfants. A part une question
able. La consistance paraît augmentée ; il existe manifestement une sclérose diffuse étendue à toute la surface de la coupe,
ophiée. Il existe, dans la substance blanche de larges territoires de sclérose , Fig. 15. Coupe de la moelle dorsale, au niveau
de la lésion, colorée par la méthode de Veigert. a) Grand foyer de sclérose occupant les cordons postérieurs et les cornes
x à parois énormes. Le sillon mé- dian a disparu. b) Petit foyer de sclérose occupant le cordon latéral gauche. c) Région de
ie-mère. Dans tout le reste delà subs- tance blanche, il existe une sclérose diffuse, mais moins intense. Une petite ré- gio
ressées des deux côtés. A gau- che, la corne envahie par la zone de sclérose qui occupe les cordons postérieurs est méconnai
ucture et de coloration de la paroi vasculaire conjonctive et de la sclérose ambiante névroglique. Dans quelques coupes, la
eurs points. Dans ces régions il existe alors de véritables nappes de sclérose conjonctive vraie. La destruction des élément
ment à la périphé- rie du territoire malade, dans les parties où la sclérose est moins avaucée, c'est-à-dire vers la région
e, on voit encore quelques tubes nerveux en voie de destruction. La sclérose n'a plus l'apparence fibrillaire que nous venons
diminuant graduellement jusqu'à la région dorsale infé- rieure. La sclérose diffuse de la région postérieure de la moelle s'a
de la lésion. Dans la région cervicale, la lésion importante est la sclérose systématisée des cordons de Goll.. Mais il exis
sée des cordons de Goll.. Mais il existe en outre un léger degré de sclérose marginale, qui intéresse principalement les cor
eur de il 3 racines dans la moelle dorsale supérieure, présente une sclérose diffuse delà substance blanche, dont l'origine
sus pathologique. L'origine nettement péri-vasculaire des foyers de sclérose dans le tissu médullaire lui-même montre bien la
E SYPHILITIQUE 175 vasculaires. La moelle elle-même nous montre une sclérose névroglique avancée que l'on pourrait désigner
e une sclérose névroglique avancée que l'on pourrait désigner comme sclérose méningo-vasculaire, à ne considérer que sa répa
e méningo-vasculaire, à ne considérer que sa répartition : îlots de sclérose isolés autour des petits vaisseaux, bandes de s
n : îlots de sclérose isolés autour des petits vaisseaux, bandes de sclérose le long des travées conjonctives, taches de sclé-
alogues. Même processus dans les racines spinales ; sauf ici que la sclérose consécutive présente les ca- ractères de la scl
auf ici que la sclérose consécutive présente les ca- ractères de la sclérose conjonctive vraie. Sans doute y a-t-il lieu de
es atrophiées. Le cordon latéral correspondant était le siège d'une sclérose très avancée, au point que tous les éléments nerv
ion aussi complète des éléments nerveux dans les autres variétés de sclérose médullaire. D'épais tractus conjonctifs servant d
ersaient ce cordon sclérosé. Au môme niveau d'ailleurs existait une sclérose diffuse de toute la moel- (1) CHANCIT et GOMIIA
e rabbin de Tétouan, vint, pendant plusieurs mois, faire traiter sa sclérose en plaques. Il arrivait tous les jours, ponctuell
surprendre ici plutôt que dans telle hépatite sclé- reuse, ou telle sclérose syphilitique du testicule. Nous avons affaire d'a
oupe confus des maladies de la moelle non différenciées, il sort la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyolrophique
de la moelle non différenciées, il sort la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyolrophique (maladie de Charcot), les
deux membres supérieurs. Ces réflexes sont aussi forts que dans la sclérose latérale amyotrophiquola mieux confirmée. Il n'
on du pigment, au milieu duquel ap- paraît la couleur blanche de la sclérose . La réaction pupillaire est normale autant à la
52 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
,lcs états compulsifs ne seraient que des phéno- mènes de rappel de scléroses cérébrales, ne se traduisant clini- quement. pa
crète. - Il est probable que le début de la lésion qui aboutit à la sclérose et à la destruction de la voie sensitive médull
aisserait penser àunesclérose latérale amyotrophique commençante. Sclérose latérale amyotrophique. 31. 110JESVNIICOFF rapp
tionnement normal du névraxe. Mais dans les cas d'atrophie acquise ( sclérose , etc.), unilatérale, et d'ailleurs limitée, rap
que général sont d'être : 1° Primitive, comme dans le tabes et la sclérose en plaques ; 2' Incomplète, et c'est (1) Baux e
uses. b) La prolifération des fibriles névrogliques détermine des scléroses . ,La sclérose sénile est toujours modérée; elle
rolifération des fibriles névrogliques détermine des scléroses. ,La sclérose sénile est toujours modérée; elle est diffuse,
forme et présente des sièges de prédilection; on observe surtout la sclérose souspie-mé- rienne, la sclérose périvasculaire.
prédilection; on observe surtout la sclérose souspie-mé- rienne, la sclérose périvasculaire.Onvoit quelquefois une sclérose
pie-mé- rienne, la sclérose périvasculaire.Onvoit quelquefois une sclérose miliaire de l'écorce cérébrale qui parait être en
scence graisseuse ne semble ni très fréquente ni proportionnée à la sclérose des petites artères. 4° Toutes les lésions en
est peut-être une cause prédisposante. Ces lésions sont : 1. Des scléroses périvasculaires et « paravasculaires » ; cette
tre sous la dépendance directe des altérations des vais- seaux. Les scléroses diffuses et les atrophies nerveuses de la sénil
araplégies médullaires spasmodiques vraies s'observent soit dans la sclérose combinée sénile, soit peut-être dans quelques c
ns la sclérose combinée sénile, soit peut-être dans quelques cas de sclérose plus ou moins diffuse, d'origine vasculaire ou
naître aussi pour cause déterminante l'état vermoulu ou surtout la sclérose miliaire de l'écorce cérébrale : dans les 5 cas
on état. Ces diverses variétés de troubles mentaux de l'artério - sclérose s'accompagnent d'un plus ou moins grand nom- br
d'un plus ou moins grand nom- bre de signes somatiques de l'artério sclérose cérébrale ou généralisée (cardiaque, aortique,
ilité.et s'agit d'organes qui sont des émanations cérébrales,que la sclérose frappe au même titre que le cer- veau et parfoi
t L la réalité de cette réaction névroglique toujours intense. La sclérose des séniles se présente sous deux aspects très di
ne temporale gauche plus scléreuse. Le caractère essentiel de cette sclérose diffuse est de ne pas aboutir à la formation la
éniles, celles qui a été plus spécialement visée dans le rapport,la sclérose n'est pas aussi diffuse ; elle s'organise par p
nt des figures arthrocytaires. disparition des noyaux. La plaque de sclérose est mûre ; elle va s'effri- ter et la lacune co
moi, au niveau de l'é- pendyme. On y voit se former des plaques de sclérose sous- épendymaire qui se détachent et tombent d
intenant de faire une tentative de superposi- tion, je dirai que la sclérose diffuse correspond à la démence sénile avec exc
tinct. Les paraplégies myélopathiques reconnaissent pour cause la sclérose polyfasciculaire de la moelle. MM. Lejonne el L
e de paraplégie. 11 peut évidemment exister chez les vieillards des scléroses médullaires polyfasciculaires sans paraplégie,
émi ni paraplé- gie : ce n'est pas là un argument pour refuser à la sclérose polyfasciculaire, pas plus qu'on ne la dénie au
s des cellules spinales des cornes antérieu- res coexistant avec la sclérose des cordons postérieurs, tan- tôt à l'exagérati
des troubles des autres glandes sécrétion interne. 1. T. VIII. - Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclé- ros
905, n° 5.) Observation intéressante par l'étiologie (les signes de sclérose ont débuté à la suite du choléra) et par l'asso
asmodique qui tient à la fois de la maladie de frite. dreich, de la sclérose en plaques, de l'ataxie cérébelleuse, de la par
érations profondes qui existent dans cette maladie..1. S. XXXVII. Sclérose en plaques expérimentale par les toxi- nes aspe
plus rapide et il y avaitdel'hyperthémie.Le diagnostic hésita entre sclérose en pla- que et tumeur du cervelet jusqu'à ce qu
nor- maux, soit avec tendance à la prolifération évoluant vers la sclérose . Les vaisseaux sont en partie perméables, à paroi
roubles cardiaques. L'autopsie révéla une myocar. dite intense avec sclérose interstitielle. Ce cas peut être rapproché de c
n outre de deux petits kystes, il y avait une atrophie notable avec sclérose du lobe glandulaire. Les auteurs font remarquer
<t'in'stero-tahes combinés, rentrant dans ce que Crouzon appelle sclérose combinée avec association do symptômes spasmodi
point de départ d'affections en ap- parence systématiques comme la sclérose latérale amyolrophi- que. Elle réalise probable
probablement à elle seule certains cas de sclé- rose combinée ou de scléroses en plaques. Cette méningite peut résulter d'une
clut à une influence réciproque : observation de Dupré - cérébro- scléroses l'rnolade, rôle de la tuberculose dans l'idiotie,
TABLE DES MAI 1 ERES. spasmodique, par Noica, p. 171 1 - . Voir Sclérose . Mommsen. Quelques détails sur les cerveaux d
- ,par Boinet, p. 388. Scarlatine. Voir Confusion men- tale. Sclérose latérale amyotrophi- que, par Kojesvmhoff, p. 4
53 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es antérieures, les contractures et les raideurs articulaires à une sclérose des cordons latéraux, les altérations plus ou m
ien/ nets des 'faits ordinaires' de myélite diffuse chroniquecou de sclérose combinée. » · l " j. " ,l' ; i f JI. . Paraly
in, tremblent moins. La malade actuelle présente les signes de la sclérose en plaques. L'examen du frère de la malade décèle
omyélite antérieure (observation de Sceligmulkes), sur le tabes, la sclérose en plaques, l'atrophie mus- culaire progressive
te sur la nécessité de différencier nettement la poliomyélite de la sclérose amyotrophique. L'atrophie partielle des fibres
idaux. Or, une lésion de ceux-ci est la conditio sine qua non de la sclérose amyotrophique. Quant au défaut de parallélisme
syndrome de Weber, la syphilis cérébrale, les formes frustes de la sclérose en plaques. Ce volume, publié par les soins de
L. V. Contribution A la topographie DES LÉSIONS BULBAIRES dans la sclérose latérale A3LTOTROPIIIQUE ; par il. IIIUR : 1TOFP.
externe, de loculomoteur commun. B. Dans la substance blanche. 1° Sclérose du faisceau pyra- midal dans toute son étendue;
aux D'ORIGINE, pour faire SUITE A UN cas de paralysie bulbaire avec sclérose latérale AMYO- trophique; par P. KnoNTDAL. (Neu
atrophie simple des cornes grises antérieures de la moelle; légère sclérose des faisceaux radiculaires antérieurs ; hypertr
loin en demi-lune ou en un ovoïde arrondi. P. K. XXVI. UN cas DE SCLÉROSE EN plaques cérébrospinale chez l'enfant, avec r
eures comme dans la paralysie infantile, ou plus justement comme la sclérose latérale amyotrophique, avec absence presque co
a sclérose latérale amyotrophique, avec absence presque complète de sclérose des faisceaux blancs. Au point de vue des lésio
variété des atro- phies chroniques des cellules nerveuses comme la sclérose latérale amyotrophique. Discussion : M. Raymo
D'autre part, la forme de trouble mental qui accompagne la forme de sclérose systématique intéressant tout le système psycho-
chez les « microcéphales. » Les lésions décrites, hydrocé- phalie, sclérose , etc., « coïncident, dit-il, avec la synostose pr
itent du tabes dorsal spasmodique, de la paralysie infantile, de la sclérose en plaques, de la maladie de F1'Íed1'eich, des sc
tile, de la sclérose en plaques, de la maladie de F1'Íed1'eich, des scléroses combinées, et de la sclérose latérale amyotroph
s, de la maladie de F1'Íed1'eich, des scléroses combinées, et de la sclérose latérale amyotrophique, en somme de presque tou
daux, et il en donne une description complète. Il étudie ensuite la sclérose en plaques dont l'origne infectieuse ne lui par
» par cer- tains auteurs sur la nature purement neurologique de la sclérose spinale dans l'ataxie héréditaire. Il propose
ns l'ataxie héréditaire. Il propose une classification nouvelle des scléroses combinées, et, dans d'intéressantes remarques s
tration de l'opinion qu'il professe sur l'origine vasculaire de ces scléroses . L'étude de la paralysie infantile permet ensui
tte maladie avec l'hémiplégie cérébrale infantile. L'histoire de la sclérose latérale amyotrophique termine le volume : nous y
s accès épileptiformes seraient-ils la première manifestation de la sclérose disséminée ? Il n'y a aucun symp- tôme de cette
convulsions limitées au bras gauche furent l'unique symptôme de la sclérose en plaques dont le tableau complet se développa
ont le tableau complet se développa plus tard. Mais ce fait d'une sclérose en plaques, maladie éminemment diffuse qui se man
des équivalents d'accès comitial ? Manifestations céphaliques d'une sclérose en plaques au commencement ? Ebauchess d'attaqu
mais précédé, que je sache, par la diplopie : pour ce qui est de la sclérose à plaques, tous ses phénomènes sont absents ici,
e ophtalmique avec l'hystérie. (Th. de Paris, 1891.) 53. Charcot. Sclérose en plaque et paralysie générale. (Leçons à la S
ieures'. j. RECUEIL DE FAITS SYNDROME HYSTÉRIQUE SIMULATEUR DE LA SCLÉROSE EN- . PLAQUES, par le Dr A. Cochez, Ancien
pital de Mustapha. Bien que les observations d'hystérie simulant la sclérose en plaques ne soient pas rares, (Charcot, Rendu
ot-Debove, l'état mental des hystériques. SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 47-1 d'Alger). G... (John), quarant
t des phrases écrites (pas de cécité ver- SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 473 baie) et répond d'abondance par
erte et balaie le sol (démarche de Todd). SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 475 L'occlusion des yeux ne parait
ymptômes divers présentés par le malade pouvaient faire songer à la sclérose en plaques : vertiges, attaques apoplecti- form
rappelle que de très loin la parole scandée des malades affectés de sclérose multiloculaire. Enfin, à propos du trem- blemen
maladies organiques du système ner- veux, et en particulier avec la sclérose en plaques, ne sont pas rares, et recherchons s
t exclusivement imputables à l'hystérie. Il est facile de mettre la sclérose en plaques hors de cause, car nous ne trouvons
oïdes et spasmodiques dans toutes les extrémités, on constatait une sclérose des cordons laté- raux, des pyramides jusqu'à l
élite chronique et des lésions systématiques de la moelle. Entre la sclérose , la dégénérescence grise et le tissu granulo-gr
re, il n'y a aucune différence au fond. Ces trois formes sont de la sclérose . C'est l'atrophie des fibres ner- veuses à myéh
autopsie révèle l'existence de lésions scléreuses. D'autre part, la sclérose dans la moelle se propage exactement comme la m
Grasset et C1STAN. - Des associations hystéro-orgauiques. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associées avec autopsie. B
on chez les -, par P. Ja- net, 448; - syndrome -, simu- lateur de sclérose en plaques, par Cochez, 470. IDIOTIE, traitem
est elle un type distinct, par Leroy, 18. Paralysie BULBAIRE avec sclérose latérale amyotrophique, par Kron- thal. 260.
ale et pénale devant l'expertise médico-légale, par Semai, 484. SCLÉROSE latérale AIIYOTROPIIlQUEpar Muratoff, 259; - pa
Muratoff, 259; - paralysie bul- baire avec -, par Kronthal, 260. SCLÉROSE EN plaques, cérébro spi- nalechez l'enfant, par
54 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ence graisseuse de leur con- 62 CLINIQUE NERVEUSE. tenu. En somme sclérose ot dégénérescence graisseuse des ganglions. N
. ' Après avoir étudié, analysé le diagnostic différentiel entre la sclérose en plaques, et une psychose com- binée à une né
nourrice. P. K. VI. UN cas DE paralysie progressive, compliquée DE sclérose LATÉ- RALE AMYOTROPIIIQUE; par ZACHER. (Neurol.
. Archives, t. XV. 9 130 SOCIÉTÉS SAVANTES. croscope décèle une sclérose diffuse des circonvolutions cérébrales por- tan
nerveuses subissent en même temps la régression : re- coquillement, sclérose avec perte du noyau, tuméfaction homo- gène, fi
de ces lésions plusieurs fois et démontrer que c'est toujours à la sclérose se- condaire ou primitive de ce système bulbo-s
s lésions peuvent-être ramenées à une hypertrophie du ganglion avec sclérose , altérations cellulaires consistant tantôt en u
s trouvé dans la paralysie générale une pigmentation marquée et une sclérose des ganglions du sympathique, et il n'est pas é
aso-motrice avec diapédèse; pas d'autre altération, sauf une légère sclérose des cordons blancs de la moelle. Il trouve une
ns les attaques apoplec- tiformes de la paralysie générale ou de la sclérose en plaques; dans l'état de mal épileptique ou é
n, avril 1887, p. 54.) A. 11.10uLT. CORRESPONDANCE GUÉRISON DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES Nous avons reçu de M. Catsaras la le
vant confrère, « A la fin de mon travail : « De la curabilité de la sclérose en plaques-», qui a paru dans les Archives de N
ce progressive persistant pendant dix ANS. A l'autopsie, absence DE sclérose DES cordons postérieurs DE la moelle épinière;
tence d'une lésion habituelle, toujours semblable à elle-même : la sclérose systématique des cordons pos- térieurs de la mo
mployait indifféremment pour désigner la même affection les mots de sclérose des cordons posté- rieurs ou d'ataxie locomotri
ndant leur vie aucun des symptômes caractéristiques du tabes, des scléroses évidentes des cordons postérieurs. D'autres 'Du
eux du tabes, des altérations des cordons postérieurs autres que la sclérose sys- tématique, par exemple, des tumeurs ou des
se sys- tématique, par exemple, des tumeurs ou des îlots étendus de sclérose en plaques. Les laits de ce genre n'ont pas d'i
es; elles s'accompagnent d'autres symp- tômes. Et voilà comment des scléroses non douteuses des cordons postérieurs peuvent ê
. Krücke a, Lôwenfeld3, Bernhardt', Pribram', etc., etc. Mais les scléroses des cordons de Goll et les névrites périphériqu
liens conservés. Mort de pleurésie tuberculeuse. Autopsie. Pas de sclérose de la moelle. Pas d'atrophie des racines postér
culaires externes, en particulier, rien n'indique l'existence d'une sclérose confirmée ou d'un début d'altération scléreuse.
expérimentés, ayant posé, durant la vie du malade, le diagnostic de sclérose en plaques ou de paralysie bulbaire progressive
ie cérébrale, que l'état malades atteints de paralysie générale, de sclérose en ' Voir à ce sujet : Westphal, Ueber eiize ?
t. VIII, 1833) ; J. Babinski, Etude analonzique et clinique sur la sclérose en plaques (Th. doct. Paris, 1885); Oppenheim, Ue
ndants; dans l'observation suivante, nous verrons encore figurer la sclérose des cordons postérieurs, mais ce n'est plus che
es de la moelle épi- nière n'y figurent que très rarement, seule la sclérose des cordons postérieurs fait exception à cette
! 0 ! ? 'ec)'acee. Quelques adhérences pie-méi,ienizes atrophie et sclérose du lobe cérébelleux gauche;-inégalité de poids
ui paraissent se rapprocher le plus de l'athé- tose double, sont la sclérose en plaques, l'alaxie locomotrice, l'ataxie héré
taxie héréditaire et la chorée. Dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques, on observe des troubles de la vue :
s, les attaques apoplecliformes qui sont assez fréquentes dans la sclérose en plaques ne paraissent pas se rencontrer dans
muscles de la face qui n'existent pas, chez les malades atteints de sclérose en plaques et tandis que les troubles de'la parol
et tandis que les troubles de'la parole vont en s'aggravant dans la sclérose en plaques, ils restent stationnaires dans l'at
RECUEIL DE FAITS. la bouche : à partir du début de l'acte, dans la sclérose en pla- ques, le tremblement va sans cesse en a
. Enfin, le tremblement s'aggrave de plus en plus à mesure que la sclérose en plaques fait des progrès, tandis qu'il reste l
eut diminuer chez les malades atteints d'athétose double. Dans la sclérose en plaques, on note au début une parésie affect
e des deux affec- tions n'est pas la même; d'une façon générale, la sclérose en plaques tend à s'aggraver de plus en plus po
t. XIII, p. 217); le mémoire très intéressant de M. P. Marie sur la Sclérose en plaques chez les enfants (Revue de médecine)
e (mydriase gauche). Un peu de parésie faciale gauche. Diagnostic : sclérose en plaques. Une plaque occupe l'ap- pareil réfl
HO;(et aphasie sen- sorielle), par Rosenthal, 111; (compliquée de sclérose latérale amyotrophique), pal' Zachrr, 1 JO. P
ciatique (déformation du Ironc cau- sée par la), par Babinski, 1. Sclérose en plaques (guérison delà), par Catsaras, 333.
55 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inus et du massage. G. D. V. DE la GLYCUSOUIE ET DU diabète dans la SCLÉROSE EN plaques ; par le Dr H. RICH.1BDIÉRE. (Rev. d
Des observations publiées dans ce travail il ressort : 1° que la sclérose en plaques par ses localisations sur le plancher
araplégie urinaire névrite aiguë progressive névrite dégénéra triée sclérose multiloculaire myélite aiguë transverse l'auteu
ditaire. Ils ont noté les mêmes symptômes, ressemblant à ceux d'une sclérose multiple type, chez les membres de deux générat
ce blanche. (New-York médical Journal, 2 avril 1887.) SoREL. XVI. SCLÉROSE OU dégénérescence spinale CONSÉCUTIVE A DES lés
et de la capsule interne du côté droit, ainsi que du noyau caudé : sclérose de la colonne latérale gauche de la moelle. O
e de la moelle du côté opposé. Dans la majorité de ces deux cas, la sclérose ou la dégéné- rescence descendante consécutive
. Ces fibrilles conjonctives forment un véritable tissu fibroïde de sclérose qui tranche vivement par son aspect sur le tissu
PSIE PROCURSIVE. 247 trois étapes : 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses; 3° formatio
inale aiguë de l'adulte. 4° Amyotrophies spinales deutéropathiques ( scléroses latérales amyo- trophiques). 5° Type scapulo-
est-elle secondaire à une pachyméningite spinale par exemple, à une sclérose des faisceaux postérieurs, à une myélite centra
ne hydromyélie ou syrin- gomyélie, à une tumeur intra-spinale, à la sclérose en pla- ques, etc., etc., elle engendre alors u
etc., elle engendre alors une amyotrophie spinale deuteropathique ( sclérose latérale amyotrophique) . Faisceau DE l'hémiane
' Grasset.- N ? clu syst, nerv., 1886, p. 551. 8 Gombault. De la sclérose latérale amyotrophique. Th. Paris, 1877. Floran
s l'une de l'autre, ou au contraire entrer en combinaison : » 1° la sclérose fasciculée systématique médiane ou sclé- rose d
ystématique médiane ou sclé- rose des cordons de Goll, consécutive ( sclérose ascendante) ou primitive et à symptomatologie m
ascendante) ou primitive et à symptomatologie mal déterminée; 2o la sclérose fasciculée systénaa- tique latérale des cordons
rose fasciculée systénaa- tique latérale des cordons postérieurs ou sclérose des bandelettes extei,- nes deutéropathique ou
la maladie. Elle peut se trouver accom- pagnée dans la suite par la sclérose et l'atrophie des régions voisines. Aux douleur
eurs fulgurantes, expression symptomatique de la localisation de la sclérose aux bandelettes externes, succède ordinairement l
ornes et des libres radiculaires postérieures; la parésie révèle la sclérose de la zone radiculaire externe des racines rachid
Enfin, rien ne change dans l'aspect général de la maladie quand la sclérose envahit les cordons de Goll. ' Nous avons pu vo
sourcilière ; 2° aux caractères pathologiques : l'épaisseur et la sclérose crâniennes, la solidité des sutures, la petitesse
tze d'un malade chez lequel Erb avait diagnostiqué durant sa vie la sclérose amyotrophique latérale. Je n'ai pas l'intention
t Epilepsie mit Zwaczgs-Beweguzzgezz und tt'aK[)0 ? M ? ! yf';t und Sclérose cizzer A'e ? t ! 'r7t ? eM ? tfB;'e. (Vir- c/&l
pie-mère de la convexité. Adhérence de la corne droite postérieure. Sclérose et atro- phie de l'hémisphère droit du cervelet
ligieuses résultant de sa profession. A Y autopsie, on constata une sclérose ati-ophi(jte de hémisphère cérébelleux droit, l
du ventricule latéral gauche ne présentaient aucune ano- malie. La sclérose cérébelleuse droite était plus prononcée sur le
) Analyse critique à propos de quelques nouvelles observations de sclérose en plaques. Dans une première partie, l'auteur ét
phérique jusqu'au milieu de l'orbite seulement. Dégénérescence et sclérose grise des cordons postérieurs depuis la région ce
quées dans les foyers, portent sur les gros vaisseaux (hyperplasie, sclérose ) ; infiltrations de toutes petites cellules au
au sein des foyers protubérantiels et bulbaires. Pathogénie : la sclérose diffuse est due à l'altération vasculaire préexis
à, prolifération iiévro-lique, intégrité des gaines myéliniques; la sclérose en plaques se rattache à une altération vascula
du quatrième ventricule, tuméfié, trouble, infiltré .de leucocytes; sclérose sous-épeudymaire allant jusque dans la région d
ion simple des tubes médullaires s'accompagnant d'un léger degré de sclérose secon- daire, et une autre altération bien diff
daire, et une autre altération bien différente qui consiste en une sclérose diffuse liée à la localisation spinale de l'artér
ie, une véritable myélite, analogue au processus histologique de la sclérose en plaques et du tabes. Les principales forme
abétique progtessive et les complexus symptoma- tiques simulant les scléroses systématisées de la sclérose en pla- ques. P. B
mplexus symptoma- tiques simulant les scléroses systématisées de la sclérose en pla- ques. P. B. Archives, t. 11'1. 31 4
es (accidents causés par l'emploi des), par Catsaras, 145, 346. Sclérose en plaques (glycosurie dans la), par Richaidièi
Sclérose en plaques (glycosurie dans la), par Richaidièie, 68. Sclérose spinale consécutive à des lésions cérébrales, p
56 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
otie complète avec diplégie plus marquée gauche, - symptomatique de sclérose atrophique 'prédominant^ ; dans l'hémisphère dr
'ax : - -. Autopsie. Asymétrie du crâne. Persistance des sutures. Sclérose ah ophicXue foi,n7,int un foyer occupant la parti
tie moyenne du lobe frontal et la pariétale ascendante, à gauche. Sclérose atrophique des circonvolutions plus étendue à d
de la tête. Autopsie ASYMETRIE du crâne. 59 Poids et Taille. 60 Sclérose ATIIOPHIQUE : Crâne. pariétal. Face interne rie
rien de particulier. 62 HÉMISPHÈRE DROIT. HÉMISPHÈRE DRQIT. 63 Sclérose atrophique : hémisphère gauche. Rb b Cerveau. H
. Lobe frontal. Il est coupé à sa partie moyenne, par un foyer de sclérose atrophique, depuis son bord supérieur jusques et
e s'étend sur F3 en arrière et sur le cinquième inférieur de FA. La sclérose intéresse également P A dans toute sa hauteur.
eure des trois circonvolutions du lobe fron- tal ne présente pas de sclérose mais un arrêt de développe- ment. Le lobule de
s ne paraissant pas scléreuse. Lobe pariétal. Nous avons signalé la sclérose atrophique très prononcée de la pariétale ascen
postérieurs. Les autres circonvolutions temporales, sur les ni) il) Sclérose du LOBULE de l'insula. deux faces, sont assez b
très grêles sur ses deux faces. 2° Face interne. On y retrouve la sclérose atrophique de la partie moyenne de FI. La parti
convolution du corps calleux est arrêtée dans son développement. La sclérose atrophique de l'extrémité supérieure de PA se p
r les lobes pariétaux et occipi- taux, sans engorgement veineux. La sclérose atrophique verlnicellée a une distribution anal
IJU11f0-THORAx, 67 tie correspondant à l'extrémité supérieure de la sclérose de la face externe. La circonvolution du corps
clto- pneumonie, Pi/o-pîiettiiolito7,ix. . 68 Idiotie, diplégie : sclérose ATROPHIQUE. Poids des organes IDIOTIE, diplég
égie : sclérose ATROPHIQUE. Poids des organes IDIOTIE, diplégie : sclérose atrophique. 69 Joh... n'a jamais donné aucun si
ics si fré- quents et si multiples chez les idiots par méningite, sclérose , arrêt de développement des circonvolutions, et
, les lésions suivantes : méningites, atrophies cellulaires, légère sclérose névroglique des régions superficielles de l'éco
'arrêt de développe- ment si évident pour les cellules nerveuses. Sclérose névroglique. Malgré les altérations parenchyma-
nservent leur disposition habi- tuelle. En résumé, à part la légère sclérose des régions tout-à-fait superficielles de l'éco
hymoses du cuir chevelu. Os du crâne durs, épais; pas de synostose; sclérose atrophique du lobe carré et méningo-encéphalite
r- vice, atteints d'une affection spasmodique rappelant un peu la sclérose en plaques ( ? ) et complétée par l'étude histo
eux familles, atteintes l'une de paraplégie spasmodique, l'autre de sclérose en plaques. Les deux observations qui suivent s
ubstance grise est normale. Il y a une dimi- nution des libres sans sclérose dans le cordon antérieur, au niveau du faiscau
iérés. Thèse de Paris. 1888. TfHXAL. Contribution à l'étude de la sclérose tubéreuse ou hypertruphique du cerveau. Thèse d
à symp- tômes cérébro-spinaux. Thèse de Paris. LEBRETON. - De la sclérose en plaques chez les enfants. Thèse de Paris.
57 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
symptômes paralytiques s'établissent. Aux autopsies on trouve de la sclérose médullaire, mais sans la localisation systémati
logiques multiples et prononcées, dont les prin- cipales sont : une sclérose irrégulièrement disposée des cordons latéraux e
s du cerveau et de la moelle (paralysie générale, apoplexie, tabes, sclérose en plaques). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
fut de règle dans 14 cas sur 20 malades. Elle paraît propre . à la sclérose des cordons postérieurs. Etudes comparatives à ce
n otologique nous a révélé que cette surdité était due à une double sclérose du tympan. Il e=.t possible que peu accentuée a
ns la moelle, surtout dans les cordons postérieurs et latéraux, une sclérose périvasculaire, moins prononcée dans les autres
on ne rencontre pas la couche grenue externe des vaisseaux, ni la sclérose périvasculaire. Ces lésions anatomiques expliqu
Quand, dans le tabes, le nerf labyrinthique est aussi envahi par la sclérose , le sujet tombe sans même s'en douter, il n'a p
érieures de la moelle dans les régions cervicale et dorsale. Légère sclérose des cordons pyramidaux croi- sés. Les conclusio
nce mentale. M. Voisin. Peut-être faut-il aussi faire intervenir la sclérose des artères du cerveau ? - De la valeur respe
e, on a relevé dans la partie supérieure de la moelle cervicale une sclérose des faisceaux de Goll, dont il reste encoie à l
a encore des dégénérescences secondaires dans la continuité, et des scléroses secondaires causées par les lésions provenant de
et Achard insistent sur la constance des lésions diverses (kystes, sclérose ) du corps thyroïde chez les base- dowiens ; mai
fièvre liée au goitre exophtalmique et d'une lésion particulière ( sclérose intralobulaire effaçant les voies lymphatiques, s
olorer que le centre, où l'acide osmique n'a pu pénétrer grâce à la sclérose . SOCIÉTÉS SAVANTES. ? 3 Quelle explication fa
, il faut citer les 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. psychoses toxiques. La sclérose épendymaire n'a pas grande im- portance au poin
ammes. L'endocarde est sain ; le myocarde est parsemé de plaques de sclérose . L'aorte présente, dans toute son étendue de la
à la méninge. Il s'agit bien évidemment ici d'une évolution vers la sclérose du même tissu embryonnaire qui, dans les courbe
qu'elle contient elle-même. Le champ pos- téro-externe présente une sclérose un peu moins avancée, ainsi que la zone de Liss
ns irritatives, les vaisseaux des régions dégénérées présentent une sclérose assez modérée de leurs parois. Cette réac- tion
ée aux cordons postérieurs, où les vaisseaux offrent en outre une sclérose modérée de leurs parois; elle est plus intense da
; tantôt cette lésion vasculaire, qu'il faut bien distinguer de la sclérose consécutive à la destruction des élé- ments nob
que l'on voit dans la plaque de myélite de l'ob- servation IV et la sclérose lente des vaisseaux d'un faisceau pyramidal dég
éléments épars de ce pro- cessus morbide; certains vaisseaux de la sclérose en plaques peuvent bien donner lieu à des appar
tuées par deux éléments variables, l'un passif en quelque sorte, la sclérose , l'autre actif, mais capable d'évoluer égale- m
sclérose, l'autre actif, mais capable d'évoluer égale- ment vers la sclérose ; de là vient leur variabilité considérable. Le
côté. Dans la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 moelle, complète sclérose du cordon latéro-pyramidal gauche et des cordon
son caractère familial ou héréditaire. Quant à la cause de cette sclérose systématique, il est permis, dans certains cas,
al. (Amerio. Journ. of insanity, oct. 1894.) E. BLIN. XXXIX. Cas DE SCLÉROSE latérale AMYOTROPHIQOE AVEC dégénérescence DU f
wers opposée à celle de Charcot, sur le rapport qui existe entre la sclérose latérale amyo- trophique et l'atrophie musculai
. Son domaine se trouve cependant diminué par la découverte de la sclérose latérale amyotrophique. <" ' ' ) » Mais si l
l'atrophie Duchenne-Aran de la noso- graphie et l'identifie avec la sclérose latérale amyotrophique; Hamond (1894) se range
. Désormais à ces lésions il faudra ajouter la notion d'une zone de sclérose occupant le pourtour de la corne antérieure dans
encore toutes les fois qu'il y a polyomyélite antérieure : dans la sclérose latérale amyotrophique, la paralysie infantile,
elles ne ressemblent nullement aux lésions patho- gnomoniques de la sclérose latérale amyotrophique. » On voit par cet expos
éfendre cette entité, même contre ceux qui voulaient en enrichir la sclérose latérale amyotrophique qu'il avait le premier d
écouvrir les lésions locales des vertèbres (tubercules, périostite, sclérose osseuse syphilitique); la seconde révèle des lési
croissement physique. L'auteur conclut à l'existence probable d'une sclérose méta ou para-syphilitique de l'écorce du cervea
émence paralytique). P. X. XXXII. Contribution A l'histologie DE la sclérose EN plaques cérébro-spinale ; par M. PopOrr. (Ne
26,6 p. 100 des cas; les adhérences localisées dans 14,9 p. 100. La sclérose des vaisseaux de la base existait dans une pro-
aux amputations, de la, régénéra- tion de la moelle épinière et des scléroses systématisées et coni- .binées. A noter que les
sées et coni- .binées. A noter que les auteurs nient l'existence de scléroses sys- tématisées dans le sens que leur donne Fle
es qu'on rencontre dans les paralysies spinales spas- modiques, les scléroses et la syringomyélie. Il met en parallèle les lé
nche de la région frontale gau- che par Galavielle et Villard, 1. Sclérose latérale amyotrophique avec de générescence d f
58 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
moelle et les faisceaux pyramidaux sont remplacés par des zones de sclérose complète. Dans la partie antérieure de la moell
; il n'y a en somme pas de foyers de myélite en activité. Tout est sclérose . La pie-mère est épaissie, y compris le prolong
rapidement. La coupe du renflement lombaire est normale. A part la sclérose des faisceaux pyramidaux on ne distingue pas de
é- rose d'un certain nombre d'étages spinaux superposés ; la dite sclérose équivalait à une section de la moelle; et elle
ait cliniquement par une paraplégie spasmodique. Nous disons que la sclérose équivalait à une section : à proprement parler
l point de vue de la continuité anatomique des voies spi- nales, la sclérose de la moelle, lorsqu'elle se présente sous la f
décrire, équivaut aussi bien à une section de l'axe nerveux, qu'une sclérose cicatricielle de nerf équivaut à une section de
ction des artères dans le membre affecté ; en effet, dansl'artério- sclérose généralisée, les artères sont suffisamment pourvu
es marqué le début de l'affection. M. H. XXIII. Formes frustes de sclérose en plaques à début mono ou hémiplégique avec am
oliclinique de Bruxelles, décembre 1899.) . M. H. XXIV. Un cas de sclérose cérébro-spinale multiple de forme anato- mique
ue clinique qu'au point de vue anatomo-pathologique (5 figures la sclérose s'étendant à toute l'étendue du faisceau pyramida
taire que Mendel, Strümpell et Sachs reconnaissent comme cause à la sclérose multiple ; 2° l'existence dans leur cas d'une c
tabétiques, 2 paralytiques, 3 épileptiques, 1 tabéto-paralytique, 1 sclérose en plaques, 2 atro- phies musculaires progressi
re. Il est une école (Grasset) qui le tient pour l'expression de la sclérose générale de l'économie (pans- clérose de Letull
des vaisseaux des méninges, du tissu interstitiel, aboutissant à la sclérose suppléant le tissu nerveux qui disparait. En to
es 9/10 des tabétiques étant de vieux syphili- tiques, c'est que la sclérose névroglique simple est syphilitique, que le poi
central et occipi- tal, sans altérations vasculaires ni travail de sclérose : les altéra-* tions cellulaires par contre son
econdaire dans le faisceau de Gratiolet ni dansle corps calleux. La sclérose du faisceau de Gratiolet, dans les deux cas, dé
tuberculeuse) on trouva le cerveau parsemé de taches scléreuses de sclérose en plaques, et particulièrement deux plaques su
uc de Sylvius. Des cas analogues mais sans autopsies au cours de la sclérose en plaque sont signalés par Parinaud. Pronost
ilis la paralysie générale, et se ranger parmi les autres causes de scléroses cérébrales. Le phénomène est analogue au proces
rganique. On a rapporté un certain nombre de guérisons de tabes,'de sclérose en plaques, etc. ; mais chaque fois, il y avait
s de la pensée, manie aiguë, tumeurs cérébrales, démence organique, sclérose disséminée et ataxie locomotrice, sénilité, cri
ères et veines cérébrales, en particulier les lésions séniles et de sclérose ; 4° enfin, les lésions vasculaires syphilitiques.
s. L'atrophie musculaire progressive du type Oran. Duchenne et la sclérose latérale amyotrophique autrefois traitées comme d
. -, Etude faite sur les moelles de deux hémiplégiques. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec dégénération des co
intellectuel ne survinrent que tout à fait à la fin, A l'autopsie : sclérose disséminée ne répondant par son aspect à aucune f
e et des yeux. M. Touc : 1E montre un cerveau atteint d'un genre de sclérose d'aspect rugueux et qu'il ne sait tiop comment
t rugueux et qu'il ne sait tiop comment classer. N'est-ce pas de la sclérose tubéreuse de Bnssand ? Il s'agit en tout cas d'un
s de la sclérose tubéreuse de Bnssand ? Il s'agit en tout cas d'une sclérose acquise à un âge déjà avancé. Cette sclérose est
agit en tout cas d'une sclérose acquise à un âge déjà avancé. Cette sclérose est inégale- ment répartie sur divers points de
foyer de ramollissement au niveau de la F2. M. Marie déclare que la sclérose tubéreuse de Brissaudwe res- semble en rien à c
du splénium. M. Marie montre les pièces de deux malades atteints de sclérose molle avec dilatation kystique du splénium; ces
aucoup le plus important, est consacré à ['Idiotie symptùmatique de sclérose tubéreuse. Il repose sur 25 observations, dont
enlmlbl. f. Nel'venheilk., XXIII, N. F. XI, 1900.) Observation de sclérose en plaques d'origine traumatique ; les symptôme
nt augmentés, la sensibilité demeura intacte. M. GAUpp croit que la sclérose s'est d'abord attaquée au cervelet, REVUE DE PA
nt l'en- droit où le cervelet et la protubérance sont contigus : la sclérose consécutive a altéré les régions qui président
à foyers multiples : dans ces cas, la syphilis peut ressembler à la sclérose disséminée; le diagnostic différentiel est souv
s aidé par l'expression du visage qui est caracté- ristique dans la sclérose multiple : 4° Hémiplégie : forme fréquente de l
l'a déjà fait remarquer se rattachent probablement à des formes de sclérose multiple. L'auteur rapporte ici avec détail une
une infection aiguë, et est ordinairement le début d'une forme de sclérose multiple. L'ataxie aiguë, d'origine névritique,
nt par plaques et sont surtout communes au niveau de la corne celte sclérose de la névroglie atteint aussi la protubérance e
était encore plus accentuée. Ce sont des altérations de tabes avec sclérose insuliforme périvasculaire multiple, qui ont été
onséquent, d'être connu des auristes ainsi que des neurologistes. Sclérose en plaques. M. Ballet présente une malade attei
dans quelques cas de paralysie générale, par C. H.Jenko, - 132. Sclérose EN plaque à début mono ou hémiplégique avec amy
égique avec amyotro- phie, pal Glorieux, 53. - par Ballet, 515. Sclérose CCIir.nn0-SPI\ \LE multiple de forme anatomique
59 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
d'une affec- tion cardiaque, ni de l'alcoolisme chronique, ni d'une sclérose ARCIIIVLS, t. VIII. 6 8 : ) REVUE DE PATHOLOG
rer une conclusion. L'incontinence d'urine est le seul symptôme des scléroses posté- rieures qui ait été combattu avec succès
tions des deux hémisphères. Cet arrêt de développement est dû à une sclérose atrophiquedescirconvolulions, quelles qu'elles
sclérose atrophiquedescirconvolulions, quelles qu'elles fussent. La sclérose porte surtout : à gauche, sur la première exter
la sensibilité était intacte. Absence d'autopsie. P. K. XXV. SUR la sclérose diffuse ET disséminée du système nerveux cen- T
e titre, l'auteur rapporte deux observations de formes associées de sclérose multiloculaire et de paralysie progressive. Une
es nerveuses ayant subi, elles aussi, la dégénérescence vi- treuse. Sclérose évidente de la protubérance et de la moelle; cel-
rche typique aboutit en deux années à une issue mortelle. Autopsie. Sclérose diffuse de l'encéphale; lepto- méningite spinal
lérose diffuse de l'encéphale; lepto- méningite spinale chronique ; sclérose diffuse de la moelle ; foyers de sclérose dissé
ngite spinale chronique ; sclérose diffuse de la moelle ; foyers de sclérose disséminés dans les divers cordons. P. K. 328 R
de l'encéphalite chronique MUL9'ILOCUL.1111E (connue sous le nom de sclérose céré- brale disséminée), accompagnée de remarqu
lle est légère ; qu'il faut adopter la même manière de voir pour la sclérose (rape- tissement, recoquillement, rétraction) f
de revue critique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXXIV. DE la sclérose miliaire ; par PLAXTO-4. (Journal of mental Sci
par PLAXTO-4. (Journal of mental Science, avril 1883, p. 27.) La sclérose miliaire se produit-elle pendant lavie ? N'est-el
g, il résolut de les examiner au point de vue de la recherche de la sclérose miliaire; ces fragments se décomposaient ainsi :
fragments (y compris le cerveau de chauve-souris), il trouva de la sclérose miliaire; dans un seul fragment, il n'en rencon
érogation ; il se trouva que le cerveau où il n'avait pu trouver de sclérose mi- liaire était pi écisément celui qui avait é
été l'objet de cette exception. Se demandant si la production de la sclérose miliaire n'était point causée ou tout au moins
autre dans l'alcool ; puis les divers fragments furent examinés; la sclérose miliaire fut trouvée dans trois des fragments t
ns l'alcool furent examinés ; tous deux offraient les lésions de la sclérose . En résumé, dans les cas où l'alcool avait été
sclérose. En résumé, dans les cas où l'alcool avait été employé, la sclérose miliaire n'a pas été constatée une seule fois;
tée une seule fois; dans le cas où l'alcool avait été employé, » la sclérose miliaire a été trouvée vingt-six fois; elle a man
eu ou point de raisons de supposer que les altérations propres à la sclérose miliaire soient le fait d'un maladie; 2" l'exam
r qu'il y a de fortes raisons pour mettre en doute la réalité de la sclérose miliaire pendant la vie, et pour la REVUE DE PA
mparfaite, et s'atrophient à leur tour. R. M. C. XLI. Atrophie ET sclérose DU cervelet dans UN cas d'imbécillité épileptiq
oucher une sensation de dureté, de den- sité, évidemment en état de sclérose avancée. A la coupe, la subs- tance grise norma
le est convertie en substance presque blanche ; bien qu'avancée, la sclérose n'a pas pénétré profondément. L'examen histolog
ncées, correspondre, comme dans le cas actuel, à l'atrophie et à la sclérose d'un hémisphère cérébelleux. 11 en cou- clut qu
érations histologiques sont réellement propres à l'atrophie et à la sclérose cérébelleuses, et que les différences que l'on
mé de la question de l'inversion de l'instinct sexuel. P. M. XLV. SCLÉROSE DE la LISIÈRE DE substance blanche DU cerveau dan
aine, rapidement améliorée, dépendait non du tabès, mais bien de la sclérose arté- rielle et de la stéatosc cardiaque tout a
(physiologie du), 372. Cervelet (lacunes du) 370 ; (atro- phie et sclérose du - dans un cas d'imbécillité épileptique), 3ï
Dorion (An. Féré), 268; (traitement de la par le massage), 379. Sclérose diffuse et disséminée du cerveau, 327, 3L)S, 34
60 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la région dorsale supérieure ; cette lésion, qui avait passé à la sclérose , présente des détails histologiques intéressant
gommeux; quant à l'endar- térite, elle a tous les caractères d'une sclérose banale, secondaire aux lésions de la tunique no
ire, on observe ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 27 1 une sclérose fort intense, à en juger par la teinte que prenne
claire à leur centre. ri. 1 ? . Observation II. Moelle lombaire ; sclérose des zones radiculaires et des zones de Lissauer
oyau cunéiforme un croissant qui finit 1,'ig. J3. Moelle cervicale; sclérose des cordons de Goll, des faisceaux de Burdach e
s granuleux tandis Fig. 14. Coupe de la région inférieure du bulbe; sclérose du cordon de Goll, qui, ici, aboutit à son noya
u bulbe; sclérose du cordon de Goll, qui, ici, aboutit à son noyau; sclérose en forme de croissant dans le faisceau cunéifor
llissement et l'hémor- rhagie cérébrale, la méningo-encéphalite, la sclérose .cérébrale, la pachyménmgite, les tumeurs,' etc.
us inté ? ressants,' depuis*" l'idiotie^ méningitique '-jusqu'aux ! scléroses atro-ti il phiques les mieux caractérisées.' «'
nier en' effet qu'il n'existe une ressemblance manifeste entre la sclérose inflammatoire, notamment celle qui aboutit à la
égion dorsale; dégénérescences fasciculées habituelles et, en plus, sclérose ascendante des faisceaux pyramidaux croisés, re
m'oéll cervicale, on dis- tingue fort bien, à' la teinte grise, une sclérose du cordon de Goll peu étendue,' et une sclérose
a teinte grise, une sclérose du cordon de Goll peu étendue,' et une sclérose annulaire du faisceau antéro-laléral, avec, une
nflement cervical ; a la partie supérieure de la moelle dorsale, la sclérose parait "envahir; la ' plus grande partie'de la su
yéline dans la région du faisceau pyramidal croisé, constituant une sclérose très régulière- ment répartie ; cette sclérose
isé, constituant une sclérose très régulière- ment répartie ; cette sclérose disparaît progressivement à mesure que'l'on rem
eu visible (faisceau cérébel- leux direct).. ? · , , ? 4 , , ? La sclérose du faisceau de Goll n'atteint pas toutes les fibr
lière de la lésion d'origine.*»' -M W1 tlWf 41l ti- fin Quanta la sclérose ascendante des faisceaux pyramidaux croisés,' f'r
ous do la lésion primitive; or, si l'on compare l'in- tensité de la sclérose du faisceau pyramidal au-dessus et au des- sous
nt dans leur paroi la trace d'un processus ancien qui a abouti à la sclérose ; les petites veines des racines rachidiennes o
le processus la% dépassé 'la' phase embryonnaire pour aboutir à la sclérose . Autour des vaisseaux malades, il s'est 'fait une
tir à la sclérose. Autour des vaisseaux malades, il s'est 'fait une sclérose névrogliquetrès intense., Les mêmes lésions vascu
" , , . f- - , 1 nevrpghe. ,, iiH,. ? ..., ,t ... , . , .... z La sclérose , ascendante des faisceaux de Goll, de Gowers et c
cas de dégénérescence secondaire. 11 n'en est pas de même pour la sclérose du faisceau pyramidal qui présente des détails in
carmin et qui, si on les étudie à une certaine distance du foyer de sclérose , affectent une, forme étoilée. Ces corps ressem
le ujq ! i(P·"ul t0'I<1 on ? . ^un ''f'ù ? Il 1 ,- ' foyer de sclérose . En résumé, il semble que les cellules de la né
des cellules filles. La lésion parait avoir débuté dans le foyer du sclérose et 4os'être étendue de là dans les. deux sens ?
la moelle cervicale ; c'est naturellement1 au' niveau' du'foyér de sclérose que 'leur altération -'est le plus intense ? Ce
te, de Heubner,' elle n'a aucun caractère spécifique ; . c'est, une sclérose , consé- éutivé,, quipëüt; ilVest,vrai,avoir une
sion est beaucoup plus intense ; il existe là un véritable foyer de sclérose vasculaire transverse, qui est la trace, la cic
l croisé se présente sous un aspect insolite ; il existe une double sclérose de ce' faisceau : l'une; au-dessous du foyer, e
ée de la maladie a été très longue. Il ne 'faut pas confondre cette sclérose ascendante avec la myélite ascendante que l'on
c autopsies.- La mieux étudiée des paralysies de ce genre, c'est la sclérose laté- rale amyolropllique. mais on trouve dans
là, l'intérêt de nouvelles observations : - Observations 1 et II. Sclérose antéro-latérale amyotrophique, type Charcot.
ose antéro-latérale amyotrophique, type Charcot. Observation III. Sclérose antéro-latérale ayant revêtu l'aspect d'une pol
! aire lëptbménin- 184 ^REVUE^DE ^PATHOLOGIE .NERVEUSE. gite, et sclérose périphérique.rLe.cerveauaet.5le cervelet ne sont
e - les.» parésiesjspasmodiques., Parfois. elle, revêt; la forme de sclérose latérale amyotrophique, ence casle diagnostic se
. On constate, surtout dans la région lombaire, un léger degré : de sclérose , des faisceaux''pyramidaux, avec prédomi- nance
entre la moelle et le cerveau. C'est ce dont témoignent les cas de scléroses combinées, ceux de scié- rose latérale avec atr
ombinées, ceux de scié- rose latérale avec atrophie -musculaire, de sclérose , multilocu- laire portant à la fois sur la moel
e, paralysie infantile, hémorragie et commotion, myélite chronique, sclérose en plaques, . paraplégie spinale spasmodique, s
e chronique, sclérose en plaques, . paraplégie spinale spasmodique, sclérose latérale amyotropluque, atrophie musculaire pro
obstétricaux', asphyxie à la naissance, convulsions, encéphalites, scléroses atro- phique ou hypertrophique, etc.). Le mot i
61 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es caractères de la neY1'lte acendantc,'<Le développemen ' de la sclérose est constamment parallèle à celui des varices, de
ue «; toutes les fois ou au q91mp,eHls,symp,tqJ; ! }ï) tique de la, sclérose multiloculaire s'ajoutent les manifestations,^
¡ e 'fait) dés ôbservatlons de M7é'st ll*àl"'daiis"' Liëlles'* la*' sclérose ' lori f fo'yeFiîlilfi'e'ct61a fornié de'ci( ?
? >I tin \jiw3 fn1Jchi : Jf Tcd ? JJ011 XX. DE l atrophie-'avec1 sclérose * DU t CERVELET; par31(ncflnor.r (A1'ch. f. Psyc
aîches, on remarque, dans les parties supérieures de la moelle, une sclérose très apparente des cordons de Goll. Sur les sec-
ien qu'elles diffèrent complètement, comme étude microscopique, des scléroses en foyers de la région corticale décrites dans
hiv sur Psychia- trie, Bd. XII, p. 551-563. Ueber multiple tuberose sclérose der gross HÙ'Il1'inde), les altérations microsc
teinte d'épilepsie partielle, se présentent sous forme de foyers de sclérose de la substance grise des circonvolutions. Hist
urs subis- sent une altération présentant tous les caractères de la sclérose sans cependant donner lieu à une altération not
s sensorielles, principalement du côté de la vue. P. K. IV. DE la sclérose tubéreuse multiloculairede l'écorce du cerveau
ans la symptomatologie des cas en question n'autorise à penser à la sclérose en plaques qui donne lieu à des cas semblables.
adie ; 2° la para- lysie prématurée de l'oculo-moleur commun ;3° la sclérose des cor- dons(latéraux dans ses rapports arec l
1N. Thèse de Paris, 1883. Des anomalies et des formes frustes de la sclérose en plaques dissé- minées ; par Bolicli. Thèse d
LBESPY. Thèse de Paris, 1883. Etude sur tabes dorsal spasmodique, sclérose primitive des faisceaux latéraux; par Jabineau.
t point les résul- tats de la clinique. RECUEIL DE FAITS CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE A11YOTROPIIIQUE, LA DÉGELÉ-' RESCENCE
ps; parfois ce pied était pris d'une extension involontaire. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 357 Au printemps de 187
d'une stricture, dont l'exploration a démontré l'existence. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE ASIY0TR0FHIQUE. 359 Le malade est rest
et les muscles provoque de brusques et amples mouvements. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 361 Mennschof vécut enc
pothénar étaient visiblement atrophiés, pâles et flasques. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPIIIQUE. 1 CI ri Examen MICROSC
dans notre cas la place qui a été si souvent notée dans les cas de sclérose latérale amyo- trophique. Tout le reste de la s
es autres coupes se firent paral- lèlement il la première. CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROriUQUE. 367 hémisphère droit) l
comme dans la moelle épinière, nous nous trouvons en présence d'une sclérose symé- trique primitive. Comme cette dégénéresce
370 - RECUEIL DE FAITS. professeur Charcot décrit sous le nom de sclérose latérale amyotl'ophique '. Seulement, le cas pr
écorce; serait-ce un cas isolé ou bien un phénomène inhérent à la sclérose latérale amyotrophique ? C'est ce que les obser-
son premier séjour à la cli- nique, nous avons pu diagnostiquer la sclérose des colonnes latérales de la moelle épinière. U
indécis : nous ne savions si nous avions devant les yeux un cas de sclérose amyotrophique pas encore complètement développé
mes à MM. les étudiants que nous avions il nous occuper d'un cas de sclérose latérale amyotropliique. CAS DE SCLÉROSE LATÉRA
nous occuper d'un cas de sclérose latérale amyotropliique. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 371 1 servateurs admett
ion quelconque entre l'atrophie des circonvolutions centrales et la sclérose des fais- ceaux pyramidaux. Dans notre cas, on
e desideratum qui manquait encore à la description anatomique de la sclérose allJ¡ otl'opl11que. il savoir la prolongation péd
¡ otl'opl11que. il savoir la prolongation pédonculo-cérébrale de la sclérose latérale, \ient d'être rempli pal' nI. Piek pt K
/¡iv fÜ¡' Anatomie und Eiitwiekelangsyesliichle, 1 88 1 .) CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 373 représente un évent
nviron plus haut que la précédente. L. f., Lobe frontal. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 375 L. oc., Lobe occipi
culièrement dans les sections des nerfs périphériques et dans la sclérose en plaques. Il est vraisemblable qu'elle dépend i
par le Dr RUERA. (France médicale, t. 1er, 1882). Observation de sclérose en plaques disséminées : début (ipoplecti- - fo
roubles fonctionnelles des nerfs, spécialement l'hystérie ; - 8. La sclérose latérale aIIIyo- trophique ou paralysie bulbair
u), 2;5; - (Lésions de l'écorce du), 421. Cervelet (atrophie avec sclérose du), 118. Circonvolutions cérébrales (trouble
404. Pupilles sautantes, 284. Rhéostat à manivelle coudée, 275. Sclérose tubéreuse multiloculaire de l'écorce du cerveau
62 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et des contractures ; il craint de voir s'éta- blir un processus de sclérose latérale ou un état d'aliénation men- tale, inq
tour religieuse ou prostituée. (Obs. XVII.) . RECUEIL DE FAITS. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE : IDIOTIE, HÉMIPLÉGIE D
cette période qu'est né le malade. Pas de syphilis. [Père inconnu. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 187 Mère, a fait des e
valeur des pièces, prenait des sous pour les donner aux enfants. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPITÉRIQUE. 189 Etat actuel. Tête
le et mastoïdienne. 190 RECUEIL DE FAITS. Membres supérieurs. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 191 flexion est facile
meil consécutif assez prolongé. TABLEAU DU POIDS ET DE LA TAILLE. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 195 tion notable. Le s
2 centimètres de diamètre ; 2° trois larges cicatrices d'escarres SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 197 un peu plus petite
u veaux accès. 198 RECUEIL DE FAITS. Température après décès. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 199 dian gauche, entre
bandelette optique, il mesure 20 millim. - à droite, 17 à gauche. SCLÉROSE cérébrale hémisphérique. 201 ment assez grande
e la vie. Les accès se présentaient par séries, ainsi qu'on l'ob- sclérose cérébrale hémisphérique. 203 serve communément
tion avec une température cen- trale très élevée (41°, 2). IV. La sclérose atrophique, affectant tout l'hémisphère céré- b
ster. Rappelons seulement qu'il s'agit là d'une forme assez rare de sclérose cérébrale. Comme lésions consécutives nous devo
ymétrique, assez épais ét notablement plus à gauche qu'à droite : SCLÉROSE CEREBRALE HEMISPHERIQUE. 205 5 droite, trois
diotie, ou à d'autres symptômes cérébraux, avec atrophie cérébrale, sclérose ou kystes consécutifs à la lésion primitive. 3°
anglion est très développé. Les vais- seaux sont gorgés de sang. La sclérose du ganglion est douteuse. - Nerf olfactif. -
orme d'îlots de cellules. Le processus congestif était intense ; la sclérose , légère, mais indubitable. Les branches de ces
e la névroglie. Que la myéline disparaisse, en etfet, comme dans la sclérose mul- tiple, que toutes les fibres nerveuses dég
é tactile demeurait normale : encore s'agissait-il là d'un cas de sclérose , affection qui peut laisser indemnes les fibres d
se rapproche aussi des cas décrits par SeeligmÜlIer sous le nom de sclérose latérale amyotrophique des enfants. Ces faits m
andry, la myélite aiguë à foyers multiples, l'éncéphalo-myélite, la sclérose en plaques, certains cas de scléroses systémati
iples, l'éncéphalo-myélite, la sclérose en plaques, certains cas de scléroses systématiques combinées. L'influence étiologiqu
ente dans les premières aflections; elle est moins certaine dans la sclérose multiple. Les recherches de Kadji nous ont appris
cond système est lésé dans la myélite consécutive à l'anémie grave ( sclérose systéma- tique combinée : lésions prédominantes
. Entre ces deux formes prennent place les myélites disséminées, la sclérose multiple, la myélite transverse. La forme centr
s artères périphériques, et cela sans léser les cornes antérieures ( scléroses systématiques combinées). De même lorsque les d
ites typiques, le poison touche aussi la moelle et le cerveau. La sclérose multiple parfois évolue rapidement, et le début d
ticulières d'un organe déterminé que l'on rapporte d'ordinaire à la sclérose des petites artères. Elles étaient surtout acce
osé le diagnostic de syphilis céré- brale, de tumeur du cerveau, de sclérose multiple, sans penser à la paralysie générale.
lles qu'on constate dans la syphilis acquise, infiltration, gommes, sclérose avec atteinte spéciale des méninges et des vais
natomiques de l'attaque épileptique sont variables ou inconnues (la sclérose névroglique est encore à prouver), et la physio
surtout dans les positions extrêmes du regard qu'on observe dans la sclérose en plaques. 3° Le strabisme interne qui l'accom
la réaction de dégénérescence est complèle. La paraly- sie dans la sclérose latérale amyotrophique indique l'envahisse- men
ons postérieurs interceptant le cours des arcs re- flexes ; dans la sclérose latérale amyotrophique, la démarche spasmodique
riginal de Bourdon et Luys (1861), la maladie est regardée comme la sclérose des racines et des cordons postérieurs. Plus ta
zones endogènes constitue le deuxième étage anatomique du tabes. La sclérose du cordon de Goll, si elle est, dans certains cas
2e : éri, 111. , : J 498 EXPLICATION DES PLANCHES. PHKMOEl. I. Sclérose cérébrale hémisphérique. Face convexe de l'encé
re cérébral gauche. EXPLICATION DES PLANCHES. 499 PL.1\CIIE II. Sclérose cérébrale hémisphérique. Face inférieure de l'e
érébelleux droit. 500 EXPLICATION DES PLANCHES. P ? wcm : 11 f. Sclérose cérébrale hémisphérique. Pig. 1. - Face convexe
DRY. Paralysie de -, par Rob- son, 52. Langage intérieur dans les scléroses et la paralysie,par Trommer, 370. Larynx. Par
se ignorée d'in- toaication -, par J.-B. Charcot et Ivon, 3'rî. Sclérose cérébrale hémisphérique (idiotie, hémiplégie dr
63 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
près quel- ques mois, apparaître successivement plusieurs signes de sclérose en plaque et, notamment, le signe de Babinski.
os, par un mécanisme analogue, rendrait compte des aires isolées de sclérose et d'atrophie, et l'auteur estime que l'obstructi
e à droite. A l'autopsie pas d'autre lésion des centres nerveux que sclérose de la corne d'Ammon gauche, beaucoup plus dure
la moitié droite à la moitié gauche de l'axe gris. Ch. BONNE. IX. Sclérose en plaques et syphilis ; par CATALA. (Nouv. Icon.
on. de la Salpêtrière,1906, n° 4.) La question des rapports de la sclérose en plaques et de la syphi- lis est loin d'être
tent à la syphilis un rôle étiologique dans le développement de la sclérose , alors que toutes les autres infections sont susc
vasculaires, dégénérescences secondaires) ne sont pas rares dans la sclérose en plaques vraie. Rien n'autorise donc à éliminer
l'étiologie de cette affection. L'auteur apporte une observation de sclérose en plaques légitime avec autopsie chez un syphi
ue à foyers disséminés réalisant les caractères histologiques de la sclérose en plaque vraie, et il conclut que la syphilis
e la syphilis peut jouer un rôle impor- tant dans l'étiologie de la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une fo
e la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une forme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait comparable
ude des localisations motrices corticales. A propos de trois cas de sclérose laté- rale amyotrophique avec dégénération de l
dante n'est pas mo- trice. L'étude des lésions corticales dans la sclérose latérale amyo- trophique, - affection uniquemen
ette nouvelle conception. ; Nous avons pu suivre, dans trois cas de sclérose latérale CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEU
t toute sa vie et auquel s'associait un assez fort degré d'artério- sclérose . Voilà son état pathologique fon- damental. Mai
progressivement de 36° à 30°7. Autopsie : méningite chro- nique et sclérose de la couche moléculaire du cortex ; athéro- ma
, des reins, de la rate. Emphysème pulmonaire. Athérome de l'aorte, sclérose de la glande thyroïde. D'après les auteurs, c
n'ont disparu qu'à la fin de la maladie, j'ai constaté l'absence de sclérose des cordons laté- raux, mais la moelle, atrophi
un syndrome de Jackson et des troubles trophiques caractérisés par sclérose , arthropathie scapulaire et chiromégalie droite
mé- ningo-myélite confirmée par la ponction lombaire. Deux cas de sclérose latérale amyotrophique à début tardif. MM. Ross
ibles, mais dont l'explication nous échappe complète- ment encore ; sclérose latérale amyotrophique, atrophies musculaire my
on peut se demander s'il s'agit d'une anomalie congénitale ou d'une sclérose évo- luant très lentement vers la sclérose en p
lie congénitale ou d'une sclérose évo- luant très lentement vers la sclérose en plaques. La séance de samedi après-midi est
ls écartent le diagnostic de polimyoélite antérieure subaiguë et de sclérose latérale amyo- trophique en raison de l'évoluti
les lésions de la P. G. de celles de la démence sénile, l'artério- sclérose de la syphilis cérébrale » arrivent jamais à déce
noïdal des caillots dans les ventricules latéraux et médians, de la sclérose des noyaux gris,ce qui indiquait une lésion anc
l'association de phénomènes spasmodiques dus à la propagation de la sclérose névroglique aux faisceaux pyramidaux ; l'existe
par RAYMOND et GUÉVARA-RAJAS. (L'Encé- phale, 1907, n 3.) Cas de sclérose en plaques bien établi par les phénomènes clini-
se abon- dante, existence de lésions diffuses à côté des plaques de sclérose , dégénérescence myélinique et cylindraxile très
nce myélinique et cylindraxile très prononcée coinci- dant avec une sclérose peu avancée, altérations destructives des éléme
plaques scléreuses, il faut peut être admettre l'association d'une sclérose en plaques pri- mitive avec des lésions de myél
ecôté droit. Signes de méningite. Epilep- sie. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et mé- ningo-encéphalite de l'hémisp
On re- marque une fine injection de la pie-mère, sans ecchymose. Sclérose trophique d'une partie du lobe occipital et de la
ipalement en arrière de P. A. Sur la face interne même gracilité. Sclérose très prononcée du lobe quadrilatère ; les circonv
normaux. Nous avons donc à la fois sur l'hémisphère gauche de la sclérose atrophique et de la méningo-encépluzlile, sur l'h
'autre à une compression ou lésion organique de la moelle sacrée. Sclérose en plaques avec association de polynévrite éthyli
côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal. Sclérose atro- phique et méninge-encéphalite de l'hémi
rontal. Voir Troubles. Localisations, motrices corti- cales. Voir Sclérose . - Loi. La révision de la de 1838 au Sénat, p
on, p. 234. SAI,-IION. \'oir .Syphilis. Schaefer. Voir Réflexe. Sclérose en plaques et syphilis, par Catala, p. 73. Cont
p. 69. Sur le ves- tibulaire, par Raymond, p. 231. Syphilis. Voir Sclérose . A propos de la cérébrale diffuse, par Ladame
64 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
sence des réflexes rotuliens, sans parler d'autres symptômes. z 20 Sclérose en plaques, qui n'est pas une affection familiale
de qui s'insèrent sur la clavicule sont supplantées par une lame de sclérose . Le grand pectoral a disparu; il n'en reste que q
le. Sur des coupes étagées de la moelle on ne constate ni foyers de sclérose ni cavités syringomyéliques. Le nombre des cell
fibre musculaire plus ou moins altérés qui ont encore échappé à la sclérose . Les vaisseaux des régions du muscle complèteme
taire. Reins : néphrite mixte à prédominance interstitielle. Rate : sclérose diffuse surtout capsulaire et trabéculaire. Foi
ue dans ses cornes postérieures. 2) Par les colorants nucléaires la sclérose des faisceaux pyramidaux est très utile. Les
faisceaux blancs sont normaux. 2) Par les colorants nucléaires, la sclérose du faisceau pyramidal semble plus dense à droit
AIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 99 2) Par les colorants .nucléaires , la sclérose des faisceaux pyramidaux est également très net
isceaux sont louches, et on observe toujours une prédominance de la sclérose à droite dans le faisceau pyramidal. 2) Par les
ordons postérieurs sont nettement intéressés. A gauche une bande de sclérose partant du voisinage de la commissure postérieure
érieur du cordon, cette virgule vient se confondre avec une zone de sclérose plus étalée, comprenant le tiers postérieur du
er que les zones dégé- nérées sont généralement constituées par une sclérose avec disparition des tubes. Cette disparition d
'agit d'une atrophie des tubes plutôt que d'une dégénérescence avec sclérose . La diminution de la myéline explique la décolo
ent en aucune façon être attribuées à une affection cérébrale ; une sclérose des faisceaux pyramidaux aussi marquée que cell
ison suffisante pour affirmer l'origine pure- ment médullaire de la sclérose constatée des faisceaux pyramidaux. L'origine p
érieurs de phénomènes de dégénérescence des cordons, des plaques de sclérose et même de cavités simulant la sgringo- myélie.
i- duellement ; et si l'atrophie des fibres peut se reconnaître, la sclérose fasci- culaire n'a guère lieu de se dessiner.
guère lieu de se dessiner. . En revanche s'il n'y a pas ou guère de sclérose des cordons, z faute de cordons - l'atrophie de
isceaux étaient transformés en tissu conjonctif riche en noyaux. La sclérose y était donc apparente dans les racines intra-b
libre et commande l'oscillation, et l'insuffisance du sens pédieux ( sclérose des cordons postérieurs, etc.) qui compromet l'ap
veau do la tache. La malade est revue au bout de mois; la plaque de sclérose n'a pas changé d'aspect. Chez cette enfant le
héréditaire ou personnelle. Au point de vue de la topographie de la sclérose cutanée, on pourrait cepen- dant trouver des ra
nvulsive qui précéda de peu l'apparition des pre- mières plaques de sclérose . Notre quatrième observation se rapporte probab
cherons l'observation de ce nouveau-né chez qui les phé- nomènes de sclérose cutanée au début coïncidaient avec une atrophie e
altérations étendues qui existent dans les cordons postérieurs. La sclérose a envahi les cordons de Goll et de Burdach. Elle
de Burdach. Elle prédomine au niveau des cordons de Burdach. Cette sclérose n'atteint pas la commissure postérieure, elle e
mais il existe un épaississement marqué delà gaine lamelleuse avec sclérose interfasci- culaire notable. En certains endroi
des altérations très légères ; les fibres sont en nombre normal. La sclérose péri ou interfasciculaire existe à peine. Muscl
e de fibres : leur gaine lamelleuse est un peu épaissie. Il y a une sclérose périarfériefteetpériveineuse très intense. Au m
avons rencontrées sont : 1° Des altérations de la moelle : .' a) Sclérose des cordons postérieurs prédominante dans le cord
ons des troncs nerveux de l'avant-bras et de la jambe consistant en sclérose légère, bien nette seulement sur le nerf péronier
erfs pé- riphériques et les muscles. La moelle était le siège d'une sclérose des plus marquées au niveau des cordons de Goll
'élément noble. Les vaisseaux intra-musculaires sont le siège d'une sclérose périvascu- laire très accentuée, qui tend à obl
crit par Charcot et Marie reconnaît pour subs- tra tum : - 10 Une sclérose des cordons de Goll et Burdach ; 2° Des lésions
presque complète des cellules nerveuses de ces cornes, atrophie et sclérose des racines qui en émergent. Les nerfs moteur
tement ondulés ; dé- pression assez forte en vallées et en sillons. Sclérose vasculaire. Le canal de l'épendyme est presque
dançage prolongé par le liquide d'Erlich. Altération de la myéline; sclérose disséminée dans les cordons postérieurs ; dispa
t pas une pachyméningite cervicale hypertrophique, ce n'est pas une sclérose latérale amyotrophique. Au contraire, l'atrophi
es et des hypereslhésies se retrouve dans la syringomyélie, dans la sclérose en plaques et dans les affections générales qui
nées au lieu de la dissocialion syringomyél ique. Dans les cas de sclérose en plaques, les troubles objectifs cle la sensibi
65 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
père de Chai).. est entré à l'hospice de Bicêtre, comme atteint de sclérose combinée. Interrogé de nouveau, il a affirmé qu
oyaux névrogliques, on ne peut cependant pas dire qu'il s'agisse de sclérose atrophique au sens habituel du mot. Nous insi
vaisseaux, assez nombreux dans la substance blan- che, montrent une sclérose périvasculaire légère, et la prolifération des
roi des vaisseaux moins saine, souvent nettement sclérosée et cette sclérose s'étend en îlot autour des vaisseaux (1). Cor
des organes. IDIOTIE CONGÉNITALE ; DiICROCIPHALI1;. 197 Î III. Sclérose atrophique hémisphérique. Imbécillité, hémi- pl
he. - Nodosités crétacées de la pie-mère cérébrale et cérébelleuse. Sclérose atrophique Antécédents héréditaires. 199 de t
s. [Sa famille,. Père, mort à 36 ans, noyé accidentellement ; 200 Sclérose atrophique. sobre. - Mère, morte usée à 63 ans,
Température de l'accès. Tuberculose pulmonaire et rénale. e43 214 SCLÉROSE ATROPHIQUE hémisphérique. ovoide. Le frontal dr
lons superficiels. - Le ventricule latéral, la couche optique, le Sclérose atrophique ; méningite. 215 corps strié et la c
1 cent., une petite concrétion qui n'existe pas de l'autre côté. Sclérose atrophique de l'hémisphère gauche, généralisée.
(1) Nos malades apprennent plus facilement à écrire qu'à lire. xi8 Sclérose ATROPHIQUE ET MÉNINGITE. IV. La puberté n'a pas
0 gr. de moins que le droit. Cette inégalité de poids est due à une sclérose atrophique généralisée de l'hémisphère gauche :
n somme, d'une épilepsie partielle il forme hémiplégique, due à une sclérose atrophi- que et il une méningite chronique de l
ché- ance, avoir été liée aux lésions de méningite plutôt qu'à la sclérose cérébrale. - La sclérose atrophique avait déter
ée aux lésions de méningite plutôt qu'à la sclérose cérébrale. - La sclérose atrophique avait déterminé une inégalité de poi
encore, et c'est ici le cas, quand, à une lésion en foyer ou il une sclérose atrophique, s'ajoute une méningite chronique. A
s d'hémisphères de poids et de volumes différents par suite de la sclérose atrophique de l'un d'eux. Leur juxtaposition a
eau appuie moins sur la voûte orbitaire, et de plus en raison de la sclérose qui l'atteint et qui ratatine les circonvolutio
s certains cas et nullement compa- rable à celle qui accompagne les scléroses totales de l'encé- phale (microcéphalie). Il y
Crâne de Ham... réduit de 16 cent. 5 à 10 cent. 5 en longueur. 260 Sclérose ATROPHIQUE DE l'hémisphère DROIT. antérieure, d
r.) (PL. VI, VII et Fig. 68). Voici d'ailleurs leurs dimensions : Sclérose 1TROPHIQUE DE l'hémisphère droit. 261 Hémisphèr
és. Thèse de Paris. 1888. THlIJAL. - Contribution àl'étucle de la sclérose tubéreuse ou Icypel't1'uphiqLCe du cerveau. Thè
à symp- tômes cérébro-spinaux. Thèse de Paris. LEBRETON. - De la sclérose en plaques chez les enfants. Thèse de Paris.
LF, lobe frontal, ; tou- tes ses circonvolutions sont atteintes de sclérose atrophique à un degré extrêmement prononcé. - F
par BOURNEVILLE et R. MAUGERET ......................... 187 III. Sclérose atrophique, hémisphérique. Imbécillité, hémiplé
66 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
f a voulu dire. EFFETS DE LA SUGGESTION HYPNOTIQUE DANS UN CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES Par let D* J- FONTAN, professeur îl
suggestive paru l'année dernière, l'observation d'un homme atteint de sclérose en plaques, et dont les troubles moteurs et sensi
copique et microscopique); elle conforma entièrement le diagnostic de sclérose en plaques; et les constatations que nous avons f
re cité, à la page 133. OBSERVATION V. Myélite chronique diffuse ( sclérose en plaques fruste). — Paralysie flasque des membr
ant davantage, il porte, sans hésitaiion.commc nous, le diagnostic de sclérose en plaques truste. Aucun des médecins traitants
st ainsi que nous avions entendu émettre tour A tour le diagnostic de sclérose en plaques fruste (pas de tremblements, BÏ de nys
in, et l'examen microscopique soigneusement fait a confirmé l'état de sclérose en Îlots dissémines dans presque toute la hauteur
xe médullaire. M n'y avait point d'atrophie des nerfs optiques, ni de sclérose cérébrale. AUTOPSIE. Habitude extérieure. — E
r chacun ne ces iroBr çons, permettent de suivre la propagation de la sclérose qui forme des îlots disséminés, mais souvent asse
Moelle cervicale. — Immédiatement au-dessous du bulbe, une plaque de sclérose considerable occupe tout le cordon latéral et le
partie interne du cordon de Goll droit) est manifestement atteinte de sclérose . Cette altération qui est arrivée, dans les poi
cependant encore. Sur les bords/brusques et tranchés, de la plaque de sclérose , on voit la structure tubulairc des gaines de Sch
on postérieur étant courbe, à convexité gauche. Un peu plus bas, la sclérose du cordon latéral persiste, mais celle du cordon
du sillon postérieur. Dans le sixième tronçon (10 centimètres). la sclérose occupe surtout la substance grise a gauche. la ré
sque aussitôt après, au milieu de la moelle dorsale, il n'y a plus de sclérose dan? la substance blanche ; seulement, la moitié
uvelle plaque dans le cordon latéral droit. Au renflement lombaire, sclérose de la partie profonde des deux cordons postérieur
partie profonde des deux cordons postérieurs; puis, presque aussitôt, sclérose du cordon antérieur droit. Enfin, à partir de ce
paraissent à peu près complètement. En somme, une longue traînée de sclérose occupe toute la moitié gauche de la moelle cervic
que toujours à droite. Bulbe. — A la partie inférieure du bulbe, la sclérose disparaît, et, dans toute la hauteur de la décuss
éphale établissent qu'il n'y avait point de lésions encéphaliques. La sclérose était simplement bulbo-spinale. Nerfs optiques.
quelque point que ce fût de l'appareil nerveux optique, ni plaques de sclérose , ni même un état d'atrophie partielle do nerf qui
, sur lesquelles s'appuieront nos conclusions : i* Le diagnostic de sclérose en plaques fruste était absolument justifié. La p
aux est on fait habituel de cette maladie. La hauteur de la plaque de sclérose cervicale, qui mesure plusieurs centimètres de lo
icale, qui mesure plusieurs centimètres de long, ne constitue pas une sclérose fasciculéc, car elle atteint tour à tour le cordo
autres plaques sont ensuite brèves et nettement circonscrites. Cette sclérose en plaques est de forme bulbo-spi-rnale, aucun i'
conclusions importantes : ¦A.— La première a trait a l'élude de la sclérose en plaques en général. ¦Noos tenons en effet, la
que les auteurs, et particulièrement Charcot, l'ont indiqué, dans la sclérose en plaques. B. — Notre dernière conclusion a ir
ollègues, dans le service duquel le malade a passé, arait pensé a une sclérose en plaques, s appuyant, je crois, sur ce fait que
aralysie agitant?. Pour qu'un de ¦os collègues ait pu porter celui de sclérose en plaque*, il fallait, ce me semble, que le cas
n'est pas douteux. J'ajouterai qu'on abuse un peu, a mon sens, de la sclérose en plaques et qu'on en voit la où il n'y en a pis
s dans des milieux aussi spéciaux, je » ai vu que quatre autopsies de sclérose en plaques. Il y a donc, a mon avis, beaucoup m
de sclérose en plaques. Il y a donc, a mon avis, beaucoup moins de scléroses en plaques sur la table d'amphithéâtre qu'au lit
ce. la quantité d'urine rendue en vingt-quatre heures. Dans un cai de sclérose en plaques, j'obtins une courte rémission des sym
67 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n 2 * que la syphilis ne donnera jamais lieu au développement d'une sclérose primitive des zones radi- culaires postérieures
i troubles de la parole, ni mégalomanie); ce n'est pas non plus une sclérose en plaques (étiologie, âge du malade, évolution
ophie simple, les ramollissements, les dégénérations kystiques, les scléroses lobaires anciennes plus REVUE DE PATHOLOGIE MEN
ie pseudo-hyper- trophique, maladie de Thomsen, etc. Ainsi, dans la sclérose latérale amyotrophique, par exemple, les auteur
UE NERVEUSE. CLINIQUE DES maladies DU système NERVEUX. M. CHARCOT SCLÉROSE LATÉRALE .1\II'OTROPIIIQUE OU AMYOTROPHIE HYSTÉ
étudiés parallèlement, les caractères cliniques qui distinguent la sclérose laté- rale amyotrophique de l'affection désigné
peuvent, par conséquent, simuler plus ou moins parfaitement soit la sclérose latérale amyotrophique, soit la paralysie du ty
ai présentés dans notre dernière réunion et qui répondent l'un à la sclérose latérale amyotrophique, l'autre à l'atrophie du
it récemment un exemple à la Société médicale des hôpitaux; 2° La sclérose en plaques disséminées est aussi sus- ceptible
le comprenez, soit à l'atrophie du type Aran-Duchenne, soit à la sclérose latérale, si elle s'accompagne d'un état spasmo
ATROPHIE D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 165 l'avant-pied. Serait-ce donc la sclérose latérale amyo- trophique avec son pronostic fat
ies, tous ces symptômes n'appa- raissent jamais dans le cours de la sclérose latérale. Ils appartiennent à l'histoire de la
exaltation des réflexes ten- dineux, c'est précisément le cas de la sclérose latérale amyotrophique, envisageons cette hypot
re; nous n'en sommes pas moins conduits à accepter le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique de date récente, anormal
uriez à prendre dans un cas sem- blable à celui-ci. OB.3ERV,TION. Sclérose latérale <tm ! /o<)'op/tt(/M6 ou Amyotrophi
le dernier cas. Les neurasthéniques, dont l'oreille est atteinte de sclérose con- firmée, voient les crises de vertige appar
hisme sont fréquem- ment des signes prémonitoires de la surdité par sclérose , plus ou moins rapide. Ces états spasmodiques,
e songer à une lésion irritative du cerveau (méningite chronique ou sclérose des circonvolutions). D'autre part, l'état rudi
comme la myélite diffuse, l'atrophie musculaire progressive et la sclérose en plaques disséminées. Dans ces derniers cas, il
elet, dans la maladie deMénière; spasmodique elle s'observe dans la sclérose en plaques. Mais ces différents types peuvent
n groupe que M. Blocq appelle : marches mixtes. C'est ainsi que les scléroses combinées offrent une démarche à la fois ataxiq
bservation III. - Monoplégie brachiale gmche hystéro-trauma- tique, sclérose en plaques. Lésion organique des nerfs des muscle
que semblent s'être manifestés chez lui, les premiers symptômes de sclérose en plaque. Cela commença par de la titubation;
on de la Salpêtrière en 1887, puis de nouveau en 1890. Diagnostic : sclérose en plaques. Depuis deux ans, il gagnait sa vie
buant des prospectus sur la voie publique. Il était donc atteint de sclérose en plaques et suivait le traitement qui lui ava
ctuel. A. Les symptômes qui permettent d'affirmer l'existence de la sclérose en plaques chez cet homme sont les sui- vantes
xe, on ne saurait l'interpréter sans dis- cussion. L'hystérie et la sclérose en plaque sont les deux maladies du système ner
te déviation dans la sciatique, dans la syringomyélie, le tabès, la sclérose en plaques. Ce chapitre est au contraire à fair
tre un peu en parallèle avec le tabès, la maladie de Friedreich, la sclérose en plaques, etc. L'hérédité d'abord, les troubl
eich se distingue assez nettement des deux affections voisines : la sclérose en plaques et l'ataxie de Duchenne (de Boulogne
lexe rotulien et l'affaiblisse- ment musculaire généralisé; puis la sclérose générale aboutit géné- ralement àla démence vra
oftCORW. Quelques réflexions sur l'éliologie et le traitement de la sclérose en plaques a propos des leçons sur les maladies d
réflexe massétérin aurait été seulement constaté jusqu'ici dans la sclérose latérale amyotrophique, dans un cas de lésion org
oncorvo. Quelques réflexions sur l'étiologie et le traitement de la sclérose en plaques à propos des leçons sur les maladies d
umeur-, par Cramer, 291. Saturnine, psychose, 1)al' \Iayer, 91. Sclérose latérale amyotrophique ou amyotrophie hystériqu
68 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
un peu d'épaississement du tissu de soutènement ; pas de véritable sclérose des cordons postérieurs). Mais il est difficile d
umatisme chronique, pas plus que des altérations diffuses de légère sclérose médullaire ne sont à la base des lésions osseuses
« de l'em- physème » ; et « au coeur, une hypertrophie, avec de la sclérose sur- tout à l'orifice aorlique » ; les deux mal
s ulcères va- riqueux sont fréquents chez ces malades, ainsi que la sclérose cardiaque, l'emphysème, la bronchite chronique,
es qui existent entre les lésions osseuses pagétiques et celles des scléroses viscérales : dans les espaces médullaires des os
médullaires des os atteints d'ostéite déformante, ils ont noté une sclérose adulte avec disparition de la plus grande parti
s ; la théorie vasculaire ne satisfait pas l'esprit, car l'artério- sclérose est trop fréquente, et l'ostéite déformante, cett
ério- sclérose est trop fréquente, et l'ostéite déformante, cette « sclérose osseuse hypertrophique » (Ménétrier et Gauckler
au niveau des méninges encéphaliques, ni à l'examen de l'encéphale. Sclérose des cordons postérieurs de la moelle. Lésions de
ïde est très peu abondant dans cette glande. On remarque encore une sclérose de moyenne intensité de cet organe. Notre cas
hoisir entre la polyomyélite antérieure subaiguë ou chronique et la sclérose latérale amyotrophiqae. Chez notre malade nous
re que la paralysie iabio-giosso-iaryngée appartient en propre à la sclérose latérale amyotl'ophique. Selon Dejerine on peut
soit peu lésé, on aurait eu peut-être un argument pour admettre la sclérose latérale plutôt que la polyomyélite, bien que d
lassé parmi les formes de la polyomyélite anté- rieure et non de la sclérose latérale. On comprend tout de suite l'importanc
idées de Dejerine, il faudrait pencher plutôt pour le diagnostic de sclérose latérale amyotrupltique. A part ce fait sur leq
la démonstration de l'i- dentité des lésions anatomo-patholobiques ( sclérose du cartilage épiphy- saire d'ossification) nous
égatif. L'achondroplasie qui se présente histologiquement comme une sclérose du cartilage de conjugaison, affecte une forme
t produire les mêmes effets. L'achondroplasie serait en somme une sclérose d'origine variable du car- tilage d'accroisseme
normale et'ne déterminent ni l'inflammation ni 150 ETTORE LEVI la sclérose proprement dite du cartilage de conjugaison qui e
r- dinatrices d'occupation et de le distinguer -du tremblement delà sclérose en plaques, de la paralysie générale, de l'éthy
rve parfois dans la paralysie générale, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, la chorée ; mais l'examen somatique
ré des cas combinés de cette contracture avec le tabès dorsalis, la sclérose en plaques, la syringomyélie, il arrive à la co
uve au fond de la contracture de Dupuytren et il propose l'appeler « sclérose pal- maire ». Enfin en 1905, Perrero et Festi
u moyen d'une pince de bois. » S'il s'agit de myosite chronique, de sclérose musculaire (Vigouroux), ou de synovite, on util
roscopique. 2° Dans la capsule surrénale cancéreuse, les lésions de sclérose ancienne prédominent. Le tissu conjonctif forme
Ba- binski (2) qu'ils persistent au sein des îlots scléreux dans la sclérose en plaques. Tout porte à croire que les cylin
iques pour pou- voir être étudié. Les ovaires sont le siège d'une sclérose intense : on ne peut trouver sur chaque coupe i
cles du pharynx. Sterno-cléido-mastoïdien et lhyro-hyoïdien. Légère sclérose inter-fasci- culaire. La graisse interstitielle
thymus. Ce- lui ci, en dehors d'une grosse vascularisation et d'une sclérose légère, offre tous les caractères du thymus nor
e (PI. XLV). A un faible grossissement, on voit de larges bandes de sclérose , colorées en rouge au van Gieson, qui forment à l
L'ouie est légèrement diminuée bilatéralement, à cause d'une légère sclérose du tympan. 11J8 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHI
te pachyméningite hémorragique interne. Atrophie et 498 ROUDNEW sclérose du cerveau. Pneumonie fibriizettse catarrhale. St
isante atteinte d'une affection mentale. Schaikevilch a supposé une sclérose diffuse de la colonne vertébrale, ce que nous a
rtébrale, ce que nous avons également observé chez notre malade. La sclérose osseuse était de la même origine que la scléros
z notre malade. La sclérose osseuse était de la même origine que la sclérose vasculaire. Cependant, comme la paralysie général
résulté des altérations graves du système osseux. Si cependant la sclérose , comme résultat des troubles trophiques, peut e
concerne le système cardio-vasculaire on doit admettre des faits de sclérose aortique, alors que l'absence du HCI libre et la
o, mais elles ont été interprétées à juste titre comme des faits de sclérose mé- dullaire pseudo-systématique d'origine vasc
ut répondre à cette objec- tion que toutes les manifestations de la sclérose artérielle ne s'observent pas avec une égale fr
vident ; on s'était demandé si cette malade n'était pas atteinte de sclérose en plaques. La malade mourut en septembre 1907.
lorées par la méthode de Pal, semblent normales ; on ne voit pas de sclérose bien manifeste. Sur les coupes supérieures le c
type anatomique. Ses éléments constituants sont les suivants : 1° Sclérose et démyélinisation totale des olives bulbaires su
: rappelons qu'on avait pensé chez notre malade à l'existence d'une sclérose en plaques; l'insuffisance de l'observation cli
; nous avons cependant tendance à supposer qu'un certain nombre des scléroses combinées des vieillards décrites par Crouzon (2)
. Lhermitte, Soc. de neurologie, 7 janvier 1909. (2) CnouzoN, Des scléroses combinées de la moelle, thèse de Paris, 1904. (
chymateuses, mais pourtant qu'elle en diffère par l'existence d'une sclérose manifeste dans les régions dégénérées. Plus r
es atrophies systématisées, distinguer celles qui s'accompagnent de sclérose névroglique et celles qui, se li- mitant exclus
Anglade et Calmeltes). Foyers inflammatoires et nécrobiotiques avec sclérose secondaire. (Paralysie générale). Cas de H. B
lt;'10, 2. - Coupe de testicule ectopié montrant l'hypertrophie et la sclérose du tissu interstitiel. Les cellules épithéliale
lèlement, et la paralysie n'a pas précédé l'atro- phie. Contre la sclérose latérale am y o trophique parlent l'abolition des
ue dans cette maladie manquent les atrophies musculaires. Contre la sclérose en plaques est surtout l'évolution et la notable
férentes dans les différents cas, ramollisse- ments, porencéphalie, scléroses ou méningites diffuses. Mais il y a un ca- ract
69 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
Ainsi, dans la paraplégie spasmodique de la myélite transverse, de la sclérose en plaques, etc., ce n'est pas d'un coup que les
aux d'un même muscle, mais, même les fibres d'un même faisceau, et la sclérose du tissu conjonctif interstitiel. Nous retrouvo
re des affections spinales. Nous la retrouvons très accentuée dans la sclérose latérale amyotrophique, dont je vous ai présenté
e est guérie. Sans doute aussi, chez des sujets à lésions organiques ( sclérose descendante cérébrale ou spinale), on peut voir l
soire, accidentel, pour ainsi dire, ce sont les myélites diffuses, la sclérose en plaques, les tumeurs de la moelle épinière, l'
ques-uns des muscles atrophiés. Ils se distinguent cliniquement de la sclérose latérale amyotrophique en ce que la participation
en un certain nombre de formes distinctes, comme je l'ai fait pour la sclérose latérale amyotrophique. Il en résulte que son dom
yotrophies de cause spillale qui comprennent à titre d'espèces: 1° la sclérose latérale amyotrophique ; 2° l'atrophie musculaire
ments choréiformes. Ghorée rhythmée Sommaire. — Tremblement de la sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. — Tremblem
. Messieurs, Je veux vous parler aujourd'hui, à propos des cas de sclérose en plaques que je vous ai montrés dans les précéd
on. J'ai insisté sur les çajraclèresjarticuliers du tremblement de la sclérose en plaques, et déjà j'ai démontré qu'il ne se man
vase approche de la bouche. Ce caractère spécial du tremblement de la sclérose en plaques se traduit facilement par un tracé à l
a partie 1 de la fig. 36 représente le tremblement intentionnel de la sclérose en plaques. La ligne horizontale A B indique le
ng que l'on s'éloigne plus du point B. Tel est le tremblement de la sclérose en plaques. Pour mieux mettre en relief les carac
iers temps. Commençons par la(^ralysie agitante.? Comme celui de la sclérose en plaques, le tremblement de la maladie de Parki
s il ne produira ces oscillations à grand arc qui sont spéciales à la sclérose en plaques. Ce caractère se révèle bien sur les t
la période de repos, mais elles ne le sont jamais autant que dans la sclérose en plaques. Rappelez-vous aussi que, dans la pa
re, et qui a été effective ment confondue avec le tremblement de la sclérose en plaques. Je veux parler de la chorée ou plutôt
ction générale du mouvement et font manquer le butjtandis que dans la sclérose en plaques et dans les autres tremblements dont j
pitales, il y a entre les mouvements choréiques et le mouvement de la sclérose en plaques je ne sais quelles analogies extérieur
rieures qui font que des médecins distingués ont vu longtemps dans la sclérose en plaques une sorte de chorée. Duchenne (de Boul
e (de Boulogne), qui avait bien distingué l'ensemble des signes de la sclérose en plaques, mais qui ne la connaissait pas au poi
ésentent quelquefois une analogie grossière avec le tremblement de la sclérose en plaques. Ainsi sont formés, Messieurs, les d
e Sydenham et des affections connexes. Cela nous éloigne un peu de la sclérose en plaques, mais je craindrais, en tardant plus,
ice, entraînant d'abord la résorption de la myosine coagulée, puis la sclérose musculaire et au dernier terme le raccourcissemen
ements choréiformes. chorée rhythmée. Sommaire. — Tremblement de la sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. Tremblemen
trière (Organisation de la —) aupointde vue de l'enseignement, 3. Sclérose musculaire, 409. Sciatique (Contusion du nerf),
— et hystérie, 250, 289, 301, 402, 44?. Tremblements, 209; — de la sclérose en plaques, 209; - de la para'ysie agitante, 20
70 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
sphères ou d'un hémisphère ; b) sclé- rose d'un lobe du cerveau; c) sclérose de circonvolutions isolées; cL) sclérose chagri
e d'un lobe du cerveau; c) sclérose de circonvolutions isolées; cL) sclérose chagrinée du cerveau ( ? ); '. 7° Idiotie sympt
onie gauche. Mort. Autopsie. Atrophie générale des circonvolutions, sclérose de la pointe du lobe occipital droit. Soulèveme
XL -IDIOTIE \flf.nOCI : PH : 1L1QLE. Hémiplégie SP : 1S\t0- Disque. Sclérose atrophique. Tuberculose AHDOMI- \.ALE. Sommai
e de l'état du cencau. OIIS. XI )1S.-IDIOTIE SI'11PT01L11'IQUU de sclérose cérébrale. SOMMAIRE. Père, caractère violent. G
de synostose, aspect chagriné, plisse- , ment des circonvolutions, sclérose cérébrale, la substance grise semble mobile sur
l'obélion. (Fig. 24 bis). " " , OBS. Xir. Idiotie symptomatique DE SCLÉROSE atrophique DE.L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL GAUCHE ET D
te optique, du pédoncule cérébral, du tubercule mamillaire gauches. Sclérose atrophique de l'hémis- phère cérébral gauche. M
ques. OcS.XIIt.IDIOTIE SYMPTOMATIQUE de IÉN[NGO-EKCÉPHAL1TE ET DE SCLÉROSE CÉRÉBRALE. SoMMAinE. Père, caractère très empor
en 1886,1889 et 1893. OBS. IL-IDIOTIE PROBABLEMENT SYMPTOMATIQUE.DE SCLÉROSE ' CÉRÉBRALE. Sommaire. -Père, nombreux excès
qui sont survenus progressivement chez lui de 1880 à 1893.. OBS IX. Sclérose cérébrale : imbécillité ET hémiplégie DROITE AV
(1). OBS. X. Imbécillité ET HÉMIPLÉGIE DROITE, symptomatiques DE SCLÉROSE CÉRÉBRALE. SOMMAIRE. - Père mort tuberculeux, n
émie s'est accompagnée d'un abaissement de la température. III. Sclérose atrophique et méningo -encéphalite; (Paralysie
cléreuse de l'insula et de la partie antérieure de FI et F2, Pas de sclérose sur la face interne de cet hémisphère. Desh...
R. 39°,3. 8 janvier. L'enfant est mort ce matin avec une tempéra- Sclérose atrophique et 117 : \IIvTGO-P\CPPI-IALITE. 105
0 kilogr. Autopsie faite le 9 janvier, 25 heures après décès. 106 Sclérose atrophique ET MÉN ! NGO-ENCÉPHALITE. circonvolu
le tiers antérieur de si sont très atrophiées, blanchâtres, dures. ( Sclérose atrophique) Cette atrophie et cette coloration
est moins atrophié que l'autre. Toutefois FI et F2 sont le siège de sclérose -IL la partie antérieure, mais moins qu'à gauch
n du corps cal- leux et enfin sur quelques points de Il mais pas de sclérose . Ventricule latéral un peu dilaté. - Couche opt
mois : c'est à celles-ci qu'il nous semble logique de rattacher la sclérose atrophique, cause de l'arrêt de développement i
t, au dire des auteurs (2), sur l'ataxie loco- motrice, différentes scléroses médullaires, sur la tuber- culose pulmonaire, l
ns de LIQUIDE testiculaire. 121 OB9. II. Épilepsie symptomatique. SCLÉROSE ATROPHIQUE. Accidents procuiisifs. Mort... (H
aphie. Leur consistance est nor- male et on ne trouve nulle part de sclérose .- Les vaisseaux et nerfs de la base sont normau
71 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s d'hémisphères de poids et de volumes différents par suite de la sclérose atrophique de l'un d'eux. ^ Leur juxtaposition
eau appuie moins sur la voûte orbitaire, et de plus en raison de la sclérose qui l'atteint et qui ratatine les circonvolutio
s certains cas et nullement compa- rable à celle qui accompagne les scléroses totales de l'encé- phale (microcéphalie). Il y
dégénérescence du faisceau pyramidal consécutive à la myélite, une sclérose combinée de la région sacro-lombaire ; 2° Une n
neurologique, janvier 1903). - E. B. VI. Atrophie du cervelet et sclérose en plaques; par André Thomas, M. Thomas a prati
lade ayant présenté une symptomatologie très analogue à celle de la sclérose en plaques et à l'autopsie de laquelle on avait c
68 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXI. Un cas de sclérose symétrique des lobes occipitaux; par Marchand.
coma à la suite d'attaques nombreuses. A l'autopsie on constate une sclérose de toute l'étendue des lobes occipitaux avec maxi
bro- formative d'une tuberculose chronique, au même titre que les scléroses pulmonaires, les symphyses pleurales ou les myoca
rte pas toujours une intégrité de la conduction (névrite périaxile, sclérose en plaques). Il y a donc de ce côté à 80 SOCIÉT
plus, Looft, MM. Jeanselme, Marie ont décrit chez des lépreux une sclérose des cordons postérieurs dans la région dite endo-
ion inllammatoire appa- rente de l'appareil vasculaire, tels que la sclérose en plaques, les dégénérescences primitives des
flement cervical. Exagéré dans la paralysie spasmodique et dans la sclérose latérale amyotrophique, il disparaît dans certain
t se classer parmi les atrophies réflexes par lésion articulaire. Sclérose en plaques chez un infantile myxoedémateux. MM.
ntile myxoedé- mateux de dix-huit ans porteur de signes évidents de sclérose en plaques (tremblement intentionnel, parole le
l, parole lente et scandée, nys- tagmus) et de débilité mentale. La sclérose en plaques est très rare chez les enfants. Sy
r. Consécutivement aux lésious cérébrales très vastes le tractus de sclérose du faisceau pyramidal direct, non seulement n'o
s, les lésions anciennes qui se sont compliquées d'atro- phie ou de sclérose médullaire, et les lésions destructives de la s
missements et des cépha- lées, on aurait pu porter le diagnostic de sclérose latérale amyotro- puisque avec troubles bulbair
aux pulsations du pouls. Elles n'avaient rien de l'athétose, de la sclérose en plaques : rien non plus du tic généralisé, l
al, l'idiotie amaurotique a des traits bien particu- liers. 3° La sclérose hypertrophique tubéreuse. 4° L'idiotie consécut
ns tous les cas ; de même dans 13 cas de méningite, et sur 5 cas de sclérose multiple dans 3 cas. Résultats négatifs dans le
t rétrécie depuis quelques semaines. Aucune autre anomalie sauf une sclérose de l'oreille moyenne avec hypo-acousie qui ne g
s plus tard le patient présente des accidents du côté de la moelle ( sclérose en plaques probable) auxquels il succombe en tr
même de la sylvienne, de la cérébrale Fig. 15. - Crâne de Ham... SCLÉROSE ATROPHIQUE DE L'HÉMISPHÈRE DROIT. 473 antérieur
diminuées sans être sclérosées. Tout le lobe temporal est atteintde sclérose ve1'micellée. En résumé la lésion forme un demi-
ient à l'ABSENCE Du corps calleux, sur laquelle nous reviendrons. sclérose atrophique CROISÉE : cerveau ET CERVELET. 475 a
, Nous nous contenterons de dire qu'il s'agit làd'un bel exemple de sclérose atrophiqtteintéressant l'resque tout l'hémisphè
ions vasculaires. Il s'agit en somme dans la majorité des cas d'une sclérose com- binée postérô-latérale. MM. Pic et Bonna
z qui sont directement fonction des troubles circulatoires et des scléroses médullaires, sous la dépendance des mêmes causes
mêmes causes qui ont produit l'artério-sclérose. Ils comparent ces scléroses médul- laires autochtones aux diverses sclérose
Ils comparent ces scléroses médul- laires autochtones aux diverses scléroses viscérales si fréquentes à un âge avancé. Le
pourra penser, chez un vieillard athéroma- teux, à cette variété de sclérose polyfasciculaire pseudo-systéma- tique. ' G. Ca
exe. LF. lobe frontal; toutes ses circonvolutions sont atteintes de sclérose atrophique à un degré extrêmement prononcé. FA,
s du , par Gordinier, 4S9. Voir Maladie. CERVELET. Atrophie du et sclérose en plaques, par Thomas, 62. Voir Tumeurs. Noi
e avec atrophie musculaire, par Lannois, 273. MYXOEDEMATEUX. Voir Sclérose . Voir Infantilisme. Narcose. De l'origine et
ifique, par Gauchler et Roussy, 75 Sclérodermie, par Huet, 509. Sclérose en plaques. Voir Cezaelet. Un cas de - symétriq
72 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
employée avec succès dans deux cas de névralgies, et dans un cas de sclérose en plaques, elle a diminué le tremblement et au
malades, se décomposant en : 34 tabétiques (29 hommes, 5 femmes); 1 sclérose en plaque (femme); 1 myélite chronique (homme);
mollissement et l'hémorrhagie cérébrale, l'insuffisanceaortique, la sclérose et la stéatosedu coeur, représentent les localisa
con- tracturés. Or la lésion qui engendre la contracture c'est la sclérose dégénérative du faisceau pyramidal. Mais, je vous
. KCRAV.1L. · revue DE pathologie NERVEUSE. 267 X. Du DÉBUT DE la SCLÉROSE EN plaques ET DE L1 myélite aiguë ; par A. CRIM
aiguë ; par A. CRIMER. (Arch. f. Psych., XIX, 3.) Histoire d'une sclérose mulliloculaire en rémission. Cette rémis- sion,
VIII. Recherches SUR LES TROUBLES oculaires QUI SURVIENNENT dans la sclérose EN plaques (sclérose en foyers multiloculaires) ;
LES TROUBLES oculaires QUI SURVIENNENT dans la sclérose EN plaques ( sclérose en foyers multiloculaires) ; par W. Uhtiioff. (
Les altérations anatomiques des nerfs optiques tiennent, dans la sclérose en plaques, le milieu entre l'atrophie tabétique
ion est bien séduisante. P. K. XXV. Examen anatomique d'un cas DE sclérose latérale AIIYOTRO- PULQUE; parO. UORNBLUETH. (N
erronés. P. K. XV. UN cas DE myélite transverse avec syringomyélie, SCLÉROSE multiloculaire ET dégénérescence secondaire; pa
ces lésions se sont compliquées dans les derniers mois de la vie de sclérose multiloculaire. P. KERAVAL. XVI. CONTRIBUTION A
core à la Société la moelle épinière enlevée à un malade atteint de sclérose en plaques. Les foyers scléreux siègent surtout
ontale et de l'insula de Reil, une intégrité complète gau- che, une sclérose descendante du faisceau pyramidal gauche. Pas d
x côtés. ' Les lésions constatées dans le bulbe consistent en une sclérose de la pyramide droite antérieure et une asymétr
rps restiforme. Les pédoncules cérébraux n'ont pas été examinés. La sclérose de la pyramide résulte naturellement de la dest
d'après la méthode employée déjà par MM. Kojevnikoff dans un cas de sclérose amyotrophique latérale ', on a pu trouver une qua
d'anormal dans les cordons blancs et on ne constate aucun signe de sclérose descendante. Les racines antérieures et postéri
ôté du symptôme commun avec le cas précédent, c'est-à-dire 1 Cas de sclérose latérale amyotrophique. (Archives de Neurologie,
r M. Babinski1 , on admet- tait que l'atrophie musculaire, dans les scléroses descendantes, était toujours provoquée par l'at
des ganglions spinaux, que cette atro- phie peut coïncider avec une sclérose descendante du faisceau py- hamidal ou exister
i ressemblent à la paralysie agitante, et ceux qui ressemblent à la sclérose en plaque. On reconnaîtra l'ori- gine hystériqu
eu pour initiateur. En trouvant, par l'anatomie patho- logique, la sclérose de la lésion de la substance blanche, on peut d
la pellagre. - Du siège de quelques hémorrhagies méningées (1837). Sclérose de la substance blanche superficielle des circonv
'entre le bégayement hystérique et les troubles de la parole, de la sclérose en plaques, de la paralysie glosso-labio-la- ry
cons- tatés par M. Ballet relèvent de la paralysie générale, de la sclérose ' P. 21, loc. cit. 2 P. 20, loc. cit. A PRO
nstatés par M. Ballet, relevaient de la paralysie géné- rale, de la sclérose en plaques ou de toute autre affection. II ne v
tantes des cordons latéraux, 20 p. 100; les paralytiques généraux à sclérose postérieure avaient été atteints à l'âge de quara
et le début de la paralysie générale; les paralytiques généraux à sclérose latérale avaient été atteints à l'âge de trente a
Il est des cas dans lesquels il y avait lésion organique préalable ( sclérose du système artériel), mais l'équilibre fonctionne
une modification du côté des gauglions spéciaux ni des cellules. La sclérose descendante du tra- jet pyramidal ne constitue
u-' peur, par Gulli, 151. Myélite AIGUE,.début de la - et de la sclérose en plaques, par Cramer, 267. par Unverricht,
z maladie d'Addison, -et atrophie musculaire, par Schulz, 273. Sclérose , début de la - en plaques et de la myélite aigu
73 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
urées longtemps dans une même attitude forcée sans variations, à la sclérose de tous les tissus mous des doigts en géné- ral
tés sont en flexion. Dans ces cas et dans d'aulres semblables où la sclérose du cordon latéral n'est pas néces- sairement pr
x, S'éLlirlà- rentuccessivement des espèces morbides nouvelles : la sclérose latérale amyotrophique. la pachyméningite cervi
s maladies qui peuvent produire ce type d'atrophie, c'est-à-dire la sclérose latérale amyotro- phique, la syringomyélie, la
rait des lésions (kystes hémorragi- ques, foyers de ramollissement, sclérose cérébrale) occupant soit le lobe pariétal ou le
ou alors le lobe temporal. Dans un de ces cas, il s'agissait d'une sclérose atrophique congénitale de l'hémisphère gauche,
s lésions, il s'agissait, dans deux de ces cas, de microgyrie et de sclérose lobaire atteignant la presque totalité d'un hém
ulaire, l'atrophie et le tassement des éléments cellulai- res et la sclérose névroglique compensatrice. Avant de terminer ce
res cérébraux et médullaires ; son associa- tion est fréquente avec sclérose en plaques, la démence précoce et parfois avec
ure. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PL. LII SCLÉROSE MÉDULLAIRE TRANSVERSE DORSOLOMBAIRE a, moelle ;
moelle ramollie et comprimée par la tumeur. UNIVERSITÉ DE GENÈVE SCLÉROSE MÉDULLAIRE, TRANSVERSE, SEGMENTAIRE, DORSO-LOMB
de la «Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière » sous le litre de : Sclérose médullaire transverse, segmentaire, dorso- lomb
dure-mère Cependant l'examen microscopique d'une particule fraîche SCLÉROSE MÉDULLAIRE, TRANSVERSE, SEGMENTAIRE 309 prise s
avons décrits et discutés dans le mémoire de 1905 sous le titre de sclérose , etc. Ces symptômes et leur évolution sont du r
meur de la dure-mère, ou d'une production constrictive telle qu'une sclérose de la moelle. En faveur de la sclérose plaidait
on constrictive telle qu'une sclérose de la moelle. En faveur de la sclérose plaidait une bénignité relative attribuable à l
remontant au côté gauche, ce sont des contorsions, crampes, « cou- SCLÉROSE MÉDULLAIRE, TRANSVERSE, SEGMENTAIRE 311 1 rants
réaction faiblement acide. Densité 1010 ; Urée 7.77 0/00 ; Chloru- SCLÉROSE MÉDULLAIRE, TRANSVERSE, SEGMENTAIRE 313 res 8.7
r la substance grise centrale qui, d'accord avec le grand sympalhi- SCLÉROSE MÉDULLAIRE. TRANSVERSE, SEGMENTAIRE 315 que et
anente et progressive, tandis qu'un agent de compression tel qu'une sclérose s'accorde mieux avec l'action thérapeutique, tout
dans la paralysie générale. On a signalé enfin ce syndrome dans la sclérose en plaques, 1'liéi,éclo-sypliilis, l'hémorragie
l'azoturie chez un malade atteint de myélite hyper- plasique, avec sclérose du bulbe. Von Ildsslin signale la polyurie après
r du cerveau, paralysie cérébrale infantile; tumeur de l'hypophyse, sclérose , tubercule solitaire, etc.). Mais outre ces dif
ouvent se montrent des atta- ques épileptiques, iaporencéphaiie, la sclérose tubéreuse (forme d'idiotie), la paralysie céréb
nt atteint une telle extension et intensité suffisantes, que par la sclérose secondaire et aussi par des adhérences anormale
mmation de l'encépha- lite se sclérosent très lentement ; par cette sclérose les vaisseaux sanguins 398 BOLTEN facilement
ale de la pression intraérânienne, soit par des processus locaux de sclérose , provoquent des troubles étendus de circula- ti
sait, des épilepsies inamovibles, qui dépendent de méningite ou de scléroses 414 AUSTREGÈS1L0 cérébrales qui ont passé ou
ar Marchand et Usse, 52. Sang dans la pellagre, par RoiovsKr, 94. Sclérose médullaire lracaaverse, segmen- taire, dorso-lo
Neurofibromatose unilatérale, 321. Rf.vu.Lloo (Léon) (de Genève). Sclérose médullaire, Ltransverse, segmentaire, 424 TAB
Raynaud (Maladie de - chez une démente) (Marchand et UssE), XIII. Sclérose médullaire transverse (RÉVILLI 01», LI1. Souv
74 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
es taches laiteuses sur la valvule tricuspide et la mitrale. Pas de sclérose . Quelques plaques athéromateuses de l'aorte.
rtie posté- rieure du lobe carré. Autres foyers ou mieux îlots de sclérose formant tumeurs à l'origine de la circonvolutio
'encéphale pesait 1,600 gr., poids élevé, dû peut-être aux îlots de sclérose tubéreuse 1. Chez Caill..., il semble, d'après
s par une impulsion irrésistible à courir. - 1 Cette observation de sclérose tubéreuse s'ajoute 1 celles que nous avons préc
ulmonaire crétacée. Quelques adhérences pie-mériennes ; atrophie et sclérose du lobe cérébelleux gauche; -inégalité de poids
Ces fibrilles conjonctives forment un véritable tissu fibroïde e de sclérose qui tranche vivement par son aspect sur le tissu
pilepsie procursive. trois étapes : 10 prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses; 3° formatio
mère de la convexité. - Adhérence de la corne droite postérieure. - Sclérose et atro- phie de l'hémisphère droit du cervelet
t von Epilepsie mil Zwangs-llewegu11gen und Zwangsvorstellungen und Sclérose einer K7e ? t ! ')-M ? eM)oe;'e. (Vir- chow's A
ligieuses résultant de sa profession. A l'autopsie, on constata une sclérose atrophigue de hémisphère cérébelleux droit, l'a
u ventricule latéral gauche ne présentaient aucune ano- malie. - La sclérose cérébelleuse droite était plus prononcée sur le
s diffèrent de ceux qu'on observe soit dans la chorée, soit dans la sclérose en plaques. Quand le malade veut se lever de sa
ui paraissent se rapprocher le plus de l'athé- tose double, sont la sclérose en plaques, l'ataxie locomotrice, l'ataxie héré
taxie héréditaire et la chorée. Dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques, on observe des troubles de la vue :
s, les attaques apoplectiformes qui sont assez fréquentes dans la sclérose en plaques, ne paraissent pas se rencontrer dans
muscles de la face qui n'existent pas, chez les malades atteints de sclérose en plaques et tandis que les troubles de la parol
et tandis que les troubles de la parole vont en s'aggravant dans la sclérose en plaques, ils restent stationnaires dans l'at
C IMBÉCILLITÉ. 183 la bouche : à partir du début de l'acte, dans la sclérose en pla- ques, le tremblement va sans cesse en a
. Enfin, le tremblement s'aggrave de plus en plus à mesure que la sclérose en plaques fait des progrès, tandis qu'il reste l
eut diminuer chez les malades atteints d'athétose double. Dans la sclérose en plaques, on note au début une parésie affect
e des deux affec- tions n'est pas la même; d'une façon générale, la sclérose en plaques tend à s'aggraver de plus en plus po
t. XIII, p. 217); le mémoire très intéressant de M. P. Marie sur la Sclérose en plaques chez lus enfants (Revue de médecine)
75 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ocessus plus marqué ou de plus longue durée aboutit à une véritable sclérose pseudo-tabé- tique. Au point de vue clinique,
bien que, naturellement dans les cas chroniques de longue durée la sclérose puisse être complète. Les fibres des racines anté
Il s'agit d'une jeune fille de vingt-huit ans qui était atteinte de sclérose en plaques au début lorsqu'elle fut prise subitem
sses à leur sortie des trous condy- liens antérieurs. G. D. , IX. Sclérose en plaques. Mouvements au repos; par le or BOUCHA
e l'auteur s'appuie pour affirmer l'existence chez son malade d'une sclérose en plaques malgré les mouvements involontaires
cueillis dans la littérature, qui prouvent que le tremblement de la sclérose en plaques n'est pas toujours intentionnel; com
système nerveux était préalablement lésé par le poison exogène. La sclérose rénale favo- risait cette double action toxique
que le signe de Babinski existait 38 fois. Mais, dans 8 des cas (4 scléroses en plaques, 1 hémiplégie acquise, 1 hémiplégie
'idiotie mon- Fig. 2. - Dipl{ogle. BIBLIOGRAPHIE. 183 Fig. 3. - Sclérose atrophique. 184 BIBLIOGRAPHIE. golienne, que
antérieurs : idiotie complète avec diplégie;' l'autopsie montre une sclérose atrophique surtout marquée à l'hémisphère droit
dant à l'amputation. Il n'y a pas seule- ment.atrophie simple, mais sclérose , et, tandis que l'atrophie ala tendance'à' dimi
us marquée et plus distincte "eh allant de bas eu haut; Pour qu'une sclérose 'puisse se produire dans la moelle d'un am- put
grande partie du -membre a été sacrifiée. Enfin, l'existence d'une sclérose dans les cordons posté- rieurs des deux 'côtés,
stic. Dans le premier cas, on porta tout d'abord le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique à cause des symptômes diff
ômes isolés sont possibles à ce qu'il paraît, non seulement dans la sclérose disséminée, mais aussi dans la syphilis cérébra
tains points, les lésions vont plus loin, et l'on peut constater la sclérose totale de quelques faisceaux ner- veux. Mais, e
voir perdu leur puissance fonctionnelle. A la longue, cependant, la sclérose des nerfs ainsi enserrés peut devenir complète.
ssement. A, fascicule nencu\ isolé au sein d'une masse épilhéliale. Sclérose légère et hémor- rhagie interstitielle; 13c, co
ut de la COll1p"e"sitln, ahoulis- salll h la dégénérescence et à la sclérose du nerf ainsi englobé. C'est ainsi que l'on a r
e une leptoméningite chronique de la convexité du cerveau, et de la sclérose de ses vaisseaux. 11 existe un kyste apoplectiq
oisées droites, en sorte qu'on ne peut constater en ce point aucune sclérose , bien que cette lésion existe à un certain degr
ion fût com- plète, et s'est par conséquent accompagnée de moins de sclérose que si ces fibres avaient atteint leur myélinat
iaires, de leur réseau fibrillaire chez la grenouille vivante. La sclérose cérébrale diffère de la sclérose des autres tissu
ire chez la grenouille vivante. La sclérose cérébrale diffère de la sclérose des autres tissus par le peu de rétraction de l
ue dans le liquide céphalo-rachidien normal. Tremblement à forme de sclérose en plaques occasionné par une ostéo 'a1'thl'opa
membre supérieur gauche et ayant tous les caractères de celui delà sclérose en plaques. Mais il n'y a aucun autre signe de
celui delà sclérose en plaques. Mais il n'y a aucun autre signe de sclérose en plaques ; il n'y a non plus aucun stigmate d
rale infantile et ana- tomiquement par l'atrophie cérébelleuse. ' Scléroses combinées médullaires chez deux paralytiques géné
Dans les deux cas, l'as- pect de la moelle lombaire est identique, sclérose des aires pyrami- dales des cordons latéraux et
identique, sclérose des aires pyrami- dales des cordons latéraux et sclérose à topographie tabétique des cordons postérieurs
cas, on voit des lésions du tabes incipiens. De plus, dans l'un la sclérose diffuse des cordons latéraux constatée dans la
oelle lombaire se réduit dans la moelle cervicale et le bulbe à une sclérose du faisceau cérébelleux direct et est, sous la
n foyer de méningo- myélite de la région dorsale, mais encore d'une sclérose , descen- dante d'un système pyramidal suite d'u
ollissement sous- cortical d'un hémisphère cérébral. , Ainsi, ces scléroses combinées médullaires observées chez deux paral
même nature que la méningo- encéphalite ont réalisé le syndrome des scléroses combinées qui n'a de valeur qu'autant qu'on en
laparasi- tologie du dans l'épilepsie, par Gl11liarov.kv, 510. Sclérose en plaques. Mouvements au repos, par Bouchaud.
du intentionnel el du - au repos, par de Buclc, 237. - à forme de sclérose en plaques occasionné par unosteo-a ! ') ! jro-
76 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quand il y a (le l'artério-sclérose et des troubles vasomoteurs. Sclérose en plaques infantiles. MM. RAYMOND et BAUDOUIN
ent une observation d'épi- lepsie hémiplégique avec imbécillité par sclérose atrophique hémi- plégique, et l'auteur profite
il existe quelques rares tubercules anciens, comme étoul1'és par la sclérose ;dans un point où d'existé un petit noyau d'asp
voit des bandes assez larges de tissu fibreux pénétrer du tissu du sclérose péri- radiculaire dans la racine. En aucun poin
et des orteils. )1\I. IOUTIhR et Robert Grasset montrent un cas de sclérose latérale amyotropliique évoluant depuis six ans
215 à une altération organique de l'encéphale, sénilité, artério- sclérose précoce, hémorragies, ramollissement, etc., et pl
que vient renforcer un gros faisceau UN CAS D'HYSTÉRIE SIMULANT LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 230 antérieur venu du tronc commun
épendant d'intoxica- tions variées. Un cas d'hystérie simulant la sclérose en plaques et la syringomyélie. MM. Parton et
. L'examen anatomique permet dans ce cas d'éliminer ab- solument la sclérose en plaques et la syringomyélie. La pathogénie d
xi- mum dans les calcarines,complètement envahies par du tissu de sclérose , et, pour le cervelet, dans les llocculus presque
tabélique, ni les chorées héréditaires, ni celle de Sylenham, ni la sclérose en plaques, ni le Friedreich. Ce cas pst rappro
flammation particulière, bien différente de celle qui aboutit à la sclérose avec oblitération : son caractère est de porter s
- Le tissu interstitiel est augmenté, résultat d'unpro-. cessus de sclérose fibreuse en certains endroits et d'un processus
us grand nombre de libres musculaires en même temps que le tissu de sclérose y était assez développé et dense ; les muscles
chacune des deux théories avant cours sur ce point : d'une part la sclérose des fibres musculaires (théorie de Krusing), d'au
entun traitement spécifique mê- me actif pourrait-il agir sur cette sclérose ? Ces diverses considé- rations permettent à l'
s l'oscillation sur place F. T. BEVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE \\1. Sclérose médullaire, transverse. segmentaire, dorso-lomb
ute spécificité recunnue) et h) dl'ou1Ïné- raie. F. Tissot. \\Il. Sclérose en plaques fruste ou syndrome cérébel- leux de
me de déficit, cérébelleux peut simuler le tableau cli- nique de la sclérose en iliaques : chez un homme de 40 ans, al- cool
éral du malade est celui d'une holwmyélitu cltrunitluo et non d'une sclérose latérale all1)'oll'ophique, L'h olulion assez r
es signes de né- vrite seront en faveur du Korsakovv, des signes de sclérose com- binée en faveur de la P. G. Cependant la m
, survient l'épaississement de la névroglie, et (après des mois) la sclérose . L'absence d'infiltrations cellulaires dans le
ent, d'une façon chronique, une prolifération de la névroglie et la sclérose ; l'oedème s'il dure longtemps, peut provoquer
t va rejoindre la zone fortement dégénérée du F Py C ; cette légère sclérose sous- méningée diminue toujours de plus en plus
l parois inlillrées, axec inlillralion périvasculaire discrète : la sclérose vasculaire est accentuée surtout autour du gros
des racines, au niveau du cul-de-sac des nerfs de conjugaison, la sclérose esl encore plus forte : il y a ici de. l'infiltra
i tubercules; seulement dans sa partie plus interne, où le tissu de sclérose est moins dense, on aperçoit quelques rares élé-
ndant pour causes des lésions de la glande thyroïde : thyroïdite ou sclérose , tumeurs diver- ses, tubercules etc. Les figure
motrices (paralysie agitante, goitre exophtalmique, chorée, tabès, sclérose en plaques, crampe des écrivains, etc.) ; ou à
iels ; Paralysies hu117aires. Myélites aiguës. Paralysie infantile. Sclérose en plaques. Sclérose latérale amy-otrol7hique.
17aires. Myélites aiguës. Paralysie infantile. Sclérose en plaques. Sclérose latérale amy-otrol7hique. Syringomyélie. Tabès
plaques. Sclérose latérale amy-otrol7hique. Syringomyélie. Tabès ; Scléroses combinées. Compressions de la moelle ; Syndrome
laires névritiques, par Lé- pine et Porot, p. 400. B.OEISKI. Voir Sclérose . Balnéation et hydrothérapie dans les maladie
Clande et Le- jonnp, p. 491. Hystérie. Un cas d'- simu- lant la sclérose en plaques et la syringomyélie, par Parhon et
ar Nicolas et ( ? f¡- - vre, p. 398. T\BLH DES JIWIÉR1 : 5. S13 Sclérose en plaques infantiles, 55. - latérdle amyotroph
77 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
contraire radiculaire. Cette constatation pourrait se faire dans la sclérose latérale amyotrophique où l'on observe, soit un t
téressant le territoire radiculaire inférieur. Malheureusement la sclérose amyotrophique est une affection à marche progre
r atrophie musculaire, quelle qu'en soit la variété, Aran-Duchenne, sclérose latérale amyotrophique, Charcot-Marie, myopathi
donné que tout processus myopathique s'accompagne tou- jours d'une sclérose du tissu conjonctif des faisceaux musculaires, il
prédo- minance de la myopathie sur certains muscles, tendance il la sclérose du tissu conjonctif des muscles atrophiés, s'in
d'amyotrophies secondaires au tabes, d'amyotro- phie cérébrale, de scléroses latérales amyotrophiques, qui ne sont certai- n
e de Marchi. Grossiss'=go). - B. Une lacune ancienne. Des bandes de sclérose cloisonne la cavité lacunaire. (Préparation par l
res de l'économie. Cependant la lacune ne tend pas toujours vers la sclérose et l'on rencontre 108 FERRAND de petites cavi
e quelles sont les causes qui font évoluer la lacune plutôt vers la sclérose ou plutôt vers la formation kystique. On peut s
ie l'a emporté dans sa lutte contre les leucocytes. Le processus de sclérose a eu le dessus sur la désintégration. Il s'en f
lésion siégeait t dans les cordons latéraux de la moelle frappés de sclérose . SYNDROME DE LITTLE 139 Raymond et Cestan ont
es ; ce sont presque toujours des hydrocéphalies, porencéphalies ou scléroses cérébrales qui sont signalées (Déjerine). Dan
s. L'explication de ce cas est malaisée à fournir, le diagnostic de sclérose en plaque doit être écarté, à cause de la march
- poliomyélite aiguë et chronique,, syringomyélie, hé- matomyélie, sclérose latérale amyotrophique, - la topographie était to
ierrot (1872) envisagèrent la lé- sion primitive du tabes comme une sclérose systématique des cordons pos- térieurs, un nomb
vaisseaux y sont pour la plupart atteints d'altérations prononcées, sclérose et dégénérescence hyaline de leurs tuniques. A
) ; les vaisseaux sont eux aussi atteints de lésions de même ordre ( sclérose , amas d'éléments nucléés à la périphérie d'un v
émarche d'un cas de Friedreich figurée par M. Raymond (2j, dans ses scléroses de la moelle. La force musculaire mesurée par l
marque au sujet des troubles de la marche dans l'hérédo-ataxie. (2) Scléroses systém. de la moelle, 1894, p. 329. LE SYNDROME
léaires le long des vais- seaux, enfin par des lésions vasculaires ( sclérose et dégénérescence hyaline des tuniques des peti
s par une prolifération embryonnaire du tissu conjonctif, suivie de sclérose ... Dans le cas de tabes ancien on observe le mê
ER observer maismoins fréquemment la périvasculite en évolution, la sclérose à tendance oblitérante, et même la dégénérescen
autour de leur capsule ; mais on ne peut guère prononcer le mot de sclérose . Parmi les altérations des cellules ganglionnai
ée chez l'homme dans l'a- trophie musculaire protopathique, dans la sclérose latérale amyotroplii- que, dans la névrite trau
ment un aspect normal chez l'adulte ; et Marinesco con- clut que la sclérose des cordons postérieurs n'est pas sous la dépenda
'i1lltl1ll 1nOl'ens de l'atrophie des racines postérieures et de la sclérose des cordons postérieurs ? C'est là une hypothèse
on peut alors observer la dégénération seg- mentaire, comme dans la sclérose latérale amyotrophique ; comme nous l'avons déj
escence de la racine postérieure que la méningite spinale : dans la sclérose des cordons posté- rieurs, elle ne nous paraît
orce cérébrale est indemne; elle ne présente qu'un certain degré de sclérose névroglique sous-jacente aux lésions inflammatoir
la lésion qui nous occupe sur l'é- corce du cervelet dans un cas de sclérose cérébrale infantile avec atrophie de l'hémisphè
dur et plus résistant que le droit. « Sur des coupes on voit cette sclérose porter surtout sur la substance grise, la subst
oute la corticalité céré- belleuse. Dans le second, l'atrophie avec sclérose était nettement limitée à l'un des hémisphères.
'atrophie parait nettement secondaire, c'est-à-dire dans les cas de sclérose cérébrale infantile où l'on sait qu'il se produ
ervation III. Hémiplégie spasmodique infantile droite. - Epilepsie. Sclérose cérébrale de l'hémisphère gauche avec atrophie
ce primitive, lepto- méningite chronique cérébrale et cérébelleuse, sclérose cérébrale infantile. Nous avons dit aussi qu'on
s normale, sauf un peu d'hyperémie dans la portion lombaire, avec sclérose commençante de la partie médiane des cordons de
78 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
s constatations de Bouchard s'affirmaient d'autant plus que dans la sclérose en plaques, dans le tabès combiné,dans la scléros
plus que dans la sclérose en plaques, dans le tabès combiné,dans la sclérose latérale amyo- trophique, dans toutes ces malad
nente dite tardive surtout à la dégé- nérescence secondaire ou à la sclérose descendante du faisceau pyramidal. Mais d'après
ontracture n'est pas, si l'on peut s'exprimer ainsi, fonction de la sclérose du faisceau, pyramidal. La contracture est un s
ais il peut fort bien arriver qu'il fasse défaut, alors même que la sclérose latérale existe, qu'il se manifeste quand la sclé
s même que la sclérose latérale existe, qu'il se manifeste quand la sclérose n'existe pas. On conçoit en effet, dit Charcot,
n) ; tandis que d'après Charcot-Bouchard du moment qu'il y avait la sclérose , la moelle pouvait être séparée de l'encéphale. L
sthme de l'encéphale par un simple tassement des fibres saines sans sclérose interstitielle. (1) Communication faite à la So
e Weigert-Pal, des espaces clairs indiquant la présence du tissu de sclérose qui remplace habi- tuellement les fibres dégéné
tions au carmin qui l'ont précédée, ne révèle que la présence de la sclérose interstitielle qui a remplacé les fibres dégéné
i d'une absence de dégéné- rations secondaires, mais d'un défaut de sclérose de remplacement. Dans les cas de lésions cérébr
infantiles avec longue survie, il est pour ainsi dire normal que la sclérose névroglique fasse défaut sur le trajet des dégé
tions individuelles il y a des variations régionales, puisqu'ici la sclérose névroglique, visible dans la couronne rayonnant
on ne peut employer que les méthodes qui révèlent la présence de'la sclérose de remplacement. La constatation de cette dernièr
te dans une certaine région, soit marquée plus loin par une zone de sclérose de plus grandes dimensions. C'est ainsi qu'un e
étonner de ces anomalies et de ces va- riations quantitatives de la sclérose névroglique sur le trajet des dégéné- rescences
onne rayonnante des travées fibreu- ses indiquant la présence d'une sclérose de remplacement ; 1 2° Que les fibres de projec
immédiatement au-dessous, dans le pédoncule cérébral, tout tissu de sclérose interstitielle a de nouveau disparu et les fibres
métriques. (Le FPyC gauche et le si P ! JD droit ne montrent pas de sclérose névroglique interstitielle. La moelle épinière n'
jection, grâce aussi à la longue survie du sujet, on ne voit,pas de sclérose névro- glique sur le trajet de la voie motrice
ation. Belkousky a cité un cas d'atrophie des fibres nerveuses avec sclérose des artères. On peut conclure ici que l'endarté
ganiques du système nerveux, syringomyélie, lèpre, tumeur, névrite, sclérose en plaques, pouls lent permanent avec crises en
raie droite de la préparation que les faisceaux de fibres, cerclés de sclérose ,' Fis. 4. Symphyse mëniogo-radicutaire droite.
On voit les racines droites de la queue de cheval engainées par la sclérose , 122 ' LAIGNEL-LAVASTINE " n'ont plus de gain
x sont normaux. En examinant le détail des faisceaux pris dans la sclérose , on voit que quel- ques fibres à myéline persis
a méninge des faisceaux de fibres sont complètement détruits par la sclérose (PL XXI). Sur les coupes comprenant le prolonge
OME DE T.'IIÉ1111-QUEUE DE CHEVAL 123 tration cellulaire que par la sclérose fibreuse ; on voit même des nodules inflam- mat
par le Marchi, intermédiaires entre l'inflam- mation subaiguë et la sclérose , montrent au milieu de la méningite du sang épa
rieure et postérieure). 1 Avec la surcoloration au Van Gieson la sclérose apparaît très marquée, fi- breuse, parsemée de
de ramollissement de l'hémisphère droit. Au Van Gieson, on voit une sclérose massive du faisceau postérieur droit. A l'hémat
82. S.wn (R.). Histoire clinique et 'examen histologique d'un cas de sclérose médul- laire polysystématique {sclérose combiné
en histologique d'un cas de sclérose médul- laire polysystématique { sclérose combinée) d'origine tuberculeuse. Bruxelles, Ha
urnis par la méthode de Weigert,- Pal. Il s'agit avant tout d'une sclérose sensiblement symétrique de la ban- delette exte
la région dorsale une forme curieuse : l'extrémité antérieure de la sclérose simulant une tête arrondie. Au niveau de la 12e d
e par M. Nageotte à la bandelette externe à ce niveau. Il y a une sclérose peu accentuée du cordon de Goll à la moelle cervi
a paralysie infantile, au tabes, à la maladie de Frie- dreich, à la sclérose latérale amylrophirur., à la paralysie agitante,
79 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
nerfs de la base étaient normaux. Hémisphères cérébraux. Malgré la sclérose si généralisée des artères les hémisphères céré
épaississement assez marqué et généralisé de la méninge molle avec sclérose des vaisseaux pie-mé- riens. Peau. * Des frag
stomac que dans l'intestin est normale. On note seulement un peu de sclérose vasculaire. Nous n'avons pu 'sur aucune de nos
stologiquement, ne pré- sentent d'autre lésion importante que de la sclérose des vaisseaux. Sur aucune coupe nous n'avons co
. Autopsie. - Organes splanchniqucs sains. Encéphale sain. Moelle : sclérose des cordons postérieurs . Thrombus fibroides ob
ie. - Hépatisation grise du poumon gauche. Encéphale sain. Moelle : sclérose des cordons postérieurs. Examen du squelette ap
rrhagie cérébrale, ictus, mort dans le coma. Autopsie. - Moelle : sclérose des cordons postérieurs sur toute la hauteur. C
on et insuffisance aortique. Congestion pulmonaire double. Moelle : sclérose des cordons postérieurs étendue sur toute la haut
ues simples. J'ai étudié aussi les spasmodiques avec titubation, la sclérose en plaques en particulier qu'il ne semble pas a
ns vascu- laires, de foyers hémorrhagiques ou de ramollissement, de sclérose permet d'affirmer cette origine. La petitesse
JERINE ET A. THOMAS prendre : sans être explosive comme celle de la sclérose en plaques, la pa- role est légèrement scandée.
centuées : l'atro- phie de l'écorce cérébelleuse se complique d'une sclérose plus ou moins intense (Pierret, Menzel , Rojet
t et Collet a été considérée par différents auteurs comme un cas de sclérose en plaques localisée au cervelet, bien que l'exam
a examinée comme d'origine sclé- rieuse ; peut-être au contraire la sclérose n'est-elle que secondaire. La présence de la sc
contraire la sclérose n'est-elle que secondaire. La présence de la sclérose ne signifie pas toujours en effet qu'elle est la
s d'une affection fami- liale dont le substratum anatomique est une sclérose du cervelet; mais cette affection n'est sûremen
ification. Dans la substance blan- che, il n'existe aucune trace de sclérose on d'altération d'aucune sorte. La moelle est a
pourraient être appelés plus commodément, pour éviter la confusion, sclérose du cervelet ou atrophies scléreuses » ; or,nos
let ou atrophies scléreuses » ; or,nos observations en font foi, la sclérose du cervelet peut faire absolu- ment défaut dans
cliniquement par des symptômes cérébelleux, anatomiquëment par une sclérose du cervelet et dans l'ap- parition desquelles l
(Spiller), atrophie dégénérative avec lésions de la moelle (Menzel) ; sclérose de la moelle Si on tient compte de la nature de
ique, mais encore de la nature des lésions. Le diagnostic avec la sclérose en plaques est parfois délicat; suivant la. des
fois délicat; suivant la. description de Charcot, la démarche de la sclérose en plaques peut affecter plusieurs aspects; il
en tout cas moins intense dans l'atrophie cérébelleuse que dans la sclérose en plaques; la parole est également moins explosi
res supérieurs et inférieurs sont pour ainsi dire constants dans la sclérose en plaques, exceptionnels dans l'atrophie du ce
a parole scandée et le nystagmus ne sont pas caractéristiques de la sclérose en plaques ; mais d'après lui ils doivent être
estation d'une lésion cérébelleuse et s'ils sont si communs dans la sclérose en plaques t le, c'est qu'il existe des plaques
es qui intéressent les libres cérébelleuses. Lorsque les plaques de sclérose sont limitées à la moelle, ces troubles font défa
ibres cérébelleuses dans la patliogénie de certains symptômes de la sclérose en plaques, nous ferons remarquer que, dans les l
ntérieur soit à l'extérieur du cervelet, comme c'est le cas dans la sclérose en plaques. Les malades atteints de paralysie p
ffec- tion qui nous occupe de la paralysie spinale infantile, de la sclérose latérale amyotrophique, de la syringomyélie et
tte gêne peut produire l'emphysème, les congestions passi- ves, les scléroses partielles, les atrophies même. Leur résistance c
ompliquent alors des signes d'une myé- lite par compression et à la sclérose des cordons postérieurs peut s'ajou- ter l'alté
es de compression radiculo-médullaire bien différents de ceux de la sclérose des cordons postérieurs. L'ostéo-arthropathie tab
lus tard, en 18ï9, Rallier et Pick signa- laient la fréquence de la sclérose en plaques à la suite des maladies aiguës et lu
x. En France, Pierre Marie se fait l'apôtre de la même idée pour la sclérose en plaques ; il a même généralisé cette idée, de
37 502 MAKIKESCO soutenir qu'à part les maladies familiales et la sclérose latérale amyotro- phique, toutes les affections
le ramol- lissement diminue de plus en plus et est remplacé par la sclérose . Mais dans ce dernier cas on trouve parfois des
s anatomo-pathologique de la moelle. Par conséquent, la plupart des scléroses de la moelle épinière doivent être supprimées d
es du groupe anatomo-clinique delà myélite. Toute- fois, il y a des scléroses qui constituent un reliquat de la myélite aiguë
r cru un instant à une myélite transverse, ou à une forme fruste de sclérose en plaques, compliquée de troubles trophiques d
s syringomyélies à forme UN CAS DE DERM0-NEUR0-F1BR0MAT0SE 643 de sclérose en plaques et à forme de tabes spasmodique (Strum
de la paraplégie simple, de la para- myoplégie spasmodique ou de la sclérose latérale amyotrophique. C'est dans les signes d
80 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
lbe passant par la partie inferieure des olives 0. i. ; S. tache de sclérose dans la pyramide. Py. droite au voisinage de la p
ait été admis pour des troubles médullaires affectant le type de la sclérose combinée sénile. Les renseignements que nous po
ie, citée par Raymond (Leçons clin., t. Il), Schultze, Hoffmann, la sclérose en plaques (Ebstein, Jellinek) ne sont pas en c
le hémorragie.ou de cette nécrobiose, elle doit être rattachée à la sclérose vasculaire, sclérose banale ou sclérose syphili
ette nécrobiose, elle doit être rattachée à la sclérose vasculaire, sclérose banale ou sclérose syphilitique. , (1) A moin
elle doit être rattachée à la sclérose vasculaire, sclérose banale ou sclérose syphilitique. , (1) A moins qu'il ne s'agisse
e cet hypo- pituitarisme antérieur soit réalisé par un processus de sclérose (avec atro- phie macroscopique) ou par une tran
ossesse (Parrot). La maladie est donc congénitale. Du fait de cetle sclérose du cartilage de conjugaison il résulte que, pen
s desquamées. Dans l'hypophyse on observe aussi un léger degré de sclérose ainsi que des capillaires dilatés et remplis de
s plus volu- mineuses sont moins nombreuses. Le foie présente une sclérose diffuse évidente bien que pas trop avancée. En
ondantes dans les cellules hépatiques. Les reins présentent de la sclérose interstitielle. On observe aussi des glomé- rul
ent mal avec la théorie qui regarde l'achondroplasie comme due à la sclérose des cartilages de conjugaison causée par une in
. Dans le cas I il dit que la peau de la jambe est épaissie par une sclérose ; dans le cas XII, il est noté la sclérodermie
(9) a publié un cas de sclérodermie où il a observé l'atrophie, la sclérose et la disparition d'un goitre, la dégénérescence
eux cas de sclérodermie. Dans leur premier cas ils ont constaté une sclérose très prononcée de la thyroïde, des capsules sur
les, un peu moindre de l'hypophyse. Dans le second cas existait une sclérose beaucoup plus (1) Feréol, Bull, et mém de la So
rement localisée aux tissus cutanés, Thibtere en 1890 montra que la sclérose , loin de se limiter à la peau, est très envahis
aillie des acromions. On note dans la région sternale une plaque de sclérose en bande horizontale qui est nettement perçue à l
imum à quelques centimètres au-dessus de la malléole interne. Cette sclérose du tendon achilléen donne à la région un as- pe
rtion calcanéeone et toujours en grossissant se porte au mollet. La sclérose tendineuse et la myosite interstitielle sont bien
t ce qui caractérise la sclérodermie et permet de la distinguer des scléroses banales de la peau. Après le derme et le tissu
ypodermique, les muscles eux-mêmes sont envahis et participent à la sclérose ; bientôt ils deviennent durs et pâles en perda
contrer souvent sous le derme normal, devançant par consé- quent la sclérose superficielle. Notre malade justement a présent
et achilléens. Il ne s'agit donc pas seu- lement d'un processus de sclérose atrophique, mais encore d'une infiltra- tion an
ire buccale. Revue neurologique, p. 342, 1901. 302 BEIITOLOTIL la sclérose viscérale, mais dernièrement elle a donné lieu à
vait prétendre qu'elle fut secondaire à l'envahissement du tissu de sclérose (Brissaud) ; de plus on a remarqué la précocité d
égeant sous la peau. Ajoutons encore qu'à l'autopsie on constata la sclérose du myocarde et un état atrophique des viscères.
ita un cas de vitiligo chez une femme âgée de 35 ans présentant une sclérose superficielle de la langue qui imposait le diagno
promontoire à sa partie moyenne. Côté droit : tympan scléreux, mais sclérose moins prononcée qu'à gauche. L'essence de girof
bligé de lui répéter deux ou trois fois une question, à cause de la sclérose des tympans ; mais alors qu'elle a parfaitement
entimètres (celle de l'hé- misphère gauche est de 19). Il offre une sclérose vermicellée occupant tout le lobe frontal. Le l
Le lobe pariétal et le lobe occipital sont séparés par une bande de sclérose qui a envahi tout le lobe temporal. Absence du
ie aussi bien que par un processus néoplasique, par un processus de sclérose ou d'atrophie - fait que notre interprétation d
81 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
s airs qu'il entend. 3° PEL... (Léon). - Idiotie du second degré, sclérose en plaques. - A son entrée ne se tenait debout
s Comptes- rendus de ce Congrès. V. Idiotie symptomatique d'une sclérose atrophique limitée aux circonvolutions du coin
coin de BOURNEVILLE, Bicêtre, 1901. 7 90 Idiotie symptomatique DE sclérose . l'hémisphère gauche; atropine moins accentuée
nt avait tété sa mère convenablement. 92 IDIOTIE symptomatique DE sclérose . 11 a eu des convulsions le troisième jour : vi
les cheveux, pas d'ophthalmie, pas d'o- 94 IDIOTIE symptomatique DE sclérose . tite ; dartres sèches à la face, mais pas de s
cheveux se cassent. La tête est encore 96 IDIOTIE symptomatique DE SCLÉROSE . couverte d'écaillés blanchâtres, adhérentes. L
rabisme divergent de l'oeil gauche, pas 98 IDIOTIE symptomatique DE SCLÉROSE . de nystagmus. Iris jaune verdâtre. Pupilles di
nt. Traitement : sublimé à 1/2000. - 100 IDIOTIE symptomatique DE sclérose . 29 mars. Amélioration très notable. Même trait
l- ques cris de temps en temps. - 5 1)1a1's. Mort à 4 heures. 102 SCLÉROSE ATROPHIQUE DU COIN. différentes cavités de la b
eurs, était peu prononcée et que la lésion prédominante était une sclérose des circonvolutions du coin. Par suite de l'hém
re établie dans notre cas. Par conséquent, nous ne savons pas si la sclérose atrophique dans l'enfance, produit la même symp
bstance blanche : il s'agit donc d'une véritable micro(J)J1'ie sans sclérose cérébrale. La région sous-pie-mérienne. outre s
Entre ces fibres, la névroglie fibrillaire est rare; nul indice de sclérose au début; les noyaux sont en grand nombre, quel
puyant sur la rétraction apparente dcs circonvolutions, songer à la sclérose cérébrale atro- phique, même à son début; l'abs
la sclérose cérébrale atro- phique, même à son début; l'absence de sclérose névro.. glique fibrillaire suffirait à elle seu
ontiguë aux pseudo-kys- tes, sont irrégulières, anfractueuses, sans sclérose , sans atrophie à l'oeil nu. Il s'agit la d'une
Thèse de Paris. ' 1888. TIIIIiAL. - Contribution à l'étude de la sclérose tubéreuse ou hypertrophique du cerveau. Thèse d
à symp- tômes cérébro-spinaux. Thèse de Paris. LEBRETON. - De la sclérose en plaques chez les enfants. Thèse de Paris.
extatiques ; par Bamum- ville 84 VI. Idiotie symptomatique d'une sclérose atro- phique limitée aux circonvolutions du c
82 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
et (l'épilepsie d'origine traumatique, avec méningo-encéphalite et sclérose consécutives. Nous espérons que, à l'occasion
devoir rattacher aux convulsions, probablement symptomatiques d'une sclérose cérébrale, le premier groupe' d'accidents patho
être : idiotie congénitale. Bourneville, Bicêtre, 1896. p VII. Sclérose cérébrale hémisphérique : idiotie, hémiplégie ,
e, hauteur. Au niveau de la bandelette optique, il mesure 20 mm., Sclérose TROPHIQUE hémisphérique. 97 à droite, 17 à gauc
ation avec une température centrale très élevée ('il0, 2). IV. La sclérose atrophique, affectant tout l'hémis- phère céréb
ster. Rappelons seulement qu'il s'agit là d'une forme assez rare de sclérose cérébrale^ "Irp Sclérose cérébrale hémisphériqu
ontrent par exemple dans l'idiotie symptomatique de méningite, de sclérose atrophique ou hypertrophique, ou d'un arrêt de
XVI. Alcoolisme ; hémiplégie gauche et épilepsie consécutives. Sclérose atrophique ; pachyméningite et méningo- encépha
ssissement très considérable de la pie-mère, prédominant à droite.- Sclérose atrophique de l'hémis- phère droit. - Dégénérli
égales. - Le liquide céphalo-rachidien est en quantité ordinaire. Sclérose cérébrale ; fÉNIN('0-rNCI"PITALITE. 215 Rolando
eloppées, - A la surface de cet hémisphère on observe des foyers de sclérose lobulaire atrophique et des lésions de 1W iiiJo
de 1W iiiJo-evcépluclite disséminées d'une façon irrégulière. La sclérose porte surtout sur le lobule paracentral, sur le
nvulsif qui a duré (rois jours, dans le cas actuel, expliquerait la sclérose ;)/)'o/x'f ? (encéphalite) avec arrêt de dévelo
nt ou d'hémorragie (pseudo-porencéphalie), méningo en- céphalite, sclérose atrophique et hypertrophique, hydrocéphalie, po
ATION DES PLANCHES. 25' ? EXPI.1CATION DES PLANCHES. Planche I. Sclérose cérébrale hémisphérique. Face convexe de l'encé
ère cérébral gauche. 25 i Explication des planches. Planche II. Sclérose cérébrale hémisphérique. Face inférieure de l'e
i. If. BACLE, Parti. 256 Explication DES planches. Planche III. Sclérose cérébrale hémisphérique. Fig. 4. - Face convexe
cérébrale. Face convexe de l'hemisphère cérébral droit (p. 5 ! ) Sclérose atrophique très notable des circonvolutions, entr
83 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
as eu de nouveaux accès. .. IV. Idiotie complète symptomatique de sclérose atrophique double des circonvolutions motrices.
nté- resser la capsule interne à sa partie postérieure. Les trois SCLÉROSE symptomatique DU cerveau. 55- petits kystes men
est également sur les deux circonvolutions ascendantes que porte la sclérose et elle y affecte la même disposition. F. A. es
e un pois. Les noyaux gris n'ont rien de particulier. En somme la sclérose porte d'une façon exclusive sur la zone motrice d
'un de nous et M. Morax, sous le titre d'Idiotie symp- tomatique de sclérose élt/'O]lhir¡ ue (1 ).- La distribution de la sc
tomatique de sclérose élt/'O]lhir¡ ue (1 ).- La distribution de la sclérose est absolument la même et occupe les deux circo
il celles de la moelle. A l'oeil nu la moelle ne présentait pas de sclérose des- cendante des cordons latéraux, mais un exa
grosses lésions descendantes (1) Compte-rendu de 18J0, p. 33. 56 Sclérose symptomatique DU cerveau. delà moelle à l'oeil
latéraux et la corne cl'.lm- .mon, sont sains. On ne trouve pas de sclérose . Sur l'hémisphère cérébral gauche, on ne trouve
vue des cellules, des couches superficielles de la substance grise, sclérose raréfiante des (1) V. Pilliet. Lésions histolog
sont devenues de véritables bandes épaisses et foncées de tissu de sclérose ; enfin, dans la substance blanche, il existe u
e et autour des racines postérieures. Il y a là un léger degré de sclérose peu avancée. Les racines coupées en môme temps
à la première 80 Examen histologique DE la lIWELLE, lésion, de la sclérose raréfiante, atrophique, la substance blanche ét
e qui peut d'ail- leurs tenir à l'âge du sujet ; mais seulement une sclérose atrophique qui ne va nulle part jusqu'à la form
dhérences, pas de tubercules. Les circonvolutions sont fermes, sans sclérose ; rien aux noyaux gris. Plusieurs coupes pratiq
84 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
e que ce mouvement de circumduction ne se produisait que lorsque la sclérose du faisceau pyramidal était déjà un fait accomp
présente un trouble très manifeste se rapprochant de celui de la . sclérose en plaques; elle est hésitante, lente, traînante
extrême lenteur, en scandant les mois (parole analogue celle de la sclérose en plaques). Tronc. On observe une légère dév
acé se rapproche de la marche de l'ataxie combinée avec celle de la sclérose en plaques, réalisant le type de la démarche ti
iculier des caractères propres à la marche dans l'ataxie et dans la sclérose en plaques. Comme l'ataxique il lance les jambe
ligne d'axe ou base de sustentation fortement élargi; comme dans la sclérose en plaques la démarche est titubante, les pieds
caractères particuliers qui n'appartiennent ni. à l'ataxie ni à la sclérose en pla. ques et qui, joints à certains autres q
rapprocher cet état normal de celui qu'on observe par- fois dans la sclérose en plaques, ainsi que nous en avons vu et en vo
tre et un aspect demi translucide. Sur des coupes transversales, la sclérose des cordons postérieurs affecte à la région lom
ns deviennent très nettes. Au niveau dlt 'e11- flement lombaire, la sclérose a/l'cetc partiellement les cordons de Goll et de
DU PIED Disposition des tubes restes sains par rapport au tissu de sclérose LLCROSNIEI & PAH1., ÉDITEURS NOUVELLE ICO
Les Iules restes sains \Ont sépares les uns des autres par le tissu sclérose . On voit les cylindres-axes entourés de la gain
IES TABÉTIQUES OU PIEu. 111 1 postérieures a disparu : cependant la sclérose est plus accentuée dans les cornes postérieures
iée manifestement, et cette altération rappelle de loin celle de la sclérose en plaques. Elle est difficile, embarrassée, traî
ns nerveuses, elles ne présentent rien qui semble spécial; c'est la sclérose des cordons postérieurs, avec ses caractères ha
s qu'il s'agissait de lésions tabétiques et non pas seulement d'une sclérose ascendante des cordons de Goll, en rapport avec
sion du système nerveux : il croit que l'arthropathie est due à une sclérose des fibres radiculaires du pneu- mogastrique, l
, mais par la constatation ma- nifeste des symptômes généraux de la sclérose des cordons posté- rieurs. Dans les cas doute
ur les cordons postérieurs, qui paraissent avoir été le siège d'une sclérose ascendante. Les douleurs fulgurantes, qui, d'ab
85 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s frontales, nous ne pouvons nous empêcher de rappeler que, dans la sclérose latérale amyo- trophique, la plupart des altéra
ale épargne donc exactement le territoire de l'écorce que touche la sclérose latérale amyotrophique. Elle épar- gne encore r
granuleux dans sa tunique moyenne. Elle semble liée à l'artério- sclérose et différente de l'hémorragie, du ramollissement
ds mouvements incoordonnés de la jambe droite. coup à celle de la sclérose en plaques. Il n'existe ni paralysie faciale, n
ls ne sont pas constants, permanents; un peu analogues à ceux de la sclérose en plaques, ils ne se produisent qu'à l'occa- s
es trou- bles dysarthriques des affections cérébelleuses tels que sclérose en plaques, hérédo-ataxie cérébelleuse. Or, pour
tteints de TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX ']'Il sclérose en plaque fruste ? Cette opinion est inadmissible
e que l'on rencontre toujours dans l'histoire des sujets frappés de sclérose en plaques. Nous pensons donc qu'ici encore une
' Cité par Mosny. Manuel de médecine, Debove-Achard, t. III, art. Sclérose en plaques, p. 613. 1 2 Loc. cil., p. 600 : 1
La conduction défectueuse serait la cause du tremble- ment dans la sclérose en plaques par exemple : dans cette affection l
- tisées. Par quelques-uns de leurs caractères, ils relient à la- sclérose en plaques familiale dont l'existence est aujour-
consécutif, myélite interstitielle secondaire avec terminaison par sclérose , dégénérations secon- daires, etc. Ce travail
at se soit modifié. A l'autopsie les auteurs ont trouvé un foyer de sclérose névroglique avant détruit les cinquième et quat
émon, perturbation de la force nerveuse, vous prononcez les mots de sclérose , de thrombose, bien souvent l'azloizloxicalioz.
s, hallucinations) et de lésions anatamo-pathologiques (stéatose et sclérose ). Ces nuances mises à part, il est impossible d
névroglique, infiltration allant du degré le plus faible jusqu'à la sclérose . L'artère et la veine cen- trale présentaient,
e, et la troisième enfin une hémiatrophie croisée consécutive à une sclérose cérébrale infantile. Dans ces trois cas, la l
ue du cerveau. Ces éléments sont loin d'être exceptionnels dans les scléroses céré- brales atrophiques, et même dans certaine
et même dans certaines formes de paralysie générale. Enfin dans les scléroses tubéreuses hypertrophiques, si bien étudiées pa
l'examen microscopique on trouva une compression médullaire avec sclérose intense du ruban étroit qui représentait la moell
volution sys- tématique, tel que l'ont décrite Magnan et Legrain. Sclérose en plaques infantile à forme hémiplégique d'origi
A l'autopsie et l'exunzezz histologique, on releva des plaques de sclérose disséminées dans tout l'axe cérébro-spinal, mais
ques qui indiquent l'importance pathogénique des vaisseaux dans la sclérose multiloculaire; 61 l'importance étiologique de l'
tance étiologique de l'hérédo- syphilis dans le développement de la sclérose en plaques chez les jeunes enfants. De la sor
ente du tissu interstitiel et de ses noyaux indépendamment de toute sclérose ; la métamorphose adipeuse fait comprendre l'ori
et de la syphilis. Ils n'ont jamais trouvé le signe au cours de la sclérose en plaques (35 cas), de la polynévrite (30 cas)
du cervelet et avait refoulé la partie droite de la protubérance. Sclérose en plaques familiale. ' nI. HmssAUD présente un
e de cinquante-trois ans atteint de tous les signes objectifs de la sclérose en plaques et sujet en outre, actuellement, à d
ent. D'après les autopsies de cas pareils, il ne s'agi- rait pas de scléroses en plaques en pareille occurrence, mais de sclé
rait pas de scléroses en plaques en pareille occurrence, mais de scléroses bilatérales de la moelle dans lesquelles ni la pr
r llollaucler, 51u. Sclérodermie dactylique, par de Macre, 159. Sclérose en plaques infantile il forme hémiplégique d'or
86 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'ait été le mode de durcis- sement : 1° Région cervicale. -Légère sclérose des cordons latéraux (faisceau pyramidal croisé
et présentent une partie jaune, granu- leuse. 2° Région dorsale. Sclérose du cordon latéral, présentant les mêmes caractè
nt jaunes, comme en voie de disparition. 3° Région lombaire. Légère sclérose du cordon latéral ; les cellules nerveuses gros
saines. En résumé, les lésions constatées sont les suivantes : lo Sclérose commençante du faisceau latéral; 2° Dégénératio
moelle (région dorsale). Schéma indiquant la région envahie par la sclérose qui occupe le faisceau pyramidal croisé A des d
ment fibrillaire et pointillée, interposée entre les tubes nerveux ( sclérose au début) qui se trouvent ainsi plus éloignés les
sieurs observateurs ont, en ces dernières années, publié des cas de sclérose tubéreuse ou granuleuse disséminée de l'écorce.
la syringo- myélie. En tout cas, ces faits sont à distinguer de la sclérose , car la sclérose atteint de préférence la subst
ie. En tout cas, ces faits sont à distinguer de la sclérose, car la sclérose atteint de préférence la substance blanche, porte
région operculaire. En conséquence, il y a lieu de distinguer : une sclérose mu) LHocuJaire une sclérose diffuse (cas de Sàn
quence, il y a lieu de distinguer : une sclérose mu) LHocuJaire une sclérose diffuse (cas de Sànger Strumpel ! ); une gliose
trois ans et demi après l'accident. Lockhart Clarke cons- tata une sclérose limitée aux cordons postérieurs et un épaississ
même source. Hammond', tout en reconnaissant que les causes de la sclérose spinale multiple ne sont pas très connues, pens
ondie de la région. P. K. XXV111. Contribution LA casuistique DE la sclérose cérébelleuse; par W. Sommer. (Arch. f. Psych.,
océphalie chronique externe et interne, de )'oedème cérébral, de la sclérose avec atrophie de tout le cervelet, moins le ver
les à moelle indemne (nécropsies); 2° des paralysies générales avec sclérose funiforme des deux cordons latéraux (nécropsies
eux cordons latéraux (nécropsies); 3° des paralysies générales avec sclérose également systématique des cordons latéraux et de
sentaient une s mptomalolo;ie différente, avaient tous deux delà sclérose des cordons latéraux. V. Dans la revue d'ensemble
trois cas d'élongation du nerf sciatique; pour une névralgie, une sclérose et une myélite. Résultats néga- tifs. Itauke3 f
la deuxième période sont ici bien po- sitives, ce sont celles de la sclérose des cordons laté- raux et la dégenération des c
s. Ce sont évidemment des lésions inflamma- toires aboutissant à la sclérose . Dans notre observa- tion, l'évolution des acci
Il serait intéressant de poursuivre l'étude de l'étio- logie de la sclérose multiloculaire, car ses observations lui ont la
on à l'étude de l'atrophie musculaire survenant dans le cours de la sclérose en plaques disséminées ; par Daima. (Thèse de P
es imbéciles pour- vus d'éducation, par Slmttle- wortli, 90 ? . Sclérose cérébelleuse, par Sommer 261. l . Sénilité pr
moelle (région dorsale). Schéma indiquant la région envahie par la sclérose qui occupe le faisceau pyramidal croisé, A, des
ment fibrillaire et pointillés, interposée entre les tubes nerveux ( sclérose au début) qui se trouvent ainsi plus éloignés les
87 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
scrites. IL Idiotie et épilepsie symptomatiques; 4 (Atrophie et Sclérose .) Par BOURNEVILLE et MORAUX SOMMAIRE. - Grand
Emaciation. - Mort par cachexie. - Autopsie : Atrophie partielle et sclérose des circonvolu- tions ; - pas de lésions viscér
ymptomatiques d'un arrêt de développement des circonvolutions et de sclérose cérébral atrophique, diagnostic que l'autopsie
ic que l'autopsie a con- firmé. Il[ '. Idiotie symptomatique de sclérose eérébrale t atrophique; Par BOUIEVtLLH et MOR
embranes laryngées et tracltéobronchi- ques. -l3rozcho-pzettnozie. - Sclérose cérébrale atrophi- que disséminée portant sur t
sorti de la section (1). V. L'autopsie nous a révélé des lésions de sclérose cérébrale atrophique des plus nettes. La diffus
oir Planche I, fig. 1, 2, 3, et 4.) VII. L'idiotie symptomatique de sclérose cérébrale atrophique est surtout susceptible d'
de la partie inférieure de la moelle cervicale. Il n'existe pas de sclérose des cordons latéraux ou des cordons postérieurs
évroglie sont normales. Nous n'avons nulle part trouvé de foyers de sclérose superficiels ou profonds dans la substance cort
e-mère spinale a son épaisseur normale et il n'y a pas de traces de sclérose des faisceaux pyrami- daux. Nous ajouterons aus
e. Autour du canal de l'épendyme très dilaté, il existe une zone de sclérose assez étendue qui comprend toute l'épaisseur de
lie, absence du corps calleux, etc.); 5° Idiotie symptomatique de sclérose hypel'll'ophi- que ou tubéreuse ; 6° Idiotie
ose hypel'll'ophi- que ou tubéreuse ; 6° Idiotie symptomatique de sclérose atrophique : a) sclérose d'un hémisphère ou des
tubéreuse ; 6° Idiotie symptomatique de sclérose atrophique : a) sclérose d'un hémisphère ou des deux hémisphères ; b) sc
phique : a) sclérose d'un hémisphère ou des deux hémisphères ; b) sclérose d'un lobe du cerveau; c) sclérose des cir- Intr
hère ou des deux hémisphères ; b) sclérose d'un lobe du cerveau; c) sclérose des cir- Introduction. 113 convolutions isolé
; c) sclérose des cir- Introduction. 113 convolutions isolées; d) sclérose chagrinée du cer- veau ( ? ) ; , 7° Idiotie s
88 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
Fièvre typhoïde Opposition à l'autopsie. Opposition à l'autopsie. Sclérose atrophique des lobes temporaux plus prononcée à d
15 sept. État de mal. Méningo-encéphalite de l'hémisphère droit; sclérose atrophique des deux côtés. — Crâ-ne assez épais,
r le côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et méningo-encéphalite de l'hémisphère
raux. On re-marque une fine injection de la pie-mère, sans ecchymose. Sclérose atrophique d'une partie du lobe occipital et de l
ncipalement en arrière de P. A. Sur la face interne môme gracilité. Sclérose très prononcée du lobe quadrilatère; les cù-co?iu
és normaux. Nous avons donc à la fois sur l'hémisphère gauche de la sclérose atrophique et de la méningo-encéphalite, sur l'hé
112) ; — Idio-tie microcéphalique; hémiplégiespasmodique infan-tile; sclérose atrophique ; tuberculose abdominale, par Bournevi
rés. Thèse de Paris. 1888. Thibal. — Contribution à l'étude de la sclérose tubéreuse ou hypertrophique du cerveau. Thèse de
ale à symp-tômes cérébro-spinaux. Thèse de Paris. Lebreton. — De la sclérose en plaques chez les enfants. Thèse de Paris. De
le côté droit. Si-gnes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et mè- ningo-encéphalile de Vhémisph
89 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
M. Charcot (188'a) fait une leçon sur l'ataxie hérédi- taire et la sclérose en plaques ; enfin Musso (188'E), puis Vizioli
rneville aient voulu voir dans cette maladie une forme fruste de la sclérose en plaques ». Des trois observations publiées j
arrassée, rap- pelant absolument l'élocution d'un malade atteint de sclérose en plaques, ainsi que t'ont remarqué du reste i
onfondre soit avec l'ataxie locomo- trice progressive, soit avec la sclérose en plaques, seules affections à signes communs.
ne entité mor- bide spéciale, tenant le milieu entre le tabes et la sclérose en plaques. Cliniquement, elle se rapprocherait
st émoussée. Impossibilité d'établir un diagnostic. En faveur d'une sclérose en plaques cérébro-spinale plaideraient : la pa
toute la surface de la peau; cet ensemble contredit à l'idée de la sclérose en plaques. Sur ces entrefaites, le malade meur
à ces adhérences péri-articulaires et intra-tendineuses, à cette sclérose qui se manifeste autour des articu- lations des
qui lui est légitime- ment due. RECUEIL DE FAITS OBSERVATION DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE SANS LÉSION DU FAISCEAU
ne crache pas, a éprouvé de fortes sueurs la nuit. Pas d'hé- DE LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 389 moptysies, a eu pen
s les paralysies bulbaires; cependant, quand le malade rit on DE LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPIIIQUE. 391 i voit celles-ci s
e est un peu analogue à celui que l'on observe dans certains cas de sclérose en plaques; l'articu- lation est nettement spas
topsie, on trouve dans la moelle les lésions caractéristiques de la sclérose latérale amyotrophique; malheureusement une par
'en signaler la nécessité pour résoudre la question de savoir si la sclérose latérale amyotropique a toujours son point de d
auteurs insistent sur le diagnostic différentiel entre ce genre de sclérose cérébrale et la sclérose en plaques. Dans les cas
diagnostic différentiel entre ce genre de sclérose cérébrale et la sclérose en plaques. Dans les cas pré- sents, il n'exist
rveau, du centre ovale ; la lésion ne ressemblait pas à celle de la sclérose en plaques. Impossible de la confondre avec la
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. DES altérations histologiques DE H sclérose multiloculaire; par M. KmerEN. (Arch. f. psych.
erEN. (Arch. f. psych.; XVII; 1.) Le processus histogénétique de la sclérose en plaques a ceci de particulier que ses produi
iculier que ses produits meurent bientôt. En examinant trois cas de sclérose en plaques au point de vue histologique, et par c
s cellulaires participent très peu au processus et, en tout cas, la sclérose est surtout une dégénéres- cence, sans inflamma
t cylindraxe sont détruits; mais ce phénomène est très rare dans la sclérose en plaques; habituel- lement, le cylindraxe, dé
ures, dépendent de la disparition des gaines myéli- niques. Dans la sclérose des cordons postérieurs, il s'agit aussi d'un p
morceau séparés. Le cylindraxe résiste donc beaucoup moins dans la sclérose systématique que dans la sclérose en plaques. P
siste donc beaucoup moins dans la sclérose systématique que dans la sclérose en plaques. P. KÉR4VaL. XVII. DÉGÉNÉRESCENCE DE
très grande des membranes et de la substance grise, des points de sclérose dans les cordons de substance blanche et des vari
une autre fois, outre les autres lésions la moelle présentait de la sclérose généralisée. L'auteur s'attache à montrer que
90 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'infiltration gommeuse,des lésions inflammatoires banales et de la sclérose ; dans la substance cérébrale encore des gommes
mmes, de l'infiltration gommeuse diffuse, de l'encéphalite et de la sclérose , sans compter les lésions para-syphilitiques. L
t, elle est due uniquement à une lésion cérébelleuse, irritative ( sclérose , tumeur, abcès). Dans notre cas, elle semblait du
e basant sur l'examen histologique, il démontra qu'il s'agissait de sclérose , et, dès cette époque, M. Magnan' conclut qu'un
issait de sclérose, et, dès cette époque, M. Magnan' conclut qu'une sclérose du nerf optique peut devancer de plusieurs anné
e. ceroe i< Ke) ? o«y«e < f/e ne)' mo/eM te ' Magnan. - De.la sclérose du nerf 'Optique et des nerfs moteurs de l'oeil
e-t-on, comme le premier, dans la paralysie spinale spasmodique, la sclérose latérale amyotro- phique, la sclérose en plaque
lysie spinale spasmodique, la sclérose latérale amyotro- phique, la sclérose en plaques, les affections cérébrales et spinales
apparente dégénérescence des gros vaisseaux de la base (artério- sclérose ). Sur ces quinze (étude détaillée) il n'y avait a
un oedème de la pie-mère, l'hyperhémie des veines corticales et une sclérose très accentuée des vaisseaux basi- laires, on t
ion possible avec certaines maladies organiques du système nerveux ( sclérose en plaques, maladie de Basedow) sont les princi
xes tendineux du membre inférieur droit semblent se rattacher à une sclérose cérébrale infantile. A. FENAYROU. XXX. UN cas
- Duchenne (atrophie musculaire progressive) ou celle de Charcot ( sclérose latérale amyotrophique). On constate dans la pr
t une entité clinique très distincte de l'alaxie locomotrice, dé la sclérose cérébro-spinale et de l'ataxie paralytique, c'e
t, dans l'ataxie locomotrice la moelle est de volume normal et la sclérose est limitée aux cordons postérieurs et aux racine
cette défectuosité congénitale s'étend aussi au pont de Varole ; la sclérose est aussi plus étendue : elle atteint les colon
elques cas mêmes, les racines grises postérieures sont touchées. La sclérose peut même s'étendre aux cordons de Gowers et Turc
artie inférieure de la moelle. La lésion primitive est cependant la sclérose des cordons posté- rieurs et de la colonne vézi
ré Déjerine et Letulle; et comme ces derniers l'ont aussi montré la sclérose des cordons postérieurs est très différente de ce
dans l'ataxie locomotrice et autres lésions scléreuse.5. C'est une sclérose de la névroglie; et cette lésion remonte au pre-
e s'est pas montrée sur une . moelle complètement développée. Celle sclérose particulière ne se reiiconlie que dans les cord
pès, tuberculose, chorée rhumatismale, angine de poitrine liée à la sclérose , etc.). Escuder a observé souvent la tuberculos
béréduataxie cérébelleuse et les affections décrites sous le nom de sclérose en plaques ou diplégie spastique héréditaire ou
r gauche réduit de volume. Cellules bien conformées mais raréfiées. Sclérose nette à la région postérieure des deux lobes. N
souvent, mais non d'une façon certaine, du côté hémiplégie. Dans la sclérose en plaques, il est ordinairement aboli. Dans le
e, la crampe des écrivains et, pour les maladies organiques, à la sclérose en plaque, au tabès, à diverses formes de paraplé
inoculaire); les lésions médullaires qui peuvent se résumer ainsi : sclérose pseudo-systématique d'origine vasculaire à prédom
e marginale ou faisceau profond du cordon latéral. Dans un cas de sclérose latérale amyotrophique, l'auteur a pu constater
du mercure, et, d'autre part, le processus tabétique n'est pas une sclérose vasculaire, mais un processus dégénératif parench
ons soit primitives de la paraplégie spasmodique familiale et de la sclérose latérale amyotrophique, soit secondaires à des ca
91 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tant le rythme du coeur, produisent la dégénérescence graisseuse et sclérose des artères qui au commencement bienfaisantes,
lut. G. de \i,aEWSKA. IV. Un cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en plaques ; par le professeur Grasset. (Revue
suivants : 1" contracture tardive permanente des hémiplégiques ; 2° sclérose latérale amyotrophique; 3° tabès spasmodique; 4°
latérale amyotrophique; 3° tabès spasmodique; 4° tabès combiné; 5° sclérose en plaques; fit compression de la moelle et myé
cette tumeur était un tubercule. Il existait, dans la moelle, de la sclérose descendante du faisceau pyramidal. Les poumons
sie, symptôme qui fait habi- tuellement défaut en pareil cas, et la sclérose des faisceaux pyra- midaux ; peut-être faut-il
es, et d'autres considérations amenaient à conclure en faveur d'une sclérose cérébrale. L'intelligence de Chen... peut être
s avaient existé pendant toute l'enfance de Chen ? Le diagnostic de sclérose cérébrale semble bien légitime. Au- reste, l'ob
colonnes antéro-latérales droites de la région dorsale supérieure, sclérose périphérique généralisée à la région dorsale da
à la région dorsale dans les colonnes latérales surtout, plaques de sclérose irrégu- lières, plaque gommeuse de la région do
irrégu- lières, plaque gommeuse de la région dorsale inférieure et sclérose descendante lombaire, sclérose ascendante cervi
e de la région dorsale inférieure et sclérose descendante lombaire, sclérose ascendante cervicale dans les colonnes médianes
de l'oreille interne. Dans l'oreille moyenne, rien, sauf une légère sclérose des deux tympans. Réflexes patellaires, achillé
l'élec- tricité. -Landis (111 ? Rosa). Contribution à l'élude de la sclérose en plaques chez l'enfant. - Legay (René). Essai
stion hypnotique fut tentée sans le moindre résultat. A. M. XXXI. Sclérose en plaques. - Clinique du P1' de Rrnzi. (1'coua
lc clinico therccp., n° 3, 1899.) A l'occasion d'une observation de sclérose en plaques le maitre fait ressortir toute l'imp
es et sensitives. A. Marie. XXXVI. Diagnostic différentiel entre la sclérose en plaques et l'hystérie ; par Thomas 13UZZ\I\D
eur passe cependant en revue le diagnostic différentiel d'avec : la sclérose en plaques, le tabe, ordinaire ; la syphilis hé
isceau pyramidal; il étudie successivement la simple dysgénésie, la sclérose dense, l'agénésie totale. Le matériel d'examen
ations morbides produites par la syphilis qui ont pour caractère la sclérose . La syphilis produit ainsi la cirrhose de l'app
roisième frontales, extrémité inférieure de la frontale ascendante. Sclérose des bandelettes externes des cordons postérieurs
me temps que se manifeste un tremblement com- parable à celui de la sclérose en plaques. 11 est difficile desavoir si cette
atrophie du membre supérieur est due à la présence d'une plaque de sclérose sur la moelle ou à une névrite périphérique d'o
as suivants, le tremblement est d'origine hyst'é- rique ; à type de sclérose en plaques dans la deuxième observa- tion, park
e dans la myélite aiguë ou subaiguë ; 8° La névrite optique dans la sclérose en plaques ; 9° La névrite optique dans la mala
lippe et Jonia. Anatomie pathologique de l'écorce cérébrale dans la sclérose en plaques. Les auteurs ont étudié les localisa
sclérose en plaques. Les auteurs ont étudié les localisations de la sclérose en plaques au niveau de l'écorce céré- brale, e
ntrent pour une large part dans la symp- tomatologie générale de la sclérose en plaques. La méningite peut expliquer les att
stitue un argument de plus en faveur de l'origine infectieuse de la sclérose dissé- minée. Enfin, comme le disait Charcot, e
ar Croc'1, 22H. bi'jterate dans la néphrite, I,ttpillsiiy, 500. Sclérose en plaques. Un cas de tremblement segmentai ! d
92 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
aves : elle était violente et menaçait de tuer les personnes de son SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 101 entourage.
IQUE DES LOBES OCCIPITAUX (Marchand.) Masson & CL, Editeurs SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 103 mesure un c
ne occipitale des ventricules latéraux est également le siège d'une sclérose avancée. Sur les coupes vertico-transversale, on
couleurs, la lumière et les formes. Bull, Dahms, Henschen et Vialet SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 109 se sont éle
lt;, A. v. Graefe's., Archiv. f. Ophtalmologie, Leipzig, 1890, I. SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX 10 ? dans les l
urotique, du moins par Hoffmann, cet auteur a montré des lésions de sclérose des cordons postérieurs et de ce fait a mis en re
dans la zone post-commissurale, et dans les cordons de Goll. Cette sclérose névroglique accompagne une diminu- tion, une dé
cours de M. Lefas, interne des hôpitaux. Foie. Il n'existe pas de sclérose proprement dite ; les espaces portes ne pré- se
anulo-pigmentaire du protoplasma cellulaire. Reins. Il existe une sclérose nette au niveau de la substance médullaire ; elle
es rouges par le formol. · Les glomérules ne sont pas entourés de sclérose et il n'y a pas de lésions 170 LAUNOIS ET ROY
bryonnaires. Rate. - On ne note rien de particulier, sauf un peu de sclérose ; les cor- puscules de Malpighi ne sont pas trè
s et dans les capillaires de la pulpe (1). testicules Il existe une sclérose interstitielle diffuse et régulièrement pé- ria
de la protubérance. A la région cervicale de la moelle, il n'y a ni sclérose , ni épaississement des méninges rachidiennes, m
ans le groupe postérieur. Nulle part, dans la moelle, on ne note de sclérose ; en quelques points de la région dorsale on vo
bien conservé, quelques assises de fibres conjonctives ; c'est une sclérose une hypertrophie considérable de la mince lame
légère verru- queuse de la valvule mitrale. Un foie un peu muscade. Sclérose rénale et néphrite suppurée double. Système n
postérieures (PI. LV, D). Dans la substance blanche on constate une sclérose des cordons posté- rieurs spécialement dans la
des cordons posté- rieurs spécialement dans la partie centrale. La sclérose , beaucoup ac- centuée au niveau de la moelle do
culaire. Il s'agit, dit lleslay, d'un lipome diffus dissociant avec sclérose fasciculée du nerf. Au centre des faisceaux, les
, ces faisceaux ont un diamètre presque normal, mais présentant une sclérose très marquée de l'endonèvre qui enserre presque
Les petites mesurent de 27 à 54. de diamètre et sont arrondies. ' Sclérose péri et intra-lobulaire très accentuée. Colloïde
uel- ques détails : au niveau du petit lobule, le plus dégénéré, la sclérose est monoalvéolaire; les vésicules sont très déf
o-cedème catatonique (4 pl en pho- tocollogr.), par M. Dide, 341. Sclérose symétrique des lobes occipitaux (1 pl. en photo
coolique ei hérédo-alcooli- que (2 pl.), 280. Marchand. Un cas de sclérose symétrique des lobes occipitaux (1 pl. en photo
MEiG £ ), LIX. Pseudo-oedème catatonique (Dide), LXV à LXVIII. Sclérose symétrique des lobes occipitaux (Marchand), XXI
93 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e l'atrophie du nerf optique et de sa valeur pro-, nostique dans la sclérose des cordons postérieurs de la moelle épiniére (
ntrée des faisceaux radiculaires, épais- sissement des os du crâne. Sclérose des extrémités articulaires qui supportent le g
est impossible d'établir le diagnostic d'ataxie de Fried- reich, de sclérose en plaques, d'atrophie cérébelleuse, on ne peut
e cérébro-spinale de Chéron, phos- phaturie musculaire de Gauthier, sclérose myélilique de Teissier), on doit tendre dé plus
rhe vésical, l'hémiplégie, les affections organiques du cerveau, la sclérose médullaire, la méningite, les troubles hallucin
que. - Il s'agit d'un syphilitique de vingt-huit ans, atteint d'une sclérose combinée des faisceaux pyramidaux, des faisceau
, des faisceaux de Burdach. Il y avait en outre de petits foyers de sclérose disséminés et une altération des vaisseaux, sym
ropres à la syphilis du système nerveux. Le rapporteur considère la sclérose combinée de son cas, comme une lésion systémati
1'ITSCH, ROTH et AIOURATOFF voient plutôt dans ce cas un exemple de sclérose pseudo-systé- matique. Séance du 15 mars 1891
l'autre cas, le tableau symplomatique rappelait plutôt celui de la sclérose latérale amyotrophique. Cependant, l'anamnèse e
iques «.simulateurs» des maladies organiques de la moelle épinière ( sclérose en plaques, paraplégie, tabes, amyotrophie, et
roduire, avec une fidélité parfois très frappante, les traits de la sclérose en plaque, du tabès, etc. L'auteur a pu réunir
La première a trait aux syndromes hystériques « simu- laveurs de la sclérose en plaques; après avoir exposé les analo- gies
es, les attaques apoplectiformes offrent dans l'hystérie et dans la sclérose multiple, l'auteur met en relief leurs différen
niques de la moelle ; 2° ces syndromes simulent de toutes pièces la sclérose en plaques, les paraplégies traumatiques ou spon-
extrémités avec porencéphatie, des paralysies avec contracture, par sclérose ayant détruit les zones psychomotrices; le bec-
céphalites, de l'épendymite.ven- triculaire avec hydrocéphalie, des scléroses hypertro- phiques ou tubéreuses, des scléroses
c hydrocéphalie, des scléroses hypertro- phiques ou tubéreuses, des scléroses atrophiques, des tumeurs, etc. Ces lésions offr
ent alcoolique et de ceux de la paralysie agitante et de ceux de la sclérose en plaques ou de l'athétose, sur le caractère et
die, alors que la substance cérébrale ne pré- sente pas de signe de sclérose et d'atrophie, porte à faire accepter l'idée de
testi- nale. Obs. II. Idiotie et épilepsie symptomatique (atrophie, sclérose ). Obs. III. Idiotie symptomatique de sclérose c
ptomatique (atrophie, sclérose). Obs. III. Idiotie symptomatique de sclérose cérébrale atrophique. Obs. V. Idiotie symptomat
la dans les foyers cérébraux, par Darksche- witsch, 105; dans la sclérose en plaques, par Freund, 106. SEXUELLE, invers
94 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ction du système nerveux. P. KERAVAL. III. Des formes frustes de la sclérose en plaques ; par M. Scn.u- b.EW1T; : CIJ. (Obor
ticulier les observations d'Hippel et de Bechterew, montrent que la sclérose en plaques est une affection multiloculaire ; q
Toute autre interprétation des faits ruinerait la doctrine de la sclérose en plaques. P. KERAVAL. IV. De l'immobilité des
doit être mise sur le compte de l'hystérie. G. D. XIV. Un cas de sclérose cérébro-spinale disséminée; par J. CRocQ. - (Jo
le disséminées sur le névraxe. Le diagnostic anatomique serait donc sclérose cérébro-spinale disséminée et le diagnostic cli
ée et le diagnostic clinique : tremblement sénile avec symptômes de sclérose en plaques. G. DENY. XV. Syndrome syringomyéliq
cette réaction dans trois cas de maladie d'Erb- Goldflamm ; dans la sclérose en plaques il l'a trouvée assez mar- quée ; dan
r lieu à ce complexus symptomatique, seraient, d'après l'auteur, la sclérose latérale amyotrophique à début paraplégique et
de la région cervicale, on trouve dans les cordons post érieurs une sclérose légère et très limitée,sans importance, etil il
le plus grand nombre étaient des hémiplégies, des diplégies, / des scléroses postérieures, des paraplégies ataxiques, des névr
ieur du pédoncule les filets d'origine du moteur oculaire commun. Sclérose en plaques. M. TOUCIIE montre les coupes d'un c
un. Sclérose en plaques. M. TOUCIIE montre les coupes d'un cas de sclérose en plaques étendu à tout le névraxe, ayant déte
éjà publiés au nombre de la ou 20, ils signalent la constance de la sclérose des cordons et racines postérieurs et surtout l'i
, cellules cordonales, colonnes de Clarl : e); la variabilité de la sclérose des cordons anlé1'o-laléruux., depuis l'atteint
surales courtes) ; très vraisemblablement, cette variabilité de la sclérose antéro-latérale, rend compte du développement plu
affection médu ! - laire différente du tabes et indépendante d'une sclérose ou d'une dysgénésie du cervelet, lésion toujour
. Elle est égale- ment remarquable par le grand développement de la sclérose névroglique, sclérose toujours très végétante,
remarquable par le grand développement de la sclérose névroglique, sclérose toujours très végétante, non seulement dans les
n'ignorons-nous pas encore quelle est, par exemple, la cause de la sclérose en plaques' ? Et si nous sommes fixés sur le rôle
? Je n'en suis pas certain : sans doute, si nous reconnaissons des scléroses spinales, des encéphalites diffuses que ne diag
es. P. KERAVAL. XXX. Etude clinique des symptômes oculaires dans la sclérose postérieure de la moelle [tabès); par Charles A
reich, hérédo-ataxie céré- belleuse, tabes dorsal spasllloclili ue, sclérose latérale amyotro- Fiy. 4. SOCIÉTÉS SAVANTES.
rose latérale amyotro- Fiy. 4. SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 9 phique, scléroses combinées, compressions médullaires, sclérose e
ANTES. 319 9 phique, scléroses combinées, compressions médullaires, sclérose en plaques, états paréto-spasmodiques infantile
ans l'hémiplégie organique avec contractures secondaires ou dans la sclérose latérale amyotrophique par exemple. Il n'est pa
eur, par Dupe. et Devaux, 156. Sclérodermie, par Brissaud, 154. Sclérose cérébro-spmaie dissémi- née, par Crocq, 42. Sym
oculaires de la - postétieure de 1 la moelle, par Olivier, 299. Sclérose en plaques. Des formes bustes de la-. parScl7ac
95 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onssupé- rieures du rachis.'La moelle' est également envahie par la sclérose aux mêmes endroits;, et ? sur les coupes.- on c
de foyer hémorragique ancien ou récent, pas d'infiltration, pas de sclérose , ni de dégé- nérescence. Enfin nous avons pra
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. 137 cinq ans. A l'autopsie, on trouve une sclérose bilatérale du fais- ceau pyramidal croisé et du
ippale; par les Drs 1)1.%SS.LO.I;Go et Silvestri. Il s'agit d'une sclérose eu plaques disséminées infantile, sur- venue ch
de six ans, au cours d'une atteinte d'in- iluenza. Le diagnostic de sclérose en plaques a été établi sur l'existence d'un tr
rtance étiologique des maladies infectieuses, dans -la genèse de la sclérose en plaques disséminées; 2° aussi bien que - 'le
s infectieuses, l'influenza peut provoquer le déve- loppement de la sclérose en plaques disséminées; 3° mieux que la théorie
a valeur pour l'inter- " prétation de la pathogénese des plaques de sclérose disséminées dans le système nerveux central. (R
s deux amis. - , , . ? SOCIÉTÉS ' SAVANTES . 217 Î -L'analyse des scléroses médullaires d'abord entamée par Bou-. chard,sou
be et la moelle d'une malade atteinte d'atrophie mus- culaire et de sclérose latérale. Plus tard, cette observation devint p
t point de départ pour la description d'une maladie nouvelle : la sclérose latérale aimjolrophique. Charcot, Vulpian, Duch
athologiste et ignorer les rapports établis par Baillarger entre la sclérose postérieure et la paralysie générale, serait au
s lésions, et nous nous glorifions quand une cicatrice, un foyer de sclérose ou un rétrécissement vasculaire s'est offert de
ment du syringomyélique qui présente l'ensemble symptomatique de la sclérose latérale. De même l'hystérie doit être séparée
qui se voient au cours d'une affection des centres nerveux (tabes, sclérose latérale amyotrophique) ne seraient qu'une lésion
es périphériques. Il rappelle les lésions de l'ataxie locomotrice : sclérose des cordons postérieurs, dégénérescence des rac
ostérieurs primitives. Toutefois certains auteurs prétendent que la sclérose des cordons postérieurs résulte d'une dégénéres
, d'une part, il n'est pas prouvé que le processus anatomique de la sclérose tabétique soit identique à SOCIÉTÉS SAVANTES. 2
la dégénération secondaire, et, d'autre part, il est établi que la sclérose des cordons postérieurs peut exister sans que les
tradictoires ? Qu'est-ce, en somme, que la paralysie générale ? Une sclérose interstitielle diffuse qui frappe aussi bien le
ance blanche. En ce qui concerne ces derniers, il s'agissait d'une, sclérose névroglique au premier stade de son évolution,
e on note l'épaississement des mé- ninges et de leurs vaisseaux, la sclérose de l'ensemble des cordons postérieurs, l'atroph
autre part, ils ressemblent d'une façon frappante à certains cas de sclérose en plaques d'avec lesquels le diagnostic est très
due à la stase du toxique dans l'encéphale, stase favorisée par des scléroses de nature variable. M. Bonnet (de Saint-Robert)
entiè- rement neufs pour l'acromégaJie, J'épilepsie, l'aphasie, la sclérose cérébrale, l'athélose double, la chorée chroniq
ulièrement les chapitres : aphasies, localisation cérébrale, tabès, sclérose en plaques, paralysie générale progressive, para-
'étiologie des méningites, de la paralysie spinale infantile, de la sclérose en plaques, des encé- phalites, etc. ' L'ouvr
u poids spécifique du sang chez les alié- nés, par Vorster, 61. Sclérose en plaques infantile d'ori- gine grippale, par
96 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
pleuro-pulmonaire et péritonéale. - Lésions de la moelle épinière ( Sclérose pseudo-systématique, d'origine vasculaire). Jea
ns du tissu conjonctif, du parenchyme et des vaisseaux. On note une sclérose légère, a point de départ périportal, d'autre p
une sclérose légère, a point de départ périportal, d'autre part une sclérose embryonnaire au niveau de l'espace porte. Il ex
etits vaisseaux est accentuée. Le corps thyroïde est le siège d'une sclérose intertrabéculaire très accentuée par places. D'
sont épaissis (Fig. 1).Ce qui devient très manifeste, c'est que la sclérose a toujours pour point de départ les vaisseaux. C'
ans les régions où les tubes de myéline disparaissent du fait de la sclérose , sont conservés. Par la méthode de Pal, on note
fait constater des lésions qui peuvent se résumer sous le titre de sclérose pseudo-systématique d'origine vasculaire, à pré
les faisceaux de Goll et les faisceaux pyra- midaux (Fig. 1). La sclérose est pseudo-systématique. On peut invoquer en effe
l (1) Ballet et Minor, Arcli. neurol., VII, janv. 1884. Fig. 1. - Sclérose pseudo-systématique de la moelle d'origine vascul
dres-axes ne sont pas altérés au niveau des parties envahies par la sclérose . La sclérose est d'origine vasculaire. Les fais
nt pas altérés au niveau des parties envahies par la sclérose. La sclérose est d'origine vasculaire. Les faisceaux sont ici
es, et ce sont eux qui sont très nettement le point de départ de la sclérose . Parfois localisée à leur niveau, la sclérose a t
point de départ de la sclérose. Parfois localisée à leur niveau, la sclérose a toujours son maximum autour des vaisseaux.
ssissement du tissu de soutènement. On ne constate pas de véritable sclérose des cordons pos- térieurs. Pour les cordons lat
vasculaire. Dans notre cas, il s'agit, nous l'avons démontré, d'une sclérose pseudo- (1) Pic, Présentation d'un malade. Soc.
t. (2) Marinesco. Société de biologie in Semaine médicale, 1893, et Scléroses de la moelle. Roumanie médicale, nos 3 et 5, p.
ltération dynami- que des cellules motrices, sous l'influence de la sclérose descendante du faisceau latéral. Notre intent
dème; toux légère : on entend dans les poumons quelques râles secs. Sclérose des artères. Pas de sucre, ni d'albumine dans l
- thropathie à la paralysie générale, il existait concurremment une sclérose des cordons postérieurs : il s'agissait de para
cette observation le titre des syringomyélie. L'auteur en fait une sclérose en plaques : il y avait un peu de tremblement peu
pieds-bots des névrites péri- phériques. De même nous éliminons la sclérose en plaques, la paralysie agitante, car on n'a j
nées pendant la durée de la paralysie (2). (1) L'arthropathie de la sclérose en plaques observée par M. Bourneville se rattach
la peau encore semble par- ticiper à ce processus d'atrophie et de sclérose . On pourrait penser à quelque forme de sclérode
97 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
latérales d'origine centrale (hémiplégie avec ou sans contractures, sclérose eu plaques disséminées à forme hémiplégique, né
ont les trois angles seraient occupés par le tabes dorsalis, par la sclérose en plaques, par l'ataxie cérébelleuse ». C'est
eux leçons sur la maladie de Little, et deux leçons consacrées à la sclérose latérale amyotrophique à début bulbaire. Ces de
lcoolisme ayant entraîné l'hé- miplégie gauche, et l'épilepsie, par sclérose atrophique, pachymé- 90 VARIA. nin-ite et m
des circonvolu- tions ; l'idiotie et l'épilepsie symptomatiques de sclérose trophique dés deux lobes frontaux; l'idiotie hy
s observations, intitulée : Idiotie et épilepsie symptoma- tique de sclérose trophique des deux lobes frontaux, mérite d'être
ébraux consécutifs aux traumatismes crâniens, la démence sénile, la sclérose en plaques, etc. En même temps qu'il empêche le
: M. le professeur KojEWNmow rappelle l'observation de Pelizoeus de sclérose disséminée familiale, qu'on peut rattacher à ce
tres nerveux (diphtérie par exemple). 11 passe ensuite en revue les scléroses en plagues ou diffuses s'appuyant sur l'opinon de
s du système nerveux, notamment dans la paralysie générale, dans la sclérose en plaques et plus fréquem- ment encore dans le
du rectum ; pas d'eschares de la région fessière ou des talons; la sclérose en plaques devait évidemment être abandonnée. A
oit guère dans la poliomyélite. J'écarte également le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique et la syringomyélie.
ous soumettre ce travail. Un cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en plaques. M. Grasset (de llontpellier). Quoiq
distribution segmentaire chez une femme de quarante ans atteinte de sclérose en plaques. La maladie a débuté, il y a deux ou
larité qui, tout d'abord ferait croire que le signe classique de la sclérose en plaques n'existe pas chez notre malade, puis
e à la bouche. En réalité, elle a le tremblement intentionnel de la sclérose en plaques avec ses caractères classiques ; tou
segmentaire, en gant, ce qui n'est ni classique ni fréquent dans la sclérose en plaques. A ces deux points de vue, le trembl
blement de notre malade est l'opposé du tremblement classique de la sclérose en plaques. Au lieu d'être massif, il est segme
rait objecter que cette femme n'est qu'une hystérique et n'a pas de sclérose en plaques. Je reconnais que l'hémianesthésie t
e malade encore vivante. Et s'il y a lésion, ce ne peut être qu'une sclérose en plaques. En tous cas, alors même qu'on n'acc
ue des guérisons obtenues par suite d'une opération chirurgicale. Sclérose en plaques médullaire consécutive ci une arthrite
de lésions de la colonne verté- brale ni des méninges médullaires. Sclérose en plaques typique : plusieurs petites plaques
leur paraît une démonstration nette de l'origine infectieuse de la sclérose en plaqnes (Kahler et Pick, P. Marie). Paralysi
ogiques entre tenez et l'appareil sexuel, par inlacliellsie, 150. Sclérose en plaques. Un cas ' de tremblement segmentaire
par Parry, 225. 'rRMIBLE31ENT. Un cas de - segrnen- taire dans la sclérose en plaques, par Grasset, 395. Tumeurs cérébra
98 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nune explication qui a paru toute naturelle : l'ataxie tenant à une sclérose de la moelle épinière et la paralysie générale
de la moelle épinière et la paralysie générale s'accompagnant d'une sclérose du cerveau, on s'est dit que dans certains cas
Mort. Autopsie. - Pleurésie purulente enkystée droite. Noyaux de sclérose tubéreuse sur les circonvolutions et les ventri
es taches laiteuses sur la valvule tricuspide et la mitrale. Pas de sclérose . Quelques plaques athéromateuses de l'aorte.
rtie posté- rieure du lobe carré. Autres foyers ou mieux îlots de sclérose formant tumeurs à l'origine de la circonvolutio
'encéphale pesait 1,600 gr., poids élevé, dû peut-être aux îlots de sclérose tubé- reuse' . ' Cette observation de scléros
-être aux îlots de sclérose tubé- reuse' . ' Cette observation de sclérose tubéreuse s'ajoute à celles que avons pré- céde
e lors d'un nouvel accès. P. B. IV. Coiitribution à l'étude de la sclérose latérale amyotrophique [Maladie de Charcot); pa
.), La thèse de M. Florand, outre un exposé clair et précis de la sclérose latérale amyotrophique, telle qu'elle est aujourd
1 M. Florand indique les auteurs qui ont ultérieurement étudié la sclérose latérale amyotrophique et cite particulièrement M
la description de ces lésions. Ces dernières con- sistent dans une sclérose du faisceau pyramidal avec atrophie des cellule
es, t. XIV. 20 306 BIBLIOGRAPHIE. être fait d'avec l'hystérie, la sclérose en plaques, l'atrophie mus- claire progressive
excès véné- riens seraient aussi bien des effets que des causes. La sclérose latérale est un type de myélite parenchymateuse
s diffèrent de ceux qu'on observe soit dans la chorée, soit dans la sclérose en plaques. Quand le malade veut se lever de sa
orurées sulfatées faibles. G. D. . XVI. GLYCOSURIE au COURS DE la sclérose en plaques; par Mon. 13. EDWARDS. (Reu. de Méd.
ces faits la conclu- sion suivante : dans le cours du tabes, de la sclérose en plaques, et, en général de toutes les affect
euses au niveau du plancher du quatrième ventricule. G. D. XVIII. SCLÉROSE EN plaques. Grande amélioration SURVENUE A la s
rier, qui était soigné sans succès depuis près de deux ans pour une sclérose en plaques, d'origine inconnue. L'amende- ment
des idiots présentant soit une atrophie cérébrale double, soit une sclérose céré- brale diffuse, soit une encéphalite avec
e, Isch Wall, Baumgarten, Pilliet, Cour- barien et Bricon, 420; - sclérose latérale amyotrophique, par Flo- rand, 304; -
e diabète sucré), par Marie et Guinon, 111. Revue critique, 81. Sclérose en plaques -(glycosurie au cours de la), par Ed
99 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
oit. - 880 gr., congestionné. Coeur. 680 gr., insuffisance mitrale. Sclérose du myocarde. Aorte. Très athéromateuse. Foie.
ondai- res a d'autres lésions spinales. Le type de ce groupe est la sclérose laté- mie rt1nyotrophiljue ou maladie de Charco
i-ly stage, Brit. méd. Journ., 1892, 20 fébr., p. 384. CHARCOT. - Sclérose latérale amyotrophique ou. amyotrophie hystérique
ement. Toujours est-il que nous avons affaire, ici comme 1-li à une sclérose systématique des cordons postérieurs. Or ceci n
gurantes el, qui plus est, l'autopsie a démontré l'existence d'une sclérose systématique des cor- dons postérieurs. De to
de la sensibilité excluent l'atrophie musculaire progressive et la sclérose latérale amyotrophique. L'absence de douleurs,
s font également écarter l'ataxie. Nous n'y trouvons aucun signe de sclérose en plaques. Notre malade présente plusieurs sig
oient, la lésion semble invariablement la même : vous avez nommé la sclérose systématique des cordons postérieurs. Est-il vrai
fectés au même titre et à un égal degré. Vous savez du reste que la sclérose fasciculée postérieure n'est jamais complète, e
n retrouve sur les coupes transversales, au milieu même du champ de sclérose , des tubes nerveux très bien conservés. De ce fai
dans celles des troncs nerveux. Même si l'on fait abstraction de la sclérose en plaques où le cylindraxe, compact, dissocié
écent travail de AhcnAEL Popoit (de Charkow) sur l'histologie de la sclérose disséminée du cerveau et de la moelle épinière Ne
as contingentes, dont on ne peut rendre responsable le processus de sclérose primordiale qui fait le fond du tabès. Je vou
ylosées. Tout au contraire, dans les arthropathies consécutives aux scléroses systématiques ou non de la moelle, le traitemen
a- tion prolongée, ne réussit pas et ceci d'ordinaire à cause de la sclérose du tissu cellulaire et de la peau péri-articula
rait autrement de ne pouvoir les mettre en contact, à cause de leur sclérose , et par consé- quent de ne pouvoir obtenir de r
al, 1893. 360 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE étranglé de sclérose , tombe sans même s'en douter. C'est le signe de I
très faciles. La voix est un peu monotone et scandée, comme dans la sclérose en plaques. 366 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
tions médullaires, telles que l'atrophie musculaire progressive, la sclérose latérale amyotrophique, l'ophtalmoplégie et par
100 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s vaisseaux, dans l'épilepsie partielle. Depuis, la théorie de la sclérose névroglique dans l'épilepsie « essentielle » a ét
de la sensibilité et de ses modes. En outre des phénomènes de la sclérose latérale amyotrophique, on constatait une anesthé
les grosses cellules en question, et les étouffent par rétraction ( sclérose aboutissant en plusieurs années à la cicatrisatio
due le long de la moelle épinière et donnent alors naissance à des scléroses descendantes sur les trajets pyramidaux qui, si o
ux qui, si on n'y regarde pas de près, peuvent être prises pour des scléroses primi- tives. Dans les cordons postérieurs, ces
rs forment quelquefois des figures tellement semblables à certaines scléroses tabétiques qu'ici également on pourrait les con
ci également on pourrait les confondre avec le tabes véritable. Des scléroses symétriques semblables étant surtout fréquentes d
e chez l'homme on a toute l'ébauche des deux processus, stéatose et sclérose , que l'on retrouve à un degré si avancé chez l'
artielles. Mais de plus avec la stéatose les- auteurs constatent la sclérose qui peut atteindre le foie, les reins, le péric
lésions caractéristiques de la paralysie générale, c'est-à-dire la sclérose cellulaire, interstitielle, proliférante, diffu
lulaire, interstitielle, proliférante, diffuse ; 6° Il n'y a pas de sclérose interstitielle proliférante, diffuse sans para-
escence grais- seuse des organes, et les essences, au contraire, la sclérose . Cette dernière altération a été provoquée par
IDENCE DE M. WESTPHAL,. M. UHxuoFr; présente une malade atteinte de sclérose en plaques au début. Cette malade, qui est affe
z un autre malade affecté du même complexus oculaire, il existe une sclérose en plaques. Enfin voici le dessin d'une racine
lycosurie existe incontestablement, au même titre que celle de la sclérose en plaque signalée par Weichselbaum , 131. Edwa
se sur l'axe spinal et déve- loppe dans les cordons postérieurs les scléroses que, dans d'autres cas, on observe sur d'autres
énomène autonome, indépendant d'autres anomalies oculaires, dans la sclérose en plaques, et les affections cérébrales en foyer
celui du côté gauche. L'écorce du cervelet à gauche est atteinte de sclérose à des phases diverses; intégrité du vermis supé
ent éclaircie : En d'autres points, on trouve, selon le degré de la sclérose , divers degrés d'atrophie des cellules de Purkinj
base du crâne ne présentant aucune anomalie de développement, la sclérose a dû commencer à la puberté. M. WEBER. - Du tra
ine, troubles cérébraux con- sécutifs à la -, par Rouillard, 267. Sclérose , en plaques, au début. par Uhthoff, 268 ; - fon
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